Économie coloniale]]> Colonies françaises]]> Histoire de la colonisation]]>
Le hall d'exposition de la Section métropolitaine (Grand Palais, 1922)
Contrairement à d'autres publications parallèles et publiées à la même époque, les nombreuses illustrations présentées dans l'édition de 1922 du journal "L'économiste colonial illustré", montrent davantage de photographies prises sur le terrain que de clichés des palais ou des stands de l'Exposition. Elles en font un témoignage intéressant et complémentaire aux publications plus officielles.

La France, inquiète du développement économique de certains de ses voisins européens et de leurs colonies respectives, voit dans son Empire colonial un avenir prometteur capable de l'aider à résister à cette concurrence multiple et investit dans la formation des populations locales pour assurer une production suffisante de produits qui lui manquent.
Un centre d'apprentissage à Conakry (Guinée)

Malgré les difficultés liées aux transports sur de longues distances (tonnage, conservation, durée), la France organise progressivement un circuit complet et cohérent qui va de la formation professionnelle aux marchés locaux et nationaux.
Un marché de coton à Ouagadougou (Haute-Volta, Burkina Faso)

Après la Première Guerre mondiale, la métropole est avide autant de matières premières industrielles de base (minerais, houille, bois, textile, caoutchouc,...) que de produits alimentaires (huiles, céréales, légumineuses, fruits, ...)
Un quai d'embarquement de marchandises à Lyndiane (Sénégal)
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1921-19??]]> fre]]> Marseille. 19..]]> Colonies françaises. 19..]]>