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200
1
-
https://odyssee.univ-amu.fr/files/original/2/274/RES_JP_118_RAA-BDR_1950.pdf
42e2a78e84532808c3509a1258d52f9f
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,mlmll DES BOUCHES-DU.RHONE
Recueil des Acles Administratifs
et Bulletin des Mairies
TABLE DES MATIÈR ES
parues
au
Oours de
I"année
1. 950
olassées
par
rubriques
où
les
et
t.extes
dans
oni;
I"ordre
ét.é
chronologique
publiés
•
••. aowva.u . r . UIU...... 11..11•• , . . . . .
�COTE
ODJETS
SOMMAIRE
c
=
AG 0
Pages
Divers .... ... . .. .. .. . . .... . . . . .• . . ... . •... . ...
Magistrats Municipaux ........ . •.... . . . . . • . .. .. .•.... . . . . .
Personncl communal ...... . .... .•. ......• .... . ' ..••.... . ..
Poli tique ~ t ProJXlga.ndc .........•..... . •..•..........••. ..
Dbl'logmphie... . .. ... . .. ...... ...... .. .... ...... . .... .
Associations .... ... . ...... • . . . . . .... . . . • . . .. . ...... .
Affail1CS milit aires ... .. . .. . . ...• ..... . •...... . . ..... • • . . . .
D.ommages de guerre . ....••. . . . ...••.... . ' .,. . . .. .. . • . ...
Ej ect ions politiques .. ......• . .. ..•.. ... ... . ...... . ...• . . .
ADMINISTRATION GENERALE ...• ...• .••..•......•.
POLICE ................. . ..... . .......... .. ........ . .
Divt:rs .... .... . ... . . .. . . . . .... . . . . .. . . .. . . . . ..
Olasse et Pëohlf. . ...... .. . ... .. . ... ...... ...... . . ••. .
Réunions et manifestations . - ]t:ux et spectacl es .. . . . • ... .. .
Etrangers .. .. .... ... . .. .... .... .... . . . .
BIENS COMMUNAUX ....... ....... ... . ...... . ..... .
Divt:r.5 ......... .
FINANCES . . ..... ...... . ............... ... . ..... ... . .
Divers . . . . . ... .... .... . .. .
Budgets . . .. .... .... .... . .. .
Comptahilité communale .... . .. .
Impôts et t axes - Droits divers.......... . .•.. ....••.... .
Emp ru nts et 5'l.1 lwentiollS diverses ... .. .........•...........
3
-
3
4
~
-
4
~
-
-
5
5
6
5
-
&
Di" ers .... .. . . .... .... .... .... .... .... •... . . ..
Eo.u, Gaz, Electricité ... . .... . • . . . .. . •. . ...........•.... .. .
Voi r ie et Nettoi,tmlem , ... . . . .. . •...... .. .......... ; .... ... .
Service vicinal ... ... ..•. . •. , .... .. . . ..• . .. • ... . • . • . ...
D éfense Passive .... .. .. .... ... . . ... .• .. . .. , ..• . . ...
Protection contre l'inoeo.die .,., ... ... . . ..... . .• . • .. .. . .•....
SERVICES COMMUNAUX ... .... . ................... .
-
3
3
•
-
6
AG 1
6
EDUCATION NATIONALE ...................... .... ..
l
FA:\!ILLE ET SANTE .................... .. ........ ..
RAVITAILLEME NT ET RATIONNEMENT .......... .
AGRICULTURE
COMMERCE. -
1
!Jo
INDUSTRIE. -
COMMUNICATIONS ET TRANSPORTS ... . ......... .
_~DMINISTRATIONS
CENTRALES . ......•... . ....•.
Divers . . . . .. . . ... .
. . .. .". .,.. . ...
Errseigncment 'l)ublie et techniqu e ......... . ..... .. •........
En!reigntelment teohnique et appr entissage .,., ....... .. ...... .
7
7
7
Divers . ... .... .... .... ....
' .... ' ......• .
Assistance à la Fam ille .............. ','
............• '
Hygi~e so ciale . . .. . .. . . . .. .. .. . .. .. .... . . .......•• . . . .
Etablissements d 'Assistance et d e Bienfaisance .. .... . . . •.. .. . .
Assistance Médicale Gratuite . . . ............ . . . . . . . ........ ..
Assista nce a ux vieillards, i1\firm es et iuourables ... .. ...... .
Police M é di cd~ .......... .,.... .... . ....... , ...... .. .. .
7
1
1
~
8
8
9
9
9
Cultures ........ . . . . . . . . . . . . . . . .
9
10
10
o.. . .. .. .... . ...
10
....
., ... . ... .
10
Divers
10
JO
JO
JO
Perso.nnel.. . . .... ...... ...... . .. .. .
)
10
Divers
Affai r es Economi<cues ......... .
F'inances.. ... . .. .'.,.. . .... .
Il
Il
12-1 3
14-15
18
19-20
23-24
25
30-31
49-50 '
49-50
AG 4
26-27
42
46-47
Personnel COmmunal :
Législation sur les accidents du travail ............... .. . . .............. . .. . •. .. ...
Alpplication de la législation de Sécuri té Sociale aux agents communau x .. ........... . ... .
- Compensation des prestations familiales du person nel des co llectivités locales .... .. .. . .... .
- Assurance du personnel titulaire des co llectivités locales affi li ées à la Caisse Nationale de
Retrait es .... .... .......... . . .. .............. . . ... . .. .. .. .. .. ....... .. ... . . .
- Médaille d'Honn eu r départementale et communale. - Promotion du fer mai 1950 .... . ... .
Acompte sur la tranche de reclassement prevue pour l'année 1950 ......... . ........ .. . .
Applicalion de la loi n ' 50.205 du 11 -2-50 relative aux conventions ~ollectives et aux procédures de règlement des conflits collectifs de travail ................ .... . .. . ....... .
Pért'quation des retraites des agents des collectivités locales affiliées à la Caisse Nationale
de Retraites . . ............... . . . .....
. . .. .... .. . . .... . ... . .. . .... . .... .
- App li cation des dispositions de la législation des emplois réservés relatives aux orphelins de
guerre ............................ .. .... ... .......... . ............ . ......... .
- Cl assement des localités dans les zones de salaires pour j'application du régime des prestations familiales ..................... ..... .. .. .................. ............. .
- Reclasscment du personnel titulaire des colilectivités locales ........... .. ... ..... .. ..... .
- Rcmunération du personnel auxiliaire des collectivités locales pour l'année 1950 .....•......
- Réll1unération des agents titulaires des collectivités publiques focales ... .................. .
- 'Droits à pension des professeurs des Ecoles Nationales de Musique ........ . ...... ...... .
- Omi ssion par les communes de déclaration s des honoraires vers~s à leurs agents ou à des
membres des professions libérales. - Omission des retenues pour impôts d'Etat et pour
Assurances Sociales ........... ............ .
Recla sse ment du personnel communa l ..... .... ... . . ... . ...
. ........... '.. ..
Ind elluütés au personnel municipa l .. ......... .. ........................ . ......... .
l\1Ld<lille d'Honneur lDépartementale et Commun~IL (promotion du 1-1-51) ................. .
- AII" c"tioll - logement ..................... ... ........... . ..................... .
COl1lp:émcnt de rémuniératioll aux agents des c.'liecti,,!!" locales ............. .
ReCfLltemcnt d'agents non titulaires 1">:11' les collec'ivités ioca les .............•.•.... . ...
Organisation Gén éra le du Ravitai llement. ....... .... ..... 1 • •
Taxations . ..... .. . ... ...... ...... ...... ., ..•.•.......
Combustibles. - Electricité .. . . . . . . . .
. ... ........... .
Divers . . . . .. . .
Commerce ... . ....
ARTISANAT .•. . ..•.
AG 2
7
7
.., ...•.....•...
Indemn ités de fonctions des Maires et Adjoints ........ ...... . . .. .. . . .. ...• . ...... .
Suspension temporai re de fonctions du Maire de Roquefort-la-Bédoule ................ . . . .
Suspension temporaire de fonctions du Maire de Roquefort- la~Bédoule ....•...............
7
Const ru ctions scolaires
Divers ... . . ... , . . . . . . . . . . . . .. .
Organisa tie n Générale ..... ,., .........•
...... ..... " ...................... .
2-3
2-3
7
7
Magistrats Municipaux :
6
6
... . ... . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . , ..
Bâ.timents et t erra ins communaux .. et terrains de sports , .. , ..... .
Adjudications et ma rchés ....... .
TRAVAUX ....... . ................... ... .......... ... .
'A itribution du nom de rues ou pl aces à des personnalités étrangère s ..... .. ........ . .. _..
Annonces Judiciaires et l égales ..... . ....... ... .. .. ........... . .......... . ...... .
Délégati on de sign ature ....................................................... . . .
Modi fications aux ci'rconscriptions territori al es tles Communes . . .. ... .............. .. .... .
<Désignation des organisations syndi cales représentati ves du personnel du Cadre National de
la Préfecture des .Bou ches-du-Rh ône . ...... . ............ . ... . ... .......... . . . .
In stitution d'un Comité technique paritai·re départemental .à la Préféc ture des tB.-<lu- Rh ...... .
fi xati on des traitements des chefs de poste de désinfection et agent de dt'sinfection dans les
établi ssements et services départcmentaux .... . .. . . . ... . ........... . ..... . . . . . .. .
Modifications aux cipconscriptions territoriales des Communes ................ . .......... .
Célébration de la fête de la Victoire et de la fête de Jeanne d'Arc ......... . ......... .... .
Enquêtes à caractère économique, nancier ou fi sca l .. . .......... .. . . .............. . .,. ... .
Nouveaux trai tements accordés au personnel des services généraux et au personnel soignanl
des établi ssements et services départemen taux des ,B.-du-I~)J. à compter du 1er janvier et
1er juillet 1950 .......... . . ... .... .. ............. . .. . ... . ........ . ............ .
Diffu sion de contrats-types pour l'assuran ce des responsabilités cotnmun ales et la garanti e
. ............ . ......... . . . ... .
des ri sques d'in cendie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Arrêté fixant les échelles 'de traitem ents applicables au personnel des services et établi ssements dépa'rtementaux à compter du 1er janvier et 1er juill et 1950 .... ...... . ..... . .. . . .
IReclassement du directeur et de l 'écono me de la Maison Départementale de IRetraite des
Vieillards de Montolivet . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. .... .. . . .... .. .. .... .... .... . .... .
IReol assement du directeur du foyer des Pupilles .... . ..................... . ........ .
6
Di~rs
ADMINISTRATION GENERALE
Divers:
Politique
4-5
4-5
6
6
7
9-10
. 14- 15
18
19-20
21-22
23-24
25
26-27
30-31
36-37
36-37
36-37
36-37
44-45
48
49-50
Propagande :
sur les
mur,; dps l-;,timents publIcs ..... .. ....... .
35
�N"
OBJETS
COTI!
COTE
DES
OBJETS
BULLETINS
Chasse et pêche :
P3
Démograpltie (divers) :
Avis de wention transmis par les maires à un centre d'L·lat civil d'un territoire ou d'un département d'outre-mer .......... . ............. .... .... . ... .... .... . .. .
AG 5a
AG 5b
AG6
Démograpltie (Etat-Civil :
_ Cas où les extraits d'actes de l'"tat civil doivent être exonérés du dmit d'expMition et du
droit de légalisation ..... ... .. . ....... . ..... . ......................... .... . . .
_ Bulletins statistiques de l'état-civil ." . .......................... .. ...... . ........ .
_ Régularisation de l'état-civil des citoyens français musulmans, originaires d'Algérie .... : .. .
_ Registres de l'état-civil : fourniture d'un papier spécial ..... . . ..... ..... ......... . ...... .
_
_
_
_
_
_
AG 7
_
_
AG 13
•
AG 14
Associations :
Constitution d'une association syndicale autorisée pour l'entretien de dessèchement du territoire de la commune de Rognonas .··· · ·h · ...... ,.... ,.,......... ..... '. . . . . . . . . . . . . . .. ..
Constitution d'une Association Syndicale autorisée pour l'entretien de la Filiole-Est de la
Ramière <dans la commune de Barbentane ...................................... ..
Constitution d'une Association SyndiC<lle au Iioriséc pour l'entretien de la Filiole-Ouest de ,la
Ramière dans la commune de Barbentane.. . . . . . . . ............ . ..... . ............ .
Déclaration d'utilité publique des travaux projetés par l'Association Syndicale autorisée de~
submersionnistes et arrosants du canal en relief de la petite Montlong ............ . .... .
Elections des représentants des organismes mutualistes a u Conseil Supérieur de la Mutualit~
et des membres des Comités Départementaux de Coordination .... " ......... . ... . . . . .. .
Elections des représentants des or.ganismes mutualistes au Conseil Supérieur de la Mutualité
et des membres des Comités Départementaux de Coordination (Rectificatif) .. , ... ... .... .
AffaireS militaires :
Recensement et révision dans la Métropole et en Afrique du Nord des jeunes gens nés entre
le 1-1-1931 et le 31-12-1931 . . .. .......... . .. ............................. ... .
Recensement des jeunes gens ne justifiant d'aucune nationalité et résidant en France .. ' .' . . .
Recensement et révision dans la Métropole et en Afrique du Nord des jeunes gens nés entre
le 1-1-1932 et le 31-12-1932 ... .. .. .. .. .. . ... . . . .. ....... .. .. .. .... . . ... .. . .. .
Dommages de guerre :
P'fOgramme départemental de priorité de reconstruction de biens sinistrés ..... .... . . .... .
ProO'ramme départemental de priorité de reconstruction de biens sinistrés ............... .
_ Stat~t des ponts définitifs, semi-définitifs et provisoires, dépendant de la voirie départementale et communale. - Remise à la collectivité proprit'taire ..... . . . . ................. .. .
_ Ordre de priorité départemental pour le versement de dommages de guerre aux sin istrés . .... .
_ Programme départemental de priorité de reco nstruction de lDiens sinistrés ........ . .. . ... .
Elections politiques :
Composition des Conseils Municipau x: rectificatif du 1-2-1950 au S.A.M. spécial de décembre 1947 .... ......... ................................................ '.' .... ..
Décret portant dissolution du Conseil Municipal et institution d'une délégation spéCiale dans
la com mune de Meyreuil (B .-du~Rh.) .. ...... ... ..... . . . . . ...... : .. ... : : ...... . . .
Modifications apportées depuis le 1-2-1950 à la composition des Conseils MUOlclpau ~ (deuxième rectificatif au B.A.M. de décembre 1947, numéro spécial donnant la composlflon des
Assembl ées Municipales) .. ' ...... . .... . ...... . ..... . . . . . ... . ... .. . ........... .
Révision des li stes électorales (année 1951). - Mise à jour de la circu la ire codifi cative n" 414
- oO~struction des corbeaux et des ies
- Pe~~~t:èvi~~e:n dé~ret n°. 5U'-llf du' 'Ù~'I~i 950'';'~di'fia~i ' l ;a~ti~l~ il d~ dé~~ei 'd~ 12-7-41 por~ 1
_ Chasse
g
t d admlnlstrallo n publique pour l'app ti cation de l'art. 5 de la loi du 15-4-1829
30-31
. .. ........ ... ... ..... . ....... ...... .... .... .... .... . ... .... .... .. .
P5
Divers:
Interdictions visa nt certaines publications . . . . . . . .
. ...... .
. ...•' .. .
_ Interdictions visant ·certaines publications . . . . . . . .
_ Jury criminel pour l'année 19~0-1951 .... , .......... . ..... : . ........... .
_ Transmission de communiqu es urgents par la RadIOdiffus ion Fran çaise ................. .
_ Médaille d'honneur de la Police Française . . ......... . ....... . .... .. . ... ,' . .......... .
_ Interdiction d'apposition de tout emblèl!le,. affiches, papillons, panneaux 'et In~l:rlptlOns de toute
nature de caractère subversif ou Injurieu x. . .. .. .. .... ... . . .. . . ... , . . .......... .
~
sur
ta voie p'
. . . . . . . . . . . . .. . .. . ... . .... . ... . .. .
4-5
7
18
Réunions' et manifestations - Jeux et spectacles :
Interdi ction
2-3
16
23-24
36-37
d'o~ganiser
des marathon s de danse
36-37
Etrangers:
P 8
Naturalisations
nat ionalité d~. lamise
f en a pp l'!.Sa f Ion dl
e a convenll' on Franco-Belge du 9-1-j947 relative à la
emme manee ......... .
Nat~~~li ~~ti~~:tl; ~~ets !U!id/qtUes su; l~ droit ',à ' I~ 'n';tio~~iité ' d~~ ';'~~~r~~' ~d;';i~'isi;;tiv~~ 'p;i:
Naturali sation'
a ~~ I S a Ion re ahve a t cnt·rée et au séjour des étrangers ~n France ....
."
.s f· A.S. dell vrance des ca rte d'identité française aux étran"ers naturalisés
aut ollses a ra nCl ser teur nom
"
_
Il
Naturali sations
18
........ '" .. .
.........................
... ...
18
9-10
16
16
30-31
BIENS COMMUNAUX
38-39
Divers:
BC 0
48
-
49-50
Domaine pri'té des coll ec ti vités locales. - Paiement du prélèvemen t sur les loyers - Subventions du fonds nationa l d'amélior ation de l'habitat .. .
.
JOomalOe privé des collectivités locales. - Paiement du prél è~e ~~~i 's~'r ' I~~'I~'y'e~~' :.:.,' S~b~~~~
lion s du fonds national d'amélioration de l',habitat .. ... . . . . . . . .. . . .. .. .. . ........... .
30-31
43
fiNANCES
8
Divers :
FO
34
_
44-45
_
_
_
1
4-5
_
_
6
35
48
F 1
6
16
F 2
49-50
52
POLICE
, PO
N·· DES
BULLETINS
2-3
F 3
Budgets :
Budgets communaux 1950 .. ... .. .... " .............. " ...... .. ........ ".. .. .. .
Budgets des cl1emins vicinaux .. ..... . .. . . . .... . ............................ . . . .. .
P répara tion des budgets communa ux 1951. - Rappel des in st ructions du 6- 12- 1950. . . . . . . . .
Comptabilité communale :
Cont ingent co mmun a l des dépenses d'assist.l nce pour 1949 .. ... ............. . ... . .... . . .
Regi stres de t'é tat-civil : Re mboursement pUI l'Etat des fr a is de reliure et de ,confect ion des
regist res d'état-civil (an née t949) .. .. " . " .. . .... .... ....
. .. . ...
__ Registres de l'&tat-civi l : Remboursement par l' Eta t des frais de reli ure et de confec tion des
registres d'é ta t-civil, année 1949 (additif)... . . . . .. ....
. ... . . .
Impôts et taxes -
1
12-13
28-29
32-33
34
34
40-41
44-45
4-5
4-5
51
14-15
14-15
18
Droits divers
Rétabli ssement du droit proporti on nel d'enregistre ment des ma rchés ..... . . . . . . . .. .. . .
7
18
34
36-37
~~n si~n s civiles et mi litaires .. ... . . ... .. ... . ............................. .. .... .
. m Istrallon co mmun ale ... ............ .. . ... ..... .
Versement aux commu~e s. d'acomptes à valoir syr les att~i'b~t;~~s' d~' fO~d~ ~ie' péréq~~ti~~ ::
Verse ment aux collecllvltes locales des attnbutlOns .compensatri,ces des pertes de recettes
pour 1949 et 1950 -- Uquida tion pour 1949 .......... " .... "" ................ ..
Remboursement des fra iS engagés par les fon ctionn a ires aurorisés à utiliser leur voit ure personnelle ........ ........ . .......................... . ... .
Arron di ssement au fran c infèrieur des recette, et des dépenses pubtiques' :....................... : :: :: :
'Budgets dépa rtementaux et commun a ux. - Obser'ta tions de la Cour des Comptes. - Publi cité dans le Recueil des Actes Admini str atifs .. .
Verse ment a ux co ll ect ivi tés locales des attribution; 'co'l~pe~~~i~i,~~~ 'de 'p~r't~~ 'de 'r~~~ it~~ ' p~~~
1949 et 1950 : Ll quld allon pour 1949 et versemen t d'acomptes ,pour 1950 ~R ec tifi ca tif) ..
42
~
f 4
Emprunts et subventions diverses :
Emprunts des collecti vités locates . . .. . .
Subventions commun ales . . ... .... .. . .. . .
2-3
9-10
�•
OBJETS
Emprunts émis par des communes et syndicats de oCommunes pour le financement de travaux
d'équipement rural ............... . .. .. ... .
Emprunt publi c émis par Electricit~ de France . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
SERVICES COMMUNAUX
seo
-
Divers :
_
oDemandes d'emploi de secrétaire de ma irie . . . . .. . ... .... .... ....
. .... .. .. .
Relèvement CIe l'indemnité spéciale a llouée a ux percepteurs receve urs municipau x ........... .
32-33
40-41
TVX 1
SC2
_
8
Voirie et Nettoiement :
SC 3
Circulaire T..P. s~rie 'G.P. Il bis n · 98 du 1-6-50 relati,ve a ux accidents dus 11 un défaut d'entretien des trottoirs des routes nationales dans les traverses et à l'action récursohe de
l'Etat contre les oCommunes .... .. .. .. ..
. ... .... .. ..
.... ... ...... ....
-
30-31
Service vicinal :
SC 4
_
Classement des chemins vIcinaux dans la voirie départementale . ... ......... ............. .
Taux de conversion en argent des journées de prestations votées par les communes pour l'en\!relien des chemins vicinaux pour 1951. ...... ........ . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..
sc.
Défense Passive :
Attribution de la
de la Défense
_ Attribution de la
de la Défense
9-10
44-45
TVX li
1
Médaille commémorative française de la guerre 1939-1945 a ux personnel s
Passive .. .. . ...... ........... .... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..
M~daille commémorative française de la guerre 1939- 1945 aux personnels
Passive .. .... ··· ............. . ... . . .. .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
1_
Vacations horai·res des sapeurs-pompiers .. .... .......... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
S.pectacles dans les établissements recevant du public ... .. ... ..... ····· ..... . ......... .
Frais médicaux et pharmaceutiques dus aux sapeu rs-pompiers accide ntés .... ......... ... .
Médaille d'honneur des sapeurs-pompiers. - .Promotion juillet 1950 .......... . .......... .
Médaille d'honneur des sapeurs-pompiers. - Promotion 14 juillet 1950 .. .. " ............. .
Stages d'instruction pour les officiers de sapeurs-pompiers (Rectificatif) ........... .
Matériel d 'inc endie : Attestations fournies par les officiers des sapeu rs-pompiers à des con structeurs de matériel d'incendie.. . . . .. .. . ... .. . . .... .... . ........ ... ......... .
Inspection départementale des services d'incendie.. ... . . . . . ...... .. ........ . .. ..... . .. .
Subventions pour acquisitions de matériel d ·ir. cendie. - Agrément préalable .. ............. .
Distinctions honorifiques ............... ..... . . .. . . . . .. .... . .. . .... .... .... . .... .
Prévention et luite contre les incendies de forêts ...... ......... . ....... . ............ . .
Boutiques et magasins sous les portes coohères et entrées d'immeubles ..... .. .... . ....... .
Instructions pour la luite contre les feux de forêts .. . .... ... ........... .. ............ .
Rôle des communes en cas d'incendies de forêts . . . . . . . . .......... .... .... ... . ........ .
Recrutement d ' un Inspecteur Départemental des services d'incendie de seco ur s dans le département du MorbLh a n ... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. .... .... .... .... .... . . .. .... . .... .
Instructions pour la luite contre les feux de forêts .. . . . . .. ........
. ............ .
Stage de sapeurs-pompiers à l'Ecole de la Protection Civile de ,~a,ri s .. . ............. , . ' .. .
Utilisation des échelles ai>rien nes d'incendie pour des exercices d'ac robatie .... ........... .
Transmission de l'alerte en cas d' incendie ... ' ... , .... .... .... .....
. ... .... . . .. . .
Lutte contre l'incendie ........ . ............. . . . . . . . . . . .... . ....... ........ ..... .
Rapports d'incendie. - Statistique des in ceadies et des asphyxié.s ................... . ... .
Prévisions d'adlats d'engins de lutte contre les IIlCendles de forets ................... . ... .
Incendies de forêts. - Ass urance des requi s des communes ........ ............ . .... .. .. .
Incendies provoqués par les dépôts d'ordures ....... . ... . ... . . . .............. .
Vacations horaires à allouer aux sapellTs-.pomplers .. .. ... ". :........ ...... . .......... .
Réquisitions de personnels pour lutter contre les fleaux et Sllllstres ........... . ......... .
Service de sécurit~ assuré par les sapeurs-pompiers d ans les salles de spectacles .......... . .
Con structions sco laires. - Etablissement de projets ................................. .
Consbrucltons scolaires. - R ~visio n des subventions. - Cad ucité aes promesses de sub venItons .... . . . . .... . ... .... ... . . ..... .
Constructi ons scolaires. - P a iement des s ubv~~iro'n's': .... . ........................ .
Agrément des architectes auteurs de projets de constru~ii'o'n's' 'sc'~I ~i;e's' :. ................ ::.; ~ ~ : ~ : :
Entrelten des loca ux scolaires ...... .
>Projets de trava ux prévus pour 1951 :
1" >Grosses réparations aux écoles
2· Construction s scolaires nouvelles ..... . ......... .
Diffusion de brochures relati'ves a ux instrurtlOns régissa nt le; 'c~I;;t~~lc;i;n', 's'c;'la;;~s
Adjudications et
march~
17
36-J7
48
52
6
6
6
14-1 5
30-31
43
48
:
_ Limite jU,squ'à .' aquelle les fournisseurs sont dispensés de produire des mélll uil es ou des faclures
- ,orolts d enregistrement des ma rchés comm un aux ......... . .... .
_ ,Participation des coopé rati ves ou vrières de production aux adjudic~t;~~; 'e t ~~;cl"és' d~' i'.E·t~i
et des étab ltssements publi cs.... .. .. .. .. .... .... .... .... .... .... ... .. ........
Iill
t1
46-47
EDUCATION NATIONALE
14-15
EN 0
7
7
8
8
12-13
12-13
14-15
16
18
19-20
21 -22
23-24
28-29
28-29
_
-
Vols dans les bibliothèqu es publiqu es ....... . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Service d'achat et de cess ion du matériel des établi ssements relevant d~ ' Mi~i'siér~ ' d ~ ·1 ;·E.d~~
<:ation Nationale ... . .................... . . .... .... . . .. .. . . .... .... .... . . .
Subvention aux Commissions pour l' in s ta ll ation et le fonctionnement des centres d'e n se'ig~e~
ment postscolaires agrtcol es ou ménagers ag rt<:oles pu,blics ....... .................... .
Droits d' auteurs ................................ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Publi<:ation de documents admini st ra1if s .... . .. , ... . .... ..... . . . ....... ........
. ........
....
Indemnift' de logement a u perso nn el enseigna nt no n logé ................................ .
35
36-37
36-37
~6-37
36-37
36-37
38-39
46-47
52
1
12-13
36-37
38-39
38-39
51
Enseignement public et technique :
EN 1
Indemnités de logement a ux in s ti tute urs itin eran ts chargés de l'enseigneme nt agrico le posscolai re ...... ...... . . . ....... . .................................... .
34
Enseignement techn:q-ue et appren lissage :
EN 3
Bourse d'app renti ssage d'artisanat rural et prime aux petits employeurs
32-33
32-33
34
35
•
Divers:
Protedion contre l'incendie :
SC 7
4-5
Bâtiments et terrains communaux.
Constructions SCOlaires et terrains de sports :
Eau - Gaz - Electridté :
Indemnités réclamées p a r Gaz de France ..... . ... . . . . . . . . . . .
Qua lification et classifi ca tion des entreprises .. . . . . . . . . . . . . . . . . . .... .
At trtbutlon d' indemnités your co ncours spéCiaux prêtés aux collectivité; 'I~~;I I ~~' 'p~; les
. co nd~ cteur,s de ,dhanlters et agents de tra vaux des Ponts et Chaussées .. ............... .
Dcclaraltull d utilité publique des travaux de ,rectification entre la T ête Noire et le Saou .
~opdereau des salaires du Bâtiment et des Travaux Publics .... ........... ' . ... ......... .
rrava ux de cons tructions scolaires. - Piéce s 3 pr0duire pou r l'octroi d'u ne s ubventio n de
l' Etat .......... ......... . .......... , .......... .
2-3
fAMILLE ET SANTE
Divers:
PS 0
.Médecins ag réés pour pratiquer les examen s de radio cn vuc de la dé:i \'Ta;;c~ des ccrlifica ts
prénuptiau x .. .. . .... ........ ............ .... .... .. .. .... .... .... . . ..
_ Dispensaires hab ilités pour pra tiqu er les exame ns de rad io en vue de la dél i vratic~ d'es c~~jl~
li cats prénup tiaux a in si que les examens p ré et post-n ata l ............ .. . ....... . ..
_ MMecins habil ités pOlir pratiquer les exame ns de rad io en vue de la déli vrance des certificats
prénuptiaux ainsi que les exa mens pre et post-natal .....
. ............. , . ..... .
_ Méde~ ins agréés po ur pratiquer les examens de raclto en Vile cie 1:1 délivrance de. cert ificats
pronuplt a ux ............ .................. .... .... .... .... .... . ..... .
_
2-3
4-5
4-5
9-10
�8
N" DES
BULLETINS
OBJETS
_
_
_
Institution nationale des sourds-muets de Chambéry . .. .... . ........ .. . . .... . . . ...... .
Calendrier des :lppeis à la générositi' publique pou r l'année 1?50 .. ... .. .. · ·················
Restriction à l'emploi de certains gaz toxiques dans les operations de dési n fec tion et dératiAtion . . . .. . . . . . . . . . . . . .
. ............................... .
;\ ttribution de dots à un certain nombre de fi ll es de déposants et d'assurés de la Cai sse Nationale d-Assura nces su r l a V ie. .......... . . . . ... .... .... .... ....
. ....... . .
Aoquisition d' un immeubl e à Salon- de- Provence, nécessa ire à l a création d' un dispe nsaire
pol yvalent ........ ........ .............. .... ....
. .. ' . . ..
. ... . .... .
Publication d'un agrément de fosse chimique ....................... ',
Interdiction temporaire de la vente des coqui l lages, ..,' , , ' , . , ' , ' , ' . ' .. , , ' '; ,. .;,.,. , ',., ' "
.l'lacement provisoire des aliénés, - Certifi ca t med lca l et proces-verbal d enq uete ", .. ,.':'
Affiliation aux Caisses d'Allocations Familiales de certalOes catégo ri es de pelsonnel, tra va illant pour les administrations publiques, ' . ' " ,.' , ",. ,," .'" " .•. ' , . .. " ".','
P restations familiales , .. , .. , .. , .......... '.... .... .... .... .... ....
.. .. , .. , .. ,
Liste des spécialités pharmaceutiques agréées à l 'usage . des co llectivi tés et divers servi ces
publics ".",.",., ,.,.", .. ,., . . ,." .. ,' , .. ' , .... ,., ", .. , . . , .,. ',." " " .
Déclaration d'utilité publique de l' acquisition d'un immeuble par l 'Assi stance Publique de
Marseille ,.. .. ,.. ........ .. .......... , .. , .......... " ........ ,: ... , .. ' .... ','
Médecins agréés pour pratique r les examens radioscopiques en vue de l a dellvrance des certificats prén upti aux et prénataux ", ... " " . ' ,.', .,., , .. , .,., .. .. ,.,.
Formalités et obli gations rel atives à l a garde des enfan ts ,. , . " " " , . .... ,., ..
Surveil lance des étab li ssements de n ~tation ... , . " ' .. ' : .. , ,., .. , .. , ," : .,.
,
Médecins agréés pour pratiquer les exa mens radlOsCO pl'ques en vue de l a déli vrance des certif i cats prénuptiaux et pré n ~taux ,., . . ': ' , , .' .. , . ,., .... , ,.,. ",. ", .. ' , . ,., . ,.
ominat ion des médecins va,eclOateurs publi c,. ' . ,
Contrôle des fosses septiques .. ',.",., ...
_
_
_
_
_
_
_
Assistance à la famiUe :
PS2
_
PSI
... . .. ..
. . . ' ... .
Prestations familiales .. ' , . , . ' ' , . ' ... , .... ' .. , " ....
. . . .. . . . . .. . ... .. . ...
Unions d'Associations familiales ... .... ... '
.. .. . . . . . .
.. . . . . .. . . . . . . . . . .. ...
.......
COTE
-
14-1 5
I~
H onoraires médi caux en servi ce de matern M des hôpitaux publics ....... , . . ... , ......... .
M archés passés par les établi ssements hospita liers: exemption du droit d'enregistrement ... .
Per so nnel hospitalier: avantages en nature. . . . . . . . . . .. .,...... . . ... . ...... . ........•
FS 8
19-20
Assistance médicale gratuite
21-22
28-29
30-31
34
35
35
3&-37
36-37
43
43
43
Etablissements hospitaliers publics : Prix de journée pr~vis!onnel 1950 .. ................. .
Etablissements hospitaliers publics: PriX de Journée pr~v~slOnnel 1950 ......... ... ' ." . . ' .
Etablissements hospitaliers publics : Pax dc Journ ee prevIsionnel 1950 (Rectifi ca~Ri f) ..... .
Placement volontaire à titre grat uit des mal ades ment au::, ... ,':.: .............. . .... . .... .
_ Admin istration de l 'Assistan ce ,publique: Pnx de Journee prevl?lonnel 1950 ...... : .. ·····:··
_ Limite d'â,ge du personnel admini stratif et s~co nda lfe des ~tabll ssements hospitali ers. pu\:}lI cs .
_ .Etablissements hospitaliers. - Avances versees par le s depa rtements ct par l es Caisses de
. .. ' ................. .
Sécurité Sociale... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. .. . .
Clini ques ouvertes hospitalières ............ . ....
. .......... . ......... .
Interve ntion J e la Caisse des ,Ma,rches pour le fll1 ancement des commandes passées par l es
Etablissements hosp itali ers ......... . . . . . . . .. . ................................ .
_ Con titution de la Commission Dépa rtementale de réforme du personne l hospita li er pour 195Ù ..
1_
Caisse Nationale de Retraites des agents de; co llecti vités local es : ci rculaires -des 20 et 24
avdl 1950 ....................... .
. .. ' .. . . . .. . . .. . .. .. .... . .... .
Honoraires médicaux en service de maternit é.. . . .
.
......... . ........... .
Hosp i tali sation des fonctionnaires coloniau x.:.. .. .
Et br e enrs hospitaliers publics. - Cli ches radiog raph i ques .... ...... ........ ....... . . .
a 'bISSt. m d maJ'oration de reclassement aux personnel s dcs Etablissements publi cs d"hosAttrl U Ion e
.
50
pitalisation, de soins ou de. cure (anlndee Il ,9 ) ... d' .. ·S· " 't ' C
'h
" .... .. ............. ..
h
Révision du prix de journée preVISIOn ne
e 1 OSpi ce e aln - amas .... ...... ······ ... .
9- 10
14-- 15
18
23-24
28-29
38-39
44-45
19-20
Li ste des médecins assermentés au 1er j uillet 1944 comp l étée et mod,ifiée au 1er avril 1950 ..
...... Etabli ssement des li stes annuelles des docteurs en médecine, dhirurgiens-dentistes et sagesfem mes établis dans le Département ......... .. . . . . ... . . ...... .. ....... .
Nomi nations de médecins-va ccin ateurs publi cs . .... . .. . . .. . .... . . , ........ . .. .
14-15
Allocati on t empo raire
Police Médicale :
FS 10
42
42
RAVITAILLEMENT ET RATIONNEMENT
14- 15
16
Organisation générale du Ravitaillement:
RR 1
-
Vente de l ait . ... . . .. .. .. . . ........ . ....... . . . .
..
.... .... .. .. . ...
Taxations:
RR 4
16
17
2-3
-1-5
4-5
7
7
9- 10
9- 10
12- 13
12- 13
14- 15
19-20
21-22
21-22
21-22
25
25
14-15
•
16
-
....
.... .. .. . ... ... . ... . .. . .. .
35
l'ourni ture de charbon aux Administrations Publiques . . . . ..
.. . .... . .. . .. .. .. . .. .... . .. .
48
Pri x de vente du pai n . . ........... ....... ....
....
Combustibles - Eleclricité :
Etablissements d' Assistance et de Bienfai sance :
_
_
8
........................... .. ..
Carte d'éco nomiquement faibl e. -
9-10
17
7
Assistance aux vieillards, infirmes et incurables :
FS 9
46-47
49-50
52
1
2-3
4-5
- Assis tance M édi ca le Gratuite : Convention Franco-Polonaise du 14-10-1920 ... .. .......... .
_ D oss iers d'ass ist ance médicale gratuite,- Avis du burea u d' ass istance et du Conseil Municipal
- H osplta " sa llo~ .et sOins à domi cile (Additif) ........ .. .. , . .... ." . . .... . . .. .. , . ..... .
- ASSis tance Medi cale Gratui te .... . . .. ... ....... . .......... . .. .. ,. . .. . ... . ... .. ... .
_ ASSi stance MMica le Gratuite : hosp itali satio ns directes des malades en résidence dans le
D épartement .. . . . . . . . . . . .. . ............... .,. . .. .. ... . . . .. ... . .... ... . . .... .
_ Assistance Médicale Gratuite : Utili sation des feu illes de mal ad ie de l'Assistance Médica le
Gratuite .... ... .... . .... .... . ... .... , ... .. . , . . , .... . ............. .. . . . .... .
_ Assistance Médicale Gratuite ............. . .. . ... . ... . ........ . ..... . .... , ..... . .
_ Assi stance Médicale Gratuite aux agents titulaires de l'Ad ministration péni tentiaire .....•..
_ ASSIst ance Médi cal e Gratui te (vill e d'A ix- en-Provence) . . .... . ... . ......... .. ......... .
_ A6si stance Mt'dicale Gratuite. - Soin s à do mi cile .......... ........ . . . . . .. . ......... .
_ Ass istance Médicale Gratui te ..... .. ...... . . ...... .. . . .. . .. . ................ . ... .
_ Assi stance Médica le Gratu ite. - Carte soci ale des économ iquement faibles. - Allocation temporai,re aux vieux . - Assi st ance aux vieillards, etc... .. . ... .. .. . . . . .. . ...... . ....... .
RR 11
PS7
30-31
30-31
38-39
19-20
Hygiène Sociale :
Obli'ga tion de vaccinations dans certain s groupements d'en fants .. " ........ . . ..... . ..... .
Rè <Tlement du Service Départemental des Vaccinations .. . . . . . . . . .. . ....... . ........... .
_ Mé"'decins agréés pour pratiquer les examen s de radio en vue de l a délivrance des certifica ts
prénuptiaux et prénataux .................... : . . . . . .... ......... . ..'
Médecins ag réés pour pratiquer les examen s de radio en vue de la dell vrance des cer ti f icats
prénuptiaux . ............. . ............... . .... . . . . .... .... .... .... .... . .... .
Laboratoire ag r éé pour les examens nécessaires au diagnostic de l a syphili s et de la grosse sse
N·· DES
fiULLETIHS
OBJETS
AGRICULTURE .
A 0
_
_
._
_
_
_
_
_
_
_
_
Divers
El ec ti on des Conseils d'Admini stration des orga nismes de Mutualité Agricole ............. .
Réglemen fation du transport et de la vente des combustibles solides ............. . . . .. . .
Attri but ion d'une prime unique et excepti onne ll e aux ouv riers perm anents des exploitati ons
agricoles ..... .. . .... .. .. . ........ .. .. ... . . .. . . ...... . . . .. ................ .
Cours moyens des denrt'es devant servi r de base au cal cul des ferm ages ... .... .. ........ .
Attr ibution d' une prim e exception nelle aux ouvr iers permanents des exploitations agricoles ..
T ransc ription des acfes d'échanges ruraux . ·· .. . .. . ... .. . ... . ................ ..... .
Arrêté fi xa nt le taux des cotisations en mat ière d'all ocations fa mil iales agri co les r our le [l.remier semestre 1950 ........ . ............... .. .. .... .... .. . . .... .... ... . . ... .
Arrêté fixant l es cond itions d' activité profess ion nell e ouvrant droit à l'attribu tion des p~stations fa mili ales agrico les ......... 7 ........ ' .............................. .. ..
Accidents du travai l des salari és agr icoles . . ...... . . ....... .
......
Date limite de l a période des vendanges. ...... . .......... .
. .. .. .
Date limite de déclaratio n de reco lte de vin. ' ........... .
Cour s moyen s des denrées devant servir au ca lcul des fe rmages .. ....... . . . . . . . . . . . . , .
6
7
7
14--15
14-15
17
28-29
,
28-29
28-29
40-41
40-41
46-47
•
�10
N·· Des
BULLETINS
OBJETS
•
At
Organisation générale :
_ Règlement général de travail du personnel des Caisses de Crédit Agri cole Mutuel .. · · · ... . .
_ Règlement général de travail du personnel àes Caisses de Crédit Agricole Mutuel (Rectificatif)
_ Arrêté portant classement en catégori es des assurés sociaux agricoles ............. .. .... .
Arrêté modifi ant l'arrêté préfectoral du 31-5-50 portant classement en catégories des assurés
sociaux agricoles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . .. . . . . .... .... .... .... . ... . . . . . .
Primes à l'oléiculture .. , ... . ... .. .... ..... ........ . ....... .
Agriculture : autorisation temporaire pour l'irrigation des vignes
Autorisation de l 'irrigation des vignes .... · .... .
Primes à l'oléiculture ..... . .. .. .. . .............. ... .. . .. .
_
_
_
_
COTE
-
7
12-13
spécial de
novembre
spécial de
novembre
COMMERCE -
_
_
_
-
iNDUSTRIE -
. . . . ... . . . . .. . . . .
.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ...
...... _ . . . ......... .
4-5
-
30-31
32-33
34
ARTISANAT '
Divers:
ClA 0
Exploitati on des carrières. - Accidents par l'emploi d'explosifs .... . . ".··· ·· ·, ··· ···· · _ Autorisation d'exploiter une entrep ri se de cin ématographie ....... . . . . . . .... ... . ... . .... .
_ Exploitation des ca rri ères à ciel ouvert ..... ' . . . . .. . ....... ,.,., " ... , .. " ", ,', . , . " " " , "
Elections consula ires en 1950, _ Renouvellement partiel des tribunaux de commerce du ,oépa~tement .. , .... . ................ ,. ...... .... . . . . .... ....
. .. . ........ . .
ClA 1
_
_
Commerce :
Renouvellement partiel des Tribunaux de Commerce : Confection des li stes électorales .... . .
Liberté du co mmerce sur les marohés publics .. . . . ........... . ........... . ...... ... ,
Divers :
Livret de famille
AC 1
AC 2
AC 3
., ......... .
,
. ..... . .... . . . ... ....
..
~.
... . ....
....
.... . ... . . . ...
•
35
36-37
16
16
17
44-45
40-41
Affaires économiques :
Adjudication pour l'entreprise de fourniture de pain et de distribution de vivres, fourrages,
combustibles et matériels (9' Région Militaire) ...... . . . . . .... .. .... ............ . ...
34
finances :
Notification de diverses ci·rculaires du Département des Finances ...... ...... ........... .
Justification par les régisseurs comptables des dépenses de matéri el n'·excédant pas 5.000 fr.
17
18
Personnel:
Indemnités pour frais de déménagement et pour changement de - résidence ............... .
Frais de déplacement et de mission . . .......... .... .... .. . . .... .... . .... .. ...... ,
Imputation des cotisations de Sécurité Socia le sur le supp lément famili al de traitement et
l'indemnité pour difficultés exceptionnelles d'existence .. ................ ........ . . .. .
_ Attribution d'une prime unique et exceptionn ellc aux personnel s de l'Etat . ............... . .
_ Fon ctionnaires investis de fonctions électives auprès d'organismes de la Sécurité Sociale . .. .
_ Employés auxiliaires de l'Etat - Sécurité Sociale. - Indemnités journalières ....... " ... .
1 _ Fonds national de compensa\Jon des Allocations FamilIales . ....... .. ..... .... ...... · ···
,Droits pa,rticuliers de I ~' ,~'è'r~' d~' f ~ ~"iÎI~' f~~~Îi~~~~i~~ ' e····· t"è " ·d·;:·· · · : . ......... .. .
n ma 1 re
mdemmtt' à caractère
famlhal .. . ........... ,.
Application du décret n" 50 135ii d'u'
complément de rémunéra'tion à titre -de-ml'nPI' ortant attrttbUlton aux personnel s de l'Etat d'un
Indemn'lé
d"lO S t aIl ahon
.
mum garan
1
aux fon ctionn aires précéd
t ct 1 .: : ........... . ............. . . .
tre"Mer et affectés en Mét.ropol e .. . .. .. .
emmen omlclhé-s dans un dt'partement d'ouRégime applicable, en ce qui concerne les ·· ··t 't:" ....................... . ..... . ... .
ons
. aux personnels employés .à temps in COmp )~;es ad
f~!I1lhales ~t les accidents du travail,
FIxatIOn pour l'année 1951 du montant de 1 ou e mamere occasIonnelle ...... . . " ..... .
collectivités locales <dont' les agents sont a f~i1 c~nt~lb~h~ .complt'm~ntalre à verser par les
agents des collectivités locales ... .... ...
1 S
a alsse Nahonal e de Retraites des
.. .......
.. . . ... .. ..... . . .. . .. . . ... .. .
3ï WS(j" ...... : ..... . ... ............ . ..... ,
46-47
ADMiNISTRATIONS CENTRALES
AC 0
1;
40-41
Divers :
Fi xation des montants des frais d'expertise pour examens de véhi cules . . ......... .... . .. . ,
_ Mesures de sécurité relatives aux véhicules de transport en commun .................. . .. .
_ Envoi des fo rmul aires statistiques des accidents corporels de la circulation routière ....... . . .
_ Ventilation des dépenses de substitution de barrières osc ill antes aux barrières roul antes des
passages !t niveau situés su~ des chemins dépendant de la voiri e départementale et communale ... . ... .. .. ' ..... . ...... . ........ .... .. . .. . .................. . ... . . .
Rédu ction des indemnités. - A Iical'
de ' .
,
Afftltation aux Caisses d'AllocItfons ~an 'I : arltcle 3 du decro:t n" 50.288 du 10-3-50 .. . .. .
Fixation du montant des allocations de ~~ es du personnel Intermittent ...... . ..... . .. .
Attribution aux personnels de l'Etat d'une ~n~ent à payer à parltr du 13 juillet 1950 ... ... . .
majoration exceptionnelle d'indemnité lem uvelle ~rtI~e umque et exceptionn elle et d'une
poralre e c erté de vie . . .......... . .. .. .... .
Indemnité de teahni.cité
•
18
38-39
COMMUNICATIONS ET TRANSPORTS
CT 0
OBJETS
-
Cultures:
A3
11
7
7
7
8
9-10
11
18
)
,
N·· DES
BULLETINS
21-22
26-27
32-33
36-37
38-39
43
48
49-50
51
51
�RÉPUBLIQUE
5 Janvier 1950
•
-
~.
,
DËPARTEMENT ,DES
Recueil des Actes Admin·b~tifs
et Bulletin des Mairies
Toute correllpondance relative au Recueil doit être adressée à la Pn!/ecture Secrétariat Général
ABRÉVIA.'1'ION8
,
A. P. : Arrêté préfectora L -:- C.. : Circulaire . . -:-. Les lettres D et B suivies d' un .ohiffre indiqu.en.t le Service 'ou Bureau d'onglne
R, G. : RaVitaillement General - S. C. R : Service de 1.
Circulation et du Roulage. - D . D . S. : Direction Départementale de la Santé. - D. S T. : DlTection des Services Techniques.
-
S. L. R. A, : Service de Llquldallon des RéqUISItions Allemandes. -
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Clrclllalr....
Pages
AG 13. Program.me dép"rmemenrtal
d ~ pl1ior;té de 'l1econstruction de .biens
sin istrés . . ........ ..... .... .....
1
EN O. - V ols dams 'Les hibli(}jJhèques
publiques ............ ...... .... , .
•
•
Pages
F O. - Pensi011s civiles et militaires.
FS 8. - Assista'noe médicale gratwit è :
fra'nco-polonaise
dJW
Convention
14- 10-1 920 " " " " " " " , ,,,, ,,,,
2
2
Pagel='
SC 6. MITi-btntiol\ de la médaille
commémoralive franç';se de la gue",e
1939 ' 1945, aux p erson llels -de la Dé_
f ense Passi ve ......................
2
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
•
0 .5 BI
AG 13
PROGRAMME DEPARTEMENTAL DE
PRIORITE DE RECONSTRUCTION
DE BIENS SINISTRES
Par arrêté <>u 5 décem'lJore 1949, pr is sur
la proposit ion de Ml le Délégué Départemental du Ministère de la Reconstru ction. et
de l'U,banisme, el après avis ém's le Il mai
1949, Ipa r la SÜ'Us-Comm ission D ép8!rtemlentale des Pri oni tés, chargée de déterminer
l'urgence de reconst itution ete· biens si nistrés,
un certai n nombre de 'Prioritai l1 es ont été
admis dans l e prog ramme d'épartememtal de
"l'iorité de r econstruction ,pOUT 1949.
Les listes de sinistrés recon nus prioritair es
ont été élaborées en applicat ion d'"" i nstruc tions con;enues dans la ci rculai re CG. 13 18
du 28 j anvier 1949 de M. le Min istre de l a
Reconstruclicm et de l' Urbanisme. Ces :'lSIes
peuvent être consultées à la PréfectW'e, 5e
D ivi sion, 1er Bureau•.
Il est tou tel ois précisé qll'en appli cation
de la circulail"ie min i tér ielle précit ée, ces
documents, établis par comm unes, seront
affichés à Ja ,po rte pr.ill cipale d'e ch,aq ue 1M.1I'
rie intér essée.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOUREl.
•
- - -. . 00 . . - - - -
\
04 B3
EN 0
VOLS DANS LES BIBLIOTHEQUES
PUBLIQUES
Le Préfet,
à MM . les Sous-Préfets
et Maires du Départemenl,
j'ai l'/lonneur de , ~prcduire ci-a urès une
circulaire du 28 octobre 1949 de k1. l'A dministrateUr gél/éral de la Biblio lhèque Nationale, directenr ,.,s Services des Bibliothèques, r pl\1.Jive aux vols dans !es B iblictflè-
ql:es Publiques :
L'Administrateur genéral de la Biblioth èqll'" Natiunale. direct""" d'es S,rvices des Bibliothèques, à IMonsjrtur
le Préfet des BOlches-du ~Rhône.
A J'OccLlbion d'un récent lncicLt:nt ql..i~ m'a
montré que !-t: jll1escriptions du déeret du
1er juillet 1 8~7 (J. O. du 3 août 1897) rela1jf aux bibliathèqtl~s pl:.bliques des villes
avaie nt é-té perdue de V Ll .... , j'ai l'·honn... ·utf d~
y,ons dem.a nder dl~ bicn vouloir app . . Je:r l'at·
tention des M'aires su r les f'orme5 deo j'arti_
cLe 4 dudi; <[écret : •.. ,S'H o,e produit <les ...
SOllstr;:l ctions, IJHOtITllCmen'ts da'ns wnlf bibliothèque, la vj'll: doi t . sous a J'lesponsabilité, en pré-v.ofifiir im médiate ment le i\tinÎ!) ,
tre.....
Vou voudrez bien 'Prie r les .\ktire6 cre mt:
t eni-r infor mé, paT v.otre illtermédiair~f d'es
vols et notamment des vols d'oll'\~rag.
rares et prl'Ci~tlx, t'JI m'Îndiq,ua:n't s'il 'agit de
ùoouments "'f"partcn<1Ilt à un fOllds d'Etat
et Î L1 ne action a été Întent '
en ju~ke
pour que je puisse. s'il y a lî't,'u, porter plainte. ct m~me me portC'r partie ci\'ile-.
De nombreux \'ols étant constatés dans 1<
bibliOl hèques, il c()f1vien dTan de rappelot'.~ a~IX
leck-urs fréquentant ces établis;ements '-lu ....
tout détouTntnlt..m t, soustraction et muti atio n stront sévèrement pu nis tt signa l . à
l''attention du public, par affichage. qu'"n
« j ugement du; Tribuna l Correctiotuncl ct
Mi.... en date <llu .. ' 1949, a rondam"é a
nomrmëe X ... à la pt:.ine d,e 2 ans d'\.mpr:soml1rt::mc:n't avec sun;.is tt 30.000 k d'a me:
de poLI r \'01 de I;vre au préjudiL-e de la B:'bl ioth èq u~ Ablllicipaie de ,\L..
.
Il im.porte- egal~.'mlllt de rJt'nforCeT, s'il \'
a ü~u. I~s mt!~llI"t:S de séCurité d de suveitlance :
1n Drurs les magasins de livres et 110t.J.111Ilùtnt dane:-. la partie dt:s m.agas;ns amulag s
en réStll·\"!_' où sont cnnsen'és 1-t"S dOlUlTI 1lt
rares et préc.t.L'x Oe la bibliothèque et donl
Itacet: doit êtr'C rig. u~cusen:ent interdIt
public ;
2" Dans les sa'lE~ où le public ef"t admb
tOutefois. h:s mL ures rdse-s ne saur t nt pn·
ver 1 !edt:urs de la c·or;r:-ult.1tion dl:' tl'Suc :0mIs â IcOlr dispos,rio.m dalr:" Ie.s ~I ~ d tT
vail, ni <k l'.;Jcces ibre aux ra.yon~ tI.:ms 'ç
6ections de Iprêt ;
3" Dans IL'S !:'al!es d'eX'pOSitjon tempora'"
re.
11 importe enfin de l'eilll''!' s>!r;c;,",en! "
ce qUt:! tous les ou'vrag-lS commllniqués ou
prè~és au ~"ublic SI·' ilt estamp-llé.
Snl1f' qu'il StH nCcl:_ 1ire de rapp . . ler d ns
le détail l, - règ-'<s ;i sc-",c peur l'rs!a01pilJa~e, j't'stim
C ·{'lld'.1nt :ndisJ)t:ns.::th·e ct
souligner id qu l'~l:posit;on d't: n ca-rhet su
les pages. les n'· n;atu " ·f IfS pl~1.'T'i<:h\."S hfJr~
te'\:te d'un oU\'Tag-e rare Ou prècil"ux d)il
êtr oj1érét:' avec d·~\.· i l ~ ment et Un ~()'n
particuEt.{, pour é\'ittT d"endomrna~er Olt
r
�RÉPUBr....r<.}UE
12 et 19 Janvier 1950
ct attdt!r \es do, ... ments dont il ~on\ ent~ C1~
tùut dat de \:.3L. . de l'\::;.j.X..~td la pr~1l
tatwn t:t l'aspt:.d.
Signe : Juli!:n CAl~'.
____ <,.00<>- -- -
fO
D2 BI
PE, SIONS CIVILES E
MILITAliŒS
InstruCl10n
1J~lfe~Lt! ti J\U J. lt:~ j JUin.S du DepaTlem..:n~
pJur 1 applu:utiOh lit. I,ùuvellt:~ mt.sû~e
en pUoi!nl ... n t
Prupfls U ~l~c.t;lt.rt:r id"rIfWS
l1.e· pen:::>tOflS fUIliJ.t.· ... :s :::>... la autel! ue'S :::>.:r1
\.tL~e:s d lfl,:,cnt~s tl.L! GrllnJ LUIre do. a
Lki.l~ \-"tagère.
Pùur rcOUlre au minimum le:, delals d~
{}
ml:)è en paH:!mcnr des pf!'ISW~
'
.rt!\'I~t.L'S
d '2U sepe
(;)llt·lIJ..:e:s en appLIcatwn Ut. . l~~"dl~ 71Jwtultt!t1Jbr ~ 1!:J-lo, (JU PIOJf.{ a s .
df!
re:s et Ivnt:.,,,,'nlltw I..~ cn'il~. de 1 Leal
lt!urs G)'-tlilts- nlusc.;, le J\\ulIstere ~eb tn~~.
Ct::;, ~t UI$ Attall-t!s t.convnl1ques \'Ient ue~ ~
.ù
ue dorenavanl les brl!\"ets d lIlSCrtp
~Io~r l:~rn'els ue qultt~nces et fiches A et B
s~ ;apportant à_. c~ pen~o~~m~l~tè~SU~lq~~=
:U
ralt::nt l'lU:' a~~r~~;~e~:rl;an.s~lll~
direcief!1t'J~1
.
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'{re~Ort:fllè Gen..!I\Hnt:::>teres a a
,
d
ra •• a>.>.gnùtmJ'e, il charge tout d abor pour
celle-CI :
+
:SOIt de taire rem~ttre, pal le . comp ,able-payt:ur, le br~~~t U Illscnpr.lOn ,a son e~=
t laTrt! -1 ,eIUi-cl bcnelll:le ut!Ja dune p
s~on d~ :'mè:me nature Ou d a\"ances sur pen -
dalt:ur::t.
par
J11
lL~dlt:s
~
sion ;
_ ~.t,
li
hurc
"-
Udll:; le T.;ét:i .l.Ûrhralf ,
parvemr dire(tèment ledit bre\d d lIls:nplIun au titulaue.
t.tant donne toutefois :
.
_ !...lue pour ~fLè\"Olr les arrel ages dt! Il !
pension n:nant de lui elle attr.l:lutt: ,le.
lalre _ ou son rt:pn.:st:'O\aut legal - con 1=
nuera à être t~nu de pn,"St:"nkr, au ~mpta_
bl -payeur le bre\'ct ct tn::.cnpunn de ht pen
:;'I~n pl t:al~bkntt"nt re\ etu oe ~a photograpille ;
_ t~uc h: cornprable-payt:ur ne ,:;'dur~;~
reLt:\01f qualnl! puur rt:l1Ipllr le pIOl.:~S- \\:;
al ~ reml::te uu bre\t.~t ù U1scnpuon Cl, l:n
~artl ...~Jlt:rJ (\:rliuer 4u~ la pilUlOglfapdlllepea p=
ur leu t bre\'ct t:;S, bien cel e u
n
po~L"'t:!t
d' ~un n.:pn::;,eutant Legal.
~lvnUL: vU
t:
.
hl
le pe l } 1/ c,1 upparu Ula!spensav e que
l'
SOlI reprt:~errtant c;~lonne IUl- meme ou
'
d
brt.'ll1,.:t
al _ wn.:si mlS Itn pOSS~S:::>l~~ e sun
.
~ m:scnpeion ptlt IlmermLdwu e .de La Tr~:
:sorene Generale preTUle IUWaltlve de lal' ~
1 r par la AJQ1rie dt: sun dOflllClle (ou
r emp1/
.
1.
par
uCllunte
compe·t dl t·C, "ns
ua
(.. /erT/lo/AI'
res d Uutre-Mer où il n eXIS:2 pas de lJ~~:
.) 1
proœ,-vabal de rem/Se du
tltt
rlt.:S
. a f'
e
de ce documt:nt.
l'e~>> Jtg~~w:,~ ':n~me ~emp,
1
d~
qu'll entrera en
son brevet ct 1l1Sl.:ription. chapU:;~SSIO
.
reprfsenut! cn~lunne ~n cause . - ou ::.-00
_
q
~l: al - sera lm Ile, au rnoye~ no tao:'
ar . un'
~~~t
J
lune étiquette fixee par la ~",;or~r:,:
Gt:nérale sur la premlere page. u II
1
"cl, a faIre rempl~r, par VOSdSOl~~'en~ ~r~
'. e bal de remise de ce Ol~
ces-\' r
. cet effet du brevet d'inscripUo"
se
mun.f, a
.'
.
·t'
. 'que
en question dt pleces d ·lden!. e, am 1
d 'une photographi~. de forma; employe pour
les cartes dïdenllte.
. _
Dans ces conditIOns, lorsque le penslo~
né _ ou :;on representant le ~al - se pr
sentera il vos bureaux pour falfe procéder
1 appawendr.
a la lormahtè dont 1'1 !)··a"lt
b
, 1 •
'
Ilfllllt llwlt.'mt.nt
1 au\:11t que
a
~It;
'.
'o us-m~lll~
\' oU S aH~Z lh:legul!
1
a. cet
SO it a
etlet
:
~ Ut! s'assur~r que la per~onne prcs~nte
e::;t bien soit le ~n~lonn\:, :.olt son. repreSt: Il tant leoal et de ::Jgnaler aussltot a la
~l'r~rene bG~ner3le toute tentan\'e ue~ t.ra~
ue ue \ 'OU5 aurez pu dl'Celer a . ce sUJ~t,
2~ D~ coller sur le brelet d'l n""~lptlon,
uans le cadre prévu à cett'! IIltel1~IUn, ~~
ph otog raphIe reml::te par le p~lSI~Jlne ~
~II rt!prc::tentan t Jegal - ap re)5 s 7!re, assure
QU elle est bien ce lle de 1 m t~ resse ' .
3' O 'authennller cette photographie par
l'apposition du cachet Oe vo~re serv,ce, do nt
l'empreinte doit d.éborder tres nettement de
lad.te photographie ;
.
-t" l)e remphr la f"rm ul e du proces-verbal,
de dater, signer et revet!r celuI-cI d~ cach~t
d~ vOtre s~rvlce remarque Ltant fa Ile qu Il
conviendra de 'rayer dans ladIte formul:!,
toutes les mentions se rapporta nt
A la remise du carnet de quitt a~ce~
portant le meme numéro que le brel'e t d IIIScrjptîon ;
.
- A l'apposition de la Slgna T u re-~yPe du
pensionne Ou de SOn représentant legal sur
les fiches mobiles A et B ;
.
- A la designation du comptable. a Il
t: 3 sse auquel 1IIlteresst:! desire percevo ir ses
arrér ages,
,
PlllSlJUt Le:; formalîtês ne ~ont pll.is SOIt a~
complil.'S par vous, effectuees en, votre pr~
St:.nce ou recueilltes par vos SOinS,
5" 'oe restituer enfin à la pa rtie le brevet
dïnsc r ipt ion ainsi complété.
il e~: préc{se que as mesures n ouJ,lell ~s
Ilr! C(jl lCU ftc:nl "ue les pcnswn~ r!t uc~es~ul
res de pensions concédés en applicaaon de
la la/ du 20 seplembre 19 48 Vu a après les
taril~ spéciaux prévus par les dt..crets du 3 1
JUlll'itr 1929 en fUl'eur at!s ŒUlens mJ lltaLres d marins aU.ochtones du Maroc,
-111
Tunisie et des territoire:::> de !:J France d'ouIrl-IIJt·,. Lt:.:; uttes mesur~ n..: ::)Ont dunc applicables qu 'aux brrvets dÎ~scriptJon c?mportant dans leur en-tè:ie le titre
Penslolls
de T',lraile (loi du 20 seplembre 1948) • .ou,
en sUfl:ha rge, le cachet ~ Decret du 31 Jan l' ,r 1!::f29 ».
En conséquence, la, proceuure . g:énérall:
pf~vue pa r la circulaire
du ~\\.!ntstf: ~e .~~
l'lntérlt:!ur du 29 novembre 1920 et 1 arrtle
ministériel du 10 décembre 1927 demeure
mlcuralelilent applicable en ce qui COncerne
la r~mise d..::; titres se rapportant à toutes
les autres pensions ou eniùlum~nts aSSimi -
ac
lés.
Pour ;e Préfet,
Le Secrétaire general,
G. LM\f.SSOUHE.
------~<>oo<>-------
D3 B3
FS 8
ASSISTANCE MEDICALE GRATUITE
Convention franco-polonaise
du 14 Octobre 1920
Le Préfet des Bouches-du-Rhône à Mes
sieurs les Maires du Départemen t, à
Monsieur le Directeur général de
l'Administration de l' .\ssistante Publique, à Marseille .
/II le Ministre de la Sante Pu blique et
de l~ Population vient de me faire connaitre qu'en ce qui concerne !e ... malades .pol ona:s, arrivés en France recemment ; Il Y
°a lieu de distinguer deux ca:;, :
« 1" Si Je malade est porteu r du ci.:rl\h(~1t
Nanssen il est (olisldt:re corn ille re lu gu! po
!ttlque ~;. ses traiS of traitelllent s~ront a ltl
charge de la Fr ance ;
< 2" Dans le cas cuntra i re, il conV IC11t à "ppLquer lt:s di ~ posit1oll~ de Id ron.\"t!lItIU'l
tra nco-polonalse d u 14 oclobre I ~~U aux
termes de laquelle (ar hcles 8 e t \i) 1Cl<1I de
DËPARTEMENT DES
Cette disti nction a été cré~e pa l' le Décret
n° 46- 1217 du 2 1 mai 1946. Le benehœ de
l'attribution de cette Medaille a eté <lendu
à certains personnels de la D. P. pal' ur.
deuxi ènfe déc ret N" 46 1148 du 2 aout 194'1.
Entln J les mesures d appl ication Ue ;;e
deuxième décretJ ont été inulquées da'ls
l'instr uction du 25 novembre 1~4Y (J. (J. Il,
16 d"cembre 1949, page 12.U72).
En vue de l'etabl1sse ment de la liste des
localites, dont le personnel de D. P. peut Jtmander 1 attribution de cette médallJ~, I~:;
Maires intéressés voudront bien faire parvt:·
nir à la Prefecture des B.-du Rh. (bu'le. u
spécialise de la Protection ci\'ile, avant il!
30 ja nvier 1950, leurs propositlous, sous lorme su ivan te :
COMMUNE de
Localité pro.posée po u,\' être comprise, dans
la liste à établi r par le Préfet, pour 1attribution de la Médaille Commémorative, a S01
personnel de Defense Passive :
1° Bombardem ent, subis (da tes des bOIllbardements. Nom!>re éVtntuel l!lS tll~S ou
blessés civils) ;
2" Comlfals SI/bis (dates dt, combat,.
Nombre éventuel des tués et blesses cIvil:);
3° Effectifs de la D. P. Urvalfle (reqUis
ou' engagés volontaires) ;
4° Effectifs des groupements el de, habl'
tanls légalement requis, par le /IIal/<,.1
1occasion de ces bombardements ou combat ..
de
Croix-Rouge,
=
Toute correspondan ce relaüvé au Recueil doit êt re adress ée à la Préfecture Secrétar iat
d'ambuLancier>,
G <nt reprises, etc ...).
,
,
AG 0 -
A ttJnbution
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général,
Signe: LAMASSuURE
-------------------------lmp. ~o uvf'lh. de ~hr::;t:ille, l~O, rue SaInte
Pages
Pages
d'lI
nom d e
~è~~la.~~~. ~. ,d:es, ,p.e,r~~~I~ '~:;~~~ . ~t.r~,~~.
AG O. - An nollces ju dicia ires et légales.
AG. 5 Q. -- ·Cas où ';'e s ex t raits d'act es
5
Empru nts des collectivj,té·s loca3 1 F 4.
les ........... .. ...... .. . . . ..... .
1
3
J FS O. -
d e l',etat- civ il doivel1'l être exonerés
du' droi~ <l 'ex,péclition e" du droit de
légalisatio n .. ........ ... . . , . .. . ..
EN 3. -
Bourse d'apprentissa,ge d'arti sanat r ural et p ri mes
aux petits
e mploye urs ....... . .. .. . . .. ......
1'lN.' S
4
6
5
PS 8. -- Do,si . rs d 'A>.<istan oe -Medicale
Gra luite .. Av.il> du Burea u d'Assista nce et dll Conseil MlWlicipal . ...
7
5
P O. -- In lerdi ctions visar.1 certaines
publica tio ns ........ . ... ... . .... ..
7
Medecin s agréés pou r pr<itiqOJer
1e6 exam Cn S de ,radIO en vue de la
délivra nce de s certificats pré n upti aux
P~c.
FS 7. -- Etablisseme nts hospitallel S
pub lics.
Prix de po urn ée J)révis ian nels 1950 ......... : ......... "
REGLEMENTAIRES' ET C IRCULAIRES
D2 B3
AG 0
ATTRIBUTION DU NO M DE RUES OU
P LACES A DES PERSONN ALITES
ET RAN GERES
Cimulair e N° 445
Par,is, ~e 24 <iléce m ore 1949.
Le V: c,,"Présid'~n t d lL.conseil
Mi lilstre de l' Intérri euT,
à MM. les Préfets (<Métropole).
J' ai été i;nformé de ,oe rtai ns cas d' inobservation <le ,l'ordonn,,nco du 10 ju; llet 18 16 e t
du déor",t du 12 av ril 1948, sur les hommages publics: p lusieurs muni cipalités on1 prévu
l'ina ug uration de places o u de rues a u nom de
personnahtés é>ka ngères
vivantes ou 11'0n ,
sa ns ~olli c i ter auparavant l'approba tion de la
déli bé ration prise dan s ce but.
Ali X t ermes d'e l'art;c1e k ,r du decrC'~ dll 12
avril 1948 « '1 ""'ra stat ué pa r arrde' du
MimstIle d e l' I ntérieur SUlr la dénomination
d'e-s r ues et places pllbliQ1ues, lorsque cette
déoonWnation co nstitue 'un ,homm ag.e public
D'a ut"e ,Mrt, p our les personnal'itéü étra ll"
-
SOMMAIRE
Arrêtés régle mentaires e t Cir culaires
décern e à une persunn.a lit,r é/lra ngère ou .iL
llnre personna li té- française v,Lvan~t :.,
Le Maire,'
Copie cerllfi~ conforme.
Général
A. B HÉVIA. ':l.'IONS
SC 6
ATTRIBUTION DE LA MEDAILLE
COMMEMORATIVE fRANÇAISE DE
LA GUERRE 1939- 1945, AU X PEI{·
SONNELS DE LA DEFENSE PASSIVE
(I.quis
et Bulletin des Mairies
A P. : Arrê té préfecroral. - C. : Cin: ulal re,. - Les lettres 0 et B suivies d'un .oh,iftre indiqu ent Je Service ou Bureau d'origIne ,
S. L. R. A. : Service de Liquic1at i o n des RéqUisit ions Allemandes - R. G. ; Ravlla ltlemenl Généra!. - S. C. R. ; Service de la
Circ ulat io n et du Ro ul a ge. - D. D. S. ; Direction Départementa le de la Sa nté. - D. S. T. : Di rection des Services Techniques.
-------c>oo<>------D IRECTION
DE LA PROTECT ION CIVILE
,.
...... ~'.
Recueil des Actes A_....nistratifs
ne supporte que ~ lH..Iant WH.: Uu·
de BU j ours les f r ais de tr~i,c1J1e nt lI~S
malades qui y séjournent dep wJs mùlllS <.Je
5 a ns. ~
Je vou~ se rais obligé, en co nséquence, d~
ne p as omettre od l11ulquer . sur I~s dus~le!~
d a:;:'lstallce m ~d l cale gratuite SI 1 aSiilste es~
ti tula i re ou non du oer t irica t Nal1ssen ct,
r~t:
Signé : LAA\ \SSOUf(t..
- Nu 2 et 3
'-
BOU ~ ~E.~- \
res l d~nce
dans l'affirmative, preciser la date de dèli\'rance alllsi que le num ero.
Pour le Préfet,
L e S ecrémtre général dcJegue,
.
gèr-es, il est d'e t,rard~tioll de oo nsul,ter I.e- Gouv flrn emen.t de PEta t btéressé.
Vm:s r'~Dpe lJ errez oes prescripti ons il tÜ'~s
les Maire; de votre départt'ment : ~ Ile doivent procéder à 3UOlln e inau):uration de cdle
l'Spèce avam 'I"e ~ Consei l .Mu·nicipal n'ai l,
au préal"ble, délibéré su r la qu estio n et qu e
cette dé libéra60 n m'ait été adressée pour me
_ permettle de prendre lIne décisio n. Vous
indiqouerez éga l e m~ n t que 10ut c ha ngement
de nom opéré E"n dehon~ de ces conditions ne
saurait être co nsidéré _co mme v'aJable et quJiI
sera procédé à J'en lèvement 'Par vos soins
M (;a utos les plaqwes i,rréguli èrement ap,posé.e'S.
Au cas Oll ce rta ines mun icipali1és ,crOiraient
devoir viol er <I,;libérément la ,égleme ntation
Sur ce poinr1:,
V'Ous
m~en rendrez
cOI11JP~e
immédia~em ent 'en mêm.e temps que vou s
adresserez des observations :au !M'a ire fau ti f
r ,t q.t.l'e vo us prendrez les ImlfSllUfes néce..ssai res
pour fa ire dispa raître les 'plaqu.es ,",ouve lles.
J ul es uvtOOH.
----<>00<>- ___ _
05 B2
AG 0
ANNONCES JUDICIAIRES ET LEGALES
A'RRETE;
L.e Prékt de<; Bo uohles-d'u -Rhône,
Offider d'e la Légion d' Honneur,
V,u la loi dlu 23 déct mlwt" 194 1, l11od;,fiée
pa'r ~'ord onnan C'~ du 12 avril 1945, do nnant
po uvoir arU! Préfet de chaq llltJ Dépa rtem en't de
dé6igner ISatis oor t a~nes co nditions, !es j ournaux autorjsés il ,pll'blie r les antnonces judi-wti res ~: légal,ts et fixanl 1·< tar,if des di tE~
ann onces ;
Vu les circlilair-e~ t~lég ra phiql1es ell dlate
du 28 <leoEmt>re 1 ~45 et d,u 4 jaO\'i N 1946 d~
f\.~. le IMi floi . . i'fe de j' Information;
Vu l'arrêté ,,,électoral <bu 29- 12 IM9 ;
Vu !·t6 instrll'Cti ons têl6graphiques en date
clu 29-12-49 de Ii\·t le Jl l ini.tre d'Etal c hargé
de l'Information ;
Sur la pro!>osition' ct.. .\1.. le Secrétaire Géné-
r-al de la Préf.tc tu~J
A'~RETE :
Articl e premier. - Sont seuls susceptibles
de recevoir les an nOnces exigées par les Jois
pOIlif la validité de la publication des p rocéd ures ou des contrats, au COurs de l'année
1950, da ns le département des Co uches-duRhÔne, les journaux désign és CI-après par
ordre alphabétique.
MARSEILLE :
Journaux quotidiens du malin
« La France de Marseille et du Sud-Est >,
56, rue Grignan ;
c La Marseillaise .), 15, co·urs du Vieux-
Port ;
« Le Méridional », J8, rue Salut-Dominique;
« Le Provençal >, 75, rue de la Darse;
« L'Ante nne de Marseille >, 33, .U( Jean-
François-Loca .
Journ aux quotidiens du ....ott .
« Dernière Heu,r e >, 181 ru e Saint-Dominique;
« Le Soir >, 75, rue de la DaisE ;
c Mi'd i-Soir », 15, CO urs du Vi€.ux-Port.
j ourt/aux périodiques
C'
L'AgricuJteur Provençal ., 15, rue Ed-
mond-Rostand ;
« Le Bulletin Olficiel c!e la Ville de Ma rseil1e .) ;
« j oumal de MarseiUe >, 19, rue Venture ;
« j ou rn al des Annonces judicial rls et Lèliai es >, 37, rue Para dis;
�5
Massa!ia ~ f 35, rue GrigJlan ;
Midi Commercial et Judidaile 10, 51, rue
Grignan ;
« Publications Marseillaises •. J8, r ue Par adis ;
c Petites Affiches Marseillaises> 33 r.te
Grignan;
c Semaine Judiciaire " 19. ru" de l a
Darse.
A I X-EN-PROVENCE
<. Le Courr ier d'Aix " 24, r ue é.spariat,
Aix;
\
~ Provence Libërée », cours ,'\1.irabeau, Aix
« La Voix de Provence », 10. rue Joffre,
Aix .
j
c 'La Terre de PrO\'ence '. 20, rue de
l'Opéra, Aix.
ARLES ;
L'Arlesien "
« La Liberté "
Arles.
place J.-Patrai, Arles;
16, rue du Mal(hé-Neuf,
l ,_ .
SALON;
« La Démoc ratie des Bouches-<lu-Rhône >,
5, rlle Auguste-Moulin, Salo".
« L 'Espoir >, bou levard Mistral, Salon ;
« Le Régional " 10, oouievui d cle la Républ ique, Salon.
TA.RASCON ;
c: Le Commercial de Tarascon )\ 4, r ue
Salaire, Tarascon.
Article 2. - Le tarif des annonces jUdiciaires et légales est fixé, 'l'our l'au liée 1950,
ainsi qu'il seit ;
Pour les journaux quotid/eos .
-
Du matin ................ .
Du soir ...... . ...... . .... .
POUr les journaux périodiques. . ..
52 Fr.
43 •
28.
signes,
par ligne de trente lettres, blancs OL:
le nombre de lignes étant calculê au li~lJO
mètre du corops employé de filet à hie!.
Ar/icle 3. - Le même tar·f ,er. appliqué
en ce qui concerne les annonces et pu blications dans les affaires domaniales ou administr atives, spéciale ment en nléHlèrt d'eXlpropri ation pour Cause d'utilité publique .
Article -4. - Ce tar if est .edui! de moi ti é
en ce qui concern e l es p ublicJtJ ons sl·iva ntes,
re latives ;
1li A ux j ugements de fai ll it~, au>.. co nvoca tions et dèl ibe rations des Cré.:l 1Ciel s ;
2" Aux venftes j udiciaires d'immeubles
dOJlt la mise à pr ix est in fé ri eure a 8.000 fr.,
con fo r mement à l 'a rticle 5 de la io i du 23
oClob re 1884, modifié par le décret-loi clw 17
j uin 1938 ;
3 0 Aux contrats et procéd ures dans les
affaires suivies par appli cation des lois d'es
29 novembre et 7 décembre 1850 et 22 janvier 185 1, sur l' Assistance JudICiaire.
Art. 5. - Lorsque l a ligne aura plus de
t rente lettres, le prix de )'uosertlon augmenlera en .propo r tion du nombre de l ettres supplémentaires ; le nomb re de lett l es à la ligne
sera décompté suivant les règles t ~ pog r<llphiques.
Art. 6. - Le coût d'u n exem pl aire lagalisé
non compr is les droits d'en registrement, est
fixé au p ri x du dit j ounna l, augmenté de la
taxe de l égalisation. Il est r éd uit de moitié
pou,r les cas prévus à l 'article 4.
Article 7. - L'autorisa tion acco rdée po urra être reti rée sa ns qu'il soit beSOin de mise
en demeure à to ut jour nal ne se conformant
pas au tarif édicté pa r les art icles 3 et 4.
Article 8. - Le présent arrêté ser a soumis
à l'approbation de M. le Minist re d'Etat chargé de l'informatiCln et recevrd provisoirement SOn exN-ution.
Article 9. - Le présent arrêté sera inséré
au Recueil des Actes Adminisitatifs et ampliation en sera tra nsmise à M. le Plocu re-lH
Général près la Cou r d'Appel d' Aix -en-Pro-
vence, à M. le Proc ure ur de la Républ ique à
M arsei lle, à M . la Prési dent J u Tribunal d.
Commerce de Marseill e, ainsi qu'a ux j ournaux intéresses.
Art. 10. - M. le Secr étaire Géneral de la
Préfecture, MM. les So us-P r~fels et M aires
sont chargés, c hacun en ce qui les concerne,
de l'exéwtion du présent arrêté,
M arseille, le 3 1 décembre 1949.
B AYLOT .
Circulai re nU 442
ILe Garde des Scea ux, M injstre die la
Justice,
Le Vice-P,ési<lent du Consei l,
M in istre de l'i nteri e",,,
à M~t. les Préfets die la Métropole
et à Mifv"- les Proou<eu<s Généraux
·p. ès I.es ,Gé>urs d' Appel de la M~lro
pole.
Rérér. - Circulairte interministérielle NI'
207 du 8 mai 1948 et n' 628 du 10 février
1949.
La circulaire Jnterlmin'istérielle du 10 févrie,r
1949 comporta;! une iiste des cas dans 1 quels des tex,es spécialLX prévoient l'exonér..lton du droit d' expéditiol> perçu à l'occasion
de la délivrance d'ext" its d'actes die l'éta :
civil, ainsi' Que du droit de légalisation.
Le tablea u ci-"'Près a pour objet de modifier .1 de complét", le tablea u .n nex~ à la
drculaire pr,éci tee
Livret de c Domaine-Retraite :) ....... .
Tous exh'aits et tout-ts p~èces nec e~,L<Hres
alJlX ttlravaill·eurs pour ~a souscription OU
la gestion des liI'rers de « 'DomaineRetraite • .
Arl. 13 du décret-lai du 24 mai 1938
tendant à assu'rer aux travailJeuns le
« Domaine- Retraite •. (J. O. 25 mai 1938).
Militaires ........ . . . . . ............. .. .
Tous .,.traits d'actes de rétat-civil et
toutes pièces concernant\les gens de
,guerre, étabr- pou-r J' '" services <iJ~ terr-e,
de mer 011 de l'air ainsi qu e les ,pièoES
,produites à rappui de leu r demancle :par
les candidats aux éco!'es (militaires, aux
brevets de préparatio n mi litaire, aux br:e..
v:t~bourses de. pilotage ou par ceux qui
desl rent SOUSCflre un engage ment mi litaire.
Décre t-toi du 15 mai 1940, a,rt. 1er (J.
O. 22 mai 1940) comp létant l'a rti cle 15
dt! décret :oi du 14 j ui n· 1938. (J . O. du 17
juin 1Y38).
Tous extr-ai ts et tou~eG pièces reLa1if6 il
la liqu,j.cjation et au pa'iem~nt de ce s
pensions.
Loi du 30 j anvi<>r 1007. Art . 7'. - (J . O.
d" 3 1 j'a nvi'd' 1907).
T""6 extrails et tout<s l}ieces relatifs à
l'exécutio n' du décret du 2 mars 1937.
- - -- - - -- -- - - Pupilles de la Nation
Tous extrai:t- et toutes pièces aya nt pou r
objet exclusif la protection de-s PUipillcs
ri.,. 1... N ... +i",,"
To~ C'eJ'Uficats, acres d,..;' notori ét-é e.t autres
pleces relatifs il rexéeu'l'ion des lois des
Il jlli lle,t 1868, 20 juil let 1886 et de
l'o r,dKJnnan~e du I l octob re 1945,
•
Le Garde <les Sceaux
M in<istre de la Justice :'
Pour le Mi nistre
Le 'Di recteu r du Cabi>ne t
J. DONNBDIEU de ViAJBRÉS.
D483
Par is, le 30 Déoom'bre 1949.
Loi d,u 16 a,vr" 1930. (J. O. 17 avri.1 1930).
Pen,lOn
et a~locatiODS des ouvrie~
nlineurs .......... . . . ........... .
Sociét és mu~u'alistes ., ...... , ........... '
CAS OU LES EXTRAITS D' ACT ES DE
L' ETAT- CIVIL DOIVENT ETRE EXONERES DU DROIT D'EXPEDITION
ET DU DROIT DE LEGALISAT ION.
€xpédilron de racte de reco ll naissance,
antérieur à la naissain ce, déliVTée en vu.e
de l'établisgement de l'acte die naissa nce.
Pensions acquittées par l'Etat (complément
d'es rentes viagères servies par la Ca",se
Nationale des Retrailes pour la vieil! se? ..
Tous extraits et toutes pjèces relatlls à
l'applicat,ion de la législation de seollfité
sociale.
AG 5 b
D 283
Aniela 26
EN 3
BOURS.ES D'APPRENTISSAGE D'ARTISANAT RURAL ET PRIMES AUX
PETITS EMPLOYEURS.
A MM. les Maires du DépGJ ((ment,
A MM. les Sous-Préfels (~our information),
Des !:>ou,rses d 'apprentissage d'artisa nat
rU l al et d~s pnm es auX' .petits cnW10ye urs
so nt, aI1louee.s, chaq ue ann ée, pa r ie Min istre
de , 1Educalion Nationale, Secr étan at d'Etat
a 1 Ensel'gnement T echnique.
, j' ~i _1 ' h Cln~e ur d'appeler vo t re attention sur
1 m!eret QU Il y . a à enco urager par l 'atf.ribUÏl?n ~e ces r ecompenses le dévt::op.pement
d~ J artrsal1at I~s bOllrse,s et les primes acco rdees cette an nee pouorro nt atte in dre l u.OOO fr.
Peuvent H~e ad mis à béné fi cie r de ces
b~urses, les Je unes gens qui po urs uivent
meme. dans les ag~ l ~ m ératio Il3 fu rales, l 'a~
pr entIssage de metle rs exercés wdifféremment à 'la vi lle ou. à l a campagne, tels que :
bo.ucher, char cutier, boulange r, pâtissier
CO iffeu r, co uturière.
'
Pourront prétend re à l 'octro i d 'u·ne bourse
les apprentis pupi ll es de l a Nation, d'uUle
pa.rt, et ce ux aya nt d'é jà béncficié de deux
bo urses, d'autre part.
. L.es ,ieun es gens qu i aura ient arj à bénéfiCI e .cl une bou rse et en sollic i terolit le ren'~)Uve lie ment devront reconstitue r leur dossier dans les mêmes condHions.
Les dossiers des ca ndi'dats sonl instru its
en octobre et en j uin.
L es in s~ru ct i ons. min istér iel les étallt parvenues ta r dl·vement a mes services, les demandes de bourses seront donc ~xaminées en
j Urin .
A. - Cl1,nslitu/ion du dossipr de demande
de bourse d'artisanat rural.
•
Décr"t du 2 '",ars
porta nt codification.
cOIlC"6rn ant la 'Caisse
des ouvri ers mi neurs.
1937, a>rt. 11 § 1<1
cles différent,
IN"
autonome de ré'tra,ite
( 1. O. du 18-3-1937).
Loi du 27 j uil:et 1!l 17. Mt. 31 (J . O. du
2'J juillet 191 7).
T ous extr aits et Ioules pièces à fourn ir
à r ap,pui des demandas de pensions.
Sécurité Sociale - (acciclents dl' lravail
a6suTanoes soci a~ es, pt es1ations familiales) ..'
----000«·. - - - -
Tabl eau des exonéra.iol!s du droit d'ex pédition let du droit de légall;;a!lOn
Enfants naturels (recollnaissanù") ..... .
Sapwrs-Pomp iers (acc.iden'ts-<pen SiOIl6) ..
Les jeunes gens désireux d'obte nir une
bourse doi'vent co nstituer U ll d'.lSsier comprena nt :
a) . Um imprimé de renseignements dûment
rempit . par le candidat (ces impl imés ser ont
adresses en te mll>5 opportun aux maires SUlr
1000r demand e) ;
b) Une dema nde Sur papie r libre ;
c) Un extr ait du rôle des COlltributiOlls
D lfectes ou certificat de non-impc.sitioru du
Chef de Fam ille de l'apprenti ;
d) Un bulletin de naissance du candid at
cui devra avoi r t 8 ans au pl us ;
,
de situatiOn de' famille
Loi . du 27 juillen 1930. Art. 5
3 1 JUillet 1930).
U.
O. du
Ordonnance n" 45-2250 du 4 OC'i'obre
1945. Art. 60 (j. O. du 6 OClobre (945)
Décret n" 46-2769 du 27 nOv<m1bre 1946'
art. 190.
'
Ordonnance n" 45 '2456 du I l octa!:>re
1945. Arl. 77.
Le Vice-Président <lu Conseil
M1inistr·f' de l' Intérieu r : '
Pour l e Vice-Président du Conseil
Ministre de l' IntérieuT et par délégati~n,
Le Préfet, Directeur du Cabinet
COLLAVERI.
'
Il . Un cer tificat de l'instituteur dont l'a ptlJ re ~ h a .fr équenté l'école, constâtan( Son
al?tltude a suiv re les COurs professionnels ou
s'il ,est sorti de l'école d~uis au 1110 i n~ \ W;
al~ a dater de sa demande, un CCI tificaf du
D irecteu r des Cours d'Adultes .
g) Une copie cer tifiée con for~le du Contrat d'apprenti ssage ;
D283
J'ai l'honneur de fa!rl:! connaÎrre aux lf\1.laires
du Déparlem<mt que le taux d'intérêt des
prêts. consen t is par la Cai,.;e des Dépôts et
Conslgnal'ions vient d'"t re porté de 1i % à
6,5 %.
Je vous rappelle à ce suje t que, c01Tlpte
te-nu des clr COn tances actuelles, cet étal>Hs·
sement d'emeure contraint de ,réserver SOn
concours aux proje ts presentant un caractère
d'-urgence et d-e nécessi té indiscutables.
-------(.00«.----___
D.D.S.
FS 0
h) . U~11 engageme~t rl'clig~ Sur papier li-.
bre ct exer~er l~ mét ier acqUiS p~lldal1t cinq
~ns au .moll1s, a ùater de l'a fin de l'apprenhssage, dans une commune rurale , du Département et J'en gagemen t du rep rcsentamt
respo nsable de I~app re n t i, en cas tf'ir.observ.atlOn de l 'engagement quinquenai, de restituer le monta nt de la bours~ ê.tccordée.
J'attire . plus specialement \'Ot re attention
Sur le faH que ::;eu!::, les dossiers re uulièrement ~onstitués serma examinés et
"ous
appartiendra de le signaler il rl)uS les candidats. Il vous incombera de recevoir les d e~.andes et de. veiller il la constitUtl On régulIere des dOSSiers. CeLlx-ci (tant dûment COIllp l été~ ~ ~vront être ad ressés SOIJS je timbre:
4~ 0IVISI0I1,,3e Bureau (Enseig teillent Tech n.que), revetus de vot re avis Sur la suite
qu' il y aura lieu de leur réservl.::r.
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS DE RADIO EN VUE
DE LA DELIVRANCE DES CERTIFICATS PRENUPTIAUX,
11
8. - ~ Prîmes aux petits employcu,rs (arfisaOls-mal tres) ;
,Des ~primes peu"ent ~t re den!andées par
les arh sans-mmtres dans les meOles condi ti ons qu·a upa ra vant. En effet, pour bénéficier
de te lles primes, les intéressés devront présen ter u·ne demande indiquant en dehors de
lfours nom, âge et adresse:
Leur pfoOfession ;
. Les noms des app rentis qu'iis ont formes, avec pour chaque apprenti le numéro
ci.'enregi~rement de SO n contrat d'apprenti age a la Chambre des Metier5 la durée
de l 'ap:p rentissage, li sanction àe' l 'apprent l ss~ge ob tenue : certificat d'apti t ude profESS ionnelle o u examen de fi n d'2pprenti~
sage et, dans toute la mesure du possible,
SOn ac ti vité actuelle.
.
Ces re nsei gnements devront êt re cert ifiés
par vous-même.
Il est bien enlendu que pour alteindre son
but, l'i'nstitution de ces primes dOi t - eUe
aussi - co nnaître la plus l arge Ql"ftusion.
Les demandes des intéressés seront examinees en juin.
- - - -... 00<>----
1' 4
EMP RUNTS
DES COLLECTIVITES LOCALES
ARRETE
'Le Préfet des BoucheS-du-Rhône
Officier de la !Légiion d~Honneur,'
Vu l'ordonnanc e' n" 45-2720 d1u 2 nove'rnbre 1945 sur la Protectio h m ..tern,eUe,ert irrfantile ;
Vu l'arrèté clu 15 avnl 1946 de M. Je
M inistre de la Santé Puhlique et de la Population et. l.es rectifications paru'€6 aux jOLrrn'aux offloels dies 10 III ai et 15 sept~mbre
1946, fixant le modèfe du œmlficat <l'examen
médical avant le marrage ;
Vu. J'arr~té d1u 1er juin 1946 ;
la Circulaire ministérieUe n° 1-tS du 5
JUin 19-16 ;
Vu les avis du Conseil DépartenlentaJ cfe
l'Ordr,. d Médecins;
. yu
Sur la proposition da .\\. le Directeur
Dépa,>temental de la Santé,
ARRETE ;
.~R l I CLE PRE,IIIER. ,AIti\\. les Médecins
~ont 1 noms SUi V't'~lt 5011'[ agréés pour IpratIquer les examens de radlo en \~u'e- de la
délivrance d
certificats prén1uptiaux :
IvIjM. les Docte"rs :
Sbragia Pascal, 73, rue .\lmaudiN B oieLu z)', à 'M,a rsei1J.e ;
1
- de Peret ti. 12. ;WeTl ue des Chartreux, à
.\larseille
- Basile Paul, 4, r':. Edmond-Rostand, à
Alarseille ;
- Bollet
-
�6
,
FS 7
0382
Demange André, 335, ruE\ Paradis, à
Marseille;
_ Nizard J.\aurice, 46, 'boulevard NotreDame, à IMarseiUe.
ART. 2. - h\. le Secrétaire Général de la
Préfecture lM!. le! Maire de ~ VIlle de M,arseille 'fit
le Directeur Dépamemental de ta
Santé, SOI>< chargés, chaoun en ce 'lUI k>
concerne, de l"...X'écution du présent arreté.
_
ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
PUBLICS
Prix de journée prévisionnels 1950
ARREllE
Le Préfel des Bouches-du-R,hônc,
Officier de la L é.glon d Honfleur,
V,u la loi dU 16 luitlet 1893 swr l'Assistance
Médicale Gral"ite ;
.
Vu la lai du 14 juilld 1905 sur ·VAsslsbance
aux V;el1Iard5, <Infirmes e t ,In ou,ables ;
Vu l'ordonrtanœ du 31 ,octobre 1945, POTtant organisa-lion de I~ lutte contre la tuh~r
culose et ~ !exiles d appHcat lon ;
Y'u l'ordonnance du 18 décembre 1944,
toi
Marselile. le 28 déct:mbre 1949.
Pour le Préfet,
'Le Secrétaire Général Délégué,
LAMoASSOUmo.
----000.>-'---
à titre !J'ansitoire, les règles d:
fixation des prix de JOWllée dans les hô,pl'
tall'X et hospices ,p ublics ;
Vu <les circumires ministérielles d'aAAlication des 29 déoembre 1944 et 29 novem_
bre 1949 ;
Vu. les IPro'POISitions et jusWica!ions des
Commisffions adlministratives des hopltaux et
hospices 'pu.blics ;
Yu les rapports de l'lnspectellt' Princ.i~al de
·Ia Poplflat'i on. ;
PaIX
Scnices
H : Hospice
M : M~eci."le
C : ChirurKÎe
DÈSIGNATION DES ETABLISSEMfNT&
, anatorium d" Petit Ar60is .. ..... .
lôpital-Hospice d' Allauch
. . . ... ... .
· ... ... . ... .
· .............. .
Article premier. - Les prix' dt journée
prévisionnels applicables dura~t rannée 1950
dans les établissements hospItalIers publiCS
ci-après sont fixés comme suit, avec effet du
1er janvier 1950 :
Pri..x d e re\'Îent prévisionnels
général
médical
total
1
2
1 2
+
380
M.
C.
760
760
543
1.086
1.086
447
894
894
. ......... ...
C.
Hôpital-Hospice de La Ciotat .... . .. , .,. ,
H.
M.
C.
· ..... ..... .
Déficits
H.
M.
,
]OURNtf: INDICENTS
1.250
H.
Hôpital-Hospice d'A ubagne
DE
,
Hospice de Roqueraire ......... . .. .•....
Hospice d'Auriol ....................... .
Hospice de Cassis .. . .. .... .... .... .... .
Hospices d'Aix
........... ..... .. ..
H.
H.
H.
H.
.. .... ..... ...............
M.
............ . ... .. ....
C.
>
>
563
1.126
1.126
.... ... ...... . .
H.
480
Hôpital-Hospice de Salon
,
M.
C.
Martigues
.
..........
.
H.
Hôpital-Hospice de
· . ... ..... .. chirurg.-matern.
· ...... .. ...... .
Hospice de Saint-Chamas .... ... . . . ··•·· ..
Hospice de Rognes ... ... . .. ... . .... . . .. .
Hospice de Gardanne ... ... ...... . ...... .
Hospice d 'Istres ............... . . .
Hospice de La Fare .... . .... . . ..... .. . . .•
Hospices d'Arles ...................... ..
. .... .. . . .. .. . . . . . . .. . .
~
.. . . . . . . . . . . . . . . . .. . , ...
Hôpital-Huspice de TarascotJ'
960
960
M.
393
787
787
H.
»
H.
H.
H.
H.
H.
M.
C.
H.
M.
Hâpital-Hospice de Châteaurenard ...... , .
C.
H.
Hospice de Saint-Rémy . . ............... .
M.
H.
· ........ ...... .
M.
Hospice de Maussane ... . , .... , ...•.. .. • ,
Hospice de Barbentane . .. .... . ... . , .. . . .
H.
H.
316
41
124
24S
42
129
256
37
III
222
,
,
,
36
11 8
225
32
127
224
55
330
165
,
1.566
421
884
1.008
585
1.215
1.342
484
1.005
1.116
209
218
282
599
1.244
1.35 1
5 12
1.087
'1.184
448
1.117
952
177
»
>
234
Reco nduction du pri x de journ ée 1949
»
,
3 14,5
,
»
295
436
22
458
928
91
1.01 9
1.122
138
1.260
19
468
487
937
80
1.017
937
137
1.074
19 1
208
1~
3S2
49
431
254
509
>
,
6
III
•
>
260
II. -
, Excédents
d es
Exercices antérieurs
(+)
(-)
•>
27
>
>
15
Il
20
»
42
48
»
3
"
>
,
36
62
»
»
53
>
>
64
»
26
72
»
76
79
141
144
»
>
»
23
25
»
»
10
»
8
66
,
»
»
»
»
»
»
»
»
16
75
13
»
»
»
0,5
»
20
»
»
17
36
39
»
•
527
51
102
237
300
39
,
»
»
7
»
Prix
de
journée
prévisi onnels
1.539
418
869
997
605
1.257
1.390
452
943
1.063
209
218
346
625
1.3 16
1.427
59 1
1.229
1.328
432
1.042
932
200
259
250
3 14
305
438
1.027
1.326
470
98 1
1.035
207
430
311
629
230
339
PRJX Br: JOURNtE b\VANTS
demandes d'admiSSIon doiventi être tran~'
mises av-ec l'a vis du bu_", d'assistance et
celui du COfllSei~ M.unicipal.
3' Catégorie
DÉSIGNATION DES ETABLISSEMENTS
et
Assurés Sociaux
Sanatorium du Petit Arbois ... . ...... , . . .
Hôpital- Hospice d'Allau ch ........ . .• ... ..
Hôpita l-H ospice d 'Aubagne
AARETiE
~="""""........;",,="""""="""""=""""""""""""'......
1.
7
deter~nant,
Hôp ital-Hospice de La Ciotat
Hospice
Hospice
Hospice
Hospices
452
de Roqlleva·ire ................. .
d'Au riol ........... ,: . ......... .
de Cassis . ... .. ....... , .. , .. . , .
d'Aix . . ........ . .. ............•
........ .. . .. . ...... . .....
......... . ..... ... .... ....
Hôpital-H ospi9' de Salon ............. . . .
Hôpital'Hospice de Martig ues
.....
"
.. ...
Hospice de Saint-Chamas .... ...... ..... ..
Hospice de Rognes ..... .... . . . .. . ..... . .
Hospice de Gardanne ........... . . . . .. .. .
Hospice d' Istres ........ . , ... , .......... .
Hos pice de La Fare ...... . •. .. . .. . .. . ....
Hospices d'Arles . . ... . . .... .... ..... . .. .
Hôpita l-Hospice de Tarascon ...... . ... . .
Hôpital-Hospice de Châteaurenard .... ... .
Hospi ce de Saint-Rémy .. : ........... .
.
. . . . . . . . . . . .. . -..
Hospice de Maussan e . . .
1.723
418
972
1.1 09
605
1.336
1.476
Hospice de Barbentan e
2' Caté&,ori.:
»
522
1.105
1.260
756
1.519
1.677
»
1.106
1.228
209
1.156
1.2S4
346
625
1.368
1.486
59 1
1.228
1.328
432
1.229
1.047
200
259
250
3 14
305
438
1.121
1.386
470
1.119
432
781
1.555
1.689
»
1.304
1.421
»
»
,
1.181
207
474
311
629
230
339
»
»
»
»
»
,
l
ro
Catéi ori e
»
627
1.326
1.512
907
1.822
2.01 3
»
1.:J07
1.451
,
»
5 19
937
1.866
2.026
>
1.41 3
1.539
,
»
»
»
>
Cerr,.ines Mairies me transmettent des
extraits des délibérations du Conseil M,unicipa l en pl,us;e ufS exemplaires et l'Ofl'Cernant
plUSlelirs demand>es d'assistance.
Je vous serais obligé, dans ~ 'avenir, de m:
p1·us transmettre ces e.xtflJ.i.ts mais d' indiqu.,.Ir'avls du bureau a'as61stanœ ainsi qU€ celui
<lu Conseil Munkipal sur chaque dossier ituX
endroits spécia leme n<t réserv~ à cet effet.
Je vous ra·ppelle à nOuYea!U' que dans tout"
la correspond a nce adressée au service de
VAssistan ce Médicale Gratuite, outre la référen ce, il dbi~ être indiqué s'il s'agi t <i'lhospitalisation (dans ce cas ne pas omet1Jre de
préciser le no m de l' hôpital et la dat>e d'en~rée) ou' de soi716 à d(jffijcile.
Pou r le Préfet,
Le Secrétai re Général Délégué.
LAd'l1jASSOVRE.
Dl BI
- - - <>000·- - - -
PO
INTERDICTIONS VISANT
CERTAINES PUBLICATIONS
»
»
»
ARREllE
»
»
657
1.325
1.638
705
1.322
1.396
'Le Préfet des Bou ches·du-Rhô ne,
Officier de la Légion d' Ho nn eur,
VlI l'arrêté d~ 18 ma rs 19+9 interdisant
1'6X positio n aux porohes. ,rj4Jri nes, kiosques.
magasins, etc., de man ière qu'ils tpuissent être:
526
1.172
1.449
540
1.169
1.235
»
»
373
65S
»
,
»
»
466
790
»
vus d~ la voie publique aT'flsi que la venht
et l'off re publiques s ur les pla ns et "()Îe;,
publiqu\lS die la pub~catioll c Pan , ;
Co nsid"ra nt de <nO<l\'eaux élémen ts d'ap -
préci at ion ;
A.RRETE :
»
ARTICLE PREMIER. -
rapporté.
Article 2. - M. le Secrétaire Génér<11 de
la Préfecture, MM. les Sous..Préfets d'Aix
et d 'A'rles, MM. les Maires, Préoiden ts des
Commissions Adrninistra,~ives, M. le Direc-
te",r Généra l de l'Assista nce Publique de
Marseille, M. le Médecin-Directe ur d u SanatorÎl1m D ~partemental du Petit Aroois, MM.
les Receveurs de ces Etabhssements, M. le
Ttrésorier-Payeur Général sont ;.:ha rge::., chaCUn en ce qui le concerne, de l'exécution d'u
présent arrêté.
Ma'rseille, le 7 janvier 1950.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général
LAMASSQURE.
D3 B3
FS 8
DOSSIERS D 'ASSISTANCE MEDICALE
GRATUITE - AVIS DU BUREAU
D'ASSISTANCE ET DU CONSEIL
MUNICIPAL.
'L.= P'éfet des Bo"ches.-du'Rhône,
à MiM. les Maires du Dé-partemen t,
lM. le Directeur Général de l'Admi _
nisbration <ie l'Assistance Pll bliqut',
ART. 2. -
L'arrêté sllsvj sê est
",,~~'~. les Sous-Préfets à Aix el
à Arl es, M" le Dil't'Cteu,r Départemental des
S ~rv ices de Police. MIM. 1 Maires du Départe ment, M. le Com mand ant de Gendarmeri e SOll't chargés, chacu n en ce qui te conoerne, de J'exéc ut io n -du pré ~rrt arrê té qu i
St ra inséré au BuHetin de6 Mai-res.
Fait à i\1 arse<ille, le 2ï décembre 1949.
LePréfet,
BAYLOT.
Le déc ret-roi d .. 30 octobre 1935 portant
tfrtFfic ation et si mplifica tit>n d!es barèmes 1("11
vigu€'1.! r pour !'application des lois d'assis-
-----c~ooc»-----
tan ce, a p:-évu dans SOn article 6. q ue les
Copie certifi6e conforme.
Pour le Préfet :
Le S ecrétaire Généra/,
Signé : LAMASSO URE.
�REl-' U BLH.) U E .1<' I:{AN( ~A ISE
- - - - -- -
2t Janvier et 2 Février 1950
N" 4 et 5
DËPARTEMENT DES BOUCHé.S-
Recueil des Actes
et Bulletin
Mairies
Toute co,rrespondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
•
A, p, : Anêt,é préfectoral. - C, : Circulaire. - Les lettres D et B s ui vies d' un .ohjffre ind iquent le Service ou Burea u d'origine.
- S, l, R, A, : Service de Liqu idatio n d es R~qui6itions AII.mandes. - R. 0 , : Ravlta.B'ement Génér~1. - S, C, R. : Service de la
Circulation et du Roulage. - D . D. S . : Dlfechon D épa rtementale de la Santé. - D. S. T. : Dlfection des ServIces Tecltniques.
SOMMAIR.E
Pages
Arrêtés réglementaires et Circulaires
P age o:
F 1. -
Budgets com munau x 1950 . .. .
9
F 1. -
Budgets des chemins v ici nau x.
13
Primes à l'oléic ulture
AG 2. - Législat ion s ur les acr idents
dU' tra vail . . . . ..... . . . . . ...... ... .
AG 2. - Application de la lég islation
13
A 3. -
14
de Sécurité Socia le aux age nts communau x .... . . ..... . . ... . .. . ... .
AG 13. - Programme dépar tementa l
de priorité de recO'llstrud ion " de
bie ns sinist r és . .... .. . . ... . . . . ... .
FS O. - Dispens ai res habilités pour
pratiquer les ex amens de radio en'
14
14
vue de la dél ivran ce des c: e r t : fi c at~
prénuptiau x) ainsi qu e les ex amens
pré et post-n ata l . .. . . . . ..... . .....
FS O. - Mé.decin s habi lités l'o ur p ra t iquer l es examen s de radio en vue
de la déli vrance de s certificats prem.tpti aux, ainsi que les examens pré
et 'post-natal .. . .... ..... .. .... ..
FS 7. - Eta blissemen ts hos pitaliers publics : p ri x de j o urn ée p révisionnels
1950 ..
.. . .......... .. ....
FS 7. Eta blissements hospitalie rs
publics : prix de jo urn ée prévisio nne ls 1950 (R eel ifi cat il) ... .. ..
14
15
15
15
Page!
FS S. H05.p italisa tion et soins à
do mic ile : Add it if . . . . . .. .........
p 3. - Dest ru cti o n des corbeau x et des
pies..... . ..... . .. .... .. ... . ....
T VX O. - Q ua lifica tio n et clas ific a tion des en trepri ses
. . .. ...
Communlqués du Secrétariat
de l'Union des Maires
Bud ge ts 1950 ....................
- Emprunt en fave ur des sill istrés
des Bo uches-du-Rho ne .. ... .......
- Demande d'e mploi de secrétaire de
Ma irie -. ........ . ... . . . . . . . . . . . . ..
15
15
16
17
18
18
ARR':TÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
D2 83
BUDGETS COMMUNAUX 1950
F 1
sions de recettes et de dêpenses. pa r suite
de l'appli cation de la législ ati on no uve lle.
A. - RECETTESLe Pr~fet des Bouches- a ,,-I{hône
1. - LA P A T EN T E. - S ur cc 90i ll t pa rà Messieurs l es Maires,
ticulier, la circulaire ministérielfe pr écise
j'ai l'ho nn eur de porter ci-ap rès à la COIlqu.' un projet de loi doposé à l'Assem bl ée Nanaissance de Messieltl's les Maires le te xte de
t;o nale pr"vo it que le pri ncip al fi ctil de la
la circu laire mi'nistériell e u" 18, en date du
patente sera stabilisé à l a moyenn e clt::'s .pr inIl janvier 1950,_ donna·nt certai nes .p réc icipau x fieli fs de 1948 et de 1 9" ~' .
sions au sujet de l'étab lisseme nt des b udBiel1 que le Pa rlement ne se so it pas
gets ,primitifs communaux d e l'e xe rcice 1950.
encore prononcé, M. le Ministre c:c l 'I ntérieur
J' attire tout s pécialement le ur atteotion sur
invite les Municipa l i tes à ê\' ailler pro vÎso i réle fai t q ue M. le Min ist re de l' In té rieur va
ment la va leur d u centime co mmu nal , co mp te
. . proposer a u Go uve rn ement et a u Parleme nt
tenu des d ispositions de ce tex t..:.
le repor t au 28 f évrier de la ctate limite de
Po'u'r i e ca ltul de la nOll velh: valeur d u
lTIotifications des imposit ions locales que l 'arcentime commu na l, je rappelle i, J\l essieurs
tide 25 de la loi du 3 1 déce mbre 1949 n'a
les Maires que les pr inci pa ux: ficti f!' de l'a nreportée q u' au 31 j anvie r 1950. Da'fls ,ce s
née 1948 sont ce ux q ui ont ~ té ret ell tls po u r
condi tions, les Conseils Mu nici pa ux disposel'étab lisse ment des budge ts de l'anllée 1940
ront <l ' un certai n d élai pour le vot d u bud,get
et que les princi pa ux fic tifs de l ' nl1l1 é~ 1949
de leur Commune.
So nt ce ux qu i auraient étc r E' ~ e nliS p our
Des renseignements com plémentaires leur ' l' éta blisse men t des budge ts de 1950, S: il'
seront adressés prochainement pu ur l' établisnouvea u proje t de 'loi n'étai t pas i ll ten 'enll .
sement définitif de ce document b ud géta i re,
La va leur de ces dern iers princi paux fi cmais il impo rte que, dès à ,p.résellt, co mpte
ti fs a ~ t é ad ressée à chaque M ai re en jui ltenu des di sposi ti ons co ntenues dans lIa cirlet dern ier, so it pa r mes s~ n' iCfs, so it par
culai re ministérielle précitée, il soit procéd é
ce llx des Sous- Préf ec tu res,
à l'élaboraNon du oprOj"t de bucget.
A titre d 'exe mple, j e citerai le ca~ d ' u lI ~
Je donne ci-dessous quelques précisio ns au co mmune où les p ri nci.pa ux fi ct:rs de 1948,
s uj et des modifi catio ns qui doiven t être
fi g ura nt s ur la premi ère page du Buriget
apportées pour le ca lcul de ce rtaines préviPri mit if 1949 so us la rubrique « P rincipal
des Co ntr ibutio ns D irectes :. sont fixés co mme suit:
Con t r ibuti on fonciè re :
-
Bàties .......... .
No n bâ ti e ......... .
Cont ribu t ion mobi lière
Principat des patelltes .... .. .
Tota l
Vale ur du centime : 2290.
Les p rincipa ux fi ctifs de
1 9~ r
suivants :
Cont r ibutio n foncière :
- Bâti es '.,
.... . . .... .
- Non bâties ........ .
Contributi o n mob i'l i èr~
Principat des pa ten t~s
Tota l
Va leu r du ce nlime : 26 10 .
La moyenne
ü,000
4.000
70.000
110.000
so nt les
47.000
4.000
70 .000
140.000
26 1.000
~t hm é ti que des ,principaux
fictifs de la patente de 1948 et de 1949 es t
11 0.000
140.000
ega ie à 125.000
+
2
Les au tres pr incipaux fictifs ne devan t
subir aucune mod ification, la va leu r du cen time à reten ir. pour Jadite com mune, e.n v ue
de l'établissement du Budget Primitif 1950,
est fi xée à 2.460, ca lcu lée comme suit :
�Il
10
LOlllribution foncière :
- Batie- . .. .... ... .. .. .
- Non bâties ............... .
(Sans cha1gement).
Contribution mobilière (sa ns chanaement) .. .. . ..... . .... . ... .
Principal des patenles (modifié) ..
Total ... . ... _ . .. . . . . . . .
Valeur du œntjme : 2460.
47.000
4.000
t 13tion de l'Etat atl\.
suppre!'Siôll de I~ pa~ i~ll 1
les somm~s
d~pènses d'intéret ge.n.era .; ' du ?5 janvier
indiqu~es dans ma CITCU lal C
...
t 9-\9.
70.000
125.000
246.000
2" TAXE LOCALE ADDI TIONNELLE AUX
TAXES SUR LE CH IFFRE D' AFFA IRES
a) Taxe obligatoire de 1,50 % ou 2,70 %
Pour le calcul des prê\';sions de recettes,
les Municipalités doivent tenir compte du
fait que 1. produit de la taxe n'est pl us r"parti d'une manière uniforme,.. mais dans les
conditions suivantes. selon I importance de
la commune:
Communes de 10.000 habitants et
60 %
au-dessous, nOn stations classées. . . .
Communes de 10.00 1 à 100.000
habitants non stations classëes....
Comm,:nes de plus de 100.000 habi -
65 %
70 %Dans le departement des Bouches-du:Rhône, les stations cla ées pouvant béneflcler
d'une attribution directe au taux de 70 %
tants et stations classées ........
sont les suivantes :
Marseille : Station Touristique ,
- Aix-en-Provence : Station Thermale
- Arles : Station T ouristiq"e ;
- Cassi : Station Climatique ;
- La Ciotat : Station Climatique.
b) Majoration du taux de la taxe.
Les Conseils Municipaux qui désirent lperce\'oir cette majoration, dont le produit est
versé en totalité dans la caisse communale,
ont intéret à délibérer rapidement, étant
donné que ladite imposition est mise en recouvrement le premier jour du mois qui
suit celui de {"approbation de la délibération.
Ainsl que le précise l'instruction n 17 B
du 16 janvier 1950 de l'Administration des
Contributions Indirectes, dont je vo us fais
parvenir un exi'rait par même courrier, il
résulte des débats panlementaires que les
perceptions des majorations
de 0,25 % pOur les affaires passibles
de la taxe locale au taux de 1,50 %, et
- de 0,50 % pour les aflaires .passibles
de l a taxe l ocale au taux de 2,70 %
sont l;,;es.
La majoration votée par un Conseil Municipal pour les affaires passibles de la taxe
locale au taux de l ,50 % est donc obligatoirement doublée en Ce 'lui Concerne les
affaires passibles de la taxe l ocale au taux
de 2,70 %.
C'est ainsi que dans le cas où une commune instituerait une majoration de 0,10 %,
par exemple, le nouveau taux de la taxe locale serait porté à :
1) 1,60 % (l,50 + 0,10) pOUT les aflaires imposées pré-cédemment â. l ,50 % ;
2) 2,90 % (2,70
0,20) pour les aflaires imposCes précédemment à 2,70 %.
3" PARTI CIPATION DE L'ETAT AUX
DEPENSES D' INTERET GENERAL.·
Q
+
La participation de l'Etat aux dépenses
d'intérêt géTléral est supprimée. Toutefois,
une attribution compensatrice, égale au montant de cette participation, y compris 1a majoration en fonction du nombre d'élèv~s, est
garantie pour l'année 1950. II conviendra
dooc d'inscrire en recette sous la rubrique
c Attribution Compensatrice résultant de la
. TRICE
, A TTRIBUTION COMPENSA
A tROVENIR DU FONDS DE PEREQUATION.
Le montant de..-,o recettes: ....~aranties est détermine de la façon suivante :
,
.:>
a) Subvention spéciale de 1948, majoree
de 10 % ;
h) Prodn it en 1948' des im positions sup1 ri mées
.
(Taxe sur les établissements de IlUlt, taxe
'"
bl'c·té taxe l ocale sur le ventes au
sur 1a pu 1 l ,
'é
Cl leur pe r détail) quelle que soit 1 poque e
cop tion .
.
f d d pereL 'attrib ution à prO\'eolr du 0 11 ~ e .
quation à inscrire au Budget sera egaie a la
différence entre le montant des recettes garanties et le montant de la recett~ nouvel:e
pro\'enant de l'attributi on pû.rhelle de .a
taxe locale instituée par le décret du 9 dccembre 19.JS (60, 65 ou 70 % du prodUit de
la taxe, exception faite de la majoratIOn facultative, rappelée au paragraphe 2 b ci-dessus).
5' SUPPRESSION DE LA PARTICIPATlO 1 DE L'ETAT AUX DEPENSES DE
RATIONNEMENT.
B. _ DEPENSES. 1" SuppresSioll dll
Sen'ice du rationnement, d'où supp ression de
tout crédit concernanl le personnel de ces
Services.
?"
Troisième tranche d e rec lassement. Si -les Conseils Municipaux accordent. à leur
personnel des avan tages analC!gues . a ceux
dont ,'ont bénéficier les fonctionnaires de
l'Etat, ils devront prévoir à leur budget un
crédit supplémentaire égal à une tranche de
reclassement. En effet, il est prévu pOur les
fo nctionnaires d'Etat que les deux tranche~
non encore allouées serOnt versees en trois
tiers, dont un à parti·r du 1er janvier 1950 et
un à patir <l~ 1er juillet 1950. .
li convient donc d'i nscrire au budget le
crédit correspondan t à :
- pour 12 mois, 1/3 de 2 tranches ;
- pOur 6 mois, 1/3 de 2 tranches.
A t itre d'exemple, si une tranche de reclasse.ment représente pour 12 mois une dépense
de 1.500.000 francs, l 'adoption de mesure
identiques à ccl les concernant !es fonctionnaires d'Etat entraîne l'inscription au budget
~e
:
1.500.000 X 2
- - - - - = 1.000.000
3
(pr emier tiers à percevoir à partir du 1er
janvier 1950).
1.500.000 X 2
3
: 2
=
5OO.00d
(deuxième tiers à ,percevoir à pa rtir du 1er
ju illet 1950),
Soit au total : 1.500.000.
3 En ce qui co ncerne le montant des
con tingenls d'assistance, j'indiquais, le 22
décemb re 1949, à Messieurs les Maires, que
so us réserve du vote ,par le Conseil Génér al
des propositions portées au projet de budget
départemental, ils auraient à prévoir une
somme égale à la valeur de 1.452 centimes,
103 pour les dépen es d'Assistance Médicale
Gratuite et une som me éga le à la valeu r de
2.326 centimes 41 pour les 31utres charg-es
d'assistance,
Q
f:, ùutre la va l eur en arge nt attr ibuée
pou; l Q.'iO 'à chaque j ourn ée. d". prestation
ourra êt re fixée l)ar le Co nseil Général j usp 'au 28 févrie r 1950. Lorsque, pour une
~~Iuse q uelco~q ue cette va leur n'a ura pas été
déterm in ée a ce tte date, les ImpoSitIons
sero nt établies d'après 'la va leur retenue 'pour
J'exercice 1949.
j'envisage, d'a utre par t, de proposer au
Gouver neme nt et au P a ~le.m ent le re:P,ort ,au
28 fév ri er de l a _date lImIte de nOhf! caho n
des im positio ns d i rectes loca les que 1 article
25 de la loi susvisée 'n'a reportée qu 'a u 3 1
janvier t 950.
Je comp te pOluvoi r VO liS ad ress~~ dal1 s les
jours qui viennent toutes 'les ~réc I SI?nS complémenta ires q ui s'avé reront neceSS31res pOur
l'ét abl issement défi nit if de
budgets locau x
(patente .notamment).
A. DEPENSES
Le budget du Département ne sera "'n,
doure voté que ~ans la premIère qUl1l1aint
du mo is de févTle~,. ,.
,
La ci rcu l aire mi ni tenell e du Il Jauvil!r
1950 insiste sur les charges aC'''ues d'assis_
tance qu i rés",lte ro~t cer,talllen:ent de l'appl icatio n des lOIS re~emm ent votées. .
.
Sa ns Ipr j uger la deC'SlOn du ConseIl Gen'.
rai, je crois donc 'lu:,1 est néc~ssa lTe "'~,
dafi s leur budget pnnHIlf, l es. M alTes . fassent
état du conti ngent q UI leur a eté not,flé. MaiS
du fa it de la modi fication du pr! l1clpal fictil
des patentes, le nombre d~ centi mes corresponda nt se trouve augmen te. En eH,et, I~ ,part
de chaq ue com mune dans leu.r contlIIgent
communaJ est calcu lé comme SUit:
Conting. ·ens. communes X val . cerlt. comm.
valeur du centime départemenlal
le nombre de centimes correspondant pour
une commune déterminée s'élève à
Vous appellerez l'attention des Assemb lées
locales sur l'impérieuse nécessIté de réaltser
toutes les éco nomies compatib1es avec le
fonctionneme nt normal des services locaux.
1. - RA Tl ONNEMENT.
Conting. ens. comm un. X val. cenl. comm.
valeur du centime départemental
divisé par
l'a/eur du centime comm unal
Soit
Contingent lk l'ensemble des conl/l/lllleS
valeur du celltime départem elltal
Cette de rnière valeu r ét~nt. dimi~u~e du
iait de l a ré,luction du pflnclpal fichf des
Ipatentes, le nombr~ de centimes dOit passer de :
d'A
1452 103 à 1535,52 l'our les dépenses
,...
sista nc~ M"dica le Gratuite, et de
.
2326,4t à 2460 pour l es aLlr es dopense,
d'assista nce,
Pour le Préfet
Le Secrétaire Oéfleral déleglll'
LAMA SSOURE
:.
CIRCULAIHE N' l~
Paris, l e Il janvier 1950.
Objet. - Budgets départementaux et com·
muna ux de 1950.
Ma ci rculaire du 10 septembre 1949 l'OU'
a indiq ué que les assemblées locales pou'
l'aient, ell attendant l'adoplion par le Parlement des diverses dispositions i!1téressant. I~
finan ces local es, préparer leur budget r~';
tif de l'exerci ce 1950, en tenant comp e l'i'
la législation et de l a règl ementalton en
gue ur pour 1949.
.
\'OUS
Il ne m'est pas encore posS'ble de r lédonner d'une manière ,préCise tous les dé.
ments en fonction desquels l es b~<lgeétsf' 't'1
partementa ux et communaux seron t d 1111 vernent votés, le Parlement n'ayant pu, e~~
raisôn de son ordre du j our particulièr€111_
chargé, exami ner jusqu' ici tous les te t
concernant les collectivités l ocales pour 10;
NËallmoins depuis l'interve l'ilon de .3 li
n" 49- 1642 d'u 3 1 décembre 1949, relallv<••
!a t<.ixe loca le sur ,le chiffre li "ffalres et ril Joi n' 49-164 1 d", 3 1 décembre . 1949,"O,u
tant ouverture des créd its appllcable_ d.
mois de janvie r 1950, je SUIS CP mesur~taiO
vo us fOllfinir, dès maintenant, ~11 ce Urt
nombre d'indications de nature a perme
la préparation des budgets.
.'
2li
Au ssi hien, en apprication de 1 arhc1fg.l9.
de la loi n' 49-1641 d", 3 1 décembre
u'
la session bUdp,taire des Co~ seil s, Gé l~~al~
,po urra-t-elle ctre ,prorogée jusqu aU - COli'
vrier ~950, et j'autorise éga lement les ,,'à
seils Municipaux à voter leur bud!!et j"sq
cette date limite.
;;
t' g
1
A la su ite de la suppresslon des mesures
de rationnement et de l a dispar ition des services clu Hau t-Comm issariat au Ravitaill ement les départements et les communes devront proceder à l a ~U I)press i on des serv ices
Joca ux co rrespondants. Auctllle subvention
ne sera versée pa r l'Etat il ce t itre aux col lectivités pour 1950.
II. - DEPENSES DE PERSONNEL.
1" Reclassement.
L 'Assemblée Nationale a accepté les 1)(0positions du Gou·vernement tendaÎlt à faire
bénéficier en 1950 les fonctionnaire s de majorations de traitement équ ivalent à 1/3 de~
deux dernières tranc hes de reclassement a
partir du 1er janvier 1950 et 1/ 3 slLpplémentaire au 1er j,u·i ll et t950.
Les collectivités locales poü " ont. si elles
le jugent oppo rtun , consentir à leu rs age nts
de:-, 3\/a ntages ana logues équÎ\·a lant à un e
Hanche de recl assement.
2" Statut du perSor""f/.
Lïncidence fi nanc ière du projet ùe statut
d u personnel communal, dont st uls les premie-rs art icles ont été votés par l'Assembl ée
Nationale, ne peut être actuellement éva l uée
d Ile saurait, pa'r conséque-nt, entre r en li gne
d. compte pOur l'~tab l i sseme nt des budgels.
3" COl/lribution forfailaire Sllr les trait e-
ments.
Lc:-, collectivités loca les resteront, en 1950,
tenue!; d'ooserver les prescriptions régissant
le. ,crsemen t, par les employeurs, d'une COI1tnbtfition forfaitaire Sur le traitement de 'leurs
employés. Le taux de cette contribution d emeure fi xé à 5 0/0.
Il l. - CONTINGENTS
DE POLICE.
COMMUNAUX
Ces contingent s demeurent fIxés au taux
de 1949 (cf. ma circu laire n'" 555 AD-2 du
22 novembre 1948).
DEPENSES D' ASSISTA NCE.
Relèvement des prix ete jOllfllet'.
Les Mu nici pa l ités et les Conseils Généraux
devront, pour eval uer le montant dèS créd its
correspondant aux dépenses d'assistan ce,
falfe etat des modifications dCjà décidées ou
susceptlblcs d'intervenir dans les prix de
journ ée des étab'lissements hosp ital ie rs . 0"
peut, légitimement, craindre, en ce domaine.
\Ille hausse qui parait toutefois deVOIr être
IV . -
1"
généralement moins importante que celle
consta tée les années préCédente •.
de~ de ~artes d'économiqument faibles st:ront
2" L oi n ' 49- 1094 du 2 aoIlI 194Y inSlrtuant une pensiOn pour les aveugles et les
grands infirmes civils .
L'~ntrée en vigueur des presc ript ions de
la 101 du 2 août t 949 aura une incidence sensible Sur le vol ume des charges d'assistance
que les départements et les commune a,uront
à supporter en 1950.
En effet, le doublement du montant de
la pension, par rapport à l'alloca tion versée
pré-cédemment aux infirmes n'en traÎ)1era pas
un doubl ement de la dépense, mais une augmentation bien supérieure. Les allocations
servies jusqu'a lors élIUX infirme3 sub issaient,
en effet, des déductions en fonction des resSOu rces perso.nnelles des intéressés, de telle
s rte que beaucoup d'allocati"ns n'étaient
pas allouées au taux plein. L 'augmentation
du taux des allocations provoquera:" d'autre
part, de nouvelles demandes.
1\ convie nt, par ailleurs, de tenir compte
des allocations de compensation , qui pou rront être versées aux infirmes dispo~ant de
ressources professio nn elles au moins éga'les
au 1/ 4 du sa lai re départemental de b ..e servant pOur le .calcul des allocations familiales
Celles-ci pourront, en effet, être attriuées
non se tJ'lement à des infi r mes secouru~ au
titre d.e l 'ass istq·nce, mais à d'a utres catégor ies d'invalides et notamment â lune partie
des titulaires de pens;ons de guerre, d'accident du travatl et de sécuri té sociale.
L 'a rtic le 7 de la loi du 2 août 1949 fixe
les r èC)"les de cumu l de 1 allocation de compensati on et des diverses ressoulces de l'assisté. Le règlement d'admi ni stration publique
prévu par cette loi et qui se ra Ipublié Înces
samment, précise que la pension \'is('~ a l 'article 5 de la loi du 2 août t 949 Se cumulc
avec l~s autres reSSOurces des aveugles et
grands infirmes dans la lim ite des maxima
fixés pa r un arrHê ministériel.
Lorsque les ressou rces de l 'intéressé dépassent Ct'S maxima, la pension (st diminuêt'
des :l/-l de J'~xceticnt, sans tourefois pou\'oir être inférieure aux ci nq pour cent de
son montant pour les ave ugl es et gra nds
i nfirmes exe rçant une activité profe' ionne.lle.
Le maximum pa raît devoir être fix é à un
chiffre excédant d'as::.~z peu le montant de
la ,pension.
j'app.lle l'otre attention Sur le fait que ce
règlement d'admin istratio n publique pré\·oi~
Qlte les demandes formees dans le.!- trois
mois qui suivront la puhlicatlon de ce règl~
ment auront effet du 7 aoùt 1949, date de
l a promulgation de la loi.
Enfin, le montant de J'indemnité ::i-p&:ia le
allouée aux parenb d'en fanr:- so umi ~ à des
soins appropriés ou recevant un enseignement spécial . et les règles de cumul applicables à la détermination de cette lI:de mrWt~
seront fixés par un règl~m~lIt (":uhninistr:ltion publique lultérieur.
,
3' Loi n' 49-1091 du 2 aOlil 1949 instituanl ulle carte ndfionale dite 4. Carle naliolIa"e dèS ec:ollomiC/l1t'ml'llt /aibll's )'>.
Les b0néfic.:iaire:'. de la cartl' llatiolléJle de:-;.
économiquement faibles seront, au~ termes
de la loi prl'citee, inscrits au:ùmatiquemel11
su r les listes tl'a_~sistance mêd kale gratuite
Cètte mesure entraînera, Comme c('lIe prl'cl>demment ana lysee, un accrob..c;ement substantiel des charges d'assistance, Certes, le:;
bénéficiaires de ra sistance medicale gratl1i~
te comptaient déjà un pourcentage important
d'oconomiquement faibles. mais il l a tout
lieu de pen 'er que de llombreuse~ de-man-
pr esentees et que la l iste des bénéficiaires
de ISassistance médica le gratuite s'allongera
de ce fait considérablement.
4 " Lai n" 49-1644 du 3 t décembre t94!J
reglanl alf 1er janvier t 950 la situation de.
~élléf/CI,!rres de l'allocalion temporaire et de
1altocalion-vrerlfesse et modifiant certaines
drsposrlr<1l1s d'assis/anee.
j' appelle l'otre attention Sur les di.posihons
des artIcles 8 .et 9 de la loi préCitée, qui
sont de nature a aru'g menter considérablement
le, nombre des .assistés, sinOn le montant des
dl'penses d'aSSistance il domicile.
B/ RECETTES
1. - RECETTES FISCALES
L 'ajounu:ment de la r éforme de~ finances
l?cates implique le maintien en 1950 du systeme fiscal des collectivités locales en l'igueur
en 194-9 (1) SOus les réserves ci-après :
1 Ta~e locale additionnefle aux taxes ::Jllf
le chiffre d'affaires.
Q
La loi n" 49-1642 <lu 3 1 décembre 1949
proroge le régime de la taxe ioca le instituée
par le décret du 9 décembre 1949 sous r eserve
des modifications sUÎvantes :
a) Champ d'application territorial.
Le régi~e de la taxe n'est prorogê que
pour les departements de la métropole. y com ~-,s la Corse.
Ainsi, les collectivites locales des quatre
nouveaux départements d'outre-mer ne bénéficIent plus de cette impositiorf à compter du
1er jan ...·ier 1950. Les communes de ces quatr~ départemenrs continuerOnt
tourefois â.
pen.:e\'oir les droits d"octroi de mer.
b) Majora!ion
/acutfa fit'e
de~ taux de la
I~Yl·.
Les Conseils\l unkipaux peu,'ent, en 31Jplil.:ai;On df: l'ali néa 3 de l'arlicle 1er de !à loi
;,re:citêe, rote r tlne majora tion des taôJ~ de
l a taxe: cette majoration ne pourra excéder
0,25 % pour les affaires passibles du taux
de l,50 % et 0,50 % pour les aflaires passibles du taux majoré de 2,70 %.
Je vous rappelle à cet égard la règle sui \"a nt laquelle les majora tions de taxe ~ont
mises en recOuvrement le 1er jour du 'T'ob
qui suit celui de l'approbation de la dél ibéra rion du Conseil Municipal prise à cet effet.
II l'OUS appartient donc d'appeler tout
spécialement l 'attentiOn des assemblées municipa les qui désireraient appliquer la majoration des taux à compter du 1ei fè'rier sur
J'urgence que présente l'intervention de lellr
délibération .
Ces délibérations devront ètrt' notifiee-.. ot-s
leur apPi(l')ation :lU Dinecteur départe.!" I!t'd
~.es Contributions Ind irectes.
Vous demanderez en outre aux assemblées
municipales des \,jj les de faire porter leur
choix SUr J'un des taux ui\'ants: O,lO %,
0,20 l"1r ou 0,25 % afin dl' ne pa~ l.:olll!ll iquer
outre rnesur~ le tr"1,'ai\ des a~ents c~a'gé
de la perception.
\'OtlS 1O':'tt:TeZ rgalcn'ent le~ .. on~mune..> ~\
moindre importance qu: désireraÎl:nt insti: uet
ce te majoration, à fa i re choi\. du taux de
0,25 ,. ( e!l raison du faible- interèt que present ~ ra i t pour Ct!...., localitl!' la pl..'rception d·un
taux inférituT.
.
•
!
(1) Cf. ma circulaire n" 10 AD-2 du 10
janrier IY49,
�1
cnfIn . \l)ll~ p;Lt.:I~èrt.·1 aux lOI1:-el b, mUlli..: pau\. 411~ la majoration de tauÀ adOptl'e
pou r
2.ïO
le~
f (
affairt?s passibles du iaux maio ré de
dt!\Ta ohligato:remi;!nt êt re le \:ioub le
de celle ,dopt~e pour les affaires pa 'ibles
du taux 'ImpIe de 1-.50 ~'c, ain ~i que cda
rc-ulle dt:!'- débal.::; parlementai res.
C) \'enemenl du produit de. lu majoratfOll
du taux,
L 'artkle k T In fine de la 101 du 31 décembre 19-19 prec:se que le produit de la majora tion «les taux de la taxe <restera acquis aux
communes qU i l'auront instituée et ne pourra
vt.mr ~n aucune manière, en d imirrutioll sur
la part à \ erser par le fonds de përequation.
Cette disposit ion signifie que :
- Le produit de la majoration sera inh:~Talement ,"ersë il la commune du lieu de
perc.:epiion salb, qu'il puisse supporter de
prélè,'emelll au profit du fonds d. peréqua bon;
_ Le: produit de la major ation 1'\I'entrera
pas cn ligue dt! l'ompte pour la délt:rml,nat,IOI1
de la reœtte noul'elle dont i l est fai t etat
dan le calcu l des at.ributions coml)ehsatrtCes
de pertes de recettes pren les pa r l 'artic le
290 du decret du 9 décemb re 19-18, reco ndu t
en 1950 par l'"nicle .\ de l a loi du 3 1 Mcembre 19-19 ;
_ Les cntè res relatifs au c produit de la
taXt locale par habi ta nt ~ dont i l pou rr ait
etre fai t état en 1950, comme en 1949, pa r le
Comite de fonds de peréquatiol> po ur déterminer l'attribution versée 'Par ce fO.nds ail
ti tre de l'article 25 1 du de.:ret du 9 décembre
I Y48, se ro nt déterm inés sans te nir co mpte
de ce tte maj ora.iion.
d) Réparlilia/l du pradu ,t de la taxe,
Aœ,traction fai te de la majoration de taux
dont il .r~nt d'ët re question, le produit d~
la taxe locale sera repa rti en 1950 de la
façon
~ u i \' ante
Commune
du lieu de
perception
Dcpartem.
du lieu de
perception
Fonds de
péréquation
(ontmun~ dt IO.O<X)
habi tants d au-Jc:-.sous
non sta tions cla.:,--sèes ............... .
Communes de 10,DO I il IDO.ooo hahlta nt;
nOn Etat,on::> classées ............ , .... .
Communes de plus de IDO.OOO habuanl, et
stations classées ..................... .
Communes de ·Ia Seine .......... . ..... .
Pour l'2'pplication de ces d:spositions, il y
aura lieu de faire eta t du chiffre d. la popU'lation municipale totale tel quïl ressort du
,-eœnsement de 19-16.
2 Redc l'anfC départemental e et commun al e
des Idnes.
L 'articl< 125 du decret n· -18- 1986 du 9
decembre 194R a abroge l'article 336-q uator
Ch loru re de Sodiun'
Extr~il
rar
Extrait
l'II
aba tage ........ .
dissolution par sondage :
U 'age domestique ................. .
-
L~ge
•
fiO %
25 yr
15
~,
;;5 %
20 o/c
15 'i'c
15 sr,.
70 Vr
75 %
15 %
10 'le
a u Code général des impôts directs qui exonéra it de la redevance departementale et
co mmunale des m:nes
les extrac tion~ du
chlorure d~ sodium .
Cette substance est dvnc, lh.::-rrmais, a::,sujettie il l'im posit ion en ca use el u n décret
du 30 decembre 1949 a fi xé ai llsi qu ' il suit
le taoUx de la red evance applicahle au sul :
U<lite
taxée
Hedevance
commun .
tonne nette
ext ra i te
tonne de
chlorure de
sodium
contenu
industr iel ...
TaxI' lldditionnelle Sur les mulations
au profit des co m ,If/eS de mOlfls de 5,000
habitants,
Larticle 25 de la loi n" 49-1 641 du 3 1
déœmJ re 1949 ma intient provisoirement jusqu'au 3 1 janl'ier 1950 les dispositions de l'arhcle 9 de la loi n" 47-2359 du 22 décembre
1947, 11ela rives à l 'insti tution au pro fit des
communes de moins de 5,000 ha bitants d'un
londs commun alimenté par l es taxes sur les
mutations.
Cette dispo ition sera naisembl abl ement
p'orogée pou r l'exercice 1950 par la loi de
finaoces.
4" PatenU,
U.n projet de loi dépose il l ' Assemblée Naionale prc-vo't entre autres disposilions que
.l
15 '10
Rede vance
(Iépan.
T otal
5 Ir.
1 fr.
G fI'.
5 fr .
1 [r
6 Ir.
1 fr.
o fr.
20
1 fr. 20
le principa l fictif de la patente 'en 1950 sera
st1lbilisé il la moyenne des pr incipaux fictif,
de 19-18 et de 1949.
.
CeUe \'Jleur pourrait lou tefois êt re modifiee pOUJ1 ten ir com pte des cr éa tio ns Ou des
disparitions de commerces lorsql1e ces mod ifi cations représenteront une va ri ati on d' au
moi ns , IO % par cappo r t il l'ensemble des
dro i ts de l a commune.
JI conviendra d'éval uer provisoirement la
\'aleur du centime en co nséquence.
Il. -
AUTHES HECETTES
1" Subvention automatique prévue par l'ordonnance du 8 août 1945,
Le régime des subvwhons prévues pa~
l'o rdonnance du R aoM 1945 en fa,'eur des
•
coi lecti\ ·.ts aucii1tes par faits li\! g-uen ..: :=.-ull~i 511: en 1950. La subvention autolll ati ql1e ~t:' ra
calc ul ee ell fonctioJl de la diffé rence l'lUre
les mon ta nts ctim ul és des pr i ncipa u>.. fidll s
de la co ntri bution mob iliè re et de la contri~
butioll des propri étés bàt ,es pou r la premier<
annét:' de destruction et pour L'.a nllce 195U.
l:o nfo r l1l t ment aux disposi t ions de l'Qrd on~
lIance préciflëe.
2" ParUcipation de J'Etal aUx
(,.-intérêt général.
~
1
clépe w~I!,"
Le bud'get ne co mporte aucune i nsc ript ion
il .cet éga rd .. Par ailleurs, l e projet
de ,loi relati f aux \rQI CS et moye ns prevoi t
que les communes bénéficiero nt pa r priorih\
sur les sommes à d istribue r pa r It.: Comit~
créé par L'ar tic ie 25 1 <llU décret du 9 décembre 1948 por tanl réforme fi,cale, d'altdbutions égale ' au x somme:, q u'cll es auraient
reç ues en 1950 au ti t re d e l>a partlcipa- tio l\
de l'Etat aux .dépenses dï nté l t:l geni: ral.
Quelle que soit la déci,ion du flarl ement ,
les comm "ines recevro nt un e attribu tion calculée. sur ra base des taux P " ,",V lI S par la lo i
du 14 septemb r e 194 1, compte ten u des l'al eurs de rcfére rke fixées par l'arrèré du 2!:l
octobre 1949. (J . O. du 26 novembre 194\1) ,
Cette attr ibution sera doublée en applicatio n
de l'article 1er de la loi n" 47-2359 du 22
décembre 1947, prorogée par l 'article 25 de
la loi n" 48- 1992 du 3 1 cte cembre 1948.
De même, la subven tion compen sat ric ~ il
laquelle peuvent prétend re les départemellt<
ell vertu de l'article 3 de la loi du 22 décembre 1947 se ra ca lcul (e p our 1950 . Au cas où
le budger génüal ùe ce t exe rcice ne CQ mpo rtera :t pas de cr édit à ct't égard, ceae
tiub \'entioll enÙerait en li gne de compte pour
déterminer les recettes garantits en rertu de
!'arlid e 4 de la loi du 3 1 décembre 1949.
chi ffre d'a ffail es (taxe sur les ven tes au détai l
et taxe sur 'l es ven tes il la consommatiOR ( 1).
En ce qui concer ne l 'éva l uatio n de la
rece tte nouvelle provenant de l'attr ibution
part ielle il la coll ectivité du li eu de perceptio n <I.e l a t axe. i nstituêe pa r le dêcr-el du 9
décem'bre 1948, il co nviendra d'éva'i uer l'CJlsemb le des. recouvremen ts qui seront effect ués à ce tit re au 1er fév ri er 1950 au 3 1
janvier 195 1, com.pte te nu des modifica tions
appo rt ees au rég ime de 1949 par la loi du
3 1 décembre J 949 et anal ysées ci - dessus.
•••
Je porte ci-desso u-s, à la comuris$once de
MM . l es M aires, Ull ex/rait de [' in struction
' n° 17 8 2-2 du 16 ianvier 1950 de l'Admi" n ist ra t ion des Contri buti'ons i ndirectes préciSant les modalit és d' applicalion de la loi
du 3 1 décembre 1949 (J . O. dll 1-1 -1950),
rel ative à la faxe locale additionnelle aux
taxes sur le ch iffre d'affaires.
TAXE L OCA LE SUR LE CI'IIFFE
D ' AFFAIRES
L oi du 31 décembre 1949
L a loi n" 49- 1642 du 3 1 décembre 1949
(J O. du 1cr janvier 1950), qui a abr<lgé
l'article 5 de la loi n° 49-1034 du 31 ju illet
1949, a prescrit que la taxe locale additionnelle a'u,x t ax es sur le ohiffre d'affai res continuera d'êt re perçue à partir du 1er j anvier
1950. D 'a ub'e part, si 'l 'assiette de la ta xe
tell e qu'elle existait au 31 décembre 1949 n 'a
pas va r ié, le texte fpréci~é a apponté des 010 dÏlfica tions importantes au régime antér ieur.
J" At!ri/lul iof/ s compClIsatri n ',\ de perle s dl'
recefles.
L 'a,ticle 4 de la loi du 3 1 décembre 194\/
reconduit en 1950 l es d ispo siti ons de l 'ar!lcie 290 du décret n" 48-1 986 d u 9 décembre 1948.
Il prévoit t::11 ouvre qu'il sera leml (om pte
dans la déterminati on des pertes de II0Cettes
des rel iq uats de taxe sur les ventes de 1948,
quelle que soit fépoque de leu r perception.
Pour l e moment, l es adm in.istra teurs locaux
i nscri ront au budget pri mi,ti f de 1950 une
attrib ution compe.nsah"ice évaluée dans les
co nditio ns ci -après :
L e montant des re cette s cra ran:ie:-, ~ra
déterminé en add itionnan t:
~
1. - P erceplirm de la laxe,
La ta xe loca le est perçue il par tir du 1er
j anvier 1950 dans les mêmes cond itions qu'au
3 1 decernbre 1949, sauf da ns les départements
d'outre-mer (Gu adeloupe, Marti nique et Héunion) où elle est sUPPI,imée (art. 4 de la loi
du 3 1 juillet 1949 précitee),
a) La ~ub \'entio n spéciale 1948 maj o r~e
de 10 %,
b) Le pl10du i t en 1948 des i mpo,itlon, supprimées (taxe sur les établ issements dc nUIt.
taxe sur la publicité, ta xe l ocal c sur le,
ven tes ( 1).
(1) Y cc,mpris la moins- value ré:-\lIltant Lie
la r eduction de ta ux des taxe~ sur I(' ~ mutation6.
13
4" I?éparlition rllI reli'lllai de la taxe l ocale
pour 194g,
Cette rcpal ' titiol1 fait l'o bjet d'une circulai re peciale qui vous est transmise par le
méme courr ier.
Po ur le Vice-Présiden t du Co nsei l
Mi nistre de -l' In térieur
et pa' délégation
le P.r éfet,
Directeur de \' Adm inistrat ion
Genérale, D epar tem entale
et Commun ale,
Pierre-Jean MOATT I.
d~ cr ëdit
Pour déte rmine r à cet égard le produit de
la t axe sur les venles de 1948, i l ne senl tenu
co mpte provi soirement que des r ecouv !eme~t s
effectués par les régieg finan.ciè re ' in tercss('l'S
du 1er février 1948 au 3 1 janvier 1050 au
titre des taxes existant anteneurem ent il la
ta xe locale addition nell e aux taxe~ sur le
-
1
'1~
"
II. - Tau x,
Les Conse:ls municipa ux peuvent désormais voter une majoration du taux de la taxe
locale dans l a limite de 0,25 % pour l es
affaires sc umises au ta'ux de l ,50 %. Cette
majoca tiol1 est doublée 'pour les affaires passibles de la ,tax e au t aux de 2,70 %,
1\ resul te, en effet, des débats parlementai res que les perception s de ces deux maj orations sont liées. Si. par Ifxemple, un COIlsei l Muni cipall i,nstitue une majoration de
0, 15 %, l a ' tax~ l oca le sera perçue. tI'une part)
"'u taux de 1,65 % pour les affaires imposé-es
(1) A l'exception tOlltefoi:;;, Cil ce qui CC! Icerne les collectivités siègt!s de co mptoirs de
\'ente de charbon des SO lllmes encaissées au
htre de la taxe locale pour 1948 il raison des
"ente, de charbon,
précédemment à 1\1 50 '/0 et obl igato i rement
au ta ux de 3 .% (2,70
0,30) pour les affa ileS Imposee.s JlI qu alor:; à 2,70 %.
,'Les Conseils Mumiclpaux fixent lib remen t,..
d 1I~1(! part, le taux de la maj ora tion dans la
I I ~l1te
0.15 % 'prevue, d'a utre part, sa date
d a.ppLc at. on, mais ils ne pClIvent exonérer
c~r~ai.lI \:'s. aff,aires. de lad ite malj ora,iÎon. La
cJ eilberatJc n . mlln lci pa:~ doi t Etfe approuvée
par l'autoritc de ~lI te ll e,
E,.p I ~ Ll,r r em.etta nt lin cxemplail:e. d.!! la I?résenTI.;! [ n~tJ lIctJon, les chefs d l vls.'Û nn al re::>
~i.g n ~le ro nt au~ Ipréfeb e t aux sous-,préfeœ
llllterèt que presen te ra it tn nt I)our le co ntr ibUable qut' pour l'Admi nistration :
1" L 'adoption de taux uniform es: 0,25 %.
da.II la généralHé dt:s cas, ou si ce'l ui-ci apparaIt trop levé, nota mment dans certaine;
grandes villes, la fixat ion du taux soit à 0 10
soit à 0,20 % ;
, ,
~ " La fixation 1 au ,premier jour du mois
s UI\' ~nt la ~ate d'approbation préfectoralel
la mise Cn vIg ueur du nouveau tar if.
Par aW(!urs, aucu ne dispositio n transitoire
~ 'est prevue pal' la loi ct ne peut, dès lo rs,
etre accordée par les Conseils mun icipaux.
11 y aura l ie u de don ner, dans la presse
locale, la pub licité (Iésirabl e aux déli berations muni cipales.
L a maj orati on sera perçue en n',ême temps
et Sur l es mêmes affaires que la taxe localle
el.le- m,ême. Son produit ne sera pas dist in gué
sepa r emem su.r les qu ittances d'élivrées ; le
montant se ra dégagé à part globalement pour
chaque co mmune lor:=.- de l'ar rêté mensuel et
il r ester a ciéfinitÎ\'eme nt acquis à la cOmmune
qui l' a incst itu é sans auc un prélè\'ement au
profit du departemenl ou du Fonds national
de pé req uation,
+
:te
lIl. -
t :au, gaz, élee/rici/t!,
L 'art~ c1e 2 de la loi fait obligatiO Il aux
entreprises vendan t de l'eau, du O'az ou de
l'électricité de répartir mensuel1e;ent, en tre
les co mmunes et l-es dépa r tements dl'pendant
d' lin même centnc distr ib uteou r , le produit de
la taxe locale payee à ce centre, proportionnellement élU montant des ventes faites dans
chaque CQlllmllne et da ns ch aque département.
Ainsi, par exemple, chaq ue centre de d':stri bution de l'Electricité de France mentionné sur l a liste donnée- dans l'instructio n
3 11 n" 2/ 2 du 15 novembre 1 9~8 \'ersera la
taxe loca le Cn vig-ucur da ns la locali t... , et
joindra, d son versement mensuel, une liste
des commune~, classees par déparieme.nt et,
si ,possible, par l~; lrconsc ri pt i on de recouvrement dan;; lesquelles le courant a été fourni
ainsi que la quote-'part du montant de la tax.e
qu i doH revt!nir à chaque commune et à chaque département considé rés ; cettt- répa rtition se ra fai te par l'ent repr ise en fonction du
montant des ve ntes réalisées dans chaque
collectivitë au. cOurs , du mois pI1t?cé dent. Le
comptah le qUI recev ra le versement effectuel"'-", en se co nfo rm an,t aux règ les en
vigueur, le \'Îrement aux comptab l cs des
circonscrintions dont relèvent les localités
in iéres:-;él's d'après les ind ications données
pour chacune d'cil es au relevc fourni pa r
l'~nt reprisc.
IV. - ,\ffcdatioll tic ,,, taxe localr.
L 'articlt! 3 de la lot modifie les règles d'~lt
trihution du produit des taxes de l,50 Vr
et 2,70 %. Il est attrib ué aux commun\!:s
outr-e le pr od uit de la majoI13tion fac u1ltativ~
prévue à 1 article prem ier :
60 % pour les communes de 10,000 habitants et a1J-de~sous .
65 % pour le" c~mmunes de 10.DO I habitants il 1DO.ooo habitants .
70 % pour le.s comm~lnes de plus de
I DO.ooo ha bitants ct les stalions classées.
L e chiffre de la population co mmunale a
ço n"dé rer e t celui de la pop ulation totale
au d rni er re cen emcnt.
Les stations cl assées sont les localiks Où
le carac tère de sta t ions balnéaires rhermal,es, h ~dro min éri8.1 es, cli mafliques ou' ll\"a les a
cté pr ealab lement reCOnn u da ns les conditions
fi xées par les lois <les 24 septemb re 19 19 et
3 avril 1942. Quel que 'Dt le chiffre de leur
populaiion, ces communes bénêfici ent définitivement de 70 '/0 du pro dui t de la taxe
de 1,5 % et 2,70 %,
---- <»ooc~,
_ _ __
D5 BI
F 1
BUDGETS DES CHEMINS VICINAUX
JI est rappe l é à MM . l es M aires qu 'a près
l e vote des ressou rces par le Con sei l
Muni Ci p al, l es budgel des chemi ns viciI1 <l!UX, éta_b)i s p ar les l rug<'nieurs T, T, E"
dOiven t etre ren voyes au Service des
Pont ct Cha~lssées et no n pas adressés
dlrec temen 1 a la P réfectu r e o u en So usPréfecture,
- - --<> 00 <>- - - -
D6 BI
A3
PRIMES A L'OLEICULTURE
Le Prefet des I3oudhes-du-Rhône
il I\\.I>\. les Mair" du Dépa rte~t nt.
J'a l'hon~eurde vOus rappel.r que les oléi c~t!t,e l1ps .d~lrant bénéficir;.'r des primes de
rege neratJon ou de pla ll t-a1ion doive nt cntre
le. l ltr janvier et le 15 fév,rier, délai de Il!O'ucur
fal,re il ia !J'lalrie de la commllr.·~ oùo son;
situes L..s olivit:rs, 'un i:!' rlécla rat ion établie SU I
l 'imp rimé modèle n" l , indiquant:
1" Le na<,!'lbre total ù'o!i\'i'ers reuénérés par
.
.,
0'
l'CC ~page slmp.c ou sllrgrt'ffés ~'u r ~e domaine
qll'i~s ,exp.loitent dJnllJI1t droit il la pr;me d..:'
r~ge.1:!ratlon pour It squels L àélai d'attributIO n de 10 ans n'est pas encore eco ulé.
2" Le nombre total d'ol.iviers nouvellement
plantés sur ce domain~ donnant dro:rt: à la
p~lm.e ~e p.!aut~ton n'Oüvell,e, pou r lesqutl .. le
delal d attl1rbutlOn de 15 anS n'est pa ellctXc
écoulé,
3" Lt: rombn:. d'oli\'i~rs qu e les oléiculkurs
se proposent de régcnerer ,par r ...ce-p;xge, avcl'
ou sans greffc, avant la fin de l'année III
cours (c :. ttt! 'déclarakon l'onsti,t ue la dt'mandt
d'auto( ~~l tio n prénlab!c nêcessaire a l'oht 11tion d~ ln I)rime de r(génération).
La décll ratiun llt.:nJ l)rùcis.. r le üeou dit
et le numéro c~ldastral d ::-s parcclli!s, :l'Ilr
supafic:.: et It: 1l 0Ir:L'f1' :l'oli\'i~rs eon'tftinus
dans chaque parcelle, ln spécifiant celle d~s
deux prim.~s pré\'ues p':H la loi qui s'a.ppli ..lu e
au,'\ arbres considérés.
Ces dédarations seront l'asom/e/les, ,'/les
dCl'ront êfrt' ccrtifià'.\ (':mc/cs ct si'gnées par
t<,s dédarallts.
Je \ o u~ prit.' dl: Irel! \'oilloir portt:r il la (:011_
lIaiss'1I1CC d"s ol~kl1Jteur~ de \'o tre co mmune
les dispositions Qui précèdent et les invit~r, k
�15
l-l
cas échéant à remettre à la ,Mairie, .,vant le
10 février 1950, les déclarations modèle n" ~.
Il \ '(JUS appartiendra de déli\'fer aux. Jnteressés un cen;ficat <k réception ou recep;ssé
de <leclaratlon modèle n" 2, signé par \"OIIS
ou votre délégué.
Je vous serais obligé d.e I~ien . ,r~uloi.r n~e
faire comlaitre 1 nombre ~ ull,prllll,,? modcles 1 et 2 e t k!s tabkaux recapllu1a\lf ' communaux qui vous sont I1'écessaires, pour me
permettre de vOus les adresser.
"
je voU'S rapp~\Ic que ~.t - tabeau6x rc~.aJ'l:
tulatif doivent etre établis en double exem
plaIre, le pr~mitT adressé à la PrCfectur<" 6e
Division, 1er Bureau, le second a M. 1" Professeur Réaional d'Oleiculture, 79, /lUe Dra~ a' \
~Iarse"
il\e et parvenir avant
le 15. ma
rs
:;",0,
..
. .
crtte
1950 ; teute expéditioll posteneure a
date sera rejetée.
Caisse des Dcpôts et Consignations les re11sei .rnements suivants:
Les nom, prenoms. date et lièU de
nal::.sance, nationalité et adn:ss~ complèU! du
rentier ;
i"
2"
La date du premier .• cddl'nt (ou de,
accidents succl:ssifs, le cas c:chcant) ;
.
3" Le nom ct I"adrt:::>se du dlbit~ur tlu
principal de la reote (ou des rentes anlefl eurts, s' il y a lieu) ;
4" Le tau , d'inra lidite et le mon~nt
annuel de l a rente attribuée a la sUi te du
dCIlnier accident, le montant er" la date
d'edl Lance du ct~rnier arrér age de rente
PQ~
Pour le Prefet :
Vvus \' oud r~ z bien informer des o1.>lIl:: ati ons qui leur , Inc?J!lbent, les organi~~t~on,s
spL'Clalcs de secunte so.clale, e~ltr,epn~:s ct
colh..:ctlvit ' de votre CtrconscnptJ~n, as.su ~
des accidents du travail.
Pour le i\\mistre et par auto rh,atloll,
LL Dirct'{Cllr Gt.nrral
dé la Sérllrite SC/cla1e '.
G, LAl\\ASSOURE,
____ 0 00<>'----
AG Z
02 B3
LEGISLATION SUR LES ACCIDENTS
DU TRAVAIL
j'ai l'IIolllleur d'attirer ('att enliOn de Mi\! .
tes Maires clu Dépùrlfmèll~ sur le texte d;
la drculaire n" 231-SS du J nOl1cinbre \94,'
cidenls
.
mant directement la charge de la reparatlOn
Le SecrJ/aire Genéral Delegue:
relD'IÎI'1!
à la majoration d~ rente f!1l cas d .o,c-
aIl
je vous ,prie d 'altirer l'altention de, Maires
de votre Mpartement s ur ces observations
de la Cou' des Comptes ct de. ,eille" à cc que
travail successcfs, d~llt le ~er,ller
\!st sun'enu depuis II! 1er Janv!er t 94.1.
Le Ministère du Travail et de la Securite Sociale
, '
ci MAI. les Directeurs Reglonaux d" la
Sicurite Sociale,
Depuis le 1er janvier 1941, t~LJS les organismes collecti\'ités ou entreprises ,a~sumant
ta cha;ge de la rép aration des. aCCidents du
travail et des maladies profes"onnelles sont
a
appelés
liquider les rentes dues ,au x ViCtimes d 'accidtnts o u aux ayants.-drOl.t, c~mpte
tenu des di\'erses loi.s d~ malo~ahon lOtervenues depuis le 1er Janvier 194 t .
En cas d'accidents sut:c~ifs, dont l'un est
survenu a,'ant le 1er janv.er 1947 et le dernier po~tcrieurement à cette date. au serVIce
d'une coUect,vité ou d'une entrep n~e r~l~vant
d'une oraanisation spéciale de securite ~o
Pierre LAROQ UE.
_______ C)ooc>-------
AG 2
D2 B3
APPLICATION DE LA LEGISLATION
DE SECURITE SOCIAlE
AUX AGENTS COMMUNAUX
J ai /'hOrureur oc porter c."-des>Ous li la
cunllaissunce de MM. les Ma,res du D eparlemellt le texte de la c:/f culaire ü5 AD j3 du
3 1 décembre 1949 de AI. le V, cc:-Pr ésiden l
du Conseil, MinlStre de /'Illt érieur.
Le Vice-Président d u Conseil,
de l'ordonnance du 19 octobre 1945.
Aux terffitS de l'article 25, paragraphes 2
et 3 du rtècret du 29 décembre 1945, l'employeur e::;t, lorsque le sa lai re est mamtenu
fractio!1 s de maj ora tiofl dev~n t ~tre suppor-
tées tant par le ronds d~ malor,at.on d~s rentes que par l 'o rg~~I~atlon. speciale, 1 entreprise ou la collecuvlte susvisée.
. ,
En conséquence, chaque roi, que la ,·.cllme
d'u n accident du tra va il déclare, ,,!re ntula.rc
d'une rente en r aison d. un precedent SIOIStre sun'en u arant le 1er jan " cr 1 ~147 . .le debirentier (organisation spt:cia.lc. ge sl:l:unk
iociale, cntrLpri~e uu colletlt\ lie a:-.sumant
d"ectement la charge de la reparat.o n des
:tct.:idenb du trarail) doit l:ommullIquer a la
1 0cal ~ ls
lI eglig~aient
[réque mlmnt de fai re
état des droits que
leu r confère, en tan t
qu'employeurs, le déc ret précité du 20 décembre 1945. Bicn qu'elles continuent dans la
pl upart des cas de se rvir à leurs agenb. malades. en' vertu des di position::; de leu rs statU[S l'int~grali1e du tnaitemen t, le~ communl:S
(Jill ·th!'lt de ~~ ~llh~titûe r il Icurs empluyés
ct It:s CaÎs!'-cs- de Sél:urit0 S(Klak V r~nt
directement aux inte rc:-.s~s le montant de
Indt:mn itl:s journalières qui \ i~J1t s'ajoutt.:r au
Iraitement .ptein.
Article 2. - M. le Secrétaire Géneral tle
la Préh~..:ture, M. le Di rec teur D~partemental
de la Santé sont chargés, chacu n en ce qui le
concerne, de J'exéc uti o n (Lili présent arrèté.
Pour le Vice-Président du Co",eil
Mini ' tre de l ' Intérieur er par dëlégation ,
Le Pré[ct, Directeur de 1 ' ~dmil1ls tr a tion
Gellerale, Dépa rtemen tale et Communale,
Pierre-jean MOATTI.
_____ 0 0 0 ( " ) ' - - - -
AG 13
D581
celta in nombne de ~ln ontru rcs mobJht7~
011t été admis da ns le programme départe'
mental de pnorité de reconsllruc1ion pour
1949.
Les 1istes de sini très reconl1'US prioritaires
ont été élabo rées ~n a pll \i cation ci_ - inst,uctions contenu
d'a ns la circul"ire CG. 131R
du 28 ja nv.er 1949 d e MI. le MiinistTe de la
Reconstruct ion et de rUrb.,ù me. Ct:s listes
peu\'"nt être co nsul tées à la Préfecture, 5e
Di vtision , 1er Bureal!.
Il est tautefoiprécisé qu' e n application de
l,a ci rculair.e mi n.istérielle précitée, ces document.;, établis par comm un'~6, seront, ~ffi~h és
à la portJe pri ncipale de chaque Ma:fle mtéressée.
Pou r le Pr6ftt,
Lt S..:crétair~ Général,
LA~'v\IASSOURE
FS
0
DISPENSAIRES HABILITE S POUR PRATIQUER LES EXAMENS DE RA DIO
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIFICATS PRENUPTIA.UX AINSI
QUE LES EXAMENS P RE ET P OSTNATAL.
ARRETE
L e Préfe t des Bouc/lcs-au-R/lo'h',
Offid ~r cie la U'gioTl d'honneur,
Vu l'ordonnancen" 45-2720 du 2 norcml>re
1945 sur la protection maternll\c et in lantile ;
l'
Vu l'arrêté du 15 av ril 1916 de ~1 le ~ 1nistre de 'la Santé Publique ~t de la PopulatiOn et les rectificatio.n5 parUl'" au Journal
Officict des 10 mai e t 15 septembre 1946,
fixant le modèl e dU! certificat d'examcn J1lé~
dical ava nt le maria ge ;
.
Vu la loi et l'arrêté du 14 ma. 1946 sur
les examens pré et post-na tal ;
Vu 'l'arrêté du 1e r juin 1946 :
Vu la circulaire mi nis lérie lle n" 148 du 6
juin 1946 ;
,
Vu l'article 7 de l'arrêté portant reglemente
Jl-.partt.:mental
ur la Protection Matcrncll
et Infanti le dll 3 1 décembre 1947 :
.
1 DI'rec·
Sur la prnp 1sHion de Monslt!ur ~
'tU
MEDECIN HABILITE POUR PRATIQUER LES EXAMENS DE RADIO EN
VUE DE LA DELIVRANCE DES CERTIFICATS PRENUPTIAUX AINSI QUE
LES EXAMENS PRE ET POSTNATAl,
AllRETE
Lt' PIï![eI des BOllclles-du-Rh ôfle
Officier de la Legion J' honne;'f",
Vu l'ordonnance 11 " 45-2720 du 2 novembre 1945 su r la Protection J\'iaterne lle l't
Infanti le ;
Vu l'arrête du 15 ",'ril 1946 tle M. le Mide la Sa·nté Pllblique et de la PO,pu-
ni s~r e
les rectifications parues a lti' Journal
OfflClel des 10 mai et 15 septe mbr e 1946
fixant le modèle du certi fica t d'exa men mëdica l a\'3 nt le mariage ;
Vu la loi t"t l'arrêté du l--l rr.al 1946 su r
les txa mens pre ct post-n ata l .
latl?l\. d
ponant
Vu les circu l aires mHlistén~Il ~ ~" d'ap.pl:_a-
tion des 29- 12-1044 et 29- 11-1 949 ;
V!U les prollositions et j u~tifJ ca t ions prê-
ju~n
1946 ;
Vu l'article 7 de l'a rrè té po rt an t rècrlement
départemental sur la Protectio ll Matern ell e
et In fantile du 31 décembre 1947 .
SIFr la proposition de M. le Dir&teur De-
Ilcp:trt<:l1lclltal dl": la S,:l1Itl' ;
• ,\1<1<1: lE ;
Arthlc premil'r. _ Lc~ dbpCIlS<lin':5 du
S. D. H S. d u Dépa rtem e nt de' ROllcl1 cS-
S. D. H. S. du Dé partement des Bouches-duRhone, es t ha b ilité pour pratiquer les exame-n.s. de radi ? en vue de la dél i'V rall ce ~s
ce-rt1flcat~ Iprenuptiau x,
ai nsi que les exa-
m ens pre et post-natal.
"ArtiCIl! 2. Monsie ur l e Secretaire Génera l de la Préfect ure et J\'\o nsie ur l e Direc-
t~'r Départemental de la Sa,nté so nt charges, chacun en ce qui 'Je concerne d~ l'exéCution du fprésent arrêté.
'
J\\ arsei llc, le 10 janvier 1950.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général D elegue:
LAMASSOURE.
-------<.00<'----D3 82
FS 7
ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
PUBLICS
Prix de journée prévisionnels 1950
. Vu la loi dll 15-7-1893 sur l'Assistance Méd.cale Gratuite ;
,yu la loi du 14-7- 1905 su r l'A ista nce a ux
\ 1t'llIard~
Infirmes et I I1('urab le~ ;
Défic it.
Les pri>. de
p r ~visionnels.
Al.!"riurn de M on tvert, Aix-en-Pro\.,
559
Hos pice de Sai nt- Can naI . . . . . .
327
Article 2. -- M. le Secrétaire General de la
Préfecture, M. le Sous-Préfet d'Aix, M. le
Maire, pr esident de la Com1mis::.ion Adml,.istra tive de l'H ospice de Sain t-Cannat, M.
le Maire d'Aix-en ""lProvence, Mme l a Directri... e de l'Aérium de- 1\1ontvert, l\lM . les Receveur s de ces ëtablis:;em en ts, M . le TrésorierPay eur Génér al sont chargés, chacun en ce
qUi le conce rne, d t! l't!xéculion du prcl::ent
arrêté.
---
Fait à j\·\a r:-it.>i lll', Il: 23 janvier 1~'5o.
Puur le Préfet.
L e Secrétair e Général
LAM ASS OURE.
------<~ooc>,----
D3 82
FS ï
ETABLISSEMENTS HOSPITAliERS
PUBLICS
d~
antérie u ~
54
3
pré-
~t
a.;.s;lTé'
SocJaux
6 13
330
610
330
D6 BI
P 3
DESTRUCTION DES CORBEAUX
ET DES PIE!?
AllREiE
L, Préfet des Bouches-d<1-Rhône
OfficiN de la Légion d'Honn~r.
\'u la loi du 5 flnil 18R-l (art. 91,
9~
97
et 99) ;
Vu la loi du 23 juil",t 1907 sur 1"" d
twc-
tians des co r b~aux er <!es pies,
Vu l'ordonnance du 2 nov.embre 19-45 sur
la protec tion des Yégè:allx ft not J!mme.nt
l'act.ele 12 ;
\'11 le decrèt du HJ rtOvembre 1!?-l8 rdatif
a remplOI et a la \"t~nk des subst ances \'énén<'USe5-,
Sur la
propOb~t.on
de l'In pecTel!l" de la
\'égêtaux, du Conservateur
Protect!on d
des Eaux e: forêts dont délknd le dëpart t ment t't de j"lngênieur en Chef. Directeur des
S~T\·Î1.:t>s
(Rectificatif)
jO UTflt:c
PRIX DE JOUR:<ÉE
PAYANT5
3e Catégorie
Prix
journcc
pre\"isionnels
de revient des exercices
d.:s Et abl i ~sements
Ag-ticolcs des Bou.ches-dU-Rhône,
des 12 et 19 jal/pia 1950, pages Ô et Î
Sur la proposition de M. le S-eerétaire
Général,
ARRETE
ARllCLE l'RE.\tlER, - Est déc laré inf""re
1. -- PRI X DE JOURNEE « IND IGE1\TS
1" 1i6pi tal-H ospicc de L a Ciotat. -- Prix
département des Bouches- m'·Rhône compns
au Recueil des Acl!'s Adnulllstratll'
et Bulletin des Mairies n'" 2 d .)
de journée Hospice, colonne des eXl:t.'dents
des exercices antuieuTS, au lieu de 36
'
li re : 32.
2" Iiôpilal-Hospice de Salon. - Prix de
j o urn ée.l'.\ ~ecine, L'O lon~le des prix d~ journée prevls:onnels, au heu de 1.229, lire :
1.228.
3"' f16pilal-Ho'plfe de Alarllgues. -- Prix
de journée .Médecine, colonne des nx de
jou rn ée prévisionnels, au l ieu de 93_ lire
939.
II. -- PRIX DE j OUllNEE « PA);\, TS
. H ospice d'A uriol, - Prix de journee Hospice, colonne :{/: C.:1tL-:';Orlc e[ assuré ... ::: xiaux,
ajouter : 2 1R
_____ oc
~oO<)l,------
D383
FS S
HOSPITAlISATION
ET SOINS A DOMICILE
AI~ HETE
Le Préfet des BOn ches-a n-Rllône
Officier de la LégiOt, d'lioru/Cu/,
Arflde premter -
vi.ionnels app li tables dura nt l'a nnée 1950
dans les é t aqliss~mtnts hosp.italus publics
cl - apres sonr fixes comme SUIt, an:c eff'!t du
1er ja nv ier 1950 :
PriX
O(>s ig na ti on
Prix de journée prévisionnels 1950
ARRETE .'
Article premier. - Monsieur le D octeur
Mayer, médecin -chef des dispensaires du
sentées pa r l' Hospite de Saint-Cannat et
l'Aerium de Montvert ;
Vu les r'l'P0rt- de M. l'Inspecteur Principal de la Populati on ;
ARRETE;
PRIX DE JOURNÉE ' ''D ' (jE~T'
Vu l'arrêté du 1e r juin 1946';
Vu la circulaire mini sté riell e \1 " 148 du 6
partemental de la San te ;
-------( . 00<.-------
D. D. S
J I-IO-I !i45
et le,' textes d'application ;
Vu l'ordonnance du 18-12-1 944, determiliant à titre transitoi re le::; ri!~lt!'J de fixation
des pri x de journ êe dans les Hôpilaux ct
Hospices Publics ;
FS 0
D.D.S.
Par a rrêté du 27 décembre 1943 el du 2a
d'écembre 1949 pr;s su r ,prop 'ition de M, le
Délé"ue Départeme ntal du flUnitère de la
R cco';,~truction et de l' Urbanisme, ct après
a\'is émis par la Sous-Commiss.on Dép1\1't.tmen tale des Priorités, cha rgée de d"ttrminer
J'urgence de r econ6titutiol1 , d~ l~iel1s slin1"t~és,
l:J1
Mar:;eille. le 10 janvier 1950.
POllr le Préfet:
Le et'réla;re Général LJelegll e .'
LAMA SS(; URE.
Vu l'ordonnance du
oJ'ganisatÎon de la l'u lle contre l é! tuherculo e
-------<.00<'-------
PROGRAMME DEPARTEMENTAl
DE PRIORITE UE RECONSTRUCTIO~
DE BIENS SINISTRES
Préfets de la ,\1"<ropole.
La vènfica:,on des comptes des coll~cti\' i tés
locales a amené la Conr des Comptes à rele-
dale ou ~ssumel1t directement l a c~ar~e ~e
en totalité et qudles qne soient le ' clauses
l a réparation des accide~ts.da .havalt, Il ma· du contrat, subrogé de plein droit à 1a::;::iu ré,
paru pré[érabl~ que. la liqUIdation de la ma~
dans les droils de celuj- ci aux indemn,'~'I.;s
joration soit efiectuee par un st:ul or,gaOl me.
journalières qui lui wnt dues. LOf>que le
la Ca.sst! des Dépôts et Conslgnatlon::i.
contrat prévoit en cas de maladie le maintil'n
A cet effet, l'o r ganisation spéciale de, ~'-:
du salaire sou~ déduction des indemnités jourcurit ê sociale, l'entreprise ou la collechyIte
nalières, l"employeur qui paierait le salaire
assumant direct ement l a charge de l.a repape nda nt la pe riode de maladie, sans operer
rati on des accidents du travail .dOlt, d.an~
telte
déduction est seulement fondé il pou'le eas I.!\·dqué par l a .présente In~tr,uchon,
suivre aupr ès de J'assur~ le reversement d~
communiquer à la CaIsse des Depots el
ia fraction non déduite,
Consignations ks renselgt? ements lUI perm~t~
La Cour a cons~até que les collecLvilb
tant de procfder, en fonc!lon du rn.ont.ant des
diverses rentes allo uées a la .'·e~h l allo " des
duire,
~
ve r une j[Pégu larité f J1':'quente résultant d u
cumu le par ILs age.nts communaux malades
de l înteg ralité de leu r tr!a:tement avec l'indemniié j L'urnalière prévue par l'article '17
prat :quer les
la déli vrance
ue-:. certificats prénuptiau x, ainsi qu e les exall1ents pré ~t post-natal.
de tellt..'":) irrégularités ne pUIs:,ent sc repro-
Ministre de lïntér ieur,
à MM.
ulI-I~ lt ùlle -tiont habilit~s pour
examens de radio en \'u~ de
Uu B.
(Additif)
37-38 des 15 et
page 1S1, 1re co lonne
A. Al.
11"'
paragraphe
Hôpita l de
22-~'-~9
alon
Lu Commune d'EYG UIERE CM 01 comprerulrt. {'ormi les romnltl"{'.\ rntldrhin.
par les
~orbeailx t'I
1er pies le territoire du
dans les arrondi sements d' ALx-en-PrO\-ence,
d'A ries SjRhône.
ART. 2. -
!Ou
Il
t
e)pres;émen
e:nJnnt à
les explonant, propriétai - ou loea-
ta;res dt: te.rr~· ou terrains. cuttiv-'
ou non,
situes sur le terciioire dél~mit~ à J"alinéa pré--
cêden t. ainsi qu'aux detenteu
d"un droit
de cha e, de détruire les corbeaux et pies
existant sur les terres ou aurres dépendanees
de leurs prnpnétés ou exploitation: d"nt ils
t)nl ia jouis:;ance,
l.es bien~ d ~ rolktth·ités. cRs êtabl
ments pub!" ~~ ou privés ont asueints auX
m"m
obligations et leurs exploitan<!s ou
occupant~ tenus à clfectuer ou à SUpporter la
dt"Sinlt.:tion de ces oise.aux , toutefois dans
l ,~ bois d forêrs. CeS m lIUS ne sont appli cabl~ qu'il "ne dT;."'tance d.. 20 mètres <k la
lisièore
ART. 3. - Les operations dt'. destru.ction
: ont exécut~ SOus la dlrt"ctÎ()n du Grou-
pemen·t de dden~
mun~"
~ . . ront
l"ooS1itue dan_ la COnt·
S"lI n·exi:t~ p.:1S de groupement, el ...
placét.
OU$ la suI\'dHanc-e du ~\\.ai:re
quO pourm t'n confier !'execution il un rndi\..'at agr!,ol~" t.\ t \\ k'• .'\aires fixeront par
~rrt'h~ J~ iour" lfe\t?cutlOn die (es trait-e-
�17
s~s la product ion d e
ment:; Jans l't'IlSèmbk du ttrritoirtt:: de la
co m m~ne. t n donnant ad moins trois jours
avant un mo, p3r voie d'afficth~ Ou ft son de
cah5slt : i.ls en 3y'seront égakmen t dans le
mêm~ délai , i::: ConstT\'ateur dt!S- Eau~x
. . ot.t
Forêts donT de(knd le r.epart'ement, amsi que
le Sen'.~e d~ '.1 Pro~(: ~ t; on t.e~ Vegétaux et
le Pr,;si dent de :3 Federati"n Départ ent""- tale des C h~sseuIs.
T ou ..
rn .. 3'u res utilL-'5 seront prises pou':"
évite r roui <bnger tant ,pou r les personnes
qu t' vis- à-vis des a nimau x e t du gib;tr.
ART. 4. - Dans le cas où J\ apparaitra ~
au GrOUp.eluen t d~ d~fens~ q l,'un où pl;usieu flS
propriétairt.s Ou exp!o.itan
n~ fe raient pas
dililTe nce pour t raj.~e r leur domaine o u ne
1....1.u~aient p as trait é dans les d elais impartis,
lediT (Troupement sera autorisé, après rn .se
en de~~'lIre drs réca lc~t rants, à e ff~ctl1er 1
traitements d'office et à leuT trais, confonmlément aux dispositions de ra rt ic!e 13 du titrt
Il d~ l'<>rdonnance du 2 nO\'embr~ 1945, sans
préjudice d~ sa ncüon prêv utS à l'ar ticle fi
C'i-a;:n:s,
ART. 5. - La destruc tion des corbeallx e t
des pies se fera au moyen d'appâts déposés
de prcf~rtr.ce SOllS une 'ffiinc~ cou ohe de
f UIIl ,e. dt cheval ; ces a ppà ~s seront co nstitues soil par des: grai nl3 de maïs trait és à
la str ychnine ou au gl ucochloral, soit par des
omdt:~tt s empoisonnées avec du sulfate de
strychn i ne Ou avec de l a noix vomique.
Les appâ ts a la strych nine ou à la noix
vomique C,.,evront ê: re prépa rés p ar un ph armadt'n ,l U SOUS sa sun'eillance.
Les traitemtJ1ts dev;,ont ~tr e eff€0Ülés ob ligato,rement pendant 1 périOdeS tugé es les
p'U5 fal'ora:'.",> par le Se",jce de la Protec tion d~'S Vég~ t aux ,
D'autre part, Il d;;stIucti on des C'or beautières, Trids de cor-bea.:x -t', pies, ne pourra
Hre effectuée qu'entre 1" 20 avril , t le 10
juin : le déntchage cu le tir au fu :\ sef1a
organisé dans chaque commune SOUS la responsabi:i!e du Présider.t du GIoupement cl,
D êfe nse cantre les en nemis des cultmes et,
s'il n'y a pas de Gr oupem ent, sous la responsabil.té du Ma're Ou d e son délégué.
ART. 6. - Des contraventions 'Pour infrac·
tion au présent arrêté seriont dressees contre
l es personnes qui s 'oppose'font à l'execu'tion
des mesw'es ct'....desSlls pr escrites en exécu tion
de l'aIticle 23 de l'ordonnance du 2 nOV1embre 1945.
ART, 7. - M. le Sccretaire Généra l <le la
Préfecture, Mu\li les Sous_Pr éfets, _~~. l'Jnspecte-cr de la Pr()~ection dœ Végéta ux f t
M\I. les Contrôleurs de la P,otection des
Végétaux, M. le Conservateur des Eaux ei.
fo-ets, M. l' Ingénieur en C hef, Directeur des
Services Agrico'es; M.'II. l es Maires, Offi0ieJ6
de Gendar mer:e, Com missaires de Police,
Gardes des Eaux et Forêts, Gardes com missionnés de la ,Fédération <les ChassellTS, Gardes-<:hampêotnes et tous agents d:e la force
publique sont chaIgés, chacun, en ce qui le
conce rn e, de l'exécut ion du préserrt ar rêté
qui SN. inséré au Rewcil des ActES Administra!>fs cie la Piréfectu , .. et 'a ffiché dans
toutes les conun unei du <Iépartement.
Fa·t il Marseille, le 25 j anvier 1950.
Pou, Le- PIéfef,
Ue
sec:~~ss'bé~~ll,
réfé rences sé r ieuses
TVX 0 per mettant de n'admett re à soum issionner
05 BI
que des entreprises rée llement qua l ifiées.
QUALIf ICATION ET CLASSlfICA!ION
L a discrimination des en tr epnses suivant
DES ENTREPRISES
la nature de leur activité et leur capa cité de
prod,uct ion l co mm e ncé~ p e n~ ant la guerre el
Circulaire n" 49-1 56 1 du - 22 dècembre 194\1
poursuivie ap,rès l a L l b ~ rat lo n , a, été recon·
Circulaire modif i é!? 0 11 co mplétée pao/' la
nue part icull erement ut ile. ct, de,s 1946, le
préseJlte cifCltlair< : N ote T . M 1. D. du 20
Minist re de la Recon str uction ava H demandê
juil/ct 1948.
à la Fédératio n N at ionale du B âlimen t et
des Activités Annexes de conti nuer dans ti n
Le M in ù>'fre de la Reconsfruction el de
cadre pri vé l'œuvre ent rep ri se,
l'Urbanisme
OiHére n,ts départements mi l' istérielSI la
à MM . les Préf elS,
S. N, C. F, ont, de leur côté, témoigne lie 1
MAI. l es D él egués I ll lerdépn r fi' l1I l!nl 'intérêt q u'ils po rte nt à ce tte q ual ifi cation.
taux et D épa rtementaux,
L' artide 2 de l'ord onn ance d!ll 2 1 avril
Je vo us prie de t rouver en annexe lè texte 1945
dispose que le Min ist re de l a Reconsdu protocole i ntervenu le 3 novembre ,1,949
tr uct ion et de l' Urbanisme es; chargé de
avec l'O rganisme Pro fessi on nel de Quali fi ca suivre et de contrôl er l 'ac t ivit é des entrepri·
t ion et de Cl assification du Bàtiment et des
ses.
Activi tés An nexes et pub lié au j Ollrn al VlflPour évi ter d 'al our dir la tâche de l'Adciel d,", 2 décembre 1949.
ministr ation et teni r co mpte de l'expér ience
Cet organisme a été consti t ué et le protoet des r ésultats acq uis pa r les organisations
cole a êté réalisé en vue de pr ocurer aux
syndicales de l'entrepri se, il a paru oppor tun
Admi nistrations publ iques, comme à toute
de confier à un orga nisme ,pri vé, fonc tion nant
personne publique ou pr ivée faisant appel
sous le contrôle de 'l' Etat, le soin de se
aux ent reprises du bâ tim en t un moye n d e
prononcer sur la cl assifica t ion et l a qual ificaconnaître avec exact itude les réfé rences de
tio n des entrepr ises qui en feraien t l a deces dernières. ainsi que l eurs qll a l ité~ ct posmande,
sibilités techniques.
Le pr ésent protoco le a po u·r obj et de fixer
La ca r te de qualific ation dél ivrée ,pa r l'o rla mission que le Mi nistr e de la Heconst ruc.
ga nisme, bien qu 'elle conSe rve un ca rac tèrt'
ti on et de l' Urbanisme co nfie à l ' 4:. Organispr ivé et fac ultatif pour les entrepreneu·rs,
me Profe'iSionnel de Q ua'l i fication et.ct e Clasvo us appo rteraI not amment à l'occasion des
sifica
ti on du Bâtiment et des Ac ti vités Anadjudications, des renseignements par ti culi ènexes
», spéc ialement co nst itu é à cet effet, et
rement sérieux sur les capa cités et ré fé-r ende pr écise r les co ndi tions généra les da ns lesces des inté resses,
quelles ce tte mission se ra effect uée,
Vous co nstaterez que les mentions po rtees
A .cet effet, i l a été conven u et arrêté ce
9U'r les ca r tes fon t l'obj et de révisions périOqui
suit :
diques et qu'elles doiven t ai rl si être constamARTICLE PREM IER, L 'Associat ion s'en ment tenues à jour. Cependan t, au cas où
gage à ;
vo us auriez des raisons de craind re que ces
, ,, Cen t ra liser et con tr ôler les rense ignementions Ile correspondent plus à la réa li te
ments co ncern ant les ac ti vités et les aptitudes fait ~, vo us devriez naturellement recherdes professionnelles des entreprises du Bâcher tel s élt-ments d'inform ation qui vo us Ip aliment, leur poten tiel et les trara1u'X q u'ell6
raîtraie nt utiles, notamment 3.!u'près de I10 r so nt susceptibles d'exéc uter dans des cOn·
ganisme de Qualificati on l ui"même.
di t ions techniques satis faisa ntes;
Je signale spécialemen t à vo t re attention
2" Classel chaqu e ent re pri se en ra ison
que le protocole vise excl usivement les ent rede ses r éférences vé rifi ees et re tenues, dans
pr ises du Bâtiment et de, Act il'ités Annexes
les d ifférentes ca tégo ri es d ' ac ti v i té~ du Bit·
et qu'il n'e~t pas appli cable aux ent repr iseg
tim en t et l a qualifier en fonction de ce clas·
de Trava ux Publics,
scment et d e ses moyens en perso nn el et maLe Ministre de l a Recons/r uct ioll
tériel, ainsi que de ses possibi'1ités techniet de l'Urball isme
ques j
Claudius PETIT
3" D e por ter cette doc um entation à la
PROTOCO LE
conna issance' des t iers par
tous m oyen~
appro pri és tels que publica ti on d'an!>uaires,
interve-.'lU entre le M in istre de lu Reco nSlrul'listes de r éférences, etc ... a;psi qu'en délifio n et de 1 Urban isfTll2 et l' « Organisme
vr ant aux entrepr ises, su r leur demande, un
ProfessIonnel de Qualif ication et de Clasextrait certifi é co nforme de leurs réfcre nces
sification du Bâtiment et des Activités
contrô lées, qualificat ion et classification,
Annexes ».
Entre les soussignés
Le M inistre de la Reco nstruction et de
l'Urbani sme,
d'une part,
M?nsieu r Lanfr)', agissant en qual ité de
PreSIdent de 'l ' Assoc i ation dénommée « O rganisme. ProfeSSionnel de Q ualification et de
Cl asslfi cahOn du Bât ime nt et des Ac ti vités
An nexes >, do nt le Siège est à Par is 7 rue
de la Péro use, et habi l ité 'à l a sign at'ur ~ des
présen tes par une délibéra t ion du Consei l
d'Administr ation en da te du' 21 septembre
1949,
(r aut re par t,
Il a d'abo rd été exposé ce qui sui t:
DepUIS q ue l'adjudica ti on publiq ue ouverte
est. le mo~e ordlllaire d e ,passation d es ma rches de 1Eta! et des cdl lec tivi tés, il a touJours pa ru n ccessai r ~ d'exiger des ent repr i-
ARTICLE 2. - L a qual ifi cat ion se fait sur
.:lem ande des intér essés, qui acceptent par la
même publication d es rés ultats et le remboursement à l ' A ssociation des f r ais exposés p~ r
elle, dans l es condi tions prévues par son r('.
~len:~ nt ,i ntérieur. L es re n seigne m en ~s et
Justlllca h ons d'or dre confiden t iel fournIS par
les entre.prises ne 'peuvent être co mmu niqués
aux t iers ou diffuses qu 'ap rès accord de
ce~ dern ières, Le s pu bli ca tio ns sont cffee·
t u'ces et les renseignements sont déli vrés S<1 11 5
engagements l sur les .pièces rem ises,
L' Associ ation n'est .pas tenue de qualifie r
l es e ntr~ IJrises qui ne !Iui fournisse nt P,M
le renseignemen ts et justifications demandes.
ART ICLE 3. ' - Les co nditions dans lesquelles sont effectuées la classification et la
qualifica ti on, ainsi que la dél iv rance des
attestallo ns sonl préci sées dans un règlemenl
lOt~ ll e ur établi pa r l e Co nse il d'AdminIstra-
voirs Ollt ét é. délégués et qui enfr einclrait les
t~o n de l'A ssocia~ i ~ TI t! t soumis a J'appro hat lon de M , l e M inistre de l a l{eco nstriU'ct ion
pr.in oipes énoncés au présenrr pr otocole ou
et de ru rbanism e.
seraient en. infraction avec les st'ai uts I~
règlement 1I11téZ1feUr ou des décisions a~té
,Le règlement, int é,r~e ll r co ntiendra obl igarieurement pri ses,
t<.Hr em e.n ~ d ~s dispOSi tions déco ulant des pr incIpes ci-apres :
Il peut proposer au Conseil d' Adntinlst ration', t ames mesu rt'5 qui lui parai trajenlt conL 'examen des références produites par les
formes à riJlJtérèt général.
entr epnses s'effec tue d' un point de vue
exclusivement teohnique. Chacune des actiLes. décisions pr ises pa r l a Commission
vité s ou so us-ac ti vités du' Bâ tim ent cor res- - Supén eu. e statu ant en aru>e~ ne sont défipondant à un e technique spéciale ou exi geant
" 1nivem " " t si le représenta"t du Ministre
1'~ ~ pI O i d', un pel:so lln el ou d' un matéri el spén"y a 'Pas jai~ oru>osiflon da ns le dlél'; d'
CIal ISé, faIt l·o bJ et d'u'ne définiti on parHcucinq j ouns susvisés.
li èr e.
L e r,"pllésentant clu M'inist re p eut saisir la
La cl assifi ca ti on ou la qùali ficat ion d' une
Commission Supérieu re en v ue d'·un nouvel
entrepr ise est établie en fonct ion des ré férene"a""en de toute décisio" de cla m cation
ces fourn ies 'pa r ell e et jlu!gés suffi santes
ou qualificalion,.
pour répondre à l a défini t ion qui est donnée
de cette acti vité. Seuls son t reten us les traART. 5. - Aucune moclification aux tatuts
va ux ,~xé out~s, ~i rec tement par l'entrep rise
ou aUrègtament intérieur ne peut êtTe apporsans 1 Intermed iai re d'un sous-tra i ta nt.
tée sans l'accord Iprea!able du ,Wnis(J1e die
Une même entreprise peut si elle fou r mi
la lReconst,ruotio n et d~ l' Urbanisme qui deles ,références voulues, être 1 qualifiée pour
meure libr.. de s'y opposer sa ns que le prép.lusierLlrS aotivités.
sent pl1O tocol e puisse de ce fait être réSJ1ré.
. L a décision de classifi cation ou de qual iART. 6. Pour donner toute
valt1UT
ficatIO n es t pRse pa r des Com missions d'exaà
, !~ mission coniiée à l~ Assodation par le
mien i nsti t uées, sldva nt les Coas dans le ca dre
MIni (re de la Reconstruotion et d'e l'U~b..
cLép.él!rtemenlta l l le' cadre r,églO~al ou le ca dre
nisme celui...ci recO/fllma.n dera aux al\ltnes
nati onal. Lf$ Comm issio n!s d'examen on(t
admi n.i trations p ubliques la co nsu~ation de
con~tit~l ées par des te'c hniciens cO lTIlPétents
la carte de qualifi cation lors des adjud:icadé:sl,gnes 'pa r ,le Consei l d'~dim i nistra t ion. L e
lions.
D elegll é IJépartem en'la l d·u u'l1'i nistère de ,la
Il est ,préclsé que ce tte consu ~tation, ne
Reconstruction et de l' Urba nisme est condIm in ue en rien la liberté du, choix de l'Advoqué aux r,éunions de ces CommissiOns, Il
min ist"',~o n ; elle tond' sirn,pIement à la reny aSSIste ,a vec voix consulta tive,
geÎ gner en, !lli pf1imettant de reoh'erclter pour
T oute e ntr~~ris~ qui lestime n' avoir pas
qu~lIes raJSons 'II ne entrepr i
sourn· :Olir eçu !a c1as!i.l flcati ol1 ou la qualirfication il
nal re serai t hors d'état de j)résenter l'atteslaquell e elle a droi" peut dema nder lin nOIltallion de qualifi cation.
vel ,e~a m e n de SOn cas. Une Commission
Swpeneur eo sta tue en d ern~er ressort Sur cette
A RT, 7. - En ca~ de dissolutfon <le i' Asdemande.
sOCia,tion, !
propositionl;j de l' Assemblée
. Des roév isions pé riodiques i nterVIennent à
Générale po ur la liq uidation de ractif seront
lOterva lk s suffisa mment raJ\procthés pour que
soum ises , l'agrément du ,~\;in istre de Il
J~ q u.a h fic~tlOn conresponde
to u'jours à la
~eco ns tr uotion et de l'Urbanis me.
SItuatIO n ~eelle dll bé néficiaire.
Cette disposiliOI1 est rupplicable au cas où
Des di~posiotions partic uLièr
sonrt J)nises
pour une raison quelconque il ser ait mis fin
pour per me tour,e aux. entrepnses nou.velles Ipréà l'apl1lication du présen t pr olocole
sentalllt !~ 'ç'a ra ntles suffisa ntes d'olytenir
ART. 8. - Au cas où l' Assoe:ia~on contreune qU'~ lI f,l cat.lon 'provi ai re, valable !>our uneviendlrai!1: au x dispositions c-Î - dessus Ou ,ne
clu.r.ée, hmltée, .ell 'a tt enda n,t qu'elles pUisS~Il,t
tien dJait Ipas co mpte cfu veto opposé !par le
lcqu erJI lèS r efoére-nces vo ulues,
l1~ rése"'tant du M in'istre. le présent protocole
Un e~~rai~ certi fié confoI1me des déoisions
serai~ résilié de plei n d·roit sans qulil soit
~e qua h ftcah~n est remis SuIT lreur dema'nlfe,
besoin d'autre fo rmalité que la notification
a, !fous ?r~a m smes ou entre,pnses intéressés.
pa r si mple lettre ,"commandée du fait motiL, ASSOCIation 'Peut aussi i nsHtuer un e carte
vant la résili ation,
dIte de qua lificat'ion.
Fait il Paris , en double exempla>re le 3
ART. 4. - Le 'MiOiitre de la ~econstructio n
novembr e 1949.
et d~ ,l'Urr?anlsm.e ,désigne un repr ésentan't
Le Présiden t de l'Organisme Pirofessionnel
aupres de 1 ASSoclaho n. Celui- ci I6St convoqué
de Qua lification et de Classifiea.>tion
aux réu lllons de l' Assembl ée Géné""le du
du Bâtim ent ~t d~ Activ; t és Annexes
C~nse.i l d' A~ m in ist(.atio n ou. du Hll'I1eall, 'ai'nsi
Georges L~N FRY .
qu aux ~éullJo n s des Com mi ions. Il V assiste
avec VOIX cO llsultaNve,
Le .~linistre de la Reconst.uction
. 11 dispose de tous Il)olLvoirs d'investigaet de l' Urbanisme,
tion et s'assure que les déci ~ Lon s ou les
Eugene CLA,UDfUS-PlETIT.
modalités de fon'c tion l1'C'mell't de "AoSsocia tion
J'lestent con for mes à l'in,térèt O'énéral et ne
s?n!t pas détoumés dOl but de cette dler_
BIère.
Il peut demander comnllunicati on de tous
1<6 documen,ts.
. Il P~u t sopposer, penclant un délai de cinq
JOurs a ~Irtlr de la date à !aquell e ri en a
~u con ~ a!ssa n ce è toute décision ,PT1ise rpar
1 Assoclahon ou ses rep résentanfs Olt par
tout e personne Ou organism e à qui des pou-
- - --<:t> oo "', - - - -
GOlllJIIUalQuEl ' DU SEGRETBQIBT
DE
l'DIIOa DES lIlBIBE6
BUDGET S 1~50
Comtm~
conve nu en Assemh~ét Génér-alt
du 13 jalltvÏ€rl Il.:.' Bu rtau 5'€. t réuni le 27 cou ra nt pour t Xam-f neT la Ilou.vel~e circu:laire Qui
'a d û VOUti p arvenir t n ,\1alrie,
Cette ci r",ula ire - b:ell que complete étant aSSez d'Iiflolle a ,nterpreter il a é'té
décidé qu'un rêsumé succinct s~rait 'Înse:ré
da ns le B. A. 'A l. par les soins du S,crétariat.
you~ trouve-rez d-dessoU6 ,l e dit résum.é
qut dOit VO liS servir efficacement à l'établis...ement, de vos budge ts,
~e.s tIlslruC'tions min istéridles que v'Jan t de
notifier .\1.1, le Préfet, p .. uv€nt Sc r é umer
ainsi
. 1" Datt il mite dt: notifîca;ion des imposition- a'llx Contributio ns Directes: 28 févi:er,
2" D epense:;) , - La réto nne des fi nances
locales n 'étant 'pas encore votée paI le PaIlement, la conl",xture du Budge1 < Dépenes > reste la 'lr.~me qu'en 1949.
Au poi nt de vue des crédits, 11\ 1. le J\ttfnistre
de J' l nté ri~u.r signale l'i mportance probab lement ac.crue des charge s d'assistance dt!' fait
de l' I,ncld'ence des réce ntes lois sociales. la
questton du reclassement (tranche nouvelle
à prév?lr d~'u n mon tant egal â la rranche
accordee en 1949), la su,pp.,ss:on des dépen~es conctrnant le rationn ement.
. Le Budget c Dépenses :. peut donc être
etabli dès il ]lré sent.
3" Recettes. La subvention de r Etat
pour I~ .'Ïé~nses d~ rationnement ainsi que
sa partiCIpation aux dëpenses d~j ntérèt généra i étant uppri mées, les Budgets Communaux ne comporteront plus, à parti r de 1950,
une controibution de l'Etat pour assurer l'équi_
Iibl e budgetaiTe. Les ressourèes seront constituees ess~ntieHem en" paI h taxe locak
additionnelle aux taxes sur le chiffre d'affaires et pa r les centimes et autr.es taxoes.
Pour l'êtablissemenf! du Bud g~t c Re cettes >, après avoir chiff,ré les resso",-".
diverses et ceUes qui doivent être spéciakment affectées a la vicinalité (prestation)
il convi~n drait :
1(/ De prév oir un article au titre de l'ancienn~ participation de l' Etat aux dêpense
d'intérêt général puisque o<rtt.. recette est
assurée aux communes ;
2' De calcule r le produi< de la taxe locale
.uivant 'e<; bases fixees paI la loi du 31 décembr,e 1949 tant au titre de son produit
pOUT 1950 qu'au tit,re des recettes garantiet',
les communes, comme en 19-49, pouvant
compter sur ",me attribution compensatrice de
perrr<l de recettes à prélever sur l~ fonds de
péréq ua !ion.
LI est ;mportant de souligner à ce sujet que
pOlir MUermi ner le prod'uit die la taxe SUT les
ventes de 1948 il sera t..nu compte provisoirement des recouvre mf11ts effooctués pM les
Rgies (Financières du 1er février 1948 au 31
lanvier 1950.
,L'Adnti nistration des Contributions! Indirectes ]JOuera donner alLX municipalités tou:
l'ens';gnements utiles à ce sujet.
En.fin, la loi du 3 1 décembre, a pré'vu une
majoration fa",ultatire pouvant aller jusqu'a
0,25 0/. de la tax,", dont le p roduit restera
acquis nux communes et ne pourra v enir en
�RÉPUBLIQUE
9 Février 1950
... détermin~e des il1d~mmtes ~t~ ,r~co n stitl1ti on dues
:0:5 membres sml~t,~s.
« Ce tte frocIJon d. s indemnités dll
bea", OUQ de sinistrt!s, malheureusement :
dibposition très importanre . est celle concerc: rignore~t en core -:. n'est autre q~I.t!. c~ qu',
nall't t patentes dont, SUivant .tes 11~ tI'UCc. a nom a u .\\~ R. U. " de parts dlffe-rees )'
,tions d. \\1 . le Ministre de l' lntéT>f'Ur, , 1 co n"
< ct~ 30 % au 'dessus des plafonds. de f.an~s
viendra d' e\' a!u..:=r pro v~SOlfe mdflt le pIi1l~ c:pa l
« 5.000.000 o u fr. 2.000.000, SUIva nt <rU Ji
ft<:otif €'fi pren.1d la mOY'e nne d .::; prtnc lpa ux
~ s'agit de sini stres i01mobi Jj e~.s Ou d't' SII11Sfidlfs de 1948 (qui a servi à rëtabliSS<1!TI . nt
« tœs indusftriels Ou LommerCla'ltx.
du Budget Primitif de 1949) et
19-19 .\qul
« Un p re.m~er empr.li-'l.t ,3 été cOl is .en ma,rsava4t ét-ë notifié aux J\ \unlC!;paltte6 !pour 1et a« a\,(1:1 19-t.8 qu i, p n nl~ hvem e nt l)I'évu pour
blisst"TTl,nt d u Budg~' P RmiM de 1950),
« Irancs 200.000.000, au taux de 4,75 ~ a
4: recu't'illi Un magnifiq ue succès, pUlsqu Il ,.,
------- «~oo«~ ------« do nné en réalit t' Ir<lncs 520.000.000.
EMPRUNT EN FAVEUR DES
« D epuis ce1te d.d.e, le Grouptjffii~nt . a. ~ay é
SINISTRES DES BOUCHES-OU -RHONE
« à s m€' mbres sinistres 609 tfCqU 1SItl0l1S,
« abSOI bant de la sorte la majeur.e Pa1tf~ è d'~
Veu'lez rro uvt'r ci- apres copie d'li:n romc S
dl",ponibi lîtés, lpu is qu'à ce j our 'II ne
mun~qu.! êmanan t du Groupanent pouT la
« lui rest" p'",; que fr a ncs : 64,000,000,
reconsti'tut:on d
biens sinist,rés. rel a!i f au
c C' est di re que la necessité <i'un nouvel
nOUVel emprun t act ueUemera .en co urs.
u1s bénéficiaires de , « t"rnpru nt s'-est fai1 jo ur et le 'Minis!lre des
Etan t donn€ q~e~....s
c Finances, attentif à cet te situat io n, a aut ocet emprunt doi \"~nt être les. sin~str~ dt!
c Tisé en co nséquence l'émission de 1'emnotre département, tïn1érèt qu'll pr esente n e
« p ru.nt actuellement en cours.
vous khappera pas,
Empr un : nom'na l defrancs : 135,000.000,
Par esprit de oIidari te il es t fa it a l>peI
« ma!$ eml)runt " élasnque " d1fons-n ou s,
à t ous les Mai res des BOllches-du d~ hô n~.
« du fa it qu e tout•. !>ouscriptions au' d e'là de
« Le Grotq>t)m.e nt l'our la re<:o ns titution
« ce chiffre ""ront acce.()!ées, le Mlms tré se
« des biens siniMres des Bouches-du-Rhô n~,
« réservant sèulement Ja faculté de clo re
c p1us brievlEm en'i app-ei é 4: GTOlLPe'TTl ~!Jl t
« l' émission sans pr éavis. Em pTunt émis I?'n
c d"Emprwnts:», est un Organi sm e fi oon oiH
« obli gat io ns de fr. 10,000 au. M UX de 6 0/0.
c de caraclère 1 st ri ctement privé, Sociétë
« avec faculté pour \.es SOuscflj>t eU!J'S, ce qUI
« anonyme à capi tal et personnel "ariables,
« est p artictüièreme nt intéressant !pour eux,
c QU , S·.,)~$ controle <61 la garantie de ,' Et,at.
« de souscrire, dans la hmi te de 35 % de la
c: a pour obiet e xdusii J'emiss1on d~e- mprunt s
e. valeur nomina le die k ur souscription , par
c dans !e pub llc et ie pa:ement, au moye n
c: rel11~se d-e cffiificafs de l'emprunt lihé-r('lc des fonds ain.s:i recu ei'!tis, d' une fraction
aocum.' ,nan i~ri" Ln diminution su.r la part à
veni<T par le Fonds de P~équ3"on .
::l ' En C'~ qui concerne les
nllmes, ulIe
Co
a.
?<
« to.ire du,
c
«
«
~
«
«
C
8~ ,N'6
prél~ve-ment exceptionnel dt lutt\'
c co nt!re l'inflation, dit « empru nt lv\:ayer "
«. lesq uels certificats so nt rt"pris pour It~ll
« va leur nomina:<, L.'D upons du 1er lfév,nier.
c 1er lmaffl ou 1er avril détachés .
«
FRAN(:A,LSE
«: A de ltell fs condition s, n OliS p ensons que
cet e111 1>runt tr.o uvera dans le p Ulb~ic l'ac·
cueil f alVoTa\Qle qu'il ,mérire. NOU3 le pensons et le souhai t ons aniemlllf nt , car de
SOn s uccès résulte-ru pour le' Gr 0111>e11lenl
la possibilj,té de pourStu iv!e ~'.œ u vre l>articul ièr€TI1e n1' noble et partJ:'Cul'lcr.em ent belll'
qu'il a en,~re'.p ri s e .en faV'f"ur d'eS ma I1h't"u re-l1 x
slllli strés. ,.
c>ooc,-----
OËPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE'
Recueil des Actes Administ~~
et Bulletin
Toute corresponda n ce relative a u Recueil doi' être adressee à la Préfecture Secrétariat Général
DEMANDE D'EMPLOI DE SECRETAIRE
DE MAIRIE
M' Sammut Louis. âgé de 29 ans, commis
ti bul~,re du Trésor, ayant succe S'Ïv ement
orCll'pé 1<'5 emp lo is d'ad joi nt au Récev.",
NlJtmi ci pa l et de Ch<!l de Serv lc" du P erso n'
n.el recherc he un pos te de S ecrm aire de >Mai·
J1ie ' dans 'une comm 'llne d e 2.000 à 5.000 habitan1s du dépM1ement ot!, il défallt, dt
1.500 il 2.000.
L es
M'uni ci.paUté s intéressées 1)ar cette
prlëes de s'ad re~se r all
Sec,r étariat
candi:dartu r e sont
L e S ecré1<1 jre Gé néral d" l'Union.
A U[)lB E.IH .
-------< ' oo «~ ------
Mairies
ABRÉVIATIONS
A, p, : Arrêté préfectoral. - C. : Circ,ulaire. - Les le tt res D et B su ivies d' un ch iffre indÎq ue nt le Ser vice o u Burea u d' origine.
- S, L. R. A. : Service de Liquidation des Réq uis it ions Allem a nd es. - R. G. : Ravi ta iG ement Généra l. - S. C, R : Service de la
Circul at ion et du Rou la ge. - D , D . S. : Direction Départementale de la Santé. - D. S . T. : Direction des Services Techniq~ ,
SOMMAIRE
Page s
Arrêtés réglementaires et Circulair""
A G 14. -- Co m pOSI ti o n ct"
Co ns eils
mu nidpaLl x : rec tifi ca tif du 1-2 _1 950
a u R A, M. s p éc i a ~ de décem br< 1947
AG 2. - Comjx nsation d es prest ations
f amtli ale:; du p ersonl1 el d es co ll'e ctlivitrs loca lt:s ....
...........
AG 2. - A ~St1rant.'t' dt' person nel tit u '
laire d t.S
collect ivi t és local es affiliées â La Ca.isse Nat ionale de Ret rai _
~
19
1
Agrico:e .... . .
........ .
scola:res. -
21
Ètab l bscme nt de proj ets
TVX 1. Con~t r \lc: jo ns scolaires. Ré vision dt'S su hvt.n tions. - Cad uciié
de ... pr omes~es de ~ lIbven r io n:::
21
T V X 1. -
20
tl'S .'
d'ant de la voirie c!cpane.nH.111nlt" tIt
com.munole. - 1{'L mise à la COI!t"ctl-
d t'e prop r iétaire
20
Pait·mc:lt des ~l1h\'e ntion:, . . . .... _.
A D.L Elettions des Con~eîl s d·a dtnini~
traHon dt."S organ isrllt::s -tl't' .\'\ utualité
Sta l u~ des pon ts défi nitifs,
~em Î-dé fi nit i fs et p ro\'isoire~, dépen-
AG 13. -
Pages
TVX 1. -
COI1~trl1ctiollS
Co nstruct:ons sco~airl:""'. -
22
-
·1
Pages
22
. .......... .
Communiqués, Avis, Annonces diverses
Puhl1caüons l1ol1\'ell~ de \"I nstitut
Geo!! rap hlque Nat iona l
24
1-
Communiqués du Secrétariat
de l'Union des Maires
Emission radioph on i4l1 t! ..... _... -.
ARRËTÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
D 5 B2
AG 14
COMPOSITION DES CONSEILS
MUNICIPAUX
Commune de Plan-de-Cllq ut!s .-
C. -A I. (Soc.), NI, Co uderl'
dém issionna i re no.n remplacé.
ARI( ON DI SSEME t\" l
D ' AIX-EN-P IWV EN CE
Recti ficatif du 1- 2- 1950 au B, A. M.
.
s p e.cial de d é cembre 1947
AI~R O ND I S S E ME N T
•
D E MAI(SE ILLE
Commune d e Gème/los. - M. Pelas L ouis
(M . R. P.») dflll issioll na i re nO n rt!m pl acé.
C Ol1lfllU11'c d t. L OI
,.,
Ciotat ,'
Mai re (S . F. 1. O .). M . Grai ll e Jea n. en
rempl acement de 1\\ . Pécout Lo uis (mai re), démissionn aire;
.
Conse ille r muni CIpal (S. F, 1. O.), AI. Roquebru n Et ie nne, ~ 1l re mplac<' ll1ellt de M .
P êcout L ouis, C. M . dCl11 issÎullna i re ;
M. (S F , 1. O.), M. Jourdan Et ie nne, en
rempl ace me nt de M. La n Paul. C. M. dé mi ssionn aire.
-
e.
Copie certifiée conforme.
Pour le Préfet :
,,
Le Secrétaire Général,
Signé : LAMASSOURE.
COmllll/ll l! ci e
MlIrse ilfle .-
e.
M. (R , p , F) , M , So u bey ran P ier re, en
r empl acem en t de M'. Co lo nn a d'A nlfri ani, démi ssionna ire j
M, (fi. P . F), M, Ber narct",i Ma rc, e n
l'empla ce ment de N\. I{ iper t F ra ncis. démis•
sionn aire.
M. (P. C. l'.), AI. P agès Hen r i, en, remplacem ent d e N\. C hartron. démissiolln aire.
C. M. (P , C.
M. Gir au d r-éli x. e n rempl acement de M . Li eu t ier Edouard, démissioll-
e.
e.
n,
n a in~ .
~Ul
la
. ' ''1.- -
~.
COf1lJ1l1mt'
Ed,"ond,
Clwrh'l'dl "
de Le T holonet:
C. ,\1 (So<:.) ..\1 . Qucirel Jules. demis.,ion-
COfll l1lfU/C
naire non rtmplacê .
Com mun e ([' Aix,'
C. AI. (,\'IRP) , M. Gazel Ado lphe, en remp1acement de M . Pa la nque Jea n-Rémy, M mi s·
sionn aire.
C. ili. ( RPF ), ili. Bernard Etienne. "n rempl ac~ 1TI ent dl': Mme Durban l\\ ar ie, démission.
1\1. (S FI O), Mme Rebo ul Lise, e n remp lacement de M. Gardiol H ilaire. démission .
M. (P CF). Aime Faure '\Iarie-Jeanne.
en remplacement de i\t F iesch i Pascal, démis.
M . (R PF). M. Cordo liani hli" en rem placement de 1\ 1. Ferréol Pau l . démission.
C. M .. (P C F), M. Lehouc her Lo uis, en reJ1)pl acemenr de l\\. Heiriès A ll1ert, démission.
J\\. (I(P F), AI. Do n Joseph, e n remplace ment de M . Sirugul' B~ rn ard, démissio l1 l1 .
e.
e.
e.
e.
Comm une de Berre,'
M ai re (PC F), Nt Martin I<oger. en remplace ment de A\. Borch i no D ésiré, dém ission .
Commune! de Bouc-Bel -Air '
1er' Adjo in t ( Ind.),
re mplarement lie M
2e Adjoint ( Ind.),
rel.np lacement dt! 1\ \.
me 1er adJOint.
dt.'
2e Adjoint (SF IU) , .vl. Gi rard Fernand, e n
re mplacement d e ~\\. Fouque Henri, demis.
M. Gabel ier Antonin , en
Dena miel Jéan, dém is.
i\I. Coquill aI Joseph, e n
Gabel ier Antonin, nom-
Commune dl.' Mar'i~lli'S .C. ,\1, (I~Pf') . ,\\, Ol"e Vietor, "n re mplace ment de I\\. Jt'ann ~Jt Helll-. ul'mi-sion.
C ,\1. ( llPF). ,\1. Jellade ,vlalcc l. e n rem·
placement dl' .\\lIe Brusque Lucienne, dëmi ...
Commune J/,.. ,\1cyreuil
Eh:.'ctlon l:o mplèTnentai rt.' du 12 j uin 19 ..j.~ (efferiÎf l~gaj)
13.
.\laire (~oc.), .\1 Petit Tn.:oda rd :
1e r Adjuint (Suc.), .\1. Baissa Roger :
2e Adjoint (I~ t:p. Ind.) ..,\ Bnnnet .\\arills.
.\1 .
Mene \ï rgi l< (Sod ; Roustan
.\Ia rcel (SOc.) ; Abrach, .\Iarce l (SOL.) ;
:-<è~re Joseph (Soc.) : Sauvalre .\Iar,·el (Soc.);
Guirand Ai mé (Soc) : B')urtin Rarhaël
(Soc.) : Paul He,,' i (Soc,) ; P etit Jun' nal
(Soc.) ; fl OllC,,"d .\ Iareel (Soc.).
e.
CommlJne de Peyrolles :
C. AL (Ilép. Ind.), .\1. Reynaud Carmm. dc11lissiol1nai rl' non rempl acë.
C(1I111ll IUl ('
dt'
Saint-Chan/as " Elections à
la suite de la di ssolu tion d u Conseil ,\ \ uni·
cipal (décret du 16-9·.1(1, effedli legal, 2 1) :
Aloire : M. Auger flaoul (S. F L 0,) ;
1er Adj , ,\Ime Robe rt ~Iarguerjte ( Inti.);
2e Adj. . M. \ Iartin Henri ( FIO) ;
�-
t\!J11pS. n ,u lU,
Consigna ti ons. les rcn~cignt..'l.llents pcrlll..:tUInt
dl!' proceckr all x comptnsaho!ls.
La prft.l"1lk in rult ion rap~)elle la réglel11en'ration en Ylgueur t' Il ce qUI cOl1cern~
l'élabomt1on >et la transl11ük.ion de Cl: ét3t~.
t l1
3, \dJ .. ,\1. Brantes Leun (SFIO)
- Co .\\. : .-\::.tler J o~~p h ( Ind.) ; S:tuvaire
Loui, (S~ 10) ; \ ï llard Augustin (lnd.) ;
Bover Paul (Ind.l ; Chaix joseph (SFJO) ;
Gainaud Felix (SFJO) ; l,eyre Pierre (Ind.l ;
Robert Gaston (Ind.) ; Venture Ortal'e (S.F.
1.0.) ; "lasse Gustave (SF IO) ; Lu glia Eutrope (SFIO) , Roux Gaston (hld.). ; l<a:
mella Clotilde (Ind,) ; J\\athNon LOIIIS (S:F.
L O.) ; Pigagl io Alfred (S:',IO) ; GauthIer
Arnold (SF IO) ; Mirhelloll Fel" (1IId.).
1. _
1L _ CompL'nsation des pn:s:(Jfioll.~· familiales.
en remplacement de M . fr an-:ou I~aoll l , dt?-
Les opérarion s d~ compt'tllsatlOIl I1rr,:u~:,
Jlélr les art icles 42 fi .15 du decret du 2~l flllllet 1::>39 portant sur la rotalité des ~OI1ln1 tS
qu~ 1 ~ départements. les communes et les
étab lissements publics dépar~e m entall:< ct
communaux so nt tenu s de Vtrser à leur per::,onnel, à t:tre de presta t.ions fa miliales. T ou'
;
2e Adj. , M. Ginoux Marceau (SF IO), en
ct.~~
rt'Illplacement de .t\\. Crousnillon Alphonst'.
nomml! maire ;
:le Adj . ; M. Fabre Henri (,\IRP) ;
Adj . , M. Pesnel Robert (MRP) .
e. J\\. , M . Chapus Roaer (Cam.), l'II remplacement de .i\\. Champel Simon ;
C, M . : Nl Moudat Georges (Ind. de G.),
~e
en remp lacement de . \\. Villevieille Joseph.
démi5Siollnaire.
ilR IWND I SHIENT D'ARLES
Commune d' Arles
remrem-
placement de M . Rouvière Alaurice, démiss.
C. M. (RGR). Al. D ebregeas Georges. en
remplacement de M. Maurel Emile, démiss.
M . (PCF), l'l . Honorat Louis, en remplacement de M. Paté Renê, drmissionn aire.
e.
re rse l1lt'llt d..:s prestatlous falIItl/llh'S.
En application de ra r.t i~(~ -l de. la ~Oi du
22 août. 1946, les COlll!Ctlvltes publique;:,. ~uP:
I>ort ent la cha rge dres pr~t5 tahOI1<S fannGl1al l
pou r leu rs agents r~~ptcMs.
Commlwe de Salon :
Maire , J\1. Grouslli llon Alph onse (J\\R P) ,
e. M. (PCf), M. l<eure Antonin, en
plal.:ement de M. Gac her Jean, dêcédc
e. AI. (SFIO), AL Champel Pierre, en
"eS Dépôts ~ t
a" ,....'1 Ca 1"0
~\.. u
1
tdei::" ces sommes ne SO ll t sujettes à compensation que jusqu'à ooncurrence du taux
minimum d1..' l'allocation .
A\' ant I.e 1er mars de ohaque an née, l'ordonnate\lr de chaque co mmun e ou établi. ement affi ilt~ au Fonds Nat·tonal d~ COnlpen~tio n adresse au PrHet du DëqJa rt el1l t"n t
un étàt Ctrtifié exact par \oc payeur i,ndl'
quant :
1" Le rot ai des salai res 'Payes au person nèl
p~ nd a n t l'année p récédente ;
2" Le total des somm es rersél$ (~u r ant la
même année aux agen ts chargés de famille,
au tItre oc"'S prestatio n.~ fam.iliaks.
A. - Sommes à déclfl.1\'r ail titre lies solaires.
'
Commune de MallemOrt :
La
dëclaraton
doit
fair€:
dat du montant
"
1er Adj. , Mme Ziercher Fernand (corn.), d salairt$ d ind emnités, y compris, le cag
éC'héant, les avantages en nature lorsqu'·ils
en remplacement de l\\. Roman Félicien ,
représentent des salaires versés il tou les
SF IO dêmh.ÎonnaÎre.
.
agents titulaires, temporaires ou auxiliair ~s,
ComÎmme de ,\1ouriès :
chargés de famille Ou nOIl, employés à temps
C M. , AL Chabannier Daniel (S FI O), dé- con\plet ou d'une façoll int.ermittente (notamcede, non remp lacé.
ment St'crétal re d;: M airie, înstitute.m) bénéficiaires dJun sta tu t Ou liés. à la col1~c~i\'itê
Commune de T arascon :
C. ,\1. , J'l . Masse Théodore (Ind.), démis- c~npl oyeu r par un contI at de louage de serVIces ( 1).
sionnaire nOn remplacé.
-------c.oo~.-------
02 B3
AG 2
COMPENSATION DES PRESTATIONS
fAMILIALES DU PERSONNEL DES
COLLECTIVITES LOCALES ,
j'ai l'honneur de porter â - de" soll~ à la
connaissance de MM. les Maire:;; du Departement fe texte de ta circttlaire de M. l e VicePrésident du Conseil, Ministre de t'lnter/l'lIr,
n° 21 AD-3 du 23 jatll'ier 1950, re/aUI'e ci la
compensation des allocations f amiliales.
Je Fappelle à MM, les Maires que tes renseignement:) demandés doivent orn e parvenir
AU PLUS TARD LE Jer MARS 1950.
Le Vic<l-Président du Conseil,
•
Ministre <le l' Intérieur,
a Ml'A. les Préfets de la Mé1ropole.
Vous av·tz, il différentes r~prises, appelé
w,ron a1tention sur les doléances de ct!rtaines
collectivites locales ayant à faire face à des
ilifficultffi de trésorerie, en raison des retards
d: la compensation des priStations fam iliales
qu'elles versent à leur personn:d,
La lause de tes retards est imputable il
certaines collf'c tÏ\' it~ oui née-Fc.tb:l1: d'adrt:~ er.
Les rémunérations ci-dessus visé es sont
des rémtmérations nettes, c'est ·à-dire déduction bite des cotisation versé.::S par le ptrsonnel pour la Sécur.ité Sociale ou 'pour la
re trai~.
La déclaration ne doit pas connpn:nùre :
. ] '" ,Lts ré munérations Ou indemnités Vtrsees a d agents liés aux co!lectf\'i tés par
un co ntrat d'~lItreprise Oll considérés comme
tra\'aill~lIrt'\ ill?ép:.:n.dants, par It'x~ mple, gérant
de cab ine t~!ephonlqtle, porteur d~ de.pêche~.
remontf ur a horlaO't:S, sonneur de doches
2" Les !'~muné~atiolls en espêc t s ou~·,.. n
nature \ers~"f..--s.aux religieuses des étahlit-Sc_
ments hO:';pltallcrs.
~" . Les indemnités versées aux Maires et
a dJolnt~.
4", Les indemnités à caractère familial
\ï,~r .e~ au pers?nnel telles que le ~upplémlent
faml~.l al de .tr.alteme ~ t,. l a fraction familia le
dt:" I111demmtc de resldenc~ et J'i ndemntté
(1) Doivent nota mment figurer dans la dé-
cla ratIOn , des ~ Iaires l'indemnité h mporail t'
d~ cherte de VIe" ~e supplément tempora;rc
d Indèmnlté ~e resldence et la contrih:Jtion
dt" 5 % f:oubstituée à l'impôt cédulalr..: (délret
du 6 octohre
l.:ompl.llSatriCl' de l' avant~s:t::. fbcal .dunt béne·
ridaitnt les agents ch arges dit! f~lImll ~ au tit~
de lïmilôt cédulaire.
B. - Somm es à rlëclarC'r
allprès d es Compagllies priv ées rf,n matière'
tI'occidents (fu Iravail.
I~ surcroît d~ charges auquel donnerait li""
1apphcalt?n de ce texte en ce qui COncern"
la .totallte de!; rj~ques couverts par la l égislatl?n ,su r lts acoldents du travail correspondraIt a une augmentatron de 18 % du taux
des cotisations actuellement en vigueu r:
Je vous prie de transmettre ces indic ation~
Pour le Préfe t ,
Le Serréta ire Général de/cRlI e,
(/lf
LAMASSOU llE.
fif re cle.1i pn',\.
ta/iolls fa miliales.
•
1-..1 déclaration doit faire rL-'rSsor ti r le 1l101\~
ta nt glob al des prestati ons. ?b li gatoirt'S,
co mpœes pour leur 1I1'0ntant m,lnilll.um legal,
serv ices .eff.tçttvement aux age nts en ac tivité
ou) le cas échea nt, . aux. an cie ns e l11 p~oyês
retraités, malades (}'11 1I1 v all(.Il~ Oll JUX veuves
nOn pensionnées d'anci ens employés ; ces
prestations sont ILS $u iV a,n tl~s :
Allocati{)ns préootales.
Allocations d e mat ernité,
Allocat.:orrs fanülia les.
Allocations d~ sa lalÏ re uniqu e.
Doivent ètr-e exclus' d e la d éclaration
a) Les allocations de logement, pnm dt
démênagement et d'aménagement, qui font
l'objet d'une compe n ati on spéciale, au titre
du fonds com mun de l'allocat·ion logf; m::nt ;
b) \Je SUI),plement fami lial de traitement, la
fractio n famifiale d e j'indemnité lie r ésidenCe
et l'indemnitê compe n sat ric~ dt' l' avantage
fisca l des agents chargés de famille nu titre
de- l'impôt cédulairp. ;
c) T outes primes 011.;presta ti ons familiales
non obli gatoires par eXè mple, allocatlions pOltr
parti cipa tion aux frais de séjour des enfants
d'lI p-el'son'nel en coloni~s de vacances, se·
cours, pri·mes d'allaitement , de layertt", t:'tc ... )
C. - Transmissions des dors à la Cai,\.\e
,(,'s Dèpô .s et COIl>ignatiOlls.
Les éLau~ de sa lai res et de pre~tatiol1 familiales ve-rsés au perso n.ne! des colltctivitts
localt<> et établ'ssements publics déparltiementa ux e-t co mm unaux de votre départeme.n!
doivent, aux t erm es de l'artlÎck 4 d'u décret
dt.: 15 avril 1940, èt re cen1 ralisés par \'os
soi ns tpoUJ le 1er mars p'rochaÎn. Dès que
VOU6 serez en posse :Ion de ces états et,
au p~us ta rd, le 31 mars, il vOltS appartiendra, après avoir effectue les contrôles néoes·
~aifTes, de t ransmettrt: des r t nsdgnements ft
la Caff;;se des Dépôts et Consignations.
VOLIS veille rez à ce que ces délais soient
respectés. C'lest un e condit~on indispensable
de Il acc~lérahol1 d'eS cOlllpenlSatjons. Ce n'-est
'lue si la Caisse des Dépôts nçoit pour le
déhut av ri l !e-s état~ 'prévus pnu r tous les
déparh:ments, qu'elle pourra dfectu .:f, v.e rs
le milieu de l' année 1950, la comlltn:-allon
des prestat ions versées en Hl49.
VOUt'" t ransmettrtz sall'S délai~ l'es instrueLiOhS aux colledivit~ int éfL'Ssees.
Pour le Vice-Préside nt du Conseti,
~Iinistre d~ l'In térieur d par tiélégation:
Le Prefet, Directeur <1-1' J'Administral,on
Générale, Départemcntall et Com munale,
Pi erre- Jean ,MOATlî
,Le- Vi ce ,Présitle1l't cLu Conseil
,A\inistrc de l'Intérieur,
1
ASSURANCE DU PERSONN EL TITU"
LAIRE DES COLLECTIVITES LOCALES AFFILIEES A LA CA,.ISSE NATIO"
NALE DE RETRAITES,
j'ai l'IzonflCtlr de porll.~r ci-dc:'''SO Il .'i à Id
ron nai'sonce de MM. les Maires du Déparl~
l1Ien l l e lexte de la circulair,' de M. le VII"Pré,'ident du Conseil Ministre de ('Inlffleur ,
nu 22 du 23 jGY1l1ie; 1950, rdalll 'l' ail lauX
de cotisation cles: assurances
Générale, Départem\!ntale et Communale,
Pierre-jean MOATTI.
-------<>00 C>-------
0,00
objet de l>réciS€ r la natur., des r:squ es
tervent,ion d e la lai du 2 août 1949, la
déci~
ston des collectivités intéressées et "e co n-
trôle de l'auto rité ohargée de la tutelle admin'~trati~t:' sero nt gu'idés par 1e'S co nsidérat ions
slllvant.es :
0
1 La Sécurité Sociale a9<ure k personnel
auxiliai re co mmun al contre les risq ues « accidents d \1 t,ravai l » moyennant une cot isation
de 1 %,
Or, les ,risques oou\' erts dans
tjè'
D5 BI
cas sonl
beaucoup p lu6 importants que Ceux prév."
par les contrats concernant le pergon,"el titulaire affil ié à la Cais"" Nali{)nale de RC'fraltes.
En leffet, en C.e qui co ncerne notamment
les rentes versées en cas d'i ncapacité perman e.nte, la législation sur °lcs accid~ nts du
trav~fl COu.v re- à la foi~ l' Ïl1\'a lidité pantit'Ile
~assura",:" du personn el titulaire affilié ft la
al$S,e Nationale de Re'fraites ne prévoient
I ~ versement de fientes par I L'~ Co mpagnie5
d assurances ql1e dans le cas d'incapacité
l>e rmanen1e partielle puisque l'Invalidité to tale
~st ft la etltar1l'e de la Cai.-se Nationale de
" elra ites,
t 2" ,Les taux de coti~atiol1 4; aCCÎde-nts du
/ a\ ail » ~'ont pas été nC'levl~s à la su·î te de
I1lt:n' ent1on d-e la loi du 2 ao Îlf 19.19.
1 3 Au CO urs des tral'aux p réparatoire~ de
a 1a' ctll 2 aoa t 1949, il a été indiqué que
AG 13
STATUT DES PONTS DEFINITIFS
SEMI-DEFINITlfS ET PROVISOIRES
DEPEN DANT DE LA VOIRIE DEPARTEMENTALE ET COMMUNALEREMISE A LA COLLECTIVITE PROPRIETAIRE,
Cir!:ulaire n" 5
a.
Pans, le 1 ja nvier 1950.
Le Vice-PrCtiident dL! Conseil
J\\inistre de l' Intérieur,
'
il 1\\,\1- les Préfets de la .\Iétropole.
EL! applicatIOn de la
législatiOl> suc la
reoonstruC'tion, c'est !e lV\i nistère des Tra-
va'ux Publia;, des Transporls et du Tou-
COII-
\'t' rts et d'indiqu er un ta l1X maximum de
cotisation, rompte ten'lI dl-= ces ril'iqu.e s et tirs
reparatio ns prévues.
La leoture de \' OS rapports m'a vai t ell
effet, dém<lO tré la nécessité tle donner des
éléments précis d'apllrëc iation aux administrateurs locaux: oe r t.ainf'i co ntrats p révoya ient
des taux de cotisation de 2,5 et m('me 10 o/c
des salai res.
EII ce qui conce rne (a révis ion du ta'ux
de cotisatio n de 0,60 % , en raiSO'n de l'in-
de votre dépa r-
Pour le Vice-Président du Conseil
'
,\lini5tre de l'Intérieur
Le Préfet, D ireo~our de l'Administration
h.. .squL'lles ~es commlU ll t.'s pouvaient as urel
l't',ur persônnBI tJh llaire affilié a la Cais..~e.
Nflti onale de 1,e-traHe s des 3g.e nts d'eS' col ~ec
tivifés locales co ntre les ri sq.ues d'accidé'nts
~n serVlice ou à l'occat'Yion du servioe mo}re nnanf un taux de cotisation de
% des
i;a laires.
Or, à la suifle d.e l'inte-rv,t: l1 tion de la loi
du 2 aoû t 1949 , malj orant les indtll11nités d.ues
au titre des légi lation s sur Iffi accidents du
trava il, -certaines Compagnies d'ass.urances
ont demand é que ce taux d~ cotisation soit
rele ve.
JE:' vo us signale que la décision, en ce qui
conce rn e la fixation d'u n taux moyen de
cotisation, În ooOllbe à la co ll crivi,té elkmême, compte tenu de l 'importance respe.c·
live des dHf é'J'I(lfJltes caü.\.gories die peorsonn,el
co mprises dans la 'garantie du contrat d'assurance et des nisq'u.es plu Ou moins grands
• d'accidents du travail inhéren1s il la nature
des t mplois cXlercés.
La circulail'e du f) juilld 1949 avait l)Q ur
, Au con traire, l es contrats SO tiscriflS pour
AG 2
aux coll ectivités in téreS'é
te ment'
it NV~ L les Pré fet~ (Métropole).
Pa r circula ire Il '' 26 1 AD':J du 9 iu;Jtel
1949, je \'OIIS ai Indiq ué les condit ions dans
et l'Invalidité totale,
-------<~oo<~------
D2 B3
21
1
risme qui fa.t exécuter les travaux de recons _
truction des ponts détruits par faits de g,u.trre ,
même lorsque Ct'ti ouvrages d'art intéressent
des c h~m i l1s depa rtementa ux, des chemins
vic inaux, d;:s \'O lt'S urbain ES 0 11 des chem:ns
ru raux.
Toutefois, avan t lJue ne o:ent co nstrui~
des po nts définit ifs, d., ponts provisoires ou
des pon t'S :;cmi-d~fillitift-t
sont quelq uefois
jetés.
Il rn'·est apparu nécessairt de vous donner
quelque précislons au s.u jet du statut de C('t3.
dernières catégorits.
1" Lorsqu'il s'agi t de ponts définitifs il
est néce~ire que soil fixée d'une façon p récise la dak ft ,pa,rli r de laq<l'elle les départements et communes f: n o fllf entièrement la
charge et la respo nsabilité.
Les p()n ts reconstrui ts d' une manière déiinitive seront
remis aux
colle0tivités inté-
ressées ,
- Dès la fin dt"S h3\'o. UX , quand CtuX-c i
éiurO!1 t êt.: effectuêt-. i. n r~gÎt' ;
A l'expir,,tion d' un délai de garantir
si les trav311X ont t'té txéclItés il l't ntrt>prise.
Dans le cas excL,..tiOIli1-e1 où ce délai excédlt"raii le dc!al d··un an C'o ns acr~ j)ar l'usage,
la remise ~era eHt'C'htée ail hOut d'uTI an.
Tou tt! r:.mist' ~ra l'ohjd d'un Jlroc~s-ve r
ha l offici::l qui era ~i~né d'une part, par
l' Ingéni eur en Chef des Pont~ d Chaussèe-s
rel>résentant le i\ \ini sti:re dES' Travaux Puhli c$
et. d'a utre pa rt. par k repre~ l\ntant Qualifié
de la co ll ectivité iTl't~ressée. Si dl'lS réSt' rve:,
son t formulées par celte <ternit're, el1~ cte'
nont figur... r au procl.o,,-verhaL
Un t'x C'111pl:tift· dl' ce proCt's-verbal ~t:ra
conscr\'t~ pa r ..:hal'UIll' des pa rtIes si~n atai'ès.
!\ prli:' sigll,1lure t.!u procl'~-\"l'Tb:ll, c'~t ln
colkl'Ii\'itë à bqlll'Ile t'st rI:mis 1'0Ilvra~t'
d'art reconstruit qui assumera I:t respons':tbiJite dl SOli l'ntretien et d:.:~ accit'hnf's caus~
pa r l'o ll\"ra~e . C'e t il la collecti dté qu'il
appartieltdra, le Ca, ec h~i~nt, d'ex.:rC't'T l'nc-
Hon en garantie contre l'.entrepreneur si une
clause a été insérée
ce sujet dans le mar·
ché.
a
2" La légis1atlon tn vigueur ne précise pa.
d'une manière expresse l'autorité it laqudl.
\I1combe la charge de l'entretien el de la
re9ponsabi lité des ponts prol'isoir
et d.'
ponts semi-définirif•.
Il est toutefois pOSSIble, d'3prtS la réglementation générale sur la voirie de précist'r
les poionts sll·iva nts :
•
a) En ce qui concerne le;; ponts pro\'isaires, c'est l'Etat ('.\\inistère d<s Travaux
Publ;cs) qui a la charge d l' entretien de
ces ponts et qUi l>st responsable <les accidoents
que leur ubage peut évent.uellement causer
notamment par leur éboulemfnt.
'
b) En Ce qUI conctrne les ponts semi'
définitifs, la question est un peu plus cornpie"".
On admettra qu'un pont semi-d'éfinitii est
lin pont m~tallique ou composé cfélémcn!:;;
bétonnk don t ks su pports SOn t des piles e
des culées d'un ! }'fle normal et de la cOo.tru,crion duquel le bois t st exclu. sauf si "ouvrage .pl imitif en compurtait.
. ~'Etat. ~n construisant un pont s::mi"défin:tlf, .ne St"ra pas co nsidéré corrrne ayant
rempfl t{)talemem les
dbligati0'ls
qui lUI
lncombent en vertu dt.' la législation SL"r la
reconstruction.
. ~'est ainsi que lorsque le po nt semi-défi_
nl tlf sera hors d'usage) 60n rempi'acement
~ar un ~o."t défi nitif sera it la charg' de
1 Etat (_\tlnls!ere des Tral"aux Publics).
La pré~ente ci rcula t:n: rous ofst adressée en
double exemplJire pour vous permettre de la
commu niquer rapidem ent à .\\. l'Ingenieur en
Chef d _ Ponts et Ohau ées de '"otre Depart~ment. et Il )' ~ur:t lie u de
ri nserer au
Reclleil des Actes Adm' nisrraliis de ,'otr"
Préfecture.
Pour !t ."\inistr~ de lïntéN:ur
et par délégation,
Le Préfet, D;recteur de r Admln ' trahon
G"nérak, Départementalle et Communa"',
Pierre-J ean \WATTI
-------<_00< ;)-------
02 B3
TVX
CONSTRUCTIONS SCOLAIRES
ETABLISSEMENT DE PROJETS
Circulai re n' 35
Paris. le 2 nO\'efTIbr~ 1949.
Le \linislrt.' dt! 1 EdlU!1tion Sationalt'
ci IIM les Préfels
d .\1.\1. les In specfl!ur~ d' A cademi
L examen de, dos,"rs de CON TRl'CT IO S SCOLA IRES qUt me sant adre"""
par \'os .~i ns. ~è\'èle que dans trop dt! ca::::
les ,\\ullInpahtes funt établi r leurs projet~
~a n$ qu'un programmè précis ait ett: au pr~a
lat'lle l"tudie et mis au point. C'cst ainsi quo.
me pa n'ienn t'nt. parfois vises ,ans cbsen"a 'tions pa r J\ \.\\. les Inspecteurs d'Academie
des proj ets qui Ile correspondent pa~ exa,,'te
ment aux besoins scol:lires rtse l5 et qui. pour
cette ra ison, VOliS ~on{ retournés par mes
Se rYices en \"ue d'un remaniement serieux. Il
l'l'su ite d~ Ù.'" t:'rrements de~ pt'rtes do:! tem~l"
rr.portalltts : t'n outre. des situation .. irritantes se trouv('lll' ninsi ~Oll\ .:-nt crë~es.
Ceh\? imprecision de~ prn):!:-"'mme::. oblt~\..
, .:lillellr~ 16 architectes d'op~rati'1n à dre~èr
11lans et de\'is de te lle Îaç-on ql1e les St'rù..:e,
Tel'hiiqut's se tro uvent, à la ~~Iit e de rectiticatio n.;; jug~t':' indispensable"- par l'ln:,pel''1011 Gènl~ra le, amenés il. modifier p rofonde-
�23
Ile ce dossier rOuS sera precisée par de prochaines inf'tructions,
ment les documents ci -dessus indiqués, ce
qui a pour conséquence d'occasionner à ',1
fois des retards supplêmentai rt-.'s èt des fr:us
~Ie\"és et inutiles,
.\USSI pour remëdier à cet ~tat de chose~,
ai-je decide de ne plus accepter dès maintenant de dossiers définitifs qui ne comprendraitnt pa
""
",.
Pour le l\\ini st re
de l 'Educalion Nationale,
Le Direcleur
de l'Administration uel/émlt' :
Circulai·" " n' 39
tifiant chaque projet. étude ' que doit confirmer le tableau de renseignell1~nt, institu e par
01" Circulai re du 23 février 1933 et l'état de
situation scolaire de la commune, ces deu x
documents modifiés ~do n les modèles CIjoints :
Paris, Je 24 Nov-t-Illbrt' 19-J.9,
Cirou l ~ire L' " 38
Le Ministre de l'Edu cation Naliona k
" :\11.\1 , les Préfe ts et InS]l eci eurs
(j· Académi e.
Il est ~()lIhaitahle , en fait. qu 'avant même
de s'adresser a un architecte, les A'\lInicip ~
litr s qu i en vi sagent d'exécuter des tr.t\'aux
de CO li trllction. de recofl st ruction Ou d e
grog,,"'es !'"parations Se mettent en ra !>i'lO rt
m'et: lÏnspecteur Primai re de Ie'lu r ci rconscription pour étudier, de co ncert 3,'ec lui. l e~
propositions de programmes sur lesquelles
l'Inspecteur d'Académie aura ensuite à se
prononcer. Votre attent ion est appelée SlIr I~
fnlt lille le programme doit s 'i nspi rer à 13
fois. des ins- truct ions dll 30 J OlÎt 1949 et lk
la nécessite de ne prevo i r que les dépenses
strictement indispensahles dans lï ntcrét
fin ancier de l' Et at et des collecth'ités,
Ot.~
dt'TIl:wdes de ré vision d:e sut)\',t'ntion
me sont périodiquement p résentées, qui ont
trait ft des I>roj ets n'ayant enc.:'ore re çu aucun
conrmencem t"nt d'€'xécuhon , De Ct'lte façon,
les municipalités e5.përenr conSt:rver le bé<né'
fi ce des su'J ventions anterieurement accordées Cn fairSant rajuste·r le montan t en fonction de la vari ation des I)rix, jusqu 'à Cê
qu' L1ks S'oien t en llI-esure d' entreprendre !e ~
travaux ,
Dans, ces conditions, il t~t ll é<..'1€~ ai,re que
les proj ets qui me sont SOumis par vos soins
soient siJSceptibles, dès leur aO'rêmen t et
l'oct roi d' une sub \'enfi.o n de l'Eta t d'être mi ~
à exécu tion et qU'lt'l1 particulieT î esmu!ll ic i~
pa itt.és aient prév u et mis au IlOi nt le l11 od't:
de finance ment de- h:llr part icipation,
II. UN A\' A NT -PROJET . Hailli par
l'archllecte d'opération en fonction du pro gramme sus\'i<:::é et approuvé DU préalable
par mes soi ns
ILe paiemen,t des subventions qui sont
"lIouéecs aux comm u'l1es pour dies trava1tl'x ,de
co nlS1~rllcNon s scotaires, nie S31U1Nlit intenfltllÙ
qu'au v'u des pièces justificatives die dépenses', L'énuméraNon de ces pièc.e6 fig,ure dan~. .
le circ·ulai~e du 5 mai 1942 (§ 4 IPaibnH,nt
des sub ventions), dout .:xtrait ·ci-joint.
eette disposition semble avoir été Ilerdue
de vu e et il ani,ve fréquemme nt qu.e le paiemen ti de la subvention soit demande av an!
le co mmencement
même.etes tra v-a u x, ou
qlle. ce pa iement intervienne longt e ml~ apr~s.
le dé-but de-s travaux, ta commu ne ne se
•••
EXTRAIT
de la ci"cul aire du, 5 Ill afi 1~142
IV . -
marre :
5(> Des pr~cisiolls sur la -natme er l a qualité du sol et d" SOU S-SOi et l'alimentati on en
eau potable ;
6' Et. à l'al>pui . le programme approuvé.
Cet avant-projet \'ous sera retourn é après
approhation dans le délai d'un mois et la
commune intéressée fera aussitôt établir le
do<;,;icr et les plans définitif . La composition
la.
............
·h) Procès-_bal de réception.
i) Procès-verhaux d'adjudication.
j) Avis de l' Inspecteur d'Académie sur la
conformité des plans et des lmavaux exécutés.
"
COMMUNE d.....
DE'pAlnE~\,ENT
DEPENSE (DEDUCTION FAITE DU IIRIX DES TRAVAUX ETRANGERS AU SERVICE SCOLAIRE)
ARROND I SE.MtENT
d
,
MO NTANT
T AUX
1lON TANT
D ES 1GK ATlO N
D ES OUV RA GE S
DES
J)'
ESTnl AT I FS
RA HA IS
) IO KTAKT,
IJI'~ :U h IOIRE S
~_"T:=:RF_"'.
DES
SOU:\.II SSIO;.;"
A D]L'IH<..:.-\T ,
~r O:\T.,\:KT
1
LIES R,\ ll "'S
DEPE:\Sh
\ )[Ol\TA NT
DES ~t:\I~IHS
R,\Ü~~:~~~UJT
1- - -\
ÉTR,\NC;ERF:S
AU SER \' ICE
SCOLAIRE
,- - -
approtlvë le
Projet de
1. -
,
"·\ açO IlI1t:r i e
' . , , , , ' ,.
Charpente ..... . . . ......
1
1---- - ,
Couverture .......... . ..
1----Menuiserie .. ......... .. 1- - - - -- 1------,----Serru rerie .. . . . .. . ..... - - - - - - - - - Pein t urt: et \'it rer ie , ' ,
1
1- - - --1-----'-----
i
,...
I-
I
;
1
TOTAU\
_ _ _ 1_ _-
........ .
1
------
-_-1
1
1
M obilier scolaire . " " .. ' - - - - - - - - -- ,
Somme à ral oir pour t rava ux imp rr\' lI!-. ,,""
Honorai re s dl' l 'a rchitecte,
1
1---- ·-
•
-----
A déduire
,
,,
•
V ~~!eur des m:u éri all x
l'ancien bfd illlen t .,
I<ESTE
--
"
1
T OTAUX
PA ISMiENT DES SUBV EN TI ONS
A. - Acomples.
a)
Letrre- de tra'nsmiss·ion ci e vos services
Au si bien la loi du 23 mars 1947 (J . O.
re.::;umant
!'a ff arire ;
3 1 mars) dl spose-t-ell e e n SO n artide Il qu e
b) Etat solllmair e de la dépense, dru::isC
[es lHomesses de suh ven tions ~o nt nuI/es d~
plein droit quand le comm encement d'exé- pa r l'a rch itec te (III moment où r a~ompt e esl
demandé ;
cu ti on ne ~uit pas da ns (es deu x ann ées l a
d,éci~i~ ~ attributive de sulw.ention ; c~tte ,
c) I~ appo r~ du . c o n t rôl ~u r tec hn ique de,
U~Spos J t lOn s~ ra st ri cte n~ ent appliqu ée il l'ave travaux ;
nir et le proj et non mis à exécuti on dans Ce
d) C<: rti1i cat du Receveu r ,Mun icipal.
d~,la i, ~ ev ra, pour étre financ ", Se tr ouver
B.
- So lde.
rClIlsc nt sur la liste de classe ment d,t! C onseil Général.
a) Eta t de 'I>roposil io n de pa k m, nt de,
subven t ions allouées ~\LlX commun es pou r
con tructions. colai retS, Illod'èle Vlisé par lil
POLIr 1 .\1 inL t re de l'Ed:ucati on Nationale ,
cir culaire ' d" 1er novemhre I H27. Cel éta l
Le Directeur de l' Admin islrati on Général e
es t dressé I>a r 1 se rvices de la Préfeclu re
Signé : A. WEISS.
'
b) Eita~ récapit·ulatif de la dépense t(l lal<fa ite- (modèle ci-a nmxé) indiqu er séparément
les ~epen ecs fait es pou r l' acqu'isiti on c.lt:'S
------- <>o o <~ ------ter,ra lns Ou immeubles et l es dépe nses fait t"S
pour les tra vaux exécuté .
c) De\ris original approuvé.
L'avant-projet doit comprendre
1" U n plan de sit uation de l' l:cole dans 1:1
localité ;
2') Un pla n d'ensem ble orienté donnant la
nature des a bo rd ~ et des propri étés ri ver aine~
;
J O Un"e étude à 1 cm. donnant les plan ,
des differents étages et la façade prin.cipal e
et faisant ressortir l es hauteurs ;
4° Un devis descriptif et estimatif .,'0111-
rtetl'T's,
Le J\o\,inistr1e de l'Education Na'tiollall:,
à M'M,. les Préfets et In·specteur,
préoccupant pas d'adresser en leml)S voulu
les i~lsti~ications nécess3'ir es.
Pour évi t er ,l es i n convén i e n t~ qui ré sultent
de ces etrre,mentlS : corl'lespondaon c es inutiles, •
interventions Iparleme ntéIJir,es
sans 'objet ,
interrupt·io n des t,ravaux Ipar les en trepri~e5,
J' ai l'lhonn... ur d~ vous fa ir e connaître qu' il
sLrrcr oit de t navail pour les sNvices dE" compne m'es t plus possible d'accéd er ft toutes It!(:! 1 tabilité en fin d'exercic·e, je vOu
serais
demandes de révision qui me sont pré sentées,
de
,bien
vouloi
r
r
appeler
à
iJ\\I.~'"
les
obligé
une t elle maJllt:re de fai re etant incompatil\ \aires de votlf'e départ ement , les instJru ctions
ble avec la st ricte obsen rati on do
I) rogrammes de constructions ëra hlis pour chaque
qll~ precèdent en le :priant de m'adresser,
exer cice,
par votre interm édiairè, les d'ossiers de
L 'odroi d-~ sllIh"t'lltioIlS complémentaire:,
demandes de pai€ments r égulièlr",mellt conSM>lI ven t Ï1n portantes, ft titre de révis:,oll , 1
aboutît en effet, â réduire la masse d!es cré' - titués au fur e,t à m~ure de l'avall ot'm'e nt
des trav aux,
dits de subventions pré\'us pour ohaqu e pro_
gramme annu el de constru ctions Il'€luv es et
Pour le Ministre de rEd,ucaNon Nati on" le,
en con sequ ence, il me ttr.e oh:lacl'e à la r ê a ~
Le Di recteur de l' Ad l11 inistrati on Générale.
ItsatirlTI de projets floouve au x souve l1t prêt'S à
Signé A . WE I'SS.
être exécll tes,
Chaque fois qu 'un désaccord surgira que
J'I nspectt.'ur d'Académie et VOlis-même IIC
fklurrez apl anir Ou dans t OI1S les cas qu i
\ -OUS paraîtraient à l'un et il l'autre de !'olul ioll délicate, ,'ous m'ad resserez le programme proposé par tïn specteur d'Academie sOus
le timbrl' de la Direction de l'A u ministratior~
Générale. Sous· Direct ion des CO NSTI~U C
TlO ' SCOLAIRES. pour dé," 5ion, cette
tra nsmis iOn étant accompagnee du tableau
de rensei gnements (sa uf l e~ pièces annexes
qui y sont " isées) , de J'état de situ ati on scolaire et dt;. \'o tre avis moti\'É', Si j e n'a i pas
donn~ suite à \"OS pro positions dans le délai
d' un mois, \'OUS pou rrez les cOJlsidér er comme acceptées et l a J\'\ unicipalité, prévenue par
rous, pourra recotl rir à un homme de l 'a rt
et faire é.tab li r les plan et devis SO us forme
d'a l a nt-proje t.
immeubl es, aux ar-chitet'1es et aux entrepre-
d'Académi e.
TVX
CONSTRUCTIONS SCOLAIRES
REVISION DES SUBVENTIONS
CADUCITE DES PROMESSES DE
SUBVENTIONS
Le program me cons iste essentiellement Cil
une ~tllde l'ircon ~ tanciée définis::-ant et ju:-.-
f) Ra,pport du contrôleu'r technique des
travaux,
g ) Certificat du Receveur Mtmicil1<l1 ,ndiquant le 1T1ontant <les sommes <payées aux
notaires, all!X vendt:ucs des terrai ns ou
d) Décompte gétéral détaillé de la dépense
faite (travau" et mobilier scola;re, 6i le projet
en comporte) .
e) Pièces définitives d'acquisition avec
l'état d~taillé des frais correspondant".
Pil r i" le 28 Nove mbre ' 949.
_ _ _ _ <> 00<>----
D2 83
TVX 1
CONSTRUCTIONS SCOLAIRES
PAIEMENT DES SUBVENTIONS
WEIS5 .
1. - UN PROGRAMME precis de t'opéraration envisagée; établi par J\\. l'In specteur
ô'Académie et approuyé par ,'ous,
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D2 83
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rnU. \I S OÉD1.JJT
, Maçu nnt:fle " " " . , . . ' ./
Charpente ..... ..
COll verllure "" , . " " . ,1 _ _ _ __
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Tra vau x Supplé mentaires .
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Ml'Il11iseri~
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Serru rer ie ..............
Peint m l:! t::t \' il rcri e " " , . ______ 1 _ _ _ _. _
Ho n/ raires dl' l'arc hitectej
1'.----- , - - - - - _____
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1_____ 1
:-.~:::::=-=k_::===
II ==================~====~=========~,====~=IŒCA.t>II'UiLATION DES D E.PE SES SCOLAlIŒS (I\,\B,\ IS DEDUIT).
Depense e ff ~ct ll l'e pour l'exl!cuti on ùu proj d primiliî
Di.'pellse effèdll ée pour travaux supp lémentaln'::'o "
TUIAL
de la dépense rl't: lle",.
1- - - - -
�A 0
D6 BI
ELECTIONS DES CONSEILS O'ADMINISTRATION DES ORGANISMES DE
MUT UALITE AGRICOLE.
AI!iŒTE
Ll' Prl,."ll't dt,:; BOllcht:s-du-l{hô ll l'.
lHfictt:'r de la. Légion d' Honnlu T,
Croix de GlRrre,
VlI la loi du El l'uin 19-1-9. portant retahhst'ell1tn t l't Tc.'organi$3tiùl1 d ~ Cons~lb d' A.d~
mm istration lies Organisme:- de ,\\ utllêllttc
Agricolt::.
.
\ ·u 1t!S ar rt: tt,i-s du .\\ inistl"e dl I"AgncultUTe
ml IJ juHler 1 94~1. artIcle 14 et du 6 JaJ1\ tt r
1950. fixant au 12 fé,-rier 1950 la date d"s
élections dèS: dë!egués communaux dans les
Bout: ha- - du- I~hône.
Sur la fJr()po~~tion ou ecretairt Génr ral,
ARRETE:
Dans ks ('omnHlIl c=,
où au ront heu I~s eketion dt's d~It"g'u~s communa ux des uois Collèges e.lectoraux pnh"ut-.
par la loi - It:!\'isét du 8 juin 19-1Y pour
l'élection de::, Con seils d· Admin ·... tration dl's
OrganiS1l1t:~ dt: la
.\\ ufllalité Agricol e, les
bUTt!aux dt! yote ~ ro nt OuYertS le. dimancht
12 "fi~v ri e r 1950, dt- huit Iheu res à dix huit
h ~lJ r es, !Sans interruption.
A RTICLE PRE.\I I ER. -
ART, 2. - Par excrptlon, dans les commu nes dt' l'arrondissement d'Aix, -t:n raison des
fH ~ publiqut!s d'Aix, 1
hureaux de ,'ote
seront ou\'erts de huit he-u rt t:' il. quatorze
heurtS, sans intt'!ruption.
:t -
Le .... créta:re Génêral de la
Pff~r~cture. Ic~ Sllus-Préft:J~ d'Aix et d'Arles,
ART.
k .~\ affes du Departemen t. sont dha rgés ,
chacun en Cè qui ~e concc.rne, dt! l'exécution
tlu prêtt"'fnt arrêtê.
,~I arsei ll e. le 1er Févrie r 1950.
Pour 1. Préfet.
Le
et~e t a ire Génëra l délégué ,
LA\~ASSOU~E.
:.
Lt Prefet des B UlIohes-du-Rh ônt,
il I~\lf\\. les ." ai r e~ du départ ement.
Les ~ltction!S an stade comm ulntl l d ~S Co~
seils d'A dministration de la M'utuallte Ag r.l cole vont s'effectu tr le 12 février pJocha,"
dans vot rt' com mUTle,
Vous a\'~l reçu, pOUf l'orga11isation de ces
élections, les l11structlollS necessaires du Comite d'Administration prO\' i50irc des Caisses
de ..\\ uhlalité Sociale Agricole.
Il me ra rait néanmo.i ns. utile ,d~ \'OUS
donner en outre des mdlcatlOlls Ipreclses sur
la rédaction du procès-v-erbal des opérations
électorales qui doit être étahü <1 l'i - ue de
chJqlle scr utin,
J.:.:; \'ous prie de t'Tom'er ci-joint une formu le
à laqueIJe vous voudrez hi en ''DUS conformer.
Vous Iro:.nrerèz égalemen t un r éswmé d ~s
~n . . tru ct iQlls que vo us a1urcz il appliQiuer pour
le déroulement des opéra1ions étt:ctora les.
j'am5ell e tout partic uli èrement vot,.e a tt~n
tian sur le fait qu 'an premier tour, 1 élect ion
i\ licu à la majorite absolu~ des votani s let
non des S1.lffrag
exprim és.
Communiqués - Avis
Annonces diverses
PUBLICATIONS NOUVELLES
OE L'IN STITUT GEOGRAPHIQUE
NATIONAL
L 'l nsti t ut Geographiqllc National vic nt de
p ubl ier les feuilles sui va ntt's :
FN1/1 Ce 20.000 ·~ L'O Il/Cflrs
Saintes-N\ari t::s-de-J a-IV\ er 2
>
>
~
Le vés de 1!)4R
Le\:és de I fl4~
•
GOJIIJIIUNIQUE8 DU 8EGBUHBIBT
DE L'UNION DES JIIBIRES
FRANClAISE
-----
DËPARTEMENT DES
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
/
Toute correspondance relative ail R ecueil doit être adressee à la Prefecture Secrétariat Général
ABRÉVIA.TIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circ·ulaire. - Le s lettres D et B suivies d'un chiffre indiquent le Service Ou Bureau d'origine .
- S. L. R. A. : Service de Liquidation des RéquiSitions Allemand es. - R. G. : Ravitamement Général. - S. C. R. : Service de la
EMISSION RADIOPHONIQUE
Circulation et du Roula ge. -
Mes.~i"urs les M ai res du D épa rtem ent des
Bouches-du-Rhône so nt i nformés que le
D oc teu r BR UNET. présid('nt de l'Union, parIcra à la Rad io, sur les an t e n n~s du Poste
Parisien. le jeudi 16 février, à 18 h. 40.
Le suj et de SOli allocution se ra : «" De la
né c&ssi té de la soli da rité inte rcommuna l e ).
Le Secrc'tnire Général de l'Union:
AUD I BERT
pour le Préfet,
Par délégation, le Seorétaire Général,
G. L MtrlSSOURE.
RÉPUBLIQUE
16 Février 1950
-------< >00 <> -------
D . D . S. : Direction D épartementale de l a Santé. -
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pages
AG O. - Délég a'llÎoll de signaturt.: ....
25
AG 0 , Modi fica t iol1f> a'tl x Circom;criptions t e-rritorja ies des Co mmun es.
26
AG 2. - M édai lle d' H onn eur départementale et co mm unal e. - Promo tion
d\ , 1er ma i 1950 ................. .
26
A O. - Règle mentation du transpo r t
et de l a \'c nte des co mbustibles so lides ... . ... . ..................... .
26
A O. - Att r ibution d 'ulle prime unique
et excepti onnelle aux ouniers pelïllane nts des exp l o;·ta ti on~ agricoles ....
27
A 1. - Hèglement général de Travafl
du pt'rso nn.e J des Ca isses de Cred it
Ag ri cole 1I\o\lut uel .. , ........ .
28
FS 7 . . Pl acellle nt l'olonta lfe à titre
gratu it des malades mellitallx
29
D. S. T . : Direction des Services Techniques.
Textes d'intérêt général
Pages
FS 7. -
Admi nistration de l' Ass;stance
Publ iq ue : Pri x de jo urn ée pr é"isio nn els 1950 . ................. .
FS 8. - Assista nce ,\I édicale gr atuit t.
30
31
AC 3. - .Frais de dél)lacement et de
mission..
. .. , ....
32
AC 3. - I mputatiun de:::. cotisation~ de
Sécurité Sociale sur le !:>uppl ~ment
familial de traitement et l 'inckmnitc
pour
difiicultés
exceptionnelles
d'ex iste.l1ct ..
32
30
P O. -
Interdictions vi:-ant certa ines
publications
P 3. -" Pfc he fluriale: Décret n"
50-1 12 du 23- 1-50 modifiant l'article
6 du décret du 12-7-4 1, porlant règlement d'administration publique
pour l'application de l'article 5 de la
Ini LU 15-4- IB29 ...............
Pages
In demn it ~s pour f rais de demé na ge mtnt et pour changement de
rét"den ce ........
AC 3. -
:lI
SC 7. Vacati011s hora ires aes sapeurs-pompiers .................
31
SC 7. - Spectacles dans les établisseme-nts rcce\'an t du ,publü' .....
32
32
Comntuniquês du Secrêtariat
de l'Union des Maires
Ohs~Q:..It!S
du .\\aire de Sa:I11-Estè\'e_
Janson ...........................
32
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
•
,
AG 0
05 1:l3
DELEGAT IO N DE SIGNATURE
ARRE TE
Le Pré/et ch,s Bouches-elu-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur,
Vu l'article 3 du d~c r et du 29 décembre
1854 ;
Vu le tlecret du 10 septembre 1926 ;
Vu le décret clu 27 septembre 1948 porta nt
nomiuat ion de M. Gu)' LAMASSOURE en.
qua1itc de Secrétai re Général il la Préfec ture
des Bouc h es-du-H h ôn~,
Copi e certifiée confo rme.
Po ur le Préfet :
Arrè/ l! :
Ar/ici/! prelllier. DélêgJtion permallente
de signa tu re e:-;t donnée il I\ \. Guy LAMAS-
Le Secrétaire Général ,
Si ::!n!' : L AM ASSOURE .
•
---
SOU RE , ~ec r éta i re gënéral de la Prdedure des Bouches-d u-R hône, en ce qui Conce rne:
- Les léga lisal ioll S de ~igllaturcs i
- Les passepo rts ;
- Lcs cartes d'étr angers •
- L 'a pproba tion des budgets et comptes
des co mmun es, des ctablissernents hospita liers et des as:;ociations reconnues d'utilité
- L'approbation des délibl:rations des
Conseils l\\uni cipaux et des Commissions
Administrati\'es des Etab l issem~nt:' hospita liers ;
- Les arn?tês concernant les admini6trateurs er le personnt:1 de l'Assistance Puhlique de ~Iarseille, l'app(obation des dt'Iiherations du Conseil d'Administr <1tion de l'Assistance P,ubliquc d~ M arseille ;
- Les éHrfot~~ conce rn ant Its A.dmi ni::.-trateurs et ft: perSOlll1tl des E:ablis~emcnts
hospitaliers ;
- Lt:::; ~Irrêtl>s ùe fixntion de., prix de
jOllrn~e de l'Assistance PlIhlÎllu~ de .'\larseille et des Etablissements hoslJita liers ;
- Les arr~té~ concernant J'Assistance Mcdic,tle Gratuite l't les lo is d ' n~slst:tnce ;
- Les arr~tés d'nutorisatioll de dl'pàts
d'explosifs :
Les arrl'tl't:' d'expu lsion d'etranger~ ;
Les ordres de refou lemen t :
Le$ contrat-. Il,,1rch ~s, adjmiications
pour le compte du Departement ;
Les arr êtes d'acceptation de legs;
- Les arrëtl.!s d'autorisations et rccepissés de d écla rati On des Etablissernt!J\~ classés ;
,
- Les contra\'enllons de grande
- Les ret.'epl~es de d~claration~ d'Associations (Loi de 1901) ;
- Les ordre:'> de rëqlllsirinns (ordonnance
du Il octobre 19~5) ;
- Les arrêtës portant non~inatiull, titularisation, promotion dt' grade et 3"ant'ement
de claSse Utl personnel déparknH.: ntal ;
- Le~ nrrètes dt' mise il la retrait-e du
personnel du Cadrt Depart~mental ,
- LL's arrêtes portant recla~semt;'nt du
persol1nel départemental :
- Le$ arrêtés et Ilotes de :-;en'it:e accordant des cong-~s Ô! maladie, congés allnue[~
et exceptionnt'ls all personnel du r . . ure de
l'Etat et du Cadre Dêpartemt:l1tal :
- Les arrètc~ purrnnt dt:tacheme!lt et mi~e
I.!l1 disponihilitê dt! per~onnel du Cadre DI!pa rtemclltal ;
- Les arrl-tcs rt'Iatifs a.u Con~eil de Disdpline et o5,:lOctions Inf1ig~es au personnel
du Cadre OëpJrh::mental ;
- Les arrttl'~ .et notes de ser\'ic~ re-Iatifs
à ln Contmis~ion .\dminititratin' Paritaire
Départementale et au Comite Technique PaI",taire (Etat et Departem<nt) ;
- Correspondances relnti\'es al! person nel
du Cadre des Fonctiollnaires de l'Etat et des
Fonctionnaires du Cadre Départemental ;
�•
• ·ntalion du personnel (Etat et O~par·
tement).
ArJidl. 2. -
Toutes dispositions antcr,eur es au prl:$ent arrête sont ra ppo rtées.
Article 3. - M. le Secretaire Général de
la P rciectu re est cha rgé de l'exécu tion du
présen t arrêté. qui sera noti fi é à M,\ l les
AG 2
0 2 B3
MEDAILLE D'HONNEUR
DEPARTEMEN T ALE ET COMMUNALE
PROMOTION DU 1er MAI 1950
j'ai l 'honne nr de . porter c~-ùcsso ns il l ~
connaissance des MaIres du De-partement ~~S
Bouches-du-Rhône le texte d'Ilne circul éure
Cheis de Sen-ice.
ministér ielle rt:latÎ\'e à l a Medai lle ct Honneur
Fai t ; \lars eille, le 7 févri er 1950.
dcpa rtementale et comm unale :
L e Préfet
Circulai re n' 45 - P ER-CP -~ du 2 fél' rier
BAY LOT.
J950.
POLIr per mt'ttre ren vo i de5''tl(k'S i~rs à la
_ ___
date prcy ue, jé prie les M au'es de l'oulo!r
AG 0 1 b cn me "les fa ire par\'enir avant le 22 11.:0 2 83
MODIfI CATION AUX CIRCONSCRIP- nier 1950, sous le timbre 2e Oi\'istoll, Je Bureau,
TIONS TERRITORIALES DES COMPour le Prl:fet et par ùdt!g:atidn,
o o o<~ _ ---
MUNES.
Le S t'{:rCtaire GI..'m,:.ral
ARRETE
L AMASSOURE .
Le Prêle! des Bouchœ- du-Rhône,
Oiticia ue la Légion d'Honneur,
\"u t:n~mb(e !~S délibération., d Conseils
.\lUJ1!e p,ux de Carry-le-Rouet en date d" 1S
jam
I~-IS d Ensuès-Ia- Redonn< L'Il date
du 13 n -s 19-18 émettant le vœu que soit
pronOIll.t:
.. rattachemen~ du hameau dt:
l'Bs c a: olle (corr:munc de Carry) il la commune d I:.nsuès-la-RedOMe ;
\ 'u
1 1 ÙU 5 a\~ri1 18S-i è11 ses articles 5
et 6, 111 dt.~ par l'ordonnancê du 2 novembre PQ5
beration du Consed Général dc~
\'
-Hhône en date dul 16 décemB ouches
br I~~'
Con d
Jlt
qu'aucune r&lamation n'a été
à l'occ~ion
t rev~ SJ'- l'opération SUSV'gée
fe
te oUI·ene du 10 au 19 s~p em194.1 ;
ant ~u·a!.1 sur~us les avis recllcilCo
Ji. s de,! fa\'orables ;
rOp06:tion du S,créta:re Gênerai,
Sn
d
br~
ARRETE:
Est prononcé le détachem [Li la Commune de Carrv-h:-Rouct
h",dlEmen. à ):a COffifTIUne °d'Eonsuèset ·! ...
la- Rt.: Ille, d:..! hameau. de l'Escarayotl~ t<~!
qu~i (
~t..:mité sur Ît: p~an ci-annexé.
ARTICLE PRE.I\lER. J
ART.? - M. le Secretairt Général,
.\\. le Sous·Préfet d'Aix,
JI\. le \laA d< Carry-le-Rouet,
111
laire d'Ensë.ès- la-Redonne,
M . le Trésorier-Pareur Général,
ltl 1.. Di".,-eteur de î.'Enreg~strement et
d ...s
M , le Di;-ecteu r des Contributions Dfrec-
tes,
sont dh"'rgé~, chacun en ce quil e concerne,
de l'Lx<cution du prèsent aHélé qui sera
mséré a" Recueil des Actes Administratifs du
Département.
Le PréM,
j ean BAYLOT.
de prl!fércJlce.
j e \'OIIS rappcll " eu cffet, que cctle dis·
tinction ne pt;:ut t?trc accordée qU';1l1 chuix ~t
da~l~ la limite d'un contingent Lit.; lU ~~ des
,",,"ailles d'Argent.
Vou:;. voudrez bien diffuser la prL-SC:J1~l'
instl nction aux services illtéres~l:s, n lt mmellt
aux M3ires et, le cas ('chéant, aux Consuls
d'Administration des Caisses d~ Cn:'l'it Ml!nicip,i et JllOllt,-de-Piétc.
à M. le Ministre, Goul'etncur GI.'nerl,/
Puur Il! YiCL·Pr .. "-i ..lcnt l 1 Ci) scil,
de 1 Algiri e,
.'~inis 1 e de Ilnt r CUI'
M. le Prefet de la S_in" (O:rccti
d p:u d~kgatl( n,
du Personnel ct Dilcttio:1 de~
Le Directrllr du P.rsvu
Affaires dêpartefi1ental:..~) ;
el d, s Affaires PviJ/ <{u, .
A/M. les PréfL.s - Cabinet (Metro].-E. REY\IOND .
pole, Algerie, Outrc-~Ier),
- - --uooC>---Je vous prie de m'adreSSt:r sous le pr~
sent timbre, arant le 1er mU.rs E/5U, cidai fil'
06 III
A 0
rigueur, vos prop.)sitions en rue de la PIOREGLEMENTATION
DU
TI
I\NSPORT
motion de la ,"(jaille ij'Ilunn~ur Dcpar(eET DE LA VENTE
menlale et Cornn.unale du 1er mal ·W50,
DES
COMBUSTIBLES
SOLIDES
Les dossiers qui me pJ.r\'Ïlonuront aprt:s
cette d~ite ne pouTront être (;,:'\2mint:5 qu à
ARRETE
l'occasion de la promotion du 1er janner
Le
Prdet
d,
s 80uches-du-Hhi>ne,
195 1.
•
Offtcif:r de la Léglion d Honneur,
\'ous \"oudrez bien vous conÎormer strict.!Croix ctt Gnerre.
ment aux instructions déta:tk:s qui ;"OUS 0 ,t
l'te fourl'!cS au sujet de la présbntatiDI1
Vu l'artic:e 97 et t: u:\'ants de la loi du
des dossiers.
'
avril 1~84 ;
Conform~ment aux dispositiolis de l'artVn la loi du 1er ao;,t 1905 sur l~ rc "
cie 7 du dC'Cfet du 7 juin .1945, comph'l e par
sion
des fraudes ;
,",,,,ticle -1 du dec"t du 20 dCCfmb, e 1045
Considérant qu'il inlporte de proti!g r It:
et au). instruction::. de ma cin:lllair~ n° 611,
consommateurs et de dU mire Ir .. 'nté'"e
Pcr-l du 15 décembre 1948, je vous ,appdle
du commu'ce régulier cQ.n.tr~ L-; {rom
que mes sen'ices ·n'acceptent plus de propot'our
kl qualité et la quar'ité des (h:u:hon~
sitions con "ernant les fonctbnnaircs des Pre
011 autres combllsfbles livrés:
fectures l-tatisl:s depuis le ter janyiu 1041.
Sur la propos:tion du S-:clcbire Gh,~r<ll
D'autr\..: part. les cand:datures des ag-ents
départementaux tt communaux reL ait<.'s Ou
AIlRETE :
::lyant Cl~SC Ie-urs fonctions depuis plus de
ARTICLE PREMIER, - Tout vehicule c;rcu
5 ans à la date de la promotion (1er jo,,\'icrlant ~ur 1 t rritoir,: de~ Boucl:e~dli-RllôlH
1er mai) ne pCU\'ent être pri~es l:.n cOIl~i ..
E.1 transportail.t en vue d'êtr.e livft':, di ,ct<.:dCration.
mt'nt à la consommation, des combushblff"
En ce qui cOllcerne les canàidatul,(g des
autres que ies combusthl('g )"qu'd.f's EC'J
canton~ît!rs de la voirie dGpan~n.ent~ intl.!soumis
aux 'prescriptions ti'uivant~s :
gr ~s à compter du 1er jall\<~r 1940 e~ qua1'Jo Tout char,~ ment cbm1'll t pour U!1
lité d'agents de travaux Ou de conducteurs
même clienr doit ê!re accom'Pagné d'u,n b 1de chantiers au Sen'ice des Porots ct Chau,sées, il y aura 1ieu de ne m'adresser que les
letin de livra:son ex~rait d'un c:lrnet il soudossiers des candidats réunis~ant 2:) ans at
ches Ou manifold, ou d' une lacture COmpOIserllices lIll 1er janvier 1948 et qui par suite
tant la raison socrale du vendeur, h~ nomh~c
de l eur mise à ra retraite avmlt d'aVOir
dE." colis, le po~ds Dlet de ,c'hacun d\~\1x, ,Il'
accompli 30 années de services, Ile pourraient
poids. net t otal, l a qual ité de l a 1l1arol~n n d:sl
obteni r la Médai lle d'Honneur (les T ravaux
corI1L~ponda,n\t à
l'arr êté de ta>ntlOtl en
Publics. Ces ca"didatures del'r ont m'ê t re
vigueu r QU, à ctéfn ut, aux usages lo)~aux ~l
adressées dans un délai de 5 ans à compter
la pn)lres~i o n, l e p rix die ve nte rel1du, a d ~ml~
du 1er j anvier 1948.
ci l-e et les nom et adresse dll d'(:"stl1nata l ~e,
Les agents l'isés ci-d essus suscep ti bles de
2 0 Sil 'P1us1f"urs véhicul es composen t Ull
réunir 30 ann ées d e ser vi ces avant fa da t e
chargemen
t pour un mêmle client, cha~un
de cessalion de leur activité po ur ro nt êt re
proposé s pOli r l'a ttribution cl e l a M édaille de ces véhicules doit ètpe accompagné d un
~o n ou d/ une fa d ure co.m\portant le~ me<lldes Tr avau x Publics, con form ément à l a cirfi ons pr évues au 1)Jr agraphe précédc'n t.
cul aire n" 13 1 de M. le M inis(re des Tr al'au x Publics, en da"!e du 5 mai 1949.
3' T out ohargemen t po ur pl usieurs c!'ent,
Je vous si gna le, par ailleurs, que les emdoit êt r:e accompag né d'au tant de bonS ou
ployés des hôpitaux et hospices dtpartemende [actures, libellés conf or mément au parad
Dom31l_S,
,Marseille. le 2 Février 1950.
Le l'ice-PrésidLnt du Côr!l,cil,
Ministre de JJntéri..'l!r,
tau..'< et communaux, rém unérés sur le hud ~t: t
des coll ectil'ités locales peuvent r cevoir' la
Alé ùaille d·Honn"u,r Départe mental e et Communale, Il VOLI S appa n i ~n t. cn con::.0quencl',
de me fai re parv .. ni r des propos;rt:ions en
leu r fav~ ur.
Ain si que je VOll~ l 'ai ind iq ue par circu l aire n" 29 1 PER-CP-4 du 25 aoùt 1949, les
proposit ions tendant à l'attr ibut ion de la Médaille de V ermei l doivent êtr e accompa:;,'lllt!:o!
d'un r appO, t dctai ll ': sur les st.! f\'icl.!s des
candidats et doive.nt m'êtr e t ransmises :mus
bo rdereau x dist incts men ionnant llo."re ardre
27
graphe l , Un b o r dc r ~ a u r~c ap:lU.arJl cv,"
vu es pa r l a législation de la mui.uali tê sotiaServices de Police, M .\ 1. l es Inspect eurs et
1e agricole,
..
pOJ'l ta nt les mèm.. s indicat H.Jn:t p ... llt l l\ lul·Age nts de la Répressi on des Fraudes, Les
placer les ()u ll etins Ou tê.c t L • .....5 "-d .... 4dl:: C"...
Ingél1le.urs et ln pe'C teurs des Instruments de
Arliele lt - On t droit à une prime unico rrnm tlll1des soront ,i llléril:UI t:::, a :!....U ,\1
M esures, M. le Chef d' Escadron Commanque et exceptionnelle de 3.000 francs les
client.
dan t . la Gendar mer ie et tou t Agen t de l'Auo uvriers perm anents ou occupés de m ~ n iè re
tf.>ofllte sont chargés, chacun en ,ce qui le conpe rmanente dans la même exploitation, non
A RT. 2. L a ve nte des combustib:es
cerne, elle- l'exécution du présent arrêté,
nourr is, remplissant les conditions suivan tes:
solid es " eut se faire :
- SOIt en sacs plomb é<; qui, doivent être
!MarseiUe, le I l j anvier 1950.
l ' ZONE l , dite « d' Arles >. - Avoir
mun ÎG d' une etiqutltte mcn1ti onn ant obli gaLe Préfet ,
eff ecti vement perçu (1) au t it re du mois d'octoi'ne m ~lI t l a qualit é du combustible, le poids
j ea n, BAYLOT .
tobre 1949 une somme inférieUR Ou au plus
net et la r aison sociale rllu v endeur ;
égale il JO300 fra ncs, y compris les avanta- -- -- - -•• 00 • • - -- - - - _ SoH en c Oll ffed ou'VerbES ow It'Il sacs
ges en nature f aisant l'obj et d'une tvaluan.on I)!omlbés, dont le p·œds Inet undivjdue.l
06 B I
tion dans le règlement d u travail.
A 0
ao~~ cOflfespondr-e à celui indiqu é sur l e bulLes owvriers don<! l e salaire effectivement
ATTRIBUT ION D'UNE PRIME UNIQUE
pe rçu ( 1), y comp ris les ava ntages <n nature,
leti n ;
ET EXCEPTIONNELLE AUX OUVRIERS
_ SoH en vrac, mais Eeule:ment ipo ur un e
au ra été duran t le même mois compris en tre
PERMANENT S DES EXPLOITATIONS
10.300 fr. et 13.300 f r ., ont dro it il une prime
l ivraison égal e on supéri eu.e à 2.000 kilos
AGRICOLES
unique et exceptionnelle dont le montant
ct cles~i n ée au même clie nt; le l)oids b ~"t ,et
est égal à l a di ff éren ce entre 13.300 fr ancs
la tare doivent alors ft gui1e>r su r le bulletin,
ARR ETE
et
le sal ai re perçu.
,
ART. 3. - T ont véhicule transpo~t>a nt des
LIe Préfet des Boueh"es-dn -Rh6ne
2' ZONE Il. - Avoi r effect ivement pe rcombusllib les à deslli nati on des el1Jtl'e'pôts des
Off icier de la Légion d'H6nne~r
çu ( 1) an titre du mois d'octobre 19-19 une
négocia,n,ts doit être accompagné 'd'un certi Cro ix. de Guerre,
'
somme inférieu re ou au p lus égale à 9.700
f ica t le mentionnanlt, établi par I·e transporf rancs, y compris les avantages en nature
Vu
,"ord
on
nance
du
7
j'uillet
1945,
rel
ative
œur sous sa seul'e respons,1 biltté, le dit certifaisan t! ll'objet d' une évaluation dans le règle?t I l'nst ltu tlon de commissions paritaires de
f icat ent raÎn:ant la 'dispense des autr
justimen t de t ravai l.
travail
et
à
l'établ
issemeni
de
,,\"lements
de
ficati ons,
t,ravai! en aO"ri cult ure ;
(:>
Les ouvriers dont le sal ai re effecti,'ement
A,RT. 4. Les ,livraisons à des partiClu·
perçu (1), y compris les ava ntages en natu re.
Vn l'ar rêté d." 7 jufltet 1945, modifié par
liers fa~l es dfi'rect>ement d' u'll ce l1Jtre d'appro- _ce l u, du 5 aout 1946, pris en appli catio n
au ra été du rant le même mois compris entre
vasion.ne m!E'nt (gar,e, mine, etc .. ,) pourront
9.700 fr ancs et 12.700 fran cs ont droit à une
de l'a r ticle premier, ali néa 2 de J'ordon nance
se fai'ne en cou ff es non lI'é-glé'es lorsqu e' la
prime unique et exception nelle dont le mondu 7 j uillet 1945 susvisée;
t,otalité ,du char gement seira de.sNné€'l à un'
t ant est éga le à la di fférence entre 12.700 fr.
Vu les arrétés préfect or au x dES 30 avril et
Beuil cli ent ; outre les j ustifioations pIiévues
et le salai re perçu.
18 décemb re 1948 port ant fi xation d u ré"ime
à l' arti d'e J, le livreur d'ev ra étire en posses(:>
d,u travail en agriculture '
3' ZO N E In, dite c sèche ~ . Avoir
sion du Ibull etin de ,basoul"! cfolivré .par l e
Vu le procès-verbal d~ l a réuniollJ de la
effect ivement perçu (1) au ti tre du mois
centre,
Commission Pari taire du T ravail en Ag r icuJd'octobr e 1949 une somme infél ieure ou au
L~ livnaisons il des collecti vités, à des
t ur,e en date du 18 novembre 1 9 ~9 .
plus égale il 9.200 f r ., y compri s les avanV u les proposi t ion s de . M. J' l ngé ~ ie ur en
in dusf1riels Olt , (e n IgénéraJ, à t oute perso.n ne
t ages en 'Ila ture faisan t l'objet d'une évaluaChe.f, dIrecteur des Ser vi ces Agri col-es, el tion dans le règlement de t ravail.
physique OU' morale qui aura donn é son
J'av,s de M , le Conl rô leu r des lois sociales
.accord, pourront égal'e'ment se fai re en coufLes ouvr iers
j,
"j~ l airf' effecth'ement
en Agri culture ;
perçu ( 1), y CO" p.
,
~. - _
on
Ife.
fes, 'nOn réglées l orsq ue la livraison ne ;pou l'Ira
Vu les instru ctions de M . le M inistr e de
au ra été dura~
~
re
se faire ell vrac, dans les conditIOns pré\~ues
l'A gr iculture et de JI\. le Ministre clu T r avail
,)
9.200 f rancs et
à l'artid e 2. Dans Ce cas, I~ ind icati o n du prix
ct de la Sécurité Socia le notifi ées à l a date
prime unique et excepllVloo
ne gera pas obliga,toi re.
du 27 d ~ce m b r e 1949 ;
tant est égal à la différence "
ART. 5. Dai,s t ous les étab lia.emenrs
Sur la proposi tion du Secrét ai re Général ;
et le sa la"'e pe rçu.
.où s',E'xerce le comm erce de b ois et dna rARRETE:
Article 4. - Pou r les ouvriers permanents
b ons, d'oi'v ent être affichés d' un e ma·nière
Article premier. - Les dispos itions du à capacité professio nnelle réduite, la prime
apparente et ~j s i.b l e', dans t ous ~es locaux
un ique et excep tionnell e ne subit pas la r~
pr 6sent, arrêté sonn applicables aux entrepria ccess:bl es aux consommateurs (bUirea ux ,de
d uction afférente à leurs salaires,
ses agri co les, tLiles qu'elles sont définies pa r
comm.a.nde, magasi'ns, entrepôts), [E- prix de
Le droit il la prime et l a fixation de son
le décreHoi dn 30 oc tobre 1935, rel ati f aux
vente au délail (chantier et domicile) et une
montant seront étalJlis en calcul éwt leur plein
associations agrico les et à ce rtaines pe rson.ampliat ion du ,présen t arrêté.
'
salai re, c'est-à-di re celui qu'ils auraient pe rn-es exe rçant des pro f essio ns connexes à
ART, 6. - L es li vreurs et cami onneu,rss ont
çu s' ils avaient été à capacité professionneHe
l'agriculture, à l'exclusion des organ ismes
obliga toi remen t teTI us de r eme1tre aux desnormale et en appliquant à Ce dnnier le
proftssionne ls agricoles én umér és ci -après:
ti nataires, avanrt: déchargement , les bons de
barème
établi à l'article précédent.
- Syndicats agricoles,
liVraison Ou faclure5 p rév us à l'art icle preArticle 5. - Le montant de la prime uni- Caisses d'assurances mutuelles agricomler : ces pièces (on le bord,..,-ea u N'capi·
que et exceptionnelle, calculé <omm.!" il est
les constituées confo r mément à la loi du -1lbulatif) devron.t être communiques il tout
indique <lUX deux articles pr~cédents, est rl....
juillet 1900 ;
agent de contrô le, qui en ferait la dema nde
duit de moitié pour les oU\'riers permanents
- Caisses d'allocations ramiliales agripendant le transport.
nourris.
coles ;
Les doubles de ces pièces, constrvés à
- Caisses de crédit agricole mutuel ;
Arlicl.! 6. - Il ne sera pas lenn compk
l'entre--p ôt penda nt un an au minimu'm, feron t
- Sociét~s coopératives agricoles ;
de la prime unique et excep:i, nncHe nom
t'obj et de la même communication de la
- 50l;iet~ d'intérêts co llectih agricoles ;
le cnlcul des indemnitcs de pr~aris, de lkenpart du vend eur,
- Unions ou f~d6 r ations des organismes
ciement l't de l'ongés pay~s
pr écités et généralement tous groupements
ART, 7. - Dans le.> coml11unes du déparArtide 7. A cc"te prime, 6'~lj,,)utera,
professionnel s agricoles régulièrement conste-.ment 'des B OUDh es-dll-~hônle où des cirpour les sLlI:Hii:s perre\'ant des pr~sl,1t!IJI1S
1
titues,
c onstances pa'r~icu li èr(6 et des lIsag ts loca'ux
·familiales, une major:lt'on de rrim\! unlLJllt:'
le j ll~.i fi e r on't, les '/\l a:,res pourront proposer
Article 2, - Les entreprises visées à l'arélT<lle à 20 cè des allnCJ.tions fami!inks t:t
une déro gation Jaux r~gles édictées en forme
ticle 1cr devront ve rser une prime uniquL'
d~ l'allocation lie s.:llairc unique, à l',:'ü:lusion
d'a rrê~é soum is il l'apl,,.obation de l'autorité
et exc('ptiollnelle, dans les conditions presde l'allli(atioll prénatale perçue. au .titre du
préf ectoral,e.
crites aUX articles ci-apres. aUX s~lIls
mois li.'uctobre 19-1-~), Cd~e majoratIOn :'oera
ART" 8, - T outes con t raventions aux disouvriers permanents tels qu':ls sont définis
ég-alemcnt rayèe par 1cmployeul
par l e règlement d~ tral'ail en agri(ulture du
pOSi.hons qui précèden t s€oront con. tatées pnr
30 al'ril 19-18, " l 'exception toutefois des jeu.d'es procès-verbaux transmis aux T rib'i!lnaUX
(1) P.u !'al. ire ctl("l'ti\"l;-m.nt pcn;u, il but
nes tra,'ailleurs àg0s di:! moin5 de 18 ans
compé tents,
cntuldre le s~\lJire bnH, ;;'est-à.-dire .\\ant dt'révolus il 10 date dll 1er octobre 10-19.
ART. 9. - M. le Sc'créta' re Génera l, AIIM
fakation des cotisations de mutualitl.; agrkt.1 e
les
MI~ \.
�2U
•
2
Loo inh.~re~sés devront justifier à r employ~ltr du montant des allocations pe n,'llt:s
par eux ~u titre du nlois d·octObre . 1 9~9. Le
montant de cette majorahon es! IIldlqUC dans
te tabl1!3U annexe au p r ~st'nt règlement.
Article 8. - L'attribution de la pri me UIlÎqut! et exceptionnelle e! "de la .m.ajoratioll
de primes pré\"ues a u presen.t aTrcte ne. pe ut
entraîner aucune a'ugme-n tattOn des priX de
n~ nt e.
Article 9. - Le Secrétaire Gencra l de la
Prêfecture les Sous-Préfets, l ' Ingénieur en
Chef dlre~teur des Se r vices Ag ricoles, et le
Cont~ôleur des lois sociales e n Agriculture
sont charaés
ce qui~.le conce.rne,
eo 1 chac un en
•
.
de l'exëcution du present arretc, qUI sera
insé ré a u Recueil des Actes Admi"istratifs
de la Préfecture.
~Iar.;eille, le 25 jalll'ie r 1950.
L< Préfet:
j ean BAYLOT.
•••
MAjORATIO
DE 20 % DES PRESTATIONS fAMILIALES, S'A j OUTANT A
LA PRIME UNIQUE ET EXCEPTIONNELLE ET RESTANT A LA CHAR GE
DE L'EMPLOYEUR
M aj oration
de Salaire U nique
Jeune6 mênages.
1 enf. de mOtns
ZON ES
ABC
ns
240
480
de 5 anS ....
1 enf. de 5 à 10
240
ans ........ .
enfant de dernier rang ... . 4so
960
2 enfants . .... .
3 enf. ou plus. 1.200
456
2 16
432
D
204
408
228
216
204
456
9 12
1.140
432
864
1.080
408
8 16
1.020
Majoration
des Allocations
Fami liales
2 enfants
3 enfants
4 enfants
Et pour chaque
enfant en plllô
ZONE A. -
480 .
1.200
1.920
456
1.140
1.824
432
1.080
1.723
408
1.020
1.632
720
684
648
6 12
Marseille,
Allauch,
Berre,
Châteauneuf-les-Martigues, Les Pennes-Mirabeau, La Penne-sur- HU\'eaune. Marignane,
Martigues, Miramas, Plan-de- Cuques, PortSaiQt-Louis-du-Rhône, Port-de-Bouc,
Ro gnac, Saint-Victoret , Scptèmes.
ZONE B. - Aix, Arles. Aubagne, Cassis,
Ceyreste. Fos-su r- Mer, Gardanne, I ~t res, La
Ciotat, I{oquefort-Ia-Bédoule, Saint-Chamas,
Saint-Martin-de-Crau, Saintes-M ar ies de l a
Mer, Sa lon. T arascon. Vald onne (commune
de Peypin).
ZONE C. - Carry-le-Rouet, Fontvieille,
Gemenos, Pey.pin (saul hameau de Valdonne), Le Râve, Saint-Mître, Sausset et Vitrolles.
ZONE D. - Toutes les autres commune<
d'Il D épartement.
06 B I
REGLEMENT GENEUAL DE TRAVAIL
DU PERSONNEL DES CAISSES DE
CREDIT AGRICOLE MUT UEL
AI<RETE
Le Préfel ctes Bouches-elu-R hône,
Officier de la Légion d' Honn eur.
régl~me n taires
ct établis
?
CLA.SSIFICAT ION HI.BRA<R,CH IQUE DU
PERSONNEL O' EXECUTIO
ART. 2. La clas ·ification hiérarohique
des emplois du p€"I'SOn nel d'e xécution est fixé
conform ément au tabl eau ci- annexé.
Les emplois dont la fonction préseOire un
caractère interprofe ionnrel bénéficient en
pluti du coefficient hiérarchique de sala1re
prévu d'une prime aHouoée sous la forme d'un
suppléme nt dudit coeHicient.
CLASSIFICATION HI BRARCHI QUE
DES EMRLOIS DU PERSONNEiL
D'EJNCADR.EM'BNT
ART. 3. La class'ficat ion hiérarchique
d
emplois du person nel d'encadrement est
fixée, conformément au ,tableau Il ci-annexé.
La classification des Caisses de Crédit
Agricole 'Mu~uelle il laq uelle le tableau Il se
réfère, résulte des décisions od e la Caisse National e de Crédit Agricole.
ART. 4. - Dans les li mitts suivantes, il
pourra être octroyé des poi nts personnels
destin és à récompenser la valeur du hravail
ind!viduel aux personnels d'exécuti on et d'en _
cadrem ent à l'exclusion du personnel de
direction.
1" Dans chaq'ue Caisse Régionale de Cré'
TA BEAU \. N'
3
"
.ï
fi
Coefficienf
Prime
113
113
115
11 5
120
120
5
5
5
5
flcsultant de 1application de
N"
Coefficient
7
123
Prime
EMPLOIS
Employés 1re Cl1léKorÏl' - 1!', E ch c/c"m
Employé déhutant dans la profession jusq u'à la titul ari!\a tion.
Ire Catégorie - 2e Echelon
8
126,5
3,5
Employe ~xècutant divers travaux simples : cla!'>Sclllent, manipu lation des pièces comptables, chèques, coupons
l'apticle 2 de l'apr,,té clLI 3 1 déc("l1l'bre 1947
Vu J'ordonnance n" 0\5- 1490 du 7 juillet
1945 relative il l'mstituti on ct
COOllI1l H:S IonS
Pa ri/aires de tra vail et à l'étabLissememt des
règlements ô<e na'va,iI en agr i c ul~l~n:! ;
Vu l'arrêté mi nistériel du 7 Judlet 1945,
modifié par celUi du :- août 1946, pris en
-a pplica tion de lla rti-cle 1N, aliné~
<le l'Ordonnance du ï jllll!et 1945 suSVIsee ;
Vu le proc~s- verba l de la ré union d~~ la
Commission paritai r~ Departeme]1,tale de 1 Iravail en AzricuLtu re f'n da te du 18 nove mbre 1949 ;
Vu l"aJpprobation d, ,\ '1. le 'M:nistre d:e
l ' Agriculture et de M . le Ministre .du T ravail
et de la Sécurité Soc:ale, n otlfl(~ en date
du 4 février 1950 ;
Sur la propos;non de M . le Secretaire Genc!ral,
ARREl'E :
CHA1i\ IP D'A PPL ICATION
ARTICLE PREMIER. Le prése nt arrHé
concerne l'ensemble ,d'u 'personned des Caisses Ré aionales. de Crédit Agricol e IMutu e:
visées ~u paragraphe 2 de l'article 1er d'lI
décret- loi du 30 octobre 1935, c'est-a-dire
Le personnel d'exéc uton,
Ge p~solH\re1 d'encadrement.
1
2
(JoOOCl--- -
dit Atrricole Mutud , la mo yelln ~ min imum
des él~po in1e m en{{", t ffc.:: c,tifs des l nlployes
;j' une part €'l (k~ s cadres ct autre pa rt , abstrac~
tion fa ite des ind cmn,jtés hor.aüres prt!\'lIl1S
aux ar ticles 3 e>t 4 de l'arriM du 3 1 décem_
bre 1947 et à l'art ic)e 2 d'" l' arrê té du 28
sep tembf1e 1948, est u)>érieure d~ 5 % (cinq
pou r cent) à la n~ oye lln e des ~a I 3l,r~s r:ninima
A 1
'oo l11p~e nOn tenu des
2e Catégorie
inde mnités
horai res do nt il s',ao-jt.
2" 5n tout ét at -die ca use, h,s l'Ill ployés et
ca dires. conservadllt le bénéfi oe da; sommes en ..
va leu,r absolue qui cor.respo ndai1enJt, le 30
novembre 19 4ï, aux ,poi'nt-s perso nn els qui
leur étai ent acco rdés, c'es t-à-di re aux poi nts
co mpris entre I ~ sa laiT.c I~li.n i !TIILlrm ~a ra~ t i.et
I.e- salai rte maxrmum 1I1dlv'lduel, c est-a-d,re
en tre 108 et 11 8 % du alaire minimum légal.
:1" Les poi nts persoMlels actuellement
accordés aux employés et ca dres en trent en
compte aussi bi.en pou r l'appréci ation de la
moycnn e m inimllin de 5 % que pOllr ceUe
du ,maÎntJen des sommet; en valeur. absolue,
visé au pamgraphc 2 c,i- dessus.
4" L'octroi de points personn.e ls lexclut la
possibilité d'a ccord'er une ,majoraotion lors de
la tiltul aPisa ti on.
ART. 5. - Les d.is.positions gé nérales concerna nt les salaires pOlir les 'professions
i"nd ustrie lles et co mm ercia~les :et notamment
celles qui te nde nt à fi xer la val eur monet.aire
de coeHicien ts ,hiér<lrohiques, 60nt aVP\Jcables ·en oe qui concern e le ,pe·rson'nel des
Caisses de Crédi.t ;\ gricole M.urt"e\.
L es salaires prévus pa'r le présent règle- ?
ment co nstitue nt, comm e pou r 1 . p~Qfess!O~s
s usvjs~es, d.es maxima. A'lIcul1l~ 1I1demnl~é
ou al!ocatioll , de quelque nature que ce SOIt,
ne peu t être allouée à ce personnel si elle
n'a pas fait, au préa la'bl·t, l'o h i'~tl d 'l~ne
approbation mi.nistéri elle expresse ou d un
addit4f au présent règlcme-nt.
ART. 6. L a r églem entation du travail
édict~ pou" les prolessions industri elles el
commerciales (âgE.! d'adm ission, dure~ dl!
travail, repos hebd'omndai re e,( des JOurs
fériés, congés payés, ,etc ... ) s'app!,lque dans
les Cais~es de Crédit Agricol e M.wtu el.
ART. 7. "r outes dispo :H iol1 s réglementairès It n vigu'fu r cont.rai res aux modalités du
présent ,arrêté' sont abrogées.
ART. 8. - Mo. le Secrétaire Général de la
Préfectu.., M. l' Ingéni ur en Ohef, Directeur
des Servioes Agricol es, M. le Contrôleur des
Lois Sociales en AgIliculture, sont c~an~és,
chacan en ce qui le concerne, de l'exec~t lon
.du présent! régle:ment qui sera insére au tRecueil des Actes Adminrstratifs de la Pré-
138
10
II
12
13
138
138
138
13g
14
138
3e Cn"t'égorie
15
150
16
17
150
150
18
150
19
138
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26
190
2?
190
28
190
29
30
190
190
f ec ~ure.
Marseille. le 13 Février 1950.
Pour le Préfet.
le Secrétaire Général,
G. ,LAIM.A>SSOURE.
PerSOnnel d'execlIlioll
EM PLOIS
Tral'aillellrs manuels el perso nnel de servicJc
Perso nnel d'entreti en effectuant le lava ae et l'encau:.tiq llag e.
Veilleur de nuit, ~t gardi en de j ou r av~c rondes.
Garçon de bureau, garçon de cou rses "arçon de coffres.
Man~tentionnaire en gros tr avaux. J::'
Concierge à la disposition exdusive de la Caisse I{égiona le.
. Ouvri er de petit entretien n'appartenant 'pas à des. profes"ons dont les sal aires ont fait l'objet d'un arrêté spéCial.
Employé capable d'exccuter les opl.!rations couran1es de sa
spécialité.
Employé aux écr itures (rnoi ns ' ùe 170 éc r iture6 par jo ur) .
T él éphonist·e standardiste.
Ga rçon de recette ayant moins de deux ans de pratique ..
Sténodact)flQgraphe et stéllot)~piste débuta nte aya nt mOI·l1S
d un an de pratique.
Calcul ate ur sur machine capable de traduire correctement le
rrs ultat de ::.es opéra tions.
31
191
32
170
33
190
34
190
L'échelo n
12
Employé ayant acq uis u.ne tonnaissancc suffisante du servi ·
cc ou de la par ti e de service où il est occupé, lu i permettant
d ·exéc uter so n travai l avec slt reté et rapidité.
Employé aux écritu res (p1U6 de 170 écrit ur e~ ra I' jour).
T eneur de livres et de reg Istres (agent executant tous tra vaux éléme ntéüres de comptabilité ne nécessita11t pas la CO nI~aissa,nce aénérale du mécanisme co mptable) .
. Employt charo-é de l'établissemen t des dossiers et des fiche;
de pr~ts CT . NT, LT, D éco mpte des i n tér~ts éc héa nciers.
Sténo-dacty lographe et sténotypiste ayan t plus d'u'n an de
pratique.
.
..
Mécano grap he simple (emp loye sur mac hllles m ~c~nogra
l'hi.ques effec tu alllt des tra vaux Simples et de3 tra nscriptIOns de
docum ents comptabl es).
Ga rçon de recette après 2 Jns de pratique.
4;, Categorie - 1er Echetoll
Rêdacteur corre;:;ponda ncier (empl oyé chargé de l'exécution
c'un courrier simple sur les indications qui Illi sont données) .
Cai5$ie r payeur employé effectuant le paiement des chèques.
....
2e 6cfl eton
Secrétaire sténodactylographe et stenotyp i ~tc
(rédacteur
correspondancier, pratiquant la sténograph ie ou la stéwtypi~.
.
Aide-comptab'le (employé chargé de la tenue. dr.s, Journaux
10
auxiliaires de l'établissement des bal ances partlcuheres et de
tous t rav~ilx comptables necessitant une co nll ai~sa1~ce généra le de la comptabilité, à J'exclusion de la central Isat ion et de
l a ba lgnce gé-nérale.
3e Echeto"
En1ploy~ remp lissant 'les conditions exigées au 1er ou 2e
cchelon et occupant un emploi nccessitant des connaissa,nces
professionnelles étendues où il est appelé à prenn re des initiatives et des responsabil ités et even'tlueIJemel1t appelé ft rem ,"Iacer temporairement un chef de section.
Seorétaire de Direction (collaborateur immédiat de la Direction possédant une bonne instruction géné rale).
Secrétaire sténodactylographe de Direction possédant une
ho nne instruction générale, collaborant pa rticuliè r~ment a\'~c
1... Di,recteur ou le Sous-Directeur. rédi geant une majeure partIe
de la cor respondance d'après les directives générales.
Spécialiste de conten t ieux d'opérations fina'llcières de bourse.
Comp table (emp loyé chargé d,u pointage des journées, de la
centralisation du journal général des balances des situations
~omma ires et sit uation5 trimestrielles et de l'arrêté périodique des comptes).
Caissier comptab'le (employé effectuant en plus des op~ra
tio lls des ca isse certaikl1s travaux compta b l~s).
M('Ca nog-raphe-cornptable (em ployé trava illan t sur machine
20
1I~écanog r ap hique ayant au moins les I..:onnaissnnces de J'aide
comptable du 2e ~he l ol1).
Gera nt de bureau auxi liaire non rémunéré à la commission
(employé assurant le Qonctionnement d'un bureau auxi liaire
ne compo rtant pas de Ipersonnel).
Employé principal poste intermMiaire dans certaines caisses régionales entre les employés simples et les agents d'encadrement .
au coefficient 190 ,ne comporte pas de maximum individuel.
22
Classement
des caisses
Chef de service
ou de hureau
Caisse rcgionak
de 1re catég ..
Caisse région. de
catêg. exception.
Chef
de Section
2fiO
360
-------c>ooc>-------
D3 B2
FS7
PLACEMENT \'OLONTAIRE A TITRE
GRATUIT DES MALADES MENTAUX
ARRETE
,Le Préfet des BOUCheS-du-Rhône,
Officier dt" la Légi-On d' Honneur,
\'u l'article 25 de la loi du 30-<>-1838 ;
Vu la circuJair~ n" 199 du 10-8-1949 de
.\1'. le Min; tre de la Santé Publ ique ·ct de
la Population sur le placements \'o!ontaires
à l,itre gratuit des malad'ts mentaux ;
Vu ks délibérations du Conseil d'Admir.istration de l'A dministration de l'ASb:stance
Publique de 'Marsei lle en date du 16-9-49 et
de la Commission admin' trative de l'Hô·
pital Ps yc hiâtriqu ~ d'Aix- en-Pro\'ence tm
date <'u 28-9-1 9-19 ;
Vu la déliberation du Conse;1 General en
date du 16'12-49,
Considerant que la loi dû 30-6-1 83~ n·.,t
pas seulem en t une loi de police' mais enc(,re
UIl't !o.i d'assistance qui a pour objet d'assurer autant qlle pOSSIU!€. un trùitemtnt ?t drs
;5oins à tous I f~ maJadf's men al.X ('.nn~ :.:1
",tuation a1':>elle la partic·)a"or des c ' llCét!vitép pllhliqu :s ;
Conô'·<léra.nt d'aulre part que l'iotérêt des
maladieS comme aussi bien celui des collectivités, postule l'hospitalisation pr~œ et
que If' "probl~mt' de reg-tem~n:t dt'S frrus d'~
tretien peut être resolu en COUTS do'hospltalisation ;
Sur la proposition de .\\ le Sel'rétaire
Géneral.
ARRETE
ARliCLE I->RE.\\lER, Les
indj~t:nts dans 1ïmpossibilit~
psychora~hes
de payer la
dépèns e dt' leur entrNien, don~ l'êtat m?nta}
nt' comprome-t pas l'ordre public ou la ~urete
des persOnnt6, ~)ourront être plaek \'olontair~rnent dans le quartier des psychopathes
de l'Hôpital-Hospice dl la Timone à Alar"eille ct à l'Hôpital j>sychi;Hrique d·Aix ....nPr()"ll1CC.
ART. 2. - Le prix de journ~e s~ra., livant I~ C:\$, CElui d.::; malades il1d;~ents
intentes d'office pour les indigtmts ou
lui
des malades pa)'""ts de 3e Ca'legorie pour les
assurés sociaux.
�ART, 3, - La demande d'admi sion pourra
"tre formée par k malade ou par toute ps-
sonne intéressée : parents, tuteur, curateur.
amis, a&;;stante sociale, .\\aire de la commun .
ART. -1. -
fS 7
D 3 B2
ADMINISTRATION DE L'ASSISTANCE
PUBLIQUE
Prix de journée prévisionnels 1950
Toute d,mande d'admis ion -era
écrite! et signée par cell:'Î qw la ,présentera.
Si celui-ci ne sait pas écrire, m nt!on devTZl
en être portée sur la d~ande qui s.."'a alors
établie par les soins du 1I\aire ou du Commissaire de Police.
ART. 5. - Elle devra contenir, autarut que
possible, les nom J prélloms, profession, âge
el domicile, tant de la personne qui la presentera que de celle dont l'admission sera
sollicitée ainsi que l'indication du degré de
parenté, ou, à défaut, de la nature des relations qui existen t f'Iltre elles.
ART. 6, - La demande devra être accompagnœ, en outre. d'un c€'r.t4fkat méd1cal
légalisé constatant l'état mental de la personne à placer et indiquant les Jlarticularités
de sa maladiie et la nécessité du placement.
ee certificat ne pourra être admis, s'il a été
déliné plus de 15 jours "vant sa remise,
s'il est signé d'un médecin altaché à l'établissement où doit è"e effectué le plaœment
ou si le' médecin si8'nataire est parent ou
allié au second deg.re i.nclusivement du ma'""'
lade ou' de la ,person ne qui fera effectuer le
placement.
ART. 7, La demande d'admission est
remise à la direction de ,l 'Hôpital psydtiâtrique accompagnée du certifica,t médiCal et
des justifiutions légales d'identité.
ART. 8. - Si la pE'l'sonne qUL a présenté
la demande ne peut souscrire l'engagement
de supporter la totali~ ou partie de frais de
séjour, l'admi9lion est prononcée sous <éserve d'enquête ultérie"", destinée à déterminer la ou les personnes OU les collectivités
tenues d'"ssumer les frais de séjour. Mention de ce fait devra être portée au bulletin
d'entrée prévu par l'article 8 de la lou clu
3O-ti-1838.
Le dossier de la demande d'exoneration
devra être instruit d'ans les formes prévues
par la réglementation en vigu,eur "" ce qui
concerne les modalités d'admilssion aux lois
d' assistance.
ART. 9, -
Le Département pourra toujours exercer SOn recours contre le malade
et ses ayants-droit pour obtenir le r emboursement des dépenses engagées par les collec,tivités pour son entretioo à l'Hôpital psychiâtl'lque.
ART. 10. - Les placements effectués en
exécution des articles ci-dessus resteront soumis à toutes les dispositions des lois et
règ~ements relatifs aux plaœments volontaires, et en 'particulier, celles concernant le
rapport trimestriel.
A RT. II. - Le présent a"rêté sera soumis
à l'agrément de M. ~ Ministre de la San.té
Pul:tlique en application de l'article 25 de la
loi du 30-6-1838.
Fait à M arse<i Ile le 18 janvier 1950.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
LA'MASSOURE.
----uoou----
ARRETE
Le Préfet des Bouch_ -du_Rhôn'~,
Officier de la Légion d'Hol1neur,
'C~ DU'~
"'....
• ....
INTERDICTIONS VISANT
CERTAINES PUBLICATIONS
ARRETE
Le Préfd de8 Boueh,s-d,u' Rhône,
Uffil)ll: r ci e la Lf.gion d' iionneur,
.
écret n" 50-1 12 du 23 janvicr 19S0 moLes pri x de journée ainsi fixés compren - ,03 B3
fS 8
cL flanl 1 article 6 du décret du 12 jui!'!lent toutes les dépenses, y compris celles
ASSISTANCE ~ŒDlCALE GRATUITE
let 194 1, portant règlement d'adm;nisd'antibiotiques,
tration publiqu~ Pc0ur l'applicaLotl d~
Le Préfct des BOltclws-dH-/Vlôuc à M M. les ,\lai,
I·art· 1 - cl 1
1 5 ' 1 S?(
ART, 2. _ Le I"ésent arrêté sera soumis
IC e" e a 01 dll
av., 1 _lJ.
l'es du pépGI-t,emclIt, M. le Directeur (fl' l'Adà l 'approbation
de M, le Ministre de 'la Santé
' , . . , l'A·
P bl'
' II'
L P
m'Hls/ratlOn!,lC
SSlstan cc
,,'qr1e (! , r'
'e :·~s:dent dtl' COll il tirs 'l!:nistr s,
Publ,'que el de la Populat,'oo, conformé" ,e" t
seille, MM. les Médecills dIJ SC/"'i.'ti:C fic l'ASSIS'
S t
rt
aux dispositions de l 'art, 16 du (Ic'cret du
Il'd '
G
'
.
ur n:! rappo du Min tr~ dl:! l'Af:!riculturc,
15-~1 948.
tance J e Icale
ra tlll te,
du Min:st11,. : de:s Travu~'. Publit.::->, des Tr<lil _
J'ai 'VhOJweur de vous notifi er, ci'·dtssou:;, porlG e (1l i T ounsntC
.
P
Toutefois, le;;: prix de J·ourn e·e f,'x és confordu '-t'ire n~c:jc.lt·n, du
"
les modifications apportées.iL l'art,icle JO du COn' '1 'l"
"II'··
mément aux dispositions de l'art,'cle prem,'er
! %.
:s,,::~, a 1I11stn: "lI' '1ft neu;·, "t du .\LnlsHt:
"é!!lement départ~melltal d'Assi.tanoce Mt.'U'· dc," F-manCl'S t I '
susvisé, avec effet du 1-1-1 950 seront imméllCS Aff 'r ~ E~·onolT1iOl: .. ~,
,
cale Graf!uite e:tJ de vous i,nforl11br lille CtS
\ '1' l' rd
d
Cl,'
diatement applicables, à titre provisoire jus0 OllllanCe
u 1-1 arr 1 1 ~5 v~rd"nt
qu'à l 'intervention de la décision ministérielmodifi cations entren t en vigu tiLl,r il partir du ~s actes intervenus. d. 1~ lI,.; lfi jl1i1l al--k')
le qui les entérinera à t itre défi nitif.
1er décembre 1949, (Circul aire n" 2~2 SS en mati~rt d, pè~:ll fi .. iaL,
ART, 3. _ Aux prix de j ournée fixes 6u i1949 Ou 26 nOI'~mbre 1949, d'eu\l. l e Mmistre
_Vu la loi du 15 an 1 r:~' relat;ve i1 h
vant les dispositions de l 'article premier cidu Travail et die la Sécurité Sociale. Ordol1' P~chc .fluviale, mod,hée notamment plr la
dessus, s'ajou tent, po"r chaque catégorie de
nanee du 19 octobre 1945).
,," 101 valide' du 12 juille t 1 ~4t, li not3lTmcnt
malades payants, les honoraires médicaux
.. ,. .,.. . .. ,
. . .. . " . .."
• ri -: rt'Clt" 5 .
ch irurgicaux et de spécialités calcules con~
Elles conœrnent uniq uement le tarif des
Vu le de~r;t d" 12 iuilU t 04 1 porlant
form~ment aux dispositions rÈ-'glementaires auxiliaj res médicaux qui est ainSI modifiê: r,é gl el!":;'flt d'adminiMratio n puhlique pOllr
en v' g ueur telles qu'e lles résultent du décret
Ville d'e>
1appIlca1iol1 de l' article 5de la loi dl1 15
~'u 17-4-43, don t les dispositi()ns ont été
M 'arsei,lIe Dépa rtement avrJI 1819, et 11 0t am mel1 1 son arricle 6 remet~ndues, sur ce point, aU X Hôpitaux de Mar'PlaCé par le décret du 9 ja lwicr 19....0 ;
Seille, pa,r le décret du 19-2-49,
NOI1 aSllurl!s soc,;"ux 68 (1)
fi() (1)
Le Con sei l d'Etat entLndu,
ART. 4, - M. le Secrétaire Général de la
Assurés sociaux ... , 85 (2)
75 (2)
- lDéerète :
,
Préfecture, M, le Directeur Général de l'AdPour le Préfet: Le Sun:tai't' d (1'Ir9"/'
L
•
ARTICLE PREMIER. _ L" "ticlc 6 d" de'c"tt
min
LA'[ASSOUT'I"
. istration de l 'A.ssislance Publique à Mar- ,
..
,'..
,du. t 2,J'uiliet t 94 1, " 10d,'f,'é.
'I,ar .
le d'e'cr"t
d"
seille, M. le Trésorier-Payeur Gén éral sont
'
l
chargés, chacun en ce qui le concerne de
(1) Indemnité fixe de dénlacemcnt pllUr soins ~ ]aO\' I('.r Hl4fI, est rem placé )lJf les disposi,
' 't e dans la loca lité Marseille,.
, é .
.d
Omlel
: :!"l rr. ; Di- !Tons SlI!vantos
\.. .'
l ex cuhon du présent arrêté,
pa,r~emen t : 17 fr, M<l.joration pour so i~s à df"r, « Art. ü. - Le taux d'" la taxe v"'rsé" par
Marseille, le Il FéV'JiEIT 1950,
t 48 .1 le:s ~c'l1l bres d LS associati
,
"
miel 1e du malade: dimanch'(', 33 ft,; nUl,
ons de
pêche et de
Pour le Préfet,
(2? .Indemnité fixe d-e dépla ce mtnt pour
fllSC ~lllt,lIre, les adJ'udicabire~ , cofernûers,
l
OJ
LAMASSOUnE,
Jn
PO
DI BI
Vu l, articles 97 et ~9 de la loi d'u 5
a\rIil 1804 ;
Vu la loi dl, 15 juillet 1893 sur l'Assistance
Vu l'a"Uele 7 rue la loi du i7 mars 179 1 ;
Vu la lni dl' 2 1 juillet Ill!! 1 ;
Méd,cale Gratuite,
Vu le dec,et-Iui du 29 juillet 193!1. nla1i~e
Vu la loi du 14 jui'iel 1905 sur l'Assistance
à la famille et il la natal,té françai e ;
aux Vieillards Infi"mes et Incurables,
Vu lesi!1Structiol1s de AI, le Mmistre de
Vu !a loi dJ 30 juin 1838 sur" aliénés,
t'Jntérku" L'n date du 21 j allver 1950 j
Vu l'Ordonnance du 18-121 944, détermiConsidLlam.lc dangt.:T qu . . prù,:::en l:, noLamnant à titre transitoire les règl
de fixation
ment Ipour la jeun'. . sse, l'.,;xrosition s:ur la
des prix de joumée dans les Hôpitaux et
voie publ14.:Jc d,.. t~rtain t.'s puhl,i...:atio ns illusHQl1pices Publ;cs,
trées d~ -cftr \\.:tère Jh.:encÎeux ;
PRIX DE JOURNEE IND IGENTS
ARRETE:
ARTICLE PRE"\lIER. - L'eXJlOsibon al:X por~
PRIX DE REVIENT \>atvlsiONNEI..S
ch ..:s, "jtr .;:.-;, k!{,},:qucs, ll1aga~ ~ns, t.tc., de
Excédent s
l'ri )(
1
man
i-ère qu eHe p u h;~~ ttrc \"UC de la voit
de l'exercice d e j ourOtl:
SER\'ICES
pu bliquL', a·n5,j qut. la vc.:ntr t!t l'oiire publi1948
pr
évitotal
m~dica
l
général
qU'~s dt la pl:blication 4" Frî.::~"ns dl! Paris »,
s ionnels
à déduir e
1 + 2
1
2
éd it~~ 53, (:t\"l:l1ue Prt~I:J., . . n1-\\'ibol1, à Le17,5
731
798,5
58,5
740
Hospice . . . . , . . . . . . . . . . . . . .
\'all oi$-Pt:Ht.~t, l~"t interct;t-e.
18
855
873
59
8 14
Aliénés ................. . . '.
Ar-T. 2. - u\li;\\. le; Sous Préfets à Aix et
731
17,5
798,5
58,5
740
Enfants déficients ...... . ... "
à Arlts, ~\ le Directu" Déjlort,mentaJ d",
1.807
46
1.
853
373
Medecine. .......... .. ..... '. 1.480
S ~rvicc~ d~ Pulice, ,~\c\1. les ,\I"i,res du Dé79
1.950
2.029,
549
1.480
Chirur gie ........ ... ..
partemeut, \\. le Comm"n J"ntdè Gendarmerie, sunt L:h. rges, chacun Ul ct:: qui le COIlPRI X DE JOURNEE PAYANTS
rn..:, uo: "l'xtJ.:llt:on du pre ... t:nt arrêté qUL
1re Catt"gorie
2e Cat égori e
f ~ .ra in\ t.!r~ .lU Bulldin des j\"1aires,
1J1aj or ation 40 0/0
majorati on 20 %
3e Catégorie
Marseille, le 7 Févr;,r I U50,
sur pri x d e revient
sur prix de r eY i ~ nt
ct' Assurés
50 % po ur l'Hospice
Sociaux.
Le Prde!,
BAHOT
1.171
937
Hospice , .... ,., . . . , ........ .
781
Aliénés , .... ,.. . .. ... • " ..... . 960
-------«.00 «.------Emfants dé6cients .,' •. , •.•.. ,
879
2,224
2,594
5 BI
P 3
Médecine ." .. ,." ... " .... ,~ 2.038
2,841
2.435
PECHE FLUVIALE
Chirurgie .............. ,., .. . 2.232
Le Secrétaire Général
b:i;;!:i}".~,u\._""'''''''''.&''''''''''-~''''_'''=:::''' ' _
Vu les circulaires d'application dL':; 29-12.
19-+-1 et 22-11-1949,
Vu l'article 26 de la loi du 2t-12-4 1 '11
les a,rticl,ts 22 et 34 du ,décret du 17-4-43
sur les regles de f1xa~lol1 d,es plU de JOllrn~
des malades et pe,ns'Ollll3lreS payanta
Vu le décret n° 48.985 du 15-6-1 048 tI
notamment, son article 16, alinéa 2,
'
Vu les propositioJ1\s du Conseil d'Aclmill:s.
tration de l'A:ssistance Publiq ue il Marseill~
Stl'ivant délibétalio n du 7 - 1 2 -1 94~ ,
V'u le rapport de M, l' InSI)ecteur Princ;PaI
de la Population du 6-2- 1950,
1
ARRETE:
Article premier. Les pri x de journée
prévisionnel s applicables dans It.!s dlv~ rs établissements dépendant de l' Aamini strat,on de
l ' Assistance Publique à Mar "Ile sont fixés
comme suit, à compter du 1er j anvier 1950:
"""~;...:.~;:;;g,..
d om iCile dans la localité Mars eiIle : 30 Fr.
p ..rt ..ner,t : 21 ft. Majoration pour soins à
M","",,,,,,""::'...'I~~~r.:::'iIIo.....:.r.;:.~::.g~~~:'~:':~~::"':.l~O~fr~:..·~Itliï
oÂ
" ...
..-.....
Ile
rmisSlonn air2s de pêch e aux filets et leurs
cdrnpagnons pour la burveillance -et la mise
en valf::tur du domaine pbdcolc national est
fixé ainsi qu'il suit :
« l'Adjudicataire< ct cofemli"s SUr les
eaux du domaine public à l'.exctption de
Ot'UX visés au ,paragra;Jhe' 2 ci-apres : 2.000
franc s.
~ 2," Pc.rm.i~sW> nnai res de grand~ pêche et
~dj.u?;<:ata~:Ls dt: lots adjugés à 'U ne valeur
lnfeneure a 3.000 fra,r. cs S Uof };;'5 "eau x du
domaine public : 000 francs,
« 3 u Ptrm issiollnain:s <f.t! ;pet ite pêche et
compagnon s des atljudica tain:s c(}fermieT6 et
p~rntjssio nl1 a1r..:,j sur 1;:.'3 eaux du domai ne publ1 e, tous pecht.'lIrs vendant tout Ou p:lflJie
de leur phh~, pêC'hcurs au lancu à l'aide
d'Iun moulinet ou d'un cadrr.:), pt:cheurs il la
~ouche ~rtlficic!Jc il l'...1id....
d'un m()ul~nld,
p-ccheur a loyer, ptchcurs à la traîne (aux
appàtti artifîcÎlls, ou natunls à l'aide' d'une
cann!:', à 1'~J.1de- d'un cordeau fixe.à. un bateau
ou tenu à la ma;n), pèch,'urs aux file: ou
a~x t'ngins autn."S que iJ balan-ce à écreVISSes, 1:1
'pet,L boscll ... s il anguilks, va
vermée tt ks lignes diverses : 350 franc:,.
4 u Tous élutrC5 pêcheurs: 100 fran~.
, Le~ pt-ch~urs appartl\f.:41nt à pIUSÏtllf$
categor" S Ile sont LnL'b d'.acqu!tter !es taxes
qu'à concurre-Ilce du nHmtant dt! la tlx? 1(1
plus élevée.
.
« Tout pécheur à quelque c31égorie qu'il
apprll!"lenne: payera, S'II S'ad1)1Ui~ Ol! partiCI.J-e a I:l pech:: du s.aumon. Hne tnx~ suppléI1WJ"1 :tir.: sp '",jale fix~1.. à 500 f'"nncs
L~ p~ollu t d...! ce~ bns
t \"l:rsé, par
la féderalion d ot rdève ehaq' e rcd,vahl.
al( COj't;t;;1 sun.éricur d~ l.1 pêch .. l.lOlir cOuvr,:r lES dép~ll<.:e~ rclatire-S tant à l'améFora_
fion de la pëC;l~ (!"un"llllancc, rcperplement,
lutte CI 'lire la pollii 'on d ..~... ~1t1X, travanx
d'am naJ;l IDE-nts. r;~C'icoh:s, ctc.:.) qu'aux frais
de fGnct1onn~ ment de ... ;"édüations et da Coil·
sLil t:: upéricur de 1<1 pèche.
La répaLtitîon de:; som mes d .. ces textes
se~1 fn' e p:u L .\}inistre de -l' Agricu:ture sur
:IV S du Ço ... ,,~oil s'Ipérieur de la pêChe,' suh'ant
les 'be"So'ns des dep"rtcm,nts. »
ART. 2. - 1 s d: )( sitiofl5; qu présent décret ~')nt appllc.1hit'S à. compter du 1er jan·
vier l é150,
ART. 3. - I.e .\1inistrc -de l'A rrricultu7"e le
Min,istre de:' Tmy:t~x Pllh F rs, de~ Tran~r~rt;..
et au Toun.;;m",. l~ \,jce-P1'~sident du Conseil
\\ "nistre dt.' rIntérieur, ct le ~\1:nistre d-t!~
Finallccs d d . -"!\
. Aff:t'l".,~ Econom:qutrS so.nt
chargés, chacun l'n re qui le concerne, de
l'exécution du p-réscnt dët.:ret, qui St"!.1 pub'ié
au Journal Officiel cte la Répl:'blique Fran çaise.
Fait à Paris, le 23 Janvier 1950.
GEorges BIDAULT.
Par le Président du Conseil des Ministres
Le ,l\tinÎ6-~'r e- de "Agriculture.
Georges VAL,' Y.
Le V,cePrésiden t du Conseil
Min,istre de l'IntériEur, '
Jules MOCH,
Le Mi nistre des Finances
et des Affaires Economiques
,Ala,,"ice PETSCI-I E,
'
Le IMhtistre d~s T ravaux Pu bliœ,
du T ourisme et des Transports,
Christia n PINEAU.
- - - - 0 00<>----
1
D2 B3
SC 7
VACATIONS HORAIRES
DES SAPEURS-POMPIERS
AHRETE
Le Préfet des Bouches-du-RJl..ône.
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu l'arrété du 14 n"J\'embre 1946 réor .... anisant les scrvic.:cs dïnccnJi~ et n~tarr1m~nt
l e premit:r al;néa du para"raplle 9 de l'article 28,
~
Vu la dépêche du M.oistère de l'Intérieur
N ° 27 BR, en date du 7 novemb re 1949
assimil an t les \'acations horaires des sapeurs:
pompier!), en cas de sinistre, à cell es des
ouvriers de J'indu ~trie du bâtiment, et prena'nt en considérat on Ic:-. majorations accu rdées à ces dernie rs pour L~... irmrt'llx dt' nuit,
Considérant qu'il y a litu de mod:!itr la
redaction du premier alin,a du paragraphe 9
de l'article 28 dt: l'arrf!tl:', pour perme,tre aux
sapeurs-pompkrs dl! b~r.....fic;u de ces d:sposition!),
Sur proposit:on du Secrët::tire bén~ral,
1
ARRETE:
Article premier. - Le pn.:ml raI nca du
paragraphe 9 de l'article 2~ de l'arrêté du '
14 nu\'\.:mbre 1046 est alO51 modifi~ :
AssurL:T au p ... rsonncl des Centres de
::.;ecOllrs le paiement d\;.o \'ucations pour les
heures d'intervention, sous la forme d'une
indcmni.(o t.:al1,;ukc li apr~s I~ baïème de:s sal,:lires horaÎle3 normau dt:s tar,fs de jour et
de nuit pratiqués d:ms It.:s nciil ,rics du bàti ~
men ~ t.!t (h;~ tr':H.1UX pub IC:',
Article 2. - Le SLUCI Ife G':'nüal de la
Prefecture et 1 Inspech" dèpaTiemental des
Ser\'Ïces d'incendie sont ..:har.t.~s, chacun en
ce qUi le c0m:ernc. dl;: l"e nution 'uu Wt.:scnt
arrel\.:.
, larseille, le 17 jam'ier 1950.
Pour le Pr~fc et p:lr délêgafon ,
Le Secrétair e <.:-;e,lJral :
LA.\\ASSOUl\E,
Efl application du prese .1 arriié, (,'S tarif
des raealions /loraires dt! jour ti de nuil
pvur iHft.:n'enfù n des Supt'urs Pomp'er" deêtre rOllformes cu .c.bl.. Ut c "-j 'lnI .-
l'ront
OFfICIERS
~Iaj oratioo
Abatkmmt
[)
U h, ;. . lS h.
o/c
5 ,/,
10 ~'c
15 c'c
18 'le
d
91,60
87,05
82,45
76.35
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75,10
62,60
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167,P5
159,60
151,15
142,75
137,70
--
1_ ,.):'1
68.ïO
SOLS-OFFICtERS ET
.'\h: tt..::mCnt
b h. à G1-.
U1t
h.
~lEC.\
-ICIEl\S
Majo[ation
d nuit
18 b, i16 b,
7:?,65
159,~5
78,50
69,05
65.40
74,15
71 ,50
61.80
59,60
151,90
143,90
t 35,95
131,10
8ï,20
82,85
SAPEt:RS
)'Iajoration
Abattement
6 h. à 1" h.
d~
nuit
" b. à li b.
�32
RÉPUBLIQUE
23 Février 1950
SC 7 1 Sl.:rrÎlc, Il't-o illdcllllllkS
:D2 B3
S P ECTACLES DANS L ES
ETABLISS E MENTS RECEVANT
DU PU BLIC
Le Prèfd d." Buuc hes-du-Rh ôll . rall'l"'lIe
donn!.:! d.all~ I~ t:OUlmunt :
.
De::; represt'ntati ons drJ.matiqul's ou Iyn ques, des concerts yocau;\. ou instrumt:'ntê1u~,
l'admissiOll du publ1c. en d~hors d~ ,mmeuh lt:'6 qui ont fait rohjtt des vcrifi ca,lio ns p rescrites par le décret du 7 févrie r 1 9~1 , sur la
pro ttxtion des bàtiments ou locaux recevaJlt
d'li publiC.
Les p re:criptions du décn-t sont applicat>les :
Aux théâ tr : et c-tabi;sseme-nts d t" f.pecta -
(les et d'auùltion.
Aux hôtels. resTaurants, débits de boissons,
cabaret~ de nuit ou autfl~, où ont ~ieu des
concerts, des danse J ou dt.!'i all Iactiolls.
A tous ks locaux dans le-sqt:cls sont donn6:; dt"S ~pectacles ou des conk rcn ces, ou
dan lesquels sont trnu - des réu nions ~ra
tuittS ou !'our in"itations payante::; me me
adA:!-o--sées. personnt l't'ment, Ou dans lesq~lels
sont reç' dt ,~ny i tt-~ mo}' ~nant un r etnhufion ou une participation quelconque,
Les exploitants dts etahliS3"tmen ts ou
locaux su~-rnentiollnes 4t1i Il'auront pas étc
\'Îsitcs par il>s ComIl11~io n::,: de sècurtté, t:n
vue spécialem~nt d'une d\.-rogalwn à It'ur
actidte hab twelle, dt\Tont, 3\'ant toute réa 115a-:.ion, obtenir lln aut orisation du Maire
de la commune, sous peint: d'interdk tio n dll
t--pectack et l e- cas echéant de fermeture de
l'ètahlissenlent.
Lt:S requHt:s d'autorisation devront êt re
adressées au ,\\aire suffisamml nt à fl:mps
pour que l'in 'tnldion de leu r~ demanda.
pu' e se taire norm alemeJrllt avant la première séance projete-e.
k
P<>ur le Préfel et ,par delégation.
Le Secrétaire Génér al,
LAA\ASSOURE.
•
4 TEXTES D'IHTERE r GENERBl
<
~
Circulaire concernant plus spécialem ent
~
INDEMNITES P OU R FRAIS DE
D E ME NAGEMENT ET PO U R
CHANGEMENT DE RES IDENCE
les Admifli~ / ralio!/ s de rEtaf
-----
AC 3
J:t BI
j'fil f'ltollneur dl' {J0(It'r il la connai.\.'wnce
dl's ('he!s de sefl'h"l' des Admini.\fralioll s Pl/ hliqul',\ l es J"flllI!S d 'uni' I1vnvell( im, /ruel ion
de .11. h· Mini.,tre de.' Finances ct des Affaires Economiqll (·.\', en dotr du 7 janl'ier 1950,
J'el ath,(' 011 paiem ent d es indelllnités pour
Jrajs de dem énagcml'Ilt et dL" c/z 'lngl'nll'n t de
résidence.
Par cin:u laire du 17 j aJl\'i~ r 1 44~t; j';n'ais
jusqu'au JI décembre 1949 l'effet de
la décision prise par l'u n de mes prédécesseurs. autorisan t le~ agents mutes avec avancement rece\'oir, dans les mêmes cOlld i tion:-.
proro~é
a
"
'
pOUt
hll~s u re pOlir li Il e 11 0 u \' ~ lI e pl'dode d ' un~
hllllée, soit Jusq u'au :{ I décembre 1950,
La q ~ lolitë des fraiS la i~cs à la char!!,l'
de l'age-Il t d~Jllt.:.'url' ra fixle il 20 (ft. »
qu'~1 ~t intt' rd)t dt'
seancf'S de cinématographt:, spectacle::; d.~
Clrriosité ou "rattractions (expositions. mal~l
ft: statiolla sportl \'es, kermes::, " è;~ ... ) brus.
et en géneral les spectaclt::s et dwerhssem ents
qu Icûnqu~ ou coruerences, comportan t
n.:;gl~lllel1t'\l r e::-
dé-IlI(~nage lll ent et changement lk rbide nce,
j'ai d ~c id é- dL'" rl'co ndu ire à nO ll veall ce tt e
C~ O OC:t
AC 3
D 2 BI
FRAIS DE DEPLACEMENT
ET DE MISS ION
N" 5 -
2 8-5
se troun:ra it tl1~ll r iq lle l11e n t detc rllli nce pa r
des ind il.'c.:s,
Enfl ll , co mme le porte le déc ret lill 28 decemh re HJ49, les Illo uvell es di sp06lt io ll s clO Ive nt être a pp l il.Ju ~es il ca mi ter du 1er d ~ce m .
br. 1949.
Si l'applil'O lion du d0cret c1u 28 déce mhre
1949 donne l ieu à des difficultés pa r ticuhè_
I CS et po ur to utes le:-:- demandes de déroga·
tion, il vo us appatr t i·endr a de me 6a isir, sous
k timbre dt' la Uircl: t ion du Budget, 5c Bur t' élU , So lde.::; d Indemnités,
,
POll r l e Secré tai re d'Etat
et par dél égation,
S igne :
j
Le St'crt'fllirl' (l'Etal CUlX Fil/al/ Cl's
à M M , l es M ill/sireS eJ St' créli1Ïrc::J
d 'Etat,
OBJET. - ApplicatiOn du décr"t Il" 49 1620 du 28 décembre 194~1, r elatif li 1" classl_
f i cntiOn des fOllctiolll/aires dll/ls, agents d
oll l'rù.'r:s de 1Etat (lall~ l~s différents grOUpes
pre l' il S pour ff1/fri (mtiofl rle.\ frais de (fc~pl(1Ct!menf,
Le tll..'cret Il '' 49-1620 du 28 dccemllre 1949
a cl assé Irs to nctionnalres civ ils, age nts, employés et oUHiers de J'Etat dans les g roupes
prè\'UB pour l'attributioll des indclllllitès de
nù;sions, de tour'necs et de t.léplac~ rncnts ,
L'article 1er de ce tL::dt' indique que la
C'la:-,.SifILation des personnels titulaires devra
être effe<:tuée désormais en pr~na nt pOli r
base l'indi-ce hiérarchique dl' rémunération,
c't:sr· à-di re l'indice retenu puur le calcul du
traitement du fonctionnai re, il I\xc lusio n de
toutes indemnités. IlIl?:rn e si elle!> ont dé étahlies SOu~ forme de 'pOInts indiciaires,
L 'article 2 prevoit qu e des dcrogatioll::- à
CtS di~positiul1s pourront être apportce~ par
a rr~té co nfrl'sig né par le Ministre des Fi nances,
Je tU;I1::. à ,"OlIS si gnakr, il œ sujet, qUl.'
tous les régimes pa r ticuliers en vertu dcs4uels ce rt aines cate:,!"ories de fonctionnaires 1
avaient bé n ~ficié jusqu'ici d.c ... urclassemcnt
doivent être (o nsidélés com me a h r ogc~ de
plein droi t par le présent decret.
POLIr obtenir une de rogatiun aux cl ispm;i·
tio n ~ dt:. l'e texte quI.:: je ( ollsidèrc de po r tée
ahsolument gtnéralc, il yOU apPélrti~ndra de
me sa isi r, le L:as cchéant, de projets d'ar rêtés
interministér iels visa nt le ~ cat"::gories de peronnels qui , en raitlon d($ necessites particu lières du sen ' jet vous paraîtraie nt devoir
bénéficier de mesures p a rt ic uli è re ~ po ur l'attrîhution des indemnités de J éplaCèments.
Je préci5e, toutefOIS, que ces dérogation:i
ne se ront accordée~ par m On Dépa r te men t
qu 'à titre tout à fait -exception nel. Je t iens
à vous sig n a h:~r, par ai ll eu rs, que le:::, rel1luncra tions il prend re en consid ération à l'a rt icle :.; sont cel le::. qui sont ait ri h uée:-. au x
agents cont ractuels, il la ~ uite de la mise en
paiemellt de la deuxième tranche de red a&
sement. D ans l' hypothèse où ks émoluments
de ces persollnels \'ie ndraient à ttre allgmentés â la suite de l' interve ntion de nOll\'e ll ~s
t ranches de rtC'lassement, il n'y au rait pas
lieu de mollifier pOlir a ~lt~ n t leur c\~scme\1r
dans les ~ro ll res qui derralt continuer, t ~lIt
que des disposit ions spéciales les cO ITce rn a n t
n'au ront pas été prises à être effectu é en
j
prenant po ur ba,e les ré mun é ra tions résultan t de la 2e t ranche,
j'ajoute. pOlir rl'pond re il certaines ques~
ti ons posées il. mes Serviœs, que les disposi tions de l 'ar ticle :~ du d~ c n~ t susvi6é sont
cgale ment applicables aux personnels tem-
R BLOT.
-------•• oo ~> -------
----- ~----------------------------~~~
•
1
Recueil des Actes
IMPUTATION DES COTISATIONS DE
SECU RI TE SOCIA LE SUR LE SUPPLEM EN T FAMILIAL D E TRAITEMENT
ET L' INDe MN ITE
POUR
DIFFICULTES
EXCEP TIO N NELLES
D'EXISTEN CE.
J'ai J' honneur de po rter il la connai sa nct'
d'es chefs d·e service des acl lnl'i nistratio1l\.5 publiquo<:s qu 'aux ierm cs d' un avis émiS par le
Conseil d'Etat
(",ction sociale),
dans ..
s~1nce du 3 mai 1 ~149) le suppléme nt fa milial
de tra item e nt dont bénéfici'e nt
les age nts
:wxilia ir es et (ontractuels de l'Etat en applicati OP du detr,tll· du 13 juillet 1948, doit étr-e
sOli lni aux cot lsationr:i ,d e sécurité sociale.
Par cont re, considérés co mm e un rembour.
se ment de frais l'i nd e m ni~é pou r dHfic u1tës
excep tionnelles d'exis-tenoe j nstituée par l'arrêté du 27 jui n 194 1 l'n faveur dèS fonotion'
nai res , agt'ntr:' ct empl oy es de l' Etat, 'rn fonction dans les local ités qui o nt subi des desj
trllct io ns dll fait d~s
host.itites, doit êtr'
exonérée des ret enu\:s au titr,e' de la
sO,ciale,
SéCl
Pou r le P réf~t,
Le' S-ecré tcü re Général,
G il l' UA.u\~ASSOURE.
•
COlUlUUNIQUES DU SECBÉTaRIBT
DE l'UNION
DES lUBI8ES ;
•
OBSEQUES ou MAIRE DE
SAIN T - ESTEVE-JANS O N
Le Secrétariat informe !fjS l\\.ain::s Ù!.:.s Bouc h es _d u'- I~ h ôl1" du décès (~l ~ \ airc de SainlEsteve-Janson .
L ' Adjoinl! de l't, He co mm ull e ayant prévenu
le Sècrétariat. di": dispositiol16 Ollt été prist:
pour qu'une dél égation de notre Union 50'
présen,fe aux ohsèq ues,
Une couro nne a été déposée par nOS soiM
sur la toml)~ de not re Am'i et CoJlèb'llt
r e-g r,~té,
Au nom dt' l'U ni on de très t:incèrcs cO lldrr
léances ont été eX'p rimées il la famil le et <1
Consei l Municipal.
Le Secretaire Général de l'Union,
AUD IBERT.
Cop ie certifiée co nfor me.
Pour le Préfe t :
RE.
Le S~cdtaire Gét.tnJI : LAMA SSOU
nistratifs
•
et Bulletin des Mairies
Toute c or r espondance r ela tive au Recueil doit être adressée à la Préfecture S ecrétariat Général
AC 3
D2 B I
8' Année . - N· 8
,
DËPARTEMENT DES BOUÇH ~~ . LJLJ~~nLJN E
L e Direc t eur du Cabil/ el
Paris le 14 j all\'icr 1950,
FRANCtAISE
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circu lai re. - Les lettres 0 et B suivies d' un ohiff re indiq uen t le Service ou Bureau d'origine.
_ S, L. R. A. : Service de Liqu idatio n de s Réquisi tions Allemandes. - R. G, : Ravitai3e men t Général. - S_ C. R. : Service de la
Circulat io n et du Ro ulage. - D . D. S. : Direction Dé pa rtementale d e la Sa nté. - D. S. '1". : Di rectio n des Services Techniques.
SOMMAIRE
Pages
Arrêtés réglementaires et CircUlaires
Page s
AG 7. - Recens €lI11 ent ~t ",év ision da ns
la M,<!t rOopole e t en Afrique du NO'rd
des je unes ~ ns nés ~n1re le 1-1-1 93 1
e t le 31-1 2- \ 93 1 .... .. ..........
FS 8. - Assistanœ 'Médlcale Gr atuite :
Hospi talisations directes d\!s malades
'en rési denc e dam~ le Dépa rtement ..
r
SC 2. - I,nd em nitœ
réclam ées par
Gaz <le France ..... . ... . ........
SC 7. - Frais médica ux e t phar ma-
Pa« u
34
34
a"cid'en t,è s .... .. .. .. .. . . . .. . .. . . .. .
S C 7. - fMd ai l1e d'Honn e ur des Sapeu rs-Pompiel'S - Promotion juillet
1950 ............................
AC 3, - Att ri buti on d'une prime unique
et exceptioll'nelle aux pe rsorpe ls de
l'Eta t ........ .... .................
ce ut iques dus aux sapeurs.,po mpi ers
33
Textes d'intérêt général
35
36
36
CornmulÙqués du Secrétariat
de l'Uni<>n deS Maires
Redev,!nces au Gaz de Fra".,.....
37
ARReTÉS REGLEME N T AIRES ET CIRCUL AIRES
AG 7
05 B2
RECENS EMENT ET RE VIS IO N DA NS
LA M ETROPOLE ET E N AFRIQ UE
DU NORD D E S JEU NES GENS NES
ENTRE LE 1er J,À NV IER 19 3 1 ET LE
3 1 D ECBMBRE 193 1.
Lei M1in i'stre d e la Défense Nat ionale",
Vu la loi, "i'tl 31 mars 1928 TelMi ve au
recru;e<ment de l'Ar mée ;
Vu le décret n" 50-156 du 4 féVl'ier \ 950
re lat if à la 1orma tion de la classe 1951.
AR,R.E'nE :
A. _. R ecenSem ent
ARTICLE PREM IER. - Les M'aires, Adm i_
nistratelurs,
CoJl t rôl eurs
ou
fo ncli"onnai.re5
c ivils 'procèderont aU rec ensement des jeunes
~ns nés entr.e le I,er ja nv i€IT 193 1 e t le 3 1
décemb"e 193 1, nés <>u domiciliés da ns leu r
commune ow olT-C'onsCTipti'o.n.
ART, 2. - >Les opé rations de re c ensem ~nt
comme nw ro nt le 6 mars 1950. EUes se termi neront le 26 mai 1950.
ART, 3. - Seront inscri~'S s ur les tablea ux
d!C rec ensemem1 :
2" Les jeunet; gt:ns visés
il l'article 12
(§ 1er) de la loi d u 3 1 mars 1928 nés antéri'e.ure ment au 27 nove'mbr e 1929 qui n'ont
d' infirmité ou .nlalü..rre pouvant les ,rendre
impropres 4iU S'e"rvke militaire devront être
Î1"ansm'ÎS alU Préfet par les services munici-
pas étlé jnscrits sur It\S tab leaux de recensement des dasses précédentes ;
3" L es hommes visés ,à l"artkle 13 de la
1<>1 du 3 1 mars 1928 q ui s<>nt devenus ou
paux pou r le 15 jllin 1950 a u piuS tard.
de viendr ont Fr.ançais par voie de naturalisat ion, de réi ntëgratlOn ou de déclarati on, ent re
le 4 jui llet 1948 et le 26 mai 1950 ;
4" Le; hommes visés à l'a rtiCle 16 de la
loi, dUi 3 1 mars 1928, omis dt
classes pre·
cédentes, don1 r'omi'56io n aura été signalée;
5<;> ILes homm es dev( n'Us Français en V'e rtu
de réviSIon s'ouvrira le 12 sep tembre 1950
de l'a rticle 1er de la 1 i du 13 décem b re 1947,
r.elative au C'hangement dt' n.a tionaliré su r le!'
territOIr es réunis à la Franc ~ par le traité
de Paris du 10 févri <r 1947, et qui n'étaient
ART. 5. -
B. - Rér' ision
La session ordînaire du Conseil
tan-t dans la mét{opole qu 'en A frique d u Nord_
La séanc~ de clô"ure de cette s~'S io n aura
lieu :
Le 8 clécembre 1950 dans lés départements
de la métropole (a~tr€'S que le département
de la Seine), la Tunisie et le Maroc.
Le 30 décem bre 1950 dan s le département
de la Seine, les départements d'Alg€IT. Ora n
et de COrllStantine.
Entre les deux dates indiquëes ci·deSb~S,
p as domÎ'cili-és 6-ur les terri toi ~es de- T endt:'
les Préfets et les R6idents Généraux fixeront
e t de Brigu e k 1er juin 1949.
l'itinéraire <tu C<mseil de Irevi !'O1l et lt'S datt"S
des séances, en accOTd avec les genéraux
commandant les régi-ons mi litaires ou les
généraux co mman-dants supérieurs, Les DiTecteurs régionaux du s-ery ice de 6anté er"mt
consultés à ce su jet.
ART, 4, - L es tab leaux de recensement
5erorut établis d"aprts le-s règles fixées pa r
ri nstr uc tio n du .j décembre 1935 r elative a u
'recensement et à la révision d'" contingent.
L es Mla.ircs, Administra teurs ) Conkôleurs ou
fOJ1ct ionnaires civils se con formeront e n paf-
ticulier au,x p rescriptio ns de l'artiole 4 de
1"
1" L es ,j eunes gens nés .entre le ter jall vieT
J' ir.sttuction visée ci-dessus ; Ils insC'riron1
193 1 e t le 3 \ déoem bre 193 1, y co mpris:
a) Ce u'. v.isés il l'a rti cle 3 de la loi du 3 i
mars 19 28 ;
b) Ce ux visés à r a rbcle 12 (§ 2) de la
loi <Ill 3 1 m a rs 1928 qu i de rnand e<ront LeJu r
i nsc rip tio n sur les ta bleaux de recenseme nt
de leu~ classe d'âge; tes jeu'nes gens nés en
1931 et visÉlS all di~ a rt icle 00 <ilevrorH I,as
,faire l'obje t d'u,n ins crÎl[>ti on d' <>ffice ;
d 'office sur 1.,.; tab lea ux cie recenseme."t
jeunes ,gerrs nés dans leu r cOmmune ou circonscription entre le 1er jan vLer \ 93 1 et le
31 décembre 193 1 (à r ..xception de c,<,ux
VIses à r a rt icle 3, paragraphe 1e r, b cidessus) e~ pour lesqu els ils n'au ront pas r,eç u
d'avis d'inscription dans un~ au tTe com mltne.
Les dema ndes et dossi€tfs des jeunes gens
ayan t de·d aré ou fait déclare-r Hr€' attehmts
ART. 6. -
Seront ccmvoQués deva nt les
Conseils de révision de la cla e 195 1 :
10 1 es jeunes gens inscrits eur t tabl~au~
cre recen-sement de la classe 1951 vlSes a
l'article :1 <lu prés<-nt a"été :
2<;> Les jeunes gen6 ajournés d~ la classe
1949 ?<lur lesquels le Conseil cie révision devra prendre lunt' dé-cision detinitiv~, ~es classant « Bons Service AI1TTTé " " B ons Service
Auxiliai:rc » ou « Exemptés" (troit5ième
présentation) ;
3" Les jeunes ge ns des classes 1946, 1941
�ct 19~'" omis dt' lt=ur cla~ d~ rt'crutemênt,
in..<cn16 SUir les lablea ux <le recens<:ment de
la classe 19-1.':), et dédarés ajournés à un
nouvel exam"" par le Conseil <le ré\'ision de
la class€' 1950, pour resquelS le Conseil de
rêvision devra prendre une decislon définitive
las classant « Bons Service Armé >, « Bons
Serviœ Aouxiliarre > ou « Exemptés > (troi $ième prësetrtatJOn) ;
4' lxs jeunes gens ajournés de la classe
1950 (deux){,me .p résenta tion).
ART, 7. - Un cio' ier méd ical de\'ra être
établi pour maqu e recrue, lors de sa COOlparulton de\'am le Consei l de révision ; ta
durée des séances sera fixée de telle manière
que 1 <'Xamms dont les résultats doivent
figur.er au dossier puissent être pratiQu'és avec
soin.
La mo)'enne horaire d.,; jeunes gens examiné ne devra pas dépasse,- quarante et la
moyenne journa~ è re trois cents.
Pour la composi tion des Commissions médica:les. tes généraux commandanît; les
régions militaires wont appel aux médecins
des armée, de te rre, de mer et de l'a i:r.
A moins de ..:trcoilstanc~s lexception,neUèb,
les candidats ne seront )Jas c~nvoqués a ceUe
seSSl'on. La décision rendue a l"llr e~ard par
le Conseil de revifiion !e.ur sera notifiée 'Par
les soins du P réfet.
ART, II. - Le Gouvern eu r Général de
l'AIO'érie les Résidents Généraux de France
en Tlmi~ie et al> Maroc "t Jes Préfets sont
chargés, chacun en ce q",ui le ~nc et1n.e , ~e
l'exécution clu prése nt ar""té" qUI ~ ra ,,-ubilé
a u JOtITna l OffiCIel de la Repubilq"e Fra nçaise.
Fai r il Paris, le 7 Fév rier 1950.
Pou r le Mi nist re et 'par délégation,
Le Direc te1lT du Cabm t,
Al,auTice CRUCHON .
- - - <> 00 <>- - - -
FS 8
03 B3
ASSISTANCE
MEDICALE
GRATUITE
Hospitalisations directes des malades
en résidence dans le Département
Le préfel des Bou ches -du-Rh ône
à MM. les Mait",s du D éparlement,
M . le Directeur Géuéral de l'Adminislralion de l'A ssistnnce Publique à 'Marseille,
MM. les Direclenrs des Hôpitnux
d'Aix Allauch Arles Aubague ,
CMléaurumar'; L a Ciol af!. Mnrligues, Salon, 'Sauli-Rémy <'1
ART. 8. - L ·examen des jeunes genS' qUI
ne résident pas dan le département où ils
sont rec ensés et qui demandent à être visités
au lieu de leur réSld~nœ sera effectué dam'S
les rondit io ns fixées par l'article 53 de l'inst ructi on du 4 <lécembre 1935.
Toutefois, ceux de ces j-eunes gens dont
les dos iens parviendniiennt aux pr&fect ures
Tarascon,
après la date de la séance rÉt>'eTVee, dès le
début d - operations de révision, â. )J-exam en
Par Circulaire en date du 9 septembre
des « étrangeTs du déParte ment > seront
1949, j'ai rappelé q ue les hospita lisa tions
examinés par Je Conseil de révision au cours
dites directes, c'est-à-dire sans présentation
<l'une séance fixee IlOifor mément pour t01lS ' de « l'envoi de ma lade» de la part de ta Mai·
les départEl!llent au 17 novem bre 1950.
rie de la résidence devaient être j'excepNon
De cette façon, tout.." les proposrfions
et acceptables seulement pour des raison .;
d'aptitud e physique étabr' à l'égard des
d'humanilé ou d'urgea ce :
individu... autorisés à être visités au neu de
Ce.; instr uctions n'ont pas été appliquées
teur résid ence pourront être soumises à la
strictement par les hôpitau x, qui continuent
décision des .Cooseils de ;évision, e n séance
à faire un usage exagéré de cettE" procédure.
de clOtu re , dans les départements de recenP ar ailleurs, 1.. Mairies ne rél:ondent pas
sement.
a·ux
demandes de dossiers qui leur sonl
Des <lîspoSloons analogues devront être adressées,
que1quefois par négligence des
prises dans les Consulats de Franoe en ce
assistés, Ou répondent avec du reta rd et
qui concerne r~xamen des jeunes gens en
après plusieurs rappels.
résidenee à l'étrangeJ1.
Mo n Département règ le Ri ns i des f~als
ART, 9. - Des s ursis d'incorporation ~pr.".
d' hospita lisation pour des personnes do nt la
mière attribution) seront accordés auX j<lunes
situation exacte n'est pas co nnue et se trouve
r;ens de la classe 1951 et aux ajournés des
60 uvent forclos, en rai son des reta rds signaclasses précédentes déclarés aptes au service
lés plus 'haut, pour a dresse r les demandes de
militaire <!ans les conwtions fixées par les
p~ise en char ge aux départements étrange rs
articlEs 22 et 23 de la 10;' du 3 1 mars 1928.
ou à l'Etat. Il en résulte des pertes financieres certaines.
Les jeunes gens dèstreux <te bénéficier d',,,"
S1J'l'Sis d 'rocorpor.ation seront invités à se
Or, il n'est pas possible de demander aux
conformer aux indications qui I<lur seronJ
hôpitaux de constituer 'les dossiers ; d' ull ~
données à cet égard dans les 'M airies. Ar",
part, parce que ce procédé serait ,contra ire a'l
d'éviter toute contestation ultérietll'e, les
décret-loi du 30 octob re 1 93~, qui attribue
deman<les de sursis d'incorporation devront
compétence aux Maires et ensuite parce que
être soigneusemen<t datées et les Matres reles ,renseignements ne pourraient être qu,:
mettront aux inléressés un acousé de réœpce ux fou r nis par le mal ade et, par cons~.
quent, po urraient être i nexacts.
tion de 1"1fT demande.
J' a i donc décidé qu'à dater d u 1e r maro
ART, 10. - U.ne sessiOl> extraordina ire du
l>fOchain un nouveau système sera mis e-,
Conseil de révision de la c lasse 1951 se
application dans le but de réd uire au m ax ;~
tien dl a 1", 28 février 1951. A" cours de cette
mum
les inconvénients signal és plus haut.
session seront examinés :
•
La
fiche ha bitue lle d'·hosp· ta lisation di
l ' 'Les demandes de sursis d'incorporation
recte devra être transmise à mes serv ices
qui n'au rom pu être formu lées au COtins de
dans l es Irois jours de l'entrée, délai de rila session ordmaire du, Conseil ;
guew-. E lle devra être accompagnée d'un
2' Le cas particulier des jeunes gens cerllflcal médIcal précisant le dia!!l1ostic
apparumanl à Ja classe 1951 cIont la s ituaexact et le motif de l'hospitalisation directe
tion justifie une modification à fa décision (urge.nce, et~, .. ). Ce certificat médical sem
primitive prise par le Conseil de révision!.
, soumIS a u visa de M. le Médecin-Contrôle ur
JI\,."
' • • .-- ...
- -
de l'A. M. G., qui pourra pre ndre l'ul1< ~'"
décisions suivantes
1° Rcfl/!leF /VlOspitalisalion rlirecle._ Da"
ce cas, la fI che et le ce rhfl cat ",édical seroni
reto urn és à l'h ôpital, ~ui devra les ad reSSlr
à la Maln~ de ~ a ré~ldence de l'intéress<
pour obtentr « 1 enVOI de ma\Jde :) régulier
Les frai s ne se ront pas .payés " l'hôpital lalll
qu'j'I Il e ser a pas en possession de cct~
pièce.
Le Mai re, en m ~ m e temps qu'i l ell\'erra
« l'envoi de malade Il) à l''hôpital transmet'.
t ra le dossier à mes services.
2" Accepter l'hospitalisa/tGll aireclr. _ 1
Dans ce cas, les frais seron t payés Il orm ale~
'ment aux hôp itaou,x lo r s de l a prr~e n tation d~
!llé,moires.
'
A'l es seflvices ad resseront au ·Maire de :.1
res ide nce une lettre in vitant le mal ade à se
pr~se nter lui-même Ou lin mem bre de Sa fa.
mille en Mairie da ns le mois de l'hospitalisa.
tian pour déposer les pièces rèalemenlailes
et fournir' les rense ignements nécessaires.
faute de quoi les frai s '!l'i se ront réclam0intégralement par le pe rcepteur.
Si. il l'expiration du de lai ftxé, le dossier
n'est pas parvenu à la Préfectu re, les frai,
::;eron t mis en reco uvrement su:- l'i ntéressé.
Je dois s igna le r que p<lÎlr fac il ite r le con·
trôle, il est ind ispensable que les mémoires
produit s pa r les hôp ita ux indique nt la dat.
d'entrée (abSOl um e nt nécessaire po ur retrou·
v~r 'Ie dossier, surto ut lorsque l 'hospitalie.a·
ti on se pou rsuit l'ann ée suiva nt la date d'entrée) et qru 'i! ne so it pas ten u compte db
changemel!ts de salles dans un même hôpi·
ta l, de manière à ce que dans un même trimestr.e le nom œu n m.:llade ne figure qu 'une r
seule fois sur les mémo ires COrre pondants.
Je rappelle enfin à no uvea u à Messieurs 1"
Mai res que les « envo i de malade » doiVt'nt
ê tre établis en <leux exemp laires. L'un est
destiné à l'hôpital et l'auire doit êt re envoye
à mes services en m€me temps que l e dpssfer
r égulier. _
Pour le Préf"t :
Le · Seel etaire G énéra l délèglll' .
LAMASSOURE.
·------<~OOc»-------
SC 2
D2 83
INDEMNITES REOLAMEES
PAR GAZ DE FRANCE
Demandes d'indemnités pour charget
extra-contractueltes présentées par les
Sociétés concessionnaires de services
publics communaux et notamment par
l'établissement public n ational « Gaz
de France •.
Circu laire n" 39 AG- I-4-5
Paris, le 24 Janvier 1950
Le Vice- P rési denrt du Conseil,
'Mrinisire de l' Intérielur,
il MiM. des r. G. A, M, E.,
IM/Mj, les P~éfcts (Métropole)1 ,~
à M . le Gou"" ,,"eur Général oe 1A
g;i ri e (pour infor matio n) , .
à MJM. les Préfe16 d'AlgérIe «pOUl
informa tion),
De .t1(}mbreuses commun es ont été av~
du d\!pôt par « GaiZ de Rrance , de requ ,.j
intTocluctrves d' insta noes devant le Con à
interdépartemental de p rélocture, 1end3JIIcJœ
la con'da mnation de CtlS commu nes à
inde mnités pour .c harges ext<ra-contractu~
résu~tant de l'application de la législatIon gu
les prix.
Je v.ous signale qu'un projet de loi sera
déposé inœssamment en vtte d'~xonér~ les
communes des inCidences f,,""'lCIères <éSultan.! de ces acltons.
'
Il impor1'e to ut elGis, dans l'atten·te d'li ,ote
de ce lexrte ,et dans J'ign orance o u nous sommes des modalité<> exactes C/1Il seront défil1)tiv emem arrêtées par le J'arJement, que les
communes ne se !aissent pas condamner pa r
déia ut, tout en' n'",,,,gagea·ru! ,pas de frais pou r
le ur défense,
Elles <levront, par (tous moyens en .leuH
pouvoir, défendJr~ aux .actions 1 qui .po ur,r~ient
encore l eU:r être nntenf1ees 'et l le ,cas éC'heant,
faire appel dtetvant le Co nseil d'Etat des oonda Oltllatio ns,
V,ou'S trou.ve,rez, d-joint, en anne'X'e n° J,
le projet de Jettre t l'pe, 'lu i po uua it être
adress.é pa r le IMaire al! P.rési<len ! du, Conseil
interdépart'emenrtal de Préfectunt pou r de mander le ren.voi de l'affa"e,
Dams la mesure néaIlofll o.1nS où l'exprration
des délais ai nsi accordéS obligera,t .Ia CommU"e à concl""" a u fend po ur éviter la forclt!sion J VDllS t.rouverez en anrrexe n° 2 l' argumentation juridique, susceptible d' êhe
d'éveloppée dans le memoire de la munl~l
pa lite,
,
l,
Vos s~rvices dewo nt se tenir à la disposibon des munic ipalités pour leur 'ndiqu er d""s
quelles conditions oe mémoire typ e peut êl're
adapté et a'u, beso in complété pou,r chaque
cas d'<lSpéce.
Pou'r ~e Mi nistne de .t' Inté ri eur et
par <léIég'at,i 0 11 ,
Le Préfet, Oirec teU'f de l' Acimi nisl-ra ti on
Géné rale, Départementale ,et Communale,
Pierre-Jean MOATTl.
•••
ANNEXE N° 1
·Le !Maire ct!! la Vi!~fl de
lA MonGieur ,le Présid'e nt du Conseil
de Préfecture ,'ntlerdépa rtemental.
En "'pplication de la loi cie nationa lisatio n,
l'ét"'blissement publjc nati onal « Gaz d'e
France » a été subrogé à Ja Société
précéd'em:ment concessionnaire du Service
M'u'nicipal du' Gaz.
A -ce titre, « Gaz de .France » a aotionné
la ville po ur ,obtem'r ,U!I1'e indemn iVé comi!$pondan t à des oha rges ex~ra-oontnactu eJIes
qu i auraient été supportées par la Société de
194.. il 194,. du fai.t du blocage des prix
décidé par le GouV1er'nement.
Comme il ressort des t'armes même de la
requête de « Gaz de Ftrance ~ , il Y a eu
effectivem ent déséquilibre fi nancier de l'explOItatIon - point qu'il conviendraIt de disCUI{ler celui-ci aunait résull!é -en. l'occurrence
de déc isiOns éma'n"' nt n on de l'au!orit>é con cédante mais de l'Etat.
La ville ne pouvai t do nc apporter, I.e cas
e.chéant, l es 'modMïcations indispe.nsabl€'S au
contrat de COllce9SJon ,n i relever l,es Itarifs,
puisque, p:rédsément , {e buv poursuiv i ·par le
GO!IV-ern e-men t e'toait d'empêoher tout e Ih,aussedes prix. Elle se trollva it Pit fait, placée
comme Son ..con,cessionnai.re en face d'.l!'n'e
déc isio n qu'i l'lli in.t entlsai t de prendre les
mesures éventuelle men ~ indlspen&1bles 'pou r
aSSurer une saine gestion financière de l'ex'ploitati on.
. li ~erait dans ces conditions profondément
,1I0glqU'E' et inju ste de Ill1' faire supporter les
Conséq uences d'un déséq\lilib re financier
dOnt elle ne pouvait être en rIen responsable
et auqu el elle n'.était ,pas 6n m'CSure de IlOT"
ter ~em ed,e,
A u Sunplu,;, ij est anormal de voir un établissement pUbli c natIOnal demander a une
.cOUe<.:l1VJle Publlq'ue locale
de COUtV/Ir ,un
aetlca.t resunant a'une deClslon unllaterale dt::
l'l:.tat,
I:.n raisolt de cette si tuati on partIculière el
des dlftlcullés financIères tres gra.ves q iii en
resuHe.rat'''"~ 'po ur les ,comm u_ , NI. le
Ministre de J' lntérieu.r m'la laIt connaître
qu'un projet de l oi serait déposé' ancessamment en vue d'exonerer les communes des
incidJe:nO€S fmanc1ères pouvant césu.ltIer des
act ions analogues à ce:lles don1 je SUlS saiSI.
I.. ~ lihge qUJ oppose « Oaz de France >
à la murucipaltte oevar.t êtte airusi réglé pat
voie législative, je vous sera,is obligé de oJen
v()uloÎr surS€lOl! a son examen et' de m'aecor_
cOOr d~s délais pour présenter la <l'é iense de
la co mimune afin d 'évlter il oette dernière
d' inutiles frais de prooéduIte.
ANNEXE N° jj
A~gllmenls susoeptibl es d'être développés par
les communes assignées par « Gaz de
France ~ ,
1° Sur la r ecevabilité de 'Yclian.
II COn vircn t, em premi er lieu. de .r.echercher
si l'action, ÏJ1Itentée par « Gaz de France ~
en tant q ue substtrué aux an cien.n.es Sociétés
ooncessionnaines Jlationalisees. appartrent bien
à ceri etabllssement public n",tional,
Si la Sooiété 'n ationalisée a été indemrusée
Sur la .base de la « valeu!" tiquida1,iva ~ leJIe
qu'eUe !CSt déterminée par le décret dU 13
ao ût 1947, le d'roit de jlOursuivre le pailement
éVl8tltue:l d'ï nde mnité pour charges ex !>raoontractuelles n'a pu, ê(i;e tranSféré à « Gaz
de Frooce », oonformé ment aw< dispositions
de l'artIcle JO <k ce teJQte,
Dans ce cas, l'action intrentée par 4': Gaz
<le F;a nc.e » serait irrecevable,
2° Sur le fond:
a) Le pr.i ncipe de J'app]jcation>.de la théorie
de l'.mprevision su' laqt>edle se fondent ces
actions peut être cont esté en ,aison des
circonstances $péciales ré6U11tan~ de la l égislatioo d es J>flX,
Bo·. effet, la situation dans laqUelle s'est
trollvée la ville, a"torité concédanre, d:iffère
profondémen t de celle dan.!> laq'Uelle éiaient
.placées les autorjtés œncédantes .avant Ilnterven·! ion de la loi du 21 octobre 1940.
Jusqu'alors, J'imprévision r ésultait de mesures l égisl atives ou réglementaires qui se
traduisaient uniquement par un accroisse ~
ment des charges du concesslOnllaire (instit ution de droits d'octroi, mesures sociales,
etCY. ..). Mais ces mesures nJ2 faiSaient en rien
obstacle au pouvoir de l'autorité concéGa/lte
de modifier le conlrol en
l'Ile
de J'adapler
aux charges /wul'elles, nota.mment par des
relèl'emlents de larifs deslinés à rétablir
l'équilibre financier du cOntrat.
T out autre ffst la si tu,ati'On lp résente, lpUjSque la princi;paJ des mesures en ca,use, la
taxation' dit, prix du gaz ,ne permettrut précisément plus à l'autorité concédanie de modifier le contrat de conoe-ssion afin de ,tenir
compte des charges nouvelles résultant <le
Faug n1 enta.tion considé.rable des frais géné'M ux consécutive à la guerre.
D.r, la tiléori" de l'impré\'isioo semble
impliquer nécessairement 1.. possiblJité pour
la collectivité concédante d'adapter le contrat
de cOl>Cession aux circonstances nouve~ et
imprévisibl.... }\jn, que le fait observer Hauriou (Droit administrattf, 1re édition, p. 1020),
le b ut même de cette théorie, lors de SOn
élabor-i>tioll a u cours de J'autre guerre, a été
d'amener ~es mumici;palités « à souscrire à
u'n modus v;ivlcndi contractuel <lont le résul tat
devait être un relèvement des tarifs pour les
usagers ». Il résulte d'aiJleurs netremrent de
l'arrêt fo ndamental du Conseil d'Etat clu 30
mars 19 1v, Gaz de Bord'éa ux (et des conclusions du Commissat.re du Gouvern ement
Chardenet) q ue devatnt le boulevetiSement du
contr"t résulta nt de circonstances imprévisi_
bles, il im po rte tout d'abord que les parties
se mettent d'accord s ur les modifications a
apparier "" contrat : ce n.'est qu'a dtéfaut de
cet accord, c'est-à-dire a u cas de <refus de
l'au,torjtè con cédante de consentir les relèvements des tarifs nécessaires, que Je juge
allouera 'Une indemnité au COIlœSSJ.OIlnaÎrE:.
(V, égaltllllent C. E. 23 jIlin 1922, Gaz de
tMk>rlaix, ree. p. 339) ,
Ma's, di>; lors que la collectivité concédante n'a pas pu, comme ~ t'espèce apporter les modifications indispensables au contrat.
de concession, en raison d'U blocage des pnx
du' gaz, jl serait .profondémen,t illo,gique et
,"juste de lui ,faire support.". ,les conséquooùetS
d'un déséquilibre fin ancier auquel elle n'é1tait
plus 'en mesure d'e 'porter retmède.
b) Subsidiairenlfnt, i' conv;., ndra de teonir
compte de la date d'in tervention du con!>rat
de cOO1aession, car la théori e de l'lmprévision
peut être éca.tée sj a l'époqlte de la s ignature du contrat le bouleversement économique
né des crrconstances de guerre pouvait êtré
déjà prévu.
li est soü.ligné à cet égard que la jurisprudence se montre tl'ès restrictive pour
admettre comme imprévisibles les conséquences résultant de l'intervention de Jois d'ordre
économique et sociale (au suj<1t de lois
sociales d~ 1936 C. E. 1er février 1939, rec.
p. 53 ; au sujet de meslll'es finaocières : 10
février 1943, ree. p. 36). Cette oonditlon
parait, en particur~er. de nature à exclure
l'application de la théorie <le l'imprévision
pour les oontrats passés immédiatement avallt
la guenre ou p en dant la gwerre .puisqlte les
entrepreoours devaient faire normalemenrt
entrer dans ieurs prévisions l'jntervenhon de
mesures res!rictives de la libertté des prix
et du cammerce.
------- <~OO~) -------
02 B3
SC
7
FRAIS MEDICAUX ET PHARMACEUTIQUES DUS AUX SAPEURS POMPIERS ACCIDENTES.
J'ai l"honneur d'al>peltr l'attention de .\11.\1.
les Jl;1xllresl sur la circulai:re ministéri"lIe
SP. IP-4 n' 801 ",n date du 18 octobre 1945
parue au Bulletin Administratif des ,,\ Iairies
n ' 46 du 15 Novembre 1945.
En application de c"tte ci",ulaire, les notes
cre fr.ai'S médicatlx et pharmaceutiqtres, devront
me parve nir en DEUX exemplaires, d<>n~ l'ltH
portant signature légalisée du médecin ou
du four.ru eur, l'autre- pOLL\·anrt ètre um.e copie
conforme.
Au moyen de
pièces, la Société d'a ranct"S pourra procéder au réglement t{)tal
des frais méd ica", et pharmaceutiques <lus
aux În t'éressés.
Cette procédure tenda nt à ab réger les
déla de payement, je saurais gré à 0\1.\1. les
'Maires de vouloir bien s'y conformer.
,es
�Je précise à 11IOUVt'aU, que fa moitié des
frais ~caux et pharmaceutiques, à payer
en prm<:'pe par les communes, est COUVlerte
par un~ assuranc~ départementale l'autre
moitié étant à la charge <kl Œtat. '
-------c~ooc~-------
SC7
DL BA
MEDAILLE D'HONNEUR
DES SAPEURS POMPIERS
PROMOTION JUILLET 1950
J'ai l'hollOt!'Ur de raJlpeler à 1&M!. les \aires
que h!6 propositio!lS de Medailles d'Honnro r
de apelH's POIllj)krs, <klivent faire l'objel
de la constirution d'un dossier comportant :
1° Une chemise par inreressë sur laquelle
5ef'3 po~ëe il ~1 preinière page, la JlfopositlOll envlSagèe a\'eC le nom de famille et le
seul prénom
du candidat ;
2" Un extrait de l'acte de naissance ;
3° La notiœ individuelle de la page 3, qui
devra être corr~ment <emplie, ""ec ravis
obhgatoire du chei de corps ;
4° l'avis du ~\aire, au bas de la Jlfemièrt"
page de 13. chemise.
Il importe dès à present de demander atl
3e Bureau, 2e DivJSion, le nombre de chemises n<!ressa;res aux proposmons, qill
de\'l'ont me paNenlr dûment remplie;; par
l'intermédiaire de l'Inspecteur Départemental
des Services d' lnœndie (Caserne des Pompi ,boulevatd de Strasbouorg à I.. rseille).
"""el
•
TElIES
Circulait~s
D'IITEIEr GUERIL
cone"rnant plus spécialement
les Administrations de rEtat
02 B3
SC 7
ATTRIBUTION D'UNE PRIME UNIQUE
ET EXCEPTIONNEUE
AUX PERSONNELS DE L'ETAT
N"
- 2 B-4
Paris. le 26 j. m·ier 1950.
Le .IIinistte des Finances <1 des Affai-
res Economiques
ct MM . les A/inistres et Secrêtaires
d'Ela!,
Le décret n" 50-12" du 27 janvier 1950 (1)
a décidé d'ètendre aux perwnnel6 de l'Etat
le bènèfiœ d'une prime unique et exceptionnelle analogue à celle inStituée -par J'arrêté
du 3 no-. mbre 1949 œ m'eur des salaries
de!' enaQrises pril'é -.
"ous voudrez bien prendre d'urg n e toutes J dJ ~ pos.llJOns pour assurer la mse en
paiemeDt de cette t'rime aux J1I. rsonnels relevant de l'Otre autoritè dans le plus bref délai.
1"
la
Personn~ls su;cepti/J/~
de
binëJici~r de
prim~.
la prime est su. eptible d'être a corMe
agents ~t · ouniers de
l'Etat, quel que soit leur règime de rému nération. ain ... · qu'aux pe.rsoonel5 militaires à
solde mensuelle. avant exert'é leurs fon lions
sur le territoire de la France métropolitaine
au <'Ours du mo' d'octObre 1949.
Toutefois. en \'ue d'é\;ter tou e disparitè
dans les modalités d 'application de la prime
entre œ ~nnel ei 1 salarit'S du secteur
prn'ê, il a été dècidé de faire application aux
oumers et empIO) es rém ères. et' \'ertu de
3UX fonctionnail1 -
leur statut, sur la base des saI.-ires praliqués
dans le commerce et l'indusul':e, des dispositions de l'arrèté du Al.inistre du Travail du
3 'novembre dernier U. O. du 4 novembre),
commentees par sa circulaire du 15 novemb re
1949 U. O. du 17 novembre).
11 est, d 'autre part, précisé à l'arlicle 2 du
décret que sont exclus <lu bénéfice de la prime tes agent;; a uxiliaires âgés de moins de
18 ans révolus et non chefs de fami lle. Pour
la détel'lllination du caractère de chef de
famille, on se rôférera à la règlementation
aduelJement en vigueur en matière d'indem·
nité lamiliale de reside nc•. les salaries qui
,,'auront eu 18 ans re"olus qu'au cours du
mois d'octobre 1949 auront droit à la prime
au prorat;! du nombre de jo'urs de travail
qu 'ils ont occomplis à partir du jour où ils
ont atteint leurs 18 ans dans te courant de
ce mois.
2' Conditions d'attribution.
la prime unique et exceptionnelle est attribuée aux agents ayant reçu, au ti tre du mois
d'octobre 1949, une rémunëration inférieure
à 15.000 francs pou r la première zone de salaires de la région parisienne ; cette limite
supportera, pour les autres zones les abattements résultant de la règlement~tion en vigueur relative aux zones territl')ciales pour la
dètermination des salaires.
" .. r rémunération, il laut entendre le montant brlr/ des émoluments de toute nature
(traitements. solde. salaires, primes et ;ndemnités aocessoi res). à l'exception seulement des
seuls êléments limitati"ornent énuméres ciaprés :
- Prime spéciale uniforme mensuelle (Je
transport prel'~ par Je décret nO 48. 1572
du 9 octobre 1948 ; -
-
chiffres d<! 15.000 et 12.000 prévus cl-dessus
s'enfendent pour la première zone de la r~
gion parisienne et doive!>t s,!bir; dans les
autres zone&, les a battements . résultant de la
règlementation en vigueur re1ative a.ux zones
territoriales .p our la déterminatio n des salai.
re.;.
Il convient de rem arque r que
dans les
communes subIss a nt les abatteme nts de zoo
nes, le total de la rémunérati on et de la prime peut dépasser légèrement, pour l'<\genl
dont la rémunération a été, en octobre 1949
inlérieure à la somme correspondant à 12000
fra~c~ dans 'l a première z()Oe de la région
panslenne, l~ plalond correspQndant dans la
n:tême zone a 15.000 1rancs. II en résulle un
leger . avantage pou r les agenls les moins
favonsés. Cet avantage se ra assurè aux inli_
ressés en considèrant, dans les cas limites
comme chiffres plafond, po ur l'agent dont I~
rémunération excède Je chiffre corresponda.11
à . 12.000 Ira~cs dans la première zo ne de ta
reglon panslenne, non pas le lhiffre obtenu
en faisant porter l'abattement àe zone sur le
salaire correspondant à 15.000 dans la Ire
ZOne de la région parisienne, mais le total de
la prime et du salaire correipondan l à 12.000
francs dans la même zo ne.
S~it à titre d'exemple : deux agents en
servIce dans une commune subissant un abattement de 10 % et qui auraient reçu en
octobre 1949, J'u n 10.600 et l'autre 1(OOO
Iran cs, .le premier rec"' ra intégralement la
pnme ne 3.000 francs et obtiendra ains i au
total : 10.600
3.000 = 13.600 francs;
pour calculer la prime du second, on pre ndra
comme- plafond, non pas
15.000 X 90
- - - - = 13.500
100
+
mai<;
Alloca1ion de caractère familial (a11o-
~ations
lamilia.les et de salaire unique, ma]orahons lamlliales d'indemnité de rèsidence
supplément lamilial de traitemenf solde o~
salaire) ;
,
- Indemnités ayaJ/t le caractère de remboursement de frais. - Ne devront en principe et .sous rèserve de dérogation~ Sur les,,"~Ies il \'OUS appartiendra de consulter mon
Departemen t SOll6 le timbre de la présente
cHculaire, être éliminées du ca1cul de la rémunération que les indemnites auxquelles le
caractère représentatif des frais a èté reconnu par la jurisprudence en \rigueur en matière fiscale, et qill, ?e ce ,tait, n'eotrent pas en
compte pour la determmalJon du reve ou imposable à la surtaxe progressive.
l'article 3 du décret précise que les avantages en nature entrent en compte pour le
calcul. de I~ rèmunération, ces avantages seront. el'alues d,!", fes conditions préY\leS par
1"; re~lementation applicable en matière de
secunte SOCiale, c·est-à.<Jire sur les bases ciaprés :
Nourriture . . . ..
76 ir. par jour
logement .......... ..
4 Ir. par jour
d
la première zone de la région paris ienne.
3° Montant d. la prime.
la prime est fixée à 3.000 francs pour l'ensemble du territoire de la France métropoli[aIDe ; eUe st!ra attribuée uniforœément à ce
t?UX pour tous les ageots dont la rému~ra
~n telle qu'elle est définie ci-dessus aura
rie en octobre 1949 inlérieure à 12.000 Ir..
~ur ceu..'t don la rémunération ainsi dè:ermlOée aUTa étè comprise entre 12.000 et
15000 francs, elle sera é:;ale ~ la diHètence
entre 15.000 et ladite rinlDnëration .
le Je """éa de l'article 3 "r"OIse
.••" '......<Y'N Vy,
-
12.000 X 90
100
+ 3.000 =
10.800 •
13.800 ft.
sera égale à
13.800 -:- . 1J.OOO = 2.800, alors que l'appU'
cahon Iltterale des dispositions de l'arrticle 3
du Décret aura it con<luit à ' ramener dans les
de ux cas à
15.000 X 90
de telle sorte que sa prime
37
port entre 1< no mbre cie jours ouvrables de
ce mois et le nombre de jours de travai l
effectués par les intér"ssés.
Les dispositions de cet a rti cle doivent être
rapprochées de celles de l'a rticle 7, en vertu
duquel a ucu ne prime n'est attribuée :
a) Aux agen,t s pour lesquels l'exercice
d'une lonction publique one cons titue qu' une
occupation acceSSO ire ;
b) A ceux pour lesquels la 'Iémun ération
ra men ée à la durée norma le d u travail dan ~
les administra tions de l'Etat, dépasse les limites li xées à l'article 3 ci-dessus.
.fo ur l'applicatio!l1' de cette dernière disposition} il convient, afin d'apprécier si la
rémunération de l' intéressé reste dans 'les
limites fixées 'par l'article 3, d'effect uer le
ca lcul com me s'il avait fourni un service
complet ; le montant de la plime résultant
de ce calcul, est ensuite réduit au prorata de
:a durée effective des services rétribués à
l'intéressé au cou·rs du mois d'octobre 1949.
Pour l'application des dispositions de l'arricle 4, un agent ser<a considéré comme e ffective me nt e n service pO Uf toute période pendant laquelle il se sera trouvé dans "ne poSItion
o uV'r~nt
drOIt au tra itement, à la sol de
ou au salaIre.
6° Cumuls.
En rai,son de SOn ca ract ère particulier la
j>nime n'ent"e 'pas en compte po ur l'applica!Jon des règles restrictives <1". cu mul d'un
traitement ~t d'lI1I1e rémun é ratio n accesso ire.
En ce qUI ,cancenne le~ agents auto risés à
~umuler plu~leurs emplOIS, if ne 'pourra leur
etre attrib ue qu' une seille prime et seulement SI le total des r émunerations afférentes
,,~~ deux emplois ne dépasse pas les limites
fixees par J'article 3 du décret.
Aucune. I?rime ne sera attribuée aux pers"," nels. CIVIls et.militaires dégages des cadres, des lors qu Ils ont cessé leurs fonctions
avant le 1er octobre 1949.
7° Retenues diverses.
U est précisé à l'article 8 qu e la prime uni-
j
que et excepüo~n e lle suit, en principe, te sor t
de la rémunbalton principale et qu'en conséquence so,n montant ESt réduit dans la prop~l'Ihon ou .sa rémunératiofl se trouve eltememe rédUIre pour quelque cause que ce
SOIt.
le deu xième alinéa du même article préVO I~ toutefOIS une ex~ept i Qnl importante en
déCIdant que, da ns le cas de congé de mala-
we a deml-tra l ~ment, la prime, ca'iculée sur
la base du traItement entier n'est affectée
d'au,cune réduction du fa i t du 'congé.
S' OrdohTlancemenl et paiement.
Les avant~ges qui lont l'objet de la p résente clreu l ~lre seront imputés, en ce qui concerne la prime proprement dite, sur les chaI)ltres 9 Ul suppo rtent norma lement la charge
de~ traitements, soldes o u sa laires et, en ce
qUI concerne SOn complément familial sur
les chapitres supportant norma'lement leS dépenses de cette nature.
.l es crédits po ur la régularisation de ces
?epen~es s~~ont, en tant que de besoin, mis
a la dl6posltlon des administrations pa.r prélèvement Sur les crédits globau x qu i seront
~uverts at~ budget de l'exercice on co urs au
tItre des dIverses mesures destinées à améliorer la situation des person",els de l'Etat.
J'ajoute que, pOur les agen ts ayant occupé
s lIc.cessivernent plusieurs postes au cours du
,,:,'<!lS d'ootob r,e 1949, le soi n de payer la totahte ~e la prime incombera à l'Administration a la.qu eUe ils appartenaient au 31 octobre dennler ; dan s 'ce cas, si l' >nté ressé a été
pendant la période considérée e n fonctions
suœe~slvement dans plusieurs local ités, il a
eté decldé qu'en vue de simplifier le calcul
de la pnme, la rémunération limite à retenir
pour l'aPl?lication de l'article 3 serait ceUe
afférente a la deTOIère résiden ce
Pour le Ministre oes Finances
et des Affaires Economiq ues,
Le Secrétaire d'Etat aux Finan ces'
Signé : R. FAURE.
.
DUIDJIIUNIQUES DU SEGBETRBIBT
DE l'UNION DES lUSIUS
REDEV ANCES AU GAZ DE PRANCE
. Les ~air qu i aura ient reçu l'av.llS d'avoir
a préVOIr, dan~ leur blldget, dies somme.
devant servlf a régler à J'Electricite .et au
Gaz de France le montant dll déficit des
années 1946 et 1947, SOl>t irrvités il faire
parv"mr a'" SecrétaIiat les copies des lettres
qUI leur ont .été. envoyées, afin que cette
q,uesllon S?, t e~udlée sur le plan général et,
S Il ,Y a li eu, qu'une action commune soit
enVIsagée en Conseil de Préfec~ure.
Il para~, en e ffet, anormal que le Gaz de
France reclame, en 1950. aux communes le
montant des déficits subi poun ctS ~ux
années, alors qu'en 1948 les déficits ont été
camblès par le relèvemoot du prix des Kw
électnques.
Un e lettre mentiollna"t le nom <le toutes
les cO,mmunes mtéressées sera envoyée à la
Dlrechon de la Société Nationale du Gaz et
de l'E lec~ricité 'pou r protester contre <lette
façon de proc.éder.
C'est il la SUife d'une déciSfon pl'ise par le
B'lllfeaui die l' Union, dans sa séance du 16
cOll rant, que cette action a été env&gée.
. U est à eepërer qu'un moyen terme pourr"
Irrt,er~erllrJ ~aisJ de t oute façon, une position
doit elre prIse, le pfus tôt possible au nom
de tOIl les inté ressés.
'
Le Secrétaire Géneral de UUnion.
AUDIBERT.
- --
•
100
soi~~1 3.500 la rémunération de chacun des
Interesses, donc à limiter leurs primes i res'
pectivement 2.900 et 2.500 Irancs.
4° Complément familial.
!-'article 6 fixe le mode de calcul du corn·
plement gu~ s:aj.oute à la prime p<>ur les
agents bèneficl3lres des prestations fami lia'
les . ; ri conVIent de préciser que cette majoratio~ de. pnme n 'est susceptible d'ëtre
allouee qu aux agents qui eu éaard nu mon·
tant de leur rémunération; ont droit à la pri'
me proprement dite.
5' Réduction de la
prim~.
l'article 4 precise 1" mode de ca lcul de
la prime pour les agents qui n'auront été ep
f~lIon Que pendant une partie du moIS
d. oct~bre, ~ar exemple ; un ngent en lonC'
lion a P.ans, . qui n'a servi que pendant la
mOltu~ du . mOIS, aura droit à la prime sr sa
rémunératio~ au tfue de cette quinzaine n'a
pas d.épa e 7.500 francs : sa prime sera
~~ée, a 1;5.0?0 Irancs si la rémunération de
tnt~resse na P.1S exœcté 6.000 Irancs ou,
dans le C1l6 contraire, à la différence entre
7,500 et le montam de sa rèmunération. pour
la dllfée de la
de
en
I
-
CGpie certiliée e>onlo""t.
J'our le Préfet :
L~ Surlttllre Gmirai,
Sil!né : LAMA SSOU RE.
. . 00 . . - - - - -
�•
F~ANC1AISE7~
· 'nt'~ -___
,/~8Jt~
l '1
RÉPUBLIQUE
2 et 9 Mers 1950
N" 9 et 10
DËPARTEMENT DES BOUCHES.
Recueil des Actes Adm i\iQ"t--tifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doi' étre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
A.BRÉVIATIONS
A, p, : Arrêté préfectoraL --:- C,. : Circu l a~re .. -:-. Les lettres D et B suivies d' un .oh,itfre indiq~en.t le Se rvice ou Bureau d'origine.
- S, L,. R, A, : Service de Liquidation des ReqUlsltlpns Allemandes. - R, G,. : RavlIa,H.. ment Génerjl. - S, C, R. : Service de la
Circul aho n et du Roula ge. - D. D. S. : Direction Departementa le de la Sa nte. - D. S. T , : Dlrechon des Services Techniques.
SOMMAIRE
Arrêtés réglem..ntaires et Circulaires
Pages
Page s
AG 2. Acompte sur l~ tr arit he de
re-ciasselllent Iwévue pOli r l'année
I ~O .... ....
F ~. -
~
Subventio ns commun ales
Méd~ cin
FS O. -
40
agïéé p01:lr pra tiq w.:r
les examens d e radi o
Ln
V UI~ dt.' la
dé li vrann des certificats prénuptiaux.
FS 2. -
Pre~t ati o n s fa miliales ...
40
F S 7. -
Aya nClS ve rsées par les dépa r te ments et pa r !e,.; Ca isses dIe Séc urIté
Sociale
FS 8. -
Pagu
Etablisse ment/:'- 11 0 pitalit'r ..-
SC .f. ClaScll.: mt: nt des che'mil1S dcina ux dans la \'oi r ,e depa rtt:'menta le.
41
Textes d'intérêt général
Ass istall '" Med icale G ra tuite.
Utilisation d es f ~ lI illls de Illaladi .: de
l'Assista nce Méd ica le Gratuit~ ...
AC 3. Fonctio nnaires investis de
fonctions ~leClives aupri!s d' or ga nismes de la Séc ur ité Sociale ........
41
..JO
FS 7. Limit e- d'âge d,u pers.o nn el
adnünlÎstratif d s~c ondaire dI~s Etablisseme nts h ospitaliers pub li cs ..
42
PR - Na tllral~ ations : At lse en appli cation de la Con ve ntion FrancoBe lge dl! 9- t . 4ï ", I at'v~ il la natio40 1 na li té de l a femme mariëe.
43
Communiques, Avis, Annonces diverses
D eman tt.::. d'tmploi de ga rd e-cham _
-
~,re.....
.........
~
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
•
02 83
AG 2
ACOMPTE SUR LA TRANCHE DE
RECLASSEMENT PREVUE POUR
L'ANNEE 1950
j'ai thonneur de porter ci-dessous li ta
cOunalssance de MM . l es M aires du DéparteII/ en t le t exte de la circulaire d " AI. h' Vin'Presid('n(, du COf/seil , Ministre de /Ïl1t t1rieur,
en date du 2 1 fel'rier 1950, (lui l es alllor;s('
Ù allouer à leur fJ er~uf/rl'l'/ titulairt: t!I aU.I"/liaire flfl a(O~lpt e sur l a fraI/ clic de rcf/nssement [Jrllll ll l! {Jour t' allll ée 1Çl50.
POll r le Prefet,
. L e Sl'créf aire Gène/al dé/{;gffé
LM 1ASSO U H E.
Circula ire n" 5B AD-:{.
Le V ice-Pré:;; ident du Conseil.
de \'Lntér ieu r ,
il N' M . les Préfet.. de la ~ ' étropo!c.
~'\"'llli sLJit'
L' arti de 30 ,d t' la loi d~ fina'll<L"!ts pOl l:l'exe-rCÎce 1950 prévoit que la reaUsatiol1 Co.1l1-
pIèt e du r eclasstme nt de la fonction ~p ubli '
que ser:1 assuré(' pail" l'aNrH) lItl;o ll de tr ois
~lajora~io n s (l'un égal JIIont ant prenant eff tt
~e~pec tIVI.:'1ll ent du I l l' Janvier 19,50, dlu 1er
l ll lll,et t 950 et d ll l er · ja nvier 1951.
L etabl1ssement des trartelll l llt~ applicablLs
~ 19?O, pO ur ohaque catégorie d 'el11 p l oi~,
necesslbnt 1111 eer,tain dlélai, lA\. ~e A\,inisbre
des fina
<l décidé,
oi r cula ir e n" 13-6
mettre en paieml:'lIt. à partir du 2H févTier.
acompte â valoir Sur la prel11ière ma joration d~ 1\i50.
Je vous info r me QUt', S0l15 r éservt' d e la
ci~tu at i o ll financjèr~ et hudgêta,ire dIe
COI11 ITIl1In es et des établissC:Olt:n ts. pu l')lics, rien ne
;':)'oppOS2' à l'approbat':on d'c
dëli bêratrons
que pourraie nt prendre :t's a tmhlées local~
en \'ue d'a ll out'r cd aco mpk à leu rs ag-ents
à condition qut' ks rè~~t's suivantes soient
_ln
obse-rn~t's.
1. -
B E~EF I CIAIRES,
Le:::;
at-selllh lees
pourront
a~IOl:t.'r
cd
acompte il 10liS lt:s age nts titu!ai rLS. auxiliaires Ol! temporaires rtmlt1n~r e5 par un tr:titement Ou salaire annuel SUpèflCUT à 114.500
fran cs correspondant à l'indi ce 100.
Son t donc t'x d us 'd u champ d'application
dl:':"
pr~entes
dispositio ns :
L es ouvriers ou e!1lp lo y~s rcmunêrés sur
la base des salaires de lï nctustrÎt.' d du C0111nre-rce ;
- Le s age nts nt.' cons.a('ra!nt pat> au moin~
45 heures par semaine ft la collect ivite.
-
Ne pou<ITont da\'an t(l ge hént!fit.:i:.T d ~
l'acomple, l't'Fi agent:;. ne s....' trounwt pas
eff ectivement ~n ser "ke ou cn congé reguner à trajft'm~J1t plein ft la date crll l 'er jan
vier ei il celle dl! la pr esente circulaire.
alu titre de la ~e condt' tra nche de recla ~-e
ment.
Cettt' majoration t:'St egaie à celle qui figure
dans la cinquième colollll~ li'
c: tableaux de
correspondance $ annexes à la cirnliaire
Il''
13 AI) /3 du 7 janvier t'I49.
L orsque Ct: tablr.:aux ne l"Omportent pas
dt> tihlffrt:S dans la cnlonnc
majoratIOns de
rec'aS$.;)m~nt ,il con\'Îtnt d~ se reporter aux
inbrructions mliliste ri clIes du 1fi !H.)\'embre
dernr.er et de fairt la diffên:nt.:e t:nt rt~ le
tr'élitem .... nt pour 19....9
tn..ê par c': ~ tnstrudions
et le
traitt:'ment pOl; r 19·,P
uetenniné par
la ci r cul~re du ï jallner 19 ....9 .
Le t'akul de\' ra être tffeCfue SUT la même
base pollf JI! pJsollnel auxiliaire dt' hureau
ou de l'rvÎce.
Le chlHre obtenu sera arrondi à la C't"TItaint" dt' francs lIlferit:ure pour don,f'!ér le mOntant brut de l'acompte qui suiJira seulement
1t.'!S rdt'l1ues au bifre de la Sécurite Social.e,
l 'alomr,tc d\.'~ J'gt'ntl"i ~e trounlOt ft la.
Ut" la présente eirrLl l air~ dans un... p
comportant lin.: réduction dt' traitt'mell1
réd uit dans b m~mt" propo'iioll qlle 1..:
tement.
date
itJion
sc-ra
trai-
4
Il . -
II ne
dixième
.1\10NTANT OF L'ACO.\1PTt:.
Pour le
\'il't'-Pf\.'~Ktt'nt
du C ô.f'1Seil.
,\ \ inistre d< l'Int~rieur et por dèlë!!ation,
Le Préfet, D"ecteur de l'Administration
Genérale, Départcnltntale et Communale,
P lerre _lea n \\ OA TTI.
�D2 83
F 4
SUBVENTIONS COMMUNALES
rai l'honneur de porlcf c;-clL'ssou$ à la
connaissance des Alain.·s du D~parfl'f1lell l le
texte d'une circulaire minislerielle
W' 34 du
24 jam'ier 1950, rela/i1'e oux sub l't"ntion,,· qui
pelOtent être allouee~ par lt.!s ,·ommIl.nes du
Comih National du Soupcnir des Morls cft'
Chaleaubrianl.
Lt' Vice-Presiden t du Conseil,
Min istre de l'Interieur,
à Me ssieurs les Préfets (Métropole,
Algérie cf Outre-M er),
(En communication à M . le Qoul'crn eUf G éneral de r Algi n e),
OBJET. - Subl'''ntions au Com ite Natioli ai du Souvenir des .\lorts de Chateaubriant.
RE FER . - Mes circutaire; n' 136 du 3 1
mars 1949 et n" 474 A.D.-2 du 2 octohre
1948.
L'Association dite
Comitê Na'ional du
Souvenir d'es Heros èe Chateaubriant » s'est
adressée à un certain nomb re de- Municipalités Ou de Conseils Généraux, en vue de l'obtention d'une subvention pour J'crechon d'un
monument destiné à commémore r I ~ Souve·
nif des Patriotes Français ~lI si ll és par les
Allemands à Chateaub riant.
Je vous informe que j'ai donne mon acco rd
de principe à l'érection de ce mo nUl11le nt.
Rien ne s'oppose donc à ce que les délibérations des Conserls Municipau~ accordant
des subventions il cette Associa tion soient
approu\'ées ; je vous rappelle, tuutefois, que
les dispositions de ma circulaire n° 474 AD-2
du 2 octobre 1948, relative à la réduction de,
dépenses des collecti"it&; locales, restent
applicable,.
Le Secrer<lire d'Etal
Jean MEUN IER.
PRESTATIONS FAMILIALES
Ll' Pn!fl't des BOIlt.'Jr !!S-<lu-Rhôllc
à Messieurs les SOlls-Préfets d'A ix
et d'Arles ;
à Messieurs les M(lin'~~ les Directeurs lks Sen'ices et litablissc l1H'fllS
Deparleml!'fltaux,
Aux di\'erses quef.tions ci-dessous, relatives aux prestations fami liales, posél'!s à M
le Ministre des Fin3nces, celu i-ci a repond u
par lettre n" 1645 dn Il février 1950.
Première question. COnllll €nt do ivent
t t re i,nterpH~ ti't's les disposit ions de l'a r ticle
12 de la loi du 22 août 1946, aux te rmts
desquelles l 'all ocation de Saloire Unique doit
être attri buée au taux de 20 % pou r un
enfa nt unique de plus de cinq ans à la charge d'lill allocataire dont le co nj oint n1l alade
ou )nlirme n'a Ipas les rerf'nu:s ncce: aires
pour assurer l 'cntretien de cet enfa nt.
R épontt!. - L'allocat ion de salaire unique
ne pellt être tn aintenue dans le cas con ": dêr~
au taux de 20 % que si le conj oint infirm.e
ou atteint d'une maladie incumb le n'est pa~
assujetti à l'impôt général sur le revenu.
MEDECIN AGREE POUR PRATIQUER
LES EXAMENS DE RADIO EN VUE
DE LA DEUVRANCE DES
CERTIf'ICATS PRENUPTIAUX
Les chômeurs indellll1is~::; Ou
11011 doivent rece\'o;r les presta t ;olls fam iliales de la Caisse d'A lloca ti ()ns Familia les du
lieu de , r ésidence, au titre de 13 population
lion actIve.
AllRl:.TE
3e Question, - Pour le sllP:P! Lment familial, il t'~t indiqué que le conjoint agent ùe
l 'Etat peut bénéficie! éveil tuellem en t du supplement famIlial, meme si la qua lite de chef
de famille est reconnue élu seul conj oi nt qui
If:est pas agent de l'E1at, doit-on pa r analogie ~ppllquer ,I.es mêfT!e~ règl e~ pour la IJ3rtie
familIale de l 'Indemnite de rC Sldence ?
Le Préfet des BouChes-<iu-Rhôn e,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu t'ordonnanee n" 45.2720 du 2 nOV" mbre 1945 sur la Protection Matt rne r", el
Infantile ;
Vu rarrété dU 15 anil 1946 de ,11. le M inistre de ta Santé Publique et de la Population
et les roctifications parues alLx Journaux Officiels <ks 10 mai et 15 stpiembre 1946. fixanl
le modèle du certificat d'examen médical
avant te mariage ;
VOl J'arrété du 1et' jUin 1946
V" la Circu'!a;r e Ministéli,:le fl " 148 d,u fi
juin 1946 ;
Vu J"avis du Conseit Dépa rtemental de
l'Ordre des !Médecins en date !du 27 janvier
1950 ;
SUT la proposition cie M. le Dir"cteur Dé'parlementaJ œ la Santé,
ARRETE
ARTICLE PREMIER, - M. ie' docleur V. Blumenfeld, vina c Mon Dés:iI >, à L~arignane
(B.-du-Rh.), est agréé pour pratiqu,r les
Réponse. -
. l(epolZ ~e.. - Répo nse négati\'e, la majoratiOn fam.lliaie de l'indem nité de rés:del1ce
n'ctant attr ihuée qu'aux se llr~ chef' de
famille .
Il .y a don~ lieu, â l'avenir, de vouloir bien
servir c~s dl\lerses prestations :::iü ;vant les
textes c l- de~sus.
Pour le Préfet :
Le SecréJ'ilÎrp Général
Guy LAM PSSOU RE.
------- ~) oo c>----
___
r
n" 2 1.
Pallis, le Il Fé\' rier 19SO.
Le .M in,istre de la Sa,nté Pub lique
d de la PeYl>u la tion,
il M(MI 1", Préfet s (pOur ,ex<,c'1ionl,
1\1\"\'. les Drrectewrs Dépa'rt e nt enl~ux
de la P<>ptllatioll (rpOll.lr inlforl1lation),
MM, l·tS Direc t·eurs Dépa,,'tentCl1laux
de la Santé (pour informati on).
FS 2
D282
FS 0
D. D. S.
Ciroll'Ia~l'e
-------« ~ oo c» -------
2(.' Questio;l. Si un chômeu r c nOn
IIldemn isc > doit recevoir les presta ti ons
familiales de SOn prop re chef ou de celtri de
son êpouse sa lariée.
-------<»00<»-------
-
03 82
FS 7
LIMITE D' AGE DU PERSONNEL
ADMINISTRATIF ET SECONDAIRE
DES ETABLISSEMENTS
HOSPITALIERS PUBLICS
~xall1t l1S de radw en l' lie dl.! b dëlirml1 1e"
dl'ti certificats prénuptiaux.
,.
ART. 2. - AL le Secrétaire General de la
Préfect"rc, _l't. le' Sous 'Pr,k t d'AIx, M. le
Mairè d~ la vi ll~ de i\larignane, et . M. le
Directeu' Départemenlal de la Sante, sont
charO'és chacufl en l'e qUI le concern e, de
l'exe~l rt{on d1u présent arrêté.
.~Imseille, le 22 Fénier 1950.
.
Le Préfet,
BAYLOT.
f
PllIsj-etuJ\':i textt"S legislatifs O u régle1mentat.
res pe.rlmeUenJ <actueHement aux fonctionnai_
res et agents de l 'Etat de bénéficier d'un
recu l' di.... la limite d'â ge statu taire le t, par
ai nerutrs , d 'ètr;e maintenus en activité al1-delit
de cett~' limite drâge.
La question m'aya nt été posée de savoir
dans qu elles condi ti'Ons il pou",ait être fait
application de ces djsposi'tiolls aux ,person_
nels adnün istra'tirf et seoo ndaine des IEtablis·
sement hospitaliers pu>bli cs, j'ai l'honn eur .re
VOUS i,ndiqner ci-ap rès les règles à suivre ~I\
la matiè:-e,
L a llimbte d' âg,e dll
per so n1nlel en cause
l'èsu l!e ct ,€1 c\ispositions figura nt ~"statut
pr.opre au person nel de chaque établissements.
Il s'e nsuH qL'~' le lie('u'l de la lim ite d'àge
prévu 'poli r Irs fo nctiol1lnaires de J',Etat par ,
la loi du 16 té""ier 1946, modifié e transitoinement par la loi du 8 aoüt 1947 (art iCle 21
complété pa .. J'art,icle 1er du décret du 18
dëcembre 1948), ne saurait être' accordé aux
fonctio nnaires hOSplialltfTs qu'après modification des dilSpO it ions statll!tai'r~s ci-d't"gsu5
visées.
Je- ne verrais, pour l11a' part, au,ot:n incon·
vérüen t à ee qlloe les COl11missio ns adminis·
tratives et ies COllsells Généraux d écid ~nt de
p'roc~de r à ct: tte modification par voie de
délibération so um i6 à l'apl>roba1 ion préfectorole.
Il pounra être fait appHcalfiol1, -dillns les
mêmes co nditions aux 1)lt;rSonnels admtinis'
trat if et seco ndair~ titu laires des disposi ti ons
de l 'arti cle 2 du déc ret du 18 d<,cembre 1948
(modifié par le décret du 2 aoû t 1949) accOrdant une prolol1lgation œact'Ïvité de d'eux ans
aUlx intéressés qui eln ferO lllt la d;:Jmande, ava~t
dlébre atrei,nts par la linde! d'âg_ et qui jusl!fieronrt réunir les conditions j n t~l J~ctue U €6 et
phySliques suffisantes pou,r l'exercioe de leurs
fon,ctions. En cas dt' conteitati on. sur ce der·
ni er poi.n,t, )a Commi - ion de réforme prévue
par l'arrêté interministériel du 28 aO ll t 1948
sera appelée à donne-r son avts.
Si les modifications précédl~lntes étaient
écidées, r ieon lrue s'oppO'S ~Tait à ce que les
assemb lées locales accord,~n t par aille"," des
pliolongations dr'activité ~ centa ins agents
dillns d'es co ndit ions analogul"" à celles pré.
VlIeS< pOLli!" les fo ncti onn ai ret;. de l 'Etat:
- Par l'article 4 de la loi du R ao Cr; 1936
(pères de fam~Il") ;
- Par l'amide 18 de la loi If " 48,1437 du
14 sept~m bre 1948 (ofonotiOIf,maires ascen da,,~
d'lUn ou .plus~e-U!rs enfants. morts pour "
France) .
- Par' l'article 16 de la loi n' 48-1437 du
14 se;>temllre 19 48 (fonctjon'naires
par l'autor,i!é ~e fait .
41
l'Etat français et remis en fonctions pa~ applioatioo de l'ordonnanœ du 29 noV'Cmbre
1944) ; .
.
__ Par j'pcl" 17 de la '101 n" 48-1437 du
14 septembre 1948 (fonctionnaires entrés
ilardrivement dams l'administration).
Je I, réci>se que les juslructionls qui preced80ft pelllV'llJ1t Hoe C()116idé'ées comme valables en> oe qui oonCEl1\n,e 'l es Directeurs, Dir ect:.urs..,fjcohom!eS et Sous ,Di'recteurs <ies
Hôpit"wx et Hospices pwblics, ,wnobstan1 les
dispQ6itions d'es a,nWcles 9 1 et 92 dlui d'écnet
,provisOi'rement a~Lica ble d iU' 17 aVlfil 1943,
étan t entendu, toutefOIs, que les .n1llénessés
ne sauraient en allOu'n cas être maintenus en
activité au-Mlil de 65 ans, àgle limi;'" fi xé par
ledit décnell pour l'exerci"" des fonctions de
Direction dans un Hôpi<tal o u Hospice pllblic.
j' appelle t()U~ ,particulièrement vo~e atten;lion sur '00 fait que, dans tous les cas, l'application des MINes qui forot 'l'obj et die la
présenJt:e dJiCulalj,r'e, ne pourra avoir pour
effet de mai:ntenir des agents en fonctions audefà ~ âg~ li mites préV'ws pour 'l'es fonctionn,unes de l' Etat par les différents tex!les
précités.
Je voos rappel'" entin qu '~n conformité des
prescr,iptions de l'articJe 20 de la Iloi du 8
août 1947, les em ployés au"i liairelS d\ls E!ablisooments hospitali'etrs ne Ipewv<Ont êbre
mai.nmerl'Us el> activilté ,au-<M1iI de 65 "ns
d'âge.
Vous vouct:rll"'Z b.i e-Il pont€!r .ces directives à
la con na;issance des Administrati ons hospitalières de vorre ressort et veiller ,notamm ent
à ce oue Il es fonctionnaires et agen.1t·s, ayant
épuisé le 'bénéfice de, prolongations d'activ~é slISceptil:>les
de leur étre accordées,
soilèlnt itnIVités sans délai, à cesser leu rs fonctions el! admis à fai,re valoi,r leurs droits à
la r etraite, s'H' s'agÏlt! d(agents tirtU'latres.
Pour ,le !Minisbre "t par d'élégation,
Le Ohd de Ca'b.i1e1,
GOUJNGUfENET.
-------<»00<»-------
D3 82
FS 7
ETABLISSEMENTS , HOSPITALIERS AVANCES VERSEES PAR LES DEPARTEMENTS ET PAR LES CAISSES
DE SECURITE SOCIALE_
A.G. 35-49 N" 23
Pa ris, le 13 février 1950.
L e Vive-PrésideJ/t du Conseil,
Ministre de /'ln/érieur
et le Ministre de la Sant é Publiqlfe el
de la Population
à Messieu~s les Préfets,
à Messieurs les Directellrs DéparteIIuentaux de la P opulation,
Les D épartemen ts et les Caisses de Sécurit é Sociale sont amenés, en a;Jplication de
conventi ons passées avec les établisse.ments
h06pitaliers, il verser à ceu x-ci des avances
sur ~e montant cles fra is d ' h o~pila lisa t i on des
malades bénéficiant de l'Assistance Médicale
Gratuite Ou de prestations au t ; tre de la l égisl ati()n' sur la Sécurité Sociale.
. Par .a nalogie avec les dispositio ns de. la
Circulaire d.u Ministre de l' Intérieur du 21
aOû t 1899, il a été ctecidé en accord al'ec les
services inleressés du Mi~istère 'des Finances
et des Affaires Economiques, de sui l're l'emplOI de Cet; avances à deux comptes à ouvri r
parmi les se rvices ho rs hudrret des établissements intéressés sous les illiitule ~ ~Ui\'30lltf; :
Avances versées pa r les Départements
(Allocations d'assistance).
Avances versées par les Caisses de Sécuri té Sociale.
Le montant des a\'ances encaissées sera
po rté en recette à ce" com.ptes. L'emploi en
::;cra fait sur l'in itiative du receveur, soit en
c conformant aux termes de la conventio n
pn ssée, si les avances sont spécialement
afieclées à la couvert ure de f rais ou de ,périodes nettement déterminées, soit au fur et à
mesure de la réception des titres de recettes
si aucune spéci alisation n'est prévue, Si les
avances ont un ca ractère permanent et que
l es titres de recettes se trouven t soldés par
dees versements égaux à leur montant effectués à une date rapproc hée de leur émis<>ion,
auoune dépense ne ser a imputëe aux comptes
ci-dessus visés. L'examen des convention s
souscrites pourra seul donner d~ indications
précIses sur ce point
Un ext rait des dispositions financières
contenues dans les conventions souscrites Ipar
les Caisses de Sécurité Sociale sera ,prOduit
au Juge des Comptes à , 'appui du compte
où l es avances fi guereront pour la première
fois et chaque fois que ces dispositions se
trouvero nt modifiées, Cet extrait sera cerfifié
exact par te Directeu r de l' Etablissement. Le
Receveur en conservera une copie .pour suivre les opérations ultérieures. Il es t précisé
que les conventions peuvent conôister en un
simple échange de lettr es. Le cOI~ptable
hospitalier produira également, s'i l y a lieu,
en se co nformant aux mêmes règles une copie des d ~cis i ons concernant l'octroi d'avél!nces par le Département. Si des avances sont
versées spo ntanément pa r cer taines collectivités ou caisses débitrices, sans qu'il soit
établi de document ecrit, il sera produit un
certifica t administratif au x lieu et pl ace des
extra its des conventions ou des copies de décisions.
Les ~ati ons des comptes « Avances l'ersées... » seront justifiées comme suit:
R ecel/es :
- Avis de crédit (partie sllpeneure de
J'imprimé modèle nU 6, anne;...é à la circulaire
du M inistère des Finances n° 603 du 26 mai
1948), en ce qui concern e le; versemt>nts
effectués par les départements.
- Helevé des avances versees par les
Caisses de Séourité Sociale, cer tifié par le Directe ur de l'Etablissement.
Dépenses :
- Etat crlobal des somme; imputées au
co urs de fann ée aux services budgétaires
présentant sous forme de tableau syno.ptique, le d~tail des imputations par exercice,
par collectivite ou caisse débi t rice et par
ar ticle budgétaire,
R estes à imputer:
- Etat indiquant, par colle ctivit és ou caisses, le montant des sommes ,nOn employées
au' 3 1 décembre.
Sur les titres de recettes concernant les
services budgetaires, les émargements des
sommes correspondant à l'imputation des
avances seront suivis de la mention « emploi
d'avances ».
Les receveurs denont tenir Sur un registre
pë)sse-partout, par cOllecti,vi,tés et cai~ses,
une ou plus,eurs pages speCiales étal~t resern'es à chacune d'elles, un compte pr esentant
le détail des aV:lI1ces reçUt's, le detail de~
imputations failes et le solde au 31 décembre
de chaque année.
.
Il est rappelé à nouveau, pour éViter tou tes difficultés, que les dépenses d'un établis-
set11Ient peuven t être réglées dar.s la mesure
où le compte budgétaire et les comptes de
la première partie des services hors hudget ( 1) de cet établissement présentent, dans
Mur ertsemble, compte tenu des avances pour
divers services (Section IV, paragraphe C du
Li vre des Comptes divers) un excédent suffisant.
Le produit des al'ances faisant J'objet de
la présen te circula ire vient donc groSSiT le
montant des fonds libres dans l~ lim ite desquels les paiements peuvent être effectués.
POur l e Ministre de la Santé Publique
et de la Population
et par autori5~tion l
Le Chef du Cabinet :
GOUINGUE~ET.
Pou r l e Vice-Président du Conseil,
Ministre de l'lntérieur,
Le Pré/et,
Djrecleur de l'Administration
G énérale let Communale:
Pierre-Jean 1.IOA TTI.
-------(» 00 <»'-------
D3 B3
FS
8
ASSISTANCE MEDICALE GPATUITE
Utilisation des feuilles de maladie
l'Assistant:e Médicale Gl'atuite
de
Le Pré/et des B ouch es -du-Rhône
à Messieurs les Maires du Départe-
ment;
à AI. le Directeur Général de l'Ad-
ministration de
rAssistance
Pu-
blique à Marseille,
A différentes repr;,.,s, la qUe6tion m'a éte
posée de savoir, très exacte ment, dans quelles conditions les feuilles de maladie de l ' Assistance Médicale Gratuite devaient être délivrées.
La présente lettre a pour objet de fournR'
tous les éclai rcissements nécessaires,
Une feuille de maladie peut étre délivrée
par les Mairies, et pour Marseille par
Bureau d' Assistance, à Un assisté don+
de santé nécessite plus de cinq d~ i
sultations dans Je trimestre aL
piqû res, massage, insuflations, {
Mais, et ceci est très impon
feuille ne doit être remise à l'as~
tani qUe celui-ci est cn possessiOn d \
de mes services autorisant plus de cin..,
tes ou co.nsuItations dans le trimestre ou Q _.
certificat du médecin-traitant prescrivant la
série de piqûres, massages, insufla~ions, etc, ..
visée par le Médecin-Contrôleur de l'Assistance M édicaJe Gratuite. La référence à la
nomenclature des actes professionnels doit
être indiquée par le médecin-traitant sur le
certificat médicaJ, ainsi que le nombre d'actes
ordonnés.
Messieur. 1<16 Maires, et pour Marseille le
Bu rea u d'Assistance derront indiquer en ha~
de 'la feuille de maladie au moment de la Mlivrance la nature (plus de cinq visites ou consultations, piqûres, massages, etc ... ) de l'autorisation délivree soit par mes se-rvices, soit
pa r le Médecin-Contrôleur de l'Assîstance
Médica le Gra'u ite.
Ces feuilles de maladie deHont être jointes avec les autorisations, soit de mes sen'i-
(1) L'cxpres::.ion « Ire pa rtie des services
hors· budget :t doit être- entendue. dans le sens
<lui lui e-st donn~ par la circulail"e du Ministrè.re
des Finances na 3 du 11 décembre: 19-10.
�42
ces, soit du Médecin-Contrôle ur du mémoire
trimes triel aux fins de règlement.
Je rappelle enfin qu'un seul bon de visite
ou consultatio n et une ordonnance doivent
être remis à chaque as,""té a u fur et à mesure de seS besoi ns ; cependant PD"" ceux en
possession d'une a utorisatio n de plus de cinq
visites ou con sultations cinq ordonnan ces
pourront être remises à la fo is ,
Po ur le Préfet :
Le S ecrétaire Général dt ltlgué :
LAl\>\ASSOURE.
_______
<~ooc»-------
P 8
DI B2
NATURALISATIONS
Mise en application de la Convention
franco-Belge du 9 janvier 1947, relative à la nationalité de la femme
mariée.
Le d éc ret n° 49-1 235 du 4 septemb re 1949
O. O. du 14 septembre 1949) ipOJ'te publication de la Convention ,gnée entre la F,ance
et la Belgiq ue le 9 janv:er 1947 ""'ativem<lI1 t
à la nati onalité de la femrrloe mariée.
C ette nouvelle OO'Jwe.ntion abr oge et r emplace po", Yavenir la Conv'<!!ltion du 12 septe m bre 1928.
MlM. les Offi ciers de r Eta~·Civùl sont lllfor.
més que <>et accord fait disparaî~ le dernie r
cas da ns lequd ils powruent être ajlpelés
à ,recevoir -IIne déciMation de nationa lité et
qtre le défalJl de titre de séjo ur ne cons titue
pas un obstacle à l'acquisition a utomatiq!le
de notre na1ionalité par la iemme belge
épousant un français.
Cette particularité de la convention cons;
titouIe' la seule clifférence qui subsiste tentre le
régime d'es mar iages rranco-be1ges célébrés
e n Fran ce et le doroi t commun fixé par le
Code du 19 octobre 1945.
Pour Ile Préle!,
Le Secrétair e Général,
L MMSSOU~E.
_______ 0 00 0 - - - -
L~1..
DE
L
SC 4
CERTI~T DES
CHEM.lNS V1CIANS LA VOIRIE DEPARTE-
.LE_
l-e
Le Vice-Président du Conseil,
Minis/re de l'lfitérieur,
a Messieurs les Prefets de la A'retro pole,
Mon attMtion a fté attirée sur les classements s ystématiques et ma.;,;i!s de chemins
vici naux da ns la voi rie dêpal tementale.
Je ne sa urais approuver cet te manière de
faire.
1. _ 11 est cont rai re à J'espr it de la législation de supprimer u ne catégorie de voies
p ubliques expressément créée l'a r la loi. En
d éclassa nt sys témat ique ment toutes les vo ies
___
ment.
E n créa nt e n 1938 le no uveau résea n des
che mins département ..ux, le législa teur a
simplement voulu y voi r fi gure r l'essentiel de
l'ancien r ésealll' des routes départementales,
de l'ancien réseau des C. V. G. C. et de l'ancien résea u des C. V. 1. C., à l'exclusion des
chemins vicinaux ord inaires.
L'instruction générale dtl 23 novemb re
' 1g~3 sur le Servi ce des Chemins d ~a rtemen
taux, rédigee en a pplicatio n de l'a rtic le 20
d u déc ret du 25 octob re 1938, conhe nt da ns
son ar ticle 2 des dispositions précises au
suj et des classements da ns la vo irie dé partementale. 1\ résulte de ce texte que de tels
cl assements doivent avoi r un caractère i ndividuel et non général.
Si, d'après l'a rticle 3 d u décret du 25 octob re 1935, le Conseil Général sta tue dé fin itÎ\·emen t sur le classement des chemi ns dépa rtementaux, cette disposition veut se ulement
dire que la déli bération du Con seil Général
n'est pas so umise à l'approbation ; e lle ne
permet pas à l' Assemblée Dépa rteme nta le de
statuer au mépris de la loi.
11. -
Sur le te rrain de I"oppo rt unité, ces
. classements massifs me para issent tout aussi
c ritiqu'ables.
1'" La division de la vo i rie publiq ue en
voi r ie natioJl,ale, voirie départementale et
voi r ie vicinale n'est pas une construction
arb itrai re pour répa rti r entre l' Eta t, le Dépal teme nt et la Co mmu ne les cha rges financières qu'impose la voirie.
Cette diviSion répond à une réalité proronde: il y a des voies q ui servent principalement aux commun icatio ns ro uti ères à
g r~nde distance (routes national e) ; d'autres
q UI ont essentiellement po ur Du t de joindre
les pri nCI pa ux cent res d'u n depa rtement o u de
de ux dépa rtements voisins (chemins Mpa rtementaux) ; d'au tres enfin qui ser vent à relier des aggl omérations commun ales voisines
ou des hamea ux au cent re communal dont ils
dépendent (chemi ns vicina ux). C'est le seul
pn nclpe rahon nel, et d'a illeurs trad itionnel
pour déc ide r des classements et des décl asse~
ments éventuels.
n° 36
Paris, le 4 février 1950.
=~
régi me fiscal spécial constitué par. l'impôt
des p resta tio ns ou pa r la taxe vlctna le. En
transforma nt systématiquement les chemins
vicinaux en chemins departementa ux, le Conseil Gcnéral abo utit à modifi er profond émen t
le régime fiscal se rapportant à leur fina nce-
. 2" L'abso rption du résea u v;ci n al dans le
departemental en traî nerait cette consequence que le Consei l Général serait senl
à décider de l'exécution des travaux. 11 n'est
r~seau
p.as sûr q~'al o rs
les
programmes
établ is
s adapteraIent exactement aux désirs
habItants. qui résident en bo rdure de
des
;:es
vOle~, . pU isque ce ne serait plus le COIl::).f: jJ
MunICIpal , organe des aspirations des habi tants de la commune, q ui décidera it de l'exécuhon des travaux ; le Département n'esl
~as tou lo urs tellement ri che qu'i l .puisse
finance r sans compter des t r avaux de voirie·
da ns ,l'établisse ment de J'o rdre de Ipriorité
s Im pose ra it, Il est. vra.isemblab le q ue
9Ul
d'une cat égor ie et en les classant dans une
autre catégorie de voi es publiques pour l es
soumett re a un r égime dégal différent de
1 urg~ nce ~es t ravaux a fai re aux ancie ns
chem inS dcpartementaux pri merait en aénérat c~l1e ~e~ tr ava·ux à faire su r les a n~iens
celui auq uel elies étaie nt soumises, le Conseil
Géné ra l empiète s ur les att ributions du Pa rlement. Ce point de vue est celui du Conseil
d' Etat, ai nsi qu'i l résu tte d 'un arrêt du 19
chemJ.ns VICInaux deven us départementau x.
3° La disparition des chemi!: s vicinaux
porterait une . atteInte sensib le à l'autonomie
com~lunale SI les attrib utions des Conseils
décembre 19 13.
Pour le
MUl11clpau x allaient aInsi en ::t'amenuisant.
. II \. -
Ces classements massifs de chemins
.t~i~el~t.~.d~e,s:;:;'~:ls:i~:~Iii~~~;:~u~n~~vl;C~tn~a~u:x~d:an;s~1~a voirie
départementale sont
43
surtout motives par le fait que certailles co
munes n ~ veul~nt p~s ou ~e ,p euvent pas fa~~
l'e~<;>rt flOanCler ncceSS 31re a ux tra vau x de
VO'I r\e.
TEXTES B'!"TEIET GE"E88L
e
Circulaire concernant plus spécialement
(es Administrations de f etoi
Mais ce.tte ques
.
f" tio.•n fin a nciè re doi t rec'e von
UI1~ .sOlutiOn
In a nc lc~e e,t n~ n une solutiOn
poli tique pa r le retrait d at t" b utio ns de n
ture essentiellement commun ale.
a-
D2 BI
AC 3
FONCTIONNAIRES INVESTIS DE
FONCTIONS ELECTIVES AU PRES
D'ORGANISMES DE LA SECURITE
SOCIALE
Je'
me SUIS p néoccupé ces d e w iènes a nn ées
de faciliter le fina nceme nt des travaux d
voirie vi cina le. Je rappel'Ie tou1 <l'abordl q"e
\es -Conseils (Mun icipau x o nt la faOl.It~ de"
pl\is l'artic·le 78 d e la to i ,<fe fin a nces n',
15 16 du 26 septembne 1948, de vo ter quatre
jo uumées de p"estwtions, et n on ,plus "'ois
sellJern!el1t1 pOUIT 'bes ohemM
nts vidnaJUx lE
second li"'u, sur .m OIt initia tiv e, a éM P~'bli~
le déc ret J1 0 49- 1357 d u 5 octobne qui
majoré sensibleme nt les t a ux de sub"entio~
a!,plic"bles e n mabiè ne de travaux de voirie
vlcmale.
tLa réform e gé né rale des fina llices locales
en prépar a tion, doit . d Oltn," a ux commun~
les ressou.roeS 'régultè res ,et s uffisantes qui
Jieur p er me~tnont de s lubveni, wux charges
q UI leur ,"combe"!. En a~,en dant la réalisa,'
t, O"' de cette réform e, j'ai c haq ue ann ée
accorclé des s u,bventi ons pour 'l' entrf1ien des
c h emlfl ~ .vlchO a ~ ~, corvtrairemenlt à fa pratiqu'e sU.l'vJe an'tef1!eunement.
Certaines co mmunes son1t 'spéd alement
gênées pour l e fbnlan cement des t rava,ux de
<Ii
~oi rje alors que d'a utres ont 'un
f
JtMN/OG
163 '
Pa ris, le 9 ja nvie r 1950.
Le Sec, étai'r'e d'Btat ch a,!~é de la
fo notion I>ub liq'ue et de la Réfonm~
adm lJ1Jstrat lve
à :V1M. I",~ M'i niM,es "t Secrétaires
d'Etat (Di r ecti oll dha-rgée du per50nn<1).
1
. li m'a ~té signalé q ue plusieu,r s services
Imposent ,a te1ll5 agenllS l'obli gatio n, de sol U.
citer et d ob\ienlf un e aut orisation de 'l'A,dmimSflra1i{)n av~ nt die pres"" ter leur candida'
h!"'C
a ux élections po"r les Conseils ct' Adtmi-
l'instt1lctiOll1 gé nér ale n" 7 pour l'~' .
des fonctionnaires
..,,,,el1'l a l'ét ude.
J. BlOND \.
~ s!ab~t gén~ra1
~rrtra tl on des CaissCl! Pn m 'IÏr es de la Séeuté SoC iale, puis à nouveau avant cie s iég1er
au sebn de ces organismes.
•
1 j'ai l'h.o nn t:ur d'appt"ler votre attention sur
~~ec~.~ctcre abusif ~e cette prafifQue qu i sem-
Comm uniqués-Avis
Annonces diverses
1 . u ltoe.r .<f'u ne . Interprét,,!ion erronée de
a Circu lai re /lnter.mlJ1l1lstéri.el le ,'Il' '0 se ,bre 1" 48 r
, .
p",m1
.;;.
'0
~es concfi'tions dans lesquel-
lX3 1l t
dt.;'S ce.,"!3Ins élIgoots peuve nt être mis à la
d;Spos! t1on de Sodétés mu'tualietes ten vue
"~aSssf'otr1~crt' la ~.t;;SNon d'c la Sécurité SadaIe
\.1lO
1
D2 8 3
DEMANDE D' EMPLOI
DE GARDE-CHAMPETRE
IOnnall'es.
N Ce t.exte 51Ui c? l1 cerlll€: uniquement 1f:S fonc, o n'JlaJT'e~ lnV'eStts de f onction adminîstrati~fÎ aupres d' org~n.is""", de la Secu rite Sol' <l e ne v~se en "en les agents érus qu i dC)!s~~~es a, présen1 bénéficier d' a",torisations
t:
es d absence dall6 les mêmes candi,
,~n5 que I ~ forudtionnarres membres élus
d orga nes. dlrecteufS de g.rouJl"mentos sl'nru~aux (a rtlcle . ·98 de la loi d u 19 octobre
946). Ce pomt :lera d'aill e urs 'Précisé dan s
M. AII<lmlUnd Georaes domicitié . Lédi.
~nan
(Gar.d) , âg~ .de t:o39' ans, Jletrati~ de la
t:oendar,!?ene, solliCite un emploi de garde;hampet~ dans ~ne commune de plus de
_.500 hab Itants, SItuée dans le département
des Bouches·du- Rhône .
. Les municipalités intéressées par cette candIdature sont p;iées de se me1tre direc!emmt
en rapport avec M. Allemand.
•
r,esi'au moins
eren d u. Je vous rappelle que l'article 147 de
la ,loi des l imm aes du 16 alvril 1930 a prév u
quJ,~ n vue d'é tablir entre les com mn.J nes lUne
éq u'l1Jab l ~e péré q uation des dépenses de VOIrie, le Conseil Général Ipeut c réer UIl1< fo nds
de olidanite interco mmu",a l alimlenté par le
verseme nt d u .produ it de presta tio ns payables
en arge nt ; trop peu de C onseils Généraux
ont utilisé la faou lté ai ns i mise à l"lUr disposi,t ion pa r le législaleur.
Les dépa,rte men ts peuvetl~ all!SSoÏ accorder
su r fonds d~partem entall'x, les s",bVlention~
aux commlll1~ pour l es travaux intéressant
leurs <:h~nüns vioi naux. Le décret n° 49-1 357
du 5 octob re 1949, qui fi xle 'le barème des
s'llbventi ons (em matière de voirie vidnale,
men~ionne 'expresséme nt u.ne part à la charge
du dépatlement.
D'après l'arti cl e 47 de l'a J{)i du 10 août
1871 , les dé li bératio ns ,par laquelle les Conseils Géné ra ux stat ulent défi ni tivement sont
e xécutoires s i, dla ns le délai die clJix jours à
part" de la c1Mure de la ession le Préfet
n' en a pas dem andé PanniulatiOIb
•
VauoT excès
d.e pouvoir ou pour violation d'un e disposihon de la loi o u d'un ré"lernent d' administration publique. J e consid~ère qu'e les classeme nts abusifs su r lesquels j'ai attiné votre
attenltion dans b l>nésen,t e circulaire tombent
saus le coup de cette d isposition légale. Vou.
IlIP manqu'e rez donc pas, le cas échéant, de
me dema nde r 1'3/l1I1 ul at ioJ1 de tellcs délibéra'
tions.
L a présente circu lai re sera jnséréc au Re"
cueil des a des .Admi n,istraiÜf6 de " otre dépa r-temen!.
PO UT le ""'"nisire de l'lntérjeUl
et par dêlégation,
.
Le Préfet directeur ,de l' Admin islraMll
Générale,' dé.pa rtementa le et communale
Pierre'- Jean ~10A n'l.
~~:~
Copie certifiée conforme.
Pour le Prélet :
Le Secrttaire General,
LAM ASSOU RE
�16 Mars 1950
'.
DËPARTEMENT DES
E
Recueil des Actes
,
et
8' Année. - N' 11
ratifs
des Mairies
Toute cOl'l'espolldallce relative au Rec u eil dol' être adressée li la Préfecture Secrétariat
Général
ABRÊVIA ':l.~IONS
A. P. : Arrêt é préfe ctoraL -: C .. : Circ.ulaire .. -:-. Les lettres D et B sui vies d ' unc~ffre indiqu.ent le Service ou Bureau d'origine.
S. L. R. A. : ServIce de LIquidation des Réqu/Slhons Alle ma ndes. - R. G. : RavDl ta;rj·ement DGenéral. - S. C. R. : Service de la
Circulation et du Rou la ge . - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. . S. T.:
irection des Services Techniques.
-
SOll4l14AIRE
i\rrêtés réglementaires et CircUlaires
Pages
A G O. Desigl1J l io n des or g amiStl tions sy ndicales représen tatives du
p e rsonn el du Cadre Na tiona l ci e la
t'réfe cture des 8 0uc he s-(l u- r~hÔ ne..
•
Consti tutio,; d'une A~soci a
Pages
tion Sy ndicale auto ris' e pour l'entret ien de d essèchem en t du k r ritûire de
la com m ll n ~ de Rog nonas ...... . .
45 1 T VX 5. -
45
T VX 5. -
46
Limite j usqu 'à la qu e ll e les
fOUIï1Îsseuf s SO nt d ispenslS de produi re des mémoi res Ou des factu res.
AG O. -
I,nsti t ut io n d 'un Comi té T echnique P a ri ta ire D épar te m ~n ta l , à la
P réfect u"e des Bo uc hcs-du-H hô lle...
AG 6. -
46
D ro its d 't' nr~ ~ i::;t n:mt.:n t de::;
marchés communa ux ,..... . . .. ...
Textes d'intérêt général
AC 3.
Employés all xilia; re, de
l'Eta t. - Sécu ri té Soc ia le. - ln demlI ités j ournali ères .............. _. .
-16
-
47
éonununiqués, Avi~, Annonces diverses
P ublicat io n .........
47
Dons et legs ..........
Communiqués du Secrétariat
de l'Union des Maires
Ea ux de la Dura nce ............
47
47
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D 583
•
AG 0
DESIGNATION DES ORGANISATIONS
SYNDICALES
REPRESEN T ATIVES
DU PERSONNEL DU CADRE NATIONAL DE LA PREFECTURE DES
BOUCHES-OU-RHONE.
- Le Sy nd icat Na tional des Fonctionnaires et A ge nts de Prefectures et Sous- Préf ect ures C. G. T . (Sec ti o n des Bo uc hes-du Rh ô ne) ;
- Le Syndicat National d ~s Fonctionna ires et Ageors de Préfec tures et Sous-P réfectures de Fra nce e t d'Ou t re-Mer C. G. T .F. O. (Sec ti on des Bou c h es - du -l ~h6I1e) ;
- Le Syn d ica t A ut Onome LIu Perso nnel du
Cadre ùe!) Fonctionnai res d~ la P réfecture
des Bo uc hes-d u- Hh ône.
ARIŒT E
Dt! Pre/et lies B ouc!u's-du-Rhôlle,
Off icie" de ln L égion cf'H onneur,
Vu la loi Il '' 46-2294 du 19 octob re 1946.
portant sta tut g-énéral des: fonct ion na i res,
nota mment ses a rticl ~s 20, 2 1 et 22 ;
Vu le déc ret n" 47- 1:170 d u 24 j uill et 1947,
modifi é par le décret n" 4R- 170S d u 5 nO\'em bre 1948, portant règleme nt d'admi nistra ti on
pu blique po ur "applicatio n de l'article 22 de
la loi du 19 oc tob re 19 46 préc i!(e ;
Vu l'a rrê té d u 14 a\'n l t 949 po rtant insti tution du Comité T ec hni q ue P=-.ritai re Ce nt ra i des P ré fectures;
. Vu J'arrêté du 5 j a1l\' ier 1950 porta nt (' r ~a
t lOn de Comi tés Tec hniques Paritai res Dép a r te mentau x dans les Pré f'.!ctu res ;
.Sur la proposition de M . le Sec retaire Genera i des Bou t h es-du- I~ h ô n e,
A r/icle 3. - Il e;,t impart i aux urganisations défÎn~es aux articles 1cr el 2 un délai
de ci nq jo urs , à dater d u jour dl la parution
d u prese nt arretc, pOu r procc.:der à la desig nation de l eurs délégut:s titula i res d suppléan ts au bei,n du Comite Tethnillue Pa-rÎta i re D épartemental.
ARf?E T E :
Article premier. - So nt co nsitl crés co mme
Article 4. - AL le Sec retant! G~Jlëral de::Bouc hes-du-R hône est chargé de t'exécution
d u présent arrêté,
orga nisati ons synd icales de fonctiollna i res les
pl'us. représentatives du pe r:;;.onnel du Cadre
N atl onal l en vue de la co nstitut ion du Contité T echnique Paritaire D épar ftmental à l a
Pré fect ure des Bo uches-d u-Rh ône :
A rticle 2, - Le nombre· de siège=" Je titu Iqires att ri b ue à c h a.(;ullt~ d t! c-e~, <.trganisations
est fixé respectivement â :
- Un pour la C. G. T "
- Un pour la C. G. T.- F. ü'.
- U n po ur le Syndicat Autonome.
Le nombre de -iègt:$ suppléants est t'gal
au nombre de siège~ de titulaires.
Marseille, le 27 février 1930.
P our le P rtlfet. pal ddégation.
Le Secrétaire Général
L A ~I ASSOURE.
D 5 B3
AG 0
INSTITUTION D'UN COMITE TECHNIQUE PARITAIRE DEPARTEMENTAL
A LA PREFECTURE DES BOUCHESDU- RHONE_
AHRETE
Le Préfet des Bouches-au-Rhàne.
Officier de la Légion d' Honneur.
Vu la loi u" 46-22~') du 19 0ctoh re 1946.
porta nt statut gcneral des fonct ionn aires.
notam men t se ... articles 20, 2 1 et 22 ;
Vu le décret n" 4;-1 3; 0 du 24 juillet 1947,
mod ifié par le dccret nU -l8- 1708 du 5 nOvembre 19-18. ponant regltment d'aumin istra tion
publique pour l'application de l'orticJe 22 de
la loi du Hl octobrt' 19-W p récitee :
Vu l'arr,;té du t4 avril 1949 portant institutIOn du Comik Technique Paritaire Centrai dt',s Préfectures ;
Vu l'arrêté du 5 jan\'ier 1950 pl1rtant créa~
tion de Comites T~c h niq\les ParitaÎr ~ Départementaux dans les Prdectltres :
Vu l'arrêtê prdectoral en da lt' du 27 ft':nie r 1950 :
Sur la proposition de .<\\. I~ Secraaire Générai de~ BOllches-du-Rhônl' ;
ARRETE:
.·\rUde premier. - Il est in~ tiiue à la Préfecture des Bouches-du-Rhône lin Comite
Technique ParHaire Dl;partt."mental.
Ar/iclL' 2. - La r~prcsentation de l'Administration au Comite Techniqut.' Paritaire est
fixée ainsi qu'il ~l1it :
�-
4'
_\\. h.: Prdt!t, P
l$ :dêl\!,
n.!.: ,
br~
tito-
\\ le Se rc- a:re G n..:rat. m~mbre tttu Iain: ;
_ \\. le S... u~ - Prd ..: t d Ai). , ml:mhre tItul aIre ,
_ .\\ le [) n:1. U.. t dit Cat'i d , fJ'ft'rrt f l'
S
k..l Ot
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U1DS,
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0 1\' 1 U H,
m m rè
~ upp l l'an t
~ r<
,
. \ .\ R' AL·D, .·hd .le DI\ iSlon, mem>upple,nt
L~~ or!!ani ~ 3t10nS ~~ nctcal~ ..
d.es iun~lon:taire :-, don t la
lk.a: :t lt!,; dre .... c:c t l publié,:. pJr Jr~tê du
27 t t'Hl t' HGO, ont dc.:5 ~ne rOllÎ fair~ pa r tie
de t.1: r~ p rt'..\.: ntation du p~r '"l'iet au Com:Il.' T\: .. h n k.tl'~ PJrita::~ ks memhrt.'~ dont k
A rtzclt .J_ -
wpn.:-~lItati\~s
n (liI1-.
son t tndi4ul.'s (I -d~ous .
S)l ,d'.:al C. G. T, - F. 0 :
.\\ HE \ RIE ~ .\n!Vllin m.mbre
tltu-
lalft! :- .\llI e FilA YS E ~\d"e-lou«. membre
s uppleant.
- -yndi<ul C. G. T. .
_
\ LAHT IGLE Jean ,meml,,< ntlllair~;
- ~\ \" -'LA T Ra, mond. n,.:mnre 'urptéam.
.
_
Syndicat Au:ononlC de IcmciiC>.lnairt·s
du Cadre de 1 Etai de la Pr</eclure :
- .\\ -.\L \ ·AIRE. membre titula.re ;
- .\1. SEGli Y membre ,-upp'cant.
Artidt' 4, - .\t k
eu~rai re G.tneraJ de
Buu\.-Il\:::. .. du - Rhôr.~ t!:-.t chargl.' dl' J'ex\,.l:ution
du pr~""e'1t arr~te,
•\\ a.r:'-t:ille, le 7 mars 1950.
U préJ<!t
BAYlOT
AG 6
CO NSTITUTION D'UNE ASSOCIATION
SYNDICALE AUTORISEE POUR
L 'ENTRETIEN DE DESSECHEMENT
DU TERRITOIRE DE LA COMMUN E
DE ROGNONAS
Application de la loi d~s 21 juin 1R65, 22
décembre l , ' modifiée.par JO! lIéCret
du 2 1 décembre 1926
ARRETE PREFECTORAL
.·\I.;TORI: At\T LA OCI.\ TlON
L~
Pre/él du D,"parl'-menl des Bou-
/ hes-du-Rhône
Officier d_ la Ltigum d'H/1n/leur
Croce de ;:uerre,
Y u le proje: dre t: en \:Je de la con~titu
Hon d'une t\s-ociat,on S\·ndic1Ie autofl:;ct
pour le Dè ~'chement
T~;ltoire dt! la
Commune dt I~o~nonas •
\ 'u 1..:: do~sier d~ l'enqui:te oU\'erte :,ur CL
projtt, en e- Ccution de l'Arri:té préfectoral
du 7 oc tobre 194 , il Rognon,s ;
Vu le Pfl/ci:. - \erbal ~e rA,.-emblée Gt'n,,r a k> des intéressé::;., tenue le 29 d~cemb rl:
l fl4R, en n~'rtu du mf:me arrêt(· :
\' u la 10. des 2 1 juin 1 fiS, 22 décemb re
1 Sl!, mod l fi~e pa r le décret du 2 1 dec<mbr<
1926 ;
Vu le rè ~lemen t d'Ad min i tralion publique
du I ~ decemb re 1927 ;
\ ' u la lo i du R a vril 1 98 ~Lr le ré~l me
des eaux ;
Considérant quïl r,;sulte du j' rocès-ve rb a!
de la dè1 iberation d e l'Asse mblée Ge ne ra le
du
qué t ~
.
..
di.!cre t son t apphca b te~ à com ptcl Uli h:r loin.
" icr 1050.
Article 3. - Le .\\iIlÎst re des fïna nlcs tÎ
d~s A tfa l re ~ ~c ~ n omi qlle ~. le y icl.!-PrêsÎdl1lt
du Con::;e il. m lOlstre de Il nkneur, le j\\in~.
tTt! d' Et at charge d e- l'in fo rm at io n, le CamI:
1
ùe::. Sceau x, mil1lstr:.: dt! la Jus tice; II.! Minh-
t re des r-\liai re~ Efr an g~n~~, ,le Mtnistre d~
la DNense N a t io nal e, le Minist re cte 1E~\i.
. .'
CO:1::-idt'rant que les conditIOn" d~ m ajo fl t~
eXI!!ees par l'art. 12 paragraphe 1er de la
lo i des 2 1 JUin hoo - 22 deccm bre I,~ '8, modlflt>e par le dl:'l 1'"C{ du 2 1 décem l~re 1!J26, ont
rh.' r l'mpl~s
l..::1t iC:l
t
ARRETE:
t rtld,' prt'nt;cr. - Est au tor;:;ée, con fo rml"mt'nt aux proiet~ d'acte dtl 6 sc pt~mbrc
l lqq L\S! t:j,.!tin;l 5ynàicale Jc~ p rop riétaire:. dtsl"n~s à l' a rticle 1er dudit actl', cette
.-\ 0; ot:lation avant peur ohjtt l'En t retien du
De~"..::chemt:nt· du T err itoire d~ns la Commune de Ro~r.onas (Boll ches-u .·0 Rhône).
Ar/ielt' :?, - L'o extrait de ;'"cte d'Assodation et k- pre ~nt Arrêté serail; ,nsén.!~ au
R,,'cut'il Jo s .:1Lft's dl! ln Pri'jl!Ctl.!ft' et seron t
afflch~s, au pllk' tard, Gans un délai de quinzaÎne, ta:-lt à la porte principale de la ,~\ai
rie. qu a un autre endroit apparent et
rcquentl' du publ:c, ùé~igne par ArrLtc municipa l, dans La Commune de Rogno n a~.
Arfide 3. - Ampliation du présent Arrê!c
et de raCk d'as!\oci ation ser a adres~l:e ci
J\\ le SlJus-Prétet et à M, l' l ngcllieur en Ch!:!!
du Genl. Rural.
.~ .\\ arseille, le 5 mal 19-19
. Pour le Prèfet et par délc!;atiJn,
j
Le Secretaire Gênerai
l\ationale, te Minis tre des T ravaux.
Publics. des Transpor ts et du Tour isme, I~
Mi nistre de l' Industrie et du Commerct!. le
Minis tre <.le l' Ag ricu lt ure, le Al in,st re dt la
F ra nCe d ' Ou t re-M e r, le Mi nistre du T rav311
e t ùe la Séc u ri té Sociale, le M:nistre de la
I~cco n st r llc ti o n et de l' U rbanisme. le Ministn:
des Anci ens Com battants et Victimes de la
Gu e rr e le Mi nis tre de la Santé Pu blique '1
de la P opu latio n et le ,\ l inist re de, Po>!".
T élegrap hes et Tëh.'p h o n l'~
SOllt
chargl'!!,
chacun en Ce qu i le concerne, (,h.: l'exécution
du present decret , qui se ra pu blic au / 01/( •
nal Officiel de la Rëpub liq ue Française
Fa it il Paris, le 19 jn",'ie r H15O.
Geo rge B IDAULT
_______ c>ooc>-------
TVX5
02 B3
DROITS D'ENREGISTREMENT
DES MARCHES COMMUN AUX
Extrait du j OC!nal Officiel n ' 27 du 1er
Février 1950 ( p a,ges 11 43, 11 44, 1145)
Loi de Finances pour I"exercice 1950
(N" 50- 135 du 3 1 janvier 1950)
T ITRE"
LA.\ \ASSOU RE.
~·O IES
ET MOYENS
1
Para,graphe 2. - RessoU(('t:s l'xtraordinaiw
T VX 5 1
soum ises à autorisation spi:âalc
LIMITE JUSQU'A LAQUELLE LES
,1rl/cI! 16. FOURNISSEURS SONT DISPENSES
II. l " Sont soumis à r en r egistrement
DE PRODUIRE DES MEMOIRES
dans
le
dël
ai d'ull mois à compter de leur
OU DES FACTURES
date, à peine d'un dro it en sus ~u payemt:ol
duqu~ les parties sont tf'n ues 50lidairement.
Décret Il 50- 137 du 19 janvie r 1950
---dOO<.
D283
-------c :' 0 0 c:)- - -05 B I
db int13e~-- L~ lJ'.IL' sur ..ttO propr it:tairl!S jnk rl':-Sl.~, rep r~n t Jl1t U!l~ sl,lpyrfit,e .d~ tiO? J~~I
-'1 arè.... 20 ct:nt ian=<;. adh~s'l) n .1 ~t t.' do nn u~
au projet d '~Jr:.:anisatio.n de r . \.'~sod:1ti on par
~')3 7 propri etai res r~prl'sentan t u n~ s up~ rhc l e
de 53 1 heltart>s 19 are::; 15 cen!ia res ;
C nol rant que le Seryice du Genie RUfO l
a \Trih\: la. n:~lI la r , t ~ des 0 I!I ~ti o ns d'en -
Le President du Conseil d,·s Ministres,
Sur le rapport du I\ \in:strt des Fina,nçe:s
ct dt:s Affaires Economique,:, ;
Vu le décret du 31 mai 1862 et les textes
subsl:qut!nt:-- sur la comptahilltê j"lUblique ;
Vu le, decrelS des 3 1 maro;, 12, 13. 14, 16,
18 juillet et 1.' octobre 193 , modifiant les
règ lemt:l:ts ùt: comptabilite de.~ administra"
tions puhllqu~::-. en ce qui conCt;:1ilt: les jUbt-fil:atiuns â produire au soutien d~s dëpt!nSès
de l'Etat, des dcpanements ct (tt:s t:tablis:-.cment nublics,
DECRETE:
me-
La production de
ou de factures pour le payement de~
travaux ()u fournitures effectués pOu r le
compte de rEtat, des départeme nts, de, communes et des ltabJ"s::.ements pUb lics n'est pas
ex,~ible pour les dcpensCb qui n'excèdent pas
5.000 fran'l:s dans leur totalité.
Le dclai d\.."'"S travaux ou fou rn itures est
alor~ indiquê dans le corp même de i"ordonnanc~ ou du mandat cmÎs au 00m du creancier, SIl ~'agii d'une dépenst: faisa nt J'objd
d'un ordonnarh.:ement préalable ou, s'il s'agit
d'une d~pen:;.e parte par regie d avances, su r
la qu ittance dd ivrée par le prestata ire.
Ar/ide premier. -
moire~
Artide 2. -
Le, dsposit io ns d u present
les adjudication au rabais et marchL't- pour
construc ti ons, répa rations, ciltretien qui nl'
contien nent ni vente, 'ni promesse de Ih:rl'f
des marchandises, den rées ou autres obj ets
mobiliers. saur app lication, le ca' écheanl,. du
régi me des actes dt.:! commerce pr(\'u par 1ar·
licle 153 ctu décret n" 48- 1936 du 9 décemoT<
19-1, portant réforme fisca le ;
2" Les actes constatant les adjudicati()l!~
et marches visés au paragraphe 1 sont a:' U'
jenis à un droit de 1.50 % "n principaL 1'·
quide sur I~ prix exprimé ou su r l'é\'ajuat~on
des objets.
Par dérogation aux di ..:positions de J'arn·
cie 460,.du Code de 1 Enrcg-istremcnt, ce dr()lt
est. égaleme'nt appl icable aux marcht':s d'apo
pro\'Îsionneme-nt et de fournitures, d~nt 1If
prix doit i:tre payé par le Trlso r PLlb h~~ e:
départements, les communes ct ILS êtab l l~'l'
ments publics n 'entra nt pas dans les pre\1'
sio ns de l'a rt icle 508 bi; du même code ;
3" Un décret fixera les conditions da'" I~·
quelles le payement du d roit pre\,u. par ,:
paragraphe 2 po urra être fradlon,ne, al~...
que la liste des exemptions dont pouro nt '
neficler ce rtains marches ;
4' L'a rti cle 35, 1" de oa loi n' 45.()19;
du 3 1 décembre 1945 est abroge.
..
"
.
47
TEXTES D'INTERET GENERHl
Circulai re L'otl l'l"rJl allt plus sp eCÎl1l em t!l1 t
les Administral ions de f Elal
D2 B I
AC 3
EMPLO YES AUXILIAIRES DE L'ET AT
SECURITE SOCI ALE
INDEMNITES jOURNALIERES
N" tO -
4 B-4
Par is, Ir JO jan vier I Q50.
Le Secré/ai rL' d'E tat aux Fi nances
à MM . l es A/finis/re ,; cf Sc cré/air es
d'Ela l,
. L·a rl ide 1\ d u d écre t du 1'1 a\'fi l 1946
fIxant les d l ~posltl? n S d'~:dre général applicab les aux employes aU"Xl llai rcs de J'Etat d i~
po se q u'en cas de ma ladie Ott de l1l a te rn it~
les prestations d' illdemnités jOtunaliè res due~
a ce~ agents au ti tre d u rcgi m,: gënéra l des
~s.."'lI ran ces .Socia les dOiven t ve niT en déd uctIOn du traItement uu demi-naitemen t versé
a ux intéressés,
Cette règle, co mmentée dans les ci rcu laires. de mOn dcpalte me nt n " t02 B-4 du 28
aout 1946 et 28 B--I du 28 rév rie r 1947 re.·
pectiveme nt I)ubli ées au j ourna l O/fic,dl d;s
3 septembre 1946 et 2 ma rs 1947 a so ulevé
de~ . d i f~i c lll tés d 'ap pli cation dans' deux cas
pa.rftcll lJers. pour lesquels il m'a par u Inécess~lre de f ournir aux differentes admi nistratI Ons les i ndications suiva ntes:
. 1<1 Le. tr aitement ou del11 i-t r:i i fement <loit
e ~ re ~ern sa ns reta rd a ux mtéressés, c'est - àdI re a ~ n . ':'l?!11en t où i ls n'ont pas effetti\'e ..
~e n t b~~lerl cle des prestations d'indemnit0ti
J ~ urn a.ll eres. L a déductiOn à opüer à te da111er tlf re ~'e~eC{lue donc, compte tenu du
m~~tan.t theonq ue df:s dites prestations, tel
9u Il resulte de la si t uation de famille de
1agen t et ~o m mc si ce lui-ci était dans tOtl :'
les .cas, SOigné à do micile.
'
, SI I~s p re~ta!io n s en e pèct:s, vcrsées à
~ a~su re ~o~splta ll sé, se tr? u \'c l~t, L'n effet, rc~Ites, c est que ce cerllle r bcnéficie de cel'''
tall.16 ava ntages en 'nature notamment en Cl
~UI .concerne l'a l imentatio'n rien ne justifI erait . donc qu' une fractio n' pl u'S importante
~~ t ra l te me ~ t Ou du de mi-tra itement soit ser\ le en parcl ile hypot hèse.
~u. Par aill eurs, la dédut'tiOl~ doit H re
~p~rce . ch'aque fois que, compte tenu de la
cg l ::;l ~tlo n de. Sécurité SO;::la lc, l 'intt! ressé
peut etre conSIdere comme se trouvant no rnt (m mesure d e pretendre
·
' prestmaleme
t·
aux
a IOns dont il s'agi t.
S'agissant des congés de mate rn ité et
compte tenu des dispo~itions de la circt:lai-
rc <lu Il I crri t!r I Q 4~1, puhl lCl' au j uurnal
Ol/Lcœ/ du 16 .Icn ier. Le sera notammcn t le
c:t~ pOll.r les
p r l'Sl~m ee de
~e m alllc.:.
SIX :"Ie llla ~nc s pr ~cë da l1 t la da te
l'acco uc.:hement ct pour les huit
SUivan t Célie-c i.
~n cab de ma ladie, un dl::i.l cl.:u rd peut ... ur-
vc nlr entre I ~ mùdec in dt: la Sécu rik Socia1l:
et ~e lui d~ ' ''Admin istrati on pOur la dde rm ilIatl on d~ la du rée d'ilH.:apa cltc.~ tempo r ai n.:
devant rl'su ll er de l' affel'tiOIl dOJl t t!st at tein t
lI 11
agen t.
Il va ete :-.oi que l' Ad ministr ation nc sa urai t ~ tr e li ~e du p~int de 'lie d~ 1'applic.:a tl on
du d ccret du 19 aVri l 194o, q ue par l'av is du
M éd ec,in de l' A.d~l i ll1st rati o l1 . Lo rsque C~lll i-d
11rescnt une pe ri ode de repos plus l o n (J ll ~
que. celle prénle par le médeci n de Sécll~it ..
Socla l ~, l' l~ dmilni~tration Il e peUt pl Il !:; app lique r I ~ dlSpo~l tl ons de J'a n Îl'Il' Il pr~t i té a
la ~ r actton de co n!te nOn tOUvertl par la Sccurr~é Socia l!:! et doi t , en C() n SéljllellC~, s~r\"il
a u fltre dt! cette pcri ode l'intég-ral ité du t raitement ou du demi-traltcm~lIt.
Cette IHocéd ure ne sera, toutefois, ad miRil!
q ue. lorsque l'age~t en càuse .. ura Justifié
a'"Ol r lise s3.ln:'; r esultal de tous It!s moyen~
en ~on PO~\'ol r pOlir obteni r que la Séc urité
SOCiale lU I donne satisfaction Id aura en
parti~u l.ier, fait jouer la procé<h :n:: d'l'x.I~rti
se 111 i..'CIII.:a le prevue à l'article 33 de l'o rdo\ll1a nc~ l,'" 45.2454 du 19 octOlHC 1945, re latÎve
au r eglme des At)su ranccs Socin les.
Pratiqu ement. i l y aura d onc lietl dt:: tontinuer il sCr\'ir le traitement ou demi-traitement .d~ffé re n tie l . pour .tou te la pé ri od~ dï nt apaclte t emporalf(~ pre\'ue par !c médcdn de
l'Ad m inistra~ion. 911ittc il ré~ u lan~ r pa r un
\'er ~ement rctroac lf tomp léme nt[!lre la situation de l'age.nt.<l ui ju~tifiera it n'a\"oir pas reÇl~ .Ies pre~tallOIlS d 'Indemnites journa lieres
affNente:-. a une partie de SOn congé, alor~
q~' ~uc une faute ou llégl i g-ellCl:: ne pourrait
lUI etre rerrochee dans la constitution de sOn
dossier de ma ladie et qU'l i aurait eHccti\'c. ment pro\'oque l'expertise médicnle ci-dessus
\' isé ~·.
E. FAUIŒ.
Comm uniqués-A v is
A nn o nc e s diverses
D2 B3
PUBLICATION
L es
Edition,~
Berger-Levro.ulf,
5,
rue
Aug uste-Comte, à Paris (6('), signalent la Jlllrutlon d'un ou\'ra!!!: d~ /\1. Ih'm:' DES .\GE
chef de B.meau de Préfecture, t'lIr
La Rtj~
,!!,hmentallOn des E/ran~ers en FraTlce ~.
. Il s'agit d ' un ~ x.pusc cumplet d ~s fo r mali t~s } uxqucllt' ... ~su nt ass ujt:HÎs les ët r an gers,
aInSI qUl' du r ole d~ ~ autontés adminlt'lfratives (M o ir;"s, Se fll ce. de Po li ce <l de Gend arm eri e) , ayan t il connai trc d~ la quest ion
de ét rangé rs.
. C~ vol ume Je 260 pages, à j lI r au 1er
ja nv ier 19!K)l est L'11 ve nte au p Tl X de 5UO fr.
(taxe et fr aiS de po rt Cn us).
Les pcr~nnCb dcsi rell~s de se procurer
ce t o ll \' r ag~ d evron t transmett re directement
~cu ~
correspo nd ance à
l'ad resse
ci -dtss us
IIldl qU l'l'.
f.:)u{JC )! - - - -
D3 1:l2
DONS ET LEGS
A~II.r ,.uv.lr /'U ('.h· ut'9/1 de (ar/ld e 3 du decret du l i',. l'''/n,',. 1~n(j, dans I~ but d 'l1I.vlt~ r
I~s lu:r'hl'rs
'"ClIIlltlIS
C01IJ1a-fSS(lllt·e
da testufl/ent,
drs tt'.r /olclUS li prell d r e
en t!llt? de do n n.e,.
leu,. COtLSi'ute'l/("tll ou de produ,r(' leurs lIIoye-n s
d'Of'POS!lIOIl,
Lt'.r, ,.~;clamaIIQ"S
IlIl defrn de "'ols
a u ... BlIlle h n ».
'
.ro~lr rru1'obJ{'$ quI' da,1S
mOI$ a part.r de fwSt' rlI Q"
lit'
Par testamt!nt olographe du 12 ili a, 1 ~4 6
dépose au ' minutes de 1\ \' I ~ur'~ r CHO IX'
IlQtairc à
N~uilly-till r-Sl'Î I1 ~, feu~ demoise ll ~
BERT H!\U LT a !t'gllé la mOi tié des bie ns
restants, apres prélèvement de la somme de
5,000 f rall c", il 1:1
Compagnie des Fi lles de
la C ha rité de Sai nt-Vincent -de- P aul <le la
Maison d~ Saint-La.lare
J\ \ ar~t:ille, le ~ mar~ liJ50,
•
GOmmUNI~UU DU SEG8ÉTHftlHT
DE L'OllON DES mSIRES
EAUiC DE LA DURAN CE
Les tOIl1J11unes faisant partie de J'A~
ciation Libre d~ Dérent;c des Usagers de l a
Basse-Durance SOllt priees de r~~ ler imlllé~liat~l11l!nt la ~omme qll'~lIes Sc sont engagées
à payer pour couv rir les frais des trava ux
exét utés pa r M . Gouvernet (actuellement 5
francs par habitonl).
CL' \'trsement permett rn d'cvite r la constitution du GHttioll nemellt exige par la CaiSt;e
du Credit Agricole pOlir ..:onscntil· UI1 cm prtlllt dans Il' but de financer le: tra\'aux en
cours.
Le SecrCiaire Général de l'Union:
AUDIBERT
-------< .00.'-------
Copie ce rtifi ée co nrorme
Po ur le Préfet :
Le Secrelaire Général,
LA,\IASSOUIŒ
------·-----------------------·~----~l~K>
~.~IM~.~.~I.~N~o~ov~.~ll-.--.-.~MARS~;ILÜL;.~,ïliN>.~.~..
;_s~.~,~~~--------------------------------------
�23 et 30 Mars 1950
RÉPUBLIQUE
DËPARTEMENT DES
FRAN~~~,A':~'"i~.'
_ N" 12 et 13
BOUCH~S-P.tJ~~~,î~
Recueil des Actes Admrn'~tratifs
et Bulletin des Mairies
a
Toute correspondance relative au Recueil doit étre adressée
la Préfecture Secrétariat Général
A.BRÉVIA.TIONS
A. P. : Arrêté préf ectoral. - C. : Ciroulaire. - Les lettres D et B swvies d'un chiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
_ S. 1.. R. A. : Sf1'vice de Liquidatio n des Réquisitio ns Allemandes. - R. G. : Ravitaill'ement Général. - S. C. R. : Service de 1.
Circulation et d u Roula ge. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. S. T. : Direction des Services Techniques.
SOMMAIRE
Pages
AnMés réglemeotalCes et Clrclllalrœ
Pages
A 1. - Réglement gé néra l de tra vail
du personnel d~ Caisses de C rédi t
Agricole Mutuel (Rectlltcahl)
AG O. - Fixation des tr aitements ctes
chefs de poste de désinfection et
age nts de désin faction dan les Etahl isse:nents et ser VICe5 départementaux. . . . . . . . .. ..................
EN O. - Serviœ d'ac hat et de cession
49
d u ma tériel des Eta.blissements releva nt du Ministè re cte l'Eo ueation Nationale ........ . ..... . . ..........
F O. - Administration commun ale. .. .
F~
7. -
50
50
CI.niques ouve rtes ~lOsp itali è -
res ...... .... ........ ..........
FS 7. - lnle rventi on de :a Caisse des
51
Ma rcllkl:' pour le finan ce men t des
co rnm ar:.des passe-es par ies Etablisse-
49
ments hospita liers ................
SC 7. - Médaille d'Honne ur des Sa-
52
pe urs Pompiers. - Promotion 14 jUi llet
1950
SC 7. - Stages cI' ins truetion po ur les
offi ciers de Sapeurs Pompi~rs (Reetifieatif) .......... . ... . ........ .
54
54
Communiqués, Avis, Annonces diver_
- Dons et Legs ..................
55
Communiqués du Secrétariat
de ('Union deS Malres
Demande d'emp loi ... . ........ ..
55
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D6 BI
At
REGLEMENT GENERAL DE TRAVAIL
DU PERSONNBL DES CAISSES DE
CREDlT AGRICOLE MUTUEL.
Rectificatif à ('arrêté n" 76 du 13 février
1950.
TABLEAU Il
Lire
Chef de service
ou de bureau
Caisse région. de
catég. exception .
Chef
de Section
AG 0
D5 B3
FIXATION DES TRAITEMENTS DES
CHEfS DE POSTE DE DESINfECTION ET AGENTS DE DESINfECTION DANS LES ETABLISSEMENTS
ET SERVICES DEPARTEMENTAUX.
ARRETE
L e Préfe/ des Bouches·dl/-Rhône,
Officier de la Légion d'H onneur,
Vu l'arrêté préfectora l du 3 1 décembre
1933 portant règlement du per,on,nel administ rat if et technique des Etablissements et
270
Marseille, le 7 mars 1950.
Pour ie Préfet :
L e Secré/llire Général
G. LAMASSOURE.
dres des Services Départemen tal.' ;
Vu la circulaire n· 3 7 AD 3 en> date du
16 novembre 1949 de M. le Viœ-Président
du Conseil, ministre de l' In térieur, re lative à
l'applicalion de l'arrêté interministériel du
16 mars 1949 6usvisé ;
Vu r~rrêté préfectoral du 19 déœmbre
1949 portant reolassement du personnel des
Ilhône ;
Vu l'1r rêté préfectoral en date du 31 decombre 1933 portant règlemeut du personnel
Etabl issements et Se rvices Départemen.taux,
en applica t ion des arrêtés ministériels des 19
des
d'exéoution des Etabl issements et Sen~:' es
Dépar.te:nenta ux des Bouc hes-du-Ilhône ;
Vu l',,, rété préfectora l du 2S juillet 1945
fix:run.t l es traitements du personnel technique
Nola. - Se repo rter au R ecueil des Ac/es
Adminis/ratifs et Bulle/in de~ Mairies al" 7
des Etablissements et Services Départemen,
du 16-2 -50, page 29, 3e colon Ile.
taux, applicables à compter
------- r.~ ooc > -------
olassement hi érarchique des agents titu l aires
investis d'un emploi permanent dans les ca-
Bouches-du-
Services Dépar'te-mentaux
380
Vu l'arrêté inlerministériel en date du 16
mars 1949 détermina nt les limites dan. lesquelles les Conse ils Gé néraux peuvent fixer,
à compter du 1er janvier 1948, le no uveau
du
1er février
1945 ;
Vu l'arrêté préfectoral du 25 juillel 1945
fixant les traitements du personnel d'exécutian des Etabli,;semenls et Services Départeà compter du 1er fé-
novembre 1948, 10 janvier 1949 et 16 mar '
1949 ;
Su r la proposili<>n de M. le Secrétaire G&"éral des Bouches-du-Rhôn e,
ARRETE:
Arlicfe premier. - Les traitements des
agents titulaires investis de façon permanen-
te d'un l'111ploi de Chef de Désinfection ou
ct' Agtmt àc Dbi" fection dan~ les Etablissenlfnh) .d Suviccs D épartemen taux sont fixés
d~ la façon suivante :
�50
51
Traiteme nt
M aj oration
1re Classe
Le Cla5àe
Je Classe
~ e Classe
5e Classe
6e Classe
7f Classe
. . . . --.. . .
.........
........ - ...
............
........... ......... - ..
.. ......
,-,
Traitement
1948
Traitement
Indice
de
rec lassement
1949
en fin de
fl'dasse nle nt
250
21.675
244
238
23 1
224
217
210
27.800
27.950
28.675
29.075
28.600
276.500
258.500
239.000
227.000
213.500
20 1.000
19 1.000
298.000
233.000
267.000
255.000
242.000
230.000
220.000
341.700
332. 100
322.200
3 10.800
299.700
288.300
276.900
236.000
223.000
212.000
202.000
192.000
180.000
167.000
209.300
293. 100
276.900
26 1.000
246.600
23 1.900
2 17.200
2 ~ .525
36.700
34.900
32.225 .
29.625
27.525
26. 100
2~.925
M. le Secrétaire Ge neral de,
Bouches-du-Rhône et M. le Trésorier-Payeu r
Arlicle 2. -
Génér al sont chargés, cha-cun en ce qui II:'
concerm.'" d'assurer l 'exécution du présent
ar rêté.
,\larso,IIe, le 10 mars 1950.
Pour le Préfet par déléoatioll
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
< pOUI souligner les conséquelnQeS ,tacheuses
• qu'entraine, pour le con fOJ1l et Ja ~nté des
• en5anlls l'utilisation de tables scolaJ<'es "",,1
• étudiées ou d' un. modèle vétuste.
c L e ServiQe<
EN 0
SERVICE D'ACHAT ET DE CESSION
DU MATERIEL DES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU MlNISTERE
DE L'EDUCATION NATIONALE.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
.. MM. les Mai res.
j'appellr voire allention su.r la circulaire
du MII/is/Cre de l'Edu calion Nalionale dont
vous Irollverez le lexte reproduit ci-apr ès
felalive ur: Service d'Achat et de Cession du
Malériel des EtablisSemenls rel evanl de son
département nllnisl ériel.
« La roi du 8 mars 1949 relative ,"ux compe tes spéQiaU)( ~ Trésor (J. O. 9-3-49 - Eta t
-en cau1se .constitlue en raison
e cie la modfcit<é des 'Pr ix iIJf<ltiqués et des
e types <te matérjel apjll1ovisionnés une sorte
e de témoin a'llquel ,pe:uv.ent se r-el>orter ava nt
• tout achat, les collectiv ités et les elab tis-
c Je vOus erais don-c Obligé de vOlLloü
c bien recommander aux oollool'vités publ:<" ques ayant la oharg,e d~é tabl1ssements scoe laires de consulter dans tOute la mesure
e du possible, à l'occasion .de chaque appè'l
c d'offres, le Magasin d' Aix de telle manière
• qu.e figur""t au doSiSie%, il J'appui des off r,es
c de la conucrrence, la nature et les pr:.<
e du matériel que le iMagasi" seroait s uscep• tible de fournir, sans qu 'il 'Snit ,pou,r a u,ta nt
'. fait obligation aU)( colleotlvités de ,procéder
c à 'ieu.rs acquj~tions dans les Magasi ns <lu
e Service.
• • *
< L.e Service d' !\,chat et de cession <lu Ma-
• té riel des Etablissements
fonctionne
e nombreux 'COntmts de co ncessio n compore \.('ln t des clauses instil'Uant des urtax es
.< analogues à celHes qui concernent la dis- .
< triblLtio n d'éLectricité. Il est
"''li
« moyen d'un eompte spécia'l ouvert da'ls
« tes eCiitures du Trésor et rcède aux ·utili-
e A - page 2455) a sanctionné l'ex.istence,
e sate"rs le matériel aLLX 'Prix de fabrique
< au sein du Min:"tèr" ode l'Edu~ation Natioc majorés "du seul pourcentage mécessaire à
« nale, d'un Service ctrAOhat et de Cession
c la oouverture de ses propres trais généraux
« du .\\atérie1 des Etablissemen' .
c personnel, transport, Mc.).
e Ce service a essen:tielklment pour but :
• Des nomenclatures et ta rifs périod:iq'Uls
e d'appro\'isioIJTlét les maténels les plus dic
fon1t connaître aux utjilisateurs l es prix et
c vers nécessaires a"x CoDeduvités relevant
e carac!éristiqu.as <lu matériel. J,e joins d'ail« de mon Département (mobilier scolaire,
« matériel à'internat, outillage 'P<1U1r .J'Emsei- e leurs à la présente tettre, un e>cerT\Plaire de
e gnement Techniqu e, éq"iJ>ffilent pour co- , c la 110menclature et GU tar'if actuellement en
« vigueur.
« lonies de \'acances, etc ... ).
• Su·r S"ID!?!e dama n de de vO tre part, 'le
e La centralisation de ces allprovision",,• Magasin, 14, boullevard Carnot, ,téléphone
« rrwnts permet :
c 20-26 à Aix, chargé d\appnovision:ner 'vûtre
« l ' D'obte nir des prix ntiI1!im'" par la
c
DépartJeiment] vous fe.ra tenl r tous renseie passation de marchés importants.
• gneme nts ou ;mpri més susoep.t;bres d'cine 2' De ten<tre vers une normalisation du
• téresser vos Servioes. ~
e matériel scolaire, elle-même gén~"atrice
Pour le Directeur
« di'une baisse des 'Prix <l'aohat.
de l'A<lminisl!ra>l!ion Gblérale,
c 3' De faire Ibénéficier le mobilier scolaire
GLEJZES.
« d'améliorations ~ec hTliqwelS tant en œ qui
e concerne le ~hoioc des matériaux que le
c type des meubles.
-------<.00«.,------e Les toutes dernières données de l'hygiène
c et de la pédagogie se rencontrant en .elfet
c établirai.t de nouveaux calmees d e c h ~ges
« type. Ce règl'emoelI1l ,,' est pas en'oote rn~er
« verT U. En consé qlllel1'ce, ,demeurent toulouJ'lS
« en vio:ueur les dispositions prévues 'par le
c ca h(e~ des chafO"es-ty,pe in'Sit·itrué par le
'. décr,et du 17 ja~.vif'\' 1928. Ce texte p rée. voit da ns son tarticl e 5, qu'en 'retou r de
« la s~bventjon a1lou'ée 'par ,la commun e ou
« <le. 'la ·roemis.e' des installatio ns lui ap,parte«' na'nt ae oonce!ssio,ll!f1aire pel'cevra e t ve re: sera 'à celle-cj, chaque tri.mestr-e, le montan~
« d"Ulne ma j or atho ll' aux tarifs d e y'~~,1~1 qUi
C pOll r,"a là ~ute époq ue, être mo dlélee Ipa r
« la co m~niTI e da ns j'es li,m~te'S d'u.n' m aXlnllllm
« fi xé.
.
.t .
« Cette majoration de tariis, qu'! a e.e
c r éo-Iementée par les disposi1ions die l'a r~l
« c1~ 7 du décr.et"loi du, 16 ju'iUet 1935, de
« l'article 5 dlu, d éc ret du 20 août 1935 et <les
« artides 12 à 16 dtl décret du 10 mar~. 1 ~3~,
c est destiJlée à couvrir les annUités d l nter~t
« et d',am ortissement des emprunts. Elle ,est
~ dételiminée suivant les ca hiers des charges,
« soit q)él f versement forfaitaire, ~it IJ}~. ver« ~m e nt lié à la ven1e de cQoU\Tant, SOit par
« <;;m;ple ,pa,bidpation de la collectivito aux
« recettes du con'cessionnair e, mais te pl us
«: sOl,W,ent ca lculée pa r pource'n tJa,giD apphetué
« au pr ix de vente. Ce prix ayant subi une.
« hausse ûmpo'J7tante, les sommes p'erçues au
« titre de la majoration sont égaI0m'e:n:t dev.e-
« Une [ois 'réalisée l'<lffectaNon nor,male
« de cette recette
,~e sur plus. qui est encaissé,
e tambe souvent',
malg,ré
so n affedation.
A u mieux , il
t
f orme de sommes res-
~«
« tant à ,employer.
« Cette question mé rite d'être su,ivle, ca r
« le jeu des surtaxes majore sens"blement ~.
« prix ~ l'éleotricité. Deux hypothèses. dOJ« vent êt>re distin ~uées tout d'",bord, Il es t
« ·possible que, od~s maintenant, le total des
« fond\; réservés, accumltlés, soit swffisant
« 'Pour co Ll'vrir 'le 'r<lm;boursement tot<jl des
« .atfl nuités nestant dues. Dans oC! cas, la su,re taxe devrait être p urem:ent et simplement
< sup,prÎ1mée.
« En second hl'eu, s',1 n 'exis te pa" de fonds
« rés~rvés su.ffisa nts pour rembaliTser !a totac lité de l'emprunt, la s urta xe drvra etre r ~
c duite, de 'rrtanière à couvrir, SéllTlS en ex ce« de r notablement I~ chiffre, l'a nnu'ité des
« empru;nts au~q uets elle est a ffectée. Déc tour"ées de leur objet normal, ces surtaxes
« perdraient, en eftet, wur oa,r actère, pour .e
e translol'TJ1.er i r"é~uli è rem ell>t Iln ~axes ou
« ""ajoTations de tarifs à caractère fisc al,
e d\:>nt l'Assiette est limitativement fixée par
• n;stère de l' Intéri,,"r dU' 1er mai 186 1. Ins.e tnucttiotl générale d"Ll' 20 Ijuin 1859, article
« 1542, pa ragraphe 54)
dUX
Contrats passés pOur l' exécution de services
publics.
« de const·a teT que de' l10mbreuses communes
« continuant à verser à leu,ns employ,és ma-
(Concessions d'ea u, de ,gaz, d'électricité,
1
1
« renlèvement des ordures mén agè res, etc.),
~ Les r,edevances à veJ\5er par le Sociétés
4' conc.assionnoai lk'S pOliT occupation çlu doc maille publiC communal ne lSont pas tou·
< jours reaJust êes au niveau act uel cres pI1X,
« 'bien que .dIe nombreux contrats prévoient
« expressément leur r évlsiol1 périodique, Il
arriv.e notamm en1t, pour 1
distribllitions
i( d't!nerglie
élec trique qllt" ,les redJevanceb
~(fixées par l' In génieur en chef dl!' contrôle,
« '-lui re 3tcnt valab les jusqu 'à nouvelle déci«: ~ion do ~ ce fonctionn aoire, ,"'e soient pas mo.« dîfiées, les mun.ici,pal ités omeNant de de-« man der J'augmentat ion.
q. De plus, les con t raits contit'nn e-n t 60U« ven t des réductions de tarif ou l'e bénéfice
1: de pnestatiolls gratui tes au
I)rofi t de la
-« commune Ou d 'établissements oublrics 00111..,'( mnnaux. J.....es. contra~, souv'ent allcj,eins ,
« n'ét.ant pas floujours en la Vossession des
«: comptab!es, il arrive souvent que les avan" tages soien~ p,erdus de vue et ne 'Soi:-e,nt pas,
« par slJlite., r.éc\amés é'.l1 X contractants.
Enfin. dans les communes qui ont institut.' la tax e $lIr le gaz et 1\~ lcctr:cité, con l"oQmm~s pour le chauffa::!c, t'éclairage e;
les lisages domestiques, les scr\'iccs mun Î~ ci pau x oublient fréqucmlTIl.:!llt dt:: réclamer
«. la ta xe aux agents des comcessionnaires
« bénéficiant du cou ran t à titre gratuit. »
Cla"se. de révision des baux à loyer
<
r:
<.
'"
t:
«
..(:
Il
<.
-«
«
«
C'
~
«
«
«
«
oC
Dans le mêm e ordre dïd0es, 11 a ët~
f'réque mmenrt t.:onsta t~ qu-e les munidpali~és, ayant l Olié à lltiage commercial les
immeubles du 'domaine commun al, négUgle nt cn génér.al de faire jau'er en leur
faveur les clause::; de. r CViSl('1I du 10yt:.
lorsqu'lelles sont prévues dans les baux.
« Les loyers initiau x sont, la p ~,;Jpart du
temps, très faihles par rap'port aux avantages qu'en t ire"'t, actue~l e-mentl les locataires ou sous-locabaires. Cette disproportion est parl'Îctllièrem~ nt sen..::ible dans le
cas des sall e'Si de sl"ctacles 011 des théâtres muniaipallx, loués à d'eS entrepreneu rs
de cinématogral)hic Olt il des di.necteUr5 de
specta cles. L e Imont:lnt du lover fi xé le
plus souv ent ava nt Ou pendant la guerre,
d'a1)rès les pri x de loca'Ilion ,d'es pll1l!ce~
alors pratiqués, demcu re très Ipeu élevé,
lorsqu'aucun.e rcvision n'est i,ü:: fvenue, en
comparaison des sOmmes perçues par l e
locat.aire grâce à la harusse du !)rix des
« places,
,
. .. ,... .. ,. ..,.
D épenses de matériel - Prise en compte à
l'inverltaire,
Les commLtnes et établissements doivent
tenir u.n i nventaire de Leu r matériel. Tout
fa
t"
N" 33 -
«
« Or, la COUT des Comptlets a eu l'occasion
« lades la totalité de IOllr traitement, négli-
« geaient fréquemment d e poursuivre auprès
«.does intéressés It reversement des 4n<fem" nités journalières payées par les caisse~.
« Cette sitw.rution aboutit à attribuer aux
« agents com munau x, 1:ln cas de Imalad.le, des
« émoluments lSupérlicurs à ceux qu'ils per« ço ivent normalem ent, et à frustrer les colL• lectivités d es sommes importantes. Ii y
'= aurait Ii.eu de v€'n!er à ce que l es commu·
« nes 'ne Iperdent, en aucun cas, le.. bénéfj.ce
« d'es d'sf)OsitianR du déc ret du 29 décelrlllbre
« 1945, art i ~l e 35, paragraphes 2 et 3, qltl
« leur con fèli1: Il t, selotl les cas,l 'e droit de se
« subroger aux a urés pour 'Emoaisser Tes
« di.tes indemnHés Q'il cr~ poursuivre auprès
« d' eux le recouvrement <:tes ~ nd em nfttés dont
« il s'agit. »
Personn e.ls comm unaux logés
« Les circu!aires du Ministre d'e J'lntërieur
« n' 75 du 1er juin 1944, ,n° 626 du 2 août
« ï 9~5, n" 1-100 du 22 juin 1946 (Circ. ' du
« 1er décembre 1'947), :-égiemw tant !es con~ cessions de logement a"ux personn els des
« comm un'es, prévoient denx 'Ï'tvporhèses .
« ia cl)nc~sion par nécessité -absolue- d.e:
« servi'Cc et ce lle da\J1'S l'intérêt du se'rvice.
Les concessions de logem ent accordees
«: par nécessité absoll1e de service compor« tent !I:' logement gratuit, ou l'octroi d'un e
~ indemnité corre~po Jt dant à 5 % du t r:!i« fcment, l orsque la pr€l;;tation ne peut être
fournie en nat •.rre, La grat.ui té ne s'Henu
:< à la fourniture de l'l'au . du gaz. de rélec« tricitê et dl1challffa~l' Oll('si elle est ,nré~ \'ue ,XH le statut dl: J"3'tzC:ji lo:ré, S'a'r(s« sant s.péc:ia'~mel1t des personnels hospi ta« ENS vi$é... .alIX articlé::: 72, 166 et 211 du
.;: décret du J7 andl 1943, lesouels. entrent
« dans ce dernit.>r cas, les prtstations acces« soir~s dont TI s'agi i sont arh.tréffi forta!« tairem e:nt à 5 % du traltem::lnt, tn pills
« des 5 % pOUf le logement.
« Par contre. le~ l-onCt..-"Ss.ions accordées
« dans l'inlén?f du s,:n-iC't' entraînent rour
« les ag-,enbs communaux, une retentit' fixée
« en prin6pe à 10 7(' dt:: leur trflitem ~1t dl'
« base, mais qui peut étrt réduit:,: au offion«. tant de la valeur Incatl\'-e de5 locau.\ accu·
« pés ; 1 - hél1éfÎdair:;,~ n'ont ,pas droit aux
« presta,~iofls grahlites tfeall, du gaz, d'élec~ tricitL' e+ dL' l'l,attifa;.!!:' ft 'nC:;1Y, qUl' ICl!r
« statut ne le prén,il' c;.;p.r..:sl~émtnt, Les
« différentès retenues opéré es doin~nt aPi'(lf'I:\itre en rt'Ct'ttc au ~nmn~e
IOl'sql" 1('
logement ou ks prestatiO!ls sont fuurni!'.
Ou 'payés par la COn'TI1l'lle De nlus, Il''':
agenffi IO,g-és Il'ont pas droit aux ind~mni·
" tés pOlir travaux :o.UP;llémtntnires.
A.G. - 19 bis - 43
Paris, le 24 fév rier 1950.
Le Minislre de la SUnte Publique el
de la Popula' Îon
à MM . ( es Préfets,
MM_ les Direcfeur.... deparlemeRl aux de la Santé;
Il
«
e
fS7
CLIN IQUES OUVERTES
HOSPITALlERES
agents communau x.
Les inde mnHés journaJIières de mall:tdie
v.ersees I>ar les <:aisses de Sécurité Socia le
aux agents commUna u x malades., et correspondant à la moitié du salaire de ces
derniers, sont servies à JJar~ du qua trième
jour de la malad ie et pendant six mois.
«
«
~ affermage d~ droits de ~Jlace, trai t és pour
D382
Indemnités journalières de maladre vel'5ées
,t::xercé Sllr ce 'Poi n.t n'est Il)a5 doute'ux,
puisq u'il sera pOlSsible de ré<:luhe àinsi hes
sommes du es .par les uSrag:eflS' et de ,nen<lIre
pLus efficace, pOUIf des consommaholls patticulièrem ent i mportanlf,es, la 'Po'litique éco,< nonüque actuellement pouTsuivd:e.
«
«
«
«
e dans 'ies fonds libres.
« comptabilisé SOu
e aohat nOuveau doit être inscrit à ce docu.
« Jnent et r~.e numéro d'insor.î.ptiOI1J porté su,.
« le mandat de paiement. (Clrculaire dU Mi-
« tou te 'Sa va\l(!Iur, L'ava'llltage. d' uil contr6ie
« ",u,es bea uc oup plus élevées , el d épassen't,
« en. général, le mo ntant des an lllll:ités qu' e!les
c doivent couvrir.
évident que,
« dans ces hYIPoth èses, l'observatio n garde
d t admlOl~tratpon pLUbhque
« qU'U!l1 règlemletnt
c sern ents.
----CJOOC;,,----
D4 B3
199.000
188.500
180.000
172.000
164.000
153.500
142.500
j'ai l'hon neur dt' porter ~i·desslls . à la
connaissance tic MM. les Mmres <lu D eparlement un extrait c1' une circuJairc rie 1\1. le
Minj;tre des Finances, rappelanl un certain
no .iibre rie lexieS relatifs à l'Administra tI on
Ai llnicipn l.!.
Surtaxes Pet9Jes par les coUectivit;,s aux termes des contrats de concessions de ~stri
b ution pour l'amortissement de l'équipen,enl
électrique.
« La !oi d'u 8 avril 1946, Il,,~onall isant la
4: p r oductio n et la dist ributio n. de ~ l'ener gi.e
~ électrique, a prév u, da.n~ so~' anticle. ~n r
AGENT DE DES INFECTION
230
1re Classe .... -. -."
2e Classe ......... ". 220
3e Classe ...... _ ..... 210
........... 200
~e Classe
5e Classe ............ 190
6e Classe ........ - ... 180
7e Classe ........ - ... 170
.. la loi du, 13 aoOt 1926 ~cf. Cour des Comp< tes, 13 ma i 1938).
.. En' ce qui conCerne Je gaz, ûl n'existe p~
" de cahier des aharges-tl' pe. Toutefois, de
02 83
f 0
ADMIN IST RATION COMMU NALE
CHEF DE POSTE DE DESI:'<FECTIO '
klM. fes Directeurs Départemenlaux de la Populaliou,
Les :o nditions dans lesquelles fonctiOinne
actuelleme nt les cli niques ouvertes dans les
Hôpitaux aya nt susd té de nombreuses récl amations, j'ai décidé de soumettre cette question au Co nseil Supérieur des Hôpitaux.
L'étude trés app rofondie à laquelle a pro-
cédé cette Assembl J'e a porté à la fois tiur
les conditions d'a utor:sation et de fonctionne.
ment des cliniques ouvertes dans le cadre
des dispositions r èglementaires en vigueur à
savoir les articles 25, 26 et 27 du R. A. 'P.
du 17 av ril 1943.
Il ne saurait être queslion, actuellement, de
supp rim ~r le possibi lités de crfer des clin iques ouvertes dans les Hôpitaux publics,
mais, pour palli-er certains abu~. de revenir
à une rtpplication pl u stricte Cies text~s et
au re sp~c t des inttrêts des malades, quelle
que soit leu r situation sociale.
Les conditions d'autorisation et de fOllc.
tionnem~nt
ci- après énumerees
tiennent
compte de ce doub le so uci.
Je précise qu'e ll cs devront étre respectées
aussi bien pour les cliniques oU\'ertes a créer,
que pour les diniques ouvertes qui seront
ma intenues.
En Ce qui concerne les Cl in iques ouverte
existantes, même cell~s gui. depuis 1945. ont
été autor:sles [tvec mon accor d, j'ai dl.'cid":·
déférant ain~i au vœu unaniment~nt exp rimt:
pa r tous les membres du Conseil Supérieur
de!' Hôp:taux, de procéder à une rë\"ision
complèh.' des autorisations précédemment
donnée3, afIn d'harmoniser toutes I~ situations et d'êviter des in~gaJit~s susceptibles de
sou1t'\'e r des contestations.
A. -
COND ITIONS
D 'AUTO I~ISATION
Je vO'-is rappelle tout d'ahord que r:nitiatin.: des tit'manc..ies <:le cr":-ation dt' cliniques
QU\'ertcs ::ppa rti~nt nux ~eules cummiss:on~
admini::;trali\'es hospitalières_ Touteioi~, pour
4u'i1 puisse être dOIlné suite à de telles demandes, tI est ind.spt'"J1~abl('. aÎnsi que l'exige
l'article 2;' du R....... P. du 17 a\'fil 19~3 :
1" Qu'il r :lit insuffisance àe lïnitlati\'t.:!
prî 'ëe, c't:st ..'à-dirè que It ... cliniques privées
de la riITc,rscript'on hospitalière Ile :'>O:ent
pas en mesure ùe satisfaire lcs besoins de la
population et plus ~pécialement de la clien·
tèle aisée.
A cet ~t!:'!rd, J'a.-tidt: 25 pr~citl' pff!\'oit la
con:;ultation du ~( Conseil DépL!rtemental de
l'Ordre d~s J\\L-lkcins ~'. Etant donn ..: qu'au
moment dt, la paruCon du décrd du 17 avr,il
194~, les syndicats mêd·caux daLent SUppTlmés et qu'il ... ont l'té r~constitu~$ depuis la
Libération, j'esttme qu'tl e~t ilLCeSS.1lre de
COllSultU en plu~ de l'Ord re dl:partemental.
le Sylldic~t d~partemental <te~ .\\édecins, .rl~s
"'plLï:tI":11ellt (.'h~lr,~e de ln d..,.fen=-e ues..,.lnh!r't-t~ J1rOfl\~sinnnds dl!s nl02mbres du Lorp!;
.\il'dieal.
1
::?" QlJe ks. heso:ns de ren s.emblc de la
dil' !l~.'k husp talièrc normale soient tiSSu ·
fL'S. Par
c.:Iientèle hospi!a~ière nomlale >,
1 .:l Y iieu tle comprendre, outre les malades
~
�indigents, les ma lades payan ts des trois catégories définies à l'article 32 du R A. P
du 17 a,'ril 1943. D ans ces cond itions, i l est
indiSpe"sable que l'Hôpital possède déj à des
chambres de 1re et 2e ca tégo rit en non,bre
su ffisant pour répo ndre aux besoins de la
popul ath, hospitalière.
j'appelle, à ce suj et, votre at'lention su r le
fait q ue, trop souvent, des chambres pa rticulières n'ont êté a ménagées que pour permettre l'installation d'une climque ouverte.
aotors Que les malades do nt l'état e;<igea it un
isoi;,ment ou si mplement désireux d'être 1"-"
chartlbre de 1re Ou 2e catégor ie, aux tarifs
nom13Ux., ne pouvaient obtenir satisfaction.
Un te ) ~tat de ohoses ne doit pas être adm i~ .
3" Qu'il soit possible, pour apprécier les
résultats financiers de la gestion de la cl inique ouverte, de dégager le prix de revient
d/hospitalisation en clinique ouverte.
A cet égard, il est évident que O'insta llatio.n
de la clirüque o uverte dans un pa,'illon sépare
faciliterait J'établ isse-ment du budget spècial
prévu à l'article 25 du R. A. P. du 17 avr il
1943.
Toutefois,en raison de la configuration de
l a plupart des établissements hospitalie rs, Il
est i mpossible d'installer la cllol1Îque ouverte
dams un pavillon i ndependan t, mais il ,parait
néanmoins nécessaire que la clinique ouve rte
comporte au moins un œr tain nombre de lits
groupés dans U11J même service, le nombr e
minimum de lits ainsi gr oupés que- deV fft
compor ter une clinique ou v~te 'POu r pOU1v'oir
ètlJ'e autorisée a été fixé par te Conseil Supéneur des Hôpit aux à 10. Il reste errlend u
qu'en dehors du • bloc • princiiJal qui, très
souvent, sera confStirué ')lar des lits de chir urgie, la clinique Otlverte J)Ourlfa comprendre
quelques lits dans certa,in.s services spécia4isés 'tels qu~ le service de contagieux.
L' autorisation d.éfuitive r~--te :
a) Du ressort du Préfet lorsque le Conseil
Départemental de J' ordre et le syndicat départemental doEs médecins ont donné Un avis
favorable.
b) Du ressort du Mirtistre de la Santé
Publique lorsque ces avis sont défavor ables.
En tout état de cau..e, cependant, "t pour
assW'er Yhomogénéité des décisions ,eqr 'la
matière, il conv:iendra que tolfS les dossiers
me soient sou,mis pour eXa1Jlen aussi bien
- et j'y ins' le - les dossiers des cliniqu<s
ouver tes existantes, même lorsqu'elles ont
été autoT.isées avec mon a<:cord antérreurement au 31 décembre 1949, que les doss,iers
de demandes nouvelles.
Chaque dossj<,r de""a comprendre :
1° .La délibération de la Commission Administrative sollicitant la création ou le maintien de la clinique ouv.erte.
2° Une note détaillée exposant les raisons
de cette demande et préci\;ant :
a) U, oombre de lits de l'établissement, sa
répartition par servi ces et 'Par catégories
(1~e, 2e, 3e catégories).
b) La moyenne d'occupation de ces lillS.
c) Le nombre de lits dont l'affectation iJ
la clinique ouverte est réclamée et sa <~r
tition par serViices.
d) Si pcssibl e, un plan succint faisant
ressorjjr la localisation de la c1iniqtte ouverte.
3' ,L'avis motivé de la C ommrission lMédicale Consultative ; de l'Ordre Départemental des Médeci.ns ; du Directeur >Départemental de ia Santé ; du Drreeteur Départemental de la PO»alation ; du Syndicat départemental des Médecins.
4° L'avis mot'\'é du Préfet.
- '"'------ ------- --
-
---- ._._-
B _ CONDITIONS DE 'FONCTI ONNS MENT
Je vous r appelle que :
10 En d inique o1W erte, Ile malade est, suiva nt les dispositions <églementrur.es en vi~u <'Ur ~bre d< fa... appel « au mé<lecin "
~hi rur'~en ou spécialiste de sOn choix, appart~nan ou non au corps médical h ospi~ier
2" Les malades admis e n cJjni que o uverte
versen t directem.ent aux pr aticiens les honlQraiJ'leS mèdi'caux, chirur.gicaux, ou de 'Spéciali tés.
30 Le Iprix de journ ée suscep!;ibl a d '."trc
réclamé I3UX ,nualades admis en c1~ntque
ouverte sera, surva nt qtte ces mala~ sBr?"nt
soignés en chambre à un ou p lUSieurs h,ts,
le .prix de jouflll\e> a "été' .pour la 1r e 01> ,la
2e <:atégorie (article 26 d'I> R. A. P. du 17
avril 1943).
Lorsque la gestion d" la cli nique ou,v>erte
s',,,,ère déficitaire le Prefet peut, en appnoaIlion de l' article
du R. A. P. chi' 17 a.v.ri:
t 943 modifier les tarifs ci-desslis en les majom nt' dans ia limite de 15 %. Si cette ffii!Jjoration s'avère i nsuffisante let etant donné
qu'en a'ucun cas le déficit. de l a c5niq.ue
ouverte n:e doit ètre supporte pM' l a "hentele
hospi.talière noomale, la cliniqlle devra étre
fermée.
Je ti ens il preciser q ue la p" wlaiu'e nO 219
du 25 ao ût 1945. don t les ·dlisposi-tiorl's se
trouvent a\1'nulees ,par I;e\; ,pr ésenles i nstr,uctions, avai t pr évu que r Adlminish'artion Ihospitalière pourrait réclamer a1ux Ima l~des ~~js
en clinique ouvente, "" ]llus du ,l'fl X de JOu;n~ le remboursement de c~rtatnS tra;s sU'I T
'Plé~entaires tels que < frais de sall e d' opération ~t de saHe de travail, f rais de radio.
de- transfusion S3TIgluine, de séru m s 'ttf auttes
t
:15
6pédali~és
coûteuses.
Le ConseH d'Etat, appelé ..ecemment par
NI, le !Ministre du Travail et de la Sécwrit é
S<>ciaie à dOB,ner son avis ur le ,b,ien ~ondé
des instructions de la circul air e d.u 25 ao ût
1945, en ce doma,ine, a ,con,;Mér é qu1i'l fallait
s'en tenir aux term es de l'article 27 d u R. A.
P. du 17 "vril 1943 et, qu' en conséqu'e'nce, il
ne .peut êtlr.e l'\éclamé aux malades admi s en
c1i uiq ue ouverte que :
_ Les Ihonoraires méclicaux (versés directement al> prati cien) ;
_ Les ,nterventi<Jns <le spécialité (radiologîe, labOr&.toire, transfusio n san ~uineo) d~
comptées il paf\! par l'AdminisW'atlOn 110SPItaliàre dans les ronditions préV'ues !par l'art.
132 du R. A. P. du 17 aVTil 1943 lorsqu'elle<'
n'ont pas été effectu ées par le pratiden
choisi par le malade.
- Le ,pr.ix de journée.
En tout état de cause, tout malade devra,
pour être adntis en cli nique ouverte, en manjfester fo r mel/emenl la demande après avoir
pris connrussanœ des conditions particulières
de son J1~,balisation .et des f rais qu'i l aura
à assumer.
Je V'()\lS rapp elle, à cet égardl, que l' article
,3 1 du R ,A. P. d'u. 17 avril 1943, spécili ~ :
< Le poix <le j011 rnée et les 'honoraires mMicaux Ou ch;r"rgicaux sont portés à la conl11alssance des intér.e9Sés dés leu'r entr.ée dans
l' établissem'ent • . Vous vou drez bien rappel'er cette exigence aux Commissions a<lmiolstralives hospitalières qui omettent trop
fréq"""",,ment cre la respect<lr en tes invitant
à faite apposer des avis lisib l es et c1airemen !
libellés dans le b=u des entrées, précisant
pour chaque catégorie d' hospilalisatloo A. M .
G. malad~s assurés sociaux malades
payants de 3e, 2e et 1r.e œlégornes, ,malades
admis en clOni que OUlverte
_ L'el p ri x die j OUlIIOee,
_ Le,; .honoraires ,médicaux, chintr'gicau.
et de speclalités e11' faisant 'l'OOSorti!r la part
laissée-, dans chaqu<1 caregorre, à la charg,
du maIllde.
Des avi" particu.l iers dev ront être al)posi>
spécialement sur tes portœ des chambres <le
climeru:e ouverte.
En~in, d'e ,OIlS cappelLe '(\gaiement que les
mlllad 6S1 assurés soc.il1\ux Ile I>o u~ro nt <i"
admis e n d irniqu e oUIV:eJt e 'régul·ièrement auto.
ri sée qu'à la condition qu:e rH ôj)ital ait spicialeJmleil1lt .pag;lé converntion à Ice SU1)e1 av,ec
la Ca"'e Ré gion'a l" de Séc ll'rité Soda'ie.
Ali' cas olt un' mal'ade I3Ssulfé social exprimerait te dési r formel d'être admis Cn clinique .o uverte malgré rabse nce:<le convention,
il devra être inform e des .f rrus qui ~este ront
à sa Qllarge e-t s'engager à n'e for.muler a
posteriori aucu.rte ré<:lamati on.
Vous voudrez 'bien ,porter l'ensemble d~
rnst'rudions qui !pr ée ' dent là la loonnarSSance
des Commissions Aclmi nisrn:lJ!jves des Hôpita ux et Hospi'oos 'PUiblics de votre départ ..
men t 'et m'en accuser vous-même réoeption.
!Le IMinislire,
Pour le IMlunisrre et par aultorJ sation,
Le ,Conseiller Tecirn:iqu,e,
BOIDE.
- - --<>00 <>· - - - -
D3 B2
fS T
INTERVENTION DELA CAISSE DES
MARCHES POUR LE FINANCEMENT
DES COMMANDES PASSEES PAR
LES ETABLISSEMENTS HOSPIT.\LIERS.
N ° 39
IPa.ris, le 6 :Mars 1950.
Le Minist·r·e des Finances
et d'es Aff'alfes rEconomjques)
L e ,Mi'nistre de la Santé P ubli'que
,et de la Popu latio n',
il IMM. les Préfet Gpo ur 'n.form alion),
MM. l es T résor iers-P aye urs Géni·
r aux,
u\tM. IEls Drr,edeurs Dépa rt ementaux
ale la Sanlé,
MjM. l es D.irecteu·1'6 de ·Ia !Population,
MM. les Directettrs d' Hôpitau x.
CONSIDERA TI ONS GENBRAl:.ES
Les dJffi cu·M~s <le trésorerie dont souffrent
encore actuelLement CErtain Et1bblissortl.ents
hClspi taliers publics, ne l eur perm ettent "..
de r égl'er 'leulfS fOtrtl nÎ'SSeurs auss1 rapidement
qu' i·1 serait souhait able.
Pour palli.... les i'nconvénients qui .<';suHen'
de ce retard cLans les paiements, tant pour les
fournisseurs qu i n'ont 'Pas, IPour la ,p lupart,
la possibilHé d' attend're les paiements adnnnistM!>fs, q"'e pour les Etablissements IhOSP>
ta l~ !pu<l>lics qu'h r,isqwcnt de se voir refuser
~'ex,écutionl de leurs commandes, la rOaiSJe
Nationale des M;ar·ohés de l" Etat d $ ~olle~'
t ivités et E.tlaJb~ssemen ts !publias a éte Irequ emmel11t saisie, par les créanoie1'6 cie ces
étabhssements,d'e dema ndes de fin ancement.
Il m'a sem'blé qu'e les conditio ns de fO~c;
tion nemretnri, voir e l'ex.i5tence même de ce
Organisme, étaient trés souvent méconnu'"
des collectivités publi<jues dans l' i,n,térét d"'queUes il a été créé (et même des fonction'
nai res chaTgés d'en assur.... Je contrôle IInan'
cier).
C'est pourq uoi, il m'apparaÎ~ nécessair.e de
vous préCISer les condi~ions dans lesquelles
53
-
, ""arciJés ,passéS p"r ,l es
hôpitaux !peuvent
ê~ne finllJncés ,par la Caisse Nation'ale des lMar-
chés de l 'Etart·.
..
'
-Les 'Prooédll'res adnutnsrrol!i,ves longues !par
alure et même débanrassées d\: t ou.!e cause
~e Ile:nteutflS anorma1es, netaJfrd~nrt: ItouJjo ur~ Je
rk lement des sommes dues aux ent<el)rn;es
colfn.mer ciales ayant fourni du m a·t·éIliet aUA
€tabuSScme'nts h ospital ;~rs jJublics.
Les avances bancaires consenties au fu r el
li mesure des besoin s d e trésore";e d es. fo uy tl.!sseurs sonl un moyen d e pail le r ces InCO II-
Jlénients.
Emcore fa ut-il qu e 'ces lalo/li t és de crédit
sorent ob.t.enues alU, t.au x II ~ plus 'bas. p093abre,
le cours des crédits banca"es ét ant ,ncorpor é
i,ndirect emen.l .dIans tes somm<lS dont se tnoUr
vent être redevabr€\5 ,l es Etalblissements ihOSpi taliers publics>.
L 'irrterventioi\ de la Ca isse I>ormet de .,éaliser !es o pérations
c rédit sur ~ alrché
pùb~C ·au tau" ·Ie p lus avanta g eux, 'SOi t 'lu'e
la Caisse 'Perm ette au banqwer de mobll1ser
sa créance par voie de réescom,pte (aval cOnditionnel) soit .Cj'u.'elle prenn e en 'Pnemier fang
tes
des opératio ns (aval incondition~
nel 0'1 accel't"ti ons).
d"
risques
•••
LA. CA,I SSE DES IMiARüHlES
La Caisse Nat,ionl>Le des :Mar cttés de n :;tat,
de<s Collecli,,;tés et Etabli6semenlts plliblKlS, a
été créée Ipar .wn:e ioi· du 19 ao ût 1936. C'est
un étabijssem en~ p ub lic (/oté .d\: l a 'pet1iron'na~té civile et de l'autonomie fin "n:cièr.e, Son
objet qJriooipa~ est de faci liter la ~olution des
problèmes de trésor.eQe q u,., pnesen!e l'OUI
leUJ' titulaire, l'exécution d.es Irnarchés .pub1licfi.
Les opérati'ons atU' ({1" "lIes la Ousse est
autorisée à se tlv"er sont d:éfinies ,pa·r I.ffi
anioles 5 à 9 d e ,la loi ,précitée du 19 aoftt
1936.
Modali t és d'i ntervention :
Les modaMés souples et nomb reuses d'intervenl!ion- de la Cai1>Sll des 1M,~chés se ram ènrent en 'fait à t,rois groupes qru!i pellJv en t se
eombiner eatlfe eux :
a) Ou bi en l'i l. ten ' en,t ion de 'Ia Caisse permet au fourn·issc.ur d~ iadllter le démarnruge
d'Lt mar ché c'res t-à-dJre de fair,e face aux
dépens'es q~ ' i1 doit en gager a,l1ltéri!flurement à
to"t comm e.noemen,t d',exécutlon , ce wn t les
crédits de « ~"éfin an ceme nt •.
- Aval incollditionnel : Lorsque la Caisse
National'e est,jlme pouvoir do nner sa ,gaTanti e
sans condItions par voie d' awt1 S'u r IEls effets
souscrits ou acceptés par le titulaine du marché, cette O'aran'tie est limitée, ava nt servtl c:e
fait, au mo~fant des verlS6rnrents prévus) pour
Une duree de neuf moi'S, s'il s' agit de .rna.:r.chés
des collectivités 'et établissements publics.
(Décret-loi du, 14 juin 1938) .
. A. dlS fa'ut de complet r églem'ent à leu,
eohea.nce, les ,e-ffets v isés au para gréllpl\ e précédent peuvent être r,enouvelés our Ipror:ogés
sans 'lue leur du<ée totalle ,puisse excéd er
dowe mO,is, en ce qll~ c onoeern e ces mf: mes
m arcih~~.
En. ce tt~ matière, l a Caisse n'accorde son
aval \Incondition nel qu'exceptionnellement sur
production d' une lettre signée par le Ministre lui-même ou le Directeur du Calbinet,
attestant que rexécution du marché pré ente
un. ~ntérêt national. Cette prol.:Zdure, qui n'est
u t~lisée que pour les marchés importants para it devoi·r être en règle ~én é ra l e, écart ée
'POur le tinancem'ent des m a r~ h és de fournitures des Etab lissements hospitali ers.
- A val condi tio nn el : Quant aU financement du oémarrage par voie d'a\'al condition nel, il est subordonné à l 'accor d préalable du
banq uier d" titillaire du match é.
b) Ou' Ibien l',nte rventi on de la Caisse permet au fournisseur de Se ,procure r des fonds
au ~ur et à mesure que le marché 6'exécute,
c'es t-il-dire en cont re-par tie de travaux ou de
fou rnitures dont l a réa'lité a été const atée et
le montant éva lué, mais don t le paiement est
subordonne à une vér ifi ca t ion déta<illée de
l ' Ad ministr at ion.
-Cette ,procédlu're est égalem e.nt exceptionnelle pour Ues ma rches de fo urnitures.
c) Ou bien l'inter ven ti on de I~ Caisse permet au fou rn isseur d'obteni r du banquier la
remiSe imméd iate des sommes q ue les éta~lis
sements hospi ta l'iers publics reconnaissent l ui
devo ir, c'est-à-dire celles q ui correspondent â
des fp urni tures ou des t r aV3lWX dont le paiement n'est plus retardé que par l es seules
opér ations de mandatement : ce S011t les c rédits de « mobilisation • .
Neaessite du nf1ntissemen/ d' un marché:
1\ esl évident que la Caisse des Marchés
ne peut intervenir qu'en fave ur des fournisseurS titu laires d'un marché susceptible lj'étre
remis en nantissement. Il f aut donc que ce
marché soit va lable, c'est-à -dire qu'il soit sig né par l es deux pa rties et éventuellement
al>prouvé ;par Il'autorité supér ieure, que son
mon'ta nt ne soit pas dépassé (pou r d' autre,
motifs q u'lune révision de prix), que l 'exempl aire destiné à 'former titre de nanfissemen t
porte la mention « exemplai re un ique :t et
qu'il contienne diverseS indications à l 'usa ge
du 'benéficiaire du nantissement ci-joint
en annexe n° 3 le te xte exact de cett e mention. 11 y a lieu de noter que la mention
d'exemplaire unique doit être insérëe su r l 'Iun
des o ri ginaux ~me du marché ou sur une
copie cert ifiée conforme.
Un pro bl ème se pose dans le cas où il y
a dispense de marché (commandes ilJ1féri eures
il 125.000 francs dans les commun es de mpins
de 20.000 habitants et 250.000 fran cs da ns
les commun es d'une population super ieure,
ai nsi que dans cell es même d 'I ull €: .popu latioa
inféri'eu re, qui son t situees dans un dépar tement do:nt la popul ati on depasse 2 n\i'lIions
d'habitants) . Dans ce tte hypothèse, '!'a rt icl e
1er, 2e alir.éa du décret du 25 août 19-18
(J. O. du 27 août 1948)' autorise à payer ces
dépenses sur simples factures ou mémoires.
mais n' interdit pas de passer un march-é eCri t.
Dans ces conditions, il appartient aux Etablisseme"ts hospitaliers pu blics d'étab lir un
marché pour ces commandes, chaqu e ioi q ue
les foum isseurs leur en font la demande,
ét ant e" tendu que cette fo rm al ilé. indispensablt:: poi.lr permettre t'octroi d'a\'ances bancaires à un taux norm al, n"est pas exigée en
l 'espèce pour les paiements adm inistratif:,.
Ce marché aura, toutefois, un e forme simpl ifi ée suivant 1l10ndèle donné en annéxè 3.
(Lettre Ci e con:mande à ~ti l .i ~er couramment
pour les f ourln tures hospltalleres).
Dépassemenl dlli montt/n i initial du mGn"fze.
Le montant d'un Ill,a rohé peut être dépassê
pour deux raiso ns, so it pa r. suite .d·~ne ré\'; sion de prix en augm~n.t a tJOn, SO.l t mdépen dam ment de toute r éVISion de p rix.
D ans je premier cas, la C~ i sse des !,\archés peut accorder des créd its au dela du
montant du ma rché dans la limite de 'l'augmen ta ti on provoq uée p~ r la rèvi~io~l des pnx
et so us réserve de la si gnatu re prealable dol
l'avenant.
.
D ans le de uxième cas, les cr~dlts ne p~u-
vent exccder le montant du march é. Il jm por~
te donc de surveiller attentivement le coût
des trava ux ou des fo urn itures, afin, ou bien
d'augmenter le montant par voie d'avena11t
aval1.t Que l a livr aison des fo urni tu res ou
q'execution des trava ux excédentaires soit
commencée, ou bien excepti onnellement et,
si les .: irconst 3tnces le permettent, d"interrompre l'exécut iOn du mar.ché au moment Où
son montant est atteint.
Modalilés pratiqu es :
L es opératio ns de cr édit effectuées grâce
au con cours de l a Caisse des Marchés n'ont
d'intérêt ,que si e'lIes so nt réa lisées au mo ...
ment où le fo urn isse ur en a besoin. Elles ne
son t possibles q ue Uorsque l a Caisse a été
même de prend re en toute connaissance de
ca lise sa dèdsion.
A cet effet, il y a l ieu de fournir li ce t
a
organisme tous les renseignêl ,lents et précISions qu 'il demal/de sur le marché dont il
s'agit, et, préal ablement, à toute ouverture
de crédit en indiquant notamment le lmoyen
de paiement envisagé.
Cette en .q~ète fa it l'objet d'uoe notice de
renscignements adressée il la Collectivité traitante par la Caisse, lorsque celle-ci est saisie
d'une demande de financement et lorsqu'elle
est en possession, soit du marché revêtu :le
ta fo rm ule de nantissement, soit, exceptionnellement, au cas où le ma rché définitif n'est
pas encore rédigé, d' une lettre de commande
valant marché et portant, eoUe aussi, la ment ion d'exempl aire unique.
Cette lettre de comm ande n"est qu'un COntrat p rovisoire auquel devra se substituer.
dès qu'il aura l'té rédi gé, le ma rché définitif
se référant à ladite lettre.
Il y a lieu de préciser, également, que la
Caisse des N\arches f ait. enloutre une enquête auprès du Trésorier-Payeur Général du
D epartem ent dont r elève le comptable assianataire dé,igné dans ~e marché offert en
~an tisseme n t, pour connaitre les conditions
dans lesquelles doit être assuré le finan cemen t de ce march é (emprunts, sub vention s de
l'Etat, crédits inscrits au Budget de l a collectivit é tr aitante.. .).
D'autre part, au cours de I"execution de la
commande, il. conviendra encore de notifier
à la Caisse des Marchés tous incidents ou
modifications notamment par voie d'avenants
se r apportant à ces ma rch és par i"envoÎ d' une
fi che modèle donnée en annexe 6. Pour le~
mar chés de f ournitures, ces modifications
conce rn ent, en -par ticul ie r , les dél ais suppl ém e n tair~s de livraisons accord ésl les retard s
de livraiso ns dépassant un mois, 1es rabais
impo rtants imposés en cours d'exéC'U tion du
marché, les comm andes supplêmentaircs
au delà du nÜn.Î mu m ga ranti, etc ...
Ch oix da l 'en trepft.ll.cur et du fou rn rsseur :
Ce choix. dont la Colleclil'ité traitante
a:" ure la respo nsabi l ,tè ne lie nullement la
Caisse des Marchés, qui reste lib re d'apprecier
l'opportunité de son intervention et q ui ry'~r
rête sa décision qu'après une enquê te precise
po rtant nota mment sor la surface fina.ncière
et les possibil ités techniques du titulaire dt!
marché.
Affeelation spéciale :
Enfi n, il paraît n.tcessaire d~ rappe ler 1'i111.po rtance des disposi tio ns de J'article 6 du
decret-lOI du 14 ju in 1938, aux termes duquel
il est pr ';vu : < lorsque la Caisse des Marcht'$
est intervenue dans le financemen t des marchés d'llne co llectivité ou d' un établissement
p ublic, elle pe-ut obtenir q ue ta sub ven tion
de l 'Etal affectée au règlement du marc he
�55
nt' puiS::.<. en aucun ca , même provi:"OI rement. etre utilisé\! au règlement d'autres dépenses.~
La Caisse
ationale des Marchl~ peu t
ob tenir la même sûret!! en ce qui concerne
le$ ~mprunts contractc:,-. ~it
a ll pr~ du
Crëdit Fencier de France, soi t auprès de Il
Caisse des Dèpùts et ConsignatiOng ou d~
toute autre Caisse pltblique, iorsqu'~Is. :-:ont
affedês au rkglement de- même~ marchts.
En effet. à"'"maintes reprises, des I,:ollectlntl':-' loca.les, bien qu'ayant encaissé des subventio ll;:. dt: l'Etat et réalise des empnmts
dont le montant etait affecté à des t rava ux
détermi;l~s, se t rouvaient, nëan moins. dan$
l 'impossibilitt.' de parer le prix de ces ~ra
\'aux du fait que iesdites ressources avalent
de util:ste::- au règlement d'autres dépenses.
Ces événements prêjudiciaient aux foumis6e'urs et adjudicataires, ains.i qu'aux OrganisffitOS 4ui h.ur con~ent(nt des avances sur nan tissement et notamment à la Caisst' t\ationale
des i\\an:t.és.
Le< jispositions de l'article fi du decret-l oi
prL'Cih~ sont part-eu liè rernent \'alab les il
féi!û rd des Etablissements ho:>pitaliers puhEc ... qui disposent de subrentioDs et de p r~ts
3U titre de Jeur equipement.
Le- comptables d
Etabl issements hospi raliers. publics sont en droit, pour ùètermiller
l'elH.:aisse affectée aux besoins. générau x du
senice. de déduire du montant des fonds tt.s-.
ponihles de l'êtabli~sement les sommes qui,
li la 'iu;fe dune requêle dl' la Ca;sse NaUÔ{laIf! tirs ,\Jar ches, auront été affectë~ au paiemen:: de èèpcnses a ff~r~ n te~ au x marchés
fPt1 : nt:I.:S par ene.
Le JJinj~irc d~ la Santé Public/ut.'
légales actue llement en vigue ur cr. matière de
marche.
Aucun (paiement ne pou r ra nvoi r lieu
qu'après réception et con naissance conforme
des fournitures expédiées et après approbation des. f"c!ures s'y ra.ppo rtant.
Lu et al'prO//I'Il,
La o reseote lertre de commande valant
march é est délil.rée en EXEMPLAIRE SPECIAL UNIQUE 'pour ser vir de titre de nantissement confo rm ement aux art icles 91 du
Code de Commerce et 2075 du C<Jde Civil.
Le Comptable assign a tair~ chargé des
paiements est: ......................... .
Le Fonctionnaire habi lite à fournir I ~s
re nseignements ,prévus
l 'article 6 d u déc ret
du 30 -1 0-35 es! : -. . .
. . .............. .
Sig1latur e :
a
•••
DE I.A
_\'''ISTERE
.\~TE PUBLIQUE
Fiche des!inée
Marolle i'\ '
approuvé le .... _... __ . . _.
Titulaire :
Objet ·
Il est dt,nné a\'js que ce mal t hé a donn-é
l ieu a l'incident ci-après :
A,. . ..
. ... .. . 1• •.. . ....
Le Présidenl
dt' la Comnll·ss;on AdmÎlûs, lraUl'l'.
et de ra Po pulation
GOUINüUE ET.
Le Ministre d l'S Finances
t des .\f!aires Economiqlles
P')u r le ,\\II ,istre et par delégat ion .
Le Dit, .-(l'ur-Adjoillt au Trésar
,'ILLADIER.
•••
ANNEXE 3
AD.\1INI:;f RATIO:'\
Oi
COLLECTI\' ITÊ
-------<~OOc~-------
a
... )
........ .. .
3U
. . . . . . . . .. .. .... .
L~ pri x. ddinitif sur IcquLi
po rtera ral a-
blement h: nant:Osement résultera des facturt!:-t que \'Ous nou:"') del i\' rerez à 11l e~urc des
_"-_ _ _ _
expéditions.
•
Les expéditions à nous faire \'uus sero nt
c.:onfirmies au fur et à mesure des be::--oins
EII"" donneront lieu à <ks factures établies
par vou., aveC référence â la présente lertr.
d~ ( I)mmande,
C~ ... ~on-mtande5 seront soumi~es aux COll ditiO:1S Ju Cahier dèS clauses et ronditi un~
~éndale~ dc:> marchés .de fournitures et il
I.:ellc du Cahier d~ clause ... administratives
part;c.:ul'des aux marché~ de fotlrhitu rcs et,
tl ' une: mar..it re ~én c rale , :11..1 x dis positi o l1~
~'-'
-
-
_o.
,.-- - 0.00-0 - -
__
_
____ _ _
.•
_._
0" -
d'a nciennet,
aux sapeurs-pompiers q ui ont n ~ ndu des services exceptionnels dans J'exercice ordinaire
de leurs f or.ctions, tels que : création Ou
réorgan i ation du Cor,ps, modernisation du
matér iel, concours à des œuvres de mu ~ualité
ou à des groupements cor1poratifli. de défense
<..'O ntre l 'in ce ndi>e, conférences ou écrits en
" !,Je de j' uti lisaholl pratique du ma tériel Ou
de son perfectionnel11!fnt, amélioration cie
l'instructio n, etc ..
T o ute proposition pour cette disti ncti on
doit être app uyée d'un rappor t détai llé SlIT
1es services du ca ndidat et être so um ise à
l'a v'· de l'Inspectoeur D épa rtemental des Ser\'ices d'I,n'Cendie,
Jt! vous précise que les sapeurs- pompier"i
qui o nt accompli des ac tes de sa uvetag(
peul'ent fai re l'obj et de propositions nOn poùr
la M edaille des Sapeu r s-Pompiers avec roset!e, ma is pour la M édai lle ponr Al'tes de
Courage et de Dévouement.
Je ,'OuS è-emande enfin de classer vos pro·
positions dans chaq ue échelon par ord re
alphabétique po ur l'ensemble dl Départe.
ment.
D'autre part, je vo us r appelle q ue les Sa·
peurs-Po:np.iers qu i appa rt enaient aux for·
mat ions de D éf ense Passi ve Ipeuve nt prètendre à l'altriblhtion de la M édailie Commémo·
rative de l a Guer re ' 939- 1945, en ver tu du
décret 49- 1148 du 2 août 1949 étendant l'octroi de cette méda il le aux personnel s de la
Défense Passive.
Je vous prie de bienl vouloi r inviter MM.
les Maires de votre D épartement à délivrer
aux intér€6Sés, s' il r éun issent 1(;5 c()nd i tion ~
requises, l'at testaHon prévue par l 'instruction
interministérielle du 25 novemibre 1949 (/. Q.
du 16- 12-49), prise pOur l 'a,,,plicatio n dn decret sus-vi é, conformément à la procédure
institu ée par l e titre I V de cette ('îrculai-re.
j'ai rh c.oneur de \'ou ~ prier de m'adresser
so us le 1 rbent timbre, avant le 30 avril délai
cie rigueur. \'os propositions en \'ue de la
prom(4tio:1 de la Médaille d' Honneur des Sa,peurs-PoO"piers pré\tue pour !e- 1-1. juillet
Communiqués-Avis
Annonces diverses
FREVOL, nota,re il Marseil le,
TAKTAD j lAN a légué:
1
0
A l'Eglise Arménienne
feu
Aram
ou
Prado:
50.000 francs ;
D3 B2
DONS ET LEGS
Avis publié en. exécution de L'a;ûcle 3 du décret du 1er- février 1896, dans le but d'inviter
les hlriliet's inCOn1l.-1.s des te-.stateut's à prendn
contloUsance di" te.rlcunell,t, en v ue de dOtiMr
leur C(l1'l.Scnlnne nt ou de prodm're leurs 'mayetloS
d'oPposition.
Les réolama.tions lIe sont ,.ecevables ql4e danJ
un délai de ,,.ois mois à parti,. de f in,u,.tioft
GU « Bulletin .,
Par testament ol ographe du 17 novembre
1949, déposé aux minutes de ,\,\,' M aurice
2'
A la Société Générale de Bienfansance
Arménien ne : 25.000 francs;
3°
A l'ŒlLvre des P auvres Arméniens
15.000 francs.
Marseille, le 2 1 mars 1950.
- - - - -- <>00 <>
GOlllJIIOBIQUU DO SEGBETBOIBT
1
DE l'UIIOB DES lIIBIRES
1
1
DEMANDE D'EMPLOI
M . I~ené CLEHC, l , rue Adolphe-Thiers
Marseille, soll icite un tPOste de Secrétaire d~
Mairie qans le Département.
L 'intéressé serait licencié en Droit et auran
occupé. en o utre, le poste de Chef du Content ieux du Crédit Lyonnais. Il aurait été égai ement fonctionnaire pendant environ 7 ans.
Les Maires ~ntéressés ,par cette candida t ur<! sont prïs de se mettre dilectemerut en
rapport al'ec l'intére6sé.
Le Secrétaire Général de l'Union ;
AUD IBER1
Pour le Vice -P résent dn COli seil.
Ministre de l' Int éri eu r
et par délégation
Le D;rec~e u r du Pf!trsonn cl
et des Affaires l' olitil/li"s
1 ~50.
L ' \'ù:e-Présiden t da ConseN, Milûsln: de f'lntérieur,
u MM . les Préfets,
.\\ jnsitur,
j'ai l'h ~ nneur de \'OUS ra s~ r COl1lmand~
ÙL::-- Îoumiture5 co mpo rta nt lUu ~ k·s articles
ii,!!:J ra nt Gan:, la nomeilclature de:; prod uits
fab6ques par . .. . ........ .. . . .. .. ..... .
et JH~ce~.5a iTl: · aux hesoj n ' de l'Hôpital pendan! la période s'étendan t du ... .. .. . . . . .
ctre artnbuée sans condition
j'ai thOr.neur de porter â la c:o.rmajsSfll1ce
dL' AIM . l es MGl'res la circulaire /l n 97 du 21
mars 1950 du Ministre de l' I nférieur, relative
aux distin cft"ons honor;fiques à accorder aux
Sap' urs-Pomplers pour la promotion cIu 1-1
Par i,;, 2 1 mars 1950.
t'o(allt marchl; \'
1:!.
SC 7
MEDAILLE D'HONNEUR
DES SAPEURS POMPIERS
PROMOTION 14 JUILLET 1950
D2 B3
juill et
traiialltc
(nom et adr""st )
Lettre de commalldl
ANNEXE 6
li la Cal"Se J\'ationaJe des Marchés de l'Etal
12. rue de Gramont - PAR IS
Pour le Mini:;,tre et par déJe~t ion ,
Le Che! du Cabinet
Lu et approUl' é,
b) D~s sous-officiers, capora ux et bapeurs
âgés de plus de 70 an s allx I/l êm~s dales.
_ La Médai lle d'Ar gent avec rOSene peul
j .-E. IŒYMOND .
En raison des déla;s impartt"s par l e A'lkli,~
Ife de l'Int érieur, l es dossiers de propositioil
devront m' être adressés 2e D;visioll 3e BIIl'eau Prefecture, avant le 15 aJlril d~50 dt'f-
l1ière limite .
)
- - - - - - <> 00 ... ----- --
SC 7
D2 B3
1950
LC:-t jo .. icr- qui m~ parviendront après
c~ tt C' da te nt pour'ront être examines qu'à
l'occasion de l a prom oti on du -1 dccemhrc
STAGES D'INSTRUCTION POUR LES
OFFICIERS DE SAPEURS POMPIERS
1950.
Vou s vouJrez b ien \'Ous conf omler strictement au x instructions très précises que je
\'O US ai déjà fournies au sujet de la présentation dt: :' ùnssiers.
.
Je vo u ~ rappel le qu'aucune propositioJl
pou r le, Médaille d'Argent, de Vermeil et
d'Or ne peu t être présentée en faveur:
a) De, S\J peurs-Pompiers h onoraire~ de
tous ~,"d "" (officiers et sapeu rs) ayant quittl: Je ~cni cl: d.!pu;s plus de cino ans au 1er
janvier de l'année en cour pour la promotion du 1': juillet et au 1er juillet pour ln
promo tiOn dl' la Sail1te-B arbe,
L'information (parue au Recueil des Acles
Administrâti!s et BUt/clt'" des Mairies n" 51
(Rectificatif)
du 22 ctëcemb r.e 1949, page 236, doit et"
modifiée <:omme suit, en ce qui con cerne ln
date de stage du tn<Jis de juin,
Au l ieu de : 5 au 24' jui ll , mettre: Hl juin
au R juillet.
- - - -(» 00«»- - ----
Copie certifiée con/orme.
Pour le Préfet :
Lt Secrêt<1ire Général,
LAMASSOURE
�RÉPUBLIQUE
6 et 13 Avril 1950
DËPARTEMENT
FRANf'1AISE
S · Année .
DES BOUCHE.S-DU-RHON
-~~
~
:!::::~_ ~~ :~\
Recueil des Actes Administ "itifs;"
et Bulletin des Mairies
Tou te co r resp Oll danc e re lativ~ au R ec ue il doi' être ad r ess ée à la Préfec ture S e o réta r ia t
Général
AB R EVI A.'l.'IONS
A. P. : Arr êté préfectoral. -
C. : Ci rcu laire. -
Les lettres 0 et B suivi es d'u n ohiftre i ndIqu ent le ServIce ou Bu reau d'an gine
R. G. : Ravi taiflement Général. - S. C. R. : ServIce de 1.
D irection D épartementale de la Santé. - D . S. T . : Directi on des Se rvices Technrques.
_ 5. L. R. A. : Servic e de Li quidation des Réquisitions Allema ndes. Circul ation et du Roulage. -
D. D.
S. :
SOMMAI R.E
Ar rêtes régtementaires el Circulairo..'\S
Pages
A O. Co urs moye ns des denrées
devant servir de base au ca lcu l des
ferma ges
.. . .. ... .
57
AG O. _
M odifi cat io ns aux ci rc onscriptions terri to r iales des co mm unes.
AG 2. -- App l icat io n de l a loi n" 50.205
du 11-2- 1950 r el ative aux conventions col1ec tives et aux procédures de
re glemen t des co nf li ts collectifs de
tral'ail ........ ........... ."
F 2. _ Con ti ngent communal des dépenges d'assistance pour 1949 ......
FS 6. - Obl iga ti on de vaccinations
dans cer t ains g roupe ments d'enfants.
57
5~
58
58
FS 7. - Const it.ution de la Commission départementale de refor me du
person nel hospitalier po ur 1950 ....
FS 10. - Li ste des médec ins assermentés au 1er j uill et 1944 co mpl étée tt
modifiée au 1er av ril 19511 . . ..
RR 1. - Ven te de lait ...... .
SC 6. - Att ribution de la médai lle
commé morafi,vc fran çai se de l a guerre 1939-45 aux perso nnels de la D efense Passi \'e
. .. . ..
SC 7. - Matêriel dï ncl ndie : attestations fournies par ctl' S officiers de~
sapeurs-pùmpiers il des CQII:'otructeurs de matériel d'incendie.
TVX 1. _ Agrément des architectes au-
teu rs de projets de construLtioll!: HOlaires
...... _ _.
. ...
62
58
A O. - Attr ibutio n d'u ne prime exceptlOnnel ie aux ouvrie rs permp.nents des
exp lo itat ions agrico l e~ . _.
63
59 \ FS 8. - Assistance Médicale Gratll.te.
03
61
Communiqués, Av is, Annonces diverses
F 2. -
Registres de l 'état tÎ\'il
RemIbourseme nt par l' Etat de!; frais de
6 1 \\. ~~~u re e.t .de con!.ection des regigtre~
tat-C,vt l (annee 1 9 ~ 9 ) ..... ....
FS O. InstitutI on Nationale des
Sourds-Muets de Chambéry. . . . .
62 1 D~~l an de d'emploi de secrétaire de
mairie
64
(i.t
64
AR R Ë TÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
A. 0
BI
COURS MOYEN S DES DENREES
DEVANT SERV IR DE BASE AU CALCUL
DES FERMAGES
D6
ARRETE
Le Pn'fet d", B o u c h es-du-R h &n~,
Offic ier de la L égion d' honne-ur,
Croix ete guer re,
Vu l' ordo nnance du 17 octobre 1945 relati Ve au st atut d u fermage, modi fiée par les
lOIS du 13 av r il 1946 et 3 1 décembre 1948 ;
Vu r avis de la Commissio n consultative
des Baux Rur aux, en date du 24 mars 1950 ;
Sur 1:1' proposi t ion du Secr étaire général,
Arrête :
Art icle premier. - L es courg moyens des
denrées devant servir de base du, ca lcul des
ferm ages sont fi xés ainsi q u'i l suit Cla ns le
département des Bouches-du-Rhône :
Echéance semes tr iell e
du 1er :\Vril 1050
(Période d u 1er o(:t. UND
a u 31 mars 1950)
e l'; (le quintal) ...
Fr.
in (degr é HI.) .........
Pommes de terre de consommati On co urall te
FFoin de Crau ........ .
010 ordi nai re .. ...... .
I.aine mérin os ( K l-!.) . _.. .
2.477 50
~6~
667
1.3 16
1.016
250
Bœuf poids vif (2e qllalit~
(K g.) .. . .
85
Hui le d'olive (K g.) ..
225
2.500
Fru its (le qllintal) .. '
Art. 2. - Le Secrétaire Généra l de la Préf~ctllrc est charg0 de r~x~oution du présent
a rrêt e.
t\\arseilk. il, 2P mn rs IOSO.
I.e Prefet:
J. B,\ l'LOT.
- - - -e::tOO«>·- -- -
02 B3
AG 0
MODIFICATIONS
AUX CIRCONSCRIPTIONS
TERRITORIALES DES COMMUNES
ARRETE
Le P refet des Bouc hes-du-Rhôn e,
Officier de: ,la Légion cl"honneur.
Vu la loi du 5 av ril IS84 et les textes qui
l'ont comp létée et l11od if i ~e et notamment
l'ordonna nce Il'' -l5-260~ du 2 no\·embre 1945
re lative à l a procédure de modifications des
ci rco nscriptions administ ratives territoriales;
Vu l a pétition par laquelle 200 h :tb it~nts
du hameau de Coudoux (commune de Ventab ren) ont cm;s le vœu de voir ériger en
co mmune dist:'ncte la d ite section ;
Vu la dclibêra t iol1 du CO Il ~::i 1 Municipal
tle Venlabren en date du 21 sel'tem"re 1946:
Vu l a délib cratioll du Constil U':néral des
Bo uches~L1u-Rhôl1c en lI J.t~ du ri mai 1949;
Vu le plan ctet) lie ux:
Vu l'avis du Sous-Préfet d'Ai, en date du
29 octobre 1948, ensemble les autres pièces
du dossier ;
Con idéra nt qu·aucune récl amatio n n'a cté
élevée lors de l'enquête ou\'erte sur ce projet du 26 jllill 1946 ou 5 juillet 19~6 ;
Considérant que les différents avis Tl'ccuillis s'avèrent fa,·orables ;
Sur la proposition du Secrêtaire Gi'néral.
Arrête :
Article premi.er. - Le territoire de la con,..
mune de Ventabren, ca nton de Berre-l'Etang,
arrondissement d' ix-en-Provence, eSt di\-isée en deux comm unes dont les chets-lieux
sont fi xés à Ventabren et à Coudoux.
Art. 2. - La Iîmite des nom'elles communes est f igurée paf une li gne noire sur le
plan annexé au présent arrête.
Art. 3, La sépara Non aura lieu sans
préjudice des droits d'usage ou autres qui
peu ven t être respectivement acquis.
Art ...1. -
Les immeubles aya tlt appartenu
à l'ancienne co mmune de Ventabren sont l a
propriét~ de la nOllvcl \.e commune sur le
territoire de laquelle ils se trOllvent 'itu0s.
Art. 5. - L'actif ou le possif de la commune de Vent ab ren existant à la date d'effet
du présent arrèté sera réparti entre les 11011n~Ue cc mm unes de Ventabren et de COll-
�doux, propurtionndlement au chiffre tk la
population municipale de chacune d'elles,
Art. 6. - La COlllmune de Co ud oux prendra en charge les dettes contractées jusqu'à
ce jour par la commune de Ventabren, au
p ro rata des contnbution~ payées par les habitants de Coudoux,
Art. 7. - Les biens des pau,' res seront
partagés proportionneUement à la popu lat ion
municipale des nouv""les convnunes de Ventabren et de Coudoux, sous réserve des
droits privatif~ qui réstllteraient d'acles de
fondation .
Art. 8. - Le Secrétaire Général de la Préfecture ;
Le Sous-Prêlet d'Aix;
\. le Maire de Ventabren ;
Le Trésorier-Payeur ~ëral ;
Le Directeur des Contributions Directes ;
Le Directeur de l'Enregistrement et des
Domaines.
sont chargé~. chacun en ce qU! le .C'oncer~e .
de l'exéc ution du présent arrete qUI sera lO S ré au Recueil des Actes AdmlOlstrattfs du
Département et qui aura effet au 1er avril
1950.
Mat'l'eille, le 29 mars 1950.
Le Préfet : jean BA YLOT.
CONTINGENT COMMUNAL
DES DEPENSES D'ASSISTANCE
POUR 1949
ARRETE
L" Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la L égio n d'honneur,
Vu les décrets des 30-10- 1935 et 19-1 21936 sur la répartitio n des charges d'assistance elltre les collectrv ités publiques ;
Vu la loi du 7 avril 1937, déterminant les
co nditions de répa r ti tion entre les communes du contingent communa'i d'assistance;
Vu l'a rticle 35 de la loi d u 15 juillet 1893,
considerant que les commu nes d'Aix et de
Salon bénélicient du regi~ spécia l de l'ar-
t:cle 35 pOur l'année 1949 ;
Vu la delibération du Conse;!)' Génëral en
date du 27 février 1950, ·tatuant Sur la répartition entre les communes du cont mgent
des di-penses d'assistance mis à leur chargc
ail litre de l'allnée 1949.
Arrête :
Article premier. -
Le contingent com mu-
nal des depenses d'assistance po ur l'année
1949 sera réparti e ll tre les communes du
Département :
75 p. 100 proportionnellement à la valeur
AG 2
APPLICATION DE LA LOI W 50.205
DU 11.2.1950 RELATIVE AUX CONVENTIONS COLLECTIVES ET AUX
PROCEDURES DE REGLEMENT DES
CONFLITS COLLECTIFS DE TRAVAIL
Afin de permettre la détermination. ct,es
conditions d'application de la 101 SUSVIsee,
1\\.M. les Maires sont invités à faire parvenir
dans le plus bref délai à l'au tonte de tuteUe
'a liste des établissements et entreprises
communaux dont le personn~ est soumis au
méme statut législatif ou réglementaire. particulier que celui des entrepItses pubHques.
Cet etat peut comprendre :
- Les services des pompes funèbres ;
Les services de distribution d'eau et
d'assainjssement ;
- Les services de c hauffage uflbain ;
Les 6ervices d'enlè\'emellt et d'incinération des ordures et gadoues ;
- Les sen'ices de recouvrement des droits
Les services des bai ns-douches. piscines, etc..., à l'exclusio.n des services munici-
paux exploités en régie par une ou plu ieurs
collectivités locales, et les ser vices de trans-
ports, du gaz et de l'électricité.
L' Etat devra comporter pour chacune des
entreprises un rapport sur le statut dont le
personnel bénéficie et préciser la nature ' de
la décision en "ertu de laquelle les avanta~ qu'il comporte ont pu être acco rdés.
Pour le Préfet et par dél égation,
Le Secrétaire général,
LAMASSOURE.
La vacci llation 3ntlly.
phoparat)'phoïdique "st obligatoire dan, 1",
mêmes con di tions que la vaccl11ation aflt\.
dipht~riq lle, antitétan i qu~ pour tout enfant
deva nt Se rendre dans une colon ie Ou Un
camp de vaca nces ,nstallé da ns le dél)art,_
me tl t des Bouches-du-Rhône.
Art. 2. - Les directeurs de ces établisse_
ments ne po ur,ront y admettre aUCun enfant
qui ne soit titulaire d'un cert ificat COnstatant qu' il a été vacciné co nt re les t rois ma.
ladj.es en, ca use.
Art. 3. -
Sans préjudice
des pénallt"
d'infraction des dispositions du présent ar.
rêté.
Art. 4. -
M. It! Sec retaire g~néra l de Iii
Préfecture MM. les Sous-Prefets d'Aix el
d' Arles, M: le Directeu.r Départemental de l,
Santé et MM. les Maires du Département
sont chargés, chacun en ce q~ i . le concerne.
de l'exécutio n du présent arrcte.
Ma rseille . .Ie 22 mars 1950·
d'Aix et de Salon qu i bénéficient de l'organisation spéciale de l'a rticle 3 de la loi du
Il juillet 1893.
Art. 3. - M. le Secrétaire Général de la
Préfecture et M. le TJ'èsorier-Payeur Générait du Département so nt chargés, chac un en
ce qui le co ncerne, de l'execution du présent
arrêté qui sera publi ~ au Recueil des Actes
Administ ratif.
~ \ arseille.
le 3 av ril 1950.
Pour le Préfet.
Le Secrétaire Génértll.
LAMASSOURE .
-------<»oo<~-------
D. D. S.
FS 6
OBLIGATION DE VACCINATIONS
DANS CERTAINS GROUPEMENTS
D'ENFANTS
ARRETE
Le Préfet des Bouche&-du- l~ h ô lle,
Ofticier de la Légion d'hon ne ur,
Vu la loi du 15 février 1902 s ur la tprotection de ,ra Santé Publique~ modifié par
le décret-loi du 30 octobre 1,,35 ;
Vu l'arrêté de M. le Ministre de la Santé
Publique en date du Il mai 1949, re latif
aux conditions d'admission des enfants dans
,
O':'léoués
.
CINQU IEME CATEGOR IE
Chefs de bureau, S01/s-Chefs de bureau
Rédacteurs 1'/ ,assimilés
Delegues titlltalres : Mme Cayol E·lise. chd
de burlau à l' A.P.M.; M. Arc hier . rédacteur
~ ux hospices civils d'Arles.
Dé légués suppléants : M. All ard, rédacteur à l' H. d'A ix; M. Boyer , rcdacte llr aux
H. d'Arles.
SIXIEME CATEGOR IE
Commis, sténo-dactylos el assimiles
Délég uées ti tul ai'-es : Mme Aret y, co mm i-
snppleants : M. Ba lb)' And ré. dI-
diredeur de l'H. de Carpen tras.
.
DEUXIEME CA11EGOR IE
Directeurs économes
se à l'H. d'A'llauch ; Mme Corradi , secretaire
méd ica le chirurgicale Conception.
Délégu ' suppléants: M. Augier, comm is
à ,'H . d'Aix; M. Bernard , co mmis à l'H. de
Tarascon.
Délérrues titulaires: M . Ayme, directeur
économe "de l'H. de Cavaillon ; M. Mouret,
directeur économe de l'H o de Tarascon .
Déléoués suppléa nts: M. Morle, directeur
o
~u(tome
de Il''H . d' A"
Jacclo; M . ues 1allUC3,
TROISIEME CATEGOR IE
Economes
SEPT IEME CATEGOR IE
Surveillants, Surveillanles, Chefs de quartier
Délégués iilu laires : M. Gony Andre, préparateur en pharmacie à l'H. de SalOn ;
MNe Cayol Made"eine, laborantine A.P.M.
Délégués suppléants : Mlle Lagier F1avie,
sefl'. à l'H . de Saloll ; M. Shuster Charles,
$urv. à iJ' H. d·Aix.
FS 7
Le Prefet des Bouches-du-Rhône.
Officier de la Légion d'honneu.r,
Vu l'ordo nnance n" 45.993 du 17 mai 1\1,5,
retative aux services pub lics des déparlements et comn\Unes et lie leurs etabitssements publics et nolamment son arHdle ~ ,;
Vu le déc ret n" 471.846 du 19 septemlïre
1947, notamment so n a rt icle 4 ;
Vu le décret n° 48.606 c1u. 2 avril 1948,
fixa nl les droits des tributaires de la Cal"'fNationale de Retraites de agents des co
lectivités loca les et notamment son a rt. 19 ,
Vu J'arrêté interministéri el du 26 septembr. 1948 re!'atif à la Commission des Com-
missions' de Réforme des agents des col1~~'
tivité6 loca les, notamment ses articles 1 e.t ~
Vu la circulaire minisf.ériell'e n" 4 du 5 Jal1j
vie-r 1949 fixant les catégories de perso,lIn~
hospita lier, reprësent ées au sel~. l de 1a. Com-
mission Départementa le de Reforme ,
Vu le procès-verbal du tira ge au so rt ~n
date du 3 1-1 -50 ;
Vu It! procès-verbal du tirag~ au sorl en
date du 24-3- 1950 ;
d.te
V u !les résulta ts du tirage au sort en
du 27-3-50 ;
G'
SU ! la proP9sit.io n de M. le Secrétaire ,néra l de la Préfeetu re,
Arrête :
· ..
dJl1jni StraArt icle premier. - . M . G InlC, ~
.t M.
teur de l'hôp ital-h ospIce de La CIotat Bien-
Laugier, administrateur. ~1I Bureau dene de
faisanoe d'Aix, sont de5lgnés en qua 1COJl\membres titula ires pour représent~r le_'sAdmi_
Cornu Marguerite, infirm ière à rH.-H. de
T arascoll .
Di-Iéguées suppl~antes: Mme Carreghi
Lolita. g.-femme à l'H . Aubagne; Mme Quet
Blanche, in!. il 'l' H. La Ciotat.
NEUV IEME CATEGOR IE
Chels ouvriers et ouvriers
Uél égues titu lairl!S : Mm,t Benson Virginie,
lifi gè re à l' H.-H . de Sa lon; M. Lan Marcel,
ounier il l' H.- H. d' Aubagne.
Délégués su ppl éa,nts : M. Condorelli Anto i ne, contre maître à IrA. P. M. ; Mme Le-.
chevalier Aimee, clLisiniè!re à l'H .-H . de La
Ciotat.
DIXIEME CATEGORIE
Préposés servants et servantes
Déleguees titulaires: Mme Fourml'nf Mari.,.,RnSeI, aili'Hoignan te à l'H.-H . d'Allauch;
Mme Clément Denise, servante à l'H. d'Aix.
Délcgués suppléan ts : M . Pierre Pierre,
a ide-concierge B. B. Aix ; M. Clal'erie Maurice,
aide-~oignante
Art. 3. -
DéJégu.é titulaire : M . Bouisson, recev,eur
tre. êconome au centre hospitalier de Nice.
à l'H . d' Aix.
M. le Secrétaire genéral de la
Préfecture est chargé de l'exécution du présent arrêté.
~Iarse i li e.
1" 4 al'ril 1950.
HUITI EME CA TE.GORI E
de l'H. Psychiittriquc cie Pierrefe u ; M. Sey-
-------c> oo<~, -------
les colonies de vacances ;
Considérant que les affections typho-paratyphoïdes règnent à l'état endémique da".
missions Ad minist r atives et Cons~lls ~I bie nle Département ;
nistration des établissements iJubllcS DéparleSur la proposition de M. le Directeur défaisance all sein de la Comtll11SSIOIl
•
narfementM dp l a S~.~n~té:"'....
~':~~:1~~~~!.::.::.:!l:.";~.:.:o...;~
"'_01111.__....
rrustin. direct. de FH . de DragUignan .
Délégues suppléants : M. Establet, so uséconome à l' H. de Nice; M. Bourgues , économe à rH . de Pierrefeu.
di l'\:cteur économe de l' H. de St-Tropez .
Pour le Préfet,
Le Secrélaire Général dé/egui,
LAMASSOURE.
CONSTITUTION DE LA COMMISSION
DEPARTEMENTALE DE REFORME
DU
PERSONNEL
HOSPITALIER
POUR 1950.
ARRETE
cale Gratuite, à q'a charge des co mmunes
PREMIERE CATEGOR IE
Directeurs d'hôpitaux
Oelégués titulaires : M. Goff.redo, dit. inlér. des hospicl'S d' Aix ; M. Balthazar Alirecteur:' dl: l' H. de Bastia ; M. Co urvieill e,
loi du 14-7-1 905 sur l'Assistance a ux Viei llards Infirmes et Incurables, de la loi du
15-7-'1893, sur l'Assistance Médicale Gratuite et au titre du décret-loi du 29-7-1939 sur
l'Assistance il la Famill e·
dépenses se rappo rtant à l'Assistance Médi-
de l'AssIstance Publ ,que de Mar.
l' . d
b
..eille, sont désignes. ~n qua It ~ .Ii! mem res
~lIpplca nts tle l a m em~ commiSSion.
Art. 2. - SO li t dés~gnés pour rep rcsent~r
,. - différentes catego ries de personnel h 05p lt~7ier au sei n de la Commis~ion Départtmenlal{' de Réforme pour l'ann ee .1950 .I e~ fo nc1I0'11lw rres et agents ci -apres cn umercs
ture de tout établ issement des categorie.
dont il s'agit po urra être ordon née en cas
D3 82
Sont exclues de ce régim~ . les
•• J' ·tration
mlll b
"
25 p. 100 propo.rtion nelle ment a u nombre
Art. 2. -
M. Coste s, adm.il1i strat~ lIr de rh ô~jta l. de
Sa lon ct Me Murzl, ~cmbrc du S:0nsel l ct aç -
prévues par les tex tes en vigue ur, la ferme-
d'admjssions à rl'assistance dans l a commune au cours de la dite annee au titre de 13
de place dans les marchés ;
-------(>00<.-------
Article premier. -
du cent ime communall pour la même année ;
------.~ooc.------
D283
F 2
0382
-
Arrête :
Pour le Préfel,
Le Secrétair'e gé n~ral,
LAMASSOURE .
Jnfiirmiers ef Sages-Femmes
Déléguées titulaires: Mlle Vuillermox
Henriette. infirm . il l' H.-H . d'Allau ch ; Mll e
- - - - c>ooc >,------
D. D. S.
FS 10
LISTE DES MEDECINS ASSERMENTES AU 1er JUILLET 1944
COMPLETEE ET MODIFIEE
AU 1er AVRIL 1950
1. - Médecins phtisiologues agr';es par de cision mi/listérielle du 17 ao"t 1943
No ms et pr~notns
Adresses
BERT HI ER j oseph
., ...... .
GIRBAL Etienne .................... .
MATTE I Charles-Félix
........... .
OLMER Dal'id
.................. .
CHARP IN Elysée
....... .
;HOU Jean
32, Rue Aldeberl
67, Rue Sain t-Jacqu", ...
7, Rue Dragon
43. Rue Saint-J acqlles
Marseille
Marseilk
2, Rue Ooirnn
Maroeil1e
Ma rse ille
Aix
....... .
I.J, Bou leva rd de l, République
2" M édecins assermenlés -
Aix
Marseifle
Oate de l'arr~tt:
ALBI~AND Henri
~.\LLlES Pie rre .
..........
........
()hsen'ation ....
préfectora l
No ms et prénom s
. ....... .
. . .. .. . . .
AUD IBERT Alphonse
..... . ..... , ... . . .
AYMES Gaston
............ .
BARBAROUX Timoléon ....... _. , ... '
BARBE Henri ........... . ... ,. . ...... .
BEC Henri .. ... .. .......... , ..... _.
BOCCA Pa III
BONNAL Gaston .. .
BRUNEi. Jea n .... .
CAILLOL Antoine . .. ... . . . . . . .
CAMO IN Fe rdi nand ............. .
CANEB IER jul es ...
.. ........ ..
CASA LONGA Vincent
CASTILH ON Charl'es .............. .
CASTUE IL Emi lien
CHABERT A'Idré ....
C HA RMASSON Lou is
CLEMENT AHred ....
CHENIVESSE Cla llde
COMBALOT Pierre .. ' ".
COURITAS Antoine ................. .
I)E SOMBOURG Gui ll aume
gENIZET François ....... .
EV IN Françoi. _. ..
. . . . . . , ...
19, Boul. A. ,1< la Forg-e
3 1, Rue Pillmier
14 I~u e Thiers
..
3 'Rue Sain t-Oomi niqut'
(Sle-~\ a rthe)
203, BOltlevard d~ la Libération
21, Rue Lacépède ..
2, Boulevard des Dame'
III . Boul"'anl Chal'e .
54 Cours Pie.. rr~-Pllgel
10' Rue d" la Repuhllque
Route de l'Audlcnce, La Vah~lltint'
Villa I~ i ta. 56, hd Cho llan .
168 Boulel'ard Chave
26, 'Rue de la Républiq ue
.
Ste-Mar~umte
28, Rue D esa i.\
20, Ru" Mi l'I)'
8 A, Rue Lafayette
.
34, Boul. de:-; Alpes. Si'\inl-B<lrnabe
34... . Avenue du Prado
7 Bo ulel'arli d'Athènes
7:
Rue CI:tpier
6. Place de Slra<hollrg
.J2, I~ue Fartrè,
.J03, I{ue Parnd"
160, Rue do Rome
25. 7. 1932
24. 11.1 937
28. 12. 1938
3. 12. 1938
6. 5· 1944
22.11·1929
15. 12.1949
15. 3. 19.J8
15. 3. 1 9.J~
6. 5.19.J4
3 . .J. 19:11
.J. !1. 19J I
7. 1.1 930
27. ï .1920
6. 5.1944
8. 11.I !I3R
27. :J 1950
J:l. 6.19311
fi. 5 1944
Il. 51!135
15.1ë. 1!1.j.J
21 . 2 1!129
3. 5. 1933
16.11 1\128
6. .J 1!139
(J.
R.
L.
n~l1rO -I}Sychià tre
que pour adminîstr pén itent.
p~diàtrie
chinlrgie cancé-rologie
que puur P. 1 . T.
que p. fonctionnaires Sée. S.
�~oms
et prenom-::-
OIŒ\'O ' Paul ...... . ..... ... . ..... . .
FARNARIER Georges ............. ..
GALLEI~AND Gabriel .............. . . .
GARCI
NICOLAS Paul .. ....... .... . . .
G.\SCARD Emile ..................... .
GASQUET Ludo,'ic
.. .. .... .. ...... .
GIUD ICE Josep h .. .. .. ..... .. .... ..
GRETHER André ..................... .
HER.\IANN Raymond ...... ........ ..... .
ISAAC Henri ....
.. .............. .. ..
ISEMIN Uon ...
.. ........ ... .. ..
LAFOND Louis ..... .. ............... . ..
LARROUYET Ma urice .... ..... . ... , ..
LAURENT Marius-Andrc ............... .
L1VON Jean ........... .
LOMBARD Arthu r . . ........... . . , ..... .
LOMBARD Pierre ................. .. ... ..
MASSAD Jean . .... ................ .
MARCORELLE Amédée ........ . ........ .
,\lATHIEU Alexandre .. ........... , .... ..
PARET P a ul ........ . . . . . . . . . . . . ..
PASTOUR lose ph ................... .
PEGOURIER Paul
................ .
f'ELLISSIER Joseph
................ .
POUCEL Joseph ...................... .
REBOUL-LACHAUX Charles ........... .
RECORD 1ER Marce1 .......... ... ..... .
REYNAUD Jules ...
.. ......... ..
ROCHU François . ...................... .
ROMIEU Marc ................... .. ... . .
ROUSSELIER Guillaume .. ... .......... .
ROUSSELIER Guillaume-André ......... .
SAUV AN Ph ilippe .
.. ........... . .
SAUVIGNE Jean . ... ................ ... .
SEDAN Jean
............. .. .... .
SEPET Pa ul ......
. ............. ..
SILVAN Pierre ...................... ..
SOULAYROL Georges ................. .
SOUMEIRE Geo.rges ................... .
STEFANI Antoine ................. . ... .
VEGEAS Georges ................. . .... ..
VELASQUE Pierre ........ . ............ .
VENTRE Pierre . . .............. .. .. .. . .
VIEL Ma urice ..........
. ........ .. . .
VIG ES Loui .......
.. .... ..
WAHL Maurice ......................... .
Daie de l'Arrêté
préfectoral
Adresses
~I,
Boulevard Notre-Dame ........... .
1-1 Rue Edmond -I~ostand ..
. ...... .
20: Bo ulevard Philipon . . .. . ....... .
J, Place de Strasbourg . . . .- .... .:. ..... .
20, Rue Milly et 15, Av. Marec ha l-F oc h .
38 Rue Bo rde ..................... . . .
39: Rue Sai nt'Jacques ....... .
? Place Sadi-Carnot .
53, Chemin de Mon tolivet
25, Cour s Lir uta ud ........ .
22. Rue Bel-A ir .............. . ....... ..
g~ , Co u rs Licutaud
3 1, Boulevard Luce, SaiIlLt-Anne
I~ , Rue Jumel:e. Estaque-Plage
-1-1, Rue Saint-J acq ues
....... . . .
l , Rue de la Republique
25, Rue du Coq ......
. ..... . .
10, Boulevard Nationa l
... ' ...... .
15, I~ue Saint-Jacques .... .
36, Rue Georges ........ .
3 Route de la Gavotte, Saint-Amoine ... .
8: Rue des Minimes .....
Police ..... ········
.......... . ... .
-lI , Boule\'ard Lon gchamp .. " .. . . .
6, Rue de Belloi
........ .
8, Boulevard Sa lvator .. . .......... . . ,.
67, Rue de Rome . ..... . . ....... . , .. .
34, Aven ue Pasteu r ......... ... . ...... .
18, Avenue Marchal-Foch . . . . , .. . . . .. .
12. Rue Brete uil
........... ... .. .
84, Boulevard Vauban ....... . . .. ... .
25, Ru e Dragon ................ .
38, Cours Pierre-Puget ............... .
96, Rue Montaigne, Saint-Barnabé .... · .. .
94, Rue Sylvabelle ..
. ......... , . .
18, Avenue Jean-C hiappe ........... .
197, BOIJ\",'ard National ..... , . . . , . .• ..
l, Rue Armény . .. . .... . .... . ....... .
27, Rue de la Pa lud ............... .
98, Rue de la Républiq ue ... . ....... . . .
69, Boulevard du Chemi!l1-de-Fer ..... . . .
32, Chemin de Saint-Barnabé . ........ .
128, Rue de l'Olivier .............. . .. .
32, Ave nue des Cha rtreu x ... ... .. .
32, Ru e Saint-Bazi le .. '
27 , Rue Sylvabelle
.......... .
6. 5. 1944
15· 3. 1948
30.11.1 93 1
S. 1.1 932
27. 11.1 936
3 1.1 0. 1933
11.1 2.1 929
27 ..1.1 950
17. 3.1 93 1
5. 11./ 93 1
15. 3. 1933
20. 1' 1.1 934
3 1.10.1933
23. 2. 1928
2. 2. 1937
1.10.1932
7.12.1 928
16. 8. 1932
Dbservations
Noms ct prênonls
Electro-Radiolog ie
Ophta lmologie
. , ... , ,..
Gar(l a ll ll~
I~a o nl
Canloll d' J.\'l re~·
TORELLI Gaston
PAGET Emile
Istres
S;J int-Chamas " ..
SABA TIEI~
La1l1be::-c
Laho rato ire de Biologie
Henri .
1(J.
Caf/ton
6. 5. 1944
6. 6. 1939
25. 11.1 937
(~(!
3. 1947
Martig ues
CON TENCIN Louis ... , ...... . .. , .... .
BOMPARD Edmond
LAPLANE Gustave .......... . .
POU JOL Jule6
......... ..
16, Cou rs de l'I le- Martigues ...
Port-de-Bo uc ... .
Marign ane .. ,
Port-de-S'oue ...
TROUETTE.-VALADON Robe rt ..
ORSI NI Paul ..
OO IRAN Lon is
Sa lo n
JO. H.27
1. .l. 1934
JO. 8. 1927
fonctionnaires de Pt-de-Bou c
fo nctionnaires de Marignane
7. 7.1948
ennlon de Salon -de-PrOvence
14. 4.1930
2S. 2.1949 que p, fonctiOlln . Poli ce Mars.
15. 4.1932
Chir,urgie
6. 5. 1944
Ne uro -psychiâtri e
23. 11.1 923
17. 3. 1930
7.12.1928
O.R.L.
29. 4. 1925
3 1.10.1933
27. 2.1936
14. 5. 1926
12. 2.1931
20.10.1938
Ophtalmologie
25. 6.1936
26. 4.'1926
3. 5. 1932
II. 4. 1934
9.10.1936
13. 5. 1937
10.12.1929
15.12.1936
6. 6.1939
29. 3.1938
Oto-Rhi no-Larl'ngologie
6. 5.1938
30. 1.1 932
........ .
Miramas .,
Pélissa ne
7. 7.1932
6. 1.1 930
27. -1. 1944
Cnllinn de Peyroll(·.\·
Pey roll es.
BARETY Cha rl es
Can t oll dl' Tfl'!::'
10.12. 1946
Trets .....
ABOU CAY A Yvo n
A I~ RONDISSEMENT
O'A RLES-SUR-R HONE
Cali/on e/ Ville d'Arles
Boulevard des Alysca mps, ArI.> ...... .
5, Rue de l'Hôte l-de-V ille. Arles·· .
Salin de Gi raud ..
. ....... .
ISTR IA Pau l
REY Louis
VIGNON Henri
13.3. 1948
6. 12.1 9
". 1.1 929
fonc ti on, des Douanes d'Arie!
Can t on de Port-Saint-Louis-du-Rhône
NOUGAR ET Roger ".
Po rt-Sain t- Lo u is-d u-Rhône
FAU André .........
. ...... .
GINOUX Denis-L. . . . , .. ..... .
AUDRY Marius
... '. . . .
. . ... .. , .
Bo ulevard de la Gare, C hâteaurena rd.
Châtea uren a rd '
Noves ,., .. '
9. -1.1932
Cm'ltoll de CM /eaurenard
15. 5. 1934
29. 1.1944
24. 5. 1940
Callfon d'Eyguièrl's
. . . .
,
. .. .. . , . . , . .
"
.. " .
,
Eyguières ,
, ........ " ...... .
14. 2. 1939
Cant ou des Sain !cs-Maries-dt'-fa-Ml'r
CAMBON Geo rges
Saintes-Ma ries·de-la-J\\er " .... , ..
ROQU ES Joa nn ès
Sai II t - Réllly-de- P ro\'ence
25. 2. 1929
fonctionnaires des Sai ntes
CdJ1tOll rie Sain/-Réllly-de-Prol'ence
S. 1.1 929
19.4. 1944
10.11.1934
Cnnton de Tarnsfon-sur-R flône
Can toll de La Ciotat
AGOSTINI Emmanuel ................... .
BLANC Jean ....... ..... . . . ......... .
CH IAPPE Xavie r ...................... .
GILORM INI André . .................... .
MEGE Rao ul ............. . ....... . .. .
Cassis
.................. ..
26, Rue Abei lle, La Ciotat ............. .
23, Boul. Guieu, La Ciotat ........... .
Boulevard de la Republique, La Ciota t ..
22, Rue Gueym ard, La Ciotat
LONG Henri
Aurio l
TARBOUR IEC H Etie nn e .
I S. IO 1929
3. 11.1 933
26. 4.1930
5. 9. 1924
20. 7.1928
Canton de Roq uevaire
29, Avenue Victor-Hugo, Aix ..... .... .
tO B, Rue d'Entrecasteaux, Aix . . ....... .
15, Cours des Arts-et-Métiers, Ai x .... .
JO, Rue G.-de-Saporta, Aix . .. . ...... . .
3, Cours Mirabea u, Ai x ........ . ..... .
Arrètc en cours.
RR 1
VENTE DE LAIT
L e Préfe t des Bouches-elu-Rhôf/ e
à MM . l es Maires dll D épartemenl ,
26. 9. 19 10
21. 6.1949
27.11.1922
16. 1.1936
23.8. 1922
4. 5. 1929
_ _ _ c;,OO<) - - -
24. 6. 1929
Ville d' Aix
68. bo ul eva rd Victor·Hu g-o, T amscon.,
GI LLARD Se rge
D682
........
"."
Cantoll d'Orgon
ARIWND ISSEMENT D'A IX-EN-PROVENCE
AUR IENTIS Fernand ................... .
BEISSON Henri ... . . . ..... . .......... . .
MARTIN Loon ... .. . ..... .. ..... .. • .....
TERRIER Louis ..
. .............. .
VAISSADE Jacques
....... .
7. 6. 1934
25. 7. 1904 et 21. 12. 1926
Callioll dl! Lambesc
17. 3. 193 1
La Pen ne-sur-Huveaune ' . ' .. ' . ' '
10. 10.1930
Stomato logie
DEVAUX Jean
A"enue Jeanne-d'A rc, 22, Aubagne
1-1. 12.43 .
2. 2 . l n~
Rognac ...
Canto" de Gardanne
DE.COPPET
Canton d' Aubagne
GAIMARD Joseph .....
OLIVE Louis
Ob~ervations
d l' B ar('
CCIII / Oli
Cantoll de Marseilk
Allauc h
Date de l'Arrêté
préfcctorat
Be rrr · I'Etang .,.,.,
BRESSIEU X Lou i,
WOLTZ Guy
ARRONDISSEMENT DE MARSEILLE
BRUNET Lou is .......... .......... . .... .
Adresses
Mon attentio n a été att irée sur l e fait que
d,an~ de nombreuses commun es, les Com mis~Ions techniques municipa les prévues par
~ on arrêté dn 14juin 1949, relatif à la veltte
li
lait au détail n'ava ient pa ' encore été
j'ai l'hOllneur de vous rapp t" ler que vous
ne devez accorder les autorisations de vente
d u l,lit a u détail qu 'a près avis de la Commission tet'h nique de votre commune,
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
____ c'ooo _ __
DIRECTI ON
DE LA PROTECT tON CIVILE
SC 6
ATTRIBUTION DE LA
MEDAILLE
COMMEMORATIVE FRANÇAISE DE
LA GUERRE 1930-45, AUX PER50NNELS DE LA DEFENSE PASSIVE.
(Suite au communiqué paru dans le
Bulletin des Mairies du 5 janvier 1950)
Lisle des local ités remplissan t les co ndiruct ion du 25 no-
�La pr~se nte circulaire re'!1place to utes _Ie ~
circulaires prëcedentes traitant dll mente
sujet,
1° Alt.-desso us de 800.000 francs, le:, co!lecth'it6- loca les ne sont pas ob li g~s d'aVOir
recours à !"intervention d'un arch l tede :
2 0 Il en est de même, sans li mitatiOn d.t>
prix, lorsque ks t ra vaux à. executer se ~e'
duisem à des trava ux de pelllture et d~ rca-
,embre 1948, pour l'application dll D~cret
n' 4~1148 du 2 août 194Y, concernant la
délhorance. par le Maire, du cl'rtificat donnant
droit, pour certains agents ,de la ,D. P. au
port de la M édaille Commemo ratl\'e de l a
Glier re 1939- 1945,
,\IARSEILL E- ARLES-T ARASCON,
AIX-E -PROVENCE, SALON, ISTRE
"URAMAS MARIGNANE, LA CIOTAT,
C ASSI S, B'ERRE L 'ETANG, SAINT-MART IN-DE-CRAU,
LANÇON, MARTIGUES (pour Caronte,
La Couronne, L a Mède et Lavera),
m~nagemeJlt ne modifiant IIi
ni la s.~r llftlll'(' ill térieure ;
3" Pour toute les catégories de t r ava~l x.
les ollec tivités locales possédant un serv~cc
teclmiqlle organise ont l a possibi.l.i té de faire
appel à Ce sen'ice . sou~ le ur entl.erc respo~
sabililé et sa n~ qu 'II SOit nécessai re de SO.I\I citer "accord dtl .i\\ini ~tere de l'Edw':JtlO Ii
Nationale;
4" Pour l es tr:W3 UX Ile rentrant p3~ dan ~
l' une ou faune de ces deux premières cati> oories et dans le cas où la collec ti \' iti> Ile
possede pas de se rvÏl..'e techn ique ou n~ d~~i
re pas faire aplJel à celui-ci, il y aura lI ell dè
considérer deux cas :
a) Les traraux ne sont pas suhventioll1l0s
par l 'Etat : la co llectivi te possède tou te
tîhe rté po ur choisir SOn architecte ;
b) Le:.; traVélllX sont subvent i onl1.cs Jlar
l'Etat: la collectivité doit a~ors obte ntr ava l1 t
tout f' tahlissement d'avant-projet l' accord du
Ministère de l' Education Nationale (represent~ par Iii Direction de l 'EII:;eign ement i ntéressée) sli r le choix de l'a rchitecte.
------- c,oo<~ -------
SC 7
D263
MATERIEL D'INCENDIE
Attestations fournies par des officiers
des Sapeurs Pompiers, à des construcœurs de 'matériel d'incendie,
rai (homwur dl' porter ri la
co~maiSS(lJICC
d~ MM , l.es Maires, I"sperteurs Departementaux des 9...'1" '((.'5 d'ùzc c!ndie ct Offrclus ~es
Corps de Sapeur '-Pompie~s ,la circulam'
n ° 107 du Minis!èr e de [Inteneur en ~ate
du 31 mars 1950, rela/iI'c à desaflestal/oll~
fourn ies sur le ma/érlel d'incendIe.
Le Vice-PréSident du COl/seil, M'inisIre de l'Intérieur,
à Messieurs les Préfets (Mélropole),
Il m'a été siO'na lé que certains officier:de sapeurs-pomPiers auraient déliYr~.' â des
constructeurs de matér :el d'incend.e, ;ies
attestations certifiant la valeur et les quabtés
techniques de leurs engins.
.
.
Ces attestatior.s ec rites peuvent ~tre e~plol
tees commercialement par des firmes qUI tentent de leur donner un caractè re officiel.
Il vous appartient, ainsi qll 'à MM. les Mair~s. de mettre é\'entuellement en gard~. lb
Inspe-cteurs Départem.entaux des servlce ~
d'incendie et les officiers des co r ps ~o mmu
naux contre feg inconvénients d~ r epo~dr~
aux sollicitations de ce genre qUI po urraten .
leur être faites,
Ils risqueraient en effet. de . faciliter. de~
démonstrations publicitai rè:s Incompatibles
a\·ec l'exercice de leurs fonctions .
Pou r le Vice-Président du Conseil ,
,\,t iJlistre de l' In térieur
et par délégation ,
Le Pre, et,
Di"ccfeur de l'Administratiun
Générale , Déparlementall'
et Communale :
Pierre-jean MOATTI.
TVX t
02 63
AGREMENT DES ARCHITECTES
AUTEURS DE PROJETS
DE CONSTRUCTIONS SCOLAIRES
N' 42
Paris, le 12 janvier 1950.
Le Minislre de fEduca!ion Nali~J1al,,'
à MM , l e. Préfets,
MM. les {lISpecfeurs d'Acadé!"ie,
MM, le, Recteurs d'Academtr
(polir information),
J'ai I"honneur de \'ous faire conna itre ciaprès les conditions de participation des
H ommes de l'Art aux tra\'a ux dc con~truc
tions scolaires
- - .- r - - - o - o · - - -
-_.
__ .. _-_ ... _..
le gros O! ll vtl' .
1
-Cet accord est donné après co nsultation d t:
la Section Spéciale d·Agrément du Com-e.1
Général des Bâtiments de France. La consultation de cet orcra nisme n'est tO ll te fois pm,
néc&S3ire si le montant des travaux ne dépasse pa~ 15 millions et si, ell même temps,
l'a rchit.ecte dont il s'agit figu.re sur les listes
d'aptitude établie. par le Min istère de la Reconstruction et de r u rban isme pO li r la recon"tructioll dt:- éd ifices publics, en applicatio,n de f art;cle 13 du dec ret 46.2962 du :11
décembre 1946 (A et B pour les co nst ru ctions
et C pour le> répa r ations),
Les propositions d'a grémen t sero nt tT<tn~
mises à la Direction de J'elJ seigJ7t~m eli t i!1/ eressée, et, pOli r la Direction Gen érale dt"
r Ense i o neOl.€'llt du Premier Degré, à la SOlIS·
Directi~n des COllstructio.n s Scolai res, 29, rul:.'
Barhet-de-jouy, Paris (par l'i ntermédia ire (i<
MM, les Préfets), Elles seront éga lement
tran~mises à cette Sous-Direction dans le ca "
où les opérations projetées co nce l'nellt à la
fois phlsieurs Directions.
Lfs propo:,itions se ront obl igato irement
accompagnées d' une fiche de renseignements
sur les inté res ~és indiquant notamment l eur
numéro d 'in scription ail Tableau de J'Ordr~
des Arc hitectes et, pourï es proposition~ devant ëtre sounllises il la Section Spéci.:lIe
d ' Ag r~ment du Consei l Généra l des Bàtiment<
de France, d'u ne note sur leu rs r é.fé re n ce ~
'profession nelles et de photogral?hies d'œuvres déjà r éal isées (VOir modèl'es jOints), U ne
copie des propositions sera adressée au x Se r·
vicf:'S Techniques d'Arc hitechlre, 29, ruc Barbet-de-Jou)', il Paris.
j'ajo ute que les d ; spositio~s q.ui pr~cè~ent
ne pe uvent dispenser des obli gations parti cu _
lières imposées par 'ra législat ion sur les dommages de guerre, en ce qui conc~ rne l 'agr~
ment des architectes et des services technlOlll'S, nnur le:- opéra t ions soumises à cettE"
législation,
Enfiu, un certain J10mbre d'architecte!.;
ayant déjà déposé des dossiers de réfé",,,:
ces pour les travaux d'équ.ipement scoJ a i rt~
Olt sportif, il est inuti le que c-es Hommes de
l'Art constituent un nouveau dossier de références s'Hs sont appelés à étudier d'autres
projets,
MM. les Prefets voudront bien aviser les
Municipalités de ces no u v~lI e6 disposi tion s,
IŒSU.\I E DES PI~INCIPAUX TI~ ,~V .l UX
Importance
approxi mative
Années
Co ncou rs pub lics
Pour l e Ministre et par autorisation.
Le Directeur
de l'Adminislratfun Général e
WE ISS,
Travaux admin istra ti fs: Bâtiments scolaires
UII spo rt i fs terrain s de sports - Edifices pllbl ic6, etc ...
M IN ISTERE
DE L'EDUCATION NATIONALE
Direction de l'ARCH ITECTURE
Sert'ire T echnique de l'Equipement
Scolaire 'et Sportif
Trm' ;tux pri vés:
Expertises
DEMANDE D'AGREMENT
D 'ARCHITECTURE
Travaux Cil co urs d'exécution
(p uol ics Olt privés)
(û retourll cr fi l'adresse C; - dl'SS II S :
29, me Barbet-de-JollY, Paris 7' )
No m et prénom s ............ .
Ad re s.sr professionnelle au 1er
1939
Actue lle
EXECUTES
Tr avaux ~ Il cours d'étude :
1
septembn.>
Pour quels lr:lva u,\; désirez-vo us être agr0é :
Dl!panCllw11t
Co lleeti vité
Nat ure de r Opua1Jon
T~l c p h o l1c
Département ,
Né il
Lt' ....... .
Nationalité
........ .
Célibatai re, N\aric, Veuf, Divorcé (rorcr les
Obse rvations de la COMM ISS ION O'A GRE i\ 1ENT
Les re:n sl;: j:.!llcnt ellt~ fou rn is sero nt milill tiells~mellt vérifies: tOlite dcc laration
le t"ntraÎnera lè rej et de la demande ou le retrait de l'agr6me llt.
i ll e'(;:l -
illdication s inutiles)
Enfa nts (âges) ,
Situat ion mi l itair<t;'
....... .
ancien co mbattant 19 14- 18. carte Il
1939-45
Décorations civiles :
D eco rati ons militai res
In structions généra les
Et udes d' Architecture (Ecole ct "pp renti~,,'
ge pra tiq ue)
Anné l:s
Diplàmes ohte nus
Promotion :
Patenté depuis :
Sociétes aux.qllellts VOliS ~ I es affili ~
Depuis quelle année :
Fonction~ exercées dans ces sociétés :
Activités diverses touchant à la profession :
Avez-vous act uel'Iemellt votre bureau orgll'
nisé ? :
Seul O u assoc ié? :
Ad mrnistratio llS publiq ues ou privées dont
vo us êtes l'architecte:
Etes-vous ass uré Sllr la responsabilite pW
fess ionn elle ? :
A quell e Compagnie? :
N f' d'insc ri ption cte rOrd rt: c1e~ Arc hi tecte:lCirco nsc ript ion :
Date d'i<lscript ion
06 BI
AO
ATTRIBUTION D'UNE PRIME EXCEPTIONNELLE AUX OUVRIERS PERMANENTS DES EXPLOITATIONS
AGRICOLES
AR RETE
Le Prefet des Bouches-du-Rhône,
Offll'Îer de La Lé(.rion dJH onneur,
Vu l'ordonnance dll 7 juill et 1945, rel ative
à J'institurion des Commi ssions Par,itaires d'u
trravail et à 1'6t·ablissement de réglements de
travail en agricu l' ~ lI l'te ,
Vu l'arrêté doU 7 jui llet 1945 modi,fié par
ce lu.i du 5 août 1946, pr is t'II application de
~'~rt i c l e l er J alin éa 2) de J'ordonnance du 7
Ill/ llet 1945, susvisée,
Vu les arrê tés prefectoraux des 30 av ril et
18 dlocel11bre 1948, portant fi xa tion du régime
du travail en agriculture,
Vu le procès-verba l de la re ..nion de la
Commission Parit ai re du Travail en agricul'tllrc en date du 18 f6vrier 1950,
Vu les propositions de M. l' Ingénieur en
c~ef, Dirtl(:teu r des Services Agrico l es et l'avis
de M. le Contrôleur des l ois socia les e.n agriculture,
V" les i nstructio ns de M, l e Ministre de
l'Agriculture notifiées à la date d" 30 ma,,..;
1950,
SlIr la pro,position du Secrétaire Général,
A~REffE :
Arlicle pl emier, - Les (\'i~positions <lu .pnésent arrêté sont applicab les aux entreprises
agncoles, telles qu'elles sont défi nies par le
décret-loi du, 30 octobre 1935
re l alif aux
associations
et à certaines
g ricultu re. à J'exclusion des organi smes professionnel':) agricoles énum érés ci-après :
Syndicats agricoles,
Caisses d'assurances mutuelles agricoles
constituées conformément à la loi du 4 juillet
nourris, ayant effe:di\'cment pe rçu (2) au titre
du mois de janw ie r 1950. une:-=omme illf~rie u re
ou a u plu.:. égale à 14.000 francs, y compris
I J i ntég ra li t'~ d~ 3\'antagts t!n natur~, même
oot royé~ gratuitement.
Les ollvriers dont le salai re effectivement
perçu (2), y compris les ava nt ag~ en nature,
all r a été, aura nt le même m oi~, compris entre
14.000 et 18,000 francs, (>nt droit à une pri me
dbnt le montant est éga l aux irois-q uar t< d"
l.a diff~rence entre 18.000 et le sal ai re perçu
Arl. 4. - Les chiffres de sa laires sus-indi
qués, de ;nême qu'e le mont;)nt de la prime
sub issent le cas éc h ~ant" la réd uction prl'"\'ue
par la r~g-lel1le nt at i o n en vi gueur, pour les
ouvriers permanents à capaciré profession
nelle rédllite, ou pour les jeun es tr ava illeurs
flgês de moins d~ 18 ans rê \rolus.
Art, 5, - Le montant de la prime calcu lé
comme il est indiqué aux deux ar1:icles précéde nts est r éduit de moitié pour les oU\~riers
permanen b nou rri s.
Art. 6. - Il ne sera pas tenu com,p:e d~
la prime pour le ca lcul des indem nités de
préavis, de licenciement et de congés l)arés
Ar/. 7. L·attribution tle la prime ex cep
1ionnel le et de la majo ration des primes, pré
\ut:!s :t u pnésellif arrf:t é ne peut eni rainer
allC ll n~ augmentation des 'Prix de ve nte.
,1rl. 8, - Le Secrélaire Gén éral de la Pré
fecturt, lé, So us-Préfets, lï ~génieur en Che
Directeur des Sen ' ÎCes Agricoles et le Con
trôleu r de - lois soci.a les en Agriculture, son
chargés. chaOlln en ce q~ i . Ie ~oncer~e ,_ de.
J'execmion du présent arrete qUI sera ,n\Sé~ c
au Recueil des Actes adm inist ratifs de la Pre
fectu re.
"'\>I rseille, le 7 Avri l 1950.
Le Prelt: t,
jMn BA YLOT .
1900 .
Cai~ses (fallocations fa mili ales agricoles
Caisse-s de Crédit agricole mutuel ;
Sociétés coopératives agri coles ;
Sociétés d'intérêt collectif agricoles ;
UJ1ions ou Fédérations dies organisme~ pH'cités et aénéraleme nt tous groupements profess ionneis agri coles rég uJièrement constitués.
De mêmE: l es ouv riers d'es scieries mob,les
Ile bénéficie;lt pas des présen tes dispositions.
Les mes ures les concernant sont celles pt.esorites par rarrët~ intell/llinisfé ri els LIli ï iév6er
1950.
Art. 2. - Les entreprises visées à ranîcle
1er devront verser ume prime exceptionnelle
da ns les co nditions prescri tes aux ar ticles ciaprès aux seuls ouvri er6. permanenis (tel.s
qu'ils sont définis par le ~eglem ent de t ravail
en ·agri culture du, 30 avnl 1948) ou occupk
de ma nièce ~ermanen te (1),
Le ve rsement de cette prim e n ~ donne pas
lieu â retenue au titre de cotisation prévues
par la l égislation d·e la nlutual irc sociale
agricoJe.
Art, 3, - Ont droit à ulle prim e de 3,<XXl
francs, les ouvriers d'éfinis à I·article 2, non
( 1) 11 faut cntt'ndT'o sous cc lerm e ~~s (.uvrierilgr icolcs qui sonL ratt:\ch~s de manlcre pnmanente à une cX1>loitation rt qui ont pu cependant
avoi r des absences motÎ\'ées pour dt!" raisons
indép endantts de leur volonté (intempêrit:~, miS('s
à pied tcm poraircs, etc ... ) ~nns "'l,l u r(" du cont rat.
-------<) 00<>-----
0363
ASSISTANCE
MEDICALE
FS S
GRATUITE
Admission à l'Assistance Médicale Gratuite des bénéficiaires de la loi sur les
économiquement faibles ,
Le Prefd des Bouch;:s-d/l-/?ihônl!
à AJAT, les Maias dll D épartemenl •
M, le Direaeur Général de (Administration de l'Assistance Publique à Marseille;
.
MM, œ.< Directeurs des H6p/tou x
d'Aix, Allallch, Arles, Aubagne,
ChOteautenard, La Ciotat, Martigues. Salan, Saint-Rém}f et
Tara scon,
En ,e nu de l'article J, paragraphe 1 de
la loi d ll 2 aoüt 1949. instituant la carte
sOclale ùe~ ". ecollol11iquement faibles » et
de l 'anicle 6 du decr~t du 28 no,'emb~e 1940,
pris en application ~e c~ t~Àte, . le~ tlt~:lalre5
de la carte ml! drOit d office a 1 aSSltstance
TJledica le ~rahlite.
En con séqLlence, sur sim ple demande. ~r
sur justification m e~icale , r (lssis~a,"~e méd~
ca le Qratuite à domic il e ou hospItalière dOit
('tre àccordée,
(2) Par sa.laire cffec tivem~Dt. per<;:u il !aut
tendre le salaire brut, .c'est-à-dut' ayant defal:tion des cotisations de mutualité a.gricole et du
cn naiUre.
�Lt:s ,,-'ossÎt:rs habitut:b d'aSSÎstallcè meùl-
cale gratuite s~ront utit:!:fS par le-s
\airies.
Ils de\'ront comporter les indications suhTantes:
1 Sur la première page ck: la chem i5e et
,,-'n trl'S gros caracthes la mention
ECONO.\\IQUL\\E IT FAIBLE
.
2" A l'int('rieur, le numê-ro ainsi que la
date de délivrance de la car te et éga leme-Ilt
"affIrmation signl:e par lïntére .~ et qui doit
ëtre \'erifiée pa r le M aire que le demandeur
nt: brnéficie pa:- de soins !!ratuits, au titre
t;'Ulle législation autre que l'assistance. (Anliens Combattants ou Victimes de la Guerre)
r'u ne blnéficie de soins gratuits que pour
Ulle part par lt! jeu normal de la S~curit ·:"
SOci3! ~, ell qualité d'ancien salarié.
En le qui conct:'"rn~ les 50:!1S à domil:ile, le
,,---ertificat médical justifiant la l1éce~ité de~
SJin, de\'ra être joint au dossier et tous les
bon$ ddi\'fès de\'ront comporter la mention
ECONO~UQUEMENT FAIBLE > . La dufI:l' de \"alid'té de J' assistanCe mêdicale graluite pour ceux-ci .... ra la même que pOUI le::-$Si~t~5 ordiJl:lÎres La carte d·
économiquel::€'nt faible
dCl'ra êtr(' exigée à chaq ue d(11I'rance de bon.
Pour les hospita lisations. l'em'Qi de malade
i.:tnn être etabli comme de coutume en deux
f\empiaire::.. L 'un deyra être re mis il l'hôpi~?I et l':llttre sera conservé il U dossier. La
f!1c!\6m
économiquement fnib l e ,. devra
!igufta sur les deux pièces.
~ Lror:'-Iue la carte d'
éco nomiqlu,::men t faible
t.iate ra de plus d'un an au moment -de
:a demande d·A. ,,\\, G.. une enquête pri-alable
re l nit ltant d::- constater si la s.i tuation du titu1llire fit! la carte ou de celle des personnes
tU~Lle~ enver~ lui il l'obligation al imentairl'
;tt ~'/~SI modifiée depui::; la déli\'Tance de la
carte de\'f3 être effectuée et com,ignée dans
le dos:,icr,
l 12$ fîai:-. ùes as ;stés
econom iquemen .
f'dtlles
de\'ront faire l'objet de mémoire8
ui..;.tinct~
Pour le Prefet,
L {, Secrétaire Général drJéglle.
LAMASSOURE .
•
Communiqués - Avis
Annonces diverses
02 83
REGISTRES DE L'ETAT CIVIL
F 2
Remboursem~nt par l'Etat des frais
de reliure et de confection d::s registres
d'état civil (ann ée 1949)
Aux termes de la loi du 13 no\'embre 1 ~136,
modifiée rar l'article 8 de la loi du ~ I décen, ~
-
des pensi onn aires, des
denll-pflnslOnn alres et des exte rn es, Ell
compte actuellement pl us de 200 élèves.
e
de trédit. j'ai l'ho nneur de prier AIIJ\I. les
." ain~s de VOU IOÎII biellt m'adresser allanl l e
30 aI'rit procllaitl (SO LI S le ti mbre d~ la 2e
Division 3e Bureau), leur état de fraiS relatifs à c~t otJ.je t pour J'année 1949 en y joianRn\, comme pièces j usti ficat ives co rrespondantes, le.; mémoires des impr imeu rs-relieurs
(en ~ exemplai res).
L-' iJ1 ~1TlI~ tion religieuse est a~$lU'ée suivanl
les In dlcfltlons des parents.
L,e service l~l éctlca l est confié à deux Illl'..
dCCII1S : un medeclIl ?tO-: h iI1Q-la~yngC1loglsle
d un médecin, cie lllecleC llle géncl ale.
Les pr ix de pensioll fi xés par arrêté ùu Mi
nistère de l a Sa nté Pu bEque et cie la Popu:
latioll ~'~l èvellt ~ct uell.ente l1 t à 48000 franrs
par <l nnee scola ire, SOit 168 francs par jour.
____ c.l>oo.J: -p, ------
FS 0
t
INSTITUTION NATIONALE
DES SOURDS-MUETS
DE CHAMBERY
LïnstnutiOI1 'alionale des Sourds-Muet'-th: Chamh~rv est afiectêe à J'Education intcl\ect Ul~lI~. J1l j rale et pr ofessiollnelle dt-s e1l fant:- sourds-muets des deux sexes· C€t
Ewblis..... cJ1le nt da~se comme ctablisselll,ent
national de bienf~i::ance, re lève direc tement
du .\llIIi~tèr" cte la S01H0 Publ iq ue et de la
Popu13tion ,
L'i'nseil.l/l,t!mefll inkJlectuel, q ui comp ren d
r(illlissiOt~ el ln f ormation de ln voix, (n rlémuNsat;fJll. ren~dgllel1l e.n t de ln lecture sur
Il''' lèl'rl!.'i, /"ins truction generol e est assuré
par des professeurs recrutés au conco urs et
ha utement -tluahfiés par des études ~péciale s
d'une durée minimum de quatre ans et sal1l.:tionl1l-~s par troi~ examens et une thèse donn:l!~t droit au dIplôme du professorat des
Institutions Nationales de Sou rds-J\\u cb.
L'cIlM!i.!!.. nemell! professionllel embrasse,
pour les ga rçons, to ut ce qui a rapport à
1 agriculturL', J'llorficullure (jardin, ferm.e 01 0di:'le) et aux l1Ietiers de cordO/lllier, tail~elfr
et melllllsier.
j
Pour ies filles, il comp rend la coutu r,c, la
lingerie, la broderie, le repa' ~a ge, le taillemhommt : culottière, et \ts t ravaux m(nager:;.
Cet enseignement tec hnique est donné pa r
;J1l person nel spécialisé et recfllté au CQIll: ()ltl
s.
L'~tahli:-s'èment
réservé aux ga rçons est
sitnê a Cognin, en pleine campagne, à 2
kilomètres de ·Chambéry. La section réservée
lU
jeum:s fi lles forme UII qU.:lr:ier dislinu,
insta llé à Pont-de- Beauvoisin (Sal'o ie) .
L amenagement -intérieu r de ces deux ëta~
bli::.sernents permet d'assurer une \' ie confortahle d ~aille aux enfants qui nuu
sont
confil'S : sen'iee de douches. ~alle de g-ym·
,1.:1stiquc, infirmerie, grandes cours omhm -
L 'Eta-bli sse',lle l1t assure, à lilre gratl/it, le
couchage : ht. matelas, draps, cou\'ertuI('s
la tenue de tous les jou rs et la tenue de sor:
tie, le raccommodage et le bl anchissa ge,
Les f-amilles privées de J't'ssources suffisantes peuvent demander au Préfet de leur de·
partement, pa r l'intermédiaire du Maire de
leur comm une, le bénéfice total Ou partiel
de l'Assis/llllce Médicale Gmillite, co.nformé·
ment à l'article 26 de la loi n" 700 du 31 d..
cernhre 1943, qui prévoit que les frais d·,n·
tretien et de rééducation des enfants infirmes,
adm is dans les étab lissements spécialisés,
peuvent êtr e à la char ge du s\:'rvice de
l 'A. M. G.
Les enfants sourds-muets des deux se;(es
sont admis. à partir de 5 an~, dan!' une
section spéciale dite « cl asse enfalltine .
Ad resser toutes demandes de renseignements au Directeur de ,' l nstitl1tion Nationale
des Sourds-Mllets de Chambéry, qui fournira,
pa r retour du cOl1rrier, toutes les indications
util es po ur documenter les parents.
-------~~--
~----- .» oo '·~~~-
D283
DEMANUE D 'EMPLOI
DE SECRETAIRE DE MAIRIE
A\. P,iel'r-e Pal1netier, ancien rédac.teur dan~
llne commune de la Seille, actuellement~
crétaire bCTénéral d'Utne commune de .J.OlS
ha'bitants - J8 an _ Diplôm é de l'Ecole Na·
tionale d'Administr<ltion Mllnicipale. 13 ~~'
ci e pratique administrative, excellentes references. recherche secrélariat d'une commune
de pl us de 5.000 habitants.
.
nd
MM. les .M aire intéressés par celte ca ;;
dat ure voudront bien se mettr-\:! en rappo.
'.
· ·seere
t·
de M'I'
avec M.
Pierre Pannetler
alH:~
rie à La Trembla de (Ch~rente-Marilime).
-------------------~--~--------------------hu .unau N(;'-f\;n..LI:
D"i:
_ . ........
? . -8.-~'l"
DËPARTEMENT DES BOUCHE.S-DU-~HO"tE
e_ /'
.: ~)'
Recueil des Actes Admiriis :~'"ifs
'"
1
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relat;ve au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
A.BRÉVIA'l'IONS
A. P_ : Arrêté préfectora l. - C. : Circ·ulaire. - Les lettres 0 et B suivies d'un ohir.tre indiquent le Serv 'c
B
, ..
. 5 . d L' 'd t'
d
Ré '..
. .
1 e Ou
ureau d arrg/ne
_ S• L • R. A•. ervlce e Iqui a Io n es
qUI"Hlons Alle mand es. - R. G. : Ravl taln.ement Général. - S CR · S
·
.
Circulation et du Roula ge. -
D. D . S. : Drrection D épartementale de la San t é. -
D. S. T. : Direction des
'Se ~ic~; T:~~~!~.la
SOMMAIRE
Pages
AG 14. - Décret portant ·disso lu tion
clu Conseil Munk i pa'i et in sti tuti on
d'une '<téléga,iÎon SI)éciale d!ans la
commune de Meyreui,1 (B.-ducRh.) ..
AG 5 b. - Budllet;ns statistiques (I~
l'Etat-Civil ............ .. ... . .....
CT O. - Fixatio n des mo ntants des
f rais d'expertise pou'r examen' dl:
véhicules " " , .... , .. " " . .. . .....
CT 0, - Mesures de sécuritë r.e l at;\· c~
aux vehicu l es de tr ansport en commun ............ ......... . ......
69
P 8. ~ Naturalisations: A.S. délivran~e des cartes d'identité française au.x
t:tran~crs
na ruralisés, auto ri sés à
franC iser leur nom
SC 7. Inspection" Dép~~t~~~~;"I~
des services d'incendie ., ... , ." ...
69
Corrununiqués, Avis, Annonces diverses
Publications nouvelles de l'Institut
Géographique National ............
70
FS 6. -
Arrfolés réglementaires et Circttlaires
65
55
56
66
Hègl rment du servi ce dcna:temental des vaccinations ,." .. :.. .
FS 6. - Médecins .lgr éés pour prat:quer les examens de nacLo en vue
de la diéNvrance des certificat ~ pr rnuptiau x et prénataux .........
FS 6. - Médecins agréés pour p,ati·
quer les examen$df' racLlo en vue
de la délivra,nce :1::;2 certificats pre..
.n uptia ux .. ,......................
Pi 8. - Natura lisations: Effe'> juri jiques sur le d roit à lia na tio nalit~ . des
mesures administr'atives pri es en
vertu de la lég islation relative il
l 'entrée et au séjour des étrangers
en France .......... .........
66
70
70
Communiqués du Secrétariat
de l'Union des Maires
69
Aide aux familles de fu i llés et massacrés de la Résistance
Demande d'emploi ......... ~ . .. ~ '. '. '.:.
70
70
Les enfants peuvent être examinés gratui'
1t:meont par nOs professeurs ~ lI r re lld ez-rou~.
Cop ie certifi ée conforme ,
Pour le rrHet :
I.e Stcrltalre Génhal : LAMASSOURE.
-- - - -
FRANC1AISE
L ' ~nstit~tioll .reçoit
Pour m~ permettre de solliciter de 1\-\, le
1\\I1lÎ&t re de la Justice une délégation gl obale
GÉNERAL
RÉPUBLIt,lU K
/~: :
gces pd ur les l'écfl.!atiol1~, dorto i rs aer~
cl a&<oes et étudl:s spL-cia lcl11ent aillenag&!s:
chauffage central J etc ...
hrc 1938, les commu nes ont la I>os...::ibîlité
d'obtenir de l'Etat le remboursement des
frai~ engag~ par elle pour I ~ reli.u ~e et la
confection des registres de l'etat Cn'll.
SECRÈT.\RI.\T
20 Avril 1950
ARRËTes
CABINET DU PRÉFET
REGLEM ENT AI RES ET CI R CULAIRES
AG 14
DECRET PORTANT DISSOLUTION DU
CONSEIL MUNICIPAL ET INSTITUTION D'UNE DELEGATION SPECIALE DANS LA COMMUNE DE
MEYREUIL (B.-OU-RH.)
Le Président du Co nse il des Ministrcs,
Sur le raplxHt du Vice-Président du Con seil. Ministre de l'lntér iellr et cru Secrétai re
d'Eta,t à l'Intérieur;
Vu l es a r~icles 43 et 4~ d" la lo i dou 5
avril 1884 ;
Vu l'article 23 d'u décret du 5 novemb re
1926 ;
.Considéralnt qu'il exi::;.te au sei n du Con~
sell Munidpa l de la commune de Meyreuil
(B.-du-Rh.) des disse ntiments qui en ~ravent
la gestio n des arffa ires de l a co mmune ;
'L e Consei l ctes .M,i nislres entendu .
Décrète :
Ar ticle premier. _ Le Consei l '/'itunicÎlpal
de la commune de M ey reuil (B.-du-Rhc) est
<!issou•.
Art. 2. - Il est institu é d'a",s cette commlhrle une délégation spéciale composêe de
MM. Bou rre lly Fortuné,
Reylller Raymond"
Ba rget Antoine.
Art. 3. - Le Vice-Président a'u Conseil,
M'i nistre de 'i"lntérieur est (:hargé de ~exé
cution du présent décre t, qu.i sera publ i-é au
« Journal Officiel » de la Fél)ublique Française.
1
lt1 essic ~ rs l('s Maire~ rcccvront par ce même courrter les exemplain's de l'Instruction
Spéciale mentionnée dans la lettre ci-après :
Répu blique Française
Ministère des Finances et des Affaires
Ecoli"om'iques
fait à Paris, le 29 mars 1950.
Georges Bl.DAUL T .
Par le Président d'u Conseil des /'Ilinistres,
Le Vice·Pré sident du Conseil,
Ministre de l' Int éril!Ur.
Henr i QUEUilLE.
INSTITUT NATIONAL
DE LA STATIST IQUE
ET DES ETUDES BCONOMIQUES
P,OUR LA METROPOLE
ET LA FRANCE D·OUTRE-.r\\ER
Le Secrétaire d'E/at à ['[nlérieur.
Direction Générale
Anelné COLIN .
DIRECT ION UE L'EXPLOITATION
~~~-c ::to o c::t·------
D283
N ' 670
AG 5 b
BULLETINS ST ATISTIQUES
DE L'ETAT-CIVIL
Le Pré/et des Bouches-dll-Rhône à
Messiteurs les Maires du départem elll des BOllches.lIu-Rhône.
j'ai l'honneur de communiquer ci-llprès à
Messieurs les Maires le texte d'une lettre qui
leur est adresSée par AI. le Secrétaire d'Etat
aux Finances et qui conc.erne les nout'elles
règles d'établissement des blllletins stlliisti·
ques de l'Elal Ol'il.
2. D . 4.
Pa rb, le 7 Fevrier 1950
Il , Boul Haussmann (90)
I/\\onsie-u r le ·M aire.
En vous adre~~"an.t la nouvelle instruction
n' 3391-2D.4, du 30 décembre 1949, relati ve à l 'é tablissement et à la ~ransmisslon
des bulletins statistiques dre J'état ci\;l, por~
tant al11l1Ulatron dt! l' Instruction nO 0166/ 2-6
du 21 jan\'Î"cr 1947, je tiens à vous remercier. ainsi que le> préposés il l'état ch~k
pour l a compr éhension do.nt vou s avez fait
preu\'t' en ob~er\'ant, au "'j scrupuJeusement
que les obligation~ de votre charge vous le
�des statistiques des mariages,
permettant, les dIrectives déjà dOI!.nees pou r
l'acheminement vel\S les or ganismes statistiq ues des bulletins d'état ci,'il rédigés par
vos soins à l'occasion de l'enregistremen t de
tous actes sur les regist res de l'ét,,,r civil.
L'occasion m 'a ête donnée, en effet, de
oonsta ter une amëlioration très sensible du
régime de la colle<:te au COu rs àe ces deux
dernières années, ameüoration qui ,pe.mlet
d'assurer aux statisriques provisoires trimest riell es du mouve:nrent de la ,populatio n et
des ca uses de <k'cès d'une publicité aya nt un
caractère d'acrua lite bea ucaup pl us maTqué,
pour le ,plus grand profit des économistes,
sociologues, démogr aphes ei des organismes
sanitai res.
Dans ies nouvelles instiructions, r ien n'a
dolic été modifié en ce q ui ('oncerne le mode d e transmission auquel sont désonnais
accou t umés les services d'etat civil des mairies,
L 'Insti tut national de la Stat istique et de.
Etudes oéconomiques pris enire les exigences
des spécialistes de la démographie qu i récla,
men t des éléments statistiques aussi nombreux que possible pour procéder aux cal culs nécessa ires à leurs recher ches et le!
s"jétinns qu'implique pour les préposés à
l'état chrU l a ,production des renseignem en ts
ajnsi demandés, s'est a·itaché en réponda nt
ëilPX vœux exprimés pan les Secreta ires de
Marrie :
- à rêdu ire le nQJll'bre des questio ns po
Ce n'esr la qu'un seul exemple parmi beauCOllP d' autres,
,
Chaque question posée dans les bulleti ns
d'état civil a sa. liaiso n d'être, même s i celleci ne parait pas évidente. T oute erreur o u
toute absence de r-e nseignements dim mue
do nc ~a ,·.alen r des sta,tisl iques établies à
partir à'e ces bulletin s,
C'est di re tout n nolé-rêt qu i s'a ttac he à ce
t ra vail a'ppaTemment fa stidieux, ma.is en
réa lité ~rés importa nt, q u'est l'étab lissement
des bulleti ns statistiques dl éta t civil.
Je suis persuade qu'il aura surffi de vous
rappe ler, trop rapjdement à mon. glré, l eur
utilité po ur que vous VO liS att.achlez encore
davantage. si ,possible, à suivre avec so in
les prescrip rions de l' Instr uctio n nouvelle Sllr
rétab lissement el la ,t"" nsmission des bu lletin<; de l'état ci,'il.
Il va de soi que les résul tats statistiq ue.,
ti rés de J'exJJloitation de ces 'bull"t;"s, qUI
seraient susceptibles de vous intéresser , peu~
vent être -demandés à 'la D irecHon r égionale
de l' Instit ut national de l a Sta mstique,
Pour le So us-Secr ét ai re " Etat aux
Affa; res économiques :
Le Comm issaire de la République,
Directeur giméral de l'l. N ,S.E,é:"
Lo uis C L OSON .
sées ;
- à les rendre aussj c1a irts que poss;bll
D5 B I
afin qu'elles ne pIètent pas à confusion ;
- à les or.dnrrner suivant une succession
ra tionnelle et constante pou r ce qui concerne les diHérell ts types de bulletins,
Ces différents ,types ont ék d'autr e part,
éta l>1is SU" papier de couleur facilitant l a
recherche des UnIJrHnés convenant à telle ou
telle ca tégorie d'aoie de l'état civil.
De la mutuelle compréhension de MS tâches respectives dépendra donc l'exécution.,
pl us ou moins facile, d'une tâch e qui répo nde aussi bien a des besoin scientifiques de
jour en jour plus pressan ts qu~à des b esoins
administra tifs,
En effet, cert ai ns bulleti!J1.S d'etat cidl so nt
ut ilisés, co njointement à la reche r che statistique :
décès qui s,,"ls permettront de le fourmr ,
-------( >00 <>-------
CT 0
fIXATION DES MONTANTS DES
FRAIS D'EXPERTISE
POUR EXAMENS DE VEHICULES
ARRETE
Le Préfet de, Bouches- du-Rhône,
Officie r de la Legion d' honneur,
Croix de guer re,
Vu
1928,
tOb re
1936,
les arrêtés pr efectoraux des 9 j "",vier
29 septembre 1932, 9 ma i 1933, 18 oc-
1934, 23 novembre 1935, 18 ma rs
l i ocrobre 1942,23 ao ût 1946,22 novembre 1946, 23 ma rs 1948 et 20 nove.mbre 1948 ;
Vu les rappor~s et les p ro:position de M
l' Ingénieur en chei des M in es en d1ate du 3
avr il 1950,
- à la ge::,"1ion des répe rio ires de popuArrête :
lation par commun e de naissance (enregisA·rticle premier. - Les montants des frais
trement des nouveau-nés, radiation des déd'experti e pO ur examen' des \'ehicules de
cédés) ;
t ranspo rt ' en commun de voyageU/rs, de vé- à l 'exercice du cont rôle de5 inscri ptiOM
hicules de louage, de tr ansporls publics ae
sur les listes electora tes ;
à l'etablissement des listes des nou- 1 marchandises, de remorques, de ro ramsports
pr ivés de voyageurs et de rnaTohandises Conveau-nés et mort- nés pour les Di r ecti ons déformément à l' arti cle 38 bis, du Code de l a
partemental es de la Santé, et des listes de
Roule, il compter de la parution, d'u présent
décédés pour la Sécurité sociale,
arrê te sont fixés ainsi q u'il suit :
Les statistiq ues d'ress&es il l'aide des I>ulVéhicu les de tr.ansport" en commun et priletin s d'ôtat ci,-i l consti tuent une documenvés de voyageurs: 800 fr·ancs.
tation indispensable au Gouve nnement et à
V éhicules de lou'age : 500 f rancs,
de. ~ombre~es admin istrations pllbLiQue~ ou
prIvees.
Véhicules de t"ansporots put>l'ics et privés
de marcha ndises: 800 fra ncs,
Lorsqu' il s'agit d'accorder une aide fi nanRemorques: 400 fran cs,
cière à une catégorie de personnes ('Par
exemr le : les familles ayant au mo ins trois
Art. 2, - M, l' Ingénieur en Chef d~ Mienfants â~és de moi ns de 16 "'"5), le Gounes est ch(llrgé de l'e xécution du ,présent arvernemen t, pour pouvoi r évaluer le coût de
rêté qui sera inséré da ns le < ReC'Ueil c1 es'
cette opér ation, est obligé de connailre le
Acles Admin istrati fs et Bu lleti n des Mainombre des benéficiaires éventuels de l a merics ,.
sure envisagée.
,\\ arseil l e, le 10 avr il 1950,
Ce sont les tablea ux étabLis lors àes recensements généraux et tenus â jOllr à l'aide
Le Préfet BA YLOT,
-
D5 B I
Iloissan ce,s el
67
C'ro
En elfet, bien q ue l'exéc ution, sur Je 'Plan
MESURES DE SECURITE RELATIV"o
AUX VEHICULES DE TRANSPORT'"
EN COMMUN
médi.cal, des vaccin ations 3ntidiphtériquesantitét aniques n'",ppelle généra'iemem pas de
ARRETE
L e Pr éfet des BoucheS-du-R hône
Offi Cier, de Ja Légion df h o nn e~r
Cro ix de guerre,
1
Vu le à écre t du 20 ao ü,t 1939, mOdif '
portan t 1regl emen.t génér al SUr l a p()lice ~
~CtIfC36
" at§lOnl' et ~u r oulage, et notamment t
al .
,
er, 311nSI, conçu :
« L :int éri eur des ve lUcu'l es affectés ail>
:'7 ' ~~ pub ltcs de tra,nspor ts en COmmun
OI 'tére tdl,spoSé d e m an.ière à aSSurer :.
é
s cun e a co!"modHé d'es VO}\ageUirs > '
Vu notre a rret~ règlementaire du 10 f~
v~'er 1936, m,od lflC et compl été 'p ar 'les arr!_
tes àes 2.5 f,evn er 1942, 10 septembr e 1943
et 10 aout 1949 ;
Vu la circu lai re in tenmin istér ielle du 10
mars 1950,
I
Arrêle
, Article pre mier. - L '",rt icl e 19 de l 'a,,'ê~
reglementa tre ~'u 10 févr ier 1936 est suppri.
,mé et rempl'ace pa r le texte su iv"nt :
Art. 19, - T o'u,tes les vi t res en verre ou
en gl ace (y oom,pIOis celles des paTe~brise)
s~ront en verre de séCU'r ité n'o n suscepUble
de, prOd u"e des écl ots c(\wpa",ts en cas de
br,ls,
~es vi ~res e.n Verre. Ou en glace <tes pareIb n se dowent, en outrel en cas de bris, rper~
~ et~I1e au condu cte-ur de co ntinuer
voir
<:h strn ctement la rOlute.
Les sIibstances t r ansparentes pour pa,,br!i~ seront hOnl(}loguées dans les cond itions
prev~ es pa r arrêté à'u M i'n,istre des Travaux
PublIcs et des Transports fix"nt notammen:
les spécifi,cat ions techn iques auxq uelles elies
dOIvent ""poncrre, et la date à parti" de la,
quelle leu'r emploi exclu sif "",r~ re nd~1 Obli- \
gato.l!re.
a
L.e~ pa nneaux et g laces devr ont, dans leur
'POSit ion de fermeture, olo re efficacement les
bai es d'a ns lesquelles ils seron,t a mén~gés,
A rt: 2. - Le pr ésen t arrêté se ra inséré au
bulle!.ln des Actes Adm inistratifs du Dépar.
tement, AmpiJ atlon en sera ,adressée à At
l'Ing.énie"r en Chef des Mines, à Mt li ngénleur en Chef des Ponts et Chaussées . t à
M, le Commam<tant de la Gend amierie des
Bouches-du, Rh ône,
Ma rseille, le 15 avril 1950,
Pour le PIéfet,
Le Secréta ire Génér" j Délégué,
LAoM'ASSOURE,
-
- -- 0 0 0 0 '- - - - -
D, D S,
FS 6
REGLEMENT DU SBRVICE
DEPARTEMENTAL
DES VACCINATIONS
Le P,réfet des Bouc.hes-dlu-Rhône,
à MM, les M rui res du D épa rtement,
J'ai l 'honn eur d'aJJpeler votr~ at tention,
d'une m anière tou te panticulière, sur le nQU,
veJ arrêté porta nt règlement du service d~
.pa r temental des vaccinations dont le texte
est r eproduit ci- aprés et qui a reçu l'appro'
batlon d'e M, l e Ministre de la Santé Puhliqlle,
remarque par.ticulière d'ans un t[{>jl gr.and'
nomb re de comm unes les divers t ra~a.lI x ~d
milnistr.atifs qui Jn combent a,ux mumclpal'.tés
ne sont qu'impa rf aitement acconllpHs ou les
séa'nces de va CcÎl1'a tions ant ivarioliques n'o nt
pas lieu. Je In:~ vois, d'O lle, d.a n,s r d? ~j ga ti o n
de rappe le. qu 'en ve rtu des d l ~posl t lO'n s d e
la l oi d,u 5 av ril 1884 (ar,t, 97, al. 6) , 'les
l)Ouvoi'rs de poilee m~lIl1 c l pa l e col.n prennemt
entre aut res: « 'Le .SOIn de 'Pr'éve Ol : pa,r ,d'~s
.préca utions nécessa Ires ... les ma.l adles epld emiques ()1I con tagi euse..~ au 'I>rem.ler ra ~ g <l esquelles f i aur" n! ,l a varIO le, l'a à lp htért e et l e
tétan os Les v.accin ati ons contre ces mal adies ~ n t prescr i tes respectivemem paor les
articl es 6, 6 ,bis et 6 ter de I;a loi, du 15 février 1902 mod i fiée ct dont 1appli cation sur
le plan comm unal appar tient , aux ma,ires,
Daos ces conditions, l'exéoutlon des <lIve,.;
travaux administra1ifs ilTcombe aux mlJlOlCIpaJités, C'est ai nsi qu 'il c~nV'ien.t de note·r
plus partiet>li èremem les arh cles 5, 7, 1l , 12,
13, 14,20, 21, 22, 25, 26 et 27 du règlement
d'o nt il s'agi t qui oomprennent des :prescn pti ons et recom!T:'andations rel atives à ces tâches,
Les va ccinations anti var io liques fo!nt ,J'objet de ,l'a rticle 7 qu i rappel'Ie I:ex istence ,du
déc,ret du 27 jUI J.J et 1903 rel ati f a,u service
de l a vaccine, Ce te xte contenan t l 'ensemble des indications néce ssai res à l a ten ue
des séances de ces va ccin ations et a1llX divers tr av,au x q ui s'y rappo., ~en t , il n'a 'Pas
été ju'gé utile de le développer. Les vaccinat ions anti vari oliques ne se pl'a tiquemt, pourtant, qu'en un ,t rop ,petit noml>re die commlmes. Il est, cependant, indispensa'b!e de
.protéger cO Ill~re une maJadie sévère wn, dépa'r,tement qui oomprend des ports et u"' terrai n d"aviat ion la r aement ouverts awx Jtalsons avec des régi~ns où l a var :-ole sévit à
l'état endémique, C'est pourquoi il est indJspensab1e de t enir 'Pap an au ro()ins une séance .de vacCÎ"naJtion et unc autre de révision.
Ces réun io ns devron.t ('~re organisées par VO:<i
soins en acco·rd avec l e médecin vaocinateur
de vot re CO tnrrlll11ne. L 'ét1abl issement des l i st e~
d'assujet t is, ,l a puhlicité de..~ séances, la t m nsmissio n des 'résu l tats des opératio ns coosi glnés Sur ces '1"istes in combent également aJux
munid palités q ui doivent fo urnir Je lpersonnel
nécessaiI'e aux travaux de seoréta ri at. A noter qu'.il y a l ieu de fa ire tenir, saIns t.aroer ,
« M, l e D irecteur D épa rtem enta l de la
Santé, 66 a, r ue Sai nt-SébastieIll, à Marseill e >, Iles listes de vacc.i nation dûment com.pIétées d'ès que l a dernière séall1ce de révision a eu liel!.
Les ar ticles fiO"urant au titre III concernent lf\u ~ 'pa rt i c~lièl'el11ent ,les \'accinations
antidiphtér iq ues et antitétani ques. Bn l'absence en ta m 3l ~ i è r e d' un décret comparable
à celu i d,u 27 j uill et 1903 re l atif
l a vaccination 'antiva ri ollique, les disposit ions Qui y
figure nt compo rtent les délai'is de l 'o rgan isati on des séances et des opêrations Qui s'y
rapportent. Ell es ""nt, d 'a il :eu'rs, direotement
inspirées <\' u'n r ègleme nt-ty,pc établi ,pa r les
soins du tMi nistère de la San té Pu blique
P<lu r l' a'pplicatiol1 des lo is des 25 juùn, 1938
et 24 novembre 1940 qui onl respectivem ent
"iouté à la 'loi dlu 15 fevrier 1902 les articles
6 bis .,t 6 ter rend ant obligatoi res les vaccina tions antid iphtérique et antitétanique. De
plus, la loi du 7 septemb re 1 94~ modifiant
a
a
Vu l'av is de M , le Ministr~ de l a Santé Publique "" date d u 7 fév rier 1950 ;
V u l 'avis favorable de M , le Directeur dépar temental de la Sa nté ;
Sur l a proposition de M, le Secr étaire Générai,
Arrê.e :
Articl e premier, - Le Service départemental des vacc in·.ations est chapgé de procéder
aux \'accirnalions p ubÎlq ues obligatoi res pour
la ,prophylaxie des ma ladies wntagieuses, Il
peut être éga lement chargé de pratiquer , à
J·a demande des intéressés, les vaccinations
facul taJ:ives,
à SOn to"r l'art icl e 6 'bis précité a, notamment, ramen-é l'âge de la vaccinatiatl arllidiphtér ique obliga toire entre le douzième er
le dh -hLLitième mois, et I) récisé que les par ents ou tuteurs sont tenUiS personnellement
die Iladite mesure dOllt j ust i fi ca tion devra être
fo urnoi-e lors de l'admission dans toute école,
garderie, colonies de vaca nces ou autre 001.Iectiv ité d' en~a n ts, L'é tablissement des listes
d'assujettis, l a mention des rprécis ic)'O s CoOl ~
plémentaires qui do iven t y fi gu!rerlo la publi·CÎI;,é des séances et la t r ansnlission des r ésul tats de celles-ci sont clu r essor t de l'activité rnIl1'ni ci,pa'le, IL/artiCle 2 1 d'u règlement a
I>lus spéci'alement t rait à t'étab lissement d'u n
fichier des vacci nations, Cet ouvrage est appelé à fac ili ter 'l'é tabl issement correct des fiches de vaccination. II ne pouna être normalement ent repr is que l orsque vous aurez reçu, par mes so: ns, les im primés qu' il doH
comprend re.
L'applicat ion aes articles 26 et 27 doit
fournir les élémen ts de base à l'établissement
<fudit fj~ h ie r et des listes à 'assujettis, Ces
dermères ne doive nt pas Hre envoyées à l a
D irection de la Santé avant d'avoi r été com,piétées. par l' indication <les vaccinations opérées et éverutuellement, des observa t ions auxq:uelles ces opérations ont don né lieu,
L'a vac6nation antityphoïdique est ob ligatoi,re en cas d' épidémie. Il est reconunande
de la fa ire da ns la -deuxième enfa nce soit
isol ée soit associée à la va-ccmi3tion an~idiph
tér'iq u'e si celie-ci n'a pas été p rali..iquée.
Les divers jmpr;més à util iser pour l'appli1 cation des 'prescriptions
du présent ar rêté
tels qu'affiches, fiches de vaccl.n ation, listes
d'assujettis, ca rne ts de vacC'Alati? n, vous seront adressés bienl. ôt. Dès malOtenant, 1er.
deux derniers types d'impr imés sont à votre
dlspositio·n. A noter que, do r énavant, seules
les listes de vaccination et les inten::alal.res
portant l'indication en (]>etut caractères
« Préf. 3025 » doivent être utilisés pour ,les
vacci natio ns antidi phtériqtues-antitétanlques.
Je crois devoi r vous pr ier de bien VOUI?lr
vei ller à l 'application compl ète des prescnplüons du r èrrlem.en,t ci-après qu i est indispenswb'le à ta ~l3.fche eOl"'fecte du se rvice dépa rtemental des vacci:na tioll::;.
Le Préfel " BA YLOT,
T ITRE P,IŒMIER
Personnel
Arf. 2, - La di rection et le contrôle de
son fonction nement sont conf tés au directeur
départemental de la Santé,
Arl, 3, - Les médecins chargés des vaccinations et des examens 1Jl'édicaux préalables SOM nommés par le Préfet, après avis
du directeur dëpar tem ental de la Santé, pou r
une durée d'Iu'n aln ,
Art. 4. ~ Ces medecins vaccinateurs ont
l'entière respon sabil'i té des examens préalables. Ils sont assistés, dans ces opér ations,
par des auxiliaires techniques choisies Iparmi l e perso nnel "épartemental de la Sa,, ~
et désignées par le Préfet sur' proposition du
di recteur départemental de la Santé,
Art. 5. - Ils son t aidés} pour la te nue du
secrétariat des séances de vaccin3ltions, pa r
des eml)loyés rrunicipaux désignés 'par les
mai res intéressés ou par ru n agent de la direct:or. départementale de l a Santé lorsqu'elles ont lieu dans les locaux de celle-ci.
Ar/. 6, - Des arrêtés préfectoraux fixen:
le m0ntani des \'acations qui sont allouées
aux médeckll,s et a l eurs auxiliaires ainsi Que
les conditiion'S d'indemnisation de leurs fra is
de dépl"cement.
TITRE li
V(1 cc inal k) ll ~
an tivarioliques
Arl. 7. - Les vacejnatio n$ an t iva:rio liqucs
o;o nt îbli gatoires et eficctl1ées dans les conditi ons de l'article 6 cie la loi d·u 15 février
1902 et du décret du 27 jui llet 1903 susvisé,
Elles sont org~n,isées par les médecins var:ci n ateur~ qui doivent teni r, par an et dans
chaque C01l1ml1ne, au moins une séance dl!
vaccination,
•••
AHRETE
PORTANT REGLEI\®NT OU SER V ICE
DBPARTEMENTA'L
DES VACCINAT IONS
TITRE: III
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'honneu r,
Vu la loi du 15 fénier 1902 r el ative à la
'protection de ,la Sante Publique, notamment
les 'artiales 6 6 biS et 6 ter ;
Vu la l oi
25 juin 1938 rendan t ob~îgatoire la vaccination arn.ti diphtériQ'lIe.;.
Vu la loi du 24 novembre 1940 IllstitlJan
1'0bli O"a tion de la vacci nation antit~taniqtle
associée à la vaccination 3111t<id i p hté.flq~e
Vu la loi du 25 novembre 1940 ms,]tu'ant
l'obl igation de ,la vacClnalion anhtyphop~:a
typhoïdlique dans cerotalnes clrconstanc;s ,
Vu le Mcret dn 20 aoO t 1941 >'Ur l organisa tion du sen·ice de la vaccmahon· ;
Vu l'arrêté mi,"istériel du 10 septembre
Iq41 modifié ,pa r cehli du 20 decemb re 1948;
" Vu l a loi du 7 septembr e 1948 porta ni
modification des arlIcies ~ OIS et 27 de la 101
du 15 février 1002 susvisee ;
Vaccirzatiofl;> allt:rliphtértques et antilétaniques
Art. 8. - La vaccination antidiphtér ique
antitétanique comporte .une série de tro~s
inj eo.ions sous-cutanées ~pacée s de 15 jours
et lIn ~ injectio.n <lite dc rappel qui est faite
un 311 après.
Art 9, - Les règles techniques de J"imm,unisatiol1 par inj ections, ainsi que les Contre-illdicat ions permanentes ou temporaires
sont fixees conf()rmément il l'arr-êt:é min rstéric l du 10 septemb re 194-1 et aux instructions
annexes de cette c1ate et du 28 détembre
1948.
Arf 10, Les seances de vaccination
~t
du
j
antidÎphtérique-antitétaniq~e son~ o~gan isées
j
de n"nière il ce que l'immunlsaltoll des
enfa nts ne soùr pas eHectuée a\'ant le 12e
mois 0\1 après le ISe de leur âge,
Arl, II. - Le tableau des lieux et date~
des ,,~n nces de "acci'latîon an tidiphtêrrque-
(
�oS
tétanique sera dressé .ous les deux mois par
a rrêté préfeclOIal. Il sera porté à la connaissance <lu public pa r les maires p3J' touS
moyens de publicité dont ils <lisposenJ ei ,
notamment, par l'affichage aux place. rese.rvées à celui des a,.is officiels. Il y sera faIt
mention des obligations qui incombem
au~\.
parents et aux tuteurs et des pénalités qui
sont appelees à sanctionner l'inobseryatton
des prescriptions légales et règlementalTes
se rapportanot à cet objet.
Art. 12. - Les locaux où ont lieu ies séances de vaccination publique sont mis à la
disposition du service dépaMemental des vaC_
dnations Ipar les maires.
Ils doivent être 'propres suffisamment spacieux, éclai rés. aérés, convenabHement chauf-
f.és, non encombrés et ne recevoîr, d'ordinaire.,
Que des personnes sai nes. Leur surveillance
appartiemall directeur, départemental de la
Santé et aux médecins vaoclOateurs.
Les maires doivent prêter leur COncours
au directeur départemental de la Santë poUt
faciliter le choix de ces locaux et m!aintenir
ceux-ci eru état saJtisfaisant de propreté et
d'entretien.
Art. 13. - Les parents ou tuteurs sont
tenus d"envoYer ou d'accompagner leurs
enfants ou pupilles aux séances d e vaccina-
tions obtigatoires. Les assujettis adul;es sont
tenus de sy préseonter. Tout cas d'empêChement dû à la matadie do it être justifié par la
production d'"" certificat médical.
Art. 14. - Som dispensés de se présenter
à ces mêmes séances :
l ' Les assujettis qui, ayant été vaccinés
pal" Urt médecin de leur choix, ont remis à
la mairie avant la seance, un certificat dêH\'Té par c'e médecin et indiquant la naTUre du
,'accin ainsi que les dates et les doses des
i njections ;
2' Les assujettis qui peuvent justifier d'une
contre-indication actuelle, définitive ou tempo ra ire, par un certificat médical qui doit
être remis à la mairie avant ta séance
Art. 15. - Un examen médical ,préal",ble
est pra toqué immédiatement, avaTl't la pre;mière séance, SUl" les mmeurs ou adultes a
vacciner, s oi t 'Par le médecin vac.cinateuI
",it par le mé decin désigné, à cet effet, par
le prefet.
Cet examen devra être détaillé et compor:er obligatoirement un bilan somatique de
chaque sujet et une analyse d'urine en vue
de la recherche du gl ucose ou de l'albumine.
Il sera ren o uvelé avant l'injection de rappel.
Les intéressés peuvent être dispensés ac:
cet examen, s'ils sont po rteurs d'un certifi cat
médical datant de moi ns de 48 heures et indiquaTl: l'aptitude à la vaccination.
. .
S'il conclut à l'inaptItude à la l'acclnahon,
le certificat médical précise le ca ractère définitif 011 temporaire de la contre-indicafon,
Dans ce demie!"' cas, la durée de celle-ci ne
devra pas dépasser un an.
..
Les sujets ,pour lesquels la vacclnaJtion aLLra
été différee feront l'obj et de séances spéciales de vaccination à moins qu' une séance
or dinaire ne se tie n~e, avant la fin de l'année,
-
tenue du fichier de vaccinatio n, tous autps
él éments d'infonnatio n, nÛl~amment ceu~ q~i
vocation des irutéressés à la visite médicale
or aaniset: à J'oocasion de l a prochaine séance
de" vaccination. Selon les .esultats de cette
visite les intéresses sont so umis à la vaCCI-
lui seraient fo urn IS par les ruvers établisse_
ments relevant de t a uto r ité sanitaire et <te
l'ense.g nement pu blic ou privé,
Les dates des dive rses vaccinations $Ont
me ntio nnées s ur l a fi che de ohaque s UJe
nation ou en sont dispenses définitivement
QUI temporairement.
Art. 17. - Le prefet peut, SUfl propositio n
.<
qu'j l SOIt vacciné en séance publique Ou pal;
lUI médecin <i.e son choix,
Si un su~e t presente tUlIle cont re-i ndication
directeur departemental de la Santé, pr,,"
crire i13 convocation lfun ou plUSIeurs aSStf ~
lettis aux \o~acci:na tions IPOur l ' execu tion dl.:
\~i sites de contrôle effectuées en pr-ésence oe
celui-cL
Art. t 8. -
soit défi'lli tive, soit tempora ire, il eOi est lait
mention s ur Ja fiche de l' in té ressé en 'p recl.
sant la d u'rée de la co ntre-i nd icatio n qu and
cell e-ci est tenlPo raire.
Lo rsq ue l' un des ass ujettis a ch~rugé de
rés idence, le maire de la commune de la nou-
Les paTents conservent la poss'-
biJi:ué. de taire vacdner leurs enfa nts alU cat)1~
net du médeci n librement choisi par eux,
Dans ce cas l e paiement d..es hono railres est
à la charg; des pa'r ents q~i
ve!:e résidence repo rte sur le fichier des vaccinatio,ns de sa comm une l es m entions inscri-
honorent le
médecin co.1formément aux regJes ordilnal re:,
tes SI" la fic he établie da ns la COmmune de
l'ancie nne résidence.
de la c1ien,tèle et, éventuellement, à celles qui
sont applicables en matière de Sécurité Sociale,
Arl. 19. - Les sujets adultes et les par"n :';
et tuteurs cre mineur~ n'ayant pas satisfait
Em ce qu i concerne l es vaccinations pratiquées su r un sujet séjou'rnant temporalrr:_
mellt d'ans une comm une, de ma ire en donne
avis à la mai r ie de la résidence h·acbituelle
en vue de l'i nscr;,ption s ur la fiche de l'in.
aux obliaations de la loi OUI des règl.Jements
d'application som in\tités, par le service départemental des \rdccinations à s'X conformer
dans un délai qui ne l'eut exùeder la date
de la prochaine séance de vacci n a~io n orga-
nisée da ns la commu ne de leu r .ésldence.
Art. 20. - Au co urs de chaque séance
de vacdnatio n, le nlpdecin
~n scrit,
sur 'les
listes des assujettis dont il est ques tion à
l'article 22 et en regard cfu n<>m de chacun
d'eul)( :
- soit la vaccination pratiquée (natlrre du
vacci n, date de l'opératio n s' il y a lieu, dose
du vaccin injecté par l e ,médecin vacoi nateur
ou pa r le médecin de la famille) ;
-
SO~l
la contre-indication temporaire ou
permanente.
li porte ies mêmes mentiOO15 sur le -carnet
de vaccinatoon de t'intéressé.
A la fin de la série des injections vaccinales, il mentionne.., Slfr 'le camet de vaccInation ou sur le carnet de santé individuel,
la mture et les doses du vaccin employé et
les dales des injections pratiq ué es.
A la fin de la sér ie des Vl3cdnations, ill
remet les deux exemplaires des listes comp;etées, ainsi qu'il est indiqué ci-dessus, au
ma ire q LLi se sert de l' un pour la tenue ct"
fich ier de vaccination et ad resse l'a utre au
préfet sous le timbre c Direction départementa le de la SaTJté •.
TITRE IV
Fichier et Listes des Vaccina/;ons
Ar/. 21. - II sera tenu, dams ch aque commune, un fichier spécial dit « fichier des
vaccina/ions • . Les fiches qui le composent
sont établies au nom de chaque enfant, de
quelque nationalité qu 'il soit, q ui est né dans
la commune ou qui vient y r ésider Ou y séio""ner pendant ,plus de trois mois,
Elles sont remplies, so it dans ,le mo is de
J'inscription sUlr les regist res <le Pétat-c ivil,
soit dans les huit joul!'S de la déclaration que
sont tenus de faire, à la mai rie de li a nou-
dans la commune intéressée.
Art. 16. - Lorsque le nombre des assuiettis pour lesquels ont été ~résentés des ce~
ifica ls méd ,caux concluant a l'IIIaphtude definitil'e ou temporaire à la "accination a tteint,
Elles prennent place au fichier dans l'ordre
des dates de naissa nce des enfants qu'e lles
dans une commune, un pourcentage excessif,
conce rnent. Jndépend amment des inscr-iptions
le préfet peut. sur propo,sition du directeu r
départemental de la Sante. presenre la con·
sur les registres de l'état-civil et des décla ·
veIJe résidence, les parents, ruteu rs ou ga rdiens de tout enfant qui vient séjourner cLans
une commune pendant plus de trois mois.
rations des parents, le maire utilise, pour la
1
69
vaccin 31tio n comprendront l es 'Iloms des personnes domici liées dans l a comm une int.eressée o u y résida nt, qui so nt âg6es de 12
mois alLl moin ,
Le s ujet ,,'est rép uté avoir satisfait à l'obtiaatiollo cre la vaccination q ue s'i l a reçu la
;erie complè te .ct'es i nje1..,. ions vaccina les dont
le nombre va r ie suiva nt ,l'âge dlu sujet et
te vacci n employé,
Les da tes et le.s doses des injections ainsi
que la nature du v~cci~ sont ment ionnées
sur le .ca rn et de vaccllnatlons ou sun le ca l ~
net de sa,nté individu'el par le médec in-vaccin ateur,
En cas d'e.pid,émie, 'Ulne i njeotion de r3!ppe l
pourra être re n~~e obl igat,oire par ar rêté
pris sur IproposLtlon du directeur départe-
menta l de la Sa nté.
En même temps que La va cci nation antity-
phopar,atyp hoïdliqu e, la vaccinatio n antid iph'1 érique et antitétan iq ue est pratiquée au
moyen dun. v~cc~ n assoc,ié ~ h ez t? lI.s I ~s
sllIjets ass'ule1tls a ,l a vaCCin ation anhdlpht.e-
rique-antitétan!q ue . et chez les enf..n,ts. fré-
te ur Départemental de la Sa"té, M. rInspec.
,~e u " d'Académie et M'M. les Mai res du D~
partement sont chargés, chacun en ce qu i le
concerne, de t' exécutio n du présent arrHé.
Marseille, le 9 mars 1950.
Le Prefet
BA YLOT.
- --
- <» 00 .:; > - - - -
D. D. S.
FS 6
MEDECINS AGREES POUR PRAT IQUER
L ES EXAMENS DE RADIO EN VUE
DE LA DELIVRANCE DES CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET PRE NATAUX.
.
ARRETE:
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de l a Légio n d' Honneur,
V u l'ordonnance n" 45-2720 cfu 2 nOvembre 1945 sur la protection maternelle et
infa ntile ;
Vu l'arrêté du 15 avril 1946 de ,M. le
,"'inis tre de la Santé P llblique et de la Po-
téressé,
Art. 22. - Au vu du fiohie r de vaccination, le maire fa it procéder au début de ohaque arunée à 'l'é tab lissement. en d.ouble exemp lai re des listes des a ss uj ettis a ux vaccina.
ti ans anti variol iques œune part, et de l'autre,
a ux vaccin ations a ntidiph tériques et antitétani.q ues.
Ces listes ainsi q ue tous des imprimés n€ces.
saires Ilui sero nt envoyés en t emps utile 'Par
le d irec te"r dlépartemental de la S ",nllé,
Les listes an nue lles des assujettis à la vac·
cination antidiphtéf'iq ue et antitétanique sont
etablies par le mai re suivaflt deux modèles,
l'u n serva nt à la série des trois Ipremières
injections, l'aJUtre, à l'injection de r<lippeJ.
La liste du premier modèle compren<t les
noms des enfa'nts ayant -au moins 6 mois
et a u pl us 18 mois à la dare du 15 ma rs el
ceux des e nfants plus âgés qui, par suite
d' une con tre- indic3Jtion temporaire ou pour
to ute a utre raison, n'ont pas reçu les 3 l're,
mières injections,
La liste du deuxième modè le compren<f les
noms des e nfa nts aya,nt a u moins 6 mois et
a u ,plus 18 mois à la date d u 15 "'a:rs et ceu<
des ,,",fa'nts p lus âgés q ui , ,par suite d'une
cont r e-ind ic3!iion tem por airre ou pour tout
autre motif, n'auront pas reç u l'injection de
rappel.
peuvent établir, par la 'Production die leur
ore 1946, fixant le mod èle du certifi cat d'exa-
carnet de vaccination , qu'ils o nt déjà bénéficié de l' une et de f'auut re de ces vaccinatio.ns,
men médi('al
T ITRE V
Admission dans les collectivités d'enfants
Art. 23. - L'a<Ù)1i sslonl dans les collecn·
vLtés d'enfa nts (crèches, pOlu'ponni ères, garder ies, écoles. co l():n~es de vacances, IpréventoftÏums, tou s ét ablissements ,prÎ\rés ou pllblics) est refusée aux mineurs qui ne peuvent
presenter Uil ca rnet de vaccination ou un
certificat attestant qu' ils se sont confo nnés
aux prescriptio ns des lois en vrgueur sur les
vaccinations,
Ulm enf.a nt n'es t rép uté avoir satisfait à
Jloblig-ation de l a vaccination antidipt~ rlqu~
antitétaniq ue que s'il a reçu la série des trol~
p.em,ières 'injec tions et l"njection de T'ppe.
TITRE VI
Vaccinations antit)'phoparatyphOidlques
Art. 24. - Ces l'aeei nations peuvent êlre
rend ues obli ga to 'res en cas d'épid émie ou
de menace d'épidémie.
.'
Ite
Uans ce cas, les listes des a5-'''llellls à ce
TITRE VII
A,nt. 25. - A titre transitoire et ju squ 'au
31 décembre 1950, les enf ants ayant atteint,
a u co urs de l 'année 1950, 'lIll àge compris
entre un ,an et 14 ans et qui 'Ile ,peuvent ëta!Jli r qu'ils o nt béméficié de la vaccination
antidi phtérique-tétaniq ue recevro nt la série
des 3 Ipremières injections réglementai res, Ms
subiront l 'i njection de rap~l un an après les
premières injections,
Pour l 'établissement des fi chiers au cours
de l'annn.ée 19501 il sera tenu compte~ outre
des na issances enregistrêes dans la commune
intéressée, des décla ra:ions faites confo rm é-
Vu la circul ai re ministérielle
Il ''
146 <lu 5
jou,in 1946 ;
Vu res avis du Conseil D épar temental de
l'O rdre des ,"'édecins ;
SUlr la Iproposition de M . le 'Directeur Dé-
,partemental de la Santé.
Ar rête :
Article premier. -
A1. It" dodeur Jauffre:
Pierre, demeurant à Marse ille, J4, avenue de
la Petite-Suisse, Beaumont-Saint-Julien, est
agréé po ur pratiqller les examens radioscopiques en vue de la délivrance des certiii cats
prénuptialLx et prênataux,
Art. 2. - M. le Secréla ire Général de la
Préfecture, M. le Maire de la Ville de Marseil le et M. le Directeur D épa rtemental de
La <féc laration f'ait con'naître s i 'l'enfant.
été sau,m is à l 'une des vacci nations obliga-
- - --<» 00 <:..0- - - -
l'enfant sera, suivant son âge, soumis aux
vaccinations obl igatoires.
Art. 27. - T<l ut direateu r d'école ,publique
Ou privée adressera, dans les trois mo is ~
la mai rie du s iège de l'éco le, 'une déclaratIon faisant connaître l es enfL'ltIllts fréquent,a nt
l'école q ui n'ont pas encore bénéficié des
vaccinatio ns obli gatoires.
, Un d u pl i~a t a de la "éclaration se ra envoyé
a la préfectu're (Directio n Mpal'te mcntaIe (le
la Santé).
, A:t, 28, -
Iles en,fants qui aUlront fa i t
1obJet d'u ne déclaration devront être soumIs
aux 1,IIaccinations obliO'atoires ayant l a fin de
l'année 1950.
"
A r t. , 29 , - Toutes disposiltions contrat re:,;
P!escntes 'Pa r des arrêtés prHecloraux ant~
rieurs sont ann ulées,
pArt. 30. - ,M. le Secréta ire Généra l de la
réfecture, MM. les Sou. -Préfet. , M. le Di rec_
Sim éon Pierre, 242, avenue de Toulon, â
Marseille.
Ar/. 2. - M le Secrétaire Géné",t de la
Préfecture, M. le Mai re de la Vil'le de Mareille et ,"'. te Directe..,' Départementa~ de
1a Samt<\, sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exécution du présent arrèté,
Marseille, le 12 Avril 1950.
Pour le Pr-éfet,
Le SIXrétaire Général délégut,
LAMASSOURE.
----~~ooc>----
La Santé sont chargés, chaCun en ce qu i le
concerne, de I~ exécution d'u présent arrêté,
A défaLLt de ,prod'uclion de ce certificat,
,\\,,,,. les docteur. :
Clément Alfred, 344, al'enue du l'Irado, à
Marseille.
,Fecci Ro ger, 6, rue Antoine-Maille, à Marseli le.
Senez Jea n, 6, rue de la Rotonde, à Marseille.
av'ant le mariage ;
Vu l'a n·êté d'u ter juin 1946 ;
ment aux ar ticles ci-après,
Art. 26. - Les parents ou tu te urs de tout
mi11eu r assu~etti aUiX va.ccinations obligatoi~ sont ten u de déclarer, darl1lS un délai de
deux m'Ois après r'a publ'ic31tiol1 du Iprésent
arrêté, à ,la mai rie de leur résidence , le lieu
de cette résidence,
toires,
Dans le cas de l'a ffirmat ive, il )r est joint
un certificat médical i '1ldiq ual1lt ta nature, la
dose et la d.. te des injections reçues.
les noms suivent, sont agrées pour pratiquer
les exameJl6 de radio ~n \'u.e de la dêllvrenœ
des ce rtifica'is prénuptia ux :
pulation et les rec tifIcations ' parues aux
jounnaa llx offici els des 10 mai ei 15 septem-
quentant un etabhssement scolaire q UI ne
Dispositions transitoires
ARRETE:
Ar/lcle premier. - MM. tes Médecins dont
Marsei lle. le 5 Avril t95O.
Pour le Préfet,
Le Secrét aire Général délégué,
LAMASSOURE.
DI B2
P 8
NATURALISATIONS
Effets juridiques sur le droit à la nationalite, des mesures administratives
prises en vertu de la législation relative à l'entrée et au séjour des étrangers en France,
Le Prefet des Bouches-du-Rhône,
il M. le Sous-Préfet d' Aix-en-Provence,
le Sous-Préfet d'Arles,
les Maires du Département,
le Directeur départemenlal de la Sante,
J'attire vot re attention .sur
la circulaire
n" 1 t3 de AI. le Ministre de l' Inté rieur dont
vous trouverez cD'pi e ci-dessous :
Au x ,termes des articles 4(), 50, 58, 65, 7ï
et 86, para graphe 1 du COde de la Nationali té, l'a cquisition de l a nationalité française es t refusëe, d' une man ière absolue, aux
étrangers faisa nt J'objet d'un arrêté d'expuJ sioo ou d'un arr~té d'a ~ ignation à rési -
dence > employé d ..ns les a rticles pr~cites .
fo rm es où il es; intervenu.
Je crOIS utile, compte tenu des observations
FS 6
qu'il m'a été donné de faire, de vous préciser
MEDECINS AGREES POUR PRATITIQUER LES EXAMENS DE RADIO
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIfICATS PRENUPTIAUX.
dence ». employé dans les articles précités.
SERV ICE DEPARTEMENTAL
D'HYGtENE SOCIALE
ARRETE
Le Préfet cles Bouche ·-du.Rhône,
Offi cier de la L ~g i o n d'Honneur,
Vu l'ordonnance 11 (1 45-2720 du 2 novembre
J9.t5 sur fa Proteoi ion A\atel1nelle et I,nfan-
tile,
Vu l'a rrêté du 15 avril t946 de M. le Ministre de la Santé Pu bliqu e et de la Population et les rectifications paru es au x Jourl1~U.x officiels des 10 mai et 15 septembre
1946, fixant le modèle du certi,ficat médica l
avan t le m ar iage ;
Vu l'arrère du ter juin t946,
Vu la circula i re ministé r ielle n" 148 du
6 juin 1946,
Vu les avis du Conseil Départemental de
l'Ordre des Me decins, s wr la proposition de
M. le Directeur
rtemental de la Sante.
j'interprétation juridique, qu'il convient de
donner au mot 4;. ~rrè té d' assignation à résiSeul. l 'arrê té d'assignaltio n
à résidence,
pris en application de l'article 28 de l'Ordonnance du 2 nOI'Nr.hre 1945, relative à
l 'entr~e et au sejou r des ~trangers en France,
peut avoir pour cOJlSéquence juridique de
paralyser l'exercice du droit à acquisition de
la nat~ onalité fran cai se, Ne oeut donc lu i être
assimilée, en aUCun cas, tOlll!e autre mesure
administrative et notamment l' interdiction de
résidence dans certaine s circonscriptions
territoriales dlé ternlÎollées, rp rise par simple
~imitation de la vali di té territoriale de titre
de seiour ou même par arrê tê, confor.J1l'oément
aux dispositions de L'article 2 du déc ret du
t8 mars t946.
Vous voudrez bien, en co nséquence, d.c'UlS
vos commun ications, éviter désormais toute
confu ion entre ces deux catégories de mesures et bien préciser lorsqu'il est fa,t état d'un
a rrêt~ d'assignati on à résidence, qu'il s'agit
d'une mesur~ prise en application de l'articl e
28 de t'Ordonnance d;u 2
bre 1945.
�-
j.
.j
P 8
Dl B2
NATURALISATIONS
A. S. délivrance des cartes d'identité
française aux étrangers naturalisés,
autorisés à franciser leur nom.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
il M. le Sous-Préfet d'Aix-en-Provence,
le Sous-Prcfet dArles,
les Maires du Departement,
le Directe-ur Départemental des Services de Pobce.
j'altirc votre atte ntion su r la ci rculai n.;
n" Ilù de M. le ,\Iinistre de lï"ter ieur dont
vous trO U\fere-l. {:opie ci-dessous :
Le5 étrangers qui acquièrent la nationalite
française et au..xqu-els la possession d'un nom
difficile à prononcer est sU5Ceptible de cau~e-r
une Il'éne t:-\'idenie à leu r intégration rapide
dans ~Ia Communaute Française . .peuvent, en
application de l'articlle ~ de l'Ordonnance
du 2 décembre 1945, être aulonses par de
décret même qui leur confere notre nationalité à donner à leur nom patronymique une
for~e franCÎsee. Les intéressés ne veuvent
néanmoins legale 1ent porter d'a utre ,nom
Que ~Iui qui résul te de leur acte de naissance, auss.i longtemps que la rectification
des documents d'êtat-<Î\'i1 les concern ant n' a
pas été- ordonnée par le Tribunal Civil COIl1petent.
Le rappel de ce derr,ier pri ncipe m'apparaÎt d'autant plus néCESSaire que de lTlombreuses déchons de justice sont in\tervenues
récemment pour refuser d'entériner cer1'aine s
francisation de noms.
Vou s voudrez hien, en conséquence, donner toutes instr uctions à vos services 'pour
que la carte d'identité f ran çaise, délivrée
aux naturalises au torisés à franciser leur
nom, ne ~t:: ê-tabtie a leur nouveau nom
qu'au
l'U
d'un
extrait d'a cle
d'état-civil
dam ent rectifié. Si cette p ièce ne peut
produite .par les requ érantil est
entendu qu'il est toujours possible de
déliner une ca rte d' ~dentité française à
ancien nom.
-- ~-c:too
ètre
bien
leur
leur
> - --
SC 7
D2 B3
INSPECTION DEPARTEMENTALE
"ES SERVICES D'INCENDIE
j'ai l'honneur de porter à la connaissance
de hUI. les Mai res et Chefs de Cor ps de
Sapeurs Poompier"-, les zones d'acti oo dévolues
aux
Inspecteurs
Départementaux
.adjoin1s titulaire Ou faisant fonctions.
Le:; zones sont détermi nées comme CÎaprès :
A. - MA RSE.I LLE. : 1nspeeteu r D épa rtemental adjoint, M. Trimaille, du bataillon de
Marins-Pom»ie rs. Téléphone: NA 43-15 et
56-70,
Mar eille, Aubagne, Allau ch, Cassis, Carry.
le-Rouet, Ceyreste, Châteauneuf- les-M<1rtiQ;ues, Cug~~, Ensiks-Ia-Hcd noe. Gémenos,
Gin-nac-Ia-Nerthe, La Pennt'-sur-Hu\'caune, L~
Ci~tat Les Penne:-;-Mirabeau, Le Rov~, Manrrnane' J\\ar~i"'ues, Pian-de-Cuque~, Port-<C1eBouc 'Por _S:int-LouÎs-du-Rhône, Roquefortla-Bodoul;, Sausset-les- Pins, Septèmes-l sVallol1s, Saint-Victoret.
B. _ AIX : Inspecteu r Départemental
a<ljOlnt, M. Carbonnel. Të1. 18-22, AIX.
Aix, Au'riol, Beaurecueil, Belcodèoe, Bou-.Bei-AIr. Cadolive, Cahriès, Châteauneuf.-IeRouge. Eguilles, fm:ecru,. Gardanne, ? r easque, jouques, La BOUIlladIsse, La Destlousse,
Le Puy_Sainte-fieparade, Meyreurl, lI1eyrargues. .Mimet. Perp;n, Plfyrolles,. P~ynler, Puyloubier, Roque\'aire, Rousset, Slmmne-Collongue, Saint- Anl!()n.in, Saint-Marc-Jau megar~el
Saint-Paul-I ez-Duraoce,
Sa~nt - Savourmn.
Tholonet. Tre1s, Vauvena'rgues, Venelles.
C _ SALON : Faisant fonction d' in pecteu'- départemenlal adjoint, M, Pasquet. Téléphone 2-67 Pompiers; 2-11 , PasQuet (heures
ouvrables).
Salon. Allein:s, Aureilles, Aurons, Berre.,
Cha rleval,
Cornillon-Confoux,
Eyguières,
Fos-sur-N\er, Grans, Istres, Lamanon, Lanl besc, Lançon, La Farc-Jes-Oliviers., La Barben, La Roque-d' Anthélon, Mallemonr, Miramas, l\\OUrles, Pelissanne, Rognac, . ROlg,nes,
Saint-Chamas, Saint-Cannat,
SaInt-Mitre,
Saint-E.stève-janson, Velaux , Ventabren, Ver.
nègues, Vi tro:les.
D. - TARASCON : In specleur D epartemental adljoint, M. Mill ~r. Télriph. 225 Tarascon. 112 Tarascon.
Tarascon , Arl es, Barbentane, Boulbon ,
Cabannes, Chateaurenard, E.ygalières, E.y ra r gues, Fonh'ieille, Graveson, Les Baux, Maillane, Ma -Blanc, Mau sane, Mezoargues,
Mollegès, Noves, Orgon"
Paradou, Pland'Orgon, Rognonas, Sénas, Saint-Andiol.
Saint-E.tlenne-du-Grès, Saint-Martin-de-Crau,
Saint-Rémy, Verquières. Saintes-.!\'\aries--dela-Mer.
Dans les zones dcfiilies ci-dessus, les In specteurs ad\jo illlts sont corrulH~ll ents pour tout
ce qui en tre dans les attributions de l'Inspection D épar tementale des Services d'incendie : (lutte contre les in ...'endies de toutes
nall ures, organisation et direction des secours,
inspection des Etablissements soumis au dé·
cret du 7 i é,' rier 194 1" visi te des E.tablisse·
ments dangereux, reconn aissance des poi'll'ts
d'eau et moyens d'accès, etc ... ) En parti cu·
lier :
Inc end,'es urbainS. -
En cas d'incendie
impoi tant, le Chef de Corps Di recteur des
secours dOit informer sans ratare l' Inspecteur adioint de la zone. Il appartient il ce
demier de rendre corn pie il l' Inspecteur Départemental (NA 43-15 et 5&-70 MMseilie).
b) Incendies de forêts. - L 'organisation
défi,nitive de l' alerte et de l a Direotion des
a)
seco urs fera l 'objet d'instructions IlrOchai,
nes.
En ou tre, MM. le Colon.,l Mar"el et 1
Commandant. f":alanq.uc, ,chargés d'une mi,:
sion temlpo r alre, ~ont des malOtenallt d'élë.
gu~s de. l ' in spec t-eur Oépartemen!ta l pour la
preparatIon de l a lutte contre les feux d,
forêts.
•
Communiqués· Avis
Annonces diverses
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
PUBLICATIONS NOUVELLES
DE L'INSTITUT GEOGRAPHIQUE
NATIONAL
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
A.BRÉVIA.TIONS
A, p, : Arrêté préfectoraL - C, : Circ,ulaire. - Les lettres 0 el B suivies d'un ohi!!re indIquent le Service ou Bureau d'ongme,
_ S, L. R, A, : ServIce de LIquid ation des Réquisitions Allemandes, - R. G. : Ravitainement Général. - S. C. R. : Service de la
Circulation et du Roula ge, - D . D, S. : Direction D épa rtementa le de l a Santé. - D . S. T , : Direction des Services Techniques,
L' inslitut Géograph iqu e Nationa l, rue d,
Grenelile, 136 bis, Pari:; (7me), vient de pu·
blier les fe uilles suivante s :
Franoe 20.000' couleurs (type normal)
Stes-Maries-de-Ia-Mer, N ' l, 3, 5, 6. Levés
de 1947-48.
France 20.000" couleurs (type oro'hydro).
Stes-M aries-d e-Ia-Mer. N" l , 3, 5, 6, Levés
de 1947·48.
COmlllUJIQUES DU SECBETBOIHT
DE l'OKIDN DES lIIBIBES
AIDE AUX FAMILLES DE FUSILLES
ET MASSACRES
DE LA RESISTANCE
L' Association National e des Familles dl
Fusillés et Massacr és de ,l a Rèsistance
adressée à notre Union dans le but d'inviter
les Mai res à s'iOlréresser à ses efforts qui
tendent à app orter une aide efficace, tant
moral e que matér ielle, à tou tes les familles
ay,a"t souffe rt d'ans leurs membres 1.. plus
chers pendant l a I~ési sla nce .
Les Mlaires qui vo.udlraient répondre il. cet
appel SOl1t priés d'e bien vo ul oir a ccep~er
les c,,,nets de bi ll ets de tombo'la qui leur
.seront \)J'esef1Jt és, pour augmenter les reSSOur.
ces de cette œuvre si di gne d'intérêt.
,',si
~~~-,«»
00 « »-~--
DEMANDE D'EMPLOI
M. Malerba Marlin, occupant ac tuelle~enl
les fonctions de Rédacteur Princi!>al a la
Mairie des Pennes-I\!\irabeau. oherche un
poste similaire d'ans une commune d·u dépar·
te ment de 3.500 habitants ou 'l'lus,
.
Les Mairies intéressées par cette ca ndIda'
ture ~ont priées de se mettre directement en
t
r.apport avec M. Mal-crba, domicili é aU
Pennes-M i rabeau, ru e de la Républ ique.
Le Secré:aire Génér at de l'Union,
A UDi'BE.RT.
Covie cerlifiée conforme.
Pour le Préfet :
t~ S rcr;'aire Giuùal .. LAMASSOURE .
FRANf1AISE
DËPARTEMENT DES
D,S.T,
•
RÉPUBLIQUE
27 Avril 1950
SOMMAIRE
Pages
Ar~s réglementaires et Circulaires
FS 6. Labo rato rre agréé pour les
examens nécessaires au diagnostic
de: l a syphi l is et re 13 grossesse. . . .
Pa.ges
actes
des
Tran scription
cVéchanges rurau x .....
CT O. - ,E.nvoi des formulai r es statistiques des acciden ts corpore ls de
l a ci rcul ation routièr e ... ...... .
FS 2. Un ions d' Associations Fam il iales ...... . ." ............. ,.,.
A
O.
~
71
TVX 0, Attribution d'ind emnités
!>our ,concours spéciaux pr étés alhX
collectivités l ocales var les conducteurs de chantiers et agents de travaux des Pon ts et Chaussées ., .. ,.
71
il
Textes d'intérêt général
AC 2. - Notification de diverses circulaires dJu' D épartement des Fi nances,
TL
Communiqués, Avis, Annonces diverses
-
72
73
Sanatorium D ~partemental du PetitArbois (B.-<1lucll h.); Concou rs d t
Secrétaire de Direction et Sous-E.conome ..... , .. , . , ........ , ..... '. .
74
ARRÊTÉ S REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
AO
D2 B3
selon l'article 2 de la loi du 23 mars 1855,
modifié par le décret du 30 octobre 1935,
être tr anscrits à moins d'être déposés au
rang des minutes d'un notaire, dans les trois
mois de leu r signature.
Pour le Garde des Sceaux,
Ministre de la justi ce :
Le Directeur du Cabin et :
DONNEDIEU DE. VABRES.
TRANSCRIPTION DES ACTES
D'ECHANGES RURAUX
22 V.17
Paris, le 20 mars 1950.
Le Gard e des Sceaux, Mifli" tn, de la
Justice,
à MM. fies Pr éfets,
Mon attenti on a été appelée sur la pratique
suivie dans certaines mairies, où les sec rétaires, se se rvant de formules im primé~s
tl'ava nce, r éd·~,ge ra ie nt des actes. d'échanges
ruraux sous seing privé, sans Signaler aux
parties la formalitc de la transcription.
Bien que certain es des formul es en usage
mentionnent li a tr ansc ription à opérer, les
échanges ne seraient pas en fait, co mmê
l'exige l a loi. déposés pour minu·te cht:z un
notaire aux fins d'accomplissement de cett::'
formalité.
Les inconvénients de cette pratique son t
évidents. A d6faut de tralnscript ioil l les partits ne serai ent pas propriétaires d~ rond~
acq uis en échange au re gard des tiers q.u l
auraient acquis postéri eurem ent des drOIts
réels du chef de l'ancien propriétaire et les
auraient régulière men~ inscrits ou tran sc r its
ml! Bureau des H ypothèques.
Dalns ces con<litions, je vo us prie de vouloir bi en publier au Reel/cil des Acte... ;-\(11/1 1nisfralifs de votre D épa rteml'nt toutes insIrm.:tions utiles, afi n que ks maires d~!<. ,C()II.'mUlics rural es signa lent il l eurs adm;l11~tres
1..:5 damrers auxquds les expose le début de
! ransc ripti on de leurs échanges ruraux. Cc,
Instruction s
t notamment que k ~
~~---,<» oo «» --~---
CT 0
05 B I
ENVOI DES FORMULAIRES STATISTIQUES DES ACCIDENTS CORPORELS
DE LA CIRCULATION ROUTIERE.
Circulaire
T. P. Sèrie \1 bis, n ' 64 du
31 Mars 1950
Le MiniS/Tl! des Travaux Publics
des Tran sports et du T ourisme,
à MM. tes Préfets,
1
Pa .. circu l ai re S N A R 7 n" 866 du 16
novembre 1945, M. le J\\inistre de l'I ntéri,eur ,
vous a invit":s à reprend re l'envoi des forfll'J'laires statistiques des tlccidents corpore ls de la circulation ro utiè re nécessaires n
l'établissement cI'une ~ta tistique
générale
des accidents rout iers.
Toutes instructions uti les à ce sujet \'O ll~
ont été adressl'es pa r ma circlll'aire s~ ri e B.
n" 175 du 12 août 1947.
J'ai l'h onneur de vOu~ informer qu o.' l'en\'oi de ces formulaires doit m'être fait déSOrlnais il l'adr ~~se ~lI i\'ante :
Ministère de.') TrtJ1lllUX Publics, d'es Trans-
ports et du Tourisme, direclÎcJTl des Roules.
2° Bureau, 244,
Paris (7").
{wuleJlard
$aint-G{>rmam
Je vous serais obli gé de bien vouloir en
aviser l es ser vices chargés sous votre autorité de leur établissemen t (commissariats de
police, mairies des centres urbains et mruries
des communes rurales).
j e ne saurais trop insister Sur l'in térêt qui
s'attache, afi n de .permettre l'établissement
d'une statistique correcte et com.pl ète pour
l'ensemble de la France métropolitai ne, à ce
qu e l 'envoi de ces formulaires soit t ait très
régulièrement.
Par autorisation l
LJe Directeur des Rou tes
RUMPLE.R.
-~~- <> oo<>----
D3 BI
FS 2
UNIONS D'ASSOCIATIONS fAMILIALES
Application de l'Ordonnanoe du 3-3-1945
Le Préf ef <les Bouch es-du-Rhône
à MM, les Maires du D éparte,"""t ,
Par circulaire en date du 28 mars 19.50,
M. le M inistre de la Santo Publique et de la
Populatio.n rappt:lle l'ordon nance 11 " -!5-32:~
du 3 mars 19~5 (article 5, 7, ~ et 9) qui permet aux associations familiales, quelle que
soit leur appartenance, de se grouper dan ...
des CI: Union ' D~partementale$ (Oll local,)
d'Associations familia les), les Unions Départementa les po l1\"étn t elles-m~lT1es se fedl:rer ~ n unl' ~ Uniun N:nioaalc de~ A~(}('ia
tions Familiales
En :\pplic,:ltillfl des uispositiOlis s.:sdst.:e .....
une Union nCl1:1rtl'ml'Jl1:\lc d'AssocÎation:=, F.lmiliales a dé' elill.:ti\ . .·n1t'nt cr~l:e dall":'- lhacun de:;
b dt' la\\étr opole, tt t.:I.:S
�-
12
Unions
Départementales
ont con -tituc
l'Union Nationale des Associatio ns Familiales.
L'article 12 de l'Ordon nance accorde de
plein droit à ces diverses Unions la capacité
jurtdique des Associations r econnues comme
étanr crablissemeonts d' utilite publique e t des
prerog ..nÎ\'es s peciales le ur sont attribuées
par J'article 6 qui, notamment. les habilite il :
c i o Donner leur (H'is ffl,lx p ouvoirs Publics Sur les que;;tions d'o rdre familial et
leur proposer les mesures qui pa ra i ss~ nt
con formes aux intérêts rnatrr ie(s et ll1orau~
des familles.. »
< 2 0 R eprësenler offideUemell1 l'enS..?mble
des familles françaises auprès des Pou voirs
Publics, et désigner ou proposer ks deJégués
des Imnilles a ux di\rers cons~ ils, assemblées
ou autres organ ismes instituts par l'Etat,
le Departemen t, la Commu ne. ;)
Parallèlemenr. les Associ arions familiales
de base se son t pour la plupa rt groupées,
~on leur mode de recrutement ou leu rs affinités, dans diverses fédùatioru; priv~es (locales, départemenrales, nationales).
Ces fédé rations Iprivées n'ont d·autre régime que celui qui a ~të institué par la 101
du 1er j-uillet 190 1 pou r les « Associatio ns
dedarces , encore que I"ordonnan.:e du 3
mars 1945 - da ns le dernier alinia Lie son
article 6 - reconn.:1isse aUX Associations Familiales (.et, i mplicitement à leurs fédéra tions prin~es) le droit, dans la l imite de leu rs
stat uts, de re.p l êsenter auprès des Pouvoirs
publics, cûncurremm ent a\'ec les Unions, le::.
interêts dont elles ont assumé la charge.
Il faut entendre par là qu'une Associat ion
familia le (ou une FédératiQn pri,'Ce) peut
~xercer aupr ès des Pouvoirs Publics certa ines interventions, d'ailleun5 susceptibles
d'avoir parfois une portêe généra le, mai
que. lorsqu'il s'agit de c reprcsentation .) au
sens strict du mot, cette association (ou féd~rat ion) n'est que la mandatai re des familles lui ayant donné leu r adhés:on.
Par contre, l'Union insti tuée par l'ordonnance représente, de droit, l'ensemble des
fan:i.1!es françaises de sa cir conscription.
afhhees Ou non au x Associa tions qu i la
composent .. Sile seule q ua li fiee, à ce t égard,
pour. etabll r des relations avec 1& pouvoirs
Pu blics sur I.e. plan officiel. La designation
ou la proposItion des c d é h~JTués des fam illes
lui est réservée à titre °exclusif.
Or, depuis q uelque temps certaines féd ér~tions privées adoptent, da'ns leur déclaratI~n , un titre si vo:sin de ce~ui des Unions
Departementales d' Associations Fa mi liales
que des équivoques paraissent devoir s'ensuine il plus ou moins lon oue échéance
Afin ~'éviter ces <lifficultés, j'appel le tout
parhcuherement votre attention sur la différence fondamentale qui existe entre le ré aime des fédé rations p rivées et celui cfes
Un ions (nationales, departemen tales et locales) prevues pa r l'ordon nance <lu 3 maTS
1~5. organibInes dits 4: de droit semi-pubile • .
Le Prét,! : BA YL-OT.
------- <.)00 <> -------
O. D. S.
FS
6
LABORATOIRE AGREE POUR LES
EXAMENS NECESSAIRES AU
DIAGNOSTIC DE LA SYPHILIS
ET DE LA GROSSESSE
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
Officier de la L égion d' honn~ur ,
Vu l'ordonnanCe du 2 novemb re 1945 "ur
ia pnJ .t!(fon maternelle ;
Vu l'arrêté du 15 avri l 1946 de M le .~li
nistre <le la Santé publique et de la Popu r
lation .et les rectifications parues aux J0!.t naux officiels des 10 ma i et 15. septe,:"bre
1946, iixant le modèle de certificat d examen médical ;
Vu l'arrêté du Jer juin 1946 ;
Vu la circulaire min:ster ieUe W 148 uu
6 juill 1946 ;
,
Vu l'arrê té du 3 1 mars 1950 de M. le MInistre de Ja Santé Publique ct de la POP"lation ;
S ur la p roposition de M. le Directe ur Departemental de la Santé,
Arrête :
Ariicle premier. - Le labo ratoi re d , M·
Destribak; Roger, pharmacien, 12, ru~ Gueymard, à La Ciorat (B.-du-Rh .) (<llrect-: ur,
suppléant, Mme De Plns-Ga ,sset), est agré<:
pour effectuer les e~~mens nécessaires, au
diagnostic de la Sjrphlhs et de la grossesse,
Arti,,"" 2. - M. le Secrétai re Gene ra l de
la Préfecture, ~l. le Di recteur àepa rte men tal
de la Santé, sont chargés, chacun .en L ~ qu o
te concerne . de l'exécut ion du prêsent arrêté,
Marseill e, le 18 a ,,,il 1950.
Le Pref" t
BAY LOT.
------ c> oo ~, -------
TVX 0
05 BI
ATTRIBUTION D'INDEMNITES POUR
CONCOURS SPECIAUX PRETES AUX
COLLECTIVITES
LOCALES
PAR
LES CONDUCTEllRS DE CHANTIERS
ET AGENTS DE TRAVAUX DES
PONTS ET CHAUSSEES,
Circ. G. p, N" 56
rajo~lte que l, s ind~mnit~ ne peUVent il
Accor<.lees que pour rcmun crer des conco ft
effect ivement :p rêtés et dans les limites cor
lirI
(espondant à l 'importance d e ces conra ,
dant précisé qu'e n exéclttlon ete l'article ~"
l'attribution d'indemnités de cette nature or
se essenti ellement les condude urs de Cha"
tiers, les agents rte t·ravaux ne pouvant II.percevoir Iqu'à titre exc~ptionneL
en
Les <lispositions de l'arrêté du 27 janml
1950 permettront d ésormais de rémunOr
no rma l ement lofS concours spéciaux qUel~r
conducte urs de ch antiers et -éven tuell~me~
les agen ts de tra va ux des Ponts et Cha\b.
sées peuvent être amenés à prêter aux col
lectiyités 10ca'les, n,o tamment en matière ~
gestion et de sU'l'velil ance die la voirie rural
ct urbaine, les agents de cette ~atégo~
n'éta nt pas compris clan s le champ d' ap~>
cation de la Iqi n" 48-1 530 du 29 septemb"
1948, relative à l 'in.te rventi on des servi~
des Ponts et C ha ussees d a ns les affaires i.
téressant les collectivités loca les et dh.,
organismes,
Copie de I·a présente ci rcul a ire est ad r!>
sée à MM . les Ingé nie urs e n C hef des Pon\
et Chaussées 'Po ur va loir i nstructions.
Le Ministl;' d es Torava ux Publ ics
des Tran s ports et du Touris me,
POll'r le Ministre .et paf autorisat ion
Le Directeur <lu perso nnel de la Co mptabilih
et de l ' Administrati on Générale
Signé: BERNARD RE N AUD.'
P our te Vice-Président d" CO""'!.
Ministre de t'Int éf1l):!ur
el pIN d élégation, '
Le P réfet, Directe ur de l'Administration
Générale, D épar tementale et Comm unale :
Signé : j .-P . MOATTI.
:.
P ar is, le 23 mars 1950.
ARRETE
Le Ministre de l'I nt-é ri eur,
Le Min:stre des Trava'u:x Publ ics de::-.
Transports et du T ouri:sme
.
à MM. les Préfets.
'
Un ar rêté i ntermj nisté ri el du 2ï j anvier
1950 que vOus t ro uverf.:z ci -annexé .:l fix e
I ~s con ditions dans lesqueHes des ind emnites peu vent être attrib uées par les d c part ~
ments, commun es Ou syndicats de communes et associations synd icales, au x conducteurs de chantiers et excepfonne ll ement al~
agents de travaux d es Po n t~ et Cha ussées
en ré muné~atio n du concours que ce~ a(J"ent~
appo rtent a la gestion , à l a su rveillan~e "
l 'elllL ~etien ou à la répa ration des vo'ies
u rba l~ es et ru ra les et à l'exécution f t au
co~t ro l e de~ autres se rvices publics,
ains,
qu au reCOUHt.:ment des sub\'entions il1du :;.
t rie lles,
· /~ l'OUS
saurai gré de bien vouloir faire
tns("~er l e t ~x.tc de, cet arr êté Gu Buflei;1l des
Ac"'s admrn lstratlfs de votre dépadement
. Aux, termes de 'l'art icle 2, ;1 VOliS 3J)pOlr-
tl~ nt d approuver, su r propooition d ~s In gé-
nieu rs en Che·f, le taux de rémunér;tt ion
~ou r cha<;lue sort~ de concoulrs. L 'artid ~ 3
lI xe la !elllunérahon globale maximum qu i
pO l ~ rra t:tre perç~ par un même agent.
• ) appe lle vo tre a ttention il ce s uj et sur le
Tait que ,les r em unérat iol1s ainSI versees doi\:ent tenlT COml~!e de la règlementa tion lI!
~ g!.le~ r en ma tlcre de cllflliu·l et j'in vite les
Jt1
'
· gcl1"1leurs• en chef des P o nts et Cha u ~es
a veller a la st ricte applicatiOl1 de cc~ rè~ I e~ qui prescrivent notamment le vi~a des
~!tres oc l~ aYl'me nt des indemnités en qUf:s.lOn par loruonnateur du t r aitement pri ncipal.
Le Minist re des Travaux Publics, df~
Transports et du TouTl sme, le Mlillstre dt
l'Inte rieur et le Sec ré ta :re d 'Etat allx fi·
nances,
Vu l 'arti cle 7 de l,'ordo nnance n° 45-fl9:J
du 17 mai 1945 relati ve aux services rpublics
des départements et commu nes ct de letlr
ëtablissem ents publ,ics,
Arrfte nt
Article premier. -
Les dépa rtem ents, corn·
munes, syndica ts d e co mmu nes et associa·
tions syndicales peuvent att r ibuer des indemnités aux conducteurs de chantiers des
P onts et Cha ussées et exceptio nnellemenr
aux age nts de tra va ux des Ponts et Chaus'
sées en rém unération du concoœrs que ces
agents apportent à la crestion à la surv&
l a~ceJ à l '.entretien ou b à la ; éparation des
vOi es urbalOes et r urales à l'exécution et aU
contrôle des aut res services publics ainSI
qu'au recou vr ement de subve ntions indus"
trielles perçues en applicati o n cie la lo i dO
21 mai 1936.
Articlle 2. Les Préfets so nt hab;liII'
Ip~ ur approuver sur .p roposition de l'I ngenieur en Che f des P o nts et C ha ussées le taux
de rémuneration pour chaque sorte de conCOurs,
Ar/fic!e 3. _ La rému nération globale ~er'
çue_,~ar un même agent a u tit re d u pré,-enl
anretc ne powrra excéder outre le remboursement des frais de dépl:aceme nt le dix ième
de ses emoluments bruts soumi s à retenue!
~~ur pe~si o ns . au gmentés du mon tant .~e
1 indemn ité vanab le de poste a u tau x pre,"
po ur les age nts celi bataires.
7.s
Article 4. - Le présent a rr,;té ama effet
à compter du 1er ju in 1949.
Fait à Paris, le 27 janvier 1950.
Le Vice-Président du COIlS('it,
Ministre de l'In t érieur,
Signé : j'ules MOCH .
L e Minis/ re des Trllllflux Publics
des Tran sports .et du Tourisme '
Sig né : Cris tian P INEAU . '
Le Secrétaire d'EtOf au x Finan ces
S igné : Ed ga r FAURE,
'
•
TEXTES D' INIÉIE r GERERS L
CirrolaÎre concemant plu s speci alem ent
les AdministratIOns de l'Et at
D2 BI
AC 2
NOTIFICATION DE DIVERSES
CIRCULAIRES OU DEPARTEMENT
DES FINANCES
N" 1250 FIN / GEN
Pa ris, le 2~ Ill ars 1950.
Le Vi ce -Président du Co nseIl ,
M inistre de l ' In térieur, à
MM. les Ins pecteurs Géné raux de l'Administration Cn missi on cxtl.:1 ordi naire,
MM. les Préfets (M ét ro pole, Algérie,
Ou tre-Me r),
MM. les Secrétaires Géne ra ux Chefs de s
C. A. T. 1..
MM. les Directeurs et C hefs de Service
de J'Admin ;srratio l1 Ce ntrale,
Objd
Circulaires du Département des Finances:
. ~" 3 1 B/ 5 d'u' 7 ja nvier 1950 : indemnlte pour frais d e dcmcnaryement .
N" 7 - 3 B/5 du 23 jan~ier 1950 : prestatIOns fam ilial es .
N" 9 - 3 B/ 4 du 28 janvier 1950 : calcul
des cotisatio ns de Séc uri té Soc iale .
N ~ 10 - 4 B/ 4 du 30 jan\':e r 1950 : el1lployes auxi li aires de l'Etat .
N " J7 - 7 B/ 4 d u 14' févri e r 1950 :
a~o mp te ..a ux person nels contractuels du serVIce SOCial .
N". 18 - '6 B/ 5 clu 16 fevri e r 1950 ' indem!lltcs p O UT Ïlravaux supp lémenta i res.
Observatioll s
Pour diffusion :
A la suite d' un po intage eff~ct u é aupr ès
de chacun des serviCeS intén:ssés dll Minl ~
tère. des ~ . ~~nce$, il est il1ppa ru que les CI r
culalres CI -J Ointes Il'ont pas ét0 notifiées.
P. t e Vice-Président du Conseil
Ministre d l! l'Intérieur
'
.
el par détegatiofl,
Le Dn·cc teur des Service~ Finallckrs
et du Contenti 0ux,
S ig né P . SUDREAU,
•••
N" 3 -
1 B/ 5
Paris, le 7 ja ll v:c r 1950
Le Sec rétaire d'Etat au "- Vi nances
à N\M . les M inist res tt Secreta ire::;
d'Etat.
bre 1949 l'eHet de la décision prise par l' un
de f!1es prédécesseurs, autor:sant les agenb
mutes avec avancement à recevoir, dans l es
mêmes .conditions que leurs coll ègues mu ~cs
dans l'lI1térêt du service, les indemnités reglementa ires pour déménagement e t changement de résidence.
J'ai décidé de reconduire à nOuveau cette
mesure pour Ulle llollvel!Je péri ode d'une année, soi t jusq u'a u 3 1 décembre 1950.
La qu otité des frais laissés à la cha rge
de l'agent demeurera fixœ à 20 p, 100.
Signé : E. FAURE.
cial e, j'ai r honneur de vous informer qu'il y
a li eu de modifier il compter du 1er janvier
1950 l es dispoSiti ons de la ci rculaire de 1110n
dépa r te me nt n' 35 - 16 B/ 4 du 16 février
1949, en supprimant le supplément fami liar
de t raiteme nt de la liste des exceptio ns prévues sous la ru brique 1 - Personnels non
titulaires des Administrati ons de l'Etat.
Il est précisé 'lue cette mod ifica tion ne
concern e qll ~ le rcgime général de Sécurité:
Soc iale et ne sa urait aff ec ter le Irégime propre au x fon ctionnai res de l 'Etat prévu Ipar
le decre t <tu 3 1 d~ ce l11 b re 1946.
Pour l e Secr étaire d'E:at aux Finances
cf par autorisation,
:.
W 7 -
Le Directeu r du Budget,
3 B/5
Si g né : R. GOETZE.
Paris, le 23 ja nvier 1·950
Le Secrétaire d'Etat a,wx: Fin ances
à MM. les Min istres, Secrétaires d' E ta,
et So us-Secré ta ires d' Etat.
OBJET, Prestations familiales aux
agents employés à temps incomplet Additif à la circulaire 11 3 -2 1 B-5 d~ ï
Novembre 1949.
~ ~ r . la circulai re citée en refé rence , j'al
proclse que les prestation s famili ales ne devaient être versees aux aaents des Admi nistr ations. ~u . des co.lI.ectivit%s publiques ayant
de~ achvltes multIples
que pa r une seul e
caisse dét,ermin ée en co nsidération de fact îvité qui procurai t le principal revenu.
O r, mOn at tenti on a été appelée sur le fa it
que cette règle soulève de nombTeuses dirf ic ul~ê~ d a l~s son applJcat ion au x agents de:,
admi nist ra tIOns publiques employés à temp.
Incomplet, lorsque leur seconde activité eSt
exercée dans l'agri culture, En effet dans le ~
professions agricoles, il est souve~t malaise:
de déterminer avec exac titude le montant
dts revenu s professionnels, alors qu' il est
pl us fa ci le d'éva luer le temps de travail.
j'ai donc déc ide, en acco rd avec le Ministre du Travai l et de la Séou·rité Sociaie
et le Ministre de l ' A~ric u lt ure que lors qu'une des act ivi tés d'un agent 'des adminiStrations pub liques ou des collec ti vi tés loca l e~
aya nt plusie lrrs 'prof,essio llS s'exerce dans
J'agr,iculturc, il conv;ent, 'pour déterm i ner
l 'organisme débiteur des prestatio ns fam il,ial~s , . tI~ . pre ~dre en cO l1 sidér~tio n , nOn pa~
1 arhvltc qUI 1)l"Ocure le principal revenu,
mais bien celle qui a nécessité le plus grand
nombre d'heures de trava il da ns le courant
du mêm e 11I 0 :S.
Bien entendu, Je crjtéri um du pri ncipal reven u contin uera toujours à être pris en
con sidéra tion lorsqu'aucune des activités nl'
relè \'era du r lgime agricol e.
P. te Seaétaire d'Etat ct pl/f di!léga,~'on,
Le Directeur du Cabi net,
Signé : I~. BLOT.
•••
N" 9- -
3 B/ 4
Paris, le 28 janvie r 1950.
Le Seoréta ire d'Etat aux Finances.
à MM. les Ministres et Secrétai r es
d ' Etat.
OBJET. -- Indemnités pour frais de
déménagt!ment et pour changement de
résidence,
O BJET, Calcul des cotisations ~
Sécurité sociale due~ par les différentes
catégories de personnels civils de l'Etat
Référence _ Circulaill" Final/crs n" 68 8 -5 du
7 juin 1 9~6, 14-38.'5 du 17 jmr vi'er 1949.
Par circulaire du 17 ja l~vier 1949 dtee en
A la su ite d'un 3\'is ém:s le 3 mai 1949
pa r le Consuil d'Etat et diffuc5~ pa r circulai re n" 259 SS/ 49 du 2 1 Mcemb re 1949 dl
Mi
'
:.
N ' 10 -
4 B/ 4
P a ris, le 30 ja nvier 1950.
Le Secreta ire d' Etat aux Finances
à MM. les Ministres et Secrétaires
d' Etat.
OBJET. -- Dispositions d'ordre généraI apphcabte aux employés auxiltalres
de l'Etat.
L'a rr.cle Il d u décret du 19 av ril 1946
fixant !es dispositio ns d'ord re général applicable$ aux employés auxiliaires de l'Etat
dispose qu 'en cas de maladIe Olt de materni te, les prestations d'i udemnités journalières dues à ces agents au titre du r éoime
genéral d:!s Assuran ces Sociales doivent venir en ded uction du t raitement ou demi-traiteme nt \'ersé aux in tcressés.
Cette r~ gle, commlnt..:e dans les circulaire> de mon Département n' 102 B/ 4 du 28
août 1946 er 28 B/ 4 du 28 fév ri er 1947,
respective ment pub li ées a u < journal Officiel > de; 3 septembre 1946 et 2 mars 194ï,
a souleve des difficultés d 'application dan>
de ux ca~ particul ie rs pour lesq uels il m'a
paru nl'Cessai r e de fournir aux différente:,
adm ill .strations les i ndications suivantes;
1 Le traitement ou demi-traitement do it
être se rvi sans retard aux intéressês, c·esta-dire à un moment où ils n'o nt pas effectivement béncfic ié des presta tions d' indemni tl'S journalières. La déduction à opérer à
ce dernier titre s'e ffccvue donc, compte ten u
du montant théorique des dites prestations,
tel qu 'i l résulte de la situation de [ami Ile de
J'agent et comme si celui-ci était, dans tous
les cas, soigne à domicile.
Si les prestat ion s en espèces, versées à
l' assuré hospitalisé, se trouvent, en effet, réduites, c'est que ce dernier bénéficie de certains a\'antages en nature, notamment en ce
qUI concerrtt! l'al:me!HaHon ; rien ne Îus~ i
fierait donc qU 'lu ne fraction plus importante
du vraitement ou du demi-traitement soit
ser\'Ît er. pa reille hypothèse,
2" Par ailleurs, la déduction doir être op&r6c chaqut fois que, compte tenu de la législation de S("CurÎré Sociale, l'i n\ére' ê peut
êtr e co nsid&ré comme se trouvan t normalement en mesu r e de p rétendre aux prestations
dont il s'agit.
S'agissant des conges de maternité, et
compte tenu des d;spositiolls de la ciroula ire
du 11 février 1949 publice au « j ou rn al OH1ciel Jo du 16 ft!\'rie-r, ce se-ra notamment le
cas pour les six semain~s précédant la date
prcsumé-e de l'accouchement et pour les huit
sem aines suivant celui -ci .
En cas de maladie, lin ù~cco rd
Q
�-
74
RÉPUBLIOUE
• Mal 1950
d;
Communiqués. Avis
Annonces diverses
.'.
,c.,~.~_'.,.~
~
.
0
Pl nT
- N· 18
DËPARTEMENT DES
qui leur 'permeltraient de déterminer le mon~
tant diU1 tra iterr:e~t. ?ont ces de~n i e rs agenb
aura ient ip~ benehcrer au. 1eT J~lwier 1948,
si leur reclassement rel atif avaIt p.ris effet
Tel est, en particulier, le cas des person~
ciale et celui de l'administration pour la dënels contraoruels de Service Social dg't !a
termination de la dUTee. d'incapacité tem posituati<ln s'cst trouvée notablement am 10~ e
raire de"ant ré ' ulter de raffection dont eSt il la suite de la publication de la cltculal~~
de cette dernière date, il m'est al'paru n..
:atteint un agent.
cessai re de précise r l e monta'OIt de l'acompte
de mon Départemen t n· 83-33 B/ 4 du
Il va de soi que J'administration ne saus usceptib:e dlèt re ve rsé à chaoun d'eux.
juillet 1949.
.
'
.
d',
rait être liée, du point de vue de l'appliCa'
Tel est l'objet d,u tab lea u suivant :
Les Administrations rnté,:"""ces n~ ISpo
tion du Meret du 19 avri l 1946, que par sant pas, dans le cas d·espece. des eiémenis
)'a\'is du medeCÎn de l'administration. LorsMonlant
Wde
que celui-ci prescrit lune pêriode d~ repos
l' acompte
E<:he:on
l'éc helle
plus lon ".ue que celle prévue par le médeGRA DE OU EMPLOI
cin de I~ Sécu rité sociale, J' administration
7.200
1"
ne peut plus appliquer des dispositions de
Ass5sJonies sociales chefs ............. . . .
7.300
l'article 11 précité à la frachon de co ngé
2"
non cou"erte par la Sécul"ité sociale et <loit,
7.:100
3"
en conséquence, sen1rr a u titre de cette péu.ROO
1"
riode l'intégralité du traitement ou du de- Assistantes social es ...................•
5.700
2"
mi-traitement.
4.500
3"
Cette procédure ne sera, toutefois, admise
3.500
4"
Que lorsque l'agent en cause aura justifie
4.900
1"
2
avoi r usé, sans résultat, de tous ~es moyens I /nfiTlmièreS el agents assimilés ....... . . .
3.500
2·
~Jt son pouvoi r pour obteni r que la Sécurité
3.400
3"
Sociale lu i donne satisfaction ei aura, e n
2.900
4"
particulier fait jouer la procédure d'expe r2.400
5"
tise médicale prévue à l'article 33 <le l'orAllxi1'aires de Ser1'icr Social rt Infirm ièr es
3.000
1"
3
donnance n· 45-245~ <lu 19 octobre 1945
auxt{iaires ........................... .
1.800
2"
relative au régimt> des Assura oces sociales.
1.600
3"
Pratiquemennt. il Y aura do nc lieu de con1.300
4"
tinuer à servir le traitement ou demi-traite1.300
5"
ment <lifférenliel l'ou r touie la pé riode d'incapaci té temporaire p revue par le médecir:
de l'administration, qu itte à régu lariser .pa r
Pour le Secrétaire d~ Et at aux Finances
un versement rétroactif complémentaire la
et pa r autorisa tion,
<;ihration de ragent qui justifierait n'avoir
Le Directeur d u Budge t,
oas reçu les prestadons d'indemnités jou-rn aSigné : R. GOETZE .
tières afférentes à une partie de son congé.
llors qu'au-June faute ou négligence ne pou r0 3 B2
N· 18-jj 8 / 5
Paris, le 16 Février 1950.
rait lui être reprochée dans la constitutiton
de som dossier de maladie et qu'il aurait
SANi\TORIUM DEPARTEMENTAL
Le Secrétaire d'Etat aux Finances,
effect;vement provoqué l'expe rtise médica le
it I\lM . les Min;stres et Secrétaires
DU PETIT ARBOIS (B.-D.-RH)
ci~essus visée.
d'Etat.
Signé : E. PAURE.
Concours de seerétaire d e Direetion
OBJET. - Paiement des indemnités
:.
et Sous-Econome
horaires pour travaux supplémentaires
'1. 17-7 B/ 4
susceptibles d'être attribuées aux agents
D e~x concours sur épr euves, l' un pour le
Paris, le 14 Février 1950.
de l'Etat pour le mois de janvier 1950.
recrutemen,t
d'un sous -économe (traitemellis
Le Secrétaire d'Etat aux Finances,
La
circulaire
n"
99-21
B/5
du
13
ao
ût
indi ces 185-315), l'aut re pOlir le recrutemenl
à MM. les Mini tres et Secrétaires
1948, prise pou r l'al'plication du décret n "
d'un secrétai re de Directio n (tra iteme nts indi·
<l·Etat.
48-1097 du 9 juill et 1948, a prévu que les
ces 185-360) au Sanatorium' Départemental
OBJET. - Attribution aux personnels
besoins des administrations en tr avaux supdu ,petit Arbois, Les Milles près Aix, anronl
contractuels de Service Social d'un
plémentai res fe ront chaque année l'objet d'un
li eu respectivement les 30-6 et 7-7-19511
acompte à valoir sut la 3' tranche de
examen ,.pprofondi et que les emplois do nt
Re gistres d 'inscr i1ptions alos 12 jours avant
reclassement.
les titulaires pour ront effectuer de tels trala date du concou'rs.
vaux seront déterminés, po ur l'année consiLa circulaire de mor. Dépa rtement n° 13-6
Peuvent prendre pa r t aUX concours les
dérée, 'Pa r des arrêtés interministériels revêB/4 <lu 6 Févrie r 1950. publiée au j oulJlal
candirats âgés <le 20 ans au moins et 30 ans
tus de ma signahlre.
Officiel du 7 du même mois, a indiqué aux
atl l'lus, au 1er janvie r 1950. limite d'âge
En application de ces dispositions. des
diverses Administrations les conditions dans
prorogée de la d ur-ée des services civils .ou
arrêlés ont été pris, dans le co ura,,! de l'anlesquelles les fonctiO'llll1aires et agents de
militai res ouvrant droit à pension de ret ra Ite
n~e 1949 en vue de fixer, pour chaque admiIEtat doive"t être armis au bénéfice d'un
D iplômes exigés: pour le 1er coTllOOu rs :
mstr ahon, les personnels autorisés, pendant
I
acompte sur le recl assemen t l'ré-I'u en 1950.
le brevet élémentaire ou la capacité en DrOi
ceti
e
même
annc.e,
à
effectuer
des
travau
x
Aux termes de cette instruction, le monou un diplôme d'école hôtelière ou de comsupplémentai res et à recevoir les indemnités
tant de l'acompte se trou"e fixé au 1i l0e de
~rce reconn·u e par l 'Etat.
horaires
correspondantes.
la ",'joration acco rd ée en 1949 au titre de
Pour le 2e conCOU"s : le baccalauréat ~u
Dans rattenote d'une modification de ce
la 2e tranche de reclassemenlt. Toutefois dans
régime qui doit s'accompagner d'un) rele:vele brevet s up éri eur ou le dip lôme de sortie
l'hypothèse où le chiffre atteint l'ar cette
ment des taux pou r lesquels les crédits ned' une école supérieure de commerce.
majoration 'D'aurait 'Pas figuré dans Ilun des
cess aires O!lt été demandés au Parlemenl
arrêtés pris en application du récret n·
Sont dispensés de la production de diPI:
je précise que les autorisa·tions acco rdée ~
48-1124 du 13 juillet I Ng, sa "aleu r doit se
mes les commis ti tul aires ayant 3 an~. e
pour 1949 sont reconduites pour les mo is de
déduire de la diffé rence e>ristant entre, d'une
food ion en cette qu a lité dans une Adn" "'"
janvier et de févrie r 1950.
pal'! le traitement applicable aux intéressés
tratio n hospitalière.
.
En co.n~cqu~ce, les personnels au xquelg
depu is le 1er janvier 1949,. .t d'autre part,
Pour
to
us
rense
ignements
s'adresser.
:'pr~
les adminIstratIons pourron.t 3!.tr ihuer des
celui qui a été a1 10wé à ces mêmes agents en
fec ture des Bouchcs-du"RhÔne. 3e DIVISlO): '
i~emnités .horaires pour travaux supplémen.
1948, ou qui leur eut été consenti sur la
2e
Bureall. (Joindre timbre pour la repOn.:
talres au filtre de ces mois ne pourront debase de leur clc:'l:-:se1TK'lIi indiciaire actuel.
passer
les
effectifs
rKévus
dans
les
ar
rêtés
Il n'est pas possible. toutefois, de re~nir
Copie certifiée conforme:.
sus\'i~.
cette hase de calcul pour les agents con,tracPour
le
Secrétaire
d'Etat
aux
Finances
tuels qui ont bénéfic'é durant J'année 1949
Pour le Préfet :
E
et Dar délégation,
d'un ,urclassement rela tif et dont la r~muné
Surétaire Général : LAMA~
Le Directeur du Cahi ne ~
ration demeure par. 3:i11~u.r~: fixée par "lOe
FRANClAISE
Recueil des Actes A____~ atifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relaUvé au Recueil doi' être adressée à la Préfecture Secrétariat
G~Déral
A.HHÉVIA. '.l.'ION S
A. P. : ~rrêlé
· ou Bureau d'ongin.
.
. d L' - 'd C.t' : Circulaire.
d
Ré ..- . Les le ttres D et B su.ivies d'un oh,lIre ,' ndl'q uent 1e S .rvlce
. S préle~toral.
_ S . L'. R. A. _ ervl ce e Iqui a Io n es
qln",M nS AII.mandes. - R. G. : Ravitaillement Général - S CR· S ·
.
Circulalion et du Roula ge. - D. D. S. : Direction Dépa rtementale de la Sa nté . _ 0 " ST . .' D'lrect'lon' de servIces
·s .. ' . Tervlce
de la
echmques.
SOMMA.IR.E
de la Filiole Ouest de la Ramiè re
cLa ns la commu ne de Barben tane ..
CIA O. - Exploitation des carriè res.
_ Acciden,ts par l'emploi d'el<plosii.
FS 0
C
.. --:- a len<l ri cr des appe ls à Ja géneroslté .publlque po ur l'ann ée 1950.
FS 8. - Assistance 'Il1 éd·icale g:ratuite
ArI6tés réglementaires el Circulaires
Pages
AG O. - Célébration de la fête de la
Victoire et <le Ja fêle de Jeanne-<!' Arc .
AG 2. - Péréq uatio n <les retra ites des
agents des collectivités locales affiliées à .(a Ca isse Nationale de Retraites .. ......
AG 6. - Constitution d'une association
syndicalre autorisée pour n'entretien
de la Filiole Est de lia Ramière dans
la commu ne <le B"bentane . . ......
AG 6. - Constitution d ',une association
syndicale a utorisée l)ou.r l'entretien
h
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
75
75
1
75
76
76
76
aux agents titulaires de l 'administra-
tio n .pén iten'liaire ..........
P O. - .Jury criminel pour l'a nn ée
1950-1951 .................
77
P 3. - Chasse .. . .................
SC 7. - Subventions pour acquisitions
77
77
de materitl d'incen<lie. - Agréme nt
préalab le ....................... .
TertllS d'intérêt général
AC 2. - J ustificatio~ par les régisseurs
comptables des depenses de matériel
n'excédant .pas 5.000 francs ..... .
NC 3. - Fonds .n ational de compensa-
78
78
tlon des allocations fam il iales. . . .. .
18
Comnlunlqu
. és , Avis, Annonces diverses
F 2b. - Regitstres de l'état civil: remourse men par n'Etat des frais de
reli"re et de confeotion des registres
d 'état civil (année 1949). - Acklitii.
78
==~====~~========~~==~~~
ARRËTËS REGLEMENTAl RES ET CIRCULAIRES
AG 0
CELEBRATION DE LA FETE DE LA
VICTOIRE ET DE LA FETE
DE JEANNE-D'ARC
CABI NET DU PRÉFET
Le Préfct des Bouches-du-Rhôn'e
à MM. les Maires du Déparfem"{li,
Le Gouvernement a décid é de commémorer, le diman che 14 mai la Fête de la V·ietoi re et celle de Jeanne d'Arc.
Les bâtime nts et mo numenls publics devront ~t re pavoisés pendant cette Journee.
Je vous laisse toute initiati ve su r Je choix
<les manifestations qui pourront être organisées à l'occasion de chacune de ces fêtes.
Il est sou hai table que des cortèges al'a"t
pour but une commémo ration différente ne
se rencontrent :pas su r te même pa rcou rs.
Vous voudrez bien vous assurer du conCOurs des A6S0oiations d' Anciens Combat-
tants et éventuellement de celui des Auto rités
Militai res.
Jean 8AYLOT.
- - - -«::.00 <>
02 B3
AG 2
PEREQUATION DES RETRAITES DES
AGENTS DES COlJLECTIVITES LOCALES AfFILIEES A LA CAISSE
NATIONALE DE RETRAITES.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
à Messieurs les Maires du Départenllfnt.
Accord,.nt a ux retraités des collectivités
locales les mêmes avantages que ceux dont
bénéfi<:ient. en vertu de la 1I0i du 20 septem-
bre 1948, les anciens ag~nts de l' Etat, le décret N" 49:1416 du 5 octobre 1949 a presCrIt la rCYISIOn, sur les bases <bu nuuvealt
régime qu 'i l institue de toutes les pensions
péréquation ùes pc,nsions il t.:onviendran
d'établir le dossiers en cause dans Je Plus
bref délai.
POLIr It! Préfet et .par délégation,
Le Secrétaire général,
LAMASSOURE.
concédées au titre du décret du 2 avril 1948
Ou
des règlements particuliie rs antérieurs.
Ma is comme certai ns em.plois ont été
tl'ansfomlés ou supprimés depuis la mise à
la retraite de leurs titulaires, il a été pren!
que des décisions, tendant à "assim ,lation
de ces emplois à des emplois ac tuellement
existants sera ient prises par les assemblée.:;
locales compétentes, après a\~;~ confo rme du
con~eîl d'administration de la Ca;ssL Nationale·
Cette questiOJl a fait J'objet d'un commentaire qui figure en annexe il une instruc-
tiou en date du 13 février 1950 qui vous a
été -notifiée par les soins du directeur générail de la Caisse des Dépôts et COlls:gnations.
Il est indiqué dans cette instruction qu ~
les propositions d'as~imi lation formu l ées par
les assemb~ées locales doivent être ad ressées
à la CaiSse des Dépôts Ipar II intermédiaire
J
des Prefet>.
Par conséquent tous Jes dossiers établis
conlorn\érne-nt aux directivefi données par
l' al\neXe à l'instruction du 13 février 1950
devront être adressés :
_ Pou r l 'arro ndissement de Marseille, .1
la Prdecture, 2e Division. 3e Bureau ;
_ Pour 'les arrondissement d'Ai x et ct'Arles aux sous-préfectures.
Afin de ne IPas fai re subir de retard à la
----<"00 <,. - - -
05 BI
AG 6
CONSTITUTION D'UNE ASSOCIATION
SYNDICALE AUTORISEE POUR L'ENTRETIEN DE LA flLlOLE .EST DE
LA RAMIERE, DANS LA COMMUNE
DE BARBENTANE.
Application de la loi des 21 Juin 1865,
22 Décembre 1888, modifiee par le
d~cret du 21 Décembre 1926.
ARRETE PREFECTORAL
AUTORISANT L'ASSOCIATION
Le Préfet du Département des Bou<:hesdu-Rhône, Officier <le la Lé~ion d'honneur
Croix de guer re ,
...
'
Vu le ,projet dr~é cn vue de lia constitution d'une Associati on :,yndi-cale autor.i.sée
l'our l'en,tretien de la Filiole E>.-t: de la Ramière. dans la commune de Barbentane;
Vu le dossier de Ij'enquête ouverte ur ce
projetl en eXl'Ouhon de l'arrêtt:- préfectoral
du 3 janvier 1950, ft Barbentane;
Vu le procès-verbal de l'assemblée générale des intéressés, tenue le 20 février 1950,
en vertu du même arrêté j
Vu Ja loi des 21 juin 1865, 22 décembre
�188 . rnodifiL-e par le décr~t d.1 21 décembre 1926 ;
Vu le règlemen t d'administ ration p ublique
du 18 dé'Cembre 1927 ;
Vu la lm du
a"r il 1 98 sur le régime
des ea ux ;
Considérant qU'li resu lte du procès-ve rbal
de la dél ibération de l'assemblée générale
des in téressés Que Sur 18 propriétai res interessés représentant une superficie de 13 hectares 02 ares 30 centiares, adhésion a êté
donnét! au projet d'organisation de l'Associa tion !par 17 propri étaire s représentant une
superfic ie de 12 hecta res 58 ares 45 centiares .
C~ns-dérant Que le Service du Gt!nie Rural a vé rifié la régula rite des opëratiolls
d'enq uête;
Considérant que les conditions de maj orité exigëes par l'ar ticle 12, paraO"raphe 2,
de la loi des 21 j uin 1865, 22 décembre
I 88S, modifiée par le décret du 21 décembre 1926, ont été rempl ies,
Ar réfe :
Article premier. - Est autor isée, conformément aux projets d'acte du 16 jan\rier
1948, l 'Associaf.on syndicale des propri étaires désignés a Ilarticle 1er du dit acte, cette
AssociatiOn al'ant pou r objet l'entretien de
l a Filiole Est de la Ramière à Bar bentane,
Articl e 2. - Un extrait de l'acre d'Associa tion et 'le p résent arrêté seront insérés au
RecueH des Actes de la Préfecture et se ront
affichés. au plus tard. dans un délai de
quinzaine, tant à la Ipor te principale de la
mairie qu 'à un autre end roit apparen t et
f réquenté du putllic, désigné par arrêté mun.icipal, dans la commune de Barbentane.
A rticle 3. - Ampliation du présent arrète
et de l'acte <ïA. ociation sera adressée à 1\ 1.
le Sous-Préfet et à M . l'In2"énieur en Chef
du Génie Ru ral.
'
Fait à Marseille, le 19 avril 1950.
PQur le Préfet,
Lt' Secrétaire gênerai délégué.
LAAIASSOURE.
----<>00<'·- _ __
D5 BI
AG 6
CONSTITUTION D'UNE ASSOCIATION
SYNDICALE
AUTORISEE
POUR
L'ENT RETIEN DE
LA
FILIOLE
OUEST DE LA RAMIERE, DANS LA
COMMUNE DE BARBENT ANE.
Applicatio," de la loi des 2 1 Juin 1865 ,
22 Decembre 1888, modifiée par le
décret du 21 Décembre 1926.
ARRETE
Le Prefet de, Bouches-du-Rhône Officier
de la Lég;OJ~ d'honn~ur, Croix de ~erre.
Vu 1e prOjet dresse en vue de la constitution d'une Association yndicale autorisée
'l'our l'entre!ien de la Filiole Ouest de la Ramière, dans la commune de Barbentane .
Vu he dossier de d'enquête ouverte Sur cc
proj et, en exécution de l'arrété préfectoral
du 27 décembre 1949, à Barbentane ;
V" le prOCès-ve r bal de l'Assemblée Générale des intt'ressés, tenue Je 12 février 1950,
en vertu d u même arrêté ;
Vu la loi des 2 1 juin J865, 22 décembre
décret du 2 1 décembro
1888. modifié !Jar
1926 ;
Vu 1: 1 ègJement d'Administration Publique
ù" 18 décemb re 1927 ;
\ u la loi du 8 a\'ril 1898 sur le régime
1
ne
~~ eaux
1
Con:wi crant qu'il résulte du ,proc~ver b a l
G< Ja dél'bération de l'Assemblée Generale
ces jnté~l Ssés que sur l es J6 pr?J?nétmr;s
ill téress~:- représentant une superf.tc~e de
hectares 31
67 centiares, adheslon a étc
donnée u ll projet d'orga nisation de 1' Asso cl;.,;tion p:if 14 propriétaires représentant lI.ne
superfic ie de 24 hectares 10 ares 77 cenha -
_?
ar""
jE"
.
C~nside rafit que le Serv ice d u Genie I~u ra l
a \,e.rifié la rëgul arité des opérations d'enq cê~ ;
. .
.
Considéra nt que les condlt.OIlS d!;' lllaJontc
ex igees p:lr l'arti cle 12, parag:aphe 2 de la
loi des 21 j uin 1865 - 22 de<:e01bre 1888,
mod ifiées ,par le décret du 2 1 décembre. 192fi,
ont êté remplir$: ;
ARRETE:
Article premier. - Est allto r is~e, conformêment aux proj ets d'acte ùu 16 jalWiLf
1948 l'Association Syndicale des Prop riétaires désiO"nés à l'article 1er dud:t ac te. cetiJ:
A 'ocia tion ayant pour objet l'entretien de 1...
fil iole Ouest de la Ramière à Ba rbe ntane.
Article 2. - Un extrait de l'ac te d' Associ ation er I~ présent arrêté seront insérés au
Recueil des Actes de la Préfectu,e et sem,lI
affichés .:l U plus ta rd dans un dëlai de quillzai ne, tant à la porte prindpale à la M airie
qu'à un autre end roit appa rent et f r éq uent é
du pulllic, designe pa r arrêtê mu nicipa l dan:-la Comn1tune de Barbentane.
Article 3. - Ampliation d u present ar rêté
et de l'acte d'Associat ion sera adressée il M.
le Sous- Préfe t et à M. l ' Ingénieur en Chef dt:
Génie Rural.
A Marseille, le 20 avr il 1950.
Pour l e Préfet :
Le Secrétaire Général Délegue :
Il s'agit t!t .SUI
dJinobserva tlOn,
les dangers de~
tion et l'emplOI
dence.
En consé q lle n c~ , je vO us prie de bien vou.
loi r m' indiq uer les noms, raiSon sociale el
adrc3se dc:.; exploita nts d.e votre commune
afi n qu 'il soi t procédé à une m ise à jour
complète des ca rri ères actue J.J emen,r en acti.
vité. Dès réception de cette l isre, je vous
:t.dresser ai le nombre d )exempl.Ji,res nécessai re des tex tes en li age en mat ière dl ex.
ploitation de ca rr iè res, ai ns i qu 'un avis à
tra nsmett re .lux -carriels.
L 'un des exempl ai r es de chac un des cextes
q ui vo us seron t adressés) devr a être a ffi oh~
en permanence da'lls une sa l le de votre Mairif'
Ollve rte <lU publ ic.
-
Les carrières souterraines SOnt sunreil -
lées, sous l'autorité du Préfet . .par les Ingi>meurs des M Ines et agents sous Jeurs or<lres
(a rticle 20) ;
- L es carrières d riel·ouvert ';)Ol1t survei llées, sous l'autorité d" P,réfet, par les Mair es
et autres officiers de police municipale avec
le concours des Ingénieu rs des Mines et
agents sous leurs ordrcs (article 19).
, EI~ con~éq~e~cc. j 'estime qu'il y a Iicu
d attl:er Ind1\'lducliement l'attention des
explOitants de carrières en activité SUr le
territoire du département des BoucheS-du_
Rhône Sur la nécessité d'assurer da ns leur
elGploltation le reopect des prescriptions donf
FSO
-------« »00«>------_
D3 B3
fS 8
ASSISTANCE M EDICALE GRATUITE
AUX .AGENTS TITULAIRES DE
L'ADMINISTRATION PENITENTIAIRE
Le Préfet des Bouches-du-R,hône,
à MM. les 1I\1ai res du D épa rtement;
M . Je Direc teur Général de l' A,1'Ininistration de l'A ssistance P ublique ;
MM . les Dire~te urs des Hôpi ta ux
d'A ix, AN au h, A rles, A ubagne, ,Châteauren arel, ,L a Ciotat, Ma rtig ues, Salo n, Saint-Rémy et Ta rascey".
P 0
JURY CRIMINEL POUR L' ANNEE
1950- 195 1
VO liS trou\'erez ci-apf(~.~. l e texte de l'arrêté
que j 'ai pris le 27 mars 1950 peyur opérer la
r.épar titi oll entfie les divers cantons du départem ent des deux cent quarante jurés que dbit
com pren dre ta l iste gëll'érale du jury criminel pOllir Pan née 1950.
REG / JEUX n" 102
Pa ris . le 30 M ars !950.
Le V ice-Preside nt dlll Conseil,
.I\'l l nistre de IJl ntérieur
à MAt les Plréfet5 (M~tropole, Algérie,
OU fre-Mer).
Les Commissions ohargtcs de d resser les
l istes pnëpar~.o j res par canton, li stes qui
devront co nteni"r un nombre de nom doubl e
de ce! ui q ui est fixé par m on arrêté, se ron t
COI1VOquées pa r M IM . les j-u'ges de P,aix dans
la Ipremièr e qui nzai,ne d'août. Je vous prie
de vo uloir \bien prépa,rer. dès à présent, les
éléments nécessai res il la bonne confect ion
de Ce t ravail.
j e vous infoIime que la liste des appels à la
générosité publique auto r isée à l'échelon
national pOur l'an née 1950 a été arrêfée
comme suit:
-
L e Vice-Président du Conse il,
M i'llistre de l ' Intérieur,
Signé: H. QUE U ILLE.
DI BI
CALENDRIER DES APPEL S A LA
GENEROSITE PUBLIQUE
POUR L'ANN EE 1950
1er au 15 Mars: campaane des colonies
de \'acances.
organisme centr.a l, sous la réserve Itoutefoi s
qu'il '" n'aient rp.as li eu à une d'ate Ou une
c j Otl rn ée n+atio nal e » es t prév ue.
------- «» oo «~------_
-------c: »00<>.- - - - 03 B3
77
L'Admi nistrati on peni tentiaire prenant en
charge le reli quat des frais d' ho pita lisation
des agents lt i ~U'l a ires après r églement de La
quote- part d. l a Sécur ité Sociale, j'ai l 'hon neur de vous -pri er de ne pas ad1mett re ces
foncti onlllai res, dans l'avenir, à l'assi sta nce
médicale gratui te.
I! en est de même, d'ai lleurs, .pour les dossiers de soins à dom icile, l'ad.'rn inistration
susvisée .prenant en charge le reliq uat des
fra is médicaux et pha nmaceutiq ues.
Pour le 'Plréfet,
Le Secrétaire Généra l,
LANIASSOURE.
-------<> 00 <> ----___
De nombrtux accideiîts mo rtel s dus â J'emplOI des I.!X l)josifs son t urvenus ces deux
dernières annecs da ns les ca r rières à c-ieiollve rt dt: l'arrondissement m inérruo!!iq ue de
Marseille.
(:1
Cette r~grettable série d'accidents et celt~ine.s constatat,ions effeoruées Ipar les ingéOJe~rs du Sen'lce des Mines au cours de
leurs tournées montren t que tes prescriptions
du décret du 27 avril 1892, portant réglementation de::-. ca~rières. et des arrêté~ prefectoraux ur l 'emploi des explosifs des 6
novembre 1930 et 28 anil 1933, ont été perdues de vue par les exploitants carriers.
Je vous rappelle qll'en appl ication du décret du 27 avril 1892 :
en c
en tnSls.ant 'n.otamment s~
expi osi i s, dont l a manipul.l.
eXIgen t la pl us grande PI1l~
Je me propose donc de fai're procéder
un nouveau ti rag~ des tex tes d'u décret d~
27 avril 1892 et des a Ifêtés des 6 novemb"
1930 .et 28 avril. 1 933~ dont je vous ad resser"
ampliatloll a I lOtetlt;o n des explo lwmts.
Da ns ce but, VOliS vo udrez bien p rocéder
à tll1 recel1&eme:n t de!:, car r i~~es eXlploi tées,
da ns vo tre commune. E n e1Tet~ un certain
llom1brf' d'explo itants Câ priers para isselH avoir
négli gé de fa ire la décla r ation d'ouvertuTt:
prescrite ,par le Titre 1er du décr~t du 27
avril J 892, D 'a utres semb l ent avoir Cessé
toute adivité.
LAMASSOURE.
05 BI
ClA 0
EXPLOIT ATION DES CARRIERES
ACCIDENT S PAR L'EMPLOI
D'EXPLOSifS
-
le ll ~ r~spon sab i! ité
0
La commu ne de Port-Saint- Louis-d.u-Rhôn<
et celle des Saintes-Maries-de-la-Mer qui
for.rnellit chacune unt canton et les communes
d:Aix, d' Arles et de ,Marsei lle qui sont divisees en pl usie urs ca ntons, ont à procéder à
la dësignation des conseillers municipaJUtx qll~
d'oivent fa i re partie de chacune des CommiSSions cantonales, conlformément à "a rticle 8 de la loi du 21 novemb re 1872.
- 7 Moi .' Journée du Comité National de
l'Enfance.
14 Mai : Journée de l a Croix-Rouge
Françéli~.
- 4 luin .' Fête des Mères.
- 11 Juin: Journée de la Li gue Française
contre le cance r .
J5 au 30 l u'>', .' Campagne dl! l'Ecole
Publ ique.
- 8 Octobre.' JOurnée du Comité National
des Aveugles et Paralysés de F'rance.
1er ail I l No vembre.' Campagne du
Bleuet de Franœ a'u profit de, Ancie ns Corn'
battants.
- 15 nove.mbre au 15 décembre : Campa,
gne du T imbre antntubercu leux.
~e vous rappe lle que vous conservez la
l atitude d'autoriser les appels limités aU
cad re de !a ci rcongc ri.ption
a.rminrstrahve
dl)nt \'ous avez ,la c.harO'e au Iprofit dl'œuvres
eS";entiel1ement locah~s ~lOn rattachées à un
I
M~I\iL les Juges de Paix recevron t en même
tem ps la l iste des ju r és qui ont été Msignés
]lar le SOl]t pOur siéger aux Assises pe ndant
j'année courante et J'année précédente ainsi
~ue les :mprLmé,,, ,néce saires pOlir la formatlOIt des listes prépa ra toi res.
. Ces magistrats auront à se reporter aux
listes tra nsmises l'ann ée dernière en ce qui
~,n cerne les 'nOms des jur(~ désignés pour
sle~~r aex Assises des premier, deuxième et
trOISième trimestre 1950.
ARRE T E
L e Préfet d.,.. Bouc.hes-ru-I{hône
Officier de l a Légion d' Honneur, '
V u la loi du 21 Noveml>re 1872 ;
VlI les OrdK>nnances du, 17 Novembre 1944
et 20 Avri l 1946 et notamment les ar ticle.s
385 et 389 ainsi conç us :
« Art. 385. - La liste annuelle d" JUTy
co mp rend PO llf le clepa rtement de la Seine
J .2~ ju rés; pour les aut res dépan;ement:s
un Juré par 1.300 habitants, sans toute fois
que le nombre des jurés p uisse être i nfér ieur
à 160 ou supéri eur il 240.
. « La liste ne peut com.prendre que des
citoyens aya nt leur Jorn ici le dans le département.
« Le nomb re des j urés pour la liste
annuelle est répaJ ti par arrondissemeTllt et
par canton . proportionnellement au t ableau
officiel de la populat:on, u,,, j uré au moins
devant être pr is dans chaque canton.
« Cette répartition est fa~te pa r arrêté dU!
Préfet pr is " ur l'avis coruforme de la Commission D épa rtem entale au mois d'av r il de
chaque année et pour le département de la
Seine, sur l'avis conforme du bu reau d!u
C!,nseil Génér al, au mois de j ui llet.
« A Paris, l a répartition es t fa ilte entre
les arro ndissements et les q uartiers. :.
« Art. 389. - Une liste spéciale des jlhrés
suppJéants pris parmi les ju rés de la ville
Où se tiennent les A.;;sises. est a:ussi fOI mée
chaq ue année en dehors de la l iste annuelle
clu Jury.
« Elle comprend deux cents pour Paris,
qua rante Ipour les autres départements.
• Cette liste est dressée par la Commissi c>n
de l'arrond issement où se tiennent les Assises.
« A Paris. chaque Comm ission d'arrondissement arrè~e une l i . . te de dix ju·rés suppléants.
V u le Mcret en da le du 25 décembre 1936
quoi déclare authen,tique, à partir du 1er jan"ier 1937, les r ,;,mltats du dénombremen t de
la popu l ation du S mars 1936 ;
Considêrant qu 'en raison du chiffre officiel
de la population du dépa rtement des Bouches-du-Rh ône qui est de 1.222.802 habitants,
la lis te (Illnuelle du Jury doit comprendre 240
jurés.
A I~HETE :
Article premier. -
Les 240 jures qui doi-
ve!ùi composer la l iste du département des
Bouches-du-Rhone pOI!r J'année 19501 seront
répartis entre les arrond i%ements et .Ies canton::) du département d!;' la façolll sUI\'ante :
1rt Répartition par arrondiSsement
Habitants
Ai x .. .
Arles ... .
Margei ll e
2" Répartition
• cnntoll
par
Jur~~
155.696
97. 705
971 .40 1
36
22
182
1.224.802
240
.'
ARRONDI SSEME.NI D'A I .\
Aix- Nord ..
Aix-Sud . ..... .
Berre . ... .
Gardanne .. " " .... "
Istres ... .
6
5
2
Peyrolle, ........ .
Sa lon ....... ".
T rets .......... .
ARRONDISSEMENr D'AR LES .Arles-Est .. ..
ArJes-O uest ..
Châteaurenard
Eygu!ères .... .
Orgeyn, ....... ... .
Po rt -S t - Lo ui,;..-d u-R hône
Stes-Mia ries-de-I ""M er
Sai nt-Hém y ........... .
T arascon ....... .
4.015
24.537
6.750
6
1
155.696
36
18.824
14.78 1
19.663
7 199
11.064
4,448
1.564
9.860
10.302
5
1
3
5
1
2
1
1
2
2
-----
97.705
22
ARROND ISSEMENT DE .... \ .'\ RSEILLE
Aulbagne ...
18.041
L a Ciotat ........... , ..
18.157
Marsei lle. 1er canton ' " ' .
56.0 19
2' canton , ...
93.099
»
3' et 4" CGllton.
86.8 19
»
5/) cantOJ1j ......
1-W. 174
6' et 7~ canton.
225.374
8' et 9' ~a nton .
11 4.542
151.459
• I(r et I l ' conton.
»
12" cil nton
55.087
Roq uevaire ..... ........ .
12.620
44
21
27
10
2
971.40 1
182
•
•
5
5
10
17
16
')- .')
Le présent arn~.c . . tra inséré au
Bulleti n Administratif des M airies et i l en
sera désormais adressé u"' exem'Jla:rc à i\Il\1.
les Sous-Préfets, lvlaires et Juges de Paix..
du département, cha rgés en ce qui les Concerne, d'en assurer l'exéc ution
Une ampliation de cet arrêté ~era egalemerut ad ressée a M.M. 1"" préSider>. des Tribunaux Civils, Président des Commissions
chargées d'établir la liste des jurés par
arrondissement et il .1\1. l e Premier Président
de la Cour d' Arpel d·Aix.
A1ar~eille. le 27 Alars 1950.
Art. 2. -
Le Préfe t,
BAY.LOT.
-------<>00<>-------
06
Bl
P 3
CHASSE
Le Prefet des Bouches.-du-RhôfU!
à MM. les Maires du Déparlement.
J'ai l'hunneur d'attirer tou t particulii!ren~ent l'olre attention sur la dreil/aire de M.
Le Ministre de la just'icel du J-l avril 1950,
dont l'OU S trouverez le texte ci-dessous .« hl. le Alinistre de l'Agriculture a appe!.;
mon attention sur Url jJu.gement rend u le S
janvier 19;j8 par le Trinun al Correctionnel
de Poitiers, qui a condamné le fl?,mm0
CAILLETEAU Victor. en \'en ll de l'arhcie 4
de la Iloi du 13 août 1936, pour avoir chassé
dès le jour de l'ouverture sur le territoi re
d'un arrondissement limitrophe du dépa rtement pour l ~quel lui a,'ait de délivré son
pe-rmis. et alors que la chasse n'était paS'
ouverte dans ce dernier dopart-ement.
« j'ai J'honneur de VOliS faire connaître
que les recherches allxquelles j'ai procédé
m'ont permis dl' COll~tater que (bi~n Que continuanr à figurer par erreu r au C~e Pén~J
Dalloz. édition 1950, p. 353) cet article avatt
été ab rogé par l'article 4 de la loi du 19 aOût
19~6
O. dll 10 août 1
. 7278).
�des d~penses d~ milterifd Inférieures. a 1.000
fra ncs t.'t dont les disposItions avalent ra l ~
l'objet de la ~"tt re collective n" 39 12 G L-C
716 du 2 juillet 19.\5 adressée sou~ l e .t' mbr;
de Ja Dlfection de la ComptabIlite Generale.
Je précise Que Jes dispositions .de la prcsent~ lettre collective sont applicables a ll ~
dépenses du mois de mars 1950, dont l 'emploi
n'au rait pas encore été just ifié à la date d~
réceptio n des prb"""en1:cs instr uctioM et aux
dé.pt.>ns~s des mois su.ivants. j'aj oute qu e la
dérogation acco rdée ne concerne q ue les ~é
g ls.seurs comtptabJes de l'Etat et des êtabhssements pub lics de ,'Etar et nOIl ceux des collect ivitës locales et des établissements puhllcs qu i en dependent.
Ji! VOLIS serais obligé de bien vo ul oi r not,i fier ces inst ructions aux ordo nnareu rs et rcg·~eurs-comptables placés SOus vos ordres·
rai Jt!Cld~, ~n collst!quence, de formei
t'int~ret de la loi contre h.:
jugemtnt susvise.
< A 13 demande de M. le Ministre de Iïntérieur, je \"OU5 transmets SOus ce pli Ja copie
d' u n~ circulaire que j'ai adressée, le 3 féyrier
1950, 3 MM. 1"" Procureurs Generaux pour
appeler leur attention sur J'abrogation d~
l'article 4 de la 10; du 13 août 1936. Je vous
serais obligé Je blt~n \'ouloi r envi~ger l a (>Ossibilite d'adresSl'"r de semblables mstructlo n ~
un pou rn)i dans
à \"():; Ben'ires,
Je vous pr~cise que rai signal': à At le
D irecteur de la Librairie Dalloz l'er reur (001mise dans l 'odition du Code P~na l.
j'ajoute que j'ai éga!ement sa.is~ .M . le
M inistre de l'Ai1:rioulture et M. le Mmlstre de
la Défense NatTonale (Gendannerie) de cette
question.
- --
Pour le Ministre et Ipar autorisation,
0 0 0 0 -- -
Le Directeur de la Comptabiiiii!
Publique :
SC 7
D2 B3
SUBVENTIONS POUR ACQUISITIONS
DE MATERIEL D'INCENDIE
AGREMENT PREALABLE
j'ai l'honneur de rappeler a Nu\\. les M aires que la Circulaire Ministérielle n" 196
AG-PC du 1er juin 1949, par ue au Hulletm
Administratif des Mairies n" 33-34 du 18-25
août 1949, précisait l'obligation faite au.'(
Collecti vit~ locales de ne concl ure aucun
marche et de ne passer aucu ne commandl.!
de matériel d'incendie avant d'avoir obtenu
l'agrément :
_ du Ministere de l'Intér ieur, en ce qui
concerne les dépenses subventionnat1les par
cette Administration ;
_ du Préfet, en ce qui concerne les
dêpenses sub\'l~ntionnables ur les crédits de
dëconcentration (titre 1 de l'annexe n" 3 dL
la circulaire JI. 196).
Je confinne que l'agrément prealable est
jndispenb3.ble à B'examen favorable de toute
demande de subvention 1 la participation de
l'Etat etant dans l'hypothèse contraire systématiquement refusee.
•
TEXTES D'INTERET GUERIL
Ciraulaire concernant plus spécialement
les Administrations de l'Etat
0 2 BI
G. DEVAUX.
- - -<> 000 - --
02 B3
AC 3
FONDS NATIONAL DE COMPENSATION DES ALLOCATION S fAMiLIALES,
j'ai l'honneur de porter ci-desso us à la
connaissa nce de MM. les Ml1ires du Dépar-
rement le texte de la circulaire d~ M. le
Directeur Générdl de la CaiSse des Dépôls
et Consignations n" 2 1 CI du 14 avril 1950,
relatèl'e à la radiation du Fonds Nalional de
Compensation des Al/ocations Familiales des
entrepriSes et exploitation s de production. de
transport et de distribution tfénergie électrique et de gaz exclues de la nationalisation
ou non transférées (décret n" 49-689 du 18
A/QI 1949) .
1
POur le Préfet,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE,
21 C I
:.
Paris, le 14 Av ril 1950.
Le Directeur Gen eral de la Caisse
des Dépôt<; et Ccnsign~tions,
il J\1 , le P~élet des Bouches-du-Rhône.
AC 2 1
1 Le décret n· 49-689 du 18 Mai 1949 ,publ ié
JUSTlflCATION PAR LES REGISSEURS au Journ~1 OffiCIel du 20 du même mois, a
COMPTABLES DES DEPENSES DE prevu gu. a compter du 1er j anvier 1949,
MATERIEL N'EXCEDANT PAS 5,000 Ele.ctnclte de France assulrerait la compen-
FRANCS,
Paris, le Il "vril 1950.
N" 2391 G L-C 2153
Le Ministre des Finances
et des Affaires Economiques
à MM, les Ministres et Secrétaires
d'Etat,
J'ai l'honneur d'appeler votre a1tention sur
le décret n· 50-333 du 16 mars 1950 publié
au journal Officiel d u 18 mars 1950, page
3067, q ui dispense les ,regisseurs comptables
de 1'Etat et des <'tabl issements publics de
l'Etat de produire au comptable qui leur
accorde des avances les pièces justificatives
des dépenses de materiel inférieures il 5.000
francs,
Ce décret abroge <le décret du 15 f~rier
1944 dispensant les régisse urs d'avances de
produire awc payeurs les pièces justificatives
sation. entre les entreprises et ex,ploitations
de production. de transport et de distribution
dlénergie éleQtrique et de gaz exclue:; de la
nationalisation ou non tr.an sférées, des oharges supportées par celles-ci au titre des articles 22, 26 et 27 du statut . nat ional du personnel des IfIdustnes electnques et gazières,
et notamment des dJVerse l)festations famihales.
Les entrep;ises et ,?"ploitations de ce genre
qUI ont pu a Juste h tre participer aux opérahons du Fonds National de Compensation
des AllocatIOns Familiales, soit parce quelles
au.ralent ad1léré, a ce Fonds en leur pro,pre
~om, 50,t 'Peut-etre également parce que les
el éments les concernant auraient été compns Sur les états des collectivit~ ,publiques
locales dont eUes dépend.. ient, doivent donc
cess.;r cette participation à pantir <le la date
prècMe du 1er janvier 1949.
-
J' ai l' hOlUleur de ro us prier, en' consequ
ce, de bien vouloi r me fa ire parvenir den.
Je plus 'bref délai possi ble Ja l iste des en~"
prises et exploita tions vi sées 'Par le déc;:CI -dessus q UI appar tIennen t a votre départ:
ment et qUI ont pa rtlc:,pé JUSQ u'Ici aux <>pO.
ratio ns du Fonds National après avoi r il'
affiliées en leu r p ropre nom, de façon à m'
pe rm ett re de lai re procéder à l eur radiatio~
Les états de sa lai res et 'Prestations fam;.
liales concerna nt ces ent repr ises et explol_
taltions qui se trouveraient éventuellement
compr is dans vos envo is au ti tre de la cOJnpensation des pr es tations ,payées au cours
de l 'a nnée 1949 se r aient consi dérés par mes
services comm e nuls et nQom avenus.
D'autre .part, dan s r ~vent u a li té où certains
services départementaux OUI communaux COm_
pris j usq u'ici dans les déla is globaux des
oolJectivités auxquelles ils appartiennent
entre raient dans le champ d 'app lication du
décret préci té et obtiend r aiemt d'Electricil'
de Franee l e rembou'rsement des allocations
versées a leurs agents, les collectivités inté-ressées .ne devra Îent plus mentionner à l'avenir Sllr leurs états desti n ~ au Fo nds NatiGnal ni les 'presta t ions ni J.es sal ai res payés
à ces agents.
Dans le cas où elles en auraient fa~t men.
tion sur leuifs états concernt3nt la oompenation des prestatio ns payées en 1949, il leur
" ppa rt iendrait d' etablir des etats rectificatif,
Si ces etats 'flle parvenaie nt 'Pas en temps
utile à m es Services 'Pou r qu'il ,pût en êtr.
tenll com pte lors des opérations de compen·
sat ion concern ant les ,prestations payées en
1949, la situation <les collectivit~ intéressées
serail: régularisée en 195 1, lors de la compensation des ,prestations payées eTl 1950.
Pour le ,D irecteLLr Gén éral
et par autorisat ion,
Le Sous-.Di recteur cha~gé de la dil'ision
des dépôts.
Si gné: fllisiblement.
•
Communiqués· Avis
Annonces diverses
REGISTRES DE L'ETAT-CIVIL
Remboursement par l'Etat des frais de
reliure et de confection des registJe 5
d'état-civil (année 1949).
ADDIThF
à la note parue SUr l'objet précité dans Il
« Recueil des Actes Administratifs « n" \~
15 des 6 et 13-4-50, page 64 :
MiM. les Maires sont pri~ de vouloir bien
« certifier exact 'b chacun <les exemplau1lS
des .mémoi res qu i leur som! dema,"~.
Copie certifi ée con forme.
POUT l e
P réfet :
L~ Secrétoir~ Général : LAMASSOURt
----------------------------~
Imp. Nouvelle de Marseille. ISo.. rue Sainte
FRANCAISE
8 ' Année, - Noo 19 et 20
DÉPARTEMENT DES
Recueil des Actes
• •
Irles
et Bulletin des
Toute corre spondance r ela tive a u R ecueil doit êtr e adressée à la P r éfecture Secr é tariat
Général
ABRÉVIATIONS
A, p, : Arr êté préfectoral. - C, : Circulaire. - Les lettres D et B suivi es d'un ahitfre Lfldlquent le ServIce ou Bureau d'ongine.
_ S, L. R, A, : Service de Liquidatio n des Ré quisitions Allema ndes. - R. G, : RavitaiNement Général. - S, C, R. : Service de la
Circulation et du Roulage. - D, D , S, : Di rection Dépar temen tale de la Santé, - D. S. T . : Dïrection des Services Techniques.
SOMMAIRE
tains gaz toxiques da ns les opératiolls de désinfection et dératisation.
FS 7. - Caisse Nationale de retraite s
des agents des collectivités locales ;
Circulaires des 20 et 24 avril 1950.
FS 9. - Ca rte d'écono miq uement faibles, - Allocation temporaire ...
SC 7. - Distinction s Honorifiques . . . .
J1,G O. - Enquêtes il car actè re économiqlle, fina ncier ou fisca l ..........
.....r6Iés réglementaires et Circulai res
Pages
AG 2. - Appl ication des dispositio ns
de la lelJisl\at ion des emqJ-lois réserves re! ati~le s aux orpheli ns de guer re.
F 4. - Em pru nts ém is par des communes et syndicats de comm unes
pour le financemeut de t ravau x d'éq uipemen t rural ........... . ..... ,
FS 0, - Rest r ict ions l'e mploi de cer-
a
79
79
oC
FS O. - AttritiUltion de dots a un certain nombre de fi lles de déposants et
d'assurés de la Caisse Nationale
d'assurances sur la vie ........
80
SI
81
St
81
Conununiqués, Avi s, Annonces diverses
-
Publications nouvelles de J'Inst itut
.....
- Demande d'emploi de Secrétaire de
Mairie ..................... ,....
G~graphique National
82
~2
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
AG 2
D2 B3
APPLICATION DES DISPOSITIONS DE
LA LEGISLATION DES EMPLOIS
RESERVES RELATIVES AUX ORPHELINS DE GUERRE,
J'ai l'h Onneur de porter ci-dessous à la
con naissan ce d e MM. les Mdires du Département le texte de la Circdlaine de M, le VicePrésident du Conseil, ministre de l'lin térieur,
n" 138 du 20 avril 1950, r~lœtive au pla",ment des orphelins !le la guerre 1939-1 945.
F2
02 l:l3
RÉPUBLIQUE
11 et 18 Mai 1950
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général delégll/! :
LAMASSOURE.
:.
Ci rc lliaire n" 13-S
Paris, le 20 avril 1950.
L e Vice-Président du COllseil,
Mù;istre die /'Inlérieur,
à MM . les Préfets (MéN'opole),
MOn atten t ion a été appeil're sur les difficultés rencontrées par l'Office National des
An ciens Combatta nts et Victimes de Guerre,
pour assurer l e pl acement des onphelins de
l a guerre 1939- 1945, en ra ison de la règlementa ti on app\<icable au recrutement des .pe rsonnels des collectivités l ocales,
Je crois devoir vo us rappeler ft cet égard
les disposilions de l a loi du 26 octobre 1946
" ur 'l'es emplois r~ervës, dont l'aJ>plication
dans les co llectivités locales a fait l 'obj et de
l a ci rculaire d'un de mes ,prédécesseurs,
n" 493 AD-3 du 18 octobre 1947.
1
Aux termes de cette législation, les orphe02 83
f 4
l'ins de gue rr e bénéficient d'un droit de préEMPRUNTS EMI S PAR DES COMMUférence ipour l'obtention des emplois devant
NES ET SYNDICATS DE COMMUNES
être confies â. des mineurs.
POUR LE FINANCEMENT DE TRAA cet effet, les Administrations locales qui
V AUX D' EQUIPEMENT RURAL.
disposent de tels emplois doi,'ent ad resser il .
l'a lin de chaque trimestre, il l 'Office Dépar teLe Nlinistre des Finances et des Affaires
menta l, des Anciens Combattants et Victim,e$
Economiq ues,
de guerre, la liste des emp lois à pourvoir et,
1 9X9~ l 'a rticle 5 de l a loi n" 4,9-482 du 8 aVfll
le cas échéant, rtndicat-ion de l'exa'l11en au
conCo urs imposé a'ux ca ndi dats. Les notes
ARRETE :
obtenues à ces concours par les orphelins de
ArNc(e premier. - Conformement a j:arguerre sont majorées, pour chaq'ue êpreuve,
ticle 5 de la loi du 8 avril t 949 et dans b
du dixième du maxinnlm des -points sllsceplimite prevue à l'artiole 2 ci-d essous, les soustilYles d'être obtenu pour l'épreuv;,.
criptions aux emprunts émÎs dans le public
Ces dispositions font l 'objet du titre Il du
par des communes et syndicats de communes
décret du 10 juillet 1947.
pour le financement de travaux d·équipement
J'ai l'honneur de vous p r ier de voul~ir. bien
rural non subventionnés par J'Etat pourront
signaler à nouveau ces textes aux admlnlstraêtre li ber~ il concurrence de 50 p. 100 de
teurs locaux.
leur montant par remise de certificats de
Yemprunt Iiberatoire du .prélèvement excepPour le Vice-Président du Consei ;,
tionnel de lutte contre l'inflation.
Ministre de l'Intérieur,
Lesdits cerNficats seront rep ris pour leur
[Je Préfet ,
valeuT nominale, les coupons échus à la date
Directellr de /' Admmistration
de jouissance de l'emprunt souscrit étant déGlÎIléraie, Départementale
ta chés.
e! Cr>mmun.a/e :
Art. 2. - Le montant total des emprunts
Pierre-Jean MOATTI.
susceptibles de bénéficier en 1950 des dispositions ré ultant de l'article 1er ne pourra
Mpa, 'è r \ mil liard 100 millions de francs.
Arl, 3. - Le Directeur du Tr~or est chargé d'assurer l'exécution du présent arrêté, Qui
sera publié au journal Officiel de 1:. Repu ----<>00<>--blique Française,
Fait à Paris, le 27 avril 1950.
Maurice PETSCHE.
�fS 0
D382
RESTRICTIONS A L'EMPLOI DE
CERTAINS GAZ TOXIQUES DANS LES
OPERATIONS DE DESINfECTION
ET DERATISATION
Pans, k 23 maT> 19:;0,
N 51
L. ,\lin stre de la antc Pubhque
et de la Population
a ;\\e:,sleurs les Prdets.
M ~ ieufS k s Dir~.:teur~ Dèpa rte·
mentau.\. de la Santé.
Jai lhonneur d'appeler \'otre
sur rarr~t~ du 1er mar s 1950 paru
nal Olficit'l du 5 mars,
Cet arr~tét pris en applicatio.n de
1er dt!cemtne 19-19, fixe la liste
la loi du
des g3.Z
toxiques dont l'emp:oi
d~ns.
f:5t
interdit
attention
au Jour-
les
opérations de dt~insectisation. de derausatlon ou de d~lnfection de certa n locaux.
L'arr~tt!
"ise :
l~
locaux d'habitation, ks
tlabh::.semenb ho... pitaliers. tes na\'i r.: de
(omTlkra ct h:s ctahli. ements scolaIres Il
prt-\"olt, en outrt. dans son article 2
arrl?le comph!mentai re inte rdendra
q~'un
u J t~neu
cetn\:n t pour d'autre::, cat~gor;es de locaux.
Je \ ous :iera.s oblig~ de .bien \'oulo.i r prt'ndr~ tOUt~ dispositions utiles en \'ue de la
mi~ en applicatiOn dans ,'otrt- dcpartement
de J"arrttt: du 1er mars sus,ise, En particulier, ,.~ "oudrez bien porter à la connais6..1n(e dt' Me .. ieurs le Directeurs des etab l iS!;.t:ment ~ hospitaliers et, le cas l'chéant,
des Directeurs de Sen;ce de contrôle an.taire au), fronti~re.s ks noureUe:; di-posihons
de cet arri:Ît.:.
En ce qUI concerne ks opftrations de dèsinse~tisation tt derati:s.ation d~ locau>..
dhabJtat;on, Je \'ous rappelle que des arrètes en date de 10 juillet 19-\6 et 10 ma rs
1947 al'3.ent rCp'lemente ces; différen tes operanon" k>roqu'ellts ltaient effectuêe:s il J'aide de l'acide cyanhydnque, du bromure d~
méth) le, de l'oxyde d'uhyléne et de la chloropJCrlne.
Des accidents crant sun·tnus malgré cetk
règlementation. il m'est apparu nl>cessairl!
d'interdIre purt:ment et simplement remploi
des plus dangereux de ce gaz.
C~est a;n5"Î que la lègislation nou\'elle interdit I"usah'"t: de J'acide cyanhydrique, du
bromure de mdhyle et de l'oxyde d'éthylène
et abroge dt ce fan Its arrêtés antérj~u rs vÎSl.:S ci-dessus.
Elle laJs:-.e subsister cept:ndant les arrêt«!s
des 10 ,uillet 1946 et 10 mars 1947 Concer,
lIant l'emploi de a chJoropicrine, Toute entreprise désirant ut:li.ser C~ gaz a la po ibjllte d~ Je faire sous rfsen'e toutefois de se
soumettre aux diHt2rentes prescriptions des
tex les de 19~6 et J947,
Vous \'oudrez bien me signaler toute inf ractiOn a la 10, du Jer déèembre 1949 et
à ~ùn arrêté d'application que \'OUS seriez
appelé a constater ou dont vous auriez eu
connal.:-.sance.
Le Ministre,
Pour le Mnistre et par délegatioo,
Le Directeur Genéraf.
CAVA ILLON,
------- <>00<>----__
-
j
FS 7 me cette demande, da ns les l11 t?me:i condi_
0 3 82
1 tions.
Pour le Dire c t~ lIr gëneral.
CAISSE NATIONALE DE RETRAITES
1
e t pa r auto r isa tion :
DES AGENTS DES COLLETIVI TES
L e SOlls-Direcfeur char J!.t! de ta I O~ DiI'isio".
LOCALES
J, DOLZY,
(Circulaire du 20 avril (950)
Objets . 1'" Rêl'ision deS pensions foncede..!3
au 'profil d'agmls admis à la rel r ade
avant l e 16 ockJbre 1949 Ou de /t·llf ....
ayDnts-cause.
2"
Validatioll cie services.
L t;s Inst ructions de la Caisse des. Depôt3
et Consignations en dat~s des 10 dcè.ernbr.t
1 9~U et 13 fe\'rier 1950 concer nant 1 apphcato n des dispositions du décr~tn :' 49- 141 6
du 5 octobre 1 -19 \'ous Ont precise les COliditions dans lesquelles il condent. ~e CO!lStituer et transmettre à mOn a~nl101stratlOn
les do 'iers de ré"isio n des pensIOns.
L 'etablissement de J'ensemble ·des dossiers
concernant les pensionnt-s d'une ,mt?-me col !ectl\'ite peut demander 'un ce rtain laps de
temp:" en ra ison, par exemple. du . no~brc
des do:'Siers à former ~i la collectl\'l te es.t
importante, ou de la néceSSite de procéd~ r a
db a~imilatio n s en cas de suppressIOns
d'emplois,
Aussi le Consei l d'adm in istration de la
Caisse nationale a-t-Il ex,pr;mé la crainte que
des collectidtés se croient obl igée d'a ttendre que tous les dossiers de révision dl:s
pen'ien:, de lel.lrs a~c~i e~s a?"ents ou de leurs
ayants-cause aient ete eta~li~ pour les t!allSmet[r~ a la Caisse d-es Depots t:t Conslgnl tians.
Cette preoccupation m'amène ci attir.er votre atlem.on sur le fa it qu'une telle prall que irait a l'encontre des i~térêts des pensionnct', en retardant le paiement de leu r
rappel d'arrérages, et ferait obstacle à la
régularité de l'exécution ù~s tâches que J.l
perequ ation impose aux services de ta Cai~
st nationale.
Je \·ous serais, en conséquence, obligé d~
faire panenir à mon administration les do:;'iers dablis par \Iotre collectivité il mesui'C
qu 'iJ~ -eront prêts.
:.
Il a d'autre part été signalé il mOn admi-
nistration que des coHect ivités croyaient n~
pati de\"ol r transmettre à la Caisse nationale
certa nes demandes de validation de servicl.:s
formulee. par des agents en activité Ou' ret rai tés ou ·pa r leurs veuves. sous le prétexte,
par exemple, que les sen'ÎCes à va l ider
a\'aient déjà donné lieu à \'ersements effectués
la Caisse nationale d'assu rances u,
la \'it::, afors que de tels sen-ices sont, dan~
c~rtain s cas, yalidables au regard de la Caisse nationale de retraites des agents des col lectivitt!:s locales
a
Pour e"jter que les i ntéressés ne se voient
tJ~h!rieun:ment opposer la forclusion) il COnVient de transmettre, dans tous les cas, leur
demande à la Caisse des Dépôts et Consignations, rien ne s'opposa nt d'ai lleurs à ce
que la collectivité joigne à la demande ~i
celle-ci ne lui parait pas recevable, une 'note en indiquant les raisons.
. j'ajoute que lorsque des agenls ou d'an c,-en:; agents se trouvant dans l es cpndi tions
voulues pour formuler une demande d~ validation tle sen'ices l'iennent à déc{:ôe r leur
,'eu\"e a la p )~sibHité de présen ter e l1 e-m~ -
•••
(Circulaire du 24 avril 1950)
Objet : Assimil ation des I.mploi~ 1I.t!serVQnl
dans l es etab /jss~ m ell is Il o sptla" ~rs,
La presente ci rc ~l ai ~e n"Î ntéresse que le')
etab-l issemen ts hosp ita liers.
Elle es t neanmoin s adr ée il toutes les
autres co lJectivi tés locales qui avaie nt instit ué a,'ant le 1er octobre 1947 des ca isses
pa rt ÎL'uJ ières de .retr ai tes, dont elltes, pou rsuivenr la liqu:datlon. ,po ur I ~. ca~ ou le .Iperson nel d't'tabl i sements hosp,ltalters ,d~pe",
dent de ces co l Jredivités au rait eté afflIJe aux
dites ca isses de ret raites.
:.
Les fonctions dt.s agents des etabl;ssemen ts hospi ta l iers an tér ieu rement qualifiés
dé se r va nts comportaient en pr i ncj.~e les at:
tributions qui sont norma leme nt devol ues it
des Ipe rso nnels de ser vice (entr etien, nettoyage, etc.. ,) ,
L'attention d u Co nseil d' Ad min ist ration de
la Caisse natio na11.e a to utefois été atti rée 6ur
Je fait qu'un ce rtain pou l rce n t a,g~ , d'ailleurs
var iab le selon les établissements, des agents
de cette ca téO'orie en activité a (.té intégl"é
dans le cad r: des aides-so ignants, ,pour tenir compte du fa it que, malg ré ~a dén o~n.a
ton d! leur emploi, les i nt~re&;és r~mplls
sa ient davantage le rô le d'a i d~s-sOlgnants
que ce lui de ,pe rsonne ls de se r vice.
En vue de la rév ision ou de li a liquidat ion
des tpension::, d'anciens ser va nts, l e~ abSemblées l ocales chargées de la gestion de.j
établissements hospitaliers pe uvent pa r SUIte être amenées à ,propose r, dans les co nditions indiqu ée par mOn i nstfiuctÎon du 13
fêv rier 1950 J'assi m;llation de J'emploi de;;
i lltéressls à' cel ui d'aide-so igna nt, si elles
estiment q ue les fonctio ns remp lies au COl~rs
de l 'acti vité correspo n.cJaient à ce derme;
emploi,
Le ConSti l d'ad mi nist rat ion ne pourra it, si
de telles pro.positi{)ns Ijlui so nt ,présentées, se
prononcer que sur des cas particu l iers.
Po ur lui pe r mettre de ,prendre ses déci,
sions en toute con naissanCe de cause, il cory\'iendra i t de j oin dre aulX dossiers constitues
selon I~s prescr' ptions du chapitre Il de mon
instruct ion du 13 fév r ier 1950, pour chaque
ancien serva nt dont l 'emploi fe r ait l'objet
d'une proposition d'assi milat ion il celui ~'al:
de-soignant, un éta t individ uel de se rvice:,
préc isant l 'affec tation de l 'i nté res ' é dans
l'établissement et I.es attributions exacte s qUI
lu i étaient confiées,
Pour l e Di recteur général,
et 7par au tori sation : ."
L e SOus-D i r ec t eur charge de l a 10' DIVISIon,
J, DOLZY
~I
fS 9
D3 B I
CARTE D'ECONOMI QUEMENT
fAIBLES
ALLOCATION TEMPORAIRE
(Réunions de Maires)
Au cours d'u:ne séa nce de t rava il des M aires de J'arrondi ssement d'A rles, rëu nis a
M aJilemor t le 20 .avril , et à Ilaq uell e assistait
le chef du se rvtce pré fector al de la Carte
d'économiquement faibl e, i l es t appard
Qu'une confusi on po uvai t êt re fa ite ent re la
Carte d'économiq uement fa ible, d'une Ipa rt,
et l'all ocation teIlljporai rc aux éco nomiQ'll-ement fai lJl'es, act uell ement allocation de vieillesse,
En part icl!l ier, cert ai ns maires ont expri mé le dési r de savo ir si J'attr ibution de la
carte d'économiqu ement fa ible était la con dition néc essa ire po ur co ntin uer à percevoir
Ifalloc ati on tem po rai re et si le rejet de la
demande de ca rte en tc ainait automa tiq uement la pert e du bénéfice de l 'allocation,
Je crois .utile d.e r ~ppe l er, à J.'il1tellt i ~n ~es
mai res qU I n'aSS istai ent pas a la re UlllOn
précitée, que les deu'x ser vices so nt bien distincts et que les bénef iciaires de Il'a ilocatioli
tem por ai re continu ent à percevo ir cet avan taO"e même dans Je cas où i ls ne sont .pas
tit~ ;a i res de la car te d'écono mique ment faible,
Pour le Pr éf>et et .par délégat ion ,
Le s.ecr et aire gén éral,
LMI ASSOURE,
- - - -- «» 00« ;:t-------
D2 83
SC 7
DISTINCTIONS HONORIfiQUES
j'ai l'h onneur de porlr r à la connaissance
de MM , l es Ma i res, l es disposilions de la cir ,
culail\, du Minist ;,re de /'fnlérieur, n° 152,
Per/ CPI 4 du 5 m ai 1950, relO/itle à /'élabll ssemenf de dossier s de candidature ci :
La médaille de la R eco nnaissance Française ,La médaille pour actes l!e courQ!!Ie et de
devouemen/ ;
La mMailie d hOl/ neur des sapeurs-pOil/piers,
Le Vice - Président du Consei l,
M i nistre de l' Intérieur,
à M essieurs l'es Préfets (cabinet)
(Métropo le, A lgérie, Outre-Me r).
En application de la régl ementation en vigueur, les dossiers te ndant à l 'attribution des
d irS~il1c t ions hOl1 orif:ques précitees doivent
~bhgatoirem ent co mporter lin extrait dt
1acte de na issa nce des cand idats,
. Il m'es! apparu que les indications d'ctat,
cn'II: figLLrant Su r l 'ex t ra i t du cas ier judicia ire, cga lement an nexé au dossier, apportaient
une preuve suffisa nte de l 'identité des intlressés,
. Les dossiers de ca ndi dature aux distinctions én umérees ci -dessus ne devront dOllc
~tus désor mais co mport er d'ex/rail (~" tlwisSOn ce des candida l s,
dépa ,.t em~ n t.
Pour le Vice-Président d u Conseil ,
M. Înist re de l'I ntérieu r et pa r déléga tion,
L e M ailre des Requêt es 0 1/ Conseil d'Etal,
D i rec l eur du Cab,,,e/ ,
Signé: Ill isib lement
To ufelOlis, si la product i on ~(.' l'extrait d e
l'act e de naissance. fi 'est p l us in dispen Sable
à la constitution des dossi ers, MM . les Maines del/ront jOindre à l eurs propvsilio07S w U!
fiche comporlant, la dape et le lieu de naissance, oms; qUe la filia t ion exacte des can didats. Ces renseignements sont indispensables pour robtel/tion du casier judic:iaire .
------< >00 C!.l - - - - - -:ABINET DU PRÉFET
AG 0
ENQUETES A CARACTERE
ECONOMIQUE, FINANCIER OU FISCAL
Note po ur MM. les Chefs de Division
et de Service
(en communication à
MM. les Sous-Prefets)
J'ai l' honneur de vo us rappeler qu' i l existe au sein du Sen~i ce Rëg io nal de Po l ice
Judiciaire une brigade sp~cialisée dans ks
questions finan cières.
Il peut être fait appel â ce s~rvice pOUl"
toutes I~s enq-u~tcs rêp r e 'sives à caractère
économique, financier ou fisca l.
Je vous précise que le se"" ice de la Police Judiciaire est situé, Hôtel de r Evêcht', il
M arseille ,
Pour le Préfet,
Le Sous-Préfet, Direclellr du Cabillet,
DUFAY,
-------<:)00< :.'-------
02 B3
fS0
ATTRIBUTION DE DOTS A UN CERTAIN NOMBRE DE fiLLES DE DEPOSANTS ET D'ASSURES DE LA
CAISSE NATIONALE D'ASSURANCES
SUR L A VIE.
j'liÎ l'honneur de porter à ta cOl/llaissance
de MM, iLs il/aires l es lermes de la leflre
eT! date du 3 mai 1950, du DirecteUr generaI de la Caisse de:} Dépôts et CtYJlsigllatians, r ela/ipc à J'(IUni bulÎofl de dols à un
certain nombre de filles aIl! déposants et
d1assurés de ta Caisse National e d'Assurances Sur la vie (an cienne Caisse Nationale aes
Rtelrail es pOlir la V,IâU,:sse et d 'Assuran ce
On cas de décès fllslOnnee.~).
Pour le Préfet et ,par d~ l égation,
L e Secrétaire genéral,.,
LAMASSOURE,
dossiers se trollve-
L e DirecteUr Géneral de la Caisse dl''''
Dépôts el COllsig;zatiolls
à AI/,ssieurs les Prefels,
Toutefois, aueu'ne m~l1tiO I1 du décès ne figura~t Sur l'extr ait du casi!.'r judiciaire, i l
~on\'le.n ~r~. en cas d'oct ro i d'une des médalles precitees une personne décédée, de por-
La Commission Supt?rieure d~ la Ca~sse
Nationale- d'Assuranœ sur la .Vle a déCide-,
dans le but d'encourager la l)fl \'oyance et dl.!
récompen ~r le:) efforts d~s per~onl1es. aSbu.rées près de c~tte Institu tIOn, de proceder a
La Co nstitutiOn desdit
ra ainsi sim.plifi ée,
------- <~oo«>-------
ter de faço.n très a.ppa r~ n tc. t ll pr~ mi è re page, la mention < il tit re posthum~ >, et
d'aj outer il côté de la date de naissa nce l l'indicat ion : c D écé-<!é I~ .. , . ,
Vo us voudrez bi~n por ter les Îlld:cations
qu i précèdent à la co nn:tissa nce de MM. les
S~us- Pr é fet~ et de MM, l es M ai res de votre
a
l'attri bution de dots de 15000 f rancs à un
certain nombre de j eu nes filles choisies pa r'mi les enfants de titu laires de Iw ret!) ou de
contraiS de l adite Cais~e, ayant élevé une
fa mil le nomb reuse.
Pour co nco urir il l'attr ihution de ces dot:-.,
les ca ndidate:s et leurs parents doivent réullI r
les condit ions sUÎ\'antes :
1" Le père (011 la mère) doit avoir effectué
de SO n ple in gré, en de hors de l'appl ,catiol ,
de6 législations su r l-es retra ites ouvrieres el
les assu rances socia les ct en de hor:; de to ute
affi liatio n à un système collecti f de prévoyan _
cc, des ver sement:; sur lIn ~ assurance dl'
rente ou de capita l en ca:s de vie Ü'II! ell ca~
de décès souscr ite à SOn nom Ou au nom dt!
ses enfants (a ~s llrances vie entière, mixte,
tempo rai re, dota le, terme fixe, capita l différé, rente de surv ie. rent e différée. rente immédiate),
2" H Ile doit pas t:trf.! assujetti â la ::iu rtaxe p r ogressi\'~ sur le rcvenu des per .. onncs
physiques au titr~ de l'a nnée 194Çl (re\'enu
de 1948),
3" La Jeune fille â dote r doit appartenir it
une famiH~ d'au moins t roi enfant~ rivants,
être âgée de moi ns de quinze .ans et n'a "?l r
pas bénéficié de l 'une des dotatIons accorde.es
au cours des années precéùentes par la Ca isse Natio nale des Retraites pour la Vieillesse
et la Caisse Nationale d'Assurances en cas de
dt'cés,
Dans le cas où pl usieurs sœurs se trou ·
vera ient dans les co nditions requi ses. la dot
serait attribuee a la 1)lus jeune. Mais l a
sœur cadette d'une jeune fille déjà bi'néficiaire d'une ,précédente dotation peut, dès sa
naissance, être admi e à concourir des lo r~
qu'elles emplit les conditions exigées.
A défau·t de nom·elle naissance, si la famit_
le compren d au moins c ~nq ~nfan~s vi\'a~ts ,
la ni us jeune sœur aillee ~ une leune !ll1e
dotée depuis au moins trOIS ans peut d~e
admise à co ncourir dans les même.<; cond it ions Soi, depuis lors, le pere (011 l a mère) a
poursuivi ses efforts de prévoyance.
La Caisse Nntionale verse sour des livret.,
de capital différé l'a somlll,'C nécessaire ,pour
co nstitue r, au profit de chaque enfant;;; admIS
à la répartition, la dotation payable quand
l'enfant atteind r a 25 ans.
Les demandes de postulants \Seront examinées pa r la Caisse de, D épô ts et Consignations et les dots sero nt attrlhuees dan6 la
IHmite des disponibilités en te-nant compte
10 Du nombre d~enfants,
2 0 De l'effort de ,pré\'oyance des parents
Les pe rsonnes dési rant concourir pour l'attribution des dots dont il s'agit, de\'ront en
; nformer, avant le 1er juillet 1950, le Dn-ecteur Généra l de la Caisse des Dépôts et COItsi ~nations (56. rue de Li lle, il Paris, 7e), qui
l e~r fera parvenir la formule à remp~lr et
leur indiquera les justifications à prodlure.
Jean WATTEAU,
- - - - - - - 0000' - - - - - - -
�,
Communiqués· Avis
Annonces diverses
20.000' France Types normal et oro-h)'dro ;
Stes-Maries de la Mer n" 7, 8, 8 bis L. d"
1 9 ~5.
___
D. S. T.
PUBLICATIONS NOUVELLES DE
L' INSTITU T GEOGRAPHIQUE
NATIONAL
L' Institut Geo graphique Nationa l, rue dt'
Grenelle. 136 bis. Paris (7e), rient de 'publier les feuill es suh'antes :
des Hautes ,Etudes M'unicipales cherche Un
!loste de secrétai re général de mairie de plus
de 5.000 habitants dans le départ emen t des
Bouches-d II-Rhône.
M M. les Maires inté ressés ,par cette candidatu re so nt pri és de se met tre directement
<~OO<J~---
en rapport avec M. BaTTue\.
D2 B3
DEMANDE D' EMPLOI
DE SECRETAIRE DE MAIRIE
_ _ _ _ ... 000·- - - -
RÉPUBLIQUE
25 Mal et 1" Juin 1950
QI' 'q i! ~
.
FRAN(;AI~~' 8' .An~
_ N" 21 et 22
DËPART EM ENT DES BOUCH E.S-t:lf-R;H O,':'I i!~
J'
l)
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
l\t Ba rTue! Re né. setn' tai re général il la
ma irie de Belley (A in) . diplômc de l' Ecole
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arr êté préfec toral. - C. : CirculaI re, - Les lettres D et B sui vies d' un chittr e indiquent le Service ou Bureau d'origine.
_ S. L. R. A. : Servi ce de Liquidation des Réquisitions Allemand es. - R. G. : Ra vitaillem ent Général. - S. C. R. : Service de la
Circul ation et du Roulage. - D. D. S. : Direction D épar tementale de la Santé, - D. S. T. : Directi on des Services Techn iqt>es.
SOMMAIRE
Arr61és réglementaires el CircUlaires
Pages
AG 2. _ Classement des localités dalls
les zones de sal aires pour l'applicati on du rég,ime des ,presta ti ons fa milI iales ..... ..
. .. . . .. .. . . .. .. .. .
f S O. - Acquisi tion d'un immeuble, à
Salon-de-Prove nce, nécessaire à la
83
créat ion d' un dispensai re !poly valent.
FS 7, - Honorai res médicaux en service de Mate rn ité . .. ...............
FS 7. - HospitaJisati on des fonct ionnaires colon iaux . . . . , . . . . . . . . . . . . .
FS 7. - Etabl;ssemenls hospitaliers .p ublics. - Clichés r adi og r~p h i qu es.
P ages
33
84
34
85
Pages
SC 7. - Prevention et lutte cont re j"s
incen di e::" tk forê ts. . . . . . . . . . . . . . . .
85
Textes d'intérêt général
AC 3 . Réd uction des indemn,jtés.
Ap plication de l 'ar ticle 3 du déc ret
n' 50-288 du 10-3- 1950 .. .... ..... .
SE
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
AG 2
02 B3
CLASSEMENT DES LOCALITES DANS
LES ZONES DE SALAIRES POUR
L'APPLICATION DU REGIME DES
PRESTATIONS FAMILIALES.
j'ai l'honneur de parler ci-dessous à la
connaissan ce de MM . les Maires du Déparlem'tlt le texte de la circulaire de M. Ile S ecréla;re d'Etat nux Finances n' 35-9 B-5 du S
mai 1950, relative au maintien en vigueur des
d;sposi~ion s ~e la loi du 22 aon l 1946, tlm !
en ce qui concerne la nature des prestations
que l e Imon tan t des af/ocati ons el lI otam ment
les abal~em ents dont delles-ci fon t l'ob jet ell
considéra/ion 'des différenles zones de salaires.
Pour le Pré fe t:
Le Secrétaire Général delégw!:
LAMASSOURE.
Le deux.ieme alinéa de l' art icle Il de l a
loi du 22 août 1946, fi xant le régime de;
Copie certifiée conforme.
Pour le Préfet :
Lt Secri/llire Général,
LAMASSOURE.
----------------------------------~~~.~I;~;UI;.tN~.~~~~;••~~~;,••~,~~,-"l"~,~~~.S~.,~n~.~----------------------------------
pre stations familiales, dispose que « dans
I~s au.tres départements, les a1l ocations fami·
lIales sont détermin ées ,en appliquant aux
allocabions versées dans le département de la
Seine les abattements fi xés -po ur l a détermination des sal aires dan s les d iverses zon es
territoriales ».
La ques ti on m'a été ,posee de savoir s' il
convient, depuis l'inter vention de la l oi d u
Il février 1950 sur les Co nventions Co ll ectives, d.e considére r que le système' d es zo nes
de salaI res n'est Ip1 us applicable a u calt ul d es
I.) rl·~ta t;o ns f amiliales ou bien au coo tr ai re si,
:1 tItre transitoire les dispositi ons de l'<trtide Il de la lOi ' du 22 noCi t 1~l46 s ll :-.\' i s~\!
demeure nt en vigueur dans q'ensemble du
pays.
J' ai l'honneur de vOuS faire co nn aît re que
l e Con sei l d'Etat (section soci ale), saisi d'une
dema nde d'avis sur ce point particulier, a
estim é, dans Sa séa nce du 23 fév rier 1950,
q ue le l égislateur avait seul compétence ,pour
instituer ou modifier les ,prestatio ns fam ilial es tant en ce qu i cOnce rne leur na hlu'e que
les aj'locati <>lts qu 'elles compor ten t .
En conséquence, j usqu'à la rpu blicaHon
d' une loi nouvell e, les disposit ions de l a ~Io i
du 22 août 1946 établissant les bases de ca lcu1i fi xées, soi t arbitralement, soi t Ipar référenCe à un salaire donn é, demeurent en vi gueur,
et le r égj me des ,prestatio ns fanü liales COnti nue à être déterminé par les textes le conce rn ant. anté-rieLtrs à la .publica tion de Il'a loi
du Il févr ier 19 50, ta nt OTh ce qu i co n ce rn ~
la nature des p restatio ns q ue le monta nt des
allocatiolts et notamment les abattements
dont ceUes-ci font l'obj et, en considération
des différentes zones de salaires.
D 'aut re part, en accord avec le Mi nistre
du T r ava il et de la Sécurité Sociale. il a cté
décidé que le dlassemen t des l oca lités dans
les zones terri tor iales de salaires, tel qu'il
ex'sta it au 28 février 1950, ne serait pas modifié, c'est-à-d i·re :
l o Que les derogatiollS d 'ordre gén éral
acco rdant un e réduction d'abattement à certaines communes cont in ueraient à s'appliquer,
sa ns con d i ti ()ln~ de délai, aolb calcul des ,prestations fam ilialees. me-me si ces réduct ions
étaie-n t origilla: rcment Hmitée s dans le temps.
2" Q ue, pa r L'ontre, a u c u n~ d ~rog-a~~o n,. n o ll
\'~ lI c ne pD Il rra ètre acr ord ee j usq u a Illl st-
tuti on du
n Oll\'CélU
régime.
Ces décisions sont égal ement applicables
au calcul de l 'indemn i té de r ésidence familiale.
Pour le Secrétaire d'Etat
et pa r déléga ti on:
Le Direct'eur du Cabinel
Signé : R. BLOT .
-------(> 00 <>' --- ----
SERY [CE DÈPARTEMENTAL
D'H YGIÈNE SOC IALE
FS 0
ACQUISITION D'UN IMMEUBLE A
SALON-DE-PROVENCE. NECESSAI·
RE A LA CREATION D'UN DISPENSAIRE POLYVALENT.
ARRE T E
Le Pre{ed des B Oll ches-<lu-Rh ône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu la dëlibératiou de la Comm ission De,partementale eu date du 30 décembre 1949
auto ri sa'nt l'achat de l ï mm~ ub l e sis à Salond e Provence, po ur permettre la créa tion d'un
dispensaire polyvalent ;
Vu " avi s de la Comm ission Départementa le de Contrôle des Opé rat ions immohilière<;
(seance d u 15 mars 1950) ;
V u l'ar ti cle 22 de !a Loi dt' s Fi nances du
30 déce't11bre 1928 ;
A RRETE :
Est décl arée d 'uti lit '
,publiq'ue J'acqu isi tion pa r ~ e Dèpar tement
d'un immeuble, sis à Salon-dl'-Provence.
appar ten tlm t .1 A\ me Reynier, demeurant il
Al arsei lle, ïl . rue Doc teur-Esca t , et nét:e"Sairt" pou r la créa tion d'un dispen ai re polyvalent.
Article premier. -
�-
Article 2. _ Le présent arrêté s:era pu b li~
de la manière accoutumée et aJfiche à la porte ~rincipale de la M airie, dans la commune
de Salon-de-Provence. 11 sera, en Qut,,:,
.. au Bulletin Administratif des A/",rw,.
msere
Article 3. - M. le Secretaire Généra l. de
la Préfect ure M. le Directeur des Domames
et J\l le M;i re de Salo n-de-Provence so nt
chargés, chacun en ~ .qui le co ncerne, de
l'exécution de cet arrete.
Fait à Marseille, le 26 avril H150.
Pour le Préfet
Le Secréloir. Génëral ,
LAMASSO URE.
_ _ _ 0000 - -
--
fS 7
03 8 2
HON ORAiRES MEDICAUX
EN SERVICE DE MATERNITE
:irculaire n" 26
Paris, le 27 jam"N 19~9.
l
L,. Ministre de la S~lé Publique et de
lu Population,
. .
à MAI. les Préfe ts (pou: exeCllllon) ;
à MM. les Directeurs Departemellfau.\
de la Santé;
li MM. les Directeurs Déparlementaux
de la Population,
Il m'a étc signalé que da rô~a,rtition des
honor.a.ires en service de maternlte a .~ul eve
des difficu ltés dans de nombreux hoplta ux,
notamment dans ceux où exerce une sagefemme.
"
Afin d'é"iter toutes contestations. en l a
matière il conviendrait que \"O US fass.ez COnnaître ~ux admin istr ations hospjtali~ res II~
modal ités sw\'ant lesquelles il conviendrait
de répartir les honorai~ versés par h~s
Caisses de Sécurité Sociale.
Je "ous rappelle tout d'abo rd! quen application des dispositions de l'art.cle 2 (5e paragraphe) de l 'arrêté i n term i~isté ri.e l du _5
janvier 1948, les Ca.sses de Secl1l'.te Soc. ale
doivent rembourser, suivan t les cOn\'entJOns
10 En cas d'accouchement normal :
- de 20 à 40 % du fo rf ait acco uchement
tel qu'i l est fixê co"fo rm ément aux disposit ions de l'ar ticle 10 de d'ordonn ance du 19
octobre 1945, ce lorfait étant ce fui des m édedns ou celui des sages-femmes selon que
le service de maternité a pour ch el un médecin accouche ur ou une sage-femme ;
2" Dans le cas d'acte de dystocie, ~es Caisses versent à l'hôpital de 20 à 40 % du
tarif de l 'intervention.
Dans ce dern ier cas. auc une di fficulté ne
peut se produire ,pLrisque seul un docteur en
médecin peut pratiquer des acres de dystocie; c'est donc à l ui que revierment ~es hono raires
Par contre en cas d'acco uchement nOl"lmal,
il y a lieu d'~nvisager les hypothèses suivantes :
A. - Cas où le service de Mat ernité est
dir igé par un médecin accoucheur m'ec ou
sans sage-femme.
.
Le lorfai t versé par les Ca.sses devra to ujours être le f orfait médecin.
1· Si le médecin pratique lui-même l'accouchemen t il a droit au lorfait dont seront
seulement déduits 5 % pour Irais de recou\'rem.ent ;
2" Si l'accouchement est effecl u,; par l a
~afrt!-remme de li'établ issement, le mroecinch~f dt service garde, cependant, la res.pon-
t'cc et su it l'acco u-
d
5.1bilité générale li s~n 1 II -est cqui table
chee -pré. et ,post r'P~i~~nà ce titre, 'une réque le m édeCin f~r (ait accouchement c mé-
munér atlOll. Le
Ma r ti comme suit :
d . » devra donc et re r""t'
et m C
' 1 s""e-femme est 10JICI /On/lOla)
as ou a -"
f"
re ct perçOit un traitement l XC, a
_ 5 % à l'hôpita l pour frais de r eCQ l1 Vir C6
ment ;
.
- femme" au
,
..
montant du forfai t « sage
. - de f ra is de f.onctionnement (traltemen1
t.tre
.
me) ga rde p ar l'hôpita l ;
de 'la sage- fem
.
éd '
moi ilS le
95 0/1 du forf ait <. 111 eOl n :»'.
.
-'t' _oa"e lemme Jo ve rsé au medeClll,
f o rf al «:, 0 b) Cas Où 1/1 sage-f emme n'est pas /O/l C-
tionn aire :
"
_
_ 5 % à l' hôpital pour fra.s de recom re
ment
» verse â la sa- F; 0 ri'
alt « saae-1emme
::.
ge-femme ;
:',.,l'
nl oins
95 % du fa rfa!t c ITIt)UeCIl\ Jo.
.
fo rf ait c sage-.fern.rne » ve rsé au m edec lI~.
B. _ Cas où
sage-femme ~S! se ule res"'"'.sab le du SerV11'e de Ma tern ite.
P'"Le forfai t versé pa r 1es C alsses sera alors
le F or fai t sage-fe mme.
.
'
a) Si ta sage-femme est f~n ~t, ?nn Olre, le
lorfait revient in tégralement a 1 hop.tal , .
b) Si la sa ge-,.~m!m e n' est pas fortellof/n a.re
le fo d ait sera reparti co mme SUIt .
_ 5 % à l'hôpi ta l pour Irais de recou-
la.
" rement j
_ 95 % à la S<'1.ge-fem me,
Vous vo udrez bien me teni r a,lI cO~Ha,nt de,s
dilficultés éventuelles que susc.ter a. t 1rupp hcation des présentes instructions.
L E M IN IST RE.
Pour He M i nistre et par dél égatIon,
Le Chef de Cabinet :
GOU INGUENET.
------ -~>oo c>- -------
0382
fS 7
HOSPITALISATION
DES fO NCTIONNAIRES COLONIAUX
N'
63
Paris, le 7 av,riJ 1950.
Le Min istre de la Sa nté Pu blill ,te et de
la PopCllation
à MM. les Préfets,
à MM. les Dir ecteurs D éparte11lGn fCl ux
de ta Santé,
à MM. les D irecteurs D éparlemefl tall x
de l a Popullf/ion,
Mon attention vient d'êt re appelée sur les
difficultés rencont rées dans l'hospi talisatioll
des fonctionnaires, employés et agents de
services colo nÎaux QU1, se tro uvant en France dans une 'position autre que celle de se:vice et n'étant -pas actuellement adm iS au benéfice de la Securi té Soci ale so nt admis d·a n.
les hôpitaux, hospices, hôpitau;<, psychiâtri ques et sanatoria, dans les co n dl tlo ~ S nor,!,,,:
~es des mal ades paya nts et se VO'lent amsi
dans l'obligation de ver~ r, au mom e~t de
leur entrée dans un établ .ccepent pu bl.c de
soi ns, Ulne ,provision fi xée par l'arti cle 32 du
décret du 17 avril 1943.
Cette obligation constitue, po ur les intêfeSSeS, une très lourde charge, et M. ne Mmlstre de la France d'Outre-Mer m'a demandé
d'accepter, en Ce qui les co ncerne, les 'lTl ~ m es
modal ités d'hospi tal isation que lpour les m alades paya nts bénél iciant d'un tiers payeu r
(assu rés sociaux, accidents du t rava ill) , &l
effet, I~s frais d'hospitalisation des intér~
leur sont remboursés par la SUite, par I.e~ ser~,
vices colo nia ux chargés de I ~s . admlintstrer
, endant leur sëjour dams l a M e ~ro po l~,
p D 'une façon gé.néra le, les, fo~ctlonllal res et
agents en cause sont hospitahlsés cO ll fo r:mc_
meJll t aUK dispositions du décret d~ • .23 Jan·
vi er ' 948. sur décision d l~ lJ11 edelèc ln dtE$l gl1 ~ par
1 Service Colonial dont 1 S re ve ~ ou, cvellt~(I:ùlement, sur déc1si on du Co nsei l Supérieur
de Santé du M inistère d l a Frallcc d Oulrt.
M er
. servdce s colonia
. UX d,\.!' I'I y r,et
Les
·~
au x ·lnl'l'ressés des bulletins d ' h?sp~ta ll sall,o n complj(. '
tant nota mm,ent arcs ilndlca t ons sUiva ntes :
_ Nom et prenoms,
,
_ Cadre et grade civ i l d'llJ fonctlo nn airoe,
_ T err itoi re de ,provert:ance,
Je vo us si gll ale que le p ersonnel. en, cau~
tst a 'm i nistr é par les SeTV I C~S colollla,ux. e nt~
tesq uels il est r éparti d'apr es le terntolre d,
provenance, dans l.e~ con~ Lho ns c,l -après : .
\ " Service ad'll1lmslr at lf co lon,la l du MI'
il istère de la France d'Outre-Mer, 27, rue
Oudinot. à Panis, po ur le ,~rso n ne l 'provena~!
des Ueô Sain t"Pierre et M.q uelun . ou en posl'
tion de missionl au.près du M I'J1 I,stère de la
Franee d·Ou1:r.e-Mer ;
2" 5·e.rvice ,Colonial de Bo rdeaux, 2, rlk:
Esprit-de- Lois : ,personnel p rovc:: nant des h~r·
r itoires ci-dessous :
A. O. F. To go - A. E. F. -:- Ca mero\m
3" Sèr vice co lon-ial' de M a-rse.lle, 40, boul,·
va rd de l a M aj or : perso nnel proven..a:nt de .
Indocheue Cô te Françai se des Somal.s, Ma·
dagasca r,' CO.nwres, Océanie, No uvelle-Cale·
dO~j:~s le but de mett re fin aux ditficullb.
signalées, les . fo n c tion,nai r,e~ :t ag.ents d~
se rvices colOniaux seront, a 1 aV~ I. r, adm~~
da ns les hôpi t.a ux. dans les condItions SUI'
va ntes :
10 H ospitalÎsatioll d' u{lc durée iflférieuN a
8 jours: L es frais se ront! d,a ns ~e cas, ~~
gl és di rectemen t par les Interesses eux-m.
mes; si ceu x-ci, rpour une raIson ex~t~o~·
neNe quittent j'étab lissement sains aVOir hbf'ré l ~ mo ntant des sommes dues, k recou,\'rI~
ment en sera poursu'; vi com llle dans Ik Cl>
ci -après.
2" H ospitalisaJ ion dun e durée ~up'ér~l'U,ft
ri 8 jours: Il ne sera phls d ~~ l a n de" a J.a\t·
n.ir le versem ent de la prOVISIon prevue .par
l 'a ;tiol.e 32 du décre t du 17 avr il 1943. L1I
administ rations hospitalières et les receveur~
des sa nato ri a po ursui.vront le recouvrem,enl
des sommes dues di r,ectement auprès de lOf'
ganisme Qui a l a charge de l' int.éressé en
France dès l a fi n 'de 'I !hospita l isat.on ou "'1
'
,
ar ar
cas d'hospitalisation de longue duree p. 1
prod uction d'états mensuels. 11 suUIr",
effet d'adresser au serV';ce co l onial competent ,l a ,rep rod uct ion des reI!se 'l ~ne~le:n ts four·Il
nis .pa r 4e bulleti n d'hosp.tahsat.'on . donl ,
est fai t m ention plu s haut et d .n d .q~er dol
nrode de r èO'lement demand é et le nuntero
cOITllpte ban~a i re ou postal de ~I'é tab li ssemenl.
. n d' ur'ge nce , les rell'
D ans le cas d 'adml.ssl{)
état
sei gnements nécessaires co nce r nant leur .
e:vi l Jeur sit uatiOn admin istr ative et le se~
vice 1 social qui les adm i nistre seront d?n~r
par les fo.n.cti on.nai res eux..Imêmes ou" autrc.
faut, par le Ministèr e de III France dO
Mer (Direction du Personnel).
.
Il a.ppa rt iendra alors aux a~n~ ln ;. tratIO'.1
hospi talièr es de se mett re imm ed.
(appo rt avec ije service co lonia l comp",o':1
en vue d'{)btenir l a co nfi rmatio n des
gnements fo urn is et la régltb r isatioll de
a"
85
,p i talisation, dans ,les .c on~it i? I1 S du ~l:Crt:t
du 23 janvi er 1948, aflll d év.ter, ulté".eurement, tout , retard dans le règle11lcent des
f rais de tra.tement.
Je sig nale d'ai ll eurs qu e j'ai "'PI)el ,; l'attcntion de M, le M inistre de la Flr3ln.çe d'OutreMer sur l a nt-cessi té d'obten ir de s~ sef\~jç.es
le règl!ement r a,pide des f rais de séj our de ses
ressortissants,
VO LI S vo udrez bien me si gnaler les diffiC'ul ·
tés que pourrait renco ntrer l 'al>pl.cat ioll de
ces instructio.ns, afin' de me permettre d'intervenir à l'occasion , auprès Li ts services intc..
ressés.
Le Ministre :
Pienre SCHNE ITER.
-------c ~ooc~------
03 82
_
FS 7
ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
PUBLICS
CLICHES RADIOGRAPHIQUES
N' 96 A.G. 137-4$
Paris, le 16 Mai 1950.
Le M in,istre de la Sa nté Publ ique et
de la Popu lation.
à MM. les P:réfets Gpollr exécution),
AtM, les Directeurs D épa r tementra'ux
de la Santé,
M!M . les DiIecte"rs Dépa rtemen t"ux
de la Populario n (pou r i,n,formation).
Les inst r uctions co ntenues dans la circul ai re
n" 24 QU 25 j anvier 1949 rel atives à 'ia délivrance des cli chés mdiograp hiq ues aux malades assurés socia ux aya n:t s u sci t ~ ae nombreuses réc l amations émana nt plus ,paJll'iculibremen r des memb res des co r ps .méd icaux
hospital iers, j 'ai décidé de reconstaerer la
ques1ion après l' avoir soumise à l'ét ude du
Conse il Supérieur des H ôpllaux.
L 'application de la ci rcu lai're du 25 janvie~ 1949, établ ie à 'la demande d u M i nistère
du T ravai l et des O rga nismes de SécllIité
Soci ale ,pour evite r a u x malades assu rés
socia ux des examens .r,adiographiques renouvelés et onereux, ri sque ....effectivemen't d'avo i r
pour eff et de 'rendre impossible à l' avenir
la consti t ution .d e ,co ll ectio ns fo rt uti1les aux
études d'ensemb le aussi bie.n qw'à l a r echeilche et en défi nitive aux ,malades,
D'a'llltrc pa rt, l'a r tic le 38 du règleme nt
cI'admin istr atiom publiq ue du 17 avri l 1943
spécifie « le dossier médic.al d,l1 malade e::;.t
c co nservé dans l e !'erv ice de l'hôpi':al', sous
« la respo nsabilité du médecin-chef de sere vice. Il 'peu t Hre comm uniqué aux allJtres
< services de I1hQpita'l ou d:w groupement
« hospitalier; i l peut être examill ~ également
« snr place, à la dema nde du malade, ,par
« SOn médecin t raitan:t », Il 'ill'est pas douteux, à cet égard, q ue les cl ichés radiogra Phiques eff ec tués su·r de, mal ades hospitalisés l ont partie de leur dossier médical.
Il y a donc 1ieu de -r_eteni r 'ie pri nci'Pe q ue
l'hôpi t8!1 est le ga rdien des dossiers 1Ilédicaux des mal ades qu i y ont été hospital isés,
et, .palttant, de leJu'rs d ichés radiogra,phiques.
Cependant, pour éviter, comme il a êté d i ~
plus .haut. la répéti tion d'examens souvent
très onéreu..x, l es cl ichés rad iographiques
effec tués et conse rvés dans un hôpita l donné
pou,rront être comm uniq ués, voir même tr.a,nsfêres, <ta ns un autre établissememt hospitalier publi c où le malade en cause viendrait
ft Sub ir une nOllJvell e 'hospita lisation . L a
demand~ de co mmunication ou de transfert
devra être formul ée expressément par l'adm ," istr-at ion du seco nd hôpitalà la requête du
che f de ser vice )ntéresse. So us la responsabilité duquel se Itrouver a al ors remi s le
dossier du malade.
D 'autr e part, les dispositions de J' articl e
38 du ré~l eme"t d'adm inistr at io n publi que dll
17 avril J943 conce rn ant la !possibilité de
co nsult ation sur place d u dossie r médj.cal
d' un malade hospitalise par son médeci n
traita nt a l a demande du. dur ma1aa.e restent
en tiè.remenlt valables. VO LIS vo ud,rez !bien, à
cet éga'rd l sign'a ler alL'( membres d'es co rps
moo ico"hospi tal iers l' i ntérêt qui s'atlache à
ce qu'ils acceptent et faci<l itent ces consultations sur place.
Par ai lleurs, il es t évide.nt q u'i l co nvient
de pe'1flcttl'e et même de laciliter la tâche
des médeci ns-contrôleu.rs de l a Sécurité Socia le. Ceux-ci pourront do nc so it, comme le
médeci n traitan t du malade Iprendr e connaissance, su r place à l' hôpital, des olichés
rad iog raj)hiq ues des malades assurés sociaux,
so i1r, s'i1s en font eXip ressément la demande,
en obteni r commu nication étant entend;u qu' ils
devront les retourner à f' hôp'Îta l.
Je tiens en,fill à insister sur le fait que les
i nstruoriO'IlS qui précètlCIl·t - iesquelles annulent et remplacent les instr uctions de la ci rculaire n° 24 dlt 25 janvi er 1949 ,- co nce rnant uniquement les clichés radiographiq ues
effectués sur les malades hospita1lisés,
Quant aux clichés ra d'iographiq'u'es effect ués en se rvices de consultations externes
sur d es malades ambul ato'ires ccux-ci do;ventt
être remis soit au malade, soit au médecin
tra Itant lorsque ce dernier en a fo rmulé la
dema nde,
Vous vo udTez bien por ter J'ensemble des
instruction s qui précède nt à la co nnaissance
des administrations hospitaliè r es de votre
département et me rend re com.pte, évemtutllement. des difficultés d'application qu'elles
peurrai ent rencontrer.
LE M I N I STRE.
Pour le M:nistre et par dél égation,
Le Directeur du Cabinen!
GOU I NGUENET.
- - - - «»00 « ~ -------
D2 B3
SC 7
PREVENTION ET LUTTE CONTRE
LES INCENDIES DE fORETS
A MM , Les N\aires
forest ières,
des
commun es
Le St!rvi ce D él)artemental d'incendie, procëde actuetl em ~ nt à l'or-g-anisal.ion de la pré" ention et de la lutte con t re les incendie~
de forêts.
Toutefois étant donné que le sl'slème défe nsif à appl iquer, ne pourra prendre son
plein effet qu'à dater du 15 juillet 1950, j'ai
f'honn eur d'appeler l'an:ention re M!t\1. les
JV\1(lires des communes forest ières sur les dispositions à prendre, on. vue d'assu rer . dès à
pr~sent, avec les moyens en leur pouv~:Hr , L1n e
tlubte efficace conrtre les feux de forets.
Jusq u'au 15 juillet 1950., lesu~~alfes aevront
compter comme les annees , precédentes, sur
les équip es Voca les de ~eqUls .et slIr le re;'lfo rt des Sapeurs-Pom.plers de:-: Cenb.res de
secours urbains départemernau x et éventuellement de l'atl!née.
C'est pourq uoi. je vous rappelle .Ia cam:
munication insérée au Bullet lll AdminIstratif
des I\ \airies nI> 25 du 20 juin 1946, préco-
nisant la créati<>t. d'équipes de sauveteurs. Il
sera également prévu, une eamio lmette polU
le tr ansport et Je r av;ta illement du -personnel.
A pa r tir du 15 juillet, date à laqueUe l'orga nisa tion des corps de Sapeurs-Pompiers
lo restiers sera etlective, ces cOrps devron t
êt re néc~sairement renfo rcés pa r du person ne local, afin d'assure r une utilisation
co mplète d~ r outil:age m,js à la disposition
de leu r com mune
E n out re, .1 sera indispensable que les sapeurs fo restiers et le lpersonnel de l'armée
ve nant en renfo rt trouvent sur p lace des
gu ides co nnaissant bi t n la region et q ue Qeur
r avita1'l lemen.t soit assuré localement.
U ne i nstrud ion détaillée ser a diffusée PH>chainement fixant l'o rganisation, les systèmes d'a lerte, de lu tte, de ré munération, ete'l
q ui seront va l ables à partir d", 1:1 luillet.
Je rappelle que tous les frais occasionnés
·par Ja lu tte ontre les incendies de forêts.
seron t pr is en carge pa r le Service D8partemental d' Incendie, il l'exception des t roi.
prem ières heures d'emploi d' un CO"PS de
sapeu,rs,....pompiers (urbain ou forestier) Sur sa
I)ropre commune,
Tmlt doit être mis en œuvre pour éviter
la destruolion de la lorêt, c'est pourquoi j e
compte sur une la,rge i~itj.ative de MM. les
Mai res pour que la lutte cont re ,un incendie
de forêt puisse co mmencer d'u ne manière
efficace, sans auC'u'n délai dès qu'une aleDte
sera donnée,
•••
INCEND I ES DE FORETS
CONST ITUT ION DES EQU IPES DE.
SECOURS
Comme suite â la communication parue
au Bulletin Administratif des Mairies en date
du 18 mai 19~6 n' 20 page 127, rel ative à
la constitution des équipes de secou rs et en
raison que du fait des réductions d'effectifs
les secours d' inter ventions de l'armée, ni'
pourront cette ann ée être assurés dans des
proportions efficaces, je rappelle à MM. les
Maires des contmunes forestières qu''ft est de
leur devoir absolu de se préoccuper activement d'eS mesures de défen se à prendre pour
protéger les biens de la collectivité.
Je donne ci·dessou s un exemple type
d'arrêté que les MaireS pourront prendre en
vue d' organiser (es équipes de prévention el
de défense.
ARRETE
Nous, Maire de Ja commune de
V-u la lo i du 26 mars 1924, conce rn ant les
diverses mcs ure~ à prendre contre les incendies de forêts ;
Vu la loi du 22 féyrier 1936 ;
Vu 'l'arrêté de M . le Prélet en date du P
jllÎn 1937, dormant au Maire la Direction des
sentices à or gani ser,
Vu la loi du 5 avril 1884, art. 91 , 92, 94,
97" pa ra graph e- 6,
ARRETONS :
Article premier . - Il est créé dans 1,,: commune un se rvice de défense contre les mcendies de forêts co mpren ant dans son ensemble tous les hommes " al ides de 18 à 60 ans
,habitant l a comm"ne il la date du 15 juillet
1945. formant cinq équ ipes.
Art. 2. L ' horai re de ces équipes est
form é comme suit :
1re équ ipe de 3 heures à 9 heures du matin ;
2e ~qu illC, de 9 heures il 15 heures ;
�3e équipe. de 15 heures il 21 heures ;
4e equipe, de 21 heuTes il 3 heur~ .
L'équipe \'olon:e de\'ra se. r<'l1dre mvnèJiatemen~ -ur les tieu.x du slmstre queUe que
soit l"heure du sinistre et pour 6 heures.
Art. 3. - 1\ est constimé des. é<juipes
(omprenant en\;ron 66 hommes dln- es en
.• groupes de 22 hommes chac.... Chaque
::roupe ayant un chef.
Art. 4. _ Chaque requis recevra un~ con~
'Ocation indi"duelle lui faisant connalUe :
1. son chef de grQupe : 2' s<;" heur"", de
;;en'ice en cas d'incendie de forets ; 3° 1ou-
til qu'il doi: emponer avec l>n.
Arl. 5. _ L'alanne sera donnèe par son
Je cloche et d. tambour.
Art. 6. - Cœ heure a\<I/It chaque re!è,·e,
.J le feu n'est pas éteint, la clOClle et le
:arnbour a,;seront l'équipe qui doit faire la
elè\Oe, à se rendre à la Mairie, lieu de ren.lez-vous de IOules les équipes.
Art. 7. - La pre,;en<:e de chaque requis
<era cons:atèe il l'am,";" et au départ, par
.eur che! de groupe auquel il appa rtient.
Art. 8. - Des sanctions seront prises con-re les défaiHanlS en application des loi et
a rrètés ci-dessus.
Par suife des raisons exposées plus haut,
IIM. les Maires .dewonl prendre conlact avec
'.s municipalilés avoisinantes qui auront
::rél un organisme de secours en l'Ue de
'{)Ordonner une assistance mutueUe en cas
créé un organisme de ~cours en l'Ut de
seCOurs assez puissantes ronfle le feu.
Us consignes relatives à la signalisation
,faIut. de f~, par té/éphlNl i . al'ec la Sous-
Prileclure la Gindarmerie, les Ce~~:: de
Secours v~isins de,,'ront être rcnouve e .
~e lm~:a~';~~~:9 ~~
. En ce qui concerne
mslructlOns parues QUI . Alaires Ioules les
29 mai 1946 donnen aux
préciSions désirables.
j'attache un Ir,s grand prix à ce que ~:r.
j-
les Maires des communes . f~res!lères .
lorcent de prendre en conslderallon les ,m :calions cl-dessus, el me ttennenl mform- d s
réalisations qui sen seront SUIvies.
•
TEXTES n;IBTEREr OESERIL
. . le t'III
Cirl"Ulaire conctmant plus Spula m
les Administralions de l'Elal
aux ma vistlfats et aux personnels enseignants
AC 3
D2 BI
REDUCTION DES INDEMNITES
Application de l'article 3 du décret
n· 50- 288 du 10 Mars 1950
~.
30 - 9 B-4
Raris. le 25 Avril 1950.
Le Secrétaire d'Etat aux Finances.
il ,,\.~\. les Mini tres et Secretaires
d'Etat.
Aux termes de l'arricle 3 du decret du 10
ma 1950 instituant pou r 1950 de noU\'elles
majorations
en fa\'eur des
-
réduites il compte r des 1e r jallvier el 1er
juillet 1950.
pour éviter toute .i ncertiltude dans l'appli.
cation de ce te>Cto; Je vou.s r~p~lle que la
liste des indemmtes dont Il s agIt a été pu.
bliée a u Journal Officiel dll 29 novembre 1949
en annexe au déc ret n' 49- 1512 du 18 no.
vembre modIfiant et completan,: celui du 13
juillet 1 9~.
Les réductions de 65 et 80 % prévues au
décret du 10 mars 1950 s'appliquent aux
,ndemnotés comprises au paragra.phe 1 de
J'annexe n' 2 du décret du 29 oovembre
1949. allocationsdéjil réduites de 50 % du 1er
janvier 1949.
Les rédudions de 50 et 75 % visent essen.
tielleme", les "ersements d'attente accordés
personnels .de
l'E:-at au tit re du reclassement de la !()IIchon
publique, les indemnités dont le monta~t a
été dimiooé il J'occasion des deux premieres
tranches de reclassement sont de nOUl'eau
et don.t"le montarul a été diminué d' un tiers
au 1er janvier 1949.
Je vous serais très obligé de bien vouloir
don ner aux services ordonnateu~ placés SOUs
---
-
RÉPUBLH_"}_U_ E__
8 et 15 Juin 1950
DËPARTEMENT DES
,
l<=RANr.AISE;~' 8~n:~e\~"
23 et 24
BOUCHE-S-O ~~RH,O~~ ~ )
,
1
i
...
J
1
j
Recueil des Acles Admi~i(&atifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondan ce relative au R ec ue il doit être adressée à la Pré fecture Secrétariat
Général
~========================~~======================~========~======~===============-
ABHÉVIATIONS
A. P. : A rrêté pr.éfectoral: -: C., : Circulai re.. ~. Les lettres D et B suivi,es d'un .ch.iUre indiqu.enr le S~r vic e ou Bureau d'origine.
_ S, L. R. A. : Se rvi ce de Llquldahon des RéqU ISit ions Alle mandes. - R. G. : Ravl talrle menr Genéra!. - S. C. R. : Service de la
Circu lation et du Rou lage. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. S T. : Direction des Services Techniques.
votre autorité Itou tes instr uctions nécessai~
pour que les indemnités en c~use soienl
liquidées SUT la base des taux resultant de
l'appl ication du décret du 10 mars 1950 dès
la mise en paiement des nouveaux traile·
menls et ,pour que les rappels de tra'lemenls
dus aux personnels intéressés ne leur soient
.payés que sous déduction, des sommes pero
çues en excédenl, de~ulS !e 1e r Janvle, 1960,
au titre des JOdemmtes redu ltes depUIS ceHe
date.
Pour le Secrétaire d'Et",t et par délégalion,
Le Directeu r du Cabinet.
Signé : R. BLOT.
SOMMAIRE
Arrê.tës régleme nt aires e t
Page3
Circu :air~
Pages
AG O. -
Nouveaux traitements acco rdés au personne-I. des services généraux et au versonneh soignant des
Etablissemlfnts et serv ices d~llarte
mentaux des Bouches-elu-Rh ône à
compte!' du 1er janvier et 1er juillet
1950 .............. .. .............
87
1
39
des ci toyens fran çais musulma ns, origi naires d'A l génie ...... ,....
FS 8. Assistance médicale gratuite
89
(Vill e
SC 7. -
d'Aix-en-Prove nce)........
Boutiques et maO'as' ns
Pages
les porte .. cocht-r~s et entrees
AG 2. - Reclassement du pe rsonne l t;tu lai re des collectivités locales ...
AG 5B. - l'lé:;:,,I,,risation de l'état-civil
meuble, ...........................
90
Communiqués, A vis. Annonces diverses
- AV:6 de \'acance .................
91
- Demande d'emploi de secretaire de
mairie ...... ,.,... .................
9\
- Vente de lll.:lkriei automobile par lt
90
sous
département des Bouch es-du-Rhône..
91
ARRÈTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
AG 0
D5 B3
NO UVEAUX TRAITEMENTS ACCORDES AU PERSONNEL
DES SERVICES GENERAUX ET AU PERSONNEL SOIGNANT
DES ETABLISSEMENTS ET SERVICES DEPAR1 EMENTAUX
DES BOUCHES-DU-RHONE A COMPTER DU 1er JANVIER
ET 1er JUILLET 1950
Arrête :
. Article premier.
Le Iloun~ au da:-,sement hiérarchique et les
traitem ents app licablts au personnel dL'pJrtt"m~nta l des Bouches-du-
Rhône, il compter du 1er ja m'ier 1950 et du 1er juillet 1950 sont fixés
de la faço n suivante:
'
PERSONNEL DES SERVICES GENERAUX
AR RETE
:\ou\.dks
Le Préfet des Bouches-du-Rhô n€,
Cias s~s
Traitl"lllt:nts
Echelons
Ift .. n
lndices
Officier de la Légio n d'honneur,
et l'article 5 ;
Vu l' arrête i nterm inistériel en date du 19 novemb re 1948 dt!terml'~c1nt les hmi ~es clans lesquelles les Conse ils Munic.i:pa ux pell\'ent fixe r.
a compter du 1er janv ier 1949, le nouveau classement hiérarch:que des
agents titu lai res ÎI1'\'estis d'un emp loi pe rm anen t dans les cadres des
se rvices cOmm lUl aux ;
Vu l'arrê té préfectoral en date du 19 décemb re 1949 portant r\.cl:--sser:l t'nt du pe rso nnel des étab l issements et services dépar tementau:\.
d~€. BoucheS-d u-Rhône en appli cation des arrêtés interministériels suSVIses, et notamment SOn article 5 ;
Vu l'arrêté ministériel en date du 12 mai 1950 fixant les nOlivealiX
traitements des agen,ts des communes et des départements â comptc~
dll 1er jllnvier et 1er juillet 1950 ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire Général des Bouche6-dll~hône.
Adjoin1s
C!~lSse
e\Cept. ..
1" Cl asse
2" Classe
..
Classt:'
4' classe
.'
Classe
b' classe
7' classe
389.000
378.000
373·000
362.000
341.000
330.000
303.000
303.000
278.000
275.000
249.000
248.000
22 1.000
22 1.000
195.000
195.000
maJoJrattnr:"
Ur. )
(f,.)
Vu les arrète$ préfec to raux en date du 3 1 décembre 1933 portant
règ-Iem t'nt du personn e'l départemental des Bouches-du-Rhône;
Vu l'arrêté IIlterministérie l en date du 16 ma rs 1949 dcterminant
les limi tt's dans lesquelles les Conseils Généraux peU\'e nt fixer. f\
e<;mpt er du 1er jJnvier 1948, le nouveau classement hiérarchique des
agents ti tu laires i nvest is d'un emploi ,permanent dans les cadres d~s
services départeme ntaux et notamment l'article 1er, troisième alinl'a
Copie certifiée confonne.
Pour le Prélet :
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
d'im-
Traitements Orut!.
arro ndis
1--;-50
l-I-JO
(ir.)
(f,.)
427.000
420.000
-106.000
399.000
372.000
365.000
337.000
333.000
303.000
301.000
271000
27Q.OOO
239.000
239.000
209.000
209.000
-166.000
-I62.CO]
-1-10.000
-136.000
-103.000
399.000
365.000
364.()()( '
329.000
328.000
292·000
292.000
257.00ù
257.000
223.000
223.000
techfl iq ul'~
360
3-10
38300
-11.\'66
33.33:\
3ïOOO
315
289
263
237
2 11
31066
3U33
28633
30.300
25.266
26.265
21.500
21. '33
lï.933
17.933
185
13.833
13.833
Dans ceUe catégorie entrent le::: conducteurs de travaux
chefs cuisiniers des êtabrssements d~ plus de 1.000 lits.
et les
�ti~)ns
Traitunents brut~
arroDdis
1-1-50
J-j'-.50
(Ir.)
(Ir.)
XOU\ elles
Classe -
Tr.aitum:nts
Edll;}~,ns
l'14~1
maJ~,ra-
Indices
(fr.)
2
3-
5'
~
7'
de
345.000
3.\0.000
3 19.000
3 17.000
296.000
293'(JOO
272.000
271.000
250000
2.j8.ooo
227.000
226.000
204.000
370.000
368.00J
343.000.
3~2.000
31 .000
3 16.000
292.00J
292.000
26S.ooo
267.000
242.000
242.000.
216.000
? classe
3~
cla e
01· cla e
5'
clas~e
6' dasse
7· Cla 'e
If
2
:r
4"
5·
f'
Ï'
d4.:
287.000
262.000
242.000
221.000
202.000
183.000
162.000
250
232
214
196
178
160.
140
15.533
14.533
12366
10..533
7.933
5.466
2.633
(fr.)
pou n 'us de diplôm~
plus de 500 lits;
500 il 1.000 1 ts ;
30.3.000
277.000
254.000
232.000
2 10.000
188.000
165.0.00
318·000
291.000.
267.000
242.000
2 18.000
194.OJO
167 .000.
Chefs déquipe professionnels de 2" catègorie
cla '~e
304.000
270.
20.. 133
324.000
344.000
da:)5e
284.000
259
21.166
305.000
326.000
cla~'>::
269.000
249
20..466
289.000
3 10.000
<.:lasse
152.000
236
19.966
2ï2.ooo
29Z.OJO
Classe
224
18.533
257.000
23 000
275.000
classe
222.000
212
18.066
240..000
25 .000
da&;e
206.000
200
17.566
224.000
241.000
Dans cette catégorie entrent le chefs cui~inier des êtab l ,ssem~nt5
250 à 500 lits. les maitres~ lingères et maitrrsst"s buandièreri.
da~e
? classe
~. Classe
4' classe
5' dasse
0" c1a>se
j •. classe
DaAs
de moins
185.000
1'6.000
178.000
168.0.00
157.000
145.000
136.0.00
1r'" d asse
2 c lasse
3- cI~lsse
4' c1as&
5' classe
5' cla",e
7' classe
230.000
2 17.000.
206.000
196.0.00
185.000
175.000
165.000
1 ~ classe
2 c1a~~e
...!
classe
4 classe
5" cla sse
6" classe
J' classe
267.000
255
24733
292.000.
:1I6.000
2.54.000
240.
21.400
275.000
297.000
2t cla~~e
242.000
229
19.633
262.000
281.000
3' OJasse
218
1 .633
248 000
229.000
266.000
.d' classl::
217.000
206
16.833
234.000
251.0.00
5 t classe
20.3.000
194
15.533
219.000
234.œJ
ô da!'~
191.000
182
13.600
20.5.000
218.000
7 classe
180..000
170.
1 1.400
191.000
203.000
L'échelle 170.-240 sera attribuie aux gardes (Ca na l du Verd OH)
ct aux <.:uisiniers des établissements de p lus de 500 Nts.
L'échelle 170.,240-255 se ra réservée aux 50U ,chefs cu isin iers de;
établisscments de plus de 500 lits.
("f"
1~ classe
Z- classe
3' d~s.~
4· classe
5' classe
244.000
232.000
220..000
209.0.00
196.000
186.000
235
220
20.8
196
194
172
22. 100
18.600
16.800
14.533
13.000
10..366
185
176
167
159
149
140
130.
13.833
12.300.
10.600
9.533
8.766
8.300
6.400
20>1.0.00
198.000
1RlI.GOG
178.000
166.000.
153.000
142.000
1:" classe
2 classe
3 classe
4~ classe
5' classe
ü' c1a~s~
7' classe
223.<XXJ
211.1J())
199.iXl)
1H7.1À))
175.iXl)
162.00l
288.000
269.000
254.000
238.000
222.000
207.000
14,433
13.900
12.600
10..900
9.733
8. 133
6.600
244.000
23 1.000
2 19.000
20.7.000
195.000
183.0.00
172.0.00
20.5.000
193.000
184.000.
175.000
165.000
154.000
141.000
190
18 1
172
163
154
145
135
12.933
12.433
11.0.33
9.600
8.666
7.833
7.166
2 18.0.00
205.000
195.000
185.000
174.000.
162.000.
148.000
C1ilsses
Echtlons
Traitements
19~9
Indices
N.ou\'e11es
majorations
259.iXl)
245.00l
231.iXl)
2 IS.iXl)
2D4.<XXJ
191.1J())
178.000
23 UXXI
21S.OOl
206.000
194.000
182001
170.001
155.001
Tra it'€ments brut
arrondis
(fL)
I l'' classe
classe
classe
classe
classe
27 1.000
250.000
230..000
209.000.
191.0.00
260
242
223
20.4
185
26.0.33
23.733
20.733
18.533
15. 166
l-l-3U
l-j -jll
(fL)
(fL)
207.000
274.000
251.000
228.000
206.000
323.000
297 IX:O
27 1 000
246000
22 1 000
classe
classe
classe
clas e
271.000
247.000
225.000
20. 1.000
ISD.ooo
260
238
2 16
193
170.
26.033
22.666
19.000
15.733
11.400
297.000.
270..000
244.000
217000
19 1.0.00
:123.000
292.000
263.000
232.000
203.lXXl
Chefs de posle de désinfteclioll
I r classe, .. ,.
2" classe
3~
classe
4' classe
5" d asse
7" c lasse
298.000
287.0.00
283.000
272.000
267.0.00
26 1.000
255.000
24~.000
242.000
238000
230.0.00
226.000
220..000
2 14.000
250.
244
238
23 1
224
217
2 10.
1 1.866
15.533
13.733
17.400
16.000
18000.
16.333
18.666
17.200
18.533
17.833
19. 166
17.766
19.766
3 1G.cao
303.000
297.0.00
28Y.GOO
283.000
279.000
27 1.000
267.000
259.000
257.0.00
248.000
245.000
238.000
234.000
(IL)
Classes
Echelons
322.000
3 18.000
3 10..000
307.000
299.lXXl
297.lXXl
288.00G
285.<XX1
276.lXXl
275.lXXl
266.lXXl
264.lXXl
256.lXXl
254.000
(c,,)
TraitemCnt3
1949
indices
(Ir.)
(Ir.)
:S' classe
1'-' c1a",e .....
236.000
230.
22. 133
258.000
28G.OOU
2' cl asse
223.000
220.
216DU
245.000
266.00\)
3" classe
2 12.000
210.
20..433
232.000
253.0.011
4' classe
202.000
200
18.900
221.000
240.000
5' classe
192-000
190
17.266
20.9.0.00
227.00.0
Gelasse
180..000
180.
16.233
196.000
2 12.0Du
'/' dasse
167.0.0.0
170
15.733
183.000
199.000
( 1) Les agent.:; classés dans cette catégorie do ive nt avoir reç ..,
l' él utor isation ct'.txercer la 'profession d'infl rlmi e r, confo rm ément au ':
èispos;lions des articl es 5 et 13 de 'la loi du 8 avri l 1946.
4 ' classe
Assistanles social es cll efs
390.
370
350
330.
315
j l.c classe .... ,
2' c1a.se ..... .
3' classe .. ' .. .
4' classe .... ..
5" classe
496.000
471.0.00
445.000.
420..000
385.000
523.OJO
490.000
469.000
443 .0ü;J
409.000
Assistantes sociales principales
389.000
378.000.
358.000
347.000
1r classe
? classe
360.
335
38.300
41.966
35.7(;0
39.366
AG 2
RECLASSEMENT DU PERSONNEL
TITULAIRE DES COLLECTIVI rE,S
LOCALES
D283
j'ai J'ho nneur d 'informer Mess ieurs les J\\ a ires du dépa rtement que l'arrêté interm.in istériel d u 12 mai 1950 fix ant les nouveaux tra: tements d~s agents communaux à compter
des 1er janvier et 1er jui ll e 1950 a par,u a u
fOI/mai OffIciel du 20. .mai 1950..
MM. les mair.es voudront bien s 'y référer.
Pour le Préfet I:!t ]Jar dél {:ga tion
Le Secrétaire gcné,al,
LAMASSOURE.
-------<. 00 <.-------
AG 5 b
REGULARISATION DE L'ETAT-CIVIL
DES CITOYENS FRANÇAIS MUSULMANS, ORIGINAIRES li' ALGERIE.
0283
Circu lai re N° 170.
Paris, le 19 mai 1950.
Infirmiers et infirmières aulorisés (1)
2'
3'
4"
5"
Traitements brul ~
arrondis
1-1-50
1-7-30
Agerl#S de désinfect ioll
Jnfirmit:rs let .infirmières d;plôm és d'Etat
2
3
4<'
5'
Nouvelles
majorations
(fr.)
14 ~1.iXl)
PEHSONNEL SOIGNANT
categorJe
266.000
251.000
237.000
224.000
209.000
196.000
210.
200
190.
180.
170.
160.
150
Traitements
19<!9
Ind ices
Classes
Echelons
Nouvell es
majoralions
Traitements brut·
a r rondis
l- l-50
l -Î-,3u
(iL.)
Téteplzonistes servant moins de 100 postes
J .... classe
cla~
Oll'VrJ.;rs professioruzels de 1
(fr.)
Sen l G'il~eS
(i r.)
279.000
250
18.200
297.000
3 15.000
265.000
239
17.200
282 0.00
299.000
249.000
228
16.833
266.000
283.000
325000
216
15.666
25 1.000.
266.000
2 19.000
20.4
15.200
234.000
249.000
20.6.000
192
13.566
220 000
233.000
192.000
ISO
12.233
20.4.000
216.000
cette catégorie entrent les chefs cuisinier:s des établissemenB
de 250 li ts t't les surve;Jlants et surveillaJltes.
Ouvriers proft!ssionnels de 2' catégorie
1r
(Ir.)
() dos.'e
175.000
100
8. 133
183.000
191.<XXJ
7' c1o .. e
16 1.000
145
5.500
167.00.,
172.<XXJ
' cette catl'!!orie ent rent les ja rdlmers, peintres, cordonn'I'r
Dan
cs...,
.
,. l' d'
2'0.
~
l'haufkurs tai lle urs èt lin gères Jusqu a ln Ice - , les SOus~maitres.
~es hl1gèr~s aya nt ~ t1 I.es accè6 à l'indice 235.
Chefs d'équipe profession"els de 1" categorie
) ....
Indü:es
T r;!ite mCl1ts brub
arrondis
l-l-,jU
1--'-J\j
Te/épllOnistes servant plus de 100 pO,!".
Dessina:eurs
1 1"'" c1as..~
l!I~!l
(fc. )
Contrt'maitrus
290
25.133
320.000
27.800
312.000
2~.166
cI ..1s....-.e
295.000
25. 166
292.000
2 1.900
classe
2H.000
254
23.233
270..000
19.96ü
252.000
236
20.300
251.000
21 '>
233.000
17.300
dass~
1R.300
230.000
212.000
199
15.U66
classl'"
211.000
15400
cla e
192_000
1SC
12.233
Dans Cl'tte catégorie entrent :
- Les surveillants et surveiilants-chcf:;. nOn
personnel soianant dans les "tablissentents de
- Les che-fs cuisiniers des établissements de
- Les gardes chefs (cana:] du Verdon).
J'raituncnts
Clot,S,SES
EdllhJl1!-
-
Nou\ClIcs
l11ajorations
Le Vice-Présidt:/lt du Conseil
Ministre de l'In.érieur,
à Messieurs les Préfets (Métropole)
Les art icles 16 et 17 de la .loi du 23 mars
1882 c: su r la constitution de l'Etat-Civil des
musulma ns de l'Algéri e », modifiée par la loi
du 2 avril, 1930, p révoient que 1l'6 musLl lmans
so nt ten'llS, so us [1èÏlle de pourslûtcs corr ectionnel/es contre le mari, de faire dress!:!r, par
le Cad i (magistrat mu s ulma n d'A lgé r ie) un
acte de leurs ma ri ages, rép ud iations ou divorces, et ,ensuite de les déc larer à l'Officier
de I·Eta t-C ivi l.
Cette légis lat ion n'a pas été app liquée
strictement, du fait qu' u'ne grande pa rre de
la pop ul ation m usulmane est encore illettrée.
Mais ia tolérance dont il a été fait rpreuve
jusqu'ici ne va pas sa ns dommage pour le
bon établissement de l'état-civil
ni pou r
l'exacte application de la Icgislatioll sur les
a ll ocatio ns fami liales.
POlir mettre fin a ux errements flctuels, le
Gouverneur Gë néra:1 de l'Algérie a dé-cidé
427.0GD
420.000
394.00.0
386.000
466.000
462.000
429.000
426.000
5
classe ......
326.000
320.000
295.000
289.000
2S8.000
284.000
257.000
253.000
252.000.
247.000
3 10.
2SO
250
(f,.)
(h.)
(fr. )
33.433
35.433
28.333
30.333
30..666
32.000
25.533
26.866
27.200
2K866
359.000
355.000
323.000.
3 19.000
3 19.000
3 16.000.
283000
2SO.OOO
279.000
271;.000
393.000
391.W')
352.000
350.000
340000
J48.UOO
:lOKOW
:l07.0 ~J
J06W~
305.LO,)
AssistardJes sociaJes
1!' " classe ... ..
2' classe
J" classe
4' classe
y classe
G classe
7' cla>se
333.000
308.000
283.UOO
200.000
236.0ü0
2 12.000
191.000
3 15
33.733
367.0<:0
4000W
294
3 1.1 66
370.ü(,; .
3J9.ooo
273
28.666
3 12.000
340..000
25 1
25.0.33
295.000
31U.U'-AJ
229
21.633
258000.
27Y.000
20.7
19.000
231.000.
25O.OOU
185
15. 166
20.6.000
221.00U
Article 2. - 1\1. le Secrétaire Gcnéral des Bouches-du- Hhône ct
J\ i. le Treson er-Payeur Général sont cha rges, chacun en ce Qui le l'O'l
cerne, d'assure r l'exc-cut.on du présernt arrêté.
Marseille, le 5 juin 1950.
Pour Ile Préfet et .par délégat"on,
Le SecrétaiJ'e Général. LAMASSOU liE .
registl'e>mC'n·t des mariag,es nOn encore declarés, et d'acco rder, pou r cela aux intéresses
un dé lai, Le6 mêmes fal:ilitê~ doivent êtr~
offertes aux França is musulmans rés,dant en
Fra nce.
Vou s voudrez bien, à cet ef!..t, inviter les
Mair~ ~ de votre départem.ent, à porter à la
connaissance des citoyens français musulmans, originailes d'Algérie et rlsidant sur le
territoire de leur commu:1e, qu 'ils doi\'ent dl'clarer, avant le 3 1 dcceml.H~ 1950, leur manage, pour perm '~ttre la vérification de son
inscript.on s ur ks regist re~ de l'etat-civil, Oll
Ja mise en Œuv re ct unt: procédu;-e de tran~
cription.
Passé Ce dëlai, les sanctiOns c(j!Tect ionlll' lIes, prcvul::s par la loi du 2 avri l 1930,
.po urront l'tre app liquées et les prestatio r.s à
calactère famiLal ne serout pas ~ f\q es aL.';\
jJerson nes qu i ne ,pour rOnt pas produire ur.
extrait de leu r acte de maria ge, lorsque celll~
formalitc est exigible.
Les déclarations faites par les il1tér~s.5~s
sero nt rec,ueillies t: n deux ex e.m p laire~, ~l!r
une formul,e imprimée, du modèle cÎ-anne -.:t.
La mentiOn du mode de mariage sera l'nrt6e s ur la dét'Iaration de l'époux. En drtt,
les citoyens français musulm ans d 'Alg6r"e
peuvent a\oir cont racté leur mariage ('.1 I~ 1gérie, de Quatre façons différentes : ae\' lnt
un Officier d 'Etat-Civil, dans les même5 conditions que pour les autres citoyens ; d-t'vant
le Cadi (juge ml1Sll~man) i devant le Djemaa
(assemblée 10caiL') ; devant des témoins ;
dans les deux derniers cas, un acte recognitif ùu mariage doit en o utre êt re dressé par
Ile Cadi.
Les Officiers de l'E tat-Civ il cont rôl eront
les décla rations faites, à l'aide de toutes piè,
ces d'identité possédées par les interesses,
Chaque exemp laire de la déclaration sera
revêt u de la signatu re du Ma ire e-t de SI)O
cachet, ainsi que de la signature de J'intér.:ssé. Dans le cas où ce dernier déclarerait nt:
pas savoir t.!crire, ses empr.eintl's digitales $('ront
en
de deux tém')ll"
L'exempla ire n" 1 s~ra rem~s à 1 intch:s';l:
J'exemplai re n. 2 sera adressé, lorsq~e 1 inieresse est affIlié en France à une Cais~ J'AI:ocatiolls familiales, a u Direc te ur de la Caisse In terprofessionnelle de Compensation des
allocations familiales du départem ent d Alg~r,
d'Oran Ou de Constantine. compêtenr~ terr,·
tOLalement, compte tenu du lieu de rësidl:lH:c,
en Algérie, de la famille du rra l ailleur el,
lorsqu'II n'est pas a ffilie , au Maire o u à l'Administrateur de la co mmun e dont il t'st oricinaire.
....
Vous porterez cette circuJaire â la cùnnab
sance des N\aires dl: votre département, p.u
tous les moyens à v(}tre di!)pos:tion et. notamment, par insertion dans le Bulletin Uf!iciel de la Préfecture et da ns le Recue 1 de;
Actes Administratifs du département.
P. le j\i i ni~tre et par auto ri sa:ioll,
Le Préfet chargé de la Din:(tio;l
des Services de l'Algérie et des
Départements d ' Outre,~kr ,
DAMELON.
•••
HEGULARISATION DE L'ETAT-CI\' IL
DES CITOYENS FRANÇAIS
MUSULMANS OlliG INAIRES D'ALGEIIiE
(Ext!cution des circulaires Il ' 10.557
AE/ 4 du 3D aolit 1949 du Go","rneur UlIIerai de l'Algérie
et n"
du
du J\1inistre de lïntl:ri~ur.
(Cachet de la Mairie)
DECLARATION DE MARIAGE
NOUS, Maire de la commune de ...
. ............... d,;pa rtemenl de
certifions à toutes fins utiles que
M. (Nom ell copitale,) .... .. .. . ... .
Prénoms...... .......
. .... .... .
fils de ................ . .........•...
et de . ..... .... .. .. ..... ..... . ...... .
Né le .......... . . . ................ .
commune de . _.... , - . , ... • ... , - . - ...... -
�Département ....... __ .... - ... - . . ........ .
Adresse actuelle ....................... .
.Muni dl:!s p.~cs d'identité suÎ\'antes (numéro,
Jate, autorlt~ qui a dêli,·re).
InSf.;rit il la S~curitl! Sociale &Jus le numero
~ -.;; I~' 'èai~~~' d:,ùio~~;i~n~' F:Un'iii;tle; . ',;
~ ~~t pr·c~~nt~ ·c~ J·~~r· et· ~~u~ .~ ·~l~i~;~
al'O,r epou;" la) par del-ant 1 OU,cle r d EtatUril, le Cadi, la Djemaa ou par dera nt téTI1o~ns lb) la nommée :
(Nùm et prénoms de t'épouse? ........... .
NL'" le .... _ . . . . . . . . . . . .. a .... - ... - .. .
Douar ............. . Depart...... .. . .. . .
fille de ......... . _ . .. et de ...... .. .. . .
Actuellement domiciliée (ou dL'Cédee) (b) il
':' i:
....
. ... ....
Prt:norn.s ........................ . ...... .
2' avoir eu de ce mariage l
enfants suivant~ ........
.... . ... ...... . . . ... .. . .
ne le ................ . . à ... . . , .... . .. .
.
. .. . ...
...... (c)
. ... .. .... .. à
.... ....
Le ~i;"~~t~Ù~·
d;~~~ ,p~~ ' la presente auto0
risation il sOn LpOU
S!.tS désignée, cl r~ffet
d·obtenir la tran:::.cription de kur manage
auprès de 1 OHicier d 'Etat-Civil de la commUII" de (d) .................. . ........ .
Depart. de .......... . .......... : .. : .... .
En foi de quoI le dedarant a sl~ne av~c
nuus, ou Ile sa~hant s:gner a appose ses tJl~
preintes digitales, en présence de deux tl!ffiJÎns sui"allts le) :
Noms
,\\. ....... .
,\\.
Prénoms
A .... _.... .....
Le dcclarant:
L<s témoin
- . .. .... .... ... .
Adres:;es
. . .. .... .. . .
~
............. .
: (e) Le Ma ire:
......... . ..
i~) Tr~'n's;"i~i,'~{ ' I~' Ai ~i~~ de ... ..... .
1 Administrateu r
de la commune
mixte de
i~' Dir~~t~~r· d~ ·Ia· è·a·i~· ·1 ~t~rp·r~f~~iOn~el1e
de Compensation des Allocation,
Familia les du département de
(Alger. Oran, Constantine).
pour exécution.
---<>00<>-- - -
03 83
ASSISTANCE MEDICALE
FS 8
GRATUITE
(Vi lle d ' Aix-en-Provence)
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône.
Offll:ler de la Légion dHonneur,
Vu la loi du 15 jullet 1~93 sur t'Assistance Médicale Gratuite, modifiée par la lo i
du 1er août 19 t9 ;
Vu le décret n" 50.363 du 27 mars 1950,
modifiant l'ar, ;cle 9 du décret du 30 octobre 1935 prél'oya nt l'unifi~ation et la simplification des barèmes en ngueur pour
l'appl catioon des la s d'assista nce;
1
(a) S'il y a plusieurs épouses, fa· Te unt: d~da
ration pour ch ...q"e mariage sévart:mcnt.
} Ra) et les mnu,iuns inutiles.
( ) Illdiquer s'ils ~OlJt \·j\ant" 01.:. déréd~"
td) A rem(llir !'i l'teiIOUSe habitc enCOT\,: d .. n$ ~
commune où a eu lieu le mariage.
el Raler les mentions inutiles.
lilms
Attendu que, par délibération en ?ate du
?3 mars 1~49 le Conseil MWlIclpal d A,x-e,!Pro\'coce a d~cidé de reno nc~r ,à l'aut0I10~le
~n matiere d-assistance m ed lca le g~atUitc
~ui a\'a~l cté accord ëe à la, ville d' AI~ Ipar
a rrèl~ ministériel du 11 aout 19 10 ,pns en
application des d ispositions de l·ar!. 35 d.
la loi du 15 juillet 18 9 3 ; .
.
Qu'en solhc,tant I:approb~hon prdect?:
raie ie Conseil MUlilclpa l d Al~ a 'propo:st!
que cette renonciation prenne elfet a compte r du 1er janvier 1950 ;
,'.
Que le Co nseil Dép~rtement a l de '1 A~IS
tance Pu blique et Pri vee a ,ns, que M. l lnspecteur Divisionnai re D l recte~ r D0pa rte.mental de la Population, co nsultes, ont ém,s lin
avis favorable, respectivement, ,les 14 décembre et 8 septemb re 1949; .
..
,
Con.iderant que le .Conse, 1 Ge neral <les
Bouches-<iu-Rhône saisI de la q ueshof\, a
dans sa séa nce d~ 27 fév r ie r 1950, adopté
le pri nCipe de l'abandon par la ~ille d'Aix
de son oroanisation autnnome d aSSistance,
ma 's a ti:é au 1er juillet 1950 la date de
départ de pri se en charge par le dépa r tement des d-épenses y afférentes;
Que les crë<iits nécessaires au mandatement de ces dépenses soit 25 millio ns de
francs pour le 2e semestre t 950 o nt été insc rits au bud get dépa rtem elll~al , chapitre 9,
au co urs de la même séance;
Considérant par aille u rs, q Ile M. le Tréso rier-Payeu r Général des B ou~ hes-d ll-Rhô
ne, consulté, a~nsi que le prévoit le décret du
27 ma rs 1950 sus-mentionné, a don né 60n
<'.ccord quant au princpe de J'abandon <l.insi
qu'à la hxabon au 1er juillet 1950 de la d'a te
de retour au droit commun ;
Sur la proposition de M. le Secré taire
Général.
ARRETE:
Article premier. - La ville d'Aix-cn-Provence est autorisée à abandonner l'organisation au-tonorne d"assistance dont elle éta it
dotée en application des di positions de l' article 35 de la loi du 15 juillet 1893.
Art 2. - Cet abandon prend ra effet à
comp.e r d" 1er juonet 1950.
Arr. 3. - hl . le Secré taire Général de la
Prélecture et M. le T réso rier-Pa)'e ur Gé,, '
raI des Bouches-d u-Rhône sont chargés, chacun en Ct: quj !e concerne, de l'exécution du
present arrêté.
,\\arseill e,. le 22 Mai 1950.
Pou r le Prefet et pa r délégation,
Le Secrétaire Génl'ral,
LA.\IASSOURE.
-
essences
de denrét~
alimenllaires dans les boutIques, ctalages Ou
\'ernis, tissus, etc ..., ou la ,vente
évelltaires placés sous les portiques d'entrée,
ou dalls les couloirs de dégagement des établissements de spe<.:tacles Ou des immeubles
à usage d'habi tation,
Sur proposition du Secrétaire Genéral,
AI( IŒl E :
TITRE J. -
Boutiques et magasins sous lcs
portes cochères el entrées d'immeubles
Article premier. - Nul ne pe ut installe r
une boutiq ue Ou un magasin so us une porte
cochère ou dans une entrée ou couloir d'im.
meuble sans en adress~r préaLab.ement la
demande à la Préfectu re (Service départe_
mental d'incendie, 2e Dj,vision, 3e Bureau) et
indiquer par plall à liéch""'e de 2 cm. par
mètre le lo cal destiné à servi r de d6pôt o u de
magasin de marchandises, ainsi que la na.
ture de celles-ci.
C haque demande fera l'objet d ' un examen
spécial du point de vue de la sec urité publio
que.
Cette di sposition ne d :spense pas 1 . interessés des forma lités auxquell es ils sont tenus de se conformer à l'égard des m\.llllcipa.
filés au point de v ue des permis de COIIS-
truire.
Art. 2. -
Le li bre accès aux imme ubles
devra comprend r e un dégagement d'une lar·
geur d'a u moins trois uni tés de passage (dl!
m. 60), 1 m. 80 entre la paroi de la bou·
tique ou dlt .magasilll et le mur du coulo:r.
Cette longue ur de 1 m. SO se ra exigible
jusqu'au nombre de 300 personnes, locataires
o u occupallts de l'immeu hle. A cette dimensio n, il co nvient d'ajouter une unité (sot
m,50) lPar cent personnes s u!>plément ai-
o
o
res.
Art. 3. - Les bou-tiques Ou magasins devrOnt 'être construits en matériaux résistants
au feu, plus tparticuLèrement en briques de
m. Il , sans poteaux de bois , avec paroi
o
plei ne le long du couloir d'entrée et comportant des i ssues seulement, sur :Ie devant et
l'arrière. Ils d~vront .présenter une suve rf; cie
minimum de 10 m2, posséde r une surface
d'écla ire ment d ' un sixième de la s u rface de la
boutique et une prof ond eur qui ne puisse
être slLpérieure à lune fo is et dem ie la hauteur de cette s urface d'écla irement.
f~clu re (Ser\'ice
ùépartl:l11cnta l d'incend ie,
Divis,on) 3me Bureau).
- Les dema ndes dtvro llt être accompagllées
d'II ri plan à l'échelle de 2 CI~l. Ipa~ m ~ tre et
tenir compte du ou des. escahe~s ct ac~es aux
étaues lpar rapport aux Inst aJtatlon~, ainsi, que
de
présence eventuelle d 'une deUX ième
issue ou d une co ur presentan t d ~s gara nties
suffisantes.
Arl. 8. - Ces insta ll atio ns dev roll t laisse r
un dégagement libre de deux un ités de passage (soit 1 m. 20).
Art. 9 - Eliles se ro nt enl evees Chaqu e
60;r et remisées hors du cou loir du pa ssage.
Art. tO. - L'exposition et la vente des
marchandises pa rti cu1l iè rement infl ammables
V,Sl'es à l'al't. 5 ci-.dessus so nt i nterdites. Est
éga lement interdite la vcnte des denrées alimentaires.
Arl. 11 . - L 'exposition de l1I archa nd:ses
combustibles (robesl tissus, divers, etc.) ne
pourr a êt re tolérée qu 'a u long du mur du
couloir d'en trée de l 'immeub le.
Art. t2. L' utilisatioll de toute tenture
flotta nte est in terd i te.
Arl. 13. T o ut éclairage autre q.u~
l'éclairagt! électriqu e fixe es t interdit.
?Ole
venLo.n d~ hatall ion des m;lrin~-pontpi(.' r s, les
COm mltiS<.tires de police, ::,lIn:lti llerOnl et aSSllre r~ nt, thaClI!l en ce qui le concerne, J'exéCutiOn du present arrèté.
Fa;t à Marse ille, te 24 mai 1050.
la
Art. 14. - Les dispositions du present arrêté so nt opplicables à to utes les installations
existel1tes qui devront s' y cO ll,fo nner dans 'le
déla i d'un mo is.
T outef ois, à J'ex.p iratton de ce délai. des tolérances provisoires lpo urront être accordées
après enq uête et examen des co nd itions de
sécurité par les se rvices techniques.
Art. 15. - Les infractions au .p résent arrête seront constatées par des procès-verbaux
qui seront déférés, s'il y a l ieu, aux Tribunaux compétents.
Il sera pris, en out re, suivant les circonstances, telles mesures d'urgence qu 'exiuera
la sécurité publique.
~
Art. 16. - MM. le secrétaire gé né ra l de la
Préfecturel les mai res, l 'i nspecte ur départemen tal des services d \incendie et ses adjoints,
le direct,,",r de la Santé, le Service de pré-
L e Préfet
BAYLOT.
•
Communiqués - Avis
Annonces diverses
03 82
AV IS DE VACANCE
~ postes de commis so nt vacants à la
Ca ,sse de Crédit Muni cipal de Marseille .
L 'éc hell e judiciaire applicab le aux em plois
I11 'S au COllcou rs est l' échelle 130-220.
A u traitement correspondant à ces indices
s'ajoutent l' Indemnité de rêsidence fami l iale
et les charges de famille.
Dans le délai de 30 jours il dater de cette
pu blication, so it le 8 jume1 1950, res penSionnés de guerre domicili és da ns le département, cla ssés ou nOn classés pOlir un emploi réser vé, pourrOnt décla rer leur candidature aux t' mplois réserves ci-dessus.
A cet effet, les intéressés t ransmettent
leur demande au Préle t des Bouches-du-R hône, 3me D !visioll, 2me Burea u, Service du
Personn.e l avec toutes pièces j,ustificatives.
Pour tous renseignements, ils pourront
s'adre5::5er soit à la P réf~cture, so i t à la MaÎrie de leur r ésidence.
Le prese nt avis sera publié et affiché dans
toutes les COmmunes du département des
Bouches-du-R hôlle, à compter du 8 jui n
1950.
Pour le P réfet,
Le Sec retêli re Général
LAMASSOURE.
02 83
DEMANDE D EMPLOI
-DE SECRETAIRE DE MAIRIE
Secr étaire de maIrie, 13 ans de métier.
18 ans d'admin ist ration, ch~rche sec rétariat
dan" une comm.un e de 5.000 à 10.000 habita nts.
Départements choisis:
Bouch~s-du - Rhône, Gard Vaucluse AlpesMaritimes.
"
Sa femme employee de mairie depu is 18
ans I)Ourrait le seconder .
MAl les maires intéressés par cette candidature voudront bien 51:' mettre dirtctement
en rapport avec M. Fuzi~r, campagne de
Montg rand , Le Cabot,
aint~-."\ arg ueriteJ
Ma rseille.
-----<::>00
SC 7
BOUTIQUES ET MAGASINS SOUS LES
PORTES COCHERES ET ENTREES
D'IMMEUBLES
D. N. B. W 11 53
et mettre en ve nte di ve rses
marchandises, à l'excl usio n,
Le dépa rtement doo Bouches-du-Rhône va
procéder à la vente Sur so umis:sions cachetées
de de ux l'oitures C. 1. d'une camion nette et
d' une moto.
'
Tourisme C lTROEN It BL 2327 CB5
140.000 fra ncs.
TOurisme DE SOTO S. P. 7 -103 1 CBI
110.000 francs.
Cam.ionnette CITROEN A. C. L. F. 3492
CA3 : 20.000 fra ncs.
Mo to MONET-GO\'ON 676 CB3 : 15000
francs.
La vente aura !teu à la Prefecture des
Bouclws-d'IrRhône, sall e 2 18, le 29 juin 1950,
a 16 heures. Les soum·ssions devront être
déposees a u plu ' ta rd le mardi 27 juin 1950,
à 12 heures, dernier délai, à la Préfecture.
Directio n des Services Techniques.. hureau
(43 bis).
Le dos ·er complet qui comprend totites
les autres prescri ption- de la vente pourra
êt re consu lté à l a P réfecture des Bouchesdu - Rh ô ne (bureau 43 b,,) et dan< let' SousPréfectures d'Aix et d'Arles.
catégories de
toutefois. ,de
tou t objet ou produit particul iè remen t 111flanuna ble, te ls qu e celluloïd couleurs et l'e r-
nis, esse nce, etc., Est éga l e~ent interdite la
vente des denrées a limentaires.
Ar!. 6. - Tout éclai rage autre que ['éclai-
ARR ET'E
Le Préie t tles Bouches-du-Rhône
OffICier de l a Légi on d' H onne~r ,
Vu la loi du 28 Plul'iooe, an VIII ,
Vu la loi du 5 Avril t884 et spécialement
l'artiCle 09,
\'u I~ ,PHI '~s--\"C.·rh;l du l0I1!=ie:1 D épar,cml'nt<-.I d I-I ~ ~It:ne en date du Hl avri l 1(/50
COII.siù~ r ant le dal1,6l:r que pourrait (ons~
Iltuer. pou r J~ pUb!'c,. l'installation de prodUlh partl(;u!Jcrement Inflam mahles, teb. que
ra ge électrique fi xe ,est Înterd1it ainsi que l'install ation de pr ise de couran t , l'emp loi des
la mpe s balade uses, etc ...
T ITRE Il
évclltaires ef inç/nllnJiolls mobiles
1
Arf. 7. - Nul ne ,peut installer lIlI étulage
ou, un éventaire mobile $OUS une I~orlt' ,~o~
chere ou tians ,lrn e ent rée ou couloll' d lin
meuble sans autorisa tion préa lable de la Pr~·
_ _ __
VENTE DE MATERIEL AUTOMOBILE
PAR LE DEPARTEMENT
DES BOUCHES-OU-RHONE
l'éche lle sur 1P0rteu r des s ape u rsopompie rs, la
large ur min imU!'m d e dégagement devra être
de 3 mè tres de passage libre.
Art. 5. - Les ma gasi ns 1P0urront e,;poser
----(>00<:.-- - -
~,
O. S. T.
Art. 4. - Lorsque l' imm euble compo rtera
une COu r intérieure permettant l'évolu tion de
02 83
"
.photographiques, celluloïd,
Copi e c.rtifiée conforme.
Pour le Préfet :
L e Secritaire Gén éral,
LAMASSOURE.
�22 Juin 1950
\ '~\. DtP" fI rWEUT
Recueil des Acles Adminl~
s
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au R ec ueil d o!' être adressée à la Pré fec ture Secrétariat Général
ABRÉ V IATIONS
A. P. : Arr êté prélectoral. - C. : Cir ou lai re. - Les lettres D et B suivies d'un ohiUre tn dlquent le Ser vice ou Bureau d' o<igme.
_ S. L. R. A. : Service de Li quid ation des Réq uisi tions AII. mand es. - R. G. : Ravi taillement Général. - S. C. R. : Service de la
Circulation et du Roulage. - D. D . S. : Direction D épar tementale de la Santé, - D, S. T . : Dir ection des Services T echniques.
SOMMAIR.E
Arrêlés réglementair es et Circulaires
Pages
AG O. - Diff usion de co,ntrats-types
pour ,'assur ance des res ponsabi l ités
commu,nales et la ga r anti e des risques d'i ncendie ... . . . . . .
AG 2. Hémunêration du pe rso nnel
auxili aire des coli ectivi t ês loca les
pour ~'a nn ée 1950
.... , ....
F 4. -
Em.p m nl public ém's par Elec 103
tr icité de Fra nce ...
93
l
102
FS 7, -
Attr ibution de majo ra ti ons
'
de recl assement aux ,personnels des
Etabl issements publ ics d'hospital isat ion, de soins ou de cure (anlflée
1950) ........... ..
FS 7. - Révision du pri x de j ournée
prévision nel de Il'H osp ice de S ai ntChamas ...... . .... . . . ....... ..... .
103
104
ARRËTÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
AG 0
D283
DIfFUSION DE CONTRATS-TYPES
POUR L'ASSURANCE DES RESPONSABILITES COMMUNALES ET LA
GARANTIE DES RISQUES D'INCENDIE.
AG-Lég. 11 " 193
Paris, le 3 j uin 1950.
Le Vice-Président du Co nseil,
Ministre de LIntériel1 r
L e Mlflisfre des Financ.~es
et d es Aff aires Econom iques
à MM . les Préfets (M&,ro pole)
Un gra nd nombre de munic ipalités soucieu'··
ses d'une bo nne gestion des - i nterêts com munau x O11t so uscri t des po lices d'assura nce
pour garamt: r leur respon5a bili té civile en cas
de dommages ,p rovenant du foncti on n ~me n t
de leurs se rvices.
MaIS ces con t rats n'offrent, du-ns certains
cas, qu'u ne (f~Hallt i e mal défi nie ou in5Ufflsante faute de cla uses prec:s ... s sur la na tur ~
des garanties accordées.
Les t:ompagnies d'assurance se bo)'ncfl t, en
effet, <.l'u ne façon gêné rale, â proposer des
co ntrats éta bl is Su r les même...;; bases que
po'Ulr les par tic uliers, al'Ors que la respo nsa bilité des comm unes es t soum ise, en outre, j
d'es règles !p rop res au dro:t ad ministratif.
Pour évi te r to ute diffit:ulté d ï ote rp rêtatior.
et mettre fi n au x disparités de co nditions imposées aux munic ipali tés, l e Co nseil Na tional
des Se n tices Publ ics départementaux et com ·
rnun au x à élabo rer avec la co ll aborati on du
Groupement T echn'ique de la b ranc he ~?c.i
dents de la Fédérati on França ise des societes
d' assura nces, quatre contrats-types d'asSurances resl>Onsabi lit é. à l 'i n telntion des co mmun es.
(resp ollsab: l ité gcnér ale, accide nts. d e vo i t~
res automobiles, de cheva ll x et voit ures, act l-
Un ci nq UI ème contrat, re la t if à l' i n cend i ~
des biens et bâtiments co mmu naux a été égaIemen t e1aboré sU'r les bases de l a pol ice dél ivrée aux. particuliers.
ees poli ces-types seront i nsérées dans la
D ocumentation commwla le do nt elles con stituent le chapitre 18. Ma is en rai son des délais d'impression, il a pa ru oppo rtun œassllfer, dès main tenant, la di ffusion de ces docu ments.
Il vo uS appartient de les fai-re publier dans
Ile .p rochai n recuei l des Actes Administrati fs
de vo tre D épar tement.
Je
Cf oLs
devoir vO us p r éc iser q Ule ces
pol ices- types .,e peuvent, à défaut d 'acc~ rd
avec la société d'ass ura nCes, êt re substituees
aux con trats actuellement en vigueur qu'ft
l'échéa nce de ces derni ers. ou à toute da~
a-ntérieu re à cette échéance:, à Jaq uette ils
peuve nt être va lablement rés il iés, confo rm ement à l a loi Ou aux clauses du com trat
j'ajoute que lesdits con trats-t~pes sont
suscepti bles dHre modlhés ultefleureme11t
1er M ars 1949.
M IN ISTER.E DE L 'I N TER IEUR
CONSEIL NATIONA L
DES SER VICES PUBLICS
DEPARTEMENTA UX E T COMMUN AUX
Section de LégisIPtilJn
Police-Type pour l'assurance
de la Responsabilité Générale
des Communes
Co.nditions Générales
L e présent con trat est régi pa r la loi du
13 juillet 1930 et pa r les décre ts des 14 ju in
1938 et 30 décembre 1938.
pou r tenir cc..mpte de~ \'a r iations de la Iê.gislatiO!1 . de la tt~c hn ique de:, a urances ou des
diverses forme s de l'acti\'itc communale.
Le visa du Ministre des Finances, matérialisée pa r l'apposition des in iTiales M . F. suivÎes d'une date posté rie ure à ce-lle du 1e r octobre 1949. garantira que les projets de 00:1 t rat q,ui en seront revêtus sero nt conforme.;;
a ux conditions gênéra les des contrats- types
ou comporteront des clauses au moins aussi
falVo r ahles.
POtllf le Mi nistre de r1 nterieur,
et pa r délégation,
Le Pré/d,
Directeur de l'Adm}Nstration
Générale, Départlt.>mentale
et Communale :
Pierre-Jean MOATTI.
Le Secré/a/re d Etat a ll X Financrs
et aux Affaires Economiques.
Par autorisation,
Le Directeur des Assurances
MASSELI N.
sÎf7nature du Direfteur Géni:ra~ de la Comp:gn ie ou d'un Fondé de Pouvoirs délégu ~,
Objet de l'Assurance
Article pr'cm;er, - La Compagnie g~~an
tit. dans tes li mites indiquées aux condI tions
particu ières, les co nsé quences f?ë~u n ia ir~s
des respon sabilités que l a co Necti-vlte assuree
peut encourir:
_ soit par application des artic.les 13 '2,
1383, 1384, 1385, 1386 dw Code Ci\'il ;
_ so it par applicatio n des règles du dro:t
admiltist rat if,
,
en raison des accidents corpore ls et m at /.:r iel caus~s a des tie-rces perSOi1nes, à leurs
biens et il leurs animaux.
�~
~ ----------------~~~~t!t
du
ins s'i l \'. \on a
consHtution est calculée dans les mt!mcs t'On-. l ésé, des témo
.
La ~aranti~ ~'ext!rct! t'Il France .\\l'tropoIita.ne ""'et en Principaute- dt: Monaco (1).
Ne sont pas CQC1sidéres comme tiers, ail x
t~rme; de la présente police :
..
al le Maire, les adjoints et I.>s conseulers rnuni cipauxpendant !l'exercice de leurs
fonctions ;
b) les sal'aries et preposés de la colle<:rivitë assurêe pendant 'eur serVice;
...
c) les sapeurs-pompiers de la collecn\'lte
assurée pendan t leur service.
.
,
Art. 2. - Ne Sont pas c'Om.,pn s dans ,a
presente assurance, sauf rn~ntion e..x:press ..
dans les conditions particuhères :
Les risques pro\'enant .du fonctiol~ n~cnl
ues se ryices ann.exes sUl\'ants : hopltaux,
hospices, t..'co les, crèches, cc;>lon ies .de vacances. cantines scolaires. dispenSc1.lres. eau,
aaz érectricité, enlè\'ement des boues et ordure..s ménagères, parcs de spons, bains, douche-, piscines, êtablissements thermaux et
d'eau;\. mjnérales, théàtres, cinémas, saUes
de fêtes, abattoirs, halles et marches, sapeUI'Spompiers et leur matériel.
Art. 3. Ne soot pas compris uans 1.'
presente assurance :
a) ies responsabiütés personneUes d"
maire, des adjoints, des conseillers municipaux et des employés de la collectivité assurée ;
b) la responsabilite civile résultant de la
loi du 8 novembree 1941,
c) les risques des exploita ti ons de carac
tère commercial, industriel ou agricole gérées
par ou pour la collectivité assurée,
d) les accidemts prO\'enaM du fait des
11l1:meuoles affectés à un usage industrid 0:.
considerés comme maisons de rapport,
le) les accidents causés par les cnevaux,
\'oitures, cycles, locomotives et automobile~
et plll'S généralement par tout matériel d
traction animale ou mécanique, aimsi que les
risques aériens,
les accidents Survenus par le fait ou
à J'occasion de tou~ matchs et compétition~
(sauf ceux déclarés aux conditions particulières) et des meetings d'aviation ou d' aérostation.
Art. 4. - Sont formellement exclus de la
présente assurance :
- les dégâts matériels rés ultant d' incendie ou d'explosion,
- les dégâ ts des eaux survenus dillnS les
immeubles ou bâtiments communaux,
- les responsabilités occasionnêes directement ou indirectement par faits de guerre
étrangère ou de guerre civile,
- les responsabilités occasionnêes directement ou indirectement par emeute, mouvements populaires ou attroupements (art.
106 il 109 de la loi du 5 avril' 1384),
- les respon abilités relatives aux dommages occasionnés directement ou indirectement
par une désin tégration des noyaux atomiques.
Art. 5. - La garantie est lim ~tée, par
sinistre ou événement, à la somme indiquét
aux conditiQnS particulières.
Si l'indemnité alJouée à une victime ou
à ses ayants-droit consiste en une rente et
si une acquisition de titres est ordol1l1ée pour
s!lreté de son paiement, la Compagnie emploie à la constitution de cette garantie l a
somme disponible dans les limites fixêes p~r
la 'Police. Si aucune garantie spéciale n'est
ordonnée ,par une décision judiciaire, la V3lellT de la rente en capital au jour de sa
n
(1) Pour les départements d'out~mer, eU,·
$'n-noe sur lco territoire du département.
raùrc~e
ditions que celles prévues ,par ~a. ~églem~~=
tation relative au calcul de la ~~rye n .
thématique. Si cette "aleur est JOf~n~llre a
la 60mme disponible, la rente est. IIltc?:ralement à la charge d~ la ~o~~agn~h~r~cel~~
e.,'1 sl(périeure, la rente n .est a ,l a c
~
la compagnie que proportlon.nellement.
Les frais judiciaires, de qu~ttan ~es ou
autres ne viendroot rpas e~ deductlon du
chiffre de aa rantie.. To u tefol~, en cas de co~
damnati.on \upérieure au dllffre de g:!r.amhe
fi xê par la police, ils seron~ supportes pal
la compagnie et par l'assuree dans la proportion de leur part respective da,ns la condamnation.
Modification s du risqu"
Art. 6. -
La pr esente police est établie su r
la foi des déclarations faites par la colle<:tivité assurée et inscr Ltes sur une tPropOSl·
tian séparee, déclarations qui ~rvent à l'application du risque et sont a la ~ase de
J'assurance. L'assurée dOIt, en consequence,
déclarer c..xacrement, à lIa conclusion du co.nlrat, tous les elements d'appréciation du fiSque en r{pMdant, nota mment à. t~l~tf6, les
questions posées dans la propOSition d assurance.
Toutes 1Il0difi<:ations apport&>; par rassurée aux êJé~nts du risque déclarés par
elle dans sa IProposition, et notamment ~o u
tes Imodifications des conditions de foncti on ..
neJnent des services COmm lLnaUX et toutes
créations de nouvea.u,x services devront être
déclarées à la compagnie conform ement â
l'article 17 de la loi du 13 juillet 1930.
En cas d'aggravation du risque assuré,
pour quelque motif que ce soit, la compagnie
aura la faculté de Tesilie r le contrat ou de
proposer un nouveau taux de prime. Si l 'assuree n' accepte pas de nOuveaux taux, la police sera rCsiliée et la compagnie si l'aggra\'ation est imputable à l 'assurée conserve le
le droit de réclamer une indemn ité devant
les tr ~ bu nau x:.
A toute époque, et même dans les deux
ans qui suivront la résiliat ion de la police,
l'assurée sera tenue de justifier sur réquisition de la compagnie, l'exactitude de ses déclarations.
Prim ~s
Art. ï , - Les primes, auxque.lles s'ajouten t les frais de répe rtoire de recouvrement
et les f rais de gestion, 3.Ïlnsi que tous impôts et taxes actuellement existants ou qui
seraient ultérieurement établis ou modifié..;
et dont la récupération n'est pas interdi te
par la loi, se paient annuellement et d'avance contre quittances signées par la Directi"" Générale et, à l'ei<ception de la p"'_
miè re, à Ja maison commune OU! à te-l autre
lieu cO.nvenu.
1
En cas de nOn paiement d'une prime échue,
l 'assurance peut être suspendue en s€s effets ou r ésiliée par la cOTTJpagllie dans ,les
conditions ènoncêes par l 'a rticle 16 de la
loi du 13 juillet 1930.
Sinistres
Art. 8. -
La collectivité assurée devra,
sous ,peine de déchéance, faire par écrit, ou
oralement contre récépissé, à la compagni-e
oU à son agence la décl aratiOfl de chaque
sinistre dès qu'elle en aura eu connaissanci..'
et au plus tard dans les cinq jours, sauf justification par elle qu'elle a été mise, par suite
d'un cas fortuit ou de force majeure, dao:-i
l' impossibilité dlobserver le délai ci-dessus.
Elle devra ;nd'
uer il ,la compaenie
le nom
-..."
11: ~
.1';'
ft
et lu i fournir tou.s . rtenselrrnem ents ~Ur les
circonstances du 51111S ce.
Art.9.. - La compag.nic se r éser\'e le dm:1
exclllSl~ de . tra nsiger ::;;1.t 1 les .dO~ltnag{!S ~1
l 'assuree lUi do~ne tous pouvoirs a ~et effel
Aucune re(:on~lal~ance d~ responsablUtë, aU.
olJJle tran sac tw n Intervenu.e en dehors de 1
compagni~ ne Ju i ~eroll1t opposables. TOute~
fo is n'est pas conSldér 6? c.o n~mc une recon,
n aissa n c~ de respons~bllltc j .aveu d'un filit
materiel, ni le seul fait d'a\mlr prOCu.rê à la
victir'ne un secours ungent, ,I o r~u'i l s'aga
d'un acte d'a6Sistance que tout,e personne es!
naturellement portée à acco01'j>lir.
La compagnie a seu~e Ja direction du prucès. En conséquence tous actes jUdiCiaires et
extra-judiciaireslnotifiés à l'assLLree ou à ses.
prél>OSeS, soit à l a requete des parties l!si"
soit à la requête du Ministère Public, ai~
que tous avis, lettres, averti ssements, COIl\1)..::atlons doivent are transmis Ipar r1'assuree,
dans les quarant~hui t h e.l~res de la re.ceptioo
au siège de la Compagllle ou de 1'agence, ~
peille, en cas de re~ard, de. s u pport~ r les
fra is et dommages qUI pourraient e-n resuller
pour la Compagnie.
Le rèfYlement
de l'indemnité
SNa etfectut
~
" ,
dans le délai de qUll1zalne a com pter de la
date de G'accord des parties ou de la décision
de justic e passée en for.::e de chose jugée,
Arl. 10. - La Compa,gnie, si elle a ~l;
l' indemnité 1prévue au contrat se trolLv-era su.
bro lYée jusq u'à concurrence de cette indemnitt dans l'es droits et actions de l'assurt!
contre toutes tPfrsonnes garantes ou respon·\
sab les d'un sinistre à quelque t itre que tl
soit sa,uIf contre les magistrats municipaux.
les ,Î>réposés, agents, em~loyés et ou.vriers dt
la collectivité à l 'eJ<cephon du cas de mal·
veillance commise 'par l'u ne de ce s person·
ries.
La Compagnie serait déchargée Lie sa responsabilité envers l'assurée dan~ la mesurt
où cette subrogation ne pounralt ,plus, pas
le fait de cette dern ière, s'opérer en sa f~
-
. '1,' " ,' tous Jes autres contrats
Je rèSI
....
.
'
C
'
t a\'oir SOUSCrit s a la ompagnt...:
qu'elle P..~ll;aH~n sp rendra effe! un moi aprè..;
Cette res tion à la Compagnie.
la n,otlhca de la facllltée ,prévue aux alinéa;-;
L. usage êsent art iCle entrajne restitutiol1 ,
1 .et 3 d u pr a nie des port ions de lprim e afpar la C,?,"P
la gpéri ode 'po ur laquelle les ri s.
férentes aont plus crara nhs.
que5 nI? S
0
Ii~e
DiSPositions générales
4 _ Le p·résen.t contrat sera ~~i1i c
Arf,. l 'l 'o it et dans les "as et con dlhol1 s
de plelO" l'article 26 du decret-loi du I ~
prévus }par
juin l ~&
..
d
.
f 15 - Toutes ac ti ons denva nt li preAr ~ontrat son t prescrites. par deuJ( a!ls
sent
t de l'événement qUI Y donne nals', compd er ' les termes des a rt'101es ?5
- l 26' 27
sance ans
930
de la loi dll 13 juiJlet 1
.
3" L 'assuré aura la facul té d'attelt;: r à se:;
voitures des chevaux de renfo r t en cao; de
neige, de verglas, ou pour monter les côtes
et dans les endroits diffic~les. L'assuré ser.l
('gaiement garanti lorsqu'il se servira, pendant l'i nd isponibilité des siens, des chevaux
et voitures appartenant à un tiers, pour vu
que ce tiers ou Un prépo:-:.é de celu i-ci n'er.
assure Ipas 11a cond ui te ;
4" En cas d'acddent survellu à lï ntéri e'ur
des éc uries ou remi ses et de-s propri ét és or ·
cupées par l'assuré, la ga rant ie est limitè'
aux se uls dommages corporel s ;..51\ Le contrat p rodu it se s effets en Franct:
métropolitaine et Princi pauté de Monaco.
Arl. 3. - li n'y a pas d'assurance :
I I> Si la personne qui conduit, au moment
de l'accident n'est Ipas âgée d'a u-mo ins sei z~
ans;
2u Si l'accident survi ent à la suite de
courses
ou compét iti ons a u xq u e ll ~ le cond u..: .
•
teur par ticLpe en qualité de concurrents :
18 JU il l 1948
3° Pour les accidents SU T\'enant au condU\.>
CONSE IL NAT IONAL
teur de la voiture, aux membrts de la faDES SERV ICES PUBLI CS
mille du conduc teur (conjoint, ascendants,
DEPARTEMENTAUX ET COMMUNAUX
descendants, frères, sœur5 et alli és au mêmt
degré) , au x agents préposés ou salaries d l'
Section de Lég;slalion
la commune assurée ou du conducte ur pepASSURANCE DES COMMUNES
da nt leur sêrvice ;
4" POLIr les aocidents at{eignant les perProjet de ~olice d' As~urance .
son nes tran sportées à titre onéreu x pendant
contre les aCCIdents causes. au x hers
, qu 'c'lIes sont dans k s voiture:-i assurées ou
par les chevau x et vOItures
lorsq u'ell es y mOlntent ou en ~eSCt;lldellt ;
5" Pour les acci dents occaSIonnes aux obConclilion s générales
jets transportés da ns les voi tures, ou. ca ~sts
par eux aux tiers au co urs des operation.:.
Le prl'sent contrat est régi tan t pa r la.l ?i
de chargement ou de dechar gt'me nt ;
du 13 juillet 1930 et les décrets des 14 lU'"
6" Pour les dommages causés aux ch'eva u)..
et 30 décembre 1938 que ,par 'les cond itions
et voitures loués ou empruntés ;
générales et particu lières ci -après.
r Pour le paiement de l'amCf!1de, qui .es·
Il doit, pour être valable, être revêtu de la
une peine ,personnelle et des fraiS y relatifs.
signature du 'Directeur Général, de l~ .C{)~l·
Art. 4. - L'assu ré doit :
pagnie ou d' un fondé de pouvoirs delegu-e.
10 Comprendre dans la présente ass ur~nv:
Objet de l'A ssuran ce
tous les chevaux et voitures' qu'il fait ClrCli"
k r à l a date des présentes ou qu-:l mettra en
Article Premier. - Le présent contrat ga·
circul ation pa r la suite ;
rantit 'les réparations civiles qui peuvent
veur.
~tre dues en ver tu des articl es 1382 et sui2" Decl arer il. la Compagnie par . lettre re:
Durée de la poUce
vants du Code Civil ou en vertu dlt Droit
comm a1ndée, con formément aux articles 1 ~ !l
Art. II. - Le contrat est ,paroait dès Sol Administratif, à la s",ite des aocidwts, tal"t
17 de la loi du 13 j uillet 1930. toute modlf:signature ,parr les pa rties. La Compagnie corpo rels que maté ri' e.ls~ que les chevau x: et
cation susce'Ptible d'altérer l é~ nature du n :-:;'
pourra en poursuivre dès ce moment l 'exéc~· voitures attelées, apparte nant à l 'assurée,
que ou d'en changer l'opinion po ur la .Corn·
fion.
f causent aux tierces personnes.
'pagnie (usage, forme, Il o m~re ~ es vO lt u.res
co mposition des attelages. SIt uatio n des eCII·
TOUltefois l 'assuranCe Ile produira ses e·
Le eontrat garantit non seulement la resr ies et remises) ;
fets actifs 'et 'passifs que le l''''dem ain, ' ponsabilite personnelle de 1'assur~ mais enheure du jour du paiement de l a~ premle~ Core celle de taute pers(}l1ne à qui il a urail
3" DêcUi rer à la Compagnit:, cO l1tr~ rke·
prime augmentée du coût d e l a police et des gracieusement prêté ses chevaux et voitu res.
pissé et avec justification la s~ppresslon totale ou partielle, au co urs de 1 assurance de~
droiis y afférents.
.
Art. 2. -' 1,0 La garantie est limitée ipo~r
Art. 12. - La durée de lia présente pohet <:haque accident à l a somme fixée aux condlrisques assurés.
est fixée à dix années consécutives,
.. tions particulières.
Il aura droit alors, soit à fa r~iliati on O <J
A !'expiration de la période pour la·
Les frais judiciaires de quittance ou autres
à la suspension, so~t à la r éduction proporquelle elle a été souscrite Ja ,pohce
ne viennent pas en. déduction du chiffre de
tion nell e de J' assurance,
renouvellera d'année en annéC7 . ~vec la I~ garantie. Toutefois, en cas de condamnation
E'n ca s de résiliation, il sera dû à la Co~
cuité po~r les pa,rties de la reSi her tous , supérieure à ce chiffre, ils seront su,pportés
pa gnie, outre les primes .é~hll e~, UI~e oon.e-:·
ans en se 'prévenant au moins 6 mOIS a par la Compagtnie et par l' assuré dans la
de prime à titre d'il1demn l ~e, ded,lIctlOn ~alt~
l'avance par ettrc r.ecomman.dée.
,
,la Pl'QpOrtion de leur part respective dans ln
de ,la rract ion de prime aflerente a la périod e
Art. 13. La Compagnie sc rcseM ê' Condamnation '
no n garantie: en eas de SUPP~e6S lo n .pa rtlell:
0
facu lté de r ésilier la présente palice apr ~
,2 La ga ranhe s'é tend aux accidents c,all ~
la prim e se ra rédlrite propo rtl().nnellem ~ll t, I,~'
chaque déclaration du si nistre, l1loyenlla11t uses: par les cheva ux ,ment>s haut-Ie-.plcd,
prime de (-"année en cours rest~nt acq Ul ~ e.•
préavis d'au moi ns un mois par lettre re- montés ou échappés ; va r l es chev~ ux se
total'ité à l a Compagnie, sous reserve de l ap~
command ée.
, Il aura 1rouvant sous la conduite du bourrelier, du
p'l ication éve ntu elle de l 'arti cle 35 de la 10 1
J
Passé ce délai d ul1 mo is après qu e e llit maréchal Ou du vétérinaire, ma ~s dans le
du 13 juillet 1930 .
eu connaissance du sinistre, fa
de l'a,ssuré
. .Compag;,
pou r re5l" ~as se. ulement où la rec:.pons.abilité
"'1
Pmmc
el
ne 'pourra se prévaloir de c UI-CI : . men! seraIt recherch(-e ; par les voitures t raméeS.
lier le contrat, si ' elle a accepté ie. pa"'enu, POussées à bras ou momentanément abanArt. 5. - La prime est pa~able d'avanc~,
de la prime ou de l a fraction de pnme dent
données de l eur conducteur, l)Or le bris, verà l'échéance fixée aux conditions part lculleà échéance après la déclaration d'aCCl , ili;' '","ent Ou vice de construction des vO lture,_ '1 res de la police.
."
S'il est fait usage de Ja faculté de r~",it. aSSUrées; .par les coups de fouet involonta iA dëfaut de paiemen t d~ 1.. pTime a SOli
tion prévue ci-dessus, rassurée aura ~ no. res Ou maJad'roits ;
échéance la police po urra l'trt" suspendue ou
dans le délai d' un moi à compter de a
o
r
••
rrsili êc dans les tt:"rme::, de l'article 16 de :,J
loi du 13 juillet 1930.
L'assuré doit, en sus d~ chaqu e prime,
payer tous droits fiscaux et taxes legaJes
pouvant s'y rapporter dont fa récupération
n'est pas interd ite, ainsi que les frais de répertoire et de recouvrement d'agence.
Arf. 6. - Le contrat est 'parfait dès sa SIgnature par ,l es parties, et la Compagnie
po urra, dès Ce moment, en poursuivre l'e xécution,
Toutefois l' assurance ne produira ses t1fet~ actifs et ,passifs que le lendemain à mid i
du j our du paiement de la premièTe prim~
augmentée du cO IH de po lice.
Sinistres
Art. 7. - Tout acc ident doit, pour ~tr ..:'
garanti, être dénoncé par écrit ou ve rbalement ConNe récépissé, au ~iègc de la Compagnie ou de l'agence, dans les cinq jours à
partir de celui où J'assu r e: en a eu connai::r5aI1CC , sa uf justification d'impossib:lite .par
suite de cas for tuit ou de force majeure.
Tous documents, con\WCations, actes judiciaires ou extra-judiciaires 'relatifs à l'accident doivent êtn: transmis à la Compagnie
ou à l'agence dans les quar ante-huit-heures
de leur réception ; en cas de reta rd dans la
tran smission des ,pièces, il sera fai t application de I"" rticl 24 ~ 2 de la loi du 13 juillet
In3O.
Art. 8. - Aucune dechéance ne ser a opPl'sab le aux victimes d'accidents Ou à leurs
aya nts droit, la Compagn ie consen 'ant la
iacu ltc de leur oppose r la slIsoe11sion régu·
'Iière du contra t pour non paiement des primes.
Lorsqu'u ne franl'h i~e d'a\'ariè ~ ra sripulëe aux conditions particu lières en cas d'accidents corporels cet te fran chise ne !-'er a
pas opposable aux tiers par l a Compagnie
qui COnservera néanmoins la faculté de se
faire r embourser par rassuré.
T oute clause ajoutée aux cond ition!' particulières imprimées, qui auraient pour effet
de restreindre la gar3l1tie accordée par les
présentes conditio ns générales, ne peut-être
olpposabl e aux victimes d'acciden t Ou à l eur~
ayants droit.
Art. g, - La Compagn ie prend les lieu x
et pl ace de l'assuré dans toutes les contesta.tians .par suite d'accidents aux tiers. Elle fait
plaider au nom de l'assure, qui par le s ~ul
f ait des présentes lui donne tous rpouvolrs
nécessa ires pour la directi?11 des procès. ~lle
a seule le droit de t ransiger avec Ie.s her:s
l ésés. Aucune reconnaissance de respon~abl
lité, 3UCllne t ransact ion intervenues en dellon-;
de la Compagnie, ne lui sont (}pposables.
Ne seront cependant pas co nsidérés comme
commencement de transaction n i acceptation
de responsabilité l'aveu de l a mat crialité
d'un fait Ou t out ac te d'humanité envers ra
victim e tel que Jes premiers SOiflS médi~ux
et pharmaceutiques donn es à lItn blesse au
mome nt de l' accident ou son transfert, SOIt
au domicile soit il l'hôp ital.
En cas d,'action co rrec ti onn elle, lia Compa«nie recoll1llait à l'assuré, sans d'ailleurs l'y
1 ~ontraind re
l e dr oit d'interjeter appel et de
1 s.e pourvoir en Cassation,
1
Art. 10. Le paiement des indemnités
dues à la victime ou à ses ayant~ d:OIt se~a
1 effec tu é au plus tar? dans le dé'lal d W1~ mOIs
1 à dater de l'accord complet des part~~ . fin
1 cas de règlement a mi a~I~. et de l a de<:I~IO~l
1 judicia ire devenue dNlIllhve ~n cas d 1O~-
,
�96
----------------------------------~----------------vile est rech erchée à J'occasion d~s SII1' t
L 'A ~ u re decla re que ses é'l:u ri&:. ~t remise'
sont situées a ... , .... " ....... , ... .... .
tion, Ce delal Ine courra que du jour des
Cette assurance est consentie moyennant
mainlcn~es.
Arl. I I. - La Compagnie se réserye la fa- .1 la p rime ann uelle de ................ . .. .
c~lte de ré6llier la police après chaq ue si- 1 que r assuré s'oblige à payer d'avance pa r ..
. . . . . . . . . . ~e
mstre, moyennant préavis d'au-moins un ' .... . . . ; ~
chaque annè~, sur une qUItta nce signée,pa r
mois par It!ttre recommandée.
llI1 Di recteur ou son Fon dé de Pouvoirs à
Passé le dclaÎ d'un mois après qu"elle aura
Pa r is.
eu connal -~ance . du sinistre, la Compagnk
èette prime est décomptëe à ra ison de ....
~e pourra Se pr~\'aloir de celUI-ci pou r reSJt~nœ
d,,:·;al.1t .Ies tribunaux ; sïl y a OPPOSI-
her le contrat
61
elle a accepté le pa iement
de Ja prime Ol! de la fraction de prime \'enue
à Lch~ance après ledit si.nistre.
L'assurl: aura le droit dans le ddai d' to ll
mois a l'ompteT de la notificahon de la ré-,-
lia rioo par la
Comp~<TT1ieJ
de résilier les au-
tres polices qu'il peut avoir souscrites à 1..1
~:ompagnie
; cette rë -iliatÎon par l'assure
prend ra effet un mois après la notification
il la Compagnie.
La fa culte de -résiliation ouverte à la Con lpagnie et à !'assurê comporte restitution par
la COOlpag11le des fractions de prime afferente il la période pendant laquelle les risques nè sont plus ga rantis,
...
,
..
,
..
,
..
Fait et signé triple à .... , .... " ..... ,
le ... ' " , ... mil ne uf
ce nt quarante,., ..
•••
18 jui n 1948.
Section dl! Législation
ASSURANCE DES COJ\\~ I UNES
Projet de police d'assurance
des Voitures Automobiles
Conditions générales
causés vo lon tai rement par ses sa l arië~s r&t
préposés ; '
Ou
2" L es sinistres surven us lorsque la
sonne tenant le vo lant ne Ipeut justifier u~t~
est titul aire des cer ti ficats de capaci té ~Xi ~
par les règlements p ubl ics en état de Valilr
R,este to~ tefois gara nti e I.a res~onsabilité \:~:
n ie de 1 assu ré au cas ou ce lUi-ci sera',t
CO llin u responsabl e d "un acci d cn t cause p".
un véhic ule vo lé.
ar
3° L~s. si ~ist res s ur~l e.nus à l'occasion de
lia Ip a lr.t\(': I!~atloli des hve l1\.Cule~ indiq ués dan~
a po Ice a des m atc es, pa n s, ra llies COU',
ses ou COllcours de toute nat ure ou
leu',
e~~is prép,~ ~atoires lo r~q ue le' conducte~;
utilise le ve il leule assure en qualité de COn.
cur rent ; ceu~ ,su !",~nus pe~~a n t réquisition
pa r une autonte CIVi le ou mlJ lta ire, Ou Occa,
~io n nés par un tr em~l~ me nt de terre, SOm
cgalemem ex~l~s les Sl,n lst r~~ occasionnés par
une guerre CIvile ou etrangere, des émeute~
ou des ,:,oU\oement.s I)(}p.u laires aya nt effet
dans la reglon de clrculahon des vchicules.
il
ArtifU premier. - Le Iprésent contrat est
régi par la loi du 13 juillet 1930 et par les
DESCRIPTION DES RISQUES
déc rets des 14 juin et 30 décembre 1938.
RiSi/lie A. - Respon sabilité civile
Durée
La Compagnie gar antit aux conditions Ct.., Art. 4. - La respo nsabi l ité civile, objet de
A,:I. 12 .. -. La durée de la présente pollCe c tiprès specifiees ceux des r isques suiva nts dé·
1 assurance , est ce lde ,pouNant résulter des
est ttxfe a diX annees consecutives.
signl"S aux conditions pa rt ;culières :
ar ticles 1382, 1383 et 1384 du Code Civil el
A l'expiration de la période pour la durée
A. - I<esponsabilité civile.
du droit admLnist ra t if à la su,îte d'accidents
de laquell~ elle a éte souscrite, la police 6"
B. .......1 Hecours des tiers Incendi.e.
causés à des t iers pa·r les véh icules dési~és
renou\'t'lJera d'annee en &J1née avec facultê
C. - Dommages éprouves par les voitures.
aux condi t io ns particul ières.
0
pour les parties de la resilier to us les ans
D. - Incendie.
L a responsab ilité civi le garantie est cellL
en se pr évenant six mois au moins à l'avance,
E. - Vol.
d~ l 'ass ur ~ ,et tle ~out 'Cond ucteur autorisé par
comme il est dit ci -dessus.
lUI (exceptIon faite des garagistes, répara·
Art. 13. - Les cas de cession du nsqu ~
Elendue dl' La garantie
seront règles sur les bases de l'article 19 d. .
teurs ou de l.eurs prëposés, comme il est dll
Art. 2. - L 'assurance produi t ~s effet.,
la l oi du 13 juillet 1930. 50 cas de résil iaplus haut).
en Franl't' et en Principaut é de Monaco, Si
tion par l'héritier ou l'acquéreur, il sera dü
Le présent contrat garantit égaldnent la
un \'t!hicu le de\'ait circuler à l'etranger un :.:
ft la Compagnie outre le primes échues, unt:
responsabilité qui pourrait êtr e imputée j
~emande d'autorisation devrait être ad:e6see l'assur é en cas d'accidents causés aux tien;
a.nnêe dt prime a titre d'indemnité, déduca la Compagnie.
~I on fa ;t~ de la fraction de prime afférent
par l'auteu r d'un \'01 des veh icu les dél-iignb
L'as~uranCt:" po rte excl usivt.'ment sur les
a la pénode non garantie,
au contrat.
~'~hÎt'uks ou remorques dês:.gnés au contrat.
Ar/. l·t - Le pr6ent contrat sera 'résilir
Art. 5, - Ne sont pas considéres comm~
l outefois. en cas d'indisponibilité fortuite d ~
de plein droit dans le cas et dans les conditiers aux termes des ,présentes :
l'un des véhicules comp r is dans l' ôss llr a n c~
noos prc\'ues il l'article 26 du d&-ret-Ioi ' dl
a) le mai re, les adjoints et les conse!Uers
l'assuré aura la taculte de demander le t ra n s~
14 juin 1938.
m,u~ic i pa ux, s'i ls sont tra nspo rtes da ns k
fert
prO\-:soire
de
l'assurance
sur
un
véhicule
PrescriptiOn
vehrc ul'e assu re ( 1) ;
de rtmplacement, 10l:é ou empr unte. Ce
Art. 15. - To utes actions dériv3Jl1t dl'
b) Je cond ucte ur du véhicu le .
tra~lsfèn sera a<:quis dès l'envoi de la déclapréstnt ~ontrat sont prescrites par deux ans,
c) tous sal ariés, soit de l a CO~lOlllne SOli
rahon par lettre recommandée (l e cachet de
conformemen t aux articles 25 à 27 de la loi
d u co nducte ur pendant leur se rvice'
'
l ~ pos~e f a is~ n t fOj), à charge par l'assu ré
du 13 juillet 1930.
.d) les co njoints, ascendants, deS~el1dal1tS,
d. acq~ltte.r, s Il y ~ heu, u,ne sUl1prime calcufreres et sœu rs ou alliés au ,même degré da
lee d apres le tani en vIgueur au moment
CONDITIONS PARTICULIERES
GU rempl acement.
cond ucteur.
La Compagnie assure NI ............ .
S?llt (').c1us de l'assurance Jes dégâts au'
Art, 6, - Son t excl us de la qa ra.ntie les
Profession ., ......... , .. " . ..... ' ...... .
véh,cule remplaçant . auquel s'Ippliqueronl
tiers transportés à titre onereux °
Demeurant à ...... ' ..... . . , .. , , ...... .
seulem~l1t les ga rantIes A et B, mais non les
Pour les tiers transportes qr atu 'teillent, !l
Jusqu'à concurrence d'une somme de Fr .. ' .
ga ranties C, 0 et E.
ga rantie est limitée aux seuls °dommaO'es cdr"
pour chaque a~cident causé aux tie rs par les
L 'a~surant:e est \'alable lorsque le \'éhicul '~ 1 po reis et à la déteriorati on des vêtemenh
chevaux et \'mtures ci- dessous désignés :
a_ ure remo rque occasionnell ement un Vêhi- \ à I~ur usage, lorsqu'ell e est J'accessoire d'un
Nombre de che,'aux appartenant à l'assure
cule en 'Pan~e. ou est lui-m,~me r emorqu~ par
aCCident cor porel. La crarantie n'a d'effet que
u~ ,autre. ve hI cule, les degâts cau6ês à ~e
si le nombre total de ~personnes se trouvant
Voitures :
"ch'c ule ctant exclus de la ga rantie,
1
tra nspo rt éèS dan:.; la voit ure au moment dt'
POt~r ~ous les autres cas où un véhicule
l'accident ne dépasse Ipa s de Iplus de moitit
assu,rc clrcul,e avec une remorque, l 'as, uranXombre dele nombre régul ier de places assises qUI!
XombN! 1 D~~ignati on
("age
ce n est valab le qu'après convention expreSo"'" comporte
che,'aux
0_
. l.a carrosser ie, tel qu 'il est indiqut
et
dans la police.
.
dont elles sont
voiture3
forme
aux
co.ndlhons
pa rti culi ères.
'
La
gara
ntie
~st
acquise
aux
cond
itions
de
atl-el&-s
Sont
considérés
comme
tiers
transportés
a
,
la présente pOlice à l'assuré, ainsi (Iu'â toutt:
titre gl:atu ~ t .les voyageurs qui, sans ,pay~r
perso~ne. con?uisa nt le vé hicu le avec
on
de
rétnb uIJon proprement dite 'pour le p.'"
a~ltor,satJon (a l'exception toutefois des garade leur tr~ n sport, ,peuvent néan moins pa ~tlcl
gIStes. réparateurs. ou de leurs préposés à
lper occasIOnnellement et bénevolement a Of
qUI la \'olture aurait été confiée).
menus frais de route ou so nt transportés par
Arl. 3. - Sont excl us de l a garanlie :
l'assuré pour l'étude d' une affa ire com m"""
Sont excl us de la ga rantie, sa uf co nvention
, 10 L~s sinistres causés volontarrement p3r
1 as.su,rc, .Ie ~onducteu r, le propriétaire ou à
t1l
leur .lIIst!ga,tlOn. Toutefois, la garantie reste
(1) Cette excl usion p ut [ tre slIp\lriml:e lDor "
mune
acqUlse a 1assure, dont la responsabilité c:nanl surprime à la demande de la C01l1
.
,
-
'spëci all!, les t ;ers transport -::s su r Illotocy clette, fil side-car ou dan ~ une rt morqu e.
Art. 7. - Sont excl us de l a g-a rantie du
risque A :
. .
a) les dommages malen els ca usés au x
tiers provenant d'.ex:plosion des moteurs, de
jets de flam me Ou d'incefldie des voi tures,
cette gara ntie étant donn ée sous la r u b r,iqu~
c Risque B > ;
b) les ' dégâ ts ou pertes d'obj els t ransportés ;
.
c) des dommages causés aux Immeubles,
choses ou a.nimau x dont ,l' assuré Ou ,le conducteur sont Ipropriét ai res, locat ai res, ga rdiens ou usager s.
Risque B. -
Recours des Tiers Incendie
Art. 8, - L a Compagnie garanti t J'aS611r~
.con tre les conséquences d6 ~a responsab il ité
ôvile déco ulant des art. 1302, 1382, 1333,
1384. 1733, 1734 et 1735 d u Code Civil· et
du droit adm ~ i st rat i f, résultant des domma!'eS ,matéri els causés à des
tie rs (défin is
: runme il est dit à l 'a rt . 5) :pa.r un i nce n di~
ou une ex.plosion provenant des voitures désirrJlées à l'exclusion des dommages subiri
p:r les' ob jets t ranspo rtés ou ca usés pa r lesdits objets.
Sont excl us de la Igara ntie du risque B,
les dommages ca usés aux e.ffets des t iers.
transportés, au x colis, bagages -o u marchan d ises transpor tées, ai nsi que t ous les dommages causés aux vehicules dont l 'a.ssuré Ou le
conducteur sont propr iéta ires, gardiens, l oca- '
raires ou usagers.
Dispositions commUn es aux risq ues A el B
Art. 9, ---' P our ch aque ri sque, la garantie
t!st l il1l.i.tée par sinistre ou événement à Il
,oomme indiq uée à la derni ère page de l a
pol ice.
Si J'indemnité all ouée à une vict ime ou 3.
:ses ayants-droit co nsiste en une rente et si
une acquisition de titres ,est ordonnée ,pour
.sûreté de SUn payement, la co~pagn i e emploie à ,la consti tution de cette gar antie la
rornme disponible dans l es limites fixées par
la ,police. Si aucune ga rantie spécia le n'est
ordonnée par une décision judiciai re. l a valeur <le 'la ren te en capital a u jOli r de lia
consti tution est calculée d'après les r ègles
en vigueur en ce qui co n ~ rn e 'e calcur des
r éserves mathémat iques. Si cet te valeur est
mférieure à lia somme disponible, la rente est
intégralement à l a ch a"ge de l a co mpagnie ;
1 elle est supér ie-ure, l a rente n'est à l a
charge de la corn,pagnie q ue ,p roportionnellement.
Les f rais judici aires, de quittance Ou autres
. ne viendront pas en déd ucti on dt> chiff re de
garantie, T outef ois en cas de condam nation
supérieure au chiffre de gar antie fixé par
la police, i,ls seront su'ppo rtés par l a compagn'e et par l'aS6uré dans l a proport io n de
leur part r espective dans li a condamn ation.
. L'amende, ainsi que Jes fr ais y afférents
~tan t une 'pei ne de l·a ~oi est excl ue de la
garan tie,
Art. 10 . - En ce q ui co nce rne les r isques
A et B, aucune déchéance ne peu t être o~po
$able aux victimes d'accidents OU à leurs
aya ~tS-(lTmt, la compagnie conse rvant l a fa<:uHe de leur o pposer l a suspension régul ière
du .conlFat po ur n o n "1lai~ment de. pr ime ou
cotisati on.
IEn cas de déchéance, l a co.m p~gnie au ra
~n tre l 'assuré une action en r.e m ~ u rsem e n t
c toutES les sommes qu 'ell e a~ra payées
Cn
1JOLIr ,k se r vi~c d'ulle rentl', Ou de veJ'3er a
la Caisse Nati onale d'Assura.nces
, Lorsq U'une. ~ranch ise d'avari e 'sera sti pu~
I ~e aux co ndJ.tJons pa rti culi ères, en cas d'acCidents corl po re l s~ cette fra nchise lie se ra pas
opposable aux he r~ pa r l'a com pagnie, qui
CQflser vera néa nmOinS la faculté de se fai re
rembo urser par J' assur é.
~o ute .ol a u ~e ,aj outée aux cond itions partic ulJè r~ Impn mees, qui aurai t po ur effet de
rest re1l1d re la garan ti e acco rdée par les prés€\l1tes co nditions gé.néra les, ne peut a re
opposable aux victimes d'acc idents ou à leurs
ayan ts-droit.
Risque C.
T outeiois, I ~sd i ts acceSbO ires et p:èces de
r echa!"ge Jle sont ga r antis ,que s'ils sont vol és
en ~~e te ~ ps que la VO I~ure, à moins qu'il
ne S agisse d un vo l com m!$: dans les remi:;e;;
et gar agés avéc effraction, escalade ou usage
de faus~ clefs, meurtre, tentative de meurtfe ou VIolences corpo relles.
L 'assu rance ne s'éten d pas au vol comm \j
~ar les préposés ou' pa r les représentan ts de
1 assu ré ou av(..lo( leur c~p li c i te.
Dispositions communes aux risques
C. D. et E.
Art., 14 . La ga rantie d'un si nistre
éprouvé pa r les obj ets assurés est lim itée à
l a v~ l eu r totale iJld iquée par l'assuré aux
co nditions particulières sans q ue ilïndemnité puisse êtr e sU'Pêri~u re à la 'Valeu r au
jour du sfnistre de l'objet sinistré. Si l a valeur déclarée est inférieure à la valeur al!
moment du sinistre ou, po ur le RISQUE C
'Seu lement, à la va l eur neuve au cata logue ft
la date de délivrance de la police. l'assur ;;
restera son propre assu.reur pour l 'excédent
et st>pportera sa part IjJroportionnelle d"
dommage.
La gara ntie ne s'applique pas aux domma ges i.ndi rects tels que : privation de jo uissa nce, dépréciatio n, frai s de tra nsports. de
ga rage o.u aut res,
\
Donunages éprou vés par les voitures
Arl. Il., -:- La Compagnie garan tit chaque
vOi t ure dcsl gnée avec les accessoires et les
pièces de rechange dont Je cata logue du
constructeur p r évoi t l a livraison en même
temps que la voi,ture co nt re les acciden ts surve nus par suite d' llne collision avec un autre
vé hi cule~ ou d'un choc contre ,un co r ps fixe
ou mobIl e, Ou de versement sans co U isio~
p réa lable, ou de chute dans les ravi ns ou
co urs d'eau.
Ne sont ~pas compris dans la garan tie :
a) les dommages ,prOduits sa ns l'i nterventiÛ!n des circonstance i ndiquées ci-dessus.
notamment ce ux q u~ seraient l a conséquenCE:
di recte d'un déf au t d'ent reti en, d'usure, de défectuosi té du véhicule, de coups de frein , de
dénivellement ou mauvai s état du sol affecté
au ro ulage. automobile ; de chute d'accessoires.
b) les dO'1lmages co nsécuti fs à un vol ( 1),
un incendie (2), au feu (2), à un co urt<ircuit (2), à l a chute de <la foudre (2), à une
congélation- da.ns le moteur ou le radiat~ur ;
c) les dommages occasionnés aux pneumatiques et caoutchouc.
L a garantie s'étend aux dommages éprouvés en cours de transport 'par terre ou par
eau, sauf par voie maritime,
IEtn cas de dégâts au cours d'un t ransport,
l'assuré s'engage à les fai re co nstater v i s-~
vis du tra nsporteur ou des tiers par tous
moyens légaux. ,
FormatiOn d u contrai
Déc/aralion de l'assuré. - Modification
des- ris ques . - Primes
Art. 15, L'assurance est faite sur la
base des décla rations de l 'assur~, consignéC$
su r l a police, ses avenants Ou ses annt.'xes,
Toute om ission ou déclaration inexacte de
l a part de l'assuré entraîne les conséquences pr évues aux articles 2 1 et 22 de la loi. du
13 j uillet 1930. L 'assuré doit déclarer, notamment, la résiliation à la suite d'un si.nist re si elle a été prononcée lPar un précédent
assureu,r rpe.ndant Pannée écoulée.
La .présente pol ice ,ne peut avo,r d'existence qu'après avoi r été signée par la Direction
Générale de l a Compagnie en France o u par
ses fondés de ,po uvoirs. AUCun ren vo i , surchar ge ou dérogation aux clauses imprimées
ou ma nuscri tes ,n'est opposable à la COll1(paRisqUe D. - Incendie
g nie s'1 1 n'a pas étc va lidé par les mêmes
Art. 12. - L a Compagnie assu<c chaq ue signatures.
voiture désignée avec les accessoires et les
La police n'a d'effets acliJs et passifs que
pièces de rec hange dont l e catalogue du
le lendemai n à 0 heure du paiemen t de la
constru cteur 'pr évoit la IÎ'vraison en même
,prem ière prime augmentée du coût de l a poteITliPs que la voiture, co ntre les dommage~
lice, impôts et ta xes y afférents.
matér iels ,prove nant d'incendie, de combusAr!. 16. _ Conformément à l'art. 17 de
tion spontanée, de chute de l a foudre ou
la loi du 13 jui Uet 1930, l'assuré doit décl aericore d'expl osion des moteurs.
rer à l a Compagnie. au préalable par lettre
Sauf co nve ntion ex-presse. la .garantie ne
recommandée, toute modification par son fai t
'<l>pplique pas aU co ntenu des automobiles.
des risq ues concernant les voitures mentionà l'exception d'un maximum de 5.000 fra ncs
nées dans l a police et, notamment, tour
assuré sur vêtements et objets personnels
chancrement dans l'usage, la carrosserie du
autres que bijoux, argenterie, billets de banvéhic~l le ou dans la localité du ga rage hab;que espèces et valeurs.
tuel ou dans le mode d'expfoitation'.
Son t exclus les dommages causés aux
Toute omission ou décl aration inexacte de
appar eils électr iq ues et résultant de leur
loncre.r, suspe.ndre ou re.mettre en vigueur Je
seul f onctiOOJlement.
pr é;'nt co ntrat ne peut être valablemoot notifiée que par lettre recommand~ à l'assure
Risqu<! E. - Vol
à l a Di rection Générale à Paris.
Art. 13. - L a Compagnie assu re c haqll ~
Au reçu de la déclaration et s'il ) r a a~gra
voiture désignée avec Ief\ accessoires et l es
\'ation, l a Compagnie. au ra ra faculbé, SOIt d~
pièces de reohange dont l e catalogue du
résilier le contrat, salt de 'proposer un n~u:
constructeur 'Prévoit la livraison en même
veau taux de 'prime : l e tout en confomll~
temps que la voi ture contre la disparitio:l
de la loi.
ou la détér ioration resultant d'un vol ou tenEn cas de sinistre, si l a décl aration préal a·
tative de vol.
ble a été omise et si la modification e ntraÎn ~
une awrmentation de pr ime, l 'indemnité se:rû.
te e- dans le rapport existant en tre l"an1
�~98~________________________________________~----------------_____
clenne prime afférente au "êhicule ayant C3Usé le sinistre et celle qui aurait dû t?lre ~r
çue.
La presente clause ne sera pas opposablt>
aux victimes d'accidents ou à leurs ayant.3droit. la rompagnie conservant le droit' de se
faite rembourser par l'assuré la portion d'indemnitê qu'elle aurait ainsi payée en tr<\!>.
Article n. - Les primes auxquelles s'ajoutent les frais de répertoire, de recouvrement et la taxe de .gestion, ainsi que tou 1
impôt et taxe actuellement existants ou qui
seraient uJtêrieurement établis ou modifies et
dont la récupération n'est pas interdite lpar
ta loi se paient annuellement et d'a,-ance
contre quittance signée par la Direction Générale à Paris et à l'e xceptio n de la p r~
mière, au domicile de rassuré Ou ft tel autre
lieu rom'enu.
A dëfaut de paiement à l'echeance dt.
J'une des primes, la police pourra être suspendue ou même résiliée dans les termes de
l'articie 16 de la loi du 13 juillet 1930.
9inistrés
Art. 18. - Sous peine de déchéance, l'as6uré doit. d3IIs les cinq jours de la date à laquelle il a eu connaissance de J'événemen t
(sauf le cas fortuit ou de fo rce majeure) en
faire par écrit Ou verbalement, contre récë-
pissé, Ja dêclaration à la compagnie ou il
l'agence indiquêe sur la police.
En outre de sa déclaration dt: sÜlistre, l'assuré doit indiquer à la compagnie les nom
et adresse du conducteur, du ou des lésés,
des témoins s'il y en a, et Jui fournir tous
renseignements Sur les circonstances du sinistre.
L'assuré perd SOn droit à la garantie en
cas de fausse declaration faite sciemment
Sur la date Ou les circonstances de l'événe-
ment.
Art. 19. -
La Compagnie, sous le 1I0m dt'
l'a~uré, a se~e la direction du iprocès et le
drOIt de tranSJger livec les tiers lésés. A cet
effet, le présent contrat donne à la Compagnie tous pouvoirs lllécessaires que l'assure
s'engage à l'ui renouveler Sur acte spécial sur
sa demande. Aucune reconnaissance de responsabilité, aucune transaction inten'.e.nues
en dehors de la compagnie Ile lui seronr
opposables. T outefois, n'est pas oonsidérc
le droit d'interjeter appel ou se pourvoir e~
Cassation mais la compagnie ne pourra lUI
imposer Q"exe rcice de ces voies de recours.
Règlement dis dommages aux véhicules
assurés. Risques C. D. E.
Art. 20. - L 'assuré réservt!ra tout recours
e'rentucl et produira sa.ns réti cence ni maj o~
ration les pièces utiles à l'élIPpréciation du
domma"e ; il feraI JlOtamment, con naître
avant t~ute modÎficat~on Ou réparation, l'endroit où les dommages .peuvent être consta~
tés et les réparatio ns ne seront fait.es qu'aprèt;
\'érification par la compagn ieJ <:ette vérific ation devant etre effectuée, sauf circo.nstances
imprévues, dansaes 10 jours où la compagnil!
a eu connaissance de " accident.
Toutefois. lorsqu'au cours d'un voyage, un
accident garanti par la pol iee necessitera une
réparation ne devant pas excéder 10.000
P~~cu:é ~
la
,\'ictim~
lorsqu 11 s agIt d un acte d'assistance qu e
toute personne est naturellement portée à
accomplir.
de poursuites de la part du Ministère Pu·
bJic, l'assuré devra remettre immédiatement
à la compagnie tous avis lettres COnvocati~s, assignat~onsl actes ~xtraj udiciaires et
pleces de procédure qui lui sera ient signifiés
per~nnellement
ou il ses préposés, à quelque
requete 9ue ce S?lt pour que la compagnie
pUIsse repondre a temps utile, à pei ne par
l'assuré, en cas de retard, d'en supporter
toutes les conséquences et i!Iotamment tOus
dommag~s qui pourraient en résulter lpo.... la
compagnIe.
E;n cas d'action pénale dirigêe contre l'assure ou les pe rsonnes dont il est reconnu
responsable, autellrs d'un accident la compagnie se réserve la faculté d'int~rvenir et
dir~e~ ~a déf~se, mais sans .p ouvoir y être
P RI,\\E
Echeance \ Acc idents
periode
:)U
Incendie
\ .. 1
3
4
5
un ou pl usieurs des risques A.B.C.D.E. désig nés ci-dessus, ayant fait l'objet d' une réSIliation pour si nistre pendant les douze mal, ·précédents.
Fait en autant d'ori o-i naux qu'i,} y a de pa r ties intcre."Sées, à Paris, le
•••
art icles 1382., 1383 el 1384 du COd" civil,
CoJUfifions générales (M. F. 20-8-47)
La présente police est régie t? nt par .Ia loi
du 13 juidlet 1930 et par les decrel5 des 14
juin 1938 et 30 d écembre 1938 . q ue par les
conditions général es et :partlcutleres q UI
vent.
Objet et étendue de l'assurafl ce
SUI-
Article preJ/uier. - La Compagnie assure,
au lieu indiqué dans la .police, les dommages
d' mcendie causés a u'x biens mobiliers et
immobi liers.
Sauf stipuJatio ll contrai re , les bijoux, pierreri es et ,parues fi nes, den rehles, statues et
tableaux de "aleur, Iles cuJilections d'objets
rares et précieux son't compr is da·ns .l'assuran Ce du mo'bilier personnel jusqu'à co ncur-
rence de
30 % a u. m aximum
du. capital
assuré; au delà de cette Ipropc rtion, l'assur~
d'Oit faire une décl aration spéCiale et une
prime cor respondant à l 'excéd'ent de valeur
est due.
La Compagnie ne COuvre les dommages
susvisés q.ue sous réserve, Il e cas échéant, de
Y"pplication de la règ le proportionflelle précisée à l 'article 17 ci-après.
Art. 2. La Compagnie assure aussi,
moyeTllUlnt dies primes diStlnc/es :
10 A co ncurrence d'un capi tal déterminé.
les vê tements et effets personnels qui .pourraient se trouver momentanément en un lieu
autre que celui désigné dans la police,
2° Les dommages matériels au tres que
ceux d'incendie {}ccasionllés directement par
la foudr'1- par fe~plosion des gaz servant à
l'~clairage, au chauffage et à la force mo-
tnce, ,par
l'él ectricit~,
par 'l a dy,namite ou par
d'autres explosifs an3Jlogues, pa r l 'ex.plosion
des matières oUJ s ubstances autres que les
elOplosifs propremenrl: dits, ainsi que par 1'ex'
Responsabi lité
civile
maxImum de la garantie
séquences
par événement .. , . .. , ..
que l'assuré .peut encourir comme locataire.
POur tous dommages matériels d'incend ie, en
ValeUI . nellVe au catalogue,
valeur a assu rer ....... .. .. .
:"'0 CompagnIe.
lité q!Je l'assure peut enrourir. en vertu dts
Polioe-Type d'Assurance Incendie
couipS de feUJ .
!
I ~~~~t It~ci:"-
Timbre
qMt
La prime an nu.e~e de ,la, pr~'en~e assura nCe est fixée à
.. , ...... (tous i mpôts
et taxes en sus) que.. 1 aS~l1irc sobl1 g.e a payer 'par ...
.,., . et d'avance, sur quittanœ
~manant de l a
O ~r.ec t l o n de IPa1ïs.
e
L'assu rance rra d'e ffets actifs et passifs que le ICildcmain à midi du paiement de la
remière prime, augmentée du Goût de la Ipolice, impôts et taxes y afférents.
P L 'assuré déclare qu'i l fli'a été titu lai re à une autre société d'aucun co ntrat couvr~t
Nature de l a carrosser ie ... , ...... ,
Tierce
Incendie
Vol
IMPOTS
L'Assuré décla re , sous pe i.ne de déchéance, qu'il ne met Cn circul ation :,imu ltan é~
Lieu habituel de garage ... .......... :: :::
ReCours Incendie
.
que .............. véhicules.
plosian et les <co ups d'eau des appa reilrs a
vapeur, à l 'exce;ption des crevasses et fissures d ues notamment à ,l' usure, au gel et aux
! .
1CAP ITAUX 1
RepertOire de police INCEND IE
1,
2
Coût
L'Assuré.
"" \
Marque ..........
. ................. .
Date de construction
..... . .. . ..... .
N° d' immatricu1ation . , • , • . , ......... , .
Puissance fiscale ..... : ................. .
Type ................................. .
Usage ............................... .
N()m bre de places ....................... ,
,
Durée de la Police
CONDITIONS PARTICULIBRES
Déclarations du souscripteur relatives aux véhicules assurés
un secours urgent.
En cas de contestation avec les tiers ou
ArJ. 2 1. - La compagnie est subr '
conformément il l'art. 36 de ,la loi du 13o~
let 1930, dans tous les droits ct actions lUtl.
p.euvent a-pparteni·r à l 'assuré Ou au condqUI
teur du véhicule co ntr.e les t iers auteurs Ucresponsabges des sin istrcs ~ Ou contre les ?I/
times elles-mêmes. Cette s ubroo-ation d""
"t,re renouve l ce
' Ipar ac t e ~p é"
t.!
CIal Sur <1em andGli
de la compagnie.
'
Si la sub ~oga tio,n prévue ;p)us haut ne 1)e1!t
plus, du fait d.e 1 assur~, s op~ rer en ofQ\'elJr
de la compagnIe, cel!'e ,1 est decharo-ée de ~
responsabill.té envers l'assurê et le" OOndl!<.
teur dans la mesure. mëme où aurait fNI
s'exercer la subr ogation.
Art. 22. - Les cas de oession ou de vent
effectuer d'urgence par un mécanicien garad·<J.n vé hicule désigné a u cont rat seront
giste de SOn choix. à. condition qu'il envoie
glés d'après " art. 19 de la loi du 13 juilin
à la compagnie le devis détaillé des répa ra1930.
tions justifiant ladite dépense.
Si l'acquéreur opte po ur la rés~iation ~
l'assura n ~, il ser a dû une indemnité Qui. nt
J..,es dommages sont r égJés de gré à grf!
po urra depasser le montant de la 'prime an.
ou, s'il y a désaccord, éval ués 'pa r deux ex,nuelle, déduction faite du prorata de 'pri1ll1
perts choisis par les parties; faute >pa r les
expe rts de s'entendre, il sera procédé à la re- . .perç ue d'ava nce a fférent à la pé riode Mll
gara ntie.
quêre de la partie la plus diligente, à !a
nomina tion d'un troisième expert par les
Ar/. 23. La présente palice est rélisoins du Président du Tribunal u,vil corn·
Iiable . to~s les ans au g ré des parties "I< I
pétent. Les trois experts opérant en commun
preaVIs d un mO Is par ùettre recommandée DI
et à la majorité des voix, chaque partie rpai~
par tout autre moyen prévu à l'art. 5 de Il
les frais et les .honoraires de son expert, ceu x
loi du 13 juillet 1930. La rési.liation .parl.
du tiers experr et les frais de sa nominatioa
compag nie entr aînera Ja restitution de b
sor" supportés par moitié.
portion de p rime afférente à la période llOl
garanti e. '
J( ne pourra être exercé d'action judiciaire
qu'a" cas où le désaccord entre les partie,
Art. 24. - En cas de Iret rait d'agrément dt
persisterait aprés avis du tiers expert. La
la com,pagnie, le présent contrat sera rés).
constitution d'une experti se ou toute melié l e dixième jour à m i di, à compter d&
sure prise dans le but de constater les domjour de la publicatio n au Journal Officiel de
mages ne 'Pourra prejudicier en rien aux
l'ar rêté prononçant Le ,retrait et la porooo
droits et exceptions que la compagni e lPOurra
de prime afférente à ,la Ipé ri ode non garanli?
avoir à opposer à l'assuré.
sera remboursée â l'assuré.
Une fois l'e~pertise amiable terminée le
Arl. 25. Toutes actio ns déri vant de
sauvetage, même en cas de contestation ' deprésent -co.n trat so nt prescrites par deux ans
meure aux risques et périls de Œ'assurl En
à compter de l'événement qui y donne nai;.
cas de vol, le règlement ne pourra être exigé
sance, dans les tem1es des art. 25, 26, 11
par l'assurê qu'après trente jours écoulés à
de la loi du 13 j uiNet 1930.
l'aveu d'un fait matériel ni le seul fait d'avoir
~ons pré\'ues à l a .police ;. J' assuré s'e~ond~
a reprendre les oblets vo les QU , seraie ga~
trouvés dans ce dél ai.
nt re·
réser ve des disprJsidon::-. du paragraphe. 2'
de l'article 2 ci-dessus ; les détério rations
DECOMPTE DE LA PRIME
dater de la déciaration faite dans le.
francs, l'assuré aura le droit de la faire
comme une reconnaissance de resJ:)Qnsabi li té
_ _ - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -.- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - ; - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
3° Le risq~e loc.atif, c'est-à-di re les co n-
pécuniaires de ,la r.e spo nsabili'té
""Crtu des artioles 1733, 1734. 1735 du Code
IVII .
pour tous dommages matériels d'i ncendie
r ésul,ta nt dl: la com munication dU! feu au'x
biens des voisins et co..,Jocataires par les biem;
appa rtenant à l'assuré ou dQn,t i l a la garde
et g:arantis par la présente police;
5~ Le recours des locataires co nt re le propriétaire, c'est-a-dire les co nséq uences pécuniaires de la responsabilité encourue par ce
dernier pour tous dommages matériels d'incendie ,causés aux biens mobiJiers <les dits
l ocataires, .par suite de vice de co nst>ru'Ctiol1
o u de défaut d'en.t retien (art. 1721 du Code
Civil) ;
6° La perte des foyers, c'est-à-dire soit
le monta nt des Joye rs dont le .propriêtaire
peut se trouver privé par suite d'incendle,
soit la responsabilité que les locataires peuveut enco urir à la suite d'un incendie envers
le propriêtafre, pour le mont3IIt des loyers de
leurs co-Iocataires ;
7 0 La ,privation de jouissance, c'est-à-dire
I·a perte de vale ur locative résu ltant <le l' impossib i,l'!té pour ·l'occupa·nt (propriétaire ou
l:oca'taire) d'utiliser tempora·irement, Ipar suite
d'un incendie, tout ou partie des focaux dont
il a la jouissance.
Risques exclus
Art. 3. - La Compagnie ne garantit pas
les risq ues suivants :
1° Les dommages ca uses par la guerre
étrangère, Il appartient à l'assurê oe prouver que l'incendie me provient, 'l1a directement, ni indirectement, d'lin tai,t de guerre
étrangère ;
2° Les d'Ommages ca usés ,par lia guerre
civile, par des émeutes ou par des mouve-
ments popu laires. !.I. appartient à la Compagnie de prouver que Il e sinistre résulte de
l' un de ces évènemen;fs ;
3° Les i ncendies occasion nés directement
ou indirectement par l es éruptions de voJ-
cans, les tremblements de terre
et autres
cataolysmes ;
4° Les destructions d'espèces monnayées.
de titres de toute nature, de 'billets de b3IIque ;
,
5° Le vol des ot:jets assur·és survenu pendant un incendie, la ,preuve du vol étant à
l a charge de la Compagnie ;
provenant d'un vice propre, d'u n défaut de
fa brK:ation de la fermentation des pertes
d ues à la comhustion spontanée étant seules
couvertes) ; les dégâts causés aux apparei1s
électriques par lieur seul fon ction nement ou
par un co urant anormal de quelque ori.gine
qu' i,1 soit, Ile dommages occasio nn és par l es
ouragans, trombe~ et cyclones. Sont co uverts
toutefois les dommages d'>rncendie garantis
pa', Ja police et qui seraient la sl"te des faits
et circonstan.ces mefl'tionnes au présent pa-
ragraphe ;
7° En outre, b Compagnie ne gara ntit pas
l es dommages occasionnés directement ou
indirecrement par IIne modification de struc-
tuTe des atomes.
FORMATION ET DUREE DU CONT.R Al
Déclaration à faire par l'assuré lors de ta
souscripJion
Ar!. 4. - Le contrat est parlait dès sa
signature par les parties, la Compagnie pour_
r.al en poursuivre dès ce moment j'exécution.
J\01-a ;s, l 'assurance ne produira ses effets.
actifs et passifs. que l e lendemain à midi du
j our où la première ~rime aura été payée
à la Compagnie.
Les mêmes dispositions s'appfiquen.t à tout
avena nt interven.ant à l a ,police.
Art. 5. - La police est êtablie diap rés les
déclarations de l' assu'r é. Cel ui-ci doit, en
consequence, sous peine de sanctions prévues par tl'article 16 ci -après, déclarer exactement toutes les circo nstances constitutiv~
du risque connues de ~ ui et !JIotamment.
S'il est propriélaire en tout ou partie, nuproprietai re, usufruitierb locataire, dépositaire, administrateur ;
S'il a renoncé à un recours éventuel contre tous responsables ou garants ;
Quelle est la situation des risques; quelle
est la nature de l a construction, de l a couverture et <ie l'affectation des bâtiments assurés ou renfeTimant les objets assu'rés ; s'i1s
sont contigus avec ou sans communication à
des risques plus graves ou en sont distanlls
de moins de dix mètres; ùls sont construits
sur terrain d~autrui.
'La pol ice doit mentioll!l1er les indicati on
ci-dessus :
Art. 6. - Durée
recondu ction .
de la police - Tacit~
L'assurance est faite pour la du:--ée deman-
dée pa r ~'assuré.
Si cette durée excède dix ans, l'assuré et
l'assureur ont la facultê r~proque de denoncer la police, par lettre recommandée,
six JTlois au moins avant La fin de chaque
période déce nnale.
LOïsque le contrat contient une clause de
tacite reconduction, il se co ntinue d'année
en année, sauf dénonciation par l'une ou
l 'autre des parties, un mois au moins avant
Jlexpiration de l'année d'assurance en cours.
En cas de retrait tOk1.l de l'agrément de la
Compagnie, lIa présente police serait résiliée
le dixième jour, à midi, à compter du jour
de la
publication au
Journal Officiel de
J'arrêté prononçant l e lretrait, et !fa fraction
de prime afférent~ à ~a pédode non Igarantie
serait remboursee à l'assuré.
Obligations des parties en COurs de coniral
Art. 7. - Paierrterrt dts primes, conséqueI<ces du retard dans l e paienlenlt.
�-
lOO
parti\.':ull(~:t'~ d:..' ta poli\.:e. lè~ ,prime.., "",n~
pa\ ab.es 3nnueCement. li avance, et. a l ,~
cepti\)o ùe la preOl:èrc: . .au dom.cltc tilt t a~
sure. Ou â te.i. lièU ron\'eflU
Sous 1 m~m~ eXNp.lon. après un dd:'l
d'au mOins h~ita.ne a compter dt! l'échcance
la ColllPagnie peut adresser à l'assuré une
lettr~ recommand~ \'alant mbe Cn denH:un
et slbpendan t l 't:.ftet de I·a~.ur~nce \"1n~
jours après son envoi. san,s 'p.re]udlce d,u ~It
pour la Compagnie de f'CSlher la police ,dl>'
jours après la date d'e!!et de la s"""enslo n,
ou d'en poursuivre l'executlon en l uStlce.
Ar/. 8 - impôts. - Tous les impôts exis-
tants ou pou\'ant être êtablis soi~ sur. ~
prime. soit SUT les capitaux a UrL"S, 31051
que les fra's d'administration, et de recouvrentent sont à la charge de 1 assure.
Art. Il . _ Chnngement$ fonferflunt ia
plr:Soor.c? de t'assuré.
En ca:, d'aiiénat;on de la (hos~ ils:ur\.."l.:
l'acquéreur qui opte poUT la résil iation du
<:ontrat, doit a la Compagme ulll! mdemOitl
de rt!sitiahon ~t!a:e au montant d' une année
de prime deduction faite du prorata de prim~
affcrent il la pü,ode pendaRi laquelle le
risquc- ont ces...--é d'être garantis...
Changements t'I aggra.ation , affectant ta
matërialité deI risque
Art. lU - L'assur': doit déo:.rer à la
Compagnie par lettre recommandée le:- ci rci-après .
1- Tran.sferr des objets a_' ures dans un
lieu autre que celU] déSigné dans la police ;
2- Changemtnt de co~truction. dans les
<.:ondition.s pré\'ues à 1'artic:e 5 ;
3 Install ation, dtpor. dans les lieux assurt:..."t ou ceux contigu ~ ou Situés à moins de
dix mètres des b:ens a ~urés, d'une profesSion (lU manrpub.tion industrielle de denrêes.
marchandise", produits ou objets que:con411eS augmentant tes danger de l'in cen<ii~:
d' une fùrique, usine, salle de spectacle :
4" Renondat;on il un recours C'Ontre tous
re3ponsables ou garants.
Si ;es faits pro,"iennent de l'a~,, uré , celuici doit en faire la déclaration préal~ble.
S'ils proviennent d'un tier
il~
devront
être dédarés par l'a suré dan ' un dékll
ma)"lmum de huit jours aprê.., Qu'il en aur.1
t:.u tonnaissanœ.
En ca.;;;; de sinistre, si l' une des déclaratio~
:equ.j;es n'cl pas été faite dan~ .Ie délai
imparti, et 5';! est constaté que I~ faits susvisês ont entrainé une aggravation <:omportant une augme-ntaiion de prime d'après It:
tanf appliC;Jble lors de la souscription du
cpfltrat, J'lndemnité "era réduite en proporMn
Dans tous ~es cas où t'a$sureur n'aurait
pas contracté si le nouvel état <le choses
résultant des faits prévus au présent artiole
avait e;(Jsté lors de ta souscription du contrat !a Compagnie peut, soit résilier la poli""
par lettre recommandée il vingt jours de
date, soit proposer un nouveau taux de prtme.
~onst::un:es
Art. II. -
Si, pou r ja fIXation de la prime,
il a été tenu com,>te de circonstances spéciales, mentionnées dans la police, aggravam;
les risques et si œs drconslances viennent
à disparaltre lUI COllt'S de l'assurance, fas'iII ré a le doroit de résilier le eont r at sans
Î11demnité si l a Compagnie ne consent pas l a
'd 1 sOll"cripti on du
.
le {Jnt apphcaole lOI:' e a
contrat .
. t -'tre rédui tes par aved' .
Les primes pem en e
t " il est ju>1ifie par l 'assuré d'une ImJ~o: dan~ l'importance des capita ux gara~
tl9. La reduction ne portera que sur l es pnmes à échoir.
.
En cas de perte tota·le de la cho.se assliree
réstrttant d'un evènement non prevu~ par I.a
police. l'assuran<:e prend fi n ,de pl~m d rol~
et la Compagnie restitue a 1 assur~ da por
tion de prune payé.., d'avance,et afferen,te al'
temps ,pour lequel le risque n est plus couru.
Mesure' à prendre ct to.r mal i/ps ci rl'mpl ir
l"n cas de sentstre
Art. 12. _ Aussitôt qU"1D sinistre se déaJare, l"assurê doit user de tOUS les moyens
en son pou\'oir pour en arreter. les pro~rès.
pour sauver les objets. assures et ve iller
ensUIte a leur conservallon.
Il doit :
10 Donner dès qu'il en a conna issance et
al! plus tard dans les cinq j~rs, avis du
smistre par ecrit à la Compagme ;
211 Faire paf\'enir à la Compagnie. dans
le plu~ bref délai, une déclaration indiq uant
les circonstance-$ <iu sinistre, ses ca uses .co nnues ou présumees. la natu re et le montant
approximatif des dommages ;
3" Founrir, dans le délai de 15 jo urs, un
état estimatif certifié des objets détruits et
saruvés.
Faute par ras:.~ré de remp l ir ces fo rmalités. sauf le cas fortuit ou de force majeure,
la Compagnie aura droit à une i ndemnitl"
proportionnée au dommage que ce retard
poul'1ra lui caUger.
Réglemenl de s dommageS
1
\'a l eur des ob j ets 1'l."C:aTlll-s\ l'assuré est te.nu
de just ifie r pa.r tous, l e~ moyens et documents
en son pOU\'Olr de 1existence et de la valeur
des obj ets assurés .au moment du sinistre
ainsi que de l'importance du dornnt a.e.
a) L es bâtiments y compris les ~aves ,t
fonda tions, abstraction fa ite de la va eur dù
sol , son t est i mé~ , d 'aprè~ ,leur va leur réelle
comme pr ix d~ co ~str.uctl?n normale au jOur
du sinistre, vetuste Md 1II te. T outefois s'il
s'aICTi t de m enues répa r ations, il n'est pas 'tenu
lCo~pte de l a vet usté.
En ce qui concerne les biltimerts COllstruits
sur terrain d'a utru i, l' indem nité, enl cas de
recons tru ction sur les Il i.eux Joués, entreprise
dans le ,delai d' un an à pa rti r de ·l~ clôture
oe l 'eX+pflrtise. ~st versée au fur et à mesure
de l'exécution des t,ra va ux ; en cas de no;!
reconstruction, s'il résulte d' un acte ayant
date cer :ai ne avant sinistre, que l'assurë de'
\'ait il lime époque q uelconque être remboursë
par 1~ Ipropriétaire du sol de tout Oll partie
des constructio ns, l'indemnité ne peut excéder
l a somme stipul ée au bail. A défaut de con·
vention ou dans l e silence de ce l ~e-ci , l'assuré
n'a droit qu'à ~a va leur des matériaux évalués comme matér ia ux; <le démol ition,.
h) Les obj ets mob;liers et ,le matériel industriel sont estimés d'apr ès leur valeur au jour
dUi sinist re . .
c) L es- matiè res premi ères, les denrées /1
marcha ndises :;;o nt éva l uées al! dernier cours
précédent le si nist re, en tenant compte, s'il
y a lieu, des fra is de transport.
d) Les o1Jrjets fabriqués, ou en voie de
fabrication, SOM évalués au .prix de revient,
c'est-à-dire à l'état brut au dernier cours
connu en y ajoutant l es {'rais de fabrication
déjil fa;ts e~ une part proportionnelle des
frais gêntr3ux.
To ute réticence o u fa usse <1<.
claration i ntentionnelle de la .part de .l'assurf
entraîne, co nforméme nt à l'a r ticle 2 1 de la
loi du 13 ju;!-Iet 1930, l a nullité du contrat,
quand cetle réticence o u cette fa'usse décla·
ration cha nge l'objet du r isq ue ou en diml'
nue fopinrion powr l a Com pagnie. alors m~e
q ue le ri sq ue omis ou déna,tu ré a été sans
i nfluence sur le sin ist re,
T oute omission ou d écllration inexacte d,
la part de l 'assuré do nt l a mauvaise foi n'est
pas établie ent raîn e, eOi cas de si nistre, conformément il l'article 22 de ,la loi du 13 juillel
1930, l a réduc tio n de l 'indemnité en propor·
tion du taux des p r imes rpayées par .apport
au taux des 'Primes qui auraient été dues SI
les risques avaient éte comolètement el exac·
tement déclarés.
L 'assuré qUI, de maruvaise foi, exagère .1'
monta nt des dommages ou suppose détrUits
de ~ o.bj~ts n'ex istêlnt pas lo rs du sinis~re Ol~
qUI dlsS<lmule ou soustrait tout ou partie des
objet$. assures. ou q+ui emploie sciemmenl
Art. .14. ---te réglement des :;.i nistres sera
comme j usÜfication des moyens ou docu'
effec.tue ~ans les six mois qu i suivent ~'i n
m~nts menso ngers, celui qu·i a ca usé ~'OIOIl'
ct:ndte. ~'II n'y a pas eu d'action, judiciaire
talrenlent
le si nistre des objets. assures, ail
et le p~l1~me nt devra intervenir soit dans ,Ie~
a facil ité les pro bares ou a cntrav(' le sau\'l':
trente JOu" de racco rd, ,oit dans- les huil
·k a
tage, est entiè rement déchu de tous ctroh.:o
J?urs qm SUI l'ron t la 'décision deven ue défune j-ndemni té sur l'ensem1ble des riSlue5
mttve. Sl un~ action judiciaire a été engag~.
sin istrés, la déchéance étant indivisible sa's
Ce,. délaiS, en cas <l'oppo~ i tiol1l ne C()l.I
di t inction ent re les divers articles de la
mnt que du jour des mainlevées.
police.
Art. 15. -;- L'assurance ne peu.t être une
Règl e proport io/1IIe/l"
cause de bl:néfice pour l'a ' uré ; elle ne lui
Art. 17. - S'i l résulte des estiJOatio nSq::
garantit que la réparation de ses pertes
réelles.
la vale.ur des objets assurés excè?e aU 10e;\
du Sinistre
la somme 0
o-arantie
1assurépOur
.
_
'
.La _...omm(>- ~:;.urI.:C ne
pou\'.ant
être con SI'- 1
'
_.
.
COT\Slderé co mme son propre assureUr '
•
1
, .....
Art 13. -
Si les dommages ne sont pa>
réglés de grl à gn\ unt expertise amiable
est toujo'urs obligatoire. Les deux exper[~
sont croisis par les parties. Ceux-ci s'adjoignent, s'ils ne sont pas d'accor~, un troisième expert. ,Les trois experts opèrerrt en
commun et a la majOcrité des voix.
Faute par l'une des parties de nommer son
expert, ou par Iles deux experts de s'entendre ~r le ~hoix du troisième, il est nommé
l'ar le Président du T r i bunal de Commerce
ou, à déiaut. par le Président du' Tribunal
Civil de l 'arrondissement où le sinistre s'est
prod:ut. Cette. nomination est faite sur simple
requde signee des deux parties ou d'une
seuiemenl, l'autre partie ayant etc convoquée
par lettrt: rtcommandCc:.
Chaque parti~ paye les rrab. et honoraires
dt: son expert : le5 honOraires du tiers
t:xpert tt les frai~ de nomination, s'il v ;
heu, .sont supportés moit ié pa r l a Compag01~
moitié 'par l 'assuré.
'
Art. 16. -
10 1
t
proportionnell e des dommages, con for-
~:men t à l'artic l e :1 1 de la loi du t3 juil-
let 1930.
,.
t.
.
.
Toutefois, s Il est l'onsta e au Jour ct un
sinistre que l a police comp?rte des articles
!!arantissant les uns ~n exckdent, . les autres
:nsuffisamme nt, des risq ues de meme nat ure
;aisant partie d'un même établissement et
!\oumis
un même ta u x de primes. J'enseml,le des exc~d.ents sera, reporté sur IJ'ensem-.
ble des inslll{hsan~ d a~S ll raI1 CeS, et réparti
au prorata de ces IOsuffi sa nc s.
L'assurance des ri sques IOCc1tifs do nne li eu
" l'applica tion de l a règle proportion nelle :
l " Si les bât,iments étant détenus pa r un
seul locataire, pri ncipa l locataire ou simple
occupa nt. la somme as ' urée est inférieure à
la valeu r totale de ccs bàtiments ;
20 S~, au cas de pluralité d'occ upa nts,
l'assu ré n'a pas fait gara ntir cinquante fois
la va leur de so n loyer annuel, charges comprises, le dommage étan t a/ors réglé dans
la proportion eXlstan,t entre la somme assuree et le montant de cinqu ante années de
loyers, charg-es comprises.
Toutefois, il ne sera pa s fait application
de ,la règ)Je proportionnell e s'il est constaté,
au moment du sinistre, que la \'a leur de
reconst r uction , vét1ll,stée dédui te, des I.ocaux
occupés, y compris les parties cammu-nes,
n'excède Ipas ,le montan t de J-a valeur assurée.
Pour parer à 11'eventuallité d' une respo'nlSabil itè pouvant excéder cinquante fois la valeur de so n loyer annuel. chapges comprises,
l'assu ré peut souscrire 'Une assurance complémentaire de risques 'loca tifs, qui n'esr pa,;
soumise à la règie 'proportionnelle.
La règle pro portionnell e ne s'aIlj>lique
pOInt aux assurances du recours des voisins
et du recou rs des locataires.
a
,
Assurance pour co mpte de qi'; il appartiendra
NI. 18. - L 'ex pertise, apré si nistre, s'effectue, en cas d'assuran.ce pOll'r l e compte
de tiers, avec le signa taire se ul de ,la police.
Sallvetage
. Arf. 19. -
Une fois I)expertise amiable
terminée, le sauvetage, même au cas de con.testatioll , deme ure aux risques et 'Périls de
l'assurë.
La venle aux enchères du maté riel et des
ma rcharnrlises avariées peut être demand ee
par J'assureu+r, faute d'acco rd immédia t sur
leur estimatioll Ou leur ve nte amiab le.
Paiement (ks Îflllt!11Init es
Art. 20. - La som me à laqu elle l 'in demruy:' est fixée e't payés au bUi eau de l'agence
Ou ,la police a étê sou~crite ou transférée.
Di-spositions dhlerses
Art. 21. - RésiliatiOn après Sinistre.
La Compagnie peut, après un ~ini s tre, rieo~a~~ ou non, quelle qu'en soit l'jmpo rta~ ~e,
reSlher Cn totalitê Ou ~rJ ,partie, la PfJ,I('{::
atteinte, au moyen c1'une lettre ,recommandée.
Toutefois cette résioliation n'aura d' eff et
qu' un mo is après sa notification.
En ~as d'usage, pa r la Compagnie, 1I(; c~tt~
faculte de rési.Jiation , et pendant un dcLI.l
d'un mois à dater de sa notification, i'as:--ur~
peut également rési l ie r. à effet d inér,' d'un
m~is. soit par déolaraÙon contre léc~plsse .
SOit par acte ex~ra-judiciaire, soit lur lett:-e
recommandée toutes les polices qu'ii :1 sousc
'
n ·est 'a la Compagn
ie.
.
D~n s (ous les cas prévu s au pré ... 1,;'nt <lrt:cie, il y a lieu à restitutioll , par III Comj:,1-
gnic, ùes por,lOns dl' pnml:-\ lleltl'" ali\'r1.!ntes a Ja periode pour I:tquclle l e~ r1~'-=1l1C~ ne
sor:t plus garantis.
Art. 2. - L 'assLOrance porte et Ja prime
est due sur toutes les Iperson n e~ sa~ariées ou
non, que fas5uré emploie ou emploiera, 3~
COurs du contrat, tant aux travaux dfsignês
aux conditions particulières que dans teux.
qu'il entreprendra ultérieu rcT11t-J1t.
Art. 3. - Sauf :itipu lauon contraire, sont
exclus dc l'assurance tous accidenb résultant de locomotion aérienne, de t'usagE: d'explosifs ou dus à des faits ou à de~ engins
de guerre.
Art. 4. Le contrat e~t parfait dès !la
signature par les parties, et la Compagnll"'
pourra, dèb Ce mome nt, en poursuine O'exêcutia n.
T outdois, l'assu rancl: ,ne prQltulr a ses
effets actifs t passifs que le lendemain a
mid" du j our du paiem~nt de la première
prime, augnH,'ntée du l'oGt de la pohce ..
SubrogatlOll, recours apri!s sinf:;rre
Art. 22. -
La Compagnie e,t suhrogée,
dans les ler.mes de l'article 36 de la loi du
13 jouillet 1930, jusqu'à concurrence de J'indemOlté payée par elle dans les droits e'
actions de l'assur é conlt ~e tous responsables
du si nistre.
La compagnie peut. moyennant surprime,
reno nce r à J'exercic~ d'un recOurs. TOlltefois, si le tiers responsable est ass ll ré~ elle
peut, ma l,gré 'la renoncia tion, exerce r son reCGltrs dans la limi te où cettc assurance de
respo nsabilité produit SOn effet.
Aucune reconnaissa nce de responsabilité,
alucune transaction, i l1t erve l1u~ s en dehors de
la compagnie ne lui seront opposall:es. Toutefois, n'est pas considéré comme une reCOnnaissance de responsabilité l 'aveu d' un fait
matériel.
Sinistres
Délais. - Prorata de primes
Art. 23. - Toutts les fois qu' un délai
imparti, soii pair l a loi , soit par les cond,jlions de la police, excède la date de la procha i ne echéance de prime, la compagni e a
droit au pro rata de ladite prime.
Frais j/ldiciaires
Arf. 24. - Les frais judiciaires de cu ittance et a'lItres ne viendron.t pas en déduction
du ~c h iffre de garantie ; toutefois, en cas de
condamnation supérieure au chiffre de garantie fixe par la police, ils cieront supportés
par la compagnie et par l'assure dans la
proportion de leur part respective dans la
condamnat ion .
PreScrjp/ion
Art. 25. - Toutes actions der Î\'ant du .p r~·
sent contrat sont .pre~crites par deux ans à
compter de l'événement qui y donne naissance dans les conditions détermine~ par les
artioles 25, 26 et 27 cie la loi d'u 13 juillet
1930.
•••
18 ju in
19~8 .
Projet de Police d'Assurance contre
les accidents du travail agricole
CONSE IL NAT IONAL DES SERV ICES
PUBL ICS DEPAI(TEMENTAUX
ET COMMUNAUX
Srction de Législation
Conditions géflëralt's
Le présent contrat est régi tant par la loi
du 13 ju illet 1930 et les décr ets des 14 jui n
et 30 decembre 1 9:U~ que par Iles co nditions
acuérales et particulil.-reo ci-après.
:=- Il doit, pour être valab le, être revêtu de la
siCTll ature du D i r~ctt!u r Généra l de la Comp:gnie Ou d' ull Fonue de pouvoirs délëgué.
Of,jrt de l'assurm1Cl!
Arfide prl'mier. - La Compagnie garantit
dans lb dimitl:s ind iquées aux conditions
particuli~rl'~, les i~ldelll n ih:s . e~ fra.oS mis à la
cha rQ'e de \":Issure pa r la k"glslat lon su r le
accidenb du tnn·ai l, telle qU "e'He rés ulte dc .;
lois, décrets 011 mrêtes en vigueur .:lU moment de la ~ignature du COlltréll. l'Il r~ison
de!) accidents du,nt peu\'cnt t::t re atteints $Cs
ouvriers, employés, par le. fait ou à il'OCC:lsion dt:.s travaux de caracterc a-gT!co lc l'X\!CI~
tes pour son compte.
1
Arl. 5. - En cas d'accident, sauf justjfi~
cation d'impossibilité 'pa r sui te de cas fortuit ou de rorce majeurt. ra suré est tenu,
SOIIS peine de p~rdr~ st!.:; droits â 1 assu rance,
de déclare r r acc·dent par êcri t o u verbalement contre récêpissé, dnns les cinq jours
où il en a eu co nnaissance au Siège Socia l ou
aux bu rea ux d ~ agences de la Compagnie.
L 'assu ré est, en outre, tenu de transmettr:!
dans les cinq jours, à la Direction ou aux
bureaux des agL' I1l:CS de la Compagnie, tou{CS convocations émana nt du Juge de Paix
Ct du Président du Triblhllal CivÎ, toutes pièces ou demandes en revision vi ées par les
articles 13, 16 et 19 de la loi du 9 avril
1898, ainsi que tous avis, lettres, avertisseI1ltnts, significations, actt!$ Judiciaires ou
extrajudiciaires notifiés soit à l a requtte
des parties 1(sée....;, soit a la rtq uête du Mnistère Public.
T out retard dans la production de!'. pièces
exigibles de l'assuré allne droit, au profit de
de ta Compagnie à une indemnité proportionnée al! dommage que le retard l ui a causé, conformément à l 'a rticle 2-4-, § 2, de la
loi du 13 jllrllet 1930 .
Art. 6. - Vans les cas d'incapacité temporaire de travail, l'assurê paie au lJjessé
l'indemnité lui rev enant. aux ôpoqut's et lieu~
de paye d'usage, sans que J'interva lle puisse
excéder seiz.e jours.
Ce:; avances, vers~es sur autorisa ti on de
la Compagnie, sont rembo ursées par elle à
J'assur é, sur la p roduction des mandats
acq uittL'S par les blessés.
Art. 7. - La Compagnie ne peut opposer
aux v:ctime:s ou à leur.s ayant -droit llucune
des dcchéance..-; que l 'assure peut encourir.
Elle a seulement contr.e ce dernier une
action en remboursement de toutes les sommes qu 'elle aurait payées, mises en réser\'t:
ou constituées.
Art. 8. La Compagnie se r~serve la
faculté de r ésilier la prést!nte police apri.s
chaque si nistre moyennant preavis d'au
moins un mois par kttre rt.'conlnland('e.
Passé le délai d'un mois après qu'eJ1e aura
eu conn ai· ance dll sinistre, l a Compagnie
ne pourra se prê\-"a loir de celui-ci pottr resilier le contrat si elle a accepte ,le paiement
de la prime ou de la fraction de ta prime
venue à échéance après le dit sinistre.
L'assuré aura le drolt1 dans le délai d'un
mois à compter de la no~tfication de ia réSIliation par l a Compagnie 1 de r~i1 ier les
autres polices qu'il lpeut avoir souscrites il
�la l'ompa~lIi~_ Ottte n:sJiatlOJl pa.r l'a~r\!:
I>n.:ndra dfet un mois aprt-s la nOtification '"
la Compagnie.
_..
....
la iacultl' \le rcslhabOn ou\"t~r te a Ja Comp3~rt t! d il l'a:suré- comportt: restitution ~r
13 l.Ump.1gnil' dt'~ fnctlons lit! pnmes a~l"
rentes a la ~rioCr pendant laquelle les ns41'1:' n~ sont plus garantis
Prime~
Art. 9. - La prime eSt calcutt!t! sur .la
totalitc des alalrtS et rt."muncrations allouees
au pc:rsonnel, tIOït en argt"nt, soit !!~ "ahlr!!,
y comprî tous a..'anta~":S pIJU\'3nt .t!tre con~idl:rés ('Jmme une addiuoli au salalr~ (nourriture, h>gemtnt. chauffage, bc.néfice ou gratificuiolls d~ toull,: :sorte, salalrrs n:!J":'és au
titA.' lfl: C'on l7ès .1onud.. etc .. ), que l'assur~
l"-t tt:nu (J'in;crîr~ rt-guii~remen[ sur Il':s feuille!' ,k fpaye ou sur un regbtrt:' spl!(jal ,avec
je::; nOtJl!, d-:s olJ\"ners et ' e nombre de )ournt'es de travail effectuées par chacun d'euX".
En conformité des artel."
et 9 de la
ID. du 15 ckcembre 1922. le salaire des
apprentis et ou\'riers âgé;:;, de TIloins de seize
ans. ainsi qu~ celui des personnes non salan(>e!'o Ou rece\'ant Wl salaire variable ou un
salaire en nature, ne sera pa~ infêrieur au
sala're préfectoral de la région.
Ar!. 10 - L. Compa!mie a le droit. en
tout temps mais au plus tard deux ans
Jprêt:, l'expiration ou la résiliation définitive
de l'a~urJJ]ce , d~ faire vérifier par des représentants de son choix les feuilles de pay~
et d'inscrii>~on et les r.egistres spéciaux, l~
actes de proprieté, baux de fermage. plans.
~tc .• afin de s'a~urer si le:;. déclarations de
l'a surt: sont sincère ~ et exactes.
Art, II. - En s\gnant la police, J'a uré
doit verser à la Compagnit:. uutre Je coût d~
la police. II: prorata de prime ou la ,provision
stipulés payabJes d'avance aux conditions
particulières.
Art. 12 - La prime e5t payable :
a) Soit d'a\·ancc : elle est alors baSl~ sur
les :;alaires payês au personnel au moment
dt la souscr:ption du. clll1trat. mais ré\'isab1l:
~ur dét.:laratiom, fournies par l'a ure, au
sjè~~ de la Compal?nie ou de l'agence, dans
It$ quinze jours qu : suivent son échéance, dt'
J'état des salaires en ... -pèces et nature payë'"
cl SOn per.sonnel pendant le - douze mois pr,,-cédents et exiO'ihle dans les quinze jou rs d~
SOn échéanct:'.
L 'assuré s'engage à aviser la Compagnit:
dans les quarante-huit heures, de [Oute augmentatÎon ou diminution du nombre de S~
ouniers et de toute augmentation ou dimnution des salaires parés il ces derniers.
pour que la prime soit modifjét en COn t::quenœ en fin d'année d'a urance. comm'
il est dit au paragraphe ci-dessu .
Faute par .'assuré de se conformer à ces
disposillons. la garantie de la Compagnie ne
s'exercera que sur le nombre d'ouvriers et
sur le montant des salaire::; déclarés pour
chacun d'eux au jour d'un sinistre.
b) Soit à terme éc hu : dans ce cas k
souscripteur doit payer, a. tirTe de provision ,
lors de la souscription du contrat, le qua;t
d'une pnme annue1le, calculée sur les sa la ires prévus pour l'année en COu rs . Cette pro.
\1sion s'imputera, â la date d'expiration du
contrat, sur Ja dernière quittance de pri'me.
Les pr'mes payables par trimestre éch.
sont exi,gibles quinze jours après la fin de
ch~lIe tnmestre, soit les 15 janvier, 15 avr~
15 Ju.llet et 15 octobre, et basées sur des dé-
daratlûns fournl~ par J'assure au "ègc dl:'
la Corr\p.gnie ou de l'agence, du 1er a~. J(I
du mois qui .:-uit la fin du trlmestr!!, ,de .1etat
dt$ salaires. cspêces et (1~tltre • .ra~'l$ 3. :-On
personnt::! pendant les trOIS mOIs ecoules.
!\ dOlaut par ra. 'uré de se c?nformer ,
t.~ obligations dans les délais prevus cl-d.e~
sus, la police ,pourra être suspendue ou resl:
lié<: dans les termes de l'article 16 de la ID.
du 13 juillet 1930.
.
L'assuré doit, en sus de 1a prunel paye r
tous droit fisca ux Ou ta.xes légales, dont I.n
récupération n'est pa interd,ite, pOIl,vant ~'~
rapporter, ainsi que les fraIS de rèpertOlrl:
et de recou\' rement d'agence.
Art. U . - Le present contrat ayant pou:'
base les déclarations de J'assuréJ reprodùite 3
aux conditions particulières ci-élprès, et la
prim (' ayant été fixée d'après elles, toute:-.
modifî ations susceptibles d'altérer la ,nature
du nsque notamment sur la nature et l'importance des tra\'aux effectués, ou d'en chang.:r J'opinion pour la Compagnie devront
pour être garanties, être déclarées à celle-::Î
par lettre recommandee confonnement alfX
articies 15 et li de la loi du 13 juillet 193û.
Art., 14. - En cas de déclaratiOn inexacte
ou jfl(:omplète des salaires, la Compagnie
aura le droit de réclamer, outre le montant
de la prime. une indemnitë égale à 50 % de
13 prime émise et, dans le cag prévu à ,'a rticle 23, § 2, de la ~oi du 13 ju;llet 1930. Il'
remboursement dl:s sinistres payés.
L 'assuré qui, par son fait, rendrait impossibles toutes \'érifications et tout contrôle
effecnf -.erait passible des e.anctions prévues
au deuxième paragraphe dud it article 23.
Durée
Sauf coO\'ention~ contrai res inseree' aux conditions particuli ères, la présente police est sousNite pour la durée de
la Compa!.!l1ie. Toutefois, à fexpiration dt
chaque période de dix ans à compter de b
?ate ~e. ~a ,Pris<: d'effet, la police pourr3
~.tre reslilee a la \·olonté de chacune des ,partle.~, moyennant un avis préalable de six
mois donné par lettre reco-mmandée. ou dans
t'une des forme-s pré\'ues à l'article 5 de la
loi du 13 juillet 1930.
Art. 16. - Le présent co ntrat se ra résil ;':
de ,plein droit dans le cas et dans ~es c nditionsprévu à l'article 26 du décret-lo i du
14 juin 1933.
Art. 15, -
-
Prescription
Arl. Iï . - . Co.nforn~l:',:"-ent aux artides 25
a 27 d~ la ID. d" 13. 1u.llet 1930, loutes ac-
tions denvant du p ~esen t contrat SOlit pres-.
cri!et'i par deux ~ns a compter de J'c\'énernent
qlll y donne naissance.
Touterois ce délai ne court :
1° En cas de réticence, om lssioll, dêclara_
tion fausse 011 inexacte SU r le risque COuru
que du jour où l'assu reur en a eu connais~
sance ;
2° En cas de sinistre que du j our Où les
intéressés en ont eu connaissance s'ill s prouvent qu'ils J'ont i gnoré jusque-Ià .
-
103
Ec helons '
Emplois
sur
rOl/ tral
............. .
j'ai 'honneur de porter ci-dessous à la (011_
naissance de lWM, les Maires du Dépariement Ile texte de l'arrêté inteominist"riel du
22 mai 1950, relatif aux srulaires du personnel auxiliaire des coUectivj.t és locales pour
Pannée 1950.
\
Pour le Prélet et pa r délégalion
Le Secréfaire Général "
LAM<ASSOURE .
A~~ETE
.
ARRETENT :
ArtiCle premier, - A co.mpter du 1er janvier 1950 et dl> 1er juillet 1950, les tab leaux
ftglllrant à .j'arrêté interministériel du 1er oc·
tobre 1948, modifie par les arrêtés des 30
mai, 30 septembre et ZI novembre 1949 sont
remplacés 'par l es tab leaux suivants:
éohe lon
3' échel on
2" éche lon
It'r cc helon
2 12.(JUO
200.000
IH8.WO
176.000
164.000
1:;2.000
22J.UUO
209.0o\J
IlJ5.0<Xl
182.000
169.000
15fi.o.XJ
2:lJ.OOO
2 18.000
203.COO
7" éc helon
echelon
:;' échelon
4' éc.helon
3" ~chelo n
2<' échelon
l " échelon
:127.000
:1I7.000
307.000
297.000
287.000
277.000
2fi7.0UO
35:;.UUU
343.000
33 1.000
3 19.000
308000
2~4 . 000
.\83.000
.169.000
306.Q()()
342.000
.\28.000
:1 15.000
301000
."l ' échelon
4' échelon
:r échelon
2:' échelon
1'" échelon
200.000
189.000
178.000
167.000
155.000
145.000
134.000
213.UUU
200.000
188.000
176.000
164.000
15 1.000
139.000
225.000
2 12.000
198.000
185.000
171.000
157.000
143.000
7t échelon
6'1 éc helon
5e échelon
4' échelo n
3' échel on
2" échelon
I"r échelon
2 14.UOO
203.000
192.000
18·1.000
170.000
159.000
148.000
228.000
2 15.000
203.000
19 1.000
179.000
167.000
154.UOO
242.000
228.000
2114.000
20 1.000
188.000
174.000
160.000
~'
OpéraleUi s r/JeI.' mécallogrnphes
Conducteurs auxiliaires de V~/'
tures automobiles « tOtlns·
tes » ou c utilitaires
)1 • • • •
6~
7' échelon
6' éc helon
Conducteurs auxuiaire.'l de voilUres automobiles « poids
lourds l> • • . • . . • • • • • • • • • •
Le Vice-President du Conseil. .minisflre de
l'Intér ieur.. le Ministre de ,la Santé Publique
et de la Population et le Secrétaire d'Elat
aux Finances;
Vu l'article 2 de l'ordonnance du 17 mai
1945. relative aux Services Publics des departements et des communes et de leurs établissements publics ;
Vu 'l'arrêté du 1er oClol>re 1948. mod ifie
par les arrêtés des 30 mai, 30 septembre et
2 1 novembre 1949,
6" éc helon
5" cc,helol1
AG 2
REMUNERATION DU PERSONNEL
AUXILIAIRE DES COLLECTIVITES
LOCALES POUR L'ANNEE 1950
Art. 2. - Le Directeur de l'Administration
Générale Départementale et Communale, 'le
Directeur du Budget et Je Directeur de l'Administration Générale, d." P,ersonnel et du
Budget sont chargés de l'exéc utio n du ·présent arrêté.
Fai t à Paris, Je 22 mai 1950.
Le Vice-PréSident du Conseil
Ministre de l'Int érieur.
Pour le Ministre et opar délégatio n.
Le Directeur de Administration
Générale, D épartemelltale
r
et Communale :
Emplois
Auxiliaire\ de bureau
Echelo ns
Salaires
de
1949
8" échelon
7' échelon
6· échelon
5' échelon
4" éohelon
3' éohelon
2" éChelon
1" échelon
182.000
170.500
162.500
154.500
146.500
138.500
130.500
121.000
188.000
178.000
168.000
159.000
150.000
142.000
133.000
124.000
194.000
184.000
174.000
164.000
154.000
145.000
135.000
126.000
Ir éc helon
7' échelon
6' éc helOn
155.000
147.000
142.000
137.000
13 1.500
126.000
120.500
11 4.500
160.000
152.000
146.000
140.000
134.000
127.000
121.000
115.000
165.000
158.000
151.000
143.000
136.000
129.000
122.CXXJ
11 5.000
5" échelon
4' échelon
:r échelOn
2' échelon
1" échelon
Sa laires annuels bruts
à compter :
du 1-1-1 950
du 1-7-1 950
Salaires anl1Ue~ brut~
à compter :
du 1-1-1 950
du 1-7- W.'jO
Employes de bureau r(' crul i!s
- ---000<>·----
D283
Sa la ires
de
1949
Pierre-Jean MOATTI.
Le Ministre de la Santé Pubtiqlle
et de la Poputation.
POur le Ministre et par délégation
Le Chef du Cabinet "
Jacque -Pierre MONCOf,$LE .
-------( > 00 «»'-------
1950 publiés au « Journal Officiel » du 21
mai viennent d'autoriser 11EJectricitë de
Fra~ce à émettre un empr unt public pour le
financeme nt des travaux de réparti·tion et
de distribution de l'énergie électrique en
France.
Le s uccès de l'opéra tion ,p ermettra d'accélérer Jes importants trava ux qui doivent êtr.e
réalisés dans le cadre du plan de modernisation ~t d'équipement, [po ur a méliorer la di stributi"" de ,l'électricité dans tous les dép!utements.
Je vo us [prie de preudre toutes les mesures propres à facilirer. Il?calement la proga(J'ande qui sera or,ganlsee en faveur de cet
';'prunt, dontles titres sont assortis d'avantages substantiels.
H. QUEUILLE.
- - -- <:.00< :.-- - -
Le Secrétaire d'E taf aux Financ ...
P;Ou'r le Secrétaire d'Etat
et par délégation :
Le Directeur du Cabinet
Robert BLOT.
02 B3
296.~'OJ)
1~9.000
17+.000
15!1.000
f 4
EMPRUNT PUBLIC EMIS
PAR ELECTRICITE DE ,FRANCE
Circ ulaire n' 194
Paris, .Ie 3 1 mai 1950.
Le Vice-Présidenl du Conseil, Ministre de 1'IlJtérieur,
à MM. les Préfets (Métropole),
Un décret du 18 mai 1950 et un arrété du
D3 82
FS 7
ATTRIBUTION DE MAJORATIONS DE
RECLASSEMENT AUX PERSONNELS
DES ETABLISSEMENTS PUBLICS
D'HOSPITALISATION, DE SOrNS OU
DE CURE (ANNEE 1950)
rai thofllleur de porte~ à la conntl.lssan~('
de MM. les Maires, préSidents des CommIssions administratiJ/es des hOpItaux-hOSpIces
du départa?ment le lexie .lf.1kle circula~re
« Sanlé Publique > du 15 lU/n 195e ,tlntlve
à l'al/ribu/ion de majord.Jions de reclasS;ement aux
des étabtissemenfs publics d'
de soins '" tk CUrt
Je prense que les tableaux indiquant tes
échell'/!s de Irailements applicables à ClJmp1er du 1e r janvier 1950 ct du 1êr juin 1950
011.1 été adressés directemen t à chaque ndmjnistraUon inlén·s.... i'I!.
Circu laire n<> 110
Paris. le 15 juin 1950.
Le Minislre de ln Sallté Pubtique et ae
la Population,
à MM . les Préfets (paur execution) .les Directeurs Départementaux tk :a
Santé (pOur information) ;
les Direcleurs Départ~mentuux de la
PapalalJOn (pOu/' information),
Par arrêté Înterministeri eJ du 2 ju.n 1950,
public a u c Journ a l Officiel > du 6 juin
(p. 6(6 1) le, àssembl ees compétentes ont été
autorisées à accorder aux agents titu l aire~
des Etablissement; publics d' hospitalisation,
de soin Ou de cure, deux majorations de re·
classement prenant effet respectivement du
1er janvier 1950 et du 1er juillet 1950.
Chacune de ces majorations ne !pourra dcpasser le tiers de la différence entre :
d'une part, le traitement brut aU,Que~
pour,raient prétendre lee; agents intéresses Si
le classement hié rarchique était appliqué intégralement, de traitemen~ brut correspond""t à tl 'indice 100 étant hlCe à 1'14.500 fr.
- d'autre part. le traitement brut qui Jeur
a été attribué en 1949 tel qu' il résulte de
Ilapplicatio n des dispositions de l 'a rrê~é interministériel du 3 février 1949 publ.é au
« Journ al Officiel » du 13 février (p. 1368)_
Vous voudrez bien trouver annexés à la
prése nte circulaire les tableaux indiq u3oJ]t les
échelles de traitement applicables à campter des 1e r jan vier et 1er jU:llet 1950 :
l'Aux agents des hôpitau x et hospi.<:epuhlics (annexe 1) ;
2° Aux agents des hôpitaux psychiatrique:-.
autonomes et des établissements départementaux et interdépartementaux d'hospitalisation, de soins ou de cure (Hôpitaux Psychiatriques, sanatoriums, 'Préventoriums, ai!r, ums (annexe Il).
Ces tableaux se substitue nl pour l'année
1950 aux tableaux de correspondance annexés à mes ciculaires 1flrméros 33 et 125 de.5 février et 24 mai 1949 (hôpitaux et hosp.ces publics) et à mes circulaires numé!os 65
et 157 des Il mars et 23 IUln 1949 (hop.taux
psychiatriques autonomes et éfablissemenb
départementaux
et
interdépartementaux
d' hospitalisation, de soins ou de CLUe).
Je vous demanderais d'assurer la diffusion
de ces doouments dans J'ensemble des établissemen ts de votre ressort.
/1 y au ra lieu de si~n~~r, par aiJleurs,
aux admin istratio ns hospltalteres que les personnels auxiliaires de bureau et auxilia!re:;:
de service (notamment les ~ervants. non t~tu
laires des hôpita ux et hosp.ces)do.vent etre
rémun érés avec effet du 1er lanVle~ 19.50
suiva nt les traitements ctabj ls par 1 arreté
interministériel du 22 mai \950 publié aU
« JOllrnal Officiel » du 2 juin (p. 5.921).
Enfin 'Ies échelles de trailements applicables à rompter des 1er janvier et 1er juillet
1950 aux médecins phtisiologues déparle··
menlaux et aux médecins à temps complet
des dispensaires antil/lbercuœux vous sont
�Ill~
~-------------------------,-------------Classes et
é<hd"n,
Indl-
Traitt>-
Nou\' Iles
Ct'S
1l1(:nt~
major
de- reda:-,-
de
H'49
r.6:I.llOU
5Sfi.ooO
!'-~ :,uhstltuent
gura <nt. pour les ann"es
a relies qui
19~
35.3611
27.300
1 .300
4920011
422.000
.,56.001
420
360
3lXl
3éme cla,...,
5, 133
46.133
38.033
7~4 ,OOU
fil. 1
.'>-10
4,. 1
fo ndiOns:
1ère classe
2ème cl. -
t i-
et 1949, dan -
ma clf"CulairL n" 119 du 20 ju illet 19-t9
\'OUS apparti~nt
1-7-1950
Vous \'o udrcz hien me saisir sous l
sent timbre, des diffi cultés que 'vo us po' pr~
·
l'
.
urn"
re~con t.r ~r pour 1 app lca tlOn des Înstruct' '
qUi precedent. •
lOfI3
d'intervenir
;lupre~
administrations intéressèes afin que
de.:;
1t:~
rapil la rériodl
791.000
709.000
624.00 1
527000
449.000
374.000
H4~.OOO
755.000
662.0011
563.00u
477.000
393.000
19.J.6 pour ~e personnel tt"chniq ue de même
catégorie des sen.'ices munlCipaux.
Dans les i!lablissem,'nls departemen/aux el
d'hospilalisa/ion,
Qe
interdeparl ernenlOJJx
soins
DU
----c:>ooc:'.. _ _ __
D3 B2
Toute correspondance relative au Recueil doi' être adressee à la Pretee /uT'" Secrétariat Général
L e Prefet des BOIlt:/t èS-du-Rftôlrf,
OffICI er de la. LegIOn d' Nolmellr
=
Vu la loi d u 14-7-1 905 su r l 'Assis t a~ce ~u
Vieillards, In firmes et Incurab les'
Vu l'o rdonn a nce du
18- 12- 1944
l
déterm,
nant, ~ titre !ra nsl~oire, l es règles de fixati03
pnx de Journ ee,
de~
de cure :
1948 (sanatoriums, pre \'ento riums, aéri l1m ~
Vu les circulaires min isteritlles des 26-10-
du 2 j u,n 19.'iO.
ft (onn~ndr3 bien entendu de déduire d~1
montanr dl.: rappels les acomptes :sur 'e Tl' cla:;St!ment qui oo"t ru ~tre alloue,:;. aux pero
sonnels en cause en applicatio n de mOn télégramrnt'-t,; fculaire du 14 fénter 1950
publics).
J'mdemnité de fon ction::, des chefs
s u ~
velilants et chefs d<s hôpitau x psyc hiatriQues (arrêté intermin istériel du 2 1 juin 1946).
l'indemnité de tethnicite attribuée a l.
personnel technique dans les conditions prêvues par l'arrêté interministériel du 24 avril
1946 pour le personnel techn iq ue de mêmo
catégorie des services municipaux.
Les autres indem nités ne subissent aucune
réduction.
. Quan~. au).. ind.em~ilës de logement ::,usceptlbtes d etre attnbuees aux directeurs direc·
teurs-economes, sous-directeurs éc~nomes
en application de l'article 1er de l'arrêté SUT
la ba~ (!e taux unifonnement rëduits par 1 secrêtaires de di rection et pha~aciens, : re~
seront calcu lées à compter du 1er janvieï
rapport aux taux en \'igueur avant la mise ell 1
1950 su r la base des oouveaux traitements.
application de la première majoration de reclassement :
1 n en sera de même, en ce qui concerne:
- ! 'i~demnité de suppléance accordée dan~
- de 65 % a compter du 1er janvier 195U
- de 00 'ft a compter du 1er juillet 1950
. Sont \'I~ par ces dispositio ns (ci. mes
cIrculaires numeros 33 et 65 des 5 févrie r et
Il mars 1949).
DOIIS les flôpilou.x el hospices ptiblics .
-
l'indemnité de responsabilité attribuéio
aux économes par l'arrêté interministériel dl!
17 "ctobre 1947.
- l'indemnité de technicité attribuée au
pers"onel technique dans les conditi"ns prèvues par l'arrêté interministériel du 24 a\'ril
les hopnaux et hospices dont les cadres ne
comporten t pas d'emploi de directeur-adjoint
au fo nctlbnnalre cha rgé de remplacer Ile directeur en cas d'absence de ce lu i-ci excédant
trois mois o u en cas de vacance d'emploi.
-
8' Année. - N" 26 et 27
et Bulletin des Mairies
ARRET E
Vu ~a ci rculaire d'app.licalio n du 29-11.
1944 de M. le MIni stre de la Santé Pu bllqUl
et de la Populat ion ;
J'appt:l!e votre attention sur It:~ di positions dt: l'artille 2 de rarrête interministérkl
susrisé du 2 juJO 1950 au);. termes duquel les
JOdernmrtS ou nUp'plëm~nts accordl-"S aux '
agents hospitaliers confnuenr à titre prov:-/
soire. a s'ajouter au nou\'eau traitement fiXt
FRANClAISE
Recueil des Actes Administratifs
FS 7
- l'indemnité de responsabilité attribuée
aux <co""mes par les arrètés des 16 octobre
1947 (hôpitaux psychiatriques) et 5 janvier
Indemnilcs .
RÉPUBLIQUE
•
REVISION DU PRIX DE JOURNEE
. PREVISIONNEL DE L'HOSPICE
DE SAINT -CHAMAS
pel,:" d~ traiteml'nrs afh~renh
l:.coullt! depuis ;e 1eT jan\'~r 1950 soent ,'eT·
t-'
dan, I~ plu:!- hrei~ délais au,," différents
personnt:1 \'ises par rarn?tt'- interminbtéri ... 1
-
(
DÉPARTEMENT DES BOUCHtS-DU-RHONE
'
Pierre SC HNE ITEI{
2éme cla'5<3ème CilS
AI'onl fi ans d.
Il
1-1-1 950
3" Les économes d~ S3natoi lUms
'
toriums ou aêriurns publics.
• prere.,_
L e Mirtisr re .
Après 6 ons d.
fonrlions
1ère cla"""
Ces echc'k'":->
serncnt
Traitent
Trai temenb
a,"nuel~
annuels
hruts a
bruts à
,ompter du
compter du
28 J,in .t 1 Juill.t 1950
l'indemnité d'exp lo ita ti"n ag ri cole dont
peuvent e\'fntuellement bénéficie r :
0
1 Les . directeurs-économes, sous-directeu~ ou economes des hôpi tau x et hospices
publics ;
2" Le~ di:ecteurs, éco nomes Ou secrétaires de direction des hôpitaux psychiatriques;
1945, 24-10- 1946, 6-1 0 et 3- 12- 1947 el
8-1 2-1948, complétant Il' inst ru ction précitée '
. Vu l'a rrête 'préfecto ra'i du 7-1-1 950 porlan;
fi xatiO n des . prix de
journ ée
prévisionnel$
19.'iO pour l'ensemb le des établ' semonts 1"",
pitaliers du département .
. Vu .Ia d e~ ande de relèvemen t des prix d,
Jo urnee .prcsentée par l' Hospice de Sain!·
Chamas ;
Vu l'avis de M. l'Inspecteur Pri ncipal de 1.
Population ;
Sur la propositi"n de M. le Secrétaire Qi
néra l de la Préfecture ;
ARRETE
. ~r/ic/e premier. - Le p ri x d e j ournée
vlslon nel 1950 applirable aux viei llards in
gents places en exécution de la .loi du
14-7~ 1905, ainsi qu'aux pensionnai res pa yants
~dml s . en 3e catégorie (salle commun1) '
1 HospIce de SalOt-Chamas, est po rté il 2511
francs a co mpter du 1er juin 1950.
Ar/lcle 3. - M. le Secrétai re Général de
la Préfecture, M. le Maire, président de la
CommIssIon Administrative de l' Hospice de
S~IOt-Chamas ; M. le Trésorie r-P ayeu r Gcneral sont cJlar,gés, chac un en ce qu i I ~ con-
cerne, de j'exéc ution du présent arrêté,
Marseille, le 20 juin 1950.
Pour le Préfel,
L_ Secréla"e Gé\1éral:
LAMASSQURE.
Copie certifiée conforme.
Pour le Préfet :
SOMMAIR.E
Arrèlés réglementaires et Circulair""
AC 3. -
Pages
AG 1. - Inde mn ités de foncti"n s des
Mai res et Adj oints .. ' ...... ......
AG 2. Rêmunératio n des age nts
locations familiales
.. . . .. .. . . . .
personne l
interm ittent
103
107
Communiqués, Avis, Annonces diverses
-
tit ulaÎ res des co'il ec ti vités publiques
locale,
du
105
AV IS de Co ncours
Maine-<t-Loire)
(Préfecture
de
107
107
j{éuni on du Comité Directeur ....
107
107
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
L'Assemblée Natio nale et le Conseil de Il
Rép ublique " nt déli bé ré,
L' Assemblée NatiOna le a adopté,
Le Président de la Rép ublique promlllgue
la loi dont la teneur suit :
AG
D2 B3
INOEMNITES DE fONCTIONS
OES MAIRES ET ADJOINTS
Loi n ' 50-720 du 24 Juin 1950 mod:jjant
l'ordonnance n " 45-2399 du 18 Octo'
bre 1945 relative aux frais de mission
et aux indemnités d e fonctions des
Maires at adjoints, modifiée en dernier
lieu par la loi n ' 48-1526 du 29 Septembre 1948.
Arficle premier. -
MAIRES
et Prési dents
de
COMMUNES
dê:êgatiolls
d'une popul at ion J11unicipa4e totale
specia l e~
(f r.)
De m OJl1S de 500 habit ants .
De 501 il 1.000 habitants ..... '
De 1.001 il 1.500 habitants
De 1.501 à 2.000 habitants
De 2.001 il 2.500 habitants
De 2.50 1 il 5.000 l\ilbita nts
De 5.001 à 10.000 hab itants
De 10.001 à 25.000 habitants
De 25.001 il 60.000 habi tants
De 60,001 il 85.000 habitants ...
De 85.00 1 il 110.000 habitan ts .
De 110.001 à 150.000 habita nts.
De plus de 150.000 hab itan ts (sauf Lyon
Marseille) ... . .. . ..... .
Le barèDw- annexé a
l'ordo nnan ce n" 45-2399 du 18 octobre 1945,
tel qu 'il a été étaljfi par .l'articl e 1er de la
loi n' 48- 1526 du 29 septembre 1948, est
r emplacé par 'le barème suivant :
ADJO INTS el MEMBRES
de délégations
spéc iales faisant
fonct ion d'adjoi nt
(tndl' l11nités ind ividuelles)
(f r.)
452.000
12.000
18.000
23.000
29000
35,000
53.000
70.000
105.000
117.000
125.000
140.000
172.000
566.000
226.00u
23.000
35.000
47.000
56.000
70.000
11 7.000
187.000
234.000
327.000
343000
'90.OUO
~t
L_ Seeni laire Général,
LAMASSOURE.
Demande d'emploi de secr étai re de
Mairie ........ ........
- Demande de s uppléance .pour la
période des vaca nces . . . . .
Communiqués du Secrétariat
de l'Union deS Maires
-
Textes d'intérêt général
Affi liat ion aux Caisses d'Al-
Art. 3. -
L'artlcle 9 de l'o rdonnance pré-
citée, modifié en dernier l ieu Ipar j'a r t:c le 4
de Ja Il,,i du 29 septemb re 1948, est à nouveau modifl(' ain si qu'i l su it :
c Art,. 9. Le$. indemnités maxima applicables aux villes de Marseille et de Lyon
sont fixées il 585.000 francs pour le mairl.!
et à 293.000 fr. pour chacun des adjoi nts •.
Art. 4. co m pt~r
La présente ,loi aura effet â
du 1er janvier 1950.
La presente l oi sera exécutée com me loi
de l'Etat.
Fait il Pari:-., le
2~ juin 1950.
Vincent AUR IOL.
Par le Président de la Rép ubl ique,
Le Présidenl du Cotnsei/ des Minislres.
Georges BIDAULT.
Le Vice-President du COl/sei/,
Mùz;S!re de l'Illtérieur,
Signé : Henri QUEU ILLE.
-------«» 00 «>-------
AG 2
D2 B3
REMUNERATION DES AGENTS
TITULAIRES DES COLLECTIVITES
PUBLIQUES LOCALES
J'al l' hOJllleur dit porter ci-desso us ft Il
connai ssanCe de MM. les M aires du Dl~par
tement le textt' du rect i fica ti f il " arrête in
te rministeriel
du
12 mai 1950, paru 3
l' « Officiel • du 13 iu in 1950 et relatif
tra itements des fonction naires commulIaux il compter des 1er j anvier et 1er j uil-
: 111,\
Arlitle 2. _ L'indemnité mensuelle de
lonctions prévue à l'a rticl e 8 de ,l'o rdonn ancO
~récitée, modifiée en dennier lieu pa r 'l'arhcle 3 de la loi du 29 septembre 1948, est
_ 15.000 francs pou r ies membres du
Conseil Municipa l ;
_ 39.000 francs pOlir les maires d'arron-
dissements de Paris
00
let 1950.
.
Pour le Préfet et par
d cl~gat io n ,
Le Secrélaire Généra/ :
�106
Trai/ements
mentales:
"
affe,·
•
d·s
I.'r J"am'ier ri 1 J'uillrt 19.)0, aux
nt s, a' 'ompf"r
•
<
<
OIasses
t!t
Grades et emplois
Commis d'adminbtration
echeloos
1re classe
2e classe ....
Je
4e
50
50
7e
8e
classe
classe
classe
cl ... e
claESe
dasse
...
...
......
..
....
ge classe ."
Comm.5 d'ordr~
t:l
dt' comptabilité . .
1re classe ..
2e cla e ..
Je
4e
50
50
7e
e
ge
classe
classe
cIa;;se
classe
classe
classe
classe
...
..
......
... ..
...
.
....
rrl d"LI; l '1 emplOIs dt'S adminisfrdi o1ls communa l e•.; d tleparte
.r
b
Traitements
majorations
1949
f raOl.:s
266.000
248.000
235.000
223.00ù
212.000
200.000
186.000
171.000
143.000
258.000
238.000
227.000
217 000
209.000
196.000
184.000
167.000
143.000
Nouœ'les
Indices
240
230
220
211
2O:J
192
177
158
130
230
218
210
202
196
185
172
155
130
Francs
17.400
IS. 133
17.600
17.266
17.033
15.566
12.800
8.533
4066
14.800
15.633
15.433
14.900
14.533
13.500
11.033
9.500
4.066
Trait~ments bruts a rrond:
1e r jam'. 50
Francti
283.000
266 JOO
253.000
240.000
229.000
2 16.000
199.000
190.000
147.000
273.000
254.000
242.000
232.000
224.000
210.000
195.000
176000
147.000
TEXTES D'INTEREr GENERal
Circulaire
301.000
2S4.ooo
270.000
258.000
246.000
231.000
2 12.000
18 .000
15 1.000
288.000
269000
258.000
247.000
238.000
223.000
206.000
184.000
151.000
plus spécialement
les Administrations de l'Etat
1er juillel 51!
Franc
concerJlan~
(ex. : remillaçants de rt Ctveurs,dlstnbuteuftl
D2 BI
AC 3
AffILIATION AUX CAISSES
D'ALLOCATION fAMILIALES DU
PERSONNEL INllERMITTENT
"e
J'ai l'h onl1eu r d e porler ci-rle!>sous, à. la
ciJnnaissall ce
MM. les Chefs de SerVIL'"s
des adminisl mllons pllbbiques, les tellmes
d'une lelfre ~e M . le Directeur de la Cais~~I'
d'A110cations Familial es des BOuclzes-dll_
Rhôllè, port,a nf flaN/ica/ion
d'un apis
du
Conseil d'Etat sela,n leql/el le persOnnel em ployé pnr "rttcr11l1llence Ou OccaslOlln elle_
menl par les admini tratiolls de FEtat doit
être inlillafriclllé à la 'Caisse Départementale
,l'Allocations familiales.
Pour le Prefet.
Le Secrétaire GéJleral
LAMASSOURE.
., .
CmSSt d'A llocations FamiLiaks
1re classe . ...
2e classe ._ .. ' .
3e classe ......
~e
classe .. ....
5e classe ..... .
50 classe ......
7e cl" e .' ... .
590.000
553.000
551.000
5 16.000
504.000
466.JOO
465.000
423.000
406.000
377.000
351.000
334.000
308.000
294.000
450
415
380
22.900
34.'i
305
265
225
Page 5554. compte]er le labteau conc:erntI(lt les adjoinls techniques
par te tab6eau suil'ant :
Adjoints techniques ...................
Classe excep ...
1re classe
2e classe ' .....
3e classe ....
4e cl"sse ......
5e Classe ......
50 cl as"" ......
7e a1asse ....
424.000
405.000
430.000
416.000
408.000
388.000
4 13.000
399.000
379.000
359.000
380.000
369.000
352.000
33 1.000
348.000
338.000
325.000
300.000
3 17.000
309.000
295.000
269.000
294.000
277.000
268.000
243.000
252.000
244.000
246.000
216.000
223.000
217.000
19.7VO
32.033
12.966
24.633
10.233
360
340
3 15
289
2fi.1
237
211
185
5. 166
19. 166
4.233
13.900
1.966
7.633
366
6 10.000
585.000
564.000
54 1.000
514.000
489.000
470.000
442.000
410.000
391.000
353.000
342.000
308.000
294.000
629.0()(J
6 17.000
577.000
565.000
524.000
5 12.000
475.000
46 1.000
4 14.000
405.000
355.000
349.000
308.000
295.000
6.833
4.500
6.500
451.000
438.000
455.000
445.000
430.000
416.000
433.000
424.000
397.000
384.000
398.000
39 1.000
366.000
352.000
363.000
357.000
336.000
3 1 ~.000
329.000
324.000
301.000
284.000
294.000
,289.000
270.000
254.000
260.000
254.000
246.000
223.000
228.000
224.000
477.000
47 1.000
479.000
475.000
451.000
445.000
453.000
448.000
416.000
409.DOO
4 16.000
412 .000
380.000
373.000
379.000
375.000
344.000
336.000
342.000
339.000
307.000
299.000
304.000
301.000
273.000
264.000
267.000
265.000
246.000
230.000
232.000
230.000
utilisant du <personnel comme indiqué ci-dessus à se conlomler à l'avis du Conse;1 d'Etat
en dema ndant leur immatriculation à notre
Caisse à compter du 1er avril 1950.
Ils a uront à régler trimestriellement les
co tisations de 1·6 p. [00 sur les sal",res bruts
de ce 'perso nnel qu i,
en retour, percevra de
notre orga nisme les prestations familiales
auxq uel'Ies il est susceptibl e d'avoir drO'it.
Ve uillez agréer, Mons ieu r le Préfet, J'e x-
pression de nos sentiments disti~n.gués.
Pour le Déred,eur,
Signé : Illisi blement.
•
Communiqués - A vis
Annonces diverses
en rapport avec M. Alfred Leduc, 87, rue
de la République. à Salins--Ies-Bains (Jura)
- - - - f '.:.OOc::.
D2 B3
DEMANDE DE SUPPLEANCE
POUR LA PERIODE DES VACANCES
M. Charles BOUT, ex-secrétai re de Mairie demeurant à Arles, rue Trichaud, assurerait, po ur la période des conges annuels, ie
remp lacement d'un secrétai re ou employé de
Mairie, dans n'importe quelle commune du
départeme nt des Bouches--du-Rhône.
Mlv\. les Maires intêressés par cette candidature voudront bien se mettre directement _
en rapport avec M. BOUT.
•
CommUNIQUEs DU 6ECBETHRl8T
- DE L'UMIOK DES lIlBIRES
J
03 B2
A VIS DE CONCOURS
REUNION OU COMITE DIRECTEUR
I I, Rue des Con"alesce nt~, MarseiWe
PREfECTURE DE MAINE-ET· LOIRE
Le Comité Direc teu r de l'Union des Maires des B.-du-Rh. s'est reu ni à la Préfecture
le vendred i 30 juin.
Il avait à examilner ulle proposition de rl'lorme des statuts et il preparer l'Assemb.lée
générale de juillet.
24 mai 1950
I\ll onsieur le Préfet des Bouches-dI/-
Rhône, Hô tel de ,la Préfecture,
Mar",ill e.
Objet: Affiliatiol/ al/x Caisses d'AI/o caiions
Familiales (te cer taines catégories de perSOI_II eL ~rOlla iliant pOlir les administration s
publ iques.
Monsie ur Ue Prékt.
Dans sa séamce du 18 avril 1950, le Conseil d'Etat (section socia le), saisi "par le A'l:nistre du Travail et de U1a Sécurité Sociale
de la question de 5<1\'o ir quel est le régime
de Sécurité Sociale appl'i cable à diverses ca·
26.633
32.966
24.633
29.300
21.666
28.333
20.000
24.666
18.400
25.066
18.066
21.733
13.9'66
20.966
15.300
18.633
9.600
17.933
12.266
14.933
6.166
14.933
9.833
12.166
2.266
10.600
7.600
10.266
Nous VOliS serions tres obhgcS" de bien
vouloir inviter les agents sous vos ordres,
MM . let-, ,\-talres lntêrt~ par cette candida tu re voudront bien se m~ttre dirl.'ctem6!lt
des BOllches-du-Rhôn"
Pat<? 5553. compliler le tableau conc'munl les ingénieurs subdivisionnaires par le tableau suivant :
Jngenieurs ...ubdh'isionnaj res ....
des P . T. T., des recel'eurs--buralistes des
Contributions indirectes et de. aide tc",pOraires des <percepteurs).
tegori es de personn el travai UJa nt, soit d'ur!c
façOn intermittente, so it occasio nnelle, soit a
temps partiel, ,pour ·Ie co mpte d'adm inistrations de l'Etat, a émis l'avis de ce personnel, qui n'est pas régi par Un statut de droit
pUbl;c. devait relever des Caisses Départementales d'A ll ocations Famil iales.
Concours sur titres pour le recrutement
d'une assistante sociale à l'hôpital
psychiatrique départemental de SainteGemmes-sur-Loire.
Un co ncours su r titres est ouve rt (1 la Préfec ture cie Maine·et-Loire. il Angers, le 3 octobre 1950, pour le recrutement d'une assistante soci aie à l'hôpi tal psychiatrique Dëpa r-
temental de Ste-Gemmes-sur-Loire.
Les co nditi ons sont celles
rêté en date du 6 juin 1950 de A\. ie p,,' fet
de Maine-et-Loire.
Les ca ndidates ne seront admises a concouri r qu'après IJagrément du Prefet.
Les dossiers des candidates devronT ètre
adresses avant le 1er ao tit 1950, date de la
etôture des inscriptions, à M. le Préfet de
Maine ...et-Loire, à A-ngers, 3e Di~sion , 3e
Bu reau, Qui fournira tous renseignements
aux postu lantes et notamment la nomendature Ides pièces à prodllire.
Parmi ce personne'l, il fa ut comprendre Ilu-
lam ment :
10) Les fe mmes de ménage occupées par
les administrations de l'Etat et rémunér';"s
géner aleme nt au moyen de crédits de ma-
lé rieil.
2° Les person nes embauchées par un fon ctionnaire et payées par lui sur un fonds
d'abonnement ou à l'aide d'une indemnité
globale, Ou • sur ses deniers personnel s,
moye nnant le ma intien dt> SOn tra itemeni:
fi xees par J'a r-
---l., o o('~----
D2 83
DEMANDE D:EMPLOI DE SECRETAIRE
DE MAIRIE
M. Alfred L~duc, secreta ire de M aine. hu't
ans de sen'ice, soLFicite un emp10i de secrétaire de mairie dans une commune de pl u
"" 5.000 ha bitants du départemen t de. Bou·
Après a\'oir entendu les eX'Plications données par le Président Sur la proposition de
rêIorme des Finances locales, soumise à ,'As-
sembl ée Nationale par l'Association des Maires de France, Je Comite Directeur a décide
de ne pas toucher aux divers artides des Statuts actue l~ . Un eul point légèrement différent a eté adopté: un candidat l'ar canto'1
sera désigne au cours de réunions prepa~a
to ires qui se tiendront dans chaque chef-lieu
de canton et non au chef-l ieu d'a rrondisse-
mel1t. Il sera ainsi désigné un seul représentant par ca nton, puis ensuite J'Assemh lée Génerale Ipourra décider de pourvoir un certam
nombre de sieges suppl émentaires, afin de
fa ire rentrer dans l e Comite Directeur ceu x
de nos coLlègues qui, de par l~ u.r~ activitê~.
l e ur ~ compétences et- leu rs posslbrhtés de deplacement accepteraient de faire acte de
candidature.
Le Comité a ensuite estimé l étant donné la
periode des travaux de la campagne et ceUe
de
vacances, qu'il était rpréférable de ren-
vo yer il fin oeptembre-dèbut octobre 1: Assemblee Genérale qui
AUDIBERT.
Copie certifiée conforme.
Pour le Préfet :
L. Surllaire Géniral,
LAMASSOURE.
H.~
se te11Jr apres le 14
L f Secrêlaire Gênerol dt l'Union
c h es-d u-I~h ône .
........n
cf{'V31t
jumet.
Il • •"'''.11.01'&, 1...
11ft
s;.a . .
�If"
•
R1BJE,~'-.J
10/B~~QUE _.FRANC!AISE
3 .t 20 Juill.t 1150
12:
,~,..
1
DËPARTEME:~T" DÈS
. /~
,
Recueil des
8- Année. _ N" 28 et 29
~! 'Ii " \
UCHE.S-DU-RHONE
'0 '
}l"t
\
es Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance r elativê au R ecu eil doit étre adressee à la Préfecture Secré tariat
Général
ABRÉVIATIONS
A, P. : Arrêté préfectoral. - C, : Circulaire. - Les le ttres 0 et B suivies d'un ohiUre indiquent le Service ou Bureau d'origi n<.
- S, L. R. A, : Servi ce de liquidation des Réqu isitio ns Alle ma nd es. _ R, G. : Ravita;Uement Général. _ S, C. R. : Service de la
Ci rcul a t io n et du Roulage. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. S. T . : Direction des Services Techniques.
SOMMAIRE
Arrêtés réglemenWres et Circulaires
A O. -
Pag("s
A O. -
Arrête fixant le taux des cotisation s en mati ère d'allocations ~a mi ..
hales agri coles pour le premier semestre 1950 .... . . . . . . . . . . . .
•
109
FSO. -
FS 8. 1
S. C. 7. - Instru ctions pour la luite
e ontre les feu x de forêts ......... .
S C 7. - Rôle des communes en cas
d 'incendies de forêts
........ .
III
Soins il domicile .. ........... _.. . .
11 5
C<Jmmunlqués du Secrétariat
III
Assista ote Médi ca le Gratu ite.
111
•••
Pu bli cation ,y un agré ment d e
fosse chimique ................... .
109
110
de l'Union deS Maires
Visites c hez M. le Préfet. - Congé
III
annuel ... .... . . ... . ... . .
115
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D6 BI
A 0
ARRETE FIXANT LE TAUX OES COTISATIONS EN MATIERE O'ALLOCATIONS
fAMILIALES
AGRICOLES
POUR LE PREMIER SEMESTRE 1950.
Le Préfet des Bou a hes-du-Rihô ne,
Officier de la Légio n d' Honn eu r,
Vu la loi du Il OIars 1932 s ur les a ll ocations fa miliales ;
Vu le déc ret du J I ma i 1938 te nda nt a
aména ger ct il completer les .dispositio ns
applica bles a ux
agriculture ;
..
trava il d es
F O. - Versement aux comm unes {facomptes a valoir sur les attrib utions
,du ,f onds <1e " éréquatio n . . .
A O. -
Arrêté fi xa nt les co n<litions
d'activité
pr ofessionllell e
ou vrant
droit à l'attributjon des pr estations
familia les agri co les .........
Acc ide nts du
salari es agricoles .. ....... . .... .
allocations
f amiliales e l ~
Vu le décret du 29 juill et 1939 re latif à la
famille et la natalite fra nça ise;
.
Vu la loi clu 22 août 1946 fi xa nt le régime
des prestations fami liales ;
Vu l'arrêté inte. ministériel du 3 1 dé cembre
1946 relatrl au x Co mités départ eme ntaux des
prestations familia les agricoles ; ;
Vu la décision du COll1ité <Départeme ntal
des prestations famili ales agr icûies prise
dans Sa seance du 19 ma i 1950 ;
Après avis du Contr ôleur Divisionnaire des
lois Sociales en Agri culture,
,Sur la .pre>positio n du Secrétai re Gé néra l,
AIR~El1E
:
. AnTICLE PIlEolII ER, _ Les ta ux des cotisalions a ppli cab les au x différentes catégories
d'assujettis au financement des prestations
f~miliales aurÎCol es sont fix és comme suit à
ti~re provisoire pour les premier et deuxième
t"mestres de l'a nn ée 1950 :
a) Cotisations du es po ur les exploitatio ns
agr icoles : 250 % d u revenu " adaslral réel
par trimestre ;
b) Co tisations dues ,po ur les cu ltures maraîch ères et lérrum iè res 250 % du revenu
cadastral réel affecte du coefficient 2 ;
c) Cotisations dues pour l es entr epr ises à
prod uctio n spéciale et les a rti sa ns rura ux :
8 % .cres salaires moyens départementaux en
vigueur a u cou rs ,de l'a nnée 1949 ;
d) Cotisations ·aues po ur les p rofessions
co nnexes : 8 % des salaires reels.
ART. 2. -
'Les cot isations des eXiploitations
mi xtes re levant des catégories a et .b sont
calculées à raiso n de 250 % de leu r re venu
cadast ra l réel affec té d'un coefficient de ma joration qui sera fonct ion du rappo rt entre
la main-d'œuvre théori que, évaluée selon les
bases adoptées 'PO ur l'ouverture du droit aux
presta tion s, nécessai re, d' un e pa rt, aux cult ures de la catégorie b et {i' autre part, à
l'ense mble de l'e''ploitation.
Ce coefficien t de majoratio n est a insi déterminé :
Propo rtion de main-d'œ uvre de la catégori e b :
Eo-ale ou in férie ure à 15 %, coefficient 1.
ID~ 15 % ft 25 % 'inclus, coefficient 1,2.
De 25 % il 35 % inclus, coefficient 1,3 .
De 35 % à 45 % inclus, co!!!!icie nt 1,4.
De 45 % à 55 % inclus, ,coefficient 1,5.
De 55 % il 65 % in cl us, coefficient 1,6.
De 65 % à 75 % inclus, Icoefficient 1,7.
IDe 75 % il 85 % inclus, coefficient 1,8.
Supérie ure à 85 %, coefficient 2.
ART, 3. - Le revenu cadastral des terrains
trans fo rm és en ri zières, compte tenu de sa
fai b le impnrtance, subira une majoration
égale à la moyenne à l' hectare du revenu
cadastral d es vig nes en Cama rgue.
AR r. 4. - Le Secrétai re Général de la
Prefectu re et le Co ntrôle ur des Lois Sociales
en Agricu lture, so nt cha rgés, chacun en ce
qu i le ,con ~e rn e. die l'exécution où présent
arrêté.
L'Iolarseille, le 5 Jui ll et t 950.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
LAlMLl\.SSOURE.
- - - < >00<>- - -
D6 BI
AO
ARRl:"TE FIXANT LES CONDITIONS
0' ACTIVITE
PROFESSIONNELLE
OUVRANT DROIT A L'ATTRIBUTION
DES
PRESTATIONS FAMILIALES
AGRICOLES.
<i.e !Prefet des Bouches-du-Rhône,
Offkier de la Légion d'Honneur,
Vu la loi n' 46- 13&5 du 22 aoùt t.946
fixant le régime ·des prestations Ifa milia les
agricoles,
Vu l'article 2 de la loi n° 48-354 du 2
ma rs 1948,
�__
~
I
I
~
U
~
______________________________
~
__________
~
________________________
~
_________________________________
~
II I
Vu l'article 36 modifié du décret n· 4ô-8~O
du 10 décembre 1946,
Vu l'amHé du 29 octobre 1948 de ~t. lé
M.inistre de l'Agric ulture,
Vu l'arrêté préfectoral du 4 mars 1949,
Vu la circulaire n· 83 AS!> 4 de M. le
Ministre de l'Agric ulture, en da te du 22 d,;cembre 1949,
Vu l'a\·is de _\l le Contrôleur Divisionnaire
des Lois
So~ia l es
en
~aric ll it uret
Sur la proposition du Secrétai re Gé néra l,
A'RRETE :
ARTICLE PRE.MIER. -
Le present arrêt é :1
pour objet de fixer les ,conditio ns d'activi té
professionnelle ouvra nt dro it à l'intégrali té
des 'Prestations familiales dont peuvent H re
bénéficiaires les membres des professions
agricoles et connexes cl l'agri culture définis
par les oécrotS-lois aes :JO octobre 1935 et
31 mai 1935.
Le présent arr~t(> détermine d"autre pan
la quotité des prestations dues aux persOIlnes visées à l'alinéa p recedent lorsque leur
activité professionnelle est insuffisante pour
leur c uvrir droit à l'intégTalité des presta-
tions.
ART. 2. - Pour les tra vailleurs sa lariés
des professions visées à l'article 1er, le nomb re de journées de travail ouvr ant droit à
l'intégralité des prestations fa miliales est fixe
à 18 pa r mois, soit 2 16 par an.
Dans le cas particulier des ouvriers fo restiers et des ouvriers résiniers, il y a éq uivalence entre 18 journées de travai l et un
salai .. de 12.000 francs.
Les journées de travail effectuées en plus
du minimum fixé ci-dessus peuvent être
réparties sur les mois suivants, dans le cadre
de "année civile.
ART. 3. - Les exploi tants agncoles percevront l'intégralité des prestations lorsque
le nombre de jours théoriques de travai l que
nécessite annuellement leur exploitation sera
.au moins égal à 216.
•
Le nombre de jours théorique se calcule
par e>.ïploitation en mu ltipliant la superficie
de ohaque cult ure par le nombre moye n de
jours de travail indiqué ci-dessous pou r chaque nature de culture et en additio nnant les
résu ltats partiels obtenus.
Nombre moyeu.
de jours
de travail
1tr Gr()/lpe : Bois pacage, landes,
coussouls .... . ... .... .... . ...
2 jours
2me Groupe .- Amandiers, céréales, fou rrages et oliviers .... .
30 jours
311le Gr(JUpe : Arboriculture fruitière, vigne, riz ',., .. " . . ,.
60 jours
-lme Groupe: Plantes sarclées, légu mes secs, cultures légum ières .de. plein champ, cultures
maralcheres ... ... . . . . . . . . . . .. 190 jours
5me Groupe : Elevage de mou1 jou r
to ns: par tête de m(}uto n adulte.
ART. 4. - Est considéré Co mme exerçant
tJne acti vité profesSio nnelle équivalente au
nombre de journées de travail fixées à l'article 2 et par su ite a droit il l'intégralité de.
p restations lamiliales :
a) L'artisan rural dont l'atelier ou l'ent .. prise est en état d'activité 20 jours par
mois ;
Les chefs d·eKploita tion des prof~ssions
connexes qu i occupent de la maln-d œ~vre
et qui n'ont pas d'autre activité p rofeSSionnelle.
<1»
ART. S. -
La q uotité des 'Prestafions dues
en cas d'activité réduite s'expnme !par une
fraction dont le numérateur est égal au nombre de journées de t ravail effectuées o u il
ses équivalences telles q u'elles ont été déterminées aux articles 2 et 4 cl...dessus.
ART. 6. - T out exploi tan t metta nt en
\'aleUT des terres dont la s uperftc ie nécess ite
216 ou plus de 216 journées <te trava il par
an perçoit l'i ntégrali té des !prestations fa mlliaÎes au titre de son ac ti vité d'ex ploitant
que lle que soit l'importa nce de Son act ivité
salariée.
ART. 7. - Tout exploita nt mettant en valeur àes terres dont la superficie nécessite
de 109 à 216 journ ées de t ravail par an, perçoit d'abord les allocations 1amiliales au titr e
de son activité d·exploitant et proportio nnellement à celle-ci, et, évent ueliementJ un
complément a u titre de son activ ité salariée
et pruportionnellement il cette derni ère activité.
ART. 8. - TOUl exploita nt mettant en valeur des terres do nt la superfi cie nécessite
au 'Plus lOS journées de trava il, et effectu ant
un " ambre de journ ées de trava il salariées
co mp ris entre 109 et 2 16, pe rçoit les allocations fa mil iales, en premier lieu, au titre
cie son ac tivité sa lari ée et p roportionnellement à celle-ci, et, en second lieu, un Complement au titre de SOn activité d'exploita nt
et 'Proportionnellement il cette dern iere activité.
ART- 9. - Tout exploitant mettant en valeur des terres dont la supe rficie nécessite
un nombre de journées de travail au p lus
égal à lOB, et effectuant un no mbre de jour~ées de travail salariées inférieu r ou au plus
egal il lOB, perçoit les allocations fa miliales
proportionnellement il chacune d'es deux activités.
ART. 10. - Tout sa larié agricole exerçant
une activité d'eJÇploi ta nt bénéficiera de l'allocatio n d~ Salaire Unique » proportio nn elleme nt à Son activ ité de salari é lorsque l'exploitation qu 'il met en valeu r Ipour Son propre compte, nécessitera au maximum :
- 72 journées de travail, si le ménaO'c n'a
pas plus de 2 enfants à charge ;
b
- 108 journées de trava il, si le ménage
assure la dharge dJau moins 3 en1ants.
ART. II. - Confo rmément à l'artic le 3
du décret du 10 décembre 1946, to ute perSonne n'exerçant aucune activité professionnelle et qui ,prétend a ux prestations fa mihales doit justifier par to us moyens de l'impossibilité dans laquelle elle se t rouve d' exe rcer une telle activité. Elle dépose à cet effet
une demande auprès de la Ca isse cl! Allocahons fam ilialés dont elle p rétend percevoir
les prestatJOns rfa milia les.
ART. 12. - Conformément à l'article 4 du
docret du 10 décemb re 1946, sont présu més
ètre dans 1'.lmpossibilité d'exercer une act i~Ité prof~slonnelle et par suite ont d roit il
1 mtégrahte des prestations fa miliales a uxquelles eUes peuvent prétendre :
l' L'~suré Social, ma lade, à compter de
la premlere constatation médicale de la ma la-
die et ,pend a nt to ute la période d'i nderuni
hon prév ue pa r la légiSlati on des aSS ur !a.
socia les ;
anc~
ARRET E:
ARTt CLE UN IQUE. Les dispositio ns de
l'arrêté préfectoral du 16 mars 1949 demeurent en vig ueur jusq u'à la !parution des conventions collec ti ves co ncern a nt les trava illeurs de l'Agricult ure.
2' La fe mme ,pe nda nt la périOde prénal 1
et la peri ode .post- natale pour laq uelle ~I'
bé néfi cie d'un e ind~ mnité de l'assurance • ,
ciale ma ternité;
So_
3' J.es vic times,. "'acciden t d u travai l Pen.
dans la pén oue d in capacIté te mporai re .
40) Les in va lid es ass urés sociaux cla~ses
da ns les 2e et 3e g rou pes défi nis par l'a
ticle 55 de .l'ordonn a nce du 19 octobre Ig{;
et les In va lld.es aSSimilés d u régi me agriCOle'
S· Les vi ctimes d'accident du trava il bénf
ficiaires d~ un e rente co rrespo nda nt à un tau;
égal 0 11 supéri eur oit 85 % ;
60) ,Les (bé néficia ires d' une pe nsion corres.
ponda nt à un ta ux égal 0 11 s upérieur à 85 %
au fit re des lois des 3 1 mars et 24 jUi:
19 19 ;
7" Les chô meurs insc rits à un fonds de
chômage;
SI) Les titu lai res de IJa llocat io n aux vieU!
ou d' une pens io n de vieillesse au titre d'un
régime de sécuri té sociale.
ART. 13. Les dispositio ns de l'arrête
pré fecto~a l d u 4 ma rs 1949 so nt abrogées el
remplacees par cell es du ,prése nt arrêté.
AIn. 14. - lM. le Secrétaire Général de
la Préfecture, M. le -Co ntrôleur des ILois So.
ciales en. Agricul t ure, so nt chargés, chacun
en ce qU I le co ncern e, de l'exécutio n <.l u prése nt arrêté.
-Ma rseille, le 5 j uillet 1950.
<Pour le Préfet,
Le Secrétaire Géné ral,
G. LAIMASSOURE.
------- <~oo «~ ----___
A0
06 B I
ACCIDENTS DU TRAVAIL
DE S SALARIES AGRICOLES
AR~ETE
Le ,Préfet etes Bo uches-du-Rhône
Officier de la légio n d' Honne ur '
Croix de Guerr e
"
Vu la loi d u IS déc~m bre 1922 étendanl
aux eX!ploitatio ns agri coles la l égi~l atio n sur
les aCC Idents <l u t ravai l .
Vu la loi du 30 av ril 1926 et l'ordo nn ance
45-1842 du 12 aont 1945 modlfiant co mplé·
tant et mterprétant la loi d u 15 décembre
1922 s usvisée ;
Vu les arrêtés p réfectora ux des 30 ","il
et 18 <lécembre 1948 'portant fixation du régi·
me dIJ trava il des saiari és dans. les exploila·
Ilons agricoles ;
Vu l'arrêté interm inistér iel d u 25 janvier
1949 portant modifica ti on d u <délai de deux
ans fixé pou r le r enouv ellement des arrêtés
préfectoraux pris en appli catio n de la loi d"
15 déce mbre 1922 ;
Vu les instru ctions de <M.• le !Minislre de
l'Agric ulture en date d u 27 janvier 1949 ;
Vu l'avis de la Comm ission !Paritai re .du
T ravail en Agricul ture ;
Vu l'avis d u Co ntroleur des Lois Sociales
en Agricult ure ;
Sur la p roposition du
Ma rseille. le 11 juillet 1950.
Po ur le Préfet,
Le Secrétaire Généra l,
G. IJAlMiASSO U~E.
----c
~OOC~ -----'_
0 2 B3
F 0
V6RSEMENT AUX COMMUNES
D'ACOMPTES A VALOIR SUR LES
ATTRIBUTIONS DU FONDS DE
PEREQUATION
Conform eme~ aux d ispOSitio ns d' un e ci rculaire réce nte du 'M.inistre des 'Fi na nces il
n'a pas été te nu compte da ns le calcul des
recettes gara nties, po ur le ve rsement du
quatrième aco mpte Sur les attributions d u
fo nds de -péréqu at ion, des re co uvrements
effectués du 1er fév ri er 1949 au 3 1 ja nvier
1950, ail titre de la taxe Sur les p restatio ns
de 1948.
Un certain numbre de ,Mai res d1u dépa rtement des Bouches-du_Rhône o nt ex primé
leur inquiétud e ùe vo ir a insi modifier les
dispositions de la loi d u 3 1 déce mbre 1949
aux termes de laq uelle « l'ensemble des
taxes 'perç ~es a u titre de l'année 1948, q uelle
que.. SOIt 1epoque de leur pe rception, entre
en hgne de compte pour le .ca lcul des recettes garanties ».
J'ai d onc dema ndé à mo n Administration
Centra le de vo ul oir Ilien me préciser si la
régularisation q u'im pliq uait la loi précitée du
31 décembre ne po uvait être présentement
effectuée.
Par dépê che d u 10 ju in 1950, UW. le M, nistre de l' Intérie ur m'a in diqué que l'o n ne
pouvait pour l'illw nt envisél!ger une telle
opération.
En effet, s i pour le ,calcul d'e s recettes garanti es en 1949 l'nn ra ttadhait dès mai ntenant a u produi t de l'ancienn e taxe locale
entre le 1er fév rier 1948 et le 3 1 ja nvier 1949,
les .reli quats encaissés ultérie urement, il faudrait logiquement rattacher aux at tributions
directes versées, au ti tre de la nou velle ta xe
• ntre ie 1er févrie r 1949 et le 3 1 janvier 1950,
les sommes encaissées ,à ce titre après cette
\ dernière
date.
lCe derni er élément éta nt incon nu, on ne
peut donc q u'allouer des acomptes dans les
cO~dition s prév ues par la circu laire ministéneUe du 3 1 janvier 1950.
Mt. le Mjnistre de l'Intérieur précise, en
outre, que le moment ve uu il diffusefa toutes
I~stru cti ons complémentaires su r la liqui.cJIa.hon de l'attri butio n :pour 1949.
j e porterai ces instru ctions à la connais~,an ce de MIM. les lM.aires, dès leur réception:
~al cru uhle p~ u r l'insta nt de leur faire pa rt
es . dernteres Inform ations connues en ta
matière.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secrétaire Général,
LAMlASSOURE.
-----,0:
"oo«~------
D.D.S.
FS O
PUBLICATION D'UN AGREMENT
DE FOSSE CHIMIQUE
Je vous serais (}bligé de vo uloir bien dorénavan t vous co nfo rm er strictement à ces
prescri ptions.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOUIRE.
------ «>00 .. >---___
ARHETE
Le Préfet des 'Bou~hes-d\J -Rhône
Otfieier de la Legio n .dJ Honneur, 1
. Vu la loi du 15 Févrie r 1902 sur la protechon de la Sa nté publique .
Vu l'a rrêté préfectoral e~ d'ate du 1er a"ril
1929, réglementa nt l 'el~p l oi des fosses chimIques ;
Vu les résultats des analyses effectuees
pa r le La'boratoi re N~u n icipa l d~Hygiène ail
COurs de l'expé rie nce qui a d'u ré du 10 décembre 1949 au 30 Avri l 1950 .
l'avis fa vorab le émis p~r le Conseil
Departeme nta l d' Hy gir ne au Cours de sa
séa oce du 24 ~\ai 1950 .
Sur la p roposition de j~ . le Directeur Départementa l de la Santé,
yu
A-RRETE :
ART. PREM IER. - La fossel d'aisance il
acti? n chimiq ue « Asepta ~ construite par la
Socleté Asepta, l, rue Dulong. à Paris (1 7' )
et conforme il l'ap,parei l expérimenté, est
agréée dans le dépa rtement des Bouches-duRM nc.
ART. 2. - Ava nt to ute installation le constrac teu r devvra :50um ettre à IJa utorité sa nitaire les pla ns de l''''ppareil à installer, qui
comporteront, nota mment, l'indication de la
Ca1Jacité et le nom bre d'usagers.
ART. 3. - Mt le Secrétaire Général dëïa
Préfecture, oMo le Directeur Départemental de
la Santé, M~\t les Directeurs <tes Bureaux
municipau x d'Hygiè ne, ,M ~\1. Jes vice-preSIdents des Commissions Sanitaires MIM!. les
"'~aires des communes du départeme~t et
"'lM. les Comm issaires de Police, sont chargés, chacun en ce qui le co ncerne, de IJexé_
cut ion du present arrêté.
02 B3
SC 7
IN STRUCTIONS POUR LA LUTTE
CONTRE LES FEUX DE FORETS
MM. les Maires, chefs de Corps de Sapeurs-Po mpiers, chefs de Secteurs foresliers.
Ir ouveront ci-dessous les directives néceslKli-
res perm ettant une organisation efficace de
lutte contre les incendies de foréls.
De la slricle observation des règles Mil·tées, résultera une action puissante et coordonnée, facilitant la Julie co nfre ces sinis-
Ires.
fe demande à tous les ëchelons d'execulion d'appliquer La réglemenlalion fixée, afin
d'obtenir le rendement maximum. en circonscrivant r apidement à ses débuts un incenLiie
de fo rêts, en Le combattant aVec ordre et
méthode en cas d'extension et en prenant
toutes Les précautions utiles afin d'en empécher la reprise.
(Certains tableaux annexes, dont il est fait
mention dans la présente ;nsfrudian seront
publiés dans un prochain Recueil des A etes
Administratifs, dès que le ral/achement des
communes forestières aux différents Corps
de Sapeurs aura été définitivement mis al!
painE).
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
•••
CHAJPITRE f\REMIER
IMarseilie. le 19 juin 1950 .
OHERATIONS
Pour le Pretet,
Le Secrétaire Général,
L.AMlASSOURE.
1. - PI~INCIPES D'ACTION
l. - L'organisation qui sera mise en !place
pour la campagne 1950, s'inspire des prin- - - -- . . 00 . .- - - - - cipes fo ndamentaux suivan~
03 B3
FS8
1 Un feu pris il son début est 1acilement
ASSISTANCE MEDICALE GRATUITE
maîtrisé.
2° Le feu (sauf cas speciaux) se combat
Soins à d(}micile
principa lement 3\'eC de IJea u.
Le Pretet des Bouohes-clu-~hône,
3 Les reprises de feu, ,plus dangereuses
à Mol' \. les !\1aires du Département, q ue les commencements d'incendie, doivent
j'ai été amené à co nstater que mes ins- être é\'itées par des mesures très étudiées.
tructions a ntéri eures relatives à la délivrance
4 Le rendement de la lutte est améliore
aux assistés par les ·Maires, des bulletins de
très nettement par lin commandement et des
consultation et d'ordo nnan ce sont fréquemliaisons bien, ass urés et par la coopération
ment perdues <te vue.
de to us les organis mes intéressés à la forêt.
je me perm ets <lo nc de vo us rappeler que
De puissants moyens motorisés susceptiles bénéficiaires de l'Assistance Médicale
bles d' aller à peu près en tous terrains, disséGratuite, assurés sociaux ne doivent être
minés à l'avance sur J'ensemble du territoire
dotés que de bons cie consultation ou d'orfo resti er, servi par un personnel spécialisé.
don na nce de co uleur verte.
a mèneront à piecJ.-..d'œuvre et dans des délais
très réduits, une réserve dJeau suffisante
Aux assistés titu laires de la carte « d'Eco nomiquement faib le ~ sont délivrés des
po ur engager la lutte. Ils pourront dans les
cas favorables, attaquer directement le feu .
!.bulletins de couleur verte ou rose suivant
Après la premi ère extinction, ils doivent perque les intéressés sont ou ne sont pas immamettre une irrigation de la ligne sur l"<luelle
triculés il la Sécurité Sociale. Ces ibulletins
les reprises sont lpossi-bles.
doivent comporter, de façon très <rjlparente.
la mention « Economiquement faible ) insDes mo ye ns de liaiso n efficace J seront
crite soit à IJe nue rouge soit au moyen
également mis à la disposition des secours
d'un timbre humide.
en cours de lutte.
<)
0
0
�11 2
-
Moyens d'action dans les collin es:
- Camions G.I\\.C. avec cuve de 2.500
litres et moto-pompe.
- Camionnette Dodge avec cuve de 600
litres et moto-pompe.
- Jeeps avec cuv~ de 200 litres et motopompe.
- Camionnette Dodge de transport.
2. -
(voir répartition en annexe).
- Seaux-pompes dorsaux (type c Sulfateuse »
- Outi ls portatifs divers.
Ces moyens, les uns départementaux, d'a utres co mmunau.x mais tous fortement sub-
v entionnés par rEtat, sont r épartis entre
certains des Corps Urbains déjà existants et
20 autres Corps de Sapeurs-Forestiers.
.
Ces Corps seront renforcés par les équipes
de sauveteus locaux et éventuellement par
la troupe qui seront munis progressivement
<fun outillage spécial important en réserve
départementale.
Des véhicules privés sont en outre requis
par le 1lv1aire de chaque ce ntre de se~ours.
Deux annexes c i-après donnent le détall des
moyens des Centres et de la réserve départementale.
3. - Défense des hameallx, maisons, etc ...
Les engins forestiers ayant une missio1
spéciale dans tes co llines, les mai res et commandants du feu doive nt, en cas de menace
contre les hamea ux ou maisons. faire appel
aux engins urbains des Centres D ép.a rtemen taux de Secours, qui conservent touJours
le personnel et Je matériel nécessai re.
Il. - ARTICULATION
~. Dans l e Departement, la l uite co ntro
les feux de fo r êts est di r ig-ée' pa r le Préfet,
dont l' Inspecteu r Départemental (comman dant du bataillon de Marins-Pompiers de
Marseille) est le conseiller technique et l e
delégué permanent.
Dans les arrondissements, la lutte est di-
r igée par les Sous- Préfets d' Arles et d'Ai x.
et pour l'Arrondissement de MarseIlle, par
le Commandant du Bataillo n de MarinsPom piers. Ces autori tés sont seco n.d~es par
les inspecteurs départementaux ad]ol.n!s ~e
Mar seille Aix
Salon,
Tarascon,
delegues
permane~ts d~ chef de l'A rrondissement.
Les inspecteur
départementaux adjo~nts
contrôlent l es Centres de Secou rs For estJers
(principaux et seco.n~ai res) de leur. r.essor!
(voi r Bulletin AdmlnIslrallf des Mames n
16 du 20-4-50 et annexe).
En outre un certain nombr e de .. chefs
de secteur , sont également poun'us d' une
dél éaation des chefs d'arrondissement . II.
Ce tte di rection comporte des charges de
deux ordres :
a)
U ne cha rge
d'admi nistration
ct de
liaison:
_ Procéder dans sa commu ~ e anx. réq u,isitions Je personnel ou de . servH:es, regler ,e
ser vice du personn el req uIs ;
_ faire guider les groupes de seco urs ;
_ Susci ter selon les plans prépa ré~, le
co nco urs des orga nes techniques ou spéCiaux
auxquels resso r t la co mmune (E~ u x et Forêts, Gendarm erie, Sapeurs-Pompiers, T rou-
pe Poots et Chaussées,
P. T . T.,
Trans-
po'rts, Canaux, etc.), faci liter et co ntrôler
leurs liaisons à tous moments i
_ Ten ir info rmées les au torites supérieures ou leu rs délégués et faire . transmettr e
les messa ges des Services Sp éciaux
_ Régler le~ ravitai llements (notamment
~ eau et en \'Ivres :
b) Une charge éventuelle de décision .en
cours de lutte. A cet égard, connaissant ble(l
sa ré-ion disposant des adjoints et des
o r (J'a n~s ~ompetents, le l\\aire fai t en sorte
qu~ toute décisi on importante soit prise par
accord entre lui et le co mmandant du feu
Une fois l a décision prise, il facilite de tout e
son autorité l'action des centres de secours.
D ans Je cad re de la double mission explicitée ci- dessus, le mai r e a auto r ite sur tous
les organismes intér essés.
7. - Lo rsque l'ince ndie intér esse deu x ou
plusi urs co mmunes, la Direction de la lutte
incombe à l'Autorité Pr éfectorale, represen-
tee par les Sous- Préfets d'Aix et Arles et,
pour l'Arrondissement de M arsei lle, par k
Commandant du Bataillon de Marins-Pompiers, chacune des ces autorités pouva nt dëlé"uer pour agi r en ses lieu et place un 1ns-
pe';,teur département al adj oint des Services
d'Incendie ou un Chef de Secteur.
Le Chef de l' Arrondissement (ou son dél égué) est égal ement assiste de représentants des Eaux et F.o rêts et ~e la Gendarm eri e de l'A rrondissement.
Chaque maire co nserve la direction de la
lutte sur son propre te rritoire, compte tenll
des moyens et directives reçus de l'autorité
supérieure.
S. -
L'auto ri té préfectorale ou son délé-
gué l'inspecteur départemental
adjoint
0:.1
chef de secteur) peut aussi prendre l a di rec tion de la lu tte lorsque sur une seule commune le feu pr ésente une gravité très séri euse.
Dans ce cas, le maire lui apporte tout le
concou rs possible et, d'autre par t. les senices spéciaux renforcent leur participation
Les commun·es fo restières sont r attachées
il deux ou plusieurs Centres de Secours (voir
Commandement d u Feu :
9. -
Pour toutes les con;mun es, le ch!!f
du Corps de Sapeurs- PompIers
D IRECTION - COMMANDEMENT
D ans les cas gr aves (fr ont cie feu
dépassant 200 mêtres, m enace co nt re les for êts importantes, menace co ntre un e deuxiè_
me comm une, etc... ) il rend com ple à l'Inspecteur Departeme ntal adjoint par le message « Feu da ngereux » qu'.ü peut complé-re r .par c demande le renfort de .... voi tures
de....
A. 6. -
•
et
éve ntuellement
dan gereux )
l' Inspecteur D épar temental adjoint se rend
sur place (ou délègue un chef de secteur)
en vue de prendr e les fo noti ons
de
COrn·
manda nt du f eu. L 'Inspecteur D épartemental
ad,joi nt (o u le ohef de secteu r) qui prend le
comm and ement co nser ve avec lui so n prédécesseur pour le seconder et se met à la dis.position du maire.
Il . - Si l e feu men ace ou tOllche deux
ct>mmunes l' Inspec te ur D épartement adjoint
(où le c h ~f de secteur) intervi en t comme d';' ·
léallé de l'a,utor ité pr éfectorale de r arron~is·
opri llcipe, le co n'co urs de la troupe ne
por l el'a mitialement
, que sur un détachem ent
d'une quin zaine d hommes.
d'
'é
Le concours des moy ens ra 10 de 1arm E
de l'air peu vent éventuellement être demandés par l' Inspec teur D épartem ental d'ans !es
conditions qui seront approu vées par le Colonel co mmandant la 4e RégIOn Aért enn e.
14 - L' Inspect eur D épar tementa l adjoint
peut · employer les engi ns tous terrains ~es
communes et les Corps de sapeu rs-fores!lers
po ur un sinistre situé dans un rayon de 20
kilbmètres autour de leur lieu de stationn ement même si ,ce d'épia cement do it les con duir; en dehors de la zone de l' Inspecteur
àépartem ental adjoint dont ils relèvent. Dans
ce cas il previ ent l'Inspecteur départementa l
adjoint intéressé.
L'intervention des Corps de sapeurs- for estiers des B ouches- dll- Rhône dans les déparlements limitroph es (et réciproquement) est
envisagée da ns des conditions qui sont
actuellement à l' étud e.
15. -
L a p reparation par les Mair es de
la réquisition des sa uvete urs civ il s a fa it
l'objet !(i'une ci r culair e insérée au Bull etin
Administratif des ,M aires du 25-5 et 1-6 n '
21 et 22.
Il est prÙise que cette réq uisition doit
L ' Inspecteur Départemental adjoint (ou
chef de secteur) délégué du Sous-Préfet vei lle
ce ndie.
alors pa rticy 'ièr ement :
- il répartir les moyen s entre :es communes ;
- à coor donner la l ut te dans l-es régions
li mitrophes des deux commun es ;
- à provoquer la réquisitio n des. concou rs de h utes natures qui sont n ~ces~alres ;
- à rendre comp ~e de la situatIOn au
heures.
Sous-Préfet et à l'Inspecteur D épartemenlal
des Services d'incendie.
de toute la popu lation va li de en ca s d' inLes équi pes sont re levées au bout de huit
Les règles ci-dessus de devolution
de la Direction de la lutte et du commande'
ment du feu sont r ésumées par le tabl eau CIdssous .
Si le fe u semble dev oir durer plus de 24
velles équi pes de r eq uis civils.
TOlites les fois qn e c' est utile et 'Possible,
le ~~\ aire req uiert en outre des camions-citernes pour le transport de l'eau.
-
Commandem ent du feu
Chef de co r ps arrivé l e premie
Ma ire
1 Inspecteur
D épar temental adjoin
ou chef de Secteur
Inipectm neparlimentat ldl~lt
(qui peut êtr e le Com (ou Chel de Secteur r
mandant su péri eu r du Commandant Supért eu
Jeu) ( 1) .
du feu.
des Mai res Sur leur commu ne dans ce cas.
V. . 16. -
SIGNALISATION
Gu el. -
Un résea u de postes de
Ylgle établi sur certains points élevés ( liste
~n. annexe) fonctionne en permanence de fin
JUin
à fi n septembre.
Ohaque poste est doté d'un appareil d'observallon orienté er du télép hone.
d Des guetteurs . entraîn és ont pour mission
e détecter les fum ées suspectes et de d'onner l'alerte.
1 Certains postes à terre de la !M.arine et
e~S ap~~reil s
de . I:aviation militaire terrestre
mantlme parti Cipent à cette surveill ance.
17
s't . -
Si par suite de la mauvaise visibilité ou de
nuit, l'incen die ne p eut être localisé exactement, l'I nspect eur d~pa rtem e ntal adjoint
cher che a ?bt enlr d'autres postes v i gies, l es
éléments d un recoupement topographique.
,Il alerte les centres voisins du feu signalé
et leur donne l'or dre de dépar t dès qu'i l est
suffisamment r enseig né.
18. -
L e u\1..aire de toute co mmun e sinis-
trée aler te sa population et les trois ou quatr e ce ntres de secours for esti ers de ratta.
ohement. Il entre en r elation avec l' lnspec:
teur departementa l adjoint à qui il co mmuni que tO lIS r enseignemen ts (gravité d u sinis-
tre, centr es alertés, etc ... ).
19. - Les com munes centr es de secours
fo restiers doive nt prévoir 2 sianaux d' alerte
différents :
~
L 'un { fe u sur la ~omm un e) alerte à la fois
les sa,peurs-pompiers forestiers et la 'Population à requérir.
L'autre (feu hors de la com mune) n'aler te
que les sapeurs pompiers for estiers
à l'extéri eur.
20. -
à envoyer
Les Centres dépar tementa ux de Se-
Cours urbains doivent également
deux signaux différents :
prévoir
L' un pour l'appel des secours destin és il la
forêt (jamais plus de 10 ,hom mes)
feu
L'autre pour l'appel en cas d'e
urbain.
La r équisitio n de ' sauvete urs civils donne
éventuellement lieu à un
tro isième mode
d'aler te.
21. -
Le rendez-vo us est toujou rs à la
M ai rie du si nistre d'où des guides co mmu-
naux co ndui ront les éléments
de
renforts
extérieurs SUr les 'bieux de l' incendie.
22. - ~Ilseignemenls : P our permettre
au co mm andem ent d'intervenir sans délai et
d' uti liser les moyens dont il dispose, il imporre de l ui donner il tout instant les éléments d'appréciati on indispensables.
C'es t pourquoi, à tous l es échelons, le sou ci de chacun sera de rend r e comp te à son
chef imméd iat de l'évolution de l a situa t ion
da ns sa zone d'action : progression d u feu,
interventions diverses, fro nt du feu ) et... (pré-
cise r l' heure).
heures, le djrecteur de la lutte pr end! les
dispositions nécessair es pour pr ovoquer le
concours de la troupe et r assembler de nou-
12. -
.......... D élégué du Préfet
"
CEn
éq uip es pour les communes moyennes.
Dans les petites co mmunes, le ser vice d'ince ndie doit pouvoir co mpter sur le co ncours
ou, exceptionnellement. Inspecteu r Déparl emental adjoi nt ou chef de Secteu r.
pa ragr aphe Il l e r ôle
ou leurs délégués
n ~'
(Inspecteurs
dé'pa rt~ m e n ta u x, a d"lOin t s, c he fs
d secteur Y comprt s).
con co urs prévus au parag raphe 6 ci-d essus,
co ntinue ft did ger la lutte sur sa commu ne,
sur laquelle il dispose d' un comm andant du
feu particulier.
sur les lieux.
(I) Voi r
eXcte~t"S préfectorales
3 équipes de 22 hom mes pour les communes il population importante, et 2 ou 3
Maire
Sur Je te rritoire de sa commune,
t
<le °t~onne lle _ être demandé que par les
supérieur riu feu. Il prend le h t re de « Corn·
mandant du feu ». Ohaq ue maire, avec les
Feu normal sur une seu le commu ne . ... . .
Feu sur deux communes et plus
3 _ Le concours des mo yen s militaires
1 te nature ne peut - sauf urgence
porter au minim um su r :
D irection
Feu dangereux sur une seu~ commune
+ de 200 mètres de front ....... .... . ... .
DISPOSITIONS PARTl CULlE~ES
se~ent et exerce alors, à la fois la direCTion
génér ale de la I!/Utte et le ~ommandement
de la l uite
Dir eclion de la l u Ile
l e mair e est responsable de la di rection de
la lutte.
h()mmes
« moyens radio ».
Ali reç u du message « Feu
IMPORTANCE DU FEU
m-
5. - Il Y a lieu de distinguer l a <
rection de la Lutte > et le c Commandement
du Feu >.
le
10. -
tableau en an nexe).
Ill. -
arrivé
premier a.ss ure le com !f1andemell t de tous les
co rps a rn va nt successivemen t. Il est dit COrn.
manda nt d u fe u. A cet effet, il laisse à SOn
seco l1(~ le comma ndeme nt de son propre
Corps et se met à la disposition du mairt~
et en relati on avec les rep résentants des
di ve rs Sen 'ices.
Il répa rti t les seco urs ent re les deux ailes
du feu et tous autres po ints intéressants en
co nstitu ant des g roupes de co rps renforcés
pa r. des sa uvete urs civil s ou m ilitai res ; Il
déSIgne le chef de chac un de ces groupes.
et
-
IV. _
,
co nstituent une réserve de comma ndement
qui agit sel on les principes ci-aprés.
B. -
Alerte. -
23. - Tran smisSions : Le moye n de base
est le léléphone qu i sera uti'l isé chaq ue fois
que possible. Les M aires, second és
gendarmer;e ti endront une li ste des
d'abonnés etablis dans les ZOnes d'action
éventue ll es et qui pourront être utilisées pour
la transmission des ordres et compte- rendus.
Dans les communes où le service té léphor.lque n'est pas assuré de façon permanente.,
des dispositions seront prises pour que, pentlant leE heures de fermeture, un abonné, dE'
prei(.rt1 CE" sapeurs-forestier. reste branché
sur le r éseau pour recevoi r le s appels.
Si Ja commune po ède à 'a fois un CO TipS
de sap eurs-forestiers et lin Poste -Vi gie r "ttaché, des dispositions spécia les sont p Tl ·jt5
!,a~ la Direc tion des P. T. T .
L 'util isation des moyens radio fe'. l'objet
d·lnstructions spéciales à l' usage des In!'jJccteurs D ép2 rtementa ux adlj oints et chefs de
Secteurs co nform ément auxd irectives établies
par la Di rection Régionale des Transmissions.
L e guetteur qui décèle et
ue
plh . exac tement un incendie en aVÎse télé-
l'l onlquemeut d'abor d le ,M air e et en tous cas
/ specteur départemental adj oint des SerIees d'incendie.
pa r la
postes
24.
VI. - LUTTE
Rassemblement , Equ ipement
Tra llsport des SauJleteurs :
Les équipes de requis se
moment de l'alerte en un Heu fixé il l'avance
où l es moyens de transport l es prendront
pour !/es conduire sur les lieux de la lutte.
L es co r,ps de sapeurs-forestiers venus de
ljextéri eur et la troupe se rendent à la mai-
rie où il s trou veront les g uides dési gnés par
le M aire.
L es véhicu les de t r.a nspor,t sont à la disposition du Commanda nt du leu (selon les ordres du Comm andant Supéri eur) pour l e personnel de re nfort, le ravita illement ou les
mo uvements des équ ipes en CO urs de lutte.
25. - Attaque des fOy erS:
L 'action est régl ée par l es Commandants
du fe u en fo nction de "" situation : (nature
du feu, for ce et directio n du vent, te rrains,
etc .. .).
Le Comma ndant du feu répar tit les équipes
et le matériel, fixe à chac un sa mission et
or ganise le r avitaillement en ea u.
L 'attaq ue esi menée en pr inci pe par les
ail es po ur redu ire et étra ngl er progressivement l e fr ont du feu.
C'est l'eau qui sera employée de preféren ce il tout autre moyen et autant que possible sous la forme pulver iseé, so it pa r prt>jection directe par les moto-pompes, soit au
moyen de seaux-pompes dorsaux.
L orsque la pro gres sion
des flammes
est
trop rapide, i l faut envisager d'atten dre le
feu Sur une li gne d'arrêt judicieusement
choisie à une distance suffisante pour que les
moyens nécessai res soit en place
en temps
vou lu.
Cette li gne d'arrêt s'app uj era sur un obstac le naturel ou artificiel, existant ou à
cr ée r, tel que: allées pare- fe uj clairière, route, lignes de faitesj zo ne déb rousai lLée, tran-
chée, etc ... et tel qu'une quantité suffisante
d'eau puissé être amenée à pied d'œuvre.
26. - Conlre-ferux : Ils ne peuvent être
aMumés que sur l'ordre express du chef de
l'Arrondisse ment ou de so n délégué et avec
l'accord c1u ou des
M aires intéressés.
Ils
doive nt également et à fortiori s'appuyer sur
une ligne de départ solidement or ganisée.
compte tenu du vent et du relief.
27. - Exlinclion el surveillance des résidus : Une fois l e feu maîtrisé, l e Commapdant du feu doit impérativement fai re arroser
suffisamment les lisières du fe u ct faire exercer une surveillance active qui ne cessera
que sur son ordre lorsque tout d'anger de
r eprise sera definitivemcnt écarté.
Pour cet arrosage il veille : à faire si
nécessaire relever les corps trop fatigués ;
- à préciser exactement les corps responsables à renvoyer tout effectif ou
tout corps Înutiie particuli0rement la nuit
quand le "ent est tombé.
Le D irecteur de la lutte veille à entretenir
soignellsem~nt les transmissions, les effectif
des guides. le ravitaillement et à renseigner
t'autorité de "Arrondissemen t sur la situation. Le lendemain du fe u au petit jour, un
ou deux Corps désignés par l'Inspecteur Départemental adjoint doivent veni r fai r e un
nouvel arrosage.
VII. 28. -
PREPARATI ON DE LA LUTTE
Les divers chefs de corps dressent
pour leur zone un croquis montrant:
- les points d·eau utilisables (1) avec in-
dication de la co nlenance po -ible ;
L't
les chemins des principaux ma~ifs ;
de
j
mètres de pro fon-
�- -IC\
114
- les semis doe reboisements écartés des
u:assifs ;
- les Postes d'appel téléphoniques écartés des villages.
Les Inspecteurs Départementaux adjoints
dirigeront les chefs de corps <tans cette tache - ils adressent copie de ces croqUIS au
Bataillon de Marseille et les communiquent
pour information aux chefs de Secteur de
lieur région.
29 bis. - Permanence des dimanches el
jours ftiriés :
L'Inspecteur Départemental des Services
-d'Incendie ré glera un ser vice de pennanence
susceptible de garantir les dimanches et jours
fériés, le départ rapide de secours suffisant>;
dans les diverses zones.
Les vacations <:orrespondantes sont réglées par le Service Départemental d' Incendie.
CHAPITRE SECOND
PRESCRlPTIONS
D'ORDRE ADM'lNlSTRATIF
30. - Ravitaillement des sauveteurs. - Le
ravitaiJlement en vivres est assuré par la
commune ou a lieu le sinistre.
Toutes mesures doivent être prises en
temps voulu pour la préparation et le transport des vivres.
Les frais ainsi engagés par la commune
seront signalés au Service Départemental
(voir plus loin § 34) pour remboursement.
31. -
Comples rendus .
Le commandant du feu établit en fi n de
sinistre le rapport d'i ncendie selon les indications de l'imprimé rëglementaire d u -Ministère de l'Intérieur (imprimé qui est entre les
mains de chaque chef de corps) et adresse
ce rapport sans délai à l'Inspection Départementale.
Chaque chef de corps intéressé adresse la
liste nominative du personnel (sapeurs pompiers et sauveteurs requis) ayant participé
effectivement à la lutte contre le feu avec
indication des heures de départ et <le retour
au Centre et d'es ,'acations dues (selon le
modèle donné en annexe). Cet état sera
transmis en trois exemplaires à l' Inspecteur
Départemental après visa du IM;aire. (Un cres
états doit être émargé par les intéressés).
32. -
Rémunération des souJleleurs :
Taux des indemnités :
A. a) Sapeurs..Pompiers et Sapeurs Forestiers.
Les taux des vacations ont été fixês par
arrêté préfectoral et insérés au B. A. .NI. n· 7
de ~éVTier 1950.
b) Sau,'eteurs communaux (requis).
Les personnels r equis perçoivent une
indemnité horaire égale au salaire horaire de
jour des manŒuvres oe l'industrie du bâtiment (Ire catégorie).
Les chefs d' équipe sont assimilés aux ouvriers qualifiés"4e catégorie).
B. -
Paiemenl des indemnités :
La Commune doit prendre à sa C'har ge
le opaiement oes vacatio ns des sapeurs"Pompiers et forestiers oe son propre corps, pen&nt les trois premières heures d'intervention
(voir ci-après § 34, subventions éventuelles).
2· Le Service Départemental prend à sa
charge :
a) Les vacations du Corps de la commune intéressée à partir de la quatrième heure
de lutte ;
b) Les vacations des sapeurs-pompiers et
] 0
for~stiers appelés des communes
\'o i sine~.
ainsi que les indemnités du perso nnel requIs
(ch'ils et militaires) ;
c) Les frais de dépense d '~ssence des
véhicules mis par l e Service Departemental
à la disposition des cO~l~.unes ;
d) Les frais de réqUls,tlons des vé hi cules et les dépenses en vivres; .
e) Les dépenses d'i nte rvenlio ns de la
troupe, le cas ë~éa l1 t ;
f) Les vacations pour permanence LIe
jours feriés.
Le paiement des. p,ri!11es et vacations ser.a
assur é pa r l' inte rm~dJalr~ du Receveur MuOlcipal à qui le Servlfe Depa r tement a ~ ad r ~sse
le montant globa l des f rais, des r eceptlons
des états établis par le chef de cor ps et
transmis par le Maire (voir :paragr. ~ 1. CIdessus). Un exemplaire el1\'oye est d~hne au
Trésorier Payeur Général ; le deuxleme est
r etourne au maire en même temps que les
fonds ,. le troisième est conserve aux archives.
33. - Assurance des sa uveteUl s.
Outre la pension ùe l'Etat en cas d'incapacité définitive (totale ou partielle), les sapeurs pompi-ers et sapeurs forestiers d.es
co rps régulièrement constitués font l'objet
d'assurance contre les incapacités temporaires dont les primes sont réglées pa r le Service Départemental.
Un contrat d'assurance collectif est d' autre part souscrit par le Sen'ice Départemental pour garantîr contre les acci dents les
sauveteurs requis.
34. - Subvenlions.
Les communes désirant obteni r IIne sub\'ention pour couvrir une partie des frais
prévus ci-dessus (pa rag r. 32 B, 1· ) établirOllt à la date du 1er octobre une demande
globale pour tous les ince ndies survenus
avant cette date. Cette demande sera transmise en trois exemplaires à l' Inspection Départementall pou r le 15 octobre.
Le dossier devra comprendre :
- Une délibération du Conseil Municipal,
- Un état des dépenses engagées,
- Une attestation de paiement de ces
dépenses signée par le Receveur M unicipal.
La subvention sera accord ée sel on l es possibilités budgétaires du service de lutte Co ntre les incendies de forêts.
35. - Service Médical. - Dès que la lutte
contre le feu est engagée, le Maire d~ la
commune intéressée doit prendre toutes mesures utiJes pour secour.ir, transporter et soig ner les blessés le cas échéant, ,une ,boîte de
secours de première urgence, ainsi qU'lUn
br ancard, doivent être tenlls à la portée des
sauveteurs.
36. - Divers
a) Garde du matériel
Dans chaque
commune à qui le Service Départemental
aura <lélivré du matériel et de l'outillage en
vue de la lutte contre l'incendie, un gar<1e
magasin devra être désigné pour assu,rer la
surveiUance et la délivrance éve nt,uelle du
matériel aux équipes d'interventioJlS. Une
gratification annuelle sera accordée.
b) VéhiCl/les cilern es. - Cllaque Co rps
doté <l'un véhicule doit conserver ce véhicule en état de marche, réservoir d'essence
et nourrices 'Pleins. Un petit stock d'essenœ
peut éYentueUement être constitué si la COnservation peut en être assurée sans danger.
De toutes façons des acco rds doivent être
L' t CLOT La mbesc, Pomp.
DUPLin, Trets, P,?mp.
S/~!e\. CORNAUD, Ey,g Uleres,
S/c,eu
pompiers .. . ... . .......... .
S/Lieu!.. RAYSAUD, St-Rémy,
PompIers ................ ..
L'eut RICHARD, Aix, Pomp ..
~.I CHABAUD, Salon, Pomp ..
D'INNOCENZO, Grave-
pris loca lement avec un pompiste POUr que
le ravitaillement en essence puisse être
effectué sans délai le ca échéant.
Les dépenses d'essence nécessitées par une
intervention sero nt remboursées i.ntégrale~
ment par le Service !Departe mental, SUr présentation de factures acquittées, visées et Cer,
tifiées par ':le Maire.
SI
't
S/'tt·
e) En lrelien des véhicules départ""•.
lanx. - Co nform ément à l'Arrêté Préfecto-
son, PQmpters ............. .
_ _ _ <>00<> _ _ __
ral DNB 3073 du 14 novembre 1946 réglanl
le fonctionnement du Service Départemental
les dépenses d'entretien couran.t des véhicu l~
départementau x se ront à la char ge de la
commune.
Les répara ti ons importantes sa uf en cas de
négligence de la commune seront à la charge
du Service Départemental.
D2 B3
ANNEXE N· 1
LI STE DES INS PECTEURS DEPARTEMENTAUX ADJOINTS DES SERVICES
D' INCENDIE
N· Téléph.
A/arseille :
NA 56-70
et DR 56-71
L'action des pompiers forestiers qui viennent
de Iplusieurs co mmunes plus ou moins éloignées, doit nécessairement être coordo nnée
et utilisée par les autorités et la 'pop ul ation
de la commune sinistrée.
18-22
Salon :
2-67
2-1,1
MILLET, Pompiers.
2-25
1-1 2
Domicile.
LISTE DES C HEFS DE SECTEURS
Colonel MARCEL, !Marse ille.. . .. GA 45-83
Ct PALANQUE, Marseille.. .... NA 34-2J
Commandant LUSSEAUX, Marseille, Marins-Pompie rs. .. . .. NA 56-70
Commandant MA THIEU, I)1arseille, Marins-Pompiers. . . . . . NA 56-7Q
Lieut.-Vaisseau SERAY, Marseille, Marins-Po mpi ers ..... . NA 56-70
Capitaine GUE~IN , Marseille,
Marins-Pompiers ........ .. .. . NA 56-70
Capitaine CA TRY, Marseille,
Marins~Pompiers ..... ........ NA 56-70
. Capitaine CHEILLAN, Martigues, Pompiers ....... ... .. .
0-11
Capitaine MAURRIE, Aubagne,
0-10
Pompiers .... .. ........... .
Capitaine SICARD, Châteaurenard, Pompiers ........ ,•... , .
Capitaine PELLOORINO, Ar6-91
Ies, Pompiers ........... . . .
S-76
- Domicile ............... .
Lieutenant
V
ALLES
La
Ciotat,
p
'
,
OmpIers ................ ..
Lt GIROT, Istres, Pompiers .. .
LI ATENOUX, Peyrolles, Pomp.
SC 7
donc être maintenant pr,ête à entrer en jeu.
Aix :
Tarascon :
5
3. - La réquisition du perso nnel civil doit
Capitaine TRIMAILLE, Bataillon de Marins~Pompiers ...... NA 43-15
et NA 2S-91
Capitai ne PASQUET, Pompiers.
Domicile.
0-47
1S-22
2-67
1. - j'ai l'honn eu r o'ap peler votre atlen·
tion de façon particulièrement ,pr essante sur
la circulaire insérée aux B. A. lM'. nU 21 et
22 des 25-5-50 et 1-6-50, relative à la réquIsition des sauveteurs c.ivils et. sur le rô l.e
important que ces dernt ers d01\'ent r emplir
pendant la lu tte co ntr e les incendies de forèts.
A- - D'1>SPOSmONS G5NERALES
2. VOliS n'i gnor ez pas que le rôle qui
vous est dévolu par les lois 'd'li 2 1-6-98 art. 7
et du 26-3-24 art. 7, a co nservé tOlite so n
importance, La création de nombreux Corps
de s,apeurs forestiers dotés d' un important
matériel motorisé est une raison supplémentaire pour que les com munes intéressées redoublent <l'efforts. la célérité de l'action est
d'autant plus importante que les moyens de
luite sont plus efficaces, et la res,po nsabilité
de chacun, en cas 'de négligence, n'en serait
que plus lourd e.
•••
Capit. CARBONNEL, Pompiers.
8
Le Préfet des ,souches-du-Rhône,
à MIM. les !Maires du Département,
Habillement. -
Commanda nt LASVIGNE, Bataillon de Mari ns-Pompiers....
17
ROLE DES COMMUNES
EN CAS D'INCENDIES DE FORETS
Il est recommandé aux
Maltes des co mmun es possédant ou créa nt
un Co rps de Sapeurs-Aompiers Forestie rs, de
faire délivrer all ipersonnei un habillement ré.
duit (chaussures. bleu de tr avaiL, ceinture de
feu).
Cette dépense est à la cha rge de ~a commune ; une subven,tion qui sera au min imum
de 50 % (et a u maximum de 80 %) pO ll rra
être accordée.
d)
1
90 11
4. -
Il est nécessaire éga lement de préle nombre de véhi cules nécessaires au
transl>ort des req uis sur les li eux du sinistre
et <ie s'assurer que ces vé hi cules et l eurs
~o nducteurs_ seront (bien cfispo ni bles à tout
Instant, particu lièrement l e dimanche. La
Mairie devra disposer dlu ne petite réserve de
carburant pour alim enter si besoin ces véhicules.
VOir
Capitaine
•
5. - Les indemnités versées a u personnel
re quis ont été fortement a ug mentées pa r
rapport aux a nn ées précédentes (elles atteig nent 75 francs par horaire). Et si, ma lgré
toutes les considérations ci-dessous, certains
cas de mauvaise volonté de la Aart des requ is étaient révélés, je rappell e que main
forte doit être d'e ma ndée à la gemiarm erie et
pocèS-vErbal dressé à l'enco ntre des réfra ctaires.
B. -
DISPOSITIONS f'A1RHCULI,mES
Alerte.
Une surveillance !perm anente est exercée
par les guet teurs des postes-vigies d'o nt le
nom bre est passé de 2 à 5. MaIS ces poste;
n'en restent pas moins assez écartés et il est
parti culièrement important que le sinistre
soit combattu le plus tôt possible, ava nt même qu'un poste de guet ait pu le recon naître.
Toute pe rson ne qui ape rçoi t un foyer dont
elle ne peut venir seu le à bout, doit donc
prévenir Ipar tous les moyens la Mairie ou
la Gellda rmerie la 1'lus p roche.
Les abonnés au tt.-!Iéphone doivent savoir
que les dépenses qui résu lteraient pour eu x
de la transmission de l'alerte seront pr ises en
char ge par le Service QéJ)artemental.
6. -
7. - Votre Commune aevra do nc alerter
immédiatement les Cor ps de Sapeu rs ,Forestiers a uxquels elle est ratta c hée et l' Inspecteur Départemental adjoint de la zô ne, e:
faire d'onner le signal de rassemb lement des
sauveteu rs ci vils.
8. -
En outre, ces divers groupes de sapeurs
fo restiers ou les troupes {fevr ont toujours
avoir avec eux des représentants de votre
Commune.
10. -
Service d'ordre,
Lorsque les chemins d'accts sont difficiles...
ou dangereux, vous devr ez fa ire disposer au x
passages délicats le personnel nécessaire
pour aSSurer la ;police de la circu lation.
Eviter d'engager 2 véhi cules au sens
in verse dans un c hemin étroit.
Indiquer les li eux où le stationnement
et le demi-to ur so nt possibles.
- Prévoir les itinénaires de ~gagement
el de repli.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secrétaire Général,
LAIMiA,SSOURE.
•
GOlllllIONIQOU DO SEGBETBQIIT
DE -L'OllON DES WalDES
VISITES CHEZ M, ,LE PREFET
CONGE ANNUEL
Pennanences à assurer.
hUM. les Receveurs auront reçu à ce sujet
des instru ctions de leur Direction Départementa le et auront pris toutes dispositio ns
pour que l'alarme Ipuisse être reçue ou transmise par un poste d'abonné dësigné à cet
effet ou par eux-mêmes.
9. - Dès que l'alerte est donnée une permanence doit fonctionner dans la Com mune
à la N\airie .penda nt les heures ouvrab les et,
en dehors de ces heur es, au poste de l'abon né
de service. Cette perm anence doit recevoir
les r enforts et les fa ire diriger sur les lieux
de la lutte, r ensdgner les autorités supéri eures su r l e .cféveloppement du sinistre et, s'il
se ,prolo n'ge, organiser le ravitaillement des
sau veteurs.
Des guides seront prévus en quantite suffisante - ils reviendront à la Mairie, une fOÎs
leur mission a-ccomplte, pour se tenir prêts
à conduire les nouveaux: arrivants.
M/J\\. les Maires du département sont informés que les visites ~ebdomadaires chez M .
le Préfet seront supprimées du 14 Juillet au
3 1 Août, en raison de la période <les vacanCes.
tEgalement, pou r cette mtome raison, le
Bureau de l'Union des IMaires sera ferm é
pendant tout le mois d'!Août.
Néanmoins, le Secrétaire Général viendra
deux matinées rpar semaine, afin de répon<ice
à la corresponda nce qui lui sera it adressée.
Le Secrétaire Général de l' Union,
AlJDIBERT.
------- <~oo<>-------
Copie certifi~ conforme.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
--------------------------------------.IW>~.~'~...==,~.'N~.=..~.~~-.=.~V~À;.,=.;,UZ~-,"H~.~.~..~S~.~,;..;,.~-------------------------------------
�n J,in,t et
3 Août 1950
RÉPUBLIQUE
FRAN(;AISE
/~. .. _ N"
30 et 31
DËPARTEMENT DES
'etBulletin des Mairies
•
Toute correspondance relativE. au R ec ueil do;' être adressee à la Prefecture Secrétariat Général
AHRÊVIATION8
A. P. : Arrêt~ préfectoraL -:- C'. : Circ ulaire. - Les lettres D et B suivies d' un ohiUre indique nt le Service ou Burea u d'origine.
- S. L. R. A. : Service de Liquidatio n des Réqu;,;i tions AII. mand es. - R. O. : Ravita;Uem ent Général. - S. C. R. : Service de la
Circulation et du Roulage. - D. D. S . : Direction Départementale de la Santé. - D. S. T . : Direction des Services Techniques.
SOMMAIRE
Artêlés réglementaires et Circulaires
Page ..
A,û O. -
Arrêté fi xant les éc helles de
traitements applicables au pecsonnel
des servvices et établiss eme nts départementaux à co mpter des 1er ja nvier et 1er juillet 1950 . . .... . ... . .
A 3. - Agri culture : Autori sa tion temporaire pour l'irrigation cres vignes.
AG 2. - ,oroits à pensi o n des professeurs des Ecoles Nati onales d'{' .\11 ISique ... .. .... . .. . ... . .... . .... . . . .
AIJ 5 a. - Avis de mention tr2tlS ni!"
pa r les 'Mai res à un Ce ntre ;l' Et:,tCivi l dtun terri toire ou d' un d épa rtement (f'Outre-lMer . . . . . . ... . . . . ...
BC O. - Domai ne pri" é des cull t'cli-
,
FS 7. 12 1
d u è roit d'enregistrement . ... . .....
P 8. - Na tura lisations ...........
SC 3. - Cinc ulaire T. P. série G. P .
Il bis n' 98 du 1-()"'5O. relative au x
accid:ents dus à un défaut d'entretie n
12 1
122
des trottoi rs '<ies routes nationales
da ns les traverses, et à l'a ct ion récursoire de l'Etat contre les co mmu-
122
nes ... ..... . ......................
TVX 1. - Entret ien d es locaux scolaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
vités locales - Pa iemf: nt du prél ève-
ment sur les loyers _ Subventions du
11 7
12 1
121
Fonds Nationai di' Ameliorati on d e
l'Ha bitat ............. . .. . ........
FS O. - Interdiction temp or a ire de la
vente des çoq uill ages . ............
FS 7. - Honorai res médica ux en service de matern ité des Hôpita ux IPU b li" .......................... . .
M.archés passés pa r les Eta-
blissements Ihospitaliers - Exemption
122
123
123
123
ARRÊTËS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAiRES
D5 B3
AG 0
ARRET,E fIXANT LES ECHELLES DE TRAITEMENTS
APPLICABLES AU PERSONNEL DES SERVICES ET
ET·ABLISSEMENTS DEPARTEMENTAUX A COMPTER
DES 1" JANVIER ET l " JUILLET 1950
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officie r de la Légio n d/,ho nne ur,
Vu les arrêtés préfectora ux e n date du 31 décemb re 1933 porta n .
règlement' du perso nnel du dépa'rtement des <Bo uches-du-Rhône ;
, Vu Il'a rrêlé p réfectoral en date d u 19 décemb re 1949 pris pour
lapphcation des arsê tés inte rmin isté riels en <la te du 19 novemb re 1948.
15 décem bre 1948, 10 ja nvie r 1949 et 16 ma'rs 1949 fi xa nt les éc helles
de tra itements a pplicables au perso nne l des services géné ra ux et au
perSOnnel soignant des éta bl isse men ts et services départementa ux des
Bouches-du"Rhône, et no tamm ent so n arti cle 4 ;
Vu l'a rrê té ministériel d u 17 ma rs 1950 fixa nt les traiteme nts aff érents aux emplois communs a ux se rvi ces extérie urs et off ices des diveradmin istra tions de l' Etat à co mp ter des 1e r J'a nvier e t 1er juillet
950 .
1e r ja nvier et 1er juil le t 1950, mod ifi é par les a r rêtés préfecto raux
Ou 20 juin 1950 ;
Vu l'a rrêté préfectoral d u 10 }u illet 1950 fixant les nouvea ux trail', me nts des éd uca teurs des établisseme nts départe meRtaux ;
Sur la propositio n de M. le Secrét ai re Général des Bouches -dur~ h ô n e ~
Ar rête :
Art icle premie r. - Les ar rêté;· p réfeotora ux en date des 5 juin,
20 ju in et 10 ju illet 1950 sont annulés d ,l eurs dispositions remplacées
pilr celles d u présen t a rrêté.
Art. 2. - A comp te r des 1er janvier e t 1e r juiUet 1950, les tra it eme nts des agents titulaires du cadre dé partemental so nt fixés de la
iaço n suiva nte
1. - PERSONNEL DE D 1RSCT ION
ADM INISTRATI F ET E DUCATEUR
'
V'li l'arrêté ministé r.i e l d u 17 ma rs 1950 fixa nt les t raitemenls
pphoables à comp:er des 1e r ja nvi e r e t 1er juillet 1950 à diverses
atégo nes de fonctionn a ires du Minist ère d e IJlntérie ur ;
Vu l'arrêté minist.ér iel' d u 17 ma rs 1950 fi xa nt les tra itemen ls
~pph cab les à co mpter des 1e r ja nvie r e t 1e r j uille t 1·950 à di verses
tatègo n es de fOn ctionnaires dU Min istère de la J ustice ;
Vu l' arrêté minislériel du 12 ma i 1950 fi xa nt les no uveau x traite~ents des agents des communes et des départements à com pter des
er Janvier et 1er juille t 1950 .
Vu la Circulaire n· 110 d,,' 15 juin 1950 fixa nt les échelles de trai"Il''!~'I~t~~ appli cables a u pe rso nn e l des hôpitaux e t hospices pu blics il
des 1er janvier et 1e r juillet 1950 l'a rrêté préfectoral du 5 juin 195O 'fixant les nouveau x t raite-
l
ments du person nel des services ge né raux et soignant à compter des
Directeurs, chefs de ser vice
Cla.s ses et échelons
Classe except. " ou.v. régime
3· œ ilelo n ........ . .... .
2e éche lon ...... . ...... .
1
(Ir
ech elon
........... .
Nouvelles
Traitements annuel!l
m aj orati ons
bruts
de reclassement
à compter du
I nd ices
1-1-1950
1-7-1 9.')!l
550
550
55U
44.100
46.100
49.433
730.000
726.000
71 9.000
774.000
772.000
769.000
Classe exeept ane. t tgim e
3' éche lon ............ . .
2· éC helon ............. .
500
500
702.000
700.000
696.000
�•
Il '
- -
Nou\-d les
Tratlc:ments aI1Rlll.· \'"
majorations
hruls
de r eclassemen t
-à compter du
Indi ces
1-1-1950
1-7· Hl,j(l
classe .' . . . . . . . . . . . . . .
6 classe
Dlrec/eurs d'établissemenls (1)
rctraile de \l on/olivel ,,1 Tour Blar,che :
730.000
774,000
550
44.100
705,000
746.000
532
41.666
678.000
718.000
514
~9.9OO
644.000
686.000
496
41.300
618.000
657.000
39.566
478
59 1.000
629.000
460
37.333
1rc olasse .. .. ..... .
'1:' classe ........ .. ..... .
3' cla sse "..... . .... "
~ " classe . . ". , . . , .. ", ..
Maison
, ... l'lasse
2' c1as<;e
~.
4-10
.•.......
1)
cla::i5e
4 classe
5 classe
6" da se
410
649.000
602.000
549.000
498.000
de
~)
1~ clas.« ........•.....
Z. classe ... ............. .
3' classe ....... . .. . •..
411l classe ............ _.
5' classe ............. .
6" classe ....... . ..... .
.:)
Institut
1rI' c'a5St!
2' cla -e
3' classe
4· classe
5' classe
6' classe
Foyer des
430
412
394
376
358
340
Pupilles:
38.433
37.733
35.200
33.500
30.566
28.333
538,000
5 10.000
486,000
462.000
440.000
4 16Wo
Départemental cI'AI"'<lgleS :
390
40,166
470,000
372
39. 100
444.000
354
38. 166
418.000
336
37.566
392.000
3 18
36,233
366,000
300
34.300
342.000
Institut Départemental de Ba cteriolog~
classe , .......... ,.
500
42.500
649.000
2me classe. . . . . . . . . . . . . .
470
37.633
608.000
3me dasse _.. ... .. .... . .
440
35.066
562.000
4me classe ,..... . .... . . .
405
29.066
516.000
:'me c:asse ' . . . . . . . . . . . . .
370
25. 100
469,000
6me classe ........... . . .
335
20.366
424.000
Slagraires ...... .. . ,...
300
14.966
38 1.000
5 10.000
483.000
456.000
429.000
402.000
37 7.000
•
"1
691.000
645.000
597000
545,000
494.000
445000
396.000
Econome de la Maison de Retraite de Montoliv el-Tour Blanche
l " ciasse ...... . ,.......
420
42.033
5 14.000
550.000
2' classe ............... .
396
39.233
481.000
520.000
3' classe . .. ............
372
35. 100
452.000
487.000
4' classe ..............
343
3 1.733
422.000
453.000
324
27.666
393.000
42ù.000
" classe ..... ......... .
6" classe ..... . .... ,... .
300
23.966
363.000
3R7.ooo
Secrétaires principaux de 1re calegorie (Chefs de bureau)
6' échelon ...... . ...... .
390
27.500
4 6.000
52:>.000
....... .
, .....•.... ..
365
340
3 15
295
275
3· échelon . ... ......... .
2" éche~o n
1 .;chelo n ,., ....... , .. .
re
1
2'
3'
4-
28.133
26.666
24.733
22.666
2 1.033
Educateurs Chef s
classe ..............
360
41.633
classe ....... , . ..... ' .
344
42.333
d asse
... ..... ... . ..
327
41.533
classe
........ '.
3 10
40.433
•
455.000
420.000
385.000
358,{.I(X)
330.000
421.000
394.000
370.000
345.000
483.000
446 000
409.000
380.0CK>
35 1.000
462.000
437.000
411.000
386.000
Edu ca Teur~
1no classe ....... . .. .. . .
2' classe .' ............ .
3' classe . .. . ...... , .. .
4~ class!!
.
360
331
302
273
46.633
41.600
36.333
3 1.333
4 11.000
376.000 .
341.000
306.000
,=) ..
457.000
417.000
378.000
338,000
244
21~
25,733
201167
273,000
239.000
298~
200,~
EdJucafeurs adjoints
273
244
2 1"
185
3 1.333
25.733
20.867
15. 167
306.000
273,000
239.000
206.000
338,~
298,~
200.!XXJ
221.!XXJ
Nouve lles
majorati ons
Traitcmerns a nnuels
Dactylographes
1" olasse . ... . . . . . . . . . . .
2' classe ...... ... .. . .
3" classe .,........... . . .
4- classe
5' classe . . . . . . . . . . . . . . . .
6' classe
7- classe
170
162
154
146
138
13,)
120
8.066
7.BOO
7.000
5.666
4.633
4.066
3,600
198.000
187.000
177.000
168,000
158.000
147.000
134,000
206.000
195.000
184.000
173,000
162,000
15 1.000
137,000
PERSONNEL .DES SBRV ICES GENERAUX
41.633
37.333
3 1.066
30.400
27.BOO
26.233
24.066
20. 733
18.533
15, 166
17,400
18,133
17,600
17.266
17.033
15.566
12.800
8.533
4.066
421.000
398.000
372.000
345.000
323,000
298.000
273.000
25 1.000
228,000
206.000
462,!XXJ
436.!XXJ
403,!XXJ
376,!XXJ
35 1.!XXJ
324,!XXJ
297.!XXJ
271.!XXJ
246.!XXJ
221.!XXJ
283.000
266.000
253,000
240.000
229.000
216.000
199.000
180.000
147.00u
3OI.IXIJ
283.000
273.000
254.000
2!l2,000
23€,000
224.000
2 10 .000
195,000
17G.000
147.000
301.00l
288,000
269.00l
258.00l
247.00l
238.00l
223,00l
2ü5,00l
188.000
177.000
167.000
158.000
148.000
136,000
125.000
194.00l
189.00l
172.00l
161.(XXJ
150.(XXJ
138,(XXJ
126,(XXJ
2 18.000
205.000
195,000
185,000
174.000
162.000
148,000
231.(XX)
218,(XX)
206,(XX)
194.(XX)
182,(XX)
170 (XX)
155,(XX)
~,!XXJ
270,!XXJ
258,!XXJ
246.00l
231.00l
212.00l
188,00l
151.!XXJ
Commis principaux el commis
Classe exceptionnelle ..... 240 ( 1)
ap res 3 a ns . .. ...... '.
230
avaTbt 3 ans .. _.... . . _.
2 18
2 10
Hors classe .............
202
1" classe ... , . ... , .. , . ' .
2' classe .. , ......... ,...
196
3' classe """ " '."" .
185
Commis 1" classe,.,., ..
In
Com mis 2" classe .......
155
Co mm is 3' classe .. ,.,...
130
(Classe exceptio nn elle 1I0 u l'ell e) ~
17.400
14,800
15.633
15.433
14.900
14,533
13. 500
11.033
8.500
4,066
184.!XX1
151.00l
COll/miS Adjoinls
t te classe ........... .
2" classe ...... . . '" ... . "
3' olasse .. ... ......... . .
4" classe .... .. .. . ..•..• .
5'" classe .......• . .......
6l! cl asse .. . ..•..........
7" c lasse
160
1:;2
144
136
128
11 9
11 0
5.800
5,BOO
4 .333
3.000
2,066
1.833
1.533
St éno-Dactylograph es
1r~ classe
2 classe
3! classe
4e classe
5" classe
..... .
.......••.•.....
190
............ . .. .
7" classe
' , ........... .
172
163
154
145
135
._ ............. .
.
'. . . . . . . . . . . . '.
5e classe ...... . ... ... .. .
IB1
12 .93(3
12.433
11.033
9.600
8.666
7.833
7.166
(~) Les Directeur d'Etablissements Départementaux
Traitements annuels
bruts
de recJasaement
à compter du
échelons
Indice.
4' cl asse
5t c lasse
2 16
204
192
180
6" c'~sse
7' classe
actuellement ::
les éch elles de traitementS
'
~
, d e 1re catégorie. les tral,'tcrn enU
I ~S de S
C.1el
ervlce
el .:.-ec.rétai
rcs Principaux
fixés par le présent a rrêté ne devant avoir d'effet que pour l'ave mr.
Indice s
Classes
Nouvelles Traitements annuels
majorn t:ons
uru ts
T raite- de reclasseà compter du
me nt s 1950
men t
1-1-1950
1-7-1950
2~
classe
:i"
dasse
classe
.......... '.
fi" classe .. " ...... . .•.. ,
7" classe .....•........ . .
c la.:;::,e ..... . ... .
2"
3"
4"
5"
classe
classe
classe
classe
6' c lasse
7" c lasse
ICollducteurs de travaux et
Chefs Cuisiniers des ElaM\ssements de plus de
1.000 lits) :
r
445,000
424,000
39 1.000
357.000
324.000
289.000
254:000
224.000
1-7·1950
251.000
234.000
220.000
204.000
266.000
249.000
233.000
2 16,000
250
244
238
23 1
224
2 17
2 10
11.866
13.733
16.000
16.336
17.200
17.833
17,766
310.000
297.000
283.000
27 1.000
259.000
248.000
236,000
322.000
:1 10.000
299.000
288.000
275.000
266.000
256.000
A gent de D esinfection
l ''~
Adjoints teelMiques ( 1)
15.666
15.200
13.566
12.233
1- 1· 1950
Ch' f de Poste de D ésèafec tion
1r~ c lasse .
5" classe ......•.••... ...
C om mis d' Administration ( 1)
1~~ classe
240
:le c,asse .' ....
230
220
3"' classe
4" classe
2 11
20:\
5' oIasse
....... . .... ' .
6"' classe .... ... ... .. . ..
192
7e cl asse
. . . . . . . .. .
177
8" classe ..............
15S
9" classe ........... '."
130
(Ech e~:" reservee à 30 % des Co mmis).
CI:lSSCS d
4~
(Rédacteurs prin cipaux el Rédacteurs)
36('
34U
3 15
297
279
26 1
H2
223
204
185
Nouvelles
majorations
bruts
de r eclasseme nt
à compter du
Indict:s
1. 1- 1050
l - j . 19;")0
Classes et éebe1 0ns
II. -
Secrétaires principau.x de 2me catégorie et secrétaires
Classe exc. 2" éche lon
Classe cxc. 1"' ec helon
7' écheloQ
...........
57ï.000 1
6' ëc hel Gll . . ....... . ....
54/.000 1 5' éc hel o n , .... .... ,....
4' éc helo n
52 1.000
3' échelo n .... ,.,. . .....
495.000
2' echelon ...... . ....
470.000
ln ëc helon , . . ....... ,...
445.000
S ta g Ia ires
... " " ,
4) Cenlre D épartemelliai de Réeducation de l'Enfance Def:ciellte :
Hors classe ...... _.... _
475
50.500
59 1.000
64 1.000
, ... classe . . ... ..•......
457
50.600
560.000
610.000
?: classe ............. .
43R
47.633
534.000
58 1.000
3"' l~lasse
419
45.500
506.000
55 1.000
4' clas""
400
42.767
481.000
524.000
5- échelon
4' échelon
C1as.;,es et échelons
69 1.000
643.000
591.000
540.000
42.500
40.300
41.400
42.000
500
470
4 ';chelon
3' eohel o n ... ... . . .. . . . .
• ?: echelon .......... ... .
1~r êchelon
Nouvelles
T raitement s I\nn 1
maj orations
bruts
u~.
de recla .. semcnt
à compt er du
Indices
1-1. 1950
1.7. 1(51)
..........•... _.
.. , ......... .. . .
...... .. •.••....
............ . . ..
.,., ........... .
... , ... , , .. '.
230
220
210
200
190
180
170
22. 133
2 1.600
20.433
18.900
17.266
16,233
15.733
2:.8.000
245.000
232.000
22 1.000
209.000
196.000
183.000
280.000
266.000
253.000
240.000
227.000
212,000
198,000
220
208
196
184
171
1:.8
145
19.933
19. 133
17.200
15.000
12.566
11.200
9,500
248.000
232.000
2 18,000
205,000
19 1.000
174,000
159.000
26S000
25 1.000
235.000
220.000
203.000
185.000
168.000
222.000
2 10.000
198.000
186.000
175.000
162.000
148.000
237.000
223.000
210.000
197.000
184.000
170.000
155.000
475,000
Oll vriers P rofessionnels de 2me categorie
44S,OOO
412,000
L'éche lle 170-240 sera attr ibuée a ux ga rdes du Cana\ du Verdon
375,000
et
au
x C ui iniersoodes Etab lissemenls de p lus Je 500 li ts. L'éc helle
,
339,000
170-240-255 se ra rése rvée a ux sous-c hefs Cuisinie rs des Etablisse·
30 1.000
ments de plus de 500 lits.
.
265.000
230.000
Classe except.
255
24.733
292.000
3 16.000
21.400
297.000
240
275.000
' '"'' classe ....... . •...•..
CONT~MAITRES (Surveillanis Chefs et Surveillanles Chefs nOn
2<' classe ........ . ••.....
19,633
229
262.000
281.000
pourvus de diplôm e de persollilei so ignant dans les e/ab lissemen ts de
2 18
3" classe
............ '.
18.633
248.000
266.000
pills tle 500 lits, Chefs Cu isiniers des E tablissements de 500 li 1.000
4" c.lasse ......•.. ..••...
16.833
234.000
206
251.000
IIIs et Gardes Chefs).
5~ dasse ............... .
15.533
2 19,000
194
234.000
1r. classe '...... .
fi' classe ............. ".
370.000
182
13.6OÔ
205.000
2 18.000
25. 133
345.000
290
7" classe ........ ,.
19 1.000
170
11. 400
203.000
343.000
24, 166
3 19.000
2'- classe .. . , .. ,. , .
272
3 18.000
2 1.900
296.000
3' classe .... ,., ...
254
OUlln'ers Professionnels de 1re catégorie
4~ classe ..... ..•..
292.000
272.000
19.966
236
(Sous-Mai/fesses
lingères et sous-ma îtresses buandières,
268,000
y classe ....•. . ...
17.300
250.000
2 18
jardiniers, peintres, cordonniers, chauffeurs, tailleurs, etc ... )
242,000
6' d asse ." .•.....
227.000
199
15.066
7f classe .... . .. . .
204,000
2 16.000
180
12.233
22. 100
266.000
288.000
235
Cla.-;s.t excel}'.
1 r ~ classe .......... .
220
18.600
1.000
269.000
25
Dessinateurs
16,800
237,000
254.000
208
2" c:\a::.sé ....... . ... . .. .
I,e cl asse ..... ... ,.
238,000
196
14,533
224.000
3 18000
15533
S' o' aS5e
303.000
250
222.000
29 1.000
184
13.000
209.000
2~ classe " " " " "
232
14.533
-1-" cla sse
277.000
207.000
196,000
172
jll classe .,""'"
26ï 000
10.366
2 14
12.366
5- classe
254.000
8, 133
242.000
4° classe ......... .
191.000
183.000
10.533
160
232.000
6" classe
196
172.000
167.000
5.500
5' oIasse ... , .... ,.
218000
145
17 ~
7933
2 10.000
7" classe
fi' classe ......... .
194000
188.000
160
;;.466
L' indi ce 235 es! réserve aux Sous-Maîtresse Lingères et Sous7' classe
167.000
2.633
165.000
140
! ..L:1itre s~es Buandières ainsi qu'à 25 % de l'effectif des agents titulaires d'a utres qualifioations professi Jnnelles.
Chefs d'équipe profesoiollileis de 2" calégorie
(Chefs Cuisi"'!ers des Etablissements <Le 250 li 500 Ills,
Lingères
Maîtresses Lin gèr es el Maitresses Buandières)
Classe exce pt. ... "
p. das...~ ., ..... .
~ cJasse ......... .
3~ olasse ...... . .. .
4t cl asse
.... . . '.
se classe ..... .. .. .
ff classe ", . ..... .
1t classe ......... .
360
340
3 15
289
263
237
2 11
185
1" classe .. "...........
, . . . . . . . . . ..
3' classe
... , . ' .•.... '.
4" classe
...... •. . ' . . ..
5" classe
......... , .. '.
6' classe
7' classe .. . ' ... ,....... .
2'- classe
416.000
399,000
369.000
338.000
309.000
277.000
244,000
2 17.000
270
259
248
236
224
2 12
200
29.300
24,666
2 1.733
18.633
14.933
12. 166
10.266
6,500
20. 133
2 1.1 66
20.466
19,366
18.633
18.066
17.566
324.000
305.000
289.000
272.000
257.000
240.000
224.000
344,000
326.000
3 10.000
292.000
275.000
258,000
241.000
1rI! rlasse .............. .
2" cl asse
........ - .. ' .
3" classe .. . ....... .. ... .
4"' c lasse
7" classe
Chef d'équipe professionnels de I re catégorie
(Chefs Cuisiniers des EtablisScmerris de moins de 250 lits,
Surveillants et Surveillantes)
1..... olasse .. .
2'- classe .... ,
3' classe ... ,.
250
23g
228
18.200
17.200
16.833
Buandiers e! Buandières
I rf: cl rI sse
297.000
282.000
266.000
3 15.000
299.000
283.000
fGD CllOllS conserveront, à titre personnel
prOd(l) En Ce qui Co ncerne les adjoin ts techniques, Je présent arrêté
urt eff.. ! rét roa,lif il co mpter du 1'1-1 949.
.. .. •.. .•...
5' classe ... .. •.. . .....•.
6' classe .. .. .. . ... '.' .. '.
2~
3~
4'
5"
fi"
7'
.- ............ .
classe ................
classe
classe ........... ... '.
classe .' , ........... "
classe
cla e
�122
•
FS 0
D,O. .
INTERDICTION TEMPORAIRE
DE LA VENTE DES COQUILLAGES
ARRETE
Le Préfet des 1B0uches-duoRhône,
Officier de la Legion d'Honneur,
Vu la loi municipale du 15 ayril 1884 ;
Vu 1. loi du 15 férrier 1902 sur la protection de la Santé Publique;.
.
Vu l'avis favorable de .'-\. le Dlfecteur Departerne"tal de la Santé,
Sur la proposition de M. le Secrétaire
Général,
ARREllE :
ARTIOLE PRE.\\lER. Au cours de la période comprise entre les 13 juillet et 31 aoùt
J950 l'introdu<:tion, le trans,port et la vente
des ~oquillages marins d'èspèces comestibles
sont interditS sur le territoire dU d~rte
ment.
les ont il \'erser à titre d' honoraires, le mon-
ta~t du forfait prévu en cas d'accouc hement
normal auquel s'ajou~ent, éventuell.ement, e.n
cas d'acte de dystocie les honoraires parti('uliers pour J'intervention pratiquée. éta~t
bien entendu que le taux réel du forfa it
commt celui de l' interve ntion sont ca!cu!és
en tenant compte des dispositions de l'a Treté
interl1llllistériel du 5 Janvier 1Y..J.8.
En ce qui concerne l'attribution d~ ces
Il est êvident que ceux qU1 Ont
trait à des actes de dlystocie, lesqu els . ne
-
03 82
fS 7
MARCHES PASSE!' PAR LES ETABLIS.
SEMENTS HOSPITALIERS - EXEMP_
TION OU DROIT D'ENREGISTRE.
MENT.
A. C. 25/ 50 n" 133
'Paris, le 18 Juillet 1950
Le M,inistre de la Sa nté Publique
et de la Population,
il
honor~lires
peuvent être effect ués que par des méd'eclns,
revienne nt, sauf dëduction d'es 5 % p rév us
pa r l'article .\33 du R. A. P. du 17 a vrd 1 9~î
pour trais de recouvrement, au praticien qui
a effectué les dits actes.
aux honoraires dus pour des I~CCO U~
chements normaux il est 3Aparu qu Il était
souhaitable de maintenir une distinction suiQll.ll1t
va nt que l'Hôpital met ou non à la diSjOlosi·
tion du médecin ohef <ite service des sages-
M~Vf'.
taux de la Population (,po ur exécu.
tion) ;
à M~'V\ . les Directeurs Dépar te men_
ta ll ' de la Sante (pour information).
,Mon attention a été appelée, à diverses
reprises, sur des difficultés qui se seraient
élevées, da n'i. certains départements, entre
l'Administration de l'Enreg.strement et des
Etablissements !Hospitaliers, au sujet de l'interprétation à donner il l'article 2 du décret
ART. 2. - Les coquillages entrés, transportés ou vendus en fraude seront saisis san~
préjudice des sanctions pénales et autres qUI
femmes rémunérées par cet Etablissement :
n° 50-385 du 28 mars 1950 (Journal Officiel
du 2 av ril 1950), fixant les conditions de
1° Lorsque le médecin-chef iiê dispose pas
des s~rvices d'u ne sage-femme il est évident
fraction nement du dr oit proportiotUlel d'enregistrement exigible sur les marchés, et la
pou rraient être appliquées.
ART. 3. - M. le Secretaire General de
la Préfecture, ,~1. les Sous-Préfets, M. le
Directel" d~partemental de la Sante, ,,1. le
Ohef cfescadron commandant la Gendarme"e
des Bouches.-du,Rhône, M. le Directeur Départemental des services de police, N\ù\1. les
Maires du Département et 1L"'l. les Directeurs
des bureaux municipaux d'hygiène de Marseille Aix et Arles, sont chargés, dhaeun en
qu'il doit percevoi r intégral ement l es honoraires versés par les hospitalisées ou à leur
ce q~i le concerne, de ('exécution du présent
arrêté.
Marseille. le 22 Juillet 1950.
Le Préfet,
BAYLOT.
-------c' oo c ~-------
0382
FS 7
HORAIRES MEOICAUX EN SERVICES
DE MATERNITE DES HOPITAUX
PUBLICS
N' 128 A. G. 13/ 47
Paris, le 1"" Juillet 1950
Le Ministre de la Sante Publique
et de la Population,
à Nl\\. les Prefets (pour exécution)
MM. les Directeurs départementaux
dt la Sante et de la Population,
P:u circulaire n° 26 du 27 janvier 1949,
j'a\'ais proposé .certaines modalités en vue de
la répartitic:n des honoraires médicaux dans
les services de maternité des Hôpitaux et
Hospices publics.
L'appilcation de cette circulaire ayant suscité d(' nombreuses difficultés j'ai soumis la
question à l'etude du Conseif Supérieur des
Hôpitaux.
Avant de
vous indiquer
les conditions
d'attribution et de répartition éventuelle des
titre
don~
seront se'\lement déduits les 5 %
pour frais de recouvrement.
2° Lorsqu e le médecin cfIef d'u n service
hospitalier de maternité dispose des ser vices
d'une ou de plusieurs sages-femmes rémun érées rar l' Hôpital, il a paru équitable au
Conseil Superieur des Hôpitaux que ce praticien tienne compte du cvncours qui lui est
ainsi apporté par l'Hôpital. Bien entendu, le
médecin chef d'un service de maternité conserve, même lorsqu 'il bénéficie de la cotla1boration de sages-femmes, la r esponsabilité du
service et doit, notamment, suivr e les accou-
chées pre et post partum ; de ce fait c'est
à lui que reviennent les honorairès. T outefois, lorsque le taux du fo rfait sera supérieur
au minimum d'e 20 % du tarif de ville ,prévu
par l'arrêté interministériel <tu 5 janvier 1948,
j'estime qu'il convient d~invite, r le médecin
en cause à passer "vec son administration
hospitalière une convention aux termes de
laquelle il s'engage à reverser au budget de
l'Etablissement une certaine part, à déter miner par lui , de ses honoraires. Les sommes
ainsi perçues par l'H ôpital devront être
comptabilisées comme recettes en atténua-
tion de dépenses.
Vous voudrez bien porter les instructions
qui précèdent à la connaissan ce, tant des
administrations hospitalièr es de votre ~par
temf'n ~ que des médecins chefs de servi ces
hospitaliers de maternité.
Je vous serais obligé de m'accuser réception de la présente circu laire Qui annule et
se substitue à la circulaire n" 26 du 27 janvier 1949.
LE MINISTRE.
Pour le Ministre et par autorisation,
Le Conseiller Tech nique,
honoraires médicaux en services hospitaliers de maternité je tiens à rappeler:
BOIDE.
lOQue tout service hospitalier de maternité doit avoir pour chef de service un mé-
decin à qui incombe la responsabilité de la
marche du dit service.
- - - - C', 00 <> - - - -
2° Que les hospitalisées payantes des services de maternité ou les Caisses de Sécurité
liste des marchés "xempts d'e ce droit.
L'article en <cause est ainsi conçu :
« So nt d ispensés de la 'fo rm a lité de l'en.
registrement :
liiIllI~ ·
-(.-.!.-........ , ......... .
2° Les marchés de toute nature, dont le
prix doit être payé 'par l es ser vi cesoll établissements nationaux,
départementaux et
communau x ctJassistance et de b ienfaisance. )
nans certa ins départements, l'Administration dE l'Enregistrement, se basant sur la
pro céd·ure suivie avant la promulgation de la
loi du 3 1 décembre 1945 (a rticl e 35) et du
decret du 25 av ril 19 46, pour son a.pplication,
relatifs à la suppression de ce droit, aurait
estime que la nouvelle législation ne serait
applicable qu'à la
fr~ction
des frais cfe sejour
des ma lades bénéficiaires des lois d'aSSIStance, .a l'exclusion éies Ihospitalisés payants.
J'ai clonc été amené à saisir, de cette ques·
tion, M. le Mi nistre <tes Fmances . et des
Affair es Eco nomiques qui m' a précisé que
lorsque le prix doit en êtr e ,pa yé au moy~ n
de fonds p ro pre aux « Services et Etablis·
sements nationaux, départementaux et communaux d'assistance et de bienfaisance », les
marohés bénéficient, de façon indivisibl~. de
•
tien normal.
TouteJois, après avoir co nclu que J'Etat
Par décret du 19 Mai 1950 O. O. du 18-61950), le décret cl-apres est rapport é en tant
n'était pas fondé à demander sa mise hors
àe cause, le Conseil d'Etat a eu soin d'ajouter : «: quitte à 'Ce qu'il exer ce, s'il s'y croit
qu'il naturalisait :
Michyrditchian
Joseph
et
Son
épouse
fo ndé, de telle action récursoire que de droit
demeurant aux Pel~nes..!MJrabcau, naturalIsés
par décret ct" 3 JUIn 1949.
- - --c' ooC',
D2 R3
SC 3
CIRCULAIRE T. P. SERIE G. p , Il BIS,
W 98, OU 1er JUIN 1950, RBLATIV E
AUX ACCIDENTS DUS A UN DEFAUT
D'ENTRETIEN DES TROTTOIR~ DES
ROUTES NATIONALES DANS LES
TRAVERSES, ET A L'ACTION RECURSOIRE DE L'ETAT CONTRE LES
COMMUNES.
REfERENCE : Loi du 7 Juin 1~45 e t
circulaire Série B, n ° 14, du 21 Mai
1909 ; Arrêt du COnseil d'Etat du 24
Juin 1949 (Ministère des Travaux Publics contre Olle DaVlid ).
Le Mjnistr e des Travaux Publics, des
T ransports et du Tourism e.
à 'MiM. les Ingénieurs en o~ er.
J'ai l'honneur do-attirer vo tre atte nti on sur
l'arrêt sus vise du Omseil d'Etat, publié à
la page 312 du Recueil Si rey des 8 avril,
30 Juillet 1949.
Cet arrête declare l'Etat respo nsab le d'un
accident survenu par suite du mauvais état
d1entrefien d'une gargouille encastrée dans
le trottoir d'une route nationale d~ n s une
traverse.
Etant <tonné cette jurisprudence, je VO LIS
invite à ve iller tout spécialement à .ce que
les communes assnrent un entret ien Convenable des trottoirs, Ibordures, gar gouilles, etc.
Lies r ues empru ntées par les routes nationales dans les traverses.
Lorsq ue vo us consta terez que ces ouvrages sont en mauvais éta t, vous aurez à
mettre immecliatement en demeu re les muni-
Cipali tés de fai re procéder à leur réfection,
et vous ù'evrez par avance dégager explici te mef\t la responsabi lité de l'Etat pour le cas
où surviendrait un accident dû à 'Ce défaut
d'entretien.
Si, néanmoins, l'Etat se trouvait impliqué
dans une instance et condamné pour des faits
de cette nature, il y aurait lieu de se retourner contre la commune afin qu'elle rembourse les frais mis à la ~harge de l'Etat et,
en cas de refus ·de sa part, d'exer cer contre
elle une action récursoire.
Pour le M~ nistre et Ipar autorisation,
Le Directeur des routes,
RU""'PD6R.
02 83
Assemblee, rappela nt que le trottoir en cause
constitue une d:épendance de la route nationale, déclare qu'il incombait en co nséquence
à 1"Etat de veiller >il ce qu'il fût mai nte nu en
bon état, et que la circonstance que la com-
en sup;porter les fra is a'entre-
tien n'était pas ae ~ature à <fégager l'Etat
de sa responsabilité envers les ti ers v ictim es
communes par la loi du 20 décembre 1947
l'éclairage et le chauffage des locaux seo:
laires 'p ar la loi du 19 Juillet 1889 et les
municipalités,
Le fait que de nombreu x accid~nts soi ent
surve nus alors que les élèves débitaient le
bois de chauffage ou procédaient au bala yage
des classes, par suite de la carence <te la
commune, a in cité les ser vices du ~nistère
de l'Ed'ucation Nationa le à donner des strictes
consignes aux instituteurs Sur ce point dans
une récente circulaire (14 mars 1 950)~
VOliS transmettrez ces instructions aux
maires de votre département et vous veillerez p~rsonnellement à ce q.ue les Conseils
mUOlclpaux Ouvrent des créd..1ts suffisants
pour le cha uffage et le balayage des classes,
Comme il s 'agit là de depenses obligatoires
~ous devriez~ dans le cas où des municipa~
ht~s refuseraient de pourvoir à ces dépenses,
faire usage des pouvoirs qui vous sont con-
fé rés Ipar l'article 149 de la loi du 5 u\VTil
1884.
Pour le Vice..Président du Conseil
Ministre d.e l'Intérieur,
L,e Préfet, Directeur de l' Administration
TVX 1
ENTRETIEN DES LOCAUX SCOLAIRES
CiL N° 126
Paris, le 23 Mai 1950
Signe : P.-J. MOA TIlL
Pour le Ministre et par autorisation,
Le Directeur Général de l'Enseignement
du 1er degre,
Signé: A. BESLAIS.
.Ministre de l' In térie ur,
Le Ministre de l'Erlllcation Nationale,
à ,\>\IM. les Préfets (métropole).
Je vous serais obligé
oe
bien vouloir rap-
peler à MI"'. les Maires de vot re département
les obligations spéciales qui incombent aux
co mmunes en ce qui concerne l'entretien d'es
loca ux scolaires, le chauffage et l'éclaira ge
des classes.
- - --<>00<>----
mars 1950.
' us serais obligé de bien voulOir
. po.
r er
Je vo
les instructions qui précèdent, à la ~o nn~ls~
sa nce des Commissions Administratives ~
différents établissements hospitaliers plac S
sous votre contrôle et me faire part, le cas
,
't éven·
eChéant, des difficultés que ~ourral
rétuellement ren contrer l'applicatIOn de la p
sente circulaire.
LE ·.WNISTRE :
Le Ohef du Cabinet,
MONCOM!3LE.
ne Peuvent
ventIOns particulières. Notamment la commune doit fourni r le bois oe chal/ffage prêt
à être utilisé.
la dispense de la formalité de l'enregistre-
E n conséq uence, M . le Ministre {ies Fi~an
ces et des Affaires Economiques estl!'1~'
qu'eT'] ce qu i con cerne spécialem ent les Hopitaux et Hospices publics, îl n' y a pas h~U
de procéder comme sous le r égime ante,
. d 31
rieur à la promulgation de la 101 . u.
décembre 1945 (article 35) à une ve ntilation,
de manière à n'exonérer l es contrats dont ~l
s' agit , que dans la mesure où ils . ~rofi~ent. ~
des hospitalisés bénéficiai res des 1015 d asSis
ta nce à l'exclusion des malades payants. t
en aUCun cas,
déroger à ces obligations légales par con-
Générale, Départementale et Commu nale,
- - - -<:> 00 «:»- - - -
Le Vice,President du Conseil,
Dans son prem ier considérant, la Haute
mune devait
co ntre la commune >.
-
Le balayage et l'allumage des feux ont eté
expressément mis à la charge de toutes les
ment, prévue par la loi des fin ances du 31
janvie' 1950 t! le décret précité d" 2C
Pour te Ministre et par autOrisatIOn,
socialt! pour les hospitalisées assurées socia -
d'accidents imputables à un défaut d'entre-
NATURALISATIONS
les Prefets ;
à Mqy1.\. les Directeurs Départemen-
PB
DI B2
•
Copie certifiée contorme.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE
�10 et 17 AoOt
RÉPUBLIQUE
1950
DËPARTEMENT DES
FRAN0AISE <",
1
u.. jl' Ann~,. - ,..,
IlIA 32 et 33
BOUCHE.S-DJR'~ON~ ~~
AdmiiiiSt;~tifs
Recueil des Actes
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance r elative a u R ecueil d oit <ltr e a dressee à la Préfecture Secré tari a t Général
ABHÉVIA. 'l.'IONS
A. P. : Arrê té préfec tora l. - C. : Circu lai re. - Les lettres D et B s uivies d' un ohillre indiq uent le Service ou Bu reau d'o riglOe.
_ S. L. R. A. : Service de Liqu idatio n des Réquisitions Allemandes. - R. G. : RavitaiOe ment Général. - S. C. R. : Service de la
Circul at io n et du Roula ge. - D. D. S . : Direction Départementale de la Santé. - D. S. T. : Directio n des Services Techniql>es.
SOMMA:IRE
Page ..
A 3. _ Au torisatio n de l' irri gatio n des
,
vignes ..... . . . . . . . . . ...... . .....
•
Pages
Textes d'intérê t général
ArrtUs réglementaJres et Circulaires
125
AC 3. - fixat io n du montant des 0 110Ications de logement à payer à partir
du 1er jui llet 1950 ............... .
di e de s~cours dans le département
127
l.:ommuniqués, Avis, Annonces diverses
f O. _ Versement a ux collec tivités
locales des attri butions compensatri ces des pert es d'e recettes pour 1949
et 1950. Liq uidati on pou r 1949. . . . . .
SC O. - Dema ndes d'emploi de secrétai re de Mairie..................
SO 7. -
\25
du Morbih a n ................. . . ... 128
SC 7. - Instruction pou r la lutte contre ~ ,feux de forêts ...... . . .. .. 12J
Recrutement d'u n Inspecteur
Départemental des Services d'incen
131
ARRËTÉS REGLEMENT ~ IRES ÈT CIRCULAIRES
A 3
06 BI
IRRIGATION D ES VIG NES
N' 188'
.I\,R~ETE
Le Préfet des Bouohes-du-R 1lône,
Officier de la Légio n <l' Honneur
Croix de Guerr e,
1
Vu l'article l OI du Code des Vins;
Vu l'arrêté. de M. le ,Mi nist re de \' Agricul ture en date du 12 jui llet 1950 ;
Vu l'av is de l'In gé ni ~u r en Ghet, Directeur
des Service..; Agricoles ;
Sur la proposi tion du Secrétaire Général.
AiRREllE :
•
ART ICLE PRE,\lI ER. - ' Dans toutes les com-
•
munes du département des Bouohes-du~hône est autor isée l'i rrigation. des vig nes
Jusq u'au 15 août 1950 inclusive ment.
ART. 2. - M. le Secrétaire Gé néra l de la
Préfecture est chargé d 'e "exécutio n du présent arrête.
Marseille, le 1er Ao ût 1950.
Pou r le Préfet,
Le Direc teur d u Cabinet,
DUFAY.
- - -t:.> OO<>-- - -
F 0
02 B3
VERSEMENT AUX COLLECTIVITES
LOCALES DES ATTRIBUTIONS COMPENSATRl(;;ES
DE
PERTES
DE
RECETTES POUR 1949 ET 1950 :
LIQUIDATION POUR 1949 ET VERSEMENT D'ACOMPTES POUR 1950.
j'ail l'honneur de porter ci-desso us li /"
cOf/naissance des Maires du d eparlemenl, le
texte de la circulaire n" 245 du 13 juillrr
1950 concernant le versement aux collectivités lo ca les des cont ributions compenS'ltric"s de pertes de r ece ttes pOlir 1949 et
1950.
Le Minist re de l' Intérieur,
à MIM. les Préfets (métropole).
REFEREN CE : NIes circulaires n' 238 du
21 juin 1949, n" 18 du Il janv"r 1950 et
n" 37 du 3 1 ianvier ' 1950 .
Par circul aires n° 238 et n 37, citées en
réfé rence, je vous ai indiqué les mod alités
suivant lesquelles devaient être calculés les
acomptes sur les attributions compensatrices
de pe rtes de recettes dues, pour l'exercice
1949, aux collecti vités locales, en appli ca tio:!
de l'article 290 d u décret du 9 déce mbre
1948, modifié par l'a rti cle 4 de la loi du 3 1
déce mbre 1949.
La présente circulaire a 'Pou r objet de fixer
les -co nditio ns dans lesquelles devront être
liquidées, po ur l' exercice 1949, ces attri,butions et po urront être versées, e n application de l'article 4 précité de la loi du 31 décembre 1949, les attri butions compensatrices de 1950.
Q
L - RDMI~RQUES PRELL\\1NAlRES
Lors du calcul d'u 4e acompte à valoir
sur l'attribution co mpe nsatri ce de 1949, établi
conformement aux instructions con tenues
dans mes cir culaires n° 238 du 21 juin 1949
et n" 37 du 3 1 janvier 1950, j'ai eté amené
à constater que pour cert aines collectivités,
les encaissements a u titre de la nouvelle
ta xe, augmentés des acomptes déjà versés,
étaient su.périeurs au mQntant des r ecettes
garanties. -Mais ces acom ptes ont été calculés
en ne prenant en considération, dans les
recettes gélfanties, que le produ it de la ta}..e
locale additionnelle SU T les transactions de
1948 perçue du 1er fév rier 1948 au 3 1 janvier 1949.
Or, l'articl e 4 de la loi du 3 1 décembre
1949 prévoit qu'il y a lieu, ,pou r la détermina tion des rece tt es garanti es, de fai re état
des reliquats de taxe locale 1948,perçus
après le 3 1 janvier 1949. L'application stri cte
de ce texte implique que l'on connaisse :
a) Pour détermin er le montant défi nitif de
l'attri bution compensatrice de 19....9 :
_ D'une part, la totalité des sommes qui
o nt été et seront enco re Iperçues au titre de
la taxe locale de 1948 a u cou rs des a nn ées
1948 et suivantes et qui constitu ent l'u ne
des recettes garanties.
_ D'a utre part, les recouvrements effectu és et à effectuer au titre de la taxe de
1949 au cou rs des années 1 9~9 et suivantes
qui co nstituent la relette nouvelle venant en
déduction des recettes gara nties.
b) Pour détermine r le monta .. , ae fattrlbution compensatrice de 1950,
_ D'une part, la totalité des sommes qui
�126
ont ~t~ et s~ront enCore pe.rçues au titr~ de
la taxe locale de 19-18 au cours des années
1948 t::t suh'antes et qui constituent l'une des
recettes garanties.
- D'autre part, les reeounements effeetUtS et à effectuer au titre de la taxe de 195C
au cours des années 1950 et suivantes qui
constituent la recette nouvelle venant en
dedurrion des recettes garanties.
Pour determiner le montant définitif des
attributions compensatrIces de 1949 et de
1950, il Y aurait donc lieu d'attendt:e Vexpiration d~ la période de 'prescription de l' impôt.
Il m'a paru, ainsi qu'à M. le '.\linistre de~
Finances, qu~ Je calcul définitj[ de ces attrihutions ne pouvait ~tre retard~ ainsi sans de
gravfs Inconvénients et sans créer des diffil'UlttS inextricables. Le" Comité du fonds de
pérëQuation a partagé cette manière de voir.
Du reste, en raison de certaines difficultés
techniques, les comptables du Trésor n'ont
plus la possibilité de suivre séparément dans
leurs écritures, à partir du 1er fév ri er 1950,
les recouvrements concernant respecti"ement
les exercices 1948, 1949 et 1950.
•
Il s'avtrt! donc pratiquement impossible de
procéder a. une liquidation des attributions
compe nsatrices pour l'exercice 1949 pris isolément.
Il. -
PRINCIPES DE LA, SOLUTION
ADOP11EE
POllf ces différentes
raisons, la 'solution
que j'ai adOPtée, en accord avec L le Ministre des Finances, repose Sur les principes
sui"ants :
t) La dctermination dt!S attributions co mpensatrices ne s'effectuera pas isolément
pour chaque exercice, mais la liquidation des
attributions de 1949 s'operera à l'occasion
du ,"ersement des attributions de 1950.
CettE:' solution permettra :
a) D'~"iter les inconvénients consecutifs a
la non discr~mination des recouvrements
afférents à la taxe locale additionnelle aux
taxes sur le chiffre d'affaires effectués à partir du 1er février 1950 au titre de l'exercice
1949.
Il est cl remarquer, en effet, que les recou vrements de l'espèce devraient normalement :
Etre ajoutés aux recou vrements propres cl J'exercice 1949, pour la détermination
des attributions compensatrices de 1949,
- être soustraits des recouvrements 'Propres à 1950 pour la détermination des attributions compensatrices de 1950.
La fusion des deux exercices 1949 et 1950
résoudra les difficultés de telles opérations.
b) d'éviter d'avoir à réclamer immédiate_
ment aux collectivités locales le reversement
du montant des sommes déjà versées à titre
d'acomptes qui exeéderait le montant des
attributions compensatrices auxquelles elles
pouvaient prétendre pour 1949.
2' Il sera fai t abstraction
pOt.H" la détermination des c recettes
garanties • d'e 1948 devant servir de ,base
à la fixation des attributions compensatrices
tant de 1949 que <le 1950, des recouvrements
eff~ctués depuis le J er février 1950 au titre
de la taxe locale de 1948, recouvrements qui
vont d'aiUeurs en s'amenuisant considérablement.
- En compensation, pour la détermination
des recettes de 1950 à comparer avec les
recettes garanties de cet exercice, des recou-
\rements effectues après le 31 janvier 195 1
et se rapportant à ('exercice 1950.
Ill. -
DETERNllNATION DES A"[TRlBUTIONS A VERSER EN 1950 AU TITRE
DE 'LA LIQUIDATION DE L 'EXEiRCICE
1949 ET AU TITRE DE L' EXERCICE
1950
A - Determination du montant global de:)
allributions.
Pùur cha.:jue collectivité tocale, le n~on
tant fTl ob~"tI des attri butiolls compensatfl~es
affére~tes il l'e xercice 1949 et à ,'exercice
1950 (C) sera ca lculé au débllt de l'annee
1 ~5 1 en dédllisant :
- du montant total des « recettes garanties
(G) pOlir 1949 et pour 1950,
- le montant total du produit de la taxe
locale additionnelle aux taxes sur Je chiffre
d'affaires (T) en 1949 et en i950 (abstraction faitt: du produit de la major ation facul-
tative pou\'ant être perçue dans la limite de
0,25 %).
Dans cc:, conditio ns, les attributions compensatri ces seront ca lculées comme suit au
titre de la liquidation de 1949 et ail titre de
J'exercice 1950 :
+
C = G - (T 49 -l... A
T 50).
Il convient de norer que :
G ) représente à la fois :
1" Le~ recettes garanties pour 1949, c'està-dire :
-
taxe locale additionnelle â la taxe SUr les
transact ions du 1er fév rier 1949 au 31 ian~
lier Ig~O (2) ;
- c A ,. le montant des quatre acomptes
éventuellement "erses sur les attri bution
compensatrices de 1949.
s
- « T 50 > le montant brut <les attribu_
tions directes de la nouvelle taxe locale du
1er février I g50 au 3 1 janvier 195 1 sans
distinction d'exercices (2), abstraction faite
du prnduit de la m ajoration de 0,25 %.
B. -
Détermination d'cs n col1ll'li'.~
_ 1 s cas où par suite des fluctuations
de se produire dans l'encais5Us p 1de ~Ia taxe locale, le calcu l du monseRle~t 2e et du 3e acompte aboutirait à un
tant
il n')' aurait pas lieu d'exiésultaUt n,'aatif
~
•
r . médiatement le r eversement pa r la
ger lmt' ,t" du trop perç u, la régularisation
Collee Il 1 c,
.
. 1
Ile devant IOtervemr
ors de l' e' t a bl'ISe\rentue de la situation trimestrielle suivante
ou lors dt! la régularisation en mars 1951,
par précompte sur les attributions directes
de la taxe locale de 1951.
Je rappelle à cette occasion que le trop
perçu devra correspondre éventuellement à
la différence pour chaque co ll ectivité intéressée entre le montan t total des acomptes
versés pour les an nées 1949 et 1950 (4
acomptes 1949 + 3 aCOlT\ptes 1950) et le
DaJ1~'b~e~
ce
sem ent
-
. T CONOERNANT uES ACOMPTES A VBRS-ER AUX OOLuECTIV IT-ES LOCALES
~0~
L'ATTRIBUTION COMIPENSATRIOE DU FONDS DE PEREQUATI ON
Tri""slre 1950
trimestriei~~
Sur les bases préci tées, .des acomptes tri~
mestriels seront calcu lés .cOmme suit
Jer
G
acompte
= "4 -
[T 49 '1- A
4
+
Drpartement
T 1
]
Colone n° 1
T 1 étant égal au montant brut des attri .•
butions directes de la taxe loca le du 1er
fé\"rier 1950 ail 30 avril 1950.
G
2 acomptt.' = 2 -
L~T ~9 :
A)
+
-
"
T 2
Colonne n° 2
10 r!c .. " .......•... . ...•.•....• .' .. : . .
+
1" acomple 1950
Dim"inution éventuelle de la partlCI~atlOn
de l'Etat aux dépenses d'intérêt genéral
de 1948 à 1949 ........ . .
Produit brut pour 1948 des taxes sur . I ~s
êtablissements de nuit et sur la ,publiCIte.
Diminution eventllelle de 1948 a 1949 du
produit de la taxe. loca le a~ditionlle l1 e
aux droits d' enregIstrement ( 1) .... '
Produit brut de J'a ncie nn e taxe locale sur
les ventes du 1er février 1948 au 31
janvier 1950
............. .
J
G
3"4 -
la subvention spéciale de 194 • majorée 1
acompte =
de 10 %,
la réduction éventuelle de la participation de l'Etat aux ~épenses d'intérêt géné- 1 [ (T 49 + A) + T 3 + 1~r et 2ii, aconwte~]
, 3----1950
rai de 1948 à 1949,
4
- le produit brut ( 1) pour 1948 de la taxe
T 3. étant égal au montant brut des attriSur les établissements de nuit perçue du 1er
butions directes de la taxe locale du 1er féfél'rier 1948 au 31 janvier 1949 (2),
vrier 1950 au 31 octobr e 1950.
- le pr odu it brut (1) pour 1948 de la taxe
sur la publicité (3).
Régular isation = G - (T 49 + A + T 50
- la diminution éventuelle du produit de
+ 1er, 2e et 3e acomptes 1950). '
la taxe locale additionnelle
droits d'enToutefois, pour l e versement des trois pre·
registrement en 1949, par rapport à 1948,
miers
acomptes, j'ai décidé, en aocord avec
- le produit brut ( 1) de l'ancienne- taxe
M, l e ,Ministre des Finan ces, d'écarter des
. localé Sur les ventes du 1er février 1948 au
recettes garanties, la rédu ction éventuelle en
3 1 janvier 1950 (2).
1950 par rapport à 1948 du prodUIt de la
0
2 Les r ecettes ga(anti es pour 1950, c'esttaxe locale additionnelle aux droits d'·Etat sur
a-dirt,
les mutations en raison de l'incertitude du
- la subvention spéciale de 1948, majorendement d~ cette ta xe en 1950. La régula~
rée de 10 %,
risation interviendra lorsque l'on connaîtra le
- le produit brut (1) pour 1948 de la taxe
produit de cette imposition pour l'année ,1950.
sur les établissements de nuit perçue du 1er
En résumé, l es trois premiers ac?mptes
février 1948 au 3 1 janvier 194~ (2),
trimestriels seront déterminés en fonctIon des
- le produit brut (1) pour 1948 de la taxe
pertes de recettes co nnues c'est-à-di~e e~
sur la publicité (3),
fonctio n d'éléments cert ains et non SU jets a
- la diminutiqn éventuelle du produit de
révision .
la taxe loca le additionnelle aux droits d'enC. - Dispositions diverses :
registrement en 1950 par rapport à 1!l48
- le produit brut (1) de l'ancienne ta~e
Les receveur~ municipau x fourni ront aux
locale additionnelle â la taxe sur les tranMaires les éléments nécessair~s au ca lcul des
sactions du 1er février 1943 au 3 1 janvier
acomptes.
1950 (2).
En ce qui concern e les départements, les
. auX
- « T 49 > représente le montant bru :
éléments corresponda nts seront four.",~
x
(1) des attributions directes de la J10u velle
préfets par les trésoriers-pay eurs generau '
Le mode <le ca lcu l adopté ci _dessus per(1) Déduction non faite <les frais d'assiette
met une régularisation automatique, à ch81ue
ni des restitutions de droits indûment perçus.
trimestre, suivant te versement du e~
(2) Il convient de prendre en considération
acompte de 1950, en fonction d'une part, de
le pro~uit de la taxe encaissé :par les régies
recettes réellement garanties et! d'autre ~ft~~t
financleres au Cours de la périOde indiquée
des recettes effectivement encaIssées au é .
et non le montant des sommes versées aux
de la taxe locale et des acomptes pr ce·
Collectivités pendant cette période.
dents.
(3) Recette figurant au compte administratif 1948.
•
TEXTES D'INfÉREr GUERBL
Ciroolaire concernant plus spécialement
les Administrations dt l'Etat
10 ~ ........
. ...... .
Produit brut en 1948 des taxes sur la
publicité et les établissements d.e nuit ..
Réduction éventu elle du prodUIt de la
taxe locale additionnelle aux droits d'e nregistrement sur les mutations de 1948
à 1950 (1) ......
..
. ...... .
Produit brut de l'ancienne taxe sur les
l'entes du 1er lévri er 1948 au 3 1 ianvicr 1000.
. ..... ...... .
02 BI
40 AG!2
Il. -
~
4
IV. - Montant des trop per çus au titre des
aCOlllptes (3).
1
1
(1) 11 ne sera tenu compte de ce t élém ent qu e lor~ du versen~ent de régularisa tion.
(2) Si pour certaines communes de votre département l'expression
49
+
A
T --
+
AC 3
FIXATION DU MONTANT DES ALLOCATIONS DE LOGEMENT A PAYER
A PARTIR DU 1er JUILLET 1950.
Tota l
Hece!tes venant en déduction des
recettes garanties :
.\'\ ontant bru t de l'attri bution directe de
la taXt 1 94~ du 1er février 1<4g all J I
janvier 1950 (T 49) ...... .
- Montant des 4 acomptes 1949 (A) ....
.I \onlant brut de l'a ttribution directe de
la taxe du
1er fév r ier au 30 avril
1950 (T 1) .....
. ......... .
Ill. - Montant du 1er acompte trimeslriel
G
(T 49 + A + T 1)
montant ùes attributions compensatriles de
1949 et de 1950 G - (T 49 + T 50).
Vous devrez procéder, pour les mois de
fél'ri er mars et avril 1950 et les périodes de
3 moi~ ultérieures, â la d~termination par
arrêté, du muntant dt:s acomptes auxque ls
pellvent prétendre les collectivités locales de
votre département, et notifier votre décision
au Trésorier-Pa yeur Général qui recevra
incessamment du Ministre des Finances toutes instru ctions utiles en vue :
- d' ulle part, du versement à compter des
1er août, 1er octobr e 1950 et 1er janvier
195 1 des summes re venant aux co ll ectivités
au titre des 1er, ~e et 3e acompies de 1950
et, d'autre Ipart, de la régularisation a co mpter du 1er mars 1951 des opérations de 1949
•
et de 1950.
Vous m'adresserez pour le 1er septembre.
sous le présent timbre, ainsi qu 'à .\\. le Ministre des Finances (Direction du budget, 7e
bureau), co nform ément au mod~le figu rant
en annexe, l'état globa l des asomptes à verser aux co llectivités locales de vo tre département au titre des mois de février, mars et
avr il 1950.
Le même éta t nOliS sera fourni avant le
1er nov~mbre et 1er février suivants, en ce
qui co nce rne l'attribution des deuxième et
troisième a~omlJres.
Pour \e 'M inistre de rlntérieur,
Le Directeur CIe l'Ad ministration Gé nérale
Départementa le er Communale,
Pierre-Jean ,MOATTI.
2" Recettes O"aranties pour t 950
Subventi~n spéciale 194fl majorée de
""X
..........IIIÎIiIiI".....iliÎÏlllllÏllillÏllll
Ensemble
des communes
du Département (2)
l . _ Détermi nation. du montant G des r ecettes garanties.
l ' Recettes garanties pour 1949 .. . ...... .
_ Sub\"ention spéciale 1948 major ée de .
T 2 étant éga l au montant brut des attri.
butions directes <le la taxe loca le du 1er lé.
l'rier 1950 au 31 ju illet 1950.
3'
-
-
T 1 est supéri eure " G
4
4
il ne Sera indiqué au présent état, à la co lonne n" 2 que le ch iff~e repres~ n~ ant I ~
mOntant total des acomptes pou r le 1er trimestre. Le5 commu nes Il aya nt drOIt a allcun
.acompte seront énumérées au verso du prÉsent état.
(3) A n'indiquer éventuellement qu'à l'époq ue de la régularisation cl éfi niti,'e.
Paris, le 13 Juillet 1950
Le .\\inÎ:-:tre du Travail et de la Sécurité Sociale,
à MM. les Directeurs Départ ementallx du Tra va il et de la Maind'œune .
'. \o\M. les 'In~pecteurs Divisionnaire5
du Tia va il et de la J\>\ain-d'œuvre
,\\."' . les Préfets.
(Pour information) .
Selon les dispOSitions de l"anicle 3 du
décret n" .\8- t 9ïl du 30 décembre 194, (J.
O. du 31 Décembr e), modIfié ,par celui du
l a .\I ai 1950 (J. O. du II suil'ant), les hénéficiaires de5 allocations de logement doivent
ren om'eler, chaq\le année ava nt le 1er .s\\ai,
les justifications prévues au paragraphe 1
et 4 du mtme article, savoir :
PARO\fiRAPHE 1n. _ Une copie certi fiée ('onforme de la quittance de loyer au 1er Janvier de l'année en cours ;
PARAGRAPHE -l (l. - Une declaration indiquant le total des ressour ces de l'ensemble
des personnes viva nt habituellement au foyer
l'ann ée precédente.
Pour me permettre de calcule r le montant
des allocations à servir à partir du 1er juillet
1950, dës qu'en auront été fixés les nouveaux
taux par un décret actuellement en préparatiun, je vous prie d'inviter Chaque béné-
�- -
128
ficiilire appartenant à vos ser\'ices il vous
adresser d'urgence :
1· Une copie conforme de la quittance
justifiant son toyer mensuel au ter janvier
1950, prestations, taxes ef fournitures et
loyer des dép€ndances déduites. Les agents
auxquels le loyer scientifique a été appliqué
depuis la fixation d'apri!s un loyer forlaitaire de l'allocation perçue jusqu'ici, devront
fournir une copie certifiée conforme du décompte scientifique et de la quittance faisant
état du premier pajement du loyer scientifique. En cas de logement à usage mixte
d'habitation et professionnel, la quittanct!
doit faire apparaître les majorations de loyer
résultant de l'exercice de la profession.
2° Une nouvelle demande du modèle simplifié annexé à la circulaire n· 55 <lu 21
Septembre 19'+9 faisant ressortir le montant
des ressources dont ont bénéficié en 1949' le
ohef de famille, son conjoint, ses enfants et
le cas échéant tout autre personne vivant
habituellement â son foyer, ainsi que le lover
mensuel pn nci pal justifie par la quittance
visée il l'alinéa i'récèdent.
Le paragraphe 5 de cette demande comportera deux lignes :
La premiere : donnant le total des ressour~es im posa~ les à la surtaxe progressive
au titre de5 traitements et salaires, même si
elles n'ont pas été effectivement déclarées
comme e trouvant inférieures au minimum
imposable.
Le .upplément familial de traitement
notamment est à comprendre dans ce total .
par contre, les 10 70 pour frais professioll~
nels sont à déduire.
La seconde : précisant les pensions et
autres revenus de toute nature même s'ils ne
sont pas imposables.
Ne doit pas ~tre .c0mpris.e. au paragraphe
C" 5 a
la majoration fa mthale de l'indemnité de résidence qui est à porter au paragraphe < 5 b » (ligne ad hOC).
A ~e m~~~ 'Para~aphe.« 5 b ~, il n'y a
pas _~Ieu d ajouter a la ligne c allocations
lam,hales proprement dites » le montant de
la majoration com.pensatrice d'avanta aes
fiscaux accordée par le déc ret du 6 Octobre
I?-W, n ' 4 -1555 (J. O. du 7 suil'.nt) qui
n entre pas en compte 'pour la détermination
de l'allocation.
La nouvelle demande et la c~ie de la
q~ttan~e devront être
aocompagnées des
pleces Justificatives permettant de vérifier le
montant des ressources susvisées et notamment pour les salariés, d'une copie certifiée
conforme du relevé établi et signé par l'employe.ur, des salaires perçus au cours de
l'annee 1949.
. L~ relevé des sommes versées par le ,\1; mstere du Travail en 1949 doit être établi '
par vos SOinS et doit faire ressortir comme
celui de l'année précedente, séparém'ent pour
dhaque rubnque le montant annuel. :
1 ° Du traitement, de l'indemnité de résidence et de son supplément
des autres
indemnités diverses (a précise;), du supp lément fam,hal de traItement, de la majorahon famll,ale de l'indemnité de résidence
des allocations familiales proprement dites'
des. allocations de salaire uniqüe et des allo:
cahons prénatales. _
2° Des retenues pour pensions civiles et
pour cotisations de la Sécurité Sociale (part
de l'agent).
Vous joinùrez également à la déclaration
une copie de l'état des sommes déclarées
à la surtaxe 'Progressive au titre des gains
de la même a nnée 1949 el une note du
modele prévu par la ci rculaire n" 78 AG/ 2
du 14 Decembre 1949 faisant ressortir
10 La zone territoriale pour la détermination des salaires- dans laquelle est ran gée la
localité où reside la famille de l'agent en
SC7
D2 B3
INSTRUCTIONS POUR LA LUITE
GONTRE LES FEUX DE FORETS
L 'annexe 1 (Liste des 'Inspecteurs départementaux adjoints des Services d'Incendie
R. A. A. n· 29-29 faisait suit e à la dite
Annexes 2, 3 et 4, à l'instruction ins er é
au Recueil des Actes Administratifs ell datz
du 3 et 20 juillef 1950, n· 28-29.
instruction.
ANNEXE N· 2
•••
Liste des Centres de Secours disposant de matériel « Feux de Forêts ,
Recrutement d'un I nspecteur Départem efltal
cause.
20 Séparèment le montant mensuel des
a llocations familiales, de l'allocatio n de salaire unique et s'il y a lieu, le montant des
allocatio ns prênatales perçues par l'intéressl!
à partir du 1er j anvier 1950, en précisanl
les modifications, ains~ que leur cause, survenues depuis cette date.
\ TOl1S m'adresserez ensuite, ces pièces dans
le plus bref délai possible après les avoir
lait soigneusement véri fier, et le cas échéant,
rectifier ou compléter.
Vous appelerez également l'attention des
intéressés sur les dispositions du même article 3 du décret susvisé qui prévoient :
1° Que les déménagements et les changements survenus dans la strücture des locaux
ou dans leurs conditions de peuplement doivent vous être déclarés dans le dé lai <J' un
mois.
2" Qu'en cas de non présentation dans
les délais prévus de ces déclarations et des
justifica tions visées aux paragra,phes 1 et 4
précités, le paiement de~ allocatio ns est
suspendu.
De même, les bénéficiaires ont l'obligation
de sign.3ler toutes les modifications survenues au nombre d'enfants, à charge depuis·
la <iéeision fixant le montant de l'allocation
de logement qui leur est servie.
Vous devez, de votre côté, me transmettre
d'urgence les déclarations des intéressés et
les provoquer au besoill, notamment en Cl
. qui concerne le nombre d'enfants à charge.
Pour le Ministre du Travail,
Le Directeur de l'Administration
Générale et du Personnel,
GLRARD.
•
Communiqués· Avis
Annonces diverses
D2 B 3
2(1 En fai re effectuer, si vous le jug
possible, l'insertion au Recueil des Act!'
Administratifs de votre Prêfectur e.
Pour le Préfet,
Le Secrétalfe Général
André HUSSON.
'
SC 7
SERVICE D'INCENDIE
RECRUTEMENT D'UN INSPECTEUR
DEPARTEMENTAL PROFESSIONNEL
Vannes le 25 Juillet 1950
Le Préfet du Morbihan,
il \Ior.sieur le Préfet des Bouchesdu-Rhône, à .i\\arseille.
J'ai l'honneUl: de vous fair e connaître qu'un
concours sur titres est ouvert dans le M'orbihan en vue du recrutement d'un Inspecteur
départemental profession nel des Services
d' In cendie et de Secours, dont la nomination
sera prononcée dans les conditions fixées
par les articles 5 et 19 du <Jécret du 13 août
1925.
La liste d'inscription des candidatures sera
close le 15 Octobre 1950.
Je vous serais obli gé de vouloir bien :
10 Porter l'avis ci -joint à la connaissance
des chefs de corps de sapeurs-pompiers de
votre départen,ent ;
du Service d' In cendie et de Secours
En conformité de la décision prise parie
Co nseil Gé néra l, il va .être procédé pa r la
VOIe d'un concours sur titres au recrutement
dans le Morbihan, d'un Inspecteur départe~
mental professionnel des Services d'lncendit
et de Secours, rétri bué sur les crédits du
budget départemental.
IEn application du décret ou 13 aoùt 1925
la nomination, qui sera prononcée par M. 1;
J\o\inistre de l' Intérieur, ne pourra porter que
sur un postulant ohoisi parmi les capitaines
de sapeurs-J'ompiers ayant au moins trois
ans de grade.
Les officiers de sapeurs-pompiers remplissant les conditions r equises... désireux de
postu ler rem ploi dont il s'agit, peuvent dèsma intenant présenter leur candidature c·n
faisa nt pan' enir il la Préfecture du M,orbihan
(1 re Division) :
1" Une demande, établie sur papier libre·
2,-> Une notice indiquant
leu r état- civ"l:
leu r situation de fami ll e, l eur profession et
leur adress~. les diverses fonctions qu'ils onl
pu occuper ou oCCltpent dans les corps de
séltpeurs-pompiers, avec toutes précisions utiles quant il la du rée ; les décorations ooal
ils seraient tit lliaires ;
3° Un bu lletin de naissance;
4° Un rele\'é de leurs services militaires
(état signalétique et des services militaires,
délivré par le Ilec rutement) ;
5° Une note in diquant leur formation universitaire (études accomplies et diplômes
obte nu s) ;
6° Une note indiquant leurs connaissances
particulièr es en matière de sécurité dans les
salles de spectacles ;
7'> Une note indiquant leurs connaissances
particu lières en mat ière de défense passive ;
8" Un certiiicat médical déli vré par "'
médecin asserm enté attestant que le ca ndidal
est de co nstitution robuste avec intégrité des
organes de la respiratio:l et de la circulation ;
g'} L'engagement tcrit de s'abstenir, pendant tOlite la duree des fonctions sollicitées,
de toute re présentation de matériel d'incen~
die;
ID" La somme <1e 18 francs en timbres·
poste pour coût de l'extrait n° 2 du casier
judiciaire.
Les dossiers ainsi constitués seront reçus
à la Préfec ture du Morbihan jusqu'au quin.ze
Octolire 1950 de rni er délai. Ils sero nt ensllli<
soumis il une Commission spéciale qui sera
chargée d' exami ner les titres de ehaque candidat ct de formuler ses propos,itio ns . ,
La nomination pa r M. le .Ministre de Il,térieur jnterviendra avec effet du 1er Janvier 195 1.
La rém un érat io n de l'Inspecteu r déparlemental professionnel des Services d' Inc~ndlè
dl~ M0rbihan sera celle prévue par la cl rcUlalfe ministérielle du 16 Novembre 19-18i
n
portant applicatio n de l'a rrêté intermi nisl/ '
lIu 16 Mars 1949 (indices 300 il 475, lablea~
1\ annexé à "arrêté interministériel du 1
Mai 1950).
COMMUNES
Véhicules Feux de Forêts
Effectif
==
du Co rps Autopomp.e Transport
Jeep
Radio
Nom et Grade
du Chef de Corps
Arrondissement de Marseille
Marseille ......................... Cap. de Frégate Bru e
Aubagne C. S. D................... Cap. Mau rri e
G/me nos ... ............ . ..... .. .. S.-Lieut. Bonifay
Cuges ........ . ... .. .•.. .. ..•. .. Adjudant Folio
La Ciotat C. S. D ....... , . .. , .. . Lieutenant Valles
Cey reste ..... ... ... . . . . .. .. . .... Adjuda nt j ea nselme
La Bédoule .... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (E n cou rs de formation)
Cassis . ........ . .. . .........•... S.-Lieutenant Jullien
Roquevaire C. S. D. .............. Adjudant Martinat
La Bouilladisse. . . . . . . . . . . . . . .
Adjudant Dalmasso
Arrondissement d' Aix
Trets C. S. D.................. .
Fu\'eau .... . ......... .. ..... .... .
Peyrolles C. S. D ............ , .. ..
Meyrargues .. ................... .
jouques ... . . ........ .... ..... . . .
Aix C. S. D . . ..... . .. . .. . .... .. .
Vauvenar gues .........•.. ....... .
Gardanne C. S. D . . ...... .. .... .
36
14
12
30
18
Dodge
Jeux
d'outi ls
12
20
10
8
4
8
,8
6
4
4
8
4
8
8
4
6
6
4
Dodge
Jeep (3)
Dodge
8
4
8
4
4
4
13
O. M. C.
4
4
8
4
4
4
4
8
8
4
4
8
4
26
30
19
63
26
12
18
46
12
25
19
45
15
10
Jeep (3)
G. M. C.
Dodge
Jeep
G. M. C.
Jeep (3)
G.M. C.
oU Jeep
Dodge
Dodge
Dodge
G M. C.
Dodge
Dod ge
Dodge
13
22
(En cou rs de fo rmation)
Lieuten a nt Ra ybau
Adjudant Barthélemy
Adj uùant MOllcadeau
S.-Lieutena nt d'Inocenzo
Cap ita ine Millet
Adjudant Galeron
(En cours)
Capitaine Pell egrino
Nota 4. - Les autres corps communaux
de sapeurs-pompiers qui ne sont pas ind i-
G. M. C.
Sceaux Battes
Pompe il .Feu
13
8
Adjudant Chaban ier
Nota 2. - Un « Jeu d'outils . co mprend
en pnnclpe 4 pelles, 2 houes à pic, 2 ser·
pes, 1 pIoche, J hache 1 croissant 1 r ateau
ou .1 scie. Il est prévu' en principe'l jeu par
équ'pe de 10 hommes.
1 ~ota 3. - L'a rri vée de ce véhicu le avant
e
aout 1950 n' est pas enCore sûre. Les
Communes voisines devront se renseiO'ner fl
ce moment.
0
1
1 (3)
Jeep
S.-Lieute na nt Duplat
(En co urs de formation)
Lieutenant Athénoux
Lieutenant O li viero
Adjudant Bonnet
Cap ita ine Ca r bo nnel
(En cours de format ion)
Adjudant Bagnol
Nota 1. - Les communes « Centre de Sc··
Cours Départemental ,. contr e les incendies
urbains, possèdent e n outre des véhi cules de
transport de personnel et des moto-pompe;
remorquables.
Jeep
Dodge
Dodge
Jeep
Dodge
15
Mimet .. .. ........ ····· · · ······ . Adj ud ant David
Lambesc C. S. D .. . ....... .. . ... . S.-Lieute nant Clot
La Roque-d'Anthéron ........... . . Adjudant Roussier
Martigues C. S. D. . ............ . Capitaine Chaillan
Car ry-Ie-Ilouet .... .............. . Adjudant O li vier
Châteauneuf-les-Ma rti gues ....... . (En cou rs de formation)
Berre C. S. D . .. . . .... .. ... .... . Lieutenant Moul in
Istres C. S. D.............. .... . Lieutenant Girot
Salon C. S. D. . . . .. .. , .. . . . ... . . Capitaine Pasquet
Grans ............ . ... . .... . . ... . S.- Li eutenant Arnaud
Pelissanne ... ... .. .............. . Adjudant Pardeco n
Arrondissement d' Arles
Aurei lle ...................... . . .
Eyguières C. S. D. . ..... . ...... .
Lanlanon .................... .... .
~-RemY-de-Prove n ce C. S. D .... .
aussane ..... ... ....... . ..... . . .
Barbentane .................... . .
Graveson ............... .. .... - .
Tarascon C. S. D. . ... . ...... .
Saint-Etienne-du- Grès' ......... . .
Boulbon . . . .................... .
Arles C. S. D. . ................ .
G. M. C.
O. M. C.
Matériel portatif
,
20
12
21
25
Y
13
3Y
G. M'. C.•
Dodge
Dodge
Dodge
2
2
Jeep (3)
O. M. C.
Dodge
ANNEXE N' 3
Liste des postes de vigies du département
des Bouches-du-Rhône
Grand Arbois, t él. (Poste no n en service).
Les Opies d'Eyguières, tél. 5 à Aureille
Bouohes-du-Rhône).
12
8
4
12
8
4
8
8
8
8
4
4
8
4
16
4
8
8
4
8
4
Jee p
Jeep
Dodge
Dodge
Jeep
G. M. c.
Dodge
Dodge
j eep (3)
G. M. C. (3)
•••
30
4
Dodge
qués sur l a présente liste, et qui ne sont pas
ùotés de matériel special < Feux de forêts »
peuvent en outre être appel és en renfort ave.:
r accord du Maire intéressé.
Nota 5. - Les centres qui ne disposent
que d'un véhicule assurent les transports du
personnel au moyen de véhi cules (camionnettes ou ca mions) requis sur place.
4
24
4
S
4
30
4
8
4
S
4
4
S
4
4
20
4
30
8
4
20
4
20
8
4
15
6
6
4
6
4
4
4
4
15
4
6
4
6
4
4
4
4
4
15
6
4
10
Pic de Bertagne, tél. l, à Plan-d'Aups (Var).
Pilon du Roi, tél. 10, à Simiane (B.-du-Rh.).
Sainte-Victoire, tél. l, il Vauvenargues (Bouches-du-Rhône).
Vernègues, tél. l, à Vernègues.
Sémaphores de la Marine Qui concourent à
la veille et
si~nalent
les incendies
Bec-de-I' Aigle (La Ciotat).
Pomègues (Ile Pomègues).
La Couronne (Martigues).
Téléphone: ligne directe avec le Q. G. de
la Marine à Marseille.
- ---<.00<'----
�no
-
Al'ONEX.E N' 4
Ratlaflaemen( ,ies Com.munes aux Corps de Sapeurs-Pompiers Forestiers
En cas û'incendie! de colline (pint!de,
tor~ts,
broussailles) slIr le territoire d'une
Commune.
D2 83
les Corps
ete
DEMANDE D'EMPLOI
DE SECRETAIRE DE MAIRIE
Sapeurs-Pompiers et
Forestiers doh'ent ètre a lertés immédiatement.
omS
des Commun~s
Corps de Sapeurs-Pompiers et foreshe rs
il alerter
Allauch .......... . ..\\arseille, A ubagne, Roquevaire.
Aubagne ......... . Gém~nosJ Roql\evaireJ ~~'arseil1e .
Auriol .......... . . Aubagne, La Bouilladisse, Roquevaire.
Belcodene ....... . Fuveau, La Bouilladisse, Gardanne, Trets.
Cadolive ....... . .. . .\I\imet, Fu\'eau J Gardanne, La Bouilladisse.
Cassis-sur~er ... . Cevreste, La Ciotat, La Bédoule.
Ceyreste ........ ' . La- Ciotat, La Bédoule, Gémenos.
Cuges-les-Pins ... . Aubagne, Gémenos, La Bédoul€'.
Oémenas ....... , . . Aubagne, Cuges, La Bédoule.
GréasQue ..... ... . . Fuvea u, Mimet, Gardanne.
La Bouilladisse ... . Gardanne, Roque\'aire, Trets, Fuveau.
La Ciotat ........ . Ce)' reste, Cassis, La Bédoule.•
La Destrousse ... , La Bouilladisse, Roquevaire,- Aubagne.
La Penne-sur Huv .. Aubagne, .I\tarseille.
Marseille ..... .... . Aubagne, Aix.
Peypin .. ........ ,. La Bouilladisse, . .~\imet, Roquevaire, Gardan n('
Plan-de-Cuques ... . .\Iarseille, Aubagne, Mimet.
Roquefort -Ia--Béd. .. . Aubagne, Ceyreste, Gemenos, Cuges.
Roquevaire ._ ..... . Aubagne, Gémenos, La Bouilladisse.
Saint-Savournin . , . Mimet, Fuveau, Gardanne, La Bouilladisse.
Aix-en-Provence .,. Ga rdanne, ..\leyra rgues.
Aurons .. ' .. . .... . . Salon, Pelissa nne, Lamanon J Lam besc.
Beaurecueil ....... . I\ix, Gardanne.
Berre-l' Etang ...... . Salon, Aix.
Bouc-Bel-Air ..... . Gard an ne, Aix.
Cabries .......... . Gardanne, Ai x.
Carry-le-Rouet ... . .I\-\artigues, Châtea un euf.
Charle\'al ......... . Salon, Lambesc, La Roque-d'Anthéron.
Chàteauneu f - les Martigues .' ..... .\\arti ~ut>s, Carry-le- Rouet.
Chàteauneu f - le -
Rouge .......... .
Cornillon - Confoux.
Coudoux .... ' .... .
Egmlh:s
......... .
Ensues - la-Redonne.
Fos-sur-.r\1er .... . .
fu\ eau .......... .
Gardanne ........ .
Gig-nac-Ja-Nerthe .. .
O rà ns ......... , ..
Is tres ............ .
Jouques ........ .
La Barben ....... .
La Fare-les-Oli\"iers
Lambesc ......... .
Lanço n-Pro\'ence ..
La Roque-d ' Anthéron
Le Puy-Ste"Réparade
Le Ro,'e ..... .... .
Le Tholonet .. ... .
Les Pennes.JMirabeau
Marignane ..... . . ,
Martigues ....... .
Meyrargues . .... . .
Meyreuil ....... . . .
Mimet .......... . .
Miramas .. , . ..... .
Pelissanne .. . . .
Peynier __ ........ .
Peyrolles-en-Prol ..
Port-<le-Bouc ..... ,
Fuve:l u, Gardanne, Ai x.
Grans, Salon, Bt:rre
Berre, Aix.
Aix, Lambesc.
Carry, Châteauneuf-A\anigue'S.
.\\a rti g ues, Istres.
Ga rda nne, Mimet, La Bouilladisse, Trets.
.\'\ imet .. Fu veau, Aix, Trets.
.\~artig'ue:) , Châtt:Cl un euf.
Salo n, Berre, Istres.
Martigl!eS, Gra lls.
•
Peyrolles, ~M.eyr a r gues, Vau venargues.
Pellissan ne, Lamhe-c, Salon.
Salon, Berre.
Pélissane, La [{oque-d' Anthéron
Grans, Salon .
Pélissane, Lambesc.
Aix, Lambes :, I-a Roque-d'Anthéron, .\Ie l'rargues.
.~\arti g ues, Carr y. j\·\ arseUie.
Aix, Gardan ne.
Martigues, Aix, .\<\a rseille.
Châteauneuf, Berre.
Châteauneuf, Carry, Marseille.
PeyrGUes, Jou ques, Vau venargues Aix.
Aix, Gardanne, Fuveau.
'
Ga rdanne, La Bouilladisse, Fuveau.
Grans, Salon.
Salon, Grans, Lam besc.
Trets, Fuveau, La Bouilladisse.
.Weyrarg ues, Jouques, Vauvenargues.
.\1arti gues, Istres.
Noms
des Co mmunes
Puyloubier
Rognac . .... ..•. ..
Rognes .. -- ...... .
Ro usset ......... .
Sai nt - Antonin-sur
Bayo n ......... .
Saint-Can nat .. "' .
Saint-C hamas ..... .
Saint-Estève ..... .
St-Marc Jaumegarde
Saint...."'itre ....... .
St- Pa ul-Iez-Dura nce
Saint- Victoret .. ....
Salon-de-Provem:e.
Sausset-les-Pins ....
Septèmes - les- ValIons ........... .
Simiane...collonge ...
Trets . ........... .
Vau venargues . '
Vela ux ..... __ .....
Venelles
Ventabren ...... . .
Vitro lles - le-Rou cas
Alleins ........... .
Arles ............ .
Aureille .. .... . ..
Barbentane ....... .
Boulbon
Cabannes __ ...... .
Ohâteaurenard ."'_
Eygalières ..... . . .
Eyguières ........ .
Eyra rgues ....... .
Fontvieille ..... . . .
Gra veson .. , .. .. .. .
Lamanon ......... .
L~s Bau x .. _.
Mai llane
Ma llemo rt .
Mas-Blanc ....... .
Maussane
.... .
Mezoargues- ... '
Mo llégès .. . .
Mouriès .. _...... .
Noves ...... . .... .
Orgon ...... ... .. .
Paradou ......... .
Plan-d'Orgon ".""
Port -Saint-Lou is-d uRhône .. .
Rognonas ... . ... .
Saint-Andiol ...... ,
St-Etienne-du-Grès.
Saintes-Maries de la
1\1\ er
...
St-Ma rtin-de-Crau
St-Rémy-de- Pro v.. ::
Sénas " .. '
T a raseon .. '
Vern ègues
., .
Verquières """"
Corps de Sapeurs- Pompiers et Forestiers
à a lerter
Trds, fllvt!au.
Berre, Aix.
La Roq ue-d' Anthéron, Lambesc Ai x.
Trets, Fuvea u, La Bo uilladisse:
M.
J.
T herond, demeurant ,Grand' Rue, il
Saint-Jea n- du-Gard, reCherche un emploi de
Secrétaire de Mai rie dans une commune de
piUS de 2.000. habita nts du départ ement des
Bourhes-du-Rhôn e.
. MM . les Maires intéressés par cette candidature sont priés <le se mettre directement
e n rapport avec IMI. j. ~hérond.
-------c~ooc , -------
1\1\ Paul A,u bert, retrait é, demeurant a
Istres, 33, cou rs Jean-Jaurès recherche un
emploi de Secrétaire de Mairi~ dans le d'épar teme nt des Bouches-du-Rhône.
MM . les M-aires intéressés par c~l1e Can-
didature SO!1t pries de se mettre directement
e n rapport avec M. Paul Aubert.
------c~ooc·..
M. Maurice Na\', secrétai re de la Mairie
d'tEygalières, redherche un emploi similaire
dans un e co mmun e du département des Bou_
ches-du -Rhône, de plus de 2.000 habitants.
IMIM. les Maires intéressés par cette candidatu re sont priés- de se mettre directement
en rapport avec M. Nay.
Ai x, Fuveau.
Lambesc, La Roque-d' Anth éron, Pélissanne.
Salon, Gra ns.
La Roque-d' Anthéron, Me yrar gues, Aix.
Aix, Vauvenargues.
Istres, Marti g ues.
Peyrolles, M'e yrargues, Jouques.
Chàteauneuf, Berre.
Pelissanne, Lama non, Grans.
Carry, Martigl.es, Châteauneuf.
Gardanne, Aix.
Ga rda nn e, Mimet.
Fuveau, La Bouilladisse, Aix.
Aix, Jouques, Pe yro ll es.
Berre, Salo n.
Aix, Mey rar gues.
Berr e, Aix.
Ohâteauneuf, Berre, Aix.
La manon, Salo l1, ,La Roque-d 'Anth éron.
Tarasco n, 'Maussa ne.
(Salon). ,Lama non, ·Maussane.
Tarasco n, Boulbon, Graveson.
Taras con, Graveson, ,Barbenta ne.
Chàte~lU:1euf, Tarasco n, Châteaurenard.
Tarasi.:on, Barbentane, Graveson .
Saint-Rémy, Aurei lles, Tarascon.
Salon, Aureilles, Lamanon.
Tarasco n, Saint-Rémy, Graveson .
Arles, Saint-Etienne-du-G rès, Maussane.
Tarascon, Boulbo n, Barbe nt a ne.
Sa lon, Aure illes, La Roque-d 'A nth éron.
Saint-Rémy, lMaussane, T arasco n.
Graveson, Sai nt- Etienne-du-Grès, T arasco n.
Lamanon, Salon, La Roque-d' Anthéron .
Saint-Etien ne, Saint-Hé my, T a rascon.
Arles, Saint-Etienn e, Saint- Hém y, Aureilles,
Boulbo n, BJrbentan e, ' Tarasco n,
Saint-Rémy, Chateaurenard .
Salon, Aurei ll es. M1a ussa ne.
Chà tea ur~l1 a r d, T a rasco n.
Salo n, Au rei lles, Saint-Rémy.
Maussane, Saint-Etienne, Tarasco n.
Saint-Rémy, Ohàteaurenard .
•
Copi~
L~
M'a rtigues, Arles.
Barbentane, Graveson, Châteaurenard.
Saint-Ré my, C hâ teau renard.
Tarasco n, Saint-Rémy, IMa ussa ne.
Arles.
Arles ~"' a u sga ne .
Sa int-Etienne-du-Grès, Boul bo n, M(lliss ane,
T a rasco n.
Aurei lles, Lam a non, Salol1.
Saint-Etien ne-du-Grès, Boulbon, St.Rémy.
Lam"- nol1, Sa lo n~ La Roque-d ' Anthéron.
Saint-Rémy, Châteaurenard.
Les Centres de Secours il alerter en cas de feux de forê ts
t ' t d'
1
en raison de la nature différente du matériel a utiliser.
peu ven e re tfférents de ce ux à a lerter e n cas d'ince ndi e o'imme ub es
Les Centres de Secours il alerter en cas de feu x au t res que i
.. s
e,\feux de for êts, ont été 'P ubliés a u Bulletin Administratif des Mw"e
,
ctrtiétc. conforme..
Pour loe PrHet :
SuréttJir~ Giftérlll __ LAMASSOURE.
�RÉP UBLIQUE
24 Aoot 1950
DËPARTEMENT
;(,çff.~ii;.~~. 34
FRANf1A.ISE
DES BO U C H E:.S-DU -R LJ ......,' ''"
'\.
'~~)..
Recueil des Actes A. . .:-.....-.'UQI
s
et Bulletin des Mairies
Toute corresponda n ce r ela ti ve a u Recueil doit être adressée à la Pré fec ture Secrétar ia l
Général
ABRÉ V I A. 'l.'IONS
A P . : Arrêté p réfe~toraL - C. : Circulaire. - Les lettres D et B suivies d' un ohiffr e indiqu ent le Service Ou Bur~au d' onglne.
_ S. L. R A. : Service d e Liquidation des Réqu isitions All emand es. - R G. : Ravitaillement Général. - S. C. R. : Service de la
Ci rcll l"t io n et du Ro ula ge. - D . D . S . : Direc tio n Dépa r tementale de la Santé . - D. S. T. : D irection des Services Techniques.
SOMMAIR.E
gês par les fo nction naires autorisés
Arrêtés rég lementaires et CircUlai r\!:lS
-
P. O. _
à utiliser It'UT
3. - Primes fi
Pagc:"i
Tr ansmission de communiqués
urgents par Radiod iffusio n F ro nçais J:ll
FS O. __ PI ':lcement provisoire des alienes. _ . Cer tificat médi ca l et procèsverbal d 'e n quêtel :~J
AG 7. _ Rece nsement ùes j e U(1 I;!5 gens
ne j ust ifiant d'a ucu ne nationalité et
residant en Fr ance
t :q
VOiture personn t ll e
l 'o l ~kultll r e .....
.
t.:ommuniquës, Avis, Annonce s diverses
1:\4
135
E.N 1. Indemnités de logement aux
instituteurs iTin é r~l!I ts, cha r g<:s dt'
l'ense ig nement
agrico le
post-sco-
la ire
....... .
Tex tes d' in tërêt général
F O. -
A rrondissement au fra nc i nft:-
F O. _ Remb oursement des f r ais en ga-
rieur des recettes et des dépenses
pu bl iques ....... .
Pages
~c
7. -
Stage de Sapeurs-Pompier il
l'Eco le de la Protection
Civile,
fi
Pans
AC 1. - Adjudication pour l'entréprisc
de fo urniture de pain et de distributio n de \'i\' res, fou rr ages, comb ustihies et maté r ie ls (ge I~égion ~·'ili1.i rc) .. '
1.<7
138
CIRCULAIRES
ARRÊTÉS REGLEMENT AJRES ET
PO
•
•
TRANSMISSION DE COMMUNIQUES
URGENTS Pi\R LA RADIODIFFUSION
FRANÇAISE
Référ . : HEG- PG. 4 CiRC N' 271
Pa ri s, le 3 aoùt 1950.
Le Ministre de l'Int érieur
.
à Messiellrs les Préfets (M étropole) .
La présente instruction a pOUf objet de
porter à vot re conna issa nce la nouve ll e procédu r e m ise au point par mes Services, en
accord avec ceuX. de l a Radi od iffusion Française pOlir la transm ission des m essages
ur gents, notamment des demandes de secou rs.
10 Pour éviter les commu niqués fantaisi stes, seuls so nt habi li tés à entrer en rapport
av~c les Services de la Rad iodiffusion Française les P réfets So us-Préfets Maires Commissaires de Police et Comm~nd a nts
brio
gade de Genda rm e ri e .
de
2° ,Ces . dern ie rs appe ll ent, pa r télép hone,
1a Dlrecho n du Journ a l Pa rl é (ou. le
('a~
~ch éa n t, la s ta ti on r ég iona le) ;
?O
Les Ser vices de l a Rad iodiff usio n Fran-
~a l se. ap rès s'être ass urés de l' authenticite
u ~ema n deu r par l'ne vé r ification dans l'al1-
nual,re tél.éphoniq ue, suivie d' un rappe l pour
<confir mation, diffusent l' appel demandé.
La \'ér.ific~t i on à l aq uell e il est procédé nt'
peut avo l( il e u que dans la mesu re o ù le deTa nd.eur dispose, en ra ison même de se~
oncllo ns, d' un poste téléphonique ; les Moi- '
r es des retites localités dont la J\\airie n'a
pas de té léph o ne ne peuvent pas présenter
aux Services de la Radiodiffusion une demande de transm ission tle message ; ils
doivent faire formuler ce ll e-ci par un e: des
person nalités ci-d essus enumér ées .
A fin de r éduire, da ns toute l a mesure dl1
possible, les dél ais nécessai r es à l a t r ansmission et à la vérification de l'authenticité des
m essages, il Y a lntérf't à ce que les demandes de seco urs~ éma nant de lùcalités pluc::.
pr oches d' un e Direction Régionale de l a I~a
diodiffusion que de Paris soient pr ésentées à
ladite Direction Hégionale qui les com munique à l a Dire ction des I nformations et du
fournal Parlé à Paris,
Vous \'o udrez bien t rouve r, ci-ap r ès, la lisie des numéros J 'appel tél t-phonique de la
Directi o n dtl Journal Parl é, J'une part, et
des Directions I~égi o nales et des Cent r c.i'
des SOlls-R t:-gions de la l\\étr opol e, d'alltrr
part.
Direction du jOl1fJ1(l1 p(lrl e, Paris : E I ~
seCS 13-82 ;
Bordèa ll x : ROO,O 1
C ler mont-Ferrand RO.3~
Gre nob le 10.99 ;
Li ll e : 487.35 ;
Limogès : 44.98 :
Lyo n Moncel' 87-55
Ma rsei ll e : (jaribaldi 6!)-50
Montpell ie r : 6-1.19
Nancy
62.12
Nice : R56AO :
Rennes : 29_25 ;
Strasbourg : 303.63 ;
TOlilouse : Capitole 49.36 .
Pour le Ministre de l' Int eri eur.
par dél égation,
Le Maitre des Requêtes
au C Ol/seil d' Elat,
DireL'leur du Cabinet
P. CHAUSSADE _
----<)00<)'----
FS 0
D382
PLACEMENT PROVISOIRE
DES ALIENES
Marseille, le 16 août 1950.
L e Prefet d es Bou ches-du-Rhône
à MAI. l es Maires dll Département
(pour exécution) ;
MAI. tes Sous-Préfets cI' Aix et d'Artes .
M , le ' Med ecin-Directeur de l'Hôpital Psychiâtriqu e d' Aix-en-Pro-
vence :
M. le Dire cte ur de l'Hôptlat-H ospice
de la Timoll e ;
S-C de M. le Directe ur Général de
l'A. A. P ..
Il m'a été donné de co nstater que t r ès SOllvent les dossiers LI 'aliénés placés provisOl '
rement et d'urgence il. J'H ôpital Psychiâtrique d' Aix-en-Provence, en ve rtu de l'article
19 de la loi dll 3(}-6- 1838. étaie nt incomplets
cn ce sens qu'ils ne compo rt aient aucune in
di ca tion su r l es faits et gestes des malades
�__--------------~----------------II---------------
~I~~--------------~----------------~--------------avant leur Internement. En effet, seul un
certificat m~dical est généralement joint au
dossier et le plus sou\'ent cette pièce est rédigée d'une manière par trop laconique, se
bornant quelquefois, en trois Ou quatre lIgnes, à constater les troubles mentaux, sans
en préciser la nature apparente et à prescrire
l'internement.
L'absence Lie rensei~ements sur le comportement antérieur du malade dans le milieu social présente de gri;lndes t1ifficultes
pour le Médecin-Chef traitant qui, aux termes de la loi, doit dans les 2-1 heu res dt:
l'admission, com:lure dans lin certificat tk
situation au maintien ou au non-maintien de
lïnteressé sous le régime des aliénés_
ries n" ï du 16 fé\'rier 1950, auq uel \'OIiS
pourrez \'OllS reporter.
Pour le Préfet et par délegation,
Le SOl/s-Prefet
Directeur du .cabinet
DUFAY, .
_ _ _ «> 00 <:.. _ __
AG 7
D582
RECENSEMENT DES JEUNES GENS
NE JUST IFIANT D'AU CUNE NATIONALITE ET RESIDANT EN FRANCE.
.\ Iarseil e, le 19 Aotl , W50 .
L'at tention Lié M . le J\o\inistre de l a Defe nse Nationale a été appelée à plusieurs
reprises sur les conditions dans lesquell es I!
Il importe uonc que {'e praticien suit infory avait lieu de procéder au recensement
nlt~ d'une façon CiUSSÎ précise et aUSSI détaildlS jeunes gens \'ises à l'articl~ 3 (pa~agr. 2)
lee que possible sur la conduite antérieure
du psychopathe et sur les incidents qui ont
de la loi du 3 1 mars 192 , c est-a-d"e des
jeunes "ens résitlant en France, qui ne justiprovoqué la mesure pro\'isoire d'internefient d'~ lIcune nationalité.
ment, pour lui permettre d'apprécier en toute connaissance de cause, au moment de l a
J'ai l'honneur de \'ous faire con naître que
r édaction du certifiCat de 24 heures, si ('ette
seuls les individus résidant en Franc, qt:1
meSlIrt> dOit 011 non ~tre confi nnée_
ne peu\'ent présenh:r un passeport ou un
titre d'identité equi\'alent en tenant lieu, non
Pour pallier ces inconn.~nients, j'ai rhoilpérimé, établi par les autontts de leurs pay~
Th!Ur de \'OllS faire connaître qu'il com'iend'origine, ou qui auront été munis par letJ "
dra il l'a\'enir pour tous les placements prr,.
Consu l d'a ttestations, œrtifiant que ce der·,-isoires etft::ctués en \-ertu de l'article I ~) LI!
nier ne les recollnait plus pour ses ressorla loi du 30 juin 183 , de j oind re, en plus du
tissants, doivent être considérés COmme ne
l:ertificat rTPIédical, lequel devra être rédig'~
justifiant d'aucune nationa lité.
d'une façon aussi complete que possibl~
En ce qui concerne, en particulier, les rC"quant au caractère dangereux de l'affection
fugies espagnols, auCune mesure de déchéanmentale lonstatée, un procès-\'erbâl d'ence de leur nationalitë n'a été prise à leur
quête ~tahli soit par le Maire, soit par Id
éga rd par le Gou\'ernement Espagnol. Ce5Police faisant etat de la déposition des teétran gers, bien que bénéficiaires du statut
moins interrogés, relatant les troubles du
et de la qualité de réfugies et placés sous la
comportement de l'aliéné présumé, donnant
prote ction dl: l a Commission préparatoire de
des précisions sur ses faits et gestes et sur
les incidents qu'il peut a\'oir occasionnés,
l'organisation interQationale pour les réfugiés, n'en ont pas moins consent~ leur naenfin justifiant la mesure prise_ Un <exemtionalité d'origine.
plaiTt~ de ce procès-\'erbal sera joint au dossier qui accompagnera- le malade à "Hôpital
Les réfugies espagnols, \'isês ci-dessus, ne
Ps}'chiâtrique et un autre exemplai re me sera
dOÎ\'ent pas Hre considé r és Comme sans
adressé dans les 2-1 heures a\-ec une amplianationalité et ne doive nt pas être inscnt<;
tion de l 'arr êté d'internement et une copie
sur les tableaux de recensement, en vert u de
du certificat médical. Si, au besoi n, cette derl'article 3 de la loi du 3 1 mars 1928, relanière pièce peut ne pas être jointe au dosti\'e au recrutement de l'arm ée.
sier, conformément à l'a rticle 19 préC'ité, le
Vous \'outlrel hien tr ouyer, l."i-joint, cupi ~:
procès-ve rhal d'enquête qui justifie la décide la ci rculai re ministérielle n" 6419-2- 1 LI"
sion m'apparaît comme indispensable en l'oc3 mai 193ï, qui Concerne l es obli gatio ns mIcu rrence.
litaires des jeunes gens résida nt en Franü!
et qu i ne justifient tI'aucune nationalité.
Je vOus serais <..lone obli gé de "ouloir hie"
(B . (J. E, M . Vo lume 68).
prendre toutes dispositions utiles en \-ue d~
\-ous conforme r dans J'a\'enir aux instrucPOlIT le Préfet· et par délegatio n,
tions qui précèdent, instructions dont J'i nobLe Secrétaire Général
sen'ation de \'ot re part risquerait de proLAMASSOURE.
\'oquer des complications portant p réjudic~
.'.
aux malades.
Je sai,$is cette occasion pou r \'OUS rappeler ma circulaire du 16 février 1950 vous
informant <..lu nou\'eau mode d'admission des
malades mentaux indigents dit oC Placement
Volontaire â titre- gratuit t , institué dans les
Hôpitaux Psychiâtriques du Département Il
convient de géneraliser de plus en plus c~
mode d'admission, qui doit être consider r;
comme la forme normale de l'hospitalisatioTi
des psychopathes, l 'internement provisoire et
d'urgence aux termes de l'a rti cle 19 de la
loi du 30 juin 1838 étant r éservé aux seuls
malades dont l 'état constitue vraiment un
danger pour l 'ordre public et la securité des
personnes. Les modalités du placement volon!aire gratuit ont été fixees par mon arrêté du S-1-1950, paru au Bufletin des Mai-
Cinulwre L'o mplelallt les circulaires n" 2-UG
et 2437-2-1, dl/ 24 fév rier 1937, relatil'. ,
aux obligations militaires des jeunes (Tens
l'isés par l'ar/icle 3 de la loi du 3 1 I~ars
1928 sur le recmtement
(B. O. E. M. Volllme 6~)
de
/' Armée
N" 6~ 1 9-2- 1
Paris, le 3 mai 1937.
A l'occasion du recensement des jeunes
gens, visés à l'ar ticl e 3, paragraphe 2, de
la l oi du 3 1 mars 1928, certaines auto rites
emploient les termes d'apatrides ou d'heimatlos. L'emploi de ces termes est formellement interdit. L'expression à employer pour
viser les intéressés doit r igoureucement
être celle de la loi, c'est-à-dire C' jeunes
gens qui ne justifient d'aucune nationalité
résidant en France :t .
Doi\'eTl_t l'.tr.c class~s dans cette catcgorl
tOtiS les Inchndus qUI ne pourront prése te
un IlassepOrt ou un t itre d'identité équ~,er
lent;. en tenant lieu, non périmé, établi pa.
les autorités de . Ieur pays d'origine Ou q~~
auront e! é mUnis.. . par l eur ancien Consul
d'attestations certifiant que ce dernier ne I~
recon naît plus pour ses ressortissants.
Par aillell~, ceux d'entr e eux, explll sés Ou
refolll é~, b.énéficiant de ~ ursis de départ 011
d'autonsatlOns temporaires cie séjOur d'I
fait qu'i ls ne sont q u'en séjour tempo ;air~
en Fra nce, ne tom bent pas SOliS le l:OUp de
l'appli catio n de l'articl e 3 de la loi du 31
mars 1928. Ils ne doivent donc pas etr. rtcensés ni appelés SOllS les drapeaux, et les
convocatio ns déjà adressées aux indi\'idus di!
cette catégorie so nt il considérer co mml!
étant annulées.
Toutefois, des meSu res appropriêes seront prises pour éviter que certains jeunes
gens ne cherchent, sous le coU\'ert d'un sejour temporaire , à éluder les disro itions dt
la loi .
Il appa rt iendra, en parti cul ie r, aux intrresses de fournir la preU\'e que leur resl dence norma le est à l'etr ang''er.
D'autre part, ce ux qui auraient, à l'épotjlll'
de l'inco rporation de leur cla sse, excip":: d'un
séjour temporaire pour ne pas être appeles
sous les drapeau x et qui se fixe raient ultérieur ement en France, seraient alors incorpo rés po ur accompli r un temps de servirt:
éga l à ce lui effectué par leur classe d'àg-€'.
- - - -c:> oo «. - -- 02 83
F 0
REMBOURSEMENT DE FRAIS ENGA·
GES PAR LES FONCTIONNAIRES
AUORISES A UTILISER LEUR VO~
TURE PERSONNELLE,
A l'occasion d'une récente vé rifi cation Je
l' Inspection des Finances, j'ai l'honneur dt'
rappeler à MM , les Directeurs et Cheis de
Services du D épartement que les états de
frais engagés par les fonct ionnaires autorisés à utiliser l eur voiture personnelle pour
les besoi ns du ser vice devront mentionner
a)
La décision autorisant ce tte utilisa-
tion ;
b) La ma rque, puissance et num éro
nera logiq ue du \'ehicu le utilisé
1111-
c) La prise en charge par It: Chef de
Ser vice intér essé.
En Ct: qui concerne les remh ou rsemen tS d.e
dépenses co ncern ant les \'éhicules automob.lles (réparations, ass urances, etc ... ) supporte$
par le budget départemental, les mémoire;
de factures qui devront mention ner la marque, puissance et num éro min éralogitlue d ll
vé hicule, ainsi -que l a pri se ~n char.t~e dl!
chef de service seront soum is au VIsa Ut':
M. le Directeu r ' des Services Te chniques dl~
D épartement, qtli assu re la gestion du ParL:
Automobi le.
Le Préfel
Jean BA YLOT.
- - - - < >00 « > - - - -
A 3
)6 BIPRIME S A L'OL EICULTURE
1
l
1
Ir ~'o" pour l'application de la d éciins . uc ~oriant attrobutton exceptionn<!îie
~J,~nIY50
de ptlmes
à l 'ol éiculture.
de'clsion de At le Ministre de j'Agnne 1 date du IY J'uillt . 1950 a pr t::.cnt
~
.exceptl.Jn,
"1.art".,-vUt"J"• en 1950 d'u neé pl'lme
ct
l' ,
n~lIc aux Oléic ulte.urs poss dant 1 e~ . 0 IViers
fl;gu lièrement cu lti vés et en proc lie 1011.
d
J
condition d'altribulion es pr mes "
Sont co nsidérés cO~lme r~gulièrel11ent c.lI llls
il\'és, les c li viers qUI reçoblve n.t au 1 mlo'cl
? labour:; par an, et, au
esoJn, au ~11
e
tons cu[rurales sup pléme ntaires q u Il c~r
po ur assurer, en permanence, .1f
rarfait ameublissement et 1a pa r i al te pr 0)1 r ct/ du sol. Ils dOÎvent en outre :
. des re- etre' régulièrement débarra.sse~
l'ets de souches, ou gourma nds, ulUtties i':isUS
U
'1 1!Urt t:
i
naec'essair~
1.111- pied;
recevoir
une fumure eomple. ,e ,
- dre taillés rationne,lement ; ,
- subi r tin piochage desti né à parfaire les
labou rs au pied de 1 arbre,
. mOi, ns cl t: 10.
Les arbN~s régénérés depU IS
0
pla " te', depu,'s
a"s
~ de 15 ans, qlU
bënèflciellt de primes de r~ g~ nérat ; oll ou de
p:antatio .. , prévues par l'acte dit « loi clu 22
mai 194 1 » ne peu vent prétend1e à l'vttrÎQutioll de la présenie subvention .
IfU
"'0""
Formalités â remplir :
Dlclara/ion à remplir par les oléicl/lteurs
iait au Serviee de l'Oléiculture avanl le 10
octobr e.
Contrôle ,'
Des contrôle, seront eirectu':s sur place
par les soins du Ser vice. régional de l'QJéi-
.~
cu. ure.
b'
i '
Les Maires vt>Ltdront len alfe accompagller les contrôleu r ' par le f!arde-champêtn:
de 1a c0 mmu ne _
.
du 19 jui let 1950 et de procéder à la radlation des déclarations fraudule uses,
Ell e établi r a, en 4 exemplaires, un la·
b.eau récapi rulatif comm una l, da'l1s lin délai
de trois j ours.
-- Un exempla ire sera affIché en ma irie;
_ un exempla ire sera ad ressê au Préfet;
_ un exempl aire sera ad r essé au service
de l'o :éiculturc ;
_ un exemplaire sera classé aux archi\~es.
Il n'appartient pas à la Commissio n comnlurla le ·' ·eiiectuer l'a1"attement de 25 arv
bres. En utout éta t de cause,
seules les cOlonne S 1 2 3 et 4 du tableau récapitulatif
, , doivent être remplies par la maicommunal
SancfÎons,'
Tout individu qui se rendra J:oupable
d' une frau de, d'une tentative de fraude ou
d' une compl icirté de fraude pour l'obtention
de la prime sera déchu du droit à toute prime et passible des sa nctions prévues par la
législ atio n en vigueur, sans préjudice du rernboursement des som mes indùment perçues.
Paiement des primes:
Le versement des primes aura lieu du 1er
au
3 1 décembre
Il seraRégionales
effectué par
l'intermédia
iPe des1950.
Caisses
de
C ' d'
A ' .
. f t · re en
re Its gnco .es qUI eron
connal l
temps opportun, les modalités cie paiement.
Marseille, le 12 aoû t 1950.
Pour le Préfet :
Le SOlls-Préfel,
Directeur ([u DUFAY
Cabinet,
Signé:
,.
rie .
L es tableaux adressés au Service de
l'Oléiou lture devront être envo~rés â l'adresse
suivante;
Se rvi ce Régional de l'O léiculture
79, rue Dragon à Marseille
Le délai d'expédition des tab 1eaux au
" 1ture d 01't't
.
,
Ser vice de 1'0 lelcL!
e re ngouretsemcn t respecté, Ils devront êt re envoyés au
plus tard le 15 septembre. Les lab/eallx p'a r.
- - - - - - <. 00<'-------
venus après cette dale ne pourront pa s etre
pris en co nsidération ,
D4 B3
r .
cel;'es, 1eur superficie et le nom b re d'o IViers
contenus dans chaque parcelle,
Un ab3'tlement à la ,base de 25 arb res
étant prévu, ils est i nu tile de recevoir des
déclarations inférieur.es à ce no mbre.
Les oléiculteurs' possédant Ull n,o mbre
d'oliviers supérieu r à 25 devront declarer
la lotali lé des ar bres. L 'abattement de 25
arbres S~r:! effectué sur leur dcc:!aration à la
diligenoe du ser vice d'attribution des primes.
Ainsi un oléiculteur ayant décl aré 50 arbres cultivés, ne reCevra la IHime que pour
25 arbres.
Les décl arations devront être désignées
~ur les impr,imés de déclaration mQdèle 1 mis·
a :eur disposition par les mairies,
Les déclarations devront êlre elleclllées
enlre le 15 aol1l et le 5 septembr e 1950 .
Passé cette date auCUne déclaration ne
pourra être acceptée.
Récépissés de déclaration " Les mairies re-
Dans un délai de 15 jours après l'aifich age en mairie, les oléiculteurs pou rront présen ter des recours contre les décisions de la
Commissio n communa le. Ils devront ~tre
f
lé
. 'r t en del'X exempla,'res
_ '..
"
ormu s par eCrl, e
Mention eri sera faite sur le recéplsse de declaration.
Dans un délai de 20 jours après l'afii1 t
chage, la Commission ~ommuna e
r~n s mettra revê tue de son aV IS, les exemplaires
de r&o urs respectivement au Préfet et au
Service de l'Oleiculture à iV'arsei ll e.
L 'envoi de ceS réclamatio ns devra êt re
Commu ne et Ecole
où l e poste est crU
Tarascon (G,)
M . Srémonel Jean ,.
St-Martin-de-Crau (G)
M. Galtier Charle,
Eyauières (G.)
Charleval (G.)
.\1. S~' II'~stre SyIY.
1\1. Oddon Louis ,
Marsei ll e-Mazargu . (G)
J\ L C harrasse R_·"
Aix-Les Milles (G.) ..
J\\.
La Penne-s.-Hu v. (F.)
N\m e Dancart
Marsei lle, ru e Fortuné
J\llIe M ontei l
HU~lIet
Jean ... ,
CommiSSions commu naJes .'
Après l a cl ôture des décl arations, et da ns
délai maximum de 8 jours après cet~
chllure (SOit entre l e 5 et /e 13 sep tembre), ,1
appartient au maire de. réunir la Commi ~io ll
communale prévue par l'a r tic le 2 du décret
dfl 8 juillet 1949. (Cette Commi'5ion est
Composée du maire, président, des me~l
bres de la Comm ission communa'e de statlsd'Associ al ions
agricole,
OléiCOle";' àu
1
Nom du Maître
de
Un
EN 1
INDEMNITE DE
LOGEMENT AUX
INSTITUTEURS ITINERANTS CHARGES DE L'ENSEIGNEMENT POSTSCOLAIRE AGRICOLE.
Rédamao/ion "
Leo olo';culte urs désireux de bénéficier de
..
ces dispositions doivent fa i re .1I~e déc ~ar~tian à la mairie de la commune ou ~ont SitU es
leurs
o;ivlers.
CClte
<h:claration mentionnera le nombre
.
1
d'arbres pour lequel ils solric,tent a prrme
le lieu dit e[ le numéro cadastra l des par-
mettront aux oléiculteurs un récepissé
18ur déclaration (imprimé modèle 2).
de la commune et d'un représenta ni cie l'Administration des Finances).
Cette Commission vérifie la silloérit~ des
declarations et, s'i l y " lieu, l'éla t cu ltu ral des
plantations. Il lui appartiendra, notamment
d'exc l ure les arbres ne remplissant pas les
conditiol1.5 fixées à l'a rt icle 2 de la décision
Marseille, le 21 aoùt 1950.
Le Prefet des Bouches-du-RhOne.
à MM . les Sous-Préfets el Maire.
du D épartement,
J'ai l'honneur de \-ous communiquer, il.
l'aide du tableau ci-dessous, l es noms des
instituteurs itinérants chargés pour J'a nnét
scolaire 1949-1950, des co urs d'enseignement
postscolaire agricole, ainsi que les noms des
commu nes desservies :
D és il1T1ation des Communes desservies
::0
par chaq ue Maitre
------
Tarascon, Saint-Etienne-du-Grès, Saint,
Rémy, Barbentane, Boulbon .
Saint-Martin-de-Crau, Arles, Moulès, ArIes, Raphèle, Maussane, Mouriès.
Eyguières, Salon, Sénas, Mallemort, Orgon
Charleval, Rognes, Lam besc, Saint-Cannat, Puy-Sainte-Répar ade,
Marseille, Marignane, Bouc-Bel-Air, Aubagne, Les Pennes-N\irabeau.
Aix, Les Milles. Roquevaire, Auriol, Tret,.
Puyloubier,
La Penne-sur-Hu veau ne, Cuges, Au r iol,
Roquevaire, Gémenos.
Marseille (3 centres), Allauch, Plan-deCuques.
---~
Chaque Maitre pe~lt préte~dre, s'il n'est
pas logé par les so~ n s de. 1 une ?~S communes qu'il dessert, a une Inde~n_llIte de ,10"ement dans les mèmes condItions qu un
i~lstituteur sédentaire non pourvu d'lin logement communal.
Les conditions d'attribution de cette !I~
elemnité et son mode de ca lcul ont été Lleflnis par mes circulaires des 12 et 29 décembre 1949, publiées en ann~xe a ce~It!-cl ail
présent bulletin. Je l' OUS inVite donc a vous )'
réiérer.
�•
13/l
L'objet de la prèsente circulaire est de
pr&:iser le mode de calcul de la charge
financière qui in ombe il chaque l:ommun.:
~n l"aUSt!.
Cette charge ne sera plus suppor-
tèe, en effet. par une seule communt:, comm~
('est I~ las pour l'application de mes l:Jn.:ulalrt$ pr«itt'I!S, à des maitres sédentaires.
mais p..1 r to utes les co mmunes du groupe
I.:onsidére pour l'exercice de l'al1i\"it~ prûiessÎonnelle de tel maitre détermine.
Le principe est que la cnarge municip.1k
rèSpecti\'e tlena être proportionnelle à la
population totale de chaque commune, tell e
qu'elle a été ttablie par le dernier recensement de 1946.
Cependant, la façon de prèsenter l'inscription budgétaire correspondant à cette charg'e différera selon que l'on a ura à faire il la
commune siège du logement du maitre ou
que 1'011 sera en présence des autres communes du circuit.
CUOlmunC' ...
dc5.s~i\·it:5
Tarascon
Zone
de classement
de la Commune <;ièg('
.... _.. '.
Zone 1
La commune siège du logement derr3 inscrire à son budget, en dépenses. le monta~t
total de lïndemnité ; en rrcm,'s
la porhripation de chacune des autr~s t.:O ll1mun~.
:tinsi que les ressources de lTatllr~ a COll\'l1r
la sienne propre.
Au contraire, chaque commune ùessen ie,
mais n'etant pas le siège du log-emellt, ne sera tenue d'inscrire à son budget, en {!ti ptllses : seulement le montant de sa quot~-part
déterminé selon le procède de pl oportiùnllalité indiqué ci-dessus ; en receltes : seulement les ressources propres à faire fa ce (i
cette dépense.
Je \'ous communique, il J'aide uu tahleau
ci-après les sommes mises à la charge de...
communes desservies, au titre des indemnités des instituteurs itinérants au 1er odobre 19.19, d'une pan. et au 1er janvier 1950,
de l'autre.
Indemnité tutale
à la cha rge
de la Commune ~iège
du logement
1-10-49
1-1-.11)
2.965
7. 110
Saint-Etienne-du-Grès
aint-Rémy . . ..... .
Barbentane ........ .
Boulbon ........... .
Sainl-.llartin-<ie-Crau.
Zone IV
2.000
4.800
Arles ........ . .... .
~\aussane ........ .
.\\ouriès .... . ...... .
Eyguières ..........
Z one VI
1.650
3.950
Salon . ....... . •....
St'nas .............. .
Mallemort ......... .
Orgon ..... _... . . ' ..
Char/,,'a/. . . . . . . .. .
Zone If
Rognes ............ .
Lambesc .. .. ...... .
Saint-Cannat ...... ..
Le Puy-Ste-Réparade
.\larseille. . . . . . . . . . . .
Zone J
-
1.650
2.96!',
-
3.950
7.110
Marignane ... .. .. .. .
Bouc-Bel-Air . .. .... .
Aubagne . ... ..... .
Les Pennes-Mirabeau.
Aix-en-Provence . .. '.
Zone 1/
2.338
J~oque\"aire
....... .
Auriol ........ .. ..
Trets ........... .. .
Puyloubier _ ....... .
La Penne-s.-Huveaune
Zone 1
2.965
-
5.605
7.110
Cuges ............ .
Auriol .. .. ........ _
Roquevaire . ...... .
Gèmenos . ........ .
Marseille ..........
Zone J
2.965
Allauch _ ........ .
Plan-de-Cuques
Chacun des Maires des Communes intért:SSfes, sièges ùes logements Ou non, de\-ra
Inviter le Cons~il Mttnicipal à fixer pa r une
délibération, sui\'ant les sommes tigurant
7.110
Pupulation
de chaque
Commune
Quate-I'art I.'umm unak
au 1-10-"!l
au 1- 1-.il1
7.781
1.204
2 H8B
1.222
6.877
2.425
875
188
1.064
374
135
453
2.550
998
324
2A 7
124
35.0 17
1.150
1.307
1.753
56
67
300
4.205
137
158
2.0 13
140
335
15.826
2.281
2.221
1.383
1.100
159
!54
97
2.035
300
370
230
966
256
6 15
1.046
1.967
1.034
1.1 90
279
523
275
3 17
664
1.253
66 1
757
636.264
2.828
6. 782
9.050
1.159
16.061
5.601
35
5
72
25
85
12
Iii
60
46.053
1.974
4.738
2.521
2.809
2.553
557
107
124
110
23
259
288
263
57
2.5 16
754
2.809
2.521
2.008
703
210
785
705
562
1.680
5 10
1.886
1.686
636.264
2.9 11
6.99\1
7.148
- 4.536
33
21
46
1.34~
74
d~ ns les deux dernières co lonnes du tableau
CI-dessus, le montant des sommes dont il
aura la c harg~.
Indemllilé de logemenl
du personnel enseignant non Ibgr
- -
Mar~eil1e-, le 12 dt!cemh~t ItlJtI.
j'ai l'honneur de vOus
faire t OIIII.·t
'
lU "
qu ."\1 COI1\'len 1_ de r é a l ~Ser
la I r~\'alor isa~
de lïndemnitc de .ogement allouee ~ LI On
, ' "
., personn.el t!I1selgnanr. allll. ~e la me .tre en h.armom~ avec les çtlSpusltlons de la loi du 1
septembre 19-18, relati vl.:! à rau(rm~lltal ·"
· é.
' · 1oy!:!rs, et no tammentb son aIon
gen
ra 1e CIe::;
l'
cie 34.
r 1SUivant l' arL'été préfectoral llu 18 juill,1
1946, :Iél. commune de . .. _..... .
a été c1as!>ée pour .Ia détermi" a ti~;I· de' ·I:;n.
demlllté com~_n sa{nce de. logement dans la
zone .. ............... .
_Da.ns tes. conditi?ns, le montant de la
dite. indemnité apfJhc~ble ~ compter du 1"
Janvier 1949, a L' te evalue il la SOlllme de
. -.... - .. ..... . -. . . . .. Ce 111 ntant subira
chaque semestre une majoration du 1er janl'ier 1949 au 1er janvier 1954.
Il est rappele 'lue le chiffre fixé ci-desSL~
co n tltue un min i mum et doit i:l re a u a men ;~
d' un quart pour les in tituteur~ marié:; Ou
\'e ufs avec enfants, ~,es institutrices velln:s
n\'ec enfants et les i nstituteurs ou i nstitut,;ces divorcés ayant un o u plusieurs enfants il
leur charge.
En outre, il doit êtr e accord~ aux Direc.teurs et D"ectri ces d' Ecoles Elémentaire Ou
Maternelle, ainsi qu'aux instituteurs et institutrices chargés de cours complémentaire ou
de classe d'application, une majoration égale
au cinquième de l'indemnité prévu e plus
haut.
Je VOus serais oblige de vo u'oir bien sou·
mettre le nouveau barème Qui vo us est pro·
po~é à l'('xamen du Conseil Municipal et me
faIre parvenir la délibérafiion qui aura éh~
prise par cette Assemblée, au sitùt qu ·i l l'OUS
sera possihle.
,
•
••
Le Pré/el:
j. BAYLOT.
Indemnité de logem elll
du personnt!/ ense;gnant non logë
Mar~eille,
le 29 décem bre 194.9.
Par circu laü e en date du 12 décembre
1949, j'ai appelé votre attention ""ur la né<!essî té de revaloriser l'indemn i té repr ésentative
de logement du perso nnel ense ignant non
lo gé en fonction de l'augmen ta tion générale
des loyers prévue par la loi du 1er sep:embre 1948.
j'ai l'honneur de vous appo rter ci -après
q1telques précisions à ce sujet.
Le montant de J'i ndemnité co mpensatrice
de logement aux i nstituteurs et institurices
n ~)Jl lorrés, qui vous a été proposé da ns m',t
mculaire préoitee a été établi su ivanl Il>
principes posés par rarticl e 34 de la loi
n° 48.1360 du 1er septembre 1948 sur les
loyers, à laquelle je vous invite à vo us re·
porter.
J~ rappelle qu" l'indemnité ayant servi
de base au calcul' de la somme Ind iquee
dans ma précédente circulaire com me émut
appl icab!e il compter d u 1er ja n"ie~ 1949
es t celle qui a été fixée par mon arrdc du
18 mars 1948.
Pour le calcul de la nouvelle i lldem.nj i~,
.
Il a été tenu compte de la suppression de la
charge de [ impôt cêdulaire qui n'esi plus
supportée, depui. le 1er janvier 1949, par les
fonctionnaires, mais par leurs employeUr!)
137
(Etal, D~partell1t!l1 .s, Communes, Etablissements publiCS). . .
_.
...
L'indemnité f~xée par mon arrc~e pr~clte
de ce fait subi un abaltement I,realable de
% . la nouvelle indemnité est donc le ,ré' ulta~ de la maj or at ion de 33 % prévue par
[article 34 de la loi du 1er seplombre 1948,
affectée à la somme obt~ nu e après l'abattement de 16 % CI-d essus.
Chaque semestre et jusqu'au 1er janvier
:6
1954 inclus, l'indemnite sera modlfiee . elle
sera égak à l'indemnité du semestre précédent m.ajoree du tiers de l'indemnité en vigueur Jusqu'au 31 décembre 1'048 diminut>e
de 16 %.
Je. vou~ indique ci-joint le nouveau ha rt>m~ e.ab 1 par zone, pour J'instituteu r cêlibataIre, re uf ou divorcé.
Les lau x de base qui figurenl dans le tableau cI-anne xé dev ront être majorés dans
je:, propositIOns Indiquees dan~ ma pr~~
dente circulaire, pour les instituteurs maries
ou veufs avec enfants, pout. I~ Directeurs et
Directrices d'Ecole Elémentaire ou Maternelle, et çour les instituteur::; et i nstitutrices
chargés de cours complémentaires ou de
claSSt." d'application .
Le Pre/ct :
Sig-né : BA YLOT .
BAR5ME DE L 'INDEMN ITE REPRESENTATIVE DE LOGEMENT DUE AUX INST ITUl EURS
. A nc ien
taux
diminué
--1- l -·~ n
[-7-.. 9
[- 1..)0
[-i -50
4.150
3.745
:1.200
2.650
5.930
4.675
4.000
3.300
7. 11 0
5. 605
4.800
3.950
S.29U
6.535
5.600
1_1· ,, 1
1-7-,l'l i
l- I -5~
1 ï-5:!
1 1-,i:1
1 7-.):1
I - I -fi"
11.010
10.255
8.800
7.200
14.190
11.1 85
9.600
7.850
15.:17U
12. 11 5
10AOO
H.500
16.550
13.045
11.200
!1.150
de 16 '7n
--.
2
3 et 4
5 et 6
3.570
2.8 15
2.400
2.000
TEXTES D'INTERE r GENERBl
Circntaire concernant plus spi'cia/emeol
les Administrations de 'Ela!
f.O_
D2 BI
ARRONDISSEMENT AU fRANC
INfERIEUR DES RECETTES ET
DES DEPENSES PUBLIQUES
j'ai l'honneur cie l'orter CI -desso us û la
connaissance de MM . les Chefs de
Serl/ice
des Administrations Publiqu es 7e lexie d'lIlle
circulaire de M. le Ministre des Finances et
des Allaires Ecollomiques , e fl dale (/1/ 26
lurI/et 1950, relatille à l'arrolldissemem Q II
franc inférieur des recettes el des dépe~s('s
publiques.
POlir le Préfet ct par délégatIon.
Le Secrétaire Général :
Guy LAMASSOURE.
J'ai
l'hoIl II ~ur de VOliS faire cOllnaitn:
qu.un arrété en date du 2 1 juillet 1950, puW" au Journal Officiel du 26 juillet, pago
7.953 et pris en application de r arti cl e 25 de
la 101 n" 50-586 du 27 mai 1950 relati ve au'
comptes spéciaux du Trésor 'po ur l'année
1950: prescrit, à partir d. 3 1 j uillet 1950,
~~r 1ensemble du territoire- métropolitain des
epartements d'o utre-m er et de l'A fryé rk
~
d'
~
,
rron Issement au f ranc inférieu r dcs reteites et d~s dél}enses publique s.
. .Cette règlementation abro"c les p resÙU 20 ma rs.... lfI . n, qui :l
nt 1arrond issement au fr anc le plu ...
1
s~ns aUCune exce pti on, ùes rerettes
. depenses publiques et do nt les moda d apphcation ont fai t l 'ohjet de la lettre
man [)épartement n" 2066 F L-C 1212 dn
mars 1947.
~~I~S~O.IlS ~e l'arr~té
1 Il C~)nviellt de rappeler que j'a rticle li
a lOt du 1er Ifévrier 1943, relath'C' aux
ts par , chèques et vi rements a p retout Cheq ue ou virement est pay~ ct
en écritures pour le n0 l11l1re entier de
POur lequel il est _Ii.bellé, sa ns q~'i1
1
. Compte des fractions de fran c.
va~~1 s'acquitte par chèque ou virement
a ement libéré si le mOlltant de SOli
ou de SOn virement est au moins
au f !l'0ntant de sa dette arron<l' au
~~E~nteu! (Cf. lettre du Ministre Secréa a l'Economie Nationale et a\lX
-1.600
'1.470
7.465
1i.400
5.250
10.650
8.395
Î .200
5.900
Fi nanres aux Ministres et cc rétmres d'Etat
n" 2 166 F L-C du 8 juillet 1943) .
« En out re, les artI cles 5 et ' 13 du di'Cft:\
Il '· 48-1683 du 30 oc tollre 1948 fixa nt ce rtaines caracté ristiques des valeurs mobilieres, modifiés et précisés par les art icles" et
7 dll décret n" 49-63 1 d Li 4- mai 19411. Ollt
stipu lé qu'à partir d' une date qui a été fixée
( tU 1er ja nvier 1949 par un arrêté du 1'\>1inist re des Finances Li u 6 décembre I~J4 8, le
monta nt de to ut co upon de titres négocia·
hies, autres q ue ceux inscrits au G rand Li\ r ~
de la Dette PLiblique OLi do nf le se rvice est
gagé par des annuités inscrites au budget de
l'Etat, tel qu'i l s'éta hllt "près, s'i l \' a lieu,
déd uction des impôts, ne doit êtrt: effectivement mis en paiement que pou r une somme
arrondie au franc inféri eu r . Les flactions de
francs non payées sont reportées sur la prochaine échéance ; tou tefois, la fraction re·
portée du dernier co upon est ajo utee au
montant du remboursement des t itres amortis, lequel est unifo rm ément arrond i ail
f ranc supérieur.
« L es nouvelles dispositions co nstituen t
une mesure d'u niformisation et de slmpl;fication de la tâche des ordonnateurs et des
com ptables en matière d'arrondissement au
f ranc des sommes à recouvreJ1 et à payer
pou r le co mpte de l'Etat, des co ll ectivités et
des établissements publics.
4:. Ces p rescri ptions dOÎ\'e nt
être appliquëes, sans aucune restriction ni exteptiol1,
à toutes les opé rations de recettes et à tOlite s les opéra tions de dépenses à i nscrir ..'
dans les écritu res des compta hies puhlics.
Les disposilions de l'arrêté du 2 1 juill .t
Hl50 visent les operations effec tu ees par le"ordon nateu rs et les comptables de la Metropole, des déparlements d·O utre-M er et de
l'Al géri e. T outefois, les ordo nnateurs et les
comptables des territoires d'outre-mer, ainsi
que les ord on nateurs et les co mptables il l't>trange r devront appliquer les nou ve lles. règles d'a rronùissement au f ran c inférieu :
dans leurs opérations de transf ert Ou d ....
rè glement avec leurs co rrespondants de la
Métropole, des dépa rtem ents d'Outre-Mer et
de l'Algéri e.
« L'arrondissement au franc inférieur doit
être effectué en néglig-ea nt les fractions de
franc con tenues dans la somme à percevoir
ou il payer. Il doit êt re fait su r chaque somme susceptible de faire l'objet d'une écriture
co mptable distincte, c'est-~-dire d'être 1,,<:;-
11.830
9.325
8.000
6.550
crite ou llnputce distinctenlent dans l es écritures ou dans les comptes du comptable :
co mpte particulier, ru br ique, ligne ou chapirre budgétaire, notamment. Ainsi, en matière de recettes fiscales ou extra-fiscal es
co nce rnant plusieurs li gnes du h ud get générai, l'arrondissement lIoit porter sur chaque
somme devant être imputée à l1ne ligne distincte i en matière de dépenses imputées sur
des chapitres différents, mais fa isant l'objet
d'un mandatement global, l'a rrondissemenl
doit être fa it sur ~hacune des sommes à imputer pa r chapitre_ *'
-
Communiqués - Avis
Annonces diverses
SC 7
D2 133
STAGES A L'ECOLE DE LA
PROTECTION CIVILE
(Additif au numéro 5 1
du 22 Décembre 1949)
OLe stage spécial de prevention prév u du 4
all 23 décemb re 1950 est supprime. Il sera
remplacé par un stage o rdinaire qui sera organisé aux m~mes dates.
Je vous prie de porler cette décision à la
connaisC)ance des maire~ de votre département.
Pour le j\tinistre de l' Intériell r ,
et pa r délegatio n.
Le Preret,
1
1
1
Directeur de l'Adminislration
Cén~rale.
Départementale
el Communale,
Signé : Pierre-J ea n AI OATT I.
\
1
r
Copie certifiée conforme.
Pour le Préfet :
Lt Surélaire Cenéral,
L AMASSOURE
�-
13
AC 1
REPUBL IQUE FRANÇAISE
.
MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE
RÉPUBLIQUE
31 Aoot 1960
FRAN0AISE
DËPARTEMENT
DES BOUCHE.S-DU-.f!}tONE
~
". if.
9 m e Région Militaire
.AIlJ"UI>IC.A.TION
pour l 'ent.reprise de fournit.ure de ~AIN
dist.ribut.ton
de vivres, fourrages, cornbusboles et. Inat.ériels
et. de
J'eriode du l e I' Octobre 19 50 au 3D Septembr e 1951
LISTE DES PLACES
1
1
DEPARTE.\\E!'HS
PLACES
DEi GARNISON
.... ieux Ou l'on peut prendn:
connaissance des
documents ré gissant
la fo urnittlre
>Lieux, Dates et H eures
des Adjudications
1(A) FOUI\NITURE
1
IGard '. .......... .
Bouches-du-Rhône ....
Vaucluse
.....
ï-tlmes
1
1
Salon
Avignon
1 des Subsistances à Montpellier.
) to
2'
3"
4"
Casèrn~ ,\\athieu-Uu111 as, il. .\\ontpellier, pour la plaœ de Niry"-s
Une déclaration élrite indiquant leur inlention de soumissionner.
leur nom, prenoms, domicile, qualité, lieu et date de naissanc~
s'il s'agit de per onnes ou leur raison sociale s'il s'agit de socié·
tés. ainsi que la manière dont elles entendent constituer le cautionnement pre,'u au Ca hier des Char ges Spéciales ;
Un mém olfë indiquant la façon dont elles envisagent l'organisation dt: l'entreprise et, par suite, le nombre minimum de persol.
nes p~lT cat~gories (secrétai res compta~es, boulangers, manutt!ntiollnaires) qu'elles se proposent d'uti liser pour le fonctionnement de: celle-cl, compte tenu des sen'ices li assurer et des facteurs particuliers à sa situation ou il l'entreprise. L'entrepreneur
ou son p r~ :José, ainsi que les memhres de leurs familles, pourront être corllptes dans le nombre de personnels de chaq ue ca té·
go ri e, si le candidat a l'intention de participer lui-même ou de
faire participer des membres de sa famil le soit aux écritures, soit
a la fabrication du pain, soit aux manutentions ;
Un état indiquant les entr epri ses de tra va ux ou d~ fou rnitures
pour les sen-Î1.:es puhlics dont elles au raient ét~ anterieurement
adjudicataires, soit seules, soit en soci~t~ ;
Les pièces énumerées il l'article 2 1 du c.e.C.G. f..Iu 21 no\cmbre
1932, soit :
a) Pour les personn~s soumissionnant en leur propre nom, tln~
piece établissant qu'elles sont de nalionalilé française (par
exemp le ; certificat de l'a utorité civile constata nt que l'interessé jouit de :ies droits ch'ils et pOlitiques, certifi ca t d'inscription sur les listes électo rales, carte d'électeur., ce rtificat
de l'auto rité militaire constatant que le ca ndidat a satisfait
aux obli ~ations de la loi sur l e r ecrutement, etc ... ) ;
b) Pour les sociétés, une expédition léga lisée par l'acle de
societé. ainsi que les di\"erses autres justifications énumér ées
dans l es paragraphes IJ et suivants d~ l'article 21 dudit
C.C.C.G. ;
c)
Pour les person nes soumissionnant il leur propre 1I0m ou
!elles ayant qualité pour représenter les sociétés
_ un extrait de casier judiciaire :
_
lin
t"pr/ifit"nJ
de
di' bon.n e vie et mœurs ,
ABRÉVIATIONS
A, p, : Arrêté préfectora l. - C. : Circu laire. - Les lettres 0 et B suivies d'un chiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
_ S, L, R, A, : Service de Liquidation des Réquisiti.ons Allemand es. - R. G., : Ravi taillem ent Géné r~J. - S. C. R. : Service de la
Circulatio n et du Roula ge. - D . D . S. : DIrectIOn Departementale de la Sante. - D. S. T. : Dlrect,on des Services Techniques.
Intendances
des ~u()s l s::a n ces
1
SOMMAIRlIl
l'Intenl2.ance
de la IX' Région
à "larsenIe
et
le 5 Septe mh, 1:150, il 9 II,
(B) FOURN ITURE DU PA1N
9istribution des vivres, combustibles et matériel s
il Marseille,
\ Intendant Mi litaire, Chef de l' intendan;e 1
le 5 Septemb. 1"50, à 9 h.
1 des Subsistances à Marseille,
gnon ;
et Bulletin des
Direction
PAIN
Distribution des vivres, fo urrages, combusti bles et matériels
il Montpellier,
, l~tendant Militaire, Chef de l'Intendance 1
A.
PIE ES A FOURNlIl (obligatoires)
Les pt'rsOIlI1~ ou sociétés qui vo udront prend re pan aux aùjudlcations ùeHont faÎrt! pan 'enir, au plus tard le 16 août 1950, a I~
heures, t~rme de rigueur, ùans les bureaux des Intendants militaire ....
Chefs de sen"ire tles Subsistances militaires.
lt) Caserne t\udëolld, à Marseille, pour les plaLes tle Salon t't À\'i!;)
DU
Recueil des Actes Administratifs
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
dans lesquelles le serliice est à assurer
A L:TOI~ITE CHARGEE DE PROCEDE I~
l. L'ADJUDICAT ION
N'36
('-
r <>:
cha rgées de
la P.assatio n
des Marchés
- un certificat attestant que le candidat au marché /l'a et
frappé d'amende par appli cation de l'o rd o nn ance du 6 jan
vier 1945 (Répressio n des rapports avec les ennemis et 1
guerre economique, et sur la confiscation des profits iII idtesl
Les ent repreneurs actuels seront dispensés de produire l'eta
l:ltliqu é au paragraphe 3, mais leur déclaration d'i ntention de so
Il'issi onner établie tians la forme indiquée ci-dessus dl::vra i'i
indiqué accompagnée d'une ~'opie certifiée conforme par un Intenda
militai re, du marché ou tI'un des marchés en cours dOllt ils SO~
tiTulaires.
5" Un (er/ilical médicoi établissa nt que la personne désireuse d
soumissionner, qui serait dans l'intention de fabriquer elie-mini!
n'est aHeinte d'aucu ne affec ti on de nature contagieuse.
B. - DISPOSIT IONS ,PARTI CUUERES
Un r écépisst- des pièce déposées sera ct~livré aux inu:' resses pa
l'Intendant Mi li taire ;
1
2' Les intt~,cssés seront avist-s par J' Intendant N\ilitaire dt! l'acre.
tation OLI (li! rejet de l ell rs demandes d'admission fi soumiS
sionllcr ;
.
~.. Les candidats ad mis à (oncourir fou rn iront en st'an(~ d'adJUc11
ca tion fa preLll'e de !elll admission à soumissionner par la pro
duction du certificat d'admission ;
4' Tout candidat admis à concourir del/ra indiqller sur sa
siollie nomhre minimum de personnes qu'il s'en gage à
i
chaque catégorie (sec rétaires, boulangers, ma
.
pour l'exécution du se r vice dans l'Entreprise. L'e~e~tlf
ployes dans chaque catégori e mentionne sur la soumiSSion
corr espondre aux ch iffres indiqués par le ca ndidat d~ns le
moire joint à sa déclaration d'intention de sOl1miSSI~nner
alcepté par la Commission, ou aux chiffres d éte~nll.n és
commun accord apr ès son audition devant la Commission
mission.
Toute sou mission ne comportant pas cet engageme.nt. ou
qllant des chiffres différents de ceux agr éés par la COn1l111 f::S IO n
mission sera ~onsidérée comme nulle.
'f 1'1
:0" En cas d'échec de l'adj udi cation et du 'Co ncours con~éC l1tl d
te nda nt Militaire procédera il un appel cI 'o ffres ~~ Vlle .~
conclusion d'un marché de gré â tYré dans les condItIO nS, 1 "
par l'articl e 38 du Ca hier des Clal7ses et Conditi ons Génera e~
2 1 novemb re 1932.
'ses
Seront admises il présente r des offres l es personnes adn~~s
soumis"5ionner au premi er tour da ns l'un e quelconque des plac,
territoire et exceptio nnement toutes autres jugées aptes
Jant Militaire fi exéc uter le service et fournissant les u,C,"O' /
Arrêtés réglementaires e t Circlliaires
Pagec;
AG 13. - Ordre de pri o ri té départemental pour le verseme nt de dommages de O'uerre aux sinistr és ... ,....
FS O. - Affi li at io n a ux Caisses d'Allocations Famili al es de certaines catégones de pelson nel tr availl ant pour
les Adnll nistrations Pub li ques
...
139
134
I~R 4. Prix de ve nte du pain .. ..
C IA 1. I~e n ouvelleme nt partiel des
t ribu naux de commerce. - Confect ion des list es électorales ........ .
-----'. Au sujet de la Il)fOpaga nde ,pol itique su r les murs des bâtiment-;
pllblics .............
. ........ .
SC 7.
Utilisation des échelles
14él
14ô
140
aériennes d'ulcCntiie pOlir des exercices d'acrobatie ................ .. 14ù
SC 7. -T ran smission de l'al erte en
cas d' incendie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141
Textes d'intérêt général
FS' O. - Prestations fami lial es ..
141
Coml11uniques, Avis, Annonces diver. .
- Dons et legs..........
141
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
AG 13
0 5 BI
ORDRE DE PRIORITE DEPART,EMENTAL POUR LE VERSEMENT DE
DOMMAGES DE GUERRE AUX SOCIETES
ARRETE
Le Préfet des Bouc hes-du-Rh ô ne,
Officier de l a Légion d' honneu r,
Croix de Guerre,
Vu les art icles 4 et 36 de la loi n" 46-238'1
du 28 octob re 1946 s ur les domm ages de
guerre et l' article 7 de la lo i n' 46-292 1 d"
23 décembre 1946 ;
Vu l'article 1S du déc r et n° 46-2960 du
31 déce mb re 1946, portant règ lement d'administration publique pour l'application de
la loi n' 46-2389 d u 28 octobre 1946 ;
Vu le décret n° 46-55 1 du 30 mars 194"
portant créatio n de Commissions Départementales et Locales de la Reconstruction,
modifi é pa r les déc rets n" 47- 1903 du 2~i
septembre 1947 nO 48-753 du 27 avril 1 94~
et n° 48-1 970 du 27 décembre 1948 .
Vu l'arrêté en date du 5 mai du Ministre
d.e la Reco nstr uctio n et de l 'Urban ism ~
il xa nt le délai a u terme duquel les sin is trés
dOIvent présenter les pi èces administr atives
~t techniques nécessai r es à l'instruction d~
léurs dOssiel'S et donnant dé légatio n a u x déct gués du Ministre de la Reconstruction et
e l'Urba nisme pour fixer le point de depart de ce déla i .
MVu l'arrêté en' date du 19 août 1947 du
IUlstère de la Reco nst ruction et de rUI bamsm
•
. e Portant dél égation permanente de
r.~uvollrs aux Préfets pO lir l'app li cation de
,rtlC e 7 de la loi n° 46-292 1 du 23 décem-
bre 1946, relatif à r étab lissement,à l'éc helo'l
départemental ou loca l, de l'ordre de priorité pour la reconstru ction dt!s biens sinistres j
Vu l' avis ém is par l a Commission Départementa le de la Reco nstruction en sa
seance du 21 juillet 1950 ;
Sur p ropositio n du Délégué Départemental du Ministre de la Reconstruction et do
l'U rbanism e,
ARRETE:
Arf{cle premier. - Sont inscrits, au titre
de l'exercice 1950, à l'Ordre de Priorite départemental, pour le versement des indemnités de dommages de gue rre, les sinistrés
dont les noms figurent sur les listes annexees au présent a rrêté (1) pour les bie n~
dans les conditions qui y sont indiquées.
Art. 2. - Les sinistrés visés à l'article
premier du présent arrêté devront déposer .
dans un délai de six Illois, à dater de la publication de cet arrêté, une demande d'indemnité accompagnée de toutes les pièc",
nécc:ssai res administratives et techniques,
pour justifier leurs droits.
Ar!. 3. Une amp li atio n ou présent
arrêté, comportant les listes annexées, sera
déposêe à la Préfecture et une autre dans
les b ureaux du Délégué du Ministre de la
Reconstruction et de l'U rba ni me, Cité Aclmini st r ative (BOllrse), Marsei ll e.
.
U ne ampliation, comportant l e~ e,xtralt'">
de listes co rrespondantes l sera afflchee, par
les Maires, dans les Mairies des communes
intéressées.
peuvent être consultees à
DivÎsion, 1er Bureau,
Arl. 4. Le Secrétaire Genéral de 1.
Préfecture, le Délég ué Départemental da
Ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme et les Maires sont cha r gés, chacun
en ce qui le concerne, de l 'exécution du présent arrêté, qui sera publi é, à l'exceptio:l
des listes annexées (1), au Bulletin des Actes Administratifs du Départemenl.
Fait il Marseille, le 19 aoüt 1950.
Pour le p,,' fet :
Le Secrélaire Général
LAMASSOURE.
- -----<>00<>-------
D2 B2
FS 0
AFFILIATION AUX CAISSES D 'ALLOCATIONS FAMILlALES DE CERTAINES CATEGORIES DE PERSONNEL
TRAVAILLANT POUR LES ADMINISTRAT10NS PUBLIQUES
j'ai l'honneur de porler ci-dessous il la
connaissance de :
MM. l es Sous-Préfels d' Aix el d' Arle.
MM . les Maires du Déparlemenl,
MM. les Chefs de Divisioll de la Préferture,
MM . les Chefs de Services Déparlemet:·
fallx
les lermes de la lellre de M. le Minislre du
Travail el de la Sécuriré n° 6227 AG du ,!
00111 1~50, au sujel de l'affilialion aux caisses d'allocalions fami/iales du personnel
in!ermillenl des colleclivilés local es (départ ements et co mmunes).
Pour le Préfet :
Le Secrélaire Gênerai
Guy LAMASSOURE.
�~12~~O
_
-
__________________________________________--__--__--______ __----__----------______-~
\fm ~!rr .,u rra
d li la Sl~ il~
"IL
wh',
a .\1. ft: Prt d JUi. B a. hc.:s "tl-Rhôlll',
:?' DIlI.SI01. ?" Burt..'ù ~l'rl·i, ... lin
Prt~ttl/Hlllj FamlilOlt·s,
L~
S",
\
Hdt.:h:.Ih,t: ' \,:,\ Kt!
famllialt!~ - \ffihatlun au\.
t.1es Pn,:staiions
l31sses ,J'Alloca-
tions famlhales du Pc-Tsonnel iruermlttent.
Par !dtre ûu 1J juillet If-':'O. \ U~ m'3\t.'
li ... 1 .1nJ tirs è\plkations 01:J .:olljN Je l'A\ i~
Ju '-.on~t:>;1 J'Etat l:mis le 1,,\ :1\' r,1 HI':- el;
U~ '-lui LOI. .. ~rne le persun:icl d .. $ Colll:' tI'It
[o(~II ...... tJl'parrt:~ents l.' loznmu.l l's)
J 31 1 honneur ù ... \UUS 13,re l' Inn,li1re qilt~
Ic ... ,t \l~. ' mUI.e pour le 'lersonnd lk
rEi3t. ~'arrl1quc t'!..,alement au personnel dt:~~
L·oll~.. lIntes lucal~ plan: dans les ml?m~
LonJltlOn:-.
Touh~IOJs. c.:Jl
lt' qUi (on .. crnc le:;, aLlidt:nt~
..lu Tra .111, ~j l'Etat peut ttrt' !i)" proprl.
assureur, II n'en est de rni-me 1 lur les colIcctinh:s IO(J.les. que. si elles ttalent le •• :
propre a. url.!ur a\ ant le 1er jam'ier 1~·n
Cart. 1J i du R ,1., P. du .11 Jécem .... re 1Y-!
pour J'applll.'.ltion de la loi Ju JO <.JcfOl:'lr~
Hl.Jô sur la prê\-ent:on et la r~ pa rati(1n des
al:";ld~nrs Ull trayail et des maladi..:.s professionnelle .
Ainsi que \·ous le suggerez, il peut êt re
ad mi que la dak d'application de ces d,,pusitillnS soit fixee au 1~r août 1950, sous la
rtsuye que cdtt; mesure nt: puisse a\'oir pour
efft.'t de rri,'~r les a surés intér~ss~s d'aut:un des droits auxquels ils seraient susl.:eptibles de_ pretendre.
Pour le ,\\inistre et par ù~lé:.!ahon.
pour le .\\ait re ces Requt:tts
au Conseil d'Etat,
DICt~ctèllr Gent'ral de la l'curite Sm'ialt'.
Sil!né iIIisihlement
----<»00<»'----
Dô BI
RR 4
PRIX DE VENTE DU PAIN
AllRETE
1 e Pre/li dt:s Bouch(>s-dll-Rhùn\,
(J,fiât'r de la Legton .J'HIJnlll'Ur
erûlx d
all('rr~,
\'u la l:in.:ulalr~ n 5·P du 12 aOût 1950
de .\1, le SecretaITe u'Etat ail' Affaires EC0norniqu~ ;
\'U J'arrt-t~ preh:ctoral du 15 mars 1950
fixant le prix de la farine renùue seuil hOlllan,.:erie et la marge de panification applicahles dans le dép.nement des Bouches-duRhône ;
Vu l'arr,,t,; p réfecto ral du Il juillet 1950
fixant le priX des qualités de pain dont la
fat"tricati on est autorisée dans le departement dt's Bom.:hes-du- Rhône ;
Slir la proposition de ,\\. le Sec rétaire Générai,
ARRETE;
Article [1fLmier. - Le prix ue fac.:t urati ol1
du quintal de fan ne est fixé ft 4.120 franc:i
rend u seui l boul angerie,
Art. 2. - La marge de panification poedé,,;e est de Frs 2.76ï par balle de farine.
Art_ 3. Le prix de ,'ente au consom
mateur des différentes catégories de pain .
dont la fabrication a été autorisée dans 1
département des Bouches-du-Rhône est ains;
fixée il dat" du 21 août 1950 ;
fisants, \'ou~ 110u rri eL. tn demander 1lT1 Sli pplt:mcnt par teléphonc au Poste 210, a la
Préfectu r e.
Pour le Proie'
par d<'le ga tlOn"
Le SCf fl!taire Gèn~;ral
LAMA SSOUHI:.
PalU 1111ulol ..le 2 killl$ \ Iwdtt au poids, lI.ïO ml. dl.! lon;:lIcur, le kilo _. -12 F "
Paon long roule de ïCXJ gr.,. de 65
Ll.'ntlmetres, forme
saucisson
coupée • ou fougasses . . ' JS Fr.
Pain
Batard
dt 300 gr., ha;.!Uèttt'S Ùre 300 ~r. Je 50 cm., la
::W Fr
pi~ct' ..
.
.'
.
\1 rr.
Pt'tas pains t,k ~O gr. mlnlll1UI11 . .
.4rl. 2, - Al. le Se~rétair~ ~éne.ra l th.:
la Prdel.'ture est charge de 1 eX~(utlon du
prlsent a rrête.
\\ar,_lIle, le 19 août 1950.
Le Pretet .' j. 8,\ \'LOT.
lIU
------- c>ooc~----
AU SUJET DE LA PROPAGANDE
POLITIQUE SUI LES MURS
DES BATIMEN kS PUBLICS
Marsèille, 2D :10iL l !ljO.
Le Pretet des BOllcÎles-dll-/?ilô:1C
à MM. les Mairl'S clll Véparlemenl
en comnlllnÎcatlon à ;\lM, les SOI1$.
Pn!fets d'Aix el d'Arles,
_ _ _ _ CJ'OO«» _____
D~ B3
CIA 1
RENOUVELLEMENT PARTIEL
DES
TRIBUNAUX DE COMMERCE EN
1950. - CONFECTION DES LISTES
ELECTORALES
,\\arseille, le 1Y aoùt 1\'50,
Le Prrfet des Bouches-du-Rhône
ci MJI. les Maires du Departement
(pour eX~f!tlion),
à MM. les Sous-P,,'fets (polir i,,Il1rmation),
Refà, : Loi du I~ janvier 1933 et so,'
rectlflcatil du 1Y mars 1936.
Confurmément au\. dispositions ùe l'article 3 de la 101 du I~ janvier 1933, relatn.
il l'elettioll des membres Lies Tribunaux d ~
Commerce, les listes des électeurs doi"flll
t:t rè ûressees tous 1..5 anS dans la premihl!
quinzaine du mois de septembre pour Lna4u\;
..:ummune par le .\laire d deux conseillers
municipaux dësignês par le Conseil.
Il r a donc lieu pour ~haq ue I\\airie dl:
pnJLt.:Jt:r à la confection des listes des ~kr
teurs consu laires. \"ous "ous réfêrerez aux
articles 1 à 4 de la loi du I~ Ja",i e r 193'
qui Indiquent de façon tres précise la COI7Iposition du COllège Electoral.
De\ rout seuls figurer sur l es listes le::;
aU); CO I1l1itions exigées par la loi.
~Iecteurs satisfaisant actuellement
r\ lN effet, je "ous rappelle que les électeurs t:ommerçants doivent, A, la date du 1Cf
septembre 1950, exercer leur profession depuis nnq ans et être domiciliés dans le ressort du Tribunal depuis cinq ans i:gakment.
Il n'y a donc pas lieu, cette an nce, de
grouper les el~cteurs dans les t:atérrories
prof~ ionnelles, étant donné que It: ~nou
vellement des membres des Chamb res de
Commerce n'est pas prevu en 1950.
Dans il: cas ou aucun élel'teu r de \'otrt:
commulle n~ remplirait les comhtions requises vous roudrez hien m'en aviser d'ulle
façon expresse.
Conî.ormi.!ment aux dispositions lé;zales, II
appartIent, Cn cas ùe l itige, aux juridictions
({)lOpttentes, de décider ùans chacuil d s
cas parti culiers.
.
je ru us r appelle 4ue les lis tes des é leckurs l'onsulal res dOÎ\'cnt ttr~ étahlies d'ur!'e.n'ce en flua/re exemplaires sur lèS impnmes qUI you~ seront adressés, dans la preml~re qUinzaine de septembre, et être imml'.
diatement rctournts il la Préfecture -Je Dirision, 3e Bureau.
'
Si t:t:s irnprimi:s :ie trou raient étre inl::iuf-
___
l'
1
1
Le J\1inistre de l 'Inté ri eur me signale que
son attention a été appelée sur l'appOSltlOI\
de plus en plus frequente d'cmblcmes ùire rs
d'etfig'ies d'hommes d'Etat étrangers, LIe ban.
deroles portant des mots d'orurt:: seditîeu,<;
sur les murs de certains bàtimcnts pu blics,
notamment de nombreuses mairies.
J'ai l'honneur de \'ous mettre en garde
contre de telles pratiques qui sont sust.:eptlbits d'entraîner des réactions divr rses de la
part de la population locak et d e ciltlS,r des
troubles graves de l'ordre public.
Je vous invite à \'eiller à ce qu'aucun emblème : pa nneau, calicot, etc ... présentant
un caractère politique ou subversif ne soit
apposé su r les édifices communaux, à j'exclusion des pancartes ou banderoles annonçant des manifestations et des rl:j ouissance3
populaires n'ayant pas d'incidences politiques, telles que kermesses, I)als, etc ...
Je vous signale que conformément aux
Instruction. s ministérielles, les magistrats
municipaux qui passant outr e à ces instruc·
tions crOi r aient pouvoir tolérer l'aPPosltior
de panneaux contraires à la politique sui·
vie par le Gouvernement, pourront faire
l'objet des sanctions prévues à l'article 8ô
de la loi du 5 avrii 1884. De plus, et dans
J'hypothèse où les panneaux apposés su r certains bâtiments publics reproduir aien t des
appels invitant la populatio n à s'oppo.ser aux
lois et r èglements en vigue ur, des pou rsUites seront engagées contr e leurs auteurs,
conformement il la loi clu 29 juillet 1 8~ 1 Sil'
la presse.
Le Préfet .' j . BA YLOT.
d
normal ùes munœuncs d'incendie et
êt re la cause d'ac idents mortels ,
l~u~~nt
P
prie de proscrire l ' utilisati on à parei1~s f~ns tlu matériel de protection co ntr~
l'incendIe.
Pour le Ministre de l'Intérieur
et par délégation,
Le Préfet,
Direclellr de l'Admiflistra/ioll
Générale, Départementale
VOUS
el Communale :
Pie r re-J ea n MOATTI.
.------() 00 «)-------
0283
SC7
TRANSMISSION DE L 'ALERTE
EN CAS D'INCENDIE
Paris, le 1er juillet 1950,
Circulaire n" 241 AG-S
Le Président du Conseil,
Ministre de l'intérieu r,
à MM. les Préfets (Métropole) ,
Ann d'éviter toute perte de temps dans :.1
transmission de l'a lerte en cas d'incendi e,
certaines communes centre de secours ont
obtenu dit Directeur Departemenfal tles Pos·
tes, Télégraphes et Té léphones que le bouton de commande de la sirène se rvant ~l
alerte r les sapeurs-pompiers. soit installé
au bureau de poste et actionné par ses.
agents,
Or, AI, le Alinistre cles Postes, Té lég r ap he,
et Téléphones vient de me fai re l:o nnaitre
que dans l'impossibilité où se trouve SOli
Administration de se porter ga rante de l'emploi qui pourrait être fait des sirènes, et
afin de Ile pas sortir du cad re des attributions qui lui sont dévolues par les lOIS
en ,rigueurJ il n'était pas d'avis de mettre
la commande de ces appa reils entre les
mains de son personnel. Tout~fois, il ne s'opposera pas ail maintien provisoi re des r éa Iisalions déj à faites.
Je vous prie de porter ces rcns eigncl11( nts
â la connaissance des maires de vofrp Département, ainsi qu'à ce ll e de vot re Insper.-
teur départemental des S~n'i( el::i d'inlendi~
en leur demandant ù'hite r à l'~l\'cni r de rccou rir à ce procédé.
Pour le Mi nistre de l'Intérieur,
el pa r délégallon,
Le Prêfet,
Dire cteur de l' AcJminist ration
Genéral/!, Départementale
el Communale,
Pierre-jean MOATTI.
Communiqués - Av is
Annonces d ivers es
D3 B2
DONS ET LEGS
Avis publié Cil c.réCff/wlt dl' J'att,rl t , :l du drt1'el d" I l'r fét'rÎer 1 !Hi, dOI/,f Il' Nif d'III't.'iler
~s
11I:",/il'rs
TEXTES D'IHTEREr GENERHl
Cirmûaire concernant plus specltllt11lent
les AdministratIOns de l'Etat
D2 BI
FS 0
PRESTATIONS FAMILIALES
~j'ui l'honlleur de porler ci-dessous à 'b
connaissa nce de MM. les Chefs de Se(llice
des Administrations PublilJues, Il! texte d'une
circulaire de M. le Millistre dit Budget, en
date du 2 août 1950, r elative â la majornlioll de 20 % des prestalions familiales versees au titre d" mois (/e juif/et 1950.
POLIr le Préfet et par délégation,
Le .Secretaire Général :
Guy LAMASSOUIŒ.
« La
publi ée
prevoit
location
loi
au
que
de
teslomt'lIt,
J'oppositiolt,
Les rn.·lamo/l(lllS ne SOllt 'f l '?'oblt's qUi' dans
Ifll dé/'li de Irois Illois à l'arl,, (Ji' l'lIlsertio ll
OH « BIII/ctin ».
Par testament olographe ùu
15 mars
1945, déposé aux minut es ue ,\\, Paul DEYD IER notai re à Marseille, lell Theodor<
ZARIG I a lég ué une so",me ue 50.000 fr.
I I> A l' Eglise grecque ortholloxe ;
21> Au Dispensaire des Enfants malaues,
Conformément aux dispositions du décrb
du 1er ,février 1896, les ht-ritiers (oonlls ou
inconnus de le u Théodore ZARIGI sont in\'ités à prendre connaissance du test.am~nt,
donner leur consentement a son exelutlOn
ou produire leurs moyens tI'oppositi<?n dans
un délai de trois mois à Jater du Jour Ul!
present avis,
Marseille, le 22 ao üt 1950,
n" 50-885 lIu 29 juillet 1950,
jOt/rnal Ol/iciel du lendemain,
les allo(atlOns fami liales, l 'alsalaire unique et l 'al loca ti on
co mp t nsatril~ instituée pa r l'art icle 2 du tlt::Par testament olographe du 8 juin J<149,
cret du 6 oltobre 194R, il 1't!.xcJusion des
depo é allx minutes de M" A, MALAUZAT,
allocations pr enatal es et de l'allocation de
notaire à Marseille, feu le Doctetfr Camille
maternité versees au titre tlu mois tle j tlll- 1 JUGE a laissé des dispositions lé~IIant aI.l
let 1950, aux: salarÏf.:s et aux personnes
ConfTrelTation des Filles de la Sagesse un
I\ 'exer,'ant pas d'actÎvitê professio nnelle, sepou;"'centage sur le chiffre d'affaires de sa
ront exceptionnellement majorées tle 20 q.
clinique (qui ne pourra ~t re inférieur à 3 %).
Les agents remunérés sur le budget de
â cha rge d'entretenir deux seminaristes.
l'Etat de,'a nt hénéfider de la majoratit.:1
Conform éme nt aux dispositions du ·décr et
pré vue ci-dess us, il apparti~l1t aux sen'ires
du
1er février 1896, les héritiers co nnus 0..1
ordonna teu rs des différents départements
ministériels de prendre toutes dispositions 1 inconnus de Monsieur Camille JUGE sont
invités à prendre connaissance du testauti les pour assurer le paiement Lians les meilment donner l eur consentement à son exéleurs dé lais.
cutio;' ou produi re leurs moyens ù'opposi~ La dépense co rresponùante sera i1l1pllté~'
tion dans un délai de trois mois à dater
sur le chapitre blJ(J g~tai re, qui suPP?rte
du jou r du présent avis.
habitue llem ent la charge des prestatIOns
M arseille, le 23 août 1950.
familiales. )
...
UTILISATION DES ECHELLES
AERIENNES
POUR DES EXERCICES D'ACROBATIE
Paris, le 1er juillet 1950.
Ci rcu laire n" 240 AG-8
Le Président du COllseil,
Ministre de J'Intérieur,
ci MAI. les Préfets (Métropole),
qu'une équipe de sapeurs-pompiers se sera!1
ilnt:c il ùes exercices acrubatJque~ sur 1I11.~
échelle aérienne, â l'occasion ù'une m30!p
festatio n publique.
j'appelle tout particulièrement votre allention Sur la grave responsabilité encouru~
par les cOIle'ctivités ell autorisant de telle,
démonstrations qui malaré tout l'intérèt
spectacula ire qu'ell~s pré~entent, sortent du
!"l'udre
d()ll/tcf'
dll
ru :."
r'
1II0)'l't1S
SC 7
Il vie nt d·être portè il ma lo nnaisstlnC.i!
tlt's Icstotl'Ins
[ rur cO Plsellt r' mclIl 0 /1 de l'l'ndlfllc leu"s
~--<:t-oo<,,--'---
D2 B3
IItCOflllfiS
de
II'J1Iuaissoll Cc
Copie: ce:ni6~e: conforme:.
Pour le Préfet :
L~ S~C'1'é 'a l"'~ GénJral : LAMA SSOURE
---------------------~~~~~---------------UlP :'\UU; " . NOUVEL1.E DE MUStlLl L, 120, ... us C;AlltTII
�RÉPUBLIQUE
1 et 14 Septembre 1950
/" C. .\. ;::-"
FRAN(1~~~
0' - ~_. AJ'~~.~ ('t)
------
(J
,-
N " 36 et 37
DEPARTEMENT DES BOUCHE. - u~.t4.ON1
1
L'
,
'-0
/
Recueil des Actes AdÎÎfÎÎMtratifs
•
et Bulletin -des Mairies
Toute correspondance r elative a u R ec l/ eil doit êtr e adressée à la Préfe cture S ecré tariat Gén é ral
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circ·ulai re. - L es lettres D et B suivies d'un ohillre lI1diquent le Service Ou Bureau d'angine.
- S. L. R. A. : Servi ce de Liqu idation des Ré quisitions Al le man des. - R. G. : Ravitai lle ment Général. _ S. C. R. : Serv ice de l a
Circulation et du Roulage. - D. D . S. : Direction D épa rtementale de l a Santé. - D. S. T. : D irection des Services T echniques .
.
SOMMAIRE
Anttés réglementaires el Circlllairœ
Page'i
AG 2. -
Omission par les commu nes
de déclarati ons des Ihonoraires versés
à leurs agents ou à !{jes membres des
prolessions li bér ales.- Omission des
retenues pour impô ts d' Etat et .pour
Assura llces Soc iales
AG 2. - Reclassement du Perso nnel
communal ............
AG 2. - Indem nités au perso nn el municipal " .. ..
.. .... " ... " " ".
AG 2. - Méda ille d' Honneur D épa rtementale et Com munale (Pr omotio n
du 1-1'51) .. ".
. .. " ".
EN O. - Subvention aux Com missions
pour l'installation et le fon ctionnement des centres d'ensei gnement
post-scolaires agri coles ou ména-
143
144
gers-agrico les publics .........
FS O. - Liste des spécialilés pharmaceutiques agréées à l'usage des co llectivités et divers se rvices pUib l ics ..
FS O. - Décl ara tion d'utilité publ iq ue
de l'acq uisition d'u'n im meublt:! par
l'A ssistance Publique de Marseil e ..
SC 7. - Lutte contre l' incendie
SC 7. - Rapports d'i nce ndi e. - Statistiques des in ce ndies et des asp~xies
...
145
S,C 7. - Prévisions d'achats d'engins
de lutte contre les in ce ndies de 10-
145
SC 7. - In cendies de forets. '- Assu rance des Requ is des Communeg ..
TVX O. - Déclaration d'utilité publique des travaux de re ctification ent re « L n Tête Noire » el le « Ba ou . .
réts .' .......... ' . ............... '.
145
146
146
146
1 ~7
148
148
149
CIA 1. Liberté du Commerce sur
Les marchés pub lics ..............
P 5. - In te rdi ction d'o rgan ise r des mara tho ns de dans~ .. ' . . . . . . . . . . . . . . .
Textes d'intérêt général
AC 3. - Attributio n aux personnels de
,'Etat d'une nouvelle pr ime un ique et
exceptionnelle et d'une majoration
exceptionnelle d'indemnité temporaire
de cherté de vie . . . . . . . .. . . . . . . . ..
149
149
150.
Communiqués, A vis" Annonces divereee '
P O. - Médaille d'Honneur de la Police Française ....... ,.... . .... ... 151
SC 7. - Incendies provoqués par 1"
15 1
depô ts d'a rdwes ................
AG SB. - Registres de t'Etat-Civil :
1'5 1
Fourniture d'un papier ~pecia l
- Avis de Concours (Ville d'Arle,) '. 152
ARRËTÉS REGLEM ENT A IRES ET CIRCULAIRES
.
02 83
AG 2
OMISSJ'ON PAR LES COMMUNES DE
DECLARATIONS DES HONORAIRES
VERSES A LEURS AGENTS OU A
DES MEMBRES DES PROFESSIONS
LIBERALES.
OMISSION DES RETENUES POUR IMPOTS D'ETAT ET POUR ASSURANCES SOCIALES
j'ai ,l'honneur de porter ci-dessol1s ci la
connaIssance de ·MM. les A'l aires du D épar lement le l exte de la circulaire n° 243 de M .
le Minislre de l'Intérieur en dale dU 24 juil.
lei 1950 :
'
P,aur le P réfet,
4/! Secrétaire général dCiégué
LM I ASSOURE.
. « ,II m'a été signalé que cer ta i nes mun iCipa li tés néglige nt' de déc larer aux ao-e nts
des ,Contributions Djrectes le montall! des
à leurs employés, et
ct lUI des ho nora i res q u' elle s con se ntent à
es avoca ts Ou à des ar chitectes_
d «ct,?r, l'entrée en vigueu r des prescr ipt ions
f~r meecret du 9 décembre 1948, portant reObl
f Iscale,. n'a pas fait disparaîlre les
1()1/1a~lons qUI incombaient aux collectivités
a e. en vertu des articles 70 et 103 bis
~:la~res qu1elles verse nt
« Ces textes on t d'aille urs été repris dans
le code général des impôts, et l'a rticle 87
du nouveau code contr ai nt toute personne
physique ou morale versant des traitements,
é rno~ ul11ellts, sa lai res ou rétr ib uti ons à produ i re, dans le courant du mois de janvier
de chaq ue année, un état présentant po ur
chacun des bénéficiaires des traitements
payés au cours de l'année précédenle un
certain nombre d' ind ications.
« Les administr ations et collectivités publiques doivent fourn i r ces renseignements à
l'aide de b ull etin ~ individ ue's mODèles numéros 1024 bis et 1024 ter, qui so nt mis à leur
disposi tio n par les se rv ices départementaux
des Contributio ns D irectes.
« Par aill eurs, l' articie 240 du Code génera i des i mpôts oblige to us les ch efs d'entrepri se, ainsi que les contrib uab les d? nt les r:ven LIS sont ran gés dans la catégOrie des brnêfices des profes.';:;ions Il On commerciales
qui, à l'occasion de l'e.xe r cice d e. leur p:ofe ssio n ve rsent à des tIers ne faIsant pOInt
partie de leur personnel salari~, des commissions co urt aO'~ , r istou rn es commercia les
ou a ll t r~s, vacatk,ns, honoraires occasio nnels
ou lion , gral ifica ti ons et autres r~munéra
tions il declarer ces sommes, dans les conditio~s anal ysées ci-dessus Jo rEqu'ell es .dét 5.()(X) francs
r an
un mem~
« Le Departement des Fin ances a toujo urs
considéré qu'il n'y ava it aucune raison val ab le de dispenser les co llectivités publiques
de l'obligation imposée dep uis 1925 aux entreprises privées.
« En effet, le bllt de cette obligation ëtant
de permettre la vérification des deda rations
produites par l es intéressés eux-mêmes, il est
indispensable, pour que cette vérification
so it efficace, que les ind ica tio ns nL>cessa ires
so ient fournies d'une façon aussi complète
que possible.
« La mëconnaissance, pa r les mu nicipa litéS, des règles posées par les articles 87 et
240 du code général des impôts a donc pou r
cons~quence de co mpliquer
g randemen t la
tâohe des admin ist ratio ns financières qui
doi \'ent réparer, à postério r i, toutes les
omissions des services communaux,
« VOllS rappellerez donc aux j\'hures et
aux Présidents de~ Commissions Admi nistratives des H ôpitaux-Ho spices les prescriptions ci -dessus ~ n oncées. et ,-ous les in\'iterez
il les respecte~ ri goureusement.
•••
• Par ail'e llrs, il m'a été in diqu ~ que, souvent.. des communes négligent de procéder
aux retenues il imputer sur les salaires et
re des diffèrents im-
�-
I-I-!
Du fan de )'inten'eniion du déc ret du
!l décembre 194 • les co Uee ti"ités ne doivent
plus, en p rincipe, imputer sur les rëmunéralions Qu'elles versent. l'impôt cêdulaire sur
les traitements et salaires..
c: Un impôt nouveau qui remplace cette
dernière imposition a, en effet, éLê
rnjg
à
~
charge des employeurs par la réforme fisca le.
c Ce n'est que dans le cas, en pra Hque
exceptionnel, où une commune sera it dêoi-
trice d 'un e ren te viagère
qu 'elle resterait
soumise a l'obligation d'effectuer.
lors
du
(rults où les adjoints techniques SOnt s~bor
donnes au directeur des servÎces techniques
sans cadre interpose, un adjoint technique
pourra accéder à l'indice exceptionn~1 36?
même si l'effectif du cadre est Inféneur a
10 unités.
3) Dessinaleurs-projeteurs
L' arrêté du 3 mars a supprimé l"écheUe de
dessinateur-projeteur. Les agents bé n efic ial~t
de cette echelle peuvent être, soit recl asses
dans celle d'adjoint tech nique, soit si :teur
qualification ne parait pas suffisante, recla s-
paiement des arrérages de ce tte re nte, une
retenue fi~aJe, car la taxe proportionnelle
ture. celles-ci ne donnant pas lieu à la reuppr!me.
La Cour des Cûmptes observe, enfin,
1re classe
•
2'"
class~
175
168
..
de leurs :>bligations, en matière de Sécurijé
Sociale, ct \'e~ent a\'1!C de très grands retards, leurs cotisations aux diffé rentes ca ';-
"'es interessées.
< Je \' OU5 prie de rappeler aux ·M a ires et
aux Présidents des Commissions Administra ti\<'es que les eo.::Iectivités et éiablissements
publics s'exposent ainsi aux sanctio ns appl icables à tous les employeurs et de les În\' jmesur~
redevab les ~ .
ter à régler, au fur et à
les cotisa-
tions dont ils sont
Pour le Mijlistre de l' Intérieur.
Le Préfet. Directeur de l'Administration Gén erale, Départemen:tale
et Communale:
Pierre-Jean MOATTI.
- - - - <.. 00 ...·- - - -
02 B3
AG 2
RECLASSEMENT DU PERSONNEL
COMMUNAL
M . Je Ministre de l'Intér ieu r par circulaire
du Il août 1950 vient de m'adresser des
commenb i res Sur les arrêtés du 3 mars 1950
portant révision du classement indiciaire des
foncfi-o nnaires communaux et du 12 mai 1950
concernant les majorations de recta ement
au titre de l'année 1950.
J'atlire tout spécialement votre attention
sur le~ points suivants :
1. -
Classement indiciaire
1) Commis :
L'échelle indiciaire d e commis d'administration reste pour le moment fi xée à 130-240
et accessible à 30 % seulement de l'effectif
total de::; anciens cadres de commis et commis principaux. La fixatien de ce pourcentage n'interd it toutefois pas, à titre exceptionnel, Je reo!.assement éventuel d'un seul
agent dans l'échelle de commis d'administration. lorsque l' effectif est égal ou inférieur à
trois unités.
2) Adjo ints techniques ;
L'arrêté du 3 mars ayant prevu un éc~
Ion exceptionnel (360) susceptible d'être accordé à 10 % seulement des adjoints techniques, c'est à chaque co nseil municipal qu'iI
appartient de fixer les conditions d'ancienneté à remplir par Jes bénéficiai res de cet
échelon.
Dans les viUes de 10.000 à 20.000 habi-
L' arrêté du 12 mai 1950 a modifié 1". he
lonnement fixé pa r l a circu l aire du 7 J.a c. nVler
.
1949• en raison de la Suppressio n de I"éch Il
de chef-appariteur par l'arrê té du 19 nov e e
bre 1948 et des ano mallies que cette SlIPP~~:
sion ava it pu provoquer,
Le reclassement des in ,éressés doit s'operer selon les éche11es ci ..dessous :
:1' classe ...
...JO' classe ,..
5' classe
6' classe
7 classe ........ .
II. -
161
152
143
134
125
Recrutement
A. - Accès aux fonctions de secretaire
général dans les communes de plus de 2.000
habitants.
L'arrêté du 3 mars 1950 a reconnu aux titulaires du diplôme d·aptitude aux fonctions
de secrétaire de mairie des communes de
moins de 10.000 habitants. instituê par le décret du 21 janvier 1941, la vocation à occuper un poste de secrétaire général dans une
oommune de 2.000 à 10.000 habitants. sans
avoir à satisfaire aux épreuves d'un nouveau
concours.
B. -
Majo r at ion
po u r 1949
Traitement
arrondi Cl
compter du
1er j an\'. 1949
13.425
14.800
15.550
14.925
15.675
16.800
15.300
13.500
12.375
11.575
8.955
198.000
195.000
194.000
184.000
183.000
18 1.000
173.000
164.000
152.000
141.000
132.000
In dices
EaheUe
•••
que les COmmunes négligent de s'acquitter
4) Enquéteurs administratifs :
Trait-ement
brut avant
reclassement
de "impôt sur le re\'en u des personnes phystques est applicab-e aux rentes de cette namise au Tréso r du versement forfaitai re de
5 p . HlO qui a remplacé l'impôt cédulaire
sés dans lin cad re d'exti nction il
1
fice de i"éc heUe 185-330.
, vec e béné_
Recnrtement des rédacteurs de mai-
rie :
j'appeUe votre attentio n sur le fait que
les dispositions de l'arrêté du 19 nove mbre
1948. relatives à cet objet. sont modifiées s ur
deux po ints rarticuliers :
10 Les commis d 'o rdre et de comptabilité
peuvent au même ti i re que les comm is d'administration., être admis à se présenter au
concours de rédacteur, s'ils ont trois ans de
service en qualité de commis.
2 0 Les ca ndidats à un emploi de rédacteur, dans une commune de 5.000 à 10.000
habi tants. peuvent être. dispenSés des épreuves du concours s'i1s ont sati sfait à l'€x amen d'aptitude aux fonctions de secrétaire
de mairie des communes de moins de 10.000
ha bitants.
66.000
63.000
60.000
57.000
54.000
5 1.000
48.000
45.000
42.000
39.000
36.000
IPour mettre fin à ces situa tions anormales. les municip"'1it<'s pe uvent procéder au reclassement des i ntéresses dans le grade supérieur, à la date du 1er janvier 1948, à l'indice égal ou immédiatement supérieur â celui dont ils auraie nt bénéficié s'i ls étaient demeurés jusqu'à cette d ate dans le grade subordonné, Il convient TOutefois aupara\'ant
que le Conseil Municipal mod ifie, le cas
échéant. le statut local. de façon que l'agenl
promu au grade supérieur soit classé dans
l' indice de ce grade égal ou immédiatemenl
supérieur à celui qu'il avait dans le grade
infé rieur.
IV , -
Lis~e
des dIplôm es pef1JlIel/anl l'ac·
cès direct sans concours sur éprell11i'S
IUlx postes de direcleur général. direc·
teur et ingéniewr des services lech/lt..
ques municipaux.
Le tableau 1 annexé à la circulaire du 7
janvier 1949. porta nt applicati o n des dispo·
sitions de l'arrêté interministériel du 19. n~
vembre 1948 a établi de u x listes de dlplo·
mes dont les' Conseils municipaux peuvent
décider de dispenser les titulaires du coni
cours sur épreuves ouvrant no rmal~en
l'accès aux emplois supéri eurs des servIces
techniques municipaux.
Ces deux listes son t co mplét ées co mme
suit :'
10 Liste des dipl ô mes permettant racc!s
direct sans concours sur épreuves• aux./0"III. - Reconstitution de carrière
.
. . na ·,re " de directions
d' .mgé·
nJeu rs su bd·IVISlon
techDu fait du chevauchement de certai nes
teur gé néra l et directeur des servtce~·1 niS.
échelles " fférentes à des emp lois subordonniqu es d es vi ll es de plus de 10.000 ha 1 a de
nés les un.c:o aux autres, J'appli.cation de l'ar- In gén ie ur de l'Eco le d ' In génle:"
rêté interministériel du 19 novembre 1948 a • Marseille (section d es trava ux publ :C ) d"Arls
pro voqué des anoma lies.
_ Ingénie ur des Eco;"s NatlOna es
C'est ain i qu'un chef de bureau promu
et Métiers ;
L on
dans le courant de l'année 1947 peut se trouIn.génieur de l' Ecoie Centrale
yver reclassé à un indice inférieur à l'indice
naise ;
1 Supéde reclassement d'un ancien coi lègue rédac_ In gé nieur de l'Ecole Nati~na e
teur promu postérieurement au 1er janvier
rieure de .M écanique de Nantes.
1948.
.
d'i'leclro-technique et d'hydraulique
rreure
de TOli louse.
?" Liste d~s diplômeg permettant l' accès
dj~ct sans conco~lT~ ~ ur épre:l veds ~ lI X po~tes
d'ingénieurs SU~d,IV I SI~n?alre'!i
e:-i
servlce!-.
techniques municipa ux '. ~
_ GéOmètre-expert dlplomée par le Gou\'ernement ;
.
_ Ingénieur de l'Ecole Supérieure de~
l1éomètres et tOpographe.s du Conse rvato ire
~ational cles Arts et (l'1 ét .. rs.
_ In génieurs de 1 InstItut Ind ustriel du
Nord.
. l. ell. de l'E~l'o 1e
_ Sous-i ngénieur tec h nl~
NaÜonaJe Supérieure de Meca ll lqlfe de Na ll-
te~
In(1énieur horticole de l'Ecole Nationale d' H o~ticuiture de Versailles (pour I·a ccès
aux seu ls postes de technI Ciens des pa rcs,
jardins et espaces verts).
V. -
Réduction du taux de s il1d emll.tés
L·arr"te du 12 m ai 1~50 précise que les
inde~nité.,
maintenues à un taux réd uit, deyront subir une réduction de 65 % il. compter du 1er janvier et de 80 % à co mpter dll
1er juiUet 1950.
. .
.
La liste de ces indemlll .es et ce ll e des 111<iemnîtés maintenues à leur taux plein, ont
eté fixées par l'les citiculaires min istéri elles
nO 13 du 7 janvie r 1949 et n·· 387 du 16 nO,'embre 1949.
li est il noter que les ind em nités de rendement et de technicité 'qui peuvent être
allouées aux sténodacrylographes titulai re~,
auxiliaire.;; ainsi qu'?UX dact yl ograp hes aUXIliaires son f mai ntenl>es sans modification des
bases actuelles ai nsi que cela a été précisé
pour les agents de l' Etat occupant les mêmC:.- tmplois par la ci rcu l aire de M. :e .M.I nislre des Finances n' 43-1 3 B/ 5 du 2 1 Jllln
1950.
Pou r le Préfel e t par délégat io n.
1
02 B3
AG 2
MEDAILLE D'HONNEUR
DEPARTEMENTALE
El' COMMUNALE
Promotion du 1er Janviu 1951
J'ai l'honneur de porte r ci-dessous, il la
co nnai:::sance de fvtNl. les Maires du Di-partement des BoucheS-du-Rhône. le texte d·une
circulaire ministériell e, relative à la M édaille
d'Honneur départementa le et communale:
Circu. laire N"" 294
PER/ CP 4 du 25 ao ût 1950.
LI: Ministre de l' IntérieUr à M. le
le M~listre, Gouverneur Général de
I·Algérie. M. le Pr&fet de la Se;ne
(Direction du Personnel et Direcllon
des Affaires Départemenlales). MM . les
P.ré/etS, Cabinet. (Métropole, Algérie.
Ollire-M er).
J'ai l' honneur de vo us prier de m'ad resser 50U3 le prése nt timb re, avant It! 1er octobre 1950, délai ct,.e rigoueur, vos propos itions e n vue de la pro motion de la Médaille
d'Honneur D épartementale et Comm unale
du 1er janvier 195 1.
a
Pour permettre l'envoi des dossiers
la
date prévue, je prie M,M . l es Maires de vouloir bien me le faire parvenir avant le 25
septembre 1950, sô us le timbre 2me Divi si on,
3 me Bureau.
Pour le P.ré fet et par délégation.
Le Secrétaire Général
L"-MASSOURE
-------«»00«»-----
D483
EN 0
SUBVENTION AUX
COMMISSIONS
ET
LE
POUR L'INSTAILATION
FONCTIONNEMENT DES CENTRES
D'ENSEIGNEMENT POSTSCOLAIRES
AGRICOLES OU MENAGERS-AGRICOLES PUBLICS
Le Préfet de s BOllches-<fu-Rhône, à
Messiellrs les SOlls-Pré/els et Maires
du Départemenl.
j' ai l'honneur de vo us faire co nnaître que
des crédits ont eté inscri ts pour l'année 1950
au budget du J\<\inistère de l'Education Natoinale en v ue de permettre l'octroi d'une
aide finacière aux com munes I>our J'i nstallation et le fonctionnement des Centres d'Enseignement poslScolaire agr icoles ou ménagers agr icoles pub~k dont elles ont la charge.
Les dossie rs qui me parviendront ap rès
cette date ne pourront être examinés qu 'à
l'occasion de la promotio n du 1er mai 195 1.
Vous voudrez bien vo us co nfor mer strictement aux instruc ll ons détaillées qu i VOLIS ont
été fournies au sujet de la présentatlcn dtS
dossiers.
Aux ternies de I"a rticle 10 de I" a rrèté inter m;"ni s té.riel du 19 décemb re 1943. modifié
Je vo us rappelle, en pa r ticu lier, que ma
circulaire N ° 152 PER/ C P/ 4 du 5 ma i der· ' et comp lété pa r l' arrêté du Il ja nvier 1949.
nier vo us dispense désormais de la producl 'Eta t ,peut, dans la li mite des credits oU\'er':
tion de l 'extrait de naissance des cand idatc:o.
à cet eMet, accor.de r une aide f inancière
En Ce qui co ncerne les candidattlres dt':S
égale il 20 % au plus des frais ma iériels
ca ntonniers de la vo irie déparfementale, ind' installation et de fonct ionnement des Cen- .
tégrés il co mpte r du 1er janvier 19...J8 en qu:! Le Secrétaire Général .
tres envisagés.
lité d'agents de trav aux ou de co nduc ieu ;,
LAMASSOURE .
de chant iers au Service des Ponts-e t-Cha ,',,::, '
Les demandes de subventions qui se ron t
- - --c,.nOc:l>--se<:-s, je VOliS pri e de vo us reporter aux J' 11r
"entuellement
présenl ées do ivent m'~t re
D2 B3
AG 2 talio ns co ntenues dans ma circul ai re :\ . ... 5
adressées ava nt le 30 septembre so us :e tlmdl, 2 février dernier.
INDEMNITES
bre 4'"me Division , 3me BlI reau~ accompaAU PBRSONNEL MUNICIPAL
Ainsi que je vou s l'ai i njiquc p J r ci rc ugnét:s d'un dossier comprenant :
la ire N" 29 1 P E I~/C P / 4 d u 25 août 1949. les
iWh>\. les Maires du Département son t aviproposition s tenda nt à l'attri bution de la :.k. . .
- Déli béra tion du Conseil Municipal ;
sés que, par circu l aire tél égraphique, l e 'M idaille de vermei , doivent être accoi1l,);:)~pé ..·s
Fic.he Financière ;
ll'un alJf"Clrt détai ll é su r les sCT\"ic .::s J'_""
nistre de l'Intérieur vient d'autoriser les
Cer dficat du J\ \ai re, sur l' installation
ca
ndidats
et
doi\'ent
mètre
t
ran
::>m
i!:ies
SO
U:-i
Conseils Municipaux à accorder à leurs pe rbo rdereaux di5tincts mentionnan t l'olr(' ordre
o
u
le
fo nctionnement du Centre.
SOnnels tih,laires et auxil iai res:
de préférence.
-Projet
de l1udge t ;
1° La prime unique et exceptionnel'e dans 1
Je vo us rappeUe. en eifet. que ce tte disA\'is
de
l'Inspecteur d·Académie.
les conditions fi xées pa r le décret n" 50.965 ·1 t inction Of.: peut ètre accordée qu'a u choix
du Il août 1950 (J . O. du 13 ao ût).
Compte tenu de la modi cité des c ,,'di ts
et dans la lim ite d' un co ntingent de 10 %
do nt dispose M. le !\\in istr~ de J'Education
2" .L~ majo rat~on exceptionnelle .de l'i n- 1 des A\édailles d'argent.
demnne temporaire de cherté de vi e selon
Je souligne enfin que les ca ndidaturts de:-;
Na ti onale, je ,·ous invite à procL:der il un
les mod al ités déterminées par d ~cret num éro agents départemell ialiX Rt co mml~l1 a ux ret ra ~ choix très str:ct des proposi .ion:; que \ "O US
tés ou aya nt ce ss~ leu r~ fonctIOns deP.lIIs
50.966 tl u 12 a oût 1950 (J. O. du 13 ao ût) .
serez a m~né à t ramnnettre.
pl us de 5 ans à la date de l a prom otll).n
Par ai leurs, la circuJaire précitée co nfir( 1er ja nvier _ 1er mai) ne peuvent i'tre PTl POlir le Preîet et par delêgat ion,
me le carac tère obligatoire de l'appli ca tion
ses en co nsidération.
Li! Sl'crétairr Généra! :
des dispositions de la loi n" 50.885 du 29
VOllS voudrez bien di ffuse r
la pré se nte
LA .\\ASSOURE.
instruction aux se rv ices i ntére:;sés notJ mment
juillet 1950 (J . O. du 30 j ui Ue t) ins ti tuan t all
aux Maires et, ~ e cas ('c héan t, aux Con!ieds
titre du mois de ju illet 1950 une majo ra :io n
d'Au ministration des Caisses de Credit Mufamiliale, à la suite de l'attri bution d'Itne
ni cipal et I\ \onts-de-Piek
prime exceptionnelle sur les sa laüe:-i.
-------c ~ ooc,------POlir le Secrétaire d' Etat à l'lntcrieur
POlir le Pré fet et pa r dé l"g"tion.
et I, ir délégation :
Le Secrétaire Général .
LAMASSOURE.
Le Direcft'llr du Cabill c'I,
Marcel GE\".
�1·\6
0 3 B2
FS 0
LISTE DES S ECI j ES PHARMACEUTIQUES AGREEES A LUSAGE
DES COLLECTIVITES ET DIVERS
SERVICES PUBLICS
Pari', :e 1-1 aoû t 1950.
Le .\ll nist re de la Santé Publique
"
et de l a Populat ion a
Qlessieurs les P réfets ;
J\\essieu rs les Di ree .eu rs Oépartementaux de ln Santé ;
.\ \essieurs les D irec!e LTs Départe me ntau.\. de la Popul ation ;
4\lessj~.u rs It's I"specteurs de la Aharmacle ;
."e~ieu r ~ les Di recteurs, A\édecins et
Pharmaciens des Hôpi taux.
j'ai l'honneur d'attire r \'o tre attention sur
rarrt'te dll ter août 1950. publie au Journal
OffiCld d'I 13 août 1950, qui fixe la IIouve 'l e
lis.e des spt:c:alités pharmaceutiq ues agréées
à l'usage de - collecth'ités et de divers serpublics:
Je \"ous rappelle, a ce sujet qu'en appli-
\"tCf.:;
cation de l'article 5 de l'ordonnance du 13
octobre 19-15 modifiée par la loi du 18 ao ût
1948. seules les spêcia ités figurant
ur la
rau ,re pu al l i~ urs votr e attenti rJl.' SUr .Ia
modification intervenue depuis ma CIrculaIre
Il " ï4 du 1-1 avril 19a<J. Dans ce texte j'indiquais, en réponse à ~e nombreuses qu ~
tions qui m'~taient posees, que la spéClalltc
Bac tyla ne pouvait être d ~l lvrée aux . bénéficiai res de l'assistance médicale gratuIte. Le
P.A.S. spécial isé (aci.de p-aminosalic)'l lquc
ou p-aminosa licylate de SOd iu m) ayant ete
Inscrit sllr la .~ ise. le Bac tvl an se t(ou\'e compris sous cette désignatio n générale .
Comme precedem ment, les produit s offic inaux et les produits sous cac he t pe uvent
t!,rt! utilisés. Je vous r appell e à ce su jet
qu'en app!icaHo n de l'article 4--1 bis de la
loi val idee et modifiée du II septembre 194 1,
on entend par produit sou s cachet tout mêclilament prépa rè il. l 'avance, dosé au pOIdS
mèdicina l et présente comme une sl>éclalité
pharmaceutique dont il diffè re :o;ur les deux
poi nts sUI\'ants ;
l ' ~i ne peu ( être dt:bité que sous SO Il
nom commun Ou sa dénomination scientifique sans que ces dé nominatio ns puissent êt re
accompagnées du nom du pha rmac ien fa brica nt responsabie ;
•
2" Il ne peut faire l'obje t de publlcité que
dans les cond itions prévues par t'a rt icle 17
ci-dessus.
La prêsente liste étu diée par lIne Com mission où le Corps médical et pharm aceutique se Iro uva i r largement représenté, pe rmet d'administrer à tous l es malades les
principes a-c tifs que leu r état r~'C l amerait,
que ce soit so us forme de spécialités pharmaceutiques proprement dites, de prod uits
sou5-cache ou · de prépa rations oH:cinales. En
con séquence, i~ y a )jeu de vei ller à ce que
les établissemenrs hospitaliers s'y confo rment rigoureusement.
D 'autre part, il serai t extrêmement désirable, tant pour assu rer aux malades indigents les médicaments qui leur sont nécessaires, que dans un but d' un iformité facilita nt
l a tâc he des médecins p rescr ~pteu r~ que cette liste soit adoptée da ns tous les départements pour l'application de la l oi du 15 jui llet 1893 su r (( assistance med icale gratuite.
Pour le M inistre et par délégat ion,
dite liste peu\'ent être :
- Achetees et utilisées, sauf en cas d'urgence par les établissemen rs hospi taliers d \'i ls e t militaires ;
Achetées et utilisées pa r les collectidtês pJ..lbliques, les organi!:)mes de toute nature dont les ressources proviennent en tout
ou en partie des sub\'entions des co llecti\'i .és
pub:iques ;
- Fournies gratuitement aux bénéficia ires
de la loi du 15 jui llet 1893 sur l'assistance
médkale gratuite ;
- Fournies gratuitement aux bénéficiai res
de J'article 11 5 (lU Code des pensions militaires d'Învalidi te et des victimes de guerre.
remplaça .. l'article 64 de l a loi du 3 1 mars
1919.
Cette liste se substitue à celle fixée par
! 'a r rêt ê ab rogé du 10 septembre 1947 et publiee au j ournal Officiel du 20 septembre
1947. II est il. remarque r que le. nouveau texLe Chef du Cabinet
te a été etabli sur des bases particulière MONCOMBLE.
ment larges. Chaque fo is qu'j J l ui a été possible. la Commission a employé les termes
-------c > oo<» ~~--les plus généreux pour englober les spéci3lu 03
82
FS 0
tés compo r tant les mêmes pri ncipes actifs.
Il a été fait usage pour La désignation de ces DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE
derniers cles dénominations com munes. qU I
DE L'ACQUISITION D'UN IMMEUfigurent ~ la nouvelle t'dition de la pharm aBLE PAR L'ASSISTANCE PUBLIQUE
copée f r ançaise. Cette pratique a entrai né
DE MARSEILLE
des modifications notables au point de vue
ARRETE
de la presentation, -par rapport à l'ancienne
liste. Une lecture minUiieuse du nouveau texLe Préfe t des Bouches-du- Rhône,
te est donc nécessaire.
Ofiicier de la L égion d'honneur,
Pour éviter toute erreur d'interprétation.,
Vu la del ibération du 26 octobre 1949 par
la désignation chimique a été indiquée à côlaq uelle le Co nseil d"Administra t ion de rAsté de la dénomi nation commu ne.
sistance Publique a décide l 'aoquisitio n de
Par exemp'e, c le Gardenal , ou les spéla Clinique Moderne appa rtenant à la Caisse
cia lites à. base de phenl'léthyl-m alonylurée
Régional~ de Sécurité Socia'e, sise il Maront été Inscrite sous le nom de Ph énoba rseill e, quartier de Sainte-Marguerite, lot issebital.
ment c Pré ...B<1isé 'b , aven ue Védr ines par
Sauf i ndicati on contraire, toutes res forvoie d'échange a\'ec la vil la « Do ria ; apmes d'une spéciali té déterminée so nt agréées.
partenant à l'Admi nistra ti on d€ l 'Assistance
Par cont re, lorsqu'un principe actif est insPublique. sise à Marseill e, 195. bo ulevard
crit ur l a liste, seules doivent être consiChave ;
de rées comme admises. les spécialités renVu le plan des lieux ;
fermant cette sub tance à. l'exclusion des méVu la delibération en date du 27 mars
dicaments spécialisés dans leSquels elle se- , . 1950 par ba<j uelle le Consei l ,M unicipal a émi
ra it associée à d'autres principes actifs.
un avis favorable il. l'échange en pleine pro-
-
pri été et sans sou lte de la vi lla < D
et de la Clin ique M ode rn e ;
0 :. ,
Vu J'autorisation en date d u 3 aoùt Il
de la Commission Centra le de Contrôle ~50
Opérations Immobil ières ;
e,
Vu l' approbation pr éfec.orale eP. da'· ù
3 1 août de la délfbération du 2~ "C·t~hr~
susvisée ;
Vu !,. loi du 21 décembre 1941 Sllr le;
hoplta ux d hospices . le d(cret du 15 ju'
I ~J-l8 port:lI1t organisation de J' adl11inistr~~
tian de l' ,:ssist~nce Pll bl iqu e, l 'article 22 de
la 10 1 du 30 decembre 1928 et ta cirCu lai re
du Ministre des Finances du 4 mai 19?9 .
Considéran t que la Caisse Région~le 'de
Sècur ~ ~é . Sociale COnsenr à cet écha nge dl'
propnetes ;
Sur la proposition de M . le Secrétaire Giné ra i,
Arrête :
Article premier. Est déclarée d'uti:ile
publique l' acquisition par l' Admin istration de
l'Assistance Pu bl ique de -Marse ille de la Cli.
Ilique Moderne -appar ten an t à la Cais::ie Régionale de Sécurité Sociale, en échange de
la villa Dor ia appa r tena n t à la Caisse Regionale de Sécurité Sociale. l-'imlllcuble
acqu is par J'A. P. M. sera utili sé comme rtabl issemcn r hospitalier.
Ar t. 2. - Le présent ar rêté sera publie et
affiché à la mairie de M arsei l le et inséré au
l~eruei l oe, Actes Ad mi nistratifs.
Art. 3. - MM. le Secrétaire Génc ral de la
Prérectufl', le Treso r ier Pa ye ur . Géneral, 1.r
Di recteur des Con tributions Di rectes, le DI·
recteur de l'E nre:gistrement et des Uomaine ....
le Di rectt'l: r Général de J'Administraton de
l' Assistance Pu b'ique de Marseille sont char·
gés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du 1 1ésen t ar rèté.
fait à Ma rseille, le 3 1 août 1950.
Pou r le Préfe t
Le Secrétaire Oeflùal,
L AMASSOlJIŒ.
-
mise en plac~, là ou .elle, n'a
ncore été faite, du maténel destmé a la
r:t~: co ntre un début , d'incendie (exti ncleurs, sable, co ndUites d eau) ;
"
.
2' fai re Ctudier par les chefs d etab ltsse des locaux, pa rtout
nts un aménagement
me
'
où ce la esc n .
ecess~ lr e,
a f·III d'
. assurer
~ll.e
evacuation méthodique el rap ide. des bahments menacés (ouvertur~ de so rfl~S de se ;
'ours, installation d'escaliers extérieurs)
C
.
3" cette étude comporter:a l a rédaction de
consignes détaillées à. appl iquer en cas de
danger et fixa nt le raIe de chae un et les Ihneraires à utiliser afin d'éviter toute perte de
tempS, tOlit désorMe et tout affolement.
Veuillez me rendre compte :
1° des mesures qui aur,ont été prises pOllf
la lutte de première urg'e nce contre un début
de sinistre ;
2' des projets d'amenagements des locaux
mis à l'étude en me précisa nt leur importance
et leurs réperc ussions fi nancières.
J O prescrire l},a
Andre MORI CE.
j'int'ite CIl conséquence MM . les Maires,
Pr&idents des Commssij'olls Municipales de
Sécurité, a faire visiter par ' ces Commissions
au cours du 4me trimestre 1950 les établissements d'enseignement1 technique et à' . adres,
ser une copie du proces-verbal de ViSi te au
Recteur d'A cadémie, a/in de I<li permettre
d'établir te compte rendu, demandé pa, le
Secrétaire d'Etat à l' enseigllement lechniqu".
-------( . 00 <'-------
RAPPORTS D'INCENDIE. -- STATISTIQUE DES INCENDIES ET DES
ASPHYXIES.
Cireulalre N' 299 AG/ 8
P aris, le 3 1 ao ût 1950.
Le Ministre de l'!r!fér'ell( à MesSieurs les préfets (MMropole).
------«"00""---
SC 7
02 B3
LUTTE CONTRE L' INCENDIE
Ci rtu lai t< N" 16 14/ 1
Paris, le 25 mai 1 9ô~.
Le Secrétaire d'Etat à l'Enseignement Techllique, à la jeunesse el au.(
Sporls, à Messieurs les RecteUrs
d'Académie à MesSieurs les Illspecteurs Pr incipaux de l'Enseignement
Teclllliqu e. en communication à Messieurs les Préfets, Seniee déparf~'
mental de protection contre t'incelldle.
U n ce r ta in nombre d'établis'Sements d'en~
seignement techn ique et no tamment ceUX .quI
so nt insta liés da ns l es locaux qui n 'étale~t
pas destinés à l'usage scolaire, ne se ~~e
tent pas à une évacua tion rapide en caS d Incendie, ou ne possède nt pas enco re
les
.. tre
moyens de lu tter contre lin début de SII1IS .
en atte nd ant l'arri vée de seco urs extérieur!! .
.
tle SIDans le but de porter remède a ce
tuation, vo us vo udrez bien ordonner, ~~
accord avec le service s d é~artementau:< es
protection contre l ' incend ie, les mebf.~~
su ivantes en ce qui concerne les Ha 1
ments de \'Otre académie:
SC 7
D2 B3
Par su ite de
j' ~i été a{l1ené
il
c ompressi" n ~ budgétaires.
reçh~ rch ~ r I[n procédé per-
lI1etta~t
de rt'duire les frais d' ~x pl o itatio n de
la statistique des incendies et asphyx ies, él aborée jusqu'à prese nt e nti ~rQme nt par mes
Servic~s,
f>, cette fi n, cette tâche a éte confiee, depuis le 1er juiliet der nier, il. l' Institut National de la StaMtique et des E;t ud~s Eco nomiques,
C~t o r:g~ nisn1~
" 12
di sPQs~ n t
pas des
mo}'ens lui penmetMnt de rectifier les er reurs
Susceptibles de s'être gi,issées dans les rapports d'intervention, il es! qq~c in di~p~n sa
ble ~ue ces d~ rl1ief~ soiç'ltt 110 n s~u J ~men t
établiS .ay~c le plUS; Qrand soin, mais éga iement yenflés de près, et éventu ell ement complétés, par l' Inspecteur d~p~rt~mQnta'l des
$ervlcQs d'ipcQndle ~va n t @pvoi à mes Ser-
trées dans l es rapports d'incendie et d'assistance aux asphyxiés.
Rour l e Ministre de l' ln térieur
et par délégation,
Pour le PrOfet
Directeur de l 'Administra ti on
Généra le, D épartement ale
et Communale,
Le Sous-Direcleur :
Hobert LA'FOREST.
•••
RELEVE
des principales erreurs o.u omisSiOns les
plus fr équemnlcnt rencomrées dans les
rap ports d'incendie et d'assistan ce
aux asphyxiés
1. -
RAPPORT GENERA'L D ' INCEN DI E
Nombre d' hectares de forêts brOlés .. .. . .
(Ce ren seign ement manque encore sou ve nt) .
Moyen d'appel utilisé
(N'est pas toujours i nd ique).
Avec indication dj deta il ou non
(N'est pas toujous indi<Jué).
Temps é<:ouIe entre l'appel et le dépa rt acs
secours, etc.. . . ... . ...... . ....... .
(Décompte non ,fait, i nCOmplet ou fa ux).
C. S. appelés en renfo rt ............... .
(Aucune indication dans le tableau, alors
Que le rompte rendu si gnale l'intervention
de plus;"urs C. S.).
Ville de ......................... . .. .. . .
Commune de .. ...... .... ...... .. . . ..... .
~L e nom d u Centre de secours est fréquemmen t indiqué au l ieu du nom de la co mlllune ou ~' est prod uit le sinistre).
Engins et personnel ul ilisés ... ... ....... .
Etage ...... . ..... . ........ . .... .. .... . . .
(Ce renseignement e,'t souvent omis) .
Feu étei nt au moyen de
C§l use de J'ince ndie . ... ......... ........ .
(,La ca use est pa rfois dite « acc idente lle »,
alors que le co mp'!e rendu fait resso r ti r qu 'il
s'agi t en rfali té d'une imprud ence ou d'une
négligence. (II est rappelé qu'une caUSe e~'1
dite « accldentelle » lorsqll 'e.le ne résulte
pas de J'i nterventio n di recte de l'homme ;
par exemple, la fo udre est ca use accide ntelle).
Rec apitulation des lances uti l isée
Point de dépa rt de ;lince ndie .......... . , ..
(11 n'es t souve nt répo ndu qu 'à la première
partie du code n" 3 et non à la 2me : « Situ aiion .dans l'immeuble ou dans le local incend i é »).
No mbre d'étages et de sous-sols . ........ .
(Ce renseignement fait sa uvent défaut).
Survei J(ance en dehors des heures de travail.
service permanent d'incendie, moyens de
seco urs particuliers . . .... . ............ .
( l ' Pas toujours indiqués; 2" II est parfo is signa·,ê qu' il existe des moyens de seCOurs particuli ers, a'iors que leur nature n'est
pas précisée au paragraphe suivant).
Contiguité et vo isi nage ..... . , . .. ... .. .. .
(Répqnses i ncomplèlOS ou en cOlllradiction
av~c fe § « murs Q'isolement >. C est ainsi
que l'on trouve l 'indicatiQn de: murs coupefeu perces d 'Ou\,~ r ture!:'t munies de portes
vit r ~ ,
Propaga tion du feu .... . .. . ............. .
\l I C~&:
(P arfois mal défI ni e. Erreur d'interprétation : Qxemple : est co nsidéré comm e propagatiqn l ~ fait que le feu a gagné une pièce
co nti guë ail la toitu re de 'l'imm euble intéressé).
. Vous vo udrez done bien appeler l'atteniton des intéressé~ ~I[r ces polnls 'l"i co nd it1onne~I l'ét11blissemellt d' un~ statistique
au ssI. Slnc~re et ri go ureuse que possib·e.
Aflll de f' aci:~iter ce travail de vé r ification
~ous tr.ou."erez., en annexe, l a li ste des err f: ur '
u onllsSIOns les p~us fréquemm en t rencon-
Murs d'Isolement ............ : ....... . .. .
(Contradic l ion entre a, b. c, d: de cette
ru br ique et le code 11 (1 5 (Contlgul t-e et \"01sinaO'e). Exemple : on trouve c mur non
perc~ d'ouvertures » a~ ors qu 'i l est signalé
ensu ite : c ouvertures munies de po rtes
1>lcines en bois trouvées ouverte~ ,,).
(Non ou mal indiqués : on signale par
exemple qu'un fourgon-pompe a étë util isé
alors que le feu a été eteint à l'a ide de
seaux-pompes).
(P,ltfois non precisé).
(Manque so uvent ou est inexacte).
Protec tion .............................. .
, (Le fait d empècher la propaga,ion du feu
a un au tre bâtiment est souvent considéré à
tort comme un e opération de « protection 'l)
proprement dite).
II. RAP.PORT
ASPHYXIES.
D'ASS ISTANCE
AUX
Cause de rasph yxie .... .... ..... ...... ,.
(S'il est ind iqué c accidentell e » ou
c suicide :. il n'est pas toujours prêcisé si
cette ca use est « certaine :. ou c: supposée ,.).
Soins .donnés avant
pompiers. . . . . . .
(Certa ins r appo rt s
cette qllestion).
J'arrivée des sapeurs, .................. .
ne réponde nt
pa> à
Methode manuelle . . ................... . . .
(La mt'rhode prati<j uee
quée).
n'est
pas
indi-
Appareil mécanique de resp iration artificielle ......... . . ..... ....... . ....... . . .
(Le mod~le uti lisé n'est pas précisé) .
In halateur . ..... ...... ......... .
(Aucun e ind ica tion du modèle) .
Nature des soi ns méd ica ux .......... .
(Ne sont pa') to ujours incEqu..!s, même
'lorsq u'il y a eu intervention d'un médecin).
Modification de l''cbat de la \'ict ime au cours
des secours (Exemple : heure il laque J e la
victime a repris connais ance) .... . ... . .
(Heure non précisée) .
------c ~ oo c~-----
�SC 7
D2 B3
PREVISIONS D'ACHATS D' ENGINS DE
LUTTE CONTRE LES INCENDIES
DE FORETS
1. -
La Commission Départementale de
Lutte contre les Incendies de forêts se r éunira en septembre pour etudier remploi des
crédits encore disponibles en vue de complèter l'êquipement du ùepartement en engins
de ~utte. Ces engins peuvent être acquis soi t
par le Service Oepartemental, soit par les
Communes. Ils bénéficient en tout cas d'une
subvention de 90 % de l'Etat.
L e coût résultant pour les collectivités
(10 '7,) est donc faible.
b) Pour toutes les communes qui sont
Centre Départemental de SeCours (c'est-adire toutes celles qui sont énumérées par
l'annexe nO 2 inséree page 129 du « B oll etin
Administratif des Mairies > n " 32 et 33 des
10 et 17 aout 1950) une liste des futurs véhicules (acquis par elles-mêmes ou par le Service Oépartemental) qu'elles po urront loger
en mai 1951
_ _ _ <)00<) _ _ __
D2 B3
SC 7
INCENDIES DE FORETS
ASSURANCE DES REQUIS
DES COMMUNES •
2. - Certaines communes ont, dès 1 9~,
consenti à acquérir à leur compte des engi ns
j'ai l'honneur de communiquer ci-dessous
à Mill. le Maires des extraits de la police
su bve ntionnés, et l'équipement a ainsi pu
être renforcé de façon ap'préciable. li est de
noU\'eau fait appel aux communes des Bouches-dll-Rhone, maintenant qu'eUes ont pu
connaître les engins acquis et les nouveau~
principes de défense, pour qu'elles acc~e nt
de prendre a leur charge les 10 % des frais
d'achat que les subventions ne couvriront
pas.
Le modèle du matériel et les clauses-types
des mar chés seront précisés par l'Inspecteur
Départemental des Services d'lIlcendie et les
marchés seront ensuite passés pa r les communes selon leur procédure habituelle.
3. - Les véhicules susceptibles d'être
achetés sont ;
- L es Camions- Citernes G. M. C. a pompe portant soit 2.500, soit 3.500 litr es d'eau;
- Les Camions DODGE a pompe avec
tonne de 600 litres ;
- Les jEbPS a pompe avec tonne de 220
litres.
Les prt\': approximatifs seront :
IAOO.OOO francs, soit
- G. ,'1.
I·!().OOO francs a la charge de la commu ne.
- DODGE ; 700.000 francs, soit 70.000
francs à la charge de la commune.
- JEEPS ; 600.000 francs, soit 60.000 fr.
a la charge de la commune,
-l. On peut compte r, en gros, que l es
(rédits reslants et les crédits 195 1 permettront de doubler le matériel actuel.
En pr incipe, on au~mentera le matériel
des centres actuellement existant plutôt que
le nombre des entr es, mais les propositions
d'achat des communes qui ne sont .pas encore centres de .-seçours seront nt! a nm oin~
examinées, il cond-jhon que la commune i~
téressée ait un corps de sapeurs- pompiers
et qu'elle possède une superficie de collines
su ffisantes .
Il y aura lieu évidemmi-nt de s'assurer
que Je matériel nouveau pourra être logé
convenablement.
.5. - CONOLUSION.
.\1.essieurs Jes ,M aires des com munes intéressées sont invités à adr esser, avant le 1er
octobre, il l'Inspecteur départemental des
Services d' In cendie (Caserne des MartnsPom piers, ~, bouleva rd de Strasbourg, â
Marseille) ;
a) Pour toute commune possédant un
corps de sapeurs-pom piers et désireuse
d'acheter du matériel sub\'entionné à 00 ck,
une délibération du Conseil .\\unicipal acceptant le principe de l'achat aux conditions
portées ci -dessus; prévoyant notamm ent
l'inscription au Budget primitif du 10 %
qui resterait à sa charge.
d'Assurance, que l e D épartement a contracté,
c.;
auprès de la Compagme Générale d'Assuran·
ces, 1 J a, rue Haxo à MarSeille, en vue de couvrir ,les risques poullant survenrr aUx requis
en cas d'incendies de forêts,
OBJET DE L 'ASSURANCE
Artic le 1er. - Rislf"e A. AulolTlobiles
Le présent contrat a po ur objet de garan tir jusqu'à concurre nce de la som me fixee
aux conditions partcu4ières) la respo nsabil ité
civile pouvant incomber aux commu nes désignées d'autre part, en ve rtu des ar ti cles 138.2
il 1384 du Code Civil, et de l'article 7 de la
loi du 9 avri l 1898. à raison des accidenls
corpo rels et matériels ca usés aux tiers par
le fait du matériel d'i ncend i e Ou des véhiCUles automobi les ou attelés utilisé$ pour les
besoi ns du service.
Cette garantie est acquise aux commun!.!s
assurées, même si leur responsabi :i té civile
est recherchée à l'occasio n de sinist res causés volontairement par l es sa uveteurs requis,
Risque B : Indemnités cOlltractuelles oblig{lfoires:
La Compagnie Gênérale d~ Ass urancesc s'en_
gage à payer aux sauveteurs requis des <.'0 01 munes du département les indem nités ci apr ès, en cas d'accident corporel survenus,
ou des maladies contractées en service co mmandé (I"tte contre l es incendies de forêt s.
exercices de manœuvre),
Les îndemn ites visées à l' alin éa précédent
sont l es suivantes:
t '· J,!-denmit es journalières égales au salai re
quotIdIen avec maximum de :
460 fr. pa r jour pou r les sa uveteurs requi ;
500 fr. par jour po ur les chefs d'équipes.
En cas d'mcapacltê temporaire de travail
professionnel.
Cette indemnité court du lendemain de la
ces.s~tion du travail de l'in téressé jusqu 'à sa
?uenson. Toutefois, elle ne peut excéder 300
Jours.
2" En cas de mort; Un capita l de 500.000
francs payable aux ayants droit de la l'ietime,
Ce capital se super pose, en ce qui conce r ne la veuve et les enfants de moins de
16 ans aox pensions ",',1ouées par l'Etat.
Le dit c"pita l de 500.000 f r . sera payahle
dans le mOIS qUI suit le dépôt des pièces,
constatant l'identité et les droits des bénéficia i res à la veuve et à défaut aux hérit iers
naturels dans l'o rdre et la proportion de
leurs droits successibles jusqu'au deuxième
degré inclusivement.
-
' t 3 "d End .ct~s d'inflf',t
' mité p emWitenle au proes. 1 s sauve eUrs req uIs un capital d
UIl Jnll!~on. d~ ,francs réductible suivant
!aux ct 1~f1rmlte :perman ente partie.Je, dont
l'Is ser.a~ent ~ ttemts, selon le barème et le
~l odaltt.es p:ev~es pour l es bénéficiaires de~
lIIdemllltés lllstJ t uées par l'ardcle 2 de 1
loi d u 27 juillet 1930 modifiant celle du ?~
juill et 1927.
U
4 Remboursement des frais médicau '
c~,irurgicallx, phnrl1laCe~1 tiqUes, d' lzosPita/ls::
tIOn et de transport SUIvant ,les tarifs en vigu eur au moment de la signa ture du co ntrat
te ls qu'ils sont p révus par la l égislatio n re~
l ative aux accidents du travail~ s'il s'aait d'un
acci-dent ou par. la l egislation rel ati~e aux
Ass urances SOCIales slll- s'agit d' un e maladie.
5° D ans le cas d"un accide nt ayant entrainé la ,mort, remboursement des frais funérai.
res à concurrence d'u ne somme forfai taire
de quinze mille f rancs,
Ces diverses indemnités sont ve rsées par
J'assureur aux victimes sur présentation des
pièces ju st ificatives et da ns un d-élai de 15
jours à partir du jour de cette présentatIon.
Pour donner lieu à indemn ité, la maladie
doit avo ir été: reCOnnue par le médeci n, au
plus t ard' le quinzième j our après le fai epre:mmé détermin ant indiq ué dan s l 'avis m ~di ·
ca l.
Dans le cas ou l a vic time se rait d éjà b~
ru!ficia ire soit des prestations versées au titre des Assurances Sociales ou d'un régime
equiva lent, soit d'u n contrat d'assurance garantissant Je remboursement des fra is médica ux ou p harmaceutiq ues et d'a llocation
d' une indemnité quotidienne en cas d'incapacité tempo r ai re, o u l'une seulement de ces
gara nties, les indem ntiés stipu l ées aux pa ragr aphes pr écédents, vien nent en complément
des gara nties req uises par aille urs. Le cumul
est toute fois limité, pO lir l' indemnité quotidienne au montant du salai re jou rnalier de
la victime pour les frais méd icaux et pharmaceutiques au montan t total des frais engagês
par l a. vidime,
f1
1:
Ar t. 7. - Sinistres :
Chaqu e comm u'ne assur~e est tenue ù peille
de déch éan ce de déclarer à J'assureur, des
qu'il en (1 connaisSance el au plus tard da~ ç
les dix jours (sauf 'l'impossibil ité cOllstalee
par su ite de cas fortu ηt ou de force majeure)
tout acciden t frappant tes risques 'garantis
par la police. La déelaration c i~ esslls de\'T3
èt re faite pa r écri t ou ve r balement co~~ r~
récép issé au siege socia l de la Socl~te
assureur ou au si ètre de l' A rre nce locale Indiquée su r la porri;e (Cie Générale d'Assu·
rances, l ia, rue Haxo. Marsei lle).
L'assu r ée i~diquera en outre les noms, pré.
noms, âge et adresse des victimes, ceux des
temoins, et éve ntuellement de l'a uteur responsabl e de l'accident, l'importance et .la , na'
ture des dom maO'es et d'une manière gene r.al.e
tou s re n seig n e~e nts utiles à I lap'p réci~t.IO,>~
des réparatio ns dues et des rcsponsabtll 1c
enco urues.
~
En cas d'accilden't survenu à un saLivell~U.
req uis, un ce rtif icat du médeci n app~ ~ ~
donner les premiers soi ns1 relatant l'ac• cwe
".
' t a
et des conséquences probables sera JO,ln cila d&laration des circon stances de 1 aC
dent.
é s'en'
Art. 8, - Chaque commun e assur e
le
gage à faire parvenir à l'assureur, da;epdél ai de 48 heures a compter de leu r r
149
tion tO Ules les pièces se rapportant aux acci-
rance n'es. \'a lable qu'aprè::; cUlivent on expresse dans la police.
Les vchicu es étant affectes ~xclLl'.; i\'eme lH
au service de~ sauveteurs requis, l e~ personnes transport ees ne sont pas considérées com me des tiers, et comme telle ;:, exclues de la
gara ntie.
La gar antie à l 'éga rd des tiers n'a d'effet
que si le nombre total de personnes se t rouvan t tran slXHtées dans le véhicule au moment cie l'accident, ne d6passe pas de plus
de moitié, l e nombre régul ier de places a:;.s;ses que comporte la carosser ie, tel ql1 ' il est
indiqué aux condi{ion~ pa r ti'c u. ièr ~~ 0:.1 tru.s
person nes au mètre carré pour les camions
ou cam ionnettes utilisés.
dents dec1a rés, et nota.mmeut tOtlS actes j udi-
ciaires ou extrajudiciaIres qui lui seraient siIYnifiés person nellement ou à ses 'prépo sés;
fi nobserv3tion de cet engagement autorisera
J'assureur à obtenir de l'assuré une indemnité proportionnée au dom mage que ce refard [,ui aura causé.
Toute
déclaration
fraud uleuse
dament
l'ollstatée de nature à préj udicier fi l' assureur portant sur ta dOle OU le:) circonStan ces
d'ufl sin i stre elltraine la dêché.anct.' des
droits à la garanlie pOlir l'accident objet de
la déclaration.
Art. 9. - L'a ~~llré ::,vj n,le,rdt/ IOlile reCollnaissance de responsabilité, toule trunsacArt. II. - A peint! de les conserl'er à sa
/Ion concernant les accident s garantis, saliS
charge il est interd it forme llement aux coml'assentim ent de l'assureur, allqllel, par Suimunes de faire des avances aux sinis ,ri:s à
te, nt! seront oppo sables aUCl/ue recollnaismoins d'autorisation écri te de l'assu reu r.
sance de respol1sablhté Oll'" de Irallsacdoll
Pour permettre la constatation de l'i nca,Ifltefl'enue au aehors de lu l.
pacité, le si nistré doit se tenir, jusqu'à guéL'aveu de la ma téria li :e d' un fait , ne peut
rison comp:ète, sous le contrôle du mëde::in
êt re assimil e à la reconna issance d'une re sou de tout dél égue de j'assureur, sous peine
ponsabili té.
de voir cesser tout droi t à l'indemnité.
Ne sera non p l us consid éré co mme co mmencement de tram~actio n , ni acceptation de
-------«»00«>------responsabi l ité tout acte d' humani té envers la
D5 BI
TVX 0
victime, tels que les premiers soi ns médiica ux
DECLARATION D'UTILITE PUBLIQU E
et pharm aceutiq ues donnés à un b lesse au
moment de l' accident ou san::; transport soi t
DES TRAVAUX DE RECTIFICATION
à domici le, soit à l 'hôpital.
ENTRE « LA TETE NOIRE » ET LE
En cas de contestatio n judiciaire. l' ass u« BAOU »
reur aura seul la direction de la pr océdu re,
(entre les P. K. 36.342 et 40.615)
l!assurée lui do nn ant dès à 'prêsent tous po uARRET.E
voi rs necessa i res à cet égard et s'engageant
à les renouve.ler en tant que de beso in .
Le Pré fet des Bo uches-du-Rhône,
En cas d'action pênale dirigée co ntre
Officier de la L égion d' Honneur,
J'assuré ou les personnes dont il est r eCOnnu
Croix de Guerre,
respo n ~able, auteur d'un accident, l'assureur
Vu II;! projet dressé par les ingénieurs des
se réserve la facu lté d'intervenir et de diriPonts et Chaussées du Département des
ger la défense, mais sans po uvoir y être ConBou~hes-du-Rhône tendant a la rectifi catio n
traint ; l'assu ré conservera néanmoins le
de la R. N. 538, entre « ,La Tête Noire » et
droit d'interjeter appel ou de se pourvoir en
le « Baou » (entre les P. K. 36.342 et
cassation, mais l' assureur ne pour r a i ui impo- · 40.615),
ser l'exercice de ces voies de recours .
Vu les décisions du lv\in istre des Travaux
L'assurée est subrogée, co nformément à
Publics, en date des 29 octobre 1948 et 24
l'ar t. 36 de la loi du 13 juille t 1930, dans tous 1 octobre 1949 prenant en co nsidération le
les droits et adio ns du D épar1ement co ntre 1 projet ;
les auteu rs respon sables de J'accident ainsi
Vu le décrel-loi du 8 août 1935 sur l'exque co nt re tout autre tie rs assureur ou réponpropriation pour cause d'utilité publique;
dant.
Vu le décret-loi du 30 octobre 1935 SUI la
simplifi ca ti on de la déclaration d'utilité puC~tte sub rogation sera renouvelée par acte
blique en matière de routes nationales ;
spéCia l sur la demande de l'assureur.
Vu le décret du 2 mai 1936, rel atif à la
Art. 10. - Disposition particuli~res au Risprocédur., d'enquête préalable à la déclaraCfue A. - ASSurance des accidents causés aux
tion d'utliité publiqu e ;
tiers par les véliJicules automobiles :
Vu l'avis favorable du procès-verbal de
Les effets de l'assurance sont limités au
clôture de l'enquête préalable il la déclaraterrit~ir~ de la France Mé tropolitaine et de
tion d'uti li té publique ;
la prinCIpauté de Monaco.
Vu l'avis de la Com mission Centrale de
Contrôle des Opérations Immobilières ;
. L.'assura nce porte exclusivt;..ment su r les
Sur le ra pport de M. l'Ingénieur des Ponts
"ehlCliles ayant fait l'objet d'une réq uisitIOn
et Chaussées ;
du MaIre ou des Services d'Incendie ces
Considérant qu'il est nécessa ire de recti\'ehicu les appartena nt à .des part iculie;s, ou
fier la R. N. 538, entre la « Tête NoilC » et
appartenant à la CO mmune ou au dit Service
le « Baou :i> ,
PO.ur assurer le service d'un incendie . TouteARRETE;
fOIS, c,es véhicules pe uvenl, au de r nier moment etre re mplacés par d'autres en cas de
ARTICLE PRE.I\C ER. - Sont déc larés d'utipanne Ou d'abse nce.
lité publiqil e les travaux de re ctifi cation de la
a L ' a~urance est va lable, lorsque le véhicu':e .R. N. 538, entre < La Tête Noire » et le
« Baou » , entre :es P. K. 36.342 et 40.615,
< SSure remorque occasionnellement une voiconformément aux dispositions dn pran qui
ture en pan ne, Ol! est lui-même remorqué
par lIne autre voiture les déaâts ca usés a restera annexé au présent Arrêté.
eett·
,
~
p e vOIture étant exclus de la ga rantie ,
ARTI CLE 2. - M . l' In génieur en Chef des
OUr ,tous les autres Cr.:1S ou un vé hic ule
Ponts et Chaussées des Bouches-du-Rhône
assure circ li 1e avec une remorque , 1•assuest cha r gé de l'exé-cution du présent arrêté.
I
qui sera inséré au Recuei l des Actes Administr atifs de la Préfec ture des Bouches-duRhône.
Fait à Marseille, le 1er septembre 1950.
Pou r le Préfet,
Le
è~~s~o8~~éral,
D4 B3
CIA
LIBERTE DU COMMERCE
SUR LES MARCHES PUBLICS
. Ii a été siz-na lc à M. le J\\inist re de l' lnteneu r ~ue des socié'lés ayant pour bu t l a
vente (IIrecte du 'producteur au consom mateur se heurteraient du fait de certaines municipalités, à de sérieuses difficu l tés qui ent ra vent. le conc~)Urs qu' une telle méthode a;pporte a la baIsse des pr ix.
Ce système de vente mérr,e, au cont ra ~re,
d'être encouragé.
. C:est dans ces condition~, que je suis amene a vou s demander de ne pas faire obstacle au l ibre exe rcice du commerce en ret!rdant la délivrance des autorisations soli icitées1 ou en donnant aux placie rs des marchés des consignes pour que les agents des
sociétés precitèes ne puissent bénéficier d'em,pl acemen t,; co nvenables.
Vous voudrez bien accorder aux oraanisatio ns de ven're directe au public, toute~ les
facilités compatibles avec .Jes règlement locaux, facilités dônt l 'ensemble des consommateurs pourra bénéficier.
POlir le P.réfet et par délégation
Le Secrétaire Gélléral,
LAMASSOURE.
-------~~oo<~-------
DI BI
P 5
INTERDICTION D'ORGANISER
DES MARATHONS DE DANSE
ARRETE
Le Prefet des Bouc hes-du-R hône,
Officier de la Légion d' honnfllr,
Vu l a Iloi du 5 avril 1884 dans ses articles 99 et 104 ;
Vu leii insfruction ' mjnistérie~les du 5 juillet 1950 relatives aux marathons de danse;
Vu l 'avis de la Direction Départementale
des Services de Police ;
Considérant que les spectacles dits « marathons de danse » manquent de décence et
sont, de ce fait l contraires aux bo nne')
mœur!',
Arrête ;
Article premier. - L'organi sation des made danse est i nterdite Sur tout le
tE>rritoire du département des Bouches-duRh ône.
Art. 2. NIM. les Sous-Prètecs à Aix
et il Arles, M. le Directeur Départemental
des Services de Police, M. le Commanda nt
de Gendarmerit. ~; o n'l cha rge s, chacun en ce
qui le concerne, de I(exécution du pré~~nt
arrêté qui sera insë ré au Recueil des Actes
Adm inistratifs et Bulletins des Mairies.
,\larseJlle, le 12 août 1950.
Pour le Préfet
ra~hons
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabinet,
DUfAY.
�150
TElTES B'llTERET
GUERn
Cifl"lJlaire concernan t plus specialtmenl
IfS Administrations df l'Etat
D2 BI
AC 3
ATTRIBUTION AUX PERSONNELS DE
L'ETAT D'UNE NOUVELLE PRIME
UNIQUE ET EXCEPTIONNELLE ET
D'UNE MAJORATION EXCEPTIONNEllE D'INDEMNITE TEMPORAIRE
DE CHERTE DE VIE
2 COlldilit11l3 d'u/lribuUo ll :
Les conditions d'attriDution de la. nouvelle
prise sont dans l'tn:iem~le les men;es que
celles de la prime acco rdee par le decret du
2ï janv'j e!'" 1950, compte teOl~ de la m od~f ~ca ~
ti on du mOIs auqueL Il y a he:, de ~~ ~de re '
pour la détermination de la r~m~.n era tlOn de
l'agent (jan Le r 1950) el des hnll,es de cetle
remulI0ration ( 1-1.000 fT. au heu de 12.000
fr. et 1 .000 Ir. 3 U lieu de 15.000 Ir.) . .
Je prée! e id 4l1e I~ montant d e. l ~ re munê ratl on des agents doi t être exa~TIl n e. en te-
instiluée ,al' le d.;crel n" 48-157 1 ct" 9 0<;.
tobre 1948, c eS.-û-dlre les fonctionn" '
.
d.e l'E
agents et ouvr~ers
. 'l<1 t (a 1,eXClusionure~
de
ceux dont la r emunerah on est déterminée e
fonction d~s salai.res P.rat.iqués dans le com~
merce et I llIdustn e), a.msl que l es lllliitaires
à solde mensuel.le, . qUI e~e rcent leurs fonc_
t.ior~s sur le terntol r e de '.a France métropOI~tarne.
Par ai ll eurs. et cOl11pte tenu de J'artiCle l e
de la 10) du 3 av r il 1,950 susvisée, le Illèm;
avantage sera acco rde aux perSOnnels de
l'Et.at des mêmes ca tégories en service dan~
les départeme n ts de 'la Guade loupe, de la
Guyane, de la Mart iniq ue et de la Helillion
pour :esquels l 'a t1 r ibu,tion de l'i ndemn ite tem~
po raire de cherté de vie es t rég['èe pa r le
décret n° 49-17 dll 4 j a nvier 1949.
nant conlJ>te de la nouveH,e m aJ o ra t~ o n .d e
reda-..sement a ll ollél' à parti T du 1er Ja nvier
1950 et cela bien que les rappel? aHé rents
N 6 1 - 17 B 5
au mo ;~ de janvier 1950 n'aien t ete ma nd aParis, le 25 août 1950.
tés que J)osk·ri eurement..
. '
Par ailleurs et co ntralrem~n! a ce .quI
Le .\l~ nis lre du Budgel, à .\lessieurs
a,'ait ë ~c dëcid~ pour (a precedente pnm.e
2" Montanf de l'indemnité :
ILS .\1.nistre.'1 el Secrétmres d'Etal.
de 3.000 franc::., il n'y au r a pas lieu de .tenlr
Le decret n' .50-965 du Il août 1950 a
Le montant le l'indem nité varie en fonc.
compte des abattemen ts résultant ~e I ~ regledëcid~ l'aHribution aux plrsonnels de l'Eta t
mentation re~alÎ\'e aux zones ter n ton~les d.e tion du tr aitement ou de la solde annueile
d'une prime unique et exceptionnelle analoSlliva nt le ba rème figurant au decret nilmé~
salaires pour la détermination des r em anera 50-966 du 12 ao ù , 19.50.
gue il ceUe Qui a ete instituee par I,,~rrëté
ratio ns limi tes de 14.000 et 18.000 Ir.
du ï f~nitr HlSO. en fa\'eur des :;alanes deTous le"i autres ·.:ommenraires dit paragraLes traitements ou so ldes il prendre en
eQltn.pr;ses prl\'êes.
considé ratio n 'Sont cell'X qui rés u,ltenl de
phe 2 de la circul aire n° ~-2 B/ 4 su visée
Par ailleurs, un déc ret n" 50-966 d u 12 demeu rent pa r ai lleurs ap~l lcab l es ; on p ~é
l'applicati on des dive rses tran ches de rec1a~.
août 1950. m<>oiiliant le Mcret n° -l8-15ï2 du
cise cependant que :es pnmes de technici té
sernent et, notamment, il partir du mois de
9 oct()i""!re 1948 lelatif à 'J'artribution auxper- . des dacty lographes .e t sténo-<iactylographes
jui llet 1950, les traitements ou soldes le nalll
sonneb Je J'Etat d'une indemnité temporaiainsi que les rému neratlons pour t rava ux
compte de la nou velle majoration de rec las.
re d~ chdt~ de de, a pré,'u l'octroi de macOnliJ'lément.aires afférentes au mois de j ansement appli cable il co mpter du 1cr jumet
jorat:ons exceptionne!les en fa\reu r des
1950.
,'ier 1950 doivent être prises en compte pour
agents dont le traitement ou le solde annuel
la déterm inat ion des ré mun ération.s: lim ites.
Pour les age nts auxili aires âgés de llIoin~
e-t infér .eur ou égal à 200.000 francs.
de 18 ans, il y aura lieu de prendre en
:l" MOI/tant de la prime :
Vou::; voudrez bien prendre toutes dispocompte la majoration affé.rente au salaire
Le montant dL la prime est unifo rm ément
si:ion, pour assurer la mise en paiement de
servant de base au ca\kll~ de la rl.o'fllUn érafixé
sur
l'ensemble
du
territoire
de
la
Frances avanta"es aux personnels relevant de
tian de l'i nt éressé et d'appli qu e r à cet .• m'·
ce mé:ropolitaine, ainsi que dans les déparvotre autorite dan- le plus bref délai possijoration lin po urcentage de réduction identemenlS
de
la
Guadefoupe,
de
la
Gu
ya
ne
et
ble, en tenant compt~ des prêcisions CÎde la .,\Iarlinique, a 3.000 Irancs pour tous 1 ti que à celui qu e supporte le dit sa lai re, eu
aprè--.
égard à ['âge de l'intéressé.
les agents dont 'a rémunération, telle qu'elle
1. - Prime lin 'que exceptionnelle
Il est :ndiquê que la majora tion e>.cepest dU;nie ci -dessus, aura été en janvier 1950
tion nelle, comme l' indemnité de cherte de
inférieure ou égale à 14.000 ff. ; pou r ceux
1 Pcnonllch s:Hceptible:l de binéficier de
vie à l aquell e elle se rattach e, ne subii audont la rêmunération ainsi déterminée aura
Jo prime:
cun abattement en application de la régleété
comprise
entre
14.00
1
et
18.000
Ir.,
elle
Le déc ret n" 50-265 comporte, en la mamentation relat ive aux zon~ territorialt':i
ser a ég-ale aux t rois quar;s de la difference
tière. exactement la même interprétation que
pour la détermination des sala ires, ell'e n'es!
entre
18.<XX>
fr.
et
la
dite
rémunérat
ion.
le de.:re , n" 50-128 du 27 janvier 1950 repas non pl us soumise à retenue pour penIl
Il'y
aura
donc
pas
lieu
cette
fo
;s
de
telatif à la precédente prime unique et excepsions et n'entre donc pas en comptt: pour
nir compte des abattements prévus pou r le:.
tionne!le.
le calcul de l' indemni'ré de résidence ni du
zones territo riales de sa lai res.
Vous "oudrez bien, en conséquence, vons
supplément lamili a l de trailem ent.
4" Cas particulier du de partem enl! de la
reporter purement et simplement a~x comIl es t précisé enfi n, que, dans les déparRéunion :
mentaires figurant au pa ragraphe 1er de la
tements de la Gu,ade loupe, de la- Guya ne, de
circulai re n" 8-2 B--1 du 28 janvier dernier.
Il est précisé que, tant pour la détermil a ,M artiniq ue et de la Réuni oll, la maJor~·
complétée par la ci rc ulai re n° 16-5 8 -5 du
nation des rémunérations :im ites que pour
tion exceptionnell e qui lait l'objet du ~re'
J3 fênier suivant, (n remplaçant en tant que
celle du monlant de la prime, les chiff res
sent pa ragraphe ne doit , pas plus que I lnbesoin les mots
au cou r du mois d'octoci~es~us oOÎ\'ent, dans le département de la
demnité de cher té de vie, etre aHectée de
bre 19-19 ·ra r ·'es mots (( au co urs du. mois
Réunion, ~tre retenus par la con1're-valeur
la majo ration de 25 % instituée pa r l'artide jam':er 1950 ~.
de leur montan, en francs C. F. A. multicle 3 de la loi du 3 'avr:'! 1950.
pliée pa r l'index de co rrection de 1.65 ap• Je prkise. en ou"e, que la plupart des
Par contre, dans le département. de 1;
ouvriers et employés des administrations puplicaNe au sen':ce des traitemen-ts dans ce
Réunion, les traitements annuels. am~1 q'~é
dlpartement.
bliqUES r émunérés sur la base des salai res
les majorations figurant au ta ty e~u In ~e e
pra tiqués dans le commerce et l'industrie ont
5" Réductioll de fa prime. - CUnIul ,
da ns le décret du 12 août 1950 dOivent d~,
dérà honélicié ell fait des dispos itions de
Retenues diverses :
retenus pour leur co ntre-valeur en fra~:..
l'arn!té du j;'\inistère du Travail du 7 février
C. F. A. mult ipliée par l'index de correClion
Tous
le, commenta ir es des paragral)hes
1950 sus,·i.;;é ; il ne saurait donc être ques5, 6 et 7 de la circu"ai re nf) 8-2 B/ 4 susvien vigueur.
tion de leur allouer la prime prévue par le
sée demeulent applkab les « mutatis mutandécret du I l août 1950, dont ils >e trouvenl
3" R éduction de ln majoratioll et reteuues
dis > pOur l'attrii>ution de la nouvelle priavoir ainsi bénéficié par avance.
dllverses :
me.
Par ait:ellrs et compte tenu cles disposiII.
Majoratioll
exception"elle
Les disposi ti ons des paragrap hes 1~~8
tions de !'article 1er de la lo i 11° 50-407 du
de l'indemnité temporaire
et 2e de la ci rcu laire du 9 octob r~ Il''ndcm3 avril 19.50, il )' aura lie" cctle fois d'apde cherté de v'e
O. du 10 octobre 1948) relallve a 1 11pliquer la noul"t!lle prime exceptionnelle au.x
nité
temporai r e de cherté. de vi~ son l :'~~a
personnels de l'Etat en service dans les de1( Benéficiaire de la majoral:on
c.ab les, « mutati s mutandiS '~ , a l~ m 1ltcnpartemenls de la Guade:oupe, de la Guya Les personnels suseepti!>les de bénélicier
tion exceptio nnell e, sous rése rve .bl~nI950.
ne, de la ,'1.a rtinique et de La Réunion. qui
de la majoration exceptionnell e sont les mêdu, de la date d'effet du 1er luLie. tian
n'avaien. pas hén~ficié de la précédente pr- me~ que ceux qui bénéficient actuel~ ement
e la majora
· notammen t qu.
On préCise
me.
ux rete·
de l' IOdemnité tempo raire de cherté de vie
exceptionnelle n'est pas soumise a
\j'
~~I
e' pour pensio ns, mais qu'élie eSt sOLlmiaux retenues au titre cie l a Sécurité so-
ciale et qu'elle entre en compte pour le ca'lcul du reve nu pOSSibl e de la su rt axe progressive.
4" Cas part.lrulier des agents bénéficiaires
d'une indemnité compensatrice :
tes J"od a lités de cal cul des indemnit l\s
compen sat rices prcvues par les déc rets des
12 septem bre 1946 et 4 ao û l 1947 ne se
trouvent aucu'nement 1110düfiees par la création de la rpaj orat ion e~cepti o nn ell e de l 'i ndem nitié de cherté de vie.
En effet encore qu e le mo ntant de cette
majo ration' devrait no rmalement ê~re pr is. en
considêratio n dans le calcul des Ind e mfll t~
compensatrices versées aux bénéfic iai res du
décre t du 12 sep lemb re 1946, il a été déddé - par mesure de simpli fi cation, eu
éaard de la situation pa rti culièrement mod~te des personnels en Ca use - de ne pas
tenir compte de la dite maj ora tion lors de
la déterminatio n des indem.nités diffé re ntielles all ouées a ux agents 4e l'Etat au tit re des
deux déc re ts ci- dessus v isés.
Inversemen t, les indemnités compensa trices de l'e pète n'ètant pas so umis à re renues
pour pensions civiles, leur montant ne devra pas êt re pris en Icompte dans le ·caLcu l
de lia maj or,atio n exqsp ti onnelle ete l'indemnité de oherté de vie.
Ill.
D;s posilions Communes à la prime
uniquoe et exceptionnelle
et à la majoration exceptionnelle
Les dépenses rés ulta nt des avanvages prévus par les décret s n° 50-965 et 966 qui
lont l'objet de la ,présente circ ul aire seront
imputées, so us de ux rubriqu es distinctes, sur
la dotalion des clrapitres qui sUJ}portent normalement ~a cha-r ge des trai tements, soldes
ou salai res des personn els intéressés,
Les crédits pour la régularisa tion de ces
dépenses seront en tant que de beso in , mis
à la disposition' des admi nist rati ons pa r prélèvement su r les crédits g lobaux qui sont ouverts au budget de J'exercioe en cours au
titre des diver ses mesures dest in ées à améliorer la sil uation des ,perso nn els de l'Elat.
j' ajoute que, pour les agents qui ont occupe successivement 'plusieurs . postes (}..U
CO urs du mois de j.ml'ler 1950, le soi n de
paye r la tot"lité de la prime 'II niqu e et exceptionnelle incombera à .J'ad min istration à
laquelle ils appartenaient li la date du 3 1
janvier 1950.
POur la majoration exceptionnell e, l a
charge du pa iement incombera au ser-v ÎCe
qui a assu ré a partir du 1er juillet 1950 le
paIement de l' indemnité temporaire de oherté
de vie.
POur le Ministre et par autorisation
Le Directeur du Budget,
Signé : R. GOETZE .
Communiqués - Avis
Annonces diverses
r;AB INET DU PRÉFET
P ()
MEDAILLE D'HONNEUR
DE LA POLICE FRANÇAISE
Agents des Polices MUnicipales
et Rura les
Promotion 1950
Par circulaire n° '292 du 26 août 1950,
M. le Ministre de l' Inférieur doit être saisi.
le 1er octobre au plus tard des propositions d'a ttribulion de ta Médaille d' H onneur
de la Police aux agents appartenant aux
P otices Municipales et Rurales.
MM , les Maires sont invites en conséCjuel.ce à faire parvenir au Cabinet d u Préfct
(bureau des Distin ctions H onqrifiques), par
l'intermédiaire du Sous-Préfet de leur Arrondissement, pour le 25 septembre co uran t ail
plus tard, les propositions concernant le perso nnel vise.
'
C i-après le mod~/e de la notice individuelle à remplir ef à adresser en double expédition.
MEDAILLE D' H ONNEU I~
DE LA P OLI CE FRA NÇA ISE
NOTICE INDIV I DUELLE
Département .................... .
Commune.. ..
. ....... .
NOM ......... .......... ............. ..
Prénoms (so uligner le prénom usuel) ... . . .
Da te et lieu de naissance ... . . . ..... . .. .
Fonction actuelle ............... ........ .
Situation de lamill e .... ............. . .. .
I~écompenses dbtenues tnom bre, nature et
date) ........ ...... . ................ .
Sanctions non am nistiées (nombre, natu re et
d ate) ......... .
Temps de service
1
a) Ser vice de Police
..........
(du
au 3 1. 12. 1949)
b) Service Militaire obli gatoire ..
(du
au
)
c) Ser vices de guerre . .. ...... .
(d u
au
.)
Total. ...... . ... .
-------<.00<.,-------
02 B3
SC 7
INCENDIES PROVOQUES
PAR LES DEPOTS D'ORDURES
Plusieurs incendies, en particulier de forêts et br oussai lles, et dont quelques-u ns ont
été assez g raves, o nt été provoq"és pa r des
dépôts d'ordures comm unaux et particuliers.
Par l eur nature même, ces dtpôts constituent un danger permanent d'incendie, SOIt
par l a fer mentatio n, soit par les résidus de
combustion qui y so nt ve rsés avant l eur ext inction complète ou leur ref r oidissement.
Afin de supprimer ou domine r les r isques
de propaga tion de feux pouvant avoir des
.conséquences gr aves, j'invite MM. les Mairt!S
à faire ver ifier tous l es dépôts d'immo ndices
se t rouvant su r le ter ritoi re cie l eur commune et à les aménager de façon rationnelle.
Les principales mesures à prend re sont;
- Eloigneme nt des forêts, des bro usSa Jiles, des établissements industriels et habitat ions.
- Désher bage (débroussaillement et dc boisement d' une l arge reinture Sur tous l es
côtés des dépèts, étant entendu que les muni cipalités devront obtenir les accords nécessaires.
- Utilisation des carri ères désa ffectées.
aux parois élevées et nues en clôture de~
dépôts par un mur s'opposant a l'envol des
papiers enflammés sous l'effet des vents.
- Interdiction, signal ée par affichage ou
arrété municipal, de déposer des ordures
dans tous l es endroits non spécialement aménagés à cet effet.
.
- Surveillance des dépôts autOrisés par
les agents comm unaux et arrosage périodique pendant l a saison chaude.
- Su rveill ance, par les agents de. la force
publique, pour réprimer les infr actions aux
arrêtés en vigueur.
Ces diverses mesures permettront aux
Municipalités d'éc ha pper aux resp onsabilité,
pécuniaires qui pourrai ent l eur II1comber.
par suite d'un incendie de dépôt d'ordures
mal situé, mal aménagé et non surve~lIé.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secrétaire Générat
LAMASSOURE.
Il
Se rvices extérieurs à la Poli ce admissibl es jusqu'à co nCurrence
de 10 ans. Gend a rmerie, Gard e
Rép ublicaine, Armée a u dela de
la durée léaale, en de ho rs des
sendces de ~guerre. Préciser l a
nature et les dates de ces services) ............. ", ... .. .
Total gê nerai
Observations :
c> oo(( »,----_
No ta . - La Méda ille d' Ho nn e ur peut êhe
accord ée ap r~s vingt an nées de services de
police (en y comprena nt ser vices militaires :
obli gatoire, de guerre et se rvices jusqu'à
concurrence de 10 ans accomplis dans l 'armée a u de ia de la durée légale).
Avis motivé du Maire
Avis motivé du Directeur Départemental de
la Police:
du Préfet du Département où le lonc-
----~> oo <»-------
02 B3
AG 5B
REGISTRES DE L'ETAT-CIVIL
Fourniture d'un papier spécial
Le Prélet des Bouches-du-Rhône,
à ," lN\. les Ii'v\ aires des Com munes
du Département,
j' ai rhonneur de \"OIIS rappeler que l'article 8 de la loi du 3 1 décembre 1938 a exonéré du droit de tim bre de dimension les
regislres de l'Etat-Civil, et leurs tables. Donc
ces documents peu\'ent êtr e établis sur papie r libre.
Toulelois, l'Administration de l'Enreg istrement contin uera à fournir aux communes
'né
la
�•
152
-
•
l'Administration d~ l'Enregistrement à la disposition des communes sont les suh'antes
de le"rs re~istres ~e rEt at-e il"it Cette ~o "r
niture sera faite gratuitement, s,!uf remboursement ulterieur des frais de ·Ià.brication par
le Département de la justice. Le pa pier
sera. dé lh-ré t!i recternem a ' ·OS sen'ices el
mis ainsI ..i...l3 dis;.zosition des hesoins de
"otre
1
2"
COmml1R~ ..
.353 = 0 m2 08
~"\oyen papier :
hout. 0.29 X largo 0.42 = 0 m2 125
Pou r permettre la constitution de l'a ppro"isionnement nécessaire, je vo us prie de
3"
vouloir 'ffien me faire connaître (2e Di\'Îsioll
3e Bureau) 3\rant le 25 septembre, dernier
dèlai, le nombre de fe uilles (petit papier, moyen papier, gran<i papier, grand registre) qui sera aecessn;rt' :. "otre comnn.Jne
po ur l'année Hl 51.
Les dimensions du papier special mis. par
Petit papier :
hau:' 0.25 X largo
4"
Grand papier:
haut. 0.35
largo D,50 = 0 m2 175
Grand~ registre:
haut. 0,42
1
À
larg.
O,5~
=
0 m2 25
Il com'iendra, afin d'évi ter des erreurs qui
pourraient ret arder :a fo urniture du papier
special, df hi en préciser dans la dfmand'e le
fornat df celui-ci.
D283
RÉPUBLIQUE
21 et 28 Septembre 1950
FRANClAISE
DËPARTEMENT DES BOUCHE.S-DU·RH
AVIS DE CONCOURS
Ville d'ARLES (Bouches-du-Rhône)
.
(35.017 habitants)
Le~ conCOurs pour les emplois d'adjOint
techn ique, ~éd.cteurs et Commis d'ord re et
de comptabilite auront heu a la Mairie diA
les, courant octobre t 950.
r-
Recueil des Actes Admini
Les.. demandes .d'admission, accompagnées
des pietes pr.escntes, devro nt parvenir ava t
et Bulletin des Mairies
le 8 octobre 1950 .il M. le Maire d' Arl es, ~~i
convoquera les cand idats admiS a concour'If.
Demander conditions et pro !7ra mmes <tu
Secrétari at Générai de la lMairie.~
Toute correspondance relaUve au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABHÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire. - Les lettres 0 et B suivies d' un ohiffre indiquent le Service Ou Bureau d'origine.
- S. L. R. A. : Service de Liquidation des Réqu isitio ns Allemandes. - R. G. : Ravitatllement Général. - S. C. R. : Service de 1.
Circulation et du Roulage. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. S. T. : Direction des Services Techniques.
SOMMAIRE
Arrêtés réglement&res et Circulair""
•
OIA O. - Aùlorisation d'exploiter un e
entreprise de cinématographie ....
.~O 6. Déclaration d'util.ité publique
des travaux pro jetés par l'Association
15J
Syndicale autorisée des submersionnistes et arrosants du ,canal en reli ef
de la Petite Montlong ............
Textes d'intérêt général
'Page!
Page.;
154
EN O. EN O. -
Droits d'auteurs .. ...... . .
,publication de documents
154
. ~ .. ... . .. ' . . .
155
admi nistratifs .. .
FS 7. - Personnel hosp itaLier - Avantages en nature .. ............... .
FS 8. - Assistance médicale gratuite.
SC 7. - Vacations horaires à allouer
aux Sapeurs-Pompiers . ...... . ....
Pages
AC 3. -
Indemnités de Technicité
156
Communiqués, Avis, Annonces diverses
155
150
156
-
Avis de co ncours pour le recrutement d'Inspecteurs Elèves des Contributions diverses en Algérie . . . . ..
J56
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
C.I.A 0
D4 B3
AUTORISATION D 'EXPLOITER UNE
ENTREPRISE DE CINEMATOGRAPHIE
Copie certiiée conf.rmc.
Pour le:: Préfet :
Le Surltaire Cé,,"al : LAMASSOURE.
M. le Mini-stre ete l' Intérieur m'a transm is
des instructions du Directeur Général du
Centre National de la Cinématographi e, auxquelles il a donné son agrément, relatives à
l'autorisation d'exploiter une entreprise cin ématographique.
Ces instructions ont fixé la procédure 3
'Suivre da ns l'avenir pour la remise au demandeur de la carte d'a utorisation de fon ctionner et le mode d'intervention des orga nismes de sécurite.
La carte d'autorisation d'exploiter me sera
désormais adr essée. Ell e co nstitu e la pièce
administrati ve attestant que son titul aire est
h~bilité à diriger l'entrepris e de spectacles
<:mématogra phiques p'OUI" laquelle elle est
demandée. Elle constItue, en outre, la pièce
d'immatri culation du ~héât r e ci nématograp hique qll'elle co ncerne.
Sa remise au dema ndeur sera subordonnee à mon accord ou à celui des Maires, à
Ja su!te ~e la vérifi cation par l es or ga nismes
de sec un té, de la conformité de l'étab lisse-
ment a.vec le décret du 7 Février 194 1 rclat if
à la protection contre l'i ncendie de~ b.àtiments et locaux. receva nt le public.
Une Commission commun ale de sécurité doit
.avoir été constit uée dans les communes de
plus de 5.000 habitants et clans tout es les
~ommunes, quelle que soit l' importance de
eur popu lation, lorsq u'elles so nt stations c1itouristiques
je le rappelle. chargée
réd ure. Il n'y aura plus lieu désormais de
remettre à l'intéressé le certificat de sécurité
d'examiner si les prescriptions réglemental'res du décret et les re commandations de la
exigé auparavant, lors de la constitution du
dossier.
Commission
Le rôle commun aux Maires de toutes les
communes sans distinction hors de ce qui a
Départementale
de
Sécurité
sont observées.
Elle donne son avis au M'a ire, au point
de vue technique, pOUfl l'applîcation de toutes mesur es de police ou autres qu 'il est
appelé à prendre, en vue d'assurer la sécuri'té
I) ubliqu e.
Elle est plus spécialemen t chargée oe visiter, au moins deux fois par an, les établissements sou mis aux prescriptions du décret.
Aux term es de l'arti cl e 27 1, avant toute
ou verture des établissements au public, la
CommÎssion Communale de sécurité devra
procéder à une visite de récep tion et s'assurer de la co ncordan ce des plans et de "e xécution et pourra pres crire les modificatio ns
de détails re connues nécessaires.
Selon les instructions ministérielles récenItes, la remise de la carte d'autorisation
d'exploiter ulle entrepri se cin ématographique
ne pourra être effectuée, p.ar mes soins,
qu'après vérification, lorsqu e ceUe-ci existe,
de la Commission Communale de Sécurité
de la conformité de l'établissement avec le
décret du 7 révrier 1941.
Cette laçon de procéder présente le doub le
En application à l'article 266 de ce te xte
hydrominérales,
Cette Commission, placée sous la Iprési-
den ce du Maire est,
et
été indi qué supra au sujet
des fo nctions
particulières des Commissions Communales
de Sécurité, devra consister, dans la délivrance au moment de la constitution du
dossier , du permis de construire lorsqu 'il
s'agira d'une constru ction neuve ou d'un
aménagement de locaux entraînant l'applitca-
tion de la législation sur le permis de construire.
j'invite en particulier les u\1aires des Commun es dotées d~une Commission Communale de Sécurité à porter à la connaissance
de ses membres la teneur de la présente
'ci r culaire et à leur rappeler les attri butio ns
de vérifi catio n et de co ntrôle à elle dévolues
pa r le décret du 7 Fevrier 1941. Il co nviendra "otamment de veiller à la stricte application des articles 266, et suivants dudit
décret.
Il appartie ndra aux Mair es de ces communes de Ille faire pf1rvenir en \'ue de la
délivrance de la carte, dans les cas de crea tions, aèq ulsitions (cessions) constructions l
réo uverture de salles, transformations de
avantage de renforce r les liaiso ns entre les
serv ices de sécurité et ceux de l'exploitation
et de suppri mer la remise à l'exploi tant d'u n
certificat de sécurité antérieurement demandé
format 16 ml m en 35 m/ m et deplacement
au moment cie la co nstitution du dossier
définitif.
j'appe ll e l'attention des !llaire
Sécurité, en ap1'1icatio n de l'article 271 du
Meret
ou dans les
de telles Comnnis:si'ons, l'avis
ries entreprises dans 1111 local nouveau, l'autorisation d'ouverture établ ie par leurs soins
apr~s avis de la Commission Communale de
....
�154
d'incendie, délégué de la Commission Départementale de Sécurité, qu'ils a uront préalablement dema ndé.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Gé néral,
LAMASSOU'RE.
05 BI
-------0.000.-------
AG 6
DECLARATION D' UTILITE PUBLIQUE
DES TRAVAUX PROJETES PAR
L'ASSOCIATION SYNDICALE AUTORISEE DES SUBMERSIO.NNISTES ET
ARROSANTS DU CANAL EN RELIEF
DE LA PETITE MONTLONG.
ARRETE
Le Prefet des Bouches-du-Rhône.
Officier de la Legion d'Honneur,
Croix de guerre,
Vu la déli bération en date du 25 novembre 1949, du Syndicat de l'Association Syndicale Autorisée des submersionnistes et
arrosants du Canal en Relief de la Petite
Montlong, demandant l'ouverture d'une enquête en ,'ue de la déclaration d'utilité publique des tra\'3UX d'extension des irrigations
de l adite Association ;
Vu l'avant·p rojet des travaux à exécuter;
Vu l'état parcellaire des terrains à acq ué-
rir pa r l'Association i
Vu les decrets-lois du 5 novembre 1926 et
du 21 décembre 1926 ;
Vu les déc rels-lois du 8 août 1935 et du
30 octobre 1936 ;
Vu le décret du 2 mai 1936 ;
Vu le registre d'enquête duquel il résulte
qu'aucune réclamation contraire au projet
n'a été formulée;
Vu l'avis favorable du Commissaire Enquêteur,
ARRETE
Article premier. - Sont déclarés d'utilité
publique et urgents les travaux d'extensioa
des irrigations dema ndés par ('Association
Syndicale Autorisée des Submersionnistes et
Arrosanls du Canal en Relief de la Petite
Montlong, qui ft,gurent su r le plan a nn exé au
présent arrêté.
Art. 2. - Est autori sée I ~a cquisitio n des
terrains nécessaires aux travau x projetés_
Art. 3. - M. le Sous-Préfet d' Arles, M. le
Directeur de l'Association Syndicale Autorisée des Submersionnistes et Arrosants du
Canal en Relief de la Petite Montlon g, M.
l' Ingénieur en Chef du Génie Rural sont
chargés) chacun en ce <Jui le concerne) de
l'exécution du présent arrêté, qui sera inséré
au Recueil des Actes Administ ratifs du Département des Bouches-du-Rhône.
Marseille, le 13 septembre 1950.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué :
LAMASSOURE.
D4 B3
-------0.000.------
EN 0
DROITS D'AUTEURS
Le Préfet des Bouche,"-,du-Rhône,
il .MI\1- les Sou,"-,Préfets et Maire.
du Département,
Les lois des 13-1 9 j anvier, 9 juillet, 6
Aoùt 179 1, 18 juillet et 1er Septembre 1793,
14 juillet 1866, 3 Février 19 19, 22 juillet
1941, validée par l'ordonn ance du 30 Décembre 1944, les décrets des 8 juin 1866 et 5
Février 181C ai nsi que l'article 428 du Code
Pénal, gara~tissa llt l,es droits des Auteurs
en ce qui concerne 1 exécuhon ou la représentation de leurs œuvres.
L'autorité administrattve, comme rautorité judiciaire, doit donc, en la circonstance,
prêter son conCOurs dans le senS le plus
large pour la sauvegarde de ces droits.
Or , il m'est signalé Que l es instructions
envovées par l'Administration semblent se
perdre de vue dans beaucoup de Commun es
et que les Age nts des Sociétés d'A uteurs ne
sont pas toujours consultés pour l'obtention
de l'autorisation préalable nécessa ire et le
paiement des < droits d'auteurs ».
Je crois donc utile de vous ra~pelelr les
instructions qLie mes prédécesseurs vous ont
déjà données.
Vous voudrez bien, notamment, informer
les directeurs de théât res, de tournées d'opérettes, de revues, de cinématograph~s, de
cafés- concerts perma nents, temporaires ou
accidentels, de music-hall, les or ganisateurs
de concerts symphoniques ou vocaux, de
pièces. sketches, de bals publics ou pa r souscriptions, de courses de cheva ux, de bicyclettes, de courses de taureaux ou autres
manifestations sportives, de concours de musique ou autres, de fêtes nationales, locales
ou de bie n fa ~sa nce, les directeurs et prési-
dellts de Sociétés musi cales ou de patronages scolaires, laïque QU religjeux, de Sociétés
artistiques ou autres, en un mot, les directeurs de toutes entrepri ses, de toutes or ganisations, de toutes séances comportant l' utilisation d'œuvres soum ises aux droits dOauteur, même celles présentant un caractère
absolu
de
bienfaisance, qu'ils so nt
l'obligation de s'adresser
dans
aux Agents- des
Sociétés d' Auteurs pour obtenir l'autorisation préalable « formelle et par écrit, nécessaire, et payer les d roits d'Auteu rs.
Il importe peu que la séance soit payante
ou gratuite, il suffit pou r don ner lieu à rapplication de la loi, qu 'il y ait eu, même
accidentellement,
œuvre privée.
exéc ution
'Publique d'une
j e précise qu 'il ressort d' une dépêche du
Mî nistère de l'Educati<l n Nationale (b ureau
des droits d'auteurs) Que pour les œuvr es
non encor e tom bées dans le domaine publi c,
1es droits d'auteu rs sont perçus au prorata
de l'ensemble des recettes, que oC es recettes
,soient directes (droit d'entrée) ou indirectes
(vente de programmes, de co nsom mations,
etc ... ). La perception des droits sur l'ensemble (par conséq uence sur les consomma-
tions) est légale en tout état de cause, puisque les Auteu rs et Compositeurs ont le droit
strict de fixer eux-m êmes les conditions ou
leur autorisation.
L'usage permanent ou accidentel, soit
pour des bals, soit pour des auditions, lors
de braderies, kermesses, foires eXIPositions
à l'intérieur des magasi ns, sur les voiture~
publicitaires, bateau x de promenade publics
des appar eils automatiques ou mécanique~
a musique : pth onographes, pianos mécaniques, appareils piek-up, etc ... ai nsi que des
apparei~s
récepteurs de T.S.F. et télévision
est soumis à cette obli gation.
\1 en est de même pour les exécuti o ns
don~ées rpar les entrepreneurs de spectacles
foralOs : th éâ tres, -cirques, cinémas, manèges
de chevaux de bois, aéros ou autres loteries
confiseries, etc ... et l es chanteurs 'et musi~
ciens ambulanls.
Cette législation s'applique àux exécutions
-
ou représentations données par les lM '.
palités o.u pour leur compte, da ns les U~,cr_
ditLons cl..dessus, SOlt_dans les salles a on-
tenant aux Communes, soit Sur les pPIPar' . qu'aux exécufaces
ou 1·leux pu bl'IICS, a lOSI
données dans les Eglises ou autres édi~ons
reli gieux.
Ices
MM. les Maires devront se mettre en
port avec les agetlts cres Sociëtés d'Aut::'"
en ~ u e .d'obtenir ~n dehors des autorisat io~S~
parh cuhèresd relatl ves aux manifestations e
ca ~se, ('a ut risation !préa}able légale en c~
qU I Co ncern e toutes les fe tes organisées par
leur commune ou dans leur co mm une ent
lors ?es fêtes pat~o?ales et national~
autre~
14 JUillet, letes de la Liberati on, etc...
En résumé, aucune man ifestation publique
comporta nt ('utilisation d'œuvres Soumises
aux « d~oit.s d·a ute ll~s .» ne peut avoir lieu
et ne dOI t etre auto Tlsee sans une justification écrite cfe l'auto risation préalable des
Societés d'Auteurs, délivrés par, leurs Agents
ma ndatés. Les proprtétaires de salles, demeu.
rent, autan t que leurs organisateurs, responsabJe5. des infractions co mmises.
En outre, tous les or ganisateurs de fêtes
et spectacles, notamment les directeurs dt
bals et concerts, doivent, lorsqu 'ils en sonl
req uis, présenter le répertoire des airs de
musique exécutés dans leur établissement el
remettre à l 'issue de chaq ue séance le programme eX.lct et cer tifié si ncèr e des œuvres
exécutées.
PENALlTES_ ~ Dans le cas où les inli-
a
ressés refuseraient de se co nfo rmer
ces
prescriptions ou conti nueraient à faire ou a
laisser exécuter des œuvres non tom bees
dans le domai ne pu·blic, sans autorisation,
vous devrez, sur la demande des Agents des
Sociétés d' Auteurs, constater la contra\'en-
EN 0
D4 B3
PUBUCATION DE DOCUMENTS
ADMINISTRATIFS
L'attention de M. le 'Ministre de l'Ed ucation Nationale a. été appelée s ur la publtcati on, par la <voie de la presse, de lettres
ministérielles adressées a des Maires et con-
cern ant le fonctionnement de Bibliothèques
Municipales.
Ces initiatives ont été prises sa lis auc un
doute s ur le plan local da ns la seule intention de porter à la co nn aissa nce du publi c
les efforts qui sont poursuivis, afin d'améli orer encore l e fOhctionnement des établissements intéressés, et l es r ésultats ,qui ont été
obtenus da os ce domaine.
Les documents ad ministratifs ainsi rendus
publics sont s uscepti bles toutefois de co ntenit' des in formatio ns de caractère confiden-
tiel tant sur la gestion des Bibliothèques
Mu~icipa les que sur l es fonctionnaires appelés à les diriger.
Il importe d'observer, d'autre part, que Id
communication des pièces ou documents de
service il des tiers est interdite en applica -
tion de l'article 13 de la loi d ll 19 octobre
1946.
Aussi, afin d'éviter les inco nvénients qui
peuvent réslliter de la pllblication de documents administratifs intér essant les Bibli o-
théques Municipales, M. le Ministre de l'Ed u·
cation Natio nale rappelle q u'i l co nvient de
s'abstenir de divul guer les inform ations provenant de son A.dministr ation .
Toutefois. il ne peut que lui être ag réable
de voi r porter à la co nnaissance des admi-
nistrés l'aide de l' Etat en vue du développement des bibliothèques.
tion par ,procès-verbal, qui sera déféré aux
T ri bunaux compétents à la requête des par·
ties intéressées.
j'a ppelle votre a ttention sur la nécessité
Pour le Préfet,
par délégati on
Le Se crétaire Généra/
LAMASSOURE.
de VOliS conformer str rc tement à ces instruCtions, de les porter a la co nnaissance de
toutes les personnes intéressées de vot re
'Commune, et de leur donner la plus grande
pu bli cit€- possible pO Uf qu'à l'avenir, elles
soient ri goureusement observées.
Les mandataires de la Société des Auteurs,
Compositeurs et Editeurs de lv\.usiqu e, pou r
le Dé pa rte men t des Bouches-du-Rhône, sont :
Directeur
lnter-Régrona l à J\1:ars eille, pour Marseille et
les ca ntons d'Ai x et Gardann e. NA. 27- 18.
D3 B2
-------<.00<.------fS 7
PERSON NEL HOSPITALIER
AVANTAGES EN NATURE
3" M onsieu r Maurice Vergeiy, Agent pour
les canto ns de : Berre, Martigues, Salon,
Lambesc, NA. 27- 18.
Bureaux de ces troi s agences il Marseille,
Ci rculaire no) 160
12, ru e du Coq.
4· M\)nsieur François DUBOS, Age nt d'Arles, pour l'arro ndissement d'A rl es et ca nto u
d' Istres.
Bureau x 35 ru e Porta cr nel, à Arles.
L'Age nt ' centra l de la Société des Auteurs
et 'Compositeurs Dramatiques pou r le Département est :
es
IMonsie ur T. Filippi, 42, place jea n-J~I" ,
Marseille. IL Y. 59-02.
éf
.Pour le Pr et,
pa r dé légation,
Le Secrétaire Généra l,
LAMASSOURE.
Paris, le 2 septembre 1950.
Le Ministre de la Sant é Pu blique et
de la Population
~ MM. les Pr.!.!ets (pour exécution),
a MM. les Directeurs départementau x
de la Population (p our information),
l es
Directeurs
prix de journée alimentai r e co rrespondant
aussi exactement que possible au prix de
revient réel des prestations fournies.
C'est pou rqu oi j'attache du prix à ce q ue
soien t s trictement ap pliquées les d ispositions (je ma circulaire n" 172 du 8 juillet
1949, détermin ant les modalités de calcul
du prix des repas consommés par le person nel des établissements hosp italiers.
Des exceptions à ces dispositions ne sauraient 12:tre admises que dans les seuls cas
où l es condit ions particulières du !fonction nement de certai ns établissements permettraient diHiciiement de se conformer aux
presc riptions en cause (difficulté ou impossibilité matérielle de déte rmi ner les quantités d'eau, d' électri cité, de charbon ... co nsomm ées dans les cuisi nes,
ces
éléments
n'étant Co nnus que pou r l'ensemble de
l'Etablissement) .
Il va de soi, paIl ailleurs, Que si le personnel nourri a un r égime alimentaüe partic ulier, différent de celui dont bénéficient en
moyenne les hospitalisés, les dispositions
de ma circulaire du 8 juillet 1949 ne dev ro nt
pas être appliquées, mais rempla cées par un
a utre mode de calcul, plus précis en l'espèce, parce que tenant compte des prestati ons effectivement fournies au personnel.
En tOllt état de cause, le pri x des repas
devra to uj ours être détermin é, sous votre
contr ôle, en prenant en considérati on le~
qua ntités et la va leur non seulement des
denrées alimentaires servies, mais également
des autr es éléments (produits industri els, dépenses de personnel), fixés par la circulaire
ci-dessus visée du 8 jui ll et 1949.
j'appelle, en outre, votre attention sur le
la it ,q ue seu ls les age nts de l'Etablissement,
à l'exclusion des membres de leu r famill e,
sont susceptibles de bénéficier de cet avantage.
j'ajo ute que la composition des menus
prépa rés pour le personnel ainsi nourri ne
peut êt re mod ifi ée indi viduellement et que
les agents n'o nt pas la possibilité de dem a nder directement des pl ats à la cuisine, selon
leur gré, même contre remboursement.
1" Monsieur Ravrnond Fouquet,
2" Monsieur Henri M outte, Agent pOlir les
cantons de : La Ciotat, Au ilag.ne, Iloqu'vaire, Trets, Pey rolles. NA. 27-1 8.
1. - REPAS
Le personnel peut être appelé, statutairement ou par nécessité de service. à prendre
ses repas dans l'établissement hospitalier.
Il convient alors de réclamer des personnes nourries à t itre remboursabl e un
D épart em e nfal1~
de la Santé (pour informa/ion) .
à MM. les Directeurs des Etablissements Nationaux d e Bienfaisa nce ef
des H6pitaux Psychidtriques Autonomes (po ur exécution),
L'attribution d' avantages en nature au
~erso n ne l hospitalier a panfois dOlln é lieu il
des abus regrettables auxquels il convient
e mettre fin sa ns délai. II me par ait en CO nféq llen ~e nécessaire de préciser à cet éga rd
des drOits des agents hospitaliers (personnel
t es hôpita ux et hospi ces publics des hôpi·
aux ~sychiàtr iq ues) des sanato;iums, pré~eento.num ~ et aériums publics, des établisseots nationaux de bienfaisance).
Il . -
PRODU ITS DE L'ETABLISSEMENT
Si l'Etablissement comporte des explOItat io ns agrico les ou horticoles, les prodllits
de l a culture de ce domaine doivent être
uîilisés de mani ère il fac ili ter l 'approvisionnement de l'Economat, ainsi que la variété
des menus servis aux hospitalisés et au personnel.
La cession de ces prod ui ts, soit aux agents
de l'Etablissement, soit à toute autre person·
ne, ne sa urait être en visa gée, à titre exceptionnel, que dans la meSllre où leur quantité
s'avérerai t supéri eure aux beso ins de l'Eta-
b-lissement.
Je tiens à cet éga rd à ce que cesse I"usage,
déplora ble mais assez répa ndu, d' attrib uer .l
certains fonctionnaires des Etablissements
Hospita liers, ce qu'il est convenu d'appeler
« des paniers de légumes >, soit gratuitement, soit contre une redevance symboli-
que.
Ces errements détournent les denrées agri-
coles produites dans l'Etablissement de lellr
destination essentielle rappelée ci-dessus
l'amélioration de l'ordinaire des malades.
Il est par aIlleurs re g rettable que cet avantage soit attçibué aux agents les mie ux ré ·
munérés de l'Etablissement, déjà bénéficiaires d'autres avantages en nature substan-
tiels (logement, éclai rage, parfois même usage d'un ja rdin personnel... ). Je vous rappelle
enfin que ces attr ibutions modifient sensiblement l es conditions de r émunération des
agents, qui devraient être ident iq ues dans
tous les Etab lissements et confo rm es aux
seuls textes règlement ai res en v igueur.
Lorsque l a cession des produits agrico-
les peut êt re envisagée, elle do it s'effectuer
exclusi vement à titre onéreux ; le prix fixé
pour l a vente sera celui qu'aurait à verser
l'Etablissement s'i l lui fallait
acheter,
au
même moment, des produits identiques (prix
de gros o u de détai l selon les denrées).
Il convient, en effet, d'éviter que l'Adm inistration Hospitalière, éventuellement obli·
gée d'acheter à bref délai des marchandises
de même natu re, ne soit obligée de payer
celles-ci à un prix supérieur au pri x de vente des den rées qu'elle s'est trouvée en mesure de céder par suite de su rproducti on
momentanée.
III. -
PRODUITS A,CHETES
A L'EXTERIEUR
Dans la mesure où le personnel qui n'est
pas nourri dans l' Etablissement, ou la fam ille des agents hospitali ers éprou verait, notamment en rai son de l'isolement de cer-
tains Eta blissements, des difficultés à faire
ses achats, je ne verrais que des avantages
à ce que soient organisées des co opérative5
de co nsommation r éserv ées au personnel de
l'Etablissement. L'acti vité de ces organismes pourrait être, sans inconvénient, aussi
étendue qu' il le serait désirable.
A titre exceptionnel, par ailleurs, s i
l'Etab lissement est éloig né de toute agglo·
mération et dans l e cas où le nombre r estreint du personnel de l'Etablissement n ~
per mettrait pas la co nstitution d'une coopérative, je ne m'opposerais pas à ce Que l'Economat revend des denrées alimentaires qu'i:
aurait pu se procu rer il l'intention des intéress és, et dans l a lim ite des besoins famili aux. Les march andises ai nsi cédées devront
être vendues aiJ prix coû tant majoré, pour
tenir compte des frais exposés à cette occasion par l'Administration hosp italière, de :
-
5 % lorsqu e la , 'ente des denrées au
personnel peut s'effectuer sans manipulation
ou préparation spéciale ;
- 10 % lorsque des opé ratio ns particulières sont nécessaires pour permettre la
vente au détail (mise en bouteilles du vin,
dëbitage de la vi ande).
Toutefois, conform ément aux disposition\)
des décrets n·· 48-86+, 48-365 et 48-866 du
24 mai 1948, les médecins des sanatoriums,
préventoriums et aériums publics, ai nsi Que
les directeurs administratifs de ces Etablissements ont la faculté d' utiliser, à titre onéreux, et au pri x de r evient po ur eux et leur
fami lle, le ra vitai llement de l'Etablissement.
Je prëcise que, nonobstant les instructions
qui précèdent, l a présen te circulaire ne sau-
rait a"oir pour effet de po rter atteinte il
cette facu lté qui résulte des dispositions règlementaires et fait partie intégrante des
avantages de carri ère propres au personnel
médical et de direction des Etablissements
de cure.
�156
IV. -
ments hospitaliers alors que leur situation
LOGEMENT
Par nécessité absolue de service, certains
agents appartenant aux catégories lim!tativement énumérèes par les statuts en Vlgueur,
ont droit au logement gratuit dans l'E.tablis-
matérieUe
ne le
justifiait pas
et qu'elles
n'avaient aucune raison particulière de de-
mander le secret.
Le nouveau te~'(te a pour objet de mettre
fi n aux abus et de limiter les dépenses sa ns
sement. Ce droit comporte, à l'exclusIOn de
tout autre avantage :
I OLe droit d'occupation du local nu mis
à la disposition de chaque. fonctionnaire par
)' Adm inist ration de l'Etablissement ;
2° Le droit au chauffage et à l'éclai rage.
Je précise à ce sujet qu~ l'eau et ,le gaz,
notamment, ne peuvent dre fo urnis aux
agents logés qu"à titre oné reux.
P ar ailleurs, conformément à une jurisprudence constante de la Cour des Comptes.
les taxes personnelles ( ontribution mobi liè-
refuse d'être diri gée sur une maison mater-
re notamment) doivent demeurer à l a charge
nelle départementale alors que ce tr a nsfert
des agents logés et ne peuvent en aucun
cas être remboursées par )' Administratior.
hospitalière.
Rien ne s'oppose, par ailleurs, à ce que les
serait jugê médicalement ,possible,
Dans les cas où le secret est maintenu,
les frais de séjour seront pris en ctharge par
le service départemental d'Assista nce à l'En-
agents qui ne peuvent se prévaloir d'un d ~Ott
de logement soient. pa r utilité de servi ce,
loaés dans un établissement où il existe des
l o~aux vacants. Mais, en ce cas, la prestatio1
du logement ne saurait être accordée gratui-
tement. Le personnel des collectivités publiques ne peut, en effet. bénéficier d'avanta ges supérieurs à ceux qui sont attribués
a ux agents de l' Etat.
La détermination de la valeur l ocative dont
il s'agit devra donc être effectuée dans des
conditions identiques à celles prévues par
le décret n° 49-142 du 1 juin 1949 et la circulaire n" 121-22 B-5 du 3 1 décembre 1949
publiée au Journal Officiel du 1er janvier
1950).
je rappelle en tout état de cause que les
agents, logés à quelque titre que ce soit
dans un établissement, ne peuvent en aucun
cas recevoir de l' Administration hospitalière
les objets mobiliers nécessaires à l'aména-
gement des locaux dont ils disposent.
Vous "oudrez bien appeler tout particulièrement l'attention des Commissions Administrati ves et des Commissions de Surveil-
lance sur la nécessité d'appliquer sa ns délai
l a présente circu l aire, même si ces dispositi ons sont contr ai res aux errements locau"
actuellement en vigueur ,
JI vous appa rtiendra de me soumettre,
sous le présent timb re, les difficultés qui
pourraient résulter de la mise en exécution
des instructions qui précèdent.
Pour le J\\jnistre et par délégation,
Le Directeur du Cabine! :
GOUINGUENET.
-------<>00<>-------
FS 8
03 B3
ASSISTANCE MEDICALE GRATUITE
Le P réfet des Bou<:hes-du -Rhône,
à MM. les Maires du Département.
J' ai rhonneur d'appeler votre attentio n sur
la loi n° 50.800 du 29 juillet 1950, insérée au
j ournal Officiel du 30 juillet portant modification de l'article 1er de l'acte dit loi du 2
Septem bre 1941, sur la protection de la naissance et constatation. de la nullité de l'acte
dit loi du 18 Décembre 194 1.
A la faveur de la loi du 2 Septembre 1941
de nom bre~ ses postulantes ont abusé de la
possibilité qui leur était offerte de se faire
oS
_
14._
pour cela amoin drir les mesures protectri ces
de la naissan<:e,
L'hospitalisation gratuite n'est plus désormais assurée qu'en faveur des fem mes se
trouvant dans une situation sociale déli cate
et dem a udant à ce titre, le secret de l'admission. Pour' éviter la fraude, la loi du 2'3
juillet prévoit que le secret résultera de la
déclaration ete naissance souscrite GanS le
délai prévu aux arti'c les 55 et suivants du
Code Civil. 11 en sera de même si l'in té ressée
fance (Directio n dèpartementale de la Population).
Lorsqu'il n'y a pas secret, les frais d' hospitalisation ne pou rro nt être pri s e n charge
au titre de l'Assistance Méd'icale Gratuite
que si " admission .à l'Assistan ce a été prononcée da ns les conditio ns habituelles.
Il co nviendra alors de m'adresser, au li eu
de simples fiches Icomme précédemm ent, des
dossiers d'assistance régulièrement constitués
portant en outre d'une faço n t rès appa rente,
la mention c femme enceinte ».
Je vous prie de vouloir bien veiller â. la
stricte observation de ces nouvelles i nstru ctions,
Pou r le Préfet,
Le Secrétaire Général,
LAlJ\MSSOU~E.
------(> ooc>--- -
02 B3
SC 7
VACATIONS HORAIRES A ALLOUER'
AUX SAPEURS-POMPIERS
'Pa r arrêté interministé riel du 28 Juin 1950,
p ubhé a u j. O. du 3 Ju illet 1950, les taux
des vacations horaires max im a à allouer aux
sapeurs-pompiers non professionnels ont été
fixés com me suit :
-
Officiers ................ 200 francs
Sous-officiers ............ 160 francs
Capo ra ux sapeurs. . . . . . . . 120 francs
Le tau x des vacations
accordées pour
séance d'instruction est fixé à 75 % du tau x
ci -d essus,
Il n'existe plus de majorations pour service de nuit.
Les abattements de 5 à 18 % sont app li·cables à ces tarifs, ai nsi qu'à l'indemnit é
horaire de 75 francs allouée aux requis.
Les tarifs ci-d essus pre ndro nt effet à la
da te du 1er Octobre 1950.
VACATIONS HORAIRES
TEIns
D'INTERET G~HEBIL
10%
15 %
18 %.
200
190
180
170
164
160
152
144
136
13 1
120
11 4
108
102
98
75
71
67
64
61
.Jo
02 BI
AC3
INDEMNITES
DE TECHNICITE
Par lettre n° 64. 18 B/3, du 3 1 Août 1950
M. le Ministre du Budget fait connaitre qu'il
'convient de -continuer à payer après le 31
Août 1950, sans
modifi cati on
~S·
\
fiJ:R~
NE
Recueil des Actes Al1iiilistratifs
et Bulletin des Mairies
des bases
buées aux sténo-da.ctylographes et dactylo.
graph es,
•
Toute correspondance relative au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
La date à pa rtir de laquelle ces indemnités
,seront transform ées en primes de rendement
sera pr écisée ultéri eur ement.
AHRÉVIA.'1'ION8
A, P. : Arrêté préf~c to ral. ... C. : Circ ulaire. - Les le ttres D et B suivies d'un chittre indiquent le Service ou Burea d' .
_ S. L. R. A. : Service de liqu idati on des Réqui6 itio ns All e ma nd es. - R. G. : Ravita;tlement Général. - S. C. R. : Se~viC~r~~n~
Circulation et du Roulage. - D. D. S. : Direction Dépa rtementale de la Santé. - D. S. T . : Direction des Services Techniques.
,Pour le Prèle'
Le Secrétaire Général
LA'MIASSOU,RE. '
•
Communiqués-Avis
Annonces diverses
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Page"!
P. O. -
Un con-Co urs pour le recrutement d' Inspecteurs élèves des Co ntributions Diverses aura
Année. - N" 40 et 41
4$> '
ac tuell es, les indemnités de technicité attri.
AVIS DE CONCOURS POUR LE RECRU·
TEMENT D'INSPECTEURS ELEVES
DES CONTRIBUTIONS DIVERSES EN
ALGERIE.
SE
~
-:. 1 "--.
DËPARTEMENT DES BOU
CirClilail'es con oemant plus spécialement
les Adminis!ra/ions dt: fEtat
Interd icti o n d 'a pposition de
tout embl ème, affiches, papi llons,
panneaux et inscripti ons de toute nature de caractère subversif ou inju-
rieux . . ..... ..... .......... . ..... ·157
A O. - Date limite de la période des
vendanges. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ... 157
A O. - Date limite de décla ration de
récolte de vin . . ..................
C. I. A O. Exploitation des ca rri ères à ciel ouvert ........ ' . . . . . . . . .
AC O. - Livret de Fa mill e. . . . . . . . ..
SC O. Relè veme nt de l' Indemnité
spéciale a llo uée a ux Percepteurs-Re-
151
158
153'
159
ceveu rs Municipaux , ... ,.,.,.....
Communiqués, Avis, Annonces diversn
-
Concours pour l e r ecrutement de
personnel des Contributions diverses
de I" Algérie ........ . .............
AC O. Publi cité dans le Recuei l
des Actes Administratifs ... .......
- Offre d' emploi de "arde cham pêt re
à Velau x . ....... . ~ . .......... ' ..
159
159
159
li eu les 19 et 20 Décembre 1950.
Le nombre d'emplois mis au conco urs est
fixé à 40 !)Jour l es candidats du sexe mas·
culin et à 4 pour les candidats du sexe
ARRËTÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
fémini n.
Dl BI
Des centres d'examen seront ouverts à
Paris, Lyon, tMarseille, Bor deaux, Lille, Nan·
cy, Alger, Oran et Constantine.
,L a liste d' inscription sera close da ns cha·
cun des centres le 18 Novem bre 1950 il midI.
Epr euves écri tes seulement.
D iplômes ex igés : Diplômes ou titres exigés pou r se présenter au pr em ier conco urs
d'entrée à l'Eco le Nationale d'Administration,
baccalauréat comp let de
l'enseignement
secondair e et une inscription dans une faculté de Droit en vue de l'obte ntio n de la
licence,
A va ntages pécu niaires : Traitement mens uel de début à co mpter du 1er ju illet 1950:
pour un agent cél ibataire, 27.600 francs.
A ce traitement s'ajoutent, le cas échéant,
des in demnités pour charges de famille el
des indemnités représentati ves de frais,
Enfin,
l'Administration des Contrihutions
Diverses offre à ses aaents de nombreux
et im por tants débo u chés~ soit ve rs les emplois
co mptables, soit vers l e~ emplois supérieurs,
En Algérie, les Directeurs des Contribu·
t ions Diverses de chaque département, et e.n
France les Directeurs des Contributions Indir ectes des centr es d'exa men fourni ron t touS
renseignements lI ti~ es aux ca ndidats qui leur
en feront la demande,
AbatteSous- Ca po raux
ment Officiers Officiers Sapeurs ReqU IS
0%
5 %
RÉPUBLIQUE
6.112 Octobre 1950
Copie certifiée co nforme.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
-
PO
INTERDICTION
D'APPOSITION DE
TOUT EMBLEME AFFICHES, PAPILLONS, PANNEAUX ET INSCRlPTIO.NS DE TOUTf: NATURE DE
CARACTERE SUBVERSIF OU INJURIEUX,
ARRET,E
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la L égion d'Honneur,
Vu l'a rticle 99 de la loi du 5 avri l 1384 ;
Vu les instructions de M. le Ministre de
l'Intérieur dans sa ci r culai re n\> 323 du 30
septem bre 1950 .
Considéran t q~' il importe de mett re fin à
la .recr udesce nce des inscriptions, emblèmes,
affiches et g ra ffiti de toute nature apposés
les ~oies publiques, qui constitu en t une
dé~rada!io n po ur les édifi ces en gé néra l et
qUI présentent très souvent un ca ractè re subversif ou injurieux,
SUri
ARRETE:
. Article premier. _ Est formellement interdite da ns les Bouches-du-Rhô ne l'appositi o n
su: les voies publiques, notamment édifices,
édifices publics, t'haussées, trottoirs, arbres,
mur,S, de to ut embl ème, affiches, panneaux,
papi llons et inscriptio ns de t oute nal ure de
{'aractère subversif ou injuri eux,
Article 2. - Les co ntrevenants seront rigoureusement poursuivis et passib les des pei-
MM . les Sous-Préfets d'Aix et d'A rl es sont
cha;gés de l'exécution du prése nt arrêté.
Fait à Ma rseille, le 3 oc tobre 1950.
ARRETE
---~,. oo c> ---
D6 B I
AO
DATE LIMITE DE LA PERIODE
DES VENDANGES
ARRETE
Le Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Croix de Guerre,
Vu la lOI du 1er déce mbre 1936 portant
cod ification des dispositions législ atives et
règlementaires relatives à l'assainissement
d u marché du vin,
Vu la loi n' 46-2-300 du 2 1 octobre 1946,
r elative au ba n des venda n'ges ;
Vu la d éli bération de la Co mmission Départementale ;
Su r la proposition du Secrétaire Général,
ARHETE :
Arlicle premier. - La date limite de la
période des vendanges es t fi xée, pou r le dépa rtement des Bouches-tlu-Rhône, au 25 oc·
lob re 1950.
Arlicle 2. - Le Secrélai re Gén éral de la
d
es
en'lces de Police, M. le Comman-
des Bouches-du-Rhô
AO
DATE LIMITE DE DECLARATION
DES RECOLTES DE VIN
Le Préfet :
J. BAYLOT.
Préfecture, le Directeur des Cont ri butions
nes éd' .
du C ctees par les a rt icles 41 1 et suivants . Indi rectes, les -M aires du Département sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de
d~ 0. e Pénal pouvant co mporter une pei ne
,.; PflSon.
l'exécution du présent arrêté.
tl~licleS 3. -:- M. le Directeur Départemen-
06 BI
Marseille, le 27 seplembre 1950.
Le Préfet
. BAYLOT.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la L égion d'Honneur
Croix de Guerre,
'
Vu l'article 12 de la loi du 1e r déce mbre
1936 po rt ant codification des dispositions législ atives et r èglementaires rel ati ves à·,'assainissement du marché du vi n,
Vu la délibération de la Commissio n Départementale,
Sur la proposition du Secrétaire Général,
ARRETE:
Articie premier. - Tout propriétaire, fermier. métayer, récoltant
du vin
dans
le
département des Bouches-du-Rhône devra
fa ire, allanl le 15 novembre 1950, délai de
stricte rigueur, la déclaration prescrite par
l'a rticl e 12 de la loi du 1er décembre 1936.
Artide 2. - Passé ce délai, aucune déclaration ne sera acceptée.
Article 3. - Le Sec rétaire Général Je la
Préfecture, le Directeur des Contributions
Indirectes et les Maires du Département sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté,
Marseille, le 27 septembre 1950.
Le Préfel
J. BA n .UT.
-------<.00<.-------
�158
-
:
D5 BI
C.I.A. 0
EXPLOITATION DES CARRIERES
A CIEL OUVERT
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honn eur
Croix de Guerre,
~
Vu le décret du 27 avril 1892, portant règlementatJOn des Carrières du Departement
des Bouches-du-Rhône et notamment ses articles 9 et Il,
Sur les Pl0Positions de l'Ingénieur en Chef
des Mines il Marseil!e,
ARRETE:
Artiâe premier. - Dans les.. ca rrières à
ciel oU\ert du Département, l'abatage des
terres de recouvrement et de la' masse exploitée est soumis notamment aux rèales
d'exploitation ci-après :
0
A~tide . l. -. Le procédé par harage qui
~onslste a pratiquer une saignée horizontale
a la base du front d'exploitation pour en
provoquer l'éboulement est interdit.
Article 3. - Si les te rres de recou\'rement
et la ma e exploitée sont de consistance et
de cohésion comparables et ne se · présentent pas SOliS une fo rme solide (sable et r.r ravier, terres à bri ques et à tuiles t~rre
de fonderie. argile, calcaire tendr~. etc ... )
leur exploitation aura lieu par g radins droits
de 2 m. de hauteur au maximum séparés par
une banquette horizontale d'une larO'eur au
moins eg,:alc à la hauteur du gradin ()corres-
pondant.
Arlicle -1. -
Si la masse exploitée est de
consistance solide, "exploitation des terres
de recou,-rement se fera par <1radins dans les
conditions fixées à l'article précédent et devra précéder l'e..xploitation de la masse d'une
distance au moins égale à la hauteur du recouvrem ent. La masse elle-même sera taillée
en gradins de 3 mètres de hauteur au ma ximum, s~parés par une banquette horizontale
d'une largeur au moins égale à la hauteur
du gradin correspondant.
La sun·eillance et le purgeage journaliers
du front d'exploitation se ro nt effectues conformément à des instructions précises de
l'exploitant il un responsable qualifie.
A.rt!cle 5. - Des dérogations au present
arrete pourront être accordées dans des circonstances particulières, sur l a demande de
l'exploi tation par le Chef de l'Arrondissement
AC 0
AC
jugement ou de l'arrêt.
Ci rcul aire n° 325
Paris, le 30 septembre 1950.
Le Minislre de /'Intérieur
à Messieurs les Prtifels de la Métropole, de rAlgérie et des Départements d'Outre-Mer,
Instaure par une ci r culaire du 18 mars
1877, le livret ~e fami lle s'est révélé s i utile
que la loi du 5 avril 18S4, en so n article
136, 4', en a rendu la dépense obligatoire
pour les communes.
Depuis cette époque, l'usage de ce document n'a cessé de se r épa ndre. Destiné originairement à facilite r La reco nstitution des
actes de l'Etat-Civil en cas de destruction, le
Ii\'fet de famille sert couramment à justifier
de la situation Je famille.
Toutefois, au cours de ces dernières
années notamment, des difficultés se sont
présentées en raison de certaines imprécisions des instructions en viQ:ueur.
Aussi, la présente ci rculaire a-t-elle pour
objet ùe se 'substituer à ces instructions (circulaires de mon Département des 18 mars
1877 et 3 juillet 1923) qu'elle codifie et complète. Elle sera app liquée pour tous les mari ages qui seront céléb rés après le 1er décembre 1950.
.
1. -
DELlVHANCE DU LlVHET
DE FAMILLE
HEDACT ION DES EXTHAITS
ET MENTIONS
SUR LE L1VHET DE FAMIL LI:
t ' / l'officier d'état-civil devra s'assurer que
Les extr aits et mentions portes Sur le rvret doivent être rédigés en observant rigot:.
rellse.m~llt les .dispm;~ti.ofls de l'article 45
3" almea, dll Code CIVIl.
'
C'est ainsi que, com me ce texte le spé.
cifi!! notamment, les dates relatives aux divers actes dl!. l'Etat-Civil el aux ment;ollS
doivent être rédigés en fOllles lettres.
'
IV . - FO HCE PHOBANTE
DU LIVRET DE FAMILLE
•
ET PENALITES
Chac un des extraits, chacune des mentions
contenus dans le li vr et de famille a la fo rce
probante qui s'a ttache aux extraits en vertu
de l'a rticle precité du Code Civil.
Les falsifications et usage fraudu leux de
ces extraits ou mentions exposent donc leurs
aute urs aux sanctions pr évues aux articles
147 et 148 du Code Pénal.
O·autre part, l' usage d' un li Het de fami lle
où figurent des indications devenues inexactes en rai so n des changemen ts de l'é tat des
perso nnes visées, afin d'obtenir gr âce à cette
pièce justifi cative des avantages parti culiers,
rend son aute ur passib le de poursuites prnales.
d'une première union, par l'officier de I"E tat-
La co nservation du livret de ~am ille est
Civil qui célèbre le mariage.
Il est remis par lui au mari et délivr é g ratuitement.
II. - ELEMENTS
DU LlVHET DE fMIILLE
Le livret de famille est constitué par la
réunion des extraits des actes de l'Etat-Civi l
ci-après :
- mar.iage des époux,
-
déces des époux,
- naissance (et éve ntuelleme nt décès) des
enfants issus du mariaae et des enfants qui
Ollt fa it l'objet d'une legitimation adoptive.
En ce qui concerne l'extrait
d'Etat-Civil d' un enfant
déclaré
de
l'acte
présente-
ment sans vie, il doit figurer sur le li vret de
famille si les parents le demandent. Da ns
livret de famille doit comporter no;
pressemer.t qu'il s' agit d'un enfant « déclaré
présentement sans vie :. .
se~le
ment les extraits des actes de l'Etat-Civil
mais les mentions qui seraient venues mo~
difier lesdits actes.
Les mentiolls po rtées en marge des ex-
traits des actes de l' Etat-Civil qui doivent
figurer Sllr le lil'ret de famille sont celles
qui concernent les situations suivantes :
La mentIOn en est effectuée
à la requête de l'un des epoux par l'officier
de l'Etat-Civil chargé de la transcription du
Jugement ou de l'a rrêt. Cette mention doit
é.galement figurer sur le second ori gi nal du
li vret lorsqu'il en est établi un.
Légitimation. - La mention en est effectuée il la demande du chef de famille par
l'officier de l'Etat-Civil qui a procédé au
rQariaee..
êt re délivré à l' époux .<J.épourvlI du prem ier
ori ginal, dans les conditions prévues au par arrraphe suivant.
VI. - DELIVRAN CE D'UN SECON D
OH IGI NAL DU LlVHET DE FAMILLE
A. - Celui des époux qui, lors de la transcripti on du ju gement ou de l'arrêt de divorce, n'est pas en possessi on du l ivret de. fa·
mille peut demander qu'il en soit dress~ tl.n
second original, comportant toutes les IIldl-
catio ns du précédent.
Cet officier de l'état-civil pa rl e
Pour rtfleter fidèlement l'état de la famille
et servir de preuve officielle à cet é<1ard le
Divorce. -
assuree pa r le chef de famille.
En cas de divorce, un second ori ginal peut
A cet effet, l'intéressé adresse une
à l'officier d~ l'é tat- civi l qui a établi
crit l'acte de mari age, en precisant
et la date des actes fi gurant sur
origi nal.
dema nde
ou transla n~t ure
le IlYrel
sur un
nou veau li vret l'extrait de l'acte de manage
et, éventu ellement, les extraits des ~utre.s
actes quïl a reç us ou transcrits et q~11 dOIve nt figurer sur le li vret. Il adres~e ml~I~
diatement celui-ci ,à l'officier de 1 état-CIVil,
dési g né
par
le requ éra nt,
co ml(.e ayant
dressé ou transcrit l'acte ou les actes ftg urant à la suite su r l e livret ori ginal. Ce .dernier officier de l'état-civil renvoie le I1 vret
complété
son collègue, qui l'adresse ~Io rs
a
à l'offi cier de l'état_civi l
qu i a étallit ?n
trans crit l'ac te ou les actes portés ens~llte
sur le li vret. Ces transmi ssio ns sont. a~ns:
répétées jusqu'il ce que le second ong m•
soit intégralement constitu é. Ce second on·ère pat'J e
ginal doit comporter, sur 1a. prel~ l .
déli:
la mention « second exemplaIre on glnal
vré apr ès divorce
B) En cas de
tion du li vret
-
d l'original peut être obtenue selon la même
~océdure il la req uête du chef de famille.
p DanS ce cas, le nouveau ilvret dOIt comrler sur la première page la menholl
POsecond exemplaire original ) , délivré après
~'s arition du premier • . Avant de le remet-
III. -
V. - CONSEHVAT ION
DU LlVHET DE FAMILLE
le .Chef de l'Arrondissement Minéralogique,
precisant les mesures de sécurité à prendre
pour l' util isatio n des explosifs, la purge du
front d'exploitation après les tirs et le char-
RE.
\1
Le livret de famille est établi l ors de la
célebration du mariage, qu'il s' agisse ou non
ce cas, l'officier de l' Etat-Civil indique ex-
Article 6. Le présent arrêté devient
applicable dans un délai de 6 mois il dater
de sa promulgation.
Article 7. - Les Maires et le Chef de
l' Arrondissement Mineralogique de Marseille
sont chargés de l'exécutio n du présent arrêté, dont ampliation sera adressée au Chef
de l'Arrondissement Minéralogique et qui
sera publi~ au Recueil des Actes Administratifs du Département.
.
Marseille, le 31 août 1950.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général:
"C,
de l'Etat-Civil charge de la transcription ~r
LIVRET DE FAMILLE
Minéralogique à Marseille.
En I?articulier, l'abatage en grande masse
par mines profondes verticales ou horizontales ou pa r fourneaux de\'ra faire l'objet
d'une consigne de l'exploitant, approuvée par
gement des matériaux.
Désal'fu. - La mention en est effect .
. ux, par l'oUie· '
a, l a reque't e d e l ' un .,
ues epo
I~ ~equéra nt a, suivant le ca.s, fait une décl~
ration de perte ou porté plainte P?ur 1'01 SOIt
au commissaire de P?l~çe, SOit, a détaut, a
la Mairi e -de son domiCIle.
l' Il - COPIE DU LlV HET DE FAJ\~I I.JLE
CERl1lf lEE CON'fORM!E A L'OR IGINAL.
Quand cette copie est dem andée pa r une
administration ou un ser vice publi c à t itre
de pièce justificative, cette pièce doit ètre
établie par l'intéressé qui la fait <:ertifier
sUl'plémentaires rend us par eux aux collectiVités locales et il leurs établissements publics.
Au x termes de ma cir,culaire n° 1723
AtO/ 2 <l u 26 Décembre 1946 le taux de cette
indemnité ne pou vait excéder le triple d'es
«. dixièmes personnels comm un aux :. alloués
en 1939.
Or, il m' est apparu qu'en
rai son d'e la
com plexit" croissan te des lois et règlements
flscaux, les Per,cepte urs-Receveurs Municipaux sont de plus en plus so uvent consu ltés
par !e~ Mun icipalités auxquelles ils rendent
quotidI en nement d'appréciables services.
C'est pourquoi j'ai décidé de fixer au tri-
ple des tau x actuellement pratiqués le taux
Contributions Indirectes des centres métropolitains sus-indiqués, fourniront tous ren-
seignements complémentaires aux candidats
qui leur en feront la demande.
BUDGETS DEPARTEMENTAUX ET
COMMUNAUX. - OBSERVATIONS
DE LA COUR DES COMPTES
CirculaÎre n° 3 14
Paris, le 15 Septem bre 1950.
Le Mi nistre de l' Intérieur,
à MIM. les Préfets.
A la s uite de l'examen des budgets dépar-
maximum de l 'i ndemnité qui peut leur être
tementaux et des budgets communaux sou-
conforme à l'original, soit par le Maire, soit
par le comm issaire de pOlice de son do mi-
allo uée.
. Ce rel èl'em~nl pren dra effet du 1er Jan-
formuler certaines remarques concernant les
cile.
vier 1950 maIs ne modifie ni le caractère
La falsification ou l'usage frauduleux des
copies du livret de famille est passible des
peines prév ues à l'art icle 161 du Code Péna l,
modifié par la loi du 27 aoOt 1948.
~.
autOrisé, les dispositions de l'arrêté susvisé
restant toujo urs en vig ueur.
Pour le !Ministre de l'lnlérieur
Vous voudrez bien appeler de façon toute
spk:iale, l'a ttention des Maires de votre
département sur les présen!es Instru ctions et
les in viter à pren.dre tOlites mesures uti les
pour en assurer la publicité auprès de l eurs
~dm ini strés.
J'ai, <le mon côté, co mmuniqué les dites
instrl1ctions à l'ensemble des départements
ministériel~ afin que les administrations publiques substituent, aussi souvent q u' il sera
possible, la rpr ésentation du li vret de famille
ou la remise de sa copie conforme aux di vers
extraits d'actes de j'état- civil ou certificats
exigés jusqu'à ce jour pour prou ver l'état
des personnes.
L'usage généralisé du livret de famille
d~v~nu ducument authentique, permettr~
ainSI de simplifi er les formalités administr atives et de diminuer le nombre ,des démarches actuellement imposées aux partic uli ers.
Le Secréta i,re d' Etat à l' Intérieur,
Eugène THOM,AS.
SC 0
RELEVEMENT DE L'INDEMNITE
ALLOUEE AUX PERCEPTEURSRECEVEURS MUNICIPAUX
J'ai. l' honneu r de portter ci-dessous à la
connaissance. des IM aires du département, le
texte de la circu laire ministérielle n ° 295 en
date ,.dl~ Il Août 1950, portant rel ève~e nt
de Imoem nité s,p éciale de gestion allouée
aux Percepteurs-Receveurs Muni cipaux.
'Pour le Préfet des Bou ches -du-Rhô ne
Le Secrétaire Général :
'
Signé : LAIMIASSOURE.
.'.
Paris, le Il Aont 1950.
Le Mi nistre de l' Intéri eur
" MlM. les Préfets. '
Dé~eF~R - L'arrêté interministériel du 6
d cem re 1946. 'La circu la ire n' 1.723 A/ D 2
li 26 Décembre 1946.
19~tr arrêté ir.terministériel du 6 Décembre
'. les Percepteurs M.unicipaux ont été
• utonsés
· une .III d
'
.
d
. a rece vOir
emlllté
spéCiale
des
Le Prefet, Directeur de l' Administr'ation
Générale, Départ ementafe et Communale,
Pierre-Jean MOA TTI.
•
Comm uniqués-A vis
Annonces diverses
CONTR IBUTiONS I ND I RECTES
CONCOURS POUR LE RECRUTEMENT
DE PERSONNEL DES CONTRIBUTIONS
DIVERSES DE L'ALGERIE
ADM INISTI0\TION
DES CONTRIBUTIONS DIV6HSES
Un concours pOlir le r ecrutem ent de 150
Contrôleurs stagiaires des Contributions
Diverses sera ouvert aux candidats des deux
sexes les 12 et" 13 Décembre 1950, à Paris,
-------c >oo «;-------
D2 B3
e gestion en rémunération
facultatif de l'indemnité, ni les co nditions
dans . lesquelles l'octroi de celle-ci peut être
services
'Lyon, '.M arseille, Bordeaux, Toulouse Rennes
Lille, Nancy, Strasbour g, Alger,' Oran et
Constantine.
EPRSUVES EORITES SEULEMENT
Diplômes eXiges' Première partie du
baccalallléat ou Bn.'vet d'études du premier
cycle, ou Brevet élémentaire, ou Brevet d'enseignement ,pnmaire supéri eur, ou diplôme
d'études supérieures des Médersas.
<Conditions d'âge: 18 ans au moins et 26
ans au plus au 1er Janv ier 1950. Cette
limite d'âge peut ètre recu lée en fave ur des
ca ndida ts ayant accompli des services militétires ou <les services civils susceptibles
d' être validés pour la retraite.
Avantages péculZiaires : Traitement mensuel d' un Conirôleur stagiaire au 1er Juillet
1950 : 25.383 fran cs, augmenté le cas éc héant
des allocations pou r char ges de famille et
de certaines indemnités re présentatives de
frais.
Date {le clôture des registres d'inscription
des candidatures: 10 Novembre 1950 au
soir.
Les Directeurs des Impôts Indi rects et des
Taxes sur le Chiffre d'Affai res de chaque
département algérien et les Directeurs des
mis il mon approbation, j'ai été amené à
recettes et les dépenses des collectivités
locales.
D'autre part, la Cour des Comptes, par
référés a appe lé mon attention sur divers
points qui ont donné lieu à des observations
de sa part.
L a présente circulaire a pour objet de vous
préciser ces remarques et suggestions que
VO liS voudrez bien porter à la connaissance
des autorités locales intéressées.
•••
PUBLICITE DANS LE RECUEIL
DES ACTES ADMINISTRATIFS
En ce qui co ncerne le Hecueil des Actes
Administratifs, je crois devoir attirer vo tre
attention sur l'intérêt financier que présente
la publicité insérée à titre onéreu x dans ce
bulletin .
Ce système, pratiqué dans certains départements ne soulève aucune objection de
principe, à condition que la publicité soit
ouverte il tous les commerçants et entrepreneurs.
Il vo us appartient toutefois d'e ffectuer une
selection de dema ndes d'annonces en fonction des ga ran ties comme rCiales offertes par
les requ érants.
Pour le 'Ministre de l' In terie ur
Le Prefet
'
Directeur de
l' Administration Générale
Départem entale et Communale,
Pierre-Jea n MOATTI.
-------« :. 00«:.'------OFFRE D'EMPLOI
DE GARDE-CHAMPETRE A VELAUX
Un emploi de ga rde-champêtre est offert
par la commune de Vel aux, à personn e ayan t
re~ pli les obligations militaires, et âgé de
mOins de 30 a ns. Adresser les demandes à
M. le Mai re de Velaux (Bouches-du-Rhône).
Copie certifiée conforme.
Pour le Préfet :
L. Secrétai,. Général,
LAMASSOURE.
�RÉPUBLIQUE
19 Octobre 1950
DÉPARTEMENT
DES
,
Recueil des .Actes Admi~<;<>~'Oàtifs
et Bulletin des Mairies
ToULe correspondance r e lativé au R ecu eil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat
Général
ABRÉVIA'.I.'IONS
L es lettres 0 ~t B sui vies d'un ohi ftre indiqu ent le ~~ rv l ce Ou 8 u r~a u d' onglne.
- S. L. R. A. : Service de Li quid a tion de s Réqu is it ions All ema nd es. - R. U. : Ra vita ille ment Gé néral. - S. C. R. : Serv ice de la
Circulation et du Roula g • . - D. D. S . : Direction Départeme nt ale de la Santé. - D. S. T . : D irection des Services Techniques.
A P. : Arrété préli::!ClO ra l. -
C. : Circulaire . -
SOMMAIRE
A.rrêtés réglemenl.ajres et
Circulair~
vacc inateu r s puhlics ..........
Pa ge ..
AG 1. - Suspensio n temporai re de
fon ctions du N\aire de I~oq u ero r t- I a
FS 10. -
No mi nat ions
Etab lisseme nt des listes
a nnuelles des Docteu rs e n Méd eci ne,
C hiru rgie n s-d e n ~i ste~
15 1
Bédou le .. . . . ..... .
de médeci ns
16 1
F,s 10. -
ser vir de base au calcul d'es ferm ages . ....... . ..... __ ............. .
'('ex tes d'intérêt g énéral
et Sa ges-Fern.-
mes ét ablis dans le Depa rte ment ..
AO. - Cou rs moy en des denrèes dev ant
162
162
F 3. - Rét.blissem ent d u droit propo rt ion nel d"enregistrement des mar chés. 163
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
C. P.
,
AG 1
D. S.
F S 10
SUSPENSION TEMPORAIRE
DE FONCTIONS DU MAIR E
DE ROQUEfORT-LA-BEDOULE
NO MINATIO NS DE MED ECIN S
VACCINATEURS PUBLICS
ARRE11E
AR RET E
Le Pr éfet des Bou ches- du-Rh ô ne,
Offi cier de la L égion ct ' Ho nneur,
Vu la loi du 5 A \' ril 1884 et notamm ent
l'arti cle 86 de la dite loi ;
Con si der ant que l'v\ . A i mondto M arius,
Maire de Hoquefor t -l a-B edoule, a gr avement
méconnu ses dev oi r s de ,pr emi er magistrat
munici.pal :
1° En fa !sa nt apposer, sall s av oir obt enu
au préalable l'a utorisati o n 'Pr év ue par la
réglementatio n en v ig u<::ur de l' Au to rité su pé rieure, des plaCl! ues i ndi cat ri ces portant la
dénomi natio n c Josep h Stalin e » su r un e
place pu blique de la commune;
2" En faisa nt r em ettre ces plaques après
qu'elles aient êt é en levées pa r les soin s de
l'Admini strat ion ;
Con sidl:r am qu 'app elé â f ourn ir des explication s Sur les fa its ci-dessus rapport és, l'i nt~ressé s' est r efusé à Obtem pér er aux inst r uchons qui hll Ol1 t ét é données,
AR IŒ T E :
ARl ICLE. PREMIER . -
Nt Aimoll etto M ari us,
Ma" e de Roquelort-I a-B édo ul e, es t s uspe ndu
de ses fo nctio ns pour ulle durée de 1 mois.
A~T . 2. -
M. le Secréta ire Gé néra l de la
Préfectur e est char gé de l' exécuti on du pr ésent arr été qui ser a insêr é au l~e c l1 eil des
Actes Adminis tr ati fs du dépa r t ement.
Marseille. le 7 Octob re 1950.
Le Pré let des Bo uches-du-Hh ô ne ,
O fhci er de la Légioll d 'Ho nneur ,
Vu l'arr êté pr éfectoral du 9 l\\ ar s 1950,
por t ant r ~ g! em e nt du Ser \' i c ~ dépa rtem en ta l
des vacci natio ns;
Vu l'arr êt é pr efectoral du 4 Oc t obr e 1947
fi xant le ta rif de r emhour semen t des frais
de deplacement des médecins vacc inat eurs:
Vu les avis de M.\\. les M a ires des commu nes itltéressées ;
Sur la pr opositio n dl! Direc t eu r depar tem en tt'l l ci e !a Sa nté, chef d u Ser vice dépark men ta l des vacc inations,
1
AR IŒl E :
So nt no mm es médecins ,·ac.:inat eur s publics, ualls les t.:om m unes
ci-àessus indiq uées, pOlir la durée de l' exerA RT ICLE PRE.\\ IER . -
cice scola ire 1950- 195 1 :
Arrondissement tie Ma rse ille
Alla uch . MM. les Docte urs Seatelli Aim é et
T artr ais Jean.
A ubagne: Gai mard Joseph, Parr el ~\ \ a uric e
et Prud'homm e Jea n.
A uri ol : Long Henri.
Belco ùen e : Ba rras Jea n (d e la Bo ui ll adisse).
Ca doli v€'
Cassis :
Ceyres te
Ohiron Serge .
.
Emma nut!J .
Jea n-Pierre (de
Gémenos
Lav ie Jea n.
Gr éasque : Fo ur ~st .\\i che!.
La B ouii ladisse : B arra
Jea n.
La Ciolat : Bla ll c Jea n-P ierre, Chia ppe Xa-
vier, ." 'ege I ~ao tll et Seillon -Dana Clair e.
La De stro usst'
L ong Henri (d'A uriol).
La Pen ne-sur -Hu vea une : Oli ve LOUIs.
,\\ar seill e : Arn aud Germaine, B astianelli
Jea n, Clément A lfr ed, D usan Jea n, I\'\OCke rs Georges. Ali c hel Jea n-M a rie, de Mo uzo n Hubert, Po nt hieu Jea n,
Siva n Jean,
T adde i Antoi ne et Verde t Mauri ce.
Peypin : Chiro n Se rge (de Cadoli\'e).
Pla n-de- Cuques : Legr and i\'\i che l.
: A\i chelangeli Lo uis.
Roque"ai r e : Arnaud Frédêr ic,
l~oq u efo r t-la..jBé d ou l e
Saint-Sarournill : Chiron Serge (de Cadoli\'e)
Arronaissement d'Aix-en-PrOt'enfe
Aix-ell-Pro"enle : .\h\\. les Docteurs Gau~
joux Eduuard et Roman Jea n.
Aurons : BOllnet (de Pelissa nn e).
Beau recu~il : Defaix Louis (de FU\'eau).
Berr e : Conr)' Robert et Br essieux Louis,
Bouc-Bel- Ai r : Bria n Jea n (de Ga rda nne).
Cab ri ès : Sa ll ze André (de Seplèmes).
Carry-Ie- Ro ll et : Ge rmai n André (de Sallsset).
OharlOl'al : 11hi ers Ernest.
Chfttenu neuf- Ies-/\\ arti g ues : \Veintros Ado l-
phe.
Chàtea llneu f-l e-I~ou g e
: Defaix
Louis (de
Fuvea u).
Cornillo n-Co nlo ux : COll turi er Hervé, (de
Gra ns).
Coudo ux : Be son ,\ li e hel (de Saint-Cannat).
�162
-
Ensuès- la- Redonne : Germain André (de
Sausset).
Fos-sur-:\Ier : Uhler larc (de Port-de- Bouc).
Fu\'eau : Defaix Louis.
Gardanne: Battesti Louis et Decoppet Raoul.
Gignac-la-Nerthe : Rambal joseph.
Grans : Couturier Hervé.
Istres : Torellt Gaston et Brunei Alfred.
Jouques : Nicorini Jean.
La Barben: ,B onnet Georges (de Pélissanne).
La Fare-les-Oliviers : Neau Lucien.
Lambesc : Sabatier Henri.
La nçon-de-Provence : Bonnet (de Pélissanne)
La Roque-d'Anthéron : Corriol René.
Le f'u)'-Ste-Réparade : Rousseau Claude,
Le Ro,'e : Rambal (de Gignac).
Les Pennes-,\\,irabeau : Alibert joseph.
Hameaux des Cadeneaux et de la Gavotte
Se)'ès.
Le Tholonet : Roman (d'Aix).
Marignane : Blumenfeld Vladimir.
Martigul!s : Contencin Louis.
,\\eyrargues : Gross Daniel.
,\leyreu il : Battesti Louis (de Gardaone).
.'Iimet : Chiron Serge (de Cadolive).
Miramas : Carlin jean, Orsini Paul et Tris-
ta ni Pierre.
Pélissanne : Bonnet Georges.
Pe)'nier : Abouca)'a Y"on (de Trets).
Peyroile -en-Provence : ·Baretv Charles.
Port-de-Bouc : Poujol jules. Puyloubier: 'M aestracci Georges (de Trets),
Rognac: Woltz Guy.
Rognes : Sabatier (de lLambesc).
Rousset: Defaix Louis (de .Fuveau).
St-Antonin-sur-Bayon: Roman jean (d'Aix).
Saint-Canna t : Besson Michel.
Saint-Chamas : Builly Emile.
Saint-Esté"e : Corriol René (de la Roqued'An~heron) .
St-Marc-jaumegarde: Roman j ea n (d'Aix).
Saint-Mitre : Brunei (d'Istres).
Sainl-Paul -lez-Durance : Nicorini Jean (de
jouques).
Saint-\'icto ret : de Cespedes Victor.
Salon : Bergeret j ean, Charpin Pierre et
Trouette- Valadon Robert.
Sausset-les-Pins : Germ ain André .
Septèmes-les-Vallons : Sauze André-Louis.
Simiane-Collong ue : Decoppet (de Gardanne)
Trets : Abol1caya Yvon et Maestracci Georges
Vau ve na rgl:es : Au bert Hervé (d'A ix).
Velau, : Wolfz Guy (de Rog na c).
Venelles: M,argaillan Eu gène (d'Aix).
Ventabren : Bareille .Max (de Marseille).
\ïtroll es . Leblanc Louis.
Arrondissement d'Arles
Alleins : At\\. les Docteurs
Geyer Albert
(de .\I all.mo rt) .
Arles : Picard Joseph.
Arles (section spé<iale de Salin- de-Giraud)
Vi gnon Henri.
Aureille : Df\'a ux Jean (d'Eyguii:res).
Barbentane : Pellet Alfred .
Boulbon : Marseille Albe rt (de T a rasco n) .
Cabannes : Svetz Geor ges.
Chàteaurenard : Perrier Geo rges.
Eygalie res : Roques (de St-Remy) .
Eyguièrt:s : De \élUx Jean.
Eyragues : Jourdan Louis.
Fonl\ ieille : julien Louis.
Gra\'eson : Falque Rémi.
Lamanon : De\'aux jean (d'Eyguieres).
Le P a radou : Meyer Ernest (de ~Iaussane).
Les Baux : Meyer Ernest (de Maussane).
_\I a illane : Prama\'on Edouard.
J\lallcmort , Vacherias Paul.
Mas-Blanc: Tarbouriech Etienne (de Tarascon).
Maussane : Meyer Ernest.
Mezoargues : Tarbouriedl Etienne (de Tarascon) .
.
.
Mollégès : Barteille Rene (de St-AndIOl).
Mouriés : Bousquet Yves.
Noves : Audry Marius.
Orgon : Gillard Serge.
P lan-d'Orgon: Lév)' jules.
Port-St-Lo uis-du-Rhône : Nou g-a ret Roger.
Ro anonas : Castan Louis.
St-A ndio l : B.rteille René.
St- Etienne-d u-G rès: Ta r bouriech Etienn e
(de Tarascon).
,
Stes-Maries-de-la-Mer : Cambon Georges.
St-Martin-de-'Crau : Bagnaninchi Joseph.
St-Rem)' : Leroy Edga rd .
Sénas : Magnan Paul.
Tarascon : Tarbouriech Etienne.
Vernè!!Ues : Geye r Albert (de Mallemort).
Verquières : Barteille Rene (de St-Andiol).
Art. 2. - Les médecins-vaccinateurs cidessus désilYnés seront rémunérés dans les
conditions fixées par les arrêtés préfectoraux susvisés des 25 juin, 4 octob re 1947 et
1er mars 1949.
Art. 3. - Ils devront se confo rmer aux
prescriptions du règlemen~ pr~cité ~1I .serv}:
ce départemental des vaccinations ainSI qu a
toutes directives spéciales qui pourraient
leur être a dressées par M. le D irecteur Départemental de la Santé pour l'applicatio n
de 'ce texte.
Art. ~. - M. le Secrétaire gé néra l de la
Préfecture M . le Trésorier ... Payeur général ,
IVlM. les Maires du département et M. le Directeur dtpartemental de la Santé sont Ch i.
gés, chacun en ce qui le co ncerne. de l'exécution du présent arrêté qui au ra ef1et du
1er ortobre 1950.
Marseille, le 3 octobre 1950.
Pour le Préfet
Le Secrétaire Général Dêlégué.
LAMIASSOLJRE.
- -- -- --<»00< >-------
AO
-06.61
COURS MOYENS DES DENREES
DEV ANT SERVIR nE BASE
AU CALCUL DES FERMAGES
A.griculture nI> 207
------- c>oo~, -------
D. S.
établis dans l~ d~partement des Bouches_d
Hhône au 1er jan"ier 1951.
u·
~fin ~e me perme~tre d'.e~ectuer cette opé.
rahon, )e vous ser~ls obli ge de vouloir bien
me faIre parv.eOlr, pour .Ie l~r decembre
1950, sous le timbre « Dlreclion départ,.
mentale de la Sante - Police Médica le "
Pha rmaceutique - 66, r ue Sai nt-Sébastien à
N\arseilte " le re le\'é des docteurs en ~le
decine, chirurgiens-dentistes et sages-femmes
exerçant dans vot re commune.
Chac une de ces listes q ui devront ètre
distinctes, me ntionnera les noms, prénoms
rés idence, nationalité des praticiens . pou;
les personnes installées dep uis le l e'r jan"ier 1950, la date d'obtention de leu r diplô.
me, sa provenance, alllSI que la date d'enre_
gistrement à la Préfectu re.
Pour les femmes ma riées, il y aura lieu
de mentionner les noms d'épouse et de jeune
fille de chacune d'elles.
j'attire votre attention sur le soin dt
l'exactitude qu'il Y a lieu d' apporter dans
l'établissement de ces documents, mes services rele vant, chaque année, au Cours de
leur vérification, de nombreuses erreurs.
Les communes ne possédant aUCun des
praticiens mentionnés ci-contre cont tenues,
co mme tes Qutres, d'adresser l'état demande
en faisant fi gurer sur celui-ci la mention
«" neant ».
Je compte sur vo tre diligence pour m'en·
voyer ces renseignements dans les délais
fixéS, sa ns qu'i l so it besoin de vous adresser
un ra ppel.
MI.I\'L les M ai res des Arrondissements d'Aix
et d'Arles devront me fa ire parvenir ces relevés pa r l'intermédiaire de M. le So us-Pré·
fet de leur Arrondissement.
FS 10
ETABLISSEMENT DES LISTES ANNUELLES
DES DOCTEURS
EN
MEDECINE, CHIRURGIENS -DENTISTES ET SAGES-FEMMES ETABLIS
DANS LE DEPARTEMENT.
Le Pré/et des BOllches-du-Rhône
à MM . les Mairrs dll Département.
En conformité des dispositions conten ues
dan la lQi citée en référen cel mon Administration doit procéder â. l'établissement
des listes annuelles des Docte urs en Médec ine, Chi rurgiens-dentistes et Sages- femmes
ARRETE
Le Préfet ùes Bouches-du-Rh ô ne,
Officier de la Légio n d'honneur,
Croix de Ouerre,
Vu l'o rd onnance du 17 octobre 1945 re·
lative au statut du ferm age modifiée par k~
lois du 13 avril 1946 et 3 1 décemb re 1918;
Vu l'avis de la Commission Consultati\'f
des Baux Ruraux en da te du 13 octobre
1950 ;
•
Sur la proposi tion du Secrétai re Général,
Arr ête :
Articl e premier. - Les co urs moyens des
den rées devant sen'ir de base au calcul dtS
fermages sont fixés ai nsi qu 'il suit dans le
d épa rtement des B.-du- Rh . :
Ec hrance du 29 septembre 1950 .
Echéa nce annllell e
Ech éance trim estri elle
Bl é (l e quintal) . ................... .. ... .
Vin (deg ré HL) ............... . ... . .
Pommes de terre de co nsommation co urante
(le quintal) .... . . . . . . . .. . .... . ...... .
Foin de Crau (le quintal) ....... . ... . ... .
Foin ord inaire (le o.,!-,i ntal)
.' - ... . . . , .
Laine Mérinos (kg.) .. . ............... . . .
Bœuf poids " if (2e qua lité, kg.) ....... .
Hu ile d'oli"e (k~.) .. ' .................... .
Fruits (le qui ntal)
........ .
2.56 1,50
363,50
SOO
1.1 R3
8~3
286
80
228
2.500
2.561,50
36~
93-1
1.050
750
32 1
75
23 1
2.500
Le Secrétaire Généra l de la PréArt. 2. -t char~é de l'exécution du présent
ret:tllfe es
:)
arrêté.
J\\a rseille, le 13 octob re 1950.
Le Pré/ri
J.
BAYLOT.
•
TEUES D'IKTtBtr GÉNÉRRl
Circulaires con~rnant plus spécialement
It:s AdminiSlrat lon s de ' ElO I
F3
D2 BI
RETABLISSEMENT Di] DROIT PROPORTIONNEL D'ENREGISTREMENT
DES MARCHES.
J'ai l'honneur de porter ci-Q.essolls à. la
,onnaissance de. MM. les Chefs de Semees
des AdministratIOns publIques, ceux notamment appel es à conclure des marches publics un extrait d'une circu laire de la Directi~ n Générale des Impùts qui, so us le numéro 5.415, a été insérée dans .le Bu ll eti n
de l'Administration de l'E nregistrement des
4 et Il août 1950, à l' usa ge des services
locaux de cette Administration.
Cette instruction expose en détail le régime actuel d'enregistrement des marchés publics, après l'i ntervention de l'article 16, § Il
de la loi n" 50-1 35, du 3 1 janvie r 1950 (J. O.
du 1er février) rétab lissant le (l roit propo rtionnel d!enregistrern ent des marchés qui
avait été supprimé pa r l'a rti cle 13 1 du décret n' 48-1 986 du 9 8écembre 1048.
Elle doit perm ett re de résoudre les diverses difficultés qu'avait soulevées l'application
de l'a rti cle 16, § 1 l, de la loi du 3 1 ja nvie r
1950.
Po ur le Préfet et pa r dél éga tion,
Le Secrétaire Gén éral :
Guy LAMA SSOU RE.
(Anllexe à la
23 aofi 1 1950).
lelfre comm une 11 " 2232 du
5.41 5
MAI~C H E : Régime Fiscal
(Loi n" 50- 135 dl/3 1 jan vier Ifl50, art. 16, § 2)
EN REG I STREI\\ENT
1. -
REGIME ANCIEN
L'article 1er d'un déc ret du 13 octob re
1939 at'a it dispensé d u tim bre et des droits
~'~ n.registrement, pendant la du rée des hostlh~es, les adj udica ti ons au rabais et ma rches p~u_r co nst ru ctio n, répa ration, entretien,
apprOVISionnement et fournitures tlont le
prix deva it ëtre 'Payé directement par le TreSOr Public.
Ultérieurement, l'arti cle 35 de la loi de Finan ces du 3 1 décembre 1945 (C. E. a r t.
518 fer ) avait transfo rm é cette exonérat ion
temporaire en une dispense de cara ctè re perm.anent, portant, en ce qu i Co ncerne l'enregIstrement, à la fois Sur les droits et Su r la
fo~malité et en ava it étendu le bénéfice aux
~dJlIdica ti o ns et marchés dont le prix devait
tire payé par les départ ements les commu;~esJ les .Coloni es, les pays cie I~rotectorat et
1 s établ.ls.sements publi cs n'ent rant pas dans
es prév l ~10 ns de l'arrêté un 3 1 janvier 19'-12.
Le rég ime fisca l ap pli cable a ux ma rchés,
au rega rd de l'enrerzist rement a ~té à 11 0 11"eau modi fi é à comp ter du Je'r jal1\-ier I Çl49
par le décret n' 4'>- 1986 du 9 décembre I!J~8
POrlant réfor me fiscale.
En vertu des di spositions combinées des
articles 143, 152 et 160 de ce décret les
'
' de toute nature n'ont plus été assumarc h es
jettis à la formalifé que dans le cas où les
acte~ les constatant étaient rédi gés par des
nota ires .
D'a utre part, l'article 399 du Code de
l'En registrement ayant été abroO'é par l'article 131 du m~me décret, les m~rchés- I oua
g-es entre particuliers ont cessé d'être so umis
au droit proportionnel.
Par contre, les marchés-'\'entes dont le
pri x n'e tait pas à la charge de l'une des
collecti vités visées à l'article 35 de la loi du
3 1 décemb re 1945 so nt demeurés passibles,
en principe, du droit cie vente mobilière édicté par l' a rti cle 460 (a linéa 1er) du Code de
l'Enregistrement et ce droit devait être perçu
su r les marchés dont il s'agit, passés devant
notaire ou présentés vo lontai rement à la
fo rm alité; toutefois, les marchés-ventes prése ntés volontai remen t à J'Enregistrement ne
donn aient ou verture qu'a u droit fi xe applicable aux actes innomés (art. 139, dernier
a lin éa d u déc ret d u 9 décemb re (948), lo rsqu'ils présentaient le ca ractère d'ac tes de
commerce au sens de l'arti cle 153 du décret
susvisé et le droit de vente n'était perçu que
lorsqu'un ju gement portant condamnatIon ou
reco nnaissance intervena it sur lesdits marohés ou lo rsqu ' un acte publi e ét a it fa it o u
rédi gé en conséquen ce, mais seulement sur
la pélrti e du pri x ou des sommes faisant
l'obj et soit de la condamnation ou reconnaissance, soit des dispositi ons de l'ac te
public.
Il . -
REGIME NOUVEAU
L'a rticl e 16, § If de la loi de Finances pou r
l'exe rcice 1950 (C. G. 1. a rt. 646 § Il 12° et
707) éd icte de nou ve ll es règles en ce qui
concerne l'assuje ttissement des marchés à la
fo rm a lité et rétablit le droit pro po rtionnel
su r certains de ces l:ont rats.
1" Lon/rats assujettis à la for ma/ile :
Aux termes de l'a rticle 646, § 11-1 2" SUSVIsé du Code général des Impôts, doi vent H re
en re gistrés, dans le délai d'un mois il compter de leur date, les adjud ications au rabais
et marchés pou r co nstructi ons, répa rations,
entreti en qui ne conti nnellt ni \'cnte, ni promesse de li vrer des marchandises, denrées ou
aut res obj ets mobilie rs, ainsi que les marchés d'approvisi onnement et <le fournitures
dont le prix doit l'tre payé par le Trésor
Publi c, les départements, les communes et
les établissements publics n'entrant pas dans
les prévisi ons de l'article 1005 C. G. J.
Il co n\"ient d'observer, tOllt d'abo rd, que
ce te xte ne rep rodllit pas exactement les
term es des dispositions qui etaient en \'Ïcrueur m'ant le déc ret du 13 octobre 1939
~t qu'i l comporte, par suite, une Interprétation sensiblement différente.
En dehors des marches passés devant notaire, qui, quels que soie nt leur natu re et
leu r objet, sont assujettis à l'enre~istrement
pa r !"article 6~6, ~ 11 -1 " dll C. G. 1. (Déc ret
,, " 48- 198fi du \1 M cemb re 19~8, a rt. 143),
ne so nt désormais soumis obl igatoi rement à
la for malité qlle les deux catégo ries de marchés indiqués l:i-apr~s
- D'une part, les louages (\'oU\,orage ct
les lo uages ù'indust rie ou de serriccs {]yant
pOlir objet principal et direct la COllst fll ction ,
la répa ration ou l'entretien de biens de toute
nature, sans qu'il y ait lieu de distin!,!ucr
selon que It, rrix doit en être P~Yl-. par une
collecti\'ité publique ou un particulier, sous
résen'e toutefois de l'applicatIOn ën~ntuell e
du régime fiscal des actes de commerce (v.
infra, n° 4) ; entrent notamment dans cette
catégorie de marchés les conventions passées avec des architectes en vue de l'établissement de plans et devis de construction ou
de réparation, et de la surveillance des travaux ;
- D'autre part, les marchés-ventes, ayant
pour objet la livraison d'approvisionnement
et de 'fournitu res et dont le prix doit être
payé par le Treso r Public, les départe ments,
les communes et, .com pte tenu de le dispense
édi ctée en faveur des établissements puillirs
d'assistance et de bienfaisance par l'article
2-2" dll d ec re! Il '' 50-385 d u 28 mars 1950
(v. infra, n') 51>, A, b), par les établissements
pu blics scientifiques et d'enseignement et par
les caisses de credit municipal.
T o us a lltres ma rchés échappent à !"oh l i~a
tion qe L'en registrement dans un délai déterminé, à moi ns qu'ils ne revêtent la fo rme
notariée.
T el est le cers, notamment :
~ Des marchés de tran sport, alors m ~me
que leur pri x serait à la charge dt$ collecti v it~s pu bliques visees par
l'art icle 6-16,
§ 11-1 2" préc ité d u C. G. 1. ; ces co ntrats
sont, en effet, co nsidérés, en droit fiscal,
comme participant de la nature des louages
d'inuustri e et non de cell e des marLhés d'appro visionnement et de fo urnitures, et ne so nt
assuj ettis obligatoi rement à ta fo rm alté que
dans le cas où ils se rapportent, à titre principal et direct, à des travaux de constru l:tion,
de ré paration et d'ent retien ;
- Des contrats passes pa r le J\\inisthe
de la Reconstruction et de l'U rbanisme avec
des urbanistes, topographes, techniciens, sanitaires et techniciens d'adduction d'eau pour
l'étude et l'aménagement com munal, intercommunal et natio nal ; en effet, ces Co ntrats présentent, en principe, le ca rac tère de
louages d'industr ie ou de services destinés
essentiell ement à perm ett re la mise en œlln€
d'un pl an d'aménagement du territoire et ne
peuvent, par suite, en règle gént.!rale, ~t re
co nsidérés co mm e ayant pour objet dIr ect la
constructi on, la réparation ou l'entretien de
biens meubles ou îmmeub les ;
- Des marc hés passes pa r le Sen' iee des
Contrib ut ions di rectes et du Cadast re pour
j'exécuti on, à l'ent rep ri se, de tra\'aux cadastraux ;
- Des marchés d'approvisionnement et de
fournitu res dont le prix doit être payé pa r
des syndicats de com munes, ces organismes
constituant, en droit strict, des établissements publics, ayant une pe rsonnali té ju ridique distincte de celle des communes qui
les constituent, et entrant par suite dans
les previsions de J'artic le 1005 du Code Genéral des impôts :
- De marches -d'app rovisionnement et de
fournitures dont le prix est il la charge
des terri toires d'outre- mer, des pays de protecto rat et des Etats associls, membres de
l'Union Français~, obsen'ation laite que la
dispense ne profite pas aux marchés de mê me
natu re dont le prix doit être r aye rar de~
départ~mel1ts d'onrre-mer, qui sont assimIlés à des dépa rtem ents mét ropolitains pOllr
la pe rception des droits d'enrcl-!istrement.
Quant all x marchés pour constructio n, réparation et entretien, conclus directement
auo rès d'une entrep rise française par les territoires d'outre-mer, ils ne pcU\ent ~tre
considt!-rê com me passés en France et nJont
pas, dès lors, par appl icatio n du prindpe de
la territoria li t~ de l'impôt, à être soumis à
la IOflllatite de r enreg.istrement dans la .\ \t'-
�16-1
tr opol~.
Sous Tês~T\'t tI~ r~xamt!n des ci r-
constances particulières dans lesquelles est
donne!! l'approbation, il a paru possible ,retendre le benefiLe de ce régime à ceux
de ces marches qui, â. raiso n de leu r montant et en ,'e rtu de la règlementation e n \'jgueur, doh'ent, à titre de mesure de surveillance ~t de contrôle, êt re app roU\'ês par le
D épar tement de la France d'Outre-.\\er. Par
contre, doirent être assujettis à l'enregistrement ùans les conditions du d r oi t commu n,
les man.:hes pour co nstru ctio n, réparation ou
entretien qui sont passes directement par le
même Département po ur le compte des te rritoires d'o utre-mer, sans q u'il y a it lieu de
distinguer suivant leur mode de fi nancement.
des l11 arl hes .... t traites rep ut es actes de (0111 men.:e par I~s articles 632, 633 et 63-t, Il '' l ,
du Code ùt: Com merc;e, faits ou passés so us
sit/natures prl\ t'es et donna nt lieu au)" droits
ptoportionnels etablis pa r les artil'lt:$ 707 et
725 (a:inea 1er) du dit Code. Ces droits so nt
pen;us lors'-lu'un jugement portant t.:onda mnation ou rt:connaissance inte rvi ent sur ces.
marches t't traités, o u lorsqu'u n acte publi c
est fait ou r~ùi ge en co nséq uence, ma is seulement sur la partie ùu prix ou des so mmes
Taisant l'objet soit tle la co ndam nation o u
reCO linalssa nce, soi t des dispositio ns de l'actt: public.
Ce texte qui rl!prod uit, iOUS un e fo r me légèr~ m en t ditférente, les disrositions de l'a rticle 153 ctu décret lIu 9 décembre 1948, en
te llant compte de la modificatio n que lui a
apporté implici tement l'arti cle 16, § I l de
la loi du 3 1 janvier 1950, " ise, d 'une pa r t,
les marchés-louages pou r co nstruction, répa rat ion ou entretien, d'autre par t, les mar-
2" Penalites.
A défaut d'enr~gistrement, dans le uelai
legal, des mard1t$ assuj~ttJs ùbligatoirement
à cettt fo r malité par l' article 6.16, § 11-1 2"
preôté du L . G. 1., les parties sont solidairement passibles d'un droit en sus eg-a l au
l'hes-~'e ntes.
montant ues droits simples exigibles ""et qui
MaiS, comme sous J'empire de l'an cie n a rne peut ';tre infér ieur à 500 francs (C. G. 1.
art. 1785, § 1er) ; tOlltefois, les marchés , t icle 328 du e. E., ab rogé par 1 article 160
du décret precite du 9 décembr e I fM8, le
administratifs sont soumis à cet éga rd à des
légime de taveur dont il s'agit n'est pas
règ:es speciales qui sont indiq uées ci- ap rès
susceptible de s'appliquer aux marchés ad(V. n 7"-B) .
ministratifs, même établis sous la fo rm e
3" rarif et liqllidaiion de l'impôt.
sous-seings pri vés, sauf s'i l s'agit de marAux rermes de l'a rt icle 707 (a l. 1er) du
chés passés par les orga ni smes entrant dans
C, G. 1.. les marelles pour cOnst r uction, réles ,préVISions de j'article 1er de l'arrêté du
paration ou entretien qui ne co ntien nent 111
3 1 j anvie r 1942, c'es t- à-dire co mpte tenu de
\'ente, ni promesse de li n er des marchandila uispense uont bénéficient les marchés ues
ses, denrées ou aut res objets mobiliers, c'estétahlissements d'assistance et de bie nfa isa nà-di re les marchés louages, SOnt assujettis à
ce (\'. on Ira, ,, " 5" A, bJ, pa r les établisseun droit de l ,50 % ( 1) .
ments publics de l'Etat, des départements et
des communes, autres que les établisseme nts
Le même droit est applicabl e, d'après l'a rpublics, scientifiques et d' enseignement t:f
ticl" 707 (al. 2) ou C. G. 1. aux marchés
les t.:a lsses de credit muni cipal , ainSI que
d'apprù\'isl on nement et de fournitures do nt
par les régies municipales, intercommuna les
le prix doit ;,tre payé par le T résor Public,
et départemt::ntales expl oitant des se n 'ices à
l es de;>a n ements, les communes et les éta caracte re industriel o u comme rci al.
blissements publics n'entrant pas dans les
pré,'isions de l'article 1005 du C. G. 1. (V .
D'une faço n géneral e, d'ai lleu rs , les condisupra, n i ').
tio ns d'applicatio n et la por tée du régim e
spécial ne diffèrent pas, en fait, de celles du
Le doit de l,50 % doit être liquidé su r le
régime etabli par J'ancien article 328 C. E.
prix e)"primé ou sur l'é\'aluation des objets
(e. G. 1., art. 707, al. 3).
En pa rti cu lier, les co ntrats entrant dans
les pré\'isions de l'arti cle 647 C. G. 1. ne
Par prix, il co m'ient d'entend re la tota l ité
donnent lieu, en cas de présentati on volondes sommes dues à J'entrepreneur o u au
tai re à l a fo rmalité, qu'au droit fixe de 575
fourn isseu r en rémunération des travaux ou
francs applicable aux ac tes i nnomés (C. G.
fourni t ures dont l'e xéc ution ou la livraison
1. art. 670-17") et le d roit p ropo r tionne l de
est stipulée au co ntrat, y compris, le cas
march ~ o u de vente mobilière ne devient exiéCheant, le montant des droits, imp6ts et
g ible que dans l' hypothèse où un jugement
taxes dont le payement est mis
la cha r ge
por tant co ndamnatiun ou reconnaissan ce indu maitre du marché.
te r vi.::ndrait su r les co ntrats en question et
A défaut de prix, le droit doit être liquid é
seu lement sur la partie du prix ou des somsur une e\'aluation du montant des tra\'aux
mes faisant l'objet soit de la co ndamnation
ou des fou rn itures. soumise au cont r ôle de
ou reco nnaissance, soit des dispositions de
l 'Administration.
l'acte public.
{Juant aux marchés d'appro\'isionnement
II est rappe lé que les marchés passes par
et de fo urnitures Liont le prix doit être pay é
l es commissions des ordinai r es des corps de
par des particuliers ou pâr des collecti\'ités
troupe sont susceptibles de bénéficier du r épubliques entrant dans les pre\'isions de )'a rg ime spécial des actes de commerce.
ticl e 1005 C. G. 1., ils sont passi bles, en
Ce même régim e est applicabft, sous les
prin cipe, du droit de 8.70 % ed icté par l'a rco nditions prévues par l'article 647 C. G. 1.,
ticle 725 (al. 1er) du même code, sauf appliaux marchés passés pa r les syndicats de
cation éventuelle du régime spécial prévu
communes.
par l'arti cle 647 C. G. 1. (V. infra, n" 4').
a
4"
Régime s pécial des aeles de commerce.
D'après l'articl e 647 du C. G. 1., il n'y a
pas de délai de ri g ueur pour l'en re gistrement
(1 ) Ce droit n ~ s upporte pas Je décime
demi, illstitué par J'arti cle S-2 de la loi
4H- l!lj:l du 3 1 d~('cmbrc IH! et maiDt~nu
vigueur pou r l'annte ] 050 par l'article 1:1
la Joi n" 50-133 du :11 jan,-ier ]950.
et
n"
en
dt::
5. -
Exemptions
a) L' arti cle 2 du M cret n" 50.385 du 2H
mars 1950 (C. G. 1., Annexe I II, art. 250)
pris en exécution de l'ar ticle 16, § 11'-3 d ~
la loi du 3 1 janvier 1950, dispense de l a formalité de l'enregist rement deux ca tégo r ies
de man.:hés, d'une pa r t, les mar chés de const ru.cti o n lie na\'ir~s. d'autre part, les march~s de toute nature do nt le pri x doit ètre
-
payé par l es services et etablissCOlents
tl o naux, départementa ux et communa ' ,na.
sistam:e et de bienfaisance.
ux (j as_
a) Marches de constructioll lie. nn"l'ires .
De même que la dispense de droit)
,
tion nel dont bënéficia ient sous Je regf rOPOr_
téri eu r a u 1er janvier 194 9, les marcl~lran
con~tru ction de I!,ari res (C. E., art. J27~~~
a nCien), la nouvelle immunité pronont e
faveu r de ces co ntrats est susccptibl t: en
d
s'appliqu er aux ma rchés de constrle 't '
Il
d
.
.
.
,
"'on
·
f ar t 1 ~ e e J1a\'~r~s al,nSI qu aux ma rchés ùe
O Urt~ltur~s 1 estln letS, a des navi res en ('ons_
rue . 10 11 . a a .co m 1 Ion, . toutefois, que celte
destllwtlOn SOi t expresseme nt spéCifiée da
I ~~ ac tes .et ~I tle I.es navi res dont il s'~ ~~
sOient désl g nl:'s SOit par leur nOm so ,' t plP
,"
1eu.r .nul11 éru . d e se'"
n e, SOIt pa r le nombre
des
UJll tes du meme type.
'
Ma!s . cette. ~e l~lIière décision cloit ~tre in.
ter~ retee restnc.hv.emen.t ~t .Ia dispense d'en.
re~lstre ~1e n t dO it etre. 11I11l tee aux seuls marc.he.s ql,1I ont puur o~Jet d~s four nitures desh nees é1 la co nstruct io n meme des navires à
l'cx dus~o~1 des n.la r chés d'appro v isi o l1nem~nt
en ~late n t!l mobile ?U en objets de co nsommatlOll te ls que g r aisses, hui les, charbon ou
des marchés de fournitures de pièces qui
do ive nt êt re util isees pour l'a rmement de bâtim ents de guerre.
Dem eurent ";'gal ement so us l'empire du
droit commu n les march és d'entretien et de
répa r ation de navires.
Pa rm i les marc hés de construction, seuls
béneficitnt, d' ai ll eu rs, de l a dispense de la
fo rm alité ce ux qui ont trait à des navires,
c'est-à-di re à des bâtiments destinés à la
navi ga tion mar iti me, à l'excl usion de l'eux
t:Ollce rn a nt des bateaux ser vant à la navi(]a·
tion inté rieu re.
t
1)
il) Marchés dont le prix est pa)'é par Ils
Sen'ices et Etablissements d'assistam'e et dt
bienfaisance.
L'immunit é édictée en fa\'eur de cette der·
nière catégo rie de ma rchés a une portee très
gtner ale ; ell e conce rne, en effet, non seule·
ment les march és d' appro visionnement et ùe
fournitures, mais enCore l es marches pour
co nstru ction, réparation ou entretien.
Elle bé1léficie, d 'antre part, tant au X' ëta·
bl isseme nts publi cs p ropremen t dits d'assista nce et de bien faisan ce (hôpitaux, hospices,
bureaux d'assistance médi cale, bureaux de
bienfaisa nce, ca isses des écoles, dépôts de
mendicitt, institutions de so urds-muets, de
jeunes 3\'eugles, asiles nationaux de comTa·
l escents, etablisse'l'ents des inralides de la
marine, Office National des Muli lés, etc... )
qu'a ux établissements tels que certai ns hôp.itaux civ ils et militaires, et hôpitaux ~SyChli1'
triques qui, dépou r \'tls de perso nnalitt' m?r.a·
le, co nstitue nt de simples ser vices ad mlO lStratifs d 'assistance et de bienfaisance de
l'Etat, des departements ou des commu nes.
Ma is la dispense ne peut être étenùue aux
marchés passés par les établissemen ts pu·
blics de pré voyance (Caisse dcs retralt~s
pou r la vie ill esse, Caisse de crédit mt~!lICl
pal, Ca isse nati ona le de sécu rit é soc l~le),
ou par les se r vices administratifs, ~Ie me~le
nature, te ls que les se r vices sociaux
administratio ns de l'Etat, des départemen S
et des communes.
Par ailleurs, la dispense n'est. a pplit'.~b~:
qu'auta nt que te pri x du marche est" de
cha r ge d'ull établi ssemen t d'aSslsta nC~ etdè-bienfaisa nce ou s'il s'auit d' un servi ce,
,
~
e qu ailpOUTV U de dotation bud gétai re propr ,
f
165
t (.1It! l'objet du mart.:h e se r appor.tc d i rectan It ail fonctio nnl.!m ent de ce ser Vlel.!.
tefllell
B. En deho rs de la disp~nse de fo rm al ité
~dlctt~e par J'arti cle 2. du decrct du ~8 mars
IÇj50 ce rtains marches so nt sllsceptl bles de
b-. H2ficier des immunités acco rd ées par di:~s textes spéciaux et notamment par l' ar;'ic1e 69 (al. 1er) de la loi n' 46-2399 lIu 28
od obre 1946 sur les dommages de g uerre
(C. G. 1. art. 11 76 al. 1e t).
Aux te rmes de cette dispositi on, le actes,
jugements, pièces e.t écr i. t~ qui t.:~ncernent
l'applicati on de l a 101 pr écltee so nt, R la Condition de s'y référer ex p:essément, disp ~n
sés de timb re et exo nér es de tou s drOI ts
d'enreaistrem en t.
Le droit aux i ndemni tés de r econstitutio ll
n'titant att ribué qu'aux si nistrés qui re t.:onstituent effectivement l eurs biens, il a pa r u
possibll.! de co nsidérer comme entr ant au
nomb re des opé rations il11posées par la loi
du 28 octob re 1946 et comme sllsceptiblt!s de
b~néficier, pa r suite des immun ités acco rdées par l'a r ticle 69, alinéa 1er p recité, de
la dite loi, les marchés de co nst r uction o u
de réparation passés par les sinistrés en vue
de la reconstitutio n de leurs biens.
Le bénéfice de ce régime de faveur s'étend
aux marchés ayant le même objet qui so nt
co nclus so it par les sociétés coo per atives de
reconstructio n et d e reco nstitution, so it pa r
les associations sy ndicales cie reco nstru ction,
soit par les unions de sot.:iétés coopé ratives
de reconstruction et les unio ns sy ndicales de
reconstructio n visées pa r la loi n" 48-975 du
16 juin 1948 et auxq uel les l'a rticle 56 de
cette dernière lo i rend applicables l es dispo,itions de l'artic le 69 de la loi du 28 octob re
1946 (C. G. 1. ar t. 11 77).
Le m~ m e r égime est applicable au x marches l"onclus dans le cad r e de la législation
relative ft la re co nstruction ou à la répa ration des biens détru its o u endommages pa r
faits de guerre et notam ment à ceux passés
par l'Etat, en application des ordon nances
n 45-609 du 10 avr il 1945, r elative aux tra\'aux préliminaires à l 'l. recon stru ctio n . n"
45-2062 du 8 septembre 1945, r elative
la
reconstruction des bâti ments et des services
publi ~s ; n' 45-2064 du H septembre 1945,
autortsant la co nstruction directe par l' Etat
d'immeubles d' habitation de cara ctère d éfinitif.
G
à
, Il .est rappelé que la dispense édictée par
1arbcle 69 de la loi du 28 octob re 1946
po~t c, en ce qui Co ncerne l'cnre g'ist ~emen t,
ul1lquement sur les droits et non sur la fo r~l ali.té, laquelle, lorsqu'ell e est ob li gatoire,
a defaut d' applicati on du régime fisca l des
actes de co mmerce (cf. supra, n" -t" ) - co mme c'est le cas des marchés passés par
l'Eta t, les départements les communes et les
ét~b l issements publics 'scientifiques et d'ens~ l g nem~~t , ainsi que par les caisses de crédit muniCipal, doit être donn ée lTr atuitement
sous la co ndition que les march és co nti ennent une mention ci e r éférence à la loi du
28 octobre 1946.
. C) II y a lieu ùe noter, par ai ll eurs, que
dlyer~es disposi ti o ns, qui édictaient une exo-
ncratlon du droit proportionnel d'e nreg istrement
ueur avant le
l e . SO us
. le régime en vio
0
r Janv .. r 1949, ont, à compter de cette
da te, éte ab rogées pa r l'ar tic le 14' du dé~~et du 9 .dé~emb re 1948 et ne trou~ent plus
es lors, a s appl iquer.
Tel
~st
le cas de l'a rti cle 325-0' du C. E.
d~1 prt:voyait l'enregistrement ail d roit fixe
tous les actes et co ntrat. ayant pour ohj et
excJlI ~if la co nstnlct ion, l'en t re tien et la r éIl.a ratl o n dt;:s chemins départementau x et vicll1au~, des chemIns ruraux, ai nsi que des
cheml.ns. d'ex ploit atio n entrepris par dl.!s
associations sy ndicales autor isées obse r vation fa ite que les march és de t~a\'aux de
co nstru ct ion, de r éparation et d'entretien
p.ass s par des associatio ns synd ica les auton sées sont susceptibles de bén éfi cier du rég ime fisca l des ..actes de com merce (cf. supr a
Il'' 4") du fait que les associations en ca usé
co nstituent des
établ issements
pub l ics
entran t dans les pré\risions de l'a rrêté du 3 1
janvie r 1942.
B) LiCJuidation et payement de nmpàl . Que l e marche soit d'une durée fixe ou qu'il
compo rte des périod es, chaque payement
fractionné représente le droit atférent aux
prestations stipulées pour la peri ode ft laquelle il S'apI)lique, liquidé d'après le ta ri f
en \'igueu r au commencement de cette pér iode.
Le droit afférent à la première période du
ma rché est se ul acqu itté lors de l'enregistrement de l' ade ; ~eilll afférent aux périodes suiva ntes est payé dans le mois d u com mencement de la nuuvell e pé r iode, à la dili gence de l' une ou l'a utre d'es pa rties au co nt rat, a peine d'un droit en sus, au minÎmum
de 500 fra ncs, à la charge solida ire des
par ties (C. G. 1., art. 17H5, § 1 et 3).
L'abrogation de l'a rt icle 327-47 " du C. E.
a égakment po ur effet de so umettre il l'e nr egistrement, da ns les co nditi ons du drOit
co mmun, les marchés de fourn itures destinées aux détenus da ns l es priso ns.
De même, est supprim é le bénéfice de J'enreg istrement au droit fixe dont p rofitai~nt,
en ve rtu de l'articlt:: 327-4r bis du C. E.,
les sous- t raités passés avec leu rs membr es
par l es sociétés coope rati\"es ar tisana les d'a rtist~s et d'a r tisans J' art, pour assur er l'e xécutIO n des travaux- prénls à l'articl e 1er d~
la loi du 17 ja nvier 1935.
6"
C) COllditions d'application du fractionnement. - De même q ue sous le régime institue par l'a rticle 10, du decret du 20 juillet
1934, le i ractionn ement n'est applicable
lIu'a ux co nt r ats qui stipulent des prestations
successÎ\'es, co ntinues ou répétees, de\'ant se
répar tir ou s'É:chelonner ob/igatoiremt!nt su r
lin espace de temps déterminé.
Il ne concerne pas les marchés, conclus
en \' ue de presta tions détermi nées, al ors même qu'un délai serait prénl pour leur exécution, si le fournisseur ou entrepreneu r peut
se li bérer de son e n~a ge ment en accomplissa nt les p restations stipu lées à un moment
quelconque, au lours ducJit delai.
Payement des droils, {raC'tfOfllH!mf::nl.
Les droits exigibles sur les ma rchés doive nt, en principe, ètr e payés dans les co n·
ditions du d r oit co mmull, c'est-à-di re l ors de
la p~ésenta tion des Dctes â la fo rmalité (cf.
C. G. 1. ar t. 1701, al. 1er).
7" Rëgles spéciales
Le payement Pl::ut, toute fo is, Cn êt re Iracaux l7larchtis administratifs
tionné (Loi du 3 1 janvier 1950, ar t. 16, § 11-3
A) Bureau competent el délai {J'enregIse. G. 1., art. 17 17-2") dans les cond,tions irement.
- O'apr ês l 'article 659, § 3, du
fixées par l'article 1er du décret n" 50-385
C. G. 1., qui reprouuit ei\actement les terdu 2S ma rsl950 pr éci té (e. G. 1., Annexe III,
mes de l'article 26, de la loi du 22 fr imai re
art. 396) .
an VII (e. E. art. II~, § 3 ancien), les seLe régime institué pa r cette disposition
cr(·taires des Ad ministrations ce ntrales et
co mporte les ava ntages su i "a nts :
municipales fo nt enregistrer les actes qu'ils
A) Fra ctionnement : Le montant du droit
sont {enus de soumettre à cette formalité au
de ma r ché est fractionne J'offic~ sa\'oi r :
bu reau dans le ressort duquel ils exercen t
leurs font.:tions.
a) S'il §'agit d'un ma rch é à durée fixe,
en auta nt de pa yements qu'i l y a de périodes
Il a\'ait été reco nnu, pour l'appl ication
priennales dans l a durée du marche ;
ue cette disposition, que le seul bu reau compétent pour l'enregistrement des actes ml l11;b) S' il s'agit d'un marché il périoues, en
nist ratifs éta it ce l ui dans le ressort duquel
autant ue payements que le hai l ~ompo rte
de pé r iodes, quelle que soit la durée de chase trouve le siègt: de l 'autorité q ui les a
que pér iode.
reçus. Il en resultait que les marchës passés
pa r les Ministres et Sous-Secretai res d'Etat
. Toutefois, dans cc de rn ier cas, si la peo u soum is à leu r approbation ne pouvaient,
n ode dépasse trois ans, les parties peu\'ent
en principe, être en reg-istr és qu'à Paris.
requérir le fr act ionnement par periOdes triennales du droit afférent à chac unE' des péIl a ete decidê, ùans un but de simplification et en \' ue d'assurer un meilleur re co uri odes.
\'Teillent des d roits supplêmentai res éventuelPar exempl~, pour un l1lart.:hé passe pour
l em~nt e)"igib les, de r ~"eni r sur cette règle,
une durée de 5, la ou 15 ans, le montant du
droit sera fr actionne d'office par periodes I·en ce qui COf/Cerfle les marchés passt!s au
nom cie J'Etal. Ces marches devront, en conde cinq ans ; en outre, si l es parti es le reséquence, être presl.!ntés à l a formalitë au
qui èrent, le uroit afftàent à chaque periode
bureau dans le ressort ùuquel réside le foncquinquennale sera lu i-même fraction né : la
1 tionnaire qui reste dépOSitaire de la Imnute
première f raction correspond ra aux t rois
ou de l'original du marché.
pr emières an nées, la st;:~o n de, au su rplu s,
so it deux ans.
Au cas o ù lesdits marchés auraient dé si1 gnés o u approuvés par ,l'auto rit é sllP érieu.re,
Le fractio nnement, même lo rsqu'il doit ~t re
il y au ra lieu de consujerer, par analogIe
effectué d'office, est édicté dans l 'inté r ~t des
avec la règle suivie à l' égard des marches
re<.levabl es, cellx-ci peuvent, dès lo rs, y r eues co lleetivités locales qu~ le délai (j'un
no ncer. Par suite, si les intêrcssés le req ui èmois, imparti par l'arti cle 646 S Il , 11 " 12 du
rent, les droits do ivent être perçus soit pour
C. G. 1. ne prendra cours qu'à compte r de
pl usieurs périodes, soit po ur to ute la duree
du marché. Pour prt:\'en ir to ute con testatio n 1 la date à laquelle la décision ù'approbat ion
éventu ell e, il conviendra d'exiger, dans cette 1 ser a pan'enue au fo nctio1lnaire compt: ten t
hypothèse, une réquisition expresse qui pour- ! qui ùevra mentiollner cette date en mar!:!,f
ra êt re soit inscrite et signet: par les parties 1 de l'acte par lIne attestation datée et signee.
Il n'est rien innove pnr cont re, ni en ce
sur le registre de forma lite, soit formul~e sur
qui concerne les marches passés par les colune feuille signee et déposée a u bl1reau, soit
lecti\'ites locales, ni en ce qui com:e rne les
faite dans l'acte mème ou au pied de l'acte.
I
�166
autres actes administratif:5 sujets à la formalité.
B) Payement des droits et pënalités. ~
Les droits exigibles sur Jes marchés administratifs doivent, conformément à la règle
posée par l'article lï05-4 ° du Code général
des Impôts, être acquitt.!s par les fonctionnaires competents pour les soumettre a la
formalité et qui, en cas de retard dans l 'accomplissement de celle-ci, sont personnellement passibl es de la pénalité du droit en sus.
(Co G. 1. art. 1785, § 1 et 2).
Toutefois, d'après l'article 1786 du C. G. ~.,
lorsque les droits afferents aux marches
n'ont pas été consignés dans le délai légal
aux mains des autorités administratives)
celles-ci peuvent s'affranchir du payement
des droits simples et en sus, dont le recouvrement est alors poursuivi contre les parties, en remettant au Receveur central ou
Inspecteur competent, des extraits par eux
certifiés des actes dont les droits ne leur onl
pas été versés. A défaut, les autorités adrninistratÎ\'es sont passibles d'une amende de
500 francs pour chaque acte et sont, en
outre, personnenement contraintes au payement des droits simples et en sus. La remise
des e..\.tr aits donne lieu à l a délÎ\'rance d'un
rëc.:epissë qui doit être inscrit sur leur r epertoire.
C) Marches sur simples fa clures. - En
l'état actuel de la règlementati on, les départements sont dispenses de passer des marchés écrits lorsque le montant de la dépense
des fournitu r es, transports ou travaux n'excède pas 250.000 francs (Décr et n° 48-1316
du 25 août 1948, art. 1er, J. O. du 27). De
m~me, l es communes peuvent t raiter sur simple facture, sans passer de marchés écrits
pour les travaux, transports et fournitu res
dont la dépense n'excède par 125.000 francs
dans les communes de moins de 20.000 habitants et 250.000 francs dans les commun~s
d' une population supérieure, ainsi que dans
celles, même d'une population infér ieure, qui
sont situées dans un département dont la
population dépasse 2 millions d'habitants
(Décret n' 48-1317 du 25 août 1948, art. 1er,
J. O. du 27).
Le droit de marché ne pouvant être r éclamé sur une convention d' ent reprise ou de
fournitures que si elle est constatée par un
écr it passé entr e l'entrepreneur ou le fournisseur et le maître du marché, en 'vue de
former le titre des engagements réciproques des parties, l es départements et com munes, lorsqu'ils usent des facilités accordées pa r les textes sus\'isés, échappent à la
perception des droits d'enregistrement.
D) Marchés sur commande. ~ Dans certains cas exceptionnels (cf. décret du 6 avril
1942, art. 24) il peut être passé des marchés sur commande, avant que toutes l es
conditions du marché aient pu être déterminées. Ces marchés qui sont constitués, soit
par des conventions spéciales, soit par des
échanaes de l ettres, doivent indiquer le pri X
pro\'is~jre et les modalités sui vant lesquelles
seront déterminées par avenant les clauses
définitives du marché, en particulier les éléments dont il sera ten u compte pour la fixation du prix définitif.
Lorsqu'ils sont établis dans l es conditions
susvisees les marchés sur comma nde sont
passibles' du droit proportionnel su r le montant du prix provisoire sous rés~rve,. bIen
entendu, qu'ils entr ent dans la categorie des
-
....
contrats visés par les articles 646, § 11- 12" et
707 du C. G. 1.
Quant à l'arenant ultérie~r ~ui fixe . les
clauses définitives du marche, .1 constItue
eualement un marché entrant dans les prévisions de l'a rticle tH6, § 11-1 2° précité du C.
G. 1. et il doit être assujetti a l' enregistrement moyennant la perception du droit fi .xe
de 575 francs applicable aux actes innomés
(C. G. 1., art. 67G-17' ) ou, le cas échéant,
du droit proportionnel exigi~ l e s~r. le complement de prix, ou du drOit mInimum de
115 francs (c. G. 1. art. 667, al. 2).
Le m ~me régime est applicable, d'~i l ~eurs,
à tous les avenants de ma r chés administr atifs tombant sous J'application de J'article
tH6, § 11-12" du C. G. 1. .Ces a"ena~ts sont
assujettis obligatOirement a la formalité dans
le délai d'un mois et donnent ouverture au
droit proportionnel lorsqu' ils stipulent des
tra\'aux ou des fournitures supplémentaires
ou, plus généralement" ~I~e majoration de
prix en dehors des pre\'\slons des cont rats
prim itifs.
En toute autre h\'pothèse, ils ne donnent
ouverture qu'au droh fixe de 575 francs.
E) Cautionnements ile marchés. Les
cautionnements de ma rch és administrati fs
échappent, en toute hypoth.èse,. au, dr~it P!Oportionnel et ne sont soumis a 1 obli gati on
de J'en regist rement que s'i ls sont établis par
acte notari é (C. G. 1., art. 646 et 647) ;
dans ce dernier cas, ils donnent lîeu à la
perception du droit fixe de 575 francs.
Ill. - DA TE D'APPLICA TION DU NOUVEAU REGIAIE ET
DISPOSiTiONS
TRANS ITOIRES
Les dispositions de l'article 16 de l a loi
de Finance du 31 janvier 1950 ont été transmises t élégraphiquement, dans l a nuit du 3 1
janvier au 1er fé\'Tier 1950, au Préfet de
chaque d~partement, qui en a assuré la publication dans le.;; conditions prescrites par
J'article 1er de J'ordonnance du 18 janvier
18 17. Elles so nt, par suite, devenues exécutoires à partir du 2 févr ier 1950 inclusivement, en ver tu de l'articl e 2 de la même
ordon nance.
Il en r ésulte que sont soumis à la forma lité
et au droit proportionnel de 1 fr. 50 % tous
les marchés entra nt dans les prévisions du
paragraphe Il de J'arti cle 16 de la loi précitée du 3 1 janvier 1950 (C. G. 1., ar t. 6~6 § 1112° et ï07) et dont le titre est constitué
par un écrit établi depuis le 2 fév ri er 1950.
Dans la r ig ueur des pri ncipes, cette r ègle
aurait dû s'appliquer au x marchés administ ratifs dont l'approbation par l' autor ité compétente est intervenue depuis cette date. Il
a été admis, toutefois, par mesure de tempérament, que les mar chés dont i l s'agit
éChapperaient au droit proportionnel et seraient enregistrés gratis l orsque leur pri x ou
les conditions d'établissement de leu r pri x
au raient été définitivement fixés, soit par
voie d' adj udication, soit à l a suite d' un appel
œoffr es, soit par entente di recte entre l 'A dministration et l'entrepreneu r ou le fou rnisseur, ava nt l e 2 février 1950, sous réserve
que l es actes soient présentés à la forma l ité
da ns l e délai l égal et qu'ils soient revêtus
d'une mention si gnée des deux parties, attest ant qUE:, pour la fixat ion du pri x, il n' a pas
été tenu compte du rét abl issement du droit
d'enregistrement. S'il n'y a pas l ieu d'exi ger,
pOlir l 'application de cette mesure, que le
marche lui-même ait été établi avant le 2 fé-
,-rier 19,50, encore est-il nécessaire que le Ou
les écn~s c~nstatan! .l'acc~rd des parties
sur le
priX
TI MBRE
L'article 16, § Il, de la .loi du 3 1 janvier
950 ne contien t aucune dIspOSItio n rela ti ve
SOient ante n eu rs a cette date· en
particulier, les m~~ch és Sur ,appels d'offres
ne peuvent bénéficier de 1 enregistrement
grati~ gu'autant que I ·~ppel. ~ 'offres et la
soumiSSion retenus par 1 Adrnullstration por.
tent l' un et l'autre une date antérieure au
2 fév r ier 1950.
Il ,n,e sera pas. insiste, d'ailleu rs. Su r la
condi tion d'enregistrement dans le délai léga l, lorsque ce dé lai sera arriv é à expiration
avant le 1er jui n 1950, SO uS rése r ve que les
marchés en cause soient presentés à' la for.
malité au plus tard le 1er octobre 1950.
Lorsqu'i ls ont été passés depuis le 2 févr ier 1950, les avena nts à des marchês
entrant dans lits prévisions de l'arti cle 646
§ 11-12 ' du C. G. 1., sont, en tout état de
ca use, sujets à la formalité dans le délai d'un
mois, mais leu r régime fisca l doit ~t re détermine selon la distinction suh'ante :
Lorsqu'ils sti pulent des prestations supplémentaires O l! une majoration de prix en
dehors des previsions du co ntrat prim itif, ces
1 (l'r o·1t de t imbr e' exi gible sur l es marchés.
au
En conséquence, l es ma rchés entre pa rticuliers, ainsi que ceux paéss~~ pardi esl' orgëa , mes en trant da ns les pr VISio ns e arr t é
OIS
. t .
du 31 janvier 1942, demeurent ass uJ e t lS au
timbre de dimension (C. G. 1., ar t. 879, C. T.
art. 55).
Quant aux marchés passés pa r l 'Etat, les
dépar tements,' les communes et les établ issements publies scient ifiq ues, d'enseignement,
d'assistance et de bien faisance et par les
caisses de crédit mu nicipal, ils peuvent contin uer à être établis sllr papier libre, par
application de l'ar ticle 1004 (al. 2) du C. G.
1. (J:.. T., art. 256 ; Loi n° 48-23 du 6 ja n"ier
1948, art. 42-2), qui dispe nse d' une façon
général e, du timbre de dimension, tous les
actes des autorités adm inistratives, à I"excep tion des ac tes translatifs, de propr iété,
d' usufr uit ou de jouissance et des cautionnements rel atifs à ces actes.
Quant au x soum issions présentées par les
entrepreneu rs 'ou fournisseurs préal ablement
à une adjudication ou à la suîte d' un appel
d'offres, elles restent passibl es, en toute
hypothèse, du droit de timbre, sans qu'il y
ait lieu de teni r compte du fait que les écrits
envisagés peuvent éventuellement, pa r l eur
rapprochement avec l'acceptation de l'autorité adm in istrative, constituer le titre d'un
marché entr ant dans l es prévisions de l'a rticle 1004 (al. 2) du C. G. 1.
avenants donnent ouverture au droit propor-
tionnel établi par l'art icle 707 du C. G. I.,
sous rése n te, toutefois, de l' application de la
mesure de tempérament visée ci-d ess us.
En toute autre hypot hèse, l es avenants
dont i l s'agit seront en registrés en tant
qu'actes innomés au dr oit fixe de 575 fr. ,
mt:me s'ils se rappo rtent à des marchés enregistr és gratis en application de l' arti cle 1er
du décret du 13 octobr e 1939 ou dispensés
de "enregistre ment en vert u de l' a rticle 35
de la loi du 3 1 décembre 1945.
Par a illeurs, d'ap rès l' article 3 du
tlêcr~t
d u 2S mars 1950, les dispositions de ce texte,
qui fixe l es conditions de fractionnement ~u
dr oit proportionnel exigible sur les marche.s
et la liste des marchés exempts de ce drOit
(cf. supra. 5°, A et 6°), ont effet à compter
de la date d'entr ée en vigueur de l'article 16,
§ Il , de la l oi du 3 1 janvier 1950, les perceptions effectu ées sur les _marches entr a~t
dans l es prévisions du décret devront, des
lors, être revisées et l es droits perçus en trop
r estitués, su r la demande des intére~s és. .
1\ avait été décidé, d' autre part, a la SUlt~
de l a suppressio n, par l'article 35 de la. 101
du 31 décembre 1945, du droit proporti on nel exigible su r les marchés administra~jfs,
que les pêriodes, ouvertes depuis le 1er Ja~
vier 1946 de marchés administrati fs, anteri eur à 'cette date, 1risés par l 'a rticle 398
ancien du C. E., ne saurai ent, en l'ahsence
de tarif en vigueur au commen cement dt>
chacune de ces pér iodes, suppor ter aucun
droit.
Le droit de mar ché ayant été étal1li ~a r
l'article 16, § 11 , de la loi du 3 1 j anvi er .1950,
les péri odes ouvertes depuis le 2. fevncr
1950, de marchés ad ministratifs antén eurs ,au
1er janvier 1946, sont à nou\fem.l, en principe, sujettes au droit proporti onnel . de
1,50 % . TOlitefois, ce droit ne devra etr~
exi gé que dans le cas et dans l a mesur.e ~
les marchés dont i l s'agit ser aient assuJettis
au d roit proportionnel s'i ls étaient intervenuS
postérieurement au 1er févri er 1950.
Enfin, il conviendra, bien ent.e~du, ~:
poursuivre dans l es mêmes co ndIt Ions q é
par le pas'sé le recouvrement des suppl ments de dr~it exi gibles sur l es dépasf:;
ments des évalu ations faites uan tO Il~ .t
marchés admi nist ratifs enregistré au rto!
..l me s 'an eproporti onnel sous l'un des re~
ri eurs au n0l1\'e311 te xte.
r
Copie: certifiée e:onfonnc.
Pour l~ Préfet :
L~ S~c,.él(Ji,.~ Général : LAMASSOURE.
�,
RÉPUBLIQUE
26 octobre 1950
DËPARTEMENT DES
FRAN(!AJSE
BOUCH~S-DU-
\",'>I\,,~\ i.. , 71y~
Recueil des Actes Admin ·'st~fs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recu eil doit é tre adressée à la Préfecture Secrétariat
Général
A.BHÉVIA. '.l'IONS
A. P. : Arrêté préfec toral. - C. : Circulaire. - Les lettres D et B suivies d'un chiffre indiquent le ServIce ou Bureau d'origine,
_ S, L. R. A. : Service de Liqu idation des Réqu i6itions Allemandes. - R. G. : Ravitaitlement Général. - S, C. R. : Service de la
Circul atio n et du Roula g~, - D, D. S. : Direction Dépa rtementale de la Santé. - D, S, T , : Direction des Services Tectlniques.
SOMMAIRE
Pages
Arrê.tés réglementaires et Circulaires
Page ..
BC O. Domain e pri vé des co ll e\..'ti\'itês loca les. Pai ement du prélevement sur l es lo yers. Subventio n
du Fonds Nat io nal d' am éli o r a tion ci e
l'Habitat
. .. .. .. .
. .... ".
fS O. - Médecins ag réés pOlif prati quer les exa mens radiosco piqu es en
,'ue de la déliv ranc e des ce rt ifi cats
prénuptiau x et prénatau x
FS O. -
Su rveill ance des
-
2
v
168
établisse-
.........
Cons tru ct io ns
velles. ..........
Textes d'intérêt général
ob JI ~a ti o ll s
ments de natation
TV X 1. - Projets d e trava ux prév us
pour 195 1 :
1" Grosses réparatio ns aux éc:o-
les
167
et
rel ati ves à la garde des enfa nts
FS O. 16ï
Fo rmalités
scol aires
168
l'ages
AC 3. - Droits parti culie rs de la mère de fami lle fo nctio nn aire en matière
d'indemnités à ca ractè re fa mili al ...
I Bq
Communiqués, Avis, Annonces diverses
169
no u-
169
-
Av is de co nco urs (Com mune d'Au-
bagne) ...
.- Dons et legs .. . .
1ïO
1ïO
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
BC 0
D682
DOMAINE PRIVE DES COLLECTIVITES
LOCALES. - PAIEMENT DU PRELEVEMENT SUR LES LOYERS. - SUBVENTION DU FONDS NATIONAL
D'AMELIORATION DE L'HABITAT.
Prefet d es BOll c/les-dll-R/16I1e
ri Messi eurs l es SO ll s-Préfets
et les M aires dll DepartemC!nt.
Mon atten tion a été attirée SliT le fait
Le
que, dans de nombreux cas, les co ll ecti\' ités
te rr itoriales et notamment les communes ont
négli ge ou négli ge nt de s'acquitte r du prélè,'ernc nt su r les loyers, per çu au tit re ùu
Fonds National d'Amél iorati on de J'Habitat ,
POur les locaux à lisage d'habitatio n donnes
par elles en loca tion.
, D'autre part, l es co ll ecti vites publiq ues
nOnt Pli, jusqu'à présent, sauf dans quelques cas exceptionnels, bénéficier des avantages accordés aux p ropri étaires par le
~onds National (\' Amélioration de l' Habitat.
ompte ten u de l a mod icité des ressou rces
du Fonds, la Commission Nationale char O"ée
de déte rm i ner l'ori entati o n o-éné rale cie ~et
orga nisme et spécialemcnt
sta tue r su r les
demandes émanant de personnes mor ales, a
~n e~et cr u dev?i r acc ueillir par p ri o rit é l es
o~slers prése ntes par des particuli ers.
26 ependant, les o rdonn ances tles 2~ Juill et
N.atOctobre 1945, qui ont institué le Fonds
p r~ll,o n a l et prl-vu au profit de ce l ui-ci un
~\'ement sur les loyers, n'o nt aucuneme nt
de ceg
ti a ns l es col eClivi'lés
d;
r
loca les. Ces textes ne font, ell effet, aucu ne
distincti on suiva nt que le prop ri étaire est un
par ticu l ier ou Ulle pe rson ne mo r ale, de d r oit
pu bli c ou de droit p r in~.
En co nséq uence, pour les l ocaux de leur
domaine pri vé il lisage d' habitatio n qu 'elles
donnent en location, ce lles-ci se t ro uvent en
droit, à l' éga rd du Fonds National d' Améliorati on ue l' Habita t, da ns la même situation
que les prop r iétaires pri vés
1" Ell es sont reJev ables dll pr elè\'ement
sur les loyers ;
2" En contre-partie, elles ont \'ocation
pour re cevoi r des suh"entions du Fonds Na-
tiona l.
La Commission Nationale d'Amelioration
de l'Habitat n'a d'allicurs jamais éca rt é, ~n
p r incipe, les demandes des co ll ectivites local es et des étahl issements publics qui doi\"€'nt
être présentées sui \'ant la procedure prë\"l1t~
par les te xtes r ègl ementaires.
Il conv ient de noter à ce sujet qu'a l'appui
de son dossier, la col lectivité doit justifier du
paiem ent du prélèvement su r le"- loyers pour
l 'i mmeuble en cause.
L'accroissement éventuel des ressourCes
du Fonds National et le fait que mon LJëpartement, en parti culie r, ne peut acco rù er de
subventions a ux co llectivités loca les qu e pour
l'ent retie n et la ré paratio n cles bâti ments publics, seront certainemenl de nature ft pe rmettre ft ces dernières de benefirie r plus
la rgement que par le passe de l'nide financière du Fonds.
Etablissements Pu blics ne peut êt re effectue
que sous la forme de sub\'ention à fonds
perdu, le système de prêts comp lémentaires
du So us-Com ptoi r des Entrepreneurs ne pouvant j o uer, en r aison de SOn méca nisme m~
me (escom pte de traites de tr ois mois renou\'e lées pe nd ant trois a ns) qu'en faveur des
parti culiers et des pe rson nes morales ùe
dro it prin?
Le Prèfel,
J. BAYLOT.
- - - C ) 0 0 ( > - - --
D. D. S.
fS 0
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX.
All ilETE
Li' PrJfel des BOIII'/ll.'s-du-Rhom.:,
Offitier tle la Lëg,iofl d'Honneur
\'u l'ordonnance fl " .t5.2720, du 2 norembre 1945, sur la Protection Maternelle et
1nfantile,
Vu l'arrète du 15 a\'Ti l 1946 de 1\1. le Ministre cie la Santé Publique et de la Population et les r~ctifications parues aux Journllux
Officiels des la mai et 15 septemb re i ~-I6,
fixant le modèle dll certificat d'examen médical ét\ ant le mariage ;
Vu l'arrêté préfectoral ùu 1er juin 19-16 ;
Vu la
ministérielle n" 148, du
�_
_
I~I:'~~'
____________________________
~~
\ "u l'a\ is du Conseil Départ~m~ntal ùe
rUrdre des Médecins ;
ur la proposition tIe ,\1. k Directeur Dé.partemental de l a Santé ;
ARRETE:
Affide premier. - M. le Docteur Georges
-\\lLLER, demeurant, 114, Houte
ationale
de I~ HP e, il MarseOle, est agreé pOlir prati er ies examens radioscopiques en vue de
la delh"rance des ..:erti ficats prenuptiaux et
prénataux.
Article 2. -
M. le
Secr~taire
Genéral de
la Préfecture, ,\1. le M ai re de la Ville de
"'arseille et ,\1. le Directeur Departemental
de la Sante sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exécution du présent a rrê.té.
.\larseille, le 17 octobr e 1950,
Pou r le Préfet et par délégation.
Le Secrétaire Gén éral,
LA,\\A SOU RE.
----c> ooc~.----
FS O
D. D. S.
-FORMALITES ET OBLIGATIONS
RELATIVES A LA GARDE
VES ENFANTS
L Inspecteur DÎl'ÎsionnllÎre de la SanIe
à MessÊeu;.s It!s .Haires du Dépar-
tement,
j'ai "honneu r ùe \'ous prier de bien \ 'O Uloir bien porter à l a connaissa nce de vos
adm inist rées susceptibles de ga rder des enfants et rappeler il celles qui en ont déjà en
:!arùe, les obli.!?ations auxquelles elles sont
soumises et que ,'ous ,'oudr ez bien t rouver
l'i-apres r~sum ées :
Toutt! personne ayant en garde un enfant
n'ayant pas depassé 14 ans doit fai r e immédiatement une déclaration à la ,\-l airie de sa
commune, ou au Bureau Municipal d' Hygiène, s'il en existe un.
Elle est ega lement tenue à certaines ohligati ons : une nou rric.:e ne peut s'occuper d' un
enfant qu'à la co nditio n d'a\'oir subi a\'ec
suCees les ~xame n s médicau x prévus par
l'ordonnance ministérielle du 2 novemhre
19.J5 : radioscopie et prise de sang.
Vos services lui délivrent alors un ca rn et
de nourrice qu'elle doit pr ésenter au médecin-inspecteur char ge, dans la commune, de
l a surveillance des enfants pl acés en oa rde
t.:haque fois qu'il les visite ra.
~,
Pou r l'Inspecteu r Di\·isionnaire
de la Santé,
Signé illisi hlement
-------c> ooc> ------_
D. D.
FS 0
SURVEILLANCE DES
ETABLISSEMENTS DE NATATION
L'Inspecteur DiI'isio nnaire de la Santé
li MAI. l es Alaires du D épartemen/,
j'ai l'honneur de porter, ci -après, à votre
a
connaissance l'a rrêté préfectora l relatif
l'i nstallation et au fon ctionnement des établissements de natation (piscines, bassins,
ha ignades),
Les prescriptions de le texte peuvent être
des mai ntenant appliquées, car il ne subsiste
plus auCun des obstacles matériels consistant
en des restrictions d'approvisionnements en
matériaux qui s'opposaient encore n'cernment aux améliorations pouvant être exi!.{ées
Jes exploitants de ces installations,
__
~
-
__________________________________:-_________________________________
Puur Illt' Jl~rmettn.: d'effet'!uer le plu}" n~~l
ph:temcnt possible la sur~·eI Jlath;~ lJw nl InoOlt'le, t.:(.}mpl~ tenu. des dlt~rses. Instn,H:'t.lO n~
ml1l1stertelle~, j.e \'ous seraiS tr es o bh g~ dt'
hien vo uloi r Ill!.:: fai re tenir, dès qlle pOSSible,
la liste eX,ll:re des diH'·rs ét ablissemen ts tk
natation situes da il S \·otre comm une I:'t qUI
sont lompris dans l~s dêii l1ltions du texte qui.
suit. Il \' aura lieu (le preciser très compl êttment pour chac un d'(,ux le lieu de son emplacement, les noms clu proJ1riëtair~ et du
directeur, la capacite et le mode d'a lllllentation des pisd(les et bassi ns, ainsi q ue le degré de 1r ~q l1 e ntatio n par le publi c.
L'Inspecteur Dil'isioflnllire
de la Sante :
Dr V ALENSI.
•••
AI?RETE
portalll rëglemelliation de l'installation d du
fUIl~'''onn ment
des Etablissements cie
.Vatation,
Le Prc{c1 cles BOllclres..lu-Rilône,
Officier de la Légion d'Honneu r,
\ ' u la loi en date du 13 fev r ier 1902, relalil'e à l a protection de la Sante Publique, notam ment l'article 1er ;
Vu le decret-loi en date du 30 oc tob re
1935 portant mod ifica ti on du texte susvisé;
Vu J'a rrltté préfectoral du ~ octobre 1945
portant règlement sanitaire départemental,
notamment l'article 62 ;
Considérant qu'il convient, par application
ùe la ci rCulaire interministérielle des 8 et
16 mai 1947 de règlementer l'i nstallation et
le fo nctionnement des étahlisseme nts de hailYnade '
~ Vu l~s dispositions de l'arti cle 471, § 15
du Code Pénal ;
Vu l'avis favorable émis par le Co nsei l
Départemental d' Hygiène dans sa séa nce du
28 janvier 1948 ;
Vu l'avis favo rable émis pa r A\. le Medecin-Inspecteur de la Santé;
Sur la proposi t ion de M . le Secrétai re Générai,
ARRETE :
TITIŒ 1
Dhspositions générales
Artirlt.' premier. - Les établissements de
natatio n «(Jiscines, bassins, bai gnades) so nt
pl acés sous le (ontrôle du Ministre... de la
Sa nte Publique et de l a Population et cil'
Ministre de la Jeunesse, des Arts et des Lettres (Direction Génér ale de l'Education Ph\,sique et des Sports),
.
Article 2. - T ou te personne dési reuse de
l:réer un ~tab lisseme nt de nata ti on ùoit au
préalable, demander l'autorisation du P;éfet
et déposer, à l a mairie du lieu, un proj et détaillé compo rt ant, notamment, les plans de
l'établissement t!t le nom du technicien pr évu à l'article 3 du présent arrêté.
I-:e (Iossier est transmis au Préfet par le
MaJ~e , accom pagne, le cas échéa nt, de l'avis
mot ivé du Directeur du Bureau Mun icipa l
cJ ' H ygi èn~ ou, à défaut, du Directeur Départemental de la Sa nté. L'a utor isation es t
acco rd ée après avis du repr ésentant du Directeur Général de l'Ed ucation Physique et
des Sports, du Co nseil Departemental d' Hl'glene et sur proposition du Directeur Départemental de la Sa nté.
, Arlicle 3, -- Lorsqu'un établissement déjà
Installé ne remplit pas les conditions d'h)'-
giène ou tic se..:uritt:! ùesirables, fc \' <,
'
peu,t Sllr J,roposi't'Ion cl li maire,
tlu Dirt~."1'1
t
t)éparteD1ellt~r ù~ la S.anté Ou du repr~~lIr
tant de la DirectIon Generale de l'Educal' n·
Physique ct des Sports et après avis I~n
Co nseil Départemental lI' Hygiène, mett Il
l
l'ex ploit,nt en demeure d'exécuter les u'
vaux d'assain iss~m ent nécessaires Ott 1l1~'
ordonner la fer".letule de r étahlissement.l'
fe rmeture peut etre presenle d'office Par 1:
Prt'!e t Ol! le Iy\ alre, SI l a sit uation sàn ifair~
l'ex ig-e,
A~tic/è of. - , Les explo it a l~ ts de\'font veil.
Ic~ a, ce 9ue 1 ea u de leur etablissem~nt nt
SOit Jamais tin dange r pOlir les haif.!lll'urs.
Pour cela, ils s'adjoind ront un teChnicien
C'ha r g'" tic sur vei ll er le foncti onnement de
filtres dans le cas où l'établissement en com~
p0.rte. Ils se ront k n~s de s~ ~o n fo rme r aux
eX i gences du controle sanitaire (\'isite de
l'étahlissement, vér ification de appa reils f!
procédés de désinfection, pr élèvements pOur
analyses bactéri ologiques et chim iques, il fai,
re par un l aho r atoire ùes Ser vices ù'H).
g-iène, etc ... ),
Ils dev ront prendre tOlites meSu res utllt'S
de protection co ntre les rats et les parasites.
Ii g Jevront veilltr à ce qu'aucun acte dl'
malprop reté puisse nuire à la salubrité de la
piscine,
Dans les piscines et les bassi ns, les pla,
ges sero nt exclusivement rése rvées aux bai,
g"ncurs. La disposition des lieux sera telle
qu'i l y aura impossi bilité d'y pénétrer directement sans fai re usage de la douche et lies
pédiluves. Tout ba igneur devra, so us peine
de se voi r interdire l'accès de la pl ace, se
sa\'onner, se rincer soig neusement aux dou,
ches et compléter ces mesures dans les pédiluves.
Les do uches sero nt en nombre suffisant
aingi que les W.-L, les la vabos et les cabines ( 1 douche pou r 10, 1 urinoir pOlir 10,
1 W.- C. pour 20) . Un w. - c. devra èt re placr
à l'extr émi té du bassin, mais il en sera St'paré par l es douches et les peclilul'es,
Des loca ux seront prévus pour la ,'islte
sa nitai re é,·entuelle des ba i gneu rs, ai nsi que
pour l a -désinfecti on du lin ge et des costu,
mes ue bains.
Le sol et les parois des di \'crs locaux seron t reco u\'erts ·d' ull revêtement imperrnéa~
,"';c, ma is non dlissant, fa cil ement lavahle a
1\.1. 1 ~1n;:e. Les angles ser ont arrondis.
Le chautrafJe et le conditio nneinent ue l'air
oa ns les pisci• nes com'ertes devron t ètre (''tudiés a-l'cc le souci d'éliminer les huees ~I
J\"mpècher les co ndensations de se prolluire
SU I les parois du bâtiments.
I I. -- DISPOSITIONS PARTI CU LiEIŒS
Ariicle 5, - Piscines. _ Les piscintS sont
des établissements de natation à circuit ferme (c'est-à-d ire dans lesquels l'eau drcul r
cit façon contin ue dans Ull clTcuit co mpreli a nt des appa reil s d'épurati on). Ils de~' ront
~e sou mettre aux règles d'hygiène sun'an-
tes :
L ' e~l l1 devra êt re epurée par filt ration (I~
tvut aut re moyen qlli l a rende pa rfaiten,l en
Iimpiue. Ell e se ra renou velée chaque Jour
(J él ns la proportion d'au moins un dix ième.
Fll e sera additionllée d·un antisep tique qU.I,
nOn seulement agi ra sur les germ es, m:l~
empêChera, ell outre, l e dé,·eloppement to~S
al gues et autres éléments du phyto pl~nc <Ii;
Toutefois, l'eau ai nsi traitée ne devra Jarn,
être irritante pour les muqueuses.
Tous les jours, l es crasses déposées sur
tfi!!
Il radier et les paroi ~ ~e la pJ sc~ ~ e se rOI~t
~nle, ~t:S par . un proct:de appro~n e. La
Jan c a.ura heu au mOins. une fOIS pa r mOIS.
:'1-
A lèttc occns}o.ll, les par o.ls et le fo nd se.ront
brosses et deslnfedés sOJ gne~se~1(~ nt .
L'cau lh~Ha traverse r l a piSCIne de bo ut
~II buut.
,
. ..
.
,
pour les piscll1es de capatlte In fé ri eure a
1.000 013, le débit mini,l11urn d~vra Hrc tel
que !'ea ll soit ren,ou \'el ee ~ n, SIX heures au
plus. Ce temps sera 1 amenc a quatre heur .... s
quand, par suite cie l ',affiu~n c~, . cha q. lI~ ba.i" !leur aura lin cube d eall Inferieur a 3 m3,
L'affluence des lJaig neu rs cl ev ra être r églée
{le f<,,-o n qu'il n'y ~ <l:lt j amais moins cI~ 2 m3
d'eau il la disposltlon de chaque ba igneur.
Un ét:riteau sera apposé pou r indique r d'une
manière tres apparente le nombre ma ximu l11
ù,: baigneurs à ~d l ~e rt re, compte tenu oe la
l'apacite de la plSCI ne.
Pour les autres bassins, les mêmes pre cnpril)ns s'appliqueront, mais sur la hase
d'un renou\'ellcment de 1.000 m3 en six heu,·es Des visites sur place et des analyses de
contrôle devrunt êt re effectuées au moi ns
unt fois pa r Illois et pJus souvent si une
o use quelconque d' insalub rité était décelée,
Article G, -- Bassills, -- Les bassi ns sont
des etalJ li sse m ~n l s de natation Oll l'eau ci rcuit el1 circuit ouve rt, c'est- à-dire do nt l'eau,
flprès simple passage, t:!st évac uée, soi t de
façon continue, soit de faço o intermittente,
par vida nge. Dans tous les cas, on devr a
fai re une épuration physique et chimique
avant sa p(:né tration da ns le bassin.
Arfide 7, - Baignades. - Les ba ignades
en ri,·ière, en l ac et en mer sero nt toujours
Installt'es 1::11 un end roit où l'eau est à l'abri
Jes souillures, not amment des contaminat!uns urbaines ou industrielles. En out re,
Its baig-nades devront être complètement balayées par le co urant, t ant à l a surface qu'en
profondeur.
Les w.-c., en nombre suffisant, ,seront disposés de tell e faço n que les effluents so ient
évacués apr ès ép uration à I" a\'a l des installotions.
Une baignade Ile ser a ag réée qu 'ap rès
examen tl es lieux pa r le Ui r ec teu r D(:pa rt emental de la Santê ou de son représentant et
pa r les re présenta nts du Directeur Génera l
cie l'Ed ucation Ph ysique et des Spor ts, qui,
en outre, aurO nt à se prononcer sur les
questions de sécurité (pen te de la plage, "itesse dll co urant, turbidité de re au, nature
ùu lit),
Aucune baig nade nt:: ùevra, en principe,
ttre install ée dans une eau ayant reçu une
so.uillure proche (depuis moins de 2 kilom ~tres). L'exa men sur place des égo üts situ es en amont sera comp l té Ila r des anaI~'se bact~ r io l ogiq u es des ea ux pratiq uées
simultanément, d' une part, au lieu projeté
ùe la baignade, cI 'autr e pMt, à 2 ki lomètr eg
en. amo nt ; une souillure proche déterminer~ lt une plus fo rte pOllu tion de l'cau au
nivea u de la bai gnade.
Outre le co ntrôle hadériolo(1iqu e de la
haignade effectu é au moment b de l'i nstall ation lie celle-ci, des analyses an nuell es de':rol1t ë tr~ effectuées au prin temps, ava nt
1Ouverture de l'établissement de faço n à déceler éven tuell ement toute so'ui llure nou vell e,
L.o rsqu e la comparaiso n des anal yses bacténolog iques permet de supposer lIne pOllUtion proche, une nouvell e enquête sur pl ace
sera effect uée en vue de dépister ce tte r écen-
ft, so uillure et de JlI~nd re les mcSurt.:::; Il l'CCSsa ires ft ce sujet.
Arlicle R. -- M, le Secrétarre Gé néral de
la Préfecture, MAI. les SO lls-Pr efets d'Arx Cl
d'Arles, M , le Directeur Departemental de la
Sante, MM. les Maires et les Di r ecteurs des
Bu rea ux Municipaux d'Hyg iène, M. le Commissai re Central de Police il Marseille, M, l e
Chef d'Escadron com mandant ln gendarmerie dèS Bo uches-du-R hône sont cha rgés, chacli n en ce qui le conce rn e, de l'execution Ju
present arrêté.
Ma rseille, le 3 1 llIars 1948,
Pou r le Préfet ,
Le Seaélaire Général D élègue:
CULI. AVEH I.
------- r.~ oo c~-------
D2 B3
TVX 1
PROJETS DE TRAVAUX PREVUS POUR
\951 : 1" GROSSES REPARATIONS
AUX ECOLES .l 2" CONSTRUCTIONS
SCOLAIRES NuUVELLES.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à Messieurs les A\aires,
En vue de dresse r, conform ément à l'arl icle 68 de la loi ctu 10 aoù t 187 1, les listes
pa r ord re !.l'urgence pour l'année 195 1 des
proj ets de trava ux concern ant l es et.:oles, je
\·o us serais obli ge oe mt: fai re lo nnaitrt':.
avant le 5 novemb re 1950, les projets que
vous envisar.,:z de realiser en 195 1 en dist in guant :
- D'une part les travau x dt': r~parati o ns,
il l'eJ\clusion de ceux dits d'entretien;
- D'autre part, les t ra\"auJ\ de co nstructions nouvell es, d'agrandissement et d'aménagement port ant modifi cation de la st ructu re des locaux existants.
Ces renseIgnements devront m'êt r~ donnés SOllS l a fo rm e du tahleau d -annexé.
j'appelle tout part icu li èrement wltre attention su r les points slli va nts :
1" Ne ·ùoivent fi gurer sur c C tableau qut
les travau x dont l a rea lisation est \'raiment
préruc pOlir le COllrant de l'an née 195 1.
2" Qu'i l se.rait prema ture (le faire dablir
les a"ants-projets sans y être ÎO\·ité par mes
soins ; cela afin d'éviter d'enga ger la commune Jans des frais inutiles.
3" Que le tableau préLité de\ ra ~t re ,·ise
par l'Inspecteur Primaire, ùont depend \'o tre
commune.
~ " Que les tra"allx qui n·auront pas été
insnits sur le dit tableau ne pourront en
aucun cas être sub\'entionnés.
Pour le Préfet ~t par délé,:.(ation,
Le Secretaire Gen éral ,
LA!\IASSOU IlE,
C()AIA\UNE IJE. ,
Natu re des
Travaux aux écoles
( répa r ations
constructions
nouvelles)
Indiquer s'il y a
le montant de
la dépense prise en
Mode
cha r ge par la
de
reco nstruction
li nanceme:nt
au titre
Jommages
Je !:ruerre
1lÎeu
Enumeration
succi ncte
des tr a\"aux
à exécute r
Eva luation
approximati,·e
des tra\'aux
1
Le
VU
L'I nspecteur Primaire,
Le .Haire.
.----- <~oo<),-----
TEXTES D'INTERE r aEKÉRHL
Circulaire concernant ptu s :::,'pecialemenf
[es Administrations de 1 Et at
AC 3
DROITS PARTICULIERS
DE LA MERE DE FAMILLE
FONCTIONNAIRE
EN MATIERE D 'INDEMNITES
A CARACTERE FAMlLlAL
)2 BI
Par is, le 9 oc tob re 1950,
Le Ministre du Budget
à Messieurs 'l es Min istres
ct Secrétaires d'Etat,
MOIl attention a été a ppel~e à tliler es reprises sur les di\'e rge nces que prése ntent actuell ement les modalitê
d'a ttrihutlOn aux
mères de famille fom:tionnaires de la majoration familiale de J'indemnite de résidence, d'une part, et du supplément familial de
traitement, d'autre pa rt.
En effet, si, en matière de prestations iamiliales, la femme fonctionnaire peut percevoir de son administration la différence
entre les prestations familiales auxquelles
peut pretendre son mari et œlles qui lui seraient dues si elle était chef de félmille, par
('ont re elle ne se \'oit attribuer la maj oration f~m ili ale de l'indemnIté Je résid ence
que si elle \'it seule ou si son conjoint dispose de ressou rces inférieures du salair\!
moyen dt:'partemental.
D'autre part, le supplément fami li al de
traitement accordé aux femmes fonctio nnaires, même si elles n'ont pas la qualité de
chef de famille, SOUS la seu le condition que
leur marÎ ne perçoive pas de son cô té un
�-
lïO
aYantao~
ut:'
mt'm~
nature ..\\ais il peur arn,"In qtt;' dans certains meni.tges d"agents de
l'Etat ou des Lollecti\'ités puhliques, la fem-
me re\.oit un traitement supérieur à celui de
son l'on jOint et que. dès lors, elle puisse
prêtcndre hênéfirit!T de cette indemnité il un
taux plus deve.
Ur, la règle auuelle de priorité du père
,t'ut 'lue le- supplément familial de tr~ite
ment soit
dans rous les cas, décompte en
fonction ju traitement de ce dernier, et il
~st apparu anorma l de dés:l\'antager dans Ce
cas les menages de fonctionnair~s par ra'p~
port il ceux Oll, seule, la. femme ,a. I ~ quaht.e
d'agent de l'Etat ou des collectivites publ i-
ques.
Aussi ai-je Jt>t.:ide, en acco rd [t,'ec 1\\. le
Secretaire d'Etat il la fonction publique et
à la n'fo rme admÎOIst ra th e, que les différents <l''anta~es familiaux de\'aient toujours
~tre 3Cl'ordés ù:mg un m~llle foyer suivant
le rt'gim~ le plus fayo r ahle.
Les disposiTIons du uecret n" 50.1250 du
fi OCh>hre 1950 paru au c Journal Officiel :t
ùu R octobre 1g50 permettent desormais il
la femmc fÛIll:tionnai re de percevoir la majoration famliiale de !"lndemnité ~e residence mt-m~ si ell e n'a pas la qualité de chef
de fami ll e. Sll US la seule t'ondition que son
conjoint ne héneficie pas de son côté d'un
aranta!,!e de même nature.
D'autre part, dans un ménage de fonctionnaires, la mere de famille recevr a désormais de son administ ration une allocation suppl~mentaire. dont le montant sera
egal il la différence existant entre le supplément familial ùe t r.:ti tement perçu par son
conjoint et celui auq11el elle pOlwait é"entuellement prétend re de son prop re chef.
JI "DUS appartiendra, dans tous les (as où
\'OIIS sena saisi, de la part d'un agent féminin de yotre administration, d' une demanùe d'indemmtè compensatrice d'a,'a ntages
familiaux , d'exi'/er un dé ompte du supplément familial per,'u par son conjoint.
L'intéressée dena, en outre, s'engager à
"OIlS si~naler tOute modification
sun'enue
ùans lE.: montant de l'inuemnite- perçue par
ce Ol éme conjoint.
L~111 ite d'àge. : JO. ~ns.' auglllt!I1It!l' dl' la
durt'e des sen u.:~s Illl il ta i res ou d~ Ruerre.
Ces deux concours au ront lieu le vendred '
I? noveml1Tc 1950. ~es c?ndidatllres seron:
re,' ues pa r M. I ~ N\al r e d Auhag ne jusqu'au
16 novemb re 1950.
Tous rense i gnemen~s complementaires Seront don nés aux candIdats il l a mai rie d' f\Ub:tgne, b llrea~l d u Sec rétaire général.
Pour le Préfet et par délégation,
Les Jeux mesures sus\'Ïsees relatives il I.a
majoratiun familial~ de l'inde.n~nité de r~sl
dence et au supplement fami l ial de t r aitement prendront effet à compter du 1er octobre 1950.
.
.'
Enfin, pour repondre. a u.lle questlOli qUI
s'est Irequrmmenu posee, Je rappell e que,
par ciTlulaire n" 35-1 :~ .B.---l du 2 mars 1 9~8,
parue au « Journal Offlnel » dl.1 .l e~lde1l1aln,
un de mes prédécesseurs a precise que . l.a
majoration familiale de l'inLiem nité de r e~l
dence constituant désormais un él ément dIStinct ~e rémunération, doit être ca lcuJée,
dans tous les l'as en fonction du ta ux
d'abattement de sa'i ai re retenu en matière de
prestations famîliales! . c'est-à -~i re au tau:x
pre\'us pour la localltc de réSIden ce ;ffec.:h"e de la famille.
Par cont re, j'imlemnitê de résiden ce proprement dite est toujours ca lcu lée en foncti on du taux d'abattement prévu pour la 10ca lih~ où l'agent exerce ses fonctions.
Signé.' E. FAURE.
DO NS ET LEGS
d'ol'I'ositio/l.
.
Les rt.'..;/amattolls Ile SO/ll f'c~--;'ables que da"J
lin dél3j de trois 'Illois d pal t,,· d e l'urstrtloll
au « BlIlIetin ».
Par testam ent olographe du 5 avri l 1942,
déposé aux minutes de M~ Henri Blanc, no·
ta i re à Marsei l le, feue dame Boutonnet veuve !J\tun ghsi, a institué l a Vill e de N\arseille
légataire universelle, à charge pour elle de
fonder le « Prix Pierre Munghsi » à attri·
buer à une fr ançaise, ve uve, âgée, sa ns soutien ni resso urces.
Marseille, le 18 octobre 1950.
AVIS DE CO NCOURS
Vont étre ouve rts en Mai rie d'Aubagne:
\ " Un cunCours pour le reaut ement d'un
commis d'ordre et de com ptabilite.
Diplôme exigé: ce rtifi cat d'études primair es.
R ÉPUBL I Q U E
~..,.,
8 · Année . - N" 44 et 45
,
'-.. . -'::"0 :.DEPARTEMENT DES BOUCHr:.S-DU-RHONE
~~
'~:7'
"--------~~~~=
~ ~~~~----
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin
Mairies
Toule corresp onda n ce re lative. au Recueil doit etre adressée à la Pré fecture Secrétariat Général
...
1
Par testame nt olographe du 19 mai 19.9,
déposé aux minutes de Mel Gabriel Goirand,
notai re à Marsei ll e, feue dame Sau '(a n, reu·
ve Co nstantin, a légue : ) 0 aux hôpitau x de
Marseille, à charae d'entretenir deu x tom·
beau x, les immeubles sis -43-50, 62, ru e Nation a le, et 25, place Notre-Dame-du-Monl,
à Marseille· 2" à l'œuvre des Enfants aban·
donnés, à M'arseille, l a campagne « La Croi·
sière », 17, traverse Saint-Pons, il Saint-Ju·
lien.
.~larseil1e. le 19 octob re 1950.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaites et CircUlair""
Page e;
AG 2. -
All ocation-Logement ...
17 1
CT O. - Ventilatio n des dcpenses de
substitution de ba r ri ~ r es osc illantes
aux barrières ro ulantes des passages
à niveau situés sur des chemins ùépendant de l a voirie dépa rtementale
et communa le
171
f O. - Versement aux co ll ectivités
locales des attr ibutions compensatrices de pertes de recettes Jlo ur 1Çi49
Copie certifiée co nfo rme .
Po ur le Préfet :
Le Secrétaire Général.
LAMASSOURE.
et 1950 : liquidation pour 1940 et
ve rsement d'acomptes pour 1950
(Ikctificatif) ..... .... . ....... .
FS <:;. - A sistance médicale gr atuite.
-- Ca r te sodale des Economiquement
Faibles. - Allocation temporai r e aux
Vieux. - Assistance aux Vi eill ards,
et~... ...
. ........ .
P O. - Inscription sur la voie publique.
SC 4. - Tau x de conve rsion en argent
des journêes de prestations votées
par les communes pour l'entretien
des chemins ,'ici naux pour 195 1 ....
,J.\G 7. - Recensement et rév ision dans
la métropo le et en Afrique du Nora
172
172
172
-
-
des jeun es gens nés ent re le 1er ja nl' ier 1932 et le 3 1 décembre 1932. ... 173
Communiqués, A vis, Annonces diverses
Avis de Concou rs ..
173
Demande lI 'emp loi
.. . ..... . 173
Pu blications : Statut uene ral des
fonctionnai res ......... ~ ... , ..... . IH
Communiqués du Secrétariat
de l'Union des Maires
XXXV~ Congrès National des Maires de France
.... , .... 174
AR RÊ T ÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
0283
AG 2
ALLOCATION
LOGEMENT
Le Décret n" 50-1012 du 6 aoû t 1950 telldant à proroger l es taux des all ocatio ns de
logement indiq ue:
« Le décret Il ' 48-1 972 d u 30 décem b re
1,948~ modifie, demeure applicable pour la·
flxahon du taux des allocations de logement
et des primes d'aménagement et de demènage.ment pendant la période s'etenda llt du 1er
IU111et 1950 a u 1er juillet 1951.
Toutefois, pour le calcul des all ocations
de logement, il sera tenu compte :
l " Des resSOurces entrées au foyer en
1949 ;
0
•
FRAN (lAISE
.-I:;:is pllblié el! e.l't!C/ft;ou de l'ar/lcle 3 d,. ilë.
",l'el du ICI' lé;Jie,. J896, dans ft: but d ' iut.ilt"
\.cs héritiers I1ICOIIIIIIS des teSla/l'urs ci /'1C'lId,,,
IOU IIO;SSflIl CC du teslamcll/. Cil ,,·/lL' dl' dOllllc r
ku" cO llsent "mcnt 011 cie produire lellFs 1110;'1'11$
AG 2
2" Ull concours pour le recrutement d'lin
re cel'eur au serl'Ëce des empla cements.
..:
- - - -c»ooc·.. - - - _
D3 B2
. -) ,
2,it 9 ~ovem ~re._ry5o
LAMASSOURE.
Communiqués - Avis
Annonces diverses
Diplômes exigés : l'un des dipl ômes sui"ants :
Bre vet ~Ieme nt ai r e,
Capacite en Droit,
Diplôme de fi ns d'études secondaires,
Diplôme de gradué de J'Ecole Nationale
d'administr ation municipale.
Limite d'âge : 30 ans, augmentée de la
durée des services militaires ou de 5uerre.
,1
Le Secrétaire général,
•
D2 B3
i~
2 Du pri x du loyer au 1er janvier 1950 ;
0
3. O'u n ma ximum de loyer de 3.780 f ran cs,
malOré, s'il y a lie u, de 420 fra ncs par enfan~ au delà du premier, ou de 5.600 francs
maloré, s'il y a lie u, de 840 francs par enfant au del à du premier, selon qu'il s' agit ou
n.on ct' un logement construit ou ache vé antéf1 eurcment au 1er septembre 1948 ou d'un
lo ~eme nt sit ué dans une habitation à bon
marché, achevc antérieurement au 3 septcmb re 1947 .•
Pour le Préfet et par délegatio n,
Le Secrétaire Génèrat .'
LAMASSOURE.
-------c» 00<»-------
CTO
05 BI
VENTILATION DES DEPENSES DE
SUBSTITUTION
DE
BARRIERES
OSCILLANTES
AUX
BARRIERES
ROULANTES -DES PASSAGES A
NIVEAU SITUES SUR DES CHEMINS
DEPENDANT DE LA VOIRIE DEPARTEMENTALE ET COMMUNALE.
Ci rcul aire n" 3 18 AG-UIlB
30-\1-5U.
Le Min istre de l' Intérieur
à MM . tes Préfels (Mélropte) .
La présente circu l ai re établie en a~cord
avec M. le Ministre des Travau~ Publics, dt~
Transports et ùu Tourisme (Direction Géneraie des Chemins de Fer et des Tran~ports)
a pour objet de donner des directives au
sujet de la répa rtition en tre la S. N. C. F.
et les collectivités locales, des depenses de
substitu ti on des harrières oscillantes au~
barrières roul antes des passages il nÎ,·eau
situés sur les chemins départementaux, vicinaux et rurau x ou sur des voies urbaines.
Il y a lieu, à cet égard, de distinguer l es
passag~s à niveau silll~S sur des li gnes fe r.-roviaires non coo rd onnées et les passages a
nivea u des lignes coordo nnées.
Pour les passages à niveau situés sur des
lignes coord onnees, il m'apparaît normal que
te département ou la commune prenne en
charge la totalité des .dêpenses~ sauf lorsqu.e
l' installation des barnères OSCillantes seralf
de la S. N. C. F., auq uel cas la pa rtilipation
ùu departement ou de la commune serait
fixée à 50 9't- du montant des dépenses réelles.
Pour les passages ft nivea u situes sur des
lignes non coo rdonnres, le département ou
la com mune prendrait, dans tous les cas, en
char ge 50 ';'t- du montant des dépt:'nses réel·
les.
Vous vo uùrez bit:n h~nl r compte des indications ci-dessus toutes les foi que vo us
serez amenes fi établir ou il appro uve r une
cOI1\'entio n entre une co llectivit~ loca le et la
S. N. C. F. en matière de substitution de ba rrières oscillantes aux b:t rri ères roulantes.
La présente ci rcu lai re \'0115 est adressee
en double exempl ai re pour ,·OllS permettre de
'a comm uniquer rapidement ft M . rtngénieur
en Chef du Service Vicin aJ.
VO liS l'insérerez en Olltr~ au Helueil des
Actes Administratifs de votre Département.
Pour le Mll1lstre de l'Inte rieur,
et par dé légation,
Le Préfcl.
Dire cteur de f' Adrnil1lsfration
Géni:rale, Déparlemelltale
et Communale.
Le Directellr Adjoint
H. FOURRIER.
------- <'00<'-------
�-
172
02 B3
fO
VERSEMENT AUX COLLECTIVITES
LOCALES DES ATTRIBUTIONS COMPENSATRICES DE PERTES DE RECETTES POUR 1949 ET 1950 : LIQUIDATION POUR 1949 ET VERSEMEN"
D'ACOMPTES POUR 1950.
(Rectificatif)
Da ns le Bulletin Admi" istratil des Mair i es nO' 32 et 33 des 10 et 17 aotH 1950,
page 126. 3e l'olon ne, parag ra phe B. - Détermination d~s acomptes t r imestr iels.
Lire :
acomplt.
, .. r
~
_
[
~~ +
T
2'" acompte
G
2 4 _ [
2
+T
A
_(T_~_9_+_A_! +
~
T 2
+ 1"'
J-
acompte 1~50
A)
+ T3 + I<cet ]
2' acomptes 1950
----- -- <> 00<>----- - -
D3 B I
fS 8
ASSISTANCE MEDICALE GRATUITE. CARTE SOCIALE DES ECONOMIQUEMENT fAIBLES . - ALLOCATION
TEMPORAIRE AUX VIEUX . - ASSISTANCE AUX VIEILLARDS, ETC .. .
.
P!usleurs magist rats municipaux m'oll~
signale que ùes abus sont I:ommis dans l'at-
tribution des avantages p rê\'us par les textes
législatifs sur rAssÎ'itanre .I\\édicale Gratuite,
la
ra Tte sociale des Economiquement
faibles, l'Allocation tempo rai re aux Vieu x
l'Assistam:e aux Vieillards, etc...
'
l\ \al gré te ('o ntrô l~ se\'ère auquel p rocèLi~
m?" Administ ration, il arri \'e parfois, en
effet, que des personnes aisées, posséda nt
des moyens suffisants sollicitent ces a\'a ntages et les oh tiennent en four nissant dans
l eurs dossiers ou en donnant au x enq uêteurs
des r~ nsei g nements erronés et incont rôl a-
bles.
L'arrtte ci-ap rès reponù au souci de remédier il cette situdtion en donnant à toute
admission au hênéfke de l'une des :f)is d'assistan ce une publicité suffisante pour que
les attributions injustifiées puissent ~tre rapidem ent décelées.
Pour le Préfet:
Le Secrétaire Général d él egué:
LAMASSOURE.
•••
ARRETE
Le Préfel des Bouches-du-Rhol/e,
Officier de la Legion d'HonlZeur,
Vu la loi du 15 juillet 1893, sur l'Assista nce Meùicale Gratuite,
Vu la loi du 14 juillet 1905, sur l'Assistance aux Vit!i ll ards, I nfi rmes et I ncu r ables ;
Vu le décret du 20 juin 1934, art. 5 ;
Vu la 101 du 13 septembre 1946, sur l'allocation temporaire aux Vieux ;
Vu la circu laire 170 du 2 juin 1949 du
M i nistère de la Santé Pub liqlle ;
lite pu bliques et q u'ell e est. de plus IH · ·b
à l'esthétiqu e o u à la p rotectio n des ' s i t~~S\ le
Considêrant que to ut habitant o u co ntri buable de la com mu ne peut recl amer la radiation des personnes indû ment admises à
l'Assistance;
Considéra nt que pour perm ettre l'exerdce
de ce droit, il co·nvient de rendre publiques
les admissions à l'assista nce par tlll affic hage
en M t.i r ie :
Sur la prop0sitio n tl e M. le Secr éta ire GélIér al ,
ARRET E:
Artit'/e premier. - Notre arrt:te en li
du 3 octobr~ 1950 est et demeu re rappo rtt;;
Est fo rmell ement inte rdite dans les Bs .
ches-ou-R ho ne l' apposi ti on su r les voies oubl iq lles, notamment éd i fices privés 01' pu.
1
·
pu111·11:S, c h aussècs,
rotto l rs, arbres, murs, clôtures, pa r:lpets et p o nts~ pa nneaux indica_
te urs, etc ... dt: tu ut e mbl e m ~, affiches, jour.
naux, pa r,nea ux, trac ts, papill ons et inscrip
tio ns ùe to ute nat ure.
.
mission à l'assistance p rono n ~ée au bénéfice
d' un rèssortissa nt de la commune, soit d 'urgence pa r le Mai re, soit par la Commission
Cantonale UII la Co mmissio n Dépar tementale, doit ~t r e portée à la co nna issa nce des
habitants de la commune par voie d'affic he,
~!l spéCifi ant L1ans cha::}ue cas de quel: e natu re d'assista nce il s'ag it ; assista nce médica le aux vieillards et infi rm es, à la fa mille,
temporaire aux rieux.
. Artic!e 2. -:- Les :o n,treve nants seront pas.
slbles aes pellles ~d l L' tees par les jl rtil'Ies 47 1
\:'t sui va nt-3. d u Cod~ Pénal pouva nt L'ompor_
te r lI ne pei ne cie p ri so n.
Article :-J. - L'a ffic hage co ntin ue d'être
soumis à la règlementat ion en \"Î gueur.
Article 4. - M. le Di r ecteur Départemen_
ta l ùes Sen'iu"s de Police, M. le Comman.
ArNdt' 2. -
Cet affic,:hage aura l ieu dalls
l es huit jou rs de la décision du Ma i re ou de
l a signiiication de la décision des Commissions d'assistance et du rer a ri ngt jo urs au
moi ns.
dant de Ge nda rmerie des Bouches-du-Rhône
MM. les So us-Préfets d'Aix et d'A rles sont
char gés J e l'exécut ion d u p résent arrêté, qui
ser a inséré au Recueil des Acl es Administra_
lifs et Bll ll elin Iles Mairies.
Arfide :-J. Les reco urs éventuels des
habitants cont re les adm issio ns abusi ves
pour ro nt ~t r e ad ressés a u Préf et, 3e Di vision, dans les 20 jo urs q ui sui vro nt la pu·
blicati on de la dêcisio n du Maire ou de la
Commission Canto nale et da ns les 2 mois
qui Slll \"Ton t l a publica t io n de la de~ i s i oll
de la Commission Départementa le d ' appel.
Fait à l\-i ;Hsei lle, l e 3 1 octobre 1950.
Le Préfet
BAY LOT.
------- c > 00 c >- - - - -
D5 B I
Article ~, - Le present arr êté, qui aura
effet à date r du 1er novembr e 1950, se ra no-
Marsei lle, le 2ï octobre 1950.
Pou r le Préfet,
Le Secrétaire Général Vélegu t!:
LAMASSOURE.
------- '': >00 < >------
D I BI
PO
INSCRIPTIONS
SUR LA VOIE PUBLIQUE
ARRETE
Le P"'fel des Bouches-liu-Rhône
Officier Ile la Légion d'Honne;",
"" l'a rt icle 99 de la loi du 5 av ri l 1884
Vu les instrul'tiûlls de M. le Nlinis(re' de
Jï ntérieur llans sa ci rcul ai re n° 323 d u 3U
s.eptembrl.! 1950, su r les affiches et inscrip.
lions ;
Vu, ":OlllrHe suite, notre arrète en date du :1
11ctobre 1950 ;
Considérant qu'il imrorte de mettre fin â
Ir\ .recrlldesce~c~ des i nscr iptions, emblèmes,
affiches, g rafflth de toute natu re apposés sur
les vOies publiques q ui constitue'nt une dég raùatio n pour les éd ifi ces en (Jéné ral et (l ui
• souve nt un ca ractè
~
pr é entent tres
re sulwersir ou injurieux;
Consi derant, par ailleu rs, que cette pratique est co ntrai re au bon ord re général par
les. co nséq uences qu'ell e entraïne, tant au
pOint de vue salubrité que sû reté et tranquil-
Po ur le Préfet,
Le Secrétaire Géll éral Del eg ll e:
LA MASSOURE.
est remp lace pa r les dISPOSi ti o ns suiva nte .
AR IŒTE:
Arf i de premier, T oute ûécisio n d'ad-
tifié pour exécution à N\M. les Sous-Préfets
,l'Aix et d'Arles et à MM. les Mai res du Département et à MM. les Juges de Pa ix, pr ésidents d~s Commissions canto nales pour
informat ion quant à la nécessité de not ifier
aux l''\ ai ri ~s leurs décisi ons.
Pa\'el1r Uénéral so nt ~ h a rgë~, chac un en ce
1exécut ion d u {lr ésent
ar rête.
Ma rseilk, le 2 1 octobre 1950.
qui" le co nce rn e, dt:
1
SC 4
TAUX DE CONVERSION EN ARGENT
DES JOURNEES DE PRESTATIONS
VOTEES PAR LES CO MMUNES PUUR
L' ENTRETIEN DES CHEMIN S VICI·
NAU X POUR 195 1.
ARRETE
L e Prefel des BOll ches-dll-Rhone,
Officier de la Légion d'Hollfleur,
Croix de Guerre,
Vu l'a rticle 4 de la loi du 2 1 mai 1S36;
Vu l'a rticle 46, § 7 de la loi du lU août
187 1 ;
Vu la décisi ') 11 du Co nst'il Genéral du 16
octob re 1950
ARRETE :
Article premier. - Le ta ux de conve rsion
t!rl argent des jou rn ées de prestations auXquelles sont astreintes les co mmunes des
Bouc hes-du- Hhône pour ' entretien des :hcmi ns vicinaux o rdinaires est fixé pour année 195 1 à :
240 Fr.
- j ou r l1t-e d'homme
jour née de cheval u u d e mulet 320 •
- Jou rn ëe d'âne ou de bœuf . . 200 •
- journ ée de \,oiture il 2 roues. 280 )
- Journée de voitu r e à -i r OliCS. 320 •
- Jou rn ée cie véhi cule autO Ol O-
320 )
hi le .......... . .... .
Jou r née de remo rque ~tte,lée
à un vé hicule ,dltomohlle a 2
280 )
râ~I~~ ( ,;é·l;i ~'- ·~l;t~·n·l.· ·r ~~~~) 320
Majo ration pOlIT véhic ule au- 00
tOlllulJi le et par cheval-\'ape ur. 1
4·
"t
)
M. le Secrétaire Gé~é:tl d~
la Préfecture M. l' Ingénieur en Cl des
,
D ' cteu r
Ponts et Chaussées, AI. le
Ife Trésorier
Arlice 2. -
Contri bu t io ns Directes d 1\1.
le
_____
<>oo<~ -_---
D5 8 2
~' in fir mite Ou maladie, pOll \·a llt les re ndre
Impropres al! ser vice militaire, devro nt être::
tr ansmig au Préf~t par l ~s ser vi ces munÎcipau x pCJll r le 17 fhl ie r a\1 plus tard .
. L~s .'\ \aires dev ront s'assurer q ue la notificatIOn
.
,des d~cës des J·cunes ~(Jens , original res d lIne au tre l'ommu ne et nés en 1932,
ft été effectuée a la ,"'1ai rie du lieu de na iSsance des clécéJ és.
AG 7
RECENSEMENT ET REVISION DANS
LA METROPOLE ET EN AfRIQUE
DU NORD DES JEUNES GENS NES
ENTRE LE 1er JANVIER 1932 ET LE
3 1 DECEMBRE 1932.
Le A\inistre de la Uéfense Nationale,
\1 \ 1 la loi d u 3 1 mars 1928, re lati ve au
recrut ement de l'arm ée ;
Vu le décret du 3 1 octobre 1950 relatif à
1. formation de la classe 1952,
A~RETE
A. -
:
RBCENSEA'l,ENT
ARTICLE PREM IER. - Les Maires, ad ministrateurs, co ntrôleurs et fo nctio nnaires civi ls
procèderont au rec en sement des jeun es gens
nés éntre le 1er j anvier 1932 et ie 3 1 aécem,bre 1932, nés ou domi ciliés da ns leur commune ou circo nscripti on.
ART. 2. - Les opérations de rcce nsement
co mmencero nt le 6 novembr e 1950. Elles se
termineront le 3 1 décembre 1950.
ART, 3. - Seront inscr its sur les tableau x
de recensement
J" Les jeunes gens, nés ~ntre le 1er jan-
l'ier 1932 et le j l décembre ID:J2 (i nClus)
y compris :
a) Ceu x visés à l 'a r ticle ;{ de la loi du
31 mars 1938 ;
b) Ccux visés à l'article 12 (§ 2) de la
loi dtl 3 1 ma rs 1928 qui demanderont leur
inscription Sur les tab leaux de r ecensement
de leur dasse d'âge ; les jeun es gens, nés
en 1932 et v isés au dit ar ticle ne devro nt
p~s faire I.'objet d'un e i nsc riptt~n (f"ott!ce ;
u
2 Les Jeu nes gens visés à l'art icle 12 (S
I.er) de la loi du 3 1 mars 1928, nés ante~leu~em e~ t au 15 OI ars 1930, qu i n'ont pas
eté lnscnts sur les tableau x tle rece nsemen t
des classes précéden tes .
.3' Les hommes visés ' à l'nrt ide 13 de la
lOI d" 31 ma rs 1928, qui sont deve nus ou
~e\' I~ndront Français par voie de natu ralisatIOn, de réintégratio n ou de déclar ation
entre le 27 mai 1950 et le 3 1 décembre 1950;
.4" I.es hll mmes visés à l'art icle 16 de la
I?I du :~ 1 mars 1928 omis des classes préc.:édentes, tlont l'omission aura êté si v naTee .
~
ART • •1. -
Les tabieaux dt' recensement
s,~ront ~~a b li s d'aprës les r~g l es fixees par
1instru ctio n du 4 déce mbre 1935, relative au
reCel1Se~lent et à la révision du co nt i ngent.
fLes ~"alr~s, ad mi nistrateurs, co ntrôleurs ou
~nl't!OllnalreS civils se co nforlll eront, en part,l.cllher, aux prescr ip tio ns de l'article 4 de
11'ln s~ rll cti o n visée ci-dess us ; i ls inscriro nt
offIc e Sur les tablca ux de rece nsement les
;eunes .g~ n s nés da ns leur commune ou ci r~o nSè;IPt l o n entre le 1er ja nvier 1932 et Ir.:
31 decer;rb re 1932 (il l'exception de ceux
vIsés a 1 article 3.
,§ 1er h) ci-llessus Id pour lesquels ils
n auron~ pas reçu d'avis cI 'in script ion dans
Une al1t n: co mmune
L
.
a aes d ~mandes et dossiers cles Jeunes gens
y nt declaré ou fa it déclarer être afteints
B. -
HEV IS ION
ou
ART. 5. - La session ordin aire
Co nseil
de révision s'ouv rira le 15 mars 195 1, tant
dans la mptropole qu'en Afr ique du Nord
La séance cie cl ôtu re de cette session aura
lieu le 15 juin 195 \.
Entre les deux d.ates i ndi qu ées ci-dessus,
les préfets et rési dents générau x fixe ront
l' it inéraire du Conse il de révision et les dates
des séa nces, t:11 ten ant compte de la situ atio n climatolo gique de leur d'épartement ou
de cer tains can tons de leur dt:panc1ncnr.
Les itinér aires geront arrêtés en accorà
avec les généraux co mmanda nt les ré gions
militaires (ou les généraux
co mmandants
supérieurs) de telle sorte que le Conseil de
révis ion siège success ive ment et non sl mul·
tanément dans It!s dépar teme nts les moins
peuplés de la r~gi o n .
Les dir ect eurs du ser vice de santé régiona l seront consultés ft ce t effet .
ART. 6. Seront co nvoqués devant les
Conseils de ré vision de la classe 1952 ;
1 Les jeun es gens inscrits sur les tableaux
de recensement de la classe 1952, v isés à
l'a rticle 3 du prés ent arrêté ;
2" L es jeunes gens, aj ournés de la c l ass~
1950, pou r lesquels le Co nsei l de révision
de vra prend re une décision défi nitive, les
classant « Bons ser vice arm t: ~ , « Bons
ser vice auxi li aire ou Exemptés » (troisi t- mc
prése ntation).
<)
ART. 7. - Un dossier médical devra être
établi pour chaque recrue , lors de sa comparuti o n deva nt le Co nseil de rév ision : la
durée des séances sera fixée de telle m a ni ~ re
que les examens dont les résultats doivent
figure r .au dossier puisse nt etre p ratiqu és
avec
SOII1.
La moye nn e horai re d~s jelln~s gens examinés ne devra pa~ depasser q uarante et la
mo \'C:' nnc journali 0re trois cents.
JI ne devra pas, en prin cipe, être procé dé
à l' examen de plus de deu x ca ntons dans
la même journée.
Pour la comnosition des Commissions
médica les, les fl"énéraux co mm andant les région ~ militaires:::' feront appel aux mëdeci ns
des armées de terr e, de mer et de J'air
ART. 8. - L'examen de jeunes gens oui
ne résident pas dans le département où ils
'S o nt recensés et qui demandent à être visités au lieu de leur résidence sera effectu0
dans les conditions fixées par r arti cl\.! 53
de l' instru ction du 4 décembre 1 ~135.
Toute fo is, ceux Je ces jeunes gens, dont
les dossiers parviendraient <1 UX p réfedur~s
après la da te de b séance réserv ée, dès le
déhut des opérations de rév ision, ft l'e xa men
des « étrangers au départem ent ,seront
exa minés par le Conseil de révision au co ms
d'un e séance fixée unifor mément pour tous
1
les département:5' au 25 mai Hl51
De cette façon. IOtltes les propositions
d'aptitude physique établies à l'égard des
individus autorisés il être visités :w lieu de
leur residcnc e pourront être soumises â la
décision dt::s co nseils de reVISlon, en séa nct::
de clôture, da ns les départe ments d~ rete nsement.
Des dispositions analogues llevroot t tr e
prises dans les co nsulats de t- rante, t! 1I ('E::
qui co ncerne l'exa men des jeunes gens en
résidence il l'ét ranger.
ART. 9, - Des sursis d'incorporation (p re.-miere attrihutio n) seront accordés aux Jeunes gens de la classe 1952, et aux ajournés
de la classe 1950, déclar és aptes au ser vic t.
mili taire, dans les co ndi tio ns fixées par les
a rticies 22 el 23 d'e la loi du 3 1 mars 1928.
I.es jt:lI l1 es gens désireux de bénéfit'Ïer d' ull
sursis d'in co r poratio n seront invités à se
co nformer aux indications qui leur seront
données à cet égard dans les mairies. Afin
d'éviter toute co ntestation ultérieure, les deman,des de sursis d' inco rporation devront
être soigneust:lllent datées et les maires remettront aux intéressés un accusé de récept ion de leur demande.
ARl, 10 - La date de la s~ssion extraordinai re du co nsei l de révision de la classe
1952 sera fixée ult ~ rieurement .
ART. I l . Lt: gouverneur gé néral de
l'Al gérie, les résidents gé néraux de Fra nce
en Tunisi e et au J\'1aroc et les préfets sont
cha r gés, chacu n en Ct: qui le co nce rne, de
l'e xécutio n du présent arrêté, Qui sera p ublie
au journal Officiel de la Répub lique Française.
Fait à Pari s, le 3 novembre 1950.
Le président du Conseil des ministres,
min istre de la Dêfense natio nale
par intérim
R. PLEVEN
•
Communiqués - A v is
Annonces d iv e rs e s
D2 B3
AVIS DE CONCOURS
U n L'oncours puur le rel.:Tutemen t d' un rédacteur \'a s'om-rir prochainement il la .\1airie d'Aix-en-Provence.
Pour to us renseignements a ct! sujer,
â la Mairie d'Aix-t:n-Pro\'encf.
s'adr~sser
D2 B3
DEMANDE D'EMPLOI
Seudai re Je mairie, titulaire du Diplôme
d'aptitude aux fonctions de Secrétaire de
Mairie des com munes de rnoins de 10.000
habitants, cherch~ un poste de secretaire ou
ùe rédacteur dans 11I1 t:: co mmune ayant lIne
popul ation ùe 5.000 à 10.000 hahitants du
Département lies BOllches-du-Rhùne ou Oëparlem ents limitrophes.
MAt les Maires intéressés par Lette ca ndidatllre "oudront bicn se mett re direl:tement
en rapport avec M. BONNAUD Fran,oi". se·
crétaire de f\ \ai ri e il Peyrolles.
�RÉPUBLIQUE
Novembre 1950
co~roUMI~UES DU sEcaETBBIBT
DE l'UlIOK DES lIIBIBES
02 83
PUBLICATIONS
Statut général des fonctionnaires
Les administrations publiques et les fonf.."tlOnnaires trolileront dans le STATUT GENE1~AL DES FONCTIONNAIRES une documentation prècieuse qui. jusqu'ici, leur faisait défaut.
Healisé rar \3 UlrectÎon de la Fonctio.n
Publique et publié par les Editions de la Presidence du Conseil, le STATUT GENERAL
DES FONCTIONNAIRES comprend neuf
partIes inspirées du dispositif de la loi dulg
octobre 19.46. On y trom'era en particulier
les chapitres suivants :
_ Recrutement - Remunération - A"an-
cement - Disciplin~ - Positions - Retraites,
etc ...
La mise il jour permanente . sera ~ssur~e
au moyen de fascicules complementaIres re-
serves ' par priorité 3l! X souscripteurs qui en
feront la demande.
Let Qu\'ra!!€' est en \'ente au
900 francs sous chemise
_ 1.200 francs avec reliure
feuillets mohiles.
Les commandes doivent être
prix de :
ca rtonnée.
spéciale
à
adressées à
La Documentation Française, 16, rue L ordB)'ron. Paris (Re). C. C. P. Paris 9060-9
XXXV· CONGRES NATIONAL
DES MAIRES DE FRANCE
Tous les l\\aires -de notre dépa rt em~ nt ont
dû rece\ oir de l'Associa tion des ~\a~res d~
..:ircuJaire les invitant a
..
·t
France 1111 e leltre
assister au J5e Congrès National qlu do~ s~
tenir du mardi 2H Novembre au ven.dredl 1er
Décembre . inclus, sJ.lI e Pleyel, ' Pans.
Cette lettre drculaire est ac~omp~gne.t
d'un hulletin d'adhésion au C~~gres q~1 dOit
t-tre renvoy~ directement au sH~ge ~e 1 Ass?. t'IOn, ?_, rue du . Rou
cla
. le. par les Intéresses
â jour de leur cotisation.
( Ceux de noS Collègues qui n'-auraient I?a~
enCore adhére et qui deslreralem le fai re,
sont priés de s'adresser au siège de l'Asso'
ciation pour demander renvoi des fo~mllies
d'adhésion et le mandat permettant d effectuer le versement de la cotisation due pour
1950.
d ' . d' <!lh'
Quant à ceux qui n'ont pas le e~lr a erer et qui voudraient certams re~ sel gnem e~ts.
ils sont priés de s'adresser . SOIt au Secretari at de l' Union, soit au Maire de leu r cherlieu de canton .
Oans le caS où les Maires ~dhérents ne
pourraient assister eu~-mêmes a tes assise
il leur ~St reco mma!1d.~ de se ,m.tI ~,ir du pou~
vo~r jo~nt~ aux de~c'{ pleces preCitees, pouvoir
qUI dOIt etr~ re v~tl1 du sreau de leur .~\airil'
et de leur Slgr. atuft'.
Il est indispensable que ~e POuvoir soit
relllis ,lU LOurs th: l'Assemh l ~e Géneralt! \:III
doit se tenir il la Préfectur e des BOUCh,,~
du-nhône le 24 Novembre prochain, à ceux
de noS Collègues qui eront désignés POur
représenter l'U nion Déopartementale.
Il est également stipulé q ue l'Association
des Mnires de France a adressé ft tous les
Maires des chefs-lieux ùe canton , les pi èces
susvisées, ainsi que le bull etin mensuel Contenant les différents rapports qui doi\'ent être
discutés ail co urs du Congrès. Ces rapporls
seront au _préalable lus et discutés lors de
l'Assemblée Géner ale qui préc~dera le Congrès, le 2~ No\'emhre.
Afin de sil11jJli fter les débals, le Secrélarial
prie tOIlS les Maires d'étudier les dits rapports t:1 de soumett r e leurs ohservations le
jour de l' Assemblée Générale.
L 'importan ce de cette Assemblée et de "
ConlTr ès n'échappera à allcun d'entre nous,
c'est pourquoi il est fait instamment appel
à touS dans l' int érêt général.
Le Secrétair e Général de l'Union,
AUDIBBRT.
DËPARTEMENT
FRAN0AISE
DES
t lJ.l '
~,
Admin~
et Bulletin des Mairies
Recueil des Acles
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
,
ABRÉVIA.TIONS
A. P. : Arrêté pr éfectoral. - C. : Circulai re. - Le s lettrt1i D et B suivies d'un ohlffre. in dique nt le Se rvice ou Bureau d'ongllle
_ S. L. R. A, : ServIce de Liquidation des Réqu isitions Allemandes. - R. G. : Ravitaillement Général - S. C. R. : Service de la
Circulation et du Roula g~. - D. D. S. : Direction Départementale de l a Sa nté. - D. S. T . : Direction des Services Techniques.
Pa&,e~
Page ..
A 1. - A,rrété portant classement en
categories des assurés sociaux agri coles
..... .. .. ....... .
_ l~'l ontant des l rémunération s annu elles moye nn es dans le département
des oB.-du~Rh. :
(Zone 1)
(Zone 2)
(Zone 3)
2
~
4
Montant des cotisations des Assurances Sociales Agrico les pour les
salariés et assimilés des exploitations
agricol es forestières, cultures spécialisées, entr eprises de battage (a l'exception des salariés des organ ismes
professionn els agri co les). Validité à
co mpter du 2~ trimestre 1950 :
1?ag~3
(Zone 1)
(Zone 2)
(Zone 3)
Arrêté modifiant l'arrêté préfectoral du 31 M'ai 1950, porta nt classement en catégories des assur és
socia ux agricoles
6
10
13
A 1. -
06 B I
15
A 1
ARRÊTÉ
FORTANT
classell1snt en catégories
des as~urés sociaux agricoles
ARRETE
Le Préiet des Bouohes-du-Rh ône,
Officier de la L égion d' Hon neur,
Cro ix de Guerre,
Vu l'ordonnance du 7 Juillet 1945, r elative
à IJinstitution des Com missions Paritaires de
Copie c~rtifiée conform~ .
Pour le Prefet :
L. Secré/a;" Général.
LAMASSOURE.
travail et à l'établissement des r èglements de
travail en agriculture ;
~
Vu l'arrêté préfectoral du 30 Av ril 1948
portant fi xation du régime du travail de~
salariés dans les exploitatiolis agri coles ;
Vu l'arrêté préfectoral d'u 18 Décembre
1948 'Portant revalorisation des salair es agri-
t ales ;
Vu l'arrêté préfectoral du 28 Juillet 1949
portant fixation du régime du travail pour les
OIlYn ers for estiers ;
Iwpauoa,& Ne.. au.& 01 lh...nl~. 110, aua S.I..,.
Vu le décret n" 50-444 du 20 Avri l 1950,
r elatif au financement des Assurances Socia les Agr icoles ;
Vu la circu lair e n" 36-50 en date du 21
Avril 1950, de M. !e Ministre de l 'Agri culture;
Vu le décret n' 5Q..475 du 28 Avril 1950,
relatif au classement des salari és agrico les
dans les catégories prévues par le décr et
n" 50-444 du 20 Av ril 1950 :
Sur propositio n du Contrôleur di visionnaire
des L oi~ Socia les en Agr icu lture
ARREl'E :
ARTICLE PRE.'"ER. Le classement en l,!
ca tégori e des assures sociaux ob ligato ires
agrico les et le montant des cotisations pour "
les salarj~s et assimilés des exploitations
agricol es et forestiè res, à l 'exception des
salariés des organismes professionnels agrico les, sont fi xës conform ément aux tableaux
ci_joints.
ART. 2. - Le Secrétaire Général de la Préfecture et le Contrôleu r des Lois Sociales en
Agriculture sont cha r gés, chacun en ce qui
le concerne, de l'application du présent arrêté
qu i sera inséré au Bulletin des Actes Administratifs d ll Département.
Marseille, le
~1
NIai 1950.
POli r le Préfet,
Le Secrétaire Général,
G. L.AMASSOURE.
�2
Rémun éraI ion :\nJl\lt lle
MONTAN T DES REMUNER AT IONS AN NUELLES MOYENNES
DANS LE DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHON E
moycnn~
D urée
Z ON E 1
Salai re
horaire
EMPWIS
(Ir.)
Rémunt>ratiol'/ annu ell~
moyenne
horaire
Durü
du
trayail
(fr.)
(h.)
Salaire
DIPLOIS
Ouvriers
permanelllS
(fr.)
Ouvriers
non
jll.-rman('!1t s
(fr)
lame. aide-cll isinière
47,50
2.400
114.000
123.606
ramasseuse de foin, cueil-
leuse d'olives ...... ....
51,50
2.400
123.000
134 ..JOO
de
raisin
55,50
2.400
133.200
145.200
2. 400
150.000
150000
de
67 >
2.400
160.800
160.800
bra nches de la
Emba lleur da ns la vig ne..
74 ,
2.400
177.600
1ii.600
78,50
2.400
188.400
18H00
Coefficient 120 "
Coe fficient 150 :
Garde de 3e catégo rie ...
55,50
2.400
133.200
145.200
6 1,50 _ 2.400
147.600
Ga rde-chef
par-
faitement son métier ou
spêcialisé dans une ou
2.400
163.200
2.400
133.200
145.200
6 1,50
2.400
147.600
160.800
68 ,
2.400
163.200
177600
Coefficient 150 "
Ouv rier qualifié
.. '
Coefficient 160
72»
2.400
172.900
188.400
Coefficient 170 "
2.400
163.200
177.600
Chef
d'une
équipe
,
72 ,
2.400
172.800
188.400
76 >
2,400
182.400
199.200
O uvrier spécia lise , ..
110 >
2.400
1 14,50
2.400
26~.OOO
274.000
Coefficient 100
Manœuvre .. . . , . .
84 ,
2.400
201.600
220.800
88,50
2.400
2 12.400
47,50
2.400
114.000
53,50
2.400
128.400
l'entreti en des pi stes sablées, lad ne montant pas
à cheval .....
'Coefficient 165 "
Lad montant à cheva l. .
96,50
2.400
23 1.600
à main
de
fab rication
168.000
182.400
~
d'éq uipe,
2.400
142.800
10 1,50
2.400
243.600
280.140
107,50
2.400
25~.000
295.550
2.400
144.268
44,50
2.400
106.800
11 6.400
48,50
2.400
116.400
127.200
52,50
2.400
126.000
136.800
56,
2.400
134.400
146.400
64 >
2.400
153.600
166.800
68,
2.400
163.200
177.600
Ensem ble d u Dépa rtem ...
CULTURE..Ci DI VERSES
2.400
142.800
156.000
Coefficient 100 "
i\'\an œuvre, ser vante déb utante, aide-cui siniè re
Coefficient 1 10 "
Uuv rier à to ute main, ser64,50
2.400
154.800
166.800
74 ,
2.400
177.600
193.200
o uvrier
hautement quali fi é ....
76 ,
2.400
182.400
199.200
(ensemb le du Dépa rtement)
Ire Catégorie
Coefficient 11 0 :
5 1,50
2.400
123.000
141.450
59,50
2.400
142.900
164.220
64,50
2.400
154.800
179.020
72 ,
2.400
172.800
198.720
2e Ca tégorie
Journalier, manœuvre
4e Catégorie
Coefficient 160 "
Ouvrie! .d'ateliers, te rrassier
qU~llfl é aux travaux des
sail ilS
5e Catégorie
Coefficient 170 .
spécialisé et chef
d equlpe .. ' ..... , .... ,
CoeffiCient 200 "
59,50
262. 2OQ
l1 És i N IEIlS
va nte de ferme, vac hère,
ramasseuse de foi n, cueilleuse d'oli\'cs ,_ ...... ,.
CoeffiCient 120
Jardini er
S\lUS-saunier 1er échelon ...
Bûcheron de bois de chauffage, éco rce ur, débardeur
CoeffiCient 220
2.400
Coefficient 130
Uuvrier co nnaissan t so n
métier, co nducteur
de
tracteur, charretier, berge r,
po rcher, ga rdia n,
vache r,
JanJillle r
2e
échelon
Cu efficient 150 :
OU":ier con naissa nt parfaitement SOIl métier ou
spécial ise ua ns une Ou
plusieurs branches de
l'ac tivité agricole, premier
char retier, bayle travaillant, chauffeur tle ca mion
ou de camion nette, co nJucteu r de tracte ur qualifi é, méc(lnicien agricole,
fo rgeron, chauffeur
à
main spécia lisé, lIi ve leur
maître porche r, maître'
b~ r ge r ,
maître vache r,
gre ffeur, rayonn eur pour
pl antation, ta illeur specialiste, 1er ja rdini er .
CoeffiCIent 160 "
Jard ini er hautement qualifié
76 ,
2.400
182.400
209.760
Coefficieflt 175 .
220.800
O uvr ier hautement Qualifié,
bayle ou granger, co ntremaître, chef de culture
Coefficient 180 :
Co efficient 130 "
228.000
Coefficient 247 "
177.600
I() u~:ier.
Coefficient 11 5
Fa go tti er et menus travaux
Coefficient 200
70 ,
59,50
Manœuvre spéc ial isé
EXPLO ITATIONS FOREST IJ~ RES
204.000
163.200
Coefficient 140 "
Coefficient 230
Coeflicient 240 "
2.400
2.400
3e Catégorie
B ATTAGES
Ouvrier no n spécialisé.
78 >
68 ,
Coefficient 130
d'au
2.400
( fr.)
ZONE 2
Femmes .... , ... ,.
O uvrie r hautement qualifié,
68 ,
agent .. . ........... .
E XPLOITATIONS SALI N I ÈRES
Ouvrier spécialisé ..
Ou\'rier hautement qualifié,
bayJe ou grange r, contremaître, chef de culture
et chef d'équi pe, ouvrier
Coefficient 190 "
Moissonneur de ri z à la
55,50
Coefficient 135
Coefficient 175 "
dipl ô mé d'un Etablissement ag ri cole. métayer ...
188.400
95 >
(fr.)
Coefficie" t 23Q :
Coefficient 140 :
Chef
moins 10 ouvri ers
lifie .............. .
172.800
(h. )
Sa uniers, cont remaît re, SOllS-
Coefficient 170
Olivrier 1re catégo rie .. . .
Coefficient 160 "
qua-
2. 400
Coefficient 120 "
travaillant, chauffeur de
camion ou de camionnette, conducteur de tracteur qualifié, mécanicien
agricole, fo rgeron, faucheur à main spécialisé,
niveleur, maitre porcher,
maître ber.ger, maître vacher, greffeur, ra yo nneur
pour plantations, tailleur
s?ê."ialiste, premier jardinie r . ... ... . .. ..... .
72 >
.....
(f r .)
l'entretien des pistes ga-
160.800
m .1i!)
Ouvriers
non
pcrmanents
(ense mble d u Départeme nt)
CHAMPI GNONN IÈRES
plusieurs branches de
"activité agri cole, premier charretier,
bayle
lia ire, chef des expéd it..
Hom me de piste c ha r gé de
68 >
travai l
OU\ ~i er..
perm ane nts
Co nt rema ître, sa unier auxi -
chef d'atelier, agent. .
Ouvri er haute ment quali fié,
cab li ste spécia l iste ...
. du
Coefficient 2 16 "
Chef
zonnées .. ', ..
Coefficient 100
.Coefficient 150 .
(f r.)
Homme de pist e cha rgé d e
Ga rde de 2e catégo ri e .
156.000
EMPLOI S
Coefficient 130
Coefficient 135 "
142.800
(f r .)
C HAMPS DE COURSE
Ouvrier connaissant son
métier, conducteur de
tracteur, charretie r, ber-
2.400
(h .)
Salai re
horaire
annudl c:
pc rmanenl ~
Coefficiellt 155
G. rde de I re catégo ri e ...
59,50
(fr. )
OU\ rier ..
permanents
produc-
tion fo restière et ba tteur
de bois de mine et de
bois en grum es , ca rb onisateur ,.' .. , .
Coefficient 150 :
Coefficient 130 "
ger,
porcher, gardian,
vacher, jardinier ? échelon ............. . ... ..
t ra va il
dans un e ou plusieurs
62,50
tab le
du
Salai re
ho rai re
Durée
O U\ riers
non
Coefficient 150 "
Bllcheron qu a lifié s péc ialisé
GA R DE-~HASSE
Jardinier .. .. ........... .
Régisseur . . .
EMPLO IS
(fr.)
ve ndange,
raisin de
Co upeur
de
cue ill eu r tl e
Coefficient 120 "
Ba yle regisseur ....
D u r{e
nOn
Coefficient 160 :
vante de ferme, vachère,
fauci lle .... .... .
( f r.)
R~munération
Ûuni"'fS
Coefficient 125 :
Por te ur
de
comportes,
charretier ............ .
Coefficient 1 \0 "
Ouvrier il to ute main. ser-
hautement
(h.)
annuelle
moyc nne
VENDANGEURS
Emball eur
tab le
Coefficient 100 "
.Manœuvre, sen'3nte dêbu-
Jé:!:rdi nier
travai l
Ouv ri ers
permanents
l{ ~ mu n éralio D
Coefficient 135 :
CULTURES DI l'ERSES
Ouvrier connaissant
du
-------------------------------------~--~
80 ,
2.400
192.000
et chef d'éq ui pe, ouvrier
diplômé d'un éta blisse-
�Dur~c
EMPLOIS
Sa}air~
du
horaire:
travail
(b.)
L oeffident
(1..)
Durée
Salaire
horaire
DII'LOI S
(Ir.)
du
Ouvriers
travail
permanents
(b.)
(1..)
Coefficicnt 11 5 :
à la
faucille . .. ............ .
RémunératiOn 311nuc l1e
moyenne
(ILl
190
.M oissonneur de ril
-
RémunératioQ aDnuclle
moyenne
Ouvriers
Ouvriers
non
permanents vernmn('nt ..
79,50
2.400
190.800
207.600
Coefficient 200 :
Fa.!!ottier et menus travaux
2.400
50,50
12 1.200
Ouvriers
83,50
2.400
200.400
Coefficient 220 :
JlUgisseur ..... . ....... , .
91
~
2.400
218.400
Bûcheron de bois chauffage, écorceu r, déba rdeur à
nlain ................ .
56
~
2.400
J 34.400
Jlerruan c nt ~
Coefficient 125 :
Coupeur de vendange, cueilleur de raisin de table ..
59 >
141.600
2.400
141.600
Coefficient 135 :
132.000
146.400
Emballeur de raISin de
table ... .. .. . ..... .. .. .
63,50
152 ..JOO
2.400
152.400
Coefficient 150 :
retier .. .. ... . . ....... .
69,50
2.400
166.800
166.800
68 >
2.400
163.200
177.600
64 >
2.400
153.600
2.400
158.400
Coefficient 135 :
Garde de 2e catégorie . . . .
Coefficient 150 :
Ga rde de Je catégorie . . . .
126.000
136.800
64 >
2.400
2.400
139.200
153.600
152 ..JOO
166.800
Coefficient 160 :
Garde-chef ... . ...... . . ...
68 .
163.200
177.600
CHAMPIGNONNIERES
52,50
2.400
126.000
136.800
Coefficient 135
Ouvrier spécialisé
58 >
2.400
139.200
152 ..jQO
Coefficient 150
Ouvrier qualifié ...
64
>
2.400
153.600
166.800
2.400
163.200
177.600
2.400
171.600
75 >
86
rais in
166.·900
182.400
table ... . ......
retier ....... _. . . . . . . . .
J.. rdinier
2.400
180.000
196.800
2.400
49,50
2.400
11 8.800
~
2.400
C hef d'équipe d'au
10 ouvri ers
206.400
2.400
134.400
Embalieur da ns la vig ne . .
Garde de 1re catégorie. __ .
2.400
127.200
139.200
60 >
2.400
144.000
144.000
Garde de 2e catégo rie . ...
Garde de 3e catégorie . __ .
spécialisé dans une Ou
pl usieurs branches de
l'activité agricole, premier
lifié, mécanicien agricole,
forge ron, chauffeur
à
main spécialisé, niveleur,
maître porcher, maitre
berger, maître vacher,
greffeur, rayonneur pour
2.400
. 158.400
158.400
2.400
213.600
2 13.600
97,50
2.400
234.000
234.000
ExPLOITATIONS FORESTIÈRES
plantation, !ailleur spéciaJiste, 1er jardinier ...
70 .
2.400
168.000
. 169.000
Coefficient 160 :
Coefficient 100 :
2400
106.800
116.400
I!udinier hautement Qualifié
2.400
145.200
158.400
132.000
144.000
60
>
2.400
145.200
158.400
64 >
2.400
153.600
168.000
68.00
2.400
163.200
177.600
77 »
2.400
184.900
20 1.600
84,50
2.400
202.800
220.800
42,50
2.400
102.000
110.400
48 >
2.400
115.200
124.800
53 >
2.400
127.200
139.200
60
>
2.400
145.200
158.400
62,50
2.400
150.000
163.200 •
Coefficient 130 :
Bûcheron de bois cha uffage, écorceur, débardeur à
In ain
49,50
2.400
11 8.800
129.600
................ .
Coefficient 150 :
Bûcheron qualifié spécialisé
dans une ou plusieurs
55 »
2.400
132.000
144.000
bra nches de la
158.400
tion forestière et batteur
de bois de mine et de
bois de grumes, carbonisateur ...... .
60 >
2.400
145.200
produc-
Coefficient 155
64 >
2.400
153.600
168.000
Ouvrier hautement qualifié
----------~----------
60,50
2.400
Coefficient 115 :
ragottier et menus travau x
ducteur de traeteur qua-
89 •
55 >
E XPLO ITATIONS FORESTIÈRES
.J\'\a nœuvre ........ . .....
66 ;)
Coefficient 160 :
Garde chef ....... .. .
129.600
Coefficient 100 :
Coefficient 150 :
par-
118.800
(fr.)
Coefficient 215 :
Coeffirient 135 :
Coefficient 150 :
co nn aissant
2.400
134.400
Coefficient 120 :
53 >
49,50
(Ir.)
moins
Ouvri er non specialisé
56 >
GARDE-CHASSES
Ouvrier co nnaissant son
métier, co nducteur
de
tracteur, charretier, berger,
porcher, ga rdian,
jardinier
2e
vacher,
échelon ............ .
(b.)
Coefficient 195
120.000
129.600
U uvrier qualifi e .....
Olivri er hautement qua lifié.
188.400
Coefficient 160 :
'.
spécialisé
O uvri er spécialis é ...
Porteur de comportes, char110.400
(Ir.)
de
va nte de ferme, vachère,
2.400
pe rman ents
Coefficient 135
( :uvrier
Coefficient 150 :
46 »
permanents
BATTAGES
ramasseuse de foin, cueilleuse d'olives _..
197.200
Coefficient 215 :
U., ......... llvr~
110.400
à toute main, ser-
lant, chauffeur de camion
ou de camionnette, con-
Coefficient 195
Ouvrier spécialisé .. . . .. ..
102.000
charretier, bayle travail71,50
BATTAGES
--Ouvrier non spécialisé .. ...
2.400
faitemen! son métier ou
68 •
Coefficient 170 :
Chef d' équipe d'au moins
JO ou\'riers . . ..... .. . . .
OU\'rier
Ouvrier
Coefficient 160
Ouvrier hautement qualifié
42,50
Coefficient 1.30
Coefficient 120 :
Ou\'rier de 1re catégo rie . .
2.400
Coefficiellt 135 :
Coefficient 120
2.400
69,50
Coefficient 110 :
1
58 >
O uvrier 1re catégroie.
Coefficient 125 :
Coupeur de vendange, cuei l-
de
non
travail
Coefficient 120 :
VENDANGEURS
Emballeur
Ouvriers
Coefficient 170
leur de raisin de table . .
Manœuvre, servante é1ébutante, aide-cuisinière
du
C HAMI'IGNONNI ERES
78,50
Bayle régisseur . . '
172.800
EMPLO IS
Ouvraers
Salaire
horaire
Coefficient 160 :
Rtgisseur ..... - .. - ..
66 >
Durée
(fr.)
166.!OO
•
2.400
(Ir.)
Coefficient 200
Coefficient 100 :
52,50
(b.)
moyenne
Coefficient 150
à la
faucille .... . ......... .
CULTURES D I VERSES
Coefficient 120 :
Garde de 1re catégorie. . ..
ment agricole, métayer . .
Moissonneur de riz
ZONE 3
GARDE-CHASSES
(Ir.)
Rémunération annuelle
Ouvriers
non
permanent s
Coefficienf 220 :
Coefficient 1'60 :
Emballeur dans la vigne. ..
travail
Ouvriers
permanents
Coefficient 190 :
Coefficient 155 :
Ouvrier hautement quali fié,
câbliste spéciali ste ... .
Porteur de comportes, char-
du
Salaire
horaire
Coefficient 175 :
hautement qualifié,
bayle ou gra nger, contremaître, chef de c ult~re
et chef d'équipe, ouveter
diplômé d' un établisse-
Bûcheron qualifié spéCialisé
dans une ou plusieurs
branches de la produciion forestière et balteur
de bois de mine et de
bois de grumes, carbonisateur ............ .
EMPLOIS
(h.)
Coeificient 150 :
VENDANGEURS
Durée
non
Coefficient 130 :
Bayle régisseur .. ... .. . ..
Rémunthation annudle
moyenne
�6
.
z0
NE
-
HONTANT DES COTiSATiONS
Validité à compfer du 2e Irimestre 1950
J
0UV/( I l:. I ~S
1
MO TANT DES COTISATIONS DES ASSURANCES SOCIALES AGRICOLES POUR LES SALARIES ET ASSIMILES DES
EXPLOITATIONS AGRlCOLES, FORESTfERES, CULTURES SPECIALISEES, ENTREPRISES DE BATTAGE (à l'exception
des salariés des organismes professionnels agricoles).
Ol"VRIERS
OUVRIERS NON PERMANENTS
'ET OUVR1ERS A LA TACHE
PER~fA...,"E.L"JTS
Cotisation mensuelle
___ I.__
, __,____ \
Cotisation journalière
_.::...-:_.....:~
Assu-
Em·
Em·
------PREMIERE CATEGORIE ......... .
Rémunerotion annuelll' moyenne inférieure à 120.000 francs.
18
26
44
450
Illoyeur
650
Cotisation'
_---------------
.-\.\o1)u· '
1.
Eut·
ré
11loYl:IIT
Coefficienl 150 "
-.. _ Ouvrier qualifié
1.350
1.950
3.300
EXPLOITATIONS AGRICOLES
Coefficient 100 "
-
Manœuvre, servante debutante,
aide-cuisinière.
EXPLOITATIONS FORESTIÈRES
-
22
DEUXIEME CATEGORIE
Rému nération annuelle moyenne
comprise entre 120.001 francs et
144.000 francs.
32
54
550
aoo
1.350
1.650
2. 400
4.050
c.o~na l ssant 'p~ r
Coefficient 110 "
- Ouvrier à toute main, servante
de ferme, vachère, ramasseuse
de foin, cuilleuse d'oli,"es.
Coefficient 120
- Jardinier.
Coefficient 130
- Ouvrier connaissant son métier,
conducteur de tracteur, charretier, berger, po rcher, g ardian,
\"acher, jardinier 2e échelon.
EXPLO ITATIONS AGR ICOLES
-
Coefficient 150
Manœuvre, serva nte débuta nte, aide-cuisinière.
-
Coefficient 110 "
- Ouvrier à toute main, ser-
-
Coefficienl 120 "
Ga rde de 1re catégorie.
C HAMPIGNONNIÈRES
C oefticient 120 "
- Ouvri~r de t Te catégorie.
EXPLOITATIONS SALIN I ÈRES
EXPLOITATIONS FORESTIERES
VENDANGEURS
-
Coefficient 135
Emballe ur
tab le.
Bûcheron de bois de chauffage,
écorceur, débardeur à main.
EXPLOITATIONS FORESTIÈRES
Ecorceur,
main.
débardeur
à
C HAMPS DE COURSES
(Ensemb le du Département
Coefficient 130 "
Homme de piste cha rgé de
l'entreti e n des pistes g a~
zon nées.
Coefficient 140 "
Homme de piste cha rgé de
l'entretien des pistes sablées, lad ne montant pas
à cheval.
EXPLO ITATIONS SALINIERES
(Ensemble du Département)
Coefficient 130 "
- Jo urn a liers, manœuvres 2e
catégorie.
RÉS IN IERS
(Ensemble du Département)
EXPLOITATIONS SALINIERES
~fA TRIEME CATEGORIE ...... .
(Ensemble du Département
Coefficient 110 "
- 1re catégorie: Femmes.
muneratlOn annuelle
de 168.001 francs
à 192.000 francs
1
Coefficient 130 "
30
moyenne
EXPLOITAT IONS AGRICOLES
2e catégorie: Manœuvres.
~
Ga rde de 1re catégo rie.
Coefficient 135 "
(Ensemble d u Département
Coefficient 140 " 3e catégorie.
- Manœuvre s pécial isé.
tretien des pistes gazonnées.
~
raisin de
EXPLOITATIONS SALINIÈRES
CHAMPS DE COURSES
(Ensemble du Département
Coefficient 130 "
- Homme de piste chargé de l'en-
TROISIEME CA TEGORlE ... ..... ..
Rémunération annuelle moyenne
comprise deJ .1",.,,......,,.
144.001 francs
. ._
de
GARDE-CHASSES
CHAAIPS DE COURSES
Fagottier et menus travaux.
Co up eur de
vendange,
cuei lleur de ra isin de table.
Coefficient 130
(Ensemble du Département
Coefficient 140 "
- HOf!1me de piste cha rgé de j'entretien des pistes sab lées, la d ne
montant pas à cheval.
Coefficient 130 "
-
Ga rde de 3e catégo ri e.
Bûchero n qua lifié spécialisé dans
une ou plus ieu rs bra nches de la
production fo restière, abatteur de
bois de mine et de bois en gr umes, carbonisateur.
Coefficient 155 "
- Ouvrier ha uteme nt qua lifié, câbliste s péCialiste.
(Ensem ble du Département)
Coefficient 110 "
- 1re catégorie
Femmes.
O uvri er con na issa nt So n
métier, co ndu cteu r de tracte ur, cha rretier, be rge r,
porc he r, gard ia n, vacher,
jardinie r 2e éc helon.
O uvri er de 1re catégorie.
Coefficient 135 "
- O uvrier spécialisé.
Coefficient 150 "
vaux.
Total
-
-
Coefficient 115 "
-
Ga rde de 2e ca tégo ri e_
EXPLO ITATIONS F OREST I ÈR~
Manœuvre.
Em
Illoycur
C HAMP IGNONN 1È RES
- Ouv rier spécia lisé.
Coefficient 150 "
- Ouvrier qua lifié.
EXPLOITATIONS FOREST IERES
rc
Coefficient 120 "
CHAMPIGNONNIERES
Coefficient 100
A~'1u-
-- Garde de 2e catégo ri e.
Coefficient 135 "
vante de ferme, vachè re,
ramasseuse de foin, cueilleuse d'olives.
Total
Coefficienl 125 "
Coefficielll 135
Coefficient 11 5 "
- Fagottier et menus tra-
GARDE-CHASSES
-
-
-
-
Employeul
Jardinier.
Coefficient 135 "
Coefficient 100 "
A ..",uri
Irime~triel1e
Coefficient 130
Coefficient 120 "
GARDE-CHASSES
-
-
_ Coupeu r de ve nda nge, c ue ill eur
de raisin de table.
_ Emilalleu r de raisin de table.
EXPLO ITATIONS AGR ICOLES
Total
l'otisatiOll
EXPLO ITAT IONS AGR ICOLES
Coel/icienl 125 "
Manœuvre.
Employcl1f
Cotisation mensuelle
- - - -------1-- --1---
VENDANGEURS
Coefficient 100 "
Journalière
Coefficient 120
.
faite ment son metler .ou specl a. l"sé dans une ou plllSI ~UTS branc'hes de l'ac ti vité ag n cole,. premier charret ie r, h~y l e tra va illant,
chauffeur de cam ion ou de camionnette, co nductt:u: de .tracteur qualifié, m éca 01 ~l e n a~ n col ~,
ro rgero n, faucheu r ~ main specialisè, ni veleur, ma~tre porc her,
maître be rger, ma lt re vac her,
greffeur, rayonneu.r ~our plan~a
tions, tai ll eu r spéCialist e, premier
jardini er.
Total
1- - - 1 - - 1.1 00
ré
EXPLOITATIONS AGR ICOLES
........
trunestriellt
Total
COli~allOn
A~ l!-
...
MONTANT DES COTISATIONS
NON PERMANENTS
E'r OUVR I EHS A LA TACHE
OUV'RIERS PERMANENTS
EXPLO ITATIONS AGR ICOLES
Coefficient 160 "
26
38
650
950
1.600
1.950
2.850
-
Jardinier hautement qualifié.
Coefficient 175 .
Coefficient 150 ,' ,
-
Ouvrier qualifié co nnaissant parfaitement son mé-
44
74
700
1.100
1.850
2.250
3.300
5.550
�8
MONTANT DES COTISAT IONS
o
' \tRIER$ SO~ PERMANENTS
OL=V' RIERS A 1-\ T.\CIlE
rr
Ot"VRIERS PERM."NENTS
,.
.wu·
le ou granger, contremaitre, chef
agricole. métayer.
VENDANGEURS
Coefficient ISO :
Porteur de comportes, cha rretie r.
Coefficient 160 :
-
Emballeur dans la ,'igne!.
Total
-
Dm'riers.
(Ensemble du Département)
Coefficient 165 :
- Lad montant à cheval.
Coeffit"ient 170 :
- Chef d'équipe. ouv rier hautement
qualifié.
EXPLOiTATIONS SALINIÈREs
(Ensemble du Département)
Coefficient 160 :
4e catégorie : ouvrier d'atelier,
terrassier qualifié
des salins.
aux
travaux
spécialisé
et chef d' équipe.
Coefficient 180 :
comportes,
SIXIEME CA TEGORIE ........... .
BATTAGES
Ntmunération annuelle moyenne
Coefficient 230 :
sl/périeure à 216.000 fran cs.
Garde-chef.
EXPLO ITATIONS AGRICOLES
Ouvrier qualifié.
Cot/IIC/ent 220 .
-
Ouvrier hautement quali-
-
Contremaître, saunier auxiliaire,
chef des expéditions.
Bùcheron qualifie spécialisé dans une ou plusieurs branches de la production forestière, abatteur
E XPLOITATIONS AGRICOLES
a la
Coefficient 175 :
faucille.
-
Coefficient 200 :
Bayle régisseur.
EXPLOITATIONS SALINIÈRES
(Ensemble du Département)
(',Jefficienf 200 :
Sou5-saunier 2e échelon.
RÉSINIERS
(Ensemble du Département)
Contremaîtres.
Ouvrier hautement qualifié, contremaître, L"hef de
culture et chef d'éq uipe
diplômé d'un étab lissement agricole.
Coefficient 190 :
-
Moissonneur de riz à la
faucille.
13
6
18
9
9
4.200
7.0SO
-
Sous-saunier 1er échelon.
Co~fficirnt 200 :
So us-saunier 2e écheloll.
-
Cuntremaître, sau nier auxiliaire, chef des expéditions.
Coefficient 232
Saunier, contremaitre, sousagent.
Coefficient 247 :
(Ensemble du Dépa rtement)
Coefficient 140 :
CINQUIEME CA TEGORIE ...... . .. .
Rémunération annuelle moyenne
de 192.001 francs
à 216.000 francs
2.8.'j()
(E nsem ble du Département)
-
EXPLOITATIONS SAL INIÈRES
2.3SO
Coefficient 180 :
- Chef de fab rication, chef d'a te-
iié, câbliste spécialiste.
1.400
Ouvrie r spécia lisé.
-
quali-
9SO
EXPLOITAT I ONS SA LlNI ÊRES
Coefficient 2 16 :
\ter, age nt.
3e catégorie : manœuvre
spécialisé.
-
-
Saunier, contremaître, sous-a g-ent
5fj
Coefficient 240 :
COl fficient 232 :
l' vl lticieni'247 :
38
.- OU\"r!cr non sp~cialisé .
EXPLOITATIONS SALI NIÈRES
Coefficient ISO :
Ouvrier hautement
!<pgisseur.
(Ensemble du Département)
Coe'ficient 216 :
Coefficient 155 :
Moissonneur du riz
5c catégorie: ouvrier spécialisé et chef d' éq ui pe.
Garde de 3e ca tégorie.
en grumes, carbonisateur.
Cotfficient 190 :
4e catégorie : ouv rier d'ate lier, terrassier
qualifié
aux tra va ux des salins.
Coefficient 170 :
-
de bois de mine et de bois
-
ouvrier
Coefficient 160 :
-
fié .
EXPLOI TAT IONS AGRICOLES
d'équipe,
EXPLOITAT IONS SALINIÈRES
Coefficient 160 :
-
Chef
(Ensemhle du Dépa rtement)
CHAMPIGNONN IÈRES
Sous-Saunier 1er tchelon.
- - -1- - -
hautement qualifié.
Coefficient ISO :
-
Total
•
2e catégorie : journ aliers
-
EXPLOITATIO~ S FORESTIÈRES
ouvTier
Em ·
ploye ur
Coefficient 170
Coefficient 160 :
-
surê
CHAMPS DE COURSES
Emballeur dans la vigne .
GA ROE-CHASSES
Coefficient ISO :
-
Total
(E nsemble du Dépa rte ment
Coefficient 165 :
- Lad montant â cheval.
CoeffiCient 160 :
-
Eru·
manœuvres.
VENDANGEURS
-
A ~c; u ·
Coefficient 130 :
-
-
CHAMPS DE COURSEs
lnmutrieUe '
EXPLOITATIONS SALINIÈRES
Jardinier hautement quali-
Porteur
de
charretier.
TOlal
Cotll':ation
(E nsemble du Département)
Coefficient ISO :
-
[m·
C_O...,'_i"_at_;o_n_m,_,_n,_u_,_" ,_
11 _ _
ré
p)oJeur _ _
rê
ploy>.!ur 1_ _ __
_
_
_
fié.
Coefficient 160 :
- Ouvrier hautement qualifie.
Coefficicnt 170 :
Chef d'une équipe d'au moins 10
__
C_OI_i~...,',..tio_n_~)_o...,u,_n_._h'_'_'
Ab" U'
Total
Coefficient 160 :
Garde-chef.
CHAMPIGNON:<IÈRES
-
Em·
te, premier jardinjer.
Coefficient 160 :
Coefficient 170 :
- Se catégorie :
,.
Assu·,
tations, tai lleur spécialis-
GARDE-CHASSES
-
Tot;\1
ou plusieurs branches de
• l'activité agricole, chauffeur camion ou camionnettc, conducteur de tracteur
qualifié, mécanicien agricole, forgero n, fauc heur à
mai n spécialisé, niveleur,
maître porcher, maître berger, maître vacher, greffeur, rayonneur pour plan-
de culture et chef d'équipe, ou"rier diplômé d'un établissement
-
fun ·
OUVR IERS NON PERMA N E NT~
ET OUVR I ERS A LA TACHE
OUVRIERS PERMANENTS
-
Chef de fabricalion . chef
d'atelier, agent.
SO
850
1.2SO
2. 100
2.5SO
3.750
6.~
Travailleurs âgés de moins de 18
ans. . . .. . . .
. .... , ... .
Apprentis ....... . ........... .
Stagiaires . " . . . . . . . .. . . .. ..... .
Ouvriers à capacite. professionnell e
rédUitt .................... ... .
Travailleurs âgés de moins de
18 ans ........... . - - Apprentis ...... .
Stagiaire ........... .
Ollvriers à capacit é professionn ell e réduite . .. .
3 15
455
770
945
1.365
160
220
660
225
325
380
550
4SO
13
31
15
22
675
975
2.310
1.140
1.650
13
22
225
325
550
675
975
1.650
9
_ Le montant de la co ntribut ion ouvri è re est réduit de 60 % pour le s tra va illeurs âgés de plus de 65 ans.
_ Les cotisations son t payahl es dans tes 10 jours qui suivent l'expiration du trim(' stre civil pour lequel eUes sont dues ou le d~part
de J'ouvrier. Les cot isations payées ap rès cc délai sont pass ibl es d'un intérêt de 1 p. mille par jour de retard.
_ « Dans Je cas où les coti sation s co r respondant aux pé riodes de travail dont l'assuré justifie n'ont pas été vers ées ou ont -été
\ u sées après ouverture du ri sque, la Caisse est tenue de pou rsuivre auprès de l'employeur responsable du versement des cotisations le reID.bour.sement .. des prestations payées ou dues da ns la me sure où lepr montant excède celui des cotisations et majorations de retard acquittées
(lU titre de l'assuré et affé rentes à la période de référence.
.4: Les employeurs qui n'ont pa s effectu
le versement des cotisations da ns lu délai s fixés sont passible s d'une majoration de
1). m.ll e par jour de retard, payable en même temps que les versements. ,
(Décr~1 rt/alif ail fillo"c t'"t'II des assurances sooialtS ogf'icolisi arlic1e ] 3, t_ogro/'lu s l u cl 2) .
�-
10
'JONT],NT DES COTISATIO NS
Cotisatioll journa l ièr~
OUVRIERS NON l'ER.1\fANENT:::'
ET OUVRIERS A LA TACHE
OUVRIERS PFJU>lANENTS
'-\~Sl1- ,
r~
-
Em·
ployeur
450
650
Total
• 26
44
1.1 00
As .. uré
Em.
ployeur
1.350
1.950
-
aide-luisinière.
:-------.-
Coe!licient I()()
- Manœuvre.
Coefficient 11 5
-
Coefficient 160 :
_ ja rdini er hautement q ua lifié.
VENDANGEURS
Coefficient 135 :
_ Emballe ur de ra isin de table.
Coefficient 150 :
_ Porteu r de com portes, charretier.
GARDE- CHASSES
Coefficient 150 :
Fagottier et menus travaux.
22
I~.OOO
550
800
1.350
1.650
2.400
4.050
CoeffiCient 110 :
-
jardinier.
Coefficient 130
Ounier connaissant son métier,
l:onuucteur de tracteur, cha rretier, berger, porcher, ga rdian ,
\'acher, jardin ier 2e échelon.
-
Coefficient 120 :
-
-
Uu\'rier de 1re ca tégorie.
Coefficient 135 :
Ouvrier hautement qualifié.
Bûcheron qua lifié spécialisé dans
une ou plu sieurs branches de la
production fo restière abatteur de
bois de m in ~ et de bois en grumes, ca rboOlsateu r.
Coefftcient 155 :
-
Ouvri er hautement qualifi é, câ-
-
Emball eu r de rais in de ta-
Porteur de
cha rretier.
co mportes,
Garde de 2e catégorie.
Ga rde de 3e catégorie.
CHAMP IGNONN IÈRES
-
O uvrie r spécialisé.
Coefficient ISO :
-
O uvri er qualifié.
EXPLO ITAT IONS FORESTIERES
Coefficient 130 :
BC.cheroll de bois de cha ufIfage, écorce ur, débardeur
à m ai n.
Coefficient 150 :
-
EXPLOITATIONS FORESTIÈRES
Bùcheron qualifié spécialisé dans une ou
Coefficient 115 :
Ouvrier spécialisé.
Total
Coefficient 135 :
-
Ouvrier 1re catégorie.
et
Em·
ployeur
Coefficient 150 :
-
hliste spécialiste.
Garde de 1re catégo rie.
Fagottier
vaux.
r~
GARDE-C HASSES
Coefficient 120 :
-
Anu.
Coefficient 135 :
CHAMPIGNONN IÈRES
Coefficient 120 :
-
-
GARDE- CHASSES
Coefficient 120 :
Ouvri er qualifi é.
Coefficient 150 :
Coupeur
de
vendange,
cueilleur de rai sil) de tab le
Total
Coefficient 150
-
EXPLO ITATIONS FORESTIÈRES
Coefficient 125 :
GARDE-CHASSES
CHMIPIGNONNIERES
-
jardinier.
Employeur
ble.
Coefficient 160 :
Ouvrier à toute main, serva nte de ferme, vachère,
ramasseuse de foin, cueilleuse d'olives.
VENDANGEURS
Coupeur de vendange, cueilleur
de raisin de table.
Garde de 1re catégorie.
Coefficient 135 :
- Garde de 2e catégorie.
-
Coefficient 120 :
VENDA! 'GEURS
Coefficient 125 :
-
Coefficient 150
EXPL OITATIONS AGR ICOLES
-
AssurI:
VENOANGEURS
Garde de 3e ca tégorie.
Coefficient 160 :
- Gard e-chef.
C HAM PI GNONN IÈRES
Coefficient 120
-
54
TOt31
Coefficient 135 :
-
francs.
EXPLOITATION, AGRICOLES
-
32
EII1
O uvrier quali fié co nnaissant parfaitement son méti er Olt spéCia li sé dans une
ou plu sieurs bran ches de
"activité agricole,
premier charretier, chauffeur
de cam ion Ou de cam ionnette, co nducte ur de tracte ur q ualifié, méca nicien
fo rgeron, fauagricole,
c ~eur à maiA
n spéCialisé,
Dlveleur, maltre porcher,
maître be rger, maître vacher, greffeur, rayonneur
pour pl antations, tai lleur
spéciali ste, 1 er ja rdinier.
tions, tailleur spéCia li ste, premier
jardinier.
:
trimest rielle
CoeffiCient ISO :
greffeur, rayonn eur. pOlir planta-
ManœU\'re.
DEUX/D'fE CATEGORIE
Rêmunéralion annuelle
moyenne
comprise entre 120.00 1 francs et
-
teur qualifié, méca nicie n agricole,
forgeron,_ faucheur ~ main spécialisé ni veleur, maltre porcher,
m aitr~ berger, maître vac her,
3.500
EXPLOITATIONS FORESTIÈRES
COli-.ation
- - - - - - - 1 - - -1
Coefficient 100
-
·oti6ation mensuelle
Journahère
ploye llf
ré
--------
J\!\anœuvre, servante débutante, aide-cuisinière.
Coti<;atlon
- - - - - - - ---,-- - - - - - I------,c---A s!>u
TOtal
EXPLO ITATIONS FORESTlËRES
Ouvrier â toute main, servante
de fe.rme. \'achère, ramasseuse
tic foin, ~ueillellse d'olives.
OUVR I ERS NON PER~L\:'iENT' S
ET OUVR I ERS A LA T.\('HE
OUVHIEHS PER'r \:':E~TS
Coefficient 100 :
Coefficient 110
_
ploy~ur
.\ :;"U
ré
Cotisation trimestritl1:-
EXPLOITATIONS AGR ICOLES
EXPLOITATIONS ACiRICOLES
Coefficient 100 :
_ ManŒurre, sen'ante débutante,
TOlal
- - - - - - -1- - 18
PRE.\fIERE CATEGORIE ......... .
Rimllnèratioll annuelle moyenne inférieure li 120.000 francs.
Em ·
Cotisation mensuelle
plusieurs
branches de la production
forestière, abalteur de bois
menus tra-
de mine et de bois
grume, carbonisateur.
EXPLOITATIONS FORESTIERES
en
Coefficient 130 :
-
Bûcheron de bois de cha uffage,
écorceur, débardeur à main.
TRO/SlEfllE CA TEGORIE . . .. .... ..
Rémunération annuelle moyenne
comprise de 144.001 francs
a 168.000 francs
26
-
Ouvrier qualifié connaissant parfaitement son métier ou spécialisé dans une ou plusieurs bran-
ches de l'activité agricole, premier charretier, bayle travaillant,
chauffeur de camion ou de camionnette, conducteur de trac-
650
9SO
1.600
1.950
2.850
4.!OO
30
EXPLO ITAT IONS AGR ICOLES
chef Ou
Coefficient 130 :
-
ct'
Ouvrier connaissant Son
métier, conducteur de tracteur, charretier
berger
porcher, gardiao', vacher'
jardinier,
échelon.
journalier
2~
granger,
et chef d'équipe diplôm é
un établissement agricole mé'
CoeffiCient 190 .
-
Coefficient 160 :
-
VENDANGEURS
Coefficient 160 :
-
VENDANGEURS
Emballeur da ns la vigne.
GARDE-CHASSES
MoiSsonneur ·de ri z à la faucille.
CoeffiCient 160 :
Jardini er hautem . qualifié.
co ntremaître-
t ayer.
44
E XPLOITATIONS AGR ICOL ES
Coefficient 175 :
- ~uvrier ha utement qualifié, bay-
EXPLOITATIONS AGRICOl-ES
Coefficient ISO :
38
QUATR/EME CATEGORIE
RémunéraI"
.. - .. ...
ton annuelle moyenne
cte. 168.001 francs
a 192.000 francs
Coefficient 160
-
Garde-chef.
.
---
-.....
74
. 750
1.100
1.850
2.2SO
3.300
5.550
�~1:2____________________~~~--------------------__~------------~
MONTANT
PER~L-\~E:;\T
l)l""RIEK
OUVRlERS XÙ~ l·EKi\l.1.~EYrS
ET OUVk l ë:R.~ A LA TACHE
COh!oatlon j o urnolière 1
~.\s:.uré
[11\ ploy~l\r
j
DES COl'lSATIO 'S
Cotl:.atio n
men~ue l1e
Total
1 A5511ré
fu·
ploye ul
Emp!oyeur
CoeffICient 170
Cbef d' une ~quipe J"au moins 10
ouvriers.
C hef d' une éq uipe
moins 10 ou\'riers.
50
84
850
1.250
2. 100
2.550
3. 750
6.300
_ Ouvrier il tout e ~a in, se r vante,
ramasseuse de fOlO, cuei ll e use
d'olives.
ans .. _........... ... ... .
94
950
1.400
2.350
2.850
4.200
7.1Y>l
BATTAGES
450
650
1.100
1.350
1.950
3.300
22
32
54
550
800
1.350
1.650
2.400
4.050
950
1.tiOO
1.950
2.850
4.800
Ouv ri er il toute main, serva nte de fe rme, vachère,
ramasseuse
de
foin.
cueill euse d'oli ves.
EXPLOITATIONS FOREST IERES
Ma nœ uvre .
EXPLO ITATIONS AUR ICOLES
-
_ Ouv rier connaissa nt son mét ier,
co nducteu r de tracteur, ch a rretie r, berger, po r che r, gard ia n,
vac her, jardini er 2e éc helo n.
Coefficielll 125 .-
Travailleurs âgés de moins de
13
18
455
9
31
15
315
6
9
220
13
22
160
225
9
13
22
225
675
1.365
660
975
2.3 10
1.140
1.650
675
975
1.650
945
480
325
770
380
550
325
550
Coupe ur d~
ve nd a nge,
cuei ll eur de ra isin de table.
Coefficie nt 135
de
raisin
GARDE-CHASSES
GARDE-CHASSES
Coef/iciellt 120 .-
Coefficient 120 .Garde de 1re ca tegor ie .
Coefficienl 135 .Garde de 2e catégorie .
-
Garde de 1re ca té go ri e.
Coefficient 135 .-- Garde de 2e catégo ri e.
CHAMP IGNONN I ÈRES
CHAMPIGNOl\TNI ÈRES
Coefficienl 120 .-
Coefficient 120 .-
Ouvrier de 1re catégorie.
Coefficienl 135
-
Ouv ri er s p éC ia lisé.
EXPLOITAT ION
FOREST I ERES
-
Fa go ttier et me nu s t ra va ux.
Coefficienl 130 .Bûchero n de bois de chauffage,
éco rce ur, débardeu r il m ain.
TROISI EME CA TEGORIE . .. .. . . . ..
annuelle moyenne
romprise tle 144.001 franCS
169.000 francs
Rêmunêration
Ouvrier de 1re catégorie.
Coefficienl 135 .-
Coefficienl 115
- - - u.. c ...- - - -
Emballe ur de
tah le.
- Emba ll eur de raisin de tab le .
-
O uv rier conllaissant son
métier, cond ucte ur de tr acteur. cha rretier, berger,
porchtr, gardian, vacher,
ja rdi ni er 2e échel o n.
VENDANGEURS
Coupeur de vendan ge, cue ill eur
Coefficielll 135 .-
-
Ja rd inie r.
CoefflClenl 125
de raisin d e tabl e.
- Le montant de la cont r-ibution ouv n ère e SL rt:duit de 60 % pour les travaiHe urs âgés de plus de 65 ans,
- Les cotisations sont payables dans les 10 jours qui suiveht }'exp1t'at ion du trime Itre civ il pour lequel elles sont dues ou le départ
de l'ouvrier. Les cotisations payées après ce délai s ont passib~es d 'un intérêt de l p. mille pal" jour de retard.
,
- c Dans le cas où les coti sati ons correspondant aux périodes de travail dont J'assur-é justifie n'got pas été vers ées ou ont etc
versées après ouverture. du risque, la Caisse est tenue d e poursuivre auprès d e J'employeur responsable du. ve rsement des cotisations le .rem·
boursement des prestations payées ou dues dan s la mesure où leur montant excMe celui des co ti sati ons ct majorations de retard acqUittées
au titre de J'assuré et afférentes à la pé riode de rHérence.
c Les emplo)'eurs qu i n'ont pas effectué le versemen t des cotisatiuns dans les délais fixés sont passibles d 'un e majo ration de
J p. mille par jour de reta rd, payable eo m ême temps que les versements . ~
(Décr et ,-elatif OH fitttJncnnenJ d~s aSSUran ces sociales agricoles, article 13, par(lg,'oplJes 1er et 2).
-.
4-4
Coefficient 130 .-
VENDANGEU RS
Ouvrier spécialis~ .
18 ans . ... ......... . ... .
Apprentis ................. ..
Stagiaires
........ ....... .
Ouvriers à capacité professionnelle réduite ......... .
-
-
Jardinier.
Coefficienl 130 .-
56
-
Apprentis ...................... __
Stagiaires
...... . .......... .
Ouvriers à capacité professionnelle
ridl/ite ...
. ... .. . . ... .
26
Coefficient 120 .-
Coefficielll 120 .-
IUmunération annuelle moyenne
,upérieure à 216.000 franCS .
Travailleurs âgés de moins de 18
IR
Coefficient 110 .-
E XPLO ITAT IONS AGR ICOLES
38
-
Employt ur
Total
rt
Assu-
Total
Rémunération annueLLe moyenne
comprise enlre 120.001 francs et
144.000 francs.
spécia l is~ .
Coefficient 220
ployeur
Métnœuvre, serva nte dt':buta nte, a ide- cui si nière.
DWXIEME CATEGORIE ......... .
-
-
-
-
\
BATIAGES
Coeificienl 215 .-
Em-
ré:
Coefficienl 100
_ Manœuvre.
Coefficienl 190
Moissonneur de riz à la
faucille .
Régisseur.
déb uta nte,
Coefficienl 100 .-
Ouvrier hautement qualifie, cont remait re, chef de
cu lture et chef d'équipe,
o uvrier diplômé d'un étab liss.ement ag ri co le.
EXPLOITGT IONS AGRICOLES
Assu·
EXPLO ITATIONS AGn lCOLES
EXPLO ITATIONS FORESTlÈRE.<
Coefficienl 175
S/XIEME CATEGORIE
Total
trimestrielle
-----1------------
Coefficient 100 .-
Coefficienl 110 :
E,PLOI TATIONS AGRICOLES
Coefficienl 195
- Ounie r non
Em·
ployeur
Cotisation
Cotisation mens uelle.
- - - - - - - 1- - -1-
_ Manœuvre, ser va nte
aide-c uisinière.
moyenne
Bayle régisseur.
r~
Coe/ficielll 100 .-
de 192.001 francs
à 216.000 francs
-
Assu·
EXPI. OITAT IONS AGR ICOLES
fit'. câb liste spt!cia liste.
Coefficient 200 .
Cotisati on journaliè re
lerieure à 120.000 francs.
C//I'QUIEME CATEGORIE ..... .. ' ..
AGRICOLE~
ouv a l ERS NON l 'ERMAXENT S
ET 0l1V 1HER .\ 1..\ ' TA CHE
Remunératioll annuelle moyenne in-
Ouv ri er hautement Quali-
EXPLOITATIONS
l1LTVRl EI($ PERMAXE:s'TS
J ' au '
EXPLOITATIONS FORE.~TIERES
annuelle
MONTANT DES COTISATIONS
PREM /ERE CATEGORIE ......... .
Coefficienl 155 .-
R~mun ératioll
- ~
-
Coefficient 160 ._ Ouvrier hautellll:nt qualifié
Coefficient 1iO .-
ZONE III
r,..,
CHAMPIGNONNIERES
CHA,\\PIGNONNIÈRES
_
.-\ss u·
ré
- ,----.....
----------
13
Coti sation trimestriel!:=:
-;-----Total
,
-
_
Ouv r ier spécia lisé.
EXPLOITATIONS FOREST I ÈRES
Coefficienl 11 5 ._
menuS
tra ~
Bûcheron de
bois
chauffa ge, éco r ce ur,
ba rd e ur à main.
de
d é-
ragottier
vaux.
et
Coefficient 130 .-
26
�15
~1~~~_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _.-__ .______________-------~-----------~,ï.llj)NN,~T~A~N'T~~D~E~S~C~O~T~IS~A~'~r~JODNN~S;---------~ ---------------------------------~----------------------------------------------~~~,~)~-'T~~~I~N~1--U-E-S-·--C~')~T~IS -A-T-I-O-N-·S-·-----------tl l · \ïU E K::-. '\'1)\ Pl.R\I.\:\Ei\TS
ET nt:\'RIER~ \ 1..\ 'rACHE
CotiS'itioll jO\lrnali~rll: 1
-\s.".u·1
E;n~
1'0,,1
\o li"'at lon
1.1"",
Em·
lIl~n .. ue lJe
Tota l
_
_ _ '_
_
ré _
\,It)ytur
r~
I,loycur 1_ __
Coti sat ion t·
I______
".::~~ritlle
A ...... u·
ré
1
Uurricr 4ualifië connaissant p~r
faltcment son métier o u speCialise Jans une ù u plusleur:; branches dt: l'acti\'ité ag ricole, premier charretier, bay le tra\'ail lam,
chauffeur de c.:amion ou de camIOnnette, cond ucteur de tracteur qualifie, mecanicien agri cole,
fo rgeron, faucheur il main spécialisé, niveleur, maître porcher,
maltn.: he rge r, maître vache r.
fTreffeur,ra\'o
. nneur
. . 'pour planta.
tions. taille ur speCIaliste, premier
ja rd imer.
Coef/icient 160
_ J3rdinier hautement quallfiê.
~
Coefficient 175 :
OU\'rie r hautement 4ualiflt~ . bayle ou o r;1I1"e r, co ntremaître-chef
et chef d , ~Oq uipe. o uvrie r dip lôme d'un éta blissement agricole,
métayer.
VENDANGEURS
Coefliriellt 150 :
-
Ou,'r ier hautement qualifié.
Chef d' une equipe d' au moins 10
ouvriers.
EXPLOITATIONS FORESTIÈRES
Coefficient 150 :
Bûcherun qualifié spécialisé da ns
une ou plusieurs b ra nches de la
production fo restière, abatteu r de
boi de mine et de bois en g rumes, ca rbonisateur.
Coefficient 155 :
_
Co efficient 190 :
Moissonneur de riz
Coefficienf 200 :
-
Hayle régisseur.
a la
H50
1.250
:uoo
2.550
3.750
6.300
3R
56
94
950
1.400
2.350
2.850
000
7.050
J:l
6
18
3 15
:1 15
22
225
380
550
480
J3
455
220
325
945
n
:\ 1
31
770
9
675
1.365
660
P75
2.310
1. 140
1.650
H
13
22
225
. 325
550
675
~ 75
1.650
Moissonneur de ri z à la
-
Ouv rier nOIl :;péc ia lisé.
. ....
Remuneration annuelle moyenne
all-desslls de 216.000 fran cs.
~JXlEA1E CA TEGORIE
BATTAGES
Coelficient 2 15 :
Travailleurs âges de moins de 18
ans . ..
Apprentis
-Stagiaires
.......... . ..... ' ..
Ouvriers Ù ca pacitë professionnelle
.. .
réduite
'. -
Ouvri e r spéc ialisé.
Tra vailleurs âgés de moi"s
de 18 ans . .... ....
Apprentis .. .
Stagiaires
.. " ..
".
Ouvrier à capacité pro fessionnelle réduite . .. . . . . . . . . .
"".
- Le: montant de la co n tr ibuti on ouvri è re est réduit de 60 % pour les tr:l\-aill eurs âgés dc plus de 6.5 a ns.
- Le s cotisation s som l'arab les d ans les 10 jou rs qui suivent l'expiration du trime stre civil poor lequel elles sont dues ou le départ
de J' ounier. Les co ti s ations parées après ce déla i som passibles d'u n intér l:t de 1 p. mille par jour de retar,d .
- « Dans le cas où le« cotisations co rresponda nt au x: périodes d e travail dont l'assuré ju stifie n'ont pas etc \'c rsécs OU ont été
n.::rsées a pr ès ouve rture du ri sq ue, la Caisse es t tenue de poursuivre au pr ès de J'empl oyeur responsablc du versement des cotisations le .re!Dboursemem des pres tations payées ou dues da ns la mesure où leur mo ntant exc ède edui des. cotic;ations et maj.::ro.fions de ret a rd acqulttees
.l U titre tic l' assuré et afférentes à la pé r ioo e de rCffrence.
« Les employeurs Qui n 'ont pas e ffectue! le \" Cf Sem ent des co tisations dans les dél:lÏs fixés sont passihles d'une majoration de
1 p. m illt.: 'l,ar jour de retard, payable en Ol éme temps que les versement s. »
( DJ .. ,.,..t n-Ioti! al/ ! uIfJIl t'l' mcn t drs a,ssflrGncl'S sflriaJes aoncolcs, artic/r } :$, poragr(lplu's Irr c t ~).
<.Jarde-chef.
CHAMPI GNONN I ÈRES
Coefficient 150 :
Bùchero n qualifié spécialisé dans un o u plusieurs
branches de l a production
fo restière, abatteur de bois
de mine et de bois en
g rume, carbonisateur
Coefficient 155 :
Ouv rie r hautement qua li-
D6 BI
A 1
ARRETE MODIFIANT L'ARRETE
PREFECTORAL DU 3 1 MAI 1950
fié, câbliste spécialiste.
PORTANT
CLASSEMENT EN
CATEGORIES DES ASSURES SOCIAUX
AGRICOLES
30
44
74
750
1.\00
1.850
2.250
3.300
ILe Préfet des Bouches-du-Hhône,
5.~
Officier de la L égion d' Honneur,
Vu le décr et n" 50-444 du 20 Av ril 1950
relaff
EXP1.0ITAT IUN'" AG RICOLES
Ouvrier ha llt~ment qua lifiê, contremaître, chef de
t ulture et chef d'éq ui pe,
ouvrjer diplôme d'un éta ~ Iissem e n t
ag ri cole,
~
.
'
au fllla nce me nt des assu rances sociales
agr icoles ;
1
Coefticiellt 175 .
fauci ll e.
84
BATTAGES
Ouvr ier hautement q uali fié, cAbliste specialiste.
EXPLOIl ATIONS AGRICOLES
50
Coeffirient 195
c ategori~.
QUATRIEAIE CATEGORIE ... .... .
Rémunération annuelle moyenne
de 168.001 fran cs
li 192.000 francs
-
I~égisseu r.
EXPLOI TATIONS FO~ESTIÈRES
Coefficient 170 :
34
fauci lle.
vARDE-CHASSES
- vuvrier qualifi é.
COLfficient 160 :
- - Uuvrier hautem . qua lifié.
_
d'au
EXPLO ITAT IONS AGR ICOLES
-
Coef/icient 150 :
Coefficient 160 :
Em·
\,\oycllr
Total
ri
Coelficiwt 190
CoeffIcient 220 :
Porteur de
comportes.
charretier.
COlfficient 160 :
- iEmba li eu r dans la vig ne.
Coefficient 160 :
Ouvrier q ualifié,
EXPLOITATIONS AGR ICOLES
_
équipe
moins 10 o uvri ers.
CINQUIEME CA TEGORIE
Rémunération annuelle moyenne
dc 192.001 franrs
li 216.000 francs
COtf/iciellt 150 :
-
Coefficient 150 :
A~'II'
InmC1itrie lle
_
-
-
Chef d'u ne
VENDANGEURS
CQ"fficient 160 :
Garde-che f.
CHAMPIGl ONN I ÈRES
1 ;,l'l)n
CHAMPI GNONN I ÈRES
cr,ain sp~cialise, niveleu r,
l''lait re po rcher, ma ître berger, maitre vacher, g re ffe ur, rayo nn eu r po~~ p~an
tation, tailleur speCIaliste,
1er jardinier.
('oellicient 160 :
_. Ja rd inie r hautem. qllalifië.
GAlWE-CHA
Garde de 3e catégo rie.
~=====
Coefficient 170 :
co le, forge ron, faucheur à
Co'flicient 150 :
-. Ga rde de 3e
ES
m~n .. u~lJe
---~~-----------------
0;.
Emballeu r dans la \'igne.
Coefficient 150 :
rOIl~alit)n
TOl31
Ouvrier qualifi ~ co nnaissant parfaitement son metie r o u spécialisé dans une
o u plusieurs branches de
l'actlvlt~
ag ricole,
1er
charr-etler chauffeur d e
ca mi o n
Ù~ camionnette condm:tcur de tracteu.r
q~alifi eJ mécaniciEn agri-
Porteur de co mpo rtes , charretier.
Coef!iuent 160 :
====-_.
('01' .. 3t'OIl ;u urnalil.-n
Totl!
Coefficient 150 :
Cor/lie/cnl 150
_
OUVK I ERS PERMA):1:::-': T S
EXPLOI fATIONS AGR ICOLES
E\PLOIT\lIONS A(jRICnLES
_
Em.
"Ioycur
OUVRIERS ~ON PER)'L\:\E:\'T S
ET OUV IH ERS .-\ LA T .\("HE
Vu le decret Il " 30-4ï5 du 28 Av ril 1950,
relatil au class ement d es sa la n' és agrico
. les
les catégori es Iprév ues
30-444 du 20 Avril 1950
par le décret
tant classement en catégo ries des assurc~
socia ux agricoles ;
V u le decret nn" 50- 1224 du 18 Septembre 1950 modifiant le décret n" 50-444 du 211
Avril 1950 relatif au fi nancement des assurances socia les ag ricoles ;
Vu le decret n" 50- 1227 du 2 1 Septembre
1Q50 portant réglement d'administration publiq ue pou r l'application d u dt-c ret du 20
Avril 1950 relati f a u fi nancement des assura nces sociales agricoles en ce q ui conccrn<.:
les ouvriers forestiers et betteraviers ,
Vu le décret du 9 Oc tobre 1950 relatif ~
l'application aux professions agricoles des
dispositions du décret du 23 Août 1950 portant fixation du salaire national minimum
interprofessionnel garanti
Sur proposition
C6ntnilcur
AHIŒTE
..l.RT ICLE PRE.\\lEl~ . A la s uite de la fixation, pOlir les professions agricoles, d'un
sa l~if(.: minimllm ga ranti il co mpter d u 1 er
Octol' re 1950, chac un des tab leaux fixa nt,
po ur les trois zones d u département, les catégo ries d ~s assu res sociaux agricoles publiées
en an nexe il 1 a rrêté. préfectora l d u 3 1 Mai
1950 est modifi é comme suit :
1re ca tëgorie: Re muneration a nnuelle
moyenne inférieure Jo 120.000 fran<:s, néant.
2e catégorie; Rémunération a nnuelle
moyenne comp rise entre 120.000 et 144.000
francs.
Les sala riés q ui figuraient da ns la premiüe
ca tégorie dOl\'ent H re port~s a u dëh ut de la
liste de cellx classés dans la 2e catégorie.
\RL 1. -
En appiication de l'artlde 1er
�Hi
REPUBLIQUE FRANÇAISE
Il et 23 .evtmb" 1950
<lue les méta pers, assurés sociaux obiigatoi-
res, doivent i!tre assi milés aux régisseurs en
vue de leur classement dans les catégories
d'assurés sociaux, ces métayers doivent êfre
portés dans la 6e catégorie pour la zone 1
et la zone 11 et dans la, 5e catégorie pOUl
la zone 1\1 du département.
Les cotisations afférentes aux métayers
incombent
.:l U
métayer et au
propriétaire
proportionnellement à leur part dans les p roduits de l'exploitation.
ART. 3. -
Les ouvriers forestiers ne sont
plus classés dans des categories 'orrespondant il des salaires moyens. En application
de J'article 2 du décret n' 50-122; du 21
Septembre 1950, les cotisations d'assurances
sociales agricoles dues par ces ouvriers sont
calculées conformément aux dispositions (1('
l'article 3 du déc ret du 20 Avril 1950 sur la
base de la rémunération réell e ment perçue ,
qu'il s'agisse ou non d'acompte.
ART, 4, - Ces nouvelles dispositions e ntratnant une modification du mo ntant des cotisations dues pour les salariés changeant de
catégorie prennent effet
Octobre 1950.
ft 47
il la date d" 1er
DËPARTEMENT DES BOUCHES-DU -I-{iHliJ
ART, 5, - Le Secrétaire Général de la Pré_
fecture et le Contrôleur des Lois Sociales en
.L\g:riculture, sont charg~, chacun en ce qui
le concerne, de l'applicatio n du présent arr€té
qui sera inséré au Bulletin des Actes Adml.
nistratifs du Dépar tement.
Marseille, le 13 Novemb re 1950.
.pour le Préfet,
ILe Secrétaire Géné ral,
G. LAM!ASSOUR€.
Recueil des Actes Admi. . .
fs
et Bulletin des Mairies
TO lite corr espo n da nce relative a u Recueil doit être adressee à la Pretecture Secrétariat Général
A. P ..: Arr~té ~ réfectoral. -:- C. : Circ.ulaire.
D. S. 1 . : DITecho n des Services 1 echnlque •. -
A.BRÉV"A. 'rIO NS
Les lettres D et B suivies p.·un dhiffrt: IIldlquent le Servi Ct: ou Bureau d 'on gint..
D. D. S. : Direction Départementale de la Sante. -
D. D. P. : Direction departe-
mentale de la Population .
SOMMAIR.E
Arrêtés régtementaires et Circulair...
1950. -
Tribu naux de Commerce du Uepar-
AG 1. - Suspension tempora ire Li e
tonCiions du Mai re de Roqueto rt- IaBédo ul e
.. .. . .. .. ... .175
teme nt .... . . ............ , ...... .
FS O. - !Y\édecins agrÉ'és pour prati-
A O. - Cours moyens des denrées
deva nt ser vir au ca lcu l des ferma-
I~
...........
CIA O. -
•
Ren ouvell eme nt pa rti e l' des
Pages
Electi ons
Consulaires
en
TV X 5. - Participation des Coopë rath'es ouvri ères de production aux
17t) 1 ad judi catio ns et marchés de l'Etat et
des établissemen ts pub lics ... .... .
quer les examens rad ioscopiques en
vlI e de la dél ivr anCt:: des cert ificats
pr~ n tlPtiaux et prenata ux ...... .
SC 7. - I~équisitions de pers on nels
pour lutter con tre les fléaux et sinistres ....
. ... ' .' .......... .
177
Communiqués du Secrétariat
de l'Union des Maires
lï6
Oemanue d'~ mpl oi tle Secrétaire de
Mairie ............. .
177
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET C IRCULAIRES
SECRÉTAR IAT
OENERAL
AG
SUSP E NSION TEM P O RAIRE DE
FONCTIONS DU MAIRE
DE ROQUEFORT- LA- BEDOULE
mois il dater de la notification il l' intéress('
de l'a r rêté préfector al susvisé.
Article 2. -
Hhône est chargé de l'exécution du présent
arrêté.
Fait à Paris, le 4 novembre 1950.
Pour le Ministre d e l' Intéri eu r,
Le Mi nistre de l' I ntérieur,
Le Directeur du Cabinet '
CHAUSSADE.
Su r la proposition d u Pr éfet des Bouches-
ulI-Hhônc,
Vu l'a rt icle 36 de la loi du 5 avri l 1884,
modifié par la loi d u 8 j uill et 1908 ;
Vu l'arrêté en date du 7 oc tob re 1950 du
Préfet des Bouches-d u-Rhône po rtant suspension, pou r une durée d'un mois. de M.
Copie certifi ée confo rme.
Pour le Prélet :
Lt Suri/aire Général,
LAMASSOURE .
AIMONETTO Ma rius, maire' de la commune
de Roquefo rt-la-Bédoule (Bouches-du-Rhô-
ses devoi rs de premier
mllmclpal :
en faisa nt apposer des plaques indicaInces porta nt la d énomin atio n « Joseph Stahne :t sur une pl ace publi q ue de l a com mun.e, ~ans avoi r préalabl ement obtenu l'auto{Isatlo!' de l'autorité supérieure conformément a l a règlementat ion en vig ueu r,
-;- en f.aisa nt r eme ttre ces plaques après
qu elles aient été enlevées par les soins de
l'Administration .
, t
--------~-------,==~==~v=~~=r.~---------------
....... -•• Kewnu.a .. u.....u... lM, an SA-lI.n
ARRETE :
. Article premier. _ M AlMON ETTO Manus t
.
de 1es Suspendu de ses fo nctions de Maire
(80 a commune de Roq uefort-la-Bédoule
uChes-ou-Rhô ne) pour une durée de trois
Ble (le quintal)
Vin (le degré HI) ..
Pommes de terre Ù ~
co nsom mation cou-
semest r iell e
2.56 1,50
363,50
2.561,50
364 >
:lOO )
Foin de Crau , le
quintal ... . . .
Foin ordin . le q uin t.
Laine Mérinos (kg.)
Bœuf poids vif (2e
qualité, le kilo) ..
Huile d'olive (kg) . .
Fruits (le quinta l) ..
annuell e
1. 183
88.! »
286 •
1.050 •
750 •
321 »
80
228 »
2.500 ;>
75 ,
231 •
2.500 >
ARRETE (W 207)
Le Préfet des Bouclles-du-Rllône ,
Officier de la Légion d'Honnl'ur,
Croix de Guerre,
magist ral
.-
A 0
COURS MOYENS DES DENREES
DEVANT SERVIR AU CALCUL
DES FERMAGES
Considerant q ue M. AIMONETTO Marius,
m~l re dt: Roquefo rt- la-Bédoule, a g rave ment
mec~n.nu
E rhéance da 29 septembre 1950
Echéa nce
Echéance
rante (le quintal).
-------<~Oo (~ -------
D6 BI
~
ne) ;
Le Préfet des Bouches-dll-
V li l'O rdonnance du 17 octobre 1945, relative au Statut uu Fermage, mod ifiée par les
lois du 13 avril 1946 et 3 1 décembre 1948 :
Vu l' avis de la Comm ission Consultati rc
des Baux Ruraux en date du 13 oc tohr e
1950 ;
Sur la proposition du Secr étai re Génêral ,
ARRETE
Article premier. - Les cours lIloyens des
t1enrées devant servir de base au calL'u l des
fermages sont fixés ainsi qu'il suit dans li'
Département des Bouches-liu-Rhône .
Article 2. -
Le Secrétaire Gé né ra l de la
Prêfecture est c.hargé de l'execution du présent arrêté.
•
Marseille, le 13 octobre 1950 .
Le Préfet : Jean BA YLOT.
•••
Additif a l'Ardti! ,, " 207 du 13 oclobre 1950
Pri x du blé
Fr. 2.56 1,50
Sous réser ve de l'alJpliration
du
ù erret
n" 50- 1022 du 22 aoû t 1950 (j. O. du 23
août 1950, page 9(29) lorsque la Ii\lraison
effectuée par te preneur sur la récolte globale excèdera 50 quintaux .
J\\arsei lle, le 9 no\'embre 1950.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Gênéral
G. LAMASSOURE .
�lïll
D4 B3
C.I .. A 0
ELECTIONS CONSULAIRES EN 1950
RENOUVELLEMENT PARTIEL DES
TRIBUNAUX DE COMMERce
DU DEPARTEMENT
Les élections en vue du reno uveJ lemen t
partiel des Tribunaux de Commerce de Marseille, Aix, Arles, Tarascon et Salon, auront
lieu le jeudi 7 décembre 1950.
Les déc larations de candidatures indh'itluelles Ou collecti\'es etabli es par écrit et
àÙllIent légalisées. dev ront être ad ressées il
la Prefecture, 4me Di \'ision,
3me Bureau.
3\'ant le mardi 28 no\'emhre 1950, à minuit.
délai légal.
.\l~ \. les Maires serOnt incessamment infonnés par circulaire des conditio ns dans
lesquelles se deroulera le scrutin de ces élections.
Pour le Prefet,
Par délégation,
Le Se crétaire Gén éral .
LAMASSOURE .
------~,.ooc.----
___
D. D. S.
FS 0
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTU'ICATS PRENUPTIAUX ET
PRENATJ\UX.
AHRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône. Officier
de la Légion d'Honneur,
Vu l'ordonnance n° 45.2720, UU 2 novembre 1945, sur la protection maternelle et infa ntile ;
Vu l'arrêté du 15 al'ril 1946 de M . le Ministre de la Santé Publique et de la Population et les rectifications pa r ues aux Journaux Officiels des 10 mai et 15 septembre
1946 fixant le modèle du ce rtificat d'exa men '
médical avant le mariage ;
Vu l'arrêté préfectoral du 1er juin 1946;
Vu la circulaire ministériell e n" I-,"S, du
6 juin 1946
Vu l'avis du Conseil Départemental de
l'O rdre des Médecins ;
S ur la proposition de M. le Directeur Départemental de la Santé.
Arrête :
Article premier.
I~l le Docteur Xau
Fern and, 14, rue du 4-Septembre, à Aix- enProvenct, est .agréé pour pratiquer les examens radioscopiques en vue de la délivrance
des certificats prénuptiau x et pr énataux,
Art. 2. -- M. le Sous-Préfet d'Aix-en-Provence. M. le Mai re de la Ville d'Aix -en- Provence et M. le Directeur Départemental de
la Santé sont cha rgés, chacun t!n ce qui le
concerne, de l'exécution du présent arr êté.
Marseille, le 6 no vembre 1950.
Le Préfet,
jean BAYlOT.
L,
-------c.oo~.'-------
0283
REQUISITIONS DE PERSONNEL POUR
LUTTER CONTRE LES FLEAUX
ET SINISTRES
{ai rh onnellr d'altirer l'attention de MAL
les Maires sur la Clrcrllalfe n U 343-A G 8 en
date du 30 ortobre 1950 du Ministère dc
l' In térieur, donnant les instructions précises
auxquelles ils del/ront se refércr ell cas de
réquisition de personnel pour llltrer C,Hll rl'
les f léaux C'/ sinistres.
Le Ministre de l 'Interi eur à Messieurs
les Préfets, Métropole.
La question m'a eté posée de saroi r L1ans
quelles conditions pouvaient inter ve nir les
réquisitions de personnes en vue de lutter
co ntre les sinistres, fléaux et cal amités.
J'ai l'honneur de vous donner à ce sujet
les précisions suivantes :
1. - Autorités qui peUI/ellt requerir
1" L'article 97 (6") de la loi du 5 avril
1884 confie aux Maires le soin de pr évenir
et de faire cesser par des pr écautions co O\'enables les accidents et fléaux calamiteux .
Pa r ai lleurs, l'a rt. 475 ( 12") lI u code pénal punit de peine de simpl e police « ceux
qui, le pouvant, auront refusé ou nég.li gé
de fai re les travaux et ser vi ces ou de prêter
les secours dont ils au ront été r eq uis dans
les cir<:onsta nces d'accidents, tumultes, nauf rages, inondations, incendies ou autres calamités ~.
Il résulte de ces L1ispositions l'ombinées,
selon lIne jurispruden ce constante, que les
maires ont le droit de requérir les personnes en vue de combattre les fléaux calamiteux .
2" Vous pourez ~ga l e ment exercer le
droit de requisition dans les mèmes circonstances ; la loi du 28 plul'iôse An VIII a , en
effet, t ransf éré allx p réfets les attributio ns
et les prérogati\les des administrati ons du
dtpartement qui étaient chargées par la loi
du 22 décem bre 1789 d'assurer le n'"lntie n
de la sûreté, de la tranqui llitc et de la salub ri té publ ique.
En vertu des po uvoi rs ge nérau x Lie police
que vo us tenez de ces dispositio ns, il VO uS
appa rtient de requ éri r les person nes au cas
de sinistres ou de calamités. Les r éq u~sitions
ai nsi effectu ées par VQS soins se trouvent
également sanctionnées pa r l'arti cle -n5
(12°) susrisé du code pénal (Cf. Garçon, Code Péna l a nnoté art. ~75 ( 12") L. IV, n" 60) .
Toutefois je vous précise qu'en raison de
son ca ra ctère exceptionnel, la procéd ure de
réquisition ne doit ~t re mise en jeu que
dans des cas de nécessité ahsolue.
1L -
III. .-. Formc~ dan s leslillelles
dOIt InlerJlerllf la requisilion
SC 7
Partage de l'ompéten ce ent re
les Dutorités
Le soin de procéder aux réquisitio ns en
vue de lutter contre les fléaux appar tient au
maire lorsqu'il s'agit d'u ne calamité n'affectant que le territoire de sa com mu n,:.
Au cas de carence de l'autorité muni cipale il VO LIS incombe, après mise en demeure
confo rm ément a ux disposit ions de l'a rt. 99
de la loi d u 5 av ril 1884, de l'OUS substituer
au Maire pOlir prendre les mesures qui s' imposent.
Par contre, lorsque plusieurs communes
d'un m. me département se trouvent astrei ntes ou menacé~ il vous appartient d'user
de vos pouvoirs propres de r équisition en
vile d'organiser les secours exigés.
aé) . En "ule d'éév it~r' t. to utes contestation
fleures es r qUISI IOns doivent 1\0 1'01 I}
ment être effectuées par écrit et not'Ir,~: c.
",
tes
aux personnes ou orgalllsmes IlIteress ~s.
b) En cas d'u r ae"ce les préfets et les
I~ ai res pebull/ent ("C1èEmc effectu~r des rêquisi:
t'dns ver a es
. . 15 féVrier 1946 ViIIde Se nlis; !urisp. "'l"nic. 1946 . 111 23). l~
conditIOn qu elles so~e nt adressees di recte_
ment aux perso nnes Intéressées.
c) En présence d' un si nistre d'u ne t'rra vit
~t d'u~e ampleur e:t~eptJoflllel/es r~ndal1~
ImpOSSibles des notificatIO ns indi\'iuuclles
tOliS m.oy.ens peuvent êtr e utilisés ,pour l~
transmiSSion des ord res de réquisition .
presse, radio, tocsin ... (c. E. 30 l1overn h r~
1945, Fa"re S. 1 94~3-23): Les OO mmulllqlles
de presse ou de r ad iO dOivent to utefois préciser l es catégori es de person nes visées par
la réquisition .
Il 1t
IV . -
Personnes qui pelLl'l'lII
être requises
La req uisition peut po rter sur tous les habitants du territoire .menacé et peut êtreadressée également à des or iTallismes tels.
que la Cro ix-H ouge ou toutes association
qui, com me la Fédératio n Nationale de Sauve tage, peu vent norm alement être appelée
à participer aux secours en cas de si nistres.
En ce qui co ncern e le r ôle de la CroixRouge, vo us vous reporterez aux instrul'tions de l a circul aire qui VO liS a été ad ressée le 27 mai 1949 par M . le Ministre de 1,
Santé Pu blique.
Enfin, il l a demande de mOIl collègue..
j'appell e "otr e attention sur J'intérêt qu'il
y a il co ns.ulter le directeur dépa rtemental
de la sa nté sur les r éq uisitions de personnel
médical et pa r a-médical.
Réparation dt!s donlfllUUfs
et accidents
La réparation des dommages c() n~ êc llt if
aux acc idents survenus en se r\'ice aux personnes requjses, en l'absence de toute fau le
de leur part, doit être supportée par l'administration (c. E. ;; mars 1943, Chava t, jUL
mun, 1944 I II 1). De même ICs cl ommag'e~
ca usés invol ontairement par les req uis aux.
tiers engagent la responsabilit é cie la puissa nce publique (C. E. 24 octob re 1942, Huot.
rec. P. 3 17).
.
1 Lo rsq ue la réquisition a été effectu ee
par l e Mai re, en vertu de ses pou vo irs .depolice municipale la char ge de la répara!lO n
incombe il la commune. Il en va de meme
lorsque la réquisition a été effect"ée pa r 1'0'
soins par substitution des pouvOirs de ~
lice d" l'Haire (Art. 99 de la loi du 5 avn l
1884).
.
2" Lorsque la réq ui sition a été c!fectueepa r vos soins en vertu de vos pouvOIrs pr~
pres, l es co nséquences dommageahles dOIve n! être suppo rtées par l'Etat.
I! reste alors à déterminer le Département
ministériel sur les crédits duquel ces dépenses devront ê.tr e imput ées.
Cette détermin ation présente le plus s~u
vent des difficu ltés en raison du caracterc
complexe des diverses opérations que. conl ~
po rt e la lutte co ntre les cala mites pUbIiQUI~':
seul, "e xamen des circonstances parltc~ 1 s
res à chaq ue fait dommal\eâb le per met, a~
la génér alité des cas, de fixer. I ~ part jn~
respo nsabilité inco mbant aux M'nlste res
téressés.
To utefo is, le but poursuivi par
sition et l'autorité chargée de la
V. -
f)
e 'ours constituent deux crit ères de base
pour "imputation
1:"'
dénensCS de cette nature .
liesJe signa
r
i e, a' t,'tre d'exemple. ' qu'à l'occa·
~ lOn de la lutte cont re les criquets dans le
en 19-18 et des transports d'eau orga, l ,
'sés en vue ' de rem éd"1er a 1a séc 1l erCsse
~~ns certains départements de l'Ouest en
~949 c'est le Ministère de . 1' Ag ri c ulture qui
a pris ~n c h a r~e les co ns~q ue n ces dom ~n a
fteables des aCCidents c~ uses par les services
~\I les perso nnes req UIses. Dans ces ,de u x
cas en effet, le s ystème de lutte était onganisé par de.s représen tants loca ux du Ministère Je l'Agricul ture (Se r ~ice de la Protecfio n des Végétaux ou Geni e Hural) et fon ction nait SOllS leu.r :1t1tor i~é, le. ~ ré fet s'éta~t
borné à 1I1ettre a leur dispOSIti on, par ,'ole
de rfq uigitio ll , les moyens d'action néce5sai-
~!~~éSrallement util isables
""d',
res·
.'
d
..
,
Par applica ti on e cc IH lllclpe, c ~st ail
Dépa rtement de la Santé Pub lique et (le la
Population que devraient être aù ressées I ~s
demandes cn rcparation ou en r embo urst'ment de fra is qui pourraient vo us t-t re présentées à l'on:asion de réquisiti ons effecluées pour les so ins médicaux et J'hospital isati on des victimes de calami tés.
Qua nt â mon Ad min istration, ell e ne serail appelée à supporte r la char ge de dommages subis par les r equ is que dans les hypothèses où ceux-ci au raient été placés, au
moment des fa its dommageables, sous l'autorité directe <.l'age nts ou de se rvh.:es appartenant au Ministère de l' Intér ieur et auraient
agi dans le cadre d'i nstru ctions pri ses I)ar
l'tS agents Ou sen·ices.
Il VO li S appartiendra de me saisi r, saLIs le
double timbre de la Diredio n des Ser vices
Fin~ ncie ,. s et du Contentieux (6me Bureau)
et de la Direc tion de l'Administ rati on Géneraie, Dépa rteme ntale et Co mmun ale (8me
Bureau), des diffic ul tés que pourrait presenter, ~ cet égard, l a so lution de cas d'espèce.
VI. -
R~;mllllératioll des persollnes req uises
requises
Les personnes requises peu ve nt demander
la rémunération des services qu'ell es ont
rendus (Ci\'. 27 ja nv. 1~5R, Andr 6ne D , P.
58- 1-66) ..
Il conviendr a, pou r l'imputation des dépenses en résultan t de se référer aux indica tions figurant au' para gr aphe V t'i-dessus.
/1 va de soi 'lite les personnels requ i s peuvent volontairement renonce r il cette rému~érat i on, sans perdr e pour autant la ga ranIle ~e la répara tion des domma ges qu'ils
auraient pu subir dans les conditio ns visées
~~ §. 5. Cel tains organismes de seco urs et
a~lsta n ce m'o nt fait connaître que tt:lI e
serait leur intention. VOliS pour rez dans ce
fas inviter les intéresses à vou~ confi r mer
d~ur renonci z, tioll aux vacatio ns, Stlns préjuti~e de leurs droits éventuels à indemn isan au cas de dommage ou accident.
VII. - Béné Jloles et l'olontaires
ct Il arrive fréquemment que des personnes
I/~I~~ères au service publi c, partic ipent il
QU'auu xe cont re. des cal amités publiques ai nsi
opér atio ns de sa uvetaO"e et d'assista nce aux
. t'
~
d'u ne . . \: I ~ Imes, sa ns avoir fait l'objet
requlsltlOn rég ulière
POur a
'.
'
rêpar f ppreCler leu rs droits éventuels à
ainsi a IOn ~en l'as de dommages co rporels,
tian di~l e )Ia responsabilit é de l'administrateRori e
es dommageS caùsés par cette catlngue le~ satiéet~u rs , l a ju ri sprudence disres )..
i:
nevoles » et l es
\'olo ntai-
J
a) En pr incipê, les b':nc\'oles sont les personnes qui ont fait J'objet d'une soll icitation,
non obli gatoire. de l'autorité publique : le
~O~lS~i1 d'Etat considere que leur situatio n
JUfldlque est assimil able à celle des requis
~C. E. Cne de St- Priest-la-Plaine, 22 nov.
1946, Gaz. Pal. 1946, Il , 243) ; mais cette
assimilation ne joue que si les co nditions
suivan tes son t réunies :
1" Lt! co nco urs tlu bénévole doit avoi r étc
demandé par l'autorité publiq ue q l1a lifi é~ ;
2° Son action doit s'exercer dans l'intérêt
de la collectivité intéressée ;
3" Elle doit être co nforrne au x directi ves
données par l'autorité qui a soll icité j'i nterve ntion et à la mission co nfér ée pa r cell e-ci ;
40;> l 'accident doü su rvenir pendant que le
hénévol e apporte so n conco urs dans les co nclitions d -dessus définies ;
5') Aucune faute ne doit pOll\'oi r lu i êt re
reprochée dans l'exécution du servi ce.
c) A défaut d' une dema nde de l'autorité
quali fiée, le particulier qui intervient dans
l'exécutio n d'un sen'ice est un volontaire ;
Jans ce cas, la présomption de responsabilité dont il a été fait état ci-dessus se trou ve
renversee ; la puissance pub lique est exonérée de to ute obligation pécuniaire envers
l'intér essé et de toute responsabilité sauf si
le volontaire victime d'un accident ou l e tiers
victime d' un dommage ca usé par le volontaire, peut prouver l'existence d'un e faute
lourde da ns le fo ncti on nement du ser vice
(C. E. 5 mars 1943, Cha vat. ju risp. Mun.
1944 III - 1).
:.
En to ute hypoth ese, il co nvient de recourir - sa uf impossibilité majeure - à des
réq uisitio ns ri:guliè res, de préfér ence aux
so ll icitations dépourvues de ca ractère obligatoire, afi n d'éviter toute confu sion dans la
détermination des personnes ayant réguli èrem ent collaboré aux opérations et d(Jns la
fixation de Icu rs droits a indemnité.
Pour le Ministre de l ' Intér ieur
et par délé"ation,
Le Pré fe t, Directeur de !' Administration Gén érale , Départementale
el Communale,
Sig né Pierre-Jean MO ATTI.
-------r.» OO «~-------
D2 83
TVX 5
PARTICIPATION DES COOPERATIVES
OUVRIERES DE PRODUCTION AUX
ADJUDICATIONS ET MARCHES DE
L' ETAT ET DES ETABLISSEMENTS
PUBLICS.
La presente tirL ulalre a, en conséquence,
pour objet de rappeler dans leur intégralité
les termes de la cir.clliaire précitée du 25
juillet 1947.
Elle se prop,rse, en outre, de pr ~cl ser certains aspects de son aopli cation.
Je désire notamment attirer votre attention sur les poi nts suivants :
1) La division en lots, prévue a l'article
premi er du décret du 1er octo bre 193 1, est
particu lièrement recommanda ble, non pas
seulement en ce qu'elle perm et au x coopérati ves ouvr ières de se voir attribuer une
certaine proportion de commandes, mais enco re en ce qu'ell e élar git la concurren ce
pour les marchés passés au nom de l'Etat
et des collecth,ités puWiques. Elle permet
au x petites et moyennes entreprises de concouri r et a pour résu ltat d'éviter la pratique,
dangereuse à bien des égards, des tra vaux
sous-traités par des entrepreneurs générau x.
2) En vertu de l'article 2 du décret précité, l orsque la division en lots est appliquee,
un lot su r quatre doit, dans certaines conditions, être attri bué à la coopérati ve ouvrière régu lièrement agréé par le Ministre
du Travail, qui en a fait l a demande.
j'estime qu'il convient de s'attacher à l'esprit de cette disposition , et ne pas considerer, notamment, que la pratique des lots réservés peut être aba ndonnée lorsque des lots
1 igoureusemen t égaux n'ont pu Hre établis,
ou lorsque le nombre de ces lots n'est pas
strictement égal à un mu ltiple de quatre.
Vous pourrez retenir, en pareil cas, l'id ée du
quart en \'aleur.
3) Enfin, j'attire pa rti culi èrement votre attention sur les dispositions de l'article " UU
décret, qui prévoient le paiement d' al'omptes de l'ommandes aux socié tés ouvrières,
sur les oU\'fages exécutés et sur les fourni t ures livrées par ellesCes dispositi ons doi,'ellt t: tre appliqueès
toutes les fois que t:ela ~s t possible. En cas
d'impossihilité, il ~l o i t en être retenu un certain ordre de prior ité dans la "érificati on et
le mandatement des mémoires, situations et
factures émanant des coopérati ves ouvrières
de producti on.
Je VOBS prie cie bien ro uloir cummuniquer
ks présentes instr uctio ns aux directeurs des
se r'vil es concédés, ainsi qu'aux di recteurs
des entreprises nat iona lisées r elevant de rotre Département.
R. PLEVEN .
•
GOlDIDOMIQOU DO SEG8ETHOIIT
DE L'ONION DES mSIRES
N"" 6963
Pa ris, le 15 oc to b re 1950
Le Président du Co nsei l des Ministres à Messieurs les l\ \jnistr es,
Monsieur le Go uve rn eur Genéral cie
1" Algéri e;
Messieurs les Préfets,
La parti cipation des coopérati ves ouvri ères de producti on aux adjudicati ons et marchés de l'Etat et des étab lisseme nts publics,
est régie par le décret du 1er octobr e. 193 1,
do nt les dispositions ont été rappe lees et
préc isées par circu lai re du Président du
Co nseil n" 34-24 S.G. en da te d" 25 j uill el
1947.
Il ne semble pas, to utefois, que la règlementation de 193 1 ait, à la snite de ces instr uctions, recou"," toute l'efficacilê souha,tée. Ce rt ai nes des prescriptions du décret
sont encore méconnues ou t rop strictement
interprétées.
DEMANDE D'EMPLOI
DE SECRETAIRE DE MAlRif!
M. IAM Georges. secréta ire pêne ra l de la
!\\airie des .~ \ lIrealiX (Seine-et-Oise), sollicite
un poste équi,'alent par nomination ou mutati on dans une commune du Département
des Bouches-du-Rh ône, de plus de 5.000
!1abitants.
MM. l es Maires intéressés pa r cette ca ndidature sont priés de se mettrt! di rec tem ent
en rapport al'ec M . jAM.
Le Seaétnire Général dt' l'Uflion,
AU DIB ERT .
Copie:: ceru6ée confo rme.
Pour le Préfet :
Su,élo,,.e Gi ,.;,o/ : LAMASSOU RE.
�,
REPUBLIQUE FRANÇ AISE
30 Novembre 1950
'
/,
8 ' Année. - N' 48
OËPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
,)
~ 'J
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
"
TOlite corresp onda/l ce r ela tive a u R ec ueil doit êtr e a dressee à la P r éfecture Sec r étariat Général
ABHÉVIATIONS
A, P . : Arrêté pré fec tora l. - C. : Circ ula ire. - Les lelt res D et B su ivies d'un dh iffre indiquent le Service ou Bu reau d'origine.
D. S. T . : Directio n des Services Tech ni que •. - D. D. S. : Directio n Dépa rtementale de la Sa nté. - D. D. P . : D irectio n départementale de la Po pulat ion.
SOMMAIRE
ArrêIés réglementaires et Circttla ir€1'l
Pages
.~G Il - Progra mm e départe menla l cie
priorite de r econ stru ction de biE' fI ~
sin istrés
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. 179
P 4. - Ob li gat io n d'a ppose r un panonceau à l'ex téri eu r ' de to ut dé bit
de bo isso ns ...................... 179
RR II. - Fo urni t ure de cha r bo ns aux
Admini strat io ns Pu bliques ...... . . 180
TVX O. -
Bordereau c;es salaires du
AG 2. -
bâtiment et des Travaux Pu bli cs ..
TVX 1. - Diff us ioll de broc hure, relatives aux Înstructiom5 régissant h!s
co nst ructio ns scolai res ........... .
AG 6. -
agents
des
,Collecti vités
locales .......... . .. .. .. .
Elec t io ns des représenta nts
184
T extes d'intérêt général
18 1
AiC 3. - Applicatio n du décret num éro
50- 1358 du 3 1 Octobre 1950, por tl'lt
des or ganismes mutualistes a u Con-
seil s ll pé rieur de la Mutualité et des
membres des Comités dépa rteme n-
taux de coord ination ..... .' ....... .
Complément de rémllnéra-
tia n aux
18 1
attribution aux personnels de l'Etat
d'un complément de rémunérai:.)11 :t
titre de minimum garanti ..... . ... .
184-
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET C IRCULAIRES
D5 BI
AG 13
PROGRAMME DEPARTEMENT AL DE
PRIORIT E DE RECONSTRUCTION
DE BIENS SINIST RES
ARRET E
>Le Préfet des Bouch es-d u ~Rhô n e,
Officie r de la Lég io n d/Ho nneu r,
Croix de G uerr e,
•
VU les ar ticles 4 et 36 de la loi n' 41>-23 ~0
du 28 Octob re 194.6 s ur les do m mages de
guerre de l'ar tic le 7 de la lo i n' 46-29 2 1 du
23 Décemb re 1946 ;
VU l'article 18 du déc ret n ' 46-2960 dl!
3I Décembre 1946, po rtant rég leme nt d'A dm!nlstration publique pO Uf l'application de ia
101 n' 46-2389 d u 28 Octobre 1946 ;
VU le d'éc ret n' 46-551 d u 30 ,Ma rs 194fi
Portant creation de Commissions D épart t:mentales et Locales de la Reconstructi oo,
rnodifié par les décrets n' 47- 1903 du 20
Septembre 1947 n' 48-753 du 27 Avri l 1 94~
et n' 48-1 970 du 27 Décemb re 1948 ;
VU l'arrêté e n date du 5 ,M'a i du Nlinistre
de
la Reconstruc tio n et de l' U rban isme fixant
le délai au ter me duqu el les sin istr és doivent
P:ésanter les pièces ad min is tratives et tech-
~ l qU~S nécessai res à l'instru ctio n de leurs
d.~Ssl ~r~ et donn ant délégatio n a ux délégués
h ,Mllus tre de la Re co nstru ctio n et de r Urd:~~me POur fi xer le point de départ d'e ce
VU
M
' l'a rrêté en date d u 19 Aoüt 1947
,Inlst re de la Reconstru ction
nlsrne portant déléga tio n np" m"
1
ticle 7 de la loi n' 46-292 1 du 23 Décembre
1 9~6 relatif à l'é tablisse ment,
à l'échelon
dépa rte menta l ou local, de l'o rd're d'e priorité pour la re co nstitution des biens sinistrës j
VU l' avis ém is pa r la Co mm ission Dépa rte mentale de la Reconstruc ti on en sa séa nce
d u 9 Novem bre 1950 ;
Su r proposition du Délégué Départeme ntai
du Mi nistère de la Rec onst r uct ion et de l'U rbanisme,
ARRETE:
ART I CLE PREM I ER . -
• Sont
inscrits, au titre
de l'exercice 1950, à l'Ordre de Priorité départemell ta l, pour le versement -des indemnités de dommages de guerre, les sinistrés
dont les noms fig urent
S UT
les listes an nexE'es
AU 'présent a rrêté, pour les biens dans les
conditions qui
y sont indiquées.
ART. 2. Les sinist rés visés à )'a rtîcte
1er du prése nt a rr êté dev ront dépose r, da n.
un délai de six mois, à dater die la pUOlJcation de ce t arrêté, un e demande dJjndemnité
accômpagnée de toutes les pièces nécessaires. administratives et tec hniques, pou r jusWi er leurs droits.
AR1. 3. Une amp li ation du p résen t
a rrêté, comportant les listes annexées, sera
d1éposée à la Préfecture et une aut re aan~
les bu reaux du Délégué d u Minist re de 'a
Reconstru ctio n et de l'Ur banis me, Cité Ad mI -
nis tr ative (Bourse) Marsei ll e.
U ne a mpliat ion co mporta nt les extraits de
listes co rrespond1antes, sera affichée, par les
.r\1aires, dans les Mai ri es des Communes Înte_
ressées.
ART. 4.
Ministre de la Reco nstr uc tion et de l'Urbanisme et les Majres, sont chargés, chacu n en
ce qui le concerne, de J'exécution du présent
arrêté qui sera publié, à l'exception des listes
annexées, au Bull eti n des Actes Ad'm inistrati.fs du Dépa rteme nt.
Fait à Marsei ll e, le 17 Novembre 1950.
Pour le Préfet,
Le Secrétai re Général,
LA'MASSOURF.
NOTA. - Les lisles de priorilaires peuvent être consultées soit dans les Bureaux
de M. le Délégué Départemental du Ministère de la Reconslruclion el de l'Urbanisme,
soit dans les Mairies intéressées, soit à I:~
Préfecture 5e Dil1ision, 1er Bureau.
---(,>00«>--_
DI B I
P4
OBLIGATION D'APPOSER
UN PANONCEAU A L'EXTERIEUR DE
TOUT DEBIT DE BOISSONS
ARRETE
l.e Prélet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Ho nn eur,
VU les lois des 9 Novembre 19 15 et 2.j
Septembre 194 1 ;
VU la loi d u 28 Août 1943 ;
VU la ctemande de l' Union Départementale
des Svndi(';ltc: hAfp!iprc:
o ...... ~ '- ~_ ~
�-
Ill>
ARRETE :
ARTIa.E PRUlIER. Tout debitant de
boIsson- dans le departement des Bo"ch~
du-RI!ône bt lenu d'al"P05"t il l'extérieur de
son eta li ement el de façon visible, un
panonceau portant en su ription la mention :
c Industrie hôteliere des Bouches-du-Rhône
et sur lequd sera indiquée par un chiffre en
,;aracti:re romain la catégorie à laquelle cet
<!abl ement appartient, selon les désignations figurant aux dispositions de l'article 10
de la loi du 2~ Septembre 1 9~1 contre l'al coolisme.
Le chiffre 1 désignera la licence de 1re
cat~gorie.
soit le senoice des boi
os san.,
alcool.
Le chiffre Il désignera
la licence de 2e
catégorie, soit le service des boissons sans
alcool et celui des boissons fermentées non
distillées.
Le chiffre lU désignera la licence de 3e
materieUe de tenir l'intégralité des engagements qu'ils ont souscrits.
Si certains d'enrre eux les tenaient, ce ne
pourrait être qu'en privant totalement la
j>OPu/ation des quantités de charbons maIgre>
auxquelles elle est en droit de prétendre, cc
qui pourrait entrainer qes protestatIons fondées.
Dans ces conditions, je crois pouvoir vous
demander de bien vouloir, en portant ces
raisons à leur connaissance, conseiller à ceux
de \'os ressortissants intéressés par la question de tolerer qu'une partie des fournitures
soit' faite en coke de calibre et de qualité
convenant a leurs foyers. Bien entendu, les
conditions de semblables tolérances, si elles
étaient demandées, seraient à débattre entre
les intèressés et leurs fournisseurs.
Signé : J. DESROUSSEAUX.
catégorie, soit le seno-ice des boissons sans
alcool des boissons fermentées el celui des
vins doux naturels ne titrant pas plus de
18' d'alcool pur.
Cette ucence permet, en outre, dans les
restaurants, de servir des boissons du ..J~ et
du 5' groupe (alcools de toute nature) mais
seulement à J'occasion des principaux repas
______ <>00< ) l - - --
D683
T V X0
BORDEREAU DES SALAIRES DU
BATIMENT ET DES TRAVAUX
PUBLICS
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
Officier de la Légion d'Honneur '
Croix de Guerre,
1
VU les décrets du 10 Avril 1937 'ur 1
c~nditions du travai l dans les mar~hés p~
bilcs,
VU l'arrete minlsté,iel du 15 Jan vier 1938
sur .Ies CommiSSions de bordereaux d~
salaires,
VU le procës-verba! de la Commission des
Bordereaux de sala ores dans les induslriés
du Bâtiment et des Trava ux Publics danssa
séance du 20 Octobre 1950,
ARRETE:
ARTICLE PRE,\IIER. - Est approuvé le bor.
dereau des salaires du Bàtiment et dt', Tra.
vaux Publics, figurant au ta bleau ci-dessous .
S.<\..WRES NORM~UX ET COURANTS
DANS LES INDUSTRIES DU BATLMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS EN
VIGUEUR DA S LE DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
1· Du 1er "'\ars 1950 au 31 Août 1950
et comme accessoires de la nourriture.
Le chiffre IV designera la licence de 4e
catégorie, dite c grande licence Jo, soit le
service de toutes les boissons dl.)nt la c o n~
sommation â l'intérieur demeure autorisée.
ART. 2. - Le panonceau dont il s'agit sera
de forme rectangulaire de 22 centimetres de
hauteur et 20 de largeur, de couleurs rouge
et bleue a\'ec lettres noires sur fond rouge
el chiffres jau nes sur fo nd bleu au dessus
d'une fleur de lys de même couleur.
ART. 3. - Les infractions constatées seront
réprimées conformément aux 10ÎS et reglements en vigueur.
ART. 4. - M. le Secrétaire Général, .\1.\1.
les Sous-Préfets d'Aries et d'Aix-en-Provence,
M. le Directeur Départemental des Services
de Police, M. le Chef d'escadron commandant la Compagnie de Gendarmerie des Bouches-du-Rhône et M. le Directeur des Contributions (nd'îrectes, sont chargés, chacun
en ce qui le concerne, de l'exécution du pr ésent arrêté.
Marseille, le 4 no\'embre 1950.
L~ Préfet,
Jean BA YLOT.
ZONE 1
Catégorie
1
2
3
4
5
DM_C. n· 1.060
Paris, le 30 Octobre 1950
Le Directeur des Mines et de la Sidérurgie,
â MM. les Préfets et les Chels d'arrondissement "~inéralogique.
j'ai l'honneur de vo us signaler que, par
suite de l'insuffisance générale des ressources en charbons maigres, particulièrement en
anthracites, nombre de négociants en charbon ayant soumissionné aux adjudications
ouvertes par des Administrations se trouveront vraisemblablement dans l'impossibilité
-0 %
ZONE Il
ZONE III
ZONE IV
-5%
-10 %
-15 %
56,25
53,15
59,15
62,75
66,45
59,40
66,10
70,10
74,30
76,40
73,25
80,55
84,75
86,95
91,40 '
62,50
69,60
73,80
78,20
80,40
77,10
84,80
89,20
9 1,55
96,20
ZONE 1
Catégorie
2
3
RRlI
POURNITURE DE CHARBONS AUX
ADMINISTRATIONS PUBLIQUES
J\anœuvre ordinaire ..........
spécialisé . ........
Ouvrier spécialisé 1er échel. ..
Ouvrier specialisé 2e échel. ..
Ouv rier spécialisé 3e èchel. .'
Echelon unique .. ....... ... ..
Ouvrier qualifié ter échelon . .
Ouvrier qualifié 2e échelon ....
Ouvrier qualifié 3e échelon . .
Ouvrier hautement qualifié ....
~\ianœuvre
------
62,65
66,40
70,40
72,35
69,40
76,30
80,30
82,40
86,60
68,35
65,55
72,10
75,fIIJ
77,80
81,75
2· A compter du 1er Septembre 1950
APPLICATION DU IDECRET N" 50.1029 DU 23 AOUT 1950, FIXANT LE SALAIllE
M1NIMUM INTŒPROFESSIONNEL GARA NTI
-------'c.OOc,~------
D483
CLASSIFICATION
ECHELONS
4
5
Zones territoriales pour
la détermination des
salaires
ZONE 1.
CLASSIFICA TIO
ECHELONS
l\<\anœuvre oNfinaire ........ .
Manœuvre spécialisé ........ .
Ou\'rier spécialisé 1er èche\.
Ouvrier spécialisé 2e échel.
Ouvrier spécialisé 3e échel.
Echelon unique ......... . .
Ouv rier qualifié 1er échelon
Ouvrier qualifié 2e échelon ..
Ouvrier qualifié 3e échelon
Ouvrier hautement qualifié ....
_ 0 %
ZONE Il
-
78
78
78
78,20
80,40
78
84,80
89,20
9 1,55
96,20
5 %
74,10
74,10
74,lQ
74,30
76,40
74,10
80,55
84,75
86,95
91,40
-
ZONE III
ZONE IV
-
-
Hf %
70,20
70,20
70,20
70,40
72,35
70,20
76,30
80,30
82,40
86,60
-150/<
66,30
66,30
66,30
66,45
68,35
66,30
72,10
75,80
71,fIIJ
81,75
ne, Plan_de-C uques, . por~~
Louis-du-Rhô ne, Rogn t detèmes, Sai nt-Victoret, QI'
Bouc.
CassiS.
Aix, Arles, Au.bag ne, fos-sur.
Ceyreste, La CIotat,
RoQutMer, ,Ga rdanne, Istre:'Oham.'
fort-la_B edo ule, Salns~ Marti'
St_Louis_du_Rhô ne! de-Jla.\I~.
de-Crau, Stes-Manes- .
Salon, T arasco n.
p'
Repartition des Communes
Marseille et ses banlieues,
Allauch, Berre, Châteauneuf-lesMartigues, Marignane, Marti ..
gues, .M,ramas, Les Pennes"M;ra beau, La Penne-sur-Huveau-
ZONE II. -
Zones territoriales puur
la déterOlll1ation des
salaires
Répartition des Communes
ZONE III. -
Ca rr y, Géme nos, Fontvieille,
Le Rove, Peypin, Saint-Mitrl',
Sausset. Vitrolles, Ensuès-La
Redonne.
ZONE IV - Autres Communes dl' ~:é p"rt<·
ment.
Il est précisé que ces sa;ail !s doiv(!l'\t drc
,considérés comme des sala!r('~ llI inima.
Fait à Marsei ll e le 20 Oc(oh re 1 150.
Pour le 1'; ~tct,
Le Secrétaire Général délégüC:,
G. LAMIASSOURE.
~
D2 83
TVX 1
DIFfUSION DE BROCHURES
RELATIVES AUX INSTRUCTIONS
REGISSANT LES CONSTRUCTIONS
SCOLAIRES
Paris, le 12 juillet 1950
Le Minis lr~ de l'Edu calion Nalionale
. à MM. les Préfels et
MM. (es I nspectellrs d' Académie
(pour information),
J'ai l'honneur de VO liS rappeler que les
instructions sur la constructi on et l' aménagement des écoles primaires élémentaires du
30 août 1949, les commentaires de ces instructions par J' Inspection Générale des Conf.tructions Scolaires et les te xtes r èglementaires rel atifs à l a constituti on des dossiers ùe
projets ont été consi gnés dans une brochure
publiée par le Bulletin Officiel de l'Education Nationale.
Je ne sau r ais trop insister su r l'intérêt qt 1e
présente la connaissance de cette brochure'
par les fonc tionn aires pl acés so us votre
autorité, par l e personnel des sen 'ices aclmi·
nistratifs et techniques de Mairie, de Santé,
d'Urbanisme, ainsi que pa r l es Hommes de
l'Art susceptibles d'être a ppelés à l'élabo r,,lion de projets d'équipem e nt scolai re, et je
vo us serais obligé de bie n vouloir favo ns ~ r
toutes mesures utiles à sa diffusion.
La même préoccupation me co nduit à VO liS
rap peler également q'ue le règlement clu 3
mai 1950 du Comité cie Coo rd inat ion Pédagogique et Techniq ue sur le mobilier scolai·
re a été publié le 1er juin 1950 au BuJletin
Officiel de l'Educalion Nalionale (n " 23).
Pour le Ministre de l'Ed ucation
Nationale,
Le Directeur de l'Adm inis tra tion
Gén éral e:
A. WEISS.
---c.ooC'~-------
ELECTIONS DES REPRESENTANTS
DES ORGANISMES MUTUALISTES
AU CONSEIL SUPERIEUR DE LA
MUTUALITE ET IJES MEMBRES
DES COMITES DEPARTEMENTAUX
DE COORDINATION.
Extrail dll Journal Officiel de la République
Française du 22 novembre 1950 :
Date des électio ns des représentants des orga nismes mutualistes au Conseil Supérieur
de la Mutualité et des membres des Comités Départementaux de Coordination de la
Mutualité.
Le Ministre du Travail et de la Séeurit e Sociale,
______ c ooc·..·------
LK n· 52
AG 6
D5 82
Vu le décret n· 50-730 du 24 juin 1950
fi xa nt les conditions d'élection des représentants des Organismes Mutualistes au Conseil
Supérieur de la Mutualité, et notamment
l' artic le 9 ;
Vu ~e décret n° 48-423 du 9 mars 1948
fi xa nt les co nditions d'élection des membres
des Comités Départementaux de Coo rd ination de la Mutualité, et notamment l' article 4;
Sur la proposition du Directeur Général
de la Sécu rité Sociale,
ARRETE:
Arficle premier. - Les élections des représentants des Organismes mutualistes au
Co nseil Superieur de la Mutualité et des
membres des Comités Départementa ux de
Coordination de la Mutualité auront li eu le
26 févr ier 195 1.
Ar/icle 2. - Le Directeur Général de la
Sëcurité Socia le est chargé de l'exéc uti on du
présent arrêté, qui sera pu bli é au Journal
Officiel de la République Française.
r ait à Paris, le 15 novembre 1950.
Pour le J\\i nistre et par délég:l.tion
Le Directeur du Cabinet
Jacques DOUBL ET .
•••
ARRETE
établissant fa liste électorale en l' lIe des éleclions des représentants des organismes
mutu alistes au Conseil Supérieur de la
Alll/Llalitc et des membres du Comité
partemental de Coordination de la Mutualité des Bouchcs-du-RII6ne :
De,-
Le Préfet des Bo uches-du-Rh6ne,
Ofli cier de fa Légion (/'Holmellr,
Croix de Guerre,
Vu ' l'o rdonn ance du 19 octob re 1945 portant statut de la Mutualité, notamment son
a rticle 69 ;
Vu le dCcret n· 5Q..736 du 24 juin 1950
fixa nt les conditions d'élections des re présenta nts des organismes mutualistes au Co nseil Supéri eu r de la Mutualité ;
Vu le décret n· 48-423 du 9 mars 1948
fixant les conditions d'élections des membres
des Comités Départementaux de Coord,r.ation de la Mutualité et notamment l'ar(:cle 4 ;
Vu les circulaires de M. le Ministre du
Travail et de la Sécurité Sociale n·· 234 S.S.
et 137 S.S. des 30-7-48 et 6-7-50 ;
Vu l'arrêté de IV\.. le Ministre du Travail
et de la Sécurité Sociale en date eIu 15 novembre 1950, fixant la date des élections des
repr csentants des organismes mutualistes au
Co nsei l Supérieur de la Mutualité et des
membres des Comités Départementaux de
Coo rdin atio n de la Mutualite;
Vu J'avis conforme du Comité Départemental de Coordination de la Mutualité des
Bouches-du-Rhône en date du 25 no vembre
1950 ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire Gbneral j
ARRETE:
Article premier . - La liste électo rale pour
l es élections des reRrésentants
J~s organ is,
mes mutualistes ait Co nseil Supérieur de la
Mutualité et des membres du Comité Dêparieme nta l de Coo rdination de la Mutualite de.
Bouches-du-Rh ône, qui auront lieu le 26 févri er 195 1, est établie conform ément il. l' annexe jointe au present arrêté.
La deuxième pa r tie de ladite liste ne s'ap·
plique pas aux élections des membres du
Co mité Départemental de Coo rdination et
des r epr ésentants territoriaux au Grand Con·
seil de la Mutualité pour lesquelles le
Unions et Fédérations Mutualistes ne participent pas aux opérations électorales.
Art. 2. - Toute Suciété, section de Soci.té, Union ou fédération, aya nt son siege
dans le département des Bouches-elu-Rhône,
ne pourra fo rm er un reco urs, soit ell vue de
son inscr iption sur la liste électora le, sail en
vue de la r adiation d' un autre g roupem~nt.
Le recours formé par écrit doit c:trt: prêsenté dans les qui nze jours qui sUivent la
publicatio n du présent arrêté ; il de\' ra étre
ad ressé à M. le Prefel des Bouches-du-Rhone, 5e Division, 2e Bureau J Sen'Îce de la Mutualité.
Art. 3. - Le prësent arret~ sera publie
mi Bulletin des Maires du Département des
Bouc hes-du-Rhône.
Art. ~. - J\\. le Secretai re Genéra l tl es
Bouches-liu-Rhône est chargé de l'ex~cutioJl
liu present arrêté.
Fait à Marseille, le 25 no\'em ore 1950.
Pour le Prélet :
Le Secrétaire GClléra( délégué:
LAJ\IA SSOURE.
�182
Numéro
de la
Société
PREMIERE PAIHIE
SOCIETES MUTUALISTES
Lisle eleelorale annexée d l'Arrêlé Préfecloral du 27 novembre 1950
~umero
de la
Société
2
7
~
Il
16
21
28
34
39
41
-1-1
53
57
60
81
S2
86
105
1(18
110
123
124
125
129
133
135
142
146
154
155
156
160
168
170
177
179
183
184
186
192
196
205
2 13
219
221
227
231
232
233
236
238
240
241
243
246
253
259
262
265
267
272
274
275
276
278
280
2S3
299
307
Nombre
DESIGNATION
de voix
L'Epi d'Or . __ .. ____ .. __ ............... , . . -- . ..
Saint-Louis ........ .. ....•................ .. . . .
lIlutualité Provençale ..... .. ..... ......... . ....
L'Ascension . ____ .......... __ . . .. __ . . .. .. . . . . .
Amitié et Constanre . .....•........... . .. . ......
La Parfaite Union... . . . . . . .. ....... . .. . . .. . . . . .
Saint-Louis .. .... ... ........... .. ... .. .. .. .... ..
Saint-Antoine-de-Padoue ......... ....... . .......
Saint-Hippolyte ..... . . ............. . ....... .. ...
La France ......... ......... .. .... ............
Saint-Claude .... .. .... . .. . .. ... . .. .. . .........
Saint-Barthélemy . .. . ... .. ..... .........•......
Saint-Pi erre-Saint-Paul .... . •........ . .... .. ...
La Laborieuse . ....... . ..........• .. . . . .. . ....
Sainte-Philomène . ................ .. ..... ... ....
Les Frères Solidaires ........ ...................
Sainte-Ma rie-Saint-R aphaë l Réunis .. . ..... · ·······
La Ruc he .......... .. . . .... .......... . .. ... ...
La Gauloise .. .. .......... . ... ..... ....... •. ..
Union Mutualiste de Saint-Antoine ... . ..• . . .. .. .
Saint-jean-Baptiste .. ... .........................
La Paix et la Gaule ...... . .....................
l 'hilanthropique des Commis et Em'ployés ....... ,
Saint-Henri n° 129 .... . . .. .. . ... . ... . ....... . .
La Jeune Ascension .. .. ..... . .......... ........
Saint-Julien ..... __ ......... . ... ..............
Sainte-Marguerite n° 13.142 ...... .. .. .. . . ......
Saint-jean-Baptiste ............... . ......... . ..
La Modeste . . .. ........... . ... ... ............. .
Saint-François-Xavier . . ... ... .. .. ...... . .......
France Nouvelle Florissante .... . ... .. ..........
Saint-Pierre-ès-Liens .......... .. .. . ...... .....
Les Bouchers Prévoyants ........ , " .....• . .•.. ,.
CoO\'ersion de Saint-Paul .. .. ...... . ......... . .. .
Les Employés Unis ... . ' __ .. __ .......... __ . . . . .
Mutualiste Quartier Sainte-Anne ....... . ........
Saint Laurent Martyr ...................... . . . .
Saint-jean-Baptiste __ .... . ____ ... ...... ........
Sauveteu r du Midi ...... ' . . .. .. ...... . . . . . . . . . . .
Saint-Louis, Roi de France...... . .. . . . . .. . . . . .. .
Salomon de Caus .............. .. ...... . .......
Assistance Mutuelle de la Ville d' Aix.. .. . .........
La Mutuelle d'Aubag ne .. __ .. .. ____ ......... __ . ..
Saint-josep h .. __ ......... __ . __ ... ____ .. . .. __ __
Saint-Michel .................. ... .. . ...... . ...
La Ruche ..... . ...... .. ... ....... .. ..........
Sa int-V alentin ... __ .. __ ... __ .. ________ ... ____ ..
Saint-Joseph .... .. .. __ .. __ .. __ __ __ __ .... -- --..
Saint- Lau rent .................. . .... ........ .. .
Sai nt-H onoré ...................................
Saint-Pierre .. .... ... ....... ...................
Les Prévoyants de La Penne ....................
Gérard Tenque ........ ...... .. ......... .......
La Fraternelle' . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. ... ... ......
Saint-Jean-B aptiste ... ...... ... ................
Saint- Roch ..... . .......... . ... . .. . .... . . .. . . . -Not re-Dame-du-Bon-Secou rs .....•........... . ...
Saint-Antelme __ ........... __ . __ .. __ . __ ... "'"
Saint-André .. ............. .. .... . ..............
S. M. des divers Corps d'Etat réu nis des Ateliers
3
6
3
6
6
3
3
3
6
3
6
9
6
6
12
3
6
6
6
6
9
9
24
9
6
3
9
6
6
3
3
3
12
1
3
6
9'
6
3
3
3
9
12
6
2
1
4
4
3
1
1
4
6
4
6
6
6
4
1
PLM . . ... . . . . . . . . . . . .. .. .. .......
1
La Savoisienne ....... . ...... ..... . .. ........
La Fraternelle .. . ........... ......... . . . ... ...
Anciens S/ Oll. Caporaux et Brigadiers de Marseille.
Saint-Hilarion ............ ..... . ...... . . . . . ...
La Fraternelle des Agri culteurs .. ' . . . . . . .. .. . . . . .
L'Espérance ................ ............. . ....
Les Droits de l' Homme .... .... ........ .... . ...
Caisse de Retraite des Ouvriers de tous Corps d'Etat
L'Union. . . . . . . ... ............ ................
1
6
2
9
4
6
4
1
6
32 1
335
336
338
347
348
35 1
354
357
358
366
376
388
399
416
414
417
424
430
438
442
-
Numéro
de la
Société
DESIGNA TlON
Sai nt-P ierre-les-Ma rti gues ...........•.... , . .... .
La Prévoyance .............. . .......... ... ....
Les Enfants des Alpes ... . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . .. .
3
6
6
Anciens Compagnons Réunis ............. .......
2
La Bas-Alpine . . . . .. . . .. . .. ........ . .. .. ..... 3
Dames et Demoiselles Réunies .... ...... ....... . 2
Sainte-Honorine ..... ........... .. .... ......
1
La Provence Nouvelle .......................... 12
Sté P hilantropique des Employés des Chelllins de Fer 6
les Travai ll eu rs de Saint-Etienne-du-G rès .... .... 6
Des Ouvriers de tous Corps d' Etat .............
3
Saint-Pierre ............ ....................
2
LJlnstitut de Sauvetage c1~ la Méditerranée ....... , fi
L'Union fait la Force ............ ' .. .... .
n
La Fraternité Progressive ............ . . ....... . 9
La Fraternelle des Officiers en Retr a ile ......... . !
Co nfrate rnité Médi cale ............ . .......... . 6
La Fraternelle ..... . ............ . ....... . ...... . g
Société de S. M. de La Roque d'A nth éro n ....... . 3
. ...... .
Les Prévoya nts de Glanum ...
6
Assoc iat ion des Voyageurs et Représenta nts
Commerce.......
..' . .. ........ .
de
4
453
466
Scolaire et de Retraite de la Mutualité .......... .
472
Mécaniciens et Chauffeurs
482
5 15
535
541
542
556
561
567
57 1
573
586
590
594
606
6 14
620
625
63 1
634
642
643
646
653
662
67 1
676
683
684
706
716
717
72 1
730
73 1
737
739
748
754
755
764
772
777
78 1
782
791
795
805
Association Mutuelle de Prévoyance
Sociale
2
des
Sourds-Muets ............ ................ .
. , ....... .
Union Fraternelle .............. .... .. ..... . ... .
La Fraternelle ........ . ............ ..... . .... .
Décorés et Médaillés Français ....... ~ ........ .
Les Amis Indépendants ............ . . ......... .
Association Amicale des Commis et Emplo yés de
la Ville de Salon ................. ... .
Caisse du Personnel du Service Assainisseme nt
Ville de Marsei ll e .......... . ... . ..... . ...... .
Le Rouet ........ . . . . ... . ....... .... . . ...... .
La Marignanaise ..... . ... ... .... . ......... . .. .
La Prévoyante .. ... . ..... . ... ... . ............ .
L'Emancipation .... . .................... . ..... ..
Adultes d'O rgon ........ ..... . . .............. .
6
4
4
4
3
3
9
9
1
fi
!l
L'Humanité .......... ......... ............ .
La Pateto ............ . ..... . ................ .
La Fraternelle ... ............... . .... . ... .
La Pisavis ....... , .............. . .. .... . .. .
. . . . . . . .. . ..... .
La P élissa nn aise .... . ....
La Fraternelle de Rassuen ............ .
L'Etoile du Midi .........
. ....... .
3
1
ô
2
3
Q
La Prévoya nte de Saint-Andiol ...... . .......... .
. ...... . . .
Les Amis Réunis .... . ....
La Frate rn ell e .. . . . . . . . . . . .. . .............. .
-La j oliette . . .................... . .......... . . .
Uni o n Frate rnelle Otaire .................... . .. .
La Fraternelle Au bagnaise ............ . ........ .
La Fraternité.. .. .. .
.. ................. "".
La Cacho-Maio ......................... .
Les Héros du Devoir .... ..................... .
Union des Agents S. N. C. F .................... .
La Jeun e F rance ...... . ..... . ................ .
La Sécurité Pennaise . ......... .'... . .. . ....... .
La Caba nn aise ........ . ...................... .
Les Médaillés Militaires 8ge Sectio n ..... ·········
La Prévoyan ce Fraternelle ..... ....... . ........ .
901
908
909
98 1
983
993
997
999
1.000
1.004
1.016
1.01 8
1.01 9
1.021
1.025
1.029
1.03 1
1.033
1.042
1.048
1.049
1051 '
i.052
6
ô
2
Sauveteurs Provençaux n 634 ................. .
820
824
826
832
842
8S 1
892
3
"3
9
fi
2
1
4
fi
1
2
S
1
9
9
3
9
4
Société Mutuelle U ni o n Fraternelle ........ .. ... . ~
La Mutuelle Féminine ... .... . ........... ' -- .. .. 2
La Prévoyance . ...... ... .. .................... . 4
Le Wago n n° 754 .. ................. . ..... .
Mut uell e Marseillaise des Agents des CO lltri bu1
tians Indirectes ......... . .......... ........ 9
Les Prévo ya nt s de la Chamb re de Comme rce .. · ··· 12
Les Prévoya nts de la S. P. C. N ......... · .. ".... 2
Ami cale Lobin Druge et Brun .................. 3
Saint-André Apôt re... . . . . . . ... . .. ... ..•.. . ... . 6
Le Douamer Mutualiste ........................ 4
La Prévoya nte de l'Alumine .................. .. 1
.., ~
Les Enfants de l'Ariège .......... .. . .. ..
Boka Nouveautés ...... ............ .
1.057
1.063
1.064
1.065
1.067
1.070
1.074
1.077
1.078
1.080
1.082
1.033
1088
1.09 1
1.093
1.094
1.095
1.096
1097
!.098
;.099
1.104
i .106
1.107
1.108
1.109
1.11 5
1.117
DES IGNATION
Nombre
de voix
Retraite des Anciens Co mbatt ants . . . . . .. . ... .. . . . 12
La Mutuelle F. A. O. ......... . ..... .. .. ... •...
3
Cercie des Aveyronnais ............... .. .......
3
Mutuelle de l'Automobil e................ .... ..
6
Secours Mutuels de Charleval . .. ..... .... ......
9
Int erprofession nell e du Bassin de Séon . .. .......
2
Société de S. M. Explosifs et Produits Chimiques
Saint-Martin-de-Crau .. . ....... .... .... ......
1
S. M. de l'Usin e Ku lhlmann ... ......... . ..... . .
6'
Personnel de la Cie Sali nieu de la Camargue .. . ...
9
Pe rso nn el de l' Industrie Textile de Marseille ....
2
3
La Fraternelle Al gé rienne Mutualiste . . ..........
Mutuelle des Ancie ns Comb attants S.F.C.N... ... .
9
l..'E g uillène .......... ............. . ..........
6
Mutuelle Chirur gica le des Bouches-du-Rhône ...... 20
La Prévoyance .. . ..... . ... . . . . ........ . .......
9
Association Amicale Conducte urs Auto... .........
1
Les Sapeurs Pompiérs . . . . . . . . . . .. ...... . .......
4
Les Enfa nts des Basses-Alpes Mutualistes. .......
3
Mutuelle des Peseurs-Jurés de Commerce........
3
Mutuelle du Provençal ............... .... .......
4
Mutuelle du Canal du Verdon .. . ..... .. ... ... . .
1
Mutuelle Agricole . . .............................
6
La Prévoyance Rognenque ............. .. ..... . .
6
Union Déparpartementale Mutualiste de la C. G. T . 30
Mutuelle de la Bouilladisse ..... .... .. . ..........
6
Mutu a lité Accidents Elèves
. . . . . . . . . . . . . .. 10
La Prévoyance Eyguiéroise ... . ..................
6
La Prévoya nce Mallemortoise........ .... .. ... . ..
6
Mutuelle du Perso nnel de la Société Française de
Peintures et de Vernis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
2
Associat ion Mutuell e des Employés et Cadres Dames de Franoe .......................
4
Mutuelle du Personnel Société Dumaine ..........
3
4
Mutu ell e Syndicat Av iation .. '.' . . . . . . . . . .. . . . . . . .
Amicale 1mprimerie Nouvelle ................. . ..
1
Entr' Aide Féminine ....... __ .... __ .. ____ . .... ..
6
Lyre Simianaise ......... . .. . ... ....... ... . . . .
1
Amicale Mutualiste de La mbesc. . . . . . . .. .. . . . . . . .
4
Personnel Direction Régiona le Sécurité Sociale....
1
Comm une aux Militai res Européens de Ca rri ère
nOn Officiers des Tro upes Coloniales ..........
24
Travailleurs du Li vre ..........................
Associati on Mutuelle des Officiers d'Académie et
0
de l' Institution Publique ...........
Société S. M. des Fo ncti onna ires et Agents releva nt
du Ministère de l' Inté ri eu r (Marsei lle).. ...
Société Mutu a liste de la Poli ce de la Région Marseillaise . . . . . . . . .. .... . ... . ..... ..... .......
Du Perso nn e l des Sociétés de Trafic Maritime ....
Brasserie Marx et Cie ... . ............ . .... . ... •
4
Tramin ots de Saint-Pierre .... ... ........ . .....
Entreprise des Forges et Chantiers ..........
Mutuelle Provençale des Donneurs de Sang..
Etablissements Fournier Ferrier ................ ··
Mutue lle Déportés du Travail et Victimes de la
Guerre .......... .. .... .............. ....
Société Entreprise du Personnel Usine Soule!..... .
Société Mutualiste Personnel Anelec ............ ··
Mutuel le Chanti ers et Ateliers de Provence .... . ...
Mutualité du Personnel E. G. T. H. ..............
Agents de la Cie Chemins de Fer de la Camargue.
Caisse J\I\utuell e Complémentaire et li' Acti on Sociale des Indust ries E lec trique et Gazière Mar-
12
1:;
4
3
4
V
4
12
6
6
6
9
9
6
PREiMIERE PARTIE
SECTIONS DE SOCIETES
Lisle Eleclorale annexee Il l'Arrêlé Préfecloral du 27 Novembre 1950
Numéro
de la
Société
Mutuelle des Tabacs et Allumettes Aix ... .. . ..... .
Société Mutualiste du Personnel de l' Enregistrement
Mutuelle des T abacs et Allumettes ........ . .... .
Société Mutualiste du Personnel du Ministère du
Travail et de la Sécurité Sociale . .... .... . ... .. .
Mutuelle Civile de la Guerre ............ . ...... .
Comité de Secours Mutuels du Contrôle Economique
La Solidarité Milita ire .... .......... ........... .
Mutuelle Générale des P. T. T ..... ""'"
Mutuelle des Contributions Directes et du Cadast re.
Secours Mutuels du Ministè re de la Reconstruction et de l'Ur ba ni s me . ...... ... .. . ... .
Mutuelle de la Ma rin e ..................... . .. . .
Société de Secours Mutuels des Travaux Publics
et des Transports n° 3 1.......... .... .. ... ...
Société de Secours Mutuels du Personnel des Travaux Publics et des Transports n° 30..........
Société Mutualiste du Personnel du l'Itinistère de
9
Ouvri ers et Empl oyés de Marti gues . .. .......... .
Société Saint-Gobain ... .. ......... ...... . .....
6
Vn pour êt re a nne xé à notre Arrêté du 27-11-1950.
Pour le Préfet,
Le Secrélair< Général Délégué : LAMASSOURE.
9
9
3
Union s et Fëdéralions Mutualistes admises à participer
à l'éleclion des représentants des Organismes mutualistes
ail Conseil Supérieur de la Mulualilé
Numéro
de l' Union
Nombre
et Fédération
DENOMINATION DE L' UNION
de voi x
39 1
Associati ùn Mutuelle pou r la Caisse de Réassuran-
560
603
608
ce de Marseille et du Département des B.-du- Rh.
G rand Conseil de la Mutualité ................
Pharmacie des Beaux-Arts....................
Unions des Sociétés de Secours ~ Iut uels du Can-
10
15
10
ton d'Aubagne............ ...... ..........
10
10
10
10
8 14
La ~Iaternelle de Marseille et des B.-du-Rhône...
Pharmacie Spéciale des Stés de Secours Mutuels
Unions des Sociétés de Secours Mutuels d' Istres.
Ph a rmarie de l'U nion des Sociétés de Secours
Mutuels d'Aix ............ ..................
Union des Sociétès de Secours Mutuels du Canton d'Orgon ..... . ...... ..... . .. ..........
10
8 15
Mutualite !llatemelle à Aix ....................
10
Caisse Hégionale Mutualiste
678
724
746
773
982
1.066
1.089
1. 120
1.12 1
4
SOCIETES MUTUALISTES
·327
Personnel de la Société Colonial e Chau x et Ciments
~~and . . . . . . . . . . . . . . . . . ... . . . . . .
6
DEUXIEME PARTIE
6
Savo nnerie .Roua rd .............. .......... ....
6
2
12
9
:.
Personnel Etablissements G roignard
.......... .
Persollnel des Raffin eri es Sa int-Louis ............
Caisse Complêmentairc Actio n Sociale Industrie
1.11 8
1.11 9
6
9
l' Industrie et du Commerce. .. . . . . . . . . .. . . . . . . .. .
12
12
6
6
6
9
Vu pou r être an ne xé à not re Arrêté du 27 novembre 1950.
Pour le Préfet,
Le Se crélaire Géneral Délégué
LAMASSOURE.
sei ll e (Vi lle) ........... ... ...... . ...........
Electrique et Ga ziè re Marseille (Provence)......
Nombre
de voix
DESIGNATION
du
Sud-Est
10
pour
Allocation Déces .......... ........ ........ 10
Mutuelle Générale du Grand Consei l Mutuali té .. 10
Union de Stés de Secours Mutuels de St-Chamas . 10
Mutuelle Chemin ots de Marseille .............. 10
Vu pour être annexé à notre Arrêté du 27 novembre 1950.
Pour le Préfet,
Le Secnilaire General Détrgué
LAMASSOURE.
�184
AG 2
0283
COMPLEMENT DE REMUNERATION
AUX AGENTS DES COLLECTIVITES
LOCALES
Par télêO'"ramme en date du 11 Novembre
.
1950, M. le ,\\inistre de nntérieur autonse
les collectivités locales à laire benéficier les
agents titulaires, contractuels et auxiliaires
des mesures prises en faveur des agents de
l'Etat par décret n' 50-1358 du 31 Octobre
1950 U. O. du 1er NO\'embre), portant att ribution au personnel de l'Etat d'un complément de rémunération à titre de minimum
~
garanti.
Ci-dessous le texte du décret.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégue,
LAMASSOURE.
•••
DECRET '·50-1358 DU 3 \ OCTOB~E 1950
PORTANT ATIRIBUTION AUX PERSON ELS DE L'ET AT D'UN COJ\IrPLEM:ENT DE RE.\tUNERA.TION A TITRE
DE MINIMU,\ \ GARANTI.
(Journal Officiel du 1er Novembre 1950,
page 11.217.)
Le Président du Conseil des Ministres,
Sur le rapport du Ministre des Finances et
des Alfaires Econo.miques, du Ministre du
Budaet et du Secrétaire d'Etat à la fonction
pUblique et il la réforme administrative,
VU la loi n' 50-315 du 31 Janvier 1950 ;
VU l'article 6 du décret du 21 Avril 1939
relatif â la durée du travail dans les serviiees publics. administratifs et industnels,
en régie ou concédés, de l'Etat, des départements des communes et des établissements
publics;
VU le décret du 161 o\"embre 194-1 fixant
des horaires de tra vail dans les administrations centrales des ministère~ ,
VU le décret n' 50-1029 du 23 Août 1-950
portant fixation du salaire nat ional minim um
interprofessionnel garanti ;
Le Conseil des Ministres entendu,
DECRETE:
U est alloué aux
fo nctionnaires, agents et ouvrie rs de l'Etat,
quel que soit leur régime de rémunération,
ainsi qu'aux militaires à solde mensuelle, en
service sur le territoire de la France métro·
politaine, qui reçoivent une rému nération,
rapportée a la base horai re, inférieure il 64
franc• .. un comnlément
destiné il porter leur
....
rémunération ,horaire à ce chiff re.
'lfre de 64 francs est .appll· cable dans
Le chl
la zone dans laquelle les salaires subissent
par rapport aux salaires de la premiëre zo nt:
de la régio n parisienne, un abaltement égal
ou supérieur à 18 pour 100.
ARTICCE PRf..\\IER. _
Il est porté à 78 francs dans la b"t
première
d
zo ne de la région parisienne et su 1, ans
les autres zones, par rapport à ce chiffre,
les abattements en vigueur.
ART, 2. _ En ce qui concerne les catégories de personnel qui, en vertu de sratuts
sur la base des salaires pratiqués dans le
commerce et l'industrie, les modalités d'attribution du comp.l~ment de rêmunérat lOn. \'ISP
à l'article 1eI ci_dessus sont celles fixées
par le décret du 23 AolÎt 1950 sU"$Visé et les
circulaires ;Jrises pour son apphcatton ~a!
le 'inistre du Travail et de la Sécuntc
Sociale.
ART. 3. - En ce qui con..:e rn~ les catéJ~~
ries de personnel qui sont soumises au r~glme de remunération applicable aux fonctJonnairc.~s regis ,par la loi n° 46-2294 du 1!:f
Octobre 1946, le complément de rémun ération visé à l'article 1er cI-dessus est, quelle
que soit la durée de travail à laquelle ces
catéaories sont astreintes, il'éco mjJ'lé forla.ltairement à raison de 195 heures par mOIS
ou 2.340 heures par an.
La rémunération à prendre en considération pour déterminer j"ouverture du droit au
complément de remunêration et le chiffre de
celui-ci comprend, pour leur montant brut,
le traitement, la solde ou le salaire proprc::ment dit, l"indemnité de résidence calculée
conformement aux dispositions du décrer
n' 48- 351 du 29 Février 1 9~, modifié par
les décrets n' 48-11 25 du 13 Juillet 1948 et
n' -I9~3 du 12 Janvier 1949, l'indemnite
tem p. raire de cherté de vie instilllée par
l'a rticle 1er du décret n' 48- 1571 du 9 Octobre 1948, le supplément temporaire d' indemnité de résidence institué par l'article 2 du
même décret, et la majoration excep ttonnelle instituée par le décret n' 50-966 du 12
Août 1950, à l'exclusion de toute autre
indemnite accessoire éve ntuelle et, dans la
région pa risienne, de la prime de transp ort.
au Journal Officiel de la République Fran.
çaise.
Fait à Paris, le 3 1 Octobre 1950.
R. PLEVEN.
Par le Président du Conseil des Ministres'
Le Ministre du Budget,
.
Ministre des Finances et des A Ifalres
Economiques par intérim,
Edgar FAURE.
Le Ministre du Budget,
Edgar FAURE.
Enfin, les dépenses supplémentaires résultant de l'attri bution de ce compl ément doivent êt re imputées su r les chapitres budgétaires qui s up portent l'i ndemnité de résidence versée aux catégories d'agents bénéficiaires, étant entendu que les dotations de
MONTANT ANNU.EL DU COMPLEMENT DE REMUNERAT IO N
ces chapitres pourront, en tant que de besoin, être augmentées par voie de prélèvement sur les chapitres globaux prévus au
budget de l'exercice en cours, en vue de
l' amélioration de la situation des personnels
de l'Etat.
Signé : E. FAURE.
PREVU PAR LE DECRET DU 3 1 OCTOBRE 1950
Zone
Zone
Zone
Zone
Zone
Zo ne
Zo ne
Zone
Zone
Zo ne
Zone
Traitement
de 20 %
Je 18 %
de 17 %
de 15%
de 12 %
de 13 %
sa ns
de7%
de 8 %
de 10 %
de5 %
0 11 solde
de base abaltement d'abattelTI . d'abattem d'abaltem . d'abattem. d'abaltem . d'abaltem . d'abaltem. d'abattem . d'abaltem. d'aballem.
Le Secrétaire d'Etat
à la fonction publiqu e et à la
(fr.)
1 15.000
116.000
117.000
118.000
119.000
120.000
121.000
122.000
réforme administrative,
Pierre METAYER
~
•
TEXTES D'INTERET DENEBHL
Circulaites concernant plus spécialement
(es Adminislrations d. l'Elat
02 B l AC 3
APPLICATION DU DECRET N" 50- 1358
DU :~ 1 OCTOBRE 1950 PORTANT
AITRIBUTION AUX PERSONNELS
DE L'ETAT D'UN COMPLEMENT DE
REMUNERATION A TITRE DE MINI·
MUM GARANTI.
N' 8S _ 22 B-5
NOTA. -
(f r.)
3.500
2.500
1.500
500
0
( fr.)
3.650
2.650
1.650
6é.0
0
(f r.)
3.074
2.014
1.014
74
0
(fr.)
2.012
1.01 2
12
0
(f r.)
2.468
1.468
46g
0
(fr.)
3.224
2.224
1.224
224
0
(fr.)
1.586
596
0
(f r.)
1.982
982
0
•
Le Min;stre du Budget
à MM. les Minislr es et Serrelaim
d'Etat,
Le décret n' 50-1358 du 31 octob re 195r.
a prevu l'attribution a ux personnels de
l' Etat, à compter du 1er septembre 195C,
d'un complément de rémun é ration destiné à
porter, le cas échéant, leurs émoluments au
niveau garanti pour les salariés du secteur
privé par le décret du 23 août 1950.
Votre altention est alti rée sur l'article 3
de ce texte disposant que, pour les catégori~s
de personnel soumises au régime de rémlln~·
ration applicable aux fonctionnaires régi"
par la loi du 19 octob re 1946, le com plém,!"t
de rémunération est, quelle que soi t la duree
de travail à laquelle ces ca té go ries sont
astreintes, décompté forfaitairem e nt à r:l.1son
de 195 heures par mois ou 2.340 heures par
an.
Vous voudrez bien trouver en an llexe il l,
prése nte ci rculaire, un ta bl'eau présenta[1!
en base annuelle le montant du cOOlplélne nt
de rémun ération dont il s'a git d a ns les diH~·
rentes zo nes de salaires et pour chaque niveau de traitement ou de solde de base de<
personnels susceptibles de prétend re à cet
avantage.
Aucun complément de rémunéra tion n'egt
. tenir.
Il
est
précisé
que
les
traitements
are.
'.
attribué aux agents po ur lesquels l'exercice
1
r"tes
sont
ceux
actuellement
fixés
pa
r
es
ar
..
~.
ah
d'une fonction publique ne constitue qu ' une
J,.
t d 10 ot
pris pour l'application dllIl de cre . ".
a t ons ' ail
occupa t'10~ accessoire d' une autre pro fession.
1950 instituant d e nOllve es majo.r 1 •
titre du reclassement de la fonction pub!l~U~
ART. 5. Les dispositions du présen t
depu is le 1er juillet 1950 ; ultériell remen
décret pren nent elfet à la date du 1er Sep·
comp ter dll 25 décembre 1950, ceux
tembre 1950.
ront fIXés pour la réalisatio n complète (II
c1assemen t .
d
ART. 6. Le Ministre des Finances et
Quant il la zo ne de salaire, il convienr~~
des Affaires Economiques, le Ministre du
dans chaque cas, de te nir compte du /in.
Budget et le Secrètaire d'Etat à la fonction
d'exercice des fonctions, comme po url? lent
publique et à la réforme administrative sont
demnité de résidence, do nt le com~, ~ces
chargés, chacun en ce qui le concerne, de
de rémunératio n constitue en féllt a
;0.
qt" ,;.
décret, qui sera .p.ut.".il.' • •
so. i.re• .• •
(f r.)
2.852
1.852
852
0
(fr.)
980
0
Les liquidations mensuel les seront arrondies suivant les règles app licables à l' indemnité de résidence.
Paris, le 6 novemb re 1950.
ART. 4. - Le complément de rémun ération
prévu à l'arricle 3 ci-dessus suit le sort de
la rémunération pri ncipale ; son montant
est réduit dans la proportion où cette rém unération se trouve ré duite, pour quelq ue
cause que ce soit.
'1' "
éd'
P our 1es agents aUXI lalres ag s e mOll1s
dix-huit ans, le complément afférent au salaire
servant de base au calcul de la remun éra. é
b'
d
tion de "!nt ressé su It" un pourc entage e
réduction identique à celui que supporte le
dit salaire, eu égard à l'àge.
Pour les agents ne fournissant qu'un service incomplet, le complément de rémun ération est calculé tout d'abo"d co mme si
l'intéressé fournis ait un service complet,
puis il est réduit au prorata de la aurée
effective du service.
Les personnels autorisés à cumuler plusieurs emplois ne re çoivent qu'un seul complément de rémuné ration, qui est déterminé
compte tenu du mont ant total des rémunérations afférentes aux divers emplois.
iiiiiiiiiîlÏI.~r;é~gl~e;m;e~n~ta;ir;e;s~p~a~r~ti~cïul.ielr~s.,.s~o~n~t~re;·m;u~ne;'r~é.s• •I.'e~x;é~cu~t.ioÎn~du présent
Bien entendu, il n'y a pas lieu de soumettre le complément de rémuné rat ion, pas plus
que l'indemnité de résidence, il retenue pour
pension; son montant devra, le cas échéant,
être réduit dans les conditions prévues par
l'article 4 du décret.
Copie certi6tc: conform •.
Pour lot: Préfet :
L, Su:,.;'(Jir~ Gétléf'ol : LAMASSOURE.
(fr.)
5.192
4.192
3.192
2.192
1.192
192
152
0
�REPUBLIQUE
7 et 14 Décembre 1950
49 et 50
DËPARTEMENT DES
Recueil des Actes AdmlDls ratifs
et Bulletin des Mairies
To u te corresp olldall ce r elative au R ecueil d oit être adress ée il la jJr é/ ecture Sec r é tariat G é n é ral
ABHÉVIAT I O NS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulai re. - Les lettres D et B suivies d'un chiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T . : Direc tion des Serv ices Techn iq ue• . - D. D. S. : Direction Départementale de la Sa nté. _ D. D. P. : Direction départ ementale de la Popul ation.
SOMM AIRE
Arrêtés régte mentaires et Circulairas
AG O. I~eclasseme lll d u Di r ec t eUl
et de l' Eco nome de la M aiso n Départe menta le de Retraite (les V ieill ards
de Montolive t
........
AG O. - Heclassement du Di r ect eur d u
Foye r des Pup ill es ..
AG 2. - Rec rutement d'age nts non
titul ai res par les co ll ec ti vités local es.
AG 6. Elec tio ns des rep rése ntan ts
•
,
Pages
187
1&:<
18S
des orga nismes mut ualistes au Consei l Supér ieur de l a Mutu al ité et des
membres des Comi tés dépa r tementaux de coo rdi natio n. (Rectificatif) .
AG 14. - Modifi catio ns apport ées depuis le 1eT fé vr ie r 1950 à la composit ion des Consei ls mun icipa ux.
( Deuxième r ectificatif au B. A. M. de
FS O. - Nomi nation des Médecins \'accinatell rs pu blics -.
Textes d'intérêt g énéraJ
18(1
AC 3. Indemnité d' i nsta ll ation aux
fonct ivnna ires précédemment domici-
liés dans tin dépa rtement d'outre-mer
et affectés en Métropole
décembre 1947, lluméro spéci al donnant la composition des Assembl ées
municipa les) ..... _
- ......... .
190
19 1
Communiqués, Avis, Annonces diverses
-
Dons et Legs . ..
=
ARRÊ TÉS REGLEMENT AIR ES ET CIRCULAIRES
D 5 83,
AG 0
Directeur de la Maison de Rl'Iraitc des Vieillards de Monfolil'el - Tour Blanche
RECLASSEMENT DU DIRECTEUR ET
DE L'ECONOME DE LA MAISON
DEPARTEMENTALE DE RETRAITE
DES VIEILLARDS DE MONT OLIVET.
Traitement.:;
)'lajo r:lt iun ..
Cla:.se"
1nd iccs
Traitl'lnents
a nnuels 19"' !l
5S0
558
536
5 14
492
-170
714.000
689.000
658.000
62 1.000
592.000
562.000
ARHE T E
Le Préfel des Bouelles-du-Rhône,
Offi cier (le la Légion d' Honneur ,
Vu l' a r reté préfecto ra l e n date du 3 1 décembre 1933 porta nt règlement au personnel
admin istratif et techni que des Etablissements
et Se r vices Dépar te mentaux des Bo uches-duRhône ;
Vu l'arrêté pr éfectora l en date du 22 jui llet 1950 fixant les t raite mell ts applicables aL:
personnel titul aire du Cadre Dépar tementa l
il compter des 1er janvier et 1er jui llet 1950:
Vu l' a rrêté inte r ministé ri el du 24 JUil'
1950, relatif au recl assement des person nels
des hôpitaux et hospi ces publics;
Vu la circulaire n" 167 de M . le M in istre
de la Sa nté Publ iq ue et de la Popu lation el '
date du 12 septembre 1950 pri se po ur l'applicat io n d u précéde nt a rrêté j
S ur
pro pos it io n cie M. le Sec rétai re Génér ai des Bo uches-el u- Rh ô ne,
la
A ll RETE :
Article pre mier. -
L'a r rf: té préfec tora l du
22 j1l ill e.t 1950 fixant les t raitements oppl i
cables au pe rsonnel titulaire du Cad re Dépa rte mental est modifié de la faço n sui van te.
l "··
2"
3'
4'
5'
6-
. .
.
. . . ..
d.
annuel<;
à
co mpt~r
reC'!assement
du 1- 1- 1fl51l
5 1.766
766.000
737.000
7Q.l.OOO
667.000
635.000
602.000
4.7.633
45.600
45.566
-12.766
40.300
Traitements
an nuels
à compter
du 1-]-]~5'}
8 18.000
784.000
7-19.000
712.000
678.000
(}.I3.000
Econome de la Maison de Retraite des Vieillards de Montoli1'et - Tour Blanche
Traitem~nts
Clè.sse"
1"
2' ..... ' ..
3'
4" .......
5'
6'
'
.. _ ....
J ndic~s
TrnÎtemt:llts
a nnuel s ID"!)
1I l ajorationc;;
de
reclassemenl
450
424
398
372
346
320
-196.000
-I(}.I.OOO
437.000
.J 10.000
383.000
357.000
5 1.033
47.000
42.000
37.433
33.033
28.233
Article 2. - Par déro gation aux dispositions de l'arl icle 1er de l'a rrete pr éfecto ral
du 22 ju illet 1950, qui prévoyait que les Directeurs lI'Etablissements en fonctions conserveraient, à titre personnel, IfS échelles de
annuel ....
à comptu
du l - I -HlJo
5-17000
5 11.000
479.000
-I.J7.0<Xl
416.000
385.000
Trairement!
annuel s
à compte r
du l-ï-l~51
598.000
55 .000
52 1.000
4Q5.000
.j..j9.000
.J 13.000
traitements ùe Chefs lie Services et Secréb.
res Princi pau x de 1re eatëgorie, le Directeur
cte l a Maison de Retraite cte M ontolivetTour Blanche hénéficiera immédiateme nt des
dispositions du présfll t a rrêté.
�Arfide J. - M . le Secr ét ai r~ G~ lIé ral des
Bouches-du-Rhône et M . le Treso " e r-Pa~ur
Général sont chargés, chacu n en ce q \U le
co ncer ne, d'assurer J'exécution ûn présent
arrêté.
.\\arseilie, le I -! noyembre 1950.
Pou r le Préfet et par délégati on,
Le Secrët airc Général
L AM ASS OURE.
-------< ' 00<.'-------
AG 0
RECLASSEMENT DU DIRECTEUR
DU FOYE R DES PUPILLE:;
05 B3
ARRETE
Le Préfet des BO/~c"es-dl!-R"àn e,
Olficier de la LegIOn d Honneur,
Vu le rèolement du personn~1 a d l11 inistr~
tif et technique des Etablissements et Ser vIces départementaux des Bouches-dit-Rhône
en date du 3 1 décemb re 1933 ;
,
d ??.,
\ u l'arrètl' p r~ l el.: t o ral en dak y -- JLlI 1 ~ t JlI:')U Îl\.ant les traitements applt.cables
1~~rs~~lIel du Cad re dé~a:tementa l ~ camp er
tes 1er ja ll\'ic:r et 1er Judl et 1950 ,
l
Vu l'arrt:te inter ministériel en date du 2-1
.
I tl50 rdatif au red <lssem ~nt r.1e.s perJlIln ~ ,
l
' es nubllCS .
sonnds des hopltaux et lOSplC 't'
. ,'
l ' u la wcu laire n" 167 de M . le MinIStre
Jt: Id Si.l11tê Puhliqllt' et de la ~op lll a h o ~ en
date t.Iu 12 s~pte m b re 1950, prise pour 1applicatIOn dtl prüécten t arrêté
_
l ' l''''is n" b~4 2-BD en date du 13 nol'ell1~:re ' 1\150 de ,I I. le T résor ier-P ayeur Géner al ;
...
_.
Gé
Sur 1.:1 proposition dl'! ~\. le :::Jel..: retalre
né ral de~ Bouches-du-Rhone.
tU
ARRETE:
Article prl.'nller. - L'a r rèté . préfectora l d~
22 ' uilkt 1950 fixant les t félltem~nts ~ pplt _
cablcs au personnel du t,atlre depa rtemen
ta l est modilïé com me SUIt
DIRECTEURS D'ETABLlSSE~\ENTS
Foyer des Pupilles
( Hôpitaux et Hospices Publics de 5e c.1 1~gorie)
~ l ajura li on . .
Classes
Indices
Exceptionnelle 500
I~
-!75
452
2
-!29
3
-!06
-!"
383
5"
360
6"
Traitements
Traitements
annucl s
:tnnllcb
T raih:lllcnt ..
de
h coml'lI.:r
;\ cOll1pu: r
rc,-Ia,scmen t
du 1· 1- 1n.5 Ù
du 1·ï· I !15rl
5~.000
56.500
50.500
-!R.800
-!-! .200
40.600
36.800
33.300
62 1.000
59 1.000
555.000
525.000
495.000
677.000
641.000
604.000
569.000
535.000
503.000
471.000
~66.000
-!37.000
\·t' mhr~ 1~1 5U, relati\e a:1 renutement d u pe rIl est précisé q ue l'échelon ~xc t'pti.o~lI!el
sonnel temporaire.
.
de l' indice 500 ne sau rait b.eneflcler
j'attire l'attention de MM. les Alalr';'s sur
qu'aux seuls di r~c teurs. de cet ~tab\lsseme~1
comptant au mOllls qUlIlze annees de ser vl- . le ca ractère exceptionnel que dOit r evdlr le
ces dans un poste de di rect.ion et dans la 1 recrutement d'agents non ti t ulaires.
mesure -où ils occupent depUIS deux a n ~ au
Pour le Préfet :
moins la première classe de. l eu r emp~o l. .
Le Secré/a Îre Général dêlégue'
ArNdt, 2, - Pa r de rogatao~ a~x _dISJ?OS~
LAMASSOURE.
tions ue l 'a rticle premier de. J a r~ete ~ re fec
t or al du 22 jùillet 1950, qUi pr evoyait .q u ~
La presente Lirculaire .abr oge et rem~ l ace
les directeurs d' Etabiissements en fonct ion;:,
l es dispositions du chapitre Il de la Circuconserveraient, a titre personnel, ~ es échellaire du ,I linistre de J' Intérieur n' 552 AD -J
l es de traitements de chef de s ervl~e et s~
du 1fi no\'embre 1948, relative au recrute·
crétaires principaux de 1rc ~att:t{o n.e , . I~ .01,ment des agents des collectivités locales.
recteur du Foyer des Pupilles beneh~ ler d
immédiatement des dispositions du presen!
1.
RA PPEL D ES PRI NC IPES
arrête.
G· . 1 d
L'art icle 8 de l'ordonnance du 2 novemArtide J. - 1\\. le Secrétaire enera es
bre 1943 a edicté qu'a p a~tir de .Ia ?ate de
Bouches-du-Rhône et M. le Trésoner-P al:eur
puhlication de ce texre, les collecti Vites l oc~
Général ont chargés, chacun en ce q~ 1 I~
les nt: pourro nt rec ruter d'agents temporaiconcerne, d'assurer l'exécution d u pre ent
res puur les empluis pe rmanents q u'en V U\!
arrêté.
d'assu rer le rem placeme nt des titu laires mo_Marseilit, le 25 novemb re 1950.
'nent~ n lmè llt IIldisponibles.
Pour le Préfet et par delégatioll,
D'autre part, la ci ru dai re du M inistre
Le Secrë/aire Général .
de l'Intérieur 11 IAOO AD-J du 22 j 11in 1946,
LAMASSOURE.
Chapi tre Il , a pn?cise que les agents non
- -- «.:. 00« ' - - - t itu lai rt's (agents de bureau ou ouvriers) ne
AG 2 dCHaie nt être retrutes q ue pour assurer le
0 2 B3
fù nctionnement de services temporaire (r aRE CRUTEM ENT D'AGENTS NON
tionnement,
logement) ou pou r des tàche~
TITULAI RES PAR LES COLLECTIVITES
exceptio nnelles et d'une du rée dl..terminéc,
LOCALES
La plupart r.1es st: rvices tempor ai res étant
J'~11 l'honneur de por ter c,i-dessous ,à I ~
actuellement disparus ou en voie de dispariconnaissance de MM. l es Mai res du Depar
tion, les effectifs des agents non tit ulai res
t ement le texte de la ci rcul air e de MM. les
doirent êt re très rédu its et le recrutement
Ministres de l'Intérieur du Bud
et des F,des nouveaux azen ts doit H re t rès strÎl'tc-
aff~cté
CUND IT IONS DE RECIWTEMENT
Le déc ret n" 4S-1 6OO du 13 octohre 19i8
a suspend u le renuteme nt ci e tous ,les perso nnels 1l01l tit ul aires, à l 'exceptlun des
perso nnéls ,ouvrie rs ou de maîtrise dont le
caractère
tec hn ique » all ra été reCOnnu
p:1 r une Décision du M.i ll istre des Fi n~nces
et tics Affaires Econom iques, après aVIS du
Cent r e d'Urient ation et de Réempl OI fo nc"
ti onnant au près tl u Ministre du T ra\'a ll .e~ de
la Sécu rité Socia le; pr ise dans les Co~d ltlOmi
fixées par l'alinéa pr emier de l'a rticle 1er
dlll.lit d~Lre[ et précisées au pênagraphe, l, cl
de la ci rl..:ul aire n" 153 43 - 8-4 du J dé·
tembre 1948, citée en r éfére nce.
D'autre pa rt, il a ét"é prévu qll 'i1 pourrail
êt rè dérogé à la su~penslon dt: rècTll temenl
da ns ùes cas exceptIOnnels et I~ota mment er.
fa\ eur de ser \'it:es do nt le fonc tl onnemenl es!
nor malement assurt: par un perso nnel non
titulai r e pa r voie d'arrêtés préfec to~a u x p riS
en app l;'catio n de l'a lin éa ll) de l'a rtiCle 2 du
decret du 13 octobre 1948 susvise et dans
les cond itions précisees ,!U para graphe 2 ~J
de la circ ul air e n" 153 43 - B-4 du 3 d·
cembre 1048 citée en référen te.
Par ai lleu rs aucun rec r utement LIt' pl' rsounel nOn titulaire ne P~l1t, êt~e e~ectllé,.sa~::
au préalable, avoi r f~lIt 1obJet d. lin a\lS ble
\'o rab le de mutation ou d'tln ans. r~\~o r~èJi_
de dérorration suivant le cas conSidereR' ,
'
d'O'
t fon
vré pa r , le Centre
fl en.a
l ,.et de le eem·
,'ar,
pl o ', en application des diSpOSitiOns (
,
'll' 4~ 'lI S\'J"~
ticle :1 du Mcret du 13 ottob r~ '·1 > 'ir';'
et précisées au pa ra graphe J. de 1 a (1 0 4101
laire Il'' 153 43 - B -4 du :i tlL'(~m 1re
.,
citée en référence.
.
h
J
ter' tel"
A. - Reconna;ssancc Il carOl ;'riers 011
niqlll! ) de cerla În .\ personlll"~ 011
de maitrise :
,
et de
. d li C e~ t re, d'U rienta
tlon
Après aVIs
dispositions
réemploi Id en appll t:atlon des _. t du 13
de l' alin éa 1 de l 'a r tid~ .1 d~1 d:( r~:ï na nCej
oc tobre 1948, M . le MI".'str,c dcsdécidé d.
et des Affaires Eco nollliques a. e "'
. re le Célrac t'"crc
techl1lqLl
..
recon nult
t 1 m"ltnSf
. s e (c. "
certains personnels ouvrier
des t:o ll edi\' 1f~ s locales, S.Wlllf .
Il . -
annuels 19!9
54().000
506.000
48 1.000
-154.000
-!29.000
404.000
[: n rC61e g l:/Ilfaiè, \UU~ ne dt'\cl aCCO rder
de dérogat ion que dans les Cas suivants :
' " l:.xecution de travaux exceptionnels j us~
tllia nt le reCou rs il Hn perso nnel d'appoint
pO li r une Juré.e Ii.mitée. La demande de déro_
(ratio n ùevra indIquer la nat ure des t ravaux
~t la durée probab le ue l'emploi qui, en né_
néral, ne dev rai t pas excéde r lUIt': année, e2" Remp lacement tempo r ai fl: de 1011Ct1011_
nai r es t itul ai res ~ 1 1 cas ù'i mpossibilite T(~Co n
nue J e pourvoir aux emplois vacants par 1111
recrllt ement normal. Cc rem pl acement nI! de\Tait pas, Cn gê ner ai, d urer plus d'um:
année.
3" Occupation d'em plois . cornpo rl anl un
ser vice jo urnali r a temps Incomplet (1) .
4" üccupation d'emp lois da ns les Service$
lio nt le pt:r so nnel est rému néré selon les
sal ai res pr atiq ués da ns le commerce et l'industrie.
Le rèo imt:. d'emploi d de r~ m un~Jat l o ll dt'
ces age~n ts fa it l'objet du chapi tre II I CÎdess\,)t\s.
c..:asion q~f,
( 1) Il est rappele a cette 0 ., Na il '"
[fT
'
'
la
CaISse
d
seuls peLl\'ent être ri 1 les a ft lai res ellet'
nale de Rretraites les al!entls ; r~\'ai l par s~
tuant au moins 36 heures le <
-
----
,
"
•
l
Ouvri ers pr ofessionnels,
- Cond ucte urs d'a utos poids lou rtls,
-- Egoutiers,
- Fossoyeurs,
- Sages-fe1l1m~s,
- Laborantins et l abo rantines.
Par une decisioll antérieurc, le t: aractt.!ft,;
« technique '* m'ait été reconnu aux persollnels hospitaliers ci-a près des Etablissemen ts
publics d' hospitalisatio n, r.1c soins ou de
cure ( Hôpitau.\. et Hospices Publics, Hôpitau>.: psychiâtriques auto nomes ct dtpa rtt!mentaux, s3nator ia, prévento ria, aér iums,
dispensaires dépar tementaux), sa\'oi r :
Infi rm ier diplômé d'Etat ou autorisé j
- Infirmière diplômée d'Etat 0 11 autorisée.
Il est dOlIC déso rmais possible de recruter
ces différentes ca tégo ri es de personnels, dont
le ca ractère , technique » est aussi reconnl1, sa ns J'interventIOn p r~a la b l e d'u n arrêt é
prefectoral.
T outefois, Mil l. les PrClets <ler ront appeler toute l'attention des administ ratt!urs locaux sur les deu>.: points suiva nts :
1" Ces dispositions ne font e\'idemmelll
pas échec aux principes rappelés plus haut,
selon lesq uels le recrutement de personnei
non ti tula ire ne doit inter\'enir que pour
le remplacement de ti tulaires momentanement indisponibles ou pOlir l'exéc ution tle tâ ches tem por air es et excep tion nelles.
2" Toutes les vaca nces d'emploi à pour\'o ir, sans exceptioll, dOÎ\'ent être dé~la r ées
au Ce ntre d'O rientatio n et de l~ eel11plo l (Section Départementale), chargée de pr ésenter
des ca ndidats dégages des cadres Ou li cenciés par d'autres ad ministrations Ou ser\'Ï ces
publics (article 3 <l u décret du 13 octoh re
1948 ct circulaire n" 153 -!3 - B-4 du 3 decembre 19..IB), en se ré fé rant de l'u ne des
deux Décisions de reconnaissance de cara t:the technique susvisées.
B. - Dérogations accordées par arrête.)
préfectoraux,
L'arti cle 2 liu décret n" 48- 16UD du 1:1
octobre 1Y48 dispose que da ns des t'as exception nels (et notamment en f.:1veur tI 'aul1linistr ations ou senices dont le fo nl'tionnement est normalement ass ur~ par un personnel non titulaire) des L1éro.t.:'ations peu vent N re acco rdées à l 'inte rdicti on de recrutement,
En ce qui co nccrne les collccti\'ites lo~a
les, Ces dérogatio ns dOÎ\'ent 2tre accord ees
dans les co nditi ons fixl'cs par l'alinéa h) de
l'article 2 tllldit déc ret 'et pr écisé~s au pa ragraphe 2" de l a c'i rn\lair~ n" 1.1:l -13 - B--~
du 3 d ~celllbre 1 9~5, citée en référe nce par
un arrèté pris par \'os so ins, su r l'a\'is l'on,
fo rme du T r t-sorier Payeu r Gé néral.
Or, il s'agit fréqu emment de l'em ha ul: hage
de personnels do nt les effec.tirs présentent
nécessai rement une grande mobillh! :, femmes de ménaITe, manœuvres, sU r\'el ll an ts
tl'internat, etc.~ dont les co llecth-itës pe llrent
avoir besoi n dans Uil délai très bref,
Dans de nombreux cas, la lenteur de l a
procedure risque d'amener les administ rateurs locaux à pr ocêder ft des recrutem ents
irréguliers ou à maintenir en fo ncti ons \~l
~ffec tif trop nombreux pOlir évite r d'avoi r
il demander tlne du tori satioJl de rL'Cfutcment.
Pou r pa ll ier ces iucnnn>nil:uts, il L·~t n{'!..t!ssaire que l'C\.1Jllltll des deut.lnd~s dl! Jl'r,(~giltiu ll CUlIlcrnant ces cah:~orics Jl:lrti~tl
IIt:res cfe personnel soit effectué clans tes
pll/s brefs délais,
li appartiendra à cet effet il MM. les Prc-
fets et Trésoriers Payeurs Génér aux de se
concerter, aflll d'atri:ter les modalités permettant d'obtentr rapidement l'avis du service financier et l'intervention éventuelle de
l'arrêté prefectoral.
Une ampliation de chaque arrété po r tant
dérogation a l'interdiction de rt'crutement
devra être immed iatemel1t adressée au Centre d'Orit:ntatiol1 et de Réemploi (section départementale), Chargee.!le mettre à l a disposltiolJ .des co flet:tivites intéressées des agent;
I!cenciés ou dégagés par suite des mesures
de compressions budgéra ires des cad res
d'une autre ad min istration, d'e ntreprises ou
col lectivités visées à l'a rticle pr emier du décret du 13 octobre 19~8.
A ucun recrutement de perso nnel auxiliaire, temp oraire ou contractuel, en dehors de
celui mis a la disposition des collecti\'ités ou
services intéressés pa r le Centre d'Orientatation et de Héemploi, ne pourra avoi r heu
que Su r avis conform e du Centre d'Orientation et de I ~éemploi.
Il es t enfin r appel é que les ressortissants
du Centre d'Urientat io n et de I~éem ploi
jouissent d'un droit de prior ité absolu en
matière d'emba uchage (Circulaire n" 153
43 - B-4 du 3 décemb re 194S).
I II. -- PERSONNEL NON T ITULAIRE HE~ IUNERE SELON LES SALAIRES PR AT IQUES DANS LE C OMMER~E E r
L' IN DUSTR IE.
La circulain: du Mi nistr e de l'Interieu r
,, " 1.400 AD-3 du 22 jui n 1946 avait indiqué dans SO n chapitre Il, C, que les coll ectivités pouvaient rému nérer Su r la base
des sa lai res fixés par le Ministr e du T ra~'ail
pour l'indust rie pri vée (méta llurgie, bâtiment, etc .. ,) suivant leu r qua lification, l es
oU\'fiers qu'elles embauchent po ur une tâche
détenninée.
Ces dispositions appellent q uelques préci sions aussi bien en ce qui concern e le r égime d'emploi que le régime de rémunératio n
de ce personnel.
A. - Régime d'emplOi
Peu vent et re employés dans c~s conditions :
1" Les oU\'ri ers embauches pour des tra\ 'UUX t!\ceptilllll1cls \'ls0s au 1") du c11.3plt re 1
ci-dessus. Ces t ravaux peu re nt ~tre de djve rs ordres (répalations, l:onstruc.::t ions. peintures, etc, .. ) mais dans tous les l'as, ii doit
s'agi r de traraux ne po uvant être dft;:ctll~s
pa r il..' pltrsullllel permant:nt de la collecu\'i tè ;
~ Les a~t'Ilts d~s se r\'Îtt's presentant un
LaraLtère industriel et I.:ornmer..:ial, dont (;.-(
lIlillllLipalit~ peut cn\'isaf.'èr le passage d~
la re ~le il la lontessilJn, Dans l:CS seT\'ice~,
où It!~ cllnditlolls J~ tra\'ail su nt les mlmes
que dans 'Je sedt'u r pri"e, le munici paliks
peuvent, si t:Jles I~ desi rent, adopter le régime d'emploi de ce secteur.
B, -Rt;~i/1l1.! cJe r('(lIllllc>raliofl
La fIxation des s.tlaires de l' industrie Privée par le fI\lnist re du Travail.a pris fin ~t
ce sont d{'SOrm,lls les con\'l~ntlons collectt\'es et les accords ùc sa laires ues di\'erses
hranches profes::-iol1nelles ljui doi\'ent servir
de hase ail tall.:ul de la r émunération des
(.IlI\'ril'r~ LOmmUllal/\ lion titulaires \'isés j
1:\ sedi!!n R l Hil'S:)US.
Ct'Pt.'lldilll t, ~lIILlin aCl:onl Lie cctte n,ature
rI'est encu re inter\'t.'lHI sur le plan natlon.:1l,
il rex ceptio Jl Li u protocole .du 2~ mar~ Hl~O,
re latif allx salaires dt's dl\'erses categories
de t ravailleur s des entreprises de collette,
d'évacuation et d'i nCinération d'ordures menagères.
En l'absence d'ac.:curds r~gionaux ou loca ux, il convient donc, pour l'approbation
des délibt:rations fixan t la rérnun~ ration dt:
t:es agt' nts, de vo us référer aux salaires genéralemen1,. pratiques dans la localité pour
lies emplOIS identiques de la branche professionnelle co nsiderée, en demandant éven.
tuellement l'avis des Inspecteurs du T r avail
et de l a Main-d'Œu vre. Ces salaires seront
exclusifs de toute indemnité autre que les
prestations fami lial es.
Il cst rappele que dans le cas tout different visé au Chapitre l , 2") ci -dessus (embauchage a titre pro\'isoire d'un ounier
auxilia ire pour assurer le remplacement d'un
ti tulaire indisponi ble), l'ouvrier auxiltaire
doit être rémunéré sur la base du traitement
de début r.1u titulai re do nt il assure momenta nément les fo nctions, sans qu'il SOit possible, en aucun cas, de lui allouer un salaire
supérieur tenant compte d'échelons d'ancienneté,
-------«:.ooc~----
___
05 B2
AG 6
ELECTIONS DES REPRESENTANTS
DES ORGANISMES MUTUALISTES
AU CONSEIL SU PERIEUR DE LA
MUTUALITE ET DES M EMBRESDES COMITES DEPARTEMENTAUX
DE COORDINATION.
Rectificatif au Rec ueil des Actes Administratifs
n" "8 du 30-11' 1950,
PremÎI.'rl.'llIt?flt . Page 1~1, 3e colul1I1\:.
3e ligne de l'artic.::Je 2, lire : pou rra fùrm,~
un recours, au lieu de ; ne pou rra former
un recours,
Deuxièmement
Page 182, 1re colonlle
(Designation). entre 6e et ïe lignes, ajouter : n" 26 Saint-Bit'J1\·en u... 3 yoix.
Troisièmement : Page 1~3, 1re colunlll:,
au bas, supprimer : n" 1109 Personnel Erablissements· Groi~.!I1 ard et n° 1220 ÙU\'Tll:rs
et employcs de lvlartigues.
Quatriilmemenf : Pa ge 183, 2e colon lit>.
au milieu, so us « Deuxicme Parrie • supp r,Iller les 1110ls : q Societes Mutualistes .
-------c>ooc>------
05 B2
AG 14
MODIFICATIONS APPORTEES DEPUIS
LE 1-2-195U A LA COMPOSITWN
DES CONSEILS MUN!CIPAUX
Deax:ème ,(cLt:catif a~ S.A.M. de d.ce;nbre 1947 numéro spèc a l donna h
la composition des assemblé~ s muni cipa les.
AI~IWNDI SEA\E~ T \lE .II. II~SEILU:.
Cummulle cl'Aubagfl(.' .
Election du 10-6-1950.
•
Cons. Mun , : J'l. FrançOIS Petit rernpla\..'..
J\ \. Paul Honez, dcmissionnaire.
Commulle dt' Gl~menos :
EI~dJl)n~ pa rt klles des 19 et 26 mar..;; 1~15r)
,111/lrt'
.\ \ , l {e\ll~Hù \nlln:: (~\.I~.P.)
Il r \t!jllillt\\ ti:wde tjt: Ir ";l'S (R,P.l- )
31' .1djoilll
,\\. UrimauLi Ht:nn t$.F 1.0 1.
Cons .•lIu ll .\\.\\. Lambert .\ \aunce (lm} ),
Dessa ux jnstin ( Ind.l, Fl,uQ ut jnseph (lnd '
Ol"'ier Antoine (Ind .).
1IiiiiiIiI. . ._
................._
�En rempl acement de Mil\. Culie Maxime
(P.C.F.), Uominique Paul (M.RP.), Bonnefol' lIIarius (S.U .), Uemandolx Paul (P.C.F.),
.\\or!aux jean (R. P.F.), jeandet Marcel .(Radical Soc.), Pelas Louis (II\. R. P.), d emls-
1
~
ne)
Electio ns du 5-3- 1950.
.\!Glre : M. Vîùau Andre, reéJu il la suit\!
de sa u(>misslOn .
____
Elections du 28-6-1950.
Cons . .\Jun. : M. Nicolal Paul (S.F .I.O.),
en remplacement de II\. Pourcelly Louis, de cede.
ARRONDISSE.MENT
0' AIX-EN-PROVENCE
0
FS
D. O. S.
Commune de La Ciotat :
Elections des 23 et 30 août 1950. Renou,ellcment intégral.
Maire : II\. Arène Virgile (S . 1.) ;
ter Adjoint: Mille Udosse Marie-J. (Ind.),
2e Adjoint : N\. Royère jul"n (Ind.) ;
3e Adlolnt : II\. Coutomb Victo r ( Ind.) ;
COris. Mun . .- Mil\. Abrachy Marcel (Soc.),
f{oustan Marcel (Soc.), Sau"ai re Virgi le
(Soc.), Nègre j oseph (lnd.), B~urreli' Adrie"
(Ind.), Long André (Ind.), ~aunn Emile
(Ind .), ,\lendez Rene (Ind.), Bourrel ly Annette ( Ind.).
Commune de Miramas :
Cons. Mun. : M. Lige jean (P. C. F.), démissionnaire non r empl acé,
Commllne de Saint-Estèl'e-janson :
Elections complémentaires du 16--1-1950.
Maire : J\\. T hé rie justin (Soc.), en remplaceme nt de lit Théne Baptistin, décédé.
Cons. Alun. : M. Raynier (S. 1.), en remplacement de M. Bertholet Albert (Rép.), démissionnaire.
Commune de Salon :
Elections du 7-11- 1950.
COris. Alun. : M_ Caron Hu bert (R.P.F.),
en remplacement de l\l Donnadieu Roger
(R.P.F.), demissionnaire.
Elections
du
Cdrry-le-Ro uet : M. le Dr Germain Andre (de Sa usset) :
Charleva l : M. le Dr Thiers E rn est .
CnâilJQUflellf-Les-ll'!arti gues " J\1. le 1 Dr
\Veintrob Adolphe;
Ch,iteaunelli-ie-N ouge : M. le Ur Defa ix
Louis (de Fuveau) ;
COrTu/lon-Confollx : M. le D r CO uturiet
Herve (de G ra ns) ;
Coudoux : M. le Dr Besson Mi chel (de
Sai nt-Cannat) ;
Eguilles : M. le Dr Besso n Michel (de
Saint-Ca onat) ;
Ensuès-la-RedoTln e : M. le Dr Ge rmain
André (de Sausset) ;
Fos-sur-Mer : 11\. le Dr Uhler Marc «t.·
Po rt-de-Bouc) ;
Fuveau : M . le Dr Defaix Louis ;
Gardanne: MM. les Ors Battesti Louis ,t
Decoppet I~aou l ;
Gignac-la-Nerthe : M. le Dr Ra mbal Jo ·
seph ;
Crans
M. le Dr Couturie r Hervé ;
I stres : MM. les Drs T orell i Gasto ll '1
Br une i Alfred ;
OffiCia de la Légion d' H onneur,
Maire: M. Chaufaille Pierre (Soc.) ;
Adjoint : M. Eyga~ier Roger ('Soc.) ;
Cons. A/un. : MM. Ellena jacq ues (Soc.).
Leydier Paul (S. 1.), Montclard Romain (S. I.),
Perron Eugène (S. 1.), Pieulle Marius (S. \.),
Bareille Max (S. 1.), Rouard FranCIS (S. 1.),
Rouard Louis (S. 1.), Syll'estre Léonard
(S. 1.).
Commune de Coudoux
Erigée en commune par Arrêté préfectoral du 29-3-1950.
Alaire : M. Lapierre jean (S. 1.) ;
Adjoint : M. Baret Alfred (S. F. 1. O.) ;
Cons. Mun. : MM. André Paul (S.I.), Blanc
Louis (S.I'.1.0.), Bosc Hubert (S.F.\..O.),
Cahrier Raymond (S.F. I.O.), Farnaud Léo.n
(5. 1.), Guigues Lucien (5. 1.), Matheron Clemen t (S.F.I.O.), Salin Marcel (5.1.), Silvest re jean (5. 1.).
Commune de Trets·:
Elections du 9-6-1 95Q.
\ er Adj oint : M. Michel Marius (S.F.I.O.),
on remplacement de M. DaVid Auguste, dél:écJé.
2e Adjoinl : M. Montan,ud
portant règlement du Service departemental
des Vaccinations ;
Vu les arr~h!s prèfectoraux des 25 jui,n
1947 et 1er mars 1 9~9 fixant le mode de rt"munêration des vacc inations opérées par
scarificatlÛns et de celles opt:r~es par inJettaons ;
Vu l'a rrêté préfectoral du ~ octob re 1 9~7
fixant le tarif de rem boursem ent des f raiS de
d~placement des medecins vac~inateurs ;
COOl-
munes intéressées ;
Sur la proposition du lJi recteur Departemental de la Santé, chef du Service départemental des Vacci nati ons ;
ARRET.E :
Son t nommes m t\h:;~
CIIlS vanillateurs publicsJ dans les commune.:;
cl-L1essus IIldiquees, pour l a du ree de l'exer-
Article premier. -
,
Manus,
remplacement de M. Michel Manus.
en
Commune de MoJ/égJs
1cr Adjoint - M, i':ay Antonin (Soc.),
missionnaire"
La Barben: M. le Dr Bo nn et Geo rges (d'
ARRONDtSSE,\\ENT DE lIlAI{SEILLE
Allauch : Mil\. tes Drs Seatelli Aimé li
T artrais jean ;
Al/bagne : Mil\. les Drs Gaimard j oseph,
Parrel lItilunce et Prud'homme jean
Auriol : M. le Dr Long Henn ;
Bc/codène : II\. le Dr Harras jea n (de la
Bouilladisse) ;
Cadolive : M. le Dr Chiro n Serge ;
j
Ceyreste: II\. J$ Ur Hla nc j ean- Pierre (de
La Ciotat) ;
Cages: M. le Ur LaI'ie jea n (de Gèmenos)
Gèmenos : M. le Dr Lavie j ea n ;
Gréasque : J\I. le Dr :'o urest Michel ;
La Bouilladisse . M. l e Dr Barras j ea n
La Ciotat: MM. les Drs Blanc j ean-Pier-
re, Chiappe XaI'ier, Mège Raou l et SeillonDano Clai re ;
La Deslrol/sse : II\. le D r Lo ng Henr i
(d'Aurio l) ;
La Penne-sur-Hw'eoune : M. le Dr Oli\e
Louis ;
Alarseille : ,\\J'vL les Ors Arnaud Ge rm aine,
Bastianelli j ea n, Clément Alfred, Dusan
jean, Mockers Georges, Michel jean-Marie,
de Moulon Hubert, Ponthieu j ean, "Si\'an
jean, Taddei Antoine et Ve rd et Maurice.
Peypin : M. le Dr Chiro n Serge (de CadOlive) ';
Plan-de-Cmlues : M. le Dr Legrand Michel ;
Roquefort-lu-Bédoule: M. le Dr Michélan-
géli Louis;
RaqueI'aire : M. le Dr Arnaud Frédéric'
SaÎnt-Savourllill : M. l e Dr Chiron Sergr:
(de Cadolil'e).
ARRO 'DISS,\\ENT D'ARLES
de-
Jow/ues : M. le Dr Nicori ni Jea n ;
Cice scolai re IY50- 195 1 :
Cassis: M . le Dr Agosti ni Emmanuel
7-5-1950.
: II\. le Dr Bri a n j ean (de
tèmes) ;
ARRETE
Le Préfet cie» Bouclles-elu-Rhôn e,
."
les D rs Conry Robert et
;
Cai ri!!s : M. le Dr Saute Andr é (de Sep-
NOMINATION DES MEDECINS
VACCINATEURS PUBLICS
Vu les al'is de MA\. les Maires des
M. le Ur Uefaix Lo ui s (de
Garda nn e) ;
ru l'a rrêté préfecto ra l du 9. ma rs 1950
Commune de Meyreui/ :
j
Beaurecueil :
Fuv~au) ;
Berre : MM.
13r essieux Lou is
Bouc-Bel-Air
c~ooc~---
sÎ onnaires.
Commllne de Ventabren
Renouvellement intégral.
Aurons : M. le Dr Bonnet (de Pelissan-
Commune de Sainf-Etienne-du-Grès
ARRONDISSEMENT
D'A IX-EN- PROVENCE
,lix-L'fI-Pr" .. ence . MM. les Ors Gau]oux
Eduuard et Roman jean;
Pelissa nne) ;
La Fare-les-Oh !'iers : II\. le Dr Neau LuI
cien .
La:nbesc : M. le Dr Sabatier Henri ;
Lançon-de-Provence : M. le D r Bonnet (d.:
Pélissanne) ;
La Roque-d' AntheroTl : II\. le Dr Cor nol
l~e l1é
;
L e Puy-Sainte-Réparade .- M. le Dr Rou s-
seau Claude ;
Le Rô !'e : M. le Dr Ramba l (de Gigoac) ,
Les Pennes-Mirabeau : M. le Dr Ali be,t
j c>sepl1 ;
Ham eaux des Cadenaux el de la Gavotte .
M. le Ur Séyès ;
Le Tholonet : M. le D r Roman (d'Ai x) ;
Marignane : M. le Dr Bl um e nfeld Vlad,mir;
Martigues : M. l e D r Co ntencin L~uis ;
Meyrargues : M. le Dr Gross DaOlel ;
Meyreuil : M. le Dr Ba ttesti Louis (d~
( Ja rdanne) ;
A/imet : M. le Dr Chiron Serge (de Cado·
III e) ;
Miramas : MM. les Drs Carl in Jeau, Or
gin i Pau l et Tristani Pierre ;
Pélissanne
M. le Dr Bonnet Georges.
Peynier . M. le Dr AbOllcaya Yvon
(de
T rets) ;
Peyrolles- en-Pro!'ènee : M. le Dr Barill'
Charles ;
Porl-de-B oll c : M. le Dr Pouj ol Jules ; r
.
t ' Oeo ·
Pllyloubier : M. le Dr Maes raCCI
grs (de Trets) ;
Nogna ,. : M. le Dr W oltz Guy;
t cl'
Ro!!nes : M. le Dr Sabatier (de .Lao~;esfu:
Rousset : M. le Dr · DefaIX \.OUI> (
l'ta u) ;
Dr R,'·
Saint-Antonin-s ur-Sayon
1\\. le
m"n Jean (d'Aix) ;
~ilcllel
Sain/-Curmal : M. le Dr Beos"" le
aint-Cham"-\' . M. le Ilr Builly EnU '
Saillt-EslèJlc ': J\L le Dr Co rriol I<ell~ (de
La I~oque-d ' Anthéron) ;
Saint-Mare-Jaumegarde : II\. le Ur I{omao
jean (d'Aix) ;
Saillt-Mi/re . M. le Dr Brunei (d' Ist res) ;
Sainl-Paul-lez-Duran ce : M. le Dr Nicl'ri ni j ean (de j ouqu es) ;
Saifll-Victorct : 1\\ . le Dr de Cespèdes
Victor ;
Sa lon : MM. les Drs Berge ret j ea n L har-
rin Pierre et Trouette-Va ladon Robe rt ;
SOllsse/-les-Pills
M. le Dr Ge rm ai n AnÙrt:· ;
Seplemes-Ies-Vallufls
M. le Ur SaULe
And ré-Louis ;
Simiane-Collong lle . M. le Ur Ue co ppct
(cte Ga rd an ne) ;
Trels : MM. les Drs Abouca ya Yvon t
I\\aestracci Georges;
Vm/l'ellarglles : M . te Dr Aube rt
Hené
(d'Ai x) ;
Velall x . III. le CI' \Voltz G uy (de I<ognac);
Venelles : IVL le Dr Margail lan ElIg't:n~
d'Aix;
Ventabrell : M. le Dr Flareille lI \ax (de
Ma rseille) ;
Vit rolles: M. le Dr Leblanc Louis.
AI{ROND ISSEMENT D'AI!LES
Alleills : M . le Dr Geye r Allle rt (de Mal-
lemort) ;
Arles: M. le Dr Picard j osellh ;
Arles (section spécia le de Salin de Gi·
raud) : M . le Dr Vignon Henri ;
Aureille
M. le Dr Devau x jean (d'E)'guihes) ;
Barbelltalle : M. le Dr Pellet Alfred ;
BOlllbon : M. le Dr Marseille Albe rt (de
T arascon) ;
Cabannes : M . le Dr Svetz Georges ,
Châteallrenard : I\\. le Dr Perrier Georges ;
Eygalières : M. le Dr Hoques (de Saint-
Ilémy) ;
Eygllière~; : M" le Dr Devaux j ean ;
Eyragues : M. le Dr Jourdan L ouis
Fontvieille: M . le Dr julien Louis
Grlll'eson : M. le Dr Falque Rémi
L.amanon : M. le Dr Devaux j ean (d'Eygtlleres) ;
Le Paradoll : M. le Dr Mever Ernest (de
Maussa ne) ;
.
Les Ballx : III. le Dr 1\l eye r Ernest (dp.
l\1aussan ne) ;
Maillalle : M. Je Dr Pramayon Edouard :
Mal/emorl : M. le Dr Vacherias Paul .
Mas-Bianc : M. le Dr TarlJou riec h Etie"
ne (de Taruseo n) ,
Mal/ss ane : M. le Dr Meyer Er nest ;
M(hoargues : M. le Dr Tarhouriech Etiell-
ne de Tarascon) ;
S MOllégès : M. le Dr Barteille Hen'; (d~
all1t-Andiol) ;
MOl/riès : M. le Dr Bousquet Yves'
NO I'es : M. le Dr Audry Mari us ;'
Orgon . M. te Dr Gi lla rd Serge .
Plan-d'Orgon : M. le Dr Lévy jl:les
.. Port-Saint-Louis-du_Rhôn e; M. le Dr ' No l!baret Roger ;
Sailli-A ndiol: A\. le Dr Bartelile I<ene
Sainl-Eliel1ne-dll-Grès : M. le Dr T arbouriech Etienne (de Taras con) ;
Saintes-Maries-de-la-Mer . M. le Dr Calllbon Georges ;
Saillt-Martill-de-Crau
I\\. le Or Bagna,
1l1 J1 chi j oseph ;
Saillt-Némy : M . le Or L~ro) Edg"él r ;
Senas: AL le Dr I\\a onan Paul '.
Tarascoll : M. le Dr Ta rbou ri cch Etit:IlIlC ,
Vernegues : ~\. le Dr Geyer Alhert (tle
I\ \allemort) ;
Vef<llIi ères : M. le Barteill e Ren e (Ge
Sai nt-Andiol).
.
Article 2. Les meu~l:ins \"acl:i nateurs
CÎ-lIessus désignés seront r emune ré d all~
les co nditions fixées par les a rr~tés pn':kl"tIJr(lU X susvisés des 25 ju in , -1 ol"toh re 10-1ï
d 1er mars 1949.
Article 3. Il s uevro nt se co nformer
aux . p r es~ riptiOris du reg lement précité J.\
se n 'JCe departemental ues \'actl nations, a 111 <:" i
qu'à toutes diretti\'es spéciales 4ui pour raient leur f: tre ad ressées par A\. le Uirecte ur Départemental de la Santé pOlir l';l ppli rat ion de ce texte.
ut:
I\\. le St!c rttaire Gl: n ~(11
la Préfecture, II\. le Tréso rie r Payeur"".·
né ra l, MM. les Maires du Dépa rtement et Al.
le Di r~cteur départemental de la Sante so n ~
cha r gés; chacun en ce qui le concerne, d-=
l'exécution du présent arrëté qui aura effet
Arfic'le 4. -
dll 1er octobre 1950.
,\ \arseille, le 3 octohre 195U.
Pour le Prèfet,
Le St'Crt!laire Géneral DéléKlh"
LAI\\ASSOURE .
TEXTES D'INTERET GÉNÉRHl
Cir(,IIICl1rt"~
f ...·s
l'O/ledIHlnt plu .... s!1( ( ial t:I1It'llt
Aliminisratiulls clt: IEIOI
02 BI
INDEMNITE D'INSTALLATION AUX
FONCTIONNAIRES PRECEDEMMENT
DOMICILIES DANS UN DEPARTEMENT D'OUTRE-MER ET AFFECTES
EN METROPOLE,
Paris, le 15 No\'cmhre Pl50
N" 90 - 2~ B '5
Le ,1Iinistre du Budget
il MM. l es :\1inislrt's l'f SI..'adairf' . .
d'Elat,
50-3~3
Or, il est parvenu il ma co nnaissanle qUl:
l'attri bution de c.:et a,"a ntage a parfois donné lieu a terrains ahus qu'il co nvient U\,.
fai re cesser.
En co nséqut::nlc, Jt! ,"D US sE:rais rC( Of1 naIS
~"ou l oi r bien appliquer les dispusltlons SUI \'a ntcS ell ce tte matière :
s~~t de
Ainsi qu'JI "ient d'~tre soulignii, l'ir 1
demnlté J'installation allouée a l'occasio.1
d'une affectatio n clans un département de ia
M,et~~p.ol.e l:omporte ueux cat~go ri es th:
benehclalres " lt' sont, u'une pa r t les lone·
tionnaires originaires de l'un des' nOUH~'aliX
f}
•
départements affectés dans la Metropo le et,
d'autre part, les fonction naires o rig"inlire ...
de la Métropole aya nt accompli un Ou plusieurs séjours administratifs dans un dê
partement d'outrc-mer a\'an t leur r éa tfectation en Métropole.
Lt's fOlld io nnairt::s apparh:nanr à Lctll:! Sl"
lontie latégorie ut:: bénéficiaires n'auront
droit à l'jnuemnitt: d'i nstallation au titre dt::
l'affectation dans l a Mltropole qu'am, conditions sllÎ\"ante~ :
a) L'intért:ss~ dcna t:l\oi r
eftectuê au
moins Utt\:\ st::J,)urs reglementaires, lonsecutifs ou nun, dans un 011 plusieurs départl.'ments d'ourrc-m ... r ;
L'un au moin::; de lt$ s~jours rt::glcdt'\"ra 3\"Ol r ete alcompli mt i'gr alemen!, étant pr~lisé de plus que I~ Jroir
il l'indemnité ne pt:ut nai tre qu'5à J'oL"CaSiO'l
J'une affcdation dans la !\\dropole fa isan t
imml'ùiatement suitt:: à un sejour règlemel' tairt' aClomrli inlt;graLemenf.
b)
mentalr~s
L'Indemnite IIC pourra dom: être allout't
l'Issue d'un séjo ur règlementaire interromplI pOlir lJudque cause que ce ~oi t, et
notamment à. l'occasion d'un conge de con\'a lescem:e all:ordé eu co urs de séjour:
~1
AC 3
I.e decret n"
Ioroutre-mer, ~ont ahcdcs à n(HI\"ea u uans UI'
postt de la .\ktropole,
Les dispOSitions rappt:lé.es LÎ-dessus lOItferent don!.: au, age nts dt! c.:ette dernit ft.:
catégo ri e, qui ont déjà perçu l'indemnit~
d'installation Ifl rs dt: leur affectation dans UI\
département d'outre-lI1c r, un a\'antage sUIJplémentaire.
du IH juin 1!15U
1
prevu (ar ticle 7) que les fondionnaires précédemment dom icilies da ns un d~rartel11ent
ct 'Outre-Mer qui rccnaient une affel:tation
dalls lin uép.1rtelllt'nt U~ la ,\\étropole benéfi ciercl ient d'U IH: Înùemll ité d'in "' tallation egaie
11 neur mois d'émoluments t't assortis, le l'as
échéa nt , de majorations fam ili ales.
Il résulte de ce texte que le benéfice cil'
l' indemnitê d'installation allouée ~l l'occasion d'une affectation da ns lin poste de la
France métropolitaine. destin~, en principr,
à dédommager d~ leurs frais les fonction~
naires originaires d'un département d'outremer, 5 tro1l\'e également étendu aux fonctionnaires métr~politains
. à l'issue d'un
:!. Au.\ 1t:rmes de l'article 7 Ju llt~lrt:t du
1~ mars 1950. l'indemnitê d'instaliatioJ"l au
titre lie l'affeetation dans la Metropole n'est
pas rt::nou\"elable. f..:ette restriction impliqut"
que l'indrmnife en Clilestioll nt' pourra d, ..
accordée tfu"une :scull! fois au (:ours dt! toute la carrière d'Uf! fonctionnaire. Le pait.
Illent ùe ;.:~tte inllemnité d~n3 inten"enir
pou r les personnel8- origInaires d'un Jt.::partement ù'Uutrt::-.\\er, lors de lèur prt!mi~ll
affectation ùans un postc mêtropolit.ùn et,
pour Ics personl1~ls originaires lie la .\\dropole, lors li ... leur première ré-affectation dalls
(e territoire, repondant aux conùitions pré\ u~s au pri'ct:ùent par3~raphe ;
~~ .. L'artictl:! ï du uécret du 18 mars 1950
5tipule enfin que l 'indem nite n'est a,co rdee'
qu'à l'ol:casi on d'une affectation dan~ tllI
départemL'flt métropolitain. Ces ùerniers terIlles doirent être entenùus restricti\"t~!l1 ... nt
ils excluent notamment les th~partemt!nts ùe
l' Algerie, ainsi que les territoirees occupés
d'Allemagne et d'Autriche :
-l" Lorsque. à la date de la présent~ llnuJai re, des fonctionnaires affectès ou n~affec105 ~ans ~a .\\etrupole au ront encore il pellf\'Ol r des termes non échus, au titre Jt!
l'tndemnit~ d'installation, ces
derniers tiC
�21 D'cembre 1950
IP2
touto~
ou,,~
.
les conùl ti. ons expos(-cs.
-ci- dessus se t rouveront remp!les.
t
rencon fl: O ans 1e cas où \ '05 Services
.
r
f
de
raient des diffi cultcs pour 1app, I C~ 10,': 1~
ces dispositions, il. VO liS ap~ar~~I~~~~n à~
m'en saisir sous le timbre de a If
't '
Budget (5e Bureau . Soldes et Inde~,n, es).
Pour le Ministre et par delegatlOn,
.
Le Directellr du Cabmet
Signé : R. BLOT.
mesur~
_ ___ c »oo« , - - --
D382
DONS ET LEGS
Avis pllblié eu eséCul ioli dt! l'article 3 ,~/II ~Jé.
V e.l du 1er fé'i 'ricr 1 96, da"~ le: lml d IHv~c r
\e héritiers iucolu",s des testatelfrs à plC1' rI!
S
1Ofl..I~JiSJaIiCe
du test amen t , eu ." V il e de dOllllcr
ft ""
COlIsellti'ml'IIt 0 11 d(! (t,'p d,u rl'
le'urs IIIO~'t'l'IIS
d' oPftosifio , ~,
DËPARTEMENT DES
uu « Bulleti,. "
1
Par testa ment olog ra phe du 19 ma i 1943,
déposé aux minutes de M' Georges CAIL_
LOL, notaire à Marseille, fe ue dame SA.
LOTTI, ve uve PRUDHOMME, a lég'llé à l,
Ville de J\I\arseilie « ses peintures, si gn ée~
L ycia Zuti n, qui se trouvent dans SO n ateli er , 26. q ua i de Rive-Neuve ».
Marseille, le 6 d écem b re 1950.
t'I
BOUCHES-DU-RHON/~J I1C~~,",'"
li.(
Les l'I.',: /o,,,ollo,,,s "e sout l'l'(.'\'1'ablrs que d fms
.HL délai de Il'ois mois ci tort",. de l'llIsrl'IIou
Communiqués - Avis
Annonces diverses
~.~
REPUBLIQUE FRANÇAISE
" Prill r n
Recueil des Actes Adminish~ ~.~
•
1.,.; \
..Jo.-
-
.. .:-c:;"
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance r elative au Recueil doit être adressée Cl la Préfecture Secrétariat Général
,
ABRÉVIATIONS
A, P. : Arrét é prélectoraL - C. : Ci rcul aire. - Les lettres D et B s uivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D.
S. T
: Direction
des Services
Technique,. - D. D. S. : Directio n Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départementa
le. de
la Population
.
SOMMAIRE
Arrttés réglementaires e t Circulair.,.
P. 4. -
Pages
F 1. - Préparation des Budgets communau x 195 1. - Rappe l des instructions du 6 d écembre 1950 "" " "
EN O. Indemnité de lo ge ment a u
personn el enseig nant no n lo gé . .. ,
193
196
Débits de boissons . . , ... .. . .
Textes d'intérêt général
AC 3. - Régime applica ble en ce qui
co nce rn e les prestations iamili a les et
les accidents du f ra vail aux personnels employés à temps incomplet ou
de ma nière occasionnelle .. ....... .
AC 3. - Fixation pour l'a nnée 195 1 du
196
mo ntant de la contribution complé-menfaire à ve r~er par les collectivités
locales dont les agents sont affiliés
à la ca isse natio nale de retraites des
agents des coll ectivités loc:!l'es
197 1
Communjqués, Avis, Annonces diver. .
-
Avis de concours (Ville de Nevers).
197
198
ARRËTÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
D2 83
F 1
PREPARATION DES BUD GETS COMMUNAUX 1951
Ci-joint le text: de la Circulai,:e, adressée directement à MM. les
Maires du Département et co m"letee pour. chaque Commune par
"indication d u montant de certam es préVISIons budgétaires.
COjJie
c(,Tti6~e
co n (orm e:.
POUT l~
L~ Sect él {lir~
PrHet :
Chlhal : LAMASSOURE.
Par circ ul ain.! n° 364 du 10 novembre 1950,
M, le Ministr e de l ' Intérieur vie nt de me t r~ ns
mettre cert aines pr 0cisions au sujet de l'etablissement des budgets co mmunau x de l'exercice 195 1.
La r éforme des fina nces locales étant ajou rnée il en résulte le mai nti e n en 195 1 de la légi~lation et la r égl ementation en vigueur t: 1J
1950.
Il VO li S appar tient donc d'établir vos bud gets
de 195 1 dans les mëme~ co nditions que ceu x
de 1950, comptt: tenll toutefois .. des jnd i c~ti o n s
comp léme ntaires co ntenues dans la presente
circulaire,
A. -
1. - IŒCETTES
RECETTES f iSCA LES
0
1 Impositions excln siJlemellt f omm llna/('S
a) Taxe Sllr la publicité :
---------------- --
L'art icle 3 de la loi Il '' , )0-!)3!:l du S aOlh El50
(J, 0, d u 12 aùüt 1950) a permis a~~ ,co mm unes d'i nst ituer urH:.' taxe sur la pu bliCIte,
L es modalités d' npptication de ce texte doive nt H re fixées prodHlin cl11 t'nt par J'~lret l't
fe ront t' objet d'instructions sp~riates l e I!1 Oment venu,
En fa it, cette im posit ion ne sera to uteiois
tl'ull rendement apprêriablc lJue dans l es grandes villes. l'n raiso n, d'une part, des f rais . de
pe rceplion élevés, d'"utre pa rt , des e.\ unerations nomhreuses pr(o\,ucs par la loi,
b) Taxe SUr les specfacles.
Le dé cret 50-1261 du 6 octob re 1950, pris en
applicatIOn de l'article 30 de la loi du 8 août
1950, a apporte certaines modifications au régime actuel de l a taxe Sur l es spectacles,
Relèvement
du
L'a rticle 29 du décret Susvisé a rele\'é de 10
minimum d'imposià 15 francs la limite minimum il partir de lation,
quell e les spectacles, jeux, exhibitions, attractions et di\'ertissemems devien nent imposables
en r aison du pri x de J'entr ée, de l a r ede\'ance
ou de la mise.
Corr elafi\'ement, ce mème texte a porté de
2 fr. 50 à 3 f ran c~ le prix minimum d'imposit ion des ball es, flèches. anneaux ... utilisés dans
les t irs, jeux d'ad resse et divertissements simil ai res.
Cette mesure a été rendue nécessaire par les
hausses des prix des spectacles et divertissements survenues depuis la fixat;on des minima
d' imposition précédents.
Aménagement
Dans le mt.>rne ordre d'idées, l'article 3 1 uu
des paliers de re· décrt:t précité a relevé les paliers d'imposition
cettes des cinémas. dans les .;;alles de spectacles cin ématographi_
ques en fon cti on de la majoration moyenn~
(20 % ) des pri x des pla ces de ces spcelacles.
Les HoU\eaux pal iers sont l es sui,·ants
Jusqu'" 50.000 Ir.
De 50.VJI il
120.000 Ir. ..
De 120.COI à
100.000 i r. ....
Au-dessus de
180.000 fr.
n" 1
Tarifs
n" 2
n" :l
2 '0
5 %
8
5 "é
10 '7c
13
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'0
13 70
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22 ,.c 26
~<
r-
<
'.
C'
,0
n" .;
lU
' ;'
If, Cr
�~caUon des
Enfin, l'a~ticle 30 du même décret a apporté
catégories de spec· certams ame nagements au classement des spectacles.
tacles en catégories.
Il précise il cet effet que :
. « L es expl oitants d' hôtel s de tourisme ..
l11~rs cl assé~ dans l es conditions fixées ~~~o~_
l,es spectacles de va riétés sont classés en
I~e . catégorie et bénéficient désormais du mème
101 du 4 avnl 1942, les r estaurants et établ'
Par spetiacles de variétés, il faut entend re :
les spectacles comprenant des tours de chant,
des monologues, des sketches des danses des
t?urs de prcstidi~itation, d'i ll ~sjon o~ d'hypno-
ti.~m~, ~es exercices ac robatiques de - force
tonditio~ to utefois q ue la durée d'exPloit:tio~
sa~~nOlere. ne dépasse pas si x mois par an "
~so rm a l S, dans toutes l es commu nes, la 'réductlOn de patente - et ,pa r vo ie de co nséq
l'e, felJ e de la. ta xe Sur la va leur locative u~~;
l oca u ~ profeSSIonnels - est de droit pOur les
contnbuables susVIsés dès lors qu'ils rempl'
l
se nt l a co ndition ex igée de ne pas e"'Ploil ';
leur, établissement plus de six mois par an.
, D au!re part, poy r éviter que cette mesure
n entraln~ a ~to m atlquem ent une augmentation
de l a cotIsatIon des autres patentables l'article
17 du décret susvisé disp~se. que le 'prinCipal
hctlf de patente sera dlmlllue proportionnelle.
ment a,ll x red.uctro ~.s de droits acco rd ées a l l:\
entreprises S3lson lll eres.
Je pr~cise qu'a cO,ntrario. le principal ficti t
devra it etr e. augmente dans l a même proportiOfl
que les anCltns droits si les établ issements en
cause ne remplissaient p lus les conditio ns exigé~s pou r bénéficier de l'atté nuati on et se trouvaient de nouveau imposés comme la rré néralité
des contribuab les.
e.
Ou
d !mJtahon, des presentations d'anima ux dresses et, d'une ':'.çon général e, des spectacles
coupés. composes d'auditions, exhibitions et
attrach?ns variees, à l'exclusion des ta bleaux
de mUSIc-hall.
Par ~ilJeurs, les concerts visës il la première
catégone comprennent désormais
outre les
c~n~erts symphoniques, les concerts de musique
legere , et moderne, les chants et les da nses
r~hmees et, d'une façon générale, toutes les
seances musicales.
Enfin, les music-halls qui demeurent classés
~n 2e catégone comprennent dès lors les seuls
etabllssements éans lesquels sont donnés des
revues ou des spectacles du même gen re.
Le classement complet des établissements .de
spectac.les, tel qu'il résulte des modi fications
apl?0rte~ par le décret du 6 octobre 1950 pré.
cJte, a ete donné par arrêté du Ministre du B ud.
get, en date du 18 octobre 1950 (J 0 d u "
Rectificatif j . O. du 25).
. .
-- ,Les dispositions ci·dessus exposées soot .en.
trees en applicatIOn a dater de leur publ ication
au Journal Officiel.
c) Majoration de 0,25 % du taux de la taxe
locale.
je vous .rappelle .que les Conseils Municipaux
pe~vent. S Ils le deslrent, percevoir une majorahon de 0,25 % du taux de la taxe locale
dont le produit est versé en totalité dans
caisse communale.
d)
a~
I~
Taxe additionnelle aux droits d'enregistre.
ment SUr les mutations.
L~ Gfuvernement
va .prochainement proposer
~ r ement I~ malOtlen en vigueur, sans li-
T~~~II~~ 1~~:':{ee'C des
disP?sitions des articles
ode Géneral des Impôts qui
permettent au x Co nseils Généraux d'i nstituer
au profit des co mmunes de moins de 5 OOÔ
habItants, u.n fonds de péréquation départe";en.
!al alimente. par .1:, taxe additionnelle Su r les
muta~lOns,. diSPOSItions qui ne sont applicabl es
que }uS<ju au 3 1 décembre 1950, en application
•
de 1 artIcle 92 de la loi n' 5(}.928 d S
u
ao u!
1950.
u
ft .le rafPpell e que I~ Conseil Général a ins.
1 ue ce onds de pérequation.
2' Impositions li ta fois départementates
et communales
Contributions des patentes
Hôtels de touris-
Aux te_nnes de l'article 1481 du Code Général
me saisonniers, res· ~es Impots, qUI reproduit les dispositions de
taurants, établisse. 1 article 22 de la 101 du 5 juillet 1949, les pa.
ments de spectacles tentables explo~tant des entreprises saisonnières
pendant Une pen ode ne dépassant pas si x mois
ou de jeux.
l'ar an ne bén~ficient actuellement d'une réducbon de mOlhé des droits de patente que si les
ConseIls MunICIpaux en font la demande a
ment de l'é!ablissement de leur bUdge~ m~;
moyennant 1 agrément des 'Conseils Généraux.
, Afin de mettre toutes les entreprises dont il
s agIt sur un pIed d'égalité, l'article 16 du décre~ du. 6 octobre 1950 Confère un caractère
obhgatotre aux dispositions actuelles â compter de l'exercice 1951.
'
a
".lents de spectacl es Ou de je~lx ne SOnt ass l~S(, . a. l a co ntri bution des' p IIJet·
tl S- cllaq ue annee
t
tes q ue pour une périOde de six mois ~ e~_
r~glme fiscal que les théâtres, les concerts les
ci rques.
'
Groupement
de
En vertu del'ar ticle 15 du décret du 6 oc 10bre 1950, les Gro upements d'emprunts de sin.istrés constit ués en application cles dispositIon, des arti cles 44 à 49 de la l oi n" 47.33U
du 30 mars ' 1947, sont exonérés de l a patente.
Il s'agit ici d'all éger les charges de ces Groupements, qui ont pou r objet de faciliter la reconstru ction, en contractant, dans l a limite des
indemnités à payer par l'Etat, des em.prunts qui
sont mis à la disposition des si nistrés sous for- '
me d'avances.
Loueurs de cham La patente des loueurs de chambres 0 11
bres et apparte· appa rtements meubl és ne comportant pas dements meublés,
droit fixe, a subi à pl ein l a hausse résu ltant de
l'augmentation des va leurs locati ves soumises.
au droit proportionnel.
fi a paru dans ces co nditions opportu n de
ramener du 30e au 50e l e tau x du droit propor·
tion nel ap,plicable à ces patentabl es. Tel eSI
l'objet de l'article 17 du décret du G octobre
1950.
Remarques. - Sous réserve des dispositions
exposées ci·dessus, le principal fictif de 10 pa··
tente en 1951 sera déterminé dans les m" mes
co nditions qu'en 1950.
sinistres.
D. -
SUBVE.NT IONS DE L'ETAT
Parlicipation de l'Etat al/x dépenses
d'intérêt générai
Cette pa r ticipation sera vraisemblablemellt
maintenue en 195 1 sous une fo rm e Ou sous une
autre.
Vous pourrez donc en faire état tians vos
budgets de 195 1. Je rappelle il cette occasion
que le doublement des taux de cette participation a été maint~nu en vigueur par l'arti cle 2:'1
de la loi n" 48- 1992 du 3 1 décembre 1948.
Compte tenu des nouvell es va leu rs de réfé·
re nces
à retenir pour le ca lcul de
cette participation. vous pou rr ez inscrire en
recette, sous la rubrique c Attribution compe ~
sa tri ce résultant de la suppression de la pa rt I'
cipa tion de l'Etat aux dépenses d'intérèt géné·
l'al », l es sommes suivantes:
a) Participation de l'Etat au x " épenses d'in·
térêt généraL ..
b) Majoration en fonction du nombre d'elè·
ves ...
Subvention automatique.
Les collectivités atteintes par fa its de guerre
pourront inscrire à .Ieurs budgets de 195 1 une
subvention automatique calculée dans l es Conditions prévues par la circ ul aire ministérielle
n" 276 du 10 août 1950,
Je vous .rappelle qu'en ve rt u de cette ci r Lulaire, l'aUnbution de subventIOns automatiques
sera dorénava nt r éservée aux co llecti vités dont
le principal fictif de la contri bu tion fo ncière des
propriétés bâtie~ pour l'année considérée est
inférieur au pnn clpa l co rrespondant de l'année des premières destructions.
En conséquence, les co mmunes dans lesquelles le principe fi ctif de la contribution foncière
bà ti e est éga l ou supéri eur au principal co r regpondant de l' an née des premières destructions
et cell es dans lesquelles le total des principaux fictifs des co ntribut ions foncières bâtie et
mobilière est éga l ou supérieur au chi ffre COrrespondant de l'année des premières destructions, ne peuvent " l us prétendre il l'octroi d'une
subvention automatique pour 195 1.
Notification a été faite aux comm unes bénéficiaires du montant attr ibué pour 1950. Ce chif·
fre servira d'éléments d'a ppréciati on pour la
recette à prevoir pOlir 195 1.
C. -
ATTR IBUTION DU FONDS
Les chiffres ~ us.indiqués ont été fournis .par
les diverses régies flOant'ieres et dOivent obltgatoirement servir de base au calcul des recettes
garanties.
,
"
b) ,Mo~~alll de la recette nou~~/Ie venant en
prendrait effet du 25 décem?,e 1950.
Les traitements ainSI verses seront les traJtements bruts définitifs correspondant aux indlces de reclassement, sur la base d'un indice 1UU
évalué en brut à 114.500 francs. Ce chiHre a ét(
arrondi à 115.<XX> francs dans les bar~mes d~
dedlullOn des ,ecel/~s garanties :
traitements.
Montant brut des attributions directes de la ILe Conseil MunICipal de \"otre Commune aur,-,
~I ou~ell e taxe loca le du .le~ fé.vrier 195 1 a~ 3 1 la fac ulté de faire bénéficier .Ie~ .agents tj~ulétl
JanvIer 1952 sa ns distinctIOn
d1exerclces, r~s de cette mesure et les pré\'lslons de depcnabstr action faite du produit de la maj oration ses de personnel, pour l'a nnée 1951, de\'ront
spéciale de 0,25 %.
tenir compte de la décision prise à cet éga rd
Il y àura lieu d'évaluer cette recette d'apres
Dans le cas d'une décision favorable, le mon.
l es derniers r ecouvremen ts effectués.
tant de cette dernière maj oration de reclasse. 3. - Modification dans l a r épartiti on du re- ment sera calculé de façon à assurer, au maxiIlquat.
mum, à chaque agent, un traitement d'un monILa décision du Comité National prévoit le tant brut égal il la somme du ~rai tement appliversement d'attributions de péréquation dans cable à l'intéressé à compter du 1er janrier
des conditi ons analogues à celles des exer cices 1949, et du double de la majoration de traiteprécédel!ts, sauf t~utefois ~n ce qui co.ncern.e ment perçue par lui au t.itre ~e l'année 1949. _
les systemes soumiS au chOIX des Conseils GeVous devrez également temr compte du rel~néraux qui comportent des modifications appré- vement des indemnités maintenues par les arrfociables destinées a ne pas trop avantager, par tés des 19 novembre 1948 et 16 mars 194".
la péréquation, l es villes déjà favorisées du Iportant classement indiciaire des fonctionnaipoint de vue de la ta xe locale.
l'es et agents communaux et départementaux et
Les nouvea ux modes de répa rtition ont été par les ci rculaires prises pour l'application de
soumis au Conseil Génér al des Bouches-du· ces arrêtés.
Rhô,n e, dans sa ~éa nce du 25 nov~mb:e 1950. b) Remboursement des excédents de passil'
L Assemb lée departeme ntale a declde de r é·
résultant de l'arrêté de situa/ion aeti!'e et pas.
partir le r elIquat de la façon sUi vante
sive des caisses particulières de retraites disa) Repartition de 65 % du reliql/at : d'après
soutes.
la formu le
'.
,
_
.
P~: Circulaire du 10 mal 19;50, ~l le Directeur
[
N
]
qéneral de l a CaISse d~ Depots et. Consl l:,!naP
(T- t)
(C-c)
ou
lions, chargé de la gesllon de la CaIsse N~tlo,
2
nale de Retr.al~es ~es age~t~ ,df:S ~oll~tl~lte .
P repré~e~1te la population de la co ml11un e J lo.c~l~s, a n~tlfie aux collectlv!tcs Inter,e~sees .Ie"
cons l der~e, .
_
e..
declSlons pns~s par le Conseil d'AdmInistratIOn
T l e prodUIt moyen .pa.r ha ~lta nt ge . Ia taxe de cet Orgamsme et concer.n an! le rembou~t'locale dans l e. ~errlt?lre metropolltam. cette l lTlent des excédents de paSSIf resultant d: .1 ~ r:
moyenne est ee. ale ~ 2.560 francs, .
ret é. de ..sItuatIon actIye et . passl\ e des l.:aIS::,I::s
t le montant par habitant du prod.UI~ ?e la l partl~UII~re? de retraites dls~out,es, ,.
ta~~ l oca l ~ d~ns la comt;'une conSideree. Ce
l\\~IS a ~ ep?que, le. S:0nsell ,d Ad,:"l.m~trati o n
cntere dOit etre ca lcule en te,:ant. compt.e ne disposait d aucun ,elem~nt d appr ecla,tlon des
non plus . ~u montant . des attributIons dl- c.harges n?uvelles, qu'allait entralller 1 appllc~rectes, mal~ du prodUIt total de la ta xe.
lion du ~ecret n' ~9:1416 du 5 octobre 194.1
N le n~mbrt: ootenu en dlvl~a nt le prodUIt de~ po~tant ref?rme du reglme .dcs_ pensIOns dt! la
centtmes et des taxes directes l:ommunaux CaISse Nationale des Retraites des agenrs des
dans le D épa rtement par le montant des collectivités locales.
principau x fictifs départementaux,
Les évaluatio ns qui ont été effectuées depuis
C la valeur du centime démographique dans la l ors, à l'occasion tant de la r évision des pencommune du Dépa rtement où celle-ci est la si ons co ncédées avant le 17 octobre 1949 qlle
plus élevée,
de la liquidation des pensi ons des agents admis
c la va leur du ce ntime démographiqu e dans à la retraite à partir de cette date, fom appal a commune considérée.
rartre une augmentation considérable du monb) Réparti/ion du 35 % du r eliquat, au prora . tant des arrerages dont la Caisse Nationale doit
ta de la ion Tueu r des chemins vicinaux ordi- assumer le service.
.
t d g'l em'ns ryraux et compte tenu du
Le Conseil d'Administration a recherché les
nalres et es dl: 1 . 1. t e
possibilités d'assu rer l'équilibre financier de la
pourcen age e SIOIS r .
9
f .
1 .
A la suite de cette décision du Conseil Ge. Caisse Nalional e en 1 51 . san
aire . appe 3
néral des cal culs ont été eHctues par mes ser- un remboursement trop rapide ut:s excedents de
vices' en vue de déterminer, pour chaque com- passif. .
_
.
mu ne du D~partement, le montant de l a somCe resultat ~ourra etr~ o~tenu en p.artte ~a~
me à inscrin: en recette au titre de la pé.réqu a- le verseme~t_ ~ une ~?ntnbutlOn ~ompl~menta~ r:
tion.
des collectl\tlte~ affill ees en p artIe. gr al:e a o~,
Pour votre cl)mmulle, la recette a escompter m?yens ~xceptl.onnel~ d~. t.r esorene qll~~~sen~nt
NEANT à titre de répartition ,fu reliq uat se monteralnlls pa r 1 Etat a la dl, sposlfloll.de la Ca"•• i':aapproximativement à : ... ... _. . ...
tionale au dél~ lIt de 1année 1903.1, sous la forn.l~
L'att ribution totale du fonds de péréquatiop d'une a\'ance Importante du T résor, rembo ursasera donc égale : à cette dernière somme au g- ble en de~x ans.
.
~ .
t' de 9/ 10 de a b
Néanmollls les mesures sUivantes ont du etH:
lien ce
s
- .
'~
t
d
.
pnses pour accél érer le ~embour:;~men
e l' exII. _ DEPENSES
cédent du passif des "nClennes caIsseS
DI; PEREQUATION
Dans sa réu lll on du TI octob re 1950, l e Co·
n~it~ .N ational ·du. F?nds de Péréq~ation a conSIdere que le prin cIpe des gar antI es de recettes qui n'a vait été institué ,par l'article 290 du
décret précité du 9 décembre 1948 qu'à titre
transitoi re, pour éviter les inconvé ni ents inhererots a l a mise en vigueur d' une féforme fisca le,
ne devait pas être maintenu indéfiniment :
JO Il aboutit à crista ll iser les r ecettes de
1948 ;
20 Il constitue néanmoins une lourde charge
préciputaire I>our le fonds.
Toutefois. la non-reconduction en 195 1 de
ce régime étant de nat ure à entraîner des difficu ltés financières pour certaines co ll ectivités,
il apparaît utile de prévoi r sa disparition progressive.
Je vous i ndi ue ci-clesso us les modificatio ns
sur lesquell es ~e crois devoir appeler votre
.
J
atte f
n Ion .
1. - Suppression dans le monta nt des recettes garanti es de la diminution éve ntuelle
du produit de la ta xe loca le addition nelle allx
droits d'enregistrement sur les mutations, étant
donné que cet él ément est co nnu tardi veme nt.
2. - Rédu ction de 10 % à l'éc hel on natio n~1
du montant de la perte de recettes ouvrant drOIt
a attrlbutl(:~ns ~ompensatnces pou r 195 1.
C~s .attnbutlOns seront égales aux ~/ IO de
la r1lfference entre les cieux sommes slllrantes,
9/ 10 d
b
soit
aux
e a a) Montant des recettes garanties.
- Subvention spécia le de 19~
majo rée de 10 % . . ..............
- Produit brut pour I n4~ de la
taxe Sur les établissement de nuit
perçue du 1-2- 1948 au 3 1 -1·194~ ... .
- Produit brut pour 1948 cie la
taxe Sur la publicité .. . . . . . . . . . . . .
PrOduit brut de l'anc ienne ta:-.e
lOca le additionnelle à la taxe sur les
t ~ansactio n s du 1-2- 1948 au 31 ja nVIer 1950 ....... . . .. .. . . ... .. ....
Ilependant
montant des sommes ve rsées aux collectivités traitements des fonctionnaires de l'Etat aCCorces périodes.
dée au titre du reclassement pour l'année 1950,
+-
1
Total .. . .. . ....... . . . .. . . . . .
JO Depenses de persollnel
1"
M. le Ministre de l'Intérieur " précisé qu' il
cO~venait de prendre en considération le pro- a) Reclassement.
dc·I!lt des taxes encaissées par les
finanJe \'ous signale que l a I~i. n° 50-922 du 9 aoùt 2'·
Icres au cou rs des périodes
non '950 a prénl que la troiSième
des
Les dispositions norifiées .par circu laire ~r~citée du 10 mai 1950 dOll'ent être conslde·
rées co mme nulles et non avenues ;
Le!' collecthrités qui n'auront pas rembour·
sé lïntég-ralité de cet excédent d'ici le 3 t
�IYo
décembre proc hain, dlsposeront, pour se
li be rer du reliquat, d'un ddat maÀlmum de
10 ans, à compter du 1er janvier 1951 ;
Les somml!S restant dues au 1er janvier
l~l5l porteront Interet, a l ompte r de cene
Jate, au taux de 2,50 % l'an ltaux auquel
J"
l'avance du T resor sera consentie
a
la
Crusse NatIOnale).
Le tabléau ci-après indique le montant du
\'ersement tnmestnel qu't! conVIent d'ertect ucr
il partir du 1er trimestre 1951 pendant le uombr.e d'annees mentJOnne dans la 1ce col onne,
pOj,Ir rembourser une dette de 1 franc.
l\omb re
Versement
Ù'31lneeS
tnmestnel
2
J
4
5
6
ï
8
9
0,253.1 12
0, 128.0<)9
O,086A20
U,065.575
U,U5J.063
O,I)4.l7l9
O,OJIl.755
0,034.200
0,030.797
O,U29.00S
10
c)
Charge annuelle
cor respondante
1.012.451
0,512.399
O,J45.683
O,26~.~2
0,212.255
0,178.876
O,155.Ull
0, 137. 120
0,123. 11>8
O,112.0J5
Versement d'une contribution complementaire li la CaIsse /1 ationale de Retralles des
Agents des Cotlectmtes locales pendant t'al/Ilee 195 1.
Par application de l'arti cle 2 et des deux
prelTIlerS alineas de l'artIcle 3 du décret n"
·17-l b-Iô du 19 septembre 1947, les collectivités
al ùli~es versent mensuelJement à la Laisse N atlOnale des relE::nues de 6 % exercées sur l es
traitements de leurs agents et une contnbutiOIl
éO'ale
au double du muntant de ces ,.retenues.
~
elles peuvent, en outr e, en cas d IOsurhsance
des ressources dt: l'Institution, être appelées a
n~rser une contribution complementaire fixée
ùans les conditions prévues au trOisieme alinea
d" l'arttcle 3 du décret précité.
Or, l'examen de la SituatIOn financière de la
Caisse Nationale a tait apparaître que les char(.t:~ normales de ladite CaISse ne Ipouvalent être
~ou\'ertes que par une cotisation globale sensÎDiement supérieure.
.
Compte tenu des moyens de trésorerie qu e
l'Etat va mettre p roviSOi rement à la disposition
Je la Caisse Nationale, le Consei l d'Administrat ion a estimé que la contr ibution complémentaire à demander â l'ensemble des collectivités
affiliées pouvaiet être limitée il 6 % des t rai tements pour l'année 1951. Un arrêté sera pns
incessamment en ce sens.
,
u)
Affiliation au régime génùal de sécurité
sociale des secrétacres de mairie insiituteurs.
En exécution des dispositinns du décret n·'
5O-IOSO du 17 août 1950 U. O. du 2 septembre
1950 - Rectificatif au J. O. du 16 septembre
1950)
relatif il la situation, au rega rd des
léO'Îslations de sécu r ité sociale, des tra\'ailleurs
ex~rçant simultanément une activité releva nt
J ' une orfl'anisation spécial e et une acth"ité aCcessoire rel~vant de l'or ganisation générale de l a
Sécur ité Social e " l es communes doivent, à
compter du 1e r octobre 1950, inscrire il leur
budget les crédits nécessaires au paiement des
\.:otisations patronal es d' assu rances SOCiales
uont elles sont redevables sur les rémunérations
qu'elles accordent aux institut~~rs exerçant les
fo nctiuns de secrétaire de malflC,
Le taux de la cotisation d' Assura nces SOLlil~
les s'dhe en l'état actuel de la lél;islatio~ , a
10 % du ~alaire brut (y comp ris les a\'anta;:es
Ul nature)
au titre de l'activité aCceSSOi r e,
!:Jl)lt 6 %
Assu rances So-
ciales (ordonnance du 19 octobre 1945) et 4 %
en vue du versement des allocations aux vieux
travailleurs sala ri és (ordonnance du 30 décembre 1944).
'
"
Par contre, les mêmes communes nynt pas a
payer les cotisations d'allocations fam ilia les (article 7 d u decret précJté) et elles ne dOI ve nt
verser les cotisations relatives aux aCCidents
du travail, soit 1 % de la rému nérat ion allo uée
(arrêté du Ministè re du T rava. I, en date du 9
j uin 1948), que si .. lle~ ne gèrent pas tlles·
mêmes ce risque, Cest- a-dl r e SI elles ne sont
pas leu r propre assureur.
POllr la période antérieure au 1er. oclobre
1950 les collectivités loca les n'o nt a vj!rser
aucu~e otisation d'assurances sociales ; se~le
doit être versée nr cotisation afférente au ri Sque accidents du travail da!ls le ca~ où la co~
mune ne couvre pas elle-meme le f1sq~le. (applicat ion de la ci rculair e nI> 17-855 du h\illlstre du
Travail et de la Sécurité Sociale, en date du
12 octobre 1950).
.
De leur côté les instituteurs secret31res de
mairie sont dispensés (art. 3 du décret précité)
de verser la cotisation ouvr ière d'assurances sociales correspondant à leur activité d'agent
communal.
Les dépenses ai nsi mises à la charge des
communes sont obligato ires.
2 0 ,Contillgents de police
Une augmentation de l'ordre de 50 % des
conti ngents actuels doit être envisagée.
Somme à inscrire :
3°
Contrôle Médical Scotaire
Un crédi t de 50 francs pa r élève doi t être
prévu â ce titre.
-t" Participation commuflafe aux dépenses d !l
~rvice
reils
Départemental. d'entretien des appa-
Ge stérilisatioll des eaux.
Somme à inscrire :
Contribution communale aux dépenses
du Service Départemental d'Incendie
Somme à inscrire :
6 0 Contingents d'Assistan ce
5
U
,
En vertu d'une décision récente LIu Consei l
Général, le contingent communal d'assistance
doit êt re réparti entre les communes d u Département :
- 75 % propor}ionnellement à la va leur du
centime communal ;
- 25 % propo rti onnellement
au
nombre
d'admissions à l'assistance dans chaque Commune, all titre de la loi du 14 juillet 1905 Sllr l'assistance aux \'ieillards, infirmes et incurables,
de la loi du 15 juillet 1893 sur l'Assistance Médicale Gratuite et au titre du décret-loi dll 29
juill et 1939 sur l'Assistance il la famille.
Compte tenu de cette nouvelle réglementation, VOLIS devez i nscri r e à votre budget comme
prévision, au titre des contingents communaux
d'Assistance, la somme de : .. . . .. ... .
En ce qui concerne les dépense~ de Protect ion de la Santé Publique et d'Hyglè ne Socia le,
le crédit rete nu pour 1950 doit êt re trip lé pOlir
195 1.
Je vous rappel le que les impositions directes
à mettre en recou vr eme nt pour l'exercice 195 1
doivent être notifi ées il l'Admi nistration dcs
Cont ri butions Directes ava n ~ le 1er j anvie r
1951.
Je n'ai donc pas besoin d'insiste r Su r l'urgellce que revêt le vote des bud gets loca ux de
195 1 par les Assemblées Municipales.
Pour le Prélet .
Le Secrétaire Général détcgu,;
LAMASSOU E.
04 B3
EN 0
INDEMNITE DE LOGEMENT AU
PERSONNEL ENSEIGNANT NON LOGE
Le Préfet tles BOllelles-du-Rhône
à Mill. tes Maires du Déparlemenl
(pou r exécutio n),
à MM . les Sous-Préfets d'Aix-en.
Provence et Artes (pour inlorma.
t ian),
Il m'a été demandé s'il ne cOn\'cnait pas
d' assurer une meilleure compréhension du
te xte de mes ar rdés fixa nt le montant des
indemnités de l ogement du personnel ensei.
gnant non l ogé, par l 'appo rt de certaines
précisio ns.
Les remarques qui ont été présentées a ce
suj et portent sur l es paragraphes suivants ;
Paragr. b). - Il dev ra it être co mplet,
de la façon suivante : ... . . . .. « et les ins.
e: tituteurs et institutrices divorces ayant
< un ou plusieurs e n fant~ à cha ~ ge "
Paragr, d). - La modification suivante a
été proposée : ...... « Directeurs maries,
« veufs ou divorcés avec un 011 plusieurs
« enfa nts à char ge et directrices veuves ou
c: divor cées avec un ou plusieurs enfants
« à charge ; instituteurs mar iés, veufs ou
« divo rcés aveÇ..,Atn Oll plusieurs enfants a
« charge et institutri ces \l'euves 011 ctivorcee5
4: avec un ou pl usi eurs enfan ts à charge,
« chargés de Co urs Co mp lén~e n taires ):
r ai l' honneur de vous fal~e connallre,
après un examen attentif des suggestions
q ui m'o nt été laites, qu'i l ne parait pas ulil,
il la comp réhension de ces textes de corn·
piéter ou de modifier les paragraphes ci-des·
sus visés et qu'il convient d'interpreter ceu).·
ci dans le sens le pl us large.
Il est certain, en effet, bien que la rédac·
tion de mes arrêtés ne le mentionne pas
d'une façon expresse, qu'un instituteur veuf
ou divorcé sans enfant doit être assimilé
à un célibatair e et qu'un instituteur veuf ou
divorcé ayant cha r ge de famille doit l'être
à un instituteur mari é avec enfants. Il en
va de même pou r une institutrice se.trouva~!
dans l' une ou l'autr e des deux situations pre·
cédentes.
Telle est l' interprétat io n qu'i l co nvient de
donner , d'u ne manièr e générale, 111\:a rta ~lc et
sans équ ivoq ue possible, à mes arrdés h):an!
les indem nités de logement au personnel
enseignant non logé.
.
Pa r ailleurs, il y aura lieu d'etemlre l,
bénéfice de la mesure aux maîtres et mal'
tresses des Ecoles d'Application.
Pour le Prélet, pa r délégalion.
Le Secrétaire Général :
LAMASSOURE.
----<.»004: »'- - -
Toule demande d'ouvertllre ou de lrans~
{l'ft d'un débit de boissons .sera transmise
P~!1r a vi.' UII COllseil Départemental d' Hy-
gtene.
Le reste sans changemen t.
Arlicle 2. - M. le Secrétai re Général des
Bouches-du-Rhône, M. le Maire de la Ville
cie Marseille, M. le Directeur Départementa l
des Services de Police, MM. les Sous-Préfets
d'Ai x et d'Arles, MM. les Mai res du Département sont ch ar ges, chaCun en cc qui le
co ~ ce rne, . de l'exécuti on du présent arrêté
qUI sera Insér é au Recueil des Actes Admlnislralifs et Buttetin des Mairies.
Fait
a Marseille,
le 4 déce mbre 1950.
Le Pré/el :
Jea n BA YLOT.
•
nXTfS D'INTERET GEKfBHL
Circulaires concernant plus spéCialement
les Admillis,rations de: l'Elal
0 2 BI
AC 3
REGIME APPLICABLE EN CE QUI
CONCERNE
LES
PRESTATIONS
FAMILIALES ET LES ACCIDENTS
DU TRAVAIL AUX PERSONNELS
EMPLOYES A T ,E MPS INCOMPLET
OU DE MANIERE OCCASIONNELLE,
N" 96 - 6 B/ 12
Pa ris, le 23 Novembre 1950.
Le Ministre du Budge!,
a'EMM . les Ministres et Secrétaires
d taf,
7') En ~pplication de l'article 4 de la loi du
-- Ao ut 1946, l'Etat supporte la c har ~e des
~~estat l o n ~ familia les pour ses agent~ Sans
11·lOlterventlOn ues caisses d'allocations fa mila es.
D'au.tre part, en ver tu du prin Cipe selon
;e~lIel. 11 reste So n propre assu r eur il aSSure
tl-m ~ m e les réparatio ns des acJidents du
rf:a ll survenus à ceux d'e ses agents qui
re vent de la loi du 30 octob re 1948.
rOr"I'exPé!'ience a fait appa raître que ['ap~~cat lon . stncte de ces dispositions pouvait
nner heu . en ~e qui co ncerne les person~r~ e'!1 plo ye,es a temps partiel ou de ma~ r~ Intermi ttente ou occasionnelle à cer.
t alns abus p é' d' . bl
' , cas
a
'
r JU . ICla es dans .certains
c~X' flllan,ces publi ques, et con\pliquait à rexS lia tache
des or ga nismes de sécuritê
SOCla e,
P.ensa e a Une gestion simple et Ipratique du
r,l~iUt~ répo'!d il l'inté rêt bie n entendu de
a et des personnes dont il s'agit
1 j'esti me que les avantages prése ~tés par
I~ solutIo n ,préco niSée par le Co nseil d'Etat
~mporte nt assez nettement Sur les inco nvénten~s ~our qu'il y ait lieu de la mettre en
appllcatlOn dans les moi ndres délaIS
C'est pO llrq~l o i, en accord avec le· Ministère du Traval! et le Minist ère de l' Intéri eur,
J~ vO,us . I~ form e que désormais, il y aura
h.e ~ od a~tll eT aux caisses ,prim aires de Sécunte SO~ l a l e, po ur les accidents du travail et
allX ca.lsses d'~I.l ocat ions familiales pour les
presta t lO~s fa miliales, les personnels suivants,
tant de 1 Etat que les Collectiv ités locales :
, - Perso nn els exception nellement rémunéres sur crédits de matériel ou de travauX".
La. dépense afférente aux cot isations aux
Caisses de Sécurité Sociale et d'Allocation.
Faml.hales doit être imputée sur le même
c ha~ l tre de matéri el Ou de travaux que le
salaire.
- Person nels rémunérês sur cré<hts de
personnel mais présentant le triple caractère
de ~~avojr pas leur effectif fixé par des disPos.t l?ns. ayant lorce législative (1) de n'êt re
s?~ m ls a au.cun st.atut de droit pUlblic, et
d elr e employés, SOit de faço n intermittente
s?it à temps partiel, soit à 1'6ccasio·n d'un ~
tache. déterm inée. et li~ itée dans le temps.
La depense sera Im putee Sur le Chapitre de
personn el correspondant.
~ Perso nnels embauchés par un fonction naire et payés par lui sur Un fonds d'abonnement ou à l'aide d'une indemnité O'lobale
ou r émunérés Sur ses deniers per;onnels
moyennant le maintien de SOn traitement.
En. ce cas, c'est le fonctionnaire lui-même
qUI est soumis aux obligations de l'employeur et tenu au v~rsement d~s cotisations aux organismes de sécurité SOCial e.
.le vous serais très obligé de bien vou lOir, Je cas éChêant, .porter à ma connaissa nce, sous le timbre de la présente lettre
les . diHicu ltês que pourrait présenter l 'apP Ii~
cahon des dispositions qui précèdent.
,Celles-ci prendro nt effet du 1er janvier
1951 pour les perso nn els qui ne se trouveraient pas encore affiliés aux Caisses de
Sécurité Sociale et d'Allocations Familiales
au moment de la récep tion de la présente
circulaire.
P. le ,Ministre et par délégation,
Le Directeur du Ca biner,
Signé : R BLOT.
P 4 le D'~u.tr~ part, d~ns ~111 souci d'unification,
DEBITS DE BOISSO NS
ueMI~ls~~re. du 1 rava il estimait souhaitable
~ux 1alfl liatlon a ux assuran ces socia les et
ARRETE
ti~nn els lut Complétée par le ur affi liation a il
D I BI
indem~ité globale. La Haute Juridiction .stlme q~tu . demeurant, cette affiliation ind'is-
Le Préfet des Bouclles-du-Rhône,
Officier de ta Légion d'Honneur,
prestations fam iliales des m~mes per-
re des accidents du travai l.
S;'iSi de ces difficult és, et consu lté d'a utre
3 . ' 1947 re· ~~u'el sur la va lel!r juridique des e;rements
Vu l'ar rêté préfectora l du Ilun. l'auto,i. 'ét
le Co nse.1 d'Etat a estimé q u'i l
latif aux dista nces à ohseryer e,t a te~lcntal lieal ,pa~. Con traire aux r ègles du droit pusatio ll pr éalable du Co nse.11 ~epa~e débit Prim d, affi lier ces perso nnels aux Caissps
d'Hygiène pour toute ex.plOitatiOn
aires de S~c llrité Socia le pOlir les ac~cide boissons ;
tal d'H\'o U~ ln ; ' ;, I ". travail et aux ca isses d'a llocations
Vu le vœu du Conseil Départem~~O"
Il. I . P~IJr les .prestations familia les, que
giène en date du 27 septemb re l
,
a I lahon ét;ut m~me obliO'atoire en ce
ARRETE :
~~",fern~ les .'Perso nn els en~bauch és nOn
~lnlstratlon maiS ,par un fonctionct remu nérés par celui-ci à l'aicfe d'une
.t'
( 1) A cet égard, il est fait observer que
la simple indication d'un nombre maximum
d'agents à employer, figurant d'a ns les tablea ux de développement de la loi de fi nances n'a pas par elle même force de loi ~t ne
suffit pas à elle seule pour dispenser dll versement des cotisations d'allocations familiales et d'accident du travail.
-------<»ooc» ----___
02 B2
AC
3
FIXATION POUR L'ANNEE 195/ DO
MONTANT DE LA CONTRlBUTIOJ1l
COMPLEMENTAIRE A VERSER PAR
LES
COLLECTIVITES
WCALES
DONT LES AGENTS SONT AFFILIES
A LA CAISSE
NATIONALE DE
RETRAITES
DES
AGENTS DES
COLLECTIVITES LOCALES,
Le Ministre de l' Intêrieur, le M inistre du
Budget, le Ministre du Travail et de la Sécurité Sociale, le Ministre de la Santé Publiq ue et de la Population,
Vu l'article 3 de l'o rd onnance du 17 mai
1945 ;
Vu l'a rticle 3 du décret du 19 septembre
1947 modifié portant organisation générale
de la Caisse Nationale de ret raites des
agents des collectivités locales et notamment
les deuxième, troisième et quatri ème alinéas
ainsi conçus :
~ Les collectivités versent en même temps
à la Caisse Nationale des retraites leur contribution, qui est fixée au double du monta nt
des reten lies ;
Elles peu vent, en outre, en cas d'insuffisance de resSOurces de la Caisse Nationale
des Retraites, être appelêes à lui verser une
con,tribution complémentaire dont le montant est fixé pour l'année considérée par
arrêté concerté des Ministres de l'Intérieur
des Finances, du Travail et de la Sécurité
Sociale et de la Santé Publique et de la Population, après avis du Conseil d' Administration de la Caisse Nationale de Retraites.
«: Les versements prévus au présent artielc
et à l'avant-dernier alinéa de l'article 23
ont, pou r les collectivitês qui sont assujetties, le ca ractè re de dépenses ob ligatoi r es :. ;
Vu l'avis émis par le Conseil d' Adm inistration de l a Caisse Nationale de Retraites
dans sa séance du 19 octobre 1950,
ARRETENT
Article premier. - Le montant de la Contribution compl émentaire prévue par le troisième alinéa de l'article 3 du décret du 19
septembre 1947 est fixé pour l'année 1951 à
6 % des émoluments soumis à retenue pour
pension en application de l'article 2 du décret du 19 septembre 1947.
Articte 2. - Cette co ntri butio n complémentaire devra t!tre versée par les collecti~
vités uans les mêmes conditions que la Contribution normale.
Articte 3. - Le Directeur de l'Administration générale. departementale et communale au Min-istère de J'Intérieur, le Directeur
du Budget au Ministère du Budget, le Directeur Général de la Sécurité Sociale au
Ministère du Travail et de la Sécurité Sociale, le Directeur de l'Administ ration Générale du
, Pprc:nnn-Pi pt ....... R .. ~
1
�198
REPUBLIQUE FRANÇAI ' ,~c,';I._~ ~ '{'_
25 Décembre 1950
1ère de la Santé Publique et de la Population et le Directeur Général de la CaIsse
il Dépôts et Consignations sont chargés,
c::'cun en ce qui le concerne, de. l'exécutJo~
du présent' arrêté, qui sera publié au Jour
aDJ Officiel de la République FrançaIse,
Fait à Paris, le 29 novembre 1950,
LE MINISTRE DE L' INTER,lEUR.
Pour le Ministre et par délegatlon,
Le Direcleur de l'Administration
Générale, Départemenlale
et Communale :
Pierre-Jean MOATTI.
LE MINISTRE DU BUDGET, .
Pour le Ministre et par autorIsation,
Le Directeur du Budget
R. GOETZE.
LE MINISTRE DU TRAVAIL
ET DE LA SECURITE SOCIALE.
Pour le Ministre et par délégation,
Le Directeur du Cabwet :
Jacques DOUBLET.
L'E MINISTRE DE LA SANTE PUBLlQtJE
ET DE LA POPULATION
Pour le Ministre et par délégation,
Le Chef d e Cabinet :
Jacques-Pierre MONCOMBLE.
Communiqués - Avis
,Annonces diverses
AVIS DE ' CONCOURS
Ville de Nevers
Un concours sur titres et ~é fé ren.ces est
ct un Directeur
t pOLI r le recrutement
ouver
'
1nd'Ices d e, t ra te~
des Services Techntque~.
t
300 500 Conditions conformes a
~:rnrêtt~ inte-rmi~istétiel du .1 9 novembre
1948 et aux circulaires ulté~leures , Dépôt
'
~'-'
.--
/,,-'
.,
-
Année , - N' 52
DÉPARTEMENT DES
BOUCH ES:;OÜ-RI?0N'
.. .
n,
Recueil des Actes
et Bulletin des Mairies
des candidatures accompagnees de la ~o~l e
d' l' mes avant le 15 janvier 1951. LImIte
deâ
Ip °35 'ans1 sauf servi ces militai res ou
d' sO'e:
civITs antérieurs.
if
Toute correspondan ce r elative au R ec ueil d oit être adressée à la Préfecture Secré ta riat G énéral
A.BHÉVIATIONS
A, P. : -A rrêté préfecto ra l. - C, : Circulaire . - Les lett res D et B su ivies d' un chi ffre indiquent le Servie'e ou Bureau d'orig ine.
D. S. T, de
: Directio
n des Services TechniqUe>. - D. D. S. : Di rection Dépa rtementa le de la Santé. _ D. D. P. : Direction départementale
1. Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulair.,;
FS O. -
l'nges
AG 14. - Rév is ion des listes électorales (ann ée 195 1). - Mise à jo ur de
la circlli aire codificative n' 414)
Contrôle des fosses septiques.
200
SC 7. Se rvice de sécu r ité assurê
par les Sapeurs-Pompiers cl ans les
199 1
sall es de spectacles ., ..... .
TVX O. - Travaux de co nstructions
scola ires. - Pièces à produire pour
J'Oct roi d'u ne subventio n de l'Etat. .
201
202
Communiqués, Av is, Annon ces diverses
Oem ande d'em ploi .. ,.
202
ARRÊTÉS REGLEMENT AIRES
ET CIRCULAIRES
D5 82
AG 14
reJlision proprement dites
que te J er jan vier.
REVISION DES LISTES ELECTORALES
(Année 195 1)
numéro 4 14
RECT IFICAT IONS MATEil IELLE
D'autr e part, les sen 'ices de la I\\a i ri e ne
sero nt plus surchar gés pa r un fra\'a iJ exce _
sif pe ndant la pé riode propreme nt clite tie
révision,
Page 5, alin éa 13 f :
Au lieu de : « Code péllal
d' Inst r uct ion crimi nell e
, lire
« Code
::t .
Page 5, alinéa 17 :
Au l ieu de (f Mod èle 2 )', li re
le Il >.
Alinéa 50. 4.
< Capacité électora le • .
Paur le PrHet :
Le Se~It.'1'e Cb,i1'.' : LA'MASSOURlt
Page 8, alinéa 66 d :
Au lieu de : 1: une radiat ion
demande de radiat ion ~,
::t,
l i re:
Alinéa 5 1 - La Commission Admil/istratipe qui se réunit le 1er jam'ier elfedue ses
opérations de révision du 1er au 10 Jnn-
une
vier (a).
. Page 14, Calendrier des délais de la rél'iSion ; onzième ligne :
Au lieu de : « avis de radia ti on modè-
Alinéa 52, - Elle procède aux IllscnptiOIl::>
et radiations dJoffice et statue sur les demandes déposées à ta Mairie par les dccleurs, comme il l'ien t d'être exposé,
le 3 », lire: « avis de radi ation modèle 2 ».
Page 22, L oi n° 4&-669 dll 12 avril 1946,
régio n lIe-de-France :
Au 'lieu de : « Sa in t Namm ie », li re
< Sa int M amm ès ».
II. -
P REC IS IONS ET DISPOSIT IONS
MODI FICATIVES
, Page 7, Titre /II , Travaux de la CommisSIOII administrative :
Alinéa 48. - Les demandes d'inscription
ou de radiation Sur tes listes électorales doiVent être r eçll eS, dans l es
à partir
du 1er décembre, bi en
.
de
Des affi cll es fOI/mies par la
Prefectllre seront apposées ci la fin du mois
d e nOJlembre, pOlLr annoncer la ré l'ision dt's
listes électorales et pour inl'ifer les eleclellrs
qui doil/ent se laire inscrire 011 se foire ra~
dier li se presenter à la Mairie du 1er drcembre aIL 10 jam'ier.
M odè-
Page 5, alinea 2 1 :
Au lieu de « Incapacité électorale », li re
Copie certiiit: eODfonn ••
commencenl
Alinea 49. - Cette regl e a pour but de
laisser aux intéressés un dél ai leur permettant de r éu nÎ r l es pièces nécessaires et d'effect ue r pl us commodément leurs démarches
à la mai r ie.
Mise à jour de la Circulaire codificative
1. -
ne
1
Page 8 alinea 61, § 2. - So it qu'il pos,
sède au d~miCiJe invoqué l e lieu de son principa l éta blissement, c'est-à-dire le centre de
ses intér êts (sans qu'il ait il justifier cie sa
rtsiuence clans ce lieu).
Page 8, alinéa 6 1 b. - La n!side~n'I!. Il
convient de ne pas confondre la notIOn de
domicile, qui vient d'être expliq uée, avec la
notion de résidence, qui consiste uniquement
dans le fait d'habiter dans l a co mmune.
La
r éelle el eftecti!'e de six mois
doit
atte ntivement, dans tous les
t: he avec la commu ne fondee Su r le domicile ;
il suffit que cette du rée de six mois soit acco mplie a'"ant le 3 1 mars et par consëque nt
que l' intéressé ait commencé de résider dans
la commune le 1er octob re de l'année précé-
dente.
La residen ce peut êtrt: t:tabli~ par tous
les moyens propres à aSSurer la com'il-fion
de la Commission (quittance de loyer , em"e-
loppes postales, etc,).
Page 8, alin ea 6..J. -
La Commission de
révision peut porter d'o ffice Sur les listes les
électeurs qui ont acq uis les conditions d'inscription prévues par la loi, notamment les
conditions d'àge, de domicile ou de résidence (art. 1er du décret réglementaire du 2
fé\' ri er 1S52), mais nOn pas les ëlecteurs qui
remplissent les conditions à tit re d~ contribuables ; ceux-ci doh'ent déclarer leur intention d'exe rcer dans la commune, s'ils n'r
résident pas, leurs droits el ectorall~ (art. 1.J
de la loi du 5 .",il 188-1).
Page ~, alinia 65 - D~ toute maniêre,
la Commission ne doit opérer dïnsl'riplioll
d'office qu'en prenant tOlites les mesures neccssaires pour ê\'iter une uouble inscription;
au besoin, elle doit convoquer les electeurs
pOUI1 procéder à l'examen de leur SItuation.
Ou fai re une enquête à dom icile.
Page 8, alinea 67. - En ou tre, la Commission statue Sur les demandes d'i nscripti on
Ou de radiation déposées par les électt!u rs à
l 'occasion de la révision des listes électo ra-
les.
Page 8, alillea 68, § 2. - Les personnes
qui ont pentu la qualité d'électeur dans la
com mune doi\'en t être rayées des listes;
toutefois, il impo rte de ne procéder à ces
rad iatio ns d'office qu'après avoir pris toutes
mesures nécessaires.
�Page ~, alilléa 7:3 - ln till e, ajouter un
paragraphe : < Toutefois, Il importe de n.e
procéder à des inscriptions ou r adiations
d'office qu'à bon escient. Il con rie nt notamment de s'efforcer au préalable de rec ueillir
les obsen'ations de l'i ntéressé.•
Page 9, alinéa 76. - La Commission Ad ministrative tient un re gistre de toutes ses
décisions ; elle y mentionne les moti fs et les
pièces à l'appui (décret réQ'lementai re du 2
fé",ier 1 52, art. 1er).
Page 9, 01;''';0 78. - Cette liste porte l e
nom de tableau rectificatif et compo rte l'énumération :
- u'une part, des élel'tcurs inscrits ;
- d'autre rart, des électeu rs r adiés
reprenant /oll/es les inscriptions OLl' radia/ions effectuées ell coUrs d'année, depuis
la rM/ure de la rèl'isioll de l'année prél..'éell
denle.
Page 10. almea 99. - Cet avertissement
~~ut. ~t rt;, re~is par un ag,en.t . m~nicipal a
Ilntere~se qUI en donnera receplsse, ou bien
adresse par lettre rec ommandée 3\'ec accusé
de réception.
. Page 13, alinea 157. - Ce lableau recliflcallf. du 31 mars. qui repr end Ioules les
modlflcalrons effecluées depuis l'élablissen;ent du lableau r eclificalif du 15 janvier,
(~nstl.tlle GI'ee Ce tableau du 15 janl/ier et la
Iisie elee/orale de l'ann ée précéden/e la nouyelle liste declorale de l'annëe (a).
-------<»00<>------
D. D. S.
FS 0
CONT ROLE DES fOSSES SEPTIQUES
. L 'oubli presque complet dans lequel parait
etre tombé l'arrêté prtfectoral en date du
19 Octo,bre . 1925 r elatif aux fosses sept!.
ques, m amene a ell reproduire ci -apr ès le
texte.
Cette nouvelle p'ublicatiun rappelle que
les propnetalres d Immeubles désirant fair e
mstall~r de ,tels appar eils doivent Souscri re
ne declaratlon· en vue d'ob tenir l'autorisation d,e leur ~ise en ser vice. Celle-ci, accompagnee de diverses pièces dont un questionnaI re co~for.me au modéle ci-joint, doit m'ëtr~
co mmuniquee pour a\'Îs.
Co.mme cette form alité n'a pas été remplie
d.e~Uls fort longtemps dans la grande major!te des cas, et que la sur vei llance du fo nchonnement de telS appar eils qu i m'i ncombe
~n . vertu de l 'article 5 dudit arrété, n'est,
eVldemment, pas possible si je ne suis a\'erti
de. leu.r exist.ence en un lieu donné, je vous
pnerals de bien vouloir procéder a un recensem ent complet des fosses septiques en ser\'Ice dans votre commune et m'en adresser
la liste sous le timbre:
Préfecture des
Bouches-du-Rhône, Direction Dépanemen.
tale de la Santé, 66, rue Saint-Sébastien il
Marseille >. Ce rele vi: devr a comprendre
pour chaque cas, le nom du propriéta ire le
nombre d' usagers, l'adresse tr ès co mplète
de l'installation ai nsi que le lieu de déver·
sement de l'effluent ( rue, ca niveau
béai
ruisseau, tranchée filtrante, etc.). cie plus:
vous voudrez bien préciser s'il ex iste, dans
votre commune, une station publique d'épuration des eaux d'égouts.
Grâce a ces indications, je pourrai ùonner une nouvelle activité au service du con-
u.
(a) Sans c hangement.
tr{lle J~s 1O:)St:S st'ptiqut!s, appareils dont lè
fonctionnement norm al est une dcs cond l'
tians rie l'hrgicne publique.
Pour le Directeur Départemen ta l
de la Santé,
Dr VALENSI.
•••
ARRETE
REûLE ,\\ENl ANT
LES
CONDITIONS
D' INSTALLATI ON, LE MODE D'EMPLOI ET LA SURVEILLANCE DES
FOSSE ' SEPTIé)üES OU APPA IŒ ILS
AN I OOUES.
1 e Prèfet des Bou~hes-du-I~ h o n e.
Ulficicr de la Legion d' Holln eur,
ART ICLE PREMIER, II est interdit d'1I1~
taller et de mett re en servi ce, dans les communes du département, des appareils d'assainissement dits fosses septiques OU tous
autres reposant sur les princi pes de soluhilisation et de désintégration des matières
excrémenrielles pa r voie biologique, si ces
apparei ls ne sont pas pourvus de dispositits
d'épuration (arables de produire des effluents
imputres ... ibl~s Id inodores.
ARl. 2. - Les prol>rièta ires dïm m eu~ l es,
desireux d'i nstaller de tels appar eils, devront,
pour chacu n d'eux, faire une déclaration à
!a .!\\ain\.!.
Cette dëc1aratio n écrit e sera accom pagnée
de la de cri pt ion de l'appareil et de SOli
i nstallation (aver plans co tés), de l'el<posé
de son fonctiollnemt:.nt et de l'indi ca tion du
nombre maximum. de personnes pour l' usage
desq uelles il est établi. Elle sera communiQuée au Bureau d' Hygiène da ns les l'illes
qu i en sont pourvues et signalée au Service
départemental d'hy!(!ène pou r lui permettre
d'exercer ~ùll tlroit de co ntrôle.
Il sera statué dans le délai de vi ng[ JOurs,
par te :\-laire, qui délivrera, s'il y a lieu, l 'autorisation de mise en sen·ice.
A défaut. p~1f le .\laire, de statuer dans
le délai imparti, ou à défaut de demande
d'autorisation, il sera procédé co nformément
aux dispositiuns des articles 11 et 12 de la
loi du 15 tê\'rier 1902.
..\.Rf. 3. - La déclaration prevue â l'articl e 2 sera accompagnce d' un engagement
pris par le constructeur vis-à-vis du propriétaIre, dt ve iller à J'entretien et au bon
ionctionnement de l'appar eil. Le co nstrutteur pourra ~e voir substituer, pour cet
\.! ngagement, toute person ne ou co llectiv ité
dûment agré~t! à cet effet par l 'a utorit~ préfectorale.
ART.~. - T uut appareil do.!)t l'installatioll
aura dé autorisee devra porter, en cara\,:tères apparents et indélébiles, les indicat ions
suÎ\'ant~s ff) urnies et inscr ites par le constructeur :
a) Num et adre se d11 const ru cteur,
numéro d'urdre ;.
b) Capacité vo lu métrique de J'appareil ;
c) Nombre maximum de personnes qu'il
peut desservir ;
d) Date de l'autorisation de mise en service.
Ara . 5.
Les services départementa ux
municq)HtlX d'hygiène devront assurer le
contrôle permanent du fonction nement des
appareils. Des échantillons de l eur effluent
seront prélevés sans préavis, au moi ns deux
fois par ail, et envoyés, pour analyse, à lin
lahoratoirt municipal, départem ental ou régional, agréé par le Ministre de J'Hygi ène
pilUr les anal yses d'eau. (Instructions !(éné·
~t
ral~s .relJti ves aux l'aux
d'alim~lItatio n du
12 JUillet 1924).
ART, 6. -
L ~s appareils d'assai nissement
Jits fosses septiq ues, ou tous autres anal .
g,t~es, ct I~s effluents. de. leurs ctispoSit~s
d ~pLlrat l o n, dOivent satIsfaire aux Conditions
sU iva ntes :
a) L ' aPfPar~i1 ne ~oit dégager aucune odeur
de pl1t~bel act lt~.Il , ni aucu n gaz malodorant
~~ISCt'pt l e (,IIl,l 'om moder , les habitants de
1 11111l1e.1I ~le ou Il est place, ainsi que ceuX.
du vOls ln ag~ ;
b) I,'efflucllt .l'I-Jtlre . ne doit pas l'ontel1lr
plu s ~e U gr. 03 ce ntl ~ralll m es tle matières
or ga nIques en suspensIon par litre et Ul
éch~lltIlion d'~ ny i ron 150 ce nt. cubes, pr~~
l e~e da ns un Haco n bouché à l'ëmeri, ne
dOIt dégage r aucune odeur cfe putréfaction
la
ava nt ni apr ès sept jours d'incuhation
temp ératu re de 30 ....
RI'. 7. - Lorsqu e le service de contrôle
sanitaire aura co nstaté qu'un apparei l fan _
tionne d'ulle manière défectueuse, qu'il s'en
dégage des odeurs gênantes ou que l'effluent
ne satisfait pas aux co nditions Sils-indiquées
il en informera le Maire qui mettra le pro:
pr iétaire Cil dem eur e d'y remédier dans le
délai d'un Illois.
a
ART. X. - Les proces-verbaux ùes vérifica ti ons et constatations prévues à l'article
précédelll ser on t remis au Maire, en vue de
l' applica tio n de l'art icle 27 de la loi du 15
février 1902 et de l'arti cle 47 1 du Code
Pénal.
ART. 9. - Dans un délai d'un an, à dater
de la publication du présent arrêté, tout
appareil actuellement en usagc devra fai re
l'objet d'une déclaration par le propriétaire,
dans la forme prévue il l'article 2, et être
po urvu de la plaque signalétique indiquée à
l'article 4. ,
ARr. 10. Sont char gés de l'e xécution
du présent arrêté qui aura effet à dater du
1er novembre 1925, M. le Secrétaire général
de la Préfecture, MM. l es Salis-Préfets d'Aix
et d'A rl es, .M'M. les Maires du département,
M. l' Inspecteur départem ental d' hyglên c,
MM,. les Directeurs des bureau x mu nicipaux
d'hygiè ne de Ma rsei ll e, d'Ai x et d'Arle,.
r ait à Marseille, le 19 Octohre 1925.
Le Préfet des Bouches·d u-RhOne,
DELFINI.
•••
. . . . . , . . ,. .
FO I~M'ULE CONCERNANT LA .~\ISE EN
SERV ICE D 'UNE
FOSSE SEPTIQUE
EPURATR ICE
(A fournir ell dou ble exemplaire pOlir chaque dem,nde d'autorisation).
l " Nom, prénoms et domici le du propriétaire de la fosse septique :
.... '
2" Situation tle l' immeuhle auquel doit
ttre adjointe ladite fosse : .... ,.
. ?
3(' Destination du dit i mmeuble (ateher :
. 1 d'ense l Usine ? Etahlissement comme rcla,
gnement ou hospitalier ?) ....... ... d
4" No ms et adresses du co nstructeur et. 1:
1.'II1stalJateur. (Eventuellem en t , rai'son sOcla. '
de 5!"
é\
a
:~::::;epréci~ 'd';,~~~er" p~;~;~~~t~
:
eservolr~
.
6' Capacité utile par ulllté des r
chasse d'eau : ....... ,.. ..,
1. - Cundit/()fl~ d'ela"'/~~('m enl d'lin
l'ice de sur veillance.
D2 B3
aV ril 1884, pou r imposer un service de surveillance à un direc1eur de salle de spectacle ou à l'organisateur d'une attra ctio n dans
les Cas prévus par les articl es 161 à 163,
et 2'30 du décret du 7 février 194 1.
. Ce tte meSure entraina nt une charge finan(.:Ièr e pou r les exploita nts, il cO n\'ient de r appele: aux maires "'que la présente d'u n ou
plUSIeurs sapeurs-pompie rs doit êtr e reconnue indispensable en raiso n des ri sq ues que
présente l'éI'ablissemtut.
.~ar sui!e, ~J1 dehors des thêfttrcs ue preml ere categon e, vis~s à l'article 161 du décret, où le servÎCe de su r vei ll ance est obligatoire, ia Commission comm unale de sécuritt - ou à défaut la Commission départementale - doit fo rmuler son avis pour chaq ue sall e en particulier, sauf èas d'urgence.
~a Commission de sécu rité peut en particu her recommander un se rvice de su r veillance dans l es établissements où n'ont pas
en.core été réalisées les transformations presentes par elle ; cette mesu re ne saurait cep,en~ant constitue r, dans ce cas. qu'un pa lhahl.
L a fermetu re de la salle peut, en effet,
èt~e d,écldée si l'exploitant néglige ou refuse
SOIt d exécuter les travaux prescrits, soit de
rémunérer le serl'ict! de surveillance.
J'ajoute qu'en application de l'article 163
du déc ret du 7 février 194 1. des rondes d'of-
Natme et Horai res
a)
b)
SC 7
c)
SERVICE DE SECURITE ASSURE PAR
LES SAPEURS-POMPIERS DANS
LES SALLES DE SPECTACLES.
Référ. : Ma circulaire n " 218
ST du 7 Mai J 948.
Sef-
, Lt: Maire a seul qualité en application tle
1 ar.t lcle 97, paragraphe 6, oe la loi du 5
-------<>00. >-------
d)
dll
Service
Surveillance de matinée, u'après-midi
ou de soirée (al'ant 0 h. 30) ( 1) . . .
fic.it!rs t:t de s<:,us-officiers du i"en t ~tn: prescr ite pour ,-ell1e r a la honne t:xét:ution des
services de sécurité. Ces rondes sont égale·
ment rétribu ées par les eXiploitants.
Il est rappelé que le ou les pompiers designés, pourvus d'une consigne trts préCise et
plaCés aux endroits où leur présence sera la
plus efficace, nonol)sta nt toutel:onvenance
per~ 'Jflnelle, doivent être à même li fout insfun! dt: provoqu.e r les mesures nécessaires en
CdS de sinistre.
La présenn: d' un senice d~ suneillance
nt: sali rait avoir pour effet d'exonerer l'exploitant de la responsabilité susceptible de
lui jncomb~r tventueJlement.
.La resf)ofisabilité de la commune n~ pourraIt, en eHet, résulter, en t:t! domaine, que
d'une fa~te lourde du sen'ict: de sun·eillance.
II. -
Taux de redel'ances.
Lts co mmunes sont libres de fixer les
taux jugés convenables, sous réserve de
l'approbation du Prefet ou du Sous-Préfet.
lo rsqu e ce derr~ier régie le buJget. Toutefois,
JI y a intérét il éviter des dispa rités injustifiées entre les dépa rtements Vous "oudrez
donc bien t rouvt:r, ci-après, à tit re indicatif, les taux ma xima pou\'ant être considéres
corr.mc assu rant en principe une rémunération forfaitai re normal e du sen'ÎCe rendu aux
exploitants.
11 n'y aurait lieu de dépasser Ct:S maxima que lorsque des ci rconstances spéCiales,
dom "'OIlS restez seul juge, vous seraient
indiquées par les municipalités.
Catégo ri es
de personnel
Officiers (2) . .
.
Sous·Officiers ..
Capor aux d sapeurs
Slir vei ll , nce de nuit (apres a h. :10) (3) Officitrs (2) .
Sous-Officiers
.. ..
Caporaux et sapeurs
ROlldes al'allt 0 h. JO ...
Officiers ....... , ..
Sous·Offiriers
Rondes après 0 h. :JO .....
Officiers
Sous-Officiers
Villes de
moins de
plus tlt!
50.000 h.
50.000 h.
.\00
250
200
600
500
-IDa
100
80
200
160
350
1OO
250
700
600
500
120
100
240
200
A/ D IN
Ci rculair e n" 415.
Département des Bou l'hes-du-Rhôlle,
Comm'u ne de
7" Les t'aux de toilett e, de CU ISI ne, tie
ou de bains doivent-ell es t?t re évalal'aue
o '
. - ?. ,..... , ..
CIIées
dans la f osse septique
8° Vo lume. exact en dm3 du liquide contenu en régime norm al dans l'élëment co llecteur de la fosse et, éve ntu ellement, se~ co mpartiments ann exes : .,..... . ........ .
9" Nature des matériau x du li t bact~rien : .............................. '
10" Le lit bactérien es t-il disposé l1J1ilormément 011 en 1)lusieurs étagères ou compartiments ? (Da ns ces derni ers cas, préciser
le nombre des di visions) ................. .
11 " Surface des matériau x effectivement
arrosés du li t bactéri en unique ou de Gnaque co mparti ment suiva nt le cas ..
12" Epaisseur des mêmes matér iaux, éventuellement par compartiment ...... .
13° Niveau du w.-c. inféri eur par rapport
à celui du sol ou de la voie Oll s'effectue
l'évacuation de l'effluent ? , ....... .
14° Nivea u i nféri eur
l'intérieur de l'exutoire de la fosse septique
......... . .
15" Niveau de l'orifice extérieur du Co nduit d'évacuatio n ?
16° L ieu d'évacuation. (Ruisseau d'une
vo ie, égout, ca nal à ciel ouvert, r uisseau,
........... . , .
prairie, jar din, ravin, etc.)
17° Dans le cas où l'efflu ent Sera déversé
d'ans un ruissea u ou à la rue, indiqu er le
type et les ca ractér istiques de la tranchée
fi ltrante qui sera disposée entre la fosse
septique et le point d'évac uation fi nal de
l'effluen!. (Art. 36 al. 2 du r èglement sanitaire départemental)
.................. .
18° Eventuellement, distance et pro fo nd eur
d'un puits, d'une citerne, d'une source .. ,
19" De l'eau utilisée pou r la boisson estelle puisée à ces points d'eau ? .,
A .............. , le .......... 195.
(Signature de l'auteur de J'installation) .
Paris, le 2 1 Décembre 1950
Le Ministre de l'Intérieur
à MM. les Préfels (M étropole).
Les prescriptions du décret tlu 7 Février
194 1 relatives au servil:e de su rveillance et,
d'une manière plus O'é nérale aux meSures de
séc~ritc qui peu\'ent être {mposêes par les
,\1alres dans I ~s établissements et sa ll es de
spect~c l es, ont pa rfois donné lieu fi certa ines divergences d'interprétation.
. J'ai l ' ~on n e ur de VO LI S indiqu er les tlirectives qUI devront êtr e données en co nsC~u enc~, aux munici palités, not~mment Sur
es P01llts suiva nts :
) 0 Conditions d'é tablissement d'un service
de Surve illance '
2°0 Taux des r'edevances .
,3 Emploi des fonds pr~ve n a n t des serVICes rétribués .
n 4° Modalités ~dministratives d'orga nisa .
~ On du service, de fi xation et de percepOn des redevances .
Dans des circonstanct:.s exceptionnelles,
par exempl e meeting d'aviation, ép reuves
spo rtÎ\'es, expositions ... , des mesures particulières pourront être prises par arrété municipal après avis de la Con1mission de sél:urité.
III. Emploi des tonds [lrol'enonl des
st!rvÎces rétribll es.
Le produit des sen'iœs rétri bués encaisse
par la commune doit rece\'oir les affectations
suivantes :
a) Dans les communes pour\'ut!S d'un
( 1) Dans les cincmas pe rm anents, il y a
l ieu de prévoir une vacation par séan ce complète si la présence d'un pompier est reconnue indispensable pOlir l a st!curitê du publi c.
(2) Lorsque l' importan ce Ju servi..:e justifie l a présence d' un officier.
(3) Tout spectacle se terminant après
h. 30 donne lieu au paiement de deux
vacations, l'une au tarif a), l'autre au tarif
h) par personne de service.
o
co rps Ut:.' sapeu rs-pompiers "olontaires, il
convient, selon l a jurisprudence du Conseil
J'Etat, d'allouer une part des senices rétribués à la commune à titre de conlribution
dans les dépenses du service d'incendie (1),
le reste etant ve rse ail pompier qui a assuré
la sun'eillance.
( 1) cf. Conseil d'Etat 21 janvier 1921 Ville de l\ice - I~eclleil P. ï7
«. Si Its frais exposés par les communes
pour prë\'eni r les sinistres sont des dé4. penses obli gatoi res mises à la charge de
la généralité des contribuables, les entreprises de spectacles co nstituent des Ïndus(; tries qui nécessitent, en ce qui concerne le
< danger d'incendie, une su rveill ance toute
spéciale. dont les fraÎs doivent être supportés par les intéressés eux-mêmes. Ces
frais ne comprennent pas seulement les
inùemnités attribuées au personnel de
of. garde, mais une part importante des sommes nécessaires à l'acquisition et à l'en• tretien du matériel, ainsi que les frais
généraux du service d.e protection contre
l'incendie. )0
�PRÉFECTURE DES BOUCHES-DU·RHONE
l a rt.:'pa rtl tiun pDllrra ~tr~ ai llsi ÎI;\ee par
a rr~tt> municipal :
_ 10 C'f(' au l"luùge:t commu nal pou r InScriptIOn suuS l a rub rique
prod uit des ~e r
\"ices ret r ihues ,ces l'redi ts ne p o U\'~nt d re
utili s~s 4u~ pou r le se r riu~' Llï n~e 11lll e :
_ ~t() ('( au sapt:.'u r- Jlomplt~r qU I a eftt.'ctll('
lt? sen Îl.:c.
h ) D ans les \'il les plH lrnl e~ d' un cO ~ I~S. d,c
sapeurs-pompie rs professio nnelS. hellefH.~l a l
res il I.:e ti t re d' un tra it emen t mensuel , 1,1. Y
au ra lieu de ve rser au hudget co mm l1 n a ~ 1 111tégr alité des sommes corr esp ondant a l a
sunei llanct' effectuée pen dant l es heures de
sen 'iee.
Seuls les pompJt: rs remplissant une mission de cette nature en dehors de leu rs heures norm ales de sen'ile pou rront p ~étendr.e
a l a même indemnite qu'un \'ol ontal re, SO It
90 % de l a \'3catio n. le surplus étant ve rse
au hudget communal.
IV. _ .\l odalilés administrdtil'es d'organisatio n du Sen'ice de fixatioll el de perfeption des redel'onces.
Au hénefice ue l:es lIldil:ations genér ales,
les modal ites d'organisation du ser vile, de
fixa ti on du taux des rede\"a nces et de l a
perception de celles-d comp ren nent. ùans
l'ord re ch ronol ogique. le opér ations suh'antes :
1'" DèlibératlOn du Conseil M unicipal.
LïntcnentioTl de l'Assemblée comm unale est indispensable pou r fixe r le ta ux des
rede\'ances puisq u'elles constituent. une r~
cette commullaie (p roduits des sen'lCes r étnbués).
.
La dêliberation pent t'n ollt re cont~n~ r
l'avis du Conseil ,\\unicipal sur l es modalttes
de répartition des fonds elitre la commune
et les sapeu rs-pompiers.
2" Arrêlé re~/emenlaire du Alaire :
Cet arr êté fixe l es modalités d'org-anisaticn du ser vice de su rveillance pou r l 'ensembl e de la commu ne, décl are applicab les les
taux décidés par le Conseil M unici pal, pr écise l a r épartition des' rede\'ances et l'empl oi des fo nds desti nés a la commune.
L e règlement de service du co r ps communal de sapeurs- pompiers devra éventuell ement être modifié en conséquence.
3 0 Des arrélés individuels :
Pris après avis de la Commissi.o~ de S~cu:
rité pou r chaq ue établissemellt ou Il est Juge
i ndispensable d'i nstaller un service de surv ei llance, sont notifiés aux exploita nts qui
doivent en acCuser réception.
4' Perception des redevances :
L e r èglement par les di recteurs de salles
ou l es or ganisateu rs d'attractions doi t être
effectu é dans tous l es cas, ehntégra l ement à
la caisse du r eceveu r m unicipal, qui t iendra
comptabil ité des versements. Des r èglements
péri odiques (pa r exemple t r imestriels) pourr ont être envi sagés.
:.
La présente instru ction n'est pas appl icable dans le D épartement de l a Seme, au Régi ~ ent de Sapeurs- pompiers.
Pou r l e Mi nistre de l' Intérieur
et par délégation,
Le Préfet ,
Directeur de l' Administration
Générale, Départemenlale
et Communale:
[) ~
TVX
B3
TRAVAUX DE CONSTRUCTIONS
SCOLAIRES - PlECES A PRODUIRE
POUR L'OCTROI D'UNE SUBVENTION
DE L' ETAT
nir k s L0 n111HIll cS .auraie nt 1.
1acu1te de
suhstitu er a.I.I), dit s docu1ll ents une SImple
fU.:he flll anC H~rc du m od~ l e ci-JOint , s1gI1l'C
.
par k Hl!ce.\ èllf Mun ici pa l et cert ifiée exacte
pas "og SOII1S.
Pour le Prêfet I.!Î par ùei êO'a
ilon,
b
L e Sec rétairc Général,
1 L' Prët~ t ut:5 Bu u l'hcs-dll -I~ h ll n t:',
il \ .\.\\ . les I\\a ires du Dépa rtt'm cnt .
i\ l'tl ppui des dossiers de tr avau x aux
él:olt:s N en r ue de l'attri hution d'un e subven tI on dt! l' Etat, il r ava it li eu j usqu'à présen t pour les municipalités de fo urnir les
docume nts financiers suiva nts
1" Extrait des co mptcs ad min istrat i fs c\t:s
trois Llerni('res années :
2" T.1hleau <le renseignements financiers
mis il jour pour l'année en cours ;
:~ .. B udget comm unal de l'a nnée en cOu rs.
L 'é tahlissement de ces docum ents s'av~
r ent parfoiS tr~s long, surto ut lorsqu 'il s'a g it
de localités importantes, le ~ \ illi st re de l'Educa tion N:ltionale m'a fai t co nnaître, par dépê che n" 56 du 13 NO\'e mbr e 1950, qu'à l'ave-
LAM~S S
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
..;.
URE.
•••
nepa rt enl t' 1l1 des H o u t: h cS-d \l - I ~ h ô ll C',
-
J\\ nirie tic
FICHE F IN ANCIEIŒ
dest inée au ca lcul de la subvention à allouer
. pOlir les
travaux ............. .
à la com mUllC de
l. - Ex t ra i l du budget primitif dl' l'exercice en co urs :
a) Va leur du centi me ...
b) Nom br e de centi mes
1.
Ordi nai res ...
"
Ext r ao r di n a ir ~s
TABLE DES MATIÈR ES
II. _ Extra it des co mptes administra/ils d es tro i::, rlerniêr e~ ann ées
parues
MO ll ta nt net
t\ I T URE DES REVENUS
19 ••
olasséelil
---- - - - -
Total .. .. . ·.···,· ..
III. - Celltimes fictifs corres polldant au
produit des taxes ci-après (lorsqu'ell es sont
prescr ites par l a Commune)
-----
Taxe sur le revenu net des
rropri ~ t~s bilties
Taxe sur le rt\'enu net des
propriétés non hâties ...
Taxe sur la valeur locati\ï.::
des locaux d'habitation.
T axe ~ ur la va leur locative
des locaux servant à
l'exer cice d'une profession
-----
Tota l des ce ntimes.
Vise par ie Préfet ( 1)
de . ,
A
......... le
Communiqués· Avis
A nnonces diverses
D2 B3
DEMAN DE D'EMPLOI
Secrétai r e de maÎ rie âgé de 27 ans. ancien
él ève di pl ômé de l' Ecol e Normale des
vices M un icipaux de Bordeaux, exerça nt ~
In ti s (j uatre ans dans une commu ne decamhabita nts, cherche un post~ dans unOeparmUll e de 1.000 à 2.000 habita nts du
tement des Bo uches-d u-R hône.
d'
MM. les M ai res i ntér essés par c~tte t~~~e~i
dat ur c vo udront bien se mettre dl r~~ ire de
en rapport avec M. Jean FR IT , secr a
Mairie à Paunat, Dordogne.
St
Le I~eceveur M unicipal.
Certifié par le Mair e
de .... , ............ .
( 1)
donné par le Sous-Préle t
le budget.
par
rubriques
où
----
oours
de
l'année
1 9 51 ·
1[1. .
..... ' ..
I{entl:" lo'ur l' Etat
Rentes sur particuliers ......... .
Legs (a"el affectahon spéciale) ........ .
I nt~rëts sur tonds places au T résor ..... .
Lo('ation de propriétés
..... ' ... .
Ve ntes de produits de pr opr iétés com mercia les .
au
A ffert.tion
spéciale
Copie cert i6ée: conforMe.
Pour le Préfet :
URE.
Le Secrétaire Gé"ÜaJ : LAMASS~
o rue Saillit
bu'. N OUVEL LE DS. M .U SE IWoS , U ,
les
et.
textes
dans
ont
l 'ordre
été
ohronologique
publiés
�
https://odyssee.univ-amu.fr/files/original/2/274/RES_JP_118_RAA-BDR_1951.pdf
456c34df57a82d1cbdc9edb17d66399f
PDF Text
Text
PRÉFECTURE DES BOUCHES-DU-RHONE
1_3 rcpartttlOn ptHlrra ~tn.: :1.In~i h:\ée par
arr~t~
municipal :
_ 10 <""( au budgt!l e\)mmunal, pour II1S\,; n ptlun SlJlIS la rllhnque _ prodUIt des ~e r
viteS r~tribul"s ,\,;l"S nédlt$ ne pouvant t'trr
utili l 'S (jue p\)ur I~ sen"ilC J'in(cndie ;
00 ré- au sapeur-p()mpler qui a dtntut'
le sen icc_
hl Dans les \'lites puun·ul"s d'un lurps dl'
sapeu rs- pompiers professionnels, hénéfil_iaires il. ce tit re d'un traltem~nl mensuel, 11 y
aura lieu de \"t~rse r au budact communal l 'int ég r alit~ des sommes corr espondant ;l la
suneillam:e ell~ctuëe I)endant les heu res de
service,
Seul ks pompit'rs remplissant une misSIOn de t.:ette nature en ùehors de leu rs heures normal es de sen'iee pourront prétendre
a la m~me indemnit~ qu'un \·olontaire, soit
90 o/c de ta ,'acation, le surplus étant ,'ers€au hud.c:et communal.
IV. _ .\Jodalités admin;strall1 'e~ lj'organÜiation du SUl'ice de jixatiolÎ et de f'rr,-('plion des rede\'onces .
m
TVX
R3
T RA AUX DE CONSTRUCTiONS
SCOLAIRES - PlECES A PRODUIRE
POUR L 'OCTROI D'UNE SUBVENTION
DE L'ETAT
lllr I ~s ((Jr1l lll11n t.;S auraie nt la fac ulte d~
suhstit uer au)" dits doc uments un e sim ple
fiche financièr e du modèle ci-j oi nt, signée
par le Rece, eur j\\unicipal et ('er tifiée exac te
ras \'u5 soins.
Pour le Pr ~fet l!t pa r deiégailo n,
Le Secrétaire G(n ëral,
Le Preld ÙI:'S BUlll:hes-du- Hh\l l1 l',
a \\.\\. ies .\l aires du Dépa rt ement.
A l'appui des dossiers de Ira,·a ux aux
ecoles et en \'ue de J'attr ibution d' un e sub,'entlon d~ l'Etat, il y avait li eu jusqu 'à présem pOlIT les municipa lités de fo ur nir le~
documents fina nciers sui'·ants :
1" Extrait des comptes admi nÎs tratifs d~s
trois dernieres années ;
2 ' Tahleau de renseignements fmJ nciers
miS il jour pour l'année en cours :
3' Budget communal de l'année en cours.
Dépa rte mt' nt des Ho uches-d u-R hone:,
l' lairi e
ut' . ,
f iCHE FINANCIEI<E
desti nec au ca lcul de la sullvent ion à allouer
à la commun e de . . , . .... '. . . . . pour les
travaux . .. , .. .. .. . . . ..... .
1. - Ext ra i l du budget primitif dl' J' exerria l'Il cvurs :
1951
L'étahlissement de ces dOCuments s'avè rent parfois t rès long, surtout lorsq u' il s'agit
al Va leur du ce nt im e
Il) No mbr e de cen tim es
1.
Ordinair es ...
cation Nationa le m'a fait connaître, par dépêche n" 56 du 13 Norembre 1950, qu'à l'ave-
2,
Ext raordi n a ir ~s
te. :
I I. -
J\\o ll ta nt Ilet
I Y ,.
.
La dellbératiun peut en outre conte01r
ravis du Conseil .\\unicipal sur les rnodalites
de répartition des fonds entre la commune
et les sapeu rs-pompiers.
2 n Arrêté réglemenfaiT(' du Maire :
Cet arrêté fixe les modalités d'organisatIOn du sen;ce de sunTeillanLe pou r l'ensem-
ble de la commune, déclare applicables les
taux décidés par le Consei l Municipal, précise la répartition des rede\'a nces ct l'empl oi des fonds destinés à ta commune.
Le règle ment de senr;ce du co r ps communa l de sapeu rs-pompiers devra é\'entuellement être modifié en conséquence.
3" Des arrêtés Îndil'Îdllets .Pr is après avis de la Commission de écurité pour chaque établissement où il est jug(
i ndispensable d'installer un service de surveillance, sont notifiés aux exploitants qui
doivent en accuser réception.
4 0 Perception des redevances :
Le règlement par les di recteurs de salles
Ou les or ganisateurs d'attractions doit être
effectué dans tous les cas J et intégralement à
l a caisse du rece\-eur municipal, qui tiendra
comptabilité des verseme nts. Des règlements
péri odiq ues (pa r exemple trimestriels) pou rront êt re envisagés.
o'.
L a présente instr uction n'est pas applica-
ble, da ns le Département de la Seine, au Régime nt de Sapeurs-pompiers,
Pou r le Ministre de l' Intérieur
et pa r délégation,
Le Préfel,
Direcleur de r Adminislration
Générale, Départemenlale
el Communale :
Pin r.... lean MOA T TI.
.....
.. ...... ...
TABLE DES MATIÈR ES
Extrait des comptes adminisl r afils des I rois derniëres o fl nees
l'.H URE DES RE \ 'ENUS
!{enh. ~ sur l'E.tât ... . __ . .
Rentes sur parti culiers ....
. ..
au
oours de
l 'année
1951 ,
19.
., . . , . .
. ,. _~ , .
olasséelil
Intérêts sur fonds plac és au Trésor ..... .
Location de propriétés ...... _, ... , .. ..
Ventes de produits d e propriétés co mmerliales . _. , . . _.
. ..... . . .
II I. - Cenl;mes fi ctifs forresponda nt au
produit des laxes ci-après (lo rsqu'elles so nt
prescrites par l a Commune)
pro pridés bâties ....
==
Comm u niqués - Avis
Anno nces diverses
02 B3
Taxe sur le re \'enu net des
propriétés non bâties ,
Taxe sur la valeur 'o cativ~
des locaux d'habitation .
T axe sur la valeur locative
des locaux servant a
l'exercice d'une profession
DEMANDE D 'EMPL OI
Secrétaire de mai r ie âgé de 27 ans, ancien
élève diplômé de l'Ecole Normale des Ser-
-----
Total des centimes.
Vi " par ie Préfet (1)
de
. . ,., ... ,.
vices M unicipaux de Bordeaux, exerçant depuis q uatr e ans da ns 'une commune de 450
habitants, cherche un poste dans une com-
mune de 1.000 à 2.000 habita nts c1u Département des Bouches-d u-Rhô ne.
MM. les Ma ires in té ressés par cette ca ndidature vo udront bien se mettre directement
le
Le Receveur _~unicipal.
Certifié par le Maire
de . , , . , . _,., . . . " . .
donné par le Sous-Prélel
le budget.
par
rubriques
où
Taxt sur le re,'enu net des
A
parues
Affecta tio n
s péciale
Legs (avel affectation spéciale) ... , .. ,,'
Total
,
•• •
de localités impo rtantes, le !\Iinistre de l' Edu-
bués),
et Bulletin des Mairies
L A!""A SSOU I~E.
Au ht!nefil:e dt! ces i nùiLations gcnerales,
les Illodalitës d'org-anisatiOll du ser\'ice, de
fixation tlu tau)" des reue,-ances et de la
perception d~ celles-ci cOll1pre~nent, .dans
J'or ure ch ronol ogique, le~ or~ratlOns sUI,'anl ' Deliberation dll Conseil Municipal,
L'intenention de rAssemblee communale est indispensable pour fixer le taux des
rede\'ances puisqu'ell es constituent une recette communale (produits des sen'ices r étri-
r ,,: .
~
./ ,',
.'
Recueil des Actes Administratifs
en rap port avec M. Jean FRIT , sec rétaire de
Mai ri e à Pau nat, D ordogne.
Cop ie certi6éc c:onformc.
P our le Préfe t :
: LAMASSOURE.
L~ Sur~ tGjr~ Gén éral
les
et
t.estes
dans
ont.
l'ordre
été
ohronologique
publiés
�PRÉFECTURE DES BOUCHES-DU-RHONE
1_3 rcpartttlOn ptHlrra ~tn.: :1.In~i h:\ée par
arr~t~
municipal :
_ 10 <""( au budgt!l e\)mmunal, pour II1S\,; n ptlun SlJlIS la rllhnque _ prodUIt des ~e r
viteS r~tribul"s ,\,;l"S nédlt$ ne pouvant t'trr
utili l 'S (jue p\)ur I~ sen"ilC J'in(cndie ;
00 ré- au sapeur-p()mpler qui a dtntut'
le sen icc_
hl Dans les \'lites puun·ul"s d'un lurps dl'
sapeu rs- pompiers professionnels, hénéfil_iaires il. ce tit re d'un traltem~nl mensuel, 11 y
aura lieu de \"t~rse r au budact communal l 'int ég r alit~ des sommes corr espondant ;l la
suneillam:e ell~ctuëe I)endant les heu res de
service,
Seul ks pompit'rs remplissant une misSIOn de t.:ette nature en ùehors de leu rs heures normal es de sen'iee pourront prétendre
a la m~me indemnit~ qu'un \·olontaire, soit
90 o/c de ta ,'acation, le surplus étant ,'ers€au hud.c:et communal.
IV. _ .\Jodalités admin;strall1 'e~ lj'organÜiation du SUl'ice de jixatiolÎ et de f'rr,-('plion des rede\'onces .
m
TVX
R3
T RA AUX DE CONSTRUCTiONS
SCOLAIRES - PlECES A PRODUIRE
POUR L 'OCTROI D'UNE SUBVENTION
DE L'ETAT
lllr I ~s ((Jr1l lll11n t.;S auraie nt la fac ulte d~
suhstit uer au)" dits doc uments un e sim ple
fiche financièr e du modèle ci-j oi nt, signée
par le Rece, eur j\\unicipal et ('er tifiée exac te
ras \'u5 soins.
Pour le Pr ~fet l!t pa r deiégailo n,
Le Secrétaire G(n ëral,
Le Preld ÙI:'S BUlll:hes-du- Hh\l l1 l',
a \\.\\. ies .\l aires du Dépa rt ement.
A l'appui des dossiers de Ira,·a ux aux
ecoles et en \'ue de J'attr ibution d' un e sub,'entlon d~ l'Etat, il y avait li eu jusqu 'à présem pOlIT les municipa lités de fo ur nir le~
documents fina nciers sui'·ants :
1" Extrait des comptes admi nÎs tratifs d~s
trois dernieres années ;
2 ' Tahleau de renseignements fmJ nciers
miS il jour pour l'année en cours :
3' Budget communal de l'année en cours.
Dépa rte mt' nt des Ho uches-d u-R hone:,
l' lairi e
ut' . ,
f iCHE FINANCIEI<E
desti nec au ca lcul de la sullvent ion à allouer
à la commun e de . . , . .... '. . . . . pour les
travaux . .. , .. .. .. . . . ..... .
1. - Ext ra i l du budget primitif dl' J' exerria l'Il cvurs :
L'étahlissement de ces dOCuments s'avè rent parfois t rès long, surtout lorsq u' il s'agit
al Va leur du ce nt im e
Il) No mbr e de cen tim es
1.
Ordinair es ...
cation Nationa le m'a fait connaître, par dépêche n" 56 du 13 Norembre 1950, qu'à l'ave-
2,
Ext raordi n a ir ~s
te. :
I I. -
ble de la commune, déclare applicables les
taux décidés par le Consei l Municipal, précise la répartition des rede\'a nces ct l'empl oi des fonds destinés à ta commune.
Le règle ment de senr;ce du co r ps communa l de sapeu rs-pompiers devra é\'entuellement être modifié en conséquence.
3" Des arrêtés Îndil'Îdllets .Pr is après avis de la Commission de écurité pour chaque établissement où il est jug(
i ndispensable d'installer un service de surveillance, sont notifiés aux exploitants qui
doivent en accuser réception.
4 0 Perception des redevances :
Le règlement par les di recteurs de salles
Ou les or ganisateurs d'attractions doit être
effectué dans tous les cas J et intégralement à
l a caisse du rece\-eur municipal, qui tiendra
comptabilité des verseme nts. Des règlements
péri odiq ues (pa r exemple trimestriels) pou rront êt re envisagés.
o'.
L a présente instr uction n'est pas applica-
ble, da ns le Département de la Seine, au Régime nt de Sapeurs-pompiers,
Pou r le Ministre de l' Intérieur
et pa r délégation,
Le Préfel,
Direcleur de r Adminislration
Générale, Départemenlale
el Communale :
Pin r.... lean MOA T TI.
.....
.. ...... ...
TABLE DES MATIÈR ES
Extrait des comptes adminisl r afils des I rois derniëres o fl nees
J\\o ll ta nt Ilet
l'.H URE DES RE \ 'ENUS
I Y ,.
.
La dellbératiun peut en outre conte01r
ravis du Conseil .\\unicipal sur les rnodalites
de répartition des fonds entre la commune
et les sapeu rs-pompiers.
2 n Arrêté réglemenfaiT(' du Maire :
Cet arrêté fixe les modalités d'organisatIOn du sen;ce de sunTeillanLe pou r l'ensem-
!{enh. ~ sur l'E.tât ... . __ . .
Rentes sur parti culiers ....
. ..
au
oours de
l 'année
1951 ,
19.
. ,. _~ , .
Legs (avel affectation spéciale) ... , .. ,,'
olasséelil
Intérêts sur fonds plac és au Trésor ..... .
Location de propriétés ...... _, ... , .. ..
Ventes de produits d e propriétés co mmerliales . _. , . . _.
. ..... . . .
prescrites par l a Commune)
==
Comm u niqués - Avis
Anno nces diverses
Taxt sur le re,'enu net des
pro pridés bâties ....
02 B3
Taxe sur le re \'enu net des
propriétés non bâties ,
Taxe sur la valeur 'o cativ~
des locaux d'habitation .
T axe sur la valeur locative
des locaux servant a
l'exercice d'une profession
DEMANDE D 'EMPL OI
Secrétaire de mai r ie âgé de 27 ans, ancien
élève diplômé de l'Ecole Normale des Ser-
-----
Total des centimes.
Vi " par ie Préfet (1)
de
. . ,., ... ,.
vices M unicipaux de Bordeaux, exerçant depuis q uatr e ans da ns 'une commune de 450
habitants, cherche un poste dans une com-
mune de 1.000 à 2.000 habita nts c1u Département des Bouches-d u-Rhô ne.
MM. les Ma ires in té ressés par cette ca ndidature vo udront bien se mettre directement
le
Le Receveur _~unicipal.
Certifié par le Maire
de . , , . , . _,., . . . " . .
donné par le Sous-Prélel
le budget.
par
rubriques
où
Total
A
parues
Affecta tio n
s péciale
., . . , . .
II I. - Cenl;mes fi ctifs forresponda nt au
produit des laxes ci-après (lo rsqu'elles so nt
,
•• •
de localités impo rtantes, le !\Iinistre de l' Edu-
bués),
et Bulletin des Mairies
L A!""A SSOU I~E.
Au ht!nefil:e dt! ces i nùiLations gcnerales,
les Illodalitës d'org-anisatiOll du ser\'ice, de
fixation tlu tau)" des reue,-ances et de la
perception d~ celles-ci cOll1pre~nent, .dans
J'or ure ch ronol ogique, le~ or~ratlOns sUI,'anl ' Deliberation dll Conseil Municipal,
L'intenention de rAssemblee communale est indispensable pour fixer le taux des
rede\'ances puisqu'ell es constituent une recette communale (produits des sen'ices r étri-
r ,,: .
~
./ ,',
.'
Recueil des Actes Administratifs
en rap port avec M. Jean FRIT , sec rétaire de
Mai ri e à Pau nat, D ordogne.
Cop ie certi6éc c:onformc.
P our le Préfe t :
: LAMASSOURE.
L~ Sur~ tGjr~ Gén éral
les
et
t.estes
dans
ont.
l'ordre
été
ohronologique
publiés
�li
COTE
1
N" DES
OBJETS
BULLETINS
SOMMAIRE
ADMINISTRATION
-
Attributi ons des Di visions et Se rvices de la Préfec ture des Bouches-du-Rhône. Code de c lassiNuméro
L ' fl cah on des in structI ons p aru es au Recuei l des A ctes Admini strati ons et Bulletin des M airies spécial janvier
Iste d es Journ aux. du dé<p ar te ~l e n t d es BOUC heS-du-Rh ône aut{) ri sés à publi er les ann once;
JudI CIaIres et legales en 19" 1 et fIxa nt le tarif de ces ann onces
1-2-3
. . .............. .. . . . .. .
D élég ation s de sign ature ........ .........
11
Perso nnel départ emental ..... .... ....
. . . . . .. ........ ........ ........ . ...... .
12-13
D éléga tion d e signatu>re .............. :::::::::::. ... . .... ... .. .. . ........ . . ..... .
14
. . ........ .... . ... . . . . .... . ..•....
M édaille d' Honn eur du Travail
spécial av ril
Indi ces et t raitements des ass i sta ~ i~; 's~ i a,I~~ ' Ùt ~I~'i;~s 'd ~ '~';dr~ ~ièp'~rt~ ';'e'~t ~ i . . .. . ...... .
21
........... .
M eda Ille d'Honneur du trava il
D élégati on de signature . . .... . ..... :.:::::::::::: ..... . .. .... . ... ........ . .. .. .. . spécial ju illet
-
D éléga tions de sig nature ........
P..-e.
Di ,'e rs . ... .... .. . . . _ .. . . .. .... ... . ' "
Magist r ats Mu nicipa ux .... . ... .... .... . . . 'PC"rsonnel ('cmmunaJ .
Pol itiq ue et Pr opaga nd~·."""·.:::·
D émographie . ... .... .... •... . • •.
A ss ocinti on!J .. .
Affai res milit ai r~s . ". .... .... . .. .
(
ADM IN ISTRATION GENERALE
.',', '.' ....... .
.... ....... ........ .. .
POLICE . . ............ . ...... . ..• . . . .• . • .. •... . ..... ..
1
Dommages de guerr~·::.:::·."""· ... .
Electi ons poli ti ques . ............ -.
~
Divers .... . . . .
Cbass e et P êch e
. . . .. .... .... . ... . . . .
H ôtels et d éb its d'c' 'boi~~~~s .... . ... .... . .. .
... .. . . .... .... .... .... ......
FINANCES . . .... ...... .. ,
Di ve rs
~
... .... ... .. ...... .. ,.
-
a
,,•
,
4
4
Réunions et ma n ifestations . .......: ï~u~' ~t sp' ~tac'I ~~'
Etra nge r s .... .
B IENS COAf MUNAUX ... . ...... . .. . ••... • .. . .. ...• . .
-
3
S
fi
S
5
5
. .....
MAGISTRA TS
AG l
fi
•• r •
-
fi
Di vers
Budgets . ... .... ... . . .. .
Compt abilité comm unale .... . ..
Jm pôts et ta :tes. DrOi ts d iver s , .. .
Emp ru nts et sl!,l.I venta ns d, ,'e r ses ... .
6
5
5
6
6.
TRAVAUX
....... , ....... ...
"
... .
"
..
)
.. ..... .... ...., ................. . -, ..... .. .
1
ED UCATIO N NATIONALE . .. . • .... . .• .. . .. . . ..••. . . ..
Voi r ie et Kcttoie ment
Protection cont r e l'ince ndie
Dive rs . . . . . . . . . . . . . . . • •.. .
Bât im ent s . e t t e rra.ins com mun aux. Con struct ions scola ires
et te~ra lO s de sI/o r ts .... .... .... .... . ...
Addu ctio n d' eau .... . .. .
El éct r ification ...
.... . ... .... . ...
Adjudica t io ns et n~ a ;~hi~ .... ..• . ... . . •. ••...
~
D ive rs . . . . . . . .
j
FAMILLE ET SANTE ............... . ..•• • •.. . • .. .. . .
IlA Vl TA ILLEMENT ET RATIONN EMENT .....•• •...
AGR ICULTURE: ....••... . . ... ......... •.• ...... .. .....
COliMERCE. -
INDUSTRIE. -
ARTISANAT
COMMUNICAT(ONS ET TRANSPORTS . .. . .... . . . . . .
ADMINIST RATIONS CENTRALES
-
Cimetiê r es
,."
....
....
7
i
7
i
, ... .... . ...
. . . . . . . . . . .. . . ,.
' •......
nstr uct ic.n Publique ,.. . .,.. . .. .
7
1
8
Div~ rs . . . . . , . . . , .. . . . . . . . , . . . . . . . .
ASS is tance à la F amille ... .
Etablisse ment s d 'Assislan,c c et ' cÎ~ 'B i~ iai~~~~e: : : :
Organisation
Gé n ~rale
du RavitaiUt'nlcnt. ...
Taxatio ns ....
9
o
Dive rs ' . , . . . . . . . . . . . . • ...
Or,anis:tti on Gé nbr al e .", ............ ' . . ' , .. .... . . . .
Cu ltu res .... .... .,.. .. .. •••• .. .. .. .. " . ... .. " ..
F.....aux et for êts ... , ... .. .• •. .. . ..•., ...,.. ~ '. '. "
E levage . . . . . " . . . . . • . . . . , . . . . . ,
D iven
~
10
10
10
10
T ra va il 'e't ' ~b 6~~g~ ...... .- ........ '::. ~'::.:' "
10
10
D ivers ....
Il
Il
..,. .... .... •••. . •..
P. T. T. .... ....
. ...•. , .
. ........•..........
Transpor ts .... .... .... '... .". .... •... .... .,.,.,
1J
Dive rs , . . . . . . • . . . . . , . . . . . . . . . , .... " ..
Fi na nces .... . .. , .. " •.• , • •• ' .. ,.
Pe rson n el . . , ...... , ..... ,
Il
..
_
_
-
_
_
_
_
_
_
_
_
-
Il
Il
_
_
_
. ... . .... :::::::: :::::::: :::::::: ::::::::
46
48-49
MUNICIPAUX
Suspensio n tempora ire de fonctions du Maire de Berr e
Suspension tempora ire de fonct ions du Ma ire de Berr e
In de mnités all ouées aux t it ulaires de certaines foncti ons électives
PERSONNEL
AG 2
Eau. Gaz, Eloctri cité
SER VI CES COMAfUNAt[X
GENERALE
Divers :
AG 0
12-1 3
15- 16
41
COMMUNAL:
Sala i,r'es des jOll'rnaux commu naux ........ ...... .. . ...... .
Accidents du travai l. - Partidpat ion à l'a lim entation des fonds én umérés à l'a rticle 83 de la
loi du 30 octobr€ 1946 ....... .
f onds national de compensat ion des a'lIocations famil ia les ..... . .. ........ . . .. ..... . . .
M éda ill e d' Hon neu r départemenlale et co mmu nale ........................... . ..•.....
Agents des collectiv ités locales, anciens déportés ou in ternés de la Résista nce .. ..... . ..... .
Rému nératio n du perso nne l aux i liaire des collectivités locales
Rad iation du Fonds National de compen sation des allocations i~~i li~l'e~ . 'cie~' 'ré~i~; . ciép~~t~~
mentales ou municipales de tran s>port ........................ . ...... .. ~ ....... . . .
M aj oration des prestations fa mili ales . . . . . . . . . . . . . . .. ..... . .. ...... . . ... . ... . . . ... . . .
Serv ices d'in spection des vian:cles ..... . . . . . . . . . . . .. . ....... .... .. .. .•...... . .. .... .
Majoration fami lia le de l'indemnité de rés iden ce ..... . .. ........ ......
. . . . . . .. . .'
All ocation de sa lai re unique aux j eu nes ménages sans enfan ts ......... . ... . ..... .. .. .
Avance s aux collectivités locales par le Fonds Nat iona l de compensation des allocations
fami l iales ........................... . ..................................... .
Rémun ératio n des journal ie rs co mmunaux ....... . .. ..... . .. ...... . . ........ . ...... .
Révision du classement indi ciaire' des fon ctionnaires communa ux ... ...... . .... . ........ .
Majo ration des prestation s familia les . .... . ..... .. .......... . ............ .. ..... . ... .
Situation au regard de Ja législation su r les assura nces sociales, des agents titulaires des
collectivités lo ca les affiliés à la Caisse Na tionale de Retrailes l or~que ces agents sont
occupés à des travaux agricoles .... .. . . ........ .... .. .. ........ . .. . .... . ...... .
Salaires des journaliers commu naux ......... . . . ..... .. .... . . ...... . ............... .
Rémun érati on des agents des collectivités locales .................................. . .
Caisse Nationale de Retraites des agents des ~o lJ ec t i vités locales . .......... . ........ ... .
Rémunération des journaliers comI11u naux ... ,. , .... ........ ........ . ..... , ........ .
Application de l'arrêté intermini stériel du 19 Nove mbre 1948. - Reclassement des sec rétaires
de Ma iri e des communes de moin s de 2.000 hab itants .............. . ....... . . ... .
Médai lle d' Honn eur dépa rtementale et communale. - Prom otion du J" Janvier 1952 .... . .. .
Perso nn el co mmun al. - Application des dispos itions de l'art icle 4 de l'arrêté interministéri el
du 19 Novembre 1948 portant reclassement des agents com mu naux . . ............... .
Régime ci e rémun ération pour travaux sU'PpiC menta ires aœO'mplis par les agents des collectivités locales à comp ter du 1"' janvie r 1950 . ... ... . . . . . .. .......................... .
Régi me de sécil rit é sociale. - App lication du docret du 2 mars 1951 ......... .. . .. .. ... .. .
Salaire minilllUiTI garanti .. .. ... . . , ..... , .... ' . , . . ... ... . ....
. , . . • . .. . ...... .
Indem ni té de résidence ........ . ....................... . ........... ..... ........ .
In demn ités forfaitaires pou r travaux supplémenlaires . ...... .
. . . ..... .... . . ........ .
Ré munération des agents des w ll ecliv i tés loca les .. " . . . ..................... . . . ... .
Rémunération du ,personnel jou rn ali er em,ployé pa r les co llect ivités locales .. .. ............. .
4
5
5
6-7
8
9
Il
Il
14
14
15-1 6
19- 2fJ
19-20
21
23
24
26
26
26
28
33-34
35-36
35-36
35-36
39-40
42
42
�•
OBJETS
BULLlrrlNS
OBJETS
COTE
N·· DES
BULLI!TINS
A.O 4
Politique et propagande :
-
Célébration de la « Journée des Nations Unies ~ ........ ... . .... ........ ........ . .. .
Appel en faveur de la vieillesse .. . . . . . . . ....... ... . ........ . ...• . . .
Exposition rootiére de ] 'outilla.ge portatif . . . . . . . . . . .. .....•.• . ...•...
Aippcl à 4a solidarité en faveuT de la vieillesse. . . . . . .. ........ . ..... . .
POLICE
42
42
42
51-52
PO
-
-
Régularisation de l'état civil des citoyens fra.nçais musulmans originaires d'Algérie ...... . .
Etat Civil - Tables docennales ........ .......... ........ . . . .. ... . _. . . . .. . . . .... .
Etat-Civil - Tables décennales (rappel) ...... ... .. , .. .. .... ... ..... .. . ..... . ..... . .
Livret de famille - LibeHé - Format - Présentation ........ ........ ........ . ...... .
Régularisation de l'etat-civil des citoyens français musulmans originaires d'Algérie - Prorogation jusqu'au 30 juin 1952 du délai imparti par ma cir-cu laire n' 170 «lu 19 mai 1950 ..
Registres de l'Etat-Civil - Fourniture d 'un pa.pier spécial ... ... . . . ....... . . .... .. .. . .
Envoi des avis de mention destinés à permettre l'insc ripti on des mentions marginales sU>!' les
actes de l 'Etat-Civil dressés ou transcrits hors de la France métropolitaine . . ........... .
8
19-20
23
35-36
35-36
39-40
-
, -
43
-
-
-
Modification de la liste électorale éta.blie en vue des 61oction s des représentan,ts des urganismes mutu alistes du Conseil superieur de l a Mutualité et des membres du Comite départemental de coordinati on de la Mutualité des Bouches-doll-Rhône .. . ... _. . .. ..... . .. .
Résultat des élections du 26 fé vrier 1951 au Comité départemental d e coordination de la
Mutualité .. . .... . ....... ..... . . ... ............... ... .... . ........... ... . .. .
Syndicat libre des pro:priétaires du lotissement de la vallée de l'Arc, Les Fenouj\qères, à Aix ..
Syndicat libre des propriétaires du lotissem ent Bourrely, à Cu'ques, Aix-en-Provence .. .. . .
Révision de la 'liste électorale en vue des élections des représentants des organ ismes mutu'alistes au Conseil Supérieur de la Mutualité et des membres du Comité départemental de
coordination de la Mutualité des Bouc hes-du-Rhône année 1951 ... . . ... . ... . ....... . .
Modifications des statuts de l'Association syndica!e autorisée pour l'entretien de desséchement
du territoire de la commune de Rognonas ........ . ...... . . .... ... .... . ... . ...... .
-
-
Programme départemental de pri orité de reconsvructi on de biens sini st rés ..... .. ........ .
Eva'luation des dommages de' guerre rel atifs alLX éléments d'ex ploitation nOn agri col es (Première tranche) ........ .. . . . . .. .... ... ....... .. .. .. .. .... .... ........ . ...... .
- Programm e départemental de pri orité de recon struction des biens sinistrés ....... .
- Programme départemental de prior ité de reco nst ruction de biens sinistré s ....... .
_ Programme départemental de priorité de rec onstruction de bien s sin istrés ...... .
_ Programme départemental de priorité de reconstruction de biens sini strés ....... .
- Programme départemental de prioriié de reconstruction de bien s sini strés .... ... .
Elections politiques :
• AG 14
-
Elections des membres de l'Assemblée Nationale ..............•... .. •..• . ....•.. . .
Electl.9nliantQnales des 7 et 14 octobre 1951 ...... .. . . ...... ........ . ...... .
Pèohe fluvi ale - Réglementation perman ente. . . . . . .. ........ . . .. ... .
D estructiOn des al11maux nuisibles par empoisonnement ........ . ........... . ... . .. . ... .
Destruction des an im aux nuisibles à la chloro picrin e ........ ........ . ... . ............ .
Destwcti on des pies et des corbeaux .. . . . . . . . . . . . . .. ..... . . .
. . . . .. . ...... . . .
Destru.c!ion des pies par la Fédération départementale des cha~se ~;s' . . .. . ...... . ....... .
D estru ction des campagnl1ls ........ .............. ... . .... ............. . . . . .... . . ... .
D élivrance des permis de chasse 'pour la cam pagne 1951-1952 ..... ... . .... ..... ::: .. ....... . . .
Destr uchon des corbeaux et des pi es . . . . . . . . . . . . . . .. . . ...... . ................. . .... .
1-2-3
4
4
4
6-7
1Z-13
29
48-49
35-36
Réunions et manifestations - Jeux et spectacles :
Contrôles effectués par les agents du Centre nat ional de l a cinématographie ........ ..... .
Application de l'ordonnance 45-2339 du 13 octobre 1945 rel ative aux spectac les .. ..•. " •.
37-38
48-411
Etrangers :
-
Remise des cartes de travail aux étrangers par 1'1I1te rlll édiaire des mairies ............... .
Chan gement de résidence - Etablisse ment des étrangers dan s les départements du Hau tRhin, du Bas-~hin, de la Moselle et des Alpes-Ma ri times ......................... .
- Déchéance de nationali té ........ . .'. . . . . . . . . . . . .. .. . ..... ........ . .............. .
- Déchéance de .nationa lité ........ ................ ........ ..... . .. . .............. .
- Retrait de nationalité . . . . . . .. ........ . . . ... . ..... ........ . ....... . ... .. . .... . .. . .
- Introdu ction de lIlain-d'œu'vre saiso nni ère agricole ital ienne ....... . .... . ... ... . ... . . .. .
- Application de la convention d'établi ssement franco-sarroise du 3 mars 1950, appl icable à
compter de la publication du décret du 20 mars 1951. (J. O. du 23 mars 1951) ...... . .... .
_ Liquidation des successions laissées par des trava ill eurs allem<1nds decédé, en Fra nce ..... .
- D écret de naturalisation rapporté .................. .. . ..... . ...... . . ...... . ....... .
- Déohéance de la nationalité française .... .. .. ...... ........ ........ ........ ..... ..
Appel sous les drapeaux de la l" fraction du contingent à incorporer en 1951 . . ...... . .. .
Loi n' 51-1120 du 21 septembre complétant l' article 7 de la loi n' 50-1478 du 30 novembre
1950 portant à dix huit mois la durée du service militaire acti f . . ....... .......... .. .
Recensef[lent et révision dans la métropole et en Afrique du Nord des jeu nes gens nés entre
le 1"' janvier 1933 et ,le 31 décembre 1933 . .. . ............ . .. . .................... .
Décret n' 51-1169 du 8 octobre 1951 modifiant le décret n' 5 1-984 du 30 juillet 1951 fixant
la composition, la date d'a;ppel et les obligations d'activité de la deuxième fraction du.
contingent à incotporer en 1951 ................ .. .... .. ........ . ... .... . ... .. . .
Recensement et révisi on du con tingent . . . . . . . . . . . . .. ..... . .. .... .... ...... . . . .. .... .
M odification à l'arrêté du 24 septembre 1951 .relatif au recen se ment et à l a révision dans la
métropole et en Afrique du Nord, des jeunes gens nés entre le 1" j anvier 1933 et l e 31
décembre 1933 ........ . ....... .. .... .. .. . . . . ........ .. . ... .. ........ . ...... .
-
46
51-52
51-52
Obligation d'a pposer à l'ex térieu.r des débi ts de boiSSOns un panonceau indiquant la catégorie
de cet établi sse ment ........ " " ",, """"'" . _" ............ .. ,, " " ...... ..
4
.5
6-7
8
15-16
21
35-36
37-38
' 45
5f;52
BIENS COMMUNAUX
Divers :
Dommages de guerre :
AG 13
: : : : : : : : : : :: .... .... .. ...... ... ..... . ...... .
Hôtels et débits de boissons :
Affaires militaires :
AG 7
4
6-7
17
21
42
Chasse et pêche :
P3
ASSOCiations :
AOI
Interdiction de ,haut-parieurs sur la voie publique ....... .
Interdi ction des quêtes sur la voie publique et à domicilè ..... . .. ........ ........ . . . .
Jury crimin el pour l'an née 1951-1952 ,................ ........... . :: . .... .... : .................. .
Réglemen tation du cam.ping ..... . .. . . ............ .. .. ...
. ..... .
Aut~r'i sati o n . d'un e quête de ~'Entr'aide des Bouahes-du-Rhôn~ ..... ............ .. :::: : : :::: ::::
Arreté auto ris ant la sechon reglOnale de la Féderatlon Nationale de la Résistance à vendre
des calendri ers ....
Interdictions visa nt ce rt~i~ ~~ p~bÙ ~~ti~n's'
Colportage ou vente des arbres de Noël ..........
.. ...... : :: ::::: :::::::: :::::::
=
Démographie (Etat-Civil) :
-
. Divers :
Gestion du patrimoine immobilier des collectiv ités et étab li ssements publics locaux
51-52
- -29
42
43
45
46
48-49
51-52
FINANCES
Divers :
PO
_ A ide fin nncière accordée par les col lectivités locales aux Sociétés sportives professionnelles
_ Compagnie Nationale Air-France - Souscription d'action par 'les collectivités locales
19-20
35-36
Budgets:
F 1
_
_
_
_
Edi tion d'uile étude sur le budget de I ~ France :n 1950 ............. . ....... .. ..... ... .
Budget supplémentaire 1951 - Conh ngents d,ass!~tance ........ ... . .... . ........ . ..•.
Budget supplémentaire 1951 - Contlllgents li ass"tancc ......... . .•.....•.......... . .
Prépa ration des budgets communaux 1952
....... . ..........•. . ....•....... .
5
25
44
51-52
�•
7
OBJETS
1'2
NU œs
BULLETINS
c011!
Comptabilité communale :
-
1'3
Registres de l'Etat-Civil : Remboursement par l'Etat des Irais de reliure et de confection .... .
Comptes administratifs 1950 . . . . . . .. ..... . ... . ... . .. . ..... .... .. . . ...... . . . . ..... .
Comptes administratifs 1950 ..... . .. . ......... .... .... .... .... .... .... .... . . ... .
Contingent communal des dépenses d'assistance pour 1950 .. . . . . .. .... .. . . ... .. . . . . . . .
-
F4
-
9
29
Prêts de la Caisse Nati ona,le ' de Crédit Agricole. .. . . . .. .. . . ... . .. .
. . .. . ... . .. .
Equipement .rur~1 .. . .... . .... .. . . ....... .. ..... . . ... ... ........ .... .... . .. . . . . .
Subventions allo uées et abonnements souscrits par les coll ectivités locales . .......... . ... .
Emprun ts communaux . . . . . . . . . . .... . . .... . . . . . . . . . .. ..... . . ...... . . .•.. .. . .. .. .• .
SERVICES
-
- 22
24
25
35-36
-
35-36
-
47
-
Déficits supportés par les R"egies du Gaz du fait de la réglement ation des prix .......... . .
Distribution d'eau potable - Redevances du es pour utilisati on de bornes fontaines .... . .. .
Fixation des frais de contr'ôle dfis à l'Etat par les entrepreneurs de distribu.tion s d'énergie
électrique pour l'année 1951 .. . .... . . . . .. . . ... .. ....... ... ... . . .. . .. .. ... .. . . .
Voirie
SC 3
SC 5
-
1-2-3
9
48-49
-
et Nettoiement :
Police de la circulation routière - Accident~ .. .... .. .• ... . .. ... . .. . . .. . . . . . . . . .. .•..
Voirie communale - Emondage des plantati ons . . . ..... .. . ... . . ... . .. .. . . . . .... . . . .
SC 7
6-,
.... . .... . . .. . ... . ... . ... .. . . . . . . ..... . . . . . .. .
-
Protection contfe l'incendie ..... . . . . ....... . .... . .. ...... ... . .... . ... . ... . ..... .
Stages au Centre National ù'lnstruction de la Pro tection civile en 1951 ...... . ... . ........ .
Conpitions du port de la fourragère tricolore par les sapeurs pompiers ...... ' ... . ...... . . .
Mesures de sécurité dans l es baraquements et bâtim ents prov isoires ....... . ....... , ... .
Responsabilité <ies communes pour insuffisan ce des mesures de séc uri té dans les étab li ssements
recevant du public . . . . .. .. ..... ... . . ...... . . . . ... . . . . .. .... . . . .. . ... . .... . . .
Stages d'instruction pour les officiers de sapeurs pompiers c,he f de centre . .............. .
Médaille d'Honneur des sa peurs-pompiers - Promotion cl u 14 Juill et 195 1 ........ ....
..
Arrêté portant réglementation de l'emploi du feu ... . .. .. ........ ........ . .. . .... '. : ..
Arrêté municipal réglant le service des corps de sapeurs-pompiers ... . .... .... . ... . .... .
Indemnités allou~es aux sa peurs-pompiers vol ontaires pou r in ca padté tempora ire ..... .
Instructions relatives à la lutte contre les feux de forêts. . . . . . .. . . ... .
.
Travaux d'a~nagem ent de ,garages pour les engins de lutte contre les i'n'ce ~di ~~' d~ 'f ~ ;ê t's' '. :
Instruction rel ati ve à l'alarm e aux -cas de sinistres maritim es ....
..
Service de luite contre [es incendies de forêts. . . . . . .. . . ................................. .... . ... .
Service de lutte contre les incendies de forêts . . . . . . .. . ..... :. ... . ... . ........ : : : :::::
Interdiction de jeter sur les rou tes ou les voies ferrées tou t tYbjet en ignition .............. .
Exploitations cinématographiques . ... . .. ...... .. ... . .. ... .. .. ............... . ..... .
Nomina tion des In specteurs-adjoints et des chefs de -co rp s de sapeurs-po mpi ers _ Effectif
légal des coI'ps de sapeurs-pompiers
. . . . . . . . . . .. ...... . .. . , . .. ..... ... . ...... .
d'Honneur des sal~ulrs-·pomi)iel·s_ . . . . . . . . .... . .
• iI•• iîïïiïlliiiîil••M
. éd. aille
12-13
17
17
23
24
28
30
37-38
42
47
48-49
50
21
25
26
30
47
48-49
Adduction d'eau :
TVX3
37-38
TVX 4
1-2-3
4
9
9
14
14
14
15-1 6
15-1 6
15-16
19-20
19-20
22
29
30
30
31 -32
31-32
33-34
18
Electrification :
_ é lectrifi cati on Travaux déclarés d'utilité publiqu e ........ ........ ........ . ...... .
- Elect ritïcation des cam/pagnes ........ ....... . .... . ....... ..... . .. . .......... . ... .
_ El ectrifi cation ru raore - Renforcement de réseaux - Concou rs financier du mi nistère de
l'Agriculture .. . ..... ........ ............ . ... .' . . . . . ........ . .............. .
Protection contre l'incendie :
-
Equipement sporti'[ . . . . . . . . .... . ... . . . ...... . .... . ......... . . ................... .
Constru cti ons scOilaires ..... . .. ... . .... . . ...... . .
. . . . . . .. ........ . ...... .
Instru ction pour l'application de l'arrêté du 18 mai 195 1 porta nt règlement d'utilisatio n de
crédits pour les trava ux de décorati on dans les bâtiments d'e nse igne ment ... ........ .. .
Coo rdin ati on des programmes en matiè re ode constru ctions sco laires ................ . .. .
Const ructi ons scolaires - Pr.o totypes d'écoles. . . . . . .. ... . .... .. . ..... ...... . . . .... .. .
En se ign ement du 1" degré. - Projets de travaux ,de gros e réparat ions et pe lits aménagements prélRls 'pour l 'a nnée 1952 .............. . ............................... ..
Prise en charge par l'Etat des trava ux de recherches d'eau .. . ..... ... . ... . . .. . ... .
"
1-2-3
5
Cimetières :
Redherches de sépultures
Bordereau des salaires normau x et courants dans le bâtim enl et les Irav3u x publics ....... .
Décla,rati on od'utili,t~ publiqu e des trav aux ,d'o uverture d'u ne voie de ra ccord ement enlre le
C. D. 20 C et le C. D. 54, à Berre. . . . . . . . . . . . . . .. . . . . ... . ........ . . ...... . ...... .
Protection d es lignes télégraphiques et téléphoniques ............................... .
Li ste des architectes évaluateurs et reconstru cteurs agréés et asserm entés, aff ectés au département des Bouches-du-Rhône à la date du ' " janvi er 1951 ............ . ....... .. . . . .
Plan d'équipement ,national - Versemen t de subvention s ..... . .... , .... , ............. .
Bordereau d'es salaires normaux et courants dans le bâtiment et les travaux publics ...... . .
Déclarati on d'uti lité publique des travau x de rectificati on de la R. N. n' 568 ent re la Mède et
M arti,gues (P. K 54.016 à 56.610) .. .. .. ... ... . ... ........ . .. .. .. . . .. .... , . . .. .. .. .
Bordereau des salai re s normaux et couran t.; dans le bâtim ent et les travaux publics ....... .
Réglementation de l'installation de distribute'" 's d'essenœ sur la voie publiqu e ......... .. .
Plan d'équipement national - Versement de subventions ..... .. . ................... .
Bord ereau des salaires normaux et courants dans le bâtiment et les I ra,v au x publi cs . ...... .
Bordereau des salaires normaux et courants dan s le bâti ment et ,les travaux IPubli as (enratum).
Pla,n d'é quipement national - Versement de sl.bventi ons .... . . . .
. .............. . . .
Bâtill1ents et terrains communaux.
Constructions scolaires et terrains de sports :
TVX 1
Eau - Gaz - Electricité
SC2
-
6-7
12-13
18
COMMUNAUX
44
TRAVAUX
Emprunts et subventions diverses :
-
33-34
Divers:
TVX 0
Taxe d'abatage . .. .. .. . ,. . . . . . .. ... . . ........... ........ .. .. .... . ... . . .. . .. .. . . •
Taxe d'abatage .:.. . . . . . .. . .. .. . .. ............ . .. ..... . . . ...... ..... . . . . . . .... .
Taxe locale additionnelle aux taxes sur le chiffre d'affaires ........ ....... . . ... .. . . . .
Taxe sur la publicité ". . . . . . . . .. . . . . . . .. . ... .... ... .... . ....... . . . .... . ...... .. .
Taxe locale additionnelle aux taxes sur le chiffre d'affaires - Répartiti on de la quote-part
ùe la taxe locale afférente aux travaux publics et d'équipement national revenant aux
~omnrunes ............. . .. . .. .. .. ..... . . .. .... ........ .. . . .... .. . . ... . ..... .
Mes~r.e s de protection contre l'incendie dan s les exploitati ons agricole~ ........ . ........ .
Partlclpallon de l'Etat aux dépenses d'équipem ent des ser vi ces publics d'in cendi e (Mesures de
déconcentrati on). .. ... . .. ........ .. . ,.. ... .. . ......... .. .......... . ........ .
35-36
48-49
Impôts et taxes _ . Droits divers :
N·· ces
BULLETINS
OBJETS
TVX 5
22
29
5t-52
Adjudications et marchés :
_ M archés des collectivités pub li ques loca les . .. . . ... .. .... , . . . .. ........ . ..... ... ....... .
_ M odalités <III paiement des droits d'enregistrement afferents aux Illarches puolics
.. . .... .
_ M ::trlchés passés par les coll ectivités locales - Cau lJonnement et rete nues etc garant ie .. . .
EDUCATION
EN 0
5
19-20
29
NATIONALE
Divers:
Réglementation de l'affiohage ........ ....... ...... ........ ......
. . . . . .. . . .. . . .
Ind emni té représenta tive de logement des In stlt.ute. urs .... ,. : '.' .
. ........... . .
" reallses par de' cho'llIeurs dans les
Ser vice départ eme nta l Jeunesse et Spor t s : T la\all. ".
conditions fixées par l'article 5 du décret du 15 JUillet 1945 .................. , ...... .
Ré lementation de l'affichage ........ . .. ,' . .' . ..... . .. . ... , ....... :................ .
g.
. 1
t t la publicité sur le tem tolre de la cOlTlmun e de M arsei lle ............. .
Ar reté
'"
d u- Rh'one. ... . ... . .. .
. reg emen
Il fiand la .Bibliotillèque Centrale de pre't d
cs B
OUCHesComité c~nshu ta It de cession du matériel des établ issements re levant du mi nistère de l'EducaServi ce d ac a e e
tion Nat ionale
. . . . . . .. ........ . .................. .
0
-
_........-
4
6-7
II
11
18
18
~3
�•
N·· DEs
BULLETINS
OBJETS
-
EN 1
Réglemen tation de l'affichage Loi du 12 avr i l 1943 et lui fisca le du 8 août 1950 ...... .
Subvention aux communes pou r l'installation et le fonct ionne ment des centres d'e nseigne ment
post-scolaires agricoles OM ménagers agri coles . . . . . . .. ........ ....... . ........ . . . .
Surveillance des trava ux f.dilita ires pouvant donne r des illd ica tions archéologiques ....... .
Elediôn des délégués des In stitu teu rs et Institutrices publi cs et pri vés membres du Conseil
départem ental de l'Ense ignement prim aire . . . . . . .. ..... . .. ........ ....... . . ...... .
24
COTE
FS 7
Etablissem ent s hospitaliers publics (Pr ix de journée pré>vi sionnels 195 1) ........ . ... . .. .
Et ab ll ss~ ments hospitaliers publics : Prix de jou rn ée prévi sionnels 195 1) ....... . .......•
Expropn ali on de terrain sis qu arti er de Fou.r chon - Enquête parcellair e (Arl es) . ... ... • ,' •.
ASSistance pub li qu e de M arseille (Pri x de journée prév isionnels) .. ..... . .. . .. . .. ....... .
A,pprov lslonn ement en c harbon des Etablisse men,t s hospi taliers ........ ........ • ...... .
Approv isionnement en cha rb on des Etablisse ment s hospit aliers ........ . .. . .. . . . ...... .
Etablissements 'hospitalie rs pub li·cs (Prix de jOllrn ée prév isionnel 1951) ................. .
Perso l1Jl cl des Etablissements hospitaliers - Parti ci pati on aux travaux d'organi s.mes professionnels . . . . . . . . ........ . . .. . .. . .. . . . .. . .... . . .. .. . , , ... .. " . . . ...... . . .... .
- Rémunéra ti on et obligati ons des pharma ciens gérant s des hôpitaux et ,hospices publics de
moins de 400 lits ........ ........ .. . .. . . . . . .. . . . • . , .. ,' .. ... . •....... . .. . ... .
- Etab lisse ments hospital iers pub lics : Pri x de j ou rn ée prévisio nnels 195 1 ... . ......... .. .. .
- - Etabli ssements hospi tali ers pub l ics. _ Rév i sion du prix de journée prévisionnel 1951 . . ... .
- Composi tion de la Com mission départementale de réform e du personnel hospitali er pour
l'ann ée 1951 ....... . ........ ...... .. .. . . . ... ... . .... . ... ... ....... .. ....... .
- Etabl isseme·nts hospi taliers publics . - Rév ision du prix de j ourn ée prévisionnel 1951 de l'hospi ce de Rognes .. . . . . .. ........ . . . ........... ........ .... . ... .... . ... . . . . ... .
- Hôpitaux et hospi ces publics - Fonds de rou lement .. . .... . ........ ........ . .. . ..... .
- Eta bl isse ments publi cs hOSipi taliers . . . .. . . . . • • , . •. ...., ....... .... . ...... . .. . ..... .
- Fonctio nn ement des pharm acies hospitalières. . . . . . .. ........ .. . ..... . ............. . .
- Rémun ératio n des intern es en médecin e et en pharm a.c ie des Etabli ssements hospitaliers pub lics
- Assistance Pub lique de Ma rseille - Rév ision des pri x de j ourn ée ... . ................... .
- D éc ret n° 5 1· 1218 d u 19-10-51 mod iTiant le décret du 17-4- 1943 portant règlement d'adlministration pub li que pour l 'a ppli ca tion de l a loi du 21-1 2- 1941 relative aux hÔ<pitaux et hospi ces pub li cs. . . . . . . . ........ ............. . .. .. .. . . .. ........ . . . .. . . . . . . .... .
Rémun" rati on des ,ph arm aciens gé rants, à temps pa rt ie l, des hôpitaux p syohi atriques, sa natori ums et préve nto ri ums pub lics ...... . . .............. .. ... . ....... . ... . ..... .
- Pri x de jo urn ée dans les hôpi taux et hospices publ ics . - Application du décre t du 19-1 0- 1951
modi fi ant le décret du 17-4-1 943 portant réglement d'adm ini stration publi que pou r l'awlication de la loi d" 2 1-1 2-1 94 1 relat ive aux hôp itaux et hospices publics . .......... .
- Etabli ssements hospitalie rs. - Nouvelle comptabi l ité pub li que ... . .. . .. ................ .
45
FAMILLE
ET
37-38
SANTE
•
Divers:
FS O
-
Déclaration d'utilité pllblique du proiet d'acquisition d'une propr iété par l'Hôpital- Hospi ce
d'Allauc h ........ . . ...... . . ... . .. .... . .... . ....... . ........ ..... .. . . . ... . .
- :\lédecins agréés pour pratiquer les examens ra-dioseopiques en vue dc la délivrance des ce rtificats prénuptiaux et prénataux . . ..... . .. . .. . . , ........ ........ . ... . ........ . . .
- Médecins agréés pour pratiquer les examens radioscopiques en vue de la dé livrance des certi
ficats prénupt iaux et prénataux . . ......... . . . . . . . . .... .. .... . ... ..... .. . . ..... . .
- M f.decins agréés pou r pratiqu er les examens radioscopiques en vue de la délivrance des cert i
fi cats prénuptiaux et prénat aux .. . .... . . . . . . . . . . ... . .... ........ ........ . ..... .
- Cet'tificats prénuptiaux et prénataux . .. . .. . .. . .... ..... . .. .. . ..... . .
. ... . .. .
- M édecins agréés pou r pratiquer les examens raJd ios<copiques en vue -de la dél ivrance des cert ifica ts prénuptiaux et prénataux . . . . . . . . . . . . . . . . .. ........ . .. ..... ........ . ...... .
- Médecins agréés pour pratiquer les examens radioocopique5 en vue de la délivrance des ce rtificats prénuptiaux et prénataux , . . . . . . . . . . . . . . . .. . . ...... ...... . . . ...... . ..... . . .
- Modifications au réglement sanitaire départementa l du 1er octobre 1945 ........ . ..... . .
- Médecins agréés pour pratiquer les examens radioscopiques en vue de la dél ivrance des certificats prénuptiaux et prénataux . . . . . . . . .. .... . .. ........ ........ ........ . ...... .
- Fonctionnement des Commiss ions cantonales d'assistance ..... ... ............... .
- Médecins agréés pour pratiquer l es examens radioscopiques en vue de la déliv rance des cert ifi cats prénuptiaux et prénalaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . .... . . . . ........ . .............. .
- Attribution de dots à un certain nombre de fi lles de déposants et d'assu rés à la Ca isse Nationale d' assu rances sur la vie ....... . . . .... . . . . .. ....... . ........ . ...... . .. . .... .
- Médecins agréés pou r prati que r les examens radioscopiques en vue de la déliv rance des certificats prénuptiaux et prénataux . . . . . . . . . . . . . . . . .. .. . ..... . . . .....~........ ..
- Préparation spéciale au diplôme d'Eta t d'ass istante sociale . .......................... .
- Nouvelle dénom ination des Inspecteu rs d e la Population .... . ......................... . .
-" Arrêté portant déclaration d'ut ilité publique de l'acquisition d'un terrain par l'Hôpi tal Psychiatrique d'Aix- en- Provence '" . . . . . . . . . . . . . . . . . .... . ... ...... . . ........ . ...... .
- Interdiction temporaire de la venle des coquillages .. . ................................ .
- Médecins agréés pour pratiquer les examens radiograpJ1iques en v ue de la délivrance des cedi
ficats prénuptiaux et prénataux ...... . .. .. . . . .. .... ....... .... . . ....... . ... . .
- Arrêté portant déclaration d'utilité publi que l'acquisition par le Département de la propriété
« La Renarde » au profit du Centre départemental de la rééducation de l'Enfance défic iente.
- Commune d'Arles - Expropriations des terrains nécessa i res à l 'édification d'Ul1 nouvel
hôpital .... . ............ . ......................................... . ....... .
- Médecins agréés pour pratique r l es examens radioscopiques en vue de la délivr ance des certificats prénuptiaux et prénataux . . ... . ....... . . . . . . .. .................... .. .. . . .
Médecins agréés pour pratiquer les examens radioscopiques en vue de la délivrance des certificats prénuptiaux et pré-rtataux ................ .... . ... ........ ........ . .... . . .
Nomination des médecins vaccinateurs publi cs dans l es communes du départcment pour la durée
de l'année scolai re 195 1- 1952 .. . ....................... . ... . ................ . . .
- Médecins agréés pour pratiquer l es examens rad ioscopiques en vue de la déli vra nce des certificats prénupt iaux et p r~n ataux ........ . ... . ... .. ... . .. ........ ........ . ...... .
1-2-3
4
6-7
8
9
10
15-16
15-1 6
18
18
-
Assistance aux fem mes en couches - T aux de l'allocation jou rn al ière attribuée aux ,bé néficiaires, pendant la période de repos .... ....... .. . .... . . .. .....
.. . ...... .
1- 2-3
8
8
9
14
Il
2\
22
23
25
25
26
26
29
31 - 32
33- 34
42
43
44
44
45
50
19-20
RAVITAIU.EMENT
19'20
Organisation générale du Ravitaillement :
RI
21
21
22
24
29
_
Arrêté préfecto ral orga ni sant le cont rôle o ffi ciel facu ltat if de la productio n et de la ven te du
lait de vache ........ ........ .... . ........... .. ...... .... .. .. .. ...... . .. .... .
28
Prix et taxations :
R4
_
Arrêté fi xant le prix -de la faPine et du pain .. . .• ... ...... . .........................
37-38
3 1-32
AGRlCULTURE
43
, A 0
Divers :
44
46
48-49
48-49
50
Assistance à la Famille :
PSI
N·· ces
BULLETINS
Etablissements d' Assistance et de Bien faisance :
-
35-36
39-40
Instruction publique :
Taux de rém unération des heu res supplémer.l ai res effect uées pa r des instituteu rs
OBIETS
37-38
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
Pl an ,de r emcl11lbremen t de la com mune d'Arles (Mas T.h ibert) ... . ... . . ....... ...... .
Section dép3rtementale agricole de conci l ia1ion. . . . . . .. .... . .
. . . . . . .. .... .. .. . .... ,.
A ssoc iation foncière ete remembrement - A rl es .................. , ........ ............ .
Réorganisation cie la 'propriété foncière ct rememb rement . . . . . . .. ......
. " ....
Répression des frauodes "':.';" .. :...... ..... .. . . . ........ . ....... ........ ... .. .
Réo rganisartioll de ,la propn elié foncle"" .et remembrement . ...... .. . ..... , .. . ...... .
T aux des cotisations des a!lIocations fam il ia les agn<:oles pou r 1ensemb le, de.1 année 1950
Ar,rêté fixan t les conditions d ' activité professlon nefle ouvrant drOit a 1altnbllll on des prestat ions fam iliales a'gricoles . . . .. . ............. : .. ......... .. ...... ...... . ....... .
Facilités d~ crf.dits au profi t d~s victimes de ca lal1l1tés publiques ....................... .
Accidents ,du travail des salanes agrJ coles .. . ......... . ...... . .: ....... , . .....•.......
Electioo s aux Chambres d'Agrioultu"e - Eta uh ssement des listes eloctora les .. ........... .
Statu t du fermage - Cou rs des denrées .... . ....... .: ... . .. ",-." ................. . . .
Elections à la Chambre d'Agricul~lIre des Bou dh es ~du-Rh ane - Etablissement des listes élec. ............. . . . . . ...... . .. . .............. . ............ .
~ ~Ics
.
1-2-3
1-2-3
1-2-3
1- 2-3
1- 2-3
5
5
10
10
14
15-16
15-1 6
17
�10
N·· DES
BULLETINS
OBJETS
_
Arrêté fixant le taux des cotisations en matière d' allocations familiales agricoles pour le premier semestre 1951 ... ... . . . .. .. ..... ... .. ..... . . .' .. ... . .. ...... ..... .. ..... .
- Congé payé dans les exploitations agricol es .. . . : : .. . . .. : . .. . . ... . .. . .. .... : . . ~~~~;h-~
_ Taux des cotisati ons en matière d 'allocations famlhales agf1lcoles pour le deuxleme
26
37-38
-
Il
COTE
-
COMMUNICATIONS ET TRANSPORTS
CTO
Divers :
1951 . ... . . .. ... .. . .. . ...... . .... . ... . . .... •. . . . . . . .... .. .. . . . .. ... . . . . . .. .
41
-
_ Période des vend anges - Date limite de déclaration de r~olte de vin . . . . ........ . .. ... . .
_ Cours moyens des denrées servant de base au ~ a lC'U 1 des fermage.s ....... . : . . '.: .. .. . .... .
_ Arrêté portant modification au classement en categories des assures socla,ux ag llcol es
_ Elections aux Tribunaux Paritaires des Baux Rumux . .... . ... . . . . .. . ... ... . .
_ Elections des membres assesseurs aux Tri.1J.unallx Paritaires des baux ruraux . .. .... .
- Date limite de déclaration de ré colte . . ... . . . . . . . . . . . ....... . .. .. . .. . . . ... .. . . .. .... .
_ _ C ours des ferm ages - Echéance du 1er Novembre 1951 . . ... . . ... . . . ............. . .
Lutte contre les ennemis des cultures
. . . . . . .. . ...... . .. .. .... . ... .. .. . . . ..• . .
42
42
-
44
44
44
47
47
47
CT 3
_
-
Elections au x Chambres d 'Agriculture .. .... . ...... . .. ... . . . .: . . . .. . :: .... . . : .. . . .. .
Ren ouvellement des membres du Comité départem ental des prestafl ons familiales a'grlcoles ..
Commission parit aire du Trav ail en agricu lture ... .. . .. .. .. . . .. ... . .... . ..... .. . . . .
Cl assement en catégorie -des assurés sociau!, .agri coles . .. . :., . . ... . . ; . . . . ..... . . .. ... .: .
Elections à la Cha.mbre d 'Agriculture - DeSignati on des delegues prefectoraux aux Commissions communales chargées de dresser les listes électorales a·g rlco les . .. .. . .. . . . . , . . . . .
Election s agri co les - D és ign atiûn des délégu és du Préfet allx Commi ss ions municipales de
recen sement .. , . . . . . . ....... ...... . . . . . ... . . . . . . ,.. . .... . . . . .... .. .. . ...... .
Elections à la Chambre départementale d'Agri cu lture des Bouches-<lu - Rhône . .. .. . ... .. .... .
18
19-20
19-20
19-20
-
Ag; icu'l ure : dates d'enl èvement des r~coltes . ....... , . .. , . .. ... , . .. , • . ......... . . . . .
Ag dr ultu re : Protection d es récoltes .. ... . . .. . . . ... . . . . . . . . ,. . . .. . . . .. . ........ .. . .
E''o(ep agement du vignoble à appellati on cont rôlée .. ... . . . .. . .. . . ...... .. .... . •. . ..
Congé payé dans l es ex ploitations fo restières . .. . . . .. , . . . .. . . , , ... .. . . . . . . . . , ..... ... .
.14
. . . . . . . . . . . . . . . . .. . .. . .... ... .. . . . . . . . . .. . ... . . . . .
ADMINISTRATIONS
Cal cul de 'Ia cotisati on cie Sécurité Sociale
Maj orat ion , d~s prestations familial es ve rsée~ ' ~ ;, ' l'iir~' de~ 'n;~ i; (I~ dé~~l~b'r ~ 1'950 ~i j~ n ~i~ ;
Réglements pa r ,chèques et virements ........... ... . ... . . . . . . . . .... . ................ .
Tax es sur le chiffre d' affaires . .. . . . . . ... . . .. . .... . . . . . ... .. . .... . . ... . ......... . .
Apurement des opérati ons de nat ure budgéîàlre des exerc ices 1940 à 1946 non imputées en
.
temps util e aux budgets d'or igine et des déficits et manquants constates pend ant les gesti ons 1940 à 1946 . . . . . . .. .. ...... . . .. . . .. . ... . . . . .. .. ... . . . .. .. ...... . . . . . .. .
- D écret n ' 51-1228 du 29 octobre 195 1 modifi ant le d'éc ret n' 47-1171 du 23 ju in 1947 relati f
:lU paie ment par virement d'e compte des dé penses de t'Etat, des collectivi tés et établissements -publi cs et -des Services concédés . . . . . . . . .. ... . . . . . .... .. .. . ......... . . . . . .
- Paye men-t par virement de compte des d~p e n ses de l'Etat, des collectivités et" établi ssements
pub lics et 'ct:es Services 'con cédés .. .. .. . . . . . . . . .. . . .. .. . . . . . . .. . . . . . ... .. . . .... . .
- Payem ent des dépenses de l'Etat par chèqu es tirés sur les ro mpta bl es assignatai re s .. .... . .
. . . . .. . .. . . . . . . . ...... . ............ . . .
Régl'ement par chèques ·des dépen ses de l'Etat
i9Si
-
4
115-t6
42
37-38
Elevage:
A5
_ .. Su rv~illanç e sani taire des troupeaux transh~lr. ants P • • , . . . • . . • . . . . . •• . . • • • . • • . . • . •
- - Su·rv,' iIIance des étalons et 'baudets en vue d~ ln monte <le 1952 ...... . . .... .. . . . . . . .. .
- Comm erce illi ci te de ohevaux et mulets sur les foires ~t marc hés des B ouc'hes"du-Rhône
COMMERCE -
INDUSTRIE -
15-16
37-38
50
ARTISANAT
Divers;
CIA 0
-
Autori sation d'ex ploiter une entrepri se cinématcgraphique .. . . . . . . . . . . .. .. .... . . .. . . . .
Elect ions consu lair es . . .. .. .. . . . ... . . .. ...... .. . . . . .. . . .. . .. ... . . ...... . . . .. . ... .
Renouvellement par tie l des Chamlbr-es de Co mm erce et des Tribu naux de Commerce en 195 1
_ . Confection des li stes électoral es . . ................... .
Ex plosifs de mines . .. . .. .. . .....
. ,. . . . . . . . . . . .. ... . .. .. . .. .. . .. . . .. . . .
Explosifs de min es
. . . . . . . . . ... . .. . . . .. . .. , . . ... .. . . . . ... . . .
Explosifs de mines . ... . . .. . . .. . . . ,
. . .... , . '. .. . . .
. .... ...•. .. . . .
Explosifs de min es ...
. . .. ' . . ... .. ...... ... . . . ... .. . . . , . ... . .... .. .
Explosifs oe min es . . . . . . .. .. .. . .. . ... . . ... . .. ... .. . ... .. ... . . . . . ... ..... . . .. .. .
Physionomie du iJl'Toblième chacbonnier en France . . . ... ' . . . . . , . . . . .. ...... . .... .... .
Elections consulaires en 1951 - Renouvellem ent pa rtie l des Chambres de Commerce et des
Tribunaux de Commerce du département .... . . . . ... . . . .. .. ..... . . .. .. ... .. .. . .. .
Ex,plosif de mines . ....... . . . . .. .. .. ......... .. . . ... . . .. " , .. ... ....... . . . .. ... .
Travail
et
8
10
15-16
27
28
3 1-32
41
42
43
48-49
48-49
chômage :
Travailleurs en chômage -
Formalités à accomplir . . .
. . . . . . .. ... ..
. .. ... . .
50
AC 3
12-]1
Finances;
AC 2
26
30
2\
CENTRALES
Retenues à eff ect ue r au tibre de la Sécurit é Socia·l e sur l es vaca ti ons des médec ins civil s
travailla·nt ·po ur les étahli sseme nts ,pub lics . . . . . . .. . .. . . .. . . . . .... . . . ... . . ... . . . .. .
Eaux et forêts :
A4
1·2·3
Divers ;
22
22
29
48-~9
Transports :
AC 0
Cultures:
AS
Affranchissement du courrier des hôpitau x et hospices publics
Affra nchisse ment clu courri er des hôpitaux et hospices publics
Cont rôle des ca mions citern es
Elections au x Chambres d'Agriculture : Désign ation des délégu és préfectoraux aux Commissions
commun ales de recen sement des électeurs agrico les . . .... .. .. . .. .. ..... . ......... . .
_
_
_
Fixation des montants des frais d' experti ses pour épreuves d' apparei ls à pression de gaz ou
de camIOns cite rn es ...
Autori sati on d' oulVertu re de ' ~OI:;m bi~;s' d~' p'ig~o~~ ' ~~y~g'eur~ ' : . •.. • :. ~ . .' . : :::::" . ::::: ::
P. T, T. ;
CT 2
Organisation générale :
Al
N·· DES
BULLETINS
OBJETS
6-7
6-7
24
24
30
45
45
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50
Personnel :
Versement de l'all ocation de salaire uniq ne aux mères de famille fonctionn aires , bénéficiaires
d'une p ension d 'anciennel é au titre de l'arti cle 24 de la loi du 20 sept embre 1948 ....... .
- Ind emnités pou r frais de démén.agem ent et po ur ohangement de résiden ce. ..... .. . . .... . . .
- Eléments de la rémunération d es personnels de l'Etat qui so nt soum is à l'i mpô t ........... .
- Séc urité Soc iale des foncti onn aires de l'E tat . . .. . .. . . , . .. ... ...... . . . ...... . ..... .•.
- Régi me de la Sécu rité Soc iale des foncti onn ai res . . ... . . .... . .. . . . : . . ...... . .......... .
- M aj oration à titre p rovisoire de certa in es ,prestations fam iliales . ..... .. ..... . .. . ........ .
- Régime de Sécur i té Sociale des agents perma nents des dép artem enfs, des co mm unes et de lems
établi ssements pub lics n'ayant pas le caractère i~dus tr ie l ou comm ercial .............. . .
Fonction .pub lique et réform e ad ministrati ve . . . . . . .... . . ... ....... '. ' . .. . ........ . ... . . .
.- Cum ul de pensions et de rémunérati ons publi ques d' acti vité - Acqu isition de nouveaux droi ts
à pension . . . . ... . .. . .... . . ... .... ........ . . ... ..... ........ . ............. . .
- Sécurit é soc iale des foncti onnaires de l' Etat . . . . . . . . . . . . . . . ... .. . ..... . ........... ... .
- Ass ujéti sse ment à co tisatio n de sé curité sociale de la majo ration except ionnlC lle <;te J'indemni té
temporaire de cherté de v ie .. . .. . ... . . ... . . . .. . ... . . ..... . .. .. . ....... . ... . .. . .
- Reconduct ion à titre ex'ce pti onn el de la majo ra,ti on de 20 % des porestati ons famil ia les . . .. , .
- M aj oration à titre provisoire de ce rta ine s prestations fami l iales .. . .............. . . . ..... .
- Majoration de 20 % des ,pres tati ons famiH ales . ... : . . . . . . .. . ; . ... . .... . .... . . . ..... , ..
_ Relèvem ent des ré muné.rall ons des foncll onna lfes et agents de 1 Etal . ..... . ........... . . . .
_ Relève ment des rémunérations des fon<el ionn air'es et agents de l'Etat (recti fi cat if) . ..... .. . .
_ Décret n' 51-6 17 du 24 mai 1951 .port wnt maj orati on des traitem ent et soldes des personn els
ci vil s et mi litaires de l'Etat . . . . . . . . . .. . . .. . .. . . .... . . . . . ..... . . . .... .. . , . .. . .. .
- Décret n· 5 1-618 du 24 mai 195 1 modifiant le r6gime de l 'indemnit é de résiM nce des fon ctionnaires et agents de l'Et at
8
8
10
II
12-13
12 ·;3
12-1J
12- 13
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14
17
18
21
22
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23
�Janvier 1951
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OBjETS
COTE
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_
Décret n° 51-619 du 24 mai 195\ modifiant le régime du sLlpplément familial d~s fonction naires
et agents de l'Etat. . . . . . .. .. ...... ... . . . . . . . .. ....... . ........ . . . ...... . .... . .. .
Décret n° 51 -620 du 24 mai 1951 majorant à titre provisoire certaines des ,prestations familiales allouées aux personnels civils visés à l'artide 4 du œcret 0° 48-1 8 17 du 30 novembre 1948 .. . ................ . ... . .... . ......... ..... ...................... .
Emploi obligatoire des muti·lés - Loi du 26 avril I924 ...... . ' .:: ... ..... ....... .. ... .
Attn.bution de certa ines indemnités aux fonctionna ires des collectiVites locales ........ . .. .
Décès mise à la retraite ou rooiation des cadres d' un fonctionnaire en cou rs de mois. - Paiem~nt du traitement ou de la solde jusqu'à la fin du mois ... . . . .. . . ..... . . .. .. ...... .
Questions dive1'ses concerna nt ,la reglementation applicable aux prestations familiales ... .... .
Conditions d 'attribution aux fonctionnaires et agents de l'Etat des prêts destinés à l'amèlioralion de l'habitat prévus par le délcret du 18 juillet 1950 ................... . .. .. ... .
Relèvement de certaines indemnités ,pour frais de Mpla ce ments ...... . . .. ... . ... . ....... .
Ré!!ime de lïndemnité de résidence des fon ctionnaires ct agents de l'Etat ............ . .. .
S~ice des prestations en nature de l'assuran ce invalidité temporaire du régime de sèc ..rité
socia.le applicable aux fonctionnaires ~ l'Etat ..... . . . .., . .... ........ ........ .'
Remboursement des frais de transport ...... . . .... ....... . . . ...... ........ . ...... .
. ...... .
Régime de Sécurité Sociale des fonctionnaires de l'Etat - Assurance dé>cès ....
Remboursement des frais de tra nsport en chemin de fer ...... .. . . ...... ........ . .... .
Loi n° 51'1124 dJU 26 septembre 1951 inslituant des bonification,s d'ancienneté pour les
persormes ayant p.ris une part active el continue à la Résistance et prévoyant des dérogations temporaires aux règles de recrutement, d 'avancement da ns les emplois ,p ublics
Loi n° 51-1126 du 26 se-ptembre 1951 portant majoration d'es taux de l'all ocati on tempora ire
de !a retraite des vieux travailleurs sala riés et des prestations familiales ........ . ..... . .
Décret n° 51 -1 129 du 26 sep tembre 1951 , pOftant maj ora tio n des traitements et soldes des
personnels civils et militaires de l'Etat ......... . ........ ...... . . . ....... . ..... . .
Décret n° 51 -11 30 du 26 .septembre 1951 modifiant le décret n° 51-618 du 24 mai 1951 relatif
a u régime de l'indemnité de résidence des fo nctionn ai res ct agents de l'Etat . . . . . . .. . ...
Décret n° 51 - 1131 du 26 septembre 1951 modifiant le (égime dlu supplément fami lial odes fonctionnaires et agents de l'Etat . .. ......... .. .. . . ........ . ....... . ....... . ...... .
Majoration des prestations familiales . . . . . . . . . . . . . . .. ....... . .. ...... ........ . .. .... .
Ci11Wlaire portant instruction pour l'applicati on du d~cret n° 51-911 du 9 juillet 1951 relatif à
l'allocation de logement et du déaret n° 51-912 du 10 juillet 1951 relatif aux prêts destinés
à l'amélioration Ide fhabitat . . . . . . .. .... . . . . . . . . .. ... ... .... .. .. ... . . .. . . ...... .
Caloul de la cotisation ~ SécUTité Sociale (applica·tion de l'articl e 8 die! la loi n ° 51-1126 du
26 septeml>re 1951) . . ...... .... ..... . ..... . .... ... . . . . ..... . ............... .
Rémunération des fonctioonaires, agents et ouvrier'S des Administnations publiques de l'Etat
rappelés sous les drapeau" en temps de paix, ,pour effeclruer une période d'exer.cice ol'
de manœuvre . .. ..... . ....... .... .. .... .. .. . .... . .. ...... . . ........ . ..... . .
Décret n° 51-1336 du 19 novemm-e 1951 modifiant le taux de la co ti sa tion de Soourité Sodaie
des fon;ctioii1flaires . . .... . . . ... ..... . . . •. .. .. .', (.";'". . . ..•• . . ','. . • •. . ..•.. •.• • •••• (td'"'-lIlIItI
Calcul de la coti sation de Sécurité Sociale .. . . . . . . .. ....... . ...... . . .... . ... . ... . .. .
Versement dé la co1isation de SécuTité sociale des fonctionnaires et militaires de carrière bénéficiaires des regi mes de sécurité sociale institués pa r le décret n° 46-297 1 du 31 décembre 1936 et de la loi n' 49-489 du 12 aV'fii 1949 ........ ........ .. ...... .. .... .. ..
Décret n° 51-1894 dl\l 27 novembre 1951 modifiant l'aTticie 39 <le l'aimexe III du Code généraJ
des impôts relat ifs. aux obligations des employeurs qui versent des tra itements, salaires
00 retributions passib les de l'impôt SIl r le re venu des personnes phys iques . . ...... . .. .
Modification du taux de la cotisation de sécurité sociale à la cha rge des foocti onnaires et de
certains personnels ouvriers de l'Etat ... ........ . . ... . .. .. ...... .. . ..... . ...... .
RÉPUBLIQUE
FRANnAISE
,,\
/' '9' Année . - Nlméro Sp'cial
N°' DES
BULLETINS
.DÉPARTEMENT DES BOUCH E.S-DU-RHON E
.
( If
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y
•
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Recueil des Actes Xtfriiinistratifs
23
24
24
et ,B ulletin des Mairies
27
27
Toute correspondance relativ€ au Recueil doi' êtr e
27
27
30
adressée à la Préfecture Secrétariat Général
0283
31-32
31-32
33-34
39-40
AG 0
AUri b uti 0 ns des Divisions et Services
41
de la Préfectu're des Bouches-du-Rhône
41
41
(Pages 3 à 11 )
41
41
42
•
45
Indication dans l'Ordre Alphabétique
45
des Attributions des 'Divisions et Services
47
(Pages 13 à 2t)
48-49
50
51-52
Cod e de Clas si fic atio n des Instructions parues au
51-52
51-52
Recueil des Actes Administratifs
et
Bulleti.,
des
(Pages 23 et 24)
,
êiJ -
Mairie s
�Janvier 1951
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OBjETS
COTE
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Décret n° 51-619 du 24 mai 195\ modifiant le régime du sLlpplément familial d~s fonction naires
et agents de l'Etat. . . . . . .. .. ...... ... . . . . . . . .. ....... . ........ . . . ...... . .... . .. .
Décret n° 51 -620 du 24 mai 1951 majorant à titre provisoire certaines des ,prestations familiales allouées aux personnels civils visés à l'artide 4 du œcret 0° 48-1 8 17 du 30 novembre 1948 .. . ................ . ... . .... . ......... ..... ...................... .
Emploi obligatoire des muti·lés - Loi du 26 avril I924 ...... . ' .:: ... ..... ....... .. ... .
Attn.bution de certa ines indemnités aux fonctionna ires des collectiVites locales ........ . .. .
Décès mise à la retraite ou rooiation des cadres d' un fonctionnaire en cou rs de mois. - Paiem~nt du traitement ou de la solde jusqu'à la fin du mois ... . . . .. . . ..... . . .. .. ...... .
Questions dive1'ses concerna nt ,la reglementation applicable aux prestations familiales ... .... .
Conditions d 'attribution aux fonctionnaires et agents de l'Etat des prêts destinés à l'amèlioralion de l'habitat prévus par le délcret du 18 juillet 1950 ................... . .. .. ... .
Relèvement de certaines indemnités ,pour frais de Mpla ce ments ...... . . .. ... . ... . ....... .
Ré!!ime de lïndemnité de résidence des fon ctionnaires ct agents de l'Etat ............ . .. .
S~ice des prestations en nature de l'assuran ce invalidité temporaire du régime de sèc ..rité
socia.le applicable aux fonctionnaires ~ l'Etat ..... . . . .., . .... ........ ........ .'
Remboursement des frais de transport ...... . . .... ....... . . . ...... ........ . ...... .
. ...... .
Régime de Sécurité Sociale des fonctionnaires de l'Etat - Assurance dé>cès ....
Remboursement des frais de tra nsport en chemin de fer ...... .. . . ...... ........ . .... .
Loi n° 51'1124 dJU 26 septembre 1951 inslituant des bonification,s d'ancienneté pour les
persormes ayant p.ris une part active el continue à la Résistance et prévoyant des dérogations temporaires aux règles de recrutement, d 'avancement da ns les emplois ,p ublics
Loi n° 51-1126 du 26 se-ptembre 1951 portant majoration d'es taux de l'all ocati on tempora ire
de !a retraite des vieux travailleurs sala riés et des prestations familiales ........ . ..... . .
Décret n° 51 -1 129 du 26 sep tembre 1951 , pOftant maj ora tio n des traitements et soldes des
personnels civils et militaires de l'Etat ......... . ........ ...... . . . ....... . ..... . .
Décret n° 51 -11 30 du 26 .septembre 1951 modifiant le décret n° 51-618 du 24 mai 1951 relatif
a u régime de l'indemnité de résidence des fo nctionn ai res ct agents de l'Etat . . . . . . .. . ...
Décret n° 51 - 1131 du 26 septembre 1951 modifiant le (égime dlu supplément fami lial odes fonctionnaires et agents de l'Etat . .. ......... .. .. . . ........ . ....... . ....... . ...... .
Majoration des prestations familiales . . . . . . . . . . . . . . .. ....... . .. ...... ........ . .. .... .
Ci11Wlaire portant instruction pour l'applicati on du d~cret n° 51-911 du 9 juillet 1951 relatif à
l'allocation de logement et du déaret n° 51-912 du 10 juillet 1951 relatif aux prêts destinés
à l'amélioration Ide fhabitat . . . . . . .. .... . . . . . . . . .. ... ... .... .. .. ... . . .. . . ...... .
Caloul de la cotisation ~ SécUTité Sociale (applica·tion de l'articl e 8 die! la loi n ° 51-1126 du
26 septeml>re 1951) . . ...... .... ..... . ..... . .... ... . . . . ..... . ............... .
Rémunération des fonctioonaires, agents et ouvrier'S des Administnations publiques de l'Etat
rappelés sous les drapeau" en temps de paix, ,pour effeclruer une période d'exer.cice ol'
de manœuvre . .. ..... . ....... .... .. .... .. .. . .... . .. ...... . . ........ . ..... . .
Décret n° 51-1336 du 19 novemm-e 1951 modifiant le taux de la co ti sa tion de Soourité Sodaie
des fon;ctioii1flaires . . .... . . . ... ..... . . . •. .. .. .', (.";'". . . ..•• . . ','. . • •. . ..•.. •.• • •••• (td'"'-lIlIItI
Calcul de la coti sation de Sécurité Sociale .. . . . . . . .. ....... . ...... . . .... . ... . ... . .. .
Versement dé la co1isation de SécuTité sociale des fonctionnaires et militaires de carrière bénéficiaires des regi mes de sécurité sociale institués pa r le décret n° 46-297 1 du 31 décembre 1936 et de la loi n' 49-489 du 12 aV'fii 1949 ........ ........ .. ...... .. .... .. ..
Décret n° 51-1894 dl\l 27 novembre 1951 modifiant l'aTticie 39 <le l'aimexe III du Code généraJ
des impôts relat ifs. aux obligations des employeurs qui versent des tra itements, salaires
00 retributions passib les de l'impôt SIl r le re venu des personnes phys iques . . ...... . .. .
Modification du taux de la cotisation de sécurité sociale à la cha rge des foocti onnaires et de
certains personnels ouvriers de l'Etat ... ........ . . ... . .. .. ...... .. . ..... . ...... .
RÉPUBLIQUE
FRANnAISE
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N°' DES
BULLETINS
.DÉPARTEMENT DES BOUCH E.S-DU-RHON E
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Toute correspondance relativ€ au Recueil doi' êtr e
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adressée à la Préfecture Secrétariat Général
0283
31-32
31-32
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AUri b uti 0 ns des Divisions et Services
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de la Préfectu're des Bouches-du-Rhône
41
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(Pages 3 à 11 )
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Indication dans l'Ordre Alphabétique
45
des Attributions des 'Divisions et Services
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(Pages 13 à 2t)
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Cod e de Clas si fic atio n des Instructions parues au
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Recueil des Actes Administratifs
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des
(Pages 23 et 24)
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Mairie s
�\
.Janvier
1951
ATTRIBUTIONS DES DIVISIONS ET SERVICES
DE LA PRÉFECTURE DES BOUCHES-OU-RHONE
Porte
Téléphone
_
.,
Standand
130
Standand
Standand
253
359
POLICE ADMINISTRATIVE
Chef de Division : M. Arna,ud ....... .
t "' BUREAU. - Chef de bureau :
M. l'hibal .' ... " ..
Secrétariat. - Entrées en' France des
étr ang~rs .......................... .
Passeports français. - Déliwan ce des
passe.ports ... .............. . . ... . .
Passeports étrangers. - Contrôle de 'a
circulation transfrontière des étrangers.
-
199
i32
199
-
Titres d' identité et de voyages des
apatr1des et réfugiés ........ . . . .
Visas de sortie, all er et retour ... . .
Visas de transit et court sejou,r ... .
Police Générale. - Armes et serviJCe
de l'Inf or mation ......... . ..... .
Assermentationl des gardes parti culiers
et agrément des gardes-champêtres.
Associations étrangère s ......... .
A~plication et intervention de to~te
réglementation relitive aux pOUVOIrS
de ,ponce, préfectoraux et mUl1lClpaux .......................... .
Brocanteurs ........... .... ... . ... .
Contrô te de la circu ta tion des nomades
Contrôle de la li brairie .... . ...... .
Enquêtes générales d'infonmationl ..
-
Forain s
-
l n tercLiction de résidence .... . .... .
L oleries et quêtes su r 'l a voic plbblique.
Loteri e Nationale .. .... ...... .. . . .
Manifestatioons aé rïenn cs ....... .. ,
Manifestations sur voie pllblique ..
MaruHestalions tauromachiques .. . . .
Marchands ambulants . ........ . .. .
Meehngs ... . ..........
. . .. ... .
Mœl1rs .. _.
. ........... . . .
Poli cc des J~ u .\ ctans les Ccrcles et
Casin os . . ..................... .
Police des débits ti e boisso ns .. . . .
Publications li ce ncieuses .. . .... .
Recheœhes tians t'i ntér'; \ des fami ll es.
R ~ "t e men ta ti o n ci né matog raphique
..
.
R~pres si,o n des jeux clan des tIn s ...
Réunions .. .... .... .. ........ . ..
Service des rriso n ~
-
199
150
-
SECRETARIAT GENERAL
CABINET
- Secrétariat particu li er ........ .. ... .
- Âudiences de M . le Seorétaire Général.
- Questio ns, vœ ux et résol utions du
Conseil Gé néral ...... _ ....... . .
Standard
SERVICE MECANOGRAPHIQUE
ELECTRO - COMP)'ABLE
,
Chef du Service: M. Heyriès" ......... ' 1
- T,r avaux comptables et statis ti q.u es
ail moyen de maohines du systell1e
à carte s perforées .. .. . ...... .
Réa lisati on ll1é-ca n:ographiqu e :
1" Des état s liquidatifs des trai tements des fon cti onn aires de l'Eta t
des divers Mini stères, des Servi·
ces dépwrt ell1 cntaux et tics .roncbonnaires de Poli ce adlmlnl stres
par le Centre Admini stra tif et
T echni qu e Interdépartementa t de
la Régioll de Marse ill e
2' Des avi s de crédi t ct bordereaux
des Régi seurs PI)!" le pa;cll1 ent
de ta so lde Lies fonct ion naI res
!li- dessu s.
3' M a ncl ats'c;~rt cs postaux el bo r·
dereaux d' émi ss ion pour le pa lc'
ment à dOIlIlk'i le des all ocatio ns
men sue lles d'al'sis fance . .
4 " Tou s travaux stat istiques d~
recen,sem cnts et étab lis,emc nts
de document< dil'ers necessitant
un rend ement opilmul11 pOlir les
diftérellts sen 'ices de h Pn'fec-
Téléphonc
103
151
118
167
104
279
119
195
]21
218
117
281
116
227
»
•»
PREMIÈRE DI VISION
CABINET DE M. LE PREFET
Seoréta ri at parti.c uJier et aud iences de
M . ,le Pl'éfet ... . ............... .
_ Affaires polit iques ............... .
- Affai res secrètes Ou confident'ielles ..
Chi ffire .. ...... .. ............... .
- Cèré mon'ies publiq.ues - Honneurs et
préséan<:cs ..................... .
- Distinctio ns honorifiques et décora(ions . ................ ... ...... .
- Cour,nier (réception et r<'!partition) ..
- P<lrso nne l des Administrat ions d 'Etat
(à l'exc lu slon du perso.n"el de l a
P,réiect ure et ,de Sous-P,néfcctures).
- Burea ux de tabac ............... .
- Relat io ns avec >les ,Co nsllla.ts
- En quêtes réservées .. ............. ,
- Service de Presse ............... .
Porte
~Ol
-
......... .. ....... . .. .
.,
2
Chef de bureau :
M. Ma n n .....
Naturali~ations. Déchéam'c d~ la
na tio nali té françaisc.. . ..... , . .
- M ariages ù'étrangi'fes al'ce dcs fran-
>
»
»
»
»
»
»
»
>
»
,.
>
>
»
»
»
»
»
»
»
»
»
»
>
»
»
»
»
»
•
•»
»
»
»
»
]] 5
325
lO ~
156
tlO
196
BUREAU.
çaIs .' ........ .. .... . . .
-
»
»
»
Reintégrati on .' .. . ... . ..... .. .
Expulsions. - Ex pulsion du tcrrit,Ji re.
11 ~
�Porte
Chef de bureau :
M. Gillis ....... .
Secrétariat ....................... .
Admission des étrangers ... ...... .
Cartes de résidents privilégiés " . .. .
Cartes perdues ou volées ......... .
Cartes de c protégés français ~ ... .
Changements de nationalité . ...... .
Contrôle des demandes de cartes de
musulmàns français d'Algérie ....
Correspondance avec les Consulats ..
Délivrance et prolongation de titres
de séjour à validitë limitée . . ... .
Enquêtes administratives et renseignements ......... . . . .... ... .. .
Etablissement et renouvellement des
cartes d'identitë . ....... . ...... .
fichier et archives des étrangers de
la PrHectu re .. ..... . .. .. ... .. .. .
Introduction des famWes de travail.
leurs .... ..... ............ .... .
Mariages d'étrangers
« résidents
temporaires » ........... . .... .
Perception des taxes ............. .
Régie des recettes (taxes et droits
des étrangers, passeports, automobile3, chancellerie) ............. .
Transfel't de dossiers départemen'
taux ... .. ............ ... ..... . . .
Tél~phQll'
'Téléphone!
3' BUREAU. -
-
22
21
23
364
382
171
,
,
-
-
-
Directi on départementale de la Santé.
Direction dépanementale de la Population .. ..... ...... .. .... .
Contrôle ani taire aux fronf.eres de
la 5- circonscription . .......... .
Ministère du Travail et de la
Sécurité Sociale
Inspection divisionnaire du Travail
Services extérieurs de Ja main-d'œuvre .....
-
. ......... .
Sous-régie régionale .. ., ...
Délégués mineurs .
Direction Régionale de la écurité
Su"iale ." . . ..
1•
Ministère des finances
Services extérieu'rs (iu Trésor
Ministèr e de l'Intérieur
Administration préfectorale ....... .
Ministère de l 'Industrie et du Commerœ
- Redevances Ipour vérification des instruments de mesure ..... .
»
426
426
426
293
293
293
_
_
_
_
»
-
219
»
,
24
23
"
,
-Servl.ces sani1aires vétèl'inaires . .
- Répressi on des fraudes ........... .
Contrôle des loi s sociales en agricudture ........................ .
E.cole d'Agriculture ,de Valabre ... .
265
17\
2' BUREA U. -
»
•
413
202
419
113
-
251
251
251
251
251
426
293
426
293
426
426
427
427
263
263
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263
263
427
293
293
426
426
426
293
293
293
426
293
Etab li ssement du Budget et ·compte
départemental et des documents
annexes réglementair'e s ......... .
Contrôle des Dépenses Engagées . .
T axes départementales ........... .
-
464
147
»
»
»
»
422
422
147
269
, 269
258
258
finances Départementales : COmPta·
bilité.
-
Réception et vé rification des mémoire justifi ca tifs des droits acquis ..
O rdonnancement et réO ,ldonnancerr,ent
M andatement .............. .
Annuités des emprunts garantis par
le Départ ement ................. .
Cpmptabilité des marches de fournitll'
res et travaux ...... . ........ .
Liaison ·avec
mentale:
-
423
362
461
461
461
t42
142
142
463
269
463
269
Caisse de retraites ........ .
Prestat io ns fam.ilial es .. .
Chef de bureau:
M . Bi zet .. . .. ... .
Tutelle administrative des communes.
Tu·telle adnlion,islra tilVe de la ville de
Marsei ll e . .............. .
- Plan d'éq-uipement Natio nal ....... ..
- PDI so nn el co mmun al ..... . ..... .
....: Habitati ons à loye r m od'éré (Tutelle).
- Service Départem enta.1 d'In cendie ..
- Comm ission départementale de Sécu·
rit é ................... ·····
- Rocueil des Actes Admin ist ratifs et
BullletilJ1 des Mairies
- Comité départemental des co nstru:lions scolaires
.............. .
- Commission Bâtime n,ts C'Ïvils ....... .
- Commission Consultative de l' équ"pe. ...... .
ment sportif . . .
367
»
»
»
»
416
414 bi s
149
146
41 5
465
415
415
465
185
354
185
465
354
465
354
4 14 bis
4 14 bis
146
146
414 bis
146
185
354
464
463
466
463
147
269
466
464
~
»
»
•
,
3' BUREAU. -
).17
405
174
-
25, rue Sylvabelle.
Chef de bureau :
Mme Bertueci ..... .
Assista nce médicale gral uite à domid Ie
...................... .
Assistance m~cfica l e gratuite ho spitalière .. .. . .... . .... . ............ .
Agrément d'établissements hospita'
liers privés .................... .
4' BUREAU. -
159
\ " BUREAU. -
269
Chef de bureau :
M. Garagnon ....
- Assistan.ce aux vieillélJrùs, infirmes et
in Cou rab les (allocations à domicile
et hospita l isatio n) .. ... . ... . , .... .
- Allocation 'de compensalion aux aveugles trav ailleu rs .....
- Allocation temporaire aux vieux
- Assistance à la fam iJle ........... .
- Prim es à la nata lité .......... ... .
- Prime ~ la 1re n:1issance
...... . .
- Allo cation de maternité ... , ....... .
- Caftes de pri orité aux mères ..... .
- Médai ll e de la famille française
- Conlrôle de l' indemnité de soins aux
~ube r cuJeux de guerre ..... ... ... .
- Rapatriement gratuit des indigènes ..
- Allocation s militaires ........... . . .
163
»
163
472
102
26 1
261
308
30R
474
474
408
408
»
~08
»
308
-
TéU"bone
160
106
106
106
106
106
360
360
»
,
164
360
360
164
106
164
360
106
162
161
161
25,
rue Sylvabe lle.
Chef de bureau :
Mme Ma lvlno .....
244
Subventlons aux œuvres de bienfaisance privées ., ............ .. . . . .
475
473
Tutelle de l'Adm inistration de l'Assis·
Tan ce Publique de MarseiLle ..... .
409
- Tutelle des Hôpitaux et Hos pi ces publi cs commu naux du Département.
- Tutelle des Bu·l'ea ux de Bienfa ;·sa n'ce
du Département ............... .
- Tutel·le des Bureaux cl' Assistan.ce du
Déoartement ..
»
- Tutelle des Caisses de Crédit Munloipail de Marseill e et .ct' Ai x ..... .
»
- C()n,trôl e de la gestio n de établi ssements departem entaux d'assista nce.
M aison des vieùll apds de Mont()livel
Tou~ Blanc he ..... . ........... .
410
410
foyer des Pupilles ............. .
M aison Mat ern elle ............. .
Internat ,Ia lque .............. . .. .
»
Bcole des Cadeneaux ........... .
411
In stitut des Aveugles ......... .
410
Tu,telole du Sanator,ium du Peti~ Arb ois 1 410
Tu telle de l'hôpHa l Psycltiat('que
d'Aix ..................... . ... .
411
f ixai io n des prix de j ou'rnée des établissements publ ics et privés ag réés
de cu re, de soi ns et d'hé-bergement
409
de vieitlards .. .. ............... .
- Assistance aux aliénés. Mesures de
411
police ......................... .
- Dons et Legs soumis à au.tori sa tion
410
admin istra tive ............. .. .. .
409
- Stations c-Iassées ct taxes de séjour ..
-
Lois d'assistance . Etablissements
publics et privés d' Assistance et de
Bienfaisance.
Chef de Division: Mme M ~y rargue .
Chef de bureau
M. Br,isac.
-
-
TROISIÈME DIVISION
l'Assemblée Départe.
Centralisa tion <le tous les ra,pports' à
ex am i ner' pa r la Comm ission Dé pa rtementale ou le Conseil Gén raI ..
Avis du COl\t rôle des Dépen ses E.ngagées ........................ _.
Convocations extraordi naires du Conseil Général ....... '. . .. .. .. .
Rapports annuels des chefs de Service du Départemen t. (Cen tralisation - Impress'o n) .
-
Porte
2" BUREAU. -
Secrétaire Principal:
M . Chauvet.
-
463
-
RETRAITES. -
- 148
1
Réali5ation des emprunts ... . ...... ' 464
Paiement des anmlités . ........... .
463
Tirages au sort des emprunts par
souscJiption publique .....' ..... . .
Recettes Départementates.
Emission des titres de recOUvrement,
produits éventuels ". _. , . , ..... .
Autorisations de p oursui tes . .... .
_ fonctionnaire s de La Réunion en
co ngé en, France (Embar·quemen,t,
solde, prolongatio n de congés)
_ Rapatriement cjes indigents des (Iépa rtements d'Outre-M er . . ......... .
3' BUREAU. -
Chef de bureau :
M. Roux
Emprunts départementaux :
-
420
420
420
263
263
263
Budget et Compte Département al
,
420
427
427
427
M inistèr e (ie l'Agriculture
,
,
420
Sepvices judiciaires ..... . .... .
Aùmiflistrati.on pénitentiaire ... " ..
Education suweiHée ............. .
Solde:
Personn el titul a,re, auxiliaire, con '
tractuel de l'Etat ... ............ .
Personnel ti tula ire, auxili aire, conr
tractuel du D épartement ....... .
Paiem ent du personn el ...... ...... .
Déclarati.on5 de re venu s . '
T cléphon.e
Liaison avec les Départements d'Ou·
tre· Mer (La Réunion)
Ministère de la Justice
»
45
DEUXiÈME DIVISION
fINANCES ET COMMUNES
Chef de Division : M. 1mbert.
l~ BUREAU, - 'Cbef de bureau :
M. Eysseric ..... .
flNANCES DE l'ETAT
REGLEr.ŒNT DES DEPENSES
Ministère de l'Education Nationale,
Enseignement . .. .. ........... .... ..
Hygièn e SColai re .....• ... ..... .
Bibliothèques ..... ..... . .. .
Arclùtecture ............. .
Jeunes e et sports .. . ........... .
Ministère de la Santé Publique
et de la Population
-
Porte
Liaison administrative avec la Cr()ixRouge Française et l'Entr'aide
françai se Départementale .... .
Assistan·ce aux tuberculeux ....... 1
Aérium - Préventorium ' Sanatoriulll
Assistal>ce aux d·éficients physiques
ct 'co nvalescents en colonies sani-
190
1\/0
WU
taIres perm anentes. en maisons cie
convalescence ct de repos ...
.- Agrément d'établissements de cure 011
de con.va·lescence rrivés el de maisons pour anormaux ., . . . . . . . .
Caisse d'Epargne ~s B.-du·Rh ... . .
.- Constitution des groupes d'épargne..
190
190
�6
7
_P
_O
_,_to_ 1 TeIéphon<
-
QU.-\TRIÈ.\lE DI\"lSION
Chef de Division : M. Nobili.
• •, BUREAU. -
-
-
-
580
Chef de bureau :
M. Bouisson . . ... .
Sl'crétariat de la Commission Départementale de contrôle des opéfations immobilières et de regroupement des locaux à usage administratif ......................... .
Demandl'S d'admission au droit de
réquisition à titre exceptionnel ..
Etablissements classés - Hydrocarbures ....................... . . .
Etablissements classés
Instruction
des dossiers ................... .
Transformatio n de locaux à usage
d'habitation en locaux destinés il
d'autres usages .. ............... .
Liquidation des d~penses d'occupation ................. _....... ' ..
209
186
584
•
Réquisitions de logements ...... ... .
Commission départementale d'évaJ uation des réquisitions. Echanges
d'appartements ................. .
Sursis à expulsions domiciliaires '.
2' BUREAU. -
Chef de bureau:
M. L ombard ... ... .
368
>
368
•
•
547
140
548
234
•
234
>
7
234
144
8
229
9
223
3 BUREAU. .. Chef
de bureau
M. Padovan-i.
578
115
Industrie et Commerce.
-
Brevet d'invention .... ....... .
Energie - Electricité .. ........ : .... .
Création et extension de Soci.étés
anonymes ..................... .
Ca·rtes de commerçants étrangers .
Cartes de voyageurs de commerce ..
Professions réglementées .. ..... .. .
Cartes de qualification pmfessionnelle de coiffeur ............ .. .
Agents de change ................ .
Courtiers maritimes ............. .
Magasins Généraux ... ..... . ...... .
In struments de mesure ....... . ... .
Chambre de Commer<:e ....... .. .. .
Elections consu laires ............ .
Expositions, foires et s"lons .. ..... .
Education Nationale
- Corps enseignant. Locaux scolaires
- Enseignement primaire .. ......... .
- Caisse des ~oles ... ... ..... ..... .
- Etudes surveillées .... ........ _... .
- Ecoles privées .. ' ................ .
- Enseignement post-sCOla ire agricole ..
- Enseignement secondaire ......... .
- Enseignement supérieur .......... '" 1
- Enseignement technique ...... ..... .
Porte
5
•
6
549
»
6
•
•
231
231
•
»
210
•
•
•
•
•
»
»
•
•
248
»
•
»
•
•
•
5
•
»
•
•
231
---
Téléphone
Port e
»
»
»
•
•
1
5
»
»
»
»
»
»
•
»
»
»
».
248
»
•
»
»
248
•
•
•
»
»
, »
•
•
»
>
»
Chef de Division : M. Lods.
-
-
•
•
483
137
488
138
490
139
»
»
49 1
491
490
49 1
490
173
139
173
139
•
•
490
139
»
•
•
»
»
•
173
»
»
•
•
490
139
Chef de bureau:
M. Royère.
Service du Personnel.
-
-
-
•
49 1
Chef de bureau
M. Lartigue
Affa ires militaires (sau,f allocati0l's).
Concours d'accès aux grandes Eco les
et aux empl ois publics ......... .
Dénombrement de la population Démo~raphi e .. ........ . ... .
Elechon s po litiques ... .. ... ....... .
Associati ons (loi du 1-7-1 901)
CUiltes et Congr€gations ....... .
Annonœs judiciaires et légales ..... .
Contentieux gén€ral ... ........... . .
Médecins ,phtisio logues ........... .
Mutualité . . . .
. ..... .
Medai,lIe d'Ihon'll eur d,u travail ..
Auto risati'on de démolir ......... '.
3' BUREAU. -
-
1" BUREAU. -
-
Chef de bureau:
M. Monteil
Routes nationa.les ............... ' ..
Service vicinal ............. .
Chemin~ de fer et t r"mways ..... .
Ports ... ...................... . . .
Bases aériennes et aéro-na va les ... .
Code de la route ......... ..... . .
Cours d'eau - canaux ..... . ..... .
Associations syndicales d'arrosants .
Travaux publics, ad judic abons et
marchés ............. .
Exp'opriations, COlnmissions Mbhtrales d'évaluatLon
......... .
Domaines publ i,cs de l'Etat et du Dé ·
partement ................... .
Pêche fluviale et police des eaux ..
Chambres de Comm erce (Budgets) ..
OutiJlage des ports ............... .
D ocks el Entrepôts ............... .
Réseaux de distribution d'énergie
électnque ............ .... .. ... .
-
»
»
•
Mines et ca rr:è re s ............... .
Reconstruction ........ .... ....... .
Dommage$ de guenre .. . .......... .
Transports •.. ....................
Vé hi cUiles automobi les: ca rt es grises.
Pe rm is de co nduire ............. .
2' BUREAU. -
•
»
»
•
_
_
_
-
•
»
»
_ P. T. T . ............. . .. ........ .
248
23 1
CINQUIÈME DIVISION
210
141
141
210
6
•
ComLté déPartemental de l'enseignement technique ........... .. .... .
- - Examens - Cl'rtifi cats d'aptitude professionnelle .................... .
- Brevets professionnels .. ... . . ..... . .
- Orientation professionnelle ........ .
- Taxe d'apprentissage. - Demande
d'exonération •........ .. ........
- Bourses d'enseignement ........... .
- Bourses d'enseignement supéri eur ..
- Bourses d'enseignement secondahre
- Bourses des Cours com.plémentaires ..
- Bourses d' enseignement techni que
~ Bourses des Beaux-Arts et Musique ..
- Bourses d'édu<:ation physique et d'artisanat rural .................. . .
- Beaux-Arts et écoles s'y rapportant.
- Théâtres .. ....................... .
- Encouragement aux Lettres et aux
Arts _ ................... . ..... .
- Sites ........ . .. . ................ .
1
COll1lmiss io n départementale des sites.
- Réglementation de l'affi ohage ..... .
- Monuments historiques .......... . .
- Musées et bib liothèques ...... , .. •. .
- Jeu nesse et Sports ............. . . .
- Offices Municitpa.ux des Sports . . . .. 1
- Ecoles de sports . .... ... .... ...... 1
1 -::. ASSOCiations sportives '" ......... .
- En couragement aux sports ... .
- Colo nies de vacances ..... ........ .
Education populaire
Foyers ruraux ..
1
»
»
49 1
4H2
484
»
~ti6
486
301
495
238
486
497
495
301
262
238
»
»
»
»
262
»
498
497
214
262
303
155
302
165
301
-
Chef de bureau
M. M ayrargue .. .
Agri culture.. . . . . . .
. ........ .
Prix du pain et f"rines .... . ...... .
Services agri coles ....... . ·········
Baux rurau x ..................... .
Ca.lamlfés publi ques ........ ·······
Habitat et Génie Rural ........... .
Répre sion des fraudes . .... ...... .
Chasse ... . ... .. ........ ·· ···· · ····
Forêts .. .......... _. ..... . ...... ,
-
-
104
302
165
Chef de bureau :
M. Fiastre ..... ..
Tra va il - Chôm age. . . . . . . . .. . ... .
Synd :oea ts professio nrrels ........ ... .
Emploi obligatoire des mutil és ... .
542
507
•
•
•
•
534
»
178
131
•
»
»
•
•
215
543
157
502
143
»
•
303
145
458
107
453
459
449
445
444
43 bis
445
455
235
192
188
183
187
242
458
107
DIRECTION DES SERVICES
TECHNIQUES
Directeur : M. DaucJé.
1-
•
305
471
Tourisme.. .......
. ........ .
Liquidation du Ra vitai llement .... .
Cart es professionnelles: commerçants
en bétail, vi'andes et produ its dérivés et ùes commerçants en prodUits
. .. . ........... .
lail.ers .
Infractions à la lég i.slation économique . ... ............. . ..... . ... .
Epuration dans les entreporises
AmNioralion de J'h abitat ... .
Prix et taxations ........... .
Meublés ................... .
3' BUREAU. -
•
»
Bâfi,ments départ emenlaux ...... ... .
Comptabil ité - Secrétariat
In stallations lechniques ........... .
Materiel - Economat ......... . ... .
Mobilier départemental .. ' ....... .
Parc autos... . .. . .............. .
Service iullé ri eur
.......... .
Urbanisme - Lotissements .... . .... .
Régi e départemenlale du cana l du
Ve rdon, à Marseille ........... .
Régie dé,partementale du ca na.! du
Verdon, à Aix ........ ........ .
Permi s de constru ire (collectivites pu11liques) ............. . . ...... .
183
247
3-23
452
211
ARCH1VES
DÉPARTEMENTALES
361
DEPOT DE MARSEILLE (Préfecture)
-
Archiviste en chef : M. Vi.IJard
197
Archiviste adjoint : M. Baratier
Bureaux .. ...................... .
198
370
DEPOT D'AIX (Palais de Justice)
Agriculture _ Liquidation du Ravitaillement - Prix - Amélioration de l'habItat Travail.
1" BUREAU. -
-
154
DI VISION
Chef de Division : M. Sauvaire
-
238
»
Tél éphone
2' BUREAU. -
173
333-335
496
497
495
Porte
139
»
,
Personnel d'Etat (titulaires et auxiliai·res) •. ........................
Personnel du Département (titula"~es
et auxiliaires) ..
. .......... .
Con,gés (anll1u el, ,de malad ie, disponibi lité) ............. . ........... .
Contrôle médical - Commission de
réforme ....................... .
Etabli ssements
départementaux
Montolivet T Ollir Blanche, Foyel
des puphlies, Cadeneaux, Troi sLucs In sti·tu,t Départemental d'aveugles, In st itut de ba cté ri ologi e.
Sécurité Socia le ......
Régie départementale des Chemins
de fer et trolleybus électr iques des
Bou ches-du-Rhône ............. .
srXlÈ~1E
490
T ~ Itl'honc
Sous-archiviste: M. Roux
535
o
504
505
109
»
»
»
»
»
»
»
110
-
........ .
Conservation, études, classement et
inventaire des documents historiques antéricLLrs à l'an Vili (1799-
1800)
. . . . . . . . ..
... ..... .
Conservation, classement, in ~entaire
et triage des documents en provenance de la Préfectu re ct de tous
autres Stlrvices pouvant eXister
dans le Département depuis l'an
VII I ..... ........ . . . ......... .
Conservation et classemerut ?e~ a:~hi
ves notariales depUIS le XlII slecle
~i~I~~ .... . ...... ..... .
0-05
�-
8
-
Periodiques officiels el bibliothèque
documenta ire su r l e Oepan run en t
et la Région .. ' ........ . .. . ... .
T outes questions ayant trait aux
archi\'es des Sous-Pr'éfectur es, COOl
munes et hôpi taux . . . . ... .. . . . .. .
_
_
_
_
CE. T RE ADMINI STRATIF
ET TECHINIQUE
INTERDÉPART EMENTAL
l , ru e Armény, 1
Secrétaire Général
M. REY, SousPréfet. Ch ef du C.A.T .I.
S tandard
CABINET
Se~ r étari a t particulier ......... . . .
Cou rrier . ...................... .
Gestion du personnel du C.A.T.I. .. .
224
Dr. 11-87
Dr. 89-43
11 9
123
Chef de Division : M . Bonneil
SECRETARIAT
bureau; M . Pez
Administration Générale :
Etatisation . . . .. .......... . ...... .
Indemn isation pour pertes d' effets ..
T ra nsfert de cor ps ... . ........... .
Tran~ort des personnels de Pol ice ..
(Bons de transport Car tes de
Chef
11 9
de
A~'::::~rv~~ . . . . . . . . . ..
Contentieux :
Aocidents (a ~ x tiers table ) ...... . .. .
-
24 1
224
DIVISION ADMINISTRATIVE
15, rue Lou is- Ma urel
······1
-
Accidents du travail :
Pourvoi en Conseil d'Etat ..... . ... .
Requi sitions .......... . ........ .
Documentation - J. O.
Effecti fs - Cartes d'iden tité pro fessi onn ell es - Plann ing - Archi ves.
Recrutement :
Examens
. . . ' .......... . .
Consti tu tion des dossie rs de ca'n'cii ~
dature . . ... . ...... . ... . ...... .
BUREA U DES FINANCES
Chef de bureau :M. M aranges
Budget :
Gestion des cr t'di ts nécessa i res au
pa iement des d6penses de fonctionnement des Services de Police . ...
Dépenses de Personnel \
Li quidation et ordonnancement .. .. ..
Alloca ti ons de maternité ......... .
Allocat ions prénata les ... . . . ...... ..
Capi tal décès ... .. .. .... . . . ...... .
Trai tement et in demn ités des fo nctionn J ifes de Sûrete Na tion a~e c~
de Poli ce Régiona le d'Etat ..... .
Dépenses de matériel :
Ma ndate ment des dépen ses de matér iel (mémo i res des fo urn isseu,rs)
lranmis par Di vision T echn ique,
des T rans missio ns et Médi'cal . ...
Régie d'avances :
DR. 49-45, .DR. 33-23, FE . 24-9 1
Au,fomabi que Préfecture : 175
Inspecteur Divisionnaire
Directeur Départemental de la Santé
Docteur Goull ey . . . . ... .. .. . . . . .
Inspecteur Principal de la Santé : Mme
le d octeur Vale nsi . ... . . ... .... .
Inspecteur de la Santé : Dr Gévaudan
Inspecteur .de la Santé: Mlle le docteu r
Strenn a ................. .. ... . .
.-
119
-
-
Aoq uisition, location , réq ui si tion des
loca ux desti nrs aux Servi'ces de
Po lice . ....... . . . .
Dossiers et fi chiers de; ' i ~I~'e'u'bl~;
occupés par la Poli.ce ... . ... . .. ..
Pr~g r a Jl1 m es d'a ménagement des bâ·
t lm ents, travau x d'a mél ioration
et
d 'en t retic~
d'agrandi ssement
co urant ..........
. ......... '
2e BUREAU : HabiUement . Equipement·
Matériels divers et sub·
sistances.
A pprovi s i ~ nn ement des magas in s p ar
Ill1 ter medl al re des magasins centraux .. .. . . .......... . ....... .
Répar titi on des eff ets ........... .
Ent retien et répa ration <les effe't~
(ate lier de tai lleu r et ateli er de cor~
do nneri e) . '. ..... ..... . . .. ..
Réfo rme des effets .hors d'usage . . .
Ailln enta tion du Per so nnel de l a Pol ice . ..... . ...... . ........... .
3e BUREAU : T ransports et armement.
Contrôle de l'utili sation et de l 'état
d~ fonctio nn ement des arm es et des
veh i cules ............. .
En tretien et réparal ion du m'~té~i'e 'I ::
ApprOVISIOnnement en
ltiaues.
ca rbu rants, Jn !! r~rli."t, . f n;'~ "-'-:
13
9
3
04
3
5
005
-
Il
08
1
-
-
Service Départemental de Désinfecfection ........ . . .. ........ . .
(Cadre régional et départemental)
G. 39-10
169
•
-
(B : du- Rh . - A.- M. - B.-A . - Corse
Var - Vauclu se)
_ PerSO nnel d'Etat -des Se rvi ces ex tér ieurs d u M in istère de l a SaJ!lté Publique des BOUiClhes-du-Rhône ....
__ Counri er recepbi on, rèpà.rti tion, visa
des rMa·c tions ........... . . . ... .
Burea ux Ill unl c1paux d'll ygiène
12
Etablissements therlll aux .
»
»
Désin.fecti on
»
Vacci nation .. . ....... . ... . ...... .
Dératisatlo n
»
Cli-n lques privées
Epi d é mi o l o~ie et ))ro ph yl axie générales .. ..... . ............ .. ... .
»
Hygiène alLmentai re .. . .... . ... . . .
»
Pol ice médicale et ))harmaceuti que ..
4
Opticiens ... . . . .. . .... .. ... , .... .
»
M édecin s assermentés . ...... . . . .
»
Rel ati ons avec l es ordres régionau x
et départementaux des médeci ns,
pharmacien5, sages- femmes et les
»
sy ndicats .......... . .. . .. . . . .. .
»
L aboratoi res medicaux ... . ... .. . . .
Com i té médical départemental : con. gés de longue du,rée des fonctionna,i,res, mises en d,ispoo ibilité, réin15
tégratio ns ..... . ..... . . . . . . .. . . .
........ . ......... . .
10
Comptabili té
Statistiques : déclarations ma:ladies
co ntagie uses, morbidi té, enquêtes
»
épidémiol ogiques, vaccin ations ..
Courrier (a r rivée et départ) . . ..... .
14
-
CIRCONSCRIPTION SANIT AIRE
DE MARSEILLE
Chef de Bureau : Mme F ~esse n o n
Porte
-
66 a, rue Saint-Sébastien
Frais de Poli ce . . ...... . ........ .
Frais de t ranspor t . .... . .. . .... .
Régie de rece ttes :
- Cession d'effet s . ...... . ... . . .. .
- Remboursem ents redeva nces téléphoniques ................ . ...... .
- Remboursement f rais oœ asio n:les par
la partic ipati on des personnel s de Police à certai n
serv ices d'ord re
assurés lors lie mani [estati ons ....
DIVISION TECHNIQUE
7, Rue Mou ll et
Chef de Division : M: Jeannlo..
Secrétariat
Courrier .......... .. ....... . ... .
Diffusion des i n st ru ~t i ons .. . . . . . . . .
Documentation ..... . ......... , . .. .
M ission s et déplacements ..... . . . . .
ter BU REAU : AUaires Mobilières el
Télép hone
DiRECTION
DÉPARTEMENTALE
DE LA SANTÈ
Frai s de dép lace ment ........ . ... ..
Immobilières.
,
Porte
119
-
-
à eux impu·
9
Tétéphone
Tél épbon.c:
P ortt:
Plan d'équipement hospitalier et 50-1
cial
.. . .. ............ . .. . .. . . .
_ C omm~ssion Régionale d' Acti on Sanitaire et Sociale . . ... : ...... .. . .
- Co;"m ission Régiona,le d'agrément
des Etabl issem ents ,privés ... . .. . .
- Centr e de bransfu sion saruguine . . . .
- Centre anti-can céreux ......... .. .
questions techn iques (ca- Hôp itaux
dre dépa,rtemental) ..... . ....... .
- Concours médicaux hospitaliers ... .
- Pr-ofessi'oos p a r a~m édical es (examens)
- Hy,giène sociale
enquêtes et ques.......... . .
t ions diverses
- Stéri l isati on des caux d'alimentation
- M atériel américain ............ .. . .
........ , . ... . . .
- D ocumentation
- Classem ent .... .. .............. . .
- Conrespondant Sécurité Sociale . . . .
_
15
8
Chef de Bureau : M. POll·lard ....... .
-
-
Personnel ...... . .. . .. . ......... ,
COUl'ri er (réception et répartition) ..
-
Co nseil Départemental d'Hygiène
Rédadion
...... ..... .
-
Bu dget contingent ...... .. .. .. .. .
Commissions sanitaires. , . ........ .
7
03
12
02
,
»
»
»
»
»
»
»
»
»
05
»
»
»
»
8
06
~
5
14
5
Chef de Bureau : M . fr ançais
8
09
Primes d' all aitement .. . ........... .
Femm es en couches ........... . . .
Primes d'assi duité .......... ... .. .
Contrôle médica l social de l'A. M . G.
Ch aîn e d'embou teil lage du ,lait ..... .
1
»
CYT
»
»
»
»
»
8
09
INSPECTI ON REGIONALE
D ES PH ARMACIES
In specteur pri nci pal : M . W ilsonCa rli ... . ................... .
Inspecteur principa l : M. le professeur Péli ssier ................. .
003
HY GIENE PUBLIQUE (loi du 15-2-1902)
02
PROTECTION MAl1ERNELLE
ET INfANTILE
-
2
Télépboo.e
17
Sous le contrôl e de la D. D. S. :
,Centre de propagande d'éduca~ion sani taire : M . le docteur Cavaillon . .
Cen tre d'études d' hygiène (section
nutrition) : M me Dejean ...
SERVICE DEPARTEMENTAL
D'HYGIENE SOCIALE
66 A, Rue Saint-Sébastien
D R .;2-22 DR. 32-41 DR. 43-68
PRo 03-31
. 331
Clzef de bureau. Mlle C~rretier ... .... .
Médecin - Cltef des di~pensai,.cs anlffuSta~ JalJ
.-
",
...
19
004
�10
Il
Porte
POTt~
Télt!l'hont:
Télép hone
Porte
Protecbon de j'Enfance inadoptl'e
(Association régionale) . ........ .
Economat :
39
Placements Maisons de Repos . .
-
Placements aux Etablissements ci·~
Cure . .. .......... _....... . . .. .
-10
Centres de placements nourriciers ..
Secrétariat Administratii ......... .
Comptabi lité ... . . . . . . . . . . . . . . .• . ..
15
38
17
9
Personnel départeme ntal - Econom at.
7
Cou rrier - Récept ion ............. .
-
3
Médecin-chef: .or Bourret ........... .
-
-
Fichier sanitaire et social de la Pros• titution .................. . .
Laboratoire départemental d·analyse .. ,
directeur : Dr Fricker . ...... .
Chef de bureau: M. Bla nc ...... ..... .
Bactéri ologie .. ............ . . . .. . .
Sérologie . . .................. .. . .
Epidémiologie antivénérienne .' .. :.
. 10
Dr. 83-79
13
Dr. 83-52
fi à 15
2 et 3
4 et 5
Dr. 71-29
.-
Mareh~
-
66a, rue Saint-Sébastien
Rez-de-cllaussée
bureaux 4-5 et 6
1er étage : bureaux 20 à 37 indus
Téléphones
DR. 43-68. Poste 331
»
DR. 66- 20. DR. 30-93
-
Inspecteur Divisionnaire de la Population : M. Marchal ........... .
21
Dr. 56-2\,
Inspecteur Principal de la Popula'
tion : M. Ouvrier ........ .
27
Dr. 30-93
et 240
26
425
Inspecteur adjoint: M. Pel oux . .... .
28
424
Inspecteur adjOint : M . Cambriels
33
429
-
-
22
Contrôle des lois faminales ..... . .. 1
Associations familiales - Service so- 1'
cial - Travailleuses fanùliales . Enseignement ménager familial ....
Examens et Dourses (diplômes d'Etal
d'assistantes sociales - de travail·
leuses familiales - de monitrice el
de professeur d'enseignement mé·
nager familial) .... ... . ....... .
En e:gnement démographique - Introductian des famlliles étrangères "Iaturalisatlons - Assimilation
20
Ad~p\iio n s et légitimations adoptives.
-
Epiodémies - 'Désin5ection - Vaccinations ' ....... .................. .
-
Survei ll ance du Foye r des Pupilles el
des M aisons Maternelles ... .
-
Carnets d'identité de forain s, nomades ................ ....... .
-
ConseH de famille des Pupilles
-
Récépissés de marchands ambu,lants.
-
Recherc hes dans l'intérêt des famiHes.
-
Mandats (Pensions, ret rait és dépa rtementaux) ..... . ...... .......... .
331
Secrétaire en chef: M. Nicollas.
(Téléph. 19 ct 20, à Aix)
Comptabilité
mémoi~es,
répupérati on sm l' Etat et les dépa r tements
étrangers ...................... .
34
33l
M andatement des pen sio ns aux gardiennes et nourrices . ...... .
34
331
Sous-Prefet : M. Gleize.
(Téléph. 22 et 69 Arles)
431
Secrétaire en chef : M . Helier.
(Téléph. 22 et Q9 Arles) . ..
-
Com ptab ilité . ... .... ......... . .. . .
36
331
-
Service des allocations temporaires
rez - de-chaussée ,"
33
429
Allocati ons mensuehles tem.porai res Secours 1er beso in ............ ..
5
331
-
Placement des pup'lies ... . .... .
Enfants confiés par les Tribullaux
gardes prov isoires ou définitives ..
Rédactio n ....
. . .............. .
SOUS-PRÉFECTURE D'ARLES
1
N.-B. : entre les heu,res de 'burea.u, le
22 est branch é sur l' appartement de
M . le Sou s-Préfet et le 69 sur celui de M . le Sec rétalre en chei.
•
331
331
-
Secrétariat particulier ........ .
-
Consei,ls mun idpaux (démissions, ins...... ... .
tallati ons)
Rapports de police
25
et 29
331
4
4
4
32
Etablissements classés . ' ..
240-331
Recen.semen t des pigeons voyageu rs.
-
Permis de cOt>duire - Cartes groses
pour autos ..................... .
-
Casier
3
,
élector~1
.................. .
de
Statistique annuelle des Bureaux
Bienfai'sance et Hôpitaux-Hospices.
Passeports .. ............... . .. ... .
Etran'gers (autorisation de sèjolhr,
expu,lsions) ................ . ... .
-
EJCpulsions domi.ci liaires - Réqui sitions logements ........... .
-
Prisons ...... .
. ........... .... .
Interdits de sé jour
Police Générale (Ioter,ie, courses cyclistes, chevaux, elc ...) ". . .....
Police médicale .................. .
-
Traitement et rec lassement du personnel communal ... . ........ .
-
Associations (loi du 1'7-1901)
-
Syncticats professionnels .. ' .... .
-
Sociétés de Secouors Mutuels .. .. .. . .
-
Distinction s honorifiques
-
Méd<lJihies d'Honneur du Travai l ....
-
Beaux-Arts .... . . ..
-
Médaille d'Honneur lJépartementale
et Communale ... . ... . , ... .
-
Casinos ............ .
426
-
Commissions admin istratives des hôpitaUX-hospices et Bureaux de Bienfaisance . . . ." . . . . . .. . . .
33 1
-
Economat ...
3JI
33 1
-
331
331
Contr ôleurs adjoints départementaux
des lois d'Assistance.
M. Bernard ....
M. Bùudouresque
M. Sibol d ' .................•. ...
Assist:tntes sociales .... ...... ... .. .
25-27
Commi~s i ons sanitaires ..
Attributions des Services
des Sous-Préfectures
1
30
AI,ie nés .......... .
-
35
Bureau recevant le puhlic ......... .
-
Sous- P~éfet
424
331
Assislance . .. ..
Comm i ssions di verses .. .
Assuran ces socia les ga rdierunes et ·pupJlIes ......................... .
23
-
-
: M . Ri<:hardot.
(Té léph. 19 et 20, à Aix)
Chef de bureau: Mlle Durand . .. .
Naturalisations ................... .
429
33 1
6
-
Contrôle des lois d'assistan ce
SOUS- PREFECTURE D'AIX
Ré<:ept ion des demandes de secouors Distribution des ca rnets. P.rimes de
légitImation .. ......... . ....... .
Travaux pub l ics
-
331
28
INSPE.CTION DIVISIONNAIRE
240
425
35
Admiss:ons des pupilles, des enfants
recuetlhs temporaIrement _ Admision clans les Maison's Maternelles
1
Co ntorô'le des hôp itaux, des œuvres
pri vées . ' . . . . . .
. ....•. .
Récupération all ocatio ns fa miliales el
participation des fam.;\les ....... .
Co~tra.ts des pupilles - Deniers pu-
-
430
-
Achats - Ad,j udications"
.... . .................. .
Distribution des vêtures et· com.pt~
bilité matière des entrées ~t sorties
Etablissements de bienfa,' sa ncc (bud............... .
gets) . '
424
427
plU3.lres ......... ......... . .... .
-
Inspectrice de la Population : Mlle
Favard ............... ........ .
34
Attributions incombant aux Inspecteurs et Inspecteurs adjoints:
•
-
Co n t,rôle et tutene des pupi ll es
Liquidation des dépenses .. ....... .
Vêtures -
Porte
-
Bu'dget départ ementa l assistance à
l'enfan ce ...... . .. .......... .. .. .
Traitem ents du person ne l . ....... .
-
DIRECTION
DÉP ARTEMENT ALE
DE LA POPULATION
-
33 1
SIatistiques . . .... . ...... ...... .
-
Chef de Bureau : Mlle Brémond ..
24
Chef de bureau : Mme Ce-rvo ni
LuNe antivénérienne :
-
20
INSPECTION DEPARTEMENTALE
DE LA POPULATION
Service Sodal
:\ssistante sociale chef: Mme NOEL ... .
Assistantes sociales ... . ........... .. .
(81, rue Edmond-Rostand)
-
Secrétariat " .. ............ . .. . . .
Télépbo~
Bureau ouvert d'abandon
Plan d'équipement social. Subven
tions. Fonnation des éducateu rs
-
1
42ts
Elections (pohtiques, communales,
Chambre de Commerce, prud'homales) .. ........ .
-
Affai res militaires ...
Aftai~ commu nal~ (à l'exception des
-
Chasse - Pêc he ..
traitements des personnels commun
-
Enquêtes administratives.
Téléphone
�Janvier t 95 l
1
,PREfECTURE DES BOUCHES:DU-RHONE
INDICATION ' DANS L'ORbRE ALPHABÉTIQUE
DES ATTRIBUTIONS DES DIVISIONS ET SERVICES
,
•
ATTRIBUTIONS
Bureau
Divi sion
A
t
10
Hléphol>C
139
Stan liard
130
301
24l!
210
110
164
308
163
213
131
238
368
370
281
261
190
106
163
161
238
227
139
Standard
Standard
173
366
262
196
B
•
•
. --
Bâtiments communaux
.. . .. ' ... .. .
Bâtiments départementaux (Se rvices Techniqu es) ............ ... . .
Bases aériennes et aéronavales .. .. ......... , ....... . . ............ .
Baux rurau x .............. ,. .... .... .... ...... . . .. .
Beaux-Arts .... .... .... .... .... .... ....
. ................ .
Bibliothèques ...... , ...... .... ... .... ........ . .. ............. .
Bourses d'En seignement: Enseignemen t supérieur. En~elgn e~ent secondaire. _ En seignement techn iq ue. - des Cours Complementai res. - des
Beaux-Arts ct M usiq ue. - d'Edu cation physique et d'A rtisanat rur al ... .
- Brevets d 'invention . . . . . . .. ....... . ......
. .................... .
- - Brevets profess ionnels. . . .
. . .. ....
. .... ... ..... .
- Broca nteurs. . .. .. .. . ....... , ..... .....
., ...... .
- Budget e1é-p artemental .... . . . . . .
....... .
. - B udget des commu nes ...... . .. . ......... . ........... .. ....... .
- Bureaux de tabac, . . .
. .. .... . . . .. .. .
'- Bu reau de Bienfai sance ou d'Assista nce ..... , ........ ' ............... .
C
\
Po:-tc
Adjudi ':ations et mar'chés . ... , . .
S"
1"
1
490
Affaires con,fidentielles 'ou secrè tes.
Ch;ff ;~ . : . : : : : : : : : : : :- : : : : : : : : : : : .
Cabinet du Prélet
Affaηres politiq ues.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . ...... .... ! .. . . ... . ....... .
Cabi ne-! du P rèfet
Affaires militaires (sauf al,locations) ................... , . ... . ...... . .. . .
sm.
2 ... •
486
Affichage (réglementation) ..... . ..................................... .
4 m•
3m o
1
Agents de ,ch an ge ......... .......... . . ......... . . .. .. .... . ...... .
3""
6
Agriculture . . .. .... .... ..,. . ... .... . ... ' ,. .. ... . . , .. .... ..,.
1"
S05
~~.
411
Aliénés (Assistance et mesures de police) , . .................. , .. , . . ... . "
Aitocations de maternité .. . .. , ..... ,., ., ...... . ... " .. . . . . . ,., ..... . ,.
1"
408
Allocations de compensation aux travailleurs aveu,gles .... .. .. . , .... .. '
47S
1"
Aitocations militaires . , ................. , ........ . •.. , ., . , .... , . . . .
1"
478
Améliorations de l'habitat .. , . , .. .... . . , ...... .. .. ", .. . ... . , ...... .
2"'
S01
6"'
sm.
Annonces judiciaires et légales .. , .......... . . . ............. , ......... .
2"
495
Appartements (échanges) " .. , ..... , .• , .. . , , ... . , .. ,." ........... .
1"
S84
4"
Archives départementales ....... , . ... , .. , .. ..... . ...... , . . , .... . ... .
Archives départementales
Armes (réglementatiOJI' des) .. . ............. , .... ... . ......... , ........ .
1"
117
1"
1"
474
Assistance à la fami'i1e . ... ... . , • ..... .... . ........... .... , ... .. .. .
3"'
Assistance aux déficients physiques et conval,escents en colonies sa ni taires
4 ru.
3~'
. ..... .
permanentes, en maisons de convalescence et de repo s. . .
2m •
3m •
409
- Assistance Publique de Marsei,lle (tutelle de l'Admin,istration) ...
- ASSistance aux vieil,lards, infirmes et incurables (allocations à domi.cite et
47S
l"
3"
hospitalisations) ........ . .................... . ......... . ..... .
3'''·
3""
- Assistance médicale gratuite - A domi cile et ho spita lière .. , . .... . ....... . .
49S
sm'
2"'
_. Association s (loi du 1-7-1901) .. .. .. .............................. ..
1"
116
1"
- Associati ons -étrangè res ...... ...... ...... ..... . ...... .•. . .. . . ... .
490
1"
S"
- Associati ons syndi ca les d'arrosants .......... . .. ... . ... ... , . .. . .. .... . .
,Cabinet du Préfet
- Audiences de M. le P'réfet ....... . ............. . ... .... .. .......... .
- Audiences de M. le Secr,ètai re Génèral ............ . .... ............ .. . . 2abinet du Secréta,ire Général
482
5"'
1"
- Automobiles (cartes grises) ........... .. ............. .. . . .. . . "
1
484
S"·
1"
- Automobiles (permis de oCondui,re) .........•............ , ............ .
5m • •
497
2"'"
- Autorisation de démolir .......... , . ...... ..... . . . ,. . . ..... . . . .. .
2m •
110
1"
- Autorisat ions de mariage pour étrangers
. , .. . ......... ....... ..... .
,
,
1
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-
1
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Caisses de Créd it Municipal (Marseiite et ,'.ix) : Tutelle
Ca isses d' E,pargne des Bouches-elu-Rhône ...
Caisses des Eco les .... .' .... . ' ..
Calamités pu bliqu es
Canaux .... .
Ca rrières et Mines. . .. . .. ... . . . .... .
2'''·
3m •
Serv . T echniques
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Cabinet du Préfet
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SOS
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139
139
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15
Division
ATT RIBC TlO:-; _
il ureau
Porte
c
Cartes de commerçan ts e: artisans étrangers ...... . .....•.... . ...... ."
Can es Je t>f1 orité (familles nombreuses et mêres) .... . ... . ..... - ...... . . .
C:utes de voyage urs de commérce ... . .......... . .. . .. . ................ .
Ca~te~ d'identité (perdues <'u vnlées) ... . ..... :: ....... : ... : .: ..... . .... . .
:;artes d' identité des étrangers. - Cart es des r esldents prlv ll eglés ......... .
C:Hter de pro tégés françaIs. . . . .. ...... . . .... ...... . ... : . . .. :.. . .
Cutes profession nelles: comm erçants en bét ail, viandes et p rodUIts déri vés et
, ues commerçants en produi ts laitier s .. .. . ...... : .... .. ... . ... .. .. , . .
_ Cüemonies publiques. - Hon neurs et préséances .. . .. . . . ..•..... . .... . ..
- Cll1mbr ~ s de Commerce . . .. . . ..
, .. ' . . .. . . .. . ... .... .... . . ..
- Chamb l <s de Commerce (Budgets) ........ . ...............•.... . . ...
- Ch i! m vr~s de Com merce (electi ons consu laires) . . ... ... .. , . . .... . .... . . ..
- Chôma:{e, - Travail .......... .. ........ . ... . . .. .. .. .•.. . .......
- Chasse' .. .... . .... . '.... . . . . .... . ... .... .... . . .. . . ..... •..
- Chem ins de fer et T ramways ... . . .•. . .. . . . .. . ... ... . . ... . . . . . .. .
- Cin .'mas (police des ...) ........... . . . . . . . . ... .. ... . ........ . ... . .
Code de la route ................ . ......... .. . .. . , ., . ... ..... ..
- Col onies de \'acances ........... . ...... . .......................... .
Commissio ns arbi trale s d'éva luatio n .. . .. . ... . ......... . .... . .. . ..... . . .
Commissions départementales du contrô le de" opérations immobi lières et de
regroupem ent des baux à usage administratii. (Secrétariat) .. ~ .......... .
- Commissions bâti ments civils .......................... . .. , . . . •..... .
- Comm issions de réf orm e. - Contrôle médical ..... .. .. . •............ . ... .
- Commissi on départementa le de Sécurité ....... . . .• . ........ ...... .. . .. .
- Communal (Personnel) . . ..... .. ............................. . ..... , . .
- Communes (tute ll e des ... ) ........... . ....... .............. . ...... .. ... .
- Comm unes (tutelle admini strati ve -de l a Ville de M arseille) .............. . .
- Comptab ilité. - Secrétariat ........ ... . .... . . . . . . .. . . ...... . ... . .. .
- Concours d'accès aux grandes eco les et aux fon ctions publiq ues ......... .
- Con gê~ (annuel , de mal adi e, disponibi l ité) ..... . . . .... . .. . ..... . .. . . . . . . .
- Congrega \Jons .... .... .... .... . . .. .... ... . .... ... . .... . ... . .. .
- Constructions scruai res. - Comité d éparte m ~ nt a l ....................... .
- Contentieux généra l ........... . ..... . ........... . ........ .. . . ,.
- Contrôle des demandes de car tes de Musulmans i rançai s d'A lgéri e ....... , ..
- Con trôle des étrangers ...... ... .. . . . .... .. . ... .. . . .. ..... . . .. . . .. .
- Contrôle médi ca l. - Commi ssion , de r éforme ................... . .. . " .. .
- Courrier de la Préfect ure (récep tio n et répart ition) ... . .. , ... ............. .
- Cours d'eau. - Canaux .... . . . . ....
. . •. .... . .. . . . . .
- Cultes et Congrég ations
. . . . .. ...... ..
. . . . .. .
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4 n,~
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Serv. T echniq ues
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30 1
Cabinet du P réfe t
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Hygiène ,pub iique (Loi -d u 15-2· 1
ConseIl D épa~ teme nta l d'Hygiène .. ..... , .. . ...
.
Budge t contingen t . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . .. . ... , ..
Commiss ions santÎtaÎ res .. . ........ . .................. .
Règl ~m e nt sanItaire dépan-temental . ::.:: . ............... ...... ..." .... :
B~lr ea ux mu""cipaux d" hyglène . ' " , . . , ..
Etab lissements ~h e rm au x ....... .
. . ..
::::::: 1
D ési nfection .. . . .. .
........... .. .. . . , ............. .
Vacci nati ons .. . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . . .
Dérati sa ti on .. .........
. .......... , ....... . .. .
Cliniques ,privées .. ...................... . ............... . . .
Bpi<l émiologie et prophylaxie générale ......... ... ...... .
liygiène a1li mentai re . ......... .................... . .... : :': ... .
Poolice médica le et phanmaceutique ......... , .. " .... .
Op ti ciens ... .......... ......... . ............................. .
M édecins assel'm en tés ................... , ...... . ............ .
Relation,s avec les ondres régionau x et départementaux de s méde·
ci ns, pharm aciens, sages-femmes et les syoo ka ts ............. .
Laboratoi res médi" aux ...... . ......... . ... .. .......... . ...... .
Statistiqu es : déclarat ions mal adies " ontagieuses mo rbidi té enquêtes épidém iologiq ues, vaccin ati on s ........ ' .... . . . ... ' ...... .
Servi ce Départemental de Désinfection ... .
»
»
»
»
»
»
»
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»
»
11 0
173
227
173
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139
234
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185
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»
D ébi ts de boissons ........................ . . . . . . . .
D échéance de nationalité ........ , ... . ........... . ......... , . ... . . .
Décorati ons ........... . ....... . ..... . . . . , ................... .
Démogr aphie .... .... .... ..•. .... .. . . .... .... .... .... .... . . . .
D énombrement de la pop ulation . . .... ...... . .. .. . ... . .. . . ...., ..•...
D istinctions hon ori fiques et décor ations .. ............ . . ' . . .............. .
Dock s et entrepôts ........................................... . . . . .
Documents (communi ca ti ons, copies) ...... . ......... , . .. ............... .
Doma ine publi c de l' Eta t et du D épa rtem ent ... .'......................... .
Dommages de g tier œ .... .... .... .... .... .. . . .... ... . ...• ... . . .
Dons et L egs sou mi ~à autor isation admin ist ra t ive .................. . . . .. .
Direction départem entale de la Santé . ................... . ...... ........ .
»
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2 10
143
D
-
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131
210
173
Pl an d' équipement hospitalier et soci al '.' .........
. .. : ... . .
Commissio n Régio nale d 'Action Sanitaire et Sociale ............. .
Commi ssion Rég ionale d' Ag rèm.!nt des Etablisseme nts Priv és . . . .
Cen t re de transfusion sangu ine ............... . ...... . .. . .... .
Centre anti-i:ancéreu x . . ... ...... ........... ....... .......... .
Hôpitau x : Questions techn iques (cadre départementa l) .. , ...... .
Concours médicaux hos.pitali ers ............. ....... ..... , ... , ..
Professions pa ra',medica les (exarrnens) ......................... .
H ygiène sociale : En quêtes et questi ons di verses ............... .
Sté rili sati on des eaux d'an mentation .. .
. ............. .
Matériel anlé r içain ......... . ............... .............. . .. . .
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Cabin et dU 'Préfe t
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Cabinet du Pré fet
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173
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Archives D épartem entales
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410
1
15
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2S3
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139
360
Té l élJ h o n~
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Do: umentaii on . ... . ................ .
Co rrespondant Sé curité Soci ale
............... , .. .
Standard
491
6
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49 1
11 6
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Télt:phon.e
549
507
1
ATTRIB UTION S
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Pr-imes d 'all aitem ent
.. ... . ... , . .. .............. .
Femmes en cou ches
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P,rime s d'assLduité
". .. .. . .
. ............. .
Cont rôle M édi'cal Soc ial ,de l'A. M . G. ... . .. .. . , .......... .
Chaîn e d'embouteillage du lait ......................... .. . . .... 1
I nspection régicnale des pharmacies ......... .
,
•
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•
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»
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»
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»
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14
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8
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Protection maternelle et infantile
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»
8
09
17
0,04
Centre de propagande d'éducation san itai re .. .. .. .. .... . .
Cen'tre d'ét udes d' hygiè ne (sectio n nutri,tio n) ...
. .......... .
Service Départemental d'Hygiène Sociale .. .
Placements M aiso ns de Repos ........ .
Plac ements en Etabl issements de Cure .... .
Centre s de placements nou<rrici ers ... .
Setrétari at Ad ministrati f ...... .
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331
.
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Service SOCIal
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antivél1~rienn"
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Fi ohier sanita ire et soc ial de la Prost ituti on ..
Labor atoire
Départemental d'analyses
Bactér io logi e ..... .. '
Sérologie ..... .
Epidémiologie ant ivénérienn e
13
DR. 83-52
6 à 15
2 et 3
4 et 5
DR. 71 - 29
175
8
003
Direct io n dé'partem entale de la Population
... . .... .
»
Contrô le des lois famili ales ....... ' ...... .
»
Assoc iati ons familiu·les. Serv ice Spcia l.
Travail leuses fam
lia les. - Enseignem en't ,ménager familia l . .. ..
. ........ .
Examens et Î)rlllfses (diplômes d'Etat d'AssIstan tes Soci ales, de tra»
va illeuses familiales, de mon,it r lce et de prnfrsSéllr d'en seignement
. " . . . ' ..... ' "',' 1
ménager familia l) .... :. . ......
En ~eign emcnt .,iémobraph .~ue - IntraJucmn des la milles etra nge'l
»
geres. - Natlirails.Jt,ons. - Ass l mJiatlon ..
.... . .
»
Pn mcs d'asszduilé
1
331
20
331
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17
ATTRIIl UTI ONS
Division
1
Direction
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•
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Protection de J'Enfance inadaptée (Associatioo régionale) " ",' "
Plan d'équipement socia/.- Subvenllons,- formation des Edu~atellrs
Bud~et Départemental Assi tance à J'Enfance, , " , . , , ' ., .. , .... , , ..
LiqUida lion des dép~ n ses .. ' . , , , , , .... , . , .. ' . ' , " ",.'",, ' ,.',.
Statisti<lues " ... , .. "" ,." .. " ,." ." , ,, " .. ".'
Traitements du Personnel ." .. , ... "."." .. " ... ,.,.,.,""'"
ètures. - Achats, A<.Ijudications marchés . " . ' " . " " " . , . " , . , "
Récupérations, Allocations familiales et participation des familles ,., ,
.-\.ssurances Sociales, Gardiennes et Pupilles. , , ' ' . , . ' . , , ' ... ' , .... ' ,
Comptabilite : memoires - Récupe-rat ion sur l'Etat et les dopartements Mrangers .,. , .. ,. ""
" , .. , " " . , ",. ..,.,. . " ,
Mandatement des pensions aux Gardien nes et Nourrices.,." , , , , '. '
Di 'tribution des vêtures et comptabilité matière des Entrees
et Sorties .... ,. " " .. " ,... . .'., , .. , , .. , ,.,. ""
Contrats des Pupilles. - Deniers pup illaires ., ..,' ... , . , .. , . , . , , ' , .
Service des Allocations temporaires, rez-de-chaussee .... . ", ... ,."
Allocatiuns mensuelles temporaires. - Secours des besoins, , , , ... , ,
Reception des demandes de secours. Distribution de ca rn etsprimes de legitimaion , ... ' ... " .,.".' : . .' ... " " , ." , ., ' ,.,'
Admission des pupilles, des enfanls recueillis temporalrement. Admission dans les Mai sons Maternelles. , .. '. ' , ... ",. ' , .. ,. , , '
Bureau recevant le püblic .. , ... ,., ... ,. , .. , ,." " .. , ... ,.,.
Placement des pupilles. , ... " ..... "., .. , ... " .", "., ",.
Enfants confies par les Tribunaux Gardes provisoires ou définitivcs,
Bureau ouvert <.l'abandon (81 , rue Edmond- Rostand) " . " " , . , .. "
Contrôle et tutelle des Pupilles ."",., .. ,.".. ", ... ',."." , .,
Contrôle des hôpitaux - des œuvres privees , .. " " " " " , ' " , . " " ,
Contrôle des lois d'Assistance " " . , . , . , . " , . " , . , . " " " " . " "
Commissions diverses ,,' .... , "",.,. .,., ... , .,."", ... "
Adoptions et légitima tions adoptives ,., ...... ", ... " " " " .. "
Surveillance du foyer des Pupilles et des Maisons Maternelles , . ' , ' ,
Conseil de famille des Pupilles .... " " , .. ", .. "" .. ,." .. "'"
E
,
Ecoles des Cadeneau x (Contrôle de la gestion) , .... , ..... . ... , ..•..... , . , ,
Ecoles libres ou privées ,..... '..... ., ... , ... '., .. ' . . ' .... " ' .•. ,.
Education populaire .. , , ,. " ...... ,., . . "" .... ". ,., .. , " " , .• '"
Elections politiques .... " .. ,,'. " " , . " " ..... ". ,." .. " ... , ., . .
Electricite (utilisation, restrictions, répartition) ." ... ' ....... , . . .. ",., ."
Emploi obliglliioire des mutilés ' , , , ' , .. ,., .. ,., ,.,.", . . "., .. , ."."
Emprunts co mmunanx ,.,. ." .... , .. " " , . , . " ... ' , . " . , . . ,' .. ,
Encouragement aux Lettres et aux Arts . , . , , . , , , . ' , , , ' , , . , . , , , , , , . , , ... , ,
Ener~ie éle.ctriq~e (réseaux de distributio n. concessions, con trôle) "'.,.",,
Enquetes reservees , .,. ".. "" .. ,. .,.' ".. " ,. " . , .. ,. .... ..',
~nquêtes générales d'information .. , . " ,.,."
.",., .'"" " , ,' .. , .. ,.
Enseignement post-scolaire agr icole.. "",... , .. ", ,."" . " ", '.,.,.
En,eignement - Primaire - Secondaire - Supérieur, . , , .. , , , ' .. ' .. , ., ... "
Enseignement technique et professionnel et Comité départemental .. , ... , .. .
Epuration dans les entreprises " .. "'.,, .. ,.'", .. ..", ... ,. ,."."."
Equipement 'portif (Commission consul tative) .",., .. ", " " " , , ' .. , ....
Etabtissements .-Iassés (instruction des dossiers) " " , ... ",'.,." " ."., ..
Etablisements classes. - Hydrocarbu res "" "'., . .. , .. " " . " . , ., ... ,,
Etablisseme)1ts de cure ou de convalescence privés et de maisons pour anormaux (agrément) ...... " " " , .... , ., .. , . . ,.,., " . " . ", ,' . . , ..
Etablissements hospitaliers privés (agrément) .. " "~."."".""."' . . "
Etablissements publ.ics d'Assistance (contrôle de la gestion) , . " " " " " . ,
Etat (finances de l'".) , ... " .. ' .. , ""., ."." ,.,.', '.',' . .. ,.
Etrangers : Admission .",., ,.'.', .. ".,
, , , , " , .. ,., .",
Entrée en france "'" , ., .. ,'.'" " " , .. , , . ' " " , ,'.,
»
Passeport, contrôle de la circulation transfrontière "" .. '.. , , , .
Titres d'Identité et de voyage des apat ride s et réfugiés . , , , .. , ,
Visa de so rti e aOer-retour .. ,. , ."" .. , .'".,.,." ' ,,,., ... .
•
»
Visa de trans i~ et coun séjour , .. "., .. ,.",.""" ,' .... .
Mariages d'étrangères avec des français , .... " .. . , .. ... . ,.,
»
Expulsions 'du territoire ,.'.' ..... , .. ", ...... ' ....• " .. " "
Cartes
de résidents privilégiés , . " " " " . ' ,.' ".',.",.,' .. .
•
Cartes oerdues ou volées ... , . , .,'.'" ... . • '" .....• ', .. . ... ,
ATTRIBUTIONS
Dureau
Porte
Division
Té léphone
l'orle
~
Correspondances av~c ,les consulats ............... . ... ...... .
Enquêtes admin ist rat ives et renseignem en ts. , , , , . , , , . ' , , .. ' ... .
Etab li ssemcnt .et renouvellement des cartes d'identité , , , ' , . , , . , , .
Fichi ers et archi ves de la Préfecture ......................... .
»
Introducti on des familles de travailleurs " " " " " " , . " , ' . ' "
•
Mariages de résidents temporaires ., , , , " ., ."" , .. " , , , , . , , , .
»
P,e rception des taxes.".".""", . " " , . " . " " " " " " ... ,
»
Régie des rece ttes (taxes et droits des ét rangers, passeports, autol1l obiles, chancell erie) "",. ",." """ ."." "" " ",.
»
Transfert des dossiers départementaux " " " " " , ... " " , . ' ,
Etudes survei llées ................ .............. ................. .
Examens, - Certificats cI 'a ptitude prufessionne lle ."" ".", ... " " ... . ,.
Exposition s. - Foi res et Salons . .................. . . . ....... . .. . .... .
Exp rop ri ations .. ,. " . ' ....................... ,. .... .... .... . ..
Expulsions domiciliaires (sursi s) , " . . , , '" "",.,." .. ,., ' .". " " . " .
Expulsion du territoire . . . . .. . .... . ... . ................. ...... . .. .
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EDUCATI ON NATIONALE
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Enseignemen t " ' " " " ' " " , , , . , .. ',',',.'.'."',,
Hygi ène scolaire" , ,'., , , , , , '.'"., , .. , , .' , , . . , .. ,
Biblio,t'hèques " , , , , , , ' .... , .. , . . , ' .. , . , .. , . . . ' , , . ' .
Architecture " , , , ' , , , , , ' . , , , , , , ' , , , , . , . ' , , , , . , . , . ' ,
Jeunesse et Sports " . " " " " " " " . " " " , ...... .
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293
293
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426
293
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426
426
426
SANTE PUBLIQUE ET POPULATION
,
3 me
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1
25- 27
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414 bis
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164
248
248
»
»
-
Inspection divi sionn aire du Travail " " ' . , .. ' .. .. ... '
Services extérieurs de la main-d'œuvre, . ' ... , .. , . , ' .
Sous-Régie r égionale ",.",.",., .. , . . ,.,.'" .....
Dél égués mineurs" , ' . ' . , , ' , ',' , . , , ',' , , , , , ' , . ' .. , ' , .
Direction régionale de la SéCUrité Socia le, , " , ... , .. ,
FINANCES
248
231
199
227
248
»
»
248
231
131
2'
,.'
426
293
-
INTERIEUR
Admin istration Pré lectorale " . , , , ' .. , . , , , , , , .. . ' .. , ,
2'
1"
426
293
INDUSTRIE ET COMMERCE
Redevances pou r vériiications des instruments de
. . ' . , ..... . . . .. . . . . . . -" .. .
mesure ....
2'
426
293
»
»
»
-
JUSTICE
Services judiciaires. ' , , , , " ."" . . , .. ' ... ', . .. ... .
Administration pénite nciaire ,' ... ,.".",,', ... ,,'.
Edu cal ion sun'cillée " , . , ' . ' " " " " " ' , ... . '., ... ,,
2'
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2'
1"
1"
1"
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"»
_
_
_
_
A'(j,RICUL TURE
Services sa nitaires vété rin aires
. , , , , , , . ," , "
Répress ion des frauùes .... .... . '. . .. . ..... . . , .... .
Cuntrôl e des loi s soc ialcs en A,gnculture""." , ."
Ecole d'Agricult ure de Valabrr " " , . " " , , . , " ' "
2'
2'
1"
234
16 1
410
419
23
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17 1
»
104
12 1
121
121
279
218
»
218
218
218
196
11 0
1\2
268
23
23
17 1
171
-
Finances du D épartem ent
»
»
»
»
426
426
Services extérieurs du Trésor " " " " , .. '",,' .. ,'.
146
144
293
293
293
293
293
-
-
190
\21
1
TRAV A IL ET SECURITE SOCIALE
4'
4'
f
Direction départementale de la Santé ' . . " " " , . " ,
Direction départementa le de la Population "., .. ",.
Contrôle sa nitaire aux frontiéres de la 3' circonscription , .. " " , ,.",.', .,.' " , .. " .. ", .. ,."
_
2'
2'
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1"
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427
263
427
263
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427
427
263
263
427
263
263
4fH
147
464
464
147
BUDGET ET COMPTE DEPARTEMENTAL
Etllb lissemcnt du Budget et Compte départemental
et des docu ments annexes règlementalfes ,.""
Contrôle des dépenses enga"t'és. , ' " " " " . , '"
l ",es départementales
',,
' , , , ' . ' , ' , ...
2'
2'
~,
~
2'
2'
2'
147
�18
Di\'ision
.\ TTRIBL"TlO:;S
El,\PRUNT DEPARTEMENTAUX
Réali ation des emprunts .;..... . . .. ........ .
Paiements des 3nnuités .............. ...... ."
Tirages au sort des emprunts par souscription pupubFque ................. . ................. .
•
»
»
»
-
RECETTES DEPARTEMENTALES
Emission des titres de Recouvrements, produit;
eventuels .............................. . ... ' .
Autoris~tiuns de poursuite
.................... -.
FI l ANCES DEPARTEMENTALES (Comptabilité) :
- Réception et v~rification des mémoires ju sti ficati[ ~
des droits acquis .......... . ................ .
- Ordonnancement et Réordonnancement .......... .
- Mandatement . . ....... ...... ........ . ...... . .. .
- Annuités des emprunts garantis par le D 6parte men~ .
- Comptabilité des marchés de fournitures et travaux.
»
»
»
»
LIAISON AVEC L'ASSEMBLEE IDEPAJRl1EMENTALI:
- Centrali sa ti ons de tous les rappotls à examiner p:H
la Commi ss ion Dépa rtementale ou le Con seil Uenéra l
- Avis du Contrôle des dépenses en gacrt>es ......... .
- Convoca ti ons extraordinaires du Conseil Gé'l.era l .
Rapports annuels des Chefs de Servi ce du Département (Centralisation-:l mp ression) .............. .
»
»
»
»
-
»
»
•»
SOUDE
Personnel Titul aire. Auxiliaire. Contractuel de l'E t3'
Personnel Titulaire. Auxili ai re , Con trac tu el du Département .. . . . . .. . ...... . ....... .
Paiement du Personnel ........... . ............ .
Déclarations de revenus ...... .
-
LIAISON AVEC LES DEPARTEMENTS
D·OUTRE ....'vlER (LA REUNION)
Fonctionnaires de la Réunion en congé en ['rance
(embarquement. sol de, prolongati ons de congés ).
d~apatnem:nt des indIgents
des département"
Outre-M.I ................... . ..... . .. ,.
.
.
»
.
. - Caisse de Retraites. - Prestations fami li ~lcs . .... .
FIXatIon des flnx de Journée des Etablisse ments Pul:!li cs et privés anréés dc
cure. de SOillS et d'hébergement des v ieil!ards
"
Fctrains . .... . ...................... .. ........... ........................ .
-
Forêt" .. .. _. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. ..... , .
Foyers ruraux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . .... .. ...................
.
.. ' ... .............
.
•
-
-
Bureau
Porte
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463
147
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2'
463
269
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2'
2'
2'
2'
2'
2'
2·
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2'
2'
422
422
464
463
466
463
_ In ter diction s
-
258
14,
269
-
269
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2'
2'
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2'
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464
464
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147
147
2'
2'
464
147
2'
423
362
2'
2'
2'
461
46 1
461
142
142
142
-
Installations techniques
-
...............
Interdiction
de
résiden ce
Instrumpots
de
mesure
iïiIIiïi~_
. .... ... ............ .
................ . .. .. .. . .. . .
.. ................
. .. ... . . ..... . ......
. . ................ . .
. . . ............. .
1"
j eu nesse et Sport s ....... .. .. . ...
1
j eux (Po'lice des ... ) et .répression des Jeu'x ~i~~de's' t'I' n' s······ ............... .
ju ry cnmi nel .............................................................. ....-... ....... 1
Liaison a~m i:n i skative avec la Croix-Rouge França'ise . \ l'Eni' A'd F
ça lse dep arteme nta le ..... . ......... .
e
r I e ran
Li quida ti On des dépenses d'occ upation .. :::::::::::::::::: :: :::::: :: ::
L oeaux seo l aires . .. . ~ . .. . ... .
Loter ies et quêtes Sur la voie pub l iq~~: ~ 'Lot~;i'e N~ii~~~i ~::" :""" "" ::':::.
LotIssements. - Urbanisme
-
2'
-
2'
2'
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2'
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Serv. Techniques
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Magasins Oé n ~r aux ......... .
Ma ni fes tations aériennes; su r, ~i~ 'p ~ bÙ q~ ~' :t'au'r~'I~~~hi'ci ~~~ '"
Marcr.ands amb ul ant s
.......... .
.......... ..... ... ..... .... .. .
.
. . . . . . . : : : : :. · . ·. ·. ·. · . · . ·• • • •• •••••.•••••••••••••••
ŒU .. ::; . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ... . . . . . . . . . . . • . . . . . . .. . . . . . . . . • . . . . . . . . . . .
~on~ments
hi storiques ........... . . . . . .. . . ... . ........... . .•... . ......
usees ..... . ..... . . ................................... . . ........... .
Mutil~s
(emp loi obligatoire) ..................... . ............ . .... .
Mutu alité et Sociétés de Secours Mutu els ......... . ........... .... ...... .
Nationalité (changement de... ) .......... . .. .. .................. . .... .
Nationalité (déchéance de la nationalité fr ança ise et rt'intégra tion) ....... . . .
.- Natur ali sations ............... .. . ......................
. .......... .
Noma;les ...... .
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1
.......................................... i
- Mari age aux ét rangers (;~t~~ i ;~ti~~' d~~. :) ·
- Ma tér iel : Economa t .................... :::::::::...................
- Médai,l le d' Hon neu r de la Fam ill e Fra nçai~e ... . ...... : : : : : . : : : : : : : : : : : : : :
- Medall le d' Honneur du T ravail
- Médecins phtisiologues ..... . .. ....... .................... ... ...... . ..... .... ... ... .•.
- Meetings et réunion s ... . ....................
... . ................ .
- ~euws ... . :: ....... ..
- MInef. et Carrieres .... .. ,........ . . . . . ........ . ... C ' •• , • • • • • • • • • • • • • •• •• •
- MObI!er départemental ........... . ...... . . ...... . ............. . ...... .
Offj.c ~s Muni cipaux des Sports . . . ............... ..... ....... . ..... .
Ori entallion professionnelle ................................... . .... . . .
Outill ~ge des ports .... ..... . ........ . ................. •C· • • • • • • • • • • •
4'
4'
S'
3'
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1
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23 1
173
P
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1
Incendie
1
fo m t'(Service dt'partemental) ........... . ........................... .
n r a Ion ...... .. ......... . . . ....... .
Infractions à la législation économiq ue ~::::."" "" ............... .
....................
d ........ .. .
H
Habitations à Bon Marché (Tutelle ad ministrati ve)
. .... . ......... ... .. .
HabItat et Génie Rural ....... . ....
H?pitOI psychiâtrique d'Aix (tutelle) :::::::::::::: . ............. . ......... .
HopItaux, HospI ces communaux publics du Département (tuUle) .. .
séjour
L
-
Gardes
assermentés
... . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . .. .. ... .
G
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ar es-c ampe res . ... ................ .
Gardes-mes iers
.. . ...........•.... .. .........
Groupes d'épargn~ '(~~ ;I~iit~i i~~) ~ ~ ~ ~ ..' ~ ~ ~ ~ ~ : : . .. .......
. . . ................•
. ................
de
Téléphone
J
258
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Bureau
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-
2'
2'
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ATTRIBUTIONS
Téléphone
2'
2'
2'
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-
Pai n (Pri x du ... ) ..... ... . .......................................... . .
SOS
6"
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43 bi s
Parc ;lu tos ...... ....... .. . . .......................... ..... ........ .
~e". Techn iques
1~
1e r
119
Passeports f rançais .. ' .. ............. ... . . . ..... . .. ... ............. .
lU
J-r
121
Passe ports étrangers .... .... .. ....................................... .
se
I l l'
Pêche fluvi ale et police des eaux .... . .. .......... . .........•. . .......
490
484
Permis de co nduire ..........................' . ....................... .
S'
1er
4S2
Sery. Techniques
Permi s de construire (collectivités publiques) ........ . ..... ... . . . ..... . . .
Personnels des Administra ti ons de l'Etat (à l'exclu sioIl de personnels de la
Préfecture et des Sous-Préfecture) ............ . . . . ................. .
Cabinet du Préfet
302
5'
3'
Personnels de l 'Etat (titulaires ct auxiliaires) .. ........ .... ............ .
st
3301
Personnel s du !Département (titu laires et auxi li aires) ..... ... ............. .
415
2'
3'
Personnel co mmuIl al et personnel des Habitations à Bon Marché . .......... .
Personnels des établiss"mcnts départementaux (Montolivet, Tour BlanChe.
Foyer des Pupines, Cadene;tux. Trois-Lucs, Institut Départemental d'Aveu' 1
5'
3'
30S
gles. In sti tut de BactériologJe) ......... . ............................. .
11 0
242
195
218
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366
211
199
165
154
185
104
�ATTRIBUTIONS
Uhision
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DurcJ.u
Porte
21
ATTRIBUTIONS
-
T"l éphone
Bureau
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Porte
T
Télépbone
P
-
Plan <j',;quipement nation al " " " " " " " " ... ... , .. , . . . .. .. ,.. ", .. ,
Police des aérodromes ................ .. .. . .. . ", ...... . ............. ,.
Police des étrangers ..... ., .. ",. " , ... " , ......... , ... , ... , ... ".
Polic~ des gare
............................ .... , . . . .. . . . .. , ........ .
Police des spectacles . " " " . " . . , ... , •.. , .. .. ............... . . ....... .
Police générale .. . .................. .... ... . ... . ,.. ... .,., ........ .
Ports ............ . .. ..... ... , ...... .. . , .. ,. ........ . ............. .
Presse (Service de...) ..... . .................... , . " .... .. . .. ,., ...•...
Primes à la natalité ............ , ......... ............. ........... .
Primes à la première na issance .... .. ........ .... . . ... . .. , ...... , ... .
Prison s (Service des ...) . . . . . . . . . . . . . . . ... , . . . . . . . . . . . . . . . . .. . .... .
Prix et taxations ... . .................. . . ...... . ................ .
Professions rég'ementées (coiffeurs, agents Je ohange, courtiers maritimes) .
P. T. T.
. ....................... ........ ......... . ....... .
Publicat;ons licensieuses et contrôle de la librai rie . . . . . . . . .. . ..... .
Q
Questions, \'œux et rrsolution~ du Conseil Général
2e
3~
1r~
t"r
465
11 6
116
11 6
116
116
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227
227
227
227
227
173
Cabinet du Pr6fet
1"1'
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490
11 6
Cah inet du Secréta ire G ~néral
_ Travail (Médaille d'honneur du ... ) ... . ........ , _.. , . .. . ..... , . ....... .
. •••••• • •••
_ Travaux communaux . . +. • • • • • • • • • . • • • • • • • • . •• • • • • •
_ Travaux publics, a<ljudications et marchés .... ......... ................ .
- Tuberculeux (Assk; tance aux ... ). - Aérium. - Préventor ium. - Sanatorium .
- Tuberculeux de guerre (Contrôle de l'indemnité de soi ns) ................. .
3'
2'
3'
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4'
1"
Urbanisme. -
Lotissements
Selv. Techniques
-
-
3'
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2'
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S07
116
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110
Véhi cules automobiles
-
cades gri ses . ...... ...... , ... " , ..... .. . . . ... .
Permis de conduire ....... . .. , .... , .,." . ..... .
Vieillaro s (Allocations temporaires) . ... . .................... , . . . .... , .
5'
5'
3'
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1"
Standard
3'
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Serv. Techniq ues
1r"
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Cabinet du Préfet
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1"
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116
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l"
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l"
2'
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l "~
2S3
131
227
354
139
107
196
199
110
3GB
368
234
139
367
185
227
139
s
-
-
Sapeurs-pompiers communaux
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. ........ . .. . .
Sécu rité Sociale ......... . .....
. .... . . ... ....... . ......... .
Séjour (dél ivrance et prolongation des titres à validité l imitée) ......... . ... .
Servi ces agricoles .....
. . . . . . . .. ... . ... . ............... .
Service intt'rieur ........... . ................. .... ..... . .............. .
Service m&canographique électro- comptab le ............................ .
Service Social Départemental du M ini stère de l'Intérieur (secrétariat).
Service V ici nal ........................... ... . ...................... .
Sites et Com mi ssion Départementale .... ; ..... .. ... . .. , ............... .
Sociétés anonymes (création et extension) ....... . .................... .
Sports. - Ecol es - Associations sportives. - Encouragement .. , ... , .... .
Stations classées ...................... .. ' . ... . .. . . .................. .
Subventions aux communes ............. . .......... . . .. ........... . .
Subventions aux œuvres de bienfaisance privées .......................•.
Synd ica ts professionnels .. ..................... . . . , .... . .... . ........ .
-
T
T axaFons et prix ......... . ........... : ........ . .... . .......... .
Ta xe d'a pprenti ssage. - Demande d'exo nération .................. , .. : . .
Ta xe de séjo ur .................. ... ..... .. .... .. .............
...
Terrains de sports ..... . .......................... ,., ........ , . ..... .
Th éât res ..... . . .. ...................... . ... ... .. . ................ ,.
Tourisme ... . ..... . . .... ......... .. . .......... .. .. . .. . , ...... . . ... . . .
Tramways et Chemins de fer ............. . . . ..... . .. .. ....... . ..... .
Transformation des locaux à usage d'habitation en locaux destin és à <l'autres
usages ... .... . ..... . . .. . . ... . .................................. ..
G'
S'
l"
3'
4b
6'
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SOS
445
438
31 1
490
1
Serv Teohni ques
Secrét. Général
S'
4'
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S'
T. r. a.n.sp
. o. r.ts• ... ... ......... . . . .................. .. ..•. •. •' .•.•. •. .· ·1·.·.· .•.•.•.•' ·. . . ._
i ••ÎI•••••
3'
3'
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2'
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1
409
414 bis
502
S34
1
409
414 bis
1
542
491
354
361
219
110
183
201
117
139
248
210
248
106
146
190
143
21S
248
106
146
248
178
173
29
1" ....I..i~_
491 ...i~7ï3. . .
..__
8
214
146
401
190
244
4S5
247
482
484
333-335
I:lQ
v
R
Rapatriement g ratuit des in digènes ....... . ................ . ... .. .... .
Ra vitJillement (liquidation) ., .......... . ... . . , ... .. .... . , ... . , .... .... .
Recherches dans t'intérêt des fami ll es .. ......................... , . . .
Recueil des Actes Administ ratifs et Bullet in des Mairies ....... , . . .
Rem nstru ction .. ........................................... , .. , ..
Régi e Départementale: Canal du Verdon ....................... , ..
Réintégration dan s la nationalit é française ...... .. . .. . ..... . .. .. .... . .
Rel atil)ns a\-ec les consula ts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . ..... . ... .
Répression des fraud es .......... . ..... .. ... . ....................... .
R,;qUlsitions de logement s .......................
. ................ .
RéquIsitions de logements (Commi ssion Départementale d'évaluation) ..... .
Réquisi tions: demand e d'admission au droit de r,;quisition à titre excep tionnel
Réseaux de distribution d'énergie &lectrique .......
. ............. .
Retra i tes départementale.
. . . .. . ................... . ................ .
Retraite du personn el com munal ................ . .. . . ,. , .............. .
RéuOlJns (Potice des...) ........... . .... . ..... . ...................... .
Routes nationales
498
414 bis
490
u
26\
308
325
21S
210
139
227
5'
2'
5'
3'
•
472
366
102
�•
Jtt.nvier 1951
PREFECTURE DES BOUCHES-OU-RHONE
CODE
DE · CLASSIFICATION
DES INSTRUCTIONS
.. RECUEIL
DES ACTES ADMINISTRATIFS
PARUES AU
•
ET BULLETIN
Services Conl mWl8UX
AG
SC
Divers .
1 Magistrats muni ci paux.
2 Pêrsonnel communal.
3 Affaires intercommun a.les.
4 Poli tique et propaga nde.
5 Démographie.
,
a)
Divers.
b)
Ef'I1t-Civii.
0
1
2
3
4
5
6
7
,
Associ ations.
TVX
o
7 Affaires mili taires.
1
13 Dommages de gue rre.
14 Elections po litiqu es.
Police
P
Divers.
Cadastre.
Eau . -- Gaz. - Electricité .
Voirie et nettoiement.
Servi ce Vicinal.
Cimetières.
Protection Civile.
Protection contre l'incendie.
Travaux
Changement de domicile des Français.
d) Recensement.
c)
6
MAIRIES "
Administration Génér ale
o
•
DES
Di vers.
Bâtiment s et terrains cO lllmunaux.
scol ai res et terrains de sport~ .
Con structions
2 , Assainissement.
3 Addu ction d'eau.
4 Electrification.
5 Adj udi ca li ons et marchés.
6 Ur.banisme et Lotissements.
o
Divers.
1 Arm es.
2 Réqui si tion6.
3 Chasse ct pè che.
~ Hôtels et débits de boi ss on s.
5 Réun ions ct manifes tations. - Jeux et spectacles .
6 Affa ires politiqu es . - In tern elllents admini stratils.
7 Ce nsu re.
8 Etrangtrs.
,
,
Education NatiOnale
EN
o
Dive rs.
1 Ilistruction publique.
2 Beaux-Arts.
3 Enseignement tedlili llue et apprentissage.
4 Sports. - Edu cabion physique.
5 M " uvcment s de Jeunesse et Education popul aire.
Biens Communaux
fa miUe et Santé
BC
0
1
2
3
Di ve rs.
Ba.ux .
Acquisitions.
Aliénati ons.
o
Finances
o
. . .._, _.. ~
2
3
...
FS
F
Divers.
Budgets.
Comptab ilité com munale.
Impôts et taxes. -- Droits divers.
Emprunts et subvenlions di\'e rsEs .
1
2
3
4
5
6
7
8
9
Divers.
Code de la Fami ll e.
Assistance il lia Funli ll e.
Cartes de prio rité.
Allu<:ations mil itaires.
Vi cti mes de la guerre.
Hygiène sociale.
Elabllssements d'"ssistance cl de bicnfaisan,e.
Assistance medicak gratuile.
Assistance aux \'icill:lrcls. infi r mes ct incurables.
�,
- ,
3
Agriculture
4
REPUBLrQU~'P~~~Ç~:,SE
4,11 et 18 JanvIer 1951
Artisanat.
Travail et chôm age.
,,,...- u:'S
-- S '
,./ '"
DËPARTEMENT DE
'V"r .~ ~:t
. , » (.
'.
~
o
Communications et Transports
Divers.
t Organisation générale.
2 Habitat rural.
3 Cultures.
.. Eaux et forêts.
5 Elevage.
7 Jardins ouvriers el familiaux .
•
CT
0
1
2
3
~\
~ ~O,VCHE~-DU-RHONE
,
A
9 ' 4nnée. _ N" " 2 et 3
./
Recueil des Acte?~1tdministratifs
Diver•.
Organisation générale.
P. T. T .
Transpo rts.
et Bulletin des Mairies '
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressee cè la Prefecture Secrétariat Général
Administrations Centrales
Commerce - Industrie - Artisanat
A. P . : Arrêté préfec toral. -
o
Divers.
1 Affaires Eco nomiques.
2 Finances.
3 Personnel.
4 Travaux Publi cs.
ClA
o
Divers.
t Co mmerce.
2 Industrie.
ARHÉV_ ATION""
C. : Circulaire. -
D. S. T. : Direction des Services Tech nique>. mentale de la Population.
AC
Les lettres 0 et B suivies d'un chiffre indiquent le Service ou Bureau d.origine.
D. D. S. : Direction Départementa le de la Santé. _ D. D. P. : Direction départe-
•
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et CircUlaires
res et légales en 195 1 et
Pages
CT 2. -
A O. - Plan de rem emb rement de la
Commu ne d' Arles (Mas-T hibert) ....
A O. - Section départementale ag ri-
le
Affranchissement du courri er
des Hôpita ux et Hospices pu blics ...
FS O. - Déclarat ion d' litilité publique
3
SC 7. - Protection co ntre l'incendie. .
TVX O. - Bordereau des salaires nor-
cole de conciliation .... .... .... . . .. •
2
te foncière et remembrement .... ..
2
2
Répression des fra ud es. . . .. .
Liste des journaux d u Dépardes Bouches-du-Rhône a uto-
Jes Travau x P li blicd . ...... . .... ..
4
publics (Prix de j ourn ée previsionnels 195 1) ........................ .
P 3. - Pêche flu via le. - Règlementati on permanente ........... ...... .
4
Déficits supportés
par
5
les
Régies du Gaz du fait de la règlementation des prix .. . . ...... . ... . .
publier les annonces judiciai-
7
Comrlluniqués. Avis, Annonces diverses
te par l'Hôpital-Hospice d'Al lauch ..
FS 7. Etablissements hospitaliets
SC 2. -
7
maux et courants dans le Bâtim en t et
3
d u projet d'acquisition d' une proprié-
A O. - Association foncière de remembrement. - Arles ... . ............
A..o. - Réo rga nisation de la Prop ri éA O. AG O. temeot
risés à
fixant
tarif des annOnces .... ' .......... .
6
-
Demande d'emp loi .. ' . . . . . . . . . . .. .
8
-
Avis de concours .......... . ......
Vente de matériel a utomobil e par le
8
Département des Bouches-du -Rhône.
8
Communiqués du Secrétariat
de l'Union des Maires
Offre d'emploi de secrétaire de Maitie à Aiaussane ... -..... ' ........
8
=
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D6 B I
A 0
PLAN DE REMEMBREMENT DE LA
COMMUNE D'ARLES (MAS-THIBERT)
•
ARRETE
Le Préfel des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
~Croix
de Guerre,
Vu l a l oi du 9 mars 194 1 sur la réorga nl-sation foncière et le remembrement ;
Vu le décret du 7 janvier 1942 portant
règleme nt d'adm inistration
pu blique
pOUf
J'app li ca tion de cette loi :
Article 3. - Avis du dépôt se ra donné
aux intéresses pa r affiche apposée à la diligence du Président de la Commission Communale de Héorga nisation FOrJciere et de Htmembrement.
Article 4. - La date d'affichage de l'avis
de depot du pla n consti!lI '; le point de d épart du délai de ,dcux mois imparti aux intéress~s pour se pourvoi r devan t le Co nseil
d'Etat, po ur incompt:tence, excès de pouvoir,
vice de fo rm e ou dolation de la loi.
Vu la décisi on de la Commissi on Départementale de Réo f na nisatio n Foncière et ùe
Remembrement
date du 20 décembre
J950 .
Articie 5. - La prise de possession des
nOtl\'eaux lots all ra li eu aux dates et sui\'ant
les moda lite fixées par la Commission Communale.
Sur' la propositio n du Sec rétai re Gtnéral
Article 6. - Le Secréta ire Général de la
Préfet'ture, l 'In .~é l1i e ur en Chef du Génie HuraI, le Préside nt dc la Comm ission Communale est chargé de " ex écution du pr ése nt
arrêtt- qui se ra insérê au Recu eil dcs Ades
Admi nistratl fs.
:11
ARRETE:
Article premier. - Le plan de r eme.mb reme nt de la Co mn","" d'Arles (Mas-Thibert),
étab li pa r la Commissio n Co mmuna le cie Réor ganisation Fon cière et de Remembrement,
appro uvé par la Commission Dépa rtementale
de Réorga nisation Fon cière ct de Rememhre-
•
pourront en ,p rendre connaissa nce aux heures
d'ouverture cllI Secrétariat.
ment. aprës examen du recours fo rmé de-
vant ell e, est défini tif.
. Article 2. - Le pla n sera déposé en Mai:
Ile annexe de M as-Thibert ou les Int c resse~
t\ \arsei ll e, le <1 janvier 1951.
Pour le Préfet
Le Sous-Préfet,
Directeur du Cabinet
DUFAY .
D6 BI
AO
SECTION ' DEPARTEMENTALE
AGRICOLE DE CONCILIATION
AHRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône.
Officier (le la Légion d'Honnellr,
Croix de Guerre,
Vu la loi Il '' 5(}-205 dll Il fé"ier 1950,
relative aux cOn\'entions LolJecti\t:s ct aux
prot.:éuures de rè glement des conflits co llect ifs du tra\'a.il ;
Vu le dtcret Il '' 50-2-1 1 du 'li fl'H ier 1950.
portant r èglement d'Administration Publique;
Vu l 'arr~té de M . le .'\ \in istre de l'Agricultu r~ du 7 .:1vriJ 1H50 portant création
d'une Section Départeme ntale a.!!ritole de
conci liatio n pour le D~parteme n t des Bouches-d u-R hone j
Vu I ~s propOSitio ns des or ganisations syndicales les plus repre::-entatives des emploYfurs d des tra\'a illeurs ;
Sur la propoSith\11 de .\\. le
t'rr~ttllre
Gém' ral,
ARRETE:
Article pr('mÎt'r. - Sont nomm~s membres
de la Seclion Departementale des Bouchesuu-Hhollc sll~geant â. .\\arseille les personn es
cJesiS'n~es ci-dc~ous
:
�2
3
1<' Le Contrôleur Dh'isionnaire des Lois
Sociales en Agriculture de la. Région, ou son
Représentant, Président ;
2" Le Directeur Departemental du Travail
et de la Main-d'Œuvre, Ou son Représentant;
3" L'Ingénieur en Chef, directeur des Ser\'Îces Agricoles, ou son Heprésentant
j
4· Représentants des employeurs :
Membres titulaires. - MJ\1. litta Albert,
Pagès Honoré, GiiJoux Roger (tous de la
C. G. A).
En outre, lorsque le c'a nflit examiné concerne la catégorie des Cadres, est adjoi nt à
la Commission en qualité de membre tit ulaire : ,\\. de Foresta Albëric (C. G. A).
Membres suppléants. - MM. Clauzel Edmond, Cheylan Henri, Gautier Jean-Marie,
BeUon Roger, Trémelat Victor (C. G. A.) ;
Enjalbert Joseph, représentant des Saliniers.
Peu\'ent Hre appelés à siéger en qualité
de membres suppléants lorsque le conflit
examiné concernera la catégorie des Cadres:
MM. a rdou Pierre èt de Vitrolles Oswald.
5· Représentants des Travailleurs :
Membres titulaires . - MM. Vaq uette Jean,
Grignard 1\larius, Amblard Alfred (tous de
la C. G. T. F. O.).
En outre, lorsque le co nflit examiné Concerne la ca tégorie des Cadres, est adjoint à
la Commission, en qualité de membre titulaire : M. Fouillaud Gabriel (Fédération des
Cadres C. G. A.).
.
Membres suppléants. - AlM. Bourillon Julien, Melepech Louis, Pe)'tavin Jea n-Baptiste (tous ue la C. G. T. F. O.) ; Briganti Eugène, Co n ta nt Adolphe, Co rsi Marcel (tous'
trois de la C. G. T).
En o utre, peu\'ent être a ppelés à s iéger
en qualité de membres s uppléants, lorsque le
conOit exa miné concerne la catégorie des
Cadres, III..\!. Raybaud Albert, Sellier Geo rges (to us deux de la Fédération des Cad res
à la diligence de Monsieur le J\ \aire d'Arles;
.
A '
Vu l'avis du Directeur des Services gTlcoles ;
Sur la proposItion de M. l'Ingénieur en
Chet du Génie Rural ;
Sl" la proposition de M. le Secrétaire GénéraI de la Préfecture ;
ARRETE
Article premier. - Une Association Fo ncière de Remembrement est co nstituee e ntre
les propriétaires des parcelles rem rnbrées
de la section l Commune d'A rl es.
Article 2. - Le Bu reau ohargé d'ad ministrer la dite Association est composé comme suit:
M. l' Adjoint Délégué de Mas-Thibert, Président ;
. ..
J\\. Aniahi de Casanova, Inge nieur du Génie Rural~ délégué <le Monsieur l'I.ngénieu.r
en Chef du Génie Rural ; M. Renolf Henri,
M. Gauzargues Jacques,
. lvUson Jean, Nt
Mefire Mathieu, M. Guigue Joseph, M. Lavandet Roch.
ArUcle 3. - L'Associati on a ura sori siège
à la Mairie a nnexe de Mas-Thibert.
Article 4. - Monsieur Guibert, re ceveur
des Associations Territoria les, 15, rue du
Pont à Arles, assurera les fonctio ns de tresorier de l' Association.
Article 5. - L'Association sera régie par
les s tatuts a nnexés au présent a rrêté.
Article 6. - Le Secrétaire Général de la
Préfecture, l' Ingénieur en Chef du Génie Rura l, le Maire d' Arles so nt oha rgés, chacun en
ce qui le concerne, de l'exécution du présent
a rrêté.
Marseille, le 12 janvier 195 1.
Pour le Préfet
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
C. G. A.).
-------<. 00<.-------
Article 2. - M. le Secrétaire G énéral de
la Préfecture est chargé de l' exéc ution du
présent a rrêté, dont a mpliation sera adressée à M. le M inistre de l'Agriculture et à M.
le Ministre du T ravail et de la Sécurité Sociale.
Marseme, le Il janvier 1951.
Le Préfet ~
Jean BAYLOT.
D6 BI
AO
ASSOCIATION FONCIERE
DE REMEMBREMENT - ARLES
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier <te la LégIOn d'H onneur,
Croix de Guerre,
Vu l'acte d it loi du 9 mar~ 1941 s ur la
réorganisation de la propriété foncière et le
remembrement ;
Vu le décret du 7 janvier 1942 portant rè"Iement d'Administration Publique ' pou r
fexécution de la lo i précitée ;
Vu l'arrêté préfectoral du 4 janvier 1951
rendant dé finitif le plan de re membrement de
la nouvelle section l de la Commune d'ArIes (Mas-Thibert) et ordonnant son dépôt en
Mairie;
Vu la liste des propriétaires dé ignés à la
suite des élections du 22 octobre 1950 fa ites
DG BI
A 0
REORGANISATION DE LA PROPRIETE
FON ClERE ET REMEM,BREMENT
ARRETE
Le Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Croix de Guerre.
Vu l'ac t". dit < Loi du 9 mars 1941 » sur
la réorganisation de la propriété fontière
et le remembrement,
Vu Je déc ret du 7 janvier 1942 portant règlement d'Administration t'ublique pour
l'exéc ution de la loi précitée ;
Vu l'avis de fi l. le Di recteur des Sen 'ices
Agricoles
:' ur la 'proposition de M.· le Secrétaire
Gé néral,
ARRETE
Article premier. - L'arrêté préfectoral du
7 décembre 1945 est ab ro gé et remplacé par
les dispositions s uivantes.
Article 2. - Sont nommés membres de
la Commission Départementale de Réorganisation foncière et de remembrement :
- M. Tinet Georges, j uge a u Tribunal
Civil de Marseille, désigné pa r le Premier
Président de la Cour d'A ppel, Président ;
.- M. l' Ingé nieur en Chef du Gé nie Rurai;
- M. le Directeur Déparleme ntal des Services Agricoles;
- M. le Conservateu r des Eaux et Forêts.
- M. le Directeur Départemental de;
Contributions Directes et du Cadast re .
- !II. le Directeur de l'Enregistreme~t et
du Timbre ;
- M. Guien, présid~nt du Syndicat Agri~
cole des Pinchinats, Aix;
- M. Lambert, dé légué cantonal de la
C. G. A. à Senas ;
- ·M. Desfonds, pr ésident du Syndicat
Agricole de Sai nt-Rémy-de-Prove nce ;
-- M. Cheyla" Henry, a La Fare les Oliviers ;
- M. T h uilli er, président du Sy ndicat
Agrico le des Baux.
Article 3. - Le siège de la Com mission
est fixé à la Préfecture.
Article 4. - La Comm ission se réunit Sur
convocation du Président, qui fixe l'ordre du
jour de chaq ue séance.
Article 5. - Les fonctions de Secrétaire
seront remplies par Nt Bout y, ingé nieur des
Travaux Ruraux.
Article 6. - Al. le Secrétaire Général de
la Prëfecture est charge de l'exécution du
présent arrêté, qui sera publié a u Recueil
des Actes Administratifs.
Marsei lle, le 12 janvier 195 1.
Pour le Préfet
Le Secrétaire Géneral
LAMASSOURE.
------- <.00<.'-------
06 BI
AO
REPRESSION DES FRAUDES
ARRETE
Le Préfet des Bouclles-dll-/(hônc,
Officier de la, Légion d'Hollneur,
Croix de Guerre,
V u la loi du 1c r août 1905 Su r la Répression des Fraudes et la fa lsifica tio n des
denrées alimentaiTes ;
Vu le décret du 22 janvier 19 19 portant
règlement d'Administration Publique po ur
J'a pplication de cette loi et notamment de
l'article 4 ;
.
Vu l' article 97 de la loi du 5 av ril 1884 :
Vu l'ag rément de M. le Ministre de l' Agriculture ;
.
Sur la proposition du Secrétaire Gé néral,
ARRETE:
Article premier. - So nt commiss io nnés,
pou r l'année 1951, en q ualité d'a ge. nts dt!
prelevements de la Ville de fl la rsei lle les
Ins pecteurs Sa nit aires du Service Vétérinai re
et des Abatto irs dont les noms suive nt :
Andrêani Mathieu Pharao n Co nstanti n,
A\asso ni Fra nçois, I~occa Jean-Ba ptiste, 50la d Noë l.
•
Article 2. Dans l'accompl:sse ment de
Jeurs fo nctions ces 3ue nts devr ont se CO Ilformer aux dispositions du décret du . 22
janvier 19 19 et ne de vront recevoi r d' lOStructions que des se rvices préfec toraux 0 11
municipaux et cie M: l' Ins pecteur Dépa rtemental de la Répression des Fraudes.
Le nombre de pré lève ments à effec tuer
pa r les affents se ra fi xé par M. le Ma lfe M
Marseille ~ n acco rd avec l'Inspecteur DéparJe menta\.
Article ~. _ Le Secrétaire Gé néral de la
Préfecture l' Inspecteur Dépa rtem ental de la
Répressio~ des Fraude~ so nt chargés, Cher
Cun en ce qui Je concetne, de l'exéc utIon Il
pr~sen~ ~.rr0té,
dont une ampliation sera
adressee a :
- M. le Ministre de l'Agriculture .
' de la République
,
- M. le P rocllrellr
à
.i\\arsei lJe ;
- M. le Maire de Mar.eille .
- Al. l' Inspecteur Départeme~tal de la
Rép ression des Fra udes;
- M. le Commissaire Central de Police
à Marsei ll e ;
- M. Andréani, pou r servir de Commissio n ;
- M. Pha raon, po ur servir de commission ';
- M. Massoni, po ur servir de commissio n '
- M. Rocca, pOlir servir de commission:
- M. Sola ri, pour servir de commission:
Les autorités constituées de la Ville de
l\>\arsei ll e sont requises pour reconnaître et
fai re connaître, partout où il a ppartiendra
ces agents en la qualité ci-dessus et leu;
prêter aide, appui et protection dans tout
ce qui aura ra pport à l'exercice de leur
mission.
Ma rseille, le 12 janvier 195 1.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
------c'oo c.)- - -___
05 B2
AG 0
LISTE DES JOURNAUX DU DEPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
AUTORISES A PUBI_IER LES ANNON_
CES JUDICIAIRES ET LEGALES EN
195 1 ET FIXANT LE TARIF DE CE~
ANNONCES,
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur,
Vu la loi du 23 décembre 194t mod ifiée
pa r l'ordonnance du 12 avril 1945 donnant
pouvoi r au Préfet de Chaque Département
de désigner sous ce rta ines co nditions les
~ournaux a utorisés à publier des a nnOn ces
Jud iciaires et létTa les et fixa nt le ta rif des
dites a nnonces . ~
Vu les c ircul~ires tél égrap hiques e n date
du 2S décembre 1945 et du 4 janvier 1946
de M. le Minis tre de l'Info rm a t io n ;
Vu l'arrété préfectora l du ~ 1-1 2-t 949 ;
Vu les instructions en date du 9-1 2-1950
-de M. le Ministre de l' Information .
S ur la propositio n de AI. le Secrétni're Gélleral de la Préfecture ;
ARRETE:
Article premier. _ So nt se uls s usceptihles
-de recevo ir les an no nces exigées par les lois
pOur la va lidité de b. pub licat ion des procédures Ou des co ntra ts a u co urs de I"année
195 1, da ns le Dép a r te ~,ent des Bouches-du.Rhone, les journau x cI~signés ci-a près par
<l rdre alpha bétique.
MARSEILLE :
Journaux qUotidiens dll m alin
La France de Marseille et clu Sud-Est, 56,
TU e Grignan, Marseille ;
~ La Marseillaise, 15 cours d u Vieux-Port,
lltarseille .
'
Le Méri~ioflal, 18, rue Sa inl-Dominique ;
Le Pro vençal. 75, rll e de la Da rse ;
L L'Antenne de Marseille, 33, rue Jea n-Fr.eCa, Marseille.
jourllaux CJUotidiens du soir
Le Soir, 75, rue de la Darse, Marseille.
JOUrnaux périOdiques
L'A griCJJlteur Provençal 15 rue EdmondRostand, Marseille;
,
,
Le Bulletin Officiel de la Ville de Marseille;
Journal de Marseille, 191 rue Venture,
,Marseille ;
journal des Annonces judiciaires et Légales, 37, rue Pa radis, Ma rseille .
journal Maritime du Port de Marseille 17
rue Venture, Marsei lle'
'
,
Le Litt~ra~, 27, rue Gueymard, La Ciotati
Massalta, 35, rue Grianan Marseille '
Midi Commercial et J~dici~;re, 61, ru~ Grig nan, Marseille ;
Publications Marseillaises 38 rue Paradis, Marseille ;
"
Petites Affiches Marseillaises, 33, ru'e Grig nan, Marseille ;
Sem.aine Judiciaire, 19, rue de la Darse,
Marseille ;
T hémis, 17, La Canebière, Marseille.
AIX-EN-PROVENCE :
Le Courrier. d'Aix, 24, rue Espariat, Aix
Provence Libérée, Cours Mirabeau Aix .
La Voix de Prol1ence, 10, rue Joffr~, Aix;
.La Terre de Provence, 20, rue de l'Opéra,
AIX.
ARLES:
L'Arlésien, place Joseph-Patrat Arles .
La Liberté, 16, rue du Marché-Neuf, Arles.
Article 5. - Lorsque la ligne aura plus
de trente lettres, le prix de l'insertion augmentera en proportion du nombre de lettres
supplémentaires ; le nombre de lettres a
la ligne sera décompté suivant les règles
typographiques.
. Article 6. - Le coüt d'.un exemplaire légalise nOn compns les drOits d'enregistrement
est fi xé a u prix du dit journal, aU!!lTJenté ue
la taxe de légalisation. Il est réduit de moitié pour les cas prévus à l'articl e 4.
A.rticle
L'a utorisation accordée pourra etre retirée sans qu'il soit besoin de mise
en demeure à tout journal ne se cvrrrormant
pas au tarif édicté par les articles 3 et 4.
?-
Article 8. - Le présent a rrêté se ra soumis à l'approbation de M. le Ministre -de
l'Information et recevra provisoirement son
exécution ;
Article 9. - Le présent a rrêté se ra inséré a u Recueil des Actes Administratifs et
a mpli ation ell sera transmise à M. le Procure ur Général près la Cour d'Appel d'Aix-enProvence à MM. les Procureurs de la Répuhlique, à Marseille, à Aix-en-Provence et
à Tarascon, à M. le Président du Tribunal
f:ur~~~;~~~ér~s~éS~larseille,
Article 2. - Le ta rif des a nno nces judicia ires et legales est fixé pour l'année 195 1
ainsi qu'il s uit
- Pou r Ie.s journaux q uotidiens
du mati n . .. . . . . .. .. . . . . . . . . . .. 60 Fr.
Du soi r .................. . '.. 50 F r.
- Pour les jo urnaux pé ri odiques. 33 Fr.
par ligne de trente lettres blancs ou s ignes,
le nom\1re de li gnes étant calculé a u lignomèt re du co rps employé de filet il fi let.
j
Article :t
Le même ta rif sera app liqué
en ce qui Ctlnn~ rrH: les a nnonces et publications dans les affai res do ma nia les ou administ rati,·es, spécia lement en mat ière d'exproJ1ri arioll pour cause d'utili.té publiq ue ;
Article .J. - Ce tarir est réd uit de moitié
e n ce qU I conce rne Ics publicatio ns s uivantes, rdatives :
J" AliX jugements de fai llite, a ux CQnvoèa ti ons l't dê libé ra tions des créanciers ;
2" Aux n~ ntes j udiciaires d'immeubles dont
la mise à prix est inférieu re à 8.00J francs,
co nfonlll'Illcnt à l'article 5 de la loi d u 23
octo bre ltiR-!, modif1ë pa r le déc ret-loi du 17
j uin 1938 ;
~o Au", co ntrats et procédures ua ns les
a ffaires s ui\'ies pa r a pplicatio n des lois des
29 no\'embre ct 7 d~cembre IR'lO et 22 jan"jer 185 1, sur l'Assistance Judiciaire.
qu'aux
Article 10. - M. le Secrétaire Général de
la Préfecture, MM. les Sous-Préfets et Maires so nt cha rgés, chacun en ce quj le Conce rn e, de l'exécution du présent a rrêté.
~Iarseille, le 30 décembre 1950.
SALON:
La Démocralie des Bouches-du-Rhôné :
5, rue Auguste-!\toulin, Salon;
L'Espoir, bou l~vard Mistral ;
Le Régional, 10, bo ulevard de la République.
TARASCON
Le Comm ercial de Tarascon, 4, rue Salaire, Tarascon.
La Gazelle Provençale (pour l' Arrondissement d'Arl es se ulement), 45, rue Carreterie
Avignon.
.
1
a insi
Le Préfet des Bouches-du-Rhône :
Jean BA YLOT.
----- c::'ooc:)---___
CT 2
03 B2
AFFRANCHISSEMENT DU COURRIER
DES HOPITAUX
ET HOSPICES PUBLICS
j'ai l'honneur de porter li la connaissance
de AlM. les Maires , Présidents des Co mmissions Administratives des Hôpitaux et
Hospice.s le texte d' une lettre émanant de
l'Ad ministration des P. T. T. et donnant
tOlites instructions uliles en ce qui concerne
l'affranChissement du courrier des Hôpitaux
et Hospices Publics .
' POSTES, TE LEGRAPHES, TELEPHONE
D IRECTION DEPARTEMENTALE
DES BOUCHES-DU-RHONE
13, rue He nri-B a rbusse _ I\ IARSE ILLE
,\lars eilJe. le 19 déce mbre 1950.
Réf. il rappeler: 20 15 CX BI ~I
Le Directeur des P. T. T. des BOllrht!s-du-Rane
ri ;\1. le Préfct d(!s BOllc'hes-du-Rhôllt,
Marseille.
OBJET: Franchise l'ostale.
REF. . V. L n" 16.757-3D d u ~ décembre 1950. m. 1 N" 1 \1~7 CXB t41 du 1L121950.
Com me suite a ux lettres "isees e n référence, j'ai l'honneur de vous fai re co nnaître
que mon Administration Cen trale rient de
signaler q ue les S~nices préfectoraux ne
bénéficient de la franchise postale, dans les
les recelimites u u Departement,
reurs des
Les
Dircct~urs
�•
5
de Contrôle des Opératiolls Immobilières portant avis !avorahle ;
Vu l'article 22 de la loi du 30 Décembre
1928, considérant que l'acquisition projetée
est destinée à l'assistance Hospitalière ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire
Général de la Préfecture,
ven~
en aUCun cas) être admis à cet avantage.
D'autre pan, les Directeurs des Etablissements hospitaliers publics ne sont autorisés à correspondre en franchjse qu'avec les
Directeurs Départementaux de la Santé.
Pour le Directeur,
Le Directeur-Adjoint
GASSEND.
ARRETE
FS 0
DECLARATION D 'UTILITE PUBLIQUE
DU PROJET D'ACQUISrtlON D'UNE
PROPRIETE PAR L 'HOPITAL-HOSPICE D'ALLAUCH.
03 B2
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu la délibération en date du 28 Septembre
1950, par laquelle la Commission Administrative de l'Hôpital-Hospice d'Allauch, décide
l'acquisition de la propriété ci-après définie:
situation, 2 et 4, rue Bea u-Rêve, à Allauch,
appartenant il M. Raymond- Roger EstienneTanoux, d'une superficie totale de 2.273 m2
(y com pris l'ensemble des constructions)
pour la somme de Iran cs : a.ooo.ooo, afin
d'augmenter la capacité en lits d'hospice de
l'Etablissement ;
Vu l'avis de M. le Directeur Départemental de l'Administra tion des Domaines ;
Vu la dêlibération en da te du 12 Décembre 1950, d'e la Commissio n Départementale
Prix de journée prévisionnels \95\
DESIGNATION DES E'IABLl SSE.\\ENTS
Hôpital-Hospice d'Allauch
ARRETE
ci-après énumér és sont fix ée comme suit,
avec effet du 1er jan vier 195 1 :
407
971
1.087
346
236
642
1.4?4
1,568
292
259
350
310
330
487
1.244
1.609
483
1.1 86
1.268
213
557
311
744
230
'339
577
1.401
1.586
562
1.3 15
1.482
231
.......... .
.... . .. . ........
Hospice de Cassis . . ..... . . _... _.. , , . . . _
Hospice de Roquevaire .. ............ _.. .
Hospices d'A ix .. '.. ... . ... .. , ... , .... . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. ,
Hospi ce de Sain'I:èh',,~~~· : :: :::::: :: ::: : :
Hospice de Hognes . _...... _.. _. _...... ..
H~~œl~~ . . . . . . . .. ...
.. .
Hospice de La Fa re .................. _..
Hospice çle Saint-Cannat ..... _.... . _... .
Hospices d' Arles . . ... .. : ... _........... .
. .... .... .. .............
Hôpital-Hospice d~' T~ ;~;~~~
.::::: :: ::: ::
...... ... . - .
Hôpital-Hospice de Châteaurenard , .... . . .
.Hôpital-Hospice de Sa int-Remy ... ,., .....
Hospice de Maussane ... . ... _.. ... , ..... .
Hosp ice de Barbentane . .............. . . .
Hôpita l-Hospice d'Auba gne ..... . .. . , . . .. .
Hôpita l-Hospice de Sa lon
H.
'
..
Hospice de Cassis .................... . . .
Hospice de Roquevaire ........ _.... _... .
Hospices d'Aix ........... .... . . : ...• . ...
..... _ .................. . .
Hospice de Saint-Charnas ...... _........ .
Hospice de Rognes . _. . . . .. . ....... • ....
Hospice d' Istres ........ ..... . ..
Hospice de La Fare .................... .
Hospice de Saint-Cannat .. . .•.....•......
Hospices d'Arles ................. .... .. .
de Tarascon ..... ... ... .
Hôpital-Hospice de Châteaurenard ....... .
M.
C.
H.
H.
H.
M.
C.
H.
H.
H.
H.
M.
C.
H.
M.
C.
H.
M.
Hôpital-Hospice de Saint-Rem y .......... .
H.
M.
Hospice de Maussane ......... ::::::::::.:
Hospice de Barbentane .......... . ...... .
Hôpital-Hospice d'Aubagne .............. .
H.
DESIGNATION
DES ESPECES
2' Catégori é
1r. Catégorie
509
1.104
1.235
432
6 10
1.324
1.482
519
»
»
963
1.956
2.138
802
1.630
1.782
•
,
»
»
»
»
>
»
»
»
585
1.300
1.682
555
1.240
1.325
730
1.470
1.90 1
724
1.401
1.498
»
»
»
•
»
373
845
466
1.014
»
»
721
1.5Q2
1.802
»
»
865
1.9 11
2. 163
1.435
1.6 17
1.554
1.752
Prix de journée indigents
Services
H. : Hospice
M : ),lédecine
C : Chirurgie
HôpItal-Hospice d'Allauch
Prix de jounaée payafl's
3' Catégo r it:
et
Assurés Socia u x
Hospice d'Auriol . ..... _........ .
DESIGNATION DES ETABLISSEME1'iTS
Hôpital-Hospice de Salon
11. -
ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
PUBLICS
Le Préfet des BOllches-dll-Rh6I1e,
Officier de la Légioll d' Honll eur,
------~f~OO<>-------
1. -
Hôpit~I-Hospice
FS7
ARTICLE PREMIER. - Est déclarée d'utilité
publique dans les conditions prévues par .
Vu la loi du 15 jui ll et 1S93 sur l'Assistan_
l'article 22 de la loi d'u 30 Décembre 1928,
ce Médicale Gratuile ;
en vue de l'exonération des droits <ie mutaVu la loi du 14 jui llet 1905 s ur l'Assistan_
tion, l'acquisition par l' Hôpital-Hospice d' Alce aux Vieillards, Infirmes et Incurab les;
lauch, en vue de la créatio n de nouveau x
Vu l'ordonnance du 18 décembre 1944
lits d'hospice, de la propriété ci-dessus désidéterminant il titre transitoire les règles d~
gnée, sise rue Beau-Rêve, n° 2 et 4, il
fixation des pri x de journée dans les hôpi.
Allauch.
taux et hospices publics ;
ART. 2. - M. le Maire, Président de la
Vu les circulaires ministérielles d'applicaCommission Administrative de l' Hôpital-Hostion, nota mment les ci rculaires des 29 dépiœ d'Allanch, est cha rgé de l'exéc ution du
cembre 1944 et 29 novembre 1949 ;
présent arrêté qui sera affiché il la porte de
Vu les propositions et j ustifications des
la .Mairie d'Allauch et publié au Recueil des
Commissions Administratives des Hôpitaux
Actes Administratifs de la Préfecture.
et Hospices Pu blics ;
Vu les rappo rts de l' Inspecteur Princi pal
Marseille, le 8 Ja nvier 195 1.
de la Population,
Pour le Préfet,
ARRETE
Le Secrétaire Général,
LAMASSOUrœ.
Article premier. - Les prix de journèe
prévisionnels appli cables durant l'année 195 1
dans les Etablissements hospitaliers pu blics
-------<»00<'-------
. ........ . .....
D3 B2
Déficits
P rix de revient prédsionoels
gén~ral
mc!dical
total
l
:2
l +2
Excédents
d es
Exerci<.-es antt:ri eu rs
Hl
(-)
Pri x
de
journée
prévisionnels
389
424
35
407
17,33
778
849
105
883
34
210
778
983
957
30,66
Reconduction du prix de journée de 1950 sur proposition de l'Etab. 346
330
286
44
591,20
631,70
40,50
10
642
121,50
1.303,90
1.266
1.1 82,40
37,98
243
1.425,40
I.3S7
1.182,40
38,59
300
292
8
Reconduction du prix de journée de 1950 il défaut de propositions
de l'Eta blissement (application des dispositions légales)
259
25,29
.
325
350
312
3 10
1,88
Reconduction du prix de journée de 1950 il défaut de proposit io ns
de l' Etablissement (application des dispositions l égales)
330
438,77
25,37
464,14
22,52
487
1.017,27
11 3,29
t.I 30,56
975
155,44
401,30
1.061,09
1.<Ki2,39
1.3 19
143,11
24,88
464,66
489,54
483
7
148,64
1.077,96
929,32
1.062
16
223,2S
929,32
1.152,60
1.1 34
19
16,76
228,25
245
2 18
26,67
456,50
50,28
506,78
451
65,50
Reconductio n du prix de journée de 1950 sur proposition de l'Etab. 3 11
»
>
629
»
»
Reconductio n du prix de journee de 1950 à défaut de propositions
de l'Etablissement (application des disposition légale)
230
Reconduction du pri x de journée dt 1950
339
56
609
553
577
32
1.274
168
1.106
1.2\0
63
1.106
336
1.442
1.300
60
56
572,42
521,92
~f2
10
15 1,80
1.043,84
t.I 95,64
1.l~
Il
1.347,44
303,60
1.364
1.043,84
15
240
23 1
9,33
•
Article 2_ - M, le Sec rétaire Géneral de
la Préfecture, MM. les Sous-Préfets d' Aix et
d'Arles, MM. les Mai res, Présidents des
Commissions Administratives, MM. l es Re-
ceveurs de ces Etablissements M. le Trésorier Payeur · Général sont ch'a rgés, chacun
en ce qui le co ncern e, de l'exécution du pr esent arrêté.
Marseille, le 9 janvier 195 1.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE .
------ «::.00« :.,------
D5 BI
P 3
PECHE FLUVIALE
REGLEMENTATION PERMANENTE
AR~ETE
'Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Croix de Guerre,
Vu les lois des 15 Avri l IR29, 31 1I1a i 1865
Sur la pèche flu viale, et leurs modificatifs,
Vu le décret du 29 AoOt 1939 sur la pêClhe
flUVIale et ses modificatifs .
Vu l'avis du Comité Dép~rtemental d'e la
PêChe Flu viale en date du 3 Novemhre 1950,
Arrête :
ARTI CLE PREJ.IIER. -
La pêche est sou-
~Ise aux prescriptions des textes rappelés
Cl~desSlts et de leurs modificatifs et, pout le
dép~rtement au x conditions particu:ières CÎ-
apres :
ART. 2. - Application des a rticles 1, 2,
3, 4, 5 et 6 du décret du 29 Août 1939.
A. -
TABLEAV DE CLASSEt\>lENT DES
COURS D' EAU EN CATEGORIE!.
a) Première categorie avec saJmonides
dominant :
10 Le ruissea u de Saint-Paul-Iez-Durance
en amo\lt de son confluent avec la Durance;
2 u Le Réal ou ru isseau de Rians, en amont
de son co nfiuent avec la Durance .
3° La To ulou,bre, en amont dLl' Pont de
la rou t<:: de Grans :
4° L' Hu veau ne en amont du pont de Roquevaire ;
50 Le rui sseau des ZOllca naux :
6" Les affluents des co urs d'eau ou portions de COUfS d'eau désig nés ci-dessus.
COURS D'EAU TOUTES
CATEGORIES
T ruite et omble
chevalier ....... . Uu 1er mardi d'octobre au
jour qui pr écède le premier samedi de mars.
Broch.e.t ' ...... . .... Du 15 févri er aü 31 mars.
Alose, angui ll e,
lamproie .......
jours
consécutifs
à
oorn lAC: r du 1er mardi
d'avril, sauf sur les cours
d'eau où cette peche est
autoJ'ist!c dans les conditions prévues ci-dessous.
(jf)
Toll'S po issons
non. mentionnés
ci-dessus ........ GO jours
compter
d'avril
consécutifs
à
du 1er mardi
Ecrevisses (cours a'eau de Ire catégorie
du 16 Otlobre au 13 juillet.
(Cours d'eau de 2e categori e : six mois
consècutifs à compter du 1er Decembre.
En outre, pour les grenouilles, ecrevisses
~t tOl~ t cS espèces de poissons, la pêChe est
mterdlte dans les cours d'eau de première
catégorie, du 1er mardi d'octob re au jOur
qui précède le premier sa medi de J\t\ars et
dan.s cellx d'e la t:feuxii::me categorie pendant
60 Jours consécu ti fs à co mpter du 1er mardi
d'Avril.
N:-B. - Les jours indiqués Comme origine
et hn des periOdes d'interdiction so nt Compris dans les dites pér iodes.
Par dérogation aux dispositions précédentes et ell application de l'article -l du décret
du 29 Août 193Y, est autorisée à toute epo~
que:
a) Dans le Rhô"e seulement, la pêche des
migrateurs (aloses, anguilles, lamproies, muges, bars ou loups de mer, au moyen de
tous filets et engins régiQmentai r~ ;
b) Dans tous les Cours d'eau du départe.
ment (y compris le Rhône), la pêche de l'ang uille par les procédés dils de la vermèe ou
au sausset.
ART. 3. - Application de l'artiCle 7 du
décret du 29 Août 1939.
La pèche ne peut s'exercer plus d'une
demi ... heur e avant le lever d u soleil ni ,plu!:
d'une .dem i-heure après son coucher.
ART. 4. - Application de l'article 9 du
décret du 29 Août 1939.
b) Deuxième catégorie . Cyprinidés domi·
La dimension de la truite capturable est
nant.
fixée à 92 COlS dans tous les cas.
Tou s les cours d'eau ou portions de cours
ART. 5. - Application de l'article II du
d'eau et canaux non classés en première , décret
du 29 Août 1939_
categorie.
La p~l:he de la montee d'an(Juillons est
La pêche fluviale dans le Rhône pour le interdite.
~
Grand Rhône dans toute
la traversée du
département des Bouches-du-Rhône jusqu'à
la limite de salure des eaux fixée par le
ART. 6. - Application de l'article 13 du
décret du 2~ Aotit 1~J39.
décret du 7 Décemhre 19! 2 à la norm ale
passant à l'extrémité Sud du qua i Saint-
ENGINS ET MODES DE PECH!!
INTERDITS
Lou is lequel sépare le fl euve du canal SalntLouis.
Po ur le petit Rhone, da ns toute la traver-
sée du département des Bouches-du-Rhône
jusqu"à la limite de salu re des eaux fi xée
par décret du 19 Novemb re 1849 il l'Ecluse
de Sylveréal B. K. 322.
B. -
PERIODE
PECHE.
D'INTEI~D I CTlü
DE LA
Dans l es canaux et cours d'eau désignés
ci- dessus, les périodes d'interdiction SOnt
fixées ainsi qu'il suit :
Les filets à mailles ca rrées, losangiques ou
rectanglllaires de moins de 27 m/ m (petit
c6té), ceux à maille hexagona les de moins
de 19 m/ m de (ljtê et les ~engins dont l'espa..:ement des verges est inférieur à 27 m/m
sont interdits, ft l'exception dll carré ou
carrelet) de l'épervier goujonnier qui pourront être employés dans les cours d'eau de
deuxième ca tégorie ,pour la capture des goujonsJ loches, vairons et ablettes . .
ART. 7. - Application de l'article 15 du
décret du 29 AOût
�6
La largeur mouillée du cours d'eau sera
toujour prise en considération pour l'application des dispositions de l'article I!).
ART. S. - Application de l'article 16 du
décret du 29 Août 1939.
.
pendant la période du 15 Mars au 30 juin
(ces dates incluses).
y La pèche à ta ligne coublée ou portee,'
la pêche dite « à l'avion > ou au
flotteur :)o .
6" L'utilisation des œufs de toutes . espèces
de poissons comme amorces ou nppaTs, q\lL
ces œufs soient naturels ou artificiels, fraiS
ou de conserve ;
7" L'utilisation de l'asticot naturel ou artificiel comme amorces ou comme appâts dans
les cours d'eau de première catégOrie.
FILETS TRAINANTS
Est autorisé l'emploi de filets trainants,
dits grands filets, filets courants, couble,
senne,. gille ou grand épervier à mailles carrées, losangiques ou rectangulaires de
40 m/ m au moms de côté (petit côté d u
rectangle) Olt à maîlles hexagonales de
29 m/m au mo ins (côté de l'hexagone) dans
le chenal principal du Rhône, en , amont du
pont de Trinquetaille à Arles et dans le petit Rhône, pont suspendu de Saint-Gilles.
Cette pèche ne pourra être effectuée qu~ell
Ire le lel'er et le coucher du soleil dans les
parties profondes du Rhône, aux emplacements qui seront désign és par le Prélet pour
la capture de toutes ~es arandes espèces ae
poissons, telles que : anguilles, truites, carpes, brochets, ba rbeaux, brèmes, mauoiers,
aloses, perches, tanches, loches, lamproIes,
mulets et bars.
La longueur des filets traînants ne pourra
excéder de plus d'un tiers la largeur
mouillée du fleuve.
L'emploi de ces engins est autorisé à toute
époque, n'lais la capture de to~t poisso n pendant la péri ode d'interdiction qui lui est propre est délendue. Ces poissons devront être
immédiatement rejetés à l 1 eau.
BALANCES A ECREVISSES
Les balances à écrevisses devront être à
mailles de 27. ml m au moins, leur forme
pourra être indifféremment ronde, carrée ou
rectangulaire. Leur diamètre ou leur diagonale ne dtvra pas excéder 30 centimètres.
ART. 9. - Application de l'article 19 du
décret du 29 Août 1939.
.
Par dérogation aux prescriptions générales
de l'article 19 du dé"et du 29 Août 1 93~,
les nasses, paniers et filets à demeure pourront être accolés aux écluses, barrage!!, chutes naturelles, pertuis, vannage, coursiers
d'usines des cours d'eau de deuxième catégorie, du 1er Novembre au 3 1 Décembre,
deux heures avant le lever du soleil, pour
être utilisés deux heures après l e couoher
du soleil, pour la pêohe de l'a nguille d'avalaisan.
•
Cette pêche ne sera pratiquée que dans
les emplacements qui auront été autorisés
préalablement par décision préfectorale apres
enquête des services des forêts et sur demande des intéressés.
ART. 10. - Application de l'article 20 du
décret du 29 Août 1939.
Sont interdits en tout temps et dans tous
les cours d'eau, les modes de pêche ci-apres:
l' La pêche aux lilets tournants automatiques ou non sauf dérogation prévue CÎaprès ;
2° La pêche aux hris de glace ;
3' La pèche aux baes de londs et autres
appareils de mê me espèce tels qu e ,barriques
et fagots ;
4' La pêche à l' aide de la bréca nt~ re, trouble, poele, tourbiUon, capirous et sar:an.
Toutefois, l'em ploi des engins énumérés au
paragraphe précédent, brécanière, etc" est
autorisé pour la pêch.e de l'anguille, de l'alose
et de la lamproie, mais seulement dans le
chenal principal du Rhône à l'exclusion des
bras secondaires et aux emplacemenls désignes sur la demande des ayants droit et
1
F ILETS UNIQUE.MENT AUTOR ISES
DANS LE RHONE
Est autorisé uniquement dans le R1hône,
l'emploi de filets tournants appelés doub le
sartan, vire blanchard, tourniquet, munis de
2 filets avec palettes motrices 'SOLIS co ndition
qu'ils seront à maille de 27 rn/ m au moins
dans le cas de maille en forme de Cc.1 rré,de
losange ou de rectangle (petit côté) ou qu'ils
représentero nt des mailles hexagonales ayant
19 m/ m au moins de càté.
Ils ne devront comporter auc une annexe
telle que barrage même partiel contraignant
le poisson à se diriger vers l'engin.
Ces appareils pourront être munis d'un
couloir, mais salis la condition obligatoire
que celui- ci déversera directement l e p01!!lson dans un vivier ouvert en eau libre muni
<I!' gri llage ou de fil ets à mailles de 32 in/ m
au moins.
Ces appareils seront assimilés aux engins
fixes et leur fonctionnement sera complètement arrêté pe ndant 36 heures chaque semaine du samedi 18 heures au lundi b heures.
L'emploi des filets tournants est autorise
du 15 Mars INCLUS IVEME/'o.'T au 30 Juin
INCLUSIVEMENT.
Pourra être capturée â l'aide d'es filets :
l ' Pendant la période d'i nterdictio n générale de ia pêdhe c'est-à-dire pendant 60
jours à compter du 1er mardi d'avril. les
poissons migr ateurs, l'alose, la lamprOIe marine, l'anguille, le muge ou mulet, le loup
ou bar, à l'exclusion de toutes autres espèces.
,
2" En période d'ouverture de la pêcl1e
4"outes les espèces migratrices ou non.
ART. Il . - Application de l'article 22 du
décret du 29 Août 1939.
Il est interdit d'appater les ha meço ns,
nasses, filets et autres engins avec des poisSOnS dont la taille de prise st réglementée
par l'arlicle 8 du dé cre! du 29 Août 1939,
modifié par le décret du 14 Septembre 1950.
ART. 12. - Application de l'article 22 du
présent décret du 29 Août 1939.
L'e mploi de la Ibouteille, de la cara·!e ell
verre et du baril d'une contenance de 2 litres
au plus, pourra être autorisé .dans les cours
d'eau de deuxième catégorie seulementpom
la capture exclusive des poissons servant
d'amorce. La demande à ad'resser à la Prélecture devra préciser l'emplacement où ces
engins seront placés. Ell e lera l'objet d'une
autorisation spéciale.
Les lagols ou lasci nes et la petite bosselle
ou bou rgnon, ne sont pas autorisés pour la
capture de l'anguille.
ART. 13 . - Le .présent arrêté abroge et
remplace celui du 26 Février 1942 et ses
modificatils.
ART. 14. - Exécution de l'arrête.
Le p résent arrêté e ntrera en vigueur le
1er janvier 1951 et res tera valable tant que
ces dispositions n'aur ont p~s é té modifiées.
-
MM. les Sous-Préfets, Maires et AClol
OffIciers ct preposés des Forêts, IngC01e:~'
des Ponts et Chaussées et Agents inférie s
de la navigation, Officiers de Gend'arme~:s
Gendarmes, Ag~nts . et employés des Doua:
nes, ~es Cont~lbu.flons Indirectes et des
OctrOls, Comnllssalres de Police Garde
ChaRlpêtres, Syndic des ge ns de me~, G~rd~
Manhmes, Gendarmes de la Marine et tous
Officiers de Police Judkiaire, sont 'Chargés
d'en aSsurer l'exécution.
'
Le présent ar.[t~.te se~a insére au « Hecueil
des Actes AdmlRlstral1fs » publié et affiche
dans toutes les communes du dëpartemen!
des <Bouches-du-Rhône.
Marseille, le 23 Décembre 1950.
Pour le PrMet,
Le Sous·P.éfet délêgué. Di.rectcu. du CaJ,inct,
DUFAY.
A!F/ 8 1'1" 1.822
APPROUVE.
Papis. le Il Décembre 1950.
Pour le Ministre et pa r autorisation
Le Direcrcur gén.éral des Eaux et Forë~
Signé: F. du VIGNAUX . '
7
Département de
Commune de
Années
Volume
de gaz
vendu
en m3
(2)
REGIE
Périod e
d'activité
réelle
(en mois)
1939
1940
1941
1942
1943
IM4
1945
1946
1947
1948
1949
RaiSons
de
l'i nterruption
(3)
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à Messieurs les Maires du Dé partement.
Par lettre circulaire du 15 avri l 1950, je
vous avais demandé certains renseignements
sur le montant des déficits d'exploitation
des r égies gazières consécutivement aux mesures de blocage des prix instaurées à la
suite des événements de 1939.
Afin de compléter son inlo rm ation le Ali·
nistre de l'ntérieur me demande de lui faire
tenir, avant le 20 janvier 195 1, pour chac une
des régies de production et de distribution
y compris celles qui ont cessé pro visoi rement ou définitivement de fonctionner entre
1939 et 1949, les renseignements suivants :
1 Le nom bré de mètr es cubes de gaz
vendus au .cours des années 1939 il 1949
incluses;
2" La durée de fonctionnement effectil
de l'exp loitation durant les années 1939 à
1949 incluses;
3° Les raisons des interruptions de fonc·
tionnement de chaque r égie ;
4 ° Les modalités d'alimentation en gaz de
la ~égie (nom et qualité du prOducteur) ;
5' Préciser s i la Rég ie n'assure que I ~
production et l a distribution du gaz Ot~, SI
ell e est mixte, les autres services explOités.
Dans ce dernier cas indiquer les résultats
financiers des services, autres que le gaz!
durant les a nn ées 1939 à 1949 incluse et
l'uti lisation réelle des excédents éve ntuels.
. Ces rensei gnements seront mentionnés
dans le tableau ci-joint et del' tont me parvenir pour le 15 janvi er 1951, to nt retard
risquant de lausse r les calculs d'e nsemble
au préjudice des exploitati ons omises.
t
Il va sans dire que l' indemnisation don
bénéficierait éventuell ement votre commune!
et qui en tout état d e cause ne se rait que
partielle et forfaitaire, demeurer a subo rd ~ni
née à l'adoption 'par le Parlement du proJ~1
de loi dont il est saisi, mais · sur lequel 1
n' a pas enCore délibéré.
.
Pour le Préfet, par délégatIOn,
Le Secrétaire Général,
LAMA SSOURE.
(>
Excédents
Pertes
Autres services exploités par la Régie (6)
Mesures
financières
prises
(5)
RfsuItats financiers
Nat ure
Pertes
Excédents
A1fectation
des
excédents
Observations
.
.
Total. ...
Résultat
(7)
SC 2'
DEFICITS
SUPPORTES
PAR
LES
REGIES DU GAZ DU fAIT DE LA
REGLEMENTATION DES PRIX.
Résultats linanciers
de la RélPe
DE GAZ DE
1
-------<.00 •• -------
02 B3
MOdalités
d'approvisionnement
en gaz
(4)
(1 )
1
Total. . .
Résultat
'Mettre éventuellement mixte.
Ar rondir aux di X mille supérieurs.
(:1) Bombardement, é plli~ement des approvision nements "' rre'l volo t .
R"
,"
n:ure.
(4)M
1 cUre
t--gle, ou nom et qualité du prOdtlC tettr et pOur chaque année
ncment en gaz.
(5) Emprunt, avance de X... millions de
(6) A remplir seulement pour les Régies mixtes.
'i) Oblenu pa r différence entre les totaux des colonnes 6 et 7.
(1 )
(2)
D2 B3
SC 7
PROTECTION CONTRE L'INCENDIE
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
Officier de la Légion d'Honne;lr,
Vu la loi du 5 al' ril 1884,
Vu le décret du 7 lé vrier 194 1, s ur la protectIOn Contre l 'incendie des bé1timents ou
locau x ouverts au public, validé par l'ordonna~ce du 22 juin 1944, et notamment les
arhcles III et 232
Vu l'a rrêté préf~ctoral d u 30 mai 194 1
Vu les rapports de l' Inspecteur Dépa,'temental des Services d'incendie des Bouches.
du-Rh Ône n" 1679 en date du 26 décembre 1950,
Sur proposition du Secrétaire Général de
1a Préfecture,
ARR ETE:
Arficle premier. - Il est interdit de fumer
tans les théâtres, cinémas, salles de specaCle. et d'auditions, en dehors des end roits
SPéclal.e l1~ e llt autorises à cet effet par les
~omm lsslons muni cipa les ou départementaes de sécurité.
Article 2. - Les expl oitants directeurs ou
propriétaires d' établissements 'précités devront notamment :
Ch- Ra ppeler cette interdiction au début de
aque sea nce, aux e nt ra ctes et à tous
autres I~oments opportun s, par tous les
:~ yens a leur disposition : projection d'u n
a~hs llr l'écran, diffusion par haut parleur.
em es. etc., et indi quer, s'il y a lieu, les
Pl ac~ments autorisés comme fumo irs.
s 'il y a eu des changements dan s les modalités d'appro\'isioc-
Art. 3. - Il est interdit de lumer dans
les O'r ands magasins et établissements librement ouverts au public, en dehors des endroits spé~ia.lement a~t.orisês à cet effet, par
les CommiSSions mUniCipal es ou départementales de sécur ité.
Les exploitants, directeurs ou propriétaires des Etablissements en cause devront
afficher cette interdiction en caractère très
apparents, et indiquer, s'i l y a lieu., les emplacements autorisés comme fumoirs.
Art. 4. - Le personnel des Etablissements
faisa nt l'objet d u présent arrêté de-vra exercer une surveillance rigoureuse et slanaler
aux fo rces de police les délinquants au~ fins
de p r~)Cès-ve rb a ux et d'expulsion, s'il est nécessaire.
Art. 5. -
Toute infraction co nstatée aux
dispositio ns tlu présent arrêté sera punie
des sancti~ns prévues pa r l es lois et r èglements en l'Igueur, et pourra entraîner la fe rmeture de l'Etablissement.
Art. 6. - Toutes dispositions a ntérieures
au p résent arrêté sont abrogées .
D6 B3
TVX 0
BORDEREAU DES SALAIRES NORMAUX ET COURANTS DANS LE
BATIMENT ET LES TRAVAUX PUBLICS.
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Croix de GI/erre,
Vu les décrets du 10 av ril 1937 Sur les
co nditiors du tral'ail dans les ma rchés publics ;
Vu l'arrêté mi nistériel d u 15 jam'ier 1938
sur les Commissions de bordereau.'X de salaires ;
Vu le procès-ve rbal de la CommIssion des
Bordereaux de salai res dans les industries
du Bâtiment et des Travaux Publics du 3
jam'Îer 1951,
Art. 7. - AI. le Secréta ire Général de la
ARRETE .'
Préfecture, MAI. les Sous-Préfets, M. le Di_/
recteur Départemental de la Police, les MaiArUele premier. - Est app roul'é le border es, le Commandant de Gendarmerie, l' Insreau des salaires normaux et co urants du
pecteur et les Inspecteurs adjoints sont cha rBâtiment et ÙtS Travaux Publics figurant au
gé~1 chacun en ce qui le concerne, de J"e:-..~
tableau \:i-apn:s ;
cubo n du prt.~sent arrfoté,
Ma rseille, le 5 janl'ier 1951.
Le Préfet .'
jean BA YLOT.
---~)oo<>----
�-
8
SALAIRES AIINIJI.\A
TS DANS LES
INDUSTRIES
DU
EN VIGUEUR DANS LE DEPARTEA COMPTER DU 8 DECEMBRE 1950 :
NOR"'\AUXvfJxC~~~~fcs
~1~di1 ~1JlJE~-~AU-RHONE
ABATTEMENTS DE ZONES
0%
CATEGORIES
Gardien, balayeur ... . .... "...... .. ....... .
Manœuvre (1) ... . ..... .. .............. . .
Ouvrier spécialisé 1er échelon (2) ....... .
O . S. 2 (terrassier) ... . ..... ~ ........•...
O. S. 3 .............................. ..
O. qualifié 1er échelon . ............... .
O. Q. 2 .......................... ,.
O. Q. 3 ............ ··········· ·· ·· .. . .. .
O. H. Q .... ' ........... : ... " .......... ..
80
82
85
90
93
96
103
108
11 3,50
-5%
76
77,90
80,75
85,50
88,35
91,20
97,85
102,60
107,85
15 %
10 %
68
69,70
72,25
76,50
79,35
8 1,60
87,55
91,80
96,50
72
73,80
76,50
81
·S3,70
86,40
92,70
97,20
102, 15
(1) Manœuvre ayant moins de tro.is mois dans la profession.
(2) Manœuvre ayant plus de trOIs mOIs dans la profession.
Les
cat~gories ment!on~ées ci-d~ssu.s
cor-
respondent à celles definles par 1 arreté du
17 avril 1945, et les décisions prises en
application de ce texte.
Article 2. - M. le Secrétaire Général de
la Préfecture est chargé de l'exécutIon du
présent arrêté.
Marseille, le 10 janvier 1951.
Pour le Préfet,
Le Secrëtdire Général Déléll'ué :
LAMASSOURE.
•
Communiqués - Avis
Annonces diverses
03 82
AVIS DE CONCOURS
Concours pour le poste d~écon<?me
aux Hospices de BourK (Hotel-Dleu)
Un conCours sur épreuves est ouvert aux
Hospices de Bourg (Ain), le 12. mars 1951,
pour le poste d'étonome de l'Hotel-Dleu.
Les dossiers de ca ndid ature devront être
ad ressés, avant . le 2 mars 195 1, date de
clôture des inscriptions, au Secreta~lat des
Hospices de Bourg (Ain), qui fourmra, sur
demande, tous rensei gnements. ut1tes a~x
postulantS, et, notamment, la liste des pIèces à produire et. le programme détaillé du
concours.
D382
O. S. T.
pendant II ans, recherche poste avec logement dans une commune de moins de 2.000
habitants du Département des Bouches-du~hône.
MM. les Maires intéressés par cette candidature voudront bien se mettre directement
en rapport avec M. He nri HERVIEU, demeurant, 2-4, rue de Paris, à Yerres (Seineet-Oise).
----<:.ooc :.- - - -
9' Année. - N' 4
VENTE DE MATERIEL AUTOMOBILE
PAR LE DEPARTEMENT DES B.-du'Rh.
OËPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
l,e Département des Bouches-du-Rhône va
J
procéder à la vente sur soumissions cach~
tées de deux voitures fourisme :
C1TROEN II CV B.L. 2013 C}l4,
OTROEN Il CV B.L. 7850 CB2.
La vente aura lieu à la Préfecture des
Bouches-du-Rhône, salle 219, le fi février
1951, à 16 heures. Les soumissions devronl
être déposées au plus tard le 5 février 1951,
à 12 he ures dernier délai, à la Préfecture,
Direction des Services Techniques, eureau
(43 bis).
Le dossier complet qui compre nd toules
le~ autres prescriptions de la vente pourra
être consulté. à la Préfecture des Bouches-du.
Rhône (bureau 43 bis) et dans les SousPréfectures d'Aix ef d'Arles.
•
COJIIJIIOllQOEs DO SEC8ETBQIIT
DE L'ONION DES UlBIRES
DEMANDE D'EMPLOI
Ancien secrétaire de mairie ayant exercé
REPUBLIQUE FRANÇAISE
25 Janvier 1951
OFfRE D'EMPLOI DE SECRETAIRE
DE MAIRIE A MAUSSANE
\Jn emploi de secrétaire de Mairie esl
offert par la Commune de Maussane à personne déjà au coura nt des affaires municipales.
Les demandes doivent êt re adressées direc·
tement à la Mairie ~e Maussane (Bouches
du-Rhône).
Le Secrétaire Général de l'Union:
AUDIBERT.
ABHÉVIATIONS
SOMMAIRE
Arrêolts réglementaires et Circulaires
P O. -
Pages
A 3. - Agriculture ' : dates d'enlèvement de récolte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
AG 2. -
Salaires des journaliers ,com-
munaux •.... ....... ...............
EN O. fS O. -
9
Réglem e ntation de l'affichage
Médecins agréés pour pratr-
9
IO
quer les examens radicopiqu es en
vue de la délivrance des lertifi cats
prénuptiaux et prénataux .........
11
D6 B2
, A 3
, AGRICULTURE
Dates d'enlèvement de récolte
ARRETE
Article p,.em;e,.. Les dates ll"enlèvement de récolte pour chaque natu re de c u ~
ture sont fixées ainsi qu'i l suit dans le dt'partement des Bou c, nes-dLl- I~h ô ne :
Raisins : du 10 JUIllet au 10 no.vembre.
Cerises: du 1er mai au 30 JUIn.
Pèches : du 15 mai au 15 septembre sc-
Ion les var iétés.
Po i res: du 25 juin ail J5 octobre selon
les variétês.
lM,
~IMM
P 3. - Destruction des pies et corbeaux ............... .............
P 8. - Remise des ca rtes de travail
aux ét rangers par l'intermédiai re des
mairies .........
........
11
SC 7. -
Stages a u Centre National
d'Instruction de la Protection Civile
en 1951 . __ .... __ __ ... .... __ . . . . . .
11
,
13
Communiques du Secrétariat
12
de l'Union deS Maires
12
12
Assemblée générale du
-
ta
février
195 1 -- .... ... __ .... ______ . __ . __ . __
13
Election du Comité directeur ..... .
13
ARRËTËS REGLEMENTAIRES ET ' CIRCULAIRES
Abricots: du 15 juin a u 3 1 juillet.
Amandes : juillet-octobre.
--------------------_n
Interdiction de haut-parleurs
sur la voie publique ... ...........
P 3. - Destruction des animaux nuisibles par empoisonnement ... .....
P 3. - Destruction des animaux nuisibles à la chloropicrine ..... . .. . . . ..
=
Arrête :
-----------------------------------,..
~,~~.•~~~.;~~~~~M~Wï.~;;~.UA,
~~
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire. - Les lettres 0 et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des Services Technique •. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départementale de la Population.
Vu l'avis de l'In génieur en Chef, Di recteur des Services Agri coles •
Sur la proposni on du Sccrëtaire Génerai,
Pour le Préfet :
Lr Suré'4ire Gé'llrol : LAMASSOURE.
~.
Toute correspondance relative au Recl/eil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
Vu les articles 421 et 1932 du Code GenéraI des impots ;
.
eODformc.
r'~
et Bulletin des Mairies
cier de la L égio n d' honneur, Croix de
Guerre,
c~rtiii.ée
. ~
S)
Recueil des Actes Adminis~~
Le Préfet des Bouches-du-Rhone, Offi-
Copie
?RÉFfç.
Melons: du 1er juin au 30 septem1:lre.
Olives: du t er octobre au .31 décembre,
Tomates: ùu 15 juin au 30 septembre.
Aulx: du 20 juin au 10 août.
Haricots \'erts : du 1er juin au 10 nOvembre.
Oignons
Pommes de terre primeurs : du 1er mai
a u 1er juillet.
Pommes de terre de grande consomma-
tion : du 1er juillet au 30 septembre.
Articl e 2. - Le Secrétaire Général de la
Préfec ture et le Directeur des Co ntributions
Directes so nt chargés de l'exécution du p r ésent arrêt é q ui sera publié au Recueil des
Actes Administ rat ifs des Mairies.
J\ \arse ilJ e, It! 17 jam'ier I ~J I.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Gcni'rat. LAMASSOURE.
0283
AG 2
SALAIRES DES JOURNALIERS
COMMUNAUX
Par a rrété du 20 octobre 1950 ont été
fixés les salaires minima applicables dans
l'industrie du bàtiment et des tra vaux pu-
blics.
En ve rtu ùe cette décision un acco rd est
intervenu le 7 décembre 1950 dans les i ndustries uu bâtiment des Bouches-du-Rh ône
fixant ai nsi qu'i l suit les salai res horaires
des d iff~ rente ca té gori es professionnelles :
os
CATEGOR fES
ABATTEMENTS DE ZONE
0%
Gardien, na lavfur .... .......... . ..... ....
J\\atlœll\' re (1) .. ......... ...............
Ou nier spéc ialise 1er echelon (2) ... .....
(J. S. 210<: (Terrassier) . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Ü S. 3me
........... . .........
Ouvrie r Qualifié 1er échelon ....... ..... ..
(J. Q. 2nl e
. . .. . . . . . . , . ...
Ü. Q 3me .. .
. .. . . .. , . . ... , ........
Ü. H. Q .. '
. .. .......\ ..... . ... .
80.00
82.00
5 c,
JO Cf
J5
76.00
72.00
ï3.80
76.50
RI.OO
6S.00
69.70
~3.70
ï~l,:t~
77.W
R5.l'(1
&1.75
90.00
~5.50
9:1.00
SK.35
96.00
~l l ,20
103.00
97.85
108.00
102.00
11 3.50
1ll7.~5
(1 ) J\\anœll\rt:: aya nt moins de t rois mois dans la professi on
(2) Manœuvre ayant plus de trois moi dans la profe::;siOIl.
S6.40
92.70
(7,-
72.:!5
76.5U
~1 7.20
~1.60
~7.55
~IJ ~
102.15
~lfi. 'lU
"=
Les journaliers clI1ployês par les Municipalités du Département ayant toujours été
rémunérés d'après l es tarifs fixés pour les
inuustries du bâtiment et de tra\'allX pU-
biics. /\ \ \\. les Ma! rcs voud ront hien l e rêflàer au tJbleau ci -dessus.
Pou r le Préfet.
Li.' 5efrttaire Genêral
�10
04 B3
ENO
REGLEAIENT!\TION DE L'AFFICHAGE
Le Préfet des Bouches-du-Rhone,
il .\L\L les Maires du Departement,
, L le Directeur Départemental des Ser-
\ ices de PoliceJ
_\L le Commandant de Gendarmerie,
_\\. l'Ingénieur en Chef des Ponts et
Chaussêes,
L'accentuation de la reprise el.Unomlquc
recrudescence de l'affichage
publicitaire sous toutes ses formes, tant à
l'interieur des agglomérations qu'hors de
a StlsCÎtl! une
celles-ci_
La publicité par affiches ou pannea ux est
certes un procedë commode pour l'mllustriel
ou le commerçant qui, de plus en plus, a
recours il ce mode de di ffu:sion. Cependant,
les abus de la publicité sont cause ù'une
floraÎsun d'affich~s illicites, comparables à
celle d'"vant-guerre et de nature à nUire il
('esth t:tique dès paysages, capital national
que le de"e1 oppell1ent du tourisme tend à
re,·aloriser. Or la Pron~nce. en g~nêral. et
nOtre Dt:partement, en particulier, constipar ext.:ellem:e des r~gions d'intér~t
touristique
L'objet de la présente circulaire est de
mettrt. un terme, arec la collaboration des
diverses autorités administratires chargées
d'assurt:!r la bonne tenue et la sauvegarde
du domaine public, à l'usage immodéré et
incontrole de la publicité murale, de m~m e
qu'aux abus jntolérables pou r la vue qur en
resultt.'!l1 t.
Les Jrhicultés matérielles dues à la pénurie des matières première! nécessaires à
l'effacement dt$ panneaux illicites, penurie
qui motiva durant ces derni~res années l'indulgence de l'Administration, ont pratiquement cessé il l'heure actuelle. Les moyens
maleriel. ne iont plus défaut pour combattre l'extension considérable et offensante de
l'affichage publicitaire dans les agglomérations et le long des routes.
Le moment est donc particulièrement opportun pour préciser à l'intention des diverses autoritt?s administratives jntére:;~?es
à la suppression de tels abus. et par feur
truchem ent il l'intention des usagers, qui à
défaut d'observation de celle-ci s'exposeraient à des sanctions, la legislation relath'e
à l'affichage a insi que les mesures à prendre pour qu'elle puisse recevoir sans retanJ
une exécution souple mais ferme. Sur Quds
textes d'abord londer la légalité de telles
mesures et que devront être celles-ci ?
LJ n arrelé est en cours (j'étude qui doit
déterminer et délimiter pour le Pépartement
des Bouches-du-Rhône les zOnes d'Interdictian de la publicité en applicauon oe !:: :~l
du 12 avril 1943, afin de protéger les régions d'un caractère particulièrement esthetique et pittoresque.
Le texte législatif, en vigueur Jusqu 'à
nouvel a\1S, dont les dispositions ne soulcvent pas de diffiCultés particulières concernant leur interprétation, éclicte des restrictions de nature à limiter et à circonscrire
les inconvénients désastreux de la publicité.
Je , 'ous signale qu'à ce sujet il vous se ra
loisible de consulter avec fruit la circulaire
publiée au Bulletin Administratif des Mairies du 10 février 1944 contenant toutes
précisions utiles sur la réglementation adoptée.
Je me bornerai donc à reprendre ici
distinction essentielle, pour l'application
tUt::nt
- -
la loi du 12 avril 1943, entre l'affichage il
du 27 octobre 1~~5 ~tles textes Subséquents
J'interieur des aggJomt!rations et l'affichage
En particulier). 1 arrcte u~ M. Il! Minl~tre dt
hors des agglomeratlons. 11 me semble inla Reconstr uction et dt! 1 Urbanisme en d
dispensable de rappel.er, à cette place, la
du 10 aoùt 19-1ô (J .. O. du Il aoùt 1 9~;
définition de l'agglomeratJo n. « Sont Co nSIdIspose en son art icle premier
So
< dêres comme agg lome ratio ns, pour l'ap« exemptés du perm)s de t'O llstruire sni
• pltcation de 1.. loi du 12 anil 1943, les
< l'e nsemble du territoire :
UI
'" ensembles de bâtiménts groupant ail
1 « Les travaux courants d'entretien d
· t·IOn
, . n . ou d
l
' e
c: moins 25 maisons sen'ant il l'ha b Ita
« r~IJaratl~
e. rava e~l,ent
de constrtH.:~
c et réunissant une population d'au moins
tlons eXistantes, a condItion qn~ les tra~
Il: JOO habitants ::t . Une circulaire ministé~ \'~ \! x . n'apportent ~ lI ç ul1 e mouÎlica1ion ex~
« rielle precise, en outre) 4: que d'evront être
« teneure au caracterc des ditlts lOnst rul_
« regardées comme agglomérations les ha4\ ti a ns et qu'il ne s'agisse pas de peintur'
.. bitations que separent seulement des en«o u ~'~la~illage de hl,'élùes. dans Lill bu~
... clos, (;'est-à-dire des terrains entourés d~
1,,( pubh~l~a.lre
" ... Par ~o nseqllent, lursqUt
< murs, de haies ou de clôtures eqUl valeIlla publICite aur~ pour ehet de modifier par
tes, Derront etre mëme tenues pour grouun nouveau ravalement, J'aspect lI'tlll~ ('ons4: pecs les maisons qui sont séparées par
truction il devra (tre hllt appel â. la lé"'is_
q: une \·oie publique)
une place, un cours
lation propr\! êlUX textes sus\'ises,
~
" d'eau, une voie ferree ... ~ .
Une reg lementation il pa raitre ulterieure~
La discrimination (tant ainsi établie en- ment se montrera plus restricti ve enlore en
t re les deux aspects de la publicite murale)
ce qui co ncerne la pu blicité de nature a
ma drculaire ne traitera par ln SUIte que
nuire à la protectlUn ues monuments des
de l'afIichage hors des agglomérations.
sites et des ensembles d 'intérêt artistique
Ne doi\'ent être tolér ees hors des aggloesthétique ou pittor~squc.
'
mérations que les affiches apposées sur les
L'a pplication a u Jomaillt! défi ni par ma
murs des immeubles bâties ou sur les murs
ci rculaire des prescnption5 dt: la 4,oi du 12
et palissades de dôturc et coniormcs aux
avril 1943 requ erra de la part des autorites
dispositions legales. Aux termes ùe celles-ci,
adminis~rati\'es auxquelles elle s'ad resse.
les affiches autorisées doivent être placées
une action persuasive et perm a nente, afin
à une hauteur ne dépassant pas 3 mdres d'éviter un dt\'l.!luppcment imOlod~ré dt
au-ùessus ·du niveau ùu sol et dunt la SUTl'aff ich ag~ publir.tai re hors des agglomer.1'
face unitai re n'ex.cède pas 3 mètres car rés.
tions ,et 1>lus sp~cialemellt en bo rdure des
SOllt donc prohibJcs hors des agglomàaroutes et voies touristiques.
liolls :
Une. première tâche s'imposera il elles
1'" Toute publiCité sur les ~mmeubles non
qui consiste ra il pr~venir 011 'il relever tOUlt
bâtis ;
- infraction nouvelle dès réception des prtsen tes instructions.
2'" Tous les panneaux-réclame, peinture3
et aut res procedes de publICIté, quels que
La deuxième besogne concernera le resoient leurs dimensions, leur t:Olplacement, 1 censement des publicit~s contraires au~
la hauteu r ou ils sont places;
prescriptions de la loi du 12 a,'ril 19~J, qUI
3" Toute publiCité par alliches en papier ' existent il l'heure actuelle. Cette opératiun
libre lorsq ue celles-ci :
.
sera conduite simu l tan~l11ent par chaqut
a) Ont une surface supérieure il 3 mdres
lV\aire, Sur le territoire ue sa I.:ommllnc ; par
carrés ;
les atltorités de polilt! et de gendarmerie,
b) Sont posées à une hauteur de plus de
dans leu r resso rt resp ectif et par les tn~,3 metres au-dessus du niveau ~ du sol ;
nieurs des Ponts et Chaussees) pour les
c) Sont collées ou apposées ailleurs que
routes et les voies placées sous leur consur les murs ou des murs ou palissades de
trôle. Le relevé mentionnera J'~mplacement
clOture.
et le carattère de IJaifil: ha ge, la nature et
Cette dernière disposition in te rdit toute
la durée du contrat de publicite, le nom el
affiche posée il l'a ide d'un portatif ou ù'un
l'adresse du' .p ropriétaire de l'immeuble sur
support spécial, ou place sllr des ouvrages
lequel il est apposé, enfin, toutes les fOl.S
d'art, poteaux, ballt:s) arbres qui borden.
où la chose sera possi ble, le nom ou la ral~
les routes ou c~lemins} etc...
son socia le de l'entreprise d'affichage qUi
4" Tout dispositir sous quelque aspect
l'a effectué. Copie::. de ces relen:s. s~~ont
qu'il se présente (plaque métallique apposée
transmises il la préfecture, -tme Dr\'lSlOn,
3me Bureau, pour )' être centralisées. Une
con t re un mur, e t c... ) .
1
Il convient de mettre tout pa rticuliererapide rcrifkation permettra de dresse r . a
ment l'acc.ent su r l'interdiction de toutes
liste des publicitts qui auraient ete laissee~
peintures sur les murs} qui a ur aie nt pour
en place.
eîfet ù'en mod ifie r la cOllleur normale) de
Les prop ri étai res d'immeubles re\'~tus
mtme que sur la prohibition des sil hou ctd'une pu bli cite devenue Illicite devro nt d.rt:
te~ et des d éco upa ges en quelque lieu qu'ils
invités à supprime r celle-ci. Ce faisan t, Ils
se t rouvent. Ce sont là tf1allleurs les aspects
ne s'expose ront pas à des poursuites. et il
les plus blessants pOlir la vue de l'affichagt!
un e nl èvement d'office de l'affichage Jnte~publicitaire.
dit, ils éviteront ainsi les frais qu'e ntrul:
Les diverses autorités destinataires des
nerait l'application des sancti o ns p r~\'1.les a
présentes instructions doivent êt re mises en
l'article 16 de la loi du 12 av ril 1943.
ga rde contre certain es pratiques qui COnlis seront tenus de restituer à l'inllnellbl c
sistent à peindre en une teinte unie un mu;
SOn état antérieur. Les peintures n otam me~t
ou un pan de mur d' immeuble et à apposer
devront être effacées ci e façon à ne POII~OI;
contre celui-ci, à la hauteur prescrite par
reparaître ultérieurement. Toute pe~n
la loi, une ou des affiches dont la surface
dont il subsisterait des traces ou qUi, p~
de chacune n'excède pas 3 mètres carrés.
la suite, red""iendrait plus ou moinS Vi ;;
De tels procédés illicites s'ils ne tombent
ble sera considéré comme n'a yant pas an'pas sous le coup de la loi du 12 avril 1943,
enlevée et tombera sous le coup de S le
peuvent être néanmoins poursuivis au titre
tions édictées par la loi. AinSI que Je ide la législation relative au permis de Conssignala is au début de cette circulalfe, la r
trui re, établie par l'ordonnance n 0 45.2542i 1 .nïu.ri.e. dï .es• • • • •n. é. cÎeÎs.s a. iïr.e s. àliïïil
U
U\
11
deS pei ntures ne sau rait plus être invoquée
auj ou rd' hui comme une excuse va lable aux
retards apportés à la supptession des publici tés illicites.. . .
Les mê mes InVitations, recommandations
et obse rvatio ns devront être adressées aux
afficheurs et e ntre l>rises d'affic hage existant
da ns le département.
L'a rticle 17 (paragraphe 2) de la loi du
12 a\>fi l 1943 préVOit la supprtssion ou la
tra nsformation par les soi ns du propriétaire
du terrain s ur leq uel elles so nt édifi ées, de
toutes les ~onstr llot ions établies ou agencées
avant la promu lgation de la loi, po ur servir
principalement à la publicité.
II co nviendra de procéder au recensement
des constructions de cette nature et à mettre en demeure les propriétaires des terrains sur lesquels elles sont établies, de les
supprime~ ou de les tr~nsformer sous peine
d'application des sanctIOns prév ues au chapjtre 1V de la loi.
Sont exclues de cette suppression, les
constructions établies avec IJapprobation
préfectorale par les muni cipalités pour servi, il la publicité (article 3, paragraphe 4).
Les destinataires de la présente ci rcul aire
dev(ont porter à ma connaissance, sous le
timbre : 4me Divisio n, 3me Bureau, les infractio ns qu' ils serout appel\...S à co nstater.
Ils pourront obtenir de ce même service
toutes explieat ions nécessai res de nature a
ass urer la plus j udicieuse application de la
réglementatio u en vigueur et à fa ciliter
l'exécution de leur tâche dans ce domaine.
Le Pré/et :
BAYLOT.
•••
CONTIWLE DE LA PLJ3L1C ITE
Loi du 12 avril 1943
Applicalion de la Circulaire Pré/ectorale
du 17 janvier 195 1
RELEVE D'INFRACTION
Emplacement de la publici/é.
Nature et caractère de la publicité
(affiChe papie r, pu blicité peinte, dimensions, etc ... ).
Béné/iciaire de la publicité
(nom, raison sociale, adresse).
Raison sociale ~ t adresse Je l'entreprise
de publicité.
Propriétaire de ['.imm euble servant
support à la publicité.
Nature du contrat de publicité.
Date dJentrée e n vigueur.
Date d'expiration.
Observations.
de
- - - - 4 '.) 00 C ) - - - -
D. D. S.
FS 0
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUt.R
LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE nES
. CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX,
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'honneur.
Vu l'o rdonnan ce n" 45.2720 ÙU 2 novembre 1945 sur la Protec tion ,\lalern~lIc et Infantile ,.
. Vu l'arreté du 15 avril 1946 d ,\1. le AlinlS.t rc de la Sallté Puhlique et de la Population et les rectifications parues au.",
naux Officiels des 10 mai et 15 Sel)~~~
1946, fixant le modèle du certificat d'examen médical avant le mariage ;
Vu l'arrêté préfecto ral du Jer juin 1946 ;
Vu la circulaire ministérielle n(l 148, du
6 juin 1946 ;
Vu l'avis du Conseil Départemental de
l'Ordre des Médecins;
Sur la proposition de M. le Directeur Départemental de la Santé,
Arrête :
Article premier. - M . le docteur Christian Ga illard, 1D, Cours Joseph-Thierry, il
Marseille, est agréé pour pratiquer les examens radi oscopiques en vue de la déli vrance
des certificats prenuptiaux et prénataux.
J
Arlicle 2. - M. le Secrétaire Général de
la Préfectu re, M. le Maire de la Ville de
Marseille et M. le Directeur Départemental
de la Sante sont char ges} chacun en ce qui
le conce rne, de l'exéc ution du présent <Irrêté.
Marseille, le 8 janvier 195 1.
P. le Préfet et p," délégation,
Le Secrélaire Général,
LAMASSOURE,
---0000----
DI BI
PO
INTERDICTION DE HAUTS-PARLEURS
SUR LA VOIE PUBLIQUr:
ARRETE
Le Préfet des Bouches-Q"-Rhône,
Officier de la Légion d' honneur,
Vu not re a rrêté en date du Il juillet 1947
interdisant dans les Bouches-du-Rhône l'emploi des haut-parleu rs} sur la voie publique,
à des fins publicibres ou de propagande ;
Vu la circulaire de ~\. le Ministre de l' Interieu r en date du 21 septembre 1949 ;
Vu l'a rticle 99 de la loi du 5 avri l IS8-l ;
Considé rant qu'il convie nt de révise r les
dispositions de l'arrète precité,
Arrête :
Article premier. - Notre a rrêté en date
du Il juillet 1947 est et demeure rapporte.
Article 2. - L'emploi des haut-pa rleurs
dans le département des Bouc hes-du-Rhône
est formellement interdit s ur la voie publiq~
.
Ce tte interdiction vise toutes les Instaltations d'appareils fixes, y compris celles e n
façade d'immeubles, ou montés sur véhicules.
Article 3. - En ce qui concerne les hautparleurs fixes, des dérogation~ pourront: . à
titre exc~ptionnel, lètre accordees dans llnlérêt general, par l'Autorité Préfectorale.
Ces dêrogati o ns peuvent Illfen'elllr seulement dans les cas suivants
1<1 Manifesfatiolls sporfi l1es (utilisation exclusive par le service d'o rdre) ' po ur la dH fusio n de la manifestatio n spo rthe à l 'ex~
clusion de toute publicité ou propaga nde;
2° A l'occasion de cérémon ies, de foi res
et fêtes de quartiers traditionnelles, ne prése nt a nt a ucu n caractère politique ni de propagande ;
..
..
3" A l'occasion de reulllOll politiques lorsque les salles de réunions sont, . de toute
éviclem:e. t rop petites pour cJnte rur les auditeurs et que l'usage des haut-parl eurs
co nstitue dans la \'ille en cause une espèce
de tradition La sonorisation devra dans ce
se burner aux environs hnmediats de
Dans chaque hypothèse, le nombre des
haut-parleurs et la durée des émissions seront limitées de sorte qu'ils ne constituent
ni une gêne excessive pour les voisins, ni
une cause de trouble pour la circulation et
l'ordre public.
. Arlicle 4. - Les dérogation .. pour l'emploi de haut-parleurs sur véhicules ne seront
accordées que dans ' des circonstance.s exceptionnell es et après consultation de l'autorité supérieure ulle semaine aIL mo;,zs à
l'avance,
Article 5. - Toute infraction aux présentes dispositions sera sanctionnée par appl ication de l'article 471 da Code Pénal et,
s'il y a lieu, par la saisie administrative des
apparei ls pendant 24 heures.
Ar/icle 6. - M. le Directeur Departe mental des Services de Police, M. le Commandant de Gendarmerie des Bouches-du-Rhône, MM. les Sous-Préfets d'Aix et d'Arles
et "'lM. les Maires sont chargés de l'exécution du présent a rrêté Qui sera inséré au
Bulletin Administratif des Mairies.
Marseille, le 9 janvier 1951.
Le Pré/et .
BAYLOT.
- - - - C) OOC ) - -- -
06 BI
P 3
DESTRUCTION DES ANIMAUX
NUISIBLES PAR EMPOISONNEMENT
ARRETE
Le Préfet des Bouches-<Ju-Rhône,
Officier de la Légion d'honneur,
Croix de Guerre,
Vu l'arrêté rég leme ntaire permanent sur
la police de la chasse du 6 septembre 1949
et particulièrement le titre III, chapitre IV,
a rticle 25, réglementant l'empoisonnement
des a nim aux nuisibles ;
Vu la lettre de M. le Président de la Fédération Départementale des Chasseurs des
Bouches-du-Rhône demandant l'autorisation
pour la Fédération de détruire les anima ux
nuisibles ;
Vu l'avis du Conse rvateur des Eaux et
Forêts ;
Sur la proposition du Secrétaire Général,
Arrête :
Arlicle premier. - La Fédé .. tion Départemen tale des Chasseurs des Bouches-duHhône, 6, rue des Epinaux, à Aix-en-Provence) est a utorisée, pendant la période du
7 janvier au 15 anil 195 1, à faire procéder
à la destruction des renards et blaireaux au
moye n d'appâts empoisonnés, dans les terrains dont elle assure la surveillance et celâ
dans toutes les communes du Département.
Article 2. - Ces destructions seront opérées pa r les gardes chasse de la Fédération
avec l'assentiment préalable Jes proprirtaires, fermiers et métayers et détenteurs du
droit de chasse.
Article 3. - La Fédération devra se Co nformer strictement aux obligations et recommandations précitées par l'article 25 du règlement permanent tant en ce qui concerne
l'interrelltion du .\ la ire de la Commune que
les précautions il prendre pour éviter les aCcidents aux personnes et aux animaux, étant
d'ailleurs entenJu qu 'elle garde, en tout état
de caust', 1't'nti~ r e responsabilité de l'opération conformément à l'arti cle 3 1 ùu Règk-
�12
Article -l- -- Le Secrétai re Général de la
Préfecture, le Conse rvateur des Eaux et FoC4!ts, les Maires, le Commandant de Gendarmerie sont chargés, hacu" en ce qui le
concerne, de l'exé..:ution du present arrêté.
Marseille, le 17 janvier 1951.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général
LAJ\lASSOURE.
------<>00<>------
D6 BI
P 3
DESTRUCTION DES ANIMAUX
NUISIBLES A LA CHLOROPICRINE
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'honneur,
Croix de Guerre,
Vu l'arrêté réglementaire permanent sur
la police de la chasse du 6 septembre 1949
et particulièrement le titre III, chapitre IV,
réglementant J'empoisonnement des animaux
nuisibles i
Vu la lettre de M. Perreaudié Jean, président de la Fédération Départementale des
Chasseurs des Bouches-du-Rhône demandant l'autorisat ion pour la Fédération de
detruire les animaux nuisibles ;
Vu l'avis du Co nservateur des Eaux et
Forêts ;
Sur la proposition du Secréta ire Général,
Arrête:
Article premier. -- La Fédération Départementale des Chasseurs des Bouches-duRhône, 6, rue des Epinaux, à Aix-en-Provence, est autorisée, pendant la périOde du
7 jam'ier au 30 juin 195 1, à faire procéder
à la destruction des renards et blaireaux en
terrier, au moyen de la chloropicrine Ou de
tout aut re gaz similai re, dans les terrains
dont elle assure la surveilla nce ainsi que le
spécifie l'article 26 de l'arrêté permanent.
Arlicle 2. -- Ces destructions seront opérées par les ga rdes chasse de la Fédération
a\'ec l'assentiment préalable des propriétaires, fermiers et métayers et détenteurs du
droit de chasse.
Article 3. -- Le Secrétaire Général de la
Préfectu re, le Co nservateur des Eaux et Forêts, les Maires, le Commandant de Gendarmerie sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exécution du présent a rrêté.
Marseille, le 17 janvier 19~ 1.
Pour le Préfet,
Le Secrelaire Général
LAMASSOURE.
-------<>00<.-------
D6 BI
P 3
DESTRUCTION DES PIES
ET DES CORBEAUX
ARRETE
Le Préfe t des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' honneur,
Vu la loi du. 5 avri l 1884 (articles 9 1, 94,
97 et 99) ;
Vu la loI ùu 23 juillet 1907 sur les destrultions des co rbeaux ct des pies ;
Vu l'ordonnance du 2 novembre 1945 sur
la protection des végéta ux et notamment
l'article 12 ;
V u le décret du 19 novembre 1948 relatif
iliililiïiliiilii....~
à l'emploi et à la vente des substances venéneuses ;
Vu l'arrété permanent s ur la police de la
chasse du 6 septembre 1949 ;
Vu l'avis favorable du Conservateur des
Eaux et fo r êts ;
Sur la proposition de l'Inspecteur de le
Protection des Végétaux et du Conse rvateur
des Eaux et Forêts dont dépe nd le Département et de l' Ingéni e ur e n Chef, Directeur
des Services Agricoles ;
Sur la proposition du Secrétaire Généra l,
Arrête :
Article premier. ' -- Sont déclarés infes té~
par les co r beaux et les pies l es arrondisse-
ments d'Arles et d'Aix.
Article 2. -- Il est expressément enjoint
à tous les exploitants, propri étaires ou locataires de terres ou te rrai ns, cultivés ou
non, situés sur le territoire délimite à J' alinéa précédent, ai nsi qu'aux détenteurs d'un
droit de chasse, ùe détruire les co rbeaux et
pies exista.nt sur les terres ou autres dépenùances ete leurs propriétés ou exploitations dont ils ont l a jouissance.
Les biens des collectivités, des établissements publics ou pri vés sont astreints aux
mêmes obli gations et leurs exploitants ou
occ upants tenus à effect ue r Ou il suppo rtee
la destruction de ces oiseaux ; toutefois,
dansJes.,bois et forêts, ces mesures ne sont
applicables qu'à une d istance de 20 mètres
de la lisière.
Arlicle 3. -- Les opé rations de destructio n
seront exécutées sous l a direction 'du Groupement de Défense co nstitué dans la .commune. S'il ~'existe pas de g roupement, elles
seront placees sous la surveillance du Maire
q~i pour~a en confier l'exécution à un syndHlllt agn cole. MM. les Maires fixeront p ar
arrêté les jou rs d'exécution de ces traitements dans l'ensemble du territoire de la
commune, en donnant au moins trois jours
avant un avis par voie d'affiche ou à son
de caisse ; ils en aviseront également dans
le même délai, le Co nser vateur des Eaux
et Forêts do nt dépend le départeme nt, ainSI que le Service de la Protection des Végéta ux et le Président de la Fédéra tion Départementale des Chasseurs.
T outes meSures utiles seront prises pour
éviter tout da nger tant pour l es personn es
que vis-à-vis des animaux et du gibie r.
Àrticle 4. -- Dans le cas où il apparaitraIt au Groupement de Défense qu ' un o u
plUSIeurs propriétaires ou exploitants ne ferai ent pas diligence pour traiter leur domaine ou ne l'auraient pas traité dans les
délais impartis, ledit g roupemen t sera autorisé, apr ès mise en demeu re des r écalcitrants, à effectuer les traitements d'office
et il leurs frais, con fo rm ément aux dispositions de l'a rti cle 13 du titre Il de l'ordonnance du. 2 novembre 1945, sans préjudice
des sanctIOns prévues à l'article 6 ci-après.
Article 5. -- La destruction des co r beaux
et pies se fera au moyen d'appâts empoisonnés déposés de préfé rence so us un e mince couche de fumier frais de chc\'al. Les
appâts devront êt re prép a rés par un pharmacien OU sous sa su rvei ll ance. Ils seront
constitués :
-:-: Soit par des g rains de maïs à gros
g rallls (type < dent de cheva l . ) t raités il la
strychni~e ou au glucoch lor ti l ;
SOit par de l'omelette empoisonnee
m'ec du sulfate de strychnine ou avec de
la noix vomique.
-
Les traitements devront être eff
obli ga to iremen t pendant les périOdes ect~és
les plus fa"orables par le Service de IJU~ es
tecbon des Végétaux.
a ro. D'autre p a rt, la destruction des Corbe
tlères, mds de corbeaux et p.es Ile 0 auêt re effectuée. qu'entre le 20 a;ril
l~r;Ô
JUill Î, l e démchage Ou l e tir au fusil sera
or gamsé dans chaq ue commlltle sous la
ponsabilité du P,ésident du G roupemen;~;
~.efe~se contre les ennem is des cultures et
s li n y a pas de g roup ement sous la le" ,
ponsabilité du Maire ou de Son délégué.'Article 6. - D es co ntra ven ti ons pOlir infrac tI ons a u présent arrêté seron! dressée
co ntre les personnes qui s'opposeront S
l'exécution de l' article 23, titre V, de l'or~
donnance du 2 novemb re 19.5.
Article 7. -- M. le Secrétaire Gé néral d,
la Préfecture, MM. les Sous-Préfets At
l' Inspecteu r de 1". Protection des Végétau;
et. ~M. les Cont ro le urs de la Protection des
Vege ta~ x, M, le Conservateur des Eaux el
Forêts, M.. l'Ingé ni eur en Chef, Ùirecteur
des Services Agricoles, MM . les Maires
Offi ciers de Genda rm erie, Commissaires d~
Police, Ga rdes des Eaux et Forêts Gardes
commissionnés de la Fédération dés Chasseurs, Gardes champêtres et to us afYents de
l a force publiq ue, so nt char gés, c h~cun en
ce qui le concern e, de l 'exécution du present
a rrêté qu i sera inséré au Recueil des Actes
Adm inistra tifs de la Préfectu re et affiché
dans toutes les com mun es du départemenl.
Fait à Marseille, le 17 janvie r 1951.
Pour le Préfet,
et
Le Secrétaire Général:
•
DI B3
LAMASSOURE.
------<.00<.------
Le Prefet des Bouches-du-Rlzône
à Messiellrs les Maires du Déportemellt.
en communication à Monsiellr le Di·
recleur Départemental fil Travail el
de la Main-d'Œllvre, à Messieurs les
Sous-Préfels d'Aix et d'Arles,
J'ai l'honnellr de VallS aUresser, ci-apris,
le texle d'une récente circulaire de M. le Mi·
nistre du Travail et de ,a Sécurilé Sociale
exposant le rtJle des Mairies en ce qui con·
cerne la remise des cartes d e travail
Ministère du Travail
et de la Sécurité Sociale
Direction de la Main-d'Œuvre
S.-Direction de la M. O. Etrangère
7' Bureau - Section B
L. C. MO 340/50
Paris, le 4 décembre 1950.
Le Ministre dll Travail et de la
Sécurité Sociale
à ~essie urs les Préfets (pour attributlOns~, les, Inspecteurs Divisionnaires
du 1 ravall et de la Main-d'Œuvre
(pour informatio n), les Directeurs Départemt:!otall x du Travail et de la
Main-d'Œuvre (polir information) les
Chefs. des Services Départerntontaux
de Main-d'Œuvre (pour information).
Objet : RE~\ISE DES CARTES DE TRAVA IL PAH L' INTERMEDIAIRE DES
MAIRIES.
Référ. : Ma cirwlaire MO 40/49 du 8 septembre 1949 relative il l'instrurtion des
demandes de cartes de travail.
« Par , circll l ai ~e ('it~~ en r éférence, j'ai
cru deVOir suppnmcr 1 Instruction des dossiers cie demandes de régularisation de situation, de r enouvellement des cartes de
tra vail .ou de ~chan~ème~t. de profession par
les maIries. Ces dlsposll!ons avaient été
rendues nëc~~saires par la !enteur apportée
par les rna trl es pour transmettre les dossiers des in téressés. La procédure établie
par ma cin.:ulairt:! 40/ 49 a jusqu'à ce jour
donné d'excellents résultats.
Cependant, divers rapports de contrôle
etabhs par les agents de mOn Département
m'ont permis de conclu re que l'inaction des
mairies se fait encore sentir en ce qui concerne les attributions qui leur ont été laissées par la circulaire MO 4{)/ 49, les mairies
apportant toujours beaucoup de lenteur il
l'exéclltioll de leurs tâches. De plus, les bureaux de mairie oublient souvent de reprendre a ux intéressés le reçu du dépôt de dosSier.
« En conséquence, il conviendrait que
MM. les Préfets insistent particulièrement
auprès des maires de leur département afin
de par~'enir à une plus grande célérité dans
la remi se des cartes de travail.
« En effet la lenteur apportée présente
de sérieux incon\'ênients. Elle conduit à
laisser demuni de sa carte pendant un délai
assez important un travailleur étranger en
faveur ltuquc( une décision favorable a étë
prise.
e . Or, au moment où je demande à mes
services de resserrer le contrôle de l'emploi
de. la .t\'\ ain-d 'Œuvre étrangère par une
stncte application de la r~glementation
(~onstatati o n par procès-verbal des infraclions à l'a rti cle 64 A du Livre Il du Code
du Travail), il se révèle particulièrement fâcheux d'avoir à sanctionner un employeur
.<
P8
REMISE DES CARTES DE TRAVAIL
AUX ETRANGERS
PAR L'INTERMEDIAIRE DES MAIRIE~
étrangers.
13
Q1L{
.
Je saisis cette occasion pour attirer parllculièrement votre af/ention sur le rôle qw
vous incombe en matière de cOlltr6le de la
silualion des élrangers.
L'A dministralion Mun icipale /le doit pa,
se borner, ell effet, à la transmission ~es
demandes de caries de séjour et à la remlSt
des cartes de lral'ail des étrangers.
.
Toul contrtJle basé sllr de simples mampulations d'imprim és serait êIlusoire el, je nt·
saurais trop vous inviler à faire conlrOle~
qui utilise un travailleur étranger démuni
de ca rte de ~ravail, alors qu'en réalité cette
carte est en Instance de délivrance dans les
bureaux d'une mairie.
. « MM. les Préfets porteront les présentes
II1s~ructlOns a la connaissance de MM. les
Mlllres par les moyens qu i leur sembleront
le nlleux appropriés notamment le Bulletin
Officiel des M.alfes ~ .
Pour le Ministre et par autorisation
Le Direcleur de la Main-d'Œllvre ;
ROS IER.
------·<>00<>- - - - - -
D2 B3
SC 7
STAGES AU CENTRE NATIONAL
D'INTRUCTION DE LA PROTECTION
CIVILE EN 1931
Circulaire N° 14
Paris, le 13 janvier 1951.
Le M.inistre de l' In térieur
à MM. les Préfets (Métropole)
J'ai l'honneur de vous faire connaître que
les premiers sta~es qui seront organisés au
Centre d'InstructIOn de la Protection Civile
en 1951 auro nt lieu aux dates suivantes
du 5 au 1ï février ;
Du 19 février au 3 mars j
Du 5 a u 17 mars.
Il s'agit de stages ordinaires de deu x semaines.
Je vous prie de m'adresser dès que possi,ble l es noms des officiers de sapeurs-pompiers et des candidats officiers desireux de
suivre l'un de ces stages. Les candidatures
pour le stage du 5 au 17 février devront
notamment me parvenir avant le 25 janvier,
pour me permettre de vous adresser en
temps utile les convocations réglementaires.
Au cours de J'année 1950, certains candidats aux stages se sont présentés au Centre d'Instruction sans avoir été régulièrement convoqués : les possibilités d'hébergement du Centre étant limitées, je serai
contraint de renvoyer les officiers de sapeurs-pompiers qui effectueraient spontanément le déplacement il Paris ; dans ce cas,
les frais de voyage incomberaient intégralement aux intéress~s.
En portant ces indications à la connaissance des maires de votre département,
vous voudrez bien à nouveau attirer leur
attention sur l'intêrêt de ces stages et leur
demander d'inviter les Conseils l\1unicipaux
il allouer une indemnité compensant, au
moins partiellement, le ma nque à gagner de
l'officier, qui, dans l'intérêt de la collectivité, délaisse sa profession habituelle.
Pour le J\\in istre de J'Intérieur
et par délégation,
Le Préfet, Direct,"r de l'Adminislration
Générale Départemenlale et Commu-
~ COlDlDOHIQOEs DO SEGBETHllIHT
,:~ DE L'OHION DES IllBIBESAssemblée Générale du 10 Février 1951
.1'y\M. les Maires sont informés que l'Assemblée OénElfale du 10 Février pr~chain revêtira une Importance exceptionnelle.
Ils s.ont instamment priés d'être tous pré~ents a cette manIfesta bon qui se déroulera
a 10 'heures très précises, dans les grands
salons de la Préfecture, en présence de M.
le Préfet et de tous les parlementaires des
Bouches-du-Rhône spécialement convoqués
a la séance du matin.
. Au cours des trOis Assemblées d'Arron?-issements, qui se sont tenues le 5 Janvier
a Allauch, le Il a Saint-Andiol et le 15 à
Fuvea u, il a été décidé que la CommissIon
des Fmance se réunirait pour envisa.gl:r :
0
1 Les critiques qui pourraient être formulées su r le rap port Cottet ;
2° Les mesures à prendre dans le cas où
1
I~ 31 Mars, le Parlement n'aurait pas encor~
dIscuté la Réforme des Finances Locale •.
La séance de l'après-midi se tiendra à
14 heures 30, dans la grande salle des Délibérations du Conseil Général.
Il y sera procédé au ren ouvellement des
membres du Comité Directeur et de ceux du
Bureau,
La discussion sera ensuite ouverte sur la
création d'une Commission des Eaux créa'
tion souhaitée par tous les Alaires,
Les com'ocaHons seront envoyées comme
d'habitude, mais ne porteront pas l'ordre du
jour qui est celui indiqué ci-dessus.
Dans le cas, tout à fait exceptionnel où
un :\1.~tire serait empêché d'assister à' ces
d~lIx s~all.ces, il est instamment prié de s'y
faire representer.
•••
Election du Comité Directeur
Le Secrétariat rappelle à tous les .\Iaires
qu'ils doivent, conformément à J'article 7
paragraphe 2 des Statuts (voir B. A. M:
numéros 29 et 30 des 21 et 28 Juillet 1949)
se ~éllnir au ~hef-lieu de leur canton pour ):
déslg~er celUI d'entre eux qui accepterait
de fa Ife partie du Comité Directeur pour
195 1.
Ces dt!signations doivent parvenir au Secrétariat avant le 2 Février 1951.
Le Secrétaire Général d l'U'
AUDtBER-r. mon,
~
{laie "
Signé : Pierre-Jean MOATTI.
périodiquement, sans qlle celle . formaltft
wenlle l'allure de brimades la Sllllllllon ail
point de vue du travail
dés el rangers qUI
l'ailS sembleraient ne pas posséder de cart'
de Iravait.
Ainsi qlle l'expose e/l effel ,\1. /l' Minisl,:
du Tral'ail dans sa circulaire f'i-dcssOU~, 1
cOnl1ient de s'en tenir à la slricfe appt/ca·
lion de la réglemenlalion en III malière, ~~
pose le principe de la respoflsahililé de l'
ployeur.
Copie ceni6ée conform ~.
Pour le Préfet :
L, SU,.itQI"~ Général " LAMASSOURE.
------<.00<.-----
�REPUBLIQUE FRANÇAISE
1" F'évrler 1951
DËPARTEMENT DES
•
Recueil des Actes Administr~\ifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrété préfectoral. - C. : Circulaire. - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'ori gi ne.
D. S. T. de
: Direction
des Ser vices Technique,. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départementale
la Population.
SOMMAIRE
Arr6tés réglementaires et Clrcltlaires
Pages
A O. - Réo r ganisation de la Propriété Fonciè re et remembremen t ... ...
. 15
A O. - Taux des cotisatio ns des a ll ocations fam ilia les ,agri coles pou r l'ensemble de l' a nn ée 1950 ... . . . . . . . . .
15
AG 2. - Accidents du travail. - P a rticipation à l'a limentat io n des fonds
énum érés à l'article 83 de la loi du
30 octobre 1946 ............... .
AG 2. - Fonds nalinnal de compensation des Allo cations Familiales ....
P 8. - Cha ngement de réside nce_ Etablissement des étra ngers dans les
départements du Haut-Rhin, BasRhin, de la Aloselle et des Alpes-Maritimes
16
SC 3. - Police de la Circulation Routière. - Acc idents .... - ..... - ... . .
18
16
TV X 5. - Marchés des collectivités
p ubliques loca les ................ ..
18
Communiqu és, Avis, Annonces diversea
F 1. 17
-
Edilio}1 d'une étude sur le bud-
get de la France en 1 ~50 ...... " ..
19
Dons et Legs .. . .. " . . . .... . .. .
19
ARRËTES REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D6 BI
A 0
REORGANISATION DE LA PROPRIETE
FONCIERE ET REMEMBREMENT
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Hollneur,
Croix de Gllerre,
. Vu l'acte dit . Loi du 9 Mars 19-11 > sur
la réorganisati on de l a propriété foncière et
1
- M. le Directeur Dépa rtemental des
Co ntributi ons Directes et du Cadastre,
- M. le Directeur de l'Enregistrement et
du Timbre,
- M. Guien, président du Syndicat Agri,
co le des Plncnln ats, à Aix ;
- M. Lesca Jl e! Franço is, délégué ca ntonal
de la F. D. S. E. ~ . à Ma ll emo rt (La Crau),
- M. Clauze l Edmond, président du Syndicat des Ri zic ulteurs de France, 6, Plan de
la Co ur, à Arles,
- M. Cheylan Henry, à La Fare-les-Oli\'iers,
- M. Thuillie r, préside nt du Syndicat
Agricole des Baux.
le reme mbrement ;
Vu le décret du 7 janvier 1942 portant
règlement d'Ad ministration Publi<Jue pour
l'exécu tio n de la loi précitée ;
Vu J'avis de M. le Directeur des ServÎces
Agricoles;
Sur la proposition de M . le Secrétaire Générai ;
ARRETE:
Ar/icle of. - La Commission se réunit sur)
conrocation du President, qui fixe l'o rdre du
jour de Chaque seance.
Article premier. _ L'arrêté prëfect"r~1 du
12 ja nvier 1951 est a brogé et remplace par
, les dispositions suivantes :
Article 5. - Les fonctions de Secrétaire
se ront rcmpli~s p~lr .\1. Bouty, ingénieur des
Travaux RIIT.l~IX.
ArtiCle 2. - Sont nommés mcml'rcs de la
Commissio n Départementale Je ffor t-!"éïnisati on fo nci èr e et de rem~~liIb rement .
- M . Tjret G eIJq~e5) juge al: Tribll~al
Civi l de Ma rseille désirrné jJaT le Prt'lnlC:r
P résident de la C~tlr
ppel, pn'siJent :
- M. l'Ingénieur ~n Chd du Gt'nic Rural
- M . Je DirecteuT Ddpartel11~l1tal des
Services Agricol es)
- M. le çonserv atcur d\!s cali.' ~t Porèts,
Article B. - \1. le Secrétaite Général de
la Préf~cture l'st chargé de l'cxecution du
présent arrtté. qui sera publté au Recueil
ù'7
Article 3. - Le siège de l a Commission
es t fixé à la Préfecture.
dr..1i Actt.'s
Admini.~f;~atifs.
f.tit :'1 M,HSèillc, I~ 23 janvier Hl5'.
Le Pn!fel :
Jean BAYLOT
- - - c o )()oc>--_
D6 BI
A 0
TAUX DES COTISATIONS DES ALLOCATIONS FAMILIALES AGRICOLES
POUR L'ENSEMBLE DE L'ANNEE
1950.
ARRETE
Le Préfel des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Croix de Guerre,
Vu la loi du Il mars 1932 Sur les Allocations Fami liales,
Vu le décret du 3 1 mai 1938 tendant à
aménager et à comp léter les dispositions
applicables aux allocations familiales ~n
Agriculture,
.
Vu le décret dll 29 juillet 1939 relatif à la
Famille et it la Nata lité française,
Vu la loi du 22 aoüt 1946 fixant le Tt!g'ime
des prestations familiales,
"u l'arrété interministériel du 31 Jct.:emnrc
, 1946 rel atif aux Comités dèpartamentau" des
prestations familiales agricoles,
Vu la dédsion du Comite d~partcmental
des prestations f<1milialt's agr:clIÎt..::s priee
dans SJ. sé.lnce du 12 .;an\"Îer 1951,
Apr~~ :l\'is ùu ('(lf!tr,\l..:ur [th iSlonnaire
des Lois ~ocirlc>-s ~n r\ !!ricu!ture,
Sur /a prnpf)~itiol1 du 'StCfrtaire G~neral,
ARRETE .
Ar!i ·It: "{"refiller - l.es taux des totisat i 0 11S 2rphc'" h!ts allx difi~ren te s catego ries
en:" au financemen t des prestatio ns
�•
16
-
1
pOlir chacun des quatre trimestres de l'année 1950 :
a) Cotisations dues pour les exploitations agricoles : 325 % du revenu cadastral
reel par trimest re ;
1
bl Cotisations dues pour les cultures maraichères et légumières : 325 % du revenu
cadastral réel affecté du coefficient 2 ;
c) Cotisations dues pour les entreprises
à production spéciale et les artisans ruraux:
8 % des salaires moyens départementaux en
\·j tYueU f au cours de l'année 1949 ;
cf) Cotisations dues pour les professions
Connexes : S % des salaires réels.
JOUnNAL OFFICIEL DU 16 JANVIER 1951
Vu la loi n" 46-2426 du 30 octobre 1946
sur l a prévention et l a réparation des aCCidents du travail et des maladies professionnelles, notamment l'article 87 ;
Vu le décret n' 46-2959 du 3 1 décembre
19-16 portant règlement d' administration publique pour l'application <le la loi du 30 octobre 1946 susl'isée, notamment l'article ~O,
gestion totale du risque d'accidents du tra-
Octobre 1946.
j'ai l'honneur d'attirer l'allenlion de MM,
les Maires du D épartemenl Sur le texte de
l'Arrélé de M. le Ministre du Travail el de
la Sécurité Sociale en dale du 6 janvier 195i
"mnt le laux de la conlribulion due par les
Municipalites qui emploienl des agents béneficlaires de la loi du 30 oclobre 1946 et qUI
ne relèvent pas de l'orgamsallOn .générale
de la Sécurilé Sociale pour les aCCidenls du
travail et les maladies professionnelles.
Ci-après le texle de l'arrêté :
Préfet du ,Département un état ce rtifi é exact
par le payeur, indiquant:
I O Le tota l des sa laires pa yés au person-
nel penda nJ l'a nnée précédente ;
2' Le total dés sommes versées dura ni la
même année aux agents chargés de bmilleau tit re des prestations familiales.
Je
ai en particulier r appelé les somme': qu'il impo rte de d éclarer au titre des
salaires et ce lles qui doivent fi gu rer sur ,la
décl aration au titre des prestations famiha·
J'ai l' honneur de vous faire connaître quI'
les prescriptions de cette circulaire demeu-
néas 2 et 3 dudit article 61.
Articl e 2. - L'assiette de la contributio n
versée par les -établissements ou les collectivités susvisées est celle définie à l'article
·31 de l'ordonnance du 4 octobre 1945. Seuls
rent applicables. Il y a lieu néanmoins d'apporter à celle-ci les r ectifications ou addjtions suivantes :
A. - SOMMES A DECLARER AU TITRE
DES SALAIRES.
les salaires perçus par les personnels benéficiaires de la loi du 30 oclobre 1946 et qui
ne relèvent pas de l'organisatiofl générale
de la Sécurité Sociale pour les accidents du
, travail et les maladies professio nnelles doivent être pris en considération,
r. -
Travailleurs rrlel1anf d' une organisation spéciale de Secl/rilé Sociale pO/lr leur
activité principale et du r égime gén,é~~~
de la Sécurité Sociale pOl/r le/lr actIV'"
secolldaire,
Article 3. -'-- Les entreprises ou les collectivités susvisées verseront â la ca isse pri1
1
maire de Sécurité Sociale dans la circonscription de laquelle se trouvent leur siège
social ou leur éta blissement principal, le
montant de leur contribution, Ce versement,
calculé par l'employeur d'après fe tau x fi xé
il rarticle 1er du présent arrêté est effectué
par lui dans les quinze premiers jours de
chaque trimestre pou r le trimestre précédent.
Le déc ret du 17 ao ùt 1950, relatif il la. si·
tuation a!J rega rd des législ ations de ~ecu,
' rit é Socia le des travai lleurs exerçant slmul·
tanément une activité relevant d' une or~a
nisation spéciale et une activité accessol rr-
rel eva nt de l'organisation générale de la
Sécurité Sociale dispose, en so n art.c1e 7,
que la charge des prestations familiales dU.~
aux intéressés in co mbe au régime dont 1
relèvent au titre de leur activité pri ncipale.
Aussi par circulaire n° 364 du 10 novembre!
Article 4. - Le Directeur Général de la
Sécurité Sociale est cha rgé de l'exécution du
présent arrêté.
1950 'concernant la prépa ra tion des b ud~ets
départementaux et communaux, vous ,a,ltl~
Précisé (lue l e's communes et collectlv~ e
employant des a~ents auxque 1s est applJC'. _
ble ledit déc ret, notam ment les sec!étaJr~
de mairie - instituteurs, n'ont pas a pay
Fait il Paris, le 6 janvier 1951.
Pour le Ministre et par délégation,
Le Dire cteur du Cabinet
Jacques DOUBLET.
les cotisations d'allo cations familiales.
·r
Ces prescripfions ne doivent "as i,~f;.
pour effet de modifier les in~tr u cho ns octotées il cet effet par la c.rcula1f~ du 15 ré1 bre 1943 et reprises par ma Circulai re P
-
------< >o oc~>-------
jl
citée du 23 janvier 1950, aux termes desquelles « la collectivité intéressée n'a pas a
verser aux inti:ressts de nouvell es prestations fami li ales, mais elle doit faire fIgurer
le salai re ou J'i ndemnité correspondant à la
foncti on communale sur l'état Li e salaires et
d'allocations destin é à la compensatio n. ::t
11. -
Conlribuliofl de 5 % substituée
à l'impôl cédula ire
Dans un avis du û juin 1950, le Conseil
d'Etat a esti me que la co ntribution forfai~
taire de 5 % su bstitu ée à l' impôt cédulaire
(décret du 6 octobre I Y41'i) ne co nstitue pas
un sal aire au sens d e l'article -i (hl règlement
d'Administrati on Publique du 15 avril 1940
et en co nséquence, ne doit pas être comprise' parmi les salai res pri~ en comp te pOlir
le calcul de la compensatio n,
Il y a clo nc li eu,
les termes de mOn
1950 qui précisait,
contribution devait
salaires.
sur ce point, de rectifier
instruction du 23 janvier
au contraire, que cette
figu r~r dans les états de
Si cette recti ficat ion doit être respectée en
r ue des opé rations de compensatio n relatj\'e~
à J'ann ée 1950, il n' y a pas lieu , ainsi que
l'a estim é la Commission Supérieure du
Fonds Natio nal de Compensatiùn des All ocations Familiales, dans sa st:ance du 16 no·
vembre 1950, d'ell visager des opérations de
ré·rularisation po ur l'an nee 1949. En effet,
cette co ntri bution est proportionnelle aux
salaires et la stricte application de ma circt!
laire du 23 j anvie r 1950 n'a pu entraîner
aUCune incidence sur le montant des dett es
et créa nces des co llectivités· au titre de la
compensation de 1949.
VOliS
les.
ments départementaux visés aux ali-
-------<~oo<),-------
à l'alimentation Iles fonds
énitmérés à l'article 83 de la loi du 30
Je vous ai notamment si gnalé que l'o rdonnateur de chaq ue co Il ~étiv it é relevant du
Fonds National de Compensation doit adresser, avant le Jer mars de chaque annee, au
92,52 pour les commun es e( les etablissements Co mmUnaux visés à ,'article 61
(alinéas 2 et 3) du deeret du 8 luill
'1946 ;
92,53 pour les départements et les établisse-
LAMASS0URE.
Parti~ation
pensatioll.
sui\'ants :
Article 6. -
ACCIDENTS DU TRAVAIL
négligence de certai nes co ll ectivités qui
n'adressent pas en temps vo ulu à la Caisse
des Dépôts et Consignations les renseigne_
ments nécessaires aux opé rations de com-
va il, notamment les coll ectivites ou les établ issements visés ci-ap rès, verseront à compter' du 1er janvier 1951 une contribution
co rrespondant il 30 %. des taux étab lis CO nformément aux dispositions de J'arrêté du
16 fé vrier 1945 et concernant les activités
visées à la nomenclature des entreprises,
établissements et toutes activites collectives
(décret du 16 janvier 1947) sous les num éros
L'arrêté préfectoral du 5 juillet 1950 fixant le taux des cotisations pour le
premier semestre est abrogé.
AG 2
des prestations familiales, imputables à la
par l'article 83 de la loi du 30 octob re 1946,
les établissements ou les collectivités assu·ma nt pour l'ensemble de leur personnel 10
Article 4. -
02 B3
Par circulaire n" 21 AD-3 du 2J janvier
1950, j 'ai appelé à nouveau votre attention
sur l es causes du retard de la compensation
Article premier. - En \'ue de lear participation à l'alimentation des fonds institués
Le revenu cadastral des terrains transformés en rizières sera au moins
égal au revenu cadastral moyen des vi anes
de la région considérée.
Le .secrétaire Général
LANI ASSOURE.
ARRETE:
Article 3. -
Pour le ,Préfet,
j'ai l'honnellr de porter ci-dessous à la
connaissance de MM. les Maires du Déparle_
ment le texte de la circulaire de M. le Ministre de l'lnlérieur II " 15 AD-3 du 18 }anvier 195 1, relalive ci l m compensation des
Allocatio"s Familiales.
Je rappelle à MM. les Maires que les TCaseignemènts denialldés doil'ent me parvenir
AU PLUS TARD LE 1er MARS 195 1.
POllr le Prefel, par délegat/oll
Le Secrétaire Général: '
Le Ministre du Travail et de la
Sécurité Sociale,
Les cotisations des exploitations mixtes relevant des catégories Q et b
sont Gal~ul ées à raison de 325 % de leur revenu cadastral réel affecté d'un coefficient
de majoration qui sera fonction du rapport
entre la main-d'œuvre théorique, évaluée
selon les bases adoptees pour l'ouverture du
droit aux prestations nécessaires, d'une part.
aux cultures de la catégorie b d'autre part,
à l'ensemble d. l'exploitation.
Ce coefficient de maj o ra ti ol1 est ainsi déterminé:
Proportion de la main-d'œuvre de la
catégorie b :
- égale ou inférieure il 15 % coefficient 1
- de 15 % il 25 % inclus
»
1,2
- de 25 % il 35 % inclus
~
1,3
- de 35 % il 45 % "inclus
>
1,4
- de 45 % à 55 % inclus
>
IJ~
- de 55 % il 65 % inclus
~
1,6
- de 65 % à 15 % inclus
,.
1,7
- de 75 % il· 85 % inclus
,.
1,8
- supérieure à 85 %
2
Marseille, le 25 janvier 1951.
FONDS NATIONAL
DE COMPENSATION
DES ALLOCATIONS .f AMILIALES
Participatioll de certaills efablissements ou
collectivites à l'alimentation des fond s
énum ér és à l'article 83 de la loi du 30
octobre 19-16 sur les accidents du travail
et les maladies professionnelles.
Article 2. -
Le Secrétaire Général de la
Préfecture et le Contrôleur des Lois Sociales
en Agriculture sont chargés, chacun en ce
qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté.
D283
Page 619
17
fil. -
Agents co mmunaux ne fauchant
qu' ur1e faible rémunération
Le 13 juin 1950, le Co nseil d' Etat a émis
J'avis que la situation des agents co mmunaux
ticuli er des ci rco nstances tle fa it dans lesque le~ ('J'érants de cabines téléphoniques
rura les les porteurs de dépêc hes, les sonneurs de cloc hes et les remo nteurs d' horloges, au regard de l a Séc urité Sociale (Assu rances soci ales, acc idents du tra.vail, all ocations familiales) ne peut être resolue d'lI n~
manière O"éne ra l~ comm e il est précisé dans
"
ma circulaire
du 23 janvier 1050, en se re·f'\.:rant aux r ègles appl icables en mati ère d~
contrat d'entrepr ise.
La Hau te Assemhl ée recommande de tenir
compte de préférence, pour c h ~q.ue cas particulier des circonstanc es de Imt dans lesquelles' s'exe rce l'activité consider ee. Il, c.o~
\lient de se référer aux autres achvltes
exercées par J'intéressé, S-'i l résulte de ~ette
. confrontatio n que les sen'Ices rendus a la
/ commu ne ne sont pas accessoires ou co n, ne xes à l'exercice de l'activité principale,
l' intéressé ne sera pas considére cO~Hne
exerçant une activité salariée et, à ce t l t~e,
assujetti au régime ge néral de la Séc~ nté
Socia le, 1\ en sera ainsi dans le t:as de 1 horloger chargé de remonter les ,hOrl OgeS de
la com mune. D ans cette hypothese, la com mUne dans sa déclaration , ne devra pas
fa ire 'état des sommes payées il Le t itre à ce
t ravam eur.
Cet avis clu Co nsei l d' Etat infirmant une
règle depuis longtemps ~tahlie ne de\'fa l:tr~
suivi d'effet en vue des opératil)n~ de compensatio n, q'u'à compter du 1cr ianrier 1~I.ltt
B. -
SOMMES A DECLAREI~ AU TI1IŒ
DES PIŒS rA liONS I-AAIJLlALE:.S
1. -
indemfllté tompemiulrice lU 1 avantage
fiscat dont béftelHUlll!ftt les agents fnargl!s
lIl! jam/Ile au flirt ae 1 IInpôf cedulG/re (uecret Il"" 1.500 dll 6 oclobre 1Y411).
Confo rm ~ l11c nt il. l'avis préCité du Conseil
<.l ' ttat du ti JUin 19!>\) et tontralrement au..,
te rmes de ma ~lllu!a m.:: du L-J Janvier I Y50,
li Y a lieu de lalre hgurer, dans l e total u~::,
prestations à Inscrire sur ICI déclaration, J'Indemnité comp ensatrice de l'avantage IIscal.
Cette indemnltê n'éta nt pas propor tionnell e aux sa laires, il y a lieu de procéder
a une r égulari sa tIOn en ce qUi co ncerne l'année 194Y, Les collectivités devront donc, sur
l'etat qu'elles prodUIront en 1951 au titre de
l'an née IY5U, aj outer au total des prestations
famlllalt$ pa yet::s au (ours lie cette lIernièr e
année le montant <.lesu ltes Indemnites qu el Il:::;
de bienfaisance qui ne paient ni salaires, ni
prestatio ns fami liales;
2" Les collectivités qui déclarent des salaires inférieurs il 1.000 francs,
Il vous appartiendra de co ntrôler Chaque
année que les collecti"ites qui n'auro nt pas
produit li'états répo ndent à l'une de ces deux
conditions.
Je vous rappelle enfin que les états dt:
salai res et de prestations fa miliales fournis
par les co ll cltivités doi r ent êt re ce ntralises
par \' OS soins m'ant te 1er mars. proclla:,:
el transmis à la Caisse ues Dépôts et Co nsig-nations lIIJ onl te 31 mars,
J'attache rai s du pri x il ce que ces délab
soient respectés, la compensation tle~ prestations versêes en J 950 ne po U\'a nt ~t re
effectuée qu'ap ri.'s réception par la Caisse
tles Dépots des états prél'us pour tous les
dépa r tements,
ont payées en 1949.
Pour le Ministre de l' In téri eu r,
et par dél égation,
Le Pre/et.
Diréc/eur de l'Administration
Génerale, Deparlementale
et Communale
Il. - Alloca/iofts différentielles versees par
les colleclivites locales li leurs agents du
sexe fémiuin dont Je mari est travailleur
indépendant, employellr 011 exploitrmt agrtcole.
Le montant <.le tes allocat,ions correspond
à la diffcrence entre les prestations fam iliales auxquelles 1;1 mtre de tamil le, agent d'un
se rvice publIC, mariee a un travailleur ind e~
pellLlant, il un e mpJ o~'eur ou a un explOitant
agn cole (ou Vivant maritalement avec 1111)
pOLlrralt prétendre de son propre cher, en
LjualJtt de salafJee, et ce ll es que son conjoint
perçoit effectivement,
Les sommes ai nSI payées par ies co llecti\ ites pour tous enfants ft la charge des
intéresses au sens de la J~glslation fami l iale
doi\'cnt tt re comprises dans les allocations
dt'da rtes au Fonds National.
Ce tte mesure. s'a rpilque aux allocations
diffLrentiellcs payées il partir du 1er jan\' ier
1950 et n'a pas d'effet r étroal:tif pour la
période alltérieure.
III. - Ma joration de
jam iliales institllée
juillet IY50 (loi n··
1 ~ 150. Cirmlaire
cloûl 1t15O).
20 % des allocatio ns
au ;ltre du mo~·s . de
50-SA5 du 29 }lIIl/et
télégraphique du 19
C~tte majo ration prés entant le caractè re
ohliuatoire pOli r les co llectivites locales, les
som~les rersees pa r cell~s-li à le urs agents
doivent fi).! urer sur la tléL'larat ion.
•••
Radiation tll'.'> l'nt reprises et exploifaliolls de
prcJdut'tlO/I, Jt' transport et de distribulion
ll',:nl'f"!,!IL' t!ll.'ctriqlll' ef de gaz exc lues cie
III nationalisation ou /Ion tralls/en't's,
Aux termes de l'article 28 ù u dét:ret n
du I~ 1Il,1I Jtl..lq, l'E lectricité de France aSsurl', à p~lrtir Ju 1er janvier 19-19, la
compensation dcs tll\"e rses prestations fami liales legales entrt: ·!:eS entreprises et exploitations.
Dans l:~S I.:llJlditions, ce ll es-ri doirent ètr~
rtldit-t:!s du Fonds Natio nal de Compensation,
a pa r tIr du kr jan\"Îe r 19-!U,
·N-n~!1
Dispt'nsl.' de. pl1rlicipation .allx opératwns
cil' COn/pensallon
Sont disl'cn~l'cs de pa rtidner au;... Or~r.:l
tiolls du F:lIlds i'\ational et par (Onsl'qllent
n'ont pas il pl\.Iduire d'dafs de prestations
t::t de s.1laires :
10 Les collcdintés te lles que les bllrcau \
Pierre-Jean MOATTI.
-----c:tOOc:t----
DI 83
P 8
CHANG~MENT DE RESIDENCE _ ETABLISSEMENT
DES
ETRANGERS
DANS LES DEPARTEMENTS DU
HAUT - RHIN, BAS - RHIN DE LA
MOSELLE ET DES ALPES-MARITIMES.
Le Préfet des Bouches-dll-Rhône,
à Messieurs les Maires eJ Commissaires de Police du Département,
Il m'est signale que de nombreux etran!:!"ers s ~ rendent tians les dêpartements du
Ha ut-Rhin, du Bas-Rhin, de la ,\Ioselle et
tles Alpes-A1antimes pour y établir leur domicile sans a\'oir, au préalable, obtenu l'auto risation du Préfet du lieu où ils désirent
s' install~r ; i ls déclarent 2't:néralement n'a\'oi r pas été informé que èette autorisation
leur était nécessaire ; . il arri\'e même assez
fréquemment qu'ils produisent, à leur arrivée, un récé pisse de changement de résiden~
ce ctabli par vos soins,
Pour mettre un te rme il cet état de chose,
j'ai l'honneur de \·o us demander de \'o uloir
hi en indiquer aux ét rangers dans cette 5i tua tion, lorsqu'ils se présentent dans vos
ser\'ices pour fai re \'ise r leur depa rt. qu'i l
est i ndispensahle qu'ils sollicitent d'ahoN,
et par mûll intermédiaire, l'autorisation du
Préfet interessé, 4ui leur fait connaitre dIrec tement sa liecision,
Pa r \'oie de conseql1ence, \·ous den:!l donc
r efuse r de rece\'oi r I~s dec1ar:ttJons d~ lhannement de resÎdence ùes dran!!ers qui. d~5Î
~ant s'etabli r lians une des y'uc1trl' I."inonscriptions rèser\'ées, ne P~U\ ent prt'st'nter IJn ~
élll torisation ré~1Ilj0re pour s"y n.'ndre, rt
les ;l\';~er que s'ils pa~5ent nutre ils P81..1uenl
11011 st'ult'Illent d'être mIs t.1n lkrnt'ure de n::g-agner I~u; .,nd~nnt' Jt;-sitit'nLe. mais t'ntorl'
l'êtrt' frappes dt: Pè;llt:-· aJJTlinistra+-Îrt's sePIlIIJ
Je Prdet et par délet!ation.
Le St'cr.'tair.: G{int"'Tal
L,\,\\ASSOURE.
- - - - - c ~ooc .. - - - - -
�8
19
05 BI
SC 3
POLICE DE LA CIRCULATION
RO UTIERE - ACCIDENTS
Le Préfe' des BOl/ches-dl/-Rhône
à Mt!ssieurs les MOires des Communes du Département.
En raison du nombre toujours croissant
ù~s accidents de la r oute, uont beaucoup
sont mortels, M. le J\'\ inistre de l'Intérieur,
par une circu laire du 30 dét.:emhre 19!1D, a
prescrit -l'application de r igou reuses sanCtions à l'égard des cond ucteu rs de véhi cules
contrevenant aux dispositio ns du Code de
la Route,· et a recommandé certaines précautions à prendre en \'ue d'éviter, autant que
possible. les accidents.
AI. le Alinistre de l'Inté(ieur a notamment
signalè que les haies trop hautes ou mal
taillées ~mpèchent la "isibilité au croisement des routes et sont sou\'ent la cause
tle coHisions grares.
J'ai donc· l'honneur d'appeler partil'ulièrelll~nt \'otre attention sur cette question et
je \'OUs serais très obligé de bien vouloir
veiller à ce que les haies situées aux croisements (cru à proximité des croisements) des
routes et chemins parco urant le territoire de
'·otre C'ommune soient rég ulièrement entretenues.
Je sais assure que l'importance de cette
recommandation ne \'ous echappera pas et
que V0\15 \'oudrez bien prendre immédiatement toutes dispositions en conséquence.
Pour le Prêfet ·et par délégation,
Le Secrétaire Général
TVX 5
MARCHES DES COLLECTIVITES
PUBLIQUES LOCAlES
02 B3
Circulaire Ministérielle n" 6 AG-URB
Paris, le 16 janvier 1951,
III. -
Le Ministre de l'Intérieur
à Messieurs les Péfeis (Métropole),
CO ncurrence soit de 50 %, soit de 70 % des
Le Journal Officiel du 7 octobre 1949 a
publié le décret n" 49-1 356 du 2 octobre 1949
relatif au fin ancement des marchés des col-
lectivités locales.
1. - Portée et champ d'application du decret
1" Ce texte s'applique aux marchés de
toutes les collectivités publiques locales. Y
sont donc incluses notamment les institutions
interdépartementales prévues par la loi du
lement
les
acomptes
1
des trois dixièmes.
Soit un marché d'un montant total de
10.000.000 de francs pour lequel a été co nsentie une avance de 2.000.000 de francs.
l'article 44 du cahier des clauses et condipartementau x et dans l'article 44 du cahier
des dauses et conditions gé néra les des travaux intéressant les communes et les établissements publics commu naux, sont toujours
valables. Toutefois, conform ément il l'a\'is
émis par le Conseil National des Se rviles
Supposons qu' il soit
1
Garanties pour la cof/ect ivit é locale
. 10 L'article 4 du décret définit le cas géneral dans lequel des ava nces peuvent Hre
all ouées au t itulaire du malché. Pour en
bénéficier, il suffi r a que le titu lai re du mar-
ché établisse que la propriéte et la possession effective des maté r iau x, mati ères pre-
mières ou objets fab riqués o nt été transférées sans qu'il ait à justifier du paiemellt ft
son propre fournisseur du monta nt de la
vente consentie par ce dernier.
Pour l'applîcation du dernier al inéa de ce!
articl e, i l al}p~rtiendra à la collectivité d~
déterminer les règles à prevoir pour acqUi'
sition des matières premières, produits in·
termédiaires et objets fabriqu és. S'i l ne pa-
I
raît pas y 3\'oir de difficultés pa rti culiè res à
stipu ler que la co ll ectivité se reserve le droit
d'acquérir, soit au prix payé par le tit ulaire
du march é, soit à un pri x tixé su r le marché,
certai nes mati ères ou objets simples tels que
des plaques de tôles ou des ba rres d'acier,
ii peu t êtr e, au co nt raire, impossible ou inop·
,La premièr e série de
,/1
cl auses
Concerne
essentiellement les conditions matérielles cres
install atiàns et de l'o utillage ; il appartiendra à la collectivité soit d'éca rter éventuellement certa ins matériels Ou certaines installations, soit, de ne les ,admettre que s'ils
satisfont à certai nes normes ou se trouvent
dans un certain état. La seconde série de
clauses, identique à celle p~évue par le dernier alinéa de l'article 4, a été commentée
plus haut.
3' L'article 6 du décret prévoit le cas où
des a\'ances seraient consenties à l a fois au
titre de l'article 4 et au titre de l'article ~,
et il décide que l'ensemble des avances aiflo'i
accordées ne peut, en aUCun cas, dépasser
les deux tiers du montant total du marché.
. Au cas où la règle posée par l'article 6.
trouverait son application, il y aurait lieu
de faire porter la réduction par priorité sur
les avances de l'article 5.
•••
V9uS ne manqu.erez pas d'examiner avec
un soin to ut particulier, avant de leur donner votre approbation, l es clauses des mar-
chés des coll ectivités soumis à votre tutelle
prévoyant l'attribution d'avances aux entrepreneurs ou fournisseurs. D ans l es cas les
plus importants ou les plus délicats, vous
n'hésiterez pas à recueillir au préalable l'avis
de la Commission Départementale d'examen
des ma rchés des collectivités locales.
Il n'est ni indispensable ni utile que les
clauses d'avances soient jl"énéralisées dans
les marchés départementaux et Communaux.
Dans bien des cas, les desiderata des entrepreneurs et fournisseurs consistent seulement
dans le paiement rapide d'acomptes au fur
et à mesure de l'exêc ution des travaux ou de
la livraison des fournitures.
Il convient, avant tout
d'éviter que ne
soient lancés des travau~ ou commandées
ceveurs municipaux moyennant la somme de
100 francs.
1
Je ne saurais trop inciter les magistrats
municipaux
à faire l'achat de cette brochure.
,
- - - - < >oOC;)- -- -
04 B2
des fournitures que les collectivités ne pour-
DONS ET LEGS
raient payer en temps utile. Ma ci r culaire
Avis publié en e;~éc"tion de l'article 3 d~ déO"d du 1er février 1896, dcms le bvt d'in~
\es hérilw.rs inconnus des testaleur.,. d prnulre
J01&In4w-sancf!' du tnlamen.', en vue de donner
leur con.relltCmetIJ ou de produire II!1WS moyens
d' o/>posüion..
Les rt!olamai.icm.s ne .rani rece--oIGbles que d<JfIJ
lm délai de tr()1's mvÎs à partir de l'm.sertion
Qi1' ~ Bullelin ».
du 15 novembre 1947 n" 557 AD-2 vous a
donn é à cet égard des directives q ui som
toujours valables.
La présente circulaire sera insérée au Recueil des Actes Adminis/ra/ifs de votre Département.
Le Prefet,
Directeur de l'Administration
Générale, Dépar/emen/Ole
e/ Communale :
Pierre-Jean MOATTI.
•
Communiqués - A vis
An n onces diverses
02 B3
FI
Par testament olographe du 7 avril 1937,
déposé aux minutes de M' Pau l DEVOrER,
notaire à M.arseill e, 62, rue Montgrand, feu
la dame REYNAUD Jeanne-Victorine, veuve
FLAN DRY, a lég ué la somme de cent mille
francs au Bureau de Bienfaisance de Marseille, à charge d'entretenir son tombeau si-
tué au Cimetière Saint-Pierre .
Marseille, le 22 janvier 1951.
:.
Par testament olographe dû 1er mars
1942, déposé aux minutes de M' GALAUP,
EDITION D'UNE ETUDE SUR LE
BUDGET DE LA FRANCE EN 1950
notaire à Trets, feu la dame Marie-Elisa-
j'ai l' honneur d'attirer l'attention de MM.
pagne de la Grande Bastide, située à Cour-
les Maires du Département sur une brochure
intitulée < Le Budget de la France en 1950 "
publiée par le Bureau d'Etudes du Ministère
,du Budget.
.
Ce document, qui tend à familiariser le
lecteur avec une matière aride et qui donnt:
en un minimum de pages un raccourci sai-
sissant des prinCipales dispositions du Budget ainsi q~e des efforts accomplis par le
Gouvernement dans le domaine financfer,
peut être fourni par les percepteurs et r e-
beth REY, veuve ANDRE, a légué la camrières (Var), à l' Hôpital de Courrières (Var).
Marseille, le 22 janvier 1951.
:.
Par testament olographe du 13 février
1950, déposé aux minutes de M' Paul DEYDIER, notaire à Marseille, feu la demOiselle Constance-Augustine LABAUME a légué
la totalité de ses biens à l'Association Diocésaine de Marseille.
Marseille, le 22 janvier 1951.
portun lorsqu'i l s'agit d'ol>jets fab ri qués ou
de produits intermédi ai res, de fixer au préaIable des modalités i ndiqu ant lin alltom~
tisme absolu pou r le ca lcu l du prix d'acQUI-
acomptes, doit ètre effectué sur chacun des
acomptes co nsentis dans les limites succes- /
si tian ; dans cette hypothèse, il se ra cepensives des trois dixièmes et des six dixièmes 1
dtl.nt indispensable de déterminer la procé·
du montant total du marché. L'interpréta- 1 dure qui sera, le cas échéant, suivie pour la
tion des dispositions du décret d'apres les- 1 déter min atio n' du pri x d' acquisition ; en règlf:
quelles les acomptes seraient ve rsés en tota1 génér ale, il y allra l ieu de pré voi r une fixa·
lité pour :e montant cor respondant il. la moition du prix à. dires d'experts.
.
tié des trois premiers dixièmes du montant
De
toute
façon,
le
marché
doit
stlpu
lel
total d ... marché, et ser aient tota lement rete- 1 expressément q ue la collectidté se ré~,e nle
nus pOlIT le montant correspo ndant il la sele droit d'acquérir les matières prenlle.res,
conde moitié des trois premiers dixiêmes du 1 matériau x, produits interm éd iaires ct objets
montant total du marché, doit èt re rejetée. 1 fabriqués sur la valeur desq uels elle au ra ':
Il en va (le même pour la retenue de 70 %
il faire sur la seconde tranche d'acomptes
traditionnellement
tions générales des travaux des chemins dé-
Rem boursement des avollces
1" Le remboursement des ava nces jusqu"a
IV. -
devront remplir le matériel et les installations donnant lieu à av~nces ; d'autre part,
les conditions de ga rantie et celles dans lesquelles, en cas de. défa,lIance du tit ulaire du
ma rché, la c?lIectlVlté pourra, S I elle le juge
utile, acquénr les maténels et les installations du cha ntier.
'
L'expr ession «. montant total du marche
correspond à un lément sujet il variation
Le 1ll0Jl tant inttia l du man:hê peut éVOlue\)'
nota~l n~ ent ~1I la it de la rcvisio n des pri x o~
de 1 adj onctIOn de travaux suppl élllt!ntai re~
prevues au marché. Il conv iend ra dOnc , (1\
a
mo~,.e n t du ve r sement de to ut acompte, de
venfler le monta nt total act uel du marehé
allll d'en dédlll re les possibilités r églemen_
taires de rem boursement d'ava nces.
. ~" D·ap~i:s. l'article 3 du decret, il peul
etre déroge a t itre exceptlollnel aux rè gles
normales de remboursement des avances, a
condition que cette tl éro;.!atio n ait été mSt
rée dans le marché, !.:'est-à-dire soit dans
le contrat initial, soit dans l'a\'enant ayant
prévu J'octroi d'ava nces. II VOLIS apparhen..l
tira d'apprécier les cas lI 'espèces dans lesquels ce tt e dérogation pourra être admise.
Insertion de la flause d'aJ'ance
dans le marché
L 'a rticle 2 du décret pré\'oit 4ue les a\'ances sont accordées, soit en exécution des
clauses LIu contrat, soit par une déciSIOn
poster-ieur âe la collectivité local e soumise
aux m~mes rè gles d'approbation que le
ma rché.
Lorsque la clause d'a\'ances aura été pré,'ue par une décision postérieu re au contrat,
elle ne devra, en principe, être accordée aux
de l'Administratio n que
co-contracta nts
moye nnant une légitime compensation co rresponda nte.
II sera d'ai ll eurs indispensable, en cas de
marché passé par adjudica tion, si la co1lecth'ité en\'isage l"al,Jplication du système
des ava nces, d'insérer une cl ause dans le
marché lui-même. Toute autre man i~ re de
fai re aurait pour résultat de faire échec
au prin ci pe de l'égalité entre les co ncu rrents,
essentiel en matière d'adjudication.
Même en cas de marché passé de gré à
gr é, il y aura intérêt, cha'q ue fois que la
chose sera possible, à insérer la clause d'avances dans le marché lui-m ême plutôt qu'à
l'ajouter ensuite par voie d'avenant.
-------<»00<>-------
accordés sur les matériaux approvisionnés
sur les chantiers. Par suife, les dispositions
contenues à cet éga rd dans l'a rticl e 44 du
cahier des clauses et co nditions génér ales
pour les tra\'aux des chemins vicina ux, dans
correspondant à 1.500.000 frallcs .
II. -
LAMASSOURE.
9 jan\'ier 1950 et les associations syndica les
autorisées ou forcées :
2" En indiquant qu' il peut y avoi r paiement d'acomptes pour les marchés de tra\·aux en proportion des travaux exécutés,
l'article 1er du décret sus\'isé n'interdit nul-
francs ùe tr~vaux, ainsi qlle l'acompte COr.
respondant a SOJ,OOO francs de travaux .
reltendrait en fatalité, à titre de ren'bo' '1
1 l' avance, l e frOlsleme
'
UTsement te
acompl
Publics ùepartt'Illentaux et comllluna ux (Section des .J ravaux communaux et ùe l'urbanisme), il est apparu utile de renforl'er ùans
cette 11l'pot/lèse les garanties oMeTtes aux
collectl\'ltes locales. t:n consëquellce, il y
aura lieu d'insérer dans l'article 44 de ch,,l'un lies trois cahiers des clauses et conditions générales précités, apTes la pltrast' .
4: Il est en outre délivré des acomptes sur
le priX des matériaux approvisio nnés sur les
cha ntiers jusqu'à concurr ence Li es quatre cinquièmes de leur \'aleur », lin alinëa nouveau
ainsi cunçu : c Le pa ieme nt des acomptes
emporte transfert de p ropriét~ des Illater iaux approvisiOnnés Jusqu'à concurrence
de la valeu r des acomptes. L'entrepreneur
demeure cependant en ce qui COnce r ne ces
materiaux, tenu des obligations incombanl
au d~positaire. »
dû
successivement
un acompte co rreSpondant à 1.000.000 de
francs de travaux, un acompte co rrespo ndant
à 500.000 francs et un acompte correspondant il 1.500.000 francs.
Sur chacun de ces acomptes, il sera retenll, il titre de rem boursement de l'avance,
50 % du montant de l'acom)Jte .
Est il rejeter l'interprétation d'après laquelle la collectivité verserait en totalité
l'acompte correspondant à 1.000.000 de
co nsenti des avances. Cet te tlause aura'
pOlir effet, en co nfé r ant à la co ll edivité un
droit d'option, de retirer au hé néfi~w ire des
a\Tances ie droit de vendre ces matières pre,mières i matériaux, et!.: ... sans l 'asse ntime~ t
de l'Administ rati on.
Dès l' instant où l'exéclltion d'u n ma rché
sera suspendue la co ll ec tlvih' locale interessee devra , 1~ Cas éC ~l éant, notifier dan~
le plus bref délai à 'J'entrepreneur ou au ~o ur~
nisse ur sa n intention d'acqll('rlr les matières
premières, maté ri aux, eh:'. l:'t en pre ndre
aussitôt possession ;
~
2" L'article 5 renù ohli rr:ltolre da ns tau.
les marchés prévo yant le ~\'crst'llIt'n:• ù'avan• ,_
ces l'insertion de c l a ll se~ détC:'rmllla nt e
,
•
1· .
que
pressém~nt, d'une part les
om Itlons
Copie certi6ée conforme.
Pour le: Préfet :
L. S,créltJlYC Ghlhol : LAMASSQURE
�REPUBLIQUE
8 el 15 Février 1951
9 - Année . - N" 6 et 7
DËPARTEMENT DES
•
2 Hi- s .d t RHONE
/
Recueil des Actes
e t Bulletin des Mairies
Toute correspondan ce r elative au R ecl/eil do it être adressée ie la Préfe ctur e Secr étariat Général
•
A.BRÉVIA. 'rIONS
A. P. : Arrêté préfecto ra l. - C. : Circulaire. - Les lettres D et B sui vies d'un dhi ff re indiquen t le Service Ou Burea u d'o ri gine.
D. S. T.
: Direc
ti on des
T ec hni que.. - D. D. S. : Direc ti on Dépa rtementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départela Populat
ionServices
.
menta
le de
•
•
Arr6tés régleme ntaires et Circu laires
Pages
AG 2. - Méda ille d' honne ur Départementale et Comm unale ............
AG 6. - Modification de la Nste élector ale étab li e e n vue des élections
F 4. - Prêts de la Caisse Nat ionale
de Crédit Agricole ............... .
FS O. -
21
Médeci ns agréés pour prati-
mutualistes a u Conseil Supérieu r de
la Mutualité et des memb res du Comité Départeme ntal de Coo rdin at ion
de la Mll tua lité des B.-du-Rh. .. ...
EN O. - Inde mni té représentati ve de
logement des institutio ns . . ...... . .
P 3. - Destr uction des pies pa r la Fédératio n Dépa rtementale des Chasseurs . . ..................... . . . . .
SC 3. - Voirie communale. - Emo nd'age des pla ntations ............. .
représentants
des
organismes
22
22
23
quer l es examens radioscopiques en
vu e de la déliv ra nce des ce rti ficats
préllu ptial1 x et prénataux ......... _
P O. - Inte rd iction des quêtes s ur la
voie pu blique et à dom icile ..... .
des
-
S OMMAIRE
24
25
Textes d'intérêt général
AC 2. - Calcul de la coti sation de Sécuri té sociale ......... . ...
25
AC 2. - Majoration des prestation.
fa miliales versées a u titre des n lOIS
de déce mbre 1950 et janvier 195 1 . .
26
CommuniqUés, Avis, Annonces diversel
P 8. - Déchéa nce de nationa lité
26
- Do ns et le"s .... . ..... . .........
26
-
25
25
1
A vis de co ncours ...... . .... . . _. ,
26
Communiqués du Secrétariat
de (' Union des Maires
Demandes de prêts à la Caisse
d'Epar gne ,. ... - ........ , . .. .. , . . .
26
ARR ËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D2 B3
AG 2
MED AILL E D 'HONNEUR
DEPARTEMENTALE ET COMMUNALE
j'ai FllOll ll eur de porter ci-dessous à la
Connaissance de MM . les Maires (III Département des BOll ches-dll-RIz6/le le t exle de la
circulaire ministérielle n° 25 du 26 jalll'ier
195 1 relatille à la présentatioll des dossiers
(je médaille d'honn eur départementale et
communale pour la promotion du 1cr mai
195 1.
Ces dossiers doille/lt pan'enir complels à
Jo Préfecture sous le timbre 2me Dil'isioll,
3me Bureau Sert'Îce du Personnel Commllnal, OJlont ,; 20 féJlrier 195 1.
Po ur le Prélet et pa r dé légation,
Le Secrétaire g(!fIùal :
LAMASSO UIŒ.
Le Min is tre de l' Intérieur il AIAI. les
P réfets, Cabinet (Mé tropo le, Algérie, O utre-Me r).
J'ai l' honneur de vo us p rier de m'ad resser
sous le présent timbre (wan! le 1er marS
1951. délai de rj':Tueur • vos propositions en
Vue de la promotio n
la M édaille d'Honneur Départemental e et Communale du 1(Ir
de
mai 195 1.
,
..
Les dossiers qu i me pan,jendr~nt ap r~~
cette date ne pourront t-tr e examlné.s q~ a
de l a promotion du 1er jal1\'H.'r
Vou s vou drez bien vous co nfo rmer str ictement aux instructio ns détaillées qui vous ont
été fou rni es au sujet de la p résentation des
dossiers.
Je \'O US rapp elle, en partic ulier, que ma
circulaire n' 152 PER /C P/ 4 du ~ mai 1950
\-ous dispense t1eso rm als de la prOd uction
de l'extrait de naissa nce des candidats,
En ce qui co ncerne les candidatûres des
cantonniers de la roi rie dt.:pa rtementa le, intégrés .1 compte r du 1er jam'ier 19-.18 en
qua lité d'agents de travaux ou de co nducteurs de chantiers au Ser vice des Ponts et
Chaussées, je vous prie de VOus rep?rter
aux indications contenues dans ma ci rcu lair e n" -l 5 du 2 février 1950.
Afi n d'éviter toute co nfusion sur la natur e de la médai ll e qu'il co nvient de décerner il ces agents, \'O IIS voudrez bien vei ller
il ce que la mention « da tisé le... ,. figure
en marge de la r uh rique ùes ser vices civils,
Ainsi que je ,'o us l'ai Îndiqut: pa r ci rcu-
lai re n" 2!1 1 P ER/C P/ 4 du 25 août 1949, les
propositions tCIlU,:tnt à ['attribution de la
médai lle de vermeil doin~llt ètre accompa.
gnées d'un rapport dëtai ll é Sur les sen'ices
d es candiJats et doi\'ent m' ~t re transmises
sous bordereau\: distincts mentionnant )'0 Ire ordre lie préférence'.
Je \"ous rappelle, en effet. que cette dis-
tincti on ne peut être acco rd ~e
et dans la limite d'un
u'au Choix
de 1
j'appell e votre attention sur les majo rations prévues pa r l a 10Î n" 50-729 du 24
juin 1950 qui a modifié l'article 8 de la loi
43- 125 1 du 6 août 1948 établissant le statut
définitif des déportés et internés de la Résistance et qui son t appl icables pou r l"attrÎbution des décorations,
Aux termes de cette l oi ;
- Les déportés resistants, outre la pflJe
( n compte de la durée effecti\'e de l eu r dt'portation ou de leur détention, bénéficitll t
d'u ne majoration égale au douhle du (:':~I;1'"
passé en détention Ou en déporŒtÎon j!.i";qu'au Jours
rapatriement;
,
- Les internes rt!sistants. outre ~~I III b..;
en I..'ompte cie la duree effecti,'e J~ kur i llto;·rn.emt! nt 011 de leur détention, ûëlltiicil..'nf
d':me lil ajo ration égale au temps 011.." Il ù(tention Ou de l'internement.
Les dossiers que \'OUS serez amené à me
soumettre en f~l:\'e ur des candidats "ises ci llessus denont I?tre accompagn~s d'une co pie certifiée conforme par le .\1aire ou le
Commissaire de Police, de la carte de deporte Ou d'interne de la Résistance déli\'rée
par le Ministère des Anciens Combatta nts
er Victimes LIe Guerre co nformément aux
dispositions de l'ilrtide 29 du dêCret LIu 25
mars 1949.
ou
seront menfionnee::, Sur
�22
(femmes de service en particulier) exerçant
leur acti vi té à temps incomplet depuis 25
ou 35 ans po U\'aient prétendre à l' attri butio n de la médaille d' honneur départementale et communale.
Cette question comporte un e réponse
a ffIrm ative à condition toutefois q ue ces
employés assu rent un servi ce journalier
quelle que soit la durée quotidienne de celui-ci.
Je vo us demanderai do nc de ne me trans-
mettre, po ur . cette catégo rie de personnels,
que l es dossiers
de ceux
remplissant les
conditions définies ci-dess us.
. Vo us. vo ud rez bien diffuser la présente
IDstructi on aux services intéressés notamment a ux Maires et, Je cas échéa nt a ux
Conseils d'Administration des Caisse~ de
Crédit Municipal et Mont-de-Piété.
... . . . .. . . .. . . ..
Po ur le Ministre de l'Intérieur
et par délégation,
Le Directeur du Cabinet,
P. CHAUSSADE.
------- c~ooc~>----___
0 5 B2
AG 6
MODIFICA TION DE LA LISTE ELECTORALE ETABUE EN VUE DES
ELECTIONS DES REPRESENTANTS
DES ORGANISMES MUTUALISTES
AU CONSEIL SUPERIEUR DE LA
MUTUALITE ET DES MEMBRES DU
DEPARTEMENTAL
DE
COMITE
COORDINATION DE LA MUTUALITE
DES BOUCHES-OU-RHONE.
ARRET E
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
Officier de la Légion d' Honne~r
Croix de Guerre,
,
Vu l'ordonnance du 19 octobre 1945, porta nt statut de la Mutuali té, notamment son
article 69 ;
. Vu le décret n' 50-730 du 24 juin 1950
fixant les conditions d'élection des représe ntanfs des organismes mutualistes au Conseil
Supérieur de la Mutualité ;
Vu le décret n' 48-423 d u 9 mars 1948
Travail et <le la Sécurité Sociale nu méros
des Comités Départeme.ntaux de Coordi naha n de la Mutualité ;
Vu les ci rculaires de M. le Ministre du
Trava il et de la Sécuri té Sociale, numéros
234 S.S. et 137 S.S. des 30-7- 1948 et 6-71950 .
Vu 'l'arrêté de M. le Ministre du Travail
et de la Sécurité Sociale en date du 15 no-
vembre 1950, fixa nt la da te des électio ns
des représentants des organismes mutualis-
tes au Conseil Supéri eur de la Mutua lite et
des Membres des Comités Dépa rtementa ux
de Coordination de la Mutua lité ;
Vu notre arrêté en da te du 25 novembre
1950, établissant la liste électo rale en vue
des électi ons des représenta nts des o rga nis-
04 B3
nexée à I>arrèté susvjsé ;
Vu les reco urs exercés par la Société Mutualiste n' 13-895 dite « Société de Seco urs
Mutuels des Chan tiers Na l'a ls de La Ciotat > et par la Section de Société Mutualiste di te « Section Dépa r tementa le de la
Mutuelle Gé nérale de ['Educatio n Nationa.
le >, en vue de leur i nscr iption Su r l a liste
électora le précitée
Vu notre lettre en date du 30 décembre
1950 ;
Vu la dépêc he de M. le Min ist re du T ravai l et de la Sécuri té Soc ia le n' 10-368 en
date d u 25 ja nvier 195 1 ;
Su r la propositio n de M. le Sec rétaire générai,
Arrête :
Article premie r. -
Les Sociétés Mutua-
listes ci-ap rès désignées sont inscri tes sur la
liste élector ale, annexée à notr e arrêté sus-
visé du 25 novembre 1950 et étab lie en vue
des élect ions des repr ésenta nfs des or ganis-
mes mu tua listes au Conseil Supérie ur de la
Mutualité et des Membres du Comité Départemental de Coordinat ion des B.-d u-R h.
PREMIERE PARTI E
Sociétés Mlllualist'es
N' 895 : Société Mutua liste des Cha nt ie r,;
Navals de La Ciota t : 12 vo ix'.
'Sections de Sociétés Mutualistes
Mutuell e Gé nérale de l'Ed ucatio n Nationa le : 18 voix.
Art. 2. - !le présent a rrêté Sera pu bli é
a u Recueil des Actes Administratifs du Département des Bouches-du-Rhô ne.
Art. 3. - M. le Secréta ire Généra l de la
P réfecture est chargé de l'exécution d u présent a rrêté.
EN 0
INDEMNITE REPRESENTATIVe DE
LOGEMENT DES INSTITUTEURS
Le Préfet des Bo ucheS-d u- Rhône
à Messieurs les So us-Préfets et
Ma ires du Département,
mes Mutualistes au Conseil supéri eur de la
Mutua lité et des Membres du Comité Dépa rteme ntal de Coo rdin ati o n des Bo uchesdu-Rh ône ;
Vu la liste électora le en deux pa rti es a n.
-
Mes précédentes cirCUla ires des 12 et '9
décembre 1949 ont eu po ur objet de fix;;
le montant de l' indemnité .. ~résen t ativ. de
2
3 et4
5 et6
02 B3
F 4
PRETS DE LA CAISSE NATIONALE
DE CREDIT AGRICOLE
Pièces à fournir p ar les collectivites qui
demandent l'attribution de prèts à la
Caisse Nationale de Crédit Agricole,
par application de la lOi du ;:1 Août
[923 iacilitant, par des avances à
l'Etat, la distribution de l'énergie électrique dans les campagnes.
O. du 2 t décembre 1950, p. 12963)
lo gement du perso nnel enseignant, en fo nc-
(J.
ti on de l'a ugmentati o n généra le des loyers
réa lisée pa r la loi n" 48- 1360 d u 1er sep.
tembre 1948.
Le Secr étaire d'Etat à l' Ag ri cu lt ure,
Le montant de cette inde mnité a été éta.
bli po ur la période a lla nt d u 1er janvier
1949 '41 1er ja nvier 1954, selon les pri nCipes
posés pa r l'a rticle 34 de la loi s usvisée.
Le calcu l de l a nouve ll e indemni té a été
effectué en pl enant po ur base l'indemnitr
rés ulta nt de mon a rrêté d u 18 ma rs 1948.
Cet te derni èr e somme a subi un abatte-
ment préa la bl e de 16 p. 100 pou r compen.
ser la supp ressio n de l a char ge de l'impôt
cédula ire depuis le 1er ja nvier 1949.
Ch aque semestre et jusqu'a u 1er janvier
t 954 i.ll clus, l'indemnité nouvell e devait être
obtenue en majo r ant l'indemnité du semes-
tre précédent d' un e somme forfaitai re égale
au tiers de l' i ndemnité en vigueur jusqu'au
3 1 décembre 1949, di minuée de 16 p. 100.
A la suite d' une questi on posée, l\t le Minis tre de l' Educa ti o n Na ti o na le vient de me
fai r e cOll naÎtre qu'il n' y a pas lieu d'app\iq ue r a u ca lcul d u ta ux de base de l'indem·
nité considé rée la réd uction de 16 p. 100 au
t itre de l'i mpôt" cédul a ire.
J'ai, dans ces co ndit ions, procédé à la révision du bar ème annexé à mes précédentes
circula ires a uq uel doit être s ubstitué le ~ou·
bea u barème ci-a près.
Le Conseil Municipa l devra être appelé;
déli bér er de nouvea u sur la f ixation du
montant de l' ind emnité et à vote r la dépen-
se compl émentai re rés ul ta nt de l'application
du nouvea u ba r ème.
Pou r le Préfet,
Le Secrétaire Générlll,
LAMASSOURE.
fait à Ma rsei lle, le 1er fév ri er 1951.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Généralï!i!légué.
LAMASSOURE.
Les Minist res de l'Industrie et du Commerce, des Finances et des Affaires Economiques ;
Major.
forfait.
a u 3 112-48
semes-
trielle
1- 1-49
, 1-7-49
4.250
3.350
2.850
2.350
1.415
1.115
950
785
5.665
4.465
3.1m
3.135
7.080
5.580
4.750
3.920
1-1-50
8.495
6.695
5.700
4.705
1-7-50
9.9 10
7.810
6.650
5.490
1-1-5 1
Vu le décret d u 13 décembre 1923 po r-
tant
r èglement
d'administrat ion
p ublique
pour l' application de la dite loi du 2 août
1923 et les décrets qui l'ont lui-même modifié ;
Vu l'a rrêté d u 13 décembre 1923, mod ifié
par l'arrêté du 14 septembre 1925, relatif
aux pièces à fo urnir par l es co ll ectivités qui
dema ndent un prêt a u titre de la loi d u
2 ao ût 1923 ;
Vu la loi du 5 ao ût 1920 su r le créd it mutuel et la coopération agricol es ;
Vu le décret portant rè glement d'administrat io n publi que en date du 9 février 192 1
determinant les conditions d'application de
la loi du 5 ao ùt· 1920 s ur le crédit mutuel
et la coopération agrico l es ;
Vu le décret du 29 av ril 1940 po rtant
codification des dispositions législatives r égissant le crédit mutuel et la cooperati on
agricoles,
Arrêtent
Art icle premier. Les collectivités énumérées à l'ar t icle 1er de la loi du 2 août
1923 qu i désirent obtenir des prêts spécia ux
da ns les co nditions prévues par la dite loi
et par le décret portant r èglement d'administ ration publi que en date du 13 décemb re
1923 do ivent joindre à leur demande les pleces indiquées aux articl es ci-après.
Ces pièces so nt adressées a u P réfe t du
dépa rtement qui l es tr ansmet au di recte ~r
gé néral de la Caisse Na tiona le de Créd it
agricole en y joi gnant son avis.
Les départements doivent pro-
1 Une co pie de la dé libé ration du Co n0
seil Général dûment approuvée. s'il y a li eu,
11.325
8.925
7.600
6.275
1-7-5 1 1- 1-52
12.740
10.040
8.550
7.000
14. 155
11.1 55
9.500
7.945
1-7-52
décidaut l'établissement d' un réseau d'é lectricité da ns les cond itions de la 101 du 2
ao ût 1923' dé term inant l'ensemDte des
moye ns f i ~ a nc iers prévus po ur assurer
15.57
12.270
10.450
8.630
Na ti onale de Crédit Agricole et créahon des
t- I-53
16.985
13.385
11.400
9.4 15
1-7-53
18.400
14.500
12.350
10.200
1- 1-54
19.815
15.615
13.300
tO.985
l ' Une copie de la déli bération du Con-
b) Un certificat, délivré par le T résorier_
Payeur Général d)J Département, ind iq ua nt
bre des ce nt imes mis en r eco uvr ement l'année de la demande, le montant des emprun ts
en Cours.
Art. 3. -
duire :
seil M unicipal, dûment approuvée, décidant
resso urces spéci ales qui seront affectées a.lI
payemen t des annui tés dudit emprunt et mises en r e coU\~r e ment de plei n droit en cas
de besoin ;
.
.
2 0 Le mémoire justificatif visé. à l'art~
le budget départemental est g revé et le nom·
bre des centimes mls en recouvrement l'année de la demande j
4° ILe mémoire justificatif prévu à l'attici e 15 du décret portant rè glement d'admi-
les qui seront affectées a u payement de;
annUItés dudit empr unt et mises en r eco uvrement de plein droit en cas de besoin j
nistra tion pllblique du 13 decemb re 1923 et
2' Le mémoire justificatif prévu à l'a rticle 15 du décret po rta nt règlement d' administration publique du 13 décembre 1923 et
visé à l'ali néa 2 de l'article précédent ;
3 0 Un certificat délivré pa r le Rece veu r
Municipal et visé par le Maire, indiq ua nt :
visé à l 'alinéa 2, des articles précédents.
Art. 5. -
rèté préfecrora l autorisant l'association ;
3" Une note contena nt la l iste de.:) mem-
l>Tes de la Comntission Synd icale, indiquallt
en outre le nomb-re de.:5 associés et la superficie du périmètre syndical ;
4<;> Une copie certifiée conforme de la délibération - dûment approuvée par l'autorité compêtente - de l'assemblée générale ou
Les Syndicats de communes de-
de la Commission syndicale selon que les
pouvoirs appartiennent à J'un ou à J'autre
(0
2" Une copie de la délibération du comité du syndicat ,dûment approuvée, décida nt l'établissement d' un réseau d'électrici -
té da ns les conditio ns de la loi d u 2 ao üt
1923, déterminant l'e nsemble des moyens financie rs envisagés pour assurer l'exécution
des t rava ux portant notamment vote de
l'emj)runt à contracter à la Ca i e Nationale
de Crédit Agrico l.e et spéc ifiant les ressources spéciales qui sero nt affectées au payement des annuités du dit emprunt et mises
en recouvrement de plei n droit en cas de besoi ns, donnant en outre po uvoir au prési dent de sig ner le contrat du prê t ;
3° Dans le cas où le remboursenlent d u
prèt est ga ranti par les co mm unes :
a) Une copie, certifjée et portant mention
de l'approbation préfecto rale, de la délibération du Consei l M unicipal fixant la part
contributive de la dite co mmune dans le
payement des annuités du prêt et créant les
ressources speciales qui seront a ffectées à
l a garall tie de cette. quo te~part et mise!) en
recouvrement de plelO d rOIt en cas de besoin.
b) Un ce rtificat, dé livré pa r le Receveur
les rensci r'l' nements deméllldés dans ce texte
Sur l e projet envisaoé et les co nditions d'e\ploitation du r é eaut=. ;
ceOlimes
mise en recouvrement de l'impôt affecté au
rembou rsement de J'emprunt, le nom bre de:,
œ
tOlite nature
dont le budge t
commu nal est gre\'é, et le nombre des centimes mis en recouvrement l'année de la de--
mande.
yndicales
2" Un extrait égalemen t certifie de l'ar-
dans la comm une, le point de départ de la
vront produire :
1 Un extrait certifié du décret ou de
l' arrêté autorisant la création du syndicat
accompagne de l a liste des communes syndiqu ées, avec la date de leu r adhésion ;
Associations
1U Une copie certifiée conforme de l'acte
d'association ;
mise en recouvrement de l'impôt affecté au
rembo ursement de l'emprun t, l e nombr e des
ce ntimes de to ute nature dont le bud get
commun al est grevé j le nombre des centimes mis en recouvrement l'année de l a demande, et montant des emprunts en cours.
Art. 4. -
Les
autorisées doivent produire :
le pri ncipal des quatre contr ibutions directes
cie 15 du règlem ent d'administratIOn publtque du 13 décembre 1923 et contenant to us
Pa yeur Généra l du Département, mdlq.uant
contributions dlrecle
des
tes dans le départemen\, le pOi nt de dépaIt
de l a m.ise en reco uvrement de j'impôt affecté au remboursement de J'emprunt, le
nomb re des centimes de toute nature dont
ter minant l'ensemble des moyens fina nci ers
envisagés po ur l'exécution des t ravaux,
portan t notamment vote de l' emprunt à
.'Vluniripal d \'isé par le ,Nl aire, indiquant le
principal des quatre co ntributions directes
dans la commune, le poi nt de départ de la
3" Un certifi cat, dé livré par le T résorier-
le pr incipal des quatre contr ib utions dir ec.
l'établissement d' un réseau d' électricité da ns
les conditions de la loi d u 2 août 1923, dé-
Ag ricole, et créatio n des ressou rces spécia-
Art. 2. -
Mo nta nt de l' indemni té a u :
Les Communes do ivent pro-
Général garanlissant l'empru nt, autor isanl
le Préfet à intervenir au contrat et votant
les resso urces spéciales qu.i seront affectées
au payement des annuités de l' empr unt et
mises en reco uvrement de plein droit en cru,
de besoin ;
contracter à la Caisse Nationale de Crédit
b
Dans le cas où le rembo ursement du prêl
est gara nti pa r le Département :
a) Une co pie de la dél ibération du Conseil
le budget départeme ntal est g revé, le nom-
Vu la loi d u 2 ao Cit 1923 s ur la distribu-
l'exécution des t r ava ux portant notamment
vote de l'emprunt à co'lltracter à la. Caisse
A ncien
taux
tes dans le Département, le point de départ
de l a mise en recouvr em ent de l'impôt affecté au r emboursement de l' emprunt, le
nombr e des ce ntimes de toute nature aont
ti on de l'éner gie élect r ique dans l es campaanes et l es diverses l ois qui l 'ont modifiée;
duire:
BAREME DE L'INDEMN ITE RE P RESENTAT IV,E DE LOGEMENT DES INSTITU T E URS
Zone
23
1
de ces deux organes, décidant J'exécution
des travaux, déterm inant l'ensemble des ""oies
et moyens envisagés pour assurer cette exécution, portant notamment vote de l'emprunt
à contr acter à la Caisse Nationale de Crêdi t
Agricole, instiluan,t les taxes syndicales d~
tinées à en assu rer le service et spécifiant.
s'il y a lieu, les autres reSSOllTces affectée:;
à la même destination ;
5° Un e..xtrai t certifi é conforme de ;a déli bé ration de la Commission Syndicale désignant le directeur chargé de signer le con-
trat de prêt ;
6' Une
copi~
de la délibératIon, ou des
délibérations, dûment approuvées, s'il y a
l ieu, du Conseil Général, du Conseil ~'tuni
cipal ~o u des Conseils Municipaux garantissa nt l'emprunt, autorisant le Préfet, le ou h:s
Maires il intervenir au contrat, déterminant
I ~ montant de l 'engagement pris, créant en
ou tre les reSSources spéciales qui seron t affec tées à l 'e..xécution de cei engagement et
mises en recouvrement die plein droit en cas
de beso in;
71' Le mémoire justificati f pré\'u à l'arti-
cle 15 dU déc ret portant règlement d 'admlnistratIon publique du 13 décemb re 1923 et
vise aux article-s pr~édents ;
R" Une copie du budget relatif au precédeut exercice ou, ~ i l'associa,ion syndicale
est de constitution trop r écenre pour a\'Olr
lin bud get antérieur, ulle copie du proj et du
buùg et LIll t!tat dt:' pr~\' h;ion des recettes et
de.... d~ penses, ces pièces étant cer ti fiées par
le Receveur <le l'Association
Syndicale et
�Art. 6. - Les associations syndicales libres àoivent produire les pièces énumérées
aux numéros 1, 3, .1. 5, 6, 7 et 8 de ('ar tic:e
précédent et y joindre une autre pièce justifiant àe l'accamplissement des formalités
de publicité prévues par l'article 6 de la loi
du 21 juin 1865.
Art. 7. - Les sociétés coopératives et les
SOCit!Iés d'intérêt collectif agrico le doivent
produi re :
1" Une expédition notariée des stat uts, ou
un original dûment timbré et enregistré ;
2' La liste des membres du Consei l d'admini'Stlration ;
3" Une copie du procés-\'erbal de rassemblée gênera.e ou de la déliberation du
Conseil d' administration suivant que le pouvoir d'emprunier apparrient a l' un ou à l'autre de ces organes, déterminant l'ensemble
des moyens financiers en\'isagés pour assu-
rer l'exécution des travaux, portant notamment vote <le l'emprunt à contrader à la
Cai..e Nationale de Crédit Agricole, spécifiant les ressources aHectees au payement
des annuités du dit emprunt, et désignant
un ou plusieurs administrateurs pou r signer
le contrat du p rêt ;
4' Une copie àe la délibération ou des déLibérationsl dûment approuvées) s'il y li lieu.
du Conseil Général, du Consei l Municipal
ou des Conseils Municipa u..x garantissa nt
l'emprunt, autorisant le Préfet, le ou les Maires à intervenir au contrat, détel'1minant le
roontant de l' engagement pris, créant enfin
les ressources spéciales qui seront affectée
à l'exécution de cet engagement et mises en
recouvrement de plein droit en cas de besoin ;
5" Le mémoire justificatif pré\'u à l'article 15 àu dècret portant rè glement d'administration publique du 13 décembre 1923 et
visé aux artic:es précédents ;
6' Une situation comptable récente et, si
la colJectivitê a plus d'un an d'existence, une
copje du bilan du dernier exercice, du compte d'exploitation et du compte profits et
pertes.
Art. 8. - Les dispositions de l'arrêté du
13 décembre IY23 sont abrogées.
Art. 9. - Le Directeur général de la Caisse Nationale de Crédit Agricole e,t chargé
de l'exécution du présent arrHé qui sera pu-
blié au c Journal Officiel > de la République française.
fait il Paris, Je 6 décembre 1950.
Le Minislre des Finan ce~
ct des Affaires Economiques,
Maurice PETSCHE.
Le Ministre de l'lndustrie el du Commerce,
Po ur le Ministre et par délégation :
Le Directeur du Cabinet,
Jean MARTIN.
Le Secrétaire d'Etat à l'Agriculture,
Paul ANTIER.
fSO
D. D. S.
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
l:ES EXAMENS RADLOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTifiCATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX,
ohacun en ce qui le concerne de
l'exécution àu present arrêté.
Marseille, le 28 décembre 1950.
P. le Préfet e t par àélégation
chargés
LI! S ecrétaire Général,
•••
Le Préfet des Bouches-àIl-Rh6ne,
Officier de la L égion à'Honne ur,
Vu l'ordomtance n' 45.2720 du 2 nove mbre 19~5 , sur la Protectio n Nlaternelle et
ARoRET.E
àes Bouc hes-du,-Rh ônc
Officier de la Légio n d'Honn'eu",
Vu l' oràonna nce n' 45.2720 du 2 nOl'embre 1945, sur la Protection Mate rnelle et
Infa ntile ;
Vu l'arrêté ,d u 15 avril 1946 de M. le Jilinistre de la Santé Pu blique et de la Population ~t les rectifications pa ru es a ux j. O.
des 10 mai et 15 septembre 1946 fi xant le
modèle d 'u certificat d' exa men médical avant
Infantile ;
Vu l'arrête du 15 avril 1946 d e M. le Ministre de la Santé Publique et de la Popul ation et les rectificatio ns parues aux jour-
naux officiels des 10 mai et 15 septemb re
1946 fixant le modèle d u certificat d'exa men
médical avant le mariage ;
Santé sont cha rgés chacun en ce qu.i le
Le
P~éfet
COI1-
ce rne àe l'exécution du présent a rrêté.
Ma rse ille, le 30 janvier 1951.
P. le Préfet et par délégation'
PO
INTERDlCTlON DES QUETES SUR LA
VOIE PUBLIQUE ET A DOMICILE
ARRETE
Le Préfet des BOuches-du,Rhône,
Officier de la L égion d'hon neur,
Vu la loi du 5 avril 1884 dans ses articles 97 et 99 ; .
Vu la loi du 1er juillet 1901 Sur les Asso -
Vu l'arrête préfectoral du 1er juin 1946 ;
le mariage;
ciations ;
Vu l' arrêté prélectolal du 1er juin 1946 .
Vu la cirWlaire min istérielle n ' 148 d~
6 juin 1946 ;
,
Sur l'avis du Conseil Départe men tal de
l'Ordre des Médecins ;
Sur la proposition de M. le Directeur Départemental de la Sa<lté,
Vu .l'arrêté préfectoral du 24 novembre
1939, mterdlsa nt les quêtes SUr la voie publiq ue da ns le département des Bouches-du-
Arrète :
Article premier. - M. le Dr Ricard Louis,
demeurant à Aix-en-Provence, bou levard
Carnot, est agréé pour pratiquer les examens radi oscopiques en vue de la déli vra nce
des ce rtificats prénuptia ux et pronataux.
Art. 2. - M. le Sous,P"';fet d'Aix-en-Piovence, M. le Maire de la ville d'Aix-en-Pr cr
vence et M. le Direcieur Départemen tal de
la Santé sont chargés chacun en ce qui le
concerne de l'exécution du présent arrèté.
Marseille, le 28 décembre 1950.
P. le Préfet et par délégation ,
Le Secretaire Général,
LAl.IMSSOURE.
Arrête :
Article premier. -
examens r adioscopiqu es en vue de la dëJi·
vra nce des ce rti,kats prén uptiaux et prénataux.
Ar t. 2. - M. Je Secrétaire Géneral de la
Préfectu re, M. le Ma ire de la ville de Marseille et M. le Directeur Départemental de
la Santé sont ch03 rgeS' ohacun en ce qui le
Conce rne de l 'exécution d'u présent arrêté.
Marseille, le 18 janvier 195 1.
P. le PIMet e t par àélégatioll
LI! S ecrétaire Général,
LAMASSO URE.
•••
•••
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu l'ordonnance n ' 45.2720 du 2 novembre
1945, sur la Protection Maternelle et Infantile ;
Vu l'a rrété du 15 avril 1946 de M. le Mini tre de la Santé Publique et de la Population et les rectifications parues aux jour-
na ux offic.ie:s des 10 mai et 15 septembre
1946 fix ant le modèle d u certificat d'examen médical avant le mariage;
Vu l'arrêté prefectoral à u 1er juin 1946;
Vu la circulaire ministérielle n° 148 du
6 juin 1946 ;
Vu l'avis du Conseil <Départemental de
l'Ordre des Médecins ;
Sur la proposition de M. le Di recteur <Dépar temental àe la Santé.
Ar,r ête :
Article premier. - M . le docteu r Avri l Gilbert, demeurant il Port-Sa int-Louis-du-Rt.ôcertificats prénuptiaux et prenataux.
M. le Sous-Plréfet d 'A rles , M.
M.
Rhône;
Vu la circ ul a ire 308 du 9 septembre 1950
de M: le Mlllistre de l'Intérieur, Sur les appels a !a généroslte publique;
ConSidérant que les disposit ions de l'a rrêté préfectoral du 24 nove mbre 1939 ne
so.n~ plu.s en 'harmonie avec les instructions
mll1lsté n elles précitées,
de la Blancarde, est ag réé pou.r prat ique r les
ARRETE
Art. 2. Maire d e
M. le àoc,te u,r Renu cci
Guy, demeurant à Ma'TSeille, 106, boulevarrl
ARRETB
Le Préfet des Bouc hes-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honne ur,
Vu l'o"donnance n' 45.2720 du 2 novembre 1945 su,r la Pirotection Maternelle et
InfanU!e ;
Vu l'arrêté dll 15 avril 1946 de M. le Ministre de la Sa'nté Publique et de la PopulatIOn ' et l es rectifications parues aux jour-
nau x officiels des 10 mai et 15 septembre
1946, fixartt le modè le du ce rtificat d'exa·
men médical avant le mariage ;
Vu l'arrêté préfecl<tral du 1er juin 1946 ;
Vu la circulaire ministérielle nO 148, du
6 j'uin 1946 ;
Vu, d' av is àu Conseil Dé partemen tal de
l'Ordre des Médecins ;
Sur la proposition de M. le Directeur Départemental de la S~nté,
Arrête :
An icle premier. - M. le docte ur Delpi"
Abel, deme urant à Marseille, 10, rlle Abbédc-l ' Epée, est agréé pour pratiquer .les examens radioscopiques en vue de la dcllvrance
des ceriificats prénuptiaux et prénata ux.
Art. 2. _ iiI- le Secrét ai re Gé néral de la
Préfecture, M. le Maire de la ville de Mar~
et M. le Directeur
de
Al<RETE
Le Préfet des Bouches-du-I<hône
Officie r de la Légion d'honn'e ur
Cro ix de Guerre
'
----<::.00 c.)-____
DI BI
Arrête :
Article premier. -
L'a rrêté préfectorall d'u
24 novembre 1939 est et demeure ra pporté.
Art. 2. - Sont interdi tes dans le Départemen t des Bo uc hes-du-R,hône les quétes et
~'en(es d i nsignes, de vignettes et autres obJe~ sans. va leur marchande propre. Sur la
l
VO ie publique et dans les étab lissements ouverts au pub lic (cafés, restaurants, salles de
speclacles, etc ...).
. Art. 3. - L'interdiction visée il l'article 2
CI-dessUS, n'est pas a pplicable a ux a ppels à
l~ géné ~oslté publique a yant fait ~'objel
d lUne declslon l1uJ1 lstérieIJe Ou d' un arrê ré
préfectoral ou mun icipa l d'autorisati01l .
Art. 4. - Les quêtes à domici le so nt interdites sa,uf a utorisat ion délivrée par ar,rêté
préfectoral.
~o nt dispensées de to ute autorisatio n les
q.ue!es à domicile organi sées par les asSQc1atJ?ns ayant la capacité juridique de recevoir des do ns et ce lles recourant traditionnellement à ce mod e d'appel à la générosité
Putillque (de nier du c ulte, petites sœurs des
pau,\res, etc ... ) ,
. Art. 5. - Toutes infractions aux dispositlons. du présent arrêté se ront punies des
sanctIOns prévues il l'ar,licle 47 § 15 du Co'
de Pénal.
En outre" il sera fa it app licat,ion des a rt icles 406 à 408 de ce même code chaq ue foi s
J
que seront relevés à ,'encontre des orga ni-
~teurs les éléments constitu ti fs
d'u d élit
ct abus de co nfi ance ou d'escroquerie.
Art. 6, - M. le Directe ur Dépa rtemental
?es Services de Police, MM. les So us-Préfets
a A,x e t il Arles, M. le Co mm a ndant de Gendarmerie, MM. les Maires àu Département
sont chargés chac un en ce qui le co ncerne,
de Vexécutio n du présent arrê té qu i sera insSéré au Recueil des Actes Ad ministratifs e t
ulle tm des Maires.
Pait à Marseille, le 24 janvier 195 1.
Le
P 3
DESTRUCTION DES PIES PAR LA
FEDERATION DEPARTEMENTALE
DES CHASSEURS
LAMASSOURE . . '
Vu la circulaire mi nistérielle n" 148 du
6 juin 1946 ;
Vu l'avis du Conseil Dépar,lemental de
l'Ordre des Médecins ;
Sur la proposition de M. le Directeur Départenfental de la Santé,
06 BI
Le Secrétaire Général
LAMASSOUHE.
ARRETE
ne, es t agréée pour pratiquer les examens radioscopiques en yue de la délivrance des
-------c>oo<.~-------
-
rëgl eme~tai re
permanent sur
réglementant l a destruction
des pies cor-
Vu .l'arrêté
la poilee de la Chasse du 6 .eptembre 1949
e,r parhcuhèrement le titre III, c hapitre IV
beaux et corneilles'
'.
.,
~u
notre arrêté d'u 17 janvier 195 1 relatif
a ~'3 destruction des co rbeaux et des pies .
Vu la lettre de M, Perreaudin Jean prës'i-
ùent de la Fédération Dépa r tement~le de.
~hasseurs des Bouches-du-Rhône de mandanl
1 au.tor.lsatlon pour la Fédération de détrui re
les animaux nUlsible~ .
.. Vu l'avis du Conser~ateur des Eaux et Fo -
d'une manière génerale, ont pour effet de
provoquer la destruction
la proposition du
mesures i.dentiques pourraient être adoptées
en ce qUI Concerne les pla ntations diverses
établies au long des voies vicinales rurale.....
et u rbai nes.
'
MM. les Maires du Département voudront
donc bien veiller à ce que so ient évités, dan"
toute la mesure du possible, pendant la péri ode susdite. tous t ravaux de nature à gêner ou à détruire la nidification.
Pour le P.rHet et par délégation
Le
ve~ceJ . est a'utorisée pendant la période du
7 Janvier au 31 mars 195 1 à la destruction
m~ssive des pies sur to ut ou partie des terr él'InS de chasse dont elle assume la surveill a~~e,. avec l '~e ntime n t préalaole .des propnetal res fermiers et métayers et dêtenfeurs
du droit de chasse, en application de J'article 29 de l'arrêté permanent et cela dan s
to utes les communes du département.
Art. 2. - Les empoisonnements se feront
dans les divenies communes. après accord
avec les Maires des communes et dans les
co nditio ns spécifiées il l'a rticl e 30 de l'arrêté réglementaire pennanent.
Art. 3. - Ces destrudions se ront opérées pa r les soins des ga rd es de la Fédération et sous la responsabilité de celle""Ci sel'On les dispositions pré,"ues aux articles 31
et suivants du même arrêté permanent.
Art. 4. - Le Secrétaire Général de la Préfecture, le Conservateur des Eaux et Forêts
les M:aires. le Commandant de gendarmerie:
so nt chargés, chacu n en ce qui le conce rne.
de Ilexécutio n du présent arrêté.
lila rseill e, le 29 janvier 1951.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOU,RE.
------<.00<.-------
D283
SC 3
VOIRIE COMMUNALE
EMONDAGE DES PLANTATIONS
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à MM. les ~1 a ires du Dépa rtem ent,
Le Ministre de l' Intérieur vient d'appeler
mon atten ti on sur une intervention de la ligue Fran ça isE' pOlir la protection des oiseaux
par laque'le cette société a émis le vœu que
soient reconsidér ées les co nditions dans les-
q uelles sont pours uivis les trav aux d'élagage
et d'émondage des arbres, pl antations, haies
et broussailles bordant les voies de communication.
Ces tra'va ".
f'f.f,tl~~ô~t;iral,
'
•
ecrétaire Général)
Arrête :
Article premier. - La Fédération Departementa le des Cil asseurs des Bouciles-duRhône, 6, rue des Epinaux. il Aix-en-Pro-
et des
30 juin de chaque année.
Le Ministre de l'In té rieur estime que des
rets .
Sll~
des nids
jeunes oiseaux.
Les Services . ~épartemen(a u x compétents
ont reçu du M10lstre des Travaux Pub:ics
to~res instruC1 ion~ nécessaires pour que
SOient suspendus le long des routes nationa les et déJ1artementales, tous travaux similaires pendant la période du 1er avril au
TEIns D'INTlBET: G(NUHL
Circu(oifes conoernant plus spécialement
l itS Adminis ratfOfl s dé l'Etat
02 BI
AC 2
CALCUL DE LA COTISATION
DE SECURITE SOCIALl::
Application de l'article 1e r de la loi
n ° 50- 1598 du 30 Décembre 1950.
N' 290 f
LC 2325
Paris, 10 janvier 1951.
Le Minist re des finances et des Affaires Economiques à Monsieur le Ministre de l' Intérieur J
rai J' honneur de vous faire connaître que
la loi n' 50- 1598 du 30 décembre 1950 publiée a u < Journal Officiel > du 3 1 décembre aJ dans SOn article premier.
porté
à
324.000 francs pa r a n et a vec effet du ter
janvier 195 1 le plafond il retenir po ur la
détermination du montant maximum des co-
tisations de Sécurité Sociale. Ce p'afond
avait été fixé à 264.000 francs par la loi du
24 févrie r 1949 (Cf. lettre co mmune numéro
1417 fLI C 1856- 1686 d~ 7 mars 1949).
Le décret n' 5 1.1 d u 2 janvier 1951, pris
en application de la loi. a fixé, sur la ba~
du chiffre précité, les plafonds il appliquer
suivant la pé riodicité des payes ; ces plafonds so nt inàiqués Ci-après :
81.000 francs si le salaire est réglé pa r tritrimestre.
27.000 fra ncs si le salai re
mois.
est rég;é pa r
13.500 francs si le salai re est réglé par
demi-mois.
12.420 fran cs si le sa lai re est réglé toutes
Jes deux semaines.
9.000 fra ncs si le salaire est réglé par decade.
6.2 10 francs si le salaire est réglé par semaine.
1.242 francs si le salai re est réglé par
jour.
621 francs si le salaire est réglé .par
demi-j ournée de t ravail ne dépassant pas 5 heures.
162 francs. pa r heure. si le salaire est
pou r une dure. d" travail
�-
26
Par consèQuent, à partir du 1er ~a n v.ier
1951, IOr:lQue le montant de la rémunerabO n
sur laquelle doit <tre assIse la COlIsation de
Sécurité Sociale dépasse les plafonds IndIqués ci-dessus la dite cotisation est .calculée
_ur la base de ces plafonds sanS tenIr compte de la partie de la rémunération excédanl
le chiffre retenu pour le calcul de la coltsatian.
En matière de Sécu rité Sociale des fonction naires de l'Etat, la cotisation mensuelle
maximum susceptible d'êt re retenue à un
même agent qui, sous l'empire ,de ~a reglementaiion antërieure
donnaires décédés après 60 ans et ~on en-
core admis à faire valoir leurs drol~ à I~
retraite, qui était antérieurement fixé a
66.000 francs est porté à 81.000Irancs ; cOS
noU\'elles dispositions sont applIcab les da~s
tous les cas ou le décès est SUTVen u depUIS
le 1er janvier 1951.
Pour le Ministre et par au ! orisati~nJ
Le Directeur de la Comptabilité Publ Ique,
G. DEVAUX.
.
---- c~ oo c:.:> ----
AC 2
MAJORATION
DES
PRESTATIONS
FAMILIALE S VERSEES AU TITRE
DES MOIS DE DECEMBRE 1950 ET
JANVIER 1951.
'10 .. - 2 B/ 5
fo nctio n nair~
derniers
son~ remunérés su r l a base des sa....
lai res d u secteur privé, comme c'est le cas
de nombreux personne ls ouvriers.
j'ajoute que cetle règle est éga l e~nent applicable aux personnels des collectIVItés locales.
P our
d~
Mi nistre et par a'utorisatio n,
L e Ch ef de Cabinet,
Signé : O. LECARPENTifJR.
Communiqués. Avis
Annonces div ~ P5es
P B
0 1 B2
Comme suite à la communication faîte par
le Secrétai re Géné ra l a u co urs de la seance
de l'après-m idi du 10 févr ier, les Mai res qui
ont j 'intention de fa ire des demandes de
prê ts à la Caisse d~ Epargne pendant ['an
née 195 1, et q ui n'ont pas eu jusqu'à ce
jour la possib;,i,é de constituer leur dossier
so nt instamment pri és de. faire parvenir a~
secrétariat de l'U n ion (b ureau 226, Préfectu_
re) une simple note faisant connaître les ra iso ns d u .prêt qu'i ls pensent contracte, et le
montant approxi matif de la somme dont ils
auront besoi.n.
DECHEANCE DE NATIONALITE
Un communiqué postérieur fera connaître
Le nommé Aristotélès Théodo re, né le 14
av ril 1914 à Constantinople (Turquie), naturalise par décret du 20 mars 1936, a été
déchu de la nationalité fra nçaIse par décrel
du 4 janvier 195 1 (J.O. du 6 janvier 1951).
-------c. o o~> -------
03 B2
D ONS ET LEGS
11 est signa lé à MM. les Maires du Departement que le « Service des pons e.1
Legs > est transféré de la 3me DIVISIon a
la 4me Division, 2me Bureau.
Toutes communications concernant ce service devront donc être adressées, désarmais,
à la P1réfecture. sous ce nouveau timbre.
- - - - <>00<>,- - - -
03 B2
AVIS DE CONCOURS
laire unique et prenatales. a 1l151 que ~ ato-
Préfect u re de Maine-et- Loire -- Concours
pour la nomination d 'un s ecrétaire de
Direction à l'Hôpital psyc:tiâtnque de
Maine-et-Loire à Sainte-Gemmes-surLoire,
cation compensatrice instituée par, l' a rt1cl~ 2
du decre. d u 6 octobre 1948, versees au lItre
des mois de décembre 1950 et janvier 1951,
aux tra\'ailleurs salariés du commerce, de
l'i ndustrie et des professions libérales, aux
t ravailleurs indépendants et a ux employeurs
de professions non agricoles ,et a ux ~erso~
"es n' exerçant a ucune achvlte pro!esslonne,le, seront exceptionnellement malorées de
20 p. 100.
rai l'honneur de V?~S rappeler que, confo rmément aux <Iisposltlons de ce texte, seuls
peuvent recevoir la majoration ex cep~lon
n~lIe les allocations relevant des CaIsses
Un concours sur épreuves est ouvert à
l' hôpi tal psyohiâtrique de Maine-et-Loire, à
Ste-Gemmes-s.-Loire, les 9 et 10 avnl 1951,
pour la nomination d'un secrétaire de directiun de cet établissement.
Tous renseignements concern~nt notamment la liste des piéces à prodU ire et la nature des épreuves seront fou rn is s ~lr dema~
de adressée à M. le Préfet de MalOe-et-Lolre , a' AnO'ers
2me Division, 3me Bureau
b'
Les dossiers des candida ts devront parvenir à la même adresse a vant le 29 ma rs 1951
date de clôture des inscriptions.
La loi nO 50-1598 du 30 décembre 1950
publiée au c Journal Officiel > du lendemaIn,
prévOit que les all~catlOns famIlIales, d~ ~a
D E MAND ES D E P RETS
A LA CAISSE D'EPARGNE
DÉPARTEMENT DES
80UCH~ S-DU ~ RHONE
Copi~
c ~rtifi~~
la nomenclature des pièces à fournir pour
la constitution des dossiers, mais il importe
que le Secréta ire Général sache les besoins
des co mmunes ava nt le 20 février, date à
l aq u el'~ e il aura à faire réserver la pa rt qui
pourra leur être affectée.
A litre d'i nformation, le Secrétariat fail
connaître que t rois orga nismes prêteurs peuvent i ntéresser l es projets municipaux. Ce
so nt :
10 La Caisse du Crédit A~ri co le, à Arles,
qu i prête a~ tallx de 3 p. 100 pour les pro·
jets intéressant j'a gricu lture
(addtlclio~
d'eau, électrification des communes, " habitat rural, etc.) ;
.
2° La Caisse du Crédit Foncier, organisme indépendant, qui prête au ta ux de 7 p.
'100 pour les projets pouvant êt re subvent ionnés.
3° La Caisse d'Epargne des Bouches-duRhône qui, au bénéfice de la de rnièr~ I?i ,
se substitue au Fonds National des Depols
et Consignations et pr ête aux comm l~nes ~u
ta ux de 6 p. 100 pour les p rojets ".'scTlls
au pla n de déma rrage et pour ceux POI!vant être subventionnés par ,'Etat et le Departement.
Dès main tenant un ordre de prio rité
d'uraence sera établi par le Comi té charge
de I:"examen des demandes et une suite sera
donnée à chaque projet selon cet ordre, au
fur et à mesure de la cànstitution Jes dossiers.
,Le Secrétariat croit pouvoir indiquer aux
Maires que le fond. disponibl e po ur l'année 1951 (département et communes, .mo Ins
Marseille) s'élèvera à environ 500 millions,
ceci étant, bien entendu, une information
purement provisoire.
Le Secrélaire Général cle l' Union,
AUDIBERT.
e!
Recueil des Actes -~drfiinistratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspolldallce relative au Recueil do,'t être adressée
con forme.
--
------------~~~~~~~-----===
a la Préfecture
Secrétariat Général
A.B.R É VIA. 'rIO NS
A. P. : Arreté prélectoral. - C.. Circulaire
Les 1 tt
0 t B ..
d'
.
.
D, S. T. : Direction des Services TeChnique:, . -0 0
res . e.
SUIVies un dhlffre mdiquent le Service ou Bureau d'origine.
D
mentale de la Population.
.. . .: /Te ctlon Départementale de la Sante. - D. D. P. : Direction depane-
S
SOMMAIRE
Arlêtés réglementaires et Circ ulai ras
Pages
AG 2. -
Agents des co ll ectivités locales, anciens dépor tés ou internes de
la Résistance . ... ...... , .. .. , ... ,
AG 5B. - Régu larisation de l' état-civi l
des citoyens français musulmans originai res d' Algüie ",.,. ..........
C IA O. - Autorisation d'exploiter une
entreprise cinématographique . .....
fS 7. Eta bliss ements Hos pitaliers
27
28
28
publics : Prix de journée prévisionnels 195 1 .. _..... .. ... ...........
FS 7. - Expropriation de terrains sis
quar.tier d~ Fourchon. EnguHe pa rcelialTe (\'Ille d'Arles-sur-Rhône) ..
FS O. - Médecins ag réés pour pratiquer les exa mens radioscopiques en
vue de la délivrance des certificats
prénuptiaux et prénataux . . . . . . . . . .
Textes d'intérêt général
AC 3. - Versement de l'allocation de
28
30
3'1
salaire unique aux meres de fa mille
fo nctionnaires, bénéficiaires d'une
pension d'ancienneté au titre de l'a rti cle 24 de la loi dl! 20-9-48. . . .. .. .
31
AC 3. - Indemnités pour frais de den~é!1agemen t et pour cha ngement de
resldence ... . ... ... .... . .........
32
Communiqués, Avis, Annonces diverses
P 3. --:- Dechéa nce de. nationalité ....
32
- Adj udI catIOns PublIques restreintes.
32
- Dons et Le~s . ..... ............
32
=
ARR ÊTÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
D2 B3
AG 2
AGENTS DES COLLECTIVITES LOCALES,
ANCIENS
DEPORTES
OU
INTERNES DE LA RESISTANCE,
Le Préfet des BOllches-du-Rllôn e
à MM. les Maires dll Déparlemenl,
L'attention clu Ministre de l'Intérieur a eté
appelée Sur certaines difficultés renco ntrées
pour l'ex tension aux agents des collectivités
I ~cales, anciens déportés ou internés des
dIspositions de la loi n° 50-729 d u 2.. juin
1950 qui modifie l'a rticl e 8 de la loi du 6
août 1948 porta nt statut 'd éfinitif des Déportés et Internés de la Rés istance.
Par circulaire n' 399 AD-3 du 12 décembre 1950, le t\-\inistre précise que rien ne
s:oppose à ce que les Assemblées locales déCident de modi fie r les dispositions clu statut
lOcal du personnel relatives à la prise en
des services militaires, tle manière à
re à leurs age nts anciens dépor tés ou
Int"'n ';'. ci e bénéfi cie r tles bo nificatio ns pr épar les textes législatifs susvisés pou r
aVancements (j'échelon ou cie .grade.
Ces d libérations sont soumises à l'approbation de l'autorité de t ut elle (Préfet ou
SOUs-Préfet).
t Veuill ez trouver ci -après. en annexe, le
exte de la loi dl! 24 juin 19bO.
Pour le Préfet et par délégation,
Pour le Préfet :
L, Sec,.éloj"~ Ginérol : LAMAS SOU RE.
1
,
4
•
Paris, le 16 janvier 1951
Le Ministre du Budget,
à Messieurs les J\\inistres et Secrétaires
d' Etat,
les m Ilitaires 3111S1 q ue tous
9 · Année. - N ' 8
'-
oomOOUBIQUEs DU SE08ETBll/8T
DE l'OBION DES roHIBES
les autres a"enls de l' Etat, même lorsq ue ces
au 1er Janvier. 1951
"tait de 275 francs, se trouve po rtée a 333
Irancs.
j'ajoute que du fait de l'élél'atiOOl à 324.000
francs du p.afond annuel ~ re-!enir pour le
calcul de la cotisation de S ec un té SOCIale le
montant maximum du capital-<iécès suscepible d 'être versé aux aj'anls cause des fonc-
02 BI
d'Allocations Familia les du régime géné ral,
ce qui exclut du bénéfice de cet avantage les
R EPUBLIQURl
22 Février 1951
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
ANN EXE
LOI N ' 50.729 DU 24 JUIN 1950 MOD I-.
FIANT L'ARTICLE 8 DE LA LOI N'
48.1251 DU 6 AOUT 1948 ETABLISSANT
LE STATUT DEFINITIF DES DEPORTES ET INTERNES DE L A RESISTANCE
L'Asse mblée Nat ionale et le Co nseil de la
Répub lique ont delib éré :
L'Asse mbl ée Nationale a adopté :
Le Président de la Répub lique promulgue
la loi dont la teneu r sui t :
Article unique, - L'article 8 de la loi nU
48- 125 1 du 6 aotit 1948 est modifié co mme
suit :
Art. 8. - .En ce qui concerne les déportés résistants, te temps passe en détention
Ou en déportation est compt~ comme service
mllitai re actif d:llls la zone de combat, da ns
ulle unitt' combattante, d donne· droit :
Pour la retraite, au bénéfice de l a cam pagne double jusqu'all jour du rapatriement,
augmentê de six Illois;
En ll1ati ~rl' ù'avancement d'échelon, à
une tllajoration égale ou doub le du temps
passé en d~tenti011 ou en déportation, jusqu'au jour du rapatrieme nt.
Pour tes int~rnés n.>sista nts, la détention et l'internem~nt gant comptés Comme
service milit aire actif et donnent (jroit :
(( POLIr l a retr:tite, ail bénéfice de la Campagne simple ;
Pour l'avancement d'échelon, il une majorat ion égale au temps de la détention 011
ue J'internement.
" Les majorations prévues aux afinéa<:.
préCédents n'entrent pas en ligne de compt~
pour le calcul d u te mps de sen'ice effec tif
exigé dans le grade inférieur pour postuler
le grade supé rieur.
~ En revanche, l orsque ces majorations
a uro nt po ur effet de porter le lonctio nnalre
à l 'échel on de t rairement maximum de sa
catégo rie, ou lorsqu'ell es s'appliqueront à
des fo nctionnai res déjà en possession de ce
tra~tement max~ f!1u.m, le re liquat des maj oratIOns non utilisees ou leu r totalite. sui\'ant l e cas, ser ont mis en ré~u\'e en l'ue de
leur utilisation ultérieure après accession il
un gralie superieur.
" Les rappels et bonifications accord~s
pa r le pr ésent article compteront Jans tOUE
les cas pour l'attribution des d~corations
" Le b.énéfice des campagnes sera supputt.-,
confo rm ement aux dispositions ùe l'articl~
36 de la loi du 2.. a\'Til 1924, portant rdorme
du rég-ime des pensions civiles et militaires.
L~~ mal:tdies contractees par les déportés
reslstants dans les camps et prisons déterminés à l'article 2 Je la pr~sente loi sont
assimilées .1 des blessures de l)"t1èrre pour
l'application du present alinéa.::'
Les fonctitlnnairl's a\'ant au cou rs de
leur deportatioll ou de ·' eur internement,
pour faits dt' resistanLe. reçu des blessures
ou (o!ltracte des maladies ou'-rant droit à
pension suivant les dispositions du Code des
PenSI(1I1S militaires d'im'aliditê et des victides d~ la
M à Iil'
�-
28
formés à titre temporaire ou définitif, peuvent être, en cas d'indisponibilité constatée,
mis en congé dans les conditions fixées par
l'article 41 de la loi du 19 mars 1928.
c Les fonctionnaires, déportês et internés pour faits de résistance il l'occasion de
J'exercice de leurs fonctions et ayant contracté, au cours de leur déportation ou de
Maires de vouloir bien me faire connaître
aussitôt qu'il leur sera possible, et sous le
timbre : 2e Division, 3e Bure",u :
1" Le volume des déclarations souscrites ;
2· Les difficultés qu'ils a uraient pu ren·
contrer quant à l'application des dispositions
de la circulaire susvisée.
Pour le Prélet et par délégation:
Le Secrétaire Général:
LAMASSûURE.
leur internement, une maladie ouvrant droit
à congé de longue dur e, eo vertu du statut
aéné ral des fonctionnaires, peuvent bénéficier
de la prolongation de congé prévue par
l'article 93 (alinéa 2) de la loi du 19 octobre
1946.
« Les dispositjons ci-dessus sont applicables aux militaires. »
La présente loi sera exécutée comme loi
de l'Etat.
Fait à Paris, le 24 juin 1950.
Vincent AURIOL.
Par le Président de la Républiquè
Le Président
du Conseil des Ministres
Georges BIDAULT.
AG 5b
REGULARISATION DE L'ETAT-CIVIL
DES CITOYENS FRANÇAIS MUSULMANS ORlGlNAIRES D'ALGERIE.
Le Préfet des Bouches-du-Rhôlle
à Messieurs {es Maires,
Par une ci rculaire insérée au B. A. M.
n· 23-2-l des 8 et 15 juin 1950, avaient été
portées il votre connaissance des dispositions
adoptées par le Gouvernement en vue de
procéder à la réglementation de l'état-civil
des citoyens français musulmans originaires
d'Algérie.
Les ionnalités indis pensables devaient êt re
accomplies ava nt le 3 1 décembre 1950.
J'ai l' honneur de vous faire connaître que
le délai ainsi fixé vient de faire l'objet d'une
mesure de prorogation jusqu'au 30 juin 1951.
Par a illeu"" je serais très obligé à MM. les
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
ci MM. les Sous-Préfets d'Aix et
d'Arles,
et MM. les Alaires du Département.
Référence: ilIa Circulaire 04 B3 CIA 0 insé·
rée au Recueil des A cles Administratifs et
Bulletin des Mairie s des 2 1 et 28 septembre 1950.
Par circulaire citee en r éféren ce, j'ai attiré l'attention de MN\. les Maires sur les nOuvelles instructions concernant l 'autorisation
d1 exploiter une entreprise cin ématog raphique,
données conjo intement par M. le N\ini st re de
l' Intérieur et M. le Directeur Général du
Centre Nationa l de la Cinéma to g rap hie. Or,
ce dernier vient de faire co nnaître à M. le
Ministre de l' Intéri eur que de nombreuse8
réclamations éma na nt d'exploitants font ressortir qu'un laps de temps assez long s'écou·
le entre le moment où les autori sations de
fonctionner sont adressées aux Préfets et
celui où elles sont déli vr ées au x intéressés.
Certaines salles risquent, de ce fait, d'être
ouvertes sans que leurs gérants soient en
possession de leurs ' cartes d'autorisation
d'exercice, et de se trouver en situé\tion
irrégulière.
Par ailleurs, ces ex ploitants ont quelquef ois placé des capitaux assez importants dans
leurs entreprises et ont besoin de les ouvrir
r. D ÉS IGNATI ON DES E TABLISSEMENTS
"
,
,
.. .. ,.
H.
M.
C.
H.
Hospice de Cassis
. . . . . ....
Hospice de Roq ue\'aire .. .... .
Hospices d' Aix .......... . .
Hospice de Saint-Chamas
Hospiçe de Rognes ...... .
H.
H.
.....
Hospice d' Istres .......... .. ... . ........ .
Hospice de La Fare .. .. . . ........... . ... .
Hospice de Saint-Cannat . ............ .. .
Hospices <;l'Arles . . . . . .. ... . .... . ....... .
Hôpital-Hospi ce de Tarascon .......... .
Hôpital-Hospice de Châteaurenard
M.
C.
H.
H.
H.
+
Jlôpital-H ospice de Sai nt-Rémy
protection co ntre l'incendie.
a
'
Hospice de Maussane .. .... ... ::::::::: :'.'
Pour le Préfet et
Hospice de Barbentane
Hôpita l-Hospice d'Auba"~~"""""""'"
Co
• • • • • • • • • • • • • • '.
LAMASSOURE.
---- --- <» OO ~~ -------
D3 B2
+
Hôpit~I-Hospi ce
FS
ETABLISSEMENTS
HOSPIT",L1CKH
PUBLICS
de Salon
.......... ' " ...
. - . . .... . . ... "..... ... ........
- ......... - .... .
. . . . . , . . . . . . - .. .
Hospice d'Auriol .... .. .......... - ...... .
ARRETE
Le Préfet des Bouclles-du-Rllône
Officier de la Légion d'Honn;ur,
Vu la lo i du 15 juillet 1893 sur l' Assisfa nce
Médicale Gratuite,
•
Vu la loi du 14 juillet 1905 sur l'AS!;islitnld
H.
H.
H.
M.
C
H.
M.
C.
H.
aux Vieillards, In firmes et Incurables
H. -
j
.... ... ..
Vu l'o rdon nan ce du 18 décembre 19#,
déterminant à titre transitoire les règles de
fixation des prix de journée dans les hôpitaux et hospices publics ;
VII les ci rcu laires ministériell es d'application} notamment les circulair es des 29 de..
cembre 1944 et 2,9 novembre 1949 ;
Vu les propositions et justifications des
Hospice de SainÙ:j,~;';~~ ' :::::: : :: : ::::::
Hospice de Rognes .. . ... . . .. ... .. .. . ... .
Hospice d'Istres . ...... . . ..... . . .. ... .. ..
Hospice de La Fare ..... . .... .. . . ... . . .
.Hospice de Saint-Ca"nat ... ... . .. . .. .. .. .
Hospices d'Arles ..... .. . . .... .. .... .. . . .
Vu les rapports de l'Inspecteur
de la Population,
ARRETE :
Article premier. -- Les prix de
prévisionnels applicables dura nt l'
dans les Etablissements hos pi ta liers
Exc":de n t...
des
E xercices an lüic lIrs
(+)
(- )
.. ... .
. . ... , . .. .. . .. - .. . . ... . .. .
et Hospices Publics ;
ave c effet du 1er jan vier 195 1 :
_
Hospice de Cassis .... .. . . ........... .. .
Hospice de Roquevaire ... . . . ............ ..
Hospices d'A ix ............... . .. .. . . . .. .
COlllmissiollS Ad ministrati ves des
ci-après émlmérés sont fixés co mme
Hôpital-Hospice d~' T~'r ~~~~~ ' : : : : : : : : :: :::.
..
_
.. _. -., ....
Hopital-Hospice de Châteaurenard .... . .. .
-
... .. ...
Hôpital-Hospice de Saint-Rémy " . . '
Hospice de Maussa ne ... .. .... ::: ::: : : : : :.
Hospice de Barbenta ne .. . ... . .. . . .... . . .
Hôpital-Hospice d' Au bagne . . . . ...... . .... .
l'r ix
de
j o u r l1 ~e
pr ~v is i o n nd!o
Hôpital-Hospice de Salo n
Article 2. -- M . le Secrétaire Généra l de
I~ Préfect ure, MM. les Sous-Préfets d' Alx et
d Arles,
407
971
1.087
346
286
642
1.434
1.568
292
259
350
3 10
330
487
1.244
1.609
483
1.186
1.268
218
557
311
744
230
339
577
1.40 1
1.5'36
L3 15
1.482
23 1
Hospice d'Auri ol
MM. les Ma ires, Présidents des
Commissions Adm in istratives, MM. les Rec~ve urs de ces Etablissements, ....1. le Tréso·
2' Calt!go ri e
509
Li04
1.235
432
>
802
1.630
1.7S2
»
»
>
»
>
585
1.300
1.682
555
1.240
1.325
>
»
373
845
»
>
721
1.592
1.802
IA35
1.617
l r* Catégori e
610
L324
1.482
519
»
963
1.956
2. 138
»
>
»
»
»
730
1.470
1.901
724
1.401
1.498
>
»
466
1.01 4
»
»
865
1.911
2.163
1.554
1.752
Vu la loi du 14 juillet 1905 s ur l'Assistance
aux Vieill ard s, Infirmes et Incurabl es ;
Vu l'o rd onna nce du 3 1 octobre 19-15, portant or ganisatio n de la lutte co nt re la tuber-
fier Payeur Général sont ch argés, chacun
culose et les textes d'appl ication ;
en ce qUI le con ce rn e de l'exéc ution du présent arrêté. '
'
Vu J'ord onnanœ du 18 décembre 19-1-l détermin ant, il titre transitoi re, les rèl 1 1es de
fi xatio n des pri x de jou rn ée dan,s l e~ hôpitaux et hospices pllblics ;
MarseiUe, le 9 janvier 1951.
Pour le Préfet :
Le S ecretaire Géneral
LAM ASSOUHE.
.'.
ARRETE
Le Préfet des Bouches·du-Rhône.
OffiCier de la Légion
ce
t-{Ho/m.eu,..
Vu la loi du 15 uille t 1893 8ur l' Assistan-
E xercices
Prix
de
ant ~ rieur s
(+ )
journée
fJré visionnel s
(-)
ARRETE:
Article premier. -
562
.J07
35
424
389
17,33
3'19
105
778
883
34
957
210
778
988
30,66
Reco nducti o n du pri x de journée de 1950 sur propos ition de l' Etah. 346
286
330
4-l
642
591 ,20
40,50
63 1,70
10
1.266
121 ,50
1.182,40
1.303,90
37,9H
1.387
243
1.182,40
1.425,40
38,59
292
300
8
Reco ndu cti on d u prix de journ ée de 1950 il defaut cie propositions
259
de l' Etab liss ement (a pplicati on des dispositio ns légales)
350
325
25,29
3 10
312
1,88
Reco ndu ction du prix de journée de 1950 il défa ut de pro pos iti ons
330
de l' Etablissement (a pp licati o n des d is pos iti o ns léga les)
487
438,77
25,37
464, 14
22 52
975
1.017,27
11 3,29
1.1 30,56
'
155,44
1.319
1.061 ,09
40 1,30
1,462,3!1
143,11
483
24,83
464,66
489,54
7
1.062
148,64
929,32
1.077,96
16
1.134
223,28
929,32
1.1 52,60
19
218
f6,76
228,25
245
26,67
451
50,28
456,50
506,78
65,50
et
Assurés S ociaux
Hôpital-Hospi ce d'Allauch
Excédents
des
PRl X DE JO URNEE PA YA NT S
3' Catégorie
DESIGNATION DES .ETABLISSEMENTS
Déficits
Heconduction du prix de journée de 1950 s ur proposition de l'Etab. 311
»
»
l>
>
:t
629
Heconduction du prix de journée de 1950 à défaut de propositions
de l'Etablissement (application des dispositions légales)
230
l~eco ndu ctio n du pri x de journée de 1950
339
553
56
609
32
577
1.106
168
1.274
63
1.210
1.106
336
1.442
60
L380
52 1,92
56
572,42
10
562
1.043,84
151,80
1.195,64
II
1.13'1
1.043,84
303,60
1.347,44
15
1.364
240
9,33
231
M.
Prix de journée prévisionnel 1951
D éfi cil s
Pri'x d e rev Îen l p r ~v i s i o nn e l s
gêntra l
médi cal
lotal
1
2
1
2
H.
avec le décret du 7 février 1941 relatif à ;1
PRIX DE JOURNEE I NDrG E NT S
Services
H . : H ospice
M : M éd ec ine
C : Ch iru rgie
I. - PRIX DE JO URNEE INDIGENTS
Services
H : Hospice
Prix de revient prévisionnel li
M : Médecine général
médical
total
C : Chirurgie
1
2
J
2
DÉSIGNATION DES ETABLISSEMENTS
Le Secrétaire
D483
AUTORISATION D'EXPLOITER UNE
ENTREPRISE CINEMATOGRAPHIQUE
D283
Hôpital-Hos pice d'Alla uch ..
de vouloir bien prendre l es dispositions .
cessaires pour que les ca rt es en cause so·ne.
"
dè s. que pOSSI'bl e aux IntéreSSés
'
"nI
r enolses
me commuOIquer dans les plus brefs dél el
ls
leur avis sur ta confocmité de l'établissem:
CIAO
1
29
nés.
""··"'ln·1
En conséquence, je prie MM. les
------- c~oo < >-------
-------c ~ooc>-------
•
au plus tôt pour amortir les frais
Vu les ci rcul aires l1li nîstë r ielles d'appl ica-
ti on des 2(1 décembre 194-l et 29 novembre
1949 ;
Vu les propositions et justifiçafiol1s dl' l a
Comrr. ission Admi nistrative de l' Hospice de
Ga rdanne
Vli le ",·>n 0 ••
Le prix: de journée
prévisionnel applicable durant l'année 1951
dans l'H ospice de Gardanne est fixé comme
suit, avec effet du 1er janvier 1951 :
1. -- PRIX DE JOURNEE INDIGENTS
Pr ix de rev ient
p révi sionnel
Se rv ices
gé néral
Hospi ce . ..
D é1icit
433
145
Prix
de journ ée
pré\'Îsionnel
578
Il.
PRIX DE JO UR NEE PAYA NTS
3e Catégo ri e et ass urés socia ux : 578.
Article 2. - M. le Secrétai re Général de
la Préfecture, M. le So us-Préfet d' Ai x ....l le
Maire, Président de la Commission' Administratîve, M. le Rece ve ur de cet Etablissement, M. l e Tr ésorier Payeur GénéraJ sont
ch ar gés, chacun en ce qui le concerne de
l'exécution du présent arrêté.
'
Marseille, le 26 janvier 1951.
Pour le Préfet,
l. e Secrétaire Géneral
LAMASSOU RE.
:.
ARREl1E
l. e Préfet des Bouches-du-Rhône
Officier de la Légion d'Honneu;,
Vu la loi d u 15 j uill et 1393 su r l'Assistance
Médicale Gratuite ;
Vu la loi d u 14 ju illet 1905 Sur l'Assistance
aux Vi ei ll ards, Infi rmes et Incur ables'
Vu l'o rdo nnance du 18 décem bre 19-W déterm i nant, à titre t ransitoire les rèl71e~ de
fi xation des prix de journée ' dans l e~ hôpita ux et hospices pu blics ;
. V u les ci rculaires ministerielles d'application notamment les ci rculai res des 23 décem-
bre 194-l et 29 no\'embre 19..9 ;
Vu les propositions et justificatio ns Ù ~ la
Comm ission Admi nistrative de l' H6rital- Hos-
pice de La Ciotat ;
Vu le r~ppo rt de l'Inspecteur Principal de
la Populatio n,
ARRETE :
~~t~clc pft.'mic _. Les prix de j ournée
pn'\ ISlonnels Jppl u.:a bl cs durant l'année 1951
dans l' Hôpital- Hos pice de La Ciotat sont
fi xes ( omrne suit, m"eC effet du 1er jan\'ier
�L -
PRIX DE JOURNEE INDIGENTS
ARRETE
Prix
P ri."'C de revient pr évis ionnels
ge.néral
médical
t otal
Services
Hospice ......... .
Médecine . ......... .
Chirurgie ...... . .. .
IL -
474,40
948,80
948,80
4 1,59
124,n
249,54
PRIX DE JO URNEE PAYA NTS
H.
3e Ca tégorie et Assurés sociaux .. _. 5 10
•
•
2e Catégo rie .. ....
1re Catégori e ... ' .
M.
Ch.
1.1 8 1
1.235
1.396
1.3 19
1.378
1.553
Ar/icle 2. - M . le Sec reta ire Géné ra l de
la Préfecture, M. le Ma ire, Preside nt de la
Commission Adm inist rati l'e de l'H ôpi ta l-H ospice de La Ciota t, M. le Receveu r de cet
Etablisseme nt, M. le T résorie r P aye ur Génér ai sont chargés~ chacun en ce qui le COnc.:em e, de l'exécution du présent arrête.
Ma rseill e, le 23 ja nvier 1951.
P o ur le Prefet,
Le Secrétaire Général
LAMASSOU RE.
•••
1. -
Hospice ....... .
Médecine
Chi r urgi~ . .... .
59,71
179,1 3
358,26
PR IX DE JOURNEE P AYANTS
3e Catégo rie et Assurés sociaux .. .
-195
6,37
13,53
15,93
5 10
1.060
1.1 82
Le Préfet des Bouches-dll -Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu la loi du 15 juillet 1893 sur l' Assistance
Vu
tance
Vu
M édicale Grat uite ;
la loi du 14 juillet 1905 s ur l' Assisaux Vieillards l Infirmes et Incurabl es :
l' ordonnance du 18 décembre 1944,
déte rn~ in a nt, à titre transitoire, les r ègl es
de fixa tion des prix de jo urn ée da ns les hôp it aux et hospices publics ;
Vu l es circulaires mi nistér ielles d'appl ica tio n, nota mm ent les circula ires des 23 déce mDre 1944 et 29 nOI'em bre 1949 ;
Vu les propositio ns et j usti lica ti o ns d e la
Commissi on Ad ministrati ve de l' Hôpital-H ospi ce de M arti g ues ;
Vu le rapport de l' Ins pec te ur Princip a l de
la P op ul a ti o n, en da te d u 12 lév rier 195 1,
ARR ITE :
•
Article prem ier. - L es prix de j o urn ~e
p révisionnels app litables d ura nt l'a nnée 195 1
pour l' Hôpit al- Hospice de Ma rt igues sont
fixés comme suit, avec effet du 1er j anvier
195 1
PR IX DE JO UR N EE IND IGE NT S
432,29
864,87
907,74
H.
Excédents
de j ourn ée
prh isionncls
ARRETE
P.i.'\": de r~YieDt pr évisi onnels
général
médical
total
Se n -ices
Il . -
5 15,99
1.073,57
1.1 98,34
A\.
Ch.
1.393
Ar/icle 2. - !vL le Secrétai re Généra l de
la Préfectu re, M. le Mai re, Président de la
Commission Administratil'e de l' Hôpital-Hospice de Martigues, M. le Receveu r de cet
Etablissement, M. le Tréso rie r Paye ur Génér ai sont chargés, chacun en ce qui le Con t er ne. de l'exécution du présent arrêté.
Ma rseille, le 17 lév ri e r 1951.
P o ur le P réfet,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
•••
ARRET E
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Ugion d' Honneur ,
Vu la loi d u 15 jui llet 1893 su r l' Assista nl.C .' \édicale Gratuite j
Vu l'ordonnance du 3 1 octob re 1945, portant ur nanisation de l a lutte contre la tuherl'lilose ;t les textes d'applicatzon ;
\'u I"ordo nnance du 18 décemb re 1944, dé-
492
1.044
1.266
-
A ajouter
déficit anté rieu r
P r ix de jou rnée
prévision. 195 1
+ 3
+ 10
+ 20
495
1.054
1.286
ter minant à ti t re tr ansitoi re les règles de
fixati on des pri x de j ou rn ée dans les hôpit a ux et hO,spi ces publics;
V u les circulaires ministér ielles d'appli ca t io n des 29 décembre 1944 et 29 novembre
1949 ;
Vu les p ropositio ns et justifications p résentées pa r. l'Aé r i um de j\'\ontve rt ;
Vu le ra ppo rt de M. l' Inspecte ur Principdl
de la PopUlation,
ARRETE:
Article premier. - Les prix de jou rn ée
previs io nn els ap pl icables du ra nt l'an née 195 1
tia ns J' Aé r ium de Mo ntver t, à Aix-e n-Provence so nt fi xés Comme sun :
Ma la des assistés : 6 15
Ma la des payants 3e ca tégo rie et ass urés
soeia ux : 676,
avec effet d u 1e r janvier 195 1.
Article 3. - MM. le Secrétai re Géné ra l de
la Préfect ure, le Maire d'Ai x-en- Provence,
Mme la Di rect ri ce de l'Aé rium de Mo ntve rt,
M. le Tréso ri er-Payeur Gé né ra l so nt chargés, chac un en ce qUÎ le co ncern e, de l'exéc ution du p résent a rrêté.
Ma rsei ll e, le 2 fév rier 195 1.
Pour le Prélet,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
Le Prefet des B ouches-du-Rh6ne,
Officier de la L égion d'Honnellr
Vu la loi du 15 juill et 1893 s ur l' ASsi sta~c
Méd icale Grat uite ;
,
Vu l'ordonna nce du 3 1 octobre 1945, po r-
tant organisati on de la lutte contre la r _
be rcu lose et les tex tes d'applicat ion .
U
Vu l' orJonn a nce du 18 décem bre 194 4 détermina nt à titre t ra ns itoire les règles' de
fi ,,,tion des p rix de jo urn ée d a ns les Etablisseme nts hosp ita li ers p ubli cs ;
Vu les ci rculaires d' appli cation des 29 décemb re 1944 e t 29 novemb re 1949 .
Vu les pro pos iti ons d e la Comnli ~sion de
Surveill an ce du Sa na torium Départemental
du Petit-Arbois;
Vu la d élibé ra t iO n du Co nseil Général en
da te du 12 ja nvi e r 195 1, po rta nt vo te d"
budget du Sanat or i um pour 195 1 ;
Vu le ra pport en d a te du 1er fév rier 1951
de M. l' Inspecteur Principa l de la Popula-
fion ;
Sur la proposition de M. le Secréta ire Gêné ra l de la Préfec ture,
ARRETE :
Article premier. -
Les pri x de j ournée
prévisio nnels app licab les dura nt
l'a nnée
195 1 a u Sanatori um Département a l du PetitA rb ois sont ai nsi fi xés, à compter du 1er
ja nyie r 195 1 :
L -
Prix de journée des malades assistés:
Prix de revient
prévisionnel
général médi ca l
1
\. 3 18
2
233
Pri'd.
Excéde nt
1949 à
tota l
d éd uire
1 +2
1.55 1
63
jO ll rn~
pre\'j·
sionnel
1.483
II. - Prix de jo urn ée des malades payants
3e Catégorie et assurés sociaux:
(prix de revient prévis io nn el + 10 %)
1.706
Article 2. - M. le Médecin-Directeur du
Sa na torium Départementa l du Petit-A rbois,
M. le Receveur dueli t Etab lissement et M.
le Trésori er-Payeur Génér al sont chargés,
chacun en ce Qui l e concern e, de l'exécution
du prése nt a rrêté.
Ma rseille, le 8 lév rie r 195 1.
P our le P rélel,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
-------c~OOt.· -------
FS 7
03 8 2
EXPROPRIATION DE TERRAINS SIS
QUARTIER DE f O URCHON
ENQUETE PARCELLAIRe
Ville d'Arles-su- Rhône
ARRETE
Le Préfet des Bouches-dll-Rllône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu le déC ret-l oi d u 8 aoM 1935, ur l'expropriatio n pO Uf cause d' utilité pub lique;
Vu l'arrêté p ré lecto ra l d u V lanvie r 1951
po rtant déc la ratio n d'utilité pub lique l'aC<l."'-
si tian par vo ie d'ex propriati on des t~rra lJlS
défi ni s pa r la déli bé rat ion d u Co nSei l Mu-
31
nicip a l d'A rl es-sur-RTlône, en da te du 12 juillet 194Y ;
Vu le plan annexé
V u le plan par ce llai re des terrains situés
sur le terr itoire de l a Commune d' Ar les-surl~ h ô n e dont la cessio n est nécessaire à l' édificatio;) d' un nouvel hôpital communal, lequel
pl an indiq ue:
a) Que ce s ter rai ns ont ensemble Une
superficie de 4 ha 41 a et 79 ca (Sectio n Y,
lieu d it « Pla n d u Bo ur g ») ;
b) Q u'i ls appa rti e nnet il :
- M. O Li VE RO G iuseppe, époux AUD IBERT, pa rcell e num éros 1052 p, 1058 bis
1056, 1057, 1058, 1057 bis, 1059, 1060, 106 1 :
Mme V ve MARSA L, pa rcelle n" 1094 ;
- M . Q UEN IN Lo ui s, époux PONS, pa rcelle nu mé ros 1126, 11 33 Jl, 11 34 p,
ainsi qu'en fa it foi la mat rice des r ôles ;
Sur la propositio n de M. le Secréta ire Généra i de la Pré lecture,
ARRE TE
Article premier . - Il sera procédé à " enqu ête presc rite pa r le Tit re Il d u Déc ret-Loi
du 8 ao ût 1935 su r l'exp ropria tio n Jlo ur cau-
se d' utilité p ltblique, ef\ vue de l' acquisition
des ter rains ci-dessus enllmérés nécessai res
à l'éd ificati on d' un no uvel hôpi ta l communal.
En co nséquence, le plan parcellaire ci-d essus visé r ester a déposé en la Mairie de la co mmune d' Anl es-su r-R hône pe ncla nt huit Jours
entiers et consécutifs à part ir du 26 fév ri er
1951 jusqu' a u 5 mars 195 1 inclusiveme nt, où
chacun pourra en prendre con naissance, dimant hes et jours lériés exceptés, de 9 heures
il 12 heures et de 14 he ures à 18 heures, et
produire, s'il y a lieu, ses obser vations.
Article 2. - Pr éalablement, un aver tissement ann'Onça nt ce dépôt sera publ ié à so n
de trompe ou de ca isse dans l a Commune
et a ffiché à la porte p ri ncipale de la Mai ri e.
Cet avertissement sera, en outre, i nséré dans
l'un des journaux de l'a rrondissement d' ArIes, dfs igné pou r recevoi r l es an nonces judiciaires et admi nistratives. Notificat ion individuell e, pa r lett re recommandee, de ce dépôt
sera fa ite .pa r le l\'l ai re à chacun des propr iétaires, te ls qu'ils so nt indiqués sur la matrice
des r ôles.
Article 3. - Le Maire ce rtifiera que ces
publications et affiches on t eu lieu conform ément à la loi. II consi gnera sur un procèsver ba l, qu' il ouvr i ra à ce t effet, les déclarations et réclamati ons qui lui seront faites
verba lement par les pa rti es i ntéressées et l es
reque rra de les signer ; il annexera il so n
procès-ver bal celles qui lui seront adressées
pa r éc rit. Il ollvrira, en même temps, un registre destiné il recevoir les déclarations
d'électio n de domi cile lai tes par les propriétaires des immeu bles portés au plan et par
les a utres inté ressés.
Ar/icle 4. _ A l'ex piration du dé lai de
huitaine ci-dessus lixé c'es t-à-dire dès le 6
mars 195 1, ce procès:verbal et .ce reg.istre
seront clos ct signés par le Maire, qUI I ~s
soumettr a au Conseil M unidpa l ÙOllt l'aViS
sera joint au dossier à transm ettre au So usPréfet de l'arrondiss em ent cl' Aries-sur- Rhô ne, qui l es soumettra à son tour à la Commissio n m'entionnée à l'articl e suivant.
Article 5, - Sont dt5s i !Znés,
partie de la Com mission prévue
9 du décret- loi du S aofit 1935
MM. ASTI ER, MATHIEU,
VI DAL, co nseillers gé né ra ux,
pour faire
par l'article
susvisé :
VALETTE,
M. le MAIRE d' Arl es-su r-R hône,
M. RICHET, a rchitecte chef du Grou pe
cha rgé de la co nstru ctio n du no uvel hôpital.
Cette Co mmission se réunira en l' Hôtel de
la So us-Prélect ure d'A rl es-s ur-Rh ône, le 15
ma rs 195 1, so us la préside nce du Sous-Prélet.
Elle r ecevra, pendant huit jours pleins et
tonsécu/ifs, du 15 a u 22 ma rs 195 1, inclusivement, de 9 heures à 12 heures et 15 he ures
à 18 heures, dimanches et j ours féri és exceptés, les observations des proprié ta i re~
et autres intéressés. Elle les a ppellera to utes
les fo is q u'e lle le jugera co nve nab le. Elle
donnera son avis ta nt sur les obser vations
et réclamatio ns consignées au procès-ve r bal
dressé e n exéc ut ion de l'a rticle 3 c i-dessus,
que sur celles qui lu i ser ont directement
ad ressées. Ses opératio ns dev ront êt re te rmi nées dans le délai <.le dix j ou rs à pa r ti r de
sa première réunion, c'est-à-dire le 24 lTIars
195 1.
Ar/icle 6. - Si la Com mission propose
quelque changement au projet, avis en sera
immédiatement donné aux propr iétaires que
ces changements pourraient inté resser, con lo rméme nt a ux a rticles 6, 7 et Il du ùéc retloi d u 8 ao ût 1935. Penda nt hu ita llle, a date r
de cet avert issement, le procès-ver bal de la
Commission et les autres pi èces de l'enquête
restero nt déposées à la So us-Prélecture d' Arles-sur- Rh ône, les parti es intéressées pourront en prendre communication sans déplacement et sa ns frais et fou rn ir leurs observations écri tes.
L'ensembl e du dossier de l'affai re ser a
ensui te tr ansmis, sans dél ai, à l a Ptéfecture,
pa r le So us-P rélet, qui y joi nd ra So n .Yis
particuli er.
Artitle 7. - MAI. le Sec rétaire Général
de la P rélectu re, le So us- Préfet d'Aries, le
Maire d'A rles sont cha rgés, chacu n en ce
qui l e co ncern e, de l'exécution' du présent
a rrêté, qui se ra affiché à la po rte de la Mairie et publié au Bt/lle/in Adminislra/if de.
Mairies.
Ma rseill e, le 13 lévr ie r 195 1.
Pou r le P réf"t,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
-
D. D .S.
- - - - 4: '00< , , -- -- - -
FS
0
MEDECINS AGREE~ POU R PRATIQUER
LES EXAMENS RADIOSCO PIQ UES
EN VUE DE LA DELIVRANCE D ES
CERTIfiCATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX,
ARRETE
Le Préfel des Bouches-dt/-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu l'ordo nnance n" 45.2720 du 2 novembre 1945, su r la Protection Mate rnell e et Infantile,
Vu l'arrêté du 15 av ril 1946 de M. le Minist re de la S, nté Publique et de la Population et I~s rectifications parues aux j. U.
des 10 mai et 15 ~c ptemb re 19-16, fi x ant l ~
modêle <.lu c t' rtifi c~l t d'examen médical avant
le mari:,!.!€' ;
Vu l' a rrêté pré fec toral du 1e r j uin 19.JQ,
Vu l';l\'is du Co ns ~ i1 Df pnrtementa! ùe
l'Ordre des ~ I é d e c i ns ;
Sur la proposition de M. le Di recteur.Dépa rt ement,1 de la Santé;
ARRETE:
Ar/icle premier. - M. le Doc te ur Mougin Ma uri ce, 185 A, bo ul eva rd de la Li bé ration, est agréé po ur prati quer les examen:;
r adioscopiques en vue de la délivrance des
certificats prénupt iaux et prénata ux.
Ar/icle 2. - M. le Secrétaire Gé néra l de
la Prélec tu re, M . le Ma ire a e la Ville de
Ma rseil·le et M. le Di recteur Dépa rteme nta l
de l a Sante sont cha rgés, chac un en ce qui
le concernel de l 'exécut ion du présent arrêté.
Ma rseille, le 9 fév ri e r 195 1.
Pou r le P rélet et pa r dé légation,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
•
n XTf& D'INTERET olBEBHL
Circulaires con()ernanl plus s péCialement
les Adminislrations dl: l'Etat
0 28 1
AC 3
VERSEMENT DE L' ALL.OCATION DE
SALAIRE UNIQUE AUX MERES DE
FAMILL.E fONCTIONNAIRES, BENEFICIAIRES D ' UNE PENSION IY ANCIENNETE AU TITRE DE L'ARTICLE
24 DE LA LOI DU 20 SEPTEMBRE
1948.
N" oS - 4 B-5
Paris, le 1er fénie r 195 1.
Le Ministre du Budget,
li MM. les Minis/ res e/ Secrétaires
dElaf,
. Aux termes de la réglementation en vi_
gueur en matière de prestations familiales,
l'alloc ation de salai re unique cesse d'être
\'ers ée lorsque le conjoint de l'allocataire
bénéficie, du fait de son travail personnel,
d' une rémuRé ration supérieure au tiers du
sa lai re moyen servant de base au calcul df'5
prestatio ns famil iales, lorsque le ménage a
deux. enfa nts à Charge, et à la moitié du
même salai re à partir de t rois enfants à
charge. D'autre part, les pensions d'a ncienneté allo uées aux agents de PEtat sont Considérées à cet égard co mme des r evenus profEssion nels.
Or, mon attention a été appelée Sur le
fait q ue l'application stricte de ces principes co nùuisait il des anomalies assez choC!uantes, notamment da ns le cas des femmes
f(,.\nctio nnair~s qui ont été admises â. fai re
\"n loll fe ur d roit à une pension d'ancjennet~
pùur se CO nsacrer il l'éducation de leurs enla nts.
A,I~s i ai-je décidé que, pa r mesure de bIen\I.:il lél. llce, les agents de l'Etat dont le
co nj oint a demandé à bénéficie r d'une pension d'ancienneté avec jo uissa nce im médiate
au titre des articles 6 et 2-l de la loi n"
4B- I-l.50 du 20 septem bre j 948 po urront,
lorsque cette> pe nsio n dépasser a la moitié du
salaire de base en vig-ueu r au lieu de r ésidence d e la famill t!, continu~ r il percevoir
nl'a nmQins 1'.:t1 location de salai re unique.
Le cumul de la pcnsil\ n d'anciennete et de
J'all oca tion ue salai re unique ne devra toutelo is e n a ucu n cas d~passe r le montant dudit sabire ùe base.
EXl!nz pli..' : Soi t une müe de fam ille, fonctionnt"l ire. habi tant Par is, avec 3 enfants à
ch arge et n:l:e\"ant une pension d'ancienneté de 6...100 f rancs pl r mois :
�-
32
.
ser'"I'"s
Prestations
... J'usqu'ici à la famille
6.000
A. F. ..... ..... ... ..... .. .. Fr. Néant
~Pl~~q'U~' i~ .p~~~i~;; 'ci; i~ 'I~è~~' ciépasse
la
moitié du salaire moyen)
1 . autres conditio ns proBien ente~du,. e~ l'allocation de salaire
pres à l'attnbUth?t~ed~espectées scrupuleuseunique devran e
ment.
. .
1
tant
,
t il est el'Ident que. e mon
D autre par 1 . .
••
e doit en aude l'allocation al~sl att~lbc~f~i n l'allocation
de
cun cas être s~peneur a
t due compte
de salaire u mqulle ~telJ~m~~mbre 'd'enfants
tenu de la fami e
il charge.
Il \'ous
t
1 s cas où
ap~a~iendra, ~:~~unO~~e~t masCu.
VOllS serez saiSI d~ l~ pa .
d'
demande
lin de votre Admmlstralton! une décompte
.. d l'
èce d' ext O'er un
d'indemm!e.
"perçue par son
de la pensione d~P
an c'e~neté
1
conjoint.
'en0'30'er à
L ,' téresse devra en outre, S b b
In .
'
odifications survenues
vouS Signaler toutes m
.
d' ancienneté.
dans le ' montant de la pensIOn
.
La presente mesure prendra effet a compter du 1er janvier 1951.
E . FAURE.
02 BI
Prestations qui pour ront désormais
être servies à la famIlle
AC 3
INDEMNITES POUR FRAIS DE
DEMENAGEMENT ET POUR
CHANGEMENT DE RESIDENCE
N" 9-5 8 -5
Paris, le 1er février 1951,
Le Ministre du Budget
à MM. les Ministres et Secrétaires
d'Etat.
Référence. -- Circ ul a ires Finances . n° .68
B-5 du 7 juin 1946. 14-3 B-5 du 17 lanvler
1949 et 3-1 8-5 du 7 janvIer 1950.
6.000
. ... .. ....... . . ..... . '. . Fr. 5600
. .... . · · · ·· ·· · · · ···· · · . .
( ~oit · I~' différence entre 12.000. salaITe ~c
l a
b ase et 6 .400J montant de la pensIon (e
mère).
t
Par circulaire du 7 janvi~r 1 9~. c1t e d~~
référence, j'avais prorogé JU,sgll au .
b e 1950 l'effet de la déCISIon pnse par
~~I~ ~e mes prédécesseurs, auto,risant I~s
t mutés 3\'eC avancement a receVOir,
~~~~ ~es mêmes conditions que l~l1rs coJ} è-
tés dans l'intérêt du service, les 10â~I~~l/~~ régl~mentair~s pour déména gement
et cha ngement de réSidence.
décidé de reconduire à nOl1yeau ~ette
our une nouvelle pénode dune
mesure p
dé
b e 1951
ann ée. soit jusqu'au 31
cern r
.
La quotité des frais . laissés à la charge
de l'agent demeurera fIxée à 20 %.
E. FAURE.
J'ai
•
Communiqués - Avis
Annonces diverses
P 8
DECHEANCE DE NATIONALITE
Le nommé BERENGUEL Ma nuel. né le
1er novembre 1913. à Pechlna (ESpa g ne)~ do. '1" . Marseille'Boulanaene
Mazar
~ ues,
ml t l l e a
.
t:>
•
t d
?5
~~;te~bi~~0\~36~a1"é~i~~cl~l~ rded1'a"~eatio~a~~~
française par décret du 8 l~nvl~r 1951. pu ,
au Journal Offici el du Il lan vler 1951.
------<>00 <)-------
Service des Subsistances Milltaires
A. -- Légum es secs.
U ne adjudication publique restreinte, SUr
présentation d'échantillons, allra lieu le
jeudi 15 mars 1951, à 10 heures. <Ians les
locallx de l' Intendance Militaire (les Su bsis.
tances
~
-
~
.
Recueil des Actes AètmijiÎstratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au ReclIeil doit étre adressée à la Préfectllre Secrétariat Général
A. P. : Arrété préfectoral. - C. : Circulaire
D.
S. T. de
: Direction
des Services TeChnique,. mentale
la Population.
.A.:BRÉVI.A.'rIONS
les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d 'orig ine.
D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départe-
------<>00<>------_
04 B2
DONS ET LEGS
A v is publié en e.réClf tÎ<m de l'ar/iole 3 d l4 dé.
çreJ. d" 1er f étwier 1896, dall,s l e but d'itlvitr,
\es hél'Îtiers jnc onnl~s d es t est ateurs à pl'e1ldrt
son1/.aiSSGl1Ce d" t estamcll t , e" vue de dO lll1 t f
leur cotlselltcmerlt ou d e produire l eurs mO}'tnJ
d'opposi f1'on,
Les reclamatioll,s Ile SOllt recevables qlu dOlu
un d ébi de troIs "Il'ois à partir de l'I/Mulion
al' « B fû let in ».
Par testa ment ologra phe d u 13 août 19.\8.
déposé aux minutes de M' LAUO lER. ~otal'
re à Marseille,
Mademoiselle Marie ROQUE a légué à
l'Académie de Marseille l'immeuble SIS a
Marseille. 2. rue Adolphe-Thie rs, ai nsi que
les tableaux qu i s'y tro uve nt.
Pour l-e Préfet :
Suré'alrt: Général " LAMASSOURE.
•
9· Année. - N' 9
v
Caserne Audéoud, Promenade de la
Marseille, pou r la fourniture de :
--------------------------------------~~~~~~~-~-.~.-~D:.=ld~~~.~IUJ.------~----------1:2Gï .• •ï..
..Slïï'ï. n............... ...................
1»J1'UlIEL." ,"0 .. _--..
.
Corni~he, à
-- 500 X-M (cinq cellts quinta ux métri.
ques) de lelltilles._ à li vrer fra nco da llS les
Ma O'asins des SubSistan ces, l , rll e '\ \assé na,
"
Marseille.
Dépôt des pièces et échantillons. le 5
ma rs 1951. dernier délai.
En' cas d'échec, lIn cOllcollr~ co nsecutif
aura lieu le IlIndi 19 mars 195 1. ([ 10 hellres.
"
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU:'RHONE
9' Région Militaire -- Place de Marseille
Copie certifiée conforme,
-
.,
RESTREINTE~
Ma rseille. le 19 février 195 1.
L~
- -
ADJUDICATIONS PUBLIQUES
A. F.
SU
DI B2
------- c ~oo<> -------
D2 B3
•
1" Mars 1951
SOMMAIRE
4rrêtés réglementaires et Circlllair ...
Pages
AG 2. -- R6munération du persb nnel
auxiliaire des coll ectivités locales ..
F 2. - Registres de l'état-civil. : Rembou rsement par l' Eta t des frai s de
reliure et de confection . . .. . . . . . . . .
33
34
FS O. -- Certificats prénuptiaux et p renataux .. .. . .. '" .... .. .. . .. .. . . .
FS 7. - Ass ista nce publ ique de Ma rseille. (Prix de journée prévisionnels)
SC 2. - Distribution d'ea u pot a ble. __
35
SC 7. - Conditions du port de la fourragère tri coiore pa r les sapeurs-pom_
~m ... . ...... .. . . .... _ ..
~
35
SC 7. -- Mes ures de sCe urité da ns les
baraquemen ts et bâ timents provisoi res
36
34
Redeva nces dues pour utilisation de
,
bornes-fontaines .. . ... . . ..
....
=
ARRÊTÉS REGLEMENT AIRES
ET CIRCULAIRES
D2 B3
AG 2
REMUNERATION DU PERSONNEL
AUXILIAIRE
DES COLLECTIVITES LOCALeS
j'ai l'honnel/r de porler ci-dessous à la
Connaissance de MM . les Maires du Déparfement le texte d e l'arrêté interministériel
dfl 14 [él'rier 195 1, relatif aux rtlmunerations applicables à compter du 25 décembre
'950 aux ag ents aux iitiaires et fon /l'actuels
aes collectivités locales~
POlir ,le Préfet et par délégatio n,
Le Secrétaire Géneral :
LAAIASSüU RE.
rêté intermin istér iel du 1er octobre 1948., modifié par les arrêtés des 30 mai, 30 sep te mbre et 2 1 novembre 1949 et 22 mai 1950.
so nt remp lacés pa r les tab lea ux su ivants
Auxi/raires de bureau
SOle Cehelon ....... . ... .. .. . 202.000
7me echelo n
. . . ... . . ... 192.000
6me éc helon
. . . . . . . .. 182.000
éme éc helon ... . ...... . ... .. 171.000
4me échelon ..... . . .. .. .. ... 16 1.000
3me éc helon
. . . . . . .. . 150.000
2me échelon
. . .. .. .. . .
140.000
1er elllelon .................. 128.000
Fr.
Fr.
Fr.
Fr.
F r.
Fr.
Fr.
Fr.
Aux.'1iair.t:s de senice
EXTRAIT DU « J OUI~NAl OFFiCIEL ,
Sme échelo n
. . . . . .. . .
173.000 Fr.
7me échelon
. . . . . . . . . . 165.000 Fr.
DU 16 F E VRIER 1951
6me éc helon . . . . . . . . . . . . . . . 158.000 Fr.
(page 1613)
5me échelon . .. .' ........ 1~9.000 Fr.
Rémunérations applicables à com pter du
4m e éche:on
140.000 Fr.
25 décembre 1950, aux agents auxiliaires :JllIe ec helon
....... .. . . 131.000 Fr.
ei contractu els des collcc/h'ités lOCales.
2me échelon
. . . . . . . . . . . . . 122.000 Fr.
Le Millistre de "I nté ri eu r, le Minist re ùu
1er écheion
. . . . . . . . . 115.000 Fr.
Budget et le Min istre de la Sallté Publique
et de la Poptll . tion ·
Aucune moulfj(a .ion n'es t apportée aux
Vu l'a rticle Jer de l'ordonnance du 17 1 ta ux de réduction fixês par l'a rtic'e 2 du
mai, relative au x services publics des dé- décret n" 49-44 du 12 janvier 1949 pour le
calcul des sa laires \'t:rscs aux employés auxip~ r tem e rlts, d es communes t't de leu rs f ta.
hhssements pUblics . ,
1 liaires de b·ureall ou de se rv ice âges, soi t de
m'Oins de dix-huit ans et de plus de seize
Vu l'arrêté clu Je; octobre Jf'~H, mudihc
.1ns, ~oit de moins de "eize ans,
par les a rrêtés des 30 moi. :;0 scpteml'rc et
I I nOvembre 1U..tU ct dl! :n m,!! 19,)0;
1 EmploY/:::i de bureau fL'crutt'S sur cont"al
Vu l'avis de la set: ti on UII per5unnel du
Con seil Na tion al des Sef\'il:es Pub!i .. s Dt
247.000 fr
pa rtementau ~ et Con 1fl1U n.:wx,
1
23 11 ,1'0[) Fr,
~IHK)() Fr.
Arrêtent :
J9R.OOO Fr
ArtiCle premi er . _ A
1
1~2.elJO Fr.
<embre 1950. les tabl
OpéraJeurs-chefs mécanographes
non titulaires
'
7me echelon
. , .. , , , , , ..
6me échelon ... . ........... .
5me échelon .... .. ..... ... . .
4me échelon "', ., .• , .. , ... ,
3me échelon ..... . . . . . ... .
2me éc helon ............... .
1e r échelon ................. .
424.000 Fr.
Fr.
391.000 F r.
3ï5.ooo F r.
~8.oo0 Fr.
342.000 Fr.
326.000 Fr.
~08.ooo
CO/l{flucleurs auxiliaires d'automobiles
Voitu res « poids lourds ~
7me échelon .. . ......... . ... 258.000 F r.
6me échelon ................ 24-1.()Q() Fr.
5me échelon .. .. ... ........ 229.000 Fr.
~me échelo n
21~.000 Fr.
3me écl1elon . . . . ........... 199.® Fr.
2me échelon . .. ........ ... 185.000 Fr.
1er échelon .................
168.000 Fr.
l 'oilures " tÙlIfl Stèt » e/ « utilitaires
7me echelon
6me échelon
5m~ echelo!':
4me éChel on
3me échelon
2me 0chelon
1el" ~:'htlon
, . , . , ..
,.".,.,
,
2~1.000
226000
~ 11.0<1()
1f16.000
1'2.000
IG!.GOO
1500·.1()
fr
Fr.
Fr
Fr.
Fr
Fr.
Fr.
.-\ssist.1fH('s :-,ul'i.:lle". jnfirmi~rc!' t't auxi .
I;alrt.~ de ~cr\'il'C ~('I..:!al rérribuL'eS, ~n qualih' d':tgenb l'tmtr"ctuels, sur les fond~ ÙU
L:.tdgd dl! l'Etat.
.. Is~i tantes soda/es-chels
523.000
rr.
�Assistantes
SOCIOil'S
Paris, le 20 jalIIie r 195 1.
(échelle n" 1)
1cr échelon .............. .
lme échelon .. .......... , .. .
3me échelon ....... . ....... .
-Ime ~C'helon ...... _ ........ .
Circ. AD 51-3
~ 7.OûO
Fr.
398.000 Fr.
337.000 Fr.
277.000 Fr.
Infirmièr~s et agents assimiles
(échelle n" 2)
1eT
2me
3me
4me
5me
~che l on
échelon
échelGr1
échelon
échelon
................. .
.......... .
. .............. .
............... .
. .. . ........... .
383.000
347.000
3 11.000
274.000
239.000
Fr.
Fr.
Fr.
Fr.
Fr.
Auxiliaires de service social
et infirmièreS auxiliaires
(échelle n" 3)
1er échelon ................. .
2me échelon . ... _ .......... .
3me échelon ............... .
-lme échelon . . .... ...... . .. .
5me échelon
........ .
277.000
252.000
229.000
205.000
180.000
Fr.
Fr.
Fr.
Fr.
Fr.
Art. 2. Le Directeur de l'Administration Générale, Départementa:e et Com munale, le Directeur du Budget et le Directeur
de l' Hygiene Publique et des Hôpitaux sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, d e
l'exécution du présent arrêté, qui sera pu~Iié au « j ournal Officiel ', de la République
Française.
Fait à Paris, le 14 fé\'fier 1951.
Pour le Ministre de l' Iniérieur
et par délégation :
Le Directeur de (Administration
(]enérale, Départementale et
Communale:
Pierre-jean ."'OATTI.
Pour le Ministr~ du Budget et par délêgation,
Le Directeur du Budget :
R. GOETZE.
Pour le Ministre de la Santé Publique
et de la Population
et .paI' délégation :
Le Chef de Cabinet,
jacques-Pierre MONCAMBLE.
----4C~OOc.~,----
FZ
02 B3
REGISTRES DE L' ETAT CIVIL
Remboursement par l'Etat des trais
de reliure et de confection des registres
d'état ci vil (année 1950)
Aux termes de la loi du j3 novembre 1936
modifiée par l'article 8 de la loi du 3 1 décem~
bre 1938, les co mmunes o nt la possij)ilit é
d'obtenir de l'Etat le remboursement des
frais engagés par elleS' pour la reliure et l a
confection des registres de l'état civil.
Pour me permettre de solliciter de M. le
Ministre de la justice une délégation glohale
de crédit, j'ai l'honneur de prier MM. les
Maires de vouloir bien m'ad r esser avant le
3 1 mars prochain (sous le timbrè de ,l a 2e
Division, 3e Bureau), leur état de fra is relatifs à cet objet pour (année 1950 e n y joignant, comme pièces justificatives correspondantes, les mémoires des imprimeurs-relieurs
(en trois exemplaires).
Tous ces exemplaires devront être < certifies exacts > par MM. les Maires.
-x-
Ci-après, le texte d'une circulaire ministérielle relative à cet objet :
Le Ministre de l'Education Nationale
à MAI. les Préfets (Cabinet),
OBJET : ReUure des registres d'état·civil,
Des difficultés se so nt élevées dans l'inte rprétation de rarticle 6 de la loi du 13 novembre 1936, rel ative aux finances départemen~
tru es et communales, en cc qui co nce rne la
reliure de l'êta t-ci viL
•
L 'Adm.inistration, ,les services de la Justil'e
et l' Histoire étant éga l em~ nt intéressés à l n
bonne conservation de ces documents il m'a
semblé apportu.n. de . vous demander
rappeler aux municipalités par la voie du Re.
cuei l des Actes Administratifs de vot re Pr~
fecture les principes à suiv re en la matière:
1u. Aux term es de l 'a rticl e 6, alinéa 1 de
la. lOi du 13 novembre 1936, relali ve a ux p remIères mesules de reforme des finances départemental es et communa l'es, publi ée au
J. O. d u 14 novembre 1936, page 11.802,
c: les f raiS de regIstres ùe l' Etat-Civil et ceux
de la table décennale des actes de l' Etat-Civil sont mis à la charge de l' Etat ».
En conséquence, la Chancell eri e assure
depuis le 1er janrier 1937, ,le payement de~
f~al~ annuels de confection des r egistres,
ainSI que celui des fra is de reliure des registres postérieurs à 1936.
2" L es frais de reliure des recristres antéri eurs à 1937 demeurent à la b charge lies
commu nes.
Le règlement général des· arch ives communales, fixé par l'arrêté de M. le Ministre
de l'Education Nationale, en date du 31 décembre 1926, renferme les précisions suivantes
a) " Les frais de conse r vatio n des archives sont une. dépense obligato ire pour la
Commune (lOI du 5 avr il 1384, art. 136, paragraphe 2).
'
b) q: La reliure est obli crato ire pour les
regIstres paroissiaux d'Etat-Civi l a nte rieurs
à.1793, pour les registres et cahie rs d' EtatCi vil, pour les délibérations municipales et
les documents cadastraux, le Recueil des
Actes Admin istratifs doit être relié o u ca rtonné.
e: Les ca hi ers et pièces sont soiO'neusement vérifiés et collationnés ava nt d~tre livrés au relieur. L' Archiviste départeme ntal
pourra être invité à procéder à cette vérificati?n préa labl e, dès qu'fi s'agira d' archives
anciennes. Les tr avaux de reliure, pour le
compte des communes, pourront être cent r~ lisés aux Archives départementales, en
raison des difficultés auxquelles se heurtent
les maires des petites villes et des communes rurales pour en assurer l'exécution. :t
En ce qui concerne l'application de la loi
du 13 décemb re 1936, la Chancell erie fait
établir chaque année par les Procureu rs ut-néraux un état des reliu r es d'état-civ il à
effectuer O Lt à r emettre en état.
Les demandes des municipalités peuven t
être transmises à la Chancell eri e soit par les
Procureurs Générau x, so it par les Préfectures. Si e ll es sont a cce ptées, les mémoires,
en double exemplaire. des travaux exécutés
sont acheminés pa r l a même voie. Le paiement est ass.uré par la C han cell erie sur les
crédits dont elle dispose à cet effet, lesquels
vous salit délégués da ns la forme habituelle.
de
Le Direcfeur des Archives de France
Charles BRAIBANT.
-
D.O.S .
fS 0
CERTIFICATS PRENUPTIAUX
ET PRENATAUX
Il est ra ppelé à MM. les Maires du
.
partement - Service de l'Etat- Civi l
De·
les Laboratoires n'ont l)aS besoin ,l' - q~e
. l'
lin aO're
men t partlcu 1er pour effectuer les nxa· é
0 100"
'.
...
mens
s r . . ~lq u es .n ~cessa lr es à la délivrance de
ce rt lft cats medH.:aux pr én uptiau x et r' S
taux.
p ena_
Il ~eur suffit d'èt:e agréés par le Ministère
de la Sa nte Publique au titre "udécret_
101 du 29-1 1·. 39 et du décret du 19--3-40.
.CI-dessous l a I1ste des Lab oratoires dit
Departement des . Bouches-du-Rhône répon.
dant a ces co ndItIO ns et établie au 1er janvie r 195 1 .
<
DEPARTEMENT
DES BOUCHES-OU-RHONE
RELEVE DES LABORATOIRES D'ANALY.
SES MEDICALES DU DEPARTEMENT
DES BOUCHES-DU-RHONE AGREES
PAR LE MINISTERE DE LA SANTE
PUBLIQUE
et ad resses
des Labo ratoi res
N" ' et dates
d'agrément
AND RA C et GREBUS
23, cours Lieutaud, Marseille
ASS'ALf,
26, rll e Barbarou x, Marseille
AN T ON IOTT I et DLJNAN,
8, ru e Clapier , Marseille . . ~ ....
BARRET née PL AUZOLLES
35 bis, r. j eu-de-Po mm e, T arascon
BASSAC,
8, r. de la Glle-Armée. Marseille ..
BONAVENTURE,
17, rlle Gambetta , Martigues . . . .
BOSSY et TRINTIG NAC,
Rue du Palais, Aix- en -Provence
CASSE LY josep h,
34, rue Na ti o na le, Marseille . ' ..
DEBBASCH Elise,
4, ru e Ed-Oelanglade, Marseille ..
DESTRIHATS Roger,
12, ru e Gueymard, La Ciotat. . .
EYSSERIC Gi lbe r t,
4, ru e du Or-Fallton, Ar les ..... .
FORN IN 1 Elisabeth,
26, r ue St-Sébastien, Marseille ...
GA VAIW Mathieu,
26, cours Victor-Hugo, Salo n ...
GUERC IA Marcel,
Place Henri-Barbusse, Miram as ..
GUER IN Roland,
2 1, rue Sibié, Marseille .. ..... ..
HEBR.EA IW jean, '
24, r ue César-Bossy, Sa lon . . .. .
INST ITUT DEPARTEME NT AL
DE BACTERIOLOG IE,
66, ru e St-Sébastien, M arseIll e
KR lj ANOSKY Ale xis,
35, cO urs Fr.-Roosevelt, Ma rsei ll e.
LAFO N Ma rg uerite ( lI ôpital
Paul-Desbief),
Rue d' Hozier, Mars ill e .. . . .. .. .
LAFOND e t CIA UDO Pie rre,
98, cours Lieutaud .. .
MA I ~TIN Paule-H enri ette,
44, rue du Coq, Ma rseille .....
PASTOUR Charles,
8, r. 3_Frères-Barthélemy, Mlle.:.
POLGE U rba lll,
Rue Lafayette, St-Rémy"de-P rov ..
I~ANQUE J\lexandre,
16, rue Drago n, f\'\arseill e . .... . .
N" 716
9-12-48
de journée préviSionnels applicables
dans les ~ivers établissements aependant de l'Administration de l'Assistance
Publique,
Vu la loi du 30 juin 1838 s ur les a1iénes;
Vu l' o rdon nance du 18 décembre 1944 déterminant, à titre transitoi re Jes refl l e~ de
fixation des prix de journée's dans les hôpitaux et hospices publ ics ' ;
Vu les circulaires d'appl icatio n des 29 décembre L944! e i 22 novemnre 1949 ;
Vu l' article 26 de ;a loi du 2 1 décembr<!
194 1 et les articles 22 et 34 d u décret du
17 av ril 1943 s ur les règles 'de fixation des
,:'r~x de journée des malades et pen sionnajres payants ;
Vu le décret n° 48.985 d u 15 juin 1948 su r
l'organisation de l'administration de l'Assistance Publique de Marsei ll e et nOtamment
son article 16, alinéa 2 ;
Vu les propositions du Di recteur Génêral
de l'administ ration de l'Assistance P.ublique
de M arseille ;
V,u l'ava nt-projet du bullget 195 1 de l'A<i.tance Publique de Marseille ;
Vu !e rapport de M. l' Inspecteur Pri !l~:-jlal
(' C la Population du 15 février 195 1,
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de Ja Légion d ' honneur, .
Vu la loi d,u 15 juillet 1893 s ur l' Assistanoe Médicale Gratuite;
Vu la loi du 14 jui ,'let 1905 s ur l'ass istan- '
ce au x vieillands, infirmes et incur,!bles ;
Arrête :
Article premier. Les prix G~ journée
p r~vi5 i onnc! 5 étpplicables..dans les dive rs étahlissements d6pendanl de l'AdministratIon de
l'Assistance Pub.l ique il Marseill e, sont fixés
comme' suit, il titre pro\risoi re, à compter dy.
1er janvier 195 1.
REBOU L François,
15, cours Mirabeau, Aix-en-Prov.
TEYCH.ENE Alphonse,
35, rue St-jacques, Marsei ll e ....
VIGNOU et MAR COU jean,
8, quai du Port, Marseille
N" 673
5- 7-4
N" 326
4- 2-46
18N"
7N"
2-48
308
7-45
435
14- 4-47
N" 402
17- 12-46
-------~.OOc.-------
03 B~
PS 7
ASSISTANCE PUBLIQUE
DE MARSI?ILLE '
Prix
Direcfion Départementale de la Santé.
Nom~
95
N" 459
14- 4-47
N" 992
3(}. 1(}.50
N" 301
7· 7-49
N' 963
30- 5·50
N" 304
7- 7-45
N° 778
9- 3-49
N" 3,13
7- 7-45
N" 306
1. S ~n·i.ccs
1) Hospice .. __ .. .... .
3) Aliénés __
4) Enfants déficients., .
.\lêdecine ........ .. . .
Chi ru rgie .. .
N" 598
11- 1-18
N" 976
3- 7-50
N" 481
19- 5·47
N'" 917
2-50
N" 705
14- 9·48
PRIX DE JOU,~NEE INDIGENTS
Prix de revient
général
médical
884,18
972,59
884,18
1768,36
1768 36
II. -
7- 7-45
~ 12-46
1
pr h isionnels
Total
l
83,42
125,13
83,42
250,26
500,52
Hospice ........ . . ... .
Enfants déficients .. .•
A,/jénés .. . ...... . . . . . .
M&lecine ....... ..... .
Chirurgie
+
2
P ri x de
E:xcédellts
journee
de l'exerc... 19-19
p révisionnels
à
déduire
929
1059
937
1966
2217
38 66
38,65
3056
967,60
1097,73
967,60
2018,62
2268,88
52:09
51,84
PRIX DE JOURNEE PAYANTS
3me Catégo d e
et assurés s oci.au.."
(ma joration 10 % s ur
pr ix d e rev ient sauf
pour Hosl>Ïce
N° 542
19- 12·47
N" 927
31- ~50
N" 418
10- 2·47
N" 814
6- 5·4!1
N" 373
1
929
1064
1208
2220
2496
2me Catégori e
(maj ora lion d e 20 %
S l:.r le pri.x de revien t)
1re CategorÏlE:'
(majoration de 40 %
sur prix de revien t
50 % p. l' hospice
1.115
1.393
2.-l22
2.722
2.826
3. 176
02 B3
SC 2
DISTRIBUTION Q'EAU POTABLE, REDEV ANCES DUES POUR UTILISATION DE BORNES-FONTAlNES,
Pa ri s, le 17 février 19.5 1.
Circulaire n" 57
Le Ministre de l'Inférieur
à Messieurs les Préfers,
En ver tu d'une jurisprudence anciennement établ ie L.:t onfirmée par trois arrèts de
la Co ur de Cassation (4 j uin 1866, 15 novemb re 1%9, 24 janvier 1883), les eaux formant It! débit defi fonta ines publiques étaient
considérées comme co nstItuant un bienfait
pour leurs utilisateurs et il était admis
qu'aucune taxe ou redevance ne pouvait être
perçue de ce fait, bien Que les coll ectivites
locales aient sou\'ent été amenées à engager
des dl!penses considérables pour l' aménagement et l'~limentation de ces fontaines publiques.
L'attenlion de la Co ur des Comptes ayant
été attirée sur cette question, la Haute ju-'
ri di ction a estimé, dans sa séance du 13 juillet 1950, que les redevances établies par
les communes pour l'usage des bornes-fontaines pouvaient être considérées comme régulières si les conditions suivantes étaient
remplies :
10 Les fontaines doivent être alimentées
artificiellement au moyen de ca nalisati ons et,
le cas échéant, d'un rel èvement mécanique de
l 'eau ;
2" L~ tau x de la redevance doit ~tre fixé
de telle so rte qu'il permette la couverture
exclusi ve lies f rais d'entretien et d'amortissement des installations.
Les eau;.. jaillissantes et surabondantes
utilisées sur place sans recours â une installation hydr'3ulique ne pouvant donner lieu à
l'institution de semblables redevances.
Da ns sa même séance, la Cour des Comptes a p r~ c isé q ue les ,services communaux de
distribution d'eau à domicile, bien qu'inter,'enant au plus haut degré dans l'h}rgiène et
la salubrité publique, présentent au point de
vue de leur gestion lin ca ractère industriel et
commercial et sont dès lors tenus d'équilihrer leurs ressources et leurs charges co nformément a u décret d u 3 1 juillet 1937.
Vous vo udrez bien porter à la co nnaissances des munIcipalités ces avis de la CO !}C
des Comptes et veiller à leur applicat ion.
Le Préfet ,
Directeur de l'Administration
Générale, Départementate
et Communale .Pier re-jea n MOATTI.
------- c~ oo c.~ -------
Les prix de journ ée ai nsi fixés, comprennent toutes 168 dépenses y compr is celles
d'antibiotiq ues.
. Art. 2. - L e présent arr~t é sera so umi:-:
a l'app roba,iion de M. le Mi nist r. de la San te Pub:ique et de la Popul éttion, cùnformément a ux dispositions cte l' a r ticle 16 du dé-cret du 15 jui n 19 48.
Toutefois, les pri x de journée fixes CO I1 for~ém ent aux dispositions de l':1rticle I ~ r
~ u sv l sé avec effet du ler j anvier 1051, ~er o n t
~mmédiatement applicables, il titre proVIso ire
jusqu'à l'interventio n d e la décision mintsténeUe qui les entérinera il titrl! ddini tif.
Art. 3. - Aux prix de journée fixés suiVant les dispositions de l'art icle 1er ci-dessus, s'ajoutent, pour Lh aq lll~ catégorie de
malades payants, les honoraires médicau x.
chi r llrJicaux et de spedalités call'ulés, co nfo rmement aux disposItions réglementaires
en vigueu r telles qu'elles resultent d u décret
du 17 ayril 19-1-3 dont les dispositi ons ont
été étenuues sur ce poi nt. aux hôpitaux de
M arseille, pa r le dcaet du 19 fen ier 19-1-9.
Art. 4. - AI. le Secrétai re Gé néral de la
Préfect ure, M. le Diredt'u r Gênerai oe j'At!minIst ration de l'Assista nci.:! Publ iq ut' à Marseil le, ,\.\. 1.: Tr~so rier-Pa)'e u.f Ot>neral sunt
c h a r ~és, chac un cn Cl! qui le ~oncer n e de
l'exéc ution UU pr~st.' nt arrNé.
~' êl rsei ll ~. II.! 24 fev r ier 195 1.
P o ur le Préfet
Le Secrétaire Oénàal,
LAMASSO UR E.
02 B3
SC 7
CO NDITIONS DU P ORT D E LA
FOU RRAGERE TRICOLORE
PAR LES SAPEU RS-POMPIERS
Paris, it! II février ]~l5I,
Circu lai re n"
-h~
Le Ministre de l' Inttiricuf
à MM. les Prélels (:II<itropo!t).
I~EfEHENCE : ;\ \a ci r(uianre AD - !N-BA
n" :B 3 du :!5 juillet n1.1-7.
Par c.::ircuhirt' du 25 JuiJh:t 1947, j'ai autorise les (orps J t" sapc.::urs- pompie rs ayant fait
l'ohjet d'une dlst11lLtion collective au moins
t"~ale .'} 1:\ .\\0u ti ille de nronze des actes de
COllral(e d de dérouement à porter une fourtricGl orc pour commémorer leur
hétroi.,,,,, attltuUe.
�36
-
.,' .
b'
fa' e insérer la présente
Il m'est apparu q'-!e la r~~len~.en_t~~~: d~
'.
Actes Administraport de. cette ,d~co.ratlO:rd~~:~ioSr[~SPmilitaire "tils'ae votre Departement.
. ' .
instructions edictees p
. dans les- corps
'
P Qur le Ministre
de. 1 lnten eur
pour le port de la fourragere
•.
in~~~~~i~~IJ~~eRe~~~il d~s
de troupes (1).
. .'
ar suite le
Il
con\"ie!,dra
~et·~I:t:~â~~~u~l,
soumis à
port collech! ou a i r
Lies règles ulfférentes.
1° Pori à tilre collectif.
.
i a obtenu la fourragere,
Dans un corps qu 'e s ont droit au port
toUS les sareurs:p~m~t:mps qu'ils figurent
ue celle-CI a~s;1 on bdé art dans un autre
sur les contralt:5. Ld~ e Pd·l;;:.tinction entraîne
n pourvu un
...
~~rpP:rt~Odu droit à la fourra~ère.
d.
ff tune re cornpense es
Celle-CI est en l~ \
plus que le sapeur
rinee il hono rer. UI1I e
qui en fait partie.
.
btenue au
Pour distinguer la fourrage:e
era fait
(ours d:é\:énem~n~~~eau~~:~u~ du ferret et
usage cl uh\'es p. a
1939-1 945 • .
jlOrtant la mentlOlI c.
2° Port à titre individuel.
) Les officiers, sOlls-officiers, caporau~
a
nnellemenf priS pa
et sapeurs a}:an.~ pers;. ées dans la citation,
aux actions heë~~u~s/;:tribution de la fou~
qUl.a \ alu au 1 ~ Ot de la cQnserver, meragere, auront e r 1 dans un autre corps
me après ltu~. ~as~tfg~ n'a pas été accordée.
•
lissant les
a uquel cette IS JO
Lorsqu' un sapeur-~ompler r~,:~ de forma( onditions ci-~essus fJxé:si~~tviduel de la
tian, so.n drOIt a;'f~o;ar une atlestation du
ment de la ra:ourragere est ce~ ~ l ,
Chef de Corps, de,I; \'reeD~~sm~e cas la fourJiation des contro es. coulant plac'é au-desraaère portera s.ur .u n .
d 1
Ville du
su~ du ferret l'mdlcatlon e a
Corps d'ori gine.
. t
, d e l'honorana
.
b) Les offiCiers pou r~~:r la fourragère à
pourront continue! a ~~
rem lissent pas
titre indiyi.duel, '!1 eme ~sl ~1~:Sque ~a décision
d
1 s condItio ns CI- ess ,
, .
'
t l'honorari at le -p recIsera.
e
leur
con feran
if
•
)0) février
Cf. : circulaire
n 0 "- 156 D du '-20) _
o E M. Volume 303, page
1918 (B.
. o'
'u 19 novembre 1919 (B. O.
1.1rculalre 39.·1-4 "hl d
26) _ circulaire nO
E M "olurne 303, l'age.
(B 0 P
. , ·c' a lh.\' 1'11- D l'"co du "0
a \'fll 19-!5
.
. .
.:)760
-'
P. 1946, l,age 1909).
( 1)
et par Delegatton,
Le Préfet,
.
Directeur de r Administratton
Génerale, Departemenlale
et Communale :
Pierre-Jean MO AT TI.
- - - (»0 0 «>- - -
SC 7
02 B3
:K~~g5~~N~~C~~T~fiî~~~i~
PROVISOIRES
Paris, 21 fél'rier 195 1,
rappelle ci-après les termes ?e l'article? du
décret <lu 9 aoOt 1925 completé par le decret
du 26 novembre 19'46,. q01 P!CCI5e les ":,esu;
Tes cie sécurité qUI dOIvent et~e o~servces ,a
travaill,~urs d~pl~cesJ aflll de pr~
venir les risques ct incendIe.
DÉPARTEMENT DES
l'égard des
« Arf. 62. Un système ~e c~aL.lff~,ge
« sera établi, permettant de main te nir a 11n-
e térieur des locaux ulle température Sl!ffi« sante. Des dispositions dte vrodnt êt re pn~fes
(' pour éviter toute émana ,\On e gaz n?cl s.
« ILes brase ros sont interdIts. Les che~lInées
« et l es tuyaux devront êtr e en bon ~tat ~t
« sans fissure ; .Ies clefs ou autres dl spo~J.
« tifs analog ues places sur les. con~lIl~s
et destinés are.
« d,·eva Cua' tl'on' de la fumee
..
« duire le tirage so~t Int~rdlts >' .
.
~ L'éclairage sera electnque, sauf Impossl« bilité reconnue .~ .
,.
.
« Les prescriptions du decret ~u. 4 a?ut
1935, portant règlem ent d'admmlstrat!on
«
br
en ce qui concerne la protectIOn
« pu ~que "lIeurs dans les établissements
de~ meratvtanl
«« qUI
e t en œ uvre des cou ra nts électri.
ques seront observées ~ .
,
1
e
S t é"alement apphcables a des 0,
c:
onles disposIt ions relatIves à la prée:: cau ~
des incendies contenues dans la
• venhon III du décret du )0 juill et 1913 moe section
rè lement d'administratIOn
« dihé,. portant
~i conCerne les mesures
' . publIque en ce q t
et de s.lubrllé
«_général;:sl
d~
tP;7:el~~Oétabl1ssemellts
assu'
« apphcau es a l
AG-I N Circulaire n" 55
Le Ministre de l'lnlé,,,ur
à MM. l~s Préfets,
REFER. : Ma circulaire du 30 no vemb re
1945.
s~ite d'incendies survenus dans des
A I~ements de bois et, en particulier, dan.s
baraq t nn ements d'ou vriers je SUIS amene,
M le Minist;e du Trava il et
les can °d
.
.
t e atte nen aCCor .avec.
de la Séc urité Sociale, a attirer,. vo r .
t'
sur la tprotection contre 1 .In~endle des
~o;a uements et bâtimen ts p.ro\'~sOlres ..
aDe~ enquêtes effectuées, Il resulteralt, en
.
des sinistres en cause se« jettis »'.
cerne les baraquements inseff.et, que PI.USI~,~~spT1ldence des occupants
En ce qUI conN C. F. ou les Compagnies
raJen t dus a l
.
.
bois placés
. d s
(emploi de r<'-c ha ud electnque,
ta ll és par l~e Sier. d'intérê local, je vo us.'ap,
•
'"1 etc) bien que l' atte ntIOn e 1 de chemin
. ct
oli ce est confie aux
pre~ du ,poe '~' été "~Ùirée, dans certains cas, pelle que le POUVOir.
~éié"ation
du Minisk'
mteres~es d~l ffiches posees à l'intérieur des préfets, aglsspn\l~a l et d:' 'fransports
pour
par vOie a sur les principaux dangers r
baraquements,
des Travauxi u ~éspendances accessibles a~
d'incendie.
.
1 ment que les ga res et eu~s 22 ma rs 1942, art. 6) et a
fi est donc nécess~.lTe non seu'te t a mépu blic (décret . u
Directi on des chements sO ient construi se ,
des fonctionnaIres de ,la . es non accessices baraque
d'f a ns fix ées par le reglemins de fer,. pour les em~~;: art 66).
nagés dans les con 1 1 . d 30 novemb re
bles au pubhc (decret ~reM le J\1inist re des
ment anne xé à la circulaIre li es de sécuIl appartlen.t donc a T ' so rts de \Jous
;~:5'in~i~:i~:~1f~;efi~é!s I~~a;n~~urtexte soient Trava
ux Pubhcs et de~ ~a};ies à ce sujel.
adresser to u~~u~nlsetr~;~~i~~re de 1.' lntéri eur
respectées. ,
voudrez bien prenEn co ".seq uence, vous les mai res des com..l
et par délé ga tIOn,
dre ou faIre prendre, par blabl es aménageLe Préfet ,
,.
muues posséda,~l de p;~~nt les dispositions
Direc/eur de l'Administra
. 0'1 ment précité.
ments, un a ~re. ra
Générale , J5épartemenfa c
des a rticles 3 1 a 41 ~ u n~eeb ~e M. le Ministre
el Communale :
out~e, eta diae (lle"s~curité
Sociale, je VOliS
Pierre-Jean MOAl TI.
du En
Travail
a
ton
Copie: certifiée conforme.
Pour le:: Préfet :
L~ Sa,.élal1'~
REPUBLIQUE
8 Mars 1951
Génêral : LAMASSOURE.
- - - - - ---:=--
Recueil des Actes
9 · Année. - N· 10
E
tratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondall ce relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulai re
D. S. T. : Direction des Serl'ices Technique •. _
Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'ori gine.
mentale d~ la Population.
D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départe-
Arrêlés réglementaires et CircuJair~
Pages
A O. - Arrèté fixant les conditio ns d'activité 'p rofessionnell e ouvrant dr oit il
l'attribution des prestations familiales agricoles .... . . , .. .. .. ........ . 37
A O. - Fa cilités de créelits au profit
SOMMAIRE
des victimes de calamités pu bliques ..
38
CIA O. - Elections cons ulaires . . . .. .
38
FS O. - Médecins agréés pour pratiquer les exam~ns raclioscopiques en
Vile de la dé lh'rancè
des certificats
prénuptiau x et prénataux ....... .. .
38
AG 6. - Résu ltat des élections d u 26
fév rier 195 1 a u Comité Départemental
de Coordinatio n de la Mutualité ... .
39
Textes d'Intérêt Général
AC 3. - Eléments de la rémunération
des personnels de l'Etat qui sont soumis à l'jmpôt . .. . ... . ........... .
39
=
ARRËTËS ' REGLEMENTAIRES ET
CIRCULAIRES
D6 BI
AO
ARRETE FIXANT LES CONDITIONS
D'ACTIVITE
PROFESSIONNELLt::
OUVRANT DROIT A L'ATTRIBUTION DES PRESTATIONS FAMILIALES AGRICOLES.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Croix de Guerre,
V" la loi n" 461.385 "" 22 ao ùt 19-16
fixant le régime des prestations familiales
agricoles ;
V" l'a rticle 36 modifié du décret n" 46.880
du 10 décembre 1946 ;
Vu l'a rti cle 2 de la loi nO 48.354 du 2
mars 1948 ;
Vû l'a rr êté préfectoral du 4 mars 1949 ;
Vu l'a rrl' té du 30 décembre 1950 de ,\1. le
l\1in istre de l'Agri culture ;
,
V" la dé cision du Comité Denartemental
<les prestations familiales ag ricoles, pnse
dans sa séa nce du 9 janvier 195 1 ; ...
Après avis de Nt. le Contrôleur Dlv,slonnaire des lois social es en ng ri cttlture,
Arrête :
Article premier. _ Le 1)f ~Sent (Ir rt>~~. ~
POlir objet de fixe r les conditions. d'~l:tl\·~t~
professionnell e ouvra nt droit à l'II1tcgrallte
des presta tions fa mil iales tl o nt peuve nt .0trc
bé néficiaires les mem hres des proft's~IOIIS
agricoles et Con nexes il l'a gricliltuTl.' Llefinrs
par les décretS-lois <les 30 octobre 11135 et 31
mai 1935.
Le présent arrêté détermine d'aut re part
la quotité des prestations dues aux persOIlnes \!isées à l'a linéa pn!cérJent lorsq ue Il'UI
activité profession nelle est ins ufhsante po ur
leu r ouvrir droit à l'intégralité des prestations.
Art. 2. - Pour les tral'ai ll eu rs salariés des
professions visées à l'article J er, le nombre
de journée de travai l ouvrant droit à l' intég ralité des prestations famili ales est fixé à
18 par mois, soit 2 16 par an.
Dans le cas particulier des ouv riers fo restie rs et des ouvri ers rési niers, il y a équivalence entre 18 journées cie travail et lin salaire de 12.000 fraucs.
Les journees de ~ra\'ail effectuëes ~t1 delà
du minimum fixé CI-dessus peu\'ent etre reportées Su r les mois suiva nts,. clans !e ~a
dre d'une péri ode de 12 mOIS COllS~Cutl ts
co mmençant !e 1er avri l.
Art. 3. - Les exploitants ag ricoles perceHont J'intëo- ralité des prestations lo rsque
le nombre de~jours t h~orique de t.rav.ail que
nécessite an nuellement leur explOItation sera a u moins égal à 216. . .
Le nomhre tle jours r.he?nquc se calc.u~e
par ex ploitation en multipliant la s uperficie
tle chaque culture par I~ no.mbre moyen de
jt1ll rs de tra\'a il indique c HJessol~s. pour
chaque nature de culfll re et en atlùltH>nnant
les rêsultats partiels obtelilis.
Nomb", moyell de jours de Irm'ai!
1er g roupe ; ROIS, pautge, Idndcs, COIISsO llls : 2 jours.
.
. .
2me nroupe ; J-"\ma l1dlt'rs, c~ realt's, fO llrra"es et ~1I\'iers , JU jOIl~s.
, ..
1"0 3mc g-roupe
ArbOriculture frllltll· r~. \' i'~np riZ
fU jlHlrs.
'
.
.... 4~e g ro up\.' : Pla.n ks sardt'e~, Il'!,!UIllCS
S~l'S, cu ltures le.!.!lInllcrt'!i d~ plem Lhamp,
clIltllrt::S ma raÎLht-rts : 190 Jou rs.
'ime ~rollpe
Eh:ra!!t! Ut.' mtlllto ns, par
tl'te de
Art. ~. - Est Considéré comme exerçant
une atiivifé professionnelle équivalente au
nombre de journ ées de.. travail fixées à l'a rticle 2 et par suite a droit à l'intégralité des
prestations familiales :
a) L'art;san rural dont l'atelier ou l'entreprise est en état d'activité 20 jours par
mois i
b) Les chefs d' exploitations des professio ns ~onnexes qui OCcupent de la maind'œu\' re et qui n'ont pas tl 'autre activité profess ionnelle.
Art. 5. - La quotité des prestations dues
en cas d'actirite réduite s'exprime par une
fra ction dont le numérateur est cgaJ au
nombre de journées de travail effectuee ou
à ses equi\'alences et le dénominateur à 1~
Ou à ses équÎ\'alences telles qu'elles ont été
déterminées a ux a rticles 2 et -1- ci-dessus.
Art. 6. - Pour les chefs de fami lle qui
exercent concurremment des art i\'Ïtes d'exploitant a grÎl'ole et de sala ri~, les l:onui tinns
d'attribution des allocations iamilia les son t
les sllÎ\'antes :
1" Lorsque l' acti\'it~ sal:uil,;e t!st ':-tU moins
égale à la moitie de c,elle rekn.ul' pour I"o uvert ure du d roit li J'lI1teg r:t1itt: lks prt'stations, c'est-il-dire lorsLju'elle cllmpo rtt' 110
rrayail d'au moins ~I jours r a r mOIS a\'ec
possibi lité de report d :I TlS k s ~'o'lljitions i l1diq1lt.'cS Il l'artick 2, Jt's :lll ucéHlons ~ ,nr. ,·.crsèes, en prioritl" d u dld de cdt!.! :H't1\'1tt',
lI Ut:!JJt:> que ~O lt J"imp t1 rLHIL't! des te rres. mises t'n \·alt'ur. Un l ornplem~nt lI'aliocatio ns
est ray€' il l'inkrl'ssl' i lU tit~e de S,lIl al'ti~
\ itt:' d'ex pluitant d propo rtIonnellement a
cette dt:' rniêre 3ltlrité.
�38
de terres do nt 'la super ficie necessite 2 1fi
on plus de 216 journées de t ra,'ai l pa r a n
perçoit l'intégralité des a llocations fa mil iales au titre de SOn acti,'ité « 'exploita nt ;
b) Le chef de famille metta nt en valeur
des terres dont la superficie necessite plus
de 10' et moins de 216 journées de tra,'ail
par a n perçoit d'abo rd les a llocatio ns fa miliales au titre de son actidté d'exploita nt et
propo r tio nnellemen t il cell e-ci et un complement au titre de Son activité salariée et
p ropor tion ne lleme nt à cette de rni ère activité i
c) Le chef de fami lle metta nt en valeur
des te rres do nt la s uper ficie nécess ite un
nombre de journées de t ra" ai l au pl us égal
à 108 perçoit les allocations fa miliales propor tionnellement il chacune de ses deux acti"ités.
En tout état de cause, les allocations famil iales versées au titre de I~activjté secondai re ne peuvent être attribuées pour un
nombre de journées de travai l supérieur à
la différence ent re celui fixé en application
de l'article 2 et celui correspondant à l'acti"ité principale.
Art. 7. - Tout salarié agricole exerçant
une acti"ité d 'e.xploitant bénéficiera de l' all?cation de c salaire unique:. proportion nellement à son activité de salarié
lorsque l'exploitatio n qu' il met en va le u;
po ur Son prop re compte, nécessite ra au
maximum :
- 72 journ ées
de trava il, si le menaO'e
n'a pas plus de 2 enfants il charge;
- 108 lournées de .t ra,·ail, si le mé nage
assur e la charge d'au moins 3 enfants.
Art. 8. - Conformément il l'art. 3 du décret du 10 décembre 1946, toute personne
n'exerçant aUCune activité professionnelle et
qui prétend aux prestations familiales doit
justifier par tous moyens de l'impossi bilité
dans laquelle elle se trouve d'exercer Une
te lle activité. Elle dépose il cet effet une demande auprès de la Caisse d'Allocations Familiales dont elle prétend percevoir les prestations familiales.
_Art. 9. - Conformément il l'article 4 du
décret du 10 décembre 1946, sont présumés
être dans l'impossibilité d'exercer une ac!
tiv ité professionnelle et par suite ont droit
il l'intégralité des prestations familiales auxquell es ils peuvent prétendre :
1° L'assuré social, malade, il compter de
la première constatation médicale de la maladie et pendant toute la période d'indemnisation prévue par la législation des ass urances sociales ;
2' La femme pendant la période prénatale
et la périOde post-natale pour laquelle elle
bénéficie d'une indemnité de l'assurance sociale maternité ;
3° Les victimes d'accidents du travail pendant la période d'incapacité temporaire ;
4° Les invalides ass urés sociaux classés
dans les 2me et 3me g roupes définis par
l'article 55 de l'ordonnance du 19 octobre
1949 et les invalides assimilés du régim e
agricole ;
5' Les victimes d'accident du travai l bénéficiaires d' un e rente correspondant il un
ta ux égal ou supérieur à 85 p. 100 ;
6' Les bénéficiai res d' une pension correspondant il un taux égal ou supérieu r à 85
p. 100 au titre des lois des 31 ma rs et 24
juin 1949 ;
T ' Les chômeurs insc rits il un fonds de
chômage;
8' Les titulaires de l'a llocation aux vieux
o u <.l'une pension de vieillesse au tit re d'un
rt~~ime
de sec uritê sociale.
Art. )(). Les dispositio ns de J' a rrêté
prefectora l du 5 juill et 1950 sont ab rogées
et remplacées pa r celles d u prése nt a rrêté.
Art. 11. - Al. le Secretai r e Ge ne ra l de
la P réfect ure, M. le Co nt rôle ur des LOIS Sociales en agricultu re sont cha rués, c hacu n
e n ce q ui le co ncerne, de )'exéc utlOn d u présent a.r rêté.
Mar eil le, le 27 févrie r 195 1.
Po ur le Préfe t,
Le Secrélaire Gén éral
LAMASSO URE .
- ---c>oo<>·- _ __
06 BI
A 0
FACILITES DE CREDITS AU PROFIT
DES VICTIMES DE CALAMITES
PUBLIQUES
ARRETE
Le Préfet des Bouches-d u-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur,
Croix de Guerre,
Vu la loi n" 48.15 16 du 26 septem bre 1945
modifiee pa r la loi 'n" 50.960 du 8 aoû t 1950
et notamment ses art icles 63 et 64 ;
Vu l'a rrête en date du 1er févrie r 195 1
de M. le Nti llist re de l' In tér ieu r et nota mnJt~ n t l'ar ticle 2 ;
Vu l'avis de M. l' Ingé ni e ur en Chef, Directeu r des Se rvices Agr icoles ;
S ur la p roposition du Secrétai re Gé néral,
Arrê te:
Article premier. -
Les ind ustriels, Com-
merçants, agricu lteurs et p ropr ieta ires r uJa ux sinistrés pa r les gelées et les o rages
de grêle survenus au cours des mois d'avr il
et juin 1950 dans les communes énumé rées
ci 3plès, pourront bénéficie r des fac il ités de
~w;il prévues pa r les articles 63 et 64 de
la , 01 d u 26 septembre 1948 d' une pa r t pou r
la reco nstit ution des matérie ls et stocks,
ct autre pa rt, pou r la répa ratio n des dégâts
causés aux bâtiments, récoltes, cul tu res et
c heptel :
Commune d'Arles : Ge lées d u 6 avr il 1950
et grêle d u 26 av ril 1950.
Com m unes de Boulbon, Mézoa rg ues, Tarasco n, Barbenta ne : Ge lées des 25, 26 et
27 avril 1950.
Communes de Sénas et Lamanon : O rage
de grêle du 16 jui~ 1950.
Art. 2. - -Le Secrétai're Gé né ra l des Bouches-du- Rhône est chargé de l'exécution du
présent a rrête.
Marseille, le 27 février 1951.
Pour le Préfet,
L e Secrétaire Général
LAMASSOURE.
---- c>ooc·~----
04 B3
CIA U
ELECTIONS CONSULAIRES
REFERENCE: Loi n' 50.982 du 17 AQût
1950 modifiant les l ois du 14 Janvi er
1933 et du 19 Février 1908 sur les
Elections Consulaires.
L'atte ntion de MM. les Maires est appe lée
sur les modifications apportées par la loi
citée en réfé rence en ce qui cOncerne l'élection des membres des Tribunaux de Comme rce et des Chambres de Commerce.
Les n04velles dispositio ns "isent notamment:
l 'Période d e confec tion des lis/es:
-
To us les a ns la liste des électeurs du res
sor~ de ch a~lll e 'rrib un al est, du 1er au 20
avr! l, dres~t'e pou r chaque comm une par Il:
Mai re ass is té <.le deux Co nseill ers Muniri
paux désignés par le Co nseil ; elle corn:
pre ndra to us les elec teurs qUI r emplirOnt ail
J e r a,rril, les mê mes co nd itio ns qU'antericu.
reme nt
Cette liste se ra étab lie co nfo rm ément à
Il'a rti cle 3 de la loi d u , l e r juin 1923 en prena nt pou r base, e n ce qui conce rne les corn.
merçants, le regist re du co mm e rce prévu par
la loi d u 18 ma rs 19 19.
2" Vérification de l' exaclitude des lisles .
Dès le 1er mai Je Mai re com m Lin iqu~ la
liste ai ns i pr épa ré!=! à un e Commission inst it uée a u siège d u Tri b un a l de Commerce
dans le resso rt duquel est situé sa commu_
ne. Cette Co mm issio l) est chargée de véri.
fier . l'exactitude des li&tes établies.
Ces nouvell es d isposi t io ns doivent être appliquées po ur la co nfect ion des dites lisl,~
du 1er au 20 av ril 195 1.
To utes inst r uctio ns à cet effet se ront prochainement données il MM. les A'iai res.
PO LIr le Prefet, par dél égation,
Le Secrélaire Général :
LAMASSOURE.
D .D.S.
fS
~
MEDECINS AGREES POUR PRAT IQUER
LES EXAMENS RAOIO SCOPIQUE~
EN VUE DE :LA DELIVRANCE DES
-CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX,
ARRETE
Le P réfet des Bo uches-du-R hône,
Officier de la L égion d' Honneur,
Vu l'ordo nn a nce n° 45.2720 du 2 novembre
1945, su r la P rotect ion Ma ternelle et Infant ile ;
Vu l'a rrê té d u 15 av r il 1946 de M. le Minist re de la Santé Pu bli que et de la Populat io n et les rec ti fica tions parues an J. O.
des 10 ma i et 15 septemp re 1946 fixant l,
mod èle du cert ificat d'exam en médical avant
le ma ri age;
Vu l'a rrété p réfecto ra l du 1er juin 1946 ;
Vu l' avis du Consei l Départemental de
l'O rd re des Médeci ns :
O.
Su r la propositio n de M. le Directeur <pa rtemen ta l de la Santé,
Arrete .
d
ïlaI t
,Article premier - M le do cte ur Vl
: le, 5 5' , cours Lieuta ud,
es
meura nt a. Ma rseil
adiosagréé, po ur pratiquer les . ~xame ns d~S cerscopiques e n vue de la de li vrance
tificats p rt nupti a ux et prénat a ux.
. Gé éral de la
Art. 2. - M. le Secrétaire . n de MarPréfectu re, M. le Maire de la VJlle ta l de
sei lle et M. le Direc teur [) epa rtem~n qui le
la Santé so nt c hargés chac un,en ~ arrêlé.
concerne. de l'exécution du presen
Marsei ll e le 26 fév ri er 195 1.
.
'p le 'Préfet et pa r délsgaMII,
.
Le S ecrelaire Gèlleral .
. LAMASSOURE.
_ _ __
c~ooc,.---
39
D5 B2
AG 6
RESULTAT DES ELECTIONS DU 26
FEVRIER ( 95 1 AU COMITE OEPARTEMENTAL DE COORDINATION DE LA MUTUALITE,
Ex trai t du procès- ve rbal d u ,28-2-5 1 relatif à J' électio n des memb res d u Com ité Départcm.e ntal de Coo rd in atio n de: la Mutualité.
Nombre de Sociétés et Sections de
Sociétés inscrites su r la 1re pa rtie de
la liste êleçto rale ...... . ... . .. . .... . 217
Nombre de Sociétés et Sections de
Sociétés vota ntes ..... . . ........... . 119
Nomb re tic vo ix que rep rése ntent les
Sociétés et Secti ons de Sociétés vota ntes ...... . . ........ . ........ .... . 7S7
Nombre de b ull etins déposés . . . . . . 786
Suffrages ex pri més ........... . .. . 764
No mbre de bull etins nul s .... ... .. .
22
Majo ri té abso lue ................. . 383
Nombre de vo ix obtenues par chaque candi dat :
HUES D'INTERET GfKEBBl
Circulaires concanant plus specialement
les AdminisrallOlls dl: l'Etat
02 B I
AC 3
ELEMENTS DE LA REMUNERATION
DES PERSONN ELS DE L'ETAT
QUI SONT SOUMIS A L'IMPOT
N ' 15-6 B-5
Pa ris, le 17 fév ri e r I Ç)~ I
Le Min istre du Budget.
à Messie urs les Minist res et Secrétaires
d' Etat,
AliX termes de J'artic le 8 1 du Code Généra I des Impôts sont affranchis cie la taxe
proportionnel le (traiteme nts, salaires, pensio ns et rentes viagères et, par suite, de la
su rtaxe progressive) ;
1" Les allocatio ns speciales destinées à
couvrir les frais inh érents à la fo nction ou
à l'emploi et effectivement utilisées conformémen t à leu r objet.
2" Les a llocations de mater nité, les allocations familiales, l'allocation de salaire unique, les allocations prénatales, les al locations de logement, les a llocations d'assisMM. Eisenl ho r Hippolyte ........ .
72 1
ta nce à la famille, les majo rations de 1etraite ou de pe nsion po ur cha rges de faBonn efoil Louis .... ... ......... 744
mill e.
Da ubas Emile ....... _. . .. . . . .. 754
Afin de facil ite r aux ad minist rations l'étaJourda n Henri ... ...... . .. .... . 76 1
blissement des déc larat io ns qu'elles doi ve nt
Pujol Jea n ...... . ...... . .. . ... . 76 1 adresser aux se rvices fiscaux, il m'a pa ru
bo n de donner quelques p récisions sur les
Germ a in Clément ..... ... .... , .. 728
élé ments qui composent la rémuné ration des
Gou ira nd Ma rcel ... . .. . .. . . .. . 755
aaents de l' Etat et sont susceptibles de renCa rto ux Léopold
... . . . . ... . 752
tr~r dans l'u ne des deux catéO"ories ci-dessus qui éc happent à l'impôt.
Cotto n Marcel . ...... . . ..... . . 756
1. - Allocations spécia les destinées à co uFayol Mar ius ......... . ...... . . 757
vrir les frais inh érents à la fonction ou à
Friede ri ch Pau l .. .... . . . .. . ... . 751
l'emploi et sont par conséquent exemptes
Ma urel L ucien .... .. . .. . . . . ... . 757
d'impôt sous la reserve ci-dessus.
Rentrent dans cette catégorie :
Mic hon Félix ....... . .. ... . ... . . 761 _
1" T ous les remboursements de frais Sur
Ve rl aq ue Ma ri us ....... . .. ... . 752 !
justifications dans la mesure où ils so nt auVidau Pie rre ......... . .. .. ... . . 752 1 toris és par la réglementation en vigueur
Rao lls Fe,na nd ..... .. .. . .
734
(transports, déménageme nts, fou rn itures et
entretien des bureaux, dépenses de repréTuri n Josep h .... . .. . . . . .. .
749
sentation) ;
Fab re He nri ...... .. . .... .. .. . 757
2" Les indemnités ou rémun ératio ns tluaServières Ma ur ice .. .... .
142
lifiées représentatipes de frais, instituées par
Ey na rd P a ulin . ... . . .. ... , .. . . 709
les décrets ou a rrètés pris en a pplication de
la réalementation sur les cumuls, dans la
Dona \ell i Lucien .. . .. . .. . , . ... . 725
mesu;c où il a été précisé que cette qualiTessa ud Raoul . .. ... .
722
ficat ion entraînait l'exo néra tion fiscale.
Benzi Y-ictor .... .. .. .. . ...... . 70~
3" Les indemnités jo urnalières de déplaGuazzell i Félix
. . . _. . .. . . . 726
cement prév ues pa r le décret du 4 .o~ tobre
1945 modifie pour les personnels CI\'lls, le
73 7
Bress"fI Andre . . . . .. . ..... . "
déc ret du 12 juin 1908 modifie pour les miEn co nséq ue nce la Co mmission d ecla r~
litaires des a rm ées de te rre et de J' ai r, le
déc ret d u 13 se ptembre 19 10 modifie po nr
élus en qualité de mem bres du Co mité Déles mi litaires d e l'a rm ée de me r, le déc ret
partementa l de Coordination de la Mutu a lidu 5 octob re 1922 modifié pour les milité des Bo uches-du- I~hône, NI"'\. Eise nlh or,
taires des troupes coloniales, le déc ret du
BOnnefon, Daubas, Jourda n, Pujol, Germai n,
2 ma rs 19 10 pour les fo nctionnaires, employés et age nt5 ~ ~s s~rvices .co lonj a u ~ ;
Gouira nd, .Carto ux, Cotto n, Fayal, Fri ede-1" Les indelll Ol tes kllomét nques prevues
ricll, Mau..rel, Michon, Verlaqu e, Vida u,
par le déc ret d u 4 oc tobre 1945 mOdifi e; .
Raous, Turi n, Fab re, Serviè res, Ey na rd, 0 05' Les indemnites d ~ rep rt"se ntat lt) ll 1nstlnatelli, Tressaud Benzi G uazze!Ii, Bresso n
tu ees pa r li es déc rets en Co nseil d es Mi nistres et do nt les prinCipa les co nce rn a nt :
et constate q ue' le COI;lité est t ut ièreme nt
- Les fo nctio nnaires du co rps préfectoral
Constitué.
(déc ret du 17 ma i 1949) ; ,
.
- L e~ ronct! rm nal res d auto f1 t~ en Sdviel: Jans l~s territoi res ,-f Out re-Me r iDl.'cret
-------< ~ oo <~ ------d" 15 a\fil 1949) ;
- Ce rtains militillres (décrets d u 27 aoùt
d liu 1er Jércmbrt' 19-19) ;
6° Les primes unilJues et exce~tion.nelles
instituées par les décrets du 27 JanvIer et
du 18 aout 1950 (a noter que ces primes
ne sont pas représentatives de frais, elles
so nt en dehors du champ d'application de
l'impôt et ne doiven t m~me pas être déclarées par les adminIstrations) ;
7' La prime de transport pré,' ue pa! les
décrets du 9 octobre IV48 et du 3 fe"f1er
1950 .
8"
indemnités pour difficultes exceptio nn ell es d' existe nce prévues pa r l'arrttê du
27 j uin 1941 et le décret du. 19 ma rs 1947 .;
9° L'indemnité d'a limentatIOn aliouee a
certai ns pe rsonnels en service dans le~ territoires occupés d'Allema g ne et d ' A~tnche.:
10° L'indemnité journalière pour dlfficu ltes
particulières en Sarre prevue par I·article ,j
du déc ret du 30 juin 1948 ;
I l " Les Indemnités d' hab illement (Chaussures et petit l'Quipement, indemnités de p.remière mise, indemnités de transformatIon
d'un iforme, indemnités pour pertes ou usures d'effets) ;
?
12° Les indemnités énumérées â l ' articl~ ._
du déc ret du 27 août 1948, pour les mllttaires des armées de terre, de mer ~t çe
l'ai r et â l'article 2 du décret du 1er decembre '1949 pour les militaires relevant de l'autorité dll Ministre de la France d '.Out~e-..\r\e:
Outre les indemnités déj à mentlonnees CIdessus figure dans cette énum ération
- L' indemnité Rour cnarges aé ronotiqu.es.
- L'indemnité spéciale aux te rrit oires du
Les
Su~
. .
- L'indemnité forfaitaire des stagiaIres
des écoles,
- L'indemnité de dé part,
L'indemnité spéciale d'alimentationJ
a uxquelles il fa ut ajouter :
.. .
- L'indemnité pour charges mlhtalr~
Co mme le précise le décret du 23 décembre
1949.
Tous les éléments de rémunération au!re~
que ceux ci-dessus énum érés son( soumiS a
l'impôt et notamment:
1" Le traitement la solde ou le salaire et
d'une manière aé né rale la rémun é ration allouée à titre p~incipal en co.ntre-p~rtie de"
services rendu s, que ces dermers sO Ient permanents o u temporaires ;
2" Les avantages en na ture fournis g ratuitement (nourriture, loge ment, e~u, . gaz,
élect ri cité, chautfage, etc ... ), ce ux-cI dOlven
faire robjet d'une éva luation et s'ajouter
a ux prestations sen'iFs en espèces qui sont
sou mises il l'im pôt i
3" Les ind emnités à ca ractère résidentiel
(i ndemnité de résiden~e fa miliale p r~~ue par
le décret du 29 fé mer 19-18, mOdIfi é, 1 indemnité de résidence prénte pour les depa rteme~ts d'Out re-Me r pa r le dec ret
d u 14
juin \950, la majo rati on nord-af ricaine de
33 p. 100, les indemnites de depaysc me nt et
d'éloi(lnem ent prev ues pour les terri tOi res
d 'Ol1t~e-Mer pa r les déc rets Ju 15 a\'fi l 1949,
27 aoùt 1949, 2R décembre 1849 et J(l mars
1950 I~s ind emnités de zone uu de resldence in'stitu tes dans c e~ mêmes territo ires)
-l " L'i ndem nik de Ji ffiL ult t'S admi nistrat i\'l;~ s d 'Alsi.llï:~ er dt! Lt,rra l/ll: :
5" Leg
indt:.'mn i t ~ s lj" n ll~ up ~~tion
t::t d'isol e-
me nt dans les tcrr itu; r6 n C lUp~s d' All t::magne et d'rl il trkhf (celles ue ces indem nités
q~li
ont libell ées en deutc h-rnarks ou en
sc hilîinas ~tan t ;nlposa~lcs po ur la contrera.l eur
letlr montant su i\"a nt la parité
ùfiiciellt::men t III \'i~lIe ur le jour où elles ont
été effectivemew pe r\"l1es) ;
dt'
�REPUBLIQUE F R A N Ç AISE
-15 Mars 1951
6<> L'indemnité sarroise prévue par l 'article 4 du dtinet du 30 juin 1948 ;
j ' La majoration de 25 p. 100 accorçlée
aux personnels en sen'iee dans les départ~
ments d'Outre-Mer par la loi du 3 avnl
1950 ;
• Les indemnites de départ et d' installatjon allouées aux mêmes personnels ;
go L'indemnité temporaire de cherté ~e vie
et le supplément temporaire d'indemmté de
résidence institués par le décret du 9 octobre 1948, ainsi que la majoration ex.cepttonnelle d'indemnité de cherté de l'le prevue par
le décret du 12 août 1950 ;
100 Le complément de rémun.ération accordé à titre de minimum garanti par le dé- .
cret du 3 1 octobre 1950 ;
Il ' Toutes les indemnités allouées en rémunération d'un travail supplémentaire (heures annuelles d'enseignement, indemnités horai res et forfaitaires du décret du 6 octobre 1950, rémunérations acceSSOIres du d-:-cret du JO decembre 1948 pour cours, conferences, jurys de~ co nCours ou d'examens~ ;.
120 Les indemnités ac~ordées pour difficultés de l'emplui (indemnItés de charges administratives des chefs d'établissement d'enseignement, indemnités de risque ou de danger, etc ... ) ;
. ..
13' Les indemnittis pour responsablilte pécuniaire accordées aux comptables et aux
personnels des services d'économat ;
14' Les recompenses et primes de rendement ;
II. - A\'antages familiaux:
Les éléments de la r émunération à carac-
tère famiI<al qui échappent il l'impôt SOI~t
limltativeli',ept énumérés par le Code Generai des impots et ne concernant .p.rahquement, Rour les pers!JOI~els en aC~I\' lté, que
les prestations de la 101 du 22 aout 1946 et
les allocations logement.
.
Il en résulte que tOlites les autres IIldemnités familiales sont passibl es de la surtaxe
pro aressive et notamment :
.
....': Le supoiément familial de tralte.ment
institué par ia loi du. 25 sept~mbre mOdl f:ée;
_ La partie ' fanlllJale de llIldemn lte d occupation allouée aux fonctionn~ires et t111litaires en service dans les terrOires occupés
d'Allemacrne et d'Autriche;
.
_ L'i;demnité famiiiaie d'attente allouée
aux fonctionnaires en s'ervice dans tes terfltoi res d'Outre-Mer.
T outefois, par une circulair.e dl~ 2 ma~s
19-18, j'avais admis que ta .maJorat1~n fall1~
liale de l'indemnité de r~lden ce metropolltaine serait exonéré~ d'Impôts! ~~ qUI enentraînait la même deroga~lOn a I.ef!ard des
majorations familiales des Inderf.101~es d~ zone ou de résidence dans l es terntolfes d .outre-Mer ainsi que les suppléments famIliaux
à la m~jàration spéciale d'Afrique du Nord
instituée par les décrets du 2 aVfll 1948. Cependant, devant les. nécessité~ financières d~
moment, il me parait nécessaire de reve01~ a
la stricte appl ication de la r églementatIon
sur ce point. En consé~lIence, ce~ maJorations familiales devront a nouveau ctr~ as~u
jetties à l' impôt à compter du 1er JanvIer
1951.
rents à la fonction doivent toutes être déc1arees à l'administration des contrihutions
directes, même lorsqu'elles sont exonen.'es
de l'impôt (Cf. lettre commune n' 813 C.D.
du 12 janvier 1951). Par contre, cette obligation ne concerne pas .Ies avantages familiaux qu i sont affranchIS de l' impôt.
•••
Il m'est à peine besoin d' insister Sur le
soin avec Jequel doivent être établies les déclarations que les admi nistrations sont tenues de faire parvenir à l'Administration des
Contributions Directes et qui seront l'objet
' d' un contrôle spécial. Toute omission ou
inexactitude grave dans l'établissement de
ces décl arations pour rait engager la responsabilité des fonctionnaires dont elles émanent et exposer ces derniers aux sanctions
prévues notamment par l'arl. 5 de l a loi du
25 septembre 1948 relati ve à la Co ur de
discipline budgétaire. Aussi, dans l' h)'pothèse où vos services auraient un doute sur la
nature d' une rémunération ou d' un ava ntage
accessoire et, d' une manière génér ale si les
dispositions de la présente circulaire leur
paraissent nécessiter des éclaircissements ou,
souJever une difficulté quelconque, il vous
appartiendrait de m'e~ saisir dans I ~s m~i1leurs. délais sous l e IImbre de la Olrectlon
du Budget (5me Bureau Soldes et Indemnités).
Pour Je Ministre et par autorisation,
Il est rappelé <lue J~s
alloca tions destinées à co uvrir les fraiS Inhe-
OËPARTEMENT DES BOUCHES-OU -RHONE
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies'
Toute Jorrespondance relative au Recue,'1 dOI't étre adressée à 1
a Préfecture Secr étariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire
Les lettres 0 t B
..
d'
dh'ff
. d'
D. S. T . : Direction des Services Technique. -D D S . D' el'
~~lVIes un
1 re ln Iquent le Service ou Bureau d'origine.
.. . ' . )fec Ion
partementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Population.
SOM M ArRE
Arrêtés réglementaires et Circlllairœ
Pages
AG O. -
Dclégations de signature . . . .
AG 2. - Radiation du Fonds National
de Compensation des Allocations fa-
41
41
42
meurs dans les conditions fixées par
l'article 5 du décret du 15 juill et 1945.
EN O. - Ré glementation de l'affiChage
Textes d'Intérêt Général
AC 3. - Sécurité sacial.e des fonctionnaires de l'Etat ..................
Signé : R. BLOT.
- - - -<>00<>----
Pour le Préfet :
S tcf'ë talf"~ Géntral : LAMASSOURE.
43
=
AG 0
DELEGATIONS DE SIGNATURE
Copie certi6ée conforme.
42
42
ARR ËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
,
D2 BI
L~
miliales des Régies Départementales
ou Municipales de Transport
AG 2. - Majoration des prestations
familiales
....... ... . ... ... .
BN O. - T ravaux réalisés par des chô-
Le Directeur du Cabinet
•••
Observations.
9 · Année. - N' 11
ARRETE
Le Préfet des Bou cheS-du-Rhône,
Officier de la Légion d' honneur,
Yu le décret du 10 septembre 1926 relatif
à l'or,ganisation d'e l'Ad mi nistration Préfectorale ;
Yu le décret n' 50.722 du 24 j uin 1950
relatif à la délégation des pO UVOirs aux Prefets, Sous-Préfets et Secrétaires Généraux de
Préfecture ;
Yu l'arrêté préfector al du 5 août 1950
donnant délégation à M. Eysseri c Ma urice,
attaché de Préfecture, chef de bureau po ur
la signature des mandats et ordres de paiements, chèques tirés sur les com.ptables assignataires, bordereaux, d'émission. titre s de
recettes, ordre de reversement et pièœs
COmptables de tous o rdres concern ant l es finances de l'Etat et du Département ;
Y,u la circulaire de M. le Mi nistre des
FiuaJnces et des Affa ires Eco n omique~ numéro 1387/ F du 19 févrie r 195 1 re lative au
recouvrement des créa nces de l 'Etat étrangères à l' impôt et au domaine ;
Sur la proposi tion de,N1. le Secrétaire Gêtléral des 'Bouches-du-Rhône,
Arrête:
Ar,ticLe premier. - M . Eysser ic M aurke,
att~ché de Pré/ectllr"" chef de bureau, est
délegué pour si gner en notre nom, la formUle rendant exécutoire les titres de perception émis par les ordonn ateurs ct administrateurs Jocaux pour le reco ll vremeilit des
créa nces de 1"Etat étrangères à l'impôt et
au domaine.
Article 2. - M. le Secrétaire Général des
Bouches-<lu"Rhône et M. le Trésorier-Payeur
Général sont chargés. chacun en ce qui le
concerne, d'assurer l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au Recueil des Actes
Adminisrratifs d u Département.
Marseille, le 9 mars 1951.
Pour le Préfet,
Le Sous-Préfet Directeur du Cabinet,
DUFAY.
•••
ARRETE
Le Préfet des Bouches-d u-Rh ône,
Officier de la Légjon d'honneur,
Yu le décret du 10 septembre 1926 relatif à l'or ganisation de l 'Admi ni stration Préfecto rale j
Yu le déc ret n" 50.722 du 24 juin 1950
relatif à la délégation des po uvoirs propres
aux Préfets, Sous-Pr<'fets et Sec rétai res Généra ux de Préfecture;
Vu l'arrété préfeclo ral du 27 j uillet 1950
do nnant délégation d M. Ro ux Victor, attaché de P.réfectu re, chef de bu reau, pour la
signature des mandafs et orores de paiemenr.
des bordere aux d'émissio n, des titres de rece ttes, ordres de reversement et pièces
comptables de tou s ordres concern ant l es
finances de l'Etat et du Département ;
V u la circulaire de t'lt le !M inist re des Finances et des Affdres Economiques numéro 1387/ F du 19 février 1951 re lative au recouvrement des créances de l'Etat ~t r a n gè
res .à l'impôt et au domaine ;
Sur la proposition de f;l le Secrétaire Gcnéral des Bou ches-d u-Rhône,
Arrête :
Article premier. - M. Roux Victor. . attach é de Préfecture, dlef de bureau. est délégué pour signer en notre nom la fonnule
ren.d ant exéc utoire les ti tres de perception
émls par l es ordonn ate urs et administrateurs
loca ux pour le reco uvrement des créances
de J'Etat étra ngères à l 'impô~ et au domaine.
Arl. 2. - M. le Secrétai re Genéral des
Bou~he,,"d u-Rh ône et M. le Trésorier-Payeur
Géneral, sont char ges, chacun en ce .qui le
conce rn e, d'as.'mre r l"exécution du présent
arfité qu i sera publié au Recueil des Actes
Administratifs du Departement.
Marseille, le 9 ma", 1951.
Pou r le Préfet.
Le Solls-Préfet Directeur du Cabill e/,
DUFAY.
------- <~ooc,~----
02 B3
__
AG 2
RADIATION DU FONDS NATIONAL
DE COMPENSATION DES ALLOCAT IONS FAMILIALES DES REGIES
DEPARTEMENTALES OU MUNICIPALES DE TRANSPORT.
Pa r cirlutaire du !er mars I P5 1, in:>t-res
ci-après, le Directeur GLnëral dt> l ~ Caisse
d~:; Dépots et Consignations donne des precisions Sur l' a~plicatjon du décret n° 50. 1448
du 22 n o\'~mbr~ 1~50, rel atif à la radiatio n
du Fonds N:ttionnl des Regies Départementale:- ou .1' tlinidpJJ~s d ~ Transport.
Pour le Préfet,
Le Dirt:cteur du Cabint'I,
�42
Le Directeur Général de la Caisse
des Depôts et Consignations,
il Monsieur le Préfet des B.-du-Rh.,
2me DiYÎsion, 3me Bureau, Marseille.
Aux termes du décret n° 50.1448 du 22
novembre 1950, relatif au régime de Sécurite Sociale des agents tributaires du régime
de retraites institué par la loi du 22 juillet
1922 ou des règlements de retraites main.tenus en application de œlte loi, les agents
relevant de la loi du :le juillet 1922 relative
aux retraites des agents <les chemins de fer
secondaires d,'i ntérèt généra l&des chemins de
fer d 'i ntérêt local et des tramways, ou des
règlements de retraites main tenus en application de cette loi, doivent êlre affiliés il
compter du 1er décembre 1950 aux caisses
d' allocations familiales instituées par l'ordonnance du 4 octobre 1945, po ur l'application de la légiSlation sur les prestations
familiales.
li ressort de ces dispositions que le col1ectlvilés (Régies départementales ou mun.ieipales de transport) employa nt du peffionnel appartenant il la catégorie d'agents visés
dans ce texte, q-ui ont adhéré au Fonds National de Compensation des Allocations Familiales et qui participent il ses opérations,
conformément aux djspositions du Code de
la Famllle et du règlement d'administration
publique du 15 avri l 1940, doivent, il partir
du 1er décemb re 1950, cesser le ur participation aux opérations du Fonds National
d'une part, et solliciter l'affliation de leur
personnel il la Caisse Départementale d'Allocations Familiales d'autre part,
Pour permettre il man administration de
procéder en toute connaissance de cause à
cette radiation du Fonds National, j'ai l'honneur de vous prier de vouloir bien me signaler, lors de J'envoi, qui <loit avoir li eu
avant le 31 mars prochain, des relevés an nuels des salaires et des prestations familiales payés par les collectivités pub liques
locales de votre département au cours de
l'année 1950, «!lIes d'entre elles dont le personnel se tro uverait vise .par le décret précité dt: 22 novemb re 1950.
Bien entendu, au cas où certains services
départementa ux ou communaux compris Jusqu'ici sur les états g lobaux des collectivités
auxquelles ils appartiennent entreraient dans
le champ d'application de ce décret, les collectivités intéressées ne devraient plus menhonner à l'avenir sur leurs états destinés au
Fonds National ni les prestations ni les salaires payés au dtre de ces services.
j'ajoute qu'en ce qui concerne les opérations de compensation relatives il l'année
1950, ces collectivités ou services devront y
participer normal ement po ur le montant des
salaires et, le cas échéa nt, celu.i des prestations familiales payées du 1er janvier au
30 1I0vembre 1950.
Pour le Directeur Généra'l et par
autori-sation,
Le Sous-Direcleur chargé de la
Division des Dépôls,
Signé : Illisiblement.
------<~oo <~ -------
AG 2
02 B3
MAJORATION DES PRESTATIONS ·
FAMILIALES
J' ai l'honlleur d 'info rmer MM. les Maires
du Département et M"'\. les PIfside nts de
Commissions Administratives ou de Consei l
d'Administration que par circu laire télégraphique du 7 mars 1951, M. le Minist re de
l ' tntérieur vient de me faire connaître que
les aliocations familiales, l'allocation de sa-
loire uniqu e, les allocations .préna tales et
1 allocation compensatrice prévue par décret
Il " 48.1555 du 8 octobre 1948 versées à leurs
agen ts par les collectivités loca'les so nt obligatoirement maj orées de 20 p, 100 au titre
des mois_ de décembre,
janvier,
février et
mars 1951.
POlir le Préfet,
Le S. p, Directeur d/l Cabin et,
DUFAY.
EN 0
TRAVAUX REALISES PAR DES CHOMEURS DANS LES CONDITIONS
FIXEES PAR L'ARTICLE 5 DU DECRET DU 15 JUILLET 1945.
N° 927/ S
Paris, le 13 février 195 1
Le Secrétaire d' Etat à l' Enseignement
Technique il la j eunesse et aux Sports
il Monsieur le Recteur de l'Académie
<l' Aix-en-P rovenc'e (Service Academique de la j eunesse et des Sports)
La Commission interm inistérielle il laquelle
assiste un représentant de la Direction Générale de la jeunesse et des Sports, et qui
~~t chargée d'agréer 1es travaux présentés
par les collectivités ,publiques, pour évite r la
constitution de fonds de chômage a, da(ns
sa dernière séance du 6 février 195 11 man i-
festé le <lésir de voir les villes s'o rien ter
vers les travaux d'une utilité incontestable
au sein desquels elle a bien voulu placer
toutes les réalisations en fave ur de la j eu-
nesse scolaire et post-scolaire,
Il m'apparaît dans ces cond itions qu 'il serait souhaitable de cQ'nseiller aux Municipa-
lités qui se trouvent en présence de la nécessité d'ouvrir des chantiers de chôma ge
d'inclure dans leur programme d'action la
création ou Je pa rachèvement d'i n stallation~
sportives et notam ment des éléments desti nés il J'Education physique scolaire (travau"
dt: terrassement, travaux de stabWsation no-
tamment). L'aide du Ministère du Travai l
permettra ainsi d'étendre au profit des col-
lectivités les effo rts dép loyés pa r la Direction Générale de la j eunesse et des Sports.
iii va sanS dire que pour un même objet
aucun cu mul de subventions ne saurait être
admis.
Pour le S ec rétaire d' Etat,
Le Chef du Service Tec/wique
de l'Equipement,
Signé : LAMB6RT
-------<.00<·-------
gle la voie ferrée S,N .C.F" du viaduc de
l' Aigle il l'entrée Sud du souterrain du Rove la RD. 5.
EN 0
REGLEMENTATION
DE L'AFFICHAGE
L 'entrée du souterrain du Rove à Fortde-Bouc, rivage de l a ~er et du Fort-deBouc à la gare de Marhgues-Caronte, la R.
, Le Préfet, des BO,uc hes-du-Rhône
a MM. les SOus-Prefets d'Aix et d 'A rles
MM. les Matres du Dépar tem ent
'
M. le Directe ur Déparlemental d'es S
D. 49 E, interdictio n de l'a ffich age.
vices de P:olicc,
erM. le Commandant de Gendarmerie
'MM. l' In gé nieur en Chef des Pont~ et
Zone 3. -- Marseille et Ses abords,
Il faut prévoir l' interdjction de l'affichage
pour :
,
a) Le Vieu x-Port, faç ades, élévation et
toitures de toutes 'les maisons qui bordent les
Chaussées,
Conune suite à ma circu l aire du 17 ja
vicr 195 1, relative à 1<1 réffl ementat ion '~~
l'a ff,ichage, j'ai {"honneur d'a~)peler votre éI!~
quais.
Le plan d'eau, le bassin de Ca rénage, le
Fort St-Nicolas, le Fort St-jea n, le Piha ro.
b) La colline de Notre-Dame de la Gar-
tenhon sur .le texte .cte mon a rrê~ du 20 juin
1949, étabhssant les zone du départe ment
-des Bouches-du... Rhône à I/intëriel1( desquelles l'affi chage est interdit.
Ci-après le texte de l'arrêté
de, la basiliquft, les rochers, l a pinède, les
maisons en bordure (toitures et façades).
c) Les routes de Corniche, soit la Corniche de Marsei lle proprement dile, sauf la
ARRETE
tr.aversée d 'Endoume, 'depuIs 'le Pharo jus-
Le Préfet des Booches-du-Rhone,
Officier de la Légion d' Honnell r,
Vu l' acte dit . Loi du 12 avril 1943 » re-
------- <> 00 <>- - - - - SERV I CE DEPARTEMENTAL
DE LA JEU ESSE
ET DES SPORTS
-
04 B3
43
qu'au r011P-point de la Plage, Ju squ'a u lieu
dit Bonnevein e. et l a route de Corniche Sud,
depuis Bonneve ine jusqu'a ux Goudes et Ca llelongue.
d) Les îles de la rade soit les îlots d 'Endoume, l'île des Pendus, l'i1e Laval de Gaby
(dite Gaby) et son fortin, l'îl e et 'le château
d'If, les îles de Pomègue, de Ratonneau, de
l'Ile et le p hare de Planier, l'île Maire et so n
latif à la Ipublicité par « . pannl!aux-réclame
par affiches et aux enseignes »b notamment
l' article 6 j
Vu la proposition de la Commissio11 Dé--
partementale des Sites, Perspectives et
Paysages, étab lis le 29 janvier 1949 en a,(.ord avec les représentants des afficheurs,
tendant à ce qu'en liaison avec les mesmes
d'interdiction ou de li mitation de la publicite
rés ultant de la loi du 12 avril 1943, des dis-
Tiboulen, ainsi que tous les roc hers émergés
des flots no n dé nommés et les bal ises du
Soudaras et du Canoubier,
e) La face Sud du village des Pennes-Mi-
pOSil iùIîS soient prises pour protéger les régions du Département d' un ca ractère pa rticulièrement esthétique et pittoresque,
Arrête :
Article premier. - A l'I ntér ieur des zani!.,)
fixées par l'a rticle 2 ci- après et qui f iguren ~
en bleu su r la ca rte annexée au présent ar'
lêté, tou te publicité est interdite en tout lieu,
sauf à l'i ntéri eur des agglomérations dar.s
L es calanqUes marseillaises et
Riou, soit les îles d e Jarre. de Calser ague,
Plane et Riou , ainsi que les îlo ts des Empereurs.
Art. 2, -- Les zones dites « pittoresques ' ,
visées à l'a'rticle 1er, sont délimitées pa r les
Zone 5. -- Zone de CassiS.
voies ci-après :
En principe, interdiction sur tout le territoire de la commune. Sauf, quelq ues empl a-
Zone 1. -- E/an g de Berre,
La 1{, N. 568, d'un point silué il 2kms rm
il l'Est de Marti gues (lieu dit Bel-A") )115-
La R. D. 17 entre l'embranc hement de R,
D. 33 et Mouriès.
La oR. D, 33 en t re Saint-Gabriel et Fontvieille, et Ho N, 570 entre Tarasco n et StGabriel.
Interdictio n de l'a ffichage à l'intérieur de
cette zone spécialement pour les com mun es
des Baux, du Paradou et St-Gabrie~ St- Remy-de-Pro vence et Fontvieille.
Zone 10. - Camargue .
La R, D. 37 entre le petit Rhône et le
grand Rhône. Le grand ~hône depuis l'embranchement R D. 37 et R D. 36 jusqu'a u
bac de Barcarin.
Entre le bac de Barcarin et l'embouchure
du Rhône vif, la Ho D. 360 et R D. 36 vicinal o rdinaire de St-Bertrand, se ntier d u phare de l a CacllOle et rivage de la mer.
Entre l'embouchure du Rhône l'if et la R.
D. 37, le co urs du petit ~h ône.
Zone II. -- Sain/e-Vicloire.
Terrain compris ent re R. D. 10 depu is Aix,
jusqu'à la limite du Var et la R. N. 7 de-
Zone 12, -- Zone de /0 Mon/agnelle ,
De Tarascon a u pont de Rognolas la R
N, 570,
La Durance, de ce pont à son confluent
avec le Rh ône.
Le Rhône de ce corrfluent il Tarasco n.
Zo ne 13. -- Les routes à l'affichage inlerdil,
1) Toute.s les routes et chem ins sur 5 kms
auto ur d'Ai x,
2) R. N, 7 du pont près la Bastille de Cabriès et la lisière Sud de Lambesc, d' Aix à
la ,jmite du ,Dépa rtement.
3) R. N. 8 d' Aix il 'la limite No.d de Septèmes (virage Sud de Peyret a u ni veau de
Fauregoules).
4) N. 96 e ntre Venelles et le ,pont de Mi-
le Mont-Rose jusqu'à Pon tceau du Cabot, 'la
R. N, 559 et la mer.
(Cette zone juxte la zo ne 3 et ,l a route de
corniche <les Goudes).
" faut ajoute r à ce tte ZO lle l'a rchipel de
réglementatio n spéciale.
Les routes nationales situées à 1'inlêri eur
des zones pi,ttoresques sont soumises à !jl
même interdiction que celles-ci.
Mouriès.
mètre de 400 m. (R. N. 538),
(2) g) La Viste : éc happee su r la rade à
l'Ouest, de la R N, 8 ; de la porte de la
Minoterie sur 200 m, au Sud.
Soit tous les terrain s compris entre la dérivation finale du ca nal de Marseille, depuis
re des zo nes qui fe ront c hacune l'objet d' une
Zone 9. - Zone aes A/pilles el des Baux.
La R, N, 99 depuis la sortie Est de Tarasc on jusqu 'à l'embralnc hement de la R. D.
24, 'la R, D, 24 entre cet embranchement el
puis Aix jusqu'à cette limite.
Inte rdiction de l 'aff ichage.
Zone 4. -
long 'des routes nationales situées en bordu-
Air compris.
rabeau et la co11i ne su r cette face.
(1) f) Le carrefour du Griffon, s ur un péri-
l'archipe/ de Riou,
lesq uelles s'appliquent de s presc riptions gé·
néra les de la loi' du 12 avri l 1943 et ail
Zone 8. - Bouc·Be/-Air,
Les terrains compris entre la R D. 59, la
R. C. 60 et la R, N. 8 entre les embranchements des Ho D. et le village de Bouc-Bel-
rabeau.
5) N. 538 en tre le passage en dessus su r
la voie ferrée S.N,C.F. a u N. -O. de Rognac
cements défi"is par 'la Commission des Sites
en fonction du plan d'aménagement,
et le carrefour des Guigues à La Fare.
Cassis.
7) N. 559 entre Cassis et le pas de Bellefi;!e (pourrait faire doub le emploi avec la
zone 5),
S) N. 559 a entre A~bagne et le pas de
Bellefille,
9) N. 572 entre Le Lo gisson et Le Merle.
10) Autoroute Nord-Ma rseille. T race por-
ses abords).
Zo ne 2. __ Côté Nord d/l golfe de Mar-
Zone 6. -- Zone de La Cio/al.
La voie ferr ée S.N.C.F. depuis so n passage en dess us sur R N. 559 jusqu'à la limite
du Var. Cette li mite entre la voie ferrée et
la mer, le ri vage de la mer jusqu'à l'aplomb
du sémaphore, e ns uite le sentier <lu Sémaphore, la R D. 40 jusqu'à so n embranchement SUr R. N, 559 et Ho N. jusqu'au passage en. dessus i'nitial.
Zone 7. _ Sainf-Paul-/ez-Duran ce et Cadarache,
Tous les terrains compris entre la R, N.
552 et la Durance entre le Pont-de-Mirabea u
et la limite du Var,
Seille,
1 gaCôté Nord du golfe de A1ars<;i'1le, d~:l'Ai
meur en chef de la Reconstructio n.
q u'à Martigues.
De Martigues inclus au Fort de Bouc, la
R. D, 49 E,
.
Du Fort de Bouc à la gare de Fos, le ,.,"age de l a mer, la pla ge.
.
rée
De la gare de Fos à Ist res, la VOle fe r de-
S.N.C,F., la R ,D. 5 1 à partir de la &are Il'a
La Va lduc les R D ,52 a, R, D. 52 )IIS~ R
son embra'nchcment avec la R. D.
F't e
ci
D, C. 5 de cet embranc heme nt à s ft~ies.
d'Istres au passage en dessus de~ Tu VillaLa colline de St-Chamas (le VICIIX.
et
ge, de Miramas-le-Vieu x. l e pont FlaVien
re de Martigues-Caro nte au Viaduc
.
. (1) (2) Propositi ons de M. Hardy, ingé-
6) N. 559 entre Maza rgues (obélisque) et
té ~ur la Cinte Michelin la plus recente .
11) R, D, 4 a, R D, 4 b, R. D, 44 f, R.
D, 44 g, zone d'Allauch et des Camoins .
12) R. D. 2 e ntre Gémenos et le Var,
13) R D, 10 d'Aix à la sortie du Département.
14) R. D. 17 entre le pont des Moines et
Fontvie ille,
15) R. D, 37 entre le pont Saint-GiI'es et
Albaron,
16) R D. 45 a entre son emb ranchement
entre la route D. 2 et SOn embranch.ement
sur la oR. N, 560 (Ste-Baume).
Art, 3. -- Les panneaux, affic hes, peintures qui existent actuellement dans ces zones
pourront être maintenues, à titre provisoire,
sans que la durée puisse "excéder celle de~
contrats en cours, ni une durée ma xi ma d'un
an à compter d~ la publication du présent
arrêté,
Art. 4. - M, le Secrétaire Général de la
Préfectu re, M1M. les SOLls-Préfets et MM, Iles
Maires des communes sur le territoire des-
quelles s'étendent les zones pittoresques, le
Représentanf Départemental du Min istère de
la Reconstruction et de l' Urbanisme sont
chargés, chacun en ce qui le concerne. de
l'exécution du ,prése nt arrêté.
Fait il Marseille, le 20 juin 1949.
Le Préfet,
jean BAYLOT.
•
lllTES D'INTERET GENEBBL
CirculaireS cancanant plus spécialement
I t!~ Adminis,rallOfls de l'Elat
D2 BI
AC 3
SECURITE SOCIALE
DES FONCTIONNAIRES DE L'ETAT
N° 13-1 B/ 12
Paris, le 9 février 195 1
Le Ministr e du Budget
à lV/M. les Minis/res et Secrétaires
d'Era/,
La présente circulaire a pour objet de préciser les répercussio ns sur le montant des
prestations en espèces du régime de Sécurité Sociale des fonctionnaires, de la ~oi nu-
méro 50-1598 du 30 décembre 1950 porl'"t
à 324.000 francs le plafond il retenir po 'Ir
la détermination du monta nt maximum des
c0tisations de Sécurité Socia~e. Cette circulaire a également pour Objet de compl éter
les instructions antérieures relatives à l'at-
Ir'bution du
1. -
c~pital-décès.
Ca/CIl/ des indemIli/és journalières e/
mensuelles des aSsurances maladie, longue
maladie, invalidité, dans les cas où le fonctionnaire a épuisé Ses droits sfaiulaites.
La lettre commUne n" 290 F.L.C. n° 2325
d u 10 janvier 195 1 prise sous le timbre de
la Directio n de la Compt~bilité Publique
pour l'application de la loi susvisée du 30
décembre 1950 a indiqué le chiffre du nouveau plafond à retenir pour la détermination
du montant maximum des cotisations de sécurité sociale ainsi que le montant maximum
du capital-décès susceptible d'être ,'e rsé aux
ayants-cau se des fonctionnaires décëdés en
activité après l'âge de 60 ans. Cette lettre
commune est reproduite en annexe ft la fi n
de la présente circ ulaire.
j'ajoute que de la même façon et conformément aux dispositions de rarticle 7 du
décret du 20 octobre 1947 et de la circu'ai re
du 25 av ril 1950, les indemnités journal ières
et mensueUes de l'assurance maladie, longue
maladie et invaliditél dans le cas où -le fonc-
tionna ire a épuisé ses droits statutaires à
traitement, ou dans l'hypothèse où les droits
sta t utaires sont inférieurs alLX indemnités de
sécurité sociale sont majorées par l'effet de
l'article 1er de 1. 'oi du 30 décembre 1950
susvisée .
Les ma xima
�teindre les indemnités ci-<lessus s·~tablissent
aux chiffres suivants :
_ Indemnité journalière normale 450 fr.
_ Indemnité journalière major~ (3 enfants ou plus) : 600 fr.
_ Indemnité mensuelle nor'l'ale : 13.500
francs.
- . (3
'ants
_ Indemnité mensuelle majoree
en"
.'
ou plus) : 18.000 francs.
Les djspositions ci-de~sus aJn~1 q~e celles
de la circulaire n" 290 f du 10 Janvier 195 1
susvisee ne sont pas applicabLes, aux fonc tionnai res en activité da ns les dcpa~~m ents
d~Outr~er j
ceux-ci doive nt, Jusq u,a
~ou:
vel o rdre s'acquitter de leurs cohsaliorus
dans les conditions prOVISOirement fixées par
la circulaire du 12 octobre 1950 (Réfé rences : Direction de la FonctIOn f'ubhq~e mrméro 193, Diroction du Budget n 80-5
B/12).
11. _ Attribution du capiral-décès aux ascendanls d'un fonctionnaire décéde.
De pr~~el1les instructions (circulai re du
17 avril 1948 complétée par ceNe du 25 av ni
1950) avaient indiqué qu' on devait ent~nd re
ar ascendant susceptible de receV?1f a d~
raut du conjoint et de descend-"n~ a charge,
le capital-<l~ès institué par l'artic.e 8 du décret du 20 octobre 1947, le pè re et la mère
du lonctionnaire décédé.
\1 est désormais possible de donner. une
interprétation plus libé rale de la dJSPOSlhO~
re ,rlt!mentaire précltee et de comprend:e pa~
mi les bénéficiaires éventuels du. capital-de-
cès les ascendants du 2me degre.
•
Par conséquent, les grands-parents d, un
fonctionnaire déc~é peuvent demander 1 attribution du capital-décès s'ils réulllssent les
mêmes conditions d'âge et de ressources que
celles qui sont exigées du père et de la mère
du de cujus lorsque :
1· 11 n'y a pas de COBjoint .o~ de descendant pouvant prétendre au beneliCe du capital-<lécès ;
.
t
2· Les pè re et mère du de cUluS sont ous
deux décédés.
En cas de pluralité de grands:pare~ts susceptibles de bénélicier cru caplta l-<lec~s. le
montant en est partagé entre eux par Iractions égales.
.
Les ascendants du deuxième degré dOIvent
justilier de leurs droits par les pIèces C1après :
1· Extrait de l'acte de décès du lonctiennaire ;
20 DeaIaration sur l' h?nneu r att~.stant :"
a) Q ue le dél unt n'étaIt pas mane ou q u Il
etait veul, divorcé ou séparé de corps Jud iciai rement ;
.
b) Qu'il n'a pas laisse de descendants pouvant prétend re au capIta l-décès ;
3" Ex t rait des actes de. décès du père et
de ta mère d u fonc,tlOn n al re ;
•
4. Ext rait de naissa nce des g rands- par ents ;
1
5" Certificat de n'On ,LOlposlt 1on.,a ~ su rj
•
taxe progressive comprise
•
•
da ~s
•
110\pot. sur
le revenu des perso nn es pihyslq ues déh vné
par le percept eu.r du domici le des ascenda nts
du Zme degré.
.
P ou r le Ministre et par dé léga h on,
Le Directeur dOl Cablllet ,
Signé : R. BLOT.
•••
ANNEXE .
Circulai re de la Direction de la Comptabilité
Publique n· 290 F L / C/ 2325
du 10 janvier 1951
Objet : Calcul de la cotisa/ion de Sécurité
Sociale (application de l' artIcle prf!>mter de
la loi n" 50.1 598 du 30 décembre 1950).
J'ai l' honn eur de -vo us laire conna itre que
la loi n· 50. 1598 du ~O décembre 1950 publiée au, « Jo urnal Of;ficiel » du 3 1 decem~
b-re a dans son
article premier,
porté a
324.000 Irancs pa r a,," et avec effet du 1er
janvier 1951 le plafond il rete nIr po u r la d~
termination du montant maxlmwn des cohS~
tions de Sécurité S00iale. Ce plalond avait
été fixé il 264.000 Irancs par la aoi du 24
lévrier 1949 (CI lertre commune n" 1417 F
L/ C 1856- 1686 du 7 mars 1949).
.
'Le décret n· 51-1 du 2 janvier 1951, priS
en application de- la loi, a lixé, ~ur la base
du chiffre précité, les p1alonds a appliquer
suivant la péri odicité des payes, ces plalonds
sont indiqués ci-après
81.000 francs si le salaire est réglé par
trimestre,
27.000 Irancs si le s alaire est régilé par
• mois,
13.500 Irancs si le salaire est réglé par
demi-mois,
12.420 francs si le salaire est réglé tout es
les del1X semaines.
9.000 francs si le salaire est réglé par
décade,
6.210 francs si le salaire est réglé par
semaine,
1.242 Irancs si le salaire est réglé par
jour,
62 1 fra ncs si le salaire est réglé par
demi-jo urnée de travail 'Oc dépas~
sant pas 5 heures,
162 IranC'S pa r he ure, si le salaire est
réglé p our une d uree de travail
infé r ieur à 5 h eu res.
Par conséquent, à par tir du 1er j anvier
195 1, lo rsque le mo nta nt de la rémunéra tion
s ur laq ue lle doit êtr e assise la cotisatio n de
Sécùrité Socia,le dcpasse les pla.fonds indiq ués ci-<less u6 la di te cotisa t ion est calculée
sur la ba<le de ces pla fonds sans te""ir co mj>te de la partie de la rémunéra.tio n excéda nt
le chiffre retenu .po ur le ca:.c ul de la cotisation.
F n matière de Sécurité Sociale des fo nctionna ires de l'Etat, la cotisation mens uelle
maximum susceptible d'être retenue à un mê·
•
'yCld
et Bulletin des Mairies
Toute cor r espondance rela tive au Recueil doit être a dressée te la P ré fecture Secr~ta riat Géné r a l
A.BRÉVIA. 'rIONS
A. P . : Arrété préfectoral. - C, : Circu laire - Les lert res D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. \T. : Direction des Services Tec hnique,. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départementale de la Popu latio n.
SOMMAIRE
Arrefés réglementaires et Circlllaires
Pages
AG 1. - S uspe nsion temporaire de
fo nctions d u Mai re de Berre
45
45
F 4. - Eq uipement rura l ... . ......
46
P 3. - Dest ruction des campagnols.. .
TVX O. - Déclarat io n' d'uti lité publique
des travaux dJouverture d' une voie de
raccordement entre le C. D. 20 C et
le C. D. 54 il Berre .......
46
AG O. - Personnel départemental. . . .
47
. RECT IFICATIF
il la ci rcu ~a i re n· 8-4 B/ 5 du 1er février 1951
diffusée so us le n· 180 FIN/GEN le 5 février 1951.
Ob jet et ensemble de la circulaire
d!U lieu de : pe ns ion d'ancien neté
lire : ,p ensio n proportio nn elle.
Page 2, 2me alinéa, dernière ligne:
au lieu de : compte t enu de la famille et du
nombre d'enfants à charg~
lire : compte tenu de la résidence de la famille et du nombre d'enfants à charge.
Copie eerti6h ee.f.rmc.
Pour loe PrHet :
..
: LAMASSOUIl~
---------------------
--------------------------------------~~;;..ac;;;~;J.~~~~~~;M~.~.~q~I~. lit, 5.. Su.n
Textes d 'Inté rêt Généra l
ments, des COmmunes et d.e leurs -éta-
AC O. - Reten<les il effectue r au titre
de la Sécurité sociale sur les vacations des médeci ns civi ls tra vai\llan1:
po ur les établissements publies .. ..
,47
AC 3. - Regime de la Sécurité Sociale
des fo nctionnaires ..... . . . . . . .. . . .
47
AC 3. - Majoration à titre provisoire
de certaines prestations familiales. .
48
AC 3. Régime de S~urité Sociale
des agents pe rmanents des départe-
••
Direction du Budget
5me Bu reau
L,/
ecueil des Actes Administratifs
blissements publics n'ayant pas le caractère industriel Ou commercial.. ..
AC 3. - Fonctio n publique et reforme
administrative ............... . ....
AC 3. - CumuJ de pensions e t de r<'murrérations publiques d' activité.
Acquisition de nouveaux droits à pension .... ....
48
50
50
Communiqués, A vis, Anni>nces diverses
- Dons et legs
5.1
=
ARRË TÉS REGLEMENTAI RES ET CIRCULAIRES
AG 1
SUSPE NSION TEMPORAIRE DE
FONCTIONS DU MAIRE DE BERRE
Le Prélet des BOliches-du-lIhône,
Officier de l a Lé g ion d' Ho nn e ur,
Vu la loi d u 5 av ril 1884 et not a mm ent
l'article 86 de ladi te lo i ;
Considérant que M. Roge r M·a rt in, maire
de Berre, a gravement méconnu ses devoirs
de premier magistrat municipal en to lérant
que la mairie soit pavoisée aux couleurs
d', un dra peau qui n'était pas le dra,pea ude
la France ;
Considérant qu'une teHe manifestation est
Contraire à la leg.alité républicaine ;
Considérant en1in que, invité à do.nner ses
explicati ons Sur les laits ci-dess us rapportés.
Yintéressé a r.econnu qu'il avait autorisé ce
pavoisement illégal
Arrête :
Article premier. M . Roger Martin,
aire de Berre, est suspend u de ses fooctIons pour u,ne durée d' un mo is.
Art. 2. - M. le S ec rétai r", Généra l de la
Préfecture et M. le SOlls-P.réfet d 'Aix-enProvence sont chargés, chacun en ce qu i~ le
co~ceme, de J'exécutio'fl du p résent arreté,
qUI sera inséré au Recueil des Actes Administratifs dUI département.
Fait il Marseille, le 20 mars 1951.
. L e Préfet.
Jean BA YLOT.
CABINET DU PREFET
n:
L~ S~criltuf'e GénffQl
- N· 12 et 13
DÉPARTEMENT DES
me aqent qui, SOus l'empire de la r églemen-
tation~ antérieur e au 1er janv ier 195 1 etait
de 275 f ra ncs, se trou've portée à 337 fr.
j'ajoute que du ,l ait de l'élévatio n à
324.000 Ira ncs du plafond ann uel il retenir
po ur le caicul de la cotisation de Sécurité
Sociale le montant maX lmllfn d u caplta1-<1e·
cès susceptib le d'être verse aux ayants-cause
des lonction nai res décédés après 60 a ns el
non encor e admis à fa'ire valoir l eurs droits
à "la ret ra ite, qui était a nté rieurement Hxé
il 66.000 francs est porté à 81.()()(J fra ncs ;
ces nOlwelles d ispositions sont applica1bles
da ns tous les cas o ù le décès est survenu
depuis le 1er jan vier 195 1.
Pou.r Je Mi nistre et par auto r.isation.
Le Directeur de la Comptabilité Publique,
G. DEVAUX.
R E P UB LlQUE
Mars 1951
D2 B3
F 4
EQUIPEMENT RURAL
Application de l'article 24 de la loi
n " 50-854 du 2 1 Juillet 1950
N° t3 AGJ/ I
Paris, le 27 fév rier 1951
Le Secrétaire d'Etat à l'Agr iculture
à Messieurs les Préfe ts.
Aux termes de l'a rticle 24 de la loi d u
21 j uillet 1950, les collectivités bénéficiaires
de su.bve nt ions de ·1· Etat po ur t ravau.x d'équipement rura l accordées en appl ication de la
loi d u 14 ao ût 1947 et des textes qui l'ont
complétée et modifiée, pe uvent être autorisées à contracter, sur les ressources du
Fo nds Natio nal de Modernisation et d'Equipement, des prêts couvra nt une pa r t de la
f raction de subvention qui leur est versée
en annuités.
Touœfois, J'article 24 susvisé prévoit expressément qu.e les resso urces au Fonds NaUonal de Modernisation et d"Equipement seront consac rées par prio r ité à to us les travaux ex-écurtés su.r le territoire des communes economiql'ement faibles et des communes sin istrées et, en ce qui conCerne les
autres colledivités, aux travaux des services
publics ruraux.
Les colleclivitôs peu"ent demaJlder le benéfice de ces prèts dès Que leur sera notifi ~ e la dccision attributive de subvention.
Vuus de\'rez donc tenir compte de cette
disposit ion 10
prouver le programme de financement des
t ra va ux.
Les établissements de cr~it statueront
su r les demandes de prêts dès réception du
dossier transmis par la collectivité. établi
suiva'nt les indications données ci-après.
1. - Caractéristiques et modalit~s
d' attribution des prêts.
Les prêts ai nsi institués seront acco rdés
pour une durée de 15 aons et au ta ux de
5 p. 100.
Leur montant est fi x~ en règle géné rale
à 25 p. 100 de la fraction de sub\'ention
accordée en an nuités et à 40 p. 100 lorsqu'i l s'agira de travaux exécutés su r le territoire de communes éConomiquement faibles
ou de commune figurant sur la liste des locali tés sinistrées publiée par le Ministre de la
Reconstruction et de l'Urba nisme. Toutefois
le montant des prêts pourra êtr e réduit de
manière que l'ensemble des ressources réunies pa r une collectivité pour la mobilisation
de la fraction de subvention payable en annuités n'excède pas le mo ntant de cette dernièr e.
Les prêts seront consentis par la Caisse
Nationale de Crkilt Agrico le ou par le Cr~i t
Foncier de France.
Il convient il ce sUjet de re commander aux
colle.:tivités publiques de s'adTesser, de préfére nce, il celui de ('es deux établissements
dont elles ont d'ejà obtenu le concours, les
forma li tés relatj\'t~ s .a J'octroi des
de-
�46
IL - Etablissements des demar/des de prêts
Afin de bénéficie r des prêts en cause, les
collectivités devront adresser à )'établissement de crédit qu'eUes auront choisi les pièces suivantes (1) :
1" Une expéditio n de la déci sio n de
l'Assemblée délibérante.
(Conseil Genéral pour les départements,
Conseil Municipal pour les communes, Comité syndical pour les syndicats de 'Communes, Conseil Syndical pour Ies_ associations
syndicales, ..Conseils d' Admin isfrafion ou As-
l1uités dans le cas gé néra l ou de 60 p. 100
si elles som éco no mi q uement fa ibles ou sinis trées le versement du pr~t pourra intervenir d~s son oc troi.
Sig né : P . ANTIER.
-
06 B I
- -- Co ,.00<,..- - --
P 3
S
DESTRUCTIO N DES CAMPAGNOL
ARRETE
-
Ar!. 4. - Les prop riétaires et locataires
intéressés dev ro nt o uvrir le urs te rrains au
agents du Se r vice de la Protec ti o n des V éf1e~
taux ai nsi qu 'à ceux du G ro upement de D
é.
fe nse co ntre les .e.nne.m is des cultures, pour
permett re la vé rificatIO n o u l'exéc ution des
tra itements.
Art. 5. - Dans le cas où il a ppa raîtrail au
g roup eme nt de dé fense qu ' un o u plUSieurs
propriétaires ou explo itants ne fe raient Pas
dili ge nce pou r tra iter leu r domai ne Ou ne
l'a ura ie nt pas traité dans les délais impar.
tis, ledit gro upement sera autO ri sé, ap rès mi.
se en dem e ure des récalcitra nts, à effectuer
des tra itements d' office et à leurs frai s, COn,
fo rm ément aux dis pOSit ions de l'a rti cle 13 du
titre Il de l'O rdo nna nce d u 2 novembre 1945
sa ns préj ud ice des sa ncti ons prévues à l'ar~
ti cle 8 ci-a près.
Art. 6.- La dest r ucti o n des
se fera au moye n d'a ppâ ts empOlso"nes
phospho re de z inc. Ces appâts se ront disposés dans les trous des ronge urs.
Les traiteme nts dev ro nt êt re ob li gatoi rement exécutés ava nt le 3 1 ma rs 195 1.
Art. 7. _ Il est interuit, SOLIS peine de
procès- ve r bal, d e laisse r errer des animau),
domes tiques pendant toute la d urée de la
des truction et pe nda nt les huit jours qui
s ui vro nt la pér iode d'empo iso nnement.
Art. 8. _ Des contra ve nti ons po ur infrac.
tion a u p rése nt a rrêté seront dressées
les person nes qui ne feront pas toute
gence pou r l'exéc ution des mes ures
t es, en exéc ution de l'a rt icle 23 de 1' 11'00.'. '
na nce de 2 novembre 1945.
Ar t. 9. _ M. le Sec rétai re Géné ral de
P ré fectu re MM. les S Olls-P réfets d'Aix
d' Arles,
l' In gé nieur en Chef, Di
des Services Ag ri coles, NtM. ," :~';~~~t~:~i:'
les Co ntrôleurs d u Ser vice de la
d e~ Vé géta ux, MM. les Mai res,
. .
Officiers de la Ge ndarmen e, Co mml ss3Hb
de P olice Ga rdes- Cha mpêt res et tous agenb
de la Fo'rce Publique sont cha rgés, chacu."
el~ ce qui le conce rn e, de l' exéc utio n d~ pr~'
sent a rrété, qui sera publié a u Rec ueil des
Actes Admi ni st ra ti fs.
Ma rsei ll e, le 12 Mars 195 1.
LE PREFET
Jean BA YLOT
47
escr ite I,a r le décret du 2 mai 1936 et nor:m mell t l'avis favo rab le du Comm issairc_
Enquêteur ;
.
Vu le décret-loi d u 8 ,ao ut .1935 s ur l'exopriation po ur ca llse d utrhte pu bli que ;
pr Vu le décret d u 2 mai 1936, rel a tif il la
procéd ure d 'enqu.i:te . préalab le à la dédaration d'enq uête d. ut ilite Publique ;
Vu le décret n' 50- 1260 du 4 octobre 1950
modifiant l'artic le 58 d u décret du 5 novembre 1926 sur la ~~~centr.alis a tion et la Id'éco nce ntratio n admulist rative ;
Su r le ra ppo rt ·de <M. l' In génieu r Cil chef
des Ponts et Chaussé es,
Le P réfe t des Bo uches-d u- I<hô ne, O fficier
de la Légion d' Ho nn e ur, Croix cie
agricoles et les S.I. C.A .) vota nt le principe
Arrète :
Gue rre,
de l'elT\Pru nt et compo rtant l'engagement de
Art
ide
pre mi er.
Est décl arée ,f utililé
Vu la loi du 5 av ril 1884,
rem botlrser ce dernier.
publique, dans I ~ cO ~lmun e de Be:re, l'o uVu
l'
Ordo
nn
a
nce
du
2
novembre
1945,
Cette décision, qui dev ra être a~proU\ré e
vertu re du chemIn de pa rt c mental dit « Breo çga nisa nt la protectio~ des végéta u ~,
par l'autorité turen e pour les collectivités p u_
telle Ouest )0 , co nfor mé me nt au plan co nteVu
le
decret
du
22
jUi
ll
et
1942,
rela!if
a
ux
bliques ou prise dans les conditions fixées
nll dans la 'pii:ce n" 5 d u doss ier ci-an nexé,
pouvoi rs en matie re de po li ce ph y tos~ ni taire
par leu r statut pou r les S.LC.A. et les cooet appro uvé le 28 déce mbre 1949.
des
age
nts
du
Se
r
vice
de
la
ProtectIO
n
de.;
pératives agricoles, se réfêTera aux disposiArt. 2. - Le Idéparte me nt <les Bouches\ 'égéta ux,
.
'.
tions de l'a r ticle 24 de la loi du 21 juillet
du-R hône est autorisé à aoquérir, soit à
Vu l'a rrdé du 1e r aout 194ô, re latif a la
1950 et précisera no tajTIment :
l'amiable, soit, s'il y a li eu, pa r vo ie d~ex
lutte co ntre les parasites des a nimau x et
a) L, nature et la /Co nsistance sommaire
propri atio ll, en vertu du décret-l oi du 8 ao ût
\'égéta ux des cultu res,
.
<tes travau x subventionnés ;
1935, les imm eubl es et portions d'im meubles
Vu le décret du 19 novemb re 19 48, re latif
b) Le montant des <iépe nses subventioncompris dans l' a lig neme nt ci-d essus déterà la détent io n et à l'usage des substa nces
nables, la date d'octroi de la subvention, le
miné tels que les dits imm eubies so nt indivénéneuses.
montant de cette dernière, la p-art acçord ée
ques
' par une teinte rose ou jaune su r le
Vu l'avis de l' In gé ni eur en Che f, Directe ur
respectivement e n capital et en annuités ;
plan visé à ,'artic le précédent.
des
Se
rvices
Ag
ricoles,
tous ces rensei g nements fig urent dans la ICféArt 3. - La prése nte décI aratio n d' uti lité
Vu l'avis dE; l' Inspecteur d u Se r vice de la
cision à ttributi ve .de subventio n.
publique
sera co nsi dérée comme nulle et no n
P rotectio n des Végétaux de la circo nsc ripc) Les ga ranties de remboursement cru
.aven ue si les expropriat ions à effect uer 'Pou r
p rêt :
t io n de Marse ille,
l' exécu tion ti e ces travau x ne so nt pas acCo nsid éra nt que les ca mpagno ls se pro paLes collectivi tés publiqu es devront s'engacompli es da ns le délai de quat re a ns â
ger oâ voter le cas échéant, les 'centimes adt'Y ent d' un e man ière inqu iétante da ns les
com pter de ce jour.
~ultures,
que
leu
r
multiplicatio
n
revêt
un
d itionnels nécessa ires à I~am ortissement du
Art. 4. - M . ie Secrétaire Généra l de la
prët. T outefois, pou r un syndicat d e Comca ractère envahissa nt et qu'il est urge nt de
Préfecture et Nk l'I ngénie ur en chef des
munes, il suffira de joindre une attestation , pre nd re toutes mesures ut iles de lutte en
Ponts et Chaussées sont chargés, ohacu n e n
de l'autorité de tutelle cert ifiant qu 'a été a uvue de leu r destruction,
ce qui le co ncern e, de rexec ution du p résent
torisée la réalisation d'un emprunt local égal
Sur la proposition du Secrétaire gé né ra l
a rrêté don t un exemplaire sera inséré ait
au montant de la subvention e n ann uités.
ARRETE:
Re('ueil
des AICtes Administratifs.
En ce qui Co ncerne les garanties à exiger
Article Premier. - So nt décla rés infestés
IlI ars<ille, le 6 mars 195 1.
des S ociétés Coopératives Agricoles et des
pa r les campag nol s, les terr itoi res des comS .I.C.A" des modalités spééia les sont actuelP our le Préfet
mun es ci-après :
lement il l'étude.
Lt!
Sous-Prêlet
Délégué
La Ciotat, Aix-en- Provence, Arl es, GémeDirec:teur dll ColJine!
2° Eventuellement, un e attesta tion de la
nos, Marignane et Cassis, a insi que cell es
DUFAY
part d~ la subvenfion paya ble en a nnu ités
qui seraient ult érieurement d écla rées co ntad éjà mobilisée lors de la 'dema nde de prêt
min ées.
- - - C " > wc> - - - -·
formul ée au titre de l'article 24 <fe la loi du
D583
Ar!. 2. Il est e xp ressément e njoint il
AG 0
21 juiUet 1950.
to
us
les
explo
ita
nts,
propriétaires
o
u
locaPERSONNEL DEPARTEMENTAL
Ce certificat sera dé livré :
tai res, de terre ou terrains cultivés o u no Il,
a) Au x collectivités publiques et aux assode détrui re les ca mpagnols ex istant s ur les
ja,~~~r ~r;;~:SMII~~~f~~~:~~'( N~1nrg~~~~~te~~alr~
dations syndicales pa r leu r comptable;
te rres ou a utres d épe nd a nces de leu rs p,r ~- - - - c:. ooc:)---retie r i\1a ri e- Thé rèse, lv\me Cer\'oni Sab ine,
b) Aux S .l.e.A. et aux coopératives agripri
étés
o
u
exploitatio
ns
s
ituées
dans
le
pe
rl0
5
B
I
MM.
coles aya nt é mis u·1i emprunt local, 'Pa r l'étamètre des terrains délim ités il l'a rti cle 1e r.
, Cousseau Louis et Le)'uet Frederic, Seblissement de crèdit ayant-recueilli les sous.
DECLARATION D'UTILITE
r~FR::rüI
RE I cretaires
P rin cipau x l, deet 1re
catégo
Les biens des collecti vités, des etab
lisseUX
l'
Cad re Départementa
Mlle
Colorie
mbauu
ni
criptions ;
V
ments publics o u pri vés, so ut astrei nts a ux
g!LSNE
~E RJlëC~!gD.E~~;~ 1 Antoi net te, MM. Gal audan Jea n et l<ul1y
c) Aux coopératives qui ont eu r~cou rs
mê mes o bliga tions et leurs exploi tants o U
ENTRE LE C. D. 20 C ET LE
PaUl et Mll e Vid a l Ge rm aine, Sec rétai re:;
à une augme ntation de capital, par la Caisse
54 A BERRE,
PrinCipa ux de 2e catégorie du Cadre Depar
occ upants tenus d'effectue r la destruction cie
Région a le de Crédit Agricole Mutuel à la quelle ladite augmentation doit ê tre justifiée.
ces ron ge urs.
tem ental, ont été adm is à su ivre l'échelle Jt
Les terra ins vagues, les fric hes, les talus
ARRIETE
trai tements att ri buée aux Attaches de Pre..
et
fossés
des
voies
ferrées,
les
acco
tem
e
nt~,
n
lect ure.
III. Versement des prêts.
ta lus et fossés des ro utes et chemi ns, les
Le Préfet des Bouches-du-",hône,
Les moda lités de versement des p rêts so nt
haies et buisso ns, etc ... , q ui ab ritent sa li ven t
Officier {fe la Légion d' HOllneu r,
. Pa r a rrëtés préfecto ra ux e n date Ju 12
actuellement en cou rs d'ét ude et seront por.( 1
t· '
l
'Croix de .Q uerre,
Ja nvier 195 1, Mm e Albrand Joséphine, II\.
tées sous p e u â votre co nn a issa nce.
les ro ngeurs, so nt c ga emen vI~es par es
1 Corn' Amb ros i Do miniqu e, N\me Bartoli Je an ne,
mesu res de destruction. T o utefOIS, da ns les
Vu la décision du, 4 mars 1949 de a -du' M. Basti a ni Raymo nd, Mme Bé renger Ala rie,
Toutefo is, lo rsq ue les collectivités ont,
bois
forêts, ces mesu res ne sont appli camission Dépa r te me nta le d~s Bou ohes
J\ \. BeSSon Ma rcel Mm e Bo rel Simone, 1\\lIc
d 'ores et d éjà, réalisé leu r emprunt local
bles et
qll 'en
lisiè re s ur une profond eur d e
Rh ·
'Il'e l a nt ell consdéra tl o n la
Bo h M '
obli gatoire o u mobilisé les resso unces équio ne, 1 1
.
Je . Cabanel
. lI C On Rose,
a ri e-Louise .t\ \m es Brun Simone,
vale ntes il co ncurrence de 75 p. 100 du
de la bretell e dite « Ouest » relia nt e ·
MM. Ca nell Robert, Ca rt ra)'
30 mèt res.
mo ntant' de la subve ntion acco rd ée en an ·
Art. 3. - Les opé rat io ns de destru ction
20C a u C. D. 54 il Berre;
1 28
Hen" , Mme Cha pp'"s Alaueleine, Al. Chau se ro nt exéc utées so us la directi o n du G ro uVu le pla n des lieux, approuvé.~ n0 ùho~n Dés iré, Mm e Dia na AtlfTè le, A\lle 011pement de Dé fense constitu é dans la commucem bre 1949 et co nte nu dans ~a p.,ece
OIS Ale
d '
'1 D
d G
\111
D
xa n rln e, " . uran
eo rg-es, 1 e
té
( 1) Les pièces destinées .iL la Caisse N a du dossier J'oint au p, résent
ne.
.
' t arre,
verte sur
ChUSa n Arm a nde, MM . Féraud Louis . F o n tes
tl'o nal e de Crédit A
doiv ent être reT o utes mesures utiles se ro nt pnses pOli"
Vu les piloces de 1 enque e 0 11
d
a rl es, Ga uti er P aul, Oraug-l1<lrd He nri.
mises à !a Ca isse
ou
...
Ide
• •éïvïitleirïï
t oi IÎltïiid.a n!!'er, tant pour les
ï .n.e.s• •'Pï rllio.iÎe .t e.n. e'lIie.· c. ution de l' article 3 § 4 u
cole Mutuel
semblées générales
pour les
coopératives
M.
Jgtr.
•••
~;~~~~~~i~i~
~
cr~<ïA~·tïii;.·I-
Mm e Haa rdt Angeline, M. Isoard Pierre.
Mll e Jousse rand Henri ette, M. Lombaruo
Ma rc, Mll e Mandel Claud ia, M. Marchetti
I~oc h, Mlles Ma rtin Simone Martin i Josephi ne, Mouren T hf rèse, M~ ur ie r Bla nche,
Nava rro Joseph
Palombo Albert,
Piétrit1l Césa r, Richier' Anto nin, Mll es Santo ni Cam ille, Sible yras Irène. J\lM. Tho ma rat
Paul, T omasi Je a n, Mll e Vier Suza nn e, MM.
Vola ire Fe rn an d et Ledi Arsène, Co mm is
Principaux du Cad re Départemental, ont été
adm is à s ui vre l'éc hell e de tra iteme nts attribuée aux Secrétai res Admini strat ifs de Préfect ure.
M"',-
Pour le Prélet et par délégatio n,
Le Secrél air e Généra l
LAMASSOURÉ
•
TEXTES D'INTERET GENEBHL
Circulaires c01l cernant plus specialement
les Administrations d~ J'Etat
02
B2
AC 3
REGIME DE LA SECURITE SOCIALE
DES FONCTIONNAJRES
Décret n " 5 1-242 du 27 Février 1951
Le Préside nt du Co nseil des Ministres,
Su r le rappo r t du Ministre du Tra va il et
de la Séc urité Socia le, du Ministre des Fina nces et des Affaires Eco nomiques, du Mini stre du Budgét et du Sec rétaire d'Eta t il
la Fonction Pu bli que et il la Réfo rme Ad.
mi ni st rative ;
Vu le décret n° 46-2971 d u 3 1 décembre
1946, relatif il l' instituti o n d'un régime de
Sécurité Sociale pour les fonctionnaires, ensemble la loi n° 47-649, du 9 avril 1947,
pu rtant ratification dudit décret ;
Vu le déc ret nO 47-2045 du 20 octobre
1947 !ixant ce rta ines modali tés d'applicalion
du déc ret n° 46-297 1 du 3 1 décemb re 194ô,
susvisé et nota mm ent l'a rt icle 27 ;
DECRETE :
TRESORERIE GENERALE
DES BOUCHES - DU - RHONE
AC 0
RET ENUES A EFFECTUER AU TITRE
DE LA SECURITE SOCIALE SU R LES
VACATIONS DES MEDECINS CIVILS
TRAVAILLANT POUR DES ETABLISSEMENTS PUaLlcs.
N' 1.271 Il)
Marseille, le 17 mars 195 1.
Par note n" 7.604/ 0 du 6 décembre 1950,
je vous fa isais connaître les te rm es de la
répo nse faite à mes services pa r la Caisse
Primaire de Sécurité Sociale des Bouohesdu-Rhône, au sujet de l'affitiation à la Sécurité Sociale des moo ocins civils travaillant
pour des établissements publics.
Mais depuis cette date, des faits nouveaux
m'am ènen t à reconsidérer la question. Certai ns praticiens ayant ad ressé des ré~ l a m ~
tio ns à "Administration Centrale dont ils dependent le N\inistre du Budget a fa it connaît re, par' lettre du 8 déc.e mbre 1950, . so n
sentiment à ce sujet. Il est Ime que les Intéressés n'entra nt pas dans le cha';lp ~l'~ppl i
cation du ré gime gênera i de la Secunte Sociale, il n'y a Ipas liel~ d'effe~tuer de précomptes sur les vacatIonS qUI leu r so nt allouées.
D'aut re pa rt, le ~ecrétai r e d'Etat aux Affa ires Economiques a proposé à .J\: . !e I:~\t
nist re du Travail et de la Siëunte SOCiale
de de mander au Conseil d'Etat d'é mettre un
avis s ur le pro!Jl~me d"ense mbl e de la position au re O"arcf de la Séc uri té Sociale des
membr es de~ professionS'" li bérale exerça nt
ull e activité dans des conditions particuliè res.
Je vous prie don c, en attendnnt la déc isio n du Conseil <l'Etat, de ne pl us effectuer
les précomptes sur les vacatio ns qU! V~l1S
pourrez être appe lé à iJ.aye r au x mèdeclns
travai ll ant pO li r vos servIces.
Le Trésorier-Payeur Général,
J-M. CONCHOU.
DI..'stinataires
l\ \I\\. les Ordonnateurs.
___ _ «'!o oo' ,..- - - -
Article P remier. Le deuxième a linéa
de l'a rticle 23 du décret nO 47-2045 du 20
octob re 1947 susvisé, est modifié ainsi qu'il
suit:
« La cotisatio n du fonctionnaire et cell e de
l'Etat so nt fixées, l'une et l'autre, à titre
provisoire et d'expérience à 1,75 p. 100 desdits émolume nts >.
Art. 2. - L'a rticle 24 du décret n° 47-2045
du 20 octob re 1947 sU:;l'isé, est modi fié
a insi qu 'il s uit ;
c La cotisatio n due pa r les fonc ti on na ires
re traités et les veuves titulai res d'une pensio n de réversion est fixée à titre provisoi re
tf d'expéri ence, à 1 p. 100 du montant de
leu r pension et des indemnités qui s'y ratiachen t, à l'exception des p restatio ns familia les, dans la limite d u plafo nd fixé par '.
législatio n de la Sécurité Sociale li .
« L'Etat ve rse de Son côté une cotisa Eor:
tga le à cell e des retrai tés >.
Art. 3. - Les dispositio ns d u présent décret p rendro nt effet au 1er ja nvier 195 1.
Art. 4. - Le Ministre du Travait et de
la SÉcurité Sociale, le Minist re des Fi na nces
et des Affaires Economiques, le Ministr~ du
B~td get et le Secrétaire d'Etat ti la Fonctio'l
PLbliq ue et à la Réforme Adininisrrath'c.
so nt chargés, chacun en ce qui le concerne,
àe J'exécution du p rése nt décret, qui ser.l
publi, au • Journal Officiel de la Rëpublique
fr an(,.'aise » .
Fair à Pa ris, le 27 fevrier 1951.
R. PLEVEN
Par le President ùu Consei l des Ministres
Le Ministre du Trm'ail
et de la Sécurité Sociale
Paul BACON
Le Minislre du Budget
Ministre des Finances
et des Affaires Economiques
par intérim :
Edga r FAURE
Il' Ministre du Budget,
Edgar FAURE
Le Serrétaire d'Etal
ri la FOllction Publique
et a la Rélorme Adminislrative
Pierre
~\ETAYER
�D2 B2
AC 3
MAJORATION A TITRE PROVISOIRE
DE CERTAINES PRESTATIONS
FAMILIALES
Loi n ' 5 1-258 du 2 Mars 1951
Après a\'is du Consei l Economiq ue,
L'Assembl ée Nat ionale et le Conseil de l a
I<épubl ique On t dél ibéré,
L'Assembl ée Nationale a adop té,
Le. Pr ésident de l a Républiq ue prom ulg ue
la 10' dont l a tene ur suit :
.~rticl e Pr emier. A titre except ionnel
les Allocations Famil iales des sal ari és et
nssimiJés, des travailleu rs indépenda nts et
des employeurs, l'allocation de salaire uniQue, l es allocations pr énatales et l'alloca-
tio n compensatrice prévue pa r le déc ret n"
48-1555 du S octob re 1948;- seront major ées
de 20 p. 100 au titre des mois de février
et ma rs 1951.
Les allocataires de prestations fami l iales
nOn visés à l'article 2 de la loi n" 50- 1598
du 30 décembre 1950, bénéficieront des dispositions dudit article.
Art. 2. Il sera procédé à une étude
d'ensembl e des divers régimes de prestatiolls
fami l iales, en vue d'assu rer j'application de
I~ l oi du 22 aoùt 1946, au besoin en révisant l es modes de financement, tant dans
l e territoire de la métropole que dans l e.;;
oépartements d'oatTe-mer, pa r une Commiss;on, présidée par le Ministr e de la Santé
r',,~lique et de la Population et composée
~t" représentants des ministres du Tra"ail et de la Sécurité Sociale, de la Santé
Putlrque et de l a Population, de l' Ag':culture, du Budget des Finances et des Affaires Economiques, de la Reconstr uction
de l' Industrie et du Commerce, des Travau~
Publics et des Transports, de l' Intérieur et
de la Marine Marchande ;
de représentants de chacune des Commissi ons suivantes de l'Assemblée Nationale et
du Conseil de la République ;
trois représe ntants de la Commission du
Tra"ail et de la Sécurité Socia le.
t rois représentants de la Commission de
i1 Famille, de la Popul ation et de la Santé
Publique;
dt.'ux représentants de la Commissi on de
" A gr iculture j
un Jepr ésentant de la Commission J e I ~
Production Indust rielle ;
un rtSJ;ésentant de la Commission oe~
rr, :. ver. s de- communication
lin re-présentant de la Commission de
l'Intérieur.
un représentant de la Commission des
Finances ;
un représentant de la Commission de la
Justice et de l a Législation ;
un r eprésentant de la Commission de la
Reconstr uction et des dommages de guerre;
un représentant de la Commission de la
Ma r ine et des pêches ;
un représentant de la Commission des
A ffaires Economiques,
Avant le 25 mars 1951, la Commission devra, après avis de la Commission Supérieure des Allocations Familiales et de la Commission Supérieure des Alloeatlons FamiliaIfS A gricoles, déposer son rapport et ses
conclusions.
-
En conséquence, l e Go u\'e rn ement ctêpoles t~rrito ires r elevant des ministères de 1
sera avan t le 5 m'ril 195 1, un pr oje t de l oi
France d'outr e-Mer et l es Etats associésa
q .1I sera soumis au Pa rle ment dans les déainSI que dans l es pays étrangers.
'
~~i~ utiles pour que le vote de la no uvelle
En
ce
qui
co
ncern
e
par
co
ntre
les
pe
rsOn~
loi ,nten'ienne avant le 30 av ri l.
nel s de 1',Etat en ser vice dans les déparle_
J ~rt, 3, Il est ouvert au ministr e des
ments d ou tre-m er ( Guadeloupe, Guyane
r;nullres et des Affai r es Economiq ues, sur
française, M arti nique et Ré union) il Co n vien~
l't:xe- dce 1951, au titr e du B udget , des Fidra de fai re applicatio n des dispOSitions de
l'éI!:ces cr des Affaires Eco nomiques ( 1. _
l' art icle 4 de la l oi n" 50-407, du ~ avril
Finances ; II. Char ges communes) un
1950, aux term es duquel « le ta ux des
c, édit de 975 mill io ns de f r ancs applicab le
p ~esta ti~ ns famili ales est le même que ce~
au chapitre 4 120 : « rajustement des preslUi en vigue ur dans la métro pole », ce qui
tatio ns fa miliales >,
, co ridui t il maj or er de 20 p. 100 pour les
Il est ouvert au Ministre des Postes, TémOIS de décem bre 1950, j anvier, février et
légr aphes et Téléph ones, pour l'exe rcice
mars 195 1, le monta nt des All oca ti ons Fa195 1, au titr e du..J3 udget annexe des Postes,
mil iales et le Salai re U niq ue (il l'eXCl usion
Télégraphes et "T'éléphones, un créd it de
de la prim e à la pr emière naissance) dont
270 mill ions de f rancs appl icable au chapiils bénéfi cient co nfo rm émen t il la réglemen.
t re 4(X)() : c Prestations fami liales "> ,
tation en vi gue ur da ns ces départements,
JI est ouvert au min istre de l'Information
La questio n' s'est posée de savoir s'il
pour l'exercice 195 1, au titre du Budget
convenai t de fa ire applicatio n de la majo.
annexe de la Radiod i ffusion Fra nçaise, un
ration pr évue par l a loi du 2 ma rs 1951
crédit de 6,5 millions de francs appl icable
aux personnels civils et militai res fra n çai~
au chapitre 4000 : « Prestations Familiaen service da ns les te rr itoires occupés en
les >.
A ll emagne et en Aut ri che qu i, suivant les
La présente loi sera exécutée Comme loi
er
reme nts actuels, bénéficient d u ré gime des
de l'Etat.
prestations fam il iales su r la base du salaire
Fait à Paris, le 2 mars 195 1.
moyen appliq ué à Strasbo urg. Cette queslion
doit être actuellement résol ue par la néga.
Vincent AUR IOL
tive, compte ten u du fait que les in téressés
sont par aill eurs assurés de co nserver jusCircula ire n ' 18-8-B/ 5 du 7 Ma rs 1951
qu'a u 3 1 n'la rs 195 1, le bénéfice extrêmerelative à la ma jora tion des prestament substantiel des maj orations familiales
tions familiales,
de l'indemn ité d'occupation en deutschemarks ou en schi ll ings, suivant les barê.
Le Ministre du Budget il Messieu rs
mes fixés par les décrets n' 48-868 et n'
1 es Ministres et Secrétaires
48-869 du 26 mai 1948 modifiés.
d'Etat,
Les dépenses correspo ndant à la majora·
La loi n' 5 1-'258 du 2 mars 1951, pu bliée
tian de 20 p. 100 Qui fait l'objet de la
au c Journal Officiel ~ du lendemain, a
présente circulaire seront imputés su r les
prévu :
chapitres budgétai res qu i supportent habi·
D 'une part que les Allocations Fami l iales
tuellement la char ge des prestations familes allocations de Salaire Uniq~e, les alloliales des intéressés, Dans la mesure ou la
cations prénatal es, ainsi que l'allocation
dotatio n de ces chapit res ser ait insuffisante
compensatri ce instituée par l'article 2 du
des crédits supplémentai res pourront être
décr et n' 48-1 555 du 8 octobre 1948, il l'exaccordés dans le cadre de l a répartition des
clusion des allocations de maternité et des
crédits globa ux ouver ts au Bud get du Miallocations de logement, versées au tit re des
nistèr e des Fi nances; ainsi qu'au x Budgets
mois de fèvr ier et mars 195 1 aux sal ariés
annexes des P.T.T., de la Radiodiffusion
et assimil és seront exception nell êment maFra nça ise po ur l a couvertu r e du r ajustement
jorées de 20 p. 100.
des prestations familial es.
D' autre pa r t, que les majorations de mêSur la base de ces indi cations, il apparme nature instituée au titre des mois de
tient au x différents ser vices orcfonnateurs de
décembre 1950 et janvier 195 1, par l'article
prendre l es mesures nécessa ires pour que
2 de la loi n" 50-1598 du 30 décem bre 1950,
le payement de cette majoration soit effecsont étendues aux all ocataires qui n'étaient
tué aussi rapidement que possible,
pas jusqu'ici visés par les dispositions duPour le Ministre et par au torisation,
dit article.
Le Directeur du Ca binet:
Il en résulte que les personnels de l'Etat,
Robert BLOT.
quelle que soit la catégorie à laquelle ils
----c~oo<:t---appartiennent (foncti onnai res, magistrats,
AC 3
D2 82
militaires, auxiliaires, temporai res, contractue ls et ouvriers) et quel -que soit le Budget
REGIME DE SECURITE SOCIALE DES
sur lequel ils sont rémunérés (Budget GéAGENTS PERMANEN'rS DES DEnéra i, Budgets Ann ex es, Budgets Auto noPARTEMENTS,
DES COMMUNESP'fT
mes) doivent bénéficier des majorations préDE LEURS ETABLISSEMENTS
'
vues ci-dessus pour les mois de décembre
BLiCS N'AVANT PAS LE CA RAC.
1950, janvier, février et mars 195 1.
TERE INDUSTRIEL OU COMMERFaute d'indi cations contraires à ce sujet
CIAL.
dans le texte de la loi - ôu 2 mars 1951, ses
Décret n" 5 1.280 du 2 Mars 195 1
dispositions devront être appliquées excl usivement sur le territoire de l a France méL e Président ,du C.onseil des M, nislres, t
tropolitaine, ce qui exclut en particulier les
Sur le rapport dll .Mini str~ ,du Trav ~III~'
personnels qui, en vertu de décrets d'extende la Sécurité Sociale, du M, n,stre de lin t
sion, peuvent bénéfici er du régime de la loi 1 r,'eur du Ministre de la Santé pu bhque C
,
, ,
1:'
ICes
du 22 août 1
en Afrique du Nord, dans , de la Population, du \l!a\1I1Isfre des [I!lal
•••
49
l't des Affai l'es Economiques d du Ministre
du Budget ;
\'11 l'ordo llnance n" 45-2250 du 4 octobrè
1945 portant organis~tio " ùe la Sécurité Socia le et notamment 1article 17
Caisse Primaire ùe S~cu l ité Socia le dll lit:11
dt leur r ésidence,
dernier
Les dispOsitions de l'a rticle 72
alinéa, <ie l'ordonnance du 19 oct~br e 194 ~
sont appli cables au x intéressés,
Vu le décret n" 46- 1378 ctu 8 juin 1946
portant rëglement d' admi nistration Pll b l iqu ~
pour l'application .de l'ordoll nance du 4 octobre 1945 susvisée et ,notamment l 'art, 62 ;
Art. , 4, ~ 1er. - Lorsqu e l e~ agents d'un I.'
co llectiVite ou <fun établissemcn t \' isés i:
l'ani cle 1er ci-dessus étaient soumis, avam
la publication de l'ol'1donn ance du 4 octobre
1945, à Ull régime spécial d'assulance-mala_
die, maternité, les co nditions d~ln s lesqu dles ils sont cou verts contre les ri sq ues-'-'Hl ladie, longue maladie, mat<:rni tt, decL's et
invalidit é (soins) doive nt être dé fini es dan3
lin rè glemeflt parti culier approuvé pa r arrété
du i\<\in istre du Tra vai l et de la Séc urité Sociale du lM inistre du Budget et du ,\\inistr t:
de l'Intéri eur, s'il y a lieu, du IHi nistre de
la Sa nté Pu blique el de la Popul al ion.
Ces règlements doi\'ent assurer aux agent
susvisés, et il leurs nya nrs-dr oit, tels qu 'ils
sont dé filli s â l'artic le 23 dt: l'orùo nn ance
du I ~ octobre 19.t5, des ava ntages équ ivalents, pour chaqu e risque dans on ensemble, aux prestati ons du rêgi me g-é néral des
Ass urances Sociales, sa nS que les prestations
de même natur e accondées anté ri eurement
au 1er juillet 1946 puisse nt êta.' réduites ou
supprim ées,
L es co nd itions da ilS lesq uell es les pr es tati ons en nature de l'assli l ance- maladi e sont
attribuées aux retrai tés et aux veuves titulaires d'un e pension de reversion doive nt
égalemen t être fixées pa r lesdits ri:glements
Vu le deeeet " " 46-1428 dll 12 jui n 1946
prévoyant des mesures transitoires pou r r applit.:ation dans les déoa rtements du HautI~hin, du Bas-Rhin cl ,de la M osèil e du nouvea u régime lCIe sécurité sociale,
Décrète :
Article premier,
Le agents investis
d'un emploi permaneut des départ emen ts,
des communes et des ctablissem ents publics
releva nt life ces colle cti vités et n'aya nt pas
le caractère i ndustriel ou co mm ercial sont
régis en matière d'assurances-mal ad,ie, 10 11O'lIe maladie, maternit é, décès et in validité
(soins) pa r les dispositi ons suiva ntes
Sout consid'érés COmme i nve sti s d'uil Cm 1110i permanent les agents titul aIres rt nlun érés sur des crédits budgétaires de perso nnel et co nsacra nt à cet empl oi l:l plus grande pari cte leur activité .
Art. 2 - § 1el'. - Lorsqlle la co ll ectivi té
ou l'etablissement n'avait inst itu é ava nt la
publicatio n de l'ordonnance Ou 4 octobr e
1945 susvisée, aUCun régime spéci al d'assurance-mala'die, maternité en laveur lie ses
agents investis d'lIll empl oi perm anenf, les
intéressés restent soumis au régim e gêneraI
des Assurances Sociales soit pour la tota lité
des risques s'i ls Ile so nt pas affi liés il la
Caisse Natio nale de Hetraites Ou il 1111 régime spécial de retraites, soit ua ns le t'as CO Il uaire, pour les risques maladie, lon;.:ue maladie, maternite, déces d illva lidite (soins),
sous rést:rve des dispositions de 1';:11 tic le 5,
paragraphe 4, du présent décr et,
,§ 2, - Les prestations des assurances soc,lales doivent être imputées sur les prestaItQns Correspondantes accordées au x intéressés par la co llecti vité ou l'é tahlissemen t en
application d'u statut ou du règle men t qui
leur est applicable.
La collectivité ou rétablisse ment ùoit préVOir dans ce règlem ent ou statut, et, eventU~lIement, dans les acco rd s passés avec la
Caisse Primaire de Séc uri té Soc iale, Jes mcs~l res propres à aSSurer aux intéressés la
d'fférence d'ava ntages elltre les prestations
~es A..Ssurances Sociales et les pres/ations
1e ~lem e .!1ature prév ues par le stat ut 011
e reglement qui leur est apj)Jicabl e.
d' Art. 3, - ,L,o rsque les agents permanents
~~~e collectiVIté ou d'un établissement sont
~ l ,leS au rég ime gén ér al des Ass urances
nO~lal~s POur l es risqu es ma ladie, lo ngue
~a ~dle, maternité décès et in va li dité (soi ns)
e a la Caisse Nationa le de Retraites ou li
lin régime spécial de retraites pour les risques
<IO'e nt vieillesse
'
, et in validité (pensio ns) , les
' ~' I s titul aires d'une pen si on_
ou ,
rente , de
\Icl l ess'~ ", ' ,
d'
.. , cdll 1 que les ve uves titula ires
ag~~e ~ension ,de reversion, reço ive nt s'i l sont
de la au ~olns soixante ans ou à .:o mpter
date a laquelle i ls attei gnent cet àge,
en nature de l'assl1ra n c e-rn a~
§ 2, - Les avantages définis au Ipa ragraph e préc6dent peuvent être ?ssurés, ,d ans les
co nditio ns prev ues par les règle ments visés
audit paragra;)he, soit directement par les
co ll ectivites ou établisscmtnts intéressés,
soit par l'interm édiaire d'un e societe mutualiste,
vic es llt: la Cal ssl.! Nationale oû aUIl re glm::
pél: ial de retnll tes et leurs veU\'eS t i H1 la lr e~
d'lIne pen sion 'G e rc \'crs ion ht néfk iem, ai nSI
qu e leurs ayar:t s-droit des pres tati ons en na.
t ure de l'assura nJ.:e Inalad ie, ces pr es tations
leur so nt servies par 13 Caisse Prim aire de
Sél:ul ité Sociale du li eu de leur resiJence a
.
laq uelle ils sçmt aîfil îés.
En contre-part ie, les i nté ressés supportCllt
u~e co tisatiun assise sur le montant de leur
pensio n dans la limi te du 1)lafo nd fixé rar
la législati on de la Séc llrit ~ Sada ie, êga lr>
à ce ll e impos~e au x retraités cIe l'!::.tat. Les
coli ecti \'ltes su ppo-rtent ull e cotisation ti~1l1i
monta nt éga l dan s les co nditions qui seront
fi xéoes )Jar un arr ête dl:$ AllOlsIres de 1'1 11të rieur, d u Travail et de la Sécurité SOl:ia le,
dl! Bu Jg et et lie la Sante Puhliqll~ et lli;la Populati on,
Lorsque lc Îu nctionnairc en retraite ou la
veu ve titulaire d' un e pension de revc rsion,
exercent une activi té professionnelle, ils som
assujettis au It'g l/llt! de Shunté Sociale
dont relève ce tte acti vi té.
§ ..J., - Par cI~rog:ation aux dispositions chl'artich: 2, parag raphe 1cr ci - dessus, le rL-g; me P , è\ li ail prt:St:'l1t ,uticle peut egalcrncnt
être app!illll~ aux .ag-~nts tributaires de fil
Caisse Nationale de I~et ra itcs ou li'un r L-!.:i me spt:cial de retraites qui nt: béndil:icnt j'l'as
d'lI li régime spt-cial c.l'assll.ral1l:t: mala.,ie-liliIternltt: anH?ri(!uremclit il la publicJtion de
l'or'donnam:e du . J. octobre J 945,
§ 5, - Dans les ca \ Îsés au présent a rticle et par derogatiol1 al!:\ uispositions ue
l'article -l, paragraphe 1cr, u-dessus, les reglemt'Ilts ::ionr soumis a l'approbatio n ùu
Piltlct. Celle-ci est a\.:.l:ordêc pa r un arrl:[e
prefet'toral apres m'i - du Tresorit!r-Payt:ur
Géneral, lIu Uir~..-teur I~èg:ional de la St:I.:\lri té Sociale tt s'il \' a heu, i.J 1I Olfl.:t:teur Lk ·
pa rtt:mental (\~ la Sante,
Art, 5 § 1er, - Les règlemenls visés :'1
l'article 4 ci -d essus llem l'nt éga lement préArt. 6, - Les Conseils uC lI l: rnu:\ ct .\\uvoir que les agents qui étaient sou mis avant
nici
pa ux, ainsi que les Commissions ,\J/lIIla pu hlication de l'ordo nna nce du . J. octob re
ll istrati\ e
et Conseils •..l'.'\Ulllll1lstratlulI,
IY.J.5 fi Ull régim e spécia l d'assura nce-ma lacha
rges
de
la gestion UI.!S étahliss~l1lènj:;
die matern ité so nt affil i ~s au régime génépublics di:partemenrau:\ Id l'ùmnwnaux, peurai des As::; u;a nces Sociales pour le ser vice
vent egalement pr0\ïJl r que les a~ents qlll
des p r estatio ll ~ cn natur e des assura ncesétaient sO\l lll is ara.n! la publicatiun ùt: l'Urm:1 ladie, 10Jlgll~ ma ladie, maternité et invalion nance du ~ oL'tobre I Y~5 il lin regim t:
lidité.
spécial
u'assurance malallit:-l1latt'fIlltê Sl.!rulli
La couverture desdits r isq ues ou charges
places pou r les assurêlnccs maladie, IUI~~.l!-:
est assurée par une cotisation des ag~nts
maladie, maternité, ùeü~s et ln\'alldltl':
do nt le ta ux est égal à ce lui de la co tIsa(soins Sous le reglme g~ncral des AS~l1ran
tio n supportêe Dar ,les f?nnionnaires . de
t:t:.'s Sociales),
J'Etat et une cotisation d 11 11 mo ntant l'gal
Dans ce cas, les lIispositions des artid6
.
supportée par la collect ivité,
Lorsqu'au 1er jllill~t 19..J.6, les agents ~ n
2 et .3 ci-ùessLis SOlit applll:ablc5 :
téressés rece\'aient dll'ec tel11ent. l,les ~olns
Art, 7, Sont abrû.:zcs toutes dispOSIO'ratuits de l'établissement hospItali er qUI 1~5
~mploie, en applicat~on, du statu! ou, ,du ~e t ions cont raires :lU prtsenr Lin'ret qUI prelldra etfet au premier JlHlr dll Illois sun'am
Q'lemêllt auquel ils etaIent SOUI1I1S, 1 etahli~
sa publ ication et qui sera appliGlblc sur le
sement peut prendre ,~n charge une partl~
territoire de la France ml:tropolitaine, \
de la cotisation OIl\'n L'r<~ L'orrespondJnt a
co nlpris les dêpartements du Haut-Rhin , dll
ces soins,
Bas-Rhin et de la .~Ioselle.
~ 2, Les prestations eil espèc'es des
Les régîmes antérieurement en \'i gueur
assuranceS nw ladie, ,I"nf{l~e ma ladIe" ~ , ater.
restero nt en applicatioll jusliU';\ l'approhanité et décès sont IIqllt~ee~ et ,payet.:s par
t ian des 1I011\'ea ll\. r'::" g l cl11~ ng pn'\'IIS p;u le
l es co ll ectivités ou étah hsseme,~ts dont représent décret.
lèvent les intéresst:s, Cc:'. 1 restat ~ons ne reu·
\'cnt être infériem t:'s il cell es prenle~ par I~
Art. ~, Le .\l inistre ùu Trav:til et ltc
'() 'me O'én~ ra l des Assu rances SocléI les! III
la Sécu r itê SOl:iJlc, le J\ l inistre de lïlltê~~IPérieu~es il celles artrihllt-~s aux fonchon- r ieu r le ,\lin,slre de la Santé Publique et
naires de l'Etat.
de I ~ Popul:ltion, le .\\inistre des Fi n anu.~s
et des Affai res économiques ct le Minist re
3. - Les
�50
le concerne, ùe l'application ùu présent dénet, qui sera publié au .. Journal Officiel
de la I~epublique Française •.
Fait à Paris, le 2 mars 1951.
R. PLEI'EN
Par le Président du Const!1i
des .i\\inistres
Le Ministre du Tra vail
et de Jo S~nlfile SadaIe
Paul BACON
Le Minis/re de J'ln/éricllr
Henri QUEU ILLE
Ministre du Budget
Ministre des Finances
et des Affaires Economiqu es
par in/êrim ,
Edgar FAURE
Le Ministre du Budget,
Edgar FAURE
Le Ministre de la Santé f'nbliqlle
et de la Population
Pierre SCHNEITER
Le Secrétaire d 'Etat
à l'Intérieur
Eugène THOMAS
-------<.00<.-------
D2 B2
AC 3
FONCTION PUBLIQUE
ET REFORME ADMINISTRATIVE
Décret n° 51.268 du 3 Mars 1951 portant règlement d'administration publique pour J'application de l'article 135
de la loi du 19 Octobre 1946 relative
au statut général des fonctionnaires
en ce qui concerne le licenciement
pour insuffisance professionnelle.
Le Président du Conseil des Ministres,
Sur le rapport du Ministre des Finances
et des AHaires Economiques, du ,\\inistre du
Budget et du Secrétaire d'Etat il ,l a fonction puhlique et .a la réfomle administra tive;
Vu la loi du 19 octobre 1946 portant statilt général des fonctionnai res, notamment
son article 135 ;
Vu la loi du 20 septembre 1948 portant
réiorme du r égime des pensions civ iles et
militaires,
Le Conseil d'Etat entendu,
Déorète :
Article premier. - Le fonctionnaire qui ne
satisfait pas aux conditions requises pOUf
etre admis à la r etraite, est licencié par application des dispositions de l'a rti cle 135 susvisé de la loi du 19 octobre 19-16, perçOit
une indemnité égale aux trois-quarts des
émoluments afférents au dernier moIS d'activité multipliés par le nombre d'années de
services \'ahdêes pour la retraite.
Le calcul de cette indemnité est etfectué
sur les échelles de traitement et solde en
yjgueur au moment du licenciement . majorés des allocations dll code de la famille, dll
supplément iamilial de tr aitement ou de solde et des indemnités de réSidence.
Le (payement de cette indemnité ne fait
Pas obstacle au remboursemen t des rete nues
rOllr pension prévu à J'article 55 de la loi
du 20 septembre 1948. _
L 'indemnité de licenciement est versée par
mensualités qui ne peuvent dépasser le chifrre des derniers émoluments mensu~ls perur.i~~~~~~ire licencié.
1
Art. 2. - Le Ministre des F!nances et des
Aifaires ~conoll1iques, le .t\\ulIstre . au l:htd."et le Ministre chargé de la jonchon publl~u; sont charges, chacun- 'èll ce qui 1e ('011:
cftme de l'e)..écution du p résent décret qUI
sera ~)lIblié au q; Journal Officiel :t de la I~é
publique Française.
Fait à Paris, le 3 mars 195 1.
R. PLEVEN.
Par le President du Conseil des "4inistres
Le Ministre du Budget, 2v\i nistre des
Finances et cles !\.ffaires ECo nomiques par intérim,
Edgar FAURE.
Le ,'\inistre du Budget,
Edgar FAURE.
Le Secrétaire d'Etat chargé de la
fonction publique et de la réforme administrative,
Pierre META VBR.
-------<.00<.-----__
CA I SSE NATIONALE DE RETRAITES
DES AGENTS
DES COLLECTI VITES LOCALES
Al: 3
CUMUL DE PENSIONS ET DE REMUNERATIONS PUBLIQUES D'ACTIVITE. ACQUISITION DE NOUVEAUX
DROITS A PENSION.
Circulaire du 12 Mars J 951
En vert u de l 'article 3 de I"ordonnance ÙU
25 ao ùt 1944, les collectvités locales sont
autorisées, jusqu'ra une date qui sera fixée
par décret, à faire appel au concours de retraités civils ou militaires tîtulaires d'une
pension.
Votre collectivité étant susc"1Jtible d'employer de tels agents, la présenfe cir culai re
a Ipour but de vous préciser l es r ègles a»plicables en matière:
l " De cumul d'une pension et d'une rémunération publique d/activité ;
2& D'acquisition de nouveau x uroits il
pensio n.
CHAPfTRE J
Cumul d' une pension et d'une rémunéra/ion
publique d'activité
Section 1 - Règles applicables
Il r ésulte des termes de l'article 53 du decret n" 49-1416 du 5 octobre 1949 que les
règle applicables aux pensionnés de la
Caisse Nationale de Retraites des Agellts
des Collectivités locales en matière <le
cu mul d'une pension et d'u ne rémunération
publique d'activité sont celles auxquelles sonl
soumis les agents de l'Etat.
L 'article precité n'envisage d'ailleurs qu'un
aspect de la questioll, puisqu'en réalité tout
agent lOCa l titulaire d'une pension d'une
coll ec livite publiqu e quelconque est suscep_
tible d'être intéressé par la législation sur
les cumuls, quJil soit ou non affi lié à la
Caisse Nationale.
Le régime actuel résulte, ell eHe!, de la
combinaison des dIspOSitions du décret-loi
du 29 octo.hre 1936 et de cell es dl! paragraphe 1er de J'article 59 de la loi du 20
Septembre 1948, qui s'est substitué à l'article 4 de l'ordonnance du 25 août 1944
modifié par les articles 1ers des ordonnan:
c~ _des 30 mai et
S"Clio/l Il -- C/lamp (J'apPlicatioll
-
Conformément aux dispositions de l' .
de IG d~1 décret~loi du 29 . octobre 193r;;
cha",p d applicatIOn de. la l.glSlation concer.
l~al1t le , CII~l~11 de, penslo,ns et de remunera_
tlons d actiVi té s étend . ~ t?utes les collee.
tlvltés et orgalllsmes Vises a l'articl1! 1er d
dit décret-loi.
Il
En co nséque:1ce, les règl es restrictive
pr evues pa r cette l égislat ion s'apPliquentS
n,o tamme ll.t, aux ret ra ités fiTu laires de Ipen~
SIOI1S servies :
a) so i t (lU titre :
- 'Je la loi du 1~ avril 1924 modifiée par
la 101 n" ~8- 14 50 du 20 sel}tembre 1948 .
-- ùe la loi ,ci u 2 1 ma rs 1928 refondlle'par
la !ei n " 49- 109ï du 2 ao ût 1949 (Fonds
spécial de ,etraites des Ou v" iers des Eta.
hlissemeilis Industriels de l'Etat) ;
- de la loi du 29 juin 1927 (Imprimerie
Nationa le) ,
b) soit Ipar la Caisse Naliona le ùe Helrai"s
des Ag:(' nt~ des Collectivites Locales ;
la Caisse de Retraites de la Fran"
~I'Outr e~M e r (anCiennement Caisse Intercolo.
lIiall.:" (~e Ht!~raites) ;
- la Caisse g énérale des 1 etraites de l'AI.
gérie ;
- la Caisse de Retrait es des mari ns Français et la Caisse de prévoya nce des marins ;
- ' la caisse Auto nome Mutuelle des Il,.
traites cles Agents des chemins de fer seconclaires cI 'i ntérêt généra l, cie themi ns de fer
df intérêt local et des t ramways;
- la Caisse de Retraites de la Ilégil' Auto.
nomt des transports parisiens ;
c) soi t en vertu des régi mes parti culiers d~
re traites institués au pr ofIt des perso nnels ;
-- de la Sociêtë Nationale des chemi ns de
fer Français ;
- de J'Electricité et du gaz de France:
des Charbonnages dè France ;
-- des Caisses <le Sécurité Sociale.
Section III -
Portée des règles reslrictil'es
de clImul
/\) En ce qlli concerne les pensions
a) N e sont pas so umis aux règles restric·
tiiVes de cumu~ d' un e pension et d'une rémunération d'acti vité
- l es pensions de veuves qu'elle qu'ait été
la nature de la pe nsion !lion t bénéficiait 011
a ur ait ~) U bénéficier le mari;
- les pensions mi xtes de l'ar ticle 59 <le
la loi du 3 1 mars 1919 ;
- les pensions militaires proportionnelles
de sous-of.ficiers ;
- à pa,rti r du 1er janvie'i" 1950, les. ~en·
sions militaires pro!portiollnelles des offtClers
du cadre latéral de la guerre 1914-1 91S
-- les traitemen ts de la légiou d'honneur
et de la Médaille militaire ;
1
- les pensions des lois des 3 1 ma rS e
24 juin 19 19 et notamm ent:
.
la palrt 4'; invalidité » des penSIOns mi xtes
de l'a rti cle 60 de ladite loi ;
les lOe nsions militaires d'i nva lidité de Ilartic le 3 1, second alinéa, de la loi clu 20 sep·
1 tem'bre 194R :
-- la retraite du combatta nt:
les alloca tions pour médaill es œ hon~
nellr;
.
de rE- les pellsions ayant le carach:re
compe nse national..
. s
·
e
les
ancien
d
é
Au surplus, il a té a mis qu
du ser'
sous~officiers retraités ayant
51
de réserve et dont la' pension proportion~
ncae a été leNisée, en appJic-atiOIl de l'article
33 de la loi du 14 avril 1924, Sur un solde
d'o'ffider, continu eraient néanmOins il être
consi'Ciéres co mm e titulaires d'une pension
proportionnelle de sous-officier et à échapper aux r ègles rest rictives de cumu l d' une
pension et d'une rémun ératio n d'activité.
Pour bénéficier de cette dérogation, les
intéressés doivent n'avoir jama is ser vi en
qualité d'offilcier d'active ni bénéficier, pair
suite de Ja prise en co mpte de l eurs nouveaux
serv ices, d' une pension militaire d'anci enneté.
- soit au montant des émoluments afférents a~ nOllvel emploi occupé;
- SOit au montar1t Lies emûluments dt!
base pris en compte pour la fixation de l a
pension, après abattt!ment s'il y a lieu (c. f.
art. 16 du décret du 5 octob re 1949),
- soit à trois fois le minimum vital,
274.800 francs
c'es t-a-di re 9 1.600 X 3
jusqu'au 3 1 décembre 1949, et à quatre fois
le minimum vital, soit 366.400 francs, a partir du 1er janvier 1950 (arti cle 43, para graphe Il, dé la loi de Fi nances n" 50.928 du
9 aoüt 1950).
b) Par contre, son! notamment Soumises
aux règles restrictives du cllmul
, Il convient d'appliquer ce ll e de ces trois
l imites de oumul qui est la plus favorable à
l'agent.
- les pensio ns CÏiviles personnell es, d'ancie nneté ou proportionne ll es, des régimes tde
retraites visés à la Section " ci-dess us ;
- les re ntes viagères d'inlva lidité attribuées ell vertu ,de l'article 28 du décret n"
49-1 4t 6 du 5 octobre 1949 ou de disposi.
tions analogues d 'autres rég im es de retraites ;
- les pensions civiles d'inva lidHé ;
- les r entes viagères allouées en appfi'cation de l'arti ol e 20 - 2' du décret n" 48-60G
du 2 avril 1948 et révisées en conformité des
dispositions de l'article 64-1 ,du décret du 5
octobl'e 1949, ,ainsi que les rentes viagères
concédées et révisées en vert u des dispositions analogues d'autres r égimes de retraites ;
- sous réserve des deux exceptio ns citées ci-dess us, les pensions militaires d'a ncienneté ou proportionnelles d'officiers et les
pensions militaires d'ancienneté de sousofficiers ;
- les sol des de réserve des officiers
généraux.
Les émolum ents de retraite retenus pour
l'applIcation des règles de cumul sont ceux
de la pension principale, à l'exclusion des
accessoires, et notamment de la majoration
pour entants.
B) En ce qui concerne les remuneratiofls
d'activité.
Conformément aux dispositions de l'article
81 de la l oi du 28 fév r ier 1933, toutes « le.
Sommes allouées so us quelque dénomination
que ce soit, à rai so n de serv ices rém un érés
à la journée, au mois ou à l' année, ou forfaitairement sous forme d'u ne indemnité ou
a!location q uelconque » sont soum ises allx
regles restri cti ves de cumul.
Par co ntre, n'entrent pas en ligne de
Compte, notamment :
- les i ndemnités, supplements et avantages énumérés à l'article 9 du décret-loi
du 29 octobre 1936 modifi é par l 'a r ticle premier de l'ordonnance du 25 aoüt 1944 (in~emnités à caractère résiden tie l ou familial,
I~~emnités représentatives de frais, à lé}' cond~tlon qu'elles correspondent à des dépenses
reelles, etc ... ),
-
l'indemnité
parlementaire
servie
aux
m~mbres de l' Assemblée Nationale, du Cons,ell de la R.ép ubliq ue et de l'Assemll lée de
1Umon Française.
Section IV -
Limites pécuniaires de c/lmul
2 En ve rtu de l'arti cle 4 de l'ordonnance du
1,5 ~oût 1944, modifié en dernier lieu par
article 59, paragraphe 1er de la loi du 20
feptemh re 1948, les pensions et rém unéral~ o~s d'activité peuvent se cumuler, dans ia
Imite d'tilt plafond fixé :
- A l'aven ir, la déclaration devra être
Souscrite dans le délai d'un mois après l'entrée en service.
Chaque déclaration, portant la référence
104 C N 8 devra mentionner les nom el
prénoms de l 'i ntéressé, la nature et le numéro d'i nscription de sa pension (ou des
avances sur pension), le nom de la collectivité locale au titre de laquelle l'agent est retraité, la nature exacte de son nouvel emploi,
la date de son entrée en fonctions, ainsi que
les montants annuels successifs du traitement et des i ndemnités y rattachées depuis
le 1er j anvier 1948 (ou depuis la date d'entree en service, si cell e-ci est postérieure au
1er janvier 1948).
=
Pour l'appréciation des limites pécuniaires, les émoluments d'activité et de retraites
sont comptés pour l eur montant brut.
Par ailleurs, lorsque la .périOde de cu mul
est inférieure à un an, l'intéressé doit être
soumis aux r ègles de cu mul pou r l a pér iode
co nsidérée, dès lors que l e total des montants ann uels de sa pension et de la rémunération attac hée à son nouvel emploi excède
les l imites autorisées,
La déclaration devra être renouvelée toutes les fois qu'une modification surviendra
dans le montant du traitement et des indemnités.
Secrion V. - Moda/ites d'application
A. - Alian/age soumis à réduction.
Confor mément aux dispositions de l'articl e t 8 du décret-loi du 29 octobre 1936, successivement modifié par l 'a rticle 4 de l'ordonnance n" 45-1110 du 30 mai 1945 et l 'article 59 (V Il 1) de la loi du 20 septembr e
1948, lorsqu e le total de la pension et de la
rémun ération d'ac tivité excède la limite de
cumul applicable, la r éd uction doit êt re
opérée sur la pension.
Par suite, la co llecti vité employant un
retraité doit, en tout état de cause, servir a
ce l ui-ci l'intégralité de son traitement. Si le
total « traitement + pension > dépasse la
limite pécuniaire applicabl e dans le cas de
l'espèce, la pension est réduite à due concurrence par la collectivité qui sert la pension.
B. -
Dispositions pratiques.
Pour assurer l'application de la réglementati on su r le cumu l, l'article 19 du lIécret du
29 octobre 1936 prévoit deux mesures:
d' une part, une déclaration de la co llectivité
qui emploie un retraité ; lI'autre part, une
déclaration du pensionné au moment de la
perception de ses arrérages.
a)
Déclaration de la t.:ollcctil1ite.
Toute collectivité qui rémunère à un titrt:
quelconque des retrai tés des co llectiv.ités visées à la section Il du présent chapitre (et
titulaires de pensions \'isées à la section III A - B) doit, dans le moi~ d'entrée en service en faire l a déclaratIOn aux adn1JllIstratfons ou organismes qui servent ces pensions.
II ne m'appartient pas, bien, ~ntendu, de
vous indiquer dans quell e,s conditions c~s déclaratIOns doivent être fa ites aux orgalll mes
autres que la Ca isse Natio na! e,
En ce qui concerne le,S r e n~ lOnnés de ce t~ e
dernière, je vo us ser ais obligé. d~ voulo~r
bien VOLIS (,'onfo rmer aux preSCriptIOns SUIvantes :
- Si votre collectivité emploie actuell ement ou a employé dep uis le 1er janvier
1948, à titrc pcr/1la~e.nt. ou non, un .o u plusieurs agenls bénéflClaITeS de pensIOns ou
d'a \'anct's su r pe:1sion sen 'Ies par la Ca isse
NatIonale, vous voudrez bien m'en faire la
1
b) Déclaration du pensionné.
Elle doit êt re remise à la caisse du comptab le chargé du paiement de la pension. Elle
est exigée lors du premier paiement d'arrérages de la pension et, ultérieurement, lors
de chaque premier paiement annuel d'arrérages.
Les sanctions en cas de fausses déclarations so nt ce lles prévues par l 'a rticle 5 de
la loi du 5 septemhre 19 19, à savoir un emprisonnement de deux à cinq ans, une amende susceptible d'atteindre le montant des
arrérages d'un an de pension, sans préjudice
du remboursement des sommes indûment
touchées et de peines plus g raves en cas de
faux Ou autres cr imes ou délits prévus par
le Code Pénal , et éventuellement de la perte
de la pension édictée par la loi du 15 mai
18 18.
Je vous serais obligé de vo uloi r bien porter les termes du présent paragraphe à la
connaissa nce des intéressés.
C. -
Récupération des sommes dlles .-
Par suite de l'application tardh'e des r ègl es de cumul, un agent peut se trouver redevable, au titre de la péri ode antérieure,
de sommes importantes.
Dans l' hypotHèse où la situation pécuniaire de J'intéressé ne lui permettrait pas d'effec tuer l e remboursement de ces sommes
dans les conditions que la Caisse Nationale
serait en droit de fi xe r en \'ertu des règ-Ies
applicables, mon Ad ministration ne se refuserait pas à lui acco rder, s'il était de bonne
foi, les délais plus longs pour se libérer de
sa dette.
CHAPITI<E JI
Acquisition lie nouVeaux droits à pension
Section / - Généralités
Aux termes de l 'article 7 de l'ordonnance
dll 25 aoùt 1944, modifié rar l'a rticl e 2 de
l 'ordonnance du 30 mai 1945 et J"article 59,
paragraphe 3 de la loi du 20 septembre 1 94<~,
les fonction nai res civ ils aussi bien Que les
militaires, retraités par limite d'lge, Qui occupe nt un nouvel emploi civil de titulaire ne
peuvent acquérir de nouveaux droits à l a
retraite. Ils demeurent néanmoins redel'obles
de la retenue de 6 %.
Par contre, quand la mise à la retraite a
été prononcée pour lin aut re motif, les intéressés ont la possibilitê d'acquérir de noul'eau, droits à pension au hlre de leur nou\'e l emploi, da ns des conditions toutefois
di~trentes selon qu'il s'agit de retraités rnili-
�-
52
Ces dispositions ont etê ren dues applicables aux tributaires de la Caisse Nationale
par t'arti cle 53 du décret du 5 octohre 19-19.
Section 1/ - Retraités militaires
Les militaires ainsi que les fonci'ioonaire
ch'i1s -titulaires d'une pension à forme militaire, retraités pour un motif au!re. 9ue l a
limite d'âge, nommés à un emplOI (1\' 11 , cumulent leur retraite et leur traitement dans
les limites autorisées (voir chapitre 1) et acquièrent de nouveaux droits à pe~sion en
versant, bien entendu, la retenue re glementaire.
Les services militaires ne sont pas pris
en compte dans le ca lcul du montant de ta
pension susceptiblè d'être allouée par le r égime civil, mais entrent en compte dans la
constitution du droit à pension.
Les anciens militaires passés sous l e r é(Ji me de la Caisse Nationale auront donc
deux titres de pension, l'un pour les services mîlitaires, l'autre pour les services civils.
Sec/ion III - Re/raites Civils
A. - Portée de la législation
En ce qui concerne les retraités civi ls, les
dispositions visées à la section 1 du présent
chapitre ne jouent que lorsqu' i l e~i~te une
coordination particulière entre le regml,e retraites au titre duquel a été concédée la pension et celui dont l'intéressé devient tributaire du clief de son nouvel empl oi, et que
cette I.:ùllrdination conduit à l'attribution
d'une pension à part contributive.
Les agents des collectivités locales, titulaires d'une pension civil e ne sont donc
actuellement intéressés par les dispositions
en cause q.u'autant que leur pension a été
octroyée ou revisée soit au titre :
- de la loi n' 48-1450 du 20 septembre
1948 - (régime des pensions civiles de
l'Etat),
- de la loi n' 49-1097 du 2 aoùt 1940
(Fonds Spécial de retraites des ouvr iers des
Etablissements industriels de l' Etat) ;
_ du décret n' 49-1416 du 5 octobre 1949
(Caisse Nationale de Retraites des Agents
des Collectivités local es).
Dans ce dernier cas, l'agent a pu être
admis â la retraite au titre d'un emp loi (notamment par in\'alidité) et être titularisé par
la même collectivité dans un autre emploI.
Dans l'hypothèse où il n'existe . pas de
coordination particulière entre l'a!1clen ré ~ l
me de retraites et celui de la Caisse Nationale, le retraité est susceptible de ~otiser à
ladite Caisse sans avoir de formailtes particulières â remplir (ses droits éventuels à
pension seront appr éciés compte tenu des
seuls services valables au re gard de la
Caisse Nationale).
B. -
Relloncialioll à la {aeulli! de cLlmll1
Les
agents
titutaires d'une p.ension
octroyée au titre de l' un des trOIs reglme.s
spéciaux mentionnés au paragraph~ A CI dessus, et dont la mise à. la r etraite dans
l'ancien emploi n'a pas "te prononcée pour
limite d'âge, ne peuvent a~quéTlr de ".ouveaux droits à pension au titre de la Caisse
Nationale qu'autant qu'ils renoncent expressément et dans les Irois mois .d~ la notIfication de leur remise en ac/m/e, a la faculté de cumuler, dans les limites a,utorisées,
avec leur traitement d actIVIté.
Pour ccux de vos agents actuellement en
fonctions le de/ai dans lequel sera repœ
ta refl(){l~ialion COllrl de la dale tle la présente circulaire.
A défaut Lie renonciation formulëe dans le
df-Iai imparti les intéresSês seront irrévocahlement réputés n'avoir pas vou lu être assujettis au r égime de la Caisse Nationale.
La renonciation doit être souscrite, efl
double exemplain', par l'interessé, sur papier
libre et {Otre transmise par vos soins à la
Cais~e des Dépôts et Consignations ( IOe Division, 4e Bllr eall) dans le délai de trOis
mois prev u.
Elle doit por ter non seulement sur I ~ pension, mais éga lement sur la r ente v l ag~re
d' invalidité qui s'y ajoute lorsque la pensIOn
a été accordée pour inval idité imputable au
ser vice.
Vùus trouverez en annexe un ~odèle de
renonciatioll. A cette pièce devra être joint
le ou les titres de la pension objet de la
déclaration.
Dans l'hypothèse 0u tout ou partie de
13. pension serait suspendu pour le montant
d' une rente de la Caisse Natio nale d'Assurance sur la Vie (ancienne Caisse Nationale
des Retraites pour la Vieillesse), il conl'iendra it d'appuyer le carnet à co upons aflér.erlt
.ft cette rente d'un certificat de vie du tItulaire, afin de permettre à mon Administr:atian de faire procéder au raL'hat de lad Ite
rente.
Dès que la renonci ati on lui ser a parvenu~ ,
la Caisse des Dépôts vous en accuse ra reception, classera un des deux exemplai.r es
au dossier ouvert au nom de l'agent au ti t re
de vot re collectivitê, et transmettra, à toutes
fins utiles, l'autre exempl aire à rA~ministra
tion ou au sen/iee chargé du paIement de
la pension (Dette Publique, Fonds Spécial
de retraites des ouvriers des Etablissements
Industriels de l'Etat, section des pensions
de la Caisse Nationale).
A l'avenir, lorsque vous établi r ez une proposition d'affiliation modèle E pour un agent
déjà titulaire d'une pension, vous voudrez
bien, te cas échéant, compléter cette proposition après le renvoi (f) par l'i ndication
« L'i ntéressé ren onCera à cette pension :&.
Après que la proposition d'affi l iation vous
aura Hé r etournée acceptée par mon AdmInistration, vous aurez à me la renvoyer, acccmpagnée de la renonciation et du livret .de
ptnsion, à l'appui du bor~e r eau modele
c A ~ constatant les prermers versements
effectués par l'intéressé.
C. -
Conséquences de la renonciation
à la {acuité de cumul
Les règles dégagées ci-d~ssus sont applicables aux- agents en actiVIté le J 6 octobre
1949, et qui accomplissaient à cette date des
ser vices susceptibl es d'être pns en compte
dans leur pension.
Les agents qui satisfont à ce.tte co ndit io~
et qui renonceront à leur pensIon auront a
reverser l es arréra ges qu'ils ont perçus à
compter du 16 octobre 1949. Ceux qui ont
été affiliés à l a Caisse Nationale ap rès le
16 octobre 1949 devront reverser l es arrérages perçus à compter de l a date de le~r
affiliation, s'ils n'ont pas de services antcri eurs à faire valider .
Mon Administration ne se refuserait pas
à ;\ccorder, dans certains cas et sur dema:1de, des délais pour le reversement des
arr erafes perçus su r les pensions qu'elle se 1
(pensions du Fonds Spécia l de. retraites d~
ouv ri ers des Etablissements Ind ustriels d
!'Etat et de la Caisse Natio nale de retrait~
des agents des collectivités loCales).
La ren onciation ne fa it pas perdre au ~
i ntéress és I ~ bénéfice des, rappels d'arrér~,
" es suscepti bles de leur etre dû ultérieure.
ment pour un e période antér ieure au 16 oc.
tobre 1949 (notamment ~u titre de la pére,
quation).
L'agent qu i a renoncé à sa pension est
co nsidé ré' commt! n'ayant pas étè retraité et
par sui te, la nouvelle pensio n dont il es;
appelé à bénéficier sera liquidée compte tenu
de l'ensemble des servi ces accomplis tant
dans l'ancien que dans l e nOllvel emploi 1:1
sera basée SUT le tr aitement afterent 1 au
dernier empl oi effectiveme nt occupé pendant
six mois au moins au moment de l'admis.
sion à la retra ite.
Si celle-ci est prononcée pOUT une autre
cause que l'invali dité résultant de l'exercice
des fonctions, a ucune rente viagère d'invali.
dité ne s'ajoutera à l a pension quand bien
même l'intéressé se serait vu attribuer une
telle rente au titre de sa première mise il la
retraite.
D. -
Situation des agents qui préfère/lt
cllmul er leur pension et l eur traitemellt
Les pensionnés visés au premfer alinéa du
para(Traphe B de la section III ci-dessus, Qui
préfèe;.ent cumul er (dans les limites pré\'ues)
leur pension 3\'ec leur t r aitement n'acquièr ent pas de nouveau x droits à pension au
r ega rd de.la Caisse Nationale; en contrepartie, ils sont dispensés du ve rsement des
retenues au titre de l adite ·Caisse (et les
53
Caisse des Dépôls
el Consignations
Annexe à la Ci rculai rl!
dll 12 mars 1951
Format 2 1 X 27
CA ISSE NATIONALE DE RETIlA ITES
DES AGENTS
DES COLL ECTIV I TES LOCALES
D éclaration de reno.ncialion li la faculté
de cUnluler ulle penSIon allec lm traitement
(:l étahlir en double extè'nllliai r e Sur pHpier libre)
Monsieu r le ( 1) ...... ............ .
Je so ussigné (2) .... . ................ .
tit ulaire de .l a pe nsion (3) n" ........... .
de (4)
. . ..... ........... .
affiliê à 'la Caisse Natio na le cie retraites d~s
agents des collectivités locales SOus l e n" ..
...... :...... . ...... ...... .. (5) ;
déclare Irrevocabl ement renonce r à compter
du (6) ........ . ......... . . . ... " "
à la facu lté de cumul er les arrér ages de cette
pension (3) avec mon traitement d'activité
e~ vue d'~cquérir de no~ veaux droits à penSion au titre de la CaIsse Nationale.
Ci-joi nt le titre de pension.
Communiqués - A vis
Annonces diverses
légué à la ville d' Aix : 1. L 'immeuble sis
à Aix, 23, rue Constantin, destiné à l'asile
de nuit « Adolphe-Andrieu > ; 2. Le capital nécessaire pour acheter un titre de rente
française de cent francs, emprunt 3 p. 100,
dont le reve nu sera distribué annuellement
sous forme de prix à la classe de chant pour
hommes du Conservatoire de Musique d' Aix,
et au Bureau de Bienfaisance d'Aix la somme de 10.000 fran cs.
D482
DONS ET LEGS
Avis publié ru e.récutiot~ de l'arlicle 3 du dé.
",et du 1er février 189 6 dans Je lm! d'l:nviN!r
\es hé.ritie<rs ÎnconnlfJ de~ testateurs à pre11dre
IOmlOISSOllCe dH testamenl, en till e de d Ontler
I Cllr COU.relltC'nJe,tt 011 de produire leurs moyens
d'opPosition.
Les r~cJama'.ioJl.s ne sont reoe'VObJes qlu dOlls
tm délai de trois ft!,ois à partir de l'msertion
au ~ Bulletin ».
P"r testament authentique du 16 avril
J 943, dt:posé aux minutes de Ni- Malin,vaud,
notaire à Aix, lM. Adoli>he-Félix Andrieu a
et les prénoms suivis, le cas échéant, de l'étatcivil (femme X ... , Ou veuve X ... , ou divorcée X ... )
(3) Ou «avan ce sur pension~. Le cas
éch éant, ajouter « et de la rente viagère d 'in va·
lidité qui s'y rattache ~.
.
A ................ ,l e ' ........ . ...•
Signature .:
(4) Nom de l'Administration à laquell e ont été:
r endus les services pris en compte dan s la
liquidati on de la pension.
(1) Un des exemplaires de la d éclaration es t
destiné au Directeur général de la Caisse des
Dépôts et Consignations ; l'autre exempl aire
Ile devra pas être compl été à cet emplacement,
la Ca isse Nationale se chargeant d e le faire.
(2) Nom et prénom s. S'il s 'agit d'un agent
du sexe féminin, indiquer le n om de j eu ne fill e
(5) Numé r o de la collectivité suiv i du num éro
d'o rdre de l'agent.
(0) Date d'affiliation à la Ca isse Nationale,
('l U dan s le cas où les servi ces antérieurs à l'af.
fi li ation ont été valid és, point d e dépa rt de ces
se rv ices. La r enonciation n'a pas, toutefois. à
porter su r les arrérages de pensi on antéri eurs
au 16 octobre ] 949.
IYl4 rsei Ile, le 13 mars 195 1.
•••
Par testaments olographes des 3 janvier
1949 et 12 décembre 1950 déposés aux minutes de M- Milan, notaire à Saint-Rem yde-PlTovence et de ,M ' Bierry, notaire â
Beaucaire, lM. Steinhilber Godfried-Louis
Emile a légué aux SŒurs de St-Vincent de
Paul de Beaucaire ~ur leur pauvres les
biens qui se trouvent dans le coffre n° 3-8
du Comptoir National d'Escompte de Beaucaire ; à l'hôpital-hospice de St-Remy la
somme d'e 200.000 tirancs ; au Bureau tIe
Bienfaisance de St-Remy, l e suoplus de son
patrimoine.
Marseille, le 13 mar
coll ectivités n'ont pas, bien entendu, à verser
de co ntribution pour ces agents).
Les 3 fT e nts intéressés actuellement en fonctions q~i nt désirent pas renonce~ à leur
pension doivent donc cesser, dès maIntenant,
de cotiser à la Caisse Nationale.
Les versements de ret en ues et ue contri·
butions effectués à ce jour pour les agents
en ca use seront consig érés comme irré~u·
liers et, pa r su ite, seront reversés gl obal~
ment à votre collectivi té, su r sa demande, a
charge pour elle de r égulariser éventuellement la situation des intéressés au .rega'id
de l à Sécurité Socia le et de leur restituer e
reli quat de retenues susceptihle. d:: leu'
revenir ap rès inter venti on de cette ref!"lIta·
risation.
Il est , rappelé (C f. section 1) que If!
agents titulaires d'une pension or:troy~el~
la su ite d'une mise à la retr aite pour 11~1I~
d'âge au titre de l'un des régi mes VIS t
au paragraphe A de l a section II I du pré'"
chapitre ne peuvent acquérir de nO\1 v eay'
droits à pension, mais doivent néa nm~Jn~
cotiser à la Caisse National e. et les. co. ec~
ti vités employeuses ver ser les l:ontnhuftOm
cor respondantes.
'
.
.
.
or(/((' une
Il dOit do nc m'etre produit pour
l'
propositi on d'affiliation établie al! nol11 1
ces agents.
. au(
Ceux-ci so nt, bien entendu , SO IlIll~? nI el
règles régissant le cumul j ' une pen:;10
d'un traitement d'acti vité.
, L e Direcf eLlr Général.
1" I~·
de la Caisse des Dép61s el Coasl~na lOi
Jea n WATTEAU.
Copie: certi6ée
COD
forme.
Pour J.e: Préfet :
L, S tc,.étGlre GiHirtJl : LAMASSOURE.
195 1.
-------<>00<>'-------
�5 Avril 1951
~n~~~.~14
REPUBLIQ
_ _U_E_F_RANÇAISE
DËPARTEMENT DES
BOUCHES-DU-RH~
~~
E
Recueil des Actes Admini~'
et Bulletin des Mairies
Toute correspondan ce r e lative ail R eclleil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Gé néra l
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arr êté préfectoral. - C. : Circulaire - L es lettres 0 et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Burea u d'origine.
D. S. T. : Direction des Ser vices Technique,. - D. D. S. : Dlrechon Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direc tion départementale de la Population.
SOMMAIRE
Arrtlés réglementaires et CircUlair...
Pages
AG O. - D él égation de signature ... .
55
AG 2. - Ser vices d'inspec ti on des
viandes .... .. . .. ...... . ..........
56
AG 2. - Majoration f ami li ale de l'indemnité de r ésidence .. . . . . . . . . . . . .
56
FS 7. - Approvisionnement en charbon des Etabl issements hospitaliers.
56
SC 7. - Responsabili té des Comm unes
pour insuffisance des mesures de sé-
curité da ns les établ issements recevant du public ..................
57
SC 7. - Stages d'i nstr uction po ur les
oftkiers de sapeu rs-pompiers chef de
cent re ..........
............
SC 7. - Médaille d' Honneur des Sapeurs-pompiers. Promoti on du 14
j uill et 195 1 ........... . ..........
A O. Accidents du T r avail des
salari és agricoles ........ . .......
CT 2. - Aff ranchissement du courrier
des Hôpi ta ux et Hospices publics..
Communiqués, A vis, Annonces diver. .
58
59
59
60
Textes d'Intérêt Général
AC 3. -
Sécurité sociale des fonction nai res de l'Etat ........... . ......
60
-
Demande d'emploi de secrétaire de
Mai r ie .... . '. . .. ......... . ......
61
CornmUJÛqués du Secrétariat
de l 'Union des Maires
Procès- verbal de l a réunion de la
Commission de l'Hydraulique de l'Union des Maires des B.-du-Rhône..
- Demandes de prêts à la Caisse
d'Epargne . . ..... ... .. ..........
61
62
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D282
AG 0
DELEGATION DE SIGNAT URE
A RRET,E
Le Préfet des B ouches- du-R hône,
Officie r de la Légion d' Ho nneur,
Vu le déc ret du 10 septembre 1926, relat i t
à l'o rga nisa ti o n de l'Administ ratio n prefectorale ;
Vu le décr et n' 50-722, du 24 j ui.n 1950,
rel atif à la déléO'at ion des po uvoi rs prop res
aux Préfe ts S~us- Pr éfets et Secrétai res
Gênél a ux d~ Préfecture;
Vu les arrêtés préfectoraux des 27 j uill et
1950 et 5 aoû t 1950 don nant délégatio n il
M, Roux Victo r, chef du 2e Bureau, et à .M,
Eysseri c Ma urice chef du 1er Bt!reau, po ur
la signa ture des 'mandats d o rdres de paiement, des chèqu es ti rés su r les comptahles
assig~a t a ires, des borderea ux d'ém ission,
des titres de recettes o rdres de revelliement
et pi èces co mptables' de tO Il S ord res co nce rnant les fi nances de l'Etat et du D épa r tement ;
Vu les nécess ités d u service j
S ur j a pro pos itio n de N\. le Secrétaire GénéraI des Bouches-du-Rhône;
Arrête :
Artic le premie r.
En l'abse nce de M.
Eysscric Ma urice, chef du 1er Burea u, et de
M. I~oux Victor c~ef du 2e Bureau, M .
Bizet Joseph, att~ch é de Pr éfecture, chef du
3e Hu rea u, est délé2"Ué pour s igner en fl ot re
nom les ma nda ts
o rd res de paiement, les
et
bo rde rea ux d'émission, les t itres de recettes,
o rdres de reve rsement et pièces co mptables
de to us o rdres concerna nt les finances de
l' Eta t et du Dépa r tement, a insi q ue les ampliatio ns d'arrêtés et co pies confo rm es de
docume nts et to us certifica ts, notes se ra ppo rta nt il la législation SU T les prestations
familia les, ai nsi que tous doc um e nts relatifs
à la légis lati o n su r les pensions de retraites,
Arti cl e 2. - M. le Secrétai re Général des
Bouch es-du-l~hône et AI. le T r ésor ie r-Payeur
Géné ra l so nt chargés, chacun e n ce qui le
concerne. d'assurer l'execu tion du présent
a rrêté, q ui sera publié au Recueil des Actes
Administratils du Département.
,\l arsei lle, le 28 IIlMS 195 1.
Pour le Préfel
Le Secretaire Général délégué
LAAIASSOU RE
•••
ARRETE
I.e Préfet des Bouches-liu-R hone.
Officie r cie la Lég io n d' Honneur,
Vu le déc ret du 10 septemb re 1926, re latii
à l'orga nisat io n de " Administration Prefel'tora le ;
.
Vu le décret nO. 50-722, du 24 juin 1950,
rela tif fi la délégatio n des pouvoi rs a ux
Préfet, Sous-Préfets et Secrétaires Générau x de Préfectu re;
Vu les arrêtés préfectora ux du
195 1. donna nt dé légatio n à t\ \M,
chef du 1
chef du 2e Bureau, pour signe r la formule,
ren.d a nt exécutoi re les tit res de perception
émis pa r les ordonnate urs et administrateurs
locaux po ur le recouv remeIYt des créances de
l'Etat ét ra ngè res il l'imp ôt et au domaine;
Vu la circulaire de M. le Mi nistre des Fina nces et des Aff a ires Economiques n0
1.387/ F.F. du 19 fév rier 195 1, re lative au
reco uv rement des créances de l' Etat, étrangè res â. l'impôt et au domaine
Vu les nécess ités du se r vice;
Su r la pro posi ti o n de M, le Secrétaire
Génér al des Bouches-du-Rhône ;
Arrète :
Article premi er. En l'abse nce de M.
Eysseric A\aurice, chef du 1er Bureau et de
M . Roux Victor, chef du 2e Burea u, M,
Bizet Josep h, attac hë de P réfecture, chef du
3e Bureau, est délég ué po ur signe r en notre
nom, la formule ren da nt exécutoire les titres
de perceptio n émis par les o rdo nnateurs et
administrateurs loca ux pou r le reCOU\'feml"nt
des créa nces de l'Etat, ~trangè res à l'impôt
et au domain e.
Arti cle 2. - M. le Sec rétai re Gël1~ral d s
Bouches-dll-Rhône et M , le Treso rier- Payeur
Général sont cha rges, chacun en ce q ui le
co ncerne, d'assurer J'e xéc utio n du présent
a rrêté qui se ra puhlië au recueil de actes
administratifs <i u Département.
Alarseille, l e 28 mars 1951.
Pour le Préfet,
Le
St' t·rl..;tatn~
Général délègue,
�56
02 B3
AG
2
SERVICES D'INSPECTION
DES VIANDES
j'ai l'ilorlneur de porter ci-dessous, d la
connaissance de MM. les Maires du Département, le texte de la circulaire AP. V. n° 3.733
de M. le Alinislre de r Agriculture en date
du S janvier 1951, relaUve à la dénomina-
tion des agents ' affectes dans les services
d'inspection diS viandes.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué,
LAMASSOURE
Le Ministre de l' Agriculture à Messieurs
les Préfets,
Messieurs les Inspecteurs Généraux
des Sen;ces Vétérinaires,
Messieurs les Directeurs Départementaux des Services Vétérinaires (pour
exécution).
L' article 10 de la loi du 7 juillet 1933 et
l' article 26 du décret du 29 septembre 1935,
portant règlement d'Administration Publique
pour l' application de la dite loi, précisent
que l'inspection de salubrité des viandes destinées à l' alimentation humaine ne peut être
assurée que par des vétérinaires pourvus du
mandat sanitaire et que ces derniers peuvent
être assistés, SOIIS lellr responsabilité, d ' un
ou plusieurs préposés.
Avant l'application de ce texte législatif,
certaines municipalités avaient introduit de
tels agents dans les services d'inspection des
viandes et les avaient désignés sous des appellatio~s
diverses. Le Parlement, au cours
de la dIscussion de la loi susvisée, a décidé
que les vétérinaires chargés de l'inspection
de la salubrité des viandes pourraient être
assistés d'aul<Ïliaires portant le titre de
e préposés >.
D'autres part, le projet de règlement-type
des abattoirs publics, élaboré par la Commission des abattoirs, siégeant au Ministère
de l'Agriculture, a donné à ces auenls le
titre de < préposés surveillan(s sanitaires :. .
Or, il m'a é té signalé que des fonctionnaires ayant les attributions de préposés étaient
nommés par arrêtés municipaux sous
des désignations autres.
'
En conséquence, je vous prÎe instamment
d'inviter MM. les Maires de votre Département à ~e conformer a ux dispositions rappelées c.-dessus, et, éventuellement à r a pporter les arrêtés dans lesquels les préposés
seraient désignés sous une autre appellation
que celle de préposé ou « préposé surveillant sanitaire :».
Le Ministre de l' Intérieur et le Minist r e
Vu l'article premier de l'ordonnance du
17 mai 1945, relative aux Services Publics
des départements, des communes et de reues
établissemenls publics ;
Vu l'arrêté du 19 novembre 1948, portant
app lication du reclassement des fonctionnaires et agents des commu nes, et notam ment
son article 6 J
Vu l'article 5 de l'arrêté du 16 ma rs 1949,
po rtant classement indiciai re des fo nctionnaires et agents départementaux i
Vu l'avis de la section du perso n nel du
Conseil National des Services Publ ics departementaux et communaux
Arrêtent :
Article premier. -- A compter du 1er octobre 1950, les dispositions du troisième alinéa
de l'article 6 de l' arrété susvisé du 19 novembre 1949, portant app lication du reclassement des fonctionnaires et agents des
communes, sont remplacées par les suivantes :
.
« La majoration fami liale peut-être attribuée à tous les fonction nai res et agents
ayant des enfants considérés com me à c harge, au sens de la réglementatio n app licab le
en matière de prestatio ns fami liales.
c Toutefois, dans les ménages de fonctionnaires de collectivités publiques les avantages prévus ne se cumulent pas, seu l le
chef de famille en bénéficie.
« Lorsque les deux conjoints t ravaillent,
l'un d'eux seulement étant agent d'une collectivité publique accordant cet ava ntage à
ses agents, ce dernier peut bénéficier de la
majoration familiale de l' indemnité de résidence même si la qualité de chef de fami ll e
a ppartient à l' autre époux • .
Art. 2. -- Le Directeu r de l'administration
g énérale, départementale et comm unale et
le directeur du budg et, sont cha r gés, c hacun
en ce qUI le concerne, de Pexécution du présent arrêté.
Fait à Pa ri s, le 10 février 1951.
Le Minisfre de l'Inlérieur,
Pour le Ministre et par délégation
Le Directeur de l'administration
générale, départementale et communale
Pierre- jean -MOA TTI
- - - - <>00<>------
N" 20
Lei Mpinistrle t de l ~ Santé Publique
a opu ~ IOn, a ~essieurs les
- pour lnformatfon.
à Messieurs les Directe urs
men~aux de la Santé - PO/If
ma/fon.
à Messieurs les Directeurs
mentau x de la P opulation _
j'ai l'IlOnneur d'attirer tout spécialement
J'allention de MM. les MGlres, SUr la circulaire minÎsterielle ell date du 28 février 195 1,
re/arÎl'e il la responsabitifé des communes,
pOlir ins u~fisa~ce des mesures de sécurité
Le Ministre
.
Le Chef de Cabm,l
résidence.
Pour le Préfet
Le Secrétaire Général délégu é
MONCOJvlBLE
2
MAJORATION FAMILIALE
DE L'IN'DEMNITE DE RESIDENCE
j'ai l'honneur de porter ci-dessous, à la
connaissance de MM. les Maires du Département, le texle de l'arrêté interministériel du
JO février 195/, fixant les conditions d'attribution aUx agents des colleclivilés locales
de la majoration familiale de l'indemnité de
Tableau des Arrondissements
Siège de
Dépa r tements dépendant
l'Arrondissement
de l'Arrondissement
Minéralogique
Marseille
Alpes- Mmes,
B.-Alpes,
Var, B.-du-Rhône,
cluse, Corse.
Déparf~melltale et Communale,
Plfrre-Jean MOA TT I
Le Secrétaire Général,
Pour le Ministre et par délégatIOn
AG
Le Préfet, Direclellr
de l'Adminislralion Générale
Pour le Préfet et par délégati o n
Mon attention a
ficu ltés qu'ont ren contrées ces
i
temps certains 'Etablissements
li
pour asSurer leur .. approvisionnement
charbon.
J'ai l'honneur de , ·OtlS fa ire co,nnailre
M. le Ministre de l' Industri e et du
ce, alerté p a r mes so ins, m'a
lettre e n date du 10 janvier 195 1,
difficultés peuvent, jusqu'à lI ourel
résolues grâce â ,' intervention
niellrs en chef des
logiques qui sont habi lités à
plan local, en se rapproc ha nt des r
régionaux des Charbonnages de France
des Importateurs, les mes ures desti nees
satisfa ire
les
dema ndes justifiées
co nsommateurs.
j e vous ' rappelle, en effet, qu'aux
d'un arrêté du 8 septembre 1950 (J.O. du
septembre), M. le Directeur des Mines el
la Sidérurg ie est chargé d'assurer les
tians de répa r tition des c harbons,
mesure où celles-ci s' avèrent iir,dis,pen,sabl"l
A cet effet, ce haut-fo nctionnaire
avant le d éb ut de chaq ue trimestre
gramme général de ré part iti o n des
tibles entre les g rand es
consommateurs, dont " une '" '''e'-''sément les établissements
ma niè r e à satisfaire aux
expr imés. Les producteurs et
assu re nt ensuite l' application de ce
me.
.
Dans ces conditions, vous voudrez 1
si vous constatez les difijcultés dans 1
vis ionnement en c harbo n des
1
Hospital ie rs de votre Déparlemenl,
mettre directement e n rapport avec
nieur en c hef des Mines, chef de l'
sement Minéralo g ique de la .ci~:?n',i~:':~~i'~~1
qui s'emplo iera dans le cadre des
de M. le Directeur des Mmes et de la
rurgie, à satisfaire immédiatement les
mandes justifiées.
.
d s
Vous trouverez, ci-joint, la . liste e
d ' Arrondissements Minéralo g iques.
------c»OOc,-------
à veiller à la stricte et rapide exécution des
travau ~ . reconnus indispensab les par les
CommISSions d épartementa les ou commllnales de sécurité.
yous vo udrez bien leur rappel e r ainsi
qu a ux chefs de s er.vice départementaux,
n~emb.res de la CommIssion de sécurité, les
d irectives gé né r ales co ntenues dans ma circ ulaire 469 AD/ IN-ST du 8 octobre 1947.
P. le Ministre de l' Intérieur
e t par d élé g ation,
4ans les elabltssements recevanl du public.
exécution.
A ndré MERLE
02 B3
D2 83
SC 7
RESPONSABILITE DES COMMUNES
POUR INSUffiSANCE DES MESURES DE SECURITE DANS LES ETAPans
. , le 3 février 19i1
BLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC,
du Budget,
Pour le Ntinistre de l'A"riculture
L'Inspecteur Géntral
Cilef des Services Vétérinaires
03 82
Min éralo giqu es
Adresse
TéléChef de
de
l'
~rrondt
phon'
l' a rrond issement
Min
é
ralogique
Min é ra logique
P e rrin, In gén ieur
50, Bd de
Vau- en Chef des Mines Co rderie à
. Marseille
Dragon
5 1-29
51-14
•••
LAMASSOURE
Le Ministre de l' Intérieur à Mess ieurs
les Préfets de la mé tropole.
Dans un arrêté du 24 janvier 195 1, le
Co nseil interd é partemental de Pr éfect ure de
Versailles, a déclaré la vill e de Rueil-Malmaison, pécuniairement responsa b le de ,'incendie. survenu a u cinéma « Le Sélect >, le
2 1 aout 1947.
Le Tribunal, sur les conclusions du co mmissaire du Gouvernement, a retenu la
faute lourde comm ise par les munisipalités
successives qui ont toléré l' exploita tion du
ci néma sa~s contraindre le propri étaire à
.effectuer les travaux reconnus indispensables
.et urgents par les différe ntes commissions
de sécurité qui vis itèrent l' établissemênt.
Vous trouverez ci-joint, une co pie de ,'a r-
rêté intervenu,
Bien que ce Ju g ement
soit susceptible
(/'appel devant le Conseil d ' Etat, il es t v raisemblable que la H a ute Assem blée co nfirmera cette décision qui est co nforme à sa
jurisprudence (C.E. 23 m a rs 1938 ; Cne (le
Cadours ; Rec . Lebon, p. 303 ; C. E. 29 juillet 1943 ; ville de P e rpi g na n, Rec. p. 2 18).
Il appartient, en effet, a ux maires, sous
le~r responsabilité, de s'assurer si les é tabhssement~ r ecevant du public, pr ése ntent
tes garanties de sécurité né cessai res et
<l ans la négative, de presc rire leu r fe rmeture :
Le décret du 7 février 1941 a d 'ailleurs
c réé des commissio ns de s éc uri té pour aide r
les , m~gjstrats mu nicipaux dans cette tâc he
'Ct ind iqué les conditions techniques mi nim a
a uxquelles doivent ré pondre les sa ll es.
Pour ré pondre à la dem ande de certai ns
<l'entre vous, je précise que ce texte co nserve SOn ca ractère d'apl)lication oé néra le mal-é
.iso
'
;::.
r . l' Inter vention d'un jugement
lé d' un
Tflbun a l de Simple police qui l' a est im é ill é~al, .et a Cru devoir refuser d'en fa ire apphcat.on dans un cas d'espèce. Cette déciSIOn est en- e ffet co ntrai r e à la jurisp rud e nce
Constamment suivie jusqu'à ce jo ur pa r l'en~~~b.le des Tri b unaux ad ministratifs e t jurc!a"es (1) . En tout éta t de ca use, les
maires conservent l' ob li rratio n d e vei ll e r à
la séCurité du publi c ~omme le rap pelle
l' arre'té
'
V
de Préfectu re de
. précité du Conseil
t ersall1es, et il leur app à rtient de fai re noal~ment li s age des po uvoirs rrénêraux de
l)~1! ce qu'i ls t iennent de l'a rticle 97 cie la
01 du 5 a vril 1884 et notamment de so n
paragraphe 6.
mie. VO us prie, en conséquence, d'invite r les
glstrats municipaux de vo tre d é pa rt ement
J).
r
é
(~l~ IC .•E.
22 ja nvie r HH7 -
RARD ET -
. _,.17 mars 1950 Stt Lem;litre
1; · :)
Fl n " i~r
195 ] -
llolttier -
Rl'(.',
;
et rh:t
I..' L :I\"i!'; clu
dL1 -1 m:l.l W48 joint e n a'nncxc Il 111;1
),.'.lIrt~. nU
·)-,
) '1 1"' Jn-Gé n. du :1 juin IU-IH.
("lft'U-
N" 5398 du Greffe
REPUBLIQUE FRANÇAISE
Extrait d'un arrêté du Conseil de Préfeclure
Interdépartemental de Seine·et·Oise el de
Seine·et·Marne, en dale du 24 janvier
195 1, statuant dans l'instance:
Sieur VIARD
Dame MARCHIV AL TER
c(
Com mune de Rueil Malmaison
Après en avoir délib éré conformément a
la Loi,
Sllr le prinCipe de la responsabilité
Co nsid é rant qu'il résulte de l'instru ction
q ue l'incendie dont o nt été vic times le sie ur
VIAR D Marcel et so n épouse, née ROUSS EAU Marthe, le 30 aofl t 1947, à Rueil-Malmaiso n, s'est p roduit, vers 22 heures, a u
co urs d'u~e représentatio n cinématog raphique donnee dans la salle de l'é lablissement
d it « Le Sélect >, sis, 42, rue de Marly, e t
exp loité par le sie ur MOU ILLADE ; qu 'à
l'ori gine, ce local éta it une sa ll e de bal tenue
pa r le sieur MACE; q u'en 193 1, cel ui-ci
obt int du Maire l'autorisation de la t ransformer e n s alle d e s pectacles, sous réserve
de la délivrance de l' a utorisation s péciale
p révue pa r l'article 4 de l'arrêté préfec toral
clu 12 j uillet 1922 ; que, sa ns a ltendre ce tte
autorisa tion, le sie ur MACE adressa à la
Munic ipa lité, e n 1932, une requête te ndant à
la tr ans formation dudit loca l e n sa lle de r ep résentations cin ématog raphiques ; que sat isf actio n lui fut acco rd ée, mais que, to utefois, le Mai re prit. à la date d u 3 1 août
1933 1 un a rr êté inte rdisa nt de do nn er dans
l'établisseme nt to utes séa nces ciné matograp hiques ou aut res a\'ant la vis ite pa r la Commission de Sécurité, et la déli vr ance de l'autorisation définitive ; qu'a u cou rs de di\'erses visites - notamment de ce ll e d u 28 janvier 1935 - la Commissio n p récitee émit
l'avis que l'autorisation définitive d'ouve rture
devait être s ubo rct onnêe à l'e xéc uti o n de ce rta ins trava ux d'a mé nageme nt indisp ensab les
pour assu re r la sécurité de l'é ta h liss e ment ;
que , mis en demeure en fév rier 1935, de proceder à ces travaux dans un délai de de ux
mo is, le siem MACE se bo rna à sig na le r que
quelqu es amélio rations a vaie nt été effectuées
et co ntinua son exploi tatio n dans les mêmes
L:o nùitio ns qu'auparavant ; jusq u'en octobre
1938, époq ue où il céda le fonds au sieur
r\\OU ILLADE : qu'à la date d u 7 fév rie r
194 1, intervint le d éc ret relat if à la protection contre l'incendie des bât iments et locau x
receva nt le public; que si, à cette époque, la
vÎsit(· des établissements ouverts au ptlhlic
incombait uniquement <tUX se r vices de la Défe nse Passive, il convient de rt'ma rquer que
c'est seulement en mars 1946 - après la réception de la circulaire préfectora le du 21 février de cette mëme année, attirant l' a ttention des maires sur la responsabilité s usceptible d'incomber aux communes, e n cas
d1inobservation des prescriptions co nce rnant
les mesures de protection co ntre les incendies, e t les invitant à établir un compte rendu
sur l'activité d e la Co mmission Communale
prévue par l'article 266 du règlement p récité
du 7 février 1941 - que la Municipalité de
Rueil-Malmaison se décida à co nstituer ladite
Commission; que cell e-ci se ré un it pour la
premi è re fois, le 26 octobre 1946 ; qu'au
cours de sa visite du « Sélect >, elle Constata divers manquements au x mesures d e
sécurité et établit un r a pport co ncluant à la
nécessité, pour la mise e n co nformité de
l'établissement avec les dispositi o ns ré g lementaires, de procéder notamment à J'amélio ration des dégagements in térieurs et des
issues de secours avec installation d' un deuxiè me esca lier pour les balco ns co ntenant
plus de ce nt personnes, à la vé rification a nnuelle de l' ig ni fugat ion des toiles, d u remplacement des tentures fe rmant l'accès e ntre le
ha ll d'e ntrée et la salle par des portes e n
va-et- vie nt, à l'établissement d'un # système
d'éclairage de secours e n cas de s inistre, dit
c éclai rage de panique >, e tc. ; qu' un exe mplaire de ce ra ppo rt a urait é té adressé pa r
le Maire: à la Préfecture, a u Commissariat
de Pol ice, à la Ge nd a rmerie et a u s ieur
MOU ILLADE, mais que ces différents destinataires o nt déclaré n'avoir jamais reçu ce
document, que, sauf quelques a méliorati o ns,
le sieu r MOU ILL ADE n'exécu ta pas davantage les t ravau x indispensables pou r assu rer
la sécu rité q ue ne l'avait fa it aupa ravant so n
prédécesseur ; qu'il pré tendit n'avoir jamais
été mis e n demeure et que, seules, des obse rvatio ns verbales lui ava ient été a dressées ;
que, d'ai lleurs, la Comm ission Communale
ne procéda à aucune vé rifi cation et q u'elle ne
tint aucu ne réunion e ntre le 26 octobre 1946
e t le 30 ao ût 1947, bie n q u'e lle fllt spéC ialement chargée, a ux termes de l'a rticle 267 du
déc ret du 7 fév rier 1941, de visiter a u moins
deux fois par an les é tablissements et les
locaux so umis à ce règ lement, q ue telles
étaient le~ co nditions d a ns lesquelles fo ncti o nn ai t l'établisseme nt cin ématog raphiq ue
d u « Sélect », à Rueil-Malmaison, lorsq ue se
p rodu isit. à la da te précitée du 30 aoùt 1947,
le sinist re dont il est dema nd é répa ration ;
qu'il r essort d u rapport étab li pa r les expe rts
commis pàr le Juge d' Inst ru ction au Tribuna l de P remiè re Instance de Versailles et dont le Consei l de P réfecture peut. en
l'esp èce. faire état (cf. C. E . 19 février Ig.\3,
Cie d'assurances
La Non'ich Union ., Lehon page -l I) qu'au soir de l'ince nLlie, les
p rin cipales infractions suivantes aux prescriptions du tlécret slls-,isë tI.lI ï fê,'rier
19-1 1, va lide p a r l'orJo nn ance du 22 juin Ilt-l-l
et modifié par les d~crets des 15 mars 19...&--&.
et 9 mai 1946, o nt été rel~n~es à la L:harge de
l'ex plo itant de cet dablissement . lion incombust ibilité des maténaux formant le
r.rroS-Œ une de la salle ; présence de porHères et de ve lums ; défaut de \'érihcath.)fl
annuelle des étoffes i.~nifu~tes (articles 45 à
57 indus) ; insuffisance ùes sorties, couloirs
et dégagements gênênwx (a rticle 78 à R7
inclus) :- existenœ ù'u n se ul escalier pour
accès à deux halcons \:ontenant plus de cent
personnes; insuffisance des dégagements intérieurs ùe la salle, notamme nt des passages
libres entre les strapontins du rez-de-chaussée et des halcons (artides 96 à 1O~) : lléfa ut
•
�58
~---------------------------~------------
de remaniement de l'escalie r en fer (article
11 4) ; insuffisa nce de l'éclairage de sécurité
et de l' « éclairage pa nique » (articles 117
à 123 inclus) ; accès à la cabine de l'opérateur par l'escalier à l'usage du pu blic; porte de la cabine non muni e d'un système de
fermeture automatique ; défaut d 'un local
spécial de re bo binage (a rtic les 126 à 139
inclus) ; fonctionnement défectueux des
moyens de secours contre l 'incendie, notamment des extincteurs, et insuffisance de lo n-
gueur du tuy a u (articles 136 à 153 inclus) ;
défectu osité des installations électriques _
câbles Muller simplement fixés pa r des Crochets ; manque de protecti on des ca nalisations alimentant la lampe de sécurité .
emploi d'épissures j commutateurs et cana~
lisations dissimul ées sous une tenture mUrale ; batterie d' accus pour l'éclairaae de sécurité et son appareil de charge· posés dans
un endroit presque inaccessible de la cabine
(articles 242 à 261 inClus), e tc ...
Consi~érant que, de tout ce q ui precede, Il resulte que la Municipalité de RueilMalm aiso n s'est abstenue pendant de longues années de fajre cesse r l'exploitation
d:un . ét~blis~emen t Cinématographique qui
n avait ~amals reçu l'autorisation définitive
de fonctionner et dont J'ou\'ertufe avait même été interdite jusqu'à la déli vra nce de
cette autorisation; qulelle a négligé d'exercer t~ut contrôle pour contraindre l'exploit~nt a se confo~mer aux prescriptions des
reglements en VI (Tueur sur la protection
cont~e les incendi es des l ocaux recevant Je
publ~ c 011, tout a~ moins, à pr end re l es préc,a uho,ns de s écunté les plus élémentaires et
J e~~e~h.e ~, 'pa r suite, de continuer son
ach\'lte !JJlclte et danger eu e ; qu'ainsi elle
l
a CommiS une faute lourde Susceptibl e d'eng~ger, en " absence de toute imprudence com ~I~e. par les victimes, Son entière r esponsablllte (cf. A.C.E. 29 juillet 1943, vi lle de PerpIg na n cl dame Dalbiez,. L ~bon page 218) ;
que, SI I~ circulaire mlmsterielle du 7 avril
194.1, pnse pou r l'application du décret du
7 feVCl er précédent, invitait les Préfets à
prend re immédiatement to utes mesu res ut iles
pour assure r la sécurité publique et à ra ppel~r a~x M~lres. les obligations qui l eur
é~alent Imposees, Il appartenait à ces derllIers, en app licatio n d u règleme nt précité et
en vertu des pouvoirs qui l eur sont dévolus
pa r l'.a rticle 97, paragraphe 6 de la loi du
5. avn! 1884 - do nt ils ne sont pas dessai SIS meme lorsque leur comm une se trouve
placée, comme en J1espèce. sous le r égime de
la Police d'Etat - de p rendre, de leur propre .auton té, les mesures nécessaires de protectIOn ~ont;.e le in~endies, en provoquant
a~ besorn I lnten'entron de l'Administratio n
supéneure.,; qulil y a lieu de r ema rqu er
qu en mahere de tutelle administr ative si
la resp onsabilité de l'autorité tutélaire' est
susceptible, le cas éc héa nt, de se trouver
engagée pou r s'êtr e abstenue d'exercer Su r
la personne mor ale secondai rel dans l a limite de ses obligatio ns et de ses POuvoirs,
la sllrvelllance et le contrôle que celle-ci
était en droit d'attendre d'ell e, cette circonst ance n'est pas de nature à fa ire disparaître
la propre responsabilité de la collectivité publique en tutelle, qui r este tenue, en pr em ier
lie u, à l'éga rd des victimes, de répa rer le
préjudice causé par ses actes ou par SO n
inertie ; qu'ell e peut seul ement amener cette
collectivit é à intenter, si elle s'y croit fo ndée,
te lle actio n récursoi re que de droit co ntre
ladite autorité de\'ant la ju ridictio n compé-
mune de Champigny-sur-Ma rn e, Dalloz,
32e cahier 1949 - et les co nclusions de M.
Guionin, commissaire du Gouver nement)
SlIr l e mOfl lanl de l'ifldemnité,
Considérant que les Consorts VIARD demandent l'allocation d'une indenu1itê to t a l~
de 860.000 francs. se décomposant ainsi :
1" Préj uùice mora l co nsid érable do nt les
requérants laissent au Conseil le soin de
fixer le montant; 2 6 pr éj udi ce rés ul tant du
fait que la disparition préma turée du sie ur
et de la Dame VIARD n'a pas perm is de
réalise r le projet q u' ils avaient fo rm 6 de vivre avec leurs parents de faço n à pouvoi r
leur confie r la ga rde des jeunes enfants et
à permettre ai nsi aux mères de trouver une
occ upation lucra ti\'e : 720.000 fra ncs ; 3"
f r ais personnels occasionnés par les obsèques : 70.()()() fr. ; 4° perte de la paye
qu'a\'ait sur lui le sieur VIARD, ainsi llue de
divers objets que portaient sur elles les victimes au mome nt de l' incendie : 70.000 fr. ;
Sur l e premier clr ef,
Considérant que l a douleur morale éprouvée par les susceptibles r equérants ne cons-
titue pas un élémen! de préjUdice d'être apprécié en a rgent (cf. A.C.E. 26 a rri l 1950,
dame Vve Morel et Volrai re Morel, Revue D.
P. octobre-décembre 1950, page 966) ;
SlIr le dellxième chef,
Considéra nt que les enfants majeurs des
victimes d' un acciden t mo r tel, dont une coll ectivité publique est reco nnue responsable,
ne peuvent prétendre à indemnité du fait de
cet acc ident que s'ils justifi ent d' un préjudice
consistant en un trouble matériel, direct et
certainl appor té dans les conditions de leur
existence pa r le décès de leurs parents (cf.
A.C,E. 26 avril 1950, dame Vve Morel et
Voltaire Morel déjà cités) ; qu'en l'espèce,
le préjudice allégué ne présente qu'un Ca ractère indirect et purement eventuel ; qu'il ne
peut, par suite, être retenu ;
Sur les troisième et quatrième chefs,
Considérant que la co mmune de Ru ei lMalmaison a acco rd é aux Consorts VIARD
la g ratuité des obsèques des victimes et
d' une concession centena ire au cimetière,
ai ns i que l'allocation d' une somme de 5O.0:W
fra ncs à titre de r emboursement de frais
personnels ; qu 'i l se ra fait, pa r le Co nsei l,
une équitable a ppréciatTon d u préj udice nOn
ainsi compensé, notamm ent de celui résu ltant des dépenses occasionn ées par l'achat
de vêtemen ts de deuil et de co uronnes mortuaires, ainsi que les f rais de déplacement,
en fix ant l'i nd emnité gl obale à leur allouer il
40.000 f rancs, y compris tous intérêts au
j ou r de la présente décision ; q ue le ve rsement de cette so mm e sera toutefois "ubo rdonné il la subrogation de ladite Com mune
pa r les Conso rts VIARD - jusq u' à co ncurr ence de SO n montant - aux d roi ts qui résulteraient pour les r equér ants des co ndam.
natio ns qui au raie nt été ou qui se raie nt définitivement prononcées à leur profit contre le
siellr MOU ILLADE, en rai so n de la responsabili té qu'il a personnell ement encou ru e, par
l'autorité judiciaire;
Sur l es dépens :
Co ns idé rant que s i les Conso rts VIARD
n'obtiennent qu'une indemnité in fé r ieure il
celle qu'ils ont demandée, la commune de
Rueil-Malmaison, dont l' enti~ re responsahilité est r econnue, n'en succombe
moins
mettre à sa charge les entiers dé
'
liquider ultérie urement s'il y a lie~ '.ns, a la
Par ces motifs,vidant SOn t1 éli b ér~ t
tuant contrad ictoi rem ent,
e sla.
ARRETE:
Article premier. - La co mmun e d. D .
MI
'
" U',11a ma Ison
es t dé'clar ée responsable 'pou
totalité des co nséqu ences dommagdahlesr /
l'I nce ndI e dont le sIe ur VIARD Marcel et l'
dame VIARD, ?ée ROUSSEAU, Oll t iti "i,~
tlmes, et qU I s est prodUIt .Ie 30 aoùt 1947
au Cours de .Ia re-présentaft on ci n ématogr,l~
p hiqlle ?onnee dan.s la sall e de l'établisse.
ment dIt « Le ?elect >, sis, 42, rue d,
M arl y, dans l ad ite IO(ffi lité.
Arlicle 2. La commune de Rueil-M,l,
maiso n paier a, po ur l es causes S us-é nonc~es
a u sieur And ré VIARD et à la
MARC HWAL TER, née VIARD, une indemni,
té g lobale de QUARANTE MILLE FRANCS
(40.000 francs), y compris tous les inl/lils
au j our de la pr ésente décision, sous la re..
serve que le versement de cette somme soit
subordonné à la subrogatio n de ladite commun e par l es requér ants, j usqu'à concu rrence
de son montant, aux droits qui résulteraient
po ur eux des condam nations qui auraient élé
ou qu i seraient défi nit ivement prononcées à
leu r profit, à l'enco ntre du s ieur MOU ILLADE, par I ~a uto rité jud iciai re,
d,m;
Articl e 3. - Le su rplu s des conclusions de
la requête des Co nso rts VIARD est rejeté.
Articl e 4. Les e ntie rs dépens de l'ins,
tance- à liquider ultérieurement, s'il y a lieu,
sont mis il la charge de l a co mmune deRu eil-Malmaiso n.
Ainsi jugé et pronon cé en audience publique, à Versailles, le 24 janvier 195 1.
L e Présidenf-Rapporteur,
Sig né : E. GAILLARD.
L e Secrétaire-Greffier.
Si g né : VOLLE.
-------c~ooc~------
D2 83
KT
STAGES D'INSTRUCTION POUR LES
OFFICIERS DE SAPEURS POMPIERS
CHEF DE CENTRE,
•
' SOfia
j'ai l'honneur de port
er a• la connatS
rie MM. les Alaires el C/refs de Centres ~~
Corps de Sapeurs-Pompiers la crrCIIlarre , 1
nislérielle n " 88 d u 10 mars 195 1, rela~:t',
un progr amme de sta.ges au Cenlre . ;u:
trucfio n de la Protection Cil'ife à Paf/S
rant l'ann ée 195 1.
f'lI
Je salirais gré à MAI. les Maires d;aldll
parr' enir à M. l'Inspecleur Deparle~e; l' d~
Services d'I ncendie l e no~, des, c~n l ,:/1e Jt
sir ellx de sllÎllre à Pa ns. sl!tf ~fJ tf~ mer
formalion professionnelle, SOli cel Iole qUI
nUeur d'éducation phYSlq~f~1 avec a (
les int éressés auront chOISIe.
éléfTatio n,
Pour le Préfet et par. ~
L e Secrétaire Gen.ra .
LAMASSQ URE.
t.
Le M inistre de l'Intériellr
le)
à MM. l es Préfets (MélropO , 13
.
, o o l4du
Ma Circul ai re n
janvier 195 1.
.' en ,éfiComme sui te à ma circu laire cJfee
c~
r ence, j 'ai l' honn eur de \'O; I.,,'S1l01. énrenla,,~
dessous le
mme
Référ en ce. -
5U
Jlal d' Inst r uction de l a ~rotection Civile ail
cours des 2e, 3e et 4e trimestres 195 1 :
- Du 9 au 22 avril : statit: norm nl,
Ou 21 ma i au 3 juin ': stage norm al;
- du Il jui n au 30 ju in : stage cie preIIClltioll ;
- Du 17 au 29 septem bre: stage normal ;
- Du 8 au 28 octobre : stl/,ge des mOf/fl eurs d'éducation physiqu e;
- Du 5 au 17 novembr e: stage normal ;
- du 19 novembre au 1er décembre: stage normal
- Du 3 ~ u 22 décem bre : stage de pré-
circul aire n ' 152 PER-CP-4 du j mai 1Y5t.
pie, cer tifiée conforme par le Maire ou il:
vous dispense déSorm ais Oe I:i prul1ut.:tluli
Commissaire d~ Police, de la carte de déde l'ex trait de naissance ues \.:anOIl.ldts,
port t' Ou d'In terné tle la JUsistance delivréc
AInsi yue j'ai eu l 'occa~10 11 de '"OUs l'in pa r le J\\inistère tles A nciens Combattants et
<.lIq uer, à différentes repnses, aUCunt propoVictimes LIe Guerre, lonfo rm ément aux dis!)JtI? lI pour les Médailles d Alg'c nt, de Verpositions de l'a rti cle 29 du décret du 25
ma rs 1949.
• meil ~t d'Or ne peut êt re pn.:sCIJtee en laveur :
•
Ces propositions sero nt mention nées Sur
a) des Sapeurs-Pompiers hOl/oraires th~
un bo rd erea u spéci al.
tOllS grades (offiCiers et sapt!u rs) ayant quitPour le Ministre de l' In terieur
t e le ser vice depuis plus cie cJnq nlls au 1el
et par délégation :
j anvier de l'année en CO urs pOlir l a promoL e Direl'teur du Personnel
tio n du 14 juill et et au I~r juillet pOUf 1.:
penNon.
el des Affaires Poliliques :
j)I Ol11otlO n de la Sai nte-IJarbc ;
P. CHAU SSADE.
Je \'OUs pr ie de m' adresser li es que pos_______
b) des sous-offIciers, capor aux et sapeur!;,
sible les noms des officiers de sapeurs,:,pomâg ë~ de plus de 70 afiS aux mêines uate:s.
D6 BI
A 0
piers et des ca ndidats officiers dési rcLJx dt
La Médaille d'argent 01/('( roseife peut t?-t rc
ACCIDENTS DU TRAVAIL
suivre l'un de ces stages.
att ribuée sans Co ndItIOn d'a nl'lennete au:\.
DES SALARIES AGRICOLES
Au cours de J'an née 1950, ce rtains ca n..
sapeu rs-pompiers qui_ ont rendu des ser Vlce.i
ARRETE
didats aux stages se so nt prësentés ét ll Cent!xceptio nnels dans J'exen.:ice oruJnalJe de
tre d' Instructio n sa ns avoir ét é r éguli èrement
L e Préfel des Bouclres-du-Rhône,
leurs fonction s tels que : création ou rt-ofconvoq ues ; l es possi bilités d'h ébe rgement
Officier de la Légion d' N onlleur,
ga nisation du Cor ps, modernisation du l11adu Centre étant limitées, je serai contrai nt
Croix de Guerre.
téri t::l, CO ncours à Lies œll\' r~s de mmual1t-:
de ren voyer les officiers de sape urs-pompiers
Vu la loi du 15 decembre 1922 éte nd ant
ou à des groupements cor po ratits d~ LlcTe ns_
q·ui effectueraient spontanément le déplaceaux exploitants agricoles l a l égislat ion sur
co ntre J'incendie, co nference:, I) l! cenTS t:,
ment à Pa r is; dans ce cas, les frais lie voyales accidents du travaIl ;
\'ue de l' uti lisation pratique uu mater Jel el
ge incombér aient intcgr alemen t aux intéVu la loi du 30 a\fil 1926 et l'ordonnance
de so n per fectionneme nt, amel1oration de
ressés,
l'instructio n, etc, ..
45-1842 du 12 ao ût 1945 modifiant, compléEn po rta nt ces ind ications il la cOJ1naissantant tt interp rétant la loi du 15 dél:emhre
Toute proposition pour ct'He dist;nctiOll
ce des Mai res de vo tre Dépa rl ement, vo us doit l:t re appuyée d' un r apport détaille SUl
1922 susvisée ;
vo ud rez bien à nouveau atti rer leur attenVu les arrêtés préfectoraux des 30 avril
les se rvices du candidat et el re SoumiSe ....
tion Sur l 'i ntérêt de ces stages et lel1r deet J 8 décembre 1948 portant fixation du n'l'a\'is de l' Inspecteur D~partemelltal des :::'e rmander d' in viter les Co nseils N\uni cipaux il
\' Îces d' Incendie,
gime du tr avail des salariés dans les exploiallouer LIlle indemnité compensant, au 1'110l ns
tations agri coles ;
Je \'Ous précise qJ.Je les sapeur~- pol11l}ll' r~:
partiellement, le manque à gaguer de l'offiVu l'a rrèté préfectoral du 28 juillet 1948
qUI ont accompli des al:t~s Lie sau\'t:tabe peucier qui, dans l'intérêt de la collectivité, df
po rtant r èglement du t ra vail pour les ouvent faire l'objet de propoSitions, mm POll(
laisse sa profession habituelle.
vriers forestiers ;
la Médai lle des Sapeurs-Pompiers a\ ec roVu l'arrêté préfectoral du 5 mars 1949 rePour le Ministre de l' Intérieu r
sette. mais pOlir la l\ l edaille pour ALtes d.'!
latif aux salaires du personnel des champs
el par didégalioll,
Cou rage et Lie l)é\'olleJll~nt.
de course,
L e Préfel, Directeur
Je \'ous demande enfin Lie classer vos proVu les accords de salaires conclus l es 8
de l ' Administration Géllérale ,
posi tions dans chaque éc l:elon par ortir ~
et ID férrie r 1951 ;
Départementale ef Communale,'
alphabé tique pour l'e nsemble du UépartcVu.l'accord de salaires concernant les oume nt.
Sig né: Pierre-J ean A10ATTI.
\'riers
des chaœps de COurse conclu le 7
D'autre
part.
je
\'O
US
rappelle
que
Its
sa------< >00<-. - _ __
Ilo\'embre 1950 ;
peurs-pompiers, qui appartenaÎent aux fo rD283
7 mations de Défense Passive, peuvent prétenVu la conventio n co llective applicable aux
MEDAILLE D ' HONNEUR
- exploitations salinicres conclue le 27 juin
dre
à
l'
attr
ibution
de
la
Médaille
CommémoDES SAPE URS POMPIERS
1950 ;
r ative de la Guerre 1939- 19'-15 en vertu du
PROMOTION DU 1,4 JUILLET 195 1
Vu les instructions de 1\\, le !\linistre dt."
décret 49- 11 4~ du 2 août 1949 éte nd ant l'ocl'Agri culture en date dl! 17 mai 1050 ;
J'ai l'honneur d'attirer toul particulièret roi de cette Médaille aux pe rso nne ls de 10
Vu l'a rrêté préfectoral du 17 juillet 1950,
ment t'allention de MM, l es A'l aires et les
Défense Passi ve,
relatif aùx 3l:Clde.nts du tra vail des salariés
Che(s de Corps des Sapeflrs-Pompiers, Sur
Je VOliS pri e de bien \'c uloi r inviter NLAI.
agricoles,
la CirCUlaire ministérielle Il '' 93 PER-CP-4
les Mai res de ,'otre Oépa rtement il délivrer
du 10, mars 195 1 relalive à la MMaille
Vu l'a ri de AI. le Contrôleur des Lois
aux intéress és, s'il réunissent les condit ions
Sociales en Agri culture,
(~'Honn eur des Sapeurs-Pompiers _ Promorequises, l'attestation prévue par 1 ~lnstru c tio n
tlOIl du 14 juillet 195 1.
Sur l a proposition tlu Secrétaire Gênerai,
interministérielle prise pour l'apphcation li .!
ARRETE:
décret susvisé, conforméme nt il la procédur.:
Pour le Préfet et par d élégatio n,
Article premier. - Les salaires moyens
IIlstituée par le titre IV de cette circulaire.
L e Secr étaire Général
j ou rn aliers et annuels, la r émunerafion en
j'appelle enfin rotre attentIOn sur les majt .
LAMASSOURE.
nature et le salaire minimum annuel de\"allt
par
la
loi
nU 50-729 LIu 2'-1
ra
tions
prê\'ues
L e Ministre d e rln lérieflr
servir, dans les L'as prévus par l'a rticle 8 de
juin 1950, qui a moùifié l'a rticle 8 de 1"
à M. le Ministre Goul'erneur Géneral
la loi du 15 décembre 1922, de base ail
loi 48-1251 du 6 août IU48 établissant le stade l'Algérie,
ca lcul des indemnités et des ·rentes tlues ef!
tut
défin
itif
c1es
déportés
et
internés
de
la
MM. les Préfels - Cabinel _ (M é.
Cas d'accident du travail, sont fIxés dans le
Hésistance et qUI som applicahles pour l'attropole el Algérie)
Département des BOllches-du·Rhone confort ributOIl des décorations,
J'ai l' honneur de vo us prier'de Ill'adresse r
mément aux indications contenues dans le
Aux termes de cette loi :
~ous ,le présent timbe, avant l e 25 Gflrit dela;
tableau ci-annexé.
- les déportés résistants, outre la prise
p~ rtg~eur, vos proposi ti ons en vue de la en compte de la durée effective de leur déLe coefficient dOllt est fait état sont ceux
pe omo~o n de la Méda ill e d' Ho nn e ur des Saénumérés par les arrêtés préfectoraux LIes
portation
ou
de
leur
détentio
n,
bénéficient
1 9~;s- omp le rs prév ue pour le 14 jui llet d' une majoration ég;.Ile au Ll ouble du temps 30 avril 19-18, I S déce"bre 1945, 28 juillet
1 9~8 et 5 mars 1 9~9 visés ci-dessus.
passé en détention ou en déportati on juscet~:S dOssiers qui me parviendront après qu'au
Article 2, - Le présent arrête, qui sera
jour du rapatriement.
..
J'occ ~ate ne po urront êtr e exam inés qu'â
publié au Recueil des A ct es Adminislratij.~
- les intern és résistants, outre la prise en
1951 aSIO n de la promotion du 4 décembre
de la Préfecfurr, se substitue ;l l'arrête ùu
Compte de la durée effective de leur interne16 mars 1949 dont les dispositions ont c~ssê
ou
de
leur
détention,
bénéficient
d'une
ment
me~~Us VO~d rez bi~n VO us conformer st ricte- majoration égale au temps de la detention d'être applicables il la date du 1cr jall\ it:>r
1951.
VO li S ~ lJf Ins,tructlo ns très précises que je
o u de l'i nternement.
Marseille, le 21
des doal .Ournles au sujet de l a présentati on
SSlers,
Les dossiers que VOLIS
soumettre en faveur dèS
------- ~~OÛ
sc
~>
�60
S ALA II~
,
mo~
t'II
jourll.1 lu r
lLodficÎcnt s prl-\'lts pal·
~U'Tt:I!.:S
pré fectorau x des 30 a\' ril el Is
décemhre
Hl-t~)
~ompri..,
1 ou"> a\"an~
l.Lg ...• ...
en
S AL.AI R E
moyen
a nnuel
)' compri s
tous ava nt .
en nature
SAL.AIRE
minimum
:mnucl
y compri ..
t OUS axan t.
l'Il nature
REM UN ERAT IO N
El\ NATlï{E
PA I{ JO L'l{
(à dédui re)
Nuurr iturc
Personnel
,\1
•
176
»
»
»
1-15.733
159.394
138.365
151.289
»
»
»
»
29 1.4fj6
276.730
»
»
3 18.788
302.578
»
•
182. 180
202.67 1
223. 162
236.823
173.338
192.724
212.11 0
225.034
»
»
797,70
8-17,60
997, 40
132. 180
202.671
223. 162
236.823
250.484
173.338
192.72-1
2 12. 11 0
225.034
237.958
565
608,4D
717,20
739,80
154.097
165.950
195.584
201.5 11
548,50
623,30
698
797,70
822,70
154.858
175.349
195.840
223. 162
229.992
598,30
6--1 8,20
673, 10
6911
722,90
797,70
8-1 7,filJ
922,:l{J
V!.I7,1 0
154.859
168.5 19
182. 180
189.0 10
195.840
202.671
223. 162
236.823
257.3 14
277.805
f~m in i n
523,50
573,30
200
Hégisseurs :
220
Chasses ga rd ées
I I. 120
135
150
160
Ill. - Champi gnon nières
120
135
150
160
170
IV. - Champs de co urses
(Coefficients prévus par arrêté
préfectoral du 5 mar s 1949).
130
140
165
170
V. Expl otations foresti ères :
(Coefficients prévus pa r arrété
préfector al du 28 jui ll et 1948).
100
115
130
150
155
lJ
147.-190
J60.-II-l
173.33H
179.800
186.262
192.724
212, 110
225.034
24 4.420
263.306
5~ ,5O
100
11 0
Bayle-R égisseur
6-18,20
722,90
797,70
8-17, 60
648,20
722,90
•
»
»
>
•»
>,
»
»
»
»
»
»
»
»
CATEGORIE DES TllA\"AII,LEL'RS
Exploilations des Salins
1re Ca/égoru. - Femmes, ouniers à capa('ité pro fessionnelle
réduite : jeunes de moi ns de ]; ans ........ . . . .........
2. Ca/Jgor/t' . ....:...... Journal ie rs (manœu\reo:;, ou\'riers n'ayant
aucune connaissance d es t ra\·a ux salins. perscnnel de nettoyage et d'enrretien, accrocheurs de wagons, hommes à la
su r\'ei ll ance des r ouets, magasinier... sans rt:sponsabilitf,
hommes effectuant d es t r avaux légers, r acc omodages et
triages des saCs, d ébuta n ts au x écr itures) .............
3e Catégorie. - Manœu vr es spécialisl:s, conducteurs de g rues,
d e t r acte u rs et d'appa r ei ls d'éc r3sage, ai de commis aux
écr itur es
. . . . . . . . . ........... .. . ....... ...... . ...
le Catégorie. - Ouv rie rs d 'ateli ers, terrassiers qualifiés aux
tr a\'a u ;~ des sa lin s et s uscep tibles d e tr ava ill er en éq uipe,
comm is a uX éc r itures, expéd it ionna ires des moulins, rouleur., dc t.lIJléS, chauffeurs d e c:amiç.ns, ramùncts ........
,'je Catégorie. - Ouv r iers spécialisés. chef d'équille ........
Persomlel de maîtrtse :
1") Sou s-sau nie r a) 1er éch elon . . .. .. . .. . .. . .......... .
h) 2e échelon ..........•........... . .
20) Con tremaît r e, sau nie r au x iliai r e, chef des e xpfditions ..
:10) Sa u nier, ('on trem ait r e en cbef .et sous-a gen t ......... .
.... }~) ,Chef de fabricatio n , c h ef d'ateli er .... . •• • ......•.. , . .
»
»
»
»
»
»
»
»
»
»
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»
»
»
»
154.097
165.950
195.584
201.511
»
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»
147.490
166.876
186.262
2 12. 110
218.572
»
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•
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.......
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SALA I RE
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annuel
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tous avan- tOU$ ayan- tous ayan~
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20n.500
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220.750
220.;50
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241. 000
230.000
241 ,000
250.000
272. 170
307.450
325.090
2i2. 17U
301.4011
325MO
i'H~~,4 1 1
34 2.610
342.6 10
360.370
:160.:171\
--
4, Il et 18- 1- 5 1, j'ai l' honneur de- f et 3 des
Il.ai t re ,il ,MA\. les l\\airesJ PréSid~~~: (On·
CommissIO ns Ad mi nistratives des Hô' des
et Hospices Publi cs, que la franchi Pllam.:
tal e _est• ~galemen
pasl
' t p révue I)Ol1r 1'1
• s~(orres_
Il O. JI(1n nce cC la ngee Cllt l'e les Ll i r cct ellf~ li',
h.ltssem,ents hospita l ie rs pu bl ics et laS Di:e~'
tlo n D epartementa le de la POpUl ati on.
~
Â
•
TEXTES D'INTÉRET GENE8HL
Circulaires COl~()~rnall/ plu~ ~PÜ;(1kfl/c!11t
I rs Adl1ltntSlfallOlls d~ l'Eta t
0 2 82
SALAIRE' SALA I RE
\ rI. _
CT 2
AFFRANCHISSEMENT DIJ COURRIEll
DES HOPITAUX ET HOSPICES
PUBLICE
Cornill e suite il Illo n avis paru a
A d minist r atif des A-I ai ries n ".~ l
Hul/r/ln
ar bor icultu-
190
tnl'lll
n:\lUh
1. Ag ric ulture: vitic ulture
\'iniculture ; cultures maraÏè hèces ; horticulrure
re ; pt-pin iéri stes
100
11 0
120
125
130
135
15U
160
175
Loge-
61
0382
-
----
AC 3
SECURITE SOCIALE
DE S FONCTIONNAIRES DE L'ETAT
N" 1!\53 F. -
L- C 2.380
Paris, le 10 mars 1951,
L e M;ni~ f re des Finances
.
el des A lfa~res Economiqfl es
a M . l e Secrétalfe d'Etat à l'tll tericUf,
J'ai l' !lonn.eur de vous fai re CO ll naître qu~
le ta ux appl u.:able pOli r le calcul d . . ia 1.:911satio l.l LIe .Sécu r ité Sociale à verser par les
functlo nn al res en activité bénéficiai res (Ill rI."
gime de Sécurité Sociale institué par le dé·
cret du :J I décembre 1946 et de la Lotis.llon
à la char ge de J' Etat, qui avait été fixé, par
l'article 23 d u décret n" 47.20~5 dll 20 Oct..
br e 1947, il 1 fr . 25 pou r Joo des émolu·
ments passibles de cette cotisation, a Iii
porté il 1 fr. 75 pou r 100 par l'a rlicle premi er du décr et n' 5 1.242 du 27 fél'rier J951
pll bl ié an j Ol/ rnal Officiel du 1er mars 1951
(page 2. 100) .
Les ord onnateurs devron t, par consequent,
appliq uer le nouvea u taux de 1 fr. 75 pour
le ca lcul du monta nt tle la cotisa ti on ft preco mpter sur l es t raitements des fo nctionna!·
res d u mois de mars 1951 et des mois S~I:
va nts·. Compte t enu du plafond de la S~cll flk
Socia le cie 324.000 fran cs actllelle""nl en
vig ueu r, la cotisation mensuelle maximllm
suscepti ble d'être retenue sur les émolliments
tl' un même agent est de -172 f rancs.
Les dispositions du décret dll 27 .fé\'f!er
195 1 aya nt effet il compter cl u 1er Jan l''''
195 1; aï"ll si que le prévoit l'a rticle 3 dll te~l~
précité les ordonnateurs devront également
ca lcul e1r l e montant du com pl ément de COI.I~
sa ti on à ve rse r par les agents pour .Ies m~~
p
de j anvier et févr ier 1951 et en precom ,
ront le montant sur les traitements dll ~OI.
de mars en S li S de la cotisation ~o rnl a ~e~
le chiff r e cor r esponda nt sera inscnt sur d;
ét nts l iquid atifs d'émoluments au-de~sou·~ di.
la co ti sation mens uelle et IIne nl e n llO:~ I!-Ier;
quant le mot i f et l'objet du p récom~ , d&
portée dans la co l onne Ohservatlon
dils états.
d'u"
Je vo us pri e de bien vou lo! r por~er.1 congence les disposit ions qui p réced ~nt ~c· \'Olll
naissance des servÎces inté resse~ es offi·
D él>ar temen t, ainsi qu'aux. o r gan lS~n reiil.nl
ces et ét abli ssements publics ql". ~t is aU '"
dont
1 son t aSSuJ c
gime de Séc urité Sociale i nstitué par le décret du 31 dccembre 1946.
Po ur l e .Ministre et par autorisati on
L e Dir ecteur de la Comptabilit é '
Publique:
G. DEVAUX.
•
Communiqués. Avis
Annonces diver$ëS
D283
DEMANDE D'EMPLOI DE SECRETAIRE
DE MAIRIE
Secrétaire de N\ai ri e, 13 ans de service
recherche poste dans une comm une de 5.000
à IO.WO habitants d u dépar tement des Bouc~es-dll- ~ h ô n e ; sa femme, employée de maine depUIS 18 ans, pou r r nit le seconder util ement au Secr ét ari at.
MM. les Maires intér essés par ces ca ndidatures vo udront bien se mettre di rectement
en rappor t avec M . PUZ IER Phi l ippe, Campagne « .Mo n tg ra n~ »} Le Ca bot l pa r SainteMarguente, Marseil l e.
•
GOroroUNI~UEs DU SEG8EUOIHT
DE L'UNION DES roBIRES
e:
vence ;
PROCES-VERBAL DE LA REUNION
DE LA COMMISSION DE L'HYDRAU'LIQUE DE L'UNION DES MAJRES
DES BOUCHES-DU -RHONE.
, La Comm ission de l' Hydra ul ique de
I,Ulllon <l'es M aires des Bouches. du-Rhône
s est réun ie a la Préfect ure le vendredi 30
mars 195 1, so us ia pr és idence de M. L amassoure,. secr éta i re génér al de l a Préfec ture.
Etalen t prés ents : les M ai res des com munes Stll v:antes : Corn illo n Gra ns A ll c i n~
Peyr?ll es, St-Remy, A ix, 'C h â tea;l n e l1 f- l es~
.~a rtt gll es, St- Canna t, Co udou;";J Cuges, Martigues. Peypin, St-Ma rc -Jaumea"rd e BeaureouelL
c:.
,
t Exc usés. : MM ', les M ai res de Sénas, Isres,. M ounes, Cha teaurenard, Arles, Au rjoL.
Sep temes, Fuveau .
0' Après avoir entenrd'lI I~s exposés et sugJ e~t lons de f\iliM.. Mourret, Parraud} Aud ibert,
b
ulren, 'M auront, L apierre, Fabre et de Je e,
A. - La Comm ission i ndique à nouveall
~O ll s,~UÇ! ?e rester uniquement sur le plan
~ 1 Interet gérLéral du département et
d édadopter DOmme plan d'étude oénéral imm lat :
c:.
1) Inventaire :
a) Des besoin s ,pr ésents et fu!urs de l'enS7mble des g rands ca naux des B.- dll-Rh. déTl va nt les ea ux dlu V erdo n et de la DUlf'anoe'
1.» Des besoi ns des régions des B.-du-R h:
enco
re non irriO'u
ées .
?
c:.
- ) SUivre attentivement les étu'des en
COurs rel (a!'Ives a-ux mesures a. p rendre pour
sa
rde r 1a nappe so uterraine
. a.
veuveO'a
c:.
son.
nIau et débit aet uel.
Rt'~r Proposer é\'entlle ll ement aux Pouvoirs
i l IC$ les so l utio ns susceptible s tout en
S auvega d
t la nal>pe <le supprimer
'
'
< r an
les pé'
Itli ne~ dont
ff
'
d·
SOu re nt les canaux en été et
les ex tensions en eau d'irri CYé\e perme ft
. l'
~ . - La Commission déolare vo ul oir traval l1 e~ ~ n union étroite avec les diverses
com,:,,'ss,ons de l'hydraulique existantes dans
le departeme.nt.
En vue de .p résenter une défense cohérente
des so l~ti o n s communes, l.a Comm ission
de 1 Hydmullque de l' Union des M ai res charge M . Alld lbert, mai re de Beaurecueil .et secrétaire de l'Union des M aires des B.-du'Rh .
de proposer la créa ti on d' un Comité de COordlil at lOn aux Commissions exis tantes sui vantes
- C,msei l Général .
- ChambJ1e d 'AO'ric~Jture .
- L.:' 1l ambre de bCommerce , .
- Confédér ation Généra le' de l' Ag ri cu lt ure ;
- Fédération des Associa ti ons Ag ri co les,
58, rue l\'lontgr and ;
- Alpes et Provence
16, pue Ed mondRostand ;
,
- Syndicat pou r l'CIude de ,la nappe ;
- L ensemble des canau!x des BOllchesdu- Rhàne .
- Délégués (fonctio nnaires et agriç,ulte u,rs) des B.-du- Rh. à la Commission Exécutive de la DlI rance .
- Union des M'ai r~s.
C. - L a Commission décid e de crée r une
Sous-Commissio n chargée d' in fo rm er constamment les Maires et de pTépa rer le trava il.
Sont dési gnés :
MM. M ouret, president, maire d'Aix-en-Pro-
~
.de J~~e, m ai re de Co rnill on, secrétaire;
Car blll, maire de 'M arseil1e •
Mall:ront, mai ~e de St-Remy ;
Aud.i.be r t, mai re de Chàteauneuf-IesMar tigues j
Fabre, maire de Cuges.
Abordant l'aménagement du bassin de la
Durance que Electrici ,é de Fr ance semble
vouloir entreprendre pTochai.neme.nt en accord avec: les utillsateu rs des eaux du Verdon et de l a D urance et ap rès le interventi ons de .MM. de Jesse, Roux Audiber t Lapier re, Mouret, Parrûud, Ma u;ont, Mau(el la
Co ~ missi o n estime que IJeXipérience des }pé nUfJes te lles qu'ell es ressorten t des statistiques .dressees pa r la Com mission Exécutive
de la Duran.ce instituce 'par la loi en 1907
et notamment cel ;es observées dep uis 1942,
amène à constater impa r tia lement:
D'une part que :
a) Le barrage de Castillon ne peut garantir aux 16 canaux à l'ava l de l\ürabeau les
110 ou 120 m3-sec. nêcessa i res présentement
en été,
D'aul re part que :
b) Les 20 Al. de m3 par gravité et les 20 M.
de m3 Ipar pompages emmagasinés à Bimont sont insuffisants pou r assurer l'hrriO'ation des 5.0CI0 Ha et l'a l ime ntatio n en ; au
potable que l'on s'est assignées comme but
dans la réalisation des divers projets d'ex·
tension du ca nal du Ver,don.
En conséquence. et dans le but de s.a uvega rder \'ensemble des besoins en eau dans
les B.- dll-Rh., :a Commission a la conviction
que seule une entente amiable entre util isateurs des dive rs canaux et Electricité de
France constitue la conditio n indisr>e.nsable à
l a réalisation rentable des résen 'es en hau:e
montagne telles que Serre-Ponçon sur la Durance et Ste-Croix sur le Verdon, comportant évidemment participation financière du
Ministère de l'Agricult ure et peut être des
En lpremière approx.im ation l a Commissio n émet les pri nci pes suiva n'ts :
1) To ut en respectan t les besoins d'hiver . des ca naux, d'ores et déj à dans le PIOcharn ba rrage que se propose d'établ i r
E. D. F. (probablement Serre-Ponçon avant
Ste-Croix) il con viendrai t de prévoi r une réserve suffisante pour q ue, j ointe à celle déj à
eXistan te de Castillon. ces deux reserves
pUIssent ga rantir en éié :
- Les volumes nécessai res au canal du
Verd on et à ses extensio ns ac tu-eHement en
cours.
- Les vol umes nécessai res à l a région Gignac et commu nes li mitrophes.
- Les 120 m3-sec. actuellement nécessaires aux, 16 grands ca naux à l'aval de Mirabeau.
2) Les extensions ne devant pas avoir pour
eHet de prejudicier, en pé.nu rie d'été, aux
irrigat ions et besoins domestiques actu'tls, ne
peuvent se con-cevoi r que par des appels
- à une seconde t ranche Su r la r éserve
de Serre-Ponçon,
- il une impo rtante tranche su r la reserve projetée ultéri eurement à Ste-Croix.
3) L a région de Berre ayant besoin de
1.500 à 2.000 lit.' sec., une solution doit être
f.\rouvée, comporta nt par exemple} élargissement de la branehe de C,.,pon ne, Salon, Pélissa nne, La nçon, sou1er raine aux Fourches,
aboutissement vers Calissane.
4) L a < décantation » des eaux dans les
.oarrages deva nt amener vraisembl abl ement
une di min ution des li mons vé hicu lés, des études doivent être ent reprises en vue de rechercher l'incidence su r .. l a suffisance :..
La Commission cha rge M. Audiber t, secrétaire général de l'Union des Mair es des B.'
·du-Rh., de communique r ce procès-verbal et
vœu suivant :
« La Commission de VHydraulique de
l 'Un ion des Maires des B.-du- Rh. réunie à
la Préfecture le vendredi 30 mars 195 1,
1) Rappelle que quelle que soit l'o r igine
de la nappe souterrai ne, son maintien au
niveau et débit actuel est UJle question vitale po ur une gra nde partie des canto ns de
P,eyrolles, Lambesc, Eygu.iè res, Orgon, Châtea urenardJ St-Remy et l a région de Crau.
Une décisio n pour ou contre leprajet
d' une dér ivation des eaux superficielles de la
Durance à Cadarache ne pourra être prise
qlle lorsque se ront publiés et discutés :es
rap ports des gëologues.
2) Pour que, dans le cas de dérivation, ce
niveau pui' e se vérifier, il devrait êtr~ dJO~es
et déjà Iplacé des repères en des points JUdicieusement choisis par les géol ogues.
3) Considérant qu'il résulte des exposés
faits le' 27- 10- 1950 à la r\lairie de Salon par
les experts du département des B.-du'Rh. et
de E. D. F. que, en cas de dérivation à Cadar ache. des réal imentations de la nappe
alluviale de la Durance app...,rai~ent comme
absQi'lument indispellsables à ln sau\'egar?e
du réO'ime actuel de cette nappe. la Comml&sion :stime que seul un tracé de I ~ dériva!ion juxtaposee au cour<; de la D~lrance •. a.u
moins jusqu'à Lamanon. permettraIt la. ~e.alt
mentatioll de la nappe et des posSibilités
d'extension des irri gations dans une région
particulièrement apte à bénéficier des avan ta::res de rirrigation.
En conséque.nce, declare, darrs l' hypothèse
d'une d~rÎ\'ation, s'oppo::.er à tout tracé qui
n'emprunterait pas le seuil de Lamanon.
Adopte et fait ~iellne la réserve for-
�62
par M. Quesnel, inspeereur de l'Hy'draulique
et du Génie Rural, et ainsi rédigée :
« M. Quesnel e.xpose que la réa(jsation du
projet de dCrivation des eaux superficielles
de la Durance à Cadarache est liée à la
construction des barra ges en haute monta·
gne, notamment du réservoir de Serre-Ponçon et fait remarquer que E. D. F. devra
prévoir de laisser passer des débits de crue
pour maintenir à son taux norm al le deg ré
d'imbibition des sols, Senre-Ponço n ne devra
donc pas absorbe r la totalité des débits de
la Dt>rance .•.
L e Secrélaire, Le Président,
Signé : de jESSE,
Signé: A\OURET,
Malre de Cornill on.
Maire d'Aix.
-------c~OOc~-------
DEMANDES DE PRET5
A LA CAlSSE D'EPARGNE
Les emprunts des villes et communes de
plus de 15 millions, ma is n'excédant pas tre nte a ns sont a utori sés par arrêté pris par le
Ministre de l' Intérieu r et le Ministre des Finan ces (actuellement le Ministre du Bud get);
les emprunts excéda nt une durée de trente
ans sont, quelle que soit l'importance, approuvés par décret rendu en Conseil d'Etat.
Il est précisé que cette légis lation cesse
1
d'être en vigueur le 1er janvier 1951 A
tir de cette date, e n ve rtu du Dé~ t par50-980 du 12 août 1950 modifiant Ire n"
.
a tcam· é s cha' rgees
p étence d es a u tont
du C
.
Administratif des commu nes les e On role
é
c
t
·
,
mprunts
,
d
d une ur c e mOinS de trente annë
r? nt approuvés par les So us-Préfets 10~~ s~i
s agira de comm un es de 20.000 habitanti~:,
PTluS't Pfar Iles Préfelts, dans le cas Co ntraire
ou e OIS o rsque e serVice de la dette
.
ml~na l e dépasl~e r~ l ~ % des ressources ~~~~
nalres o u qUII s agira d e villes de pl, s d
80.000 habitant~ dont le eompte a ura 1 pré:
se nté un déflc,t a chacun e des trois der ni ères
a nn ées, les emprunts seront approuvés par
arrêté du Mlmstre de l'Intérieur et du M'
nistre du Budget. Les empr un ts de plus
trente ans seront app rouvés pa r décret a e
Co nseil d'Etat.
. .
u
d-
MODELE DU CERTIFICAT FINANCIER
IMPOSITIONS COMMUNALES
Suite au communiqué inséré dans le
R. A. A. n" 6-7 des 8 et 15-2-1951
A. - CONSTITUTION DES DOSSIERS
FINANCIERS.
Pour êt re à méme d'apprécier la situation
fi nancière des collectivites emprunteuses, les
Caisses d'Epargne auront à Jeur demandet
la production des documents suivants :
a) Communes.
l 'U n certificat d éli vré par le Receveur
Municipal et visé par le Maire, indiquant :
le principal fictif des quat re contrib utions
directes dans Ja commune ; les centimes de
toute nature que la commune est autor isée à
s'imposer pour l'année courante ou pour les
annees suivantes ;
2' Un état du pass,f de la com mune md,qu ant le capital restant dû sur les emprunts
antérieurs ;
3' Un extrait des comptes administratifs
indiquant:
- 1) les recettes et les dépe nses effectuées pendant les trois derniers exercices
clos, avec distinction des opérations ordinaires, des opérations extraor dinai res et des
opérations su.pplémentai res ;
- 2) pour chacun des dits exercices, l'excédent constaté à la lin de l'exercice antérieur ; cette pièce doit aussi mentionner
quand il y a lieu les prélèvements à effectue r
pour l'avenir sur les revenus ordinai res par
suite d'engagements antéri eurs ;
Ces t rois pièces pourront èt re établies sur
le mod o l, ci-joint.
4 u Une copie du dernier Budget primitif
approuvé (actuellement et jusqu'au mois de
mars 195 1 inclus) le budget il exige r est
celui de 1950.
B. - CONSTITUTION DES DOSSIERS
ADMINISTRATIFS.
En vue de l 'établiss~ment du contrat de
prêt, la collectivité doit pro?uire les délibérati ons vota nt l'empr unt, -crea nt les ressources nécessai r es a son amortissement et habilitant son rep résentant légal il intervenir au
traité, ainsi que l es actes d'autorisation correspond a nts.
Ces documents sont, pour chaque catégorie de collectivités, indiqués ci-après :
a) Communes.
l ' U ne copie de la déli bé ratio n du Co nseil Municipal portant vote de l'emprunt,
ainsi que des ressources affectées il son
amortissement et autorisa nt le Maire il passer traité avec la Caisse des Dépôts et Consignations (voir modèle 2 ci-j oint) ;
-
2' Une copie certifiée conforme pa r le
Préfet ou le Sous-Préfet de l'acte autorisant
l'emprunt et la créatio n des resso urces affectées à l'amortissement.
D'après la législation en vigueur, les
emprunts des comm unes inférieurs ou égaux
à 15 millions et n'excédant pas un e durée
d'amortissement de 30 ans sont autorisés par
le Préfet ou le Sous-Préfet, lorsque ce ' dernier règle le bud get.
Contribution Foncière :
Bâtie ................. ..
Non bâtie ......... . ... .
Contribution personnelle mobilière
Cont ri bution des Patentes .. .. . .
Centimes ordinaires et spéciaux
(à l'exclusion des centimes sur
la contribution des patentes ... .
Ce nt imes ext raord ina ires (pou r
dépenses extraor djnaires et service de la Dette) ... .. ...... .
Cé ntim es pour insuffisance de
revenus .................... .
Total .. .. ...... . .. '.
Valeur du Ce nti me ..... .
63
Article 3. - L'amortissement aura lieu par
annuités égales.
Les intérêts ~a l c u l és a u tau x de l'empr unt
commenceront a counr du Jour du verseme nt
des fonds.
Selon que les ve rseme nts seront opérés
avant ou après le point de d épa rt du tab leau
d'amortissement, les i n té r ~ts de la premi ère
annuité seront augmentés Ou
diminués
en
co nséquence.
Ar/icle 4. - Les remb oursements doivent
en principe, être faits à Paris à la Ca i ss~
des Dépôts et Consignations. Cependant, la
commune pourra être autorisée, sur la dema nd e du Maire, à se li bérer il la Caisse du
Receveur des Finances de l' Arro nd issement·
mais dans ce cas, le paiement devra ~t r~
effect ué un mo is avant l'échéa nce.
Ar/icle 5. - T out paiement non effectué
à la date de son exigibili té portera intérêt
de plein droit au taux de 6 %.
Ar/icle 6. - La Commu ne s'engage il
prend re à sa charge l es impôts présents et
futurs, ai nsi que l es droits et frais pouvant
résulter du prése nt emprunt .
Ar/icle 7. - La Comm un e aura la faculté
d'elfectuer à toute époq ue des remboursements par anticipation au moyen de plusvalues pro venant du rendement des cen times affectés au service de l'Emp ru nt. Ell e ne
pourra employer d'utres ressources à des
rembourse~ents de cette nature qu'au Co urs
de la deuxJeme moitié de la période d'amo rtissement et avec préavis d'un an. Dans tous
les cas, ces remboursements anticipés ComP? rte r~nt le paiement, par l a commune,
dune mdemnité égale a u montant d' un semestre d' intérêts du ca pital rembo ursé par
antiCi pation. Ils devront avoir lieu au moment
d' une éc héa nce.
Les s ubventions de l'Etat a llouées pour
l 'objet motivant Je recou rs au crédit seront
obligatoirement affectées dès leu r encaissement, à ~es remboursem(!Ots anticipés, pour
l esq uels Il ne sera exiaé ni préavis ni ind.emnité. Il en ser a de ~è m e pour le~ réducfi ons du montant de l'emprunt consécutives à
des r abais d'adjudication, dans la mesure
où ces réductions n'entraînent aucun reversement de fonds au prêteur.
Ar/icle 8. - La Commune s'engage à remettre à la Caisse des Dépôts et Consig nati ons. au cas où celle-ci jugerait ultérieurement nécessai re et sur simpl e réq uisition du
Di recteur Général, des obligations négociables en représentation de tout ou partie des
sommes restant à amortir.
Ces obli ga tions, établies a u nom de la
Caisse des Dépôts et Consignations sous forme de titres nominatifs, et dont la remise
se ra constatée par un récépissé délivré au
Receveur Municipal, seront cessibles soit en
Bonrse, soit en Banq ue, soit par l'entremise
d'un Notaire.
Les frais de confection des titres et le
montant des dIoits de timbre seront à la
cha r ge de l'emprunteur.
Pour copie conforme.
A .................. , le .......... . .
Total
PASSIF DE LA COMMUNE
Natu re et montant
des emprunts
Capital
restant dû
Total du capital restant dû ..
Annuitè
Dern ière année
de J'amor tissement
Obsenrations
C.
MODELE N' 2 (Communes)
MODELE DE DELIBERATION
à réaliser auprès de la Caisse des Dépôts
et Consignations (fonds pro venant de la
Caisse d'Epargne de .. . .. . .......... ) aux
conditions de cet établissement et a u tau x
la r éalisation d'un emprunt communal
d'i ntérêt de
l'emprunt de la somà la Caisse des Dépô/s e/IConsigna/ions
, me de ....... ..................... que la
(Fonds provenant de la Caisse d' Epargne
Commune est admise il contracter par 1 .
des Bouches-du- Rhône)
(décret, arrêté préfectoral ou ministé nel)
Extrait du regist re des délibérat ions du
du .... . ......... et dont le rembou rsement
Conseil Municipal de la
s'effectuera en
a nnées ii partir de
Com mune de .... .. .... . . . ............ .
............ 19
,au moyen de ...... .
Séance
ordinaire du ...... 19
(nombre de centim es extraordinaires).
L'a n mil neuf cent ...... .. , Je ....... .
Il est, en conséquence, autorisé à si g~~r le
à ........ heures.
traité à inter venir pour régler les conditIOnS
Le Conseil Municipal de la Co mmun e
du dit emprunt.
de ............. . .. , légaleme nt convoqué,
Ar/icle 2. _ Le montant de l'emprunt sera
s'est assemblée au lieu ordinaire de ses séanversé a u Trésor Public, au crédit du Trésoces, so us la présidence de M. . .......... .
rier-Payeur Général du Département et po~~
Présents : MM: ...... .. ............. .
le
compte de la Commune, soit en une se"de
Absents : MM .. ... . .............. . ... .
fois, soit par fractions,
la convenance ffet
Secrétaire : M. . ........ . ............. .
la Municipalité, qui disposera à ~.et ~en
Exposé:
d'un dé lai de six mois à dater de lII1ter
Arficle premier. - M. le Maire est invité
tion d u traité.
à prendre par le Conseil Municipal pour
a
Copie certi6ét: conforme.
Pour le Préfet :
L. S.créloire Gi""41 : LAMASSOUR:E.
Le Maire:
�•
REPUBLIQUE FRANÇ.LY~'.A
12 et 19 Avril 1951
N" 15 et 16
DÉPARTEMENT DES
...,.-
\
( )
/
-
·";'~0
Recueil des Actes A '~H ~~ Istratifs
et Bulletin des Mairies
Toute corr espondance relative au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectora l. - C. : Circulaire' - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des Services Technique •. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction dépanementale de la Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pages
AG 1. -
Suspension temporai re de
fo nctions du m~ire de Berre ......
A O. - Elections aux Chambres d'Agriculture. - Etablisseme nt des listes
électorales . .. ....... ............
A O. - Statut du ferma ge. - Cours
des denrées ................. . ....
A 3. - Agriculture. - Protection des
récoltes ..... ........ .............
A 5. - Surveillance sanitaire des troupeaux transhumants .. .............
SC 7. - Arrêté portant réglementat ion
de l'emploi du feu .... .... ........
AG 2. - Allocation de salaire unique
aux jeunes ménages sans enfants..
65
65
68
68
68
69
69
AG 6. - Syndicat li bre des propriétaires du lotissement de la Vall ée de
l'Arc. Les Fenouillères, à Aix. . . . . .
AG 7. - Appel so us les drapeaux de
la Ire fraction du contingent à incorpo rer en 1951 ................
CIA O. - Renouvellement partiel des
Chambres de Comme rce et des Tribunaux de Commerce en 195 1. Confection des listes électorales. . . .
FS O. - Médecins ag réés pour pratiquer les examens radioscopiq ues en
vue de la délivrance des certificats
prénupiaux et prénataux . .. .. .....
FS O. - Modifications au règlement sanitaire départemental du 1er octobre l~ . .... . . . . . ........ . . . ...
SC 7. - Arrêté municipal réglant le
69
service des corps de sapeurs-pom_
piers .. .. . .......... ...... .. . .. . .
SC 7. - Indemnités allouées aux sapeurs-pompiers vo lontai res pour i ncapacité temporair e .. ........ . ...
74
1
70
73
73
TI
74
Communiqués, Avis, Annonces diveraa
P 8. - Retrait de nati onalité . .. .. ...
- Adjudications publiques et appel
d'offres par le Service des Subsistances militaires de Marseille. , ' " ,
74
74
Commwtiqués du Secrétariat
de l'Urûon des Malres
-
Ass urances des bâtiments communaux ...... . ........ .. ... . .......
- Recueil ayant t rait aux distinctions
honorifiques .......... .. . ... .....
- Offres d'emploi ...... . ........ . ..
75
75
75
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
SECRETAR IAT GEN 6RA L
AG 1
SUSPENSION TEMPORAIRE
DE fONCTIOr;S DU MAIRE
DE BERRE
Le Président du Conseil, Ministre de
l' Intérieur,
une durée de trois mois à dater de la notification à l'intéressé de J'arrêté préfectoral
susvisé.
Article 2. - - Le Préfet des Bouches-duRh ône est cha rgé de l'exécution du présent
arrêté,
Fait à Paris, le 3 av ril 195 1.
Sur la proposition du Préfet des Bouchesdu-Hhône ;
Vu l'article 86 de la loi du 5 avri l 18S-l,
modifi é par la loi du 8 juillet 1908 ;
Vu l'arrêté en date du 20 mars 195 1 d u
Préfet des Bouches-du-Rhône portant s usp,enSion pour une .-durée d'un mois de MOIlsieur MART IN, maire de la commune de
Berre (Bouches-du-Hhône),
Considéra nt que M. MARTIN Ho;:e r, maire de la comm un e de Berre (Bo uches-duRhÔne) a gravement mécon nu les uevoi rs
de s~ charge en tol érant que la Mairie so it
paVOISée à des cou l eurs qui n'étaient pas
cell es du Drapeau fran ça is,
ARRETE :
Article premier. _ M. MARTIN Roger est
SUSpendu de ses fonctions de maire de la
commune de Berre (Bouc hes-du.J~ h ône) pour
Signé: H. QUEUILLE.
----c.)ooc.)-- - -
D6Bl
AO
ELECTIONS AUX CHAMBRES
.
D' AGRICULTURE
ETABLlS'SÈMENT DES LISTES
ELECTORALES
Le Prefet des Bouches-du-Rhône
à lHessicurs !l's Maires du Département,
J'ai l'honneur d'attirer l~otre tOll~e par:ticulière aUention sur la presente CfrClIlatre,
qui a pOlir objet de préciser les conditions
dans lesquelles les listes éleflorales relatives
aux élections aux Chambres ri' Agriculture
doivent être établies.
A -
ELECTEURS IND IVIDUELS
1. -
Corps électoral - Cunditions
L' article 5 de la loi du 3 jan"ier 1924 pré-
cise comme suit les co ncJi ti o ~ requises pour
être électeur aux Chambres d'Agriculture :
« Sont électeurs à l a conditions :
a) d'être inscrits sur une liste électoraJe
politique ;
b) d'être âgés de vi ngt-cinq ans révolus
au plus tard le dernier jour du d~lai imparti
pour l'inscription des électeurs su r la liste
spécia le des Chambres d'Agriculture :
c) d'être français ou naturalist!s français
depuis dix ans au moins.
1
Les propriétaires ou usufruitiers d'une
expl oitation rurale ou forestière situee dans
la commune sur la liste de laquelle ils Ut.'mandent l eur inscription, pourvu que J'acquisition de l a propriété ou la constitution
de l'usufruit remonte à plus de cinq années;
2° Les fe rmi ers, les métayers, les colons
partiaires, les domaniers dont l'agrÎt,tlture
est la profession principale, l es chefs de culture, les régisseurs ;
3° Les ouvriers à la journée ou à gages,
ainsi 411~ les membres ue l a famille du chef
d'exploitation travaillant avec . à co nùition
U
�--
66
IV. _
qu'ils exercent habituellement et effectivement la profession agricole depuIs ClDq an~
au moins sur le territoire de la commune ou
ils demandent leur inscription.
IEn outre sont électeurs ceu x qui n'exercent plus ia profession agricole mai qui,
âgés d'au moins cinquante ans, ont appartenu pendant les dix dernières années au
moi~s aux catéoories visé~ ci-dessus (quelle que soit la co"mmune où ils ont rempli les
conditions imposées pour J'électorat) et
n'exercent pas une autre profession. ~
L'article 2 du décret du 30 mars 1929
dispose que C' quiconque.pré,tend à .l'exerClc"e
du droit de vote, est inVité a en faire la. dt:daration à la mairie, avant It: 20 ~vnl. ».
D'autre part, l'article 8 de la 101 du 3 !an~' ler
1924 dispose que « la liste est deposee a la
mairie de la commune le premier dimanche
de mai ~.
C'est dOliC entre le 20 avril et 1e-.6 mai
195 1 que devront se reunir les Commissions
de recensement.
Seules sont électrices :
Les femmes, cllef d'exploitation agricole,
qui possèdent les conditions de capacité ci-
NOlll'elles réunions de la Commission. L'article 10 de la loi du 3 janvier 1924, dispose que « dans la ))uitaine qui suit l'expiration de ce dermer delal de trente Jour,
le maire transmet au Juge de Paix du canton
les réclamations écartées par la Commission ».
La Commission devra donc, à nouvea u, se
réunir au cours de cette huitaine, soit entre
le jeudi 7 juin et, au plus tard, le mercredi
14 juin 1951.
D'autre part, l'article 13 de la loi du 3
janvier 1924 dispose que « la liste électorale
rectifiée, s'il y a lieu, en vertu des décisions
judiciaires, est close le 1er juillet • .
La Commission devra donc se réunir une
dernière fois le dimanche 1er jui ll et 195 1,
pour arrêter définiti vement la liste, prononcer sa clôture et en transmettre un exemplaire au Préfet.
viJe, d'âge et de nationalité fixées par ('ar_
ticle 5 de la loi, ainsi que ceUes qui, au
cours des dernières guerres, pendant ('ab-
sence de leur mari, père ou frère, ont dirigé
leur exploitation agricole et remplissant les
mêmes conditions de nationalité, d'âge et de
capacité.
1
II. - Inscription et option
Les inscriptions sont faites ;
1· A la demande des électeurs (déclaration à faire avant le 20 avril) ;
2 0 O'office par la Commission de recensement prévue à l 'article 7 de la loi, si l'éJecteur ne ' demande pas . Son inscription.
L'article 4 du décret du 30 mars 1929 spécifiant que la déclaratiôn souscrite par les
électeurs et les é.lectrices est établie sur une
formule arrêtée par le Ministre de l 'Agriculture, je vous adresse ci-joint (annexe 1) un
modèle de demande d'inscription Qu'il vous
appartiendra de communiquer 'aux ,Maires de
votre Département.
Les électeurs remplissant dans plusieurs
circo.nscriptions les conditions requises pour
l'électorat ne pourront l'exercer que dans
une seule, à leur choix (loi du 3 janvier
1924, art. 14).
Nul ne peut être inscrit sur plusieurs listes
électorales. Les électeurs et les électrices ne
peuvent demander leur inscription que dans
Ja commune où se trouve le siège de l'exploitation qui les intéresse à l' un des titres
prévus par l'article 5 de la loi. En cas de
pluralité d'expl oitations, ils doivent, opter
pour l'une des communes Sur le territoire
desquelles se trouvent les sièges de ces
exploitations (Décret du 30 mars 1929, art.
3).
III. - Commission de recensement
La Commission qui dresse la liste électorale de la commune est Composée du maire,
d'un délégué du Préfet et d'un délégué du
Conseil Municipal, choisis l'un et l'autre parmi les electeurs agricoles (Loi du 3 janvier
1924, art. 7, modifié par le décret-loi du 30
octobre 1935).
Vous voudrez bien me désigner le plus rapidement possible, la personne qui fera fonction de délégu;; du Préfet.
J'appelle toute votre attention sur l'importance que présente la constituti.on de ces
Commissions, conformément à l a loi. En
dehors du maire, les deux membres qui les
composent (délégués du Conseil Municipal et
du Préfet) doivent être, d'apres l'article 7,
des électeurs agricoles. Le respect de cette
disposition peut seul permettre d'obtenir des
listes exactement établies, sans exiger des
intéressés la présentation des justifications
parfois difficiles li réunir,
Date des réunions de la Commission
V. -
Rôle de la Commission
La Commission instituée par l'article 7 de
la loi du j anvier 1924 dresse la liste des
électeurs en prenant pour base la liste précédente (l), ainsi que les déclarations precitées ; eUe in&crit d'office les électeurs dont
la capacité électorale lui est connue, meme
s'ils n'ont pas demandé leur inscription, et
procède aux radiations. Elfe inscrit sur cette
liste les électeurs qui remplissent les conditions requises et ceux à l'égard desquels ces
conditions se trouveront réalisées avant l a
clôture définitive de la liste (décret du 30
mars 1929, art. 6).
i
La Commission devra donc :
a) Ajouter li la liste établie pour les dernières élections (si les événements surven liS
depuis, ont permis de la conserver) les nom~
de tous ceux qui auront fourni le 20 avril
1951 une déclaration reconnue justifiée et
régulière;
b) Ajouter ceux qui n'ont lait aUCune déclaration, mais pour lesquels la Commission
a la certitude qu'ils possedent ou posséderont, li la date de l a clôture de la liste, la
capacité électorale ;
c) Procéder à la radiation des électeu rs
décédés et de ceux pour lesquels eUe possede la certitude qu'ils ont perdu la capacité
électorale.
VI. -
Forme des listes
Conformément aux prescriptions de l'article 7 du décret du 30 mars 1929, les listes
él ectorales doivent être établies en deux
exemplaires, par catégo ries et par ordre alphabétique dans chaque catégor ie. L'un des
deux exemplaires sera immédiatement envoyé au Préfet. U devra être lait emploi de
(1) Depuis le déc ret du 6 août ] 936, qui n'a
pas modifié cet article, il faudrait lire :
établie pour les dernières élections •.
0:
Liste
formules conformes au modèle ci-joint (annexe Il).
'
A ce sujet, j'attire tout spéCialement Vahl'
attention sur la nécessité de dresser des lis.
tes distinctes pour chac~ne des 9 catégories
citées page 2 A, en raIson de l'éventualitê
d'une modification des dispositions actuelle.
ment en vigueur en matière d'élections aux
Chambres d'Agriculture.
VII. -
Dépô l des listes
La liste est déposée à la mairie de la
commune le premier d i mall c h~ de mai) elle
dépôt en est annonce par affiche apposée a
l a porte de la mairie.
Elle est communiquée, sans frais ni dépla,
cement, à tout requêrant, qui peut en pren.
dre copie (Loi du 3 janvier 1924, ilrt. 8).
VIII. -
Publicite
Les erreurs ou omissions auront d'autant
plus de chances d'être évitées, qu'une plus
grande publicité aura été donnée à ces listes, et je ne puis que vo us engager à assurer à cette publicité par les moyens dont
vous disposez notamment par des insertions
dans la presse locale.
IX. -
1" -
R éclamations
Action des électeurs :
Dans les trente jours q:ui suivent la date
du dépôt, toute' personne se prétendant indûment omise peut réclamer son inscription;
tout électeur inscrit sur une liste communall'
du département peut demand er l'inscription
d'une personne indûment omise ou la radiation d'une personne indûm ent inscrite (Loi
du 3 janvier 1924, art. 9).
. .
Ces réclamations sont faites, sans fraIS, a
la mairie ; il en est donné récépissé.
2 ° - Forme des réclamafions :
Les réclamations aux fins d'inscription qui
seront formées par les intéresses ou par les
tiers, dans le délai de trente jours I,mparll
par l'article 9 de la loi, devront pr~senler
les mêmes indications et être appuyees des
mêmes justifications que l es déclarations
prévues par l 'a rticle 4 du présent décrel
(décret du 30 mars 1929, art. 8).
3' -
Action de la Ju stice de Paix ."
Dans l a huitaine qui suit l'expi rat.ion de ce
dernier délai de trente jours, le malr~ trans·
met au juO'e de paix du canto n, les (('clamations écartées par la Commission.
Le Juge de Paix statue, sans frais ni for·
me de procédure, après convocat i~n des ln·
téressés par simple lettre du Greffier.
•
Toutefois, si la demande .souml~~
a~1 .Ju"
bie
de Paix implique la solution preJ lld!Cla e
d'une question qui échappe à sa ~ompete~cl~
il renvoie les parties à se pourvOIr devandisTribunal compétent, conformeme~t. aU: fixe
positions du Code de procédure clvlie t l ,,/
le délai dans lequel la partie aya nt .s.ou e
la question préjudicielle devra Justifier de
ses diligences.
.
délai ln.
A défaut de justificatio n dans le 1 fond.
diqué le Juge de Paix statue sllr e
.
,
.
P' env01t'
Le Greffier de la Justice de alx. des
à chac un dts maires tlu cant?n, cO~ le vier
décisions 4ui le concernent (LOI du 3 Jan
1924, art. 10).
4° -
Pourvoi en Cour de Cassation
.
.
'st pOln l
La décision du Ju ge de ~al x n ~,.iS elle
susceptible d'opposition, 111 d appel'cassation,
peut être delérée à la Cour de
pour violation de l a l oi.
'"1 est for'
Le pourvoi n'est recevable que SI
•
67
d s les dix jours de la notification du
JTlé an t . il n'est pas suspensif ; il est
Ou frère, ont dirigé une . exploitation agricole;
forme Ps dans les di x jours qui suivent et
fendeur l1<
t'
.lug é d'ur t:o ence ' sans f rai'S"
01 consigna Ion
j'affirme, en outre. sous les peines de
droit, que je me trouve bien dans les conditions exigées par l'article 5 de la loi du 3
janvier 1924, pour l'inscription sur les listes
électo ral es.
juge~enar 'simple requête dénoncée aux dé-
d'amende.
..
dé
é . 1
.
Les pièces et memol r es
P?S s a a m~ Ir les parties sont transmIs pa r l e maire
"1; tfreffier de la Justi ce de Paix et par cea. . 3U Greffe de la Cour de Cassa ti on.
IWL~ Chambre cles Hequêtes statue définitile IJOUrvoi et le Greffier transmet
..
d
.
(L' d
l'emen t sllr
une copie de la déCISion li maire
01
LI
3 janvier 1~24, art. 11):
..
5~ - Dispense du timbre et du ministère
d'QI/ocat :
Tous les actes judiciaires auxquels donent lieu les instances prévues aux articles
~O et Il, à l'exeption de c~lI es r.el ative~ à
des questions d'Etat, sont dlspense~ du t imbre et enregistrés gratIs (LOI du 3 lan.ler
1921 art. 12).
X. -
Clôlure des lisles
La liste électo r ale rectifiée s'il y a lieu, en
"ertu des décisions judiciaires, est dose déhnilivement le 1er juillet (Loi du 3 janvier
1924, art. 13).
ANNEXE 1
Chambre d'Agricu"","
Formule de demandes d'inscription
sur les listes élector ales
Je soussigné
(Nom et prénoms
né a
département de
li
(1)
r.ationalite
date de naturalisation (s' il y a li eu)
résident â
département de
demande à êt re inscrit sur la liste élec torale
de la commune de
pour l'élection des Cham bres d'Agriculture
dans l'une des catégories suiva ntes:
\indiquer ci-dessous, parmi les catégories
cnumérées ci-après, cell e au titre de l aquelle
l'inscription est demandée).
1" - Propriétaires et usufruitiers non
exploitants d'une exploitation rurale ou fo restière (homme seulement) :
2") Propriétaires exploitants (hom mes
seulement) ;
3 Fermiers, métayers, colons partiaires,
domaniers (hommes seulement) ;
4~) Chefs de culture régisseurs (hommes
seulement) ;
,
5°) Ouvriers agricoles à l a journ ée ou à
gages (hommes seulement) ;
6°) Membres de la famille du chef d'e xPlOitation tra vaillant avec lui (hommes seulement) ;
.7") Anciens
aO"riculteurs
âO"és
d'au moins
Cinq
1
~
0
d' uan ~ ans, ayant appartenu pendant les
.IX dernières années au moins aux catégone:o vi~ées ci -dessus (hommes seulem~nt) ;
g.i) Femmes chefs d'exploitation ag rICole ;
Femmes qui, au cours des dernI ères
guerres, pendant J'absence de leur mari, père
(2)
Je déclare enfin, que je ne jouis du droit
électora l 4ue dans la commune de
dési~n ée ci-dessous.
(2)
Je déclare que, jouissant du droit électoral
à titre de
dans les
communes de
département de
de
département de
de
département de
.
je m'abstiendrai de l'exercer dans l'une quel..:
conque de ces communes autre que celle à
la mairie de laquelle j'adresse la présent~
demande. Je ne demande et ne demanderé,1.I
mon inscription dans aucune autre commune, tant que je ~ 'a urai pas obtenu ma radiation à la commune de
désignée ci-dessus.
Je joins à l a présente demande
1") Mon bulletin de naissa nce (3). \Ce bulletin est nécessaire seulement pour 1 Inscnption des électeurs, quell e que soit la ~até
gorie à laquelle il~ appartien.nent" qUI ne
sont pas déjà inSCrits su r la Il.ste elec~o r al.e
de la commune pour les élections légISlatives).
2'1 )
.
extra}.t d~ rôle
de la contribution fonciere ou de .llmpot sl~r
les bénéfices agricoles ou attestaho n du .malre ou d'un notaine (3) (pour les catégOries 1.
Il, lU, IV, V II, VIII, IX).
certificat des
3')
(2) Biffe r, sui va nt le cas, l'une ou l'autre de
ccs d eux déclar ations.
(3) Biffer les indi ca ti ons qu i nc com' iend r aicm
pas su iva nt la s ituat ion de chaque requ érant ou
r equérante. Indiquer le nombre des pièces annexées.
Numéros
d'ordre
1
employeurs successifs depuis le 1er juillet,
indiquant le commencement ~t la fi~ d~ chacune des périodes de travail (categories V
et VI) ;
4')
altestalion des employeurs et du maire étab lissa~t que . la professio n agri cole est la profeSSion unique. ou
principale de l'ouvrier qui demande SOn Inscription (3) (catégorie V et VI) ;
5°)
. . ,) lIst~fic~tion
que le fonds qui donne droIt a 1 Ins~nptlOn .a
été acquis Olt constitué en usufrUlt depul~
plus de ci nq ans (3) (catégorie 1 et Il).
En tout
pièces annexées.
Fait à
le
signature
Approuvé pour être joint à la
circulaire du 2.1 mars 1951
Le Ministre de l'Agriculture,
Pierre PFLIMLIN
ANNEXE Il
,"adèle de Liste Electorale
République Fran çaise
Deparlement
de
Arrondissement
de
Canton
de
Liste Electorale de la Commune de
pour l'a nnée
Catégorie n ù
(l, Il, ID, IV, V, VI,
VII, VII, ou IX)
Instructions, § 1. - Les numéros d'ordre
de la première colonne doivent form~r u~e
série unique et ininterrompue par categone,
depuis le premier nom de l a liste jusqu'au
dernier.
§ 2. - Classer les électeurs sur la liste
de chaque catégorie. en sUIvant ngoureuser11e llt l'ordre alphabétique de leurs noms.
§ 3. - L'ordre alphabétique doit être .observé non seulement pour la lettre inItIale
de chaque nom) mais encore, lorsqu'il y a
lieu, pour l es lettres suivantes.
NOMS ET PHENOMS
DATE
de naissance
ADRESSE EXACTE
2
3
4
.... , ... . . ....... . .......
D
)
(J ?
Ne peu\'C llt être in s('ril "i que le::. I?lectcuT:-.
Ou c1ectr'
.
ICCS Iles avant le 1er .
2
3
.... .......... ........
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1
5
6
. . . . . . . . .. . ...... . •...
etc.
La présente liste électorale contenant
par nous, lvlaire de la commune de
inscriptions a été d ress~e
�•
68
D6 B1
AO
STATUT DU FERMAGE
Cours des denrées
ARRETE
(N" 417)
Le Préfet des Bouches-du-RhOne,
Officier de la Légion d'honneur,
Croix-de-Guerre,
Vu l'ordonnance du 17 octobre 1945, relative au Statut du Fermage, modifié par les
lois ctu 13 avril 1946 et 3 1 décembre 1945
Vu J'avis de la Commission consultativ~
des Baux Ruraux en date du 4 avril 1951
Sur la proposition du secrétaire général:
ARRETE:
Article 1er. - Les cour]; des denrées devant servir de base au calcul des ferma aes
sont fixés ainsi qu'il suit dans le dépa':te~
ment des B-du-Rh. :
Echéance semes/rielle du 1er avril 1951
Blé (le quintal) ......... . fr. 2.561 ,50 (1)
Pommes de terre de COnsommation coura nte (le quintal) .................. Ir.
933
Foin de Crau ............ Ir.
908
Foin ordimiire .. .. . ....... fr.
658
Vin (le deg ré HI) ......._.. . fr.
274
Laine (le kg.) ............ f r.
357
Bœul poids vil (2' qualité
le kg.) ..... .... ....... fr.
87
Huile d'olive (le kg.) ...... fr.
353
Fruits (le quintal) .... .. .. Ir. 3.000
Artic/e 2. - Le Secrétaire Général de la
Prélecture est chargé de l'exécution du présent a rrété,
Marseille le 6-4-51.
Pour le Préfet
Le Secrétaire Général .LAMASSOURE
(l) Sous césen'c de l'incidence des réfactions
motÎ\-ées par le décret nO 50-1022, du 22 aout
1950 0 .0. du 23·8-1950, page 9029) lorsque 1.
livraison effectuée par le preneur SUr la c(cofte
globale excèdera 50 quintaux.
c~oo<.>-
_ __
D6B1
A3
AGRICULTURE
Protection des récoltes
Le Préfet des Bouches-du-Rhône à
Messieurs les Maires du Département.
Il est à prél'oir que l'utilisation des nap.
pes fumigènes pour la protection des récoltes contre le ~el, sera en\'isagée cette année
par certains cultivateurs du département.
Y0,:,s n'ignorez pas les dangers que les
émISSIons de ces nappes présentent pour la
circulation routière et ferroviaire. La réglementation qui doit intervenir n'étant pas définitivement arrêtée. vous serez appelés à autoriser ces émissions en vertu des pouvoirs
que vous co nfére la loi du 5 avril 1884 (articles, 91, 95 et 97).
Vos arrêtés del'ront prescrire toutes mesures que vous jugerez utiles pour assurer
fa sûreté de la circulation, mais je vous rappelle que les utilisateurs de ces nappes sont
dans l'obli gatio n :
l ' ) D'orga niser à leurs frais, aux abords
des sections de ro utes atteintes par les nappes fumigènes pendant toute la durée et leur
traversée, ~~~ . si~~alisation spéciale atti rant
lumineux sonores, pilotes ... ) ; de telle manière qu'~n aucun cas les a"e.r~issernents ,de
prudence donnés aux automobilistes ne pUl S~
sent leur echapper. Un agent asser!n~nte
devra se tenir en permanence aux Imlltes
des nappes pour les prévenir des dangers
qu'ils encourent.
2 ' ) De prendre l'engagement formel d'enùosser la responsabilité cil'ile de tous les accidents prol'oqués par la mauvaise visibi lité
rés ultant de cette émission ;
3' De présenter à !et effet, une police
d'assurance les couv ra nt de ces risq ues,
Pour pallier les inconvénients de la situation ferroviaire, les postes de com mandement de 10 S.N.C.F. doivent être preve nus
par téléphone, préalablement à chaque émISsion de lumée.
Il sera particulièrement utile d'indiquer, au
cours de la communication téléphonique, le::
points de l'oies ferrées qui sont susceptibles
d'être attei nts par les nappes fumigènes,
Vous voudrez bien me tenir informé des
décisions que \'OUS aurez prises,
.J ' ajo ute, enfin, qu'une loi du 20 mars 195 1
insérée a u J.O. du 21 du même mois, étend
a ux associations ayant pour objet la défense
co ntre la grêle et la gelée, les dispositions
des lois des 21 Juin 1865 et 22 décembre
1888 sur les associations syndicales.
Pour le Préfet, par délégatio n,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE
-------c~ooc~-------
OIRECTION DES SERVICES
VETERINAIRES
AS
SURVEWLANCE SANITAIRE
DES TROUPEAUX TRANSHUMANTS
Les disposilions de l'a rrêté préfectoral du
2 mars 1950, réglementant, du point de vue
sa nitaire, les opé rations de la- transhumance,
so nt automatiquement prorogées pour l'année 1951.
MM. les Maires sont priés de bien vou loir
en aviser dès à prése nt leurs administrés,
cette information devant" être répétée li plusieurs reprises, d'ici la date du dépa rt des
troupeaux pour la montagne.
Aucun nouvel arrêté, en effet, n' Intenl'!endra cette année.
------- c~ oo c>, -------
D2B3
SC 7
ARRE'I'E PORTANT
REGLEMENTATION
DE L'EMPLOI DU FEU
Le Pré let des Bouches-du-Rhône,
Officier de la ~égion d'Hor.neur,
Vu l'article 99 de la loi du 5 av ril 1884 ;
Vu le Code lorestier et notamme nt l'a rticl e
148, modifié par les lois des 10 août 1943 et
27 avril 1949 ;
Vu la loi du 26 mars 1924 concern ant les
diverses mesures à prendre contre les incendies de lorêts ;
Vu le rappo rt de M. le Co nservateur des
Eaux et Forêts en date du 27 mars 195 1 :
Sur la proposition de M. le Secrétaire Générai,
ARRETE:
Ar/iclc 1er .- Emp/oi du teu en général. _
Pendant toute l'année, il est interdit à tOutes
autres
propriétaires de
-
lumer du feu dans l'intérieur et ' us ..
distance de 200 mètres des bois etJfo~~sa la
Pendant .Ia période du 15 mai au 15 .
bre, cette interdIctIOn s'applique mèm OClo.
propriétaires de bois ou à leurs ayants~ra"
étant entendu que cette prohibitio Oli,
s'étend pas a ux locaux servant à l'hab'~ /e
et à leurs dépendances, ni aux a b(,s 1 a,lOn
10 yer, déevra eï .r e amé
' et cornpOrter
, ouIInll,
na ge
c 1lemln e de tIra ge de ~ mètres de haUi
au moins munie d' un dispositif pare-étin e~r
les à l 'ex trémi~é s upé ri eure. L'emploi du ~:~
dans les Chfa l~ttJel~sb~t par les promeneurs Ou
can~peurs, al
0 Jet des dispositions.
apres.
CI
Article 2. ;' Cha!uie!s en gélJéraf. _ Sous
rése rv: de 1 auto~lsatloll du prop ri êtlli re de
la foret. en ce qUi con~e.rn~ l'emploi du feu,
le~ ouvners s~nt a utoris es a faire cui re leurs
aliments ~ur 1 emplacement du chantie r et il
faire du feu à cet effet, dans les conditions
prévues à l'article 4.
Ar/icle 3 .' Carbonisation. - Pendanl la
période du 15 mài au 15 octobre, sous réser\'e de l'a uto fl satio n des propri étaires forestiers. en ce qui concerne l'emploi du feu et
dans la zo ne de 200 mètres des bois, les
charbon nières ne pourront être fnstalJees qut'
Sur des pla ces de faul des comportant SUI
le périmètre de la meu le une ba nde ae 5
mètres de largeur, mise à sol nu et une
bande de protection complémentaire de 15
mètres de la rgeur parfaitement débroussail.
lée.
.
Les fours métall iq ues devront être grou·
pés en batteri~s. lis serô nt en o utre inslallé!
dans des clairières mises il sol nu, sur une
étendue de 2 ares par fo ur et compo rtani
à la périphérie un e bande de protection
complémentaire d'une largeur Il)in im um de
10 mètres pa rfa itement débroussaillée. Les
tuyaux à fumée des fours devront êt re recou·
ve rts en permanence d'une toile métalliqul'
pare-étincelles.
Le feu ne sera a ll umé que pa r lemps
calme. En CÇlS de mistral, tous les orifice~
des charbonnières seront obstrués. En ce qUI
co nce rne les foùrs, le réglage tles évents
se ra réduit au minimum .
Une réser ve d'eau contehant au moins 100
litres et un sea u devront se trouver en permanen ce à pro xi mité immédiate des meules
ou des fours pour a rrête r tout com mence·
ment d' incendie.
En tout temps, de jour et de nuit, une sur·
veillance permane nte sera assu rée par. un
homm e au moins pa r t rois cha rbonn]l~res
jusqu'à comp lète extinctio n.
Du 15 octobre a u 15 mai suiva nt, dans la
zone de 200 mètres et sous rcse rve de t'au'
torisatio n des propriétaires fo restie rs fn, ce
qui Concerne l'emploi du fe u, la carb~nlsa·
ti on pourra se faire librement; toutefOIS, en
cas de sèc he resse anormale, le Préfet pourr~
interdire les mises à feu dès le 1er mars 0
, s mesu'
les retarde r jusqu'au 30 oc~ob re. \..e
,,,,
res seront exécutoires jmmedl~t~me n!f ap
des
publication a u Bull etin AdmJn lstratJ
Mairies.
tmos,
Si ' par a l'll e urs , les circo nsta nces
a
. d carbo.
ph ériqucs sont favorables, le déla l .e
'o.
nisatio n dans les bois vifs pOl~rra et~~~ellt
longé exceptionnellement, maiS se vis du
L1ne auto risation préfectorale ~p rè~~ltcfOiS,
Conservateur des Eaux et Fords.
le 3(1
il ne pourra en aucun caS dé~aslse r mêmeS
uin. La carbonisation
rra SI es
-
les mém<s formes penùant les mois de seplembre et octobre.
_
.
Le charbon ne pourra etre. enlevé que trOIS
. Irs pleins au mOIl1S apres que la Cnar)0'
é . ét .
bon ni ère aura te elOte.
Ar/icle 4. - Emp/oi du feu par les promelieurs pique-nil/lieUrS et camp~urs. et en g~
Ile(ai par Ioule persollne lsolee ou en
groupe .
Sous réserve d~ l'a utoris~tion . écr}te des
propflétaires, cel u! Ù u. te~rall1 ou 1 on se
trouve et ceux des bOIS ~ Itués dans l,a zon~
de 200 mètres, e n ce qUi concerne 1 emplOI
du feu :
.
a) Sur les lieux de stationnement déslanés c'est-à-dire ceux mentionnés Sur la
liste 'officielle et préa lablement déb rousaill és,
un ou plusieurs foyers I?ourront êt re . éd if.lés.
Ils devront être constnuts de façon a éVite r
toute projection d'étincelles. Autour de chaque foyer, une zone de 5 mètres a. sol nu
devra etre éta blie et mainte nu e en cet état.
L'utilisati on de ces foyers pourra être suspendue par décisi on du Maire en cas de c.i rconstances particulières telles que vents VIOlents.
Une réserve d'eau de 100 Titres au moins
sera préparée à proximité pour permettre de
fai re face à toute éventu al ité. Chaque SOir
et au départ, les foyers sero nt noyés. Suivant l'importance du camp, le maire pourra
im poser des mesu res de protection complémentaires, telles que : appareils de pul vérisation, exti ncteurs à mousse, tél éphone,
etc ...
b) Sur les lieux nOn désignés et par
,onséquent non aménagés, les feu x de boi s
-sont ri go ureusement interdits . L'usage des
réchauds se ra seul toléré, sous la condition
que les appareils.. soient entourés d'une murette en pierre sèche de la hauteu r du foyer
~ t que le sol ait été d ébarrassé avec soin
de toutes les herbes et feuilles dans un
rayon de 5 mètres au moins. Le feu devra
toujours être sL,veillé et tout réchaud éteint
après ut ilisa tion . Une réserve d'eau se ra
préparée à proximité du réchaud.
e) Il est précisé, en ou tre, que pour la
période du 15 mai au 15 octobre, il est
interdit de fumer en forê t. On pourra toutefois fumer sur les lieux de ca mpement amënagés da ns la zone débroussaillée prévue.
L'emploi du briquet se ra seul autorise.
d) L'empl oi de la lan terne est interdit ;
seule est to lérée la lampe dite « tempête » et
les lam pes élect riques.
En outre. tous feux divers, en particulier
les feux d'a rtifi ces sont ri go ure useme nt interdits.
'
Article 5. - Vehicul es à gazogène.
. Les vé hi cu les il gazogène ci rcu lant sur les
Pistes forestières seront satisfaire aux prescriptions ci-ap rès :
- Les parties du tuyau d'échappement
du ç-azogè ne (gé nérateurs et tu bulure) s usCeptibles de s ubir un écha uffement, serunt
Conve nable ment calorifu O'ées ou e l1 ferl1l~es
dans un coffrage assurarrt leu r iso leme nt,
-: Le tuya u d'échappement sera redresslverticalement
é :- La tuyè're sera munie d'u n disposilif
VItant le retour de flamm e
de- .Le tuyau de refoul emen't dl! ventilateur
toit ~Ise en r.oute débouchera au-dess us du
incl' ~ la cabine, l'extrémité de ce tube étant
et d'" :eéde 30 % au moins sur l' ho ri zonta le
Irlg e vers l'avant
- Ils
'
69
50 litres toujou rs pleins et de deux a rrosoirs de 10 litres chacun
- Aucun nettoyage de foyer n'aura lieu
en dehors des agglomératio ns.
l,es propriétaires ou conducteurs seront
tentés de laisse r vérifier leurs véhicules à
toute réquisition des age nts de l'autorité.
Ar/icle 6. - œ) Fumeurs .'
Il co nvient de se reporter aux dispositions
de l'arti cle 4. Les cha nti ers install és sont
assi mil és à cet éga rd aux lieux de campement aménagés.
b) Cllasseurs. - L'emploi par les chasse urs de bourres combustibles est défendu.
ArUcle 7. - In cinéra/ion des végétaux
ouvriers auront occasionné un incendie sur
autrui.
Ar/icle 10. - Ceux qui auront contrevenu
au présent arrêté seront passi bles des peines
prévues à la loi du 27 avril 1949, modifiant
et aggravant les dispOSitions de l'article 148
du Code Forestier.
Toutes les contraventions seront constatées par les Maires et Adjoints, les officiers
et préposés des Eaux et Forêts, les olficiers
de Gendarmerie, les gendarmes, les gardes
champêtres et généralement par tous les officiers de police judiciaire et agents de la
force publique.
Artic/e Il. - Le présent arrêté, qui sera
inséré au Recueil des Actes Administratils
de la Préfecture, annu le et remplace celui du
19 juin 1930. Il sera exécutoire immédiatement après sa publication au Bulletin Administratif des Mairies.
Marseille, le 13 avri l 1951.
Le Préfet .- Jean BAYLOT.
SUr pied.
A. - Dans la zone de 400 mètres à 200
mètres des bois et forêts, l'i ncin érat io n des
végétaux sur pied pourra être effectuée toute l'a nn ée. Elle devra donner lieu par tout
propriétaire Ou ayant-droit qui désire incinerer, à déclaration faite en mairie 8 jours au
moins à l'avance, indiquant :
- Le nom,
- L'ad resse et la qualité du demandeur,
- La situation des produits à incinérer,
- La date et l' heure de l'opératio n projetée,
- La nature des végétaux et la surface à
parco urir, ai nsi que la distance de la partie
la plus proche au bois le plus voisin, et l' indicatio n q ue toutes les précautions prévues
La partie à inciné rer tlevra être entourée
pa r la réglementation ont été prises.
d' une zo ne de 5 mètres de la rge ur entièrement débarrassée de toute mati ère co mb-ustib le. Une équipe constit uée par 5 hommes
au moins, jusqu'à 5<X) mètres de périmètre,
surveillera le fe u et po ur un périmètre plus
lon g, un homm e en sus par 100 mètres. A
proximité. l'équipe devra disposer d'une rése rve d'eau correspo nda nt à 50 litres par
hom me, avec ar(osoir ou appareil à pulvérisatio n. Le directeur de l' incinération devra
com me nce r la mise il feu à contre vt'nt, l'inciné rat ion sera co ndu ite des deux côtés à la
fois de la partie à incinére r ap rès arrosage de la bande de protection ~xté ri e ure .
Des hommes de ga rde devront el1lpecher toute reprise du feu.
B) Duns la zo ne de 200 mètres, ('i ncin ération ne se ra a utorisée dans les co nd itions
ci-dess us que pendant les pé riodes du 1er
janvier au 15 mai et du 15 octobre au 3 1
décembre, après accord éc rit du ou des propriétaires de la fo rêt voisine.
Au vue de la déclaration, le Maire d~li
\'fera un accusé de réception que le chef
d'équipe devra présenter, pendant I.' inclnt:ratiOn, à toute réquisitio n de l'autonté.
Le J\1aire aura qualité pour reporter l'heure 0 11 le jour dans un souci de sécurité, si
les circo nstances sont défavorables, en cas
de vent violent pa r exemple.
Le l\laire avise ra à l'a\'a nce le Conservateur des Eaux et Fo rêts de l'opératio n projetée, si les bois Oil forêts à ~roximi~é . du
lie u de ],incineratioll sont soumiS au reglme
fo resti e r.
ArficLe 8. Toujou rs dans les mêmes
conditions que ceUe prévues à l'a rticle 1e~,
toute utilisation du fell autre que celles envI sagées au présent. a rrêté, devra ?on.~er lieu
à autorisation prefectorale partlcullere.
Article 9. - L'observation des presc ripti ons qui précèdent ne
exoneration des,
------ c~ooc~, ----
02 B3
AG 2
ALLOCATION DE SALAIRE
UNIQUE AUX JEUNES MENAGES
SANS ENFANTS
J
J'a i Phonneur de porter à la connaissance
de MJ~1. les Maires du Département que la
loi n' 51.248 du 1er mars 195 1, parue au
« Journal Officiel > du 2 mars 1951, maintient provisoirement au-de là du J er mars
1951, certaines dispositions législatives et
réglementaires du temps de g uerre prorogées jusqu'au 1er mars 1951.
Au nombre de ces dispositions figure la
loi val idée du 17 novembre 1941, étendant
l'allocatio n de salaire unique aux jeunes menages sans enfants.
Je vous prie, en conséquence, de vouloir
continuer fe service de cette allocation au
personnel intéresse, placé sous votre autorité.
.
P our le Préfet et par délégation,
Le Se crétaire Général.
LAMASSOUHE
------- c~ooc~----
___
05 B 1
AG 6
SYNDICAT LIBRE
DES PROPRIETAIRES
DU LOTISSEMENT
DE LA VALLEE DE L'ARC
Les Fenouillères, à Aix
EXTRAITS DES STf\TUTS
Article p remier. - Création et but d u Syndicat : il est form é en conformité du caiue1
des cha rges régissant le lotissement de la
« VaHée de J'Arc > (Les Fenouillères), un
Syndicat qui prend pour tme : « Syndicat
Llibre des Rropriètaires de la Vallée de
l'Arc » (Les Fenouillères), qui aura son siège a u domici le du Président. Ce Syndicat
est constitu é conformément aux dispositions
de ,la loi du 21 juin 1865, artides 3 et 5,
modif iés par les lois du 22 dé.cembre 1888,
du 22 juillet 1912 et du règlement d'adntinistration publique du 10 ma rs 189-1.
Art. 2. - Il aU'ra pour but de faire respecter toutes les disposi~ons spécia'es et
particulières spccifiées dans les cahiers des
charges, de faire
une bonne harm.Anie
�70
71
Art. 3. - Sont inscrits d'office membre.,
du Syndicat, toutes personnes acquéreuses
d'un lot du lohssement. 11 sera perçu un
droit d'admission de 5,000 francs pour les
luturs acquéreurs, une cotisation annuelle de
300 francs par lot, le tout perçu lo rs de
l' Assemblée gén~ral~
An. 4, - Le S)It1dicat est administré ~r
un bureau composé de six memm-es ChOIS1S
parnu les adhérents. 11 comprendra.: ~ président, un \ice-président, un secret~lre, un
trésoner et deux syndics. Les fonchons de
trésoner seront assurées par un membre du
Syndicat, conformément à l'article 5 de ,la
loi du 21 juillet 1865, Le bureau .est elu
pour trois ans et ren.o~v~la?l~ par tiers. Le
yooicar a la capacite jundique la plus
étendue.
fi! 1
Art, 5. - Les memlires du bureau sont
élus à titre bilnél'Ole et au buUetin secret
s'il est demandé par l'Assemblée générale
qui aura lieu dans le courant de mars et
peuvent ~tre rééligibles.
.<\.rt. b. - Le bureau est chargé de toutes
les questions concernant le S)It1dicat; il
peut donner mandat à SOn président pour
engager des poursuites pour la non application du cahier d." charges.
Art. 12. - Assemblée générale: Le Syndicat se réunit en Assemblée générale su r
COnl'ocation du président da ns le courant du
mois de marS. Il est donné lecture du nrpport moral et financier. 11 est procédé à
l'élection du bureau et trai lé de toutes les
Questions qui ont été soumises au bureau .
En outre. le president ~ut 1 toujours C?",:OQueT une Assemhlée génera.e e.xtraordinalre
dans les cas graves et urgents.
Art. 15. -
Toutes questions pol itiques et
confessionnelle sont formellement interdites
au sein du Syndicat.
Art. 17. - Le Syndicat se trouvera dissou' de piein droit lors de la prise de possession du lotissement par la VIlle.
Pour extrait certifié conforme.
Aix, le 8 novembre 1950.
Le président :
Signé: FA1VRET Françoi -joseph.
D5 B2
AG 7
APPEL SOUS LES DRAPEAUX DE LA
I re FRACTION DU CONTINGENT
A INCORPORER EN 1951
CATEGORIES DE JEUNES GENS
Aînés d'o rphelins de père et de mère (à l'exception des fils uniques).
Fils aînés o'une famiLle comptant ~ept enfants vivants ou morts pour la France ou victimes d' un accident mortel du trava il.
Fils puinés d'une des familles "isé~ aux trois alinéas précédents dont aucun frère plus
âgés n' a b~ n éficié d une dispense de service au titre de fils ainé.
Résidant il l'étra nge r à la date du 1er novembre 1946.
Réfractaires du S.T.O. à l'exclusion de ceux ayant servi dans une administration ou un
sen'h.:e pu'b:ic ou co nsideres par l'autoritê de f(lllt comme non astreints au dt::-part en
Décret n" 5 1-4 17 du 13 avril 195 1 modifianl
le decret n" 5 l ~~7 du 23 janvier 195 1 fixant
la composition, la date d'appel et les obli.
gations d'achvité de ce contingent.
Le Président du Co nseil des Ministres
Sur le rapport du IMinistre de la Défel;",
Nationale ;
Vu la Joi' n' 50-1478 du 30 novembre 1950
portant à dix-h uit mo is la durée du service
mili ta ire actif ct mod'ifiant certaines dISpositions de l a l'Ûi du 3 1 mars 1928 relative au
recrutem ent de l 'a rm ée;
Vu le décret n" 5r-87 du 23 janvier 1951
fi xa nt la composition, la date d'appe l el les
Allem"gne.
jeunes gens nés ent,e . le n er janvier 1927 et
le 31 déoembre 1927 (ces dates inol uses)
et jeunes gens nés entre le' 1er janvier
1928 et le 31 décem'bre 1928 (ces dates
incluses) visés au paragraphe A de l'a rti-
cle 2 de ,l'a rrêté du 7 avril 1948 (classes
1947 et 1948- 1).
Les ta bleaux 1 et 11
TABLEAU
SITUATIONS
CATEGORIES DE JEUNES GENS
jeunes gens nés 'lI1térieurement au 1er jan\'ier 1926.
jeunes gens nés entre le 1er janvier 1926 et
le 31 mai 1926, ces dates incluses (classe
1946-1).
1 _
Jeunes gens nés ent re ,le 1er ja nvier 1928 et
le 3 1 décembre 1928 (ces dates incluses)
visés au paragraphe B de f'article 2 de
l'arrêlé du 7 avri l 1948 (classe 1948-2) .
PART ICULIERES
jeunes gens nés entre ,le 1er janvie r 1929 et
le 31 ocmbre 1929, ces dates incluses
(classes 1949- 1 et 1949-2).
Di ' pensés de droit sans condi tion particulière (arl. 64 de la Toi du 7 octobre 1946).
Déportes ou Inte rnés politiques.
DépNtts ou internés de la Résistance.
Dont deux proches parents (père, mère, épouse, enfant" frère, sœu r) sOIH décedés \'ictimes de la guerre.
. ,
Engagés volontaires pour La durée de la guerre.
Jeunes gens nés entre le 1er juin 1926 et le
31 décembre 1926, ces dates incluses (classe 194&-2).
age" n'a b<néficié d'une dispense de service au titre de lil$ aillé.
Résidant à l'étranger à la da te du 2 mai 1946,
Déportés ou IOternés politiques.
.
mes de la guerre.
)éportes ou. internés de la Résistance.
Engagés vo!ontaires pour la durée de la guerre.
Cités ou Il!essès de guerre,
Onglllai res des département,; du Haut-R hin du Bas-Rhin et de la N\oselle, ,"corporés
d~ force dan.s l'armée allemande ou le ~ r vice du trav.(lil all emand et y ayant acco mph onze mOIS ou plus <le service.
,
Orirj~aires des mêmes dép<\rtements, déserteurs de l'armée aliemande qui y ont serVI
SiX molS ou plus.
Déportes du S.T.O'\) sous réserve de l'accomplissement d'aucun acte de vo~ontariat.
A\em~res des F.F.L et agents 112 des F.F.C. ayant servi six mois ou pl~s.
qasses service aUXIliai r e pa r les conseils de révision.
Peres de familie.
Fils ainés Oe \'euves non remariées de
de l'aba.~don résulte d'un j
,
"
.
pour lesquelles la preure
polir abandon de lanllll e,
'
__
force dans l'anllt:.e allemand e et y ayant accompli onze mois ou plus de !iervice.
Odgi naires des mêmes départements, déserteurs de l' armée allem ande qui y ont servi
six mois ou plus.
Qlassés service auxil iaire par les conseLs de révision.
Mêmes situ a lions que pour les jeu nes ge ns des classes 1947 et 1948-1 (<:i-dessus) auxqu elles s'ajoutent :
Dont deux proches parents (père, mère, frè r~, sœur) sont morts pour l a France.
Membres (que! que SOi t le rang d'une fami lle de sept enfants vivants ou morb pour
l a F rance.
Membres des F.F.l. et agents P2 des F,F.C, ou engagés pour la du.rée de la guerre ayant
servi six mois ou pl us.
Or iglllai res des aepdftcments du Haut-Rh in, du Bas-Rhi n et de ,l a .Moselle, incorporés de
force dans l'armé:e allemande et y aya nt accompli onze mois ou plt~s de service.
Originaires des mêmes départements, déserteurs de J'armée allemande, qui y ont servi
six mois ou plus.
Cl asses service aUXiliaire par les conseils de révision.
filles mères abandonnées,
Ai nés u·orpne.lOs ue pere et de mère (à l'exception des fils un iques).
Fils aînes U'Ulle famille com ptant sel>t enfants vivants OU morts pour la France ou victi-
mes d'un accident mortel du travail.
Fils puincs d'une des familles visees aux trois alinéas précédents dont aucun frère plus
âgé n'a bénéficie d'u ne dispense de service.
RLsièa nt â l'étranger (dans un pays autre qu ,1'ALlemagne, l' Autriche, la Sa rre, N\onaro
et Andorre) et immatriculés dans un consulat de France avant le kr septemb re 19-18 ( 1)
jeunes gens nés entre Je 1er novemb re 1929
et le 30 novem bre 1930, ces dates incltlses (classes 1949-3, 1950-1 et 1950-2).
,\1embres des F.F. 1. et agents P2 des F.F.C. Olll engagés pou r la durée de la guerre ayant
~erv i Six mOI s ou plus.
O riginaires des departemlnts du Ha ut-Rhin, du Bas-Rhin et de la Moselle, IOcorporés de
lorce dans l'arm ée allemande et y ayant accompl i ollze mois ou plus de service.
Originaires des mêmes dépa r teme.nts, deserteurs de J'armGe allemande qui y ont servi
six mois ou pl us.
~
Classés service a ux~lIaire par les conseils de révision.
Pèr~s
Dont deux proche· parents (père, mere, épouse, enfant, frère. sœllr) sont décédé!! \'idl-
six mois ou pLus.
Peres de famille.
force dans rarmee allemande ou le service du travail a\1emand. et y ayant accompll
onze mois ou plus de service.
.
.
Originaires des mêmes départeme.nts, déser~eurs de l'armée all emande qUI y ont sen'I
~~~~~
.
Dé90rtés du S.T.O" sous rése,,'e de l'accomplissement d'aucun acte de volontanat.
Membres d,.s F.F.l. et agents P2 des F,.F.C. ayant servi six mois ou .1,1 us.
Classés ser"ice auxiliaire par les conseils de révision.
Fils ainés d'uTlt! famille comptant sept enfan tS vivants ou mor~ pour la France ou Vlctl
me5 d':.Jn accident mortel du travail.
Fils puinés d'une des familles \'isées aux trois alinéas pr êc0dents dont aucun frère plus
~ery i
Fils aines Ou fils uniques de \~euves, de femmes aban<lonnées pour lesquelles la preuve de
l'abandon résuJi.e d'un jugement conda mn ant le mari pour abandon de famùle, ou de
Cités ou blessés de guerre,
.
..
Originaires des départements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de la Nlosele, IOcorpores oe
Peres de famille,
Fib ainés Je veuves non remariées, de fem mes abandonnées ,pour lesq uelles la preuve
de l'abandon résulte d'un jugement condam nant le man l>our abandon de famille,
ou de lIlles mères abandonnées (à l'exception des fils unique ).
Ainés d'orphelins de pere et de mère (à Jiexceotion des fi 6 ...niques).
, .
.
Orlgmalres des départements du Ha lt t-l( hin, du Bas-Rhin et de da Mosell e, inco rporés de
Fils aines de \'eu\'es non remari ées, de femmes abandonn ées pollr l esquelles la preuve
de J'abandon résu lte d' u!l1 jugement condamn ant le mari pour abandon de famille,
ou de filles mères abandonn6es (à l'exception des fi ls uniques) .
Aînés d'onphell ns de père et de mere (à ~ exceptlon des fils uniques) ..
Fils runés d'une famille comptant sept enfants vivants Ou morts pour la France ou victimes d' un accident mortel du travail.
Fils pui nës d'une des familles visée aux troi s alinéas précédents dont aucun frère plus
âgé n'a bénéfi cié d'une dispense de serv.ice au titre de fi ls ainé.
Résidant a l 'étranger à lia date d' appel sous les drapeaux de leur classe d'âge.
annexés au decret n° 5 1-87 du 23 janvier
195 1 sont ab rogés et remplaces par les suivants :
ll
Situation t.~ ntrainant pour les sursitaires, omis, ajournes et réformés temporaires, entrant tians la compositron de la prl?mière fraclio
du conlingent à incoporer en 195 1" DISPENSE TOTALE DU SERVICE ACTIF
si les faits déterminant ces situations sont antérieurs au 1er novembre 1950
Memb res ties F.F.l. el agents P2 des F.F.C, Olt engagés ,pour la durée de la guerre ayant
Pères de famille.
obliaations d'activité de lia première fraction
du ~ontill ge nt à incorporer en 195 1,
Décrète :
Article premier. -
SITUAT IONS FlARTlCULlERES
de lamille.
Fils aînés de veuves non rem ariê-e!i, de femmes abandonnées pour lesquelles l a Ipreuve de
J'abandon résulte d' un jugement condamnant le mari pour abandon ue famille, ou
de filles mères abando nnées (à J'exception des fils uniques).
Aînés d'orphelins de pere et de mère (à l'exception des f~s uniques).
. .
Fils aînés d'une famille comptant sept enfants vivants ou morts pour la France ou ViCtimes d' u.n accident mortel du travail.
f,ils p:uinès d'une de:-. familles visées aux tn>is alinéas précédents do nt aucun frère p lus
âgé n'a bénéficié d'une dispense de service. au titre <le f!ls ai~lé.
Hésidant à l'étranger uans un pays autre que l, Allemagne, 1 Autnche, la Sarre, J\'\onaco,
Andorre) et IInmatricu.les dans un con~lIlat de France avan t le 15 :.eptembre 1949.
(1) Dispense conditionnelle dans les conditions fixées par l'article 98 de la loi du 31 mars 1928,
�72
TABLEAU
II
Situation entrâl1lant pOUr les SIlrsitaires, om is, ajournés el réformées temPOS rOaiBreLsIGenAt~~~N~"t~G~~~~osig~~~il~rf~mièretaclion
du cordingent à incorporer en 1951 , une REDUCTION DE LEUR
, s, es fa,~
déterminant ces situalions sont antél iel/rs au 1cr novembre 1950.
CATEGORIES DE JEUNES GENS
.
-
Durée d.u Service Actil
Imposé a ces catégories
de jeunes gens
SITUATIONS AARTICUUERES
Jeunes gens nés entre le 1er janvier et le Fils d'une fami l'e nomhreuse de cinq enfa nts Ou ,plus .... '.' ... .
31 mai 1926, ces cfates incluses (classe . Refractaires ciu S.T.O., à J'exc ,usi,on de C~lIX qUI O:l1t, s~rvi da~s ~
une administration Ou un service IPubllc ou qUI eta it conSI1946-1).
dérés par l'autor,ité de fait comme non astrei nts au dépa rt
10 mois
Jeunes gens nés entre le 1er janvier 1927 et
. le 3 1 décembre 1927 (ces dates incluses)
visés aux arhcles 2 (§ a) et 3 de l'arrêté
du 15 avril 1947 et jeunes gens nés entre
le 1er janvier 1928 et le 30 novembre 1930
ces dates incluses (Classes 1947-1 1948-(
1948, 1949, 195(}'1 et 1950-2).
1
ayant servi au moins neuf mois et moins de onze mois ..... .
Originai res des mêmes dé.partements, déserteurs de I~a rmée
allJeman<ie, qui y on t ser vi au moi ns trois mois et moins de
six mois ................. . ................... . . .
Originaires des mêmes départements ayant servi m-oins de six
mois dans l 'armée allemande ... . ............ ' ...... .
3 mois
Or~;~~~i~:ê:es' '~ê~~~ 'd6p~;te~~~ts~ . dês~~'ur~' . de' . 'I;~~é~
Durée égale à la dillérence entre 4a durée légal,
du service (1 an) el le
temps passé dans l'a.
mée allemande.
1·
lèvent s'ils n'ont pas encore r eçu un ordre
d'appel sous les dr"peaux, soit à leur chef
de corps dans le cas contraire.
Art. 3. - Le Min istre de la Défense Na-
Déportés ou internés de la Résistani:e.... . . . .
Déportés du S. T. O., sous réserve qu'ils n'aient accompli aucun
acte de volontariat .... .... .. .. .... .... .... .. .. . ...
Réfract aires du S. T. O., à l'exclusion de ceux aya nt servi dans
tionale est chargé de l'exécurion du présent
décret, qui sera publié au « Jo urn al Olfic'el > de la République Fr,ança ise.
Fait à Paris, Je 13 avril 1951.
Hen ri QUEUILLE.
Par le Président du Conseib des Min istres,
une administration ou un serv ice public ou considér és par
l'a uto ntê de fait comme non astreints au départ en Allemagne
6 mojs
guerre (pèrc, mère, épouse, enfants., frère, sœur) ....... .. .
Membres des F.F.C.I., à .l'exclusion des age nts PO ou engagés
Le Ministre de la Défense Nalionalc,
pour la durée de la guerre, ayant servi moins de trois mOIs ..
•
Jules MOCH.
Originaires des départements du Ha ut-Rhin, du Bas-Rhin et de
la ,Moselle, insoumis de l'amlée allemande . . . . . . . . . . . . . .
0483
Originaires des mêmes départements incorporés de force dans
J'armée allemande et ayant servi au moins six mois et moins
de neuf nlois .... ... . .... .... .... .... ... . .. .. . ...
Originai res des mêmes départem ents déselieurs de l 'armée
allemande, qui y ont servi moins de trois mois. . .. .. . . . ...
Mero!>res des F. F. C. 1., à l'excl usion des agents PO, ou engagés pour la durée de l a guerre ayant servi au moins trois
mois et mt,ins de six mois et agents Pl ayant servi plus
1
Or~~i~~~r:o~e; ·dép~;i;m~~i~ ci~· H;u·t~Rh·i~· ~t· d~· I~ . Mo;~Ii;,
3 mois
IIlcor.porés de force dans l'armée allemande et y aya1nt servi \
au moins ntuf mois et mOins de onze mois ............. .
Ol'igina ires des mêmes départements, déserteurs
allemande, qui y ont servi au moins trois moi
de l'al'mée
et moins de
six mois ..................... .. . . .... . .. .. ..... .
OriginaIres de~ memes départements ayant servi moi ns de six
mois dans 1 armée allemande .... .... .... .... .... . ...
Art. 2. - Les jeunes gens susceptibles de
bénéficier, en application du présent décret
d'Wle dispen se ou d'une réduction de servic~
égard devront en formuler la demande avant
le 15 mai 1951, soit au direcleur régional du
recrutement et de la statistique dont ils re-
10 mois
10 mois
é;
dïféren·
Durée égale à dIa légal'
ce entre la ur ) et le
du service (1 an l'ar'
temps passé dans
mée allemande,
3 mois
Durée égale il la différence entre la durée légale
du service ( 1 an) et le
temps passé dans l'armée allemande.
qui n'était pas an térieurement prévue à deur
Cités ou blessés de guerre .... .. . . .... ... . .. .. ... . . ...
Ceux don t deux proches .parents sont décédés victimes de la
6 mois
Originaires des départements du Haut-Rhin., du Ba!rRhin et de
Ja Aloselle, incorporés de force dans l' armée allemande et )
Oriainaires drs départements du Haut-Rhm, du Ba!rRhm et de r
1: Moselle, incorporés de force dans l'armée allemande et
ayant servi au moins neuf mois et moins de onze mOIS dans \
ahlemande et ayant servi au moins trois mois et moins de
six mois dans cette armée.. ...
. .. ... . .... .... . ...
Originaires des mêmes départements ayant servi mo ins de six
mois dans l'armée aUemalfldè .... .... .. .. . . .. .... . .. .
1
Origina ires des mêmes départements incorporés de fo-rce dans
Il'a rmée allemande et ayant servi au moins six mois et moins
de neuf mois .... .... .... .. .. .... .... .... .. . . .... '
Originai res des mêmes dépar tements, déserteu rs de l'armée \
al·lemande, qui y ont servi moins de trois mois. ... .... .... )
Memb res des F.F.C.I., il l'exclusion des agents PO Ou engagés
pOUIr la durée de la guerre ayant servi au moins trois mois el
moins de six mois et agents Pl ayant servi Iplus de six mois..
Membres des F.F.C.I., à ·l'exc:usion des agents PO, ayant servI
Jeunes gens nés entre le 1er janvier 1927 et
le 31 décembre 1927 (ces dates incluses)
visés aux articles 2 (§ b) et 3 de l'arrêté
du 15 avril 1947 (classe 1947-2).
6 mois pour les jeunes
gens des classes 1947-1 ,
1948, 1949-1, 1949-2.
12 mois pour les jeunes
gens des classes 1949-3,
1950- 1 et 1950-2.
pour la durée de la guerre ayant servi moins de trois mois . .
Origin aires des dépar tements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de
la Moselle, inso um is de l'arm ée aUemande . . .. .. . ... . .... .
1
C rirri naires des mêmes départements incorporés de force dans
l'~rmee allemande et ayant servi au moins six mois et moins
de neuf ma::; dans cette armée ......... . . . ........ . .. .
Oriainaires des mêmes départements, déser teurs de l'a rmée
a.ilemande. qui y ont servi moins de trois mois .............
Mêmes situations que !pour les jeunes gens de la classe 1946-1
ci-dessus (à f"exception des réfractaires du S. T. O.) , auxquelles s'ajoute :
Soutiens de fa mille . ...... ..... . ..... . .
Fils d·une fa mille de cinq enfants ou plus ... .
Déportés ou internés politiques ........... .
acte d~ voif)ntariat .... .... . . ..•... .... .... . ... '" ...
Réfractarres d" S .. T. O. il l'e xclusion de ceux ayant servi dans
~ne a~l1lI n lstr~tlon ou / un service public ou considérés par
.1a utOrIté de faIt comme non as treints au dépa rt en A :~ emagne
C, tés ou blessés de guer" . ... . ... .... .... .... . . . .... .
Ceux dont deux ,p roches ,parents sont déçédés victimes de la
guerre (père, mère, epo use, enfants, frères, sœurs). . .. . ...
d~ la Alose Ile, insoum is de l'armée allemande.... .... . .. . 1
Jeunes gens nés entre le 1er juin 1926 et le
31 décembre 1926, ces dates incluses (c1a!r
se 1946-2).
Déportés (Yu inte rnés po litiques . ... .... . ... ... . .... ., ..
Depo rtes ou ,ntO/n és de la Résis tance. . .. .... . . .. . ... . ...
Déportés du S. T. O. SOuS réserve qu' ils n'aient acoompli aucun
Membres des F.F.C.1. à l'exclusion des agents PO ou engagés
Ori tTi nai res des départements du Haut-Rhin, du Bas...,Rhin et
au moins trois mois et moins de six mois, et agents Pl
ayant servi plus de six mois .............. . .... ,'. .. . .
Durée du Service Actif
imposé à ces catégories
S ITUATION S PARTICULIERES
de jeunes gens
6 mois
en Allemagne .. .. .... .. . . .... .... .... .... . .....
,\lemb res des F. F. C. 1., à l'exclusion des agents PO, ayant
se rvi moins de trois mois . .. - . .. . ... . .... . . .. . ... ..
CATEGORIES DE JEUNES GENS
----<»00<»----
ClA 0
RENOUVEULEMENT PARTIEL
DES CHAMBRES DE COMMERCE
ET DES TRIBUNAUX
DE COMMERCE EN 1951
CONFECTION DES LISTES
ELECTORALES
., Par leltres circulaires des 29 Mars 195 1,
J al eu ~honneu r d'appel er l'attcAtion de MM.
les Maires du Dépa rtem ent sur la nécessité
de procéder à la confeclion des listes élecloraIes COnSulaires du 1er au, 20 Avril 195 1.
f J.out e les instructions relatives à la conte 'On de ces listes ayant été donnée en
Aemps uh l ~,. il est expréssement demandé à
'lM. les Marres de bien vouloir faire parvenir les documents dont il s'agit établis en 4
pxemplaires, dès le 1er Mai t'951 à M. le
rés'den t de la Commission vérifiant l'ex ac-
geant au Tribunal de Commerce dans le ressort duquel est située la Commune.
En outre, sont portées ci-aprés à la Connaissance de .MM.. les Maires, les condi tions
d'inscription sur les listes électorales COnsulaires des Entreprises nationalisées et d~
Sociétés d'Economie" A1Lx re, teUes que M. le
Ministre de l'Industrie et du Commerce les
a récemment précisées.
Peuvent donc être inscrits sur les listes
électorales consulaires :
-
Dans la circonscription du TribunaJ de
Commerce dans laql1eHe ~ ' En t repri se nationaljsée ou la Socié.té œEcono mie M ixte a
son siège Central : Le Président-Directeur
Général ou le Directeur Général i
Dans les circonscriptions où fonctionnen t de:;: services régiona ux : un des chefs
de service étant précisé qu'e.n cas de p.1uralité de ~ervices dans une même circonscription et quelle que soÎt l'autonomje de
chac un un seul des chefs de se rvic e à désigner p~r le siège central pou rra faire l'ob-
jet de l'inscription.
tian et les rectifications parues au < Journa! Officiel > des 10 mai et 15 septembre
1946 fjxant le modèle du certificat d'exam en
médical avant le mariaae ;
Vu l'ar rêté préfector:I du 1er juin 1946;
Vu J'avis du Conseil Departemental de
l'Ordre des Médecins ;
Sur la proposition de Al. le Directeur Départemental de la Santé,
Arrête :
Article p remier. - M. le Docteur Si\l1onpiétri Charles, demeurant à Mar;;eille, boul·evard Paul-Doumer, 6, est agréé pou r pratiquer les examens radioscopiques en vue de
la délivrance des certificats prénuptia ux et
prénataux.
Art. 2. - M. le Secrétaire Général de la
Préfecture, M. le Mai re de la Vil :e de Marseille et M. le Directeur Départemental de
la Sant-é sont chargés, chacun en ce qui le
concerne de l'exécution du présent arrêté.
Marseille, le 12 mars 1951.
POur le Préfet :
Le Secrélaire Général délégué,
LAMASSOURE.
FS 0
D. D. S.
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES EN \iUE DE LA DELIVRANCE
DES CERTIFICATS PRENUPTIAUX
ET PRENATAUX.
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la .Légion d'Honneur,
Vu d'o rdonnance nO 45.2720 du 2 novembre 19-15, Sur la Protection Maternelle et
Infantile ;
Vu I"ar rêté du 15 avril 1946 de ~\. le Mi-
- - - - f~OO<.---
D. D. S.
FS 0
MODIFICATIONS AU REGLEMENT
SANITAIRE DEPARTEMENTAL
DU 1er OCTOBRE 19+5
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la ·Légion d' Honneur,
V u la loi du 15 février 1902, relative à la
protection de la santé publique ;
Vu le décret-loi du 30 octobre 1935 prescrivant l'institution d'un
sanitaire
�-
74
Vu l'arrété pn; fectoral du 1er octobre 19-15
portant règlement sanitaire départeme ntal ;
Vu les instrul.:tions, en date du 16 octobre
1950, de M. le Ministre de la Sanié P ublique,
relatives à la modificatiorr des articles 20 et
21 du règlement sanita ire type ;
Vu la deliberation, eu date du 20 décembre 1950, du Conseil Départemental dHygiène .
S~r la proposition de M. le Directeur Dé•
partementa l de la Santé,
Arrête :
Articte 1er. - L'ar rêté préfecto ral du 1er
octobre 19-1.5 porta nt règlement sanitai re départemental est modifié et complété a insi
qu'il suit :
c Article 20 - paragraphe 1er. - Au lieu :
Un conduit de fumce établi dans les condi-
tions du présent re g lement, mettre :
.. lJ Il l:omtUIl de lUl11ee au moins êtab li
dans les conditions de l'article 2 1, ci-après >
(le reste sans changement).
c. Article 2 1 - paragraphe 1er. - La phrase rela tl\ e à la section des conduits est ain-
si modifiée :
c. La sechon intér ie ure des conduits de5-
servant des foyers à < feu ouvert ne sera
jamais Inteneure à 400 cm2 ; celle desservant des foyers dits c: fermés ::. comporta nt
admission .d'air régl able 1 dont l a puissance
r. 'excede pas lO.OW mt h/ h, pourra être réduite à 250 cm2 ~. (Le reste sans cha ngement).
Arltdt! 2. - La réglementati on des salles
de bains ne figurant pas au rè.[lement sanitaire type, il y a lieu, en ce qui concern~
c les co nduits des appareils à gaz :t , d'ajou-
ter un article 2 1 bis ainsi conçu :
< Article 21 bis. La secti o n de to ut
conduit dessen'ant un appareil aliment é par
le gaz de Ville installé dans une pi èce se-
condaire de l'habitation pourra être réduite
au x dimensions prévues par les normes en
vigueur :t .
Article 3. - MM. le Secrétai re Généra l de
la Préfecture, les Sous-Préfets, le Di rec teur
Départemental de la Santé ' et ses adjo in ts,
les Directeurs des Bureau x Municipaux
d'Hygiè ne, le Directeur des Services Techni-
ques du Département, les Mai res, le Commandant de la Gendarmerie, les Commissafres et Agents de Police, sont char gés, chacun
en ce qui le concerne, de l'exécution du pré-
sent a rrêté.
Marseille, le 2 avril 1951
Le Préfet,
Jean BA YLOT
------<.00<>- - - - - -
D2 B3
té municipal pris su r la propositiondu ~ hef
ARRET E MUNICIPAL REGLANT
LE SERVICE DES CORPS
DE SAPEURS-POMPIERS
Circulaire n° 101
Pa ris, le 30 ma rs 195 1
Le Président du Conseil, Ministre de
l'Intérieur,
A MM. les Préfets (Métropole),
Référen ce: Décret du 13 août 1925 ; article 21.
Il m'a été signalé que dans certaines
communes, de sérieuses difficultés _de servi ce
étaient rencontrées par les chefs de Centres
de Secours, du fait de l'a bsence d' un règlement municipal de service.
Je vous rappelle Qu'aux termes de l'article 21 du Décret du 13 août 1925, le service
compenser la perte de salai re
ra Iques
1Q) , ~ es co n.lml~n es doiv~ nt prévoir un réf/i.
suiva ntes :
aux Maires de votre département, afin qu 'il s
soumettent à \'otre approbation, dans l es
moindres délais, l'arrêté municipa l régleme ntaire au cas où une telle décision ne serai t
pas ~ncore intervenue pour leur commune.
Pour le Pr ésident du Consei l,
Mi nistre de l ' Interi eur
m ~ d Indem msatlO n des In capacites 1em~o1al r~s permettan~ d.e CO!l1penSer la pert/de
salaI re, dans la Imll te cl un maxim um quO
In,
peu t e"t re que ce 1III. f'IX é a. l'arrêté du 28 1
' U'
1950.
ln
2"), Le. régime doit être le même quelle que
SOIt .1oflgln~ . de la ble.ssu r~ aya nt entra ne
et par "délé ga tion,
Le Préfet, Directellr de /'Admilllstraiion
une IncapaCite de travail ; li n'y a donc pas
Générale, Departementale et Communale,
Signé : Pierre-Jean MOA TT!
à distinguer si l'accident est survenu au
co~rs d'une inte r vention, ù' une séance d'entralOement, ou de tout autre service : une
- - - - c> vv c;,- - - -
soluti o n différente
SC 7
02 B 3
rêté du 28 j uin 1950, notamment lorsqu'elles
co ntractent des contrats d' assurance pour la
couverture d u risque envisagé.
Pour le Président du Co nseil
Mi nistre de l' Intéri eur
et par délégation,
1
Le Préfet, Directeur de l'Adminislralion
Générale, Départementale et Communal.,
Signé : Pierre-Jean MOATTI
ficultés m'ont été signalées en ce qui Co nce rne l'application du décret du 7 juillet 1947,
mandé.
L'interve ntio n de l'arrêté du 2S juin 1950
a éte provoqué par le r etour au r égime
contractuel pour l a fixa tion des salai res pratiqu és dans l'industri e: il n'étai t plus possible de mai ntenir les salaires de référence
tels qu'ils étaient fixés pa r l' arrêté du 20
juin 1946, puisque l es rémunér ations des ouvri ers de l'industrie du bâtiment et des travaux publics doivent désormais, en attendant la conclusion des conventions collectives, faire l'objet d'accords particuliers entre
patrons et ouvriers.
vacat ions
maximum a été désormais calcul é sur la ba-
se du traitement horaire moyen applicable
aux sapeurs-pompiers professionnels.
L'a rrêté du 28 juin 1950 fi xe des maxima
- comme le fa isait d 'ailleurs celui du 20
juin 1946 : cette procédure est conform e a ux
d ispositions de l'o rdonnance du 17 mai 1945
relati ve aux rémunérations des alYen ts de~
coll ectivtés locales.
b
L~ décret du 7 juillet 1947 qui a fi xé le
montant de l' indem nité pou r inca pacité temporaire à huit vacati ons par j our
ct:
telles
qu'elles sont déte rminées par a rrêté pris
conjointement par les Ministres de l'Intérie ur
et des Finances, avec un maximum de 48
vacations par semaine :t, n'a eu pOlir but
que de modifier, co mpte tenu de l'évolution
économique, le maxi mum de 30 francs par
ur
à l'art. 5, par.
du déc ret du
-
Je vous pri e de vouloi r bien porter les
indications qui précèdent à la connaissance
des M ai r es de votr e dépa r tement en les invitant à s'en tenir dans l 'i ntérêt mème
de leur commune - aux chi ffres fixés à l'ar-
Paris, le 3 1 ma rs 195 1.
Le Président du Co ns eil, hlin istre de
l' In térieur à MM. Les Préfets (Métropole),
rel atif au montant de j'incapaci t é t emporaire
allouée aux sapeurs-p om piers non professionnels, victimes d'accident en ser vice com-
respecterait pas l,
salaire rappelée ci-dessus.
Ci rcul ai re n" 109
Depuis la publication de J'arrêté interOl ,nisté:iel du 2M juin 1950, fixant le taux max !.
mum des vacations hor ai res allouées au x
sapeurs-pompiers volonta ires, certaines dif-
ne
principe de l' ind emnisation de la perte de
INDEMNITES ALLOUEES
AUX SAPEURS-POMPIERS
VOLONTAIRES
POUR INCAPACITE TEMPORAIRE
des
ravall doit
Les dispositions combi nées '.
- de l'art. 15, par. 2, d u 'décret d
U 16
février 1929,
- d u décret du 7 juill et 1947
- de l'arrêté inte rministéri~l du 28 . .
1950
IWn
doiv~llt do nc abo utir aux solutions p f
Je vo us prie de rappeler ces prescriptions
C'est pourquoi le taux
SC 7
le principe essentiel - et de st . t
nee in"
- é nonc é pa"r le texte de 1929'
",UII,
l'indemnité pour incapacite de 't a s~\'on :
de co rps ct soumis â l'approbatio n du Pre~et.
Ce rè alement de service présente une IlTIportanc; essentielle p u isq~l'i l détermine . l es
devoirs des sapeurs-pompiers, leurs obligations envers la commurfe, les jours et heures
de manœuvre d'incendie ; il doit également
prévoir la désign~tion, par r~:)Ulement, du
personnel nécessaire au fonctiOnn.ement du
service d'incendie, pendant les Jours non
ouvra bles.
•
Commuoiqués . Avis
Annonces diverses
0 1 -82
B, -
CAFE VERT
Appel d'offres pour la fournitllre de :
300 x/ m (trois ce nts quintaux métriqu es) de
café vert, a livrer au Service des Subsistances de Marseille. Les so umissio ns accompa-
anées d' un éc ha ntill on de 500 gramm es de-
~ront parvenir à l'Intendance Sus-visée l e
mercredi 25 avril 195 1, avant 10 heures.
C. -
GRA ISSE VeGETALE
Adjudication publique restreillte, le lundi
30 avri l 195 1 à 10 heu res, pOli r l a fo urn iture
de : 600 x/ m (six cellts quinta ux mét riqll es)
de graisse végé tale, a li vr er. au Ser vice des
Subsistances de Marseill e. Date extrême de
dépôt de pi èces et d' intenti on de soumis-
sionller le 19 av ril 195 1.
D, - CHOCOLAT A CU IRE
Adjudication publique restrei1lte, 1«:: lundi
30 avril 1951, à 9 h. 30, pour la fo urniture
de : 200 qx/m (deu x ce nts quintau x métriques) de chocolat à cuire, à li vrer au Service des Subsistances de Ma rseille. Date extrême de dépôt des pièces et d'inte ntion de
soumissionner, le 19 avril 1951.
Tous les documents se rapportant à ces
réalisations so nt à co nsu lter à l'I ntendance
sus-visée.
•
GOroroONIQOEs DO SE08ET80IBT
BE L'ONION DES PlBIRES
ASSURANCES DES BATIMENTS
COMMUNAUX
Au cours d'un e réunion des maires de
l'Arrondissement d'Arles, l'idée d'une Mutuelle d'Assurances co ntre l'incendie des
~~timent s dJépartementaux et commu naux a
ete lancée.
Sa création demanda nt un long examen
et une étude fa ite par des te c.hni ciens, cette
Mut~ ~lIe ne peut. ~tre envisagée pour un
rie d"Aubagne, intitulé c: Les distinctions
honorifiques >, véritable code des décorations ci viles f rançaises, perm ettant aux Maires de r endre hom mage aux personnes les
plus méritantes de leur circonscription,
Pour chacune des décorations suivantes :
av~ nll a,ssez 1Il1lnbdla t. C'est pourquoi M. le
maire .d ~rles a demandé de quelle fa ço n il
po urrait et~e procé dé à l' eXl]lertise de la valeur, des batJ ments par un moyen administratIf. autre que celui qui consiste il s'adresser a des Bureau x privés.
La Légion d'Ho nn eur, les Palmes Acadé-
Le Secrétaire Géné ral de l'U nion a fait
miques,
une dcmar:che auprès du Service od'es Domain es et de la Dirertion des Services TechIlique~ (Préfec ture), mais tous deux se sont
ré,cuses. n'ayant pas le personnel qualifi(:
ne-cessa 1re. pour fai re ce travail.
M. le maire d'Aix a alors in diqué Co mment il avait été procédé d.a ns sa commune.
II a fait parvenir au Secrétaire Général une
Agr~o l e,
les M éfîtes Commercia l, Social,
Art isanal, Maritime, Touristique,
l'Ordr e de la Sa nté Publque, les Méd'aillefi
d' Honn eur d'Il Trarvail, de la Famill e Fran-
çaise, de l'Ed ucati on Physique et des Sports,
de
rA éronautique, de
la Reco nnaissa nce
Fra nçaise, des Epidémies, des Syndicats
Professionnels, pou r actes de coura ge et de
lettre émanant <Je la Société Gé nérale de
dévouement, des Sapeu rs-Pompiers,
Courta ge d'Assuran ces dont ra succursale est
à Ma rse ill e, 26, La Ca nebière.
Par cett e lettre, la dite Société se met à
I ~ d i~l,osition . de tous ceux que cette questio n Intér esse, afi n de fai r e connaître leur
munale et dëpa rtementale, des Sociétés Musicales et Chorales, de la Police Fra nçaise,
de la Gendarmerie Nationale, des Conseils
tle Prud' homm es, etc .
nos coll ègues y t ro uveront son historique,
les conditions d'admission et <Favancement
dans c'laque grade ; les contingents de médiailles attri-bués anmJell ement, ta date des
promotions ou des nominations, les autori-
méthode et quelles sont les études qui po urraient être faites par leurs services techni-
ques spécialisés.
La collaboratio n de ce tte
Société peu t,
tés habilitées pour établi r les propositions,
SUivant les préférences des mairi es soit se
limi ter au rôle de conseill er tech ~tq.ue Irémunéré pa r des honoraires proportionn els
aux ava ntages apportés. soit s'étendre, Confo rmément aux accoflds prdfessionn els au
olacement intégra l auprès des re'Drésentants
10 ca li x des Co mpagnies 'd'Assurances
agréées par elles.
Les Maires intéressés par cette offre peuve nt s'adresser directement à la Socié té Gén é r~ l e de Courtage d'Assurances l 26, La Ca-
nehlère.
...
la composition du dossier et sa date de présentation, le modèle officier de la notice indi viduelle de ca ndidature, etc.
Pri x de l'ouvrage: 350 francs.
Les sOllsctÎotions sont à adresser à M .
Louis Cotte-GaudIn, Sec rétaire Général de
M'airie, Auba g ne (Bouches-<lli-Rhône) .
.'.
OFFRE D'EMPLOI
La " lairie de Bouc-Bel-Air demande un
1
RECUEIL AY ANT TRAIT
AUX DISTINCTIONS
HONORlf1QUES
Nous mortons à la con naissance des Mai-
canton nier fossoyeur à partir du 1er
195 1. Se rense~g n e r à la Mairie.
res du Département l'oulvrage de M . ,Louis
-------(.00<>-------
P8
RETRAIT DE NATiONALITE
Le d éc ret du 26 févrie r 195 1 (J.O. du
ma rs 105 1) a rapporté le décret du 10
1950, qui avait accordé la natIOn ali té
çaise aux époux Mar karian- TaOl~lanJ
•
demeur és à Marseille, 524, chemin de
za r gues.
-------<>ooc>------
02 B 3
ADJUDICATIONS PUBLIQUES
ET APPEL D' OFFRES
A. _
Copie certiûét eoafetm • .
COMBUSTIBLES MINERAUX .
.
ercrrdr
Adjudication publique SI mple, le/~nfollrni,
25 avril 195 1, à 10 heures, pOlir
ture de :
1.867 tonnes de lignite.
472 tonnes de bo ulets.
.' e
120 to nn es d'anthracite ordlna1f '
149 tonnes de coke de gaz, enlS d. l.
a ux corps de troupe et établis~em de du I,r
ge Région Militaire, pour la p fi?
au 30
1951.
L~
mai
Le Secrétaire Général de l'Union :
AUDISERT,
Cotte-Gau<J,n, Secrétai re Général pe la Mai-
9' Région Militaire - Place de N,I'"r!,iereiills': 1
Intendance des Subsistances MdII.,
Caserne Audéoud
el'Ile
Promenade de la Corniche, à Mars
co m-
Pour l~ PrHet :
S,crJIGi,., Général : LAMASSOURE.
�REP UBLIQUE
Avril 1951
9 ' Année . - Noméro Splel&!
OËPARTEMENT DES BOUCHES-OU -RHONE
~
ri ' - .-'" ;)'
.Recue;) des Actes rulministratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance r elative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P . : Arrêté préfectoral. - C. : Circu laire - Les lettres D et B suivies d'u n dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des Services Tec hn ique •. - D. D. S. : Direction Départementale oe la Santé. _ D. D. P. : Direction départementale de la Population.
,
D6 B3
AGI
:M:édaille
d'~onneur
du Travail
ARRET <E
Le Préfet des Bouohes-du-~h ôn e, Offi cier de la Légion d'Hon neu r, Croix d'e Guer re,
Vu le décret du 15 mai 1948 ins titu an t la ~édaill e <l'Ho nn eur dll Tra.vai l,
Vu l'arrêté du 30 ju in 1948 lNxant les co nditions d'applicatio n ti\J décret susvjsé,
Vu le décret N° 5 1-41 <lu 6 janv ier 195 1 modifiant le déc ret précéde.nt,
Vu la délégation aJCcordée a ux Préfets 'Par arrêté de 'M. le ,Ministre d u Trava il et de la Sécurité Sociale en date du 10 janvier 195 1,
Sur la proposition <le ,'vi. le Secrétaire Général,
A L'OCCASION DU 1er JANVIER 1951
ARRETE:
ARTICLE PREM IER. -
La Médaille d' Hon neur du Travail en argent est <lécemée aux personnes dont les noms suivent:
M. ftJBADlE ,François, employé de commerce
dans la maiso n de ~me V'Ve BACQlJ1E.
M. Pi8.A'DloE Albert-Léon, Commis Princ;pal
il la Chambre de Commence.
~. AILLAUD Léon, égoutier à la Société
des Gra nds Travaux de 'Ma rseill·e.
M. AlEXANDI~E j oseph, tourneur à la 50.
ciété Célestin COQ & Cie, " Aix-en-Provence,
M. ALEXA,ND~ Henri, ajusteur à la So~iété MédîterIanéenne de Constructions
Industrielles.
Mine ALLA~D née ISSAUTIER Clémentine,
concierge à la Société des automobiles
•
C IBerliet >.
•
, M. ALLEMAND Fernan'd,-jacq ues, manipulateur " la Société Lyonnaise de Dépôts _
Banque.
Mme ALL~AND née MARIOTTI Lucie,
Commis Principal à la Compag nie Généra le Transatla nteq ue.
Mlne Vve ALLBMJAND née CA~BONEL
'Malvina, ouvri ère à l'usine de Conserves
Alimentaires, Lambesc.
Mme MJPOZZO née J'AQUIN Yvonne, dactylogra.phe à la Càmpa~n ie des Messagenes Maritimes.
e:.
M·C~LZIA.RY
fé li x-Eugène, forgeron aux
Mil anhers Narvals, La Ciotat.
~A VET Anna~arie, employée à la
Seociété
Général • .
MI. AIMIEiL IFernand, ohef <le service, Comptabilité, dans la IMaison BRUNlE'r & MAURIN, courtiers d'Assurances :J\t\aritimes.
Mi. AMORETTI Paul, vendeu r da ns ofa M,liSon GOOEL IN-Mff'F.~E.
Mme A'MORETTI née ~YNIER Marie-Rose,
vendeuse da ns la M'a iso n G>EBELlN-<MIEFFRE.
Mme ANASTASIO née SPOSITO j oséphine, verm icellière à la Société de Pâtes Alimentaires CODOU.
!Mi. AND~ .Auguste, portier à la Chambre
de Commence.
MIme Vve ANGELI née IMERLINI Anna,
. commis-dactylogra]ihe atL~ Chantiers Navals de La Ciotat.
M. ANGLES Gabriel, agent de maîtrise de
farbrication à la Société Anonyme d'E.xplosifs et ,Produits Chimiques, Saint-iMartin<le-Crau.
M. ANGLES joseph, géra nt de cantine" la
Société Anony me d'E.~pl osi.!s et <le Produits Chimiques, Saint~artin-de...Crau.
.'vIl. ANTON I Antoine, contremaitre aux
Chantiers Navals de La Ciotat.
Mi. ANTONlN1 Pascal, fr<rppeur il ra Société
Provençale de Constructions Navales.
lM. ARNAUD Eugène, ajusteur à la Société
Générale des Tuileries de Marseille.
M. ARNAUD joseph, manœuvre aux Chantiers Navals, La Ciotat.
MI. ~AUDO Louis, talonneur aux Etablissements AUGUSTO
M. ASTIER IMp,rius, journalier à la Société
Générale des Tuileries de Marseille.
Mi. AST IER Louis, journa lier il la Société
Gé nérale des Tuileries d.e Marseille.
MI. AUBIAN Maurice-Aimé, Agen t Principal
li la Société Gé nérale, Châteaurenard.
M. AU[)LBERT André, manœ uvre spécialisé
dans la Maison L0J3LNDRUGE & BRUN,
Constnlctions mécaniques, Aix-en-Pra. vence.
M. AUDRAN Maurice, magasI nier a-n x
Chantiers Navals, La Ciotat.
MI. AUDRY Henri, contremallre dans la Maison des Fils de Léon Bornet, La Viste .
M. AUGIER Henri, employé au Comptoir
Linier.
MI. AUPlN Augustin, perceur à la Sociéte
Célestin COQ & Cie, Aix-en-Provence.
Mlle AUZET Adèle, servante chez Mme
IMarcel GUINDON, Aix-en-Provence.
Mme AVrELARDI née ISNARDI Angèle-Marie, journalière li la Société des Raffineries
de Sucre Saint-Louis.
M. AV ILES Amédée, manœ""re aux Houilléres du Bassin de Provenœ.
M. AYIMES Albert, chef magasinier 11 la Société Coloniale de Chaux & Ciments de
Portland de Marseille.
M. AY,\IES Léon, emploI é Jans la Maison
BRUNET & MAlIHLN, courtiers d'Assurances Maritimes.
M. BACCINO M~riu~
�2
fi,
B1ST AiGNE jean, riveur aux Chantiers
'Navals La Ciotat.
M;. &LANC Miohel, agent d'études aux
.
Ohantiers Navals, La C,otat.
asUl
Mc BLANC Marius, ellliPloyé de mag
aux Et&blissements P. Duclos. . .
M BLANC 'Raoul, ah<1f magasm,er aux
'Houillères clu Bassin de proven~e.
M. BLANC La~rent, faço nneur-toher aux
Chantiers Navals, La <Clotat.
t.\. BLANC joseph, commis-comptable aux
Chantiers Navals, La CIOtat.
M . .sLANC Henri, é1ectr,c,en aux Chantiers
Navals La Ciotat.
MI. BLANC Abd<Jn, agent de recettes aux
Chantiers Nawals, La CIOtat.
M. BLU ,Vlaral, ohef de rayon aux Etabtissements Veuve Bacque.
M. BOOQUET Alexandre, ret~aité -a u x
Houillères du Bassin de Provence.
.,
M. BOETTI Henri, journaliers à la. Soc,eté
ide Raffineries de Sucre Saint-Lou,s.
MI. BOl Pietro, refraité aux HOUIllères du
M. BRUNEL Marius, retraité aux Houill'
du Bassin des Cevennes.
....
MIlle BRUNEL-GRAiFiF1N Marie-Claire .
rectrice du 'personnel de soins il l'H~~
Paul-Desbiel.
M. BRUNO Pier,re, ollVrier spèciatisé
J\\me CAYRE née REVffiDY Marie, caissiere dans la Maison j . Gaillard.
M. CBOOALDI Alexandre, reporteur-litho.raphe à l',l mprimerie de la lM~iterranée.
M~ CELLA Fidèle, soudeur-élllOtrique il la
Soudure Autogène du cud-Est.
M. CERQUETTI Auguste, machiniste aux
Chanliers NI>vals de La .ciotat.
M. C1PO Charles, agent ,d. maîtrise il la
Société clés Raffineries de S-ucre Saint-
M. BALCET Antoine, employé sur qua, à
la Société Générale de Transbordements
Marit'rnes.
1
M. BM.DlNGER Maurice, ouvrier proiessionnel à la Compagnie Royale Asturienne
Etablissements KUlhlmann.
aUK
des mines.
""me
Vrve
BRUSSON
née
iII~OURET Vkl
11\. BARDI Snsthème, chef ouvrier traceur
rine, femme de ménage chez Miles t ~
aux Chantiers Navals de La Ciotat.
font.
a !~
,\l BARKATS Benjamin, pointeur à la ComM.
C~BANEL 'Elie, ag.,r,t de maîtrise à 1
pagnie des Messageries Maritimes.
Société Marseillaise de Conbone.
a
Louis.
M:. BARON Gustave, commis-comptable aux
M. CINQUE M,anus, canneleur à la ~oC1ét(
M.
C~B0F 1 GUE Louis" c haudronnier à la
ahan tiers Navals de La Gotat.
Méditerranéenne de Constructions lodusSoc,été Provençale de 'Co nstru ctions NaM. BARTHE.LBMY Marcel, <Tessinateur aux
vales.
trielles.
Chantiers Navals de La Ciotat.
M. CHABoANON Louis, ma0hiniste a u x
M. OAF,ASSO Arid.ré, cha,,!;eineur aux
t.\. BARTHELEMY Frédéric, chef ouvrier
Chantiers Navals de La Ciotat.
Chantiers
Navals,
La
Ciotat.
aux Chantiers Na.'a1s de La Ciotat.
M. ,CHABAUD Fernand, chef ouvrier aux
M.
CA1LA
René,
ri>boteur
à
la
Société
Pro,
M. BASSI jacques, commis à la Ohambre
Chantiers Navals d" La ,Ciotat.
vençale die ConstrucNons Navales.
de Commerce.
M.
CA,ILLOL
jules,
journalier
au
fon~
'"'
M.
CHABRAN Augustin,
modeleur aux
Mme Vve BASSO née FABRE Marguerite,
Ho uillères du Bassin de Provence. .
Chantters Navals de La Ciotat.
contremaîtresse aux Etabtissements j. BalM .. CM.,l.JAiMAND Uldaric, dessinateur-pro~\me CHAB.Rl'ffi née ,'v\jA;Y'E Angèle, oulester.
ieteur aux Et<tbhssements Labrin, Druge
vrit're à la Société Anonyme d'Exoplosifs
M. BATTELI Raphaël, chef d'équipe à la
et de Produits Chimiques, Saint-Martin-de&. Brun.
Société Provençale de Constructions NaBassin de Provence.
. .
M, CALLAiNDRA Louis, serrurier au. Chan·
Crau.
vales.
M'. .sON Louis..césar, mineur aux Hou,lleres
Mlle CHAIX Emilie, employée au Crédit
tiers Navals de La Ciotat.
M. BAUDOlN Maxime, médecin-résident à
du Bassin de Provence, ,Peyptn.
Mlle CALLlE!R C laire, employée de bur"u
Lyonnais.
l'Hôpital Paul-Dosbief.
MI. BONC10ClNl, Vittorio,
mineur
aux
At CHAMBERoAU Joseph, rédacteur il la
à la Seci!'t'; Casse 6: Cie, Aix-en-Pro·
Mme BAUMEL née LADENEZE julie, tinHouillères du Bass;n de Provence.
Chambre die Comme,ce.
vence.
gère à l'Hôpital Paul-DesbieL
M. OHAA~US François. chauffeur à J'EntreM BONETTO !Marius, journalier à la SoM.
CA!MIBOUN
Antonin,
préparateur
à
la
M. BAYARD Victor, ohautreineur -aux Chanprise Chagnaudl & .fils.
ciété Générale œs · Tuileries de Marseille.
Ptharmade Suzanne ,Girard.
tiers Navals, La Ciotat.
/\\.. CHAOOES Louis, a ide-compt:!ible à la
M.
BONI
FAY
Michel,
chef
Oll'Vrier
éieotriM.
CAIMIBON
omile,
chef
de
service
à
la
M( 8A YLE Lucien-'Marius, <:entremaître aux
Semoulerie Nouvelle.
Direction de la Com~agnie de Navigalion
cien aux Ohantiers Navals, La Ciotat.
Etablissements CODER
M. CHA,ST\:jL A uguste, manœuvre au jour
MI.
BONlN
frédéric,
gardien
aux
Ohantiers
Cyprien-F~bre.
Mo. 6ENEDETTI Edoua.d, tourneur .aux
aux Houillères 'CfIe Provence.
M. CAIMOIN j oseph, grueur aux Chanlie~
Navals, La Ciotat.
. .
Ohantiers Navals de La Ciotat.
Mlle CHATEAUNEUF Augustine, comptable
M.
BONNET
Victor,
ohauffeur
à
la
Soc,été
NalVals,
La
Ciotat.
M. 8ENSE joseph, serrurier-ferreur aux
a.ns la Maison Biscuits Michelis.
ML CA'MPOCASSO I:élix, ohef <le groupe ;
Alfred Bonnand.
Chantiers Navals de La Ciotat.
M. CHAU-HA,! Gaston commis à la Ohamla
Compagnie
Générale
Transatlantique.
MIlle
BONS1GNOU
Rosalie,
l'ressière
a
la
Mc BENZI André, ohef d'équipe à la Société
hre de Commerce. '
Société Générale des Tuileries de Mar- 1 M. CANESE Valentin, menuisier aux Chan·
Provençale die Constructions Navales.
M,..CHAUSSON Œ
""",reel, voyageur il la Sotiers
Na
...
als,
La
Ciotat.
seille.
M. BERCHI Ginès, manœuvre aux Etablisc,eté Anonyme de ,Ohocolaterie et ConfiM.
SORDIGA
Nicolas,
menuisier
il
la
SoMIme
CAlNl'E.
née
GEDDA
11hérese,
~hef
de
sements ROCCA, T ...ssy de ROUX.
serie du Rhône.
ciété Colonial'e 'des Ohaux & Ciments de
file, aide-comptable aux Magasins Boka.
M. BERENGER joseph, gardien aux ChanM. CHAW\NON Félix, <lhef d'équipe ohauMI.
CAlP1
M
,
Henri,
,condtlcteur
d.
.
de
Marseille.
Portland.
tiers Navals, La Ciotat.
dronnler à la Société Provençale de Co nsd'extradion aux Houillères du Bass", de
M. BOREL Pierre, sous-direcleur à la SoM. BERENGU1ER Octavien, chau.lfeur à la
tructions Navales.
ciété des Chantiers & Ateliers de ProProvence.
Maison Soulet.
M. CHA V,E Antoine, . représe ntant de co mM. OA'R rDaniel, trempeur il la Société ~n
vence.
M. BERENGUIE:R Laurent, mécanicien au Mlle
mence il la Société. Ndbel Française (maBOSCO Adeline, trieuse aux Houillères
cienne des Tuileries et Briqueterres
t,ères
plastiques).
'
Comptoir Linier.
du Bassin de Provence.
Marseille.
.
M. BERGER Eltgène, elTliPloyé à la So<:iét~
M. CHEV A:LAZ Joseph, condllcteur d'e pont
Mime CA,RBONE née VAL'T'ER Marte,
MIme Vve BOUDON née R0MiAN Félid e,
roulant aux C hanti ers NalVals ide ila CioMarseillaise de Crédit.
seuse aux FHatures et Tissages de Mar·
ouwière il l'Usine de Conserves Alimentat.
M. BERNARD Clément, chef de service à la
taires, Lambesc.
seille.
. . 1
M. CHEYLAN Juli en, manceuvre aux HouilSociété des Travaux du tM;cü.
M. CAIRISTANtOS Stavios, journalier '. '
M
..
BOU~RELL Y Marius-jean, mineur de
1,t BERNARD Simon, garçon de bureau il
lères .dIU Bassin die Provence.
Société des Ra ffineries de Sucre S."I·
fond aux Houillères du Bassin de Prola Société des Grands Travaux dU Midi.
M. CHIAm Jaoques, c onducteur de " rue aux
vence, Gréasque.
Louis.
. .
S'II'
Chantiers Navals. de La Ciotaf. ~M. BERNAUDON Aimé, chef d'équipe à la
M. CAlRLE GiONanni, journalier a la. oc'
Société Provençale de Constructions Na- M. BOURRELY Maxime, maître d'hôtel il
M, CH1CCO jaoques, co ptcemaître a ux Rides
Raffineries
de
Sucre
Saint-LouIS.
la Maison Castelmuro.
zenes & rMaïseries Indochinoises.
vales.
M. CA!R~E Lio nel, fondl! de l'ouVQlf6 au'
M. BOUl'ElLLON Auguste, ébardeur de
M. BERETTI Pierre, -frappeur aux {)!tantiers
M.
CH!RIS L""arius, ohef du Service ComEta'blissements Gondran.dl Frères. Elab!'Ionderie aux Etablissements Lobin-DuJ"ge
me,c,al à la Société Anonyme d'EXlplosifs
Navals de La Ciotat.
M. CAIRRIE Jea n, eon tremaître aux
..
Brun.
ect de Produ,ts Ohimiques, Saint-Martin-deM. BETTA Michel, forgeron aux Hotrlllères M.&BOYE
Paul, chef d'li Serovice Général ilu
sements Kuhlmann.
rau.
du Bassin de Provence.
M. CMmO Louis-Jose[jh, calfat aux
,Contrôle à la Société Pican & Cie.
M. CLElMEN1' Marius, cha~ffeur-liweur aux
M. BERTERO Henri, contremaître il la Sop apetenes 8arjon .
tiers Navals, La Ciotat.
M. BOYER Da'Vid, chef de service à la- Société Générale des Tuileries de Marseille.
M. ICAS1NI Lo uis -Marius, <lhauffeur
ciété
Anonyme
d'Explosifs
et
de
Produits
l
M. BERTRAND Roger, employé il la Société
mobile à la Compagnie des J\1,'SS,gef1 ' 1 M·cCL6RGUE Jaoques, chef de Service
Chimiques, Saint-Martin-de-Crau.
Commerc131 il la Société Coloniales des
Gondrand Frères.
es.
. la
\\1 haux & ICiments.
M. BESSET Joseph, ingénieur en <fuef aux Mme BREMOND née ROSSO Marie, jouma- M.lM.aritim
OASTA1JDI
Umberto,
tour
neu
r
a
lière il la Société Générale des Tuileries
·cCLOAH!"C Félix, chef d'équipe .il la
Chantiers Navals de La Ciotat.
cieté Pr<YVen çale de Co nstructIOns . .
de Marseille.
M ~mpagn<e Générale Transatlantique.
M. BIANCHI Jacques, chef de poste a u
Mm,: BREONE née .sASTON I Guiseppa, ou- M. CASTAN Eti enn e, che! de seM;'
~HET Ail'bert, fon'dé <IJe pouvoirs aux
fond _ Houillères du Bassin de Pr<>vence.
Société Anon y me d'Explos'fs e~ ,
vfl ère de fabricatio n il ta ,Société A noIJI\ a !Ssements L. Con za.
M. BIANUCCI Franco, journalier il la Soduits Ohimiques, Saint-Martin-d
nyme d'Ex1)losifs et de Prodluits Ohimir i 1.
·lèCOl.l~E Léon, maître-mineur aux Houilciété Générale des Tuileries de Marseille.
M'le OASTO,R 'Marie, c1le! conserva
ques,
Saint-Ma
rtin-de-Crau.
M. é~ oU Bassin de Provence.
M. H1ESSY Etienne, (!hef ouvrier aux Ch.nHo'~'
Société Marseillaise- de Crédlt.
M. BRONOEL jean-Auguste, monteur friciété METTO J aroqu es, man cellvre à la So. tiers Navals de ILa Ciotat.
M.
CAlULA
Fendinan~l
retralté
aux
M CO ColoOlale de 'Chaux & Ciments.
goriste aux Ancie ns Etablissements Bus.M. BIRELLO Jean, estampeur à fa Société
res de Provence.
ts
soneau & Lotz.
'Son 1~~rLLI E~ile, employé dans la MaiGénérale des Tuileries de Marseille.
M. CA TTA'Ra Sau.veur, teneur deti:o S
M. gROSSIER Albert, agent général à la
JI\ . COND y ~ ,C,e.
M. BIRRI Angelo, enfourneur de tuiles il la
Société Provençale lIl'e ConstruC
ciété d RO" ER Henri, ingénieur il la SoSociété « LA CELLOPHANIO ,.
Société Générale des Tuileries de Marvence. es Ohantiers & Ateliers de ProM'Ille BRUERE née PELùOORINO ~Tie
vale~1.
d' t,ur i
seille.
Ml CAUSoAN Hioppolyte, s~us- Ife<:
tailleuse de tuiles à la Société Général~
BISAGNO
Banca Commerciale Ital,ana.
40
t::
Et
M. ,COROE Jacques, ga rdien aux Chantiers
Navals de .La Ciotat.
M. .ORNILLON Max, magasinier aux Etablissements Paul Duclos.
M~le .CORR1OL Olympe, caissi~re dans la
Ma,son S. Gayma rd & ses Fils.
'M,. COSI Eugène, surveilla nt-é lectricien à la
SOCiété Coloniale ~ Cha.ux & Ciments.
M. COSTE Etienne, " he! ouvrier aux Chanhers Navals de La Ciotat.
M'Ile COTTIER E~génie, caissière œns la
MaJson Hu'''''rt kle Vautier & Cie.
M. COULL.;ET Ec\()uarll, cadre à ia'SüCONY
VIACUUM Française.
M,. _COUT'E~N j ules, contrôleur à la Soc ,été Lyonnaise de Dépôts. - .
M, C l~ITI COS i/vlî<lhel, magasi nier il la CompagOle Royale Asturien ne des Nunes.
M. 'ÛR1VELLI j ean-Pa ul -voyageur aux
Etablissements Bergoug'nan c Pneus >.
M.. DM,EST Marius-Etienne, faço nneur-tô11er aux Ohantiers N" vals de La Ciotat.
M. D',MIiATO Umberto, chef d'équipe à la
Soc,ete de Transbordements .Maritimes.
JIoIJ. DANI Marius, employé il la Société des
Raffineries de Sucre Salnt.[.ouis.
M. OA'RMOND tM,a rius, chef <fatelier il la
Soc,été Provençale de Const,ructions Navales.
Mme DAlRS ON née JAUBERT -Rose, sténo(j,arctylographe à la Société Lyonnaise ,de
Dépôts.
M'. DAINOVARO -Romolo, ajusteur-mécanicien à la Seciété Gé nérale des Tuileries
de Marseille.
M. DAU'M,AS Honoré, électricien il la Société Coloniale tle Ohaux & Ciments.
!Mme V,ve DANSQUE née BONNAUD Mari e, employée da ns la IMaison Mo ry & Cie.
Mme DEAMBROGGI née FBRRETTI Hélène l journalière à la Société des Raffineries
de Sucre Saint-Louis.
M. DEBIEZ-P1AT 'Marius, calfat aux Ohantiers Navals, La Ciotat.
M. DE CONSTANS Prosper, ajusteur à la
Société Provençale de Constructions Navales.
M. IDOCUG1S M"rius, chef d'équipe chaudronni er à la Société Provençale de Constructions Navales.
M. DEGIMNO Ed mond, journalier à la Société Gé nérale des Tuileries ,de Marseille.
lM. DEIT Henri, ,di recteur li la Maison Gond,rand Frères.
M. DoLESTRADE Vic to r, dessinate ur-projeteur il la Société des Chantiers " Ale[iers
de Provence .
i/vl,lle DEMARCHI Rose, co ntremaitresse da ns
la Maison Biscuits Michelis.
M. DEtN l6R EU l(èrie, placier à la Société
Marseillaise des Gra nds Magasins (,Vlaiso n
Paris-Marseille).
M. DEROSA Ra phaël, fraiseur li la Sociéfé
des Mo teu rs Baudoin.
,M. DE SA LVO j oseph, ga zier li la SOlC iété
des Verreries de Queylar.
M. DESPlLA,NTlER Albert, co mptable au x
Usin es Schlœsin g Frères &: Cie.
M. ,J)EVEZE Paul, agent commercial à la
Compagni e des ,J\I\in es, Fonderies &: Forges
d'Arès.
M. OlAM'BRI Eu gène, outilleur a ux Etablissements Kulhmann.
'M. DIO IOT Ma rius, 0hef dlèquipe aux Etablissements Paul Duclos.
MUe DOMENC
ble aux Oll,anti."s
M. DOMINICI Matlùeu, ouvrier à la Société
<le l'Ascenseu,r d e Notre-D":Te-de-laGarde.
M. DONATE-SELV I Antoine, perœur aux
Ohantiers Navals de La Ciotat.
J\'Irne DONA Tl Jeanne, journalière à la :';0c,été des Raffineries de Sucre Saint-Louis.
M. OONNADl6U Marius, représentant à la
Compagnie d'Atpplications
Mécaniques
S.K.F.
M'. DONNINI Sébastiano emballeur aux
Etablissements Bonieu-Borel.
M. DOSSETTl jean-Baptiste ajusteur aux
Etablissements Racca, Tas~y d'e Roux.
M. DOUE j ean, sous-directeur à la CompagOl e de Navigation Paquet.
M. DOUZ1ECH Maurice, menuisier à la Soc ,été Provençale "" Constructions Navales.
M. DUBORGEL François, caneleur da ns la
M,"son Pa ul ChapouiUet.
M.. DURAND Louis, pOinçonneur aux Chanllers Navals de 'La Ciotat.
M:. DU'TTO Michel, tourneur sur métaux
aux Chantiers Navals, La Ciotat.
'M. EPOQUE Louis, jo""nalier à la Société
Générale des Tuileries d~ Marseille.
M., ERARD dit LASSELLE Emile, employé
a la Ma,son 1- Deleuse « Photo-Dock >.
M. ESCOBAR Bernard, ouvrier à la Société
M,mère et Métallurgique de. Penarroya.
M.. ESPAN5T Antoine, menuisier à la Société des Grands Travaux de Marseille.
M. ESTIENNE Alirerl, 'chef de maîtrise a ux
établissements Eyguester, à Aix-en.J>rovence.
M. EY,BALlN Achille, concierge aux Etablissements Picon &: Cie.
M. EYRIES Henri, co nfectionneur de rivels
aux Chantiers Navals d e La clotat.
MI. FABRE Francis, employé à la Chambre
de Commerce.
M. FABRY Pierre, cHaudronnier sur cuivre
aux Cllantiers Navals J La Ciotat.
M. FABRY Auguste, contremaitre-c haudronnier aux Cha ntiers Navals, ILa Ciotat.
M. FALIBEIRT Edo uarcf, chef d'a telier aux
Chan her .. Navals, La Ciotat.
M. FANjAS4MER.QERE Oharles, représentan t
aux Eta1bhssements Augusto Jeune.
,""me FARNOUX née M,E 1SSII." 'IILLY lMa.rieLouise, employée à l'a Société Générale.
M. FAUOHlER Emile, emllloyé de co mmerce
aux Etablissements ,Mllhe et Avo n.
M. FAURE Josep.h, employé à la Société des
Raffineries de sucre St- Louis.
M. ,FAURE Gasto n, emp loyé de ,burea u il la
Société des Huileries Antonin Roux et Savonneries ].-B . Paul.
M. FER NANDEl Fern and. chef d'équipe à la
Société lnd ustri etl e ,\l aritim e.
M. FERRAT Fra nçois, forgero n-c1larron à la
Société Générale des T uileries de Marseille.
M. F5ImAT Honoré, dist ri but eur a ux Chanti ers Navals de La Ciotat.
M. FEiRRANTI François, co ntremaÎbr maço n
aux Chantiers Navals, La Ciota t.
M. FERRAUD Arm all ct, com mis a"x écritures
aux Chantiers Navals, La Ciotat.
Mlle FBRRAND Antoinette, ouvrière aux Etablissements Paret.
M. FERRI Hugues, modeleur-dessinateur a ux
Ohantie rs Navals , La Ciotat.
M. FE RRIER Alp honse, menuisier aux Ohantie rs Navals, La Ciotat.
M. FEUlLLADE Frédéric, so udeur aux Chantiers
La Ciotat.
�4
M,me FILIPPI née PERONE Félicie, tailleuse
de tuiles il la Société Générale des Tuileries de Marseille.
JI\. .FJ..ORY Rrançois, Directeur aux Etablissements Brossette et Fils.
M. FORNERIS Joseph, ouvrier machiniste au
fond de la mine aux Houillères dll Bassin
de Provence.
M. FORNUOA Michel, employé (SeJ1Vice de
l'Escompte) à la Société Lyonnaise de DépOts.
Mme FORNU née IBANDA Augusta, journalière à la Société Générale d~ T uileries
de Marseille.
M. FORlI Corrado, enfourneur il la Société
Pierre Frères.
M,. FOUQUE Henri, ouvrier il la Société de
l'Ascenseur de Notre-Dame-de-Ia-Garde.
M. FOUI~MENT Antoine, ajusteur mécanicien à la Société Provençale de Constructions Navales.
Mlle FOUZE1MBAS jeanne, employée portefeuille au Crédit Lyonnais.
M. FRANCI NI Oltaviano, joumalier il 1a Société Générale des Tuileries <1e' Marseille.
Mme FRANCO née BERANGER Rose, journalière à la Société des Raffineries de sucre
Salnt-Louis.
M. FREDDI Ormisda, ohauffeur de chaudières aux Etablissements Kuhlmann.
M. FREJœS Quentin, mécanicien à la Société Génffale des Tuileries de Marseille.
M. FREllE.R Emmanuel, comptable aux Etablissements j. Nègre.
M. FRISOLI Edouard, employé au Crédit
Lyonnais.
M. GACHET jean..Baptiste, ohaudronnier à
la S ociété des Ohantiers et Ateliers de
Pi"ovence.
M. GACIOO Antonin, commis à la Ohamb."
de Commerce.
M. GABRJEL Victor, agent <l'études aux
qhantier Navals de La Ciotat.
M. GAILLARD Gaston, che! mécanicien il la
Société Générale de Transbordements Maritimes.
M . GALAiNIS Alexandre, comptable il l'Entreprise Gardella.
M,me GALETTO née DEFI LIPPI Catherine
pressière à la Société Générale des Tui~
leries de Marseille.
M. GALL Oharles, <lhef <le Service à la Banque de Paris et des Pays-Bas.
M. GALLICE Adolphe, 'Penceur il la Société
Célestin Coq et Cie.
---lM,. GAMBINI jein, commiS aux hangars à
la Chambre oe Commerce.
Mme GAMEAUX né e FOUQUE Marie-Louise, contremaîtresse <le la mise en b outeilles à la Société Cinzano.
M. GANDINI julien, c haudronnier à la Chambre de Commerce.
Mme veuve GANDOLI née BARDINI Albine,
pressiére à la Société Générale des Tuileries de Marseille.
M. GARBATI Louis, serrurier-ferreur aux
Chan tiers Navals, La Ciotat.
M. GA REA Tl Henri, riveur aux Chantiers
Navals, La Ciotat.
M. GARBATl Henri-joseph, chef d'escouade
de manœuvrage aux Ohantiers Naval, La
Ciotat.
Mo GARCIN Germain, reboteur aux Etablissements Paul Duclos.
M. GARCIN Pierre, menuisier aux Chantiers
"aiva.,s, La Ciotat.
M, GARDIN Fernand, égoutier à la Société
des Grands Travaux, Marseille.
M . GA!RGANI Emile, sernoulier à la Semoulerie Nouvëlle.
M,. GARNIER Auguste, chef ollvrier aux
Ohantiers Navals, La Ciotat.
Mme GARDET née GILIO "'~arie-Louise, manutentionnaire jlux Etablissements Casse
et Cie.
M. GARllN1 Bernard, minotier aux Grandes
'N ünoteries et Fèves <le France.
M. GAS Denis, chef d'éq uipe aux Etablissements Carel, Fauche et Cie.
M. GASOA Antonin, manœuvre aux HouillèIres du Bassin de Provence.
MI. GASS IN Paulin, ex>pédi!eur-emlbaUeur aux
Etablissements Sigaud à Aix-en.J'rovence.
M,. GAUDIN Antoine, égoutier il la Société
des Gran-dS Travaux de Marseille.
M. GA Y Pierre, magasinier aux Ohantiers
Navals, La Ciotat.
M. GA Y Louis, ohet de D'épartement aux
Eta blissements Coder.
M. GA YANNE Ambert, commis qualifié à la
Ghambre de Commence. - Mlle GA YTE Adelaide, employée à la Westminster Foreign Bank.
M. GENElPIO jea n, ai<le-chimiste à la Société Coloniale d es Ohaux et Ciments.
M. IOElNElHO Alexandre, défourneur 'à la So.ciété Générale des Tuileries die Marseille.
M. GENNAI jean-Baptiste, manœuvre à la
Société Coloniale des Chaux et Ciments.
M. GEN~E François, chaudro""ier à la Société Forges et Chantiers.
M. GEVA Edmond, menuisier aux Chantiers
Na"a1s, La Ciotat.
M. GEYElR jean, c hef de bo<d principal à la
Société Provençale de Constructions Navales.
Mme GHELFI Marie, ouvrière de fab rication
à la Sociétè Anonyme d' explosifs et de
prodUits ohimiqués, St-<.~tin-de- Crau.
M. GHIGLIA j ean, maohiniste aux Chantiers
Navals, La Ciotat.
M. GHIRARDO Ra phaël, chef d'éq uipe aux
A~iéries clu Nord.
Mi: -GIAil..DlNI François, ohauffeur autos aux
'E tablissements Kuhlmann.
'Ml. GltBBRT Ernest, c aissier a ux Us ines
&hkoesin.g et Cie.
MUe GILLY Louise, ass.sfantê 1t la Clinique
<lu Dr Prud'home.
M. GIA~D Nicolas, ga.rçon de r<îceltès au
·Créldit Lyonnais.
M. GIRODENGO joseph, maçon au mines
aux Houillè res du Bassin de .Pro vence.
M. GIUSTI jules, chef-ouvrier aux Lha ntters
Navals, La Ciotat.
M. GON j ea n, co mptable a \lX Etablisseme nts
Garein et Mistral.
M. GONF ARD Barthélemy, menuiSier a la'
Compag nie « Cnambon, Ifemor quage :t.
....t. GONNET François, chef de groupe à la
,Compagnie Générale Tra nsatlantique.
M. GOT·ELLI jean, journalier à la Société
<les Tuileries de Marseille.
...", GOUIRAN IFélix, contremaître <le fabrication à la Société Coloniale des Ohaux
et Ciments.
M. GOUI,RAND Marcel, tourn e ur sur métaux
à la Société des Chantiers et Ateliers 'de
Provence.
M . GRIMAUD Mathieu, chiffreur à la Nou-
M..veae CriéeTAaUlxx:.:;;~~::?r'~'a.sc.'leur
fi
il la So-
-
M. GROS Ernest, magasinier à la St
f',ançaise des Pétroles.
andard
M. GROSS Luc, journalier à la Société d
RafflOer.es de Sucre Saint-Louis.
es
M . . GUJ\.ImACINO Henri, calfat aux Ch
hers Navals, ,La Ciotat.
an,
M. GtJ.AThRAiCINO Vincent ag'ent de
.
· a. 1a So c.'été 'VUurt
,,....~
tr Ise
de1 Payen et Fa!malM. GU.\Z.l INI Alfreil., défour neu r à la ~~~
Clété Genérale des Tuileries de MarseiUe
Mille GU51DON Léon.e, .première COllt .
dans la Maison Aristid'e Bo)ièr.
u,.
Ml le ' GÙERiIN . .M,~,rie-<Margu eri te e mplo é
de bureau à la NLa.ison frano; Paul. y e
M. _OUE~RElRA _ Lou .s, contremaître méeani,
-c1'!n auto aux Etablissements Kuhlmann
M. IGUIDON I 'Roch, portier à la Ohambre de
Commerce.
Mlle GU/GUET M!,de!eine, ;emme de chambre ri Iez i\1.me Eugene BfHln3Sse.
M. GlilLLELMET Emi'e, emp!'J yé à la Cha".
bre de Commerce.
'
M. HEllDET Théophile, ma nœuvre au Ohantiers Na.vals, La Ciotat.
M. HERBERT Charles, représentant à la Société Générale des Pâtes Alimentaires de
France.
M. HEYIMUD Marius, em'ployé à la Sotiét~
des Grands lIavaux <le Marseille.
M. HOULBBRT julien, employé il la Société
Gén~ra l e (Banque).
M. HUGUiES Louis, contremaitre il la ~ot.èli
des ,Produits Céramique s de Saint-Henri.
M,. I A>I~DELLA Henri, aj usteur aux Etablissements 1- j . Carnau~ et Forges de BasseIndre.
M. IMIBBRT Jules, gardien a ux Ohantiers
Nava ls, La Ciotat.
M. IMtBERT Francis, agent de maîtrise il Ta
Société des Raffineries de Sucre St-Louis.
MIlle ISNAoRD Emma, com mis co mptabilil/aux ,Chanliers Navals, ,La Ciotat.
M. ISNA~D- Auguste, chef cuisinier dans la
Maiso n 'Mo. Bogeat.
M,. jA>COPUOCI Joseph, chaudronnier à 1,
Société Provençale de Constructions Na;vales.
- -
M. j ANOYER Au gustin, chef d'atelier ventilation aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. jAlJFFRET Adolphe, co mmis il la Compagnie Générale Transatlantique. -
~. jAY Eugène, ca issier à la Sllëiété Auto-
mo bile Berliet.
M. jEANSELNliE Gab ri el , sous-clle! gardielf
aux Chantiers Nava ls, La Cio ta!.
M. jEANS ELME j oseph, to urneur SlIr mé·
ta ux a ux Chantiers Navals, La Ciotat. ,
M. j lJBELIN Louis, conducteu r d'apparc"s
il la Société d'Electro-Chimie.
M. J ULIEN 'M arius, toupilleur a ux Oha ntiezs
Navals, - La Ciotat.
M. jULLIEN Eugène, co mptable dlexploila'
t ion aux Houillères du Bassin de Ptovenc~
M,. JURQUET René, employé de bureall à ,
Compagnie França ise Ide l'Afrjque OCCJden'
~Ie.
.
~
M. KLEIN Pi err e, fo ndé de pOUVOirS dans
Maison Weill et Cie.
. . SoM. LABRUYERE Au g uste, journal.er a la
ciété des Raffineries de sucre St-LouIS.
M. LAIFONT André, Directeur O'usine à I~
Société IM.inière et Ml!taIlurgique de Penna
roya .
fr'M. LAIMB ERT julie n, ébarde ur-dhau elfl
il la Souclure a utogène du Sud-Esél. ail)
M. LAMY François, .,l.ef ouvner gr ellr
Chantiers
La Ciotat.
AI LANOI Ferdinand, contremaître ,à la 50'ciété Nou\'dle des Huileries Cal\'c-Oelft.
JlI. L,IUûIEI~ La Il i,s, po mpiste il la S tandard
Française des Petrol es.
II. LAUûlER Laurent,journalier au fond cies
Houillères du BaSSin de Provenc~.
AI. LAUI~E Féli x, chef d'equipe a ux Etablissements Coder.
M. llAY AB~E Paul, "hef _ de
service des
comptes courants à la Banca Commerciale
~taliana.
M. LAZAUOHE Augllste,
:d~ m a r c he ur
il la
Société Lyon naise de Dépôts.
M~
LEANOJ<I Ja0ques,
gré~ ur a\lx Chantiers
Navals, La Ciotat.
M. lJE BllfTON André, c hef <l e Service a ux
Etablisseme nts I(QûCa, -Tassy et de I~ou x.
LEl,,,,,AIl~E
III.
He"ri, pointeu r a ux Aciéries d'Il
Nord.
M. L5VASSE UR Constant, co mptable ct., ns
la 1J"\aison Sitri I~Gge r (Agent de change).
J\\. LEVElNS Antoine, pointeur aux Chantiers
Navals, La Ciotat.
M. LHUPIT AL Henri, caissier d'es titres il la
Maison Bonnasse, b a-nquiers.
.Itme veuve iJlEUTAUn née ROSSO Félicité,
racleuse de tuiles à la !)oclèfè Ano nyme
des Tuileries et Briqueteries (le iViarseill e.
.~\. LlOl iAUD Baptistin, mineur1piqueur aux
Houi11ères du Bassin de Provence.
Mlle
LOJ~IIBAiRD
'Marie-j ean ne,
sténo-~'a<: tylo
aux Chantiers Nava ls, La Ciotat.
M. LONG Frédéric, retr aité all x H011 1lleres
du Bassin de Provence.
M. LOZ~ Jea n, employé dans la J\'\atsoll
Brunet & !Maurin, courtiers maritimes.
M. LUCAS Georges, ingénieur - directeur
-d'usine au c Com'ptoir Lini er ».
M~CCAR I O Léon, coupe ur da ns la .Ma lSon Soule!.
M. MACCHI Carlo, conducteur de loco mo-
M.
tive aux Ohantiers a,va1s, L a Ciotat.
M. ~AIGRON Félix, sO US-OllOf de bureau
dans la ~~aison Worms & Cie.
M. M"'GNAS .Edmon d, employé a ux No uve lles Huileries Ca~ve-Delft.
M. MJI.GRONE jean, so us-directeu r il la
Ban ca Commerciale Italiana.
~W l e 'M/ALG~A ING Antoinette, ,pressi ére il ln
Société Ano nyme -dIes Tuileri es et Bri-q ueteries de Marseille.
M. MALLET A ug uste, maclliniste bois au:-..
Etablissements Coder.
1\\. IMANS IS (Marius, i nspecte ur commercial
ft la Compagnie Ro ya le Asturi enne des
Nlines.
.
M. J\-IiANETT A ,Ernest, ma nœ uvre a n fond
aux Houillères du Bassi n de Pro venCe.
M. M'AN1CAécl Jea n-Baptiste, so us-ohef de
serv.ce a u Crédit Fon cier ct' Algérie et de
Tunisie - 'Banque.
M'pM.ANUEL joseph, factmier à la Société
rov ença le de Constructions Nava les.
M. M,ANNELLA Nkolas, <1~pouss iéreur dans
\ la Ma.son j .-B . .Duroussea ud & Cie.
d 'S"'tARANOA Paul, ajusteur-électricien" la
oc.été Provençale de Constructions Navales.
M., MiA'R,.C .Firmin, mouleu( de Ifo nderie dans
a Maison Lobin, Ourge & Brun, Aix-ellProvence.
11\ontrôleur
li\1iA'ROHAND Léon, fond\! ,de pouvoirsa la Westminster Fo reig n Ba nk
LId. - ,sanque.
J\-\;~A~CHAIID Louis,
AI.M: l'Entreprise
. 1
A,RCHISIO
"UCJ1el,
moul eur-a rchitectu-
M. MiI\RGAIR IA FIa nçais, journalier à la Sol'tété tles Raffineries de Sutre Sai nt-Louis.
1~1. M,ARQlJIES René, so ns-chef de serv ice
des marchandises au
Crédit Lyonnais _
Ba nque.
.
.\ 1. Ml4.'RIANI Baptistin, inspecteur prin cipal
au Bureau « Véritas ».
NI. J\lAlRI NI Pascal, surveillant il la Chambre de Commerce.
lvll uWAR IOTT 1 Cha rl.s, co nducteur de pont
aux Chantiers Navals La Ciotat
Nt",e MARRO née d~AVE~O Ca.therine
tailleuse d'e tuiles il la SociéT~ Général~
des T uileries de .I\iar cille.
M. 1I'1IA IlTIGN Y Alllrien cOlitremaître a ux
Ohantiers Navals, La' Ciotat.
.vI. MART IN Fernand' c hef de "ara"e il la
Sociéte Picon & Ci~.
~
Co
.\'\. .Mr\fHTIN Antoine, garço n ùe hureau aux
Ohantiers Navals, La Ciotat.
IW. MARTIN Eugène, élect ri cie n aux Chan-
J\-t J\\OG NETTI Alfred, électricien il la Socii:h:' AISl'.'om-Bcliort.
M ..IIO LLAIW Pau l, manœuv re il la Sociét"
des Papeh:ries de rra \lcc.
M. MONOI '0 Anto ine, ouvrier qualifié à 1.
Société l' Air-LIq uide.
At MONDO AndT~, contremaître aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M .•\IONGE Eugene, emplo yé de b ureau à
la Société Colonia le lies Ohau x &. Ci ments.
M. u\1ONN!AIN FernanD, sous-brigadier à la
Compagnie Gé nérale Transatlalltj.qll~.
~ \.
!v\ONST IEI< Henri, jou" na li er a ux Houn-
lères lCl u Bassin de Provcll( e.
M.
MONT~~ EA
Ferdinand, co mptahle da ns
la Maison P. et .\<\.. Fraissin et 6: CIC, courtiers d'assuran ces maritim es.
M, IIIO RIANO GUlo, défou rneu r à la Sociéte
Anonyme des Tuileries et Briqueteries d:t
Marseille.
.\>1 . _~I O ROSO Antoine, chef d'equipe dans la
Maison Intiustri ell ~ .\\aritirne.
tiers Navals, L a Ciotat.
J\\. I I OSSE Elie, placier il la
ocié té des
.\>1 . MARTINI Paul, gardien il la Société GéBiscu its Brun.
nerale des T uileri~s de I.Marseille.
.\\. .\ lOU LIN 5douard, 'pointeur a ux Chan.\-1. NIARTIN I rélix, chef o uvrier a ux Oha ntiers Navals, La Cio tat.
tiers Nava ls, La Ciotat.
M.
:\IOU I~ARD Jul es, sec rétaire gé néral ~ la
NI. ,,\ IAllTY "\>Iarcel, chef de quai il la ComSociété Richardson F réres.
pagnie des Mtssageries i\·\a ritimes.
,\Ill e ,\10URA ILL E Mar ie, cha rri e llSe i. la 50NU. Il'lI\SEiRA Lino, chef d'équipe da us l'En·
ciêté Générale dl:s Tuileries de Marseill~ .
treprise EmerI' Fils.
t'v\. t;\ \OUREN Louis, co ntremaître dans la
M ·. :MATET Henri, (Ihe.f de fabrica tlOll il.
.\taison Industrielle .'\1a ritime.
l'Huilerie-Savonnerie Darier de Ro uffio.
,\ 1. MOU REN Jul es, age nt de maîtrise à la
N\-. l" lA1ï-LIEU Lou.is, mortaiseur aux EtaSociété des Haffine-rics de Sucre 5a;ntI.blissements Paul Duclos.
L ouis.
M. MATTEODA Pierre, su rveiil.,nt <le maM. MUL ET Pierre, chef ouvrier eledricien
nutention aux Etablissements Kuhlma nn
aux Cha ntiers Navals, La Ciotat.
,\1'. II\tAUN IER Pa ul, ch ef de serviee à 1"
M. MU T HUON jean, aide-chi miste il la 50·
Co mpagnie Générale T ransatlantique.
ciété Colo nial e des Cha ux & Ciments.
M. MAUREAU F ran çois, cOO1pfable a ux " ~ 1. ,I\UZZOTTI Hu mberto, co ndulleur de
Etablissements Pécout Frères, Châteaure- • machi nes il la Société Ci nzano.
nard.
,II. NALPAS Paul, ch6f de service dan s la
.\>1. MA,uR>IlIC Alexandre, c hef o uvri er cJlarMaison Snt net.
'Pentier aux Chantiers N avals, La Ciotat.
II. NAVARRO Emile, jounrnlier à la Sociét"
.\>t. 1\\.AZ8RO Dominique, ouv rier à la So1 Générale <les Tuileries de /l-Iarseiile.
ciété Nouvelle Huileries Calve-Delft.
M. NESLE Oha rles, chef de service adjoint
M. M,AZET jean, chaudronnier-fer il la Sodes Magasi ns et Entrepôts da ns la .\ Iaison
ciété P( ovençale de Constr uctions Navales.
S. Gaymerd & ses Fils.
.l'v\. MEJ Paul, chef ouvri er aux Chantier"
AI. NEGRE Albert, employé de bureau il la
Navals, La Ciotat.
Compagnie Française de l'Af.ri que OcciM. UVltERCURIO joseph, manœu vre-maço n
dentale.
aux C hantiers Navals, La Ciotat.
,\1. NEG~EL Augustin, ehef de poste a ux
M. MERLE Victor, employe dans la BanHouillères dl! Bassin de Provence.
que Ottomane.
.II. NEGRO Pierre, chaudro nnier à la SoMlle MEULIEN Marie, so us-c hef de sec tion
ciet~ Provençale de Constructions Nadans la Banque de l ' Indo~fiine.
va les.
M. \EUNIER !Marius, aide.co mp ta ble a ux
,II. N ICO LAS, chef des Sè.rvices Financiers
Huileries R. Roux & Savonneries ].-8.
à la Compagnie de Navigation Cyprien
Pa ul.
Fabre.
MIll e MICHEt Louise, commis-comptahle a ux
.\-Ille NICOLAS Louise, secrétaire il la SoOha nt iers Navals, La Ootat.
ciété Lyonnaise de Dépôts.
.1\\. k\\IICHEL Gabriel, ajusteur-mécanicien
.\1 . NOV IOK I Casimi r, chef ouvrier toli~r aux
aux Etablissements Lohin, Druge & Bnlll,
Chantiers Navals, La CiotaT.
Ai x-en -,Provence.
.\ \. NUNZ I Jea n-Baptiste, (a;ssi~r prim:ipal à
l'Ill ,I\ICHE.L Alexa ndre, ret raité a ux I-Iocilla Cha mbre de Com merce.
lères du Bassi n de Provence.
l\ \. OH-ANIAN Vegliazac, l'''habilleur au'(
Fèveries de la 1J\\éditerran~e.
Ml lvUCHEL !M arius, chauffe ur de chaudières à la Stanldard! Française des P~troles.
M. OLI VE Marius, mouleur aux Chan tiers
M. MIIOHELI Eu gène, façonneur-tôner auX:
Navals, La Ciotat.
,\ 1. OLIVE François, distributeur nux OhanCAlanfiers Navals, La Cio ta!.
M. ,M ICHEL! A nniba l, mélçon aux Chantiers
tiers Navals, La Ciotat.
M. OLIVERO J\larius, me nuisier il la Socîét!!
Nav als, L.a Ciotat.
Oén~rnle des Tuileries de Marseille.
M. M1ICHEiLON August in, co nducteur co ncaSseur aux Anciennes Entreprises Léo n
,\\).Ie OiJLlVIER Pauline, Jactylographe a ux
Etablissements Rocca, Tassy et tle Ro ux.
CJ,agnaud' & Cie.
\1. OLLI\rIFR Louis. commis aux eui tures
M. ;;\1.1JLOT Ma rius, ouv rier il la hambre de
aux Chantiers Navals, La Ciotat.
Commerce .
.\lm e ORSET
oise, employee da ns la
M. MIRAfLLET
�6
.\\. P.\ü
NUC~I
Pi~rr<,
t hef d·t'quipe il 13
Chamt'ire de C0n1111eliCc.
. \. PAOLI Prunu, cntollrnt"ur à la SOCÎcl('
Gént>rale dt!s Tuileries d~ .\\arseille.
\1. PAPAUACCI Jean, premi"r-sous-thef des
Tirrt:s au Crc-dit Lyonnais.
.\1. PA[{DI Raphaël, aj usteu r aux Chantiers
a\'als. La Ciotat.
.\1. PARD IGON Charles, défourne ur à la So• ..:it!t~ lJ~nêrall'$ des Tuileries de .\\a rseille.
.\\. PARl \ Plerr~. ebardeur...chaufTei neur à
13 Soudure A utogt!ne du Sud-Est.
,\1. PASCAL An ge, chef de gro upe à la
Compagnie des Messageries _\\aritimes.
.\1. PASCAL François, chef ou nier aj uste ur
aux Chantie.-s Navals, r a Ciotat.
,\1. PASCALIS Emile, ag ent général à la
Compagnie des M'essageries .\\aritimes.
•\Ime PAUL nee fillNOU .\Iarie, uo nne a
rout fairt;;o , chez M. Lucien " authier.
.\1. PECOUT Auguste, mécanicien à la So..:iètc! d'es Ratiineries de Sucre Sain t-Louis.
\1. PELLEGRI ' 1 Isidore, oharpentier à la
Sociéte Provençale ,de Constructions Na"ales.
.\1IIe PELLEGRINO Anna, tailleuse de tuiles
à la Société Générale des TuilerJes de
MarseiUe.
.\1. PELLA REY Gaston, dhef-comptable il la
Société Coopérative des Débitants de
Boissons.
\\ '. PELLAIŒY Hum bert, oU\'ri"r polisseur
a la Marbrerie Française Le Roy" Cie.
,\\. PEl'\NACIJI Pacifico, ouvrit:r de fabrications aux Etablissemt:nts Kuhlmann.
.\\. PERDREAU Alphonse, sous-brigad,er de
ft:'(CneS, retraité
d~
la Banque de FranCe.
.\ L PEREZ Domingo, mineur aux Houillères
PEROTTI Jean-Haptiste, ouv rier a la
Blanchisserie- Teintur~Tie J\\ari time.
.\\ . PETIT Victor, chef ouvrier a ux Ch:tlltiers Narals, La Ciotat.
.\\. PEYLA Laur~nt. magasinier aux Oh:1I1tiers Navals, La Ciotat.
.
,\\ . PEYROL gric, basculeur aux H o ui\l ~ r ec;
du Bassin de Provence.
,\\. PEYROT François, cliauffeur il la Sociét"
A.R.1.. Alfred BonnanJ.
.\1. PIASSO Antoine, tourneur à la Societe
.\1.
.\ lIle
l.~
~ HILI PPUN
Ateliers de Provence.
Elisaheth, comptable au
Crédit Lyonnais.
.\1. PIERANGELI Laurent, ri\'eur-mateur à la
Sudété des Chantiers" Atelier de Provence.
.\1. PIEIIRAZZI Silvia, chauffeu r des chau uièr~
aux HouiJlcr es du Bassin de
1-'10-
\'I,~nce.
.\\l le PIETRINI Marie, employée au Comptoir
Nationa l d'Escompte.
,\1. PIL.4 TO Joseph, gardien ue matériel il
la Société Générale des Tuileries de Marseille.
M . PIRONTI Sauveur, oher <l'équipe au x
Ateliers -J. Paoli & Cie Industriels.
M. PIZZA J\.\arcel, maçon aux Chantiers
Navals, La Ciotat.
.V1 . PLA NES Jules, tourneur à la Société Coloniale de Chaux " Cim ents.
.\1. PLU,II OR Léopold, voilier-gréetlr a'"
Cha ntiers Nava ls, La Ciotat.
.\Ime POLV-ARET née LORENTZ Christine,
veilleuse de nuit à l'Hôpital Paul-Desbief.
,\1. POLVERELLI Jean, ingénieur-chim, te
aux Etablissements Rocca, Tassy & de
M.. ROSSÔ PiLlrre,
ieT-plombier ail )..
Etablissl'mt.:llts Eyguesit!r.
M. POl IRON Alfre<!, chef d'équipe a la Sociétt! G':n(-rale de Transbordements M.1riOU\']
times.
M. IWULET Jea n, menuisier aux Et hl'
tiers N3\'als, La Ciotat.
M. POU lœE .\Iarius, garçon de restaurant
da ns la ~laJson lolliot.
M. POUliET Lau rent, dist ri buteur a li x
Ohantiers N,wals, La Ciotat.
'\ \ . PRACCHIA Emile, chef de bureau a ux
Chantiers Na vals, La Ciotat.
Mme PIWVOST née VEG GIA Elisaoeth, re-
I11 cnts Coder.
et de Prod \l1 ts Chi miqu es Salnt-'i\i,arf ù'b
Crau.
,.
111 - \!M. I ~OUSl'AN Charl es, chd ,d u Serv,ce ~\é
ca nlque a la Soc lt~té A nonyme d' ExlPIO~
~ifs et de Prod uits C hml1 q ut!S, Sai nt ~M _
tl n-de-Crau .
ar
to Jeune.
M. PUGET Eugène, corloyeuT il la Sociëte
Generale des Tuileries de MarseiUe.
M. PUTORTI Antonio, journalier à la Sa·
cié té An onyme « Nouvelles Huil eries Calve-Delft •.
AI. RAOUT Henri, pei ntre à la Société Célestin Coq
Cie.
M. I~AP UZZI Roge r, porion aux Houi lkrcs
Mimé ~WUVIER née P AG~I A "'Iarie, tail.
leu.st: .de tUiles <1 la Soclcté Ano nyme de
T utlen es et de Briqueteries de Marseille
M. ROUX J ea n~B al)tiste, chef-ouvrier sou:
deur aux Chantiers Navals de ILa Ciol t
;\ 1. SACOAIANT Em n,anuel, ouvrier men:i:
sler aux Ch anti~rs Navals de La Cioh.\
J\t SABATER Alex is, voyageur 3UX
blissclIl ents Ga rnier el Ponsonnet.
J\\. SA LEN Va lentin, soudeur aux Chantiers
L'
E;a:
du Bassin de Provence.
RAT Henri, employé il la Société Lyo nnaise
Navals de La Ciotat.
de Dépôts.
.\1. RA va Joseph, retraité des Houillères du
M, SAiL lGNAC Louis, peseur à la Cham bre
de Co mm erce.
Bassin ode Provence.
~ \. .REVEST Gustave, charpenfic-I" aux Chan-
tters Navals de La Ciotat.
1\1. HEY Augustin, conducteur de pon t roulan t ~ u x Chant iers Navals de La Ciotat.
Mll e IlEX ,~ ar i~, domestique chez Mme Vve
Lucten 1 assy.
M. I~ I CHIE RO Alexa nd<e enfo urneur il la
Société Générale des 'ruileries <le Marseille.
.11 . RŒIIA Marcel, agent de maîtrise à la
Soc,été d'Electro-Chimie.
M..RIPERT Jean-Baptiste, ajusteu r il la 50clt'te Provençale de Constructions Navales.
M. niQUE Louis, chef d'escouade aux
ChantIers Navals, La Ciotat.
.~I . ROC!"E Jean-Paul, sous-chef accoreur et
com m,s prrnclpal il la Chambre de Commerce.
M. ROMAN André, chef d'équipe à l'Hu i-
lene-Savonnen e Rooca " Tassy de Ro ux.
M. ROSTAGNI Raymond, tourn eur Sur méta ux a la Société des Clha ntiers et AteIrers de Provence.
M. ROSS I Ger main, ohaudronnier-fer il la
Société Provença le de Constructio ns Na(
val es.
,-
M. ROSSJ Dominique, direct ur il la Société
de ProdUIts Alimentaires et Diététiq es
M. f/OSSO
mouleur à la S~ciété
SM"I)P I El'l~ 1
Jaoq ues, cu iseur à la So·
ciété Générale d'es Tl1i leri es de ~\I\arseitle.
Mme SANNA née .CAPPON I Victorine, jonr.
11<ti1er e a la Societe des Haîfi ncrics de Su·
.\1. REYj\\O 'D Jea n-llavtiste, économe il la
M. REVEST Aimé, perceur aux Chantiers
Navals de La Ciotat.
_
Josel)h, ouvrier de fal>ricotion
aux Etablissem ents Kuhlm ann .
,1\1.
Aciéries d u Nord.
Jules, ouvrier mineur aux
HOUllleres du Bassin de Provence.
M. REVERTE Pierre, soudeur aux Chantiers
Navals de La Ciotat.
SA!M~PER
M.
,II. RAYJ\~OND Louis, chef d'ateli er à la
Co,,:pagnie Généra le Transatlantique.
.\\. I ~EiB()UL P,~rre, mo nteu r il la Société
rnuH;aise des C0 J1 ~trl1c1io n s Babcoc k et
\Vilco.
.\\. RB~'Y Lonis, co ntrèlllait re-ehcl aux
~\L REy~LON
a ISSe-
Mllne,g,~,ve . I<IOUSSTi\Né née JANDET J\lélinn
II ... C 3 a.
OCltt A nony me d: E,.,;plos' ~
présenta nte aux Etablissements F. Au gus-
Société Lyonnaise d., Dépôl's.
IŒYNAUD Benjamin, di recteu r c,hez Hu·
bert de Vauti.r et Fils.
-
machiniste aux
tlt'rs N3\·.11s, La Ciotat.
Oh.ln~
.\\. HUUBAUD ûOII l.aUue fopyero
nes Houillères du S:ssin deC> p' Il aux AliIEIi 1laoll l, chef de quairo ve nce..
:\1 . l'OUG
,
Sc'\gcries M aritimes.
aux J'\t'S_
M. POUL\' Joseph, chaudronnier aux Cha n-
.11.
UU B.1:;sin de Pro\'ence.
des Chantiers
I\\. PU.\\.\\IEH LUUlS,
j
cre Sai nl--L ouis.
M. SANTELLI Giovanni, jou rnalier à la So·
ciété ties J<affi neries de Sucre Saint-Louis.
.\1 . SAH.oOU Louis, manœuvre-ma çon am.
Chantiers Navals de La Ciotat.
Lilas, ohan.freineur a u x
C"a ntiers Nava ls de La Ciotat.
AI. SASI A Alfred, manipnlateur espèces à ln
Société Lyonnaise de Dépôts .
AI. A VINE Pièrre, jo urnalier à la Soriili'
.\1. SARTORIS
des I~affi n eries de Sucre Saint-Louis.
M . SCA LESSE Baptistin, .Io ndé de ",ouvoirs
à la Ba nque \Vestmin stcr fOJei~11 Bank
L~
•
M . SOI·Jl ANO Loui s, chau dro nnie r il la
Com·
pagnie Paqu et.
At SCA RZELLA Joseph, soudeu r électrique
Cl la So ud ure Autogcne du Sud-Est.
M. SECOND Jul es, chef tle service chez M.
Jourdan Barry.
AL SEMEl ïE Léopold, manute ntion naire à
la Maison SO lrl etll'la rcel.
AL SEMERIVA Noël, fondé de l'ou\'oirs ,L1n'
la Ma iso n Mo ry <.\: Cie.
~\\. SEVE Antoine, contremaître . dans 1:1
,Maiso ll Garc in " u\listral Saint-liemy.
M. SIALELul ,Laurent, empl~yé da ns 1"llaison Brunet & .Maurin.
M. S ILVY Lou is, transcripteur aux Chan-
tiers Navals de La Ciotat.
M, SIL VY Em ile, préparateur en pharmacie
ohez Mme Charpentier.
M. SIMMN Hippolyte, toupilleur au x Ela·
blissements Coder.
N1. SIMION Pa ul, menu isier aux Chantiers
Na'va ls de La Ciotat.
M. SIM ON I Jean-Baptiste, emplOyé a 11
Comptoir Natio nal d'E.scoffipk
NI. S ISCO Jean, ehef d'ateliers anx Chall'
tiers Nava ls de La Ciotat.
.
au'
M. SOCCOLA Joseph, chef ouvner
'
Chantiers Navals <te La Ciotat.
GI nn·
lM . SOMMOVoIGO
auX 1
-
Mlle SOUBffiAND Lidia, cuisinière ohez
Mille BonnaSSe.
M. SPOIMAYER Emile, employé il la Slanchisserie-Teinturene Manhme.
M. STELLA Quaranta, mouleur à la Société
des Tuileries .Bonnet & FIls. .
M. ST,EVE Paul, agent de maîtrise aux Rizeries et Maïseries Indoohinoises.
M SUZANNE 'Marius, contremaître au x
Chantiers Navals de La Ciotat.
M. TA1LLAUiD Oermain, chef de servir.e du
Portefeuille à la Sanca Commerciale Italiana.
M. TAjASQUE Etienne, point~ur à la Société Provençale d'e Construc tions Navales.
M. TAR~AS Ferdinand, ~ ommis à la Banque de Fra nce .
Mme TASSIELLO née CHEVASSU Emilie,
secrétaire de Direction d'ans la lMaison
Fraissinet & Cie,
~t TAURBL Auguste, mouleur aux Ohantiers Na"als, La Ciotat.
hl. TAUREL Raymond, chef-ouvrier serrurier aux Ohantiers Navals, La Ciotat.
M;I~y~;eZ~;~!;\~t:o~I~~~t ~iI~~,;~~
M. TEYSSIE[{ Charles, caissier à la Banque de France.
M. TH AUS M.ichel, journalier à la Société
Générale des Tuileries de Marseille.
Mlle THA US Baptistine, journalière à la Société Générale des Tuileries de Marseille.
M. THENOUX Gabriel, commis comptable
aux Ohantiers Navals, La Ciotat.
M. THEVENIN Camille, ,c.hef d'agence aux
Etabhssements Phillips " Pain.
M. THEVENOT Antoine, gréeur a ux Channers Navals, La Ciotat.
Al. THIEVON Albert, employé aux écritures à l'Huilerie Rocca-Tassy de Roux.
M. THIM0NlER Jean-Marie, contremaître à
c. Socony-Vacuun ~ Française.. P3rTis.
M. THOM,E Marcel, électricien a ux Oha n-
hers Navals, La Ciotat.
M. THUDOT Oharles chef-ouvrier gréeur
aux Chantiers Nav~l s, La Ciotat.
M. TI.SSERAND Brnest, journalier il la Soc,éte Raffineries de Sucre Saint-Louis.
M,. TIZZOTI Vincent, mouleur à la Société
Genérale des Tuileries de lMarseille.
M. TI ZZOTI Domi nique, journalier à la Soc,été Générale d'es Tuileries .
MCTOCHE Xavier, agent dlét udes aux
M hanhers Navals, La Ciotat.
~e TORRES née NICOLI Dina, employée
a la Banque Commerciale Italienne.
MièTOUACHE Léopold, mineur aux HouilM res du Bassin oe Provence.
'fTOURNOUR Henri, ajusteur aux Oha nM,ers Navals, La Ciotat.
. TOURRE Gustave, préparateur de CO loMmandes dans la Maison Garein & Mistral.
me TOURREL née ROUIALDES Marie
Mfemm e de mén.age à -'a Sté Générale.
'
. TRAVASA 1 0rquato, ajusteur à la SoMc~~ des Chantiers" ,Ateli ers <le 'P,ovence.
'N IlCON Jules, découpeur au x Ohantiers
a\ra s, La Ciotat.
M. TROTOBAS François, !perceur coque
aux Chanhers Navals, La >Ciotat.
M, TROUIN Ludovic, conbremaître à la Soc,été Provençale de Constructions Navales.
M. VAnON Emile, ,caissier comptable à la
Société Cinzano .
M,. VACHON-FRANOE Cyrille, directeur-adJOlnt a la Société • Socony-Vacuun "
Française-Paris.
M. VALENTIN Auguste, ouvrier emballeur
au x Etabhssements Léon Guez.
'M. VALENTINO 'Laurent enfourneur il la
Société des Tuileries
MarseiUe.
M. VANNUOCI Henri, chel de bureau aux
-Ohantiers Na·vals, La Ciotat
'M. VANfŒLL Raymond, chef de b"rea~
principal aux Chanfl.rs Navals, La Ciotat.
M. VAIRINI Raoul, ajusteur
la Compagnie
Générale Transatlantique.
M. VoElLLUTINI ,François, commis à la
Cham bre de ·Commerce.
M. V.ENDlTTJS Louis, manœuvrier à la So-
<1;
a-
ciété Anonyme des anciens Etablissements
Groignard,
A TITRE POSTHUME
M.. BONACORSIS 'Mau, ohaudronnier-fer à
la Société
P,rovençale de Constructions
Navales.
M. BUSSO Marcel, mineur aux Houillères
du Bassin de Provence.
M. OORTASSO Félix, manœuvre à l' Huilerie-Savonnerie Rocca-Tassy ru, Roux.
M. ODIN André, maçon ' à la Société Anonyme Eau et Assainissement de Paris.
MEDAILLE DE VERMEIL
ART, 2. - La M.éd'aille d'Honneur du TraMme VESCO née GRIOTTO Marie-Louise,
vail en Vermeil est décernée aux personnes
journalière à la Société des Tuileries et
dont tes noms suivent :
Briqueteries de Marseilre.
M. ANDRE Auguste, ouvrier d'atelier aux
M. VERCELUNO Paul, ouvrier de ohaix à la
~ouill ercs du Bassin mi nier de Pi.!'ovence,
S()ciété Picon & Cie.
a Gardanne.
M. VERDIN J'ernand, employ!! aux titres au,
Orédit Lyonnais,
'M . ANTEQUERA Hippolyte, sous-ohef de
bureau à la Cie de Navigation Paquet.
M. VElRMEEiRSCH Raphaël, directeur de
M. A,~B.AUD Dominique, chef ",o m'Ptable à
l' Agence~Ba n que de l'Afrique Oocidentale.
la Société des Ohantiers et Ateliers de ProM. VERN IN Armand, chel d'entrepôt il la
vence.
Société Pican & Cie.
M.. Ar<MAND Albert-Ga briel, caissier prinl'fu VERRANDO Assuirus, fondé de- pouvoirs
cipal à la Cie des Messagerie:; Maritimes.
à la Banque Commerciale Italienne .
M. V1GLlETTI Fernand, contremaître de , M. ARNAUD Eugène, ajusteur à la Société
Générale des Tuileries de Ma rseille .
cours à la Société Coloniale <le Chaux
M. ASTIER Louis, journalier à la Sté Géné& Ciments.
ralel des Tuileries de Marseille.
M. VIGLIONE Jean, oxy-coupeur aux Ohantiers Navals, La Ciotat.
M. AUDIFFRE.N Charles, préparateur en
M. VIGNOL Joseph, contremaitre-soudeu r
pllarmacie à Sté Mutualiste des Chantiers
a ux Chantiers Navals, La Ciotat.
Navals, La Ciotat.
M. VILLEMUS
Alphonse,
contremaître M. AUURY Henri, contremaître dans la maid'atelier dans la Maison Lobin-Druge et
son < des Fils de Léon Bounet " La Viste.
Brun.
Mlle AUZET Adèle, servante chez IMme ,MarM. V,INCOT Gaston, inspecteur à la Comcei Guindon, à Alix.
pagnie des Messageries Maritimes.
Mme veuve. BASSO née FAS RE ,Marguerite,
M. VIOLA Vin cent, forgeron il la Standlard
con\lrema ltresse aux Ets. J. Ballester.
Française des Pétroles .
BLAIN Antoine, menuisier aux Chantiers
M.
M. VI"!:: Pierre, acheteur de fruits et de légumes aux Etablissements Pécout Frères,
Ohâteaurenard.
'M. VITALE Gaëtan, tourneu,r à la Société
Générale des Tuileries de Marseille.
M. VITALIS Célestin, mineur aux Houillères du Bassin de Provence.
M. VOULANT Valentin, pointeur aux Chantiers Navals, L a Ciotat.
M.. UTGE Fra nçois, contremaitre à l'Indus-
trielle Ma,ritime.
M)le YTIER Marthe-Thérèse, sténo~actylo
gra""'e dans la Maison Brunet & Maurin.
M. ZOPETTO Ernest, journali er il la Société
A;iionyme des Tuileries et Briqueteries de
'M arseil le.
A TITRE COLONIAl.
M. BI'LLAUD Raymond, age nt colonial à la
M.crRINCHEiRO Jean, charpentier-fer aux
Compagnie Française die l'Afrique OcciM Tantlers Nav~ls, La Ciotat.
dentale.
'ChaR~ CHB[{O Léon, fa çonneur-tôlier aux
. M, DARROY Hubert, agent colonial il la
.II
n'ers Navals, La Ciotat.
Compagnie Française de l'Afrique Occi ..
'ti~I~TA Ange, magasinier a ux ahan'dentale.
AI S avals, La Ciotat.
M. HU,~tBERT
'Ch ROCELLO Louis, contremaître aux
anhers
La Ciotat.
T
l'fu MAU~EL André, agent colonial à la
Compagnie Française de l'Afrique Occidentale.
M. RIGAUD Marcel, agent colonial à là
Compagnie Française de l'Afrique Occidentale.
M. SAUVEBOIS Adrien, agent colonial à la
Compagnie Française <le l'Afrique Occidentale.
Navals, La Ciotat.
M. BLANC Victor, forgeron aux Chantiers
Navals, La Ciotat.
M, BLANCHOT Marius, cuiseu r il la Sté des
Raffineries de sucre de St-Louis.
M. BOCQUET Alexandre,
~etraité
des Houil-
lères du Bassin de Provence.
M. BON LOllis-C~sar, mineur aux Houillèr es
!du Bassin de Provence, Peypin.
M. BONETTO Marius, journalier il la Sté
Générale des Tuileries .
lM. BON IFA y Etienne, contremaître aux
Chantiers Navals, La Ciotat.
Mt BONNEFOY Mmius, maréchal-ferrant, à
la Sté des Houillères du Bassin minier de
Proven-ce.
Mille BONSIGNOUR -Rosalie, !'l'essière à la
Sté Générale des Tuileries de Marseille.
Mme veuve BOUDON née ROMAN Félicie
ouvrière à l'usine A limentaire de conser~
ves, Lambesc.
M. R[{UN Marius, Secrétaire il la 'M.aison Brunet et Maurin, courtiers d'Assurances Mari times.
M. BUCHIGNANI Eu gène,
aux
�8
M. CALLA.\I.AND Uldarie, dessinateur projeteur aux Er.; Lobin-Druge .et Brun ..
M. CAMOIN Gabriel, manutenlionnalTe a la
Cie Fermière de l'Etablissement Thermal
de Vichy.
.
NI.. CAMOIN Louis, contrem.,tre de transports aux Chantiers Naval, La Cl<>tat..
.\\. CAPRILLE Adon,"Sauveur, cUlseur a da
Sté GIe des Tuileries de Marseille.
.
M. CAR Daniel, trempeur à la Sté Ancienne
des Tuil"ri~s et Briqueteries de .Marseille.
M CEOCALOI Vincent, contremaltre chaudronnier à la Sté Provençale <le Constructions Navales.
.
M. CHASTEL Auguste, hef de servlœ aux
El!; Rocca-Tassy de Roux.
M. CLAPIER Jean, serrurier à la Sté Provençale de Constructions Navales.
M. COLO.\\BY Marius, chef de groupe au
Crédit Lyonnais. .
M. DEBlEZ~IAT Marius, calfat aux Chantiers Navals, La Ciotat.
,
.
M. DEGRAND Edmond, journalier a la Ste
GIe des Tuilerie de Marseille.
M. DEVEZE Paul. a~ent co mmerci~l à la Cie
des ,/Ilines Fondenes et Forges d AlaiS.
M. DO.\\INICI Mat'nieu, ouvrier à la Sté de
l'ascenseur de Notre-Dame-de- la-Garde . .
M. DOUZIBCH ""'aurice, menuisier è la Ste
Pr. de Constructions Navales.
.
M. EPOQUE Louis, journalier à la Ste Gle
des Tuileries de h\arseille.
M. FA YN Jean, ohef de hu reau à la Cie Gle
Transatlantique.
.
M. FENOUIL Antoine, charpentier hOis aux
Ohantiers Navals, La Ciotat.
},I)le FERRAN Antoinette, ouvrière aux Ets.
Pareto
.
~L
M. FEST A Constantin, dhef d'éqUipe d....... er
à la Sté Gle de T ra nsbordements Mant.
Mme FILIPPI née PERONE Félicie, tailleuse
de tuiles à la Sté Gl~ des Tuileries de Marseille.
. '" .
.
M. FLECHOt'l Louis, garde expeu,tionna"e
il la Sté Anonyme d'b'jJlosih; et de Produits Chimiques St_Martin-<le-C~a u.
M. FRO"'~ENT Hippolyte, employe a la Sté
des Raffineries de sucre St-LouIS.
M. GAIROARD Antoine, ajusteur aux Chantiers Naval, La Ciotat.
M GALETTO Edouaro, journalier à la Sté
'Gle des Tuileries de M.rseille.
Mme veuve GANDOLFI née BARDINI Mbine
pressièt;e à la Sté GIe des TUilerieS de
Marseille.
M. GANTEA.UMlE Eugène, calfat aux Chantiers Navals, La Ciotat.
Mme veuve GARCIN née MAYE Louise, ouvrière de fabrication à la Sté Anonyme
d'Explosi,s et de Prod uits Chimiques, StMartin-<l,"Crau.
M. GAUTHIER Gaston, gardien aux Ohantiers Navals, !La Ciotat.
.
M. GERMAIN Remy, cha udron",er-!er aux
Chantiers Navals, La Ciotat.
M. GHERA ~D1 Hector, chef ouvrier charpentier aux Ohantiers Navals, La Ciotat.
Mme GIRARD née FRANCESCHI. Marie,
Secrétaire-comptable ohez M. S,tri Roger,
Agent de change.
.
M. GlRAUL T Second, conducteur <le 'grues
aux Ohantiers Navals, La Ciotat.
.
M. GON jean, comptable aux Ets Garem et
Mistral.
S . GI
M. GOTELLI jean, journalier à la te
e
des Tuileries de MaIseille.
M. GRLMAUD Mathieu, Chiffreur à la Nou-
M GUA'R.RA,CINO Henri, calfat aux Chantiers
· 'Navals La Ciotat.
. 1
M. GŒRAIlD .Robert, (~Ief de groupe a a
Cie Gle TransatlantLque.
.
M OUEYDON jules, retraité m,"eur aux
· Houillères dl! Bassin de Provence.
Mlle GUIGUET Madeleine, femme de cham-
bre chez Mme Eugène Bon~a~se.
M GUIRAMAND Célestin, calss,er à la Sté
'Minière et Métallurgique de Penaroya.
'M GUIS j oseph, concierge à la Sté Anony· 'me des Chaux ct Ciments de Lafarge et
du Teil.
. ' rae
Mme GUIS née PUYO August,"e, concle 0
à la Sté Anonyme <Îles Chaux et Ciments
de Lafa rae et du Tell.
M. H.8BIlA'fW Albert, retraité aux Houillères du Bassin de Provence. .
. la .
M HUGUES Louis, contremaltre a
. Sté
· 'des Pro<iuits Céramiques die St-Her>n.
'M. ISAlA Jacques, contremaître à la soudure
autogène du Sull-Est.
...
.
M. ISNARD Auguste, chef cus,""r a la maison ""\. Bogeat.
'M. jACOPUCCI joseph, chaudronnier à la
Sté Pro\'ençale de Constructions Navales.
M, LBCOESE Gaëtano, peintre en hâtime~t
à I~ntreprise des Tra va llx ,MaIlne et Batiment.
Mme LEf1EVRE--DUIBUX née lI-ùASSE Sophie,
sous- ohef tle bureau à la Cie des 'Messageries "Maritimes.
Mlfe LEPINA Y ,\ 1.rie, employée principale à
la Cie Gle Transatlantique.
M. LEHAT Louis, agent vende", à la Stand'ard Française dies Pétroles.
M,me veuve Ll EU TAUD née ROSSO Félicité,
racleuse de tuites à "a Société Anonyme
des Tuileries et Briqueteries de Marseille.
M. LONG Frédêri<:, .retraité aux Houillères
du Bassin de Pofovence.
M,. LOZES j ea n, employé dans la Maison
f:
Brunet et ."v\aunn :. , courtIers ma'n hmes.
M. LUCLANI j oseph, journalier à la Sté des
Raffineries de sucre St-Louis.
M. MAGLIOZZI jean, employé d'a ns la pha rmacie ... i\l\arcel Lieutier· ).
M. ,MARCHARO Louis, mouleur architecturier ·à l'Entreprise R. Lions (S.A.R.L.).
'M. iMARMIGERE Jacques, ollef du portefeuille au Crédit Lyonnais.
M. MARY Gaston, chef surveillant dans la
maison Louis Dreyfus et Cie.
M, MA,RTIN Victor, chef_o uvrier aux Ohantiers Navals, La Ciotat.
M. MART INI Paul, gardien à la Société Gle
des Tuileries de Marseille.
M. 'MASSON Antoiue, menuisier aux Ohantiers Na\'als, La Ciotat.
M. MAUI~ANT Louis, gardien de marcha ndises à la Société Marseillaise de Trafic
Maritime.
M. MAU IŒL Georges, tourneur à la Sociét é
Célestin Coq et Cie, Aix.
'M. 'M.DR IA joseph, contremaître aux Er.;. J.
Ga zan.
M. M ICHEL Gabriel, ajusteur-m6canicien
aux Ets. Lo bin Dru ge et Brun.
M. MICHELETTI A'<lhille, tu yaute ur sur cuivre aux Ohantiers Navals, La Ciotat.
M. ,MIRAlBBAU Pierre-Paul, tourneur sur
métaux dans la Maison Lobin-Druge et
Brun, Aix.
M. MONDO And<é, co ntremaltre aux Chantiers
La Ciotat.
- -
M. ~ONIER Raphaël, ohef cOmptable de 1
J\1alson < Sltn Roger », aO'ent de ch
a
,~. 'h~OI~~U Louis, agent °techniqU~ a:g~
SOCJéte ct ExplOItation d'es Ateliers de Me .
pentl.
n
M. MOIlIANI Gino,. défourneur à la SOCiélé
Anonyme des Tuileries et Briqueteries ct
Marseille.
e
M, M,OULIN 5douard, pointeur aux Cha
tiers Navals, La Ciotat.
n·
M'. MOLJ1L1N josep h, fondé de Pouvoir il la
Sté G. Gaudon et Fils.
M. MOURGUES Louis, chef conbrôleur payeur
dans la Maison « rnduskielle M'aritime )
M. MOURGUES André, <lhef de ,bureau à 1;
Sté Provo die Constructions Navales.
M, NEGJ<EL Pierre, c hef de bureau principal
aux Chantie,s Navals, La Ciotat.
M, NEGHO Pierre, chau onn ier à la SI!
Provençale d~ Co nstru ctions Navales.
M. OBSCUR Lo uis, mac hinisle bois aux
C.hantiers Navals, La Ciotat.
M. OCTOBRE Alexis, caissier à la Sté Géné.
ra ie des Tuil eries de M"rseille.
M. OUVE; joseph, ajusteur à la Société Cé.
lestin Coq et Cie.
lM. ORENGO Léo n, employé aux écritures à
la Société Minerais et Métaux.
M. PAOLI Primo, enfourneur il la Société
Générale des Tuil.,'ies de Marseille.
,M. PARD IGON Charles, d'éfou rn eu r à la Sil
Généra le des Tuill!ries de Marseille. .
M. PASCAL Marius, riveur aux
Ohanliers
Navals, La Ciotat.
M. PASCAL ,Pie rre, contremaître menuisier
à la Standard Française d", Pét.oles.
M. PASCAL j ean"Baptiste, apisteur aux
Ohantiers Nava ls, La Ciotat.
M. PASCA,l;lS Emile, agent général à la Ci,
des Messageries Maritimes.
, ,
M, PETRINI Amengo, journalier à la SOCl'"
des Raffineries tle sucre St-Louis.
!ML PEY Eugène, contremaître à la Société
G le des Tuileries de Marseille.
M. POMM 1ER Edmond si s conservateur des
tilres au Comptoi r Nationa l d'Escomple: ..
M,. PÇlUCEL Louis, dessinateu r il la SOCiele
des .ct,antiers et Atetiers de Provence.. ,
M. P ElLISS IBR Louis, gérant à la SOClé~e
Lyonnaise d'e Dépôts et de Crédits ,Indu ·
triels.
M'. RAQUdLLET ' j ean-Jacques,. distributeur
aux Chantiers Navals, La Ciotat
. a
M. RICHA-R.o Roger, agent technique • 1
Société Célestin Coq et CIO.
ï . e d,
M. ,RIOHAUD Adrien, a?ent de mal ns . .
Ex
fabrication à la Socleté Anonyme Sd. 1
plos'fs ct de Produits Chimiques, .In·
9
M SNMAT Fernand, estampeur à la Sté ano'nyme de Tuileries et bnqueteries de M,arseille.
.
1"
S
.11. SOHIOOLI joseph, Journa 1er a la té des
Ilaffinenes de sucre St-Loul.s.
h~. SE.ASSEAU joseph, ~erruner ferreur aux
Ghantiers Navals, La ClOt?t.
hl SEVE AntOllle, contrem.,tre dans la M'al~on Oarcin et Mistral, St-Rémy.
M SISCO j ean, c hef <l'atelier aux Ohantiers
'Navals, La Ciotat.
.
,Mjle SOUBEYR,,,NiD Lidia, cuisinière ohez
Mme Bonnasse.
.
Quarant~,
mou'leur à la So.ciété
des Tuileries d'e s Fils Leon Bonnet.
M. TERZI Andtré, gardien à la Société Uéné-
Al STELLA
raie des Tuileries de tl'Aarseille.
,Il' THAUS Michel, journali er il la Société
Générale des Tuileries de 'A'arseille.
,IUle THAUS Baptistine, journa lière à la Sté
Générale des Tuileries de Marseille.
M. TIZZOTI Vincent, mouleur à la Société
Générale dies Tuileries de Marseille.
.llme TOURREL née ROUAILDES 'M arie,
femme de ménage à la Sté Générale.
,II. TROTOBAS François, pe"c"" coq ue
aux q,antiers Nava ls, La Ciotat.
Mme vwve VA LLON née TRElMIOLlEI!!E
Pauline, ouvrière de fabrication à la Sté
anonyme d'Explosifs et Id'e P roduits ,Ohimi~ues
St-Martin·de- Crau.
Mme veuve VESCO née GRIOTTO MarieLouise, journalière il la Sté des Tuileries
et Briqueteries de Marseille.
M. VERiIo).!:.&RSCH Rapha ël, Directeur de
l'Agence Banque de l'Afrique Occidentale.
Al. VIRE Pierre, acheteur de fruits et de légumes aux Etaolissements Peco ut Frères,
Châteaurenard.
AI. UTOE François, contremaître il l' Industrie/le Maritime.
MI. UITER Henri, Inspecteu r a djoint à la
Société MaTsei liaise de Crédit.
M. ZOPPETTO Ernest, journalier à la Société Anonyme des Tuileries et Brlquetefies de Marsei lle.
A TITRE COLONIAL
M. GA VOT Emmanuel, Agent princrpal à la
C" Fran çaise de l' A,fr iq,ue Occfcfentale.
M, MOUREN Raymond, Inspecteur il la Cie
F"'n,",se de l'Afrique Occidentale.
M. PATIN Emile chef de Service cres marh chandises d\1 C~édit Lyonnais.
\ PAYRE Léon, employé tIe bu reau à la
MCie Française de l'Afrique Occidlenta le.
.. SAIVET Henri, employé de bureau à la
Cie Françarse de l'Afrique Occidenta le.
RAPPEL DE MBDAILLE D'HONNEUR
DU :rRAVAlL
'MBDAILLE DE VERMEIL
ART. 3. - Le rappel cie la M,~aille d'honneur du Travail en vermeil est décernée aux
personnes dont les noms suivent :
Mo. ARNA,UD Eugène, ajusteur il la Sté Gl.
des Tuileries d~ Marseille.
M. ASTIER Marius, jou rnalier il la Sté des
Tuileri es de Marseille.
M. AUDRY Henr i, contremaître dans la Mili·
Son des Fils de Léon Bon net, La Viste.
M. AVUES Marius, sous-chef 'de correspondance au Crédi t Lyonnais.
M. PE.lX Henri, employé de bureau à la Sté
Gle des Tuileries de Marseille.
M. PETIT Louis, "haudronnier ter, traceur
aux ahantiers Navals de La Ciotat.
lM,. ,pEY Eugène, contremaître à la Sté Gle
des Tuileries de Marseille.
M. POUECH j .-Baptiste, caissier au Crédit
Lyonnais.
M. QUEN'IN Charles, 'chef.de bureau à la Cie
Française
M. CAIR Daniel, trempeur à la Sté andenne
des Tuileries et Briqueteries ete 'M arseille.
M. DALLEST Auguste,
ahaudronnier tra·
va ls, La Ciotat.
test rade.
Mlle THAUS Baptistine, journalière à la Sté
Ole des Tuileries cfe Marseille.
Mme Vve TURBINE née BORGHO Catherin e, trulleuse de pierres à la Sté Gle des
Tuileries de Marseille.
M. TURC Dominique, cuiseur à la Sté Gte
des Tuileries de Marseille.
,,'Ill. VIAL Barthélemy, magasinier à la Ste Gle
des Tuileries de Marseille.
M. VILLECROZE
Tuil eries et Briqueteries die Marseille.
M. MERIA joseph, contremaître au Ets J .
Ga z3 u.
Mime MORETTI née PARODI Domenic.,
ensacheuse à la Sté .I.\arseilt aise du Sul-
'M.
GUITH,,~D
MEDAILLE D'HONNEUR DU TRAVAIL
MEDA ILLE SOIXAoNTENAIRE
ART. ·t - La métta i!le d' Honneur du Travail c: Soixantenaire :. est décernée aux
personnes dont les noms suivent :
M . CAR Daniel, tr~mpeur à la Sté Ancienne
des Tuileries et Briqueteries de Marseille.
M. PE.lX Henri, employé de Iburea u à la Sté
Gle des Tuileries de ""'arseille.
M. SOUVE Jean, employé à la Cie Chambon.
M. VIAL Barthélemy, magas inier à ,la Sté Gle
des Tuileries de J\.tarseille.
ART. 5. - Monsieur le Secrétaire Général
de la P réfec ture est c hargé d~ l'exécutio n du
présent arrêté, qui sera inséré au Recueil des
Actes Administratih; et dont une ampliation
sera transmis e â M. le J\tinistre du Travail
et de la Sécurité Sociale.
~'",sei ll e,
J\1.arti n-de.JCra li.
Mme ROUVIER née PAGLlA <l:r~~ileri<5
de tuiles à la Sté anonyme
Briqueteries Ide ,Marseille.
'
M. SALEN Valentin, soudeur aliX
Naval, La Ciotat.
Copie eert i6ée cooCorm..
PO\lr ft Préfet :
G... ; ../ : LAKASSOURK.
s""·J,....
Antoine, président Directeur
Occi(j'entale.
M . OCTOBRE Al exis, caissier à la Sté Gk
des Tuileries de Marseille.
1..
au"
Général à la Cie Française die l'A,trique
lM
Crau.
ur de col1l'
M. ROUSSBL J ean~Marie, vOYR~~é llézietS·
mcroe aux Etablissements M . ~'lÎtleu5t
électricien
A TITRE COLONIAL
fure de carbone.
RICHŒRO Alexandre, enfourneu r
'Société Générale des Tuileries de
M. ,ROBERT Justin, inspeeteur a la
gnie Française Textile.
. rS
M. ROFFI joseph, ,gardien aux Ohao lie
vals, La Ciotat.
Oé éral à la
M. ROUME Funk, Inspecteur
0
« Foncière T,ransports >.
DBT W'
Md'e veuve ROUSTANT née j~', Explosih
lina, lingère à la Sté. anony m;t_Martin.d~
et <l'e Produits Chimiques,
Louis,
Chantiers Na.vals, La Ciotat.
ceur aux Chantiers Navals de ILa Ciotat.
M. BLUEIN Paul, employé il la Maison A.
Basset.
M. ESPANET jean, chaudron ni er tra ceu r a ux
,Ohantiers NalVals, La Ciotat.
Mme FILlPPI née PERONE Félicie, tailleuse
de tuiles à la Sté Ole des Tuileries de
Marseille.
M. FRANC Fernand , ohaurlro nnier aux Ohantiers Navals, La Ciotat.
M.. GALETTO Edmond, journalier il la Sté
Gle des Tuileries de Marseille.
M. GERMAIN Adrien, manœuvre spécialisé
aux Chantiers de La Ciotat.
M. GRANOUX jules, contremaitre à la Sté
tle Produits Céramiques.
M. GUIRAMIAND Emile, ,caissier à la Sté
Minière et Métallurgique de ,Penarroya.
MI. LECGESE Oaëtano, peintre e n obâtiment
à l' Entre l>rise des Travaux de la Marine et
du Bâtiment.
Mm e Vve L1EUTAUD née ROSSO IféLicité,
racleuse rie tuiles à la Sté anonyme d es
l'Afriq ue Occid'entale.
M. RÜlM,AN Léon, employé aux ateliers De-
M. BELLOT Ernest, vag uemestre à la Str
Provençale de Constructions Navales.
Mme Vve BONNET née GOIMjM.E Louise,
tailleuse de tuiles il la Sté Gle des Tuileries de 'M.arseille.
M. BEJRENGER joseph, gar.dJien aux Ohantiers Nava ls, La Ciotat.
,
M. BERTEROT Henri, cont remaître à la Sté
Gle <les Tuileries <l'e Marseille.
de
M. RAVECCA Marius, elingueur a ux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. RIBES Jul es, ajusteur aux Chantiers Na-
je 5 Av ril t 95 1.
LE PREfET,
jean BA.Y LOT.
�•
REPUBLIQUE FRANÇAISE
:26 Avril 1951
9' An ée . - N' 17
OËPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
Recueil des Actes
•
'...
Administratifs~
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
A.BRÉVIA.TIONS
A. P . : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres 0 et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des Services Technique •. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de l.a Population.
SOMMAIR.E
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pages
-,
Po,
•
,
O. -
Elections à la 'Ohambre d' Agriculture des B.-<1u-Rh. Etablissement des listes électorales .. .... . .
77
FS 7. - Approvisionnement en charbo n des Etablissements hospitaliers..
P O. - Jury Criminel pour l'année
195 1-1 952 ................
TVX O. -
......
77
78
'Protection des lig nes télé-
graphiq ues et téléphoniques
AG 6. - S.yndicat Libre des Propriétaires du Lotissement Bourrelly, à
Cuq ues, Aix-en-Provence .. . .. . ....
assermentés, affectés au département
des S.-<du-Rh. à la <late <lu rer janvie r 1951 .. . ..... . ...... .... ....
78
79
TVX O. - Liste des architectes évaluateurs et reconstructeurs agréés et
79
Textes d'Intérêt Général
-
Assujettissement à cotisation cfe s~
curité sociale d'e la majoration exceptionnelle de l'indem nité temporaire de
cherté de vie .......... . .........
,Sf
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
AO
D6 B 1
ELECTION A LA CHAMBRE
D'AGRICULTURE DES B.-DU-RH.
ETABLISSEMENT
DES LISTES ELECTORALES
AR~TE
Le ,prMet des Bouches-dll-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur,
Croix <ie Guerr e,
Vu l'article 7 de la loi du 3 janvie r 1924,
relati.ve aux Chambres d'A!gricultu re ;
Vu le décret-loi du 30 octobre 1935 la
complétant ;
Sur la proposition du Secrétaire Général,
Arrête :
Article premier. - Les électeurs ag ri coles
suivants sont a'ésignés pour siéger en qua··
lité de délégué du Préfet à la Commission
de recensement cha rgée de <iresser. !dans
ohaque commune, la liste électorale agricole
en vue dies élections générales aux Cha mbres d'> Agriculture :
GUJS François, Aubagne
CHA86RT Gui llaume, Barbentane
IOAIRD Léon, Cuges-les-Pins
LfEurr AUD Romain, Eyg ui eres
LJ,EUTAUD Jul es, Fos-su r-Mer
ES'TlIENNE Joseph, 'Gémenos
MOU11HOT Clément, Gra"eson
11RONC Auguste, Istres
AOAOUST Maurice, Jouques
CROZET Henri, La Ciotat
CARRETI6R Jean-Bpte, La Destrousse
RAVIAN Félix, Maussane
MICHEL André, Meyreuil
BLANC André-Charles, Mouriès
GLLL y Laurent, Le Paradou
LAURENS Joseph-Eugène, Pélissanne
PASCAL Léo n, Peypin
JAU.FFRET Emile, Plan d'Orgo n
~OLLIN M.arceau, Puy-Ste-Réparade
GA lLET Jea n, Saint-Andio l
GELVS Fern and, St-Esteve-Janso n
GRANGlEiR Pi erre, Ta rascon .
RICHARD Aimé, Trets
~I CHEL' Henri, Ya uvenar.glles
MART IN Laurent, Velaux
Art. 2. - Le Secrétaire Général de la Préfecture est chargé Ide l'exécution <lu p résent
arrêté.
Marseille, le 20 avri l 195 1.
Pour le Préfet l
Le Secrétaire Général
LA!.~ \ASSOURE.
---c:tooc ~---
D5 BI
AG 6
SYNDICAT LIBRE
DES PROPRIETAIRES
DU LOTISSEMENT BOURRELL y
A 'CUQUES
AIX- EN-PROVENCE
Extrait des statuts . - Association Syndicafe Libre des Propriétaires du Lotissement Bourrelly à Cuques.
Article premier. ~ Il est crèé lin Syndicat Ubre entre les propriétaires du Lotissement Bou rrelly, à Cliques. Ce Syndicat a
pour titre : Syndicat Libre des Proprietaires du Lotissement Bourrelly, à Cuques •.
Art. 2. - Il a pour but de faire respecter
toutes les dispositions spéciales et particulières, spécifiées dans le cahier des charj{es.
de faire régner une bonne harmonie entre
tous les propriétaires.
Art. 3. - Le Syndicat est ad miriis1Tè pa r
un ,bureau composé de six membres : un
président, un vice-président, un secrétaire,
un trésorier, d'eUX syndics. Toutes les fonctions sont bénévoles.
Art. 4. - Le 'bureau. est élu pou r tro is
ans.
Art. 5. Le bureau pell t manda ter le
Président 'polir ester en justice et est chargé
de toutes les questions aya nt trait au lotissement.
Art. 6. - Le Syndicat se réu nit en assemblée généraJe su r co nvocation du Préside nt da ns le courant du mois de mars.
Art. 7. - Toutes !d.isclissions politiques ou
religieuses sont fo rm ell ement interdites '-l U
sein du Syndicat.
Le Syndi éat se trouvera dissous de p'em
droit lors de la prise en possession du lotissement pa r la ville.
Pour extrait certiiië conform e.
Le Préside nt
MAUREL.
---<>ooc>----
�•
_.
78
fS7
03 B2
APPR<fvISIONNEMENT
EN CHARBON DES
ETABLISSEMENTS HOSPITAUERS
A.G. 10-51 N" 61
Paris, le Il avril 1951.
Le Ministre <i;, la Santé Publique
et de la PopuiatioQ
à M.M. les Préfets pour information
à MM. les Directe urs Départementaux
de la Sante, pour infonnation,
à M'M. les Directeurs Départementaux
de la Population, pour exécution.
Par circulaire n° 20 du 3 février 1951, je
vous ai rappel'; les dispositions actue llement
en vigueur pour l'approvisionnement en
charboo des grandes coUectivités.
Je vous ai signalé, particulièrement, qu'aux
termes d'un arrêté du 8 septembre 1950 U.
O. du 12), M. le Directeur des MInes ef de
ia ~idérurgie. était .chargé <t'assurer les opératio~s ~e repartJhon des dharbons et qu'il
établissaIt avant le début de chaque trimes.
tre un p~ogramme gé néral de répartition entre les grandes catégories de consomma-
teurs.
At. le Ministre de l'Industrie et du Corn.
merce (Direction des "'lines et de la Sidé-
rurgje~ vient d'attirer tout spéCialement mon
attention ~~r la mesure suivante, d'ont )'ol>jet
est de facilIte r la régularité et la sécurité de
l'approvisionnement en combustibles min éraux solides durant la prochaine ca mpagne
charboo~ière (I er avril 195 1-31 mars 1952).
Il seralt nécessaire que les Administrations
et E!abllssements Pu blics fassent le plus tôt
pOSSIble, et en tout cas, avant le début de
ma/,leurs appels d'offres en vue de leu r aJ>pr.oVlslOnnement pour l' hiver prochain . la
mise ~n applicati~n .de cette mesure
per-
mettr..,t !lue les li,'ralsons soient effectuées
sur la p~node de mai à septembre, ce qui
dégager.ut d'autant la période d'hiver pen
~ant laquelle les demandes so nt supé;ieur~
a. la .produehon et nsquent de n'être pas salisfaltes avec toute la régularité désirable
. En conséquence, je vous serais obligé'de
bien. vouloir ~nviter tous les Eta bli's sements
Publics <le SOlOS et d'assistance de votre dép~temeryt alOSI que les établissements privés
qUI reçorvent des bénéficiaires de l'Assistan.
ce MédIcale Gratuite ou des assurés sociaux
et les établlsseme?ts d'enfants, tels que crè.
ches et, p~upo ~m eres, à procéder sans tarder <l 1 estimation de leurs nesoins et à se
con!orrner dans les meilleu rS <lélais à la di-
rective de M. le Ministre de l' Industrie et du
Commerce.
Le Ministre
Pr le Ministre et
délégation
Le Directeur du Cabinet
.
GOUlNGllENET.
par'
------~c~OOCJ~
_______
DIB 1
JURY CRIMINEL
P O UR L'ANNEE 1951-1952
PO
Vous trouverez, ci-aprés le texTe de rar.
reté que j'aIjlris, le 28 ma;s HI5l, pour opérer la ,,!'parti!lOn entre les divers cantons du
départ~ment des deux cent quaranfe jurés
que ~Ol! comprendre la. liste générale du jury cnmmel pour les années 1951 et 1952.
. Les Commissions chargées <i;, dresser les
hstes préparatoires par canton,listes
de.
de celui qui est fixé par mon arrêté,. seront
convoquées par MIM. les Juges de Pmx .aans
Ja première qu.inzaine d'aoû.t. Je vous 'Pne de
vouloir bien préparer, dès a présenT; les élé·
ments nécessaires à la bonne confection de
ce trava~.
La commune de Port-Saint-Louis-du-~hô
ne et celle des Saintes-Maries d'e la Mer qui
forment chacune un canton et les communes
d' Aix, d'Arles et de l\o\arseine qui sont divi:
sées en plusieurs cantons, ont à procéder a
la désignation des Conseillers M unicipaux
qui doivent laire partie de c hacu ne d'e s Commissions Cantonales, êonformément à l'article 8 de la :01 du 21 novembre 1872.
~Vl'\. les Juges d'e Paix recevront en même temps la liste des jurés qui ont été dé·
signés par le sari pour siéger .a ux Assises
pendant l'année courante et l'année précédente, ai nsi que les imp rimés nécessaires
pour la lormation des listes préparatoires.
Ces magistrats a uront à se reporter au x
listes transmises l'année de rni l re e n ce qu i
concerne les noms des jurés désignés pour
siéger aux A.ssises des 'Premier, deuxième et
troisième trimestres de l' a nnée 1950.
ARRETE
Le Préfet des Bouches~du-~hône,
Officier de la Légio n d'Honneur,
Vu la loi du 21 novembre ï1l72 ;
Vu les ordonnances du 17 no"em5re 1 94~
et 20 avril 1945 et notamment les art. 385
et 389 ainsi conçus :
Article 385. -- La liste annuelle du jury
comprend pou r le départeme nt de la ~eine
1.200 jurés ; pour les autres départements
un juré par 1.300 habitants, s.ans foutelois
que le nombre d,e s Ijurés puisse êt re IIlteneur
à 160 ou supérieur à 240.
La liste ne peut comprendre que des citoyens ayant leur domicire dans le ctëpart ement.
Le nombre des 'jurés pour la liste annuelle est réparti par arrondissement et par
canton, proportionrienement au tableau officiel de la population, un juré au moins devant être pris dans chaque cânion.
Cette répartition est taite par arrêté du
Préfet pris Su r l'avis conforme d'e la Commission Di:partementale au mois d'avri l d'c
chaque année et, pour le déparfemem de la
Seine, sur l'avis conforme du bu reau ( rU
Conseil Général, au mois de iuiljet.
A Paris, la r épartition est Taife entre 'Ies
a rro ndissements et les quartiérs.
. Article 389. - Une liste Spéciale des ju.
res suppléants pris parmi les jurés de la
viUe où se tiennent les Assise~,"" est aUSSI formée chaq ue année en de,hors ae la liste annueUe du jury.
Elle comprend de ux cents pour Paris
quarante pour les autres départe ments.
'
Cette liste est dressée par la Commission
de l'Arrondissement où se tiennent les As.
s ises.
A Paris, chaque Commission d' Arrondissement arrête une liste cie di X jurés suppleants.
Vu le décret en date du 25 décembre 1936
q ui déclare autlhent'que, à vartir du l er jan~
vier 1937, les résu ltats du dénombrement de
la population du 8 mars 1936 .
Considérant qu'e n raison d u chiffre officiel
de la population du d~partement des 1B0u .
ches-du-Rhône qui est de 1,222.802 habi.
'a Iisie annuelle du jury doit COmpren-
Arrête :
Article premie r . --1' Les 240 jurés qui doi.
vent composer la Iste é u département d
Bouches-du-Rhône pour l'an née 1951 sero"
répartis entre les ar ronilissements et les ca:~
tons du département de la laçon su'vante :
D5 B 1
PROTECTION DES 'LIGNES
TELEGRAPHIQUES
ET TELEPHONIQUES
E)agage des arbres
Habitants Juri:>
AR~ETE
Première répartition
par arrondissement
Aix
Arles ..
Marsei ll e
36
155.696
97.703
971.40 1
22
182
1.224.802
240
Deuxièmè répartition
par canton
Arrondissemclif d' Aix :
Aix-Nord .. . . . .
Aix-Sud . .
Berre .. .. .. ..
Gandanne .... .
Istres . .... .. .
Marti g ues
Lambesc
Pey ro ll es .. ....
Salon ... .
Trels .. . .
. 0
••
_.
24.557
20.958
11. 115
18.289
12.390
26.811
6.274
4.0 15
24.537
6.750
6
155.696
36
18.824
14.781
19.663
7.199
11.064
4.448
5
3
5
5
2
5
2
7
1
1
6
1
Arromlissemcnl d'A rIes :
Arles-Est .. , . .. . .. .
Arles-Ouesf ...
Châteaurenard .. ' .. .
El'guièr~s ... . . .. .
Or:gon ....... .
Port-St-Louis-du-Rh .. . .
St.e s-Maries de la Mer ....
Saint-Remy .. . . . .
Tarasco n .. . . . . . .
TVX 0
1
2
1.564
1
1
9.860
10.302
2
2
97.7<l5
Arrondissement de Marseille :
Aubagne .... . . ....
18.04 1
18. 157
La Ciotat . . .. ....
Marseille, 1ér ca nton
56.019
93.099
> 2me canto n ..
86.819
3e et 4e ca ntons ....
> 5me ca nton .. .. ' . 140.184
> 6e et 7e cantons .. . _ 225.374
> 8e et ge cantons .... 114.542
1>
10e et Ile cantons .. 15 1.459
55.087
12me canton .. ... .
12.620
Roquevaire ... . ... . ....
•
•
'll
5
5
ID
17
16
25
44
21
'l!I
10
2
97 1.401 182
Art. 2. -- Le prése nt arrêté sera insérr
au Bulletin A<l111inistraM des 'Maires et i
en sera désormais ad'ressé un exemplai re a
MIM. les Sous-Préfets, Mai res et Juges d~
Paix du Département, chargés en ce qUI 1"
concerne, d~ en assurer l' exécution .
Une ampliation de cet arrêté se ra ég~I~'
ment adressée à MIM. les Présidents des. n·
b unaux Civils Présidents Ides CommiSSIons
chargées d'ét~Wir la liste des jurés par;r;
ronc!issement et à M. le Premier préslu<n
d'e la Co ur d'Appe l d'Ai x.
Marsei ll e, le 28 mars 1951.
Le Préfet,
Jean BAYUYf·
-------C.ODC.~-----
Le Préfet des Bouches"du-Rhône,
Officier de la Légion d'ho nneur,
Croix de g uerre,
Vu l'ondonnance royale du 4 août 1731
Vu le décret d u 27 d'écembre 1851 ;
Vu la 101 du .~ JUIllet 1 ~~5 ;
Vu les instructions de M. le Ministre des
Postes et des Télégraphes en date du 1er
septembre 1 ~35 ;
Vu la lettre en date du 3 mars 195 1 de
M. le Oirecteur des P.T.T., re lative au
maintien en bon etat d' exploitation d'es lignes télégra~iques et téléphoniques,
Arrête :
Article premier. -- Le Directeu r des P.T.T.
à Marseille est auto risé à prendre les dispositions utiles pour assurer le bon fonctionnement des lignes télépho niqu es dans les conditions prév ues à l' arrêté-type autorisant la
constr uction des diverses artères.
Art. 2. - Les propriétaires ri verains sont
mis en demeure Ide couper et ώJaguer l es
plantations .qui présenteraient des bra nches
en saillie dans les rues et sur les routes et
chemins et seraient susceptibles de tou cher
aux fils.
Art. 3. -- Dix jou rs après la notification
du présent arrêté, il sera, le cas échéant,
procédé d'office, par les soins de l'Admi ni s·
tration des Postes et Télégrap hes et aux
frais des .propriétaires, aux élagages dont il
s'agit.
Art. 4. -- Le présent arrété sera inséré
au Recueil des Actes administratifs et affi ché en placard dans Iles co mmunes traversées.
MM. les .Ivlaires, M. le Commanc/ant de
Gendarmerie et le Directeur des P.T.T. à
Marseille, sont chargés, chac un e n ce qui le
Concerne, d'e n assure r l'exéc ution.
Marseille, le 9 mars 195 1.
Pour le Préfet,
tLe Sous-Préle t délégué,
-Directeur du Cabinet,
DUFAY .
- - - - - - - (.)00 c )-------
D 5 BI
TVX 0
LISTE DES ARCHITECTES
EVALUAtEURS
ET RECONSTRUCTEURS
AGREES ET ASSERMENTES
AFFECTES AU DEPARTEMENT
DES BOUCHES - DU·RHONE
,Su r .cette liste fi g ure nt un cer tai n nombre
d ,a rchitectes fonctio nna ires du M.R.U., du
departement ou de la Vill e de Marseill e.
Ces a rchit ectes, dont les noms so nt signa··
lés à. l'attention par un asté ri sque, ne peuvent Intervenir a u titre de la législat ion sur
I ~s dom~lag-es de gue rre que dans les condihons st n ctement dé finies rap pel ées ci-après:
dé- Les a rchitectes tant municipau x que
partementaux,
.
de sinistres privés} qu'après a utor isation accordee par leur administration ;
2) Ne peuvent intervenir pour les imm eubles sinistrés appartenant à leur propre
(fclminisfration ~ qu'en tant que membres d' un
service d'étude spécialisé dûment agréé ell
tant que tel, et sous rése rves que les opérations dudit service spécialisé soient véritiées
et ce rtifi ée~ pa r un a rch itecte agréé, ét ranger à l'administration intéressée,
3) Ne pourraient, s' ils venaient à quitter
le ur ad mi nistration, inte r venir au titre d'évaiualeur, pour le compte de celle-ci, avant un
aélai de trois ans, à compter de la cessatlOli
de leurs fon ctions.
Les architectes fonctionnaÎrec; du t\L
-
R.U.,
1) Ne peuvent opére r pendant la dur ée de
fonctions, q u'après autoris'lti o ll règ tellIentaire et seulement pOlir des iT'ISsi0ns de
/fC onslitulÏon effective de coltecti v it ~c; public:ues ; ,
2) Ne pourraient, s' ils vcnaie n~ ;'1 quitter
l'administration, remplir des missions d'évalualeur dans les départements o ù ils au raie nt
cl\.erct: leurs fo nctions, qu'après un dé lai de
troÎs a ns.
l~ul s
OBSERV AT ION
Il co nvient de prendre contact avec le Ser·
vice Départemental du Ministè re de la Reco nstructio n et de l' Urbanisme, pOlir avoir
co nnaissan ce de toutes modi ficatio ns qui
pourraient lui être apportées postérieuremen t a u 1er avril 195 1.
• 8.187. val ie r-I~oz e,
Albertini Pascal, 15, rue Che·
Ma rseille (fonctionnaire mun i-
cipal).
7.2 10. -- All èg re Gilbert, 24, rue Flégier,
Marseille. Na. 64-35.
5.296. -- Amie Léo n, 155, rue de Rome,
Marseille. Ga. 54-84.
• 7.072. - Anfosso Jea n·B aptiste, 13, bau·
leva rd des Platanes, Montredon, Marseille.
(ancien fonctionnaire municipal, da te de cessatio n de fon ctio ns le 1.6.50). Dr. 91>-44.
4.075. - Arati Alphonse, 24, rue Flégier,
Marseille. Na. 64·35.
6.768. - Arnaud Etie nne, 16, rue Chr isto phe-Colomb, Ma rseille.
8.346. - Atvaz Michel, 58, avenue Foch,
Ma rseille.
8.246. Bally Marius, 46, rue Tivoli,
Marseille.
4.223. -- Barbezat André, 13, boulevard
Nostradamus, Salon-de-Provence. 6-52 .
5.874. - Barre ra Pierre, 50, rue du Coq,
Ma rseill e. Dr. 04-12. .
2. 105. -- Bart François, 8, ru e Saint·Jac.
ques, Al a rseill e. Dr. 01>-93.
6.896. - Bel Yvon, 367, a ve nue du Prad o,
Marseille. Dr. 41>-07.
1.083. - Bentz Yvan, 72, rue Saint-Ferréo l, Marseille. Dr. 13-34.
5. 153. -- Bentz Jea n-Philippe, 44, rue Draeo n, Ma rseille, Dr. 60-39.
~ 1.78 1. Berato Victo r, 7, rue Emér icDavid Aix-en-Pro"ence, T él. 13-57.
4,84'7. - Bersagol Edoua rd, à Sa lin-deGiraud par Arl es·sur·R hô ne.
6.774. - Bl anc Franço is, S, ru e Ja ubert,
Marseill e, Ga. 28-02.
6.325. - Blanqui Anto nin, 18, quai Ri ve·
Neuve, Marseille, Dr. 45-29.
0. 120. Blondel André, 16, place de
Aix·en-Provence, Tél. 10-12.
.
ancien chemin
5.941. - Bpnafoux Alfred, boul. Vic torl)uruy, La Barasse-MarseIlle.
7.lJlS5. - Bondon l<obe rt, 65, avenue Foch,
~larseJlle, Ga. 20-36.
5.584. - Bonnardel Gilbert, 26, avenue de
la Cadenelle, Marseille, Dr. 48-90.
6.776. - Borrely Louis, 96, route Natio·
nale, Saint-Loup-Marseille, Ga. 92-34.
7.478. - Bouille Léon, 180, boulevard de
la Corderie, .Marsellle, Ur. 53-27.
4.ŒH. -- Boyer Marius, 24, rue Flégie r,
Marseille, Na. 64-35.
5.792. -- Boyer Félix, 17, avenue du Bel·
Air, Paris (17e).
7.975. - Brémond Rao ul, 79, rue Paradis,
Marseille, Dr. 81-45.
8.252. - Brizzi élie, 7, boul. Bernex,
Marseille.
8.293. - Brunschvig Danièle, 5, rue du
Châlet, Marseille.
• 5.sl8. - Cailleau lsai, 53, rue de la
République, Marseille, Co. 26·25. Ancieo
fonction naire municipal, date de cessation de
fonctions le 1er juin 1950.
5.466. - Ca rrière C har les, 56, cours Devilliersl Marseille, Ga. 45-33 ; Le Plan-deMeyreuil \Bouches·du-Rhône).
5.321. - Ca rro n Albert, I I, place de la
Bourse, Marseille, Co. 29·45.
5.322. - Castel Gaston l 2, rue Croix-deRég nier, Marseille, Ga. 01-96.
6.785. - Castel Aug uste, 2, rue Croix-deRégnier, Marseille, Ga. 01-96.
5.600. - Cha mbi o n Lo ui s, 24, ru e Alàebe rt, Marseille, Dr. 72-09.
4.856. - Champoll ion André, 11 5, rue
Breteuil, Marseille, Dr. 83-29.
5.471. -- Chipot Gaston, 32, rue SaintSaë ns, Marseille. H. 05-1 9.
4.910. - Chirié Eugène, 5 1, cours PierrePuget, Ma rseille, Dr. 04-12.
6.513. - Chrysoch éris André, 89, rue Sylvabelle, !llarseille, Dr. 64-43.
3.5 i9. - Conte Ro bert, 1, r ue Mont g rand ,
Ma rseille, Or. 04-52.
3.608. - Cri ll on André, 3 bis, rue Lafaye tte, Ma rsei ll e, Na. 10-57.
4.857. -- Crozet Jea n, 39, co urs Gouffé,
Marseille, Ga. 42-23.
1.217. - Cuvillie r C har les, avenue de la
Gare, La Ciotat, Tél. 2-36.
5.609. - Dallest Marius, 3, rue Moustier,
Marseille, Co. 62-30.
• 7.109. -- Daude Raoul, 126, avenue du
Prado, Marseille, Dr. 84-05 (fonctionna ire
du Département).
5.046. - Dav id Marius, 39, cours Gouffé,
Marsei ll e, Ga. 42·23.
5.333. -- Delbes Jean, 5, rue Martin-Brignaudy, Marseille, Dr. 13-71.
2.15 1. - lJ eso uches Pierre 33, rue Paradis, Ma rseill e, Dr. 60-20.
6,525. - Dev in And ré, 72, rue Saint-Ferréo l, Ma rseille, Dr. 13· 34.
• 7.330. Duca ru ge Louis, 97, cou rs
Lieutaud, Marseille, Ga. 68-83 (fo nctio nn a ire
mun ic ipa l).
9.201. - Oumaine Alphonse, 12 bis, avenu e d'Indo chine, Aix-en-Provence, T él. 0-73.
5.483. -- Dunoyer de Sego nzac André, 10.
bou l. Th.-Thurner, Mars ei lle, Ly. 52·52.
5.977 . - Dupré Pierre, 25, rlle des Coloni es, ~ Ia rsei ll e, Dr. 13-69.
7.622. - Du va l Paul. Mo nt ée des Porcelets, Fos·sur-Mer (B.·du-Rh.).
1.868. -- Egger Ren é, 38, rue Longue·desCapucins, Marseille, Co. 52-21.
6.537. - Enjo uvin
j
�-
1. 70. - Escoubeyrou Louis, 1l0, cours
Lieutaud, Marseille, LI'. 74-79.
4.107. - Eshenne Jean, 156, La Canebiè-;
re, Marseille, LI'. 41-70.
4.551. - Farl'ault Adolphe, 253, Promenade lie la Corniche, Marseille, Dr. 64-83.
5.3-15. _ Faure Emile, 37, bau!. des Dames, Marseille, Co. 35- 1S.
7.58\. _ Faure Germain, 100, avenue du
Prado, Marseille, Dr. 10-S5.
4.918. Fal'el Charles, 39, rue 1I\0ntorand Marseille, Dr. 18-34.
~ 4.ISo. - Fel'eille Viggo, 10, bau!. Ric hard,
La Pointe-Rouge, Marseille.
7.342. - Foresrier Louis, 42, boul. Jean~\ermoz Marignane, Tél. 1-06.
4.863.' _ Franceschini Paul, 49, cours Ocvilliers Marseille, Ga. 74-57.
4.920. - Gallerand André, 14, rue Edmond-Rostand, ,\larseille, - Dr. 27-01.
7.83 1. - Gardeil Elie, 3, rue Joseph-Autran, Marseille, Dr. 76-55.
5.352. - Gautier Emile, 138, aven. des
Chartreux, Marseille, Ga. 49-28.
8.356. - Gay Romain, 4, avenue VictorHugo, La Ciotat (dossiers inférieurs à 4 M.
par- ensemble immobilier).
4.Sôt. - Gaubert Jean, 10, bau!. National,
Marseille, a. 20-94.
5.496. - a.,nsollen Pierre, 14, rue du Coq,
Marseille, Na. 50-0·1.
6.677. - Giampiétri Camille, 27, rue Chateauredon, Marseille, Co. 30-70.
7.993. - Gigot Charles, 5, place de la Joliette, Marseille .•
3.5-16. - Gillard Robert, 19, rue Duguesclin, Marseille, LI'. 5t>-93.
7.-195. - Giraud Louis, 68, bau!. de Mar·
seillevevre Montredon, Marseille.
5.35i....:. Giuglaris Louis, 113, cours Lieutaud, Marseille. Ly. 66-25.
7.731. - Grava Félix, 28a, quai de RiveNeul'e, Marseille, Dr. 39-55.
5.990. - Graveleau Max, 25, Tue DaumIer,
Marseille, Dr. 70-65.
• 6.088. - Guelphe Pierre, 46, rue de
Lodi, Marseille, Dr. 69-00 (fonctionnaire municipal).
4.503. - Guesnot Mareel, 14, rue Proudhon, Tarascon-sur-Rhône, Té!. 1-18.
5.362. - Guez André, 16, rue Ado lpheThiers, Marsei lle. Ly. 65-99.
7.900. - Guidoni Philippe, 3, rue Plumier,
.'Iarseille.
7.353. - Guillaume-Gentil Charles, 7, rue
Jaubert, Marseille.
5.902. - Guyot Raoul, 44, bau!. Périer,
Marseille, Fé. 67-99.
6.390. - Heirieis Marcel, 34, rue SaintJacques, Marseille, Dr. 32-07.
.
6.234. - Hériaud Raymond, 31, chemin du
Rouet, Marseille.
6.565. Hoa Léon, 139, rue Breteuil,
\Ia rseille. Dr. 33-94.
4.709. Huot François, 156, La Caneblere, Marseil le, Ly. 41 -70.
1.390. - Imbe rt Georges, 6, place SaintSésai re Arj es--su r-Rhône, Tél. 9-15.
2.32 1'. - jaubert Paul, 35, rue de la Bibliothèque, Marseille. Ly. 61-37.
3.667. - Jaume P ierre, 16, place de la
Bourse, Marseille, Co. 85-50.
6.094. - Jogand Paul, 71, cours Lieutaud,
Marseille, Ga. 08-61.
6.242. - Kazandjian Hrant, 71, boulevard
Camille-Flammarion, Marseille.
4.-127 - Ker Suzan Etienne, 44, boul. de
la Libération, Marseille, Ga. 25-08.
5.662 - Lacroix Francis, 9, rue Clemen-
6.243. - Laffon Joan, 46, bau!. Rabatea u,
MarselUe.
.
5.Uô. _ Lajarrige Joseph, 16, rue Berhoz,
Ma",eIUe, Ua. v2-~4.
. ,
5.699. - Nogaro Fo rtun é, 39, allées Lé
Gambetta, Marseille, Na 21-25.
0115.404. - Olmeta Lo uis, 56 bO ulevard
la Co rderie, Marseille, Dr. 70-07.
a,
7.416. - Oppenheim Henri, 11 , trave
\'alfsœnts, Marseille, ua. ,:)ol-YS.
:l.J28. _ Lange t<obert, l~J r ue Dugueschn Marseille. I..y. 5t>-Y3.
des Bons- VOIsins, Marseille.
2.327. _
Lambert Manus, 2, rue des COIl-
5~229. _ Laurentter Edouard, 56, rue
Samt-Savournln, Marseille, Ly. 47-30.
-1.429. _ Lauller Jean, Allauch. Tél. 0-66.
"" 5.tiJ2. _ Lauze Marcel, ~, rue Estelle,
J\1.arseille, Co. 52-52 (tonchonnalre m UllICIpal).
5.373. - lecharme Georges, 199, avenue
du Prado Marseille, Pr. 8ô-tl:!.
6.943 . .:... Lestrade Cha rles, 133, La Co rniche Marseille, Or. 43-26.
5.tl75. - Llbersar Paul, 15, rue StanislasTarrents, Marseille.
4.282. _ Lioger François, 37, cours Lieutaud, Marseille. Ly. 75-V9.
5.082. - Lyon Henry, 3, boulel'ard Grimaldi-Régusse, Saint - Barnabé, Ma rseîlJe,
Ga. 75-14.
2.699. - Malgaud Hermand, 6, r ue Fo ndère, Marseille.
• 7.3!!8. - Mareuccini Ito, 93, r ue Breteuil, Marseille, Dr. 33-65. L'intéressé est
présen te ment l'objet <l'une mes ure de s uspension a la date du 2 1 av ril 1951 et pou r
une du rèe de G mois.
3.68 1. - Margaritis Florent, rue Montgolfier, Fréjus (Var), Tél. 1-98.
5.845. - Maron René, 2, place de la Co ncorde, Tarascon-sur-Rhône, Tél. 1-87.
• 6.843. - Marot Lo uis, 10, boulevard
Paul-Doumer, Marseille, Or. 66-77, ancien
fonctionnaire du Département, date de ces-
sahon de fonctions: 1er mai 1950.
4.288. - Martin Pierre, 10, r ue de Seine,
Paris (6e).
8.21 1. - Martin-Chave Bernard, 59, boul.
Périer, Marseille, Pr. 84-5 1.
5.244. - Masse-Herre-Wyn Ren é, l, rue
Capitaine-Badille, La Ciotat, Tél. 4- 11.
6.953. - Maugée Robert, II , rue Arse neHoussa ye, Paris (6e) et 29, rue Glycérijle, à
Saint-Just, Marseille, Na. 94-67.
6.345. - Maurel de Peipin René, 8, rue de
la Calade, Arles-sur-Rhône, Tél. 9-13.
5.687. - Ma yol Laurent, 57, rue Ma rxDormoy, Marseille. Ga. 7 1-64.
7.397. - Mazoye r Maurice, 90, rue Sylvabelle, Marseille, Or. 26-77.
5.913. - Méri c Camille, 49, ..enue de
Gaulle, Châteaurenard-de-Provence, Tél. 74.
• 0.765. - Meyer-Heine Georges, 66, bau!.
Péri er, Marseille, Dr. 35-55 (fonctionnaire
du M. R. U.).
1.533. - Michel Albert, 2, rue Rougier
Marseille, Ga. 60-89.
'
4.879. - Miro«lio Henri, 3 1, rue TernIsse
Marseille, Ga. 23-D8.
'
5.690. - Mistral Ludovic, 2, rue de la Republique, Marseille, Co. 42-52.
6.429. - Mizzi Salvator, 84, rue Saint-Savournin, Marseille, LI'. 40-46.
4.647. - Montier jea n, 3, boul. d'Athènes
Marseille. Co. 70- 10.
'
8.015. - Moreau Georges, 2, rue ùu Château-d'ff,
La
Pointe-Rouge,
Marseil le,
Pro 87-12.
4.987. - Mouren Félix, 52, rue Saint-Savournin, Marseille, Ll'. It>-45.
4.9 11. - De Négri Raymond, 2, trav. de
Pomègue, Marseille, Pro 96-60.
4.443. - Nemoz-Pouillallion Fernand, 97,
rse
5.765. - Palang ue Gasto nl 18 rue G '
'
n·
gnan, Marseille, Dr. 3 1-9 1.
• 7.170. - Pappert Georges 14 rue' Ch
valier-Roze, Marseille, Dr. 62:23' (fonctio ~
na lre d u Dépa rtement).
n
6.44 1. ~ Pepiot Roge r, 4, rue des Char.
t re ux, Aix-e n- P roven ce, Tél. :>-98.
5.705. - Pé ra ul t Emile, 65, rue Fortun!
Ma rseille.
'
4.447. - Pe rrier j ea n, 4, a venue Victor.
Hugo, Aix-en- Provence, Tél. 4-31.
• 6.592. - Pey ridier Marcel, 17, rue Tec.
russe,
M ar seille,
Co. 72-00
(fonctionnaire
municipal).
2.227. - Pie rre René, 351, boul. Michelet
Marsei lle, Dr. 9 1-68.
'
4.S86. Pierre Léon, 38, rue Longu,.
des-Capucins, Marseille, Co. 52-21.
7.259. - Piozin Victor, 106, rue Marengo
Marseille, Ga. 05-17 .
'
4. t 44. - P lanche Louis, 53, boul. Eugène-P ierre, Ma rseille, Ga. 37-60.
7.427. - Pomerant Lucie n, 132, La Can,·
biè re, Ma rseille.
4.728. - Po uillon Louis, 133, avenue des
Chartreux, Marsei ll e, Ga. '37-60.
7.430. - Poui llon Ferna nd, 38, rue Lon·
gue-des-Capucins, Marseille, Co. 52-21.
5.257. - Pout u Louis, t6, rue Berlioz,
Marseill e, Ga. 02-94.
8.455. -
Poutu Geo rges, 16, rue Berlioz,
Marseille, Ga. 02-94.
1.622. - Provi n Robe rt, 30, quai de Gaul·
le, La Ciotat, Tél. 4-69.
3.98 1. - Py René, t 4, rue Arist ide-Briand,
Arles-sur-Rhône.
5.713. - Rainer ie P ierre, 26, rue du Four·
à-Chaux, Marseitle, Dr. 15-28.
Rasongles j ean, 8, rue Saint·
2.236. Jacques, Ma rseille, Dr. 06-93.
5.544. - Raymond Geo rges, 78, boulevard
Baille, Marseill e, Ga. 71-64.
5.1 12. - Rebagly Berna rd, 5, qua i Mar·
cea u, Ma rtigues, Tél. 1-05.
5.545. _ Rebag ly Marcel, 11 , rue Sylva·
belle, Ma rsei ll e, Dr. 53-12.
7.434. _ Recou rs jean-François, 8, rue du
Lycée-Pé rie r, Ma rseille, Dr. 75-79.
,
5.715. - Reinaud Gabriel, 410, rue dEn·
doume, Marsei ll e. Dr. 63-34.
5.716. _ Renault Maurice, « Clos des pla·
ges >, La Ciotat.
7. 180. - Rey jean, 5, rue du Maréchal·
Joffre, Aix-en-P rovence, T él. 1:>-53.
BI
i.638. - Reynier Fra nçois, 2, cou rs ,.
sunce, Marseill e, Co. 01-74.
6.279. _ Reynoird Augustin, 18, boulevard
Chave, Ma rseill e, Ga. 52-33.
1 rd
.S.469. _ Reynoi rd jea n, 18, bau eva
Cht~6MarS~\~~'i r~':\n~~~352, rue Breteuil,
MouS'
Ma rsei lle, Dr. 78-60.
6.457. - Ro hmer Eugène, 3, rue
tier, Marseille, Co. 62-30.
Mar.
8.214. _ Rou x Armand, 82, rue Nau,
seille, Ga. 33- 17.
on\
4.304. _ Rozan jea n, 2, ru e Beaum
Marseille, Na. 11 -91.
.
16, rue Farges.
·5.772. - Samat LOtllS,
Marseille, Ga. 20-20.
L' li
5.429. _
Samat Marius, 20, cours
taud Marseille, Co. 14-34.
le'
d' If La Pointe-Rouge, Marseille, Pro 89-46.
et
rue Vincent-Allègre, T oulon.
5.430. - Sc horp Marcel, 17, place Alexa ndre-La bad ié, Ma rseille" Na. 54-18.
4.665. - Secret Paul, 53, boul. E ugè nePierre, Ma rsei."e, Ga. 37-60.
7.193. - Sen ès Vr eto r, 7, rue Sainte-Clair. Marseille, Co. 42-56.
'4.468. - Sherj al Henri, 2 1, ba u!. de la
Fe rrage, Salon-de-Prove nce, T él. 1-39.
6.883. - Simien Edmo nd, 34, rue Sain t-
i,
Savournin, M arseille, Ly. 72-70.
8.484. - Singer François, lOS, rue de la
Rép ublique, Ma rseill e, Co. 74-76.
2.577. - Sourdea u Jean-Louis, 69, cours
Pierre-Puget, Ma rseille. Fé. 11-4 1.
5.73 1. - Squéla rd E ugè ne, .g, rue de la
Calade, Arl es-s ur- Rhône, TI'/. 9- 13.
4.470. - Steiner Fréd éric, 108, ba u!. Chave, Ma rseille, Dr. 3 1-!f1.
5.279. - Suri a n Jul es, 59, rue du Ma réchal-joffre, Salo n-de-P rovence, T él. t>-05.
5.559. - T ab ut ea u Berna rd, 73, bo ul eva rd
Cami lle-Flammarion, !lla rsei lle, Na. 07-08.
4.834. - T hi baut Josep h, 8, rue Meyerbeel
Nice (A.-M.).
6.980. - To urri ères Guy, 2, bau!. Michelet, Ma rseille, Dr. 93-41.
4.157. - T o usche Emil ien, 129, ru e Ja ubert, Ma rseille.
4.3 17. - T urca t Albe rt, 12, rue Ed mondRostand, Marseille, Dr. 2t>-97.
3.601. - Vago P ierre, Gra nd Pa'lais, Porte E, Pa ris (8e) .
5.735. - De Va lau ri e (Hu gues) André, 27,
rue Au gustin-Fa bre, Ma rseille, Ga. 50-69.
5.441. - Va n Migo m Jacq ues, 8, rue de
la Calade, Arles-sur-Rhône, T él. 9- 13.
6.625. - Va ud Adolphe, 109, rue Consolat,
Ma rseille, Na. 32-92.
• 2.375 Vi lla rd Albert, 20, rue de Lodi,
Ma rseille, Ly. 70- 13 (fonc tio nn aire municipal).
6.634. - Wogenscky André, 43, rue Gaza n, Pa ris ( 14e).
.4.3.21. - Ya rd Pa ul, 59, rue Saint-Savo urnin, Ma rseiHe, Ga. 45-42.
5.567. - Yun g Jean, 4 1, bo ul. de la liberté, Ma r s~ill e, Na. 45-22.
4.529. - lubiena j ea n 90, ru e Syl vabelle,
Ma rseille, Dr. 26-77.
'
•
TEXTES D'IHEBET OfNEBBL
Circulaires conoernant plus spécialement
.
les Administrations de ( Eta t
02 B I
AC 8
ASSUJETTISSEMENT
A COTISATION DE SECURITE
SOCIALE DE LA MAJORATION
EXCEPTIONNELLE
DE L'INDEMNITE TEMPORAIRE
DE CHERTE DE VIE
N' 23 - 2 B/ 12
Pari s, le 2 avril 195 1
Le "'\:inistre d u Budget,
à !Messieurs les Ministres
et Secrétaires crEtat.
Le <lécret n'. 50-966 d u 12 août 1950, modifiant le décret n' 48- 1572 du 9 octobre
1948, relat if à l'attribution a ux perso nne ls de
l'Etat d' un e in demnité te mporaire de cherté
ceptio nnelles en fave ur des a genlll dont 1.
traitement o u la solde a nnu el est inféri ell!
ou égal à 200.000 francs.
Des hésitatio ns se so nt produites s ur le
point de savoir si cette majoration exceptionnelle devait ou non être soumise à cotisation en ce qui co nCern e les 'personnels
bé néficiant d es régi mes de séc urite sociale
institués par le déc ret du 31 décemb re 1946
en faveur des fonctionnaires et par la ,Joi du
12 avril 1949 en fa.ve ur des mili taires de carrière.
J'ai l',honneur de vo us confirmer que pour
ces personnels ta majo ration exceptionneUe
de l'irid'e mnité temporaire cre cherté de vie,
comme l'indemnité principale etle-mê me doit
subir la cotisation de sécurité sociale, ainsi
qu'il résulte d'ailleurs des dispositions combinées des circ ulaires ci- ap rès :
- Circulaire n' 61 -17 B/ 5 du 25 aoQt
1950, Il, 3° ;
- Circul aire du 9 oClobre 1948, ID, 2"
U. 0 du 10 octobre 1948) ;
- Circ ulaire n' 35-1 6 Bf4 du 16 février
1948, modifiée par la circu laire n' ~-3 13./4
ilu 28 ja nvier 1950.
Je vo us serais obligé de bien vouloir veiller à 1. stri cte app lication des présentes dis-'positions, et faire opérer, le cas échéant, les
redressements nécessaires.
POli! le Ministre et par d~légation,
'Le Directeur du Cabinet,
Signé : R. BLOT.
- --<>00<>-- -
de vie, a prévu l'oc troi de majorations ex-
Copie eerti'~. eoaferme.
Pour I~ Préfet :
LI SlcréttJire Gin",,' : LAMASSOURR..
�REPUBLrQ
__UE
__
F_RANÇAISi,s.~_··
3 M.I 1951
DËPARTEMENT DES
_.
9 Ann •• . _ N. 18
BOUCHE "-LJt YlJ-RHONE
l.J.
,
.
"
Recueil des Actes Ad<;~- • .)ratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit être' adressü a la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P . : Arrêté préfectoral. - C. : Circulair e - Les lettres 0 et B suivies d' un dhiltre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T . : Directio n des Services T ec hnique • . - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P . : Direction dépanementale de la Population.
•
eOMMArRlC
Arrêtés réglementaires et Circufaires
Pages
A 1. - Elections a ux >C ham bres d' Ag riculture : Désig nation des dél ég ués
S4
TVX 3. -
locales. .
. ......... "
FS O. - Médecins agréés po ur prati-
agrico les .... .... ...
EN O. - Arrêté réglementa nt la publicité sur le t erri to ire de la ,Commun e
de Marsei ll e.
EN O. - Co mi té consultatif de la Bi-
83
84 1
85
quer Jes ex amen s r adioscopiques en
vue de la délivrance des cert ifica ts
prénu ptia ux et prénataux .. .. _. . ...
FS O. - Fo nctio nnement des Co mmi s-
85
sions Cantonales d'Assistance ... . . .
86
Pris e en char ge pa r l' Eta t
des travaux de r echer ches d'ea u . . .
ments souscrits par les collectivités
préfectorau x au x Commi ssi ons communales de rece nsement des élect eurs
•
blio thèque Centra le de p rêt d es Bo uch es-du -~hô n e .... .... .... . ...
F 4. - Subventions a llo uées et abo nn e-
M6
Textes d'Intérêt Général
AC 3. - Reco nd uctio n, à titre exception nel, de l'a majoraifon de 20 %
des prestations fami li ales . . . . . . . . . .
87
Communiqués, Avis, Annonces di ver...
-
Dons et legs ..... . .... ......... .
88
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D6 BI
,
Al .
ELECTIONS AUX CHAMBRES
D'AGRICULTURE
Désignation des délégués préfectoraux
aux Commissions Communales de
recensement des électeurs agricoles
A-RRETE
Le Préfet des B ouches-du-Rhône,
Officie r de la Légion d' Honneur,
Croix de Guerre,
Vu l'a rt ic le 7 de la loi du 3 janvie r 1 92 ~ ,
relati ve aux C ham bres d'Ag riculture,
Vu le déc ret-l oi du 30 octobre 1935, la
com pléta nt ;
Sur la propositio n d " Sec rétai re Généra l,
AR RETE :
~rticle premier. - Les électeurs a g ricoles
SUivants SO nt désiO' nés po ur siége r e n q ualité
de délégué du Préfet à la Comm issio n de Recensement cha rgée de d resse r, da ns chaque
commune, la lis te électo ra le agr ico le en vue
des élections généra les a ux C hamb res
d' Agriculture :
MM. Po rta li er Gab riel , Aur iol ;
de Ga rid el, Co udo ux ;
Arta ud P a ul, E g uill es;
Bo nna rd Geo rges, La -Barben ;
Durand Fern a nd, La Bo ui ll adisse
Bazin G ust ave. La mbesc ;
Li on Ju les, La nço n i
Aimé, Mi ra mas
Deleu il Hil ai re, Pla n-de-C uqu es ;
P a ni sson Mari us, P ennes-Mirabea u
Oll ivie r Noël, Roq ueva ire ;
Ca'bassut Ai mé, Ro usset ;
Brun Antoi ne, Sai nt-Ré my ;
Bo nfi ll o n Arthu r, T ho lo net ;
Ma rtin Lau rent, Vela ux i
Mll e Bo nn a ud Madelei ne Ve nelles;
MM. O rtolano Pa ul- Henr i, Ve ntabre n
Pell egri n Louis, Verquières.
Artide 2. - Le Sec réta ire Gé néra l de la
P ré fec ture est cha rgé de l'exécutio n d u prése nt a rrêté.
M.arsei ll e, le 18 av ril 195 1.
Pou r le Préfet :
Le Secrétaire Gén éral
LAMASSOURE.
:.
ARRETE
U
Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur,
Croix de Ouerre,
Vu l' articl e 7 de la loi du 3 j anvier 1924,
re lat ive a ull Chambres d'A g r icul ture ;
Vu le déc ret-lo i du J O octo!>re 1935, la
co mpléta nt ;
S ur la pro position du Sec rétai re Gé néral,
ARRETE:
Les électeurs agricoles s ui va nts sont dési g nés po ur siéger en
q ualité de délégué d u Préfet à la Commission de recensement
de d resser
Article premier. -
ag rico le en vue des élections générales aux
Cham bres d'Agricu lt ure :
MM. GuÎs F ra nçois. Aubagne ;
Chabe r t Guil la ume, Barbenta ne
Ica rd Léo n, Cuges-les- P ins ;
Lie uta ud Ro ma in, Eygui ères ;
Li e uta ud Jul es, Fos-s ur-Mer;
Estienne joseph, Gè menos ;
Mo uthot Clément, Graveson ;
T ro nc Au g us te, Is tres ;
Adao ust Ma urice, Jo uques ;
C rozet Henri, La Ciotat ,
Ca rretie r j ea n·Baptiste, La Dest rousse ;
Ravan Félix, Maussane ;
Michel And ré, Meyreuil ;
Bla nc André-O.arles, Mouriès
Gi ll y La urent, Le Paradou ;
La ure ns j oseph-Eu gè ne, Pélissann.
Pascal Léo n, Peypi n ;
jaultret Emile, Pla n d'O rgo n ;
Roll in Ma rceau, Puy-S te- Réparad.;
Gailet jean, Saint-Andiol ;
Gel us Fernand, Sai nt- Estève-Janson ;
Gra ng ier P ierre, T a rascon ;
Richa rd Aim é, Trets;
Mic hel Henri, Vauven a rgues ;
Ma rti n Laurent, Vela ux.
Ar/icle 2. - Le Secrétaire Général d. la
Préfecture est c ha rgé de J'exécut io n d u pr,,sent arrêté.
Ma rsei lle. le 20 av ri l 1951.
�-
S4
EN 0
ARRETE REGLEMENTANT LA PUBLICITE SUR LE TERRITOIRE DE LA
COl\\l\1UNE DE MARSEILLE.
D4 B3
ARRETE
Le Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Legion d'Honneur,
CroiA de Guerre,
\ 'u l'acte di! • Loi n" 217 du 12 avril
19..l-J >, relatif à la publicite par panneauxrl..-damc, par affIches et aux enseignes, n ~
ta.mment les articles 6 et 9 ;
Vu 1 a rr~l ~ prefectoral du 20 juin 1949 derernun ant pour le Departement des Bouches-
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
d'inter-
_
dic:wn dt! la publtcité. notamment .son artide J .
_
_
_
_
_
_
_
du-Rhone, les zones c pirtoresques
\' u 'l'arrt:t~ préfectoral
~
du 16 decemb~è
19--19 r Î!g:lemt:ntant l'affichage sur le terntoue d~ .a commune de Marseille ;
\ 'u l'a\<;s de la Commi~i1on DépaTtementali1 de. S ites, PerspectlYes et Paysages,
emi.::> après audiuon des representants des
afficheurs, tendant .i ce qu'en liaison avec
le. mesures d'interdiction de la publ icite
ed,etces ~r la loi du 12 avril 1943, des disposi'i""s ",ient prises afin de protéger les
quartler~
de la conunu.ae de A\arseille of-
frant un caractère particulièrement esthétiqu~ et pIttoresque ;
-u r la proposition de M. le Secretaire General,
Arrête :
Article premier. - En pl us des prescriptions généra es de l'acte dit loi N° 217 du
12 avril 1943 qui précise les interdictions et
les liml ations à la pubJicitë par panneauxrectame., afhches ou enseignes, les drsposihOIb pr~\'UeS aux articles 2 et suivants du
prt$ent arrête ont applicables sur le terri:toire de la commune de ,Marseille.
An. 2. - Aux emplacements \'isés par .le
paragraphe 1er, arhcle 4 de l adite lo~ est
interdite fapposnion de tous panneaux-rëaame. aftiches, peintures et ;ous autres procédes de pllbl;c>te presenlant l'une des caractéri tlqub CI-dessoUS définies :
a) La .urf3ce excède 16 m2 ;
b) Le ôOmmet est à plus de 6 m. au~es
SUs du nh-eau du sol.
Art. 3. - A l'exception des panneaux ré!len"cs aux affiches I~gale~, la publicité est
mterdite sur le:, monuments, édifices ou bâtiments publics, Sur les murs des bàtiments
scolairtS, Sur les murs des églises et des
templf::t y compris les murs de cloture Qui
peu\"ent entourer toutes ces construction.
Art. 4. - Les arbres des ,'Oies et promenades pubhqu<. , le ' poteaux et cande'abres
de J'êcJairage public, tt:s poteaux de tramwa)'s et de trolleybus, les poteaux du télégraphe et du teJéphone ne pourronr recevo i r
aucune illSCription plJbJ jcitaire à l'exception
des mentions autorisées ur les panneaux de
signalisation par la loi du 3 juillet 1934.
Art. 5. - Tout affichage et tOUrr panneau
l)ubJicita~re est interdit sur les immeubles,
clôtures et palissades ba rdan e Iles voies publiques suivantes :
- Quai du Vieux-Port,
- Quai des Belges,
- Quai de Rhoe-Neuve,
- La Canebière,
- AUées Léon-Gambetta,
•-
Cours joseph-Thierry"
Square Stahng~ad,
Place A.-Labadle,
Place Bernex.
Boule\',Hd Dugommier,
Boulevard d'Athènes,
Boulevard Voltaire,
Place Auguste-Carll,
Cours BeJsunce,
Rue d'Aix,
Place ju.es-Guesde,
Rue de la Republique,
PIIace Sadi-Carnot,
Rue Saint-Ferréol,
Place du Muy et place Félix-Baret.
Place de la Bourse,
.
Rue Paradis jusqu'à place Estranglll,
Place Estrangin,
.
Rue de Rome et coursSto-Louls,
Place Castellane.
2 avenues et Hond-Point du Prado,
Avenue du Parc Bon~I)',
Promenade de la PJage,
Promenade de la Corniche.
Avenue Pasteur de la r ue de Suez au
Pharo,
Bou evard Charlcs-Li\'on,
Cours Pierre-Puget,
PJace Mont yon.
Art. 6. - Les colo nnes Mo riss, les C?~
beilles à papiers et planimètres ~eront utll lsès pour la publîcité, conformement, aux
clauses de:; con trats l ia nt ~M, le Maue de
.\\argeille et I~ concessionna~res, nonobstant les dispositions prévues aux articles -1
et 5 du present ar rê"é.
Art. 7. - Les enseignes peuve.nt cornporter rannonce de rexercice d'un commerce,
d'une mdustrie ou de tout autre activitt.:
dans rétab:issemfnt ~ ur ,lequel elles sont apposees.
Elles ne doivent pas être placées sur le9
toitures ou dépasser la ligne de base de
celles-ci.
EUes doivent être placees à la devantUre
ou. il l'étage où s'exerce J'acti\'ité de l'entreprise, sans obturer les entrées, baies ou fen~tres.
Art. 8. - Il est interdit d/apposer aucune
enseigne sur un immeu ti!e c:assë ou inscrit
à l'inventaire supplementaire des monuments
historiques et dans les sites classés, inscri..!)
ou protégés san~ l'autorisation préalable de
M. le Ministre de l' Education Nationale.
Doivent ttre soumis à J'approbation préfectorale les projets d'enseignes destinées à
être apposées sur le Mifices ou monuments
de ca ra tere artistique, eS i: hétique ou pittotesque et sur les immeubles COffipyÎS dans
les sites urbains., des ensemole5 architectoraux ou des pdspectives figurant sur la liste
pré\'ue â l'artide 5 de la loi du 12 avril
1943, ainsi que llr le~ immeubles situés dan::;
les ZOnes d'affichage restreint créé par appl icat ion de l'article 7 de la dite loi.
Art. 9. - Des dérogations aux inlerdictions prévue~ aux articles 3 et 5 du présent
arrêté pourront être accordées par déciSIons
préfectorales, apres avis de la section permanenfe de la Commissio n Départementale
des Sites, Perspectives et Paysages.
Art. 10. - En quelque Ijeu qu'ils se trounmt les panneaux-ré<:::lame et affiches de\'r~nt Hre maintenus en bon état de- présen-.
iatlon par leurs auteu rs. Faute pour les intéresses de se conformer à cette
.i
une mise en demeure de. d~ux mois res~
sans effet, de proceder d ofhce à la lacé,'
tion de l' affiahe o u à l'e nlèvement du
port en mau\'ais état, les frau, correspondants étant à la charge des intéressés.
s;
Art. 11. - Les panneaux, affiches peintu~
res qui existent actuellement en bordure de.
\'oie~ interd ites à l'a f!ichage .ên urncrées par
J?artl.cle. 5, po urront etre r:nault~nus à titre.
provISOIre sans que ,'a du ree plllsse exceder
ni c.el1e des contrats en cours, ni une durl't
maximum d'un an à ,partir de la PUblication
du pT,esent arrèté.
1
Art. 12. Toute infractio n aux dispo~t
tions du p résent a rrê té sera passible ~
sanctions pénaJes édictées par l'artide 15 de
la lo i du 12 av ril 1943. En outre, il pourra
être fait application à l'égard du contrevenan t des dispositions prevues à l'article 16
de la dite loi.
A.rt. 13. - L'arrêlé p réfecto ral du 16 dicembre 1949, relatif à l' affichage Sur le
ritoire de la CQmmun-e de Jv1:arseille es
abrogé.
Art. 14. - M. le Mai re de lIlarseille, ,I l
le Secretai re Cénéral de la P réfecture, M. 1.
Directeur Départemental des Senrices de ~
lice, sont charges, chacun en ce qui le COllcerne, de l ~exécl1tio n du présent arrêté.
Marse ill e, le 15 Illars 1951.
Le Préfel .
Jean BAYLOT.
-------<~OOc ~-------
EN 0
D4 B3
COMITE CONSULTATIf
DE LA BIBUOTHEQUE CENTRALE
DE PRET DES B.-DU-RH.
ARRE.TE.
Le Préfel des BOll clies-dll-Rh6ne,
Officier de la Légion d'Honneur,
Croix de Guerre,
Vu l'a rrêté ministeriel du 20 février 194fi.
instituant un Comité Consultatif auprès de
chaque Bibliot hèque Centrale de prit de;
Départements ;
Vu l'arrêté ministériel du 7 mars 19?1,
por tant nominations des mem bres du ComIte
prévues par les dispositions du paragraphe 3
de l'a rticl e 2 de l'a rrêté susvisé ;
Sur la proposition de 1\1\ . le Secrétaire Ge..
néral,
ARRETE:
Article premier. - Sont nommés membres
du Comité Consultatif de la BibliothèQ"
Centrale de prêt <jes Bouches-du-Rhonc
1" Membres de droit
- M. l' Inspecte ur d'Acad émie,
- M. l' Inspecteu r de la Jeunesse et diS
Sports,
.
.
'coles.
- M . le Directeu'r des Ser vl.ces ~~rld la
- Mme la Bi-bli othécai re-DlrectrJce esBibliothèque Centrale de Pre{ des BOllc 1
du-Rhône i
(f
f
2° Membres élus :
- M. Pri vat consei ller général,
- M. Mathi~u, conseiller généraMI ;nicipa-- M. Aud iberf, rep r ésentant la u
lité de Beaurecueil ;
M nidpale
- M. Gazean, représentant la u
té du Tholonet ;
icipaht<
- M. Pezet, représentant la Mun
_ Al. 1<:l ll1il1, rt'pr':Sl'ntalll la MnTllcipalilt'
de Mouries j
_ Mlle A)'mard, direL'tri c ~ de J'EL'olc No rllIal!;:, représentant du ~on.seil U~partcm e ntal
lie l' Enseignemellt Pnm31rt'.
Qllalre responsables des dépôls
_ M. Guérard, Aureille ;
- j\\, Nègre, Port-de-Bouc
- M. Buhr, Allauch ;
_ Mlle Dubois, Pélissanne.
:~" Memures nommés par M. le MinIstre
cie l'Ed/lcatioll Nationale .-
- M. Billoud, an:: hiviste Cil chef de 1<1
Vill e de Marseille ;
- AL Ho nlll ot, inspertc llr ré g ion ;l l lie la
Jeu nesse Id des Sports ;
- AL Lieutaud, _prolesseur d' f)Il ~ l ais au
Lycée Thiers représentant de l'Association
des Professeurs de Langues Vivantes;
- M. Manelli, rep résentant la Conh:düati on Génêrale de l' Agriculture;
- M. Meunier, vice-président des Amis de
l'Inst ruction Laïque j
- M. Padovani, attache de Préfecture,
chef de Bureau de l' Eùucation Nationale j
- J\\. Perrot, représentant la Confédera ..
lion r r an~: aise des Tra".1ilkllrs Chrétiens ;
- A\. Quillet, dlrecteur d'Ecole, re presc ntant le Syndicat dcs Directeurs d'Eco les;
- M. ReYll:lud, représentant ru nio n Départemelltale des A ll ocations Familiales;
- M, HC)'llalld Félix, Bi bliothecaire' de la
Chambre de Com merre, Archiv iste Pal éograph~! tlip lômé de l'Eco le de Cha r tres ;
- M. Sallgiuolo, président clu gro upemen t
Cultllfe et Progrès ;
- M. Villard, Arciliviste Departemental ;
- M. VOllai re, Professeur de Cours Complémentaires il Cha rtreux- Lollgchnmp, rep résentant le Foyer Universitaire.
Article 2. - Le Comité fO IlL'tioll nera selo n
les dispositi ons de l'arrête du 2 novembrc
1!145 (a rl. 4, 5, 6).
Article 3. - A\. le Secrétaire Gén~r(11 dc
la Préfect ure est char gé Llè l'è xt'cutio n du
présent arrêté,
Fait il J\l arseill c, le 8 av ril 1 ~)5 1,
•
02 B3
j eM' BA YLOT.
- - - - - < :too <:t.------
F 4
SUBVENTIONS ALLOUEES ET ABON NEMENTS SOUSCRITS PAR LES
COLLECTIVITES LOCALES.
Le Préfet des Bou r hes-dfJ-Rllônf
à Messieurs les Maires,
Par circulaire n" 86 AG- F IN clu 10 mars
19
Ministre
51, M. le P rés ident <lu Conseil
~e l' In térieur me p r ie cie r appe ler ~ MJI\. les
I,' al res c~rtaines ùispositions légales et r églementaIres concer nant les subventions
a lOUées et les abo nnements souscrits par les
Co llectivités locales.
lds· COLLECT
SUBVENTIONS ALLOUEES
IVITES LO CA LES.
tra9
a llS
PAR
ce domaine, l'Administ ratio n Ce n-
C l:lt~ a ~onst~,té q u'en dépit de graves diffi-
lie t s f1nanc leres! les Municipalités acco rne n des subventIOns à des o r l'Ja nismes qui
aC
. pas un intérêt lo~al suffisant .
LPréscntent
trôle d Oll r oes Comptes, o rga nisme de CO IIqué d es budgets loca ux, a d'ailleurs indiCo n~id ans. sa séa nce du 29 juin , 1949, qu'ell c
part déralt Comme dépenses illt!gales de la
es communes
l'
p~)l1r objet la prupag.tll dc J1ul1tiqul! (HI n~ll
g-a:llsc, ou la lI dense lI ' lfit ~rl-ts prin~s ;
2" Les subventio ns aliu lI t:cs sans aflct:talion locale à des groupements dt pendanl
dIrectement d'o rganismes pl us géntnlU)" UOli t
l'objet reste étranger il "lll terêt local.
Je rappelle a Messieurs les A\ai res q uI.!
trOIS cond itio ns doi\'en\ être requises pour
qu 'u ne subvention votée par I~u r Conseil Munici pal reçoive l'approbatioll Je l'Autont é ue
Tutelle :
1" La situ atio n finan..:ièrt! de la COlllm une
doit t:tre sain~ et p(:rlllettr~ noti11aleme nt
cetle libé ralité,
2" L'orga nis~lc b~néficiaire doit présente r
UI1 intérêt l'ornm un al int:ontcstablc. Il Importe peu que l'œuvre Ou l'aSSOCiation en cause
ait une existence lim j t ~e au c~l dr..: lie la \.'001TTlune ou . au dcpartement, Ou se situe Sil! le
plan natIOnal ; seul, doit ~t re rt tcnu SOn
rôle il l'égard de la co ll ectivité qUI la sul1 \'e ntionne ;
3" Les subventions â tics organismes à
caractère politique ou co nfessionne l sont
interdites. Il co nviellt en partiL'ulier de dcda rer nulles î cs delibùations vota nt un cr t>dit en fa ve ur d'association ou ·de g roupements dont l'objet avoué cOllcernt' l'entr' (lId~
soc iale ou la bienfaisance, mais qui poursuivent, Cn réalité, d'u ne fDson plus ou moins
Ollverte, des buts politiques 011 cunfessÎo nnel s, .
II. - ABONNEM5NTS SOUSCl/ITS P Ail
LES CO LL ECT IVITES LOCALES
Des prin cipes analogues doi vent èfre appliq1\eS aux abonnements souscrits par les MunIcipal ités.
Par i njonction Cn dale du 8 mars 1950, la
Co ur des Comptes a indiqué que c. les budge ts comm unaux ne pem'ent su ppo rter les
dépenses d'abonnement fi des journaux politiques ou il des re\' ues n'ayant pas un c:lracIi! re d'uti lité com munale >.
Les Municipalités Ile pourront don c SOuscrire des abonnements fi certaills journ:\II.\
ou périodiques que si ell cs pensent Irollver
da ns ces pu blications des articles Ou des études pouvant les intéresse r. Mais fi est êvi dcnt
que l e nombre d'abo nnements sous crits doi t
t:lre fon ct ion de l'i mportan ce de la collectivité in té ressée.
Les Co nseils Municipaux dési reux de sous ..
crire de te ls abonnements devro nt prendre au
moment du vo te du hudget une délibératio l\
fixa nt le nombre des abonnements souscrits
et mentionnant les se r vices au bénéfi ce desquels so nt souscrits ces abonnements. La tfe
li bér ation doit êt re t r:l nsmige il l'autorité de
tllie lie.
""AL les J\laires du Depa rtement sont pri ~s
cie se confo rm er à ces inst r uction:s.
Po ur le Préfet,
Le Serré/aire Gél1ernl
LAMA SSOURE.
------<~oo<~·------
D. D. S.
FS 0
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS RADIOCOSPIQU ES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX.
ARRETE
Le Pré fet des Bouc hes-du-Rh ône,
Officier de la Légion d'H onneur,
Vu l'ordonnance nO 45.2720 du 2 novem~
IHe 1945, SlIr la protertion m~ternelle et in-
Vu I·:lr rêt~ du 15 avril I H4fi de M. le 1\1inistre dt:: la Santé Publique ct de la Population et les rec ti't'i catio ns parues a u j. O.
des 10 mai et 1.5 septemb re 1946 fixant le
modèle du certificat d'examen médical
avant l'e mariage;
Vu l'a vis du Conseil Départemental de
l'O rdre des Médecins;
Sur la proposition de M . le Directeur Départemental de la Sain té,
Arrete :
Artile premi er, - M. le ,docteur Treuchot
V'ves, demeurant, 12, boulevard Baral il
Marseille, est agréé pour pratiq uer les e~a.
mens radiosco pîques en Vue de la délivrance
,des certifi..:ats pré11lq>tiau x et pr~natau>..
Ar t. 2. - M . le Secretaire Gcn~ ral de la
Préfeclu re, M. le Maire de la Ville de MarseilJe et ,M. ie Direc1elJr Dépa rtemental cie
Ja Sa lt.c sont chargés l chacun en ce Qui le
concerne, de l'exéoution du présent arrètl-.
Marsei ll e, le 19 avril Ig!;1.
P. le Préfet et 'Par déle::atioll .
Le Secrélaire G~nérnl,
LAMASSOU IŒ .
•••
Af{oRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
Officier de la Légiun d/Hollne~J r"
Vu l'ordonnance n" 45.2720 du 2 novembre 1945, s ur la protectio n 'naternell et infantile ;
Vu l'arrête du 15 avril 19-16 de j\\, :e l\linistre de la Sanlé Publique ct de la Populahon et les reo:ifications parues au J. 0,
des 10 mai et 15 septemb re 1946 fixant le
modèle du certificat d'examen médi('al avant
le mari age ;
Vu l'avis du Consetl Olpartemental de
! lJnh e des LI\ \édecill s ;
Su r la proposition de M. le DirCl' teur D~
partemel1tall de la Sn nte,
Arrête :
Article .premier. - M. le docteur It Guerrini, 127, boulevard de la Li bératioll, à 1\\<1rseil le, est agréé pour pratiquer les examells
radioscopiques en ,'ue de la délivrance de~
certifi cél t~ pr~quptiax et pr.énataux.
Ar!. 2. -- M. le Secrétaire Gé1lera l de la
Préfeclure, JI\. le ,~I ai re de la Ville de Jllorseille et Nt le Directeur Départementa l de
la Santé sont chaccl'és, chacull t'-n ce qui le
conce rne, de l'exccution du présent arrl'Ie:.
tl larsei lle, le 19 a,"ri l 195 1.
P. le Préfet et par délégalion .
Le Secrelaire Genéral ,
LAMASSOURE .
.'.
ARRE.TE
Le Prefet d es Bouches-du-Ilhône,
Officier de la Légion d' H onlleu~,
Vu l'ordonnance 11 " 45.2720 du 2 novembre 1945, sur la prQo,ecti01l maternelle et il1fa nti'le .
Vu l'~""té du 15 avril 1946 de M. le Ministre de la Santé Publique et de la Popu lation et les rectificaticns parues au j. O. des
10 mai et 15 septembre 1946 fi xa nt le modèle du ce rtificat d'examen médical avant le
�Sur 4a propo!\oll1on ue .\\. le Direc.eur D épa rtement:»1 de !J. Sant~.
Arr~te :
Anlde premier, - ,\\, le docteur Courbier
francls. demeurant il _\\3~ i lle. 2 5. boule\'ard Cha\"t\ est agrée, pour pratiquer ~t::S
eA amens radioscoplqUe:. en vue de la ~eh
\'ranre ~~ œnihcats prénuptiaux et prcn3tnlD:
Art 2. - .\1. le Secretaire Gkm' ral de l a
Prde<ture, Al le M.If. de ra Ville de Marseille et ,\\. le Dlrecleur Dèpa rtem enral de
la Santé sont chargls, chacu n en ce qui le:
con~emeJ de l'exeCU(IOn du present a rrêté.
.\urscille, 1< t9 avnl 1951.
p, le Prdet et par
d~lt!gation
Le Serretoire Gttnêral,
LAJ.l·\SSUUIŒ.
ARIŒTE
Le Prèlet de. Bouches-du- Rhône,
UH,cier de la Legion d' Honneur,
\'U l'ordonn3m:e n" 45.2720 du 2 novembre 1945. ~ur la protection maternel.e et 111fantile ;
l'u l'arret'; du 15 avnl I Y-!6 de .~ \. le ,\\,nbt re de la Sante Pub.lique t:t de la Populallon et les rt"ctifiLaJions Iparues au J. O.
de~ JO mai et 15 ~eptembIe 19-'6 fixant le
modt:le du cenlficat d'examen medical arant
I~ mariage ;
.
Vu l':l\'is du Conseil Dépar,emental de
IUrdre dts "'1"Qeci"" ;
~u r la propositIOn de .\\. le Directeu r Dl"ra'temental de la Santé.
:
Article premiltr. - M. le docteur Balozet,
demeurant à '\arseille, 3, allees LL'On -Garnhetta, est agrt:e pour pratiquer le~ examen'"
radioscopiques en \'ue de la délinance des
I..~nlficab prénuptiaux et prênataux.
Art, 2. - .\1.. le Secrétaire Géneral de la
Prt'fedu re, M.. le Maire de la Ville de . \\arstiUe et A\. I~ Di recteur Depanlemental de la
Santt sont chargt:s, chacun en ce qui le
com:erne, de l'exccution du present arrêté.
.lla ...illc le I Y avril 1951.
P. le Préfet et par délçgation,
Arr~te
Le Secrétaire Gelléral,
LA.liASSOURE.
---c:>OOc>---
FSO
03 B2
fONCTIONNEMENT
DES COMMISSIONS CANTONM.ES
D'ASSISTANCE
Le Prefel des Bouches-du-Rh6ne
à MM . les Juges de Paix, Prési-
dents des Commissions Cantonales
d'Assistance,
Messieurs l es Maires du Départemenl
(pour i nformation),
Par ma circulaire du 9 juillet 19.\9 et il
la suite des errements constatés dans le
fonctionnement des diverses Commission:;
Cantonales d' Assistance du Département, je
vous ai donné des dire<:tives destinées a faciliter, dans le cad re des instructions en \'igueur, le fonctionnement des Commissio n~
et la valeur des décisions rendues par ces
Organismes.
je vous indiquais,
Il
•
1;
,.~
lle\'31t nssister "iU'a l'e;..a.n,cll des . dossiers
intéressant les administres t.le sa Comlllune.
Je \'OUS ln\'i tais, il (e sujet, a l1let~re fi " , am
pratiques en \ Igueu~ dans certaines Commissions (onsistant a ad mettre, pour tOull
la dur~e'dl;' la s~ancet la presence de touS les
Malft!s du Canton,
Je crois de\'Olr appeler à nouvea u \'otre
att~n(ion sur l'lIlterêt qUI s'attache a. ~e ql1~
ces directÎ\cs SOIent effecti vement sUI \'les, t t
vous serais très obligé de veil ler a. ce .qu~,
lors lie chaque r~union , seul le . ,\\a lft~ lIHl'ressé assisle a l'e.\amen lies uosslers et p re l ~
ne part aux ul'cisions co n c~ rna n t ,ses Adn~l
nist rC:-s. Ce magistrat mun ici pal dO",It, en , ef!ct,
4ultter l a st::3llce lorsque la COmlnlSSlOll
passe il l'examen ~Ies t.lossier,s co nœrn a!1t U,Il t:
aut re Commun\!, etant don ne que les .seant.:es
de la Commission nC so nt pas publiques.
Par ailleurs, il m'a dé indiqué gue, da n ~
ce rtains ras, les dossiers sont presentf's a
la Commission par des tierces personnes. Je
crois de\'oir rappeler, à ce sujet, que seul. l ~
Greffier de la Justice de Paix est quali fie
pour "érifier le .dossier et le .rap~o~ter auprès
de la CommiSSion, et pen;olt, d ailleurs, une
indemnite de ce chef.
Je VOliS demande. de you loi r ~ien \'.e;~ l e r à
l'observation des di recti ves qUI precedent,
qui doivent permettre à la Commission de
sfatller en toute obJecth'ité.
Pour le Prefe t,
Le Secrétaire Général :
LAM AS
URE.
- - -c >OOC ).- - -
02
no(
B3
3
PRISE EN CHARGE PAR LETAT DES
TRAVAUX DE RECHERCHES D'EAU
Réf. : Applicalion
Oclobre 1950.
du Meret
du 31
19 AGJ / I
Paris, le 28 Mars 1951.
Le Secr~taire d'Etat il l'Agriculture,
a ,V!essieu rs tes Pré fets.
Le décret du 31 Octobre 1950 a défini les
conditions géntrales dans l esquelles les travaux de recherche et d' amenagemellt de
poi nts d'eatl pour l'alimentation en eau potable des Communes ru rales pouvaient être
pris en cha nge par l'Etat, ainsi qu'en avait
décidé l'article 23 de la loi du 21 Juillet 1950.
Par ma circulaire 70 AGJ / I du 3 Novembre 1950, j'avais fait tenir aux Ingénieurs en
chef du Génie Rural des instructions pro\'i soires pour J'application immédiate des nouvelles mesures législatives,
La p r~sente circulaire, qui remplace et
annule en ses dispositions, la circu laire du
3 ovem:b re 1950, a pou r objet de préciser
les condlttons dans lesquelles dès maintenant, et pour l'année en cours, sera appltque
le décret du 3 1 Octobre 1950.
1. -
TRAVAUX OU ETUDES POUV ANT
ETRE PRIS EN CHA ~GE PAR L 'ETAT.
Le vo lume des crédits réser.'s à l'applic~tlOn des nouvdles mesures ne permet pas
d admettre sans restriction au bénéfice de
~a ~oi,. tous les travaux ou études énumérés
a, ,1 arti cle 2 du Dt'cret (lui seraient en état
d ~ tre actuellement entrepris,
Dans ce.s condittions,
erre
décide que seuls
l'Etat 1..
- -
porte certains ri squcs, ineertitudcs ou dilfi..
cuités particulières :
- Wsq ues d'cchec dans les re cherches,
Incertitudes quant 'u début ct il '"
quantité dt! l'eau ;
- nifficu1tes particulières, telle que renco ntrè de sables boulants, de venues d'eau
parasites importants, dégagement de gril.
fons il ême-rgencc diffuse au sein d'ébOulis
ou de d~pô ts de pente reco uvrant les sour.
ces, grandes profondeursl(je !fQ rages, etc,
Par voie de corollaire, les puits à foncer
dans une l1 al)p ~ au rêgi me bien Connu ne
co mportant pas de ri S<ju cs d'éc hec, le c\éga .
gt mcllf ct fam éna gt'menl de Sources dont
le débit d'éti nge et la quali té dits eaux Ont
Né rec onnus suffisan ts pour les besoins il
satisfaire, ne slluraicnt être pris en charlJe
par l'Etat.
:.
Outre les travaux et r echerches ci-dessus
définis, les i nterventio ns des géologues, celles
éve n t u elle~, des spécialistes des études h}.
drogéologlques ou des barrages, les jau.
geages des sources, les essais <l'e débit des
puits ou des fo rages, les anal,y ses des eaux,
sont dans tous les cas su scep,tibles d'et"
pris en charge par l'Etat.
Enfi n, pour ce qui concer ne les barrngesréservo irs desti nés il l'accum ulation artificie lle des ea ux, et dans la mesure où ces
ouvrages in té ressent l'alimentation en eau
potaU le, VOLIS po urrez proposer que l'Elal
prenne en charge, outr e les étud es préalables entra nt dans le cadr e (fe J' alinéa pré..
céde nt, les travaux d'é tanchement de la zone
à immerger de ses appuis latéraux et de ses
fond'ations,
Les résultats d es études et tréllvaux cidessus définis qui, par leur nature, peuvent
être pris en cha rge pa r l'Etat, permettront
aux Ingénieu rs en Chef du Génie Rura l de
donner leur plein effet aux prescriptions des
circu laires de mes prédécesseurs des 10 et
13 An ût 1943 et 12 Janvier 1944, qui ont
trait aux programmes d'a limentation en eau
potable et aux enquê tes hy drogéologiques.
II. -
ETUDES PROJET~ ET EX6CUTION
DES TRAVAUX.
Les études préliminaires, l 'établissement
et la présentation <l es projets, la dévolution
des travaux, leur direction et leur règlement
incombent aux Ingénieurs du Service du Génie Rural, qui représente le M,inistre de l'Ar
griculture et qui s'acq uittent de ce tte mission
par leurs propr es m oyer~s,
Ils agissent en tant qu' In génieurs d'Etat et
ne peuvent, en conséq uence, percevoir d'honoraires pour l'étude et la direction de c~s
tra va ux,
Si, pour certai nes étud'es
des missions
particulières et exceptionneties doivent être
confiées il des spéCialistes l es Ingénieurs en
Chef du Génie Rural de~ront solliciter au
préalable mon ~to ri sation et me soumettre
le projet de co ntrat à rnter venir, qui fix~ra
notamment le mode et le montant d'es rémunérations à allouer à ces spécialistes,
III . PRESENTATION DES PROJETS,
Avant toute pro'positi on d'exécution, les
Ingénieurs en Chef du Génie Rural devroul
soumettre à mon aD'rément par vo tre interm~iaÎre, le projet des t ra;au x envisagés.
Ce projet devra comporter :
- Un extrait de car te '
- Un mémoire applicat'if et descriptif;
Even tuellement un border eau d'es I)rix
umtaires ; .
.
'.
_ Les pièces ~essll1ées n~cessal r es a la
bonne compréhensIOn du pr ojet ;
_ Le ca'hit:l" des clauses et cOO'liitions
générales; .
_ Le ca/uer d'es d auses et conditio ns
particulii:res;,
.
_ L'avis du Geologue
Il sera accomllagné d' un rapport justificatif auquel sera jo int éventuellement, le
programme d'uti lisation des eaux
pour les affaires dont l e montant, restern
inféri eur ifl 250.()(,'O fran cs, et lorsque la 1)as·
sation d' un marché n'est pas envisagée, les
In'génieuf s en Chef du Gé01e Hural se bprneront il me soul1lettre, par votre interm édiaire, la liste <ies travaux ou études à entreprenGre, t:1l en justi fiant l' utilité, et en pré~
cisa nt pour ohacune -d'el1es l es dépenses a
prévoir ainsi que l'éohelonnement des paiements qu'ils en,visagent.
IV. - PASSATI ON DES MARCHES ET
EXECUTION DBS l'RA V AUX.
Les marchés seront passés selon les modalités figu'rant aux ca hiers des char ges d u
projet approuvé pa r mes soi ns. Par un e ci rculaire -de ce jour, je rappell e aux In'génieurs
en Chef du Génie Rural les règles p rin~ i
pales relatives ,à la passation iles marchés
d'Etat. Elles devront être observées stri ctement, tant pour la rédaction des cahiers des
l:harge:, ,que pour l'appel il la conc urr ence el
l'établissement des pi èces co ntractuell es,
Tous les marchés, quel que soit l eur montant, seront .désormais so umis â. ma si gnature,
Les Ingénieurs en Ohe! du Géni e Rural
m'adresst::ront do nc par votre intermédiaire
ces marchés en trois exem'plaires, recvêtus de
la signature de l'entrepren eur, et acco mpagnée, s'il y a lieu, du procès-verb al cfe dépouillement des offres reç ues, ai nsi que d'un
rapport justifiant le ohoix oe l'entreprise et
proposant l'engagement des crédi ts nécessaires,
Les crédits de paie ment seront , délégués
aux Ingénieurs en C hef du Génie Rural sur
pièces justificati,ves Co mme en mati ère d e
subventions,
Je vous rapp elle que la loi -dt, 22 J~\ a i 194.
fa} t au maitre die l 'œu,vre une ob li gation de
decla rer a1l ser vice des \/VU nes ava nt tout
début d'exécutio n les recherches envisa gées
dont la profondeur Mpasse 10 mèhes. Je
déSire que les Ingénieurs en Chef du Génie
~ural .ti.en nent le plu s grandi compte de ces
diSPOSItions, dont l'intérêt to uchant aux travaux de géologie générale ou de reCheT'C1hes
de substances utiles, 're ti endra vOJre atten~on, Des formults de déclaration leur ont
dté en Voyées il p lu sieurs repri ses au cours
,es années écoul ées, et ils pourro nt toujours
~en p ~ocurer aupr ès de l' Ingé ni eur en Chef
es M,nes <le la circo nscriptio n <font d~pen d
l e département.
B dl sera ainsi possible au x In génieurs du
p~reau des Re cherches cie Géologie et Géol'e::,qu.e de recuei llir, pendant ou après
ou e~~ho~ des trava ux, les enseignements
Piète r ~nt , lI o n s qu i leur perm ettront de co mRech eur documentation . L e Bureau des
peut e:els G~ol ogiques et Géophysiques
nieu;s ri a meme façon, fournir aux In gé"neme ~ Chef du Génie Rural les 're nseit\
n s d'ordIe
dont ils
ur-
cet aspect d'une utile collabo ration entre les
deux Services.
V. -
TERRAINS NBûÊSSArRES AUX
TRAVAUX.
Pour l'executio n des tréllvau x, l' Etat procèdera c sau,f accord amiable avec les propriétai res intéressés à l'occupation temporai re des t errains en ap,pJication de la loi
du 29 Décembre 1892.
Si les tra,va ux entrepris aljoutissent à un
éthec, la disposit ion des ter rai ns sera re ndue
il leurs propriétaires apr ~s éventuellement
r emise en état des lieux,
Si les tra va ux entrepris aboutissent à la
créat ion d'un point d'ea u dont l'utilisation
est env isagée, l'Etat devra en r ègle générale se ren-dlre aoquéreur du terrain d'emprise d'eS tra va ux ainsi que du périm ètr e de
protection demandé par le Géologue.
Cette acquiSition pourra se faire .;i l'a mia·
ble, et dans ce cas il est souhaitab.1e q u'une
promesse de vente soit ob tenue d'l i :pr opri étaire dès le début des tr3'Vaux, soit par voie
d'expropriati on après (iéclaration d'utilité
publique.
Tou tefois, 'Si l' utilisation du poi nt d'ea u
par une co llec ti vité prée xista nte est envisagée au départ dans un délai rapp roché,
et de toute manière inférieur à ci nq an nées,
l'acq uisition des te~rain s et des servitudes
ann exes sera faite par cette co llectivité, apr ès
enten te amiable ou par voie d'expr opriat ion,
Jors de l'exécu ti on Ides ouvrages d'éfinitifs
I)our l'uti lisation des eaux,
-Dans ce cas, les' Ingénieurs en Ohef du
Génie Ru ral devront s'efforce r d'obtenir du
ou d es propriétaires intéressés, dès le début
des travaux, une promesse de vente au
bénéfice d'e l'Etat compo rtant une clause de
cessibili té en faveur de la co ll ectivité utilisatrice,
VI. - UTILISATION DES POINTS D'EA.U.
Aucune modjfica ti on n'est bien entendu
app or tée à la réglementation des eaux ; si
en pa rticulier l'uti lisatio n du point d' eau
entraîne une déri vatio n des ca ux, les Ingénieurs d'u Génie Rural dev ront entrer en co nf érence avec les Ingenieurs du Ser.v ice H yIdlrauliq ue, co nformement aux prescriptions
d'es circulaires du 7 D écembre 1936 et du
14 Novembre l 'J46.
L' étude du projet définitif d'utilisation des
eaux, ainsi que la su rveillance et la direction
des travaux sero nt effectuées conformément
au régime actuellement en vig ueur , la co llectiy ité · utilisatrice étant li bre de les confier à
l'homm e 'Cie l'art .de son choi x,
Les Ingénieurs en . Chef d'li Génie Rural
tiend ro nt à kt disposition de la collectivité le:,
documents relatifs aux études et travaux faits
ai nnsi que les résultats obtenus
Je rappelle que cette co llectivité peut fa ire
al>Pel au concours du service des Ponts et
Cllaussées dans les conrlltio ns prévues par
la circulaire interministérielle du 14 Janvier 1948.
VU. - PH,ES6NToAlïON D 'UN PI~OGRAM
MIE DE ~f,OHERCH ES POU I~ L'AN N.EE 195 1.
Dans le cad re des présentes instructi ons,
l es in génieurs en Chef du Genie l~l1ral devro nt !VOliS proposer un progTamme de t rava ux ou d'études à en'"'gager au co urs de
l'année 1951.
Ce progra mme mentio nn era
m'ont déjà été adressees et dev'ra comporter
les ,pièces suivantes :
- Un rapport d'ensemole exposant l'état
d'ava ncement du pro gramme général d'alimentation en eau 'Potable du département et
justifiant les rech erches à entreprendre.
- La liste par or<1re d'intérêt des red1ereh es à entreprendre en 195 1 en portant au
resard' de chaque aifaire la dépense il préVOIr,
- Une ca rte du département faisant apparaitr e l'emplacement de ces rec.herches et
lorsqu'elles seront déterminées à ,'avance,
les limites de l'a zo ne à alim enter par C'hacun des points d'eau,
VOLIS voudrez bien me transmettre ce program me avec votre avis avant le 30 Avril
prochain .
VIII. DISPOSITIONS TRANSITO IRES
RELATIVES AUX ETUDES ET D IRECTIONS DE TRAVA.UX.
En raiso n -de l'intervention récente de la
nouvelle législation, certaines des réalisations
qui seront effectuées à ce titre au co urs de
l'année 1951 pourront avoir été étudiées,
directement pour le co mpte des collectivités,
soit par des hommes de l'art privés, soit par
les Ingénieurs des Ponts et Cha ussées agis.sa nt da ns le cad re de la loi du 29 Septembre 1948.
Les intérêts matériels et moraux die ces
techni cie ns dQivent légitimement être sauvegar dés.
Auss i, ,par dérogation aux dispositions prév ues au paragraphe Il de la 'présente ci rculaire, ils auro nt la .:faculté, sous la direction
de, l'In gé nieu r en C hef du Génie Rural, de
conserv er la surveillance des travaux à exécuter en \951, lorsque les projets en ca use
auro nt été acceptés par déliberation des
co llectivités antérieures au 3 rMars de cëlte
an née. Les honoraiTes restant dus au titre
de l'étude des projets, des recherches et de
la surveillance leu r seront payés sur l es crédits de travaux d'Etat.
j'ad resse di rec tement cop ie de la présente
ci rculaire il ,M!.~t les In'génieurs en Chef du
Géni e Rural.
Signé ; Paul ANT1E.R,
Secrétaire d'Etat fi l'Agriculture.
-
TEXTES D'INTUn OfNUHL
Circulaires conoernant plus specialement
lt!s Administrations de l'Elal
D2 B I
AC 3
RECONDUCTION, A TITRE EXCEPTIONNEL, DE LA MAJORATION DE
20 % DES PRESTATIONS FAMIUALES.
N ' 25 - 10 8 /5
Paris, le 21 a\'ri l 195 1.
Le Ministre du Budget
à MM. les Minislres et Secr étaires
d'Elof,
La loi n' 51-258 du 2 mars 195 1 (p ubliée
au Journal Officiel du 3 mars) a majoré de
20 %, à titre exceptionnel, jusqu'au mois de
mars 1951 , certaines des prestations familial es prévues par l a loi du 22 aoot 1946,
l 'allocatioll
�88
Par circulaire n" 18-B/ 5 du 7 maIS 1951
(publiée au Journal otf;,:iel du 8 maIS), le
vous ai précisé les conditions d.ans lesqueUes
cette mesure devait .tre appliquée , aux dl~ catégories de personnel de 1 Eta! en
service sur le territoire de la France metropolitaine et dans les départements de la
Ouadeloupe, de la Guyane françaIse, de la
Martinique et de la Réuruo.n.
Pu aiIIeun, le Gouvernement vient de
deposer un projet de 101 portant re~ond~c
tion à titre exceptionnel, de la maloratoo n
de
% dont il s'agit jusqu'à ce q~'onter
vienne une nouvelJe loi prévue par 1 a rti cle
2 de la loi du 2 mars 1951.
Vous voudrez bien, en conséquen~e. c~:m
20
tinuer le service de fette même m,aJoration
ux fonctionnai res, agents et ou\'n ers rele-
~ant
de votre autorité, qui o.nt pu en bénlficier pour les mOIs de docemb re 1950,
janvier ft.~\"fie r et mars 1951 , dans les conditions prévues par la circulaire du 7 mars
t 95 t susvisée.
Les états de traitements afferents au mO~9
du Trésor, vous au~ez. la
aux comptables u titre de la majoratoon de
faculté d'établir, a
f '1' les du mois
20 % d presta li ons amI la
mandatements
spéciaux dont le
, '1 es
d avn 1 des
t
les cas et pour
aiement pourra dans
DUS
.'
~e seul mois être effectué en numeralre. .
Les dépenses correspondantes seron.t Imt~es SUI les chapitres budgétaires, qUI SupPp~rtent habituellement la ch,,:rge des Pires ta;
.
T 1 des ontéresses. Dans e ca
ti?nls ~~~;~:s de ces chapitres s~rait insufou a
d
crédits supplémentaires pour~~:rt!~us e:tre accordés dans le cadrertde la
ré artition des crédits globaux ouve s . au
B~d t du Ministère des Fonances, amsl
u'arx budgets annexes des P. T . T. et de la
aadiodiffusion française p~ur la co.~.v~rture
du rajustement des prestahons f a~1 ~a ~.
Pour le Ministre et par delegatoon,
Le Di,.cteur du Cabonet :
R. BLOT.
_ _ _ c»ooc ..- - - -
Communiqués. Avis
Annonces divepses
04 B2
DONS ET LEGS
Avis publié en exéculLo" d~ l'article 3 d.. di.
vet du 11!'r février 1896, d4ta.s le bilt d'itwi1tr
!.es héritiers inconnus des testateurs à PmuJ,~
lOrs.flaissonce du testament, en tlfU de do"",,
?t:t,r coruent.cment ou de produire Ù1Irs .nol~
d'oPposition.
Les f','clomoeio,r.s fIe sont re~bles ql(t do",
lm diltli tk 'rois .".ois d parh,. de "IAS'trli""
CJW c Bulleti,. ».
Par testament olographe du 3 oclobrt
1949, déposé aux minutes de M" jean LAU.
RENS notaire à Apt (Vaucluse),
Malame Antoinette-joséphine MALLE·
COURT veuve jAUNARD, épouse PITOT,
dOnliciliée à Maussane, et décédée , le 1.5 juil.
let 1950, a institu.é les ~OSPICes d Apt (Vau.
cluse) son légataore unoversel.
Marseme, le 2fi avril 1951.
d'avril ayant déjà été établis et transmIs
REPUBLIQUE FRANÇAISE
10 et 17 Mal 1951
9" Année. - Nu 19 et 20
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU -RH ON
,""1 IR ~ .
(~,\
".
....,
f,-", .
Recueil des Actes Administr~
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recucil doit étre adl'essée à la Préfecture Secrétariat G énéral
ABHÉVIA 'rIONS
A, P. : Arrêté préfectoral. ~ C, : Circula ire -
D. S. T. : Docection des ServIces TechnIque •. -
Les lettres 0 et B suivies d' un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départe-
mentale de la Population.
SOMMAIR.E
Arrêtés réglementaires
et
Circutaire.
Pages
A 1. - Electi o ns a ux Chambres d' Agriculture.. ... .. .. ... . .. . . ....
A 1. - Reno uvelleme nt des memb res
du Comité Dépa rtem enta l des P res-
tations Familiales Agricoles ....... .
A 1. - Co mmission Paritai re d u Travail en Ag riculture .. ' . . . . . . . . . . . . .
AG 2. - Ava nces a ux collectivités locales pa r le Fonds Na tiona l de Compensation des Allocations Familia les.
AG 2. ,.- Rému neratio n des journ a liers
comm un a ux .......... . ........ .
AG 5 B. - Etat-ci vi l. - Tables <fécentrales . ... .... .... .... . . ..
F O. - Aide fi na ncière accordée par
89
89
90
90
90
les co ll ectivités locales aux sociétés
sportives profession nell es ..... . .. .. .
FS O. - Médeci ns agréés fllo ur pratiquer les exa mens rad ioscopiqu es en
vue de la déli vra nce des certifi ca ts
prénuptia ux et préna ta ux . . ....... .
FS O. - Attribu tion de dots à un certain no mbre de filles de déposan ts et
d'assu rés à la Caisse Natio na le d'assu rances su r la vie ... . . . . . . . . . . . . .
R 4. - Pri x du pain... . . . . . . . . . . . . .
SC 7. - Instructions relatives à la lutte con tre les feux de fo rêts . .. .. . . .
SC 7. 91
91
TV X 5. - ,Modali tés du paie ment des
droits d'e nregistrement affére nts aux
marchés publics ..................
Convlluniqués, A vis, Annonces diverses
92
92
92
-
Dons et legs .. . .......... . .... ..
Demande d'emploi de secrétaire de
ma irie.... .... .. .. .... .... ....
- De mande d'emploi de garde-champêtre . . .. .. .. .. . . .... .... .. . .
- Avis d'adjudications et d'appel d'offr~ .... ... . .. . . .. .. . . . . .. . .
94
94
94
94
92
Communiqués du Secr-étatiaf
de l'Union des Maires
Travaux d'a ménagement de
garages pour les engi ns de lntte co ntre les incendies de fo rêts ....... .
93
93
-
Ve nte de matériel.. .... . ... ... .
94
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D6 BI
A 1
ELECTIONS AUX CHAMBRES
D' AGRICULTURE
,
Désignation des délégués préfectoraux
aux Commissions Communales
de recensement
des électeurs agricoles
~RET E
CopIe ecrtiiic e.afef'lDl"
Pour le PrHtt :
L4 Secrll,.lre Gb.n~ : lAMASSOUItK.
Le Préfet des Bouches-du-Rhô ne,
Officier de la Légio n dJhonneur,
Croix de Guerre,
Vu l'a rti cle 7 de la loi du 3 ja nvie r 1924,
relative aux Chambres d'Agriculture ;
Vu le décret- loi d u 30 octobre 1935 la
co mplétant ;
Sur la .proposition du Secrétaire Généra l,
Arrête :
~rticle premier. _ ,Les électeurs agrico les
~UfVants ~o nt ~ésignés pou r siéger en. q~a
Ité de delègue d" Préfet à la CommIssIon
de Rece nse ment c hargée d'e dr esser, da ns
Chaque commune, la liste électo rale agricole
~n vue des électio ns générales aux Cha mres dl Agriculture :
'PREu\1ELAT, Marseil le.
BERNARD Da nie l, Nleins.
ESCOFf lEoR Auguste, Aureille.
BURA VAND j osep h, Boulbon .
PA'RDIGON Rao ul, Saint-Ca nn aI.
BA RTHELEIvW François, All a uch.
GUER IN Adrien, Cassis.
GREN IER Joseph, Cey reste.
GAUT.IER Raoul, Beaurecueil.
SUS INI François, Port-Saint-Louis-duRhône.
AMORETI I Heclor, Ga rdanne.
AUDIBERT Fernand, Saillt-Ohamas.
TRONC Auguste, Istres.
RU INAT J'Aa rius, Ma ri gna ne.
DE LANDEI~ Lionel, Coudoux.
MOUCA DEL Paul, les Baux.
CAIITIER Louis, Rognonas.
Arl. 2. - Le Secrétaire Général lfe la Préfec tu re est cha rgé de l'exécution du présent
arreté.
Ma rsei ll e, le 20 avri l 195 1.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
---<>00<>----
06 BI
A1
RENOUVELLEMENT DES MEMBRES
DU COMITE DEPARTEMENTAL
DES PRESTATIONS
FAMILIALES AGRICOLES
ARRET E
Le Préfet des Bouches-du-RhÔne,
Officier de la Légion d'honneur,
Croix de Gllerre,
Vu la loi du Il mars 1932 sur les allocations familiales ;
Vu le décret du 31 mai 193R lcndant à
a ména'ger et à compléter les d'isposit ions a~
plicables aux allocations familiales en agnculture ;
Vu le décret du 29 juillet 1"39 relatif il la
fa mill e et il la natal ité française ;
Vu la loi du 22 août 1946 fixant le régime des prestatio ns familiales :
VII l'ar rèté ministeriel du 3 1 décembre
194ô instituant crans chaque départe ment un
Comité des Prestations Familiales Agricoles;
Vu l'al' is de ,\L le Contrôleu r des Lois
Sociales en AJ:riÇ.u lture ;
Sur la proposition du Sëcrétaire
�•
~~~------------------~--------
Arrête :
Article unique. - Sont nommés pour deux
ans membres îlu Comité Départemental des
Prestations Familiales Agricoles des Bouches-du-RhOne les perso nnes désignées cidessous:
Le Préfet ou SOn Uélégué : Président.
Le Trésorier-Payeur GénèraJ ou son re.
présentant.
Le Directeur des Contributions Directes ou
son représentant.
Le Contrôleur DiviSIonnaire des Lois Sociales en Agriculture Ou Son représentant
L'Ingénieur en Chef, Directeur des Services A-oaricoJes ou son représentant.
Le Directeur Départemental de la Population.
Deux représentants des organisations professionnelles, pères de famille :
M. CHEYLAN Henry, propriétaire exploitant à La Fare-les-Oliviers.
M . DIJON Elisée, ouvrier agricole, " 'enue
du Poète, ""aillane.
Un repuésentant de l'Union D épartementaJe des Associations Familiales :
M. GRANGIER Pierre..Ma rie, agriculteur
route d'Avignon, à Tarascon.
'
Trois représentants de la Caisse Mutuelle
d'Allocations Familiales Agricoles :
~l ARTAUD Léonce, maire d'Eguilfes.
.M. BOYER Emile, quartier des Joncquières, à Aubagne.
M . REYNAUD Marcel, mas de Nans. à
Arles.
,\larseille, le 4 mai 1951.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général}
Représeotanls des Employeurs
Membres litulaires
,l''IL CO,IITE He-nrj, 11 bis, rue de la Rotonde, Arles.
.
.
ZrrrA Aime, villa A,ndre, avenue VICtor-Hugo, Arles.
VfAN .Marc,
La Suzanne " Berre.
.Membres suppléants
.\1.'.1. PAGES, mas de l'Amérique, Salin-deGiraud.
BELLON Roger, mas d'Ampho ux, En-
tressen.
SARDOU Pierre,
gnac.
les Vignerolles, Gi-
Représenlanls des Empfoyés
el Ouvriers Agricoles
Membres titulaires
MM. BRIGANTI Eugène, Bourse du Travail,
Arles.
VAOUElTE Pierre, La 'Grande Porcelette, ,lias-Thibert
GRIGNARD Marius, Domaine de Peaudure, A,rIes.
Membres sltPpléants
IItM. PAILLET Félix, Saint-Andiol.
LO~~BARU Pierre, à Alas-Thibert.
THO,\\AS Ouslave, à Mas-Thibert
Art. 3. -
Le Secrétaire Général de la Pré-
fecture, l' lngénieur en Chef Directeur des
Services Agricoles sont chargés, chacu n en
ce qui le concerne, de l'exé cution du présent
arrêté.
Marseille, le 4 mai 1951.
Pour le Préfet :
Le Secrétaifé Général,
LAL'IASSOURE.
LAAlASSOURE.
- - - - «>00«',--__
06B1
AI
COMMISSION PARITAIRE
DU TRAVAIL EN AGRICULTURE
ARRETE
Le Préfet des BouClhes-du-RhOne
Officier de la Légion cYHonn~ur
Croix de Guerre,
---c~oo c>--_
02B3
AG 2
AVANCES AUX COLLECTIVITES
LOCALES PAR LE fONDS NATIONAL
DE COMPENSATION
DES ALLOCATIONS fAMILIALES
J
Vu t'ordonnanee du 7 juillet 1945 relative
à l'institution des Commissions Paritaires du
Travail en Agriculture et à l'établissement
de règlements du travail et le décret inlerrnlOlsténel du même jour ;
Vu l'arrêté du 7 juillet du Ministère cie
f' Agriculture portant applicalion de l'article
premier de "ordonnance susvisée .
Vu l'arrêté du 5 août 1946 du 'Minislère
de l'Agriculture, relatif au renouvellement
des membres des Commissions Paritai res du
Travail en agriculture ;
Vu l'avis de l'Ingénieur en Chef Directeur
des Services Agricoles et du Coiili'ôleur des
Lois Sociales en Agriculture ;
Sur la proposition du Secrélaire Général ,
Arrête :
n
Article premier. - L'arrêlé préfecloral du
avril 1949 est abrogé.
Art. 2. - La Commission Paritaire du
Travail en Agriculture est constituée ainsi
qu'il suit dans le département des Bouchesdu-Rhône :
L'Ingénieur en che r directeur des Services
Agricoles, Président.
L'Inspecteur Départem
Un arrèlé du 27 févri er 1951 a porté de
2 à 5 millions de francs le chiffre limite du
budget <les collectivités locales susceptibles
de bénéficier d'avances sur le Fonds National de Compensation d"s alloeations iamiliales. pour les déparlemenls, communes et
établissements publics autres que nationaux.
Par ailleurs, ces avances ne peuvent être
octroyées que si le pourcenta ge des prestations obligatoires versées au cours de l'an-
née considérée par rapport aux salaires
payées aura élé supérieur à 15 ". 100.
Les prestations qui, en application de ce
texte, doivent être prises en consi~ration
Sont:
- Les allocalions de maternilé .
- Les allocations familiales • '
- Les aliocatiollS de salaire J nique
- Les allocations prénatales ;
- . L'irJdemnilé compensatrice de l'avantage fIscal dOnt bénéficiaie nïles acrenls chargés de famille au lilre de l'impôi cédulaire
(décret n' 1.555 du 8 octobre 194!l) ;
~ Les allocalions différenlielles versées
par les collectivités tocales à leurs agenls
~ ~exe féminin dont le mari est travailleur
mdependant, employeur ou exploitant agri-
Ne dOIvent pas entrer en ligne ~e c
l'all<>calion d'f logement et les Primes ~~"
nagement et de déménagement qui ne am~
pas compensées par le fonds NationaI"~
Compensation.
t
Pour le P réfet et pa r délégatio
Le Secrétaire Oénéral ~
LMb\SSOURt '
_ __
----c.~OOc>
02 B 3
REMUNERATION
AG Z
DES JOURNALIERS COMMUNAUX
M. le MJnistre de l"IIntérieur vie nt de rn1il'!former, par circulaire télégraphique, que les
dispositions du décret n' 51.364 du 24 m",
195 1, dont vous trouverez le texte ci~e:s
SOllS, sont applicables aux salariés des 01.
lectivités locales embauc hés à titre tempo.
rai re et rém unérés dans les mêmes coodr
tions que les salariés de l' industrie et dg
commerce.
Pour le "'Préfet :
Le Secrétaire Oénéra\
LAMASSOURF.
Le Président du Conseil des MiniSlres,
Sur le rapporl du wlinistre du Travail"
de la Sécurité Sociale et du IMinislre des F,
na nces et des Affaires Eco nomiques ;
Vu la loi n' 50.205 du I l lévrier 1950, tt
notamment l'artic le 31 X du liv re premier du
Code d" Tra vail , tel qu ' il résulte de la~1t
loi'
V;I le décret du 23 aOlll 1950 iJOrtanl fi"
tion du salaire nation al minimum interprofessionnel gara nti ;
Vu l',,' is émis par la Commission Suplrieure des Conventions Collectives i
Le Conseil des Ministres entend u,
Décr"le :
Article premier. - L'article 2 du -dmel dn
23 août 1950, ]lo rl ant fixation cIu sa latte na·
tiona l minimum interprofessionnel garano
est modifié com me suit :
,
« En app li cation de l'arlicle ~I )f du IIVIt
premi e r du .Code d" Travail, prévoyant.
fixation d'un salaire minimum natIO nal mlerprofessio nn el garanti les tralVai lieurs dr
'.1.~ eut
Ul: C
l'un ou l'autre sexe, à , l' exceptIon
qui sont liés à leu r employeur par u~ con·
trat dJap prentissage, âgé~ de dix-hUit a~~
révolus et d'aplit ude ph ySt.que n? rmale,. ~4
Percevront un sa laire horaI re IIlfeneur a
fra ncs recev ront de leu r emp 1oyeur un com·
l 're
pléme~t calculé de façon >à porter le sa 31
horaire à ce c hjffr e,
, bit
« Le ahiffre de 74 francs est apphc~UI
dans la zone dans laqu elle les salaires, 'etermes des arrêtés maintenus tempo,rall '
u
ment en vigueur Ula r l ,a rt·IC 1e 2, de la 1015rap-y
visée dll I l février t 950, sub~ssent, P: la
de
port aux salaires de la premIè re zon , l'ar.
région parisienne définie par l'anne:ett~menl
rété du 2 1 juin 1945 modi fié, un a a
égal ou supérieur à 15 P 100.
la pre'
e 11 est porté à 87 francs pour el subit,
miere zone de la région panslen ne , ce chif'
pour les autres zones, par ra.w ort arétés vifre, les abattements résultant des ar
sés ci-dessus • .
enl d!ArI. 2. - Les dispositions du ~réS du 1"
cret entreront en vigueur à pa Ir
av ril 1951.
'1 1 de 1.
Art. 3. - Le Ministre du Trav;!":n c" et
Sécurité Sociale, le Ministre des 1
----------li---------r---------91
. r le Ministre des Travaux Publics,
l'IntéTneu 'ports et du Tou risme, le .Minislre
des rans
C
1 M" Ir
l'Industrie et du
omfllerce, e
lOIS e
de,
'culture
le
Ministre
de
la Marine
de l Ag"
hande et le, Secrétaire d'Elal aux Af'larc conomiques sont charg é s, c hacun en
".
faues. El concerne de l' exéculion du présent
e qUI e
,
J
1 Off'
c et qui sera publié au c, our na
1décr 'de la Rep ublique FrançaIse.
clcl )
F ï il Paris, le 24 ntars 195 1.
al
,Henri QU6U ILL E.
__----<.00<.'------AG 5 ·B
D2 B 3
ETAT CIVIL
TABLES DECENNALES
Messieurs les M:ai~es v:oudront, bien p~en~
d connaissa nce, ci-ap res, de~ InstructIOn::,
re 'slérielles relatives à l' établtssement des
mIRI
- de 1'é tat CI'VI
· '1.
1 bles décennales
a le nombre des teui lles doubles (42 cm. x
27 cm,) nécessaires à la confec!lon pes ,tabl s en deux exemplaires devra etre préC isé,
daens le plus bref délai, au 3me Bureau 'de
la 2me Divis ion,
,
Pour le Préfet et !par DélégatIon,
L'e Secrétaire Général,
LM\ASSOURE.
26 Avril 1951
Le Garde des Scea ux, ,Minist re die la
Ju stice à Mo nsieur le Préfet des
Bouches-du-Rhône,
J'ai l'h onneur de vous ~ommuniq~er, so us
ce pli, copie de l'in~tr u ct l?n 1 que l a dresse,
par courrier d-e ce Jou r, a MIM . les Procureurs Généraux, en vue ide la confection des
tables décennales d'e l'étal civil.
.
Cell~ci se ront dressées
sur un papier
spécial de format normalisé 2 1 cm. x 27 cm.
(en feuilles doubles de 42 cm .. x. 27 cm.)
fourni aux pré fectures par le ~'\ lnlster e des
Finances (atelier g énéral du TImbre, 9, rue
de la Banque, Paris).
Je vous serais obligé, en conséquence, de
bien vouloir demantder d' urgen ce à ce servIce de vous faire par ven ir la qua ntité . d~
feuill es doubles, nécessaire à la confection,
en deux exemplaires des tables décennales
des communes de ~otre Départe ment. lCes
feuilles vous sero nt dé li'vrées gratuitement,
dans les mêmes conditions que le papier destiné à la confection de s reg istres annuels de
l'état civil. Il vous appartiendra d'e n ass urer
la répartition entre les communes,
le crédit ouvert au chapitre 3 120 dll blldget de mon Département pour la confection
des lables décennales élant tres limilé, je
vous saurais rrré -de ne commander à l'Atelier du Timb;e <lue la qllanlité de pap!e:
indISpensable. En outre. si les feUilles del a
f?urnies à votre Préfecture pour la con fechon des regi stres de l'état civil n'ont pas élé
e~tiè,re~el1t utilisées, le re liquat devra ê tre
distribue aux mairies en vue de la confeclion des ta bles à la condition toutefois que
le formai du papier ulilisé soit le même
P?ur toutes les Communes d'un même arron• dissement judiciaire,
les lables lIn e tais dressées seront reliées
~~~ les soins des co mmunes dan s les Co n,1~lons déterminées par mon in trll ction ciJOinte à I/\\M. les Proc ureurs Gén éra ux,
P. le Garde des Sceaux,
Minislre de la Ju stice,
Le Directeur des Affaires Civiles
et du Sceau :
34 J.I S.c.
S. C. 34 J. 1
Le Garde des Sceaux, Ministre de la
j ustice à Monsit!ur le Procureur Gééral re' s 1 C r d" ""el d
n
p
a ou
'VY
U 0
Le décret n" 5 1.284 du 3 mars 195
. 1 d. 9.
dtl 7 mars) et l'a rrèlé d'app li calton
il
mars 195 1 (J . O. d u 17 mars) prévoient les
conditions dans lesquelles seront établies, à
1
l'aveni r, les tables annue ll es et décenna es
des actes de l'état civi l.
La princLpale innovation apportée par le
décret préCIté co ns iste à con.fier aux maires
le soi n de dresser les tables d'écen na les q ui,
e n application du décret du 27 février 19 13,
étaient établies par les greffiers des tribunaux de première instance.
Ce trava il est donc â la c harge des communes. Seul le coût des reg istres co ntenant
les ' tables doit, en a;pp li cation de l'article 6
de la loi de finances du 13 novembre 1936,
élre supporlé par l'Etat.
.
:.
L' artide 8 du décret du 3 ma rs 1951 prévoit notamment que c les tables décennales
pou r la période comprise entre le 1er janvier 1933 et le 301 décembre 1942, et dont
l'établissenJenl a élé différé pa r le décret <lu
23 mai 1943 serpnl dressées avant le 1er
janvier 1952 >.
.
Il convie nt don c que vous donni ez dès
mai ntena nt toutes instr m:tions utiles a ux 01fi ciers de l'état civil de votre resso rt pour
qu'ils entreprennent, ,sous le contrôle de vos
substituts, la confectio n de ces tables,
Cell es- ci qui devront comporter 20 noms
par page, 'seront <1ress~es sur le papie r !:4pécial de format normalisé 21 cm. x 27 cm"
fourni par le Ministère des Fin~nces (Atelier du Timb re) po ur la confechon des rerrislres de l' étal crvil. Cette mantère de fatte
~ssure un e présentation uniforme des tables
décennales po ur toutes les communes, sur
un papier de bonne qualité, co mp orta nt le
timbre rouO'e " état civil ».
Par cour~î er de ce jour, je demande à MIM,
les Préfets de passer com ma nde à l' Alelie,
du Tim bre de la quantité de papi~r nécessaire à la confection des tables decennales
de leur départem ent, et d'ell assur~~, dans
le !plus ,bref 1éla i possib le, la réparti tIOn entre les communes.
,
.
j e les illfo rm e to utef?is que SI les feuilles
déjà fourni es à leur p ref~~ture P?ur, la confect ion des registres de 1 etat CI\~1\ n ont pas
été entièrement utilisées, le relJquat d~vra
servir à dress er les tab les décenn,ales ~. I~
condition q ll e le format du papier utJ~l se
soit le mê me po ur tout~s ~e~ .c o mmun es rd un
mème a rrondissement JudiCiaire.
•••
Les ta bles ull e fois d ressées se ront ~ eli ée~
par les soins des co mn,lllll es. ~I c~ n v l ent ,a
cet érl'ard que l'exe mplaire destlllé a la m~l
ric soit pourvu d'une relil~re, en carton, épaiS,
avec dos en toile. PrOVlsO\rem~nt, 1 ~xem
plaire desti né a u greffe devra etre Sim plement broc,hé, de manil're à permettre la r,eliure en un seu l vo lume 'des tables des différentes commu nes de l'a rrond'isse ment. Cependant s i la table décen nale d'une gra~de
ville Il e' peut, en ra iso n de son vo lum e, cfre
reliée avec les ta bles des autre~ communes,
l' exemplaire de. cetle table destlO é all greffe
de la Réd e-vra, S ur déc isio n du
. Procllreur
é
t
pu blique, être re li é separ men .
Les tables devant être achevées au
reliure aura lieu, en principe, à comp ter de
cette date. Toulefois, un cr~dit permetlant le
remboursement d' une parlie de la dépense
ayant e' té o"'vert au bungpt de ma Chancet~,
lerie pour l'exercice 195 1, l"a i procédé à sa
réparlition entre les différentes Cours d'Appel
La somme affeclée à votre Cour est de
francs.
Il convient que cette somme soit répartie
p:u- vos soins entr~ les a rrondissemen ts judiciaires de vot re ressort. Vos substiluts determlnerO ll t alors, compte tenu du créCit
qui leur aura été attrib ué, quelles sont les
com mun es de leur arrondtssement dont les
tables décennales pourronl elre reliées au
Cours de J't:xercice 1951 ; ils indiqueront
a ux Maires des com mun es ai nsi désignées la
somme dont elles pourront disposer â cet
ettet.
Les mémoires des frais de reliure, constatant q ue les tables onl élé dressées, dev ron t
être établies par les communes, en deux
exemplaires, adressées à votre Parquet générai qui en certifiera l'exactitude et les
transmettra â ma ChanceUerie sous le timbre : Direclion du Personnel et de la Co mpta bilité (Bureau de la Complabilité). Les
crédits nécessaires à leur mandatement serOllt alors délégués a u Préfet lerritorialemet>t
co m.petent, qUi impu te ra la dépense Sllr l,a
dota tion du chapilre 3. 120 d u i>udgel d u minis tère de la J uslice.
Le total de:; mémo ires ad ressés en 195 1
à ma C hancellerie par votre Parquet gênerai ne devra en aucun cas dépasser la dotation indiq uée ci-dessus.
j e VOliS saurais O'ré de bien vouloir prendre to utes mesllr~ utiles e n vue de l'execultOn, dans le plus bref dcla i. d." p résenles instru ctions,
P. le Garde des Sceaux,
Ministre rie la justic e,
Le Directeur des Affaires Civiles
et du Sceau :
Signé : FHBCHE.
----(>00<>,----
02 B 3
f 0
AIDE flNANCIERE ACCORDEE
PAR LES COLLECTIVITES LOCALES
AUX SOCIETES SPORTIVES
PROfESSIONNELLES
J'ai l'honneur de porter ci-après à la fOI1naissance des Maires du D eparl('ment le
texte de la circulaire ministérielle Il'' 1+1
du 26 ulIril 195 1 concernant l'aide, /inwlcièr:·
apportée par les collectivités lOcales aux so-
ciétés Sportives professionnelles.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Géneral.
LAiJ\IA SSOURE .
Le Président du Conc;ei l, ~\\ in i s~rt! de
l' Intérie ur, à Ale sie urs les P réfeh-;
et Sous-Préfets de la Mélropole el
des départements d'outre-mer,
Dans son de rnier rappo rt public, la Cour
des Comptes a ëté amen é~ à fomluter, c~r
taines critiques en ce qUI conce rn~. J aide
fin a ncière appo r t(:e Ipar un e ('ollec~lvlté .10:
cale à ll'n club professionnel spo rt if .. ,alOS:l
que la pan~icipalion de. celle collecltvl t é, a
.
la ~estio n de cet orgalllsme.
j'attire votre at1ention su r 'e fait que les
spo rti ves professio nnel
QlII
�la Santé sont chargés, chac un en ce qu~ le
conCerne, di! l'execwilon du présent arreté.
.\\arsetlle, le 23 avril 1951.
P. le Préfet el par Délegalion,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
taole doivent confonnemelrt aux disposltians' de la loi' des 2·17 mars lï91 , êtte con-
lde:retS conune des en:repnses privees et
nI! peuvent.
aucun titre. être a~m:i1ées
a
auA. entreprises
de forme comrnerctale ou
coop<rauve a la gestion. desquelles les collet:tl\'!tt!S locales peu,-ent eue amenee.s a parliClp<r en application de I"article 1-1 du decret du 5 nO\'embre 1926, modifiant l'artic,e OS (12") de la loi du 5 avril 188-1.
Il vous appartiendra, en consequence, de
v-eiller à ce que les municij)alités n 'engagenl
en aucune taçon leur responsabilité financière ou adnllnistrati\'e dans la gestion de
ce:; orgamsmes. et even tu~lIem_ent de procéder) conformement aux _dISposlh()~ des ar~
tides 63 et 65 de la 101 du 5 a"nl 188-1, a
I"annulahon des dehberaoons des Conseils
_____
c~ouc
»------
0283
fSO
ATTRIBUTION DE DOTS
A UN CERTAIN NOMBRE DE flLl.ES
DE DEPOSANTS ET D'ASSURES
A LA CAISSE NATIONALE
D'ASSURANCES SUR LA VIE
Anciennes Caisses Nationales des Retrai-
tes pour la vieillesse et 'Assurance en
conque une panlClpa non commlUlale à l'adJ'ai l'hlJllneur de porter ci-dessous à la
mJnLStrauon de socle~es de cette nature.
connaissance de MM. les Matres du DeparO'3U1re pan, ces organisations ne présentement le texte de la ciIcuJoXe de M. le Ditant pas le caractère dïnterêt communal dé-- . rerte'; Oenéral de la Caisse des Depôts et
li01 par mes ClrCuialfes n" 6-18 AD/2 du 22
ConsiglUltions relative il l'objet prticité.
décembre 1~7 et 47-1 AD/ 2 du 2 octob re
P. le Préfet des B.-du-Rh.,
IWS Il \'O IlS appartiendra egalement, en
Le Secrétalre Général,
\'ert~ des dlSpûSltions susvisées, de proceder
LAMASSOURE.
.i l'annulatlon des dehbérations tendant à
leur allouer des cre(hts : soit sous la forme
La Commission SupérieUire de Ja Caisse
de subventions, soit sous la forme de prêts.
La même procedure devra ètre appliquée
aux déhberations tendant à accorder la garantie communale aux prêts contract-és par
Nationale d' Assurances sur la vie a décidé,
dans le but d'encoUIage.,r la prevoya,"ce et
de récompenser les eoorrs des Ipersonn es assurés près de cette institution, de IYfocéder
il. I"attribulion de dots de 15.000 irancs à lln
certain nombre de jeunes HUes choisies paTmi les enfants de titulaires de liv re~ ou de
contrats de ladite Caisse, ayant élevé une
famille nombreuse.
Pour concourir à J'attribution de ces dots,
tes candidates et leurs pa rents do ivent réu-
ces sociêtes.
Pour le Président du Conseil.
MlJ1 lst re de rtntérieur,
Le Préfet,
Dirtcieur de l'Administra/ion Génëralc
Dêpartementale et Communale
Pierre-Jean MOA TTI .
nIr les conditions suÎ\ra ntes :
------·<>OOC)-------
1" Le ,père (ou da mère) doit avo,r effectu é de son plein gré, en dehors de l'al'pllC31,ion des législations su-r les retraites ounieres et les assuran<:e5 sociales et en dehors de toute affiliation à un système co l-
fS 0
MEDECINS AGREES
POUR PRATIQUER LES EXAMENS
RADIOSCOPIQUES EN VUE
DE LA DELIVRANCE
DES CERTIfICATS PRENUPTIAUX
ET PRENATAUX
lectif de prévo yance des versements sur une
assurance de rente ou de ca pita l en cas de
vie ou en cas de décès souscrite à son nom
ou au nom de ses enfants (assu rances "je
entière, mixte, temporaire dota le, terme fixe,
capital différé, rente de survre, rente différée, rente immédiate).
2° Il ne doit pas être aSSu1etti à la s urta xe progressive sur le revenu des personnes phl'.ique:, au ti tre de l'année 1950 (re,'en us de 1949).
. 3" La jeune hile à doter doit apparlenir
a une famille d'au moins trois enfants vi\'all'ts, etre âgés de moins de quinze ans et
n'avoir pas benl-fidé de J'une des daTa tions
accardées .au cours des a nnées precédentes
pa. la. Caisse 'alio nale des Retraites pour
la Vieillesse et la Caisse Nationa'" d'a.;surances en cas de décès.
ARRETE
Le Prefet des Bouches-du-RhôJle,
Officier de la Légion d' honneur,
Vu fordonnance n° 45.2720 du 2 novem-
bre 1945, sur la Protection ,Maternelle et
Infantile;
Vu l'arrête du 15 avril 1946 de hl le Minislre de la Santé Publique et de da Pop ulation er les rectifications parues a u < JOlITna! Officiel .• des 10 ma i et 15 septembre
1946 fixant le modèle du certificat d'examen médJcal 3\"ant le mariage ;
Vu l'avis du Conseil Dépa rtemental de
"Ord re des Médecins ;
Sur la proposition de M. le Directeur Dé-partemental de la Santé,
Arrête:
Article premie,r. - M . le docteur LOGOS,
demeurant il. Marseille, 68, route Nationale,
a Pont-de-Vivaux est agréé pour pra tiquer
les examens radioSl:opiques en \fue de la dé-
livrance des certificats prénuptiaux et prénataux.
Art. 2.
M le Secrelaire Genéral de la
M. le Maire de la
de Mar-
------c~OOc~-----_
068 1
1
D ans le Cas où plusieurs sœurs se trou-
\,'eraient dans les conditions requises. l'a dot
sera attriblJ'ée à la pius jeune. Mais la sreur
cadette d'une jeune fille déjà 'bénéficiaire
d' une pn!cl:dente dotation pelLt, dès sa naissance, ètr.e éLdmise à concou.ri r dans les mêmes .conditions si, depuis l ors, l e père (ou
la mere) a poursuivi ses efforts de pl évoyance.
La Caisse Nationale verse sur des livrets
de c~pital différé la somme nécessaire pour
constituer, au profit de chaque enfant admis
a la
rtltion, la dotation opaj'able quand
R4
PRIX DU PAIN
cas de décès fusionnées.
.\~W1ICjpaUX prè\"Oyant sous une forme queL-
O. D. S.
- -
Les demandes de postul..nts seront exa.
minées par la Caisse des Dépôts et ConSi.
gnations et les .dols sero nt attrib uées dans
1"- limite des disponibih tés en tenant campI.:
1" Du nombre d'enlants ;
2° De reffort de prevoyance des' parents.
Les personnes désirant concou rir pour l'attribullon des dots dont il s'agit, devront en
informer, avant le 1er ju,illet 195 1. le Dire~
I!,ur ( Jénéra'l ci.e la Caisse . des Dépôts el
t;onslgnatlOns (;,6, rue de LI He, à Pans, 7')
qUI leur fera lpêl'rVenllli la formule à remplir
et . leur indiquera les justifiçations à produ:re.
ARRETE.
Le Pré let des
Bouches-du~ône
Officier de la Lég ion d' Honne'u r
Croix de Guerre,
,
Vu les arrêtés prefectoraux des 15 mars
19 août et 25 novem bre 1950 réglementant
la vente et le Iprix du paJn dans 1" dépar'
tement des Bouches-dLl-Rhône ;
S ur la "ropositi()n de ·M. le Secrétai re Générai,
Arrête :
Ar ticle prem ier. - Les prix à la CQ'nsommation des différentes catéO'ories de pain
soumises à tax ation dans le dipartement des
Bouches-du-Rhône sont fixés ainsi qu'il suit
à date r du 7 mai 195 1.
Pain bo~lot de 2 kgs vendu a u poids, de
70 cms de "'ngueur, le kg. : 42 francs.
Pain roulé de 700 gr. de 65 cros de long,
forme c saucisson » ou « coupée >, fougasses, la pièce : 39 francs.
Pa in bàtarod de 300 gr., baguettes de 300
gr., fougasses, la pièce : 22 fran.cs.
Art. 2. - La régl ementation précédente
demeure en vig'ueur (pour toutes Ces djspositions qui ne sont 'pas modifiées par le présent aftT.ëté.
Art. 3. - Le Secrétaire Général de la
P rcfectlhfe est Chargé de I!exéc ution du pr<selt! a rrêté qu i se ra publié au Recueil des
Actes Ad ministratifs de la Préfecture.
Marseille. le 4 ma i 1951.
Pou r le P,refe t,
Le Secrétaire Général délégué,
LAMASSO U,RE.
Je leur serais obligé de bien vouloi r en
fai re assurer la stricte application.
pour le Préfet et ,par d.légation,
Le Secrétaire Général,
LAMIASSOU,RE.
______ c, oo c )------
SC7
INSTRUCTIONS RELATIVES
A LA LUTTE CONTRE LES fEUX
DE FORETS
j'ai ·l'honne ur de r"",peler à MM. les Moi·
res les instructions relatives à la lutte c0!1""
tre les feux des forêts pl1bliées a ux ,Reouells
des Actes Administratifs indiqués cl-apres .
TRAVAUX D'AMENAGEMENT
I1E GARAGES POUR LES ENGINS
DE LUTTE CONTRE LES INCENDIES
DE FORETS
Le Préfet des Bou ches-d u-R hône,
il Messieurs ,les Mai res du D épa rtement,
Dans leur presq ue totalité des com munes
intéressées ont pu assu rer dans des -co nd itions suffisantes le :.ogement des engins qui
ieur ont été procwrés sOIt aux triais du Service Départemental d~l noendie, soit pour leur
propre compte avec une forte subvention de
l'Elat.
Neanmo ins, dans certains cas, il est possible que des trava ux l im ites permettent d'améliorer de façon très sérieuse ,les conditio ns
de garage et d'entretien du matériel et, dans
d'autres, des dépenses peu,vent être a'lJsolument nécessa ires ,en ra,iso n d'évé.nements Sll'r\'enlk) depuis l'a ffectation des engi ns (reprise de locau x par les pro.pr iétaires ,par
exemple).
N° 32-33 10 et 17 août 1950 : instruction
pour la lutte contre les fe"" de forêts; rôle
des communes.
N° 36-37 7 et 14 septemlOre
TVX 5
MODALITES DU PAiEMENT
DES DROITS D'ENREGISTREMENT
AfféRENTS AUX MARCHES
PUBLICS
Paris, le 12 mars 195 1.
Le Minislre des Finances et <k!s
Affaires Economiques
à Messieurs les J\4in istrcs
et Sec l" taires (l'Etat.
Par leltre tOmmune ,, " 5. 138 GLI C 2232
du 23 aoùt 1950, je VOLIS ai indietué Les moda li tés d/ applicat ion de l'article 16, .paragraphe Il, de la ,"'i 'DO 50-55 dl\ 3 1 janvier 1950
(Jou·rnal Olficiel du 1er fCvrier) qui a rétabli le droit proportionnel d'enregistrement
frappant notamment les marchés ,publics.
Ainsi que, par application des article.;
1.705, 1.785 et 1.786 du Code Général des
Impôts, le prévoit, cette instruction, il allpartient en principe aux administrations contractantes de présenter à la formalité de l'enregistrement les .marchés publics qui y sont
asslLjettis. Cependant, si le mon tant des
droits exigibles nlest pas consign é par les
titulaires des marches entre les mains des
représentants qualifiés des administrations
intéressées, ce ux-ci se trouvent déchargés de
cette obligation qui incombe alors aux titulaires d~s ma rchés.
Que la formalit é soit don née à la diligence du t itula ire ou de L'administratioll, les ar-
C'est pou rq uoi, parmi l es créd i'ts allOués
ticles 1.785 et 1.786 du Code Généra l des
au Département pour su,bvent io.n ner l'équipe-
Impôts instituent, pou r la garantie du Trésor, une certaine ,responsabilité à l'encontre
des fonctionnaires normalement compétents
pour faire enregi strer le marché. De .plus,
lorsq ue l 'ad ministration contractante fait enregIstre r l'ac te, ces fonctionnaires doivent,
en vertu de l'article 1.786, rec-evoir en consignation ies sommes nécessaires au paiement
des droits et bont amenés ai nsi à manier des
ment en vue de la lutte contre les incendies
de lorêts, certains ont été réservés afin de
facHiter quelques travaux immobiliers.
Dans le but çl'<'t udier une prenüere tranche de subventions, Messieurs les Maires
sont invités :
a) A étudie r les dépenses qu'i ls estiment
absolument mécessaires à ,la r éaJisation des
~ndit ions
acreptab les de ga rage pou r les
vehIcules qui le",r sont d'éjà affectés et pour
ceux qui, actuellement en cours d'aohat, leur
seront délivrés a'U cou rs des mois de juin
,t juillet 1
b) A fa ire co nn ai"'e ces estimations de dépenses avant le 20 jwn à M. l' Inspec teur Départemental des Services d' lncenclies (case r-
ne des marins-pompiers,
StrasboLlq~, à Marseille)
e~amlOer
9, bou levard
de
qui pourra a lors
la possibilité de demander aU! Mi-
nlSlè re de l'Intérieur ,les subventions nécesIl est précisé que les crédits disponib les à
cetle fm sont très lim ités. Ils ne seront normalement utilisés qu 'en fa\'eur des communes forestières qui ne sont pas cen1:res de seCOlirs contre les 1ncendies 'Ulrbains,
Pour le Préfet et par dé ;jégation,
Le Secrétaire Général,
LAMJASSOU IŒ.
N" 21-22 d u 25 mai et 1er jui,,, 1950 : pr....
vention e1: lutte con tre les feux d'e forêts i
N" 28-29 3 et 20 j u i'Jet 1950 : ",,,;ructi.on
pou r la lutte contre les feux de lorêts ; ro~
des co mmunes ;
0 283
SC 7
D283
saires,
-------·<~o o<~-------
0283
93
------4:,.oo<~-----
fonds .
La prése nle ,l ettre commune a pour objet:
D'une pa rt, de préciser la nature et
l'étendue de la responsabilité des dits fonctionnaires j
- D'autre part, de prévoir les co ndi tio ns
dans lesque ll es ils do ivent recevo~r et manier les fonds consignés entre leurs mai ns.
\. _ Responsabilité des fo nctionnaires
compétents pour soumettre les marchés admi11istratifs à l a formalité de J'enregist rement.
Ainsi qu'il ressort des articles 1.785, 1.786
du Code Gén éra l des Im pôts, ~"\ respo nsab ilité des fonctionnaires compétents des adminisi'rations contractantes pellt f:tre mise en
cause :
_
Soit lorsque les droits ayant été consi-
gnés entre leurs mains ils. ont laissé passer
le délai pré vu pour l'enregistrement du mar-
ché ;
_
Soit lorsqu' aucu ne consignatiOO1 n'ayant
été effectuée dans le délai ent re leurs mains,
il ont négligé de fournir au' receveur de
l'énreg islrement, dans la décade qUl . SUit
l 'expira.tion du délai, un extrait certifie de
l'acte de ma rché à enregistrer.
Em ce qui concerne ,la nature de cette responsabilité il convient d' observer que les ar-
ticles 1.785 et 1.786 du Code Général des
Im pôts n'indiquent null ement que les fonctionnaires des Services administratifs char-
gés de faire enregistrer les ma rchés publics
1
Trésor, à concurrence du montant des droi ts.
Ils prévoient seu:èmellt qlle "'" fonctionnai"
res qurt ont ,reçu en consigrk1tion les sommes
nécessaires au paiemt!nt des d,roits d'enregistremen t et n'ont pas acquitté: ces droits en
temps utile au qui, en l'absence de coosignatio n, ont n égligé d'adresser, en cas de besoin, un extrait de l' acte
de marché
au
comptable co mpétent, so nt tellUS personnellement de payer les droits revenant au Trésor
aÎnsi que les pénalités de retard.
Pou'r " Ilprécier Vétendue de cette respoJlsâbilité. il y a lieu lie tenir compte du falt
que les formules empl O')'ées dans les ar tiole~
1.705, 1.785, 1.786 d u Code Géné ra l· des Impôts ne fon t que reprod u ire il. peu près textuellement les termes des articles 2~, 35, 36
et 37 de la loi du 22 Irimaire an VII complétée, dans ses arti()l~ 36 et 37, par les articles 38 de la loi d·u 28 avril 18 16 et 79 de
la lo i du 15 mai 18 18 (ancien Code de l'Enregistrement, ",rticles 124 § 4, 148, 149 et
150). Or les rè gles à suivre en ce qui concewe l'appr~ciation de la r..ponsabilté personnelle des fonctionnaires n'on t été élabo-
rées par le Conseil d' Etat quà partir de
1910.
Cette circonstance explique que. les. arti-
o~s 1.705, 1.785 et 1.786 du Code G~néraJ
des Impôts semblent, dans le cas particulier,
prévoi r des rè gles spéciales de responsahilité: des fonction naires compé tent s pour fai'"
re en registrer des actes admin istratifs. Mais
en fait, il nfen est rien. Vis-à-vis du T résor,
représenté par le Receveur de l' En regis trement intéressé, c'est l'administration, à la-
quelle appartient les fonctionnaires
comp&-
tents pour faire enregistrer les marchés pu-
blics, qui se trouve débitrice, le cas échéant,
des droits et pènalités, sa uf pour cette administratioll . à se retourner contre les paI'-'
ties (pour la récu,pératio n des droits simples,
ainsi que le prévojt l'article 1.785 § 2 du
Code Géné rab des Impôts et, pou r le surplus, con tre ces fonctionnaireS au cas où il
y a eu de leur part 4: faute personnelle,
telle que la conçoit la jurisprudence dll Conseil d'Etat.
Sr/us le bénéfice de ces précisions, il est
indiqué que, si le t itula~re Se charge de faire
enregistrer le ,ffi-arché, le fonctionnaire qualifié du se rvice co ntractant doit lui demander de l ui envoyer dans ,le délai d'un mois
à compter du jour où ,l'e marché a aequis
sa perfectio n juridique un exemplaire de
l'acte revêtu de la mention d'enregistrement.
Si cet exempl aire ne lui ,parvient pas à l'ex-
piration du délai prevu il doit a'll,tomatiquement
se
conformer aux prescri ptions du deu-
xième alinéa de l' arti cle 1.786 du Code Géne.ral des Impôts et adresser un extrait de
l'ade de marché au Receveur de l'Enregig..
trement compétent.
Piar ailleurs, dans tous les cas où le soin
de présenter le mal"Ché à l'enregistrement se~
ra laissé au tit.tllaiTe, l' attention de ce der-
nier devra être a.ppelée spécialement sur la
nécessité de respecter de façon stricte les rè-
gles relatives à la c,,",pétence des bureaux
d'eDregistoemen.t. telles qu'e'les ont été r.t>pelées daIOs la lettre comm une dit 23 ",oOt
1950 précitée.
II. - Consignation, entre les mains des
fonctionnaires chargés
de faire enregistrer
les march és, des sommes destinées au paiement des droits.
�droits soht
à sa chargeJ
consigner aux
mains des fonctionnaire:;. competents pou r
pr"""nt~r le marche a 13 formalité. les sommes n~l!ssaire.s au paiement des droits conformement aux prescC'ptions de ra rticle 1786
du Code Gent!raJ de; Impôts reproduisant
les termes de l'anic_e 37 de la loi du 22
irimaire an VII.
La consignation entre les mains de ces
fonctionnaires des sommes qui seront utiliSt!e:i à règler les droIts ne constitue pas une
infraction au pnn ipe de la séparation des
fo~tions d'ordo nnaleur ou d'administrateur
et de comptable pose par l'article 17 du décret du 31 mai 1862 portant règlemen t génàat SUI la comptabililé publique.
En effet, les dites !)ommes ne présentent
pas encore le caractère de deniers publics.
Elles demeurent des delÙers privés déposés
en vue du paiement de droitsl dont le montant a e1:t! se uement ~\'aluê à titre previsionnel, mais n'a pas encore éte liquide par
le compta ble de l'adntinistration de l'En registrement, seul qualifie à cet effet. Leur
consignation aux mains des fonctionnaires
compétents ne libèrent pas le titulaire du
marche qui reste susceptible de faire l'objet
de poursuites jusqu'au versement à la Caisse
du Receveur de l'Enregistrement des sommes consignées à conCLlIrence des droits effeclÎvement dus.
Il n'en reste pas moins que le maniement
et la conservation par les fonctionnaires des
services contractants des sommes déposées
en vue du règlement des droits doivent être
évités et il convient de prescrire à ces fonctionnaires de n'accepter la consignation des
droits d'acte sur les marchés qu ' ils doivent
soumettre à rEnregistrement que sous fonne
de chèques établis par le titulaire du marché au nom du Rece,'eur de l' Enregistrement
ès-qualire, quelquefois, par ailleurs, le montant des sommes consignées. Par mesure
d'analogie avec la réglementation générale
applicable en matière de règlements d'impôts.
par chèques, ces chèques seront barrés:
s'agissant de chèques bancaires, le ba rrement sera spécial au nom de la Banque de
France; s'agissant de chèques tirés sur les
comptables du Trésor el sur la Caisse des
Dépôts et Consignati<lns, le barrement sera
général.
Le chèque établi à cet effet et remis par
te ti tulaire au fonctionnaire qualifié de j'administration contractante, devra être a nnexé
au marché correspondant. Dès lors il sela
possible il ce f""ctionnaire de présenter le
marché à la formalité. Il est rappelé à cet
égard que, si le délai imparti pour l' Enregistrement des marchés est --d'un mois à com~
ter du jour où le marché a acquis Sa perfection juridique (1) ; les chèques bancaires
(1) En ce qui concerne les marchés qui
doivent être soumis à l'approbation d'une
autorité supérieure, le délai d'un mois ne
prend cours qu'à compter de la date à laquelle la décision d'approbation parvient ail
f<lnction naire compétent.
remis en règlement d'impôts do iven t, en
principe lorsqu'US sont souscrits di rectement
au profh d'un comptable public, avoi r été
émis soit le jour ou la veifle du jour de leur
remise soit le jour de leu r expédition , à la
poste. 'En conséquence, le fonctionnai re qualifié doit provoque r l'en registrement du marché dés réception du chèque.
Si le titulaire du mart'hé envisage de ré-gler les droits d'enregistrement à sa charge
par vi rement ()li \'ersement a u compte ,CO'tI rant postal du Receveu r, il sera invité - de
même que dans le cas d'u n paiement en numeraire - à faire enregistrer lui-même le
marché. En pa reille hypothèse, il suffira au
service contractant de se con former aux directives rappelées il la fin du titre premie r
ci-dessus.
Pour le Ministre et par auto risation,
Le Directeur de la Comptabilité Publique,
G. D EVAUX.
•
Communiqués· A vis
Annonces diverses
D4 B2
DONS ET LEGS
At.ois publié en exiC1I1ÎoII de J'article 3 du dé~
vel d" 1er février 1896, dans le but d' itlvi.h!,
~s hériti.!rs inconnu.s des le.rt 0te1C1S à pre11dre
IOntl4issGtlce du testome,l/, eu vue de do,me,
lei" consentLmtnt o., (Je prodl4ire leurs 1»oytt'-1
d'opposition..
Lu raJamalion.s ne SOlll recevabln qlle datt s
déltli d.t trois rrwis à partir de l'snsutl'otl
au « ~ulls,jn :l,
Par testame nt olographe du I l août 1950,
liB
déposé aux minutes de M'Albert Lieutard,
notaire à Marseille, 60, rue de Rome,
AI. MarcelrEmile-Armand MOLLIER, domicilié à ~~arseille, 6, rue d'Espagne et décédé le 10 février 1951, a légué la totalité
de ses biens à c: L' Abri " maison protestante d'enfants, SO a, rue Sainte-Cécile, à
Marseille.
Marseille, le 12 mai 1951.
- -- -0
00 0 -
- -- - -
D2 B3
DEMANDE D'EMPLOI
DE SECRETAIRE DE MAIRIE
M. S. BOUCHARD, secretaire de mairie
en Seine-et-Marne, désirerait obtenir un emploi similaire dans une commune de 1.200
à 1.500 habitants du département des Bouches-du-Rhône.
MM. les Maires intéressés par cette candidature voudront bi"n se mettre directement en rapport avec M. Bouchard, demeu.rant à J\lontigny-Ie-Guesdier, par Bray-surSeine (Seine-et-Marne).
----<»00<»-------
-
D2 B3
M . . . tlu.a,. 110,
RÉPUBLIQUE
M.I 1951
FRAN~AISE
"
9 < A!1née.
-- N.miro S,'cial
DES BOUCHE-S-OU-R rtO:N E
OËPARTEMEN1"
.
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Genda rme, retra ité proportionnelle . é
4 1 a ns, rec herche place de O'arde-ch~~gè de
dans une com mune du dépa~tement desPB tre,
ch es-d u-~e.
Ou.MM. les Mai res inté ressés ,pa r cette candidat ure sont p nés de se mettre directe
en ra pport avec M. P ONE Raphaê' de ment
'. meu·
ran t il Céreste (Basses-Al pes) .
Recueil des Actes Adminis ra' Ifs
et 'Bulletin des Mairies
-------<»00<'.------_
•
D2 B3
Toute corresponda n ce rela tive au Rec ueil doit êtr e adr essée à la Préfecture Secré tariat
AVIS D' AD)UDlCATroNS
ET D'APPEL D'OFFRES
Général
SOMMAIRE
Intendance des Subs istances Militaires
Caserne Audéoud
Promenade d e la Cor niche, à Marseille
A. - Légumes seCs
Adjudication publique restrein t.
SUr présentation d'échantillons
Le ma rdi 29 mai 195 1 à 10 heures poUl
la fou rn iture de : '
,
800 x/ m de ,haricols blancs,
400 xl m de lenti lles (vertes, blondes Ou
brunes),
200 x/m de pois cassés,
destin és au Service des Subsistances Mi li·
taires de la P l,ace de MaTseille.
Da te extrême de dépô t de pièces, des
échamtllions et intention de so umissio nner le
17 mai 195 1.
B. - Sucre cristallisé et sucre raffiné
Appel d'off,"s pou r la fourn it ure de :
600 x/ m de suc re cristallisé blanc,
600 x/m de suc re raffiné,
à ,livre r au Service des Subsistances MiIi·
tai res de la P lace de Marseille.
Les soumissions devront parvenir à ,'Intendanoe s usvisée le mardi 29 mai 1951,
avant 9 h. 30.
Tous les doc um ents se "upportant à ces
réalisatio ns sont à consu lter à J1ln tendance
citée ci-dess us.
-
ComœOllQDEs DO SECBETBDlBT
DE l'OllOl DES (IlBIRES
Poges
P ale,
-
_ Loi n' 46-667 du 12-4-46 instituant
un e pro cédure exceptionnelle de vote
par -correspondance, en faveur de certai nes catégories d'électeurs empêdhés
de voter dans les conditions. norma~
...... . . . . . . . . . . .
2
_ Loi n° 46-668 du 12-4-46, instituant
une procédure exceptionnelle de vote
par procuratio n en fave ur d1e certai nes
catégories d'électeurs ...... . .... ,
2
_ Loi n' 46-2 173 du 1-1 0 - 46 fixant à
vingt trois ans l'âge de l'éligib ili té
aux Assemblées ou collèges électoraux
élus au suffrage un iversel et direct.
3
- Loi n' 46-2151 du 5-10-46 relative à
l'él.ction des membres de l'Assemblée
Nationale .......... ...... ... .. .
-
-
-
3
Loi n' 51-519 du 9-5- 195 1, modifia nt
la loi n' 46-2 15 1 du 5- 10- 1946 relative à l'élection des membres de l'Assemblée Nationale ............... .
Pa,..
6
Décret n' 5 1-535 <lu 12-5- 1951 re latif
à l'application de la loi n' 5 1-5 19 du
9-5- 195 1 modifiant la loi n" 46-2 15 1
du 5- 10- 194<i, relati ve à l'électio n des
\"nembres de l'Assemblée Nationale ..
Décret n' 51-536 du 12-5- 195 1 'Po rtant rè glement d'admin ist ratio n Ipublique po ur l'application de la loi n°
51.519 du 9- 5-195 1 portant modificatio n de la loi n' 46-2 15 1 du 5-10-46
rela ti ve à l'électio n des membres de
l'Assemblée Nationale ............
-
-
10
Decret n' 51-537 du 12-5- 195 1 fixant
les mo da lités d'appl ication du titre V
-
de la loi n' 5 1-5 19 du 9-5- 195 1 portant modification de la loi n' 46-2 15 1
du 5- 10-1 946 relat ive à l'élection des
memb res de l'Assemblée Nationale..
10
Liste des 'pièces d'identité exigibles
lors du scrutin pour les élections gé néra les dans les communes de plus de
5.000 habita nts . ..... ............
Il
Décret n' 5 1- 552 du 16-5-1 951 portant convocation da ns la mHropo le,
les dé partements d'O utre-Mer et en
Algérie, des collèges électoraux pour
l'élection des membres de l'Assemblée
Nationale ............. .... ... ....
12
Arrêté fi xa nt les chefs-lieux des circonscriptions du Département des
Bouches-du-Rhône ................
12
AG 14
.o 5B2
Elections des Membres
de l'Assemblée Nationale
VENTE DE MATERIEL
La Commune d'Alla'-OCh met en vente un'
be nne électrique pour enlèvement des ord
res mé nagè res, marque SOVEL. tyl'" A
2 Pa - 3 Tonnes de charae uti le. MiS' en
service en sep tembre 1 949~ Pour tous ren·
seignements s'adresser en mairie d'Allauch.
Le Secrétaire Général de l'Union,
AUDIBERT.
S
Pour le PrHet :
1.4 SlCrl ,.ir, GJfti-r.,z " UMASSOURlt.
ROUY1Lt.l u
,
DEMANDE D'EMPLOI
DE GARDE-CHAMPETRE
Copie ec:rtlit. eoDf~u'mL
œUIIlU · t
•
--~-----------------------.w Sou._
SCRUTIN DU 17 JUIN 1951
UN EXEMPLAIRE DU PRESENT
BULLETIN DEVRA ETRE DEPOSE,
LE JOUR DU SCRUTIN, SUR LA
TABLE
VOTE.
DE
CHAQUE
BUREAU
DE
�•
2
LE GIS LATION
Loi 0 ' 46-667 du l:l avril 1946 instituant
une procédure exceptionnelle de vot~
par correspondance, en faveur de ce ~
laines categories d'électeurs empêches
de voter dans les cond itions norm ales,
(E..trait du Journal Olliciel de la République française du 13 ani l 19-16, page 3.()9.I)
L 'Assemblee
nationale
constituan te
a
adopte,
Le pr~ident du Gouvernement provisoire
de la Republique promulgue la loi donl la
t eneur suit :
Article premier. - Pou r les élections génêraks et les consultations nationales pa r
voie de refe:rendum, les électeurs a,pparte na nt
à l' une des catt?gories pre\'ues à l'article 2 et
qui se troU\"enr absents de la commune sur
la liste électorale de laquelle ils so nt insc rits
peuvent, sur leu. demande exe rcer leur droit
de \'ote par correspondance.
Cette procédure re te exceptionnelle et ne
peut etre utilis~e qu'au bénëfice de citoyens
retenus loin de leur commune à~insc r iptio n
paï des obli~ations légales ou professio nnelles dûment constatées ou des empêchements irréfrangables et da ns les conditio ns
pre\·ues ci-aprtArt. :!. - Peuvent être appelés à ~énéficier
des disoositions de la présente loi :
1" Militaires stationnés su r le terri toire
métropolitain ;
2- .\tilitaires stationnés ho rs de ce te rr i·
toire en des lieux où le délai normal de cou r·
rier est de six jours au plus 2\'ec la métropole.
La liste de~ lieux de stattonnement est établie par arrHé du ,\ \inistre des Armées :
3- Fonctionnaires et agents des administrations ci\"iles dans les territoi res occupés ;
4- Toutes personnes habilitées à résider
a vec les électeurs visés aux alinéas 2 et 3
précédents ;
5° ,\\ariniers, artisans ou salariés et les
m embres de leur famille habitant à bord ;
6· Fonctionnaires, cheminots et agents des
services publics appelés en déplacement par
les nécessités de leur service ;
7° Perso nnel navigant de l'aéronautique
civile :
•
8- Femmes en couches, ma lades, infi rm es
ou incurables en traitement ou en pension
dans les établissements de soin ou d'assista nce dont la liste sera fixée par afiêté du
ministre de la Santé publique et de la POJlulation ;
go Personnes qui ont quitté leur réstdp.:nce
habituelle du fait des événements de guerre
et ne l'ont pas regagné à la date du scrutin .
L'absence des électeu:-s appartenant a ux
ca tegories ci-dessus énumérées doit être moth-ée soit par des obligations professionnell es
en ce qui concerne les électeu rs des catégories J, 2, 3, 5, fi et 7, soit par d'impé rieuses
raiso ns de sa nté, e n ce q ui co ncerne les
électeurs -de la catégorie 8.
Art 3. - Des la publica tion du décret
convoquant les élec teu rs tout citoyen admis
à voter par co rrespondance, en app licatio n
de l'article p:,écédent ded es dispositions
mande, soit personnell em ent, soit par lettre
recommandée adressée au .Maire de la commune sur la liste électorale de laquelle il est
La demande faite sur papier lib re d~i~ indi quer le no m, l~s pren o ms et ~e do mIC ile d.e
l'électeur, 310Si que J'a d~~sse a laqu elle dOit
ëtr~ em·oyée la carte d eledeu r.
L'électeur dOIt joindre à sa d~m a n? e ,un e
a tt esta tion renifia nt qu ' il ap~a rt~ent a 1 u.n ~
des cat~on t!S prt-v ues par 1 articl e premle
de la pr; s ente loi et qu 'il s e trou vera , pour
les ~otifs p ré\"us r~r cet a.rticle, a bsent .de s a
com mun e d'i nscriptio n le JO ur ,du s crutlO .
Cette attesta tion é m a ~ e de .1 l,Ill e des ~uto
rit és do nt la liste sera det erm l n~e pa r ~ecr~t
Dar..s les ctablissem ents de SO I ~ ~ u d a~sls
ta nce, l' attestatio n prév ue a ux a~ \Oeas precedents éma ne du directe ur, dlJ dlre ~ ~eur .écono me ou du mèdecin dire::: teur de 1 etab hssement.
Art. -1. _ L'envoi de la ca rte électo rél:le e.s t
fait par le .\\atrc, so us pli ~eco m,m ~ nd~, d~S
r~ception de la dema nde prc\' ue a 1. article _.
Cet en vOI comprend, ou tre la ca rte rlectoral ~,
une cm·eloppe électo ra le, destinée â r ecevOIr
le bulle tlO de Pin té-~essé.
.
Lorsqut:: l'êlecteu r est déjà en possessIO n
de sa ca rte ëlectorale, il doit dema nde r par
lett re ret:ommandee J'e nvo i d' une enve loppe
électo rale, en joignant à sa demande l' a tt estatio n pré\' ue il l'article 3 ci-dessus.
Ait. 5. - Pour la tra ns missio n de s on
suffraO"e l' électeu r place so n bu lletin de vote
dans lC;-e ~ \·elap.pe électorale que lui a fait pa rveOlr le mai re. Il i n sè r ~ ce tt e envelopp e et sa
carte èlectora le dans u ne deuxième enve loppe
portant la me ntio n : c Elec tions ;) qu' il
adres..<.;e, par lettre recomma ndee au ma ir e de
la commu ne su r la liste électorale d e laq uell e
il est inscrit, en indiquan t le b ureau de VOtl!
mentionne su r sa carte d'électeur.
Art 6. - Les plis co nser vfs par le bureau
de poste destinataire jusqu'au mati n même
du s crutin sont appo rt és par un age nt des
po tes dans la aile du \'ote après le co mme ncemen t des operatio ns.
Ils sont remis au président du bureau q ui
en don ne décharge dans la fo rm e employée
usuellement pou r les lettres recom mandées.
Le prësident ouvre c.haque pli, d onne pu·
bliQuement co nn aissa nce au burea u d e la
carte électorale q u'i l co nt ie nt et, a près éma rg~ment, met auss itôt da ns l' urn e, pou r être
dépouillee a\'ec les autres, l' en'velolJpe ren-
fermant le bull etin.
Art. 7. - Chaque carte électorale est renvoyée par le maire, sous pli recom mandé , dès
le lendemai n des opératio ns, à so n titu laire.
Art . 8. - Les plis qui pa r viennent au bureau de poste après que les opé ratio ns du
scrutin sont terminées sont remis au maire.
Ils sont décachetés en présence des membr es
du bureau ; les cartes électo rales en sont retirées pour être renvoyées à leu r titu lai re et
les enveloppes électo rales sont incin~ r ées
sans avoir été ouvertes. II est dressé pro ces\'erbal de cette opé ration.
L'arrivée ta:-dh'e de plis, pou r quelque
cause que ce soit, n'e ntac.he pas de nulli té
les opératio ns électora les.
Art. 9. - Les différents envois r eco mm andés prévus par la présente loi so nt iaits en
f-a nchise.
Les dépenses qui en résul teront sero nt supportées par le bud~et gé néral, qui rembou rsera au hudget annexe des postes, télégr ap:'es et téléphones les sommes dont celui-ci
aura fait l'avance,
kt 10. - Les dispositions de la
les actes de corruptio n da ns les opérations
électorales s o nt a p plicab les a u vote par Cor~
resp o nda nce.
Quiconque a llra déli\' ré, par co mpla isance
les attesta ti o ns pré \'ues à l'ar ticl e 2 de la pre~
sent e lo i s era puni des pein es p o rt ~es à l'articl e pr~m ie r de la loi d u 3 1 m ars 19 14 susvisé e.
La prése nte loi, déli bérée et adaptée par
l' Ass em blée na ti o na le constit ua nte,
exéc utée co mme lo i de l'Eta t.
Fait à Paris, le 12 avril 1946.
sera
·Féli x GOUIN.
Par le Préside nt du Go u vern ement provisoi re de la I~ép u b l i q u e , s ui ve nt les s ig natures
des minis tr es int éress és.
-------.> 0 0<'-------
(Ext rait du Journ al Officiel de la République
fra nçaise du 13 av ril 1946, page 3.095).
L 'A sse m b l ~e
nat ionale
co nst it ua nte
-
sont établies pa r acte dress é deva nt le commanda nt du navi re.
Art. 3. - La p roc ur a ti o n eS,t ét.a blie sa ns
'5 en présence d e d eux
temo lns et s ur
fra' '
. nte
. entat .lon de l' un,e des pl'è'ces s Ulva
s '.
pres
Livret' p ro fessionn ~ 1 ma ,:" 1't 'I r.n~ po ur 1es ma. " u com merce hy ret mdl vld uel 0 11 ca rte
rl ns u '
·1'
d' identité mi li ta ire po ur les perso nnels ml 1taires ;
pièces d'id entit é p ro fessi o nn elles po ur les
ionnai res d e ,\' Eta t exe rça nt leur pro fesfonct
sion à bo rd des navn. cs ca'bl'lers e t d e commercc.
Me nt io n de la procuratio n est fa ite s ur la
pièce prése ntée.
La procurati o n d o it êt re r evê t ue du v isa ~t
du cac het de l' a uto r ité de\'a nt laqu ell e ell e il
été éta blie.
Lo i n ° 46- 668 du 12 a v ril 1946, instituant
une p rocéd u re e xceptionnelle de vo te
par procu ratio n e n fa ve ur d e c ertaines
catégo ries d 'éle cteurs.
a
adopté.
Le P I ~s id en t du GO llvern ement prov isoire
d e la Republique pro mul g ue la loi dont la
te neu r s uit :
Art ic le pr emier. - Les électeurs a ppa rtena nt à l'une des ca tégor ies ci-après et que
des ob li gatio ns léga lem ent co nstatées re·
tie nn ent éloig nés de la co mmun e s ur la liste
électoral e de laq uell e ils s o nt insc ri ts peu~
ve nt, s ur leur dema nde, et il titre exceptionnel, exe rce r leu r dro it de vote par p rocu ratio n da ns les con diti o ns fixées par la pre·
sente lo i :
1" Marins du com mer ce (insc r its maritimes,
agents du se rvice gé néra l et pêcheurs ;
2° N\a rin s de l' Et at em ba r qués;
3" Nlili tai res des arm ées de l'ai r, de terre
et de m er sta ti on nés da ns des territoires
éloig nes de la métropo le et do nt la liste sera
établi e pa r a rrê t du Mini st re des Armées;
4" Fonc tio nn a ires d 'Eta t exerçant leu r professio n à bo rd des navi res câb liers et de
co mmerce i
Art. 2 - 1. - Po ur les ma rins du co mmer ce, les proc urat ions sero nt établies :
Soit avan t le dél>a rt du navire d' un port de
la métropo le, de J' Algé r ie ou des te rr ito ires
de l'Unio n F ra nça ise pa r acte dressé deva nt
l'ad minist rateu r de l' Insc ription ma ritime de
ce po rt ;
Soit au passage da ns ce port où se trou\'e
une auto rité maritime, co loniale o u conSUlai re faisa nt fo nctions d'administ rateu r de
l' Insc ri pt ion ma r itime, par acte dressé devant
cette a uto r ité ;
Soit, s i le nadre est en mer ou da~~ un
po r t où ne réside pas d'autorité mantl me,
co lo niale o u co nsu laire fr ançaise, pa r acte
d ressé pa r le com ma ndant du na vI re.
Il . _ P ou r les personne ls militaires des
armées de te r re, de mer et de J'air, les, procuratio ns so nt établies pa r acte d resse d~
va nt les offi-c ie rs exe rçant les fo nctio ns ~r
aprés : chef de co rps, comma~dant d ' Unln~
(pou r la ma rine), chef de serVi ce, com.ma
da nt de détachement s'administrant 1501émen t o u à défaut, co mma ndant d 'a rmes.
.
.
d l'Elat
Ill. - Pou r les fo nctio nnai res e . eS
leu r professio n il bo rd des navl r
3
'
.,
.La prése nce du o u de la ma nd ata ire n es t
pas nécessa ire.
Ar!. 4. - Les procurat ions établies par les
malÎns du comme rce so nt \'alab les p e n~ant
une durte d' un -a n à d ater de leu r étab lissement.
La \'alidité des procu ra ti o ns d o nnées pa r
les aut res bénéfi cia ires d e la prése nte loi est
limitée a u s cr ut in po ur leq ue l ell cs o nt été
élablies.
Art. 5. -
Le o u la ma nd ata ire d oit jo uir
de ses dro its élec to ra ux et êt re ins crit dans
la même commune que le ma nda nt.
Art. 6. - La p roc u ra ti o n est étab lie s ur un
imp rimé com po rta nt de ux vo lets :
l' Si ell e a été éta blie d eva nt l' ad mi nistrateur de l' Inscr ipti o n m a r it ime d u po rt
,d'immat ric ula ti o n, ce lu i-ci ap rès en avo ir fai t
men tio n â l'a rtic le ma t ric ulai re d e l' inté ressé,
transmet les vo lets sous pli r eco mm a ndé au
maire de la commu ne sur la liste électorale
de laqu ell e le m a nda nt est insc rit.
Lorsque la p rocur a ti o n a ét é étab lie d eva nt
J'une des a ut res a ut o r it és é numé r ées a u parag raph e premie r d e l' a rti cle 2 cell e-ci t r a ns met sous pli rec omm andé les volets à l' a dm inistrateur d e l'i nscri'p ti o n ma r itim e du po rt
d'imma tri culati o n ; ce d ern ie r fa it me nt io n .d e
la proc urat io n à l' a rticle mat r ic ulai re d e 1' 111tt~ressé et tr a ns met les de ux vo lets a u mai re
de la commu ne su r la liste électo ra le d e laqueUe le ma nda nt est insc rit ;
2" Si la proc ura ti o n es t étab lie d eva.n t Illl e
des autorités d éfi nies a u pa rag ra ph e 2 de
l'.article 2, ce ll e-ci, a pr ès e n avo ir fa it men ·
tian Sur le liv ret m at r ic ule en ce qui co n~cer~~ les homm es de tro upe o u Sll r le livret
Indi Vidu el en ce qui co nce r ne les o ffi cie rs,
transmet les de ux volets a u mai re de la commune Sur la liste électo r a le de la q uell e le
mand ant est inscrit .
3° POur les fo ncti~nn aires d e l' Et a t exe rça.nt leur pr ofessio n à bo rd des nav ires câb !aers et de comm erce, la p roc ur a tio n es t
adre~sée pa r le co mmand a nt du nav ire ft
f~ 'a~ m i n istra t i o n d o nt relève le fo ncti o n na ire
~~t e res~é .. Cette ad mini stratio n e n ass ure la
T an sml SSlo n a u mai re de la co mmun e s ur la
_Isfe . éle ctora le d e laqu ell e le ma nd a nt est
Insent.
tio~ rt.
7. :- A la récepti o n d'un e proc ur ava l b~ta b ll e pa r lin ma r in d e "Co mm e rce et
list: ~ pOur un a n, le maire insc r it s u r la
nom d ecto ra le, à l'e nc re ro uge, à cô té d u
taire .lI man.da nt, celu i d u ou de la ma nd ament ' Mentu:>n de la proc ura t io n est éga le<lu
po rtée . a l' encre r o ulOc à côté du nom
mandata Ire.
~
Les indica tio ns po rtees à l' encre ro uge s ur
la liste élec to r ale s ont reprodu ites s ur la lis te
d'é ma rg ement.
A la réceptio n d ' un e p roc ura ti o n donn ée
pa r lin des aut res bé néf icia ires d e la p résent e lo i et va lable pou r un s e ul s cr ut in, le
Mai re po rte ces ind ica ti o ns s ur la l i st ~
d 'é ma rge ment.
Le premie r volet po rta nt ind icati o n du burea u d e vote d u ma nda nt est re mi s a u ma nd a ta ire ; le seco nd vo let est a nne xé so it à
liste électorale,
soit à la liste
d'éma rge-
ment.
Art. S. - C haque ma ndata ir e ne pe ut dispose r de plus d ' une proc ur at io n.
S i pl usie urs procu r at io ns o nt éte étab li es
a u no m d'u n même ma nd ata ire, la premi ère
en d a te est seu le va lable ; s i ces p rocurati o ns o nt été étab lies le même jo ur, le Ma ire
met le ma nd atai re en d emeure d'opte r e ntre
ses ma nd a nts.
Le Mai re avise le o u les ma nda nts d o nt la
p roc uratio n n' est plus va lab le, pa r l' in te rm édi a ir e d es a uto rités deva nt lesq uell es l' ack
de proc ura tio n a été d ressé.
Art. 9. - Le o u la ma nd a ta ir e pa rticip e a ll
sc ru ti n da ns les co nd itio ns prév ues à l'a rt. 4
de la loi d u 29 juill et 1!}13.
A so n entrée da ns la sa ll e du se ru t in et
s ur p rése nta tio n de sa ca rte é lec to ra le et Li e
sa proc ur ati o n, il lui est r emis u ne e nvelON\C
électorale.
So n vote est co ns ta té pa r l' esta mpi ll age
ci e la p roc ur atio n : un memb re d u b urea u
appose so n pa rap he Ou sa sig na ture su r la
liste d'é ma r geme nt, en ma r ge du nom du
ma nd a nt.
Ar t. 10. - Les ma ndants o nt to uj o urs la
fac ult é d e r ésilie r leur proc urat io n.
La rési liation est effect ive devant les mè·
mes auto r ités et da ns les mêmes fo r mes qUl!
la p rocu ra ti on.
Ces auto rités en in fo rm ent le Mai re et,
ce lui -ci, le ma nd atai re.
Le ma nd at peut donne r un e no uve ll e procu ra t io n, su iva nt les p resc ri ptio ns édictées
a ux a r ti.c1es 2 et 3 ci-d ess us.
Art. I l. - T ou t ma nda nt pe ut vo te r pe rso nnell ement s' il se p r ~se n te au b u reau de
vote ava nt q ue le ma nda tai re a it exercé ses
po uvoi rs, Il se ra ob ligatoi rcmt! nt te nu d e
justi fier d e so n ide ntité et d e prése nter l' une
des pi è:ces visées à l' a rt. 3 ci-dess us.
Art. 12. -
En cas de décès du mandant,
l' a uto rité hab il itée à recevoir les actes de
proc ur a tio n, avise d u décès le Ma ire de la
co mmun e o ù est insc rit le mandan t décédé.
Art. 13. -
En cas de décès ou de priva-
tio n d es d ro its civiq ues du ma nda tai re, \:J.
p roc ur ation est a nn ulée de ple in d ro it. Le
re tr ait d u \'o let est ass uré pa r les so ins de
.
la Mai ri e.
Le Mai re en avise J' autorité qui a reçu la
procuration et cette de rn iè re en informe le
ma nda nt.
Art. 14. - Toute ma nœuv re fra uduleu se
prév ue à ra rt. 2 de la loi d u 3 1 ma rs 19 14,
ay an t pou r but d'enf reind re les ~ i sposi ti ol~s
des art icles p récéde nts se ra p unI e ù~s peines rép rima nt les actes d e co rr uptIo n au
co urs d'o pérations électo r a les.
Les diffé rents envois reco mArt. 15. ma ndés les av is et notificat io ns prévus aux
a rt icles ' précédents sont fa its en fra nchi se.
Les dépe nses qui en rés ulten t sont suppor-
tées par le budget gé néral de l' Etat, q ui
re mbo urse ail budget a nn exe de postes, té-
l
et té léphones les so mmes dont ce-
Art. 16. - La prése nt e loi cst ap plica ble
à l' Algé ri e et a ux te rr itoi res d 'o utre-me r dépenda nt d e l' Uni o n fr a nça ise.
Un déc ret p ris s ur le r a p po rt du Mini s tre
de l' Intér ieur et du Ministr e de la Fran ce
d 'o ut re-me r e n d éterm ine ra les co nditio ns
d 'applica tio n a ux élec teurs no n ci toye ns.
La présente loi , deli bé rée et adoptée pa r
l' Assemblée
Na tio na le
Co ns titua nte,
se ra
exéc utée comm e loi de l'Et'}!.
Fa it à Paris, le 12 al' ril 1946.
Félix GOU IN.
Pa r le Prés ide nt d u Go uve r nement p roviso ire d e la Répub li qu e, s uive nt les si g nat ures des minist res int éressés.
-
- - -(>00 0 - - - - - -
Loi n · 46. 2 173 du 1c r octobre 1946
fixa nt à vingt-t ro is a ns l'âge d e l'élig ibilité au x Assemblées o u coUèges
électoraux élus a u s uffrage un iversel
et direct.
E xlrail du c Journal Offic iel >
de la Républiq ue Française
du 10 oclobre 1946, pa ge 8.582
L' Assemblée
nat io na le
co nstit ua nte
a
ado pté,
Le Prési d ent d u Go uve rn ement prov iso ire
de la Rép ubii q ue pro mu lg ue la loi d ont la
te neu r su it :
Article unique. - T ou t Fra nça is et t o ute
Fr a nçaise ayant vi ngt-trois a ns acco mplis,
peut faire acte de ca ndidature et êt re élu à
l' Assemb lée natio na le et il toute a utre assemblée ou coll ège electora l élu au s uff rag e
un ive rse l et di rect.
La presente loi dé li bé rée et adop tée par
l' Assemb lee nationale constituante, sera exécutée comme loi de l'Etat.
Fait iI Paris, le 1er octob re 1946.
Geo rges BIDAU LT.
Pa r le P réside nt du Gouve r neme nt
prol'isoi re de la Rép ubliq ue,
Le Min ist re de l' I nférieur,
Edo ua rd DEP RE UX.
-------<> OO C;)-------
Loi n ' 46-2 15 1 du 5 o ctobre 1946 rela tive à l'élection des membres de l'Assemblée nationale,
c Journal Officiel > de la Répu blique
Française du 8 oclobre 1946, page 8.494
L'Assem blée
Nationa le
Co nstit ua nte
a
adopté,
Le P résident du Go uve rn ement prov isoi re
de la Répub li que prO mulg ue la loi dont ia
te neu r s uit
T ITRE P REM IER
Généralilés
Artic le premier.
Les dép utés de la
Fra nce mét ropOlitai ne et d es d épa rt ements
de ta Guadeloupe, de la Ma rti niq ue et de
La Réu nion à l' Asse mblée Na ti o na le s o nt
élus au s cr uti n de liste à un to ur avec représe ntatio n propo rtio nnelle, sa ns pa nachage et sans listes inco mpl ètes, co nfo rmément
aux disposi tions de la p r ésen te 101.
Art. 2. -
Le département de la Guyane
fo r me une circo nsc ript io n élisant un d ép uté.
L'élection a lieu a u scrutin un inominal li
�4
Art. 3. -
Le vote a lieu par circonscrip-
bons.
.
Chaque departement fonne une cut:onscription à l'exception des departemenrs des
Bouch"';-du-Rhône, du Nord, du Pas-de-Calais du Rhône de la Seine, de Setne-el-Olse
et de Seine-h~éneure. qui sont divisés en
plusieurs <:ircon criptions, suiyant le tableau
n° t annexé il la présente 101.
Art. 4. - Les élections doivent a,,,ir lieu
le cÎnquième dimanche qui suit la publication du décret convoquant les électrices et
électeurs.
La campagne electorale est Qu\'erte à parth du vingtième jour qui precède la date du
scrutin.
TITRE Il
Préstntation dts candidats
Art. 5. Les candidats ou candidates
d'une liste dans une circonscription électofale sont tenus de faire une dêclaration revêtue de leur signature dûment légalisée.
Les déclarations des candidatures doivent
indiquer :
l ' Le titre de la liste présentée ;
2- Les nom, prénoms, date et lieu de nai~
sanC'e et l'ordre de présentation des candidats.
Les déclarations doÏ\'ent être déposées en
double exemp.1aire à la Préfecture du département, au plus tard vingt et un jours avant
J'ouverture du scrutin.
Un exemplaire reste à la Préfecture, l'autre est immédiatement adressé au Ministère
de l'Intérieur. Il est donné au déposant un
reçu provisoire de la dêdaration ; le récépissé définitif est délivré dans les trois jours
du dépôt à la Préfecture, si la liste déposée est conforme aux prescriptions des lois
en vigueur.
Art. 6. - Plusieurs listes ne peuvent
avoir. dans la même circonsc ription, le m~
me titre ni être rattachées au même parti
ou â la même o rga nisation.
Chaque liste, établie en application des a rticles précédents, doit comprendre un nombre de candidats égal au nombre de sièges
attribués à la circonscription correspondante,
conformément au tableau n° 2 an ne xé à la
présente loi.
Aucun retrait de candidature ne sera admis après le dépot de la liste.
En cas de décés de l'un des candidats au
cours de la campagne électorale, les candidats qui ont présenté la liste auront la
faculté de le remplacer par un nouveau candidat au rang qui leur conviendra. Nul ne
peut être candidat sur plusieurs listes dans
la même circonscription.
Nul ne peut être candidat dans plus
d'une .circonscription ; la loi du 17 juillet
1889 sur les candidatures multiples est appLicable aux électio ns à l'Assemblée Nationale.
Si un candidat fa it, cont rai rement aux
prescriptions du présent article, acte de candidature sur plUSIeurs listes o u dans plu$ieurs circo nscriptions, il ne peut êtr~ valablement proclamé élu dans aucune CITConscription.
Toute liste constituée en violation du présent article est interdite. Elle ne sera pas
enregistrée et les bulletins obtenus par elle
~ront annulés.
En cas de contestation au sujet de l'en reistr.,nelll d'une
les candidats de cette
de Préfecture interd~partemental. Ce tribunal doit rendre dans les trOiS Jours sa décision Qui sera sans appel.
Art 7 _ Dans toutes les listes, les noms
des c~ndidats sont classés suivant l'o rdre de
pr~sentation.
TITRE III
Opérations électorales et attributions
de sièges
CHAP ITRE 1er
Opérations électorales
Art. 8. _ Les Hecteurs des con;munes de
plus de 5.000 habita nts devront prese nter au
pre ident du bureau êlectoral, au mome~: du
vote, en même temps que la. ~arte d e~ec
teur, un titre d' iden.tité ; le ~\tOlstre de Ilntérieur établira la liste des bt res valables.
Art. 9. - Chaque électeur dispose d' un
suffrage de liste donné à l'une ~es. listes en
présence dans chaque circonscnptton.
Art. 10. - Le recensement ~éné ral des
suffrages de liste se fait en publIc pour chaQue ci rconsc ription au chef-heu de cette clrJ:o nscripti on, dès l '~e ure de fe;me_ture du
scrutin et au fur et a mesure de 1 arrivée des
résultats et des procès-verbaux, et. est achevé au plus tard le mercredi qui SUIt le. scrutin. En cas de sectionnement, le chef:heu de
la circonscription sera fixé par arreté préfec to ral.
Le recensement est opéré par une . Commission composée du président du. Tr~bunat
Civil, président, de deux juges d~slgnes ?ar
le premier président de la Cour d appel, d un
conseille r genéra l et d'un chef de ~lvlslon de
la Préfecture, désignés par le Prelet.
En cas d'empêchement ~' un de~ membres
de la Commission, le premler préSIdent de la
Cour d'appel ou le Préfet désignera respectivement le suppléant.
Un représentant de chacu ne des .Iistes de
candidats, désignê par eux, peut assister aux
opé rati o ns de la Commission de recensement.
CHAPITRE Il
Répartition des sièges entre les listes
Art. II. _ Le nombre des sièges de députés de la france mét ro politaine est fixé à
cinq cent quarante-quatre.
Art. 12. _ Le nombre des sièges affectés
à chaque ci rconsc ription est ét~b~i comme
l' indique le tableau n° 2 an nexe a la présente loi.
Art. 13. - Les sièges sont ré~artis dans
chaque ci rconscription entre les dIverses Itstes suivant la règle de la plus forte moyenne. Cette règle consiste à conférer successivement les sièges à ce ll e des listes pOUl
laquelle la division du nomb re des suff~ages
de liste recueillis pa r le nombre $les SIèges
qui lui ont été déjà confé rés, plus un, donne
le plus fort rés ult at.
CHAPITRE III
Répartition des sièges
entre les candidats
Art. 14. - Les électeurs peuvent utiliser
l'un des bulletins de vote imprimés par les
soins des candidats o u éc rire eux-mêmes
leur bulletin. Est nul tout bu ll eti n imprim6
différent de celui qui a été imprimé par les
Art. 15.
Les sièges revenant à une liste-
sont attribués suivant l'ordre déterminé par
les électeurs.
La liste est établie d'après un ordre prefërentiel, mais t'electeur peut le modifier à
son chOIX en inscrivant un numéro d'ordre
en face du nom d' un, de plusieurs Ou de
tous les candidats de la liste.
Art. 16. Le bureau d' une section de
vote, ap rès avoir totalisé l.es s~lff~ages de
liste recueillis par chaque liste IOdique distinctement l e nombre des bu~l~tin~ de votE!
qui nC portent a ucun e modification et Ir
nombre de ceux qui présentent une modifi·
cation autorisée. Ces derniers sont joints au
procès-verbal et adressés à. la. Commission
de recensement de circonscnptlon.
Au cas où le no mb re des bulletins de vote
modifié est inférieu r à la moiti é du total
des suffrages de liste recueillis par une I~s.
te la Commission de rece nsem ent de Cuc~nscription établit un classement. de c~n
didats co nforme à l'o rdre de present~,tlOn
et attribue suivant cet o rdre les Sleges.
conférés à la liste, en appl.ication de l '~ r
ticle 13. Dans le cas contraIre, la CommIssion procède de la mani è re suivante
Le prés ident de la Commission complète.
à l'e ncre rouge, les ~u",!éro~atio~s incomplètes qui pe uve nt aVOir eté I~SCTltes .d~ns la
colonne de droite des bulletinS ~odlhé~, en
suivapt à cet effet l'o rdre de present~tlon.
La Commission établit sur combien. d~
bulletins modifiés ou non, chaque candidat
a reçu le n° 1 ; le candi ~at qui a reçu le
plus g rand nombre de fOlS ce numéro est
olassé premier.
La Commission établit ensuite sur combien de bulletins modifies ou non, chacury
des candidats. autres que le candidat classe
premie r a reçu le numéro le meilleur (n - 1
ou n° 2) ; le candidat qui a reçu le plu.
g rand nombre de fois un tel .n umé ro est clas·
sé deuxième, et ainsi de sUIte.
.
Les sièges revenant à une liste so~t .at.tubués s ui vant l'o rdre de classement a1l1S1 etabli. En cas d'éga lité da ns le classement, est
proclamé élu le candidat le plus agé.
Art. 17 . - Les ca nd idats d'une list~ sont
appelés suivant l'o rdre de classement a rem·
placer les députés élus sur cette liste, dor
le siège deviendrait vaca nt par décès, d
mission ou autre cause.
Art. 18. - En cas d'annulation des opért
tions électo ra les ou à défa ut total de ~epr t
sentation dans une "Circonscription, Il .esll
procédé dans les deux mois, à une électio
partielle.
TITRE IV
DI'spositions relatives à l'Algérie
Art. 19. _ Les dispositions de l~ loi ~::f
torale de la France métropoht q 1l1e,
t
celtes du deuxième alinéa de I~ art. 3dJ'}~~S
applicabJes à l'AJgéri e, dans les con 1
indiquées aûx a rti cles suivants.
Art. 20. _ Les déclarations prévues fr~~
l'art. 5 de la prése nte loi dO Ive nt
adressées au Préfet du département.
..
attribu~
Art. 21. - Le nombre de SIeges le preà l'Mgé rie est de 30, dont 15 pour collège.
mier collège et 15 pour le deuxlè;,e les ciFeront partie du premier coll gei les citoyens français non musulma;~ d~termjné5
toyens français musulmans d la d 7
l'article 3 de l'ordonnance u
. . . . .1iI
-
t de la guerre 1914- 1918, les titulaires de
ta"er' de aue rre 1939-1 940 pour faits d'arIa ou<
~
. 1a"Ir es d e 1a C rOlx
. de
erson nels
les tltu
mes Pe des ca~pagnes de la libération, les
~~r\es du certificat d'études primaires, les
ut al s "lèves ayant fréquenté un établisseancIen
<
6
' 1 4
1
e t secondaire de la me a a me casse
m l" s','ement et les membres élus, actuels et
Inc U l
' d . . t t'
d
anciens, des co nseils dJ.a minIS ra It?11
les
sociétés indigènes de prevoya nce a r Isana es
et agricoles.
Art. 22. - Les sièges so nt réparlis de la
ma nière suivante :
Premier collège: département d'Alger: 6;
département d'Oran, 5; département de
Co nstantine, 4.
Deuxième collè ge : département d'Al ge r,
5 . département d'Oran : 3 ; département
de' Constantine : 7,
Att. 23. - Les autres modalités d'application de la présente loi à l'Algé rie feront
j'objet d'un décret pris en Conseil des miJlistres, sur le ra pport du Ministre de l'Intérieur.
TITRE V
Propagande électorale
Art. 24. - Pour assurer a ux lIstes en pré:sence l'égalité des moyens au cours de la
campag ne électorale et e~ rai~on de la pénurie tle papier, il est attnbué a chaque Itstc
de circonscriptio n, déclarée conformément à
l'article 5 de la présente loi, une quantit&
de papier permett a nt d'assur~r la I?ropag.an-.
de par voie d'a~fiche et de CirculaIres, ainSI
que l'impression des bulletins de vote, dans
Jes conditions indiqu ées ci-a:p rès.
•
Art. 25. - Cette quantité comprendra
pour
'thaque liste de circonscription :
10 Trois a f·fiches dont les dimensions ne
<lepassent pas celles du format colom bie t
(0 m. 63 x 0 m. 90) destinées à êt re appoées durant la période électora le, sur les
emplacements déterminés par la lo i du 20
mars I!H4 ;
20 Trois affiches destin ées aux mêmes
tmplacements, dont les dimensions ne pourront excéder ce ll es du sixième du format
<olombier (0 m. 2 1 x 0 m. 45) en vue d'annoncer la tenue des réu ni o ns électo ral es ;
3' Deux circulaires de format 0 mètre 2 1
, 0 m. 27 ;
g neront un mandataire qui participera aux.
travaux de cette Commission avec voix
cons ult ative.
La Commission aura son siège au tribuna l du chef-lieu de la circonscription.
Art. 27. - La Commission sera chargée:
a) De fournir les enveloppes nécessaires à
l'expédition des circulaires et de faire preparer leur libell é j
b) De dresse r la liste des imprtmeurs
ag réés par elle pour procéder il l'impress ion
des docume nts électoraux j
c) D'adresser, quinze jours a u plus ta rd
avant le scrutin, à tous jt:s électeurs inscrits
dans la circo nscnption, qui ont dema nd é à
vo ter pa r co rres po ndance, e n application des
lois en vlg ue uÎ' sous une même enveloppe
femlée qui sera déposée, à la poste et transportée en franchise, une circula ire accompagnée des bulletins de vote de chaq ue lis te
de candidat ;
d) D'adresse r di x jou rs au plus ta rd avant
le sc rutin, à tous les électeurs de la ci rco ns·
cripti o n, sous une même envdoppe fe rm ée
qui sera déposée à la poste et transportée
en fra nchise, une circulaire accompagnee des
bulletins de vote de chaque liste de candi-.
dat j
e) D'adresser, cinq jours au plus ta rd
ava nt le scrutin, une seconde circulaire de
chaque liste de candidats dans les conditions indiquées au paragraphe d) ;
f) D'envoyer, dans chaque mai rie, sept
jours a u plus tard avant le sc ru t in, les bulletins de vote de chaque liste de candidats,
en nombre au moins égal a u nomb re des
électe urs insc rits et au plus éga l a u double
de ce de rni er nombre.
Le Maire aCCusera immédiatement réceptio n des bulletins par lett re recomm a nd ée
adressée au président de la Commissio n.
Le jou r du scrutin, il mettra les bu ll etins
à la disposition des électeurs da ns tous les
bureaux de vote. La surveillance des bull etins sera ass urée par un emp loyé muni cipal.
Art. 28. l ' Les candidats de chaque
liste feront procéder eux-mêmes à l'impression de leu rs bulletins, circulaires et a ffic hes
dans les co ndi tions suivantes:
Ap rès versemc ot du cautionn~ment prévu
à f'article 29 de 1" présente lOI, l'e mand ata'Îre de chaque liste .ta it connaître a,~ pr~""
sident de la CommiSSIO n le nom de 1 tmpTl4 Un nomb re de bulletins égal au triple , me ul' qu ' il a choisi s ur la liste des imprimeries agréées. Le Ip résident lui rell~et U!l bon
du nombre des élect ri ces et électeurs insde commande à l'adresse de cet Impnmeur,
crits dans la circonscription, les bulleti ns ne
valable pou r {'impression de bulletins, circuPouvant dépasser le format 0 m. 20.0 m. 12.
laires et affiches en quantité ég"a··e à celle
Art. 26. - Vingt-cinq jours avant la date
que fixe l'a rticle 25 pour chacun de ces imdes électI ons, il sera institué au chef- li eu de
primés ;
c~aq.ue circonscription électorale, une Com20 Le m a ndataire de chaque liste doit remISSI on ainsi composée :
mettre a u président d~ la <;-Omm.ission les
. Un président du Tribunal civil ou un maexemplaires de la premIère CIrcula Ire et une
gIStrat désigné par le premier préside nt de
quantité de b ulletins égale ou do.uble d u
ladeou r d'Appel de la circonscription, prénombre des électeurs: inscrIts, seIZe jo urs a u
SI ent .
moin ava nt la date d u scrutiln ~t les exemLe Trésorier-Payeur gé néral ou so n renlaires de la seconde circulaire dlx jours a u
présentant .
!"!toin
... avant cette date.
Un foncti~nnaire de la Ipréfecture dési"'nê
par le Préfet .
0
Le man dataire a la facu lté de reme ttre
é!:!la lement tout o u paTltie du s urpl'lls des bulLe Directeu: dép a rtementa l des Post.s ou
Son représentant .
lètins do nt dispose la liste ;
L'arChiviste dép'a rtemental ou son rep ré
3/l Les ca ndidats feront eux-mêmes pro'Sentant.
céder à l'apposifon de leurs affiches;
Un ch'ef d e division de la Préfecture, se.c
4" La Comm:ssion ne sera pas tenue de
Crdaire.
l'envoi des j mprimé~ visé~ a u pa rar-raphe.2
Pour chac
d
.
,
ci-dessus
1 ne lU I auraIent pas dé rem Is
sure d
une es Itstes, au fur et a me• leur déclaration, les candidats désiaux
D
Art. 29. - Dans les quarante-huIt heures
qui suivent la déclaration de candidature
prévue à l'article 5, le I114lndataire de chaque
liste de circonscription doit verser entre les
mains du Tréso rier-Paye ur gé néral du département, agissant en qualité de préposé de La
caisse des dé pôts et consignations, un cautionnement de vingt mille francs (20.000 fr.)
par candidat.
Art. 30. - L'Etat prend à sa cha rge le
coût du papier attribué aux candidats, des
enveloppes, de l'impress io n des affiches, bul!etins de vote et circulaires visés à l'art. 25
ainsi que les frais ex.posés pour l'e nvoi de
ces bulletins et circu laires.
Les frais d'afficha ge sont rem boursés aux
candidats suiv,.nt un barème établi par décret où il est tenu compte, notamment, du
nombre d'emplacements d' affichage dans la
circonsc ription.
Les dépenses d'essence sont rem bo ursées
aux ca ndidats suivant un barème rab li par
décret où il est ten'u' compte, notamment de
l'étendue de la circonscription.
Toutefois, les frais d'affichage et les dépenses d'essence ne seron1 pas remboursés
a ux candidats et le cautionnement déposl= au
nom d'une liste restera acquis à l'Etat si
cette liste n'a pas obtenu au mOlns 3 p. 100
des suffrages exprimés dans la ci rconsc ription ; dall1s le cas co nt-raire, le cautio nn ement
déposé opar les candi dats leur se ra restitué:
Art. 3 1. - Aucune affiche, à l'exception
des affiches annonça nt excl us i\rement la tenue des réunions électorales, nt pourra être
appos ée après le jeudi qui précède le scrutin.
Art. 32. - Est inte rdit tout affichage électo ra l autre que celui prévu au présent titre.
Toute il1fractioflo aux articles 25 à 31 cidessus qui Iprévoient la limHation de l'affichage et des moyens de propagande, sera
frappée des peines prévues à l'aTticle 14 de
l'ordonnance n' 45-1838 du 17 aoat 1945
portant réglementation de la propagande
élec tora le.
Art. 33. - L'avanl.-dernier alinéa de l'article 13 de la loi du 29 j,uillet 188 1 su r la
liberté de la presse, mod ifiée par la loi du
29 beptembre 19 19, est complété a insi qu'il
suit :
c Si l'insertion ainsi ordonnée n'est pas
faite dans ~e délai qu i est fixé par le p rése nt
a linéa et qui prendra cours à co mpter du
prononcé du jugement, le d irecteur de la publk ation sera passible d'une pe ine d'emprisonnement de six jours à trois mois et d'une
a mende de cinq mille à ce nt mille francs .~.
Art. 3-1. - L'a rt icle 50 d u décret orga nique du 2 février t 852, relatif aux élections
législatives est mod ifié ainsi qu 'il sUit :
« L'action p ubl~qlle et l'actio n ci\' ile seront
prescrites après six tn<?is , à pa rt!~ d u. jour
çie la proclamation d u r~Sl1 tat de 1 dectlon .. .
Art. 35. - Sur tous les points qui ne seront pas réglés. par la pré"en.te I~i. o u les
ordonnances antC ricures, les diSPOSitio ns léaislatives et rê,.,leOlentaires relatives aux
~le ctio ns gé nér~'fes en vigueur a u 16 juin
19.j() so nt applIcables.
Art. 36. - L 'Assemblée Nationale est élue
pour cinq ans.
Art. 37. - Un décret rendu en Conseil des
min ist res fixera les conditio ns d'application
de la
�TITRE VI
Dispositions relatives aux territoires
d'oulte-mer
Art. 38. - Les territoires relevant du ministère de la France d'outre-mer SOnt repré.. ntes à !"Assembk'e Nationale par des deputés dont le nombre est fixe conformément au
tableau n" 3 annexe à la prisente loi.
AIt 39. - Les é:eeteu rs et électrices serant groupés soit d:tnS les collèges uniques,
SOit daos deux collèges (moyens de statut
français et autochtones)
suivant la nature
des t'ecritoires et conformément au tableau
o· 3 .a.nne:\~ a La prt:Sente loi.
Ar!. .JO. - Sont électeurs :
.- Les personnes inscrites Sur les listes
électorales à la date de la promulgation de
la présente loi j
2° Les personnes rentrant dans l'une que:r
conque d~ categories SlÙvantes :
a) En Afrique OCCJdeotale Française et au
Togo, en Atnque .;quatoriale française, au
Cameroun français, les nanonaux et ressor~nts français
des de\lX sexes âgés de
vmgt et un ans et rentrant dans L'une quel-
conque d~ catégones suivantes :
1<J .~o!ables e\'olues reis que le statut en
-est dehm pour chaque territoire par le texte
régleme.ntaire ;
2· Membres et anciens membres des
assemblees locales (conseils de gouvememen cs, conseils d'administration municipalité
Chambre de commerce, Chambres d'a O' ricul~
tUTe er d'industrie, syndicats agricoles) ~;
3° Memb~ et ancien.s membres, justifiant
annt.--e5 de presence, des associa tion.s, cooperatlVe ou syndica'es, membres et
~Clens membres des conseil- d'administration des SOciétes indigène, de prévoyance ;
4° Membres Cte l'ordre natio nal de la Légion d' honneur, compagnons de la Libé rati~, titulaires de la .'Mdailie militaire, de la
medaJi le de la Résistance française de la
Croix de guerre, de la MédaJlle c~loniale
du Mérite agrico e. du Mêrite maritime d ' u~
ordre colonial français ou de distinctio~s honorifiques locales dont la liste sera fixée
pour c~a':1ue territoire par arrêté du gouvern~ur general ou gouverneur approuvé par le
mlmstre de la France d'outre-mer;
5° Tous les fonotionnalres titulaires Ou
auxilia ires tous ceux qui occupent ou ont
occupe durant au moins deux ans un emploI
permanent dans un établissement commerciaJ, ind~"1:.riel, artisanal, agricole, placé
sous le regtme 'égaJ, ou possédant un carnet
de tra,'ail régulier ;
6° Présiden ts et assesseurs, ti tula ires ou
s~ppl e.ants. des juridictio ns
indigènes, anciens présidents Ou assesseurs, titulaires ou
suppléants, n'ayant pas été révoqués ou démis pour u.n motif entrainant incapacité élec.
torale ;
7° Ai.inistres des cultes
8° Les miHtaires et anciens militaires des
a-rmées de terre, de mer et de l'airJ person.nes classees dans la première ou la deuxième portion du contingent ;
9- Tous les commerçants, industriels,
planteurs, artisans et en géQéral tous les
d'une patente
~e d'eux
collectivités indigénes et tous les chefs de
villages ;
Il ° Tous les propriétaires d' immeubles as:
sortis dr'un ntIe fonoier ou d'un titre étabh
selon le code Civil ;
12" Tous les titulaires d' un permis de
chasse ou d'un pernns de conduire ;
b) Dans les établissements français de
l'Inde. toutes les personnes de nationalité
française inscrites sur les ·Iistes électorales
c A Madagascar et au..x Comores:
1" Les CI (ovens f rança is des deux sexes,
âges de \'ingt ·et un ans inscrits sur les listes
~Iectora 'es ;
2" Les citoyens ayant conservé. leur statut personnel ei les ad ministrës français des
deux sexes, âg1!S de \1ngt..et un ans, rempli ant les conditions !lrévues à l'article Il
du décret du 23 mars 1945 portant création
d'un conseil representatif, ainsi que les mil itaires et anciens militaires des armées de
terre. de mer et de l'air et les personnes
classées dans la première ou la seconde PO"Ttlon du contingen t, tous ceux qui occupent
• ou ont occupe durant au moins deux ans un
emploi +permanent dans un établissement
commercial, industrie;, artisanal, agricole,
place sous le régime légal ou possédant un
carnet de travail régulier, tous les cbmmerçants, industriels, planteurs, artisans et. en
gênerai, tous les titulaires d' une patente,
tous les chefs ou représentants des collectivités indigènes et tous les chefs de viUages,
rous les proprietaires d'immeub 'es asso rtis
d'un titre foncrer ou d' un ti t re etabli selon
ie code ci\'il, tous les titulaires d'un ptrmis
de chasse ou d' un permis de conduire.
Art. 41. - Dans les circonscriptions
n'ayant droit qu 'â un seul élu, \'élection a
lieu au scrutin uninominal à un tOUI.
En cas de vacance lpour invalidation, décès
Ou démission ou pour toute autre cause.
l'élection doit être faite dans le délai de Irois
mo is à partir du jour où la vacance s'est
produite. Il n'est pas pourvu aux vacances
sun'enues dans les six mois qui precèdent
le renouvellement de l' Assemblée Nationale.
Art. 42. - Dans les ci rconscriptio ns ayant
droit â deux députés au moins, l'élection a
!ieu au scrutin de liste à un tour avec représentation proportionnelle, sans ,panachage et
sans listes incomplètes.
Les sièges sont attribués, dans chaque
circonscription, entre les diverses listes suivant la règle de la plus forte moyenne, confonnêment à l'article 13 de la présente loi.
Les cas de vacances. d'annulation et de
défaut tola l de representations sont réglés
par les articles 17 et 18.
Art 43, - Les ci rconscriptions électorales dans les territoires d'o utre-mer scmt établies conformément au tabl eau n" 3 figu.rant
en annexe de la présente loi.
Un décret fixera les limites des différentes
circonscriptions é'ectorales.
Art. 44. - L'élection du député du collège
français de la Cochinch ~n e est repO'Ttée â une
date qui se ra ultérieurement fixée.
Art 45. - Le paragraphe 3 de l'artide 12
de la loi du 30 novembre 1875 su r l' électiOll1
des dêputés est, en ce qui concerne les territoires d'outre-mer, ainsi complété :
c 3" Les hauts commissaires de la Répu-
!>es
toire à Saint-Pierre et Miquelon et aux Co-.
mores. les secrétaires genéraux. les direc_
teurs, cI,.fs de service ou chefs de lnireau
des finances. des affaires politiques, des affaires économiques, de l'administration gef16.
raie, du personnel, de la presse, de la sû rete, de l'enseignement, de.s travaux ~ubli~
des ports et rades, des mines, des transmi~
sions de l'agriculture, des eaux et forEts, du
service vétérinaire et des haras, de l'inSCription mari time, des doua nes, de l'enregist rement et des domaines, des co ntributions directes ou indi rectes, les directeurs et chefs
de cabinet des Ihaluts co mm issai res, des gouvennelU:S O"énéraux et des gouverneurs, les
inspecteu~ des affai.res a~inistrati\'es, les
inspecteurs du travai l, les mspecteurs généraux de ~'e nseignemen~ les chefs de circons-.
cription administ ra,t ive et leurs adjoints jusqu'à l'échelon poste ~nclusi"ement. les administrateurs ma ires :t,
Art. 46. - Les mod. lites d'applic ation du
titre V'I de la présente loi et, en tant que
de besoi n celles du titre V relatif à la pro'pagande éleotoral'e se.ro~t. fixées par décr:t
rendu en IConseil des mlO lst res sur proposItion du IM inistre de lia France d'outre-mer.
____0000----
Loi n ' 51-519 du 9 mai 1951 modifiant
la loi n" 46- 2 151 du 5 octobre 1946
relative à l'élection des membres de
l'Assemblée Natio nale.
(Extrait du « JOllrnal Officiel > de la RIpublique Française du JO mai 1951).
L'Assem blée Nationale et le Conseil de 1.
Republique ont délibéré,
L'Assemblée Nationale a adopté,
Le Président de la République promulgue
la loi dont la teneur suit:
Article premier. - Les a rt icles 1er, 2,,3,
5, 6, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 27, 28 et JO.
de la loi n' 4ô-215 1 du 5 octobre 1946, re·
lative à l'électio n des membres de "Assemblée Nationa le sont modifi és ai nsi qu'il suit ~
c Art. 1er. - Les députés de la Franc<
métropolitaine à l' Assemb.lée Natio nal e sont
élus au scrutin de liste départemental maJo·
ritaire à un tour avec appét;entem.ent des
listes et panacha ge et vote préfé rentIel, conformement aux dispositions de la présente
loi.
c Art. 2. _ Les élections des députés. da;~
les départements de la Guadeloupe.. de
Martinique et de la Réunion on~ li eu a la r~
présentation proportionnelle sUIvant la règ e
du plus fort reste.
c Le dépa rtement de la Guyane fo;me~n~
circonscription élisant un député. L éle 0
a lieu au scrutin uninomin a l à un tour.
« Art. 3. - Le vote a lieu par circo~~~~';
tio n. Chaque département for;ne une Cl< des
criptio n, à l'excepti o n des dep.r!p~~_Ca_
B~uc h es-du-R h ône, du Nord, du .
_Oise,
laIS, du Rhône, de la Seme, de SeiOe-~e Qui
de la Seine-Inf éri eu re et de la Glfon 'plions
so nt divi sés en plusieu rs clr~o nscr;ésente
suivant le tableau n" 1 an nexé a la P
loi. )
- - - -. . 00 ....- - -
-
Préfecture interdépa rtemental. Ce tribunal
doit rendre dans les trois jours sa décision
qui sera sans appel.
c Art. 12. - (Tableau annexé à !"article
12 de la loi du 5 octobre 1946) :
TABLEAU ANNEXE N" 1
(annexé à l'article 3 de la loi du 5-10- 1946)
Division en circonscripti0n.s électorales des Départements des Bouches-du-Rhône,
du Nord, du Pas-de-Calms, du Rh6ne, de la Seine, de Seine-el-Oise
de la Seine-Inféneur el de la Gtronde
DEPARTEMENTS
TABLEAU ANNEXE N' 2
Nombre de siëges attribués par circonscription eleetorale dans la France metropoli-
COMPOS ITIONS
taine et les départements de la Guadeloupe, de la Martinique et de la Réunion.
Gironde:
Ire Circonscription
2e
Ci rco nscriptio n
. . .• . .. ' ..
.... .. ....•. ' ..
c Art. 5. - Les candidats ou ca ndid ates
d'une liste dans un e circonscription électorale sont tenus de faire une déclaration revêtue
de leur signature dûment légalisée.
c Les dt:c1a rations de candid atures doi vent
indiquer :
ciO Le tit re de la liste prése ntée ;
« 2° Les noms, prénoms, date et lie u de
naissance et l'o rdre de présentation des candidats.
'
c Les Mclaratio ns doivent être déposées
en double exemplaire à la Préfecture du Département, au plus tard vingt et un jou rs
avant l'ouverture du scrutin.
c Un exemplaire reste à la Préfecture
l',autre est immédiatement adressé au Minis~
lere de l'Intérieur. Il est donné au déposan t
un reçu provisoire de la déclaration . le
rocépisse définitif est délivré dans les trois
10Ur.; du dépôt à la Préfecture, si la liste
d~posée est co nfo rm e a ux ,prescriptions des
lOIS en vigueur.
Les représentants des départements.
outre-me r présents a Paris pourront d épos~r leur décla ration de ca ndid at ure a u Mi",stère de l' In tér ieur au plus tard vingt-d eux
Jours avant l'o uve rture du scr utin.
d"
c. Art. 6. Plusieurs listes ne pe uve nt
at't'Olr, dans la même circonscription le même
Ire ··t
'
1 ' . ni ~ re rattachés au même parti ou à
a m~me organisa tion.
art~cFhaque liste, étalj)ie en application des
b des préCédents dOit comprendre un noma~e'b e candidats égal au nom bre de sièO"es
co~~o~és à la circonsc ri ption cor responda;te,
au tableau nO 2 annexé à la
Pres' en Olteé m~nt
101.
a/'miS.Aucun
ret rait de ca ndidature
après le dépôt de la liste.
ne sera
c L'app
cadr d arentement n'est possi ble dans le
parti~ e la clrconscripti o[l qu'entre listes de
entre li~tU g roupe ments nationau x o u bien
dat. qu es com~osées uniquement de candi·
group 1 appartiennent à divers pa rtis o u
f
réaliséements
e t
na IO naux.
L'apparentement
~tre éte n~ re d~ux o u plusieurs listes ne peut
candidats uq1'. avec l'assenti me nt de tous Ues
precédemment apparenté•.
« Est considé é
.
Ou grOupeme r .comme nahonal tout parti
candidats d nt q UI presente un ou plUSieurs
ans trente départements au mi-
Arrondissement de Lesparre et de
Bordeaux
(moins les canto ns
de Carbon-Blanc, Créon, Cadillac, Sain t-A ndré - de - Cubzac,
Podensac) ................. .
Arronclisseme nt
de
Libourne,
B.laye, Lan go n et les cinq cantons de l' Arrondissement de
Bordeaux détachés de la premi è re circonscription
CIRCONSCRIPTIONS
>
>
« Cette condition doit se trouver réalisée
par ùes décla rations de ca ndidatures déposées au Ministè re de l'Inté rieur hUIt jours au
plus ta rd avan t l'o uvertu re de la campagne
électo ra le.
« Les déclarations d'apparentement ent re
listes de circonscriptions doivent être déposées il la Prefect ure du Département trois
jours a u plus ta rd avant j'o uverture d e la
campagne éiectora'ie.
c Qui nze jours avant l'ouverture du sc rutin. le Ministre de l' Intérieur est tenu de
faire pu blier par l'intermédiaire des Préfectures la liste des partis o u g roupem ents nationaux.
4: Les apparentements seront, à peine de
nullité, rendus publics dans leS conditions
prévues à l'article 2S de la présente loi. La
déclaration de rupture d' un apparentement
émanant d'une liste doit comoorter la signat ure de tous les candidats de cette liste.
c En cas d'apparentements successifs, le
dernier en date n'est valab le que si les apparenteme nts précéde nts o nt éte régulièrement
romp us ou modifiés dans les co nditio ns cidessus précisées.
c En cas de décès de l' un des ca nd idats
au cours de la campagne électorale, les ca ndidats qui ont présenté la liste auront la
faculté de le remplacer par un nouveau candidat au rang qui leu r conviendra.
c: N ul ne peut être ca ndidat sur plusieurs
listes dans la même ci rconscriptio n,
c Nu l ne peut être candidat dans plus
d'une circonscription. La loi du 17 juillet
1889 sur les candidatures multipl es est applicable aux élections à l'Assemblée Nationa le.
c Si un cand idat fait, -cont ra ireme nt aux
prescripti o ns du présent a rticl e, acte de can·
didature sur plusieu rs :Iistes Ou dans plusieurs ci rconscriptions, il ne peut être val a~
blement prOClamé élu da ns auc un e circonscription.
« Toute li ste constituée en violation du
présent article est interdite. Elle ne sera pas
enregistrée. Les voix données aux ca ndidats
appartenant à cette liste seront co nsidé rées
comme nulles.
« En cas de contestation au sujet de l'enregist rement d'une liste ou d'une déclaration
d'apparentement, les candidats de cette liste
Nomb re
de sièges
Gi ro nde (1 re circonscription) ... . . .
6
Gi ronde (2e ci rconsc ription) .... ...
4
c Art. 13. - Est él ue la liste ayant obten u
la majorité absolue.
c Si aucune liste isolée ne remplit cette
conditio n et si un g roupement de listes apparent ées totalise plus de 50 % des suffrages
exprimés, tous les sièges lui sont attribués
et répartis e ntre les listes appa reJitêes suivant la règle de la plus forte moyen ne.
4: Dans le cas o ù auc une liste ni aucun
groupement de listes ne rempli t les conditions ci-dessus, les s ièges seront répartis à
la représen tation proportionnelle selo n la
règle de la plus fo rt e moyenne, les listes
apparentées éta nt considérées comme une
même liste ; pour l'a ttri butio n des sièges,
leur répa rtition entre elles se fa isa nt selon
la règle de la plus forte moyenne.
« Aucu n siège ne sera attribué aux listes
qui au ra ient obtenu moins de 5 % des suffrages exprimés.
« Art. 14. - Les électeurs peu\'e nt utiliser l'un des bu ll etins de vote imprimés par
les soins des candidats ou éc rire eux-mêmes
leur bulletin. Est nul tout bulletin imprimé
différent de celui qui a été imprimé par les
candidats Ou faisant état d'un faux apparentement.
c Art. 15. - La liste est établie d'ap rès un
ordre de préférence, mais l'électeur a la possibilité de marquer d' une croix, il titre préfé re nti el, le nom d'un o u de plusieurs ca ndidats de la liste, la cro ix étant placée sur la
même li g ne que le nom, avant o u ap rès
celui~i. Ce signe n'intéresse que le classsement de candidats su r la liste.
« Si plusieu rs croix sont placées avant ou
après le même nom, f:jlles ne comptent que
pour un seul signe préférentiel.
« Si le bulletin est panaché, seules sont
valables les croix placées avant ou après les
noms des candidats de la liste.
c Art. 16. - Le bureau d'une section de
vote, après avoir totalisé les suffrages de liste recuoaillis par chaque liste, indique distinctement le nombre des bulletins de vote qui
ne portent aucune modification et le nombre
de ceux qui présentent une modifi ca tion autori sée.
c Au cas où le nombr e des bulleti ns de
vote modifiés soit par signe préférentiel, soit
par panac hage, est inférieur â la moitié du
total des suffrages de liste recueillis par une
liste, la Commission de recense ment de circonscription établit un classement des candidats c<Jnforme à 'l'o rdre de présentatio n et
attribue, suivant cct
les sièges conlé-
�c Dans le cas contraire, la Commission
prOC'ède de la manière suivante :
e Les sièges sont attribués aux can.didats
de chaque liste d'a pres l'ordre de préference
établi en additionnant les \'OIX et les Signes
prëferentiels obte~us par c~acun d'eux, conformément à l'article 15 CI_dessus.
e. Si le total des voix et des signes est le
même pour deux candidats, celui qui a
obtenu le plus grand nombre de voi:;:: est
élu. En cas d'égalité des voix et des signes
l'référentiels, le plus àçé est élu.
e Art. 11. - Afin de pourvoir aux vacances isolées qui viendraient à se produire "Pour
quelque cause que ce soit, il sera. procé.dé
à des élections partielles au serutln maJoritaire à deux tours dans un délai de deux
mois.
e. Art. 18. - En cas d'annulation globale
des opérations électorales ou de ,plusieurs
vacances SImultanées, il est procédé à des
llections partielles dans les mêmes conditions
que celles pre"ues il l'article 13 de la présente loi el dans le délai prévu il l'article 17.
e Sont consid ré
comme vacances simul·
tan~es celles qui.. se produisent avant la
publication du décret de convocation des
électeurs.
e Art. 27. -(alinéa nouveau inséré après
le paragraphe f) :
c g) D'adresser dans chaque mairie, sept
jours au plus tard a"ant le scrutin, les affi.hes format colombier 0,63 X 0,90 prévues
à l'article 25. Le maire devra immédiatement
en aCCuser réception et faire procéder à l'affichage.
e. Art. 28. Les circulaires, affiches et
bull etins de vote imprimés devront mentionner l'apparentement conclu par chacune des
listes intéressées.
c Le préfet devra faire connaître, dans
une affiche officielle ainsi que dans le dernier en\'oi aux électeurs, la liste des apparentement qui, à partir de cette crate, ne
pourTont plus être rompus.
e Les bulletins de ,'ote ne mentionnant
pas l'apparentement des listes ne pourront
~tre acceptés par la Préfecture pour être
envoyés aux électeurs.
« Art. 30. - L'Etat prend" sa charge le
coût du papier attribué aux candi<lats, des
enveloppes, de l'impression des affiohes, bulletins de vote et cîrculaires visés à l'article
25 ; ainsi que les frais exposés pour l'envoi
de ces bulletins et circulaires.
c Les frais d'affichage sont remboursés
aux candidats sui\rant un barème établi par
décret où il est tenu cOm.Pte, notamment, du
nombre d'emplacements d'affichage dans la
eirconscription.
e Les d~penses d'essence sont remboursées
aux candidats suivant un barème établi par
décret où il est tenu compte, notamment.
de l'étendue de la circonscription.
.
« Toutefois, les frais cfaffidhage et le.
dépenses d'essence ne seront pas remboursés
aux can<!idats et le cautionnement déposé
au nom d'une liste restera acquis à l'Etat
si cette liste n'a pas obtenu au moins 5 %
des suffrages exprimés dans la circonscription ; dans le cas contraire, le cautionnement
déposé par les candidats leur sera restitué.
e Art. 2. - 1\ est ajouté il la loi n· 46-2151
du 3 Octobre 1946 les articles additionnels
suivant! :
c Art. 1er bis. - Par exception aux dispositions précédentes, les élections des. déput~ dans les six circonscriptions du departement de la Seine et les deux ci rconscriptions
de Seine-et-Oise indiquées au tableau n° 1
annexé â la présente loi ont lieu à la représentation proportionnelle, suivant la règle d.u
plus fort reste avec panachage et vote preférentiel 5Olon les articles 15 et 16 de la
présente loi.
e Art. 5 bis. - Nul ne peut être candidat
s'il n'est citoyen ressortissant ou admin~stré
français s'il a subi une des conda mnations
prévues' par le décret oraanique du 2 Févri.er
1852, sauf s'il a bénéficié de la loi de sur SIs.
e Art. 10 bis. - Tout candidat ou son
représentant dûment désigné aura le droit de
contrôler toutes les opérations de vote, de
dépouillement des bulletins et de décompte
des "oix. dans tous les locaux où s'effectueront ces opérations, ai nsi que d'exiger
r'inscription au procès-ver bal de toutes observations, protestations ou contestations sur
lesdites opérations soit avant la proclamation
du scrutin, soit après.
e Les modalités d'appli cation du présent
article seront déterminées par un décret en
forme de règlement d'administration publique.
e Le présent article est applicable à toutes
les élections au suffrage universel et direct.
e Art. 10 ter. Sont ap'plicables aux
élections des membres de l'Assemblée Nationale en Algérie les dispositions suivantes :
e. Les assesseurs sont désignés par les
candidats ou les mandataires des listes en
présence, conformément aux dispositions ci après:
e Lorsque, au plus, trois candidats ou trOIS
listes sont en présence, chacun des candidats ou chacun des mandataires des listes
désigne deux assesseurs pris parmi les élec teu:s de la commune sachant lire et écrire.
e. Dans le cas où le nombre de candidats
ou de listes en présence est supérieur à h-o~
chacun des candidats ou chacun des manda~
taire~ des listes désigne un assesseur, p ris
pannl les électeurs de la commune sachant
lire et écrire.
• Si l'ensemble des candidats ou des mandataires des listes omettent ou s'abstiennent
de désigner les assesseurs ou encore dans
le cas de ~cand idat ou de liste unique, les
deux plus agés et les deux plus jeunes des
électeurs inscrits, présents à l'ouvertu re du
scrutin et sachant lire et écrire remplissent
les fonctions d'assesseurs.
'
~ Pour être agréés, les assesseu rs sont
tenus de présenter au président du bureau
à. l'ouverture du scrutin, un nombre de bulle:
hns du candidat ou de la liste Qu'ils représente~t au. moins éga l au nombre des électeurs mscnts au bureau intéressé ainsi qu'un
mandat portant la signature 'légalisée du
candl?at ou du mandataire de la liste en
question. et de faire la preuve qu'ils figurent
sur la ilste électorale de la commune.
cArt. 10 quater. - L'ordonnance n° 45J 8\0 du 14 Août 1945 modifiant le dé cret
du 2 Février 1852 est abrogée.
« Nt. 15 bis. - Les suffrages exp rimés,
les VOIX et les signes préférentiels obtenus
par chaque candidat sont totalisés séparément.
Le nombre de suffrages de liste est obtenu en diVisant le total des voix recueillies
par les candidats de la liste pa r le nombre
de sièges à pourvoir.
-
Nt. 18 bis .. -
II n'est pas pourvu au,
vacances qUI Viendraient a se produire dans
les six mois qui précèdent le renouvellement
de l'Asse mbl ée. >
Art. 3. - L'a rticle 9 de la loi n· 46-2 151
du 5 Octobre 1946 est abrogé.
Art. 4. - L' inscription sur les listes éle<.
tora les est obligatoi re. Un délai sera fi,é
par décret po ur permettre aux électeurs de
régulariser leur situation.
Art. 5. - A titre exceptionnel, les dispo.
sitions de l' ordo nnan ce n· 45-1810 du 14
Août 1945 modifiant le décret du 2 Février
1852 demeurent app li cables a ux élections de
195 1, avec la modification suivante :
Le premi er ali néa de l'article 16 du déctel
organique du 2 Février 1852, modifié par
l'ordonnance n· 45-1810 du 14 Août 1945
et l'article 13 de la loi n· 46-1186 du 24
Mai 1946, est modifié comme suit:
c: Ne doivent pas être inscrits sur les listes
électorales, pendant un délai de cinq années
les condamnés pou r un délit quelconque à
une peine d'emprisonnement supérieure à
deux mois ou à une peine d'emprisonnement
supérieure à six mois, avec application de la
loi de sursis, ou à une amende supérieure il
100.000 francs, sous r éserve des dispositions
de l'article 17 ci-après. ~
Art. 6. - Tout bénéficiaire d'une décision
de revision intervenue dans les conditions
prévues il l'article 9 de l' ordonnance du 15
septembre 1944 relative au rétablissement
de la légalité républicai ne dans les départ..
ments d u Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la
Moselle, pourra réclamer son inscription sur
les listes électorales de la commune où il
est habilité à exercer ses droits CIViqUes.
suivant la procédure prévue au titre 1\ de la
loi du 28 août 1946.
Art. 7. - Le bénéfice de la loi n· ~
du 12 avri; 1946 instituant une procédure
exceptionnelle de vote par procuration en
faveur de certaines catégories d'électeurs est
éte ndu aux militaires combattant en Indochine et en Corée.
A rt. 8. - A titre exceptionnel, aucune des
dispositions de la présente loi n'est applica·
ble aux territoires d'outre-mer dont les élections sont ré gies par une loi spéciale.
Art. 9. - Des décrets pris en Conseil des
Ministres régleront les co nditions d'applica'
tian de la présente loi.
La présente loi sera exécutée comme loi
de l'Etat.
Fait à Paris, le 9 litai 1951.
Vincent AURIOL.
Par le Président de la République:
Le Président du Conseil des J';linistres,
Ministre de l' Intérieur,
Henri QUEUILLE.
Le Garde des Sceaux,
Mjnistre de la Justice,
René MAY5R.
-
Décret n · 5 J -535 du 12 ":lai . 195 1 relatif
à l'application de la 101 n 51-519 du
9 mai 1951 modifiant la loi n " 46-2151
du 5 octobre J 946 relative à l'élection
des membres de rAssemblé e Nationale,
(Extrait du Journal Offici<:l de la République França ise du 13 Mal \90 1).
Le president du Conseil des Ministres,
Sur le ra pPQft du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, et du ministre de IJ'l ntérieur,
Vu la 101 n" 46-2151 du 5 Octobre 1946
relative à l'élection des membres de l 'Assemblée Nationale ;
Vu la loi n" 51-5 19 du 9 ~i 1951 qJorta nt
modification de la loi susvisée,
Le Conseil des Ministres entendu,
Décrète :
TITRE 1er. -
Art. 1er. - Seules les listes dont tous les
candidats ont reçu "investituïe, dans les
co nditions fixées à l'article 3, d'un parti ou
groupement national, peuvent avoir ~)ollr
titre "éHquette d'udit parti ou gro upement
national.
Si une li ste est co mposée exclusivement
de candidats appartenant à différents partis
ou groupements natio na ux, elle devra comparler un sous titre mentionnant l'étiquette
de tous les partis ou groupements nationaux
qui y sont représentés.
Si une liste, qui n'est pas composée intégral~ment de candidats
appartenant à un
parti ou groupement national, déclare prendre pour fitre l'étiq uette d'un 'parti ou Q'TOUpement nationa l, sa déclara tion ne ser; pas
enregistrée.
TITRE II.
DES APPAREN1'ElMIENTS
, !\rt. 2. -
Huit jours au 'Plus tard avant
louverture de la ca mpagne électora le, tout
parl~ ou g~o upe ment, pou r pouvoir se 'PrevalOir "!téneurement de la q uali té de parti
~u gr~upement national, doit en faire la notification au ministère de l'I ntérieur en indiQuant Ilétiquette sous laqu elle il entend présenter des listes ou des ca ndidats.
II doit faire co nnaître par écrit les trois
~embres qu' il ma ndate à l'effet de contre"gner les déclara lio ns d'apparente ment dans
s'os conditions indiquées ' à l'article 3 ci-desus.
pr~\'~' donné
de celle notification récépissé
qU'~rkei le recép l~sé définitif n'intervenant
listes
~ produc~lOn de l'énumération des
iud' ?u aes candidats dans les conditiolls
Iquees à l'article JO ci- dessous.
Art.
doit dé 3" - U
. ne l'IS t e qUI. d é'
Sire s'apparenter
plaire ~o~er a la l'réfecture, en double exemtion
Olt en. meme temps que sa déclaraune dé~1 c.an~ldat ure, soit postérieurement,
10 Ra arahon d'a?parentement :
pOSition Pieelant ,.Ie h~re de la liste et sa com' de cand'ct Is qu Ils resultent de la d écla~ation
1 ature .
d
2° P
----<~oo< :t ---
DES DECLARATIONS DE
CAIND 1DATURf.
,
didats ~;cilsant l'affiliation de tous les cannational, t ~ IIS~~.à un p~r~ ou g'r?upement
dtssus le qu Il est défini à l'a rticle 2 ciSignature ~ ~,éclaration doit comporter la
e Un des trois membres du
ci-dessus dont chacun des candidats se
réclame;
3 0 L'indication de la liste ou des listes
avec lesquelles elle veut réaliser un 3.iPparentement.
Cette déclaration d'appar entement devra
être revêtue de la signature de tous ' les candidats de la liste.
Ne sera pas enregistrée la déclaration
d'apparentement émanant d'un e liste dont
un Ol! plusieurs cand idats ne pourront -justifier dans les co nditions fixées ci-dessus de
l'in vest iture d' un parti ou groupeme nt national.
Art. 4. - Aucune décl arat io n d'apparentement ne pourr a être enregistrée postérieurement au troisième jour précéda nt la campagne électorale.
.
Aucune déclaration de cand idature interve nant apr~s cette date et dans les délais
prévus il l'article 5 modifié de la loi du 5
Octobre 1946 ne pourra être accompagnée
(l 'une déclaration d' apparentement, même si
elle concerne une liste ne comprenant que
des candidats appartenant à des parti s ou
grou pem ents nationaux.
Art. 5. - L'apparentement entie deux ou
plu sieurs listes ne sera va lable que si chacune des listes intéressées a déposé en douhie exemplaire, dans les délais fixés à l'arti cle 4 du p rése nt décret, une décla ratio n
d'apparentement avec l'au t re ou les autreg
listes.
L 'appa rentement ne jouera qu'cntre les
listes qu i ont accompli cette forma lité.
Art. 6. - Un apparentement sera considéré comme élargi si une ou pl usieurs listes
viennent à s'apparenter à deux ou plusieurs
listes dejà apparentées.
Un appar entement réalisé entre une ou
plusieurs listes ne pourra être élargi que s'il
a été enregistré â la Préfecture dans les
délais fixés à l'article 4.
. En outre chacune o.,s listes qui ont déjà
souscrit une déclaration d'a,pparentement devra, dans cette hypothèse, déposer une déclaration comp lémentai re mentionnant l 'é l ar~
gissement de l'apparentement. Cette déclaration devra être revêtue de la signature de
tou s les candidats des listes Mjà apparentées.
Si cette formalité n'a pas été remplie par
toutes les listes déjil apparentées, l'éla rgissement de l'apparentement ne sera pas considéré comme valable.
Art. 7. - ,II Y aura a,pparentements successifs au sens du dixième ali néa de l'article
6 modifié de la loi du 5 Octobre 1946, lorsqu' une ou plusieurs listes déclarent romprt:
l'apparentement précédemment conclu et réaliser un apparentement avec deux ou plu·
sieurs listes nouvelles.
La modification de l'apparentement ne sera
valable que si la déclaration a été enregistrée à la Préfec tu re dans les délais prévus
à l'article 4 et que si cet enregistrement
comporte la signatu re de tous les ca ndidats
de la liste qui entend modifier so n a!J)parentement.
.
Les nouveaux apparentements qui po urront
être éventuellement co nclus par cette liste,
le seront s uivant les moda li tés de l'article 3
et éventuellement de l'article 6.
Art.
ment nnlurront
du 12 Mai 195 1 pour la remise au préside nt
de la Commission de propagande du dernier
envoi des ci r cu laires aux électeurs, c'est- àdire dix jours avant le scrutin.
La déclaration de ruptu re d'apparentement
nC sera valable que si elle comporte la signature de tous les candidats et si elle a été
enregistrée il la Préfecture dans les délais
prévus à l'alinéa 1er du présent article.
Art. 9. - Pou r être va lables, toutes les
formalités relatives aux déclaration's d'appan: ntement, à leur rupture ou â. leur modification devront être enregistrées à la Préfecture du département qu i déli,vrera un reçu
si elles Sont co nformes aux prescriptions des
lois en vigueu r .
Art. 10. - Au plus tard dix neuf jours
avant l'o uverture du scrutin l es .représentants qualifiés des parti s ou groupements
nationaux ayant fait la notification prévu"e à
l' article 2 ci-dessus devront faire con naître
dans une déclaration déposée au ministère de
l'Intérieur les listes ou candidats présentés
par leurs soins dans trente départements au
moins.
1\ leur sera donné récépissé de cette déclaration. con~ormëment aux dispositions de
l' artic le 2 ci-dessus.
Les déclarations
d'apparentement qui
auraie nt pu être souscrites par des listes se
rétlamall t de pa rtis ou groupements ne seront
pas va lables si cellx-c-i n'ont pas soit présenté des listes ou des ca ndidats dans trente
départements soit effectué dans les délais
fixés la déclaration pr.'vue à l'alinéa 1er du
présent article.
Art. Il . - Seuls sont considérés com me
définitivement valables les apparente ments
conclus par des listes dont les ca ndkfats se
ré clament des partis ou groupements nationaux dont la qualité sera constatée dans un
arrêté dl! ministre de l'Intérieur qui de"ra être
publié quinze jours au plus ta rd avant le
scrutin.
Art. 12. - Sont considérés comme départem ents aux termes du cinqui~me alinéa de
l'article 6 modifie de la loi n· 46-215 1 du 5
Octobre 19-16 les départements de la France
métro politaine, de l'AJgérie et ceux de la
Guyane, de la Guade loupe, de la Martinique
et de la Réunion.
Art. 13. - La liste définitive des "p'parentements sera portée à la con naissance des
élec teurs par une affiche apposée à la Mairie et. le jour du scrutin, dans chaque bureau
de vo.te, ainsi que par une note établie ,par
les SOlOS du Préfet, qui sera jointe au dernier
envoi aux électeurs des documents de pro·
pagande.
L'affiche devra être envoy ée à chaque
mairie sept jours au plus tard avant le scru·
tin. Le maire en accusera immédiatement
ré ception ..
Nt. 14. - Les bulletins de vote devront
obligatoirement faire état des apparentements
enregist rés par les préfets dans les délais
visés à l' article 4 et dans les conditions prévues il I"article 9.
Les bulletins de vote imprimés émanant
d'uDe liste composée de candidats aya nt reçu
l'investiture de deux ou plUSieurs partis ou
groupements nationaux, au cas où cette liste
aurait souscrit un appa rentement avec une
ou plusieurs autres listes devront mentionner
en regard du nom de ohaque candidat, l'étidu
ou groupement national dont
�- -
10
tement nonobstant les ruiltures d'apparente-
de l'exél:ution du !present décret, q ui ser.a
pubhé.u
Journal Olliciel • de la Répubh·
Llue Française.
ment qui auront pu inten·enir dans les conditions \"is~es à l'article 8.
F.it à Paris, le 12 .\\,ai 195 1.
Henri QUEUILLE.
Toutefois, s eront consiuërés co mme \'3Ia ...
bles les bullehns mentionnant ces apparen-
TITRE III. -
DE L'ATTRIBUTION D ES
SIEGES
Art. 15. - Dans les circonscriptions ou
départeOlC!nts vises a l'article 2 modifié et à
l'article ter bis nouv~au de la loi du 5 Octobre 19-16 et où s'applique la règle du plus
fort reste, le quotient é.lectoral est détermi né
en divisant le nombre total des suffrages
exprimes dans la circo nscrÏ'ption par le nom-
bre de sièges â pourvoir.
L e calcul des sièges obtenus par chacune.
des listeS est
vante:
effectu~
de la manière sui-
1- Chaque liste a cicoit il autant de sièges
que le nombre des suffrages de liste obtenus
par elle comprend exactement de
quotient électoral j
fois le
2- Les
sièges restant éventuellement à
poun'oir sont successivement attribues aux
listes qUI comportent les plus giands r estes.
Art. 16. -
Dans les circonscriptions ou
dèpartements où s'applique la règle de la
plus forte moyenne, les sièges sont conférés
successivement à celle des listes pour lesquelles la division du nombre de suffrages
de listes recueillis par le nombre d-e sièges
qui lui ont été déjà conférés plus un, donne
le plus fort rèsultat.
Dans le département de la
Art, 17. Gurane est proclamé élu celui des candidats
qui a obtenu le plus grand nombre de suffrages.
En cas d'égalité de suffrages, le plus âgé
des candidats est élu.
Art. 18. Dans le département de la
Guyane, le recensement général des ,' otes
se fait à Cayenne en séa,!ce 'Publique.
Les délais impartis il la Commission de
r ecensement pour achever ses travaux sont
fixés par arrêté du préfet.
Art. 19. - Sont considérés comme bulletins modifiés, aux termes du deuxième alinéa
de l'article 16 modifié de la loi du 5 Octobre
1946, tous les bulletins comportant le titre
d'une liste et sur lesquels figure, soit un
signe préférentiel, soit la radiation pure et
simple du nom d'un candidat, soit son remplacement par un autre nom.
TITRE IV. -
DISPOSITIONS DIVERSES
Art. 20. - Les élections partielles, prévues
aux articles 17 er 18 modifiés de la loi du 5
Octobre 1946 devront être faites dans un
délai de deux mois, â compter de la date il
laquelle l'Assemblée nationale aura pris acte
de la vaca nce du siège.
Art. 21. - Des arrêtès d u Gouverneur Générai de l'A lgérie, des préfets de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martin ique et de
La R~u n io n fixero nt, en ta nt que de besoin,
les autres modalités d'application à ces départements des dispositions de la loi n° 462 15 1 modifiée d u 5 Octobr e 1946.
Art. 22. - Le Garde d-es Scea ux, ministre
de la Justice, et le ministre de l'Inté rieur,
sont cha rgk, chac un en ce q ui le concerne,
des signes .prëférentiels obtenus d'autre
soient co ntrô lées Si!llulta nément par un tc~~~
tate ur dt! chaqu~ hste en présence.
Ils devront justifier qu'ils sont inscri ts s
une liste élrctora le.
ur
Art. 3. - Les procès-verbaux devront (>t
rédiges Ja ns la salle d e vote immédiatem/~
apr~s la fin des opéra tions. Lorsque les list~
auro nt désig n ~ .les délég u é~ da ns un bureau
de ,:ott!, ceu~ - c l sero nt obhgatoiremellt invi.
tés ..a cont resIgner les procès-ve rbaux.
Cette rëdact~on te~m Îl.H~ e,. les résultats
seront proclames et affiches en tOlites lettres
'dans la sa lle tie vo te.
Par le président du Conseil des j\Unistres,
minÎstre de l'Interi eur :
Le Garde des Sceaux,
ministre de la justice,
René M AYER,
Le Secrétaire d'Etat à l'Inté ri eur,
Eugene T HOMIAS.
Art. 4. Les dispositions du présen t
décret ne sont pas appli cables aux dé-parte.
ments de !a Guadeloupe, de la Guyane de
la Martinique et de La Reunion .
'
------c~o o c> ------
Décret n ' 5 1-536 du 12 mai 195 1 portant
r èglement d 'admini stration publique
pour l'application de la loi n " 5 1-5 19
du 9 mai 1951 portant mooification de
la loi n' 46-2 151 du 5 octobre 1949
relati ve à l 'élection des membres de
l'Assemblée Nationale.
Ar t. 5. - Le Garde des Sceaux, ministre
de la j usti ce, et le mi nistre de l'I ntérieur sont
cha r gés, chacun en ce qui le concerne de
l'exécution du ,p ré~e.nt dftcret, qui sera P~blié
au c ~ ourna l OffiCiel • de la (l"publique
Franç:use.
Fait à Pari s, le 12 Mai 195 1.
(Extrait du Joumal Officiel de la Republ ique Française du 13 mai 195 1).
Henri QUEU ILLE.
Pa r le président du Conseil des Ministres
ministre de l' Intérieu r :
'
Le president du Conseil des Mi nistres,
Sur le rapport du Garde des Sceaux, mi nistre de la j ustice, et du ministre de l' Intérieur,
Vu la loi n° 46-2 151· du 5 octob re 1946
relati"e -il l'élection des membres de l' Asse mblée Nahonale, ensemble la loi n" 5 1-5 19 du
9 Mai I Y51 modifianl ladite loi;
Vu la loi n" 5a- 1548 du 16 Décembre 195')
modifiant pour les départements de la Ouadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et
de La Réunion la législation des élections ;
,
-------'c ' Oo c~ -------
Décret n" 5 1-537 du 12 m a i 195 1 fixant
les modalités d'application du titre V
de la loi n " 5 1-5 19 du 9 mai 195 1 par·
tant modification de la l o i n ' 46·2 151
du 5 octobre 1946 relati v e à l'élection
des membres de l'Assemblée Natio·
nale.
Le Conseil d'Etat entendu,
Decrète :
Art. 1er. - Chaque liste de candida ts ou,
en cas de scrutin uninominal, chaque cand idat a le droit d'exiger la presençe en permanence dans chaque bureau de vote d' un déh~
gué habilité â cont rôler les opératÎons électorales.
En cas de desordre provoqué par ce délégué ou de flagrant délit j ust ifi ant son arr estatio n, un délégué suppléa nt pourra le remplacer. En aucun cas les opérations de vo te
ne seront de ce iait interrompues,
Les délégués titulai res et suppléants doi\' ent justifier qu'ils sont i nscrits sur une liste
électorale.
Les noms des délégués titulaires et sllJ)pléants, avec l'indication du bureau de vote
devront ~tre notifiés au maire au moins vingt
quatre heures a\' ant l'ouvertu re du scrutin.
Les maires délivreront un récépissé de
cette déclaration. Ce récépissé servira de
t~t~e et garantira les droits attachés à la qualite de délégué de la list e.
., Le~ maires notifie.ront le no m des délégués
thu lalres ou suppleants aux présidents de
chaque bu reau de vote dès la co nsti tu tion
des dits bureaux.
Le dépouillement pourra être
A rt. 2. co ntr ôlé par des scru tateurs désignés 'Par les
délégués prévus â l'article 1er ci-dessus au
moi ns une heure avant la clôture du scr~t in .
Ces scr utateurs ser ont affec tés aux tables
de dépouillement, afi n que la lectu re des
bulletins d'une part, l'inscription des vo ix et
L e Garde des Scea ux, minist re de la Justice
René MAYER.
'
Le Secrétaire d'Etat à l' Inter ieur
Eugè ne T H0 1\lLA.S.
'
Ex/rait du Journa l O ff ·,cl·ol
... de la Républi·
que Fr anraise
du
13
mai
1951, pa."e 4900.
trL e Président d u Conseil des Ministres,
.
•.
Sur 1e rappo rt des f\rLl'I11stres
de l' Interi eur,
des Fina nces, du Budget, des Postes, TCI~graphes et T élépho nes;
V u la loi n" 46-2 15 1 du 5 oclobre 1946
relative a l'élection des mem bres de l' Assemblée Nat.ionale ;
V u ha loi n0 5 1-5 19 du 9 mai 195 1 partant modification de la loi susvisée
Le Conseil des Minist res en1endu,
Décrète :
1
Article premie r. Pou r chaque circonscriptio n électorale, le P re fet convoque,. par
arrêté préfec toral, l a commi ssion insl1tuée
par l'a r ticle 26 de la l oi n" 46-2 151 du 5 oC"
, .
tObre 1946
't 1·modifiée, tian s les. delals
Par 1a d l e 01.
f'xk
1
1
Art. 2. - L e montarn- du caution neme~
n
qui doi t être déposé pa r chaque li~te e g ade
plicaho n d es dispositions de l'artl c le 2 1
.
st éga
la loi d<ll 5 oc tobre 1946 modifiee,. e . de
20 M" f rancs qu'il y a
a, au tant ~Ae fo·s
1
.v.JV
c"" dl· 'ats s
la l 'ste
w' u
ur
1
.
d·da ts
L'attribu tion d u .paopier aux ca n .\ di!
d'une liste n'est eff ectuée qu'après dépo t
caution nement prévu à r a'iné~ précédet
L 'a r ticle 6 mod i fié que la 101 du .5 oc 0 an.
1946 mod i fiée i nterdisa nt tout re! ralt die ~au.
dida ture
le dépôt de la liste, e
bit
Il
t:on llement ne se ra pas r~mbo u rsé . aux ca ndldats ou listes de _ can dl.da ts ..q ul' décla re-rait.mf, no n obst~II.1dl 't'eS dISpoS Itions légales,
retirer leur cand I a ure.
Ait. 3. - 1·' Le.; candidat" de chaque Cs te
feront procéder eux-mêmes à l'i mp ressio n de
leurs llu lletills, ~ircula i res et affiches dans
les condi ti ons sUiva ntes
Ap rès \'c r:iem~nt du .cautic:nnemenrt prévu
i! l'article 29 de la lOI d u :) octob re 1946
modifiée, le mandata i re de chaq ue l iste fait
conna ître au pr(>::, idtnt de ia cO lllmi ssion le
nom de J'i mprimeur qu 'il a cho isi sur la liste
des imprimeurs agréés. Le pr ésident l ui rl;!md un bon dl: co mm ande, à l'adresse de cet
inlprim e-u r, va lab le pou r J' impressio n des
bulletins, circu laires et affiches en q uantité
egaie il cel:e que fixe {' ar tic le 25 de la loi
du 5 octoble 19-15 modifiée, pou r chacun de
ces impri n\l's.
20 Le mandata ire de chaque liste do it remettre au ,président de :Ia comm ission des
exemplaires de la prem ière ci rculaire et une
quanti té de bulletin s égale ou douhle d u
oombre des électeurs inscrits quato rze jours
au mo~n;;; ava nt la date d u scrutin et les
exemplaires de la seconde circu lai r e di x
jours au moi ns avant cette date.
3t La commiss ion devra faire expédie r
dans les, vingt-quatre heures de leu r remise
les affiche& fo rmat colo mbier (0,63 x 0,90)
dont les cand idats tui co nfieront l 'e~pé d i\lvn.
Le mand:ttai re dev r a remettre SOn dern ier
enroi d'affiches au plus t ard le hu itième
Jour prècêdent le scr uti.l.
0
4 La commission lne se ra pas t-en ue de
l'em'oi de:, imlHimés visés aux § 2 et 3 cide5";us qui ne lui auraient .pas cté rem:s aux
dates imparties.
mai ries des frais reels engagés pou r l'a ffi chage se ra effec tu é par les èommissions de
p.rop~gande sur productio n des pièces justiflcat lves.
Danses. circo nscr iptions de l'A l gérie, la
somme maX lmllm pouvant Hre rembo ur.sée à
c h é\qu~ ! iste au 1'itre des f rais d'affichage
s~ r a f lxe.e 'par l~ n arrêté du gouverneur génera l qUI Interv iend ra da ns les mêmes condit ions.
Art. 5. - Le rembourse m ~ n t des frais
réels d impression des affiches, bulleti ns de
vote ct circu lai res devra Hre demandé il la
Comm ission de propagande avec piè ces justifl;catives il l'appui .
La somme maxi mum qu i devra être rem·
bou rsêe il une liste a u titre des fra is d' impressio n ser a déte rm inée pa r la fo r mule suivante:
[ (A I + A2) X 3 X E J
[ N (2C
38) J
A 1 éta nt le prix un itai re d'impression
d'une affiche format colombie r.
A2 étant le pri x uJ1litaire d' imp ression
d 'une affic he du sixième for mat co lombier.
C étant le .prix un itaire d' impression d' une
circulaire.
B éta nt le prix un ita i re d',impressio n d'un
bll·let1l1 de vote.
N étant le nom bre d'électeurs inscr its da ns
la ci rco nscr iptio ll.
Le p rix unitaire max imum d'impression
d'u ne affic,he, d'une ci rculai re et d' un bu!letin sera détermi né par le Préfet après avis
d' une Comm issio n comprena nt pou r chaque
circo nsc ription électorale de la métropole et
des dépa r tements d'outre-mer
+
_
_
trôl e
Le P r ~fet, président;
Le T rt:sorier-Payeur général
Le Di rec teur n é!)a r ternenta l
écol1omique;
.
+
du Con-
Art. 4. - Dans le cas où une lis!c re- Un représentant des orga nisations pronO~le à .ut;liser le bénéfice des dispositio ns
fess io nnelles des impr imeu rs désifYnê pa r le
P.f:\'ues a la lettre 0 de J'article 27, modiPrefet.
:::.
1", dt l,a I.oi ùu 5 octobre 1 9~6 mod ifiee, le
Dans les circonscril)tions d' A I.o-énie la somPn' Uni 1aire d' appositio n d'une affiche format 1 1,·
me maximum pouvant btre remboursée à
. .. coo fmuler t (63 1x 90)
1
slXleme
b et d·lIne affiche du
claque
'tiste au titre des fra is d' imp ression
t '. orma co om 1e r (2 1 x 45) est désera Fixee ,par un anêté du Gouverneur Gêm
enn.me par le Préfe-t, après avis d' une comlSSio
néra l q ui i nter viendra dans les mêmes con...
. '. n -comprenant, pOlir chaq ue circons~~IPlion électoralç ci e la métropole fit des ditions.
tlpartements d'outre- mer:
Art. 6, Les dépenses d'essence seron,t
-le Préfet, président·
remboursées aux listes de candidats sur la
- Le T~ésorie r- Paye ur ' génera l ;
base des quantités attribuées dans ohaque
~e D lr~cteu r Départemental du Con- ci rco nsc riptio n conformément au tableau ane Cconomlque ;
Ilexé au présefltt décret.
f~ Un repr('scntant des o r o-a nisabions proLe talrif appli cable à ce rembou rseme nt est
fet. lonnellc,s d'affichage désigne par le P,r&celui elll vig ueur au chef-lieu du département
à I~i date dU' scrutin.
l a ~mme
.
bau ée .
m~xlO1Um . po uvant ètre remLes Préfets dans les dtpartcments d'ouCha~ a un~ lJst~ au tItre des frais d'a ffi- tre-mer et le Gouverneur Général dans les
anTes' • est determLnée
pa r la formu le CÎ.
"
ci rconsc riptions électo rales de l'Algérie, fixeP
(PI + P2) x- 3 x E
rOl1t par arrêté les quantités a!tril)uées à
1 ét
chaq ue liste ou cand~dat et ~e tarif applicad'une aiche
faf.nt lef p rix unita i re
d' apposition
I) l e pOlir 1e rem)oursemenrt.
1
.
ormat
1 b·
conscnpllon
co om 1er dans lia cirArt. 7. _ I l e,"'i alloué aux sec rétai res des
P2 étant 1
.
..
Commissions i nst ituées par J'article 26 de Ira
d'une affiche ~ pn~ .. unItaIre d'apposition
.loi d u 5 octobre 19+6 mod ifiée, une indemE
li slxleme fo rm at colombier.
Hant !
nité de 6.000 francs pa r liste de candidats.
\lés dan" "a e. nombre d'empla.cements réser" clrcons . t·
Art. 8. - ,Le rembours.e l1l'on t de. délJenSes
en
l'
cn p Ion il l'affichao-e élecal'P Ica"·" d
t:>
expo~ées sous l'e contrôle des Commissions
4 et utirIS.t~ c dun e. l a l·oi d u 20 ma rs
D
1::) pa r la liste considéré.e.
instituées par Va r tic le 26 de la loi du 5 oclo ans le c a s ' .
bre 1946 mod if iêe et que J'Btat prend à S<l
I~n;f.~ai~~re:é~;~~.~~:o,~u. les Mai res sont char o-és ehar~c co nformément aux dispositions de
a .l'apposition de affiches
l'article 30 de 'adite loi dena ~tre demand ~,
aux ~ I~positions de la lettre Gavee pièce.o:; jus tificatives à l'appui aux Corn ...
mOdIfIe de la \ooi du 5 octom i~sions de pro.pa
dans le mois qui
tr;
lliIIIiiiIiiiillÎlllilllii.........iiiiIIiIi_ __
les P,réfets Ou le Gouverneur Général de
~u r le vu des Ilièces j ustificatives
fournies par l'es présidents de ces Commissions.
aires au rembo urseLes sommes née
ment des dépen"CS rés ul tant des élections
da n. la métropo:e et d;:!ns les départements
d'outre-mer sont prélevée
UT
~ crédits
ouverts au Ministre de l'In té ri eu r et imputées au chapitre 3080 du budget général relatif aux d6penscs occasio nn ées par les' électi ons.
Les sommes nécessaires au remboursement
des dépenses résultant des élect ions en A lgér ic seront imputées sur le budget autonome
de L' Algé rie.
r Algérie,
A rt. 9. - En vue de l'achemi nement des
docume nts élector aux prevus pa r J'artic le 27
modifié cie la loi du 5 octobre 1946 modifiée,
les ser vices publics dépaliementau x pr~re
ront l~ lI r concours à l'administration des
postes su r la réquisition de l'auto rite préiec10rale agissant à la dema nde du D i recteu r
DéjJa rtementa l des ,posre s.
Ar t. 10. - Toutes dispOSi tions cont raires
et notamment les décrets n° 46-2 187 et n°
46-2 188 du 10 octobre 1946 seront abrogé.
Art. II. -
Le Ministre de l' Inté rieur, le
M~ n istre des Finances, l e Minist re du Buaget
et le IMinist re des Postes, T é.-régrap hes et Télép hones sont chargés, chacun en cc qui le
co nce r ne, de J'exécutio n dll pré:=.ent (h~cret,
qui se ra publié au c Journal Officiel > de
l a Répub lique Française.
Fai, à Paris, le 12 mai 195 1.
Henri QUEU ILLE.
Par le Président du Conseil des Minist re3,
Mi nistre de l' Intérieur.
Le Ministre des Finances
et des Affaires Economiques
Maurice PETSCHE.
Le Garde des Sceaux
M;! 'fslre de fa Jus/ice, Ministre
d..:,; t. T. T. par inlerim :
René MAYER.
Le Alinistre du Budgel
Edgar FAU RE.
Le Secrélaire d'Eloi à l'Intérieur:
Eugè ne TH OMAS.
------- .~ooc>-------
Liste des pièces d'id entité exigibles l ors
du scru t in po u r les él ectio ns gén ér al es
dan s l es communes de pl us d e 5,000
habita nts.
(Extrait du Journ al Officiel de la République française du 13 Mai 195 1, page 4992)
Le Ministre de l' Interieur,
VU l'article 8 de la loi n" 4ô-2 15 1 du 5
Octobre 19-1-6 relati ve â l'êlection des membres de l'Assemblëe Nationale, ainsi conçu :
" Les élec teu rs des Communes de plus de
5.000 habitants devront présenter au présid~llt dl! bureau êlectoral, au
moment du
vote, en même temps que la carte d'électeur,
un tit re d'identité ; le ministre de l' Intérieur
établira la liste des titres va lables ;~
VU la loi n" 50- 1548 du 16 <D écembre 1950
modiiiant pour les départ ements de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et
de la Réunion la législation des él ections et
notamment son article
�12
bles sera établie par arrête préfectoral dans
les deux mois qui sui"Tont la promulgation
de la pr~ent~ loi >.
ARRETE:
Art. 1er. _ Dans les Communes, de l'lus
de 5.000 habit.ants, les é.lecteurs et eleclric",
devront prt'Senter au president du bureau
électoral, au monlent du. \'ote~. ou~~ l~~r
carte d'électeur, l' un des tItres d Identite deslgnés ci-après :
.
,.
Carte d'identité avec photograr1llle dehvree
postérieurement au 1er O:-tob.re 1944 pa~ le~
Préfets, ."aires ou Commlssau s de poltce ,
Linet militaire ;
Carte de combattant de couleur chamois;
Passeport, même périmé, dèlivré ou renouvele postérieurement au 1er Octobre 1944 ;
Permis de conduire ;
Permis de chasse non périmé ;
Livret de fa mille ;
Carte d'id.nlité de fonctionnaire avec photographie dêlinée postérieurement au 1eT
Octobre 1944 par le Directeur du personn~l
d'une Administration Centrale, par les Pr~
tets ou par les .'\aÎTes, au nom d'une Administration de l'Etat, des Départements ou des
Commun es.
Art 2. - Le présent arrête s'applique aux
Communes de la métropole, à l'exclusion de
celles des départements de la Guadeloupe,
d., la Guyane, de la Martinique et de la
Réunu io n.
Art. 3 - Le présent arrêté sera pu blié
au • journal Officiel ~ de la République
française.
Fait à Paris, le 12 Mai 195 1.
Henri QUEUILLE.
- - -<>00<>-- - -
Décret n" 51-552 du 16 mai J95J portant oonvocatiOn dans la métropole,
les Départements d'Outre-Mer et en
Algérie des collèges électoraux pour
l'élection des membres de l'Assemblée
Nationale.
Le président du Conseil des Ministres,
Ministre de l' Intérieur,
Vu la loi n' -UH;67 du 12 avril 1945 IIIStituant une procédure exceptionnelle de vote
par correspondance en faveur de certaines
catègories d'êlecteurs empt!chés de voter
dans les conditions nannales ;
Vu la loi n' 46-{i58 du 12 avril 1946 instituant une procédure exceptionnelle de vote
par procuration en faveur de certaines catégories/ d'électeurs.
Vu la loi 46-2175 du 8 octobre 1946 modifi ant ct complétant la loi n' 46-815 du 26
avril 1946 rendant applicables, pour 1946,
aux assemblées prêvues par la Constitution,
les inéligibilités relatives aux élections de
1945 ;
Vu la loi n' 46-2151 du 5-10-46 relali ve
à l'élection des membres de l'Assemblée Na-'
li onale j
Vu la loi n' 47-1853 du 20 septembre
1947 portant statut o rgan ique de l'Algérie;
Vu la loi n' 51-519 du 9 mai 1951 modiliant la loi n' 46-2151 du 5 octobre 1946
relati ve il l'élection des membres de)' Assemblée Nationale ;
live au renouvellement de l' Assemb lée Nationale i
Vu le déc ret n' 46-2199 d u . II octobre
fixant pour l'Algérie les modahtés d'app lic~hon de la loi n' 46-2 151 d u 5 octob re
1946 susvisée ;
V u le décret du 12 septembre 1946 purtant extension à l'Algérie de lia 101 numéro
46-667 du 12 avril 1946 susvisée
Vu le décret n' 5 1-535 du 12 ma i relatif
à l'app lication de la lo i n' 5 1-5 19 du 9 mal
195 1 susvIsée ;
Vu le décret n' 5 1-536 d u 12 mai 195 1
portant règlement d'administration publique
pour l'applicatio n de la 101 n' 5 1-5 19 d u
9 mai 1951 sus\'lsee ;
Vu le décret n' 51-537 du 12 mai. 195 1
fixant les modalités d'applicatIon du litre V
de la loi n' 51-519 du 9 mOI 1951 SUSl'lsee;
Le Conseil des J'.1inist res entendu,
Décrete :
Article premier. - Les collèges electoraux
de la France métropolitaine, des départements de l'Algerie, de la Guadeloupe~ de la
Martinique, de la Reunion et de la (juy~n.e,
sont coO\'oqués pour le d imanche 17 JUill
195., en vue de procéder à a'élection d'une
Assemblée Nationale dans les formes .prévues par la loi du 5 octob re 1946 modIfié.
Art. 2, - La campagne électo rale sera
ourerte le 28 mai 195 1, à zéro heu re,
Art. 3. - L'élection aura lieu sur les listes
électorales arrêtees le 31 mars 1951.
Les Maires des communes où, conformement à l'a rticle du dêCret réglementai re du
2 février 1852, il Y aura lieu d'apporter les
modifications à ces listes, publieront, cinq
jours a\'ant la réunion des électeurs, un tableau contenant lesdHes modifications.
Art. 4. - Le scrutin ne durera qu'un
jour. Il sera ouvert à 8 heures.
Toutefois dans les communes où, pour fa·
ci liter aux électeùrs l'exercice de leurs d roits,
il paraîtra utile de devancer cette heure, les
PrHets pourront prendre à cet effet des arrètés spéciaux qui seront publi és et aHichés
dans chaque commu ne intéressée, cinq jou rs
au moins avant la réunion des coHèges électoraux. Dans tous les cas, le scrutin sera
clos à dix-huit heures.
Art. 5. - Le dépouillement des résultats
suivra immédiatement le scrutin. Entrero nt
seuls en compte les bulletins des listes de
candidats pQ.ur lesqudles un rfcépl~!3è déiinitif a été délivré. Le relevé des 'h stes de
candidats régu lj èreme nt enregistrées à la
Préfecture sera transmis par le Préfet aux
Maires des communes composa nt la circonscription électorale, deux jours au moins
avant le scrutir..
Art. 6. - Dans chaque commune, le bureau de \'ote fera le recensement ùu scrutin
dont il co nsi gne ra le résultat au procès-verbal. Lorsque la commune sera partagée en
sections, les présidents. et les membres des
di .. ers bureaux porteront à la première section le procés-verbal de leur sections respectives, .avec les !éclamations et annexes, y
comp"s les feUIlles d'émargement des votants, Le bureau de la première section fera
en présence dés présidents des autres sections le recensement des mies émis par la
commune. Un dél ég ué de
DÉPARTEMENT DES
Recueil des Actes Administratifs
Le Secrétaire d'Etat à l'Intérieur
Eu gè ne 1:HO,MAS.
_ _ _ _ <> 00 <>
et Bulletin des Mairies
Arrété fixant les chefs ·lieux des circonscrip.
tions du Département de s Bouches,du·
Rhône.
Le Prefet des Bouc hes-d u-Rhô ne,
Vu les articles 3 et 10 de la lo i n' 46-2 151
<tu 5-10- 19-16 relative à l'élection des membres de l' As;emblée Natio na le, modifie. par
la loi n' 5 1-519 du 9-5- 195 1.
Vu le décret n' 5 1-552 du 16-5- 1951 portant convocation dans la. Métropole, les Départements d'Outre-Mer ~~ en. Algérie, des
collèaes électoraux pOlir 1 electIon des membres ode l'Assemblée Nationale,
Sur la proposition de M. le Secrétaire
Genéra l,
Toute correspondan ce r elative au R ecueil doit être a dressée
la j Prél ecture Secrétariat G én éra l
SOMMAIR.E
Il
Art. 1er.
Les collèges électoraux de la
première circonscription do nt le qhef-Iieu est
fixé à Marsei ll e co mp renant les communes de
Marseille AlIauch et Plan-de-Cuques, et
celles de~ cantons d'A ubag ne et de La Ciota t
sont co nvoqués pour le dimanche 17 Juin
195 1, à l' effet d'élire 9 députés.
Pour la mê me date so nt convoq ués ceux
de la deuxième circonscription dont le chef~
lieu est fixé à Aix-en-Provence, co mprenant
les communes de l'arrondissement cP Aix et
d'Arles et les communes du canton de Roquevaire, à l'effet d'élire 4 députés.
Art. 2, - Les deputés sont élus au scruti n
de liste départemental majoritaire à un to ur
avec apparentement des listes et panachage
et vote préférentiel.
\
Art. 3. - Le sc rutin ne durera q u'un jour.
n sera ouvert à 8 heures et clos à 18 heures, \
Toutefois, l'heure d'ouverture ipotUra être
ava ncée da ns les communes où, po ur faciliter l'exercice du droit de vo te, cette mesure 1
paraîtrait nécessaire.
Les arrêtés préfectoraux pris à cet eflel .
devroat être publiés et affichés 5 jours au \
moins avant la réunion des coUr ges électo·
raux. Dans tous les cas le scrutin sera dos
à 18 heures.
Art. 4. - M. le Secrétaire Général de 1.
Préfec ture, 'MM. les Sous-Préfets d'Aix et
d'A rles et M'M. les Maires des Commu nes
du département sont chargés, chacun en c.
qui le concerne, de l'e xéc ution du prése nt
arrêté.
Marseille, le 2 1 Mai 1951.
l
,1
LAMIASSOU.~E.
Copie certifiée conforme,
Pour le Préfet :
L. Secr.taire Général,
;;i"M;;
chÎaïqïue.l~is~te~p~o~u~r;-~.ïiiilïlliiiillii~"Mï.~;;j• •
te
ABHÉVIATIONS
A, p , : Arrêté préfectoral. - C, : Ci rculaire - Les lettres D et B suivies d'u n dh ifl re indiquent le Service ou Bureau d'ori'i ne
D, S. T . : Directio n des Services TeChnique., - D. D. S, : Directi o n Départe mentale de la Sa nté. - D. D. P. : Directio n déP~rte:
menta le de la Po pu latio n.
ARRETE
LAMASSOURE.
"n ée , - N· 2 1
------------------=~:..;.:....:.~'iL_-----.::..-
Par le Président du Conseil des Ministres,
Ministre de l' Intéri eur,
Pour le Pré'et,
pa r délégation,
Le Secrétaire G"né ral,
REPUBLI Q UE FRA N ÇAI
2 4 Mal 1951
Art. 7. Le Minist re de l'I nté r ieur est
c ha r ~e de l'exécution du présent décret qui
sera - publié a u • j o urna l Officiel ) de la
République f ra nçaise.
'
Fai t il Paris le 16 mai 195 1.
Hen r i QUEU ILLE,
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pages
AG O. - Indices et traite me nts des
Assista ntes Sociales titu la ires d u
cad re dépa rteme ntal .......
AG 2, - Rév is io n du classe ment indiciaire des fo nction naires commu naux
CT 3. - Co ntrôle des camions-citernes ... .......... ......... , .. , ..
95
95
FS O. - Médecins agréés pour pratiquer ies examens radioscopiq ues en
v ue de la délivrance des ce rtificats
prénuptia ux et prénatau x. . . . . . . . .
FS O. - P répa ration s péciale au diplôme d'E tat cl' Assistante Sociale '..
FS 7. - Etablissements Hosp ita li ers
pub lics (prix de journ ée prévisionn el
195 1) ........ .......... .. ......
P O. - Réglementat io n du ca mpin g
P 8. -
Introduction de main-d'œuvre
saisonniè re agricole italienne ..... ,
TV X 1. - Equipement sportif . . . ...
96
97
97
9'/
99
100
Textes d'Intérêt Général
AC 3. - Majo ra tio n à titre provisoire
de certaInes prestations familiales.,
Communiqués du Secrétariat
de l'Union des Maires
- Demande d'emploi .... , .,.. ...
101
101
=
AR RÊT ÉS REG L EMENT AI RE S E T CIRCULAIRE S
AG 0
D5B3
INDICES ET TRAITEMENTS
DES ASSISTANTES SOCIALES
TITULAIRES
DU CADRE DEPARTEMENTAL
Applicables à compter
du 1er Janvier 1949
ARRETE
Le Préfet des Bouclles-dll-R/I6ne,
Officier de la Légion d'HonneUr,
Vu l'a rrêté préfectora l en date du 3 1 décembre 1933 portant rêglement du personnel
adnunJstratif et technique des Etablisse ments
et services dêpartementaux des Bouches-duRhône;
Vu les arrêtés préfecto raux en date des
19 décembre 1949 et 22 jui ll et 1950 fixa nt
le~ traitements a ppl icables aux agents tituI.. res du Cadre départemental pour les
années 1949 et 1950 ;
Vu j'a rrêté interministériel en date du 25
janvier 195 1 modifi ant l'a rr èté mini s tériel du
1,6 ~ars 1949, tel qu' il a été modifié p",
1 arreté minist érie l du 12 mai 1950, po rtant
classement indiciaire des foncfionnaires et
age nts départementallx ;
Vu la circulaire nO 148 AD-3 du 28 av ril
1951 de M. le Ministre de l' Intérieur po rtant
application de l'a rrêté interministérie l susVIsé,
ARRETE
1949 aux assista ntes sociales titu lai res du
Article premier. - Les indices et traite-I Cadre départemental so nt désormais fixés de
ments appl icables à compter du 1er janvier
Classe
Indice
Traitement
1949
Traitement
ler-I-1 950
Traitement
l e r-7- 1950
Traitement
1951
337.000
3 11.000
286,000
263,000
239.000
215.000
372.(x)()
343.000
315.000
289.000
26 1.000
234.000
4D7.0oo
375.000
344.000
3 14.000
283.000
254.000
457.000
421.000
385.000
348.000
3 13.000
277.000
320
1re
..... , .. 298
2e
3e · . . . . . . ' . , . . , 276
4e · . . . - . , . . . . . , . 254
5e · . . . ' . . . . . , . . 232
6e .... . . . ...... , 210
.
.
Article 2. - M, le Secrétaire Généra l des
Bouches-du-Rhône et M. le Trésorier-Payeur
Général sont chargés, chacu n en ce qui le
concerne, de l'exéc ution du présent a rrêté.
Marseille le 9 mai 1951.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secrëtaire Général,
LA~I ASSOURE.
-------<>00<>-------
D2 B3
la façon sui\'a nte :
AG 2
REVISION DU CLASSEMENT
INDICIAIRE DES fONCTIONNAIRES
COMMUNAUX
J'ai l'honneur de porter ci-dessous à la
connaissances de MM . tes Maires du Departement le lexte de la drflliaire de M. le Minis/re de l'Int érieur n° 148
en date du
rêté interministériel du 25 jan vier 195 1 porfan/ modification dtl classement indiciaire dl
certains emplois communaux,
P. le Préfet des B.-du-Rh.,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
Les arrêtés inte rministériels des 25 janvif'r
195 1 (publiés all « j Ollr nal Officiel • du
g fev ri er) ont modifié le classement indiciaire Ge certains emp lois co mmun aux et dépa rt ementaux.
La présente circulai re a pour objet d.
pc.; rte r à votre co nnai ssance l'échelon nement
des lIouvell es échelles ainsi que le traiteme nt
maximum corresponùant à chaque indice
pellr les années 1949 et 1950,
�titre du reclassement des agents des collectivités locales.
février), relatif ~ux conditions d'octroi
de la dernière majoration de traitement au
du
1. -
Fondionnairts Communaux
Services Techniques
Ind ice
liraitem. l\\ajorat.
b ruts .,'ant
1 9 ~9
Traitem.
bruts 1949
Majorat.
1950
I~
reclas..c;,em.
2
3
Ire
270
255
3me
4me
5me
6rne
7me
2-10
90.000
84.000
78.000
ï2.000
66.000
60.000
54.000
ane
225
210
195
180
4
39.675
36.025
33.375
29.550
26.475
22.825
20. 100
6
5
295.000
27S.000
259.000
242.000
23. 133
21.066
19.733
17.700
16.433
14.366
12.233
224.000
208.000
192.000
T raitem.
Traite.m.
bruts au
bnu t s au
janv. 1950 1" J ui ll . 1950
7
3 18.000
299.000
279.000
260.000
240.000
222.000
204.000
8
34 1.000
320.000
298.000
277.000
257.000
237.000
216.000
Senices divers
Directeur de laboraloire agree pour la répres,,""'n dt< fraudes (1)
2
1re
550
2me
5 15
3me
480
4me
5me
6me
445
410
3
2 10.000
197.000
184.000
171.000
158.000
145.000
132.000
4
6
7
8
44.433
39.800
37.366
3 1.266
39.933
37.000
41.666
729.000
680.000
625.000
578.000
561.000
508.000
499.000
774.000
720.000
663.000
610.000
601.000
545.000
540.000
6
7
8
29.700
3 13.000
3~ 2.000
6
7
8
5
87.600
76.700
69.225
58. 125
71.375
67.175
74.425
685.000
640.000
588.000
547.000
521.000
471.000
457.000
(1) L·éct1elle 300-550 "",-te sans changement.
Infirmier principal
2
I re
âne
3
300 (1)
275
4
5
50.025
2e3.OOO
Assis/anfe so dale
2
1re
2me
3me
4mt
5me
6me
320
298
276
254
232
210
3
90.000
83.000
76.000
69.000
62.000
55.000
48.000
4
60.300
54.975
49.400
42.825
37.025
3 1.100
33.600
5
337.000
3 11 .000
286.000
263.000
239.000
2 15.000
210.000
3ÙOO
32.233
29.233
25.566
22.200
19.433
21. 100
372.000
343.000
3 15.000
289.000
261.000
234.000
231.000
407.000
375.000
344.000
3 14.000
283.000
254.000
252.000
Receveur if abaltoir (2)
2
Ire
2me
3me
4me
5me
6me
7me
230
212
194
178
162
146
130
3
84.000
77.000
70.000
63.000
56.000
49000
42.000
4
25.825
23.050
18.575
15.850
12.925
9.500
7.575
05 BI
CONTROLE
DES CAMIONS-CITERNES
CT 3
ARRET·E
SUfI'eillant de frOl'QUX
Classe
--
Le Prêfet des Bouc hes-d u-R hône,
Officier de l a Légion d' Honneur,
Croix de Guerre,
Vu l'arrêté mi nistériel en date du 13 avril
1945 a pp ro uva nt le r èglement po ur le tran ..
port par chemins de fe r, voi es de terre et
vo ies de navi gati on. intéri eure , des matières
dangereuses et des matièr es i nfectes ;
Vu les a rrêt és p r éfecto r a ux e n date des 7
et S septemb re 1934 .:
Vu l'avis et les p ropositio ns en date du 2
av r il 195 1 de M. l' Ingénieu r en Chef des Mines charge de l'Arrondissement minéralogi_
que de Marsei ll e,
258.000
234.000
2 15.000
197.000
17d.000
161.000
143.000
6
7
8
14.800
14.066
11.533
9.600
7.800
5.333
273.000
248.000
227.000
207.000
187.000
168.000
147.000
288.000
262.000
238.000
2 16.000
195.000
174.000
15 1.000
4.066
(1) Le second échek>n exceptionnel 300 ne pourra être accorElé au cours des années
1949 et 1950, le reclassement au cho ix des infirm iers ou infi rm ières de Ire classe devant être réalisé dans le ,premier échelon exceptionnel.
(2) L'échelonnement de J'échelle indiciaire de receveu·r principal
Arrête :
Art iCle premie r. M. le docte ur Henri
BARBE deme ur a nt à Ma rsei ll e, 2 1, r ue Lacépède,' ~st ag~éé pou r . pr atiquer les. examens radlOscoplques, en ~ue de la déliv rance des ce rt ificats 'prénuptlaux et prénata ux.
Art. 2. - M. le Sec r étaire Géné r al de la
Prélect ure, M. le Ma ire de Ma rse ill e et M.
le Di recteu r Dépa rtement de la Sa nté so nt
chargés, chacun .en ce q~1I le conce r ne, de
l'exécution du present arreté.
Ma rs eille, le 2 m a i 195 1,
P . le P réfet et par délégatio n,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
•••
ARRETE
- - -- 0 0 0 0 · - - - -
FS 0
O.O.s.
MEDECINS AGREES
POUR PRATIQUER LES EXAMENS
RADIOSCOPIQUES EN VUE
DE LA DELIVRANCE
DES CERTIFICATS PRENUPTIAUX
ET PRENATAUX
Le Préfet des Bouches-du-Rhô ne,
Officier de la Légion d'Honneur,
Croix de Guerre,
Vu l'o rdonnance n' 45.2720 du 2 novembre 1945 sur la protectio n Matern ell e et Infanti le ;
.
Vu l'arrêté du 15 avril 1946 de M. le M,nistre de la Sa nté Pu blique et d e la popu lation, et les rectifications paru es au j ourn al
Off icie l des 10 mai et 15 septembre 1 ~6
fi xa nt le modèle du certificat d'examen medical avant le mariage ;
,
Vu l'a vis du Co nsei l départemental de lordre des Médeci ns
Sur la
de M. le Directeur dé-
vrier 1949 et n' 222 d u 15 sep temb r e 1949,
donts vo us tro uver ez ci-j oi nt un exemplaire.
Je vo us demande de bien vouloi r diffuser
le plus la r ge ment possible cette info r matio n.
Bien qu' il soit en effet prévu un nouvel examen spécia J d'entrée en octobre prochain l il
y aurait intérêt cependa nt il ce que les ca nd idates s usceptibles de bé néficier de la de rniè re session spéciale subissent les ép reuves
de l'examen d'ent rée spécial dès j uin.
j e vous rappell e po ur mémoire, que sont
dispensées de cet examen :
1" L es personnes titul aires du bacca lauréat ( 1re pa rtie), du brevet s upé ri eur o u d u
d iplôme de fin d'é tudes seco ndai res des jeunes fi ll es.
2" Les personnes titulaires du diplôme
~d 'Etat d' infi rmi ère hospitalière Olt de sagefem me (régi me de 1944) .
3 Les perso nnes ayant régulièrement effectué l a 1re année mixte dans une école
d'assista ntes sociales antérieurement au 1er
octob re 1949.
Les personnes titulaires du majo rat de
Croix-Ro uge sont dispensées de l a 1re an née
mixte, mans non de l'examen d'entrée.
Les perso nnes tit ulaires du diplôme de
sage- femme ancien régimt' ou d' une autorisation d'exercer la pr ofessio n d'i nfi rmièrene sont dispensées ni de l'examen d'entrée
spécial ni de la première année mi xte .
Les Di rectrices d' éco les ont été av isées
par mes soins de la date du présent examen.
1\ leu r a été dema nd é d'ad resser les doss iers
des candidates dans les chefs-l ieu x des ci rconscr iptions sanitai res et socialesl sièges
des ju rys, avant le 20 mai prOChain .
Le Présidents de jury dev ront me signaler,
avant le 1er juin dernier délai, les ce ntres
locaux œexa men qui fonctionneront dans
leur région, afi n que les sujets des épreuves
puissent H re ad ressés en temps utile aux ,oirecteurs Départementaux de l a Population
inté ressés.
Pour l e Ministre et par auto risation,
Le Mailre des Requêle>
au COf/seil d'Etaf, Directellr Général
de la Population el de l'Enlr' Aide
Emmanuel RA IN.
ARRETE:
Ar ticl e prem i er. Les priX de journée
pr evisio nn els app licab les dura nt l' année 195 1
da ns l' Hospice de Mai ll ane sont fixés comme
sui t, avec effet du 1er ja nvier 195 1 :
- 339 fraocs pour les bé néficiaires de la
loi du 14 j uill et 1905 et pour les pensionnai,res payants en sall e commune ;
- 424 francs pour les pensionnair es
paya nts en chambre de 2 à 4 lits.
ArtiCle 2. - MM. le Sous-P réfet d· Arles, 1.
Maire de Mai ll a ne, président de la Commissio n Admi nistrative de j' Hospice et M. le
T r ésorier-Payeu r Général sont char gés, chaCun en c,e qui le co ncerne, de J'exécution du
présent arrêté.
•
Marse ille, le 17 ma i 195 1.
Pou r le P réfet :
Le Sec rétai re Géné ra l
LAMASSOURE.
Q
Le P réfet des Bouc hes-du-R hô ne,
Officie r de la Lég io n d' Hon neur,
Arrête :
Vu l' ordo n na nce n' 45.2720 du 2 nove mArticle premier. - M . l' Ingénieur en Chef 1 bre 1945 s ur la p rotection maternell e et indes Mines char gé de )' Arrondissement Minéfa nti le ;
ralo giq ue de Marseille est désigné comme
Vu l'a rrêté d u 15 av ril 1946 de M. le Miexpert da ns le d épa r temen t des Bo uches-dunist re de la Sa nté P ublique et de la Pop uRhône aux fins pré vues par les articles 1008
1ation, et les rectifica tions parues au Jouret 1(X)9 du règlement susvisés en ce qui connalOfficiel des 10 mai et 10 septemb re 1946
cerne le contr ôle des camions citernes.
fixant le modèle du cert i ficat d'examen méIl pou r ra se fai re assister dans ses fone.dical avant le mar iage ;
tions pa r les Ingénieu rs de son service ou
Vu l' av is du Co nseil Dépa rteme nta l de
ex-c eption nellement pa r to ute autre pe rson ne J'Ordre des Médeci ns ;
à so um ettr e à l'agr ément préfecto ra l.
Sur la pro pos itio n de M: le Directeur DéArt. 2.- Les a rrêtés p réfecto r aux en date
partemental de la San té,
des 7 et 8 septembre 1934 sur le même objet
Ar rête :
sont rapportés.
Art . 3. - M. l' In gé nieu r en Chef des MiArtic le premi er. - M. le Dr ESTRAYER,
nes est chargé d'assurer l'exéc ution du t>ré.demeurant à Ma,rse ill e, JO, rue Marx-Dorsent arrêfè qui sera i nséré au bull eti n des
moy, est agréé pour pratiquer les examens
actes administratifs du département, et, dont
r adioscopiques, en vue de la délivr ance des
ampliation sera motifiée à :
.certificats prénuptiaux et prénatau x.
0
1 _ M. 111n génieur en C hef des Ponts et
Art. 2. - M. le Secrétaire Géné r al de la
Chaussées du d épa rtement,
Préfectu re, M. le Maire de Ma rse ill e et M.
2' - M. le Commandant de la Ge nd arme- Je Directeur Dépa r tementa l de la Sa nt é sont
rie du Dépa rtement ;
.chargés, chacun en ce qui le conce rne l de
3' - M. le Di recteur D épa rtemental des
4'exécution du présent arr êté.
Services de Police.
Ma rseille, le 2 ma i 195 1.
Ma rseill e, le 20 avril 195 1.
P. le P réfet et par délégation,
P ou r le Préfet,
Le Secrélaire Génl!ral,
Le Secrétai re Géné ral,
LAMASSOU RE.
LAMASSOURE.
- -- - c :toue »----
ARRETE
5
97
D3 B2
FS 0
PREPARATION SPECIALE
AU DIPLOME D'ETAT
D'ASSISTANTE SOCIALE
TroiSième examen spécial d'entrée
dans les écoles de service social
N' 90
Pari s, le 9 mai 195 1.
Le Mi nist re de la Sa nt é Publique
.
et de la Popu lation,
a MM. les Pr éfets (pour information),
MM. les D irecteurs Départem entaux
de la P op ul a ti o n (pour exéc ution),
.11.1\1. les Directeurs Dépa rtem enta ux
de la Sa nté (pour informat io n) .
J'ai l' honne ur de vous' faire cO lln ait re
(u' un, ex~men spécia l d'entrée dans les êco1"2 .d .aSSlstantes sociales au ra lieu le mardi
JUin 195 1.
r 1\ sera organisé dans les mêmes condi~ons que -ceux du 21 février et du 17 oeto. re 1949. Vo us voudrez bien vous reporter
a ce sujet à mes ci rculaires n" 32 du 2 fé-
---c"oo .. ",----
FS 7
03B2
ETABLISSEMENTS
HOSPITALIERS PUBLICS
Prix de journée prévisionnel 1951
ARRETE
Le Préfel des Bouelies-du-HMne,
Vu la loi du 14 juillet 1905, su r l' Assist.,,ce aux Vieill ards, In firmes et Incu rables,
Vu l'o rdonnan ce du 18 d éce mb re 1944 détermin ant, à titre transitoire, les règles de
fi xation des pri x de journée dans les Hôpitau x et Hospices Publics ;
Vu les cir culaires mini st~ ri e ll es d'appli cation des 29 décembre 1944 et 29 novemb re
1949 ;
Vu le décr et du 17 av ril 1943 et notamment so n ar ti cle 34 su r les pri x de jou r née
des pensionn ai res payants ;
Vu les propositi ons et justi fications presentées par l' Hospice de Maillane ;
Vu Je rappo rt de M. l'Inspecteur Principal
de la Population ;
Su r la proposition de M. le Secrétai re Généra i de la Prefect ure ;
------- <>00 <' -------
06B2
PO
REGl.EMENTATIO N DU CAMPING
ARRETE
Le Préfel des BOllches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
. Vu la l ~ i. du 5 avri l 1884, sur l'orga nisation mUllIclpale et notamment les articles
9 1, 97, 98 et 99,
Vu la loi du 2 1 juin 1898 su r la Poli ce
Rurale,
Vu la lo i du 15 février 1902 sur la Protection de la Sante Publique,
Vu le déc ret du 2S décemb re 1926 Sur
l'uni fication des compéten ces en matiè re de
police de la ci r culation et de conser vation
des vo ies publiqu es,
Vu le Code Forestier et notamment les
articles 147, 148 et 148 bis,
Vu la lo i du 24 septemb re 19 19. modifiée
par la lo i du 2 juillet 1935 portant création
de Statio ns Hydromi néral es, Climatiques, de
Tourisme et Uva lesl
Vu les artic les Il à 16 des lois des 14
ma rs 19 19, 19 jui ll et 1924 et le d écret-loi du
8 août sur l es lot issemen ts,
Vu le décret-loi d u 23 octob re 1935 sur les
manifestations sur la voie publique,
Vu le d éc r et- loi d u 30 octob re 1935 p révoyant l'i nstitution d'un règlement sanita ire
départemental et modifiant les articles J et
2 de la lo i du 15 fév rier 1902,
Vu l'acte dit < Loi d 'U r ba nisme » du 15
juin 1943,
Vu le règlement sa nitaire départemental
du 1er août 19.J5 et particulièrement l'artticle 89, relatif à l'h abita tion collective dans
les lieux ou locaux destinés aux vacances,
au repos, aux loisirs, aux spo rts, à la vie
saine,
Vu les instructions de M . le Atin istr e de
l'Education Nationale en date du 25 avril
1939,
Vu l' arrêté interm iniste riel du 20 jui n 1950
port·a nt création de la Commission Nationale
et des Commissions Départemental es du
Campi ng,
Vu les instructions du Secréta ri at d' Etat à
l'Enseignement Tec hnique, à l a jeunesse et
aux Sports du 12 décemb re 1950,
Vu l'avis de M. l'In gé nieu r en Chef des
Ponts et C ha ussées,
Vu l'avis de M . le Médecin Inspecteu r Déde
�99
98
Vu l'avis de At le Conservateur des Eaux
et Forêts,
vu l'a,;s de M. rlnspecteur Départemental
de l'U rbanisme l
Vu l'ans de _\\. rlnspecteur Dépa rtemental
des Sen'ices d'Incendie et de Secours,
Vu l'avis de I\t J'Inspecteur des Monuments Historiques. Consen'ateur des Monume.nts Historiques de Pro\'ence et de Corse,
Vu j'a,;s de M. le Directeur de l'En registrement, des Domaines et du Timbre.
Vu J'avis de M. Je Directe ur des Services
Agricoles,
.
Vu l'a\'is de M. le Directeur Départemental
de la Jeunesse et des Sports,
Vu l'avis de t\L l'logé nieur en Chef du Génie Rural ,
Vu "avis de la Commission Consultative
du Camping i!mis dans sa séance du 13 avril
·1951.
Considerant qu'en attendant la mise en
vig.u!!ur ~u~ le plan national d'une réglemen ....
tatl.on gene r~leJ. actuellement â l'étude, il y
a heu de prevOir sur le plan départemental
des mesures immédiatement applicables
Considérant que le campina groupe deux
catégories de pratiquants : ~
- D'une pa rt, les campeurs ou g roupes
de campeurs qui dêsirent s'isoler en pleine
nature ~t font du camping individuel,
. - 0 autre P~lrt, les personnes qui consid~rent _le camping comme un moye n économique de passer les \'acances et qui ont reCours au camping collectif
Il cOO\'ient de :
•
a) de limiter au minimum les restrictions
et les o~ligations co ncernant les campeurs,
b) _ d Imposer au camping collectif sur
terrams pennanents un minimum de confort
et d'bl'giene dont. la Commission Dépa rte
mentale du Campmg favorisera progressivement l'amélioration pa r tous les moyens
dont elle dispose.
Sur la proposition de M. le Secrétaire GL~
néral,
ARRETE:
TITRE 1er. .. Dispositions générales
Article premier. - Les personnes se livrant en . groupe ou isolément à la pratiq ue
~u ~mplOg sont tenues de justifier de leur
Identité toutefois, les campeurs de moins de
18 ans appartena nt à une Association et
campa~t a\'~ le~ rs pa ren ts ou en groupe,
S?us .1 autonté d un ,o u plusieurs dirigeants
,egullèrement délégues par l' Association sont
dl~pensé~ ~e cette obligation qui n'i ncombe
qu aux dirigeants responsables.
~a pièce d'identité prévue pa r l'alinéa
precédent peut êt re constituée par une Ii~nce ~e .camping délivrée par une Union
d A~clatton ou une Association agréée par
ce faITe, pa r le Secrétai re d'Etat à l'Enseig nem ent Tech nique de la Jeunesse et des
Sports, 'portant la photographie du titulaire
et le mIllésIme de l'année en cou rs et indiquant le nom, ~ rénom et domicile habituel
du po.rteur, ~,"Sl que le siège social oe "Association qUI J'a délivrée.
Le port d'un~ I!cence de camping confo rme a~x. prescnpllons de l'alinéa précédent
~t eXIge pou r camper dans les fo rêts domamales ou communales sou mises au ré aÎme
forestier.
~
Ar/icle 2. - Il est ioterdii de camper sur
les plages aménagées, sur les places publiques (sauf dé rogations signalées), Sur les
accotements de routes et à proximITé des monuments historiques classés.
Le camping individuel ou collectif est ,égaIement interdit dans un rayon de 100 metres
autour des pOints d'eau captés pour alimenter les serYices de distribution d 'eau potable.
En dehors des lieux signalés ci-dessus, l e
campeur pourra choisir librement son emplacement sous réserve d'accord avec le propriétai;e et à co ndit ion de se conformer .Il
la réglementation dépa rtementale de Sécunté rappelee ci-ap rès.
Le campmg ne peut être in terdit sur une
oartie ou la totalite du d epartement, qu'en
i aiso n d'e\'e nemcnts mettant en danger la
stkuri té ou la santé de la population ou dt5
campeurs ct après que tous les a ut res
moyens pou r y porter -remède au ront été
employès.
Article 3. - La réglementatio n générale
rel atl\"e à l'emploi du fe u s'a pplique à tous,
isolés ou en groupe (il conviendra de se
rapporter à cet égard à J'arrêté prlJectoral
relatif à l'emploi du leu).
Ar/icle 4. - L'emploi d u feu est toléré au
dela de la zone de 200 mèt res des bois et
des fo rêts.
Article 5. - Dans cette zone de 200 mètres et à l'intérieur des bois, tout campeur,
pour cet emploi du feu, dev ra être muni de
l'autorisatio n ecrite du prop riétai re du terrain où .il se trouve et égaleme nt des propriétai res des bois situés dans ladite zone.
Néanmoins, l'utilisation de ce feu est réglementée comme suit :
l ' Sur les lieux de campin g collec/ifs
autorisés qui devront a re déb roussai ll és, un
ou plusieu rs foyers pourront être édifiés. Ils
devront ëtre const r uits de façon à éviter toute projection d'étincelles.
Autour de chaque foyer, une zone de 5
mètres à sol nu devra êt re établie et maintenue en cet état. L'utilisation de ces fo ye rs
pourra être suspendue, par décision du Maire en cas de circonstances particuli ères
telles que vent violent.
•
Une réserve d'eau de 100 litres au moins
sera préparée à proximité pOlir permettre de
faIre ,face à t~ute éventu alité. Chaque soi r et
au depart, les foye rs seront éteints. Suiva nt
l'importance du camp, le IM aire po urra imp~se r des mesures de protection complémentalTes, tell es que : appa reils de pulvé ri sa'tio n, extincteurs à mousse, téléphone, etc ...
2' En dehors de ces terrains collectifs et
aménagés, les feux de bois sont ri gou reusement interdits. L'usage des rechauds sera
se~l tol~ ré, sous la co ndition que les appar eils SOlent entou rés d'une murette en pierres sèches de la hauteur d u foyer et que
le sol .,t été débarrassé avec soin de toutes
les her bes et feuilles dans un rayon de 5
mètre.s au moins. Le feu devra to ujours être
sur"",lIé et tout réchaud éteint ap rès utilIsation . Une réserve d'eau sera préparée à
proximite du réc haud.
3° L'emploi de lanternes est interdit.
Seule est tolé rée la lampe dite « tempête •
et les lampes élect riq ues, en out re, tous feux
divers, en pa rticulier les feux d'artifice so nt
ri gou reusement interdits.
'
, l~ est précisé, par ai ll eu rs, que pour la
penode du 15 mai au 15 octob re, il est interdit de fumer en forêt. On pourra toutefois
fumer sur les lieux de ca mpeme nts collectifs
aménagés, dans la zone déb roussaillée. L'emploi du briquet est seul auto risé.
L'observatio n de ces dispositions n'exclut
pas la responsabilité des campeu rs en cas
de sinistre.
,
Arlicle 6. - Conformément aux disposi_
tions ùu Code Forestier, il est interdit
d'abatt re aucun arbre sans a utori sation de
couper des branches, d'e nfo nter des dOus
dans les arb res et de grave r sur l'éCorce.
1
TITRE Il
RJglemenfatio n des terrains de campiflg
Article 7. - Sont considérés com me te rrains permanents de ca mpin g tous les terrains publics ou pri vés permetta nt le séjour
orga nisé des campeurs.
Tout terrain pe rm an ent de ca mpin g doit
faire l'objet d' une autorisation prefectoralè
d'o tl\'ert ure et de fo ncti onn eme nt.
Chaq ue terrain doit être s ignalé pa r un
pa nn ea u avec une pancarte de lectu re facile
qui co nsignera:
- la superficie du camp,
- les ser vitudes des campeurs,
- les points de dist rib ution d'ea u,
- les possibilités d'alimentation,
- la redeva nce quotidienne de séjour S'II
y a lieu.
'
Ar/icle 8. - Toute municipa lité aya nt sur 1
le terrain de sa com mune un ou plusieurs
emplacem"l1ts de campin g (pu blics ou privés)
devra, à l'aide d' un pannea u apposé sur
la façade de la Mairie, en signaler l'emplacement, l'itinéraire d'accès et les co nditio ns sommaires d'accuei l qui les ca ractërisent (i nstall atio ns, ali mentation, hygiène,
etc ... ).
Les Maires des communes desservies par
des ca naux d'adduction d'ea u potable il cic!
ouve rt dev ront les prot ége r par un e signalisation.
Article 9. - Formalités à remplir pour
obtenir une autorisation de camping collec/if permanent.
Les collectivités publiques, les Associations
et les particuliers qui désire nt installer ou
exploite r un terrain de camping répo ndant a
la définition ci-dessus de vront se muni r de
l'autorisation préfectorale qu i sera produite
â toute réquisition des age nts de l'autorité
administrative ou de la force publique.
Les dema ndes qui donneront toutes les
précisions util es seront ad ressées au Préfet,
deux mois au moins ava nt la date prévue
pour l'installation par l' interm édiaire du
Ma ire qui les accompagne ra de son av is mOtivé.
Ces dema nd es co mporte ront la production
en triple exemplaire.
l ' D'un plan de situation de camp (ca rte
au 1/ 200.(00) indiqua nt notamment la dISta nce à laquelle il se trouve des construc.
tions et agglomératio ns ;
2» D'un plan à gra nde éc helle du terrain
de camping précisant ses limites et :-ies
accès en indiquant l'empl acement des instal·
lations p rojetées ;
3" D' un program me d'organisatio n et dt'
fonction nement du camp comporta nt :
a) l'ind ication du propri étai re du te rrain
et la production de toutes pièces justifi an!
les condi tions dans lesquell es il est affecte
a u campin g - co nsentement des prop n éta l res, co ntr at de location, et,c...
.
b) toutes justifications relati ves à l 'a hme~
tation e n eau pota b-le (raccordement a u r~
seau de distrib utiO n publique s'il est à prox;mité et indicati on du point d'eau da ns e
cas cont raire).
c) t outes indications concernant l 'éva~ua~
tian des ea ux usées et aménagement des ln&tallations sanitaires dans les conditions des-
tinées à assurer à la lois la salubrité et la
décence (raccordement à l'égoUt, s'il est à
proximité, ou aménagement de fosses septiques ou élanches à vidan ges périodiques),
d) indication des mes ures prises pour
assurer la disparition des ordures ménagères,
e) l'organisation des cuisines et aes feu x
(cuisines aménagées de façon que toute propagatio n d'ince ndie soit évitée),
f) un rè glement sur le lonctionnement
intérieur du camp, Son o rga nisation, notam~
ment au point de vlle médical et la production de tous rensei g nements dest inés à ûxe r
l'autorité publique sur la qualité des organisateurs,
g) ,les mesures prises co ntre l'incendie et
notamment l'i ndication de numéro d' a ppel
du centre de Secours de rattachement .
4° Du barème des redeva nces qui se~ont
é\'entuell,e ment exigées des campeurs .
Article 10. Le F',éfet, a près avis du
Maire et de la Commission Dépa rtem ental e
dl! Camping, statuera s ur la req uête qui lu i
est présentée. II pou rra, soit autorise r l' installation, soit l'interdire, soit demander au
pétitionn ai re de la modifier de ma ni ère à la
rendre acceptable.
L'arrêté d' autorisation comportera com me
annexe les pièces énu mérées à l'article 9. 11
déte rmin era les co nditi ons matérielles de
déta il qui devront êt re réalisées dans les cas
particuliers, ta nt a u point de vue de l'o rdre
public qu 'a u point de vue sanjtai re et qu'a u
point de. vue de la protection contre l' in_cenl , 1
die.
L'auto risation d'occuper le terrain de camping se ra dél ivrée pa r le Préfet après établissement pa r le Service Départemental de
la Jeunesse et des Spo rts, d'un certificat de
conformité. Ledit arrêté pourra être rapporté à tout mome nt, s'il est établi que ses
prescripti ons ne sont pas observées Olt que
!e fonctionnement d u camp est susceptib l ~
dE causer des inconvénients au point de
vut' de l'ord re, de la sécurité et de la salubrité publics.
Article 11. - Les mesures a ppplicables en
matière de maladie transmissibles (déclaration, isolement, désinfection) devront fig urer
dans le rè gleme nt intérie ur du camp.
Article 12. - L'a limenta ti on en eau potable doit être assurée soit s ur le terrain
même, soit à proximité immédiate.
L'eau potable dev ra être a nalysée à l'ouverture de chaque saison et a ussi so uvent
que le Servi ce départe mental de la Santé
le juge ra nécessaire.
L'eau potable se ra distribuée par un ou
plusieu rs postes selon la capacité du cam p.
Elle pourra provenir soit :
l ' du résea u d'adduction d'eau potable de
la co mmune,
2° d'une source reconnue saine pa r l'a utorité sanitai re,
3' d' un puits présentant les mêmes garanties,
4° d'un canal d'amenée d'ea u de rivière
qui ne pourra être utilisée q u'après passage
da ns un gro upe ép urateur reconnu efficace
par l'autorité sanitaire.
Les postes d'eau destinés à la boisson seront ind iqués pa r une pancarte portant l'ins..
cr(ption « eau potable • .
Tous les autres moyens de distribution
d 'ea u seront également désig nés pa r des pancartes portant la mention ( eau non potable >.
Les abords des puits et des points de distribution d'eau seront protégés, notamment
contre les infiltrations d'eau usée.
Article 13. - Da ns les camps s uffisamment
alimentés en eau courante, des installations
sanitaires seront aménagées pour augmenter le co nfort des ca mpeurs (w.-c., douches,
lavo irs). Des installations devront satislaire
à la fois aux exigences de l' hygiène et de
la déce nce.
Article 14. - L'évac uation des eaux de
lavage et des eaux vannes sera faite par
branchement sur le réseau d'égoùts toutes
les fois que celui-ci existera s ur les voies
attenantes.
En l'absence de résea u d' égo ûts, les liq~i
des excrémentiels devront être tra ités conlormément aux- a rticles 36, 37, 38, 39 du Règlement Sanitaire Départemental.
Ar/icle 15. - Les ordures ménagè res seront déposées dans un e poubelle co uve rte
en vue de leur enlèvement pa r les Services
du netto iement.
La fréquence de l'enl èvement se ra fonction
de la capacité du ca mp.
A défaut de Service Municipal de nettoiement, il sera construit un dispositif ferm é
pe rm etta nt l'acc umul a ti on et J' incinération
s ur place des ordures.
Article 16. - Pour limiter l'en tasse ment
excessif des ca mpeurs, il devra être prév u
a ppro ximativement :
25 m2 par cam peur, piéton o u cyd iste,
50 m2 par ca mpe ur motocydiste ou
-ca noétiste,
- 100 m2 pa r campe ur a utomobiliste.
En principe, l'interval le sépara nt latérajement deux tentes vo isi nes ne devra pas
être infé rieur à 5 mèt res, l'i ntervalle séparant de front deux tentes voisines ne devra
pas être inféri eur à 10 mètres.
Article 17. - La s urvei lla nce d u camp et
\de ses accès doit êt re en prinCipe assurée
par une personne préposée à cet effet.
TITRE III
Obligations communes à tous les campeurs
Article 18. - Les campe urs isol és o u en
g roupe doi ve nt se co nformer aux règles géncrates de la décence et de la bo nne ten Ile
visan t l'ensemble de la pop ul ation, en particulie r en ce qui co nce rne la tenue vestimentai re, Je bruit noct urne et le respect des
,"!Tbres et des plantes.
Article 19. - Pour les campeurs en groupe, à défaut d'insta llation sanitaire adéquate, les feuillées pourront être utilis ées
Cians les conditions suivantes :
Elles seront creusées dans le sol et recouve rtes après chaque utilisation d'une min.ce co uc he de terre. Les trous deven us inutilisables sero nt comblés. Les trous suiva nts
seront creusés a u minimum à 1 mèt re du
.précédent.
Article 20. - Sur tous les lieux où le
camping est autorisé, il est interd it de déposer ou d'abandonner des détritus, ordu res ou
déchets de toutes nat ures. Les matières précitées devront être empo rtées, d étruites ou
eofou ies à 30 cm. 'de profoodeur. Il est fOImellement interdit de les déverser dans les
co urs d'eau, les sources, les puits, les fossés
ou su r les voies publiq ues.
Article 21. - Les campeurs utilisant des
vé hic ul es à moteur ne pourront procéder"
aucune vidange dans les lieux de campefl\E'nt.
Article 22. - Les dispositions du prèsent
arrêté s'appliquent aux pique-niqueurs, particulièrement les articles relatifs à l'emploi
du feu, la protection des arbres et des
plantes et l'hygiè ne.
Ar/ic/e 23. - Les infrac ti ons d'ordre généra i (tenue, bruits nocturnes, constructions)
sont passibl es des sanctions prévues par les
textes législatifs en vig ueur.
Les infractions concer na nt les prescriptions de sécurité dans ce rtai nes zones, eo
particulier en ce qui concerne les risques
d'ince ndie, so nt passibles des sa nctio ns prévues par le Code Forestier.
TITRE IV
Contrôle et inspection des terrains
de camping
Article 24. Les terrains de ca mpiog
et tou s les emplacements où le camping est
autorisé so nt placés so us la surveillance des
agents de l'Autorité Publique ou de ioute
personne spécialement habilitée à cet effet
pa r le Préfet.
Article 25. Le Service Départemental
de la Jeunesse et des Sports au ra qualité
pour donner éve nt uelleme nt aux respo nsables des camps tous les co nseil s susceptibles
d'en a méliorer le fonctionnement.
1
Ar/ide 26. - MM. le Secrétai re Général
de la Préfectu re, les Sous-Prélets d'Aix et
d' Arles, les Procureurs de la Répub lique,
les Maires du Département et leurs Adjoi nts,
le Commandant de Gendarmerie, l'In génieur
en Chef des Ponts et Chaussées, l' Ingénieur
en Chef du Génie Rural, M. le Directeur des
Domaines, de l'Enregistrement et d u Timbre,
M. le Directeur des Services Agri coles, M le
Conservateu r des Eau x et Forêts, M. le Directeur Départemental de la Sa nté, t\\. l'Inspecteur Département al de l'V rbanisme, M.
l' Inspecteur Dépa rtemental des Services d'Incendie et de Secours, le Chef du Service Départemental de la Jeunesse et des Sports, les
Commissaires de Police du Département, les
Agents de Douanes, les Garde-Champ êt res et
tous Officiers de Police Judica ire sont chargés de l'exéc ut ion du .présent arrêté, qui sera
insé ré a u Recueil des Ac tes Administratifs
du Dépa rtement.
Marseill e, le 25 avri l 1951.
be Préfet :
Jean BAYLOT.
----c ~oo<:>,----
0 lB 3
P8
INTRODUCTION DE MAIN-D'ŒUVRE
SAISONNlERE AGRICOLE
ITALIENNE
Le Préfet des Bouclle&-du-Rhône
à MM. les Maires du Département.
j'ai l'honneur de porter à votre connaissanCe des dispositions d'une letJre-cùculaiu
en date du 12 avril 1951, de M. le M;~
du Travail et de la Shririfé Sociale, ayant
fr-lli! à finfro-dudilOn
de main-d'œuvre sai-
sonnière agriCOle italienne (application des
accords du 21 mars 195 1) :
�100
Le. .\\.0. 45/5 1
P aris, le 12 avr il 1951
Le Ministre du T ravail
•
e t de la Se<:urite Sociale,
il Messieurs les Préfets,
Messieurs les InspeaeuTS Dhrisionn.aires du Travail et de la Main-d'ŒuV Te,
Messieurs les Directeurs Dépa.r tementaux du T ravail et de la Maind-Œuvre,
1I1essteurs les Chefs des Services Dêpartementau~ de Main-d'Œuvre
(pou r exerurion),
lII0nsieur le Dire<:teur de l'Office Natio nal d' Immig ration (pour e.xècutlon).
R"férence : ,\Ia lettre-circulaire 111. O. 23649 du 2ï mal 19-19.
En application de rarrangement adminis--tTatlf franro-Ita~en du 21 mars 1951, les modalités suivantes devront être suivies en matièr e d'introduction de main-d'œuvre saisonJW.ère agricole italienne :
1') Recrulemenl :
Il s'effectue, comme pour les ou\'riers permanents, par les soins de l'Office atiooai
d'Immigration.
2°) Rémunération :
Les travailleW'S saisonniers auront le régime de salaire appliqué aux travaille urs français de la même catégorie et de la même
région. Ces travaWeurs seront ad mis en ou-
tre au bénéfice des avantages prévus par la
r églementation relative au paiement des heures supplementaires dans les mêmes condi tions que les trava illeU:l'S françai .
Le salaire des travailleurs saisonnie'rs
agricoles, travaillant il J'heure., est le sal aire
normal des oU\TÎers permanents, majore de
10 p. 100. Le salaire des ou\'riers saisonniers agricoles travaiJ1arrt il la tâche est fixe:
forfaitairement.
3') Assurances Sociales el Ai/ocations fa -
milialls :
Une dédaration d'immatricuiation aux
assurances sociales sera souscrite par l' em -
ployellr.
Aux termes de l'arrangement du 21 mars
1951 prècitê, les ouvriers saisonnÎers italiens
qui, il la fin de leur contrat ou au moins
avant l'expiration de rannée civile, font veni r }eu r famile en France pour s'y installer,
r ecevront, rétroactivement et à compter de
leur entrée en France, les allocations fami-
liales dans les ronditions prevues par la lé~slation française.
4' Transfert' des salair.. :
Les ouvriers saisonniers italiens au ront la
possibilité, s'ils le desirent,
de transférer,
Chaque mois, en Italie, jusqu'à JOO p. 100
de leu r salaire, quelle Que soit leur situation
de famille, en application de ma circl1'1aiTe
.~l O.
47/ 49 du 28 novembre 1949.
5') Feuil!., d'idenlificalion :
Les t ravailleu rs recrutés
seront titulaires
d'u ne feuille d'identification tenant lieu de
passeport.
6') Caries de séj()Ur el de Iravail
Les ouviers saisonniers devront solliciter
la délivrance d'une carte de SéjOUT et d' une
carte tempo rai re de travail dans les conditions réglementaires. La carte de travail devra être revêtue de la mention c Saisonnier
agricole.
7-) Procédure :
Il y a lieu de distinguer deux procédur1!S
suÎ\'ant qu'i l s'agit d'un o uvrier ve nant pour
la première .{OlS ~ra \'a ille r chez Uill em plo~eur
o u d'un salso nnaer reve na nt chez le m t:me
Le tra\'a ill: ur sais<:>nn ier sera pri s on chard' Immi uration à
partir du poste f rançais de Moda ~e.
employe ur.
g rat ion recevra, des employeurs' de saison~
niers itaHens, une redevance forfaita ire de
A) Premier ""J'age
a) Conlral de Iravail :
Le contrat pourra être nominat if Ou anonyme. Dans le prem ier cas, une ~ttre d'accepta tion de\'ra êt.re jO,inte a~ dossier t ra~
mis en Ital ie, co nto rmement a ma clrculatre
M.O. 20/ 49 du 16 mars 1949.
Les contr ats spécia ux
pour t ravailleurs
sai sonnierS agricoles, seront du .modèle d -
joi nt ( 1). Comme po ur les
tT a val .j~,rs
pe r-
b R edeva nce : t'Off ice Nat;" na l d'Immi_
6.000 fra ncs.
Les fra is de reto ur du travailleur saisonnier du lieu d u trava il à la fron t iè re fra nçaise (Moda ne) serollit ~ la ch arge des emp loyeur ' f rança is, les frais de voyage de retour d'e l a f rontière fran-ça ise au lieu de ré- '
sidence en Ita lie éta nt pris e n cha rge pa r
le gouve rn ement ita Jien .
En
C<lS
de ru pture d'" co ntra t par le t'l13-
manents, ces co ntrats .seront adrt~·~ ses ? l reC~
tement à l'Office Nati onal d Immig ratio n a
M iran dans les co nditions prévues ,pa r ma
circ ul;'; re .\ lO. 297/ fIJ du 3 ao ùt 1950.
,Les co ntrats devront, après vérifica tion,
être transmis au j(1Ur le jour. Les bordereaux de transmission il J\I\Iilan et à Pa ris,
ainsi Que la fe uille de renseignements que
vous m'adresserez au fur et à mesure, devrant porter la mention t rès apparente c Saisonnier a~ r icole >.
vailleur, sallS moti fs va lables, l e p ai ement de
so n voyage de retolJlf 'l ui inco mbera. L'ouvri er q ui estime que l a r upture d u co ntrat
est d ue à la faute de l'employeur doit le
fai re constate r, avant son, dêpart, pa r le fonc_
ti onnair e compétent. S'i l omet cette fo rma.li té, il ne sera pas admis il demander le paiement dU' mont3D1,t de son voyage de retour
qu'il aurait al'qui tt é lui-même. ,De même
l'employeur, dont j'o uvr ier n'a ,pas respecté
ses engagements, devra le fai r e constater
b) D urée du conlr al :
Il vous appartiendra de ve ri fier si l'employeur a bien mentionné sur le co ntra t la
durée de l'engagement qui, en aucun cas,
ne saurait excéaer Sept mois. La d urée minimum sera de tro is mo is.
égale ment et de ma nde r, dans )e déla i d'","
c) Redcl/once :
L'Office NationaJ d' Immigratio n rece vra
des employeurs de saisonnie rs ita .~ens, une
redevance forfaitai re de 8.000 f r ancs.
A cet effet, un engagement de versement
de ce montant sera remis à vos services pa r
l'employeur; il de~ra porter la mention très
apparente c Saisonnier agricole ::., 1er voyage ; il sera ensuite transmis, par vos SOlOS,
il l'Office National d' Immigration, 30} avenue Victor-Hugo, Paris.
Le~ frais de retour du traVailleur saisonnier du l ieu d'emploi jusqu'au lieu de sa r ésidence en Italie sont à l a cha rge du gouvernement italien.
S) Deuxième voyage et sUi'vants
Il s'opè re suivan t la procéd ure simpli fiée
ci-après ;
a) Une lettre d'appe l (modèle ci -joi nt) sera souscrite par J employeu r primi t if~ déposée il vos services et visés pa r eux, compte
tenu, bien entendu, de la situatio n du marché de ~'emploi ; cette lettre invite l}irnmi-
grant a se presenter au Centre
de
mois à co mpte r du dépa rt de j'ouvrier, à
l'Office National dr' lm migratiol1, 30, ave nue
V icto r-Hu go, Pa r is, -le rembo ursement du
montan t des fra is de re tou r s' il s'agit, biell
enten du. du deuxième voyage o u des sU'i~
vants.
•••
Les disposi, ions q ui précède nt ne s'appliquen t pas aux depa rtements des Ha utes-AI'pes, Savoie, Haute-Savoie, ALpes-Maritimes
et Corse, q ui so nt soomis à une réglementati on spéciale en matière de saison ni ers.
•••
La présente circulai re ann ule et remplace
ma ci rcu laire M.O. 236/ 49 d u 27 mai 1949.
Elle prend ra erret des rereptio n. Je compte Que vous voud rez bien assurer l a plus lar-
ge diffusion de ces dispositions dl3lns les milieux agricoles.
Pour le Mi nistre et pa r autorisation,
Le Directeur de la Main-d'Œuvre,
ROS IER
1/ est précisé que les divers .Imprimés men,.
tionnés dans la cirCUlaire CÎ-dessWS peuvent
être demandès, 'en cas de besoin, auprès du
Service Départemental de la Main-d'Œuvre
Elrongèr e, 11 9, boulevlN'd Nalional, li Marseille ou dans les bureaux de Ma in-d'Œ uvre
existant dans certaif&!s communes.
Pour le Préfet et par dél égatio n,
Le Secr élair e Général,
Mila n
,pour y recevoir, après identification, le visa
d' entrée en France, et y passer une visite
mêdicale de caractère prophylactique. Cet/e
procédure n'esl volable que lorsque le saisonnier revient chez son prNnier employeur.
En cas d'avis favorable, la lett re d'appe l
sera rend'Ut! à J'employeu r, il charge pou r
lui de ~ faire parvenir à son destinatai re.
( 1) Un stock important
de contrats
en
blancs déjà confectionnés suivan t ma ci rcll'-"
laire M.O. 236/49 du ?:7 ma i 1949, etant dé tenu lpar l'Administration Cen trale, if con.viendra de les utiliser en modifiant à la pa rtîe III les conditions et le taux de la rémunération mensuelle et en préC'Îosant il l a partie VI que les fra is de relo ur se ront à la
charge du gouvernement i-talie n. Je tiens
donc à votre dispositio n le nombre d'imprimés qui vous sera nêcessaire.
101
ge .p..1 r l'Office Nati onal
LAMASSOURE.
- -- - c .)OOc::.·- - --
D 2 B3
TVX 1
EQUIPEMENT SPORTIF
Subventions accordées sur les crédits
du Chapitre 946
(programme du 13 novembre 1940)
Le Préfet des Bo uches-d u-Rhô ne
à MM. les -MaiTes d u Département,
j' ai l'honn eur d'appel er l'allenlion de MM.
l~s Ma(res Sur l' c:mpor fance présentée par la
ctrculatre n° 173 1/5 du 26 février 195 1 de
M. le Minislre de l'Educalion Nal io nale donl
le lexie est reprodwil ci-apr ès el 'l'li prévoit
l'anf1lJ lation des Subvenlions accordées pour
Iravaux d'équi pemenJ sporlif sur le chapilre
946 au titre du program m e du 13 novembre
1940 sr leur versem ent n'est pas intervenu au
1et oclobre 195 1.
P our 1" P réfet :
Le Secré taire Général,
LM IASSO UR E.
Le Sec r,éllaire d' Eta t
à l'Enseignement
Technique, à la Jeunesse et aux ~ports
il M essie urs les Préfe ts.
Em applicati on des inst ru ctio ns de la ci rculai re n" 8070/ S du 26 novembre 1946, les
amé.nagem ents d'équ ipement spor ti,f subve ntion,nés sur l es crédits d u chapit re 946 (pro-
gramme d'u 13 nove mbre 1940) ont été classés en 1947 par la Commissio n Co nsuJ,tative
de l'équ ipement spo rtil de votre dépa rte ment
Opé rations
do nt l'exêcut ion
eta it
abandonn ée ;
C. - Operati ons entrepr ises ou pour lesquell-es le terrain ,était acquis ou en co urs
d'exprop riation.
Ce classement a permis
de procéder là
l'annulatio n des 'IHomesses de subve ntions
dont avaient bénéficié les opé rations abandonnêes.
Par ci rcul aire
du 25 septemb re
1947,
j'avais att il1é votre attention S~br cette questio l1 en vo us d'ema.ndant de Ibien vo ul oir bloquer dams votre co mptabil ité les Ipromesses
de subve nt io n res tan t à co uvri r .
A l'heure actuelle, la réliisation d' un certai n nombre de ces aménagements rl! stc touj ours en suspens.
Afin de pr océder à l'appurement indispensable du chapitre 946, j'ai l'honneur de
VOll"S fa ire connaît re que j'ai déc idé d'arunu1er les 'promesses de subventions ouvertes
s.ur ce chapitre pour les aménagements spo rtifs de la catégorte A (opérations dont ~\3.
~ase subvention nab le n'excède Ipas deux mill Ions et qu i co mprend notamment tous les
aménagements dits « sommaires ::' )" dont le
règlement ne sera pas intervenu le 1er octobr.c 195 1. Seu les les subventions comp lémen-
talf' s att ribuées
en 1950 et 195 1
se ront
maintenu es.
Je vo us prie de bien vouloir porter cette
décision à la co,nna issa nce des colleotivités
e.t : a~soci at i ons de votre département, benéf1cla lfes de subventions de cette catégo r ie
restant à \payer, par insertion \l1otamment
dans le Recueil de s Actes Administratifs.
.. Il co nvien.t, en conséquence, que toute dilIgence soit apportée dès à .p r ~en t par ces
co llectivités à fachèvement des travaux subvention nés et au x demandes corrélatives de
versemen't des subventio ns. En tout état de
~use, i l ne sera plus procedé par mes se r-
à des délégatiOns de crédits pou r le
ve rsement d'acomptes ou de sol des de ces
subvent ions Qui n'auraient pas êté introduites au.p rès de vous et accompagnées des pièces justificat ives avant le 1er octobre 195 1,
,délai de rigueu r :
Je VOus serais ob ligé de bien vouloir m'adresse r, pO ur le 15 oelobre 195 1 au plus
ba rd, deux états étab lis sous la forme d'eS
modè!es ci-joints faisant connaît re;
. 1" Les subventio ns ouvertes !'ur le chaPItre 946 pou r aménaO'"ement's sportifs de la
catégo r ie A non régl é~s au 1er octobre 195 1
et .dont l' a n nu ~a tion sera prononcée par mes
SOins.
VICes
0
2 Les subventions
pOu r
·Pou r le Sec rétai re d'Etat,
Le D irecteur General de la l eunesse
el des Sporl s,
G. RO UX.
•
en tro is cal'égories :
A, - Opération s term inées ;
B. -
tale est supér ieure à deux millio ns) restant
à acqui tter.
En Ce q ui conce rn e cette deuxième catégode de subven tions, j'envisage de procé.der
en octobre 1952 à l'annul ation des restes à
payer correspond1ant aux t ravaux non exécu tés à cette date. Des instructi ons "D US seront données tllltéri eure ment d a,ns ce sens. Il
vo~s appa r tient, toute fo i s, d'en i nfo rm er dès
main te nant les co ll ec tivi tés intéressées afi.n
qu e les t ravaux en ca use soient accélérés le
plus possible.
TEXTES D
'llTE8ET GElUn
Circulaires CO/lcernant plus spécialement
Il!s Adminis frations de l'Elat
D 2 B2
AC 3
MAJORATION
A TITRE PROVIS OIRE
DE CERTAINES PRESTATIONS
FAMILIALES
Loi N' 5 1-520 du 9 mai 195 1
L'Assemb lée Nationa le et le Co nseil de
la Ré pu bli q ue on t dél ibé ré,
L ' Assemblée Nationale a adopté,
Le P résident de la Ré pub liq ue p romulgue
la loi do nt la te neu r suit :
Article premier. - Les disposit ions pré\'ues à l'ar ticle 2 derni er pa ragraphe de la
loi n" 5 1- 258 du 2 ma rs 195 1 fe ront l'objet
d'un tex te défi nitif d' nt le vote interviendra
ava nt le 3 1 ma i 195 1.
Article 2. - A titre provisoire, les allocations fami liales des salariés et assimilés, l'alloca tio n de salaire uni-q ue, l es all ocations
p r énata les et l'i ndemnité co mpensatrice pré-
vue par le déc ret n' 48- 1555 du 8 octobre
1948 so nt majorêes de 25 %.
Article 3. - Est portée uniformément à
35 % la majoration des allocatio ns familia.l es ser vies par les caisses de compe nsatio n
et de surcom pensation de la Guadeloupe, la
,Mar ti niq ue, la Guyane et la Réunion.
Article 4, paragr. 1er. - Les allocations
familiales et les allocations prénatales des
tra"vai lleurs ind épendants et des employeurs
des professions non agricoles sont calculées
sur un sala ire de base de 12.000 fr .
Paragraphe 2. - Ces allocations, ainsi
calcu,lées, sont majorées de 10 %.
Article 5. - Les allocations familiales et
les allocations prénatales des membres non
salariés des professions agricoles et fores.fières sont majorées de 30 %.
Articte 6. - Les dispositions des articles
2, 4 et 5 ont effet du 1er avril 1951 jusq u'à
la date de mise en vigueur cie la loi prévue
il l'article 2, dernier al inéa de la loi numéro 5 1.258 d u 2 mars 1951.
Article 7. - Le premier alinéa de l'article
10 de la loi ,, " 46-1 835 du 22 août 1946 est
ai nsi modifié:
«" Les allocations familiales so nt dues tant
que dure l'obligation scolaire et lin an au
delà pou r l'enfant il charge nOIl salarié ;
jusqu'à l'
de di x-sept ans pour l'enfant
ui est
tissage, lIsqu'à ,l'âge
maladi e ou de maladie incurable, dans l'impossibilité perm anente de se livrer il un trava il salari é. ::.
•
Les allocations famil iales et
les alloca ti ons pr énatales des membres non
sal ari és des professio ns agri co les et fo resti ères payées au titre des mois de fév rier et
Article 8. -
mars 195 1 so nt majo rées de 20 %.
Arlicle 9. - Les dis positio ns de l'a rticle
1er de la loi n" 5 1.258 du 2 mars 195 1, maj orant â ti t re provisoi re ce rtaines prestations
famili ales et cell es de l a 'Présente loi, sont
appl icables en A lgéri e et dans les t erritoires
d'outre-mer .
La présen te (loi se ra exéc utée com me loi
de l' Etat.
Fait à Pa ri s, le 9 ma i 195 1.
Vince nl AUR IOL.
Pa r le Préside nt de la Rep ublique.
Le Président du Conseil des Minislres,
Ministre de J'In férieur
Henri QUEU ILLE.
Le Ministre des Finances
el des Affaires Economiq ues :
Mau rice PETSCHE.
Le Minislre du Budgel
Edga r FAU'lE.
Le Minis tre des Travaux Publics
des Transports ef du Tourime :
Anto ine P INA Y.
Le Ministre de l'Industrie
et du Commerce:
Jean-Marie LOUVEL.
Le Ministre de l'Agriculture :
Pierre PFIMLIN .
Le Ministre du Travail
et de la Sécurité Sociaie
Paul BACON.
Le Millislre de la San l é Publique
el de la Populalion :
Pierre SCHNE ITER .
Le Minis/re de la Morille Marchande :
Gaston DEFFERRE.
•
COIIIPlUllQUfS DU SEC8ETBOIBT
DE L'UNION DES lIIBIBES
DEMANDE D'EMPLOI
Employé communa l âgé de 36 ans, marié,
père de deux enfants, exerçant depuis I l ans
dans une mairie de 6O.()(X) habivants de la
proche banlieue parisienne., che rche, en raison de l'état de sante de sa femme, un permutant c u un poste de secrétai re de mairie
dans une commune de 1.000 à 2.0CXl habi-
tants du département des Bouches·du-Rhône.
L'intéressé sig na le, à tOlites fins utiles,
dans le cas où il trou\'cnait un permiUtant,
la possibilité d'échange de logement.
Li\1'essiell rs l es Maires in-téressés par cette
candidature voudront bien se mettre directement en r(tlpport avec M. André Lon gueville,
12, rue François-Mauriac, à Colomb.es (Seili e).
Le Secreta.ire General de J'Un ion,
AU'ÛIBERT.
certl6ée co otormt..
�REPUBLIQUE FRANÇAISE
31 Mal 1951
DËPARTEMENT DES
9' An ée. - N' 2~
BOUCHES-DU-RHON
•
Recueil des Actes
Administp..~
et Bulletin des Mairies
Toute corr espondance relative au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
A BRÉV:lA. TIONS
A. P . : Arrêté préfecto ral. - C. : Circulaire - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'o ri gine.
D. S. T. : Direction des Ser vices Tech nique• . - D. D. S. : Direction Départementa le de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Popu lation.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
FS O. - Nouvelle dé nomin atio n des
Inspecteu rs de la Population ..
FS 7. - Personnel des Etablissements
hospitali ers pu blics. - Participa tio n
Pa~es
•
A 1. - Classement en catégo rie des
assurés sociaux agri coles ........
A 1. - Electio n$ à la Chamb re d'Agriculture. - Oési.gnatio n des délégués
préfec toraux au x co mmissions communa les chargées de dresser les listes électo rales agri coles .....
F 3. - Ta xe d'abatage......... ...
103
aux travau x d'o r g-a nismes professionnels ..........
. .....•........
SC 7. - Instru ctio n relati ve il l'alarJ1l t!
au cas de si nistres mar itimes ....
TVX 4. - Elect ri ficatio n. - Travaux
103
104
déclarés d' util ité publique .
Il '-1 ,
104
Textes d 'Intérêt Général
AC 3. - Majoration de 20 % des prestations fa mili ales .......... .. . ' ..
AC 3. Helèvement des rémunérations des fonctio nnai res I!t agents de
l'Eta t ........
. . .. . . . .
105
10..<;
1 0~
Communiqués, A vis, Annonces diverses
Dons et Legs ".
lOS
10·1
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
06 BI
Al,
CLASSEMENT EN CATEGORIE
DES ASSURES SOCIAUX AGRICOLES
ARRETE
Lé Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur,
Croix de Guerre,
Vu le décret n" 50-444 du 20 av r il 1950,
rel atif au fi nancement des assu rances soc iales agricoles ;
Vu le décret n" :Kl-475 du 28 avril 1950,
rel atif au classement des salariés dans les
catégories prév ues lpa r le décret n" 50-4-'4 du
20 OI'ril 1950 ;
Vu l'arrété préfectoral du 3 1 mai 1950
port ant classeme nt en catégories des assu·
rés socia ux agricoles ;
Vu le decret n" 50- 1224 ùu 18 septemb re
1950 modifiant l e décret n'" 50-444 ùu 20
avril 1950, relati f au fina nce ment des assurances sociales agricol es ;
Vu le décret n" 50- 1227 d" 2 1 septemb re
1950 portant règlement d'adm inistration publique pour l' application du décret du 20
avril 1950, rela tif au financement _des assurances so cia les aO'rico les en ce q UI conce rne
les OU\'ri ers fo restiers et betteravie rs;
Vu le décret du 24 mars 1951, modifiant le
déc ret du 9 octob re 1950 relaM à l'applicat!on au x professions ag;icoles des disr~s.i:
tlon s du décret du 23 août 1950, modifie
par le décret d u 24 mars 195 1 portant fixatIon du sa laire minimum national intenprofessionnel O'aranti ,.
~
1
Su r la proposition du Co ntrôleur Divisi onnaire des Lois Socia les en Anriculture ;
Sur la .proposition du Secrétaire Généra l,
ARRETE :
Article premier. - A la suite de la fixa·
ti on, pour les professio ns agri co les, cJ'un
I,ouveau sa laÎ re minimum ga ranti il compte r
d u 1er av r il 195 1J le tab lea u fixa nt, pour la
zone 1 du département, les catego ri es des
assurés sociaux agri co les, pll blié en annexe à
l'arrété p réfectoral du 3 1 mai 1950 ct modifié par l'arrêté préfecto r al cJu 13 novemh re
1950, est modifié com me suit .
1re categorie. - Hêmu nération annuelle
moyenne inférieu re il 120.000 fr. : neant.
2e catégorie. Rémunération annuelle
moyenne comprise entre 120.COO francs et
14-1.000 fr. : néant.
3e c(Jtegorie. Hemuneration annuell('
moyenne comp rise I!ntre J-!-!.Odl francs ct
168.WO fr. :
Les salaries qui figuraie nt dans les 1re el
2e categories doivent êt re portés au début
de la liste de ceux classés dans la Je t.:att~
go ri e.
Article 2. - Les ouvriers reSIIlIers de
l 'ensemble du département sont classes tians
l a 4e catégorie des <tssu r és SOCiélllX agricoles.
Ar/icle 3. - Les dispositions du p r~se llt
arrêté p rennent effet il ..:ompter tlu 1er avril
1951.
Article -4. - Le Sec rétai re Général ùe la
Préfectu re et le Contrôle"r des Lois SOCiales
en Ag riculture sont
.
qui le conce rn e, de l'application du présent
arrete, qui se ra inséré au Bulletin des Actes
Ad minist ratifs du Département.
lv\arseille, le 1ï a\'Tii 195 1.
Po"r le Préfet
Le Sec ré/aire Général,
LAMASSOURE.
1
---«»00,0---_
06 BI
A
ELECTIONS A LA CHAMBRE
D' AGRICULTURE
D ésignation des délégués PréfectOraux
aux Commissions communales chargées de dresser les listes électorales
agricol es.
ARRETE
Le Pré/el des Bouches-du-Rhône,
Vu l'article ï de la loi du 3 jam'ier 1Y21 f
relahve aux Chamb res d'Agriculture ;
Vu le décret-loi d" 30 octobre 1935 la
co mplétant,
Sur la proposition uu Secretaire Général,
AR I~ETE :
Article premier. -
Les électeurs agrico.
l es sui"ants son t désigm!s pour siéger en
qualité de Délégué du Prêfet à la Commission tle Recensement chargee ue dresser,
dans chaque com mune, la liste élec torale
agricole en VlIe des élections générales aux.
Chambres d'Agricultu re;
GHIO
Belcod"ne,
�105
104
PE.lLEGRIN Paul, Ai~-en-Provence,
AUDIBERT Fernand, Saint-Chamas,
FLORUS Augustin, Er ragues,
ALLIER Henri, Vitrolles-Ie--Roucas,
OUILLO. J\larcel, Aurons.
DARBO Louis, Peyrolles-en-Prol'ence,
AlOUSSET Denis, Saint-.\\artin-de-Crau,
FABRE Lucien, Orgon,
HERAUD Hippolyte, St-Marc-Jaumegarde,
.MIRABEL Eugène, Cabries,
"'AUREL Paul, Grans,
NOEL Marcel, Molléges.
Article 2. - Le Secrétaire Géné ral de 1.
Prefecture est charge de l'exé<ution du pre-
sent arrêté.
.\\arse"le, le 18 a,'ril 1951.
Pour le Préfet:
Le Secrétaire üéneral,
LAAIASSOURE.
- - - - - - c> OO<>------
92 B3
F 3
TAXE D'ABATAGE
après :1\ is du DlreLtellr d~pa rtemental de~
sen;cfs \"t~t~flnalTl$.
Ces taxes seront directement n~coU\·r~es
par l'Adnunistration \ \lInicipale.
Pou r le P réfet :
Le Serrétaire Géneral ,
LA.\\ASSOURE.
_____-<c>ooc:., _ _ ___
NOUVELLE DENOMINATION DES
lNSPECTEURS DE LA POPULATION
Paris, l e 5 mai 195 1.
Le Minislre de la Santé Publique
et de la Population
ci AJAI. les Prefets,
N ° 82
Jai l'honneur de vous rappeler que, par
suite de l'intervention du décret n" 51.267
du 28 février 1951, portant statut particulier
du corps, les Inspecteurs de la Population
portent
La loi n 51 -126 du 16 avr" 195 1, relati"e
au d,;,'eloppement des crédits affectés a"'
dépenses de fonctionnement des services civils pour l'exercice 195 1 (Agriculture) pre,'"oit dans ses articles 7 à JO, en remplacement des taxes prévues par la loi du 17 aV ri l
1946, la perception de plusieurs autres taxes
communales Sur les dandes.
Suivant que la commune pos!ède ou nOn
un abattoir municipal. la nature et le taux de
FS 0
02 B3
désormais
la
dénomination d' I ns-
pecteurs de la Population et de l'E ntr' Aide
Sociale.
Je vous serais obligé de vo.ul?ir bien si~ n a1er cet état de choses aux dlfferents services
placés sous votre autorité.
Pour le Ministre et pa r délégation,
Le Sous-Directeur
de l'Administration Générale,
du Perso nnel et du Budget
BONTZ,
t:es impositions diffèrent.
Je prêcise ci-dessous pour chaque catë~o
ne de communes les di\'ers taux des taxes
pouyant Hre perçues :
1. -
public '
a)
Communes exploitant un abattoir
Taxe d'abatage: de 3 francs au maxi-
mum par kilogramme de viande nette, applicable aux \·iandes de (Oute nature abattues
dans l'abattoir communal.
b) Taxe de llisite et de poinçonnage: de
2 francs au maximum par kilogramme de
\ iande nette applicable aux \'iandes de toute
nature importées sur le territoire de la commune et dont celle-ci assume le contrôle sanitaire.
Cette taxe ne peut, en aUCun cas, être perçue à un taux excédant celui de la taxe
d'abatage, ni frapper, au profit d'une même
commune, les viandes déjà soumises â cette
dernière.
c) Surtaxe: de 1 franc au maximum par
kjlogramme de viande nette, applicable auX"
\'Ïandes de toute nature abattues dans J'abattoir communal, cette surtaxe étant destinée
â amortir les dépenses engagées pour la
construction, la réédification ou la moderni-
sation de l'abattoir,
2. - Communes sur le territoire desquelles
aucun abattoir public n'est exploité :
Taxe de visite et de poinçonnage : de 2
------ ~> oo «~-----
03 B2
FS
7
PE RS O NNEL DES ET ABLISS EMENTS
HOS PIT ALIERS PUBLICS - PARTICIP ATION AUX TRAVAUX D ' ORGANISMES PRO FESSION NELS.
Ci rculai re nO 80
Paris, le 30 avril 1951.
Le Ministre de ta Sant é Publique et
de ta Population
ci MM. les Préfets (pour exé<ution),
MM. les Directeurs Départementalf),
de la Santé (pou r info r mation),
MM. les Directeurs Départementaux
de la Population (p. informatio n),
11 m'a été signalé que certaines Administrations hospitalières n'accorderaient pas a
leur personnel la possibilité de s'absente r
pour participer aux. fra\'aux d'organismes
professionnels.
J'ai l'honneur de vouS rappeler à cet égard
que l'instruction n° 7 du 3 mars 1950, prise
pour l'application de la loi n° 46-2294 du 19
octobre 1946, a déterminé les conditions dans
lesquelles des autorisations spé<iales d'absence peuvent être accordées aux fonction.
naires de l'Etat, notamment pour assister
aux Cong rès professionnels.
Rien ne s'oppose il ce qu'il soit fait applicatio n de dispositions analogues aux fon c-
francs au maximum par kilogramme de viande nette pour f rais de visite et de poinçon-
tionnaires et agents des Etablissements Hospitaliers publics.
na.ll'e des viandes de
Je vous serais obligé, en conséquence, de
vouloir bien informer les Administratio ns
Hospitalières de votre ressort que, dans les
limites prévues par la cireulaire précitée,
toutes facilités doivent être accordées auX"
toute
nature,
qu'il
s'agisse de viandes foraines ou de viandes
provenant d'animaux abattus sur le territoire de la commune.
J'ai l'honneur de faire connanre à Messieurs les Maires que ces dHférentes taxes
sont instiluées par délibéralion du Conseil
Munictpal, approuvée par mes soins ou par
les Sous-Préfets d'Aix et d'Arles lorsque
délégués syndicaux, régulièrement mandatés,
pour remplir leur mission.
Pour le Minist re et par détégation.
L.
de Cabinet,
C7
trique pou r tous usages sur le tt! rr itoire dl.'
la Commune de M arseill e,
INSTRUCTION RELATIVE
A L' ALARME A U CAS DE SINISTRES
MARITIMES
ARRETE:
Article premier. - Sont declares d'utilité
0283
Par ci rculaire Cn date d u 17 avnl 1951
M. ie !\'linistre de l' lntêri eur a précisé leS
modal ités de l'alarm e au cas de si nistres.
maritimes sur vena nt en zone littorale.
Cette i nstruct ion ra pp ell e notamment que
toute person ne inform ée d' un sinistre, soit
di rec tement, soit par un nau frage, a le devoir de gagner aussitôt le poste tél ép h Ont~
J] ue, p ubli c ou pri vé, le p l us pr oche et d'a lerler l a gendar mer ie dont le ser vice est .permanent ou l a police.
Par son abstent io n vo lontaire, ell e pourrait
en effet tomber éven tuellement sous le coup
d'u n empri sonnement d'u n an à t rois ans
publique les t rayaux d'i nstall atio n d'un poste
dans le qua r t ier d u boulevard des Neiges,
aven ue de la ·Pointe-Rouge, pa r le Service
National d'Electri ci t e de Fra nce.
Arfide 2. - Le pr ésent arrêté se ra inséré
nu Rec liei l des Ac tes Adm i nistr atifs.
Article 3. - M. le Sec réta ire Gé néra l de
la Préfecture est chargé de l'exécutio n <..l u
présent A rr êté, dont ampl ia tion se ra ad ress~e à Nt l' I ngénie ur en Che f des Ponts et
Chaussées et M. le Chef d u Ce nt re Mixte de
risque pou r l ui ni pou r les t iers, il pouvait
lui prêter soit pa r son action personnelle,
soit en provoquant un secours ).
Dès que le préposé des p , T. T. se trouve
en r3lpport avec le té moin q ui demande des
secours, il do it le mettre en relation avec la
gendarm eri e ou le ser vice de pol ice le plus
TEXTES D'llTERET DEJEHBL
02 82
AC 3
MAJORAT ION D E 20 %
DES PRE ST ATI O NS F AMILIALES
N" 29- 11 B/5
05 B I
TVX <f
ELECT RIFICATION
TRAVAUX
D E CLARES D'UTILITE P UBLIQUE
ARRETE
Le Préfet des Bouches-dl/-Rhôn"
Officier de la Légion d'Honnel/r.
Croix de Guerre,
Vu la dema nde de M. le Chef du Cent re
Mixte de Dist rib ut ion de Marsei lle--Ville sol-,
licita nt le bé néfice de la déclaration d'utllt te
publique pour l'établissement d'un poste d.
t ransfo rm atio n 5.000/ 110/ 190 dans le quartier du boulevard des Neiges, avenue de la
Pointe-Rouge ;
Vu le titre Il du décret n° 5O-ô40 du 7
juin 1950 portant règlement d'administr~
tion publique pour l'application de l'article 35 de la loi du 8 avril 1946 sur la natIOnalisation . d u Gaz et de l'Eleetricité ;
Vu le rap po rt de M. l'Ingénieur en Ch~~
des Ponts et Chaussées en date du 14 m.
1951 ;
Vu le pla n des lieux;
Considérant qu' une enquête d , utl'l'té
1 pu-.
blique a été ouver te en exécutio n de la 101
du 15 juin 1906 et dans les formes déte rm~:
nées par le règl ement d' AdministratIO n ~ et
blique du 3 avri l 1908 sur les convention de
avena nts passés le 10 avri l 1923, en vue
la concessio n a ux deux Sociétés : .. , de
- Société du Gaz et de l'E lectnclte
Marseille
d' Electr icité de Marseill e
les mois d'anil et les mois suivants.
Les dépenses co r respondantes seront imputées sur les chapit res budgé tai res qui supportent habituellement la char,ge des all ocations de logement.
Sur la base des indications qui précè dent,
il appartiend ra aux différents services ordonnateurs de prendre les mesu res nécessai res
pour que le mandatement de cette majoration soit affecte aussi rapidement que possibl e.
pOlIT
Circulaires ccnDernant plus spécialement
Ir!S Adminislrations d~ l'Etal
publ icité désirable.
Pou r le Préfet et par délégation :
Le Secrétaire Général,
LAJ\\ASSOURE.
-------c ' oo c~, -------
oe 20 % pOlir les mois de décemb re 1950,
jan~ier, fêvrie r et mars 195 1 et de 25 %
•
Additif à m es circ ula ires n " 18/ B / 5 du
7 Mars 195 1 e t 25-16/ B 5, du 21 Avril
~.
VO us ai précisë les conditions dans lesquelles
la majoration de 20 % des prestati ons familiales accordée par la loi nO) 5 1-258 du 2
mars 1951 devait être appliquee aux diverses
catégories de person nel de l' Etat en service
Sur le te rritoi re de la France Métropolitaine
et da ns les départe ments de la G uadeloupe,
de la Martinique, de la Guyane Française et
de la Ré un ion.
Ulténe urement, par circul aire n" 25/ 10/
B·5 du 21 avril 1950, faisant éta t du dépùt
par le Gouvern ement d'u n projet de loi dans
ce sens, je VQl\S ai demand é de co nti nuer le
Sen 'ice de cette même majoration jusqu'à ce
qu'intervienne l a nouvelle loi prévue par l'ar-
licle 2 de la loi du 2 mars 1951.
Or, l'article 2 de la loi du 9 mars 1951
a décidé de porter, à titre provisoire, il 25 <XIa majoration dont il s'agit.
Vous voudrez bien, en conséquence, a~sLl
rer aux fonction naires, agents et OIlVTlers
relevant de vÇ>tre autorité et ent rant dans le
champ d'application de la circu laire du 7
mars 195 1, le set,vice de la majorat!on au
taux de 25 % au titre du mois d'avnl 1951
et des mois suiva nts, jusq u'à nOllvel avis . .
Les états de tra itement afférents au mOIs
de mai aya nt déj'il été étanlis par la plupa rt
lies adm inistr ations en v comp renant, con!ormément à la ci r4'ulaire du 21 avril, l a maJora!ion limitée à 20 %, il suffira d'étahlir
les. etats d u mois de juin en ajoutant, à la
maJoratio n no rm ale de 25 % afférente ft ce
m~I S, les deux suppl éments de 5 % chacull
qUI rest~nt dus au t itre des mois d'avril et
d. mai.
FAURE
-------«>00 <>------
195 1.
Pa ris, le 10 m.i 195 1,
Le Minislre du Budgel
à MM. les Ministres et Secretaires
d' Etal,
Pa r ci rc ulaire n" 18-S-B / 5 du 7 mars 1951
(publiée au Journal Officiel du 8 mars), je
Gouvern ement puisse disposer immédIatemen des cr édi ts demandés, afin de mettre en
appl ication sans nouveau dél ai les mesures
de revalor isation q u'i l a envisagées en fave ur
les allocatic ns de logement perçues pa r les
fonction naires seraient éga lement majorées
Pou r le Préfet :
Le Serrélaire Général ""légué,
LAMASSOURE.
proche. Les appels ai nsi fo r mulés béncfitient
d'une prior ité absolue.
Je p ri e N\!v\. l es Mai res de bien vo uloir
donner aux prescr iptions ci-dessus toute la
n" 49 S.S du 19 ma rs 195 1 d u Ministè re
de l'Etat cha rgés de fa mill e, j'ai dé<id é q ue
distrib ution de Marseill e- Vi lle.
Fait il Marseille, le 27 avri l 1951.
er
d'une amende de 1.000 à 50.000 francs ou
de l'une de ces deux peines seulement c celu i q ui s'abstient volontai rement de porter
à une personne en péril J'assista nce que, sallS
l'Assemblée Na tio na le et d u Co nseil de la
Rép ubl ique on t bien voul u ad mett re q ue le
du T r avail et de la Sécurité Sociale portant
instructi on pou r l'application aux allocatai res
des ca isses d'allocations fami l iales du secteu r privé, de la loi du 2 mars 195 1 susvisée.
Le monta nt des allol:ations tle logement
s'expr imant en un pourcentage des prestatio ns fami li ales prop rement di tes perçues par
l'all ocata ir e, M. le M inistr e d u Tr avai l et de
la Sécu rité Sociale estime t: n co nséq uen cc
que ce pou rce ntage doit s'appliq uer aux
prestations majorées de 20 %.
Afi n de ne pas désavantage r les pe rsonnels
tle tr a nsfo rm at io n 5.000/ 11 0/ IYO il établll
de l'article 63 d u Code Pénal, modifi é par
" ordonnance du 25 ju in
1945, punissant
Par ai lleu rs, 010 11 att entio n vien t d'ètre
appelée sur les dispositions d' une ci rculai re
02 132
1
AC 3
RELEVEMENT DES REMUNERATIONS
DES FONCTIO N NAIRES
ET AGENTS DE L'ETAT
N" 210 OFP
Paris, le Il mai 195 1.
Le Minis/re dll Budget el le Secrétaire
d'Etal <i la Fonction Publiql/e el t!
la Réforme Administrative
li MM. les Ministres el Sarélai"s
d'Etat,
Da ns le projet de loi déposé le 17 av ril
195 1 sur le hureau li e l' Assemhlée Nationale,
rel atif à l' exécution du ~lIciget de l'e xercice
/95 / et portant relèvement dll plafond des
dépenses militaires, le Gou\'ernement a prévu une dotation globa le de :n milliards pou r
le relèvement, à compte r du 1er mars 195 1,
des rému nérations des fon ctio nnaires et
agents de l'Etat en activité dt services a
la charge du blld g-et g-énéral civil et des
hudO"ets militaires, ainsi que des pensions
servies aux retrait és et aux victimes de la
f!tle rre . cette dotation est par ailleurs anal ysée a~1 chapitre 1840 nouveau « Amélioratio n de l a situation des personnels d~
l'Etat» du déve loppement des crédits effe<:tés aux dépenses de fonctionnement des services civils pour "e xe rcice 195 1 (financ~s.
section 1, charges co mmllnes) ; tles .crédlts
sont par ailleurs orévus dans les projets de
loi relatifs au développement des crédits
affectés JlI X bud .Q'e ts an nexes des Postes, T é-
légra phes et
Télé~)h o ncs,
de la Ca isse Na-
ti onale d'Epargne et de la RadIOdiffUSIOn
française POU;" l'arplication des mêmes mcsu res aux p e rsOllnel ~ ft 1:1 char~e de ces
hud~ets.
L'examen ct l 'adopt ion de ces divtrs projets se trouvent retardes du fa it des modifi catio n ~ apportées au ca lendrier des travaux
des Assemblées parlementaires, MM. les Prê-
1IIÏiIIIIIIIII_ _ _......iiiiIiiïïI
des personnel de l'Etat, éta nt e ntendu q ue
les décrets nécessaires pour leur donner une
base réQ"lementai r e seront pris ul térieurement lor;que les crédits auront été rég Llli è~
rement ouverts pa r l a loi .
NO li S avons, en conséq uence, "ho nneur de
porter à vot re connaissance l' ensemble des
dispositio ns intéressan t les personnels en
activité de ser vice, que vous aurez à appliquer dès réception de la présente circu laire
aux fonct ionnai res et agents re levant de
vot re autorité.
1. - COMPLEMENT PROV ISO IRE
DU TRA ITEMENT OU DE SOLDE
A compter du 1er mars 195 1, les traitements des fonctionnaires titu laires, ainsi que
les soldes des militaires à solde mensuelle,
tds qu'ils résultent de la réal isation complète
du reclassement de la Fonction Publique,
conformément à l'article 1er de l a loi n"
50-922 du 9 aoùt 1950, seront majorés ùe
5 % pour les personnels cl assés aux i ndices
hiérerchiques inféri eurs ou égaux à 250 et de
4 % pour les personnels classés aux indices
hi éra rchiques inférieurs ou éga ux il 250 et de
majoratio n applicab le à un i ndice déterminé
puisse être inférieure à ce11e afférente à l'indice immédiatement inférieur.
Cette majoration sera fusionnée pour
constituer un complément provisoire de trai-
tement Oll de solde soumis à retenues pour
pensions avec l'i ndemnité temporaire de
cherté de vie et la majoration exceptionnetIe
de cette indemnité, prévues pa r le décret
n" 48-1571 du 9 octobre 1948, modifié pllt le
décret n° 50-966 du 18 aoOt 1950, et qui
cesse ron t en conséquence d'être perçues.
Les taux annuels du complément provisoires calcu lés ainsi qu'il est indiqué ci-dessus seront, en prin cipe, arrondis au millier
de francs supérieur i ils vous sont indiqués,
pOlir tous les indices hiérarchiques, dans
l'annexe A à la présente circulaire.
Le comp lément provisoire de traitement est
également applicable, SaLIs résen re de Id
supp ression concomitante
de
l'i ndemnité
temporaire de cherté de vie et de sa majoration excep ti onnelle aux agents temporaires
contractuels et auxiliaires, autres que ce ux
dont la rém unération est fixée sur la base
des salaires pratiqués dans le commerce et
l'industrie.
Vous trouverez, en an nexe B, à l a présente
circulai re, les taux annuels du complémenl
provisoire pour les différents échelons des
catég-ories les plus nombreuses d~ personnels
nOI1 ' titulaires, à savoir:
- auxi liaire de hureau.
- auxiliaires de service,
- employés de hureall recrllté~ Sllr con-
trat,
- assistantes sociales,
infirmières
et
éluxiliaires de service socia l,
- opérateurs chefs mécanogr aphes non
titu laires,
- co nducteurs auxiliaires d'automobil es.
Quant aux autres catégor ies de personnels
non titulaires r ele\'an t de votre autorité, il
vous appartiend ra de calculer, ai nsi qu'il est
indique ci-dessus, Je montant du complément
pro\,isoire qui leur sera applicabl e sur l a
base des r émunér atio ns en
r depuis
�-
106
fJ:\.l."t!s dans ks arrt:ks partICuliers concer-
Zunes
nant ces catl'gunes.
l,.tlmpjt.:lT1~nt
Le
proVisoire ue lIa!temcllt
t'n~ort'
Sarre. lIan::,
a uC:\ LjUI ::.unt _en
les lonl~ françaises
s~n"l(e
J\)(cupa-
tion en ..\.lIema!,!ne cr l'n .l.utTiLhe, dans Iftoi
lkparkments lie 1.... ûuade!O~I~. ùe la
Vu)ane iranç:nsl:!, de la .'\artllllq~e t't de la
I~·b et n ~~-Iï Ju -t J3nncr IH4Y modJllt
par It! Jecrt!t n" 5U-~)6fl du 12 août 1~50 et
par les J~rt:t::; n ~~~-15 ~t II' -l9-1ô du ~ j3n' I d 1 -H-I ct Tt UtXret n 4~'-297 du -t mars
I l 4'1. modifiL"S par il' Ùt"nèt Il 5IJ-I-W6 du
"':I I OI:topre 1Q50.
D.:1n:, le ùt."partl'ment de I.:l Réunion. le
mont:!nt du ~()mph:mtnt pru\'isoire, t!tabli en
IraOl' mt:tropoiltains, sera pa..!-t: p o~ r .~a
",:oolr~valt"ur t!n fran&:
C. F_ A. muluphl:t."
par l'index dt: Lorn.'i.:tlOn Je 1.65 a~)rlicable
aux traitements.
La totalite du tr.:lÏtement ou de la sulde t."t
du compl~mt:nt pro\"isoire de traitement ou
de soh..le entr~ra en compte pour le calcul :
- ùe. la majoration de 25 % en ce qui
concerne les personnels en ser\'ice dans les . . .
départements de la Guadeloupe, de la GUl:ane Française, de la .'\arhmquc et de la Reunion i
- de la majoration de 33 % en ce qui
coocerne les personnels en ser\'ice t:n AI,!!"érie, en Tunisie et au ,\-\aroc,
Il \'a de soi, enfin, que le complt~ment
pro\ isoire devra en toute hypothèse suivre
le sort du traitement ou de la solde, son
montant ctant, le l.:as échéant, reduit dans
la proportion où le traitement ou la solde SI!
1rou\t:root eux-mt?mes reduits, pour quelque
cause que ce soit.
Il en ;ra ainsi notamment pour les personn!!ls qui ne fournissent ,pas un. travail
contmu ou d'une durée normale, ainSI que
pllur les agent auxiliaires âgès de moins
ut.> dix-huit ans.
Il. -
Il'DE.\\il:ITE DE RESIDE:>ICE
A c.::ompter ùu 1er mars 195 1, l'indemniu.:.
Je rcsidence allouée aux to nctionnai res et
a"'ents de l'Etat (à l'exception des person·
0;15 r~tri bués sur la base des salaires pra!it,lul:s d ns le (ommen.:e et l'industrie), ainsi
qu'aux militaires à solde mensuelle, en. ser\. Île sur It! terntnlrc de la France metrooolîtaine et dans les départements de la
Guadeloupe, de la Guyane française, ,de la
'\artiniquc et dt: la Rt!union, sera base~ ~ur
la rt-m~nération principal!! hrllte des heneficiairt."S, compnmant le traitement ou la solde
resultant de la rëalisation complète du redassemcnt de la fonction publique et le complement pro\'jsoire ùe traitement "o u de solde
qui fait l'objet du paragraphe CI-dessus.
Son taux sera \,'ariable sui\'ant les zo nes
territoriales de salai res telles qu'elle~ \'i~n
nt::nt d'\:tre réamt:na;{tes POU! l'~ppilcahon
du salaire minimum interproresslOnnel garanti • il sera fixé ainsi qu'il suit :
.
..
Reunlun ct en ,\I;;cn e, t!'n Tunlsu~ et au
indcmnncs prt!\'ue-s en ce qUI tes com.:ernc.
par les lh.:(rets n 4,"\-175 7 tiu 1 ~1 nO\'t~m,?~t!
Zones de s..1laires nouvelle
Sans abattement " ' " .
25 'ft
3,75 % d'abattem~nt. ...
22 ,.
'"
5 et 6 % d'aba ttement.
~O ('6
ï d S té- d'ab3tt~mt."m
7,50 % d'abattement. ...
18 %
lU <:i: d'abattement '" ..
\1 et 10 % d'obattement. .
lô %
12 et I.t' l':(- d'abattement.
11 ,25 % d'abattement. .
14 'ft
15 l,t> I.l'al>attement ,
12 et 13 % d'abattement.
12 '/0
1ï et 1" \é ù'"battt!ment
15 % ,r abattement ... .
lU ('0
c
20 C'1 d·a batleme.~n~t~. ...~~~~.......~~~~~....~~~~....~...........~.........
<':11
.1aroc ; (cS persu nnels cesseront, en conse4uem:e. de pcrlcn)ir Il>S indcmnl.tés tempor3irt'S Je t.:httrte de \ le et majOratIOns dt! Les
salaires actuelles
Sans ahattement
5 ':l J'abattement
ou lit: ::' )h.h! st:r.l Imml'(hatemt'nt applu:abic
nl10 ~l'ukmtnt au,," rl'rSlJnlic:~ en :kn Ilt! sur
le terntulre Je la l' ram.l' mt:tropùhtalnè.
malS
d~
Taux de l'Indemnite
tle rcsi~enl't~
Les taux fixés ci-dessus s'appliquero nt :
pour les person nels bénéficiant d'une
r~munerati o ll
prin&:ipale
..:ompTlsc entr\'"
1-l~ ,Jl)() f r. et 2J.,-.,'O.OUO tr., il la rémunération pTlnclpJI~ effeLti\'t'ment perçue maJort,;c
tle 13 moitit:, de la dltrerenl.'~ entre 2~U.UUO I r .
et la rl-I111lllerat lon principale enecti,"ement
pen;\I~ :
-
- pour les personnels benéfit.:iant d:"lle
r':munératlon pnm:ipale de 280.000 fr. a la
rémunt-ratliJO prinCipale dlct.:ti\'ement per·
çue,
-
pour l~s personl1t:ls ~é.n éficia,nt ,d'U~l C
n.:mlln~ration pnnclpale supeneure a 280.0JO
franLs, a la lotalité de la tran che égale .il
2:-;0.000 tr., il la moitié de la tranche comprise entre 2&J,OOO Ir. et 560.000 ir., au quart
ùe la tranche su~rieure à 560,000 francs.
Il s'ajoutera. à titre provisoire, au , montant de l'indemnité de résiden ce calcule con
formement aux dispositions ci-dessus, une
allocation comp lementaire de résidence fp,(ée
en base annuelle, dans les di\'erses zones,
aux chiffres ci-ap rès :
- 15.000 francs pour les personnels rece\'ant une rémunération
principale de
142.0u0 [ranes ;
9.000 fT. pour les personnels rece\"ant
une r~munération principale comprise entrt
14S.000 et 225.000 fr. ;
7..500 fr. pour les personnels rece\'ant
une r ~munë r ation principale comprise entre
226.0u0 et 240.000 f r. ;
6.0G0 fT. ppur les personnels rece\'ant
une r émunération principale comprise entre
241.000 et 200.000 fr. ;
4.500 fr. pour les personnel s recevant
une r~munération principale comprise entre
261.000 et 275.000 f r. ;
:UXO fr. pour les personnels recevant
une rémunération pri ncipale comp rise entre
276.000 et 290.000 f r. ;
1.5()() Ir. pour les personnels rece\'ant
une rt!mun ération principale co mrJrise entre
29UXJO el 305.000 fr.
Pour les pe rsonne ls qui, to ut â fait exceptionnellement, recevraient unI! rémun ération principale comprise entre 143.000 e~
147.0CJ0 fr., l 'alloca ti on complémentai re de
15,<XX.l francs prl'vue pOlir la rémuoération
de base de 142.000 fr. serait diminuée de
I.()(X} francs pour chaque millier de francs
de la rémun ération principale ù~pé\ssa nt
142000 francs.
Par ailleur5, également à titre provisoi re,
pour les personnels perce\' ant une rémunération printlpale supérieure à 840.<XX> francs,
la tranche supérieu re à 840.(X)() fr. ne sera
prise en considération que pour le huitième
de sa \'aleur pour le calcul de J'indemnite
de résidence.
L'application du nou\'eau ré gime de l'in-
demnité de rési dence qu i rait !'objet du prt"
sent paragraphe ent raî nera la SuppresSIOn.
à dateï du 1er mars 195 1, du supplemcfII
tempo rair~ u'indemnité de r ésidCIll:c pre\'u
par l'article 2 du décret n° .J.S-15ïl du Yoctobre 1948 et du complème nt de r t munér,"l"
tion à titre de minimum ga r anti p révu par le
décret n" 50- 1358 du :lI OC tobre 1950.
Les personnels en service dans les zones
françaises d'occupatiOn en Allema gne et en
Autriche bénéficieront du nouveau rt:gimc
d'indemnitc de résidence sur la base ues
taux applicables â la Ville de Strasbourg.
Alais i l est rappelé que pOlir les personnels
dont la situation de fami ll e comporte le pail'"
llIent d'u ne fract io n de cette indemnit~ en
monnaie loca le, celui-ci doit ~tre fait, 1.'011formement aux prescrip tions de l'article 2
des décrets d u 26 mai 1945, pour la co nlrevaleur de SOIl montant en francs d'après la
parité en vigueu r au jour du règ!ement ; il
a été décidé, en acco rd avec le Ministère
des Affaires Etrangèr es, d'effectuer Ja COI,lversion en retenant le cours de chancellerie
fixé respectivement pour l e deutchmark et le
schilling.
Les personnels en service dans les départements d'Outre-M er bénéficieront -également
du nOU\'eau r égime de l'indemnité de résidence sur la base des taux co rrespondan t
au classement de ces dépar tements dans les
zones de salai r es indiqué à l'article 1er d,l
décret 50.663 du 14 juin 1950. '~o utefois, ;,
montant de "indemnité de r éside nce, maJon'
le cas échéa nt de l'all ocation complémental~
re de résid ence, ne pourra être inférieu r ,il
celui qui aurait résulte du maintien en apphcation des dispositions des articles 1 et ~
du d écret n" 50-342 du 18 mar~ 195 1.
L'indemnité de résidence et J'aIJocation
-- complémentaire de résidence de\'r~ llt, . e,lI
règle générale, suivre le sort de la r cml~nc"
ration principale, leur montant de\'a~t ct~e
réduit dans la proportion où cette rem uneration se trouve elle-même réduite pour
quelque Cause que ce soit.
Cette règle est notamment atlplicab.1~ ~
ce qui co nce rn e les personnels ne fourp lssa
pas un travail co ntinu ou d'une. d~lrt:e ~/~ ~~
male, ainsi que les a~ents 311:<JlIalres (1 .... 1.: .
ue moins cie 18 ans.
I l l. -
SUPPLEMENT FAMILIAL
A compte r du 1er mars 1951, le supplément familial all oué, indépendamment des
Prestations familiales de droit com mun, alu,
ufonctio nnaires et agents de 1'E tat ('a l'excdes
sio n des personnels rétribu és sur la base j"
salaires pratiqués dans le ~om~erce et ~~:
dustrie), ainsi qu'aux militaires a soldé~é~enl
suehe, comprendra, d'une part, un
. nnel
fixe' d'autre 'Part un élément proport~ te
basé' Su r la r ém~nération principale ~u l'
comprenant le traitement ou l a solde resU-
1(Y7
tant de la r éalisation complète du reclassement de la fo nction publique et le compl ément provisoire de traitement ou de solde
qui fait l'objet du paragrap he 1er ci-dessus.
Nombr e d'enfants à charge
1 enfant à charge '.,
... , " .. , ....
2 enfants à char ge ...... "., .. ,.,.,." ... .
Chaque enfant à cha rge en sus du 2e ..... .
Les ta ux fixés ci-d essus pour l 'élément
proportion Ilel s'appliq uent
- pour l es person nels bénéficiant d'une
rémunération prin ci pal e co mprise
entre
142.000 f r. et 280.000 fr., il l a rémunér atio n
principale effectivement perçue majorée de
la moitié de la différence en tre 280.000 fr . et
la remun er atio n pri ncipa le effectivement perçue,
- pou r les personnels bénéficia nt d'une
rémunération prinCipale de 280.00J fr., à la
rém unératio n prin cipale effective ment pe rçue ;
- pou r les personn els bénéficiant d'une
rémunération principale supérieu_re à 280.000
francs, à la totalité de la tranche égale à
280.000 fr., il la moitié de la tranc lfe co mprise entre 280.000 fr. et 560.000 fr . et au
quart de la tra nche compr ise entre 560.000
fran cs et 840.000 f rancs.
Il est rappel é que la notion d'enfant il
charge à retenir pou r déterminer l'o uve rture
du droit au supplément familia l est .relit!
fixée en mati ère de prestations familiales
par la loi du 22 août 1946 et le règlement
d' Administratio n Publique du 10 décembre
1945.
L'application du nouveau régime de supplément fami lial, qui fait l'objet du opr ésenl
paragraphe entrainera l a suppression, à
d~ter du I ~r ma rs 195 1, de la majoratio n de
l'Indemnite de résidence destinée à te nir
compte de .Ia si tu ation de fam ill e, p révue
pa r l'article 3 du décret n" 43-357 du 29 février 1948 et par l'article 2 du décret n"
~342 du 18 mars 1950.
.Est éga lement supprim é, 'iI co mp te r de la
!"em~ date, l e supplément famili al à l a ma .
Joratlon spéCia le d'Afrique d u Nord, institue
par les décrets n" 4S-613 et 48-6 14 du 2
avril 1948.
. Le nouveau r égime de supplément famihal sera immédiatement applicable, non seuI~m~ nt aux personnels en service sur le terntolre de la France métropOlitaine, mais
encore à ceux qui sont en service dans l a
~a rre, dans les zones f r ançaises d'occupation en AUemagne et en Autriche, dans les
départements de la Guadelo upe, de la Guyan~ francaise, de l a Martinique et ete la Réumon, et en Al gérie, en Tunisie et au Maroc.
Le suppl ément fami l ial devra, en règle
gé.né~a le, suiv re le so rt de la rémun ér atio n
~ rll1clpa l e, Son montant t ant lp our l'élément
~xe que pour J'élément p ropor tionnel devant
tre réduit dans l a porportion où cette rrmunération se trouvera ell e-même réduite,
POur quelq ue cause que ce soit.
e Cette règle est notamment applicable en
e qUI co ncerne l es personnels ne fournissant pas Un travail continu ou d'une durée
normaJe, ainsi
les agents auxi liaires âgés
Les ta ux de chacun ùe ces ~Icmenfs. suiva nt le nombre des enfa nt à Lharge, sont
fi xés ainsi q u'il suit :
Elément fixe
en base annuelle
6.000 ,f r.
9.000 fr .
12.000 fr.
Elé:ment proportl on ntl
néant
3 %
5%
IV. - INDEM NITES D I VEI~SES
Les indemn ités et major ations acceSSOires
autres que cell es dont le r egi mt:: esl modifié
ou qui sont supprimées co nfor mement aux
dispositions des paragraphes l, /1 et iïï de
la présente circu laire et qui n'o nt pas, par
ai lleu rs, été supprimés du fait de la realisation i ntégra le d u reclassement, continueront d'être payées suivant les bar~es prèvus par les ré glementations en vigueur il te
jo ur.
La question pou rra se poser de savoir si
ce r ta ines de ces indemni tés et majorations,
de mème que les r émunératio ns pour t r ava ux
suppl émenta ires, qui sont établies en fo nctiO n
d u pource ntage du traitement Ou de la solde,
ne devront pas ètre effectuées par l'i nstitutio n d u co mplément p rovisoi r e de traitement
ou de solde. Il est rappe lé toutefois que
l'article 6 du décret n" 48- 11 24 du 13 juillet
1948 a exp ressement pré\'u que les alll ocatio ns de cette nature resteraient Fixees au
montan t r ésultant des bases de ca lcul précédemment en vigueur, sauf modifi ca ti on r ésultant d'un decret en Conseil des Ministres.
Ces all ocatio ns devront donc faire l'objet
d'un nouvel examen dans chaque cas particulie r avant de subir quelque modification
que ce soit.
V. PERSONNELS EN SEHV ICE
DANS I. ES TERRITOIRES D'OUTRE-MER
Aucu ne des dispositions de la présente circu l aire ne pourra être appliq uée pour le moment aux personnels en service dans Ues. territoi res d'outre-mer pour lesquels les divers
~I é m ents de la rémunér ation actuellement
appliq ués demeureront en co nséquence provisoi rement inchangés,
. . .
Une étude est en co urs ()\'ec Je ~\otJnlstere
de la France d' Outre-Mer en vue de déterminer les modalités suivant lesquelles le com _
plément pro visoire de, ~aite~ent ou, d~ solde
et le supplément familial qUI font 1 objet des
paragrapbes 1 et III ci -dessus pourront être
appliqués (Îans les terntOlres r.elevant de. son
autorité, compte tenu des ~é~mes de remuneration propres à ces territOIres.
Toute décision à cet égard demeure d'ailleurs subordonnée il l'application des dispositions ré O"lem entaires, dont l'intervention es!
imm ine n t~ pri ses pour l' application de la 101
n" 50-772' du 30 Juin 1950. De n ouvell~s
instructions seront d iffusées fI ce sUjet a tres
bref délai.
.
La situation des person nels. en service
dans les Etats Associés d' Indochine fera égaIement l'objet, le cas échéant, de dispositions
ultérieures.
VI. -
MODALITES DE PAYEMENT ET
IM'pUTA,T lON DE DEPENSES
Les etats de rémunération afférents au
mois de Mai éta nt déjà etablis dans la plu-
~ent('
l irculaire ne pourront. ~t r e normalement
appliqut:es que pOlIT la liq uidation des ré munérations êc h ~a nt le 30 Juin .
Etant donné toutefois l'intérêt que présente pour les personnels de l'Etat la perceptio n dans un ml.:!i lleur d~ l ai des rappels en
augmentation portant sur les tro is mois de
.\1ars, Av ril et J\o'ai, vo us voudre z bien établir il ce titre des mandatements spéciaux
dont le paiemen t pou rra dans tous les cas
être efft:ctu c en Ilumeraire.
Les dépenses correspondant au paiement
tant de ces rappels Qu e des augmentations
incl uses dans les mensualités à Il>artir du
mois de juin seront imputées, le cas échéant,
en excédent des crédits ouverts, sur les chapitres hudgétai res qui supportent habituellement ta charge des rémunérations des dive rses ca tegories de personnels intén~sés,
en distinguant les chap itres de traitement ou
de sol de, ceux d'indem nité de résidence et
ce ux de supplément fami lial.
Les dotations de ces c.::ha-pitres seront ultérieurement augmentées dans le cadre de la
repartition des crt:dits globaux ouvert s au
budget du Ministère des Finances, ai nsi
q u'a ux budgets an nexes des P. T, T. et de
la Radiodiffusion française, en vue de l'améli oration de la situa tion des personnel s de
l' Etat.
Le Minis/re du Budgl'l
E. FAURE.
Le Secrélaire d'Elal
à /a Fonction Publique
('/ à (a Réforme Administrative :
P. METAYER.
•••
ANNEXE A
Taux anlluels du complément prollisoire de
Iraitement ou de solde pour les fonctionnaires titulaires et les mililaires à solde
mensuel/e.
Classement hi érarchique
des bénéficiaires
du traitt:ment ou de solde
Tau x annuels
du complément
provisoi re
Des indices 100 à II I inclus ..
112 à 125
>
126 il 138
>
139 il 15 1
»
152 il 172 »
»
173 à 185 >
»
186 il 199
200 il 2 12
>
2 13 il 224
225 il 236 >
237 il 249
250 il 315
3 16 il 330
>
33 1 il 346 >
347 il 361
»
362 à 376 »
377 il 391
>
392 il 406 »
»
407 il 421 >
422 il 437
438 à 452 >
453 à 466
>
467 à 479
480 il 492 >
>
493 il 505
506 il 518
5 19
531
,
•
•
•
•
•
••
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
••
•
•
•
•
•
•
••
•
•
27.000
26.000
25.000
24.000
23.000
24.000
25.000
26.000
27.000
23.000
29.000
30.000
3 1.000
32.000
33.000
34.000
35.000
36.000
37.000
38.000
39.000
40.000
41.000
42.000
43.000
44.000
45.000
Fr.
»
'>
•
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�CJassem~nt
hleran::hlQUI'
des b(nëIlC\31 res
t:Ju tr3Hement ou dt!' soJd~
.l..."lS a 570
71 a .~ l
5."'i-t 3 5~lï
~"' InUM"
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•
•
5Y~
Tau)" annuds
du compt(ment
pro\"lsOi re
»
~~ .OOO
50.000
»
51.000
»
a,"" •
1er L'\:helon
2e
Jt:
51.000
52.000
53.000
5~.UUO
55.000
»
56.000
»
,.
57.000
•••
jradement
pour . dit'erses
cl agent." non titulaires.
categortt3
.. \l1xllIaires de bureau
" echi!1on
Jo
.
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50!
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3e
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Auxiliaires. de service :
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3e
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2e
>
. . ........ . ... .
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1er .,.
. . . . .. .
Employés dt! bureau
sur conlral .
fie échelon
50
~
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2e
•
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1er
#
23.000 Fr.
23.000 »
24.000 •
2~.000 •
2.5.~ ,
26.000 •
26.000 >
27.000
••••••
25.COO
,
25.000
Jo
26.000
26.000
26.000
21.000
27.000
,
.•.. , ....... .
»
'nflrmieres rt agents assimilés
(échelle " 2)
1er ttcht'lon
2~
k
~
7le
Jo
•••••• , ••••••••
Le Directeur des Services Finall"ien,
el du Contentieux,
S ig né: P. S UDREA U.
~
3 1.000
»
30.000
29.000
>
»
26.000
>
•
30.000 fr.
30.9QO ,
28.UOO
26.000 »
24.000 »
ltol/ Iilulairrs .
7e t:chelon
fie
»
30.000 Fr.
30.000
•
3O.0:J0
30 .000
,
30.000
30.000
2/.000
•
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•
•
voitures
poids
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. . . . . . . . . . ..
1er
to uristes et
\ ·oiture:.
htaires
ï e toch elon
~
~e
1er
>t
"
ï~l - Fl1\OEto.
>
23.000
»
•
»
13.000
24.000
25.000
f
Recueil des Actes Adminisfi:~Jlf9
et .Bulletin des Mairies
DONS ET LEGS
AVIS publie en e.récutron de l'article 3 du dt.
" t:t du 1er février 1896, daJl1S le but d'inviNr
~s Itéritie'rs inconnus des testateurs à prnulu
5OU1loissDllce d1' teslamelll, e'l vue de donntr
l~r co nsell tC"ment ou de produ ire leurs tno}'tnJ
d'oppositio n.
Les r .... clamal.iolls ne sout reCèt-oables que dans
un dé/~i. de trolS mois à partir de 1'l1IUrt10"
au c Bl4l1elin ».
Par testament olog raphe du 13 octob re 1935,
com pl ét é ulterieu rement par ci nq cod icilles
déposés a ux minutes de M. Gaston LamoHe,
notaire à M a rsei~l e, M. BarthélemY-Jules
Bosc décédé le 10 nm'embre 1950, a f.,t
les l ~gs ci -après désignés.
Aux œuvres suivantes :» :
' " Petites Sœurs des Pauvres de SainteAnne ; 2. Institutio n des Sourds-J\o\uets ~t
des Jeunes Aveugles; 3. Œuvr~ ~u ~alra~
re . 4. Œuv re de l 'Enfance Del aIssee ; :"1.
Jo
toutes ses \'a1eurs numéraires et autres ,que
l es dites œuv res se pa rtageront à parts ega-
Ies.
A
r Association
hospitalière du Prado
(h'
0-
pital Sai nt-j oseph) les immeubles 70-72, ave·
nue d u Prado avec ~a cha rge d1assu rer gratuitement l e logement de plusieurs personnes désignées par le testateur.
Marsei ll e, le 25 mai 195 1.
25.000
24.000
23.000
23.000
24.000
25.000
26.000
Je
Jo
2~.0:J0
Uti-
5t:
•
25.000 Fr.
25.CX>O »
Fr.
>
»
»
•
~
>
* *
Paris le 16 mai 195 1
II est precisé que. conformément a u ~ di ~
positions du parag-raph~ IV de la presente
l:lrl.:ulairl.! , il n'y a pas heu, pour le moment,
BOUCHES-DU-RHONE
To ute corresp ondan ce rehrtive au R ecueil doit étre adressée à la Préfecture Secrét ariat Général
D4 82
Ass:Xiatio n Hospita liè re du Prado (hôpital
Saint-joseph),
Conducteurs auxiliaires d'automohlle:o; l ourds
7~ hhelol1
DÉPARTEMENT DES
Comm uniqués - A vis
Annonces diverses
Opàof..cllrs fhefs mét·anographes
œ
23.000
23.000 ,
24.GOO >
25.000 ;,
•
de t~rlir 'vl11pte ùu compkment ProviSOire
U31.1S le calcul des indemnitts
etablies en fonnlOn . ou en 'Pour~entage du
traitement. En consequence, ces Indemnités
et en particulier l' indemnité de risques d~
la police, doivent co ntinuer à être ca lcu lées
Sllr les bases antêricures.
R EPUBLIQUE FRANÇAISE
7 Juin 1951
de traitement
»
,
recru/es
25.000
24.000
33.000
32.000
3 1.000
Au.\·ilialre!; de stf1'ice social et
In;irmieres tluxiliain's (l'ch . n" 3):
1er ""helon
..... , .. '.. 26.0:JO Fr.
.. ... .... 25.000 l>
2e
.......... 24.000
. . . . . . . . . .. 23.000 •
.5t:'
... . ...• , •... 24.0:J0 »
21:
2H)(X)
Se él:helon
7"
50
3e:»
d~ traitem~nt
;''tnt:fi~iai rt::;
••• '
1er échelon .. ' .... .... ... .
2e
:.
. , ............. .
Tau>.. annueis
du complément
pro\'isoi re
~t cochclons
deS
Jo
~
5S.000 »
59.000 »
00.000 »
61.000
62.000 »
63XOO
6-1.000
65.000 »
66.000
70.000 »
H .OOO
groupe B
~roupe A
•
AS:)lstanle~ soriales (echelle n" 1) :
\;o.i 'EXE B
Taux anrlaeh du complement prol'is0.ire ,de
ï~
des
.h"":.>itallte~ sotÎlIlt'S chels
Jo
»
7~t5 ct ~.
4..Jr311es
T au>.. annuels
du co rnp]~ment
pronsoire
lie traitement
Cl ~hel(ln::
ht"nt:'w';lair~
-lS.0UIl
»
>0, 005 et 610
bl5 et 6:!U.
625, ô.lO et 635
1i4O et &45.
650, 1iS3 et tl6U ..
665, 6711 et 675
n.~ et 60'<5. ..
600, 695 et 700
705 et 110 . ..
715, 720 et 725.
730, 735 et 740
H5 et 750 ...
155, ïtiO et 765
770. TI5 et 780 ..
7 5 et 700 . . . . .
Hurs echdk Hnrs l"'Chcllc -
vraJt:
-
• ••
Par testament olog raphe du 20 nove mbr~
1950 doposé aux minutes de M" Paul De~
dier, notaire à Marseille, 62, rue Mon!gra~. ,
feu Mme Joséphine - Marie - Valenhn~ ."
Regd,ogon , veuve Roche 1 a institué l'InstitutSour
5-
et. des
lé aMuets de Marseille (section flll\es) ~on . g .
nal des Jeunes Aveugles
taire uniç-ersel à charge pour cet .eta~I~S!t
ment de déli vrer certains legs partlcull~ se'
d'exécuter les char ges funéraires et pieu '
prescrites par la défunte.
Ma rseille, le 28 moi 195 1.
A B RÉVIA TIONS
A. P. ; Arrété préfectoral. - C. : Circu laire - Les lettres D et B suivies d'un dh iffre indiquent le Service ou Burea u d'ori gine.
D. S. T. : Direction des Services TeChnique •. - O. D. S. : Di rection Départementale de la Santé. _ D. D'. P. : Direction departementale de la Pop ulation.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Ci rcula ires
TVX O. -
AG 2. - Majo ration des p restatio ns
familiales .............
AG 56. - Etats- Civil. - T3Jbles décenn ales (rappe l) ........ . .... . . ...
EN O. - Service d' ac hat et de cessio n
du matérie l des Etablissements relevant
du
Min istère
nel èvement
des
AC 3. -
l'Etat
AC 3. -
(Rectifi~ a tif)
............... .
Déc ret n' 5 1,611 du 24-5-5 1
de l' Etat .. . ........ . ............
AC 3. -
1
résidence des fonctionnaires et agents
Décret n" 5 1-620 du 24-5-5 1
cle 4 d u décret n" 48-1 Sl1 d u 30
novembre 1948 ............ .. .. .. .
res de l'Etat .............. . .. .. .._ 110
AC 3. - Déc ret n" 5 1-6 18 du 24-5-51
mod ifia nt le régime de l'indemnité de
de l'Eta t . ...................... .
112
majorantl à titre provisoi rel ce rtaines
des prestatio ns familiales allouées
aux personnels civi ls visés à l'arti-
110
Ipo rtant majoration des traitements et
soldes des personnels civils et ntilitai~
J(Y)
Décret n' 5 1-619 du 24-5-5 1
modifiant le r égime du supplément
familia l des fo ncti onnaires et agents
rémun éra-
t ions des fonctionn ai res et agents de
100
110
110
11 3
Conununiqués, Avis, Annonces diver. .
-
III
Avis
d'offres
d'adjudication
et
d'appel
- ............ . ... . .... . .. .
11 3
=
ARRËTËS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
0 283
AG 2
MAJORATION DES PRESTATIONS
FAMILIALES
Par circulaire télégraphiqu e du 24 mai
19511 M . le Ministre de l 'Intérieur vie nt dt
m'informer qu'en application de l ' arti cle 2
~e la loi du 9 mai 1951, l es al,loca ti ons famihal~SI l'allocation de sa lai re unique, l es alloc~tlOns prénatales et J'all ocation compensa~
tnce prévue pa r déc ret du 8 octe>b re 194a,
versées à leurs agents 'Par les collectiv ités
locales, doivent être obligatoirement majorées de 25 % à titre provisoire à dater du
1er avril 195 1.
PO ur le Préfet des Bouches-du-l~hôn e,
Le Secrétaire Général
LAMASS OURE.
0 283
ETAT- CIVIL -
AG 58
TABLES DECENNALES
Fourniture d'un pa'pier spécial
----------------~~~~~---------------------
AC :l. -
de " ,E d ucation
Natio nale ................. ... ....
FS 7. - Rém unératio n et obligations
des pha rmacie.ns gé rants des hôpi~\~ hO~Pices p~b: ics. d~. ~oins. de
P la n d'Equipement NatioVersement de subventions . .
Textes d'Intérêt Général
100
- - -- <:.ooc.,-- - -
Copie ~rti6.~t eonformc.
Pour 1~ PrHet :
LI SuyéltJlre Glnh-ol : U\.MASSOURR.
nal. -
Pa q-<=s
RAPPEL
Les Communes qui n'ont pas enco re fait
parvenir leur demande de feuilles doubles
(42 cm. X 27 cm), com me il le leur était
demandé dans le n . A. A. nO' 19 et 2Q des 10
et 17-5-51, sont invitées a le faire sans délai.
D4 1:l3
EN 0
SERVICE D'ACHAT ET DE CESSION
DU MATERIEL DES ETABLISSEMENTS RELEVANT DU MINISTERE
DE L 'EDUCATION NATIONALE.
Le Prefet des BOllches-du~Rhône
à MM . les Maires,
j'ai J' hon neur de vous rappeler qu'il existe
ail sein du Ministère de l'Education Nationale tlll Service d'Achat et de Cession du
M.atériel des Etablissements.
Ce servi ce a essentiellement pour but :
d'app rovisionner en matériel les plus divers
les co llectivités relevant du Département J\\i~
nistérieJ dont i l s'agit (mobilier scolaire,
matériel d'internat l outillage pOlir l'enseig ne .
ment technique, éq uipement pour co lo nies Ù~
vacances, etc ... ).
La cent ralisation de ces approvisionnements pe rmet :
1" D'obtenir des pri x minima par la pas~
ation de ma rchés importants ;
2" De tendre ve rs une normalisation du
matéri el
cOlaire, elle-même généréltrice
d' un e baisse des prix d'achat ;
3" De faire bénéficier le mobilt er sco laire
d'améliorations tecfiniques tant en ce qUI
co nce rne Je choix des matériau x que le type
des meubles.
Les toutes dernières do nn ées de l'hygjène
et de la
se rencontrent en effet
ur
qu 'entraiu!::, pour le confo rt et la sa nté des
enfa nts, l' utilisation de tab les scolaires mal
étudiées ou d'un modèle vét uste.
Le Service en cause constitue en raison
de la mod icité des prix p ratiq'ués et des
types de matéri el approvisionnés une sorte
de témoin auquel peuve nt se rep~rter aVant
tout achat les collectivités et les étab lisse-
ments.
Je recommande aux collectivités publiques
ant la charge d'établissements scolaires de
L~ nsl~lter, .av~ llt ,to.ute acq uisitIOn, le magasin d academle d Alx~en-Provencel 14, bouleéI )
va rd Ca rnot, Téléph . 20-26, haoilité il desser" ir le dépar tement des Bouches-du-Rhône.
Je crois opportun de rappeler que le ser\ ice d'achat et de cessio n du matériel des
etablissem ents fonctionne au mo ye n d'un
compte spécial ouvert dans les écritu res du
Trésor et cède aux utilisateurs le mat€rid
a ux pri x de fab rique nllio rés du seul pourl:entagc nécessaire à l a couvertu re de ses
propres frais généra ux (personnel l trans-
ports, etc ... ).
Des nomenclatu res et tari rs pêriodiqu~
fo nt connaït re au x utilisateurs les prix el
ca rac téristiques du matéri el.
Pour tous renseigneme nts comp lémentaires, je VO liS invite à vo us adresser au M agasin u' Ai x~en-Provence .
POLIr le
Le Se,rré,lail-,
�110
B3 82
fS 7
REMUNERATION ET OBLIGATIONS
DES PHARMACIENS GERANTS DES
HOPITAUX ET HOSPICES PUBLICS
DE MOINS DE 400 LITS.
A Û, 51 48 833
Paris, 4 mai 1951.
Le Ministre d~ la Sante Publique d
d. la Population
~
,11.11. les Préfets.
I\Ut.
d.
.\lM.
de
les Directeurs Departementou:...
la anté,
les Directeurs Dëpartemenlau.\
la Population,
En application des dispositions de l'ar_
tICle 212 du décret du 17 a\fil 1943, les pharmaciens des hôpit3UX et hospices publit"S dl.
moins de ~ lits, qui sont recrutés après un
(oncours sur titres et sont autorises à exploiter une officine privee, sont rémunérés
au moyen d'une indemnité: dont le montan t
est 6xé par la Commissio n Administrative.
1\ m'est apparu qu 'il était opportun, pour
~uider les Commissions Administrati\'es dans
Îeurs décisions, d'établir un barème des rémun~rations su
eptibles
d'être
accordées
aux phannaCiem. gé rants.
j'estime que la rémunération dont il s'agit
doit tenir compte de l'importance des établissements hospitaliers et, partant, du travail
t!t de la responsaoi1ité qui, de ce fait, sont
~xiges du pharmacien.
Dans ces conditions, et après accord a\·e.:M. le Ministre des Finances, il a été envisagé
de prendre pour base de la remuneration des
pharmaciens gérants un certain pourcentage
("anable suh'ant l'importance de l'Hôpital
considéré conformément au barème ci- après)
du Traitement de base brut acco rd é aUA
pharmaciens titulaires à temps complet, à
l'exclusion de toute indemnité ou gratificatIOn accessoire.
Barème prévu :
3/12 du traitement de base brut pour
hôpitaux-hospices de 0 il 50 ,lits.
-l, 12 du traitement de base brut pour
hôpitaux-hospices de 51 il 100 lits.
5/ 12 du traitement de base brut pour
hôpitaux-hospices de 101 il 150 lits.
6/ 12 du traitement de base brut pour
hôpitaux-hospices de 15 1 il 200 lits.
7/ 12 du traitement de base brut pour
hôpitaux-hospices de 201 il 250 lits.
8, 12 du traitement de base brut pour
hôpitaux-hospices de 251 il 325 lits.
9, 12 du traitement de base brut pour
hôpitaux- hospices de 326 il 400 lits.
les
le;;
le.;
les
les
le;,
les
Vous voudrez bien porter les indications
Qui prêc~dent il la connaissance des administrations hcspitaJières intéressée en les invitant à en tenir compte lors de leu rs décisions
pour la fixation des indemnités de .Ieur p~ar
macien-gérant dans le cadre des dispOSItions
de l'article 212 du R. A, P . du 17 Avril 1943.
•••
Je vous rappelle que les pharmaciens gérants susceptibles de prétendre il la rémunération , Qui précède doivent avoir été recrutés,
conlormément aux dispositions de l'article
212 du derret du 17 avril 1943, c'est-il.<fir"
après concours sur titres.
En outre le contrat de gérance devra f3~
peler les ~bligations du pharmacien gé ran t
telles qu'elles sont délinies à l'article 107 du
_ Hesponsabil l h~ générale de la pharmale de l'établissement.
_ Direction et surveillance du personnei
attaché à la pha rmacie.
_ Tenue de la comptabilité des stupeliants et de la comptabilité matière de la
pharmacie.
.
Le pharmacien consac re à son. ser\'lce k
t~mps n~cessair~ à son bo.n fo.n ctlOnnem~nt.
La responsabilité et la directIOn, pou~ ~tn:
effectives, impliq uent la p rés~nc~ !'1~ot ldl e n
ne du pharmacien gérant a 1 hopltall au
moins pendant une heure.
Enfin, j'insiste su~ la n~.essité. d.'i nclu ry
dans le co ntrat de ge rance IlOterdlct~o n faite au pharmacie~ géra~t. Qui ,:xplOlte p.~r
ailleurs une offiCine prl\'ee, d etre fournl:'seur de l' hôpital.
TEXTES D'IKTUET G~KEBRL
Circulaires conoernant plus spécial ement
les Administrations dl: l' Elat
0 2 B2
AC 3
RELEVEMENT DES REMUNERATIONS
DES FONCTIONNAIRES
ET AGENTS DE L 'ETAT
Rectificatif
Au ItA,A. n" 22 du 3 1-5-5 1, page 105,
3me colo nn e, paragraphe l , IOrne et Ilm~
lignes, lire .. :
4 % pour les persollnels classes aux Ir.·
dices liierarc.hiques supérieurs ci 250 san~
que la ...
•••
_ __ _ (;, OO c·) _ _ __
Vous \'oudrez bien m'accuser réception
des présentes instr~lctions et . me . r~ndre
compte des difficulte~ q~e souleveralt, eventuellement, leur application.
LE MINISTRE.
Pour le Ministre et par délégation.
Le Chef de Cab inet,
MONCOJ\\BLE.
02 B2
AC 3
DECRET N" 5 1-6 17 OU 24 MAI 1951
PORTANT MAJORATION DES TRAI·
TEMENTS SOLDES DES PERSONNELS CIVILS ET MiLITAIRES DE
L'ETAT.
-------<;,oo<~-------
0283
TVX 0
PLAN D'EQUIPEMENT NATIONAL
VERSEMENT DE SUBVENTIONS
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
il Messieurs les Maires du Département.
Par des a rrêtés en date des 21 mai 1947,
22 ... ril 1948, 18 mai 19 ..3, 28 septembre
1948 30 novembre 1948, 1er octobre 194ry,
1er ~,'ril 1950 et 15 juin 1950, j'ai att ribué
à de nombreuses communes du département,
pour la réalisation de travaux d'un coût inférieur à 15 millions de francs, à poursul\' re dans le cadre du plan d'équipement na ·
tional, une masse importante de subventions.
Or, la plus § rande partie de ces crédh~
sont à l'heu re actuelle demeu rés inemployes
et le Ministre de l' Intérieur a récemment appelé mon attentio n sur le fait qu'il ne pourrait m'accorder de nouveaux crédits de promesses de subventions que dans la mesure
où pou rrait être justifiée l' utilisation d~~
subventions précédemment attribuées.
J'invite donc MM. les Maires il m'adres·
se r sans retard, leurs demandes de versement des dites subventions dans la forme
prévue par la circulaire portée à leur connaissance pa r la voie du B.A.M. n° 5 d~
l'année 1948.
Au cas où ces demandes n'auraient pd
tire présentées avant le 3 1 décem bre 1951,
il serait lait une s1 ricte application des dispositions contenues dans l'article 3 des arrHés att ributifs des subventions.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
Le Président du Conseil des Min is trt!s,
Sur le rél pport du Ministre des Finance~
et des Affaires Economiques, d u Ministre àu
Budcret et du Secretai re d'Etat il la fonction t>p ublique et à la réfo rm e administrative
Vu la loi n' 46-2294 du 19 octobre 19-16
portant statut cré néral des fonctionnaires ;
Vu la loi n '~ 50,1 35 du 3 1 janvier 1950,
notammen t l'a.rticle 30 et la loi n' 50-922 da
g août 1950 notamme nt l'a rti cle 1er hxant
les modalité; de la réalisation complète du
reclasseme nt de la fonction publique et améliorant la situation de certaines categones
des pe rsonnels de l'Etat ;
....
Vu la loi de finances pour l'e xerCice 19J!
(n' 5 1-598 du 24 mai 195 1) ;
Vu le déc ret n' 48- 11 08 du 10 juillet 1943
revis é pa r le décret n' 49-508 du 14 avnl
1949, po rtant classement hiérarchique . de~
grades et empl ois des perso nn els. c l vil~ ~l
militaires de l'Etat relevant du régime gene ·
rai des ret ra ites ;
Le Co nseil des Minist res ente ndu,
Décrète :
A compter ~u I~r
Ar ticle premier .
mars 195 1 les traitements des fonctio nnai
res et ag~nts de l' Etat (autres que ceux
dont la rémun ération est fixée sur la base
des salaires pratiqués dans le commt!r~~ ~(
l'indust rie) ainsi que les soldes des militaires il solde mensu elle, tels qu'i1s résultent
de la réaiTsation complète du rec~ as~me;t
de la fonction publique, sont majores . e
5 p. 100 pour les indices hiérarchiques ln·
férieu rs ou égaux à 250 et de 4 p. 100 pouIr
.
, .
les .
indices
superieurs
. a'250
. ' . sanS . que inéa
majo ration applicable a un IndIce detem;'in_
puisse êt re inférieure à celle afférente a
di<:.e immédiatement inférieur.
Art. 2. - A co mpte r de la . même da'~~e~~
majorat ion instituée par l'a r ticle 1er CI .
sus est fusionn ée avec l'indemnité tempo raire de cherté de vie et la majoration exc~~
tionne lle de cette indemnité, prév ues
nu.
décrets n' 48-157 1 du 9 octobre 19 ; nUméro 4S-1757 du 19 novembre 1948 ;e par
-------<>00<>------méro 49-17 du 4 janvier 19491 modl rlet par
•
le décret n' 50-966 du 12 aout 1950 4 'a n'
les décrets n' 49- 15 et n' 49-16 d U
~ù.
l 949
•••••••
du 4 mars
ft
pré"ue pour la rémun ration de 142.000 Ir.
serait diminuée de }.OOO Irancs pour chaque
millier de franes de la rémunération principale dépassant 142.000 francs.
Par ai lleurs et à titre provisoire, pour It!s
perso nnels recevant L1n e rém un ératiOn p ri n.
ci pal e supérieure à 840.OUO fra ncs la t ranche st_périeure à 840.00C> 1rancs n'es t prise
e n considération Que pOlir le huitième de
son montant, pOlir l'appli cation des tau x
fixés à l'a rti cle 1e r ci-dessus.
Le t au x mens uel de l'indemnité cie rt$lt.lcnce 'e t de l'all ocation co mpl éme ntaire de
résidente pourra être a rro ndi par excès ou
pa r "déraut, dan s etes c6nd itions qui seron t
précisées pa r instruction ministérielle.
A·rt. 3. - Le montant de l'i nde nl nité lk
résidence majoré le cas échéa nt de l'a ll ocation compléme ntai re de rés idence, a llouêe
aux pe rson nels de l'Etat en service da ns les
départements de la Guadeloupe, de la Guyane Française, de la Martinlque et de La
Réunion, en application de l'artiole 1er do
derret n" 50-663 d u 14 j uin 1950 et des articles 1er et 2 du présent déc ret, ne peut
en a uCun cas êt re infé rieur ft celui qui aurait résulté du maintie n e n application de~
articles 1e r et -1 d u déc ret n(> 50-342 du IS
mars 1950.
Art. 4.
L'indemnité de résiden ce et
l'allocation compl émentai re de rés idence SUIvent le sort de la rémun ération principale,
leur montan t est réd uit da ns la propo rti on
Ol! cette rémuné ratio n se tro uve ,rédui te
pour .quelque ca Llse q ue ce soit.
JI en est ai nsi notam ment pour les personnels ne fournissant pas un tra va il co ntinu ou d'une durée no rm ale, a insi qu e pour
les agents auxiliai res de moins de dix-hUit
ans et nOn c hels de fami ll e.
Art. 5. -- Sont supprimés il co mpter du
1er ma rs 1951, le supplement temporai re
d'indem nité de ,résidence prévu par l' a rt. 2
du décret n" 43- 1571 du 9 octobre 1948 ct
le complément de rcmun érat ioll il tit re d~
min imum ga ranti prévu par le décret num éro 50- 1358 du 3 1 octobre 1950.
Art. 6. -- So nt abrogés to utes disposl.
lions contraires il cell es du présent déc ret.
Art. ï . - Le Minist re des Fi nances et des
Mfai,res Eco nomiq ues, le Ministre d u Budget et le Secrétaire d'Etat à la fonction publique et à la réforme administ rative, sont
chargés chac un en ce q ui le conce rne, de
l'exécution d u présent décretl q ui sera pt: Illié au • Journal Officiel . » de la République Française.
Fait à Paris, le 24 mai 1951.
Hen ri QUEU ILLE.
Par le Préside nt dU\Conseil des Ministres
Le Ministre des Finances
et des Affaires Economiques,
Mau,rice PETSCHE .
Le Ministre du Budget,
Edgar FAURE.
Le Secrétaire d'Etat cl la fonction publique
et à la Réform e administrative
. Pierre METAYER.
-------<.00<.-------
0282
AC 3
DECRET Nt' 5 1-6 19 DU 24 MAI 1951
MODifiANT LE REGIME OU SUPPLEMENT fAMILIAL DES fONCTIONNAIRES ET AGENTS DE L'ETAT
Le Presidellt du Co nsei l des .Mi nist res,
Sur le rappo rt du MiOistre des Finances
d des Alfal res Eco nomiques, du Ministre
du Budget et du Secrétai re d'Eta t à la fonction publique et il la Héfo rm e auminist ratl-
ve
i
Vu l'a rti cle 7 de la loi n" 48- 1268 dll 1 i
aO lÎt 1948 ;
Vu la 101 de fin a nces Ipour l'exe rcice 1951
(n " 5 1-598 du 24 mai 195 1) ;
VII le li éc rel n" 48- 11 08 dll 10 juillet 1948
portant classement hiérarchique des g ra des
et emplois des pe rsonnds ci\'ils et militaires
de l'Etat re leva nt du régime géné ra l des retraites d not a mment l'a rti cle 4 ;
Vu le Jc.'c ret n" 50-289 du 10 mars 1950
porta nt majoration des taux du suppl~rnen;:
familial instit ué par l'art icl e 100 de la 101
n' 48- 15 16 du 26 seplemb re 1948 ;
Le Co nseil des I\\inistre~ entendu,
Déc rète :
Article premier.
A compte r Ju 1el'
ma rs 195 1, le suppléme nt fami li al a ll o ué, en
s us des prestatio ns fa milia les de lIroit cam·
mu nI aux fonctionn ai res et agents d e l'Etat
(à l'e xclusion des personnels rét ribués s u(
la base des sa la ires pratiqués dans le Comme rce et l'indust rie) ains i qu'au x milit ai res
à solde mens uell e, comprend d'u ne part, un
éléme nt fixe, d'aut re pa rt , un é lément proportionnel basé sur la rém unéra tion principale brute (compre nant le t raitement ou la
solde et le -co mpl ément provisoi l e de tra itement ou de solde) q ui , pOlir les personnels
titula ires est soum ise aux rete nu es pour
pension.
Les taux de chac un de ces éléments SUI··
va nt le nombre des enfants ;1 c harge, sout
fixés ainsi qu'il suit
No mbre d'enfants
à charg-~
Elément Eléme nt
fixe en base prop0rann uell e tionnel
Un enfa nt à cha rge ..
6.000
Deux e nfants il charge 9.000
Chaq ue enfant à charg.e en sus du 2me .. 12.000
Néa nt
3%
5 %
Les ta u.\. fixés pour J'élément proportionnel s'appliquent:
Pour les I>ersonnels hénéficiant d'une
rém un ération principale
comp ri se entre
142.000 Ir. et 230.000 Ir. à la rémunération
principale effectivement perçue majorée dt!
la moitié de la diffé rence entre 280.000 fr.
et la rémun é ration principale effectivement
perçue ;
Pour les personnels bénéficiant d'une rémunération principale de 280.CXX> francs à 12
rém unération prinCipale effectivement perçue ;
POlir les perso nnels bénéficiant d'une rcmunération principale supérieure à 280,000
francs il la totalité de la tranche éga le il
280.000 francs il la moitié de la tranche comprise entre 280.000 et 560.000 francs et au
quart de la tranche comprise entre 560,(xx)
et 840.000 Irancs.
Les taux mensuels du
familia l
pourront être arrondis,
défaut, dans dt!s londltio ns qui serO nt précisées par instruction ministérielle.
Articl e 2. - La notion d'enra nt à char ge Il
retenir pour dét~rmlner l'oll\'~ rture du deuil
a u supplément familia l est celle fixée e n ma ·
ti ore de pre tatlOJ1S iamlliélles par la loi d~
22 aOlÎt 1946 et le r~glernent d'admi nistratioll
Ipublique du 10 tle l:emb rt! 19..J6.
Article J .
Le s up plément familial SUit
le sort de la rêmull é ration p rincipa le ; SOn
montant est rcduit dans la propo rt io n ou
cette rémun é ration se trouve rêduite, pour
que lque callse que ce soit.
Il en est éli nsi nota mm en t pour les personnels ne fo urni ssant pas un travail contin u ou
d'u ne durée no rmale.
Arfide 4. - So nt suppri mes, à l'cmpter Ju
1er mars 195 1, la majoration de l'indemnit..:
de résid~n ce dest inée il teni r compte de !a
situation famille, prév ue il l'article 3 du decret n" 48-357 du 29 lévri"r 1948 et par l'ar ticl e 2 du décret n" 50-342 du IS mars 195ù,
ainsi q ue le supplément familial à la majora~
tion spkia le d'Arriqll~ du No rd , pr~ \'lIe par
les déc rets n" 48-61 3 ct 48-614 Ju 2 a"rli
1949.
Article 5. Les dispositions du présent
décret sont app li cables aux personnp.ls ell
se r vice sur le te r ritoire de la France m ~tro
politaine. Elles sont t!ga lèment app licables
aux perso nn els en service dans les départements de la Guadelo up e, de la Guya ne Srança ise, cie la Ma rti ni q ue et de la Réunion, au;,
pe rsonnels rémunérés Sur le Budget de l'Etat
en se rvice en Algérie, en Tunisie et au Maroc
et aux personnels en sen' ice dans les zo nes
françaises d'occ upation en Allemagne et en
A ntric he.
Article 6. -
Les modalités d'application
du présent t1éc ret aux fo nction naires des ca-
dres généraux et régis pa r décret aux fom:tionnaires relevant des mini stè res mét ropolitains et aux mJlitai res à solde mensuelle, en
service ûans les territoires relevant du MInistère de la France d'Outre-Mer et dans les
Etats associés du Ca mbodge, du Laos et du
Viet-Nam, feront l'objet de der rets ultérieurs,
pri s s ur le rapport du Ministre de la France
d'Outre-Mer ou d u Mi ni stre chargé des relations avec les Etats associés du Ministre de~
Fina nces et des Affaires Economiques, du
Ministre du Budget et du Secrétaire d'Etat
il la fonction publique et à la réfo rm e admi ·
ni strative.
Article 7. - SOnl aorogé"s toutes dispositions cont raires à cell es du présent décret.
Articl e 8. - Le Ministre des Finances cr
des Affai res Economiques, le Ministre d"
Budget et le Secrétaire d'Etat il la Fonction
Publique et à la R~forme Administrative sont
cha rgés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent décret qui sera publié
all Journal Officiel de la République Fran·
çaise.
Fait à Paris, le 24 mai 1951.
Hen ri QUEU ILLE.
Par le P rés ident du Conseil des Ministres.
Le A'UnÎstre des Finances
et des Affaires Economiques
Maurice PETSCHE.
Le Minislre dll Budget :
Edga r FAURE.
Le Secrétaire d' Etat
d la Fonction Publique
et dia
Administratil'e,
�111
Ulf1t:s paf
brtt 1~50.
pro\"isoi re
Lt! tau),.
JIt
Il: Ut'l. ret n 5O- 1-WO du JI octopour consti tuer un compl èm~nt
de t raitemt?'n1 ou de solde.
annuel du Lompkment pro\'isoiil:
t raitement ou de solde est arrondi
de trancs supe rieur.
ml1h~r
Le
[3U),.
3:l
m~nsuel du [rait~ment ou \Je la
~oldt?' e~ du complement pro\Oisoire de lral-
I t: ment ou de sol de, ainSI Que des reten ues
r~~km~nt3Ir~s qui les alfecte~t, po urra ~t n:
arro nùi par eXl~s ou pa r Jëfaut dans le:;
"-unJltlOns qUI seront prt:'cisées pa r instruc.·
lion mmistto rielle.
Le l'ompl ement pro\O
isoire de traiteme nt
ou de sol de ~st, en Le qui cont.:'ernc les per. nnels affllk~ au r~gime géne ral des ret r~l1tt;':s prevu paT la loi n -18-1 -150 Ju 2lJ
~éprembre IY4H soumis aux r etenues pour
pensions ; Il s'ajoute au traitement ou à la
::.uldt.: pou r l'a pplIC3tion dt'S dispositions de
ladllt' loi et nutammt!nt d~ son article 00.
lt' l:umpkment pro\"lslIlre Je traitement
IiU t..I~ s~:..Id~ SUIt k sort du traitement ou de
1.1 ~ùld... . sun montant I:.'st reduit dans la
prupurtion lIU k traitement ou la solde sc
trom ~ rt.-Juit, pour quelque cause que ce
~ull Il en est ai nsi notamment,
pou r l e~
personnels ne fournissant pas un travail
\.ontinu ou d' une du ree normale ainsi que
Vt'ur les agents aUÂiliaires ùe moins ù~ dixhuit ans et non chef de ramil le.
Alh.: une Indemnitt! ou alloca tion, de quel
que natu re que ce soit allouée en sus du
traitement ou de la solde et du complément
prO\isoire ùe traitement ou de solde call.:ul~s il partir de l'indice qui leu r corresponu dans la. hi~rarchie gêne rale des g rades et ~mpl Ols ne peut ~tre retenue p01Jr
le calcul de la pension du beneficiaire.
An. 3. - E t supprimée, il compter du
ler mars 1951 l'indemnite temporaire de
cherte de \-je instituée, en faveur des pe rsonnels de l'Etat retraitt!s par les décreB
n ~ S- 1 5 73 et n" 4&- 157-1 du 9 octobre 1'1 4 .
Art. ~ . - Les dispositions du présent de·,
(~et sont applicables aux pe onnels en serVH:e sur le territo i r~ de la France mêtropuhtaJn~
Elles sont également applicables aux persùn,!els ~n ser\'ice dans les tl ëpa rtements de
Il üuadeloupe, de la Guyane Française, dt
1;1 M artm~ue .et. de La Réunion, aux per~onneI5 . r~munefl"'S. sur le budget de l'Etat
en sen'Il.:e en Ig-ene, en Tunisie et au .\\aroc et aux personnels en sen;ce dans les
Lones françaises d'occupation en .\lIem agne
t!t en Autriche.
E n application du second alin~a de J'article 6 du déc ret n· 4&-1124 du 13 juillet 1~-18
la totalité du traitement ou de la solde ci
du complément prO\ isoire de traitement ou
Je st)l~e rêsultant de l'application du pres!;:"t dt."Cret entre en compte pour le cal,ul
De la majoration de 25 p. 100 en ce qu,
l"om:erne les personnels en service dans les
depa r tements de la Guadeloupe, de la Guyane Françalse, de la Martinique et de La
Ré union.
De la majo ration de 33 p. 100 en ce qUI
conce rn e les personnels en ser"ice en Algérie, en Tun isie et a u Ma roc.
Art. 5. - Les modalités d'aIJlplicatio n d"
présent décret aux fonctionnaires des cadre-s
gé~é r aux et régis par décret, aux fonctionna.l res relevant des ministères métropolitains et aux militaires à solde mensueUe en
sen;ce dans les
rele\'ant du' ml-
Ltals a~uCll'S du Cambodge, du L ao~ et du
\ Ict-I\am, fe ron t l'obj et de déc rets wh:."'-flcurs, priS su r h! rappo rt o.u .minis tre d e
la t" r anCe trUutre-I\\~r vU du MlOlstre chargl! 11~ r~atlons aH'C les Etats aSSOCI~S, d u
.HIOIstrt UrS t-l nances ~t aes Att a lfcs t.co·
mmu(tul!S, lIu .i\ un lstre Liu b udge t et du Sel.:rtlalre u t.tat a la fOn~t10 n p ublique et a
la rt!lOrme alilluOist ratl\ e, compte te nu des
r~gllnt!S ut! reruune rano n prop res à ces d .\ er::. territoi res.
Art. o. Le Mmistre des fin a nces et
des Afta lre5 l:.co nomlq ues, le Mimstre du
tsudgct ~t It: ::,.ec retal re d'ê.ta t à la fonctio n
pub li que et il la Réto rme adminis trative,
sont Chargés, chacun en ce qui le co nce rne, de l'ex«Uflo n d u prése nt déc ret qui sera publie au
Jo urnal Ofliclel > de la I<èpublique j· ra nçalse.
Lw a Pa ns, le 24 mai 1SJ5 1.
Henr i QU EU ILLE.
Par le Presidcnt Ju Conseil des Mllu tres,
LI..' tUllus/re des Finanl.."es
t"I Jes Altalres ELonomiqlles,
.\la unee PETSC HE.
Le Ministre du Budget ,
Edgar FAURE.
Le Serre/gire d'Etat à la fonctioll
publiqllt! t!t (l la Reforme AdministraUl'e,
l'ierr. METAYER
- - - ç . : >00 ,,;,- - - -
D282
AC 3
DECRET N'· 5 1-6 18 DU 24 MAI 195 1
MODIFIANT LE REGIME DE L1N DEMNIT E DE RESlDENCE DES
FONCTIONNAIIŒS ET AGENTS DE
L' ETAT,
Le Président Ou Conseil des MiOistres,
Sur le rapport du Minist re des Finances
et des Affaires Economiques, du J\oUnistre dll
Budget et du ecrétaire d'Etat à la fom.hon publique et à la réforme admi nistrative ;
Vu la 101 de finances pou r l'exercice 1951
(n " 5 1-598 UU 2~ mai 195 1) ;
Vu le déc ret nO> 4&- 1108 du 10 j uill et 1943
portant ~Iassement hiérarchique.. des grades
et emploIs des personnels civils et mihtai res
de l',Etat relerant du régime gé né ral des
retraites et notamment J'a rticle -+ .
Vu le decret n" 47-146 du 16 ja~l'ier 1947
relati f a l'indemnite ùe résidence alloue~
a~~. fonctionnaires et .agents de l'Etat, 010Ulh" par le décret n' 4S-357 du 29 lévrier
19~~, le docret n·' 4' 1125 du 13 juillet 1 94~
et le d""ret n" ~9-l3 du 12 janvier 1949 ;
Vu le décret n" 51-6 17 du 24 mai 1951
pûrtant majoration ùes traitements et solde ùes personnels cj\'i lS et militaires de
l'Etat ;
Le Co nseil des Ministres entendu,
Oéuête :
Artide premier.
A compter du 1er
mars 1951, l'indemnité de résideJ~e allouée
~ u x fo~ctionnaiJ t!S et agents
de l'Etat (à
1exclUSIon des personnels rétribués sur la
hase des salaires pratiqués da ns le commerce et l'industrie, ainsi qu'aux militaires a
solde mensuelle en service su r le terr itoire
de la France métropolitai ne et dans les dé·
partements de la Guadeloupe, de la Guyane Française, de la Martinique et de La
Réunion est basée sur ta remuné ration prin-
solde et le complément provisoire de traitement ou de solde) qui pour les personnels
titulaires, est soumise aux retenues POUl
pension.
Son taux est variable suivant les zones
territo riales de salaires, telles qu'elles sont
déterminées par le décret prévu à l'a rt. 3 1 x
du Livre 1er du .Code du Travail, tel qu'i l
résulte de la loi n· 50-205 du Il lév,rier 1950
il est fi xé ainsi qu' il suit :
'
Taux de
l'in~nit é
Zo nes de salaires
Sans ab att ement ....... . ......
Co mpo rta nt un a battemen t de
3,75 p. 100 ..... . ........ . .
Comp o rta nt un abattement de
5 o u de 6 p. 100 . . . .... . . . ..
Comp o rta nt un a ba ttement de
7,50 p. 100 ... .. .. .... .. . . . . .
Compo rt a nt un a ba ttem ent de
9 ou de 10 p . 100.. . ... . ...
Compo rta nt un abattement de
Il ,25 p. 100 ............. . . .
Compo rta nt un a battement de
12 o u de 13 p. 100 . .......
-Compo rta nt un a ba ttement de
15 p. 100 . .... . ..... . ......
de
réSidence
25 p. 100
22 ,p. IOC
20 p. 100
18 P 100
16 p. 100
14 p. 100
12 p. 100
10 IP. 100
,Les ta ux li xés ci-dess us s 'appliquent :
P o ur les personnels bé né ficia nt d' un e rémun ération princip a le comprise entre 142.000
Ir. et 280.000 fr. à la rémunérat io n principale effecti vement perçue, ma jo rée de 1.
moitié de la d ilférence e nt,re 280.000 Ir. el
la rémuné ra ti o n p rin cip a le effect ivem e n~
perçue.
Po ur les perso nn els bé néfici a nt d' un e ré·
m un ératio n p rincipale de 280.000 fr. à la remu ne ration princi pa le effect iveme nt perç ue.
Po ur les pe rso nn els bé néficia nt d'u ne re·
munê ratio n p rinci pa le s upé ri eure à 280.000
Ir., à la tota lité de la tr a nche éga le à 280.000
fr. à la moi ti é de la tra nche com prise ent re
280.000 et 560.000 f rancs et a u qu a rt de la
t ra nche supérieure à 580.000 Ira ncs.
Art. 2. - A compter du 1er ma rs 1951,
et à titre proviso ire, le mon ta nt de J'indemnité de réside nce ca lcul é co nfo rm ément aux
dispositi o ns de l' arti cle 1e r ci-dessus, es!
majo ré d' une a ll ocati on comp lémentai re de
résidence fixée en base a nnuell e dans les
diverses zo nes, a ux ta ux ci-ap rès :
15.000 I r. po ur les pe rson nels recevant
une rém uné ration principa le de 142.000 Ir.
9.(}(x) fr. pou r les perso nnels recevant
une rémuné ratio n pri nci pale co m pr ise entre
148.000 et 225.000 Ir inal us.
7.500 fr. po ur les pe rso nnels recevant
une rémunératio n princi pale comprise entr<:
226.000 et 240.000 f.r. inclus.
6.000 Ir. pou r I~s person nels recevallt
une rémunéra tion ·princi pa le com prise entn:
24 1.000 et 260.000 Ir. in clus.
4.500 fr. pou r les person nels recevanl
une rémun érat ion .principale comp r ise entr\!
261.000 et 275.000 I r. inclus.
3.000 fr. po ur les pe rso nnels receva nl
une rémunéra tio n pr inci pale com prise entre
276.000 et 290.000 Ir. in cl us.
1.500 Ir. po ur les perso nnels ,receva nt
une rém un é ra tio n princip ale comp r ise ent re
29 1.000 et 305.000 fr. inclus.
P ou r tes pe rso nn els qui recevraient une
rému nératio n principale comprise entre
143.000 et 147.000 I r. inclus, l'allocalion
entaire de résidence de 15.000 fr
113
0282
AC 3
DECRET N" 51-6 20 DU 24 MAI 1951
MAJORANT, A TITRE PROVISOIRE
CERTAlNES DES PRESTATIONS
FAMlLlALES ALLOUEES AUX PERSONNELS CIVlLS VISES A L'ARTICLE 4 D U DECRET N· 48-18 17 DU
30 NOVEMBRE 19 48.
Le Président du Conseil des Mili istreJ,
Sur le rapport du Minis tre de la France
d' Outre-Mer, du Minis tre des Fina nces et des
Affaires Economiques, du Ministre d u Budget et du Secrétaire d' Eta t à la Fo nction P ublique et à la Rélorm e Ad min is trat ive ;
Vu le déc ret n" 45-1 54 1 d u Il juillet 1945
concernant la fi xati o n des soldes d u personnel des cadres gé né ra ux des Colo nies .
Vu le déc ret n· 48-18 17 du 30 nove';'bre
1948, relatif a u régime des inde mn ités pour
charges de fa mille a ll ouées aux fo nctio nnaires, employes et agents c ivi ls apparte na nt
aux corps et s ervices des territo ires relevant
du Ministère de la F ra nce d'o ut re-mer, ensemble les t extes mod ificat ifs et notamment
le déc ret n· 49-530 d u 15 avr il 1949 ;
Vu le décret n· 49- 1257 d u 27 ao ût 1949
étendant les dispositi o ns d es décrets n"
49-528, 49-529 et 49-530 d u 15 avr il 1949
reJatils iI l'a ppl icati o n du reclasse me nt d~
la. Fonction Publique et au x charges de famil le outre-mer, de la Cô te Fra nça ise des
Somalies ;
Le Conseil des Minist res e ntendu ,
DECRETE ,
Arlirle premier. - P o ur l'application de
l' arti cle ~ du déc ret n' 4S- IS 17 du 30 novembre 1948, modifi é pa r le décret n· 49-530 du
15 av ril 1949, les a ll ocati o ns .fami li ales l'a l
loca ti on de salaire un iq ue t't les alJoc~tIOIl::;
pl ena ta les so nt majorées de 20 p. 100 il
~o mp te r du 1er décembre 1950 et de 25 p. 100
a compter du ler avri l 195 1 et j usqu'a une
date q UI se ra fi xée pa r a rrêté du M inistre de
la Fra nce d'O utre-Mer et d u Min istre d"
Budget.
Arlicle 2. Le Min istr e de la France
d'O ut re-Me r, le Minist re d es Pin a nces et des
Affai res Eco nomi q ues, le Minis tre du Bud rrct
et le Sec réta ire d'Eta t à la Fo nctio n Publique
et à la Rélo rme Admi ni st ra tive so nt cha rgés,
chacu n en ce qUI te co nce rne, de l'execution
d u présen t déc ret, qui se ra publié au Jour nal C!ffwel de la Républ iq ue Fra nçaise ct
Insére a u Bullelin Officiel d u Ministère de
la Fra nce d'Qutre-Me r.
Fa it à Paris, le 24 mai 1951.
Hen ri QUEUILLE.
Pa r le Président du Conseil des Ministres.
Le Ministre des Fi na nces et des Affaires
Eco nomiques.
M. P ETSCHE - E. FAURE
F. MITTERAND - Pierre METAYER
- - - - <JO O( ,,- - - -
L~
Communiqués. Avis
Annonces diverses
D2 83
AVIS D'ADJUDICATlON
ET D'APPEL D'OFFRES
Intendance des Subsisances Militaires
Caserne Audéoud
Promenade de la Corniche - Marseille
A. - j\d judicol ion reslrein le publique de
pdtes alimentaires.
Quantilé : 1.000 qx (m ille qu intaux) il livrer à la Gest io n des Subsistances Milita ires
l, ru e l\'\ass.e na. Marse ille.
'
Date et dépôt des pièces et in tenti o n de
soumissio nner: le 8 juin 1951, de rni er déla j.
Date de l' adjudicatio n : le 19 juin 1951, a
10 heu res, à l' In tendance s usvisée.
E n cas d'éc hec, un co nCo urs co nsécutif
aura lieu le 22 juin 195 1.
B. - Appel d'offres huile d'arachide comeslible.
.
Quantité : 600 qx (six cents q uinta ux) il
livrer à la Gestion des Subsista nces Mil itai res. l, rue Massé na, Marse ille.
Dépôt des soumissions: le 19 juin 195 1,
ava nt 10 heures.
Tous ces documen ts se rappo rtant à ces
réalisations sont il consulter à l' Intenda nce
citée ci-dessus.
Copie eerti6il conf.nae.
Pour l-e Préfet :
SICf'b .ir~ GkirAI : I..A.MASSOURJt.
�REPUBLIQUE FRANÇAISE
14 Juin 1951
DËPARTEMENT DES
9-
BOUCHES-OU -RHONE
A nn~e .
- N ' 24
/
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
a
To ute corr espon dan ce relative au Recueil doit être adressée
la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIA. 'rIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulair e - Les lettr es 0 et B suivies d' un chi ff re indiquent le Ser vic e ou Bureau d'origine.
D. S. T . : Direction des Ser vices T ec hnique• . - D. D. S. : Direction Departementale de la Santé. - D. D. P. : Directio n départ ementale de la Population.
SOMMAI R.E
Arrêtés réglementaires et Circulaires
AG 2. - Situation au r e~ ard de la législati on sur les assura nces socia les
~es agents titul ai res des co ll ecth'ites
locales af fili és à la Caisse Nationale
de l{etl'aites lorsque ces agents sont
occupés à des tr ava ux ag r icoles ... _
F 3. - T axe d'abatage ... . .. . .. . . . . .
FS O. - Arrêté porta nt déClaration
d'utilite publi q ue de j' acq ui s itio n d'u n
Pa~es
11 5
115
terram par l' Hôp ita l Psychiatri que
d'Aix- en- Provence ..... . . .. . . .. ...
ENO. - Ré glementation de l'affichage.
Loi du 12-4-43 et loi fisca le du S-S-50
l'VX. - Bordereau des sa laires normaux et co ura nts dans le bà timel1l
et les trava ux publics ............
116
117
11 7
T extes d'Intérêt Général
res . ... .... .... .... . .. ...... 11 8
AC 3. - Emploi ob ligatoire des mu ti lés. - Loi du 26 avril 1924........ 11 8
AC 3. - Att r ib ution de certaines i ndem nités aux fonction naires des cotl ee t ivi tes loca les . ................. 1J i
Communiqués, Avis, Annonces diver. .
-
AC 2. - Règlements par chèques ct
virements . . . . . . . . . . . . .. .......
AC 2. - Taxes sur le chi ff re d'affai-
J 18
Publ ications nouvelles de l'Institut
Géographique National . ...........
- DemanJe d'emploi de secrétaire de
M airie....
11 9
Il!1
=
ARRÊ TÉS REGL EM ENT AIRES ET CIRCULAIRES
02 83
AG 2
SITUATION AU REGARD DE LA LE G1SlATIO.N SUR LES ASSURANCES
SOCIALES, DES AGENTS TITULAIRES DES COLLECTIVITES LOCALES
AFfILIES A LA CAISSE NATIONALE
DE RETRAITES LORSQUE CES
AGENTS SONT OCCUPES A DES
TRAVAUX AGRICOLES.
J'ai l'honneur de porter ci-dessous ci la
connaissance d e Messieurs les Maires du
Département le lexte de la Circulaire de
Mon sieur l e Presidenl du COllseil, J\1tntstre
de L'lnlmeur n" 203 AD-3 du 25 mai 1951,
relative à l'objet précité.
Pou r l e Préfet des Bouches-du-llhône.
Le Secrétaire Général,'
LAJ\\.A SSOURE.
La question s'est posée de savoir quel dOit
ttre le régime d'assurances sociales de"
agents titul ai res des collectivités locales.
affil iés à la Caisse Nationale de Retraites
et occu pés à des travaux agr icoles, en ce qu:
Concern e tes risques non couverts !par la
Caisse Nationale de Retraites (malatlie, 1011gue ma ladie, maternit é, décès, invalidite
(Soins).
Dans un avis du 20 février 195 1, le Conseil d'Etat a estimé que les arrents en cours,
qu'ils soient ou non rémunérés à l'heure ou
a la journée ne peu ven t ê'trt! cOllsidéres comme relevant du
a;:!ri cole des assuran··
1
Les interess~s so nt don\.: assuj ettis au re
gime de Séc urité Sociale applicable â l'ensemble du personnel ti t ulaire de la colle<tivité loca le dont ils rel èvent.
donnait quel4ues Indications sur les modalites d'application des articles 22 à 25 de la
loi n' 46.854 du 27 av ri l 1946, qui remplaçé!ient les taxes prevues par la loi du S jan1 \'1er 1~I05 par deux taxes:
----<)OoC ; - - - L'une frappant les viandes fraiches proD283
F 3
\ enant ue J'abatage en vue de la vente des
TAXE D'ABATAGE
équidés, bovidés, suidés, o"i dt.'S et caprins ;
Par circulaire parue Gu Bulletin Adminis·
- l'autre s'a ppliquant aux viandes dite,)
lralif des Mairies, Il'' 22 du 3 1 mai 195 1, j'al
à la nlain ou fo raines, soumises au co ntrôle
donné à M essieurs ks Maires certaines préca service san lta l r ~ i nstit ué par la Munj clcisions au sujet de l'applicatioll de la loi
l'alite.
n ° 51.426 du 16 avril 1951, relalive aux taxe~
Le regime Institué par la loi du 27 avrIl
d'abatage et de visite sallitaire des viandes.
10-iti vit!nt d'ttre profontlément mod ifié par
Je porle ci-dessous fi leur connaissa nce Il.
les :t:lides 7 à 10 de la loi n' 5 1-426 du iii
t exte de la circulaire ministérielle n" 202 du
avril 195 1, relative au développement de.,;
19 mai 195 1 concernaflt le même objet ct
.,;r edits affectés aux dépenses de fonctionne·
dOllnant quelqlle~i renseignemenls compl'!.
ment des services civils pour l'exercice 1951
mentaires.
(.\ g . iculture) .
Pour le Pr"fet,
L'ar tl( le 7 de la loi du 16 a\'fil 195i autoLe Secréfaire GélllJral .
rise h's communes exploitant un abattoi r ct
LAAIASSOURE.
percevti r une taxe sur les viandes de tout~
nature, prO\ enant d'animaux abattus dans
Le Président du Cousât, Ministre dè
ce t ctaJ lissement. II leur perm et, en m~m~
l'Intérieur,
tcrnrs, de rrlier un~ surtaxe dest i n~e à amorci MM. l es Préfels.
ti r I..:-s ,jf r{;-ns~s engagét!S pou r la construl:MM. les SOlls-Préfels,
tia n ou I:t r,~odernjsation de ,'.abatt0ir.
(Métropole sauf départements du
L'article 6 de la même loi donne aux MuniHalll-R/!in . dll Bas-Rhin el de fa
dpulit ês ln faCilité t1'institue r une tax.e pour
Mosette),
ff;lis de \' ~ite ou de poin\=o nnage des via n·
OBJET. - Taxes Lommunales d'ahatag~
des dom cllee aSSl1rent le contrô le sanitaire.
et de visite sa nitaire des \'iandes.
/. - J\ssictie lie la taxe d'abatage,
REFElt : La wlulaire n" 1578 AD-2 du
15 octobre 1946.
les t:OOlll1l1nes exploitant un abatDans la circulai re visée en
mettre en recouvrement la taxe
�•
116
donc un hen entre la pef'('f'ption lie ,la t3;\1.:
I.r3batag~ et la gestion de. l'abattoir : au
lieu de trapper routes It$ \'Iand~s ~ro\'enant
u'animaux abattus sur le terrOltOlre de ja
~ommune. la taxe ne frappe ,plus q~e. les
\ iandes provenant de
l'abattoir
munt~lP.al,
que I.:et abattOIr SOIt fdi.fi~. sur le te~!lt~lrl!
de la collecti\ Itt~ prupTJl!t3lre, Ou qu 11 !).Oll
èl,hùë sor le territoire d'une autre Jocaltte.
Elle n~ saurait donc plus s'appliquer aUA
\'ianlies pro\'enant d'animaux abattus da~s
une tuerie particulière ou dans un abattOir
industriel.
En outre les \'iande ~ prO\'enant d'animau:.malades et impropres il la consommatlon
sont assujetties il la taxe d'abatagt.
Le taux de la taxe d'abata!:e qui se substitue à la ta.xe lDstituee par rartlCJe 22 d:.:.
la 101 du 27 anil 1 9 ~6 ne peut excèdel
J fcanN par kilogramme de viande. n~tte.
Toutes les \>iandes prO\'enant d animaux
abattus dans l'abattoir municipal devront
don.:: l:tTe pesees, afin de déterminer I.e mont3nt de l'impôt à recou vrer. Aucune difficulté
particulière ne doit apparaitre â. .cette occasion. les abattoirs municipaux êtant tenus,
l'onformement aux prescriptions règlementain:s, de posséder une bascule.
Par ailleurs, les municipalités ont la possibilite de majorer, dans la limite d:un franc
par kilog-ramme de \'iande nette la tax~
d'abatage. Le produit de la surtaxe qUI,
contrairement â. celui de la taxe proprement
dite, est grevé d'affectation spéciale, dOit
permettre à la commune d'amortir les dépenses qu'elle a dû engager pour construi re ou
moderniser son abattoir. En fait, la surta),.~
aura pour objet essentiel de gage r le service des emprunts que la municipalité aura dù
contracter dans ce but, la loi précisant en
effet, que la surtaxe a pour objet d'amortir les dêpen es et non de permettre la constituti on de réserves qui seraient ultérieurement consa.crées au financement des travaux
de construction ou d'amélioration.
Les collectivités ~érant des abattoirs Consen'ent le pouvoir d'instituer les redevances
annexes de J'abattoir.
II. - Assiette de la taxe de visite sanitaire
des viandes.
La taxe de visite sanitaire des viandes
remplace la taxe de visite et de poinçonnage
des \iandes foraines, instituée par l'aTticie
23 de la loi du 27 avril J946.
Son assiette se trouve modifiée.
Au lieu de frapper uniquement les viande3
fo raines ou à la main, la nouyelle imposition frappe, â. la fois, ces viandes, les
viandes congelées et les \·iandes provenant
d'animaux abattus Sur le territoire de la
commune, â la condition, bien entendu, qu'elles soient soumises au contrôle du service
sanitaire institué par la municipalité. EU.!
atteint donc les viandes qui sont reconnues
impropres a la consommatlon.
Sont toutefois exclues du champ d'application de la taxe de visite sanitaire, les viandes
provenant d'animaux abattus dans l'abattoir
mUllicipaJ et ayant déjà acquitté la taxe d'abatage. Le législateur a, en effet, estimé que
la taxe d'abatage constituait â. la fois la
rémunération du service rendu à l'occasion
de l'abatage proprement dit, et celle du contrOle de la salubrité. Les municipalités ne
peuvent pas, en outre, percevoi r la taxe sanitaire dans les abattoi rs industriels dont
l'inspection est assurée par des agents de
l'Etat, qui perçoit une taxe spéciale à cet
de \'isite sanitaÎre n'est
pa:,•
<.
,
E n1·ln, la~ taxe
applu.:able au),. produits de ch~rc ut er.le, au~
VIandes consen/t:':es et aux preparatlO~s . a
base de \iandes Introduites sur le terntotre
de la t.:.ommune.
Le taux de ette ta),.e ne . peut exceder
2 francs pqr kilogramm.e de VIande nette. 1.
est obliCTatoi rement Infeneur a CelUI de la
ta~e d'abatage. On doit. en effet, pe~ser que
les d~p~nses entrainees par le c.ont.r~le sam~
taire sont, dans tou.s les ~as, IOfefleur~ a
celles occasionnees a la fOlS p~r .la gestIO n
de l'abattoir et le contrôle. sa~ltatre et gu::
dans ces conditions, la cotisatIO n. demandt!t!
aux commerçants de la viande d~lt etre plus
reduue, quand ils se bo rnent a. s,o umettn:
dt$ damles au contrôle de sa lu b ~l te.
.
Enfin, la loi du 16 av ril 1951 laIsse subsls~
ter les prescnpllons de l'artlcle 63 de la 101
du 21 jUin 1 lYS sur le Code Rural. Ce texlt
pre\'oit que
les communes da.ns lesquelles Il eXiste des foires et marches aux chevaux ou aux bestiaux, des abattoÎrs Ou d~s
clos d'équarissage seront renues de preposer à leurs frais, et sauf à se rembourser
pa r l'etabhssement d' une t.axe su~ .Ie.s ~m
maux amenés. un ou plUSieurs veterlOalre.:,
po ur l'inspection sanitaire des animaux. qui
)' sont conduits 1> . Ce~te red.e~fance, qUi ~~t
instituée par le ConseIl MumclpaJ, pa r dehbération approu\'ée, ne peut .être perçu.e qu 'a
J'occasion de l'examen sur pied des ammaux.
Elle ne parait Ipas devoir être maintenue dans
les abattoirs et les clos d'ëquarissage, où elle
ferait double emploi a\'ec les autres impositions existantes.
III. - Dispositions communes à la taxe
d'abatage ~t à la taxe de visite sanitaire de;)
l'iandes.
Les taxes d'abatage et de dsite sanitaire
des viandes restent en principe, facultatives,
mais il y aura lieu 'd' inviter les Conseils Municipau),. à les instituer, quand il ex iste, dans
la commune un abattoi r municipal, ou un
service de c~ntrôle sanitaire des viandes.
L'abatoi r constitue, en effet, dans une certaine mesure, un établissement à caractère
industriel qui doit, conformément aux pres~
criptions du decret-loi du 30 juillet 1937 (article 1er) couvrir ses dépenses a u moyen
de ses ressourves propres. Il serait fâcheu"\
qu' une partie des dépenses de l'abattoir soit
financée par des impôts prélevés sur l'ensemble des contribuab les. Normalement donc, et
enCOre que la ta xe d'abatage ne soit Ras
affectée, son taux doit être fixé de façon que
l'équi libre des recettes et des dépenses de
l'abattoir soit assuré.
De même, il est légitim.e que le plodt.:it dt
la taxe de \'isite sanitaire permette de pa ye r
intégralement les rél1Junérations ve rsées aux
\/l:térinaires inspecteurs et à leurs préposés.
Les délibérations instituant la taxe d'a batage et la taxe de visite sanitaire, et en fixant
le taux sont approuvees par le Préfet Oli
par le Sous-Préfet, lorsque celui-ci règle
le budget, après avis du Di recteu r Departemental des Services vétérinai res. Il vous
appartiendra, à cette occasion, de vous assurer que le taux de la taxe d'abatage a été
fixé de telle so rte que son produi t CO uvre
les dépenses de fonctionnement de l'abattoir,
et que, de même, le p roduit de la taxe de
visite sanitaire est suffisant pour couvrir les
frais de gestion du service de salubrité. Il
importe, toutefois, que la municipalité ne
considère pas -ces impositions comme une
ressource mise à sa disposition pour finan<:er
l'ensemble des dépenses budgétaires : une
rel a tion do it subsister, e ntre la cause de la
recette et .. elle de la dépense.
La taxe d'abatage et la taxe de visite
sanitaire sont perçues par l'Administration
municipale : l'Administration des Contribu_
tions indi rectes n'a donc plus à intervenir
dans la perception de la taxe d' abata rre.
La taxe d'abatage sera recouvrée dans les.
mêmes conditions que la taxe de visite sanitaire, éta nt ente nùu que
les règles
"
. applica_
bles po ur la pe r·c ep tlon de 1 anCienne taxede visite et de poinçonn age resteront en vig ueur.
Pour le Préside nt du Co nseil, Minist re dt
"Intérieur,
Le Préfet, Directeur de l'AdmilllstratioR
Générale, Départementale et Communale
Pierre-jea n MOATTI.
-------«>00<>--------
03 B2
FS 0
ARRETE PORTANT DECLARATION
D'UTILITE PUBLIQUE DE L'ACQUISITION D'UN TERRAIN PAR L'HO·
PITAL PSYCHIATRIQUE D'AIX-ENPROVENCE.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
VU le décret du 12 j uin 19 12 sur les Hôpi·
taux Psychiatriques Autonomes;
..
VU la délibératio n de la CommIssIon
Administrative de l'Hôpita l Psy"hiatriqu e
Autonome d' Aix, en date du 15-11-1 950. déci-da nt l'acquisition à l' amiable du terram dIt
du lPigonnet, à Aix, section et nO du plan :
1975 p, 979 p, 978, 979, d'une co ntenance
de 26.064 m2 apparte nant à Maître CARBONNEL, pour le prix de J 1.000.(0) de
francs ;
.
Considérant que cette acquisition dOIt permettre la construction d'un nouv ea u pa\!ilIon
destiné à augmenter la capacité d' hospitali·
sation de l'Etablissement ;
VU J'avis d'u Directeur Départemental de
l' Administration des Domaines i
VU l'avis favorable <le la Commission Dé·
partementale de Contrôle des Opé rations
Im mobilières en date du 24-4-J95 1 ;
VU le télégramme de M. le Ministre .de
la Sa nté Publi que et de la PopulatIon en
date du 4 jui n 195 J portant accord 'po~r
cette acqu isitio n au pri x fixé par la dehbe·
ration susvisée de la Commission A<i"ry·ums,
trative de l' Hôpital Psychiatrique d' AIX en
date du 15- 11-1 950 ;;
.
VU l'article 22 de la loi du 30-12-1928,
Considérant que l'acquisition projetée est
d'estinée à l'Assistance Hospitali ère ;
ARRETE:
AIlTICLEE PRE.\ItER. __ Est déclarée d'uli·
lité pub lique en vue de l' exonération d~
droits de mutation , l'acquisition par l'H6pd~
Psyc hiatr ique Autonome d'Aix , du. terraIn
dit « Du Pigonnet > ci-dessus déSIgné.
ART. 2. - M. le Maire d'Aix, M.le préÀ:'
·d'en t de la Commission Administrative ~t .le Médeci n-D irecteur de l'H ôpital PSych"tr~i
que d'Aix sont cha rgés, chac un en ce ~é
le co ncern e, de l'e xécution du prése~! a~r Ai~
qui sera affiché à la porte de la Ma l.'l~ t ti~
et publié au Recueil des Actes Admmls ra
de la Préfecture.
Ma rseille, le 9 juin 1951.
Pour le Préfet,
Le Secré:aire Général,
LAMASSOURE.
IJ4 B3
EN 0
ment de vo us ré férer à la défin ition donnée
pa r ce texte de l'agglomération et des interdictions qui frappent la p u bli cité sur ces
parties des territoires des Com mun es.
Ne doive nt être to lérées, hors des agglomérations qu e les affiches apposées Sur les
murs des imm eub les bâtis o u sur les mllrs
et pa lissades de clôtu re, et co nformes aux
d ispositio ns légales. A ux termes de ce l1e~-d,
les affiches autorisées doivent être placées
à une ha uteur ne dépassa nt pas 3 mètres
au dessus d u niveau du sol et n'a yant pélS
une s ur face excéda nt 3 m2.
Sont donc pro hi bées, hors des agglomératio ns:
JO T o ute publ icité s ur les immeubles non
bâtis;
2° Tous les panneaux-réclames, peilltures
et autres procédés de publ icité, quel que
soient leurs di mens.ions, leur emplace ment,
la hauteur où ils sont placés ;
3· Toute publicité par affiches, en pa pier
libre, lorsque celles-ci :
a) Ont une s urface supérieu re a 3 m2 ;
b) So nt posées à une hauteur de pl us d.
3 mètres au-dess us du ni veau du sol ;
c) Sont collées ou apposées ai ll eurs qUE
s ur les murs Ou des mu rs 0 11 palissades de
clôtu re ;
4° Tout dispositif, SO IIS q uelque aspect
qu'il sc présente (plaq ue méta llique apposée
co ntre un mur, etc ... )
A l'intérieur des agglomérations, la régleme ntation appli cable a été ra ppelée pa r un
co mmuniq ué de Presse du 3 1 .Mars 1951.
Il est interdit dans celles- ci :
REGLEMENTATION DE L'AFFICHAGE
LOI DU 12 AVRIL 1943 ET LOI FISCALE DU 8 AOUT J950.
Le P réfet des Bouches-du-Rhône,
a MM . les M'étires du Département et
a M.I'v\. les SOlls-Préfets, pour informa ti o n.
La loi n" 50..939 du 8 Ao ût 1950, ",arue ail
journal Off. ciel d u 12 Août 1950., rela ti ve au
déve lo ppe ment des crédits affectés aux dépe nses de fo ncti o nn ement des Services Civi ls
pour l'exercice 1950 co ncerna nt le ,M inistère
de l'Intérieur , donne a ux Co mmun es la possibilité d'étab li r un e taxe su r la publicité par
affic hes et sm les réc lames et enseignes
lu mineuses.
Qutlques dispositions de ce texte risquent
d'être mal interprétées et d 'èt re considé rées
co mm e étant en contradiction avec cer taineS presc riptions impé ratives de la loi d u 12
Avril 1943 qui réglemente la publicité par
panneaux-récla mes, par affic hes et la pose
des enseignes.
II en est tli nSi, par exe mpl e, des S\l rftlce:-.
;:111to ri ~ées.
La 10; du 12 Av ril 1943 limite la surface
max imum des affiches à 3 m2 hors aggloméra tion er à 16 m2 -dans les agglomérat ions,
alors que le texte fiscal du 8 Août 1950
pou rrait laisser entendre que ces s urfaces
peu vent être dépassées, u ne ta xe dOll ble
éta nt prévue au dessus de 50 m2.
L'attention de M.M. les Maires est parti ..
clllièr ement appelée sur le fait que l'a rti cle 3
de la lo i du 8 Août 1950 ayant un objet
purement fiscal ne sanrait être inter prété
Co mm e dérogeant aux prescriptions de la 101
du 12 Avri l 1943. n ne concer ne, en f::Ttet,
nullement les co nditions dans le'iquell es 13
publicité ,par affic hes, panneaux-réclarr.es et
enseignlfS peut Hre rég ulièrement faite, ma is
l1niquenie nt les rè.'{les selon 1e.sC!uelle::; l e~
Communes so nt habilité es à 1axer li It'ur
profit une telle publicité.
Par ailleur , il co nvient de sigraler tOut
pM ti cu li èrement j'a rticl e 6 du Décret n"
51.354 du 20 Mars 195 1, rel ati f à l'app lication de l'ar ticle 3 de la loi du 8 Août 1950
précitée.
Ce décret donne aqx Maires les moye ns
d'exercer un contrôle extrèmement strict sur
tout l'affichage pub li citaire effectué su r
tout le territoire de leu r Commune.
En effet, les affiches, réc lames et enseignes visées au 3°, 4° et 5° du paragraphe
B de l' article 3 de la loi du 8 Août 1950
donnent lieu désormais à une déclaration
préalable à la Mairie, souscrite pa r le bénéfi ciaire de la publi cité ou l'entrepreneur
d'affichage. Cette déclaration doit indiquer
notamment la surface de l'affi oha ge et 1;:1
désigna ti o n précise de l'emplacement.
1° De faire aucune pubJî.cité sur les toitures et au-dessus de la lig ne de base de
celles-ci ;
2° D'établir aucune public ité devant les
fenêtres, baies ou deva ntures des immeuhles
bâtis ;
31' D'in taller aucun dispOSitif sur un mur
ou une palissade pour en aug menter les
dimensio ns en vue de la publicité ;
4 0 U'établir ou d'agencer aucu ne co nstruction qu elco nqu e pour servir principa lement il la publicité.
-------0000·------
D683
TVX 0
BORDEREAU DES SALAIRES NORMAUX ET COURANTS DANS LE
BATIMENT ET LES TRAVAUX
PUBLICS.
ARRETE
Le P réfet des Bouches-du-Rhône,
Vu le décret du 10 avril 1937 sur les conditions de travail dans les marchés publics,
Vu l'a rrêté ministériel du 15 janvier 1938.
sur les Commissions de borde re aux de salaires ;
Vu ravis émis par la Comm ission de Bordereaux de sa laires dans les Industries dll
Bâtiment et des Travaux Publics, dans sa
séance du 30 avril J95 1,
ARRETE
Arlicle premier. -- Est app rouvé le Bordereau des salai res norm a ux et courants c.Ju
Bâtiment et des Travaux Publics figurant :tu
t,Ii) leau ci-dessous :
Salaires minima normaux et courants daJl~ les Industries du BOtiment
ft des Tral'Qux Publics, en ,'igueur dans le Département des Bouches-du-Rhône
ci compter du 23 avril 195 1
Catégo ries
0,*
Gardie n balayeur .. .. ...... , ... , ., .
b 87
Manœuvre ..... . . ........... . . ... ... ..
X7
Ouvrier spéciaJisé 1er échelon
90
O uvrier spécialisé 2e échelon .....
95
Ouvri er spécialisé 3e échel on
98
Ouvrier qua lifié 1er échelon
...... , . 101
O uvri er qualifié 2e échelon . . . , . . . . . . . .
109
Ouvrier qualifi é 3e échelon
11 4
Ouv ri er hautement qualifié .. , ... .. ...
120
.
. Je vo us invite à vous réf~rer, en premier
lieu, aux dispos itio ns générales de la loi du
12 Avril 1943 en ce qui concerne la 1,auteul'
et la Surface a utorisée pour les affic hes et
les emplaceme nts interdits à l'affichage.
E~ outre, je vous rappell e ma circulaire
PUbhée au Recueil des Ades Administratifs
et Bulletin des Mairies u· 4 du 20 janvier
l 951 q UI a traité spécia lement de l'aflidhag.
hOrs des
lions. Il
A ux emplacements où ils ne sont pas
interdits les affic hes, peintures et to us autres
procédés de p ubli cité do ive nt affecter un e
for me régulière sans découpage, ni silhouette.
Ils ne peuvent excéder une surface supérieure à 16 m2 o u dépasse r la haute ur de
6 mètres au-dess us d u niveau du sol.
j e précise que les prescriptions de la lu i
du 12 Avril J943 demeurent e n vig ueur ct
que seules devront être acce ptées, lors des
déclarations préa lab les, les affiches qui .erunt
co nform es a ux prescriptions de cette loi 011
des ar rê tés pris pour so n aA,Plication.
Vous ne devrez -donc, en a UCu ne façon,
a utoriser l'ap plication d'affiches dont la surface excède rait 3 m2, si ell es ooive nt être
placées hors des agglomérations et 16 m2,
si elles doivrnt se trouver à l'intérieu r de
celles-ci.
Pour le l'réfet,
par délégation,
Le Secrétaire Général .
LAMASSOURE.
1
Toutes les co nditions habituell es d'application des salaires demeurent in changées.
Article 2. - ~\. le Secrétaire Général de la
est chargé de j'exécution du pré-
Abattements de zo nes
10
'*
- 5%
82,65
82,65
85.50
90,25
(13,10
95,95
103,55
IOB,30
114 »
78,30.
73,30
81
85,50
88,20
90,90
98,10
102.60
108 >
Marseille, le 8 juin J95O.
--
15 %
73,9:3
73,95
76,50
80,75
83,30
85,35
92,65
96,90
102
•
�•
-
l1i
es vêtements de tra vail s.a ~s que
02 B2
sallS but llicratü pur les assoclaho.ns de
sport éducatif, d~ tourisme, d' éducation t:'t
de culture populaIres.
ATTRIBUTION DE CERTAINES
INDEMNITES ALIX FONCTIONNAIRES
DES COLLECTIVITES LOCALES
256, 286 et 1573 du
Code genéral des impôts, les serYI~e~ rendus
TEXTES D'lITEaU BEBEBIL
Clrcula.rf!s concernant plus speclOJement
liS Administratrons d~ fEtat
AC 2
REGLE ....LENTS PAR CtiEQUES
.ET VIREMENTS
D2 B2
al L'article 1655
du Code . général des
impôts est .completé comme SUit .
< Ces dispositions ne s'appliqu.ent pas aux
services re ndus sans but lucratif, 'Pa~ les
associations de sport éducatif, de tourtsme,
~ 'édl1cation populaires. Jo
c) Toutes disposi tions con traires sont
annulée .
Loi n " 51-592 du 24 litai 1951 relative
aux comptes spéciaux du Trésor pour
l'année 1951.
L'Assemblée Nationale et le Conseil de la
République ont dèli bere,
L' Assemblee natio nale a adopté,
Le Prési<!"nt de la Républiqu e promul au.
......
... .
"
.... ....
Fait à Paris le 24 Mai 195 1.
Vincent AURIOL,
Henri QUEUILLE, Maurice PETSCHE,
Edgar F AiURE.
la loi dont la teneur suit :
TITRE III
Dispositions spéciales
ARr. 22 - Ln limite de 50.000 francs
bgurant aux paragraphes 1er et 3e de l' article 1er de la loi validée du 22 Octobre
---000"---
AC 3
0683
EMPLOI OBLIGATOIRE DES MUTILES
1940 relatire- aux r ~gleme nts par chèq ues e!
Loi n " 51,-632 du 24 Mai 195 1 relative
au développement des crédits affectés
aux dépenses de fonctionnement des
services civils pour l'exercice 1951
(Anciens combattants et victimes de la
guerre) .
p~é~e~t·e· 'loi' ';~ra ' ~~éc~t~~ ~~ ~·m ~ ' Ioi
de l'Etat.
Fait à Paris, le 24 Mai 195 1.
Vincent AURIOL,
Par le Président de la République,
. '.L;
A RT. 3. -
Le taux de la redeva nce prévue
en mat ière d'"pplication de la loi du 26 Avril
1924 sur r emploi obligatoire des mutilés de
guerre, est porté à 1.000 francs par jour
I.e Président du Consei l, Ministre de 1'1'1 .
té ri eur et le Ministre du Bud get,
1
Vu J'o~dol1n a n c~ du 17 mai 19.. 5, relati\'1!
aux se n rlces publiCS des départements des
communes et de leurs étaolissemenl s PI~bli l!;
t t notammel1t son article premi er;
Vu l' arreté du 19 novembre 1948. rela lif
au classement jhdiciaire des fonctio nnai res ct
agents comm unaux, modifié pa r l ' arr~té du
3 mars 1950, et notamment l'alinéa 2 de SOlI
a rti cle 3 ;
Vu l'arrêté dll 16 mars 1949, cOllce rn anl
le classeme nt ..judiciaire des fonctionnajres el
agents départementallx, modifié par l'a rrêté
du 11 mai 19.50 et notamment "alinéa 2 dt
son article 3 ;
ARRETENT
Article premier. - Les Conseils A'\unidpau x et les Conseils Généra ux pourront
allouer à l eurs fonctionnaires et agents les
indemnités spéciales prévues au x alin éas 2
des articles 3 des a rr ~tés susvisés des Hl no·
vembre 1948 et 16 mars 1949, dans le cadre
des dispositions du présent arrêté.
SECT ION '
ouvrable.
Le Préside nt du Conseil -des Ministres.
Hen ri QUEUILLE.
L e Mjnistre des Finances et d'es Affaire s
Economiques,
\laurice PETSCHE
Le Ministre du Budget ,
Edgar FAURE.
I ndemnités representa/ives de frais
La
présent~
loi sera exécutée co mme loi
de l'Etat.
Fait il Patis le 24 Mai 1951.
Vincent AUR IOL.
Par le Président de la République,
Le Président du Conseil des Ministres,
Henri QUEUILL,E.
---< ~ oo c '·----
AC 2
TAXES
SUR LE CHIFFRE D' AFF AJ~S
Le Ministre des Finan ces
et des Affaires Economiq ues,
Loi n ' 5 1-630 du 24 Mai 1951 relative
au développement des crédits affectés
aux dépenses de fonctionnement des
services civils pour l'exercice 195 1.
(Education Nationale).
Maurice PETSOHE.
Le Ministre du Budget,
Edga r FAURE.
ceUX-Cl
d . nt lournis par la collectIVIté.
SOie
.
'1'
Article 7. - L es ouvners utllsant dans
,
mplissement de leur tache un o utill age
1accgnnel pourront prétendre à une indem ni~~ont le taux max imum est li xé à 2.400 1r.
pa r an.
1
SECT ION Il
•
demnités pour travaLf x pénibles, insalubres
1"
ou salissants
Article 8. - Les age nts appelés à ex~c u
ter occasionnellement, des travaux parh curè:ement péni bles, da ngereux, insalubres ou
!alissants et ne bénéficia nt pas à ce titre
~'une échelle de t~a i tem e~t spéciale pourront percevoir des lnd.emm t~s dont les taux
maximum sont détermin és cI-a près :
l' Indemnité de collecte et d'éliminatioll
des immondices : 5 Ir. par heu re de travail ;
20 Indemnité de go udronnage des vo ies
publiques, i ndemnité pour cu r age de COU T';
d'eau : 21 Ir. par journée de travail ;
3' In demnité de désinfection des locaux
privés ou publics contaminés : 6.50 fT. par
beure de travail ;
40 Indemnité pour travaux dang~reux :
a} Exécutés à l' aide d' un e corde il nœuds :
21 Ir. pa r demi-j ournée ;
b) Exéc utés sur des toitures ou ma rquIses : loS Ir. par demi-j ourn ée ;
5' Indemnité de nettoyage ou de réleclion des égoû ts : le tau x de cette indem_niie
fi.,e à 18 fr. 'pa r demi-journée pourra êt re
porlé à 36 Ir. par demi-journée lorsque ie
tra\'ail sera effectué à l' intérieur d'égoûts
dont l'exiguité ne pe rm et pas la station debout;
Article 2. - Les dispositions du décret
du 4 octobre 1945, rel atif aux indemnités
pour ,frais de dêplacement attribuées au);.
fo nction nai res de l'Etat, modifi é par les Mc rets des 9 août 1946, 19 mars et 25 oeta·
bre 1947, 3 1 mai 1948, 30 mars et 28 décembre 1949 peuvent être appliquées aux
agents des coll ectivités locales aya nt aL'Com-
60 Indemnité pour l'alimentation de chaudière de calo ri fè res : 30 fr. par journée ;
7' Indemnité de panier : cette indemnitt
dont le taux est fixé à 75 fr. ne pourra être
actordée qu'aux agents assu rant un service
effectil de nuit d' un e du rée norm ale ;
8' Indemnité de mise en bière: 30 fr. pal'
corps
g" Exhumations: 40 fr . par opération.
S6CTION III
Indem nit és spéciales au personn el des corps
de protection contre l'incendie
Article 9. - Lorsque les fonctionnai r es
corps professionnels de protection contre
l' incendie ne pourront être l ogés dans des
casernements, ils pourront percevoi r une indemnité en espèces au maximum égale,
ann uell ement à 5 % d u traitement, augmente
de IJindemnité de résidenc e et de sa major ation familia le.
Aucun officier ou gradé ne pourra percevoir il ce titre une Indemnite:: supérieu re au
double de J'indemnité maximum d' un sêJpeur
de 2e classe non qualilié débutant.
Article 10. -
Les capo ra ux chels, capo-
raux et sapeurs auquefs est confiée la re5-
ponsabilité de la co nduite d' un véhicule utilisé dans les opérations de lutte contre l'ince ndie pourront percevoir une indemnité dont
l e maximum annuel ne devra pas djpasser
5 % du traitement correspondant a l' indi·
ce 100.
chacun er. ce qui l e co ncerne, de l'exécution
du présent arrêté.
fait à Paris, le 23 mai 195 1.
Pour le Président du Conseil, Ministre de
l' Intérieur:
Le Secrétotre d'etat :
Eugène THOMAS.
Pour le Ministre du Budget et pa r délégation :
Le Directeur du Cabinet
Robert BLOT.
al Sonl excl us du champ d'ap-
05 BI
PUBLICATIONS NOUVELLES DE L'INSTITUT GEOGRAPHIQUE NATIONAL.
J'ai l' honneur de porter à la connaissance
des intéressés que
france 20.000" (Tl'pe normal et or04lydro)
Arles n' 3 - Levés de 1949.
Pour le Préfet,
Article Il . - L es sergents chers, sergents,
caporaux chefs et capo raux auxquels incom-
Le Secrétaire Général,
be nt les tâches de mécanicien ou de compta·
ble et qui participent régulièrement aux ope-
-------< >00<)·-------
rations de protection cont re l' ince ndie pourront per cevoir une indemnité dont le taux:
an nuel ne devra pas dépasser 10 % du traitement correspondant à l'i ndice 100.
Une indemnité de même taux maximum
pourra être allouée Jlux pompiers de mêmes
grades, titulaires du brevet d'aide moniteur
d'éducation physique et auxquels est confie
l'entraînement physique du personnel du
LAMASSOURE.
02
B3
DEMANDE D'EMPLOI
DE SECRETAIRE DE MAIRIE
Rédacteur à la Mairie du Creusot, âgé de
24 ans, titulaire du brevet éléme ntaire et
diplômé de l'Ecole Nationale d'Administration Municipale, cherche un emploi de secrétaire de Mairie dans une commune de plus
corps.
de 5.000 habitants.
MM. les Maires intéressés par cette can-
Ar/icle 12. - Le Directeur de l'Administration générale, départementale et communa le et le directeur du Budget sont chargés,
didature sont priés de se mettre diredement
en rapport avec M. Robert ALEXANDRE,
demeurant au Creusot, 9, rue du Change.
pli des missions en dehors des lim ites cie
la commune de résidence fon ction nelle.
Article 3. - Les chefs de services_ muni·
cipaux ou déopartementaux pourront i!tre
autorisés à faire usage pour les besoins dll
sen'ice de leur voiture autornOlbile person·
neUe et bénéficier à ce t it re d'indemnités k"
positions du tab leau suivant :
parisienne
Puissance des voitures
5 CV et a u-desso u " .. . . . . . . . . . . . . . . .
6, 7 et 8 CV . . . . . . . . . . . . . . . . .
9 CV et au-dessus ... .... .. . ... . .
Arlicle 4. -
Lorsque des agents a uront
été ex.ceptionneHement au torisés à faire usage d'une motocyclette ou d'un vélomoteur
personnel, en vue de faciliter J'exercice de
leu rs fonctions, il pourra l eur être alloué une
jusq u'à
5.000 km .
Après
5.000 km .
22
25
27
9,5
Il
12
Ville de plus
de 100.000 hab.
Vi lles <le 5.000 à
100.000 ha bitants
Jusqu' à
Après
jusqu'à
5.000 km . 5.000 km. 5.000 km .
20
23
25
8,5
10
Il
18
21
23
Après
5.000 km .
Localités de moins
de 5.000 habitants
Jusqu'à
5.000 km .
7,5
9
10
16
19
21
Après
5.000 km
7,5
9
tO
.
dans le premier cas il 6,50 fr. et dans le
second cas à 3,50 fr. par kflomètre.
Ar/icle 5. - Les agents autorisés à util iser
leu r bicyclette perso nnell e pour les besoins
f rancs et une i ndemnité ~nsuelle d' entretiell
du service pourront percevoir une i ndemnité
de 2.50) francs pourra être accord ée au).
au pl us égale à 250 Ir.
Article 6. _ Une indemnité an n~eHe d~
challssu res de 3.000 et de petit éq Uipemen,
dont les lonctions entraînent une uSU-
de oremière
ïï.~.iïi.l~~~d~es:i.~c~
h a~us;sï".reïs.ou
3.5Oü• • •
l'Institut Géographique
National vient de publier la feuille suivante:
plication des taxes sur le chiffre d'affaires,
Vi lle de la rég ion
•
Communiqués ·Avis
Annonces divepses
lométriques calc ul ées co nformément allx dis ·
---<~oo c,,----
ART, 12. -
AC 3
Vu l'avis du Conseil N ational des Services
publi cs d6partementaltx et communaux , .
(Loi du 26 Avril 1924)
\;rements, modifie par l'article 7 de la 101
validée du t er Février 1943, par l'ordonnance n' 45-2528 du 26 Octobre 1945, par
l'article t62 <le la loi n" 46-2 154 d u 7 Octobre HI-I6, par l'article 92 de la loi n' 48-1 5 16
du 26 Septembre 19-18 et par l'a rticle 2.1 de
la loi n" 48-1914 du 3 1 Décembre 1948 est
remplacé par celle de 100.000 francs.
02 B2
définies aux articles
Copie eerti6-i~ e4tDform..
Pour J.e PrHet :
L, Secrlltnre Ghtb41 : UYASSOURL
�REPUBLIQUE FRANÇAISE '
21 Juin 1951
~
f
- ......:-'
./,
9' Année. - N' 25
-
DËPARTEMENT DES BOUCHBS-DU-RHON
, :1 .
•
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
TOlite correspondan ce r ela tive all Re c ueil doit être adressée il la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P . : Arreté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres 0 et B suivies d'un chiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Directio n des Services Tec hniq ue • . - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Paq-es
F 3. -
Taxe locale addit io nnelle a ux
taxes sur l e chiffre d'a ffai res......
121
FS 7.
Etablissements Hospitaliers
Publics. Pri x de journée préVIsio nnels 195 1 .....................
FS 7. -
123
Etablissements Hospitali ers
Pu blics. - Révision du prix de journée previsio nnel 1951 .... . ...... '..
TVX 1. - Co nstructions scolai res .. _ .
F 1. - Budget supplémentai re 195 1. _
Contingents d'assistance .... _... -.
123
124
12~
ARRËTÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
D2 B3
F 3
TAXE LOCALE ADDITIONNELLE AUX
TAXES SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES
j'ai l'h onneur de port er ci-de~sous à
'fI
connaissan ce de Messieurs les MOires du Departemeni le lexIe de la circulaire mlnisteriel/e n° 239 du 2 juin -' 95 1, r elati ve allX
Vfrsements d' acomptes sur les attributfons
compensatrices de perles de receltes et Sur
les attributions complém entaires prévues par
l'article 1er de la loi du 27 mars 19',.
Le Président du Conseil,
Minlstre de l'In térieur,
à MM. les Préfets et Sa lis-Préfets
(Mélropole),
La prése nte c irculaire a pour objet:
1. - De pr éciser les conditions dans lesquelles Une al/ribution compl émentaire sur
le produ it de la taxe locale doit e1re
octroyée aux communes, en application ae
l'article 1 de la loi du 27 mars 195 1, qui \garantit à ces collectivités dans certaines conditions une attribution à ce titre d'un minImum de 800 francs pa r habitanl.
II. - De prévoir les modalités de \'er~c
ment aux communes d'acomptes trimestriels
à valoi r Sur cette att ri bution complementa:re.
III. - De lixe r les co nd itio ns dans lesquel.
les seront versees les attri butions compensatri ces de pertes de re œttes pou r ,'exercice
195 1 tant aux départements qu'aux communes,
Paragraphe L -
Garantie de 800 francs
par habitant aux communes. _ Versemenr
d'attributions com plémentaires
A, - Principe.
En votant l'article 1er de la loi du 2,
m~rs , 195 1, le P a rl ement a voulu assurer, en
PrinCipe, aux communes, en 195 1, unt: pt,....
ception minimum de 8(X} francs par habitant
sur le montant de la taxe locale. Dans cc
t'I ut, une att r ibution complémentaire leur se ra
versée, le cas echéa nt.
Le texte, il est vrai, ne se réfè re qU'aux
lésultats de l'exercice 1950, mais le ComitE
du Fond s National de P éréquation a déciae
de p re leve r sur ses resso urces propres les
sommes necessai res pour étendre ces dispo sitions ci toutes les communes qui, en 195r,
n'auraient pas perçu une attribution directe
a u moins égale à ce montant.
T o utefois, seules pou rront percevoir des
acomptes t rimestriels les communes qui, en
1950, se trouvaient dans le cas visé par la
lo i.
P a r aiJIeurs, le législateur n'a pas \'oulu
fai r!;! bénéficie r entiê rement de ces dispositions les comm unes disposant d~ revenus patrimoniau x appréciables. A cet effet, la loi
prescrit que, lorsque la moyenne <lu revenu
brut du patrimoine communal, à l'exclusion
du revenu des immeubles bâtis, au ra atteint
o u dcpassé 100 francs par habitant au cours
des trois derniers exercices, la moitié du re\'enu brut en excédent par habitant sera déduite de la somme de SOO francs,
j'attire votre attention sur le fait qu'il
devra être tenu compte de l'attribution complementaire ainsi \'ersëe pour déterminer la
recette nouvelle venant en déduction des recettes ga ranties pour 195 1 (\'oir ci-apres
paragraphe III).
B. - Mode de calcul des al/ribution camplémenfaires.
1° Alontant de la taxe lorale.
Les attributions compensatrices pour pertes de recettes étant calculëes en tenant
compte des recou\'_rem~nts de ,taxe, Joca~e, du
1er fénier au 31 JanvIer de 1annee SUl\ante. il a été décide, dans un but de simp'.ification et d'unification, d'adopter une me·
thode ident ique pour les attributions complémentaires,
Pou r le calcul de celles-ci, il ùe\'fa donc
être fait état d u montant brut des attributions di rect
sur le produit de la taxe l1l.J
1er fé\'rie r 1951 au 31 janvier 1952, sans
distinctIOn d 'exercices, Il com'ient de prend re en considération le produit brut de la
taxe encaissé par les régies financiè res au
cou rs de la periode indiquée et no n le mo ntant des som mes \'ersées aux colle<:tivités
pendant cette période.
Il }' au ra lieu nOIamment de ne pas omettre les sommes provenant de la répartition
du produit de la taxe affé rente aux tra\-aux
publiCS et d'equipement national.
Il com-ient, par contre, de fai re abstraction
du produit de la majoration laeultali,'e de
0.25 % .
2'
Populalion.
Le chiffre de la population il prendre en
considération est le chiffre de la population
municival~ totale résultant du rec.:ènsement
de 1 9~.
3a)
Revenus patrimomaux.
La loi du 2ï mars lY51 employ.lOt les
termes de
re\-enu brut • I~s frais dt ;!"e tion ou d'exploitation ne dui\'en( pas ~tre I..kfalqués. Le législateur a tenu l'vmpte 10rfaltam:~ment de ces irais en ne rèlenant '-lue
la moitié du re\'enu excédant 100 francs par
habitant
b) La question se pose de savoir si le
produit des coupes extraordm:urcs d~ bois
ùoivent entrer ùans ces revenus_ La JOI
n'ayant pas preru qu'il denait t:tre eca rtë,
ce produit sera compris dans ltS re,'enus patrimoniaux retenus pour ce I.:akul.
Cependant. I~ produit des coupes extrao rdinaires etant assez souvent
il
�122
cie 1er de la loi du 27 mars risquerait de
se trOU\-er faussée.
C'est pourquoi, il com"ient, si le produl!
d'une coupe extraordinaire a èté encaisse
par une commune au cours d~ trois dernières annees, de dÎ\'iser ce produit par le nombre d'aOlI~es que comprend la période Qui
sêpare deux co upes extrao rdinaires et
d'ajouter le rësultat obtenu aux autres re\'enus de chacune des trois années considérées.
c) Ne seront pris en considération que
les revenus ayant le caractère d'un loye r ou
d'une "ente et non celui d'une redevance
~rç'ue en contre-partie d'un sen'ice rendu.
Les ventes de produits des sen'ices publics
(\'entes d'eau par e.xemple) n'entreront pas
en hgne de cOlTlPte.
d) Enfin, la loi vise les « trois derniers
e\.ercices .. Il est précisé qu'il s'agit des
trois derniers exercices connus au moment
de la publication de la loi, c'est-à-dire 1947,
194. et 1949.
Paragraphe II. -
Versement d'acomptes
trimestriels à valoir
sur les attributions complémentaires
Dans les développements qui \"ont SUIvre, sera appelé « indice local en 1950 »
(ou
en 1~51 .) le montant par habitant
de l'attnbution directe sur le produit de la
taxe locale en 1950 (ou en 1951), compte
tenu eventuellement de la moitié du mOIitant moyen par habitant des revenus pat rimuniaux excédant 100 francs au cours des
exercices 1~~7, 1!J.l8 et 1949.
1 Conditions â remplir pour prétendre
(It
au l'crStmenl de ces acomptes.
Le dernier alinéa de l'article 1er de ia
loi du 27 mars 195 1 prévoit le \'ersement
d'acomptes
effectués
trimestriellement
par fraltions d'un minimum de 200 franc~
par habitant ».
Seules les communes dont l'indice local
en 1950 aura éte inféri eur à 800 francs
pourront prétendre au verseme nt des acomptes tnmestriels.
Il est précisé que le terme c trimestrie l :t
ne s'applique qu'aux acomptes sur les attributions complémentaires et no n aux attrinutions directes, lesquelles continueront à
i:'tre \'ersées mensuellement aux communes
intéressées.
Par contre, les termes c. minimum de
200 francs
s'appliquent a la fois aux
attrit'lltions complémentaires et aux versements mensuels des attributions directes oe
1951. compte tenu du 1/8 (1) de la part
excédant 100 francs par habitant de la
moyenne des revenus patrimoniaux de:;
trois dernières années.
T outefois, les communes dont l'indice
lo,al en 1950 a été inférieur à 800 francs
J'ar habitant ne recevront pas d'acomp~es
si leur indice local pour chaque trÎmestre
de l'exercice 1951 est supérieur à 200 fr.
Les communes dont l'ind ice local en 1950
aura été supérieur â 800 francs ne perce·
yro nt pas d'acomptes, mais pourront cependant prétendre à la clôture de l'exercIce
1951 à une attribution complémentaIre si,
par suite de la diminution du rendem ent de
:a taxe locale, leur indice l""al est en 1951
inférieur a 800 francs,
Enhn, les communes qui, par le jeu des
ac inptes trimestriels auront perçu en 1951
1Ir.~ somme supêrieure à, celle qui .l eur est
garantie par la loi (SOit par habltan!, I.a
différence entre 0Cl0 francs et leur ,"dlce lu(al), devront reverser les trop-perçus,
étallt entendu qu'en aucun cas les sommes
fJ. h~\oerser ne seront supérieures au montant tutal des acomptes perçus. .
.
Pnr (\)Osequent, une double regul~nsa
hl'Il II1t,n'iendra dans les premiers mOIs de
1952 :
<:! ' pour les communes quI - biell
4u ' yant eu un indice local en 1950 su~é
rieur a 800 drancs auront un IIld lce
IO~31 inférieur il cette somme en 1 95~, et
tCCl'Hont une attribution complémentaire ,
h) pour celles qui auront trop perçu Rar
le jeu des acomptes.
o
Paragraphe 111. -
Versement des atlributions compensatrices de pertes de recetles.
Par circulaire du 10 novembre 1950, je
,'ous ai indique que la décision du Comité
du fonds de péréquation, en date du 27
octobre 1950, a institué, pour 195 1, un rezime d'attributions compensatrices de pertes de recettes analogue à celui prevu pour
1949 et 1950 pa r l'article 290 du décret du
9 décembre 1!J.l8, modifié par l'article 4 de
la loi du 31 décembre 1949.
Ces attributions ne donneront pas lieu,
comme les années passees, au versement
d'acom ptes trimestriels, mais d'un ve rsement pour la période d'u 1e r féV rier au
31 juillet 195 1 et d' un versement de régularisatio n au début de l'année 1952.
A\'ant de vous donner les indications
nécessaires au sujet de ces versements, je
crois utile de préciser les condi ti ons dans
lesquelles doit .tre calculé le montant global des att ributio ns compensatrices.
A. - Montant gtobal des attributions
compensatrires :
Le montant de la perte de recettes
ounant droit à l'attribution compensatrice
pour 1951 est réduit de 10 % à l'échelon
national, cette diminution pouvant êt re portee en ce qui co ncerne les communes à
19 ~, (1) ou à -28 % (2) pa r le Conse,l
Gê ntral. Cette réduction porte s ur le montant des pertes de recettes et non su r celui
des recettes ga ranties. Les sommes ainsi
rendues disponibles par le Conseil Général
seraient ajo utées au co ntingent destiné à
la péréquation, entre les communes cIe son
departement.
Pour des raiso ns d'ordre pratique, Ta
diminution éventuelle du produit de la taxe
locale additionnelle aux droits d'enregistrement sur les mutations n'est plus prise en
considé ration ; I~ mo ntant de cette diminution ne peut étre en effet. connu qu'assez tardi\"ement en raison de l'incertitude du rendement de cette ta xe.
Enfin, en ce <lui concerne les com munes,
les att rib utions complémentaires .pa rvues par
l'article 1er de la loi du 27 mars dernie r dOÎ\'ent étre comprises dans les c recettes nouvena nt en déduction des c recettes
\'elles
garanties N.
Par contre, la contribution institul!e par
l'article 2 de cette même loi ne devra pas
etre déduite desdites recettes nouvelles. D'::s
l' intervention du règlement d'admi nistr ation
IO '7c plus 10 % de 00 %, soit
19 %.
(2) 10 % plus 20 '1< de 90 %, soit
10 % + 13 % = 28 %.
(1)
10 %
+9%=
publique fixant les taux de cette contribution
vous recevrez toutes instructions nécessaire~
concernant le calcul de cette contribu~on,
Les attributions compensatrices seront
ainsi égales aux 9/10 de la différence entre
les deux sommes suivantes (1) :
10 Moniant des recettes garanties:
- Subvention spécia le de 1948 majorée
de ID % ;
- Produit brut (4) pour 1948 de la taxe
sur les étab lissements de nuit, perçue du 1er
,février W48 au 31 ja~vier 1949 (2) ;
- PrOduit brut (4) pour 1948 de la taxe
sur la pub li cité (31 ;
- Produit brut (4) de l'a ncien ne taxe
additionnelle à la ta xe sur les transactions
du 1er février 1948 au 31 janvier 1950 (2).
2<> Montant de s recettes nouvelles venant
en déduction des recettes garan ties:
- Montant brut (4) des attributions directes de la taxe locale du 1er février 1951
au 3 1 janvier 1952, sans distinctio n d'exer·
cices (2), abstraction faite du produit de
la majoration de 0,25 %.
- Montant de l'attribution compl émentaire ve rsée en application de l'article Ter ae
la loi du 27 mars 195 1.
Les receveurs municipaux fourniront aux
maires. qui vous les transmettro nt, les éléments nécessaires au calcul des acoI)1ptes, En
ce qui concerne le département. les élemems
co rresponda nts vous se ron t fournis par le
Trésorier P aye ur Général.
B. - Versement des attributions compensatrices de pertes de recetles :
1" Po ur les départements :
Soit: A I, le OIontant du 1er versement,
A2, le montant du ve rsement de régularisation ;
G, le montant des recettes garan ties défini
ci-dessus,
'
Tl, le montant br ut, pour la période du
1er février au 3 1 juillet 195 1, des att ributions
directes sur le lprQduit de la taxe locale,
TI, le montant b rut , pour la période du
1er février au 3 1 janvier 1952, des attribu·
tions directes sur le prod uit de la taxe locale.
Sur ces bases, les deux ve rsements seront
calcules comme suit :
90 (G - TI)
AI - - - 100 2
90
A2 = (G - T 2) - AI
100
2'" Pour les communes, soit
Al, le monta nt du 1er versement ;
.
A2, le montant du versement de rég ulan·
sanon ;
,
G, le montant des recettes garanties défini
ci-dess us ;
Tl , le mo ntant pou r la période du 1er
février au 31 juillet 195 1 des recettes nouvelles. c'est-a-dire :
Sc.us réserve que la réduction de 10 %
ne soit lJ:l5 accrue par le Conseil Général. '0
(2) II convient de prendre en ('onsjdér~tl,O
le r,roduit de la taxe enca issée pa r les regles
fin:loeières au eou rs de la p~riode ind iquée e[
non le mon lant des sommes versées aux collectivités pendant cette période,
,,'f
'nist ra
(3) Re cette figurant au compte adml
(1)
1948.
déducd oO
U) Le pruduit brut s'e ntend ~an!>
[1
O
des frais d'assiette et des re st itut ions de dr
• indüment perçus.
1 le montant brut Lie l'attribution directe sur le produit de la taxe locale au
1er ,f évrier au 31 juill et 19'>1 ;
2" le montant des sommes versées à la
cOn1!f1une au titre ges .l er et 2e acomptes à
valOi r sur It$ attributions complémentaires,
TI, le montant p04r la période d'J 1er
février 195 1 au 31 janvier 1952 des recettes
nouvelles, c'est-a-dire :
1" le montant br ut de l'attribution directe s ur le ,produit de la taxe locale du 1er
~évrier 195 1 au 3 1 janvier 1952 ;
2" le montant des sommes versées à la
commu ne a u tit re des 1er, 2e et 3e acomp te;:;
et du versement pour solde sur les attributions complémentaires ;
N sera, égal à 90, à SI oU à 72, suivant que
le Conseil Général aura décidé de maintenir
à tO % l'abattement sur les attributions compensatrices adopté par le Com ité du fo nds national de péréquation ou de le porter à 19 ou
à 28 %.
Le montant des deux ve rsem ents sera calculé comme suit :
N
(G - Tl)
Al - - X
100
2
N
A2 = X (G - T2) - Al
100
Le mode de calcul adopté ci-dessus permet
une régularisati o n automa tique, a u de uxième
versement, en fonction d'une part des recettes réellement ga ranties et, d'autre part, des
recettes effectivement e ncaissées au titre d~
la taxe locale et du premier versement.
Dans le cas où par su ite des fluctuations
susceptibles de se produire dans l'e ncalssement de la taxe locale, le calcul du montan t
du 2e versement aboutirait à un résultat
négatif, la régularisation éve ntuelle sera
opérée par précompte sur les attributions cIlrectes de la taxe locale de 1952.
Le trop-perçu devra cor respondre ~ven·
tuellement à la différe nce pour chaque collecti vité intéressée entre le montant du 1er versement et le monta nt de l'attri butio n compensatrice, soit :
90
- - (G - T2) pour les départements, et
(It
100
N
-
100
(0 -
TI) pou r les co mm une •.
Vous devrez procéder pour les périodes du
1er février au 3 1 juillet 19511 et du 1er aoùt
1951 au 3 1 janvier 1952, à la détermination
par arrt:té du montant des versements auxquels peuvent prétendre les collectivités locales de votre dépa rtem ent et notifier vot re
décision accompag née de l'état liquidatif au
Trésorier Payeur Général, qui recevra de M.
le Ministre des Finances toutes instructions
utiles en vue de ces de~l1x versements à compter du 15 aoùt 1951 et 15 février 1952.
Vous dev rez, pa r aill eu rs, fixer éventuellemen t par le même arrêté le montant de fa
somme revenant a u fonds commun departemental, à la s ui te de l'abattement supv lémentaire décidé par le Conseil Général.
Vous m'adresserez pour les 1er septem~re 195 1 et 15 mars 1952, sous le r r~sent
timbre, ainsi qu'à M le Ministre du Budget
(Direction du Budgei. 7e Bureau) l'état global du premier et du seco nd versements
effectués au x co ll ectivités locales de votre
Département, au titre des attributions compensatrices de pertes de recettes.
Cet état fera ressortV-, d'une pa rt, les
sommes réellement versées aux collectivit..:s
locales, compte tenu pour les communes de
la réduction suppléme ntaire éventuellement
déc idée par le Conseil Général et, o'autre
part, la somme revenant au fonds commun
départemental et provenant de cet abattement
supplémentai re.
Liquidation des atlributions co mpensatric es
de pertes de recettes de 1949 et de 1950.
P o ur \J'épondre a plusieurs questions qui
m'ont été posées, j e ra ppelle qu e, conformement aux in str ucti ons co ntenues dans ma circulaire .n" 245 du 13 j ui ll et 1950 (page 7,
4e a llO ea), les so mm es perçues en trop par
les co ll ectivités locales, par le jeu des acomptes sur les attributions compensatrices de
pertes de recettes de 1949 et de 1950, doivent
être précomptées dès maintenant sur Je mo ntant des attributio ns directes de la taxe locale.
Pour le Ministre de l'Intérieur et par o rdre,
Le Prefet, Directeur de /' Administration
GélZérale, Departementale
et Comm llnale :
Pierre-lean MOATTI.
----C)OOc.~---
D3 B2
FS 7
ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
PUBLICS
Prix de journ ée payanls :
3e catëgone et assurés sociaux : 2.496 fr,
2e catégorie: 2.722 fr. ;
Ire catégorie: 3. 176 Ir.
(Prix de journée pa)'ants ch irurgie de
l'Assistance ,Publique).
Articte 2. - Au prix de journée fixé par
l'art ic le 1er précité, s'ajoute pour toutes tes
catégories de malades une majoration Journali ère de 105 francs représenta nt le ,p rix
propre au Centre Régional.
Article 3. - Le p-rése nt arrêté sera soumiS
à l'approbation de M. le Ministre de la Santé Publique et de la Population, co nformément aux dispositions de l'ordo nnan ce du.
1er octobre 1945 et de la ci rc ul aire du 29
janvier 1951.
Toutefois, les prix de journée fixês con;ormément aux dispositions des articles 1er et 2
susvis -s avec effet du 1er ja nvi er 1951 serom
immédiatement applicables à titre provisoire,
jusqu'à l' interventio n de la décision minîstérielle qui les entérine ra à tit re définitif.
Article 4. - M. le Secrétaire de la Préfecture, M. le Directeur du Centre Rég ional
de Lutte contre le Cancer, M. le Directeur
Général de l'Ad ministration de l'Assistance
Publique il Marseille, M. le Tré orie r Payeur
Général so nt cha rgés, chacun en ce qui 1.
cQncerne, de l'exéc uti on du présent a rrêté.
Marseille, le 9 juin 1951.
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Gén éral
LAMASSOURE.
Prix de journée prévisionnel 1951
-------·c»oOc,-------
ARRETE
FS 7
D3 B2
ET ABLISSEMENTS HOSPITALIERS
Le Prefet des Bouches-du-R1z6ne,
Vu l'o rdonn ance du 1er octob re 1945 et
l'arrêté du 15 janl'ie r 1947 sur les Centres
Régionaux de Lutte contre le Cance r ;
Vu la convention ent re l'Administration dl!
l'Assistance Pu bllq ue et le Centre Régional
de Lutte co ntr e le Cancer de Marseille,
Vu l'ordonnance du 18 décembre 1944, dét ermi nant, à titre transitoire, les règ les de
fixation des pri x de journée dans les hôpitau x
et hospices publi cs et la circulaire d'applicRtion du 29-12-4-1 ;
Vu la circulaire de M, le Ministre de la
Sante Publique et de la Population du 29-15 1, relative au calcul du prix de jo urnée des
Cent res Régionaux de Lutte contre le cancer .
V~ les proposi tions du Directeur Général
de J'Administration de "Assistance PubUque
de Marseille et du Directeur du Centre Régional de Lutte contre le Cance r ;
Vu le projet d. budget 1951 du Centre
Régional de Lutte contre le Cancer ;
Vu le rapport de j\\. l'Inspecteur Principal
de la Population du 1er juin 1951 ;
Sur la ,p roposition de ~l. le SecrHaire Général de la . Prifecture,
ARRETE :
Le pri x de j o urnée
prév isionnel applit'able all Centre Régional
de Lutte contre le Ca ncer et représen tant la
rede\'ance due par le Centre à l'Administration de l'Assistance Publique de ~Iarsei ll e
pour les prestatio ns dont il bénéficie est fixe
comme suite, il titre provisoire, à compter
du 1er janvier 195 1 ;
Prix de journ ce indigents : 2.217 fra ncs
(pri~ de jo urn ée chirur gie de l'Assistance
Publique).
Article premier, -
PUBLICS
Révision
du prix de journée prévisionnel 1951
ARRETE
Le Prefet des Bouches-du-Rh6ne,
Vu la loi du 14-7-1905 sur l'Assista nce
aux Vieillards, Infirmes et Incurables ;
Vu l'o rd on nan ce du 18 décembre 1944, d~
terminant, à titre transitoi re, les règles oe
fixation des prix de journée L1ans les HôpItaux et Hosp ices publics ;
Vu les circulaires ministérielles d'appllcation, not amment la ci rculaire du 29 decembre Iq44 :
Vu l'arrêté préfectoral du 9-1-51 , portant
fixation des p rix de journée prévisionnelS
195 1 po ur un certain nombre d'établissements hospita liers du Département ;
Vu la dem a nd e de relèvement de prix oe
journée présentée par l'Hospice de Roquevaire;
Vu l' avis de M. l'Inspecteu r Principal oe
la P opu lation et de l'Entr' AiJe Sociale ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire
Généra l de la Préfechlre,
ARRETE
Le prix de journee previsionnel 1951 applicable aux vieillards indigents placés en exécution de la loi du 14'
juillet 1905, ainsi qu'aux pensionnaires
payants admis en 3e catég-orie (salle Con,·
mune) à l'Hospice de Roquevaire, est porte
à 388 francs il compter du 1er juin 1951.
Article 2. - M. le Secrétaire Général <le
la Préfecture. M le Maire. président de la
Commission Administrative de l'Hosplce al::
Article premier_ -
�Roquevaire, .\1. le Trl:sorier p~) eur ~neral
sont chargés, chacun. en ce Q~l;\ le concerne,
de l'exê~ution du present arretc.
.\Iarseille, le 9 jUin 1951.
Pour le Pré!'et,
Le SecretOire GémIrai
LMIASSOURE.
•••
ARRETE
Le Pn;fet des Bouches-du-Rhône,
\'u la loi du I~ juillet 1905 sur l'AsSISTance aux Vieillards, Infirmes et Incurables ;
\ ' u l'ordonnance du l ' décembre 19-H, determinant, à titre transitoire, les reg1es Q~
fixation des prix de journée;
Vu les circulaires ministérielles d'appllcation, notamment la ci rculaire du 29 aecembre 1944 ;
.
ARRETE:
Article premier. - Le prix de. j?urne e
prévisionnel 1951 applicable aux v"llIards,
indigents placés en exécution de l.a 101 . du
1-l juillet 1905; ainsi qu'aux. pensionnaires
payants admis en 3e catégone (salle com-
mune) il J'H ospice de Saint-Chamas est porte
il .J3O francs il compter du 1er mal 1951.
Article 2. - M. le Secrétair~ Général de
la Préfecture, M. le Maire, preSIdent, de la
Commission Administrative de l'Hospice de
Saint-C hamas. M. le Trésorier PayeuT" .{Je-
de la Population et de l'E ntr' Alde Soc)OIe ;
Considerant que ce relèvement de prix de
journée est destine à permettre l'amortissement de la 1re annuité d'emprunt pour Ta
totalité des trois t ranches d'emprunt réalisées en \'ue des travaux de réfection de
l'~ta6lissement ;
Sur la proposition de .\\. le Secrétai re Géneral de la Prefedure ;
truits depuis la Libérati?"! ai~si que des bittiments en cours de reahsaft on.
Il sera bon d'inscrire au verso de Ces
documents :
a) l e nom de la commu ne et du quartier
ou du hameau ;
b) la période au cours de laquelle a eu
lieu la construction.
j'attacherais du prix. à . rec~vo ir dans les
plus brefs délaÎs les IOdlcattons et pièces
demandées.
Pour le Préfel ,
D2 B3
TVX t
CONSTRUCTIONS SCOLAIRES
Le Préfet des Bouches-du-Rhan.
a MM.
les Alaires du DépartemeTlt,
En vue de répondre il une demande de M.
Nationale,
Je
erais obligé il MM. les Mai res intéressés:
10 De me iaire co nnaître si leur Commune envisage pour 19~ 1 la construction ou
l' aménaaement d'une cantine scolaIre et,
dans l':ffirmati \'e, le montant approximatif
de la dépense ;
2'
De m'adresser des photographies des
bâtiments scolaires co nstruits
ou
N' 26
DËPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
1
Recueil des Actes Administra î
et - Bulletin des Mairies
f' 1
Toute correspondance relalive ail ReclIeil doit être adressée à la Prefecture Secrétariat Général
BUDGET SUPPLEMENTAIRE 1951
CONTINGENTS D ' ASSISTANCE
------« >00«:)'------
le Ministre de l'Education
9- -~nnée , -
-------<>00<>----__
Marseille, le 13 juin 1951.
Pnur le Préfet:
Le Secrétaire Général
LM\ASSOURE.
D2 B3
28 Ju i n 1951
Le Secrétaire Gén éral
LAMASSOURE.
"éral sont charges, chacun .en ce q.t1 1 Je
co ncerne, de J'exécution du present arrdE.
\ ' u l'arrété prefectoral du 9 janvIer 1951
portant fixation des prix d~ journée f>~eV1sionnels 1951 pour un ce rtain n.ombre d étaolissements hospitaliers du Departement ;
\'u la demande de relèvement du prix de
journee présentée par t' Hospice de. ~lntChamas;
.
\ ' u le rapport de M. l'Inspecteur Principal
-
('
REPUBLIQUE FRANÇAISE
recons-
Le Prefel des Bouches-dll-Rhane
a MM .. les Maires du Départemenl,
Je \'ous ai fait connaitre, lors de J'établis_
sement des budgets primitifs 1951, le mon.
tant de la dépense obligatoire à i nscrire au
titre des contingents co mmun aux d'Assistance.
Cette prévision de dépense s'étant avérée
insuffisante, je vous serais obli gé de vouloir
bien inviter le Co nseil Municipal de \'otee
commune à prévoir au budge t supplémentaire 195 1 une dépense compl émentaire éga·
le il 7,15 % de la somme portée a ll budget
primitif.
Pour le Préfet,
Le Se crétaire Géniral :
LAMASS OU RF-.
A, P. : Arrêté préfectoral. -
c, :" Circulaire
D. S. T. : Direction des Ser vices
A.BRÉVIA.TIONS
T echnique~.
mentale de la Population.
Les lettres 0 et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. -
D, D, p, : Direction départe-
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
126
Pa'!e s
mu l111 X . ...• .
A G 2. - Rêmunération des agents des
126
125
collectivités locales ... , . ... . ...
AG 2, - Caisse Na tionale de l~et raites
des agents des collectiVIt és loca tes
FS 7. - Composition de la Commis-
Arrét~
fixant le tau x des coti sations en ma tière d'a llocations fa milia les agric oles pour le pTem ler se-
A O. -
mestre 195 1........ .
A 1. - Ejections ag ri co les. -
Designation des délégt.:és du Préfet aux
Commissions munidpales de recen-
sement ....
AG 2. -
........ ......
Salaire
....
128
née prévisionnel 1951 de l' hospice
de Rog nes .... .... .... .... ....
TVX 1. - Instruction pour l'application de l' a rrêté du 18 mai 1951 portant règle ment d'utilisation de crédits pour des tra va ux de décoration
dans les Ibâtiments d'enseignement. _
sion Départemen tale de Réforme du
personnel hospitalier pOlir J'année
125
des j ourna liers co m-
195 1 .... .... .... .... .... ....
FS 7. E.tablisseme nts hosp ital ie rs
publics. - Révision du prix de j o ur-
130
130
Communiq ués. A vis, Annonces diverses
130
-
Avis d'adjudications et d'appel
d'offres...... .... .. ...... ... ...
132
ARRËT ÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
D6 BI
A 0
ARRETE fiXANT LE T AUX DES COTI SATIONS EN MATIERE D'A LLOCATIONS
fAMIUALE S
AGRIC OLES
POUR LE PREMIER SEMESTRE 195 1.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône, Officier
de la Lég ion d' Hon neu r, CroiX de Guerre,
Vu la loi d u Il ma rs 1032 sur les a ll ocations familial es ;
Vu le décret du 3 1 mai 1938 tendan t à
aménager et à co mpl éter les dispositions applicables aux allocations fa mil Iales en agriculture ;
Vu le décret du 29 jui llet 1939 relatif il
la famine. et à la nata li t~ françaIse ;
Vu la loi du 22 aotÎt HI.I6 ( jxJnt le rc.:gime des prestat ions familiales j
Vu 1 arrêté interministériel du 3 1 décem-
bre 1946 relatif a ux Comites Départel1len-
Copie ceni6ée conforme..
Poue h: Préfet :
L, S~~é'.tr~ Cén i ,-al : LAMASSOURJt.
-------------------------------------;.;;;;,;;;;;;;.;-;i"':;.;u.;;......
;:;:;;-;;••;)vf:_;;;;;;;;t.L&A,.--=----~--------------------------110, "ft !au. .
--
taux des Prestations Familialt:~ A;.{rj('()le~ ;
Vu la décisio n du Comité Dl: pa rknH: nta l
des Prestatio ns Familial~5 Agricules pri:ie
dans sa seance d u 5 jUin 1951 ;
Après avis du COrlitrôleur DiVisionnaire
des lois sociales en agriculture ;
Sur la pra.positiol1 du Secrêtaire ûéller;!I,
Arrête :
. Article premier. Les taux des cot isa.tions applicables aux d ifférentes catégories
d'a~~jettis au financement de~ prt::statioll.s
familiales agricoles sont fixes tOTl}me surt
~Our les premier et deuxième tnme~tre~ de
1 année 195 \ :
a) Cotisat ions dues po ur les exploitations
agricoles, 325 % du revenu cadast ral réel
pa r tri mestre ;
b) Co tis..1tions dues pour les cultures maraîch ères et legumiè res, 325 % du revenu
cadastral r éel affecté du coe ffi cie nt 2 ;
c) Coti ations dues pou r les entreprises à
production spéciale et les art isans ruraux :
8 % des sa laires moyens dépar tementaux en
vigueur au cours de l'année 1950 ;
d) Cotisations dlles pou r les professions
con nexes : 8 % des salaires rLels ;
e) Cotisations dues pa r les personnes
n'exe rçant Ipas une activité agricole, ma is
occupant néanmoins de la main-d'œu\"Te
a.;:rricole ailleurti que dans lI ne exploitation,
notamment pour l'cntretien de jardins ou de
parcs attenant à lit!:) villes : 8 % des salaire::; réels.
Article 2. - Les cotisations des exploitations mixt~s rele\'ant des catêgories a) et b)
sont calculées il rai:-;on de 325 % de leur
revenu cadastra l rccl affecté d'un coefficient
de maj oration qui se ra fonctio n d u rapport
entre la main-d'œuvre théorique, éralue seion les bases adoptees pour l'ouverture du
droit aux prestations n~c~$saires, d'unI! part.
aux cultures de lil categtHie b) : d'autre
pa rt, à l'eil~embl(' de l'exploitation.
Ce coeff ident dc nWjoratio ll, est ainsi déterminé :
Proportion de 1.1 main-d'œuvre de la calt~~ofJe
B :
ég-a le ou inferÎl..:urc à 1.5 % . Cud.
de 15 >:'c ft 25 I",'co IndLls : Cœf. 1,2
de 25 % il 35 % inclus: CoeL
de 35 % il 45 % inclus Coe!.
de 45 % à 55 % inclus Coef,
de 55 % il 65 % inclus: CoeL
de 65 % à 75 % inclus: CoeL
de 75 % il 85 % inc lus : Coef.
s lIJ)erieure à 85 % : Coe !. 2
Art. 3. - Le revenu ca dastral
1,3
1,.\
1,5
1,6
1,7
1,8
des terrains
t ransform és en rizières sera au moins éga.l
a u revenu ca dastral moyen des vig nes de la
région co nsidérée.
Art. 4, -
Le Secrétai re Général de la Pré-
fect ure et le Con trôleur des Lois Socia lei
en agriculture son t chargés, chacun en ce
q ui le l'oncerne, de l'exécution du présent
arrêté.
Ma rseil le, le 1 juin 195 1.
Ppur le Préfet,
Le Secréta:re Gêlleral.
LAAlASSOURE.
- - - - - - « » 00 4: ;)------
At
D6 B I
ELECTIONS AGRICOLES
Désignation des délégués du Préfet aux
Co mmissions municipales de recensement
ARRETE (N" 456)
Le Préfet des Bo uches-du-Rhône,
Vu l'article 7 de 1. loi d u 3 janvIer 1924,
re lath'e aux Chambres d'Ag riculture,
VII le décret- lOI du 30 octobre 1935 la
comptétant
Sur la prclpoSitlon
�-
• 126
Arrete :
Article prem ier. - Les éjecteurs agrk"' les
suivan ts sont désignés po ur sit.ger en . q ualite de Delegue du Prelet à la Co mm ISSio n
de r ecenseme nt chargee
de dresse r,
dans
chaque commune. la liste électorale a gricole
en \~ue des élections générales au x Cha m.
bres d ' Agri cultu re :
DUREAU Lau renr, Eyga li è,es,
DE REG IS, Aix-en- Pro"e nce,
NO ZILlA Adrie n, Pu yloubi er,
CHEYLAN Hen ri, La Fa re-les- Oli viers,
POULET P a ul, La Roque-<!' Anthé ron.
Art. 2. -
Le Secré tai re Général
de la
Prd ectu re est cha rgé d e l' e,,éc ut ion d u pré-
sent a rrê té.
Marseille, le 1
juin 195 1.
P our le Poréfe t.
L e Secrétair, Gèneral,
LAAlA SOURE.
-------<>00<>-------
D2
63
AG 2
SALAIRES DES JOURNALIERS
COMMUNAUX
P a r arreté du 8 juin 195 1 ont é té fixés
les sataires normaux e t couran applicables
dans l'industrie du bâtimen t et des travaux
publics, pou r le dépanement des Bouchesdu-R hône.
Les journaliers employés pa r les mu nkipalit~ du département ayant touj ours été
~êmun~rt'S d'après les ta r ifs fixés pour les
In?ustries du bâtimen t et d
travaux pubites, MM. les Maires ,'oud ront b'en se réfere r au tableau publié dans le Recuei l des
Actes Administratifs n 2-1 du 14 juin 1951.
Pou r le Prefet.
Le Secrétaire
GéTU!ral~
U\..\\ASSOU RE.
-------c> ooc >--_____
D2
B3
AG 2
REMUN ERATION DES AGENTS
DES COLLECTlVlTES LOCALES
j'ai J'honneur de porter ci-dessous à la
eonnais.sance de MAI. les Alaires du Départt?~e~ll le Itxle de la circulaire de M. le
PresIdent du Conseil, M.3zistre de l'Interieur
~;m2e~~g~~~~f d~e 8 I~uin ri~~~'ër:rf~~till~e~
agents des collectivitéS locales.
POur le Préfet,
Le Saritaire Géneral.
LAMASSOURE.
Le Président du Conseil
.Ministr.e de J'Intéri~ur
à Messieurs les P réfets de 1a' ,\létropole,
Un arrèté intermin istériel fixera prochainement, conformément à l'article 1er de
l'ordonnance du 17 mai 19-15, les co nditions
dans lesquelles les coll ectivités locales auront la faculté d'acco rder à lellrs agents le
bénefice des améliorations dont va bénéficier la rém unération des fonctionna i res de
l'Etat.
Sans attend re la pub lication de cet arrété
je vous ad resse, pa r la présente ci rculai r~
des instr uctions qui vou permetrront de
porter il la connaissance de ces coliecti\1tés
les .Iimite, dans lesquelles elles peuvent, dès
malnienant. accorder ces dive rs aV3ntatTes
.il leurs
b
Ces a\'antages consistent en :
1 010 La création d'un complément provisoire
de traitement englo bant 1 indemnité temporaire de cherté de \'ie et la majoration exceptionnelle de cette i nde~ite ; ..
2" Un relèvement de 1 mdemmte de resldence et une redistribution des communes
entre les différentes zones de sal aires, Ipour
le calcul de ladite i ndemnité, entraîn ant l a
disparit Ï<l n du complément de rému nérat ion
au titre du salai re minimum garanti et du
suppl ément te mpo rai re de l'i ndem nité de résidence ;
3" Une m ajoralion du suppl ement familia l
de traitement, entraînant la suppressi on de
la ma jora tion fam iliale de l' ind emn ité de résidence.
CHAIP ITRE 1
Complêmenl pro'l'tsoire de traitement
Les traitements des agents titulaires cl assés dans un échelon infér ieur ou égal à 250
pourront être majuré-s de 5 % ; ceux des
agents titulaires Classés dans un i ndice super ieur à 250, de 4 %, La majo rat io n appli cable à un indice déterminé pouva nt ètre
portée, le cas échéa nt, au même taux que
celle afférent à lïndice immédiatemen t i nfé rieur.
L es taux annuels du co mplémen.t provisoire pourront être arrondis au mi llie r de
francs su prri eur. Vous trouverez. en annexe
un tab lea u (A) fais a nt apparaitr e le mo ntant maxim um de ce complément pou r tous
les indices hiérarchiques.
Le mème avantage pourra être accordé
aux agents temporaires, contractuels et auxiliaires, autres que ce ux dont la rémunération est fixée pa r réfé rence aux salai res pratiques dans le commerce et l'indust rie. Le
tableau B joint à la présente instruction fixe
le taux maximum du complément proviso ire
de traitement susceptible d'être alioué aux
différentes categori es d'agents non titul ai res
\'i~es par cette disposition.
L'a ttr ibution de la major ation provisoi re
de rraitement entraine obligatoi rement la
suppressioll de l'indemnité temporaire de
Zones de salai res actuelles
c he rté de vie e t de la ~jo ratio n exceplion.
nelle de cette indem nite temporaire pre\'Ues
pa r les déc rets du 9 octobre 1948 'et du "
août 1950.
Le montant du complément provisoire de..
vra être rédu-it dans la proportion où le trai_
tement le sera l ui-même, pour quelque cause
que ce soit ; emplo i d' un agent pour llnt
durée inférie ure à 45 heures pa r semaine,
r émuner ation réd uite des agents au xiliaires
âgés de mo ins de 18 an s ...
Le compl ément provi soi re de t raitement
alloué aux agents t i tu laires sera soumis à
retenue pour pension.
C H AP ITRE Il
Indemnité de résiden ce
Les cond itio ns d 'altri b utio n de l' indem mlé
de résid e nce do nt peu vent bé nefi cie r les
fon cti onnaires et agents visés au chapit re 1
pourront être modi f iées de la manière suivante :
1° Cette indemnité pourra être calculee
sur la rémunération principale brute cam.
p renant le tr a ite me nt e t le comp lément provisoi re de traitement et 110n plus seulement su r le traitement.
2 ° Le montant de l'i ndemnité de residence
conti nuera, conformément aux règles générales détennil l ées par r arrêté d u 19 novemb re 1948 (J . O. du 24 nove m bre) porlanl
a ppli catio n de J'a rrêt é d e m ê me date relatil
au classe ment indiciaire des fonctionnaires
et agents communaux, à être ca l culé en appl iquant à l a r ém unér ati on principale un
pourcenta ge va riable suivant les zones de
sala ires r etenues po ur le ca lcul du salaire
mi nimum inter profession ne l garanti dans
l'I ndustri e et le commerce.
Le nombre des zones territoriales de salaires ayant été J1éd uit et r abattement auquel
elles co rrespondaient ayan t été lui-même dîminué, i l pourra êrre substitué au tableau
f igurant à l' arrêté precité du 19 no\'embre
1948 et m odi fié pa r le tab leau incorpo ré a
l'article 3 de " arrêté in termi nisté riel du 11
ma rs 1949 (J . O. d u 12 av r il 1949) le lableau suiva n:t :
T aux de l 'indemni té
de résidence
Zones de salai·res nouve lles
Sans abatt~men t ............ ,.
5 % d'abattement ........... _ .
7 et 8 % d ' abattement. ... ' ., . . .
10 % d'abattement .. . ..... . .. .
12 et 13 % d'abattement. ...... .
15 % d'abattement ......... . . .
17 el. 18 % d'abattement. ...... .
20 % d'abattement ........... .
3° Le maximum de l'indemnité de résidence susceptible d 'être allouée sera calcu lé
de la façon suivante :
a) Lorsque la rémunération p rincipale obtenue dans l es conditions énonce.es au présen t chapitre 1°) ser a co m pri~e entre 142,()(X)
francs et 280.000 francs, la rémltnhation ef ~
fectiveme.nt retenue pour le calc ul de J' ind~m n it~ d~ 'résid.en~e pourr~ être egaie à l a
remunerat;on pnnclpa le majo rée de la moitié de la différence entre 280.000 francs e t
la rémunération pe rç-Je :
Exemple.' POUr une rémunération principale de 2OO.0J0 francs, la rémunération retenue pourra être de
Sa ns a ba lte me nt ..... .
3,75 % d'aba lte men t . .. .
5 et 6 % d' abattement ..
7,50 % d'abaltem ent. ...
9 e t 10 % d'abalte men t.
Il ,25 % d'abatteme nt. ..
12 et 13 % d' abattement.
15 % d'abattement . ...
200.000
+
22 %
(280.000 -- 200.(00)
2
%
%
%
%
2
=
340.000
d) L orsque la J1émunérati on pri ncipa le sera comprise ent re 560.00 1 Fr. e t 840.000 F r.
la rémunération effectivement retenue pourra être égale à :
560.000 -- 280.000)
280,000
1/ 4 de la
+
+
2
tranche comp ri se entre 560.00 1 Fr. e t 840.000
francs.
e) A titre provisoi re, lorsqu e la rémunération pri nci pale ser a supéri eure à 840,000 fr.
la r,émunérati on effecti ve ment rete nue pour ra être égale à :
280.000
+
840.000 -
580.000 -
280 .000
2
560.000
+
1/8
+
d e la tra nclle
4
supér ieure à 840.(xx) fr.
Un e allocation complementaire de résidence pou rra s'ajo uter il titre pr ovisoi re à
4°
J'indemnité de r ésid ence. Le taux de cette
allocati on ne pou r r a dépasser :
_ 15.000 fr. pour l es personnels receva nt
une remunér atio n pri ncipale de 142.000
fra ncs (1) ;
- 9.000 f r . pour les perso nnels rec evant
une rémunération principale comprise entre
148.000 e t 225.000 fr ancs ;
- 7.500 fr . po ur les perso nnels recevant
une rémunér ati on principale comprise ent re
226.000 e t 240.000 fr. ;
- 6.000 f r . pour les perso nnels r ecevant
une rému nérati on pri ncipa le compr ise entre
24 1.000 e t 260.000 fr. ;
- 4.500 f r. pour l es perso nnels rccevant
une rému nération pr incipale comprise entre
26 1.000 et 275.000 fr . ;
- 3.000 f r . pour les perso nnel s receva nt
une rémun ératio n princi pale co mpr ise en tre
276,000 et 290.000 f r. ;
- 1.500 f r. pour les person nels receva nt
Une rému nérat ion pr i ncipal e comp rise entre
29 1.000 et 305.000 fr a ncs.
Tont d'êt re acco rdés au moment de l'attribu1ipn des avantages dNinis au prése nt chapitre.
240.iXXJ
sr:
b) Lorsque la rémllnération p rincipa le
ra égale à 280.000 f r ., la ré mun é rahOn e
fectivement retenue pourra ~tre elle-même
éga le à ce c hi fi re .
c) L orsque la rém unératio n principale sera com p r ise e ntre 280.00 1 fr. et 560 00 fr"
la rémunération effectivement retenue pourra être égale à :
·se
280.000 Fr.
1/ 2 de la tranche comp"·
e nt re 280.00 1 F r. et 560.000 Fr.
Exemple : P OUI un,e rémunération prin~
pa le de ~OO.OOO fr., la rémuné ration reten
pourra être égale à :
+
+
mté de réside nce et le complément de rém unératÎon à tifre de minimum garanti cessE:.-
%
%
=
280.000
(400.000 -- 280.000)
Exemple. - Pou r une rémunératio n pri ncipale éga le à 145.000 f r., l 'a llocatio n COnlplémentai r e de r ésidence annuelle sera au
p lus éga le à :
15.000 fr . -- 3.000 fr. = 12 .000 fr.
. 5° Le suppléme nt temporaire de l'lndem -
25 %
20
18
16
14
12
10
127
6° L'in demni té de résidence et l' alloca1ion comp l émen tai re de r ésidence devront
suivre le sort de l a rém unératio n pri ncipa le
et leur montan t ser a, pa r conséquent, r é~ lI it
.dans la même propor tio n que cette de rnière
da ns les cas pr évus à J'ava nt-dernier al inéa
du Cha pit re 1.
L'alloc:\t ion com pl émentaire sus('cptibl e
d 'être alJ ou~c aux ngen ls don t la r(>munén.ltion
pr inc ipale serait exceptionnellement comprise
~nt re 143.000 f ra ncs et 147.000 fran (."~ ne pourra
U re supé ri eu re à J5.000 f ra ncs diminué de
1.000 {ranc .. pour chaque millier de francs de
la rêmu nérat ion prin cipa le dépass3 nt 142.000 fr .
(1)
C HAP ITRE Ifi
Suppl émenl familial de trail ement
Les moda lit és d 'a ttribu t io n d n supplément
J am, " a l de traitement telles <Iu'e Ues o nt été
détermin ées par l'arr êté susvisé du 19 novemb re 1948 et l' arr<té du 12 mai 1950
U· O. d u 20 ma i 195O} po urro nt ê tre am é nagées ainsi qu'il suit :
Le suppl ément famil ial pourra être réparti
en deux i ndemnités.
l ' Supplémenl fixe.
Quel que soit le montant du t raitement
chaque l oncti onn aire ayant des enfants
c l~ a r ge pourra prétendre, si r Assemblée com petente le décide, à une i ndemnité max im um
annuelle de :
- 6.000 fr ancs pour 1 enfant à charge,
- 9.000 f r. pour 2 ertf ams à charge,
-- et 12.000 fr. po ur c ha qu e m fa nt à c ha rge en sus du 2e.
2° Supplément proportionnel au trOlt e-
à
ment :
a) Le monta nt de ce suppiêment pour r a
être au maxi mum égal à :
- 3 % du traitement retenu, po ur 2 enfants il charge,
- 5 % d u t raitement rete nu, po ur chaque
enfa nt à char ge en sus d u 2e.
b) Le t rai tement retenu pour le ca lcul
de ce suppl ément pourra èt re a u plus éga l
à :
- l a rém unératio n pri ncipale perçue, maj orée de la moi tié de la diffé rence ent re
280.000 fT. et l a rémunér atio n prin cipale
lorsq ue cell e-ci sera co mpr ise ent re 142.000
francs et 280.(x)() fr.,
- la r ému nérat ion princi pale perçue lorsque cell e-ci se ra égale il 2S0.OCO fr .
-- la tota lité de la tra nche de la ré munér ation principale égale à 280.000 f r.
1/2
de la t r anche comp rise entr e 280.00 1 fr . et
500.000 fr., lorsque la rémuner atio n pr incipa le ser a com prise entre 280.00 1 fr. et
560.000 fr.
-- la tota lité de la tranche égale à
280.000
580.000
1/ 4
280.000 fr. + - - 2
2
de l a t ranche l:omprise entre 560.001 fr. et
840.(X)(} fr., lorsque la rémun ératio n principal e sera supér ieure fi 560.000 fr.
La part ie <.l e l a rénlunératio n pri nci pale
supé r ieure à 840.0c0 f rancs ne ser a pas retenue .
3" L'application du nouvea u regime de
supplÉ:ment familial de traitement devra entrainer la Sllppression de la majoration familiale de l'indemnité de r~si dcnce prévue
pa r l' arrêté précite du 19 novembre 1948.
4" Le suppléme nt familial (indemnité fixe
et indemnité \propo rtionn elle) dev ra êt re r éduit éventuellement dans la même proportion
que l e traitement sauf dispositio ns statutaires co ntrai res applicables notam ment aux
cas des agents en co ngé dt! maladie.
L es dispositio ns prévues au Chapit re Il ,
6°), en ce qui Conce r ne l'i ndem nité de résidence et l'all ocation tempo rai re de r ésidence
des agents cmp loyês à temps pa rtiel ou des
au xi l ia ires âgés de moins de 18 ans se ront
également appl icables au supplément familial.
+
--- +
•••
,·ous prie de porte r
assemb lées loca les de vot re Dép a r tement
da ns les délais les pl us brefs, en précisant
à leur intenti on que les différents ava ntages
d ont el!e p e rm et l'octro i a ux agents d es co llectiVites locales pourront avo ir effet au 1er
nIars 195 1.
E ta nt d o nn é les d éla is néces saires à la
mise .en place d u nouvea u régime de r émunération, vo us pourrez approuver les délibé rati o ns d es Assem blées loca les d éc ida nt
d'accorder san s délai un aco mpte à l'ensemble du perso nnel visé par mOn i nstru cti on.
Cet acompte ne pourra dépasser 2.000 f rancs
par a ~ent et par mois acco mpli à compter
du mOIS d e mars.
Pour le Prési de nt du Co nse il
M i nistre de l' Intéri eur '
et p a r d éléga ti o n,
L e Préfet ,
·
Duecteur de l'Administration Générate
Départ ementale et Communale
P ie rre-Jea n MOA TT 1.
'
•••
ANN EXE
A
T aux annuels du complément prOVISOire de
traitement ou de solde pour (es fonctionnaires titulaires et les militaires à solde
mensuell e.
Classement hiérarchiq ue
des oénéficiaires
T aux annuels
d u com pl ém.
prov isoi re
de t raitement
ou de solde
Des indices 100 il III incl us .. 27.000 F r.
11 2 à 125
»
>
26.000 >
>
126 à 13S
25.000 >
>
139 à 15 1
>
24.000 >
>
152 à 172
>
23.000 >
>
»
173 à t 85
24.000 >
>
186 il 199
>
25.000 >
>
200 à 2 12
>
26.000 >
>
2 13 à 224
>
27.000 >
>
225 à 236
>
28.000
>
»
237 il 249
29.000 >
>
)
250 à 3 15
30.000
3 16 il 330
3 1.000 »
>
>
»
33 1 il 346
32.000 >
>
347 il 36 1
33.000 >
362 il 376
34 .000 >
>
>
377 à 39 1
35.000 >
>
»
392 à 406
36.000 >
>
407 à 42 1
37.000 >
>
>
422 à 437
38.COO >
>
438 à 452
39.000 »
»
>
40.000 >
453 à 466
>
467 il 479
4 1.000 »
>
>
480 à 492
»
42.000 >
~3 .000 >
493 à 505
>
>
44.000 »
506 il 5 18
>
>
4:>.000 »
519 à 53 1
>
>
»
4ti.000 >
532 à 544
47 .000 >
545 il 557
»
»
48.000 »
558 à 570
>
49,000 »
»
57 1 il 583
50.000 »
5"" à 597
5 1.000
599 à 599
>
Aux indices 600, 605 et 6 10 .. 5 1.000
6 t5 et 620 . . . . . . 52.000 »
625, 630 et 635 .. 53.000 >
»
54.0c0 >
640 et 645 ......
»
650, 655 et 660 .. 55.COO
>
665, 670 et 675 .. 56.000 »
680 et 685 ...... 57 .000 >
»
690, 695 et 700 . . 58.000
>
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
�129
128
:le
ANNEXE 6
Taux annuels du complém~nl prol'isoire de
Iraitement
pour diverses
fatégories
d'agents non titulaires.
Taux annuels
du complément
Grades et écbelons
des bénéficiaires
pronsoire
de traitement
Auxiliaires de bureau .-
Se echelon ............. . 23.000
7e
~
............. . 23.000
6e>
....... " .... . 2...000
5e
»
• . .•.......... 2HXJO
-le
~
...........•.. 25.000
3e
>
....••. . .• . •.. 26.000
26.000
2e
Jo
• . ' .•.........
27.000
J cr
Jo
• •. . •.....•
Auxiliaires di service ;
e échelon .. ........... .
24.000
25.000
6e
»
..........•... 25.000
26.000
Se
il'
. • . • • • . . • . . .•.
4e
»
.•.... , ..•.... 26.000
Je
•
. ............ . 26.000
2e
»
............. . 27.000
27.000
1er
Jo
• .••••.•••...•
EmNo)'ts de bureau recrutés
sur conlrat :
6e echelon ............. . 25.000
24.000
5e
23.000
4e
23.000
3e
24.()()()
2e
»
25.000
1er
Îe
~
............ .
Assistant .. sociales chefs:
1er t!chelon
2e
>
Je
sociales
Assistarztes
n· 1) :
Fr.
•
»
•
•
»
>
Fr.
>
»
>
»
»
Fr.
•
»
»
33.000 Fr.
32.000 >
31.000 »
31.000 Fr.
30.000 ~
29.000 »
26.000 »
-le
Infirmières et agents assimiles
(échelle n· 2) :
1er échelon ............. .
.... .... •.....
2e
3e
........ . .. .. .
4e
::t
••••• ••••• •• • •
5e
........ .
Auxiliaires de serl/Îre social el
30.000
30.000
28.000
26.000
24.000
Fr.
»
26.000
25.000
24.000
23.000
24.000
Fr.
30.000
30.000
30.000
30.000
30.000
30.000
27.000
Fr.
•
>
»
>
infirmières auxiliaires (échelle n· 3) :
1er échelon ........ .... . .
2e
,
3e
»
4e
»
5e
Opérateurs
chefs
»
»
>
»
mecanogra-
phes non titulaires :
7e échelon ........ ..... .
6e
»
. . ........... .
5e
4e
)0
•••••••••• , •••
Jo
. ••• •••••••.• •
3e
•
. ...... ...... .
2e
;:)
............. .
1er
Jo
Londucteurs auxiliaires ((auto
fllObiles voitures c poids
lourds .. :
·k
-':e<
1«
Vo :tu r~s
.' .
.... .
............ , .
...... ' " .
•
...... . . . ..
et • utitouristes
.. ,
Ittaires - :
ï~ ühelon ............. .
6e
»
...•.... ' .... .
5<
...........•..
4e
............. .
3e
. . ........... .
2..:-
............ ,.
I~r
24.000
23.00J
23.000
24.000
25.000
•
pflmltll,.,m nr rixces par l'a rticle 6 (§ 2) du
de"",t du 2 juin 19+1.
,
Le versement rdroact if il la Caisse Pri~
maire de Sccwrit~ Sociale doit .ê tre obliga.
toirement effectue. dans le déla I d'un an a
compter de la radiation des cadres.
Contra~r.ement
23.0VJ Fr.
2...000
23.000
23.000
nooo
23.000
26.000
........ .
_ _ _ <)000<,.' _ _ __
AG 2
D283
CAISSE NATIONALE DE RETRAITES
DES AGENTS DES COLLECTIVITES
LOCALES
j'ai J'honneur de porter
~;-dessous.ô
la
connaissance de A/M. les Matres du Deparlement le texte de la circulaire de M. le D,recleur Général de la Caisse des Dt!pôls et
ConsifJ"nat:ons
relative aux transferts de réb
serves mathémtlliques de cotisattOns, vieillesse à la Sécurife Sociale.
Pour le Préfet.
L e Secrétatre Général.
(échelle
1er échelon
2e
•
3e
..... .
... , ...
~
>
»
>
LAMASSOURE .
CIRC ULAIRE DU 15 JUIN 195 1
Texte à substituer à celui de la Section /1
du chapilre fil du lilre V de mon InsIruclion du 10 décembre 1949 (page 4ï).
Transferts de réserves mathématiques
de cofisations-vleiUeSSt
à la Securifé Sociale
En vertu de l'article 60 du décret du 5
octobre 1949, l'agent qui vient à quitter le
se rvice pou r quelque cause que ce soit a\'Jnt
de pou\'oir obtenir une pens:on d'im'alidité
ou de vieillesse à jouissance immédiate ou
différée' ou une rente viagère d'invalidi té.
peut, s'il n'a pas été rayé des cadres pour
cause de détournements ou de mal ve rsations,
obteni r le remboursement des retenues exçrcées sur son traitementl déduction faite des
versements à opérer aux organ ismes de
écurité Sociale pour le rétablir dans ses
droits, en ce qui concerne l'assurancedeillesse, au regaTd du Tégime gC:néral.
Dès lors que l'agent n'est pas .passé au
service d'une autre collectivité locale affllice
à la Caisse Nationale, ou de l'Etat dans un
emploi condui ant à pension au titre de ré gime des pensions civiles ou du régime du
Fonds spécial de .retr~ites des ouvriers des
Etabliements Industriels de l'Etat, la Caisse
Nationale se trouve dans l'obligation' même
t'
SI. 1e Tem boursemen t d
es re enues
n es t pas
demandé, de verser le montant des réserves
mathématiques des cotisations-vieHle e à la
aux prescriptions antérieu.
res ill\ itant la collectÎ\'ite il demander il la
CaÎs.::>e Primatre de calculer le montant de:.-.
cotisations-vieillesse, il appartient dt!sormais
il la coll ectivité de déterminer cell",:s-ci en
tenant compte des barèmes en vigueur au
moment où les 'ervices ont été accompli~
barèmes reproduit::, à titre indicatif dan~ la
circulaire susvisée (§§ 33 à 35).
La collectivité transm ettra à la Caisse Nationale de Retraites, section « Hemboursement des retenues » . une lettre en double
exempla i r~ du modèle 52 mod ifié ci-joint,
fai sant ressortir.
1<> Les émoluments annuels successifs pero
çus pendant les péri des postérieures au 30
jUin 1930 au cours desquelle:s l'in téress~ a
été soumis au reglme spl.:-cial de retraiies ,
2" Le montaOi des somme:;, qui doivem
être \'ersées à la 5ecurik Sociale, en disLnguant les parts respectives cIe l'employtur
et de remploye ;
3 u Le nom et le Ilum éro du compte chè·
que postal de la Caisse P1rimaire de seCUrite ~ oC'iale à laquelle le versement doit êtrl:
effectué, c'est-à -dire la Caisse Primai re dl!
dernier lieu de travail de l'intéressé.
à I"agent le versement de la part employé.
B. - Situation des agents aya nt été affiliés à la Caisse Nationale des Retraites pour
traites après le 30 juin 1930, sans qu' il y
Ca"-;se Nationale de retraite des agents des
ait lieu de verser de cotisations rétroactives
aux organismes de SécuTité Sociale.
Dans ce cas, les rente!> inscrites pOUT la
collectivit~
la vieillesse.
<lite période sur le livret de la Caisse Nationale des Retraites pour la Vieillesse des
Lorsque le régime de retraites comportait
l'affiliation à la Caisse Natio nale des Retraites pour la viei llesse, le ve rsement rétroactif est imputé sur les rése rves mathématiques des re ntes im;crites sur le livret individuel de l'agent, -soit en totaJité, lorsque
l'agent a bénéficié de ri nscription Sur son
livret des retenues prélevées sur son salaire
et des contrib uti ons I)a tronales correspondantes, soit pou r moitié SeU leJ11ent lorsque
les reten ues effectuées Su r SO n salaire
étaient inscrites sur le livret ans inscription
correspondante des contributions patronales.
Les droits des intéressés sont 'rétablis, en
ce qui co ncerne l'assurance-vieillesse, dans
la situation dont ils auraient bénéficié si le
ré O'ime généra l des Assurances Sociales leur
intéTessés, ainsi que les majorations qui s'y
rattachent, sont imputées sur la pension ou
la rente à laqueUe ils ont droit au titre du
rég ime général des Assurances Sociales, jusqu'à ConCu rrence des rentes correspo ndant
aux cotisations qui auraient été acquittées
pour leur compte au titre de l'assurance-
vieillesse sous le régime général pendant la
même tpériode .
Or, je vous rappelle que, par circulaire
du 20 jUin 1949, je vous ai info rmé que la
Cais e Nationale des I~etraites pour la Vieillesse a accepté <le r.acheter globalement au
1er juillet 1949, au profit de la Caisse NationaJe de retraites des agent:; des collecti-
Sccurité Sociale ; cette opération sera acee-lérée dans la mesure où la collectivité pTt}.
duira, immediatement après la cessation ~es
fOnctions, le décompte constatant les derlller~
versements effectués dans le courant de
l'ann ée en cause, en l'accompagnant. bien
entendu d'un bordereau modèle D spécIal.
Il y aurait intérêt à ce que ces documenf$
fussent produits en même temp s qu~ la, lettre modèle S 2 modifié ct, le cas echeant.
la demande de remboursement de rctenuL>S
souscrite par l'agent.
. .
Le droit à rembo ursement est prescnt a
l'expiration du dé lai de 5 an s à compter de
la radiation des cadres.
Hemarques importantes:
A. _ 1 Lorsque t'agent a quitté la collectivité ap rès le 28 janvier 1950, il. a drOIt
Întéo-ratement aux avantages dont Il aurait
bénéficié sous le rcrrime général des ASSu~
rances Social es, si~ce dern ier régime . l~ ;
avait été a.pplicab(.e durant la péri ode ou ~
a été soumis au régime spécial ap rès le
juin 1930. Cette période entre en CO~lt~
même si la rémunération perçue par II~'
ressé était supê rieure au chiff re-limite d a~
. 1es, enf \,1-n
sujettisement aux Assurances So cla
"ueur à l'époqu"e considérée ; la co t~sa ~
dans ce cas est assi'5e sur la r~ml!nl' ratlOn
U
égale a u chiHre-limite.
..
,.nl
2· Si l'a''ent a quitté la co lleclivlté aI l'
le 29 janvier 1950, la ~ériode pendant
quelle la rémunérati(," élait supér," I~re pas
rité Sociale et certains Tégimes spéciaux de
chiffre-li mite <l'assujettissement ,. Il es
prise en cOf!lpte.
'è
d' positions aU"
Au cas ou ces dernl res IS
nraient été appliquées pour de~ ~gen~uleait
retraites. Ces dispositions sont commentées
trant dans la première catégorie Il y de la
dans la circulaire du Ministre du Tr avail et
SU:;,
locales et qui sont ainsi soumis aux prescriptions géné rales. Elles concernent exclusivement les agents ayant cessé leurs fonc-
tion, ara nt le 1er juillet 1949. pou r les
sements reçus par la Caisse Nationale
Retraites pour la Vieilles.e. Les livrets
tenus par les agents justifient de leurs
verdes
déver-
sements au regard de la Sécurité Soclale,
sans que la Caisse Nation ale de Tetraites
urs agents des co llectivités locales ait à intervenir à ce titre.
Le Directeur Gén éral
de la Caisse des Dépôts et Consignations,
Jean WATTEAU.
Modèle 5-2 modifié
Format 21x.27
le
A
Monsieur le Directeur général
de la Caisse des Dépôts et ConsigJ13tio ns,
Caisse Nationale de Retraites
des Agents des Collectivités Locales
56, rue de Lille
à PARIS (7me)
r ai l'honneur de vous adresser la presente lettre, en double exemplai;-e, en vue de l'application des dispositions I~révues par
le décret n· 50-133 du 20 janvier 1950 el commentées 'par la circulaire n· 211 SS - 1950 du 27 déc. 1950 (J.O. du 13 Janv. 1951)
M. (1)
demeurant à (2)
a été immatriculé à la Caisse Nationale de Retraites
né le
et a subi les retenues sur son traitement au profit de la dite
au
..
il doit être 'rétabli dans ses droits, en ce qui conœ rn e l'assurance-vieillesse, .au regard du régime général de la Sécurité Soc;al e,
au titre de la période en cause, par versement à ta Caisse Primaire de Sécunté SocLale de
calculée ainsi :
compte chèque postal n·
d'une somme de
SOus le n°
Caisse, pendan t la Ipériode du
Par suite de (3)
Emoluments annuels
successifs perçus depuis
Montant des coti sations - vieillesse
dues à la Sécu rité Sociale
le
Années
:u
lieu à regularisation. Sur d~mand~.de
a'rents visl:s ci-dessus dont les versements
à ~Ia Caisse Nationale des Retraites pour la
Vieillesse sont transféres à la Caisse Nationale de retraites de. agents des collectivités
Numéro
de la Coaect.vité
de la Colleclivilé
Il est rappelé que la Caisse Nationale doit
te, individuels modele C concernant l'inl'·
ressé pour pouvoir opérer le tra nsferl a la
Les dispositions qui précèdent ne sont
donc pas susceptibles de s'appliquer aux
vités locales, l'ensemble des rentes non
échues constituées au nom des agents des
ils ont été soumis au régime spécial de re- r collecti\·i tés locales devenus tributa ires de la
Nom
locales et en activité: au 30 juin
1949.
av~it été applicable durant la période où
être en po .:ession de lensemble des déeomp-
Sécurité Sociale.
Il y a lieu désormais d'appliquer les dispositionsprévues par le décret n" 50- 133 du
20 janvier 1950 publié au Journal Offic iel du
29 janvier et relatives aux rè gles de coordiIllation, en cel qUi c.oncern.e ,1'aS sUdranlce-Sv~ei l'
esse, en t re e Té glme gencra I e a ecu-
de la Sécurité Sociale " . 2 11 S. S. - 1~5O
cotisations-vieillesse et l'invitera à réclamer
Part employé
Sommes
Part emp l o~rellr
Total
Récapitlda tion
M.
est imm atriculê il la Sécurité Sociale sousRle n°
pOUf :a rouverture des risques non gar~lhies p~.r la Caisse Nationale de etraite ~.
(1) Nom (en lett res capitales) prénoms e:
éventuell ement nom marital.
collectivite dans les formes vIsée' CIsse Pli(2) Localité. rue et numéro, département.
~5.,000
~.F~r._.J.~e~n~
a~te~'3<I~u,i;2
~7~d~é~ce.1QôJl
i2m~b~r~e,,1eti9~5O
~~(J~0~u~r~n~a~1
~O~f~fi~-J.~la~ciai.se
ationaledeverse"r=arLà~l
~a!Ic~a~,:.:;. . . . .~(.~3)~A~\0~t~if~d~e.::la~:::~io~n~~.::;~ïliill• • • • • • • • • • •• • • • • • • •
•, • • • • • • •_.ï~
; e).;.éc;.h~e~lo;n;;.~.~.~..~.~.~.~.~.~.~.~..~._~2z5m
1 çjçl d~
dn
ia9Yier
rem
p'ac ent celles
maire le Nontant
la p
Le Représentant de la Collectivité,
�130
D3 B2
FS 7
COMPOSITION DE LA COMMlSSION
DEPARTEMENTALE DE REFORME
"DU PERSONNEL HOSPITALIER POUR
L'ANNEE 1951.
ge catégorie, Chefs ouniers et ou\'riers
Mme Moullias lingère il l' R.H. Tarascon
M. Faure Félix, aide-ouvrier H.H. Salon. ;
Mme Canese maîtresse lingère H.H. La CIOtat ; M. On t;no Cesar, ouvrier aux Hospices
d' Aix.
"
10e catégorie. Préposés servants et servantes: Mme Vanhoutte Odette, servante H.
d'Aubagne ; M. Llinares Antoine, aide-~oi
gnant H. d'Arl es ; Mme Jouve Anna, .. desoignante H. d'Allauch; Mme Gond ran Germaine, aide-soignante H.H. d' Aubag ne.
les representa nts des 1re, 2e, 3e et 4e
catégori es ont 'fait l'objet des arrêtés préfectoraux des 4 avril et 1er juin 1950.
Article 3. _ M. le Secr étaire Gênéral de
la Préfecture est cha rgé de l'exécution du
présent arreté.
~\arseille, le 6 juin 195 1.
Pour le Préfet
Le secrétaire Gén éral
LAMASSOURE
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-f\!1ône,
Officier de la Legion d'Honneur,
Vu l'ordonnance N' 45.99) du 17 mai 19-15,
relati\'e aux services publics des départe...
ments et communes et de leurs établissements vublics et notamment son article 3 ;
Vu le decret N' 4ï1.8<Ui du 19 septembre
) 947, notamment son art . 4 ;
Vu le décret n ' ~ .606 du 2 O\'ril 1943,
fixant les droits des tributaires de la
Caisse Nationale de Retraites des agents des
collecti\'it~ l ocales et notamment son article 19 ;
Vu l' a rr~té interministériel du 26 septembre 1~8 relatil à la Commission des Commissions de Rélorme des agents des collecti_ _ _
vités locales, notamment ses articles 1 et 2 ;
FS 7
Vu la circulaire ministérielle Nit 4 du 5 D3 B2
jan\'ier 1949, fixant les catégories de perETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
sonnel hospitalier représentées au sein de la
Commission Départementale de Réforme ;
PUBLICS
Vu le procès-verbal du ti rage au sort en
Révision du prix de j ournée prévisionnel
date du 31 mai 195 1 ;
Sur l a proposition de M. le Secrétaire
1951 de l ' Hospice de Rognes
Genéral de l a Préfecture,
ARRETE
Arrête :
Le Prélet des Bouches-du-Rhône,
Article 1er. - M. GÎ,!lié, administrateur de
l'Hôpital-H ospice de La Ciotat et de M. le
Vu la loi du 14 janvier 1905 su r l'assisl:hanoine Bonnet, administrateur du Bureau
tance aux vieilJards, infir mes et incu rables ;
de Bienfaisance d'Aix sont désignés en qualiVu l'ordonnance du 18 décembre 1 94~, dété de membres titulai res pour représenter
term
inant, à titre transitoi re, les règles de
les Commissions administ ratives et Conseils
fixation des prix de journée dans les hôpid'administration des établissements publics
taux et hospices publics ;
de bienfaisance au sein de la Commission
Vu les ci rculaires ministérielles d'applicaDépartementale de Réforme.
tion notamment la circulaire du ·29 décembre
.\\. Benoit, administrateur du Bureau de
1944 ;
Bienfaisan<:e d'Arles et M. Graille, président
de la Commission administrative de l'HôpitalVu l'ar rêté préfectoral du 9 janvier 195 1,
Hospice de La Ciotat sont désignés en quaportan t fixation des pri x de journée prévilité de membres suppléa nts de l a même Comsionnels 195 1 pour un cert ain nombre d'éta,blissements hospitaliers du dépa rtement ;
mission.
Article 2. - Sont désignés pour représenVu la délibération du 21 mai 195 1 de l' hoster les différentes caté.zor ies de personnel
pi ce de Rognes, décida nt l a réalisation de
hospitalier au sein de l a Commission Dépardivers t ravaux d'aménagement ur gents ;
tementale de Rélorme ]>Ou r l'année 1951, l es
Vu la dél ibération en date du 28 mars 195 1
fonctionnaires et agents ci -après énumérés :
de la Commission Départementale accordant
5e catégorie, chefs de bureau, sous-chefs
à l'hospice de Rognes une avance de 212.000
de bureau, rédacteurs et assimilés: délégués
fr ancs sans intérêt et remooursable à la fin
titulaires: M. Boyer Pierre, rédacteur aux
de l'exercice 1951 ;
Hospices d'Arles; M. Prat Henri, directeur
Vu l'arrêté pr éfecto ral du 11 juin 195 1
du Bureau de Bienfaisance d'Arles ; déléy relatif précisant que le montant de cett~
gués suppléants : M. Oessors, directeur du
ava ~ ce d~vra être amorti par le jeu du prix
Bu reau de Bienfaisance d'Aix j M. Archier
de lournee de l' hospice.
Lucien, rédacteur des Hospices d' Arles.
6e catégorie, commis, sténo-dactylos : .M..
Vu l'avis de M. l' Inspecteur Principal de
Rul Louis, commis au Sanatorium dépa rtela Population et de l' Ent r' Aide Soc iale .
mental du Petit-Arbois; M . Cagnardi SébasSur la proposition de M . le Secr étaire 'Gétien, commis A.A.P.M. ; Mme Ejargue M.
nér ai,
Françoise, commise au Sanatorium départemental du Petit-A rbois ; M. Bernard Louis,
Arrête :
commis à l'hôpital-hospice de Tarascon.
. Article l_er. - Le prix de journ ée prévi7e catégori e,. Surveillants-surveillantes,
sionnel 190 1 applicabl e aux viei ll ards indichefs de quartiers: M. Gony André, prépa!lents placés en exécution de l a loi du 14
r ateur H.H. Salon; Mlle Violette M . Antoi JUillet 1905, ai nsi qu' aux pensionnaires
nette, laborantine A.P.M. ; Mme Saez Blanpayants admis en 3e catégorie (salle COmmuche, surveillante à La Ciotat ; M. Carron,
ne) à l'hospice de Rognes, est porté à 371
prépa rateur aux Hospices d'A rl es.
f rancs à compter du 1er juillet 195 1.
Se catégorie. Infirmiers et sages-femmes :
Article 2. - M . le Secr étai re Gênéral de
ht Tomasini Etienne, infirmier à l'A.A.P.M .;
l a Pré.fe~ ture, M. le Mai r e, Président de la
11\. BeauJou x, infirmier H.H. Martigues ;
Commission administrative de l'hmwice de
Mlle Belluardi Fr ançoise, infirmière H .. d'Ar-cc~ooc~----
sont c harg~s, chacun en ce qui le conce rne
de l'exécutIOn du présent a rr~té.
)
Marseille, le 2 1 j ui n 195 1.
POlir le Pr efet,
Le Secretaire Gên éral
I.AMASSOU RE
------~c~ooc>-------
D2 B3
TVX 1
INSTRUCTION POUR L ' APPLICATION
DE L'ARRETE DU 18 MAI 195 1 PORTANT REGLEMENT D'UTILISATION
DE CREDITS POUR DES TRAVAUX
DE DECORATION DANS LES BAT!·
MENTS D 'ENSEIGNEMENT.
L M"
e 1 Imstre de l'E;lucation Nationale
M!\L 1 O'
G .
es Irecteurs éneraux,
Directeurs,
MM.
les Recteu rs,
Préfets (pour inform ation).
J'ai l' honneu r d'appel er tout particulièremtnt votre attention sur les dispositions de
J'éllftté ci-j oint à l'observation duquel j'attac ne it plus grand int érèt
Tout projet de constru ction doit pour obknir l'agréme nt, soit du Comité Ce ntral des
Constru ctions Scol ai r es, soit du Co nseil Ge.
néral des .Bâtiments de Fr ance, comporter un
progr amme de travaux de dt:l:o ratio ll,
La dépense de ces t r avaux de décoration
attei ndra 1 o/Q :
l. _ du coût de la constrllctl'on ION.
Iv
q u'il sera entièrement imputé sur le
budget du Ministère de ,'Education
Nationa le,
2.. _ du montant de la subvention accord ée aux collectivités publiques,
lorsq u'elles auront l'illltiative et la
char ge financi ère de l a construction.
Si une coll ectivité publique dési re participer à ces travau x de décoration par un pourcen ta ge éq ui valent effectué sur ses crédits
propres, une tell e initi ative sera vivement
encouragée et appr ouvée.
Toutefois, il semble oppo rtun de prevoir
des t ravaux de décor ation dans les seuls
immeubles en constructi on d' une certaine
importance, ceux dont le. coùt atteindrait)
pa r exemple, une cinquantai ne de millions.
Avant-prol'el de co nstruction (rôle de l'architecte) :
L'ar chitecte devra prt'Cise r dans toute la.
mesu re du possibl e le programm e décoratif
qUI. accompagnera l'ava nt-projet dc const rUcti on. Il indiq uera notamment la nature, l'emplacement, les dimensions, l e sujet, e!c ... des
travaux prévus: sculptures (haut relief, bas
reli ef, statues, fonta ines), peintures, fresques,
pa nnea ux maroufl és ... ), art déco ratif dans la
mesure où les œuvres deviendront immeubles
par destinatio n (por te d'honneur, ra~pes,
grilles et métal forgé, mofi,f de céramlqude,
etc ...) à l'exception d'objets mobiliers et e
meubles.
,
Propositions
des artis' es à J'agnimenl
nisl
ériel :
n"·
d
J'insiste tout spécia lement sur l e~ principes
qui doivent guider l'établissement de ces
propositions.
Seul le lalellt de l'artiste doit elltrer en
ligne de co mpte pOlir le choix.
Il s'agit, d' un e part, d'en richir notre patrimoine arti stique en donnant à nos gr ands
artistes la possibi lite de créer des œuvres
importantes dignes de l a t radit ion fra nçaise.
O'autre pa rt, au poi nt de vue éducatif il
est indiscutable que le plus su r moyen d'~u
vrir les jeunes intell ige nces au goût et à la
connaiss ance d' une sa ine esthétique est un
contact direct et perma nent avec les' œuvres
d'art.
Les propositions effectuées pa r les coll ectivités locales et l es Etablissements publics
donneront tous renseI gnements uti les su r
l'artiste choisi . Ces r enseignements n'auront
pas besoin d'étre développés puisqu'il ne
pourra s'agir que d'a rtistes co nnus,
En présence de l' Architecte et d' un représentant de l'établissement ou de la collectivité intéressée, la SO llS-comm isslo n des Achats
et Commandes de l' Etat examinera ces propositions pour l'agrémen t de l'art iste.
En cas de nOn acceptatio n des art istes proposés à l'agrément, l a commissio n établira
une liste d'~r~istes lui paraissant particuli èrement qualifI és pour effectuer les trava ux
en~isagés ; à l'intér ieur de cett e liste les rcpr,esentants de la collectivité locale ou l'étabhssement publi c intéressé effectue ront un
nouveau choix.
Allant-Projet de Ira vaux de décora tion
Les ar t'Istes une foi s agréés établiront leurs
maquettes ou esquisses su r l es indications
de l'architecte, les maquettes de scul pture
seront .r éalisées en plât re de préférence;
les e~u lsses seront peintes ; pour l'art décorahf, une maq uette en plâtre ou un dessir.
~e:"a pr~senté. Chaque avant-projct dev ra
d re suffIsamment « poussé .. afi n de perm ettre
~ux mem bres de l a commissio n d'avoi r une
Idée e.xacte du projet défi nitif co nçu et de
pouvoir se prononcer ».
.Le. dossier de ces avant-proj ets sera soumlS a la com mission instituée à l'a rticle 4
de. l'a rrêté min istér iel du 13 mai 195 1. So n
aVIS sera t ransmis à la directio n de l' Achit~cture Ou à la so us-direction des co nstru ctrons scolaires et universitaires. Les arrêtés
de subvention vise ront cet avis.
. Le pri x acco rdé à chaq ue ar tiste se ra étudie et
é par la commission des achats
et co propos
d
f . m':'1 a~ e~ complétée dans les co nd ition;;
b ~ees a 1article 4, et commu niq ué aux éta. iI ~em e.nt s publics et collecti vités publiques
Interesses.
L
e contrôle de J'exécution de la comma nde
~era sUi v,i ~a r l'architecte et des délégués de
comr:nlsslo n. La r éception des travaux de
)' cora tl on sera effect uée pa r l e maître de
d~~vra~e, en présence de l'a rchitecte et des
gues de la commission,
Pour l e Ministre et pa r délégation
Le Directeur Gén éra l des Àrts
el des Lettres
J. j AUjARD
dé
•• *
ARRE T E
du 18 mai 195 1
Après accepta tion de ravant-p roj et ~
Po ,
const ruction, les collectivités comm unal~f'~
r Gnt règlement d'utfUsa/lon de crédits
départ emental es, l es établissements pu l,l" .
~~:l." des travaux de décoration dans les
vee
Im eflJs d'enseignement.
proposent, apr es échanges de vue a
Di.
L
chitecte agréé, et le cas échéan t, avec l~. tes
e Ministre de l'Educati on Natio nale
rection des A rts et des Lettres, I~ arl,'sxé-ni~~.le décret du 18 août 1945 fixant l'~rtYaauxq uels ils sou h ai tera iee
_ eJ• • • • •
... " .. ;".. ~_ +.... "..,. " v np (1
,n~, t~;v,o~,I:'ir~c~o~n~h~e_,
quipement. scolaire et sportif,
. Vu le dec ret du 6 janvier 1937 portan t institution du Comi té Cent ral des Co nstructions
Scolai res, du mobili er et de l'outillage scol aires.
Vu l'arrêt é du 12 décembre 1946 modifié
p a~ l'arrêté du 23 avr il 1948, port~nt institu tion d'une sec tion des bâti ments d'enseignement du Consei l Général des bâ timents
de France,
Vu l'arrcté du 15 novembre 1949, portant
affectatio n de crédits pou r des travaux de
décor ation dans les bâti ments d'enseignemen t
Sur l a propositio n du Directeur Génér al
des Arts et des Lettres et du Directeur de
l' Ad ministration Générale,
ARRETE
Arti cle Premier. - Po ur obtenir l'agrément, prévu pa r les textes en vi gueur, l es
proj ets de const ru ction scolaires et uni versil'aires présentés au Comité ICent r al des Co nst r uct ions Scolaires, institué par le décret du 6
janvier 1937 et au Consei l Général des Bâtiments de France, réor ganisé pa r le décret-loi
du 17 jui n 1938 dev ront comporter un ensemble de travau x de décoration exécutés et
financés dans l es co nditio ns pr écisées au
présent arrêté.
Art. 2. Les crédits pou r dépenses
d'équi pement du u\'\inistère de l'Edueatio ll
Natio nale affectés à ces tr avaux de décor ation s'élèveront au maximum à 1 % du coût
de la const ructioo l orsq ue cell e-ci ser a financée uniquement par les crédits du Ministère de l' Education Natio nale et à 1 % de
l a subvention accordée aux collectivités publiques lorsqu'elles auront l' initiative et l a
cha rge financière de la co nst ructio n.
Art. 3. -- ILes collectivités com munales et
départementales, It!s établissements publics
dotés de l'autonomie administrative et fi~
nancière qui relèvent du M in istère de l'Educatio n Nationale, auront à proposer dans
les mêmes conditions que l'Architecte auteur
du ,projet, des artistes auxq uels serai t confiée
rexecution des travaux de décoration.
L'e xécution d'uil avant-proj et de décoration par ces artistes ne pou rra commencer
avant ['intervention d'un arrcté min istéri el
portant agrément de l'a rtiste, après avis
d'une Commissio n fonct ionnant dans les conditions précisées à r ar ticle 4.
4,t - te
La Commission consul
tative
des
desArt.
aclla
' par
s e omman de s d e l' Et
~ at, é
cr ce
arrêté du 28 juin 1 94~ auprès de la Direction génér ale des Arts et Lettres se ra compIétée en vue d'être à même d'examiner les
avant-projets et projets prése.ntés par les
artistes agréés.
Une sous-commission se ra désignée pour
formul er un avis su r l'agrément des artistes.
Art. 5. - Une inst ruction preel era le
genre de bMiments, la nature des locaux:
le mon.tant min im um de l a dépense de constru ction qui pourra justif ier des travaux de
décoration, ainsi que les modes de présentatio n des demandes d'agrément des art istes
et des proj ets de décoratio n.
Art. 6. - Les dispositions de l'arrêté du
15 novembre 1949 porta nt affectatlon de
cr édits pour des t ravaux de décoration dans
les bâ timents d'el1seignement sont >remp lacés
par cell es du présent arrêté.
Art. 7. - Le Directeur Général des Arts
et des Lettres, et le Oirectellr de l'Administration Générale sont cha
•••
••
loÎn.;et~1e;s~a~tt~"~·b~u~t~io~n:s~d~u::.;s~e~r;vi~c~e~d~e~r~é~-.:.~c~e.~~u~i~1;e
ïiI"d~e
ii
sent arrêté qu i se ra publié au < Journal
Officiel > de la République Française.
Fait il Paris, le 18 mai 195 1.
P.-O. LAPIE.
•••
ARRETE
Le Ministre de l' Educatio n Nationale,
Vu l 'a rti cle 4 de rarrdé du 18 mai 195 1
portant règle men t d' ut ilisatio n de crédits
po ur des travaux de décora tion dans les batiments d'enseignement ;
. VII les arrêtés en date du 28 ju in 1949
fIxan t la composi ti on de la Commission
cha rgée à titre consultati f de p ropose r ell
dehors des gra't1ds salons annuels " achat ou
l a commande des œuvres d'art destinées
aux collections de PEtat
Sur la ,proposition du Oirecteu'r Général
des A rts et des Lettres,
Arrê te :
Article .premier. - La Commissio n susvisée sera complétée ai nsi qu'il suit en vue
de l'examen des ava nt-projets et projets
prese ntés par l es artistes agréés :
- Le Directeur de l'Architecture Ou son
r eprésentant ;
- Le Directeur de l' Administration Centrale in téressée ou son rep résentant ;
- Le Sous-Directeur des Constructions
Sco lai res ou son représenta nt;
- U n P,résident de Consei l Général désigné par le ;Mi nistre de l'Ed ucation Nationale ;
- Un représentant de l 'Association des
Maires de Franc-e, désigné par le l\o\inistre
de l' Education Nationale.
Art. 2. - Le représentant de la coll ectivité publiq ue ou de l'EtaWissement public,
maitre de l'œuvre, et l'Architecte (ou les
A rchitectes) de l'operation assistent avec
voix délibérative, à la séan<:e où l'av~nt-p ro
j et de déco rat ion sont examinés.
Art. 3, -- Il est créé une sous-commission
chargée d'agrée r les artistes auxquels seront dema ndés des avant-projets.
Art. 4. - La sous-commission d'agrément
des artistes est composée des membres suiva nts :
- Le Directeur Généra l des Arts et des
Lettres, Président j
- Un memb l'e <lu Cabinet de M. l e Ministre de l'Education Nationale;
- Le Conservateur en Chef du M usée
National d'Art Moderne;
Un Inspecteu r Principal des BeauxArts ;
- Le Chef de Bureau des Travaux
d'Art;
- M, Rey, directeur honoraire au M inistèr e de l'Education Nationale;
_ Nt Briancholl , artiste peintre, prof~
seur à l'Ecole Nationale Su.périeure des
Beaux-A r ts ;
- M. Dejean, sculpteu r ;
N\. D ideron, sculpteur,
professeur il
1"Eco le Nationale Supérieure des Arts Décoratifs i
- M. Quizet, artiste peintre ;
- M. Souverbié. artiste
proiesdes
seur à l'Ecole Nationale
Beaux-A rts. membre de l 'In
�REPUBLIQUE FRANÇA1SE
6 Juillet 1951
132
Art 5. - La sous-commission entend
obligatoirement l'Architecte (o.u les Architectes) du bâtiment à décorer. alO"'. que le représentant de la collectiVIte publique ou de
l'Etablissement public, maître de l'œuvre.
Art 6 - Le Directeur Général des Arts
et des Lettres est chargé de l'exécution du
présent arrêté.
Fait à Paris, le 1er juin 1951.
P. le MiIristre et par délégation,
Le DirecteUr du Cabinet,
M. ABRAHAM.
_-'-_<>00<> ___ _
Communiqués -Avis
Annonces diverses
D2 83
destinés au Service des Subsistances Militai.
res de la Place de Marseille.
Date extrême de dépôt de pièces. des
échantillons et intention de soumissionner
le 29 juin 1951.
AVIS D'ADJUDICATIONS
ET D'APPEL D'OFFRES
Intendance des Subsistances militaires
Caserne Audéoud, Promenade de ta
Corniche, à Marseille.
A. _ Légumes secs ; adju~icati~n publique restrei"te SUt présentatlO" d ~cltanlll
Ions: Le mercredi Il juillet 195 1, a 10 h. ,
pour l a fourniture de :
500 x/m de lenti lles (vertes, blondes
ou brunes) ;
300 x/ m de pois cassés,
B. -
Oraisse végétale.
Appel d'offres pou r la fourniture de
500 x/ m de g raisse vôgetale,
DËPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RH
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
à livrer au Service des Sub:J,stances Militai.
res de la Place de Marseille.
Les soumissions devront par veni r à IInten.
da nct s us-visée le I l juillet 195 1 ava nt 9 h.
fout les documents se rapportant à ces
réa lisations sont à consulter à l' In tenda nce
ci!'~e ci-dessus.
• Année. - N' 27
Toute correspondance relative au Recueil doit étre adressée te la Préfecture Secrétariat Général
ABHÉVIA. 'rIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres D et B suivies d'un chiffre indiquent le Service ou ,Bureau d'or igine.
D. S. T. : Directio n des Services Technique • . - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D, D. P. : Directio n départementale de la Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pa'{es
•
C. I.A. O. -
Ex'plosifs de mines......
133
Textes d'Intérêt Général
AC 3. - Décès, mise à la ret rai te eu
radi ation des cadr es d' un fonct ionnaire è:n co urs de mois. - Paiement
du traitem ent o u de la solde jusqu'à
la fin du mois .............. .. .. "
AC 3. - Questio ns diverses co ncernant la ré gleme ntation applicable
aux presta tions familiales .........
AC 3. - COJ1ditions d'attribut ion aux
lo nction naires et age nts de l'Etat des
prêts destin és . à l'a méli oratio n de
l' habitat prév us par le déc ret du 18
juillet 1950 ...... . ,., . ... . . . .. ...
AC 3. - Relèveme nt de certaines indemnités pour frais de déplacements.
135
-
135
134
136
Conununiqués. Avis, Annonces diver. .
Vpcances d'emploi .......... . ... 137
Demande d'emploi d,e sec rétaire de
Mairie , .............. , ..... , ... ' .. 137
Communiqués du Secrétariat
de l'Union deS Maires
Congé a nnuel ..... ,. . . . .. .... . ..
137
ARRËTËS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
CIA 0
D683
EXPLOSIFS DE MINES
ARRETE
L~
Covie certi6.é:e conforme..
Pour le Préfet :
SUrtldirt Gtn;rol : L.l\.MASSOURE.
--------------~~~~=~~~-------------ur.
~
Rona.u •• Ma.Hlu.&, 110,
SaI ....
Le Préfet,
Vu le déc ret du 20 juin 19 15 porta nt reglement d'ad mi ni st ration publiq ue su r la conse rvation, la vente et l'importation des dynamites et aut res exp losifs à base de nitroglycerine, modifié par les décrets des 17
mars 192 1, 2 février 1928, 1er septembr.c
1930 ;
Vu le décret du 20 juin 19 15 portant règlement d'administration pu blique su r la
conservation, la vente et l'importation de
diverses substances explosives a utres que
celles à base de nitroglycé rine, modüie par
les décrets des 2 février 1928 et 1er septem bre 1928 .
Vu l'a rrêt é 'de M. le Ministre des Travaux
P,ublics, en date du 15 février 1928, porta nt
reglement Sur les conditions techniques générales auxquelles sont soum is l'établissement et l' exp loitatio n des dépôts de s ubstan~es exp losives destin ées à etre employées
a des travaux de min e ;
Vu la demande prése ntée le 23 mai 195 1
par M?~sieur D'ALMASSO Gaston, gé ran t de
la SO~leté des Ca lcai res Régionaux, demetlr~ nt a Gardanne, 18, avenue de la Libé rahon, à l'effet d'ê tre a uto risé à établi r et '\
expl<1lter un dépôt permanent d'exp losifs
de la 3e catégo rie sur le ter ritoire de la
~omm_une de Bou c~Bel-A i r, au lieu dit « Sous
e Cret ", a rro ndi ssement dl Aix-en-P rovence,
Le Maire de Bouc-Bel-Air entendu,
Vu les rapports et avis en date du 22 juin
195 1 de l'ln gé ni eu r en 'C hef des Mines de
l'arro ndissement minéra logique de Marseille;
Vu l'avis en date a u 12 juin 195 1 de M. le
Command an t de Genda rmerie,
ARHETE :
Arficle premier. - M. DALMASSO Ga~
ton, gérant de la Société des Calca ires Régionaux, est auto risé à étab lir et exp loite r
un dépôt perm a nenl d'e xplosllS, de la 3e catégo rie, sur le territoi re de la commu ne de
Bo uc-Bel-Air, arrondissement d'Aix-en-Pro. . ence. sous les conditions fixées par les dél:rets ct arrêtés susvises et SQliS les conditio ns énoncées aux articles suIvants ;
Article 2. - Le Dépôt sera établi au lieu
dit « Sous le Crêt >, à dix mètres au moins
des routes et c hemins et des propriétés voisines et à vingt-cinq mètres de tout aut re
dépôt superficiel.
Il appa rtiendra au type supe rfi ciel défini
par J'arrêté ministéri el du 15 fév rier 1928.
Article 3. - Le dépôt se ra co nstitué par
lIll local isolé no n surmon té d'étages, Constr uit en maçonnerie et exclUSiveme nt affecté
à la conservation des explosifs. Il sera fe rmé par une porte solide, munie d'une serru re de sLÎreté. Il sera e ntouré par une fo rte
clôture défensive de deu x mètres de haute ur.
Article 4. - Dans un délai maximum de
trois mois ap rès la notification du présent
a rrêté, M. DALMASSO Gaslo n devra se faire
déli vrer pa r le Maire de Bouc-Bel-Air un ce r-
tificat attestant que le dépôt a été construIt
et qu'i l est conforme au présent arrèté.
Le certificat (j 'autorisatio n prevu par l'a rticle 28 des décrets des 20 Juin 19 15 et 1er
septembre 1930 ne sera délivré Que su r le
vu d'un ce rtifi cat de constructio n du Maire.
Article 5. - La q ua ntité d'explosifs contenue ùans le dépôt ne devra excéder à aucun moment le maximum de 100 kilogrammes d'explosifs de la classe V (explosifs au
nitrate d'amm oniaque, type IV).
Cette quantité se ra r,eduite de moitié si
les explosifs ne sont pas encarto uch és et
sont, en '.)lItre, contenus dans des récipients
non étanches o u susceptibles d'ê tre ouverts
dans le dépô t.
Arflcle 6. L'ex ploitatio n du dépôt se
.fe ra dans les conditions fixées, d'une part,
pa r les décrets du 20 juin 19 15, modifiés par
ceux des 17 mars 192 1,2 février ct 1er septembre 1 ~)28, 1er septembre 1930 ; d'autre
pa rt , par J' a rrét é ministériel du 15 février
192H.
En particu lier, le poids total d'e xplosifs de
diverses classes conte nu s dans le dépô t devra
êt re constamment infé rieur à cinquante kilog rammes, si des explosifs de c l as~f'_c.; rlifférentes y SOllt ent reposés.
Les explosifs de la classe III (explosifs
chl ora tés, chedd ite, rni nélite, etc.) doivent
être enfermés dans un compartiment spécial
quand ils sont dan un dépôt contenant des
exp losifs d'une autre classe.
Le dépôt des détonateurs sera co nstitue
pa r une a r moi re spéciale. placêe dans une
salle servant de bureau ou de magasin et
�-
134
contenant au maximum 2 kilogrammes
de fulminate de mercure.
5<X)
11 est interdit d'introduire des détonateurs
dans le depôt d'explosifs ou des explosifs
dans le depot des détonateurs.
Il est IOter"lIt d'introduire dans le dépôt
des objets autres que ceu.x Qui sont IndIspensables au sen'ice du dépôt. 11 est notamment
interdit d')' introduire des objets en fer, des
matteres mflammables ou susceptibles de pro-
duire des etincelles. spécialement des amorces et des allumettes.
Il est inte rdit de laisser des herbes sèche,
7" Au Directeur de la Poud rerie de SaintChamas.
Il sera inséré au Bulletin des Actes Admlnislralifs du Département.
hl. le Maire de Bouc-Bel- Air et M. l' In génieur en Chef des Mines sont cha rgés. cha'cun en ce qui le concerne, d'en assurer l'exécution.
Fait il Marseille, le 2S Juin 195 1.
Pou r le Préfet :
Le Secrélaire Général Délégué
LANIASSOURE.
et d'emmagasiner des matières facilement in-
•
flammables, teUes que du foin, de la paille,
du bois, du papier. du coton. du pétrole, des
huiles et graisses, etc., dans un rayon de
dix mètres autour du dépôt.
La garde du dépôt sera confiée à un agent
specialement désigné à cet effet. Cet agent
sera détenteur ûes clefs et les opérations de
manutention et de distribution de l'explosif
ne pourront se faire qu'en sa présence et
sous sa res~'onsabilite. Cet agent devra disposer d'un logement convenablement protégé
Contre une explosion, mais situé de manière
à permettre une surveillance efficace du dépOt.
On ne de\'ra pénétrer dans le dépôt que
pieds nus ou avec des chaussures de ~eut r e,
si les e.xplosifs à ,'état pulvérulent sont con"'VOS dans le dépOt.
Le sen·ke du dépôt sera falt exclusivement
à la lumière du jo.ur. L'introduction d' une
lampe quekonque est fo rmellement interdite.
Il est interdit de faire du feu et de fume r
aux abords et à "intérieur au dépôt.
Les caisses ou barils contenant l'explosif
TEXTES D'IHEBET GENERal
CirculOlres concernant plus spectalement
les Adminislrations dt: l'Etal
D262
AC 3
DECES
MISE A LA RETRAITE OU
RAD{ATION DES CADRES D 'UN
FONCTIONNAIRE EN COURS DE
MOIS - PAIEMENT DU TRAITEMENT OU DE LA SOLDE JUSQU 'A
LA FIN DU MOIS.
Circulaire de M. le Ministre des Finances
et des Affaires E conomiques. Direction
de la Comptabilité Publique, 104 - 5'
Bureau 3883 G. - LI C 2444-22 19 31 Mai 1951.
La loi n" 48- 1450 du 20 septem b re 1948,
portant réforme du régime des pensions civiles et militaires dont le texte figu re en annexe n'> 1 â la ci rculai re nO 884 du 24 octodevront Etre manipulés avec précaution et , bre 1 ~50 (Bulletin ctes Services du Trésor
préservés de tout choc.
n° 75 G.) a prévu, dans son a rti cle 50, paL'intérieur du dépôt derra ~tre tenu dans
ragraphe l, que lorsqu'un agent de l'Etat est
un état constant d'ordre et ete propreté. Les
mis â la retraite, décédé en activité de serrésidus recueill is dans le nettoyage seront
vice ou est radié des cad res avec ouve rture
détruits par l'eau ou par le feu, en opérant
de droit à pensio n, la pension due à cet
t'
d .
avec les précautions nécessaires.
Il sera tenu un registre d'ent rées et de so ragen Ou a ses ayants- rOit n'est due qU'~l
compter du premier jour du mois suivant le
ties ind iq uant les quantités de poudre intropaiem.ent du traitement ou de la solde dont
duites, avec leurs dates de réceptions et leur
jouissait l'intéressé, lo rs de sa sOItie du
provenance, ain i que les quantités sorties,
cadre, étant continuée jusqu'à la fin du mois
avec leurs dates de livraiso n et les noms
en COurs.
des personnes auxquelles elles ont été remises.
La ci rculaire aux Ministres nO 85-3 B-6 du
UeJQJI?itant est tenu de donner, en tout 26 juillet 1949, relative â l'application de I~
temps. libre accès de son dépOt aux agents
loi susvisée et dont le texte vo us a été notides Contributions In directes, aux agents du
fié en annexe nO 3 â. la circulaire n° 884 du
Sen'ice des Mines et à tous autres fo nction24 octobre 1950 précitée, a précisé les co ndinaires ou agents désignés par le Préfet . il
tions dans lesquelles devait étre payé le traidoit , à toute réquisition, communiquer à ~es
tement afférent au mois pendant lequel a eu
fonctionnaires ou agents, le re gistre dont la
lieu la cessation des fonctions, mais n'a visé
tenue est prescrite par le paragraphe qui
expressément que le cas de mise à la rcprécède.
traite.
Une consigne, signée de l'exploitant et
Aussi certains comptables se sont-ils decontenant toutes les indications relatives aux
mandé si ce traitement était éga lement
opérations de manutention et de distributi on
payable dans les cas de décès ou de radiaet aux mesures de sécurité sera affichée dans
tio n des cadres survenant en cours de mois.
le d~ôt.
J'ai l' honneur de vous fai re connaître quc,
Ar/icle 7. - Ampliation du présent arrEt'; étant donné les dispositions formelles de
sera notifiée :
l'article 50 de la loi précitée, il ne fait pas
1° Au permissionnaire ;
de doute que le traitement dont il s'agit doit
ét re payé dans tous les cas visés par le dit
2 0 Au Maire de la commune de Bouc-BelAir .
artic le dès lors que les deux co nditi ons sui3-' A M. l'Ingénieur en Chef des Mines de vantes sont réu nies :
J'arrondissement minéralogique de Marseille;
1" L'intéressé devait, au jour de sa so r4° Au Directeur des Contributions Inditie des cadres, percevoir effectivement un
rectes du Département;
traitement ou une solde. à tau x plein ou de5" Au Commandant du XVe Corps d'Ar.
mi-taux;
mée
2° L'intéressé devait remplir les con-<ll-
~n_d~a~r_m_e~r~ie~~ti~o~nisjv~oJU~lu~e:s~p~ou~r~qJu~'i~l!y~a]1t~o~u~v~eJr~tu~re d'un
11I..~....~6."~~A~U~c~0~m~m~a~n_d~a_n_t_d_e__l~a__cre
proli~
o u, en cas de décès} au profit des aYanl.
droit.
02 B2
Sous ces réserves, les émolu ments ou sold
dont le paiement est co ntinué comprenn, '
ai nsi que l'a précisé la circulaire susViSé,;'
26 juillet . 1 9~~ en ce ~ui concerne le cas d~
agents mis a la retraite: 4: le traitement 0
la sold
. e nette pr.oprement .d it.e, maj orée d~
s up p1emen ts fa mi1~a u x, m.a .ls a l, exclusion .1,
1.1
toutes 1es au t res 10 d emm t es, )' co mpris l'indemnité de rés idence, même pou r sa part
familia le ~.
Si, au mome nt de sa so rfie des cadres
l'inté ressé se trouva it da ns une position sta:
tutaire n'oll vra nt droit qu 'à demi -traitement
ou une demi-solde, c'est ce demi-traitemelll
ou cette demi-solde qui doit être payé jusqu'à la fi n du mois. Il en est ainsi da ns le
cas If réquen t o ù un fonctionnaire décède
alo rs quïl se trouvait en co ngé de maladie ~
demi-traitement.
C ertains comp t a bl es se sont demande
q.,elle co ndul· te 1'1 l'avait lieu de tenl'r lors
' a 1ors qu'l'l ,'ta -1
. dé ce' d ait
q u' un fonctl'onnalre
1
e n co norre' de maladl'e a' tau".... plel' n, q'l' ce
co ngé venait à exp iration entre le jour du
· et <.tue l"lOtéressr
décès et la fin d li mOIS
n'aurai t plus bénéficié qu e d' un demi-t railement s'il n'avait pas rep ris ses fo nctions au
jour de l'ex pi rat ion de son co ngé. On est, en
effet, porté à 'penser que le décès ne pouvant
ouv rir des droits à traitement qui n'auraienr
pas ex isté si l'intéressé avait vécu, il ya
lieu de ne verser qu 'un demi-traitement pour
la période comprise entre le jou r de l'expiratio n du congé de ma ladie à plei n traitement
QUESTIONS DIVERSES CONCERNANT
LA REGLEMENTATION APPLICABLE
AUX PRESTATIONS FAMILIALES.
Paris, le 9 juin 1951.
N0 41 _ 14 8-5
et la fin du mois. Cependant, il faut respecter
dans tous les cas le principe posé pa r la circula ire susvisée s ui va nt lequel c le traitement maintenu est celui perçu au moment ~e
l'admission à la ret raite )0 , et l'esprit de
l' article 50 de la loi du 20 septembre 1948,
qui tend à simplifie r la tâche de l'Administration. En conséquence, dans le cas conSldéré, c'est le plein traitement qui doit être
- 1 d te
payé po ur tout le mois en cours a a a
du décès.
D'autre part, je précise que, déans lep~~~
de décès , le traitement «co ntinu li. ne t re
être versé qu'aux person nes à qUi es·
connu le droi t à pension.
Il appa rt ient, bien entendu, a l1 ~ comptables de s'ass ur er que la mise en paiement du
traitement jusqu'à la fin du mois est régu·
li ère au rega rd des dispositio ns rappelées
ci-dessus.
Je \'OUS invite , en conséquence, àlt vous
sou·
assure r, chaque fois que vous serol . enl
mis d~c: mandats émis pour le palem .
de l' ex1Yl
d 'a,'a llt'ages de l' e pe' ce , d'un e part,
ft d l'anen
tence d'un droit à pe nsion a il pro 1 e b le
ou de ses aya nts-droit, d'autre part,. dans d'
nn
cas de décès, de la qualité oe penslo '
la pa r tie prenante.
r dll
En cas de doute, il vous a~par len l,.
d'exiger un certificat adminlstrahf dans ,ra
quel l'ord o nn a teur du traiteme nt affid"~ons
que le fonctio nnai re remplit .des c.on, lienreq uises pa r la loi pOlir avoi r drol~ a Sroil
sion et dans le cas o ù l'ouverture Il ·re
à pensï'on r~sulte du décès du fo.n ~ti.O !1nald~
que le ou les aya nts-droit b~ n éflclalresà qui
mandat de traifement sont ~Ien ce ll~ ' f dei
est reconnu le d roit à pension du ce
services accomplis par le défunt.
Le Directeur de la ComptabiliJé Pllbliqu1,
,
l35
O.
AC 3
Le Minis/re du Budgel
à MM. les Ministres et Secrétaires
d'Etat.
Ouverture du droil aux preslations
familia les en cas de longue maladie.
l. -
Aux termes de la régleme nta tio n en vi gueu r, les prestatio ns familiales son t mai ntenues jusqu'à l'âge de 20 ans, pour les
en fa ntS infirmes ou atteints de maladie incurable et, dès lo rs, da ns l'impossibi lité permanente de se livrer à l'exe rcice d' une activité profession nelle.
Or l'a rti cle 7 de la loi n° 50.520 du 9 mai
195 1,' maj'ora nt à titre prov isoire ce rtain es
prestatio ns familiales. , précise que les. dite,s.
prestations seront ega lement dues Jusqu a
l'âge de 20 ans lo rsque l'enfant, pa r suite de
.
c: lon gue maladie Jo, est dans l'impossibili te
permanente de se li vre r il un t rava il sala rié.
Désorm ais, les enfants admiS à la « lo ng uc
maladie Jo au sens de la législatio n s ur les
Assurances Sociales, conti nueront à ouv rir
droit aux prestations fami lt ales pendan t tou te 1a pérl'ode d.lrant laq'lelle l'ls sero nt COLI ve rts par cette lég islation et au maximum
j usqu'à ce qu'ils aien t attei nt l'âge de 20 ans.
Il est précisé que la notion de longue
c maladie » t ell e qu'elle résu lte de la législ '
. é 1 diS '
lté S . l
'
ahon gen ra e e a ecu r
OCla e, Il a
rien de comm un avec cell e cre « congé de
long ue d urée ~ prévue pa r le Statut Général
des fonctio nnaires, en ce qui concerne trois
ma ladies bien déterminées, à savoir : la
tu berculose, le cancer et les mal adies mentales.
La « lo ng ue ma ladie >, telle qu'ell e est
définie en matière d'assu rances sociales par
les a rti cles 32 et 42 de l'ord o nnance du 19
octob re 1945, peut êt re reconnue, so us certaines co nd itio ns, à tout assu ré social ou
aya nt droit d'assuré socia l, attei nt d' une maladie quelconque, dont la durée est supéri eu re à 6 mois, le Ibé néfice <le l'assurance
pouva nt êt re co nservé a u malade pe ndant
3 ans a u max im um, à compter de la date de
la prem iè re constatation médicale.
II. _ Attribution de l'allocatlon de salaire
unique.
L'II'
.
, t tt '
a ocahon de salaire un ique n es a fIbuée qu'aux personnes ()l~ ména ges qui, remplissant par ail leurs les aut res co nd itions
f' .
1 é 1
. .
lXees par a r g ementatlO n en vigueur, ne
bénéficient que d'un seul revenu professio nnel provenant d'une activité salariée.
Cependa nt, l'all ocatio n de salai re unique
est maintenue da ns les cas o ù l'un des conjoin ts a perçu, pendant le mois co nsidé ré,
un revenu professionnel net inlorieur a u tiers
du salai re de base affé re nt à la résidence
du ména ge ou à la moitié de ce même sa;aTre si le ménage a au moins trois enfants
a cha rge.
Les pe nsio ns et ret raites sont considérées
C?mme de s revenus professionnels, à l'exce phon des pensions de g uerre des lois des 31
mars et 24 juin 1919 et des textes subséquents, qui ont un caractère de réparation.
fé T~utefois, par circulaire n° 8-48-5 du 1er
. .
d
d'
COnjOlOt a eman c à beneflcler d'une pens ion proportio nn ellt: avec Jo uissa nce immédiate au titre des a rticles ô et 29 de la loi
n" 48-1 450 d u 20 septemb re i948, pourraient,
lorsque cette penSion dopasse la mOit ie du
salai re de base en vigueu r a u lieu de résldence de la famille, co ntin uer a pl!rcevoi r
néanmoins l'allocatio n de salaire unique.
L e cum u1 de l a penSIO
' n d ' a ncien net é et d e
l' a Il oca t 'Ion d e sa la 'ire ulliq
. ue ne dO it cependa nt en a ucun cas dépasse r ie montant audit
salaire de base.
Or. lors de récents débats parleme ntaires,
l'aftention du Gou verneme nt a été appelée
Su r la situation des ménages à qUI l'al location de salaire uniq ue a été refus ée, a lors
que le revenu professio nn el du conjoint de
l' a ll ocataire co nsiste en une pension d'invalidité o u en une ren te d'acclaent du travail.
Pour respecte r les engagements pris devant l' Assemb lee Nationale, J'to\. 'Ie Ministre
du Travail et de la Sécu rité Sociale a estimé qu 'il y aurait lieu, pou r les caisses d'alloc. atlOns lam il iales du ré!:!ime
gé néral, d'all....
pllquer, dans le cas partlcuiler, la même
solu.tion
è que celle que j··ai adoptée en faveur
des
m
de onnelles.
famille, bénéficiai res de pe nsions p res
roporti
Dans le but d'éviter que des age nts de la
Fon ctio n Publique ne se trouvent Pl acés dans
une sit uation 'Jlloins favo rable que celle des
a ll ocatai res des caisses du secte ur prive, j'ai
décide que les dispo itio ns de ma ci rculai re
n<l ·S-4 8 -5 du 1er fév rier 195J se raient égaleme nt applicables aux persun nels qui reçoive nt les prestations fami liales de l' Etat o u
d'une collectivité loca le dont le conjoint,
n'exerçant aucune activité professl'o nne lle,
bénéficie, soit d'un e pension d' inva lidité al.!
titre de la Sécurité Sociale, soit d'une rente
d'a ccidents du travail.
Le salaire de base s~rvant de nHé rencc
pour déterminer la limite du cumul eJu salaire
unique et de la rente ou de la pension (proportionnelle ou d'invalidité) doit conworte r
les mé,ljoratio ns de 20 % o u de 25 % att ribuées au tit re des lois des 4 ma rs et 9 mai
195 1.
Cette mesure prendra effet à co mpter du
1er janvie r 1951.
Enfin, po ur répo ndre à un e question qui
m'est fréq uemme nt posée, je précise q ue,
lorsqu'u ne seule et même perso nne dispose
de plusieurs revenus profession nels ou d'u n
salai re et d'une pension. ces revenus sont
considérés comme complémentaires et ne
font pas obstacle à l'att ribution de l'allocation de salai re unique.
Signé E. FAURE.
02 B l
--- <.: , oo < ~----
AC 3
CONDITIONS D'ATTRIBUTION AUX
FO.NCTIONNAIRES ET AGENTS DE
L' ETAT DES PRETS DESTINES A
L'AMELIORATION DE L'HABITAT
PREVUS PAR LE DECRET DU 18
JUILLET 1950.
Pa ris, le 19 juin 1951.
N0 46-15 8-5
Le Ministre du Budget
ci MM . (es Ministres et Sccrcfaires
d'Etaf,
En applica ti on d u décret n° 50-849 du 18
juillet 1950, prevoyant l'atlrihution de prêts
dest inés à l'améli o ration de l'habitat, la cÎr-
d u 1er février, a fixé les condi ti ons d'attribution de ces pn!ts.
Ainsi qu'i l est ra ppelé da ns la sectio n 1
(bénéficiaires) de cette ci rculaire, les agents
de l'Etat et des collecti vi tés publiques, en
activité de service ou dans une sit uation
assimilée définie au Chapitre 1. section l, de
la circ ul aire interministérielle n" 11 2 S.S. du
3 a.vri l 1947 s ur les prestatlOns fami liales,
peuvent prétendre à bé néficier de ces prêts,
à la co ndition qu'il s soient loc a tai res, occupant"s de ,bonne foi o u propriétaires, da ns les
co nditi ons déte rm inées par la circul aire du
24 janvier 195 1 susvisée.
Les précisio ns très complètes publi ées au
Jou rnal (!Jfficiel n'ont pas besoi n d'être commentées et il vous appartie nd ra de prendre
toutes dispositions utiles pou r que les agents
relevant de votre a utorité pUisse nt éventuellement bénéficier de ces prêts.
La présente inst ruction a simplement pour
objet d'apporter quelques précisions qui ont
paru nécessaires pour l'application de ces
dispositions aux Ifo nctio nnaires et agents des
collectivités publiq ues.
1. - Procédure d'attribution des prêts.
Ch
' r temen t miniS
. t ene
" 1 d't
.
aque D epa
e ermlne rz, parmi ses age nts et suivant un ordre
de priorité établi à l'avance, une liste de
bé néficiaires ~n fixant le mo nta nt de chacun
des prêts s lIsct!ptibles d'être conse ntis.
Le montant tota l des prêts il co nsentir par
ch aque Depar
'
t eme n t mI01S
" t er 1e 1 ne d evra, en
auCu n cas, dépasse r 0,30 pour 100 des prestations famili a les payée pa r ses services
e ntre le 1er janvier 1949 et le 1er juillet
1Q50
-L .
a liste des bénéficiaires eventuels devra
donc être co mmuniqu ée T,our acco rd à mOIl
Département (Di rection du Budget, 2e 8ure au), qui se chargera de préleve r sur les
crédits hudgétaires les sommes à verser directement pa r mon Departement à la Caisse
des Dépôts et Consignations au compte du
Fonds Co mmun de l'allocatio n logeme nt.
Ce tte liste de\' ra ~tre établie en deux
exemplai res, dont l'un sera transmis par
mes se rvi ces à la Caisse des Dépôts et Consignatio ns.
Dès réceptio n de l' accord de mo n Département sur la liste des bénéficiaires, chaque
ad ministrat io n inté ressée établira le co ntrat
éc rit destiné à la réalisation du prêt.
Ce contrat, dans lequel l'Ad ministration
agira au nom et pour le co mpte d u Frlnds
Commun de l'allocation de logement, devra
contenir les obligatio ns réciproques des deu x
parties, ainsi que les gara nties à prévoir
pour . l'o rganis me prêteur et les conditions
de remboursement.
L'Administratio,ll devra donc se préoccupe r
de la soh'abi lité du bé néficiai re du prêt en
fonction tant de l'ensemble de ses revenus
que cte la ga ra ntie de son maintien dans les
lieux pendant un temps suffisant.
Les prêts devant être consentis sur presentation du devis des travaux, il appa rtienctra a ux admi nistrations de contrôler en
temps opportun s i les t rava ux envisagés remplisse nt les condi tio ns ,"oillu es pou r oU\'fir
d roit a ux prêts; l'administration co ntrôlera
également, par la suite, le montant et la réalité des travaux, soit en effectuant des \-isites su r place, soit en demandant l'avis des
services competents du Mini5tère de la Reco nst ru ction et de l'Urha nisme, comme il a
été prévu en matière de permis d'aménagement par la circulai re interministérielle n°
DEVAU~X:·~__~iI..iMv~,,~e~r~li9~5~1~,~j'~a~i~p~r~é~ci~S~é~~~~~m~e~s~u~re~d~e~.c~u~l;a~ir~e~in~t;e~rm. .in~is~tÎé~ri~e.lI.e. n"
.. .1~9. .S.,.S
~·id~U~2.4. . .lï lïgIiSÎSl idïul ï20ÏlïmïaïiliiïÏlïre.lïaïtiivielÏïïliïi. . . . .
�-
136
APrès établissement des contrats, l'Administration adressera à la Caisse des Dépôts
et Consjgnattons une demande tendant .,au
paiement aux bltneficiaires de la prenuere
mOlt1e du pct!t consenti à cha ~n d'eux. ~
cette demandel sera jointe une ltste ~es benéficialres arrêtée à la somme totale a payer
ntee de la première moitié des prêts, comportant toutes les indications .nécessaires
pour l'execution rëgulière des pruements :
_ nom prenom, adresse des bénéficiaires,
_ montant du versement à effectuer à
chacun d'eux au titre de la première moitié
<lU
du prêt,
_ le mode de versement (retrait direct
par le beneficiaire au guichet de la caisse
genérale de la Caisse des Dépôts et Consignations à Pans ou d'un préposé de cette
administration en dehors du Departement de
la Seine, ,"i rement à un compte bancai re ou
de chèques postaux qui devra être désigné),
_ le cas échéant, personnes qui seraient
appelées à concourir à la quittance.
Après réception de la demande et de la
liste annexées, la Caisse des Dépôts et Consignations prendra les d ispositions nécessaires pour verser les fonds au..x intéressés.
Une procédure analogue sera suivie pour
la mise en paiement de la seconde moitié
du p r~t : le bénéficiaire produire la facture
définitive à so n administration qui, après
contrôle, saisira la Caisse des Dépôts et
Consigna tions d'une no uvelle demande autorisant le règlement du solde Ou prêt.
Cette demande po rtera référence à la liste
sur laquelle l' intéresse aura figuré antérieurement. mentionnera, le cas échéant, le numéro d'ordre ou de dossier et signalera les
changements qui auront pu intervenir en ce
qui concerne les conditions et le mode de
paiement.
II. - Conditions de remDoursement des
tent intérêt il 1 % ; chaque mensualité devra
donc comprendre une part de capital et une
part d'intérêt.
Les attributaires pourront à tout moment
se liberer par antiCipation de tout o u partie
des sommes dont ils restent redevab les envers le Tresor.
.
Chaque administration intéressée devra
poursul\lre elle-même, pour le compte du
Fonds commun de l'allocation-logement, le
recouvrement des prêts qu'elle aura consentis. Les sommes recouvrées seront versées
a u compte courant postal ouvert au centre
de chèques postaux de Paris sous le numéro
9.063-IS et intitulé
Caissier Général de la
Caisse des Dépôts et Co nsi g nations - compte spécial • .
Dans la partie des chèques rése r vés à la
correspondance, chaque administ ration intéressee portera les rensei gnements sui va nts:
- versement à imputer au compte du
Fonds commun de l'allocation-logement,
- recouv rement sur des prets consentis
par .......... . ... . ..... .... (indiquer ici
le nom de l'Ad ministration intéressée).
Par mesu re de simplification, il est toutefois recommandé aux administrations pub liques de groupe r da ns toute la mesure du
possi.ble leurs \lersemenis, de façon à ne
les fa ire porter que sur des sommes globales.
..
Remarques. - Les dispositions qui précèdent ne so nt, po ur l'i nstant, applicables
qu'aux administratio ns de l' Etat et ne conce rnent donc pas les agents (les collectivités
locales pour lesquels les mesures d'applicati o n du décret du 18 juillet 1950 font actuellement l'objet d'une étude particulière de la
part des services du Ministè re de l'Intérie ur.
prlts.
Ces conditions, dont les dispositio ns essentielles doivent figurer au contrat, sont les
suh"antes :
Les prêts seront rembou rsés en d ix-h uit
mensualités exigibles à compte r du sixième
mois qui su it le premier versement. Le montant de chaque mensualité sera, à son
échéance, précompté d'office sur les traitetnents budgétaires versés au.x agents bénéficiaires. II est rappelé que les avances po r-
à bénéficier des prêts institués par le déCret
du 18 juillet 1950 que toute fausse déclara_
t.ion . 1t;S expo~e . aux sanctions prévues par
1 arrete du 18 IUl11et 1950, sans préj udice de;
sanc,tions disciplinaires qui peuvent être prises a leur encontre.
Vous \'o udrez 'bien me saisi r, sous le timbre de la présente circulaire (Direction du
Budget - 5e Bureau : Soldes et Ind emni_
tes) de toutes difficultés soulevées dans vos
Services par l'application de cette réglemen_
tahon.
Pour le Ministre et par délégation
Le Directeur du Cabinet,'
<
Cas particulier des établissements publics
nationaux.
Les établissements publics nationau x qui
fonctionnent par le moyen de subventions et
non sur des credits budgétaires, peuvent
consentir directement des prêts à leurs
agents dans les limites et aux co ndit ions
fixées par la circulaire interministérielle du
24 janvier dernier.
Les dispositions de la prêse nte instruction
ne concernent donc pas ces établisseme nts.
..
~
Il 1'0us appa rtiend ra de rappele r aux
agents de vos Administration qui demandent
TABLEAU 1. -
Chef de
famille
Autres
Chef de
ag<IDts
""
dépas.sa:nt
pas 12 h.
02 B2
RELEVEMENT DE CERTAINES INDEMNITES POUR FRAIS DE DEPLACEMENTS.
Décret n" 51-792 du 22 Juin 1951
Le Président du Conseil des Ministres
Sur le rapport du Ministre des Finances et
des Affaires Economiques, ill1 Ministre du
Budget et du Secrétaire d'Etat à la fonction
pu blique et à la réfo rme administrative,
Vu .l'? r.don nance .du 6 janvier 1945 portant reV ISlOn des traitements des fo nctionnaires de l' Etat et aménagement des pensions
civiles et militaires ;
Vu le décret du 4 octob re 1945, relatif aux
indemnités pour f rais de déplacement attribuées a ux fonctionnaires civils et agents,
employés et o Ul' ri e rs de l'Etat modifié en
dernier lieu par les décrets n ù 47-466 du 19
mars 1947 et 49-439 du 30 mars 1949 ;
Le Conseil des M.inistres entendu,
DECRETE:
Article premier. - Par modificat ion aux
dispositions des articles 2 8 17 et 21 du
déc ret susvisé du 4 octob~e '1945, les taux
des Indemnités pour frais de missions, des
inde~nités pour frais de tournées, des in·
dem nltés pour frais d' hôtel et de l'indem·
nit é dite « de mutation ::t , susceptibles d'êt re
allouées aux fon ctionnaires et agents de
l'E tat, son t fixés co nfo rmément aux tab leaux
ci-ap rès :
famille
(fr.)
(fr.)
(Er.)
(fr.)
(fr.)
(fr.)
Groupe 1 .. . .
550
1.100
940
780
890
700
600
520
470
420
370
330
1.020
4ïO
420
340
290
260
840
Groupe Il " " "
Groupe III
Groupe IV ....
390
340
580
famille
890
760
670
Au""",,
agents
650
590
D~placements
Groupe
Groupe
Groupe
Groupe
Autres
agents
Chel. de
famill e
A'lltre.s
agents
Cbefs de
famill e
Autres
agents
(fr.)
450
(Ir.)
(Ir.)
890
760
630
550
(fr.)
590
520
420
390
(Ir.)
(Ir.)
1.300
1.150
970
890
840
7W
650
300
260
220
380
320
280
200
POOT l'agent
1 .... ... •. •.. •......... .. .... ...
Il . . ........................... .
(fr.)
1.240
1,000
III ............................. .
IV . . ... .............. .. ..... .. . .
·350
30 premiers
Chef de
Autres
Chef de
famille
ag~ts
famille
(le.)
(fr.)
(h.)
1.560
1.300
1.300
,1.100
940
1.150
850
880
1.360
1.150
1.000
910
02 B3
DEMANDE D'EMPLOI
DE SECRETAIRE DE MAIRIE
C hefs de famille
sanS
enfants à charge
avec
enfants à charge
100
120
Sec rétaire de Mairie, 27 ans, sollicite un
emploi similaire dans une co mmune de 1.200
à 1.500 habi tants du Département des Boucll es-du-RhOne.
80
MM. les Maires intéresses par cett e candidature vo udront bien s'adresser directement à M. le Maire de Coye-la-Forêt (Oise).
80
60
•
GOJIIIllONIQOEs DO SEGOETBBIIT
DE L'ONIOH DE5 IDBIRES
III. - Agents mutés dans les localit és comptant moins de 20.000 habitants
Groupes 1 et Il ..........................
100
60
Groupes III et IV ................... . ..
80
40
Arlicle 2. - Le Minist re des Finances et
des Affaires Economiques et le Ministre du
Budget sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l' ap plica tion du présent décret
qUI prendra effet à compter du 1er juin 1951
et sera publi é au Journal Officiel de la RépublIque Française.
Fait à Paris, le 22 juin 1951.
Henr i QUEUILLE.
Par le Président du Conseil des Ministres,
Le Secrétaire d'Etat
à la FOll ction Publique
et à la R éforme administrative,'
Pierre METAYER.
Autres
agents
680
Il. - Agents mutés dans une ville comptant de 20.000 à 100.000 habitants
Groupes 1 et Il . .. ... ..... . ..... ... ..... .
120
100
Groupes III et IV " " " " " " " .. " " "
Edgar FAURE.
;oura
720
650
520
Agenis mutés dans une ville com plant plus de 100.000 habitants
130
Groupes 1 et Il " " " " " " " .. " " " " -,,
Groupes III et IV ......... .... ..... .. . .
Mauri ce PETSCHE.
du 31* jour
(fr.)
650
650
520
420
(h.)
850
Cilefs de famill e
Le Ministre des Finances
et des Affaires Economiques,'
A partir
Par enfant
et pour chacutTe des personnes visées
à l'article 1er, 1er alinéa
Pour sa femme
TABLEAU IV
Fonctionnaires classés pour l'attributi o n
des frais de missio n dans les Groupes
Communiqués -Avis
Annonces diverses
02 B3
VACANCE D'EMPLOI
J' ai l'honneur de po rter à la con naissance
de MM. les Ma ires du Département que le
poste de garde-champêtre est actue llement
vacant dan s la commune de Berre.
Les person nes intéressées par cet emploi
devront s'adresser directement à la Mairie
de Berre.
03 B2
CONGE ANNUEIL
Messie urs les Maires SOnt Informés que
le Secrétariat de l'Union (salle 226 - Préfecture) sera fermé du 15 juillet au 1er septembre, sa uf le vendredi mati n de chaque
semaine.
Le Secrétaire Général de l'Un io n se trouvera ces jou rs-là au Bureau pour répondre
au co urrier et assiste ra à toutes les Commissions qui auro nt li eu au cours des semaines
précitées.
-------<.00<.-------
Le Secrétaire Général de l'Union
AUDIBERT.
(Ir.)
1.100
910
750
650
Copie
cuti6~r:
c::oDform • .
Pour le Préfet :
L, $ecrJlolrl Cinh'ol : LAWASSOURE.
d
950
INDEMNITES POUR FRAIS D' HOTEL
Indem nités dites de < mutation.
1. -
de plus de 18 b.
Cbefs de
famille
Le Ministre du Budget "
mais ne dépassant
pas 18 h t ures
(ir.)
6SO
Pendant
1.,
Chef de
12 b.
GROUPES
AC 3
12 beures
Au tres
agents
1 ..... .. ' "
Il ........
III . . . . . . . .
IV .. ... . . .
Déplacements de plus de
7 h., mais ue dépassant
pas 18 h.
TABLEAU Il l.
JOURNEE COMPLETE
ï h. mais
pas
Groupe
Groupe
Groupe
Groupe
INDEMNITES POUR FRAIS DE TOURNEES
-------< ~oo<~-------
Mission a~ d écoucber
comportant un e absence excédant
Obligeant à prcmdre
2 repas en dehors
absence excédant
12 h., mais ne
dépassant pas 18 b.
GROUPES
R. BLOT.
JOURNEE INCOMPLETE
Obligea.ot à prendre
un repas en dehors
absence excédant
7 h.. mais ne
d ~pa.s.sant pas 12 h.
TABLEAU II.
Déplacements de plus de
7 h. mais ne dépassant
,
INDEMNITES POUR FRAIS DE MISSION
Mission sail! découcher
137
�REPUBLIQUE FRANÇAISE
12 Juillet 1951
9- An"' •. - N' 28
OËPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
RecueiMies Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute corresponda n ce relative au R ecueil doit ~ tre adressée à la Prefecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Directio n des Services Tech nique • . - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Paies
AG 2. - Rémun ératio n des journa liers
communau x ...... .. . ........ . . . ..
CIA O. - E" plosifs de min es ........
P l. - Interdictivn, dans to us les
stands de tirs forai ns, de faÎre usage
139
139
de munitions comportant une charge
de poudre .... .... .. .. ......... .
Arrêté préfectoral organisa nt le
co ntrôle officiel facu ltatif de la production et de la ve nte du Jait de
vac he . . .... . ..... . ... ..........
TVX O. - Décla ration d' utilit é pu bli-
140
R 1. -
l igues (P. K. 54.016 à 56.610) ......
144
AG 6. - Révis io n de la liste électora le en vue des élections des repré-140
que des tra vaux de rectificatio n de la
R. N. n" 568, entre la Mède et Mar-
senta nts des or ganismes mutualistes
a u Conseil Sup érie ur de la Mutualité et des membres du Comité Dé-
partemental de coordination
de la
Mutualité des B.-du-Rh., a nnée 1951
144
ARRËTÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
02 B3
AG 2
REMUNERATION DES JOURNALIERS
COMMUNAUX
M. le Ministre de l' Intérieu r vie nt de
m'informer par circulaire télégraphique du
29 juin 195 1 q ue les di spositi o ns d u d écret
du 13 juin 1% 1 U. O. du 14 j uin) portanl
fixation du salaire minimum interprofessionnel ga ra nti et celles de la ci rculaire de M.
le Ministre du Travail, en date du 13 juin
1951 U. O. du 14 juin) so nt ap pli cabJes
aux salari és des collectiv ités locales rémunérés dans les mêmes co nd itions que les salariés de l'industrie et du commerce.
Pour le Préfet et 'pa r dél égation,
Le Secrétaire Général
règlement sur l e~ conditions techniques générales auxquelles sont soumis l'établissement et exploitation des dépôts de substances explosives destinées à étre employées à
des tra va ux de mine ;
Vu la demand e présentée le 22 ma rs 1951
'par M. PILONE Antoine, aemeurant â La
Ciotat, 5, rue des Frères-Blanchard, il l'effet
d'être auto risé à établir et à exploiter un
dépôt permanent d'explosifs de la 3e catégo-
rie, sur le territoire de la commune de La
Ciotat, c:trrondissement de Marseille,
Le Maire de La Ciotat entend u,
Vu les rapports et avis en date du 2 juillet
195 1 de l'In génieur en Chef des Mines de
l'Arrondissement minéralogique de Marseil·
LAMASSOURE.
D6 B3
Vu l'a rrêté de M. le Mi nistre des Tr~vau x
Publics en date du 15 fév ri e r 1928, portant
-------c~o oc~-------
CIA 0
EXPLOSIFS DE MINES
ARRETE
Le Préfet des Bouches-dll-RMne,
Vu le déc ret du 20 j ui n 1915 portant règlement d'administration publique sur la
Conseryatio n, la vente et l'importation des
dynarn.ltes et autres ex.plosifs à base de nitro-
glycénne, modifi é par les décrets des 17
~~ 1921, 2 février 1929, 1er septembre
Vu 'le déc ret du 20 juin 1915 portant règle-
me~t d'administration publiqu e sur la co nserva~,on, la ve nte et l'i mpor tation de diverses
su stances explosives autres que ce lles à ba-
~. d e2 nitroglycérine, modifiè par les décrets
es
février 1928 et 1Cr
1928 .
le .
Vu les rapports et avis de M. le Comm issaire de Police de La Ciotat en date du 10
avril 195 1,
ARRETE:
Article premier. - M. PILONE Antoine
est auto ri sé à établi r et exploiter un dépôt
permanent d'explosifs de la 3e catégorie, sur
le territoire de la Commune de La Ciota t,
arrondjssement de J\\arseilJe, sous les Conditions fixées par les l..I écrets et arrêtés susvisés et sous les conditi ons énoncées aux articles suiva nts ;
Article 2. -
Le dépôt se ra établi au lieu
dit La Pl aine B run ette, à di x mètres au moins
des routes et chemins et des propri étés voisines et à vingt-cinq mètres de tout autre
dépôt superficiel.
Ji apparti endra au type supe rficiel défini
par l'arrêté ministériel du 15 février 1928.
un local isolé non surmonté d'étages, Construit en maçonnerie et exclUSivement affecté
à la conse r vation des explosifs. 11 sera lermé
par une porte solide munie d'une serrure de
sOreté. 11 sera e ntou ré par une forte clOture
défens ive de deu x mètres de hauteur.
Article 4. - Dans un délai maximum de
trois mois après la notification du présent
arrêté,...M. P ILONE devra se faire délivrer
par la Mairie de La Ciotat un certificat attes-
tant que le d épôt a été co nstruit et qu ' il eSt
co nforme au pr ésent arrêté.
ILe certificat d'a uto risation prévu par l'ar-
ticle 28 des déc rets des 20 juin 1915 et 1er
septemb re 1930 ne sera délivré que su r le
vu d'un certificat\ de co.pstructio n du Maire.
Article 5. -
La quantité d'explosifs conte-
nue dans le dépôt ne devra excéder à aucun
moment le maximum de 50 kilo grammes
d'explosifs de la classe 1 (dynamite).
Cette quantité sera réd uite de moitié si
les explosifs ne sont pas enca rtouchés et sont
en outre contenus dans des réc ipients non
éta nches ou susceptibles d'ètre ouverts dans
le dépO t.
Art. 6. -
L'exploitation du dépôt se fe ra
dans les conditi ons fixées, d'une part, par
les décrels du 20 juin 191 5, m o~ifiés par
ceux dos 17 ma rs 192 1, 2 fév ri er et 1er septembre 1928, 1er septembre 1930, d'autre
part, par l'arrêté ministériel du 15 févri er
1928.
En particulier, le poids tota l d'elOplosifs de
di verses classes contenus dans le dépôt deà cinquante
kil ogrammes, si des explosifs de classes différentes y sont enlirel>o"és.
vra H re constam ment inférieur
Les
�-
, HO
5' Au Comma nda nt du XVme Corps d'Armee ;
d
. d
60 Au Commanda nt 5;ie la Gen a rm en e u
dépa rteme nt ;
.
.
7' Au Directeur de la Poudrer,. de SarntCham as.
B sera inséré au c Bull etin d es Actes Administ ratifs » d u d épa!tement. ,
.
M le Maire de La CIO tat et 1 In génieur en
Chef des Mines so nt ch a rgés, ,c hac u n. en cc:
qui le co nce rne, d'en assurer 1 exécutio n.
Fait à Marseille, le 2 jui ll et 195 1.
Po ur le Préfet,
Le S ecretaire Général délègue,
LAMASSO URE .
être enfermes dans un co mpartim ent spécial
quand ils sont dans un dépôt contenant des
expl osifs d' une autre classe.
.
Le d~p ôt des détonateu rs se,ra co nstitué
par une a rmoire spéciale, placee da ns. une
s alle servant de bureau ou de magasin et
co ntenant au maximum 2 kil ogrammes 5(X)
de fulm inate de mercure.
Il est interd it d ' int rod uire d es d éto nate urs
d a ns le d épôt d'expl os us o u des explosifs
d a ns le dépôt des déto nateurs .
Il est inte rdit d'i ntrod uire da ns le dépot
des obj ets autres que ceux qui sont indis-
pensables au service du d~p ôt. Il est .notamment inte rdit d' y introdulre des objets e."
fer des matiè res inflam mables o u susceptlbl ~ de p rodui re des éti ncelles, spécialement
------ <> OO C)-------
P 1
DI BI
INTERDICTION, DANS TOUS LES
STANDS DE TIRS FORAINS, OE
FAIRE USAGE DE MUNITIONS COM PORTANT UNE CHARGE DE POUDRE,
ARRETE
Le Préfet des Bouches-d u- Rhône,
Vu le déc ret- loi du 18 av ril 1939 fixa nt
le rég ime des maté riels de gue rre, armes et
mun itio ns ;
Vu le déc ret d'appli ca ti o n du 14 aoùt
1939 ;
..
Vu les inst ru ctio ns de M. le Mi nIstre de
l' In té r ie ur en date d u 12 av ril 195'1,
des amo rces et des allumettes.
Il est inte rdit de l aisser des her bes sèches
et d"emmafTasiner des matières facilement
infla m mab~s. telles que du fo in, de la. pai lle, du bois, du papie r, du coto n, du petro le,
d es huiles et graisses, etc., dans un rayo n
d e di x mètres autour du d épOt.
La garde du dépôt se ra co nfiée à un agen t
s pécialement désigné à cet effet. Cet agent
s era détenteu r des clefs et les opé rations de
manutention et de distrib utio n de rexplosiî
ne pou rront se fai re qu'e n sa pr ése nce et
sous sa respo nsabilité. Cet agent devra dispose r d' un logement conve nablement protégé
contr e un e explosion mais s itué de ma nière
à permettre une su rvei ll a nce efficace du dé-pôt.
On ne dev ra pénetrer dans le dépôt que
ipieds "nus ou avec des chaussu r es de fe utre,
si des exp losifs à l'état pulvé r ulent so nt
conservés da ns le dépô t.
Le se rvice du dépôt se ra fait exclusive ment
à la lumière du jou r. L'introductio n d'une
lampe quelconque est fo rm ell ement inte rdite.
Il est interdit de fai re du feu et de fume r
aux abo rds et 11 l'inté rieu r du dépôt.
Les caisses Ou ba rils co nte nant l'explosif
d ev ront être manipulées avec précaution et
préservés de tout choc.
L'i ntér ieu r du dépôt dev ra Hre tenu da n3
un état constant d'ordre et de prop rete. Les
r ésidus recueillis dans le nettoyage sero nt
d ét ruits pa r l'eau o u par le re u, en opé rant
avec les p récautions nécessai res.
JI sera tenu un registre d'entrées et de
so rtiès indiquant les qua ntités de poudre int rod uites, avec leurs dates de réceptio ns et
leur provenance. ainsi que les quantités so rties, avec leurs dates de liv raison et les noms
des personnes auxquelles elles ont été remises.
L'exploitant est tenu de donner, en tout
temps, libre accès de son dépôt aux agents
des Co nt ributions Illdirectes, aux agents d u
Se rvice des Mi nes eCà tous autres fonctionnai res ou agents désignés pa l' le P réfet; il
doit, à toute r équisition, commu niquer à ce5
fo nctio nnai res ou agents, le registre dont la
t enue est prescrite par le pa ragr aphe qu i
précède.
Une co nsigne, si g née de "exploita nt et
contenant toutes les indi ca tions rel atives a ux
opé rations de manutention et de distribution
et aux mesu res de sécurité sera affichée
dans le d épô t.
Art. 7. - Amp liatio n du p résent a rrêté
sera not ifiée ;
10 Au permissio n naire ;
2' Au Mai re de la commune de La C iotat;
3' A M. l' In gé nieur en Chef des Mines de
l'arrondissement min ér a l
ue de Marseill e;
i
l ~~
4'
Di
Arrête:
1
Article premier. - A date r de la p ubli cat io n du p résent a rrêté, il est interdit d a ns
to us les sta nds de tirs fo rai ns de fa ire osage
de mun it io ns compo rta nt Une cha rge de
poud re.
Seules sont auto r isées les muni ti o ns du
gen re Flobert, Bosq uette ou a na log ues à
percussion a nulai re qui ne compo r tent pas
une cha rge de po ud re.
Art. 2. - Les infractio ns co nstatées seront ré primées, co nfonné m ent aux lois et
règlements en vig ueu r.
Art. 3. - M. le Sec r étai re Génér a l, MiM.
les Sous-Préfets d'A rl es et d'Ai x-en- Provence, \M. le Directeu r Dépa rt emental des Se rvices de Po lice, M. le Chef d·Escadro n Com ·
ma ndant la Cie de Genda rme rie des Bo uches-du-R hône, sont cha rgés, chacu n en ce
qui le cOI1cern e, de l' exécut ion d u pr ésent
a rr ëté.
Marseille, le 12 jui n 1951.
P . le P réfet, pa~dél éga tion,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
------<>00<>- - - --
D6 BI
RI
DIRECTION
DES SERVICES VÉTER INAIRES
AR RETE P REF E CTO RAL ORGAN IS AN T
LE CONTRO L E OFFICI E L FAC ULT ATI F DE LA PRODUC T IO N ET DE LA
VENTE DU LAIT DE V AC H E ,
Le P réfet des Bouches-du-Rhô ne,
Officier de la Lé gi on d ' Ho nn eur,
Vu la loi du I ll. août 1905 Sur la répres·
sio n des Iraudes, modifiée et comp létée pa r
les lois du 5 août 1908, 28 j uill et 19 12, 3 1
décemb re 193 1 (art. 123) et 2 1 Juill et 1929 ;
Vu l'article 65 de la lo i des fi nances du
27 fév rier 19 12 su r l'ag rémen t d' agents de
Vu le d écret d u 22 ja nvier 19 19 complété
par le décret du 3 1 d écemb re 1928 po rt ant
règlement d ' ad mini s trat io n pu blique Sur
l' a ppli catio n de la lo i d u 1e r ao ût 1905 ;
Vu 10 dec ret d u 25 m a rs 1924, modi fié par
le d écret du 23 septemb re 1934, portant
rèaleme nt d' adm inist ra t ion pu blique POur
l' appli cat io n de la loi du 1er août 1905 sur
la r épress io n d es 'fra ud es en ce q ui concer ne
le la it et les p rod uits lai ti ers;
Vu la lo i d u 7 jui llet 1933 s ur la proph y_
lax ie de la tuberc ul ose des bovidés et Sur
le co nt rôle cde la salub rité d es via nd es ;
Vu le d écr et du 24 ja nvie r 1934 relatif
au x via nd es pr ovena nt d' ani ma ux tu.tJe rcu.
leux et a u mode d ' uti lisa tio n d u lait de ces
a nim aux, a insi que du sa ng d es bov idés;
Vu la lo i du 2 ju ill et 1935 tenda nt à l'orga nisa tio n e t à l' assai.nissem ~nt des ma rchés
d u la it et des prod Uits réSineux ; vu, no·
t a mme nt, l' a rticle 4 ainsi co nçu :
« l es lai ts provenant d'é tab les soumises
< a p rès d.éC'!ar ati o ~ .. à u n co ntrôle o~ f~ ciel
< vét érin a ire et med lca l do nt les co nditions
< se'To nt étab lies v·a r décret rend,u sur les
4: pr oposit io ns des m Lnis t res d e l' Ag ric ultu re
< et de la San té Publi que, 3JP.rès avis favo~
« rable du co nseil s upérieur de l' hygiène,
« po ur ro nt être vend us à l' ét~1: cr~ o~ ap rès
« .pasteu risatio n, so us la denom ll1 atlO n de
( lait p rovena nt d'étables
off iciellement
« co ntr ôlées " en in d.i qu a nt, en outre, s' il
« s'aa it d'e liait cru o u de lait pastelJlrise.
« Seuts J les la its (lepo.nctant à ces ~ond i.
.: t io ns a uront dro it à cette appellation ;
« to ute au tre appell ati on ri s qu a nt d'etablir
c une co nfus io n avec la d ésigna tion .précé« dente est interdi te, sous les pei nes prèvues
« pa r l'a r tic le 13 de la loi du . l e r août 1905,
( modif ié par la lo i d u 2 1 J.u" let 1929, sans
« pr éjudice de pei nes pl uS. g raves, en cas ~e
« t rompe r.ie ou d e te ntative de trompe ne,
« rés ul ta nt des d ispositions générales de la
« d ite loi .~.
Vu· le déc ret d u 28 avril 1939 réglementant la ven te du la it cru pour la co nso mma·
t ion hum ai ne ;
Vu l'arrêt é préfecto ral du 17 octobre 1941 ,
e nsemb le celui du 14 juin 1949 rela! lfs a la
salub r ité du lait ;
.
.Co nsidé rant que le d éc ret prév u à l'a rhcie 4 de la lo i du 2 juillet 1935 n'a pas encore" été p ublié ;
.
Co ns id érant q u' ill est cependant essenhel
et u·rgen t de favo r iser l'assa ini~s~~ent ,dU
ma rché du lai t en facil itant le bc nef lce d un
co nt rôle offic iel aux p roducte u rs de bonne
vo lo nté q ui en fe r aient la demande;
Co nsi d érant qu' un tel contrôl~ peut ~t~e
léga lement inst itué Ipa r appli ca t Io n d~.s
tructi ons de M. le Min is tre de l' Hyglene e
de M. le Ministre de l' Ag r iculture en ,:ate
d u 15 novemb re 1927 auxquels était JOint
un modè le d'arrêté pré fec to ra l portant organisatio n d' lI'n co ntr ôle fa cultatif d e la pro-
w:,;
clU~~~~i~~~~~~e q;U' il est toutefois oppo rtun
ù'apporter au texte prop osé.. un certam
nombre de pl écisiolls tirées d e l'expérrence
acquise en cette matière, ces derniè res an;
nées dans diffé re.ntes villes et notammen
à ~rsei ll e Oll a été instit ué un .contrô!e mUnicipal fac ultatif des producteurs de lait destiné à la vente à l'é tat cru;
d' H _
Vu l'avis du Conseil D épa rteme nta l
y
giè ne da ns sa séan ce du 18 avril 1951 ; d
Vu l'avis d u Comité Départemental
"
1IiI1i1
fr audes à la d emaïndï e. dïeis. i lai iït • . • • • • • • •I1. . . . .
141
Ar rê te :
Article premie r.. - A) Il est créé su r le
·toire du d'épa rteme nt des Bo uches-d u~~~' e un contr ôle o ff icie l facul tati f de la
od"uctio n et de la ve n te d u la it de vac he.
pr B) Les maires q ui se ro nt so lli ci tés, .'P~ r
Jication de l'a rrêté préfectora l d u 14 JU in
a~9 ête nd a nt à to utes les co m m un ~s d u d~1 rtement l'ob li gatio n, . po u r .Ies lI1tére~~
fési reux de ve ndre d u lait c r u s~r I~ terTl.tOJre de la commun e, d'e n obte nir 1 autQnsaf
préa lab le, po ur ront la subor do nner
IO;ès avis de la Commission p.révue à !'a r~i~le 2 a udit arrêté, à l'a~ceptatlo n des prescriptior.s du p rése nt a r reté.
.
Le prése nt a rrêté est va lab le po ur serv ir
de règl ement spécial d'a ns les . oCo n dlt.lO~S
prév ues à l'a rti cle 5 § 1e r de la lOI d u 2 l Ulllet 1935.
.
C) Aux appe ll a ti ons de drO it actue lleme nt
.en vigueur ou q ui viendraient à ê,t r.e m l~es
régulièrement en usage pou r la d€S1gnah on
des di verses q uaJités de ,lait! les producte~rs
d'un I·ai t co ntrô lé: en ex ec utlon des Ipresc nptions du pr ésen t arrêté, et tous les inte rm é·
diaires a ux divers stades de sa ve nte, pou'rront ajouter la mention «officiel,l.em~ n t.contrôlé ) en indiqua nt en o.ut re s ~I s agit de
Iait cru ou de lait past.e unsé, maiS sans au tre qualificatif susceptib-le de l ai.s~e: c roi ;.e
à une supériorité a·ut ~ement def.lnl.e. S II
s'agit de lai t pasteuris~ les pres<: nptlo~~ de
la reglementatio n sp~cla l ~
ce lait s aJoutent aux présentes di spOSI tio ns.
D) A tit re t ransitoire les autor!sa.tions actuellement en vigueu r su r le terntOire de la
Ville de Marseille so n t va1idées co mme acquises a u titre d~ la présente rég lementation.
Toutefois celles qui remontent à une date
.antérieure a u 1er juillet 1950 seront an n ~lées de dro it SL dans un délai de de ux mOJS
.à dater de la' par ution du présent arr~té,
e!1es n'ont Ipas ét é renouvelées en exécutIOn
de ses prescripti o ns.
Article 2. - A) Le contrôle officiel facul tatif est ,permanent et s'applique tant aux
an imaux Iprodu cteurs qu'au matériel d~exploitatioll et au personnel employé a.ux lieux
de produ ction et de vente et en cO'urs de
transpo rt. Les conditions auxque ll es il est
subo rdonné se surajoutent à toutes les prescriptio ns léga les d éjà applicables en cette
matière GU qui viendraient à êt re promulguées.
Toutefo is en raison d u caractère fac ultatif
du 1jJ:c.senr co ntrô:e ces conditions restent
va lah!c 3, sau f le cas de dispositions d'ordre
pubU c, même s i elJ.es sont co ntr aintes à des
règlemen ts édictées a ntér ieurement.
B) Ce contrôle est ind ependa nt de la pale~te sa ni tai re d élivrée par app li cation de la
lOI du 7 jumet 1933 s ur la prophylaxie de
la tubercu lose bovine.
Toutefo is s ur p rop'Osition du Directeur
des Services Vétéri naires il pourra être exigé de~ exploitants, a dmis depuis deux ans
-au molOS a u bé néfice du présent <ifrêté sa ns
que des rcsultats sat isfaisants aient été obtenl~s, que la prophyJ..1:xie de la tuberculose
~OVtne y soi~ I poursllivi~ comme il est dit
~ns cette lOI et les textes pris pour son 3Jppl Ication.
a CléS' il .Y a lie u, les fo urn itures de lait c ru
Ux tabhssements pu bUcs et d'ass istance se~?~t ~éservées pa'r priorité aux p ropriétaires
tata les officiell ement cont r ôlées par appli ·
IOn du présent texte ou, à dé faut, titu-
?e
la i.res de la p atente sa nitai re d élivrée en ..p_
pl ica tio n de la lo i du 7 ju ill et 1933 sur la
p roph ylaxie de la tu bercul ose bovI ne.
Artic le 3. - A) T o ut prod ucteur d e lai>!
désireux de se so umettre a u co nt rôle officie l
facu ltat if doi t en faire la <.Ie ma nde a u P r.étet, Direct ion des Services Vétér inai res. Cette demande 'doit compo rter les in dicatIOns
s ui vantes:
- Nom, p rénoms et qualité (,prop ri étaire,
f.e rm ie rJ métayer ou gé ra nt) du de mande ur;
- Raison sociale Si il Y a lie u j
- Lieu de l'explo ita tion, situation du dépôt de ve nte;
- Even1uelle ment date et .numéro de l'arrété préfecto r al concer nant l'exploita tio n
d' un établissement classé par application de
la lo i d u 17 décembre 1932 ;
Nomb re de va<ches, quantité moyenne
de lait vendu avec ind icatio n des extrêmes
sa iso nnières s'i l y a lieu ;
~ Nom du vétér inaire habituel et du médecin t raitant que le demanoeur dési re rait
voir agréés au titre du contrôle pe.r manent
des animaux et du pe rsonne l.
- Engagement de recevoi r le ur visite, de
se soumettre à leu rs indications concernant
le cO.ntrôle des animaux (notamment la ma rque au feu <les vac hes adm ises) et la surveillance du Ipersonnel et de s~pporter les
fr ais de tous ordres qui en résultero nt.
B) Si l'enquête vétér inaire et médicale est
favorab le, le Préf,e t en inf orme l' inté ressé,
lui notifie l'auto r isation q ui lui est accordée
et lui indique le num éro d'immatriculatio n
qui lui est affecté et qui devra être reproduit comme il est dit a ux a rticles suivants
concernant le maté rie l de transport et la termeture des récipien ts.
Un exemplaire du plésen1: arrêté se ra notii~é au bénéficiaire de l'a,uto risation qui en
accusera r éception en s'engageant à respecte r toutes les conditions qui lui sont im posées pa r ce te x'te.
C) Toute modif ication impo rt a nte survenaHt dans les co n.clitio ns d'exp loitation devra
être déclarées sans délai à l' administration
préfecto rale à peine de retrait immédiat de
l'auto risation.
En cas de vente. cessio n ou location d"une
étable admise ' à bénéficier des présentes dispositions. le noU\'el exploitant, quelle que
soit s.a qualité, devra demander dans la forme indiquée à rartic1e l , le transfert de
l'auto ri s.a ti o n à son nom.
Si l'enquête médi<:ale est favorab~e, . ce
transfert sera a-ccordé sans 'autre obhgahon
pour le nouvel exploitant que de .gI.engager
à se soumettre à tou tes les condItions a<:ceptées pa r son prédécesseur.
Art icle 4. - A) Le .person nel employe à
la récolt~, au, transport et à la vente du. I~it
provena.nt d'étables officiellement controko.es
ilevra observer pour lui-même et pour ses
vètements la propreté la lplus. ~inutiellse ...
B) T outes les personnes visees au precedent a linéa seront soumises aux mesures de
contrôle mêdical prescrites par le J\o\édecin~
Directeur de la Santé. notamment en ce qUI
concerne la recherche des maladies transmÎss ibles à l'h omme par le lait (porteurs de
ge rm e).
.
Ces mesures comporteront un examen cl lnique" de3 ép re uves .diagnostiques et des
contrôles de la boratOi re.
Elles seront o rdonnées pour l'ensemble du
personne l vise ;l\"~~t. la dé li vr.ance. ~e l'autorisatio n de bénchcler des dlSposltlons d u
p résen t a r rété, et dans les 15 jours qui suivro nt l'arri vée d'u ne perso nne nouvell e dans
une exp loitatio n déjà détentrice de. cette auto risation.
C) Toute ma ladie contactée doit être déclarée.
S' il s'agit d' une maladie transm issible, la
pe rsonne atteinte cessera immédiatement son
travai l et ne se,ra autorisée à Je reprendre
que sur le Vu d'une autorisation du Médecin-Directeu r de la Santé.
D) La présence parmi le personnel d' une
~e l sonne frappée d' exclusion ou non régulièrement admise après contrôle médical entrainera le retrait im.médiat de ("autorisation
don née à l'exploitant.
E) Le A1.éded n-lns pecteur agréé procède
ch.a que t rimestre à une visite de tout le personne l visé au présent titre.
Art. 5.- A) Les locaux placés sous la surveillanCe -des agents du contrôle officiel facultatif comprennent l'étable et ses a nnexes
(fosse. à fumier, fosse à purin, salle de p réparatIOn des aliments, a b reu voir) la salle de
laiterie, les dépôts de vente ~t leurs an nexes.
.Ces Jocau~'( devront satisfaire aux prescriptions de l' arrêté ponant règle ment sanitaiTe dépa rtemental et, s'il y a lieu, aux dispositions prévues par la loi SUr les établissements classés.
Ils S€ro'n t entre tenus en permanence en
partait état de propreté et désinfectés régulièrement au moins deux fois par an et après
la constatation d'une maladie contagieuse.
B) Les locaux seront pourvus de prises
d'eau potable en nombre suffisant pour permettre le ur nettoyage efficace. Il est inte rd it
de mai ntenir dans ces locaux ou à leur voisinage immédiat des prises, sources, citernes
ou puits sus ceptibles de donner une eau non
potable .
Lorsque l'eau util isée pa i l'ftablissement
pour le netto yage tant des locaux que des
appareils. bidons et récipients ' ou ustensiles
de toutes sortes, ne se ra pas celle p rovenant
de la distribution urbaine, j'auto rité sanitaire pourra Qrescrire, aux irais du propriétaire. gé rant ou exploitant, toutes analyses ou
e:\-pertises nécessaires pour en re connaître
ou cont rô ler la salubrité.
C) Le sol sera éta bli en surélevation su r
la voie publique. imperméable et aura une
pente suffisante pour permettre l'écoulement
facile des eaux ; il sera établi une grille s iphonée si lpossible raccord~ à l'égoùt.
Les murs seront ren':tus, sur une hauteur
de 2 mètres au moins d'un ren~tement lisse,
imperméable et imputrescible raccOIdée au
sol.
Les angles antérieurs seront bien arrondis.
Les plafond re\'ètements supêrieurs et si
pOSSible les ve rrières. seront pe!nts en bleu
et des pu lvérisa t ions 3'CtivCS contre les in sectes ailés seront renou\'ekes a.r i sou"ent
que necessai,re. mais ni au moment de la
traite ni à l'heure des manipulations.
Les loc aux se ront efficacement protégés
contre les mouches.
L'utilisation des hangars non cl05, e..xposés aux poussières et aux contaminations est
interdite. pour la manipulation d u lait, le la"age et l'égouttage de bidons.
Il est interdit de ,umer ou de crache r soit
dans les étables à rheure de la tra ite, soit
dans les autres locaux en tout temps.
des
Les cabinets d>aisance,
�Ion
-
avec eux, seront maintenus en parfa it état
de propreté et désinfectés journellement.
A) 'L'étable sera pourvue
Article 6. d'une source d'eau sous pr ession pour permettre son la vage à grande eau.
Chaque jour. après ce lavage, une désinfection sera faite soigneusement à l'eau j a-
velljsée.
Les étables del'Iont être .:o<Xlilionnées de
façon à offrir lpar tête de bétail un robe
d'air en vi ron 20 à 25 m3 et une surface
d'éclairement par baies, fenê tres ou vitrages
de 35 à .JO décimètres carrés. Les paTois et
plafonds sero nt constitués de ma téria ux
jointifs offrant le otinimum d'aspérités. Des
can ivaux seront aménagés derrière les ani-
mau., pour fadjter l'écouleme nt des déjecnOOS. Hs seront couverts dans leur pa rtie ne
corresponda nt pas à la place des anjmaux.
L'ai re à fumier devra être distante d'a u
moins 20 mè tres de l'étable et de la salle de
lai terie.
La fosse à pu rin sera étanche couverte
fa cile à nettoyer et à désinfecter' et le ma~
tériel de vidange sera e.xclusivement réservë
à cet usage.
Chaque fois que le bra nchemen t a u t out à
l 'èg~ ut ser a pO~lbLe il sera exigé !pOur l'éva-
cuahon du punn comme des 'faux usées.
L'étable Sera nettoyée et le fu mier enlevé
une demi -h eu re avant la traite.
L a distribution des aliments, notamm ent
des fou rrages secs, se fera après la tra ite.
D ans tous les cas où la disposition des locaux le pe,:"ettra, un lazaret sera prévu soit
pour la mIse en observation des ani maux
nouvell~ment introduits soit pour l'isolement
des arumaux malades pendant leur traiterent ou en attendant leu r élimination. A dé-
f~ ut d~ local séparé, un coin d'étable sera
reserve aux mêmes usages.
S~ L,,; salle de laiterie
comprendra un e
p.a rtle rese.r:vée. exclusivement aux manipulations d'Il laIt, a son refroidissement et à sa
conservatIOn en attente de sa livraison et
une partie aff~tée a~ .nettoyage (Iavag~ et
é??uttage) et a la deslnfection du mat"riel
d eq uJpement et des récipients à lait.
La salle de laite rie se ra sépaorée de l'étaole. El~e sera bien. aérée, bien éClairée et
~onst:ulte en matériaux faci les â nettoyer et
a désmfecte r.
Elle se ra pOUIVue d'eau courante et éq ui~ée, de ma.",ere à De que les opérations qui
OOllent y etre effectuées puissent l'être daos
de fYclrfaues conditions d'hygiène.
S, elle sert en même temps de salle de
ven t~, une .tab le avec dessu en marbre ou
en ZHU: pelOt . à l' huile ou en tôle d'alumi OIum sera utilisée pou r le débit
• En fi n la salle d~ laiteri e sera pounrue
dune. s.ource de frOId susceptible d'assurer le
ref.rOJdiSSement ~u lait. dans les conditions
qw so nt fixées ~ l 'arhcle 7 ci-après.
Une afflch ~ dellvrée par la Direction des
V:éten~al res et rés umant les soins
Servlc.es
et preca utIons a prendre .pendant la tra ite
e t la man IpulatIOn d u lait devra être apposée pa r l'elOploitant dans l'étable et dans
la salle de laiterie.
Article 7. ,-. A) Le contrôle des ani ma ux
s~ra f8l t SOI t a l'occasion de la dema nde
d autonsatlOn prévue à J'a rticle 1er soit s·
eU.e. est aecordée, chaque fois Q u'u~e va~h~
laitière sera nouvellement introduite dans
J'explo itation.
Dans tous les cas il com prendra
U.n
tous les étals pathOlogiques susceptibles de
nuire soit à la conservation du lait, soit sjmplement à sa vente sous bénéfice de l'appellation de qual ite définie pM le I>fésent arrêté. Cette recherche comporrera ,plus pa rticulièrement le dépistage de la tuberculose. de
la brucellose, des affections intestinales e t
génita les, des maladies pyrétiques ou s uppurées, quelle qu e soit leUI ca use ;
b) Des épreuves de dépistage pour celles
de ces affections qui en comportentJ
plus
pa rticuliè rement la tuberculose et les br ucelloses.
Le Vétérin aire san itaire ag réé ,procèdera
au..'\ inocul ations d'après les méthodes fi xées
par le Directeur
des Services V étérin aires
qui sera tenu inform é des jou,,> et heure de
l' intenrention ainsi que des j ours et heure de
la séa nce de contrôle.
Lorsque la tu berculin at io n est pra tiquée
avant la livraison de l'animal à l'exploHant
d'une étable contrôlée ses résultats ne seront
tenus pour val ables a u t it re du prése nt a rrêté qu e s'ils datent de 15 jours a u plus e t
dans les cas seulement o ù il a ura été procédé à la t ube rculina tion.
Soit sous le contrôle du <Directeu r des Services Vétérinaires ou de son déJéa·ué .
Soit pa r le V étérina ire
char gé bo ffi~iel1e_
men t de la su rveilla nce de l'exploitation .
Soit. s'il y conse nt, avec SOn accord 'o u
sa par ticipation effec ti ve, à la demande et
aux frais de l'exploitant, aux séa nces d'in&-
cula lion et de co nt rôle, le c'hoix de cette dernière sol utio n n'étant possible que dans les
cas où les deux Vétérinai res inté ressés rési -
dent dans la même localité.
Au cas où l'animal est introdu it dans l'e.xploitation surveillée sans avoir subi de tuberculination, cette épreu ve peut ètre pratiquée par ~ e y étérinaire agr éé, compte tenu
des prescnphons de la réglementation en vi-
gueur vjsan t la rédhibi t ion pour la t uberculose.
Au cas où l'ani mal est introd uit dans l'exp!oitatio~ ap rès avoir subi, depuis moins
d' un moIS, une t uberculination non valable
pau r une r.aiso n quelconque, au ti tre du
p résent a rreté, le Vétérin aire a"réé procédera à JI(PJ:'euve d'~gré ~e n t ,danso un délai qu i
n~ .sa u r~t être Infén eur a
20 jours ni su-
pe.n eur a un mois.
.L'ex.ploita nt est ten u de fourn ir t.ous ren selgne~en.ts à sa con naissance Sur les tube ~~ u hnatlOns antérieures subies pa r l'animal
qu!1 s.e propose d'introduire dans son ex-
ploltahon ou qu'il y a int r<Xluit. Toute t rompen e. ou tentative de tromperie à ce sujet
e~tralnera le refus de droit de l'ani mal liti~~eu!, et, en , ~~ . de récidive, le retrait pro\ISOlre ou deflnl'bf~ sur la propositîon du Dire~t~ur des Services Vétérinaires, de l'adffilSSlOn au contrôle facul tatif.
De~ tuberculinations
de sondage
et de
controle. pourront .être pratiquées d'office,
su~ d~1S10~. du Dlrecteur des Services Vétérinaires, Ilnterv~ntion étant, dans ce cas,
effectuée sans Ir8ls pour l'exploitant.
La garantie do nnée par la tuberculination
est de u n an, Cette épre uve sera répétée.
pour. chaque ani mal, ava nt l~e Xlpi ration du
~o uz l ème mois suiva nt la précédente opér ation. Toutefois à l'occasio n de la tubercu.li_
nation annuell e de la maj orité des animaux
composant l'étable,
les vaches
introduites
depuis plus d'u n mois seront tube rculi nées
de manière à ce que le co nt rôle dispose à
date fixe, d.' un tableau dtensemble de la 'si -
Les vaches dOllt l'état de santé devien
drait in~ompatible avec la producti011 d' -
lai~
sain
~oivent
.être, sur ordre du VéthC
na Ire au ssItôt pr evenu, isolées des aut
.
t él'1I1un
. ée s de la prOduction• la'
res
ammaux e
tière soit
rpro~i soire1!1en t,
s'il s'agi t d.' un acct
de nt t empo ra Ire, SOIt définitivement da ns les
autres cas .
La remise e~ vente du lai t de ces animaux
ne sera auto ns~ que, S~I~ d~ci s ion du DiTecteur de s Servi ces V cterlll al·res ,i nscrite au
carnet d 'é table.
. Le lazaret ou l ~ coin d'éta ble en tenant
lJeu sera déSinfecte <:haque fois qu 'il y aura
été isolé des a nima ux ma lades.
. Les Clpé: a ti ons de dépistage (examen clinlq.ue et epreu ves dIagnostiqu es) devront
être te rminées ~ t la d ecision d'acceptation
ou. de. ref us pnse dans le délai d' un mois
qUI sUIvra la demande 011 l'introduction d'un
nouvel animal.
143
s'il s'agit d'\Ine
forme légalement
conta-
gieuse.
Le carnet d'étable sera établi d'après un
modèle agréé par le Directeur des Services
Vétérinaires. Le terle du' présent arrêlé y
sera inséré obligatOIrement.
D) El> cas de contestation qu elc? nque sur
les délais, sur les méthodes employees ou sur
l'interprétation des rés ultats. le Direc te ur
des Services vttérinaires se ra seul juge de
1. décision à prendre sans qu'il puisse y
al'oir appcl sous quelque forme que ce soit
de son jugement qui est d' ordre admin istratif et à ce titre ne relève que de l' autorité
préfectorale.
Sur accord du Directeur des Services Vétérinaires agréé peut à .toute da te procéde r
à telle investigation cliniqu e, sérologique ou
autre qu'il jugera n écessaire pou r ,la bon ne
execution du contrôle dont il a la charge.
c) Des contrôles de laboratoire do nt la
E) En tout état d e ca uSe il procède"" à
nature sera déte rnti nee par le Directeur des
Services V étéri nai res sur propositio n ou
après avis du. V étérinaire Sanitaire agréé.
une visite tri mestri elle au moins et no tera,
S) Les ani.maux seront ma~qu és au feu, à
Ja Come drOIte d u numéro d' Irnm atricul ati ort
de J'exploitatio n, à la COrne gauche de leur
num ér o d'i nscription au ca rn et d'étable.
A dé faut de co :nes, J' an'im al sera marque
au x ongles antéri eurs d' une mani ère .ident ique à cell e pré\rue ci-dessus. D ans ce cas.
la marq ue sera renouvelée si la poussée de
la -co rn e venait à la rendre ilLisible.
C) Le Vétérinaire Sanitai re agréé tiendra
un, ca r~ e t d'étable sur un registre qui aura
éte prealab le mcI>t coté et pa rap hé par le
DJfecte ur des Services Vétéri naires.
Ce carnet co mportera deux ,pa rties.
L a première ser a réservée à l'inscri ption
des vac hes au fu.r et à mesure de le ur examen. EUe co mpor.tera l a mentio.n : du signa l em~n t ,précis de fan imal, de la marque
au feu ImpOSée ;
De la da te et des résult,ts de r exame~
clin ique et des autres opér atio ns de dépistage ;
De la décision du Vétéftinaire SanHai re.
Copie de ces mentio ns sera adressée cha-
qu e fois au Direc teur des Services VétérinaIr es.
. La pl ace laissée li bre pou r chaque inscription de vache devra être suffisante pour
qu'à l'occasion des contrôles annuels ou excep tion nels suivants, toutes mentions utiles.
puissent y être portées. Copie de ces mentions devr a être également adr~--sée au Directeur des Services Vétérina ires.
En cas de 1 eforme ou d'elimin ation, mention de la dat e et de la destination sera
ajoutée. Si la callse en e:st ·Ia tuberculose
même non contagieuse, l'animal attei nt se ra
o'bligatoirement dirigé sur un abattoir surveillé pour y elre abattu. Le transpo r t sera
fait sous le co uve r t d'u n laissez-passer sanita ire délivr é dans les cond itions ordinai res
visant la police sanitaire des maladies conta-
gieuses. Les lésions co nstatées à l' habillage
et à l' in spection sero nt consignées
sur I~e
laissez-passer qui devra êt re r.envo yé au 01recte u.r des Services Vété rina ires dans les
cinq jou rs à dater de sa déli vrance.
La d euxième partie du carnet d'étable se'
ra r éservée aux inscriptions concernant les.
animaux refusés. Elle mentionner.a la d.a~c
de l'exame n, la cause du refus, et 13 déestli
nation de l'ani mal refusé, aucune n' tant
même en Cas de tuberculose. sau
à cette occasion, au car·net d'étable, les ob..
servations fai tes, les malad ies. s.i gnalées et
notamment ,les avo rtements s'il en a ét é
constaté.
F) Aucune éljmination de vaohe inscrite
ne peut se faire, même si aucun e raison patholo gique n' en est la cause sa ns que .le Vétêrinalre Sanitaire ag réé n'en so.it avisé.
Article 8. - A) Les I écipients d est inés à
fabriqués en m a t ières nOIl s u sce~ti b le; d e
donner au lait un go ût ou une odeur anormaux Ou de réagir sur ses co nstitu ants.
L'empl oi de r écipients émaill és ou ve rni ssés au pl omb ou r ouill és est int erdi t.
Les réci pi ents devront être faci les à netto)'er et à desin fecter et en tr etenus en bon
etat.
B) Leu r nett oyage co mpo rtera le lavage,
le brossage et le ri nçage à l'ea u froide potable, la dési nfectio n à l'aide de solutions aussi
chaud es que possible de ca rbonates alca lins
ou d'hypoc hlorite de so ud e, ou,.à la vapeur.
Un n nçage fi nal à l'eau potable se ra sui vi
d: l'égo uttage et d u séchage dans le local
reservé à cet usage à l'abri des poussiè res.
lJ est inte rdi t de laver les réci pie nts a ll x
born es-fo ntain es pu bli ques et en génér al sur
la voie publique.
C) Ces récipients dev ront, s'ils se r vent a u
tra~spo rt du lait, porter la ma rque de l'explOitant et so n numér o d'immatriculation
bien appa rent et en ca ractè res indélébiles.
D ~ ns ce cas, il s dev r ont également être
mUniS d'un couverc le bien adapté susceptible d'être scellé par des cachets ou un
plomb .
,. 0 ) ~e matér iel de traite méca ni que sera,
S!I eXiste, en tretenu comme le matéri el de
receptio n et désinfec té rég ul iè reme nt.
Arti cle 9. - A) Pell de temps ava nt la t raite, le ve ntre et la q ueue des vaches laitiè res
s: ront dé ba rrassés de to utes malp rop reté
rlls.ble: Les ~ach es seront traites proprement.
est in terdI t d'employer la traite humide.
1 Le ~ ai t doit être transvasé aussitôt après
da tralt~, .avec interpositio n d' un filtre, dans
es réCIpients spéciaux.
à B) .Les filtres, les mélangeu rs, les seaux
traire seront en tre tenus en \)o n état de
l''ffreté et de fo nctio nnemen!.
la tS se ront netto yés et ébou ill a ntés ava nt
raite.
'
f Iltra
'
ch La ma f lere
nte sera détruite a près
aque séa nce de tra ite.
Cl Le lait sera transporté immédiatement
à la salle de laiterie au ,fur et à mesure de
étrangers, de lait ou de produits d~rivés du
lait.
la traite.
Le tex te ci-dessus sera reproduit sous for-
Le lait doit être mis en récipients clos et
rerroidi aussitôt après la traite, de mani ère
à ce que sa température soit ramenée à
+
10° au ma ximum en un temps qui ne devra
pas d épasser 2 heures.
il sera maintenu à cette temp érature max imum jusqu'à son transport au dépôt ou
ju squ'à sa livraison au consommateur en cas
de vente sur place.
0) Les tra ites ne sero nt pas méla ngées.
Elles se ront vend ues séparément.
Article 10.- A) Le lait doit être transporté
da ns des bidons dûm ent plom bés ava nt le
le dépa rt de la salle de laiterie.
L es vé hicules utilisés devront être p ropres,
faciles à nettoyer et dési nf ectes régulièrement
au moins un e fois par jour.
,Lorsque Je véhicul e ne se ra pas exclusivement affect é au transport du lait, un compartim ent séparé lui sera réser vé.
S) Les plombs ou les cac hets assu ra nt
l'in tég rit é abso lue de la fe rmet ure doivent
por te r le num ér o d'imm atriculatio n du producteur, la date du jour et la mention M ou S
sui va nt qu'il s'agi t de la tra ite du matin ou
me de placa rd et obligatoi rement
affjché
dans tous les locaux de ve nte en un endroit
si tué bi en en vue des co nsommateurs.
0) Le lait doit êt re mai ntenu il une température ne dépassant pas 10· C.
E) La vente ser a faite l e mati n pour la
trai te du matin, et le soi r pour celle ~u soir.
P) Les pots aussi tôt a près êt re VId és seront lavès, rincés à l'eau po table et égo uttés.
Les opératio ns de nettoyage des récipients
et du ma tériel de débit et de mesur e ne devront pas être effect uées da ns le local où
est ve ndu le lait ou seulement apr ès la fin
de la ve nte.
Article 12. - A) Les lai ts bénéficiant du
label de qualité créé par le prése nt arT~é
devront répondre au x p rescri ptio ns générales des règlements d' administratio n publiqu e pris en app lication de la loi du 1er aoQt
1905, des décrets pris en applicatio n de la
loi du 7 juillet 1933 s ur la tuber.:ul ose des
bovi dès, d u décret du 2 juillet 1938 sur le
com mer ce du lait cru et aux pr escriptions
particulières suiva nt es :
L'empkli des appareils à ruissellement est
de celle du soir.
in terdit saui s'ils sont installés da ns un local
C) En aucun cas, le transporteur ne devr a
être trouvé en possession de bidons non
pl ombés. To ute vente en co urs de route est
interdite, ainsi que to ute livraison à dom icile
spécial, à l"ai>ri des po ussières et des conta-
même pa r bidon complet.
Les plombs ou cachets ne seront enlevés
q ue pa r le responsable d u dépôt de vente.
0) II est inte rdit de laisser séjourner
deva nt les magasi ns de vente et en général
su r la voie publique des récipients contenallt
d u lait.
Artic le I l. -
A) Les dépôts de vente de·
vront répo ndr e aux co nditiOnS d'ouverture
et de tenue des magasins édicté~s par les
r èglements municipa ux et le règleme nt sani-
ta ire départeme ntal.
La ve nte du lait y est exc lu ~ive de toute
a utre débi t que celui du lait cru et des produits laitier s.
Les dépôts ne devront avoir de comm unité.!tio n directe qu'avec les pi èces serva nt à
l'habitation. Ils ne pou rront être utilisés à
l'habitation. Il est interdit d'y laisser entrer
(-u u'y entretenir des petits animaux (chiens,
chats, oiseaux, etc ... ).
I! est interdit d'y avoir une prise d'eau
non potable.
S) Les dépôts de vente seront constamme nt tenus en pa rfait état de prop reté et
efficacem ent protégés co ntre les poussières
et les mouches. Il est interdit d'y "umer et
d'y cracher.
Le lait y sera mis en vente dans des réCI pients munis d'un couvercle hermétique soigneusement remis en place après chaque
livraison.
Le couvercle devra faire corps avec le r écipie nt de manière à n'en pouvoir être séparé, au besoin, que pour le nettoyage.
Avan t d'être senti aux co nsommateurs, le
lait sera brassé dans le bidon Ou dans le
récipien t de vente af in de répartir la crèm·,
d' une façon homogène.
C) Il est interdit il tOllt propri étai re, ~é
ra nt ou exploitant d' un établissement vendant du lait d'en déliv rer au détail à tout
co nsommateur présentant un
sale
minations.
Le lait cru doit être :
propre, dépour vu d'odeur, <le couleur et
de consistance anoimales, d'une teneur en
matière grasse totale sans addition ni soustractio n ;
- apte à la co nservation ;
- provenant ex clusivement des animaux recensés figurant au carnet d'étable ;
- refroidi à 100 C. et maint~nu à cette température j
donner un test de filtrage satisfaisa nt ;
-
ne pas coaguler à l'ébulitio n ou avant 16
bain marie à 37~ ;
avoi r une acidité supérieure à 20~
\heures au
- ne pas
Dorn ie ;
ne pas
- ne pas
-
contenir à'antiseptique ;
contenir de germes pathogènes ;
ne pas contenir plus de 1.000 bactéries
coli formes au litre ;
-
ne pas con tenir plus de 30.000 gennes
micr obiens par c.c. ;
Plusieurs fois par mois deux échantillons
pris, pour chaque exploitation, l'un au stad e
de la production, l'autre au stade de la vente
au détail seront soumis aux divers contrôles
pou.r déceler les fraudes, les falsifications et
les souillures.
,Les résultats de ces épreuves seront consignés sur un bulletin d'analyses qui comportera en plus une appréciation sur l'origine
de l'imperfection signalée (contamination des
ustensiles, réfrigération insuffisante, présence
de mammites suivan tes typ es de cellules et
de bactéries observées, ele ...
B) Les laits reconnus impropres à la consommation en nature
dénaturés ou détruits
traitement ou d'emploi
SOllS les garanties qui
devront étre saisis et
sauf autorisation de
à des fins industrielles.
seront précisées dans
c haqlle cas d'espèce par le Vétérinaire Sanjtaire agréé et par le Directeur des Services
Vétérinaires.
C) Lorsqu'un lai t aura ëté reconnu impropre à la consommation, le' Vétérinaire Sanitaire ouvrira une enqu~te pour r echercher
l'origine de lïnsalubrité, prescrire les m()v"n~
�144
,un délai nécessarre il ,prendra toutes dispo-
sitions poux que, tant que ce délai ,se prolongera. le lait malsain soit soustraIt de la
consommation humaine.
Article 13. _ A une date qt~i sera. fixée
par arrêté préfectoral et qUi n IOtervlen<fra
pàs avant le 1er janvier 1953. la vente exclu-
sive en bouteîlles cachetées du I.ait p rove nan~
d'étables o.fficiellement contr~leesJ vendu a
l'état cru pour la consommation courante,
pourra être ordonnée.
pour le contrôle du lait et notamment la
loi du 1er août 1905 sur les Fra udes, et le
décret du 29 av ril 1939 sur la vente du lait
cru toute infraction, non déj à visée dans le
corps des articles precédents, aux dispositions du présent arrêté donnera lieu sur proposition de l'agent qui l'aura constatée et,
compte te nu de sa gra vité :
- soit à un avertissement simple ;
_ soit à un avertissement avec retrait de
l'autorisatio n pour une durée de trois mois
au plus.
Il sera tenu compte des frdis
se rapportant au contrôle officiel d\t lait pour
identiques, l'a utorisation pourra être suppri-
la fLxation de son prix ~e ve~te a~ conso~
mateur sans que ce pnx pU.ls~e etr.e .su;>e-
mée.
Article 17. -
Artiele 14. -
ri eux à celui du lait pasteunse certJfl~ non
compris la marge éventuelle d'embouteillage.
Article 15 - AI Le contrôle es! assuré !,ar
les agents des services de la S~nté, des :>e;vices Vétérinaires et de la Rep ressIOn des
Fraudes ou par leurs mandataires dûment
d';légués.
Ces agents sont habilités à effectuer d~~s
les formes requises tous prélevements qu Ils
jugeront nécessaires et toutes investigations
en vue de la mission qui'ieur est co nfiée.
B) Le proprietai re, le gérant ou l'exploitant
de l'établissement de production ou dIe vente
de lait cru et le transporteur sont tenus
d'accorder à toute personne ré gulièrement
déléguée par les autorités ch~ r~ées des contrôles prévus au présent arrete tout~ f~Cl
lités dans l'accomplissement de leur misSion.
Ils sont tenus notamment de leur accorder
toutes facilités pour effectuer les opérations
suivantes :
_ prise de la température du lait ;
_
test de filtration d'éc hantillon d'un demi
litre pris dans les divers récipien ts ;
_ épreuve d'ébullition sur place;
_ prises d'échàntillons de 250 c.c au ma xi-
mum fournis gratuitement jusqu'à concurrence de 20 prélèvements par mois pour une
même exploitation de produdion et de vente.
Ils sont également tenus de fournir, sous
leur responsabilité, tous renseignements utiles
aux contrôles sanitaire médkal et vétérinaire.
C) Les prélèvements donneront lieu à la
rédaction d'un procès-verbal.
Ils seront examinês sur place ou expédiés
dans un des laboratoires agréés pour l'analyse bactériologique, dans les conditions
telles qu'ils ne subissent en cou rs de transport aucune modification appréciable, notamment en ce qui concerne leur flore microbienne.
D) En plus des laboratoires agréés ,pour
l'examen bactériologique des laits, les laboratoires d'es directions départementales de la
Santé et des Services Vétérinair es sont habi- •
lités à procéder à l'a nalyse bactériologique
des laits prélevés en application du présent'
B) En cas de récidive portant sur des faits
MM. le Secrétaire Général,
les Sous-Préfets, les Maires, le Médeci n-Ins-
pecteur Départemental de la Santé, le Di recteur des Services Vétérinaires, l' Inspecteur
Départemental du Service de la Répression
des Fraudes, les Commissaires de Police, le
Commandant de Gendarm erie et les agents
relevant de leur au torité sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'application du
présent arrèté, qui sera publié au Recueil
des Actes Administratifs.
Fai! à Marseille, le 16 juin 1951.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE
DES TRAVAUX DE RECTIFICATION
DE LA R. N. N' 568, ENTRE LA
MEDE ET MARTIGUES.
(P. K. 54.016 à 56.610)
tant statut de la Mutua lité, notamment Son
arti cle 69 ;
Vu le décret n' 50-730 du 24 juin 1950
fi xant les conditions. d'él ections des repT(~:
sentants des orga ni smes mutu alistes au
Conseil Sup érieur de la Mutualité ;
du 9 mars 1948
natio n de la Mutualité et notamment l'a rti~
,cie 4 ;
,
Vu les circulai res de M. le Ministre du
Tra vail et de la SéCurité Sociale n° 234 SS
et 137 SS des 30-7-4S et 5-7-50 ;
Vu 'l'avis
confo rm e
du
Comité
Dé-
partemental de Coo rdin ation de la Mutualité des Bo uches-du-Rhône en date du 29 juin
195 1 ;
Su r la proposition de M. le Secrétaire Gé-
ARRETE
Le Préfet des Bo uches-du-Rhône,
Art. 1er. -
Vu le projet dressé par les In génieurs des
Ponts et Chaussées,
Bouches-du-Rhône,
du département
des
tendant à la rectifi ca-
tion de la R.N. 568 entre La Mède et Mar·
tigues (P. K. 54,016 il 56.6 10) ;
Vu la décÎsion du Ministre des Travau x
Publics en date du 29 no vembr e 1948 et du
ARRETE
La liste électorale pour les
élections des représentants des organismes
mutualis tes au Conseil Sup éri eu r de la Mu-
tua lité et des4l"'embres du Comi té Départemental de Coordi nation de la Mutualité des
Bouches-du-Rhône est établie pour l'année
t 951, con formément
à l'annexe jointe au
présent a rrêté.
Vu le d<:cret-Ioi du 2 mai 1936 ; elat if à
la procedu re d'enquête préalable à la décla-
La deux ième partie de la dite liste ne
s'applique pas aux électio ns des membres du
Comité Départemental de Coordination et
des repr ésenta nts territoriaux au Grand Conseil de la Mutualité, pour lesquell es les
Unions et F édérations Mutualistes ne participent pas aux opérations électorales.
Art. 2. - Tou te société, secti on de société, Union ou Fédération, ayant SOI1 siège
ration d'utilité publique;
dans le département des Bou ches-du- Rhô ne,
J er
mars 1949 prenant ep co nsidération le
projet ;
.
Vu le décret-loi du 8 aoü t 1935 sur l'expropri ation pour cause d'u tilit é publique;
Vu le décret-loi du 30 octoDre 1935 sur la
simplificatio n de la déclaration d'utilité publIque en matière de route nationale'
Vu les résultats de la dite enquête;
Vu l'avis de la Commission de Co ntrôle
des opérations immobilières ;
Vu le rapport de l' In gé ni eu r en Chef des
E) Le rapport du labora toi re d'analyses
fie .. la R. N. 563 entre La Mède et Marti-
pourr a former un recours soit en vue de son
inscription sur la li ste électo rale, soit en vue
de la radiation d'un au tre groupement.
Le recours formé par écrit doit être présenté dans les quinze jours qui suivent. la
publication du present arrêté, il devra ët: ~e
adressé à M.. le Préfet des Bouches-dll-RhO-
ne, 5me Division, 2me Bureau, Service de
Arrête :
Chacun de ces services constituera
U:l
casier sanitaire où seront cl assés par établissement tous les comptes rendus d'en-
l,u!J:lque les travaux de rectification de la
quête sur place et les résultats d'es analyses.
54016 et 56.6 10, co nform éme nt au plan an-
Les services se communiqueront leurs ifll.
formations en vue d'une documentation com-
ARiŒTE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Vu l'o rdonna nce du 19 oc tobre 1945 por-
néral,
est transmis aux divers services intéressés
(Santé, Services Vétérinaires et Répression
des Fraudes).
c"oo<,,----___
D5 B2
AG 6
REVISION DE LA LISTE ELECTORALE
EN VUE DES ELECTIONS DES RE
PRESENTANTS DES ORGANISMES
MUTUALISTES AU CONSEIL SUPE
RIEUR DE LA MUTUALITE ET DES
MEMBRES DU COMITE DEPARTE_
MENTAL DE COORDINATION DE
LA MUTUALITE DES BOUCliES-DU_
RHONE, ANNEE 195 1.
des Comités Départementaux de la Coordi-
Ponts ~t Ch?,ussées ;
ConsIdérant qu'i l est nécessaire de recti -
arrêté.
u~
Fait àMarse ill e, le 26 juin 1951.
Pour le Préfet
Le Secrélaire Général: LAMASSOURE.
fixant les conditions d'élection s des membres
TVX 0
BI
i~ h6T1e.
Vu le décret n' 48-423
------c>oo«»------D5
""trati fs de la P réfectu re des Bouches_d
4rtic/e Premier. -
Sont déclarés d'uti lité
la Mutualité.
Art. 3. -- Le présent a rrêté sera publié
-
PRBMŒRE PARTIE
SOCIETES MUTUA LISTES
admises d figurer sur la liste électorale pour l'année 1951
Liste électorale a nnexée à l'Arrêté Préfecto ra l du 30 juin 1951
de la
Société
2
7
.8
Il
u ... i sera inséré au Recueil d'es Actes Admi-
9
Amiti é et Constan ce ......... . .. . .............. .
La Parfaite Union ......... . .... . ............... .
Sai nt - L ou is .............. .. ............... . . .
6
Saint - Augustin ......... _. . ......... .. ...... . . _
56
Sai nte-Mari e - Saint-Raphaël Réunis .......•....
La Ruche .. , ........................ . . .. . ... . . .
La Gauloise ... , ....................... .. ...... .
100
163
168
177 '
179
183
184
186
195
213
1()5
o ••••
Saint - Cla ud e .... , .... , . ...... . , ... . ... ....•. .•
Sai nt - Barth élemy .. ........•. .. . . ... •.. ... •....
Saint-Pierre - Saint-Paul ...... .. . . ......... . •....
Sainte - Ph ilomène ..... ............. , .......... .
Union Mutualiste de Sai nt-Antoi ne ...... . . . .... .
Sa in t- j ean-Baptiste ............ . .. .......... . . .
La Paix et la Ga ul e ...... .... ............... . . .
Philanthropique des Commis et Employés ........ . .
~in~-Marie ...................... . ..... . . . . .
Saint - H enri ................................. .
La Jeune Ascension . ' . ................. .. .. . ... .
Sainte-Ma r guerite nO 13. 142 ............. . ....... .
Saint-j ean-Baptiste . . ...........• . ..... . ... .. . .
Saint-F ran çois-Xavie r ........ .. ..... . . . . . . .... . .
France Nouvell e Florissante ............... . ... .
Saint-Pierre-ès-Liens ............. . .. ....... ... .
Saint-Cloud ................. . •..•.. . .. .. ......
Les Bouchers Prévoyants .. ' ....... • . .• ... . ......
Les Employés U ni s ........ .. ....... . . . . . . . ..... .
Mutualiste quartier Sai nte-Anne ......... ........ .
Saint-La ure nt Martyr .. ............•. . ...........
Saint-j ea n-Baptiste ............ . . .....•.....•..
Sauve teurs du Midi ... , ...... . ..... .. . .. .. . .. . .
Sai nte"Cécile ., .. , ...... , ....... , ..... . •..•....
La Mutuelle Aubag naise .... . .... . ....... . •.....
Assist a nce Mutuelle de la Ville d'Aix ........... , ..
m
il..a Laborieuse ...................... . .. .. ....... .
221
Saint-j oseph . ....... ,......... . .............. .
Saint-Michel .,.............. . •.............•..
219
222
231
232
236
238
240
24 1
243
246
252
259
262
263
265
267
275
san ctions applicables en vertu des textes pris
Saint - Vi ctor ......... , . .• ........•... .... . .• ..
41
44
53
57
81
214
plète.
Article 16. -- A) En outre des pei nes et
3
6
ILa France ... . . . . . .... ' ........ •. : . ........
105
108
,110
123
124
125
12S
129
133
142
146
155
156
216 •
278
Saint ...Pièrre .......... . . . . . .. .... .. .. . ... . . . . .
. ... . ... .
Saint- Valentin .............
Sainl-joseph .................. . . . .... . ....... .
Saint-H ono ré .......... . , .. , .....•.....•.... , ..
Saint-Pierre ................... . .............. .
Les Prévo ya nts de La Penne ......... , .. . . .• ... .
Gérard Tenque ..................... .. ..•.... ...
La Fraternell e .. ,....... . . . ..... , . .. ..... . . .. .
Saint-jean-Baptiste ... .. ..•. . ...• . ... . . •. ... .. .
~ainte-Mart h e ........ ". . . ... . ... ..... ....... .
S .:D. de Bon-Secours ..... , .. , . . , ..• . . •. . •.......
Salnt-Ant helme .............. . . .. ....... ... ... .
S alOt- Hu be rt ........................ . ........ .
alnt-André ... ,........... . ....... . .......... .
S. M. des di ve rs co rps d' Etat ré unis des Ateliers
L PLM
. . . . . . . . . . . . . . . . ..... .
'SA~cie~~tes~èW; ë~j,~r~~~· ~i · B;i·g~di·e~~· d~· M~':'~ill~
Lalllt-Hila rion ...... .. . . , ................... . .. .
L~EFrat e r ne ll e des Agr iculte urs . . .. . ............ .
~~~sser~~sR~~r~;i~o~~o~;,;i~~~ ·d~ ·t~·ll~· ~~~p~ ·dit~i
280
283
L spérance
0
.. , .. , ........ . ...... . ............ .
307
L~lre"Cécli e Humanitaire . ... ... . .........•....
299
304
3
6
L'Ascension . ......... .. . ....... . ............ .
St - Hippolyte .. , ............ , .....•..•... . ......
partement des B,-du-Rh.
Arl. 4. _
M. le Secréfaire Général des
Art. 2, M. l' In génie ur en Chef des
POlltS et Chaussées des Bouches-du-Rhône
e51 cha rgé de l'e xéc ution du présent arrêté
Sai nt - Louis ........ . . . . . . ..... . ..... ........ .
Mutua lité P rovençale ,.................. .. ....•..
3!J
au Bull etin Admini stratif des Mairies du dé-
Bouches-du-Rhône est chargé de l'exécution
L'Epi d'Or ........... . ...... . .... . .•............
Sai nt-Antoine-d e-Pado ue ., ... ... ..• . . •.... ....
36
R.
du prése nt arrêté.
Fait à Marseille, le 30 juin 195 1.
P o ur le Préfet,
Le Secrélaire Gén éral : LA\'Vl.ASSO URE .
Nombre
de 'voix
DESIGNATION
13
16
21
28
34
NoliS ent re La Mède et Ma rti g ues du P. K.
r.exé au pr ésent arrêté.
145
n10n ... . ..... . ..... .
3
3
3
9
6
6
6
9
3
12
6
6
6
~
9
30
6
9
6
9
6
3
3
3
6
12
3
6
9
6
3
1
12
9
6
6
2
3
4
4
1
1
6
6
4
6
6
6
4
6
1
Numéro
de la
Société
Nombre
DESIGNATION
de voix
32 1
Saint-Pierre-les-Martigues .... _. .. _.... _. .. . . . . .
3
320
Dames et Demoiselles Réunies ..............•...
Les Enfants des Alpes .......... . ........ . ......
La Bas-Alpine ....... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . • . . .
La Ciotade nne ............ . . .... . ...... •.. ... ...
3
336
347
349
35 1
354
357
358
366
37Jj
383
399
414
430
438
439
442
466
Sainte-Honorine ....... ......... "
..... . ........
La Provence Nouve lle ..........................
Sté Philantropique des Employés de Chemins de Fer
Les Travailleurs de 5t- Etienne-du- Grès...... . .....
Des O uvri ers de tous corps d'Etat ...... . . . .....
Saint-Pierre . . . ......... . ... .. . . .. . .... :.......
Instit ut de Sauvetage de la Méditerranée. ..... . ...
L'Union fait la Force... .. . ... . ... . ............
La Fraternelle des Of·liciers en retraite..... .. .....
Société de S. M. de la Roque-d' Anthéron ....... . ..
Les Prévoyants de Glanum ... . .. .. .. .. ..... . ....
La Unio n Ibéria .. . ... .. ... . . ... ... ......... . ...
Association de Voyageurs et Rep r esentants de
Comme rce ...................... ............
Association Mutuelle et de ,Prévoyance Sociale des
Sourds - Muets ..... .............. . . . . . . . . . . .
472
5 15
535
542
Mecanicie ns et Chauffeurs . . _................ _. .
556
Caisse du Personnel du Service Assainissement de
La FraterneUe ...................................
Déco rés et Médaillés Français . . ...........
620
625
642
643
646
653
67 1
676
683
684
688
706
716
717
721
720
730
7301
739
748
754
755
764
766
772
777
780
799
,S05
618
820
842
881
892
3
1
1
12
6
6
2
2
6
12
4
3
6
1
4
6
4
4
3
Association Amica le des Commis et Emplo yes de la
ville de Salon ..... , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
56 1
567
572
573
586
590
594
605
6 19
6
la Ville de Marseille ... . . . . . . . . . . . . . . . .
Le Rouet ............................. . ........
6
L'Emancipation ............ . ...... ..............
9
9
2
1
9
Adultes d'Orgon ......•.. . ........ . . , .... . .......
6
IL'Humanité ..... .. .. . . . . . ...................•..
La P ateto ..........................•.....• . .•..
L' Indépendan te de lvIollégès ........ .• .. ..... . . ...
Union Fraternelle des V. R. P....... . . . ... . .....
2
3
2
9
La Pélissannaise ................. _... . .......... ILa Fraternelle de Rassuen ..... . ............ .. ..
6
3
La Prévoya nte de Saint-Andiol ..................
. . . . . . . . . . . .• . . . . . . . . .
Les Amis Réunis ., .. ,
La Fraternelle ..... , . . . . . . .. .. .. . . . . ..... . . . .. . ..
La jol iette .. , . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . .
9
3
6
2
4
6
La Mari gnan aise .. ' . ....... . ......... . : .. ...... -
j ea nne-d'A rc .................. ...... ... • . .. ...
,La Fraternelle Aubagnaise .......... _... . . . . . .. .
La Fraternité . . .. . ............ . . . .. . . . ,........
La Caho-Maio ............... . ...........•... . ..
Les Héros du Devoir ....................... _. . . .
Vi cto r Coq ....................• . . . .. . • .. ..... .
Union des Agents S. N. C. F ............... · .....
La jeune France ............... . ........ . .... . ..
La Sécurité Primaire ................ ' .;,. ' . . . . . . . . .
La Cabannaise .. ' _. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Les Prévoyants de la jOliette ........... ,.. . . . . . .
Les Médaillés Militaires 89me Section............
La Prévoyance Fraternelle ..... . ... .. ... . . .. . ...
La Mutuelle Féminine .............. .. ..... , . . . . .
La Prévoyance ........ . .......... . ..............
Le \Vagon nO 754 ........ . .....................
Mutuelle Marseillaise des Agents des Contr ibutions
1ndi rectes ...... - ........................... .
Les Prévoyants de la Chambre de Commerce . .... .
Travailleurs Confédérés du Spectacle .. ..........
Les Prévo)'ants de la S. P. C. N. . ...............
2
2
4
12
1
9
9
2
6
9
6
2
4
2
Amical e Lobi n, Drugc et Brun ..................
Fraternité N\oulesienne .................. . ....... .
12
2
2
Les Prévoyants de la Sté Frse des Glycérines. .. .. .
3
Boka Nou veautés ..... . ...... . . _. . . . . . . . . . . . . . . .
Franco - Italienne. . . . . . . . . . . . . . . .. .. . . . . . . . . . . .
4
3
12
9
6
Retraite des Anciens Combatta nts .. , . . .. . . . . .. . ..
Seco urs Mutuels cte Charleval . . ................ . .
Interp rofessionnell e du Bassin de Séon..... . . .....
Société de S. M. Explosifs et Produits Chimiques
de Saint-Martin-de-Crau
�R EPUBLIQUE F R ANÇAISE
19 Juillet 1951
146
Num~ro
ombre
de la
Société
901
906
!!OS
975
P83
\193
997
99!l
1000
1004
1007
1016
1018
1019
1021
1025
1029
1031
1033
I().I:
1049
1061
1063
1065
1067
1074
1078
1082
1085
1088
1091
1094
1095
1097
1098
1099
1103
1104
1106
1107
1108
1113
'1115
1117
1118
1119
OESIGNATIO
de voix
6
S. ~1. de l'Usine Kuhlmann ..................... .
6
Personnel Usine Picheney ..................... .
9
Personnel de la Cie Salinière de la Camargue ..... .
6
La Fraternelle de Miramas ........... . . ... ..... .
6
Mutuelle des Anciens Combattants S.P.C.N ........ ·
6
L'Eguillene ............. . .. . .... . . . ...... . . . .. .
Mutuelle Chirurgicale des B.-du-Rh.............. . 30
9
La Prévoyance ... ......... . ......... ..•..•. . .. . .
1
As. Amicale Conducteurs Auto ... . ... . ......... .
4
Les Sapeurs-Pompiers ................. ..
3
Panhellénique des Martigues ........ : ... . ....•..
3
Les Enfants des Basses-Alpes Mutuallste.; . . .. ····
3
Mutuelle des Peseurs-Jurés et Commerce .. . . ······
4
Mutuelle du Provençal . .. .. .......... .......... .
3
Mutuelle du Canal du Verdon ................... .
6
Mutuelle Agricole . .. ......... .. ....... .. .
6
La Pré~yance Rognenque . .. .. .. .. .. ...... .. .. .
Union Departementale Mutualiste de la C. G. T .. . . . 30
6
Mutuelle de La Bouilladisse ................... .
6
La Prevoyance Eyguiéroise ..... '.- . ....... . ..... . .
6
La Pré,'oyance Mallemortoise .... .. .. .. . ....... . .
2
Et. Maritime de Caronte . ........... . .. . . ...... .
4
Mutuelle Syndicat Aviation ..........•...........
6
Entr' Aide réminine ............. .. .. ........... . .
3
Lyre Simianaise ..... :.: ........ .. '.': ... , ...... .
1
Personnel Direction RegIOnale Sécuflte Sociale .. . .
9
Travailleu rs du Livre ......................... . . .
Sté S- M. des fonctionnaires et agents relevant du
Ministère de l'Intérieur (Marseille) ..... ..... ... . 12
6
Caisse de Secours Ouvriers Dockers ....... . ..... .
6
Du Personnel des Sociétés de Trafic Maritime.: ..
3
Bra erie Marx et Cie .... ........... . . .•.. .....
9
Entreprise des Forges et Chantiers ............. .
9
Mutuelle Provençale des Donneurs de Sang.. .. ... .
Mutuelle Déportés du Travail et Victimes de la
6
Guerre ...... . ......... · ................... .
6
Sté EnlTeprise du Personnel Usine Soulet.. ....... .
9
Société Mutualiste Personnel Anelec ..... , ... ... . .
3
Empl. Mét. de Marseille ....................... .
9
Muluelle Chantiers et Ateliers de Provence ....... .
9
Mutualiste du Personnel E. G. T. H........... ·· ··
6
Agents de la Cie Chemin de Fer de la Camargue ..
Caisse Muluelle Complémentaire et d'Action Sociale
des InduslTies Electrique et Gazière Marseille
(Ville) ................ ...................... 12
Société Marseillaise de Correspondance .... . .... .
9
Personnel des Raffineries Saint-Louis ........... .
Caisse complémentaire Action Sociale Industrie
électrique et gazière (Provence) ............... . 12
Savonnerie Rouard ., ............. . . . . . . . ... .. .. .
6
Personnel de la Société Coloniale Chaux et Ciments
~~~
. . . . . . ................. . . • . . . . . . . .
9
DÉPA RTE MENT DES
Ouvriers et Employés de Martigues .... ,.........
9
Société Saint-Gobain ....................... ..... 6
La Fraternelle .... . .. . . . ........ . ..... . . . . . . . . . . . 2
Commune aux Militaires Eu ropéens de carrière
non Officiers des Troupes Coloniales . ........ .' 21
1120
1121
1126
1077
UN IONS ET FEDERATIONS MUTUALISTES
admises à figurer sur la lisfe éledorale pour l'ann ée 1951
560
806
,'!r2.7
982
1129
Toute corre.~pondance relative au R ecu eil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
A BRÉVIATI O NS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres D et B suivies d'un chiffre ind,'quent le S '
B
..
DST D' r
ct S .
TI '
D D
erv,ce ou ureau ct'oflglDe
. . .: Ifec ,o n es erv,ces ec ,"'que • . . . S. : Direction Départementale de la Santé - D. D. P. : Direction départe:
mentale de la Popufation.
.
SOMMAI RE
Arrêtés reglementaires et Circulaires
('>alfe s
AG 13. - Prog ramme départemental
de priorité de reco nstru cti on de biens
sinistres,.. . . .
F 2. - Comptes admi nist rati fs 1950..
FS 7. - Hôpitaux et hospices publics.
- Fonds de roul ement ............
P 3. - Déli vran ce des permis de chasse pour la campagne 195 1- 1952....
147
147
14S
152
Nom
de voix
Grand Conseil de la Mutualité . . .. . .... . ...... 15
Union des Sociétés Mutualistes pour le Service
Médical .. ......... . ... . ................... 10
Caisse Régionale ,\1utualiste du Sud-Est pour 10
Mu~!~~a~oé~é~:I~ésd~·6 ;~~d· ë~~~e'ii 'M'u't~~ii'té::
10
Mutualité Maternelle de Marseille et des Bouchesdu-Rhône ............ . ............ . .......
10
gnes .... .... .... .... ....
TVX 5. - Marchés passés par les collectivités
locales. -
152
152
Ca utionnement
et rete nues de gara ntie "... . . .. .. .
C T O. - Fixation des montants des
frais d'expertises po ur ep re uves d' appareilS à pression de gaz ou de ca-
153
D5 B 1
AG 13
PROGRAMME DEPARTEMENTAL
DE PRIORITE
DE RECONSTRUCTION
DE BIENS SINISTRES
P.a~ arrêt és des 30 mai, S juin, 26 juin ct
30 JUin 195 1, pris serr ,proposition de M , le
Délégué Departeme ntal du Ministère de la
R~co n structio n et de l'U rban is me, et ap rès
aVIS de la Sous-Commission Départementale
de Prio rité chargée de déterminer l'urge nce
de. reconstitutio n des biens sinistrés, un certain nombre de prioritaires ont été admis
d.a~s le programme départemental de priorate de ~econstru ct ion pour 195 1.
.Les hstes des si nist rés, reco nnus prioritalres sont atfichées à la porte principale de
cha~ue mairie intéressée et peuvent ':tre co nsultees, soit à la Préfecture, 5me Dh'ision,
1er Bureau, soit dans les bureaux de M. le
~élégué Départemental du Ministè re de la
1\7C~lnst r~ction et de l' Urbanisme, Cité Admmlstrahve de la Bourse, à Marseille.
Pour Je Préfet,
c~oo<~----
02 B 3
F 2
COM
PTES ADMINISTRATIFS 1950
l'ai .L'honneur de porter ci-dessous à la
~onnlhssance de MM . les Maires du Déparr~;;/~nl oun extrait de. ICf circuraire ministél'élabr" 253 du 12 JUIn 195 1 rela/ive d
comm lSsement des comptes administratifs
unaux de l'e, <rcice 1950.
Pour l'établissement des comptes admi nistratifs communaux de l'exe rCIce 1950 et des
exercices à venir, il y aura lieu d'o bserver
les prescriptions suivantes :
1_, llva
153
154
Communiqués, Avis, Annonces diverael
- Avis de co nco urs (hospices civils
d'Arles, B.-dll-f~ h .) ................. 154
Communiques du Secretariat
de l'Union des Maires
Demande d'emploi... .. .......... 154
d'~viter que ce rta ins éléments n'entre nt deux
en !Igne de compte pour la détermination du passif, un e fois au tit re des fonds
rése rvés, un e au tre fois a u titre des restes a
pay~r . ou des dépenses engagées mais nOIl
1. - En ce qui l."o nCerne les mises en réI~guldees en temps utile et non po rt ées sur
sert'e de crédits .1 etat des restes à payer.
II importera de vé rHie r au moment de
Or. le c hiffre donné par le re ceve ur mul'app robation du compte admi nistratif, les
~
i
cipa
l en ce qui Co ncerne les crédits à metmodali tés selon lesquelles ont été calculés
t!"l! elL rése rv.e, ~ ~té d étermioé compte tenu
les fonds rése rvés.
des recettes. Just,f,é~, non portées su r l'état
En effet, fréquemm ent, il apparaît un e
des restes a reco uvre r et des dépenses endisco rdance entre le montant des crédits rég:tgé~s et non liquidées e n temps utile, sur
serves, tel qu'il rés ulte de l'état annexe A
la recette grevée d'affectation spéciale.
.. Emploi des recettes grevées d'affectation
Au cas où il existerait de telles recettes
spéciale » et le chiff re po rté au III " du pasO~I
de t~lIes dépenses, le Maire devrait, de
sif de ! état final du compte administratif.
façon formelle, l' indiquer au Receveur NtuOr, ces deux chiff res devraient coïncider.
n~cipa l, pour éviter qu'une même recette ou
Au cas où une anomalie appa raitrait et où
IIne même dépense n'entre deux fois en Iila municipalité, au momen t de l'approbatio n
~'ne de compte
pour la détermination de
du compte administratif, n'aurait pas donné
l'actir ou du passif.
d'exp lications satisfaisantes, vous devrez
Pa r a inc urs, la liste des recettes g re\-ées
procéder a ux rectifications indispensables et
d'affectatio n spéciale ne doit pas être inconm-odififer, le cas éc hea nt, l'Ha t final du
sidérément allongée. Les 'recettes grevées
compte administratif.
d'affectation spéciale comportent encore trop
Il importe, en effet, au plus ha ut point,
souvent les anciens centimes spéciaux, les
que les crédi ts résen'és soie nt calculés de face ntim es pour se rvic e de la dette et les subço n co rrecte. Ils doivent êt re éga ux à la dilveritions ve rsées pa r l' Etat.
fé rence ent re, d'une part, le produit réel de
O r, ces mises en r~serve sont rendues inula recette g revée d'affectation spéCiale (rotiles
par les modifications apportées récemport provenan t de l'exercice précédent ct
lIl~nt il la législation.
prOduit de cette recette au cours de l'exerLa Suppression des centimes spécia ux par
ci:::e considéré) et, d'autre part, le total des
l'a rticle 77 de la loi du 26 septembre 1948
rale",ents effectués, des restes il pa ye r et
ne permet plus de considé rer comme des re·
Je~ dépt:!nses engagées mais no n liquidées
CJ ue la Tecette grevée d'a.ffectation spéciale
cetles ~ re"ées u'afJectation spèciale, les recettes
objet de financer les déCette façon de procéder
_______________-===========::::::::::::::::::==:::::::;;;;;;;~;;~~~,,~~~~..-~~~~---_::_::_::===========================---ecrétoire Gé"éral : LAMASSOURC .
J("aa:n.a.....
s.......
__~.......L.. .:~~~~p:
ou:r~le~p.r~éf~e~t.::::~~~~.a~J);y~U;r.o~b~j~e~t.d.eÎlgiaïgieir·ïïÎllÏiïiiliilill
" ___.OVYaU _
mions cite rn es ...................
FS O. - Interdiction temporaire de la
vente des coquillages ..... . . . . . . .. .
ARRËT ËS RËGLE M ENT AIRES ET CIRCULAIRES
Le Secrétaire Général: l..A}.IASSOURE.
Copie. ccrt16.ét eeaformll.
Pour l-e Préfet :
lA S,crl'air~ Gkinl : LAMASSOUllK..
5 C 7. - Service de lutte èont re les
incendies de forêts ..... . . . . . . . . .
TVX 4. - Electrification des ca mpa-
=
DEUXIEME PARTIE
DENOMINATION DE L'U NION
et Bulletin des Mairies
Nomb
de \'oi
Mutuelle des Tabacs et All umettes, Aix.........
6
Société Mutualiste du Personnel de l' Enregistrement 6
Mutuelle des Tabacs et Allumettes .............. 9
Société Mutualiste du Personnel du Ministère du
Tra va il et de la Sécurité Sociale . . . . . . . . . . . . . . . . 6
Mutuelle Civile de la Guerre. .............. ··· ···· 12
Comité de Secours Mutuels du Contrôle Economique 6
La Solidarité Militaire ................ . ......... 2
Mutuelle Générale des P. T. T ...... .. . .... ' . . ... 15
Mutuelle des Contributions Directes et du Cadastre 9
. Secours Mutuels du Ministère de la Reconstruction
et de l'Urbanisme ............................ 6
Mutuelle de la Marine .. ... ...... . . ... ... . .. .. .. 3
Société de Secours Mutuels des T ravaux Publics et
des Tra nsports n' 31 ...... . .. ... ............ 9
Société de Secours Mutuels du Personnel des Travaux Publics et des Transports n' 30 ..... ····· 9
Société Mut. du Personnel du Mi nistère de l' Industrie et du Comme rce .............. . ... , . . . . . . . . 3
Les Médaillés Mi litaires... ..... . . . . .. . . . . .. . ... . 2
Mutuelle de l'Educatio n Nationale .... . ... ········ 18
Numéro
de l' Union
et Fédération
BO UCHES-D U-R HON E
Recueil des Actes Administratifs
SECTION DE SOCIETES MUTUALISTES
!DES IGNAT ION
g . A nn é e. - N· 29
fOIS
�149 .
148
traitement du
garde-champ~tre,
car ces re-
cettes ne sont plus specialisees, et les dépen-
ses qu'elles avalent pour objet de couvnr
sont désormais payees au moyen de ('ensemble des ressoun:es de la commune (c. circulalfe n' 555 AD/ 2 du 22 novembre 1948).
De même, le montant global des annuités
d'int"ri!t et d'amortissement des emprunts
doit majntenant être cou \'ert au moyen d'un
03 B2
HOPITAUX ET HOSPICES PUBLICS
FONDS DE ROULEMENT
r\ f 123
nombre détenniné de centimes pour service
correspondre, comme par le passé, une quotité fixe de centimes extraordinaires. L'excédent du produit des centimes sur les dépenEnflD, les subventions allouées par l'Etat
ne sont en principe versées qu'après justification du service fait. .Le paiement des entrepreneurs intenrient donc, soit avant l'encaissement de la sub\'ention, soit immédiatement après ; et l'on conçoit mal, dans ces
conditions, qu'il figure dans les fonds réservés des sommes très importantes au titre
des subventions de l'Etat pour travaux.
En bref, comme recettes grevées d'a Hectabon spédale on ne devrait, en principe,
trouver dans les etats annexes A, que le.,;;
ressources ênumérées ci-dessous :
al Que les ressources que la l oi aHecte
formellement il certaines dépenses (taxe de
séjour, surtaxe locale temporaire, subventions industrielles pour dégrad ation de chemins \'ICmaux et ru-raux, attribution du
fonds commun de la vici nalité pré'tue par
l 'article 147 de la loi du 16 avril 1930).
b) Les recettes grevées d'une affectation
spéciale en \'ertu d' un contrat (prod uit des
dons, legs et fondations avec charge notam.
ment).
c) Le produit des emprunts destinés il financer des investissements.
d) Les subventions d'équJpement et les divers fonds de concours versés avant justifI cation du strvice fait.
Vous \'oudrez bien adresser des instru!:tions en ce sens aux maires pour l'établissement des comptes administratifs pour 1950
et les années ultérieures.
.,2" En .ce. qui concern~ les r(!'Cettes jusfiflte,,, à rea/lser non portees â f état des resles il payer, el les dépenses engagées pour
serVIces farts antérreuremenc au 31 décem·
br. el non liquidées en lemps ulile.
Il y aura Ii~u d'i nformer les- maires que,
dans Je cas ou le compte administratif de
la commune mentionne des recettes justifiees il réaliser non portées sur l' Etat des
restes a payer, ou des dépenses engagées
pour services fafits antérieurement au 31 déc~T1t-r~ et non. liquidées en temps utile, et
que }·tnterventlon de ces éléments a pou r
consequence de ramener le druicit à moins
de 10 p. 100, ils devront annexer à ce doeument deux nouveaux états annexes faisant
ressortir :
a) En ce qui Concerne les recettes justifiées, et pour chacune d'elle :
- La nature de ' la créance, la date du
c'jntrat, la date de l'échéance et les motiis
justifiant la non émission du titre justificatif.
b) En ce qui concerne les dépenses enaagtCS et non liquidées :
0
- 1..3 date de son engagement, la date du
:=en·i.ce fait, l'évaluation aussi exacte que
P~!ilt.-It;, du ,:"ontant des sommes à payer,
1... "ohfs qUI se sont opposes à la liquida-
__ ....!-._..._ .....-
._O~na
...;10
Paris, le 28 juin 1951.
Le Ministre de la Santé Publique et
de la Population il MM. les Préfets
(pour execution),
MAI. les Directeurs Départementaux
de la Population et de l' Entr'aidé
(pour information),
M,\\. les Directeurs Départementaux
de la Santé (pour inilormation),
de la dette. A chaque emprunt, ne doit plus
ses occasionnées par le sen'Ice de la dette
n'a plus â ëtre mis en réserve.
FS 7
L'article 2 de l'ordonnance du 18 décembre 194-4 stipule en son avant-dernier paragraphe, que c si, lors de la clôture de l'exercice, le prix de revient pour une ou plusieu rs
catégories d'hospitalisés s'avère infér ieu r aL!
prix de journée, le Préfet pourra, après avis
du Directeur Régional de la Santé et de
l'Assistance (il l'heure actuelle le Directeur
Départemental de l a Population), ordonner
que l'excédent de recettes constaté soit affecté, et seulement dans la limite du tiers, a
l a constitution d:un fonds de roulel!1ent, dont
le montant maximum sera détermmé sur la
base d'un pourcentage des dépenses ordinaires des trois dernières annê'es par arrêté
du Ministre de l' Intérieur, du Ministre des
Finances et du Ministre de la Santé Publique, le surprus éta nt défalqué des éléments
constitutifs du prix de journée de l'exercice
.
suivant.. . .» .
La présente ci rculaire a pour objet de vous
indiquer successivement :
- Les règles a suivre pour la détermination de l'excédent de recettes dont le tier~
peut être affecté à la constitution d'un fonds
dE roulement ;
-
Les conditions dans lesquelles doit être
fix~ le montant maximum de ce fonds dans
'.J limite du plafond général établ i pa'r l'a rr<te interm inistér iel du 28 juin 195 1 ;
- ,La procédure à suivre pour l'affectahOil au fonds de roulement d'une frac tion
de l' excédent de recettes ;
- L'objet du fonds et ses conditions d'emplois j
- Les situations à fou rnir pour permett re
aux autorités intéressées de suivre d'exercice en exercice, ses variations.
'
1. -
cel/es .'
Délerminalion de l'excédenl de re-
L'excédent de recettes dont il s'a oit doit
être déterminé en compa rant les rec;ttes et
les dépenses des services hospilaliers figu~an~ a la section ordinaire du budget, t'esta-di re, compte ."on tenu des opérations propres a la geshon de la dotation non aflectée aux services d'hospitalisation.
Cet excédent doit être calcul é il la fin de
chaque exercice par l'ordonnateur qui établit, à cet effet, un état (modèle n' 1) présentant les éléments ci-après :
0
1 Les recettes se r apportant à la nestiol1
d.es, s~rvices hospi taliers pour l'exerci ~e con.
Sidere, y compris. 11ex...:édent de recettes de
l'exercice pr écédent dont l a partie disponible a été défalquée des él éments constitutiifs du prix de journée (cf. ordonnance du
18 décembre 1944, art, 2, avant-dernier alinéa. in fine) j
le Recercur. Cet état devTa d'a~!leurs
aménagé de façon à faire apparaüre en
totalisation rparticuUère les restes se
taJH à la gestion des services h'Ûspita lie rs.
3· La valeur du stock à la fin de
cice ;
4· Le rotai des produits (1
2
3)
5· Les dépenses se r apportant à la
des ser vices hospitaliers pour l'exercice
sidr ré, y cOillpr is le déficit de l'exercice pr~
ceJent f.I)I) uté au x éléments constitutifs du
prix de journ'" (cl ordonnance du 18 dé.
cembre 1944, art. 2, antipénultième ali néa) ;
fi ) 1 f'S (.~penses mandatées et non payêes
et les d':pooses liquidées non mandatées figu.
ran t à l'état des restes à payer P. 505 et se
rapportant
la gestion des se-rvices hospi.
taliers. Cet état devra ;,tre aménagé dans
les m.mes conditions que l'état P. 502, d,
façon il faire apparaître également ces restes
en une totalisation parti culière.
onsidération pour déterminer ledit plafond.
tes colonnes 2, 3 et 4 de ce certificat reprennent, respectiveme nt et pour. chaque annél!,
les indications portées aux ltgnes 5, 6 et 7
de l'état modèle n' 1.
J'appelle votre atten~ i on sur le fait .que .Ie
ourcentage fixé par 1 ar~êté mter.mln l.stérlel
Précité co nstitue un maXlOlllm qUI dOIt être
~ppl iqué aux établissements ne disp,osant
d'aucun moyen permanent de Tréso rerie.
En reva nche, ce po urcentage doit être ~nfé
rieu r audit maxi ",! ~ m
é IOrtSqUde Ites éta~hsseents disposent d el men s e r éso ren e rem · 'enlent co nstants tels que : excédents Oe
l t
ettes de la dotation non aft ecté ea ux serreees hospita liers avances permanentes des
VIC
'..
.
d
dé
organismes de Secu n té Soc.lale ou es .partements. Il vous appartiendra .d~ tenir
compte de ces éléments dans la déCISIon que
vous serez conduit à prendre à ce s~J~et ap~ès
avoir consulté, le cas échéan t, le 1réso ner
Pa yeur Otnéral.
7 0 Les restes payer sur services faits au
Votre décision devra êt re révisée ché)q ue
3 1 décembre, mais non liquidés et non man·
fois que la moyenne annuelle ressortant ~u
datés, c'est-à-d ire les pré\'isions de dépenses
certificat modèl e no) 2 p~ése n~era une vari à-.
correspondant à des se rvices faits anté rieu·
tion, en plus ou en mOins, egaie ou supérement au 1er janvier de l'année sui va nte,
rieure à 10 %.
pnur lesquels l es créanciers de l'établisseIII. _ Affectalioll de s excédenls al/ fOl/d s
ment n'ont pas fourni en temps utile les piè·
de rourement,
ces permettant de procéder a l a liqu idation
Si à la clôture d'u n exercice, les op~ r a
des sommes dues au titre de l'exercice consi·
ti on~ propres au fo n ctio~nement des . serv ices
déré. Ces prévisio ns sont justifiées par la
hospitaliers font apparaltre .un exce~ent de
production d'un état dressé par l'ordonnarecettes détermi né comme Il est cl-des~ lIs
teur, indiquant le détai l des opérations, la
(paragr. '1), la Commission Administr.a tiv~
date d'en gagement de l a dtpense, la date du
·pourra affecter une partie de c~t exce~en.
service fait et do nnant une évaluation aussi
précise que possible des restes à liquider, ' dans la limite du tiers à la créatIO n ou a la
dotation du fonds de (outement prévu à l'armandater et payer corresponClants.
licle 2 de l'ordonnance du 18 décembre 1944
Il est inutile de so uli gner à cette occasion
ta décision prise par la 'Com mi ssio ~ ~d
que les restes de cette nature doivent être
ministrative devra fia urer dans la déllberaextrêmement r éduits et qu'il appartient à l'ortion portant approbation des co~p~es de f!n
donnateur et il l'économe de faire toutes dilid'exercice. La pa rt d'excédent a\l1SI affectee
gences auprès des créanciers de l' Hôpital
au fonds de roul ement ser a inscr ite en dépour obteni r en temps uti le l es factu res,
penses au budget supplémentaire à un a rti ~
mémoires, décomptes et autres pieces justificie nouveau à ouvrir sous l' intitul é : « Pari
catives des sommes dues.
d'e xcéde nl affeclé au fonds de roulem enl »
80 La valeur du stock au dé.but de l'exer(ord. du 18 décembre 1944, arl. 2).
cice ;
Dès que la décision de la Commission Ad9· Le total des ~ harges (5
G
7
8);
minist rative aura été app rouvée par l'atltc10' L'excédent des recettes su r l es dépenrité de tutelle, l'ordon nateu r établir a l,II
ses des services hospitaliers (4 - 9).
mandat ~ur les crédits ouverts au ~ u dgel
supplémentai re à l'a rticle « AffeclaMn ae
L'ét at ai nsi dressé est certi fié par le reJ'excédent au fonds de roul ement ,. Ce manceveur en ce qui concerne les re nseignement.;
dat sera transmis sans dél ai au Receveu r,
portés aux li gnes l, 2, 5 et 5 H par l'éconoappul'é
des pièces ci-après :
me en ce qui concerne les lignes 3 et 8. Il est
j oint au compte administratif et y reste
- (lors de la premi ère dotation et à chaannexé, ainsi que tous les états ou certificats
que nodification du plafond) , ampliation de
dont l'établi seme nt est prévu dans ia prél'arrêté préfectoral fixant le plafond du fonds
sente ci rculai re.
de roulement;
- copie de l'état fi xant l'excédent an nuel
II. Monlanl maximum du Fonds de
des services hosp italiers (modèle nO 1) ;
Roulemenl.
- ampliation de la délibér ation de la
Un arrèté interm inistériel en date du 2q:
Commission administrative fixant le montant
juin 195 1 précise que le fonds de roulement
qui peu t être constitué par les Hô pitaux ct
Hospices, en application des disposi t ions de
l 'article 2 de l'ord on nance du· 18 decembre
1944, ne peut être supér ieu r aux 5/ 12 de
la moyenne des dépenses ordInaires des troIs
dernières années, les dépenses propres à \8
dotation devant être défalqu~es de ce total.
Le plafond du fonds de roulem ent est déterminé, pour ,chaque établissement, par le
Préfet, au vu d'un certificat (m odèl e n' 2)
établi par le Receveur et visé par l'Ordon nateur, faisant
pour les trois <dererT
+ +
a
a
+ + +
a
.n
.
de la dotation annuelle au Ifonds de roulement.
Dès réception de ce mandat, le Receveur
porte SOn montant en dépense au compte
budgétaire de J'Etablissement et constate
une recette d'égal montant à un compte à
ouvri r, parmi les services hors budget (paragrap he 1), sous l' intitulé « Fonds de roulemell/ > (ordon. du 18 décembre, art. 2).
I V. - Emploi du fOllds de roulemenl.
Le fonds de rou lement a pour seul oblel
de fo urnir les moyens de t réso rerie aux établissenlt:nts, en vue de leur permettre de régler les depenses ordinaires des services hospitaliers de l'exercke en co urs, dans le cas
où les recettes cor respondantes n'auraient
pas el1cor e été encaissées, Il est précisé que
les dépenses budgétaires devront toujours
être imputées au compte budgétaire, qui
pourr a présenter momentanément un excédent de dépenses dans la mesure où cet excédent ne conduit pas à créer un déficit de
tr ésorerie.
Par contre, les établissements ne peuvent
utiliser les sommes portées en recettes au
compte « Fonds de roulement , pour combler les déficits de gestion qui doivent,. aux
termes de l'articl e 2 de l'Ordonnance du 13
décembre 1944, etre ajoutés aux éléments
co nstitutifs du prix de j ournée de l'exercice
suivant. De mème, auCun prélèvement ne;
po urra être .fait su r le fonds de roulem ent
pou r couvr ir les dépenses supplémentaires de
l'~ xe r cice en cours.
Il est rappelé que la situation de tr ésorerie des étab lissements est déterminee en
tenant compte, il la fois du solde du compte
bud gétaire. du solde des comptes d'ava nce::'!,
traites et valeurs mobilières et du solde de~
comptes du paragraphe 1er des - services
hors-budget (opérations effect uées pour le
compte de l'établissement dont le Receveur
est comptable), ce sont notamment les comptes ci-après :
- excédents de versements,
_ recettes faites a\'ant l'ouverture lie
l'e?,ercice ;
- Irais de poursuites,
- frais d'adjudication,
- honoraires médicaux,
- r etenues en vertu d'oppositIon,
_ d pôts de ga ranties et cautionnements,
- recettes à classer,
_ fonds déposés par les malades,
__ ava nces sur frais d'hospitalisation des
malades payants,
ava nces des caisses de sécu r ité sociale,
- avances des départements,
- fonds de roulement.
Les Receveurs transmettront à l'ordonna-
teur, à la fin de chaque mois, pour les établissements de plus de 200 lits et à la fin de
chaque trimestre dans les autres établissements un état du mocmle donné en annexe
(Modèle n' 3): faisant apparaltre les fo nds
disponibles de l'établissement,
V. -
Situation en fin d'exercice.
La situation du compte SHB « Fonds de
roulement .» appa raîtra en fin d'exercice a'\.l
compte de gesti on du Receveur dans les mè~
mes co ndi tions que ceilles des autres comptes de services ,1101'5 budget. Cette situation
devra egalement figurer au co mpte adrn injstratif qui comprendra lin cadre no.u.veau (modèle n' 4) il la suite de J'élat final.
Ce cadre présentera :
La situation du compte c Fonds de
rou lement ,. au début de l'exe rci ce,
- La dotation de l'ex=ice faite à ce
compte.
- La situation à la fi n de l'exercice.
Il est possible, par suite de la réduction
de l' activit~ d'un établissement que le ,plafond du fonds de roulement, défini comme
ill est dit ci -dessus. soi t ramen~ par décision
du Préfet à un chiffre inférieur à celui SUI
la base duquel ont ét.; fixées les dotatio ns
annuelles portées e-n recettes au compte
c Fonds de roulement , . Dans ce cas, et
lorsque la situa ti on en fin d'exercice dudit
com pte « Fonds de roulement , sera superi eure de plus de 1/ IOme au nouveau plafond déterminé par décisio n du Préfet, la
différence apparaissant !par comparaison entre la situation CI le plafono devra êt re réi ntégrée au budget.
A cette fin, il sera ouvert au oudget SUipplémentaire un articie en recettes, in·titulé
c Reprises sur le fonds de roulemen t , pour
le montant de celte différence, dès que le
budget suppl émentaire aura été régulièrement app rouvé, l'o rd onn3teu i remettra au
Receveur:
- Un ti-tre de recette à prendre en charge
au compte budgétai re ;
- Un ordre de paiement à por ter en déIpense au compte fonds de roulement.
Ces deux documents sero'nt établis pou r Je
montan t de la différence dont il est question ci-dessus,
Votre atten tion et celle des ordon nateurs
et des comptables sOnt appe l"'s su r le fait
qu'a ucune dépense ne pourra a re ,portée au
débit du compte c Fonds de roulement ~ en
dehors des reprises correspondant à des réductions du plafond dont il vient d'etre
parlé.
Le Minislre,
Pr le Ministre et par dél éga tion,
Le Directeur âll La binet,
Signé : OOU INOUENET.
�151
150
Hôpital ........ ... .
Hospice . . ...
0
0
'
•
HOpita l
Hospi«
Modè le n" 1
••••
Modèle n' 3
d ........... .
GEST ION DES SERV ICES HOSPITALIERS
Situation de Trésorerie à lu date du . . .
Elat faisatU apparailre l'excédent de recetieS à ta cl6tllre de l'exercice 195
se
a la
1. -
Recettes
raI'Portant
2. -
Restœ à recOLtvrer sur produits ,hospita liers figu rant à l'état P. 502 ... . . .... .
3. -
Vale ur d u stock il la fin de l'exeroiee .....
4. -
Total des recettes (I
5. -
Dépenses se rappo rtant à la gestion des services hospitaliers ............. .... .
6. -
Restes il paye r figurant il l'état P. 505 ........ . . .... .. . . ..... .
ï. -
Restes à payer, su r sen;ce fait, n011 liquides et non mandatés ,ne figurant pas
il l'état P. 505
. . . . . . . . . . . . . . . . . .. ...... ...... ...... ...... . .... .
+
2
gestion des se rvices hospitaliers ... . . ..... . ....
+
•
Solde des comptes
•
Désignation des -comptes
Recettes
Dépenses
Excéden ts
de recettes
(2-3)
Excédents
de dépenses
(3-2)
2
3
4
5
0
3) ..... .... .
R. -
Valeur du stock au début de l'exercice . .... . . . . .
9. -
Total des dépenses (5
10. -
0
+ 6 + 7 + 8).. . . . ..
00
..
0
0
•
0
0
0
0
•
0
0
0
.. .. .. ...... ...... ......
Ex"édent de recettes des sen°iees hospitalie rs (4 -
0
•••
00
Opérations budgétaires :
~alance d'entrée all 1er janvier 19
..... . . .
OpératIons de 'l'exerdce précédent ... . .. . .. .
\ A. -
Opérations de J'exercice co urant .. . .
B. -
f:xcédents de versement ...... ... . .. .. . .. .
Recettes faifes avant Vo uve:-tu re de l'exercice . .
Frais de poursuites .. ............... . . . . .
Frais d.'adj udication ....... . . . . . . . . . . . . .
H onoraires médicaux .. ..... . ... . . ...... .
Retenues en vertu d'opposition .. .. ... . . . . .
Dépôts de ga ranties et cauti onnements ...... .
Il ecettes ,à classer .. .... .. . . .... . .. .
Fonds déposés par les ma lades .. . .... . . . . . . . . . .
Avances versées par les malades . . . . . . . . .. ..... .
Avances versées par les caisses de Sécurité Socia le ..
fn'arrces versées par ,les DépartementS' . ...... .
•
o .. .. .
9) ............... : .... . .
Arrêté, par l'ordonna teur soussigné, l'excédent de recettes des se rvices hospi ta liers pour l'exercice 195
A . ... . . . . . . . . ..
à la sQmme ...... .
le ........
Le Receveur soussigné certifie exacts les
renseignements portés aux lignes 1, 2 el 6.
L'Econome soussigné certifie exacts les
I1enseignemer>fs porlés aux tignes 3 et 8.
A ........ .. .. ..
A ............ ..
le .. . . . . . . . . .. .. ..
Services hors buœgef (pa r. 1er) :
Fonds de
le ....
C. -
ro~ l ement . .
.... . .. . . ...
Avances, traites et valeurs -m .obilisables "
/w·Bnces de. l'Econome ... . . . .. ... . . ... . ..... . .
.... . . ..
.... . •...
.... .... ... ... .... .. . .
. . ..
... . .... ...
T raites de cou,pes ordiruaires de bois. . . . . . .. .. .. ~. . . .. .... . . ..
Traites de coupes eX'fraordinaires de bois .. .. . ... . . . . .. .. . ..•
•
Total des. opér ations . . .. .. . .
0
••
0
.0..
•
•••
Disponibilités au
Modèle n' 2
Hôpital
Trésor ... ' ......
Balan""......
0
1------
•••
Hospice
d ............. .... .
CERTIFIOAT DONNANT LES ELEMENTS POUR PERMETTRE DE FIXER LE PLAFOND DU PONDS
nE
RO ULEMEINT
D épenses ordinaires des services hospi taliers
o
Dépenses
Gestion
payées
2
Restes il paye r fi g ur a nt
il l'état des res tes il payer
Restes à pa yer su r services
faits nOl> liquidés
et non mand atés
3
4
CQMP'f E A.DMIN ISTRATIF
Il FO/rds de roaJement ..
5
Opératioll8 de l'Exe rcice
'
. .....
Totaux.
Certl fié exact le .........
L'Ordo/lIlateur,
0
••
Moyenne annuelle ....
5/ 12me de la moyenn e
MOdèle n' 4
Situation. du compte
. " ..
19
19
19
Hôpital
Hospice
d .....
Situation il la fin de l'exercice
Sit uation au début
de l'exel'Cice
Datatio n
Reprises
li
2
3
(1
+
2
4
+
3)
�P3
D6BI
DELIVRANCE DES PERMIS
DE CHASSE
POUR LA CAMPAGNE 1951-1952
j'ai l'honneur de vous prier <ie voul~ir. b,ien
porter à la connai~sance de v~s Ad.mlnlstr~s
les dispositions sU ivantes relatives a la dél." rance des permis de chasse pour la campagne 195 1-1952.
Deux sortes de permis de chasse seront
délivrés ;
10 _ Un permis généra l, va lable, pou r tout
le territoire de la France et .o'Ont le mont ant
a été fixé à la somme <le 2.580 ,f rancs ;
2. _ Un permis département~I,. valab\e
seulement 'Pour le département ou Il est délivré et les arrondissements limitrophes. Son
montant s'êlè\"era pour cette année à la somme de 1.150 fra ncs.
Les demandes de permis .de chasse seront
reçues, comme par le ~assé, à la ~airie du
dOmicile ou de la résldenee de 1 Intéressé
et elles seront ensuite transmises par les
Jl\aires avec leur avis à M. le PrHet (6me
Division - 1et Bureau) pour celles faites dans
les Communes de l' Arrondissement de Marseille i pour les autres, soit à A,t le So,usP réfet d'Arles, soit à M. le Sous-Prefet
d' Aix-en-Provence
selon l'a rrondisseme nt
dont dépeno la Commune. M"me pour les
personnes ayant obtenu l'année derni ère un
permis de chasse, une nouvelle demande
devra être faite en Mairie comme s'il s'agissait de la délivrance d'un permis initial,
aucune prorogation d' un ancien permis
n'étant accordée.
Je vous rappelle que lorsqu 'i l s'agit d'un
mineur de 16 à 21 ans qui veut optenir un
permis de chasse, la demande Quit être ~or
mée par le père, la mère ou le tuteur, SI le
mineur n'est pas émancipé, par le curateur
s'il est émancipé.
-------c >ooc~ -------
D2
B3
SC 7
Inspe clion D éparlC!menlale
des Services d'Incendie
el de Seco,;rs
SERVICE DE LUTTE
CONTRE LES INCENDIES DE FORETS
L'attention de Messieurs les Maires est
attirée sur les développements importants
reçus en 19$-51 par le dispositif de lutte
contre les incendies de forêts.
Les corps de sapeurs-pompiers qui étaient
énumérés dans le Bulletin Administratii numéros 32 et 33 des 10 et 17 août 1950, ont
maintenant des moyens nettement supérieurs
à ceux de l'a n dernier. En out re, de nou,'eaux centres de secours ont été créés à
Vitrolles, Coudoux, Noves, Miramas, Marignane et aux Pennes-Mirabeau. Toutes les
mairies denont connaître l'Inspecteu r Départemental adjoint, le Chef de Secteur et
les Centres de Secours de leur zone et prendre, en accord avec les officiers du Service
d' In ce ndie, toute mesure pour que les alertes
soient rapidement données,
il impo rte, en outre, que les com mun es
apportent à la lutte tout le concours nécessaire et légal afin que les moyens d'action
aient tout le rendement désirable.
Messieurs les Maires sont instamment invités' à cet égard à apporter toute leur at-
tention aux dispositions demandées par la
circulai re insérée au Bulletin Administr atif
numéros 23 et 29 des 3 et 10 juillet 1950
(page 11 5).
______
D2 B3
TVX 4
c~ooc~-------
ELECTRIFICATION DES CAMPAGNES
Application de la loi du 2 aOût 1923 facilitant par des avances de J'Etat, la
distribution de J'én\!rgie électrique
dans les campagnes.
Pans,le 18 Juin 195 1
Le Secrétaire d'Etat à l'Agncultu,e à
Messieurs les Préfets (Métropole).
Depuis la li beration, de nombreuses collectivités publiques rural es se sont attaohées à
e ntrep rendre et à mener à bien l'exécution de
travaux pro pres à permettre une plus large
utilisation de l'é nergie élect rique dans les
campagnes
Le Gouvernement s'est constamment effo rcé d'encourager de telles initiatives et tout
ré cemme nt enCore d'es mesures vie nnent
d'ëtre adoptées en vue de si mpl ifier les procédures selon lesquell es les collectivités locales
peuvent obteni r le conCours financier de
la Caisse Nationale de C rédi t Agrico le, dans
le cadre des dispositions de la lo i d1u 2 aOllt
1923.
Je crois, par suite, devoi r appeler spécialement votre atte ntion su r les dispositions
esse ntiell es du décret N° 51.556 du 10 Mai
195 1 (J.O. dll 17 Mai 195 1) portant règlement d'a.dminÎstration publique pour l'ap.1li
cation de la loi p récitée ainsi que sur cell es
de l'arrêté du li décembre 1950 relatif aux
pièces à fournir pa r les colle<:tivités demandant le bénéfice des prêts institués s ur la
dite loi, ces deux textes abrogeant et remp:açant respectivement le décret et l'a rrêté
du 13 décembre 1923.
1. -- OBJET DES PRETS
L'article premie r du décret du 13 décembre 1923 précisait que le concours financier
de l a Caisse ~.. tionale de Crédit Agricole
etaIt Ilnll té a ( établissement de résea ux de
tr~nspo,rt et de d istribution <l' éne rgie électrique a haute, moyenne et 'basse tension à
Ifexception des jnstaUations intérieures
com,Pte~ rs, limiteurs et br~nçhements privés:
L article premier du décret nO 5 1.556 du
10 ma., 1951 reprend cette réda ctio n en la
completant <comme suit :
. Toulefois, {es dépenses afférentes à ta modlflcafl~n .des installations intérie ures, comp-
teurs, !lmltelfrs et branchements privés, ren-
d~e necess~lre par une modification de ten~/on
des reseaux de distribution, peuvent
ega.lement donner Ueu , le cas échéant, à ['o ctr:Ol de ces p~êfs dans la mesure ef les conditlo.n~ déterminées par arrêtes concertés du
MWlslre des Finances el des Affaires Economiques el du Ministre de ('Agriculture.
En. co ns~quen ce, la Caisse Natio na le de
Crédit Agricole se trouvera , dès la publicatIOn des arrétés visés, habili tée à fin a ncer les
tr~vaux précItés IOcombant aux usagers du
fait ,de 1 a.ccr?issement de la co nso mmation
~e 1 éne rgie electrique en ag ri culture et de
1 évoluti on de la technique de la distribution.
Il. -- PIECES A FOURNIR A L'APPUI
DES DEMANDES DE PRETS
La n0!11enclature des pièces constitutives
des dOSSiers de demandes d'emprunt à ad res-
ser à l," Caisse N.atio.nale de Crédit Ag ri cole
est precisee par 1 arrdé du 6 décembre 1950
U. O. d u 21 décembre 1950).
Comme vous avez pu le co nstater (" II .
' t ' li é .
, ,e-CI
a e e a gee dans toute la mesure co mp f
ble avec la nécessité d'inst ru ire les dema da ~'
n èS
d ans d es COn d 1't'Ions sa1 1.s l alsantes.
III. -- REALISATION DES PRETS
Co nforméme nt il l' article 21 d u déc ret du
13 decembre 1923, le versement des pr ' t.
ét al't JUS9u
.
..a pl' ésent eff~ctllé sur justification
e>
d.es besolllS, au fur et ~ m ~sure de l'exécu_
tion d es travaux et apres utilisatio n des ressourc~ prop res q ue les coll ectivites avaiellt
décl a r e affecter aux t ravaux entrepri~.:;.
C haque dema nde de versement devait êt re
a~compagnée d·un certificat émanan t tlU Ser\lIC~ Technique chargé du Contrôle de l'exécutio n des travaux co nstata nt l' éta t d'ava nc(:_
ment de ces derniers et d'un second certificat
dressé par. le Receveur de la collectivité, fai~
sa!1 t co nn a.ltre dans quelle mesure il avait eté
faIt emplOI des reSSourceg propres 'élffecte~s
a ux travaux entrep r is.
L'o~se:\'ation de ces prescriptions, qui
Co~dulsalt le plus souvent a u versement des
prets par acomptes, provoquait fréquemment dès retards dans la délivrance des
10 nds et partant dans la poursuite ou l' achè,
vement des travaux.
L'article 16 du décret n· 51.556 du 10 ma;
1951, ainsi co nçu:
« Le versement des fonds aux collectivités
bénéficiaires a lieu SUr justiftcation des beSOinS », permettra de hâter le versement des
prêts, celui-ci pouvant désormais commencer
d ès l'approbation des so um issio ns des entre:
p'r.ene~rs ou signature des marchés, sur justlficahon des besoins par attestati on du Service du Génie Rura l.
IV. -- REMBOURSEMENT DES PRETS
L'a rticle 17 du nouveau décret stip ule :
c . Le~ prêts sont amortissaOles par ann/ll• tes egaIes dont le mon{ant et tes échéanc ces, fixées soit au 30 juin, sail au 3 1 déc cembre, sonl inscrils au contrai de prêt.
« En même temps que la, premiere annui• lé, les collectivités paient l'int érêt dû pOlir
c la pénode comprise entre la dale de llerc semenl du prêt et cette du dJbul de la pée n'ode d'amortissement.
« A chaque échéa nce et sous condition
« d'un préavis de 3 mois, les cl)i lectivités
c
c
c
c
emprunteuses ont la facu lté d'effectuer des
remboursements par anticipation, imputables sur les dernières nnmutés (JL l'e mprunt. L'annuité fixée par le contra · S'Ira,
~
dans ce cas, diminu ée d'une somme fordes reml,ollrscc ments anticipés, celle somme n'affectant
« chaque année que tes int érêts prévlls par te
e tableau d'amortissement correspondant ail
« prêt ~ .
e respondanl aux intérêts
Ces dispositio ns se ro nt appliquées non seulement a ux prêts dont l'octroi sera décidé à
partir ?u 17 mail mais é-galement à ce u.x
accordes a ntérieureme nt à la date de publlcation du déc ret n' 51.556, et dont les co ntrats n'interviendront q u'après cette date.
Tous les au tres prêts, pour lesqu els . Ies
co n~rats ont déjà été signés par la Calss:
NatIO na le de Crédit Ag ricole et les coll""hvltés emprunteuses sous le régime du décret
du 13 décembre J923, continueront d'élre
amo rtis par semestrialités et aux dates
d'échéance stipulées dans ces COlltrats,
Cependa nt, afin d'alléger aussi bien la
tâche des comptables des collectivités que
ce ll e des services de la Laisse Nationale
Agricole, il apparait désirable que des simplificatio ns soient ap.po rtées aux moda lités dt:
rembourseme nt des prêts actuellemen t en
co urs.
De<; étud es sont poursui vies à cette fin et
je ne manquerai pas de vous informer en
temps utile, de le urs conclus ions.
'
D'o res et déj à , l'amortissement a nticipé
des prêts accordés avant 1950, et su r lesque ls les rembo ursements restant à opérer
ne rep rése ntant plus que quelq ues semestrialités d'un montant peu important permettrait
de réduire notal>le ment le nombre des règlements à effectuer par les pe rcepteurs ou les
receve:J rs conlme celui des mouve ments de
fonds à enregistrer par la Caisse Nationale
de Crédit Agrico le.
Il pourrait, au surplus, êt re réalisé semble-t-il, sans inconvénient pour les fi~ances
de coll ectivités intéressées, eu éga rd aux
sommes en ca use, bien souvent de l'ordre de
quelq ues milliers de francs .
Aussi , se rais-je très désireu x que les collectivités ayant bénéfici é du concours de la
Caisse Nationa le de Crédit Aaricole dans les
premières a nn ées d'a pplicatioOn de la loi du
2 août 1923 fussent instamment in vitées à
opére r de tels rembo ursements a ntic ipes,
chaq ue fo is que leur situation bud gé taire leur
en laisse la possibilité.
•••
Par circulaire n· 13 ,du 27 février 195 1
(Direction Généra le du Génie Rural et dc
l'Hydrau,lique Agricole), j'ai porté à votre
connaissa nce les caractéristiques et modalités d'attribution dcs prêts institués par l'articie 24 de la loi n· 50-854 du 2 1 juillet
1950 ; je vous ai indiqué les pièces que les
collectivités devront fournir à J' appui de leurs
demandes de prêts.
Comme VOliS le précisait la susdite circulaire, la Caisse Nationale de Créd~t Agricole est habilitée à consentir ces prêts dont
peuvent bé néficier les collectivités exécutant
des travaux d' élect rificatio n rurale avant
donn é lieu à l' octroi de subve nt io ns partiellement payables en annuités.
j'ajoute que les prêts institués pa r l'article 24 de la loi du 21 jui,lIet 1950 sont susceptibles de se cum ul e r avec ceux que la
Caisse Nationale de C rédit Agricole est autorisée à consentir dans les conditions particulières de la loi du 2 août 1923.
Toutefois, e n ra iso n du caractère facu ltatH donné aux dispositions de l'article 24 de
la loi du 21 juillet 1950 et du montant nécessairement limité des ressou rces co nsa crée3
à leur ap plicatio n. il importe o)le les collectivités recherchent. seuleme nt fi titre subsidiaire, l'aiae supplémenta ire que la Caisse
Nationa le de Crédit Agricole a la possibilité
de leur apporter dans ce no uve a u cad re.
fi co nvient enlin de rappe ler que l'article
18 de la loi nO 51.638 du 24 mai 195 1, relative au développement des cré<lits affectés
a~lx dépenses d'équipement des se rvices civ.lls, a expressément prév u que les dispositions de l'article 24 de la 101 du 2 1 iuillet
1950 étaie nt abro gées pour toutes les a !l'aires
sl1bventionnées après le 1er Jan vie r 1951.
Afin de donner tou te la publicité désirable
aux textes commentés dans la prése nte circulai re, je vous serais oh li g-é d'en fai re assurer !' inse rti o n dans Je Bulletin des Actes
présente instruction si vous le jugez oppo rtun.
Je vous prie, en outre, de la com muniquer
à l'Ingénieur ' en Chef du GenIe Rural et à
l' In gé nieur en Chef du Cont rôle des Distributions d'Energie Elect rique de vot re Département.
Paul ANTIER.
-------c»00 c )J-------
FIXATION DES
MONTANTS
DES
FRAlS
D 'EXPERTISES
POU R
EPREUVES D'APPAREILS A PRESSION DE GAZ OU DE CAMIONS-CITBRNES
ARRETE
TVX 5
.o2B3
CTO
D5 B2
MARCHES PASSES PAR
LES COLLECTIVITES LOCALES
CAUTIONNEMENT
ET RETENUES DE GARANTIE
. Paris, le 25 juin 1951.
Cirt ulaire n° 275
Le Président du Conseil,
Minis/re de J'Intérieur,
à Messieurs les Préfels (Métropole et
Départemenls d'Outre-Mer),
L'article 5 du décret du 2 mai 1938, relatif au Crédit, a prévu que « les cautionnements définitifs sont libé rés à concur ren ce du
montant des retenues effectuées lo rs du
paiement de chaque acompte >.
Ce texte n'est applicable qu'aux marchés
de l' Etat, les dispositions du décret du 2
mai 1938 n'a ya nt pas été étendues aux collectivités locales.
Les départements et les communes ne sont
donc pas tenus d'accorder à leurs entrepreneurs et fournisseurs le bénéfice des dispositions prévues à l'a rticle 5 susvisé. T outefois, en vue de tenir compte des difficultés
de tr éso rerie des entreprises, les coJlectivités
locales peuvent s'inspirer de ces dispositions
et insért:!r dans le cahier des charges de
leurs marchés une clause prévoya nt que
l'ent repreneur aura droit au remboursemellt
de son cautionnement définitif avant l'achèveme nt des travaux à concurrence du mo ntant des retenues de ga ranti e effectué lors
du paiement des acomptes.
Par co ntre , si une telle clause n'a pas été
prévue au cahier des charges et que le ma r ohé a fait l'objet d'une adjudicatio n, la collectivité ne saurait par une mesure de faveur
faire bénéficie r l'en trep rene ur d'une libération anticipée du cautio nnement.
Une sembla ble mesure abouti ra it, en effet,
à fausser le prin cipe d'égalité qui est à la
base de l'adjudication, puisque l'adjudication obtiend rait, en défi ni tÎ\'e, des conditions
plus ava nta geuses que celles d'après lesquelles Jes autres candidats ont dù éta blir
leu r soumission. (Dans ce sens, Cour des
Comptes, 18 novembre, Mazières, 22 décem~
bre 19 11, Antony).
Cette mesure de fa\'eur ne pourrait êt re
acco rd ée aux entrep reneu rs et fournisseurs
"près la co nclusi on du ma rche, que si celuici a été conclu non pa r adjudication, mais
de gré à g ré.
Vous au rez soi n de porter ces observations à la connaissance des Municipalités de
\'otre Département.
Pour le Président du Conseil,
Ministre de l'Inté rieur,
Le Préfet , Direcleur Général
de l'Administration Départementale
et Communale et de la Protection Civile:
Pierre-Jean MOA 111.
Le Préfet <les Bouches-du-Rhône,
Vu le décret du 18 janvie r 1943 portant
règlement sur les appareils à pression de
gaz ;
Vu la lo i du 26 septembre 1948 fixant
dans son article 42 les droits d'épreuve de
certains récipients à gaz comprimé liquéfié
ou dissous;
Vu l'article préfectoral du 13 octobre 194~
fixant les montants des frais d'expertise ;
Sur proposition de l ' In ~énieu r en Chef
des Mines en date du 25 juin 1951 ,
Arrête :
Article premier. - Les montants des frais
d'expertises pour épreuves d'appareils à
pression de gaz ou de camions-:citernes ~n~
à compter de la date du present arrete
fi xés aux tarifs ci-ap rès :
Pour chaque vacation .. . ..... Fr. 800
En sus et suivant la capacité des
appareils soumis à l' épreu\·e distingués
dans les classes suivantes :
a) Appareils de plus de mille litres
de volume intérieur par appareil...... 360
b) Appareils de plus de ce nt litres et
jusqu'à mille litres de volume intérieur,
par appareil...... .. . . .. .. . . .. . . . .. . . 180
c) Appareils de plus de trente litres
et jusqu'à cent litres de volume inté60
rieu r, par appareil ..................
d) Appa reils ayant jusqu'à trente litres de volume intérieur, par appareil
30
Toutefois, lorsqu'un g roupe de plus de
cinquante appa reils d'un même type seront
éprouvés et poinçonnés le même jour dans
un même établissement, la taxe par appareil sera réduite des trois quarts pour touS
tes appareils du g roupe ép rou vés au del:\
du cinquantième.
Outre cette réd ucti o n, lorsqu'un groupe de
plus ·de deux cents appareils d'un mëme type
seront ép rouvés à la même pression et POinçonnés au cours d'une même "acation, dan.s
un même établissement, la taxe par appa reil
sera Téd uite des sept huitièmes pour tous les
appareils du g roupe éprouvés au delà du
deux centième.
Art. 2. -- L'a rrêté du 13 octobre 19-18 est
rappo rté.
Art. 3. -- Le prèsent arrêté sera inséré
all Recueil des Actes Administratifs du département.
Ampliation en sera adressée à M. l'ingénieu r en Chef des Mines, chargé d' en é!ssurer l'execution.
Marseille, le Il juillet 1951.
Pour le Prélet,
te Secrétaire Général délégné,
LAMASSOURE.
------.....00<.'- - - - -
�~EPUBLIQUE
2 ••• lIIot t95t
r._..-..
FRANÇAISE
1!;4
f
D. D. S.
sol
INTERDICTION TEMPORAIRE
DE LA VENTE DE COQUILLAGES
ARRETE
L Préfet des Bouches-du-Rhône,
e Officier de la Légion d'Honneur,
Vu la loi municipale du 15 avril 1884 et,
notamment. l'article 99 ;
Vu la loi du 15 février 1902 sur la protection de la Santé publique;
.
Vu l'arrêté de M. le Maire de MarsOllle
e date du 5 juill et 1951 interdISant sur le
t;rritoire de cette commune, l'entrée. et la
mise en vente des coquillages JUsqu au 31
aoOt 1951 inclus ;
Vu l'avis favorable de M. le Directeur DépartOln, ntal de la Santé ;
. .
Sur la proposition de M. le Secretaire Gén~ral,
Arrête :
Article premier. - Au cours de la période comprise entre les 13 JUIllet et 1er septembre 1951, l'introduction, le tran~port el
la vente des coquillages manns d espèces
comestibles sont interdits dans toutes les
communes <1u département à l'excep~lOn de
celle de Marseille pour laquelle est Intervenue la décision municipale sus~isée du: 5
juillet 1951 qui demeure ~xécutolre dans les
conditions qui y so nt mdlquEes.
Art. 2. - Les coquillages entrés, tran~
portés ou vendus en fra.ude seront saISIS
sans préj udice des sancltons pénales et autres qui pourront être appliquées.
Art 3 _ M. le Secrétaire Généra.l de la
.'
'll~\ les Sous-Préfets ct AIX et
Préfecture, J. .
. rt
t M
d'A rles MM les Maires du Depa emen, .
le Dire'cteur' Départemental de la Sa!,té, ~.
le Directeur départemental des Sem ces e
PoUce et M. le Chef d'escadron commandant la "enaarmerie des Bouches-du-RhOne
°gés ch acun en ce qui le concerne,
son t char
- -té
de ~'exécution du présent arre .
Marseille, le 12 juillet 1951 .
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général detégué,
LAMASSOURE.
•
Communiqués -Avis
Annonces diverses
D2 B3
Les candidats doivent être âgés de 21 ans
au moins et de 30 ans au plus. Toutelois
cette Jimite est recul ée d'une durée égale il
celles des services antérieurs civils et mili.
taires ouvra nt droit à la retra ite sans pr~
judice des dispositions de l'article 162 du
décret du 29 juillet 1939 portant code de la
Famille.
Les inscriptions seront reçues jusqu'au 25
septembre 1951, il la Direction de l' Hôpital
d' Arles.
ArJes, le 6 juillet J951.
DËPARTEMENT DES
AVIS DE CONCOURS
!
j
/
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Le Directeur,
•
GUPIlIIUKIQUEa DU SEGBETBDIBT
DE l'UNIUM DES DlBIRES
BOUCHES-DU-RI-\ONE
30
Toute correspond(1fnae relative au Recueil doit être adressée à la Préfectu1Je Secrétariat Général
A.BRÉVIA.TIONS
A. P . : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaite - Les lettres D et B suivies d'ulT dhiffTe indiquent le Service ou Bureau d'origine_
D. S. 1:. : Direction des Services Techniq~.,. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale- de la Population.
,DEMANDE D'EM'PLOI
Hospices Civils d'Arles
(Bouches-du-Rhône)
Un concours sur épreuves aura lieu les
3 et 4 octobre 1951, à l' hÔpital d' Arles, pour
le recrutement d' un commIS Ittulrure.
Peuvent faire acte de candidat ure, l ~s personnes titulaires du brevet élémentaIre, du
diplôme de fin d'études seco n,d a lfes, de gradué de l'Ecole Nationale d Admlntstrat.'"n
Municipale ou d' un diplôme éqUivalent amsl
que les sténo-<lactylographt;S et employés de
bu reau (titul ai res et aux"lalfes) ne possédant pas les dipl ômes ci-dessus maIs comptant trois années d'ancienneté. a~ mmimum
dans une administration hospitalière.
Ancien fonctionnaire du Ravitaillement gé·
néral l âgé de 48 a ns, cherche soit lin emploi
de secrétaire de mairie, soit un emploi simi·
laire dans. une localité quelconque des Bouches-du-R hô ne.
IM essieurs les Maires intéressés par cette
candidature sont priés de se mettre directement en rapport avec M. Bertra nd Vital,
chez M. Durastel, 6, place Mi chelet, cité Fabre, Le Puy (Haute-Loire).
Le Secrétaire Gén éral de l'Union,
AUDIBERT ,
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulair...
PaQ'es
mau x et courants dans le bâtiment
et les travaux publics ........... .
155
TVX 1. - Cooroinatiorr 'des program mes en mal iere de co nst ruction scola ires
. . ... . ...... .. .
EI~ctions
il la Chambre- Départementale <il Agriculture des- Bo uchesdu-Rhône .. .. ...... ...... ......
SC 7. - Servi ce de lu ite <Gntre les
incendies de forêts ... .... ..... .
SC 7. - rn terdiction de jefer sur les
routes o u les voies ferrées to ut objet
en ignition ... . ........ ... .......
TVX O. - Bord erea u des sa laires nor-
A 1. -
159
1,5.9
159
160
Textes d'Intérêt Général
AC 2. - Alpurement des opérat ions de
nature bud gétaire des exercices 1940
il 1946 non imputées en temps utile
aux bud gets d'o ri gine et des déficits
et manquants co nstatés pendant les
gestions 1940 il 1946 .......... ..
164
A C 3. - Régime de Il indemnité-de résidence des- fcmctio nn aires el agents de
l' Etat. . . .... .. ... ...... . . ......
164
1
Communiqués, Avis, Annonees diver. .
-
Avis de co ncours: recrutement d'lUI
éco nome a u Sanatorium Départemen
tal de la Savoie il Hauteville-Lompnes (Ai n) . . ... . ........... _.. ....
164
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
06 BI
ARRETE
Al
ELECTIONS A LA CHAMBRE DEPAR-.
TEMENTALE ,D'AGR1œLTURE DES
BOUCHES-OU-RHONE.
Liste électorale des groupements et fixation du nombre de voix dont chacun
disposera.
Le Préfet des Bouches-<!u-Rhône,
Officier de la Légion crffonneur,
Vu la loi du 3 Ja nvier 1924 sur les Cha mbres d'Agri-c ulture,
VII l'articie 16 d u Décret du 30 Mars 1929,
Sur la proposi tion de M. le Secrétaire GénéraI,
ARRETE
ARTICLE UN IQUE. - La liste des AssociaPREMI ERE
tia ns et Syndicats agricoles appelés il prend re pa rt il l'élection des Délégués des dits
ASSOCIatIO ns et Sy ndicats. il la Chambre Dépa rtementale d'Agricuit ure des Boucbes-<!uRhône, te lle qu'eUe ressort du tableau annexé
a u présent arrèté, est déclarée définitivement
c lose.
J\!1arseille, le 1er Juillet 195-1.
Pour le Préfet,
Le So us-Préfet Directeur d u Cabinet,
DUFAY.
CATEGORIE
GROUPEMENTS ET SECTIONS DE GRO UPEMENTS AGRICOLES CONSTITUES SOUS LE REGIME DE LA LOI
DU lcr JUILLET 1001 OU DE LA LOI DU 25 FEVRIER 1927
(Livre III - TilT" 1u <lu Code dit Travail)
Numétos
Copie
ttrt~1;
Syndicat Profession nel Agric ole de Plan-de-Cuques ....... . ....... .... .. .. .•. . . ,.,
eODferm..
PrHct :
L, SIC-rl'.'r'e Chtn" " LAMAS SOURit.
POUf' }e
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
------------------~==~==~~ --------------------------
DESIGNATfON
Sjmdicat des Ag·ri<:ul.teurs Professionnels des B.-<!II-R h................... . _.. _... .
Sy.ndica t Agrico le C.G.A. ~'A rl es, 61 R.a.... €ie la, ( aur, Arles ........ . .............. .
Syndkat Agri cQle des C uJ bvateur~ Ex·pl01Mnts d ArI f':)
....................... .
Syndicat Loca l de 1'51evage Pore ln de l'rers . . .... _... ' .. _. .. .. .. . . . . .. . .. . .
Synd icat A"r icole C.G.A. de La Clotat- eyreste .. _.......... '" ........... .
Sy nd icat Agricole C. G. A. de Noves ...............................
.. .. _".
Syndica t Agri cole C. G. A. de La Bouilladisse . . ........................ _........ .
Sy ndicat Ag rico'le C. G. A. d u Parad"" .......... . .......................... _.. .
Synd icat A",ri cole C. G. A. ct;, Puyrtcard ......................................... .
Syndicat A'gricole C. G. A. d' Eygalières .. ........................ _ .... _ ....... .
Syndicat Agricole C. G. A. d ' Istres ..... . . . . .... . ....... . ......... ... .... .. .. .
Syndicat Agri<'ole C. G. A. de Venell es .... . ...
.. . .. . .................. .
Nombre
d'Adhérents
13 1
21
Nombn:
de vOLX
2
1
I).IQ
7
6-lO
58
23'l
300
360
7
1
3
3
1&
1
2
t
2
1 ~5
14Hl()
69
4
1
,
�-
156
DESlüNA TION
Numéros
14
15
16
17
IN
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
41
Nombre
d'Adhérents
Syndicat
Syn(licat
Syndicat
Syndicat
Syndicat
Agricole
Agricole
Agrirole
Agricole
Agricole
de Lançon (C. G. A.) ............ . . . ...... . .. . ... . . ... .. .... .. .
C. G. A.. de Venta,bren .. ......... . .. . ...... . . . .. .. . .•.. . .... .. .
C. G. A. de Châtea uneul-les....lartLgues ... . ... . . . .. . .. . . . . . .. . .. .
C . G. A. dES Milles . . .. . . .. . . . . .... ....... . ..... . •... . ..
C. G. "'- de Velaux .. ........ . ..... . .. . ........... . . . . . . . ... • ..
Syndicat Agric ole C. G. A. de Cabriès ...................... . ... , .. .. . .. . . .. . .. . . .
Syndicat Agricole C. G. A. de fIIan de Campagne ...... . .... . ...... .. ... .. . ..... .
Syndicat Agricole C. G. A. de <Marseille .... . .. .. .. . ........... . . . ...... . . . . .. . . . .
Syndieat Agricole C. G. A. de 'Roquevaire ................ . . . . .. .. .... ...... . . .. . .
Syndicat Agricole C. G. A. de Coudoux . . . . . .............. . ... . ..... . .. .. .. .. ... .
SyndiCat Agricole C. G. A.. de Sénas . ...... . ..........................•.........
Syndicat Agricole C. G. A. de oLambesc .... . .................... . ... . . . • .. .. . ....
Syndicat Ag ricole C. G. A. de SaJion-de-ProvenŒ .......... . - .. ...... . .... .. .... . . .
Syndicat Agricole C. G. A. de Rognonas . . . .. .. ......•... . ....... . .. ... .. . . . . . .. . .
Syndicat Ag ricole C. G. A.. d ' Aix-<on-Provence ....... . ........ . .. . ......... . ... .. •
Syndi ca t Agricole C. G. A. d' Entressen en Cra u .......... .. ............... . . . .. , .
Syndi ca t Ag ri cole C. G, A, de P eyrolles-<!n-P rovence . . , ........ " , .... . . .. .•. . . , ..
Syndica t Ag ri cole C. G. A, de FontviefUe .. . .. , ............. . .. . ......• , .. • . .. ...
Syndicat Ag ricole C. G, A. de Port-Saint-Louis-du-Rhône ....... , ...... , ... . .. . , . . .
Syndicat Ag ri cole C. G. A. de Fos-<;ur-Mer .. . . ... . ......... .. .... , ... , . . , . . ,., ..
Syndica t Agri cole C, G. A.. d 'Eguilles .... ..... . ....... ,., .. . .•. .. . .......... , •. , .
Syndicat Ag.ricole C. G. A. de Cassis ., . . ........... , .... . ............. . ... , . . . , .
Syndica t Ag ri cole d es Cultiva teurs ,E"'Ploitants de Rognes .. . .......... . .. , •...... ,.
Syndicat de 'Délense d es Vins de qual.ité, 58, l'Ue Mo n.g ra nd , Marsei lle ....... . , , ..•.
Fédé r~ ti o n Dôpartemen ta le des Associ a tio ns Agricoles d es B.-du-Rh , ..... . . . , . . .. . . '
Syndica t d' Approvisio nne men t des Associations Agricoles des Bouches-d uRhône, 58, rue Mo ntgrand, Marse ille .... , . . ..... , ... . . , .. . .. "., ... , . . , ...• .
Synd icat Ag ricole C. G. A. de Bouc-Bel-Air .... , ........ . ... , . ... , ... ,,' .... . . .. .
Fédération Nationa le de la Propr iété Ag ricole. 8, ru e d' Athènes, Paris (I X' )
Pour les Bouches-d u- Rhône: 7, rue L alon, Ma rseille .. ... .. . . . , ... , ., , .... , " .
42
F.édération N ationale des S}'ndicats de Propriétai res F orestiers Sylvicul teurs, . ... .. . .
43, r ue Faubourg-Sai nt- Honoré, Pa ris (VIII"') ..................... .. .
43
Fédératio n Dépa rteme nta le des Synd icats d'Exploitants Agricoles des Bouchesdu- Rhône, 16, ~ue Grignan, Ma rsû]Je . . .. . .. .. .. . ... . .. . , .. , ...... . , .. . , ... . .
Syndicat des Régisseurs et Bayles Régisse urs des Bo uc hes-d u-Rhône, Pla n de
de la Co ur, 6, Arles. . .. .... .... . .. , .... .... . .. . .... ..,. , .... ",' . ..
Union des Syndicàts Agricoies des Alpes et P roven ce,
15, rue Ed mond-Rostand. Marseille ". " ", .. "", ..... , . ,." .. , .. , • ....•.. . .
Syndi cat Agri cole de Prove nce, 15, ru e Edmo nd-R osta nd, Ma rseille ., .. , ......... .. . .
Associa ti on Générale des Produ cteurs de Bl é et a utres Céréales,
1'8, rue d es Pyram ides, P",ris (1e r) ............. . . . .......... . .. .. . . " .. " , . .
Fédératio n Nationale des Syndicats d'Exploit a nts Agri coles,
Il bis, rue Scribe, Paris (l X') ...... " .... , .. ,., . . .. . .... , . .... " . , ...... . . .
Associatio n Gé nérale des P rod ucteurs de Bl é et autres Céréales W,D,E.A. des
R-d u-Rh..), 18, rue des P yramides, Pa ris ..... . .............. . .... . ... . ,., . . .
Syndicat Nat ional des Di rec teu rs de Mut ualité Agri cole,
44
45
46
47
48
49
22, rue de Charonne, Pan s ...... . .. . ........... . . . .............. . ..... . : ..
51
52
Fédération Nationale des Syndicats d' Ingénie urs Tec hniciens, Cadres Ad minis trat ifs et Employés ~e l'Agricu ltu re et des O rgan isati ons Ag ricoles
6, ru e Halévy, Pa ris (lX) ... , . . . . . ,.. .... .... .. . . .. . . .... ., . : .. , . .. ..
Syndicat Nat ional des Directeurs et Sous.-D:.recteurs de Co<>péra ti ves Agricoles
9, rue Scribe, Paris . .. . .... .... .... .... .... .... .... .. .. ..
1
.' '
••••
•••
53
Conlédératio n Nationale .de l' Elevage, 2, rue T aibou!, Pa ris ( IX' ). F.D .S.E:A.
54
des Bouches-du.-Rhone, 16, rue Gngnan , Marsei ll e . .... . ....... ' ..... , . .. ..• . .
Con féd~ ration . Française de )'AviCUJlt ure, l, rue Mo ntedo ur, P a ris ( 1er), (Syndica t AVicole de IP rovente), M. ILapierre, Coudoux , ....... .. , ...... .. .. .. ... . .
55
Nombre
de voix
GROUPEMENTS DE DEFENSE CONTRE LES ENNEMIS DES CULTURES
62
102
154
83
32
47
750
168
21
150
\16
550
190
123
35
64
49
13
50
200
50
73
8.375
10,771
2.564
64
20
12
8.527
1
2
2
1
t
1
8
2
1
2
2
6
2
2
t
1
2
8.000
26
1
86
28
so
so
4
170
2
80
87
57
58
... .... ... ..
590
70
50
63
Groupement de Défense contre les Ennemis des Cu,ltures d'Arl es ..... . .. . .. , . . .. " . ,
Fédération Départemental e des Growpeme nts co ntre les Ennemis des CultuIes
• Ma iso n de l' Ag riculture " , Mles-s ur-Rh ône . ... . . . .. "" .. , . . ... .. ' ... . , . . .
Groupement de Défense Permanente co ni re les Enne mis des Cullwre du Can.ton de Trets . . . . . ,. . . , .. "., , .. , .,.. .. , . ..,. ,... ..,. . .. . . , . . , .. .
Groupement de Défens e contre 'les Cul t ures de Coudoux . .............. . ... , . . , .... ,
Groupement Communal de D<!lense P ermane nte contre les Enn emis des Cultùres de Gémenos . . , . ... . .. . . . .,. . .. . . . .. ... . .. .. .. .. ., ..... , . . . •
, 3
4
5
TROISlEME
Numéros
1
2
142
2
960
10
10
20
126
2
CATEGORIE
Nombre
d'Adhérents
DESIGNATIO N
Caisse Locale de Crédit ft/gricole de T rets (B.-d ... Rh..) .. .... ,., .... , ........ , . .. . .
Caisse d' EC011om ie et d e C rédit Ag ricrue M utu el des Al pes et P rovence. 15, rue
Edmond-Rosta nd, MarseUle.. ,... ,... . .. . . .,. , .. . .... . . ,. ." ... . , ... .
Caisse Provençale de Crédit Mut ue l Agricole, 15, ru e Ed.- Rostand, Marseille ....... , . .
Fédéra ti on Ce nt rale du Crédit Agric ole Mutuel, 31, rue de la Sourd iè re, P a ris ......... .
3
4
QUATRIEME
Nombre
de volx
510
6
110
30
140
2
1
2
CATEGORIE
1:
COOPERATIVES AGRICOLES ET LEURS UN ION S
Numéros
1
2
3
4
5
fi
7
8
9
10
Il
12
13
14
15
16
17
18
19
20
ZI
22
23
24
25
26
29
30
31
Nombre
d'Ad hérents
DESIG NATI ON
Coope rative Vinicole de Ma rigna ne-Gignac, ... . . " ,., ... _.
. .. . .. ..... ,
Co()péra t ive du Syndicat A.gr.icole d' Eygui è res .... . .. ,
. , ........•.
Coopéra tive Vinicole des Granettes à Aix-en-Provence..
. ... " .... , .
C ave Coopé rat ive Vinicole dé T rets . . . . .... ....
. .. , . ...... .
Cave Co()pérative Vinicole de P:uyloubier . . . , . ... ,...
. . . , .... . .. .
C ave Coopérative Vinicole des coteaux d'Egui lles., ,...
. ......... . .
Cave Coopérative Vinico le de Noves .... . .. , . ... . ... ", ....... , . . . , .... .. .. • .
'Coopérative Vi nicole de Martigues, Port-de-Bouc et Saint- Mlt re ........... .... , .•..
Co()pérative du Syndicat Agricole de Barbentane., .,.. .... . ...
. ... , ...... .
Cave Coopérative des coteaux de 'Lançon de Provence. . .. ... . ....
. .. , .. . ...•.
Cave Coopérative Vinicole de il..a Fa re-les-Oliviers . . . . . . . . . . . . . . . . . , .. . ..• , . •.
Soci"té Coopérative Viin icole de Cuges-les-Pins .. . . . " . . , . . . " ...........• , ... .
Coopérative Agricole d'Approvisionnement de Châteaurenard . ...................... .
' -Coopérative Ag ricole du Synd icat d ' Actio n Paysanne de Rognonas ....... " . . .. , ... .
Coopérative Agricole d'Approvisionnement « M1reille » à Graveson ... ........ . . ..• . .
Co()pérat ivc Ag rico le de Rognac. , .... ,. " ... . ....... " ......... .. ..... , .•..
Cave Coopérative Vinicole de Trers .... .... .... .... .. .................... .
Coopé rative du Syndicat des Eleveurs du Méri nos d'Arles ................. , ... . .. •.
Cave Coopérative Vini cole de Jouques ...................................... ..
C"ve Coopérative « Les Alpilles» à Saint-Etienne-du-Grès .. . . ...... . ..... , ...... .
Sooiété Coopérative de Productions Agricoles de Rousset .... .. , .......... . ....... .
. .......... .
Cave Coopérative Vinicole de Ventabren .. ,. ....
Coopérative Gu Syndicat Ag ricole d'tEyragues . .. .
. '"
....
. .......... .
Coopér.ative Agricole du Puy-Sainte-Réparade .,.,
... . . ,..
. .......• ".
Coopérat ive Agricole de La Bouilladisse .... ....
. . . . .. ..
. ...
Co()pérati\'e des Syndicats Agricoles des Pay"'"s des Communes de Sa int- ·'···· · ·
. ..... . . ' •..
Etiertne-d u-Grés et Mas-Blanc .... .. . . .... ,... .... . ...
Coopérative Agricole de Plan-de-Cuques .... , .... .... .... ....
... , ....... .
'Coopé rative de Bilttages et Travaux Agncoles de Saint-Cannat par le PuySainte-Répa rad e .. , .... ... ... .... . ,...
. , . . . , ................. .
Coopéra tive Agrico le de Lambesc ........ , ......... :: ...... . ..... "
Coopé rative Agrkole d'Achat en Commun et d"Approvlslonnement, 29, rue········
Ferrari M arsei lle.. .... .... .... .... . ... .... . ...
. '" . ...... .
Coopérative 'Agricole des J\till~s. , . ,
, . " ., ... " .... '
, ......... ..
32
Coovérative Arrricole de Velaux . .... . . , ,... . .. . . . . . . ..
33
34
35
Coopérative Agricole de Pilan de Campagne à Cabriés.,.,... .
. •..•...
Coopé rat ive Agricole de Coudoux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. ... : .. . .. ..
Coopérative Agricole d'Alx-en-Pro \rence, 23, bou levard de la Repubhqu~ Aix·········
36
en-P rovence ... , .... .... . .. . ... . .... .... .... .... .... . .. . ....... .
Coopér ative A'gricole de Rog:-ac. ' .. ..... " . , ..... ' ,' ..... . . : . . : . . . : ......... .
Coopérative du Syndicat Agn.::ole des Paysans du TerrOir Samt-Remols, Samt-
6
1
1
Nombra
de voix
CAISSES LOCALES ET REGION ALES DE CREDIT AGRICOLE
27
28
21
8.000
Nombre
d' Adhérents
DESIGNATION
lOS
18
8,000
l
2
1
90
2.760
87
Numéros
1
90
Fédération Na ti onale des ,P roducte ltrs Laitie rs, 50, rue Scribe, P a ri s (I X') .. , ., ,
l ' Syn di ca t des Lailiers Prod ucteurs, 10, bou!. Vo ltai re, M a rsei lle.
Syndi ca t Nat io na l des Cad res Ad ministra tifs et Employés des Orga nisatio ns., ... .. .
Ag ricoles, 9, rue Scri be, Paris., .... . . . . . . . . . . . . . . . . . ,..
. .. . ... . ... .
Synd ica t Local C. G. A. d'Eygu ières . " ..... , .... ,.. .. ..
. . . , ... , .. , •
Syndicat de la Propriété Agricole de la Régio n de Marseille,
7, rue Laf()tl, MarseiHe . . . " . .... .. . . .,.. .., . . ...
DE.UXlEME CAl'5GORlE
80
2°. Syndicat des P.roducteu rs Lai tiers d'Aix-en-P rovence,
3, rue Brueys, Aix-en-P rov.ellce.
56
151
37
l<ernv-Q'HJ rOvcnce .... .... .... .... ....
....oom""""p Oll,ico,ll e de
à Rognac , .. , .... . . . .
. .... , .....•
. ..•.
350
160
220
808
200
380
420
ISB
330
186
273
355
980
250
97
171
809
600
152
215
41 7
163
t87
7
Nombre
de voix
4
2
3
9
2
4
5
2
4
2
3
4
10
3
1
2
9
6
2
3
!5
2
2
1
300
4
312
215
4
3
57
238
3
1
475
210
270
100
90
5
3
3
2
267
t71
3
2
1.52-1
1
�SIX IEME CATEGORIE
DESIGNAT ION
Numéros
4ll
41
42
43
44
45
46
47
48
49
50
51
52
53
54
55
56
57
58
59
50
61
62
63
M
65
66
67
68
69
70
71
72
No mbre
d e vol.
Nombre
d :Adb érents
Coopérativ" Oléicole de La mbesc . . . . . . . .. .
Cooperath", Oleicole de Coudoux.. .... . .. .
Societé Coopérative Oleico\e de C,,)'resle ... .
Coopérative Ag ricole (Section Battage et Utilisation <le Matériel Agrico le à
Lambesc ............... ... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Cooperative Vinico le des Milles .... .... .... . . ..
. .. . ....... .
Société Coopérative Vinicole de Mal lemort. . .. .... ... . . ... ....
. .... .. ... . Cave Coopérative Vinicole de La Ciotat ... . .... .... .. ..
. . . . ....... .
Coopérative Agricole et Vinico le de Rognes. . .. ..
. .. . .. .... . .
Cave Coopërative de PéJ.issanne et des e.nvirons.. .. . . .. ....
. '" ....... .
Cave Coopérative Vin icole « Magali :f , Graveson .. " .. •. ....
. .......... .
Cave Coopérative Vin icole de Lambesc .. -.... ..
. . .. -.. .. .... .
Ca"e Coopéra li,'" Vinicole Regionale de Cabriès. ... .... ... .
. .......... .
Ca,-e Cooperative \'m icole de Mai llane. . ... . .. .. .... ... .
. .......... .
Coopérative de Broyage et de Vente des Fou.rrages, 58, r. Mo nt gra nd. Marseille ....... .
Cooperati\'e d'Approvisionnement. 58, rue Montgrand, Marseille . . . . ....
. ...... .
Coopérative des Producleurs de Blé des Bouches-du-Rhône, Var, 58, rue ,Montgrand, j\·\'arse ille . . . . ...... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • . .
Cooperative des Producleurs de Fruits el P,imeurs des Bouches-du-R-hôlle., rue
Montgrand. 58, Mars~ille .... .... .... .... .... .. .. .... .... . ... .. .
Station Coopérati ,'e Régiona le de SélecMCUl des Bouches-du-Rbône, 58, rue
Montg ra nd, N\arseil le . . .. .... .... .... .... . ... . ............... ....... .
Fédé.ration Provençale des Distilleries Cooperatives. 58, r. Mont g rand. Ma rse i!lle ....... .
Fedératioll Départemen ta le des Coopératives Vini coles des Bo uches-du-R hône ......... .
Union des Coopératives Agricoles de Fraits et Légumes de Arovence. 16, rue
Edmond-Rostand, Marseille. ". ....
. ." . . ..
. .. ................ .
Coopérative Agricole des Alpes et Provence, 15, rue Edm.-Rosta nd, Museille . ..... .. , ..
Coopérative Agricole de Stockage Alpes et Provence, 15, rUe Edmond-Rostand,
Marseil le . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
fédérat!on NatIonale Agricole des Fruits. Primeurs, Fleurs et autres Produits
Agricoles, Union des Cooperatives Agricoles, 129, boulevard Saint-Germain, Pads (6"). . .. .... .... .... .... .... .... ... . .... .... . . . .. .
Fécterati01l Natio.nale des Coopératires Laitières, 7, rue Scri be, Paris (9") .... , ...... .
Union Nalionale <les Sociét..s Coopératives Agricoles de Céréales.
6. rue Halévy, Paris :
1· COOjJerati"e Agricole des Associatiol16 des Bouches-du-Rhône,
58. rue Montgrand, Marseille.. .... ... . .. .. .... .. .. .... . ........ ".
2" Coopérative Agricole des Producteurs de Gereales des AI.pes et Provence, 15, rue Edmon<1-Rostand, Marseille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Fédération NallOna le des Groupements Agricoles d'A pPIovision nement 20 bis
rue Lafayette, Paris (9' ). (Coppéralive Alpes et Pro ve nce, 15, 'r ue Ed:
mond-Rosta nd, Marseille . . .. .. .. .... . . .. .... .... ... . .... . . . .. . . .... .
Union .Nationa~e des Coopératives Agricoles d'A'p'provisionnement, 6, rue Halevy, Pans (9") .... .... .... .... .... .... .... .... . .. . .... . .......••.•
Coopérative, S. A. Barbentane, C. G. A. de Cl1âtea'urenard, Union de:,
Cooperat ives Agricoles des B.-<lu-Rh., 58, rue MOl1tgrand, MaTSci ll e ..
Coopérative Vauclusienne Agricole, 92, Iue Joseph-Vernet, Avignon ................. .
Confederation Nationale des Cooperatives Vilricoles, 3, rue de Rigny, P ar is (8') . ... .
Pour les B.-<lu-Rh ., Fedération Départementale des Coo pératives Agricoles des B.-du~Rh., 58, rue Montgrand, Marseille .... . . . . . . . . . .
Fédération Nationale des Distilleries-Cooperatives Vinicoles, 3, rue de Rigny,
Paris (8") . . . . . . . . . . . . . . ........ ...... .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..... ..
Instit ut Cooperatii du Vin, 18, avenue Fr.-<Mistral, M\l ntpeUier ........... . .. ' ...... .
Cooperative Agricole du Syndical Avicole de PIovence, 15., rue Edmond-Rasta nd, N\arsei Ile . . .. .... .... ... . .... .... .... .... .... .... . ....... .
3
296
2 12
213
Nu mé ros
3
3
2
23
3 12
4
7
.677
3
1
3
5
4
4
3
73
289
446
301
305
243
334
4
5
6
7
8
278
3.904
4
3
40
5.339
54
1.250
13
32
24.175
14.334
242
14'1
5.000
545
50
6
2.966
30
1.256
13
2
9
\0
Il
Numéros
Caisse Mutuelle Agricole d'Allocations Familiales Agricoles.
5, rue d'Italie, Marseille .... .. . . .... .... .... .. _ .
d' Allocations Familiales A ricoles
. . ..
.... . .. . .... .. . .
51
135
2
20
30.435
117
35
2
1
5
6.759
75
794
8
8.012
M.O-I4
81
MI
30.535
306
1
2
3
4
5
6
7
8
3.904
( 4.449
45
545
545
6
5.431
55
102
14 .334
2
147
24-' 75
11.64~
242
81
7
117
Nombre
d' Ad hérents
Nombre
de voix
22.400
224
Nombre
d'Adh érents
DESIGNATION
Syndicat de la G rande Rav ine et Fosse Mayrol à Ey guières ....... . ...... .. . . ..... . . .
Association des Arrosant s de la Commune d'Eyguières ........... . .•... . ..... . ......
Association du Dessèchement des Alarais d'A rles ..... . ........ . .. . ........... .
Syndica t des Chaussees de la Grande Camargue à Arles. .. . . .. .. .. .. . . ... . . . ... . . .
Syndicat des Chaussées du Plan de Bourg. ... .... .... .... ....
• . . .. .. . .
Syndica t de la Digue à la Mer en Camargue . . . . . . . . . . . . ..... .... .... .
Association Syndicale de la Roubine de la Triquette-Camargue,
l ~ rue du Pont, Arles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .... .
Srndicat de l'Egout de Roquem".ure, Arles .. . ....... ..... .... .
D2 B3
CA ISSES D'ALLOCATIONS FAM ILIALES AGRICOLES
DESIG'NATION
Caisse Loca le cI' Assu rances Mutuelles l\gricoles contre 'l'lncendie de Marseille.
Fedératio n ..... . . . ... . ............ \ ........ . ........... '"
.... , .. .
Caisse Loca le d'AsSuran ces Mutuelles Agrico les contre les Accident5 de Marse,lI e. ~ Fédé ration .... . ... .... .... .... .... .... .. . . .... . ...... .... .
Caisse Locale d'Assurances M u.t ue ll"" Agricoles contre la mortalité du bétail
de .M arseil·le. - <Fé dération. ... .... .... .... .... .... .... .... . .. ,
Caisse Mutuelle d'Ass urances Sociales Ag ricoles des Bo uches-du-Rhône ...... : :'..... .
Caisse Loca le d'Assurances MbtueJles Agricoles de Ma rse ille, Alpes et Provence . . .
Caisse Centrale d' Assurances Mutuelles Agricoles (Risque grêle), 25, rue de
la Ville-L'Eveque, P a ris (S") .. .... .. .. .... .... .... .... .... .. .. ........
Caisse Cen1rale d'Assurances Mutuel.les Agricoles (Risque incendie), 25, rue de
la Ville-L'Eveque, Paris (8").. .... . ... .... .... .... .... .... . ........ .. .
Caisse Centrale d'Assurances Muluelles Algricoles (Risque mortalité bétail),
25. rue de la Vilie-L'Evêque, Pa ris (SO) ......... . . .......... .... , ....... .
Caisse Centrale d' Assurances ,\lutuelles A'grlcoles (Risque accidents), 25, rue
de la Vilie-L' Evêque, Paris (8) ....................................... ..
Fédé rallon Nationa le de la Mutual ite Agricole, 129, bo!>!. St-Germain, f\aris (6') ....... .
Caisse Centrale de Secours Mutuels Agricoles, 25, rue de la ViHe-L' Evêque,
Pans (8") .. .. . . .. .... .... .... .. . . .... .. .. .... ... . . .... .. ........ .
Nombre
de voix
GROUPEMENT D' AGRICULTEURS POUkSUIVA N T UN BUT D'INTERET PROFESSIONNEL AGRICOLE
200
+
Nombre
d'Adhérents
DESIGNATION
SEPTIEME CA l'EGORIE
CINQUIEME CATEGORIE
Numéros
CAISSES MUTUELLES AGRICOLES D'ASSURANCES ET REASSURANCES CONTRE L'INCENDIE, LES ACCIDENTS
LA GRELE ET LA MOR TA LITE DU, BET AIL, CONSTITUEES SOUS LE REGIME DE LA LOI DU 4/WLLET 1900
SC
7
Inspection Départementale
des Services d'Incendie
et de Secours
SERVICE DE LUTTE
CONTRE LES INCENDIES DE FORETS
L' attention de Messieurs les Alaires est
attirée sur les d éveloppemenls imporlants
reçus' en 1950-5 1 par le di spositif de luite
contre les incendies de forêts .•
Les co rps de sapeurs-pompiers qui éta ient
én um érés dans le Bulleti n Administratif numéros 32 et 33 des 10 et 17 août 1950, ont
,:"aintenant des moye ns nettement supérieurs
a ceux de l'an dernier. En out re, de nouveaux centres de secours ont été créés à
Vitro ll es. Coudoux, Noves, Miramas, Marig nane ct aux Pennes-Mira bea u. Toutes les
mairies devront con naître l' Inspecteur Départemental adjoint, le Che! de Secteur et
les Ce ntres de Secours de leur .zone et prendre, en accord avec les officie rs du Service
d'J.ncendie, toute meSll re po ur que .les a lertes
sO ient rap idem ent do nn ées.
li importe, en outre, que les co mmunes
apportenl à la lutte tout le conCours nécess~lre et légal afin que les moyens d'actio n
.,enl tout le rend ement dés irable.
Messieurs les Mai res sont instam ment invités ' à cet
rd à appo rt er toute le~r at~
tcntion
ci rcul ai re insérée au Bulletin Administratif
numéros 29 et 29 des 3 et 10 juillet 1950
(page 115).
---uOOu·----
SC 7
D2 B3
INTERDICTION DE JETER SUR LES
ROUTES OU LES VOIES FERREES
TOUT OBJET EN IGNITION
ARRETE
Le Prefet des Bouches-du- Rhône,
Officier de la Legion d' Honneur,
Vu l'article 99 de la loi <lu 5 Avril 1884
Vu la loi du 26 Mars 1924 concem311t les
,diverses mesl1res à prendre contre les incenrues de forêts ;
Vu l'a rticle 148 du Code Forestier modifié
par les lois du 10 AoUt 1943 et 27 Avril
1949 ;
Yu l' arrêté préfectoral du 13 Avril 1951
portant rég lementation de l'emploi du feu et
notamment ses articles 4 et 6 ;
Yu le rapport fi " 965 D eu date du 9 Juillet
195 1 de l' Inspecteur Départemental des Services d~ incen<t~e.
ARRETE;
ART ICLE PRE.\IIER. - li est interdit à toute
personne de
sur les routes ou les voies
ferrées tout
moins de 200
1
Nombre
de voix
S90
1.965
1.206
1.-115
1.117
5
9
20
13
15
12
80
21
1
1
482
ART. 2. - Ceux qui auront contrevenu aux.
dispositions du premier arrêté seront passi~
bles des sanctions prévues pu la loi du 27
,Avril 1949 modifiant et aggravant les dispositions de l'article 148 du Code Forestier.
ART. 3. - ',\\,1\1. le Secrétaire Général de
la Préfecture, le Directeur Départemental de
la Police, l' Inspectêur Départemental des
Services d'incendie, le Commandant de Gendarmerie, le Conservateur des Eaux et Forêts, sont chargés, t\'1acun en ce qui le con,cerne, de l'exécution du présent arrêté qui
complète celui du 13 Avril 195 1 et sera
publié a u Recueil des Actes Administratifs
des Mairies. Il sera rendu exécutoire immédiatement après sa publication.
Marseille, le 13 Juillet 1951.
Pour le Préfet et par délégation.
Le Secrétaire Général,
LA.'L~SSOURE.
---000""--D6 B3
TVX 0
BORDEREAU DES SALAIRES NOR·
MAUX ET COURANTS DANS LE
BATIMENT ET LES TRAVAUX PUBLICS.
M
ARRETE
Le Prélet des Bouches-du-Rhô ne,
Vu les décrets du JO Ayril 1937 sur les
co nditio ns de travail dans les marches pu·
�100
/
161
Vu l'arrêté ministériel du [5 janvier 1938
sur les Commissions -de bordereaux de
Bâtiment et des Travaux Publics dans sa
séance du Il juillet 1951,
salaires ;
Vu le décret du 23 Août 1950 portant
fixation du salaire minimum interprofessionnel garanti modifié par les d'écrets des 24
Mars [95[ et 13 Juin 1951 ;
Vu l'avis émis paT la Commission des bordereaux de salaires dans les Industries du
ARRETE:
ARTICLE PR E.\IIER. - Est a,pprouvé le hordereau des salaires normaux et courants du
Bâti ment et des Travaux Publics figurant
au tableau ci-dessous.
SALAIRES MUNJMA NORMIAŒ( ET COURANTS DANS LES ~NDUSTR1BS DU BAl11MENT ET DES T,RAVAUX PUlBLlCS SN VIGUEUR DANS LE DEPAR'flEMIBNT
DES BOUCHES-DU,RHONE A, ,COMfTElR DU 8 JUIN 1951.
A:baltement de zones
GA,TE;GORlES
Gardien balayeur .... .. ...... . . . ... . . ... .
Manœuvre .. ... ... ........ ........ . .... .
Ouvrier spécialisé : 1er échelon .... . .. .. .
•
•
2me échelon .. . .... . . .
:>
•
3me échelon . ..... _ .. .
Ouvrier qualifié
1er échelo n .. . ..... . .. .
;)
;)
2me échelon . ... .. . ...• .
•
•
3me échelon ... .. ..... . .
Ouvrier ha utem ent qualifié . .... .. .. ...... .
Toutes les co nditions habituelles d'application des salaires <lemeurent inchangées.
A compter du 16 juin 195 1, en applicatio n d u déc ret du 13 juin 1951, modifiant, a u
rega rd du salaire minimum garanti, les zo nes
d'abattements, le salaire du gardien balayeur
est fixé respectivement pour les différentes
zones de salaires à :
15 %
74,80
77,35
89,30
84,60
80,30
94,05
97,85
100,70
IOS,30
1\3,05
11 8,75
89, 10
92,70
95,40
102,60
107, 10
11 2,50
84, 15
87,55
90,10
96,90
101,15
106,25
nérale,
ART. 2. - oM. le Secrétaire Général de la
Préfecture est chargé de l'exécutio n d u p ré-
sent arrêté.
MacseiUe, le 18 Juillet 1951.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué,
LAMASSOURE.
à MM. les Recteurs,
AtM. les Préfets,
MM. les Inspecteurs d'Académie,
OBJET. -
Pour les écoles impo rtantes, les instructions dont il s'a g it o nt donné en o utre l'énumération des installations s péciales à prévoir. En ce qui concerne la pratique de l'édu.
ca tion physique et particulièrement dans les
rég ions o ù le climat est rude o u pluvieux en
hiver, il est apparu so uh a ita ble de compl éter ces instructions de la manière s ui vante:
a) Les établissements (écoles o u groupes
scolaires) comprena nt a u moi ns la classes
seront dotés d' une sa lle de gymnastique bien
éq uipée ;
b) Par mesu re d' hygiène, un e installation
de vestiaires-douches se ra à prévoi r lors-que les leçons d'éducation physIque devront
être données dans l'e ncein te de l'école à
co nstruire o u s ur un emplacement vo isin qui
n'e n est pas muni . (Cette install ati o n pour ra
êt re celle d écrite à l'article 24 d'es inslr uttions du 30 ao ût 1949).
Les besoins en install atio ns d'éducation
physique des établissements à créer ou à reco nstruire se ront fixés ava nt qu'il soit procédé à to ute étude du proj et, comme il a fte
presc rit d'ai lleurs pour l' e nsemble des instal lations pa r la ci rculaire du 2: novemb.re
\949. A cet cffet, le program me exigé pa r ces
instructions se ra complété comme s uit :
Installations pour l'Edu cation Physique
D2 B3
TVX 1
COORDINATION D ES PROGRAMMES
EN MATlERE DE COI'lSTRUCTIONS
SCOLAIRES
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à II1M. les Maires du Départemellt,
l'honneur de porter à votre con nais-
rai
sa nce, ci-dessous :
1· Une ci rcula ire en date d u 5 juillet 1951
du Mi nistre de l' Education Nationale (Direction de la jeunesse et des Spo rts), q ui est
relative à la coo rdinatio n des programmes
en matière de constructions scolaires et
sportives concernant l'enseignement du premier degré;
constructio n
Coo rdination des prog rammes
en matiè res de constructions scolaires Co ncernant ('enseignement du Premier Degré.
Le JOUrnal Officiel du 2 septe mbre 1949
-----<0000----
L'instruction sur la
86,45
-
N° 39-S
Le Directeur Général de l'Enseignement du Premier Degré,
Le Direc/eur Général de la l eullesse
et des Sports,
Le Directeur de l'Administralion Gé-
ouvriers des différentes autres catégories.
0
83,60
-10 %
79,20
81,90
Paris, le 5 juillet 1951.
88 Ir.
83 Ir. 75
80 Ir. 50
771r. 20
Restent inchangés les taux de salai res des
2
-5%
0 %
88
91
94
99
103
106
114
1\9
125
a publié les nouvelles instructions relatives à
la construction et à l' a ménagement des éco_
les primaires élémentaires. Il a été s pécifié
que toute école primaire doit avo ir un terrain d'éducation physique muni de SOn équipement sportif et que ce terrain se ra, a utant
que .possible, attenant à l'éCOle o u, tout au
moins, à proximité immédiate de celle-ci.
ct
l'aménagement des écoles primaires élémentaires d u 30 aoû t 1949, pa rue au Journal
Officiel du 2 septembre 1949.
Quant à l'instruction d u 2 novembre 194a,
do nt fait également état la ci rcul ai re précité<
du 5 juillet 1951, elle a t rait à l' établissement des projets de constructions et je vous
signale qu' elle a déjà été insérée au B lllletin
Adminis(ratif des Mairies n" 6 de 1950.
Pour le P réfet
Le Secrétaire
-
Installations existant dé jà à prox iinité de
l'empl acement choisi pou r la co nstructi on de l'école et po uva nt être uti lisées
pa r les élèves ................... . ... .
Installations projet ées pa r la com mun e
da ns le cadre de l'éq uipement sportif de
la localité et qui po urro nt être utilisées
par les élèves des établissements scolaires.
lnslallations complémentai res à prévoir
pou r satisfai re les besoins de l'éco le ... .
n vous
es t vivement recommandé, po ur
l'établisseme nt de ce programme, de rec ueillir l'avis de l' Inspecteur Dépa rtementa l de la
jeunesse et des Sports, qui sera appelé à justifie r sa propositio n devant le Comité Départeme ntal des Constr ucti o ns Scolai res.
Chaq ue fois q u'un désacco rd su rgira en ce
qui conce rne le programme des installat io ns
d' éducatio n physique, désaccord que ni l' Inspecteur d'Académie, ni le P réfet ne pou rraient aplanir o u dans t ous les cas qui paraltraient de solution délicate, le P réfet
adressera, avec ses propositi o ns, le programme litigieux à l'Admi nistra tion Centrale sous
le timb re de la Direction Générale de la
a) Inslallations de plein air
b) Inslallations couverles ;
c) Vestiaires, installations sanitaires.
a) In slalla/iollS de plein air;
b) In stallations couver/es;
c) Ves tiaires, inslaUations sanitaires.
a) Installations de plein air ;
b) In stallations couver/es;
c) Vestiaires, inslallations sanitaires.
de l'Equipement _ qui d ev ra faire co nnaît re
sa déc ision da ns le d élai d' un mois à. l:expiration duquel il y aura lieu de co nSidere r
les propositions comme éta nt aCCel?tées.
éL'A rchitecte char gé de l'op ér atio n poss .
dera ai nsi dès ses premières t ud es, tO tl~
les éléments perm etta nt l' a doptio n d' un pa rti
po ur l'utilisati o n du ter rain mis à sa b(!lr
position et pour l' implantation des
.:1 1me nts en rése rvant les espaces nt ceSsal res
,
aux exercices
physiques, tant co uve r t s q u'ell
plein ai r.
.
Po ur satisfaire aux instructions donnces
pa r le Ministè re des fin a nces, les subv~~i
tions dont les collectivités locales ~~u~IiS_
bénéficier
de leurs a
sements d'enseignement en installations d'édutation phySique et s porti ve dOivelit elre
.imputées s ur les crédits gérés par la Direction Gé nérale de la Jeunesse et des Spo rts
(Servi ce TeChnique de l'f4 uipeme nt).
D'autre partJ e n app lication de l'acte dit
c Loi du 16 décembre 194-1 . , mainte nu c n
yjgueur les projets d'éqUipe ment spo rtif
autres ~Iue ce ux qui so nt a r~ a liser pa r de:;
pa rt ic uliers et dest inés à l'\lsa ge familia l,
qu' ils co nce rnent l'acquisitio n, la construction l'ex te nsion ou l'amé na gement de stades,
...err~ins d 'éd ucation phYSique et de jeux,
pisci nes gym na ses et, d' une mani ère génê~
.raie
toutes . insta llati o ns destinées à la
pratique de l' éducatio n physique et des
sports, ne peuve nt ~t r c. mis à exéc u t i <?~ qu'après aVoi r été app rouves par une déCISion du
Secrétai re d'Etat chargé de la jeunesse et
des ·Sports.
ùe'
Ces oblioations conduisent a prévoir unt:
instructi on ~péciale et une ap probation pa rticulière pour la pa rtie des projets de co nstructi o n o u de reconstruction lOtéressant les
installations d'éducation physique.
A cet effet, et dès que les dispositions p roposees par l'architecte pou r l'ensemble. de
J'opèration auro nt été agrées par les Services
compétents de l'Ad minist ration <;entrale..,. U rl
projet s pédal co nce rn a nt les Installatl o~s
d'éducation ph ysique sera d ressé. ~t soum~s
à l'instruction suivant les modalltes en VIg ueur pou r l'éq uipement s"o rtii. (Envoi . du
dossier au Préfet consulta han des Services
et de la C ommis~ion Consultative Dépa rtementale de l'Equipement Sportif, et envoi il
la Directio n Géné rale de la j eu nesse et des
Sports Service Technique de l' Equipement, ou approbatJon préfectorale suiv.ant la
règle de compétence déjà fi xée en fonction du
montant de l'opé ration.
L'insc ription de la d épense à engagl'r à un
pIogramme de trava ux subventionnés par
l'Etat au titre de l'Edu ca tion Physique devra
f lre proposée pa rallèlement et en temps
opportun po ur que les insta ll atIOns pUIS~el1t
être mises én se rvice dès l'ouve rture de l'etablisseme nt d'e nseig neme nt intér essé.
Le Directeur Gén éral de la Jelln esse
e/ de s Sports:
Gaston ROUX .
Le Directeur Général
d e {'Enseignement dll Premier Degré:
A. BESLA IS.
Le Directeur de l'Administration
Gén érale :
HUDELEY.
•••
Instructions Sur la construction et raménagement des écoles primaires élémentaires.
ObseTvations importantes. - 1" Les iostn.ctions q ui s uivent pe rm ettent de réso udte
la 'Plu part des prob lè. mes qui se posent en
matiè re de co nstru ction d'école, compte tenu
des conditions fi na nC'ières actuelles. II conv~nt cependant -de les considé rer, non com me
de;; ordres im.pératifs mais co mme d'eS co n~
O.,ls. Chaque pr<Yjet doit l'tre exactement
llltaptê a ux "'esoi ns réels à satisfaire. Des
dérogations aux instru ctions seront to uj ours
admises pourvu qu'elles -soient Justifiées dans
un rapport
2· Les
reco mmandations concer-
primaires élémentaires, eUe ne modifient pas
les <lispos itiolls du d'éc ret du 15 janvier 1927
co ncernant les écoles maternelles, a pplicables
également aux classes enfantines vraies régies
pa r le de cret du 15 juillet 192 \. Cepe ndant,
o n donnera les mêmes dimensions qu'a ux
classes primaires, c'est-à-<lire 1 m2 50 par
élève, aux classes mate rnelles et classes
enfantines.
On a ura grand so in ce ..distin giier ceTIes-ci
des classes p réparatoi res mixtes ·dites a ussi
'C lasses enianti nes (c irculaire du 10 n-ove mbre
·193 1) oil, avec ~es enfants d'au moins 5 ans,
se trouve une se.ction enfantine des 3, 4 et
5 ans. A ces classes s'appliquent les présentes instructions ;
3° Les arc hitectes s'i nspi reront, pour l'é laboration de leurs pro jets, des plans-t)'pes établis par l"admin istration centrale et qu'elle
tient il leu r disposition.
Toute école primaire élémentaire .doit
avoir:
1" Une ou plusieurs classes de quarante
places;
2<0 Un vestibu le ou une galerie, un vestiaire, des lavabos ;
3 0 Une cour de récréation et un préau couvert .
4 " bes pri vés et des urinoirs ;
5" Une salle com mune pou r les enseig nements p ost et péri-scolaires, pouvant serviT
de cantine et d'ate lier de travail manuel dans
les écoles à u ne ou deux classes ;
6· U ne ca ntine spéciale dans les autres cas;
7 11 Un terrain d'éducati o n p-hysique avec
Son équipement sportif et, dans les écoles
rurales, un jar<ii n scolaire ;
8" Au moins un logement pour le directeur
ou la directrice et, selon les besoins, des
logements pour les instituteurs adjoints et
les institutrices adjointes ;
go Dans les écoles imporfantes :
a) Un burea u po ur le directeur ou la directrice .
b) Un ate lier de travail manuel pour les
garçons, une sallê: d'enseig nement ménager
pour les filles ;
c) Une salle de sciences et, faculta tiveme nt,
une sall e de dessin ;
d? Des bains-douches qu a nd il n'y a pas
d~organisation municipale ;
e) Une saUe d'altente pO lir les pa rents
f) Le .cas éc héant, un loge ment pour le
concierge.
Conditions gé nér8Jes
Art. 1er. - Le terrain destiné il recevoir
une écaie devra autant que possible, êt re
libre de mitol'en~eté et de ser,'itudes, dégagé
et entouré de jardins, bien aéré, d'un accès
facile et sùr, éloigné de tout établissement
bruyant, imialubre ou da ngereux 'Pou r rhygiene physique et morale des enf.nts, écarté
d~ voies de grande co mmumcatlon et des
cimetières, surtout si la C()mmun~ n'a pas
d'addu ctio n d'eau. Le sol sera aussI -pf'hn qu e
possible, la nature du so\ls~~ol. de\ïa êt~e série usem ent éhldi ée en vue d é\ltter de coureux
travaux de fondation et de drainage.
Art. 2. - La supe rh cie du terrai n sera évaluée à r aison de 400 m2 par classe non compris Je jardin et le terrain d'éducation physi~
qu e ; ell e ne pourra, to ut efo is, avoir m?i ns
de 600 m2. On tiendra compte des e>.:tenslOns
futures. L'écoJe et ses annexes doivent être
entourées d'une clôture permettant aux enfa nts la vue de l'extérieur
fils de
Art. 3 - La disposition des bâti ments sera
déterminée suivant les conditio ns atmosphériques de la régio n en tenant co m~t~ des cona.itions hygiéniques, de l'expOS Ition, de la
co nfi!!UTation et des dimensions de remplaceme ntet surtout de la proxi mité des <:o nsVuctions v~isines Sous réserve des solutions
exceptionnelles imposees par les conditioD.S
loca les, on s'effo rcera de donn~ aux classes
l'expositioo a u Sud ou a u Sud-Est.
Pour la protection contre l'Incendie, on se
conformera aux plus réce nts règlements en
__igueur (décret du 7 février 1941 et ciral'la ire du 8 mars 1943) en particulier, dew<
escaliers devront étre prévus pour l'évacuation des étages.
Art. 4. - Dans les communes nù le même
bâtiment contiendra l'école et la mairie, les
deux services devront étre complètement séparés et la mairie reportée à une ~~tré mité
du bâtiment ,plutôt que placée au mIlteu. ~ u
cun service ëtTanger à récole ne pourra w e
installé dans les bâti ments s colaires.
A·rt. 5. - Les murs et la couvertun~J quelle
qu 'en soit la nature, de vront .permettre
isolement suffisant. Les matériaux 'Per meables à l'eau devront être exclus de la COnstruction, les murs de fo nd'ation, entre SOUSsol et rez-de-chaussée, seront re\rètus d' une
chape de ci me nt isolante et les sOl1bass~
ments enduits de ciment à 1 m. de hauteur.
On aura sojn d'utiliser des matériaux ou
re\'ètement qui evitent une trop grande
résona nce.
Les planchers devront ètre 'Construits de
façon à éviter ou à reàuire le plus possible
toute transmission de bruits cfun étage à
l'a utre. En dehors des annexes (préau, w. -c.),
la toiture en terrasse ne sera ad mise qu'exceptionnel1ement sous la condition expresse
que sa Lornpositio n assurera une étancbéiti
parfaite et, à prb: égal, une durée analogue
â celle des couvertures ordinaires.
L'arc hitectu re des bâtimen ts devra s'harmoniser avec celle des si tes em"Îronnants.
Art. 6. - Dans le cas où un vtde sanitaire
aura été reconnu nécessaire , le sol du rez-de~haussée sera exhaussé de <l.60 m. au moms
par rapport au ni\'eau extérieur. Le bâtiment
scolaire sera e ntouré de d rains ou de can~
va ux d mentes. Les pentes du terr.ain entourant la constructio n seront a ménagées de
façon à assurer J' êcoulement facile des eau~,
loin des bàtime nts, vers l'extérieur.
Art. 7. - L'école devra posséder une alimentation en eau reconnue 'Potabte par une
analyse et en quantitë suffisallre poUT tous
les besoi ns scolaires.
..un
Vestibules, couloirs
Art. 8. - Chaque classe au ra une entrée
indépendante. Les portes ne devront pas ouvrir directement sur Ja rue. Une porte sera
aménagée t'ntre d'eux classes contiguës.
Art. 9. - Lorsque les cJass.:s seront <lesservies par des galeries ou couloirs. ces !,!aJeries a uront une largeur li bre de 1 m. !() et
recevront directement l'ait et la lumière..
Les couloirs .seront placés du côté le moins
f,avorabJement e.xpos~. La cloison les s éparant
des cJ~sses sera vitrée à partir d'une hauteur
de 1 m. 50.
Vestiaires, lavabos
Art. 10. - Chaque classe aura, auta nt que
un la\o"'3oo-\'estiaire d'e n\;ron 20 ml.
�162
des autres en nombre égal à celui des élèves Les ~êtements seront isolés autant que
~ible. Une tablette supérieure recevra les
objets de toilette.
On conseille, plutôt que des vestibules interclasses, une galerie de circuJahqn desserv~~t
toutes les classes et où seront placés vesbrures et lav300S laissant une cir<: ulation libre,
d'environ 1 m. 50.
Les lavabos consisteront en un poste d'eau
mural devant 'Chaque classe, contr~e 1 '~lIè~e
d'une fenêtre avec trois ou quatre jets InclInés pour éviter tout jaillissement a u-·dessus
d' u~e cuve profonde d'environ 1 m. de long
recevant les eaux usées. Un robinet - ou
mieux. un carré -
commandera tous tes tpOs-
tes d'eau àe la galerie.
Vestiaires et Ia:vabos seront éclairés et ventilés. On evitera ct" les placer sous les préaUx.
Un poste d'eau sera prévu dans la cour.
Art. Il. - Les classes installées aux étages
devront être desservies par deux escaliers
droits sans partie circulaire et p lacés aussi
près que possible, des extrémites opposée~.
Les escaliers desservant les étages sU'jlerieurs s'arrêteront au iez-de-chaussee et ne
seront pas continués dans les sous-sols.
Les volées seront séparées par un palier
de repos.
Les ma roehes auront au minimum, 1 m. 35
de largeur et au maximum 0 m. 15 d~ hauteur.
Les escaliers seront largement ventilés et
éclairés par des surfaces vitrées aisément
accessibles pour le nettoyage.
Classes
Art. 12. - Les classes seront de fonne rectangu laire et pourronl recevoir 40 élèves; la
surface sera calculée à raison <l'e l ,50 m2
par élève. Les dimensions conseillées SO:1t
de 8 m X 7,50 m. avec éclai ra ge bilafèral,
9 m. X 6,50 m. avec éclairage unilatéral.
La hauteur sous plafon<! sera de 4 m. Toutefois, elle pou rra être réduite jusqu'à 3 m. 50
à la conditio n expresse qu' un système assure
le leno u\rellemellt permanent et suffisant de
l'air. •
Dans les écoles et les groupes scolaires à
deux classes, les classes seront de préferellce
contiguës avec communication intéricur~ par
une porte.
Art. 13. - Les fenêtres ou les ~aies sero nt
toujours placées sur le ou les côtés les plus
longs de la classe et leur surface sera egaie
a environ 1/3 de la face à éclairer.
Le haut des baies ou fenêtres sera aussi
prés que possible des plafo nds. Les parties
vitrées commenceront â 0,80 m. au-dessus du
sol afin de permettre la rgement aux enfants
la vue de l'extérieur, sauf pou r les classes
du rez-de-chaussée en contact di rect avec la
rue dont les appuis, ta îll fs en glacis, seront
à l ,50 m. du sol.
T outes les fenêtres, les doubles fe nêt res
et leurs impostes se ront ouv ra ntes. Les boutons des crémo nes, qua nd les fenêtres en
comporteront, seront â environ 1,60 m. du
sol.
des classes devra, autant que
bilatéra l. -Lorsque ,'éclairage
le ou r viendra nécessairc-
L'&;:airage par plafond vitré, comme source principale de clarté est interdit.
L'aération aÎnsi que la protection contre
le soleil en été devront être assurées par des
appareils à commande facile et robuste.
Art. 14. - On ne percera jamais de baies
d'éclairage dans le mur qui fait face aux
élè ves.
Dans tous les cas) la distance de la face
ou des faces d'éclairage aux constructions
voisines ne sera jamais inférie ure â S m.
dans les communes où il n'existe pas de
règlement urbain ; dans les a utres, elle sera
au moins égale oà. la hauteur maxima prévue
pour les immeubles par les règlements.
L'éclairage artificiel sera, autant que possible, obtenu par l'électricité. Les apparei ls
seront toujours telS qu 'ils ne puissent fatiguer la vue des é êves et donnent un éclairement uniforme de SO à 100 lux a u niveau des tables (par exe mple par éclairage
semi-direct ou systèmes dits .: lumière du
jour . ).
Arl. 15. - Les plafonds seront plans et
unis, sans corniche. Les ang les formés par
la ren contre des murs ou cloisons entre eux
ou avec les plafonds seront arrondis. Les
parements intérieurs des classes seront
peints en couleurs mates et claires et revêtus sur une hauteur de 1,20 m. à 1,50 Ol.
d'une matière dure, lisse et lavable.
Un bandeau de bois ou une tringle métallique permettra de suspendre les tableau x
ou cartes pendant les exercices scolaires.
Art. 16. - Le sol des classes devra êt re
constitué par un parquet d" bois dur doue
sur lambo urdes scellçes ou pa r une substance imperméable, imputrescible, et ne fissurant pas. Sont déco nseillés les matériaux
froids, durs et sonores.
T outelois, on admett ra le bois de sapin
et de pin da ns les régions où ils sont seuls
en us age, sous la condition qu'ils soient employes par lames étroites.
On ménagera a u ras du sol, de petits orifices à fermeture hermétique pérmett~nt
l'évacuation des eaux de lavages.
Art. 17. - Les portes des classes ouvrant
su r les couloirs (ou faisant communiquer les
classes entre elles) seront, de préférence, à
un se ul va nta il et auront 0,90' m. de largeu r.
Elles seront munies de .plaq ues de propreté.
Elles s'ouvri ront toujours su r l'exté rieu r.
Art. 18. - Le chauffage sera assu ré pa r
tout procédé donnant sécurité et conforme au
règlement sanitaire dép a rteme ntal.
L'installation devra permettre d'assurer
l'indépendance du chauffage des logeme nts.
L'installation devra êt re établie dans des
co nditions telles qu'elle assure un e ventilation convenable sans que l'aérat ion puisse
provoquer des coura nts d'air gê na nts. Les
orifices d'accès de l'a ir pur qui devra êt re
pris directement à l'exté rieur et les orifi ces
d'échappement d' a ir vicié au ro nt un e section
suffisa nte pour prévenir les obst ru cti ons et
permettre d'assurer l'aé ra ti on et l'évac uat ion
de l'air usé et des poussières. Un système
d'aération différentielle est recommandé.
Salles pour les enseignements spéciaux
Art. 19. - Dans les groupes import~nts ou
pourvus d'un cours complémentaire, un~
salle distin cte (qui sera le plus souvent COOl-
groupe) pourra être afffectée à l'enseigne_
ment du dessin.
Autant que possible, l'éclairage sera unilatéral et la paroi éclairante entièrement vitrée au-uessus des a ll èges, orientée au Nord.
Une sa lle pour l'ensei gnement des sciences
est également recommandée, surtout pour les
co urs co mplémentaires.
Dans les écoles de garço ns d'au moins
trois classes, un ate lier sera installé pour le
travail manuel.
Dans les écoles de filles d' a u moi ns trois
classes, une salle sera installée pour l'enseig nement ménager.
Toutes tes installations devront être pOUtvues d'un poste d'eau potable.
Salle
comm un~
Art. 20. - Lorsq ue l'école ou le gro upe
comportera une salle commune â usa ge SCOa
la ire, péri-scolaire ou post-scolaire, cette
salle devra être en communication directe
avec les bâtiments scolaires et avo ir une
deuxième issue qui pou rra permettre une
entrée indépendante. Les accès devront èt re
largement compris afin d'assu rer une évacuation rapide.
Elle devra être install ée de faço n à pouvoir se rvir aux projections ci nématog raphiques et aux aud itions de T .S.F. et de phonographe.
Pour évite r la construction d'une salle
commune dont l'usage n'est q.u'in term itte nt,
on pourra concevoir le préau de te lle sorte
qu'il puisse fac ilement se transformer en
préau fermé et chauffable ou s éparer des
classes continguës par des cloisons mobiles
et insonores.
Cour de récréation
Art. 21. - La surface de la co ur de récréation se ra calcul ée à raison de 5 m2 enviro n par élève. Elle ne pourra avoir moins
de 200 m2. ·Elle sera accessible de l'extérieu r par une porte cfiarretière.
Le sol ne sera ni perméable, ni glissa nt,
ni poussiéreux. Il pourra être, pa r exemple,
goudron né. Lès passages et les trottoi rs Ile
fe ront jamais. saillie.
La décliv ité de la cour ne dépassera pas
0,03 m pa r mètre. Les ea ux ména gè res ne
devro nt pas trave rser la co ur à ciel ouvert.
La cou r de réc réation pourra être plantée
d'arbres à mo yeooe ti ge placés a u moi n s.~
6 m des bâtiments pour éviter d'assomb nr
les classes.
Cou r et terrain d'éducation physique seront orientés en prin cipe a u sud pour to ujours avoi r " ensolei ll ement ma xim um .
Des bûc hers et des déba rras pour l'école
et le pe rsonn el y seront toujours prévus.
Préau cou vert
Art. 22. - Toute école sera pourvue d'un
p r~ lI ou abri â sol recouvert d'u ll endUit,
go ud ron ou ciment, év itant la poussière. Le
préau est s urtout utilisé en cas d'ave rse. La
surface varie don c selon les régio ns. Ell e SCra de 60 m2 dans les éco les à une classe avec
20 012 de plus pour chaque classe suppléme ntai re et sa hauteur de 3,50 01 e nvlr~n
sous plafond ou sous ent rait. On a ura S~ III
d'éviter l'o ri entatio n qui l'e xposerait aux IIItcmpér ies. La facade donnant Sllr la. co ur
pourra compo rter d es baies large ment VItrées
ui devront
s'ouvrir complètement,
OÙ le préau est envisagé comme salle de fètes éventuelle.
Un seul préau peut étre envisagé dans les
écoles mixtes (avec cloison au milieu si on
l'estime nécessaire).
Privés
Art. 23. - Toute école dev ra être munie
de privés à rai son de deux cabinets par classe dans les écoles de filles et de trois pour
deux classes avec des urin oirs dans les écoles
de garçons. Les cases auro nt environ 1,20 m.
de profondeu r, 0,70 m. de la rge avec cloisons
séparatives de 2 ITI . Elles seront ferm ées pa r
des portes pleines de l,50 m de ha uteur n~n
compiÎs un vide de 0,15 m au-dessus du sol,
et mor.tées de façon à se refermer seules.
Un ca binet au moins se ra rése rvé pour le..,
maîtres.
Les privés seront placés de façon à être facilement surveillés de la co ur et des classes,
qoique partiellement di ssimulés à 1 m de
hauteur par une murette ou des arbustes
taillés. Ils seront munis d'un système inodo re
et disposés de telle sorte que les vents régnants ne rejettent les gaz ni dans les bâtiments ni dans la cour.
Aussi ne seront-ils installés à l'intérieur
des bâtiments que s'i l y a adduction avec
chasse automatique et tout à l'égout.
!Dans les écoles où les classes sont installées au x éta ges un W. C. de secours bien
aéré sera aménagé à chaque étage.
Dans les écoles mi xtes, il y a ura des privés
distincts pour les ga rçons et pour les filles,
ou séparés par des murettes ou installés ell
deu x endroits différents.
Les écoles de ga rço ns se ront pou rvues
d'urinoirs avec stalles de 0,50 m de la rge,
0,35 m de profondeu r, 2 m de haut,y compris un vide de 0, 10 m pour faciliter le nettoyage.
Les sièges â la t urque se ro nt le plus communément utilisés surtout dans les écoles
de garçons, avec cuvettes en fonte émai ll ées
et patins striés. Sinon, le siége se ra fait
d' un e cuvette en poterie, g rès ou po rcelaine
sa ns abattant de bois.
Dans les écoles primaires qui reçoivent des
enfants de mo ins d e six ans, un ou deux
cases avec cette sorte de cuvette leu r seront
rése rvées.
Un service d'eau sera établi pour assu r(; r
le nettoyage facile rapide et complet des
privés sans possibilité d' évacuation à l'ex tén eu r. Un poste d'eau potable pour les élèves
sera intallé à proximité.
Les ~tlarois et le sol d'es privés se ront en
matériaux imperm éables et non gl issants avec
pente vers l'intérieur.
D'une façon générale, on se conformera,
pour l'installa tion des w .-c. et des fosses, aux
P~us rkentes prescri,ptions des serv ices d'hygIène.
Salles de douches
A,rt. 24. - .Dans les cond itio ns éco nomiques actuell es, il est très d'ési ra ble que toutes
~esl' co,mmu nes aient. plutôt Iqu e des douches
~s ~ge exciusiJ d'es écoliers, un système
munI CIpal de <l'O uches mis à la dispos ition
des élhes.
d A, défaut de cette orga nisation, une salle
. e douches avec cabines sépa rées 'Po urra êt rt!
Installée., à condition que la co mmune pre nne
l'engagement d'en assurer le fonctionnement
et l'entretien, 'p ar exemple avec le con<::ours
d'adjointes d'hygiène scolaire.
Cette salle s'éclairera directement sur l' ex_
térieur et devra être placée de manière à être
efficacement chauffée, ventrlée et, si possible,
ensoleillée. On au'a soin de veiller à ce que
le sol ne soit pas glissant.
Le sol et les parois seront imperméables et
à angles arrondis. L'écoulement et l'évacuation des eaux devront être assurés de façon
parfaite. Un appareil distributeur (levra régler
a utomatiquement la température de l'eau et
en assurer la constance.
11 y aura un e salle de déshabilla ge commune et, a l'entrée de chaque cabine de
douches, une petite cabine pour enlever le
dernier vêtement.
Cantine
Art. 25. - A défaut d'une organisation œuni dpale très souhaitable, il sera tp révu une
cantine dans les etoles où un :1ombre inlportant d'enfa nts ne peuvent rentrer déje uner dans leu rs familles et da ns cdles '>ù il
Y a Heu de combattre la s,ous- üiill1entn.tion
c.o nstatée des enfants.
Cette cantine se co mposera, seh'!! le nnmbre <ies co nvives, SOIt d ·'n réh:t toirc.·cuisÎne
à raison (ie 0,50 m2 environ par eniant, SOit
d' une 'C uisin e et d~ un réfecto ire distincts. La
pie.ce prendra l'air et le jour directement ùe
rextérieu,r. Elle dev ra pouvoir être cha uffée.
Le sol sera constitué pa r un matériau lavable.
Pou r pose r les pa niers, on établira le long
des murs, â hauteu r moyenne d'enfants, des
ta'blettes â claire-voie ou g.rillagées avec casiers destinés à loger, â l'abri des po ussières,
les serviettes d'e tab le (1).
Service médical
Art. 26.- Des salles spécialement équipées
seront envisagées dans les écoles .pour les
centres médico-scolatres prévus par les services de l'hygiène scolaire et selon les directives de ces servkes. Ai ll eurs, dans le bureau
du directeur ou dla ns l' un e des classes, on
insta llera une armoi re fermant à clef pour la
pharmacie d'u rgence.
Jandin scolaire. - Terrain d'éducation
physique
Art. 27. - l.e terrain d'éducation physique
et le jardin scolaire, sero nt, autant que possible, atte nants à l'école, tout au moins à
proxi mi té immédiate de celle-ci.
Bureau du directeur ou de la directrice
Art. 28. - Ce bureau n'est utile que dans
les écoles importantes, Jla r exemple celles où
le directeur est déchargé de classe. Il devra
êt re placé au ,ez-de-chaussée, près de l'entrée de l'école, aisément accessible aux familles et de façon à p ermettre un facile contrôle de la vie scolaire, notamment des récréations.
Pièce d'sttente pour les parents
Art. 29. - LC>fsque da ns les écoles tr ès
importantes, il y aura un e pièce d'attente
(1) Dans les ëcoles à une ou deux classes
le réfectoire pourra également servir pour
l'enseignement des scie nces, du travail manuel et des arts ménagers.
pour les ·parents, elle sera située près de
l'entrée de l'école, à proximité de la loge du
concierge et <lu bureau du diarecteur.
Logement des instituteurs
Art. 30. - La composition du logement
convenable minimum des instituteurs sera
celle prhue par les règlements en vigueur.
Chaque logement devla disposer d'une salle
~d'eau, de w.-c., d' eau courante, d'éclairage
électrique avec cOlT\Pteur spécial.
Une pièce sera réservée, dans chaque école,
pour les intérim ai res et les suppléants.
Aucune commun.ication ne doit exister entre
les classes et les logements.
Le nombre des logements d'adjoints sera
déterminé d'après les ~o""itions locales.
En cas de logements multiples, un m.~me
escalier devra, oà moins (fimpossibilité, desservir plusieurs logements.
Les logements contigus sero nt aménagés
de telle so rte que la léparlitio n des pièces
puisse vari er selon la situation de famille des
occupants (ménages ou célibataires).
Logement du concierge
Art. 33. - Lo rsque l'école aura un concierge, c'est-a-dire dans l e~ groupes importants seulement, son logement -comprendra
une loge donnant sur le vestibu le d 'entrie
permettant de vo ir toutes les pe~~onnes qu.i
entrent ou qui sortent, et une cUlslOe-salle a
manger, ces deux pièces éta nt obligatoireme nt au rez-de-chaussée. Il co mprendra. au
minimum, en plus, deux pièces, des privés et
une cave ou un cellier.
Matériel et mobilier d'enseignement
Art. 32. - Les objets qui, dans toute école
primaire doivent composer le mobilier de
classe et le matériel d'enseignement et être
fournis par les com munes, sont prévus par
les règlements. Ils co mprendront notamment:
l ' Des tables et des chaises pour les maît res ou les maîtresses ;
Des tables et sièges à dossier eh nombre
suffisant po ur tous les élèves fréqu entant la
classe et adaptés aux différentes tailles ;
Des tableaux muraux noirs ou en couleurs,
visibles ,par tous les enfants die préférence
montés su.r c ha rnières et repli ab les en trip(tique;
Le matériel nécessaire à l'enseignement
(cartes géogra(>hiqu es, planisphères, com pendiu m métriqu e, etc.) ;
Le matériel pou r l' enseignement élémentaire du travail manuel et des arts ménagers ;
2° Une armoire pour tous les objets indispensables pour la propreté de l'école ;
3' Des armoires bibliothèques ;
4 0 Une ou plusieu.rs prises de courant.
fait à Paris, le 30 aoat 1949.
Pour le ministre de l' Education Nationale
et par autorisation :
Le Conseiller teChniq ue,
Henri LEGRAND.
-------(.00(.-------
i
�164
TEXTES D'I"TEBET nEJERBL
CirrutatreS cOIlC't!rnant plus spécialemtnt
ks Atfminisl rafions de" fEtat
AC 2
D2 BI
APURE/IoIENT DES OPERATIONS DE
NATURE BUDGETAIRE DES EXERCICES 19.J.O A 1946 NON IMPUTEES
EN TEMPS UTiLE AUX BUDGETS
D'ORIGINE ET DES DEFICITS ET
MANQUANTS CONSTATES PENDANT LES GESTIONS 1940 A 1946.
Paris, le 9 juin 1951.
N" 4489 F L-C 245 1
Le Ministre des Finances et des
Affaires Economiques
à MM. les Ministres et Secrétaires
d'Etaf,
Référence: Mes lettres n °' 4498 fLl e
1962,5731 fLle 1999,2800 FLl e 2158,
5877 FLl e 2239, 1343 FLl e 2362 des
22 Juillet 1949, 15 Septembre 1949, 24
Avril 1950, 4 Septembre 1950 et 19 février 1951.
j'ai l'honneur de vous faire connaître que
Particle 62 de la loi de finances pour l'exercice 1951 (n' 51-598 <iu 2~ Mai 195 1) prévoit
que le dernier paragraphe de l'article 23 de
la loi n" 48-1862 du 9 Okemb re 1948, modifié par l' artide 32 de la loi n' 49-1940 du
1er Août 1949 et par l'article 21 de la loi
n° 50-928 dl!. 8 Août 1950, est à nOUl'eau
modifié comme suit :
c. Aucune imputation au compte spécial
d'apurement ne pourra plus avoi r lieu après
l'arrêté définitif des écritures de la gestion
1950, sauf en ce qui coocerne les npératio ns
visées l'ar l'a rticle 22, pour lesquelles le délai
est reporté à l'arrêté définitif des écriture.
de la gestion 1951. Ce compte sera définitivement dos dans les écritures de l'Aldministration des finances à la promulgation de la
lai portant règlement de l'exe rcice 195\. •
En conséque-nce, le compte n° 43-07 :
c Apurement d'opérations anciennes de
recett es et de dépenses ::t est ouvert dans
les écritures des co mptables intéressés jusqu 'à Ll clôture des opérations de la gestio n
1951.
Les <:oIDJ>tables sont invités, par instru ctions de ce jour, à transporter audit compte
les opérations constatées au compte d'attente
n° 43-13 : c Compte d' imputation provisoired'opérations anciennes de recettes el de dépenses :t ouvert dans leurs éc:rii:llres, dans
les conditions qui ont été portées à votre
connaissance par ma Idt,. n' 1343 FLIC
2362 d u 19 J'év ri"" 195L.
Alin d'assurer dans le moindre délai l'apu_
rement des écritures des comptables ie vous
serais obligé de bien vouloir faire' prendre
toutes dispositions ..!iles afin que les régularisatio..ns qw restent à effectuer au titre de
votre Département par voie d'imputation au
coml'te n. 43~7. soient réalisées avant le
31 Décemb.re 195 1.
A cet effet, vous voudrez bien Dorter ces
dispositions à la con naissance des services
Paris, le 27 juin 195 1.
RG-CS N' 1080 F IN-COMPT.
A MM. les In specleurs Généraux de
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée
I?écret n ' 51-875 du Y Juillet 195 1 modihant le décret n ' 51-618 du 24 Mai 1951.
/'Ad.mil)istration eil Mission Extra-
le président d u Co nseil des Minist res
Sur le rapport du ministre des Fina nc";; et
des Affa ires Eco nomiques, <tu ministre du
Sud'get et du Secrétaire d· Etat il la fonction
Pu bliq ue et à la Réforme Admi nistrative
Vu la loi de finances pou r l'e xercice 1951
(n " 5 1-598 du 24 Mai 1951) .
Vu . le décret n ' 51-618 du '24 Mai 1951
mod lfJ a nt le régime de l'i nd e mn ité d e résiden ce des f~nctionnaires et agents de l'Etat·
Le Conseil des Ministres e nt endti,
'
Ord ln alre~
-
Cabinel,
- C. A. T.I.
MM. les Préfels (Mélropole) ,
Pour attribution et notification aux Services
placés sous votre autorité
Au sujet des circ ulaires \,isées en référence
par la présente, il est précisé que :
JO Les dispositions de la circulaire n° 4498
FLIC 1962 du 22 juillet 1949 ont étt< reprises da ns ma ci rcul aire n' 290 ,FllNj COMPT.
du 17 Août 1949.
2' La circu lai re n' 5731 F L-C 1999 du 15
septembre 1949 notifia nt la prorogation acco rdée par l'a rt. 32 de la 101 49- 10-10, du 1er
Aoat 1949, n'a pas été dlflusée ;
PROMOTION EXCEPTIONNELLE
ARRETE
Le P réfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' hon neu r,
Croix de Gue rr e,
Vu le déc ret du 15 mai 1948 instituant la
MMaille d'Honneur du Tra vail,
Vu l' a rrêté du 30 juin 1948 fixant les conditions d'application du décret susvisé ;
Vu le décret n' 51-41 du 6 janvier 1951
modifiant le décret précédent ;
Vu ta délégation acco rdée aux Préfets par
arrêté de M. le Ministre du Travail et dc
la Sécurité Sociale en date du 10 janvier
1951 ;
A l'occasion de la fête annuelle du
Syndicat Général de la Construction Electrique,
Arrête :
Article premier. - La Médai ll e d'Honneur
du Travail en argent est décernée aux personnes dont les noms s uivent :
M. Ferdinand ARZALlER, chef d'équipe à
la Société Matériel Téléphonique, Chantier
de Marse ill e.
M. Camille CHABERT, agent, adjoint à la
Compagnie Radio Maritime, Agence de Marseille.
M. jean VIOLETTE, ingé nieur à la Compagnie Electro-Mécanique, Bureau Technique Régional de Marseille.
Art. 2. - La Médaille d' Honneur du Travail en vermeil est décernée à Mlle jea nne
ALEZARD, secrétaire aux Etablissements Industriels Grammont, Agence de Marseille.
Art. 3. _ M. le Secrétaire Général de la
Préfecture est chargé de l'exécution du présent ar rêté qui sera inséré au Recueil des
Actes Ad min istratifs et dont une ampliation
sera transmise à M. le Ministre du Travai!
et de la Sécurité Sociale.
Marseille, le 30 avril 1951.
,Po ur le Prélet et par délégation,
Le Secrélaire Génér(1l,
LAMASSOURE.
• • •
Taux de l'indemnité
de résidence
ioo· :::: ::· ·· ·········
ioo·::············
p.
25
22
20
18
p.
p.
p.
p.
10
jJ.
100
100
100
100
100
14 p. 100
le p. 100
ART. 2 - Le Ministre des Fina nces et des
Affaires Eco ~ omiq u es, le J\ltinistre du Budget
et I.e Secrétaire d'Etat ,à la fonction .publique
et a la réforme administrative sont c·hargés
:ehacun en ce qui Le concerne, ~~ l' exécutio~
03 B2
du présent décret, qui sera llublié au j ourn al
AVIS DE CONCOURS
OffiCIel de la République- Française.
Recrutement d'un économe au SanatoFait à Paris, .. 9 juill et 190 1.
rium départemental de la Savoie à
Henri QUEUILLE.
Haureville-Lompnes (Ain).
Par le P,ésiden.t du Conseil <ies Ministres
Un concours sur titres et sur épreuves en
le Min istre des Finances
\tue du re.crutement d'un économ.e au Sa~
et des Affaires Eco nomiqu es,
I~rium Dépa rtementa l de la Savoie à Han1eMaurice PETS CHE.
ville-Lompnes (Ain) au ra lie u le mercredi 26
Le Ministre du Budge.t
, septembre 195 1, à la Préfecture de la Savoie
,Edgar FAU~E.
à Chambéry.
. Pour tous renseignements sur les candi,..
tl,o ns d'adn~ i ssio n et la nature ,des épreuves,
- ---c»ooc:;)---s adresser a la Préfecture de la Savoie 2mc
Division, 2me Bureau.
1
Communiqués -Avis
Annonces diverses
1
I
Ù
Jw;
ta
awnu& ..
Copie certi'ée eeafonae..
p.Qltt œ Er~et :
/.~.
LAYASSOURlL
S....
MF'"
PROMOTION DU 14 JUlLLET 1951
ARRETE
GI,".' :
DI. _
s.a...
la Préfecture Secrétariat Général
AGa
l.V.[édaille d':E-J:onneu.r
DECRETE :
A .compter du 16
JUIO 195 1, le tableau inséré à l'articl e 1er du
lIéc ret n" 5 1-6 18 du 24 Mal 1951 susvis!
est remplacé par le tab lea u ci-dessous:
'
Sans abattement
Comporta nt un db,rli~';'~~td~:i.75 j,:.
Compe>rtant un abattement de 5;25 ou de 6 p. 100·::········
Comportant un abaltement de 7,50 p. 100
....... .
Comportant un abaltement de 9 ou 975 p.
Comportant un abattement de 11,25
100 ...... ::::::: .. . . .
Coml'ortant un abattement de 12,75 ou 1~,5O 'P. 100 ... __ : : : : :
a
06 B3
_ ARTICLE PREMIER . -
ZONES DE SALAIRES
lIaméro Spécial
et Bulletin des
AC 3
REGIME DE L'INDEMNITE · DE RESIDENCE DES FONCT IONNAIRES ET
AGENTS DE L'ETAT.
M.NISTERE DE L' INDUST RIE
9 ' Année. -
. . . ,.stratifs
Recueil des Actes
- - - - - - <.:::.00« ;)- - - -
02 BI
FRAN(;AISE
DÉPARTEMENT DES
Vous ont été di..ffusées respectivement 1
8 Mai 1950, 14 Septembre 1950 et 7 Mes
195 1.
ars
Le Directeur des Services
Financiers et du Conte nt ieux
1". SUIDREAU. '
•• •
RÉPUBLIQUE
Juillet 1951
3' Les circulaires n' 2800 FLIC 2158 d
24 Avril 1950, 5877 F L-C 223~1 o u -1
u
tembre 1950, 1343 FLI C 2362 du 19 Fe set>1951,
VT1er
ordonnateurS de votre departement en rappelan t nota mm ent qu'il leur appartie nt de
donner suite <ians les moi ndr~s <lélais aux
de ma ndes d'ordon nancement qui s~raieot
{ormulees par les Comptables prin cipaux du
Trésor da ns les conditions fixées par la lettre
co mmun e Il" 449~ FLI C 1962 du 22 juillet
1949 _ Il opérations de dépenses - A - .Dépenses de nature budgétaire 7me et Sme
ali"éasPou~ le M!Înistre et par autorisatio n,
Le OICecleur de la Comptabilité publique,
G. DEVAUX.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
du.
Vu J'arrêté d u30 juin 1948 fixant les cooditions d'''Pplication du décret susvisé ;
Vu le décret n' 51-4 1 du 6 janvier 1951
m",tifiant le déc ret précédent ;
Vu la dé légation accordée a ux Préfets par
arrêté de M. le Mirtistre d u Travail et de
la Sécurité Sociale en date du 10 janvier
1951 ;
Sur ,ja ,proposition de M. le Secrétaire Générat,
A l'occasion du 14 juillet 1951,
Arrête :
Article premier. - La Médaille d'Honneur du Travail en argent est décernée aux
personnes dont les noms suivent :
MEDAILLE [Y ARGENT
Mlle ABRAHAM Thérèse, commise dans la
maison SEMlADENL
M.OAHER
ABRIALetGabriel,
caissier da ns la maison
Cie.
M. AGOSTIN IANI Auguste, chef ouvrier aux
Ohantiers Navals, La Ciotat.
M. A1LHAUD Simon, fondé de Pouvoirs à la
Société Marseillaise de Crédit.
M. A !RAUDI j oseph, conducteur de peUe aux
Anciennes Entreprises Léon Chagnaud et Fils
Mlle ALBERTIN Marguerite, secrétaire-comj>table à l' Ecole d'Electricité Industrielle de
Marseilte.
lv\. ALEMAN Marcel, chef d'atelier dans la
maison « Le Caoutcho uc Industriel ..
M. ALEZARD Victor, so us-chef il la Compagnie Fraissi net.
JI.\.. ALPHAND Hen ri , chef de bureau à la
Société Longométal.
,\1. .AMADEI Roch, serrurier à la Société Provençalt: de Co nstru ctio ns Navales.
M. ANDRE Vin ce nt. magasinier il la Société
d'Applications Frigorifiques.
Travail
M. ARCAIS Léon, employé de banque au
Crédit Lyonnais.
M. ARDISSON-BEl.. jean, dhimiste aux Etablissements joseph Gazan.
M. ARIMONDO Lucius, chef saunier à la
Compagnie Générale des Produits Chimiques du Midi.
Mme ARUE née SABATIER j eanne, chef de
file aux Etablissements Ouichard-Perrachon.
M. ARNAUD Baptistin, cMufieur à la Ûlmpagnie Commerdale .Marseillaise.
M. ATXER Vincent, contrôleur-payeur à la
Société des Travaux et Industries Maritimes.
M. AUDEMAR joseph, magasinier à la 50ciété d' Applications Frigorifiques.
M. AUDŒERT Victor, chef- adjoint de Service ac tif à la Société de Travaux et Industries Maritimes.
M. AUDIBERT La urent, contremaitre docker
à la Société de Travaux et Indust ries Maritimes.
M. AUDlFFREN Maximilien, retraité mineur
des Houillères du Bassin de Prove nce
Peypin.
'
C
M. AUGIER lé ment, employé à la "'\anufacture d'Allumettes de Marseille.
Mme BANI épo use CLAPIER, co ntremaltresse da ns la maison François A.iné successe,IC.
Mile BARET Berthe, employée chez Mlle
Long Berthe.
M. BASTIANAGGI Eugène. emplo)'é de bureau. aux Etablissements KuhlmanI1~U1e BASTIDE Louise, sous-contremaîtresse
à la mise en bouteilles dans la Maiso n
Ci nza no, Chàteauneuf-les~''\arti gues.
M. BARTHELEMY Honoré, chef d'équipe
aux Etablissements COder.
Mo. ANDREU joseph, employé Service Commercial a ux Etablisseme nts Joseph Gazan.
MI. ANDRIEU X Pascal, employé manipulateur à la Socié té Marseillaise de Crédlt.
....\.. ANGL Y Charles, chef de Service à la Société Générale d~ Tra nsbordemenls Mari-
M. BARTHELEMY Léon . agent de fabrication aux Chantiers Navals, La Cio tat.
M. BATTAGLIA Ed mond, chef de culture
à la Compagnie Paquet.
M. BA VA Cha rles, tuilier à la Société Anonl'me des Tuileries et Briqueteries de Mar-
M.times.
AN TON josé, manœuvre de fo nd a ux
c Houillères d u bassin de Provence >,
M_seille.
BAYET Emma nuel, chef comptable à la
Co mpagnie des Wagons-<Foudres de Mar-
Gréasque.
seille .
C'U3111e
ux Etablissements
ÎI~M~~~u~.
~le~d~k~r~e1t~d:u~15~m:aTravail
~i~19~4~8~i;n:s:ti:tua~n~t.l~a.~~JI:.l~.M.~A~N~T~O~N~A~D~o~m~i~n~iq~U~e~,.;p~r:~;a;ra~t;e;u~r~c;h;e~l~~~~1.a BAYOL
Henri, Ohefdeservice
..ïi............................................................................________________________________......
•
d' Honneur du
�ï
3
2
ht BELGODERE Antoine, employé il la
.\I.nu,acture des 1.bacs de Marsei lle.
M. illON 1 lU jose, ajusteur il la Lompagnie
de :>;lInt-0uoaIO Lealln) et lmey, LSlnc d.:
Port-de-Bouc.
M. BENU \ t'rançois, infirmier à la Clinique
juge.
M . BtOLETTO jacques, meunier aux Gra nds
Moul1l15 Nlaurd.
M. J:lE.RûE jean, sous-chef de service à Il
Compagnie de Navigatio n Mixte.
M. BEJ<NJ::.X Raymonu, Dlfecteur techniqu.
aux l::tabhssement. Hoberty.
M. BE.kSANO joseph, londeur tI'Pograp)1e"
Ia ronderie Oli ve.
M. BEJHELLO hançois, machiniste aux
Chantiers 1 avals, La Ciotat.
M. BE.Rl EN 1 Uante, chauffeur-livreur che,!II. Trouche Félix.
M. BlORfOLOnO Etienne, journalier il la
Société anonyme de CliauX et Ciments
Latarge et du Teil.
M. BER 1 RAND Eugène, conducteur de machines à papier aux Etablissements Etienne
Frèr...
M. BERT RAND Louis, sous- chef de service
aux Me.sôageries Maritimes.
M. BERTRAND Louis-Pascal, employé il la
Manul'acture des Tabacs de Marseille.
M. BERZIA
. é Jean,
A . 1seieur chez !II. Louis B runet am, uno.
M. BERTUCELLI Lazare, chef d'équi]le a.la
Socié,é Nou"elle de Trafic Maritime.
M. BERTUCCEL LI Alfred, contremaitre aux
•
C'
Etablissements ••\;lnte et ...
.
M. BIANCH I jean, ouvrier de fabricalion
aux
Etablissements Mante et Cie.
M. BIANCHI oussam,
spé cta
. 1'-<
. t ouvner
.
aux Etablissements
uhlmann.
1
M. BIA. 'COfTü Marius,
K employe. aux expe.
aux
ditions a la Société anonyme des
Ch
et Ciments de Lafarge et du Teil, Cadolive.
M. SILLOD Oeorges, sous-d irecteur il la
Banque de Paris ct des Pays-Bas.
M. BlZU r uust.ve, mem,is,er " la Sociéte
Pro':cnçale de Constructions Navales.
M. BLACHE Joseph, ehef de comptabilité générale à la Société Marseillaise de Crédit
M. BLACHETTE Emile, Directeur général
"'
_
e la Société d'A=lications
M.d BLANC Pie:-re, emballeur aux Etablissements GuiühaPli-Perrachon et Cie.
Mlle BLANC Noélie, ou\'rière aux Etablissements Noill),-Prat et Cie.
M. BLAJl:C jacques, contrôleur-payeur il la
Société de Travaux et Industries Maritimes
M. BLESSAS Georges, chef d'équipe docker
.
T
à la oci é le des
Maritimes.
S
Crédi!.
M COTTA Fernand, chef d'éq uip e il la So'ciété Nouvelle de Tralic Maritime.
des Services Techniques il la Soc ,été Géné ra le de
M. COUMES j ean,
M, BOUILLOUD Eugène, chel de bureau à
la Compagnie <les Messageries Maritimes.
M. BOUSQUET
employé à la Manufacture des Tabacs, Marseille.
M. BOVERO Louis,
d'éq
e cha
.. ct chefA
Iuip
T
. udro nni er il la Societe es te iers errIO.
M. BOYER Lou is, aide-comptab le il la Société des Anciens Etablissements Noël Ai né
Pellegrini et Cie.
M, BRELAZ GUstll'e, agent technique" la
Société d'Applications Frigorifiqu"".
M. BRE.\\OND joseph, chef de service administratif à la Société des Travaux et Industries Maritimes.
M. BREONE Antoine, manœuvre il la Société a nony me d' Explosifs et Produits Chimiques, Saint_Martin-de- Crau.
M. BRIGNON Paul, sous-ohef du service
actif il la Société de Travaux et In dustries
Jllariti mes.
M me CARM 1GNANiI épouse ANfOSS I Yola nde, ouv ri ère a ll x Etablisseme nt s Fournier- Ferrier.
'
M. CASM TA Augustin, em,ployé de bureau
ilMariti
la Sociét
mes. é Généra le de Transbordements
M. BRUNO Jacques, mineur aux Houillères
du Bass in de Provence,
.
1" Gréasque. S'é <
M,anoll)'me
B RUER A.
j
ean,
Jo
urn
a
,er a lade Lafar!!e
oc, te
des Chaux et Ciments
et du l 'e,'I, Peyp,'n.
-
M. OHANABAS Charles, gra isseur aux Etablissements
Bessonneau.
Mme
CHABOUD
épol,se GU ISEPPI Fra n-
~ùarcel,
M . BRUN Ambroise, agent dl! maîtrise fonderie aux Etablissemen!s Fournier-Ferrier.
'1. BRUNEL El,'e, ,·n!rén,·el.r chef du Serv,' ce
, , _
. 1 a. 1a 5 oc "t
commereta
.. e' d' App l',ca t'Ions
Frigorifiques.
'1 I3RU~1 VI' C',
to- 'Per c eu r su r m e'tau x aux
,an ·,eiS N
avaIs,L a C''a t a t .
t,
Lé anar ct, forgeron à 1a S oc,'été
"'1 .CIBRUNO
·,crs e t At e l',ers oe
" P
es
ta"
CI tNonce, chef d'équipe ilrovenCe.
M.d BRUSA
la Société
Industri elle Maritime.
M. BRUSCHI Nello, applicateur à la Société
de Bitume et d'asphalte du Centre.
M. BUISSON Pierre, che! d'équipe fo rgeron
à la Compagnie de Navigation Fraissine!.
M . BURLE Paul, sous-chef de bureau à la
Compagnie des Messageries Maritimes.
,
''1.. ,
BU\
I'RONI p'terre, cond uc t eur d e mac h'IOes
à la Societé Cinzano, Cha....
teauneul-les-,\lartigues.
,= ".
Fri~orifiques.
M. COSTES Cha rles, brigadier des garçons
de rec ette à la Société Marsei llaise tie
M. BONNET Jul es, employé à la Com,pagnie ,
cien aux Etablissements Robert y.
Générale Transatlantique.
M, CARBONNEL Victor, s urve illant de labriM. BORELY j oseph, employé à la Banque
cation à la Co mpagnie de Saint-Gobain
Franco-Chinoise.
Chauny et Girey, Port-de-Bouc.
M. BOS Marcel, chef de sen' ice et fondé de
M. CARLE Louis, ajllsteur à la Société anoPouvoirs il la Compagnie Commerciale
nyme des Anciens Etablisse mellt. GroiMarsei ll aise. ,
gnard.
,
fri~mrifiqlles
CAO EN EL Vincent, ouvrier qualifié au x
Etablissements .Ioseo, h Gazan.
M. CAILLARD René, tourneur sur métau x
aux Etablissements Gri!!et.
M. CAILLOL DE PONCY Henri, agent de
maitrise
de
Roux. aux Etabl,'ssements Rocca Tassy
M.
M. CASTA,O NOLA Ange, ga rdien aux Ohantiers Naval de La Ciotat,
M. CARflbR Benjamin, commis aux Cha n_
tiers Naval, La Ciotat.
MI!e CAVAILLON Marie-Madeleine, employée
a la SOLlété Lyonna,se de Dépôts.
M. CAZARETTI Lazare, ouvrier voi lie r à la
Compagnie Générale Transatlantique.
Mme CHABAUD née LONGOBARDI Rachel
employée il la Manufacture des Tabacs
Marseille.
M.
Marceau ohauffeur de
chaudières aux Etablisse;"ents Etienne
Frères.
d~
CHAI~BONNEL
çoise, secrétaire sténo-dactylo
bl
ingénie~r-chef
TranSbordements Mariti mes.
M. COUTON Unba in, chef de service il la
Société de Travau x et Indllstries Maritimes
M. CRJ::STlN Robert, dessinatCli r à la 50-
ciété anonyme « Mather ct Platt •.
bl CROMER Pa ul, e mployé il la Ma nufae-turc des T a bacs de Marsei ll e.
hl. CROSIO j ean, ro tativiste à « (' Im prim erie
du Vieux- Port >.
M. CnOTAL Jean, co mmis il la Chambre
de Co mm eree.
M. CROUZET Henri, sous-chef de service
au Compto;r Natio nal d' Escompte.
M. CHOUZIE.RES Jea n, em'Ployé à la Manufacture des Tabacs d'e Marseille.
Mme veuve CRUS
BEYNET Anna, employée à la Manufacture des Tabacs de
Marseille.
n~e
M. DALLEST j ules, chef ouvrier aux Chan-
tiers Navals, La Ciota!.
M.Hou,
DALMASSO
j oseph,demin
euT-piq ueur
aux
'lle' res du Bassin
Provence,
Peypin.
M. DA RBOT Maurice, fondé de ,pouvoirs à
aux Eta-
issements Savon Frères et Cie.
M. CH:AlLAN Firmin, chef d'équipe à la
Compagnie pour la fabriêatio n des co mpteurs et matériel d'usines à 2az.
M ..
Edo ua.rd, commis aux Chant CHAUVIN
N
ters avals, La Ciotat.
~
Mme OHE.''llIN Lucie, contremaîtresse aux
Etablissements A. Garbit, S.A.R.L.
M.S CH IAVAlZA Ignace, contre maître à la
ociété anonyme des Mines de Bitume et
d'asphalte du Ce ntre.
M. CHOUVET Albert, agent technique prin·
ci]lal à la Société Provençale de Construc·
tiens Nav,a le.
M. 10CHETTO Charles, conducteur « engi n
> aux Chantiers Navals, La
~~otl:~age
Mlle CIUTI Rose, surveillante à la Corn pa-
la Soc',été "arse,'lla,'se de 'C réd,· t.
....
M. DAOUST Haou l, " justeur à la, Société
d'Applications Frigorifiques.
M, DA UBET Louis, chef de d. épartement aux
Etablissements Coder.
M. D5CUGIS Auguste, contremaître aux
r l' n ce.
ah an t'ters e t At e l'ters de Poe
'\ DEGIOANN I El'lsa, emp loyee
' d e b ur ea u
"me
. G'en é ra liT
a. 1a CompagOie
e
ransa tl an t'IqU e .
'
POLIO eOlse,
'
"'\ me DEGLISE epouse
secr étaire com ptable à la Grande Caisserie Marseillaise.
M. DELAUNEY Charles, agent de maitrise
à la Standard Française des Pétroles.
Aime DELBERT née MAR CON Rose, employée il la Société Marsei ll aise de Crédit.
M. D5LBR51L René, chef des titres au Crédit Lyonnais.
M. D
,
J osep',
1 co n tema,
r ' t re fa b'
n-
D~'LCORSO
M.gnie
COLOBRli'oJ
Fermierel de
Charles,
Vichy. men eu r de chaud
cation aux Carton neries Réunies c Voisin
Etabli ssements Guichard Perrarans
chon aux
et Cie.
M' COLL T
d
. B '1 d
oussain,
P
mineur au x Houillères
u assIO e ro\'ence, Aleyreui!.
M. COLOlvl'BANI Nonce, employé à la Manufactu re d' Allumettes de Marseille.
M. CO.'-'I.BE Adolphe, chef comptable aux
et Pascal..
M. DELCORSO Alexandre, machiniste aux
Ca rt onneries Réuni es « Vois,n
. et P asca l ..
M DELFlNO E
1
é .
.
,
mmanue, manœu vre sp c,alisé il la Société « Air Liouide •.
M'R DELUY Gabril, secrétaire à la Société
E
,ehardson Frères.
ssements
j ose.p hchef
Gazan.
hl 'F DE"uA
S'Ilvlno,
.
M. tahli
C01\\lBES
Achille,
comptable auX
d:.un
manœu vre -< . . . aux
c Dames "~ France _.
on eries du Sud-Est.
M'chezEMMA
D
M.d"CONDERY
Alexandre, chel d'entrepôt
Etdmond , ajusteur carrossier
.
é
' FDFEb
u ' os.
:;jJ~clahse
ravau x et Industries
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on.tiers DNavals,UClen,
con rem a ,tre aux C ,anLa Ciotat.
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M.à la Manufacture
l ' A UD E m,le,
alusteurMarseille.
m canicien
de
Tabacs,
BO RE
M . CA\IAU
P
i é d e h ureau aux
.
au, l
empoy
ep,cerie
la Société Générale des Coop .
ratives
deil consommation,
M. DE!MONTES César, chef de chantier à
M.laBO.'
vI IER Al.3X
Au guste,
service maridans
maison
j . Ro chel
gliano,decourtier
M.Etabli"ements
CANESE Félix,Coder.
inspecteur-voyageur aux
1.1'. DENOS ElIgène, dessinateur aux Chant,ers et Ateliers de Prao vence.
me.
M.ti BONIFAY
Victor, mouleur aux Chantiers
Navals, La Ciotat.
M. C ANNEDDU joseph, manœuvrier gréeur
aux Chavtiers Nava ls, La Ciotat.
M. CANTARELLA joseph, conducteur de
moteur aux Verrcries du Queylar.
Mll e CAPEAU Hermin ie, o uvri ère de chai au x
Etahlissements Noilly Prat et Cie.
M. CARACATZANIS Costas, mécanicien aux
Anci ens Etahlissements Mante et Cie.
Mme CARRARA épouse UOCIANI Luc rèce,
Directrice des Etablissements Gustave
M.aux
CONESA
Léo nard,julin.
chef de fabricatio n
Etahlissements
Mme CONIO née BICH Madcleine, tailleuse
de tuil es à la Société Générale des Tuilerie s de Marsei ll e.
M. CORNET Edouand, chef de service aux
Etab lissements E. Cornet.
M. CORNET Jean-Marie, che! d' atelier auX
Etablissemenfs Cornet.
M. CORSI Charles, tonnelier aux Etablissements Roherty.
Mlle COSTA Lilcie, ouvrière modi ste « AuX
Deux Frères >.
M. BONI NO j ean, chauffeur à la Société Gênérale des Tuileries de ./vlarseille.
M. BONSIGNOUR Eugène, égoutier à la Société des Grands Travaux de Marseille.
M. BONUGLq joseph, ouvrier chaudron ni er
sur cuivre il la Société Générale Transatlantique.
M'Chantiers
CALlSTf etC
d
'
0Arrteald"einr s' sdoe
au x
u pelr'or"cm,,'cxet.e
Magasins Généraux du Port-Sud.
~-
~
l'Entreprise Maisonneuve et Cie.
Sociét~
M. DI MARCO Lou is, pointeur à la
No uvelle die Trafic Maritime.
M. Dj AI3ER Mohamed', riv.eur-chanfreineur
aux Chantiers et Ateliers de Provence.
M. DONAl1l Joseph, chef d'équipe à la Société Marseillaise de Trafic Maritime.
M. DONATI t-ernand, em ployé au Comptoir
M. FLACCADORl Marius, agent de maîtrise
1er debri' â la Société Française des G1ycérines. ·
'\
Mme FORNERON épouse BURALJ Antoinette, ouvrière spécialisée à la Société
c Le Caoufchouc Industriel •.
M. FOUCARD Augustin, vendeur à la Com-
National d' Estompte.
Mme -DONATI née GH IBAUDO Palmyre,
journalière à la Société Gé nérale des Tuileries de Marseille.
M'. 0 'ORIO François, contrem aître docker à
la Société de Travaux et tndustries Maritimes,
M. DOSSETTO j ean, surveillant aux Etablissements Rocca Tassy de Roux.
M. DUMOLIN Lu cie n, ingénieur aux Anciens
l:.tablissements Brisso nn eau et Lotz.
M, DURBEC Camille, meunier a la Société
des Grands Moulins Maurel.
pagnie Française <les Textiles.
!l'l FOUQUE Victor, rotativiste à l'Imprimerie du c Vieux- Port •.
M. FRACASSI Etienne, sous-chef de service
à la Société de Travaux et Industries ."-Iari times.
Mme FRA CASSO épouse UGHETTO Marguerite, journalière à la Société « Les Fils
de Barthélemy Fenouil •.
Mlle FRAYRE Louise, agent principal à la
Société Générale.
M, FREYNET Claude, co ntremaître aux Etablissements Garbit, S.A.R.L.
;,tme FRIA RD épouse ALLAS IA josépfiine,
ouvrière aux Etablissements Fournier- Ferri er.
M. FRJOLi Victor, sous-chef de caisse au
Crédit Lyonnais.
.\\. FRO\IENT Paul, commis de hangar à la
Cham bre de Commerce de Marseille.
M. EMEURY François, employé à la Manufacture des Tabacs de Marseille.
Mlle ESCOFfIER joséphine, représe ntante à
l'Union Comme rciale Indochinoise et Africaine et sa filiale « Centra lis • .
Mlle ESTABLE Henriette, co mptable a la
Sté de Tra vaux et Industries Maritimes.
M.aux
GADONI
joseph, chauffeur
de chau<fière
III. ESTOURNEL jude, comptable a ux F on ·
Etablissements
Fournier-Ferrier.
deries du Sud-Est.
M
GA
IRARD
j
h
H'l'
osep , perceur aux Ch.an ti ers
M. ESPUCHE Nicolas, manœuvre aux OlU Nal' als, La Ciotat.
lères du Bassin de Provence, Madrague'1 GALLAND '1 .
Ch
" .
"anus, manœU\'!'e
aux
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Félix, calfat aux Chantiers
NI tiers
GALL
NaAVRaiD'
Ciotat. t
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.
JY anus, p 0 ograveur a
mNavals, La Ciotat.
pr'mer' e d
V'e
P t
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1
U c:
,uxor
>.
M'me veuve EXCOFfON née ARNAUD
,\L GALLIANO Thomas, ouvrier scieur débiAnaîs, employée à la Manufacture des Tateur dans la maison j . Long Fils et Cie.
bacs de Marseille.
M. GALLIGANI Fernand, magasinier au Pa~t'me EY.~I ARD Rose, femme de do,a,. aux
thé Consortium Cinéma.
Etablissements -Etienne Reynaud et F'l
's.
M. GALLINARO .\lichel, reporteur a' la Société de lImp rimerie ,\1arseillaise.
M, FABRE Marius, menuisier aux Chantiers
GAMERRE ,\I i<hel, cont remaitre chez
Navals, La Ciotat.
veuve Paul Arlaud.
:\\. fABRY Louis, chef ouv rier aux Chantiers
M. GAMElRO joseph, chauffeur de chauNavals, La Ciotat.
dière à la Societ .. anonyme d'explosifs et
Aille FABRY Gabrielle, secrétaire de Direcde produits chimiques,
tion i1 la SOpCiété Génerale <les Hu iles et
Crau.
Pét roles B. .
M. GANIVE.T justin, employé à la ManuM. FABRY Jea n, charpentier fer aux Chanfacture des Tabacs de Marseille.
tiers Navals, La Ciotat.
AI. GARNIER joseph . ajusteur aux EtablisM. FADDA Sauveur, Secrétaire aux Chansements Paul Duclos.
tiers Na va ls, La Ciota!.
M. GARRAUD Hen ri, contremaître aux EtaM. FADDA Antoine, carrier aux Chantiers
bli ements Coder.
Nav al s, La C·'0 tat.
,\1. GASSIER Alf red, contremaitre .' la SoM
FAJON' BAYOL Célesfne chef de
me
nee
'.
,
ciété Longométa!.
rayon aux Etablissements Bouchara et Cie.
G,\ TTI jacques, planton à la Compagnie
M. FARACE FCoran ço is, Aouvrier maçon à J'Ende 'avig-ation Cl'prien Fanre.
treprise J.
uton, IX.
Mme GAUTHIER 'née LEPINE Annande,
'1 ..... FABRI NG'I'
a li .x
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U1lanoL, fose
C· tUtr de \'o'es
1
stëno-dactylo à ta Compagnie des
Chantiers avals, a 10 a .
!l'er,'es . Ian·"me"..
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ASSI
Marius,
challffeu
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reur
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A.-I ..\I,·tl·'t. caissiére aux Etablis-
MVi~~;IENNE.
~al
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Saint-.\Iartin~e-
~1.
~I.
~Ille~
~\.à FAURE;
Arnaldo, C. E. maîtrise Fo rges
M. GAY
la Sociëté Pro\'ençale de Constructions
\'iaire.
Navales.
r,l . FAVIER Lucie n, chef de titres adjoint
M' .
DES"ARTY
p
C
' i'I a t'IOna 1 d'Es comp t e.
...
ierre directeur des
Dépôts
au omptolr
M à la Société I.ongo';'étal.
Mme FAVRO-SERTRANDO née PHIUPPI
. DESMERO 'Barthélemy, model ellr-métaj osep hin e, journaliere il la SoCÎNé Génén'c'en • la Société ,des Anciens Etablisseraie des TlIileries de Marseille.
ments Groig nard.
FA YSSAT ./vlarcel,
commercial de
M. DESSI~IONE Alexand re, g-arçon de hureau
la Societe des Fonderies d'e Pont-il-J\louserv, ce d'Exp loitation des Tabacs et
son.
M
M. FERRANDlNO Ferdinand, sous-chef de
... ERS Marcel, reporteur il l'lm,prise rvice il la Société Nouvelle de Trafic
M mene Marseillaise.
~I .
~u
bE~\I,u~lettes.
'~
~Ime
a~ent
~Iaritime.
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1 .: 1
Etablissements Garhit, S.A.R.L.
- à J'Entre;:rise Ferro'0;;1: employé
.
,\1. GAZ.,,"'l j oseph, Directeur Général aux
Etablissements Ga"n.
Mme GER,\IlN I épouse RI\'A Clorinda. trieuse aux Houillères du S3'sin.de Prol·ence.
.II. GENOYER Ro~cr, chef de sen'ice aux
Etablissements Paul Duclos.
M. GEVAUDAN Au!!,uste, chef comptable à
la Sociiété d' Applications Fri"orifiques.
M. GHERARD I Ercote. ajusteur aux Chantie", Navals, La Ciotat.
.\lme GI NSErrO Lucie, sténo-dactvlo à la
Société \!ëridionale d'Alimentation.
.;B::;O~N. ~N~E.:::.:\I~A~I~S~O~N~:.;,:::1.~ch:e~f..::d~u~S:erv:ic~e:...~~S~ar~o~u~!.B.cLlII.J=-.<I.!!lÎ.D......1.:a.tlcW=aliœ.....méJ:.JlllÎ~L:"~I~.~C~O~S~T~E~~E~.t~i~en~n:et,L!~cI~'"~riPLe:n~ti:e:r-~I:er:..~.:u.:x ~.~·d~D~1E;:A~, ;, n~,~c:o:n:tr:e~m:a:î:tr:e~à.l:a~Cjh:a~nr'b:r~e~.!:I tJ~l~e~r~-E:R:R;E~T:L~O~'~'i~se~,~a~id~e~-~C~o m~!rl:a~b;l:e~a;u;xJ~~1~'iG~1B~E
ii....._.;M
:.:;;,.
e Commerce.
t:o:n:i
~'\essa-
re d.s RT
Tabacs
\\arseille.à 1a Mnn uf .ctuPierre, emplo,'c
�.5
III G1GNI::OO Vincent, ouvrier d' entretien à
la So ieté J'ln Oustrielle ,\\aritime.
NI. GILLA RD Eugène, secrétaire au x Chantiers Na\'3Is, La Ciotat.
Mlle GIN OUX Anto inette, cuisinière chez M'
Joubert, N otaire, Cabannes.
III GIN OY ER Auguste, representant à la
Societé Lo ngo métal.
M. GlO RGET I1 Dominique, presseur aux
Etablissements Rocca T assy de Roux.
M. GlOYA, 'NETTI Fra nçois, contremattre à
la Société de Tra vau et xlndustries .Maritimes.
M. GII~ARDOT André, chef de service à la
Banca Co mm erciale Italiana (France).
M. GIRAUD Barthé lemy, contremaître aux
Chantiers et .A. teliers de P rovence.
M. GlRAUD Eu gè ne, o uvrier gréeur à la
Compagme Cyprien Fabre.
M. G1UBERG IA François, menuIsIer aux
Chan tiers Navals, La Ciotat.
M. G IUSTI Dominique, ouvr ier d'entretien à
la Societê de T ra\'3UX et In dustries Maritimes.
M. GL EIZE Flore nti n, em plo\"é à la Manufact ure des Taba cs de Marseille.
M. GOLF IER Féli x, c hef des Services Adminis tratifs de Marseille à l'Entret ien fer ro-
viaire.
M. OO.\IEZ An gel, ouvrier
pointeur à la
Standard França ise des P étroles.
M. GONY Alnert, machinist e retraité d\!
gro up e Sud des Houill ères du Bassin des
Cévenne~ .
M. GOR LI ER Paul, brigadier p lanto n à la
Société Marseillaise de Créd it.
NI.. GOSSE Auguste, emplo yé a u Co mptoir
National d' Escom pte.
M. GOTT AFREY François, menu i.ier à la
maison Roblot.
M. GRANDPERRI:-.I Henri, erT\jJloyé à la Ma nufactu re des T abacs de MarseiUe.
M. GRAV IER André, employé de co mm er ce
à l'Union
Commerciale
Ill'dochinoise et
Afri caine • Import. -E xport. >.
Mlle GREGOIRE Germaine, infi rmière chez
le docteur Vayssière.
M. GREGOIRE Alexa ndre. noyauteu r à :a
Société des Fo nderies du Sud-Est.
Mme GRILLI épouse BESSONE Em ilie coursière aux Etablissements Robert y.'
M. G ROSS Emile, chef d u perso'nn el à la
Société Cinzano, Châteauneuf-les-Martigu es.
M . GUASCO Jacq ues, caissier à la Compagn ie Fra nçaise des Métaux.
M. GUER INEL Joseph. chalourie r il la Société P rovençale de Constructions Navales.
Mlle GUES .\\arie-j eanne , sous-contrem a Îtresse
la mise en bouteilles à la Société
Cin7.a no, Chàteau neu f-Ieg..Martigues.
M. GUEY DON Victo r, co ntremaître a ux Etabl issements Ala urice Massias.
M. G UGLI ER I Nico las, ébé niste a ux Cha ntiers Nava ls. La Cio tat.
M. GUGLI ET TA C resce nzo, a jus teur électricien à la Société d' Applica tio ns Frigo rifiqu es.
M. GU ml Guido, chau ffe ur de cha udières
au x Etablisseme nts M.ante et Cie.
M. GUIDICELLI j ea n, em ployé à la Ma nufac tu re des T aba cs de Ma rseille.
M. GUlEU M ariu s, chef d'atelier aux Chantiers Na vals, La Ciotat.
M . GUILLELMET Gnstave, typographe à
l'Im prmerie <le Salon.
M . GU IN ET Lo uis, co mptable à la Société
''' . .AJ:'\. lli~trihv tP.t, .. tf'F."
a
hl GU ISCHET AlIguste, employé à la Manufacture des Tabacs de JI-\arseille.
Mme GUISTI épouse ZIRIO Blanc he, fi leuse
aux Etabiissements Maurice Massias.
M. HARRIET Henri, chef d'équipe à la Soc iété Nou vdle de Trafic Maritime.
Jl-L HER,IMTTE Marcel, co mmis prin cipal à
la Compagnie G';nérale Tra nsatlantique.
M . HITA A,\1 0 R BEN HADJ M o ha med, ouvrier d'en treti en à la Société de Tra vau x
et Indus tries Maritimes.
M. HONNORAT j ea n, emp loyé à l'entretien
ferroviaire.
M. HOSPI T AL Claude, to urn e ur a ux. Auto·
mobiles JI-\. Berliet • .
,M . HUYGEVELDE Lucien, Directeur à la
Sociétedes Fils à coudre de Provence.
M. IM BERT Eti en ne, a jus teur a ux Etablissements Pa ul Du clos.
,lll1 e IAIBERT Elise, sté no- dac tylo aux Eta blissements Rocca Tassy de Ro ux.
M. 1,\1B ERT Claude, gouver neur aux Etablissements Eti enne Frères.
M. IN G IG NO LI Louis, l'ague mest re aux en treprises de Gla nds T ravaux Hyd ra uli ques.
.\\. ISNARD Alexa ndre, manœuvre g rée ur a ux
Cha nliers Nava ls, La Cio ta t.
Mm e ISNARD ON née BAY LE Denise, s ténodact ylo à r En tr ep rise Mo nni ot.
At. ISU j~l ari o, co nducteur de loco motives
aux Houillères du Bassin de Provence.
,\1me JE AN épouse VIQUE Ma rth e, employée
, il la Soc iété Générale.
At. j EANSEUIiE Hilariq,n, go uvern eur co lori ste aux Cartonneri es Réunies Vo isin et
Pascal.
M. JEHAN Ma rius, contremaître manutention
aux Ca rtonneries Réunies Voisin et Pascal.
M. JOUR DAN Desiré, employé a ux Gra nds
•~l o ul i n s Ma urel.
M. JOU VE Cla ude, em ployé expédition naire
à la Co mpagnie Saint- Gobai n Cha uny et
Gi rey, Port-de-Bouc.
M. JOUVE Marc el , sous- directe ur à la Ba nque Franco-Chinoise.
M. j OUV IN Lo uis, employé à la co mptab ilité
aux Etabl isse ments Robert)'.
M . Juli en Paul, tourn eur aux Cha nti ers Navals
La Ciotat.
M. KACHER Ameziane, chef d'équi pe à la
Société des T rava ux et In d ustri es Ma ri times.
M. KLE IN Gabriel, co ntrema ître aux Chantiers et A teliers de P rove nce.
M. LABATUT René, em ployé à la Co mpa gnie de Naviga lion Paq uet.
M. LAMOTTE Maur ice, représe nta nn t a ux
Etablisseme nts j oseph Gaza n.
M. LAN j ea n-Baptiste, gu iche ti er caisse à la
Société Lyonnaise de Dépô ts.
M. LAN Ma urice, so us-chef à la Banq ue
Franco-Chinoise.
Mm e LAURANS épouse SAINT -GBRMES
SU lO nn e, sté no-dactylo à la Co mp agnie d es
,M essageries Maritimes.
M. LAUZE Pa ul. c ha udr o nnier a ux Etabli ssements Rocca T assy de Ro ux..
M. LA,vENUT Emile, comm is prin Ci pal à la
Co mp ag-nie Généra le T ra nsa tl a nt iq ue.
M . LECOMTE Georges, élec tricie n à l'Electri ci té de France.
M. LEP RI Humbert, maître com pag no n 2e
échelon aux anciennes Entreprises Léon
M. LESOU Fernand, chef ouvrier aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. LE VOTRE Henri, chaudronnier à la Soci été Pro vençale de Constructions Navales.
Mlle L' HENRY Marie-Antoinette, employée
chez M. Crémieux.
M. LION julien, chef d'atelier aux Chantiers
Navals, La C.ota t.
M . UISBON NE Louis, em ployé à la Compagnie Fran çaise de J'Afrique Occidentale.
Mlle LOMBARDO Nicolet te, em ployée à la
Compagnie des Messageri es -Maritimes,
M . LON G Lucien, empl oyé aux Gra nds Mo uli ns Maure!.
M . LOT ITO Ri ca rodo, ti sserand a ux Etablissements Ma urice .!\r\assias.
M. LO UBIERE Ant o nin, fon dé de ~ouvoirs
chez M. Lo ubière Charles, agent de change
M. MACCARINI Etien ne, chef d' éq ui pe chaudronnier aux Etablissements j. Paoli et Cie,
M. MAGNAN Antoine, ma nœuv re aux Etablisse ments E. Co rn et.
M. MAGAUD Gaston, dessi nateur au x Etablisseme nts C. Coq et Cie, Aix.
M. MA ILLE Victo r, contrôleur-payeur à la
Société de Tra vaux et Industries Maritim es.
M. MAILLEFERT Paul, o uvrier noyauteur
aux Fo nderies du S ud-Est.
Mme MALARTIŒ épo uce DELRUE Lucienne, employée de commerce à la Compagnie
Agricole et Industrielle de Madagascar.
M. MALET Pau l, contremaît re a ux Etablissements Rocca T assy de Roux.
M . MANSON Victor, magasinier aux Etablissements Etienne Frères.
M. MANZANEDO Louis, ingénieur à la Société Provençale de Co nstru cti ons Navales.
M. "lM RASTON I Primo, s urveill a nt au x Etablissements i\"Lagnan Frères.
Mll e 'MJARCERON Gabri elle, a ide ac heteuse
nouveaués à la Socité Fra nçaise de Magasins Modern es, Arl es .
Mme MAR IA, épo use BOYER Ma rie-Ma rthe,
e mployée à la Ma nufactu re des T abacs de
.!\'1.arseille.
M. MAR IAUD Henri, chef maçon a ux Houillères du Bassin de Provence, Cadolive.
M. MANZON Marius, c hef d'éq uipe aux
Chantiers et Ateli ers de Provence.
M. 'M:A RIN André, co mmi s prin cipal à la
Co nrpa~n ie Gé nérale T ransa tlantique,
M. MARINI Dante, électricien a ux Chanti er,;
Nav als, la Ciota t.
M ll e MARROU Eveli na, employée chez Mme
P au l Martin.
M. MART IN Pau l, mou leur aux Cha ntiers
Nava ls, La Ciotat.
M. MARTI N Hen ri , a justeu r a ux Chantiers
Na va ls, la Ciotat.
M. 'MASSE Alexis, préparateur de fabricat ion
aux Etablissements Paul Duclos.
M. MASSE Antoine, électricien a ux Cha ntiers
Navals, La Cotat.
.
M. MATRONE Charles, coupeur dans la m"so n Flora Silvestri.
Mm e MA.n "EOLl née RAP INI Herm ida ,
e mba ll euse à la Société d/Explosifs et d.
Prod ui ts Ch imiques, -Saint-Marti n-de-Crau.
M . MAU RRAS jules, télépllO niste auX C hanti ers N avals. La Ciotat.
.
M . .MMJREL Sébastie n, ouvrier a ux atehers
des Houill ères du Bassin de Provence,
Gréasque.
M. MAUR IN Pierre. mineur pi queur auX
Houillères du Bassi n de Provence, La
Rouillaàisse.
1
M. MAU RIN André, Di recteur commercia
chez M. Imbert Cha rl es.
j
M. MAURIN Floren tin, contremaître aux
Eta blisse ments Coder.
M. MAURI N Alexandre, employé à la ,\ Ianufactu re des T aba..:s de Mar::;eillt.
M. MEACC I Celestin, miroitier aux Etablissements E. Corne t.
M. MECCH I François chanlreineur au x
Chanti ers Navals, La Ciotat.
M. MED ION I Ii enri, chef-adjoint, Scn'ice de
l'Enseignement il la Chambre de Commerce.
M. MERCAT I Ernest, co ntrem3ltr. au x Ets
Rocca, Ta~sy, [)e Roux .
Mme MESC HI, "p. VALEf<IAN AngCle, ouvrière de chai aux Eta blissements Noilly
Prat et Cie.
M. MEUNIER Louis, rep r tse ntant de commerce aux Ets Wall aret Frères (Lille) .
Mme J\\ IALON ép. GINOUX Elise, cais,-·ièrt
c Aux Deux-Frères
M. MICHEL Louis, chaudronnier aux Etablissements Coder.
Mll e AII CHE L Margue rit e, empl oyée à la Société Gcnérale de Transbordements Maritimes.
M. N\lCHEL Honorat, chef-ouvrier aux Chan·
tiers Navals, La Ciotat.
M. MIC HEL Pierre, employé" la Manufac·
ture des Ta bacs de Marseille.
M. MICHElETTI joseph, défourneur à la
Soc ieté Géné ra le des Tu ileries de Marse ille.
M. MICHELI Paulin, cha rp entie r fe r aux
Chantiers Na va ls, La Ciotat.
Mlle MICOL Virginie, ouvrière aux Etablissements joseph Gazan.
M. MICONI Louis, chef de Bureau à la
Maison Worms et Cie.
M. MINGLIS' Nicolas, linisseur de chaussures à la S . A. A. R. Hugues ct H. Augusto.
M. MIRON Thomas, s nn'eillant aux Etablis·
sements Mante et Cie.
M. hllSC HLER j ean, conwls en douane à
la Maison W o rms et Cie.
hl. MISTRE Je an, cchef ouvrier aux Chantiers Navals, La Ciotat.
.
Ml le MITT ARDO Marguerite, o uvri ère a ux
Etablissements Fournier-Ferrier.
Mè MOCC IA j ea n, employé aux Entrep rises
de Gra nds T ravaux Hyd rauliq ues.
M. MONGIN Vincent, manœu ... re allx Etablissements Rocca, Tassv, De Roux.
M. MONNIER Jacques. c1ief de sen'ice d'Agence à la Sté Générale, Salon-de-Prol'
M. J\\ONTAONON lIIarius, "endeur il la Cie
Française Textiles.
M. MONTEIL Antoine, aide-chargeur aux
Eta bliss. Etienne Frères.
M. MORAND Emmanuel, docker à la Sté de
Travaux et Industries Maritimes.
M. MO~CATELLI Pascnl, manœu,",e aux
Etabl issements Mante et Cie.
M. MOSSER Emile, manœUHC intérieur aux.
Houillères du Bassin de Provence, Gréasque.
M. MOURARET Maurice... ouvrier profession·
nel à la Cfiarn bre de LOO1merce.
M. MOURET Si mon, contremaît re docker il
la St~ de Travaux et Industries Maritime5'i,
M. MOUHRET Henri, di rectenr d.. Han!!""
et Enlrepôts il la Chambre de Commerce
M'F MOUSSARD julien, vendeur il la Cie
ranc:;qlse Textile.
Mmfie MUONANI Ill" BARBARLTO Gi ld a,
leuse aux Ets Maurice l\\assit\s.
M' ~UNOZ Gabriel, ouv r ier de fahricotion
à .a
Anonyme d'F,
ifs et de Prod Ul ts
. i
hl. MUR IS Vi ncent, reprèsentant à la Socidt: Peze et Cie.
M. ,\1USSI Raphaël, employé il la Man uiactu re des Tabacs de Marseille.
M. MUSSU Henri, iondé de pouvo irs a la
Cie CommerCiale Ma r~ei l1 aise .
M. NARDINI rortun., perceur sur mHau x
aux Chantiers Navals, La Ciotat.
J\i.
AI~JiJUX MariUS, mCTl Ui!;llr a la Cie
Fraissinet.
M. NEBON Louis, pointeur a11X Etablissements ~enne Frè res.
M. NEVII:.J{E Ferdinand, conducteur machines a carton, papier, amiante â la Société
des Anciens Etablissements Gamet.
M. N ICULAI Laufent, contremaitre aux
Chan h ers Navals, La Ciotat.
Mme NUBLAT née NUB LAT Eu;:énie, stèno-dacty log raphe a l'Union , des Bauxites.
II\. OREILLE Manus, comptable à la Sol:Ït:té ul~ des Tuilcri~s ùe Marseille.
M. ùRGNUN Rosi n, mampulatcur il la SucJt~tc Lyonnaise ue Depot::; ct dt Cn~Llit Inti ustnel.
M. OLIVE· Eugen., cont rem aitre aux Etabl.
A. Garbit.
M. OLlVEf(O Etienne, chef mé<anicien à la
Sté Anonyme des Tuileries d Briqueteries
Lie Saint-Henri.
M. OLLIVE Loui" machiniste aux Houillères
du Bassin de Provence, Cadolive.
M. OLLIV IER Louis, di recteur aux. Caisseries du Midi >.
M. ORSON I Michel, manutentlOn·naire à la
Compagnie Générale rransatlantique.
M. OH.TET Pierre, perceur de coques aux
Chantiers Nava!s, La Ciotat.
Mme OTTONE, épouse MOUT PJer.rine, repasseuse il la BlanchlS!:iene-Temturene
Maritimes.
M. OUDIN Georges. representant aux .\tanufactures Hartmann et Fils.
Mlle OU\"JERE joséphine, ",adaire'sténodacI)'lographe aux Etablissement> Robert y
,\l. PAGLIANO Flo",.. ~ è-bardeur de fon derie aux Fonderies du Sud-E."it.
M. PAOLI j ean, employc à la Manufacture
des Tabacs de ,\1arseille.
M. PAOLIN I Marius, percenr de coques aux
Chantiers Nal'als, La Ciotat.
,'v\. PAOLINO jean, magasinier aux Chant'er> Navals, La Ciotat.
M. PASCAL Henri, ajusteur aux Chantiers
Navals, La Ciotat.
'
M. PASCAL Jult!s. commis aux écritures aUX
Huileries et Savonneries de l'Amande.
.Itroe PASQUELLI, \"e'"'e ESPOS1TO Angèle, bâcheuse il IJ. Soc~t.'té Nouvelle de
locations de hàches et prclarts 4. Sanvlo ,
,II. PAULET Fmncis, distll!>uteur au, Chantiers Navals, La Ciotat.
M. RECOUT jean, ajusteur à la Société
d'Applications Frigordiques. "
..
Mme PEjROLO. nee BONA\ ERO Em ,he.
journalière aux Etal1l~ssemellts (" Le::; Fils
de Barthélemy FenOUil >.
M. PELISSIER' Antoine. retraité des Ilouillères du Bas:-tin de Pro\'ence. Valdonne.
M. PELLEGI!INI Allrecl, \'o)a~cur au, Etablissements Hntchinsoll.
hl PELLEGRINO Antoine, électricien aux
Chantiers N(\\'als, La Ciotat.
M. PEL LET Ckment, cnmptat>le au Crédit
L\'onnais.
~tme PELLOUX Marie, sténo-dactl"lographe
aux Et." Roce<t. Tass)'. de n.oux
M. PERONI Charks, biseau leur aux Eta-
M. P E RROUD Emi le, rep résentan t à J'Entreprise Orouard Frères.
M. P,ERSEGOL l::t1gene, contremaitre docker il la Sociétc de T ravaux et Industries
h\aritimes.
M. PEYRUL Emile, sous-chef de serv;,e à
la Cie des ;\\e:"sagerit!s Maritimes.
M. PFRII.LI\ER rernand, chef de sen-ice il la
Banque de France.
M. PH ILIPPAZ ClaudiUS. ajusteu r à la Société d' Applications Fri gorifiques.
Mme P IATT I, épouse BERNAT lI1.atllilde,
journalière à la Sociétc Généra le des T uileries de ,11arseille.
M. P IC Roger, employé à la Manufacture
des Tabacs de ,\\ar",ille.
M. P1CHERIE Georges, ajusteur aux EtabJ.
Rocca, Tassy, de Rou".
M. P,IDELLO dit PIDELLY Paul, chef de
Sc:!ction à la Sociéte des Grands l ra\'au..x
de Marseille.
M. PIERI Paul, employé à la Manufacture
des T abacs de .Ilarseil!e.
M. PIEROT ,\<\a rcel, journ3lier à rEntrel"' se Fe.rroviaire.
M. PIFFER Alphonse, employé à la ,\\anufacture des Tabacs, Marseille.
M. PIGNET Pierre, employe au x Grands
hfaulins Maurel.
111. P.HILlPPON PhiliPpe, directeur commercial à la Cie Française des Mdaux.
M. PINSARD René, chef de centre à la Société Anonyme des Pneumatiques
Dunrlop >.
,\1. PIQUENOT Marius. contremaître aux
Ets Rocca, Tassy de Roux.
M. PLASSI E<imond, soudeu r à la Sté d'Exploitations des Atelie rs de Mellpenti.
1 M. PLAIN DOUX
Joseph. aklt!-(3issier à
l'Entreprise Ferro\'Jaire.
M. PLUMOR jean-Marie, serrurier-Ie rreur
au.."" Chantiers 'avals, La Ciotat.
,,,. POILROUX joseph. manceuI're aux
Chantiers Navals, La Ciotat.
,\1. POLIDORI Dominique, employé à la Manufacture des Tabacs, .\\a.r~ill~.
Mlle POLLONI Angèle, papetière a l' Impririe Ma rseillai::;e.
M. PONS LI!-on. contremaître-docker à la
Societ~ des Tra,"aux et Industri~ ~\ür'
,\1. PONTIER Henri, ouvrier a la Compagme pour la fabrication des compteurs et
matériel d'usines il gaz.
Al. PORRACHIA Laurent, mineur aux Houillères du Bassin <ie Provence. Valdonne.
.\L PORT A Louis. maçon à la Slandard
Française des Pétroles.
,\1. PORTALIS ,'laurice chef de bureau à
la Cie des .Me. "a{!eries .\\aritimes.
h\. POUL)' jul - chaudronnier fer, traceur
aux Chantiers Na\"3Is, La Ciotat.
aux Chantil!rs l\a\"a.ls. La Ciotat.
.\1. P,RACCA ".1riu$, journal .. r a l'extérieur
au.x Houillère~ du Bassin de Pro\ ence
Greasque.
hl. PR,\DIER joseph. chef de sm'iee à la
Sociëtt~ Générale de Tran:sbordements .\la-
ritimes.
M. PRIASCO j ean. machiniste aux Etablissements Fournie:-Ferrier.
M. PROFIZI jac,!u05, dire,teur adjoinl il la
Banque Iatjona!.e pour le Commerce et
IIndustrie.
,II. PROV ILLE Eu~ène, chef de roulag-e
fond aux Houillères du Ba in de Pro-
•
�-1IIIÎÎ_ _
,
M. RANISE Auguste, mécanographe à da
Cie pour la fabrication des compteurs.
M. RANZETTI Joseph, charretier à la Compagnie C)'Prien"Fabre.
Mlle RASIGAlDE VictQri.a, comptable à la
Mme RUFFINO, épo use CIVALLBRO Françoise, pol isseuse à Ja Société Générale des
Tuileries de Marseille.
M. SACCO Etienne, employé à la Banque
Franco-Chinoise.
Société de Travaux et Industries M.aritiMI. SADOULET Etienne, emp loyé à la Mames.
nufact""e de Tabacs de ,\1arsei lle.
M. RASSOUL Smail, manœuvre a"'x EtaM. SA INATI Gillo, garde aux Etablisseblissements Paul Duclos.
:
ments Rocca, Tassy, de Roux.
RAU TH Albert, professeur à r&ole d' Ele<:- Mme SA INT-M!ARTIN, née PERONE Dotncit'; Indestrjelle de Marseille.
minique, cartOllnière à l'Imprime rie MarMme KEAL IS, épouse GIUSTI Marie-Jeanseil laise.
na, :iltuse aux Ets Il'1alUice 4\1assI3S.
M. SALINESI Don-Jean, mécan icien à la
JI\. Id,BUF,FAT Albert, mineuI aux HouilChambre de Commerce.
lères du Bassin de P.rovence, Peypin.
"''' SALJl1.ONA Maurice, cOlltremaî tre à la
M. REGl.!'lATO Joseph, contremaitre entreCommercialle des Riz et Légumes Secs.
tien au..x Cartonneries Réunies Voisin et
M. SANIE Ludovic, employé de bureau à la
Pascal.
e Cité Nouvelle ' b Maison Franc(}u.
M. RESCH Edoua rd, voyageur étalagiste à
M. SANT:E.LU Antoine, soudeur mi xte à la
la soCÎété anonyme Savonnerie Lever.
Société des Ateliers TerIin.
M. REV ALOR Gabriel, chef mécanicien a,"oc N\. SANTO Constantin, manŒuvre aux EtaHuileries Darier de Rouffio.
blissements Rocc a, T assy, de Roux.
M. REVERBEL Leon, gérant du bureau de M. SARLIN Hen ri, pose ur-cantonnie r à la
quart ier à la Société Marseillais e de CréChambre de Commerce.
M. SARTOR LS Marilus, chef ouvrier aux
dit.
Chan tiers Navals, La Ciotat.
REYNAUD Auguste, affuteu r aux Caisseries
M. SATT I Josep h, c hef d'atelier princi,pal
Réunies.
a ux EtabLissemeltls Coder.
Mme RI BELLA, épouse FRANCO MarieM. SAURIN Marcel, employé à la ManufacLouise, ouvriè re aux Etabl. Roberty.
IUre des Tabacs de Marseille.
AA- RICHARD Auguste, chef d'cquipe à la
cI>4. SAUZBDE François, ingé nieur en chef
Chambre de commerce.
aux Etablissements Noël Ainé et PellegriM. RICHET Marcel, pâtissier à la S.A.M-E.
P. Male-Fosse et Fils.
ni et Cie.
AA- RICHERT René, monteur frigoriste aux M. SAVANT-ROSSO Isido re, tél éphoniste
l
I
aux Anciennes Entreprises Léo n Cha gnaud
Usines Quiri et Cie.
M. RICCI Adrien. chef d'equi pe ébéniste aux
Etablissements Coder.
M. RIGO Jean, aju-,-teu r aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. RITTORE Michel, électricien a ux Houi'l lères du Bassin de Provence.
Mme Rivière, épouse CHARTON ~\arie-Ro
se, employée aux Etablissements
•
Rocca,
Tassy, de Roux.
M. ROAGNA Emile, aid e-chaudronnier à la
Société Provençale de Construdions Navales.
M. ROCHAS Auguste, co mm is principal au.x
Messageries .N\aritimes.
M. ROCHE Ernest, commis aux éc ritur es a ux
Chantiers Navals, La Ciotat.
M. ROLANDO François, garçon de recette
à la Société Marseillaise de Crédit.
M. ROSSO Jean, tuil ie r à la Societ~ Anony
me des Tuileries et Briqueteries de MarseiMe.
M. ROUARD PaUl, employé de bureau à la
Société de Travaux et Industries Maritimes.
AA- ROUBAUD Paul, chef d'études aux Etablissements Kulhmann.
M. ROUGET Louis, mécanicien aux Etablissements Mante et Cie.
Iv\. ROUGi ER Louis, employé à la Manufacture des T abacs de .Marseille.
Mo ROUMANET André. employé de banque
au Crédit Lyonnais.
M. ROUMIER Lucien, chef d'atelier à la Société d'Alpplications Frigorifiques.
M. ROUSSE.NQ Henri, sous-chef à la banque Franco-Chjnoise.
ROUX Marce~ chef de service à ,l a Société
Estrine et Cie.
M. RUA Jean-Dominiq11e, conducteur de vedettes à la Compagnie des Messageries
Maritimes.
Mme Vve RUBIROLA, née STEFINLONGO
....____~irurie. emoJovée à la Manufacture de Ta-
et Fils.
M. SAVOYE Acl1iile, condudeur Ijopographe
à l'Imprimerie Régionale.
lM. SCHJANO Jea n, co ntrem aître-docke r à
la Socié té de Travaux et Industries Maritimes.
Iv\. SEGOT René, employé à la Manufacture des Tabacs de Marsei Ile.
M. SEGOND Baptstin, chef o uvrier aux
Chantiers Nava ls, La Ciotal
Mme SEGUI'N Vve MANZI Lazari ne, assistante sociale a u Grand Conseil de la Mutualité.
M. SEISSON Jea n, agent ,général >'10( Etablissements Josep h Gazan.
.
M. SEISSON Lropold, adm inistrateur-directeur commercial aux Etab lissements Joseph Gazan.
AA- S'ELLA Nello, s urveillant aux Etablissemenfs Etienne Frè.res.
M. SENTIS Jacques, sous-chef de burea u à
la Cie des ·Messageries MaIitimes.
M. SINAPJ François, chef d'equipe docker
à la Société de TI avaux et Industries Maritim es .
M. SILVESTRE Alphonse, age nt de maîtrise à la Soci été Françai se des Glycérines.
M. SIL VESTRO Joseph, raboteUI a ux Caisseries Réu'l1ies.
M. SIZAlRo.LS Louis, forgeron à la Société
Anonyme des Anciens Etablissements Groigna rd.
M. SOLER Jean, deuxiè me bobi neur aux Etablissements Etienne Frères.
M. SOMMOV IGO Riziero dit Achille, agent
de fabrica tions aur Chantiers Navals, La
Ciotat.
M. SOULES Etienne, com mis aux écritures
aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. SPliNOSA Taddeo, ohef d'équipe à la Société à la Société de Travaux et Industries Maritimes.
M, ST~V.RI1:!.I Slv\a noli s~c h ef d'éq:'P~ do..:-
M. VANNUCCHI .François? <:hef ouvrier aux
trjes Maritimes.
Mme ST,EINER, épo use BOUVATIER Georgette, vendeuse dans la Maison M-ayetGuillot.
Mme STINGUE, n~ SONNET Cléme nce,
secré.taire à la Fédératioll Nationale des
Expéditeu,rs, Châteaurenard.
M. STURILESE Philémo n, chanfreineur aur
'Chantiers Naval, La Ciotat.
M. STURLESE Joseph, menuisier aux Chantiers Navals, La Ciotat.
AA- SUAU Manuel, chaulleur de dra gue aux
Anciennes Enureprises Léon Chagnaud ct
Mme SUBIRAlN, épouse CHABOT Jul iette,
~~ .
marieuse 'li tho à l' Imp rimerie J\4arseill aise.
M. SU,sTERRE Marius, retraité de la Manufacture des Tabacs de Marsei lle.
M. SUZAIN Joseph, manœuvre spécialisé a~x
Chantiers Navals, La Ciotat.
M. TA,CCHElLLA Manhieu, chef de division
à la Cie de Navigation Fraissinet.
Mme TADDEI épouse G1LA ~D1 Laura,emballeuse à la Reglisserie de L or ette
M. TALLERICO Antoine, docke r à la SociétO
de Trauvaux et Industries !Maritimes.
M. T 6 1SSEIRE Jea n, agent de maît rise aux
Etablissements Rocca Tassy de Roux.
M. TEISSIER Isidore, méca ni cien à la Chambre de Commerce.
MI. TElltSSIER
Pierre, inspecteur vri ncipal
adjoint à la Société Marseillaise de Crédit.
M. TERUIGGI Fortuné, chef d'équipe aux
Etablisseme nts Co rn et.
M. T INAT Robert, chef d'équipe électricien
il la Société ano ny me des Anciens Etablissements Groignard.
M. TOMAS IN 1 Jacques, matelot à la Société
d'es Travaux et Industries Ma ritimes.
Mme ve uve TORDO née STRAIGIR Louise,
voi li ère
à la Chambre de Commerce.
M. TOROBINO Guillaume, inscrit maritime
à la Societé No uve lle de Trafic Maritime.
M. TORRANO Josep h, chef d'équipe à I?
Soci été M arseillaise de Trafi c ·Maritime.
Mme TORRE épouse BERETTON I Carm ela,
fileuse aux Et ablissements Mauri ce Massias
M. TOSELLO Louis, mineur-piqueur aux
Hon iJI ères du Bassin de Pro ve nce, Peypi n.
M. TOURRENC Gaston, secrétaire aux Chantiers Navals, La Ciotat.
.
M'me TRAPPLER, épo use AST IER Man'Rose, repasseuse chez Mme Vve VillebOIS.
Mme TRIANTAPHYLLON, épo use PORTALIS Lu cie, infirmière à la So ciété anonyme
d'explosifs et de produi ts
Sain t-Ma rti n-d e-Cra li .
chimiques de
M. TRI CON Pierre, co ntre maître aux Cha nti ers Navals, La Ciota t.
Mlle TRIOULEl Jean ne, employée chez M.
Chantiers Navals, La CIOtat.
M. Y.A.RESIO 'foussaint, tourneur su r métaux
aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. VASSALO Auguste, chef de fabrication
aux Etablissements Garbit.
M. VELLIN Félix, gréeur aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. VELLIN Joseph, chef ouvrier aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. vEN TilE Henri, charpentier fer traceur
aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. VENTRE Léo n, riveur chanfreineur aux
Chantiers Navals, La Ciotat.
M. VENTRE Georges, chef de bureau aux
Messageries Marittimes.
M. VERDUSCHI Alexandre, échafaudeur a ux
Chantiers Navals, La Ciotat.
M. VERLEYE Emi le, chef comptable dans la
maison Raffin et Cie.
M. VERNEDE Léopold\ vend eur à la Compa gni e Française Textile.
M. VElROLLET
blissements Etienn e frères.
M. TROUVE Louis, con!remaitre à la Chambre de Commerce.
M. VACCA Charles ch" f pointeur à la Sté
de T ravau x et Lndustries Maritimes..
M. VACCA Fernand', sous-c hef de service à
la Société de Travau x et In dustnes Mantim es.
.
M. VALETTE Gusta ve, emvloyé aux éCfltures à la Société Marseillaise de Crédit,
Arles
S 'ét'
.'Il- VAL VERDE José, ajusteur à la oc;oi:
anonyme des Anciens Etnbllssements 0
g nard.
h
M. VANNUOCI Josepl,
L~
ch e f
ouvri er aU·x
chez M.
la maison Worms et Cie.
M. VERT Joseph, chef d'équipe menuisier
aux Etablissements Coder.
Mme VEZZANI épouse LOMIELLO Gilda,
pressiére à la Société Générale des TuileTies de Marseille.
Mo VIAUX Clem ent, mineur piqueur aux
~t
Houillères du Bassin de Provence, Peypin.
VIERNO Elie, chef pointeur à la Société
de Travaux Indu striels Maritimes.
Mlle VIGHETTO Joséphine, journalière à la
Société Génér.lle des Tuileries de Ma rseille.
Mme VILLANI épouse SINAI Ang èle, sténodactylo à
seillaise.
la Co mpagnie Commerciale Mar-
M. VIN Paul, menuisier aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. VINCENT Auguste, maître de chai aux
Etablissements Silvestre Albert Aix-enProve nce.
1
M. VITTONE Michel, employé magasin SerVice T ech ni que il la Compagnie de Na vigation Paquet.
M. UGHETTO Sébastien, journalier à la SoCiété Générale des Tuileries de Marseille.
M. WANTZENRI5DER Charles, tu ya uteur
M. ZANONI Narcisse, électricien aux Etablissements Mante et Cie.
Mme ZILI AN 1 épo use TIRAN Paule vendeu··
se à la Société Kodak-Pathé.
'
M. ZU CCON I Pierre, surveillant de fabrica~on à la Compagni e Kie Saint-Gobain
'
•••
A TITRE COLONIAL
M. DEiBORT Edmond, agent principal insp ~teu r à la Compagnie Française de l'Afnque Occidentale.
M. DlETSCH Paul, agent colonial à la Compa fime Française de l' Afrique Occidentale.
M. GEURY Charles, agent colonial à la Com~
pagnle Française de l'Afrique Occidentale.
M. MONEGER François, agent colonial â la
Compagnie Fra nçaise de l' Afrique Occi<lentale.
MMROU V1ER
Jean, agent gé néral da ns le
oyen-Onent de la maison Daher et Cie
armateurs.
vales.
•
••
MEDAiLLE DE VERM EIL
ART ICLE 2. - La Médaille d'Honneur du
Travail en Vermeil est décernée aux personnes dont les noms suivent :
M. ACJiIARDI Joseph, maçon à la Société
anonyme Entreprise Alfred Jauff ret.
M. ALEZARD Victor, sous-c.hef à la Compagnie Fraissinet.
M. ALOU Nicolas, chef de service c transit>
à la Compagnie Française de l' Afrique
Occidentale.
M. AAIJEL Andre, elbe! de service commercial à la Societe LongométaL
M. AP ICELLA Ernest, chef mécanicien à la
Société Générale de Transbordements Maritimes .
M. AR1.\WNDO Lucius, cfief saunier à la
Compagnie Gé nérale des Produits Chimiques du Midi.
M. ARNAUD Baptistin, chauffeur à la Compa gni e Commerciale Marseillaise.
M.. AVORIO Adolphe, forge ron aux Fonderies du Sud-Est.
Mlie BARET Berthe, employée chez Mlle
Long Berthe.
M. BARSOTTI Ju les, enfourneur à la Sociéte
Générale des Tuileries de Marseille.
M. BARTHELEMY Marius, ajusteur mécani cien à la Sociéte Générale de Transports
JV\adtimes
à vapeur.
M. BATrtSTA Pascal, ferblantier à la Soci étté Générale de Transports Maritimes i:.
Vapeur.
M_ BAUCHIERO Baptiste, chef d'equipe à la
Société « Indust ri ell e Maritime • .
AI. BA VA Charles, tuilier à la Société anonyme des Tuileries et Briqueteries de Ma r-
seille.
M. BElCKER Joseph, typographe à l'Im primerie du Vieux-Port.
M. BELLI Amedee, mouleur sUI métaux aux
Fonderies du Sud-Est.
M. BLAlZE Edouard, chef de bureau aux
Etablissem ents Magnan Frères.
M. BLANC Ange, plombier aux
Etablisse-
ments fournier-Ferrier.
M. BOS Marcel, chef de service fondé de
aux Chantiers et Ateliers de Proven ce.
uhauny et Cirey, Port-de-Bouc.
Gabriel Hi cc iardi.
1\1 ",,,n t<;;.
employé
M. VERRIEST Louis, chef de se rvice dans
M. TRON Louis, premier bobineur auX Eta-
"" ,__ --*: ... _
Jean,
Vayssi ère, docteur en médeci ne.
A TITRE POSTHUME
M. LOMELLO Bernard, JOUInalier à la Société Générale des Tuileries de Marseille.
M. MIGLIAOCIO Vi ncent, aide-plombier à la
Société Provençale de Constructions Na-
1
'Pouvoirs à la
Marseillaise.
Compagnie
Commerciak
M. 1l0SS0LASCO Nicolas, retraite
Chantiers Navals, La Ciotat.
des
M. BRUN I Victor, perceur sur métau..'C au x
Chantiers Navals, La Ciotat.
M. BUSSO Pierre, ajusteur à la Société des
Forges et Chantiers de la Méditerranée .
M. BUn MOCO Jea n-Marie, inscrit maritime à la Société No uv elle de Trafi~ Maritime.
,M. CALLOUD Geo rges, linotypiste à l'Im. primerie du Vieux-Port.
M. CAMUGLI Pierre, brigadier des garçons
au Crèdit Lyonnais.
Mme CA,RETTO épouse ZUCCA, ouvrière
aux Eta·hlissement Fournier-Ferrier.
M. CHi\RNE ISKI Jerome, chef d'équipe do cker à la Societé de Tral'a ux et fndustries
Maritimes.
M. CHIAVAZZA Ignace, contremaître à la
So ciétë anonyme des Mines de Bitume et
d'asphalte du Centre.
M. CICCOTTO Ernest, contremaître ajusteur
à la Société Gén~ale de Transports Maritimes à Vapeur.
M. CLASTRIER Victor, contremaHre docker
à la Société de Travaux et Industries Maritim es.
M. COLLIARD Edouard, Directeur des Fonderies du Sud-Est.
M. COLOMBANI Nonce, employé à la Manufacture d'allumettes de Marseille.
M. COLOMBANI J ules, chef d'équipe à la
Société de Travaux et Indust ries Maritimes.
M. CONSTANT Antoine, sous-chef de burea',
à la Compagnie des Messageries Maritimes.
M. CORNET EdouaId, chef de service aux
Etablissements Cornet.
M. COSTES Charles, brigadier des garçons
de recette il la Socüété Marseillaise de
Crédit.
M. CREUSOT Jules, coupeur de verres aux
Etablissements Cornet.
M. DANCAUSSE Louis, Directeur de l'Agence dè M~rseillaise au Cr~dit Lyonnais.
M. DELUY Gabriel, se<:rétaire à la Société
Richardson Frères.
M. DE.MONTES César, chef de chantier il
J'Entreprise M.aisonneuve et Cie.
M. DE SIMONE Alexa nille, garço n de bUIeau
au Service d'exploitation des Tabacs et
Allumettes.
M. DEV ARlEUX Anillé, chef de service chez
MM. Bertrand et Cie.
M. DI SCHINO Pascal, chef de service à la
Société de Tr,,-aux et Industries "'laritimes.
M. DUFFE Ferdinand, rédacteur à la Chambre de Commerce.
M. EICHEBERGER Emile, pointeur de marchandises à la Société NouveUe de Tr afic
Maritime.
Mlle ESCOFFIER Joséphine, représentant à
"Uni on Commerciale IndochinoÎse et Africaine et sa filialel c Ce.ntrales > .
M. ESTIEN lE Marceau, retraité mineur des
H ouillères du Bassin de Provence, Cadolive.
AA- ESPIE Albert, contremaître aux Etablissements Rocca Tassv de Roux.
AA- EYMIN Jean-BaptiSte, voilier à la Compagnie Fraissinet
M. FONTANILLE Marius, capitai ne de remorqueur à la Compagnie Gétnérale de
Navigation H .P.L.M .
Mme FRACASSO épouse UGHETI'O Marguerite, journalière à la Société c Les Fils
de Barthélem" Fenouil >.
~t FRANZIN I Louis, vendeur aux Etablissements &uebara et Cie.
Al GAGLIA NO Henri, chef de ser\'ice •
l'Agence Daher et Cie.
M. GALLARD Marius, photogra.veur à l'Imprimerie du Vieux-Port.
M. GARINO Jean, surveillant sur quais dans
la maison 'Vorms et Cie.
hoUle GAROUTE ~cne, contremaîtresse lingère à la Compagnie de Navigation Fraissinnet.
M. GAZ
Joseph, Directeur Général aux
Etahlissements Josep&. Gazan.
M. GiGANTI Theodore, Secrétaire aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. GlGNEGO \ 'incent, oU\'rier d'entretien
à la Société
l'Industrielle .\1aritime >.
~Ule GINOUX Antoinette, cuisinièIe chez M.
Joubert, Notaire à Cabannes.
M. GLEIZE Henri, contrôleur payeur à la
Sodeté Genérale de Transbordements Maritimes.
�-
8
M. GRAC Marius, agent principal l la Sociétté Générale.
M. GRAVIER André, employé ,de commerce
à l' Union Commerciale lnèlochinOlse et
Mricaine < lmport.-E~']lort. •.
M. GUlCHARD Jean-Baptiste, contremaitre
aux Etablissements l\launce.i\\assI3s.
M. GUIGUE Louis, contremaître c..~a1l1ron
nier à la Société des Ateliers Ternn.
M. PAGUA Ulysse, mouleur sur métaux aux
M. HlTA A/IIOR BEN HADJ Mohamed,
ouvrier d'entretien à la Société des Travaux et Industries Maritimes.
M. HUGVES Henri, gardien aux Chantie ..
Navals, La Ciotat.
Fonderies du Sud-Est.
M. P A,LESI Léonetto, forgeron il la Société
Provençale de Constructions Navales.
M. PASClAL Henri , ajusteur aux Chantiers
Navals, La Ciotat.
M. PELLISSIER Antoine, mineur de fond aux
M, L\1iBERT Etienne, ajusteur aux Etablissements Paul Duclos.
M. ISNAR.o Alexan<1re. manœuvrier gréeur
aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. lSOARDl Lucien, p lombier aux Ete.blissements Mante et Cie.
J-Iouillères du Bassin de Provence, Val-
M. JACQUET Antony, employé équipe volante au Crédit Lyonnais.
.
M. JOURD AN Augustin, mineur aux HOUIllères du Bassin de Provence.
M. JOURNES Laurent, enmlopyé au Crédit
Lyonnais.
M. LAZZA RlNl Louis, ouvrier de fabrication
aux Etablissements Mante et Cie.
M. LECOMTE Georges, électricien à l' Electricité de France.
M. LESPAGNOL Marcel, contremaître. de
fabrication à la Société Générale des Huiles
de pétrole.
M. LIEUTAUD Victor, cha nfreineur aux
Chantiers Naval, La Ciotat.
M. LOMBARD François, conducteur de ;:ruc,
flottantes à la Société l'Industrielle Maritime.
M. LUCCHESI Ange, ai<ie-chimiste ,ux Etablissements Mante et Cie.
M. ,MA.GNAN Antoine, manœuvre aux E.tablissements Cornet.
M. MANCHES Albert, géra nt à la uistillerie
de la Suze.
M. MASSE Antoine, électricien a'ix Chantiers Navals, La Ciotat.
!vi. MAURAS Fernand, comptable 3 la 50diété anonyme des Chaux et C'ments de
Lafarge et du Teil.
M. MEACCI Célestin, miroitier a 1< Etablissements Cornet.
Mlle MEYER Julienne, co ntremlilresse a ux
Etablissements Maurice Massias.
•
M. OLLIVE Louis, machiniste aux Houill~
res du Bassin de Provence, Cadolive.
M. OLLIVIER Louis, Directeur aux Caisseries du Midi.
M. ORTET Pierre, perceur de coque aux
Chantiers Navals, La Ciotat.
M. OUDlN Georges, représentant aux Manufactures Hartmann et Fils (Haut-Rhin).
M. MICHELETTI Joseph, - défourneur à la
Société Générale des Tuileri." ~e Marseille.
M. MORAND Emmanuel, docker à la Société
de Travaux et Industries Ma!"itimes.
M. MOUCHE André, chef de bureau à la
maison \Vorms et Cie.
M. MOU'REN Philippe, peintre C~ ,!z M. Jusep h
Chabaud.
M. MOUREN Zéphirin, chef de section aux
Fonderies du Su<!-Est.
M. MOUSTIER Armand, ouvrier d'atelier aux
Houillères du Bassin de Prover.cc.
M. MURIS Vincent, représentant 1 la maison
Peze et Cie.
M. NOVIS Edmond, Directeur de l'Agence
Daher et Cie, armateurs.
M. OLIVE Marius, tourneur à la Sr.tiété Mé. . . . . ._ _ _-.::d:'ît:.er~ranéenne de Constructions 1,1(!"strielles
Idonne.
M. PlCCI Dominique, ouvrier m1çon à l'Entrep rise Jean Ha~ert.
M. PIERI Paul, employé à la Ma nu fact ure
des Tabacs de Marseille.
M. POMftUER André, conservateu, de titres
à la Société 'M arseillaise de Cr~dit.
M. PONS Léon, contremaître docker à la
Société: des Travaux et
int.!ust~les
Mari-
times.
M. PONSI Etienne, chef d'at elier il la Soudure Auto gè ne du Sud-Es\.
M. PRlASCO Jean, mach'111,'e aux Etablis-
sements Fournier-Ferrier.
M. PROFlZl Jacques, Directeur adjoi nt à la
Banque Nationale pour le Commerce et
l'Industrie.
M. RICHET Marcel, pâtissier. la ~.A.M.f.P.
Male-Fosse et Fils.
M. RIlPERT Joseph, conducteur de grue i! la
Société de Travaux et In .... ustries Maritimes.
"Ule ROCHE Jea nne-Mari e, .commise principale à la Compagnie des Me5;lage~'ie3 Maritimes.
M ROSELLlNl Jos eph, filtreur "ux Etablisse·
ments I~occa Tassy de Ro"",.
M. ROSSI Dante, co ntremailre aux Etablissements Mante et Cie.
M. ROUGON Charles, emplùyé de bureau à
la Sociiété Nouvelle de Trafic Maritime.
M. ROULIER Louis, contremaitro i la 50ciété <les Forges et Chanliers de la Méd i-
M. VANNUCCHI François, che! ouvrier.u
Chantiers Navals, La Ciotat.
'
M. VEROLLET Jean, employé chez M. V'Y$.
si ère, docteur en médecine.
Mme VEZZANI epouse LOMELLO Gikl
pressière à la Société Générale des Tuil~
ries de Marseille.
Mlle VlGHETTO Joséphine, journalière à 1.
Société Génnérale des Tuileries de Mar.
seille.
M. UG.HETTO Sébastien, journalier à 1. Saciété Généra le des Tuileries de Marseille.
•••
9
MI HUGUES Nicolas, gardien a ux OhanUers
Naval., La Ciotat.
M. MASONI Joseph, héliographe aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. MILLE Marius, chef d'atelier à la Société
des Chantiers et Ateliers de Proven<::e.
M. PAOLETTI François, vendeur à la Société
anonyme « Belle Jardinière •.
M. PlETRI Paul, contremaître en chef dans
la maison Uaher et Cie, armateurs.
M. ROCHER Ferdinand, menuisier aux Chantiers Navals, La Ciotat.
M. ROLLAND JOSeplil, chargeur aux Etablissements Etienne Frères.
A TITRE COLONIAL
M, BARl:lOTTlN Paul, agent colonial à 1.
Compagn ie Française d e l'Afrique Occi_
dentale.
M. JORDANO Joseph, agent principal inspec.
teur à la Compagnie Française de l'Afrique
Occidenale.
M. PELLA T Gaston, chef d'e s Services < lm·
portations • à la Compagnie de Navigation
Fraissinet.
M. ROUVlER Jean, agent général dans 1.
Moyen-Orient de la maison Daher et Cie,
M. ROUBAU.D Paul, employé à la Compagnie _Marseillaise >de Madagascar.
Mlle ROUX Joséphi ne, o uvrière aux Etabli .....
sements Fournier-Ferrier.
M. VEROLLET Jean, employé chez M. Vayssière, docteur en médecine.
•••
A TITRE POSTHUME
Mt. LOMELLO Bernard, journalier à la Société Générale des Tuileries de Marseille.
---<>00<>---
MEDAILLE SOIXANTENAIRE
ARTICLE 4. - La Médaille d'Honneur du
Travail c soixantenaire ~ est décernée aux
personnes dont les noms suivent:
M. ARlMONDO Lucius, chef saunier à la
Compag nie Généralel des Produits Ohimiques d'tl Midi.
.
Mlle BARET Berthe, employée chez Mlle
Long Berthe.
M. PRUNIER Paul, fondé de pouvoirs aux
Vsines Schlœsing Frères.
•••
A TITRE POSTHUME
M. LOM.ELLO Bernard, journalier à la Société Générale des Tuileries de Marseille.
ARTICLE 5. - M. le Secrétaire Général de
la Préfecture est chargé de l'exécution du
présent arrêté qui sera inséré aux Recueil
des Actes Administr atifs et dont une ampliation sera transmise à M. le Ministre du Travail et de la Sécurité Sociale.
Marseille, le 11 Juillet 1951.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégu é,
LAMASSOURE.
a rma teurs.
M. SURIAN Mau rice, a gent colonial de 1.
Compagnie Française de l'Afrique Occi·
dentale.
•••
A TITRE POSTHUME
M. LOMELLO Bernard, journali er à la Société Générale des Tuileries de Marseille.
---<>00<>---
RAPPEL DE MEDAILLE DE VERMEIL
ARTICLE 3. -
Le Rappel de la Médaille
d' Honneur du Travail en Vermeil est décernée aux personnes dont les noms suivent:
M. ACHIARDI Joseph, ma ço n à la Société
a no nyme Entreprise Alfred Jauffre!.
M. AM lEL André, ch ..f de service co mmetcial à la Société Longométal.
.'
M. AR lMONDO Lucius, .chef sau mer a 1.
Compagnie 'Générale des Produits Chimlques du MIdi.
IMlle BARET Berthe, employée cI11ez Mlle
terranée.
M. RUOPPOLO Joseph, so us-chef de servi ce
actif à la Société de Travaux et Industries
Maritimes.
M. SAMPO Pierre, reh aité de, Ho uill ères de
Provence.
M. SANNA Jean, manŒuvre chaudr 'Jnni~r
aux Etablissements Rocca Tassy de l~oux.
Mlle SCOTTO Dl RlNALDI Angèle, bâcheuse à la Société Nouvelle de locatio n de
bâches, prélarts « Sonolo • .
M. SILVESTRE CIlarles, ingénieur de fabrication aux Fonderies du SudLEst.
M. SILVESTRO Joseph, rabo teur a ux Caisseries Réunies.
,\t. SOURBlE Gaston, gérant de bureau au
Crédit Lyonnais.
M. STlZZEL Jean.J3aptiste, brigadier-concierge à la Bell e Jardini ère.
M. SUSTERRE Marius, retra ité de la Manu·
facture des Tabacs de Marseille.
Mlle TORRENTS Berthe, femme d'e dhambre
au < Foyer de la Jeune Fille •.
Long Berthe.
./1'1. BONN6FONT Jean, employé de burea u
aux Etablissements Fournier-Ferner.
Mlle BRAlND6R Eugénie, ouvriè re aU' Et.·
blissements Fournier-Ferrier.
M. CARREGA Jose!>h, caissier aux Etablisse ments Savon frères et Cie.
.~\. <DEMONTES César, chef de chantier à
l'Entreprise Maisonneuve et Cie .
M. FINAUD Marius, forgeron auX Etablissements Dalmas.,
M. GASQUET Marius, agent de fabrication
aux Chantiers Navals, La Ciotat.
.
d
Copie certifiée eonforme.
l'our le Préfet :
Lt Stcrtlai,. Générai,
LAMASSOURE.
dess l-
M. GAVARD-MOLLIARD Ale xan re, ls La
nateur principal a ux ChantIers Nava
MC~~a~
1
Noël, gérant de la Sociélé ,Maison-
MlnleeuGvleNeOtuCxie'Antol'nette, cuisinière chez
~\.
Joubert, Notaire à Cabannes.
d
M. GU lEN Louis, semouleur aux Gran s
Moulins Maure!.
.
flIb 'ca-
s:~e~c~h~on~d~e~S~~!d-~nE:st~·.I..;;;;;;:::::::::::::::::::::::;iiiiiiiiiiiii;iiiiiiiiiii '"ïiiiiiïiïïliiiiiiiiiiiïiiiiiiiiiiiiiiiiiii
•
M. VANNUCCHI
Joseph,
menuisier-ébéniste
M .tian
GUàrSlaLouis,
aux
Chantiers Navals,,~
L;;;a...;;
C.;.;io;.;t;;.
at;.;'_ _ _ _"':'_
Sociétéchef
des de
Fo~enes du
�REPUBLIQUE
2 et 9 Août 1951
9' Année. - N· 31 et 32
DËPARTEMENT
DES ,BoucH,
U-RHONE
,
--'.".
-
/
'-',71 J J ~/,
....
-
Recueil des Actes - dministratifs
et Bulletin des Mairies
T Ollte corr espon dance relative au Recueil doit être adressée il la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Ci rculaire - Les lettres D et B s uivies d'u n dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origin e.
D. S. T. : Directio n des Se rvices Techniques, - D. D, S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départementale de la Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglemèntaires et Circulaires
Palles
GA O. - Explosifs d.e mines ....... .
fS O. - Médecins agr éés pour prati-
165
quer les examens rad io g ra phiques en
vue de la délivran ce des certificats
prénuptiaux et prénata ux ......... .
FS 7. - Eta blissements publics hospitaliers _, ................... .... .
.sC 7. - Exploitations ci nématographiques ............ ' ........ . .... ' ..
SC 7. - Nomination des lnspecteursAdjoi nts et des Chefs de Corps de
sapeurs-pompiers. Effectif légal
des corps de sapeurs-po mpiers ....
AC 3. - Remboursement des frais de
transpo rt ....................... .
167
Conununiqués, Avis, Annonces diverses
Textes d'Intérêt Général
166
AC 3. - Service des prestations en
nat ure de J'ass ura nce invalidité tem-
166
poraire du régime de Sécurité So-
167
ciale applicable aux fonctionnaires
de l'Etat ............. . ..........
168
168
-
Changement d'adresse .' . . . . . . . . . .
168
-
Avis de Co ncours ( Hospices Civils
de Strasbourg) ...................
168
-
Adjudication restreinte (Service des
Subsistances militaires) ......... .. .
168
=
ARRÊT ÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
•
D I 82
CIA 0
EXPLOSIFS DE MINES
ARRETE
•
Le Préfet des Bo uch es- d u-Rh ô ne,
Vu le déc ret du 20 juin 19 15 po rtant règlemen t d'admi ni st ra ti on publique s ur la
conservatio n, la vente et l'i mpo r tat ion des
dynamites et autres explosifs à base. de nitroglycéri ne, modifi é par les déc rets des 17
mars 192 1, 2 février 1928, 1er septembre
1930 ;
Vu le décret du 20 juin 19 15 po rta nt règlement d'administra tion pu blique s ur la
conservati on, la vente et l'i mportation de diverses substa nces explosi ves a utres que celles à base de nitroglycé rin e, modifié par les
décrets des 2 février 1928 et 1er septemb re
1928 ;
Vu l'arrêté de M. le Mi nist re des Travaux
Publics, en da te du 15 fé vrie r 1928, rortant
r~glement Sur les co nditio ns tec hniques géne ra les a uxqu el les son t sou mi s l'é tab lissem ent et l'exploitation des dépôts de substa nces explosives destin ées à être empl oyees
à des trava ux de mine .
,
V u la demand e présentée le 4 mai 195 1
~a r M. d'Anc1 réa Nico las, a rti san maço n ~\
t arbentane (B.-du-Rh.), à l'effet d' êt re auan sé à établir et à exploiter un dépôt perrl anent d'explostfs de la 3me catégorie sur
e territoire de la commune d e Barbentane
arr d'
<
"
On Issement d'A:rles-sur-Rh ône ;
Le Maire de Barbentane entendu ;
Vu les rapports et avis en date du 2S
juillet 195 1 de l' In génieur en Chef. des Alines de l'a rrondissement min éralogique de
Marseille ;
Vu les rapports et avis en date du 10
juin 195 1 de M. le Généra l Commandant la
9me Régi on Militaire,
Art 4. - Dans un délai maximum de trois
mois après la notification du présent arrêté,
M. d'Andréa Nicolas dev ra se faire délivrer
par le Maire de Barbentane un ce rtificat attestant que le dépôt a été construit et qu'il
est co nforme au présent arrêté.
Le certificat d'autorisatio n prê\'u par ,j'a rti cle 23 des décrets des 20 juin 1915 et 1er
septem bre 1930 ne se ra déliv ré que sur le
\ ' li d'un ce rtifi cat de const r uction du Maire.
Arrête :
Article premie r. - M. d' And réa Nicolas
est autor isé à établir et exploiter un dép6t
perma nen t d'explosifs de la 3me catégo rie,
sur le territoire de la commune de Barbentane a rrondissement d'Arles, sous les condition~ fixées par les déc rets et arrt:tés susvi.sés et sous les conditions éno nc ées aux a rticles suivants :
,
Art. 5. - La quantité d'exp losifs contenue dans le dépôt ne devra excéder à aUC un
momen t le maximum de 50 kil og rammes
d'explosifs de la classe 1 (dynamite) ou de
100 kilogrammes d'explosifs de la classe V
(explosifs au nitrate d'ammoniaque type IV).
Cette Quantité sera réduite de moitié si les
explosifs ne sont pas encartouchés et sont,
en outre, contenus dans des réci pients no n
étanches ou susceptibles d'être ouverts dans
le dépôt.
Art. 2. - Le dépôt sera établi au lieu dit
( Ca rrière Canell a >, à dix mètres au moins
des ro utes et chemins et des propriétés voisines et à vingt-cinq mètres de tout autre
dépô t superticieJ.
Il appartiendra ail type supedîciel dt.ifini
par l'arr ~té ministériel du 15 février 1928.
Art. 3. - Le dépôt sera constitue par u~
loca l isolé non surmo nté ù'étages, co nstnllt
en mat éri aux légers in comb u st i ~les et exclusivement atTfecté à la conservation des explosifs. Il se ra fe rmé par lIn~ porte solide
muni e d'une se rrure de sOrete. 11 sera entonré par une fo rte cloture défè:l1sÎ\'e de
deux met res de ha uteur.
1
Art. 6. - L'e xp loitation du dépôt se fera
da ns les conditions fix ées, d'une pa rt, par
les décrets du 20 juin 19 15. mod ifiés pa r
ceux des 17 mars 1921, 2 fé\rrier et 1er septembre 1928, 1er septembre 1930, d'a utre
part, par farr èté ministé riel du 15 févrie r
1928.
En particulie r, le poids total d'elOplosifs lIe
diverses classes conte nus dans le dépôt devra êtr e constamment inférieur à cinquante
kil og ramm es, si des explosifs de classes différentes
�166
Le dêpôt des détonateurs sera constitué
par une a rmo ire speciale, placée dans une
saUe sen'ani de bureau ou de magasin et
contenant au maximum 2 kilogrammes 500
de fulminate de mercure.
1\ est interdit d'introduire des détonateurs
dan. le dépôt d'explosifs ou cres explosifs
dans le dépôt des détonateurs.
1\ est interdit d'introduire dans le dépôt
des objets autres que ceux qui sont indispensables au service du dépôt. 1\ est notamment interdit d'y introdui re des objets en fer,
des matières inflammables ou susceptibles de
produire des étincelles, spécialement des
amorces et des allumettes.
1\ est interdit de laisse, des herbes sèches
et d'emmagasiner des matières facilement
inNammables, telles que du foin, de la paille,
du bois, du papier, du coton, du pétrole, de~
huiles et graisses, etc., dans un rayon de dix
mètres autour du dépôt.
,La garde du dépôt sera confiée à un agent
spécialement désigné à cet effet. Cet agent
sera détenteur des clefs et les opérations de
manutention et de d.istri bution de l'explosif
ne pourront se faire qu'en sa présence et
sous sa responsabilité. Cet agent devra disposer d'un logement conve natJJement protégé contre une explosion mais situé de manière à permettre une surveillance efficace
du dépôt.
On ne devra pénétrer dans le dépôt que
pieds nus ou avec des chaussures de feutre,
ai des explosifs à l'état pulvérulent sont conservés dans le dépôt
Le service du dépôt sera fait exclusivement
à la lumière du jour. L'introduction d' une
lampe quelconque est formeUement interdite.
Il est interdit de faire du feu et de fumer
aux abords et à l'intérieur du dépôt.
Les caisses Ou barils contenant l'explosif
devront être manipulées avec précautio n et
préservés de tout choc.
L'intérieu r du dépôt devra être tenu dans
un état constant d'ordre et de propreté. Les
résidus recueÏ'llis dans le nettoya ge seront
détruits par l'ea u ou par le feu, en opérant
avec les précautions nécessaires.
II sera tenu un registre d'entrées et de sorties indiquant les quantités de poudre introduites, a\'oc leurs dates de lTéceptions et
leur provenance, a insi que les qu antités SOrties, avec leurs dates de livraiso n et les
noms des personnes auxquelles elles ont ét é
t
remises.
L'exploitant est tenu de donner, en tout
temps, libre accès de son dépôt aux agents
des Contributions Indirectes, a ux agents du
Service des Mines et à tous aut res fonctionnaires ou agents désignés par le Préfet ; il
doit, à to ute réquisitio n, communiquer à ces
fonction naires ou agents, le regist re dont la
tenue est prescrite par le paragraphe qui
précède.
Une consigne signée de l' exploita nt et
contenant to utes les indica tio ns relatives aux
opérations de manutention et de distribution
et aux mesures de sécurité sera affichée
dans le dépôt.
Art. 7. - Si le dépôt est inexploité pendant
plus d'un an, il ne pourIa ètre remis en service sans une nouvelle autorisation.
En cas de suppression du dépôt, l'exploitant fera connaître par écrit à l' In génieur
en Chef des Mines, au moins 10 jours a l'a-
lisés. Si ces mesures sont jl lgés dangereuses
ou contraires au règlemenl par l'Ingé nieur
en Chef des J\.\ines, celui-ci orescrira à {'exploitant les modifications qu' il jugera nécessaires.
•
Art. 8. - Ampliation du présent arrolté
sera notifiée :
1° Au permissionnaire ;
2' Au Maire de la commune de Barbentane
3' A M. l' Ingénieur en Chef des Mines de
l'A rrondissement minéral ogiq ue de Marseil'Ie ;
41> Au Directeur des Contribution s Jndireetes du département ;
5' Au commandant du XVme Corps d ' Armée ;
6' Au Commandant de la Gendarmerie du
département ;
7° Au Directeur de la Poudrerie de StChamas.
1\ sera inséré au « Bulletin des Actes Ad o
ministratifs ~ du dêpartement.
M. le Maire de Barbentane et l'In gé ni e ur
en Chef des Mines sont chargés, chac un en
ce qui le concerne, d'e n assurer l'exéc uti o n.
Fait à Marseille, le 30 juil'let 195 1.
03 B2
FS 7
ETABLISSEMENTS PUBLICS
HOSPITALIERS
coordination financière indispensable avec
les organismes lie Sécurité Sociale et à permettre à ce fonctionnaire de prése nter son
rapport à la Commission Nationale du Plan
de l'Organisation Hospitalière.
En ce qui concerne les opératio ns en
Plan d'équipement National Hospitalier _
Préparation du Budget 1952 : dépenses
d'inveslissement
Classement
Hôpitaux et Hospices.
des
Autorisat ions de programme (en miM io ns de francs)
Désig nati o n sommaire de l' opération ..
Accordées avant 195 1
Accord ées en 195 1
A.G. 7/ 48 N" 133
Paris, le 12 juillet 195 1.
Le Ministre de la Santé Publique
et de 'Ia Population,
à M!M. les P rMets,
MM. les Directeurs Dépa r tementaux
de la Sant ,
!vtM. les Directeu rs Oêpartementaux
de la Population et de l'Entr'aide
sociale,
1. -
Plan d'éqwpemellt nationa l hosprtalier. - Propositions bUdgétaires.
D'après les rense igneme nts qui m'ont été
communiqués pa r M. le J\linist re du Budget,
le Gouvernement sera appelé à se p rononcer
sur le principe de l'élabo ration d'un nouveau
p rog ra mm e
d'in vestisseme nfs q UI
s'étendra sur un e pé riod e de 5 a ns il compter de 1952 et qui englobe ra I" e nse mble des
opérations d'équipe ment et d e const ruction
Pour le Préfet,
menées avec le concours ou l'agrém ent de
Le DirccJcllr du CablJ/eJ
l'Etat.
DUFAY.
La Comm ission Nat io na le du Pl ttn de l'O r_
ganisation Hospitalière prévue par l'art. 31
---- c»oo«:~---de la loi du 2 1 décembre 194 1 stat uera sur
D.D.S.
FS 0
ce prog ramrue co nfo rm ément au déc ret du
17 av ril 1943".
MEDECINS AGREES POUR PRATIDans ces conditions, j e vo us prie de vou QUER LES EXAMENS RADIOSCO PIloir bien me commu niquer vos propositions
QUES EN VUE DE LA DELIV RANCE
co nce rn a nt des h6pitaux et hospices ap rès
DES CERTIFICATS PRENUPTIAUX
co nsultatio n des Commissions AdministratiET PRENATAUX.
ves intéressées.
ARRETE
Ces propositions devront être chiffrées et
Le Préfet des Bouches-du-Rhône, Officier
un ord re d' urge nce dev ra êt re indiqué pal
de la Légion d' Hon ne ur,
vos soins.
V u l' ordonnance n' 45.2720 du 2 novemILes propositio ns pour 1952 devant parvebre 1945 sur la Protection Maternelle et Innir a u Ministère du Budget a u début du
fantile ;
mois d'octobre 195 1, je vous demanderais de
Vu l'a rrêt é du 15 avril 1946 d e M. le M ime les adresser le plus tôt poss ible.
nistre de la Sa nté Publique et de la PopuLes dossiers du prog ramme qui sera re·
latIOn, et les rectiJications parues au j ourtenu en priorité seront présentés ult é rieur~
nal Officiel des 10 mai et 15 septembre 1946
ment d a ns les co nditions réglementai res (d.
fIxa nt le modèle du ce rti1ïcat d'examen méarrêté du 13 août 1943, J. O. du 4 septemdical avant le mari age ;
bre).
Vu l'avis d u Conseil Départemental de
Quant au programme d'ach èvement des
l'Ordre des Médecins ;
opérations en cou rs, il est encore plus urge nt
Sur la proposition de M. le D irecteur Déà établir. Vos propositions devront m'être
pa rtementa'i de la Santé,
adressées le plus tôt possible pour me pe rArrête :
mettre J'en saisi r la Direction du Budget
au début du mois d'août. EMes compre nArticle premier. - M. le docteur Jean de
dront :
Cuttoli, demeurant à Ma rseille, 6, place du
Lycee, est agréé pour pratiq uer les exa11> Les demandes de crédits complémenmens radioscopiques en vue de la délivra ntaires pour reva lo risation des devis précéce des ce rtificats pré nuptia ux et prénataux .
demment approuvés pa r mes services et concernant des opérations subventionnées ~n
Art. 2. - M. le Secrétaire Général de la
1950 et a nté ri eu rem e nt sur les crédi ts géres
Préfecture, M. le Maire de Marseill e et M.
pa r la Direction de l"ll ygiè ne pu blique el
le Directeur Départementa'l de la Sa nté sont
des Hôpi ta ux (SoLls-Directio n des Hôpita ux).
chargés, chacun en ce qui le concerne, de
Inversement des annulations de crédits po url'exécution du présent a rr.:!té.
ront être proposées.
Marseille, le 4 juillet 1951.
2(> La liste des tra vaux constitllant la co nP . le Préfet et par délégatio n,
tinu a tion d'op éra ti o ns en cours et dont les
t ranches précédentes o nt été suhvention.nées
Le Secrétaire Générat,
en 1950 ou anté ri e urement su r les memes
LAMASSOURE.
crédits.
Un double de vos propositions (opéra---- c~ ooc: ,·---tions en co urs et opérations nouvel~es) se~a
à adresser à 1'1
Di visionnaIre de a
_ _• •_ _ _ _
à
la
cours vos propositions devront être présentées ~elon le ta bleau suivant :
Il conviendrait, en outre, d'indiq uer les 1
credits de paieme nt demand és po ur 19521953-1 954 et exercices ulté rieu rs.
Une fiche particuliè re de renseig nement s
sera rempli e ul té rieurement po ur chaque
opération retenue par la Com mission Nationa le. Le modèle et tous renseig nements
complémenta ires sero nt fournis à chaque
hôp ital inté ressé lo rsq ue mon Admi nist ration
Centréllie ne disposera pas de tous les renseig nements nécessai res à cet effet. En tout
état de cause, il sera notamment utile de
connaître dès fa transmission de vos propositions des justifications de chaque opéraopération, compte tenu des beSOinS à satisfai re et des besoins satisfaits (évolution dt
ces besoins).
La capaC Ité du nouvel équipement, le coût
total de J'opération, la tr anche de frava ux
à retenir pour chaque exeflcice, Je pr ix de la
surface du 102, (constnllt et équipé), le prix
du lit construit et le prix du lit équipé devront être indiq ués.
j'appelle votre atte ntion su r le fait que
toutes propositions qui me parviendront postérieurement a u 10 août 195 1 ~n ce qui concerne les opérations de réévaluation o u les
tranch es complémentaires d'operations eJ'1
cours, ou postérieurement au 20 Septembre
195 1 en ce qui concerne, les opérations nouvelles ne pourront être prises en considérati ons pour 1952.
Il. -
Classement des Hôpitau x et Ho spi-
ces Publics.
La Commission Nationa le du Plan de l'Organisation Hospitalière a tenté, en 1950, de
classer les Hôpita ux et Hospices publics selon les critères posés par la ci rclliai re 99 dll
23 avril 1948. Cette ent reprise s'est heurtée
à des diffic ultés et nombreuses ont été les
réclamati ons présentées à mes services bien
que le classement intervenu n'ait eu qu'un
caractère off icieux.
Chargés pa r la Commissi0!1 t-:lationale du
P.la n de l' Organisation Hospitalière de procéder à des enquêtes sur l'importallCe, l' ~c
tivité le rendement les zo nes d'attraction
des établissements 'les Inspecteurs Divisionnai res de la Santé ~eront appelés à faire de
nouvelles propositio ns à cette Commis~ion,
compte tenu des résultats de leu rs enquetes.
Le classement se ra effectué co nforméme nt
aux disp ositio ns du décret du 17 avril 1943,
les critères posés par la ci rcu lai re 99 précitée ayant été abandon nés.
..
Si la Commission Nationale pa rvient a
étalJlir et à pro pose r pour l'ensemble du
pays un classement logique et ratIOnnel des
hôpitaux et hospices, compte tenu des do nnées statistiques rigoureuses qUI seront .Tlllses en sa possession, Je classement d.evlendra officiel et sera publié en temps utile.
Je ten a is à vo us en informer dès maintenant.
Pierre
Total des auto ri sations
accordées
avant 1952
Rééval uations
demandées o u tranches
compléme ntaires
à prévoi r en 1952
a) Que les cadres des Officiers sont fixés
par l'a rticle 16, du décret <lu 13 août 1925 ;
b) Que la circulair e SN/ IN/ I. n' 391, du
, 12 Avril 1945, indique que les effectifs des
Application du décret du 7 Février 1941 corps de sapeurs-pompie rs doivent être calculés, compte tenu du nomb re des engin~
1M.INISTBRE DE L' INTElRIEUR
nécessaires pour faire face aux. risques parDirection Gén érale de l'Ap'ministration
ticuliers du secteur qu'ils sont appelés à déDépartementale et Co mmun a le et de la
lenrl're, des services annexes à. assurer, des
Protection Civile - 8e Bureau AG. PC T / 2
congés et des absences du person nel.
Paris, le Il Juillet 1951.
En co nséquence, je vous prie de fai re procéder à la .révision des effectifs qui devront
Le Président du Co nseil,
être ramenés au chiffres legaux, avant que
Ministre de l' Intérieu r,
soit réalisée la mise en vigueur du décret n°
à M. le Préfet des Bouches-du-Rhône,
51.260 du 28-2-51, portant réglement d'adJ' ai l' honneur -de vous faire connaître que
min ist;ation publique, pou r l'application de
M. 1" Directeur Gé néra l <l1u Ce nt re National
l' article 52 <ie la loi du 31 Mars 1928 conde la Ci nématographie vient d'atti rer mon
cerna nt les affectations spéciales en cas de
attentio n su r l'ollganisat ion de séa nces 'C inémobilisatio n.
matograp hiques ambulantes en format de
Ce décret fixe, en effet, les classes des
35 rn/ m, notam ment en plein a ir, sur des
réserves dans lesquelles les affectations du
places 'Publiq ues, dans les départements du
personnel des services d'incendie sont prolittora l méditerranéen.
noncées.
A ce sujet il est à lioter :
En ce qui concerne la nomination des
- Que pour exercer leur adivité les exploi1nspecteurs départrmentaux-adjoints au gratants ne sont autorisés par le Central Natiode de Commandant, je vous prie de vous
nal de la Cinématographie qu 'après vérificareporter à ma cirCUlaire nO 226, du 1er Juillet
tion des conditions &'ex,ploitations par la
1950.
Commission départementale de Sécurité.
Pour le Président du Conseil, A"tinistre de
_ Dans tous les cas, les appareils ambu1'1 ntéri eur et par délégation,
lants en 35 m l m sont formetlement interdits '
Le
Préfet, Directeur Général de l'Admicomme J'a précisé la circulaire 1655 AD.
nistrati on Départementale et Communale
IN/ ST du 6 Novembre 1946.
et de la Protection Civile,
En consequence, je vo us serais obligé de
Signé: Pierre-Jean MOATTl.
bie n vouloir rappeler les directives ci-dessus
aux Maires de votre dépa rtem ent.
-------·<~oo<~ -------
SC 7
0283
EXPLOITATIONS
CINEMATOGRAPHIQUES
______
·<~ooc~------_
02 83
SC 7
NOMINATION DES INSPECTEURS ADJOINTS ET DES CHEFS DE
cokPS DE SAPEURS-POMPIERS.EFFECTIF LEGAL DES CORPS DE
SAPEURS-POMPIERS.
Circulaire n" 3 17.
Paris, le 3 1 Juil1et 1951.
Le Président <iu Conseil,
A\.inistre de l' Intérieur,
à MlM. les Préfets (Métropole et OutreMer.
J' ai constate à J'occasio n de nominations
d'officiers de sapeurs-pompiers. et spécialement de ohefs de corps, que les grades confé rés aux intéressés ne correspondaient pas
tOll'j ours aux prescriptions réglementaires
relat ives à l'e ncadrement des corps.
D'autre part. les effectifs sont parfois trop
élevés, compte tenu du nombre .des engins
nécessaires pou r faire face aux f1sques particuliers de la commune et des co mmun es
environnantes non p..>urvues de mo yens de
secours.
Je vous rappelle
TEXTES D'INTERET GfNEBRL
Circulaires concernant plus spéCialement
ks Administrations de l'Eiat
02 BI
AC 3
SERVICE DES PRESTATIONS EN NATURE DE L'ASSURANCE INVALIDITE TEMPORAIRE DU REGIME DE
SECURITE SOCIALE APPLICABLE
AUX FONCTIONNAIRES DE L'ETAT.
N" 49 - 4 B!l2
Paris, le 29 Juin 1951.
Le A\inistre du Budget,
à 1\\1.\11. les i\\inistres et Secrétaires
d'Etat.
L'article 8 bis du décret n' 47-2Q.15 du 20
octobre H),47 fixant certaines modalités d'application du décret n' 46-2971 du 3 1 décembre 19-16 relatif à l'institution d'un régime de
sécurité sociale pour les fonctionnai res. dispose que l'invalidité temporaire d'un fonctionnaire est appréci~e par la Com mission
de ré.forme mais que < t'état d'invaHdité tempo raire est constaté par arrêté ministériel
ori sur ra~i'is...de la COm.Jlll!'!'.ion. dE" rl-fnrmp "
�168
REPUBLIQUE FRANÇAISE
16 et 23 Août 1951
U'. 0 '. du
,Ma circulaire du 25 avc il 1950 ..
. 1950) a precisé que < la dehbera!1on
~9 l~a~(I~mission de R~lOTme n·er:npor~e. ~as.
e: soi constatation de l'état. d.jmy~.hdlte . :
celle-ci résulte d'un arrëté ~1~lstene.l, 'pns
sur l'avis émis par la Commission .,.
Les intéresses p~u vent donc se trouver
. ent pnvés du
mornen t anern
ct
remboursement
d t
ps
frais de maladie pendant le laps e em
: s'écoule entre la délib~rahon de la, C0!llq
. de Réforme et la sIgnature de 1 arreté
miSSion
ministériel.
Pour pallier cet inconv'énient, j'ai. décidé,
en accord avec le Mmistre du Trava,ll et d,e
la Sécurité Sociale. que désormaIs. nS~:
fication
sera
faite
aux
Caisses
de
.
curité Sociale. dès avis de la , Commls.
d
Réforme proposant 1admISSIon
SiOn
e
. 't;
de l'assu
d'un fonctionnaire au beneuce
.
l'ditê temporaire . Au
vu de cette
rance lOva 1
. . dr nt ou
tification les Caisses mamtlen 0
.
~~abliront 'au ,profit de l'intéressé le service
des prestations en nature des assurances
maladie ou longue maladie, selon le .cas, dans
les mêmes conditions que celles .qui s~nt ,.en
vi!rueur dans le régime général. Jusqu à 1 mte~ention ôe l'a rrêté ministénel constant
l'état d'invalidité.
Pour permettre aux C:aisses . de S~urité
Sociale d'appliquer les instructIOns qu elle~
recevront en ce senS du !.Ministre du Tra~al
et de la Sécurité Soci~l~, "Vous. voudrez bien
prendre toutes disposlllons. ullies pour que
les délibérations des CommIssIons de. Réforme roposant l'attribution à des fon<:~onnat
res ~e votre departement des prestallons en
nature de l'assurance invalidité temporaire
soient dorénavant notifié~ ?ans les Ipl.u~
brefs délais aux Caisses Pn.ma.lTes de Sécunte
Sociale dont relèvent les mteressés pour le
service des prestations en nature.
Bien entendu. comme dans le p~~sé, ."~r
rêté ministériel constatant I·état. d Invahdlté
temporaire ou la décision mmtstenel1e ref.usant le bénéfice de l'i nvalidité temporalT.e
devront néanmoins être notifiées le plus r apIdement possible à la Caisse PnmalTe .de
Sécurité Sociale il laquelle in~ombe le servIce
des prestations en nature.
Pour le Ministre et par déléga tion.
Le Directeur du Cabinet,
Signé: R. BLOT.
CABINET DU PREFET
AC 3
REMBOURSEMENT DES FRAIS
DE TRANSPORT
N· 321 FlNj OE.N
Paris, 28 Juillet 195 1
Le Président du Conseil,
Mjnistre de l' In térieur,
à MfIl. les Inspecteurs Généraux de
l'Administration en MISSion Extr~
ordinaire. - Cabinet - Centres Adm.-
nistratifs et Techniques Interdépartementaux ;
M.\1.. les Prélets (Métropole) ;
MM. les Directeurs et Chefs <le Service de l'Admrnistration Centrale pour information ;
.
M. le Préfet. Chef des Servlce~ de
l'A lrrérie et d es Départements d Outre-lvler.
Pour dilfusion éventueJ1e :
M. le Gouverneur Général de I·A lgé rie.
/l>1.M. les Préfets des Département.
d·Outre- Mer.
11 m'a êté sig nal é que dans certains départements les Trésorers-Payeurs Gé néraux
a uraient refusé le rembou rsement.. à des .fo nctionnaires se déplaça nt tJ)0u r raIson de service, des frais engagés p.a r eux. en vue dt~
paiement de la taxe spécI~le e.xlg~e, en ~us
<ru prix du billet, pour ~ acces a c~rtatns
trai ns à composition spécl3le, autorai ls par
exemple.
J'ai l'honneur de vo us faire connaître qu~
.M.. le INtinistre du Bud~etJ co~~u lté ~ar me::,
soins, vient de me préciser qu Il ne s oppose
pas au remboursement. ~es taxes, s~~cI~les
dont il s'agit, à la con<htlon que 1 utilisation
des tra ins ou autorails donnant lieu à la pe rception de ces taxes constitue une n éces~i té
de service et perm ette a u total de réaltser
une économie sur l'ensemble des frais (frai~
de transport et indemnité journalière) qUI
résulteraient de l'utilisatio n d' un tram normal.
Je vous serais obligé de bien vou loir por·
ter ' ces mesures à la connaissance du pe ro
sonnel intéressé et vei ll er à J1 observation des
conditions fixées par le Ministre du Budget.
Pour le Président du Conseil,
Ministre de l' Intérieur,
et -par délégation,.
.
le Directeur des Services FinanCIers
et du Contentieux,
Signé : P. SUDREAU.
- - - - <>00 «»· - - - -
Communiqués -Avis
Annonces diverses
DELEGATION DEPARTEMENTALE DU MIN ISTERE
DE LA RECONSTRUCTION ET DE L'URBAN ISME
CHANGEMENT D'ADRESSE
La dé~gatio n Départeme nt~le du Ministère
de la Reconstruction et de 1 Urbamsme .falt
connaître aux sinistrés, ainsi qu'aux adm1l1lstrations et entreprises avec lesquelles elle
est en relation, que ses bu rea ux actuellem~n~
installés dans les baraquements de la CIte
Administrative, place de la Bourse, seront,
au cou rs du mois d·ao ût. transférés. dans les
étages supérieu rs de l ' imme~'ble d'.Au-France,
12, rue Saint ...Lazare, quartIer Sal nt-,Oharles.
Pendant tout ce mois d'août ~n e per,manen ce réd uite co ntinuera à 10nctlon~~r 'a la
Cité Administrative, mais, pour facl l~ter I ~S
opératio ns de démé nagement et en raIson <le
l' immobilisation momentanée des dossiers, il
est instamment recom mandé de s'abstenir,
sauf cas absolument urge nt, de visites dans
les services, et même de corresponda nce.
L'ensemble des services <le la Délégation
fonctionnera normalement da ns ses nouveaux
bureaux à partir du 1er septembre.
Pour le Délégué Départemental.
Le Délégué Départementa l Adjoint.
Si g né : JA RDON .
-------c»oo «»-------
DËPARTEMENT DES
Recueil des Actes Ad ~·~istratifs
Od
,~)
et Bulletin des Mairies
0382
AVIS DE CONCOURS
Pour l'emploi d' Econome Général des
Hospices Civils de Strasbourg
Un -Concou rs sur èpreuves pour l' accès à
l' emploi d'Econome Géné ra l (indice 400-5(0)
des Hospices Civils de Strasbou l1g sera ouvert
le 22 Octobre 1951. à cet .Etablissement.
Date limite de dépôt des ·<femandes :
15 Septembee 195 1.
Tous
renseignements
complémentaires
peuvent être ob tenus :
- Soit à la Préfectu re la plus proche (division d'assistance qui est en ,possession de
l'arrêté rég lan t les moda lités de ce concours;
- Soit. auprès de >M. le Di recteur Général
des Hospices Civils de Strasbourg ;
- Soit, à la Préfect ure ( rU Bas-Rh in, 3me
Division, 3me Bureau à Strasbourg.
02 83
ADJUDICATION RESTREINTE
Service des Subsistances militaires
Une adjudicatio n restreinte aura lieu à
l' INTENDANCE MILITAIRE DES SUBSISTANCES DE MARSE ILLE. Caser ne Audéoud. Bâtiment « R >. Promenade de la
Co rni che, le
MERCREDI 5 SEPTEMBRE 195 1. à 9 h.
Pour la fou rn iture de PA IN DE TROU.pE
A LA RAT ION. DISTRIBUT ION DE VlVREE MATERIEILS et COMBUSTIBLES.
Les' PI~ces mises en adju dicatio n so nt les
su iva ntes :
-- Salon-de-Provence (Bouohes-du-Rhône)
-- Avignon (Vaucl use).
L·adjudication po r tera sur la péri ode du
1er octobre 1951 au 30 septembre 1952.
La date extrême de dépôt de l'intention d.
so umi ssionner, des pièces et du m ém ~ ire sur
l'O rganisatio n de l'Entreprise est ftx ée aU
14 aoat 1951. avant 18 heures.
T o us les do cuments se rapportant à l' adjudication sont à consulter à l'In tenda nce
susvisée et da ns les suppléa nces des places
de Salon et Avignon.
Copie eerti6i~ eonforme..
Pour I~ PrHet :
Le S,crl,slre C6n"41 : LAMASSOURlL
9' Année . - N· 33 et 34
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée Il: la Prétecture Secrétariat Général
A.BHÉVIA.TIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T . : Directio n des Services TeChnique>. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départementale de la Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaire. et Circulaires
FS 7. - Fonctionnement des phar macies ho~pitaJi ères ... .
SC 7. -- Médaille o' Honneur des Sapeurs... Pompiers. - Promotion du 4
. Uéce",b re 195 1 ...................
SC 7. - Mesures de protectIo n co ntre
l'incendie dans les ex'ploitations agricoles ............. . .........
Paq'es
AG 2. - Applicatio n de l' arrêté interministériel <l u 19 Novemb re 1948.
Reclassemen t des Secrétaires.de Mairie des communes de moins de 2.000
habitants .................
FS O. - Médecins agréés pour pratiquer les examens raiiloscopiques en
vue de la délivrance dres ce rtificats
prénuptiau'x et prénataux ..........
169
170
-
171
171
-
Textes d'Intérêt Général
170
AC 3. -
-
Régime de sécurité sociale
des fonctionnaires de l'Etai. - Assura nce d~cès ................. .. ... 172
Communiqués, Avis, Annonces diverses
Contrôle de la circulation automobile. . .
. . . . . . . .......
172
Adjudications publiques simples _
Se rv ice des Subsistances militaires.. 173
De~.ande d'empl oi de secrétaire de
MalTle .............. . ........... 173
Ollre d'emploi ... . .......... .. .. 173
Avis de Concours ... .... .. . ...... 173
ARRËTés REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D283
AO 2
li eu, dans l'esemble, et malgré le nombre
très élevé des collecti vités qu i y sont assujetties. qu'à peu de difficultés réelles dans
so n applicatio n, j'ai presc rit à M.M. les
Inspecteurs Gén érau x et Insp ecteu rs d€"
n' Administration une enquê te qui a portt
sur 25 dé parte ments, afin de m'assurer si
le régime institu é par J'ar rêté du 19 novembre 1948 répo ndait de façon satisfa isante aux eXÎ O'e nces d' une refo rme do nt le
reclassement des fonction naires et a gents
commu na ux avait fo urn i l' occasion.
Or si l' ensemb'le des infonnations recueillies montre q ue la règtementati on e n
vi g ueur présente, dans se~ pr i ncipe~, une
so upl esse suffisa nte pour dre ~d a pt ee au~
sit uatio ns pa rti culi ères très di ve rses qUI
se prése ntent à vous, je tiens cependan t à
vous rappe ler le cadre dans lequel ill Co nvien t de l' appl iq uer.
Dès la publicatio n de l' ar rêté du 19 novembre 1948 beaucoup d'entre vous ont
été sollicités' tant pa r les sy ndicats locaux
que par les maires dési reux d'Etre gui dés
dia. ns le mode d e calç ul d u traitement de la
rémunératio n il aUouer a ux secrétaires de
mairie. Certa ins d'entre vous, dans le but
très lo uab le de leu r ve nir rapi dem ent en
a ide on t établi et publ ié. dès le début de
l'an~ ée 1949, des barèmes élabo rés sui,·ant
des norm es variant d'a illeurs d'un département il un autre. Or, da ns plusieurs {:as
le ca ractère pu rement indicatif de ces ba-
APPLICATION DE L'ARRETE INTERMINISTERIEL DU 19 Novembre 1948.
RECLASSEMENT DES SECRETAI RES DE MAIRIE DES COMMUNES
DE MOINS DE 2.000 HABITANTS .
J'ai l' honneur de porter ci-dessous à la
Connaissance de MM. les Maires du Dépa rtement le te xte de la ci rculai re n" 334 ADj 3
de M. le Président du Co ns ei l. Ministre de
J'Intérieu r relative à la fixati o n du traitement indiciai re des Secrétaires de Mairie
des communes de moins de 2.000 hab ita nts.
P our le Préfet .
Le Sous.JP~let, Directe ur du Cahinet,
DUFAY.
Le Président du Co nseil.
Mi nist re de l'Intéri e ur,
à MM . les Préfel s de Ca Métropole.
L'a rticle 5 de l' a rrêté inte rmin isteriel du
19 novembre 1948 portant classement indkiaire des Ifoncti~nn a ires et agents communa ux laisse aux Co nsei ls munidpa ux des
communes de moin s de 2.0CX> hab ita nts la
lati tude de If ixer le traiteme nt de leur secrétai re de mairie en aff ec tan t le traitement
attaché au même emploi, da ns les comm un.e~ de 'la catégorie supérieure. d'un c~ f
flclent de réduction proportionné à « l' Importance réelle du secrétariat et des services rendus par l'intéressé ).
Bien que cette règlem en tation n'ait
1
rèmes
n'a
soit les
été
S~I:i';I~;~~i~~,1r;i~~~~~n~
~
!
mëmes, s'en sont, de bo nne foi, réclamés
comme d'instruct ions officiefles. C'est afin
de dissiper cette equivoque que, par circula ire télégraph ique du 8 février 1949. je
vous ava is prié de vous absteni r de commentai res risquant de fausser l'esprit de
l'arrété du 19 novembre 1948.
La formule du ba rème départemental,
c<!lculé en tenant compte des divers facteurs susceptibles de faire varier les sujétions réelles imposées au secrétaire de mairie. est cependant la sollutio n la plus apte
à ména ge r les intérêts en présence (l'importance des resSOurces financières de la
commune devant être également prise en
co nsi dé ration) et à donner, dans le cadre
du département, une unité relatiye aux
échelies de rémunèration d'une même catégorie d'agents. Mais, afin de concilier cette
pratique avec l'esp rit des te xtes, il sera nécE:ssaire de mettre netteme nt en évidence
le caractère puremen t officieux: et indicatif
d' un ba rème qui ne peut constituer, en tou t
état de cause qu' une base de calc ul propos ée et non pas imposee par l'autorité de
tutelle.
...
Les cas particuli e rs ci-ap res ap pellent
les solutions sui,'antes ;
1 Lorsque, j titre exception nel, un co~
seil municipal dêcide d'accorder au seCretaire de mairie un t rai tement égal à celui
du m~me agent ex~ rça nt ~a.ns une commuU
1 .,
1_
,.. ..
�17 1
170
5.000 habitanls - indices 185-330), les conditi~ns d~ re,crutement doivent, pour rem~IOI . consldére, ~tre identiques a celles instltuees dans ladite atégorie ;
. 2° Si dans une commune dont la popuGahon est, en nombre, égale ou inférieure il
.1.500 habitants" le. conseil municipal Juge
indIspensable d adJomdre un employé au)(llla lr~ au secrétaire de mairie, .le traite~e~t
alloue~ devra, e,n principe, être calcule .comme SI ce dermer exerçait seul les
f~~c~lOns, la rêmu nêration rcv-enant à l'au-
a
XJhalre devant êt re pré!levée sur ce traiteme.n~ ~ans une proportion laIssée à l'appreclahon du conseil municipal.
•••
. Enfin, je. vous rappelle que les disposilions du docret du 29 octob re 1936 relatif
au cum~l de retraites, de rémunérations et
de . fonctIOns, sont applicables aux fonctionnaires, ~gen~s et ouvriers des communes
et des etabhssements publics communaux
e~ ve~t~ de .l'article 1er dudit décret. Ce~
d~sposl.tlOns IOterdisent, notammenr, l'exercl~e. simultané de pIIusieurs emplOIS remun~res . su~ I~ budgets des collectivités visees a 1 article 1er du décret c'est-à-dire
l'~tat, les ~épartements, les co'mmunes, 0 1hces~ ~ta.bllssements publics et colonies. Est
considere comme un emploi toute fonction
qui, en raison de son importance suffit à
occuper normalement à elle seule' l'activité
d' un agent et dont la rémun ératio n constitue, en raison d~ sa quotité, un traitement
normal . pour 1~lt agent. Lorsque l'emploi
a.ccessolre ne presente pas ce dernier caractere, la rémuné ration globale effectivement
perçue par le fonctionnaire ne pourra dépasser, au t.itre du cumul, le montant g lobal du traItement budgétaire majoré d.
50 %. Les articles 9, 10 et Il du décret-loi du
29 octobre 1936, modifié par l'o rdonnance
du 25 aoùt 1944, précisent les conditions
dans lesqueltles ce principe doit recevoir
son application.
En conséquencè, un instituteur ou tout
aut re fonct io nnaire en acti,'i té exe rçant les
fonctions de secrétaire de mairie ne peut
recevoir le traitement d'un agent de cette
catégorie emJJI?yé à . temps complet. De même, les retraites cIvils ou militai res en application de l'article 16 du mêm~ décret
c: n.e. pourront ê.tre rémunérés par les col~
lectlVltés et servIces publics qu'à l'occasion
de travaux présentant soit un caractère
t~mporaire ou intennittent, soit une activite et des émOluments restre ints >. Un retraité ne saurait donc recevoir le traitement
susceptible, dans la même commune d'être
accordé à un secrétaire de mairie' profes·
sionnel à temps plein.
Pour le Président du Conseil,
Ministre de l'Intérieur,
et par délégation
Le Directeur Général de l' Administration
Départementale et Communale et de la
Pr<>tection Civile,
Pierre- jean MOATTI.
-r-----c>ooc~-------
D.D.S.
FSO
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIFICATS
PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX .
Le Préfet des Bouches-du-Rhône Officier
de la Légion d'Honneur,
'
Vu 1'0nGonnan ce n" 45.2720 du 2 Novembre J945 sur la protection Maternelle
et Infantile j
Vu l'arrêté du 15 avril 1946 de M le Ministre de la Santé Publique et de la Population, et les rectifications parues au Journal
Officiel des 1.0 mai et 15 septembre 1946
ftxant le modele du certificat d'examen médical avant le mariage i
Vu ~'avis du conseil département al de
l'ordre des médecins ;
Su r la proposition de M. le Directeur Départemental de la Santé,
ARRETE
Article premier. - M. le docteur Léopold Mecz demeurant à Marseille 66 Bd
de StJLoup,est agréé pour pratlque~ les
examens radioscopiques, en vue de la dé.livrance des certifi cats prénuptiaux et prénataux.
Art. 2. -- M. le Sec rétaire Général de la
Préfecture, M. le Maire de Marseille et M
le Dirécteur Départemental de la Santé soni
changés, chacun en ce Iqui le Ico ncerne, de
l'exécution du présent arrêté.
Marseille, le 3 AoOt 1951.
Pour le Préfet et par délégation
Le Secrétaire Général
LAMASSOURI:.
D3 82
FS7
FONCTIONNEMENT
DES PHARMACIES HOSPITALIERES
(Achat, Contrôle, COnservation et délivrance des médicaments].
5I f Ff 4.395 N" 139
Paris, le 20 juillet 1951.
Le Ministre de la Santé Publique
et de la Population,
à MM. les Préfets,
MM. les Direc teurs Départementaux
de la Santé,
• MM. les Directeurs Départementaux
de la Population et de l'Entraide SOCÎale,
MM. les Inspecteurs de la Pharmacie,
.MM. les Directeurs et Pharmaciens
des Hôpitaux.
J'ai J'honneur de vous faire connaître que
mon attention a été attirée sur certaines
imperfections constatées dans l'approvisionnement des pharmacies hospitalières, le
contrôle et la délivrance des médicaments
par ces officines.
je crois utOie de vo us rappeler à ce sujet
les principales règles qui ont été le plus
so uvent méconnues.
Approvisionnement des Hôpitallx
Un triple but doit être recharché par les
Directeurs et Pharmaciens d'H ôpi taux :
procurer aux malades toutes les thérapeutiques que leur état peut réclamer leul
d'une
ir-
rép rochable dans les conditions les plus
économiq ues.
Dans ce bu t cer.tains prinCipes Sur l'importan c~ desquels Je ne saurais trop insister dOivent ctre respectés, tan.t en ce qui
concerne la nature des médkaments acheté
que les modalités d'aohat.
s
Nature, des .médicaments acneUs : Le
pharmaCien dOIt être à même d'exécute
t~us !l'0~ents ,~es p.rescripti?ns médica~e:'
C es.t-a-dlre qull dO it détenir une gamme
suffl~ante, en qualité et en quant ité d
prinCipes actifs.
1
eIl dOi,t disposer d'installation lui permet.
tant d effectue r sur place le plus gra nd
nombre pOSSib le de préparations officinales
de façon à limiter au minimum les achats a
l'extérieu r .
Il ~o it uni quement se procurer dans l' in·
dustrle. que les médicaments dont il nepourrait assurer la préparation.
Médicaments spécialisés : La m ~ me ob·
serva!ion s'impose et je ne saurais trop
conseiller aux pharmaciens de prendre con·
tact .avec les médecins chefs de se rvice pour
étudIer c?mment te l médicament spécialisé
P?lI~ralt et.re rem~lacé par une prescri ption
rcallsable a l'offiCine.
En c.e qui concerne les spéci a1lifés phar.
maceutlqu.es proprement dites, j'attire votre attentIO n su r le fai t que l'a rrêté du 10
Juillet 195 1 a fixé une nouvelle liste de spécialités agréées à l'usage des collestiv ités
et de di ve rs se rvices publics.
Co mme la précédente, fixée par l'arrêté
du 1e r Août 1950, cette liste a été établie
sur ~a proposition d'une commission où le
corps médical et le corps pharmaceutique
se trouvaient largement présentés. A pa rt
le cas de certains médicaments trés récents
pou r lesquels la commission a e!;timé ne
pas pouvoir encore se prono ncer, elle met
à la disposition des cervices hospitaliers
sous fo rme de spécialités pharmaceutiques
tous les principes actifs qui ne peuvent être
prescrits sous forme de produits sous ca·
chet ou de préparations ma gist rales.
En raiso n même des co nditi ons da ns lesquelles ~a liste a été établie, il y a une obligation stricte pour les directeurs, médecins
et pharmaciens des .1ôpitaux de s'y confo r·
mer scrupuleusement. ' Sauf en cas d'extrê·
me urgence, les pha rm aciens des hôpita ux
ne doive nt pas commander de spécialités
qui n'y fi g ureraient pas. Si en raiso n de I ~
spécialisation d'un établissement l'emplOI
d' une spécialité non inscrite s'avérait ind ispensable, une demande devrait être ad res·
sée a u Service Ce ntral de la "h a rm acie, pat
l' intermédiaire du Directeur Départemt'ntal
de la Sa nté en vue d'obtenir une dérogatio n
à U'arrêté précité.
Or, il ressort de renseignem ents reçus de
nombre ux côtés que dans certains hôpita uX
il est fait un usage abusif des spécialités
pharmaceutiques.
Modalités d'a chat des médicaments. To ut
pharmacien d'établissement 110spita lier doit
avoir le souci d'obtenir les pri x les plus ava ntageux pour .les achals qu'il effect ue
et établi r en co nséq uence ses commandes.
En particulier ~ est rapp elé que po ur 1"
spéciallités pharmaceutiques, en application
de l'arrêté du 5 juillet 19119 (B .O.S. P.du 8
juillet) les fabricants de spécia lités pha l ma·
ceutiqllcs co nse ntent des abattements en
ca.s . de ventes direct~s, lorsque le montant
mlOltnum de celleS-CI, atteint certaines valeurs.
Contrôle
T out pharmacien est responsab le des médicaments qu'il délivre. qll' i1ls sment prépar~s par lui. Ol~ achetés à l'ext rieur. En consequence, Il II1combe aux pha rm aciens des
hôpitau x, d'assurer le contrôle des matières
premières qu' ils utilisent et éventuellement
des mé~icaments préparés, spécialisés o~
non, q~ lis se ra.lent dans l'obligation d'a·
c·heter a )'ext éneur.
Il m'a été tout récemm ent sig nalé qu'un
n?m bre . d'é.tablissements hospitaliers s etaie nt fait livrer des médicaments
vendus ayant un e formule analogue à celle
de certain~s. spécialités pharmaceutiques.
La composition des médicaments fournis et
celle des spécialités étaient en fait toutes
différentes. Or, un seuil de!5 pha;maciens
des ~tablissements . en cause a procédé a u
cont.r0le des prodUIts fournis, bien que l' attention de tou s les aut res ait dû être attir é~ sur. I ~ fait qu 'a ucun bon de to xique n' étal~ .ex.lge du fou.rnisseur m ~ me lorsque la
speclahté reprodUIte ava it pour principe actif un produit appa rtena nt au tableau B des
substances véné neuses.
~ions q.UÎ
------<>00<>-------
D2 83
Je c rois
qu'il sullit de
s i" nalelr de t els
pita ux à une vig ilance plus g rande.
Conservation
. " est indispe nsable que chaque hôpital
detlenne un stock s uffisant de médica ments
pour permettre de palli er toute diffIculté
qU! surviendrait ~ans la distri bu non des prodU.lts ph~rmacelltlques. T outes précautio ns
utiles dOIvent êt re pri ses pour la bonne co ns~ rvation de ce stock. E n particulier à l'occaSIO~ de chaq ue li vraison les prod uits les plus
anciennement stockés doive nt êt re util isés
en premier lieu.
D'a utre part, il est rappelt qu ' un ce rta in
nombre de produits do ive nt êt re conse rvés
dans un a ppa reil! réf rigé rateu r. 1\ en est ainsi
de certaines ho rmones ( Ins ulin e - A.C.T.H.
etc ... ) des sérum s et vacci ns pour ne citer que
quelques exemples.
Distribution
Il incombe aux Directe urs, médecins et
pha rm acie ns des hôpitaux de s'assu rer du
bon emploi des médicaments déli vrés.
Une exeellente mesu re pou r éviter l'acc umulation des médicaments au chevet des mala~es,. et éventuell ement les fuites, est la distn butlon journalière des quantiés correspondant des tra itenle nts de 24 heure:;, .
D'autre ·part, Qe pharmacien doit assurer la
vente .des armoires à pha rm acie des services,
ce qU! permet le retou r à l'officine des médicaments uti lises alté rés et diminue les causes
d'erreurs.
Je VOllS rapp ellerai en out re l'arrêté du 18
Janvier 1949 (J .O. du 7 févrie r 1949) co ncernant la délivran ce et l'utilisatio n des su bsta nces vénéneuses da ns les établissements Je
S?i l.1S qui ont un ph armacien ge rant : To utes
d)ffl cultés rencontrées dans l'applica,tion de ce
texte doivent êt re sigl1al~es au pharmacie n
'nspecteur de la Santé.
Je vous serais trés obligé de vouloir hien
r~llIer. à l'application des dispositions rappcees CI-dessus et
i
Înf,."'"I r_
SC 7
MEDAILLE D'HONNEUR
DES SAPEURS - POMPIERS
Promotion du 4 Décembre 1951
Le IPrésoo:ent du Conseil
Ministre de l'Intérieur '
à M. le GOllverneur Général de l'Mgéne,
à J\1.M. les Préfets _ Cabinet (Métropole et Algérie).
~ertaln,.
t~its, pour in citer les pharm:ciens des hô-
effectifs accomplis daM un corps de sajJ'e~
pompiers.
En .conséquence, le service militaire légal
en tem'ps de paix ne peut en auCUn cas
entre,- en ligne de compte pour le calcul d~
l 'a ~clenneté, même s'il a été acco-m91i postérieurement il l'entrée du candidat dans le
corps de sapeurs-pompie,-s.
Cependant, le temps passé sous les d ... peaux au cours des guerres 19 14-1918 et
1939- 1945 'par les sapel/rs-pompiers qui raisalent a~teneu r ement partie de leur coT]Js,
ne -co~stltue pas une interruption <le services
et dOIt figurer dans le cal cul de l'ancienneté
effective.
Pour la guerre 1939-1945, il Y a donc lieu
de co nSidérer comme services effectifs les
services militaires suivants accomplis après
leur entrée au corps :
a) Aux armées, en captivité et dans les
F.F.I. ;
b) Dans la Résistance (en qualité d'agent
Plou d'age nt P2) ;
c) Dans les F.F.I. (postérieurement au 6
JUIfl 1:144 ;
d) En déportattion ou en internement au
titre de la Résistance
. En r~su~é l'~ncie~neté d'un sapeur-pompier dOIt etre . mterrompue soit pendant la
durée . du servIce légal accompli en temps
de paIX, SOIt penda nt Iles pé riodes de cessation Id-e service autres que ceUes qui résultent c:be services militaires de guerre.
seraient constatées à la suite des
Inspechons effectuées dans les établissements
hospitaaiers.
Pour le Ministre et par délégation
Le Chef de Cabinet
j . P. MONCOMBLE
j'aj l',honne ur de vous prier de m'adresser
sous l ~ ~r ése nt .timbre, ava nt le 15 Septembre delal de ngueur, vos p ropositions en
vue de la promotion de la Médaille d' Honneu r des Sapeurs-Pompie rs prévue pour le
4 Décembre 195 1.
Les dossiers qui me parvie ndront après
~ette ~a te ne pourront êt re examinés qu'à
1 occaSIOn de la promotion du 14 j ui ll et 1952.
Vous vou drez bie n vous co nform er strictement ~ux i n~tructions très précises que je
vous a l fomilles au sujet cfe la présentation
des dossiers.
Ai nsi que j'ai eu l'occasion de vo us l' indi_
quer, à différentes reprises, a ucune proposihon pour les M,é<laiU els d'Arge nt, de Vermeil
et d'Or, ne peut être présentée e n faveu r:
a) Des sapeurs-pompiers Honoraires de
to~s grad'e s ~Offic i er~
et Sapeurs) ayant
qUI tté le service depUIS Iplus de cinq ans a u
1er Jan vier de l'a~née en co urs pour la promohon du 14 juillet et au 1er juillet pour
la promotion de la Sainte..Jlanbe ;
b) Des sous-officiers, capora ux et sapeurs
âgés de plus de 70 ans a ux mêmes dates.
L.a .M.édaille d'arge nt avec rosette peut être
attnbuée salis condition d'ancienn eté aux
Sapeu rs-Pompiers qui ont re n<i u des services
exceptionnels dans l'exercice ordinaire de
leurs fonctions tels que : créa tion ou réorganisation du Corps, modernisatio n du matéri el, conco urs à des œuvr es de mutualité ou
à des groupements corporatifs de dl':fense
co ntre Iïnce ndie, conférences ou écrits en
vue de l'utilisation 'p ratique du matériel et
de son p~rfectionneme nt, améli oration de
l'instructio n, etc ...
Toute proposition pou r cette distinction
doit dre appuyée d',LO rapport d~tai llé sur
les services du candidat et être sou mise
il l'avis de l'Inspecteur départeme nta l des
services d'incendie.
Je vous précis~ que les sapeu rs-po mpie rs
qu i ont accompli des actes de sa uvetage
peuvent faire l'objet de propositio ns, non
po ur la i\\édaille des Sapeurs-Pompiers avec
rosette, mais pOlir la ,M~aille pour Actes de
Co urage et dE' Dévo uemen t.
Je VOliS dem a nde enfin de classer vos propOSitio ns dans chaque échelon par ordre
alphabétique pOlir l'ensemble ctu département..
:.
Par ailleurs je crois devOir "DUS rappelclr
que la Médaille d'Honneu r des sapeurs:;pom.
- ~
.. - ...... "
.
:.
1
, Vo.us vou.w:ez bien me retourner, après
1 a.vOIr comtplété, l'accusé de réception cidessous.
Pour le Présldent du Conseil
Ministre de l'Intérieur et par délég~tion,
le Sous-Directeu r du Personnel,
M- FAVRE.
- - - - -<>00<>-------
D2 83
SC 7
MESURES DE PROTECTION CONTRE
L' INCENDIE DANS LES EXPLOITATIONS AGRICOLES.
Circulaire n' 332 AGf S.
Paris, le 3 1 juillet 1951.
Le Président du Conseil,
tlv\illistre de l'Intérieur,
Le Ministre de l'Agriculture
à IMM. les Préfets (Métrop~ le) .
L·examen des statistiques incendie dressées
pour J' ense mble du territoire fait ressortir
le nomhre élevé d'incendies survenant chaque année dans les eX!J)loitations agri<:oles
et l'importance des dégâts subis (près de
ci nq milliards pour la seule annee 1949).
D'autre !part, au cours d'une interven tion
récente dans une e:\.'ploifation analogue, 3
personnes, dont "2 sapeurs-pompiers ont
trou\'é la ment et plusieurs autres ont été
blessées par suite de l'explosion de bidons
d'essence entreposés dans des C3\'eaUX san:)
aucune garantie d~ sè-curitéo.
fi parait donc souhaitable d'attirer l'attention des agriculteurs sur les risques dïncen·
die présentés pa r la nature mème des p ro·
duits quïls entreposent (foin, paille, etc ... )
et sur la nécessite de respecter certaines
règl~s éh~m('ntaires de pre,·e ntion et de rprëvision.
Il y
�1-1-)
c
l' Danger du
bricolage > da ns les
installations électriques ;
2' Op;>ortunité de faire vérifier périodiquement ces installations par un technicieTl
qualifié ;
3' Veiller à ce que les bidons d'essence
soient stockés dans des locaux, de préfé-
rence isolés, construits en matériaux résistant au feu, avec porte métallique ou en
bois tôle et très largement ventilés à leu r
partie haute ;
4' Danger <le pénétrer avec des lumières
à air li!>re "t de fumer dans les locaux
contenant des matières facilement intfarnmables (paille, fourrage, essence, etc ...) ;
5' Intérêt de prévoir un dispositif permeftant de libérer rapidement depuis l'extérieur
les animaux normalement aftachés dans les
étables, écunes, etc. ;
6' Nécessité <le disposer de certains
moyens de premier secou:rs en vue de lutter
contre le feu : seaux-pompes portatifs ou
sur roues en général et. en cas de risques
spéciaux (hydra-carbures, électricité, etc ... )
extincteurs appropriés.
7" Prevoir dans un rayo n maximum de
400 m. des bâtiments une réserve d' eau de
l'ordre de 120 m3 en vue <ie permettre l'intervention des sapeurs-pompiers ; eXTCeption-
nellement, pou r une ferme isolée éloignée
de tout point d'eau, cette. r éserve pourra être
rédui te à 60 m3 ;
8° Instruire tout le personnel de l'exploi-
tation sur la conduite à tenir .en cas a1 incendie
et sur
la nécessité
u-aler-ter les
sapeurs-pompiers dans le délai le plus bref
et par les moyens les plus rapides (affichage
de I>emplacement du téléphone le plus voisi n>
du numéro de téléphone des sapeurs-pompiers, e!c._).
En outre, je vous rappelle que paT .::rr<:ulaires :
-
3672 EGj3 - HR du Il novembre 1943,
275 ,bis AGJ /3 du 14 juin 194û,
456 AD/ IN-ST. d u 2 octobre 1947,
votre attention a déjà été atti rée sUI certai nes mesures ,relatives à la rprévention du feu
à la campag ne et.à 1'3. protection des récoltes
contre l'incendie.
Je vous laisse, d'autre part, le soin d'app récier l'opportunité d'organiser dans certaines communes, avec le conc()urs Ges services agricoles et des municipalités, des rëunions au cours dlesqueUes des officiers de
sapeurs-po mpiers pourraient donner aux
intéressés tous ks rensei gnements pratiques
facilitant l"appHcation des mesures de s~cu
rité ci-dessus visées.
Pour le Préside nt du Conseil
,\1inistre de l' Intéri eur
et par délégation,
Le Directeur Général de l' AdministratloJl
Départemen!ale et Communale de la
P rotection Civile :
Pierre-Jean MOA Tf1.
Pour le lV'lnistre <Ù! r A~'1iculture
et par d.légation,
be Directeur du Cabinet
TEXTES D'INTERET OENEBBL
Circulain.!s cOJlc:ernanl plus speclOlemeni
les Adminis{ratlOlls dt: l'Etat
AC 3
02 BI
REGIME OE SECURITE SOCIALE
DES FONCTIONNAIRES OE L'ETAT
ASSURANCE DECES
N" 61 - 6 B/ 12.
Paris, le 26 Ju iltet 1951.
Le Minisbre du Budget,
à MM. les 1I1inistres et Sec rétaires
d'Etat.
Le capital décès alloué aux aya nts-droi t
des fo nctionnaires décédés en application des
dispositions de l'article 8 du décret du 20
octobre 1947 comporte :
- Le ca,pital décès propreme nt dit dont le
monta nt est indépendant de la situa tion de
famiUe du fonctionnaire,
- Une majoration fi xe pour chaqu e enfant
à ohalige.
La cioc ulai~ e C:u 25 Avril 1950, publiée a u
journal Offitlel du 19 Mai 1950, p récise Iqu e
le c3Jllital-décès do it être r éparti en tenant
compte uniquement des .enfants nés et
viva nts au jour du décès et paf conséquent
à l>exelusion des -enfants posthumes.
Cette règle a été adoptée dans l'in té rêt
des familles. la prestation en cause a ,en effet
essentiellement le caractère d'un secours
immédiat. A ussi afin de ne pas différer le
ve:-sement du capital décès pro prement d it
jusqu'à la naissance éventueUe des enfants
posthumes ou jusqu'à l'expiration du délai
de viduite a-t-on été conduit à ne teni r
Pièces à produire. - Pour bénéficier de la
majoration fixe attr~buée à f enfant ,posthume, il suffira d:e produire à l'app ui de la
demande, urt extmit de l'acte de naissance
permettant de constater que la naissance est
interven ue dans la période <fie
Dispositions transitoires.
Pour la période antérieure à la date de
publication de la présente circ ulaire le même
ava ntage sera accordé aux enfants posthumes.. à conditio n que {a demande en ai t été
faite précédlemment ou soit 'for mulée dlans
le dé lai d' un a n à comp ter de la puiblicafio l1
de la présente circula ire> dans les deux cas,
la pièce justificative prévue 'Ci-dessus devra
être produite à l'appui de la dTemande.
POlir le J\Unistre et ;par .dëlégatio n,
Le Directeur du Cabinet>
. Pour ces raIsons évidentes de logique, le
decret du 20 Octobre 1947 a dû lier pou r
les enfa nts le droit il l'attrib ution d' une
fraction du capi tal dêcès propreme nt dit et
le droit à la majoration fixe pour en.fant à
c.harge.
I ~ en rèsulte que les e nfa nts posthumes
déja exclus de l.a répartitio n du capital décès
proprement dit n'ont en outre aucun droit
à la majoration fixe.>
,
Cette réglementation peùt apparaître sé·
vère et il a paru souhaitable dfen atténuer
la rigueur à l'égard des enfants /posthumes
dans toute la mesure où la réforme n'enlève
pas au capital déces son caractère essentiel
de secours imméciiat.
Dans ce but une mo<lification du décret
du 20 Octobre 1947 est eruvisaaée tendant
à ~ttribuer aux enfants posthum~s la maj orahon fixe, tout en maintenant la ,r~O'l e dt:.
la r~partition im méd iate
du capital ~ décès
entr.e la veuve et les enfants nés et vivants
au Jour du décès.
Ouverture du droit aux majorations fixes :
Ouvrent ,droit il la majoration fixe non
au paragraphe
1er du chapitre 1 de la 2me section de la
circulaire du 25 Ayril l CJ.1)() mais enCore les
e.nfant~ l t!gitil~CS nés \ iables pendant la Ip é-
node de 300 lour Sluvant le décès du fane-
ADJUDICATIONS PUBLIQUES SIMPLES
Service des Subsistances Militaires
1. - Combustibtes minéraux. .. Date : 7
Septembre 1951 à 9 heures 30.
Quantités à f ournir
928 to nnes
Coke de gaz .. . ...... .
Bo ul et (ovoïdes) ....... . 2.269 tonnes
Li gnites .. . .. ...... . . .. . 2.741 tonnes
522 tonnes
Anthracite .. ' .. ... . ... . .
Il. - 8 0is de chauffage: (Chêne en buches).
Date : 7 S eptembre 1951 il 9 he ures.
Quantité li fo urnir: 130 ton nes.
Ces
adjudicat ions auront
lieu dans ies
loca ux <le l'l ntendanc,, M)1itaire des Subsistances> Bâtim ent c: R >, Caserne Audéoud,
Promenade de la Corniche " Marseille.
Ces fournitures sont destinées aux Corps
de Troupe, Dt<ablissements et Services de la
ge Région Mîlitaire, pour la !période du 1er
Octdbre 195 1 au 31 Mars 1952.
Tous les documents se J'lapportant à ces
adjucticatic)Os pourront être 'consultés à l'lntendance sus-visé e. Les cahiers des char.g.es
spéciales seront mis il ~a <ljsposition des
fournisse urs il co n~ter du 20 Aoüf prochaln.
-------c.ooc.·-------
03 B2
02 B3
DEMANDE D'EMPLOI
DE SECRETAIRE DE MAIRIE
Secrétaire de Mairie .â gé de 45 ans
ans d'anc1enneté -
tituJaire
-= 25
du Certificat
d'AjJtitude pour l'emploi de Secretaire 1!ë
Mairie des commu nes de moins de lU.OOO
fiabitants, di.plômé de l' Ecole Nationale
d'Aldmi nistration MunrciJ>ale de Par is> Clherche poste dans une commune ode plus de
5.000 habitants du déparrement des BouohescIu-Rlhô ne.
MlIvI'. l.,,; Maires intéressés par cette 'cand}dlat>ure devront s'adresser directement à
Monsieu r PBlJI&SIER, demeurant à Toulon,
42, avenue .ortolan.
-----< .. 00«>----
AVIS DE CONCOURS
l ' Des concours sur titres sont ouverffi
pour le rec rutement de :
1 Directeur- Dconome,
1 Dépensier,
1 SUl'Veillant Général Educateur,
1 Commis aux Ecritures,
pour le Foyer Départemental de l'Enfance
de M(,Ian à Taninges.
Date de clôture des inscriptions le 30
AoOt 1951.
Pour tous renseignements complémentaires
s'adresser il la Pré1ecture de Haute-Savoie,
Annecy.
2° Un concours sur ,titres est ouvert à
l'Hôpital
02 B3
OFFRE D'EMPLOI
Un concours est prévu pour le recrutement
d'un Direc teur des Services Ted'nniqu es de la
ville de Saint-Dié (Vosges). Indices 275-475.
Renseignements au Secrétariat Gè néral de
la Mairie. Les candid''3tures devront parvenir
avant le 15 Septembre 195 1.
- - - - <)000< .. ------
•
dl Auxerre.
OJôture des inscriptions le 17 Septembre
1951.
Pour tous renseignements, s'a<b-esser au
Secrétariat
die
l'H ôPital
d'Auxerre (Yonne).
05 Br
CONTROLE
,
DE LA CIRCULATION AUTOMOBILE
a pp~
sur les nouvelles mesures répress ives pou:remédier aux i nsuffisances de la ré glementation aduel"e sur le cOJltrôle de la circula-
tion automobi le.
En raison d l nombre sans cesse cro issan t
des accidents <i'e la Toute, des pOUlvoirs plus
étendus seront donnés très prochainement
a ux Pn\le1s par décret modiliant j'article
29 du Code de la Route.
lCfispositio ns
envisagée....
ont
deux
o'bjets :
J" Permettre la suspension ou J"annulation
du permis de .conduire sanS conda mnation
préalable ;
.
2' Perm ettre aux Prélets d" prel1'd<e une
décision pro viso ire en attenldnnt la -réunio n
de 1,<, ICom 11l ission T echnique Spéciale.
D'ores et déjà> des co'ntrôles plus n om-
breux seront
effectués par
les Iforces d~
p01i-ce et de gendarm erie pour réprimer
plus sévèr ement encore les infractions aux
règles de la circulation .
AlItom()lbiliste~, piétolls et cycl istes sont
donc iruvités à se conlormer a ux règles de
la circulation.
de
3° Un conco urs sur épreltves est ouvert
le TT Septembre 195 1, pour pourvoir le post.
d'Econome
de
l'Hô!,ital
Psychiatrique
Commu ni qués - Avis
Anno n c es diverses
Les
la nomination
cet Etab lissement.
Clôture des inscriptions le 15 Septembre
1951.
Pour tous renseignements complémentaires s'adresser au Directeur de l'Hôpital
cf Argenteuil (Seine-et-Oise), 2, rue SainfVinceot-de-Paul.
-------<>00<>-------
L',attention des a utomobilistes .e st
d' Argenteuil pour
d'une Directrice à l'Ecole d~lnfirmières
Signé : R. BLOT.
!pour la détermination des ayants
drOIt que des seuJs enfants nés et viva nt ~
au jour du <iécès.
300 jou rs
sU iva nt le décès du fon.ctionnaire.
co~pte
seul~ment ~e.s enfants visés
•
A tlr ibution et répar tition du montant <lu
capItal déc~s et des majorations fixes.
l~ien n'est changé à la répartition du capital décès prop re ment dit qui est effeétuée
comme (précédemment entre> d'une part la
\r~uve et d'autre part, les enfants n~ et
viva nts au jour du décès .qui oUlvraient droit
à la mélJjoratio ll fixe aux termes de l'ancienne
reglementati on
Bien entendu les enfants
I~ ost htlm es restent ex!Clus ,de 'cette répartiti on.
En ce qui ~o n cern e les majorat ions ,fixes
d1ues à ohacu n dies enfants aya nts dlroit à une
Iraction d e capital elles so nt versées comme
précédemment e n mé me temps que celle-ci.
Les majoratio ns fixes allouées aux en.fa nts
posthumes nés viabl es ne lellf son t attribuées
qu'après leur naissance.
Copit: eertii.h ~D.f."...
Pour le PrHet :
L, S'Cf'j'Otf'~ GmnfJl : LAMASSOURE.
Psychiatrique
�REPUBLIQUE FRANÇAISE
30 AoQt et 6 Septembre 1951
D Ë PARTE M E NT D E S
BOUCHES-D U-RHO
0,
ùl
Recueil des Actes AdmiDlc-:~. . .
e t · Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit étre adressée à la l!ré!ecture Secrétariat Général
,-
A BRÉVIATI ONS
A, P. : Arrêté préfectoral. - C, : Circulaire - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des Services Technique• . - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départementale de la Population.
Arrêtés réglementaires
SOMMAIR.E
et Clrculaites
Pares
AG 2. - Médaille d'honneur départementale et communale. Promotion
du 1er janvier 1952
AG 2. - Personnel communal. - Ap-
175
plication des dispositions de l'art. 4
de ,'arrêté interministériel du 19
novembre 1948 portant reclassement
des agents Communaux ............
176
AG 2. - Régime de rémunération
pour travaux supplémentaires accomplis par les age nts des collectivités locales à compter du 1er ja n-
vier 1950 .... .... .... .... ... .
AG 5 b. - Livret de fa mille. - Lib ellé. - Format-prése ntation .. ....
AG 5 b. Régularisation de l'éta t
civi.J des citoyens
f ran çais
177
178
musul-
ma ns ori ginaires d'Algérie. -
Pro-
ro gation jusqu'au 30 juin 1952 du
délai impa rti par ma ci rcul ai re numéro 170 du 19 mai 1950..... .. .
EN O. -
Pages
17Q
Subvention aux co mmunes
po ur l'installation et le fonctionnement des centres d'enseignement
post-scolaires ag ricoles o u ménagers
agri coles publics.. .... . . .. ....
f' O. - Compagnie Nationale AirF rance.
Souscription d'actio ns
par les collectivités locales .. . .....
F 2. - Comptes adminis tratifs 1950.
F 3. - Taxe locale additionnelle a ux
taxes s ur le chiffre d'affai res. - Répa rtition de la q uote-part de la taxe
~oca le affé rente aux trava ux p ublics
et d'équipement natio nal revenant
au communes .... .... .... ....
F 3. - Taxe su r la publioité........
179
179
ISO
100
133
PaBU
P 4. - Obligation d'apposer à l'extérieur des d-ébits de boisso ns un
panonceau indiquant la catego rie de
cet établissement .... .. .. ..... . 186
P 8. - Application de la comention
d'é tablissement franco-sarroise du
3 mars 1950, applicable a compte r
de la publication du déc ret d u 20
mars 1951. (J.O. du 23 mars 1951). 186
Sl 5. Indemnités forfaitai res accordées aux communes en remtOl! rsement des dépenses exposés
pa r les municipalités lors de la
réinhumation des corps des victimes de guer re restitués aux familles.. .... .... .... ....
187
Communiqués, A vis, Annonces diver. .
Dons et legs .... . ........... . . . . 1 ï
Avis de concours ................ 187
-
A R RËTËS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
----D2 B3
AG 2
MBDAILLE D'HONNEUR
DEPARTEMENTALE ET COMMUNALE
Promotion du 1er Janvier 1952
J' ai l'hon neur de porter ci-dessous à la
Connaissance de MM. les Maires du Dépa rtement des Bouches-du-Rhône, le texte
d'une circulaire ministé rielle re lative à la
Médaille d' Honn e ur Départementale ct Communale.
Pour pe rm ettre l'e nvoi des dossiers à la
rl~te prévue, j e pri e MM. les Mai res de vo ulOIr bien Iles faire parvenir ava nt le 20 septembre sous le timbre : 2me divis ion, 3me
burea u.
Pour le Préfet,
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabinet,
Signé : DUFAY.
•••
J'ai l'honneur de vous prier de m'a dresser sous le présent t im bre, avant le J er ocI~bre 195 1, d~lai de rigueur, vos propositIons en vue de la promotion de la MéoC
daille d' Honneur Dépa rtementale et Comm u.
nale du 1er janl·ier 1952.
« Les dossiers qui me pa rviendront après
cette date ne pourront être examinés qu'à
l'oecasion de la promotion du 1er mai 1952.
c Vous voudrez bien vous confo rm er strictement aux instructions détaillées qui vous
o nt été- fo urni es· au sujet de la prése ntatio n
ùes dossie rs.
c En ce qui cOncerne des candidatures ~es
ca ntonniers de la voirie departementale, intégrés à compter du 1er janvier 1948 en
qua lité d'ag~nts de t ravau ~ et de cond ucte urs de cha ntiers au servIce des Po nts et
Chaussées, je vous prie de vous repo~ter a~x
indications contenues da ns ma Ci rculaire
nO 45 du 2 février 1950.
« Afi n d'évi ter toute co nfusion su r la na·
ture de la Médaille qu'il convient de déce rnCr à ces agents, vous vou,d rez bien v~ illcr
à ce que la me ntion c étatisé le ...: » fl~~lre
e n ma rge de la rubrique des se rvices CI\'lls,
« Ainsi que je vous l'ai indiqué pa r circ ul ai re n" 29 1 PER / CP / ~ du 25 ao ùt 1949,
les propositions tendant à ~'a ttriblltion de
la Médaille de Ve rmeil do ivent <t re aCcompagnés d'un rapport détai llé sur les services
des ca ndidats et doivent m'être t ransmises
sous bordereaux distincts mentionnant votr!!
ordre de préférence,
« Je vous rappe lle, en effet, que cette
distinction ne peut a re accorùée qu'au
choix et dans la limite d'un contmgent de
la % des Médailles d' Argent.
c J'attire egalement "otre attention sur
l'article 6 du décret du 7 juin 1945 qui stipule que les se rvices milita.ires (sen'ice
obligatoire en temps de paix et services de
gue rre) ainsi que les bonifications ou majoratjons de se rv ices prevues par les lois et
règlements en \' igueur et assimites à des
se rvÎces effectifs, entrent en lig-nc de compte pou r le calcul de l'anciennete.
« Cest ainsi que pour la guerre 19391945. il Y a. lieu de considérer comme assimil és à des sen'ices ci\'ils le temps passé :
c a) Aux armees. en captivité et dans
les F. F. 1. ;
« b) Dan. la Résistance (en q ualité
d'agent c PI » ou agent c PZ) ; .
« c) Dans les F. F. 1. (posténeuremen\
au 6-6-194-1) ;
« d) Dans les Chantiers de
(pour le stae:Loh ljp'~lni1"P\ .
�176
177
c e) En dépo rtation ou en internement au
titre de la Résistance.
c En ce qui concerne les majorations prévues pour les déportés et internés de la Résistance, vous voudrez -bien vous reporter
au x i nstructions contenues dans ma circula ire n· 25 du 26 janvier 1951 .
< Vous voudrez bien diffuser la présente
instruction aux services intéressés, notamment au x Maires et, le cas échéant, au x
Conseils d'administration des Caisses de
Crédit Municipal ct Mont de Piété.
e'
Vous me retournerez, après l'avoir dé-
taché et complété, l'accusé de réception cidessous ;) .
Pour
~e
Président du C onseil, Ministre
de l' Intérieur et par délégation, le
Sous-Directeur du Personnel,
Signé: M. FAVRE.
-------<>00 <'-------
D283
AG 2
PERSONNEL COMMUNAL
APPLICATION DES DISPOSITIONS DE
L'ARTICLE 4 DE L' ARRETE INTERMINISTERIEL DU 19 NOVEMBRE 1948
PORTANT RECLASSEMENT DES
AGENTS COMMUNAUX
J'ai l'ho nneur d' attirer l'attenti on de MM.
les M ai res du Département sur les dispositio ns de la circul a ire n" 337 AD / 3 du 10
a o ût 195 1, pa r laquelle M. le Ministre de
l' Intérieu r a fixé les modalités d'appl icatio n
de d'a rti cle 4 de l'arrêté du 19 novembre
1948 et a rrêté les prog ra mmes des co ncours de Secrétai res de Mai ries, Rédacte urs
et de Comm is .
Ci-desso us le texte de la ci rcul ai re :
Po ur le Préfet,
Le Sous-Préfel, Directeur du Cabinet
Signé: DUFAY.
'
•••
LePrésident du Conseil,
Ministre de l'I nt érie ur,
à MM. lès Pré(ets de la Métropole,
L'a rticle 4 de l'a rrêté d u 19 novembre
1948 dispose q ue • le bénéfice des rémunéra tio ns co rrespo ndant a ux indi ces déte rmin és pa r le présent a rrêté ne po urra être
acco rdé aux fonctionnaires et age nts communa ux ci-desso us visés, qu 'a près modificatio n préalable des conditio ns de rec r utemen! I ~ co ~ce r.nant et suiva nt les règles
part lcuhe res Indiqu ées en a nnexe : sec rétai res gé néra ux, sec rétai res gé néraux ad joints,
direc teu rs des se r vices administ ratifs, chels
de burea u, so us-chefs de bureau, rédacteu rs
et co mm is .d'ad min ist ratio n, . di recteu rs généra ux et directe urs des servt<:es tec hn iq ues,
directe urs des services de voi rie et d'architecture, ingéni eu rs d ivi sion nai res et s ubdivisio nn ai res, a djoints techn iq ues, agents de
maîtris e, chefs professio nn els et ouv rie rs
professio nnel s, sa peurs-pompie rs des cor ps
de prot ection co ntre J'incendie, ins pecteurs
préposés a u co ntrôle de la sa l ub rit~ des
via ndes et des de nrées alimentaires, inspecteurs de sa lubrité >.
L'a nn exe 11 de l' a rrêté du 19 novem bre
1948 modif ié pa r celui d u 3 ma rs 1950 a
notamment prév u qu e les ca ndid ats a ux
g rades de sec rétai re de ma irie des communes de 2.000 à 10.000 habitan ts, rédacteur
des co mmu nes de plus de 5.000 habita nts
et commis de ma irie devra ient sati sfaire a ux
épreuves de concours qu'ils soient ou non
déjà en fo nctions dans les services municipaux.
Ces dispositions . réglementaires doivent
assurer l'application du principe 1égal en
vertu duquel les a gents des collectivités locales ne peuvent percevoir à -égalité de compétence et de responsabilités, des traitements supérieurs à ceu x des agents de
l' Etat.
La présente instruction a pour objet de
porter à votre connaissance les programmes
du concours de secrétaire de mairie et de
rédacteur et de celui de commis établis confo rmément au x prescriptions de l'arrêté sus\'isé.
Le prog ramme de secrétaire de mairie et
de rédacteur tienf compte à la fo is de l' o ppo rtunité de ne pas exiger des ca ndid a ts à
cet emploi communal des connaissa nces
théoriques superflues et de la né cessité d e
s'assurer qu e les candidats qui ne sero nt pas nécessa ireme nt titu la ires d'u n diplôme uni ve rsita ire possède nt bie n unl
culture gé néra le qui sera nécessaire a ux secréta ires de mairie et devie ndra ind ispe nsable a ux rédacteurs s'ils accèden t aux postes
de directi on des services administratifs.
En ce qu i con ce rn e le co ncours de commis, il impo rtera principa lemen t d'exiger des
ca ndid a ts qu'ils a ient une solide form a tion
primaire, .qu'i ls disposent d' une co nn a iss a nce s ufJïsa nte des qu estio ns pra tiq ues qui se
prése ntero nt à eux et q u'ils soient en mes ure d'être o ri ent és indi ff éremment a u début de leur ca rriè re ve rs un e ac ti vité co mptable, un tr avail de g uich et ou une tâche
de rédactio n élé me ntai re.
Da ns l'un et l'a utre co nco urs, des épre uves fac ult atives doive nt perm ettre a ux collectÎ\·ités qui en ép ro uve ro nt le besoi n soi t
d'ex iger des ca ndi da t s la con naissance de
la sténograp hi e, de la dact ylograp hi e o u
d' une lan g ue étl a ngè re (a rabe, ita li e n, po ·
lon a is ... ), soi t d'off rir a ux ca nd idats la poss ibilité de s ubi r éve nt uelolement des épre uves de cette na ture.
Les co nsei ls muni ci pa ux .q ui o nt ado pté
les échell es indi ciai res fixées pa r les a rr ë t é ~
intermin istcri els des 19 novembre 1949 et
3 ma rs 1950, on t décidé d'ado pter les règles
de rec rut eme nt ét ablies pa r les mêmes textl;5. Vo us dev rez veill er à ce que les Ma ires
fassent ap pl icatio n de la présente instructi on dès Iles proc hai ns co nco urs.
La loi d u 12 ma rs 1930 vo us do nna nt
comp éte nce po ur ap pro uve r les déli bé rat io ns
des co nseils munic ipau x relat ives a u statu t
du pe rso nnel et not a mme nt au recrutem ent,
j'insiste pou r q ue vo us vous a tt ac hiez à Ct!
que les jurys de co nco urs soie nt co mp osés
de te ll e façon que les ép re uves soient co rrigées et le classe ment des ca ndid ats ét a bli
pa r des perso nna lités compétemes.
C'est ainsi que le jury d u co nco urs de
rédacteur devrait comp re ndre des p rofesseu rs o u cha r g~ s de co urs de l' enseig nement s upé ri eu r ou, à dé fa ut, des professeurs
de l'e nseig nement du seco nd deg ré o u prati cie ns ép rouvés po ur qu e Iles ép re uves de
d roit et de cu lt ure gé néra le o u de géog rap hi e soient exa minées pa r un spécia liste. j e
ne ve rrais éga leme nt q ue des ava ntages à
ce que vo us vo us fassiez rep résent er au
sein de ce ju ry.
Eta nt do nné le nivea u du co nco urs de
commis, les précautio ns à pre nd re pou r la
co nstitutio n du jury so nt moi ns esse nt ielles.
11 serait t o utefois, so uh aitab le, q ue des
membres du corps enseignant fussent appelés à y participer.
Pour le Président du Conseil, Minisl"
de t'Intérieur et par d étégation, te Directeur 'Gén éral de {'Administration
Départementate el Communate et d.
la Protection Civile,
Pierre-jean MOA TTL
•••
ANNEX'E
1. - Programme du conCOurs de Secrtfmrt
de Mairie des Communes de 2.000 à
10.000 habitants et de Rédacteur des
ICommunes de ptus de 5.000 habitants,
A. - Liste des épreuves.
Coefficients
Epreuves écrit es :
Rédac ti o n s ur un sujet d'o rdre généra i (ni vea u du 'baccalauréat) . .
10
Rédact io n sur un sujet de droi t
pu bli c o u adm inistratif . . .. . . . .
10
E preu ves orales :
Inte rroga ti o n po rta nt s ur la lég islation budgéta ire o u la compta bilité <:o mmunal e .... . . . . .. . .. . .
lnte rogat oire po rta ".t soi t s ur la législa ti o n socia le, soi t s ur le droit
p ri vé, soit s ur les questions d'urbanisme et de trava ux publ ics . .
Géograph ie éco nomique
4
2
Epreuves facul/alives :
Dacty logra phie . . .. ..,.
~ l ~ lI odact)' l og r a phi e .. . . . .
L,.lIg ue .... .... .... ....
1
1
2
B. -
6
Programm e détaill é d es épreuves
1. -- Génératit és sur le droit public
et te drOIt administratif
1· L'Etat et les collecti vités local es :
Rôle actu el de l' Etat da ns la Nati on.
O rigines des li bertés co mmun a les.
Ori gi nes du dépa rtement et de l'a r ro ndi sse ment.
Rôle des syndicats de co mmun es.
La tutelle des communes : loi du 5 a vril
1884 et o rdo nnance du 17 mai 1945.
2(1 L'Administrati on fran çaise : O rga ni sati o n. L' Administra tio n ce nt ra le. Les se rvi.ces exté rieurs . Centra lisa tio n, déce nt ralisati o n, co ncentra ti o n, déco nce ntratio n.
Attri buti o ns des préfets et so us-préfets.
Orga nis ation gé néra le des préfect ures. Attr ib ut io ns du Co nseil Géné ra l (notions général es).
.
Le Ma ire représe nta nt de l' E ta t.
E tablisseme nts pu tJlics et d' ut ilité publique.
Mode de gestio n des se rvices publi cs.
Les pouvo irs de l'Admi nist rat ion. Le pou,
vo ir réglementa ire. Les procédés d'acti o n de
l'Adm inistra ti o n : les co nt rats, ma rchés et
po ur cause
co ncessio ns, l'ex prop riat io n
d'u tili té publiq ue ; réqu isiti o ns des personnes et d es biens.
Les fo ncti o nna ires et le droit pénal : r.~
po nsab ilité péna le s pécia le des fonctio nnaires i protectio n des fo nction naires.
Doma ine pu bli c et domaine pri vé.
Le co ntrôle juri dictio nn el de l' Adm i nislr~'
t io n et lia respo nsabili té des communes. JUfl~
di ctio ns ad ministrat ive, judi cia ire, p ~ n a.I~.c:
o rga nisa tio n. Recours deva nt les J UT! 1
t io ns ad min istratives, conflits.
•
L'o rgani sati o n de la police an Fra nCe .
police générale et polices spéciales ; la police municipale.
Le maintien de l'ordre public : police de
la circulation, cortèges et manifestations
sur la voie publique, réun ions publiques ct
privées, régime des spectacl es, régime des
associations.
La police sanitaire : maisons d' habitations
insalubres et édi,fices menaça nt ruine i établissements dangereux incommodes ou insalubres ; cimetières et transports de corps.
II. -
Organisation administratiVe
de la commUne
Formation et fonctionn ement des Conseils
Municipaux.
Attri buti o ns du Conseil Munici pa l (noti ons
générales).
Les pouvoirs du Maire comme représenta nt de la commune.
Les adjoints.
Les sectio ns de communes.
,La surveillance des éta blissements publi cs
co mmun a ux.
111. - Légistation budgétaire
et comptabilité co mmunale
1· Unité, uni versalité, a nnu a lité du budget ; exceptio ns à ces règles ;
Procédés de l' exercice et de la gestio n
Ressources finan ciè res des communes :
d omaine, impôts, ta xes, su bventio ns et emprunts ;
Classement des recettes et des dépenses
ordina ires, extrao rdin ai res, obligat oi res et
facultati ves ;
Prépara tio n, ado ptio n et règlements du
budget ;
Prépa ra tion, vo te, exécut io n, cont rôle d u
budget.
2" No tio ns gé néra les de co mptabil ité :
Objet et but d e la com ptabi l it~ ;
Les comptes ad mini st ratifs et de gestio n ;
Comptabilité de prévision, d'eng a gement,
de gestio n et de sit uati o n ;
Comptab ilité e n partie si mpl e et en pa rtie
dout;Je.
3" Principes généra ux de la comptabilité
communale ~Déc ret du 3 1 mai 1862, et les
1ntes modifica tifs, loi du 5 a vril 1884, ti1re IV, ch. 3 et 4) ;
Ordo nn a teurs et comptables : leur séparatio n i
Liquidat io n, o rdonna ncement et pai ement
des dépe nses ;
juge ment des comptes : Co ur des Co~p
ies (o rga nisation et fo nct io nnement) ,
Resp onsabi li té des o rdo nn a teurs et des
<:om ptables ;
Créa nces et dettes des communes.
Prin cipes de ta légistation
sociale
10 Assist a nce : No tio ns gé nérales s ur
l' assistan ce. Evo lut io n historique de la not io n d'assista nce. P ri ncipes de base de Il'o rga nisati o n a ctuell e : dé termin ati o n d u d roit
à l'assista nce. Rô le respec tif de l' Etat d u
dépa rte ment et de la comm une. Le do mi cile
de seco urs ;
Orga ni sati o n, a ttri butio ns et fo nctio nne~e n t des se rvic es publics d' ass ist a nce. Les
dlff.érentes form es d'assis ta nce ;
P rocéd ure d 'ad mi ssio n a u bénéfice des
di verses fo rm es d'assi sta nce pu blique 1;
Pri ncipes de répartition des dépe nses
d 'assista nce ent re les d iverses collect ivités
IV . -
2" O rganisation hospitalière : Notions
sommaires sur la loi du 21 décembre 1941
et le dé cret du 17 a vril 1943 concernant 'les
hô pitau x et hospices pubI1C; .
3" Sécurité Socia le :
Principes fo nd a menta ux de l'Ordo nnance
du 4 octob re 1945 ; notions sommaires sur
les régimes spéciaux de Sécurité Sociale ;
noti o ns sommaires sur l'Ordonnance du 19
octo bre 1945 (co uverture des différents risques) ;
Allo catio ns aux vieux travailleurs sa lariés;
All ocati o ns au x éco nomiquement fai bles ;
Les prestatio ns fa miliales : but et olassificati o n j
Les accidents du tr avail et ies maladies
professionn elles.
4" Lég islat ion sur les l oy e~ :
Not io ns somm a ires sur la loi du 14 septembre 1948 : but, princi pes et procédure
de règlement des co nfli ts e ntre bailleurs et
locat a ires.
50 Législati o n sur ~ es ra pports e nt re empl oye urs et s ala ri és de l' industrie et du commerce :
No tio ns gé nérales s ur la loi du Il février
1950 : co nvent io ns collect ives, sa la ires mini ma, procédure d'a rbi trage ;
Not ions sommai res sur les juridicti o ns
prud' hom males.
V. - U rbOinisme et travaux publics
Pl a n d'a ménagement et d'exte nsio n des
villes. P ermis de const ruire.
Voi rie: chemins vici na ux et rura ux, voies
ur ba ines, voies privées.
Trava ux pub li cs : mode d'exécution, réparati o n des domm ages ca usés, expropriatio n pou r cause d'uti li té publique, associati o ns sy nd icales.
VI. -- Droil privé
10 Droit des pe rsonnes :
Naissa nce, filiations, ma ri age, di vo rce, sé·
pa rat io n de co r ps, mo rt , a bsence.
Z" Droil électo ral :
Electo ra t, éligibilité, éta blisseme nt et révision des listes élec tora les, électio ns, co nt enti eux des électio ns.
3 Les obli gations militai res et la loi su r
~ e recrutement da ns l'a rmée.
4" Do na tions legs et d roit de propr iété :
Notio ns gé nérales.
,5 0 Na tio na lité j co nd itio n des étr angers
en Fra nce ; na tura lisatio n.
0
VII. - Géographie éco nomique
Noti o ns gé néra les sur la géog ra ph ie économique de la Fra nce : ressou rces ag ric?les
et mi niè res industries de t ra nsforma tto n,
écha nges intérieurs et évent uell eme nt inte rnation a ux).
(Cette ép reuve peut no ta mm en t co nsiste r
en un exposé sur la place occupée pa r la
comm un e da ns l' éco nomie du dép a rtement,
de la rég io n économique o u de la France,
s uiva nt i'i mporta nce et la si t uatio n de la
coll ect ivi té).
Programm e du concours
de co mmis de mairie
A. -- Liste des épreuves
Coefficients
1 Epreuves écrites :
Co mpos itio n fra nça ise :
Rédact io n . . .. . .. .
Ec ritu re et orto g raphe ..
Ar ithm éti o ue . . . . . . .. . 11. -
0
2 0 Epreuves orales :
Droit publ ic . . .... .. . .
Droit privé . . ... . . . . _
Comptabilité . .. . . . . .
3" Epreu ves facultatives :
Sténoda ctylographie ou dactylographie . ...... . .. . . . . . . . . . . . .
Lan g ue . .. . . .. . . . . . . . . . . .. .
J
2
2
B. -
Programme d étaitté d es épreuves
1 Co mposition fran ça ise :
Elle portera sur un s ujet d'ordre générai a yant trait soit à l' histoire de France
et de la commune depuis tes temps mode rn e~, soit à ll'orga nisatio n admi nistrative de
la France. Elle po urra également faire a ppel à des connaissa nces so mm ai res de gèo&' aphie éco no miq ue (a ux stades nationa l,
dépa rtemen ta l o u communal).
2" P roblèmes :
La solutio n de ces problemes dev ra pouvoir être o bte nue en ne 'fa isant pas appd
à des notio ns d'a rithm étique théo rique.
3" Droit publie :
No tions gé nérales s ur l'o rga nisatio n administra ti ve et fina nciè re de la commune,
d u dépa rteme nt et de l' Etat.
Notio ns généra les $U r lia loi du 5 avril
IS84.
Notio ns sommai res s ur le r ég lTT~~ fiscal
communal, dépa rte mental et d' Etat.
4 0 D roit p rivé :
Droit des personnes : na issance, fi liat ion.
ma riage, di vo rce, sé pa ra tio n de co rps, décès, absence (programme des étu des de ca~2cité en d ro it).
5" Co mptabi lité :
Notio ns som ma ires de comptabil ité (o bjet et but de la co mp ta bilité. Budget Compte a dm inistra tif et co mpte de gestio n. Compt2bilité de prévisio n, d'engagement, de gestion et de s itu atio n. Comptabilité en partie
Simple et en partie do uble).
6 0 Epreuves fac ultat ives :
Se ul s les points obtenus a u-dessus de la
mo yenn e seront retenus po ur ~ a prise en
co ns idérat ion de ces épreuves :
a) Sténodacty lograp hie o u dactylographie :
b) Co nnaissa nce élémentai re d' une lang ue
ét ra ngè re appréciée au co urs d'u ne co nve rsat io n co ura nte po rta nt s ur les matiè res du
co nco urs.
Cette épreu ve de la ngue devra être réservée a ux communes dans lesq uell es vivent
d' une ma niè re stable ou précai re d' impo rt an tes colo nres d'étra nge rs o u de citoyen3
fra nçai s de l'U nio n Française.
0
------- ~~oo < , -------
AG 2
D283
REGIME DE RENU MERATIO N POUR
TRAVAUX SUPPLEMENTAIRES
ACCOMP1LIS P AR LES AGENTS DES
COLLECTIVITES LOCALES
A CO MPTER DU 1er Janvier J 950
P a r a rrêté d u 1er août 19~1 . pub li é a u
j . O. du 15 ao ût, a été fixé le t a ux des
indemnités ho rai res pou r trava ux s upplémenta ires pouva nt être accordées à ~omT?
ter du 1er ja nvier 19':<>, aux agents t itulaires, a uxili a ires ou contractuefs employés pa r
les co llec ti vités locales.
Ci-dessous , le texte de l'a rrêté.
P o ur le P réfet et p a r délégation,
Le Secrétaire Générar,
c ....... & • r. .... 1 l\ u"' .:~ " ' 1 D1:
�178
Le Président du Conseil, Ministre de I1ntérieur, le Ministre ùu Budget et le Ministre de la Santé Publique et de ~a Population,
_
Vu l'article 1er de l'ordonnance du 17
Illai 19-15 relative aux services publics des
départements, des communes et leurs établissements publics j
\'u l'a rticle 3 de l'arr.té du 19 novembre 1948 portant classement indiciaire des
fonctionnaires et agents communaux, modifié par l'arrête du 3 mars 1950 ;
Vu l'arrHé du 16 mars 1949 relatif au
cl.assement ind iciaire des fonr.tionnaires et
agents dépanementaux, modifie par ~ 'a rr êt cf
du 11 mai J 950, et notamment son article 3 ;
Vu .l'l!vis de la section du personnel du
Conseil NatIOnal des senrices publics dé-
tant des indemnités horaires pour travau x
supplementaires qui auraient été payées s'il
y avait eu travail effectif.
Art. 8. Un agent ne peut percevoir,
pour la même périOde, des indemnités pour
travaux supplémentaires et des inClemnités
journalières pour frais de tournées ou de
missions.
Art. 9. - Les indemnités horaires maximum pour travaux supplémentaires sont
calculées en prenant pour base le total du
traitement budgétaire et de l'indemnité de
résidenc e pour la période du 1er janvieJ
1950 au 28 février 195 1 et le tolal du traitement budgétaire, du complement provisoire de traitement et de l' indemnité de rési-
Des indemnités ho-
raires pour tra\"aux supplémentaires pouc-
T?"t
clUSIOn de tous autres éléments de rémun'"
rahon et ~otamment des ind em nités destinées à temr compte de la situation de famIlle. (prestallons familiales, supplément
familial de traitement, majoration familiale
de l' indemnité de résidence).
L~. traitel!lent, son c~mplél11ent provisoi re
et 1 Indemmté de réSIdence sont pris en
compte, pour la formation de ce total, POUl
~eur montant annuel, d'après la situation des.
Intéressés au mo ment de l'a ccomplisse ment
des travaux supplémentaires.
Pour obtenir le tau x horai re applicab le
à chaque agent ce tota l est divisé par les
nombres su iva nts :
Personnel astreint â un e durée
réglementaire de t ravail de :
plus de 45 heures
45 heures
par semaine
par semaine
Pour les heures supplémentaires accomplies
jusqu'au total de 14 heures au cours d' un
même mois . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . .
Pour les heures supplémentaires accomplies
au delà de ce total de 14 heures ...... .
Pour les heures supplémentaires a-ccomplics
de minuit à sept heures .... ..,. . ...
Pour le.s heures supplémentajres accom plies
les dImanches et jou rs fériés ....... . . .
francs
francs
1.900
2.000
être accordées, il compter du 1er janJ ~50 et dans les conditions ci-après
1.600
1.700
dete.rr11lnées, aux fonctionnaires ou aaents
titulaires, auxiliai res et contractuels 0 des
950
1.000
c,.ollecti\'it~s locales
ayant dépassé, dans
1accomplissement de le ur tâche
la durée
140
1.200
réglementaire du travafl Qui ~t égale à
48 heures pour le personnel de sen'ice et
Q..ua.rante-c-i nq heures pou r les autres catéLes taux ho raires ainsi obtenus sont argOries de personnel, éta nt entendu toûteoz' B3
AG 5 b
rondis au franc le plus vo isin le dem.i-franc
f?is. qu'il n'est en rien dérogé aux prescripétant arrondi au fr a nc supérieur.
LIVRET DE FAMILLE
lions du décret du 22 mars 1937 en ce qui
conc~rne le personnel
des établissements
LIBELLE - FORMAT - PRESENTATION
Ar!. 10. ~ Les a aents employés à un trapubllcs d'hospitalisation, de soins ou de
vail collechf et identique d'écriture ou de
cure.
Ma circulaire n ' 325 du 30 Septembre
co~ptabilité ne pou rront recevoir, que l que
1950.
. Art. .2.. - T\'e pourront bénéficier de ces
SOit le ur grade, d'i ndemnités po ur travaux
IOd~mllltes que les agents dont la rémunesuppléme ntaires supérieures à celles qui seMinistère de l'Intérieur
ratJOn ,est,.. au. plus..égale à celle qui corres.
raient attribuées â un employé de bureau
pond a 1 indIce hlerarchique 315.
de 7me oIasse (indice llO).
Direction Générale de
Aucune indemnité pour traArt, J. Art. II. - Les age nts qui assurent, total'Administralion Départemenlale
,'aux supplémentaires ne peut être attribuée
lement ou partiellemen t, le ur se r vice normal
et Communale
aux ag~ lIts logés gratuitement pa r nécessité
entre vingt et un~ heu res et six ,heures peuel de la Prolecfion Civile
de sen'Ice, sauf lo rsqu' il s'a!rit
d'aqents du
O
ve nt percevoi r des indemllit és horaires do nt
personnfl oUHie r,. s.usceptible de se °déplacet
le taux: maximum est fi xé à 30 fr.
hors Je deur ~omlcll~ pour y accomplir des
1er Bureau
travaux supplementaires exceptionnels et
Ne peu vent être considé rcs
Art. 12. Ci
rculaire
n° 309
dont l'exécution ne souffre aUCun retard
comme travaux supplémentaires suscept ibles
Art. 4. Des indemnités horaires p~ur
d'être rémunérés pa r des indemnités hora iParis, le 24 jui"'et 195 1.
tra\'a~x supplémentaires ne J'tuvent da\'anres les travau x qui, quelle que soit leur naLe Prés ident du Conseil
tage etr.e accor~ées aux agents qui perçoiture. ont été accomplis entre l'ouverture de
Ministre de l'Intérieur.
vent salt des tndemnites "'Torfaitàires po ur
la séance normale du matin et la olôture de
à Messieurs les Préfets de la Métrotra\'3 UX supplémentaires, soit aes ind,.rnnila séance no rmale du soir.
pole, de l' Algérie et des Départetés rému nérant certains travaux n'entrant
Ar!. 13. - Le directeur gé néral de l'adments d' Outre-Mer.
pas dans le cadre des attributions ,:eglemenministration départementale et communale
Les r~ gl es fixées par ma circulaire du
taires afférentes à l'e mploi.
et de la protection civile, le directeur du
30 septembre 195a pou r la réda cti o n dll liArt. 5. - Les officiers, sous-officiers, g rabudget et le sous-directeur de l'administravret de famille ne peuvent recevoir une apdés et sapeurs des corps municipaux et détion gé néra le du personnel et du budget
plicatiqn correcte en utilisant les mpdèles
partementaux de protection Contre l'incendie
sont chargés, chacun en ce qui le concerne.
de livrets en usa ge avant l' inten'ention de
ne pourront percevoir les indemnites faisant
de l'exécutio n du présent arrêté.
ces instructions.
l'objet du prése nt arrêté que si leur corps
Fait à Paris, de 1er août 1951.
est appelé à accomplir des mISSIons de naDe nom breux maires se sont adressés à
ture ou de durée exceptionnelles.
mes se rvit es pour savoir qu ell e no uve lle fo~
POlir le Présidenl dll Conseil, Minislre
mule il ét.,t préférable d'adopter en ex pnArt. 6. - Ne peuvent ouvnr Œroll li rémude /'Inl ériellr el par délégalion, le Semant le désir que soit institué lin modèle
nération les travaux supplémentaires qui 1;
cr élaire d'Eloi à /'Inlérirur,
national. Dans sa séa nce du jeudi S févne~
ont été compensés par une absence d'égale
Eugène THOMAS.
195 1, le Co nsei l de la République a ado ple
d urée pendant les séances normales de traune proposition de réso luti on in vi tant le
vail.
1
Gouvernement à restreindre le nomb re des
Ar!. 7. Les indemnités allouées aux
documents d'état civil requis devant les adpersonnels assura nt ,en sus de la durée rémin is trations et à instituer un mod èle na~lementairl du travail, deS heures de pertional
de livret de famille.
manence ne s'accompagnant pas d'un tra·
Les _
dépenses
de _
livrets_
de __
vail efffi:tif normal, ne
en auCun_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
_
dU _
\'I~r
portions. M. le Ministre de l' Elducation Nadernière fois, jusqu'au 30 juin 1952, le détionale sera donc en mesure de réserver cette
lai pendant lequel ces déclarations pourront
année, une suite favorable â un nombre de
encore être recueillies, en Metropole, dan~
demandes de subventions plus important
les conditions fixées par ma circu laire précitée.
qu'au cours des exercices écoulés.
Les demandes de subventions qui seront
Je vous demande donc de prendre d'urprésentées doive nt m'être adressées avant
ge nce les mesures de pub licité qui vous pale 25 Octobre sous le timbre 4me Division
raîtront nécessaires, en considération de la
3me Bureau, accompagnées d' un dossier
situation particulière à votre département,
comprenant :
pour que tous les citoyens français musulmans qui y séjournent soient informés de
- Délibération du Conseil M,unicipal,
cette décision et astrei nts à régulariser ~e ur
- Fiche financi ère,
état civil dans ce nouveau déla1.
- Cerhficat du Maire sur l'installation ou
le fonctionnement du Centre,
Vous voud rez bien, à cet effet/ inviter tes
- Projet de budget,
Maires à se mettre en relations avec les o r-- Avis de l'Inspecteur d'Académie.
gan ismes locaux de Séc uri té Sociale auxquels des instructions ont été adressées. à
Pour le Préfet,
ce sujet, par le .Ministère du Travail et de
Le Secrétaire Général
la Sécurité Sociale, et qui ont la possibilit.
LAMiASSOURE
l'Administration Départementale et d'atteindre les sala r iés musulmans de lia ré------~,.ooc.· ------Communale el de la Proie clion Cigion et de vérifier la régularité de leur dosD2 B3
FO
vile,
sier.
Pierre-Jean MOATTI.
j'attache un g rand intér i!t ~ cc que cette
COMPAGNIE NATIONALE
1 question soit suivie de près par vos services.
------- c~oo<,------AJR - fRANCE
La procédure édictée incite, en effet, les inAG 5 b
SOUSCRIPTION
D'ACTIONS PAR LES
02 B3
téressés à faire leurs déclarations à l'état
COLLECTIVITES LOCALES,
civil,
sous
peine
d'êt
re
privés
du
bénéfice
REGULARISATION DE L'ETAT -CIVIL
des allocations familiales. Elle doit do nc faj'ai l'honneur de porter ci-dessous à la conDES CITOYENS fRANÇAIS MU
ciliter, en définitive, n' application des lois
naissance de .Ml\r\. les (j,\ltaires du DéparteSULMANS ORIGINAIRES D'ALGEdes 23 mars 1882 et 2 avril 1930, sur la
ment le texte de Ja circulaire n' 308 du 19
RIE. PROROGATION JUSQU'AU
co nstitution de l' état civil des musulmans,
juillet 195 1 conce rn an t la rétrocessio n par
30 Juin 1952 DU DELAI IMPARTI qui n'avait pu j llsqu'ici être strictement ob- l'Etat aux. collectivités publiques locales,
tenue.
PAR MA CIRCULAIRE N ' 170 DU
d'une partie des actions de la Compagnie
Vous vo udrez bien me ren~rc cornp!e des
19 Mai 1950,
Nationale Air-Fra nce.
résultats de votre actio n.
Pour le Préfet
Ministère de l'lntéri e ur
Pour le Président du Conseil, Minist1e
Le Secrétaire Général :
Service de l'Al gé r ie et des
de l'Int érieur et par au:orisatfon, le
LA..\lIASSOURE.
Départements d' Outre-Mer
Préfel chargé de la Dlreclion des
•••
Services de l'Algérie el des déparleCoordination de ['assistance morale
Le Présdent du Conseil Ministre de
ments d'Outre-Mer,
matérielle et sociale au x citoyens
l'Intérieur.
Signé : DA1\\ELON.
français originaires d'Algérie
A Mi\1. les Préfets de la J~\étropole et
______ c> 00 « >------r ésidanl en M élropole
des Departements d·Outre-Mer.
EN 0
La loi n' 48-976 du 16 juin 1948, portant
04 B3
Rel. Alg. Pol. CFM 329
institution de la Compagnie Nationale AirSUBVENTION AUX COMMUNES POUR
France précise dans son article -t que l' Etat,
Paris, le 3 1 juillet 1951.
L' INSTALLATION -ET LE fONC
détenteur de la totalité des actions de cette
Le Président dll Consei l,
TIONNEMENT
DES
CENTRES société, de\rra rétrocéder 15 % de celle~i à
Ministère de l'Intérieur,
des collectivités et établissements publics
D'ENSEIGNEMENT
POST
- SCOà Messieurs les Prefets (Métropole)
intéressés de France et de l'Union Française.
LAJRES
AGRICOLES
OU
MENAPar ci rculaire citée en réfé ren ce et à laNt~ le .Ministre des Finances m'a demandé
GERS AGRICOLES PUBLICS.
queUe vo us voudrez bien vous reporter, je
de bien vouloir attirer l'attention des présivous a i ind iqué la procédure à suivre en
dents de conseils généraux et des maires
Le Préfet des BouC/hes-d u-Rhô ne
vue d'assurer l'enregist reme nt des mariages
à J\I\.J\<1. les Sous-Préefts (po ur informa- sur ces dispositio ns afin que les collectivités
des citoyens fr ança is musu1mans o ri ginailocales qui, en raison de leur situation géc:r
t ion) L~lI'1. les Maires (pour exécution)
res d'AI gé ri e. résidant en Mét:'0pole, non
g raphique, sont pa rticulièrement intéressées
j'ai l'honneur de po rter à vo tre co nnaise ncor e déclarés à l'état civil.
:l l'extension des lignes aériennes françaises,
sance que des crédits ont été inscrits ipOur
Cette procédure prévoya it l'in te r ventio n
puissent participer au capital de la Compa['année 1951 au budget du 'M inistère de l' Edes maires et des caisses d'allocations fagnie Air-France.
ducation Nationale en vue de permettre l'ocmiliales,
Vous leur signalerez que les actions dont
Le délai primitivement imparti aux intétroi d' une aide fi nancière aux co mmunes
il s'agit sont d'un montant de DIX .\ULLE
Iessés pour faire leurs déclarations tardives
pour l'installation et le ,onctionnement des
FRANCS et obligatoi rement nominath'es.
à l' état civil a été prorogé une premiè re fois
Centres d'enseignement post-scolaires agriElles peuvent bénéficier, à titre de 1er Dijusqu'au 30 juin 1951.
.
coles ou ménagers agricoles publiCS (comvidende. d'un intérêt de 5 % ran. Cet intérêt
Dans plnsieurs départements, les formaltmun a ux ou intercommunaux) dont el les ont
non garanti, sera exclusivement prélevé sur
tés prescrites ont été effectuées dans de
la charge.
les bénéfices nets réalisés, dans les condibonnes conditions. Dans d'autres, pa r conAux termes de l'artcle 10 de l'arrêté intertions
détinies au 2' oe l'article 32 du décret
tre, Ol! lia population musulmane est plus
ministér iel du 19 décembre 1943, modifiée
n' 50-1545 du 13 Décembre 1950 portant
nombreuse et souvent disséminée. les résulet compléte par l'arrêté du Il Janvier 194Q,
approbation des st~tuts de la société.
tats obten us ont été insuff isants. C'est ainsi
l'Etat peut dans la limite des crédits ouverts
Conformément au 3 0 de l'article susvisé,
.que la Caisse de Compensa tion des Alloà
cet
effet,
accorder
une
aide
fin
anciè
re
égaces
actions pou rront, en outre, bénéficier de
catio ns Famili a les du département de Co nsIe
à
20
%
au
iJ>lus
des
frais
maté
riels
d
'
insla
répartition
du solde des benétices réalisé.
tantine signale que près de 6.000 de ses
tall ation et de fonctionnement des centres
après prélèvement des fonds affec tés aux
prestataires, résidant en Métropole, sont
c-harges legales.
envisagés.
encore en situation irréguli è re.
Afin de favoriser le développement de l'enEn contre-partie, ies collectivités et étaLe défaut de déclarat io n pouvant entraiseignement post-scolaire agrico le et ménager
blissements publics prop riétaires d'acUo n.
ner la suppression des a ll ocatio ns familiales,
agricole, le crédit insc rit il cet effet po ur l' an participeront. conclirre ment avec les actionj'ai décidé, en accord avec M. le Gouvernée 1951, a été rek!vé dans de nota bles pronaires prh<és. à l'el.ection de quatre memlleur Général de a' Algérie de reculer une
mandes de livrets de ce nouveau modèle
continueront d'être passées soit par les mairies, soit par vous-même quand vo us les
centralisez pour e n effect uer pa r exemple,
le rè glement sur le fonds des cotisatio ns
municipales.
En portant les prescriptions qui précèdent
à la co nna issance des maires de votre departement) vo us voudrez bien leur préciser
que la prochaine livr aison de la Docume~
tation Comm unalJe comportera un certalll
nombre de feuillets (417.{)1 et s ui vants) qui
viendront remplacer les fe uillets relatifs au
livret de famllle act uellement insérés dans
la Documentati o n, à l' effet d'assurer à la réglementation désormais applicable ~a plus
judicieuse pubhClté.
Pour le Minislre et par dél égation,
Le Préfel, Direcleur Gén éral de
à compter du 1er mars 1951, à l'ex-
_ _ _ 2U
partementaux et communaux ;
\'U l'a rticle ï2 du décret du 17 a,,,il 1943
rel atif à l'organisation des hôpitaux et hos-
pi""s publics,
Arrêtent :
Article premier. -
den~e,
,
�180
181'
bres du
Conseil
d'Administration
de
b
sociétë.
En 6ftet, aucun siège n'est spécialement
réservé au.'( représentants des départements
et communes mais les actionnaires privés
tie pouvant detenir t?galement que 15 % du
maximum des actio ns, les administrateurs
locaux, dans la mesure Ide leur souscription
et de leur entente. peuyent espérer obtenir
une représentation da ns ce conseil. A cef
effet,
VOLIS
voudrez bien me faire conn aît rt.-
le nombre des actions souscriptes dans votrl:
d~artement.
La centraHsation de ces sous-
criptions permettra d'effectuer le re g roup e-
ment des collectivites détentrices dr'adio ns
afin de leur permettre d'entrer en co ntact,
préalablement aux élections a ux quatre sièges du Conseil d'Administration réservés aux
propriétaires d'actions autres que l·Etat.
Pour le ,\>\inistre et -par Déléga tio n
Le Directeur Général de l' Administration
Départementale
et Communale et d e la
Protection Civile
Pierre-Jean l\\OATTI.
.'.
. Les Municipalités ayant souscrit des ac-
tions, en application de la loi précitée du 16
;uin 1948, sont priées de le faire con naître
à la Préfecture, 2ème Division - 3érne Bureau
----«~OOC>----
D2 B3
f 2
COMPTES ADMINISTRATIFS 1950
!Aessieurs les Maires du département sont
pnés de vou loir. bien faire parvenir s'ils ne
l'ont déjà fait, soit à da Préfecture) soit aux
Sous-Préfectures, les comptes adm'i nistratifs
de leur commune pou r l'exercice 1950.
Je leur signale que doivent êt re joints à
ces do~uments budgétai res, les états des
restes a payer, les états des restes à recouvrer,. ~t les comptes de gestion des receveu rs
mUnicipaux.
P Qur le Préfet et par délégation,
Le Secrétaire Général
Signé : Guy LAMASSOUÎœ.
- - - - ( >00<>-- - - - _
02 B3
F3
TAXE LOCALE ADDITIONNELLE AUX
TAXES SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES REPARTITION DE LA
QUOTE-PART DE LA TAXE LOCALE AFfERENTE AUX TRAVAUX PUBLICS ET D'EQUIPEMENT NATIONAL REVENANT
AUX COMMUNES
J'ai l' honneur de porter ci-dessous à la
connaissance de Messieurs les Maires du
département le texte de la circulafre minisférielle n' 278 en date du 23 août 1950
fuant les modalités d'application de l'arti:
cie 3 de la loi du 3 1 juillet 1949.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secrétaire Général,
Signé : Guy LAMASSOURE.
•••
Le Ministre de l' Intérieur
à Messieurs les Préfets.
L'article 3 de la loi du 3 i juillet 1949 préVOIt un certain nombre de dispositions relati\'es il la répa rtition de la taxe locale
afférente aux travaux publics ou d'équipement national. Ces dispositions ont été
maintenues en vigueur pa r la loi du 31 décembre 1949 et se trouvent maintenant rep rises dans l'article 1576 du nouveau Code
général des impôts. Elles sont ainsi COnçues :
« Art. 1576. -- La taxe locale addit ionnelle aux taxes sur le chiffre d'affaires est
perçue dans la commune où le redevab le
possède l'éta blissement qui reallse les affaires taxables quel que soit le lieu du siège
social, de la livraison des proauits vendus,
de l'exéc ution des travaux ou de fa prestation des services.
« Toutefois, pour la perception de la
taxe : ,les entrepre neurs de tra va ux pu blics
ou d'équipement nationa l doivent obli ga toirement fai re élec tion de dom1cl1e dans la
commune où s'exécutent les travaux et s'y
faire représenter par un prepose.
e Lorsque ces t ravaux s'étendent sur le
territoire de plusieurs communes ou départements, l'entrepreneur doit faire électio n de
domicile dans l'une de ces comm unes seulement. Dans ce cas, la répartition du produit de la taxe locale est faIte entre les
communes intéressées p a r acco rd de leurs
maires ou, â défaut, pa r arrèté préfec tora l
lor~qu'un. s.eul ~épartement est en ca use, pa r
a rreté fl1Jl1Ist énel lo rsque plusieurs départements sont intéressés.
e Une Commune ne peut percevoir au titre desdits tra va ux un produit de taxe locale supérieur au dou ble du bud get ordin aire de cette commu ne pour l'exe rcice au
co urs duquel ont commencé les travaux.
« Le surplus du produit de la taxe loca'e
est affecté à un fo nd s commu n départemental .....
L'application de ce texte soulève certaines
difficultés qui m'ont amené à co nsul te r le
Conseil d'Etat su r les points s w vants :
l ' Champ d'application des dispositions
susvisées ;
2'1 Détermination de l'exe rcice de référence ;
3' In terp rétation du terme « Budget ordinaire ;) ;
4'1 Détermination du fonas commun départementa l susceptible de bénéficier d u s urpl us de la ta xe 10caQe ;
. 5'1 Applicatio n des rè gles posées par l 'ar~
lIele 3 de la loi du 31 juillet 1949 il la Sl<ftaxe créée en application de la loi du 31
décembre 1949.
La présente ci rculai re a pour objet de
vous fournir toutes les précisions nécessitées
par l'application des dispositions précitées,
lesque ll es. ne s'appliquen t pas a ux départeme~ts qUl, resta nt soumis
au régi me de
d~olt commun, bénéficient des attributions
directes de 15 p. 100 de la taxe perçue sur
I ~u r te rritoire,~ par les ' services des Régies
~lnancières. Quant aufonds de pé réquation
I~ bénéficie en tout état de .c::ausc ete la frac~
hon de la taxe prévue par la législation en
vIgueu r (décret du 9 décembre 1948 et loi
du 3 1 décembre 1949) .
1. -- Champ d'application
ILe Qégislateur, ap rès avoi r posé le principe gé néral selon lequel la t axe locale est
perçue dans la Commune où se trouve l'établisseme nt réa lisant les af.faires taxable,
quel que soit le lieu de l'exécution des travaux, a entendu donner aux setne:5 communes sur le territoire desquelles s'effectllent
des lravaux publics ou d'éqUipement nalio-
naJ d'une certaine importan ce, des avanta_
ges particuliers pour compense. notamment
tes charges ou les inconvénients que ces
collectivités doivent suppo rter du fait de
l'exéc uti on de ces tra vaux. Par suite, les
tra\·a ux qui, tout en éta nt relatifs à des
ouvrages publics ou d'éq uipement national
ne concernent que l 'en treti~n norm a l de ce~
ouvrages ou qui ne comportent t:n raiSon
de leur très fai ble durée aucune sujétio n
particulière pour la wllectivité, n'e ntrent
pas dalls le cha mp d' application des dispositio ns précitées.
En d'autres termes, les communes ne peu- '
ve nt bénéficier des attributio ns directes Su r
le produit de la taxe locale afférente à de~
travaux publics ou d'équipement national
effec tués par des entreprises ayant leur siège e n dehors de leur territoire, que dan~
la mesur e où ces travaux ont un ca ractè re
extra ordinaire.
Par ai lle urs, la règle en vert u Oe aaquelle
une commune ne peut perceVOir au litre de
fa taxe afférente aux travaux précités une
attribution di recte supérieu re au double de
son bud get o rdin ai re, s'applique, qu 'il s' agisse de travaux effectues uniquement sur son
territoi re ou de travaux intéressant plusieurs
comm un es.
En out re, il va de soi qu'une commune
ne peut p rétend re au titre de divers travaux
publics Ou d'équipement natronal, qu'à une
attribution glo bale de taxe li mitée au double de son budget ordi nai re.
11. -
Détermination de ['exerCice
de reférence
Le budget ordinaire auquel Il co nvient de.
se référe r pour déterminer le montant maximum du produit de la taxe locale que la
commune peut pe rcevoi r est, a'apres la loi
celui de l'exe rc:ice au cours duquel ont commencé les travaux.
Dans l' hypothèse où ces trava ux ont été
inte rromp us puis repris, il est conlorme ft
l' in tentio n du législateu r de rete nir comm e
exercice de réfé rence celui a u co urs duquel
les travaux ont été repris à la co ndit io n
toutefois que le ur in terruptio n aH duré plus
d' une a nn ée et qu'il ne s'agisse pas d'un
simple parach èvement de l'ouvrage.
Si de nouveaux tr avaux étaient entrepris
a lors que d'autres e nti è rement distincts seraient en cours d'exéc ution, il y au ra it lieu
de retenir comme exercice de référence celui qui détermine la limite la -plus élevée audessus de laq uel1le la com mune cesse de pouvoi r bé néficier de la ta xe. Ce serait donc,
en gé néral, l'exe rcice du commencem ent des
nouveaux travaux qui devrait et~e pris en
considération.
.
III. - Interprétation du terme
« Budget ordinaire .)
La loi indique comme limite le double du
budget o rdinaire.
P a r budget ordinaire, il faut entendre la
t otalité des recettes o rdi naires de la commun e fi gura nt au com pte administratif (opération s propres à l'exe rcice).
Toutefois, il y auta li eu d'exclure à l'avenir des recettes ordinaires de Wexercice de
réfé rence, le mo nt a nt de l' attribution directe
de la taxe et de la s urta xe locale perçue
au Co urs de cet exercice au titre des tra·
vaux publics ou d'équipement nat iona1, en
appli cation de la loi du 3 1 juilfet 1949.
D a ns le cas où les résu ltats de l'exercice
de référence ne seraient pas encore connUS,
des acomptes pourraient être consentis à la
commune intéressée en .fonction des recettes
ordinaires du budget primitif, déduction
faite bien entendu de D'attribution visée au
paragraphe précédent.
ILa rég ul arisa ti on interviendra lorsque l'on
co nnaitra les rés ultats du compte administratif.
1V. - Détermination du fonds co mmun
déparlemental sllsceptible de bénéficier
du surptus de la taxe locale
La loi précise que le produit de ra ta xe
locale excédant le double des recettes o rdinai res de ~'exercice de référence est att ribué à un fC:?nds com mun départementa l.
Dans le silence du texte, j'estime que ce
fonds commun départem ental est celui créé
pal l'a rti cle 251 du décret du 9 décembre
W48 (1) et que les règles fixées po ur la répa ll,tlOn de la dotat ion de ce fonds comn, un sont app li cables en l'espèce (cf. ma ci rcu la ire n" 27 du 18 janvier 1950).
Cette in terprétation, out re qu 'elle parait
conforme aux intentio ns du législateur, permet d'évite r la créatio n d' un fonds spécial
alimenté par la taxe afférente a ux se uls travaux pu blics ou d'équipement .national et
dont les modalités d e répa rt itio n ne sont pas
prévues par aa loi.
V. - Application des règles posées par
l'arlicle 3 de la l oi du 3 1 ju illet 1949 à la
sllrtaxe créée en application lie la loi du
3 1 décembre 1949.
La loi n' 49-1642 du 3 1 déce mbre 1949
permet aux conseils muni cipaux de voter
une majoration dans la limite de 0,25 p. 100
du taux de la taxe locak
Les communes sur le territoire desquelles
sont effectués des travaux publiCS ou d'éqUIpement national peuvent instituer cette maJoration qui ne subit pas de prélèvement au
bénéfice du département ni du fonds national de péréquation.
Néanmoins, cette majoration doit, lorsqu'il s'a-g it de travaux publics ou d'éq uip ement national, être soum ise aux mêmes règles que la taxe locale proprement dite lorsqu' e11e frappe les dits trava ux e n ce qui
CO ncerne :
l ' La omitation a u doub le du budget ordinaire ;
2 n La répa rtiti on entre les communes.
Ainsi, le produit él'e- la- surfa xe afferente
aux dits trava ux, ajouté aux att ributions
faites directement à la commune sur te produit de la taxe locale, ne doit pas excéder
le double des recettes ordinaires de l'année
au Co urs de laquelle ont commencé les trav,aux, Car le but du Œégislateur a été préCisément d'é·viter que certaines localités ne
perçoiven t au titre de ces travaux des att ributi ons excessives.
D'autre part, les regles (Je rt!partition
prévues par l'artiCl e 3 de la 101 du 3 1 juillet 1949 doivent jouer quand plusieurs communes sont intéress ées.
Un certain nombre d'hypoth èses peu ve nt
se présenter :
A) La majoratio n n'a pas ' été instituée
dans la commune où l'élection de domicil e
a été faite. Dans ce cas, la surtaxe n'est
pas perçue s ur les travaux [l,u\j\ics et d'équipeme nt national;
.
(1) Il s'agit bien entendu du fonds commun du département où se trouve la com-
tS) La majoration a etc Instituee dan:, la
CQlIlI IIUil t;: vu 1 entrcprcncu\ 11 ,aH t:LeclIOL'
ut.: UUmILUt:. Lt: lJflH..IUJ[ ut:: .a surta.u: LlU!
1,,;:,( dLUfS pcrtrut! :,ur 1 t:nsernOIt: Ut:S travdUA
ùQJ( e[r~ rt pctf[J t:mre les St: UIt:S tommunt::s
4U1 QIH IIlSIItue la surtaxe.
1 rOIS Las peuvent alOrs :5C présenter :
1
IOU lt::::; 11:::5 I.OlllmUllé;:, Ull Id Sllnc.tx.~ t::'1
JIl;:,ut UI.:t: UII[ aUvj)tc le rntOlt.: taux. 4,Ut: I c.t
l:ufIlmunt: OU LI a I;:te Hm eiectlOn ut: uumlCut::. JJans le cas, Jt.: prooUlt lle i.3 SUfia>..e
est rt:paru t!ntre ces cummunt.:S Jans It:S
111 (;: 1111;:;:' l:um.lltlons t:t Ilfllttt': <-lut: le produH
ut: 14 taxe localt: propremt.:nt olte.
t, " Une Ou plUSieurs communes ont ilxe
Ull taux plUS t: leve que Jtt commune ou JI
a ete .Ian eleCtlon dt: domicile. La repartltl~l1 est eftectuee comme li est pratique au
1" J CI-dessus, sans temr compte de la trac:·
rton oe surtaxe qUI excede celle mIse en
recouvrement dans la Co mmune ou 11 a éte
rait election de domicile.
S'il en étaIt autrement, une commune où
ne serait ettectuee aucune autre opé ration
taxable pourraIt, par l'institution toute
théorique d' une surtaxe à un taux plus élevé que celui de la commune uU a eté faite
l'élection de domicile, percevoir des attrib utions qui viendraient diminuer fa part de
cette dernière comm une.
3° Une ou plusieurs communtZ ont instttué la surtaxe il un taux inférieur à celUI
LIe Ua commune où a été .faIte t-election de
domici le. La part attrib uée il cette ou à ces
co mmunes doit être réduite dans le même
rapport que celui des taux de la surtaxe.
Pratiquement, il y aura l)eu, pour obtenu
ce résultat, de déterminer de la manière
suivante les indices de répa rtition à porter
sur les états n" 4 (ou 5) visés au paragraphe <. mesures d'ordre pratique ~ alinéa 2
ci-après :
.
Des indices provisoires de répartition seront d'abord fixés par les marres en tenant
compte notamment de l'impo rtance des travaux respectifs dans chaque commune et des
charges et inconvénients résultant pour elle
de l'exécutio n de ces travaux sur son territoire.
Puis, chacun des indices pro visoi res des
com munes ayant instituées Îa surtaxe à un
taux inférieur à celui de1a "Commune du
lieu de l'élection de domicile, sera corrigé
en le multipliant par le ra ppo rt entre, d'un e
parf, le taux cumul é de la taxe et de la
surtaxe prop re à la co mmune considérée et,
d'autre gart, le taux cumule de ta taxe et
de la surtaxe concernant la commune du
Jieu de l'élection de domicile.
Les indices de répa rtition définitifs ainsi
calcu lés se ront portés su r les états n Qs 4
(ou 5) sus\'isés.
Exemple : soit trois commu ne s, A, B. C.
Les communes A et B ont maj oré la taxe
respectivement de 0,25 et 0,20 p. 100.
La commun e C n'a pas institué de surtaxe.
Les indices provisoires de répa rtition
adoptés sont les suiva nts :
A : 60 -- B : 30 -- C : 10.
Indices définitifs des commu nes B et C
B=
30 x 1,7
29, 14 soit, arrondi 29.
La répartition des produits de la taxe et
de la surtaxe s'effectuera donc au prorata
des indices 60, 29, 9.
Disposilions transiloires pour 1949
Pour 1949, la règle de la limitatio n au
do uble du budget o rdin ai re ne s'applique
qu'à l'attribution de 'taxe afferente aux trava ux pu blics et d'équipement national et encaissée du 1er aoGt 1949 au 3 1 janvier 1950.
MESURES D'OR DRE PRATIQUE
Etats slatisliqu es à fournir
aux Directeurs Départementaux
des Contributions Indirectes
1 Etats co ncernant le plafond des sommes
pouvant être attribuees aux communes :
Les maires intéressés feront parvenir au
plus tard avant le 1er mai de chaque année
aux Directeurs des Co ntributions In directes
pa r votre inte rm édiaire et ap rès visa de
l'a utorité qui règle le budget de la commuu
ne : (1)
a) Un état conforme a u modèle n° 1 annexé à la présente ci rculaire indiquant le
montant maximum définitif des sommes pouvant èt re allouées aux communes intéress~es
au titre de t'e xe rcice considéré (cas où le
compte administ ratif de l' exercice de référence est conn u).
b) Un état co nfo rm e au modèle n' 2 anne xé il. la présente ci rculai re indiquant le
montant maximum provisoire des sommes
pouvant l:t re allo uées aux: commu nes intéressées au titre de l'exercice considéré (cas
où le compte admi ni stratif de l'exercice de
référence n'est pas connu).
Un état co nforme a u modèle n° 3 annexé à la présente circulaire sera fourni
lorsque le compte administratif de réfé rence sera connu pour les opérations de régularisation des acomptes versés.
Ces di\'ers états devront être groupt's par
\'OS soins sous bo rd ereaux distincts. Pour
les a nn ées 1949 et 1950, ces états devront
parvtnir aux Directeurs départementaux des
Contributions Indirectes au plus tard le ter
(lO\embre t950.
2(0 Etats indiquant les indices de répartition
entre les communes interessées du produit
de la taxe locale afférente aux tralJaux
publics el d'équipement nationat .'
Ces états d~iment visés par les autorités
qualifiées (maires ou préfets ou Ministre de
l'Intérieur) seront adressés par vos soins
aux Directeurs Départementaux des Contributions Indirectes avant le 1er mai de chaque année (1er novembre 19.(0) pour les années 1949 et 1950 (état modèle n" 4 cijoint).
A ce t éga rd , il vous appartiendra d'aviser
les maires intéressés que, faute par eux
d·a\'oir conclu un accord en vue d'arrêter
les indices de répartition de la taxe avant
le 1er mars de chaque année (le 15 septembre 1950 pour les années 1949 et 1950), ces
indices seraient, conformément à la loi,
fixés par vos soins, compte tenu des contingences ~ocales.
Les pourcenta~es de répartition retenus
seront considérés comme définitifs pour
l'année considérée et ne pourront faire l'objet de modifications que dans les cas où les
travaux s'étendraient en cours d'année sur
1,75
C =---
Le Préfet visera évent uellement les
concernant les villes dont 1. budget
�1III
lm
le territoire de nouvelles communes. Da ns
ces dernie rs cas, des états rectificati fs et
complémentaires conformes au modèle 5 anne xé à la présente circulai re devra ient être
ad ressés au..x Directeurs des Contn but lO ns
In di rect es.
Il vous a ppar tiend ra également de me sais ir ava nt le 1er av ril de chaque année (1 e r
octob re 1950 pour les a nn ées 1949 et 1950)
de vos propositions en vue de la fixatio n
éventuel le pa r a rrêté ministéri el des indices
de répartition de la ta xe a u cas où les trava ux s'étendraient sur plusieurs départements et où vo us n'auri ez pas r éussi à ob-
tenir l'accord des maires.
j'appelle votre attenti on, ai nsi que celle
des Maires, sur la nécessité, pour sim pli fier
le t rava il des age nts des Co ntr ibu tio ns Indirectes, de fixe r des indices de répa rtit ion
aussi simples que possible et, en tou t état
de cause, ne comportant pas de décimale.
Pour le Ministre de l'Int érieur et P.O.
Le Préfet, 'Directeur de l' Administration Générale, Départementale et
Communale,
Pierre-Jea n MOA TT 1.
•••
Ministère de l' Intérieur
Ministère 'de l'Intérieur
Dépa rtement de
Commune de
Ta xe locale additiof/n elle
sur le chiffre d'affaires allérente
aux travaux publics
et d' équipement national
Certificat n' 2 (1)
Les recettes ordina ires (2) du bud get primiti f de la commune pour l' exercice
rete nues pour l' appli ca tion des disposition s
du 5me alinéa de l'a rti cle 3 de la loi numéro 49- 103-1 du 31 juillet J949, s' élèvent
à la somme de
Le montant maximum provisoire des sommes q ue la comm une po urra percevo ir a u
tit re de na taxe et de la surtaxe loca le ad dit ionne lle a ux taxes sur Je chi ff re d'affai res
af.fé rent a ux t rava ux publics et d' éq uipeme nt nationa l reco uvrée pend ant la pé riode
co mpri se en tre le 1e r févrie r
et le 3 1
pa r l' Ad mi nist ratio n des Co nja nvi er
t ributions Indi rectes, est fi xé aU. do uble des
recettes ord inai res susvisées, soit
A
le
A
le
Visa du Mair e,
Visa de l'aut orit é
chargée de régler le b'udgel
de la Commune,
Ln conséquence, M. le Directeur Départemental des Contributions Indirectes est
prié de r égLÙariser la situation.
A
le
A
le
Visa du Maire,
Visa de l'aut orit é
chargée de régler le budgel
de la Commune,
Comm unes
•••
Taxe lo cale additionnelle
sur le chiffre d'affaires afférente
aux Tral/aux Pu blics
et d'Equipement National
Certificat d' 1 (1)
Les recettes ordinai res (2) du co mpte administratif de l a commune pour l'exercice
retenues pou r l'a pplicatio n des
dispositions du 5me a linéa de l' artic le 3 de
la loi n' 49-1034 du 3 1 j uillet 1949, s'élèvent à la somme de
Le montant ma ximum définiti f des sommes q ue la commune pou rra percevoi r a u
t it re de la ta xe et de la surtaxe locale add i-
Dépa rtement de
Commune de
Ta xe locale additionnelle
sur le chiffre d'affaires afférente
aux travau x pu blics
et d' équipement national
Le Directe ur Dépa rtementa l des Co ntribut ions Indirectes est avisé q ue les indi ces
selon lesquels doit êt re répa rt i ent re les
com munes i ntéressées le prod uit de la taxe
et de la surtaxe loca le addition nell e aux
t axes sur le chiffre d'affaires afférent au x
tra va ux publi cs et d'éq uipeme nt nation a l (2)
reco uvr é au cours de la pér iode co mp rise
ent re le
et il e
pa r
l'Administrati on des Contributi ons !ndi rectes sont les su.i va nts
tionnelle aux ta xes sur te chiffre d'afiai res
a ffé rent aux travau x publics et d'équi pement nati ona l recouv rée penda nt la période
co mprise ent re le 1er fév rier
et le 3 1
ja nvier
par "Admin ist ration des Con-
t ributions Indi rectes, est fi xé au double des
recettes ordina ires susvisees, soit à
A
le
A
le
Visa du Maire,
Visa de ij'autorité
chargée de régt er le budget
de la Commu ne,
(1 ) Cet état est a dr essé a u Directe ur Dépa rtementa l des Contrib ut ions Ind irectes.
(2) D éduction faite des a ttrib utions directes de taxe locale a dditio nnelle aùx taxes
s ur le chifre d'affai res aflérentes aux t ravaux publics et d'éq uipeme nt natio nal (recettes
en a pplica tion d e la loi d u
Indices
Commun es
Dépa rtement de
Commune de
aux travaux publics
Ce rt ificat de rég ularisatio n n' 3 ( 1)
Les recettes ordi na ires (2) d u compte admini s tr atif de la com mu ne po ur " exerc ice
retenues pour l 'application des dispos iti ons du 5me ali néa de l'a(licle 3 de la
loi n' 48- 1034 du 3 1 juillet 1949 s'élève nt
à la somm e de
Le montant maxi mum définitif des sommes q ue la commune pourra per cevoir au
titre de la tax e et de la su rtax e addit ionnelle au x ta xes su ~ le chiffre d'affai res aff ére nt aux tra vau x publics et d' éqUipement nati onal reco uvrée pendant la pé riode comp rise entre le 1er février
et le 3 1 j anvie r
pa r l'Administ ratio n des Co ntributions Indi rectes, est fi xé au doub le ires recettes ordinai res susvisées, soit a
Il est rappe lé q ue le monta nt ma xim um
p roviso ire avai t été fixé à la so mm e d e
( 1) Cet éta t est ad ressé a u Directe ur Dépa rtementa l des Co ntr ibutions Ind irectes.
(2) Déducti on faite des attri butions d irectes de taxe locale additio nn e l~ e aux t axes
sur le chiffre d'affa ires a fférentes au x trava ux publics et d'éq uipement nationa l (reen a pplication d e la loi du
le
,
Visa du Maire,
-------< . 00< . -------
0 283
F 3
TAXE SUR LA PUBLICITE
J'a i l' honneur ci e porter ci-dessous à la cOnnaissane e de M/J~\ . Jes Ma ires du d ~pa r t e ment
le texte de l a ci rcul ai re ministérielle n° 335
en da te d u 10 a oût 1950 fi xant les moda li t és
d'app'lica tion de l'articl e 3 de ta loi n" 50939 du 8 Ao ût 1950 instit uant une taxe co mmunale sur la publi cit é.
Signé : Gu y LMliASSOUiRE
•••
Ministère de /'Int érieur
et d'éq uipemenl national
A
LePresident du Co ns eil MiOlst re
l' Intérieur.
à MMl. les P réfets et Sous-Prélets.
•••
le
A
Visa du Maire,
Préfet,
Ministre de /'Int érieur,
( 1) Cet éta t est adressé a u Di recteur De·
pa rteme nta,1 des Co ntributi ons In d irectes.
. (2) Désig ne r les t rava ux (pa r ex. : cons·
t ru cti on d' une route de
à
co ns truction d u ba rra ge de
).
•••
Ministère de l'Intérieur
Dépa rtement de
Commune de
Taxe locale additionnelle
sur le chiffre- d'affaires afrérente
aux travaux publics
el 'd'équipement national
Ce rt ificat rectifica hf n' 5 (1 )
Le Oi recte ur Dépa rteme nta l Oes Co ntri ..
butions Ind ir ectes est avisé que les noUvea ux i ndices suh'ant !lesqu els à partir du
doi vent êt re répartis entre les
comm unes intéressées le prod uit de la taxe
(1) Cet état esf a dressé au Direc teur Départemental des Contributions 1ndirectes.
(2) Désigner les travau x (pa r ex., co nst ru ction d' une route de
à
sauf ci rco nctanees ex,ceptionnell es, seules
les aglglomérations urbai nes de quelque i mpor tance peu ve nt avoir intérê t à institu er
c~tte ta xe, en raison, d'une part, de so n assiette ~e st r einte, d' autre part, des frais de
percep ti on et de con trô e.
Après ap pm ba tion de la dé libératio n d u
Conseil municipal, la date d'application de
la ta xe est f ixée par un arrêté municipal qui
devra être affiché sur le t err itoire de la commune et inséré au Recueil Ides A ~tes Adm inistraWs du départe ment, lequel de vra être
mis à la dispOSition des personnes i ntéressées qui en rferont la 'd'emand e.
Cette da te d ev ra être fixée comp te tenu
d~ . délai nécessaire, d'une part, à l'approVISionnem ent en vignettes d es r ecev eurs
munic(pau.x ou des régisseurs de rec ettes
( 1 mois envi ro n com pter de la co mmande),
d' autre part, à fin staJlati on d'es services de
recou vrement. En outr e, la plus gr ande p ublicité l'ossi ble doit être donn ée il l' institutio n de cette taxe, les redevables n'étant pas
le plus souvent domiciliés sur le terr itoire
de la co mmune intéressée. Aussi, vo us aurez
soin de m'adr esser au fu r et il mèsur e la liste
d'es communes ayant institu é la ta..'<e sur I:l
pUlblicité ain si que les dates de mise en appli cat ion, de iaço n à me Ipermettre de cen traliser ces renseignements et leur <Io nner sur
le plan nati onal la diffusion nécessaire.
a
Etat de répa rtiti on n' 4 ( 1)
(1) Cet état est ad ressé au Directeur Départem ental des Contri butions Indirectes.
(2) Déd uctio n fa ite des a ttri bu ti ons di rectes de la taxe ~ ocale add itio nnelle au x tax es
sur le chi ff re d'affai res aff érentes a ux t rava ux publics et d'éq ui peme nt nationa l (recettes perçues e n app ilca tio n de la loi du
l i j uillet 1949).
Taxe locale additionnelle
sur le chillre d'affaires a/ t érenle
1ndi ces
Ministère de /'Intérieur
Départeme nt de
Commune· de
et de l a surtaxe l ocale addir. onnelle aux
taxes sur le chiffre d'a ffai res afféren t aux
trava ux . pu blics et d'éq ui pe men t na ti onal (2)
recouv re au co urs de l a pén ode comprise
ent re .Ie . .
et le
pa r
l'AdmlOlst ra tl on des Contrlbutions Indi rectes
sont les sui va nts
de
Jusqu'a u 3 1 décemb re 1948 les d~pa rte
ments et les co mmunes étaient autori sés à
percevoir une t axe sur ,la publi cité ne
pou vant dépasser r espectivement le Ihuitième
et le qua rt de la ta xe perçue a u pro1it de
l' Etat. Cette taxe a été su pprimée à partir
du 1ei -j an,vie!" 1949 , en application du décret
du 9 dëce mbre 1948 port a nt réfo rm e fiscale,
q UI a a'brogé le t itre VI du Code <l'li Timb r e.
Par contre, les Icommunes ont été, il nou.veau, autoriseées à i nstit uer une taxe sur la
publi ci té, par l'a rt icle 3 de la loi n' 50-939
du 8 Août 1950 (J . O. d u 12, pages 8505 et
85(6), ,co mpl été par le déc ret 5 1-354 du 20
mars 195 1 et l'arrêté intermini stériel du même, jour (J . O. au 23, pages 2952 et 2955).
J attire donc >dés l',,bord: vot re a ttenlion
sur ce I~a it que la nouvell e taxe est essentiell ement une taxe comm unale, les d~parte
ments ne peu\·ent l' institu er. D'autre paTt,
elle n'es t plus un e taxe assise pa r les acren ts
de l'Etat en ad<lition à Ja taxe d' Etat, b mais
u.ne ta.xe recouvrée pa r les soins de l'admirustrahon municipa le.
1 E"!i n, la lo i du 8 août 1950 a~p l icabl e dans
es d épa rte ments du 'BaS-JRh in, du Ha utRhi n et de la Moselle, ai nsi que dans les
dépa rtem ents d'Outre-<.Mer.
Institution de la taxe
L 'insti tutio n de la ta xe sur la publi cité doit
être. décklée par délibéra tion du Co nseil
~lI nt C I Pal, approuvée par l'autorité qui règle
e b udget. Vous attirerez l'a ttent io n des ma ires de votre dépa rtemen t sur le fait, que,
11
Assielle
L orsqu' une co mmune a décidé .d' instituer
la taxe sur la publ icité, celle-.ci est automatiq uement ap plicable à tous les mades <le ;publicité éno ncés il l'article 3, § B de la loi du
8 ao ût 1950.
Affiches réclames et enseigne s auxquelles
la taxe doit être appliquée
Sont soumises a la taxe, sauf dérogations
prevues par ,'arrêté intermin istériel du 20
ma rs 195 1. :
1° Les affiches su r 'Papier or dinaire, imprimées ou manscrites (paragraphe B, ' 1° de
l'a rti cle 3 de la loi du 8 août 1950).
2" L es affiches ayant subi un e préparation
qu elconque afin d'en prolon.ger la durée, soit
que le papier ait été tra nsform é ou préparé,
soi t qu'elles se trouvent profêgées par un
verr e, un vt!rn is ou une substanee quelconque, soit qu'antérieurement à leur appositio n
on l es ait collées sur une plaque de metaJ,
une toile, ete ... L es affiches sur 'papier ordinaire, imprimées ou manuscrites apposéeii
da ns un lieu couvert public ou dans une voi t ure servant au transport du publics sont
assi milées à celte catego ri e ( § B, 2").
3° Les affiches peintes et en général to utes
les affiches autres que celles sur papier, qui
se trouvent dans Ull lieu public, même si
ell es ne sont pas 3pposées sur un mur ou
sur une constr uction (§ H, 3" ).
4° Les affiches réc lames et enseignes lumineuses constituées par la réunion de lettres ou de signes installés spécialement sur
une char,pente ou un support quelconque
pour rendre une annonce visi'ble tant la nuit
que le j our. Sont assimilées à ces affiches :
ies aftfiches sur papiN, les affiC1hes peintes
et les enseignes éclairées la nuit au moyen
d' un dispositif spécial (§ B, 4").
5\1 L es afIiches réclames et enseignes lumineuses réalisées ,par projections intermitt entes ou successives sur un transparent ou
sur un écran, par combinaison d.e
mineux sus c eptib ~ es de for mer les différ entes lettres de l'alphabet dans le même espace
ou par tout aut re procédé analog ue (§ B, 5' ).
Exonél'3tions
L'attention des muniCÎ'palités devr a être
at tirée sur les dispositi ons d e l'arrêté du 20
mars 195 1 (J . O. >d u 23) joint en a nn exe à
la présente circ ula ire, qui éta bfi t la list e des
af:fiches-réclames et enseignes di~e nsées de
l'ap plicatio n de la taxe sur l'affiohage.
Les aitiches et panneau x relatifs au fonctio nn ement d'es services publ ics d'eau et de
gaz, ainsi que les afiiches destin ées è avertir
le publi.c des da ngers r ésultant des manœuvres de barrages, il la co ndit ion qu'ils ne
co nti ennent aucune au tre sorte de publicité
sont également dispensées de l'application
de la taxe.
Sont co nsidérées comm e affiches de haute
portée socia le (a rticle 1er, 1" de l'arrêté du
20 ma rs 195 1).
1° L es affiches apposées par la CroixRou..ge Française,
2' Les a ffich es aya nt pour Objet la préservati on ou l a l utte co ntre les ma ladies constitu ant de grands fléaux sociaux ou contre
les causes sociales <le ces maladies i
3° Les affiches desti nées, à'a ns un intérèt
exc.lusivement national ou social, il favoriser
le dévelo ppement oe la natalitt ou la lulle
co ntre la dénata lité, le so utie n et la protection de l'en fance, l'encouragement 'et l'aide
à la fam ille.
4° L es affi.ches se rapportant ex.c1 usivement il des campagnes d'action sa nitaire
a uxquelles le Ministère de la Sa nté Publique
au rait au préalable donné son accord".
5° Les affiches apposées à l'oc.casion de
journées nationales régulièrement au torisées,
et concernant uniquement ces journées nat ibnales.
Les affiches visées aux alinéas 2""; 3° et
4° ci....dessus ne bénéficient de l'exemption
de la taxe qu'à la conditi6n :
a) Qu'elles soient exclusives de tous autr es
Objets que ceux définis dans lesdits alinéas
et, notamment, de la reclïe rche -d'in térêt par:
ticulier quelconque.
b) Qu'elles émanent d'œ uvres dOnf les
r essources sont intégral ement et directement
consacr ées à ces ojbets.
En ce qui concern e les affie-hes mentionnées au 16°, affi.clies concernant J'admi nistration des .\o1 onts de Piété, il Y a lieu a'incl ur e dans cette catégorie les affiches se
rapport ant à l'administration et au fonction\\unicipal.
nement des Caisses de Crédit w
dont l'organisation et le but poursuh' i sont
Klentiques.
llf
Taux de la taxe
Les l aux ,\wlieables sont fixés par le § C
de l'article 3 cie la loi du 8 aoat 1950. ns
ne peuvent être modifiés par les municipalités.
1° Affiches sur papier oniinaire
(§ B et C. l ').
- Affiches dont la superficie est inféri eure ou éga les à 25 èm2 . . . .......
5 fr.
- Mf! hes dont la superficie est com]JTÎse
entre 25 et 50 dm2 inclus ... . .... \0 Ir.
- Affiches dont la su perficie-~omprise
entre 50 :dm:? et 2 m2 inclus . ..... 20 fr.
Affiches d'une superficie supérieure en
m ? nu
f~.",.. + ; .... "
~ ..
_'"
rvo,.
~
�1115
184
AfficheS sur papier ayant subi une prép";;'lion spéCiale Oll protegees (~,B_ etC, 2 ")
Les tall...X applicables -il cette categorie so nt
?
équivalents à trois tois la v ~eur des ta~x.
précedents sallf pour les affiches apposecs
<tans les lieux CQ U\'ens publics et da":s le~
voit ures servant au transp.ort du pubhc ou
tOt,S E:ette valeur.
Pour ces deux sortes d a_ttlcnes, ~a taxe
est e..xigible une fois ~our toufes.
-,
Toutelois, il est rappelé qu,e les athches
a\ppos~es a l'intérieur o u a 1 exter'ieur .d~S
ils ne sont que de deux
voitures utilisées par la S.N ..CY,. 'la Regl~
Autonome des T ransports PariSIenS, de~
compagnies et entrep.ri~e~ ,de t ranspo,rts r~
gionaux et locaux beneficlent de ex? nératlOn prévue à l'article 1er 26' de 1 a rreté du
20 mars 1951.
3. Affiches peintes et assimilées
!
(§ B et C, 3").
.'
d
Le taux applicable à cette categorie est e
100 fr. par mètre carré au fractiOn d'e. mètre
carre et par pêriorle qujn~u~nna1e, .11 est
doublé il partir <l'une superti<:le s upeneure à
50 mèt res ca rrés.
40 Affiches et enseignes lumineuses permanentes (§ 8 et C, 4')_
. '.
Le taux de base est fixé à 100 fr. par metre carré ou tractio n de mètre carré et pa r
année. Il est doublé pou r les eo mm~nes de
plus de 100.000 nabita nts , et tnple po ur
Paris. Ces tariis so nt doubles pour la fraction de la superficie excéda nt 50 mètres
carrés.
. .
Cette taxe peut êt re égalemen t acqwttee
par périodes mensuei~es. d.an~ c~. ca~, les
taux appücables so nt fixés alnSl qu Il SUIt par
mètre carré ou fraction de mèt re carré et
par mois:
'
l ' Communes dont la populatio n n'excede
pas lOO.OOOnabtants .... . .. - . . , ,25 fT.
2. Communes dont la population depasse
100,000 habitants .... . ... ....
50 Ir.
3' A Paris .... ... . ,.,. .... 100 Ir.
Ces ta ri fs mensuels sont doublés pou r
toute fradion de la superficie excédant 50
mètres carrés.
5' Affiches et enseignes lumineuses à caractère non permanent (§ B et C 5').
Taux de base: 100 fr. mensu ellement par
mètre carré ou fraction de mètre carré.
Ce taux est porté à 150 fr. dans les communes de plus <le 100.000 habitants et il 200
fT. à Paris .Ces larifs sont doublés pour toute
fraetion de la superiicie excédant 50 mètres
carrés.
Dispositions p al'ticulières
1er à sa g uise, sont co nsiderées comme
heux publics (Sol. Enregistrement du 23
mars 19 14). Il en est a insi po ur les parties
co mmunes d' un immeuble : vestibule, co u·
loirs, cages d'escaliers, paliers (So l. d u 18
décembre 1~35).
Il est évident que cet énonce ne peut avo ir
\In ca ract~re limitatif, la jurisprudence étant
dans ce domaine en évolution co ntinu e.
Par exe mple. il apparaît logique d·ad'mettre jusqu" ce q u' il en soi t td'écide a utrement
qu~ les grands maga~ins, do~t ".entrée est
absolument libre, et ou Je pub~ltc clrc ul~ s.a l~::;
aucune restriction, peuvent etre Iconslderes
comme lieu x publics.
D'a utre IIJa rt, je vo us rappelle q ue 'po ~tr
les quatre premières catégo ries ti'affi-ches,
un do uble droit cor respondant à leur s uperficie est applicab le si elles co ntiennent plus
de cinq a nnonces distinctes.
En ce qui co ncerne la surface taxab le des
aftiches de ces quat re catégo ries, il Y
a lie u de remarquer que deux so luti on~
de la Direction Générale de l'Enregist rem ent
des 27 mars 1888 et du 20 décembre 189·1
o nt admis que la surface totale <les a,ific hes
compo rtant des ma rges blanches, c'est-àdi re non imprimées devait être taxée.
Pou r les trois 'der nières catego ries d'a tfiches la taxe afférente à une frac tion de périod~, mois ou a nnee, est exig ible en totalité.
Da ns les aM iches ,co mporta nt p lusieurs fa ces chaque face est co nsi<l.é rée co mme une
afficlle distincte et taxée e n CO T.1séquen ce.
Recouvrement
Il est prévu deux modes de recouvrement:
10 Par timbres mobiles,
2 0 Par dédaratlon.
l ' Affiches pouvant pennettre l'apposition
d'un timbre mobile.
Pou r les affiches de la prem ières catégorie et lorsque la nature de l'a~iche le permettra, pou r les affiches de la deuxième catégorie, .Ia taxe est acquittée pa r timbres mo biles. Ces timb res seront fou rnis aux municipalités par l'Atelier Géné ral d u Ti mbre, Sll r
demande signée du ~"'-aire et adressée a u
Tréso rier Payeu r Général du Département.
Us seront remis pa r l'intermédiaire de celuici, a u comptable municipal qui les p rell'd~ra
en clJarge.
Les frais d'impressi on seront à la c har ge
des communes intéressées.
Ces timbres devront porter en su rchage
le nom de la commune au 'profit de laquelle
la taxe est perçue. Cette surc.fiarge devra
etre apposée, préalablement à la vente par
te receveur municipal ou le régisseur de reCo nform ément il une jurisprudence conscettes. Les communes de plus de 100,()()()
tante, so nt considérées comme inscrites 'dans
habitants pourront obtenir que cette su run lieu pub lic (paragrapne B, 3' de l'article
oharge
soit imprimé à leurs Irais par l'Ate3 de la loi n· 50-039 de la loi du 8 aout
lier Général du Timbre.
1950) et p ar conseque nt soumises il la !ax.
Les timbres devront être collés ava nt
toutes les affiches pouvant €Ire vues de la
l'ailichage et devront être oblitérés soit pa ,
voie publique ou inscrites d'ans un lieu où le
la signature Id'U responsable de l'afficha"ge
public est admis à circuler libre~ent.
accompagnée de la date, soit par t'apposition
j'attire cepend.ant votre attention sur le
d'une griMe portant le no m ou la raison sofait que les bo utiques et ma gasins des marciale de ce respo nsable, to ujours accomc hands (Cassation: 15 mars 1832) les sapagnée de la date. La signature ou la g ri ffe
lons <ie coiffure (sol. Enregistrement du 8
devront déborder s ur le 'papier de l'affiche
décembre 1876) ne sont pas considérés comSeront considérées co mme non timbrées:
me lieux publics. En co nséque~ce, les affiches apposées dans ces établissements et
a) Les af,fiches qui porte raient un timbre
qui ne sont pas visibles de l'extérieur ne ~ont
n'émanant pas de la commune sur le te rpas so umises à la taxe_
ritoire de laquelle a été effectué l'affichage;
Toutefois, les
Celles qui porteraient un timb re ayant
les ohalets de ne,:esslt,;,
servi ;
c) Celles qui porteraient un timbre de valeur insuffisante, mais il co nCurrenCe se ulement de l'insuffisance de perception.
La vente des timbres sera a:s:s urt:e aux
rt'dl vah les pa r le rece\'eur municipal.
Toutefois, co nformément à lJ' a rtiCle 3 du
ûécret du 20 mars 195 1, les muni cipalités
po urro nt instit uer une régie de recettes
cha rgée d'assurer ce service ai nsi que de
p~n evo.i r les taxes énumérées a u pa ra g raph~ SUIvant.
4'" AI/hiles-réclam es
na/we ne permet
Jlnwre mobile.
et enseignes
dont la
pas l'apposition d' un
POlli les af ~lches de~ 3 me, 4me, 5me catégo nes et pou r cell es de la 2me catégo rie
do nt . la nature ne permet pas l'apposition
de tllnbres, la taxe devra être a(,.'quittee
p réalablement à leur appos ition o u a leur
modifi catio n, le cas échéant.
A cet effet, le bé néficiai re de la pu bli cité
o u l'e ntrepreneur d'affic hage dev ra déposer
à la mairie de la commune su r le territoi re
de laq uelle au ra lie u l'affic ha ge envisagé,
une décla rati on datée et signée contenant
les indicati o ns suiva ntes :
a ) La nature et le texte de l'a ffic he ;
b) Les noms, pré·noms, professio n ou raison socia le, le dom icil e o u le siège social
des personnes ou collectivités da ns l'i nté rêt
desq uel les la p ublic ité est faite ai nsi
qu'évent uellement de l'entrepreneur de publicité et de l' imprimeur.
c) La surface imposable de l'affichage, laquelle s'ente nd pour les aff iches et enseignes lum ineuses, d u rectangle dont les co- ,.
tés passe nt par les poi nts ext rêmes;
d) Le nombre des exemplaires ap posés el
l'emplacement exact de chacun d'e ux.
En cas de modifica tion a pportée aux alfiches, une no uvelle déola ration de forme
identique doi t être so uscrite.
Ces déèlarat ions so nt co nservées à la mairie dans un doss ier spécial et e nregist rées
sur un carnet il souche num éro té, comp rena nt deux vo lants détachables. Le montant
des d roits à payer ai nsi q ue les bases d'i mposition dev ro nt êt re reportés s ur la souche et su r les deux vo lants. Le vo la nt n° 1,
co nsid éré com me titre de perception est
ad ressé a u comptable municipal pa r l'inte rmédi a ire d u receveur des Finances ; le votant n 6 2 ass imilé à un bu'lletin de versement est remis au red evable afin qu'il pu isse s'acq uitter des d ro its aup rès d u comptable m uni cipal ou d u régisseur de recettes.
Afin de faci liter le con tr ôle, ce volant est
ensuite renvoyé à la mairie par le comptable
municipal avec mention du paiement eff~~
tué dès que le t itre de perception défi nlhf
(vo lant n° 1) lui est pa rvenu et a pu êtr!;
rattaché au paiement. Il dev ra être conse rve
dans Ile dossier sus-mentionné .
U ne q uittance détachée d'un carnet à s,ouche doit être remise au redevable pour JUs-tifier le versement.
Afin d'éviter toute contestation ultérieure,
les affiches peintes visées au paragrap he
B _ 3' de l'a rti cle 3" de la loi du 8 aoat
1950 devro nt porte r dans leur partie inférieure et à ga uche, e n ca ractères apparents,
le numé ro d'en registrement de la décla ratio n et la date de paiement de la taxe aHé- ~
rente à la première période d'impOSItIO n,
Il convient en outre, de remarquer q ue
rien ne s'oppose à ce que la taxe se. rappo rtant aux affiches, réclames et ~nsclgn~t:
visées au paragraphe B .. 5", SOit acq lll
tée à l'a nnée ou pour une période de plU-
sieurs mois, au lieu d'être acquIttée alJ
mois, si le redevable le demande.
En cas de renouvellement des affiches réclames et enseignes visées a u paragr~pbe
B - 3, 4' et 5' de l'a rlicle 3 de la loi du
oS août 1950, le droit afférent aux nouvelles périodes quinquennales, a nnuelles ou
mensuel'les, selon le cas, est ac quitté dans
les conditions ci-après :
1" Ta xe payable pa r période de cinq ans
o u d'un a n (affi.ches visées a u paracr ra phe
B - 3., 4" et 5° si, pour cette dernière catégorie, le rede va ble en fait la demande.
L. taxe afférente à la no uvelle période
doit être acquittée s uivant les moda lités de
verseme nt prévues au paragraphe IV _ 2 0
d -dessu.s, da~s le mois q ui suit l'expiration
du déla i de ci nq a ns o u d' un a n cou rant du
jour d u paiement de la taxe,
moins que
le redevable ne déclare 1'aff ichage s upprimé.
Afin d'éviter a ux assujettis de se t ro uver
par oubli e n sit uation d' infractio n, il leu r
sera adressé un avis d'échéance un mois
avant l'expiration de la pé riode pour laq uelle les droits o nt été acq uittés.
2" Taxe payable pa r période d'un mois
(affiches visées a u pa rag ra phe B - 4' et 5·)
o u de plusieurs mois, s i le redeva ble en fait
sa demande :
La taxe affé rent e il chaq ue mois aut re
qu~ le premier est payée, d'a près les mod3!lités d~ ve rsement, rev ues a u , pa ragra phe
IV - 2° CI-dessus, da ns lesdix jours quj s uive nt l'expiration d u mois p récédent et la
perception ' est contin uée de mois en mois
d~ ns ~es mêmes cond iti ons, jusqu'à ce qu'il
.,t éte déclaré que l'a ffic he, réclame ou enseigne a été supp rim ée.
Vf
Sanctions
Perception des amendes
Toute infraction constatée est punie d'une
a mende de 1.0J0 Irancs par affiche, réclame
o u enseigne, a u profit de la co mmune sur
le territoire de laquelle l'infraction a été
co nstatée. Pour les affiches lumineuses à
ca ractère no n perm~nent (paragraphe B 5°) cette a mende est encourue pour cnaque
a nno nce séparée.
Le maire Ou so n délégué tra nscrira s ur
un carnet il so uche le montant de l'amend~
et des droits si mples à pa ye r en indiquant
la date et la nature des infractions constatées.
Notificat ion des pénalités et d roits dus
sera faite aux redevab les, auxque ls il se ra
laissé un dé lai d'u n mois pour régulariser
de ur sit uation en se présentant à la mai rie
et en se faisa nt délivrer un bulletin de ver·
sement (2 me volet) avec lequel ils dev ront
se présenter a u percepteur mun icipal pour
s'acq ui tte r des sommes dues.
E n même temps q ue cette notification le
mai re transmettra par l'intermédiai re 'du
Préfet et d u Receveu r des Fi nances un titre
de recettes au pe rcepteur municip a l.
La partie inférieure d u bulletin de versement se ra, ap rés paiement, détachée par
le percepteur municipa l et renvoyée il la
mairie po ur être conse rvée da ns le dossier
se rapportant à l'alfiche po ur ~aq u elle l'infraction a été co nstatée.
Si le red evable néglige de se libérer dans
le dé lai qui lui est imparti, il y aura lieu
de prescrire l'établissement par le maire,
d'un état exécutoire pour le montant des
sommes dues, en ap.plication de l'article 154
Dispositions transitoires
de ta Ooi du 5 avril 18M, rel atif aux produits pour lesquels la loi n'a pas prévu un
~~s affiches aya nt subi une prépa rati on
mode spécial de recouvrement.
speciale ou protégée et les affic hes peintes
Le paiement des ame ndes et des taxes
(~' et 3'. du pa ragrap he B) apposées avant
dont la commune a été frustrée peut être
1 apP!II.catJon de la taxe seront assujetties
poursuivi solidairement :
au paiement des dro its co rrespondant à leur
10 Contre ceux. dans l'i ntérêt desquels
c~t~go rie .~~ à leur fo rmat, à moi ns qu'elles
l'annonce a été apposée ou inscrite ;
Il aient deJa suppo rté les d roits de timb re
2" Cont re l'affiche ur ou l'entrepreneur
perçus pa r Il'Etat avant le 1er janvier 1949.
d'alflichage ;
Les aff iches- réclames et enseignes lumi3° Contre l'i mprimeu r, pour les affiches
neuses permanentes ou nOIl pemlanentes
so r ties de ses presses.
(4· et 5' d u paragraphe B) existant au moL'action en recou vrement de la taxe sur
ment de l'applicatio n de la taxe y seront
la publicité et des amendes encourues se
également assujetties,
prescrit par un délai de cinq ans.
. La sit uation des affic hes apposées antén~ureme nt devra -:tre régularisée dans les
Reslitution
memes conditions que s'il s'agissait d'aH!La
taxe
indûment
versée par suite d'une
~hes nouvelles, dans le délai de deux mois
erreur,
quels
que
soient
les responsabJes de:
a .~ompt~ r de la mise en applicanon de la
cette erreur, peut être restituée.
del~b ératlOn municipale insiifuant na ta."\e, à
Cette disposition ne peut s~appllquer lorsn~olnS qu'i l ne soit procédé à leur supp resque
la taxe est acquittée par apposition de
SIOn dans le dit délai.
'
timbres.
Contrôl.
L'action en restitution se prescrit par un
de deux ans il compler de l'indue perdélai
Le co ntrôle de l'applicatio n de l'article 3
ception.
de la 101 du 8 août t 950 et du décret du
Observations
?O ma ~s 1951, ainsi que la constatation des
Il
faut
souligner
que l'e nsemble des disI nfra ~t lons! so nt assu rés pa r le maire, les
positions sus-mentionnées, dont le caractèf o nctlC? nn~lres muni cipallx assermentés, le
re reste exclusivement fiscal, ne sauraient
co mmissaire de po1 ice, la gendarmerie et en
être interprétées comme dérogeant à la loi
général tous les age nts de ,. fO rce publidu 18 avril 1943 régilementant la publicité
que.
sous toutes ses formes.
. Les procès-verbau x co nstatant tes inf ra cJe vous signale, en outre, que M. le Mi::ons devr""t être réd igés sur papie r fibre.
nistre des Finan<:es m'a indiqué que les mus se r o ~t exempts de toutes taxes et de
ni cipalités qui éprouveraient des difficultés
to us. fraiS de reco uvrem ent. Ils sero nt remis
d'ord re contentieux seront en mesure de
aU~Sltôt. a u maire de la commune inté ressée
trouver
des Directions départemenqUI. a rrete le montant de l'amende et des
tales de
les conseils et dod rOits simples à acq uitter par les co ntrevena nts.
à
4
Je jojns en a nnex.e à la présente circulaire
des modèles d'imprimes dont les municipalités pourront utilement s'inspirer tant pour
les déclarations des contribuables que pour
les registres à so uche.
P. le M inistre de l'Inlérteur et par délegalion, le Directeur Genéral de
l'Administration
Departementale
et
CommurUIle et de la Pro/e<fion Civile,
Pie rre-Jea n MOA TT 1.
N.-B.
dernier
ment à
sés dès
Les imp rim és me ntionnés au
alinéa de cette page so nt actuellel'impressio n, ils vous seront a dresq u'ils nOUS seront pa rven us.
•••
PIECE ANN EXE N· 1
Liste des affiches, réclames et trueignes dispense.s de la taxe sur la publicité i nstituée par l'article 3 de la loi n· 50-939 du
8 aoat 1950,
Le Ministre de l'Intérieur, le Minist re des
Fina nces et des Affai res Economiques et te
Mi nistre du Budget,
Vu l'arti cle 3, paragraphe 1 de la loi numé ro 50-939 du 8 aout 1950 ;
Vu le deeret n' 5 1-354 du 20 mars 1951,
relatif à l'appli cation de l'a rtiCle :l de la loi
du 8 août 1950, instituant une taxe communale sur la publicité,
Arrêtent :
Articte premier_ - Sont dispensées de la
taxe sur la publicité instituée pa r l'article 3
de la loi n' 50-939 du 8 août l!loO ;
l ' Les affiches d'actes émanés de l'autorité publique ;
2° Les affiches de haute portee sociale ;
3 0 Les affiches électorales y compris cel les relatives aux élections municipales et
aux élections des Chambres d'Ag riculture
contenant la profession de foi du candidat,
une ci rculaire signée de lui, ou seulement
son nom;
4° Les affiches faites en exécution des
dispositions dll titre 11 du livre IV du Code
du T ravail 'et de la Prévoyance :sodate ,en
matière de différends entré patrons et ouvri ers ou emplo)rés ;
5<) Les affiches apposées par les associations d'étudiants reconnues d' ut1Jjt"é publique;
6 0 Les affiches apposées par les Associations familiales et concourant à l'applica tion de t'ordonnance du 3 ma rs f945, relative aux Associations familiales ;
7. Les affiches des sociétés ou caisses
d'assurances mutuelles agricoles visées par
la loi du 4 juillet 1900 ;
8 Les affiches imprimées ou non apposées par les or!!,anismes de Sêcur1té sociale,
ayant pour objet exclusif la vul~arisation
de la législation sociale, ainSI que la . publication de comptes rendus et conditions de
fonctionnement de ces o rganismes ;
go Les affiches imrrimées ou non, apposées par la Caisse gé néral e de prevoyance
des Marins Français contre les risques d'accidents, de mal ad ie et d'i nva'idité et avant
pour objet exclusif l'applicanon du décret
du 17 juin 1938 el la publicatiofl des comptes rendus et ~onditions de foncl1o nnement
de cet organisme ;
10" Les affiches apposées par ta Cai_
centrale de la France d'Outre-Mer, ses
0
�11111
110 Les affiches nécessaires pour le service des Caisses d'épargne et de la Caisse
nationale d'épargne ;
12° Les affiches manuscrites concernant
e...xclusivement les demandes et offres d'emploi, ainsi que les affichesl imprimées ou
non, concernant exclusivement ~es offres et
demandes d'emploi apposées par les Office;
publics départementaux ou locaux et par
les bureaux municipaux de placement gra-
tuit ;
13· Les affiches et tableaux-annonces apposées à l'inté rieur d'un établissement où le
produit anooncé est en vente Ou à l'exté~
rieur sur les murs mêmes de cet etablisse-
ment ou de ses dépendance!I 1mmédiates,
lorsque les affiches ou tableaux-annonces
ont exclusivement pour objet d"rndlquer le
produit \fendu, sans Que le nom ou l'adres-
se du fabricant soit précisé.
14° Les aMiches éma nant de rEtat, des
départements, communes, établissements publics ou d' utilité publique, des sociétés particulières ou autres groupements régulièrement constit~s et des gouvernements alliés
et ayant pour objet exclusif l'é rection de
Nationale des Chemins de Fer Français, la
régie autonome des transports parisiens, les
transports régionaux ou locaux pour leurs
besoins et services ;
250 Les affiches apposées dans les locaux
de la Société Nationale des Chemins de Fer
Français la régie autonome des transports
parisien;, des compagnies et entreprises de
transports régionaux ou locaux,
260 Les affiches apposées à l'intérieur ou
à l'extérieur des voitures utilisées par les
organismes visés au 25me ci-dessus,
Art. 2. _ Le présent arrêté sera publié
au « Journal OMiciel > de la République
Française,
Fait à Paris, le 20 mars 19!H.
Le Ministre des Finance st des
Affaires Economiques :
Maurice PETSCHE.
P. le Ministre de r1nterteur et par
délégation, le Secrttarre d'Etat à
l' Intérieur,
Eugène THOMAS.
Le Ministre du Budgel
Edgar FAURE.
- ___ 0000'----
monuments aux morts ;
15· Les affiches qui sont apposées, par
les comités de patronage des habitations à
loyer modéré et de la prévoyance sociale et
qui ont exc4usivement pour obj'H la vulgarisation des dispositions lég islatives et réglementaires concernant les habitations à
loyer modéré, la petite propriété, les jardins ouvriers et les bains-douches, toutes
les mesures relatives à leur amenagement,
ainsi que toutes les dispositions prises en
exécution du 3me alinéa de l'article 77 de
la loi du - 5 décembre 1922, portant codification des lois sur ~ es habitations à loyer
modéré et la petite propriété ;
16° Les affiches concernant l'administ ra ...
tian des Monts-de-Piété ;
17° Les affiches apposées par les groupements de sinistrés constitues conformément a l'article 44 de la loi du 30 mars 1947
en vue d'a nno nce r l'émissio n des emprunts
que ces groupements sont autorisés à contracter en vertu de l'article 45 du même
texte.
18° Les affiches aya nt exclusivement pour
objet la protection des Pupilles de la Nation ;
19° Les affiches apposées par les Sociétés
coopératives de blé ou de ceréales ;
20° Les affiches apposées par les Sociétés
Mutualistes, leurs unions o u fédérations
d'unions et exclusivement relatives à l'eXecution de l'ordonnance du 19 octobre 1945,
portant statut de la mutualité, exœptioll
faite toutefois des affiches apposées par les
sociétés mutualistes visées à l'a rticle 42 de
l'ordonnance du 19 octobre 1 !r4~ quI choisissent plus d'un administrateur sur quatre
parmi leurs membres étrangers j
21° Les affiches de;; sociétés de préparation militaire et de perfectionnement agréées
par le Ministère de la Guerre, sous réserve
que leur objet soit exclusivement militaire
et qu'elles soient signées par des officiers
appartenant à J'armée active Ou d ses réserves, membres ou conseillers techniques
de ces sociétés ;
22° Les affiches et panneaux publicitaires
de spectacles ainsi que toutes publicités effectuées dans les salles de spectacle ;
23 0 Les affiches apposées dans les lieux
couverts régis
les ·rèlrlelments sp,!ci,.ux
La lettre cR> désigne la licence de 3catégorie dite de restaurant.
Art. 2. - Le panonceau dont il s'a.git sera
de forme rettangulaire, de couleurs rouge
et ,bleue avec letlres noires sur fo<ld rouge
et chiffres 'jaunes sur fond lbleu au-dessus
d~ une fleur '<ie lys de même couleur, d'e 22
centimèt'res de Jlauteur, sur 20 centimètres
de large ur.
Art. 3. - Toute infraction au présent
arr:êté est passible des peines prévues a l'artide 471, 15°, alinéa du Code Pénal.
Art. 4. - M. le Secrétaire géné ral , MM. les
Sous-Préfets d'A r,les et d"Ai x-e n-Provence,
ML le Directeur D~partemental des Services
de Police, M. le Chef d'Escadron Comman·
dant la Compagnie de Gendarmerie des
Bouches-<1u-Rhône et M . le Directeur o·es
Contributions Indi rec tes sont ohargés, ohacun en ce qui le concerne, de r' application
du " résent arrêté.
Marseille, le 6 Août 1951.
Pour le Préfet
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabinet,
Siogné : DUFAY .
P 4
DI BI
OBLIGATION D'APPOSER A L'EXTERIEUR DES DEBITS DE BOISSONS
UN PANONCEAU INDIQUANT LA
CATEGORIE DE CET ETABLISSEMENT.
AiRRETE
Le Préfet des Bouc.hes"<fu-~i1ô ne ,
Vu la loi <1u 5 avril 1884, article 99,
Vu la loi du 24 septemb re 1941,
V.u la deman~ formul ée par l'Union Départementale des Syn'dicats Hôteliers des
Bouches-du-Rhône.
Arrete :
Article premier. - T out déb itant de boissons exploitant un débit à conso mm er sur
place dans le département des Bouc hes..du,Rhône est tenu d'apposer à l' exté rieur de so n
établissement et de laçon visoble un panonceau sur lequel est iridiqué, ''Par un chi,ffre
en carac tères romains, la catégo ri e à laq,uel- ,
le cet établissem ent appa rti ent, selon les désignations figurant aux dispositions de l'article 10 d·e la loi du 24 septembre 1941 contre l'alcoolisme.
Le chiffre 1 oésigne la licence de 1ère catégorie.
Le chiffre 11 désigne la licence de 2me ca·
tégorie {boissons sans alcool et boissons 'fermentées non disti1lées, c'est--à-di-re le vin, le
cidre, le poi ré, la bière et l'hydromel, les
vi ns doux naturels bénéficiant d' une appellation d'o ri gi ne contrôlée et pouva nt titrer
jusqu'a 21 ° d'alcooJ pur et les crèmes de
cassis d'un deg ré alcoo lique de 15 ° a u minimum}.
Le chiffre III désigne la ticence de 3° catégorie ~boissons sans alcoool, boissons fermentées non distillées Vins doux natureols bénéfi ciant d'une appellation d' origine contrôlée ou assor tis à une appellation simple et
pouvant titrer jusqu'là 21 0 d~akoo1 pu r,
vins" de liqueur, vermouths et apéritUs à base de vin titrant jusqu'à 23 0, liqueurs de
fraises, de framboises, de cassis ou de cerises et ne titrant 'P'ls plus de 18 0).
Le ohillre IV désigne la licence de 4° ca-
,
,
MILLES. '
Ministère des Anciens Combattants
et Victimes de Guerre
Direction du .contentieux
de l'Etat Civil et des
Recherches
N° 1092 S.D.F.
Paris, le 18 août 195 1.
8.1, Avenue Foch (XVI')
Le Ministre des Anciens Combatta nt s
et Victimes de la Guerre
a MM. les Préfets,
les Délégués Interdépartementaux
des Anciens CombattantS et Vi ctimes de la Gue rre,
le Délégué Départemental des Anciens Combattants et Victimes de
la Guerre de Co rse,
- - - - «>00<>·----
P8
DI B3
APPLICATION DE LA CONVENTION
D'ETABLISSEMENT fRANCO
SARROISE DU 3Mars 1950, APPLICABLE A COMPTER DE LA PUBLICATION DU DECRET DU 20
Mars 1951 (J. O. du 23 Mars 1951).
Ma rseille, le 25 Août 1951
Le Préfet des BoucheS-<!u,Rhône,
à ~. les Maires du népartement en
co mmuni cation là lvUM. les Sous.-;Prêfets d'Aix et d'Arles.
j'ai l',honneur de vous inform er qu'au x
termes de la co nvention rappe lée ci-dessus,
les resso rtissants sarrois désireu x d'exercer
en France une activité salariée, sont dispensés de l'obligation d' ètre en ,possession d'une
carte de travail, depuis la mise en vigu eur
de la convention d'établissement fran cosarroise du 3 mars 1950, mise en app li cation
sur notre territoire à compter ldu 25 mars
dernier.
Par contre, les intéressés sont soumis
comme tous les autres étrangers, à l' obligation de déposer une d emand'e de ca rte d'identité oans les huit jours de leur arrivée
en .France s'ils 'dési rent s'y étab.lir, et ne
peuvent, en tout état de cause, y d'emeurer
p1us de trois mois à co m'pter du fr a nchissement de la frontière franco-sarroise, si aucun e suite n'a été réser vée à leur demande
d'autorisation Ide séjour.
P. le Préfet et par délégation,
le Secréta ire Général,
Signé : LAMlAJSSOURE
-------<>00<.'-------
SC5
02 B3
INDEMNITES fORfAITAIRES ACCORDEES AUX COMMUNES EN REMBOURSEMENT DES DEPENSES
EXPOSEES PAR LES MUNICIPALITES LORS DE LA REIN HUMATION DES CORPS DES VICTIMES
DE GUERRE RESTITUES AUX fA-
t,
1'.ai l' honneur de vous adresser, ci-joint,
cop,e de l'a rrêté du 18 aoat 195 1, modifia nt
les dispositions de l'article 1er de J' ar rête'
du 18 mars 1949, rel at if aux ind em nités forfaitaires acco rdées aux communes en rembour.s~me~t des dépenses exposées pa r les
mUnicipalités, lors de la réinhum ation des
corps des victimes de la g uern: restitu és aux
familles, en apJ>\ication de la loi du 16 octobre 1946.
j'ajoute que Jes modificatio ns apportées
ne conc~rnent que les communes auxquelles
est appliqué un tarif maxi mum fi xe de remboursement. Les dispositio ns a ntérieures visa nt les co mmun es où le se rvice -des porno
p~s. funèbres est assuré par une:: régie muOI~lpale ou par une entreprise concessionnaire, restent incha ngées.
Le Ministre des An ciens Combatfants
et Victimes de la Guerre
E. TE.MPLE.
0'0
ARREl'E
Le Ministre des Anciens Combattants et
Victimes de la Guerre
Vu la loi n° 46-2243 du 16 octob re 1946,
relative au transfert, à titre gratuit et à
la !es'titution aux familles des corps des
anciens combattants et victimes oe la g uerre ;
Vu l'article 12 ou décret du 16 juillet 1947
pris pour son application .
'
Vu l'arrêté du 5 se ptembr~ 19.f"7 fixant le
tau x des indemnités forfaitaires à. payer
aux Communes pour l'applicatioD de l'article 12 du décret susviSé :
Vu l' arrêté du 18 man;1 949 modifiant
certaines dispositions de "arrété susvisé,
Arrête :
Article premier. Les êTisposltions de
l'article 1e r de l'a rrêté au 18 m~r> 1949 relati ves ,au rem bo ursement aux municip;lités
des fraiS en gagés pour la réi ntlumation des
cor~s des victimes de gue rre f"estltués aux
famiLles, dans les communes où le service
n'est pas assuré par une rég ie municipa le.
ou concédé à unE" entreprise de pompes funèb res, fixant les Iirnites dans lesquelles ce
rembou rsement peut êt re effectué sont modifi ées comme suit
•
Par co rps :
2.000 francs pour les communes rurales ;
2,9<Xl francs pour les communC:J de 5.(X)()
a 50.000 hab itants ;
3.500 francs pour les communes -cfe plus
de 50.000 habitants.
Art. 2. Le Directeur du Co nte ntieex
de l'Etat Civil et des Recherches est cha rge
de l'ex écution du présent a rreté qui prendr a
effet a com.pter du 1er septembre 1951.
Fait a Paris, le 18 ao ût 19~r.
Le Ministre des Anciens _c ombat/ants
et Victimes de la "Gu erre,
E. TEJMPLE
•
D4 B2
DONS ET LEGS
d~
l'(Jrliele 3 du dé-
(J'el du 1er février 1896, dan..r fe Imt d'invi./ttr
vs hériti.ers inconn.u.s des testat eurs d prendre
IOn1t.oissance dl' testament, en vUC de donne,
!eur
con.r~tt.c"tlm t
•••
Par testament olo.graphe du 24 Août 194;
<reposé aux minutes de M ' COQUARD, notaire à Marseille, 17, rue de l'Arbre.
Feu Louis DE RAiRHBLlS SOISSAN a
légué.
1° CENT MILLE FRANCS aux Petites
Sœurs des Pauvres. Asile des Ohartreux.
2° TRENTE. MILLE FRANCS ,à l'Asile de
St-Je a n..de~Dieu à 'Marseille,
,0 VINGT .~ IL LE ~RANCS a "Œuvre de
la Bouchée ile Pain a Marseille.
Conformément aux dispositi o ns du décret
du 1er Févri er 1896, les hé ritiers co nnus ou
inconnus de M, Lou is DE RAPHEiUIS 501SSAN, sont in vités a prend re co nnaisa nce du
testament, donner leur consen tement à son
exécution ou proo'uire leurs moeyns d'opposi ti o n dans un dé lai de trois mois à dater
du jo ur du présent avis.
hUrseille, le 30 Août 1951.
----C)OOC),---
Communiqués - A vis
Annonces diverses
Avis publi; en exécu tion
Feu M. WnO.IWIR, hUrius-E1zéar a regué
la somme de mx M,lLLE FRANCS àl' Hôpital
de OUGURON avec la char.ge de faire célébrer chaque année une messe à la mémoire
de son épo use et de lui-même.
Conformément au x dispositions du décret
du 1er février 1896, les Héritiers connus ou
inconnus de feu LUDQ.llIlH Marius-Elzéar,
sorit ÎJwités à fJ.}rendre connaissance du testament, donner leur consent.ement à son exécution ou produire leurs moyens (J'opposition
dans un délai de trois mois'"l dater du jour
du présent avis.
Marseille, le 30 Août 1951.
ou de produire leurs moye""
d'opposüiotf"
Les f't;'clamldiolkr tle Sou l r~cn.>abll!.J que d Otl J
délai de trois moiJ à parhr de l'msutio,.
GU c Bulletin •.
SUl
Par testament olographe du 1er janvier
1946, déposé aux minutes de M" BONIFAY .
notaire à Marseille, 52. rue St-Ferréol.
D2 B3
AVIS DE CONCOURS
La Ville de Martigues 'procédera courant
Octobre 1951 au recrutement ,par voie de
conCours sur épreuve d'un Adjoint Technique, c hargé plus particulièrement .de la Direc tio n du Servi ce du Nettoiement, (indices
de traitement 185-360).
La liste des candidatures sera close te 30
Septembre.
T outes précisions seront données par la
Mairie de Martitgues sur d~ande a~compa
g née (j'un timbre pour la réponse.
----c.»ooc>,----
Copie œrtil.te c:.af_rDl'
Pour loe PrHet :
LI SI~J la ,,., Chtbal : LAMASSOURIt.
�".,--REPUBLIQUE FRANÇAI E
I3 et 20 Septembre 1951
9< ~DDée
N" 37 et 38
~r __--------------______________________
DËPARTEMENT DES BOUCHES~DU-RHONB: ..
~{-------
Recueil des Actes Ad~-istratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recu eil doit élre adressée à la Préfecture S ecrétariat Général
ABftÉVIATIONS
A. P . : Arrêté prefe,ctoral. - C. : Circ ulaire - Les lettres 0 et B suivies d'u n dhiffre indiquent Je Service ou Bureau d'o rieine.
D. S. T . : Direction des Services Tech ni que •. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction dép~"e
mentale de la Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulai res
Pages
EN 1. - :faux de rémunérati on des
heures supplémentaires effectuées
par des instituteu rs ....... . ... .. .
FS O. - Rémunération des médeci ns
vacc inateurs et des auxi liaires médi cales .... . ..... .................
FS O. - Co ncours pour le recrutement
d'assistants d'anesth ésie . .. .. . ....
FS O. - Réduction sur les tarifs de
chemi n de fer accordée aux malades
de sanatoriums ..... ,......... ....
FS 2. - Assistance aux femmes en
co uches. Taux de l'allocation
Pn~e!
SC 5. - Rec herches de sépultu res. . . .
A O. - Congé payé dans les exploitations agri coles ................... .
A 4. - Co ngé payé dan s les exploita-
189
tions fo restières..................
19 1
189
A 5. - Surveillance des eta lons et
baudets en vue de la mo nte de 1952.
, AG 6. - Modification des statuts de
l' Association Syndicale
autorisée
pour l'entretien ùe dessèchement du
territoire de la commune de Rognonas . ....... . . . ......... ... . ...
19 1
191
192
192
193
J 93
.
1··
é .
Page.
Journa
rere at t·b·
ri uee aux b neficiaires
pendant la période de rep os ...... 194
P 5. - Contrôles effectués par les
agents du Centre National de la Cinématographie .......... ........ 195
P 8. - Liquidation des successions
la issées par des travailleurs allemands décédés en France.. ...... 195
R ·t - Arrêté fixant le prix de la farine el du pain .. . . . . . .. .. .. .. .. ... 195
TVXO. - Règlementation de l'i nstallation de distributeurs d'essence Sur
la \'oie publique. .. .. .. .... . . . . ... 195
ARRËTÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
~
0 283
SC5
RECHERCHES DE SEPULTURES
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
li MM. les Maires du Departement,
La Commissio n Impé r iale des Sépu ltures
Militaires Britanniques fait actuellement des
recherches en vue de retroU\'er le corps du:
Lieutel/ant : Commander F. G. IVOODS,
D. S. C. de ta Royal Navy, tué le 2:l mai
1946 dans /ln accident de la route près de
Marseille,
•
Je demande instamment â l\1 essieo rs les
j\1ai~es de bien vou loir communiquer à 1'0rgantsme ci-dessus à Arras ,Pas-de-Calais),
place du Maréchal-Foch
rous renseignements qu'ils pourraient posséder sur le lieu
<le sépulture de cet officier britannique.
-------« ~ oo«>--
_____
AO
D6Bl
CONGE PAYE DANS
LES EXPLOITATIONS AGRICOLES
ARRETE
~.
Le Préfet des Bouches-d,,-Rh6I1e
Officier de la Légion d'hal/ne";.
· Vu l'o rd onna nce du 7 J·uillet 1 9~5 relat Ive
a' 1'· t · .
Ins Itut ron des Commissions Paritaires du T rava il en Agriculture et à l' établis:~~~nt de règlements de travai l en ag ri cu l-
1
Vu le décret du 7 juillet 19~5, modifié par
celui du 5 aoÎlt 19-16, pris en application de
l'a rticle 1er, alinéa 2 de l'o rdonnance du 7
j uillet 1945, susvisée;
Vu l'a rrêté prefecto ral du 30 avril 1948,
modifié par celui du 18 décembre 1948 portant règ lement du travail en agnculture j
Vu la circulaire en date du 29 juin 1950
de M. le Ministre de l'Agriculture et de M .
le Ministre du Trava il et de la Sécurité Sociale ;
Vu les propositions de la Com mi ssio n Paritaire du Tra\'ail en AgriCulture, réunie le
22 juin 195 1 ;
Vu l'approbation du Ministre de l'Agriculture et du l\1inistre du Travail et de la Sécurité Sociale en date du 30 juillet 1951 ;
Sur la proposition du Secrétaire Général,
ARIŒTE:
Article premier. - L'article 20 cru Règlement Gén e ra l annexé à l'a rrêté préfectoral
du 30 av ril 1948 et l'arrêté du 25 av ril 1 9~9
so nt abrogés et remplacés pa r les dispositions $uivantes :
CONGES PAYES
DHOIT AU CONGE - DUREE DU CONGE
c. Article 20 a. - T o ut sa larié de l'u n ou
l'autre sexe, employé da ns les exploitati?lls
agricoles prop rement dites dont le ré~~l me
du tra\'ai l est fixé par le rè glement pr~fcc
toral du 30 al-ril 19 ~8 a d roit, chaque année,
dans les conditions prevues par les articles
suivants.
Article 20 b. Le tra\'ailleur qui, au
Cours de l'année de re-fé rence définie ci-apres
justifiera avoir été occupél chez le même
emplo yeu r, pendant une périOde de temps
~uivalant à un minimum d' un mois de trayail effectif, a droit à un conge dont la durée
est déterminee à raison d'un jour de congé
par mois de travail, sans que la durée
totale du conge exigible puisse excéder une
périoüe de q uinze jours comprenant cJouz~
jours ouvrables.
4: La durée du congé, fixée par l'alinea
precédent, est portée à deu:\. jours par moiE;
de travail pour les travailleurs âges de moins
de 18 ans et à un jour et demi par mois Je
tra"ail pour les rr3raillellrs âges de 18 à 21
a ns ; les droits des tr3\'aille urs l"i-dessus
visés s'apprécient mois par mois et, lorsqu..!
le nombre de jours ounablt$ ainsi calculé
n'est pas un nombre entier, la dllré-e du
conge est arrondie au nombre entier de jours
immédiatement supêrieur. La dllr~e totale ùu
congé exigible ne peut excéder une pérÎode
de tle nte jours, comprenant vingt-quarre
jours oll\'Tahles, pour les travailleurs âges
de moins de 18 ans au 3 1 mai de l 'a nné~
pnkédente et une periode de \'in~t-ùeux
jours, comprenant db.-huit jours ou\'rahles.
po ur les travailleurs
. de 18 il 21 ans au
3 1 mai de l'année Dn;cédente
�-
190
conry~ maximum déterminé ci-dessus, que!le
queb soit leur anciennete dans l' ëtab}l~sement.
sans pouvOIr, en ce cas, pOUT la pe ~lode e~
cedant la durée légale de leur conge, se pre,alQir lies lIispositions de l'alinéa 2 li. l' article 20 ici-après.
Toute femme salariée bénéficie de deux
jours de cong~ supplémentaire par e~fa nt à
t..
char fl'e âge de mOIns de 1!S ans et \' Ivant a
son foye r, le congé su pp lém entai~e es~ re~uit
à 1 jour si le congé règlementalre n excede
pas 6 jours.
< Le point de dOpa rt de la période prise
en consilleration pou r "appréciation du d roit
au conge est fixê au 1er juin de chaq ue
année.
c Arti:le 20 c. - La du rée du congé fixee
par le pr~mler alinéa de ('arti cle 20 b ciùessus est aUbTfTlentée à raiso n
d'un
jour
ouvrable par période entlt:re, continue ou
non, de cmq ans de service chez le mème
employeur, sans que cette au gmentation
puisse porter à. plus de dix-huit jours ouvrables la duree considé rée ou se cumuler avec
l'augmentatio n résulta nt soit des stipulatiolls
des contrats individuels de travail, soit des
usages.
< Les périodes pendant lesquelles l'exécution du contrat de travail a eté suspendue
sans que le contrat ait été résilié, not amment
pour cause de maladie et d'accident du t ravail, sont pou r l'application des dispositions
de l'alinéa précedent assimi lées il des péri odes de travai l effectif. La durée des services ouvrant droit au congé complémentaire
d'ancienneté est appréciée, soit à l'expiration
de la période de référence affé ren te au
congé normal. soit â la date d'expiration du
contrat, lorsq ue la résiliation de ce contral
ourre droit à l'attribution d' une indemnité
compensatrice de congé.
Sous les réserves formulées au premier
alin~a du present article, les dispositions qui
précèdent ne portent pas atteinte soit aux
stipulations des conventions collectives ou
.des cont rats individuels, soit aux. usages qui
assureraient des co ngés payés de plus longue dur~e.
« Article 20 d. - Sont assimilées à 1 mois
de travail effectif pour la détermination de
la durte dt$ congés, les périodes éq ui valant
à -1 semaines ou à 24 jours de tra va il. Sont
également assimilees à 1 mois de travail
effectif pour les ouvriers à la journée rattachée il l'exploitation d'une façon permanente les périodes de 4 semaines au co urs
desquelles les o u\' rie rs au ront travaillé effectivement 160 heures au minimum. Les périodes de conges payés, les périodes de repos
de femme en couches et les périodes lim itees
à une durée ininterrompue d'un an pendant
lesquelles l'exécution du contrat de tra\1'ail
est suspendue pour cause d'accident du travail ou de maladie professionnelle sont considérëes comme périodes de tra va il effectif.
AMENAGEMENT DU CONGE
Le conge pa)'é ne dépassant pas six jours ol!\' rables doit ê.tre
continu.
Le congé d'une durée supérieure à six
j ours ouvrables peut être fractionné par
l'employeur, a\'l_ l'agrément du salarié.
En cas de fractionnement, une fraction
doit être de six jours ouvrables au moins,
compris entre deux jours de rep os he bdomadaire.
i"
Sont r ~putés jours
• Articte 20 e. -
du présent article par le nombre de jours ~
Article 2. - Le Secrétaire Général de la
ouvrables compris da ns le co ngé annuel.
Préfecture, les So us-Préf ets, l' Ingé nieur en
« Les dispositions qui précelfent ne por~
Chef Directeur de~ Serv.lces AgTlcol~s et le
ten t pas atte inte aux stipulations contrac~
Contrôleur des LOIS SOCIales en Agnculture
tuell es ou a ux lisages q UI assure raient des
sont char gés, ch acu~ en ce qUI le co ncerne,
indem nit és d'un montant pl us élevé.
de l'exéc ution du present a rrête.
« Article 20 j. - Les ava ntages accessoi.
Marseille, le 13 août 195 1.
l'es ou en nat ure dont les ayants-d roit nt
Pour le Préfet :
co ntinu eraient pas à jouir pe nd a nt leu r COR.
Le Sous-Préfet,
gé e ntren t en co mpte da ns II;! ca lcul de l'in.
Dire cteur du Cabinet
demnité) conformément a ux dIspositions préDUFA Y.
vues pa r le a rti cles 14, 15 et 16 du règle.
ment a nn exé à l'arrêté du 30 av ril 1948 mo.______
difiés par l'article 10 de l'arrêté du 18 dl..
A4
1
D6 B 1
cembre 1948 ou pa r les conventions collec·
CONGE PAYE DANS
tives.
LES EXPLOITATIONS FORESTIERES
e Les trava illeurs bénéficiaires des prestations fami liales prévues par la loi Ul! n
A'RRETE
août 1946 fIxant le ré gi me des prestatiollS
familiales et par les textes subséquents con·
Le Préfe t des ,Bouches-d u-Rhô ne,
tinueront à en joui r durant leu r co ngé.
Vu l'ordo nn a nce du 7juillet 1945 relative
e Article 20 k. - Le salarié dont le conà l'i nstitution des CommISSI?nS, PaTl~alreS du
trat de travail est résilié, avant qu'il ait pu
Travail en A.griculture et a 1 étabhsseme nt
bé n ~fi cie r de la totalite ' du conge apquel ü
<les rèC'lements de t ravail en ag ri cultu re i
avait droit, doit recevoi r, pour la fractioJ
Vu I~ déc ret du 7 juillet 1945 modifié par
de conge do nt il n'a pas bénéfici~, une ina lui du 5 ao ût 1946, pris en appl ication de
dem11lté compensatrice déterminée d'après
l'article 1er, alinéa 2, de l'o rdonn a nce du 7
les principes de l'article 20 ici-dessus.
juillet 1945 susvisée;
.
. .
Vu l'arrêté préfectoral du 28 JUill et 1948
« L'indemnité compensatrice est d ue du
porta nt reglement du travai l dan s les exploimoment que la résiliation du co ntrat de tra·
vail n'a pas été provoquée par la faute lour·
iations forestières ;
Vu la circulai re en date du 29 juin 1950
de du salarié et sans qu'il y ait lieu de disORDRE DES DEPARTS EN CONGE
de
M. le Ministre de l' Agriculture el <le M. le
tinguer
suivant
que
cette
résili
ation
résulte
< Article 20 h. - L·o rdre des départs en
Ministre du Tra vail et de la Sécurité Sodu fait du salarie ou du fait de l'emplo yeur.
cong~ dev ra, s'il s'agit d'une abse nce de plus
..
e Dans le cas de résiliation d u contnt t ~~;
de vingt-quatre heur es, être communique à
Vu les propositions de la Co mm iSSIOn Pade travail d'un salarié qui, par suite de l'QI·
chaque ayant-ôroit huit jours au moi ns ava nt
Titai re du Travail e n Agri culture réun ie le
dre fixé pour les départs en congé, a pris un
son départ. Il se ra determiné par J'em12
juin 195 1 ;
co
ngé
comportant
une
indemnité
dtun
mOllploye ur et, s'i l y a lieu, par ro ul eme nt dans
Vu l'app robatio n de M. le Ministre de
tant supé rieur à celle à laquelle, au moment
l'ensemble de l'éta blissement ou pour ce rJ'Agriculture et de M. le Ministre du Travâil
de la rési liation) il aurait pu prétendre a
taines catégories d'emplois! ap rès co nsultaraison de la durée de ses se rvices, ce sala rit
e t de la Sécurité Sociale en date du 30 juiltion des membres du pe rsonnel intéressé ou
devra rembourser le t rop- perçu à l'emlet 195 1 ;
de ses délégués en tenant compte de la siployeu r. Ce remboursement n'est pas dû si
Sur la ·proposition du Secrétaire Général,
tuation de famille des bénéficiaires et de la
la résiliation du co ntrat de travail éta nt le
duree de leurs services dans l'établissement
Arrête :
fait du salarié: est p rovoquée par une faule
et de la nécessité d'assurer d'une faço n
Article
premier. - L' a rti cle 6 de l' arrêté
lourde
de
l'employeur.
com'C'lIable les différents tra va ux dans le dit
<lu
28
juillet
1948 portant règlement de tra«
L'i
nd
emnité
prévue
au
premier
alintl
établissement.
va
il
dans
les
exploItations forestières est
du présent a rt icle est également ùue aul
<:.o mplété ainsi qu 'il suit :
INDEMNITE DE CONGE
ayants-droit du sala rié dont le déds sur·
vient avant q u!i l ait pris son congé annud
« Article 20 i. - L'indemnité affé ren te au
c t es a utres dispositions gé nérales co npayé. L'indemnité est versée à ceux d~
t'onné prévu pa r le 1er alinéa cie l'article
• cerna nt les co ngés payés des ouvriers foayants-d roit qui auraient qualité pou r obtt20
sera érrale au vi n gt-quatri~me de la
·c restiers so nt les mê mes que celles prévues
ni r le payement de? salai res arriérés.
rémunération b totale perçue par le sa lari é
.. en fave ur des salariés des exploitatio ns
au cours de la période prise en co nsi.ué rn« Article 20 1. Le paiement des i~
« agricoles! à l'excl usio n du point de départ
tion pour l'appréciatio n de son d rOI t au
demnités dues pou r les congés payés est
-c de la période prise ell co nsidératio n pour
congé.
soumis aux règles relatives aux p ri \' ilè~es el
• l ~a~préciatio n du droit au co ngé qui est
e T outefois l'indemnité afférente au COI1ga ranties de la créance de salaire qlll so~r
.. fixe au 1er octobre de chaque an née :t .
,l
"é prévu pa r j'alinéa 2 de l'article 20 b sera
fixées par le Livre 1er du Code du Trava
tf
Art. 2. - Le Secrétaire Général de la Préé'CTale au douzième de la rém un é rat io n acquipour le payement des salaires et traitementsie~ture, les. Sous-Préfets! l'Ingénieu r en Chef
s~ pendant le temps de travail o.uv rant (.Jro~t
c Article 20 m. - Pendant la péri ode du
DIrecte ur ces Services ACTricoles le Conserau congé de deux jours pa r mOIs et au seIco
n
O'é an nuel fractionné ou non, tout travateur des Eaux et Forêts le Directeur Dézième de la rému nüation acquise penda nt le
vait rétribué 'cst interdit au bénéficiaire du
tarte~ental de la PrOdu cton Forestière, le
temps de travail ouv rant droit au congé dé
congé.
ontroleur des Lois Sociales en Arrriculture
un jour et demi par mois.
e L'employeur, qui occuper~ pendant la
~o nt, ch~rg~s, chacun en ce qui le ~o n cern e,
~ Dans tous les cas, l'indemnité prévue
période fixée pour son conge annuel, un
e 1 exec utlon du présent arrélé.
par le présent article ne pourra être in fé rieuouv rier ou un employé à un e beso g~ c rcoHl;
Marseille, le 13 ao ût 195 1.
re au montant de la rémunération qui au rait
nérée, même en dehors de l'établtsSc~e~_
· té perç ue pendant la période de congé, .i
où il travai lle habituellement, se ra co ns Id
Pour le Préfet,
le Sa'larié avait co nti nué à tra vailler, cette
ré co mm e ne donnant pas le co ngé légal.
Le
So us-Préfet,
rémuné ration étant calcul ée su r la base de
Directeur
du ,Cabinet,
e Artic{e 20 n. - Le présent règlement
la moyenne journalière de la durée de traDU'FAY.
de t rava il s'applique nonobstant t ous \IS~ges
vai l au cours de l'année de référence.
et cout um es locaux et toutes stiPulatt"Oesn'
« Chaque jour de congé complémentaire
.
li ce 1\'
contenues dans les conventions co
1
accordé au titre de l'a ncien neté, co nforméou
dans
les
co
ntrats
individuels
~e
tr~i~~~ ,
ment aux dispositions du premier ali néa de
c~ooc~-----_
lorsq ue ces
, coutumes ou sttPl1 l~leurs
l'article 20 c ci-dessus, do nne dro it il l'attrisont moins
ries traval
bution d'une indemnité ui est égale au
semai ne m~m e s'ils sont chômés en totalité
ou partiellement, soit en . vertu de,. l'usag~,
soit par suite de morte-salSOIl o u ~ intem peries, à l'exception de ceux que la 101 ~o nsa~ ~e
au repos hebdomadaire o u recon na lt feTtes
et qui so nt normalement chômés dans l'établissement.
.
c Ne peuvent être imputés sur le conge
les jours de maladie, les repos des femmes
en co uches et les périodes obligatoi res d'instruction militai re.
EPOQUE DES CONGES
< Arti,.te 20 f. - Les absences de plus
de 24 heu res ne pourront êt re exigées au
tit re du co ngé a nnuel penda nt la péri ode
comprise ent re le 1er j uin et le 1e r octobre.
e Arfide 20 g. - Les bénêfîciaires d' un
conl'1e payé de\'Tont en jouir, si le congé
atteint une dt rée égale ou supérieure à quinze jours, dans les douze mois qui suivent la
date d'ouverture du droit au congé et, s'il
s'agit d'un conO'e Je moins de quinze jours,
dans les six mois qui suivent cette même
date.
e Lorsqu'un cont rat de travail est stipulé
pour une durée déte rmin ée, le titulaire de ce
contrat doit jouir de so n cong~ dans des
co nd itions telles que ce congé soit ac hevé
une semaine au moins avant l'expi ratio n du
dit contrat.
b
«~o o c~-------
D6BI
A 5
SURVEILLANCE DES ETALONS
ET BAUDETS
EN VUE DE LA MONTE DE 1952
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhôn e,
Vu les lois des ' 14 août 1835 et 8 mars
1923 sur la surveilla nce des étalons ;
Vu les arrêtés d'application du 25 septembre 1885, 12 se ptembre 1886, 9 avril 1923 et
26 juillet 1928,
Vu les a rrêtés de M. le Ministre de l'Ag ricult ure du 6 août 19 12,26 juillet 1928,5 novemb re 1937, le 10 août 1942 relat ifs il la
monte des baudets,
Vu les inst ructions ministérielles en la
matière et notammeo.t celles du 25 juin 1951
prescrivant aux Commission Départementales d'exame n de fai re preuve œune g ra nde
sevérité po ur le choix des nouveaux étalons
à admettre à la monte publique en réd uisant
notamment Chaque année la catégo ri e des
reprodu cte urs si mpl eme nt acceptés,
Vu la proposition du Di recte ur des Haras
de la ci rco nsc ri ptio n de Tarbes ;
Sur la proposition de M. le Secrétai re Général,
ARRETE:
Article premier. - Tous les étalons et
baudets dest inés à fai re la monte publique
en 1952 devront être décla rés et présentés
aux Commissions Départementales d'examen
dans les délais et conditions ci-ap rès fixées.
Article 2. - Les décla rations devront
par ve nir, pou r l'Arrondissement du chef-lieu,
à. la Préfecture et, pour les autres Arrondissements, aux Sous-Préfectures respecti \'es avan t le J'endredi 2 septembre.
Cette déclaration se ra conforme au modèle ci-joint.
Ar/icte 3. - Dès le samedi 29 septembre,
il sera dressé) par chaque arrondissement,
su r l'imprimé réglementaire, un état des animaux. déclarés.
Cet état sera immédiatement transmis au
Di recteur des Ha ras, à Ta rbes.
Article 4. - L'e xa men des a nim a ux pa r la
CommissÎo n au ra lieu , en principe, aux dates
et emplacements ci-après :
Samedi 3 novembre
- AIX-EN-PR OVENCE, aux terrai ns des
Clubs Hippiques d'Aix-Beauvallon et d'Aixe n..J>ro ve nce, à partir de 14 heures.
Dimanche 4 novemOre
SSA INT-ESTEVE JANSON, chez M.
Vidal, à partir de 9 heures.
Diman che 11 novembre (pour mémoire)
- MARSEILLE, il partir de 9 h. 30, réuni ons lion publiques strictement réservées
pour quelques visites à domici le après entente directe avec le Directeur des Haras, à
Tarbes.
Lundi 12 novembre
- MIRAMAS, au Haras de Sulauze, il
pa rtir de 10 h. 30.
_ ENTRESSEN, au Ha ras du Mas d'Ardouin, fi pa rtir de Il h. 30.
- ARLES, au terrain de la Croisière, à
partir de 15 heures.
La Commission ne se renUra
des lieux indiqués ci-dessus
les propriéta ires intéressés
dans les délais rixés, devoi r y présen ter des
ani maux.
En revanche, si besoin étai t, d'ap rès les
déclaraticns reçues en temps vou lu, des lie ux
d'examen supplémentaires pourraient éventuellement être fixés.
Articte 5. L'ép reuve de cornage est
absolume nt obligatoire pour les étalons et
les prop ri étaires sont ri gou reusement te nus
d'y soumettre leurs ani maux devant la Commission par leurs propres moyens.
Article 6. - Aucune a utre tournée départementale d'exa men ne pouvant êt re organisee pour la monte 1952 postérieurement à
celle faisant l'objet du présent arfété, les
repn?ducteurs qui n'au raient pas été pr é~
sen tes en temps voulu pourront êt re examinés jusqu'au 3 1 mars 1952 par le Directeur des Haras de Ta rbes, mais celui-ci
dev ra exiger que la présentation ait lieu
a u siège du dépôt d'étalons ou que les frais
de déplacement du fonctionnaire des haras
soient remboursés à l'Etat conformement aux
instructions ministé rielles du 15 décembre
1949.
Articte 7. - Il est rappelé aux propriétaires :
l oque désormais, les nouveaux étalons
prése ntés devront, pour pouvoi r être accept és, avoir un certificat d'o ri gi ne avec signalement conforme ;
2
Que les re prod ucteu rs acceptes par
Jes Commissions pe uve nt re cevoir de rAdminîstratîon des Haras, l'attache officielle
s'ils remplissent les conditions géné rales
d'âge, de race, de modèle, d'épreuve et d'habitat, prescrites pour les étalons par l'arrêté
ministériel du 14 novembre 1938 et, pour les
budgets, par l'arrêté ministériel du 7 novembre 1937.
De plus, ces reproducteurs, pour pou\'oir
ètre subventionnés, devront, aux termes des
instructions ministérielles du l:S aoüt 194-t,
confirmées par celles du 10 août et du 14
septembre 1945, être d'un modèle permettant
leur entrée dans l'effectif des Haras NatiC"naux et les étalons devront, en outre, etre
ins crit au e stud- boo k > de leur race.
Aucune subvention ne peut, par ailleurs,
être attribuée à un reprodu cteu r qui fait la
monte à lin prix supé rieur à celui fixé pa r
le dernier a rrête ministériel pris à cet effet.
Ar/icle 8. - M. le Secrétaire Général <le
la Préfecture, MM. les Sous-Préfets et Mai res du Département, ainsi que J\\. le Directeur des Haras de Tarbes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exéc ution du
present arr~té, qui devra être publié et
affiché.
Marseille, le 1er septembre 195 1,
Pour le Préfet.
Le Secrétaire Général
LAMASSOU RE.
0
-------«~ooc»-------
AG 6
D5B1
MODIFICATION DES STATUTS
DE L'ASSOCIATION SYNDICALE
AUTORISEE POUR L'ENTRETlEN
DE DESSECtlEMENT DU TERRITOrRE
DE LA COMMUNE DE ROGNONAS
ARRETE
Le Préfet du Département des Bouchesdu-Rhône, officier de la Légion d'honneur ;
Vu l'arrêté préfectoral du 5 mai 1949,
portant auto ri sation de l'Association ;
Vu la délibération du 14 janvier 1951
le projet ù'extension du pé~
svn,];cal
�Vu le dossier de l'enquête ouverte sur ce
projet en exécution de l'arrêté préfectoral
du 13 mars 1951 à Rognonas;
\ 'u le procès-verbal de l'Assemblée Genérale des inté ressés, tenue le 22 juillet 1951
en vertu du même arrêté;
Vu la loi des 21 juin 1365, 22 décembre
l
,modifiée par le décret du 21 décembre
1926 ;
Vu le règlement d'administration pub lique
du 18 décembre 1927 ;
Vu la loi du 8 aHil 1898 sur le régime
des eaux,
ARRETE
Article premier. - Est autorisée l'incorporation des surfaces bâties dans le périmètre syndical de l'Associatio n pour le dessèchement du territoire dans la commune de
Rognonas (Bouches-du- Rhône).
Artit'/e 2. - Le présent arrêté sera inséré
au Recueil des Actes Administratifs de la
Préfecture et affiché tant à la porte principale de la Mairie qu'à un autre endroit
apparent ~t frêq'uenté du -public, désigné par
arrété municipal dans la commune de Rognonas.
... ,
Article 3. - M. le Secrétaire Général de
la Préfecture, M. le Sous-Préfet d'Arles, M.
l'Ingénieur en Chef du Génie Rural sont
chargés chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté.
Marseille, le 29 août 1951.
Pour le Préfet,
etant l:onsidere comme partie intégrante du
traitement budgétaire, le traitement moyen,
coowte tenu des 14 échelles de traitement
des instituteurs, ressort à -l5O.l40 francs, ce
qui, donne comme tarif horaire, après arron·
dissement au franc le plus voisin, 289 frallcs.
" II est bien entendu que ce tarif n'e~t
applicable qu'aux services d'enseignemellt
visés à l'article 1er de l'arrêté, les heures
de sur"eill~nce faisant l'objet de l'a rticle 2
devant être rétribuées moitié moins.
'\( VOLIS noterez aussi' que ce texte est
applicable à compter du jou r de sa publicati on au j. O., c'est-à-dire du 10 août 195 1.
« D·autre part, l'a rJêté du 23 j uil,let 1 9 ~ 5
et toutes autres dispositions contraires ayant
pu être prises se t ro uvent imp licite ment
abrog~es par le nouveau texte. :.
Pour le Ministre,
et par autorisation :
Le Directeur Gélll!rai de l'Enseignement
du premier degré :
BESLAlS.
En exécution des dispositions de l'arr ~té
interministé riel du S juillet 195 1, en \'igueur
depuis la date de sa publication au ]. U ..
c'est-à-dire le 10 aoùt 1951, le taux de rémunération des études surveillées effectuêes
par des instituteurs, applicable depuis cette
de rni ère date, devra t:t re égal au taux
horaire déterminé pa l' la ci rculaire mini stérielle, soit 289 francs.
Toutefo is cette rét ribu.tion horaire ne
s'applique pas aux lIeures de slU"VeiJ lance,
Le Secrétaire Général délégUl!, J10tamment des ca ntines scolaires, des gardeLAMASSOURE.
ri es d'enfants et des réc réatio ns précédant
les
études surveillées.
- - --<.>ooc>---1
Pour le Préfet, par délégation,
D483
EN 1
Le Secrétaire Général :
LAMASSOU1Œ.
TAUX DE REMUNERATION
DES HEURES SUPPLEMENTAIRES
---<>00.>,-- - O. D. S.
l'S 0
EFFECTUEES
REMUNERATION
DES
MEDECINS
PAR DES INSTITUTEURS
Un arreté interministériel du 8 j~illet 1951
publié au Journal Officiel du 10 août 1'95 1'
fix.e le ta~x de rém unération des heures su~
plementalres effectuées par des instituteur:..
. Afin de compléter et de préciser les dispoSItIOns de ce texte règlementaire j'ai j' honneur de porter ci-dessous à la c~nnaissance
de MM. les Sous-Préfets et Maires du Département les prescriptions de la Circulaire
n' 153, en date du 22 août 1951 de M. le
hlinistre de l'Education Nationalé.
Le Ministre de l'Educalton Nationale
à MM. les Préfets (pour instruction)
MM. les Inspecteurs d'Académie
(pour instruction),
A{Ai. les Recteurs (pour information),
• j'appelle tout particulièrement votre
attention sur l'A rrêté interministériel du 8
juillet 1951 , publié au f. O. du 10 août 1951,
fixant le nouveau taux de rémunération des
heures supplémentaires effectuées en dehors
des heures règlementaires, par des instituteurs, il. la demande et pour le compte des
départements et des communes.
c L'article 1er dudit arrêté stipule que
le taux horaire doit être fixé dans la limite
du ma ximum obtenu en divisant par le nombre 1.560 le traitement moyen budgétaire des
instituteurs, le quotient de cette opération
étant a rrondi au franc le plus voisin.
VACCINATEURS
ET DES AUXILIAIRES MEDICALES
AiR,RETE
Le Préfet des Bouehes-du-Rhône, Officier
de la Legion d'Honneur,
Vu l'arrêté préfectoral en date du 9 ma rs
1950 portani règlement du Service Départemental des vacci l} ations ;
Vu l'acte dit loi du 20 août 1941 réglant
l'imputation des dépenses des lois des 24 et
25 novembre 1940 ayant trait, la première,
à la vaccinalion antitétanique associée à la
vaccination antidiphtérique, la seconde, il."
vaccination antityplloparatyphoïdique ;
Vu la ci rculaire de M. le Ministre de la
Santé Publique en date du 8 février 1951
concernant la rémun ération des médecins
vaccinateurs publics ;
Vu la délibération de la Commission Départementale en date du 2ls mai 195 1 relative au même objet;
Vu les crédits inscrits au budget départemental (chapitre X Ill, article 2) ;
Vu l'avis favorable de M. le Directeur Dé·
'Parlemental de la Santé, dlef du Service Départemental des vacc inations ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire Général <le la Préfecture,
Nrôte :
Article premier. _ Les m~ecins vaccinateurs appartenant au Service départemental
des vaccinations sont rémunérés à l'occa-
-
dïnje.:tions sous-cutanées ainsi qu'il est in8ique Cl-après.
Art. 2, - Ils reçoivent une indemnité annuelle forfaitaire de 36.000 [rancs pour les
Y8ccinations dfectuées au Bureau Municipal
d'Hygiène de Marseille, et de 24.000 francs
pour les vaccinations opérées au Bureau
Municipal d'Ajx ou à celui d'Arles.
Art. 3. - Les mé'decins vaccinateurs des
villes de Ma rsei lle, Aix et Arles, pour les
opérations réa lisees dans les éco les d,e ees
co m m un es, et les médecins praticiens vac.
cina nt dans les autres communes reçoivent
des-yacations calculées à raison de 33 franC5
par in je ch on quel que soit Son rat>g (pr ..
mier, deuxième, troiSième ou rappel).
Art. 4. L es ~decîns vacci nate urs se
déplaçant spécialem ent pour effectuer des
vaccinations publiques et n'a ya nt pas drOIt
au remboursement de leurs frais de dépla·
cement (cas des zo nes urbaines) recevront
llDe vacation de 400 francs par séance si le
nom.b re des enfants val.'Cinés est inférieur
à 12.
Art 5. - Les frais de dépli'cement seronl
r6mbours~s selon le taux en viguellf pour
les visites de l'Assistance Médicale Gratui~
(tarif « plaine »). Ils ne dOll11ent pas lieu 1
remboursement au titre des vaccinations
lorsque celles-ci sont effectuées conjointe·
ment avec un autre acte médical don nant
droit
ce rem boursement.
Art. 6. Les a uxiliaires médicales qw
ne sont ni foncttoDnajres, nj app,Qintées par
un service nrant totalement ou partiellement
ses ressources de co HecÛlvités publiqu,e s, leI- \
les que dispensaires, caisses d'assurances S&ciales de compensation ou d'allocations fa·
miliaÎes, etc ... , recevron t une indemnité dl'
l065 francs par séance. Cette indemnité. est '
portée à 245 Irancs par séance pour les titu·
laires d ' un des diplômes d'infirmière hosp>
tatièr~, (~assistaDte sociale, d'assistante mé·
dico-sociale ou de sage-femme.
Art. 7. _ Les a uxiliaires médicales fone·
tionnaires peuvent> recevoir, Qutee des Irai;
de dép lacemellt, une indemnité n'exeèdam
pas 165 Irancs par jour, lorsque M. ,le p,..
fet estime que le service des vac.Qlna hQ~
entraîne pOUF elles un travail d'wle du(e.l'
exeeptionneUe.
Art. 8. - Lorsque le nombre des assujeltis excède W et ,si le personnel chargé des
fonctions d'auxiliaire adminisvratit est insu~
tisant, un aid'e peut être recruté sur autortsation de M. le Directeur Déparfement al ik
a
la Santé et pa yé à raison de 165 fra.ncs pli
séance. Lorsqu'un secrétaire de mame aSS1/' :.1
re, il. lui seul, le secrétaria t des séances de ..,
vaccination en cause, il reçOit une }ém~
ration de 32 francs par séance plus une pome de 0 fr. 80 par vaccination en p lus de
la quarantieme, par commune et par an·
Art. 9. Sont et demeurent abrogée!,
toutes dispositions contraires au ,présenl al'
rêté.
d
Art. 10. - M. le Secrélaire Gén~raJ e;
la Préfecture, MIM. les Sous-Préfets d AIX 1
d'Arles, M. le TTésorier-Payeur Géné ral ~I 1
M . le Directeur Départemental de la San l
sont chargés, chacun en ce qui le co nee'",e; de l'exécution du présent arrêté qUI aU'
effet du 1er ja nvi er 195 1.
.Marseille, le 6 juill et 1951.
P. le Préfet et par déléga tion,
Le Secrétaire Général,
ÎÏlÎilïWiïïï..~s.ioïnlidïe.s"ïllï~ïï. .ïïïliiilaluIïIïÏÎ~IIIIIIIIIIIIII"LÎ~.ASSOUR~
03 B2
FSO
CON COURS POUR LE RECRUTEMENT
D 'ASSISTANTS D ' ANESTHESIE
Paris; le 6 juillet 195 1.
A.G. 15/49
W 129
Le 'Mi Distre de la Santé Publique
et de la Population,
il ",~M. les Préfets,
,MW!. les Directeur s Dépa rteme ntaux de la Santé.
Un nombre de plus en plus important d'hôpitaux demanda ll t à re cru ter des assistants
d'a nest hésie et cette disc~)line ayant, par
ailleurs, subi, au cours de ces dernières années, une évolution parti c..u lihe, il m'a paru
nécessaire de vous donner certaines précisions concernant l'o rga nisatio n des Co nco urs
pour le re cru tement des assistants d'anesthésie dans les hôpita ux.
1. - Conditions exigées des candidats
Je vous rappell e qu'aux termes des arti·
c1es 130 et 196 du R.A.P. du 17 avril 1943
peuvent présenter leu r ca ndidature aux concours destinés au recrutement d'assistants
d'a nesthésie « les docteurs en médecine
français ~ . Il résult e de ces dispositio ns que,
sur le plan réglementair e, aucun titre part icu li er autre qu e celui dt! docteur en médecine ne peut être actuell ement eXLgé des
candidats aux postes d'assistants d'anesthésie.
Je tiens, toute.[ois, à appeler vot re attention sur l'intérêt qui s'attache, en vue de:.
meilleurs soins â donner aux malades, â faire appel à des praticiens compétents en
anesthésiologie.
il. - Programme des épreuves
Compte tenu de J'évolution ci-dessus rnppelée dans le domaine de l'anesthésiologie.
j'ai été amené à faire réviser le programme-type des ép reuves du concours d'assistants d'anesthésie tel qu'il avait été proposé
pa r ma circulaire du 1er févrie r 194-1.
En conséquence, je vo us 'j)Iopose ci-après
un programme-type à substituer à celui de
ma circulaire précitée.
A. - Epreuves d'ad missibilité :
L. - Epreuve théorique éc rite porta nt sur
Uo sujet de physiologie ou de pharmacolo-
gie 'elatif à rallesthésie.
Durée : 2 heures ; cotée de 0 à 20.
.2: - Une épreuve écrite sUi un sujet d-e
ehmqu e anesbhésique ou de thérapeutique
Ilté per ou post OjJératoire.
Durée 1 h. 30 ; cotée de 0 à 20".
3. - Une épreuve écrite ou orale portant
Su r la teC"hnique de l'anesthésie,
IDurée : en cas d'épreuve écri te : t heure,
en cas <l'épreuve ora le : un quart d'heure
d'e~posé après demi-heure de préparation ;
cotee de @ à 20.
.A~cun ca ndidat ne pourra être aéclaré admiSSible s'il n'a obtenu un nombre de poi nts
égal aux deux tiers des points fixés.
B. - Eprouves d'admission :
t I. ;- Une ou !plusi eurs consu ltations écri~
l~ d ane~thési~lo~ie ponaryt sur un m ~
cis e. ,Le JUry indIque le diagnostic et pré15 e 1.lnterve ntiOll envisagée. Il est accordé
. minutes pOlir l'examen du malade et .JO
minutes pour la rédaction.
Cotée de 0 à 20.
2. U Il exposé de 15 minutes aprèS 30
minutes de réflexion sur un sujet d'anesthésie.
Cotee de 0 il 20.
C. - Epreuves de titres
Cotee de 0 à 20.
II I. - Composition dU jury
La composition du jury teUe qu'elle figure
dans l'arrêté du 30 novembre 1946 m'a également paru devo ir subir quelques modifica tions. j'ai décidé en consequence, par arreté en date d11 4 juillet 1:15 1 et en applic.tion des dispositions de l'art. 114 du R.A.P.
du 17 avril 1943, de modifie r, co mme suit
cette composition :
- 4 chirurgiens des hôpitaux ;
- 2 assistants d'anesthésie des hôpitaux:
- 1 médecin ou 1 specialiste des hôpitaux.
IV. - En ce qui concerne la rémunératon
susceptible d/être accordée aux assistants
d'anesthésie, je vous rappelle qu'actuenement et en application des d-Ïspositions de
l'arrêté du 1er décembre 1947 portant modification de l'article 10 de la nomenclature
générale des actes profession nels, il est a ccordé aux assistants d"anesthésie, pour
leurs intenentions, un pourcentage du K
opératoire. Cette rémunération à l'acte est
app licable pour les ma lades payants et les
malades assurés sociaux.
D'autre part, et en application des dispositions de l'article 132 du R.A.P. du 17 av ril
1943, une indemnité forfa itaire annuene doit
être accordée pour soins donnés aux malades bénéficiaires des rois d'assistance.
P. le Minisbie,
Le Chef de Cabinet,
Signe : MDNCOMiBLE.
-------<~oo<>-------
03B4
FS 0
REDUCTION SUR LES TARIfS
DE CHEMINS DE FER ACCORDEE
AUX MALADES DES SANATORIUMS
Circulaire n° 1.42
Paris, le 25 juillet 1951.
Le 'Ministre de. la Santé Publique et
de la Population ~Di r ection de l' Hygiène Sociale),
à MM. les Préfets,
MM. les Directeurs Départemenrnux
de la Population et de l'Entr'aide
Sociale (pou< attributions),
MM. les Di recte.urs Départementaux
de la Santé (pour rnfor mation).
Jfai l:honneur de vous faire. connaître
qu'en accord a vec mes collègues des Travaux Publics et des TranspDrls, du Budget,
et des trinances et des Affaires Economiques, il a été décidé que le. Ministère de la
Santé Publique et de. la Population serait
a.u:ta.risé à prendre en charge la réduction de
50 p. 100 sur les tarifs de cflemins- de f",
qui sera accordée' une fois paf" an, -il. compter
du 1er julllet 1961, co nformément à la con1...
vention conclue avec la S.NJC·.F"., aux malades soignés dans les· sanatoriums désireux
de se rendre en. permission, ou à un memtrre de leur famille leur rerrdarrt visite.
1. - Bénéficiaires. - Pourront bén&icier
d'un bon de transport à taTif réduit les mal.<les soignés dans les établissements de
des membres de leur famille leur
A. -
Malades des étabUssements de cure.
La présente mesure a pour but de permettre aux malades que les nécessités de
leur traitement tiennent éloignés pour ane
longue durée de leur résidence et de: leur
famille, de reprendre contact avec le milieu
familial. Elle ne s'appliqut pas aux malades
traités dans les services hospitaliers de tuberculose, ni dans les centreS' départ~lTien
taux de phtisiolugie, le- séjour dans ces services étant en principe bref et l'éloignement
de la résidence peu considérable. Elle nt
s'applique pas davantage aux tuberculeux
traités dans les préventoriums, en raison de
la durée en général relativement brève de
fhospitalisation dans ces établisse ments.
Par établissement ùe cure, il faut dqnc entendre, à l'exclusion de tous autres, les seuls
sanatoriums, hôtels -de cure et sanatoriums
de post-cure, sans qu'il y ait lieu de distinguer entre établissements publics ou privés,
ponrvu qD' i1S soient régulièrement agréés.
11 ne doit être tenu aucun compte de la
qualité du malade tuberculeux, qui pouTra
être, indifféremment, un assisté, un assuré
social ou nn payant.
Le régime de permiSSion dans les Sanatorium" a été fixé pa' J'article 73 du Règlement In térieur type des sanatoriums annexé
à l'arrêté du 24 février 1950 Ü, O. du 5
mars 1950). C'est en fonction de ce régime
de permission que doit être appliqué la présente mesure. Les permissions ne peuvent
donc être accordées qu'après un séfour de
6 moi. da,ns l'éta bfissement et que si le médecin traitant ,'estime médicalement possib le. Aucun malade ne 'Pourra bénéfider d'an
bon à tarif réduit sans que ces conditions
ne soient remplies. Toutefois, il convrendra
de tenir compte du fait que certains tubercnleux ont pu être évacues pour diverses
raisons, et notamment pour subir certaines
interventions, d' un sanatorium sur un autre
sanatorium, ou d'un hôter de cure sur lIn
sanatorium et inversement, sans retour dans
fa famille. Dans ce cas, on fiendra compte,
pou r le calcul des 6 mois, de la <lu rée tofa1e
des hospitalisations successives.
B. - Membres de la famiile.
Dans le cas où après les 6 mois de séjeur
calc ulés comme ind;qué ci-dessus, le malade
ne pourrait, en ra ison de son état de sam,
utiliser lui-même un bon de transport" à tarif r.éduit, il auca la possibilÏTè d'en d\omander le bénéfice pQ!Jr an de ses proches désireux de lui rendre visite.
Les seuls proches adrrris à recevoir un bon
de tlansport à rarif réduit sont le conjoint
et les descendants ou ascendants en llgtre
directe à l'''''ClDsion de toute autre person·
ne.
En tODt état de cause, le droit à un bon
de transport à tar if réduit ne peut être accordé, ...; chaque malade, qu'une fois par an.
Il -
Mo<lalités d'application
A. - Pour le mala<lé :
L'octroi etes bons se fe ra sur demande du
mala-de adressée au Directeur- de rétabliss~
ment dans 1"<l1\el il est hospitalisé. La d ...
mande vouS' sera transmise par elui-c~ qui
attestera que le malade se trouve dans t:éta.
blissement depuis au moins fi mws ou' vous
fournira tous renseignements voulus. pour
vous permettre de vérilier, éventuelleme nt.
a fait des sélours sw:co:ssifs d'une d u-
�famille. Le Directeur de rétaliiissement attes-
tera eaalement en 1952 qu'à sa connaissance le ~malade n'a bénéficié d'aucun bon de
tr~nsport à tarif réduit depuis. un an. A la
demande sera jointe l'attestation du médecin trait~nt certifiant que médicalement il
estime la permission possible.
Au vu de ces documents. vous délivrerez
un bon revitu de votre visa et sur lequel
vous inscrirez les nom et prénom du béné-
fkiaire ainsi que le parcours à. effectuer. Le
bon p~ur le voyage de refour sera dtWvré
en mêmt! temps que le bon pour le voyage
aller.
A l'empbcement du bon
parcours de
à
via
vous indiquerez à la suite de via : c Par
l'un <les itinéraires habituellement suivis ,.
La ligne: • Valable jusqu'au
•
devra être com plétée par la date du quantième du mois qui suit la date d'émission,
c'est-a-dire qu'un bon délivré le5 août 1951
portera la mention : • Valable jusqu'au 5
septembre 1951 •. En effet, bien que la permission ne doive pas durer ,plus de 15 Jours,
il faut compter avec les délais de transmission et ceux nécessaires pour que la décision de départ soit prise après réception du
bon.
B. - .Membres de la fam ille :
Lorsqu'après 6 mois de séjour dans un
établissem ent de cure le malade ne peut bénéficier lu i-même d' une permission et qu ' il
désire recevoir la visite d'un de ses pro ches
(conjoint, descendant ou ascendatlt en ligne
directe), il adressera une demande de bon
à tarif réduit à la direction de l'etablissement dans lequel il est hébergé. Il mentionnera de faço n expresse la qualité du proche
(conjoint, descendant ou ascendant en ligne
directe), ses nom, prénom et adresse, ainsi
que l'adresse du dispensaire an ti-tuberculeux
le plus proche de la résidence de la personne à laquelle le bon doit être délivré.
La demande vous sera transmise par le
Directeur de l'établissement qui attestera
que le malade séjourne depuis 6 mois dans
son établissement ou vous fournira tous renseignements voulus pour vous permettre de
vé rifie r él' entuelleme nt qu'il a fait des séjours successifs d'une d urée lo!ale de 6 mo is
sans retourner dans sa famille. En 1952, il
précisera également qu'aucun bon à larif réduit n'a été accordé à l'intéressé ou à l'un
de ses proches depuis au moins un an.
Les bons seront complétés en ëe qui concerne la mention < via . ... . .".. ~ comme
indiqué ci-dessus. En ce qui concerne la validité, le bon < aner » sera valabe un mois, le
bon < retour ~ deux mois, ou exceptionnellement plus, à la demande expresse du médecin traitant s 'il jugeait souhaitable qu'un des
membres de la famille du malade, susceptible
de bénéficier du bon, vienne séjourner a- proximité de l'établissement.
Au vu de ces documents, vous a<lresserez
les bons aller et retour, remplis et visés par
vos soins, au dispensaire indiqué dans la demande du ma lade en le priant de s'assurer,
avant de les remettre a u bénéficiaire, que
celui-ci est bien le conjoint, l'asce ndant ou
le descendant en ligne directe du malade
demandeur.
Vous informerez de votre envoi le malade
intéressé par l'intermédiaire du Directeur de
l'établissement qui l'héberge.
Vous recevrez prochainement, sous le tim-
bre Direction Départementale de la Population et de l'Ent r-aide Sociale, une série de
bons de transport.
Vous informerez aussitôt les Directeurs
des sanatoriums, Jtôtels de cure et sana toriums de post-cure implantés sur le territoire
de votre département de la mise en application de la présente mesure.
Il vous appartiendra d'ouvrir un registre
auxiliaire sur lequel seront portées toutes
indications utiles chaque fois qu'un bon sera
délivré, et notamment, nom et prénom du
ma lade, établissement dans lequel il est en
traitement, date de délivrance du bon, indicatio n du bénéficiaire (ma lade ou membre
de la famille).
Ce registre devra vous permettre de vérifier qu' aucun malade ne iJénéficie de deux
bons au cours d'une année. Il importe, en
effet, pour que la présente mesure ne pèse
pas trop lourdement Sur le budget de l' Etal
qu' un malade ne puisse, au cou rs de 12 mois,
bénéficier de plus d'un seul ·bon sans qu 'il
y ait lieu de distinguer si le bon est utilisé
par lui-même ou par un mem bre de sa
famille.
Cette vérification 'pouvant présenter des
difficultés lorsque le malade demandeur a
été antérieurement hébergé dans un établissement implanté sur le territoire d'un autre
département, il importe que les '<iossiers de~
ma lades transférés d'un département il un
a utre mentionnent" quelle date a été délivré le bon de transport il tarif réduit. Le <Directeur de l'ét ablissement devra vous en informer et vo us en fere z ment ion sur vot re
registre auxiliaire. Vous donnerez toutes instructions utiles à cet effet et prendrez s'il
y a lieu, auprès de vos collègues d' a~tres
départements, tous renseignements qui vous
semble raient nécessaires ava nt toute dé livrance de bon.
Pour le Ministre
Le c hef de Cabinet,
Signé : 'M.ONCOMBLE
-------c,~ooc~-------
D.D. S.
FS
2
ASSISTANCE AUX FEMMES
EN COUCHES
(Taux de l'allocatiOn journalière attribuée aux bénéficiaires, pendant la période de repos).
ARRETE
Le Préfel des Bou ches -du-Rhône,
Officier de la Légion d'honneur,
Vu les lois des 17 juin et 30 juillet 19 13
sur l'assistance aux femmes en couches ;
Vu l'ordonnance du 2 novem bre· 1945 sur
la protection maternelle et infantile ;
Vu la circulaire de M. le Ministre de la
Santé Publique du 24 mars 1947, concernant l' attributio n de l'allocation d'assistance
aux femmes en couches ;
Vu Ja circulaire du 22 juillet 1947, relative
à la fixation des salaires mensue ls moyen s
départementaux j
Vu la circulaire ministérielle du 5 septembre 1947, relative au calcul de l'alloeation
journalière d'assistance aux femmes en couches ;
Vu l'arrêté ministériel du 28 février 1949
modifiant, à compter du 1er mars 1949, les
ZOnes territoriales pour la détermination des
salaires i
Vu le décret du 13 juin 1951 portanï':!xa_
tian du salaire national minimum interpr().
fessionnel ga ranti j
Vu les délibérations antérieures des Conseils N\unicipaux proposant le taux journalier
d'assistance aux lemmes en co uches à appli~
quer dans c ~ aque commune, en prenant pour
base le salaire moyen minimum départemen.
ta l, suivant les zo nes dans lesquelles sont
co mprises ces dernières;
'\
Sur la proposition de M. le Directeur Départemental de· la Santé,
Article 2. - M. le Secrétaire Général de
la Préfectu re, MM. les Sous-Préfets d'Ai x
et d'Arles, MM. les Maires tlu 'L.I épartement,
M. le Directeur du Bureau de l' Assista nce
Publique à Marseille, M. le Trésorier-Payeur
Général, M. le Directeur Départemental de
la Santé sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de J'exécution du présent arrcté.
Fait à Marseille, le 3 1 aoCtt 195 1.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Serrélatre Général
LAMASSOURE.
ARRETE:
- - - - --c:'00( : t - -_
Article premier. - Le taux de J'allocation
journalière attribuée a ux bénéficiaires de
l'assis~ance aux femmes en co uches, pendant
la période de repos, est fixé commt: suit à
compter du 1er juillet 1951 :
'
D4 B3
CONTROLES EFFECTUES
PAR LES AGENTS
DU CENTRE NATIONAL
DE LA CINEMATOGRAPHIE
Arrondissemenl de Marseill e
Allauch, 2~ fr. ; Aubagne, 187 ; Auriol,
2 12 ; Belcodene, 102 ; Cadolive 150 . Cassis-sur-Mer, 188 ; Ceyreste, . 106 '; Cug~s-l es
Pins, I ~ ; 9èmenos, 125 ; Gréasque, 150 ;
L. BOUIll adIsse, 106 ; La Ciotat, 237 ; La
Destrousse, 106 ; La Penne-sur-Hu veaune,
250 ; Marseille, 250 ; Peyp'n, 102 ; Plan-deCuques, 250 ; Roquefort-la-B édoul e, 106 .
Roquevaire, 106 ; Saint-Savournin, 106. '
Arrondissement d' Aix-en-Provence
Aix-en-Provence, 237 fr. ; Aurons, 150 j
Beaurecueil, 106; Berre-L'Etang, 250,
Bouc-Bel-Air, 102 ; Cabriès, 106 ; Carry-leRouet, 225 ; Cha rleval, 106 ; C hâteauneufles-M artigues, 106 j Châteauneuf-le-Ro uge,
106 ; Cornil lon-Confoux, 212 j Eg uilles, 150;
Ensuès-la-Redo nne, 106 ; Fos-su r-M e r, 237 ;
Fuveau, 106 ; Gardanne, 187 ; Gignac-laNerthe, 212 ; Grans, 2 12 ; Istres, 237 ; JOuques, 187 ; La Barben, 106 ; La Fare-lesO li viers, 212 j Lambesc, 106 ; Lançon-deProvence, 150 ; La Roque-d'Anth é ron, 106 ;
Le Puy-Sainte-Réparade, 187 ; Le Rôve,
102 ; Le Tholonet, 205 ; Les Pennes-Mirabeau, 250 ; Marignane, 250 ; Marti gue~,
237 ; Meyrargues, ro6 ; Meyreuil, 106 ; Mimet, 150 ; Miramas, 250 ; Pélissane, 2 12 ;
Peynier, 2 12 ; Peyrolles, 2 12 ; Port-de-Bouc,
237 ; Puyloubier, 212 ; Rog nac, 250 ; Rognes, 212 ; Rousset, 175 ; Saint-Antoin e-s urBayon, J 06 ; Sai nt-C a nn at, 150 ; Saint~ha
mas, 237 ; Sa int-Esteve-Janson, 106 ; SaintMarc-Jaumega rde, 106 ; Saint-Mitre, 225 ;
Saint-Paul-lez-Durance, 212 ; Sai nt-Vi ctoret , 250 ; Salo n-de-Provence, 237 ; Sausset-les-Pins, 225 ; Septèmes-les-V a ll o ns, 250 ;
Si mi a ne-Collongue, 150 ; Trêts, 212 ; Vauvenargues, 106 ; Velau x, 150 ; Ven ell es, 212;
Ventabren, 212 ; Vitrolles-l e- Roucas, 225.
Arrondissement d'Arles
Alleins, 212 fr. ; Arles, 237 ; Aureille, ISO;
Barbentane, 212 ; Boulbon, 150 ; Caba nn es,
106 . Châteaurenard, 2 [2 ; Eygalières, 150 ;
Eyg ~i è res, ISO ; Eyragues, 2 12 ; Fo ntvieille,
225 ; Graveso n, 212 ; Lama""n, 2 12 ; Les
Bau x, 2 12 ; Maillane, 187 ; Mallemo r t, 2 12;
Mas Blanc, 106 ; Maussane, 187 ; Mézo argues, 150 ; Mollé gès, 212 ; Mouri ès, 137 ;
Noves, 106 ; Orgon, 2 12 ; Parado u, .187 ;
Plan d'Orgo n, 2 12; P o rt-Saint-Lo llls-d uRhône, 237 ; Ro g nona s, 2 12 ; Sa int-And Io l,
212 . Sa int- Etie nn e-du-Grès, 212 ; SalOtesMari~s-de .. la-M er
1S7 ; Saint-Marti n-deCrau 237 . Sai~t-Rémy-de-Provence, 2 12 ;
Séna~, 212 ;' Tarascon, 237 ; Verneg ues, 150;
Verquières, 187.
P 5
(
Le Préfel des Bouches-du-Rh6ne
à MM. les Suus-Préfels d'Aix el
d'Arles,
MM. les. Maires du Déparlen"nl,
M. le Drre cleur D éparlem e/llal des
Serl'ices de Police,
M . le Commandant de Gendarmerie,
A la de man de du Centre National de la
Cin ématog rap hie, j'ai l' honneu r de vOus fa ire connaître que ,les Inspecteurs attachés à
ce Service sont habi lités à exercer tou tes
investigat ions et à demande r to us renseignements utiles à leur mission, aux exp loita nts
de salles de cinématographie.
Ils sont titulaires d' une ca rte barrée d'u ne
bande tricolore délivrée par le Cent re National de la Cinématographie (Contrôle des
Recettes et de la Règlementation Professlcnn.elle), portant leur photog ra phie et
menti on nant le serment qu'ils ont prêté devant ie Tribunal Civil pou r l' exe rcice de
leur mi ssion.
Je vous serais obligé de bien vo ul oi r porter cc.s rensei g nements à la co nnaissance des
explOitants de salles de cinématoO" raphie et
les inviter à présente r le docume;t dont i ls
SOnt possesseurs à toute réq uisition des
agents qualifiés.
P our le Préfe t, par délégation,
Le Secrélaire Général
LAMASSOURE.
------- <)00 « )-------
DI B3
P 8
LIQUIDATION DES SUCCESSIONS
LAISSEES PAR DES TRAVAILLEURS
AUEMANDS DECEDES EN FRANCE
Le Préfet des Bouches-duRhône
à AlAI. les Alaires du Département.
l'ai l'honneur d'appeler tOllt parliculière'!lent votre allen/ion slIr Je lex/.', , ....'l,'sc· if
tn-exlen~o ci-dessous, ltun télégrammt qui
me parVient de M . le Ministre de l'lnférieut''
à tapplication duq uel vo us devrez veiller
partiCUlièreme nt .-
N' Reg. Etr. E. n' 617
ct ~ Vous informe que dispos itions suivantes
r è,ven t ê~ re . dorénavant appliquêcs en maI re de Itqltld at io n des successio ns laissées
par tra vai ll eurs allemands décédés en France Stop Primo
effets o u objets
lIels laissés
défunt se ront ", 'np,I;'.
1
présent ar rtté. qui sera publié au Recueil
des Actes Administratifs de la Préf.et.ture.
Marseille, le 10 Septembre 1951.
Pour le Préfet
Le Secrétaire Gén!!ral
LAMASS0URE
rai d'Allemagne, Paris, 34, Avenue d'Iéna
(16me) Stop Secondo : numéraire sera consigné trésorerie générale votre département
au profit hé ritiers. Stop. Avant dépôt seront
déduites les dépenses justifiées frais inhumation envo i effets etc ... Stop. En abse nce
numéraire envoi effets se ra effectué port dû
Stop. Chaque décés sera signalé Ministère
Affaires Etrangères Directio n Géné rale du
Personnel Service des Affaires Allemandes
et Autric hi en nes, Di visio n de la Circulation
et des Affaires Sociales, BO, rue de Lilit:
Paris (7me) il qui sero nt transmis : a) Trois
extraits acte de décés sur papier libre pour
usage administratif ; b) Rappo rt ci rconstanci é decés ; c) Relevé num'é ra ire laissé par
défunt avec évent uellement indi catio n créances arriérés de salaire etc ... Et état des
frai s pour hospi ta lisatio n, inhumation, envoi
d'effets; d) Inventaire objets o u effets personnels adressés Co ns ulat Général d'Allemag ne avec indication date expédition. Stop.
Pri ère m'adresser sous présent, timbre pour
Chaq ue cas, copie des pièces transmise
il Ministère Affaires Etra ngè res.
Fin.
GR/ 1755 >.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Gé néral
LAMASSOURE
-------0.00 •• - - - - - -
D 5 BI
REGLEMENTATION
DE L'INSTALLATION
DE DISTRIBUTEURS D'ESSENCE
. SUR LA VOIE PUBLIQUE
rai l'honneur de porter à la connaissance
de MM. les Maires l'arrêté en dale du 20
Août 195 1, en les priant de vouloir bien en
assurer la publication et l'affichage en la
forme règlementaire dans leurs cOr.!m.lInes
-------(>00<>-------
D6 B I
R"
ARRETE ?IXANT LE PRIX
DE LA FARINE ET DU PAIN
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Vu la circulaire n' 577 du 3 1 ao ût 195 1
de 1\1. le Secrétai re d'Etat aux Finances et
aux Affaires Economiques,
Vu la circulai re du 3 septemb re 195 1 de
M. le Directeur Généra l de l'O.N. I. C.,
Vu la ci rcul aire du 6 septembre 1951 de
~\. le Secrétaire d'Etat aux Finances et aux
Affaires Economiques,
Vu les instructions télég raphiques de .r\t
le Secrétaire d'Etat a ux Finances et aux
Affaires Economiques,
Vu l'avis du Comité Départemental des
Pri x,
Su r la proposition de M. le Secrétai re
Général,
Arrête :
Article premie r. - Dans le département
des Bouches-du-Rhône le prix de facturati o n de la farine rendue seui l boula ngerie
est fixé à 5.816 fr. 30 le quintal.
Art. 2. - La marge de panification pondérée s·élé,·e à 3.678 fr. par balle de fari ne
Art. 3. - Les prix à la consommation
des différentes catégories de pain soumises
à taxation dans Je département des Bouchesdu-Rhône sont fixés ai nsi qu'il suit :
- Pain boulot de 2 )<g vendu au poids
de 70 cm de long : le Kg 52 fr.
- Pain roulé de 700 g r de 65 cm de long.
form e « sa ucisson », ou c: coupée ~ , fougasses, la pièce : 52 f r.
- Pain batard de 300 gr) baguettes de
300 g r., fougasse: la pièce 28 fr.
Ar t. 4. -- Les précédentes dispositions
entrent e n application à dater ùu Il septembre 195 1.
Art. 5. - M. le Secrétaire Général de
Préfectu re, MM. les SOlls-Préfets d'Aix
TVX 0
1
ARRETE
Le Préfe t des Bouches-du-Rh ô ne,
Vu les lois, décrets et règleme nts, com:e rnant la conservation des voies publiques~
ainsi que .Ia li be rté et la sécu rité de la ci rculation sur ces voies ;
Vu l'arrêté préfectoral règ lementaire du
15 janvier 1907 sur les permissions de g rande voi rie,
Vu les arrêtés min istériels des 3 aout 1S7S
30 octob re 1895 et 22 septembre 19ü6 co ncernant les occ upations temporaires du domaine public national,
Vu les a rticles 9 1, 97, DB, 99 et 133 (§7)
de la loi du 5 al'r il 1884, I"article 94 du décret du 5 août IS8-l et la ci rculai re du .'Hnistre de l'Intérieur du 15 mai suivant:
Vu l' article 1er de la loi du 21 juin 189d,
Vu "arrêté préfectoral règreme ntaire du
1e r decembre 1923 portant règlementatio,
de rinstallation des distri uteurs automatiques d'essence sur la \'oie publique, modi fié par les arrêtés des 15 août 1932, 25
janvier 1939 et 15 no\'emb re 1946,
Arrête :
Article premier. - La distribution de carburan t au moyen, soit d'une conduite souterraine aboutissan t à une borne placée prés
de !a bordu re du trottoir, soit d'une conduite aérienne partant d'une borne placée à la
li mite de la "oie publique, peut être autorisée sur les routes nationales et sur les
chemins départementaux, aux conditions
sui,'antes, lorsque des considérations particuliè res d'esthétique ou de ci rculation n y
font pas obstacle.
A. - Conditions communes aux deux mode.s
dt' distribution ci-dessus mentiollnés :
Le réservoir alimentant l'appareil
L distributeur sera placé hors ùes emprises
de la vOIe publique.
II. - La couleur de l'appareil de\Fra ètre
agréée par l'autorité compétente.
III. - Les organes de rinstallation (appare il distributeur, conduites. ajustages, robinets) seront parfaitement étanches et disposés de maniè re à ne pouvoi r êt re manœuvrés que par la pe rson ne chargée de leur
fonctionnement.
1'.'. - Le pétitionnaire dena joindre à sa
demande des dessins détaillés des ouvrages
qu'il se propose d'installer sur et sous la
voie publique.
V. --
�196
R EPUBLIQ UE FR ANÇ AISE
1.7 Septembre et 4 Octobre 1951
des moments d'emploi, prend ra le long de la
des Poids et .~'esures, en Ylie d'assurer la
.
bo rne et y sera attad1e. .
fidélité du lIèbit.
VIJl. _ Les travaux nec~~aI~es. pour reVI _ L'installation sera entrete~ue en
me ttre le trottoir en bon etat, a I"emplacebon état et s.es abords toujours parfaItement
ment des trancbées ouvertes pour la n~lse en
place des ouvrages, et les tra~allx ~ e~te .
propres.
. fi . '
d
VII _ Il est interdit au béne cl a"e e
tien, pendant un an, des J?arties r ta l e~~
seront effectués par les somS et a ux fraI.:!
l'auto'risation d'apposer o u de laisser apposer sur le distributeur a ucun pann~~~"t:m
du permi§sionnaire,
,
blème o u mention Quelconque de p.u .ICJ •
IX _ Toute négligence apportée ~ 1enSont exceptées de cette i nte rdl~tiOn, les rreti~n pourra donne r lie u à u n proc~s-yer
bal de contr;avention qui sera.. défére a la
indications relatives à la marqu~. a la
lité ou au prix du carhurant mis. en ven e.
juridiction com~éte~te, sans prej UdICe du reCes indications ne seront toutefoIs t?lér~es
trait de J'autOiisatlOn,
.
'dé
ue sur la surface m~me des appareIls dlsX . _ En cas d'urgen ce, Il .s~a pr?cc .
~ibuteurs ou sur des pancartes accroché~s ct'office et aux frais du pernus~lon~aHe, a
à ces appareils et ne dépassa nt pas senSI1'exécution des, travaux propres a fa ire cesblement leur gaba rit. Elles ne devront rten
ser le dommage.
aucun cas faÎre l'objet de panneaux po aC _ Conditions particulières aux ill.s~aUa
tifs spéciaux.
.
. lions com porta.nl une con~t e ~e~tenne
L'indication sur lesdits appa reIls (d~ la
partani d' une borne placée a la Imllie ae
autre prodwt p~ ces
m',se en vente de tout
la l'oie pubrique.
.
1
'Ies
de
fTr
3lssadétachées, pneumatiques. ,.ut
. e
1 _ Lorsque le t rott oi r au ra moi ns d~ .!.
ge, etc ...) est formellement lOterdtte.
mèt res de la rgeu r, la borne distributr} c.e
se ra encast rée dans le mur de face du b~t l
S - Con d 1·t·10 ns particulières .aux installat al
ment du permissionn ai re et ne pourr~ fa ire,
. tions comportant une condUIte sou err . · pre' s de la bordure du trottoir.
s ur le nu de ce mur, une saillie supéneure à
ne p1aue
1 _ La borne dist ributrice pourra être o m. 16.
11. _ La bo rne sera pourvue . d'~ne .ou
1 ~ée près de la bordure du trottoIr lorsque
plusieurs condui tes rigides d e dlstnbytlOl.l
ra a la rgeur de celui-ci sera égale. ou s~pé.
t raversa nt horizo ntalement .Ie. trottOIr a
.
. ') mètres Si deux ou plUSieurs orneure a .
..
lies devr.ont
2 m. 50 de hauteu r et se t ermlDa nt chacune
fies successives sont autO!lSfes~~e libre d'au
par un flexible à l'aplomb du bo rd du trdtconserver entre elles un mten
toir.
moins 2 mètres.
.
III. _ Après chaque opération, cette COIlIl _ Les parties les plus satllantes de la
hor~e et êventuellement, de son Sb°cled sde- duite devra se ra batt re co ntre le mur de
face, en y faisant une saillie de D m. 16 au
u
ron t a. 0' m. 50 de l'aplomb du or
maximum.
trottoir.
1
III _ La projection en plan de la borne,
Article 2. - La distrib uti on de l'esse~ce
'
pas .une . secau moyen d'appare ils mobil:S s ur chanot
socle. compris, ne d epassera
.
r de 0 012 450 pour les appareIls dlstn- peut être autorisé~ .sur les. memes routes et
~~~nt une seule qualité de carburant ; de~x chemi ns aux co ndttlo ns SUivantes
des côt.!s seront parallèles à la bordure u
1. _ Les appa rei ls mesureront en plan, a u
trottoir et ne dépasseront pas 1 mètre, les
maximum 1 mètre sur 0 m. 90.
deux autres côtés ne dépasseront pas
11. - ils ne pourront être employés que
sur des t rottoi rs ayant au mOinS 2 mèt res
o p~u~ies appa reils distribua nt deux quali- de largeur ;
.
tés de carbu rant, ces dimensions .seront au
II I. - Ils seront d'une co uleur agréée p a r
.
de 0 m2 550 e n ce q Ui co ncerne
maxImum
'des
écôt
s pa raIlèles l'autorité compétente.
.
la sec t ·Ion, la lonoueur
'='
';t"l
1
30
IV. _ Ils ne pourront stati onne r près ae
à la bordure ne devant pas .exc~er m.
la bordu re du trottoir que pendant la durée
et celle des côtés perpendlculatres restant
nécessai re à chaque opération de raVita ilfixée à 0 m. 66.
IV _ La hauteur de la borne! socle c?mlement.
"
1
t
V. _ Ap rès chaque opération, .' s se ron
pris,' sera au.ssi réduite que pOSSible et n exrangés contre la f~'çade du magasin du percédera jamaIs 3 mètres.
. ,
mission naire, si les besolDs de.. la clf~ ulattor.
V _ La bor ne sera éclair ée, SI ~ est ~~
n'exigent pas qu'i ls soient relntég res da ns
con~u nécessaire, au moyen d'u~ ~Isposlti r
ce magasin.
offrant toutes garanties de sécunte.
VI. _ Le réservoir se ra solidemen~ assuVI _ La conduite reliant la borne au ré' etli sur le chariot. Il seTa pa r falte~ent
'. sera normale à la bordure du trotservOlr
. d 0
40
~tanche, ai nsi que les autres or ganes de l a p :
toit et enterrée dans ce dermer e m.
pareil. Ces orga nes seron~, : n out re, dtspo
au moi ns de profondeur.
,
sés de manière à ne pOUv01r et re manœuvrés
V11. _ La borne sera . po~rvue dune ?U
que par la personne chargée de leur foncconduites de dlstnbutlOn, con SIS·
p1uS leu rs
.
'
d h rs
tionnement.
tant chacune en un fleXIble qUI , en e 0
qut-
•
u
VII. Le remplissage d u rés~ n'oi r ne
pourra s'effectuer qu'en dehors dt! la voie
publique.
VII I. - Le pe rm ission naire devra sc CO nformer aux co nditions imposées par le Service des Poids et Mesures, en vue d ' assu\l~ r
la fidélité du débit.
DËPARTEMENT DES
Article 3. - L'établisseme nt de reServoirs
de ca rburant sur la voie, q uels que SOIent
leur capaci.té et leur mod e de COllstrllctiOlt,
est inte rdit.
Article 4. - En cas d'absence de trottoi r, la distribution de carbura nt su r la voie
pu bliq ue au moye n d' appa reils a utoma tiques ne po urr a être autorisée que si le pétitionnaire a ob tenu préalablement fauto r1sa tio n d'établir, suivant les dispositions qui
lui sero nt p rescrites, un trottoir de 3 mètres a u moins de long ueur.
4riicle 5. - Toutes les autorisations pre·
vues au présent a rrêté seront dé li vrées en
co nf ormit é des règlements qui régissent les
permissions de vo iri e et les occ upations
tempo rai res.
Article 6. - T o ute demande d'autorisation
d'une inst all a ti on prévue par le présent ar rê·
té dev ra indiquer la durée et être accompag née de l'en gageme nt de pa yer les redeva nces a uxq uelles elle do nnera lie u. Des ampliations de l'arr êté ~' autorisa.tio~,. p.o rt ant
ment io n de sa notificatIOn au benéficlalre seront ad ress ées a ux services chargés du reco uvrement de ces r ede\1an ce~.
Article 7. - L'autori sation, lorsqu'elle ne
se ra pas de la compétence du Maire, n~ sera
déliv rée qu'après co nsultation du Ma" e de
la comlJ1une int éressée.
Article 8. - Les permissio nnaires r~tent
soumis nonobstant les a utorisations qUI leur
seront' d éliv rées pa r app lication du prés.nl
ar reté, aux lois et règlement concernant. les
établissements dangereux, ils dev ro?t JU~
tifier, à l' app ui de leurs demandes d auto rtsations, qu'i ls se sont co nformés ~ u x f~nna
lités dont l'accom pl issement est I mpo,~e pa r
ces lois et règlements même, 10rSq.u Il y. a
lieu, pou r " établisseme nt de leurs .reservolfS
de ca rbur a nt hors de la vole publIque.
Article 9. Sont ab rogés nOS a rr~tés
des 1er décembre 1923, 15 aoOt 1932,25 Janvier 1939 et 15 novembre 1940.
Article 10. _ Les Sous-Préf~ts, Maires~
Ingé nieu rs des Ponts et Cha ussees . et d _
f
Servi ce Vi cinal, Commissaires de P~lIce, Ole
ticiers de Genda rme rie et to us O ffICI~I;s 1 .
Police judiciai re sont chargés ~e vel, er
é
J'exécution du présent a rrêté! ~U1 s~ra '~: ~a
a u Recue il des Actes Admlnlstrahfs
Préfectu re et publié dans toutes les communes du Département.
Fait à Marseille, le 20 ao Clt 1951.
Pour le Préfet,
é
Le Secrétaire G/>néral Déllg" ,
LAMASSOO1lE.
Copie certiaé. cou forOlL
Pour 1.: Préfet :
S.crl /••" G'né.-./ : LAMASSO URR.
39
é
----------------------
BOUCHES-DU-RHO
J
Recueil des Actes .Adminis vy;~
et Bulletin des Mairies
T oute corr espondance rela tive a u Recueil doit {!ire adressee à la Prefecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P . : Arrêté préfectoral. - C. : Ci rcula ire - Les lettres D et B suivies d'un èhiffre indiquent le Service ou Sureau d'origin e.
D. S. T. : Dire ction des Services Techni~ ue • . - . D. D. S. : Direction Dépa rtemen ta le de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Populatio n.
SOMM AIR.E
Arrêtés réglementaires et Circulaires
AG 5 b. - Regist res de l'état civ il.
- Fourniture d' un papie r spécial..
AG 2. -- Régime de Sécurité sociale.
- Appli câ tion du décret du 2 mars
195 1 .... .... .. .. .... .. .. ....
P3gCS
197
197
EN O. -
Survei ll a nce des tr ava ux édilitairas po uvant donne r des indicati a ns a rchéologiques..............
197
FS O. - MédeCins agréés po ur pratiquer les examens radi oscopiques en
vue de la délivrance des certif icats
prénup ti~ux et prénata ux . ... ....
198
Textes d'In térêt Gén éral
AC 3. - Rem bou rsement des frais de
tra nspo rt en chemin de fe r
198
-
Communiques, Avis, Annonces diverse~
Arrêté relatif au rem bo ursement
Page!
-
des obligations « Dordog ne 3 %
1387 > ................ " _".
198
Publications nouyelles de l'Institut
Géographique National.. .... .. ..
1 9~
Communiqués du Secrétariat
de l'Union des Maires
-
Demande d'emploi .... '. _. ... .
Offre d'e mploi ... . . .. . .... . _. .
199
199
=
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
AG 5 b
0 283
REGISTRES DE L'ETAT-CIVIL
FOURNITURES D'UN PAPIER SPECIAL
Comm e les ann é s prêcêdentes, MM. les
Maires sont pri és de fai re co nnaître au
3me Bu rea u de la 2me Division (avant le
15 octobre
dernier délai), le nombre de
feuilles doub les et leur fo rm at habituel qui
leur est nécessai re pour l'année 1952.
N.-B. - Les communes qui n'auront pas
fait leur d emande, dans le délai illdiqué,
recevront la même attribution que pour 1951.
----c " oo<~----
D2 B 3
AG 2
REGIME DE SECURITE SOCIALE
APl.UCATION DU DECRET
DU 2 MARS 1951
Les Co nsei ls Municipaux de diverses comm~n e~ du Départe me nt
ayant adopte le
pnnclpe de l'extension au personnel co mmun al des dispositions du déc ret d u 2 ma rs
195 1, j' attire tout spéCialement l'attention de
MM. les Mai res sur l'instru ction interministérielle du 6 aoîlt 195 1 (publi ée a u Journal
Offlctet du 15 aoû t) qui fixe les co nditions
d'application du dit décret.
END
D4B3
SURVEILLANCE DES TRAVAUX EDILlTAIRES POUVANT DONNER DES
INDICATIONS ARCHEOLOGIQUES
A MM. les Maires (pour instruction)
A MM. les Sous-Préfels (pour infor-
mation).
nes trouvent iL l'occasion de tels travaux
une possibilité exceptionnelle de compléter
les indications spo radiq ues qui leur sont
fo urnies pa r l'étude ùes maço nneries Co nservées en élévatio n. Le seul examen des tranchées continues creusées il J'occasion de t rara ux pu blics fou rnirait les plus precielL,(
renseignements.
J'ai l' honneur de po rter à la co nnaissance
de MAI. les Maires que M. le Secrétaire
d' Etat aux Beaux-Arts vient d'appele r mo n
a ttention s ur l'e xt reme importa nce q u'attachent ses se rvi ces à être te nus informés, en
temps utile, de l'exêcutio n de brands t ravaux d'édUitë da ns les vi lles intéressantes
a u point de vue de l'a rchéologie,
Afin de satisfai re au dési r ci-dessus exp rimé pa r l\ \. le Secrêtai re d'Etat aux BeauxArts, je demande il ALlI. les ,\I ai res du Departement de bien vouloi r dans raH~ni r, me
teni r info rm e, le plus tot possible, de toute
e ntreprise dans leurs communes de grands
tra\'a ux édilitai res intéressant une \'ille posséda nt un ricne passé a rchéologique.
M. le Secrétaire d'Etat aux Bea ux-Arts
sig nale, à cet effet, qu 'il a été proced é récemment dans diverses loca lités du Midi de
la Fra nce à des installations de tout à
l'égo ut qui ne lui ont pas été sig naées assez tôt pou r qu'il puisse dé ig ner des représentants locaux s usceptibles d'en assu rer
une s urveillance archéologique efficace.
Ces faits sont d'a utant plus regrettables
que les s pécialistes qUI so nt au p remier chef
L'Adminis tration superieure se ra alo rs en
mesure de charger un ùe ses représentants
de sui\'fe le dé roulement des travaux san:::;
que leur exécution ne s'en trouve reta rdee.
1
Pour le Prêfet, par d.tlegation,
Le Secrétaire Géneral,
LMIASSOURE.
-------<.00<.------_
�198
FSO
D. D. S.
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIfICATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX
ARRET.E
Le Préfet des Bo uc hes-du-Rhône, Officier
de la Légion d' Hon neur,
Vu l'ordonnance n° 45-2720 d u 2 no vembre 19-15 sur la protection materne lle et Infantile,
Vu l'arrêté du 15 avril 194Q de M . le Ministre de la Santé Publique et de la Population, et les recti ficatio ns parues a u c Journal Officiel • des 10 mai et 15 septembre
1946 fixant le modèle du certificat d'examen
médical avant le mariage,
Vu l'avis du Consei l Départemental de
fOrdre des Médecins,
Su r la proposition de M. le Directeur Oépartemental de la Santé,
Arrête :
Article premier. - M. le Dr. J. Habib demeu.r~nt à Marseille, 35, rue Tapis-Vert, es!
a~ree
pour pratiquer les examens radiosco-
PIques, en vue de la délivrance des certificats
prénuptiaux et prénataux.
Art. 2. - M. le Secrétaire Généra l de la
Préfectu re, et M. le Directeu r Dépa rtementa l
de la Santé sont cha rgés, chacun en ce qui
le doncerne, de "exécution du présent 3TTêté.
Marseille, le 4 S~ptembre 195 1
Pour le Préfet et par délégation
Le Secrétaire Général
LALMIASSOURE
•••
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône Oflicler
de la Légion ti'Honneu r
'
Vu J'ordonnance nO 45-2720 du 2 novembre 19-15 sur la protection maternelle et Infantile,
. Vu l'arreté du 15 avril 19./6 de M. le Mirustre de la Santé Publique et de la Popula tion, ~t ,les re ctifications parues au < Journal Ofhclel • des 10 mai et 15 septem bre
1946 fixant le mo dele du certificat d'exa men
medlcal 3\'ant le mana "e
Vu l'avis 'du Cons~ l ' Départemental de
l'Ordre des .\\édeci ns, .
Sur la proposition de M. le Directe ur Départemental de la Santé,
Arrête :
Article premier. - M. le Dr Héry Hoarea~ demeurant a ~\'i.arseille, m, Boulevard
Nati onal,. est a!l'réé pour pratiquer les examens radlOscoplques, en vue de la délivrance
des cer tificals prénuptiaux et prénataux.
Art. 2. - lM. le Secrétaire Général de la
Préfecture, M. le Maire de Marseille et M
le Directeur Départementa l de la Santé soni
chargés, chacun en ce qui le concerne de
J'exécution du présent arrête.
'
Ma rseille, le 4 septembre 1951.
Pour le Préfet et par 'délé gati on
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE
•••
ARRETE
Préfet des Bouches-du-Rhône, Officier
Vu l'ordonnance n· 45--2720 du 2 novembre 1945 sur la protechon maternelle et Infantile,
Vu l'arrête du 15 av ril 1946 de M. le Minist re de la Santé P ubl iqùe et de la Population, et les recHficahons parues au « Journa l Officiel , des (() mai et 15 septembre
1946 fixant le modèle du certifica t d'exa men
médical avant le mariage,
Vu l'avis du Conseil Départemental de
l' Ordre des Médecins,
Sur la propOSition de M. le Directeur Dèpartemental de la Santé,
Arrête :
Article premier. - M. le Dr. Pellicot Antoi ne demeurânt il Saint-Joseph !Marseill e,
l , Boulevard de l'AIlgelette ést' ag réé pour
pratiquer les examens radioscopiques en vue
de la délivrance des certificats prenupo aux
et prénataux.
Art. 2. - M. le Secrétaire Général de la
Préfecture, M. le Maire de 1\,arseille et M.
le Directeur Départemental de la Santé s,ont
char gés, chacun en ce qui le co ncwne, de
l'exécution du présent arrêté.
Marseille, le 4 septemb re 1951.
Pour le P réfet et par délégation
Le Secrétai re Gé néra l
LA'MASSOURE
•
TEXTES D'IUERET GENERHl
Circulaires concernant plus spêcialement
{es Administrations d, fEtat
AC 3
02 B 1
REMBOURSEMENT DES FRAIS DE
TRANSPORT EN CHEMIN DE fER
L. C. 2501-2263-8 août 19!>1
La question a été posée de savoi r si le
remboursement des frais de transport en
chemin dê fer des agents en déplacement
pouvait compo rter, outre le prix du billet,
les ta xes spécia~es d'accès à certains trains
à composition spéciale ou autorails rapid es.
J'ai l'honneur de vous faire co nnaître que
le Département admet le remboursement de
ces taxes spéciales l orsque l'utilisation des
dits trains ou auto r ails est imposée aux
agents pa r necessité de service, ou lorsqu' ell e permet de r éaliser une économie su r j'ensemble des frais occasionnés par la mission
(frais de transport et indemnités journalières).
Le Directeur
de la Comptabilité Pubtique ,
G. DEVAUX,
•
Communiqués - Avis
Annonces diverses
PREFECTURE
DE LA DORDOGNE
ARRETE RELATIF AU REMBOURSEMENT DES OBLIGATIONS DORDOGNE, 3 %, 1887
Le Préfet de l a Dordogne,
Cheva lier de la L égion d'Ho nneur,
Vu la loi du 10 août 1871 ;
Vu les decrets-lois des 16 juillet et 30
octoh re ! U35, relati fs au remboursement anj
des dettes ;
Vu la délibération du COllseil Géneral
dat e du 16 décembre 1948, décidant not~'~
ment le remboursement anticipé de l'e~
prunt départemental « Département de l'
Dordogne, 3 %, 1887 ,amo rtissable en ~
ans, émis pour l a co nstruction du réseau
des C. F. D. ;
Vu le budget départemental de l'exercice
1951,
Arrete :
Article premi er .
A par tir du 1er no~
vembre ~95 1 , il sera procédé au rembour.
sement de ta. totalité de~ obligations nOn
encore amorti es aux précedents ti rages de
l'emprunt de 5.365. 100 francs, Département
de la Dordog ne, 3 %, 1887, émis par sous·
cript ion publiq ue.
Les obligations cesse ront de porter intérêt à compter du 1er janvier 1952.
Art. 2. - Les propriétaires d'obligations
devront en demander le paiement aux guic hets de la Tréso re rie Générale de la Dor·
do g ne, au Crédit )..yonnais à Pa ri s, à l'Agen.
ce du Crédit Connais la plus rapprochee de
leu r résidence, il la Société Générale de Cré·
dit Industr iel et Commercial, 66, rue de la
Vi ct oire, à Paris, et à la Banque de Bruxel·
les, à B ru xelles.
Art. 3. - Le dernier coupon payable porte le numéro 130.
être payés au titulaire, à l' exceptio n des
co upons prescrits.
Art. 9, - Les certificats nominatifs sur
lesquels fi gurent des obli gatio ns a morti es il
des (ira ges antérieurs au 1er Août 195 1 ou
les obligations amorties à l'un de ces tirages
devront obligat9ireTR ent être adressées- au
Trésorier Payeur Général ae la Dordogne
pour au~orisat i on de paiement. Un r écépissé
sera délivré en échange de Ces titres qui seront re nvo~és après au torisatio n Ue plfle menf
contre remise préalable d u ré.epissé a<:.qu itfé.
Art. JO. - M. le Secrétaire Généra l de la
Préfecture et M. le Trésorier Payeur Général
de la Dordogne sont chargés, chacun en ce
qui le co ncerne de l' exécutio n du présent
arrêté.
P éri g ueux, le 15 septembre 1951.
Le Préfet
M. ROLLAND
- - - - <>00<>-- --
D. S. T.
PUBLICATIONS NOUVElLES DE
l'INSTITUT GEOGRAPHIQUE
NATIONAL
L'Institu t Géographique Na~onal vient de
publier les feuilles suivantes:
~~J11J110KIQOU DO SEGBETBBIIT
France 20.000' coul.
Arles n° 5
(Types Normal et O ro-hydro) levées de
1949.
DE L'OlIOI DES lIlBIRES
France 50.000' coul
DEMANDE D'EMPLOI
Nîmes
(T,pes Normal et Oro-hydro) levées de
1945-46.
Secrétaire de Mairie, 25 ans de service,
accepterait poste dans une commune de
2.000 habitants du département des Bouchesdu-Rhône.
MM. les Maires intéressés par cette candidature sont priés de s'adresser directement
il Mlle Rose Léoni, Secrétaire à la Mairie de
Rei llannne ~Basses- Alpes).
- - - - u o o u -- - -
D5 BI
PUBLICATIONS NOUVELLES
DE L'INSTITUT GEOGRAPHIQUE
NATIONAL
•••
OffRE D'EMPLOI
fa~ l'honneur de porter a l a connaissance
des. Intéressés que l'Institut Géographique
NatIOnal Vlent de publier les feuilles suivantes :
France 20.000' coul.
Un emploi de garde- cha mpêtre est offert
par la Marie de Fos-5-<Mer à personnë(Jont
la femme accepterait d'assurer la surveillance
de la station de pompage.
Pour tous renseignements s'adresser directement à la Mairie de Fos.
Le Secrétaire Généra l de l'Union
AUDIBERT
Arles na. 2, 4, 6, 7, 8
(Types Normal et Oro-hydro) levées de
1949.
France 50.~ Coui.
~aintes-Maries-de- I a-Mer
(Types Normal et Oro-hydro) levées de
19~.
-------c>ooc>·-------
1
Art. 4. - Chaque obli ga ti o n sera remboursée à l eur valeur nominale, soit 500 fr.
Art. 5. Les demandes de remboursement devront être établ ies sur des borde·
reaux du modèle de ceux qui seront mis à
la disposition des intéressés il la Caisse de
M. le Trésorie r- Pa yeur Généra l de la Dor·
do gne. Les bordereau x seront revêtus de I.a
si gnatu re du déposant ou de l'ayant-drOlt
qui dev·ront, s'il s'a git de titres nominatifs,
faire certifier leur si gnature soit par u~
agent de change, soit par un notaire,. SOIt
par le Mai re de l eur domicile. ToutefOIS, la
certification de leur si gnatu re ne sera p~
exigée si la signature est apposée en presence du comptable, dans les conditions prevues à l' a rt icle 7 du décret du 25 oclob"
1934.
Art. 6. _ Tous les titres> q u'ils soient aU
porteur ou nominatifs, doivent être revêtus
de la quittance de la partie remboursée.
Pour les ti t r es au porteu r, l a quittance de
la personne qui présente l'obli ga tion et en
demande le remboursement ~st valable.
Par contre, les titres ou certHicats no"!'-e
natifs doivent être acquittés par le titulalf
ou par ses héritiers ou ayants-cause sur la
production des pièces justificatives de leurs
droits.
Art. 7. _ Le re mboursement des oblig~·
tions a lieu â présentation, à moins qu~ :
nombre des titres présentés par la m'~es
person ne ne dépasse 50. Dans ce ca~, â
obligations so nt dépasées et don nent heu
la délivrance d'une reconnaissance.
A't 8 _ Les obliaatiolls prése ntéestoUS
en
~.'
~
'd
r em boursem ent doivent être mun ies e fi ée
les coupo ns non exiglbles à l:éPOque ~~Ufl
pour l'amortissement. En cas d absence
e
ou de plusieurs coupons, ;t sera retenu U;e
somm e équivalente à leur montant conie
remise au titulaire d'une quittanCe à s~~~~
D'autre part tous les coupons échus . nt
payés a l' ép~Que de l'amortis5ement dOive .
Copie en1:i~~ ooo fonnc.
Pour k Préfet :
L~ SU:f'IIau'e Chiral : LAMASSOURE..
�REPUBLIQUE
11 Odobre 1951
9' ADDte. - Nu 41
DËPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
J
•
Recueil des Actes A<lministratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit étre adressée à la Prélecture Secrétariat Général
•
A.BRÉVIA. 'rIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres D et B suivies d'un chiffre indiquent le Servico ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des Services Technique.. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pa i e3
A O. - T aux des cotisations cn m ~ti ère d' all ocations fa mili a les agr icoles
pou r le deux ième semestre 195 1 .... 20 1
AG l. - fnd emnités allouées aux titulaires de ce rtai nes fom:tions électives ............................ 202
CIA O. - Ex plosifs de mines ........ 202
Textes d'Intérêt Général
AC 3. - Loi n" 51-1124 d u 26-9-5 1 instituant des bonifi cations d'ancienne-
té pou r les personnes ayant pris une
part acti ve et conti nue à la Résistance et prévoya nt des dé roga tio ns tempo raires aux règles de rec rutem ent,
d'avancement dans les emplois publiŒ . . . . . . . . . . .....
2~
AC 3. - Loi n" 5 1-11 26 du 26-9-5 1
portant majoration des taux de l'allocation temporaire de la retra ite des
vieux travailleurs sala ri és et des
prestations fami liales. . . . . . . . . . . . .. 205
AC 3. - Décret n· 51-1 129 du 26-9-5 1
porta nt majoratio n des traitements et
soldes des perso nnels civils et militaires de l"Etat ........ .... .... .. 206
AC 3. - Décret n" 51 -11 30 du 26-9-51
modifiant le décret n· 5 1-6 18 du
24-5-51 re:atif au régime de l'indemnité de résidence des fonctionnaires
et agents de l'Etat. . . . . . . . . . . . . . . . 206
AC 3. - Décret n· 51-113 1 du 26-9-51
mod ifiant le régime du supplément familial des fonctionnaires et agents
de l'Etat ................ . . ...... 207
Conunuoiqués, Avis, Annonces divereea
Demandes d'emplois ........ ..... ?JJ7
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
~
D6 BI
AO
TAUX DES COTISATIONS EN MATIERE D'ALLOCATIONS FAMILIALES
AGRICOLES POUR LE DEUXlEME
SEMESTRE 195 1.
ARRETE
Le Préfet des BOllches-du-Rh6ne,
Officier de la Légion d'Honneur.
Croix de Guerre,
Vu la loi du 11 mars 1932 sur les Allocations Familiales,
Vu le décret du 3 1 mai 1938 tendant à
a ménage r et à compléter les dispositions
applicables aux allocations familiales en
agriculture ;
Vu le décret du 29 juillet 1939 relatif il
la famille et à la natalité française,
Vu la loi du 22 août 1946 fixant le régime
des prestations familiales,
Vu l'a rrêté interministé ri el du 3 1 décembre
1946 relatif a ux Comités Départementaux
des Prestations Familiales Agricoles,
Vu la décision du Comité Départemental
des Prestations Familiales Agricoles, prise
dans sa séa nce du Il septèmbre 195 1,
Après avis du Contrô leur Divisionnaire
des Lois Sociales en Agriculture,
Su r la proposition du Secrétaire Gén éral,
ARRETE:
. Article premier. - Les tau x des cotisa,..
tlOns app li cables aux différentes catégories
d'assujettis au financement des p restations
fa mili a les agricoles sont fLXés Comme suit
pour les troisième et quatri ème trimestres
de l'année 1951 :
a) Cotisations dues pour les exploitations
agricoles : 325 % du revenu cadastral réel
pa r t rimestre ;
b) Cotisations dues pour les cultures mal aÎChères et légumiè res:
J o) Dans les communes dont le revenu cadastra i des terres de premi ère catégorie est
égal ou superieur à 230 francs : 325 %
du revenu cadastral réel ;
2° Dans les autres communes : 325 % du
le\'enu caùastra l réel affecté du coefficient
obtenu, pour chaque commune, en divisant
230 par le re\'enu cadast ral des terres de
premières catégorie de la commune consi·
dérée.
c) Cotisations dues pour les entreprises
à production speciale et les artisans ruraux:
8 % des sa laires moyens dêpartementaux en
vigueur au cours de J'ann ée 1950 :
- Pour les éleveurs de caprins, l'assiette
est ca lculee à raison de 1 Z5 du salaire mensuel moye n dépa rt eme ntal par tête de bétail;
-- Pour les apiculteurs, l'assiette est calcul ée à raison de 2 journées ue salaire
moyen départemental par ruche et par an,
a"ec abattement de 10 ruches il la base.
cl) Cotisations dues pour les professions
Connexes : S t;(" des salai res réels ;
e) Cotisations dues par les personnes
n'exerçant pas une activité agricole, mais
occupant néanmoins de la main-d'œuvre
agricole ailleurs que dans une exploitation,
notam.ment po ur l'entretien de jardins ou
de parcs attenant il des villas : 8 % des
salai res réels.
Article 2. - Le coefficient de majoration,
tel quïl est calculé il l'article 1er, catégorie
b) 2°, affecté aux exploitations mixtes, mara îchères et de polyculturet sera rêduit
dans la même proportion que celle existant
sur la base des unités de main-d'œuvre théorique adoptée pour l'ou verture de droïf aux
prestations. entre les surfaces de polyculture
et l'ensemble d~ '-exploitation.
Article 3. - Les dispositions relati,'es aux
cultures maraîchères sont applkables aux
cotisations des 4 trimestres de l'année 1951
Article 4. - Les dispositions de l'arr~tê
du 18 juin 195 1. contraires à celles de l'article 3, sont abrogées.
Article 5. - Le Secrétaire G",,"ral de 1,
Préfecture et le Contrôleur des Lois Sociales
en A~riculture sont chargés, chacun en ce
qui le concerne, de l'exéc utio n du présent
a rrêté.
Marseille, le 21 septembre 1951.
Pour le PrHet,
Le
St~frNaire G(~nfral
LAM
�AG 1
D2 B3
INDEMNITES ALLOUEES AUX
TITULAIRES DE CERTAINES
fONCTIONS ELECTIVES
Loi o· 51-1117 du 21 Septembre 1951
L'Assemblée Nationale et le Conseil de la
République ont délibéré,
L' Assemblée Nationale a adopté,
Le Président de la République promulguo
la loi dont la teneur suit:
Article premier. - L'article 5 de la loi
n· 47-655 du 9 avril 1947, modifiant l'ordonnance n" 45-2399 du 18 octobre 1945, relative aux frais de mission et aux indemnités
de fonctions des maires et adjoints, est modifié ainsi qu'il suit :
e Le cumul de l' indemnité perçue par les
e membres de "Assemblée Nationale, du
e Conseil de la République, de l' Assemblée
e de l'Un io n Fra nçaise ou de l'Assemblée
e alg érienne, avec les indemnités de maires
c ou adjoints, n' est admis qu'à concurren~e
c de la moitié de ces dernières; l'autre mOle tié pourra ét re <léléguée par le bénéficiaire
e à son ou ses suppléants. ::t
Art. 2. - Le cumul de l'indemnité perçue
par les mem bres de l'Assem blée Nationale,
du Conseil de la République ou de l'Assemblée de l'Uni o n FrançaÎse avec les indem nités de fonctions de co nseiller général de la
Seine ou de conseiller municipal de Paris,
n'est autorisé qu'à concurrence de la moitié
de ces dernières.
Art. 3. - Les membres des conseils généraux et des conseils municipaux des communes de plein exercice de l' Algérie sont
soumis, en ce qui concerne les indemnités
pouvant leur ê tre allouées, aux mêmes règles
et barèmes que leurs collèg ues de la métropole.
Art. 4. - Les mem bres de l'Assem blée
'gé rienne ne peuvent, en aucun cas, per.evo ir des indemnités supérieures à celles
qui so nt perçues par les mem bres de r Assemblée de l'Union française.
Art. 5. La date d'application de la
présente lo i est fixée a u premier jour du mois
qui suivra sa promulgation.
La présente loi sera exécutée comme ,loi
de l' Etat.
Fair à Paris, le 21 septembre 1951.
Vincent AURIOL.
Par le Préside nt de la République
Le Président du Conseil des Ministres :
R. PLEVEN.
Le Ministre de l'Intérieur
Charles BRUNE.
-------< >00<>-------
CIA 0
D6 B3
EXPLOSlfS DE MINES
ARRETl! .
Le Préfet des Bouches-du-Rh6ne,
Of{;cier de la Légion d'Honneur,
Cro;x de Guerre,
Vu le déc ret du 20 juin 19 15 po rta nt règ lement d'arl ministra tio n publique, sur la conservation la vente et l'importation des dy na mites et' a ut res explosifs il base de nitroglycérine. modifié par les déCrets des 17 mars
1921, 2 février 1928, "ter septem bre 1930 :
Vu le décret du 20 juin 19 15 portant realement d'administration publique sur la
conservation la vente et l'importation de
diverses substances explosives autre~ que
celles à base de nitroglyc érine, modifié par
les décrets des 2 février 1925 et 1er septembre 1928 ;
•
Vu l'a rrêté de M. le Ministre des Travau x
Pu blics en date du 15 février 1928, portant
règlemént sur les conditions techniques généra les auxquelles sont soumis l'établissement et l'exploitation des dépôts de substances explosives destinées à être employées à
des fravaux de mine ;
Vu la demande présentée 1. 14 aoOt 1951
par M. ANDRE Marius, fabricant de chaux,
demeurant à La Bédoule, à l'effet d'être
autorisé à établir et à exploiter un dépôt
permanent d'explosifs de la 3e -catégorie, sur
le territoire de la commune de La Bédoule,
lieu dit c C hemin de la Rouvière " arrondissement de Marseille,
Le Maire de La Bédoule entendu,
Vu les ra ppo rts et avis en date du 30 aoat
195 1 de l' In gé nieur en Chef des MlOes de
l'a rrondissement min éralo g ique de Marseille;
Vu les rappo rts et avis de M. le Chef du
Service Départemental des Rensei g nements
Généraux en date du 20 septembre 1951,
Arrête :
Article premier. - M. AND RE Ma rius est
autorisé à établir et exploiter un dépôt permane nt d'explosifs de la 3e catégo ne s ur le
territoire de la comm une de La Bédoule,
arro nd issement de Marseille, sous les conl<iitions fi xées par les décrets et arrêtés susvisés et sous les conditions éno ncées aux
articles suiva.nts :
Art. 2. - Le dépô t sera établi au lieu dit
c Chemin de la Rouvière > , à dix mèt res ai.J
moi ns des routes et chemins et des prop ri étés voisi nes et à virtgt-cinq mèt res de tout
a utre dépôt superficiel.
. .
. .
Il appa rti end ra au type superfIC Iel dé fini
par l'a rrété ministériel d u 15 fév ri er 1928.
Art. 3. - Le dépôt se ra constitué par un
local iso lé no n surmonté !(j'étages, co nstru it
en maçon nerie et exclusivement affect é à la
conser vat ion des exp los ifs. 11 se ra fe rm é pa r
une po rte solide munie d'une serrure de
sûreté. Il sera entouré pa r une forte clôture
défe nsi ve de deu x mètres ' de ha uteur.
Art. 4. - Dans un déla i ma ximum de trois
mois ap rès la notification du présent a rrêté,
M. And ré Ma rius, devra se faire délivre r par
le Maire de la Bédo ule un certificat attesta nt
que le dépôt a été construit et qu'il est confo rm e au présent a rrêté.
Le certificat d'autorisation p rév u par l'article 28 des déc rets des 20 juin 19 15 et 1er
septembre 1930 ne sera délivré qu e sur le
vu d'u n ce rti fica t de co nstru ctIOn du Ma ire.
Art. 5. - La quantité d'explos if~ contenu e dans le dépôt ne devra excéde r a a ucu n
moment le maximum de 50 kilo g ra mm es
d'e xp losifs de la classe f (dynamite). o u de
50 kilo g rammes d'ex plosi fs de la cl asse 1I1
(cheddite, min élite et to us explOSIfs chlorat és) .
. .. .
Cette q uantité sera rifd uite de mOllie SI les
explos ifs ne so nt pas enca rtou chés et so nt,
en outre co nt enus dans des réci pi en ts non
étanches' o u susceptibles d'être o uve rts dan s
le dépôt.
Art. 6. _ L'e xploitation du dépôt se fera
dans les co nditi ons fixées, d'une part, par les
déc rets du 20 juin 19 15, modifiés par ceux
des 17 ma rs 192 1 2 fé vr ier et 1e r septembre
1928, 1er septemb re 1930, d'autre part, par
l'a rrêté ministé riel du 15 févne r 1928.
En particulier, le poids total d'explosifs
de diverses classes contenus dans le dépôt
devra être constamment inférieur à cinquante
kilogrammes, si des explosifs de classes différentes y sont entreposés.
Les e"plosifs de la classe III (explosifs
chloratés, cheddite, minél ite, etc.) doivent
être enfermés dans un compartiment spéCial
quant ils sont dans un dépôt contenant de,
explosifs d' une autre classe.
iLe dépôt des détonateurs sera constitue
par une armoire spéciale, placée dans une
salle servant de bureau o u de ma gasin et
contenant au ma xi mum 2 kilogrammes 500
de fulminate de merCure.
Il est interait d'introduire des détonateurs
dans le dépôt d'explosifs ou des explosif,
dans le dé pôt des détonateurs.
Il est interdit d'introduire dans le dépôt
des objets autres que ce ux qui sont indispensables au service du dépôt. 11 est notamment interdit d'y introduire des o bjets en fer,
des mati è res inflammables ou susceptibles
de produire des éti ncelles, spécialeme nt des
amorces et des allumettes.
11 est interdit de la isser des herbes sèches
et d'emmagasiner des matières facilement
inflammables, telles que du ioin, de la paille,
du bois du papier, du coton, du pétrole, des
huil es ~t g rai sses, etc. dans un rayon de dix
mètres a uto ur du d épôt.
,La ,l'Ta rd e du d épôt sera co nfi ée à un
a O'e nt ~pécia l ement dési g né à cet effet. Cet
a gent sera détenteur des clefs . et l es .opérations de manutention et de .distri bution de
l'e xp losif ne pourront se faire qu'en sa présence et sous sa responsab ili té. Cet agent
devra disposer d' un logement convenablement protégé contre une exp losio n m ~ is situ é de manière à pe rm ettre une surve illance
efficace du dépôt.
On ne devra pénét rer dans le dépôt que
pieds nus ou avec des chaussures de fe utre,
si des explosi fs à l' état pulvérul ent sont conservés da ns le dépôt.
Le se rvice du d épô t sera fait exc ltlsi ve~
ment à la 'lumière du jo ur. L' introducti on
d' une lamp e q uelco nqu e est formellement
interdite.
Il est interdit de faire du feu et de fumer
a ux abo rd s et à l' intéri eu r du dépôt.
.
Les caisses ou barils co nte nant l'e xplOSIf
devront êt re ma nipul ées avec préca ution et
prése rvés de tout choc.
•
L' in térieur du dépô t devra etre tenu dans
un état consta nt d'o rdre et de propreté. Les
résidus rec ueill is dans le nettoyage s~ront
détruits pa r l'e au ou par le feu, e n ope rant
avec les précautio ns nécessai res.
Il se ra tenu un regist re d'ent rées et .de
s orties indiqua nt les quantités de poud re lOt
trod uites avec leurs dates de réceptIOns e
leu r pro~e n ance, ai nsi qu.e Te~ quantit és so rties avec leurs dates de li vra Ison et les nom.s
des' pe rso nnes auxquelles ell es ont été renn·
ses.
touf
L'exp lo itant est tenu de donner, en
t
temps libre accès de so n dépôt a ux age ~ s
des 'C~ ntri b utions In directes, a ux age nts. U
Se rvice des Mi nes et à to us. a utres fonc h~nii
na ires ou age nts dési g nés pa r le Préfet,
doit, à toute réquisiti on, comm l1~ lq u e r a tC~~
fon ctionn ai res ou agen ts, le reg Ist re don .
te nu e est presc rite par le paragra phe qUL
précède.
,
I·t nt et
Une consig ne signée de 1 exp ~ I a
co ntenan t to utes' les indi~ations rel ah~e~ri~u;
opé rations de ma nutenti on et. de dIS ffition et aux mesures de sécunté se ra a
chée d a ns le d épôt.
Art. 7. - Ampliation du présent arrêté sera notifiée :
1 Au permissionnaire ;
2· Au Maire de la commune de La Bédoule ;
3' A M. l' Ingénieur en C hef des Mines de
l'arrondissement minéralogiq ue de Marseille;
40 Au Directeur des Contributions Indirectes du département ;
5' Au Commanûant du XV, Corps d'A rmée j
6' Au Commandant de la Gendarmerie du
département ;
7' Au Directeur de la Poudrerie de StChamas.
Il se ra inséré au « Bulletin des Actes Administratifs , du département.
M. le Maire de La Bédoule et l'Ingé nieur
en chef des Mines sont chargés, c hacun en
ce qui le conce rn e, d'en assure r l'exécu ti o n,
Fait à Marseille, le 2 octob re 1951.
Pour le Préfet :
(>
Le Secrétaire Général délégué,
••.
LAMASSOURE.
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhô ne, Officier
de la Légio n d' Ho nn eur, Croix de Gue rre,
Vu le décret du 20 ju in 19 15 portant règlement d'administratio n p ubliq ue sur la
conservation, la ve nte et l'i mportq.tion des
d ynami tes et autres explos ifs à base de nitroglycérine, modifié pa r les déc rets des 17
mars 192 1, 2 février 1928, 1er septembre
1930 ;
Vu le déc ret du 20 juin 19 15 portant règlement d'ad minis tratio n publique sur la
conservat ion, la ve nte et l' impo rtat ion de d iverses substances explosives autres que celles à base de nit roglycé r ine, modif ié pa r les
<lécrets des 2 fév rie r 1928 et 1e r septemb re
1928 ;
Vu l'arrêté de M. le Ministre des T ravaux
Publics, en date du 15 fév ri e r 1928, portant
règlement sur les conditio ns te ch ni ques générales duxq uell es sont soumis l'établissement et l'ex ploitatio n des dépôts de substances explosives dest inées à êt re employées
à des tra va ux de mine ;
Vu la demande présentée ,le 24 ao ût 1951
pa r la Société des Tra va ux Publics et Ca rrières de La Baume, demeurant à St~Lo up
l es Trois· Ponts, il l'effet d'êt re autorisé il
établir et à exploiter un dépôt permanent
d'~xplosifs de la 3me catégo rie, su r le territ OI re de la Commun e de Ma rseill e, arro ndissement de Marseille .
Le Maire de Marsehle entend u ;
Vu les rappo rts et avis e n date du 31
août 195 t de l' Ingénieur en Chef des Mines
de. l' arrondissement mi néralogique de Marseille;
Vu les rappo r ts et av is e n date du 3 septem bre 195 1 de M. le Com mi ssaire Ce ntral,
Arrête :
Artic le Premi e r. La Société des Travau x Publi cs et Carrières de La Baume est
auto risée il établir et exp lo ite r lin dépôt
'Perma nent d'explosifs, de la 3me catégo r ie,
s u.' le te r ritoire de la commune de MarseI ll e, a rrondissement de Marsei ll e so us les
Cond.itions fi xées par les déc rets ~t a rrêtés
susylsés et sous les co nditi o ns éno ncées aux
articles suivants :
l ArTt. 2: - Le dépôt sera établi ail lieu dIt
es rOIS"Ponts - Saint..c.Loup, à dix mètres
priétés VOISines et à vingt-cinq mètres de
tout autre dépôt superficiel.
11 appartiendra au type superficiel défini par
l'arrété minist érie l du 15 février 1923.
Art. 3. - Le dépôt sera constitu é par un
local isolé n~n surmonté d'étages, construit
en maçonnene et exclusivement affecté à ~a
conse r vation des explosifs. Il sera fermé par
une porte solide munie d' une serrure de sûret é. Il sera ento uré pa r un e forte c lôture
défensive de deu x mèt res de hauteur.
Art. 4. - Dans un délai maximum de trois
mois ~près la notification du présent arrêté,
la SOCIété ides Travau x Pu bli cs et Ca rri éres
de La Baume devra se faire délivre r pa r le
Maire de Marseille, un cer tificat attesta nt
que le dépôt a été co nst rui t et qu'i l est
confo rme a u prése nt arrêté.
Le certificat d'autorisation prévu par l'a rti cle 28 des décrets des 20 juin 19 15 et 1er
septembre 1930 ne sera dé li vré que su r le
vu d' un ce rti ficat de co nstruction du Maire.
Art. 5. - La quanti té d' exp los ifs contenue dans le dépôt ne dev ra excéder à aucun moment le maxi mum de 50 kilog ram mes d'explosifs de la classe 1 (dynamite) ou
de 50 kilogrammes d'exp10sifs de la <:lasse III (ched dite, minélite et tous explosifs
ch loratés).
Cette qllantité se ra réd uite de moiti é si
les exp losifs ne so nt pas enca rtouc hés et
so nt, en ou tr e, conten us dans des récip ients
non étanches ou susceptibles d'êt re ouve rts
da ns le dépôt.
Art. 6. - L'e xploitatio n du dépôt se fera
da ns les conditions fixées, d'une part, par
les décrets du 20 juin 19 15, modifiés par
ce ux des 17 mars 1921, 2 févrie r et 1er septemb re 1928, 1er se ptem bre 1930, d'aut re
pa rt, pa r l'a rrêté ministé ri el du 15 fév rier
1928.
En pa rti culier, le poids total d'ex plosifs de
diverses classes co ntenus dans le dépôt devra être co nstamment infé r ieu r à ci nquante
ki log rammes, si des exp losifs de classes diffé rentes y sont entreposés.
Les explosifs de la classe 111 (exp losifs
c hl o ratés, cheddite, min élite, etc.) doivent
etre enfermés dans un compartiment spécial
quand ils sont dans un dépôt co ntenant des
explosifs d'une aut re classe.
Le dépôt des détonateu rs sera constitut
par une armoire spéCia le, placée dans une
salle se rvant de bu reau ou de ma gasi n et
contenant au maximum 2 kilo g rammes 500
de fulm inate de me rcu re.
Il est interdit d' introduire des détonateurs
dans le dépô t d'explosifs ou des explosifs
dans le dépôt des détonateurs.
Il est interdit d'introduire dans le dépôt
des objets autres que ce ux qu i sont indispe nsables au ser\'Ïce du dépôt. Il est notamment interdit d'y introduire des objets en
fe r, des matières inflammables ou susceptibles de produire des ét incelles, spécialement
des amorces et des allumettes.
11 est interdit de la isse r des herbes sèches
et d'cmma r;as iner des matiè res facilement
infl ammables, telles que du foi n, de la pai ll e,
du bois, du papier, du coton, du 'pétrole, des
hu iles et g raisses, etc., dans un rayon de
dix mèt res autour du dépÔt.
La aa rde du dépôt se ra confiée à un agent
spécialement d~signé à cet effet. Cet agent
sera détenteur dcs cléls ct les opérations de
manutention et de distribution de l' explosif
ne pourront se fai re
'en sa
ct
poser d'un logement convenablement protégé contre une explosion mais situé de manière â permettre une surveillance effica:è
du dépôt.
On ne devra pénétrer dans le dépôt que
pieds nus ou avec des chaussures de feutre,
si des explosifs à l'é tat pulvérulent sont
conservés dans le dépôt.
Le service du dépôt sera fait exclusivement à la lumiè re du jour. L'i ntroduction
d'une lampe quel co nque est fo rmellement
interdite.
Il est interdit de faire du feu et de fumer
au x abo rd s et à l'intérie ur du dépO!.
.
Les caisses o u ba rils conte nant l'ex plos!l
devront êt re manip ul ées avec préca uti o n et
préservés de tout choc.
L'intérieur du dépôt devra être tenu dans
un état constant d'ordre et de propreté. Les
rüidus recueillis dans le nettoyage seront
détruits pa r l'eau o u par le feu, en opéran t
é1VI:C les préca utio ns nécessaires.
Il sera tenu un registre d'ent rées et de
sorties ind iq ua nt les quantités de poudre int roduites, avec leurs dates de réception .!t
leu r provenance, ainsi que les quantités SOt'ties, avec leu rs dates de livraison et les no ms
des personnes auxquelles elles o nt été remises.
L'exploitant est tenu de do nner en tt') lIt
temps, lib re accès de son dépôt aux age nts
des Contri butio ns In directes, aux agents du
Service des Mines et à tous autres fonctionnaires ou agents désignés par le Préfet j
il doit, à tou te réq uisition, communique r a
ces fonctionnai res ou agents le regist re don t
la tenue est presc rite pa r le pa ragraphe qui
précède.
Une consig ne, signée de l'exploita nt et
contenant toutes les indications relatives
aux opérations de manutention et de distri bution et aux mesures de sècu rité sera affi chée dans le dépôt.
Art. 7. - Ampliation du présent a rrêté
sera notifiée :
t Au permissionnaire;
2° Au Maire de la commune de Marseille ;
3° A M. l' Ingénieur en Chef des Mines de
l'arrondissement mi néralogique de Marseille;
4° Au Di recteur des Contributions Indirectes du dépa rteme nt;
5· Au Commandant du XV' Corps d'Armée .
6° Au Commandant de la Gendarmerie du
département :
7· Au Directeur de la Poudrerie de StChamas.
Il sera inséré au < Bulleti n des Actes Administratifs " du départem ent.
~L le Maire de J\1arseille et l' In gé nieur en
Chef des Mines sont chargés, chacun en ce
qui le concerne, d'en assurer l'exécution.
Fait à Marseille, le 2 octobre 1951.
Pour le Préfet :
(>
Le Secrétaire Glinéral délégué,
L7iMASSOURE.
:.
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône, Officier
de la Légion d'Honneu r, Croix de Guerre,
Vu le décret du 20 juin t9 15 portant rè-glement d'admin ist ration publique sur ta
conservation, la vente et "importation des
dvnamites et autres explosifs à base de 01.
modifié par les décrets des 11
�-.
Vu le décret du 20 juin 1915 portant rè"Iement d'administralion publique sur la
~nser\'ation la vente et l'importation de diverses subst~nces explosives autres que celles à base de nitroglycérine, modifié par les
décrets des 2 lévrier 1928 et 1er septembre
1928 .
Vu Î'arr~t é de M. le Mi nistre des Tra\'aux
Publics en date du 15 février 1928, pariant
règlemenr sur les contlitions techniques générales auxquelles sont soumis l'établissement et l' ..xploitation des dépôts de substances explosives destinées à ètre emplojéi i
à des tra\'aux de mine ;
Vu la demande présentée le 23 juitlet 1951
par u\t TO.\ \A joseph, demeurant chemin de
La Valbarelle, à St- Loup, Marseille, à l' effet d'ëtre auto risé à établir et à exploiter
un dépôt pennanent d'explosifs de la 3me
catêgorie, sur te territoire de la COmmune
de Marseille, arrondissement de Marseill.;
Le Maire oe Marseille entendu ;
Vu les rapports et avis en date du 30
aoùt 195t de rtngénieur en Chef des Mines
de l'arrondissement minéralogique de Marseille ;
Vu tes rappo rts et avis en date du 20 septembre 1951 de M. le Chef du Service Dép:trtemental des Renseignements Généraux,
Arrête :
ceu, des 17 mars t 92 1, 2 février et 1er septembre 1925, 1er septembre 1930, d'autre
part, par "arrèté ministériel du 15 févner
1928.
En particu lier, le poids total d'explosi~s
de diverses classes contenus dans le dépor
devra être constamment inférieur à cinquante kilogrammes, si des explosifs de classes
différentes y sont ent reposés.
.
ILes explosifs de la classe III (exp losIfs
chloratés cheddite, minélite, etc.) doive nt
Hre enfe'rmés da ns un comparti ment spécial
quand ils sont dans un dépôt co nte nant des
txplosifs d',une autre clas!e.
. .
Le dépôt des détonateurs sera co nstitue
par une armoi re spéciale, placée dans une
salle servant de bureau ou de magasi n et
contenant au maximum 2 kilogrammes 5CX)
de fulminate de merCu re.
Il est interdit d' introduire des détonateu~
dans le dépôt d'explosifs ou des explosifs
dans le dépôt des détonateurs.
Il est interdit d'introduire dans le dép ôt
des objets autres que ceux qui sont indispensables au service du dépôt. Il est notamment interdit d'y introduire des objets
en fer des matières inflammables ou SllSCeJ!l-
tibles ' de produire des étincelles, spécialement des amorces et des all u mette~.
Il est interdit de ,laisser des herbes sèches
et d'emmagasiner
des mati ères fac ilement
Une consigne, signée de l'exploitant
el
contenant toutes les indications relatives au~
operations de manutention et de distributioll
et aux mesures de séCurité sera affichee
dans le dépôt.
Art. 7. Ampliation du présent arrêle
sera notifiée :
1" Au permissionnaire ;
2" Au Maire de la commune de Marseille '
:J" A M. l' Ingénie ur en Chef des Mi nes d~
j' arrondissement minéralogique de Marseille4<.1 Au Di recteur des Co ntributions (ndl:
Tectes du dépa rtement j
5 ' Au Com ma!ldant du XV, Corps d'Ar.
mée .
6" 'Au Commandant ùe la Gendarmerie
du département ;
7" Au Directeur de la Poudrerie de SIChamas.
Il sera insé ré au « Bulletin des Actes Administratifs > du Département.
M. le Maire de Marsei lle, et l'In génieu r
en Chef· des Mines sont chargés, chacun ell
ce qui le concerne, d'en assurer l'exéc ution.
Fait à Marseille, le 2 oc tobre 195 1.
Pour le Préfet :
Le Secréroire Général délégué,
LAMASSOURE.
•
HUES D'INTERET GENfBBl
Article premier. - M. TOMiA j oseph est
autorisé à établir et exploiter un dépôt per-
in!lammables, telles que du foin, de la paille,
du bois, du papier, du coton, du pétrole,
manent d'explosifs, de la 3me catégorie, iur
fe territoire de la commune de Marseille,
arrondissement de Marseille, sous [es condi-
des huiles et graisses, etc., dans un ra yo n
de dix mètres autour du dépôt.
La garde du dépôt sera confiée à un
tians fixées par les décrets et arrêtés Sus visés et sous les co nditions énoncées aux articles sui vants :
Art. 2. Le dépôt sera étab li au lieu
dit. La Rolane " li dix mètres au moins
des routes et chemins et des propriétés \'oisines et à ,,;ngt-cinq mètres de tout autre
dépôt superficiel.
Il appatmondra au type superficiel défini
par l'arrêté ministériel du 15 février 1928.
Art. 3. Le dépOt sera constitué par
un local isoté non surmonté d'étages, COnstruit en maçonnerie et exclusivement affect~
il la conservation des explosifs. Il sera fermé par une porte solide munie d'une serrure de sùreté. II sera entouré par une forte
é .
t dé ' é à
t ff t C t
agent sp clalemen
slgn
ce e e . e
age nt sera détenteur des clefs et les opérations de manutention et de distribution de
l'explosif ne pourront se faire qu'en sa présence et sous sa responsab ilité. Cet agent
devra disposer d'un logement convenablement protégé contre une explOSion m.,s_ Sltué de mani ère à permettre une surveillance
effl'cace du dépo't
.
On ne devra pénét
rer dans le d épôt que
pieds nus ou avec des chaussures de feutre, si des explosifs à l'état_ putvérulent sont
conservés dans le dépôt.
Le service du dép ôt sera fait exclusiveme nt à la lumière du jour. L'introduction
LOI N ' 51.1 124 D U 26 SEPTEMBRE
STITUANT DES BONIFICA
1951 IN
T10NS D'ANCIENNETE POUR LES
PERSONNES A Y ANT PRIS UNE PART
ACTIVC ET CONTINUE A LA RESISTANCE ET PREVOYANT DES DERÛGATIONS TEMPORAIRES AUX REGLES DE RECRUTEMENT, D'AVANOIS
CEM
ENT
DA NS
LES
EMPL
P
CS
UBL!,
L'Assemblée Natio nale et le Conseil de
la Répub lique ont délibéré,
,L'Assemblée Nat io na le a adopté,
Le Président de la Hép ublique promulgue
d'une lampe quelconque est formell ement 10terdite.
Il est interdit de fa i re du feu et de fume r
la loi dont l a te neur suit :
Article premier. _ L es ma gistrats, foncti onnaires et agents civi ls et mjlit~ires ,Ii?
clôture défensive de deux mètres de hauteur.
Art. 4. Dans un délai ma ximum de
trois mois ap-rès la notification du présent
arrêté, hl. Toma Joseph devra se faire délivrer par le Maire de Marseille un certifj..
a ux abords et à l'intérieur du dépôt.
Les caisses ou barils _contenant l'explosif
de\'ront être manipul ées avec precautiOn et
préservés de tout choc.
_
cat attestant que le dépôt a été construit et
qu'it est conforme au présent arrêté.
L'intérieur du dépôt devra être te nu <lan.
un état co nstant d'ordre et de propreté. Le.
Le certificat d'autorisation prévu par l'arHele 28 des décrets des 20 juin 1915 et 1er
septembre 1930 ne sera -délivré que SUT le
vu d'un certificat de construction du Maire.
Art. 5. La quantité d'explosifs contenue dans le dépôt ne devra excéder à. aucun moment le maximum de 50 kilogrammes d'explosifs de la classe] (dynamite) ou
rési dus recuei Jljs dans le nettoyage seront
détruits par ,'eau ou par le feu, en opérant
avec les précautio ns nécessaires.
Il sera tenu un registr e d'entrées et .de
sorties indiquant l es quantités de poudre 111troduites avec leurs dates de r éception et
l eur pro~enance ainsi que les quantités sorties avec leurs' dates de li vr aison et les
de 50 kilogrammes d'explosifs de la cla.se Ilf (cheddite, minélite et tous explosi!s
chlorates).
no~s des personnes aux~"lIes ell es ont éte
remises.
L'exploitant est tenu de donner, en tout
Cette quantité sera r.éduite de moitié si
temps, li bre accès de son dépôt aux age nt;
les explosifs ne sont pas encartouchés et
sont, en ou tre, co ntenus dans des récipients
non étanches ou susceptibles <l'etre ouverts
dans le dépôt.
Art. 6. _ L'exPloitation
fera
dans les conditions
des Con tri butions Indirectes, aux agents clu
Service des Mines et à tous autres fonction-
en réserve en vue de Son utilisation ultér ieure ap rès accession à un grade supérieur.
Les fonctionnaires jouissant d' une penSion
françaises combattantes de ~'Întérieur ou par
les commissions nationales forces françaLSeS
d'inva lidité égale ou supérieure à 40 p. 100
et résistance intérieure françaLSe ;
pour blessur es reçues ou maladies contractés dans une unité combattante ne pourront
pas recevo.i r une m~joration d ja ncien n ~té
inférieur e a cell e attnbuée au pl us favoflsé
des combatta nts non mutilés.
Est compté comme temps de prése nce
sous les d rapeaux le temps passé il l'hôpital Ou en congé de convalescence après la
démobilisation ou la réfo r me, s'il s'agit de
hlessures ou de maladies contractées dans
une unité combattante.
,Les rappels et bonifications accordés par
le présent article compteront dans tous les
cas pour l'attribution de décorations.
Art. 2. - Pendant une dur ée de six mois
il compter de la promulgation de la présente
loi. les person nes visées à l'a rticle 1er non
bénéficiaires des dispositions de la loi nu-
méro 50-400 du 3 avril 1950 portant a uto TIsation de t ransformation d'emploi et réforme de l'auxiliariat, en fonction à la date de
publications de la présente loi et comptant
à cette date trois années d'exercice de fo nc-
tio ns
l'Etat, les agents des se rvices COIOI\l3"<, les
ag~nts cont r actuels et tempor.aires" h?~ e·.I~p!oyes auxiliaires et les ouvriers dt.:! II.LH,
ainsi que les fonctionnai res et agents d.es
départements, des communes et des et"hhssements publics départementau x et 00 1'111111naux qui ont pris une part active et CO~llnue à l a Résistance, bénéficient, en J!1:lf,cr~
d'avancement d'une maj oration LI'ancll!nuet
de service éaale à la moitié du temps pJSsé clans l a Résistance active augmentée de
six mois.
.
d l'.
P our la liq_uid ation de l a pen sl~ n e ~étraite, ce méme temps donne drOit au
néfice de la campagne s imple.
Ladite majoration est assimil ée aux 00'
nificat ions accordées pour services de guer~
tir
Lorsque cette majoration n'a, p~~ P~on
effet de porter l e fonctionnaire a 1e~he u
naires ou agents désignés par le Préfet;
il doit, à toute r~'-1uis iti o n, comml.lnJquer a
de traitement maximum de sa catégo ne" ~s
lorsqu'elle s'applique à des .fo ncti~n'::~~I.
ces fonctionnaires ou agents le registre don!
la tenue est prescrite par le paragraphe qUI
déjà en possession de ce tr31temen
tilimum, le
uat des n:'ajorations non u
tr.e d'opérations extérieures ou intérieures;
c) Les agents ayant q ",i tt é la France ou
un territoire occupé par l'ennemi avant le
8 novembre 1942 pour se mettre au service
du Gouvernement de l a France l ibre .
En outre à titre ex-ceptionnel, le bénéfice
de la pr~nte loi sera accordé sur avis favo rable de ~a commissio n centrale p:révue à
Varticle 3, dans des conditions qui seront
fi"ées par le décret pnévu à l'article 7, aux
agents qui, bien que n'ayant pas appartenu
aux organisations ci-dessus apportent la
preuve qu'ils ont accompli habituellement
des actes caractérisés de résistance pendant
six mois au moins avant le 6 juin 1944.
Les conditiorn; ci-dessus ne sont to utefois
pas imposées :
cont ractuel, pourront être titul arisées sous
réserve de l'exa men de l eurs capacités professio nnelles.
personnes qui pou1r actes qualifiés de résistance, au ront é.té exécutés) tués ou blessés
dans des cond itions ouvrant droit à pension
en vertu de l'ordonnance n° 45-322 du 3
ma rS 1945 ou qui remplissent les con-ditions
tions
AC 3
ses de l'Afrique du Nord avant le 6 lU'"
194't ayant appartenu pendant SI" mOlS au
moins â une unirté combattante sur un théâ-
1° Aax membres de la Résistance et aux
En ce Qui Concerne l 'Etat, l es titul arisa-
les Administrations dt: l'Etal
re 19 14-1 9 18.
éemporaire
b) Les engal(és volontaires dans les forces
françaises libres ou d~ns les forces fran~~I·
ou
Circulair es conc!.!rnant plus spét.:ralemenl
D2 B2
en qua lité <l'agent
de l';ntérieur, forces françaises cQffibattantes
seront
prononcées
nominativement
pour chaque département ministériel par décret contresigné par le Ministre du Budget,
prévues par la loi n" 48-1251 du 6 août t 948
établissant le statut définitif des d.éportés et
le Secrétaire d'Etat il la fonction publique
internés de la Résistance ;
et à la réform è administrative et le Minis-
2° Aux mem bres de la Résistance qui,
avant le 6 juin 1944 s'étaient mis â la disposition d'une fonnation â laquclle a été
reconnue Ja qualité d'unité combattante et.r
ont effectivement appartenu pendant SIX
mois.
Ire intéressé.
Les intéressés seront nommés dans des
emplois norm aux des cadres de titulaires, en
dérogation aux règles sta.tutaires d'accès à
ces emplois ou à défaut, recevront à titre
personnel, la .qualité de fonctionnaire titulai re .
Les titularjsations visées au présent article ne pourront aVOIr pour effet de confier
a'ux intéressés 'un emploi do nt les fonct ions
ne soient 'pas comparables, compte tenu des
catégories prévues il l'arlicle 24 de la loi du
19 octobre 1946.
Art. 3. - Au vu des dossiers et des t itres
et éven tuellem ent après audiiion des intêres~ ~t de toute personne quali fi ée, une co mmiSSion .centrale établit ,la l iste des fonction..naires et agents admis à bénéficier des dis-
positions de l'a rticle 1er et détermine la du rée des serviœs et leurs bonifications.
Les dossiers des intéressés seront transmis aux départem ents m:inistériels qUI, au
préalable, consulteront obligatoirement l es
commissions admjllistratives paritai res ou les
commissions normales d'avancem~t dans
les conditions déterminées par le décret préVil
à l' article
. Art. 4. -
7.
Sont considé rés, pour "'applica-
tIon de la pr.ésente loi, comme ayant 'Pris
une part acNve et continue à la R~sistaru..'(:.:
a) Les combattants volon,ta ires ayant appartenu pendan.t un minimum de six mois
ConsécutLfs avant le 6 juin 1941 soit;
Aux forces françaises de l'intérieur ;
Au_x forces françai ses combattantes ;
A
organisation de résistance homoJo-
Art. 5. -
So·nt exclus du bénéfice de la
présente loi les fonctionnai.res et a.g~ts gui
ont été frappés d'une sanction admm~stratl\:e
ou judiciaire pour fai ts de collaboratIOn.
Art. 6. - La commission centrale prévue
il l'article 3, oomprend :
Le Directeur de l'Office National des Anciens Combattants ou son rep résentand', président ;
Un représenta nt du Secrétaire d'Etat chargé de la fonction Ipubl1q'Ue ;
Un représentant du J\tinistre des finances
et des Affaües économiques ;
Un représentant du Ministre intéresse.
Elle comprend, en outre :
Un représentant des forces françaises Combattantes ;
Un représelrtant des forces françaises de
l'i nté rieur ;
Un rep résentant de la résista nce intérieure
française i
Un représen tant des déportes et internés
d.ésignés .par l'Associfltion des fonctionnaires
résistants la plus rep rése ntative au jour de
la promulgation <le la présente loi ;
Art. 7. -
Un décret
,portant règlement
d'administration publique fixera dans un déloi de trois mois, les conditions d~application
de la presente loi et les règles de tonctionnement de la Commission centrale prevue à
La présente loi sera exéoutée oorrune loi
d. IlEtat.
Fait à Paris, le 26 sepœmbre t951.
Vincent AURJOL.
Par le Président de la République :
Le Président du Conseil des Ministres :
R. PLEVEN.
Le Ministre IfElat :
Henri QUEUILLE.
Le Ministre d' Etat chargé
des relaJions avec les Etats associés :
j ean LETOURNEAU .
Le Vice-Président du Conseil,
Ministre de la DéfenSe Nationale:
Georges BIDAULT.
-------<>00<. -------
AC 3
D2 B2
LOI N" 51-1126 DU 26 SEPTEMBRE
1951 PORTANT MAJORATION DES
TAUX DE L'ALLOCATION TEMPORAiREt ?E LA RETRAITE DES VIEUX
TRAVAILLEURS SALARIES ET DES
PRESTATIONS fAMILIALES.
L'Assemblee Nationale et le Conseil de la
République onl délibéré,
L'Assemblée Nationale a adoIJIé,
Le Président de la Répubüque promulgue
la loi dont la teneur suit :
Article premier. -
L'article 3 (§ 1er) de
l' ordonnance n° 45-170 du 2 février 1945,
modifié par la loi n" 5 1-374 du 27 mars 1951
est à nouveau modifi.é comme suit :
a) 59.800 fr. (le reste sans changement).
b) 56.400 fr. (le reste sans changement).
Art. 2. - Le premier alinéa du paragrapite 1er de l'ar ticle 5 de l'ordonnance ,"l1néra 45-170 du 2 février 1945, modifié par la
loi n" 51 -374 du 27 mars 1951, est abrogé
et remplacé par les dispositions suÎvantes :
< L'aUocation n'est due que si le total des
ressou rces personneUes du travailleur ou du
conjoint sun'ivant
de quelque nature
qu'elles soient - et de l' allocation n'ex.cède
pas 188.000 francs par an. Lorsque le bénéficiaire est ma rié, ("allocation est due dès
lacs que le total des ressources des époux
et de l'allocation n'excède pas 232.000 fr.
par an. Lorsque le rotai de fallocation d
das ressources personnelles du travailleur,
du conjoint sun' Îvant ou des époux dëpasse
ses chiffres. rallocation est reàuite en conséquence
Art. 3. - Le laux de l'aUocation complémentaire \;see â J' article 3 (§ 2 C) de l'ordonnanc~ du 2 février 19-t5
modifiée est
porté il 3.-l00 francs.
Art. 4. -
Les dispositions des articles 3
et 5 de l'ordonnance n" 45-170 du 2 fevrier
1945, telles qu'ell - résultent des articles 1er
et 2 de la presente loi, sont appüc.lbles dans
les départemen1s d~ la Guadeloupe, de la
M artin ique, de la Guyane et de la Réunion.
Art. 5. -
Le laux de l'allocation tempo-
raire instituée par la loi n° 46-1990 du 13
septembre 1946 et dont te payement a été
prorogë par la loi nO 51--..173 du, 27 mars
t 95 1 et le taux minimum de I"allocation de
vieillesse visé à l'article 10 de la loi numéro -18-101 du 17 janvier 1948, sont fixés à
28.200 francs par an (ou 2.350 francs par
mois).
Art. 6. - Le<> chiffres ,n rHllS
�-
206
AC 3
D2 B2
DECRET N" 51,1129 DU 26 SEPTEMBRE
1951 PORTANT MAJORATION DES
TRAITEMENTS ET SOlliES DES
PERSONNELS CIVILS ET MILITAIRES DE L'ETAT.
13 septembre 1946 sont portés respectivement à 104.001 et 13&001 Irancs.
Art. 7. _ Les dispositions des articles précédents prennent effet· du 1er octobre 1951.
Art. 8. - A compter du 1er octobre 1951,
le plalond à retenir poUT la détermination
du montant maximum des cotisations prévu
Le Président du. Conseil des Ministres,
à l'article 31 de l'ordonnance n· 45-2250 du
Sur le rapport du Vice·Président du Co n4 octobre 1945 ,portant organisation de Ja ~eil, Ministre des Fi nances et des Affaires
5ecuri té Sociale est lixé à 408.001 Irancs.
E.conomiq~es, du Ministre d u Budget et du
Un décret pris gu.r le rapport du Min istre
Secrétaire d'Etat à la présidence du 'C ondu Travail et de la Sécurité Sociale déter- seil (fonction publique) ;
mine su r cette obase le plafood il appliquer
Vu la !loi n· 46-2294 d'u 19 octob1'e 1946
suivant la 'périodicité des payes.
portant statut généra l des lonctionnaires ;
Vu la loi n° 5().135 !du 31 janvier 1950
Art. 9. _ L'article 2 de la loi du 9 mai
notamment l"article 30 et la loi n· 50-520
1951 est modifié comme suit avec effet du
du. 9 août 1950 notamment l' a rticle 1er dixa nt
1er octobre 1951 :
• Art. 2. - A titre provisoire, les allo- les modalités de la réalisation complète du
reclassement de la fonction publique et amécations familiales des salariés et assimilés,
liorant
Ja situation de certaines cat6gories
l'allocation de salaire ·urrique. 1!'5 allocations
prénatales et l'indemnité compensatrice .pré- de personnels de l'Etat;
Vu le déoret n· 4&-1108 du 10 juillet 1948
vue par le décret n· 48-1155 du 8 octobre
revisé par le décre1 n· 49-909 du 14 a"ril
1948, sont majorées de 43.,75 p. 100.
1949, portant classement hiérarehique des
IArt. 10. - A compter du 1er octobre 1951
grades et etl11Plois des personnels civils et
les prestations familiales des travailleurs inmilitaires de l'Etat et relèvement du régime
dépendants et employeurs d es professions
général des retraites ;
non agricoles calculées confonnément au
V", les décrets n' 51-617 du 24 mai 195 1
décret n· 51-968 d u 7 juillet 1951, sont majoportant majO'ration des traitenlents et soldes
rées de 26,50 p. 100.
des personnels dvils et militaires de l' Etat
A compter de la même date, les .prestaLe Con seri des Ministres ente"",\!,
tions familiales des eXt(l1oitants agricoles et
.o~rète :
artisans ruraux, calcuLées conformément à
l'article 7 de la loi n· 50-948 du 8 août 1950
Article premier. - A compter du 10 sepSOnt majorées de 49,50 p . 100.
tembre 195 1 les émoluments qui ,pour les
fonctionnaires titulaires et les militaires à
Art. Il. - L'article 3 de la loi n· 51-520
solde mensuelle, sont sOUJrüs à retenue pour
du 9 mai 1951 est ainsi modifié:
• Est portée unifo rmément il 55 p. .1 00 -pension comprennent :
la majoration des allocations familiales serI O Le traitement hiérarchisé dans les convies par les caisses de compensation et de ditions résultant du ba rème établi pou r l'a psurcompensation de la Guadeloupe, la Marplication du décret n· 48-1108 du 10 juillet
tinique, la Guyane et la Ré union il ~ompter
1948 portant classement hiérarc hique des
grades et emplois d es personnels civils et
du 1er octobre 195 1 •.
Art. 12. - Le taux de 16 p. 100 .prévu militaires de l'Etat ;
2· UJl complément provisoire de traitepar l'article 34 de l'ordonnance n· 45-22250
ment d'un montant uniforme et éga l de l'indu 4 octobre 1945 modiliée est porté il 16,75
demmté temporaire <ie cherté de vie instituée
p. 100 il partir <II> 1er octobre 195 1.
par le décret n° 48- 1571 du 9 octobre 1948.
. . .. .. . . ... . .. . . . . .. ....
La présente loi sera exécutée conune loi
Art. 2. - A comp te r de la même date, le
de l'Etat.
montant des émoluments sou mis à retenue
pour pension cOl1respondant à J' ind ice 100
fait il Paris, le 26 septembre 195 1.
est fi xé il 150.000 Iran cs.
Vincent AURIOL.
Art. 3. - Les nouveau x émoluments sont
Par le Président de la Ré.publique.
"'Pplicables aux personnels temporai 1es,
Le Président du Con"'il des Mmistres :
COntraciluels et auxiliaires (autres que ceuiX
ft PLEVEN.
dont la rémun ération en vertu d e leur statu t
,particulier est fixée d' après les salaires ,praLe Vice-président du Conseil,
Ministre des Finances et des Affaires tiqu és dans le commer ce et l 'i ndustrie), sur
la base des indices qui o nt servi de référenEconomiques :
ce pour l'établissement de le urs émolumen;s
René MAYER.
antérie'llf"S,
Le Ministre du Buœget :
Art. 4. - Les dispositions du présent déPierre COURANT.
cret sont applicables aux p ersonnels en serLe Ministre de l'Industrie et de l'Energie
vice sur le territoire de la France métro poJean·Marie LOUVEL.
Jitaine,
SlIes sont égalemen.t .,pplica'bles aux perLe Ministre de fAgriculture :
son nels en service d'a!l1s l es départements de
Pialli ANTIER.
la Guadeloupe, de la Guyane française, de
Le Minislre du Travail
la Martinique et de la Réu nion, aux per.sonet de /0. Sérurilé Sociale
nels rémun érés sur le bu<tget de J'Etat e n
Paul BACON.
service en Atgérie, en Tunisie et au \Maroc
et aUx personnels en service en Sarre et
Le Ministre de la Santé Pubtique
dans les zOnes françaises d'occupation en
el de la Population
Allemagne et en Autriche .
Paul RIBEYRE.
......................l..
n.:.:Mï.~d~U.secOnd
ilE
..
alinéa de l'ar-
1948, la totalité du tra iteme nt ou de la solde
et du complé!"ent provIsoire . de traitement
ou de solde resultant de l'apphcation. du p .
sent décre t, entr e en compte pour le cal~u~
De la majoration de 25 p. 100 en ce qu'i
concerne les personnels en service dans les
départements de la GuadellYupe, de la Guya
ne Irançaise, de la Marti nique et de la Hé:
mon;
U
De la majoration de 33 p. 100 en ce q .
C?nce rne les, personnels en service en
n~ en T;IJJlISle et aru Ma roc.
Art. 5. -
Algé~
Les modali tés d'app lication du
p résent d.ecret aux fonction'nai r es des cadres
gé~éraLL,( et régie par décr.et aux fonction.
n.a l~ es relevant des administrations métropo_
ILMlnes et aux miHtaires à solde menSuelle
en. ~e~vice dans 'les territoires re leval1t d~
mlnJste re de la f'l"ance d' outre-mer et dans
les E~ats associés du Cambodge, du Laos et
du VIetnam, feront l'objet de décrets uité.
fleurs pns sur l e r aopport du Ministre de la
France d 'ou tre~me r ou du Ministre d'Etat
chargé des ,elations avec les Etats associés
du Vice-Président du Conseil, M:nistre des
F.in~nces et des Affaires Economiques. du
Mrnlst re du Bu~get et du Secrétaire d'Etal
il la présidence du Co nseil (fonction publio
que) comptt tenu des ré gimes de rémunéra~
tian propres à ces divers territoires,
Art. 6. - .Le Vice-Président du Conseil
Ministre des Finances et Ides AHaires Econo-'
m;ques, le Ministre d u Bud get et le Secreta",
d 'Etat il J.. .présidence du COllsei l (fonclion
publique) sont ch.,rgés, ch acun en ee qUI le
concerne, de l'exécution du présent demi
qui sera publié a u « Journal Officiel) do
la République Française.
J'ait il l'laris, le 26 sep tembre 195 1.
R. PLEVE;N.
Par le Président d u Conseil
des Mj'nistres,
Le Vice-Président du Con",a
Ministre des Finan ces
'
et des Affaires Econom iques :
René MAYER.
Le Minislre du Budge' :
Pier,re COU RA'NT.
Le Secrétaire d'Etat à la présidence
Le Vice-Président du Conseil .
Ministre des Finances
et des Affaires Economiques
Ren é MAYER.
Le Ministre du Budget:
du Con seil (foll ctilNl publique) :
PIerre COURANT.
Félix GA'IULARD.
·---0000----
02 B2
1er du décret n· 51-6IH du 24 mal 195 1
SUSVIsé est remplacé par les dispositions
sUivantes:
c Les taux ci-dessus fi,x~s s'appliquen t :
Pour ,les p~rs~nnels bénéfiCiant d'lInt rëln unérahcn pnnclpa.le compri se entre la rëmunérati on aflerente à l'indice 100 et le triple
de cette r émunération, à l a rémunérati on
efl«tivement perçue majo rée du tiers de la
dill éren ce entre le triple de la rému néra tion
aflér~nte il l'ind ice 100 et la rém un ératio n
effectivement perçue ;
c Pour les "ersonnels bénéficiant d'une
rémuneratJOn princIpale égale ou supér ieur...!
au tri ple de la rémunération aflérente à l'indice ,100, à la totalité de l a tran che ~ge.le
au tnple de la rémunér ation afférente à l'i ndice l00',à l a,moitié.de la tranche compri se
entre troiS fOlS et SIX fois la rémunération
affé rente. il l'indi~e 100 et. un tiers de la tranche superieure a SI X fOIS la rémunération
allérente il l'i ndice 100 .,
'Article 2. - A compter du 10 septembre
195 1, l'article 2 du déc ret n· 5 1-6 18 du 21
mai 1951 est abrogé.
Article 3. - A compter du 10 septembre
19.51, Il pourra êt re institué par arrèté du
Mmlstre. du Budget et du Secrétaire d'Etat
à la PreSIdence du Co nseil (Fonction publi~ue) a u complément de rémunération destiné
a a~~ re r aux personnels en service sur le
terrl~01re de la Ftrance métropolitaine, dans
les différentes, zo nes de salaires, un minimum
de rém,un ér~tl,on en rapport avec le niveau
~u salaIre minimum inter professionnel garantI dans la zone co nsidérée.
.Article 4. - Le Vice-Président du Conseil
m~h1stre des Finances et des Affaires Eco no~
mlqu,es, le Ministre du ,Budget et le S~rétai
re d Etat. à la Présidence du ,Conseli (Fonctlo,n publique) sont -chargés, 'Chacun en ce
qUI le co~cerne, de t'exéc ution du présent
déc ret, qUI sera publié au Journal Officiel
d e la Répubhque Française.
Fait à Paris, le 26 septembre 195 1.
R. PI.:EVEN.
Par le Président du Conseil des Ministres
AC 3
Le Secrétaire d'Etat à la Présidence
du Conseil (Fonction publique) :
Félix GAILLARD.
D2 B2
AC 3
DECRET N· 51-1131 DU 26 SEPTEMBRE 195 1 MODIFIANT LE REGIME
DU SUPPLEMENT FAMILIAL DES
FONCTIONNAIRES ET AGENTS DE
L'ETAT.
Le Président du Conseil des Ministres
Sur le rapport du vice-président du éonsei!, mi nistre des Finances et dies Affaires
Economiques, du ministre du Budget et du
Secrétaire d'Etat il la présidence du Co nseil
{fonction publique ;
Vu l'article 7 de la loi n· 48-1268 c!u 17
Août 1948 ;
Vu le <lécret n· 48-1108 du 10 Juillet 1943
portant ~Iassement hiéranchjque des grades
et emplOIS des personnels civils et militaires
de rEtat relevant du régime général des
retraites et notamment l'artkle 4 .
Vu le décret n · 51-619 du 24 'Mai 1951
modifiant le régim e du supplément familial
des fonctionnaires et agents de l' Etat ;
Le Consei l des PAinistres entendu,
DE;CRETE :
,ART ICLE PREM IER, - A co mpter du 10
Septembre 1951, le troisjème alinéa de l'arlIc1e 1e r du décret n° 5t -619 du 24 Mai
195 1 susv isé est modifié 'Comme suit :
(: Le~ taux fixés ci-dessus pour l'élément
proporllonnel s'appliquent :
« Pour les personnels bénéficiant d'une
rému nération principale comprise entre la
ré.niunération afférente à J'indice 100 et la
tnple de cette rémunération, à la rémunératiôn e~ectivement 'perçue maj orée du tiers
de la '<llflérence entre le triple de la rémunération afférente à l' indice 100 et la rémunération effectivement perçue ;
< Pour les personnels bénéficiant d' une
rému~ération prill'cipale égale ou supérieure
a~ trrple de la rémunération afférente à l'indIce .100, il la totalité de la tra nche égale
o~ tnple .de la rém unération afférente à l'indice 100 et à l a moitié de la t ranche com prise entre trois Jois et six fois la rémunération afférente à l'indice 100 :J ,
qui le concerne, de l'exécution du présent
décret qui sera publié au Journal Oifi<:iel de
la République Française.
Fait il Paris le 26 Septembre 1951.
R. PLEVEN.
Par le Président du Conseil des Minist res,
Le Ministre du Budget,
Pierre COURANT.
Le Vice-Président du Conseil,
Ministre <les Finances et des Affaires
E.conor:niques,
R. MAYER.
Le secrétaire d'Etat
à la présidence du Conseil
Félix OA1LLlARD.
•
Communiqués. A vis
Annonces diverses
D2 B3
DEMANDES D'EMPLOIS
Commi$3.Îre de police retraité recherche
un emploi de secrétaire d.e Mairie dans une
commune du Département des Bouches-duRhône.
MM. les Mai res int,;ressés ,par cette candid'ature vlYudront bien se mettre dir~tement
en rapport avec M. Henry Cientat, demeurant il Vill~roze (Var).
•••
Commis d'ordre et de co mptabi lité il la
Mairie de Tarbes sollicite un emploi similaire dans une commune du departement des
Bouches-du-Rhône.
IMIM. les Maires interessés par cette candidature voudront bien se mettre en rapport
avec Mme Queirolo, 7, boulevard Pèbre, il
Saint-Giniez, Marseille.
ART, 2. - Le vice-p réside nt Id u Conseil
ministre des ,Finances et des Affaires Eco:
n~miques , le Ministre du Budget et le Secrëtalfe d'Etat à la préSIdence d u Conseil (fonctIon pubhque) sont chargés chacun en ce
-------c.oo<,.-------
DECRET N" 5 1-11 30 DU 26 SEPTf,lI·
BRE 1951 MODlFIANT LE DBCRI:"T
N" 51-618 DU 24 MAI 1951 RB1.ATlf
AU REGlME DE L'INDEMNITE DE
RESIDENCE DES FONCTIONNAIRES
ET AGENTS DE L'ETAT,
Le Présidenf du Conseil des Ministres,
Sur ,le rapport du Vice-P réside nt du CO"
seil, minist r e des Finances et des Affaires
Economiques, du lv\inisfre du Budget et d~
lii
Secrétaire d'Etat à la Présidence du cons
(Fonctio n publique) .
Vu le décret n· S:1-61 8 du 24 mai 1951i
llie
modifié pa r le décret n· 5 1-875 du 9 IU
195 1, rel a tit au régi me de l'indemnité de rte
sidence des fonctionnaires et agents
l' Etat;
Le Conseil
entendu,
Copie eerti6.ée c.onf.11D4.
14
Pour le Préf« :
GI,..,aJ : I....AllASSOUltK..
S.&Tlllur~
.
-,
�REPUBLIQUE FRANÇAISE
18 Oetobre 1951
9' !Hée. - "''' 42
D-ÉPARiEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
Actes Administratifs
Recu
et Bulletin des Mairies
a
Toute correspondance relative au Recueil doit (Ure adressée
la Préfecture Secrétariat Général
A.BRÉVIA.TIONS
A. P . : Arrété préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des Services Technique.. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Population.
Arrêtés réglementaires et Circulaires
~
AG 2. -
.
eOMMA:IRE
n" 50-147S du 30 novembre 1950
portant à dix-huit mois la durée du
service militaire actif ............ "
S21aire minimum ga ranti . ...
209
AG 2. - Indemnité de résidence ....
AG 4. - Célébration de la < Jour-
209
AG 7. - Recensement et révisio n dans
la métropole et en Afrique du Nord
née des Natio ns Unies ;) ........
209
AG 4. - Appel en faveur de la vieillesse ... . ........ . ...... " ..... '"
des j eunes gens nés entre le 1eT janvier 1933 et le 31 déce mbre 1933 .•
209
AG 13. - Evaluation des dommages
de gue rre relatifs aux éléments d'exploitation non ag ri coles (première
tranche) ........ . . ............. .
A O. - Période des vendanges, - Date
limite de déclaration de recolte de
vin , .. " . ...... , ........ ", ..... .
P O. -
Autorisation d'une quête de
l'Entr'aide des Bouches-du-Rhône..
AG 4. - Exposition routi ère de l'outillage portatif ...................
AG 7. - Loi n· 5 1-11 20 du 21 septembre complétant l'article 7 de la loi
2 10
210
A O. 2iO
210
Cours moyens des denrées servant de base au calcu l des fermages.
A 3, - Encèpagement du vignoble à
appellation cont rolee . .. .......... .
CIA O. - Explosifs de mines .... . .. .
FS 7. - Rémunération des internes
en médecine et en pharmacie des
établissements hospitaliers publics ..
TVX O. - Plan d'équipement nationa l. - Versement de subventions ..
211
211
212
212
213
214
214
Textes d'Intérêt Général
AC 3. - Majoration des prestations
familiales . . ............ . ...... . .
214
ARRËTËS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
AG 2
D2 B3
SAiLAIRE MINIMUM GARANTI
Par télégramme du 3 octob re 195 1, M. le
l'Intérieur \lient de m'informel
que les jispositions du décret n' 5 1-1075 du
~ septembre 195 1 U ournol Officiel du 10
septembre) sont applicahles aux salariés des
collectivités locales emb auc hés à tit re temporaire et rém unérés da ns les mêmes CO IIditions que les salariés de l'industrie et dll
comme rce.
Pour Je Préfe t,
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabinel
DUfAY .
A1inistr~ de
- - -- <>00<>----
D283
AG 2
INDEMNITE DE RESLDENCE
Par télégramme du 3 octobre 1951. M. le
J\\ini stre de J'Intérieur vient de m'informe~
que les assemblées locales peuvent/ à compter du 16 juin 195 1, adopter en faveur de
leurs agents les tau x d'indemnit é de résidence fixés par le décret n" 5 1-875 du 9 juillet
1951 (journal Officiel du 12 jui lkt).
Pour le Prefet,
Le Sous-Préfel, Directeur du CabiIH'1
DUFAY .
-------C)OOC)-------
CABINET DU PREFET
AG 4
CELEBRATION DE LA « JOURNEE
DES NATIONS UNIES »
Le Préfet des Bouches-dl/-Rhône
à MM . l es Alaires dll Département
(en communication ci MM. les
SOlls-Préfels),
Le 24 octobre prochain, sera cëlebrée, au
cou rs de la c: Journée des Nations Unies »,
le sÎxième an ni ve rsaire de l'entrée en vigueur
de la Charte des Natio ns Unies.
A cette occasion, MM. les Maires sont invités à faire pavoiser aux cou leurs française3
les monuments publics de leur commune,
- - - - lU 00 c>· - - - -
CABINET DU PREFET
AG 4
APPEL EN FAVEUR DE LA VIEILLESSE
En!r' Aide des HOIlChcs-dll-Rhôfle
148,
rUI!
Paradis
MARSEILLE
Le Professt'lIr OLAIER. président de
fEn/r' ,I/d,' de.s BOlll'hes-utl-Rhônl!,
à MM. IL's Maires,
Comme les aJln~es précédentes, l'Entr' Aide
des BOllches-du-Hhône o rganise. avec l'accord de :
- Monsieur le Préfet des BOllches-duRhône, de
- Monsieur le Président du Conseil Généra i et de cette Assemblée Departementale/ de
-Monsieur le Maire de la Ville de Marseille et des
- Muni cipa lités des Communes du Département,
une c Campagne de la Vieillesse " qui aura
Heu, cette année, du 15 octob re au 15 novembre 1951.
Cette campagne a deux buts:
1 Faire comprendre à la pOpUlation Que
les \'ieillards ne doi\'ent pas ètre abandonnés,
qu'il faut leur venir en aide, qu'il faut leur
apporter toujours un réconfort moral et, tres
souvent, un appui matériel.
2" Trourer les moyens mkessaires pour
apporte r aux \,ieux l'appui mat~riel indiQu~
ci-dessus.
Je suis persuad~ Que \'ous voudrez bien
apporter \'ot re concours le pl us tomplet à
nos ddégues et à nos comités locaux, Qui
Ont d'ailleurs l 'honn~ur de \'OUS a"uir l:omme
mem bres, pùllr obtenir une r~usSltc complète
de cette campagne,
.. La misère des rieux est immense, l'En_
tr'aide des Bouches-du...Rhone compte beaucoup sur cette collecte pour apporter à nos
aines l' aide morale et matérielle ùont ils ont
tant hesoin
(1
�210
211
DI BI
PO
AUTORISATION D ' UNE QUETE
L'ENTR'AIDE .
DES BOUCHES-DU-RHONE
DE
ARR ETE
Vu l'arrêté préfectoral du 24 janvier 1951.
réglementant les appe ls à la générosité publique :
Vu la circulai re n· 5 1 RDG/ jeux de M. le
Ministre de l'Intérieur en date du 15 février
1951 fixant le calendrier des ap pels nalio.na!Jx à la géné rosité publique en 195 1 ;
Vu la demand e p résentée par l'E ntr' aide
des Bouches-du-Rhône tendant à quêter sur
la voie publique le dimanche 28 octob re,
dans toutes les communes du département
des Bouches-du-Rhône, en vue de secourir
les vieilla rds et à aider le financement de
la journée départementale de la vieillesse,
Arrête :
Article premier. -
L' Entr'aide des Bouà faire une
voie publique le 28 octobre
ches-du-Rh ône est autorisée
quête sur la
1951.
Art. 2. - MM. les Sous-Préfets, M. le Directeur Départemental des Services de Police, M. le Commandant de Genda rmerie des
Bouches-du-Rhône, MM. les Maires du Département sont cha rgés, de l'exécution du
présent a rrêté qui sera insé ré au Recuei l
Administratif et Bulletin des Ma iries.
Marseille, le I l octobre 1951.
Le Préfel,
R.
PAlI~A.
- - - -•• 00 •• - - - -
AG 4
CABI NET DU PREFET
EXPOSITION ROUTIERE
DE L'OUTILLAGE PORTATIF
P a ris, le 2 Octob re 1951.
Circulaire ministérielle nO 387
Le Syndicat Gé néra l des Indust ri es Mécaniques
et
Transfo rm atr ices des M étaux a
organisé, sur
l'i niti at ive du
Min istère de
l'Industrie et du Commerce, une exposition
.routière de l'Outill age Portatif patronn ée
par le Co mi t é Nat io na l de la Productivité et
subventi onnée pa r l' « Eco nomic Coopér ation Adm i nist ration :. .
Cette expositio n, q ui présente de l'o utillage am éri ca in et de l'ou till age f rançais, n'a
au cun cara ctère commercia l et ne fa it de
propagande qu'en faveur de la produ cti vi te.
Elle a s implement pour o bjet de mo ntrer a ux
industriels, aux cadres et o uvriers , qu' une
utilisation plus répand ue des outils po rta-
05 B2
AG 7
LOI N" 51-1120 DU 21 SEPTEMBRE
COMPLETANT L'ARTICLE 7 DE LA
LOI N" 50- 1478 DU 30 NOVEMBRE
1950 ,pORTANT A DIX HUIT MOIS
LA DUREE DU SERVICE MILITAIRE
ACTIF.
la loi dont l a teneur suit :
t io n sur les tableaux de recensement de leur
classe d'âge ; les j eu nes gens nés en 1933
et visés a udit artide ne devront par faire
l' objet d' une inscription d'office ;
2" Les j eu nes gens visés à l' article 12
Articl e Premi~r. - L' art icle 7 de la loi
n· 50-1487 du 30 Novembre 1950 portant
à dix huit mois la du rée d u ser vice militaire
actif et modifiant ce r tai nes dispositio ns de
la l oi du 31 mars 1928 relative au recrutement de l'armée, est complétée pa r l'alinéa
suivant:
< Lo rsque la nécessité d'assurer les productions indispensables au x besoins de la
défense nationale J'e xi ge, le Gouvernement
est autorisé, en .ce qui concerne l es mineurs
du fond, à déroger, sui vant la même procédure à la règle de f raction nement par date
de ~aissa n ce p révue au premier alinéa du
présent arti cl e :. .
La pr ésente loi sera exé<:utée comme l oi
de l' Etat.
Fait il P a ris, le 2 1 Septembre 1951.
Vincent AUR IOL
Pa r le 'Président de la Répu~lique
Le Président du Co nseil des Mi nistres
R. J>LEVEN
Le Mi nistre adj oint de la D éfen se Nationale
Ministre de la Défense Natio nale par intérim
Ma uri ce BOURGES-MAUNOURY
- -----c:. oo<>-------
découverte.
Art. 4. -
Les tab lea ux de recensement
seront établis d'après les rè gles fi xées par
l 'instruction du 4 décembre 1935, r elative ail
recensement et à la révision du contingent.
L es Ma i res, administrateurs, contrôleurs ou
fo nctionn aires ci vils se co nformeront en parti culier aux prescriptions de l'a rticle 4 de
l'instru ction vis ée ci -dessus ; ils inscriront
d'o ffice sur l es tableau x de recensement les
jeunes gens nés dans leur commun e ou circonscription entr e le 1er Janvier 1933 et le
l esqu els ils n'auront pa s r eçu d'avis d'inscripti on dans une autre commu ne.
Les demandes et dossiers des j eunes gens
a yant décl a ré ou fa it dé cla re r êt re atteinls
Vu la loi du 3 1 mars 1928 relative a u recrutement de l' arm ée ( 1) ;
Vu la loi n· 50-1478 d u 30 novembre 1950
portant à dix-huit mois la durée du servi ce
d'infirmité ou maladie, pouva nt les rendre
impropre au service mili taire, devront é.tr.e
transmi s au préfet par les services muniCIpau x pour le 15 Fevrier 1952 au pl us ta r~ .
Les Maires devront s'assurer que la notification des d écès d es jeunes gens ori ginaires d' une autre co mmune et nés en 1933 a
été effectu ée à la mai r ie du lieu de naissan-
mil itaire actif et modifia nt ce rta ines disposi-
ce des décédés.
Le Vice-lPrésident du Con seil, Minist re de.
la Défense N ationale,
ti o ns de la loi du 3 1 ma rs f 928 relative au
recr utement de l'arm ée ;
Vu le déc ret du 12 s eptem b re 195 1, relatif
à la fo rm a ti o n de la classe 1953 (3) ;
nés entre le 1e r janvie r 1933 et le 3 1 decembre 1933, .nés ou . dom icil iés da ns le ur
- -- -<:.00<.-------
entre le Jer j a nvier 195 1 et le 3 1 Décembre
195;. ces dates incluses ;
4· Les hommes v i s é~ à l'article 16 de la
loi d u 3 1 mars 1928 omis des classes précédentes, dont l'omission aur a été si gnalée ail
RECENSEMENT ET REVISION DANS
LA METROPOLE ET EN AFRIQUE
DU NORD DES JEUNES GENS NES
ENTRE LE 1e r JANVIER 1933 ET LE
31 DECEMBRE 1933.
visitées à
Ch. BRUNE
rieurernent au 1er Janvier 193 1, qui n'ont
pas été inscrits sur les tableaux de recensement des olasses p récédentes ;
3° Les hommes vis és à ,lfa r ticle 13 de
la loi du 3 1 mars 1928, qui sont devenus Ou
deviend ront f ran çais par voie de nataralisatio n, de réintégration ou de décla rati on
3 1 Décembre 1933 (à l' except io n de ceux
vis és à l'article 3 § 1er, b) ci-dess us el pour
A rt icl e premier . _ L es maires, admin is·
tr ateurs, co ntrôleurs et f oncti o nnaires ci vils
procéderont au re cen sement des j eunes gef!s
tière et, d ans certains cas veiller â ce q ue
cette manisfestation ne puisse êtr.e à l'o rigine
d 'incide nts.
§ 1er de ,la loi du 3 1 mars 1928, nés anlé-
AG 7
D562
nifestatio n, diri gée par M. Henri C UINIER,
Ingénieur.
lit pourra être utile, notamment, d' in vi ter
ag g lomérations
vier 1933 et ,le 31 Décembre 1933 inclus, y
compns :
a) Ceux visés à
l'articl e 3 de la loi du
3 1-3-1 928.
b) Ce ux visés à l'article 12 § 2 de la loi
du 3 1-3- 1928, qui demanderont leu r insc ri p_
tifs électriques et pn eumat iques permettrait
d' accroître la productivi té fran çaise et, par
là même, le ni veau de la vie du pays.
Vous voudrez bien appo r ter votre ai de
aux organisateurs de cette intésessa nte ma-
faciliter l'installation de l' E xposition Ro u-
Art. 3. - Sero nt inscrits sur les tab leaux
de recensement :
10 ,Les jeunes gens, nés ent re le 1er Jan-
L'Assemblée Natio na le et le Conseil de la
Rép ublique ont délibé ré,
il' Assemblée Natio na le a ado pté,
ILe Préside nt de la Rép ublique promulgue
Vu l' a r rê té du Il août 195 1 portant délégatio n de sig na ture,
les maires des
Art. 2. - Les opé rat io ns dé recensement
commenceront le 5 Novembre 195 1. Ell es se
termineront le 3 1 Décembre 195 1.
Arrête :
A. -
Recensement
commune ou circo nSCrI pt IOn.
(1)
(2)
1950,
(3)
1951,
B. O., e m, volume 68.
• journal Officiel . d u 1e r décembre
B. O., p.p. 1950, page 3006.
« journa l Officiel > du 13 septembre
B. O., p. t. 1951.
B. -
Révisioll .
Art. 5. - L a sessio n or di nai re du Conseil
d e Révisi on s'o uvr i r a l e 17 maiS 1952 tant
da ns la métro pole q u'en Af rique du No rd.
L a séance de clôture de cette sessIon aura
lieu le 17 juin 1952.
.
Entre l es d eux dates indiquées CI_dessuS,
les préfets et rés ide nts gé néraux f ix eron~
l'itinéraire du Co nseil de r éVISion et les d~
tes d es séa nces en te nant compte de la Slt
tuatio n c1im atol'ogiq uc de leur dé pa rteme~
ou de cert ai ns ca nto ns de l eur départemen d
Les iti nérai res sero nt ar rêtés ell ac~o r
avec Iles C1énéraux com!J1a ndant les réglOnS
.
b
d ts su•
militaires (o u les généraux comman .an Ré-périeurs) de tell e so rte que le Co nsei l de 1_
u
visio n siège success ive ment et non slm. S
n
tanément dans l es dépa r tements les mOl
peuplés de la régio n,
\ é 'onal
Les directeurs du ser vice de sante r gl
seront consultés à cet effet.
Art. 6. - Seront co nvoqués deva nt les
Conseils de Révision de la classe 1953 :
10 Les j eunes gens inscrits sur les tableaux de recensement de l a cl asse 1953, visés à l'arti cle 3 du présent arrêté i
2' .les j eunes gens ajourn és des classes
J95 J et 1952 deuxième prése nta ti on.
Art. 7. - Un dossier médi cal devra être
établi pour chaque r ecru e, l ors de sa comparution devant l e Consei l de Révis ion.
La durée des séa nces sera fixée de tell e
manière que l es examens dont . l es r ésultats
doivent figurer au dossier puissent être pratiqués avec soin.
La moyenne horai re des jeunes gens examinés ne devra pas dépasser t rente et la
moyenne j ournalière deu x cents.
Il ne devra pas être procédé à l'ex amen
de plus de deu x cantons dans ,la même j our-
née.
Pour l a composition des co mmissi ons médicales les générau x commandants les régions ~ilitaires feront app el aux médecins
des arm ées de terre, de mer et de l'air.
Art. 8. - L 'examen des jeunes ge ns qui
ne résident pas dans l e départ ement où ils
sont recensés et qui demandent à ~ tre visit és au lieu de leur résidence ser a effectu é
dans les co nditions fi xées par l' articl e 53
de l'instruction du 4 décembre 1935.
Ces
jeunes gens ser ont examin és au cours d' une
séance fixée uniformément pour tous les dé-
partements au 28 mai 1952.
De cette f açon,
toutes les
•
prop ositio ns
d'aptitude physique étab li es à l'éga rd
de clôture, dans les départe ments de rece nsement.
Des dispositi ons analogues devront être
pri ses dans les co nsul ats de F rance, en cc
qui Concern e l'examen des jeunes gens en
rési dence à l'é tranger.
Art. 9. - Des sursis d'inco rp oratio n (première attribution) seront acco rdés aux j eu,nes gens de la cl asse 1953, aux aj ournés des
c lasses 195 1 et 1952, déc la rés aptes a u service militai re, da ns les conditio ns fixées pa r
les a rtioles 22 et 23 de la loi du 3 1 ma rs
1928. Les jeunes gens désireux de bénéficier
d ' un sursis d'inco rp oration seront i nvités à
se conformer au x i ndicatio ns qui leur seront
donnes à ce t éga rd dans les mairies. Afi n
d'éviter toute co ntestatio n ultérieure, les de mandes de sursi s d' i ncor poration devront
être soigneusement datées et les mai res remettront aux intéressés uh a.ccusé de r éception de leur demande.
Ar t. 10. - IL a date de la session extraordi naire du Conseil de Rév ision de la cl asse 1953 ser a fi xée ulté r ieurement.
Art. Il. Le Go uverneu r Généra l de
l'Algérie, les Resi dents Gé néraux de Fra l1 c~
en Tuni sie et au M aroc ct les Préfets so nt
Ch argés chacun en ce qu i l e co ncerne, de
,l'e.xéc utio n du présent arrêté, qui sera pu-
bli é a u < Journa l Offi ciel » de la Ré pu bli-
que Française.
Fait à Paris, le 24 septembre 1951.
Po ur le Ministre et pa r déléga lion,
---~a()o<.) ----
AG 13
Ministère .de ta Reconstruction
et de l'Urbanisme
Délégation Déportemenlale
des Bouches-du..J?h6ne
Service des dommages de guerre
EVALUATION DES DOMMAGES DE
GUERRE RELATIFS AIJX ELEMENTS
D'EXPLOITATION NON AGRICOLES.
Première tranche
L' In génieu r en Ch ef, délégué du Ministre
de la Reconstr uct ion et de l'Urbanisme pour
le département des Bouches-du-Rhô ne,
Vu les dispositio ns des articl es 3, 38, 39,
40 et 71 de la loi du 28 octo bre 1946 sur
les dommages de guerre ;
Vu les dispositions des arti cles 18, 19 et
20 du décret n· 46-2960 du 3 1 décem bre
1946 por ta nt règlement d'administration publique pour l' appli cati on de l a loi susvisée;
Vu les dispositio ns de l' a rti cle 13 du décret n· 50-1 32 du 3 fév rier 1950, rela tif à
l'inter ve ntion des architectes, exper ts et
techniciens dans l a reco nst itution des bien3
endomma gés par faits de guerre ;
Vu l'arrêté de M. le Ministre de la Reconst r ucti on et de l'U rbanisme en date du
5 mai 1950 po rta nt déléga ti o n à ses dé:égués départem entaux pour fi xe r le point de
départ du délai de six mois imparti aux Si nistrés po ur les dépôts de leur dossier
d'évaluati on,
des
jndi vidus autorises à êt re visités au l ieu de
leur residence po urro nt être so umises à l a
déci sion des Conseils de Rév ision, en séance
Le Directeur du Cabinet :
Pierre-Louis F ALAIZE.
05 BI
Décide :
Artide premier. - Le programme d'évaluati on des él éments d'exploitatio n affectes
à un usage industriel, co mmercial, artisanal ,
professionnel, social ,culturel ou à un service public doit être, da ns le département
des Bouches-tlu- Rhône réalisë avant le 1er
avril 1952, pour les profess ions suivantes :
Ac iers, appareils sanita ires, arm es et muni tio ns, automobiles pa rt icu li!:res j
-Ba teaux de loca tion po ur ri viè re, blanchisser ie-tei nture ri e, brosser ie-tab letter ie ;
Cabinets des avocats et ét udes des officiers ministériels, cabinets des médecins,
ch irurgiens, sages-femmes et vété r inaires,
cé ra mique, chaudière et machines à vapeur,
chaux et ci ments, choco late rie, ci rerie, co rn·
merce de la radio, com presseurs et venti late urs, compte urs à ea u! élec tri cité, gaz, co nfiser ie, co nfiturerie, cUlrs _et peaux, cycles;
fo urs industriels, fûts métalliques ;
I mprimerie, industrie de la chaussure, i ndust rie de la co nfection, i ndustrie conserve
alimentaire, i ndustrie hôtelière, industrie des
roulements, industrie ù u sucre, industr ie du
\'Î naiIYre ;
Matér iel J'aviation pr i\'ée, matériel d'i ncendie, ma tériel de soudure, matériel de to pographie, cab inets des géomètres, métaux
non fer reux moteurs à combustion interne
et moteurs
explosion, motocyclettes et vélomoteurs ;
Organes de t ransmission ;
Parfume rie, peti ts emballages, petit outillage tle mécanique g~ né r a l e, pompes centrifuges ;
à
Sa,lon de coiffure ;
Tonnellerie, tube ries de carto n ;
Véhicules uti l itaires.
Art. 2. -
l e dé la i du 1er av ril 1952 n'est
\ralable que pour les biens dont la reco nsti-
tut ion n'a pas
arrêtés
décla rée prio rita ire, les
gueur qui le cas échéant, se substituent au
délai ci-dessus.
Art. 3. - Les lisl es des dommages SUbIS,
si l'évaluat,iQ)1 appro ximati ve en valeur actuelle est inférieure à deux millions ou,
Les rapporls élablis par des experls
agréés} si l'évaluati on est supérieure à deux
millions, devront en conséquence pour les
biens des catégories ci-dessus précisées et
servant à l' exercice des professions limitativemen t énum érées à J'article 1er, être déposés av ant le 1er avril 1952, à la D élégation
Départementale des Bouches-du-Rhône, r ue
Saint-Laz are, 50, Marséille.
A rt. 4. - Les propri étaires des bi ens visés à j' article l , auront l a faculté de si gnifier à mes ser vices ava nt l'expiration du délai ci-dessu s fixé, qu'ils n'entendent pas soit
déposer eu x-mêmes la liste des dommages
qu' ils ont su bis, soi t fai re procéder par un
expert de leur choix à l' établissement d'un
rapport et qu'ils l aissent par suite ce soin
à l' Administ ration.
Ar t. 5. - Les p ièces tec hniq ues nécessaj res à l'éral uation des dommages visés à l'art i.cJe premier, qui n'a uront pas été déposées
à mon Service des Dommages de Guerr e ou
co nfiées à l'i nitiative de ce dern ie r, avant le
1er av ril 1952, se ront établies d'office par
des experts agréés désignés par l'Administ ration.
Art. 6. - ILes experts qui ser ont dési g nés
pa r L:Ad ministrat ion pour procéder aux évaluations seront rémunérés dans les co ndi-
tions du titre III du déc ret n· 50- 182 du
3 fév rie r 1950.
A rt. 7. - La présente décision fera l'objet de la plus grande diffusion, pa r l'i nsertion dans le Bulletin des Actes Admi nist ratifs du Dépa rtement et dans la presse départementa le, pa r affichage dans les' M ai r ies et
avis aux groupements de sinistrés et aux
experts.
Ma rseille, le 22 septemb re 195 1.
R. CALLOUD.
------<> 00 «»- - - - -
06 B I
A 0
PERIODE DES VENDANGES
D ATE LIMITE DE DECLARATION
DE RECOLTE DE VIN
ARRETE
Le P rèfet des Bonches-d u-Rhône, Officie r
de la Légion d' Honneur, Croix de Guerre,
Vu la loi du 1er d<'cembre 1936 portant
codification des dispositions l~gislati Ye s et
réglementaires relatives à l'assainissement
du marché du d n ;
" u la loi n· 46-2-300 du 2 1 octobre 1946
relative au ba n des vendanges ;
Vu la délibération de la Commission Dé-
partementale en date du 2Q septemb re 195 1;
Sur la proposition d u Secretaire Genéral,
Arrête :
A rticle premier. - La date.Jimite pour la
periode des ve ndanges est f lxee pour le département des Bouches-du-Rhône au 3 1 oc...
tobre 195 1.
A rt. 2. -
Tout propriétaire, fe rmie r , mêtayer rëcoltant du vin, devra fa i re aYant le
36 nm'embre 1951, délai de stricte ri gueur ,
la déclaration prescrite par l'art icle 12 de
la loi d u 1er d';cemb re 1936.
�212
Art. 4. - Le Secrétaire Général ûe la Preiecture le Oirecteur des Contributions Indirectes 'et les /IIaires du Departement sont
char.7es
•
,
chacun en ce QU~ le cont,:erne, de
l'ex~utiQn
du présent
auêt e.'
Marseille, ,le 10 octobre 195 1.
Pour le Préfet
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabinet,
DUFAY.
----(>000----
D6
BI
A 0
COURS MOYENs\ DES DENREES SERV ANT DE BASE AU CALCUL DES
fERMAGES
ARRETE
Le Prefet des Bouches-d u-Rhone, Officier
de la Légion d'Honneur, Croix de Guerre,
Vu 1'0rdQnnance du 17 octobre 1945 relati .. au statut du fe rmage, modifiée par les
lois. du 13 av ril 1946 et 3 1 décemb re 19-18;
Vu l 'avis de la Commission Consultative
des Baux Ru raux en date du 9 octob re
1951 ;
Sur la proposition du Secrétaire Général,
Arrête :
Article premier. - Les cours des denrêes
devant sen"ir de base au calcul des fermages sont fixés ainsi qu'il suit dans le D é~
partement ~ Bo uches-du-Rhône :
29 septembre 195 1
Echéance
Ann uell e Semestrielle
Blé, le quintal ....
Pommes de terre de
3.400 (1)
3.400 ( 1)
consommation courante, le quintal. .
Foin de Crau :
le quintal ...... .
Foin ordinai re:
le quintal ...... .
Vin : le degré hectolitre ......... .
Laine : le kilo ... .. .
Bœuf (poids vif)
2e qualité, le kilo
Huil e d'olive; le kilo
Fruits : le quintal. .
999
1.066
89550
883
654
650
272
38 1
270
405
107
364
3.250
127
375
3.500
0 à 50 quintaux ... . .. . .
5 1 à 75 qpintaux ....... .
76 à 100 quintaux . .. . ... .
101
200 quintaux . .. .... .
201 à 400 quintau x ....... .
401 a 600 quintaux .... . .. .
601 à g()() quintaux ..
BO l à 1.000 quinta ux ..... .
delà de \.000 quintau x ..... .
a
30 Frs
60
>
75
>
>
>
90
!O5
120 >
135 •
150 »
Art. 2. - Le Secrétaire Général de la
Préfec ture est chargé de l'exécution d u present a rrêté.
Marseille, le 10 octobre 195 1.
Pour le Préfet
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabine/,
DUFAY.
------~.>ooc>-------
ENCBPAGBMENT DU VlGNOBLE
A APPELLATION CONTROLEE
Le Préfet des Bouches-du-Rhô ne,
à MM. les Maires du Département.
J'ai l'honneur d'attirer vot re attention sur
les dispositions du décret d u 2 1 juillet 1 9~ I ,
publié au • Journat Ofhclel > du 24 1,"lIet,
qui pré\ 'oit certaines meSures conce: na nt
l'encépagement et le . ren,~ement t1~s Vignobles produisant des VIOS a appell ation s co ntrolées. Il prescrit notamment dans son arti·
cie 4 l' obligation, pour U/l produf t eur dt'
vin à' appellation contrôl ée possédant dans
son exploilation des parcelles co ntenant des
cépages non admis pour ceil e appelllblÎol!,
de souscrire, lors de sa d~C{aratlOn de recoite une fiche d'e ncépagement.
Cette fic he devra être établie en t rOIs
exemplaires : l'une sera co nse r vée par l' illtéressé ; le deuxième se ra joint à la décla·
ratio n de récolte et le troisième se ra destiné a l'Institut Nationa l des App~lIations
d'o ri gi ne des vins et eaux-de-vie.
A cet effet, des ca rnets co ntena nt ces fiches d'encépagement m'o nt été ad ressés par
les soins de cet Institut a ux fins de répa rti ti o n da lls les Mairies intéressées a u mo me nt
de la prochai ne déclarat io n de récolte, pOU l
perm ett re à leurs admi nistrés de se co nformer aux prescriptions ci-dess us é non cées.
Ces fiches devront ens uite être tra nsm ises
à l'Institut Nationa l des Appe llations d'a n gi ne.
Cette nouvell e ré glementatio n a pou r but
de pe rm ettre un controle piuS efficace des
plantations et de co ncou rir à l'assainissement du ma rché en Mfendant la qua lité des
vins asso rtis d'appe ll ation d'origine:
Pour le Préfet,
Le Secretaire Générai
LAMASSOURE.
•••
(1) BLE: Le barème de la cotisation de
résorption prévue par le déc ret n' 50-1.022
du 22 août 1950 est fbcé ainsi qu'il suit :
De
De
De
De
De
De
De
De
Au
A3
D6 BI
INSTRUCTIONS PRA TIQUES
D' APPLICATION
Le statu t des \rins fins, co mme toute œuvre
humaine, se perfectionne contin u e ll e.~ent.
DepUIS 1935, la cliscipline que les. l'Itl~ul
teurs o nt su s~impose r leur a permIs d assaini r le ma rché des appellations co ntrô lées
que des abus avaient co nd uit à I" a na rchie.
Le déc ret du 21 juillet 195 1 tO ncernanl
l'encépagement du vi g noble à .appeHatioll
contrôlée ajoute une nou\'elle pIe rre a cet
édifice en permettant d'établir avec. exactitude l'assiette du vignoble à appellation controlée.
Bien qu'imposant une nouvelle fo rm ule
aux aSSUjettis (la fiche d'encépagement), le
d~cret appo rte aux viticulteurs d.o nt la tradition est la qualité une gara ntie supplementaire à l' image d'autres régio ns, telles
q ue la Champagne, les vi ns dou~ nat ur els,
etc .. ., où cette législatio n est en . vlgu~u r depuis plusieurs a nn ées à la satisfactIOn de
tous.
ENCEPAGEMENT
A qui s'apptique le nouveau décret
Les nouve ll es mesures concernant les vit iculteurs qui produisent à la fois des vins â.
a ppellatio n d'origine oontrblée et d'autres
vins à l' aide de ve nd anges récoltées SOit sur
un e mème parcelle, soit sur des parcelles
00 el1tend par c parcelle > non la par.
celle cadast ra le proprement dite, mais tou.t
terrain planté de vignes constituant une
unit é culturale, ce lle-ci p.o uvant être plus
petite o u plus grande que la pa".. lIe '....
dastrate.
Si sur un même t errain pouvant être considéré comme une unité cultura le, coexIS_
tent un lo t de vig nes no bles et un lot d'aut res vignes, lot bien indi vi dua lisés'-3i1ns chl'vauc hement o u interpénét ratio n, c hacu n th:
ces lots est co nsidé ré comm e un e 4: pa rcel.
le » a u seJls du décret.
CAS A ENVISAGER
Da ns la pratique cou ran te, deux cas sont
à e nvisage r :
Parcelles à eflcepagemell t lIli;~te :
Il s'agit de vignes produisant dt's vi ns dll..
darés sous un e appellation contrôlée, mais
qui comporte nt des cépages indésirables
co ns istant :
a) Soit e n cépages devant normalement
produire d'autres vins ("Îns à appellation
simple, vi ns de pays, ,'ins de cépage prohibés) :
b) Soit en cé pages to lérés pour l' appella·
tio n con trô lée. (cépages d its accessoires)
mais e n proportion supérieure à la densilc
régleme ntai re.
Il y a lieu de distinguer les plantations
a ncien nes, c'est- à-d ire cell es opé rées a\"ant
la pu blicat io n du dec ret du 2 1 juillet 1951
et les pla ntations nouve ll es.
Planlalions anciennes:
E n .e rtu de l'a rticle 2 du décret précili
et de la réglementation gé néra le en matière
d'appellations d'origine contrôlées, les vins
provenant des parcelles à encépagement
mixte pourront co nse r ver le droit à l'a ppellation cont rôlée jusqu'à la récolte 1952 incluse.
A cet effet, et sous rése rve des prescriptiQns du décret de controle relatif il l'app',
lation revend iquée (aire de production, ren·
dement U01ite à l' hecta re, degré minImum,
etc ... ), le maintien provisQire de l'appellali''
est s ubo rdonnee à deux conditions :
a ) Obli gatio n de venda nge~ ~t tle vinifier
séparément, d'u ne pa r t, les ra iSins nQbles et,
d'autre part, ceux provenant d'autres râpa0es '. cette oblî cYation consac re l'état. de
e
c hoses actuel et e ll e ne \'ise pas les vignes
nobles complantées en cépa ges accessoi res
dans les limites régleme ntaires ; ~
.
b) So uscript ioll, lors du dépôt de la de'
cla ration de récolte en mairie, d'une fiche
d'encépagement do nt il se ra qu estion plus
loi n.
.
ll
Ap rès la récolte de 1952, la perte du dro
à l'appellation cont rôlée s'appliquera Il la
récolte provenant des parcelles. en ,ca use . s~
leur encépagement n'a pas ét~ r~gulanS
dans l'i ntervalle.
Plantations nOlllletles :
Ce sont celles effect uées a~rès la date ~:
publi cation d u décret du 2 1 JUi ll et 195 1. l'
rempl acement des manq uants d'une vigne \
cépages nob les pa r des hybrides ou des c:,:
pages co mm uns ou cncore la plantatio nf il
mélange de ces mêmes cépages n oble~, ti~n
perdre a u vin le bé néfice de l'a ppe : de
d'origine. Dans ~es deux cas, ,la pe ré~OU'
l'appell ation co ntrôl ée s'é tend a la ,
entière d u viticulteur et non pas <C lill eo,,""
~
Production de vins nobles et d'autres
,'ins prov.nant de parcelles différwtes.
Les viticulteurs possédant des parcelles
no bles et des parcelles communes qui 00ti ennent ainsi à la fois, des vins à appellation con trôlée et d'autres vins, ne peuvent
bénéficier (/ e l'appellation pOUr les VIIl S
fssus des parcelles nobles qu'à la double
condition de vinifier à part les deux. catégories de vendanges et d'établir annuellement
une fiche d'e;1c épa.gem ent.
SOUSCRIPTION DE FICHE
D'ENCEPAGEMENT
La liche d'encépagement dev rà être établie pa r les viticulteu rs en même temps ql1e
leur déclaration de récolte. Com me cette
derni è re, ell e sera établie en triple exemplaire, chacun d' une co uleur différente:
Le premier exemplai re blanc devra êt re
épinglé à la déclaration de récolte
rest a nt e n Mairie ;
Le deuxième exemplair e vert est destiné au déclatant ;
Le troisi ème exemplaire rose est destiné a ux se rvices de 1' l. N.A.O.
Cette fiche est obligatoire sous peine de
retrait de l'a ppellation contrôlée pour tous
les \'iticulteurs :
a) Dont les parcelles nobles compo rtent
so it des pla nts ind ési rab les, soi t des cé pages accessoi res même en pro por tio n inférieu.te. à la limi te réglementa Ire ;
b) Qui exploitent à la fois des pa rcelles
de vignes nobles et des parcelles de vig nes
communes.
La dite fiche doit indiquer :
10 Pour chaque parcelle mentionn ée, la rétérence au cadastre permettant son identificatio n ;
2u POUI les parcel les à encépagement mi xte (pieds nobles et autres pieds) la proportion de ces pieds par rapport aux pieds nobles ;
3° Pour les parcelles nobles renfermant
des cépages accessoires (même dans une
propo rtio n inférieure à la limite réglementai re), leur po urcenta ge pa r rapp ort aux
plants nobles ;
4 S'il s'agi t de viti culteurs exploitant à
la fois des parcelles distin ctes de cépages
nobles et d'a utres cépages, les surfaces respecti ves de ces dive rses parcelles.
0
RENDEMENT LIMITE
. Le~ viticulteurs produisant il la fois des
\lII1S a appell ation contrôlée et d'autres vi ns,
doi\fent, pour ces derniers, accuser dans leur
décla ration de récolte une production telll!
que Son re nd ement à l' hectare depasse de
!O %. au moins celu i des vins d'appellation.
a molOS qu'i ls ne fassent constate r la p'r euve du co ntra ire pendant que la récolte est
enco re su r pied.
A cette fin avant J'enlèvement de la récolte de la pa r celle consi{Jérée, l'intéressé dev13
adresse r au servi ce départemental de l' Institut National des Appellations d'Origine lIne
demande de dérogation.
D~ s I~ cas co ntrai re, les services des
Çontnb uh o ns Indirectes et de l' Institut Nabonal so nt hab ili tés pour rectifier d'office
les détla ratio ns de récolte non conformes.
NOTA IMPORTANT
f NOliS rappelons que les Services de l'Ins.Itult NatIOn a l des Appellations d'origine SOlit
• a a"'P<lsition
renseignements co ncerna nt l'application du
nou veau texte.
S'adresser ;
- M. CHARNAY, 92, ru e Joseph-V e rnet,
Avigno nl po ur les Côtes-du-Rhône Méridionales, les Bouches-du-Rhône, le Var et les
Atpes-Maritim es ;
- M. DESCHAUX, 29, rne Jean-J a urès,
Valence, pou r les Côtes-du-Rhône ~epten
tdonales (Drôme , Ardèche, Rhône, Loire).
- - - -c:.ooo- - - CIA 0
D683
EXPLOSIFS DE MINES
Le Préfet des Buuches-du-Rhône,
Officier de fa Légion d'Horrneur,
Croix de Guerre,
Vu le déc ret du 20 juin 19 15 portant règlement d'ad ministration publique sur la conservation., la vente et l'importation des dynamites et autres exp losifs à base de nitroglycédne, modifié par les déc rets des 17 mars
192 1 2 février 1928, 1er septembre 1930 ;
Vu le décret du 20 juin 19 15 po r tant règlement d'admin istratio n publique su r la
co nservatio n} la vente et l'impo r tation de d-iverses s ubstances explosives autres que
celles à base de nitroglycérine, modifié par
les décrets des 2 février 1928 et t er septembTe 1928 ;
Vu l'arrèté de M. le N\inistre des Traraux
Publics, en date du 15 février 1928, portant
règlement sur les conditio ns techniques généra les auxquelles sont soumis l' établisse·
ment et 11exp l oitation des dépôts de substances explosives destinées à etre employees à
des travaux de mine ;
Vu la demande présentée le 7 août 1951,
par M. MARTINI Auguste, demeurant a
Marseille, 148, chemin du Sablier, Bonneveine, à l'effet d'ê tre autorisé à établir et à exploiter un dépôt permanent d'explosifs de la
3e catécrorie. sur le territoire de la commune
de Ma;seille, a rro ndi sse ment de Marseille,
Le Maire de Marseille entendu,
Vu les rapports et avis en date du ~ l aoùt
195 1 de l' In génieur en Chef des Mmes de
l'a rrondissemen t minéralo gique de l\farseillej
Vu les rapports et avis en date du 20 septembre 1951 de ~\. le Chef du Se rvice Départemental des Renseignements Généraux,
ARRETE:
Ar/icle premier. -- M. MARTfN l Auguste
est auto risé à établir et exploiter un dépôt
permanent d'explosifs, de la 3e catégorie, .sur
le territoire de la Commune de Marseille,
arrondissement de Marseille, sous les conditions fixées par les décrets et a rrêtés susvisés et sous les co nditions énoncées aux: am
des suivants :
Art. 2. - Le Dépôt sera établi au lieu dit
" Chemin de Morgioll ::t , à dix mètres au
moins des routes et chemi ns et des prop ri étés \'oisines et à vin gt-cinq mètres de toul
au.t re dêpôt superficiel.
. .
.
Il appartiendra ail type supediclel défini
par l'a rrêté ministériel du 15 février 1928.
Art. 3. - Le dépôt sera constitué par
un local isolê non surmonté dlé.tages, construit en maçonnerie et exclusiveme.nt affecté
à la conservation des e.\plosifs. Il sera fermé par une porte solide. munie d'une se rrure de sûreté. \1 sera entouré par une forte
clôture défensive de deux mètres de hau teur
Art. 4. - Dans un délai maximum de trois
la no tificatio n du présent
"r,~""
Vl'er par le Maire de Marseille un certificat
attestant que le dépôt a été construit et qu' il
est conforme au présent a rrêté.
Le certificat d'auto rjsation prévu par l'article 28 des décrets des 20 juin 1915 et 1er
septembre 1930 ne sera délivré que sur le
vu d'un certificat de construction da. Maire.
Art. 5. - Ca quantité d'explos ifs contenue
dans le dépôt ne devra excéder à aucun moment le ma ximum de 50 kilog rammes d'ex
plosifs de la classe fil (cheddite, minélite et
to us explosrfs chloTatés).
...
Cette 4uantité seTa réduite de mOlhé SI les
explosifs ne sont pas enca rtouch és et sont,
en o utre, co ntenus dans des récipients non
étanc hes ou susceptibles d'être ouvertos dans
le dépôt.
A,f. 6. - L'exp loitation du dépot se fera
dans les conditions fixées, d'une part, pa r les
décrets du 20 juin 1915, modifiés par ceux
des 17 ma'" 1921, 2 fé-vrier et 1er septemb re
1928, 1er septemb re 1930, d'autre part, par
Ya rrété ministériel du 15 février 1928.
En pa rticulier, le poidS total d'ex pl~i!s
de diverses classes contenus dans le depot
devra être constamment inférieu r â cinquante
kilogrammes, si des exp losüs de classes différentes y sont entreposés.
Les explosifs de la classe III (explosifs
chlo ratés, cheddite, minélite, etc.) do".. nt
être enfermés dans un compartiment spéciai
quand fis sont dans un dépôt contenant des
e..x~plosifs d'une autre classe.
Le dépôt des détonateuTS se ra constitué
par une a rmoire spéciale, placée dans une
salle servant de bu reau ou de magasin et
contena nt au maximum 2 kilogrammes 500
de fulminate de mercure.
Il est interdit d'introduire des détonateurs
dans le dépôt d'explosifs ou des explosifs
dans le dépôt des détonateurs.
Il est interdit d'introduire dans le dépôt
des objets aut res que ceux qui sont indispensables au service du dépôt. Il est notamment
interdit d'y int rodu ire des obiets en fer 1 des
matières inflammables ou susceptibles de
produire des étincelles, specialement des
amorces et des allumettes.
Il est interdit de :aisser des herbes sèches
et d'emmaginer des matiè.res facilement inflammables, telles que du foin, de la paille,
du bois, du papier, du coton, du pétrole, des
huiles et g ra isses, etc., dans un rayon de di..x
mètres autour du dépôt.
La garde du dépôt sera confiée à un agent
spécta:lement dési g ne il cet effet. Cet agent
sera détenteur des clefs et les opérations de
manutention et de distribution de l'explosif
ne pourront se faire qu'en sa présence et
sous sa responsabilité. Cet agent devra disposer d'un logement cOllYenablement protégé co ntre une explosion, mais situé àe
manière à permettre une sUT\'eiliance efficace
du dépôt.
On ne devra pénétrer dans le dépot que
pieds nus ou avec des chaussures de feutre,
si des e:\l.plosifs à l'état puh,érulent sont conservés dans le dépôt.
Le service du dépôt sera fait excl usivement à la lumi ère du jour. L'introductio n
d'une lampe quelconque est formellement interdite.
Il est interdit de faire du feu et de fumer
aux abords et il l'intérieur du dépôt.
Les caisses ou barils contenant l'explosif
devront être manipul ées avec précaution et
préservés de tout choc.
L'intérieur du dépôt devra .tre tenu dans
Ull état
d'ordre et de prop reté. Les
�214
détruits par l'eau ou par le feu, en operant
3"ec les précautions nécessaires.
Il sera tenu un registre d'entrées et de
&orties indiquant les Quantités de poudre introduites, avec leurs dates de réceptions et
leur provenance, ainsi que les quantités sorties, avec leurs dates de livraison et les noms
des personnes auxquelles elles ont été remises.
L'exploitant est tenu de donner, en tout
temps, libre accès de son dépôt aux agents
des Contributions Indirectes, aux agents du
Service des Mines et à tous autres lonctionnaires ou ahents désignés par le Préfet j il
doit, à toute réquisition, communiquer à ces
fonctionnaires ou agents, le registre dont la
tenue est prescrite par le paragraphe Qui
precède.
Une consigne, signée de l'exploitant et
contenant toutes les indications relatives aux
opérations de manutention et de distribution
et aux mesures de sécurité sera ~fichée dans
le dépôt.
Art. 7. - Ampliation du présent arrêté
sera notifiée :
1 Au permissionnaire;
2· Au Maire. de la Commune de Marseille;
3· A M. l' Ingénieur en Chef des Mines de
l'A rrondissement min éralogique de Marseille;
4· Au Directeur des Contributions lndirelies du Département;
5· Au Commandant (lu XVe Corp's d'Armée ;
6· Au Commandant de la Gendarmerie du
Département ;
7· Au Directeur de la Poudrerie de SaintChamas.
Il sera inséré au Bulletin des Actes Administratifs du Département.
M. le Maire de Marseille et l'Ingénieur en
Chef des Mines sont chargés, chacun en ce
qui le concerne. d'en assurer l'exécutio n.
fait il Marseille, te 3 octobre 195 1.
Pour le Préfet,
Le Secrélaire Général délégué:
LAMASSOURE .
0
-------c~oo <~ -------
FS7
D3 B2
REMUNERATION DES INTERNES EN
MEDECINE ET EN PHARMACIE DES
ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
PUBLICS.
W 153
Paris, le 24 août 1951.
·' t
d i S t' P bl'
L e Mmis re e a an e u Ique et
de la Population
à MM. les Préfets}
MM. les Direcfeurs Déparlementaux de la Santé (poür exécution),
MM. les Directeurs Départementaux de la Population (pour information),
les taux applicables aux internes titulaires
des hôpitaux de l'Assistance Publique de
.--
Extert\.es en premier
Internes de Ire année
Internes de 2e année
Internes de 3e an née
Internes de 4e année
............. .
... ........ .. .
. ......... .. . .
.... . ...... . . .
et lauréats ... .
Pour les internes externés, l'indemnité
annuelle représentative de logement a été
fixée à 30.000 Irancs et l'indemnité représentative de nourriture à 80 francs par
repas.
Les taux des indemnités journali ères
applicables aux externes titulaires des hôpitaux de Paris rest~nt tels qu'ils ont été fixés
par l'arrêté interministériel du 4 octobre
1949.
Je tiens à ajouter Que seuls pe.uvent prétendre aux indemnités proposées par le barème établi dans les conditions ci-dessus
rappel ées, les internes et externes des hôpitaux de villes de f aculté ou Ecole de plein
exercÎce de ,Médecine recrutés au concours
et les internes recrutés au conCours dans les
hôpi taux de deu xième catégorie fi gurant sur
la liste prévue par le decret du 16 avr il 1949,
modifié par le Déc ret du 21 mars 1951 (cette
liste a lai t l'o bjet des arrêtés interministériels des 17 ma rs 1950, J. O. 24 mars 1950,
13 septembre 1950, J. O. 21 septembre 1950
et 22 mars 195 1, J. O. 3 av ril 195 1).
Vous vo udrez bien informer les Commissions administratives hospitalières des indications ci-dessus donnees.
Le Ministre :
J'aul RIBEY RE.
-------c~ooc~-------
TVX 0
PiLAN D'EQUIPEMENT NATIONAL
VERSEMENTS DE SUBVENTIONS
02 B3
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
ci MM. les Maires du Département,
Par une ci rculaire insérée au B. A. M.
n. 23 du 7 juin 1951, j 'avais informé MM.
les Maires de l'intérêt qui s'attachait il ce
qu'ils m'adressent au plus tôt les demandes
de ve rsement des subventions qui avaie nt
été att ribuées à leurs communes pour l'exécution de travaux agréés dans le cad re du
plan d' Equipement National.
J'ai l' honneur d'informer MM. les Maires
que M. le Ministre de l'Intérieur vient de
mettre à ma disposition le montant des
crédits nécessaires au versement de la totalité
des date
subventions
tés en
des : attrib uées par mes a rrê-
REfER. : Mes circulaires n· 250 du 3 dé-
cembr~ 1943 ; n· 68, du 14 mars 1949;
n. 257, du 28 octobre 1949.
Par circulaires citées en rélérence, je vous
ai fait part des taux de rémunérations susceptibles d'être proposés aux Commissions
administratives pour leur permettre de fixer
les indemnités à allouer aux internes et externes en médecine et en pharmacie des
hôpitaux publics.
- 2 1 mai 1947,
- 22 avril 1948,
- 18 mai 1948,
- 28 septembre 1948,
- 30 novembre 1948,
- 1er octobre 1949,
- 1er avril 1950.
Mais ainsi Que je l'avais précisé dans la
circulaire précitée, les subventions susvisées
Paris récemment revisés avec effet du 1:
1 janvier 1951, sont actuellement les suivants:
Indemnité
de base
a nnuelle
Indemnité
de cherté
de vie
Indemnité
globale
95.000
107.000
120.000
132.000
145.000
95.000
100.00
108.000
119.000
128.000
190.000
207.000
228,000
251.000
273.000.
se trouveront
d'annulation.
automatiquement
ïi ïii
jorer de 43,75 % le montant des allocations
familiales et de salaire unique (à l'exclusion
de la prime à la première naissance) tel qu'il
avait été lixé à la suite de l'intervention de
la loi du 3 avril 1950 précitée ou, ce Qui
revient au même, à majorer de 15 % le montant des allocations familiales et de salaire
unique payées depuis le 1er avril dernier.
Les dépenses résulta nt de l'application de
la présente ci rcul ai re seront imputées sur les
chapitres budgétaires Qui suppo rtent ha bi-
tuellement la charge des prestations familiales des intéressés.
Dans la mesure où la dotation de ces chapitres serait insuffisante, des crédits supplémentaires pourront être accordés dans le cadre de la répartition des crédits globau x qui
seront ouverts au Budget du Ministère des
Finances, ainsi qu'au budget annexe des
P. T. T. et de la Radiodiffusion française
pour la couverture du rajustement des prestations familiales .
Signé : P . COURANT.
frappées
Je ne saurais donc trop insister auprès de
MM. les Maires, afin qu'ils me transmettent
aussitôt Que possible les dema~des de ve rsement affé rentes aux subventions attribuées
par les arrêtés ci-dessus.
j'ajoute que cette recommandation vaut
également po ur les subventions att ri buées
directement par le Ministre de l' Intérieur.
Je rappe lle enfin Que le modèle de demande de versement a été insrré au B. A. M.
n· 5 de l'année 1943.
Pour le Prélet,
Le Sous-préfet Directeur du Cabinel :
DUfAY.
•
TEXTES D'INTERET GENERal
Circulaires conoernant plus spéCialement
{es Administrations de l'Etal
02 BI
AC 3
MAJORATION DES PRESTATIONS
FAMILIALES
N· 79-21 B-5
Paris, le 2 octobre 195 1,
Le Ministre du Budget,
ci MM. les Ministres et Secrélaires
d'Etat,
L'arti cle 9 de la loi n· 51-1 126 du 26 septembre 195 1, pu bliee au Journal Offici el du
27, a modifié l'arti cle 2 de la loi n· 51-520
du 9 mai 195 1 et prévu Que les allocations
familiales, les allocations de salaire unique,
les allocations pré-natales, ainsi qu e l'alloca t,'o n compensatrl'ce ,'nst,' tuée par l'a rticle 2
du decret n· 48-1555 du 6 octobre 1948, a
l'exclusion des allocations de maternité,
seront majorées à titre provisoire de 43,75 %
à compter du 1er octobre 1951.
Je vous rappelle q,.e les lois des 2 mars
195 1 et 9 mai 1951 avaient déjà majoré SllCcessivement de 20, puis de 25 % :es momes
allocations.
Il résulte donc pratiquement des dispositians de la nouvelle loi que le montant des
allocations versées depuis le J er avri l 1951
se tr ouve majoré de 15 % il compter du 1er
octob re 1951.
. bl s
Ces nou velles dispositions sont app ilca e
• • • •J.' a. i. l'.ho. ". n.e. ur. d.e. v.o. us. fa ir.e. co. n. n.a. Î.t r.e. Q.u.e. inïoïn. uïtïilïiS.é.e.s à. lia . cïl.Ô.tu. rÎe. d.e. l.'eï xïeïr.cïiciie. 19ïi5. •
1 •àiil'ie inïsïieïm
ï iblïe. di eïs. personnels de l' E ta t en ser-
ii
-
vice en France métropolita ine, en Sarre, dans
les territoires occupés ct' Allemag ne et d' Autriche et dans les départements d'Outre-Mer.
En ce qui concerne ces derniers départements (Guadeloupe, Guya ne fran çaise, Martinique et Réunion). je rappelle qu'il conviendra de faire application des dispositions de
l'article 4 de la loi n· 50-407 du 3 avril 1950
aux termes duquel « le taux des prestations
familiales est le même que celui en vigueur
da ns la Métropole >, ce Qui co nduit à ma-
215
z...
Copie oerti.~. uaf.,...,
POUT k Préfet :
GhokO/ : LAMASSOUK1
s..........
�REPUBLIQUE FRANÇAISE
25 Octobre 1951
9' ADu., . - N" 43
DËPÂRTEMENT DES
BOUCHES-DU-RHONÈ~
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
/'
Toute corresppndance r elative au R ec ueil doit étre adressée à la Prétecture Secrétariat Général
A13RÊVIATIONS
A. P . : Arrété préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres 0 et B suivies d'u n chiffre indi quent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des Services Technique.. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Pop ul atio n.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulair.,.
Pages
30-7-5 1 fixant la composition, la da-
Palles
AG 2. - Indemnités forfaitaires pou r
tra va ux supplémentaires .......... 2 17
AG 2. ~ Rénlun ération des agen ts des
coll eotivités locales.............. 2 18
AG 5 b. - Envoi des avis de mentio n
destinés il permettre l' inscr iption des
mentions ma rginales sur les actes de
IJétat civil dressés ou transcrits hors
•
de la France métropolitaine....... . ?18
AG 7. - Décret n" 5 1-11 69 du &-10- 51 modifiant le décret n" 5 1-984 du
1
te d'appel et les obligations d'activité de la deuxième fractio n du co ntingent à incorpo rer en 1951 .
219
AG 13. - Programme dépa rtemental
de prio rité de reco nst ru ction des
biens si nistrés ........... ..... ...
219
CIA O. - Physionomie du problème
charbonnier en France............ 220
FS O. - Médeci ns agréés pour pratiquer les examens radioscoplques en
vue de la déliv rance des certificats
prénuptiaux et prénataux ....... _.. 220
P:lgcs
FS O. Arrêté portant déclaration
d'utilité publique de l'acquisition par
le Dépa rtement de la propriété c La
Rena rde > au profit du Centre Départemental de Rééducation de l'E nfance déficiente -. - ...... ..... _. ..
FS 7. - Assistance publique de Marseille. - Révision des prix de journée ...... ...... ".. .. ......
220
220
Communiqués, A vis, Annonces diverses
-
Dema nde d'emploi
221
ARRËTÉS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
D283
AG 2
INDEMNITES
FORFAlTftJRES POUR
TRAVAUX SUPPLEMENT AIRES
j'ai l'honnellr d'attirer t'affelltiofl de MAI.
les Maires du D épartemcnt sUr le texte de
J'arrêté interministériel du 21 septembre
1951 fixant te taux des indemnites forfatJaires pour frallaux supplémentaires.
Ci-dessous te texte (te t'arrêt é.
Pou r le P réfet et pa r délégatio n,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
Le Ministre de l'Intérieu r et le Ministre du
Budget,
Vu l'article 1er de l'ordonnance d u 17 mai
194 1 relat ive aux services pu blics des dêpartements. des communes et de le urs établissements publics ;
Vu l'article 3 de l'a rrêté du 19 novembre
1948 po rtant classement indiciaire Je;:s fonctio nnaires et agents COOHl1unaux, J1lDdifi~
par l'arrêté du 3 mars 1950 ;
Vu l'a rrêté du 16 mars 1949 relatif au
classeme nt indiciaire des fondÎonnaires èt
agents communaux modifie par l'arr~té du
l imai 1950, et notamment so n article 3 ;
Vu "avis de la sectio n au pe rsonnel du
Conseil National des Services Publics Départementaux et Communaux,
Arrêtent :
Article premier. - Les secrétai res généraux et les sec rétaires généraux adjoints de
VILLES DE
Plus de
150.000
80.000
40.000
20.000
10.000
5.000
2.000
mairie pourront bénéficier, â compter du 1er
janvier 1950 d'une indemnité forfaitaire pour
travaux supplémentaires, qui ne devra pas
dépasser les taux annuels SUivants :
Secrétaire
général
Secrétaire génërai
adjoint
Francs
95.000
80.000
70.000
60.000
50.000
40.000
35.000
15.000
Francs
75.000
65.000
55.000
45.000
35,(XXl
400.000 habitants .... .... ... ... ..
il 400.000 habitants
à 150.000 habitants
il 80.000 habitants
à 40.000 habitants
il 20.000 habilants
à 10.000 habitants
il
5.000 habila nts
Art. 2. - Il pour ra êt re alloué aux directeurs de services administrateu rs municipaux, ainsi qu'aux chefs de bu reau de ma:rie, des indemnités f()rfaitai~es représentatives d'heures sllppl~mental r es, calculées
J 'a près le supplement effectif de travail
DATE D'EFFET
>
>
fourni.
Art. 3. - Ces indemnités ne pourr.Jot dc.:passer les maxima ci-dessous et ne pourront
être attribuées que dans la limi te ct'un credit budgëtai re calc ul é par appli catio n des
taux moyens fixés par te tabl eau ci-après
Directeur
de sen'Îce administratif
Taux maxirn .
1c r janvier 19·Œ ..
1cr janvi~r 1950 .. _...
>
Taux moyen
Chef de bureau
Tau\. maxim. T aux moyen
�218
Art. 4. - Les fonctionnaires logés gratuitement pa r nécessité absolue de service ne
po urro nt. en prÎncipe. pe rceroir a 'lndemn ités
fo rfai taires pou r travaux suppléme nta ires .
T o utefois, les Assembl ées locales o nt la
fa cultê d 'acco rder l'indemnIté fo rfa itai re
pOlir travaux supplêmentaires a ux agents logés à cond itio n que la va leur locative du
logement, ca lcul ée par a pplicati o n de la législatio n sur les loyers, soit deo uite du mOnta nt de cette indemnité.
Art. 5. - Le Directeur Géné ra l de l' Administration Départementale et Commu nale
et de la P rotectio n Civi le et le Directeur du
Budget so nt cha rgés, chac un en ce qui le
concerne, de l'e.xéc utio n du prése nt a rrêté.
Fait à P a ris, le 2 1 septembre 195 1.
Pour le .o\'û nist re de l' Inté rieu r et pa r
Délégatio n :
Le Directeur Général de l'AdminisIration Départementale el Co mmunale et de la Prolection Civile
P ierre- Jea n MO ATTI. '
- --<>ooc>- - -0 2 B3
AG 2
REMUNERATION DES AGENTS
DES COLLECTIVITES LOCALES
j'ai l'honneur de
porter
teme nt, le tex te de la circul a ire n° 400
AD /3 d u 12 octobre 195 1, pa r laquell e M.
le Mi niStre de l'Intéri eur m'i nforme Ide T'extension aux agents co mmu naux des dispositio ns des. déc rets du 26 septembre 195 1, por-
tant amenagement <ie la rému nération des
fo nctionnaires de l'Etat.
Pou r le PréJet
Le Secrétaire Généra l
LAMASSOURE
Le Ministre de l'Intérieur
à MM. les P.ré!ets de la Métropole,
Référence: Ma circulaire n° 248 AD /3
du 8 juin 1951.
Par décrets nO' 5 1-11 29, 5 1-11 30, 5 1-11 3 1
du 26 septembre 1951 U. O. du 27 septem bre), des modificatio ns ont été appor tées à la
rémunératio n des Ifonctio nnaires et agents de
l' Etat.
Un arrèté ministériel d u 30 septembre et
une Circulaire de M. le Mi nist re du budget
et de M. le Secrétatre d'Etat à la Présidence
du Conseil (publiés a u J. O. du 2 octobre) o nt
fi.l<é les c?ndiho ns d'applications des disposl tl~ns prevues par les décrets précités.
J ru J honneur <le vous faire connaître que
sa ns attend r." la pl1bHcation au Journa l Offic~el d~ ."arreté Interministériel reprenant les
dJsposlno ns de ces textes pou r leur :rpplicahan aux agents des collectivités ~ocales, vous
pouvez donn er a ux Assemblées locales les
J~fO'rm atl o n s. <l,UI le ur per met t ront d'étendre,
SI e!I.~ le deslrent, à leurs agents titulaires,
a U X IlI~JTesJ temporaires et contractuels, le
béné fi ce d ~ a vanta ges do nt il s'agit.
~es amélJorat!ons ont un caractèr e facultahf et ne. co~stl tuent ni une obliga tio n po ur
les collech vl tes ni un d roi t po ur les age nts
.usceplt bles d'en bé néfu:ier.
Po ur le Mi nis tre de l' In térie ur
et par délègatio n
L e Directeur Généra l d e l' Administra ti o n
Départementa le et 'Communale et de la
Protection Civile
_
_
1 __ _
'l~'"
Circulai re n" 395 : Pa ris, le 13 octobre 195 1
Le .'Iinistre de l' Intérieu r à l'AlM. les Préfets
de la M étropole.
j e vous fais parvenir l es instructi ons cijointes, étab lies pa r M. le Gatide des S cea u"
Ministre de la ju stice, après mon accord et
qu i ont dé jà été adr essées -à MM . les Procureurs Généraux.
Vous voudrez bien porter ces instru ctio ns
à la <onnaissance des Maires de vo tre dépa r .
t ement, en les signalant tout particuliè.rement
à leur att ention. L'envoi des avis de mentio n
donne lieu actuellement, en ef/e t, à 'de nombr euses err eurs auxquell es il convient de
mettre fin.
Po ur le 'Min ist re de l' Intérieur
Le Directeur Général <ie l'Ad ministrati on
Dépatteme ntale et Com muna le et de la
Protect io n Civi le
Pierr e-Jea n M.oATTI
•••
ci-dessous à la
conn aissa nce <te Mlt'vl. les IM aires du Depar-
,....
AG 5 b
02 B3
ENVOI DES AVIS DE MENTION DESTINES A PERMETTRE L'INSCRIPTION DES MENTIONS MARGINALES
SUR LES ACTES DE L' ETAT-CIVIL
DRESSES OU TRANSCRITS HORS
DE LA FRANCE METROPOLITAINE
Il "'r"r'"
Le Ga rde <les Scea ux, Mini stre de la Ju stice, à ,M M. les Procureurs Généraux.
L' a rticle 49 du Code Ci vi l, modifi é pa r la
loi du 10 mars 1932 dispose q ue :
« Dans tous les cas où la mention d'u1I
ac te r elatif à l'état-civil devra avoir lieu en
marge <f'u n acte déj,â inscrit, elle sera faite
d'office.
c L'officier de l'état-civil qui aura dresse
ou transcri t l'acte don nant lieu à men tion,
effectuera cette mentioo, dans les trois jours,
Su r les regist res q u'il dét ient et, si -le doub le
du registre où la mention doit être effectuée
se trou\'e au gr effe, il adressera un avis au
procureur de la République <le son arrondissement.
« Si l'acte en marge d uque l doit êt re effectuee cette mention a été dr essé ou transcrit
da ns une aut re commune, l'av is sera adressé,
da ns le délai de trois jours, à l'officier de
l'éta t-civi l '<.ie cette co mmun e ct celui- ci en
avisera aussitôt, si le double du r egistre est
a u greffe le P roc ure ur de la Répub li<J ue de
SOn ar ron'djsseme nt.
« Si l'acte en marge duquel une ment ion
d'evra être effectuée a été dressé o u tra nscr it
~~ns u~e. .colo.nie ou à l'étranger, l'oflficier de
1etat- Civil qUI a dressé ou transcr it l'acte
donnant lieu à mention en avisera da ns les
trois jours, le !Mi nistre des Colon'ies ou l e
Mi-nistre des Affaires Etrangèr es JJ .
Il m'a pa ru opportu n de p réC iser de no uveau les di li ge nces que les of,fic.ie rs de l'étatcivil doiven.t accomplir en vue de l'apposition
de la men,tlO n des actes q u' ils o nt établis, en
marge d ac tes anténeurement dressés ou
tra nsc rits , hors de la France ,Mét ropolitaine.
Quatr e cas dotvent être env.isagés :
A'CTES ANTE RIEUREJM;ENT DI~ESSES
OU TRANSCRITS EN ALGEHl E
L'av is de menti o n aoit être a dr essé d.îrecte~ ~nt au magistrat municipal (maire, administra teur d e la co mmune mi xte, président du centre mun;clpa l) du lieu où l' a cte
s ur lequel la mention doi t être a pposéo a
été dressé ou transcrit.
1. -
e:
l' .. ... ,. ....
;,
-
21Q
d'ull e personn t:: née en Al géri e l'officier d
l'.état. civil adressera, en ou tre ' une eXPédi~
t lO ~ I11tégra le de ce t ac te, en doubl e exem_
p la ire, à M. l e Go u v~ rn e ur Ge néral de l'Algé_
n e, (Dlfecho n de 1 Uff lce Adminis trat it d.
Go uvern eme nt gé néral de l'Al gé ri e 16 ru
des Pyrami des, Paris 1er),
"e
II. - ACT ES ANTEJl, I E U ~6M1ENT DRESSES
OU TR ANSCR ITS
AU MAROC UU EN TU NISIE
L'avis de ment ion doit être a1dr essé <tirer.
tement au mag istrat mun icipal .ete la Cam.
mune du lMaroc ou de T unisie où l'a(te Sur
lequel la mention doit être apposée a étédressé ou transcri t.
'
Si l'acte â mention nèr est l'acte de déces
d' une personne née au Maroc Ou en TunI sie
l' o~ficie r de l'état civil adr essera, en outre'
une expédit ion intégrale <le ce t ac te, en dou~
bl e exemplaire :
- Po ur les personn es nees au Maroc:
A <!\1..onsieur l e [Mjnistre des A,Haires Etrangères, (Directio n des Offices du Maroc, 21,
r ue des Py ra mi'aes, Pa ris 1er) ;
- Pour les perso nnes nées en Tu nisie:
A MOllsieur le Nti nist re des Affaires Etran_
gè res, (Direc tion de l'Office <lu Go uvern ement Tun i:;ie n, 9, ru e 'Cies Pyramides, Paris.
1 er).
Madagas ca r, la Cô te Française de Somalie
les Et a bliss ements Fra nçais de l' In de Sa int~
Pi erre~et..,hoHql1 elo n , la Nouvelle-CaÎédonie
les Etab lisseme nts Fra nçais de l' Océanie l ~
Condominio n des Nouvelles-Hébrides. '
Les Eta ts Associés d' Ind oc hi ne sont :
Le Viet-Na m, le Laos, et le Cambodge.
IV. ACTES ANTERIElJiRElMlENT
DR ESSES OU T RANSCR ITS
A L'ETRA NGER
1
•••
OBSERVA T ION COMIMUNE
AUX PARA.GRAPH ES 1 ET LI
Confo r mément à la d r culaire de ma Chan· ;
cell erie n" 46 du 25 'jui ll et 1949, les oificiers t
de l'état-civil ap pelés à éjlablir l'acte de décès
d' un e personne née en Al géri e, au Maroc ou
en Tu nisie, doivent s'effor cer d'obtenir du
déclarant la présenta tio n de la carte d'iden·
'tité Id u défunt o u de toute autre pièce établie
par une autorité adm inistrative (passe..Jporl,
livre~ de fa mille, carnet sanitaire, carte rd' immatncu lation à la Séc urité Sociale, etc ... ) En
outre, les ind icatio ns r elat ives au nom et au
lieu de naissance de ta pe rsonne décédel."
(Commune, douar, trib u, fractio n, cer.cle)
seront portées en caractères majuscules sur
l'ac te de .(fêtés ai nsi que su r toutes expédi·
tions déliv..rées pos téri eurement. Enfin, l'officier de l 'é tat civil fera, si possible préciser
par le lCiécJarant, le no m et l 'adress~ d u der~
nie r employe ur du dé funt pour permettr,
d'é tab lir les droi ts des hé ritie rs sur les salaires 'd us au dé~lInt et sur les allocations-décés.
Ce renseigne ment fera l'objet <l'une nol.:
annexée à l 'une des deux expéditions dl.'
l'acte de décès desti nées aux offices ci-dessu~
mention nés. JI permettr a d'éviter, dans tir Il
nomb reux cas, de recou rir à une enqu~te
administrative en vue de retrouver le dernl l.'r
employe ur de la pe rsonne décédée.
III. -
AlCTES ANTERI'ELJRElMENT
T I~AN90~I TS .oANS Ur<
DEPARTEMENT OU EN TERll lTOlRE DE
LA FRANCE, D'UUTRE"M ER OLJ EN
INDOCH INE
L'av is <ie mention doit être adressé à .M.
le Ministre de la France d'O ut re"Mer '(Servi-ce des A rehi'Ves, .Dépôt {j'es Papiers publies:
(les Départe me nts et Ter ri toires d'O utre-Mer,
r ue O udi no t, Par is (7e).
Les dépa r te me nts d'O utre-M.er sont ,
La Ma rtiniqu e, la Guade loupe, la Guyane
et la Ré uni o n.
Les te rritoires d'O ut re-Mer so,,1
L' A
Occid enta le Française, 1'. " 1011"
D1~ESSES OU
_ _1iiiiÎiiÎiII~
t
fi convient <.le disti nguer selon que l'acte
dont il y a li eu d'opérer la mentio n concerne un Français ou un étranger :
1 L'act e co ncern e un Français:
L'avis de mention doit t?:tr e a<dressé à M.
le Ministre des AJffai res Etrangè res (Di rec tion
des Affaires Adm inistratjves et Sociales, Service de l' Etat Civil, 80, r ue de Lille, Paris (7' )
En plus des ind ications habituelles, il 'Cioit
préciser, ,d'a ns la mesure où l'officier Ide l'état
ci \~iI est en
possessio n de ces renseignements.
a) La natio na lité française <de celui que
l'acte à men tio nner concern e ;
b) L'a utorité, française ou étra ngèr e, qui
a dressé l'acte e.n mar ge d'uquel la m entio n
doit êt r e apposée (Agent diplomatique ou
co nsul de .... ; officier de l'é tat civ il de ....
min istr e od)u Culte de .... ), ai nsi que la !date
éventue.lle et le numéro de cet acte.
Lorsque l'acte a été reçu pa r une autorité
étrangère, l'offi.cier de l'état civil Idoit, en
outre, info rm er l'i ntéressé qu'il lui appartient
d'en requérir la transcriptio n sur les regis.tes consulaires 1rançais, conformément à l'a rtic le 47, a linéa 2 du Code Civi l, pa r l'ent remise du Ministère des 'Affaires Etrangères
(cf. la dernière pa rtie <te la présente circulai re).
Enfi n, si l'acte â mentioner est un acte
de mari age et si l'un ou l'a utre odes époux
a contracté une précédente union à l'étrange r
l'avis ,de mentio n doit indiquer :
a) La date et le lieu de -célébration <le la
précédente unio n ainsi que l'a utorité qui t'a
célébrée j
b) La 'date et le mod e de d issolution de
cette union.
0
2 L'acte concerne un étranger :
, " . n'y a pas lieu, en principe, d'a'dresser
1aVIs de mentjon.
Toutefois, en ver tu de conventions intern:ationates, l es consuls des pays ci-après dëSIgnés, doivent être informés du '<fécés de
leurs nationaux, survenu en France. En conséquence, les ",fliciers de l'état civil doivent
notifie r les décès du consul des pays intéressés, pa r l'intermédiai re du Prefet, en
adressan t :
U n avis de mention de décès pour les ress?rt1s~ants des pays fjgtlran t sur la liste nO 1
cl-apres ;
U Ile copie de l' acte de décès pour ceux
des pays figu rant à la liste nO 2,
C.e tt ~ notification doit être faite sans qu'il
Y ai t li eu de distinguer selon que le dé fun t
était né en J=r ance.
.Liste n° l , IBolivlc, Répub-lique Dominicaille, Espagne, Grèce, Portugal Salvador,
Liste n°' 2 AJbanie Italie,Polo1Tue
cosl
a , Tchéovaqule, Yougoslavie,
FO RMALITES NECESS AIRES
en vue de la transcription sur les registres
co nsulaires jrall çais des actes d e l'Etat
civil dressés à l' étranger.
En application de l'a rticle 47 alinéa 2 du
Code Civil, le M inistère des Af'fai res Et rangè res assure la transcri ption sur les regist res consulai res f rança is de tOut acte de
l'éta t civil établi à l'ét ranger par l'autorité
locale et co ncern ant un Français.
A cet effet, il apparti ent à l 'intéressé
d'adresser au M inistère des Affai res Etrangères (Direction des Aff ai res Admi nistratives et Sociales, Service de l' Etat Ci vil ru e
de Lill e, SO, Pari s, 7e) .
'
0
,1. Un certificat de nationali té fr ançaise
de li V'l'é pa r le juge de pa ix d u lie u de sa
rés~ d e n ce dans ,les conditions prévues aux
a r ticles 149 et suivants d u Code de la nat~ona li té française, ou une photocopie cert ifiée confo r me de l'ampliatio n du déc ret de
naturalisation le concern an t ;
2" Une expéditio n de l'acte de l'état civil
à transcrire ou la photocopie certi fiée confo rme de cette expédition. A défaut de cette
pièce l'intéressé doit fou rnir aes indications
précises concer nant J'acte à t ranscrire (nature et date de l'acte, lieu où il a\ été dressé, autor ité qui l'a établi, nom et prénoms
des personnes que cet acte co ncer ne) ;
3 0 Une expédition de chacun des actes
dressés en France et dont .Ia mention doit
figure r en ma rge de l'acte il t ranscrire (reconnaissance, l égitimation, adoption, l éO'itimation adoptive, martage, divorce, etc ...) ;
4 Une somme de 820 francs, par mandat-poste au nom de c l'agent comptable du
M inistère des Affaires Et rangères, SO, rue
de Lill., Paris, 7' (les chèques et les timbres-poste ne sont pas acceptes en paiement) • .
Lo rsque l'acte à transcrire a été établi
dans un des pa ys suivants, et si l'intéressé
n'en fournit pas lui-même une ex.pédition,
cette somme doit être majorée des frais de
levée d'acte dans les conditions indiquées
ci-dessous :
Argentine ..
400 Fr.
Brésil.. . ...
600 FI
Bulga rie
200 Fr.
Egypte .. . .
400 Fr.
Espagne . . . . . . . . . . . . . . ..
150 Fr:
Etats-Unis . . . . . . . . . . . . ..
350 Fr.
Finlande ............... .
250 Fr.
Grande-Bretagne et Empire BTItannique. .
300 F r.
Indes.. . ... . ... ....
350 Fr.
Melilla
. ... ....
300 Fr.
Mexique .... .. _. ...•
600 Fr.
Pays-Bas .. .... ....
400 Fr.
Portuga l .... .... ....
350 Fr.
Roumanie.. .. . . " ... ,
400 Fr.
Suède.. .... .... .. ..
450 Fr.
400 Fr.
Sy rie et Liban ... . ...•
Tch écoslovaquie. .
400 Fr.
U. R. S. S. .. .. .... ....
750 Fr.
Yougoslavie .... .." .. ,.
400 f'r.
L'acte une fois transcrit su r tes registres
de l'éta t civil consul aires, le Ministèr e des
Affaires Etrangères (Direction des Aff a1re~
admin istratives et sociales, Chancellerie et
Contentieux, Etat Civil) est en mes"re d'.n
déli\'rer aux intéressés des expéditions,
moyenn ant une somme de 70 francs par acte ; la demande doit préciser le consulat où
l'acte a été transcrit ainsi que l'a nnée et -le
0
Je vou s prie de bien vo ulOir porter la présente ci rculaire à l a connaIssance de vos
substit uts et des officiers de l'état civil de
votre ressort, auxquels il y aura lieu de rappeler les instru ctions contenues dans les circulai res de ma Chancellerie des 26 man!!
1946 et 25 juillet 1949.
Po ur le Ga rde des Scea ux,
Ministre de l.a justice,
Le Directeur des Affaires Civiles
et du Sceau
FREC HE.
-------CJJ oo« »-------
05 B2
AG 7
DECRET N" 5 1-11 69 DU 8 OCTOBRE
195 1 MODIFIANT LE DECRET N'
51-984 DU 30 JUILLET 1951 FIXANl
LA COMPOSITION, LA DATE D' APPEL ET LES OBLIGATIONS D' ACTIVITE DE LA DEUXIEME FRACTION
DU CONTINGENT A INCORPORER
EN 1951.
Le Président du Conseil des Ministres
Sur le rappo rt du Vice- Président du C~n .
seil, Ministre de la Défense Nationale .
Vu la loi n' 5 1- 1120 du 2 1 septembre' 195 1
complétant l'article 7 de la loi n" 5O- 1 47~
du 30 novemb re 1950 porta nt à dix- huit
mois la du rée du service miliai re actif :
. Vu le déc ret n° 51 -984 du 30 juillet 1951
fixant la composition, la date d'appel et les
obligations d'activité de la deuxième fraction du contingent à incorporer en 1951,
Décrète :
Article premier. - ' L'a rticle 1er du décret
n' 51-984 du 30 juillet 1951 est complété
comme suit:
« Toutefois, n'entreront pas dans la comp.osition de la. fraction du contingent définie
CI-dessus les Jeunes gens exerçant à la date
du présent décret la profession de mineu r de
fond dans l'industrie charbonnière JJ.
Art. 2. - Le présent décret sera soumis
à la ratification du Parlement, conformément
aux dispositions de l'a'rticle 7 de la loi numéro 50-1478 du 30 novembre 1950.
Art. 3. - Le Vice-Président du Conseil
Ministre de la Défense Nationale est chiNoé
de I ~exécution du présent décret, qui se~a
pubhé au « Journal OffiCiel ~ de la République Française.
Fait à Paris, le 8 octobre 1951.
R. PLEVEN.
Par le Président du Conseil des Ministres:
Le Vice-Président du Conseil,
.\1inistre de la Défense Nationale,
Georges BIDAULT.
Le Serrétaire d'Etat à la Ouerre,
Pierre DE CHEVlGNE.
- -----<1 . . 001 ~ - - -
05 BI
AG 13
PROGRAMME DEPARTEMENTAL DE
PRIORITE DE RECONSTRUCTION
DES BIENS SINISTRES
Par a rrêtés des 14 septembre, 25 septembre et Il octobre 1951, pris sur proposition
de M. le Délégué Départemental du Ministère de la Reconstruction et de J'U rbanisme,
et après OI·is ce la Sous-Commission Dépa rtementale de Priorité chargée de déterminer
de
i
�-
été admis dans le progra mme départemental de priorité de reco nst ruction pour 1951.
Les listes des sinistrés reconnUS prioritaires sont affichées à la potte principale. de
chaque Mairie intéressée et peuvent etre
consultées, soit à la Préfecture, 5me DIVIsion
1er Bureau soit dans les bureaux de
M. ie Délégué Départemental du !"tinistère
de la Reconstruction et de l'U rbanlSme, 50,
rue Saint-Lazare, Marseille.
Le
POUI le Préfet,
Gén éral,
LAMASSOURE.
Secr~taire
_ _ _ 0000'----
CIA 0
D4 B3
PHYSIONOMIE DU PROBLEME
CHARBONNIER EN FRANCE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
à Messieurs les Sous-Préfets,
Messieurs les Maires et Chefs des Ser·
vices et établissements publics.
L'approvisionnement
en
charbons
pose
di"ers problèmes tant au stade de la pro.
duction qu'à celui de la consommation.
La saison charbonnière est ca r actérisée
par une diminution des stOCKS chez les producteurs, importateurs et négociants.
Cette raréfaction porte principalement sur
,les cokes dont il n'est pas certai n que le
stock existant soit suffisant pour satisfaire
même la stricte consommation.
En conséquence, il est recommandé à tous
les organismes publics de limiter leur consommation à la moyenne des deux hivers
précédents (sauf accoId de l'Ingénieur ell
Chef des Mines, dans le cas 00 de nouvelles
chaudières seraient mises en service, ou dans
le <as d'une forte augmentation d'activité de
l'établissement : créati on de nouvelles salIfS, etc ...).
Par contre, ,l' utilisation partielle d'autres
charbons et notamment des boulets et anthracites d'importation pourrait ~tre envisagée par les foyers domestiques.
L' attention de MM. les Sous-Préfets, MM.
les Maires et Chefs des Services et Etablissements Publics, est appelee ' sur les problerr,es que pose l'approvisionnement en cha.-
bons et sur les nécessités d'ali gner leur consommation sur les stocks di sponi bles.
Le Préfet,
René PAIRA.
---0000---
D,O.S.
FSO
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES EN VUE DE LA DELIVRANCE
DES CERTIFICATS PRENUPTIAUX
ET PRENATAUX
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu l'ordonnance n' 45,2720 du 2 novemb rt 194~ sur la P rotection MaterneUe et
Inf,. n! "]t:;: ;
Vu l'arrêté du 15 avril 1946, M. le Mini:;tre de ' a Santé Publique et de la
1Y46 !ixant le modèle du certifi cat d'examen
médical avant le mariage ;
Vu l'avis du Co nseil Départementa.1 de
l'Ord re des Médecins ;
Su r la propOSition de M. le Di recteur Oépartemental de la Santé,
Arrête;
ATtic\e premier. - M. le Dr Thuillier, demeurant à Marseille, 129, rue d'Enctoumc,
Est agréé pour pratiquer les examens ra-,
dioscopiques, en vue de la délivrance des
certifi c'lts prénuptia ux et prénataux.
Art. 2. - M. le Secrétaire Général de ,la
Préfecture, M. le Maire de MaTseille et M.
le Directeur Départemental de la Santé sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent a rrêté,
Marseille, le 1er octob re 1951.
P. le Préfet et par Délégalion,
Le Secretaire GéT/ éral,
LAMASSOURE.
lité Publique l'acquisition par le Départemenl
de la propriété « La Renarde >, .Ise aux C•.
commune des Pennes-Mirabeau
a ppartenant à Mme Pau l Fa ray. domicihéc
74, rue Paradis, Marseille, destinée à êlre
utilisée comme Etablissement Dépa'rtemenl.l
Hospitalier a nnexe du Centre Départemen·
tal de Rééducation de l' Enf a nce Déficiente,
Article 2. - M. le Secrétaire Génér.l de
la Préfecture est c hargé de l'exéc ution du
présent arrêté.
Ma rseille, le 19 octobre 1 9~ 1.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
ARRETE PORTANT OECLARATION
D'UTILITE PUBLIQUE DE L'ACQUISITION PAR LE DEPARTEMENT DE
LA PROPruETE « LA RENARDE »
AU PROFIT DU CENTRE DEPARTEMENTAL DE REEDUCATION DE
L'ENFANCE DEFlCIENTE.
ARRETE
Le Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu la loi du 10 août 187 1 ;
Vu ,l'article 22 de la loi du 30 décembre
1928, ainsi libellé: « Ne donn e nt lieu à auCune perception au profit du Trésor, les
acquisitions faites à l' amiable et à titre onéreux par l es Départements, Communes ou
Syndicats de Communes, et destinées à l'Enseignement public, à l'Assistance et à l' Hygiène Socia,le, ainsi qu'a ux travau x d'urbanisme ou de co nstructi on, sous réserve qu'un
a"rêté préfectoral a ur a déclaré, en cas d 'urgence, l' utilité publique de ses acquis itions
sans qu'il soi t besoin de procéder aux formalités d'enquête. >
Vu le décret du 2S août 1949, relatif au
contrôle de-s opérations immobilières poursuivies par les Services Publics ;
Vu les rapports en date des 9 août 1951,
17 septembre 1951, 19 septembre 1951 de
MM. les Directeurs de l' Enreg istrement des
Domaines et du Tim bre, des Services Agricoles et Départemental de la Santé ;
Vu l'avis émis ,le 18 septembre 1951 par
la Commission de Contrôle des Opérations
fmmobilières poursuivies par les Services Publics ;
Vu la délibération de la Commission Départementale en date du 20 septembre 1951,
décidant l'achat de la pro(>Ilêté « La Renarde >, propriété limitrop he du Centr e Dé-'
partemental de Rééducation de l'Enfance Déficiente, en vue d'au gmenter la ~ap ac it é d'a ccueil de cet établissement hospltaher ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire Général,
premier. -
En vue
au
Prix de revient prévisionnels
Majora1ion
de 15 % sur
le pri x de
revient prévisiOIl.
Services
Hospice . ....... ... ...... . .
Aliénés ........... .. . . .. .. .
Enianls déficien ts .. . .......
fS7
Médecine ....... . . . . . .... . .
Chi r urgie ........ . .........
ASSISTANCE PUBL1QUE
DE MARSEILLE
Gé né ra l
1
Médical
2
884,18
972,59
884.18
1.768,36
1.768,36
83,42
125,13
83,42
250,26
500,52
Total (1 +2)
3
967,60
1.097,73
967,60
2.0 18,62
2.268,88
Total
4
Prix de revien t
prévisionnel
Excéden.t de
l' exercice
du 4" trim. 1951
(3 + 4)
5
1949
à dédu ire
6
145,14
164,65
145, 14
302,79
340,33
1.1 12,74
1.262,38
1.112,74
2.321.,41
2.609,2 1
3rne ca tégorie et a urés
sociau x (m aj oratio.n 10 %
2me catégo rie
sm ,pri x de re vient prévi- (maj orati on de 20 % sur
sionnel 4me trim estre 195 1
le prix de revient)
Services
Officier de la L égion d 'Honneu r,
sauf pou r l'H o pice)
Vu la t'oi d u 15 juillet 1893 sur l' Assj;..
la nce M~dicale Gratui te ;
Vu la loi du 14 juillet 1905 s ur l' As;is·
Hospices ... .......................... .
Vu l'a loi d,UI 30 juin 1838 s ur .les alié·
nés ;
Vu l'ordonnance du 18 d écem bre 1944, dé· ,
terminant, à titre tra nsitoire. les règles de \~
fix atio n et de névision d es .pri x de j ournées \.
dans les hôpita ux et hospices puh lics ;
Vu les circulaires d' a pplicatio n des 29 dt·
ce mbre 1944 et 22 rul vem bre 1949 ;
Vu J'artiole 26 de la loi du 2 1 décembre
1941 et les articles 22 et 34 du décrel du
17 avril 1943 sur les règJes d e fixa tion des
pri x de jOllrnée des malades et penSiOnnaIpayants;
V... le décret n' 48.985 du 15 ju" n 1948
sur J'wganisati on de l' Admin istration de
j'Assistance Publique de Marseille el nolam·
ment 'So.n aflticle 16, alinéa 3 ;
Vu l' ar,rêt<' préfecto ral du 24 févd er 195,1
pOltant fixation des pr.i x d e joumee prévi'
sionnels 1951 d a ns les d ive rs éta blissemenls
dépendant de ,r Administ ra ti on de l'Asslst..·
ée Pu blique de Mrurseille ;
Vu la dem an de de relèvement du prix de
journée ~résentée pa r ,M. le Direc teu r Genéral de l'Administr a ti on de l'Assis tance Pu·
blique en date dul 8 seplemb re 195 1 ; . .
Vu le ,ra ppo rt de M. l' Inspecteur. Prill<lpal de la Population et de l'Entr'alde So,
1.074
1.389
1.224
2,554
2.870
Aliénés .. . . .. . ... . .. . . ...... . . . . . . . . ... ,.
Enfa nts dé ficie nts . .......... . ...... . . ... .
Médecine . .... . .. . .... . ............ .
Chi r,urgie . .. . . ........... . ......... .
trunce aux Vieillards, infirmes et incurables;
2.786
3. 13 1
3250
3.653
1
Les pri x de j ournée ainsi fixés compren-
nent toules les dépenses
y co mpris
celles
d'antibio tiques.
. Art. 2. - Le présent ar rêté sera soumis
a l'a pprobatio n de M. le Ministre de la Sa nté
Publiq ue et de la Population, co nfo rm ément
aux di spos itions de l'a rticle 16 du décret du
15 juin 1948.
sus, s'aj outent, pour chaque catégorie de
mal ades payants, les honorai res médicaux,
chirurgica ux et de spécialités calculés, conformément
aux disposit ions
réglementaües
e n vigueur Ielles q u'elles résultent d u déc ret
du 17 av ril 1943 dont les dispositions o nt
0 2 B3
été étend ues SUr ce point. aux hôpitau x de
Ma.rseille, par le décret du 19 fév rie r 1949.
Ar t. 4. - M. le Secrélaire Général de la
P réfec~u re, Ivl le Directe ur Gé néral de l'Ad-
Toutefois, les .pri x de j ou rnée f ixés co nform ément au x dispositions <te J'article 1er
su svisé avec effet dU! 1er octobre 195 1 ser?nt. immédi atement applicables, à titre' proVISOl.re, jusqu'à l' in terven tioJl de la décision
ministériel le qu i les enté rin era à t it re défi-
ministration de l' Assista nce Publique à Marsei!le, M . le Treso rier-P ayeur Génér al sont
char gés, chacu n en ce qui le co ncerne, de
l'exécuti on du présent arrêté.
A!rt. 3. - Au x prix <ie j ou.r née fixés sui vant les disposi oio ns de l'a rt icle 1er ci-des-
Marsei ll e, le 23 octob re 195 1.
Le Préfet,
P AIRA.
nitif.
Comm uniqués . Avis
~nnonces diverses
DEMANDE D'EMPLOI
Genda rme, e n retraite à pa rtIr d u 31 décembre 195 1, sollicite un empl01 cie secretaire de Mai r ie ou de ga rde-champêtre dans
une Commune du département des Bouches-
d u-R hône.
M"+\. les M aires intéressés par cette cand i d at ur ~
sont priés de se mettre directement en rapport avec M. Sabatte Ph il ippe,
demeu rant à Mauvezi n (Ge rs).
1
t
pri x de revient 1>'évis ionnel a été c<>nsl~ '
au budget suwl émentaire 195 1 de l'Ad n,,",;;
tration de l'Assista nce P,ubJiq ue, c1~fl< l l q.
s'il était i.nlég ré d a ns les p rix de jOur,nf
pour ê tre amorti en tolalité dans le Qua,"
me trimestre 195 1 représentera it une a ~g·
of
•
" \ Y a heu
menta tion de 2 8 70 des pri X, qu 1 f" t
de résotber une panlil'. de ce dé ICI
6)
7
au
t.
co urs dw quatri ème trim estre 195 1 sans::.e.
tendre j'exercice 1952 ; que cet amortt .
pourrait être obten u en .
1re ca tégor ie
major ation de 40 % su r
prix d e revient
50 % pour l'Hospice
1.611
Considé rant qu ' un défic it repr""",nt. nl,
poux la totali té de l' exercice en cours. 7 ~
d'au gmentation des d épenses pa r rapPod
le ca lcul
(5 1.074
1.224
1.082
2.269
2.557
38,66
38,65
30,56
52,09
5 1,84
1.289
ciale ;
aux dépenses r etenu es pOU,f
Prix de
journée
prévi sionnels
PRIX DE JOURNEE PAYANTS
ARRETE
Le Plé fe t des Bouches-su-Rhône,
!T'eS
l'Assistance Publique de Marseille qui
avaient été fixés par "",'1icle 1er de l'axrèté
préfectoral du 24-2-51 sont révisés comme
suit à com!'ter dll 1er octob re 1951 :
blissements dé pendant de l'Administration de
des troi s lers trim eslres 195 1
____ 0000---
D3 B2
Arrête :
Ar tide premier. Les prix de jou.rnée
prévisionnels appl icables dans les divers éta-
PRIX DE JOURJNEES INDIGENTS
Revision des prix de journée
FSO
ARRETE
tian forfaitaire de 15 % aux prix de revient
prévis ionnels 195 1 ;
.
Sl>r la proposition de M . le Secrétaire Générai de la Préfecture,
denea ux,
- - -0 00 0 - - -
D382
221
Copie enti6i. ~a f erm. ..
Pour )e PcH ct :
L, Su~l lalf" GittJroJ : .L.AYASSOU Rlt.
�\" No.embre 1951
!
.R~PUBLIQUE
/," "';....
. ""\ \
FRANÇAISE
9'
AnDée. _ N"
44
DËP.ARTEMENli
, 'J\ DES BOUCHES-OU-RHONE
Recueil de~Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressee à la Préfecture Secrétariat Général
A.BHËVIA.TION8
A, P . : Arrété préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'ocigin ..
D. S. T. : Direction des Services Technique •. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départementale de la Population.
SOMMAIR.E
Arrêtés réglernootalres et Circulaires
Paies
Pati'es
A O. - Arrêté portant modifi cati o n a u
classement en ca tégo ri es des assurés
sociaux ag rico les
A O. -
223
Elections aux Tribunaux Pari-
ta ires
A O. seurs
Baux
d es Ba ux Ruraux ... . .. _. ..
Elections des membres assesa ux Tribunau x Paritaires des
Rurau x .. . .......... . ... . ..
F 1. - Budgéls supplémentaires 1951.
- Contingents d'assistance ...... _,
FS O. - Commune d'Arles .
Ex-
223
224
224
propriations des terrains nécessaires
à )'ëdifica tio n d'un nouvel hôpital . .
FS 7. - Déc ret n' 51-121 8 du 19 octobre 1951, modifiant le d éc ret du
17-4-1 943 portant règlement d'administration publique pour l'application de la loi du 2 1-1 2-1941 rel11tive
aux hôpita ux et hospices publi es ..
FS 7. - Rémunérati on des pharmaciens géra nts, à temps partiel, des
hôpitaux psyc hiât riques, sanatoriums
et préventoriums publics ..........
FS 10. - Etab liss ement des listes an-
225
225
227
Pagu
nuelles des médecins, chirurgiensdentistes et sages-femm es .......... 227
SC 7. - Participation de l'Etat a ux
dépenses d'éq uipeme nt des services
pubi ics d 'i ncend ie. (Mesures de déconce nt ratio n) ........ . . . ......... 22a
Communiqués, Avis, Annonces diver_
Dons et legs ......... ,.......... 228
Communiqués du Secrétariat
de (' Uolon deS Maires
- Assemblée Générale du 16 novembre et 36~ Congrès à Paris. ....... 228
ARRËTËS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
AO
D6 BI
ARRETE PORTAt/T MODIFICATION
AU CLASSEMENT EN CATEGORIES
DES ASSU RES SOCIAUX AGRICOLES
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de ta Légion d'Honnellr,
Croix de Guerre,
/
Vu le décret TI " 50-444 du 20 ",'ril HI5'l,
relatif a u financement des assu r ances sociales ag r icoles ;
Vu le décret n" 30-475 du 28 avril 1950,
relatif a u classe ment ces sa lariés dans les
catégo ries prévues par le décret n" 5O-4H
du 20 av r il 1950 ;
Vu l' arrêté préfectoral dll 31 mai 1950
modifié, portant classement en tatt!gories des
ass urés sociaux agr ico les ;
Vu le d écret n" 5(}. 1224 du 18 septe more
1950 mod ifi a nt le d écret Il " 5()-4~ du 20
avr il 1950, relatif au financement des a<;:'S~I
ra nces soc ia les a g ri co les ;
Vu le ~ éc r et n" 50- 1227 d" 2 1 septenl,
bre 1950 portant règ lement d'Administratiol\
Publique po ur l'applicatio n d u décret d u 20
.a\,nl 1950, rela/ti f au financement des a~:su
ra nces sociales agricoles en ce qu i concerne
les Ouvri ers fo restiers et bcttera\'iers ;
VII le d éc ret nO 5 1-1 183 du II octoh re
105 1 rel ati f à l'a pplication
p rofessio ns
is~'osi't i'c'ns
déc ret n'
du sa laire national minimum in terprofessio nnel gara nti ;
Vu l'avis du Con~ r ôle ur Di visio nnaire de....
Lois Sociqles en Agr icult ure ;
Sur la proposition du Sec r ét ai re Gé nér a l,
ARRETE:
A la sUite de la fix ation, pour les profeSS ions agricoles, d'u"
nouveau salaire minimum ga ranti à compter
du 1er octobre 195 1, les tab leaux fixanl, pour
la zone 1 et pou r la zone 2 du département
les catégories des assures sociaux agricoles,
p ubliés en annexe à J'arrèté préfectoral du
3 1 mai 19501:"1 modifiés par les a rrètés pre·
fectoraux des 13 octob re 1950, 17 avr il et 29
juin 195 1 sont il nou\'eau modifiés Comme
s uit:
Ire catégorie: Rémunération annueilc
moyenne inférj~lIre à 120.000 francs: néant.
2e cattYgorie.
Rémunératio n
allnue!!\!
moyenne comprise entre 120.000 francs et
144,000 francs : néant.
31! caiegorie:
Rémunération
anl1ue'lr
moyenne comprise eritre 144.001 francs e(
168.000 francs: néant.
4e catrJgoril!
Rémunération
annuelle
movenne comprise entre 168.00 1 francs el
192.<XJO francs.
de 1,
"u dé!:ar-
Article premier, -
La troisième catégo r ie est mai nten ue pour
les salariés de la zone 3 du departement.
Article 2. - Les dispositions du présent
arrêté prennent effet à compter du 1er no~
vembre 195 1.
Article 3. - Le Secrétaire Généra l de la
Préfecture et le Conltrôleur des Lois Sociales
en Agricu lt ure sont cha rgés, chacu n en ce
qui le conce rn e, de l'application du prest!nt
a rrëté qui se ra inséré au Bulletin des Actl!s
Administ ratifs du département.
Marseille, le 25 octob re 1951.
Le Prefet
Rene PAIRA.
-------<>oo c~ -------
D6 BI
ELECTIONS
AUX TRIBUNAUX PARITAIRES
DES BAUX RURAUX
AO
Le PréfL'l des Bouches-du-Rhône
à M.lI. les ,Uaires du Dtipartement.
Référence : Ma circulaire du 7-9-51.
Par circulaire citee en r efè rc;rce, je vous
ai fait connaître que le mandat des membres assesse urs aux tribunau:\ paritaires Rrrirant c~tte annêe à expiration, des élections devraient 3\'oir lieu en principe dans
la deu.xième i/uin:aine du mois d'octobre
1951, pour 1. designation
de nouveaux
membres.
�au dimanche Il novembre 1951, le jour de
ces élections et la présente circulaire a pour
objet de vous en exposer les modalttés.
Deux scrutins différents sont à prévoir,
le premier pour la désignation des membres
des tribunaux cantonaux, le second pe ur
ceux d'auronùissement. Dans les communes
où le nombre des électeurs recensés pourra
justifier l'ouverture d'un scruti-n, les électeurs agricoles régulièrement inscrits ailront à désigne r :
1· Pour le Tribunal Cantonal :
_ 2 bailleurs titulaires et 2 bailleurs suppléants.
_ 2 preneurs titulaires et 2 preneurs
suppléants.
2- Pour le Tribunal d' Arrondissement :
- 2 bailleurs titulaires et 2 bailleurs su!)pl"ants.
- 2 preneurs titulaires et 2 preneur")
suppl.ants.
Nul ne peut être désig né à la fois comme
membre d'un tri bunal carltonal et d'u n tribunal d'arrondissement, Chaque ca tégûn <;
d'élect eurs votera uniquement pour les représen ta nts de sa catégorie ; il )' aura, dts
lors, deux urnes pour Je Tribunal Cantonal
«bailleurs et preneurs) et deux urnes pOUl
le T,ribunal d'A rrondissement (bailleurs et
preneurs).
j'attire .votre lItte ntion sur le fait que les
bat'ileurs a ferme et. à colonat partiaire ou
métay age éliront ensemble leurs représentants communs, les preneurs à fe rme et les
preneurs il colo nat partiaire procèdero nt Je
même.
Les candidats qui, dans le canton auronr
recueilli le plus de \'oix seront prbclam.!s,
dans l'o rdre, assesseurs titulaires ou suppléants des tribunaux correspondants,
L 'imp ression des bulletins de vote est a
la charge des candidats.
Le procès-verbal des opéra tio ns de vott
sera, redigé dans les fo rmes habituelles, II
suffira de distinguer t rès nettement les votes pour le tribunal ca nto na l d'une part
poUr le tribunal d'a rrondissement, d'au (r~
part.
Le procès-verbal, les feuilles de dépou illement, les .b ulletins de vote et les enveloppes . me se ro nt transmis imméd iatement sous
Je. tim bre : < Elections aux tri bun aux paritaIres de baux ruraux :», 6me Division, 1er
Bureau, Préfecture des B.-du-Rh., Marseille.
Les ca ndidatures dev ront être déposées
SOIt a la Maine du chef-lieu du canlon soit
a celle du chef-lieu de {'arrondisseme~t.
Le contentieux. électoral est de la compé·
tence du ConSeil de Préfect ure qui j" "o
comme en matière d'électi o ns municipale;
La durée des fonctions des assesseurs est
de trois ans, Les nouveaux assesseurs désignès à la suite des élections de 195 1 devrorlt, en appli catio n des textes en vigueur,
être installés à la date du 1er janvier 1952,
Pour le Préfet,
Le Secretaire Général,
LAMASS OURE.
____ c»ooc,)----
D6 BI
AO
ELECTIONS DES MEMBRES ASSESSEURS AUX TRIBUNAUX PARITAIRES DE BAUX RURAUX
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône, OfficIer
de la Légion d'H on neur, Croix de Guerre,
Vu la loi du 13 avril 194{i portant n10dification de l'ordonnance du 4 d éce mbre 1944
relative aux COl11missiOJ1s Paritai res co mpl.tentes pour statuer s ur les contestations entre bailleurs et preneurs de baux à ferme,
de l'o rdonnance du 17 octobre 1945 relati ve
au statut du fermage, de certains articles
du Code Civil et de la loi du 18 juillet IS$?
sur le Code Pénal (tittre IV, bail à colo n,t
partiaire).
Vu la loi du 17 juillet 1874 sur l' ~lectc rat municipal ;
Vu la loi du 29 juillet 19 13 ayant pOl,r
objet d'assurer le secret et la liberté du vote
ainsi que la sincérité des o pérati ons électora les, modi fiée et complétée par la loi du
3 1 mars 19 14 ;
Vu la loi du 3 1 mars 1914, sur la réprc;sion des actes de corruption dans les opérati o ns électo rales ;
Vu la ci rculaire de M. le Mi nist re d ~
l' Agricultu re en date du 30 j uin 1951 ;
S ur la proposition de M. le Secrétaire Generai,
Arrête :
Article premier. Les ba illeurs et les
preneurs des ca ntons d e Ma rsei lle, Aubag ne, La Ciotat, Aix, La m besc, Peyrolks,
Salon, Trets, Arles, Château renard, Ey g ui,;'-
res, Orgon, Saint-Remy, rég uli èrement Inscrits sur les listes électorales dressèes dans
chaq ue commune en appli cation de l'art fi
de l'ordo nna nce du 4 décemb re 1944 ,no,lifiée par la lo i du 13 avril 1946, sont cv nvoques le dimanche Il no vem bre 195 1 a i'eflet de procéder à l'électio n des membrl;s (ie;
Tribunaux Paritaires Cantonaux et d'Arrondi sement dans les conditions dé.termin ées
ci-après.
Art. 2. - A titre excepti o nnel ct par 1,:·
rogation à l'arr~té du 28 mai 19 16 du ùarde des Sceaux, Minist re de la Justi.;c, la
Commune de Marseille se ra di vi.:.ée e a tr~' is
cantons comprenant chacu n un Tri bunal
Paritai re â section unique :
10 5me et 6me ca ntons judiciaires ;
2 ° 7me ca nton judiciaire ;
30:> Be ca nto n judiciaire et commUll~S
d'Allauch et Pl an-de-C uques.
Le Tribunal d'Arrondissement de Ma rseille comp rendra égaleme nt un e se u!e 5eCtian.
Quatre éle<:leurs des cantons Aix-Nord et
Aix-Sud désigneront un seul Tri b un a l il section unique ayant juridiction sur ces deu x
cantons.
Cette mes ure se ra étendue a ux c·1 ntons
d'A rl es-Est et Arles-Ouest.
Le Tribunal d'A rro ndissement d'A rl es
comportera une secTion unique, de mêm e
que ceux des cantons de C hâ!teaurenard,
Eyg uières, Orgon, Saint-Remy.
Art. 3. Dans les autres ca nto ns d"
Département no n visés à l' a rt icle premi l.' l ,
les assesseurs des Tribunau x Paritaires seront désignés en ta nt que de besoin jl'l (
application des dispositi o ns de l' a lin éa 9 de
l'a rticle g de l'ordonnance en date du 4 décembre 1944, modifi ée par la loi du 13
-
Art. 4. - Le nombre des sièges à
voir est fixé ainsi Qu'il suit :
rO~rPO,ur chaq,ue Tribunal Paritaire Cantallâl
ou ct ArrondIssement :
- 2 bailleurs titulaires et 2 bailleurs suppléants ;
- 2 preneurs titulaires et 2 preneurs surpléants.
La qualité de titulaire et de suppléant 1~1
dâtermtnée par le nombre de voi x obb:niol
par cha4ue candidat.
Art. 5. - Sont éli gib les ,les électeu rs àgés
de 25 ans au moins posséda nt 5 ans au
moins la qualité de bailleur ou preneur a
ferme ou à colonat partiaire.
Par d érogation aux di s positions régi,.
mentaires, les candidatures seront dépo3êe3
à la mairie du chef- li eu de canto n.
Notification en sera faite par les so ins de
la munîcip a lhé à la Préfecture .
Nu l ne peut êt re à la fois dési g né corr.m ~
membre d' un tribunal paritaire cantonal èt
d·un tribuna l pantaire d'arrondisse ment.
Art. 6. Le scrutin sera ouvert dans
chaque mairie ou bu rea u de vote pe ndaTit
au moins 8 heures, aux co ndi tions et heure
fixées par la Municipalité.
L'éledtion sera acquise au sâutin secr~t
à la maj o rité relative,
Art. 7. Avant l'ouve rtur e du scrutlll,
il sera procédé à la d ési g nation d' un bu·
re a u co mposé de trois membres et présidé
pa r le Maire ou un Adjoint. Ce bureau pmcèdera aux opérations de dépoui llement
dans les mêmes co nditions que pou r les
élections municipales et sous la responsa~!·
lité du Mai re ou de son Ad j oi n~.
Les résultats ainsi que les feuilles de de·
pouillement, les bull etms de vote et les envelo ppes seront transmis su r le cham p. ~ la
Préfect ure où il sera procédé il la vénhca·
ti a n des opé rati o ns électorales par une
Commission présid ée par le P réfet ou ~"
Représentant assist é d'un Magisltrat du 1 ".
bunal Civil du Chef-lieu liési~né. par l,
Prési dent de ce Tr ibuna l et de cinq mem·
bres désignés pa r les ~ r ga ni satio ns syr.dl:
cales agr icoles propo rt IOnnellement à leu.
impo rtance.
Art. 8. _ Les co nt esta tion~ ~etatives all~
élec tions des Tribunau x Paritaires sont rld
la co mp éltence du Consei l de Préfectu .
Elles sont inst ru ites et jugées co mme en
matière d'élections mun icipales.
Art. 9. _ Le Secr tai re Gé néral den1~
Préfecture les Maires des Comm unes'. l'
ressées sont cha r gés, chacun e.n ce qUI·t~
concerne , de l'exécution du present arr~
Ma rseille , le 26 octobre 195 1.
P o ur le P réfet,
Le Secrétaire Génirat,
LAMASSOURE.
_ ___ c,.oo< ..,- - -
fI
02 B3
BUDGETS SUPPLEMENTAIRES 1951
CONTINGENTS D'ASSISTANCE
Le Préfet d es Bouches-du-Rhône
à Messieurs les MaHes.
.
ri 6 décembrl
Référence: M es circulaires
1950 et 19 juin 1951.
es
l'lia'
Je vous a i lait conn~ître,. lOfs ~95l , 1<
blissement des budgels prlml.!: à ioscri"
montant de la d ép ~nse obhgatOlf
au titre des contingents d'ass~tan~:. du I~
Par circulaire citée en r; 1 ~én Que "t~
co uranlt
\'o us al sJ,gna
dépen~e ~'étajt
avérée, insuffisante et qu' H 1 portant déclara~ion d'utilité publique d"
projet d'acquisition par voie d'exp ro priation
y avaIt heu de préVOir a u budget suppl,,mentaire une dépense co mplémentaire égale
publique desdits terrains ;
Vu le plan parcellaire des propriétès dont
à 7,15 p. 100 de la somme figurant au budla cession est nécessai re aux fins susdites,
get primitif.
lequel plan indique la superficie des proCompte tenu de l'inscription de nouveUes
priét~ en ca use et les noms des propriédépenses d'assistance à la Décision Modificative n" 2 du budget départemental ce 1 tai res t els qu'ils so nt inscrits à la matri ce
des rôles ;
pourcentage doit être po rt é à 15 p. 100.
Vu le dossier de l'enquête parcellaüe à
P. le Prélet ct par dél égatio n,
laquelle
il a été procédé en vertu des presLe Secrétaire Général,
criptions de l'arrêté préfectoral du 13 féLAMASSOURE,
vrier 1951 pris en exécution du décret-loi
du 8 août 1935 ;
- - - 0 0 0. .' - - - Vu les procès-verbaux de l' enquête ,
f'SO
D3 B2
Vu la décision de la Commission arbitrale
d' évalu ation , en date du 16 juin 195 1 ;
COMMUNE D'ARLES
Vu la déli bér a~ion du 12 octobre 195 1 par
EXPROPRIATION DES TERRAINS NElaquelle le Co nsei l Municipal d' Arles, sur
CESSAIRES A L'EDIFICATION D'UN
avis confo rme de b Commi ss ion Admir isNOUVEL HOPITAL
trative des Hospi<:es Civils, en date du 6
J'ulliet 195 1 a décidé de poursuivre la
ARRETE DE CESS IBILlTE
procédure d'expropriation engagé e ;
Le Préfet des Bouches-du-Rhône, Officier
Considérant que seul M. Olivero, demeude la Lé g io,:" d' Honneu r,
rant à Arles, Mas Li Pastres, quartier de
Vu le décret-l oi du 8 août 1935, relati f
Fou rcho n, a inte rj eté a ppel dans les déla is
à l'ex propriation pour cause d' utilité pu bli- légaux, de la décisio n de: la Commissio n arque, complélté par le décret du 30 octob re
bit rale d'évaluati o n ;
1935 ct, notamm entt, les arti cles 6 1 à 66
Sur la propositio n de M. le Secrétaire Gé(expropriation conditionnelle) ;
nérai de la Préfecture,
Vu la délibération du 12 août 1949, pl'
Arrête :
laquell e le Conseil Municipal de la Viii.
Arti cle premier. - Sont déclarées cessid'Arles a déc ide l'acquisition par voie d' exbles immédiatement, confo rm éme nt au plan
propriation publique des terrains nécessa:res à l' édification d~ un nou vel hôpi ta l ;
1 parcellaire ci-dessus visé, les propriétés ci,
après dési g nés, â savo ir :
Vu l'arrêté préfectoral du 9 janvier 195 1,
Noms des Pro priétai res
N' du Plan
1094
1.126, 1.133 P
et 1.134 p
Situation de.
immeubles
Surface prise
Tels qu'ils so nt
insc rits à la matrice cadast rale
des rôles
Section Y lieu dit 1 ha 22 a 00 ca Mme Vve Marsa l
(décédée)
Pla n-du-Bo ur~,
Arles.
1 ha 61 a 09 ·:a
T els qu'ils
sont
M. Aimé Co rnet
Pha rmacien
rue St-Georges
Pithiviers
(Loiret)
M. Louis Guen in, époux Pons
Mas Nada l, qua rtier de Fourchon
Arles (B.-du-Rh .)
FS 7
Art. 2. _ MM . le Secrétaire Général de 1 D3 B2
la Préfecture et le Maire d'Arles so nt cha rDECRET n' 51-1218 OU 19 OCTOBRE
ges de la notifi catio n du présent ar rêté q i.!;
195 1, MODIFIANT LE DECRET OU
sera inséré a u Bulletin Admi ni st ratif de:;
17 AVRIL 1943, PORTANT REGLEMa iries.
MENT D'ADMINISTRATION PUBLIFait à Ma rse ill e le 19 octobre 1951.
QUE POUR L' APPLICATION DE LA
Pour le Préfe!,
lOI OU 2 1 DECEMBRE 194 1, RELA-
Le Secrétaire Genéral ,
LAMASSOURE,
TIVE AUX HOPITAUX ET HOSPICES
PUBLICS
(J. O. du 2 1 octobre 195 1)
Le Président du Conseil des Ministres,
S ur le rappo rt du Ministre de la Sant.!
Publique et de la Popu lation, du Ministre
de Illnt erieur, du Vice-Président du Conseil, Ministre des Finances et des Affaires
Economiques, du Ministre du Budget, d.,
Ministre d u Tra"ail et de la Sècurilte So-
Ministre des Anciens Combattants et Victimes de la Guerre ;
Vu la loi du 21 décembre 1941 relative
au x hôpitaux et hospices publics .
Vu l'ordonnance ùu 18 décem'bre 194-4
relative aux prix de jo urnée dans les hôpitau x et hospices publics ;
Vu le décret du 17 avril 1943 portant reglement d' administration publique pour
l' application de la loi du 21 décembre 1941
et, notamm ent ses titres Il et V '
Le Conseil d' Etat entendu,
'
Déc rète :
Article premier. Les dispositions du
chapitre 4 du ~it re Il du décret du 17 avnl
19.43 portant règlement d'a6ministration pub!Jque pour l'applicatio n de la loi du Il décembre 1,941 relative aux hôpitaux et hos~i
ces pu bli cs so nt complétées, modifi ées ou
abro gées comme suit, en ses articles 22 24
29, 33 et 34 :
'
,
c: Art. 22. - Les hôpitaux reçoiveRt obligatoirement des malades payants. Ceux-ci
sont répartis dans des proporti o ns fix~e.i
par le P refet, sur propositio n ou ap rès avis
du Directeur Dépa rtemental de la Santé et
du Directeur Départemental de la Populatl.on et. de l'.Entr'aide, selon les trois catégoTles sU Ivantes :
< 1. Troisième catégorie :
< Bénéfi ciaires des lo is sur les accidents
du travai l et les maladies professionnelles.
< Bénéficiaires du rég ime gé né ral et des
régimes spéciaux de la Séc urité Sociale et
bé néficiai res de la lé gislatio n de mutual~té
sociale agricole.
c: Malades non bénéficiaires des lois d'assistance et de prévoyance sociale n'ayant
pas demandé à êt re placés en première ou
en deuxième categorie,
c: 2. Deuxième categorie :
c: Malades no n bénéficiaires des lois d'as-
sistance qui sont soignés sur leur demande, en cham bre à plusieurs lits (quat re au
maxi mum).
< 3. Première catégorie :
c: J'v\alades no n bé néficiaires des lois d'assistance et qui sont soignés sur leur demande, en cha mbre particulière.
c: Tou'tefois, les malades isolés pou r raiso ns médicales continue nt à releve r de la
catégo rie â laquelle ils appartenaient à lea r
entrée.
c: Les prix de journée applicables â ces
trois catégories sont déterminées C'omm-~
suit :
< Pour les malades de la troisième catégorie, le prix de journée ~st égal au prix de
journée fixé pour les malades b~néficiaires
de J'Assistance Médicale Gratuite.
C' Pour les malades de la deuxième catégo rie, le prix de journée est égal au pri'(
de journée fi:;é pour les malaùes de la tro;sième catégo rie majo ré de 25 p. 100 au plus
et de 10 p. 100 all moins.
c: Pour les malades de la premiè re categorie, le prix de journt~e est égal au prix de
journ ée fixé pour les malades de la t roisième catégo rie majoré de 50 p. 100 a u plus
et de 25 p. 100 au moins •.
(Le reste sans changement).
< Art. 24. - Abrogé,
e Art. 29. - Abrogé.
Art.
- Dans les hospices, des saU..
peuvent, avec 3uto risa'tion du
�22'1
partemental de la population et de .l'Entr'aide être réservés aux vieillards, mfarmes
et inc~rables payants ).
e Art. 3~. _ Les vieillards, infirmes et
incurables
reçus
comme
pensionnaires
païants sont reparftis dans les trois catée o -
nes suivantes :
c l
TrOisième catégorie : vieilla rds, infirmes et Incurables hospitalises en comIl
mun ;
..' .
.
~
c 2 0 Deuxième categone : vieIllards, lUfirmes et incurables hospitalisés en chambres de deux à quatre lits suivant le ur de-
mande.
.
c 3° Première catégorie : vieillards, in·
finnes et incurables hospitalisés ·en chambres particulières suivant leur demande.
e Le ~arif applicable aux .hospitalisés de
la 3rne catégorie est celui des bénéficialre'S
de l'assistance aux vieilla rds, ïnfirmes et
Incurables. Le tarif de la 2me catégorie est
égal au taril prévu pour la 3me catégorio,
majore de 25 p. 100 au plus et de 15 p. 100
au moins. Celui de la 1re catégorie est égal
au tarif prévu pour ta 3me catégorie, majoré
de 50 p. 100 au plus et de 25 p. 100 ail
moins.
c Les admissions ou le maintien dans
l'une ou l'autre de ces tro is catégo ries ne
sont prononcées par le pirecteur ou le directeur-économe que lorsque "int éresse a
produit toutes justifications de nature ~
établir Que le montant de ses ressources lUI
permet de supporter intégralement le. prix
de pension déterminé
dans les conditIOn,;
t\!ressant les immeubles de la ùotation non
affectés à I"usage hospitalIer ;
c. 3'" Les sommes ctestinees au rembou ·seme nt des dettes ou au placement des
fonds, y compris ta capitahsatlOn du dixicme des revenuS.
•
.. Cependant, entrent en compte dans le
calcul des pnx de revient I~s 3llnum:!s dC3
emprunts contractés par les étabhsseme nts
hospitaliers pour faire face à leurs dép<:nses de trava ux d'amenagement. construction et agrandissement
rég ulu! rement appromees1 ainSI que, le cas ~l,; l1è ant, les all
nuités des emprullts contractés par ces établissements en vue de la constitution d'un
fonds de roulement ;
c 4~ L 'excéOt nt, le C.IS , chfant, de la ,'4leur des restes en magasin au 1er Janvier d~
l'annêe en cours sur la valeur des restes tri
magasin au 1er janvier, de l'annt!e precédente, la mOI Ils-value etant.
au cootffure
comprise dans les dépenses à faire entrer
en compte pour le calcul du pnx de revient ;
• 5" Les dépenses prévues pour la pro ·
ductlon des produits en nature consoml.'lés
dans l'établissement. la valeur commerc.ale
de ceUX-Cl rest ant comprise dans le cah.:ul
<lu prb.. de revient ;
, 0 " Les credits pour acquisition d'immeubles ou pour l'agrandissement
et la
tranSformatiOn de l'etablissement, sous réserve des dlsposlitions prévues à l'article 23 1
cH..Iessous ;
e 7" D' une façon générale, toutes les 1e-
prévues il l'alinéa précédent >.
Art. 2. - Les dispositions du titre V du
décret du 17 al'ril 1943 sont complétées,
penses qui n'ont pas trait exclusivement aux
oesolOs hospitaliers de la clrconscrlptio'l
territoriale des établissements envlsag~s ;).
articles 229 231, 232, 235, 236, 237, 238 et
239 :
TITRE V
penses d'entretien, de grosses réparations ct
d'améliorationJ dûment autorisés pour les bf;soins courants du service peuvent être conipris dans le calcul des pnx de revient dans
la limite d'un pourcentage des dépenses h'l5pitali ères ordinaires. Le montant de ce pourcentage sera fixé par arrêté des ministres
modifiées ou abrogées comme sui~, en ses
Prix de journée
Chapitre Premier
Calcul des prix de revient et des prix
de journée
cArt. 2J9. Les prix de revient servant il calculer les prix de journée afférents il l' hospitalisation dans les hôpitau x
et hospices des bénéficiaires des lois des
15 juillet IS93, 14 juillet 1905, 15 avri l 1343
et 2 aoüt 1949 et des malades payants ces
trois catégories prévues il l' article 22 cidessus, ainsi qu'à l'hospitalisation dans les
quartiers d'hospices réservés aux aliénés des
bénéficiaires de la loi du 30 juin 1838, S,,"t
évalués en tenant compte des éléments sui-
vants du budget primitif de l'année considérée basé sur :
.
e A. - Les dépenses inscrites au budget
primitif el au budget supplémenta ire de
l'année qui se termine ;
c B. - Les prévisions de dépenses certaines, telles qu'elles résultent notamment,
des marchés qui ont été passés et des majorations de traitements et de salaires qui
ont été attribués ;
e C. - Les prévisions de dépenses probables.
e Toutelois, pour le calcul des prix d.
revient, les éléments suivants doiverrt ëtr~
déduits du budget primitif de l'année consIdérée :
• l ' 'Les charges de la dotation
2' Le montant des crédits
• Art. 231. -
Les crédits aHectés aux dé-
de la santé publique et de la population, de
l'intérit:ur, des finances et <lt.:S atf aires eco11 01111ques et du budget.
e Llans l'l\)'pothèse
où les dépenses ,
prevOir a ces divers titres
n'atteindraient
pas le pour centage autorisé, la différence
pourra être également comprise dans:1o:
calcul, en vue de son affectation, à un
fonds de provision pour entretien, groSSl'3
réparations et améliorations courantes. l'e
même à la clôture de l'exercice, les crédits
ouverts au budget en vue de ·Ia réalisation
des depenses de l'espèce et n·ayant pas
donné lieu à des engagements pour travaux
pourront ainsi être atfectés à ce fonds de
provision. Les cond'tions de fonctionnemf!nt
dudit fonds seront déterminées par l'arrêté
visé il l'a linéa précédent • .
e Art. 232. - Il n'est établi qu ' un prix
de revient pour tous les services Similall'ps
dépendant de la même Commission administrative.
e Si l'établissement ne comprend qu'un
service unique ou que des services similaires, le ca lcul est lait en divisant le tota l
déterminé conlormément aux artioles précédents par le nombre de journées égal à la
moyenne des trois dernières a nnées ou, en
cas de circonstances exceptionnelles,
du
nom~re de journées à prévoir pour l' exe rcice
1
d es pnx . e J~urnee, les ~Iéments Suivant!;
peuvent etre aJoutés aux p.nx de revient calculés conformemellt aux dispositions des
ticles 229 à 234 ci-dessus :
ar0
~ 1 Les versements à faire à titre de dotat ion annuelle au fonds de provision
créances irr éc,? uvrables dans la limite
li
~ ~~
publi cs a été, jusqu'à présent, laissée à l'ap-
CHAPITRE IV (nouveau)
Dispositions comptables
e Art. 2d35 bis. -;- En vue de la fixation
c Art. 243 bis. -
préciation des Assemblées locales compétertes. Des difficul1és ont été ren cont rées SJr
ce point, les instances locares ne sachant SUI
Quelles bases déterminer les indemnités sus-
La comptabilité des
hôpitau x et hospices est soumise aux règles
de la comytabilité des communes.
ceptibles d'être allouées aux intéressés.
Pour mettre un terme à
c Toutefois, cette comptabilité doit êlr<
organisée pour faire apparaître distinctement
les éléments dont fait état le présent règle-
res .
non affectés aux' services hospitaliers font
dont le montam
maximum . sera déter~lin é sui va nt un pou:-
centage fIxé par arreté des Ministres de 13
Santé PublIque et de la Population, de I"Intë: leur, des flOances et des Affaires éco r o-
mlques et du Budget, du Travail et de la
Sécu ri té Socia le, do nt le produit sera
af-
ment d'administration pubJ.ique pour étabEr
leS prix de revient.
e Les recettes et les dépenses se rapportant à la gestion ,des éléments de la dotation
l'objet d' un budget et de comptes spéciaux
annexés a u bud get et aux comptes de l'étab lissement.
f, Les opérations intéressa nt la comptabilité annexe sont obligatoirement effectuées
par l'intermëdiaire de comptes ouverts dans
fecté il la créatio n ou à la dotation d'un
fonds de roulement visé il l'article 2 de lordonnance du 18 décembre 1944. Cette dis·
la comptabilité principale.
e Un arrêté des ministres de la Santé Publique et die la Population, de l'Intérieur, des
position ne pourra cependant être appliquée qu'en vertu d'une auto r isation spéciale
Budget, déterm inera les conditions d'appli-
du Préfet,_ donnée après avis du TrésorlerPayeur Général du département et du Directeur départemental de la Population cl
de l' Entr'aide.
e D ' autre part, ronformément aux dispo-
sitions de rarli cle 2 de l'ordonn ance du 18
décembre 1944 relative aux prix de journ~ c
dans les hôpitau x et hospices publics, le déficit constaté dans les prix de j ourn ée du
dernier exercice clos, sera ajouté aux éléments constitutifs des prix de journée de
l'année considérée, l'excédent devant, pa;
contre, en être ééduit sous les réserves ~x
primées par ledit ,texte pour la ·constitution
du fonds de roulement •.
Les dispositions
du présent
décret prendront effet p our le calcul '<les prix
de journée applic ables à compter du l cr janvier 1952.
ART. 5. -
Le ministre du Bu'dget, le minis-
tre du Tra vail et de la Sécurité Sociale, le
ministre de l'Intéri eur, le ministre de la Santé
Publique et <le la Population, le vice-président du Conseil, mi nistre odes Finances et des
Affaires Economiques, le ministre de l'Agriculture, le mi nistre des Anc:-e ns Co mbattants
et Victimes de J.a G uerre, sont chargés, chacun en ce qui le con cerne, de l'exécution du
e Art. 236. - Les prix de journée so!l1
fi xés par le Préfet pour l'année considé rée,
a vant le 1er janvier de ladite ann ée et a\'ec
effet, à partir de cette date, sur propositions
de la Commissi on administrative. Ces pr,'positions so nt transmises au plus tard le 1er
no vembre au Directeur Dépa rtemental de la
P opulation et de l'Entr'aide, qui les
tran~
mettra, après vérifi cation , pour décision ,
au
Préfet. Elles doivent être accompag nées de,
pi èces justificatives et notamment d'un Jédes jou rn ée3
d' hospitalisation tels qu'ils résultent des dé·
penses constatées au J I décembre et au 30
juin précédents.
« Si le Préfet juge ce rtaines dépenses. a~u·
sives, il le fa it co nnaître à la Com miSSIOn
Administrative qui, da ns les huit jo urs, pour·
ra lui ad resse r un r apport motivé ex posant
les r aisons qui justifieraient, selon elle, le
maintien intégral ou partiel desdi,t es dépen·
ses dans les comptes à retenir pour l'évaluation du prix de revient p révis ionnel. .,
e Art. 233. _ L'arrêté préfectoral qui
fi xe les pri x de journée est a ussitôt notlt!é
à la Commission administrative et tran~nl1s
sa ns délai au Ministre de la Santé publIqui
et de la Population accompagné du rappor
du Directe ur Départemerutal de la Pop dalion et de l'Entr'aide • .
(Le rest e Sans cha ngement).
e Art. 239. _ Les révisions des ~ri'.~:
journée en cours d'année prév ues
J.
O. de
la République Française et q ui prendra effet
à compter du 1er janvier 1952.
Fixalion des prix de journée
4 die l'ordonnance du
cation du présent article. ;,
présent décret qui sera publié a u
CHAPITRE Il
compte des prix de revient
Finan ces et des Affaires Economiques et du
ART. 4. -
à 1 artl~
IR déce mbre 19
Fait à Paris, le 12 Oc tobre 195 1.
R. PLEVEN.
un système prenant pour base un pourcenta"'e détermine variable suivant la catégo ri e et
Pimportance 1 des établissements, du traitt::.ment de base brut accordé aux pharmacien,;
t itulaires à temps complet, à l'e xclusi on de
toute indemnité accessoire.
Ainsi, le montant maximum des rémunérations que peuvent recevoir les pharmaCIen,:;
publics s'établit selon le barème ci-dessous
Etablissements de 0 li 100 lits
3/12 du traitement de début des pharmacie ns à temps plein des etablissements dé
même nature comportant piuS de 800 lits.
Etablissements de 101 li 200 lits
4/ 12 du t raitement de début des pharmaciens il temps plein des établissements de
même nature co mportant plus de 800 lits.
Etablissemenls de 201 li 300 lits
5/ 12 du traitement de début des pharmaciens à ;temps plein des établissements de
même nature comportant plus de 800 lits.
Etablissements de 301 li 400 lits
6/ 12 du t ra ilement de début des pha rmaciens à temps plein des établissements dt.!
même nature comportant plus de 800 ,lits.
Etablissements de 401 à 500 lits
7/ 12 du traitement Ile déb ut des pharmaciens à temps plein des étab lissements de
même nature compo rtant plus de 800 lits.
Etablissements de 50 1 li 650 lits
S/ 12 du t raitement de début des pha rm aciens à tem ps plein des étab lissem ent de même nature co mportant plus de 800 lits.
9/ 12 du t raitement de début des pha r-
FS
7
REMUNERATION DES PHARMACIENS
GERANTS, A TEMPS PARTIEL, DES
HOPITAUX PSYCHIATRIQUES, SANATORIUMS ET PREVENTORIUMS
PUBLICS
N' 177
maciens à temps plem des établissements de
même nature co mportant plus de 800 lits.
D'autre part, en ce qui concerne les sanatoriums et préventoriums publics, le ba-
FS 10
ETABLISSEMENT DES LISTES
ANNUELLES DES MEDECINS
CHIRURGIENS - DENTISTES
ET SAGES-FEMMES
Le Prélet des Bouches-du-Rhône,
il MI\\. les Maires du Département.
REJFER. bre 1945.
Ordonnallce du 24 Septem-
En conformité des dispositions contenues
dans la loi citée en réfé rence, mon Administration doit procéder à l'établissement des
listes annu elles des -doctt!urs en médecine,
chirurgiens-denhstes et sages-iemmes établis
dans le département des Bouches-du-Rhône
au 1e.r Jan\' ier 1952.
Afi n <l e me permett re d'effectuer cette opération, je \'ous f.f>fais obligé de ,rouloir bien
me faire parvenir pour le 15 Décembre 1951,
sous le timbre : c Di rection Depa rtementalt::
j
.de la Santé - Police \ Iedicale et pharmaceutique 66 A, rue Saint-Sébastie n à Marse~lIe :t le relevi: des docteurs en médecine.
chi rurgiens-dentistes et sages-fem mes exerçant dans votre com mune.
Chacune de ces listes qui doivent être
distinctes, mentionnera les noms, prénoms.
résidence, natlonalite des praticiens ; 'pour
les personn es insta11ées depuis le 1er janvier
1951, la dale <l·obtention de leu r dip lôme, sa
Pour les femmes mariées, il v aura lieu de
mentionner les noms d'épouse et de jeune
fille de cha(une d' elles.
ciens à temps plein des établisse ments de
même nature comportant plus de 600 Lits.
pés a temps partiel dans les établissements
_ _ _..... 00 . .- - - - -
0.0.5.
Etablissements de 0 à 75 lits
3/ 12 du traitement de début des pha rm aciens à temps plein des établissements de
('Hygiène Sociale)
li MM . les Préfets,
MM. les Directeurs Départementaux
de la Santé,
MM. les Directeurs Départemenlau <
de ta Population ,
pour exécution chacun en ce qui le
concerne,
~ltssement ne comporte qu'un service r éoUlt,
a un pharmacien déj à titula ire d'une officine.
Or! la rémunérati on des pharm aciens OCCU·
Pour le Ministre et par délégation,
Le Directeur du Cabinet,'
Signé : LE VERT.
rè me est le suivant :
même nature compo rtant plus de 6(X) lits.
ve.ntonums peut être confiée, lorsque l'éta-
9/12 du traitement de début .des pharma·
ciens à temps plein des établlssetnen~s de
même nature comportant plus de 600 lits.
Vous voudrez bien porter les indications
qui précèdent à la connai~sance de~ 0.rg anes gestionnaires des éta bltssements mteressés en les invitant à fixer, conformément
au~ présentes instructions, la r émunêration
des pharmaciens gérants.
pro\'enal1l:e. ai nsi que la date d'enregistrement fi la Préfecture.
Paris, le 10 octobre 1951.
Le Ministre de la Sanl é Publique
et de la Population (Direction de
. En application des textes actuellement en
vlg~eur, la géra nce des
pharmaciens des
hôplta~x psychiâtriques, sanatoriums et pré-
6<Xl lits.
Etablissements de 501 à 600 lits
même na1:ure comp ortant plus de
il temps partiel des hôpitaux psychidtriques
Etablissements de 65 1 li 800 lits
-------«~oo«> -------
D3 B2
situation,
M. le Ministre de l'Intérieur, qui ont Dien
voulu donner leur accord à ma proposition,
pourcentage fIxé par le Préfet après avs
du Tré~orier-Payeur Général et du Dire:_
t;ur ?epartemental. de la Population et de
1 Entr aIde ce pourcentage ne peut dépasser
1 p. 100 des dépenses hospitali ères ordinai.
c '2° Une majora tion
cette
j'ai soumis il M. le Ministre du Budget et à
Etablissemenls de 401 à 500 tifs
8/ 12 du traitement de début des pharmaciens à temps plein des étabhssemen~s dt::.
Etablissements de 76 à 150 lits
4/ 12 d u traitement de début des pharma-
Etablissements de 15 1 li 225 lits
5/ 12 d u traitement de début des phar-
j'attire
\"otre
attentio n
sur le
som et
l'exa ctitude qu'II y a lieu d'apporter dans
J'établis.... ement de ces documents, mes services relevant chaque année, au co urs de
leur \'é rification, de nombreuses erreurs.
Les communes ne possédant aocu n des
praticiens mentio nnes ci- dessus sont tenues.
comme les autres, d'adresser l'éta t demandé
maciens à !temps ple in des établissements de
même nature comportant plus de 600 lits.
en faisant fig urer sur celui-ci
néant >.
Etablissements de 226 à 300 lits
6/ 12 du t raitement de début des pharmaciens à te mps plein des établissements de
J~ compte sur votre diligence po ur m'envoyer ces re nsei g nements dans les délais
fixés, sa ns qu'il soi t besoin de vous adresser
même nalure com portant plus de 600 lits.
Etablissements de 301 li 400 lits
un rappe l.
JI'LM. les ,\ Iaires des a rroodissemenls Id' Aix
7/ 12 du traitement de début des pharmaciens à temps plein des etablissements de
plus de 600 lits.
même nature
relel'és pa r l'intermédiaire <le ·M. le SousPréfet <l e leur a",onrusseln
et d'Arles, denont me faire
la mention
parvenir ees
�228
02 B3
SC 7
PARTICIPATION DE L'ETAT AUX DEPENSES D'EQUIPEMENT DES SERVICES PUBLICS D 'INCENDIE (MESURES DE DECONCENTRATION)
CirculaITe n· 399 AGIS
Paris, le 20 Octobre 1951
Le Ministre de l'I ntérieu r,
à MM, les Préfets (Métropole),
RfFER. : T~xtes à caractère permanent
Circulaire n° 196 du 1er juin 1949 (annexes
1 et 3),
Circulaire n· 339 du 20-9-1949 (1er additif),
Circulaire n· 151 <lu 3-5-1950 (2e ad<litif),
Circulaire n° 2.t2 du 1er-7- 1950 (3e additil),
Circulaire n' 76 àu ler-~195 1 (4e addit if),
Selon les prescriptions <le la circulaire
n° 196 du 1er juin 1949 vous devez m'adresser chaque année, avant le 15 janvier, "O~
propositions d'octroi des cr~ts globaux q~1
vous permettront de subventionner
vou ~m e
mes au cours de l'exercice, ce rtaines opérat ~o n~ intêressant l'équipement des collectivltês
en moyens de lutte contre l'incendie.
Initialement, l'importance des crédits globaux mis à la disposition 'de chacun de vous
était déterminée dès réception de vos propositions et ces crédits étarent ensuite délégués en plusieurs tranches d'un même montant. Or, il m'a été donné de constater que
dans la majorité .des cas des cons~érations
d'ordre matériel, telles que l'absence de précisions sur les prix des matériels à subventionner ou sur les projets des municipalités,
vous amenaient à formuler des prdpositions
ne correspondant pas aux besoins réels en
crédits.
Une modification a donc été apportée à
ces dispositions par ma circulaire n° 198 du
24 mai -dernier qui, en \'OUS annonçant l'ordonnancement de la -deuxième tranche "de
crédits pour 1951 , a précisé que l'octroi de
nouveaux crédits était subordonné à l'envoi
préalable du compte rendu d'emploi des 2/3
au moins des fonds précédemment délégués.
Ces dispositions m'ont per mis d'éviter r envoi de nouveaux fonds à des Prefets qui n'en
avaient pas l'emploi, et, en contre-partie,
d'augmenter, souvent dans de fortes proportions, l'i mportance de la troisi ème et même
de la quatrième tranche attribuées à certains
d'entre vous.
j'ai <lonc décidé d'ap pliquer les mêmes
principes à la répartition des crédits de déconcentration de l'an prochain.
Vous continuerez cependant il m'adresser,
pour le 15 janvier. les proposi tions prescrites
par ma circulaire n · 196 du 1er juin 1949
mais celles-ci n'auront plus pour moi que le
caractère d'une ~valuation me permettant
d'ordonner l'emploi ,de mes crédits budgétair es.
Par contre vous m'indiquerez l e montant
des crédits globau>. que vous estirnerel indispensables il titre de première tranche (celleci vala nt en pri ncipe pour l e premier trimestre).
Ensuite, en me transmetta nt le compterendu d'emploi des 2/3 au moi ns du monta nt -de cette tranche vous m'ad r esserez des
prop ositions pou.r la fixation de l~ deuxième;
il en sera ,de meme pour les sUI va ntes.
Je VOUS rappelle, â cette occasion, que les
mémoires ayant servi de base au calcul des
subventions accordées par vos soins doivent
m'être adressés mais, doré navant, ces documents VOUS sero nt re nvoyés, ce qui évit er a
d'en réclamer un nombr e excessi.f d' exemplaires aux collectivités ou d'en fai re prendre
copie par vos services.
Il est signalé egalement, à toutes fins utiles, que lorsqu'une demand'e de délégation de
crédits est reçue par mon Administration
Centrale avant le 25 d'un mois, l'ordon'nancement est ren<iu possibl e dâns le courant
du mois suiva nt, si non il est r eporté au
..second mois qui suit.
Ces modifications de la procédu re d'attribut ion des crédits globaux de déco nce ntration, ainsi que celles de diverse natur e qui
ont été a'pportées jusqu'id aux règles générales d'octroi et de calcul des subventions
(telles qu'e lles avaient fait l'objet à l'origine
de la circulaire n" 196 dl! 1er juin 1949) ,
m'ont amené à envisager la refonte complète
de ce dernier texte, dont un exemplaire mis
à jour au 1er janvier 1952 vous parviendra
à cette époque.
Communiqués - Avis
DËPARTEMENT
Annonces diverses
A v is publié
e"'1
exéCldiou de l'articlt! 3 du dé-
çret d l, 1er fé·vrie'!' 1896, daliS le b<IfJ d ' illtl~t",
les héritiers inconnus des testateurs' à pretld,~
iOII11aiss ance dll testament, e ,~ Vil e de dO tHltr
!eur CDt lStnUment 01' de prod lu"re letfrs tIIO)ltl\,J
d'opposition.
Les rt'cl atnati01I,f tle sont reClCvablcs que danl
lm d élai cle troIS mois à parhr de l'IIWUItOIl
at4
Bulletin ...
Mlm'ro Spécial
DES BOUCHE.S-DU-RHONE
et Bulletin des Mairies
Toute c orre spo ndan ce r ela tive a u R ec ueil do i' être adr essée li la Préfectur e S ecrétariat
Général
«
Par testament olographe du 3 ""Iars 1951
déposé aux minutes de M." Numa Buges,
notaire il Bea ucaire (Gard), ·M. César-Edmond
Bernaudon, a légué la propriété du Domain!!
tle Repon sis à .Arl es-su r- ~hône, à la Commune de Saint .....l\\artin- de-Crau et cent titres
<le 10.000 francs du Crédi t National 3 %
pour la co nstruction d'un clocher à l'église ,
de Saint,Marti n-de-Cra u.
Ma rsei ll e, le 24 octob re 195 1.
•
CO~~DNIQDU DU SEGBETBDlBT
SOMMAIR.E
Pages
-
Loi n" 49,285 du 2 mars 1949 porta nt réglementation de la propa ga nde électorale pour les élections ca ntonales .. .... .... ... . ..
- Déc ret n" 49-296 du 4 mars 1949
portant règl ement d'administration
publique pour l'application de la loi
du 2 ma rs 1949 relative à la régleme ntation de la propagande êlectoraie pour les élections ca ntonales ..
- Déc ret n· 51 - 1083 du I l .septem<
•
l
2
bre IUS I po rtant convocation dans
la M.étropole, les départements d'Ou~re-Mer et en Algé r ie, des collèges
electoraux pou r le ren ouvellement de
la série sortante des Conseils Généraux . .
....
- Arrêté de convocation. Renouvellement de la série sortant des
Consei1~ers Généraux. Elections
cantonales des 7 et 14 octob re 1951
- Vo te par correspondance. - Vote
par procuration.
. . .. . ..
ASSEMBLEE GENERALE
DU 16 NOVEMBRE
ET 36' CONGRES A PARIS
Le Secrétariat rappelle il tous les Maires
des Bouches-du-Rhône qu' ils devront, au
cou rs de l'Assemblée Générale qui se tiendrl
dans la .salle du Conseil Général W, éfecturel
le 1<6 Novembre proc hain, r emettre à un aes
membres du bureau à leur choix un pouvoir
permettant de voter en leur nom pendant les
séa nces -du Congrès.
A cette fin, les imprimés nécessaires ont
été: envoyés à tous les Maires adhérents à
l'Associati on Nati onale des Maires de France
üans le cas où l'un d'entre vou s n'en atJ rait
pas, il devrait en faire la demande au Seclétariat de l'U nion.
II reste bien entendu que les Maires qui
comptent se rendre eux-m êmes à Paris n'onl
pas à donner 'Pouvoir il. un cfe leurs collègueS
du bureau.
Le Secrétai,. Géné ral de J'U nion,
AUDIBERT.
1"8D f~rac.
Arr~te designant les membres des Pagea
Comm issions chargées de la propaga nde électorale pour les élections
ca ntonales des 7 et 14 octobre 195 1
4
- Arrêté fixant les dates limites du
depôt par les candidats aux élections ca nto nales des 7 et 14 octobre
195 1 des docu ments électoraux... .
4
Instruct ions. Elections cantonales des 7 et 14 octob re 195 1. Renouvellement de la série sortante
(séri e B) .. .. .. .. .... . .. , ....
:;
-
3
4
4
DE l'UNIOH DES mBIBES
POUT ~ Préfet :
Gé"ü.1 . LAMASSOURi'..
L~ S«crll.,~~
9 < Année , -
Recueil des Actes Administratifs
DONS ET LEGS
D 5 B2
AG 14
ELECTI()NS CANTC)NALES
SCRUTINS DES 7 ET 1-1- OCTOBRE 1951
•
ft:
-~:7Î
BULLETIN DEVRA ETRE DEPOSE,
LE JOUR DU SCRUTIN, SUR LA
TABLE DE CHAQUE BUREAU DE
,_.-VOTE,
Copie eertitb:
FRANC!AISE
04 B2
:.
j'appelle votre attention sur la nécessiti!
d'éviter la péremption des crédits globaux
de déconcentration ,dont la gestion vous est
ainsi confiée, et de prendre toutes mesures
utiles pour en assurer l' emploi intégral avant
Ja clôture de l'exercice.
Vous avez d'ailleurs la possibilité, en cas
de non emploi <le la totalité des crédits :
- soit de m'adresser un bordereau de crédits sans emploi, - mais, pour que je puisse
les déléguer e n ,faveur d'un autre - département avant la date l imite '!1es engagements
de dépenses, ce document doit me parvenir
avant le 1er décembre.
- soit d'affecter les crédits à la subvention d'opérations qui ne r elèvent pas normalement de mesures de déconcentration, à
conditio n, cependant, de me demander mon
accord préalable,d par téléphone si besoin
est.
Pour le .Ministre de l'Intérieur
et par délégation,
le Directeu r Général de l'Administration
Départementale et Communale et de la
Protection Civile,
Pierre-Jean MO"" TT 1.
RÉP UBLIQUE
Octobre 1951
(
\~
\
�faisant la déclaration de candidature prévu~
règlementation de la propagande élec- il l'article 1er. pour béneficier des dispositions
de l'at ticle n, devra justitfier avoir versé entre
torale pour les élections CIIlntonales.
les mains du trtsorier-payeur général du reL 'Assemblée Nationale et le Conseil de la
ce\'e ur particulier des Financ.es ou d/un
Rèpul>lique ont délibéré,
comptable ôu Trésor, agissa nt en qualité 'C!eL'Assemblée Nationale a adopt~,
preposé de la Caisse des -Dépôts et ConsiLe Président de la République promulgue
gnations, lIll cau tionn ement de 5.CXX> francs.
la loi dont la teneur su it :
Ce ca uttonnement sera remboursé aux candidats qUi auront recueilli au moi ns 5 %
ARTICLE PRE.IIIER. - Pour assurer l'égabùes sutfrages exprimes.
té des moyens au cours de la campag!1e élec:
torale, il sera attribué à chaque cand 1dat ,qUi
ART. 6. - Les dispositions de la loi Il '
aura fa it une déclaration de ca ndidature
46-1846 du 24 août 1946, instituant à titre
auprés du Préfet du département huit jOltrS
exceptionnel et pendant l 'a nnée 1946 le vote
au moins avant la date prévue pour les élecpar co rrespondance des personnes ayant
tions , et à chaque candidat qui aura fa it une
quitté leur résidence Ihabituelle du fait des
déclaration de candPdature entre les deux
événements de g uerre et qui ne l'o nt pas retours de scrutin a\'ant le mer credi précéda nt
gag nee, sont applicables po ur les élections
le second tour, un contingent de papier pe rca ntonalfs des 20 et 27 mars 1949.
mettant d'assurer la propagande par voie
4.RT. ï . Sera pu n i d' une a men de de
d'affiche ou circ ulaire, ainsi que nmpression
5.000 francs à 100.000 francs et d'un emprides bulletins de \'ote, dans les condi tions cison nement de six jours à un a n o u de l'une
apr.s.
de ces de ux peines seulem ent :
ART. 1 . - Sans prtJudice des d;spositions
1° Quiconque enfreindra . Ies dispositions
du dernier alin éa de l'article 1er de la loi du
des articles 2 et 3 de la pr ésente loi ;
20 mars 19 14, chaque candidat aux él ections
2° Quiconque se servira de la fTan c-hise
t: antonales ne pourra fai re apposer, d ura nt la
prévue à l'a rticle 5 pour adresser aux élecpériode électorale avant chaque tour de
teurs tous autres documents que 'Ceux énuscrutin, sur les emplae ements détermin és pa r
mérés audit arti cle.
ladite loi :
ART. 8. - Les bulletins de vote ne peuvent
1" Plus de deux affiches électoral es dont
comporter auCun nom propre a ut re que celu i
les dimensions ne pourro nt dépasser celles
du ou des candidats.
du fo rmat
colombier » (63 X 90 cm) ;
ART. 9. - L 'Etat pr end à sa charge les
2" Plus de deux affiches format un sixièdépenses provenant des opérations effectuées
me colombier (21 X 45 cm) pour annoncer
par les commissions instituées par l'article 5
la tenue des réunions electorales.
ci-dessus, celles qui resultent de l e~r fo ncChaque candidat ne po urra faire imprim er
tionnement, ainsi que du coût du papier et de
et envoyer aux ~Iech!urs) avant ohaque tour
l'impression des bulletins de vote, affiches et
de scrutin, qu ' une seule circulaire de format
circulaires, visées à l'article 2 pour les ca n21 X 24 tm.
didats ayant satisfait aux obligations des
Il ne pour ra fa ire établir, pour c haque tour
articles
1er et 5.
de scrutin, un nom bre de bulletins supérieu r
ART. 10. - Les dépenses résultant des
à trois fo is le nombre des électeu rs inscrits
dispositions du précédent article seront coudans la circo nscripti on. Ces bull etins ne
vertes par un crédit de 250 minions .de .fra ncs
pourront dépasser le format 8.5 X 6,3 cm .
ouvert au J.Ministère de l'Intérieur, au titre de
ART. 3. - L' imp ression et l' utilisation, sous
l' exercice 1949, applicable au chapitre 3IJ7 :
quelque forme qu 'elle soit~ de circulaires.
< D épenses relatives aux élections > du budtrads, affiches et bulletins de vote po ur proget de l'intérieur.
pagande électorale, en dehors des conditions
Ce crédit sera com pensé, Il due con-c urr enfixées par la présente loi, sont interdites.
<oe, par l'excédent des préviSions de recettes
sur les créd'Ïts votés au titre du budget géART. 4. Dans le mois qui suivra les
élections, chaque cdn didat devra justifie'r
nérai de l'exercice 1949.
auprès du Préfet que les quantites ou les
ART. 11. - Les dispositions des articles
contingtnts de papier q ui lui o nt été attri:
1cr à 8 ci-dessus son t app licables il l' Algérie.
hués ont é t~ employés entièrement et excluLes dépenses prévues à l'article 9 sont , en
sÎ\'ement po ur l'impressio n de ces doc u- , ce qui la concerne, à la charge de l' Algérie.
ments électorau x.
ART. 12. - Un r èrrlement d'administration
Les bons (l'attri bution ou les bons de monpublique déterminer: l es conditio ns d'applinaie-manière inutilisés devro nt être restitués.
cation de la présente l oi.
ART. 5. - Des commissions, dans lesquelLa pT sente loi sera exécutée comme loi
les seront obligatoirement representés les
de l' Etat.
candidats ayant satisfait a ux dispositions de
Fait il Paris. le 2 mars 1949.
l'article 1er, et dont la com positio n et le .
Vin cen t AURIOL.
fon ctionnement seront fixés par le règlement
d'admi nistration publique prevu à l'article 12
Par le Président de la Républiqu e.
ci-après, seront chargées, dans les circonsLe Présid ent 'du Conseil des .M.inistres :
criptions électorales :
Henri QUEUILuE'..
a) Fournir les em' eloppes nécessaires ft
L e Ministre de l'Intérieur
l'expédition des circulaires et des bulletins <le
Jules IMOCH.
vole, faire préparer leur libellé et en assurer
Le Garde des $ceau"
l'envoi en fra nchise aux élec teurs ;
M i nistre de la Justice :
b ) Faire remettre aux mairies en ternI>!
Robert,J).BCOUR'f.
voulu les ,bulletins de vote de chaque candi dat, qui doivent être mis à la disposition des
Le Ministre des Finances
ëlecteurs le jour d\I vote.
et des Affaires Economiques
Loi n " 49-285 du 2 mars 1949 portant
Décret n " 49-296 du 4 mars 1949 POrtant
règlement d'administration PUblique
pour l'application de la loi du 2 mars
1949 relative à la règlementation de la
propagande électorale pour les élections cantonales.
Le Président du Conseil d'; Ministres,
Sur le rapport du ministre de l'Intérieur
d u Garde des Sceaux, ministre de la Justice'
du ministre des Finances et =des Affaire;
Econom'ques, du Secrétaire d'Etat à la présidence du Conseil (Postes, Télégraph es et
Téléphones) ;
Vu la loi du 2 mars 1949 portant régie.
mentation de la propagande électorale pour
les élections cantonales, notamment Son arL
12 conçu : « Un réglement d'administration
publique M terminera l es conditions d'appli_
cation de la présente lo i , .
Vu la loi du 10 août 1871, relative au x
Conseils Genéraux et les textes qu i l'ont
modifiée ou co mplétée ;
Vu les lois du 12 avril 1946 et du 24 août
1946 relatives au vo te pa r 'Corres pondance ;
Vu le décret du 23 septembre 1875 sur
les Conseils Généraux en Al gérie et les textes
qui l'ont modifié ou complété ;
Vu la loi du 20 septembre 1947 portant
statut organique de l'Algérie ;
Le Conseil <l',Etat entendu.
DBCREl'E :
ARTICLE PRE.M IER. - La déclar ation pres·
crite" l'article 1er <le la loi du 2 mars I!14S
doit comporter les nom, prénoms, date <1
lieu de naissance et adresse d'li candidat.
Elle est· faite à la Préfectur e, soit par l,
candidat lui-même, soit par un ma ndataire
dési ané par ce lui-ci et 'dûment habilité.
ART. 2. - Les Co mm issio ns prevues 3.
l'article 5 de la loi d u 2 mars 1949 sont
co nsti tu ees pa r a rrêté préfectora l, quinze
jours au moins avan t le p remier tour de
scrutin. Elles comprennent: un magistrat ou
j uge de paix, titul aire ou suppl éant, en activité ou honoraire, prési de nt , désig né par le
président du Tribunal ,Civil, un représentant
du Préfet, lin représe nta nt d u Trésorier
Payeur Général, un représentant du direc·
teur d~partemental <les Postes, T élégraphes
et T éléph ones et un .repr ésen tant dûment
mandaté de chacun des candidats aya nt sous·
crit la déclaration de candidat ure prévue â
l'arti cle 1er de la loi.
Les représentants des c'an did'ats participe~t
a ux travaux de la Commissio n avec VOIX
co ns ul tative.
•
Le Préfet peut co nstituer des Com missions
intercantonales,
1
A ti tre exceptio nnel, po ur le ren ollve ll,e men
des Consei ls Genéra ux q ui doit 3\'oi r lieu a~
mois de ma rs 1949, les Co mm issions peuven
, u'S
être co nstitu ées au plus ta rd do uze JO
ava nt le pre mi er to ur <ie sc ru tin,
ART. 3. _ Ces Co mmi ss ions o nt pour
tâche de :
1
1° Dresse r la lis t e des imprime urs ~u
seront char gés de procéder ;\ l ' imp ress;~;.
des do cuments électoraux des ca ndid ats e .
soum ettre à l'a pprobatio n du Préfet ! s ~
2° Fournir les enveloppes nécessa.lre d
l'expédition des éircul a ires et bu ll etlO s ,;
ur
vote, fa ire p ré pa rer 1eur l1' b eIl e' e t en ass
ec les
J'en voi en fran chise au x électeu rs aV d'
documents électorau x remi s par les can I~
3
1
à l'article 1~r ci-dessus. Ces documents doivent p.ar venlr ~lUX électeu'rs . au plus taro le
samedI avant le scrutin.
3 Prendr:, d'~c.cord avec les- 'Maires intéresses, les d~sposlhons nécessaires pour assu_
rer ' Je vote par correspondance dans les cant0!1~ ~O.lIt la liste se ra dress~ par arrêté
mll1l~te nel, conformément à l' article 1er de
la 10' du 24 aoOt 1946 et notamment, envoyer
aux ~I ecteurs Intéressés les circulaires et
bulletms ·de vot~ de tous les canldidats y com~ns ce~'{ qu~ n,ont. pas SOuscrit la déclaratIOn prevue a 1artic le t er ci-dess us
4° Fa ire remettre a~l x mai ries, la y'eille de
chaque tour ~e scru tin, ava nt midi au plus
Q
•
Décret n' 51-1083 du Il Septembre 1951
portant convocation dans la Métropole
les ~épartements d'Outre-Mer et en
A1géne, des Collèges Electoraux
ur
le renouvellement de la série so~te
des Conseils Généraux.
Le Président du Co nseil des Ministres
~ur qe rapp ort du Mi nistre de l' Inté ri'eur
Vu la loi n" 46-451 du 19 mars 1946 érigea nt en département fra nçais la Guadeloupe, la ~artjniqu.e~ la Réunidn, la Guyane Française, modifiée par l'article 84 de
la loi n' 46-291-1 du 23 décembre 1946 et
par la loi n" 47-1374 du 26 jujqJet 1947 .
Vu la loi n° 48-1 53 1 du 29 septemb; e
1948 re ndant applicable aux départements
de .la Guadeloupe, de la Guyane, de la Mart 'nlq ue et de la Réo nion, fe fltre Il de la
10' n' 46- 11l3!J du 28 août 1946 sus"isée .
Vu la loi n' 49-264 du 26 février 194')
repo!tant ·la date des éle.ctions aux Conseils
Gé nera ux da ns les départements ô'OutreMer'
Vu ' la loi n" 4ff-II02 du 2 août 19-19 portant extension aux départements d'OutreMer des dispositions de la loi du 10 août
187 1 relative aux circonsc ri ptions électo rales, aux conditions et au mode ct'électio '1
des Co nseillers Gén éra ux et portant sectionnement des quatre départements en canton .
V~ .Ia loi n" 50- 1548 du 16 décembre 1%0
modifia nt, pour les départements de la Guadeloupe, de. 1a Guyane, de la Martinique et
de la Réunion la lég Islation des élections .
Vu le décret n" 50- 1584 du 29 décembr~
1950 modifié par le décret n' 51 -200 du 23
féVrier 195 1 pour l'application de l'article 7
de la loi du 16 décembre 1950 modifiant
pour les départements de la Guadeloupe de
l a Guya ne, de la Martinique et de la Réunion, la législat ion des élections,
. u la Constitution de la République Fran:
çalse e,n date du 27 octob re 1946 et notam .
ment 1arti cle 105 de cette Constitution .
Vu l a loi du 10 août 187 1 modifiée par
les l.o,s des 3 1 juillet 1875, 23 juillet 189 1
Il JUill et .190 1, 4 février 1909, 17 juillet 1928
tard les bu lletills de vote des candidats aya nt
et 21 ju,'lIet 193 1 .
SOUSCrit la déC laratIon de candidature e
Vu .l'ord onnance 'du 2 1 avril 1944 portant
nombr~ au. mO,i ns éÇ"a l au nombre des élec~ o rganr~a tlOn ~es pouvoiTs pu bli cs en Frant~ll.rs mscnt s, .a .~om s que ces candi'CIats
ce apres la Libération, modifiée par les o rn ~lent déclaré qu lis y pour voiraie nt pa r eu xdonnances des 2 févrie r 1945, 6 avri l 1945
memes.
et 13 sep tembre 1945 et les lois des 19 janLe Préfe t Iixe par arrêté les dates auxvier 1946 et 8 octobre 1946 .
qu~lleg I~s crr cul.alres et bulletins de vote
du 27 n ove~hre 1944 port Vu
t le l'décret
.
dOivent etre rerru s aux Com mi ssions du dê~n ap~ IcatlOn et mise e n, vig ueu r en Algéparten:tent pour qu' elles pui ssent en aSSurer
ne de 1o rd o nn a nce du 2 1 avril 194-1.
l'envol.
Vu ' l'ordonnance n' 45-1898 du 20 ~cto
. ART. 4. - L es marchés et toutes autres
bre .1945 rel ative il l'élection des Consei's
d ~penses J'Que les lCo mmissio ll S se proposeGénerau x en 1945 .
'
ral~nt d engager, doivent être Soumis a u
. Vu l a loi n' 41HÎ68 du 12 avril 1946 insPrefet pour approbation.
tituant une procédu re exceptio nnell e de vote
Le prés w ent d,e la Co mmission remet il
par procuratIon .
chac un ,des can'dl dats aya nt souscrit un e
Vu les lois n" 46-729 du 16 avri l 1945
d~cla~atl o~, un bon de .commande à l'ad,resse et n' .47- 1504 du 16 août j 947 portant
p
~ un lf!1 nm. eu: c~oisi par Je ca ndidat Sur la am ni s tie ;
liste v!sée a 1.arhcle 3 ci-dessus et valab le
Vu la 'loi n '. 5 1 ~18 du 5 janvier 1951 por .
D écrète :
p~ur 1.lm presslOn de bulletins, affic hes et
ta n~ amOls.tl~ instituant un régime de lib éc,lrc~ l a lres, en qua ntité ég al e à celle fi xée par
r~tlOn a~t l clpée! lim itant les effets de la
Article premier. - Les COllèges Electo1arhcle 2 de la loi du 2 mars 1949.
d~&"radat~o n ~atlOnale et réprimant les a ctiraux sont convo qu és le dima nche 7 octob re
vItes a ntl-n atlOnales .
ART. 5.. - Le jou r du scrutfn, Je M a Ire met
1951 po ur le reno uve l'Iement de la de uxième
les bulletrns de vote à la disposition cles élecVu
1946 a bals'
série sor ta nte des Conseils Généra ux dans
t . lad"loi n" 46-880 du "mal'
teurs dans les ,bureau x de vote
s.an, a ,I ~-h lllt a n ~, en matiè re électo ra le, la
l es dépa rtements de l a Fr ance MétropoliLa garde de ces bulletins est ~onfiée il un
bmlte d ,age des Jeun es Fra nçais tit ul ai res
taine a utres q ue celUI de la Seine, ainsi que
: mploy é. f!1un.icipa l ou, à défa ut, à une perde certa mes décora ti ons .
dans les départements de l'AI .érie et de la
?bn,n~ deslg nee pitr le. J\ laire sous la responpremiè re série sortante des C~ n seils Gén éVu l a loi n' ~6-1 8S9 d~ 28 août 1946 reS. dité de ce dernier
l~ tl ve au Co ntro le des insc ri pt ions Su r les ra ux dans les départements de la Guaded ARr. 6. - Il n'est' pas ex igé d e nouvelle
hs.te~ électo ral es et il la procéd ure des inslo upe, de la Ma rtiniq ue, de la Réunion et
CriptIOns d' urgen ce ;
de la Guya ne.
écl~rahon de can didature ni de nou veau
cautionn emen t des ca nd idats se rep résenta nt
Le seco nd tou r de scrutin a ura ~ lieu le
. Vu l a loi Il " 46-2 173 du 1er octobre 19.)6
au seCond t o ur de s cr uti n.
d~m a n ch e 1-1 octobre 1951 da ns l es cantons
fi xant . a 23 a ns J' âge de l'éligi bil ité a ux Asou Il dev ra y être procédé.
bl ART. ,1- --:-. Le présent décret est appl icasembl ees ~t Coll èges Elec to ra ux élus a u
s uff rage uni ve rsel et direc t
Art. 2. La campagne électorale sera
e ~ 1AJgene. Des :tr·rètés d u Gou verneur
ouverte le dimanche 23 septembre 1951.
Géneral déte rmin eront, en cas de besoi n, les
Vu la 'loi n' 4(}'2 174 c1 u
oc tob re 1946
rel a tJ ve il l'in éli g ibilité .
mesures complémentaires po ur j'exécu tion de
. Art. 3. - Les élections se fero nt sur la
ces dispositions.
liste électorale close le 30 mars 195 1.
Vu I.a loi n' ~9-2S5 d:, 2 mars 1949 porta nt regleme ntat lo n de la prop lga naè élecART. 8. - Le Ministre d.. l'Intérieur le
Art. 4. - Conform ément il 'la loi clu 10
août .187 1 (a rt. 12) modifiée par la loi du
G~r~e des S Cf.:.:1 U X, ministre de la J ustice: le to rale pou r les électio ns canto na les .
,17 JUill et 1 92~, le scrutin ne a urera qu' un
M~ ",stre des Fina nees et des A ffa ires Eco noVu le ~ éc ret n' 4ff-296 du 4 mar; 19-19
Jou r. Il sera o uve rt à 8..fle ures d u mat in et
m'ques et le Secrétair e d'Etat il la ,Présipo r ta~.t re~l em.e n t ô'admi nistrat io n pu bliq ue
clos le même jou r à 18 heures.
dence <lu Con seil Wostes, Télégraphes et
po ur 1a~p ll catlo n cie la loi du 2 mars 19-19
Le dépo uillem ent suiv ra immédiateme nt
Téléphones) SOllt c ha-rgés, chacu n en ce qui
relatIve a la rég lementatio n de la propaga nla clôtu re du scr uti n.
le ~oncern e, de l'exéc ut ion d u présen t déc ret
de électo ra le po ur les électio ns ca nto na les .
qUI ~e ra publié a u Jo urna l OffIciel de la R~~
Vu l'ordonnance du 7 ma rs 194-1 re l a tiY~
Art. 5. - Aussitôt après le dépouillement
P,u bhque Fran"lise et inséré a il Journa l Offia.u s tat ut ôes Français mus ul ma ns d'Al créles procès-verba ux de chaq ue commUne sefie .
0
Ciel de l'Algérie .
ront portés a u chef lie u de ca nton pa r deux
V~
la
loi
n'
471
S53
du
20
sep
tembre
membres d u bureau. Le recensement gé néFait.il Pa ris, le 4 ma rs 1949,
1947 p orta ~t s ta t ut orga nique de l' Algéri e;
ra i des votes se ra fait par le bu reau du
Henri QUE'.UlILLE.
, V u qe decre t du 23 septembre 1875 sur
chef-lieu et le r ésu ltat proClamé par son
Par le Prési<f'Emt d u Conse il des ~rv\ inistres
P r ésiden t.
1 o r~anJ SatlO n des Co nseil s Géné rau x ct' A ILe IM;nistre d e Plntéri cur
géne! et notamment l'a rti cle 2 1 modi fié pa'
Art. 6. - Le Ministre de l' Inté ri eur est
Jules 'MOCH.
'
le decret du 24 sep te mbre 1908 .
cha rgé ~e l'ex~cu~ion .U,II prése nt Ll éc ret q ui
Le Garde des Scea ux, Mi nistr e de la Justice
Vu les décrets des 7 sep tembre ' 1936, 1er
est a pptlcab!e a 1 Algcne et q m !I~ ra publ ié
n aberf LECOURT.
'
mal 1939 et 25 aoû t 1945, relatifs aux ci rau < Journal Officiel > de la Rép llJjJ ique
conscn ph ons électo ra les en Al gé ri e .
i.e Ministre des Fina nces
Fra nçaise.
V u le décr"t du 27 novembre 1944 Conet d es Afiaires Economiq ues
Fait à Paris, le Il septemb re 195 1.
cernant la représentati on des
Maurice PETSGlIE.
'
R. PLEVEN .
da ns les Co nse ils Gé nérau x
C Le Secrétaire d'Etat ~ la Présidence du
Vu
'le
décret
n'
996
Onsc.1 (Postes,
ct Téléphones),
1945 tend ant à
4
�ARRETE DE CONVOCATION
Reoowellement de la série so!1ante des
ConseUlers Généraux, Elections Cantonales des 7 et 14 Octobre 1951.
L P éfet des Bouches-du-Rhône,
e ~hevalier de la Légion d'Honneur,
Vu la Constitution de la République an aise en date du 27 octobre 1946 et no an:'~ent l' article 105 de cette constdlt~tiéon ,
V l 'loi du 10 août 1871 mo. Ile par
les rOi: des 3 1 juillet 1875, 23)llIlIet 1891,
8 juillet 1901, 4 février 1W9, Il IUlllet 1928
et 21 juillet 1931 ;
\ru le Mcret 51-1083 du Il septembre
1951 portant convocation dans la Metr"1'lole,
1 Dé artements d'Outre-Mer et en . gor~: d~ collèues électoraux pour leCreno~
fr
la
\,eÙement de
série sortante des onsel lers Généraux ;
" .
.,
Sur la proposition de M. le Secretalfe Gc-
VOTE PAR CORRESPONDANCE
Le vote par correspondance ne
peut pas être utilisé lors des él~C
tions cantonales. Aucune exception
n'est prévue.
'raux des cantons ci-dessous deslgn:s sont
convoqués le dimanche 7 Oct?,bre 19:>~, pour
1e renouvellement de la d~uxlenle ~ene sor~
tante (série B) des Conseillers Genéraux .
1er, 3me, 4me, 5me, 7me, 11 me. cant~ns
de li' \'arseille ; Aubagne, Roguevalre, AlxNord, Gardanne, Istres, ~1.artigues, ~alon,
Arles-Est, Châreau:enard, Orgon, Sam tesMa ries-de-la-J.1er.
.
Le second tour de scrutin aura Iteu le
dimanche 1-1 Octobre 1951, dans les cantons
où il dev ra )' être procédé.
ART. 2. - La campagne électorale sera
ouverte le dimanche 23 Septembre 1951.
ART_ 3. - Les élections se fe ront s ur la
liste électorale close du 3 l ,Mars 1951.
ART. 4. - Conformément à la. loi du
10-8-1871 (a rt. (2) modifiée par la 101 d u 17
juill et 1928, le scrutin durera un lour. JI sera
ouvert ~ huit ,heures d u matlO et clos te
même jour à dix huit heures.
.
à Aix;
Loreau, l~eceveur des P.T.T. à Aix ;
Nicolas, Se<:retai~e en Chef de la SOllSPréfecture d'Au.
VOTE PAR PROCURATION
~
Le vote par procuration au ~Olltraire, fonctionnera dans les m~mcs
conditions que lors des dernIères
élections.
§
ARRETE
désignant les membres des Commissions
chargées de la propagande électorale
pour les élections cantonales des 7 et 14
Octobre 1951.
néral,
ARRETE:
AI{fICLE PREMIER. - Les col~è\,es . électo-
MM. Truillier Luc, Juge au Tribunal Civil
d'Aix, Président ;
..Martin Gérard, Receveur des finances
Le Préfet des Bouehes-du-Rhône,
Officier de la Légion d" Honneur,
VII la loi n" 49-285 dll 2 .Mars 1949 portant
reO'lementation de la propagande electorale ;
VII le décret n° 49-296 du 4 Mars 194~
portant réglement d'admillistration publtque
pour l'application de la 101 du 2-3-49 a rela :
tive à la réo-lementatlOn de la propa~andc
électorale po';,r le élections ca ntonales
Vu le dtc ret n° 51-1083 du li Septembre
195 1 po rtant co nvocation dans la metropo~e,
les départements d'o utre-mer et en Algénc,
des collèges ëlecto raux po ur le renouvell.e -
ment de la série sortante des ConseIls
Généraux.
Sur la pro positon de u\'\. le Secrétaire Générai de la Préfecture,
ARRETE
ARTICLE PRL'\IER_ - En vue. d'assurer
l'a ttnibution du papier; l' ImpressIOn
et I~
diffusion des aoc uments électoraux pour le
co mpte des ca ndidats a ux électl~)I1s ca nto-
nales des 7 et 14 Octobre 1951, Il est c,ons-
Toutefois et en application de la 101 du
4-2-1909 dans les communes où il paraî-
AR.RONDIs&E.MENT .n'ARLES
La Commissio n chargée d e la propagande
électorale Rour les cantons d' Aries-Est, Ch.1teau renard- Orgon, Sa.intes - Maries-de-Ia..
à la Sous-Préfecture d'Arles.
M'er, sièO'~ra
0
Elle est composée de :
MM. Cassari n Jean, juge de Paix à Artes,
Président ;
Coeffic Eugène, Receveur des Finances
à Arles ;
Ricltieu, Receveur des P.T.T. à Arles;
Helier, Secrétaire en de I de la SousPréfeëture d'Arles.
ART. 2. -
Ces Commissions se réuniront
à la diligence de leur président.
ART. 3. - 'M. le Secrétaire Géné ,al de 1.
Préfecture, MM . les Sous~Préfets d'Aix et
d'A,les, sont chargés, chac un ~n ce qll~ le
concerne, de l'exécution du present arn:té.
Marseille, le 21 Septembre 1951.
Pour le Pr<'fet
par délégation,
Le Secrétaire Gé nt'ral,
LALMiASSOUtRE.
ARRETE
fixant les dates limites du dépôt, par [es
candidats aux élections cantonales des
7 et 14 Octobre 1951 des documents
électoraux.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur,
Vu la loi n° 49-285 du 2-3-1949 portant
de
la
propagande électo·
Vu le décret 49-296 du 4-3-1949 po rta nl
t itué dans chaque a rrondissement une Commission intercantonale.
..
J'a pplication de la loi du 2-3-1949 relatIve
tiollS pourron! être acco rcrées par arrêtés
speciaux qui devront être publiés et a!flchés
dans c haque co mmune 5 Jours au moJOs,
missions ;ont fixés a insi q U' Il SUIt :
à la rérrleme
ntation" de lIa propaga nde éleco
tora le pour les élections cantonales i
ava nt le scrutin.
Le dépouillement s uivra immédiatement la
La Commission chargée de la propaga nde
électorale dans les 1er, 3 me, 4me, 5me, 7me,
trait util~ de de\'ancer
r heure,
des déroga-
clOture du scrutin.
ART. 5. - Aussitôt après le dépouillement,
les procès·verbaux de chaq ue commune se-
ront transportes au chef-lieu de
c~nlon
par
deux membres du bureau. Le recensement
des ,'otes sera fai t par le bureau du cheflieu, et le résultat proclamé par son préSIdent.
ART. 6. - M. le Secrétaire Génér~1 de la
Préfecture, MM. les Sous..J'réfets d Aix et
d'Arles -MM. les ·"'\:aires des Communes comprises 'dans les cantons sus-indiqués, s ont
chargés, c hacun e n ce q~i" le ~oncer~e, de
l'exécution d u présent arrete, qUi sera Immé-
diatement publié et affiché dans tOlites les
Communes.
Marseille, le 14 Septembre 1951.
Pour le Préfet,
Les sièaes et la co mposItion de ces ComARRONDISSEMElNT DE MARSEILLE
lime cantons de ,~\arseilJe. et les cantons
d' AubaO'ne et de Roquevaire,
Palais
de
siègera a u
j ust;ce il Marseille.
Elle est composée de :
MM. Rupin Henri, juge a u Tribunal Civil de
Ma rseille, Président ;
Marchant Rémy, second fo ndé de pouvoir à la Trésorerie Gé nérale ;
Mme Lago utte, Inspectrice principale des
P. T. T. ;
'f t
i\1IM. Lods, chef de division ,à la Pre ~c lI·rc ;
Perotti Gustave, chef de servIce des
listes électorales à la Mame de IM arseille.
ARRONDlS5&M!ENT D'AlX-EN-PROVENCE
La Commission chargée de, I~ p ropaga nde
électorale dans les cantons d AIX-N O~~, Ga r·
dan ne Istres, tMartigues et Salon, sIegera à
la So~s-Préfecture d'Aix.
règleme nt d'administration
publique
Préfecture, MM. les Sous-Préfets d'A ix et
d'Arles sont cha rgés, chacun en ce qui le
conce rn e, de l' exéc ut ion d u présent arrf:té.
Marseille, le 26 septembre 195 1.
Pour le Préfet, par délégation,
Le Secrétaire Gé"éral :
LAMASSOURE.
•••
INSTRUCTIONS
Elections cantonales des 7 et 14 Octobre
1951, RenouveUement de la série sortante
(série B).
Les 7 et 14 Octobre 1951, les collèges
électorau x des ca ntons énumérés dans mon
arrêté du 14-9-51 sont convoqués à l'effet
d'élire les Conseillers Généraux.
Je -c rois devoirl à l'occasion tde ces élections, atti rer votre atte ntio n d'une par t su,les prescriptio ns à observer en ce qui Concerne les seules modifi cations .qui peuvent
être apportées, après leur clôture, a ux Ustes
électorales, et s ur les règles qui doivent ê tre
observées en matière de propagande électorale d'autre part.
•••
réglementation
raie ;
Pour Je deuxième tour, les bulletins et circu'laires devront être livrés dans les mêmes
locaux marQi 9 octobre, ava nt minuit.
Les Commissio ns n'assureront, en aucun
cas la diffusion des documents qui lui sera i ~ nt t ransmis postérIeurement aux dates limites fixées ci-dessus.
Art. 2. - M. le Secrétaire Général de la
p~u r
Vu le décret 5 1-1083 du Il se ptembre 1951
portani convocation dans la Mét ropole, 1::
départements d'Outre-Mer et en Algé ne, dl:"
collèges éectoraux pour le r~nouvelleme nt ,de
la sé rie so rtante des Co nseils Généraux '.
Sur la proposition de M. le Secrétai re OC'
néral de la Préfecture,
1. -
MOd;lications qui peuvent être apportées à la liste après c1ôlure :
En principe, les listes une fois a rrêtées
so nt définitives.
Toutefois quelques modificatio ns peuvent
être apportées a près la clôture.
Les catégories d'électeurs aya nt droit il
être inscrits a près la clô ture son1 limitativement énumé rées à la page 13, colo nne 2,
alinéa 166 de la Cioc ulaire n° 414 (.Révisio n
des listes électorales) du 30 Novembre 1949
dont deux exe mpl a ires vo us o nt été trans·
mis le 14 Décem bre 1949.
En dehors de ces catégories, aucun éLecteur ne peut solliciter son inscription après
l'expiration des délais réglementaIres,
Toutefois le paragraphe 171 de la Circulaire Sus-indiqu ée précise :
Qu' 4: o ut re les person nes dont la liste
figure à J'ali nê a 166 peu\·en t également être
inscrits Su r les iJstes 'ëlectorales ap rès clôture,
les électeurs qui auraient é.té omis par sllil~
d'Une erreur purement mat érielle ou "l UI
awraient été irrég ul ièrement radiês.
L'alinéa \72 ajoute : « dans tous les cag,
~es électeurs denont co mme les électeur:;
\'isés a ux alinéas 166 et 167, être l'orleurs
ARRETE
· ·t es eCdu
Article premier, - Les da tes hml
dépôt, par les candidats, des documents ~~m
toraux qui doivent être dIffusés pa r les de
missi ons de propagande ln te rcan!o~a les. lsi
Marseille, ct' Aix et d' Arlesl sont flxees ail
d'une décision du Ju ge de Paix .
qu' il s uit :
.
t cir.
Pour le premier tour, les bullet.l ns e 10.
L'erreur purem ent matériel1e n<: r~lIt exister que dalls d eux caS :
culaires doivent être déposés lundI 1er oc
bre ava nt midi :
. des
à 'la Mairie de Marseill e, Service u
re no
Listes
Electorales po ur 1es c·an to nst de
Ilo,.
l'elables de Marseille, d'A ubagne e
quevaire ;
- à la Sous-Préfecture d'Aix, pour le~
cantons renouvelables de j' arro ndissemen~
1· L'é lecteur étai t dë jà jnscrit sur 1[\ liste
)Jrécedente, maÎs son nOI11 a été omis lors
de l'établissem ent d'e la nouv€'lI e IIsle ;
2 L'électeur a bie n d~)..losé dans les dé laiS
réglementaires un e dema nde d'i ns cription,
0
lIIais à la suite d'un oub li " Ile n'a pas été
~résentée à la Commission Administrative o u
Dans c~s deux cas la preuve de j'erreur
peut ê.tre faci lement rapportée devant le juge
de paix et le ·M aire peut établi r un certificat
constatant cette erreur, certificat dans lequel
précise
Aucun
l'ëledeur
deux cas
ij
comment elle s'est produite.
certilical ne doil être delÎJlré si
ne se Irollve pas dans l'un des
sus-mentionnés.
Or il m'est apparu que lo rs des élections
législatives du 17 Juin 1951 ces prescriptions nlavaient pas eté observées et ,que des
certificats constatant ulle erreur matérielle
avaient été déli vrés à des électeurs qui, par
négligence, a vaient omis de se fa ire inscrire
<fans les délais réglementaires.
Les juges de paix sur le vu de ces certificats o nt ordo nné l'inscription des intéressés. Leurs décisions a ura ient été tout autre
en l'absence de ces doc uments.
Afin ct·é viter de tels errements, il m'a paTl1
indispensable de préciser la portée de l'alinea
171 de la Circulaire 4 14.
Je VOus sa urais g ré de Vouloir bien donner toutes instructions utiles à votre Secrétariat po ur que ces prescriptions so:e nt s trie.
tement obsevées à l'avenir.
JI. -
Moyens de propagande autorisés
1- R éunions électorales.
nOncer les réunions élcltorales ne limite nullement le nombre de ccs réunions .
-
b) Circulaires :
Chaqu e candidat ne pourra faire imprimer
et envoyer aux électeurs, avant chaque tour
de scrutin, qu'une seule circulaire de form.lt
21 X 24 cms (1). La rédaction de atte circulaire est laissée à l'e ntière liberté des can-
didats.
-
c) Bulletins :
La loi du 2 mars 1949 prévoit que chaque
ca nd idat ne pourra faire établir pour chaque
tour de sc rutin un nombre de bulletins de
vote supérieur à frois fois le nombre des
électeurs inscrits dans le canton.
Ils ne del/ront co mporter aucUn nom propre imprimé autre que celui du ou des candidats (2). Ceux qui ne seraient pas conformes à cette dispositions seront considérês
commt nuls lors du dépouillement.
IIJ. -
Moyens de propagande interdits
Tous les a utres moyens de propagande
imprimés so nt interdits par l'a rticle 3 oe
la loi du 2 mars 1949. Toute apposition et
d istribution d·affiches, circulaires et bullerins de yote, en dehors des conditions fixées
prél: édemment, so nt interdites.
Elles peuve nt être tenues dans les co ndi-
tions prévues par les lois -des 30 Juin 188 1
et 28 Mars 1907.
2" Panneaux élec toraux.
Dès l'ouverture de la propa ga nd e électorale, c'est-à- dire 15 jours avant la date du
sc rutin, les candida ts peuvent demander a ux
:\o\airies "attribution ete pa nneau x élec tora ux.
Aux termes de l'art icle 2 de la loi du 20
,Mars 1914, modifiée par la loi du 2 Avril
1932 les emplacements so nt attribués dans
l'ord~ e d'arri vée des demandes. Celles-ci
doivent ttre formul ées au plus, tard le hu itième jour ava nt Je premie r tour de sc ruti n.
Da ns le cas d'une ca ndidature nouvell e
entre les deux tours de scrutin, les pannea ux
devront être de mandés au plus tard' le mercredi qu i précèdera le seco nd tour.
3·' Document élel'foraux.
a) Affiches :
-
En vertu de l'arti el!;! 2 de la loi du 2 l'\\ars
1949, c haque candiùat st:' pr ese ntant aux
élections ca ntonal~s 3ura droit ùe faire
a pposer, ava nt chaqut" ro ur de scrutin, s ur
les emplace ments désignes par la loi du 20
ma rs 1914, delL, affiches électorales a u
maximum, do nt les dï mensions ne 'Po urront
dépasser cell es du fo rmat colo mbier, soit
63 X 90 CITIS. Ces affic hes pe rmettront a ux
ca ndidats d'ex poser leu r programme.
Il leur sera possible, en out re, po ur a nnon·
ce r la tenue des réuni o ns élec tora les, de fa ire
a pposer deux affiches du forma t 1 6 (o lombier. soit 2 1 X 45 cms.
Ces der niè res affic hes ne doi\'e nt co nteni r
que :
- la date ct le lieu Je la ou des rêu nions
étlectorales,
- le nom des orat~lIrs inscri B pour y
prendre la parole,
le nom du candidat.
IV. -
Sanctions
L'égalité entre les candidats que la loi a
en tendu réaliser ne se ra obtenue que si les
dispositio ns relatives à la co nfection et à lia
distributio n des docume nts électo rau x sont
régulièrement appliquées.
E n vertu de l'article 7 de la loi du 2 ma rs
!9i60.gg:;t fi:~~~b~~S d?~~n:m~~~~~~e~e~t~
6 jours il un a n de l'une de ces deux peines
seulemenf :
1" Toute personne aya nt enfre int les dispositions des a rticles 2 et 3 de la loi, c'està-dire :
- aya nt apposé o u fait a pposer un nombre d'a ffiches s up éri eur a u ma ximum a utorisé par ·la loi o u des affiches excédant le fo rmat prévu ; de ce fait t so nt interdites en
de hors des emplaceme nts réservés et du
nombre d' affiches auto risé pour chaque ca ndidat, les affiches ayil nt un des caractères
s uivants :
a) a ffiches po rtant a ppel
d lr~ct
en fan! ur
de ca ndidats, même si elles n'ernanent pas
de ca ndidats, rnaîs d' un g roupement quelconque j
b) affiches ne portant a ucun nom de candidat, mais so utenant o u comhattan t un
g roupement presentant des ca ndidats
c) affic hes ayan t trait, mêm e d'une mani~ re indirecte, à la situation électorale de:
la circonsc ription ;
d) affic hes sOlltenant des thèmes généraux
mais émanant soit d'u n groupement ou "d 'un
parti soi t d ' lI~e organisa tion affiliée, si ces
affidhes o nt pOlir conséq uence de rf'Corn(1) En fait, le format !'.Id,ndard de.: 21 X 27 cm.
)lou rra être tolért, le formnt 21X :24 a cté repris
dans la loi du :1 milrs parce qu·il fig urait dans
l'ordonnance du l i Olllut 1945, cn raison de li\"rai:ions. de papier de prO\'l:nanCc t trangère.
(2) Cette remarque n' c ~t valable que pour
�..,. . ~
-
6
pOllr adresser
au:\. t!lecteurs
tous autres
mander d'une l1Ianicre d irecte ou iraiirecte,
le vote pour ce groupement. ou _pa.rti.
- ayant distribué ou faIt dlstnbuer d e
cocuments que ceux énumérés audit arti cle.
Des instructions ont été trans mises aux
circulaires
Services de Po~ce et de Gendarmerie pour
que ces infrac tio ns fassent l'()bjet de procès-
t racts ou bulletms de vote, en
dehors d~ con<1ilions prévues par la loi
2 0 Toute personne qui se sera servie de
Ja franchise pré\"Ue à l'article 5 de la loi,
verbaux, qui
doivent
~ t re
R EPUBLIQUE FRANÇ A I S o/
8 No.. mbr. 1951
VO liS voudrez bien m'acc user Tt.oception d~
la présente Ci rc ul a ire.
----
1
délais a ux Parquers.
Po ur le Préfet et pa r délégation,
Le Secrétaire Généra l,
LAiMASSOURE.
oc,.
~~
AoaH . - N ' 45
. . 31)\ C'>
DËPARTEMENT DES BOUCHES-WU-RHONE :}
,Marsei lle, If 22 Septembre 1951.
t ransnlis sans
/--p
\
-
1
Recueil des Actes Administratifs
e t Bulletin des Mairies
T oute corr esponda n ce relative a u Rec ueil doit être adressée à la P r é fecture Secr étariat Général
A B H É V IATION8
A. P . : Arrêté préfectoral. - C. : Ci rculaire - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiq uent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des Services Technique.. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Di rection départementa le de la Population.
SOMMAIR.E
Arrêtés
régl~ ... taires
et Ctrculalre8
AG 13. -
Prog ramme dé partemental
de priorité de reco nstruction de biens
sinistrés . . . . •.. . • . . •. . '" . ....... '"
EN O. - Electio n des délégués des Instihttcurs et Institutr ices pu bliCS et
privés membres du Co nsei l Départementa l de l'E nseignement primaire ..
FS 7. - Prix de journ ée da ns les hôpita ux et hospices publics. Application
du décret du 19 octobre 1951, modifia nt le déc ret d u 17-4-1 943 po rta nt
Parcs
P:lieS
229
règlement d'administration
publ ique
pou r l'appl ication de la lor d u 2 1
décemb re 1941, relative a ux hôpitaux
et hospices p uWics . . . . . . . . . . . . . . .. 230
Textes d'Intérêt Général
229
AC 2. - Déc ret n' 5 1-1228 du 29 octob re 195 1 mod ifia nt le décret numé ro 47. 1171 d u 23 jui n 1947 rel atif
a u payeme nt pa r vi rement de compte
des dépenses de l'Etat, des collectil'ités et établissemen ls publics et des
services concédés .... .. . . ......
232
Pages
AC 3. - Circulaire po rtant instru ction
po ur l'app lication du décret n' 5 1-911
du 9-7-1 96 1, relatif à l'a llocation de
logeme nt et du déc ret n' 5 1-912 du
10-7-1 951 relatif a ux prêts desti nés à
l'amélio ration de l' habitat ... . .... 233
AC 3. - Calrul de la cotisatio n de Sécurité Sociale (appli ca~ion de l'a rticle
8 de la loi n' 5 1-1126 du 26-9-1 951). 235
Conununiquës, Avis, An nonces diverses
P S. - Décret de naturalisation rapporté .... . ... .... . . .. . ......... 23:'
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
AGI3
D581
PROGRAMME DEPARTEMENTAL DE
PRIORITE DE RECONSTRUCTION
DE BIENS SINISTRES,
Par a rrêté du 22 oelob re 195 1, pris sur
propositio n de M. le Délégué Départementa l
ùu Mi nistère de la Reconstr uction et de J'Urbanisme, et après avis de la Sous-Comm is-
,
Copie certifiée conforme :
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
sio n Dépa rt ementale des P riori'tés, chargée
de déte rminer l'ur gence de reco nstitutio n des
biens sinistrés, un certai n nombre de prioritaires ont été ad mis dans te programme de
priorité de reco nstr uction pour 1951.
Les listes des sinistrés reconnus prioritaires sont affich ées à la porte principale de
chaqu e Mai ri e intéressée et peuvent être
Co nsultées à la Préfecture, 5e OÎ\"ision, 1er
Burea u o u da ns les Bureaux de M. le Délégué Dépa rtemental du Ministère de la IleConstru ctio n et de ,'U rbanisme, 50, r ue SainfLaza re, à Marseille.
Po ur le Préfet,
Le Secrétaire Général déf~gIH\ :
LAM ASSOURE.
----0..,.,,----
D4 B3
EN 0
ELECTION DES DELEGUES DES INSTITUTEURS
ET INSTITUTRiCES
PUBLICS ET PRIVES MEMBRES DU
CONSEIL DEPARTEII1ENTAL DE
L 'ENSEIGNEMENT PRIMAIRE.
ARRETE
Le Préfet 71es Bouches-du-Rh6ne,
Officier de la Légion d' honneur,
Vu les a rticles 4-1 el 45 de la loi d u 30
octobre 1886 sur ('organisation de l'Enseignement primaire j
Vu le décret du 12 novembre 1886 porta nt
règle ment d'administ ration publique pour la
dési O'nation des membres électifs du Conseil
Dép:rtemental de J'Enseignement P rim aire ;
Vu la loi du 14 juillet 1901 modifia nt l'article 44 de la loi du 30 octobre 1886 ;
Vu le décret du 12 novembre 1886 modifié
par les déc rets des 5 février 1899, 27 j uin
192 1, 8 février 1922, 10 juillet 1925, Il avril
et 4 décembre 1928 ;
Vu la circu lai re ministérielle en date du 9
oelobre 1951,
Su r la proposition de Monsie ur le Secrétaire Géné ral,
ARRETE:
Article premier. - L'élection pour le renouvelleme nt des dé lég ués des institldeurs et
instit utnces publics et privés,
sont
lés à fai re partie du Consei l Départemental
de l'Enseignement Primaire des Bouches-duRhône est fixée au Lundi 3 décembre 195 1.
Si un deuxième to ur de scrutin est nécessaire, il aura lieu le lundi 17 decembre 1951.
Article 2. - Cette électio n sera faite s ur
les listes électoral es dress ées en exécu tion
des articles 2 et 5 du décret du 12 novembre
ISS6 et d u 4 décembre 1928, pUOliées dans le
supplément du Bulletin départemental d.
l'enseignemen t primaire de janvier 1951 portant tableau ùe classem~nt du personnel.
Les caté~o ri es d'électeurs sont au nombre
de f rais :
l ' Les instituteurs publics (2 délégués à
élire) ;
2' les institutrices publiques (deux dél<guées il élire) ;
3" Les membres de renseig nement prive
(deux délégués il élire).
L'élection Cl lieu au scrutin de liste. Prennent part au vote tOllS les institu1eurs et
institutrices publies en jonction en janvier
1951, dont la liste a été publiée au supplément du Bulletin Déparlemental de janvier
1951, à l'exception des instituteurs ct institut r ices en congé de longue durée - des détachés dans d'autres administrations ou services - des réintégrés postérieurement au
mois de janvier 1951 et des retraI tés.
Article 3.
Sont
�-
230
ces titulaires. pOliT l 'enseig nem~nt pri\"f~ tous
les instituteurs et institutrices pri\"l~s.
Article ..J. - Le jou r fixé pour ('élection,
chaque tleèteur enfermera son bulletin dE'
,'ote
dê111S
une em'eloppe cacheté qui ne por-
tera ni suscription, ni signe e:dérieu r. Cette
em'eloppe cachetée sera elle-même placee
sous ulleseconde em'eloppe cachetée, portant extàieurement c. Conseil DépartementaJ - Elections Jo,
C~ pli, accompagné d'une réquisition de
l'électeur sera remis à la poste à l'adresse
du Pndet et recommandé, le 3 dJcembrc
1951 ci le 17 dJcembre. si un deuxi~me tOUT
de scrutin est nécessaire.
Arli:le 5. - On suin3 pour les élections
les rè~les tracées par le décret du 12 novembre 1886 .. Le . dépo~i1lement des votes
aura lieu le Jcudl 6 aéL'embre 195 1, à 15
heurt:s , à la Préfectu re (salle du Conseil de
Préfectu re), et pour le deuxième tOu r de
scrutin, s'il y a lieu, le jeudi 20 décembre
1951, d~ns le même local, à la même heure.
Article 6, - Monsieur le Secrétaire Générai, Mon ieur l' Inspecteur d'Académie et
Mess iellr~ les Maires sont chargés, chacun
en ce qUi les concerne d'assurer J'exéc ution
du pn:sent arrêté, qui sera inséré au Bulletin Dëpartemental de l'Enseignement Primaire d'octobre 195 1.
Ma rseill e. le 29 octobre 1951.
Le Préfet "
René PA IRA.
-------<~oo< > ------_
D382
FS 7
PRIX DE JOURNEE DANS LES
HOPITAUX ET HOSPICES PUBLICS
Application du décret du J 9 OctObre
J951, modifiant le décret du Iï Avril
1943, portant règlement d'Administration
Publique pour l'application de la loi du
21 Décembre 1941 relative aux Hôpitaux
et Hospices Publics.
N ' 183
Paris, le 24 octobre 1951,
L e Minis/re de la Santé Publique e/
de la PopUlo/ion
à AW. les Préfets,
Molt, les Directeurs Départementallx
de l a Populo/ion e/ de fEn /r'aide
sociate,
AIM, les Directeurs Départementaux
de la Santé,
J'ai rhonneu r d'appeler de
façon
toute
~arh culrer~ votre attentio n Sur les disposi-
tions du decret d u 19 octob re 1951 modifiant
le décret du 17 avril 1943 portant' re " lement
d'adm jn i,~t ratjon publique pour r appiication
de la 101 du 21 décembre 1941 relative aux
hôp itaux et hospices publics. '
Ce texte dont les prescr iptions doivent servir de ha,se pour ,le calc ul des pri x de j ournée applicables a compter du 1er janvier
1952, appo rte de serieuses modifications aux
règles aduellement en vigueur en l a matière,
JI ne parait pas inutile d' en commenter les
dispositions essentielles, afin de permettre
aux administrations hospitalières, aux co r ps
de contrôle et aux autorités de tutelle d'établir, de \'érifier '
en toute connais-
A. - MALADES PAYANTS. -- VIEILLAIWS PAYANTS.
l ' Malades pal'ants.
Article 22, - Les modific3t~on:s apportées
à l 'article 22 sont de deux orures
1" Les conditions d'aumlssion des malades payants dans les trois catégofÎes ne so nt
plus cummandées pa r les ressource s des interesses, Tout malade paya nt entrant à l 'hôpital est admis en t rOIsIème catêgo rie, sauf
s'il ù~rnande à bénéficier des co nditions mat~ r ielles des Jeuxième et premi ère catégories,
lorsque celle-ci existent bien entendu,
Les malat,h~s payent alors :
a) s'ils ne sont pas pris en charge par un
tiers payeur, les pri x de journée afférents â
la catego rie qu'ils ont choisie,
b) s'ils ne sont que payants parti~ls, la
diffërence entre le ta rif de r embou rsemènt
de l'organisme riers payeur et le prix de
journëe de la catégo r ie quils unt choisie,
Par ailleurs, il est signalé que si l'hospitalisation dans une chambre normalement
attri buee aux malades de~ 1re et 2e categones est (ommandée par l'etat du malade, celui-ci ne demeur e tenu qu'au \'ersemen't du
prix de j ournée de la catégorie à l aquelle
il appa rtenai t â son entrée à J·hôpital. Le
jour où la nécessité d'isolement, pou r raisons médicales, disparait, le malade est placé
en 3e catégor ie, à moins qu'il ne demande
expressément à être maintenu en 1Tt ou 2e
catégo rie.
2" Le prix de journée des malades payants
de 3e catégo r ie n'est plus, comme précédemment, ca lcu lé en majorant le prix de revient
de JO % , mais doit être égal au prix de journée de l'Assistance Médicale Gratuite, fixe
p.:!r arrêtt- préfectora l, compte tenu de l'inco rporation du déficit ou de la déduétio n de
l'excédent de re cettes des exercices antérieurs,
Les autjes dispositions de l'article 22
nouveau sont claires par elles m~m es et
n'appellent pas d'obsen'atio ns spéciales,
Articles 24 e/ 29. -- Ces deux artic;es
SOnt ab rogés purement et simplement, leurs
<hspositions ne se trouvant plus justifices
du fait des modificatio ns introduites par
le noul'el article 22.
2'-' Vieillards payants.
Articles 33 et 3-+, Les noU\'elies diS-
positions de ces articles r elatifs a l'admis~ion en Hospice des vieillards, infi rm es et
Incurables s'inspirent des mêmes principe3
que ceux qui ont abouti à la r édactio n de
j'article 22 npu\'ea u,
,
B. - CALCU L DU PRIX DE REVIENT.
,Les but,s essentiels dcs r éformes appo rtees au Titre V du décret du 17 al'ril 1943.
ont eté, d'une part, de mettre ce texte en
harmonie a\'ec les dispositions de l'ordonnance du 18 Décembre 194-+ et,d' au tre part,
de pa!lier I~s inconvénients résultant poula Tresorene et l'équilibre llnancier des
prescriptions de
hôpitaux des nouvelles
"article 22, Prix de revient prévisionnel.
Article 229. -- Le nouvel article 229
détermi,ne les modalités de calcul du ,pri x
de reVient prévisionnel conformément aux
dispositio ns de l'ordonnance du 18 Décembre 1944, modi fications quI n'a vaie nt pas
encore été introd uites dans le règlement
d'administration publique,
D'une façon génér ale, l es dispositions du
nouvel article 229 repr~nnent les termes de
229 et n'a ppellent p'as. d'obse rvations spéCiales, ToutefOIS, J atti r e particul ièrement
\'o tre at.tentiol~ sur l'alinéa 2 d~1 'pa ragraphe ~, ,3e, qUi permet a ux Admllllstrat ions
hospltailèr es qUI ont pu ou pourront CO nstitue! un fonds de ro,ulcme nt par le moyen
de 1 emprunt, de comprend r e dans le prix
de re\'ie llt les annuités de cet emprunt. Pal
ailleurs, le prix de revient doit comporter
également les annuitcs des emprunts COntractés pour faire face aux tra va ux d'aménagement réguli èrement appro uvés sans
q u'i l soit nécessai re de reco urir à l'a utorisation spéCiale pr évue par l'article 229
6me, § 2 d u décret du 17 Av ril 1943. Enfi~
il convie nt de noter qu'en vile du calcul de
l 'excédent o u de l a moins va lue des restes
en magasin ai nsi qu'il est dit à l'article
229 C § 4, les établissemen'ts hos pitaliers
denont ad resser avant l e 15 jan vie r. il. la Di.
rection de la Population et de l'Entr'aide
Socia le un état des r estes en magasin au
3 1 décem bre précéde nt.
Art, 23 1.
E ntretien, grosses reparations, am éliorations
L'a rticle 231 du décret du 17 al'Ci l 1943
preCisa it que « les g rosses réparations aux
édifices hospitaliers entrent en compte, non
pou r leur mo ntan t annuel, mais pour la
mo yenne annuelle de leur mo ntant totalisé
pend ant les d i x~ dernières à'n"n'é"es »,
Cette dispositio n ent raînait une gêne co n·
sid éra ble de la trésorerie des hôpitaux, ca r
elle co ntraignai t ceux-ci à payer immédiatement des dépenses SOll\'ent fort él evées et l
qui n'étaient compensées en r ecettes que sur
une période oe di x ans,
Le décret du 19 octob re 195 1 modi fie cet
état de choses et stipule q ue « les crédits
affectés aux dépenses d'entretien, de grosses
r épa rations et d'améliorations dûment autorisées pour les besoins cou rants du servi ce
pell\'ent être comp ris dans l e calcu l des pri x
de revient, dans la l imite d'un pourcentage
des dépenses hospitalières ordin ai res. Le
montant de ce pourcenta ge se ra fixé par arrêté.
II en résulte que les administrations hospi'talières doivent établir avec le plus grancf
soin, lors de l'élabor ation ci e leur budget
primitif, le programme des Travaux de grosses r épa rations, entreti ens et am él iorations
courantes, afin de pou\'oir incl ure les dépenses pour leu r totalité dans ies éléments
co nsti tutifs du prix cie revient, A ce sujet,
il convient de tenir compte des trava ux exécutés en régie (personnel et fournitures) et
des travau x effectués par des entreprises,
Le pourcenta ge qui semble devoir êt re retenu après une enquete semble devoir êtr,e
de l'o rdre de 10 p. 100 des dépen ses hOSP'tali ères ordinaires pour l es établi ssements
dont une majeure partie des constructio~s
et des aména gements a été édifiée dep UIS
moins de 40 ans et 12 p. 100 pou r les établissements dont l'ense mble est plus âgé.
Il s'aO'it là bien en'te ndll de plafonds et
non d'li; taux obligatoire et il appartiend ra
ce que
aux auto rités cie tutell e d e veille r
ces plafonds ne soient atteints qu'en cas
d'absolu e nécessités dûment justifiée, not ammen't tant qu e les annuités re stant à incl~l re
au titre des dispositioJ1s de l'art. 23 1 an,clen
continueront â peser sur le prix de revient.
Sauf circonstances exceptionnelles et souSréserve de la co nstituti on justifiée du fonds
de provision dont il est question ~i-ap rès,
devront être senSiblement
a
231
égaux à ce ux obser vés au cours des années
precedentes.
Par ai lleu rs, j'appell~ également vot re attention sur l es dispositi,9n ~ de l'al inéa 2 de
l'article 23 1 ~o\l\'eau ai nSI c? nçu, : ,c: Dans
l'h ypothèse o u les dëpenses a prevol( à ces
clivt'rs titres Il'atte! n ~r~ l ent pas le pourcenta O'e auto r isé, l a dlfference po urra cf re égale;lent co mpri se dans le calcu l e.I1, vue de
son affectation à Ull fonds, de provIsIon, pour
entretien grosses réparati ons et amelloratians co ~ran tes, D~ même. à la clôture de
l'exercice, les créd its ouverts a l! bud~et ~1l
vue de 1, réa lisation des dépenses de 1 espece et r.'ayant pas do nné lieu à de~ ~ n gage
mellts I~qur tra \'aux po u rr~r1~ aussI ctre af·
fectés à ce fo nds de prOVISiOn .. , >,
Il s'agit là d'une mesure tendant à ~v iter
une fluctuation anorm~le d,ans le,s pr,lx, de
journée qui proviendrait d unc JOsc ~lpholl
import ante de credits pour un exercice en
rai son de travaux à eff~ctuer pendant cc
délai, alors que les exerclœ~ pr,écédents , ou
suivants ne comporteront a, ce chapI~re
qu'une somme ,relativement falbl~, ,En p,nncipe, il apparti endra aux aUm1l1lstratlo ns
hospitali res de dresser chaque anné~ ou~re
le plan des opér ati,o ~ s. de l'a nnée ellVlsagee,
un programme p~evlsl? nnel de grosses réparations et, amélioratlon~ portant sur, pll~
sieurs exerCices (5 au mOIns) de faço n a repartir les dépenses afférentes sur l 'e n~em? le
de cette péri ode et permettre la constitutIOn
d'un fonds de provis~'Ofl, Cette faço n d~ procéder présente ce r ta inement que l~lu es lI~co n
vénients en pér iode d'instabilité economlque,
mais elle paraît êt re 10. se~le, susceptible
d'ét'iter de trop grandes va riatIOns dans les
prix de journée,
L' arrêté interm inistériel prévu à J'alinéa
1er de l'article 2j l vous don nera toutes indicat ions sur l es conditions de fonctionnement de ce foncls de provision, ainsi que
sur les taux maxima des pourcenta ges applicables, Les indications que je ,'o uS ai données ci-dessus vo us permettront sans attendre l'interventio n de l' arr èté actuellement
soumis à la signature des ministres in!cTessés d'établir l es pri x de revient préVISionnels pour l' exe rcice 1952.
Art. 232, _
sionnelles :
Nomb re de journ ées prévl-
L'article 232 nou veau reprend les dispositions du décret du 17 avril 1943, en y in,troduisan t quant au nomb re de J oul n ée~ a
Tètenir pour l'exe rcice suivant, les modalités
de l'ordonnance du 1S dëcemb re 1944,
Art. ~~~5 ancien, _
pondent plus à la réa li té. Je citerai à titre
d'exemple les dépenses pharmaceuti ques ca lculées dans un établissement dont la comp tabilité a permis de dëgager ae façOn ri go ureuse des pri x de revient Ipar service : ce lles-ci se r épa r tissent de la manière suivante :
Hospice : 8,59,
Médecine : 215,26,
Chirurgie : 19S,64,
Nous som mes évidemme nt loin de la proportion l , 3, 6 de l'article 235.
, Dans ces conditions, il a été décidé
d'abandonner définitivement la formule Il'' 2,
Ainsi à l'ave nir, i l devra être établi un
prix de revie nt pa r ser vice, ou se r vices similaires basés non pl us sur un fo r fait approx imatif et trop souvent sa ns lien a\'ec la
réal ité mais sur des dépenses réelles,
Sans doute, un certain nombre de dépenses ne pourront-elles être encore que ventilées de façon forfaitaire, mais des éléments
d'appréciation ptrmettront de serrer de
beauco up plus près la réalité, C'est ainsi
que les dépenses d'admi nist ratio n générale
dev ront être réparti es sur l a base du mouvement des hospi talisés, le cnauffage au
mètre cube affecté à chaq ue service et au
temps de chau ffe dans l'an née. l'éclairage au
nombre de watts en utilisatio n ou au mètre
cube éclairé, l e blanchi ssage au kilog de
lin ge, etc .. "
Ainsi il se ra possible de dégager, sinon
avec une rigueur absol ue, du moins a\'ec une
une approximation satisfaisa nte, les prix de
revient et, partant, les pri x de journée fixés
jusqu'ici avec plus Ou moins d'a rbitr ai re
dJns des sen'ices tels que convalesce nts, se rvice de réadaptati on fonctIonnelle et professionnelle annexés à certains hopitaux,
T outefois, à titre transitoire et pour l a
seule année 1952 j'admettrai, compte tenu
de l' inten'e ntion tardive de la présente instructi on, que les établissements qui se verraient dans l'impossibilité absolue d'appliquer la formule nO l , soien t autorisés à calcu ler leur prix de journée selon la formule
forfaitaire prevue par J'articre 235 ; même
dans ce cas d'ai ll eurs, il co nviend ra d'all é('fe r au m èlx i~um les cha rges de l'hospice en
~e qui con cerne les dépenses de la section V
(notammént les dépenses médica les).
C, - Calcul cfu prix de journée, - L 'article 235 déter mine les éléments ajo utés aux
prix de revie nt, pOli r obteni r les prix de
journée ue J'exe rcice envisagé.
1 Fonds de prol'ision pour créances irrecoul/rables :
0
Suppression de la for-
mule forfaitaire :
L' artiLie 235 du déc ret du 17 avri l 1 9~
déterminait un calcul forfaitaire des prix de
revient lorsq ue la compt abilite de l'etablissement ne permettait pas de d~gage r le priX
de revie nt par ser vice, Cerre formule, CO I.1nue SOus la dénominati on de fo rmule n" 2,
devai t en prinCipe constituer un cas excepti onnel. Or, l'expérience a J11ont r~ que cet~e
exception est devenue l a rè gle a peu p res
générale et rarcs so nt les établissements
compo r ta nt plusieu rs services non si1l1i l air~s
qui uti lisent la formule n° l, ca lcu l clu pnx
de revient pa r service, Cette i nterprétation
des textes co nduit il des anomal ies choq uantes, Les services d'hospice supportent une
charge beaucou p trbp lourûe notamme nt en
c~ qlli co ncerne les dépenses médi ca les, Par
allle~rs, le taux de répartiti on fixé ,entre les
services de médecine et de chirurgie ne ré-
Quelle que soit la diligence manifestée
pa r les receveurs hospitaliers, certains ti tres
de recettes doÎ\'ent ttre annules pour des
motifs tels que l'inso lvabi lité du débiteur
qui néa nmoi ns n'a pu être pris en, c~a r ge
pa r une collectivité quelconque, l a decheance
opposée par des tiers payeu rs p~~1T des dossiers restés trop longtemps en iJ h ge , etc .. ,
Ces pertes se trOliVaiel,1Ï jusq,u'ici compe~
sés par les fo nds suppl ementaIres apporte:;
par les ma lades payants, Une enquête a
pcrmis tle dt!termine r que le monta,nt des
créanccs irrécouvra bles ne dépassait pas
d' une façon O'énerale 0,5 à 1 p, 100 des dépenses hospitali ères ordina ires, ce dernier
taux étant déjà exceptionne l.
Le décret du 19 octob re 195 1 a retenu
ce chiff re, mais les autorités de tutelle dc\'ront là cncore prendre référence aux an-
nées antérieu res avant de fixer le pourcentage à inclure au prix de journ!'e,
Pour les t=:tabl isseme nts où ce chiffre est
dépassé, il y aura lieu de reche r che r les
causes de cet état de choses soit auprès de
l'Admi nistratio n hospitalière, soit dans Je
fonctionnement des recettes des hôpitaux et
hospices,
En tout état de cause, J'admission en non
va leur devra être prononcée dans les fo rmes r églementaires et ap r~ s que tous les
moyens de droit auront éte (-puisés pour
obtenir les paiements, Un cont rôle rigoureux des autori tés co mpétentes devra s'exerce r Su r te point,
2° Conslifution du fonds de rOlilement :
,L'arrêté interministéri el du 28 jui n 195 1 a
fix é à 5/ 12 de la moyenne des dt:penses ordinaires des t rois derni ères années le monta nt maximum du fonds de roulem ent.
Celui-ci peut à l'heure actuelle, être constitue de trois manières différentes :
a) Par l'affectatio n du tiers des excédents
de recettes de l'exercice c1 t',s confo rm ément
aux dospositions de l'art icle 2 de l'ordonnance du 18 décembre 1944.
b) Par la voie de l' emp r unt dont les annuités seront comp ri ses dans le ca lcul du
pri x de revient conformement à l'article 229
nouveau § 3,
e) Par une majoration du pri x de journée,
accordée par l'autorisati on pr éfectorale après
avis clu Trésorier G(>neral et du D,D,P, et
de l' Entr'ai de Sociale.
Le premier de ces moyens n'appelle d'autre obsen'atio n que le rappel des prescriptions de la ci rculaire n" 123 du 2<3 juin l D5 1
notamment quant à la détermination de l'excéde nt de recettes,
La constit ution du fonds de roul ement par
la \'oie de J'emprunt doit être une procédure
tout à fait exceptionnelle, En tout état de
cause, et sauf pour les emprunts qui ont
déjà pu être réalisés il ce titre, le montant
de l'emprunt devra ètre l imité de telle so rte
que la majoration du prix de rerient découlant de l 'inclusion des annuités du dit emprunt ne dépasse pas le pOl,1 rcentage qui
doit être fixé en vertu des dispositions de
l'arti cle 235 bis. du déc ret du 19 octob re
195 1.
En r aison de l'intérêt que présente pou r
l a gestion des hôpitaux l a présence d'un
fonds de roulement (achats au comptant,
marchés passés dans des conditions meilleures .. ,) et devant la préŒrité des moyens
admis jusqu'ici légalement (excédents de recettes) ou par une interpretation large des
tex tes (emp runts) il a paru indispensahl~ de
pré\'oir des modalites nouvelles à c;e 5uJet.
L'article 235 bis atlmet donc que le prix
de re\-ient pourra t?tre majoré d'un certai n
pou rcentage en \'ue de la constitution du
fonds de rou lement,
Le taux de ce pourcenta~e n' a pas enc<?re
été fixé définitivement. Toutefois, il titre Indicatif. et pour ne pas reta rd er la, mise !lu
point des pri x de journl'C, de l'exerl'Il'f 19.)2.
je vous sig-nale que le chiff re retenu comm e
plafo nd se ra de l'ordre de ~ p. 100 des dépenses hospitalières ordinaires, ,
11 VOliS appartiend ra de déterminer le taux.
applicable à cl'laque é tahli ss~m~nt e.n exami nant notamment dans les Ilmlh;s du plafond maximum fixé par l'arr êté du 28 juin
195 1 ci-<lessus visé, les fa cilités de trésoreri e dont il cispose compte tenu en particu"
lier des
de la dotation,
�0, - Fixation du prix de jourm'f :
Les modifications apportées au chapitre Il
du Titrt! Y portent e..xdusi\~emenl sur la
procédure de fixation des priX ùe Journée.
En \'u~ d'ab réger dan s toute la mesure
du possihle les délais nécessaires à la tran~
mission des dossiers aux diffërentes autorltes interessees, les propositions des. Com.missions Administrati\'es seront adressees directement au Directeur Départemental de la
PopulaLvn et de l'Entraide Sociale.
CeIUl-,'i établi ra son rapport et form ule ra
son :iris <l\'ee toute la diligence nécessaire
pour permettre au Préfet de !lxer avant le
1er janvier suivant les p rix de journée da ns
les dlltuents établissements du Dépa r tement.
11 C{)nÙ~Ddra .i ce sujet de rappeler une
tOIS d~ plus au,\. administrations hospitalières qUt: leurs propositions devront être
adn:sscd .a la Direction de la Population et
Je l'Entra ide Sociale pour le 1er norembre
au plus tard.
Par a.ill~u rs, jïnsiste sur le fait que le
dossier deHa comprendre les pièces justificatives sui\'antes :
1 Le dd:ompte des prix de re"ient pour
l'ann ... t: précédente ;
2° Le décompte des prix de revient du
30 jUin de l'année en cours.
Ces documents devront a\'oir été au préalable c-ontrôlès par la Direction Départemental e dt la Population et de l'Entraide
Sociale apres visite sur place et e...'\':amen de
la comptabilité.
Il en résulte pour chaque aablissement
J'obligation d'établir et de soumettre les calculs des prix de redent réel de l'année
précédente il la Direction de la Population
et de l'Entraide Sociale dès la clôture de
l'exercice et au plus tard le 1er mai.
Quant au décompte arrêté au 30 juin .de
l'année en cours, je n'ignore pas que ce dernier point nécessitera peut-être dans certains établissements un surcroit de tra\'ail,
mais il me parait indjspensabJe de suivre,
notamment dans une période d'instabilité
économi\luc, la cou r be des prix de revÎe nt
de façon aussi rigoureuse que possible. Ce
sera la d'ailleurs le seul moyen de donner
sa pleine efficacité a ux possibilités offertes
par l'ordonnance du 18 décembre 1944, de
ré\"isi on en cours d'a nnée, et chaque fois
que besoin en est, des prix de journée en
ligueur.
Il est it noter également que l'a,;s du
Conseil Départemental de l'Assistance PuNique et pri\'ée n'est plus requis à compter
de rinrenention du décret du 19 octobre
1951.
E. -
Dispositions. comptablts
Les dispositions de l'a rticle 243 bis du dtcret du 19 octobre 1951 o nt essentiellement
pour but de permettre l'introduction dans
les établissements hospitaliers d'une nouvelle comptabilité mieux adaptée à la forme
actuelle de l'exploitation hospitalière.
L'hôpital a déjit perdu en grande partie et
perd chaque jour da"antage le caractère
charitable qui lui a généralement senri de
base. Il est devenu un établissement dont le
caractère industriel et commercial s'affirme
de plus en plus.
Des expériences sont actuellement en
eours en ''lie de dégager les éléments essentiels d'une nouvelle méthode eomptable
basée Sur les dispositions du plan comptable
Les disposilions de I"article 243 bis doi \'enl s'appliquer, d'ores et déja, a ux étabil ~
sements qui se rrent actuellement de terralO
d'expériem:e.
Quant aux autres hôpitaux et h.ospices; il
cOD\'ie ndra de rechercher, dans le cad re aCtue l les moyens de fai re ressorti r au mieux
des 'possibilités d'une comptabilit~ illadaptce,
les èlements essentiels en Vut: de suivrel'é\ olutio n des prix de revi en t au co urs de
l'an née. Il est nécessai re notamment à (~
sujet de ne pas se base r uniq ueme nt s ur les
ù~penses reellement effectuées, mais de te nir
compte également des crédits affectés à lies
achats de stocks pour l'année: charbon,
textiles. Le montant de ces depenses si elles
SOnt dejà effectuées doivent êt re réparties
par douzièmes, si eUes demeurent à faire,
I?:tre é\'aluees approximativemenr et prises en
co mpt~ ~"gaJement pa r douzièmes.
Par ailleurs la dotation doit faire I"objet
d'un budget et de comptes spéciaux annexes
au budget et compte de l'établissement.
Compte tenu de l'époque tard ive it laquelle inten'ient Je décret .modlfiant Je rcg lement d'administration publique du 17
anil 1943, il sera peut-être difficile de suÎne cette prescription, aussi à titre transltoi rel je serais disposé à admettre que pour
1952, les budgets et comptes ne soient pas
modifiés dans certains étaotlssements. Toutefois, même dans ce cas, toutes mesures
de\'ro nt être prises de manière à dégager
clairement les recettes et les uépcnses de la
dotation. Le compte administ ratif devra égaIement faire apparaître les excédents ou déficits de cette dotation.
Les autres dispositions de I"article 342 bis
intéressent essentiellement les établissements
déjà dotés de la nouvelle comptaoilité.
:.
Les prêsentes instructions
doi\'ent \'O Ubo
permettre d'ap~iquer les principes nouveaux
introduits pour le calcltl des prix de journt:e
par le dé<:ret du 19 octobre . 95 1.
Il n'y a pas il se dissimuler que les nOuveaux prix marqueront cerrainement une
hausse sensible par rapport a ceux de 1931.
Dès il p résent, on peut estimer que"le cottficie nt du coüt de la vie sera, pour les dépenses courantes, supérieur de "1 p. 100 pa r rapport au ni \'eau d'août dernier. D'un autre
côté, les réce ntes mesures prises en fa\'e ur
du personnel ne manqueront pas d'a\'oir une
incidence sensible sur les fraiS de séjour.
Mais comme par le passé, et avec plus de
ri gueur encore, il conviendra de veiller à ce
que ces prix de journée soient détermines
arec le souci de la plus stricte économ ie
compatible a\'ec la bonne marche d'un éta~
blissement hospitalier afin que l'incidenl'C
des hausses inévitables soit réduite au O1i-
:.
Vou voudrez bien donner à la présente
instruction toute la diffusion souhaitable notamment auprès des administrations hospit aüt:res. j'attacherai du prix à être tenu informé des difficultés que vou~ pourriez rencontrer pour l' application de ces mesures
nou\'elles.
...
Les points sllr lesquels les modifications
al'Po rté.s par le décret du 19 octob re 1951
au décret du 17 a''ril 1943 appellent des
(c,mmt::ntai res particuliers en ce qui concerne les modalités de calcul du prix de jour-
-
blissements de c ure a ntitu be rClJlleux, fero nt
l'objet d' Instructio ns . . complémentaires qUI
\ 'OUS pan'ie ndront sous le timbre de la Di.
rection de l'Hygiène Sociale.
Le Minis tre,
Pou r le Ministre et par délégaholl
U Directellr dll Cabinet,
'
Jea n LE. VER T .
•
HXTES D'INTERET GfNEBBL
Circulaires concernant plus spécialement
l es Atfminis:ra1ions de l'Etat
D2 B2
AC 2
D ECRE T N ° 51- 1228 DU 29 OCTOBRE
195 1 M O DIfIAN T LE DECRET N"
.t7.1171 DU 23 JUIN 1947 RELATIF
AU PAY EMENT PAR VIREMENT DE
CO MPTE DES D E PENS E S DE L'E,
TAT,
DES
C OLLECTIVITES ET
ETABLISSEMENTS PIJBLlCS ET DES
SERVICES CONCEDES.
Journal Officiel du 1er Novembre 19j1
page
10.863
Le Président du Conseil des
Mini~tre!',
Sur le rapport du Vice-Prés ident du Con·
seil. ministre des Finances et des Affaires
Econ.omiques, du Ministre du. Budget, du M"
nist re de l'Intérieur et du MInistre des Pos·
tes, Tél égrap hes et Télephones .;
t
Vu l'.article 1e r de la lOI vahdee du 22 oc·
tobre 1940 relative au règlem ent par ch~
ques et vi;ement, modifié Ipar l'article 7 de
la loi validée du 1er février 1943, par l'art,·
cie 1er de I"ordonnance du 26 octobre 1 94~
par l'article 162 de la loi n° 46-2154 du 1
octobre 1946. par l'article 92 de la 101 n
48-1516 du 26 septembre 1948, par l'article
23 de la loi n" 48-1974 du 3 1 décembre 1948
et oar rarticle 22 de ta loi n° 51-592 du 24
mal 1951 ;
"
Vu le décret n° 47- 1171 du 23 juin IMI,
relatif au payement par virement de compre
des devenses de l'Etat, des collectivités el
établissements pu'blics et des sef\'1ce~ conc~
dés, modifié par l'article 1er du, de~ret n
49-54 du 14 janvier 1949 et par t arllele 1er
du décret n 49-641 du 3 mai 1949 ;
Vu le décret n° 48-359 du 2 mars l!l4a
relatii au payement des dépenses de l'Etal
par chèques tiré s ur les comptahles ~SSI f!tY.1:
taires. mod ifié par l' a rticle 1er du. decre l n
49-65 du 14 janvier 19-19 et .par 1 artIcle 1er
du décret nO 49-642 du 9 mai 1949 ;
DECRETE:
Les deux premiers ali"
neas de ra rticle 1er du décret n° ./7-1 11/
du 23 juin 1947. modifiés .par J"a rtide 1er du
décret n° 49-64 du 14 janvier 1949 et par
l'article 1er d; décret n° 49-641 du 3 nl1 1
1949 sont modifiés comme suit :
« 'Article 1er. - Les dé.penses de loyerS,
tratl'Sports, se rvices fournitures, travaux OU
afférentes à des acquisitions sous quel9 u:
forme que ce soit. d'immeub les Q II d'obJe L
mobiliers lorsqu'elles dépa ssent la somme
de 100.000 francs ou ont pour objet le pay~:
ment par fraction d'une dettc .globale S"~e
rieure à ce chiffre, et acquittees pour
com pte de l' Etat, des collectivités et éta.b ~~
sements
ou des Services . concéd
sont
-payées par VlrLment .
Article premier. -
r-
de
233
.i un compte o uvert chez un comptable d u
Trésor ou da ns .une ba nque. T? utefois, p~ ur
les rè"'lcme nts effect ués aU profit des nota ires
Je m; ntallt minim um de 100.000 francs est
porté à 200.000 francs.
c: Les dépe nses de t raitements Ou de salai re, a la charge de rEtal, des collect i vi~ et
établ isseme nts publics ou des serv ices concédés, 10'r5q ue le mo ntant net du traitement ou
du salaire dépass~ la s.omme de. IOO.?OO
francs polbr lI ll mOIs entler l sont obligatOirement payés par virement .de compte. Le m?nta nt me nsuel net des t raltemenu; Olt sala ires
s'obtient e n déduisant de ~ emo l l1mell~ bruts
les retenues pourr le se rvice des penSIO ns et
les cot isatio ns de sécurité sociale; dans les
émoluments ne sont pas comprises les prestations fami liales ni, d' une façon gé~érale,
les indem nités allouées en compensation de
charges effectives. ])
Arl. 2. - Le Vice-P.rés'dent du Conseil,
ministre des Finances et des Affaires Economique~, le Ministre d.Ll. Budget, le Minist~e
de l'I ntérieur et le Minist re des Postes, Telégraphes et Téléphon.es sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent décret, qui sera pubJ.ié ~u journal
Officiel de la Rép"blique FrançaISe.
Fait il Paris le 29 octobre 195 1.
R. PLEVEN.
Par le Président du Conseil des Mi nist res.
Le Vice-Président du Conseil,
Ministre des Finances
et des Affaires Econollûques
René MAYER.
Le Mi1listre de l'Interieur "
Charles BRUNE.
Le Mini stre du Budget
Pierre COURANT.
Le Ministre des Postes, Télégraphe s
et T éléphones:
Roger DUCHET
Le Secrétaire d'Etat à l'Inférieur
Anàré COLiN.
----c::.oo<:.' - -- -
D2 B2
AC 3
CIRCULAIRE PORTANT INSTRUCTION
POUR L'APPLICATION DU DECRET
N° 51-911 DU 9 JUILLET 1951 RELATIF A L'ALLOCATION DE LOGEMENT ET DU DECRET N' 51-912 DU
ID JUILLET 195 1 RELATIf AUX
PRETS DESTINES A L'AMELIORATION DE L'HABITAT,
N° 81-22 B/5
Paris, le 13 octob re 1951.
Le Ministre du Budget,
à MM. les Ministres et Secrétaires
d'Etat.
Depuis l'intervention de la circulaire interministérielle n" 11 9 SS du 20 ma i 1949,
porta nt instruction pour l'application du Tit re lIf de la loi du 1er septem!>re 1048, instituant les a ll ocations de lo gement, divers
textes ont modifié la loi et le Règlement
d'Admi nistration Publique du 30 décembre
1948 pris pour l'application oe cette loi.
Afi n de mainteni r rassemb lées en un document unique to utes les dispositions relatives à l' applicatio n de la régie mentation
~n vigueur en cette matière, la circulaire
IOtermi nisté rielle n° 119 5S
t rès proc he ave nir, mod ilice et ~o~ p.l ~tée
pa r les di ffé rents dépa rt ements ml O1ste Tl els
q ui ont pa rti cipé a sa rédac tio n.
La présente inst r uctio n a dès lors simpl ~
ment pou r objet d'appo rte r q ue lques . préc lsio ns rendues nécessai res par les di SpOSItions impo rta ntes des décre.s n" 5 1-9 11 du
9 juillet 195 1 et 5 1-9 12 du 10 juiNet 195 1,
pub li és tous les deux au ( Journal OffiCiel :p
du 14 jui ll et 1951.
...
Le premie r de ces textes, qui fixe les nou~
veaux t a ux des all ocatio ns de logement,
comporte trois dispositions esse ntiell es :
1. E.n application des dispositions de
l'article 4 du règlement d'administ ration publique du 30 décemb re 1948, il fixe, pour
la période allant du 1er juill et 195 1 au 1er
juillet 1952, les nouveaux pour-centages de
resso urces à co nsacrer alt logement pour
l'ouve rture du droit aux allocations de logement.
Le tableau joint a cette instruction. fixe,
en fonction des ressOu rCes de 'la faml~l~ et
du nombre des enfants à Cha rge, les mlntm 3
de loyers mensuels permettant de soliciter
l'allocation de logement.
Les ressou rces à pre ndre en co nsidération
pOur la période comprise entre le 1er juille~
195 1 et le 1er juillet 1952 sont celles qUI
so nt entrées au foye r de l"aHocataire pendant J'année de référe nce, c'est-à-dire en
1950.
Il. - L'article 2 du même décret modifie
entièrement les bases de calcul de lIa 110 cation de lo ge ment.
Celle-ci est désormais déterminée en appliquant à la différence entre le montant du
loye r principal effecti."em~n! p~yé (dans l:s
'limites du plafond prevu a 1 artIcle 4 du m~;.
me texte) et le loyer minimum, calculé ~UI
vant le barème annexê il la pr~cédente inS truction, un pourcentage \'ariabl~ suivant la
situation de famille de l'allocataire.
Ce no uveau mode de calcul qui se substitue à la fo rmul e précédemment ut!lisée. et
annule les tableaux a nnexés à la CirCulaire
nO 119 SS du 20 mai 1950 ne fait plus intervenir le mo ntant des prestations familiales.
En application de ce système, les sala riés
aya nt au moins deux enfants à cha rge et
placés dans des conditio ns identi':]ues, recevron t désormais les m"~ mes allocatIOns de 1017ementl qu' ils bénéficient ou non de l'allo~atio n de sa laire unique,
Les all ocatio ns de logement ne s'exprimant pl liS en un po~rcen~age de.s allocations famili a les, il ne dOit plus etre ten.u
compte de la majoration de 25. p. 100 re:
sultant de l'appJication de la 101 du 9 mal
195 1 et de la circulaire de mon Département n" 29- 11 B/5 du 10 mai 1951.
Aucune indemnité différentielle ne sera
versée dans "'hypoth~se où le noU\'eau mode
de calcul des allocatio ns de lo gement apparaÎtmit moins fa\'or:lble que l'ancien.
Ce nou vea u mode de calcul s'est to utefOIS
révélé extrf2mement complexe dans le cas
d' un mén acre qui perçoit les allocations prénatales, le~ a'ilocations de. lo gem.en t étant
évidemment dues à compter du Jour de la
conception de l'enfant Sans préjuger dès
maintenant de la solutIon qUI sera reten.'",
dans le cas
lors ae la
j'i nvite cepe nda nt les différents Départements ministériels à aba ndon ner prO VISOirement les modalités d e payement actuelles et
à verse r en une se ul e fois, à fa hn de la
g rossesse, un rappel égal it la d iffé rence
existant entre le montant des a ll ocatio ns d~
logement qui auront été payees et celles qUI
étaie nt dues en réalité par suite de la survena nce d' un nouvel en fa nt.
Exemple : Famille ayant deux enfan ls à
charge et en attendant un troisi~m e.
EMe percev ra penda nt les 9 mois d.e l a
grossesse une allocation de ~ogement ega ie
à 80 % de la différence eXIstant entre le
loyer q u'elle paye effecti,'ement et le loye~
minim um calculé en fe>nctlon de ses resso ur
~es.
En outre, â la fin de la grossesse, ,t'organisme payew devra lui verser, au titre de
la même allocation de logement, un ra~1
égal à 9 fois 10' %, soit 90 % de la meme
diffé.rence.
Il va de soi que si la grossesse a é~é interrompue avant le début du ge mOIS, le
rappel dont il s'agit ne devra porter que sur
le nombre de mois pendant lesquels les allocations prénatales auront été payées.
III -
L'article 5 du décret, abrogeant les
disp~sitions de l'a.rticle 13 du règlement d'ad-
min ist ration publique du 30 décembre 194&,
aucun plafon4 de ressource:> ~e P?t.lrr~ plus
désormais mettre obstacle a 1 attribution de
l'allocation de logement.
Il serait dès lor opportun qu'une large
diffusion soit do nn ée à cette instruction. a~n
que certains agents qui ont pu être écartes
du béné.fice des allocations de l o~ement par
les dispositions ductit règle.ment d'administration publique, pUissent presenter une nouvelle demande.
Le décret du 9 juillet 195 1 fixe éga.lement
les nouvealJ.x pla{ond~ de loyers apphcables
pour la période du 1er juillet 1951 au 1er
juil\<Ot 1952 et maintient en vigue ur les dISpositions relat ives à l' a rrondissement en ce
qui concerne les resso urces et le loyer.
Eoiin il est rappelé: qu'auc'UTIe modification n'~st intervenue en ce qui concerne les
conditions d' attribution et de détermination
du montant des primes d'am énageme nt et
de déménagement. Il y a toujours li e u de
tenir compte. en t.:e qui concerne ces .pnmes,
de la majoration de 25 % des a llocations famili ales résultant de la loi du 9 mai 195\.-
•••
Le décret nO 5 1-9 12 du 10 juillet Iq51 modifie le décret du 18 juillet 1950, rela ti f aux
prêts destinés à l' amélioration de rhabitat
de la manière su iva nte :
1° Il substitue à la date du 1er juillet 1951
la date du 1er juillet 1952. comme limite de
dépôt des demandes de prêts ; la période
d'attribution de ces prêts qUI dev3.lt se te~
miner le 1er juillet 1951 est donc prorogee
d'une année ;
2" Il substitue la date du 1er juillet 1951
it celle du 1er juille t 1950 pour l'application
de l' a r ticle 2 du déc ret du 18 lUillet 1950,
c'est-à-dire pour la déte~inatio~ du montant des ressources suscephbJes d être aff~
tées à l'atlributjon des prêts à l'amélioratIon
de l'habitaI.
Ces deux dispositions n'appellent pas de
comme ntaire spécial.
�-
234
MINIMA DE LOYERS MENSUELS PER.\lETIAN'l' DE SOLLICITER L'ALLOCAT ION LOGEMiENT
...
RessolU'Ces
annuelles
(en mil..l.k-rs
Sans
de francs)
enfant
20
-10
50
80
100
120
140
160
50
50
150
250
350
150
250
300
400
500
600
650
750
850
950
1.000
1.100
1.200
1.300
1.300
1.400
1.500
1.6Ov
1.700
1.900
2.000
450
550
650
200
220
2-10
200
280
300
320
3-10
750
S50
950
1.000
1.100
1.200
1.300
1.400
1.500
1.600
360
\.ï00
380
400
1.800
1.900
2.000
2.200
2.400
2.600
2.800
3.000
3.200
3.400
3.600
3.300
3.900
4.100
4.300
4.500
4.700
4.900
5.100
5.300
5.500
5.700
5.300
6.000
6.200
6.400
6.600
6.800
7.000
7.200
lllO
4-10
-ISO
520
560
600
640
680
720
760
800
840
880
920
960
1.000
1.0-10
1.080
1.120
1.160
1.200
1.2-10
1.280
1.320
1.360
1.400
1.440
1.480
1.520
1.560
1.600
1.640
1.6~
1.720
1.700
1.800
1.840
1. Qg()
1.920
1.960
2.000
2.040
2.080
2.120
2.160
2.200
2.240
2.280
2.320
2.360
2.400
2.440
2.480
] enfant
2.200
2.400
2.600
2.700
2.900
3. 100
3.200
3AOO
3.600
3.800
3900
4.100
4.300
4.500
4.600 '
4.800
5.000
5.200
5.300
5.500
5.700
5.800
6.000
6.200
6.400
6.500
6.?OU
6.900
7.100
7.200
2 enfan ts
50
100
150
250
300
350
450
500
550
650
700
750
800
900
950
1.000
1.100
1.100
1.200
1.300
1.400
1.500
1.600
1.800
1.900
2.000
2.200
2.300
2.400
2.600
2.700
3.800
2.900
3. 100
3.200
3.300
3.500
3.600
3.700
3.900
4.000
4.100
4.200
4.400
4.500
4.600
4.800
4.900
5.000
5.200
5.300
5.400
5.500
5.700
5.800
5.900
6.100
6.200
6.300
6.500
6.600
-
,
6.700
6.800
7.000
7.100
7200
:3 enfauts
50
100
150
200
300
350
400
450
550
600
650
700
SOO
850
900
950
1.000
1.100
1.100
1.200
1.300
1.400
1.600
1.700
l.hW
1.900
2.000
2.200
2.300
2AOO
2.500
2.700
2.800
2.900
3.000
3.200
3.300
3.400
3.500
3.700
3.800
3.900
4.000
4.100
4.300
4.400
4.500
4.600
4.800
4.900
5.000
5.100
5.300
5.400
5.500
5.600
5.700
5.900
6.000
6.100
6.200
6.400
6.500
6.600
6.700
6.900
7.000
7.100
7.200
7.400
7.500
7.600
4 enfants
50
100
150
200
250
300
350
450
500
550
600
650
700
750
850
900'
950
1.000
1.000
1.100
1.200
1.300
1.400
1.500
1.700
1.800
1.900
2.000
2.100
2.200
2.300
2.400
2.600
2.700
2.800
2.900
3.000
3.100
3.200
3.400
3.500
3.600
3.700
3.800
3.900
4.000
4.100
4.300
4.400
4.500
4.600
4.700
4.900
5 enfants
50
100
150
200
250
300
350
400
450
500
550
600
650
700
800
7 eufauts
o
o
100
50
100
150
200
250
300
350
400
50
100
150
200
250
300
350
400
450
150
200
250
300
350
400
450
500
550
600
450
500
550
600
650
1.000
1.000
1.100
1.200
1.300
1.4OV
1.600
1.700
1.800
1.900
I. SOO
g,)(J
2.000
2.100
2.200
2.300
2.400
2.500
2.600
2.700
2.800
2.900
3.000
3.200
3.300
3.400
3.500
3.600
3.700
3.800
3.900
4.000
4.100
4.200
4.300
4.400
4.500
5.200
5.300
5.400
5.500
5.600
5.700
5.800
6.000
6.100
6.200
6.300
6.400
6.500
6.600
6.800
4.900
4.800
5.000
5.100
5.200
5.300
5.4OU
5.500
5.600
5.700
5.800
5.900
6.000
6.100
6.200
6.400
6.500
6.600
S enfants
50
700
750
800
850
900
950
1.000
1.100
1.200
1.300
1.400
1.500
1.600
1.700
850
900
4.600
6.900
enfants
650
700
750
800
850
900
950
1.000
1.100
1.200
1.300
1.400
1.500
1.600
1.700
4.900
5.100
7.000
(j
1.900
I. S00
2.000
1.900
2. 100
2.200
2.300
2.400
2.500
2.600
2. 700
2.800
2.900
2.000
3.000
3.100
3.200
3.300
3.400
3.500
3.600
3.700
3.800
3.900
4.000
4.100
4.200
4.300
4.400
4.500
4.600
4.700
4.800
4.900
5.000
5.100
5.200
5.300
.0.400
5.500
5.600
5.700
5.800
5.900
6.000
6.100
6.200
2.100
2.200
2.300
2.400
2.500
2.600
2.700
2.800
2.900
2.900
3.000
3.100
3.200
3.300
3.400
3.500
3.600
3.700
3.800
3.900
4.000
4.100
4.200
4.300
4.400
4.500
4.600
4.700
4.800
4.900
5.000
5. 100
5.200
5.300
5.400
5.500
5.600
5.700
5.800
5.800
5.900
500
550
600
650
7UO
700
750
800
850
900
1.000
1.100
1.200
1.300
1.400
1.400
1.500
1.600
1.700
1.800
1.900
2.000
2.100
2.200
2.300
2.400
2.500
2.600
2.700
2.800
2.800
2.900
3.000
3.100
3.200
3.300
3.400
3.500
3.600
3.700
3.800
3.900
4.000
4.100
4.200
4.200
4.300
4.400
4.500
4.600
4.700
4.800
4.900
5.000
5. 100
5.200
5.300
5.400
5.500
5.600
5.600
5.700
9 eufants
o
50
100
. 150
20U
250
:JUO
350
400
450
450
5QO
550
60Q
650
700
750
800
850
900
950
1.000
1.100
1.200
1.300
1.400
1.500
1.600
1.700
1.800
1.800
1.9OV
2.000
2.100
2.200
2.300
2.4OV
2.500
2.600
2.700
2.7OU
2.800
2.900
3.000
3.100
3.200
3.200
3.400
3.500
3.600
3.600
3.700
3.800
3.900
4.000
4. 100
4.200
4.300
4.400
4.500
4.500
4.600
4.700
4.800
4.900
5.000
5.100
5.200
5.300
5.400
5.400
5.~
10 enfant&;
o
50
100
150
20U
250
,00
300
3jU
40U
-150
500
550
600
650
650
700
750
800
~
950
1.000
1.100
1.200
1.300
1.300
1.400
1.500
1.600
1.700
1.800
1.900
1.900
2.000
2.100
2.300
2.300
2.400
2.500
2.600
2.600
2.700
2.300
2.900
3.000
3. 100
3. 100
3.200
3.300
3.400
3.500
3.600
235
Ressources
annuelles
(cn milliers
de francs)
Sans
enfant
l enfant
2 f:nfa ot:5
3
2.520
2.560
2.600
2.640
2.680
2.720
2.760
2.800
2.840
2.880 .
2.920
2.960
3.000
D2 BI
~nfa nt,
4. enfants
5 enfa.n ts
7.700
7.800
8.000
S. loo
8.200
7.100
7.200
7.300
7.400
6.700
8.200
8.300
6.900
7.000
7.1 00
7.200
7.300
7.400
7.500
7.600
7.700
7.800
8.500
·S.OOO
7.500
7.700
7.800
7.9O\l
8.000
8.100
AC 3
CALCUL DE LA COTISATION
DE SECURITE SOCIALE
(application de l'article 8 de la loi n' 511126 du 26 Septembre 1951).
Paris, le 16 octobre 1951.
L e Garde des Sceaux, Millistre de la
fustice,
à MM. l es Chefs des Co urs d' Appel,
à MM. les Préfets des Départements,
Comme sui te à ma circ ul aire n° 11 48 du 6
octobre 1951, je vous prie de vouloi r bien
termes
trouver ci-dessous r ep roduits les
d'une circulaire de M. le Vice- Présiden t du
Conseil, Mini stre des Finances et des AffaiTes Economiques. en date du S octobre J95 1,
relative au calcul de la cotisation de Sécurité
Sociale, en application de l'article 8 de la
loi n' 51-1 126 du 26 septembre 195 1.
« J'ai l'honneur de vO liS faire connaître
que la loi n' 51. 11 26 du 26 septemb re 195 1,
publiée au f Ollrnal Officiel du 27 septembre,
a, dans SO n artic le 8, porté à 408.000 fra ncs
par an et avec effet du 1er octobre 1951, le
plafond à retenir pour la détermination du
montant maNimum des cotisations de Sécuri-
té Sociale. Ce plafond ava it été fixé à 324.000
fran cs par l' a rti cle 1er cie la loi du 30 décembre 1950 (cf. lettre n' 290 F L-C 2325
du IO janvier 195 1).
« Le d éc ret du 28 septe mbre 1951, pris en
application de l'a rticle 8 Ile la loi du 26 septembre 1951, a fixé, sur la base du nouveau
plafond annuel, les p4afonds a appliquer sui-
enfants 7 enfants
6.300
6.400
6.500
6.600
6.700
6.800
6.900
7.000
7.100
7.200
7.300
7.400
7.500
vant la périodicité des payes ; ces plafonds
sont indiques ci-après :
-
102.000 fr. si le salaire est réglé par
trimestr~
-
;
34.000 fr. si le sa laire est réglé par
mois;
- n.ooo
fr. si le salai re est régl é par
demi-mois;
-
N' 1149
6.SOU
«5
16.000 fr. si le salai re est réglé to utes
les deux se mai nes;
-
11.400 fr. si ,le sa la ire est réglé par
décade ;
-
8.000 Ir. si le sa la ire est réglé par
semaine;
1.600 fr. si le salaire est réglé par
jour ;
- 800 fr. si le salaire est réglé par demijournée de travai l ne dépassant pas 5 heures;
- 200 fr. par heure, si le !;alai re est réglé pour une durée de travall inféri eu re à
5 heures.
«. Pa r conséquent, à partir du 1er octobre
195 1 lorsque 'J e montant de la rém..:nérarion
sur l'aquelle doit êt re assise la cot isatio n de
Sécurité Sociale dépasse les plafonds indiques ci-d ess us, la dite cotisa ti on est .ca lculée
sur la base de ces plafonds, sans tenir comp-
te de la pa rtie de la rémunération excédant
le chiffre retenu pour le ca lcul de la cotisation.
« En matière de Sécurité SOCiale des fonctionnaires de l'Eta t, la cotisation mensuelle
maximum susceptible d'être retenue à un même agent qui, sous l'empire de la régleme~
tation antérieure a u 1er octobre 195 1, étai t
de 472 francs se trouve pq rt ée à 595 f rancs.
« J'aj o ute' que du fait de l' élévation à
408.000 fran cs du plafond a nnuel à reteni r
pour le caku( de la co ti sation de Sécurité
S enfants
9 enfants
10 cnfa.ots
5.800
5.900
6.000
6. 100
6.200
6.300
6.400
6.300
6.600
6.700
6.800
6.900
7.000
5.600
5.700
5.800
5.900
6.000
6.100
6.200
6.300
6.300
6.400
6.500
6.600
6.700
5.400
5.500
5.600
5.700
5.800
5.800
5.900
6.000
6.100
6.200
6.300
6.400
6.500
6.000
6.100
6.200
6.300
6.400
6.500
6.600
6.700
6.800
6.900
7.000
7.100
7.200
Sociale, le montant maximum du capitaldécès susceptible d'Hre versé aux aya ntscause des fonctionn aires décédés ap rès 60
ans et non enCore admis à faire valoir leurs
droits à la retraite, qui était antérieurement
fixé à 81.000 francs, est porté à 102.000 fr. ;
ces nouvelles dispositio ns sont applicables
dans tous les cas où le décès cS! survenu de-
puis le 1er octob re 195 1. >
Vous voudrez bien porter ces instructions
à la connaissance des services comptables
releva nt de vot re autorité et les inviter à en
assurer la shicte application à compter du
1er octob re 195 1.
Par autorisation,
Le Directeur du Personnel
et dc la Comptabilité
J.-L. COSTA.
•
Communiqués. A vis
Annonces diverses
P8
DI B2
DECRET DE NATURALISATION
RAPPORTE
Par dé"et du 25 septembre 1951 (Journal
Offic iet du 14 octobre 195 1), est rapporté le
décret du 19 septembre 1950 \Journal Ufficiel du 1er octobre 1950), en tant qu'il natura lisait le nommé BERCOVfCH Martin,
précédem men t domicilié à Paris (ISe), 6 bis,
rue du Chevalier-de-Ia-Barre, et résidant
actuellement à Marseille, S, rue Mazagran.
- - -<>00<>---
3.700
3.800
3.900
3.900
4.000
4.100
4.200
4.300
4.400
4.500
4.500
4.600
4.700
4.300
4.900
5.000
5. 100
5.200
5.200
5.300
Co,.. N'rtI6f:e CCI.fermA.
Pour ~ Préfet :
L, SeCf'J,.ir~ GI"h.1 .' LAMASSOUft1
�REPUBLIQUE FRANÇAISE
15 No,.mbr. 1951
OËPARTEMENT DES
9' Aaaé • . - N" 46
BOUCHES-DU-RHONE
1
../
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABHÉVIA. T'IONS
A. p , : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres D et B suivÎes d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'o rigin e.
D. S. T. : Direction des Services Technique •. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction dépanementale de la Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Clrcu\alr..
Pa~.t:s
AG O. - Délégation de signature
237
AG 13. Programme département" l
de p riorité de reconstruction de bie ns
sinistrés ......................... 238
BC 3. - Aliénation " l'a miable des
immeubles appartenant aux départements, communes, étab l iss~ments pubhcs, départementaux et communaux. 238
PalU
Paan
OC 3. - Ali énation des immeubles
apparte nan t aux départements, communes et établissements pub li cs, dépanernent::lux E:t co mmunau x .. . . . .. 238
PS O. - Médecins agréés pour pratiquer les examens radiosco:piques en
vue de la déli vrance des .certHicats
prenuptiaux et prénata ux ..... . . . . . 239
P O. - Arrêté autoriMnt la section Ré-
glonaie de la Fédëratio n Nationale
de la Reslsta nce à ve ndre des calendriers ... . ...................... . . 239
Communiqués. Avis, AnnOllces diverSftl
- Plaq uette à la memoire du ma réc hal
Foch .... .. .. . ....... .. . . . ...... 2-10
Communiqués du Secrétariat
de l'Union des Maires
Demande d'emplOI .............. 2~O
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES D5 B3
AG 0
DELEGATION DE SIGNATURE
•
,
ARReTE
Le Préfet des Bouches..(\u-Rhô ne,
Officier de la Lég io n d'Honneur,
Vu la loi du 28 plu viose a n VIII, concernant la d1vision du terdtoire ,f.ra nçais et l'Ad,.
ministration ;
Vu le décret du 29 d écembre 1854 co ncern ant les Secrétaires Généra ux de Préfectures ;
Vu le déc ret du 10 septe mbre 1926 relatif
à l'o rga nisa tion de l' Ad mini str.ation préfectorale ;
Vu le décret n' 50-722 du 24 juin 1950
relatif là la délégatio n des pouvoi rs propres
aux Préfets, Sous-Préfets et Secrétaires Généraux de Préfectu re .
Vu les nécessités d~ service ;
Sur la proposition cte M. le Secrétaire
Généra l des Bouches-du-Rhône,
ARRETE:
ARTICLE PREM IER. Délégatio n perm anente de sig nature est donnée à M. PLETrNER Jules, Sous-Préfet, Directeur de Cabinet,
en ce qUÎ concerne ;
- les empliat ions d'a rrêtes, les copies COI1~ormes de docu ments, les etats just ificatifs
es avances consenties aux I~égisseu rs de~
seco urs d'extrême urgence ;
- les légalisations de signat ure·
- Les p'assepQ'rts, les ca rtes d'éùan gers ;
d - l'approbation des budgets et comptes
es communes, des éta blisse ments hospib-
Iiers et des associations reconnues d ' utili té
publique;
- l'approbation des délib érations des Conseils Municipaux et aes Commissions administratives des Etablissements hospitaliers ;
- les a rrêtes co ncernant les ad ministratelIrs et le personnel de l' Assistance Publique de Marseille, l'approbation des déli bérations du Conseil d'Ardministra tion de ,'Assistance Publique de Marseille ;
- les arrêtés co ncern an t les ad ministrateurs et le pe rsonne l des Etablissements
hospita liers ;
- les arrêtés de fixatio n des prLx de journée dof l'Assistance Publique de IM arseille et
des Etablis:;ements hospitaliers ;
- les a rrêtés concernant l'assistance médjcale gratuite et les lois d'assista nce ;
- les arrêtes d'auto risatio ns de dépôt
d 'explosiîs ;
- les arrêtés d'expulsio n dJétrangers ;
- les ordr es de refoulement ;
- les contrats, marchés, adjudkations
po ur le compte du Dépar tement ;
-- les arrètes d·acceptation de le gs ;
- les arrêtt>s d'autorisat io ns et récépissés
d e déclaratioJl des établisse ments classés ;
- les co ntravt!ntlOns de grande voide:
- les récépissés de déclaration d 'associatio n (loi d e 1901) ;
- les ordres d'attributio n d'oifice de logements et les a rrêtés portant annulation ct
mai n- Ievee de réquisItions (ordonnance :Ja
Il octobre 1945 et textes qui l'ont modifiee
et complétée) ;
- les arrêtés portant nominat io n, titula-
risations, p romotions de grade et avancements de classe du personnel départemental ;
- les arr êtés de mises à la retraite du personnel du Cadre départemental ;
- les arrêtés porta nt reclassem ent du personnel départemt!ntal ;
- les a rrêtés et notes de service accordant des congés de maladie, co ng és annuel3
et exceptionnels au personnel du Cadre de
l'Etat et du Cadre Départemental ;
- les a rrêtés portant détachements et
mises en dis'ponibilité du personnel du Cadre
Départemental ;
- les arrêtés relatifs au Conseil de Discipline et sanctions infligées au personnel du
Ca<!re Départemental ;
- ies a rrètes et notes de service relatifs
à. la Commission Administrative Paritaire
Dépa rtementale et au Comité Technique Paritaire (Etat et Département) ;
-- corresponda nce relath' e au personnel
du Cadre des Fonctionnaires de l'Etat et cks
fonctionnaires du Cadre Départemental ;
- notatio n du personnel (Etat et Dép3rtcment) ;
- tous actes, arr~tes ou dé-cisÎo ns de la
correspo ndance générale en ct! Qui concerne
radministration du Departement.
ART. 2, - M, le Secrétaire Gênerai nes
Boudhes-du-Rh6ne est charge d'assurer l'('xê_
cution {il! présent arrèté, qui sera publié au
Recueil des Actes Administratifs du Dépar....
tement.
l\1\arsE"ille, le 3 No\'embre 1951.
Le Préte! :
R. PAIRA.
�238
05 BI
AG 13
PROGRAMME DEPARTEMENTAL
DE PRIORITE DE RECONSTRUCTION
DE BIENS SINISTRES
Pa r a rrèté du 26 octobre 195 1, pris sur
proposition de M. le Délêgué Départemental
du ,'linistère de la Reconstructio n et de l' Urhanisme et après avis de la Sous-Commis.
sion Départementale des Priorités, cha rgée
lie déterminer l'urgence de reconstitution des
hiens sinistrés, un certain ' nombre de prioritaires ont été ad mis dans le prog ramme de
priorite de reconstruction pour 1951 .
Les listes des sinistrés reconnus prioritai-
res sont affic hées à la porte principale de
chaque Mai rie interessée et peuvent être con~ultées a la Prêfecture, 5e Division, 1eT Bureau. ou dans les Bureau x de M. le Délégué
Departemental du Ministère de la Recons-
rruction et de "Urbanisme, 50, rue Saint-La-
za re, à Marseille.
Pour le P réfet :
Le Secrétaire Général :
LAJI\ ASSOURE.
_______
------~c»OOc»
02 B3
BC 3
ALIENATIONS A L'AMIABLE DES
IMMEUBLES APPARTENANT AUX
DEPARTEMENTS, COMMUNES, ETABLISSEMENTS PUBLICS, DEPARTEMENTAUX ET COMMUNAUX.
Avis de l'Adminisfcation des DOmaines. Aliénation au profit des Organismes
mois et de prévoir dans les décisions 4ue
\'O US serez 'a mené fi prendre que les auto ri sations accordées ne seront valables que si
l' alicnation est réalisée dans les trois mois
suivant la date de J'avis émis par le Service
des Domaines.
Aliénations ri/immeubles au prO/li
des orga"ismes d' Ho L. M.
1" Offices publics d' Ho L. M.
L'arrête du 2 1 aoû t 1943, en son article 7,
modifie: par l'a rrêté du 10 mars 1949, autoII. -
rise la r t?:a lisation à l'amiable, quell e que soit
la valeur des immeubles ou droits immob ili ers, des cessio ns in te r vena nt entre les d _
partements, les co mmunes, les établissements
publics départementaux et communaux.
Les départements et les communes peuvent, en co nséquence, aliéner à l'amiabl e et
sans autorisat ion de "autorit é supérieure les
immeubles ou d roits immobiliers l eur appar-
tena nt, au profit des Offices Publics d'HLM.
2" Sociétés privées d' Ho L. M. ou de crédit
immobilier.
La loi d u 1er décembre 1942, e n son a rti cle Il , n'a rend u obl igatoi r e la procédure
d'adjudication pour l'aliénation des immeubles ou droits immobiliers appartenant aux
co ll ectivités locales q ue « SO ll S réserve de~
cas prévus par des dis positions spéciales >.
Or, l'a rt icle
1922 portant
habitatio ns à
priété précise
35 de la loi du ~ décembre
codificatio n des lois su r ,les
bo n m. rc hé et la petite proq ue les départements et les
communes peuvent céde r de gré à gré au'!>,
Sociétés d' Ho L. M. o u de crédit immobilier
d'Ho L M.
de~ terrai ns ou const r uctions « sans que le
Circulaire n" 335
pnx de cession puisse être inférieur à l a
moitié de leur va leur réelle établie par expe rtise ».
Paris, le 30 septembre 195 L
Le Ministère de l'Int érieur
li Messieurs les Préfets,
Par circulaire n" 340 AG-URB du Il octobre J949. je vous ai exposé les conditions
da!ls le~quelles les collectivités locales pou,'aIent ~tre auto ris ées a alié ner à l'amiable
les immeubles et droits immobiliers leur
appartenant.
~~ présent~ instr uctio n a pou r objet de
precIser les regles qui me paraissent devoir
êt re suivies en ce qui conce rne :
'- '-ms de l'Administration des Domaines
- les aliénations d'immeubles, consentie~
au profit d'organismes d' Ho L. M.
1. -
Al'is de l'Administration des Uomalnes sur le prix.
Je , 'DIIS ai rappelé que )' Administration des
Domaines était désormais obligatoirement
appelée a formule r Son avis sur le montant
de la mise ci prix des immeubles ou droits
immobiliers d' une valeur supérieure à
500.000 francs.
Or , à l'occasion de l'examen des dossiers
qui m'ont été soumis, il m'a été per mis de
constater qu'un délai souvent assez lono sépa rait la date à laquelle était émis l'avi;; du
Sen'iee des Domaines de celle de la décision d'autor isatio n et qu'en raiso n des variations subies par les pri x, l'avis ainsi formulé ne pouvai t plus êt re co nsidéré par l'autorite de tute lle comme un éléme nt d'app réciation suffisant.
Je vo us recommande en conséquence d'exiger la production aux dossiers de demande
d'autonsation qui sero nt soumis à votre eX3m~n ou que vous me transmettrez, d'un av!s
Les aliénations de cetre sorte peuvent donc
être également réalisées à l'amiable et sans
auto risation de l'autorité supérieure.
Vous devez toutefois recommander aux
magistrats Jnllnicloaux de veiller à ce que les
aliénations co nsenties par les commu nes au
profit d'organismes privés d' Ho L. M. soient
effectivement réalisées sur la base d'u ne évaluation remontan t à moïns de trois mois.
Pour le Ministre et par dél égatio n,
Le Directeur dll Cabinet:
J. VERD IEJR.
------- <>00<>------
D2 B3
BC 3
ALIENATION DES IMMEUBLES APPAHTENANT AUX DEPARTEMENTS
COMMUNES ET ETABLISSEMENTS
PUBLICS DEPARTEMENTAUX ET
COMMUNAUX.
Extrait du
J. O. du 6 Octobre
page 10.192
195 1,
Le Vice-Président du Consei l, ministre des
Finances et des Affaires Economiques, le
Ministre de l' Intérieur, le Ministre d u Budge t,
le Min;st re de la Santé P ublique et de 1.
Population et le Ministre de la Reco nstruction et de l' Ur banisme ;
Vu la loi du 5 av ril 1884, modifiée par le
décret- loi du 5 novembre 1926 ;
Vu la loi du 5 décembre 1922 (art. 35),
Vu J' article Il de l'ac te dit loi du 1er décembre 1942, provisoirement maintenu en
vigueur, complétant et modifiant le décre t
d~ 5
uin 1940, relatH au domaine immo-
AI{RETENT :
-
L'adjud ication des ir
meubles ou droits immobiliers des com mul\~
e~ des t!tablissements pl~ ~ li cs c~)O~mu ll aux est
effectuée dans les co nditi ons ftxees par l'ar
Article premier. -
.ticle ,89 de la loi du 5 avril 1884, modifié;
par 1 artll.'le 46 du décrt!t-loi du 5 novembre
1926.
Art. 2. - Il est procede à l'adjudication
des Immeubles ou droits immohi l iers appar.
ten ant a 4x départements et aux établisse-
ments publics dépa rt eme ntau x par le Prélet
ou son délégué, avec l'assistance du tréso.
ri er-p ayeur ,reneral o u du re ceveur de l'établissement .
Toutes les difficulté~ qui peuveht s'éle"er
au moment de l'adj udicatio n ou à l'OCCasion
des opérations q ui en so nt la suite sont résolues pa r le Prêtet o u son délegué, le tr esori er- payeur général ou le receveur de l'établisst!m ent entenuu.
Art. 3. -
Préalablement à J'adjudication, il
est d ressé par l e Maire, pour les immeubles
ou droits immobiliers des co mm unes et des
établissements publics com munaux, un cahier
des Char gés déposé là la Mairie après son
approbation par le P ré let.
S' il s'agit d'immeubles ou de droits immobil iers app artena nt aux dépar tements ou au~
établissements publics départementaux, Il'
cahie r des charges est étab l i par le Prêle!
et déposé à la Pré lecture.
Ce cahier des cha r ges co ntient notamment:
1" L' énonciation de l a déciSion qui a autor isé l'al iénation, le jour, l' heu re et le lieu
de la ve nte, le mode suivant lequel il y sera
procédé, les a uto rités qui doivent y présider
ou y assis te r ;
2" L'or igi ne de propr ié té ;
3') L'indication de la nature, ainsi Que de
la situation des biens à ve ndre, de leur contenance approximative et de leurs tenants et
aboutissants avec leur or ientation et, le cas
échéant, des principales conditio ns de bail ;
4" Le cas échéa nt, l'i ndication ces sem·
tudes qui s'appliquent, en vertu des disposl·
tions du projet d'aménagement commu nal ou
Interco mmun al o u de toute autre disposition
législative ou r ég·leme nta ire et, év entuellement, l'indication des ser vitu des cont ractuelles hygié niques, esthétiques, Ou autres, des·
tinées à gara ntir une bonne uti lisation de
l'immeuble.
5" Lorsque l' immeuble co nsti tue U~l .101
dans un ensemble immobilier, l' é nonclatJ~n
des clauses du ca hier des charges du lotls~
sement o u de la r êférence à celui-ci ;
6 0 L'énonciation du prix auquel les e nch~
res sero nt ouvertes et les conJitions de
ve nte.
En ce qui conce rn e les immeubles o.u
d roits immobiliers des offices publics d'habitations à bon ma rché, le cahier des cha rges
est d ressé par l'Administrateu r délégué ou,
s'il n'existe pas d'admi nistr ateur d~l ~gué, par
le Président d u Consei l d'Admllllstrat.lOn.
Après app robation par le Prélet, il est depo:
sé soit à la Mairie, soit à la Pn~ r t:c ture, SUI
vant que l'Office est communaJ 011 déparlemental.
A rt 4 _ L 'Ad ministration des Domaines
• .
1 SO li
est obli,gatOi remeni appelée à formll er Il'
avis sur le montant de la mISe à ~C1x . lorsqbi_
la val eu r des immeubles ou drOits Iml110
liers est
à 500.000 francs. En "
239
qui concerne les immeubles ou droits immobiliers appartenant aux communes et au.x
ètablissements publics communau x, cet avis
est communiqué à l' a utorité de tutelle à l' appui de la demand e d'approbation du cahier
tles charges .
Arf. 5. -- Toute adjudi ca tio n portant s ur
les immeubles ou droits immobiliers désignés
aux articles 1er et 2 est annoncée par les
affiches, au mo ins di x jours à l'avance.
Ces affiches i ndiquent;
1 Le l ieu Ol! l'on pourr a prendre co nnaissance du ca hier des charges j
2" Les autorités char gées de procéde r à
l'ad judicati on ;
3t.o Le lieu, l e j our et l'heure fixée pour
l'adj udi cat io n.
Selon la nature et l'impo r ta nce des biens,
il pourra êt re donné à la ve nte une plus
grand e publicîté, notamment pa r voie d'Î nserti on dans l a presse.
(1
Art. 6. - L'adjudica tion a lieu a ux enchères et à l'extin ct io n des feux.
Elle n'est prononcée qu 'autant q ue deux
bougies se sont éteintes successivement sur
une mème enchère.
l.a mise à pri x indiquée dans les affiches
ne peut pas être abaissée sea nce tenante. S'i l
ne se produit auc une enchère, la ve nte es!
ajo urnée et renvoyée à une séance dont la
date sera fi xée ultér ieurement et annoncée
dans les mêmes fo rm es que l a première.
Arf. 7. _. Les immeubles ou droits immobiliers appa rt enan t aux départements, communes et aux établi ssements publ ics départeme ntaux et communaux qui, co nsidérés
dans leur ensemble, ont un e va leur vena it'
n'excédant pas 2.500.000 francs peuvent être
aliénés à l 'amiable dans l es conditions prévues par la r églementation en vig ueur.
Ce mode d'al iénatio n pourra, lorsqu' un
in térêt loca l ou national nécessite l' acquisition des biens par un acquéreu r déterminé,
sur la proposi tion du Pr éfet et après avis de
l'Administ ration des Domaines su r le pr ix,
lorsque celui-ci est supérieur à 2.500.000 fr.,
être autorisé par arrêté des Ministres de
l'Intéri eu r et du Budget.
Cet arrêté sera, en outre, co ntresigné par
le Ministre de la Santé Publique et de la
Populatio n lorsqu'il s'agi ra d'ali énati ons
d'immeubles ou de biens immobiliers appar-
te nant à des établ issements hos pitaliers départementa ux ou communaux ; par le t\\inistre de la Reconstru ction ct de l'Urbanisme
lorsqu'i l s'agi ra d'ali énations d'immeubles
ou de biens immobi liers appartenant à des
offices publics d'habitations à loyer modéré
dépar tementaux ou communaux.
Peuvent également ~tre réalisées à l'amiable, quelle que soit la valeur des immeubl es
ou droits immobiliers, les cessio ns interven~n t ent re les dépa r tements, co mmunes, établissements publics départementaux ou communaux ou faites par Ce::; collectivités à
l'Etat, à des établissements publics natio naux
ou à tous autres étab lissements publics, à
(~ :s co ncess ionnaires de travaux publi cs dl.:!
1 Etat, des départe ments et des Communes,
ou à des sociétés privées d' habitations il
loyer modéré.
. ~rl. 8. - Les ali énations amiables prévues
~ 1a~tic l e préCédent ne pellvent, en auCun
\:35, ctre conse nties à lin prix inférieur à la
valeur réelle des hicns établie par ex
de l'Adl1\ini.",",;,>"
ti on de ceJles qui serOnt faitcs en faveur des
organismes publics Ou pri vés d'habitations a
loyer modéré, co nform ément au dernier ali-
néa de J'article 35 de la loi du 5 décembre
1922.
Art. 9. -
L'adj udication des immeubles
ou droits immobilie rs appa rtenant aux départements, communes et établissements publics départementaux et commu naux pourra
~ tre faite soi t da ns la forme notariée, soit
dans la forme admi nistrati ve.
Art. 10. - L'adjudication ad ministrati ve
oes immeubles ou droits immcJbiliers app artenant à la ville de Paris ou au département
de la Seine aura lieu conforméme nt à l'ar-
D.D.S.
FS 0
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX.
Par Arrêté préfecto ra l du 30 octobre 195t,
MM. les Docteurs :
COULOMB Pierre
demeurant à Marseille, 80, rue Sylvabelle, et
POULAI N Cha rl es
demeurant à Marseille, 2, bou!. des Dames,
Sont agréés pGur pratiquer les examens
radioscopiques en vue de la délivr ance d~
certificats prénuptiaux et prénataux_
t icle 12 du décret du 21 av ril 1939 portant
Pour le Directeur Départementat
de la Santé :
Dr X. STRENNA.
réform e du régime administrat if de la vi lle
de Pa ris et du département de la Seine et
aux ar tic les 3, 5 et 6 ci-dessus.
Art. II. - Les a rticle!; 4, 7 et 8 qui précèdent sont applicables aux aliénations immobilières, faites pour le compte du département de la Sei ne, de la Ville de Paris et
des offices publics d'habitations à bon marché.
Art. 12. - L' adjudication des immeubles
ou droits immobiliers des collectivités IRca lles qui sont si tu ées en dehors de la circonscr iption territor iale des départements et des
co mmunes qui en sont propriétaires peUt
être effectuée, après approbatio n du Préfet
et d u N\aire, devant un notaire du lieu de
la situation des biens. Les articles 4, 7 et 8
ci-dessus s'appliquent également en la ci rco nstance.
Art. 13. - Les arrêtés des 21 août 1943 et
10 ma rs 19~9 sont abrogés.
Art. 14. -
Le Directe ur Général de l'Ad-
ministration Départementale et Communale
au Ministère de l' Intérieur. le Directe ur du
Budget, le Directeur de la Comptabilité Publique, le Directeur Général de la Population
et de l'Entr' Aide, le Di recteu r Génér a l de
l'H y.giè ne Publique et des Hôpitaux, le Di recteur de l'Hyg iène Sociale au Ministère
de la Sa nté Publique et de la Population, le
Directeur Général de l'Aménagement du Terri toi re au Ministère de la Reconstruction et
de l'Urba nisme et le Chef du Service des
Domaines sont chargés, chacun en ce qui
le concerne, de re xéc ution du pr ésent arrêté.
Fait à Paris, le 5 octobre 1951.
Le Vice-Président du Conseil,
Ministre des Fiances
et des AI/aires EConomiques :
Pour le ~linistre et par délégation,
Le Direcleur du Cabinet
Paul DELOUVRIER.
Le Ministre de l'Intérieur :
Cha rles BRUNE.
Le Ministre du Budgel
Pierre COURANT.
Le Minisfre de la Reconstruction
el de l'Urbanisme
Euaè ne CLAUDIUS-PETIT.
~ Le Ministre de ta Sanlé Publique
et de la Population
Paul I~IBEYRE .
-------c.ooc~.-------
D I BI
P 0
ARRETE AUTORISANT LA SECTION
REGIONALE DE LA FEDERATION
NATIONALE DE LA RESISTANCE A
VENDRE DES CALENDRIERS.
ARRETE
Le Pré<fet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu J'arrêté préfectoral du 24 Janvier 1951
réglementant les appels à la générosité publi que;
Vu le Calendrier National des Al'pels à 1.
Générosité Publique pou r l'a nnee 1951 ;
Vu la demande formulée par la Section
Régionale de la Féderation
aHonale des
Anciens de la Résistance, 21, rue de Rome, a
Marseille, tendant à vendre à domicile et
auprès des commerçants les calendriers
qu' elle édite au proht de ses œuvres socia-
les'
Cb!JSi<lérant le caractère de cet appel à la
générosité pubhqu e et la nature de J'association intéressée,
ARRETE :
ARTICLE PREMtER. -- La Section Régionale de la Fédération Nationale des Andens
de I~ Résistance, 2 1J rue de Rome, à Marseille, est autorisée à vendre dans les Bouches-du-Rhône jusqu'au 15 janvier 1952, les
calendriers qu'elle édite,
œuvres sociales.
au profit
ART. 2. - Cette vente aura lieu uniquement à domicile, auprès des commerçants et
auprès des particuliers. à l'exclusion de toute
offre sur la voie publique.
ART. 3. -- M. le Secrétaire Général des
Bouc!1es-du-Rhône, ht.\l. les Sous-Préfets il
Aix et à Arles, M. le Directeur Dêpartemental des Services de Police, ,\\. le Commandant de Gendarmene sont chargés, chacun
en ce qui le: concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Fait il ,\\ arseille, le 3 NOl'embre 1951.
Le Préfet.
René PAl RA.
- - - « » OOc .------------«.:.00«.:.----
de ses
�Communiqués-Avis
Annonces diverses
P LAQ UETTE A LA MEMOIRE
DU MARECHAL FOCH
MAIRIE DE TA ~ES
cadre des manifestatio ns or g aniOans 1e
. ' ersaire
es
sé
FRANÇAISE
22 fioulllbr. 1951
240
our célébrer le centième anntiV
p.
. Tar bes du m a réchal Foc h,
de la naissance, a
•
1
1
')
été procédé à la publi catio n dun e p aI a
quette
aya nt pour 0 b'Je t t o u t à la fOIS de
comm émorer cet évène me n.t ef de rerracer
dans ses grandes lignes m ais de faço n a USSI
vivante que possible, la carrière p ubhqu e et
privée de ce grand homm e.
proch~ e e.
9' Aaaé• . - N" . 7
vi lle d e 5.000 à 10.000 hab ita nts, avec possibilité d' e mplo yer sa fe mm e q ui , pe ndant 10
années, a occupé à ses cô tés un emploi com- .
d' un e prés e ntatio n irréCette plaq ue tte , .
d . térêt docut d'un tres gran In
bl
,'elle comporte notamment la
m e ntaltc pU IS~l
ra nd nombre de le tt res e t
repr odu ctio n ct un g
. • .
est en
~aphi es jusq u'al ors medItes,
t
h
p 0 os'
b
prix d e
ven t e a. la Mairie de T ar es, au
200 fr a ncs l' unité.
UCHES-DU-RHONE
munal.
MiM. les Ma ires intéressés p ar cett e candid at ure so n t pri és de se me ttre en rapporl
av ec M. Ph ili ppe Fu zier, ca mpagne de Mont-
gra nd, Le Cabot, Sain te-Marguerite, Mar.
Envo i par Tet o ur d u co urrier.
seill e.
•
Recueil
et Bulletin des Mairies
L e S ecrét a ire Gén éral de l'Union,
A UDIBERT.
GOmJlOKIQOEl DO SEGBETB8IBT
DE l'OlIOI DES lIlBIRES
Administratifs
Toute corr espondance relative au Recueil doit être a dressée à la Préfecture Secrétariat Général
____ uoo ..' _ __
•
DEMANDE D'EMP LOI
.A.BRÉVI.A.TIONS
Secréta ire de Mairi e penda nt treize an s
désire trouver un Secrétariat d'u n e p e hte
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lett res D et B s ui vies d' un dhiffre indiq uent le Servîce ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direc ti o n des Se rvices T ech nique.. - D. D. S. : Directio n Départeme ntaJe de la Santé. _ D. D. P. : Direc tion départe-
mentale de la Popu la t ion.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pilge5
Paltes
A O. - -D ate limite <1e dée la ra tion de
récolte.. .. .. _... .. .. .. .. _.. . 24 1
A O. - Cours des fe rmages. - Echéa nce du 1er novem bre 1 95 J . ........ . 241
A O. - L u,tte contre les ennemjs des
cultures .. . . . . .. _.. _ .. .. __ ._ .. 241
F 4. -
Emp runts comm una ux : .. __ .
T VX O. - Bordereau des sa la ires no rmaux et co urant -da ns le bâtiment
et les t ravaux p ubli cs ..... ..... . . 242
T VX 1. -
Co nst ructions scoiaires. _
P rototypes d'éco les . . .. ....
....
Textes d'Intérêt Général
24~
242
Pagel
AC 3. -
Ré munération des fo nction-
naires, agents et ouvriers des administratio ns p ubliques de l'oElat rappelés so us les drapeaux, en temps de
pa ix.
po ur
effectuer
tme
période
d 'exercice ou de manœuvre . . ... . . .
242
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D6 B I
A 0 , D6 B I
DATE LIMITE D E D E C LARATIO N
DE RECOLTE
ARRETE
Le P..~fet <les ,Bouc hes-du-Rhône, Off ici er
de la Légion d' Honlne ur., Oroix de Guerre,
Vu tla lo i du 1e r décembre 1936 portant
codi fication des dispositio.n s législa ti ves et
réglementaires rel atives à l'assainissement
du marché du vi n ;
Vu l'arrêté .p réfectora l d u 10 octo!>re 195 1
fixant la date lim ite des décla'rations de récolte de vin j
Sur la IProposition GU Secréta Ire Général,
Arl'ète :
Article premier. - L'arti cle 2 de " arrêté
préfector3!l susvisé est abrogé et remplacé
par les disPositions sUIvantes
« Tout propriétaire, fe rmi er, mêtayer, récoltan t du vin, devra faire avant Je 25 novembre 195 1 délai de stricte ri gueur, la décla ratio n préscrite pa r l'a rticle 12 de la loi
du 1er décembre 1936 • .
A.r!. 2. Le S"""élaire Gén é ra l de la
PréfectlJlre, le Directeu.r des Co ntri but io ns
Indi rectes e t les Ma iIes du départe ment sont
chargés, chacun en ce qu i le conceTne, de
j'exéc ut io n du Iprésent ar rêté.
CoPU: oe ni6ée c.Obterm ..
Pour le PrHet :
LI
S#cf'1I4W'~ GJ,.h eJ
.' LAYASSOURI..
--
----::--------
IWi"" ' ' ' Rov.a.u .. )U.l 1&1u.&,. 110. AIn
~. .
Marsei lle, le 12 novemb re 195 1.
Pour Je P réfet,
Le Secrélaire Gélléral,
LAIMASSOURE.
- - - « > ooc>,-_ _
A 0
COURS DES FERMAGES
ECHEANCE DU 1-11-51
ARRETE
Le Prélet des Bouches-<1 u-Rh ône, Officier
de la Lé.g ion d' Honneur., Croix de Guerre,
Vu l'ordonnance du 17 octobre 1945 relat ive au statu t du fe rm age, modifiée pa r les
lois du 13 avril 19-16 et 3 1 décemb re 1948 ;
Vu r avis émis par la Co mmissio n Co nsu ltat ive des baux ruraux dans sa séance du
Vi n, le degré hectolitre, Frs 271.
Laine, le ki lo, Frs, 385.
Bœuf (poids vif 2me qualité, le kilo) Frs
112.
F ruits, le qu,ntal, Frs 3.250.
Huile d'ol ive, le lOlo, 367.
Art 2. - Le Secrétai re Général de la p refecture est chargé de l'exécution du présent
arrèté.
Alarsei lle, le 12 novemb re 195 1.
Pou r le Prelet,
6 novemb re 195 1 ;
Le Secrétaire
Sur la propo'ition du Secréta ire G énéral,
A rrête:
Artic le premier, - Les cou rs des denrées
devant servir de base au calcul des fermages sont fixes ai ndi qu'il suit dans le département des Bouches-du-Rhône,
pour
- - -(>00«>- -_
D6 B I
A3
LUTTE CONTRE LES ENNEMIS
D ES CU LTURES
l'échéance annuelle du 1er novembre 195 1
Blé, le qluntal, Frs, 3.-100 (1).
Pommes de terre: le qu intal Fes 1.010.
Foin de Crau : le quintal, Frs 884,
Foin ordinaire, le quintal, Prs 649.
( 1) Le barème de la cot isa tion de réso rpt,ion prévue par le décret n° 5O- l.022 du 22
août 1950 est fixé ainsi qu'il suit
De 0 à 50 quintaux.
O. 5 1 à 75 quintaux: 30 fr.
Oc 76 à 100 quintaux, 60 fr.
De 10 1 à 200 qUlntaux, 75 Ir.
De 20 1 il 400 quintaux, 90 Ir.
De 40 1 il 600 qUintaux, 105 fr.
De 60 1 à 800 quint.u." 120 Ir.
De 0 1 à 1.000
intallx. 125 fr.
Au de là de 1
G~neral,
LAJllA SOU RE.
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône. Offic:er
de la Légio.n d'Honneur, Croix de Guerre.
Vu l'o rdonnance du 2 nO\'embre 19-15 sur
la protection des végetaux ;
Vu l'arrêté du 1.". juillet 1951 établissant
la liste des ennemis des ~ultUTes et .parasites
\'égéta ux contre iL-squels la lutte est Ol,ligatoire en fou:; temps ;
Vu Id d éc ret du 19 no\'embre 1948 portant
règlement d'adminldtration publique pou r
l'application de la loi du 19 juillet 18-15, modifiee par la loi du 12 juilet 1916 'Ur le
commerce et l'u 'age des substanêes \'érréJleuses et notamment l'article 12 du décret
preclté
j
,"u l'arrêt .. du 30 mars 1950 rela"f à la
�-
242
en agriculture des composés arsenicaux, minéraux solubles pour la destruction des in-
sectes et animaux nuisi'bles ;
Vu l'ar.rêté Iprefectoral du 1er août 1950 ;
Sur la pr(lj>osition de M. l'Inspecteur de
la Proteclion des vegétaux do"l dépend le
Vu l'avis émis par la Commission de Bordereaux de salaires "dans les industries du
bâ liment et des travaux publics, dans sa
seance du 6 novembre J951,
Arrête:
Article pre~ier. - Est approuvé le boroe-.
reau des saJalres normaux et courants d
bâNment et des travaux publics figurant Il
table.lu ci-dessous ;
au
Département ;
Considérant que Ja fourmi d ' Argentine
(Iri<lomyrmes (hurrnlis) dans le département
et nolamment dans les régions de Cassis-La
Ciotat, est de nalJUre à <pOrter un grave prejudice à l'agriculture el à l'hygiéne des habilanls, et qu ' U y a lieu de procéder à sa
destruction j
Sur la proposition du Secrétaire GénéraJ,
Arrête :
Article premier. - En complemenl de l'arrêlé préfectoral du 1er ooût 1950, la zone
considérée comme contaminée !pa r la fourmi
d' Argentine est élendue à l'ensomole de la
commune de La Qiotat.
Marseille, le 16 novembre 1951.
POllr le Préfel,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOUm;.
02 B3
------c.ooc.------
EMPRUNTS
F4
COMMUNAUX
M. le Directeur DéparlementaJ du Crédil
Fonder de France me prie de ,porter à Ja
connaissan<:e de Messieurs les Maires du Département les instructiMs ci-après, concernant les p rêts a ux collectivités locales:
Maintien du taux en vi.gueur : Le taux de
base des prêts communaux est maintenu à
6 p. 100.
L0Utation du délai d'amortissement: La
duree ~es prêts a ux collectivités ,publique;
sera desormai limitée à 20 ans.
De plus les (ll'êts d'un montanl inférieur
o u égal à 1 million de fr"ncs d evront étre
a!"ortis d~s un délai aussi co urt que pos-
si;.ble et q UI ne saurait. en ,prj<f1cipe excéde r
10 ans.
C?ndition d'al/libution des prêts: Sont
enherement mai ntenues les instructions antérieures relatives a ux règles à observer pour
l'admission des demandes de prêts.
~rê"ts Sur le fo nds de modernisation et
d'eq'''pement: Les dis positio'ns q ui précèdent. sa uf en ce qui oonceine le taux d'intéret. ne sonl ,pas aPplicab les aux prêts appelés
a etre Imputés Sur les reSSOurces d u fonds
de Modernisatio n et d' Equipement.
Pour le PIéfel el pa r délégalio n
Le Secrétaire Général
'
LAMASSOURE. '
•
-------4c.ooc~,--
06 B3
_____
TVX 0
BORDEREAU DES SALAIRES NORMAUX ET COURANTS DANS LE
BATIMENT ET LES TRAVAUX PUBLICS.
ARRETE
Le Préfet des ,Bouches-du-Rhône Offi"ier
de la Légion d'Honneur, Croix de Guerre
. Vu le décret du 10 avril 1937 Sur les ~n
d'tians, de _t ravail dans les march és PlIblics ;
Vu t a r reté mmlslérIeI du 15 janvie r 1938
Sur les Co mmissions de Bordereaux de sa~
Salaires minima normaux et courants dan s les industries dkl bât~ment et des travQUx
publics en vigueur dans le département des Bouchl!s-du-Rllône à compter du
2 1 septembre 1951.
Catégories
Gar.dien balayeur .. . . .... . ... .
:h1anœuvre... . .. . ... . ....
. . . . . ...
Quvder spécialisé 1er Khel(}n ..... .
Ouvrier s?écialise 2me échelon .... . o • • , •
Ouvriier spécialisé 3me échelon .. .. . .....
OuvIier qualifié 1er écheJon .... .
Ouvrier qualifié 2me échelon ...... .
Ouvrier qualifié 3me échelon . . .. .. . . .. ,
Ouvrier hautement qualifié
Indemnité !le panier . . . . . . . . . . . . . . . . . .
0
0
••
•
••
0
•••
_
•••
•
•
,
0
0
Art. 2. - EsI approuvé le bo rdereau des
salaires m~nima c: n0I1TT13U X et courants > des
scaphandr,iers, tel quoi! réslhlte du t a bleau
suivant :
l ' Du 1er juillet au 2 1 septembre 1951 :
Salaire hora ire de présence : 1re catég.
198,20 ; 2me catég. : 18 1 ; 3me ca lég.
158.65.
Salaire ho raire <le ,plonge
1re catég.
515,25 ; 2me catég. : 466,85
3me calég.
400,50.
100
104
107
11 3
117
121
130
136
142
150
96,25
98,&:>
101,65
107,35
111 , 15
11 4,95
123,50
129,20
134,90
145
Art. 3. - M . .Ie Secrélaire Général de la
Préfecture est chargé de l' application du present a rrêté.
Marseille, le 14 novembre 195 1.
Pour le F\réfet e t par délégation,
Le Secréfaire Général.
LAMASSOUiRE.
-------<.00 • • -------
TVX
CONSTRUCTIONS SCOLAIRES
PROTOTYPES O'ECOLES
PaT circulaire du 15 octobre 195 1, M. le
Ministre de l'Education Nat ionale a inv ite
les Préfels à appeler l'atlention des Maires
s ur .tes avantages que présentenl les protoIypes d'éooIes agréés s ur le Plan National.
L'adopl ion de ces proloty,pes par les munidpalités aya nt à faiTe co nstruire des écoJes, do it pe rme ttre d'éviter l'accomplissement
de certaines formalités e t d.e ce fa it d ' accélérer la realisation des opérations. C.est a insi que les formalités relaJtives à J'a grément
des a rchitecles et des projets, so nt s upprimées e t que la tâc he de l'archilecte se trouve
facilitée.
Acluellement est éditée une brochure 'POL"
faire con naître les plans et devis de ces prototypes, pholographies, etc ...
Cepe ndant M. le Ministre de l' Education
Nationale précise dans la dite circulaire que
si un Ma.re est intéressé dèS 'maintenant par
ces modèles, il
s'adresser c Servke des
92,50
93,60
96,30
IOt,70
105,30
108,90
117
122,40
127,80
139
15%
88,75
98,75
90,9;
96.05
99,45
102,85
t IO,5O
115.00
120,70
134
de-JOUY' Paris. où il pourra choisir le prC).
totype convenant le mieux aux besoins d~
la commune.
Le Préfet,
R. PAIRA.
•
TEXTES D'IUERET
GENEBil
Circulaires conoernant plus spécia/emtnl
les Adminislrations d. l'Etat
02 BI
2' A datel du 21 se ptembre 195 1 :
Augmentation de 13,5 % .
02 B3
0 %
AhaMements <te zo nes
5%
10 %
AC 3
REMUNERATION DES FONCTIONNAI·
RES, AGENTS ET OUVRIERS DES
ADMINISTRATIONS PUBLIQUES DE
L'ETAT RAPPELES SOUS LES DRA·
PEAUX, EN TEMPS DE PAIX, POUR
EFFBCTUERUNE PERIODE D'EXER·
CICE OU DE MANŒUVRE,
N' 82-13 B/4
Paris, le 30 octo bre 19)1
Le Ministre d'u Budget,
.
Le Min islre de la Défense NallOnai.
et le Secrétaire d'{tat à la Préside'"
du ConseL!,
à Messieurs les Mi nistres
et Secrélai res d'Etal.
L' autorité J11i1 i ta~re aya nt récem ment reprIS
le cycle des convocatio ns adressées en lemj:b
de paix, à res réservistes po ur effect uer unt
période d'exercice ou de m?nœ uvre, ~erta;
,n-es adm inistrat,io ns o nt p'o.sc la ques~lon d:
sa voir dan s q ue.lles co nditions dev31.t, . la
point de vue pÔC l.I!niaire, être régu tanf Il
s ituation de leurs agents convoqués e
sorte.
,,; t de
La ,présente instruction a pou~ owv e ts,
répondre à ces demand~s d~. renselg~en1entes
en fixant dans un so u c ~ d ,mfO'r01atlo n n lœ
modalités de rémunératIon a obSe rv.e r e apmatière. co mpte tenu des mod.i~icah~~~t aU
,portées depuis la fin des host, Més, '1 . dO"
s qu'à ce
III
'liëgime ,de solde d es mlTt'
1 al~ .
l'Etal
traitemerol's des personnels Civ ils de déc,,1
Si, e n, eHet , les a rhales 4. et 5 du
ar l'.rlidu 1er septembre 1939 mod,hés Il . t!)4l
ole 13 de l'or'd:<' nnanc e du 8 la~~'~~glé 1.
avaient, en mahere de r-ému!1éraIJo
243
sortnels cÎvils des Administrations de l'Etat
rappelés sous Jes drapeaux, et prévu. dans
tin tel cas, l'attribution éventuelle d'une indemnité différentielle, les textes légaux o.u
réglementaires publiés antérieurement à l'ouVe"ture des hostilités ne permettent plus de
déterminer d"une manière ,!>récise les droif'S
des personnels . rappel.es SOus les drape~ux,
en temps de paiX, pour effectuer une pénode
d'tnstruction militaire.
Cerles, l'arlicle 127 de la loi .d u 19 octobre 1946, portant statut gênér'" des fonctionna,ires, a posé le principe <lu maintien
au.x intéressés d'avantages 'péouniaires au
moins égaux au montant du traitement civhl.
Conçu toutefois en termes tres généra ux.
cet article ne donne aucune précision quant
aux possibilités d'opter entre le tra itement
et la solde, ou de cumuler ces deux éléments
de rémun ération.
),1 n'opère, par ailleurs, aucune disHnction
entre les périodes d'exercice ou de manœuvre obligatOirement accomplies et celles effectuées à la demartde des agents.
Da ns ces conditions, il est a pparu jndispensable, aHn d'eviter tout ab us, de limiter
la .possibilité de cumu l d ' un t rai tement public avec une solde milit a ire aux seuls pe rsonnels effectuant des pé riodes d'exercice
obligatoire.
Les ,périodes d'exercices obligaloires el
celles acco.lTI!pl ies à la demande des intéressés se trouvant, en consequence,' rému'néfiées
suivant des moda.~ités esse nliellement différentes, il a été décidé que l'a uto rité militaire
prédseiait, désormais, sur les o J1dres de rappel adressés ,à des foncti o nnalres o u ageOtts
de 1''E1at si ces convocations o nt été établies
d'oHice ou à .la de mande des inléressés.
Dans le cas o ù, par s uite d'omission, cette
discrimination n'a urait 'pas été effectuée, de
Chef du Service Civil don t relève l',mté ressé
devrait demander à l'a utorité militaire compétente de le renseigner, sur ce pO int:, Clans
les moindres délais.
TITRE PlREMIER
Champ d·application de l'instruction
Les dispositions de la piésente ins truction
s'appliqueront d'une faço.n génémle, aux perSOnne-ls civ.ils de l' Etat normalement rém unérés Sur les ·fonds de l' Elat. appa rlena nt,
p~~ lem -classe de rec rutement, à la dispon ibtllté ou à la réserve, et co nvoqu és, en
temps de paix, so us les d rapea ux pour effectuer une 'pé ïio.de d'exercice ou de manœu -
vre.
E II~s se ront notamment applicables a'ux
fonc~lOnnaires et agents des adm in istraNons,
semces et élablisse ments publics de l' Eta t
tnbutaires, en matiè re de pens ions civi les.
de la toi d u 20 septembre 1948 .
Pa~ ailleu.rs, il a été déc idé, par meslue
de bIenveillance que ,les avantages qu 'elles
OOnfèrent lpourront ê tre éaa
o lement accordés
aux .personnels o uvriers ai ns i qu'aux personnels auxiliaües, tempo ra ires o u co ntrac tuels
des a dministrations et établissemen ts pubJ.ics
de l'Etat qui, à la date de leur rappel sous
J~ drapea.lI~ sero nt eHechvement en fonch.o~s et jusHfieront de six mois de services
~1~'lls continus dans ,t'administration ou. l'éta, hssement dont ils relèven!.
. Ces avantages ne pourront e n revanche
etre étendùs, en aUCun cas. ~ ux je unes r~
c.Ntes appelé-es SO us les
sa-
,
leur classe .de recrutement ainsi qu'aux militaires ayant contracté un engagement Ou
un ren&agemenl, a<l delà de ,la durée légale
du service actif.
HTRE Il
Droits des agents convoqués d'Office
en VUe d'effectuer une pértode obligatoire
d'exercice ou de manœuvre
Les personnels visés au Titre 1er ci-.dessus
qui son1 rappelés d'office SOus les drapeaux
pou r effectuer une ,période obligatoire d'exercice co ntinueront de 'per.cevoir de leur A:d.ministration d'origine l'intég ralité de la rémunération nette a ttachée à leur emploi civil.
·L'organisme nü lnaire qui les administre
pendant Ja dusée de leur rappel sous Jes
drapeaux leur versera, en outre. la solde
nette de ,présence d'activité, le complément
provisoire de solde et les aUocations de solde attribuées s pécialement a ux personnels
miJitaires à ra ison <l e leurs c harO'es et astreintes particulières, allocations Ct qui
en
l' état actuel <les textes, rpeuve nt éve ntuellement co mprendre :
- L' indemnité pour char,ges militaires ;
- Les indemnités ,parlicu.lières de risques
prévues en aJpptication de l'arti<:le 13 du décret n' 48-1 366 d u 27 aoûl 1948 modifié·
- L'indemnitê pour services aériens; ,
- L'indemnité joulmalière de services
aéro.nautiques .
Ces diverses indemnités se ront ve rsées a ux
i·nrtéressés dans les mêmes cond itions qu 'a ux
militaires d'active.
Au cun autre avantage ne po urra leur être
servi par l'autorite militaire, a u ti tre notamment de l' indemnité de résidence, du complément de rémunération prévu pa r l'a rrête
du 30 septembre 1951, du s upplément famili a l de solde, de l' allocation de logement, des
prestations fa miliales et. d' une faço n gé neraie, de to us les ava ntages co rrespondant ,j
leurs charges cfe fa mille.
Le cas échéant, le bénéfice des ava nta O'e5
ainsi acco rd es se ra éte ndu a ux agents '-:'ùe
l' Etat, rap!>elés d'offi ce so us les d rapeaux en
temps de paix, et entrant da ns l' une des catégories ci-a près :
- Militaires de la d isponibilite o u des rese rves ra ppel es SO LIS les drapeaux en app lication des a rl icles 40 (6me a linéa), 48 (4me.
5me et 6me a linéas) de la loi d u 3 1 ma rs
1928 sur le recrutement de l'armée ;
- Milita ires mai ntenus sous les d ra pea ux
à l'expiration d'une pe riode d'exercice .lCcomplie en exécution de l' ava nt-dernier a linéa de l'article 49 de la loi susvisee ;
- Militaires des réserves appeles sous Its
drapea ux da ns les co nditions fixées à l'article 52 de cette même loi ;
- Milita ires de la disponibilité et des rese r ves a ppelés à effectuer l' une des pé ri Odes
qu' ils sont te nu s d'acco mplir en exécutio n
d'un engagement spécial d'e ntraîn ement volonta ire dans les réserves, contracté lui-même da ns les seules co nditions prévues à l'a r·
t icle 37 de la loi de fi nan ces n' 50-857 du
24 j uillel 1950.
Par contre, les jeunes gens q ui pou rra ient
être maintenus sous les d ra peaux à l'e.'<.piôation de leur se rvice milita ire obli ga toire légal ne se ront, en aucun cas, admis a u - bénéfice des ava nta ges ci-dess us én um érés. mème s'ils étaie nt rappel és par l'autorité mi litaire a u cou rs d'une « ,pe rmissi o n libéra-
TITRE III
Droits des agents convoqués, sur leur
demande, en vue d'effectuer
une période d'exercice ou de manœuvre
Les perso nnels de l' Etat visés au titre 1er
ci-dessus, qui seront appelés sous les drapeaux, sur leur demande, pour effectuer une
période d'exercice o u de manœuvre. devront
obligatoirement opter :
- Soit pour la rémun ération nette atta chée à l'emploi civil ;- Soit pour l' intég ralité de la rémunération militaire nette afférente au g rade detenu dans les réserves.
En cas d'option pour la rémunération de
l' emploi civil, celle-ci co ntinuera, pendant
toute la durée de la période d'exercice, d'être
mandatée par l'administration d'origine.
Dans cette hypothése, l' admlnistralion militaire ne versera a uCune allocation de solde.
Bien entendu, les intéressés pourront néanmoins prétendre, en cas de déplacement temporaire opéré a u cours de période d'exercice.
au bé néfice des indemnilés réglementaires
allouées aux militaires d'active de leur grade
par le Déparlement de la Défense Nationale.
En cas d'option pour la rémunératio n militaire. l'o rganisme militaire chargé d'admiInistrer les agents pendant la durée de leur
rappel sous l.es drapeaux, leur versera la totalité des allocations de solde prévues pour
leur g ra de, échelon et situation de famil 'Je (1). L'administration d'origine cessera
a lo rs de mandater a u profit des intéressés
les émoluments attac.hés à leur emploi civil
'}:lendant to ute la durée de la périOde volontaire d'exercice o u de manœuvre, mais il
lu i appartiendra de fai re verser ultérieure- . . . . .
ment les retenues po ur Sécurité Sociale (2)
et éventuellement les retenues pour logement, dont ils so nt passibles pendant toute
la durée de cette période.
TITRE IV
Etablissement des fic hes de renseignements
En vue de pe rmettre l'application des dispositions q ui précèdent et de procéder, le
cas éc héant, a ux régularisations q ui s'imposent, une fiche de renseignements, co nforme
a u modè le annexé à la présente instruction
devra, dans to us les cas, êt re d ressée en double exem plaire, le recto de cet état sera
rempli pa r l'Administ ration Civile, avant le
dépa rt de l'age nt e n ca use et le ve rso sera
compl été, pa r les soins de l'a uto rite militai re, au moment d u renvoi dans ses foye rs
de la personne convoquée.
Les deux exemplaires de cet état se ront
remis à l'Administratîon civile à chacun des
intéressés, ceux-ci devant les présenter à
l' autorité militaire (chef de cor ps ou de service) dès qu'ils a uront re joint Je lieu de
convocation. L'u n de ces exemplaires, dùment complet é pa r l'autorité militaire se ra
rendu a ux agents en cause à l'issue de leur
( 1) A l'exceptio n toutffofs des prestations
fami liales q ui, en ra iso n de leurs règles spéciales de paiement (fractionnement ne pouva nt être inférieur à 1 mois, j ustificatio ns à
produire, etc.) co ntinuero nt d'ètre servies par
l'admi nistration civile.
(2) Pendanl toute la du rée de leur péri ode d'exercice ou de ma nœuvre, les fonctionnaires continueront d·~ tre affiliés au ré-de écurité
�-
T ITRE V
période pou r être tra. nsmis
' '1a u Chef de Service de l'administration CI \1 e.
Dispositions diverses
t a~nt de l'Etat ayant négligé, lors
ou e rise de fo ndions, de r~mettl'\! .cc
de sa r p . son chef de service, devra fai re
l'objet d'un
ment dont le mo ntant sera:na~datées à so~
égal au total des somme~ b
a-r l' adft pOlir la période d a sence, P
p~o.' t' t'
c',v,'le , .déd
uction faite toutefois
miniS ra IOn
'
des prestations fam,hales.
Auc une régularisation de rete~ u.es opé r~es
1 Service des Pensio ns CIViles ne epou'. e effectuée pendant toute la durée du
;!~p~t'~ous les drap.eaux des personnels \l Ié par la présente instruction.
s ~ar ailleurs les agents ret raités de l' Etat
. en temps de paix sont convoq ués so us
~~I, dra'P eaux , po ur q uelque cause q ue ce
soit, conti nuero nt, comme par le passé, de
T
::,uM~;t~~ent
or~rec~: ~~~~~~~-
cumuler leur pension avec la rémuné ration
mil itai re affé rente à leur g rade, dans les li.
mites fixées par l'article 59, paragraphe Vii
de la loi n° 4S- 145O du 20 septembre 1948.'
Le Ministre dll Budget,
P. CO URANT.
Ministre de la Défense Na tionale,
Le Vice-Président du Con seil,
G. BIDAUtL T.
Le Secrélaire d'Eta t à la Pr ésidence
du Conseil, chargé de la Fonction Pll blique,
F. GAli..JLARD.
MODELE DE FICHE ANN EXE A L'I NSTR UCTION N"
Etat de renseignements (1)
concernant M.
avec l'adresse complète)
en date d u
..
fam.,ilale~ . à
Recueil des Actes Administr·. . . .
et Bulletin des Mairies
ABRÉVIATIONS
A. P . : Arrêté préfectoral. - C. : Circ ulaire - Les lettres 0 et B sui vies d' un dhiffre indiquent Le Senice ou Bureau <forigine.
D. S. T. : Direction des Services Technique •. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction départementa le de la Population.
S OMMAIR.E
a) ... . .. ,.....• . . • . ....
Arrêtés réglementaires et Circulaires
. charge de l'allocataire .. .. .... . . . . . . . .
l'allocataire . . .. . .. . .. .. ... . ....
Date de naissance de chacun des enfants a
. . . . . . . .... . . . .. .
Attributaire des prestatio ns (b).. .... ... .... .... .... .. ..
AG O. - Dél~ga tions de signatu re . . ..
AG 13. - Programme dépa rtemental
de priorité de reconstruction des
biens s inistrés . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..
CIA O. Elections consulaires en
195 1. - Reno uvellemerrt pa rtiel des
Chambr-es de Commerce et des T ribunaux de Commerce d u Département ........................
CIA O. - Explcsifs de mihes ........
CT O. - Autorisation d'ouverture de
colombiers de ,pigeons-voyage l!rs . .
F 2. - Contin gent com munal des dépenses d'assistance po ur 1950 .. ..
FS O. - Médeci ns ag réés po ur pratiquer les examens ra dioscopiques en
.
de laquelle est effectué, le cas échéant, le paiemenl
1 autre que l'allocataire, entre les mains
(a) En lettres.
.
(b) Personne ph~ique ou mo ra e,
des prestations fam,ila~s.
19
Le
(s,gnature et cachet de l'Admln,stratlon)
.
d "nlstrer l' intéressé au mome nt de son rappel sous les drapeaux
t de cet état est rempli par le Chef de Serv'Sce chargé h agd è'd'administrer l'intéressé pendant la duréç, de son rappe l sous
( 1) LLe
e rec
0
l'
le
Chef
de
Corps
ou
de
erv,ce,
c
ar
verso est remp 1 par
les drapeaux.
~ = := =
zac:
•
(nom, prénoms, grade)
VERSO
Le Chef de Corps ou de Service MI'l'1tal. re soussi.gné certifie que M.
a été rappelé so us les drapeaux (lt)' (2)'
ff
e période obilga olfe
,
pour e . ectuer : unTé ' une période obligatpi re et entrant da ns l' une des catégo ries défin ies au Titre Il de l' instructto n s usvisée
une periode ass,m' , el a t'
(2) en applieation de (3)
(2) . une période vo on alfe
,
.
d t la
durée de la convocatio n so us les drapea ux du
~I oca f Ions de solde payées par les soins de l' Autorité Milita,re pen a n
inclus.
au
Observations (4)
Sommes payées pendant la période
Désignation des allocations pa yées
( 1)
(2)
(3)
(4)
.... .. .. ..... ...... .
D5 Ba
-
_,C,
le
A
,
ai
nsi
que
lieu
de
stationnement
de
ce
co rps ou sen lee.
1nd ·,quer le corps.ou
' service où l'intéressé a effectué sa période,
Rayer les mots inutiles.
. .
. . t ' . Ile
Indiquer la référed"ce dteésl~o~é~~'po~sab:~~s ~~~tr~ da ns cette colonne c non imposable >.
En regard des ln em m
,
Copie eerti6.ée COD t.rm.e.
Pour 11: Préfet :
Le Su~i'G.rf! Gi .. érGl : LAMASSOURv..
195
Pages
Paq~5
245
248
249
249
24.9
249
\l ue de la délinance des certificats
prénuptiau x et prénataux ....
FS O. - Nomination des médecins-vaccinateurs publics da ns les comm unes
d u Département po ur la d urée de
l'a nnée scolai re 195 1- 1952 ... .....
P 3. - Destruction des corbeau x et
. . .. ....
des pies .... ..
P 5. - Application de l'ord onnance
45-2339 du 13- 10-1 945, relative a ux
spectacles .... .... ... . .... ....
SC 2. - Fixation des trais de contrôle
dus à l' Etat par les entrepreneurs de
distributions d'é nergie électrique po ur
l'a nnée 195 1 .......... ..........
TVX 1. - Enseignement du 1er degré. - Projets de travaux de g rosses
réparations et petits aménagements
l1révuS pour l'annee 1952 ..... . ....
24g
Textes d'Intérêt Généra)
249
250
251
25 1
251
P2ie5
Payement par vi rement
de comptes des dépenses de l'Etat,
des collectivités et établissements publics et des Services concédés . ... 252
II. - Payement des dépenses de l'Etat
par chèques ti rés sur les comptables
assignataires . ..... . ..... ........ 252
AC 3. - Décret n" 51 -1 335 du 19-11195 1 modifiant le ta ux de la cotisation de Sécurité Sociale des ionctionnaires ... .. ... ... .... . . ......... 253
Communiqués, Avis, AMORCes dive,...
TVX O. - Bordereau des salai res nOrmaux et COu rants dans le Bâtiment
et les T ra"a ux Pu blics (e rratum) .. 253
- Opuscule du Mémo rial de Chasseneuil .... .... .... .... .... .... 253
AC 2. -
1. -
ARRÊT ÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
•
Total
1
To ute correspondance relative au Recueil doit ê tre adressée à la Préfecture S ecrétariat Général
DU
à (indication de l'admin istration publiqu,
,
(nom et ré noms) exerça nt l'emploi de
p rappelé sous les drapeau en vertu de 1 ordre de convocation nO
à compter du
Situation familiale
Nombre d'enfants au titre desquels l' ~d~,: nis.tra~i~n. verse des. prestations
g< AuDée . - N" 48 et 49
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
~~~~~~~~~
RECTO
~
REPUBLIQ UE FRA N Ç AISE
'29 No.embre et 6 Décembre 1951
AG 0
DELEGATIONS DE SIG NATURE
ARRETE
(S.P.L 772)
Le Prélet des Bouches-du.Jlhône, Officie r
de la Légion d' Honneur,
VlI l'article 3 d u déc ret du 29 décemb re
1854 ;
Vu le décret d u 10 septembre 1926 ;
Vu le décret du 27 septenlb re 1948 po rtant nomination de M. Guy LamassoUJ'e, en
qualité de Secrétaire Général à la Préfecture des Bo ucheS-du-Rhône,
A TIète :
Article premier. _ Délégatl@n permanente
de signature est donnée à M. Guy Lamassollre, secréta ire gé néra l de la Préfec ture des
BOUChes-du-R'h ône, en ce Qui concerne :
- Les légalisations de s ignature ;
- Les passeports ;
- Les CaTtes d'étran gers '
- L'approbation des buagets et comptes
~es Communes des é1ablissements bospitaliers. et des associations reconnues d' utÎhte
PUbhque ;
- ,L'~ppro b:ation des dé li bérations des
Conseils Mu niCi paux et des Commissions admi nistratives des Etablissements hospitaliers;
- Les a rrt:-tés concerna nt les administrateurs et le personnel de l'Assistance Publique de Marseille, l'approbation des dé libérations du Conseil d'admi nistration de l'Assistance Publique de Ma rseille ;
- Les arrêtés concernant les Admi nistrateu rs et le pe rsonnel des Etablissements hos.
pitalie rs ;
- Les arrêtes de fixatio n des p Tl X de
jo urnée de l'Assistance Publique de Marsei lle et des Etablissements hospitaliers i
- .Les a rrêtés concernant l'Assistance Médica le GratuH e et les lois d'assistance ;
- Les arretés d'auto risation de dépo!s
d'ex plosifs ;
- Les arr êtés J'ex.pu lsion <.l'étrangers
- Les ordres de refoulement :
- Les contrats, marchés, adjudi cations
pOli r le compte du D~ partement ;
- Les a rn.~és d'accepta tion de legs ;
- Les arrêtés d'autorisations et récéprssés
de déclaration des établissemenls classés ;
- Les contra, errttons de grande \'O'i f1ie ;
- Les récépissés de déclarations d'Associations (Loi de I9(H) ;
- Les ord res d'attribution d'oHi e de logements et les arrêtés po rtant ann ulation ct
main-Ie\'ée de réquisitions ;
- Les arn?tës po rtant nomi nation, tituJaris'3.tion, promotion de g rade et avancement
de classe du personnel dépa rtemental ;
- Les arrêtes de mise à la retraite du
personnel du cad re t:kpa rœmental ;
- Les arrètes portant reeLassement du
personnel départemental ;
- Les arrêtés et notes de sen-ice aCCOrdant des con!!ês de maladie, congës annuels
et exceptionnels au personnel du cadre de
l'Etat et du cadre departemental ;
- Les arrèt~s portant dètacbe91eot et mise en disponibilité du personnel <lu cadre départemental ;
- Les a rrëtës relatifs au Conseil de Discipline et sanctions inflig~es au personnel d u
cad re départemental j
- Les arrêtés et notes de sen'ice relatifs
à la Commission admi nistrative paritaire-départementale et au Corai é TechIlique Paritai re (Etat et D~"ement) ;
- Correspondances re lath'es a u personnel
d.u "Cadre des fonction naires de l'Etat et d.es
�241
ota tio n du personn el (Eta t et Départeme nt) ;
_ Tous actes, arrêtés ou déc is ions et la
correspondance générale en ce q ui concern e
l' admin istratio n du Dép a rtement.
Art. 2. -
Toutes dispositio ns
a ntérieu re~
a u présent a rrêté s ont ra pp o rtées.
Art. 3. - M. le Sec r éta i re Génér al de la
Préfect ure est chargé d e l'exéc ut io n d u p résent a rrêté q ui s era pu bli é au Rec ueil des
Ac tes Administrati fs du Département.
Fait à Ma rse ill e, le 20 novemb re 195 1.
Le Pré/e l :
R.
P AU~A.
•••
ART. 2. -
""1.
Im be rt s ig nera éga lem ent
par délégatio n les docum ents co ncerna nt la
co mptabiHte d u Dé par teme nt ainsi que ceux
des Fina ncl::s de l'E tat , notamm ent mand ats
de paiement, bo ns de caisse, pièces r églementai res (i·e com ptabili té ct les ti tres d'es
emprunts dépa rt em enta ux,
ART. 3. -
M . 1" Secrét a ire Gé nér a l des
et M . le Trésor ier-Paye ur
General so nt chargés , cha,cull en ce qui le
co ncerne, de l' exécutio n du présent arrêt é
qui sera publié a u Rec ueil des ac tes adm i~
Bo u ~hes -d u -R hô n e
Le P réfet des Bouc hes-<l u-Rhô ne,
Officier de la Légion d' Honneur,
Vu le <ilécret du l a Septeml"e 19 26, relatif
à l'organisation de l' Administration Préfectorale. modifié pa r les dëcrets du 2 Jutn 194-4
et du 15 J uillet 1947 ;
V u les necessités du service ;
Sur la p roposition de M. le Secrétaire Go'·
néral des Bouches- elu- Rhône,
ARRETE:
ART ICI.E PRE-'\lER. - Me SAUVAIRE Chef
de la 6me Di vision, est délégué pou r signer
en notre nom, dla ns toutes les affai res resso rtissant â ses attributions, les a mpliations
d'arrêtés, les -copies conformes de doc ll me n t~
ainsi que toutes les notes de service et co;~
r~pon~a~ce cou~antc ne co mportant ni de\..;·
Sion, nt In structions générales.
AR~ 2. --:- M. Sauvaire signera ésa l~ntent
par delégat!On les permis de chasse, lE:; ca rtes professl?~nelles de po issonnic.r:-, dêtailI~nts,. les te le grammes aux h1.inist':res de
J .Agncultur~, des Finances et Economie NatlOnale. et (lu ,Ravitaillement po ur les affaires
ressorhssant a ses attributions et les arrêtés
rendant e~é cuto ire le paie ment des so mmes
due~ au titre des cotisations de St!cu rité
SOCIale et d'allocations fa miliales
...
M. le Secrétaire Gé néral des
~~u~h~-dil -Rhône et M. le Tréso r: er-P;ly('ur
ART. 3. -
enera son,t c hargés, chacun en ce qui le
cOI~c:rne, . d aSSu rer l' exécutio n du présent
ardr~~e,. QI:I I .sera publié a u Recueil des ac tes
a mln,strat,fs <lu Département.
Marseille, le 20 Novembre 1951.
Le Préfet.
R. PAlfH.
Marse iUe, le 20 NOl'emb re 195 1.
Le P ré fet,
R. PA l RA .
:.
ARRETE (S. P. L. 777)
Le Préfet des Bouches-du- Rhône
Officier de la Légion d' Honneur, '
. ~u le décr et du la Septembre 1926, relat;f
a lorganlsatlon de l' A<1 ministration P réfectorale, modifié pa r les décrets d u 2 Jui n 1941
et du 15 Ju ,lI et 1947 ;
Vu les n ~cessi tés du servic e '
Sur la p~oposition tIe '.N\ ie Sec reta ir e
Général des Bo uc h es-dlU-H h () ~ e ,
ARRETE :
ART ' CLE PI{EAIJER. - ·M. LODS C hef de
la 5me Division, est délégué po ur 'signer en
~ot re n~m, dans to utes les affaires ressor~~sa~t a ses a~trioutions. les a mpliations
.a,r~etés, les copies co nfo r mes de <1pcuments
all151 que toutes les notes de service et CQr-
r~pon<!,a~ce cou~ante ne co mportant ni décision. ni instructions générales,
ART ..2. -
M. Loos signera éga lement par
déle g~ tlon les {'.<rrtes grises, les per mis de
co ndUire, les certificats de non
"aUe les
vo lets C, les cartes de transporteu r~ r~ ~tiers
t tou~ ~OCtI m e n ts et pièces a fférents aux
é' Eommlsslons <le Réfo rme
l tat et du Département.
des personnels de
ART, 2. - M . le Secrétair e Généra l des
ART. 2. - Mtm e Mayra rg ue s ig nera ég 1 Bouches-du-Rhô ne et 'M. le T résorier-Payeur
me "t )la r <l'é légatio n les réq uisitio ns d~ tr • ~ Général sont oha r gés, chacun en ce qlli le
port s d'indigents,
ans.
ART. 3. - M. le Sec rétaire Gé néral des
~~u~hes-du-Rh ô ne et ,M. le Trésorier_Payeu r
n rai sont 'chargés, chacu n en ce qui le
cOIl.cerne, . d 'assurer l'exéc ution du p résent
adrreté qu, sera publié a u Hecuei l <l es actes
a mln lstrahfs du Départem ent.
Marseille, le 20 Novembre 195 1.
,Le Préfet,
concerne, de .l'exéc utio n ,~ u prése nt arroêté,
qui sera p ubli é au ({-ccuel! des actes adm i-
ART. 3. - lM. le Secréta ire Gé néral d nistratifs d u D épart eme nt.
Bouches-du -R hô ne et M. le TrésO ri t r"Pay:
M~rse ille, le 20 Novem bre 195 1.
Généra l sont eha rg és, ch acu n e n ce Qui Ir
co ncern e, de l'exécution du pr esent alln~J
qu i sera publi é a u -Recueil des ac tes admi nis
tra ti fs du Dépa rt em ent.
Le Préfet,
•••
.
Aûll~1'E
Le Préfet
R P-AJR A. '
:.
A R~ETE
(S. P. L. 783)
Vu le déc ret n" 50-722 <J·u 24 Juin 1950,
à J' organisation de l' Administration préfec·
torale ;
Vu le décret n" 50-722 du 24 Juin 1950
relatif il la délégatio n des pOllvoirs proples
a u x P réfets, Sous-Préfets et Sec rétaires Gé·
néra ux de P r éfect u re ;
V u les nécessités du spr vj ce ;
Su r la propositio n de iM le Secrétaire Gé·
néra l des Bouches·d u-R hô ne,
:
ART ICLE PREAII ER, - M. LARTIGUE Jean,
AltaCjhé de PréfectlIJe, Chef de Bu reau, est
~ lég l1 é pou r signer en notre n.o m, pour
Le Pré fet des Bo uches-d u-Rhô ne,
Oifi cier de la Lég ion d ' Ho nn eur,
Vu le ~c...,t d u la Septembre 1926 r elati f
à l'orga nisa ti o n de l' Ad ministration P réfec-
relatif à la déléga tia n des po uvoirs propres
Vu le déc ret ,du la Se pte m bre 1926 rel.nf
~t<RET,E
les
affaires r eleva nt <Ile son Bu rea u, les border eaux, récépissés, co nvocatio ns, tra nsmissions de pièces, notifications à particuliers,
demandes d' enq u ~tp 0 11 de rensei gnements,
-copies confor mes et, en l'absence du Chef
de Division, télégrammes en cas d'extrême
urgence et cor responda nce ne co mportant ni
déc-ision~, ni instructions gé nérales.
ART. 2. - M. le Sec rétaire Gé néral des
Bo uches-d u-Rhô ne et lM . le Trésorier"Payeur
aux Préfets, Sous -Préfer.; et Secrétaires Généraux de Préfec ture j
Vu les nécessités du ser vice ;
a dm inistrati.fs du Départ ement.
M,arseille, le 20 Novem b re 195 1.
'Le Préfet,
R PA IRA.
Le P réfet des Bouehes-<lu-Rhône,
Officier <I~ la Légion d' Honneur ,
Vu le décret du la Septembre 1926 relatif
à l'organisation de l'Administranon Préfec-
néral des Bouches..({ u..lRhône,
ARRETE:
ART ICLE PRE-\IJER. - lM. :M.ONTEIL ,Fernand, Chef <le Bur eau, Attaché de J' réfecture
est délégué pou r signer en notre nom les
cartes g.rises, les permiS de conduire ,l es cer-
tiiicats de non gage ai nsi que la e~rrespon
dance et tes notes de service concernant ces
questions.
ART. 2. -
M . le Secrétaire Général des
B~uch es-du-Rhône e.t M. le Trésorier-Payeur
Genéra l sont c harges, chacun en ce qlli Je
cOllCerne, -d'assu rer l'exécution d u présent
tions du 2me B urea u de la 1r.e Division, et
:.
po ur lesqu ell es lM. Arnaud avait reçu déléga·
tion par a rrêté en d ate d u 12 Janvier 1949..
ART. 2. - 'M. le Secrétaire Gé néral des
Bouc hes-du-Rhô ne et M. le Trésorier~Payeur
Général sont cha1rgés, chacun en ce qui le
concern e, de l'exée ution du présent arrêté
q ui sera publié au Hecueil des ac tes administratifs d u Département.
Marseill e, le 20 Novem bre 195 1.
Le P réfet,
R. PAJRA.
:.
A RRETE (S. P. L. 786)
à l'organisatio n de j'Administratio n P,réfec10rale ;
Vu le décret n" 50-722 d\1 24 Juin 1950
à
arrêté qui sera publié au Recue" des actes
administratifs du Département.
Ma rseille, le 20 Novembre 195 1.
Le Prefet,
R. PA·IRA .
Sur la proposition & M. le Secrétaire GénéraI des Bouches-du-Rhô ne,
la délégation des pouvoirs propres
a ux Préfets, Sous-P,ré fets et Secrétaires G'néraux des Préfectures j
Vu les nécessités du Service ;
Sur la propOSition de Lo\1L le ecrétaire Générai des Bouches-du-Rh ône.
ARRETE:
,\RTICLE PREM' ER, - En l'absence de M.
ARNAUD, C hef cie la Ire Dil'ision, 'M. T HIBAL ,'1ic hel, Att ac hé de Préfect ure, C hef de
Bltreau , est délé""ué pOlir signer en notre
nom. dans toutes I~ affaires ressortissant aux
at tributions d~ 1 J er .su rea u de la J re D ivision
et pour lesq ue ll es M. Ar na ud al' ait reçu délégation par arrëté en date du 13 Janvier 1949"
III RT. 2. - M . le Seoré taire Gé néral des
Bouches-du-RhOne et M. le Trésorier-Pal'en r
Général son t dhar gés, chacun cn ce lJ ui. le
COncerne, de J'e xécution du présen t arrr~té
qui sera publie a u Recueil des actes ad minis-
tratifs du Dépa rtem e nt.
lMarseille, le 20 No vembre 195 1.
Bouches-<l~ .RhÔrte,
Officier d e la Légion <l'Honneur,
Vu le décret du l a Septe mbre 1926 relatif
à l'orga nisation de l'Ad ministration préfectorale ;
Vu le d'écret n' 50-722 d u 24 Jui n 1950
relatif à la délégation des po uvoirs propres
a ux P réfets, So us-Préfets et Secrétaires Gé·
néraux de Préfecture ;
Sociale;
Vu les nécessi tés du service;
Sur la ,proposition <le M. le Sec rétaire Générai des Bo uches....du-Rhône,
ARRETE:
ARTICLE PREM ' ER. - M. MA YRARGUE
Ed mo nd, Attaché de Préfecture, Chef de
Bureau, est délégué pour signer en notre
nom les arrêtés rendant exécutoire le paiement des :sommes dues au titTe des cotisations de 5écurite Sociale et d'allocations
familrales .
ART. 2. - ,M. le Secrétaire Gé néral des
Bouches-du"Rhône et M. le Trésorier-Payeur
Géneral so nt chargés, chac un en ce qui le
concerne, d'assurer l'exécution du présent
arrêté, qui sera publié JU Recueil des actes
administrat ifs <1\1 Dépa rtement.
Jarseille, le 20 NO\'embre 195 1.
Le Préfet,
•••
R PftJRA.
A RRETE (S. P. L. 789)
Le P réfet des Bouches-<lu-RiJôn<>,
Olfioier <I.e la Légion <l' Ho nneur,
Vu le décret .GU la Septembre 1926 relatrl
A l'organisatio n <ie l' Administration préfectorale ;
P rel<t
ARTICLE PREM'ER. - lM. HRISAC Alfred,
Attad"é de P réfectu re, C hef de Sureau ; lM.
GARMlNON Robert, Attaché <I.e P réfecture,
Chef de S ureau ; M'me 1MA.L VlNO Ray monde, Attachee
Vu le décret n" 50-722 du 24 Juin 1950
de P réfecture,
Chef
rlIe
Bureau ; M me BERTUCCI Hé lène Attachée
de ~réfecture, Chef de B ureau, so~t <lélégués
pour sl~e r en notre nom, et chacun po ur
les affaires relevant de leur bureau les arrêtés d'admission dans les Etablisserrients hospitaliers et les sorties, les arrêtés de f"èalement de frais de séjour d'a ns les Etabl.~
ments pr écités,
tou!>es
pièces comptables
con~e .rna~t les frais de séjour ajnsi que IfS
pa rhcrpahons des familles aux. frais d'hos·
pitalisation.
ART. 2. - M. le Secrèt~ire Général des
Bouches-du- Rhône e: M. le Trésorier-Payeur
G.?neral sont charges, chacun en 'Ce qui le
ccncerne, d'assurer J'exécution du p ~esent
arrè té, qui ser.a publié au Recuew des actes
a clministratifs du Département.
Marseille, le 20 Novembre 19.51.
Le P réfet,
R. PAIRA.
•••
A.HRE,TE (S. P. L. 788)
Le Préfd des
Vu l' a rti cle 53 <le l'ordon nan ce du 4 Octob re 19 45 portant orga nisatio n de la Sécurité
Le Préfet des Bouches-du- Rhône,
Officier de la Légio n d' Honneur.
Vu le décret d u la S~'e m b re 1926 relatif
relatif
néraux de P réfectur e ;
Vu les nécessités du service ;
ARRETE- :
Vu '" décret n" 50-722 ,d u 24 Juin 1950
relat if à la délégation des po uvoirs propres
a ux Préfets, Sous-Préfets et Secrétair es Généra ux de P réfectu r e ;
V u les nécessi tés <iu service ;
Su. la proposit io n de M . le Secréta ire Gé-
Sur la propos ition de M. le Secrétaire
Général des Bo uches-du-Rhône,
A'RREToE :
ARTICLE PREAIJ ER. - En l' absence de M.
ARNAU.D, Ohel 'd'e la l.re Division, M. M!ARIN
Jean Attac hé de P réfect ure, Chef de ,Bu reau,
est délégué p o ur sig ne r e n notre nom da ns
toutes les a li aires r esso rtissant aux attrib u-
Général sont chargés, chac un en ce Qui le
concern e, d) ass urer l'exéc ution du présent
:.
(S. P. L. 785)
torale ;
Le P rè fet des Bo uches-<lu-R hône
Officier de la L~gio n d' H onneur,'
aux Préfets, Sous-Préiets et Secrétaires Gé-
ARRE,TE (S. ,P. L. 787)
toral e ;
R. PAI RA.
Ma rsei ll e, le 20 Nove m b re 195 1.
arrê té, qu i sera p u blié a u Rec ueil des actes
R. PAfRA.
•
et c.o:respo~~ nce c~ura nte ne co mportan
déciSion, Oi IIl st ru ch ons généra les.
t
nis trati fs du Departem ent.
ARRETE (S. P. L. 774)
•••
ai nsi que toutes les notes de service ct
correspo nd ance cou rante ne co mpo rtant ni
décision, ni instru cti ons généra les,
ARRETE (S. P. L. 790)
Le Préfet des Bo uches-<lu-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu le déc ret du 10 Septembre 192f' relatif
à l'organisation d e l'Administration Prefec tora le ;
Vu le M cret n" 50-722 du 24 Juin 1950
re latif à la délégation des pû'uvoirs prupres
aux Préfets, Sous-P réfets et Secrétaires Généraux de Préfecture ;
Vu les nécessitès du se rvjc~ ;
Sur la propos ition l'ie ,\ \.! :! Sec-étn.:r'!
ul nl'ral des Bouches~-Rhône .
ARRETE:
ARTICLE PRE,\\lER, - M. RO YERE Alfred
Attaché de Pré-fecture, Chef de Bureau est
délégué pO~l r signer en not:J1e norn, dans toutes les a ffai res ressortissantes à la 5 me Division les ampliations d~ar rête s, tes copies
conformes de documents, les notes de service et la eor resp()'1'}(iance courante ne co mpo rtant ni dCcision , ni instructions gënérates.
Il signera éga lement pa r dél~g:.lt:,)n les
cartes grises, I~s permis de conduir~. I:!s ::eIrifica ts de non gage, les \'olets C, l~s cartes
de t ra nspon~urs routiers et !<lus docllments
et piècf:s afféj~ntes aux Commissions de
Réforme des personnels de l'Etat et du Depa rtement.
AR,. 2. -
,'1. les Secrétaire Géneral des
IBouc1les...d.u- Rhône et ,\\, le T résorier-Payeur
Général sont char ges chacun en ce qui le
co ncerne, d "assurer l'exécutio n du présent
arrêté qui sera publié au Recueil des actes
administratifs du Uépant::men t.
,'1arseille, le:!O
ovembre 1951.
Le Préfet,
..
•
R. l"ftJRA.
�248
249
ARRETE (5. P. L. 79 1)
Le Préfet des Bouches-<lu- Rhiine,
Officier de 12 Légion d' Honneur,
Vu le <!ecret du !O Sc:ptem.bre 1926 relatif
à l'organisation de l'Administration Préfectorale ;
Vu le décret n" 50du 2~. Juin 1950
relatif il la œregation des poUVOIrs. propres
awc. Préfets, Sous-Rtéfets et Sec~ta".es Généraux de Pr<!ectur e ;
· \ ·u i"artic le 53 de l'ordo nn ance clu <lOctobre 1945 portant organisation de la Sécunté
Sociale:
Vu les nécessités du servke ;
Sur la proposition de M . le Secrétair.e Générai des Bouches-<I\J-Rhône,
m
ARRETE;
ARTlCU: PREMIER. - .\l FlASTRE Lazare,
Mtaché de Préf.cture, Chef de Bureau,. est
délégu' pour signer en notTe nom les arretés
rendant executoire le paiement des sommes
dues au titre des cotisations de Sécurité Sodnle et d Allocations Familiales.
ART. 2. - ,\\. le Secrétaire Général ~s
Bouches-du-Rhône et M. le Trésorier-Payeur
Général sont chargés, chacrul en ce qui le
concern~, d'ass urer l'exécution
du présent
arrêtcE:, qui sera publié au Recueil des a.ctes
admini tratifs du Département.
Marseille. le 20 Novembre 195 1.
...
.~RRETE (S. P.
Le Préfet,
R. PAIRA-
ARRETE:
.~RTlCLE PREMIER. - M. NOBILI, Chef de
la 4me Division. est délégué po ur signer en
notre nom, dans toutes les affa.î.res ressortissant â ses attrib utions, les ampliatio.ns d'arrêtés, les copies conformes -de documents
ainsi que toutes les DOJes de. service et cor~
respondances coura ntes ne comportant ni
décision, ni instructions géné rales.
J\i.'T. 2. - .M. Nobili signera également
par délégation les cartes de voyageurs de
commerce, les cartes de commerçants étrangers, ~es cartes de coiffeurs.
ARr. 3. - L'arrêté donnant délégation de
signature â At Nobili, en date du 20 Novembre 1951 , est rapporté.
ART. 4. - UI1. le Secrétaire Général des
Bouches-du-Rhône et lM. le Trésorier~Payeur
Général sont chargés" chaeun en ce qui le
concerne, de l'exécution du présent arrêté,
qui sera publié au Recueil des actes administratifs du Département.
Marseille, le 29 Novembre 1951.
Le Préfet,
R PAIRA1.
ART. 3. - "'1\ le Secrétaire Général des
Bo uches·<iu-Rhà ne et .\\. le TTésorjer.,(>ayeur
<Jenéral sont chargés, chacu n en ce qui le
concerne. d'assurer j'exécutio n du présent
arri:tt! qUI sera p ubli é au Recueil des Actes.
administratifs du Dépar teme nt.
Marseille, le 29 Nov"rnbrc 1901.
ARRETE :
ARTICLE PREM IER, - "''Ii. ARNAUD, Chef
de la 1re Div ision, est dél é~,é pour signer
en notre nom dans toutes les affair es ressortissant à se; attributions, les ampliations
d'arrrêtés. les copies conformes de docu ments
ainsi que toutes les notes de service et correspondance cOUIaJ1fe ne comportant ni déci-
ARRETE (S. P. L. 8 10)
sion, ni IDstructions gén.eral.es.
ART. 2. -
M. A.rnaud signera également
par délégation,
les passeports,
les cartes
d'identité d'étrangers, les permjs de visite de
prison.
ART. 3. - L'arr~té donnant délégatio n de
signature à \. Arnaud en date du 20 Novembre 1951 est rapporte.
.-.l
AR1. 4. le Secrétaire Général des
Bouches-dll-'~ilône et M. te. T[ésorier.,jPaytmr
Général sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exéc ution du present arrêté
qui sera publiê au <Recueil des Actes administratlls d'u Département.
Marseille, le 29 Novembre 1951.
...
L. 807)
Le Préfet des Bouches-du- Rhône,
Officier <ie la Légion d' Honneur,
\'u le décret du 10 Septembre 1926, relatif
à l'orgamsation de l'Administration Préfectorale, modifié par les dl!crets du 2 Juin
1944 et <Ul 15 Jwllet 1947 ;
Vu les nécessités du service ;
Sur la proposition <le M. le Secrétaire GénéraI des Bouches-du-Rhône,
\
ARRET E (S. P. L. 808)
Le Préfet des Bouc hes-d u- Rhône,
Officier de la Légjon d'Honneur,
Vu le décret du 10 Septembre 1926 telati!
à l'orga nisation de l'Adl11l.mstrntIon Préfe~
torale, mOltifié p~r les cree rets du 2 JUin
1944 et du 15 JUlllet 1947.;
Vu les ni!cessites du service;
..
""'
Su r la propositio n de M. le Secretrur. GénéraI des Bouches-du-Rhône,
Le Préfet,
R. PAIRA.
ARRETE (S. P. L. 8(9)
Le Préfet des Booches-du-Rhône,
Officier de la Légton d'Honneur,
Vu le d\!cret du 10 Septembre 1926 relati f
·à l' organisation de l'Administration Pr.é fectorale ;
Vu le déc ret n" 50-722 <l u 24 Juin 1950
relatif à la délégation etes pouvoirs tPropres
aux Préfets, Sous-Préfets et Secrétaires Généraux de Préfectur e ;
Vu les nécessités de senvice ;
Sur la propOSition de 'M. le Secrétaire
Général des Bouc.hes-du-Rhône,
ARRETE:
ART ICLE l'RE.\\IER. - M. ROUX Victor,
Attaché d.e Préfecture, Chef àe Bu,eau, est
délégué pour signer en notre nom les mandats et or.dres de paiement, les bordereaux
d'émissio n, ~s titres de recettes, ordres de
reversement et pièces comptables de to us
ordres concernant les finances de fEtat et
du Département. ainsi que Tes ampliations
d'arrêtés et copÎ'fS co nformes de documents
et tous certifieats, notes se rapportant à la
législatio n Su r les prestations familiales. ainsi
que tous docu ments relatifs il la législation
Sur les pensions de retraite.
II signera également les ord1res de pa iement r elatifs aux sommes indûment perç ues
à restituer à la Trésorer-ie Gé nérale sous la
rubrique « divers L.C. de dépôts au Trésor
ct qui ont fait l'objet de virement au C)c.P.
11-93 du Régisseur de Recettes de la P réfecture.
ART. 2. -
L'a rrHé donnant dé lé ga tion de
Roux Victor en date du 20
Le Préfel,
•••
R. PAlRA.
Le Pré"'t des 'Bouc heS-d u-R hône,
Otfideli de la. Légion dn'onneur.
Vu le déc ret du 10 Septembre 1926 relatil
à l'organisation de.. f Ad m inistratio n Préf~~
torale ;
Vu le déc",,! n· 50-722 du 24 Juin 1950
relatif 11 la délégation des pouvoirs propres
aux Prélets, Sous"Préfets et Secrétaires (lt.
nétaux de Préfecture;
Vu les nécessites du service;
Sur hl proposition de ,'Il . le Secrétaire
Général des ,Bouches-du- Rhône.
AIRHETE :
ARTICLE PQEMI.ER. - 'M. BLZET Joseph,
Attaché de Préfertur", Chef ae Bureau, est
dél ~gué pour signer en notre nom les mandats et ordres loe paiement, les bordereaux
d'émission, tes titres de r ecettes, ondres de
re verse.ment et tPi ~oes co mptables de tOllS
ordres coucer,nanir les fina nces de l'Etat et
du Département, ,ainsi que les ampliaHans
d'arrê'tés et ,co pies conformes die d.ocuments
et tous certifLcats, notes, se rapportant à la
législation sur les p.restations familiales, ainsi
que tous documents relatifs à la législation
sur les pensions <I.e ret raite..
/1 signera égaJement les ordres de paiement
relatifs aux So mm es indûment perçues à res.
tituer à la Trésorerie Générale sous la rubri.
que divers L. C. de <lépôts a u Trésor et qui
ont fait J'objet de virement au C.C.P. 1'1-93
du Régisseur de- Rece-ttes de la Préfecture.
ART. 2. - M. le Secrétaire Gênéral des
BoucheS-du_Rhône et lM., le Trésorie-r..lPayeur
Général sont c harg-és, chacun en ce qu i le
co ncerne, 3'ass'u rer l'exécutio n du présent
a rr~té qui sera publié au Recueil des Actes
administratifs du Département.
MaTseille, le 29 Novemb re 1951.
Le Prélet,
R. PAlRA_
------<>ooc>-----_
D5 BI
fion et de l'V rbani s me, 50, rue Sain t"Lazare,
. Marseille.
P o ur le Préfet :
a
Le Secrétaire Général
LAM ASSO URE.
CIA 0
D4 B3
ECTIONS CONSULAIRES EN 195 1.
ELRENOUVELLEMENT PARTIEL DES
CHAMBRES DE COMMERCE ET DES
TRIBUNAUX DE COMMERCE DU
DEPARTEMENT.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à MM. les Maires du Dé partement,
Les élections en vue du reno uve ll ement
arti el des Tribun a ux de Comm erce de Mar;
~eille, Ai xl Arres, Tar asco n ~t Salo n, a inSI
que d u ren ouve llement pa r tIel des Cham·
bres de Co mm e rce d e Ma rseille et d'A rles
auront li eu le jeudi 13 dece.mbre 1951.
Les modali tés d es sc ru t ins fo nt l'objet
d' un e ~i ( c u1 a ir e spécia le ad ressée di rectement
aux Mairies.
Pour le Préfet,
par délégat ion,
P a r a rrêté du 2 1 novembre 195 1, pris sur
proposition de lM. le Délégué ~épartem~n~al
d u Ministèr e de la ReconstructIon et de 1 Ur·
banisme, et après avis de la Sous-Commission Oepartemeutale des Priorités, cha rgés
de déterminer l'upgenc e de recons titution, d~S
biens sinistrés, un c.er tain nom bre de prrord,tai res o nt été admis dans le programme e
priorité de reconstruction pour 195 1. . .
Les list~ des sinistrés reconnus priorrtalres
sont affichées à la porte principa le de ch~
que mai rie intéressée et peuvent être co nS tées à la Préfecture, 5e Division, 1er B~rD~I:
ou da ns les Bureau!, de M. le Délégu
CT 0
AUTORISATION
D ' OUVERTURE DE
COLOMBIERS DE PIGEONS-VOYAGEURS.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à MM . tes Maires du Département,
Héfér. - Télégr a mme de M. le Mi ni s tre de
l' In tér ie ur d u .6 novem bre 195 1.
J' ai l'h on ne ur de vo us faire co nn aître q u~,
pa r télég ramme d u 26 novembre, . M. le MInistr e d e l' Intéri eur vient de préciser que le
C ha pitre 1 (parag!aph e A - Mi neu rs) d e r lnstruction Génér ale de la Colom bo p h Ihe CIVIle
est mod ifi é a insi qu'il suit :
c Mi neurs non éma ncipés peuven t êt re auc torisés d éteni r pigeo ns-voyageurs. - Dec ma nde auto r isatio n admi nistr ative dev r.a
c: être fo rmu lée au no m mineu r par re~ re
« sentant légaf (père ou tuteu r). De. meme
c a utorisat ion de 'représentant légal nec~l
« re mais s uffisa nte pour habiliter mineur
« fa ire pa rtie Société Colombophi le •.
Pour le Pré!et,
par délégation,
Le Secrétaire Général :
LAMASSOURE.
Le Secrétaire Général
ILAMASSO URE.
CIA 0
D6 B3
EXPLOSIFS DE MINES
Pa r a rrêt é en date du 16- 11-5 1, la. So·
ciété No uvelle d 'Exploitation de Camè res!
16, avenue de la Pa n o u ~se, à M.arsei ll e, a, é!t
autorisée à éta bli r et a explOIter un depot
permanent d'explos ifs de la 3e catégOrie au
lie u dit « La P ano usse :J .
:La q ua ntité d'explosifs conten ue dans le
dit dépôt ne d evr a excéder à aucun moment
le maximum d e 50 ki los de la C lasse II I
(cheddite, m inélite et tous exp losifs chlo ratés).
_ , !' . .
Par a rrêté en date du 1er octobre 195 1,
l'Entreprise ISNARD Frères, 70, bou levard
Frédéric-Mis tra l il Be rre, a été autO ri sée a
établir et il expl ~ite r de ux dépôts pe r~anents
d'explos ifs d e la 3e catégorie, a u heu dIt
< La Vautubiè re >.
La qu antité d'explosifs contenue d a ns ce
dépot ne devr a excéder à aucun moment le
max imum de 50 kil os de la Classe III (cheddite, miné lite et tous explosifs chloratés).
Par ar rêté en date du 26 octobre 1951, la
Sociélé Ano nyme d'Exploitations des Mines
de SOufre de Prove nce, 5, rue d es Conv~
lesce nts, a été a utorisée il établir et à explOIter un dépôt pe rmane nt de la 3e catégOrie au
lieu dit « Chemin de la Trei ll e, les Camoins :t .
'la quant ité d'explosifs contenue dans le
dépot 'ne dev ra excédle r -à aucun mo ment le
max imum de :
50 kil os de la ofasse 1 :
Ou de 100 kilogs de la classe 11 ;
ou de 50 ki logs de la classe 111 ;
Ou de 500 kilogs de la classe IV ;
ou de 100 kilogs de la classe V.
-------c
~oo«
>
------ <>00« >,-----D3 B2
- -----c >ooc>,- -----
AG 13
PROGRAMME DEPARTEMENTAL DNE
PRIORITE DE RECONSTRUCTrO
DES BIENS SINJSTRES.
05 B2
f 2
CONTINGENT COMMUNAL
DES D fJPENS ES D'ASSIST ANC E
POUR 1950
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu les décrets des 30 octobre 1935 et 12
dêcembre 1936 sur la r épa rt itio n des cha~·
ges d' assistanc~ entre les collect ivites publiques ;
.
.
_
Vu la loi du 7 avnl 1937, déterminant les
conditions de répartit io n entre les communes
du continuent co mmunal d'assistance;
Vu l'article 35 de la lo i du 15 juillet 1893 ;
considérant que les communes d'Aix et de
Salon bénéficient du régime spécial de l'article 35 pour l'a nn ée 1950;.
.
Vu la dé libération du Conseil Gént>ral, en
date du 5 novem b re 195 1, statuant sur .la répartition entre les co mmunes du contingent
des dépenses d'assistance mis à leur cha rge
au titre de l'a nnée 1950 ;
ARRETE
Article premier. - Le contingent comm~
nal des dépenses d'assistance pour l 'a nn ~e
1950 sera répa rti entre les comm~nes du departement, proportionnellement a. la valeur
du centime communal pour la meme. année.
Art. 2. - Sont exclues de ce régI me les
dépenses se rapportant à l'Assistance MédIcale Gratuite, à la cha rge des communes
d'Aix pour le premier semestre 1950, et de
Salon, pour toute l'a nn ée 1950,. .ces deux
communes bénéficiant pou r, ~a penod~ I~dl
quée de l'orga nis ati~n specIale de 1 artIcle
35 de la loi du 15 JUIllet 1893.
Art. 3. - M. le Secrétaire Généra l d~ la
Préfecture et M. le Trésorie r Payeu r Géneral
du Département son t cha.rgé~, chacu n en ce
. le conce rn e de l'executlon du prése nt
~~I:êtë, qui se ra 'publié au Recueil des Actes
Administratifs.
Fa il à I\ !arseille,
D .D .S .
FS 0
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS RADiOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIFICATS
PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX,
Pa r a rrêté p r éfecto ra l en date du 12 novem bre 195 1, M. le Dr MATTEI C ha r les, demeu ra nt il Ma rsei ll e, 78, rue de la Républiqu e, est a uto r isé à pratiq uer les exa mens
radioscopiques en vue de la délivrance des
cer ti ficats p rénuptia ux et prénataux.
Po ur le Di r ecteur Départemental
de la Sa nté :
Dr X. S T RENNA.
-------«>00«>----__
D.D.S.
FS 0
NOMINATION DES MEDECINS-VACCINATEURS
PUBLICS
DANS LES
..:oMMUNES
DU DEPARTEMENT
POUR LA DUREE D E L 'AN N EE SCOLAIRE 1951 \ 1952.
ARRETE
Le Préfet des BOUCheS-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu l'a rrêté pr éfectoral du 9 mars 1950 po rtant règlement du Service Départemental des
Vaccinations ;
Vu les arrêtés .préfectoraux des 25 juin
1947 et 6 juillet 1951 fixant le mode de rémun eration des vaccinations opérées par scarifications et de celles operées par injections;
Vu l'a rrêté préfectoral du 6 juillet 1951
fixant le tarif de rem bou rsement des frais de
déplacement des médecins vacci nateurs ;
Vu les avis de MM. les Maires des communes intéressées ;
Sur la proposition du Directeur Départemental de la Santé, chef du Service Départemental des Vaccinations;
ARRETE:
Article premier. -
Sont nommés médecins
\'acci nateurs publics, dans les communes cidessous indiqu ées, pour la durée de l'e xe rcice
scolai re 1951-1 952 :
ARROND.lSSEMENT DE MARSEILLE
Allauch : MM. les Drs SEATELLI Aimé
et TARTRAIS Jean ;
Aubagne: MM. les Drs GAIMARD Joseph,
PARRBL Maurice et PRUD'HOMME Jean;
Auriol: M. le Dr LONG Henri ;
Belcodéne : M. le Dr BARRAS Jean (de la
Bouilladisse) ;
Cadolive: M. le Dr CH IRON Serge;
Cassis: M. le Dr AGOSTINI Emmanuel;
Ceyreste : M. le Dr BLANC Jean-Pierre
(de La Ciotat) ;
.
Cuges: M. le Dr LA VIE Jean (de Gemenos) ;
Gemenos : M. le Dr LA VIE Jean ;
Greasque : M. le Dr FOUREST M,chel ;
La Bouilladisse : M. le Dr BARRAS Jean;
La Ciotat : MM. le Drs BLANC JeanP ie rre CHIAP,PE Xavier, MEGE Raoul et
SE!Lt.:ON-DANO Claire ;
.
La Destrollsse : M. le Dr LONG Henri
d'Auriol ;
La Penne-sur-Huveaune : M. le Dr OLIVE Louis;
Marseille : MM. les Drs
�! 5\
1
jean-Marie DE MOUZON Hubert, PONTHIEU je~n, SIVAN jean, TADDEI Antoine
et VERUET Maurice;
Peypin .. M. le Dr CHIRON Serge (de Cadolive) ;
Plan-de-Cull ues .. M. le Dr LEGRAND Michel .
Roquefort-Ia-Bédvule .. M. le Dr MICHELA GELI Louis ;
RoqUeI'aire .. AI. le Dr ARNAUD Fredéric .
S~int-Savourtlifl . M. le Dr C H IRON Serge (de Cadolive).
ARRONDISSEM. D'AIX-EN-PROVENCE
Aix-fn-Prol',nce . MM. les Ors GAU JUUX Edo uard et ROMAN j ean ;
,lurons .. M. le Dr BONNET (de Pélissanne) ;
.
Beaurecueil .. M. le Dr DEFA IX LoUIS (de
Fu\'eau) ;
Berre . MM. les Ors CO RY Rohe rt et
BRESSIEUX Louis ;
Bouc-Bel-Air .. M. le Dr BRIAN jean (de
Garda nne) ;
Cabries. _ M. le Dr SAUZE André (de
Septèmes) ;
Carry-le-Rouet - . ~1. le Dr GERMAIN
André (de Sa usset) ;
Charleval .. M. le Dr THIERS Ernest;
Châleauneuf-Ies-Martigues: M. le Dr
WEINTROB Adolphe ;
Châteauneuf-le-Rouge: M. le Dr DEFAIX
Louis (de Fuveau) ;
Cornillon-Confo ux: J\1. le Dr COUTUHIER Hem' (de Grans) ;
Coudoux : M. le Dr BE:SSUN Michel (de
Saint-Ca nnat) ;
Eguilles : hl le Dr BESSON Michel (de
Saint-Cannat) ;
Ensues-la-Redonne: hl. le Dr GERMA IN
André (de Sausset) ;
Fos-sur-Mer: M. le Dr U HLER Ma r~ (de
Po rt-de-Bouc) ;
Fuveau . M. le Dr DEFA IX Louis;
Gardaqn e .. M.M. les Ors BA TTESTI
Louis et DECOPPET Raoul ;
Gignac-la-Nerthe . M. le Dr RAMBA L Joseph j
Grans : M. le Dr COUTUR IER Hervé ;
Is fres . MM. les Ors TORELLI Gaston et
BRUNEL Alfred ;
Jouques .. M. le Dr NICOR IN I j ean;
La Barben .. M. le Dr BONNET Georges
(de Pélissanne) ;
La Fare-les-Oliviers: M. le Dr NEAU Lucien
j
Lambesc: M. le Dr SABATIER Henri ;
Lançon-de-Prol'ence . hl le Dr BONNET
(de Pélissanne) ;
La Roque-d'Anlhéron . M. le Dr CORRIOL
René;
Le Puy-Sainle-Réparade . M. le Dr ROUSSEAU Claude ;
Le Râve : M. le Dr RAMBAL (de Gignac);
Les Pennes-Mlfabeau : M. le Dr S IEY ES
(de La Gavotte) ;
Ham eaux des Cadeneaux el d e la Ga l'ott ...
M. le Dr SIEYES ;
Le Th olonet : M. le Dr ROMAN (d'Ai x) ;
MariKnane : M. le Dr BLUMENFELD
Vladimir j
Afartigues : M. le CONTENC IN LOllis ,
: M. le Dr CROSS Daniel ,
: M. le Dr BATTEST I Louis (de
A/iramas : MM. les
Ors
CAR LI N j ean,
OHSINI Paul et T1~ISTANI Pierre;
Pèlissam" . M. le Dr BONNET Georges;
Peyruer : M. le Dr ABOUCAYA YI' on (de
Trets) ;
Peyrolles-elt-Provence : M. le Dr BARETY Charles;
Port-de-Bouc .. M. le Dr POUJ OL jules;
Puyloubier . M. le Dr MAESTI{ACC I
Georges (de Trets) ;
Rognac . M, le Dr WOLTZ .Guy ;
Rognes: M. le Dr SABATIER (de La mbesc) ;
Roussel: M. le Dr DE.FAIX Louis (de Fuveau) ;
Saint-Antonin-sur-Bayon .. M. le Dr ROhlAN Jean (d' AL,) :
Saint-Cantrat .. M. le ' Dr BESSON Michel,
Salllt-Chamas . M. le Dr BU ILLY Emile ;
Saint-Eslèl'e .. M. le Dr CORI~ I O L He né
(de la Roque-d'Anthéron) ;
Sailli-Marc-Jaum egarde : :\lt le Dr RO MAN jea n (ct' Aix) ;
Saint-Mître .. M. le Dr BIWNEL d' Istres),
Sailtl-Paul-Ie;;-Durance . M. le Dr RICURIN I jean (de j ouques) ;
Sainl-Vicloret . M. le Dr DE CESPEDES
Vicfor ;
Salon : MAI. les Ors BE RGE RET j ean,
C HA RPI N Pie rre
DON l~obert ;
et
TROUETTE.-VALA·
Saussel-Ies-Pins . M. le
Dr
GERMA I ~
And ré;
Septi'mes-Ies-Vallons . M. le Dr SAUZE
And ré-Louis ;
Simia'ne-Collongue : M. le Dr DBCO PPET (de Ga rdanne) ;
Trets . MM. les Ors LE FLOC H et MAEST IV\CC I Geo r ges;
\lauvenargues . M. le D r A UB E RT HCfI'é
(d'Aix) ;
Velaux: M. le Dr WOL TZ Guy (de Ro·
gnac) ;
Venelles: M. le Dr ~IARGA ILL AN Eugène (d'A ix) ;
Venlabren . M. le Dr Bi\REI LLE Max (de
Marsei lle) ;
Vil ralles : M. le Dr LEBL ANC Louis.
ARROND ISSEMEN T D'ARLES
Alleins . M. le Dr
GEYEI~
Maussane . M. le Dr MEYER Ernest.
Mezoargues : M. le Dr TARBOUR IEéH
Etienne (de Tarascon) ;
Molltlgès : M. le Dr BARTEILLE René (de
Saint-Andiol) ;
Mounès .. M. le Dr BOUSQUET Yves '
Noves: M. le Dr AUDRY /Vlarius' '
Orgon . M . le Dr CILLARD Se rg~ .
Plan d'OrFfon : M. le Dr LEVy J ul es' .
Porl-$ailtt.l,.olli~-r/u-R"~rlC : -M. l ~ 'O r
f'lOUGA~ET Roger ;
Rog~o""(1s.' : M. le DG C;\S:r Al'I ~~~i~ .
Sainl-AI/diol . M. le. Dr BAR 'rEIL~e.
né ;
"
Saill/-Etienne-dthGrès .. M. le Dr TAR .
BOUR IBCH Elienne (de Tarascon) .
Saintes-Maries-de-la-Mer: M. le 0; CAM·
l\e-
BON Georges ;
Sailli-Martin-de-Crau : M. le Dr BAONAN INC HI Jose ph ;
Sainl-R ém)' .. M. l'e Dr LER OY Edga rd '
Séllas .. M. le Ur MAGNAN Paul et GU I:
RAUD;
Tarascol< : M. le Dr TARBOURIECH
Etienn e ;
Verllè gues . M. le Dr GEYER Albe rt (de .
Mallemort) ;
Verqllièl'cs . M. le Dr BARTE ILLE Rel"
(de Saint-Andiol).
Article 2. - Les méd ec ins vaccinate urs,
ci-dessus désign és, .s eront rémun érés dans
les co nditions fi xées pàr les arrêtés préfector a ùx susvisés des 25 juin, 4 octobre 194~ el
6 juillet \951..
Article 3. - Ils dev r ont se ~o l1former aux
prescriptions du règlement précîté du service departementa l des vaccinat io ns, a insi qu' à
toutes directives spéciales qui pourraient leur
être ad ressées pa r M. le Directeur Départemental de la Santé pour l'application de ce
texte.
Arfide 4. - M. le S&rétaire Généra l de
la Préfecture, M. le Tréso r ie r Payeu r Ge.néral, MM. les Mai res d u Dépa rtement et M.
le Directeur Dépa rtementa l de la Sa nté soht
ch a rgés, chacu n en ce qui le co nce rne, de
l'exéc utio n du prése nt arrêté q ui a ura eHet
du 1er octob re 195 1.
Marseille, le 23 novemb re 195 1.
Pour le Pr ~ f e t :
Al be rt (de Mal-
Le Searélaire Gtnéra l Délégui .
lemort) ;
Arles . M. le Dr P ICARD j oseph ;
Arles (Section spéciale de Salin de Giraud)
M. le Dr VIGNON Hen ri ;
Aureille . M. le Dr DEVAUX" jean (d' Eyg uières) ;
Barbentane . M_ le Dr PELLET Alf red;
Boulbon . M. le Dr MARSE ILLE Albert
(de Tarascon) ;
Cabannes . M. le Dr SVETZ Georges ;
Châteaurenard: M. le Dr PERRIER Geor·
ges j
Eygalières . M. le Dr FIAMMA (de SaintRémy) ;
Eyguières : M. le Dr DEVAUX Louis;
Eyragues: M. le Dr JOURDAN Lo uis ;
Fonlvieille .. M. le Dr JULIEN Louis ;
Graveson .. M. le Dr FALQUE Rémi ;
Lamanon . M, le Dr DEVAUX j ean (d'Eygu ières) ;
I.e Paradou . M. le Ur MEYER Ernest (de
Maussane) ;
Les Ballx . M. le Dr MEYER Ernest (de
Maussane) ;
Mail/aile . M. le Dr P llAh\,\ YUN
Mallemorl . M . le Dr V 11l-. llI A,S
LAM ASSOURE.
- - - - <,»00<>'---D6 BI
P 3
DESTRUCTION DES CORBEAUX
ET DES PIES
ARoRETE
Le Préfet des BOllches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Hoflfleur,
Croix de Guerre,
Vu la loi du 5 av ril 1384 (art. ni, 94, !JI
'et 99) ;
Vu la loi d u 23 j uill et 1907 Sllr les des·
tructions des co rbeau x et lies pies ;
Vu l'ordonnance du 2 novemb re 1945 Sflr
la p rotectio n des \,égéta ux et notamme nt de
l'a rticle 12 ;
Vu le déc ret du 9 novembre 1948, relat!f
à l'empl oi et à ta vente d cs s ubstances "éncneuses ;
Vu l'a rrêté du 1er juillet (95 1 ;
Sur la propos ition de l'In génieu r en Chd
d cs Services Agricoles, inspecteur ùe lil Protect io n d es Végétaux, d u Conservateu r des
Eaux et Forêts don t
le département
en
r des Scr-
Sur la p roposi tion d u Secrétaire Général ;
AARE.TE
Article premier. - Est d éc laré infesté par
les ca,beaux et les pies tout le d épartement
des Bo uches-d u-R hône.
Arl. 2. - Il est expressément enjoint à
to us les explo ita nts prop ri étaires o u locataires de terres ou ter rai ns cultivés ou non
situés s ur le terr itoi re dé li mit é à l'alinéa pré~
cède nt, a ins i qu'a ux d étente urs d'un droit de
chasse, de dét ruire les corbeaux et pies exista nt s ur les te rres o u. autres dépe ndances de.
leurs propriétés o u exploitations clont ils o nt
la jouissance.
Les bie ns des co ll ect ivi tés, des établissements publi cs ou p ri vés so nt as trei nt s aux
mêmes obligatio ns et "leurs exploitants ou
occupants tenus à effectuer ou à s upporte,
la destructio n de ces oiseaux : toutefois
dans les bois et fo rëts, ces mesures ne so nt
applicables qu'à une distance de 20 mètres de
la lisière.
Art. 3. - Les opér at io ns de dest ru ction
seront exécutées sous la direêtion d u Grou ~
pern ent de déf ense co nstitué da ns la commune. S'i l ~'e x iste pas de g roupement, elles
seront placees so u-s la surveilla nce d u J\\a ire, qui pourra en confier l'exéc uti on il un
synd icat ag ri co le. MM . les Maires fixero n t
par arrêté, les jo urs d 'exécution de ces trai~
teme nts dans l'ensemble du te rrjtoi re de la
commun e, e~ don na n.t a n mai ns trois jou rs
,ava nt un aVIs par VOIe d ' affiche o u à son de.
caisse j ils en aviseront éga lemen t d a ns le
même délai le Co nservate u r des Eaux et Forêts dont dépend le département, ainsi 'lue
le Se~'lce de la Protectio n des VégétaLlX et
le President de la Fédé ration d épartementale
des Chasseurs.
Toutes mesures utiles sero nt pri'ses pour
é\liter . t~ut _da nge r tant po ur les personnes
que Vls- a-YlS des animaux. et du g ibier:
Art. 4. - Da ns le cas où il apparaîtrait au
Grou~~m~nt de défense qu'un ou plusieurs
P!~pfletalres o u exp loitants ne fe raient pAS
~l ll ge ~ ce po ur t ra iter leur domain e ou- ne
l.allrale~t pas trai té dans les délais imparti~, ledlt gro upeme nt se ra auto risé, ap rès
mise en de':leure d es réca lcit r ants, à. effec.hie r les traItements d'office et à leurs frais,
conf?rmément a ux di spositio ns de l'a rticle 13
du !ltre n de- t'ordonnan ce du. 2 novembre
~ 9~J, ~ans préjud ice de& sanctions prévues
a LartIcle 6 ci-après.
. Art. 5 . .:.. La destruction des co rbeaux et
~~es s~ fera a u moyen d'appâts empoisonnés
poses de préfére nce sous une mince couche de fumier frais de cheval. Les appâts
dev ront e~tr e prepar
.
és par un pharmacien ou
sous sa .surveillance. Ils seront co nstitués :
-:- SOit par des O' rai ns de maïs à O' ros
grains tr t"
a
a
chloral al es a la storychnine ou au g luco-
,
-- soit par de l'omelette empoisonnée
av~c du ~ulfate de strychnine o u avec de la
nOI X vomIque.
Oh~es t~aitements devron t être effectués
gatolfement pendant les périodes les plus
j avo rables'
D'a
. ge 1, ne... ge et avant le 31 ma rs.
tières.,utr~ pa r~, la destruction des aorbeauêtre
nIds de cor beaux et pies, ne pou rra
' . effecluée qu'entre le 20 avri l et le \0
IUln . le dé . h
OJ1ga~isé d nlC age ou le ti r au fus il sera
ponsab" ,a ns chaq ue commune sous la resdélen Il,te du Présiden t du groupeme nt de
s'il se co ntre les ennemis des cultures et
a pas de
sous la r espon~
IIIÏIÏI
. Art . 6. -, Des contraventions pour infracho ns au p r esent arrêté seront dressées contre les personnes qui s'opposeront à l'exécut ion de l'a r ticle 23, Titre V, de l'ordonnance
du 2 novembre 1945.
Art. 7. - M. le Secr étaire Général de la
Préfec ture, MJ\1. les So us-P réfe ts, M. l' Inspec te ur de la Protectio n d es Végétaux., et
MIM. les Con,rôlellfs ~ la Protection des
Végétaux, M. le Conse rvate ur des Eau x et
Forêts, M. rlngénieur en Chef directeur des
Se r vices Agricoles, MM. les M~i r es, Officiersd e Genda rmerie, Commissai res de Police,
qardes des Eaux et Forêts, Ga rdes co mmisSIOnnés de la Fédération des C hasseu rs Gardes~ch a mpêt res et to us agents de la' force
publique, SOlIt chargés, chacun en ce qui le
co ~ ce rn e,. de. l'ex écution du prése nt arrêtë,
qUI sera mse ré au Recueil des Actes Admini s tratifs de la Préfecture et affic hé dan s
toutes les com mun es du département.
Marseille, le 26 novembr e 1951.
Le Préfet ..
René PA IRA .
D4 B3
APPLICATION DE L'ORDONNANCE
45.2339 DU 13 OCTOBRE 1 94~
RELATIVE AUX SPECTACLES
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à MM. les Sous-Préfets,
MM. les Maire s du Départemenl,
M. le Directeur Départemental de;;
Services dt Police,
M. le Commandant de GendarmLrie,
En exécution des inst ructions de M. le Secrétaire d'Etat aux Beaux-Arts, j'ai l'honneur de vous faire cann aÏt re qu'il convient
d'exiger des directeurs de tournées, de ciro
ques, dè spectacles fo rains, la possession de
la Ike nce d'entr:epreneur de spectacles' de
3e, 5e ou ôe catégorie, défivrée par l'Administ ration Centrale.
Ce dotument devra notamment être présenté à l'autorité municipale au moment où
sont demandés par les intéressés les penms
de stationn ement sur le domaine publtc.
Pour fe Préfet,
pa r délégation.
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
- ---ooo--e'.'---SC 2
D283
FIXATION [)ES fRAIS DE CONTROL':
DUS A L'ETAT PAR LES ENTREPRENEURS
DE
DISTRlBl'TIONS
D 'ENERGIE
ELECTRIQUE
POUR
L'ANNEE 1951
Paris, le 15 NOI'embre J 95 1
Circulaire n" II t35
Le Ministre de T' In dustrie ot de l'Energie, à .\1. le Préfet dll Dépar~ment
des &ucltes-du-Rhone.
l'honneur de VOllS raire COnnaître que,
Ipar décision en date <ie ce jOllr, j'ai fixé de
la façon suivante les frais de contrôfe dus à
l'Etat pour l'année 1951 par le<> entrepreneurs
de distributions d'~nergie électrique.
1· Le. frais de contrôle (fus à l'Etat par
les entreprene.urs dt distributions d'e.nergie
rai
de voirie o u de concessions sont fixée â :
- 300 fra ncs par kilom ètre de ligne et
par an pour les distributions $oumiBes au
contrô le exclusif de l' Etat ;
- 70 francs par kilom.tre de li g ne ef par
-an pour Les distributions soumisess au contrôle des ,M unicipalités sous l'autorité <lu
Ministre de l' Indus trie et. de l' Energie"': 2· Pou r If!! diStrlbutionlt d 'élfeTgie éledrique établi es en v""ru de permissions de
voirie ou de concessio ns, qui ont été r éalisées
avec le concours fina ncier de j' Etat, des
D,éparteme nts, des Communes ou <fes Syndicats de Communes dans les conditions
fi xées par l' article 1er du décret du 27 Décemore 1925, les frais de co ntrôle dus à
l'Etat sont fix,és à :
110 fr anes par kilomètre de l:gne et
'par a n pou-r les <üstnoutions soumises au
c ontrôle exclusif d'e l'Etat ;
- 60 francs pa r kilomêtre de li g ne et par
a n pour les distributions soumises au contrôle des u'Aunicipalités sous l'autorité du
Ministre de 1'1 ndustrie et <ie l' Eneng1e.
y adr esse copie de la présente circu laire
" MI.IVl les 1ngénieurs en Chef des Circonscriptio ns Electriques, ainsi qu~ M'M. les
In génieurs en Chef du Contrôle des Distributions d'Energie Electrique.
Pour le Ministre de l' Industrie,
et de l' Energie,
Pour le Di recteur du Gaz et de l'Electricité,
Signé : SAOLGEOT .
-------<)OO<~,-------
.VX 1
D2 B3
e](~roNEME!IIT
OU Ter DEGRE
PROJETS DE: TRAVAUX [)E: GROSSES
REPARATIONS ET PETITS AMENAGElIŒNTS PREVUS PDUR L'ANNI:E
Hf52
U
Préf~t
des Bouches-du-Rhône
à MM. lu Maires d~ DéparUmenl,
Conformément à l'a rti cle 68 de la loi du
10 août IS11, les- projets de travaux toncerr.ant les écoles ne peuvent are subventionnés
au titre du Ministère de l'Education Nationale que s'ils figurent sur une Hste par ordre
d'urgence ar rHée à la fin de chaque a nnée
pour Ya nnée suivante pa r le Conseil Général.
En ce qui conce rn e les listes à établir pout'
l' a nn ée 1952, les élém ents nécessaires ont été
fournis par les rnspecteurs primaires quant à
l' ëtablissement de celle relative aux constructions neuves.
Il r este donc à préparer pour la dite année
la liste des projets de groSSts réparatiOns et
aménagements ne modifiant pas la slrutture
des locaux scolaires.
La prt'paration de cette liste ne peut se
faÎre de faço n e:<acte qu'avec votre aide..
Aussi vous serais-je obligë de bien \'ouloir
me- faire retour, avant le 15 décembre 1951.
du tableau ci-joint, dament rempli, et à défaut, avec la mention < néant :) .
j'appelle tout particufièrement voire attention sur res po~nts suivants :
10 Ne doivent figurer sur ce tableau qu~
les t ravaux de grosses réparations et pdi!saménagements dont l'exécution est vraiment
prévue pOUl' le coUrant de l'année 1952 et
pOlir lesquels les crédits sont ins<rit. au budget du même exercice ;
2· Il serait prématuré de faire établir les
al'ant-pTojets sans y êt re invité par mes
soins, cela afin d'éviter des frais inutlte.3
�252
les t ravaux en cause qu'avec l'aide d' une
subvention de l'Etat ;
3. En vertu des règlements appliqués par
le Ministère de l'Education Nationale, ne
sau raient être subventionnés les travaux exé--
cutés antérieurement à l'att rib utio n de la
subvention . j'octroi de celle-ci nécessita nt
des avis et ~n co ntrôle qui sont impossibles
si l'opé ration est déjà réalisée ;
4° Les travaux non inscrits s ur la liste ne
COMMUNE DE
NA nJRE DES TRA VAUX
AUX ECOLES
1<1 Petits aménagements ne modifiant pas la structure des 10caux i
2° Grosses réparatio ns, à l'exclusion des travaux d'entretien, tels que : peinture, serrurerie, vit rerie, etc ...
l' In specteur pr im aire
dont
Co mmune.
dépend
votre
Le Préfet:
R. PAIRA.
....................
Emprun t
-
cevoir par le c réancie r est supérieur à
~000 fra ncs. Peuvent également être réglées
~ chèque barré les dépenses de traitements
~~ salaires paya'bles ob ligatoirement par vire··
ment de compte.
pou r l'applicatio n de ces prescriptions je
vous pri erai de vo us reporter à lettre n°
1418 FLIC 1858 adressée par l'u n de mes
prédécesse urs le 7 ma rs 1949 aux Ministres
et Secrétai res d'Etat. (2)
MODE DE FINANCEMENT
PRÉVU AU BUDGET
DE 1952
EVALUATION
APPROX IMATIVE
DES TRAVAUX
pourront pas ~tre subventionnés ;
5" Le tab leau précité dev ra l'tre visé par
Indiq ue r, s*i l y a lieu, la
dépense p ri se e n cha rge
pa r le M. R. U.
a u titre des dommages
de guerre
OBSERVATIONS
Autres ressOu rces
Je VO LI S. ~erai ?bligé de J?orter r<J.'uirgence
ces disposltlO nS .3 la con naISsa nce des services ordonnateurs placés so us vos ordres
ainsi 'Que ce ux des -collectivités et établissements publi cs et des se rvices concédés
sou mis au co nt rÔle o u il la su rveillance de
votre Administratio n.
,Pour le Mi nist re et (par auto risation
Le Directeu r de la Comptabilité Publique:
G. DEVAUÀ .
(2). -
LI C diffusée le Iii mars 1949 SOli,
le prése nt tim bre.
Le
VU
L'Inspecteur Primairt,
AC 3
DECRET N° 51- 1335 DU 19 NOVEM BRE 195 1;. MODIFIANT LE TAUX DE
LA COT[:,ATlON DE SECURITE SOCIALE DES FON CTIONNAIRES
1
Le Maire,
Journal Officiel du 2 1 Nov. 1951, page 11.557
Le Président du Conseil des Ministres,
toutefois la promulgation de ces textes,
les nouveaux montants minima des dé~
HlTES D'IJTElET nEBUBL
penses de l'Etat,
Circulaires cooœrnant plus spëcialerrumt
[es Adminislrations d, rE/at
AC 2
D2 BI
L - PAIEMENT PAR VIREMENT DE
DEPENSES DE
COMPTES
DES
L'ETAT DES COLLECTIVITES ET
ETABLISSEMENTS PUBLICS
ET
DES SERVICES CONCEDES
JJ_ - PAIEMENT DES DEPENSES DE
L'ETAT PAR CHEQUES TIRES SUR
LES COMPTABLES ASSIGNATAIRES
P..ris, le 12 Novembre 1951
N° 7903 F
l-C 255M
Le Viœ-Président du Conseil
Ministre des Finances et d~
Affaires Economiques,
à MJlt.. les Ministres et ,~M. les
Secretaires d·Etat.
L'article 22 de la loi n° 51-592 du 24 Mai
J951 relati ve aux comptes spéciaux du Tré-
sor pour l'année 1951 (Journal Officiel du
25 mai, page 5.J(3) a remplacé par celle de
100.000 francs, la limite de 50.000 francs _
figurant aux paragraphes 1er et 3me de l'article 1er cie la loi validée du 22 octobl'e 1940
relative aux reglements par -chèques et vire-
ments (modifié par l''article 7 de la loi va lidée du 1er février 1943, rO>1'donnance n°
45-2528 du 26 octobre 1945, l'article 152 de
la loi n° 46-2154 ,du 7 Octobre 1946, l'article
92 de ta loi n° 48-1516 au 26 septembre 1948
et l'article 23 de la loi n° 48-1974 du ~ I
décembre 1948). Deux décrets devaient inter-
des collectivités et éta-
blissements publics et 'CI'eS services eoncédés
payables obligatoirement par virement de
<"-ompte ont été notifiés à vos services pa'r
lettre n" 4468 FL I C 2448 de mon j)1élfé-
cesseur. (t).
J'ai l' honneur de vous signaler qu'au Journal Officiel du 1er novembre 1951, page
10.863, ont été publiés, d'urie part, le décret
nO 51.1228 du 29 octobre modifiant le décret
n° 47- 1171 du 23 juin 1947, rclatif au payement par virement de compte des dépenses
de l'Etat, des collectivités et établissements
publics et des serv ices concédés, et, d'autre
part, le décret nO 51-1225 du 31 octobre modifiant le 'd écret n° 48.359 du 2 mars 1949
relatif au payement des d<~enses de l'Etat
par chèques tirés sur les comptables assigna-
taires. La présente lettre a pour objet de déterminer les modalités (f'application
oe
ces
textes.
J. - Payemenl par virement de compte
des dépenses de t'Eloi, des co/lecfivités et
élablissements publics el des services con·
cédés.
Confo rmém ent aux nouvelles dispositions
législatives et règ lementaires. les dépenses
de loye rs, transports, services, foU'rnitures,
trava ux, ou affé rentes à des acquisitions,
sous quelque forme que ce soit, d'immeubles
ou d'objets mobiliers, lorsqu'elles dépassent
la somme de 100.000 francs ou ont lpo ur
objet le payement par fractions d'une dette
g lObal e supérieure à ce c hi ff re, et à acquit-
ter pour le compte de l'Etat, des collectivités et établissements publics ou des servi~
vellÎT pour modifier en conséquence les pres-
ces co ncédés, sont obligatoirement payées
criptions des premier et deuxième aHnéas de
l'article 1er du llécret du 23 Juin 1~47 e.celle
par virement de compte, soit à un compte
du
premier
lIécret
du
alinéa
2 mars
de
1948.
l'article 1er
Sans
d.u
attendre
pr,;sent timbre
courant postal, soit à un compte ouvert chez
un comptab le du Tréso r ou dans une banque.
L'a rticle 22 de la loi n° 51-592 du 24 mai
1951 n'ayant pas relevé la limite prévue au
"troisième alinéa de J'article 23 de la Joi n4
48-1974 du 3 1 décembre 1948 pour les règlements à effectuer au profit de notaires, le
montant minimum des payements à effectuer
obliç-atoirement par virement de compte au
p rof it de ces officiers ministériels demeu re
fixé à 200.000 fra ncs.
D'autre pa rt, les dépenses d e traitements
ou de salaires à la charge de l'Etat des col-
lectivités et établissements publ ics ou des
services co ncédés, lo rsque le montant net du
tra itement o u du sa,laire dépasse la so mme de
100.000 francs pour un mois entier so nt obli·
gatoi rement payées par virement de compte.
Le montant mensue l net des traiteme nts et
sala ires s'obtient en déduisant des émo lu~
ments bruts, les retenues pour I ~ se rvi ce des
pensions ou les cotisations de Sécurité Sociale. Dans les émoluments bruts ne sont pas
comprises les prestations familial es, ni, d' une
façon générale, les indemn ités altouécs en
compensation de charges effectives.
tobre 1947 susvisé est modifié ainsi qu ' il SUit:
c La l:otisatlon du fonctIOnnaire et celle de
l'Etat sont fixées l'·une et J'autre à 2,50 %
;:lesdits émoluments )o.
Par dérogation aux dispositions ci-dessus,
le taux fixé par J'article 1er du décret n "
5 1-242 du 27 février 1951 est maintenu en
vigueur pour les cotisations dues au titre des
fonctionnaires et des perso nnels o uvr ie rs de
l' Etat visés pa r les décrets nO 49- 1039 du
1er août 1949, n" 50-204 du 30 janvier 1950,
n° 51-27 du 5 janvier 1951.
Art. 2. - L'article 24 du décret n° 47-2043
du 20 octobre 1947 susvisé est modifié ain~i
qu'il suit :
c: La cotisation due par les fonctionnaires
re'traités et les veuves titulaires d'une pension de re version est fixée à 1,25 % du mOntant de leur pension et des indemniti:s qui
s'y rattachent, à l'exëeption des prestations
Communiqués - Avis
Annonces d iverses
Sur le rapport du Ministre du Travail et
de la Sécurité Sociale, du Vice-Président du
Consei l, minist re des Fi nances et des Affaires
Economiques, du Mi nistre du Budget et du
Secrétaire d'Elat à la PréSloence du Conseil ;
Vu le décret n° 46-2971 du 31 décembre
1~6,. relatif à l'institution d'un r égi me de
secunté sociale pour les fonctionnaires, e nsemble la loi n° 47-649 du 9 avri l 1947 portant modification et ratification dudit décret;
Vu le décret n° 47-2045 du 20 octobre
1947 fixant ce rtai nes modalités d'application
du décret n° 46.2971 <lu 3 1 décembre 1946
susvisé, modifié par le décret n" 5 1-242 du
27 fév rier 1951 et notamment l'article 27 .
Vu l'arrêté du 9 ma rs 1951 modifiant l'~r
rêté du 17 jui llet 1948 co nce;nant les modalités d'application du décret du 28 juin 1947
et du décret du 19 j a nvier 1948, relatif au
régime de sécurité sociale de certains personnels ouvriers de l' Etat,
par la lé g islation de la sécurité sociale.
c L'Etat ve rse de son côté une cotisation
éga le à celle des retraités. ~
Art. 3. -
Les dispositions du présent dé-
c ret prendront effet au 1er décembre 1951.
Arf. 4. - Le Ministre du Travai l et de la
Sécurité Sociale, le Vice-Président du Conseil, ministre des Finances et des Affaires
Economiques, le Ministre du Budget et le
Secrétaire d'Etat à la Présidence du Conseil
sont cha rgés, c hac un en ce qui le concerne,
de l'e xécuti on du présent décret quI sera publié au JOl/rnal Officiel de la République
Française.
Fait à Paris, le 19 novem bre 1951.
.
R: t>LEVEN.
TVX 0
D6 B3
BORDEREAU DES SALAIRES NORM AUX ET COURANTS DANS LE BAT1MENT ET LES
, TRAVAUX PUBUCS
Erratum
Dans le c Recueil des Actes A<1ministra-
tifs >, n° 47, du 22-11-1951, page 242, au
tableau, lire à la ligne c: Manœuvre " dernière colonne à droite : SS,75 au lieu de
99.75.
---<:)oOc)o----
OPUSCULE OU MEMORIAL
DE CHASSENEUIL
fami liales, da ns la limite du plafond fixé
- ---c<.oo< . - - -D2 82
DECRETE:
Article premier. - Le deuxième alinéa de
l'article 23 du décret n" 47-2045 du 20 oc-
Dans le cadre de l'inaugurati o n, par M. le
Président de la République, du Mémorial de
Chasseneuil, le 21 octobre 195 1, il a été procédé à la pu blication d'un opuscule ayant
pour objet tout à la fois de faire connaître
le Mémorial et d'expliquer, dans ses grandes
li gnes, ce qu'a été la Résistance dans le Sud-
Ouest.
Cet opuscule offre un intér~t artistique et
historique indéniable.
Il est mis en vente au prix de ISO francs,
à la -Préfecture de la Charente (Comité
d'Erection du Mémorial de Chasseneuil), Angoulême.
Par le Président du Conseil des Ministres,
'Le Ministre du Trallail
et de fa Sécurité Sociale
Paul BACON.
Le Vice-Président du Conseil
Ministre des Finances
el des Allaires Economiql/es :
René MAY6R.
Le Minis lre du BI/dget
Pierre COURANT.
Le Secrétaire d'Elat à la Présidence
du Conseil :
Félix GAILLARD.
_ _ _ C)ooC) _ _ __
Payement des dépen ses de t'Elat
If. par Chèques f;,:és
SUr les comptables
assignataires.
Les dépenses de perso nn el et de matériel
qui ne sont pas obligatoirement payabJ~s
par virement de compte ou au moyen de traites, ou dont le règlement par vi reme nt .dt:
compte n'a pas été dem a ndé par le créa nc,er
sont acquittés pa r Chèque ti ré su r les ~OO1P
tab les du Trésor assignataires, sous reserve
bien entendu, de j'établissement d'u n o rdr~
de payement dans les hypoth èses visées ."
l'a rticle 10 du décret n° 47-1 17t du 23 lU'"
1947.
Le règlement est effectué par chèq ue har:
ré lorsque le montant net de la somme a
Copi~
certi'~.
Pour
14
SlCrJ'.lr~
1~
~a f.rme..
Préfet :
Glftn-OI .' LAIiASSOUIt.1.
�-
REPUBLIQUE FRANÇAISE
J3 Dé.e••" 1951
( / g' Année. - N' SO
•
OËPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
,
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général ~j
ABHÉVIATIONS
A. P . : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres 0 et B suivies d' un cthiffre indiquent le Service ou Bureau d'origin e.
D. S. T. : Direction des Servi ces Technique • . - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Populahon.
1
SOMMAIRE
P ages
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pa~es
A 5. - Commerce illicite de chev au x
et mulets sur les foires et marchés
des Bouches·du·RhÔne ......... . .
AG 2. - Rémunération du perso nnel
journalier employé par les co ll ectivi·
tés locales .. , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..
AG 7. - Recensement et révision du
Conl ingent ..... . ................ .
AG 7. - Modification il l'arrêté du 24
seplembre 195 1 relatif au rec ensement
et à la révisio n. dans la Métropo le
et en Afrique du Nord, des jeunes
gens nés entre le 1-1-1 933 et le
31·12. 1933 ......... . . . . . . . . . . . . . ..
253
256
256
25 7
CIA 4. - Travailleurs en chômage. Formalités il accompl ir ...... . ... ...
257
FS O. - J\>IMecins agréés po ur pratiquer les exame ns radioscopîq ues en
vue de la délivra nce des certificats
prénuptiaux et prénata ux .. .. ... ...
257
FS 7. - Etab lissements hosp ita liers. Nouvelle co mptabi lité recettes .... . ..
257
FS 8. - Assista nce médicale g ratuite
(Modification il la nomenclature gé néra le des actes professionnels an nexée
il l'a rrêté du 29.10-1 945) ..........
FS 8. - Assistance médicale g ratuite.
(Tariis d'honoraires des a uxil iai re::.
medicau x) .. ................... . . ..
Palles
SC 4, - Fixation po ur 1957 du taux de
conversion en a rgent des journées de
prestatio ns votées par les communes
pour l'e ntretie n des chemi ns vici naux
258
TVX O. -
257
Plan d' équipement national.
Versements de subventions... .. . ..
25S
Textes d'Intérêt Général
AC 2. - Reglement par chèques des
dépenses de l' Etat ... . . . ..... . ....
259
AC 3. - Calcul de la cotisation de Securité Sociale . . .. . .... . .. . . . .... .
259
Communjqués, A vis, Anoonees diver_
258
-
Dons et legs .... ..... . .. . .. . . . . .
260
-
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D6 BI
AS
COMMERCE ILLICITE DE CHEV AUX
ET MULETS SUR LES FOIRES ET
MARCHES DES B.·D.·R.
•
Lis!e des ~ommerçants des Bouches-du.
Rhône habilités pOur l'année 195 1- 1952
a se livrer au commerce des chevaux
e! mulets de service et au commerce
<les chevaux de sang.
N° de la
Catégocarte
rie
-
2.116. - Auber t Félix, Il , Bd ùos Ca.
, 703
Pucins, Salo n ...... ......
-. . - Bedoc Léon, c.he min des Ar1077
nava ux, Istres .... . . . . . . . .
. . - Bernard Denis 16 ru e des
Hall es, Châtea ur.e:la rd
. ,Bernard Ma rcel, 16, ruc des
2.626
Hall es, C hâtea uren ard.. . .
, - B.eSSlbe Raymond , 34, r ue
2.739 _ Baie la I~épu bliqu e, Marseille.
.
anc René, 25, r. du Bon~
1.104 _ BIPasteur, Aix·on.Proven ce...
.
anc Josep h, Ma ussa ne. . . .
1.0no _
A
A
A
AD
B
A
A
N ° de la
ca rte
Catégo·
rie
3.058. -
Bounieux Fortu né, La Bea u·
valle, Aix-en-P rovence ....
3.086. - Brun " 'Iarceau, Meyrargues.
1.704. _. Ca.tello Yron, l , rue Pas·
teur, Tarascon ..........
1.812. - Cat Léon, 23, Bd de la Ré·
publique, l.I\ tiramas .. . . . . . .
1.1 8 1. - Daumen Aime, 383, rue Pa·
radis, Marseille ....... . ..
1.1 8 1,0. - Daumen Jean, 383, rue Pa·
radis, Marseille .... . .....
3. 163. - Domergue Marcel, Sé nas . .
2.080. Fa llo n .~osep h , S, rue du
Bon-Pasteur, M a~eille ....
3. 138. - Feraud Hilaire, 9. place Ri·
chelie u, Aix-en .. ProvenC'e ..
1.902. - Aime. "'~\t. Gimenez-CoudOllX ...... , ......... , ...
1.069. - Gond Joseph, route de Cavai llon , Caba nn es ..... . ..
1 .0~5. Coonfond René, route d'Or·
gôn, St-Rémy-de-Provence.
1.0';5D. - Gontond Charles, Rte d'Or·
gon, St-Rémy-de-Proveoce.
A
A
A
A
C
N ' de la
carte
1.04:>D. 1 OA l. -
1.934. 2.090. 2.532. -
GD
A
1.95 1. -
B
2.951. -
A
3.208. -
A
1.477. -
A
2.75 1. A
Catego·
rie
Gonfond Roger, Rte d'Or·
go n, St-Rémy· de·Pro\'ence.
Grevoul Casimir, ch. de StJoseph, St· Remy-de.PrO\·...
Isnard Jean, 23, Rte de No·
ves, Châteaurenard ......
Légier PauJ, Allée AntideBoyer, Aubagne .........
Lil ama nd Jean, St·Rémy. deProvence ...... ' ..... . '..
Ma rengo Aimé, St·Rémy· de.
Provence . . . . . . . . .
u\\argaillan ~'13Tcel, quartier
d'Encagnane, ALx-en-Pro\'..
,\launier Joseph. 30. rue de la
Joliette. ,Marseille . . . . . . . .
\!\\aviel j\'ta ri us, Sté J'lavier
et Avignon, 3 1, che min du
Li ttoral, ,\larseille ... ... ..
P erra aho n André, La lontre
St-.\Ia rcel, .\I. rseille ... . . .
AD
A
A
A
A
A
A
A
C
A
�-
256
Catégone
N · de la
carte
3.071. 1.097. -
2.890. -
Veuillez agréer, Monsieul l'Am~?SRad~ur,
f assurance d~ ma très 'haute consldèratlOn.
Signé : Alexandre PARODI.
•••
Robert Charles, traverse du
.\\Olllin. Aubaorne ........
A
Roche Ernest, 60, rue Boulegon, ~ix-en-Provence. .. .
Roux Emile, Mas des Plames
A
Cabannes .... . ........ ...
A
COPIE
W 15. 12 1 C. 12. Pro
Paris, le 29 Août 19.\9 .
Son Exce ll ence M. Robert Schuman,
---<)00«'-- - -
ancie n Président du Conseil, Ministre
des Affaires Etrangères, Paris.
AG 2
02 B3
REMUNERATION DU PERSONNEL
JOURNALlER EMPLOYE PAR LES
COLLECTIVITES LOCALES
Les journaliers employés par les municipalités du déparlement ayant toujours été
rémun~rt:s d'apI~s
les tarifs fixés pour les
industries du Bâtiment et des Travaux Pu-
blics, .~\..\\. les Maires voudront bien se réfêrer au tableau publié dans le Recueil ôes
Actes AdmÎnistratifs n° 47 du 22 No':embre 1951.
Pour le Préfet et par dé lé5"atioll)
Le Secrétaire Généra!.
LAMASSOURE.
- - - <:>00<> - -
05 B2
--
AG 7
RECENSEMENT ET REVISION
OU CONTINGENT
Paris, le 26 Septembre 1951.
Le Président de la République,
Vu r article 3 1 de la Constitution,
Sur la proposition du Président du Conseil des .\linistres et du ~~tinistre de3 Aifd:res
Etrangères,
DECRETE:
ARTIUE PRE..\UER. -
Une convention
rela-
tive 2U serrice militaire avant été s:(Jnée
entre la Belgique et la FIarn:e à Paris. I~ 29
Aoüt I Q49, et les instruments de rat ification
sur ce.l acte ayant été éChangés à Paris le
Jer ):.110 1951, cette convention sera publi~~
au Journal Offlctel de la Républiq ue Françruse.
COPIE
J'ltINlSTERE DCS f iNANCES
RÉPUBLIQUE Fr,~NÇ~IS"
Paris, le 29 Aout 1049.
Monsieur rAmbassadeur
Une convention relative au s~vi~e militaire ayant été signée ce jour entre no:; deux
pays. j'ai l'honneur de faÎre connaître il votre
Excellence que le Gouvernement français
s'engage:
0
1
A considérer comme ayant satisfrllt à
ses obligations militaires tout i ndividu :s'étant
mis en règle avec les lois de recr .:tt.:ment
qu'il ait ou non servi sous les draoeaux . '
2~ A interpréter, dans un sen' ra rge,' la
potion de cas de force majeu· e Vi3éc a 1artide 5 de la dite convention .
3° A régler dès maintenant, p~ dC3 mesures proviSOIres, la situation des personneS
a~relées à bénéficier de ces dispo,;;:o"s
La présente commu nication et la réponse
qu<." Votre Excellence voudra bien lui dunncr
~ u ca~ oû ces propositions auraier-t l 'agrt:~
r;lent du Gouvernement belge, constitueront
; ilc':t.rè des deux gouvernements S'l( I~s trois
t\-\onsieur Je Président,
Par une Jettre en date de ce jour, Votre
Excellence a bien voulu me faire connaître
ce qu'il suit :
Une convention relative au service militaire ayant été signée aujourd' hui entre nos
deux pays, le Uouvernem~ nt français s'engage:
1(1 A considérer comme ayant satisfait ;!
ses obligations militaires tout individu s'étanl
mis en règle avec les lois de recrutement,
qu'il ait ou non servi sous les drapeaux j
" 2(1 A interpréter dans un sens large la
notion de cas de force majeure visée à t' article 5 de ladite conventio n j
3° A régler dès maintenant, par des mesures provisoires, la sitllation des personn es
appelées à bénéficie r de ces dis,positio ns. >
J'ai l'honneur de fai re savoir ~ Votre Excellence que le Gouvernement belge a don né
son agrément il ces propositio ns.
Veuillez agréer, Monsieur le Président,
l'assura nce de la plus haute considération
avec laquelle j'ai l' honneur d'être de Votre
1:
Excellence, le très humble et tr ès obéi",ant
serviteur.
Signé ; J. GU ILLAUME.
•••
CONVENTION
entre la Belgique et la France relative au
service militaire.
Le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de Sa Majesté le
Roi des Belges ayant résolu de mettre fin,
<fun commufl accord, aux difficultés qu e rencontrent du fait de leurs obligatio ns mf1itaires da ns les deux pays, ceux de leurs
ressOi tissan ts respectifs Iqui possèdent éga iement la nationalité de ,' autre pays. ainsi que
ceux de leurs ressortissants qui ont volontairement servi, à titre d'étranger, dans les
forces armées de l'autre pays pendant la
guerre 1939-1 945,
les
soussignés, dume nt
autorisés à cet effet. sont 'C onvenus des dispositions suivantes :
ARTICLE PRE.\lIER. les ressortissants
belges qui possèdent également la nationalité
française setont considérés comme ayant
satisfait à leurs obligations militaires en
France s'ils ont satisfait â ces mêmes obligations dans les forces armées belges pen-
da nt la guerre 1939-1945 ou postérieurement,
et s'ils en justifient par la productio n d' un
document officiel délivré par les autorités
belges.
ART. 2. -
Les ressortissants français, qui
possèdent éga lement la nationalité belge,
seront considérés comme ayant satisfait à
leurs obligations militaires en Selgique, s' ils
ont satisfait à ces m~mes obligations d\ans
les forces armées françaises pendant la guerre
1939-1 945 ou postérieurement,
et s'ils en
justifient par la production d' un 10cument
officiel délivré par les autorités françaises.
257
ressortiss ants de chacun des deux pays COn_
tractants qu i possèdent également la natio_
nalité de l'autre pays ou sont aptes à l'acqut!rir par déclaratio n ou de plein droit ne
seront JYas inscrits avant l'âge de 22 1 ans
sur Its tableaux de rec ensement français ou
sur les listes de milice belge, sauf demande
co ntTaire de leur part. Ils devront, avant cet
âge, choisir par une déclaratio n écrite le
pays où ils désirent rempli r leurs obligations
militaires. En cas de mobilisation, cette déclaration devra être faite avant l'âge de: 18
ans accomplis.
D582
AIn. 4. - C hacu n des deux gouvern e_
ments déli vrera aux indi vid us visés par les
articles 1cr et 2, qui auront satisfait à leurs
obligatio ns militaires sur son territoire, une
attestation officielle destinée .il leur permettre
de régulariser leur situation .a l' égard de leur
pays.
ART. 5. Ch~cun des deux gouvernements délivrera, sur leur demande, aux
ressortissants de l'autre qui auront volontairement pris du service dans ses forces
armées pen dant la guerre 1939- 19.\5, une
attestation officiell e destinée à leur permettre
de ré gulariser leur situation à l'égard de leur
pays.
Un délai d' un an, à compter de la mise
en vlgueur dru présent accord , est accordé
aux intéressés pour qu'ils p uissent, par la
production du certificat susment ionné, régulariser leur situatio n. En cas de force majeur e, ils pourront être re levé de la forclusion du rant un an à -compter rCte l' expiration
cfe ce délai.
ART. 6. - Les enfa nts d'agents dip loma·
tiques et co nsulaires de carrière ne seront
pas sou mis sauf option de (eur part, aux
obligations' militaires dans le pays de résidence.
ART. 7. - Les dispositio ns de la presenle
conventio n ne touche nt en rien à la condition
juridique des intéressés en matière de nationalité.
ART. ~. - Le présent accord, q ui remplace
la conve ntion du 12 Septembre 1928, entrera
en vigueur dès l' échéance des ratificati~n~.
celui-ci devant a'v oir Ueu à Par is aussltot
que fai re se pourra.
I! restera en vigueur ,jusqu' à ce que les
deux parties contractantes y mettent fin en
commu n accord, mais il pourra êtr.e dénonce
en tout temps su r le désir de l'une d'elles..
moyennant avis donné à l'autre un an a
l'a\·ance.
En foi de quoi, les plénipotentiaires r~
pedifs ont sig né le présent accord et y ont
apposé leur sceau.
Fait à Paris, en double exemplaire, le 29
Aout 1949.
Sig né : GU ILL AUME
Signé : PARODI.
recrutem ent de J'armée ;
Arlic le 2. - Le Président <lu Conseil des
Mi nist res et le Minist re des Affaires Etrangères sont cha rgés, chacun en ce qui le con·
cerne, de l'exécution du présent décret.
Fait à P aris, le 26 Septembre 1951.
Vincent AURfOL.
Par le Président de la Répuillique
Le Président
du Co nseil <ies ·M inistres,
R. PLEVEN.
AG 7
MODIfICATION A L'ARRETE DU 24
SEPTEMBRE
195 1 RELATIf AU
RECENSEMENT ET A LA REVISION ,
DANS LA METROPOLE ET EN AfRIQUE DU NORD, DES JEUNES GENS
NES ENTRE LE ter JANVIER 1933
ET LE 31 DECEMBRE 1933.
le Vi ce-Prési dent du Co nseil,
i~u
Minist re de la Défense Nat ionale,
la 1", du 3 1 MIarS 1928 felative a u
Vu la loi n" 50-1478 du 30 Novembre
Vu le déc ret du 12 Septembre 195 1 relatif
â la formation de la classe '1953 ;
Vu l'arrêté du 24 Septembre 195 1 relatif
au recensement et à la révision, dans la
métropole et en Afr ique du Nord, des jeunes
gens nés ent re le 1er Jartvie r 1933 et le 3 1
Décembre 1933 ;
Vu l'arrdé du Il Août 195 1 po rtant d~ l é
gation de signature,
ARRETE;
M n CI. E PREM IER. L'article 5 (alinéa
!"er) de l 'arrêt~ du 24 Septembre 195 1 relatif
au recensemen t et à la révision, dans la
métropole et en A trique du Nord., des jeunes
gens nés entre le 1er Janvier 1933 et le 3 1
Décemb re 1 ~33 (j o urn a l Officiel du 4 Octobre 1951), est modifié ainsi qu'il s uit:
Au lieu de :
c La séance de clôture de cette sessio n
aura lieu le 17 Ju.in 1952 ».
Mettre :
c La séance de clô ture de ce tte sessio n
aura lieu le 17 Juillet 1952. >
ART. 2. - Le Gouverneur Géné ral de l'A,Iserie, les résidents généraux de Fran ce en
Tunisie et au Maroc et les Préfets sont
charges, chacun en ce qui le co ncerne, de
/'ex~cutio n du présent arr êté, qui sera publié
au Journal Oflici el de la République Française.
Fait à Pa ris le 12 Novembre 195 1.
Pour le Vice-Président du Consei l,
Ministre de la Défense Nationale
et par déléga tion,
Le Directeur dtl Cabinet,
Pierre-Louis FALAIZE.
D6 B3
CIA 4
Le P réfet des Bouches-d u-Rh ône,
à '\'1"1. les Maires du Départ ement,
Par circulai re en date du 22 Octobne 195 1
1 72-~S .• M. le Ministre du T ra va il et d~
t~ SécuTlté Socia le et l~1. le Ministre de l'ln;t~ur Ont invité les Préfets à rappeler aux
~lJrl;'S que ~ertai ns d' entre eux n':)C'coOipli-
~~~~nt
pas e~ temps \ voulu, auprès des Seri)
S de ,M ain-d'Œuvre, les formalités i ndis~~~~al) l($ oermetta nt à leurs ad min istrés en
assur age de S~uvegarder leurs droits aux
lial~ .f1nces SOCiales et aux prestatio ns fa misecou
,rus
ci. es
t
.
- - - - - C~OO<:t'-____
O.O.S,
fS
0
MEDECINS AGREES PO UR PRATIQUER
LES EXAMENS RADIOCOSPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX.
Pa, am'I é préfectoral en date du 23 Nove mbre 1951,
At le docteur Soulier Pierre, demeurant à
tMarseille, 80, ru e Sylvabelle ;
~\1. le docteur Lallemand Max, demeurant
à Marseille, 43, route Nationale de La Rose,
sont autorisés il pratiquer les examenS
ra diosc opiques en vue de la délivrance des
certifi ca ts pré nuptiaux et prénataux.
POUI le Di recteur Dépa rtemental
de la Santé,
Dr X. STRENNA.
----<:tOoc~--_
0382
fS 7
ETABLISSEMENTS HOSPITALIE RS
NOUVELLE COMPTABILITE
RECETTES
Applications de l' instruction ministériel du 9 juin 1951.
Mise en recouvrement des recettes autres que celles provenant de l' hOSpitalisation.
Question. -
Le modèle de trtre de recettes
an nexé à l'instnlction du
Ministre de la
Sa nté publique , et de la Population, du 9
jttin 195 1, reproduite au « Bu lletin des Services du T résor » n<) 52 G. cfu' 2 1 j uin 195 1,
>C.Ï'o:t-ii être utilisé par les hôpitaux et hospices pou r prescrire la mise en recouv rem ent
de recettes autres que les produits hospitalies proprement dits.
I~éponse.
TRAVAILLEURS EN CHOMAGE
FORMALITES A ACCOMPLIR
r
vIces de Main-d'CEuvre dans les. dé lais les
plus brefs.
-
Donnée pa r la Directio n de la
Comptabilité au ,i\'tinistère d'es finances.
------c >ooc~ -------
En effet 1
des
1 ~5O
portant à di x-h uit mois la durée du service
militaire actif et modifia nt certaines dispositions de la loi dlJ 3 1 ""lars 1928 ;
fessio nnelle, une attestation des Services de
main-d' œuvre prouvant qu'ils sont inscnts
tomme: demanaeurs d'emploi. Da ns les localités ou n'existe pas de service de maind'œuvre, les chômeurs doi\' ent s'inscrire a la
!.Mairie qu i régularise leur si tuation aupri!s
des Servict:s de Main-d'œuvre.
Dans ces conditions, j'ai l'honneur de vous
rappe ler qu'il est de première importance
pour y ~s a~ministrés sans travail que les
f~rmalJtes SOient accom.1lies auprès d es Ser-
.
ravailleurs sa ns emplOi non
Olvent présenter, pour j
de
Le mod èle de titre de recettes dont il s'agit
doH être utilisé, exc1usirement, pour mettre
en recouvrement le montant des prix de
journée d'hospitalisation et les honoraires
médicaux dus par les personnes hospitalisées
d'une façon temporaire.
Tous les autres produits : consultations,
prix de journées des personnes héhergées Cn
I)ermanence (vieiUards. incurables), prix de
pension des elè\>es infirmiè-res, cession de
produits des domaines, repas et autres avanta.~es au personnel, location des immeubks,
doivent être mis en recouvreme-nt en utilisant les documents tels que baux, contrats,
re levés ddaillés d€"S sommes dues, qui etaient
employcs antérieurement j la publication de
l'instrudion du 9 juin 1~51.
En revanche, tOLIS I~s titres de recette:;
sans I.!xception dotvent ètre inscrits sur lin
hordereau de tit res de re cettes (modèle n° :2
de l'instruclion d" 9 juiu 1~5 1
lors de
03 B3
fS
8
ASSISTANCE MEDICALE GRATUITE
Modification à la nomenclature générale des actes professionnels annexée à
l'arrêté du 29 Octobre J 945.
L'attention des auxiliaires médKaux assurant le serVice de J'Assistance :.!\ \èdicale Gratuite est a~tir~e . sur l'arr~té du Il. ~e ptem
bre 195 1, lnsere au lournal OffiCIel du 2"J
~eptembre, page 9797, portanr mod.ifl~allon
a la. nomenclature générale des actes profeSSionnels annexée à J'arrê té du 29 Octo-
bre 19-15.
. ...................
œ
Substituer aux
positions
actuelles de l'artlclt: 53 de la nomendatun:
~ê!léra le àes actes professionnels les aispù51tions suivantes :
ART.
16. -
SECTION 1. - SOINS INFIRMIERS
Air chaud, A.M. 0,75.
A limentation par sonde (isolée ou en série)
A.M. 1,75.
Ba,in d'air chaud (isolé o u en sé rie), A_VI.. 2.
Bam slmple ou sinapisé, enveloppement lavement médicamenteux, A/M. 1,25.
~
Injection véginale, A.M. 1,25.
Cathétérisme d e l'urêtre, AM. 1,25.
Douche médicale locale, A_\l. 11 25.
Douche médicale générale, A.!\\. 2.
Jnjection intra -veineuse A..J\l 1.
Injection sous-cutanée' ou in tra-musculaire
,U1. 0,ï5.
'
Injection goutte à goutte de sérum phisio-
logique, AM. 1.5.
Injection sous-cutanée d'oxygène, A . ..\\. 1,25.
Lavage, tubage de l'estomac, A ...\ 1. 2.25.
Pansement petit (type doigts, mai ns o u sur-
face comparable, isolé), A.M. 0,75.
Pansement moyen ou multiple sur un mem-
bre, A.M. 1,25.
Pa nsement grand, A.JJ\\. 2.
Cathétérism e de l'urêtre avec la\'aoe vési-
ca l, AJI\\. 2.
0
Pansement avec sonde, A.J\\. 1,75.
Pansement an us artificie!l A_~t 2.
Pose de sangsues, A.J\\'. 0,75.
. Pose de ve ntouses sèches, Ao\1. 0,75.
Pose de ventouses scarifiées, A.l\1\. J ,25.
Prise de sang intra\reineuse pou r examen
biologique, A. M. 1,25.
Pulvérisation par
pulvérisateur
A.M. I,25.
à vapeu r,
Auto-h émothérapie, A.M. 2.
Garde (tarif global comprenant tous les actes
inscrits au chapitre XV de la nomencla-
ture) :
de jour (de huit à \'ingt heures), A .,\I . 7.
de nuit (de vingt à huit heures), A \1. 10.
rermanente (vingt quatre heures), A ..\1. 14.
SECTION II. - ,I1A. OTHERAPIE
Air chaud, A..\UI. 0, ï5 .
Bain d'air chaud, A.,\UI. 2.
.\\assage local (a\'ec ou sans mobilisation),
A.M.M. l,50.
~\assage local étendu, sur un seul membre,
A ~\U l ~.
.'\\assage local, étendu sur
A.:~h\1.
deux memhres,
2,75.
.\tassage genéral. A..\LJ\. 3.
~\ 1 obilisation manuelle seule, sur un membre,
Aul1 ..\\. l,50.
,\\obilisation manuelle seule des petites arti-
A.M.lf. 1,25.
�Mécanotlherapie, A.MJ1\l 2,50
Gymnastique thérapeutique individuelle (mimmum une demi- heure), A ..M. .M. 2,75.
.M assage general sous J'eau, A.MJI\1. 3,75
Douche medicale locale, A.III.M. 1,25.
Douche médicale génerale, A.MM. 2
Traitement des conséquences motrices des
affections neurologiques.
POLlO,\IYELITE
a) Période de nursing :
Traitement quotidien comprenant l'ensemble des actes dispensés da ns la journée :
gymnastique orthopédique, bain ~chaudJ massage général, adaptatiol1 de petits appareils
de conterttion et de reeducation et formation
de l'entourage (durée totale : deux heures
trente minutes à trois heures), À.M.M. 10.
b) Période de régression :
Traitement Quotidien comprenant "ensemble
des actes dispenses en une séance :
Gymnastique orthopédique, bain chaud, mas-
sage gênéral, rééducation motrice (durée
totale : deux heures à deux heures trenre
minutes, A.M.M. S.
c) Période de readaptation et sequelles des
affections neurologiques congénita~es ou
acquises :
Traitement comprenant l'ensemble des actes
dispensés en séance: gymnastique orthopédique, massage des parties atteintes, fi n
de la rééducation : études des possibilites,
recherc hes des suppléances, réadaptation :
marche, la rue, la montée et descente des
trottoirs, les transports en commun (du rée
totale: une heure trente minutes) A.MM. 6
Les méqlOires produits doivent comporter
toutes indications susceptibles de permettre
au service de l'Assistance Médicale Gratuite
{j'assurer un contrôle immédiat en vue de
leur mandatement rapide.
Ils doivent être établis trimestrie.llement en
trois exemplaires, arrêtés en toutes lettres,
datés et signés. Les noms, prénoms, adresse
de l'auxiliaire médical seront indiqués très
exactement. Les religieuses devront spécifier
leur nom de famille suivi de leur nom de
religion .
Les titulaires <le comp tes chèques postau x
ou bancaires sont tenus d'en préCiser très
lisiblement les numéros.
Les soins don nés aux assistés dont les
feuilles de maladie ou les otdonnances portent l'indication du numéro matricule des
assuranCes sociales devront faÎre J'objet dJun
état séparé, sur impnmés de couleur verte
et dtcomptés au tarif des assurés sociaux:
Chaque feuille de maladie ou d'ordonnance
dena être accompagnée d'un certificat médical établi par le médecin-traitant Sur lequel
sera mentionné le nombre et la nature des
interventions Que l'aux)liaire médical doit
pratiquer. Ce certificat devra, au préalable.
avoir été soumis au visa du Médecin-Contrôleur de l'Assistance Médicale Gratuite.
En ce qui COncerne les actes médicaux
pratiqués, il est absolument indispensable de
préciser sur la feuille <le malacüe ou J'ordonnance si ceux-ci sont effectués avec Ou
sans déplacement, la nuit ou le dimanche,
Pour les piQures, leur nature exacte :
Sous-cutanées ou intra-musculaires, LM , 0,75
Intra-veineuses, 1. V. 1.
Pour les pansements :
Pansements petits, A.M. 0,75.
Pansements moyens, A. "Nt. 1,25.
Les pansements sont rémunérés sujvant
leur importance. Il en est de mème pour les
ma sages,
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
lAMASSOURE.
+
Pour le Préfet
Le Secrétaire Géné;al
LAMA.sSOURE. '
- - - - -0 00 <>-----fS 8
ASSISTANCE MEDICALE GRATUITE
Tarifs d'honoraires des auxiliaires
m édicaux
Le Préfet <ies Boud l es-<l u-Rhône,
à .M,~~. Jes Sous-Préfets d'Aix et
d' Arles,
MM. les J'Aaires du Uépartement,
.MM, les A uxiliaires ·médicaux.
J'ai l'honneur de porter à la con naissance
des auxiliauies médicaux les .ciécisions prises
par la Commission Nationale des Ta r ifs
prévue à l'article I D de l'ordonnance -du 19
octobre 19-15. Ces dt'cisions édictées dans la
circulaire n° 175 5S du 7 novembre 195 1,
modifiant les tarifs d'honoraires des auxiliaires médicaux atnsi qu'il suit :
la lettre clé A.M. !. est portée il 120 fran<:l;
et A.M.M. 1 il 130 francs pour le département (communes hors Marseille) et l'indemnité kilométrique il 20 francs.
Ces nouveaux prix sont applicables ci dater
du 8 novembre 1951.
En conséquence, et ..à parNr du 8 novembre 195 1, les honoraires devront être décomptés de la mamère suivante pour les bénéficiai-res de l' Assistance médicale gratuite :
Non assurés sociaux
Assurés sociaux
NON ASSURES SOCIAUX
AM.~~ .................... .
72 frs.
A.M.I ............... . . . ..... .
96 Irs.
A.M. 1,25 . ... ...... .. ......... . 120 frs.
A.M. 2 ........•....... . ....... 192 frs.
A..\1.M. 0,75 ......•......• , .... .
78 frs.
A.M ..>.t 1 ... . ................. . 104 frs.
A.M},!. 1,25 . ..... ... .......... . 130 frs.
A.M.M. l ,50 ............... . ... . 156 frs.
MI.M.2 .................. . .. . 208 Irs.
Indemnité kilométrique ...... .
16 fTS.
ASSlJ.RES SOC IAUX
~ .M. 0,75 ......................
90 frs.
A.Ml 1 ............. . .......... 120 frs.
A.M. 1,25 ............... /. . . . . . . 150 frs.
AM. 2 .......... . ............. 240 frs.
A. M. M. 0,75 ........ ... ... . ...
97,50
A.J\1M·. 1 ...................... 130 frs.
A.M.M. 1,25 .......•..•... . ..... 162,50
A.M-oM. l ,50 ..... . . . . . . . . . . . . . . . 195 frs.
A.M.M. 2 .......... . ........... 260 frs.
20 frs .
Indem nité kilométrique ..........
03 B3
Indemnité fixe de déplacement pour soins à
domi.cile dans le département :
Non assurés sociaux : 32 tirancs.
Assu rés sociaux: 40 francs.
Major:ttion pour soins donnés :
Le dimanche: non assurés sociau x: 48 Ir.
::t
assurés sociaux : 60 h .
La nuit : nOn assu rés sociaux : 76 fr. ;
;)
assurés sociaux : 95 fr.
L'indemnité fixe de déplacement ne <.loit êt re
comptée que pour les ctistances inférieures là
5 kms du lieu de résidence des praticiens.
, Pour tous déplacements excédant ou égaux
a 5 kms, seule l'indemnité ki lométrique doit
Hre al'pfiquee.
Exemple: Le prix d~ la piqûTe !.V.! . pour
lin assisté non assure social et
à do-
-
+
Moins de 5 k ilomètres : 96 fr.
3.2 fr. '"
128 francs.
De 5 kilo mètres et au delà :
Exemple: distance 7 kil omètres :
96
16 X 7 = 208 fra ncs.
-------<.00<.----___
0 5 BI
SC 4
fiXATION POUR 1952 DU T AU X DE
CONV'ERSION EN
ARGENT DES
JOURNEES DE PRESTAT IONS VO.
T EES PAR LES COMMUN ES POUR
L ' ENT RETIEN DES CH EMINS VICI.
NAU X.
AR~ETE
Le Préfet <les Bouches-du-Rhône, Ollicier
de la LégIon df Honneur,
Vu l'article 4 de la loi du 21 mai 1836 ;
Vu l'a<ticle 46 § ï de la loi <lu la août
187 1 ;
V" la décision du Consei l Général du 5
novembre 195 1,
21 mai 1947, 22 avril 1948, 18 mai 1948,
"8 septcmbrè 1948, 30 novembre 1948, 1er
~ctobre 1949, 1er avnl 1950.
De même que. cell~~ intéressa nt les programmes de voiflle VICI nale agréées au Cours
des années 1946, 194: et 1948 ..
IMais, ainsi que Je 1 avaIs préc l~é dans I ~s
ci rcu laires .p!~c!tées.' I les lôSUt bveodtJo nl,s SUS~1ées non util isees a ac ure e exercI<:e
~95 1 se trollv~ ro n t automatiquement frappées d'annulatIOn.
j'insiste donc' U.I1.C n o~y eUe fois auprès de
MlM. les I!v\aires 3:fi n q,u Ils me tra nsmettent
aussitôt que pOSSIble et au plus tard avant
le 15 décembre p rochai n, les demandes <le
versement afférentes aux subventions attribuées par les arrêtes ci-dessus.
j'ajoute que cette recommandation vaut
également pour les subventions attribuées
directement par le M.jnistre de l' Intérieur.
Je rappelle enfi n, que le modèle de demande de versement a été inséré au B.A.M. numéro 5 de l'a nnée 1948.
Pour le Préfet et par délégation,
L e Secrétaire Général,
lMIAS OUoRE.
Ar.rête :
A rtic le premier. - Le ta ux de co nversion
en argent des journées de prestation am;.
quelles so nt astreintes les Communes <les
Bouches-du-Rhône pou r l'entretien ues che·
'mins vici naux ordi naires est fixé pour l'an-née 1952 à :
F~
Journée d'homme •. ..........
Journée de cheva l ou de mulet......
Journee d'âne ou de bœuf .... ,.,.
Journée de 'Voi ture à 2 roues........
Journee de voiture à 4 roues. . ....
Journée de véhicule automobile....
Journée de remorque attelée il un
véhicule automobile .................
Majoration ,pour véhicule automobile
et par -cheval-vapeur ......... ,. " ...
li)
400
250
~
TEXTES
D'INTERET GENERn
Cirou.laire concernant plus spécialement
les Administrations de l'Etat
D2 B I
AC 2
REGLEMENT PAR CHEQUES
DES D EPEN SES DE L'ETAT
400
Circulaire 1025 ( Comptabilité publique)
.$00
Circulaire 1885 (série percepteurs) du 18
octobre 1951. -- Destinataires : Comptables p ublics.
400
125
A rt. 2. - M. le Secrétaire Général de 1;
Prefectu re, M,. l'Ingénieur en Chef des Ponts
et Chaussées M. le Directeu r des Contribu·
tions DirecteS et M. le Tr ésorier-Payeur Gé·
f1éal sont chargé, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.
M.arseille, le 27 novem bre 1951.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire GénéraI Délégué,
LMMSSOURE.
TVX
.A~ Cours de ses vérifications, l' Inspection
G~nera le des Finances a constaté que le public n'etait pas surfisamment informe eJes rè-
gles d'utilisation des chèques remis en payeme.nt des dépenses de l' Etat. Elle a egalement
precomsé d'assouplir la réglementation du
payement des chèq ues barr és et endossés.
,Apr~~ e.xamen des suggestions de l' inspechon üenerale des Fi nances, il a été déci<ié
~assu.rer la mise en œuvr e des dispositions
cl-apres :
1° Publidté des règles
chèques.
------ <:too<,.,~·'----
02 B3
•
0
PLAN D'EQUIPEMENT NATIONAL
VERSEMEN TS DE SlIB VENTIONS
Le P,réfet des Bouches-du- Rhônes à ~r\~\\.
les laires du Départem ent
Par des circulaires insérées au a JA.Nt. n:
21 et 42 de la présente ann ée, j'avais inform.t!
M\M. les Maires ete l'intérêt qui s'attachaIt
à ce qu'ils m'adressent au pills tôt les de:
mandes de verse ments de subv entions (Pli
3\aient été attrib uées à leurs cc mrnu nes pour
l'exécutio n des travaux agrréés dans le cadre
. leur
du Plan d'Equipement Natio nal et Je .
avais pr6cisé q.ue le ,M inistrE' de l'intérlCU~
ve nait de mettre à ma disposition le m02,a;1
des crédi ts nécessa i res au \< erstmell t e ~
totalité des subventions attribuèt's par Ole
d'utilisation des
.Le. public doit avok connaissance des
rrmclpa les règles d'utilisation des Chèq ues
Irés Sur les comptables assianataires de dé~"se~ publiques, il la fois p;.r des placards
Iches <lans tous les ,postes comptables et
Une men li On portée sur les fo rmul es de chèques.
A. -
de~a\ i.nformés
AlFFICHES
des possibilités de règlement
vent c l~~ues, leurs porteurs se croient soutant 0 Igés. de ve nir en encaisser le O)o nnéral aux. gUI C I~ets <lu TlTésorier...Payeur Géde te assignatalre, ce qui entraîne des pertes
q u e", ~~St des <léplacement<> inlltiles et fréE
n de nombr,euses contestations.
il ~
vue
d'éviteré des incidents de ce b"enre ,
..... l recom
d'apPose d mand aux comptables du Trésor
des pja~ dans les locaux réserv és au pu bite
Certai nes r ,'S très
reproduisant
n' 48-359 du 2 mars 1948, relatif au paiement des dépenses de l'Etat par dhèques, et
du modèle figurant ci-après en annexe.
13. -
MODlFlCAnON DU LIBELLE
DES FORMULES DE CHEQUES
Certains créanciers de l'Etat étra,'ge rs à
l'Administration se désintéressent fréquemment du règfement <les chèques dont ils sont
bénéficiaires. lorsque ces effets sont d'u n faible montant, En raison de leur nombre, ces
chèques, dont le paiement n'est pas réclamé
dans un temps normal, alourdit le service
<les Trésoreries Générales.
Il est donc opportun de vaincre dans toute
la mesure possible la négligence ·:ies porteurs. A cet effet, les for mules de chèque~
attenllnt à des avis dlémission du modèle r. 0
9 (normal) et du mod'èle n' 12 (spécial pour
machine à statistique) de la .circulaire n° 60.5'
du 26 mai 1948 (D.S.T. du 25 main' 51 G)
co mporteront, au fur et à mesure de leur
réimpression par les services de l'Imprimerie
Nationale, en bas et à gauche la mention :
c A l'expiration d'un délai de 6 mois à partir
d'e sa date d'émission -ce chèque ne peut
être payé qu'après visa du co mp table assi gnataire ::..
2 0 Assouplissement d'e la réglementation
du J)diement des chèques barrés et endossés.
Aux termes de la lettre commllne n° 19 101
1735 du 3 M.ai 1949, 1.- Paiement des chèques, chèques barrés B, (B.S.T. du 7 Mai
n' 43 G. page 325), lorsqu'un chèque barré
a fait l'objet d'endossement, il c doit être
pris ci l'encaissement co ntre r eçu ::. par le
co mptable à qui :1 est présenté et c transmis
di rectement au .comptable .. assignataire ::t
avec une demande d'autorisation de paiement. Le montant du chèque est payé des
la réception de l'autorisation de ce comptable.
Afin d' accroître les facilités accordées aux
porteurs de chèques, l~s Comptables du
Trésor sont auto risés à régler désormais sans
formalité le monrnllt des chèques barrés et
endossés, lorsque les présentateu rs leur sont
personnellement connus comme étant d'une
solvabili té et d '"ne honorabi li té parfaite. De
tels règlements seront bien entendu effectués
so us la responsabilité des Comptables
payeurs.
Documents à annoter
CiTcu,aire n° 605 du 26 <\Iai 1948 (B.S.T.
,,' 51 G.).
Lettre commune n" 101 9/ 1735 du 3 Mai
1949 (B.S.T. n' 43 G).
Ci rculaire n° 953 du 17 avril 1951 (B.S.T.
n' 20 R).
Le Directeur de la Comptabilité Publique
G. D.EVAUX.
:.
Article 9. Les chèques tirés sur les
Comptables <tu Trésor sont soumis à toutes
les dispositions législatives et réglementaires
concernant l'émission, l'usage et l'encaissement des chèques.
-----c:too< >-------
02 !:sI
AC
3
CALCU L DE LA COTISATION
DE SECURITE SOCIALE
N' 8028 FLle 2562
Paris, le 16 Novembre 195 1
Le Vice-President du Conseil,
Ministre des Finances et des Affaires
Economiques,
il J%M. les Ministres et Secretaires
d'J:.tat.
J'ai l'honneur d~appeler votre attention sur
le décret n' 51.1270 <lu 5 Novembre 1951,
publié au Journal Officiel du 8 Novembre et
qui a modifié le décret n' 51.1139 du 28
Septembre 1951 fixant les p lafonds à appliquer suivant la périodicité des payes, pour
la détermination du montant maxi mum des
cotisations de Sécurité Sociale il compter du
1er Octobre 195J , d'ate d'entrée en vigueur
des' dispositions de l'article 8 de la loi n°
51.1126 du 26 Septembre 195 1 portant à
408.000 francs le plafond annuel à retenir
pour le ca lcul <le la cotisation de Sécurité
Sociale.
Cette modification s'app~ique aux salaires
réglés toutes les deux semaines, par décade
ou par semaine. les plafonds .à retenir dans
chaque cas étant fixes comme suit :
1° 15.700 francs si le salaire est Téglé toutes les deux semaines ;
2° 11.340 francs si le salaire est réglé par
&;cade ;
3' 7.850 francs si le salaire est réglé par
semaine.
Il convie ndra d'annoter, en conséq uence,
la lettre n° 7.111 fLI C 2533 du S Octobre
1951 (1) relative au calcul de la cotisation
de Sécurité Sociale à compter du 1er Octobre 1951, date d'entrée en vigueur des dispositions de l'article 8 de la loi n° 51.1126 du
26 Septembre 1951.
Pour le Ministre et par autorisation,
Le Directeur de la Comptabilité Publique,
G. DEVAUX.
ANNEXE
Règlement des chèques émis pour le paiement
des dépenses de l'Etat
(decret n' 48-359 du 2 'Mars 1948)
Artic le 8. - Les chèques non ba rrés tirés
sur les Comptables du Trêsor assignataires
peuvent être encaisses sa ns frais auprès des
Compta!>les directs du Trésor, des Comptables des Regies fina ncières ou des Comptables des Postes ; ainsi qu'aux guichets des
succursales bureaux et agences de la Banque de Fra~ce et des B~nqtles nationalisées,
(1) Diffusée sous le present timbre le 15
Ocrobre 1951 (N ° 15\10 FINGEN).
-------c~OOc > ------
�-
260
Communiqués-Avis
Annonces diverses
04 B2
DONS
ET LEGS
n,
Lu rc.'clomontnkS
so"t ,.c~blcs ql" d~n...r
un dil!li d, trois mois cl parl~r de l'ms,ertlon
au c Bulletin :t.
3' 50.000 francs à la Société des M;ssions
EvangéLiques ;
Par testament olographe du 21 Février
1949 déposé aux minutes de M' Deyd,er,
· a' Mars.·,lle , feu Paul-LouIS ROUFF10
no t aIre
a légué :
l ' 100.000 francs à l'Eglise Réformée Evangélique de Marseille (rue Hel-Air) ;
2' 50.000 francs à la Faculté Libre de
Théologie d'Aix-en-Provence ;
5' 25.000 francs à l' Association des ŒII_
vres Protestantes d'Endoume à Marseille;
Tous ces legs dev ront
exempts de tous droits:
être
délivrés
9< ADDée , - N" 51 el 52
DËPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
4' 50.000 francs à l' Asile John Bost;
6' 25.000 francs à la Société des Amis d"
Sciences à Paris.
REPUBLIQUE FRANÇAISE
2t et 27 Décemllre 1951
Recueil des Actes Administ atifs
et Bulletin des Mairies
M,useille, le 4 Décembre 195 1.
Toute correspondance relative au Recueil doit être adres.sée à la Préfecture Secrétari t Çénéral
•
=
ABRÉVIATIONS
A. p, : Arrété préfectoral --: C. : Circ,uJaire - Les lettres 0 et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D, S. T. : Direction des ServIces Techmque • . -- D, D. S, : Direction Départementale de la Santé. _ D. D. P. : Direction dépanementale de la Population.
SOMMAIR.E
Arrêtés réglementaires el Circulair""
P a~ s
Paires
AG 4. - Appel il la solidari té en faveu r de la \' ieillesse .,. .. ......... 262
F 1. - Préparation des bud gets commllnaux de 1952 •. . . . . . . . . . . . . . ..
262
AG 13. - Prog ramm e départemental
de priorité de reco nstru ction des
bie ns sinistrés ., ..... , .. , .. , ... , . .
265
265
p O. - In terdictions visant ce.rtaines
publications .. , ...... ,..... . ......
•
265
TVX 4. Electrification rurale. ConRe nforceme nt de réseaux. cours fina ncier du Ministère de
l'Ag ricult ure ................ .... 265
Texles d'Intérêt Général
BC O. - Gestion du patrimojne immobilier des collectivités et éta blissements publ ics locau x ... .. .. . ... ,..
P O. - Colpo rt age Ou ve nte des a rbres
de Noël ........ '.' .. . .. . .. . . . ... .
265
AC 3. - Versement de la cotisation de
Sécu rité Sociale des fonctionnai res
et mil itaires de ca rri ère bé néficiaires
des régi mes de Séc urité Sociale
institués par le déc ret n(/ 46-2971 d u
3 1-1 2-1 946 et la loi n° 49-489 du
12-4-1 949 . ....................... 266
Pages
AC 3. - Décret n' 51-1 894 du 27-11195 1 modifia nt l'a rt icle 39 de l'annexe III du Code Général des Impôts relatifs aux o bli ga tio ns des
employeurs qui ,'ersent des traitements, salaires ou rétributions passibles de J'impô t sur le reve nu des per° sonnes physiques .......... .. .. ... 266
AC 3. - J\lodification du tau x de la cotisation de Secu rité Sociale ci la
cha r ge des fonctionnaires et de Certajns personnels olfV ri ers de l'Etat.. 267
.
CommllItiqués, Avis, Annonces diver_
-
Dons et Legs ... .. .. .. .. .. .. .. . . .
267
P
'. - Dechéa nce de la nationaJité
française. . . . . . . . . . . . .. . .........
267
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
CABINET DU PRÉFET
AG 4
APPEL A LA SOLIDARITE
EN fAVEUR DE LA VIEILLESSE
Le Préfet des BOll cfie s-dll-Rhône
à MM. les A'iaires du D eparl emenl,
Au moment où s'ac hève da ns le D~parte
Copie eertiih eoDform&.
POUt ~ Préfet :
l..c S,cri'oire GJ,.iral : l..AMASSOURlL
------------------------------------~~::::::~.:.:~::~:_~M;.:.:-~,~~~~l;";,~~~~Sw~.n~~------------------------------
ment la quatrième campa g ne annuelle en faveur de la Vieillesse et sûr du profo nd éc ho
que ce mouvement a re nco nt ré dans \'os
cœ,urs, j 'ai le noble devoir de "OliS faire conna,ltre qu'avec M. le Président du Co nseil
Genéral, M. le Président d. l'Unio n des Maires .et M. Je Maire de Marseille, nous avo ns
déc~dé d'honorer plus particulièrement c nOs
an~lens :. au co urs de la journée du samedi
5 Janvier 1952, qui leur se ra spécialement
consacrée.
--
,L'ex'périen ce des trois premières années
ou, nous aVOns senti tant d'émotion recOI111 0 us a montré l'efficacité de cette
gn~'~sante,
n reuse entreprise, et c'est pour vo us dede r~nouveler, et si possible d'éten1 ~ander
Cé~' les manifestations que vous aviez préaUj~~~.~nt. organisées, que je \'OliS Ja nce
r lUI ce pressant appel.
A A'\a rseille, lin banquet réunira, en prése nce tle toutes les auto ri tés, le doyen et la
tlo ye nn e de la Vi ll e, le doyen des cou ples,
ainsi que les plus déshérités de nos viei l~
lards. Une représe ntati on g ra tuite leur sera
offe rt e à J' Opé ra Al unicipal.
Sous quelque forme q ue ce soit, dîners,
goùters, port de colis à dom~ci ! e, a méli oration de J'ordinaire dans les hopltaux et hospices publics et pri\'és, nos Vieux sau ront
a pprécie r l'élan spontane et affect ueux des
gé né rations actives envers cell e que nous
avon~ le strict de\'oi r de prend re en cha rge.
T oujo urs aussi ent iè reme nt dévo uée, l'Entr' Aide des Bouches-du-Rhône, 148, rue Paradis à "Iarseille, Té lép h. D ragon &1-1 5, est
ft votre disposition pou r tout CO nCOurs qui
po urra " OtiS êt re utile.
Le Prefet ;
R.
PAIRA.
-------<:.00<>------_
D2 B3
F 1
PREPARATION DES BUDGETS
COMMUNAUX 1952
Ci-joint le lexte de la Circulain' adressée
directtment à .\lM. les Alaires du Département et com pletee pour chaque commune
par l'indication du montant de certaines
prél'isions budgétaires.
Par circulaire nO -455 du l~r dn:embrt!
195 1, M . le Ministre de l'Inkrit"ur \"Îent
de me tra nsmettre ~ertaines preCisions au
sujet de J'~tablissement des buJ~e ts Commllnau~ de l'exen.: ice 1952.
ta rèfo rme des finam.:es IOlaJes ~ta nt
ajou rn ce, il en résulte le maintien en 1952
de la legisJation et de la réglementa tion
en vigueur en 195 1.
li VOus appartient donc d'etabli r vos
budgets de 1952 dans les mêmes conditio ns
que ceux lie 1951, compte tenu toutefois
ues inùicatÎons complémentaires lo ntenues
dans la presente circulai re.
�262
263
RECETTES
A . ·IMPOTS
1. -
TAXE MUN ICIPALE D'ABATAGE
Le ré!rime de cette taxe a été modifié
par la l~i du 16 al'ri l 1951 (~f. cir<: ulaire
ministérielle n° 202 du 19 mal 1951 msérée au Bulletin Administratif des Mai r ies
0° 24 du 14 juin 1951).
Le taux ma:\imum de cette imposition a
été porté de 1 à 3 f ran cs par ki lo de viande
pour permettre aux conseils municipaux de
faire face à l'a cc roissement des charges de
gestion des abattoirs munic ipaux.
II. -
TAXE SUR LA PUBLICITE
La loi n·' 50-939 du 8 août 1950 a donné
aux communes la possibilité de recou.rir à .
une taxe sur la publicité. Je vous prIe de
vous reiérer su r ce point à la circulaire
ministérielle n" 335 du 10 août 1951 insérée au Bulletin . Administratif des Mairies
n°· 35 et 36 J es 30 août et 6 septembre 195 1.
1111. - TAXE SUR LE GAZ
ET L'oLECTR ICITE
Le montant de cette taxe est déte rmin é
en fonctio n d u tarif effectivement pratiqué
à l'égard des usagers. 1\ en résulte en particulier que ce mo nta nt a été calcu lé jusqu'ici d'après le tarif de fa veur dont bé néficient les agents des services de Gaz et
d'5lectricité de France,
Afin de mettre fin à ce privilège qui va
à l'enco ntre du principe de l' égalité de tous
de\'a nt l'impôt, M. le Minist re de "Intérieur,
a, en acco rd avec M. le Ministre de ,' Inté_
rieur et de l' Energie, decidé que le montant des taxes à acq uitter par les agents
des sen' ices précités sera déterminé en
fonction du prix normal du kilowatt- heu re
ou du mètre-cube de gaz consommé.
Electricité et Gaz de France On t donné
toutes instructions en ce sens à leurs se rvices locaux.
IV. -
CE TIMES ADD ITI ONNELS
Le décret du 17 avri l 195 1 a fixé au
1er janvier 1952 la date d'e ntrée en vigue ur
de la révision accélérée des bases de l a
cont ribution -fo ncière des propri étés non
bâties, qUl a\'aient été presc rite pa r la loi
du 13 mai 1948, en vue de remédier aux
injustices de répa rtition de cette co ntribution.
!
J'ai l'honneur de vous indiquer ci- ap rès la
nouvelle valeur du centime de votre commune (pour l'établissement du budget primitif 1~52) détermi né par les Contnb uti o ns
Directes, apres application du décret précite.
V. -
TAXE LOCALE ADD ITI ONNELLE
AUX TAXES SUR LE CHIFFRE
D'AFFAIRES
10 ) Exon érations.
La loi du 24 mai 195 1 prévoit de nouve!Jes ~xoné rations en fa veur des ma reyeurs
(reduchon de 50 % analogue a ce ll e a dmi se
pour les produits ag ricoles) et des assoc iations de sport éducatif de tourisme d'éduca~ion et de culture populaires q ui ~e poursUlverrt aUCun but lu cratif (exemption
totale).
2°) OPERATIONS SUR LA VtANDE
En outre, les diverses taxes indirectes
(y compris la taxe locale ma is à l'excep-
tio n des taxes munic ipales d'abatage et
contrô le sanitai re) .perçues Su r les
tio ns d'achats, de ve ntes, de commissio ns
de prestations de service int cessant
bétail, les viandes, les abats de triperie
au premie r stade les SOus-produits
gi ne animale, sont abrogées à
1er janvier 1952 par la loi du 24 mai
qui leur substitue une taxe dite de c
tation >.
Le produit de cette taxe de remplacement
sera reparti en tre les coll ect ivités locales
et les différents bénéficia ires des ancien nes
ta xes par décret pris sur avis co nforme <le
la Commission des Fi nances de l 'Assem~
blée Na'tiona le et après avis de la Commission des Finam:es du Conseil de la Hépublique.
Les taux de la taxe de remplacement
seront 1ixés par décret pris eff Conseil des
Ministres de telle sorte qu'ils assuren t dfS
ressources budgetaires équivalentes à celles
résultant des taxes abrogees.
3° ) REPART/TION DU PRODUIT
DE LA TAXE
Sous réserve des modificati o ns ci-dessus,
le rég ime de -1a taxe locale en vigueur en
195 1 continuera à s'appliquer en 1952, le
proj et de la loi que le go uvernement doit
déposer en a pp lication de l'a rticle 4 de la
loi du 27 mars 195 1 e n vue de révise r les
modalités de répartition de cette taxe ne
peuv:ern s'appliquer qU'. l 1953.
Les co ll ec ti vités locales pourront, en 1952
faire état à ~eu r s budgets d'attributions
directes et d'attributions du fonds de péréquation.
a) Allributions directes.
Les pou rcentages des att ri but ions direct~
tes reste nt .Ies mêmes qu'en 195 1, c'est-ad ire 60, 65, 70 et 75 % suivant l'importance des communes.
La hausse sensible des pr ix enregistrés
ces dernie rs mois permet cependant de
prévo ir un acc roisseme nt impo rtant des
resso urces à insc rire à ce titre aux budgets.
Cette augmentation pourra éventuelleme nt être évaluée en fonction de cell e des
reco uvrement des derniers mois con nuS par
rapport a ux mois correspo nd ants de J'année pré<:éde nte.
b) Attributions du fonds de péréquation.
En ce qui concerne Ces attributio ns qui
sont de trois o rdr es :
Attri butions compensatrices ;
- A,ttributions complémentaires ;
- Attribu'fions de péréq uation proprement dites;
les instructio ns ministériell es précisent que
le Co nseil O'é néra l doit se prononcer le plus
ra pidement t>possible sur les modes de répar95 1
titi o n à adopte r.
Da ns sa séance du 15 dé<:embre l ,
l'Assemblée Départementa le a délibéré s~
la qu est ion et a pn s les déCISions cl-apr
dans les limi~es fix ées par les textes:
10 _ Atfributl~ns compensatrices: .Le
Co nsei l général a décidé de. reco ndu ,;:
purem ent et simplement le sysh:rne ad~6u_
en 195 1. Da ns ces conditIOns les att r
tions compensat ri ces seront, pour 1 I~
égales aux 9/ 10 de la différence entre
deux so mm es suivantes :
a) MOlltant des rece ff es garanties (1)
- Subventio n spéCiale de
1948 majorée de 10 % . . . .
P roduit br ut pou r 1948
de la ta xe sur Jes établiss....
me nts de nuit perçue d u 1er
fév r ie r 1948 au 3 1 janvier 1949
- P roduit brut pou r 1948
de la taxe su r la pub licité ....
- P roduit brut de l'a ncien ne
t~xe locale additio nnell e à ~a
taxt! su r les transa ctions d u
1er fév rie r
1948
au
31
janvier 1950 .............. _ .
b) Montant de ta rece ffe nouvelle venant
en dédu cJion des recet/es garanties
- Montant brut des attributions directes de la nouvelle
taxe locale du 1er janvier 1952
a u 3 1 j anvier 1953 sans distinction d'e xe rcices, abstraction
faite du produit de la majoration de 0.25 % . ... . ...... .
ou prod uit de la population
muni ci pa le totale pa r le chiffre
de 1.250, lorsque ce produit est
plus élevé . ............. . .. .
2" Attributions complém entaires
Les
att ri buti o ns ont po ur but de porter la
recettes minimum ga rantie de 800 fra ncs
par habi tant et pa r a n Iprévue par " article
1er de la loi du 27 ma rs 195 1, en faveu r
des commu nes soi t à 1.300 fr., soit à
1.250 fT. suivant les décisions du Conseil
Gé néral.
Le Co nsei l Gé néral des Bouc.hes-du-Rhône a décidé de fi xer à 1.300 Ir. par habitant et pa r an ce minimum gara nti.
Je vous rappelle que le chiffre de la population à prendre en co nsidération est celui
de la population municipale tota le résultam
du dernier rece nseme nt de 1946.
3'" Attributiol1s de péréquation proprement
dites :
L'Assemblée Départementale a décid é dl'
répa rtir le reliquat du fonds de pé réquatioll
de la façon suivante:
a) R épartition de 50 % du reliquat
au prorata de ra lon g ueu r des chemi ns Vici na ux o r,din aires et lies chemins ruraux reco nnus.
b) Répartition de 50 % du reliquat
d'après la fo rmule P (C-c)
P rep résente la population de la commune
co nsidérée ;
C la valeur du centime démographique
dans la co mmune du département où celle-ci
est la pl us éle vée;
c la valeur du centime démographique
dans la commune considérée,
A la s uite de ce tte décision du Conseil Généra i, des calculs o nt été effectués par mes
serv ices en vue de dé terminer pour chaque
com mun e du dépa rtement le monta nt de :a
somm e à insc rire en recette a u titre de la
péréq uati o n.
Po ur vot re commune, la recette à escompter au titre de la rênJrtition du reliquat se
montrera approx imativement à :
952
(1) cff ma circulaire du 6 décembre 1951
Sur l' établissement des budgets primitifs 1951
- dans laquelle vous trouverez le monta!lt
c)
Contribution exceptionnelle
des commUnes favorisées
Il est envisagé de proroger pour 1952 les
dispositions de l'a rticle 2 de la loi du 27
mars 1951.
4'
MAJORAT ION DE 0,25 % DU TAUX
DE LA TAXE LOCALE
Je vous rappelle que les co nseils municipa ux peuvent, s'ils te désirent percevoir une
majoration de 0,25 % du t;ux de la taxe
loca le dortt le produit est versé en totalité
dans la caisse co mmuna le.
B. -
SUBVEN- L - Participation de l'Etal aux dépenses
d'int érêt générat des collectivit és locates.
T ION DE L ' ETAT
Vo us pou vez. faire. état dans le budget ce
1952 ,de l·a.par~Jc,pahon de l'Etat a ux dépenses d mteret gené ra l dans res conditions prévues par les articles 4 et 5 de la loi du f1
septembre 195 1.
Je rappell e â cette occasion que le doublement des taux de cette participation a été
maintenu par l'a rticle 25 de la loi n° 48. 1992
d u 3 1 décemb re 1948.
Compte te nu des nouvelles va leu rs de référence à retenir pour le calcul de cette participatio n, vous pourrez inscri re en recette,
sous la ru brique « Participation de l'Etat
aux dépenses d'inté rêt général» les sommes
suivantes :
...
a) Participatio n proprement dite ;
b) Majo ration en fonction du nomb::!
d'élèves.
II. -
Subvention automatique
Les collecti\' ités atteintes par faits de g uer -
re pourront inscrire à leurs budgets de 1952une sub\'ention a utomatique calculée dans les
conditions prévues pa r la ci rculaire ministeriolle n' 276 du 10 ao ût 1950.
Je vous rappelle q u'en \'ertu de cette circulaire, l'a ttribution de subventions automatiques sera dorénavant réservée aux collectivités do nt le principal fictif de la contribution foncière des ·.p ro priétës bâties pour l'année co nsidérée est inférieur au principal correspondant de l'annee des premières destructions.
En conséquencel les communes dans lesquelles le principal fictif de la conuibution
foncière bâtie est égal o u supérieur a u principal co rrespondant de l'a nnée des premieres destructions et ceUes dans lesq uelles le
total des principaux fiCtifs des co ntributior$
foncières bâtie et mobilière est égal o u supérieur a u chiff re co rrespondant pe l'année de.,;
premières destructions, ne pell~ent plus pr~
tendre .à l'octroi d'u ne sub\'entlon automatI que pour 1951.
No tification a été faite a ux communes bé neficiaires d u montant a ttribué pour 1 ~51. Ce
chiffre servira d'élément ll'app rt!-ci a tion pO L'r
la rece tte à prê\'oi r en 1951.
DEPENSES
1. -
Revalorisation des traitements
du personnel
En appl ication de la ci rculaire ministérielle
n° 400 AD-3 ctu 12 octob re 1951, insérée a\l
Bulletin Administratif des Mairies n° 43 du
25 octobre 1951, les Assemblées locales peuvent allouer il. leur personnel des a\'antagt!s
équivalents à ceux qu e l'Etat a consentl:) à
�264
II. - Cotisation de Séc.urile Sociale
Je ,'ous rappelle que J'artide
de la loi
n' 5 1- 1126 du 26 septembre 1951 U' 0, du
27 ~ptembre) a po rté à -I08,{)()() francs par
an et "'eI: enet d u 1er octob re 1951, le plafonu à Tt!tenir pou r la détermination du montant maximum des cotisatIons de Séou ri t~
Sociale, antérieu rement fixé El 324.000 francs:
par l'article 1er de la loi du 30 décemb re
1950,
Par ailleurs, le déc ret n' 5 1.11 39 du 2g
septembre 1931 et celui n' 5 1.1 270 du 5 no-
"embre '951, pris en application de "a rti cle
8 de la loi du 26 septemb~ 195 1, fixa nt le
plafond à a.ppliquer suh'ant la periodtcité des
payes,
Au surplus, le tau..-x du pré.lè\'ement de
securite ociale passe de 1,75 % à 2,50 %,
il cotTlj)ter du 1er décembre 1951 (décret n"
51.1335 du 19 novembre 1951) pour les collecri\'i té qui auron't: decidé d'affilier leur
pe..r:sonnel au régime mixte prêa.'u par ('art !de 3 du décret du 2 mars 1951.
III. -
Prestations familiales
L'article 9 de la loi n' 51-1/26 du 26 septembre 1951 a modifié l'artic le 2 de la 10'
nO 51...526 du 9 mai 1951 et prévu que les
allocations tarniliales, J'aliocatioTl de salail't:'
unique, les allocations prenatales, ajnsi que
l'allocation compensat rice instit uée par l 'ar~
tide 2 du décret 48- 1555 du 8 octob re 1948,
â l'excl usion des alJocàtions de ma terni te,
seront majorées à titre prQ\'isoi re de 43,75 'fi,
à compter du 1er octob re 19.5l.
Dans cette majoration est comprise cellt:
de 20 <;é pré\'ue par la loi du 2 mars 19&1
et portee il 25 '!c par la loi du 9 mai 195 1.
Il résul te donc .pratiquement des dispos!~
tions dt: la nout'elle loi Que le montant des
allocations \'ersées depujs le 1er avnl 1951
par les collectivités locales à leurs personnels
se troUYt' majore obligatoirement de 15 .9(.
à compter du 1er octobre ] 9!) 1.
l\' . - \ '~rsement d'une contribution com~
plémentolre â la Caisse Nationale des retrai~
1.. des agents des collectivités locales pendant /'anflce 1952.
Par application de l'a rticle 2 et des deux
premiers alineas de J'article 3 du décrtt
nU 4ï~1b46 du Hi septembre 1947 les collectÎ\'ites affihêes versent men suelIe~ent à 13
Caisse Nationale des retenues de 6 %- exercées sur les traitemerrts de leurs aO'ents .:!t
une contribution êga1e au double du ~ontant
de ces retenues.
Elles peuve~t, "fn outre, en cas d'insuffi~
sance des ressou rCes de l' Institution étr~
appeJêes à verser une contribution c~mplé
me~t.~i re fixé~ dans les co nditions pré\'ues ad
trolsleme alméa de J'artide 3 du d~cret
précité.
Le Conseil d'Administration de cet orctanisme a estime q ue la contribution comPié~
mentaire à. demander pour J'année 1952 il
l'ensem ble des collectivités affiliées pouvait,
comme pour J'année 195 1, être hmitee à 6 %
des traitements. Un ar rêté sera pris inces~
samment en ce sens.
Le nouveau r égime de l'impôt sur les 50-
6étés concernant les collectivités locales el
Jeurs ttablissements publics s'applique il par<tIr de l'Imposition des revenus ou bénHices
de l'annt!e 1950 ou des exercices., clos ln
-
Il y a lieu de distingue r sui\'a nt qu'il s'agi.t
de la p~riode a ntêri eure il l'entrée en "igl1~ur
(1er jan\'ier 1949) du décret du 9 ,décembre
1948 portant réfo rm e fiscale ou de la période
POitérie ure à cette date.
Pour la pé riode anté ri eu re au 1e r jan vier
1949, il a été ad mis que les régies départementales et commu na les de se rvices pu bl1c5
exoné rées formellement depuis le 1er jaJ1\rter
1946 de,r impôt su r les bé néfices industriels
et co mm ercia ux (a rticle 37 de la loi dll .:il
décembre 1945) de,'o ient e",.e, par 'oie de
cons~l1c n ce, exemptées des taxes
sur li,!
.chiffre d'affaires, dont le champ d'applicatioll
etait anté rieurement limité aux actes relevant
d'une activité assujettie à la cédu le des
B. 1. C. Toutefois, les opérations accessoires
à l'exploitation de services publi cs ent raînent
l'exigibilité de ces taxes. (Exemple : ve.:!aè
d'ingrédients divers par un etablissement municipa l de bains-douches).
Le Consei l d'Etat a été consulté sur le
poinr de sa\'oir si cette exo nération subsi:s.te
après le 1er janvie r 1949.
At le Ministre de J' ln térie.ur ad ressera, à
cet égard, toutes instructions utiles le moment venu.
V!. -
Trm/aux la cuffalii-s d',enseignement
el de sUrI/eil/ance
Un arrtté interministériel du 8 juillet 1'95 !
(J. O. du 10 août) a fixé le nO'lI\"eau r égime
applicab le à la rémunération allouée par le:)
collectivités locales aux membres de l'ense!gnement du 1er degré effeouant, 6n dehors
de.s heures réglementaire.s des services d"enselgnement ou de sur"flllanoe non .compns
dans le prog ramme officiel.
Désormais, le taux horaire ,doit être fixé
dans la limite du maximum obtenu en di\'isant par le nombre 1560 le traitement moyen
budgétaire des instituteurs. Le quotient de
ce~~ opér~tion, arrondi au franc le plus
\'OISln, atteint actuellement 311 'trancs.
Par ailleurs, les collecti,'ités locales sont
te nues d'i nscrire à lellr budget le monta nt
e.xact des co ntr ibutions pri\fées à ,l'or ga nlsht lon et au fonctionnement (les sel'vÎces ell
cause. 9uant à la rémunérati o n du personne l,
elle dOit être assurée par l'intermédiaire du
Recc\'eur l\lunic ipa l.
La ci rculaire ministérielle du 20 août 195 1
insérée au Bulletin Administratif des l\lairies
num éros 37 et 38 des 13 et 20 septembre
1 ~5 1 préc ise les conditions d'application de;
dispositions de l'arrêté du 8 juillet 19.3 1.
Frais de d'placement
des fonctio nnaires de l'Etat
VII. -
Par circulaire nf) 2320~21 JO du ..., jam'I.!r
/95 1, M. le Ministre des Finances (Direction
de la Comptabilité Publique) a rappelé au.
Trésoriers Pa)/eurs Généraux les dispositioll3
de l'a rticle 7 de l'ordonnance du 17 mai 1945
et a interdit, en l'absence d'arrêté internunistérieJ de dérogation,~ le relnboursement,
par les co lleotivités locales, des frais de
déplacement engagés pa r les 'fonction naires
et agents de l' Etat p~u r l'acco mplissement
des travaux et missions qu 'elles auraient ëh~
appelées il leur co nfier.
La stricte application de ces instructiOIl ,j
suscitant des difficultés, M, le Minis tre de
J'IntérIeur a demandé à M. le Ministre des
d'inviter les
Payeur..
-
c,i. j<usqu~~ t~ oqu' lI~. aCCo rd so it intervenu
IlIl terl}uetahQn qu 11 convient de don
sur
dispositions de J' or~O lln a ll ce du
n;~~r I ~~;
et s ur les _.mesures a prendre éventuell ement
pou r a u tOnser It:! i'embou rseme nt des 1 .
, és et pa Il 1er
'
l es Inconvénie
'
SUS\'IS
nts qu ' raIS
é té sig na lés.
1 Ont
je \'O Us tiendrai informé de la décisiO n '
inte rviend ra.
qUI
Imposition des régies dé{Jf!rlCIHenJale~
et commuflales des services publics aux
taxes sur le chiffre d'affaires.
V. -
AG 13
D561
pROGRAMME ~EPARl'EMENTAL DE
PRIORITE DE RECONSTRUCTION
DE BIENS SINISTRES_
17
Efltr~iell des btiliments SColaires
VIII. -
1
Par arrête du 3 décembr~ 19,51, pris sur
oposilio n de M, le Délégue Departemental
~r Ministère de la Reconstruction et de l'U rb~nisme, et ap rès avis de la. S~us~Commis~
sion Départementale des Pnontes, c h ar~és
de dêtermin~r . l'lI ~ge n ce de .reconstructlon
des biens SI Ol st~es, un . certa'lll nombre de
prioritaires ont eté admIS da l~s le programme de prio rité de reconst r uctIon pour 195 1.
Les listes des sinist rés reconnus prioritai·
res so nt affichées à la porte principale de
chaque Mairie intéressée et p~uy~nt Hre consultées il la Préfect ur.f, 5e DJVISJOn, 1er Bureau ou dans les bureaux de l\\. le Délég ué
Dép~ rtementa l ,du Mi.nistère de la ~e('ons
truction et de 1 Ur banisme, 50, rue Salllt-Lazare, à Marsei1le.
Pour le Prélet :
j'appel,le \'orre attenti~n su ~ la nécessit t
ùe prevoir les sommes necessal res à l'e ntr,'_
tien des bâtiments scolai res.
~
L'artic le 93 de Ja loi des Fina nces de 192û
fait en effet une ~llIigat i o n pou r les COm.
munes qui édifient des ecoles avec pa rticipa,_
tion de l'Et.a~, d'i nscrire à leur budget pel"
dant une penode de 30 ans, au nombre des
dépenses ob ligatoires un c rédit pOur l'entretien de l'immeu ble au moins égal à 1 % Ile
Ja dépense sur laquelle la subve ntion d~
l'Etat a été calcul ée,
IX. Somme
X. -
Le Secrétaire Gênerai
Contingents de police
a inscrire
LAMASSOURE,
:
----~(>oo«Â'-----
Contrôle Médical Scolaire
D263
Un credlt de 50 francs par élève doit être
prev u à ce titre.
1
1
GESTION DU PATRIMO INE IMMOBILIER DES COLLECTIVITES ET ETABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX,
X,I. - Participation communale aux dépen'Ses du Seniee Départemental d'Entrellf..7
des appareils de stérilisatioll des Eaux,
Somme à. inscrire :
Circulai re n" 456 AG-URB
Somme à inscrire :
XI II. -
CfJntù(gefll ({assistance.
En \'ertu d'une décision récente du Conseil
Géné ral le contingent co mmun al d'assistance
doit être réparti entre les communes du dl"
partement proportionnell ement à la valeur du
cenflime comm unal.
En application de cette décision, l'O.U3
au rez à prévoir pour les dépenses d'ASSIStance '(Enfant'5 Assistée Prott:ct ioll Maternt!!·
le et Infantile, Vieillards, Al iénés, Assist~nl't:
à la Famille, Femm es en cuuc ll es, Pnn~es
d'alJaitement, Sen'ice Anti\'é nérien, Se rl'I~e
Antituberculeux) une somme egaie il la ~'a
leur de 3.574 .centimes 71 (trois mille cm~
cen't soixallte-quatorze cent. soixante et ?n'
ze) et pour les depenses d' Assista nce ~Ied,'
cale Gratuite de 2,793 centimes 73 (deu!
mille sept cent quatre~\'in gt-di x- huit cent!·
mes soixante et treize).
En ce qui co ncerne les depenses d,c Protection de la Santé Publique, le crédit relt'·
nu pour 1951 doit êt re majoré du qua rt.
. bien
' procéder
Je VOLIS demande de voulOir
p'.
d' urgence a l'établissement du Budget TI
mitif 1952 de votre co mmun e, co m~le ten~
des indications données ci-dessus, ~f~n d~.~"
pas retarder la notification à r Ad ~lll11st~~'~Il '
des Contrib ut ions Directes des Impo~15~ ,
loca les il mettre en reco uvreme nt en 19 ...
- Pour le rréfel, ,
Le Secrélalre Gé" lral '
LAMASSOURE,
----c,.oo'»---
,
Le Ministre de l'Int érieur
à MM, les Préfets (Métropole el
Ollire-Mer),
Mon atte ntion a été appelée à diverses re~
prises, nota mm ent par un réfëré de la Cour
des Comptes, sur les nég li gences trop soul'ent apportées par les collectivités et établ.issements pub lics locaux à la gestion de
leur patrimoine immobilier.
Les i"lmeub les sont fréquemment Joués il
des prix sans rapport avec les loyers nor~
malement pratiqués. L.'i nsuffi sance des lo ye rs
c,onsentis conduit souvent il une dispropo r~IO~ ,telle que le r evenu des pro p ri étés est
Infeneu~ au montant des cha rges supportées.
. Les dispositions légales relatives à la fi xatIon du prix des loyers ne sont générale~
ment. pas respectées, notamment celles de
la 101 du 1er septembre 1948, qui permettent
un réaJustement des loyers des loca ux à lisage d'habitation.
Les baux sont très sou\'ent conclus sans
tire aSsortis de clauses de rév isi on. Même
lorsque de telles clauses sont stipulées, les
cO~ l ectivités et établissements publics propri é~
ta"'ês nég li gent fréquemment de s'en prél'alo lr.
•
Les loyers initia ux étant la plupart du
temps t~ès faib les par rapport aux avantages
que rehrent de leu r bail Jes locataires, l'absence de révision, malgré les clauses de
~ont rat .ou les presc ri ptions légales, co nd uit
a Une dispropo rtion anormale et à une pe rte
de recette nOn négli geab le,
~n outre, dans ce rtains cas, les baux
!~rll ve nt à e~'pi.r ati o n sa ns que leur reno u. elllent SOit Intervenu en temps util e l'f
qUI entraîne le dou ble inco nvénient de l'ab~
~~~~e des ga ranties Que comporte un bail
et d.. la perSistance d'un loyer inadapte.
en ~! me.mes négligences ont été constatées
qUI conce rne .t'aj ustement des
L
ne, de l'exécution, du prés~nt arrêté, qui , se~a
inséré au Recueil AdrDll1lstratif et BUllet",
des Mairies,
Fait à Marseille, le 13 octob re 1951.
Le préfel :
René PAf RA
- - - - -c.ooc.'- - - -
1
---<.>ooc>,----
Bl
PO
INTERDICTION VISANT CERTAINES
PUBLICATIONS
DI
ARRETE
'Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur:
Vu les articles 97 et 99 de la loi du 5 av ril
1884 ;
Vu l' a rti cle 7 de la loi du 17 mars 179 1 ;
Vu la loi du 29 juillet 1881 ;
,
Vu le déoret-loi du 29 juillet 1939 relahl
il la famille et à la natalité fran ça ise ;
Vu les instructions de M . le Ministre d'e
l'Intérieur ;
Vu les propositions de M. le Directeur
Départemental des Sen'ices de PO,li ce ;
Considérant le danger que presente, no~
tamment pour la Jeunesse, l'exposit!on. sur
la voie puh lique de certaines publicatIOns
illustrées consacrées aux crimes, à la prostitution ainsi que ce lles de caractères lice ncie ux:
ARRETE:
Article Premier. - L'exposition aux porches , Vitrines, kiosques, magasins, etc ... ~e
mani ère qu'Ils puissent être vus de la vO I.e
publique ainsi que la yente et l'offre pul>hques su; les plans et ,"oies I,ubliqu.es de. la
publication c: Paris-Cancan " est IIlterdlte.
Art. 2, - AlM, les Sous-Préfets à Aix et
à Arles M. Je Directeur Départemental des
Servic~ de Police, I\lM, les Maires du DéM, le Commandant de Gendarme-
PO
06 BI
COLPORTAGE OU VENTE
DES ARBRES DE NOEL
ARRETE
Le Préfet de. Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'HoMeUT,
Croix de Guerre,
Vu les artides 192 et suivants du Code
Fo restier sanctionnant les délits commis en
forêts soumises au régime forestier;
Vu l'article 74 de la loi du 21 juin 1998
su r la Police Rurale interdisant la coupe et
la detérioration des a rbres sur la propriété
d'autrui.
Considérant que chaque année, au moment
des fètes de Noël, des dégats importants sont
commis dans les forêts, publiques ou privees,
soumises ou non au trégime forestier;
Vu la Jettre en date du 3 décembre 1951
de
le Conse rvateur des Eaux ct Forêts ;
Sur la proposition de M, le Secrétaire
GénéraL
ARRETE:
Artic1e Premiu. - Toute personne Qui
co1porte-ra ou mettra en vente un o u plusjeurs él'Tbres de Noi!1 de\'fa être en mesure
de ",résenter immédi~tem.e nt, à. toute au~ori!é
requérante, un permis d e.xplOiter ou d enle\'ement déliné par le Maire de la co mmune
au lieu d'explojtation.
Art. 2. - Toute personne qui ne pourra
fournir la pièce ci-dessus fera J'objet d'un
procés-ve r bal pour Înf raction aux textes
rèQ'lementaires visés au prësent arrêté.
Art, 3 _ - M, le Secrétaire Général de la
Préfecture I\~~, les Maires du Departement,
M. le Con'ser\'ateur des Eaux et Forêts, M,
le Chef d'Escadron Commanda nt la Gendarmerie des Bouches-<1u-Rhn6e, ,\\.\1 , les Commissaires Centraux et de Police, MAt les
Gardes Forestiers et Gardes Champêtres du
Département sont chargés, chacun en ce qui
le concerne. de l'exécution du présent arrêté.
Mars eille, le 18 décembre 1951.
"'L
.
P a r is, le 14 décembre 1951.
XII. -
Contribution communale aux déptn
ses du Sen/ice Départemental d' Incendie.
Somme à inscrilie :
BC 0
du fait de l'absence d'ajustement, les prop ri étés aya nt fait l' objet de polices a nciennes ne so nt plus ga ra nti es qu'à conCu rrence de sommes le plus souvent dé ri soires.
Il est enfin fréq uent de constater que les
collectivites négli ge nt de poursuivre su ... leurs
loca taires le rembou rse ment des d ive rs impôts et .charges quj incombent aux prenéurs,
soi t en ve rtu d e dispositions léga les, soit en
ve rtu des stipulations co ntractuelles.
Les baux laÎssent même parfois les cha rges, impôts et primes d'assurances normalemen t récupé rables à la charge du bai ll eur.
De tels-e rrements ne salUaien t êt re admis.
ILa possessio n par les co ll ect i1'ités publi~
ques lo cales d'un domaine privé, gé ré selon
les lrègles du droit p rivé, ne se justifie que
dans la mesure où ces collectivi tés tirent
de leur pat rimoine, au même titre que les
particuliers, tous les revenus qu'il est susceptible de leur fournir.
Ii VO LIS appa rtient, en conséquence, de
rappeler aux administrateurs locaux l' int érêt général que présente pour les collectivites une gestion efficace et suivie de leur
domaine im mobilier, et de veilter à l'occasion notamment de l' examen des budgets,
comptes et baux: qui vous se r6nt soumis, à c.e
que la rémunération nécessaire à la rentabilité des immeubles soit strictement exigée des
loca taires.
U conviendr a d'insister particulièrement
sur l'obligation de respecter les dispositions
'Ié crales en la matière : notamment, la loi du
1e r septembre 1948 et les textes laISsant cer~
tains impôts à la charge des preneurs, les
lois sUrr h prorogation des baux et sur la
révision des baux à lo ng terme, ai nsi .que
sur )'o bliO'ation de veiller à ce que SOient
insérées et appliquées les clauses parliculiè~
res des contrats destinées à sam'ega rd er les
intérèts des propriétaires.
Charles BRUNE,
1
POlir le Préfet
Le Serre/aire Genérai
LA,\\ASSOU RE
---<>00<'----
02 63
TVX 4
ELECTRIFICATION RURALE, RENfORCEMENT DE RESEAUX, - CONCOURS FINANCIER DU MJNISTERE
DE L' AGRICULTURE,
N' 91 AGJ / l
Pari' le 5 decembre 1951
Le Ministre Je rAgricultu re à MM.
les Préfets,
Le
pour
pour
pou r
èéj3
pa rachè\'elllent de l'œu\'fe entreprise
électrifier les campagnes nécessite, tant
la desserte de nouveaux écarts que
la mise à la disposition des p(}pulations
dessen'ies de
.
cet-
�-
La presente ci rculaire a ~~ur ohjet de vou~
prëciser dans Quelles conditions ces t~avaux
de renforcement peuvent être subventIOnnés
par mon département.
TEXTES D'INTERET GEHERn
CirC'lllaire concernant plus spécialement
Its AdministratiOns dt l'Etat
1. _ RENFORCEMENT HORIZONTAL
On appelle ainsi le renforcement rendu
necessaire par l'obli gatio n d'étendre le
reseau pour dessenrir de noyveaux ~bonnés
non situes sur le tracé des li gnes eXIstantes.
II pourra être nécessai re, pour alimenter
les nouveaux abonnés, d'augmenter la
section des conducteurs existants,. de trip haseI des lignes, d'augmenter la pUissa nce des
postes de transformation ; de transfor~ler
des postes sur poteaux en postes. ~n cabine,
de changer la tension de répa rtttlon et de
distribution.
Ces travaux seront traites comme tr~
vaux neufs et subventionnés dans les condItions habituelles au même titre que l'extension proprement dite.
II. _
RENFORC6MENT « VERTICAL>
On parle de renforcement vertical lo rsque
le renforcement est rendu nécessaire pour
faire face aux nouvelles demandes d'énergie
par des abonnés placés au ."oisi~age des
réseaux existants, sans nécesSiter d augmentatio n de longueur des lignes de réseaux.
Il convient alors de d éte rm iner quelles
sont les obligations du concessionnai re, telles
qu'elles rés ultent de l'application de l'a rticle 13 du contrat type de concessIOn.
Si la puissance inscrite à l'article 13 du
cahier des charges de concession n'est pas
depassee, le co ncessionnaire est tenu de
fourn ir l'éne r gie aux abonnés placés sur le
parco urs de la distribution ~ns pouvoi~ I?rétendre à réclame r de ceUX~l une partlC1parion aux frais nécessités par cette obligation.
L'autorité concéda nte n'est légalement tenue,
dans cette hypothèse, à aucune participation
financière . Les tra\'aux correspond ants ne
sont donc pas subventionnés.
Si la puissance inscrite à l'article 13 est
dépassée, le co ncessionnaire n'est pas tenu
de fournir l' énergie aux abonnés, cette fourniture étant considéré hors des limites juri·
diques du contrat de concession i le. ~onc.es·
sionnaire peut demander une partICipation
financière à l'a utorité concéda nte.
Dans ce cas, l'Etat peut subventionner
cette autorité coocédante.
Il en est de même si le cahier des charges
ne prévoit pas en son article 13 de limitation de puissance.
Pour ces travaux de renfo rceme nt ve rtical qui sont plus rentables que les autres,
le taux de la subvention sera uniformément fixé à 20 %.
III. -
RENFORCEMENT < MIXTE >
Si un même projet comporte des re nfor·
cements des deux types, iJ sera fait application d'un taux unique pondéré.
•••
Ampliation de la présente circulai're est
adressée directement à MM. les In génieurs en
Chef du Génie Rura l.
Ca mille LAURENS.
~
..
-------('00(.'-------
AC 3
D2 BI
VERSEMENT DE 'LA COTISATION DE
SECURITE SOCIALE DES FONCTIONNAIRES ET MILITAIRES DE
CARRIERE BENEFICIAIRES DES REGIMES DE SECURITE SOCIALE INSTITUES PAR LE DECRET N ° 46-297 1
DU 3 1 DECEMBRE 1946 El' LA LOI
N" 49-489 DU 12 AVRIL 1949.
N" 8166 F - LlC 2575
Paris, le 26 novemb re 195 1
Le Vice-Président
du Conseil, Ministre
des Finan ces et des Affaires Economiques
à MM. les Ministres et Secrétaires d'Etat.
ro nt à êt re observées par les services ordon_
nateurs ..Ces doc un;ents dev ront, par conse_
quent, faIre aPl?ar~ltre distinctement le mOntant de la collsallon de Sécurité Sociale a
la charge des intéressés.
La nouvel le ~ rocé~u re ~e. Sera pas a pplj.
cable aux fo nctIOnnaires cl\"lls en service en
Algé rie ou dans les Départements d'Outre_
Mer. En conséq ue nce, pour les perso nnels
dont il s'agit, les ordon nate urs int éressés
dev ront co nt inuer à mand ater au profil des
o rga nismes de Séc urit é Socia le intéressés
selo n les r ègles suivies act uell ement te mon~
tant de la cotisa tio n de Sécurité Sociale à
ta cha r ge des inté r essés et Je montant de
ia cotisation à la c harge de l'Etat.
Je vo us p r ie de bien vo ul oir porter les
dispositions qui pr écède nt à la connaissa nce
des services, établissements e t organismes
rel evant de vot re auto r ité.
P. te Ministre et. 'par 'autorisation,
Le Directellr de la Comptabilité Pllblique
G. DEVAUX.
J:a.Î l'~o.nneur de v<:)t~s faire connaître qu'il
------- <>00<.------a ete detldé de modlfter, à co mpte r du 1er
D2 S2
AC 3
j~nvier 1952, la procédure actue ll e ment en
\"IJ!"ueur Dour le versement de la cotisation
DECRET N ° 5 1-1894 DU 2 7 NOVEMBRE
de Sécurité Sociale à la charge des fonction1951 MODIFIANT L'ARTICLE 39 DE
naires et militaûres de carrière bénéfic iaires
L'ANNEXE III DU CODE GENERAL
des régimes de Séc urité Socia le institués pa r
DES IMPOTS RELATIF AUX OBLIle décret n° 46-297 1 du 3 1 déce mb re 1946
GATIONS DES EMPLOYEURS QUI
et par la loi n" 49-489 du 12 avr il 1949.
VERSENT DES TRAITEMENTS, SA·
f:t compte r d~ la. date sus-indiquée, le proLAIRES OU RETRIBUTIONS PASSI
dUit de la .:otlSatlOn de Séc urité Socia le à
BLES .DE L'lM POT SUR LE REVENU
la charge des personne ls visés à J'alinéa préDES PERSONNES PHYSIQUES,
cédent et de la cotisatio n à la c ha r ge de
Journal Officiel du 6 Déc. 195 1, p, 12.036
l' Etat sera ordonnancé trimestriellement au
'Profit de la Caisse Nationale de Séc urité
Le Président du Co nseil des Minist res,
Sociale ou de la Caisse Nationale l\·\iJitaire
Su
r le rapport du Vice-Préside nt du
de. ~érurité Sociale, suivant le cas, par les
Co nsei l, Ministre des Finances et des AffaiMlrilStres chargés de la gestion des c rédits
res éco nomiques et du Mini s tre du Budget;
sur lesquels sont imputés les traitem e nts Ou
VU le code géné ral des impôts et, notam·
soldes des personnels intéressés. Lo rsque les
ment, les a rticles 87 et 88 ;
émol um e nts de ces personnels seront imputés sur un b udget annexe ou sur le budget
VU ,l'a rt icle 39 de l' a nnexe III au code
d'un office o u d'lm établissement public
susvisé ;
natio nal , l'ordonnanceme nt du produit de la
Décrèle
cotisation se ra effectué dans le même délai
Art. 1er. - Le premier a lin éa de l'a rti·
par l'o rdonnateur du bud get ou de l'établissement intéressé.
cie 39 de l'annexe III au code gé néral des
impôts est modifié comme suit :
Les sommes o rdonnancées dans les co ndiToute pe rso nn e physique ou mo rale ~er
tions sus-indiquées se ro nt imputées s u r les
sant des traitements, émo lum ents, salai res
c rédits ouverts, à cet effet, da ns les difféou rétributions imposables est tenue de p~o
rent s budgets. Ces cr édits seront ca lc ulés
duire, dans le co urant du mois d,e ja nvier
g lobalement en appliquant le taux de la
de chaq ue année, une déclatation présent~nt
cotisation de Sécurité Sociale, compte tenu
po ur chac un des bénéficiaires des traitedu plafond de la dite cotisation, au mo ntant
ments é moluments salaires ou 'rétributions
des dotations budgétaires affectées au paiepa}rés' au cours d~ l' an née précédente, les
ment des émoluments des personnels intéindicatio ns suivantes:
ressés.
J" Nom, prénom, emploi et adresse ;
Dès que le décret instituant la proCédure
de versement exposée ci-dessus aura été
2" Montant b rut avant déduction des cot ipublié au Journal Officiel, des instructions
sations aux assurances sociales et des Iretedétaillées vous seront adressées pour son
nu es pour la retraite et montant net ap rès
application.
déduction de ces cotisations et de ces r.ctenues des traitements sa laires et rétribuD'ores et déjà, je cfois devoir appeler
ti o ns, payes soit en 'argent, soit e n nature,
vot re atte ntion sur le fait qu 'à compter du
1e r janvier 1952, les ordon nateurs des traipendant ladite an née ;
.
tements o u soldes des personnels auxquels
3" Montant des retenu es effectuées au tItre
s'applique .la réforme exposée ci-<1ess us
de la ta xe proportionnelle ;
devront se bo rner pu r eme nt et si m plement
4 ° Période il laqu elle s 'applique nt les
à liquid e r la cotisat ion de Sécurité Sociale
paiements ;
à la charge des interessés et, ainsi qu'ils le
5'" Nombre d'enfants indiqués par l'intéfo nt actuellement, à en précompte r le monressé
comme étant il sa cha rge
tant sur les traitements ou so ldes qui co ntifrais
6" Montant des ind emnités pour
nueront â êt re ordonnancés pour le net.
J'aj o ute que les règles actuellement suivies , d'emptoi ou de se rvice.
esl
pou r l'établissement des états 1 idatifs de
Art. 2. _ Le Mini stre du
de l'exécutio n
267
scra publié a~ Journal Officiel de la Répuhlique Française.
Fait à Paris, le 27 novembre 195 1.
R. PLEVEN.
Par le Président du Consei l des Minisbres
Le Minist re du Budget,
Ministre des Finances et des Affaires
éco nomiq ues, par inté r im, Pierre COURANT.
Le Ministre du Bud ge t,
Pierre COURANT.
_ _ _ <»00C";,,----
AC 3
02 SI
MODIFICATION DU TAUX DE LA
COTISATION DE SECURITE SOCIALE A LA CHARGE DES FONCTIONNAIRES ET DE CERTAINS PERSON NELS OUVRIERS DE L'ETAT,
N" 8252 F - LlC 2578
Paris, le 29 novembre 195.1
Le Vice-Président du Conseil, Ministre des
Finances et des AHaires Economiques à
MM. les Ministres et Secrétaires d'Etat.
J'ai Fhonneur de vous faire co nnaître
que le taux .de ' la cotisation de Sécu ri té
Sociale à verser par Jes fonctionnaires en
activité bénéficiai res du régi me de Sécurité
Sociale institué pa r le décret du 3 1 décembre 1946 et de la co tisation à la charge de
l'Etat a été porté à 2 ,nr. 50 pour 100 par
l'article premier du décret n" 5 1- 1335 de
19 novembre 1951, pu b lié au Journal Officiel du 21 novembre (pag~ 11.557).
Les dispositions du texte précité étant
applicables à compter du 1er décembre 195 1.
les ordonnateurs devro nt, à compte r de la
d.le précitée, appliquer le taux de 2 fL 50
pou r le ~alcul de la cotisation il la cha rge
des fonctionnaires de l'Etat, ainsi que pour
te calcul de la cotisation à la charge des
perso nnels ouvriers de l'Eta t et des établ is~ements de l'Etat visés par le décret d u 28
JUin 1947 et le décret n° 48.293 du 19 fév r ie r
1945. Il comr.ient, en effet, de rappele r qu' en
vertu des dIspositio ns de l'arrticJe premier
de I:a.rrèté interministéri el du 9 mars 195 1
mod ifiant l' arrêté du 17 juillet 1948 COnce rnan,t ~ es modalités d'application du décret du
28 JUin 1947 et d u déc rel du 19 février 1948
relatifs au régime de Sécurité Sociale de
certains personnels oùvrie rs de l'Etat la
cotisa~ion. à la cha rge de ces pe rson n el ~ et
la cotisatJO n de l'Etat sont fi xées l'une et
I ~a ut~e, il un taux égal à celui de 'la cotisatIOn a la cha rge des fonctionnaIres de l'Etat.
Co mpte tenu du pla fo nd de Sécurité
Sociale de 408.000 francs act uellement en
vigueur, la cotisation 1 maximum susceptible
d'ètre retenue Su r l es emol uments d'un
mème fonctionnaire ou d' un ml7:me ouvrier
de l'Etat sera de 850 francs.
Ainsi qu'il résulte du deuxième a linéa de
l' article 1er du décret d u 19 novembre 1951
te taux fixé par l'article 1e r du d éc ret
n " 5 1-242 du 27 février 195 1 est maintenu
en vigueur pour les cotisations dues au
titre . des foncti o nnaires et des personnels
ouvrie rs de l' Etai visés par les d éorets
n" 49-1039 du 1er août 1949, n° 50-204 du
30 janvier 1950 et n ° 51-27 du 5 j anvier
195 1, c'est-à-dire:
1") Pour les fonctionnaires des cad.res
régis pa r décret exerçant normalement leurs
fon ctio ns dans les territoires cI'Outre-Mer .
2(10) Pour res fonctionnaires de l' Et at ex~r
ça nt normalement leurs fo ncti o ns à l'étra nge r ;
3") Pour les ouvriers de l'Etat qui ont
quitté le territoire métropo litai n pour travailler dans un service ou un étab lissem ent
dépe ndant de leur ad mIn istration d'origine
et situé dans un teNito ire d'Outre-NIer.
La cotisation de Sécurité Sociale à la
c harge des pe rsonne ls susvisés continuera
donc à êt re calcu lée au taux de 1 fr. 75
pour 100.
J e vo us prie de bien vouloir porter
d'urgence les dispositions qui précèdent à
la connaissance des Sentices intéressés de
vot re Département ainsi qu'aux organismes,
offices et établissements publics qui en relève nt.
Pour le Ministre et par autorisation
Le Directeur de la Comptabilité Publique
G. DEVAUX.
Communiqués-Avis
Annonces diverses
D4 B2
DONS ET LEGS
Avis p"blié etl txécuhon de J'article 3 du diVd du 1er février J896, don.J le but d'inwbtff
I.t-s héritiers inconnus des testateurs à prNUlrt!
1O""'laissall cj!' du teslame"t, en vu/.! de d onner
!eur consentement ou al' produire I~rs m0l'~tf.I
d'opposition.
Les rttclama'io1LS ne SOl lt recevables que dcm.l
un dé13i dt! trois fl'U)is à parllr d~ J'murtior.
au c Bulletin :t.
Par testament olographe du 7 avril 1948
d éposé aux minutes de M~ Tastemain,
notaire à l\1.arseille, 6~, rue Saint-Ferréol,
feu Joseph, Marius POURRIERE a disposé:
C" Je lègue aux Petites Sœurs des Pauvres,
les Chartreux à Marseille, l'immeuble que je
possède, rue Nau n° 96 (ancien 94).
< Je lègue à l'Asile des Frères de SaintJean-<1e-Dieu à Saint-Barthélemy où j'habite,
les sommes que je pourrai posséder à mon
décès a mon com pte e n banque, ainsi que ce
que j'aurai dans ma chamb re et à la Caisse
d'Epargne • .
Marseille, le 13 déeembre 1951.
P 8
DI B2
DECHEANCE DE LA NATIONALITE
FRANÇAISE
Le nommé TOLLINI Philibert, né le 3
août 1903 à Frassinoro ( Italie), naturalisé
par déoret du 27 juin 1935, domicilié a Marseille, 2, rue Fontainieu (Saint-Barnabé) a
été déchu de la nationalité française par
décret du Il octobre 1951, publié au JOUrnal Officiel du 13 octo bre 1951.
------- <~ oo C"> -------
Copie ceni6h: C.OD ferme.
POUt le PtHet :
Le S~Cf"J '6Ire C6néra/ .- LAMASSOURJL
�
https://odyssee.univ-amu.fr/files/original/2/274/RES_JP_118_RAA-BDR_1952.pdf
2f90fbf491c34b0a5abc7110322ada4d
PDF Text
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PRÉFECTURE DES BOUCHES-DU-RHONE
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Recueil des Actes Administratifs
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et Bulletin des Mairies
1952
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TABLE DES MATIÈR ES
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publiés
�3
COTE
SOM~1AIRE
ADMINISTRATION GENERALE
AG 0
POLICE .................. . .. . .. . . . ..... ... .. . ...... . .
Di ve rs . . . . . . . . ... . .. .. . . .. .. .. .. .. . . .. . . . .
:Magistrats Municipau x . . . . . . .. . . . . .... ... . .... . . .. . .
P ersonnel co mlnun3.il . . .. . . .. ... . ...• . .. . . . •• . .. . ••
Affai res intercommunale s .... . . .. . ..• o·. · . •..
mog raphi e E tat-civil . . .. .. .. .... .. . . . . . .
Assoc iati ons .... .. .. . . . . .. .. . ... . . . . . . . .
A ffai res mili ta ires . . . . . ... . . . .
D omm age de guerre . .. .
El ecti ons politi ques . . . . . . . . ... .
3
3
3
D ivers .. . . . . . . . . . . . . . . . ' .. .. . . .. . . .. . . . •..
Chasse et pêch e .... .... .... . . . . .. . . .... . ... . . .. . .. .
H ôtels et débits de boissons . . . . . . . .. . . . . .... . .. .
Réuni ons et manifestati ons. - Jeux: et s pectacles . . . .
. .. . . . . .
Etrangers . . .. . . .. . .. . .. . . .. . .
5
....
Acq uis ition s .. . . .... .. . .
BIENS COMMUNAUX .. . ...... . ...... . ....... ·······
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Di \'e rs .. .. .. . . . , .. . . .. . . . . .. .. . . . . l '
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Eau. Gaz. Electr icité ............ . . . . . .
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Sen.iee vicinal ............ . . . .
Protection co ntre l'incendie
. . . . .. .. .. . . . ..
SERVICES COMM U NAUX ....... ... .. ... ... .. .. .. .. . .
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EDUCATION NATIONALE ... . .. . . .. . . . . . • ..... . . . .. . .
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INDUSTRIE. -
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Divers.. .. .. .. . . .. .. .. . . . . .. ..
. ' .. . ' ..
Assistance à la famille .... .... .. . . . . .. . ". . ... ....
AJlocations mi litaires .... .... .. .. ... . . . .. .... . . . . . .
Hygiène soc iale . .. . .. . . .... .. . . .. . ... . . . .
Etablissements d'Assitance et de Bienfaisa nce ... .
Assistance médi cale g ratuite .... . . .. .. . . .... o... . ...
COhlMUNJCATIONS ET TRAo'lSPORTS .... . ..... . •
ADMINI ST RATIO NS CE NTR ALES ......• . ......... .
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Tra va il et chômage . .. . . . . .
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Perso nnel . . . . . . . . . . .
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Spécial
5
10
10
12-13
14-15
14-15
16-17
16-17
18-19
18- 19
22-23
26
27
32-33
J2-33
49-50
30-31
32-33
PERSONNEL COMMUNAL :
7
7
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Frais de déplacem ent des membres des Consei ls 'mu nic ipau,x ... .
Indemnités de foncti on aux maires el adjo in ts .... . ... .... . .. .
7
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3
MAGISTRATS MUNICIPAUX:
10
10
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7
7
7
'1 • • • :.
Nom in at ion de M. Daum as >Pierre, en qua lité de seorét aire "djoint du ·C onseil de Préfe cture
intecdépartementa l de Marseille . . .. ... . . ... .. .. . . . . .... ... . ... .
. . .. . ...
Arrêté en date du· 29 Mai 1952, su spendant de ses fonct ions pou r un e du rée d e 1 moi s, M .
Rieubon, maire de Port-de-Bou c . .. . . . ....
. . . . . .. .
Délégation de signatu re . . .. . . .. .. . . . .......
. . .. . .. .
Arrêt é de M. le M inist re 'de l'In térieur suspen dan.t de ses fonctions pour une durée de 3 moi s
. . .. .... .... . ...
M. Ri eu bon, maire de Port-d e-Bouc .... ....
Rég lem entiltion de la ci rcul ati on des perso nnes et d es véhi cu,les su r l'aéroport (je MarseilleM a,rignan e . . .. ...
. . .. .... . ...
. . .. .... .... .... . .. .
. . . . .... . .. .
D éléga ti on de signature . . .. .... ... .... ....
Tau x des indemnités d' entretien des sé pultu res mil itaires peqlé lu ell es .... ... . . . . .
5
6
•
In sta nces envi sagées contre les Communes.
5
5
Divers . . ..
. . .. .. . . . . . . . . . . . .
. . . . . . .. . .
Bâtiments et te rrain s commun aux . - Const ructi ons scolaires
et te rrai ns de sports .... .. .. .... . .. . . . . . .... . .... .
Adduction d 'eau . ... ....
. .. - .... . . . . .... . .. .
Electrifica ti cn . . .. .... . ... .. .. .... .. . . . . . . . . .
Adjumcati ons et marcllés .. . . . .. .... . . . .
Urba nisme el lot issements .... . . . . . ..... . . ... . ... .
00
COMMERC~
5
5
6
Dive rs .. .. .. . . . . . .
Organisation génér:Je ....
o. . .
o.· , . ...
Culture .. .. ' . . . . . ' . . . .
Eaux: et forêts .... .... .... .. .. .... .... .... .... . ...
Elevage; . . . . . . . . . . . .
AGRiCULTURE ........ .. .. . . . · ..... . ...... .. . .. .. . .. .
4
4
4
o.· . .•
0
00
FAMILLE ET SANTE . . . .... ...... . . . .. .. . . . .. . .... .
4
G
6
6
0
0
4
4
• • • ••• •
Comptabilité commun ale ....
. . .. . . . .
lmpôts et taxes, - Droits dive rs .. . . . .. .
Emprunts et subve ntio ns .. .. . . . . . . . o.
FI NAN CES . . .... . .. . . ..... . .. ... . ..... . . .. . .. .. . .... .
TRAVAUX . . . . ...... ....... . . . . . .. .... ... . . . .. ... . . .. .
•
Divers :
Personn el de la Préfect·ure et des Eta bl isse menl·s départementa u.x
Ann onces judiciaire s et légales ... .
M éda ille d"honneur du Trava il ... .
- Dé légation de signatu res .... .... .... . .....
~ Attribution de do ts à un certa in nombre de fill es de déposants et d'assu ré s de la Caisse Nat ionale ,ct ' Assu rance sur la Vi e .... .... .... .... .... ....
... . .. .... .... . . . .
Perso nn el départe mental - Radi ati on du cadre . . .. .... . . .. .... .... .... . . . . .... . .. .
Li ste des journaux autori sés à publier les ann Onces léga les d ans le déparlem ent des B.-du - Rh .
en 1952 ........................ . . .... . . ' ... ' . .. . . . .... . . . . ... . ...... .
O,dre Public - Insoripti ons Sur la vo ie pub li qu e ............... . .... . ... . ........ .
Aldd iti f à l'a>rrêté préfectoral endate du 29- 12- 195 1. Paru au B.A.M. n' 12 et 13, page 69 ... .
Personn el ,du cadre départem ental - Nomin at ion de secrétaires .prin c~pa"U x de 2e ca tégorie ..
Radiation du, cadre départemental d e Mm e Guitton, servante ......... . .... . .... . . . . .
Plrel
ADMINISTRATION GENERALE . . .. ....... . · · •. .• .. . .
N·· nr.:s
BULlZTUCI
OBJETS
-
Rémunération allouée par les co ll ectivités loca les aux membres d e l'enseign ement du 1er
deg ré effectuant en dehors des heures réglementa ires des se rvi-ces dle nseignement ou de survei ll ance no n comp r is dans le prog-ramme oftficiel .. ..
. .;. . .... .... . ... ,... .
M éda ille d'honneur départementale et comm unale - Prom oti on d u 1er M ai 1952 ......... .
Sa laire des j ournali ers communaux . ..... '. . .... .... . . .. .... .... .... ... . . ...•...
Créati on d' un e médaille d 'or départementale et co mmun ale ................ , ......... .
Prestat ions fami liales - Circul aire ministé rie ll e n" 61 AD / 3 ............... .
Rémun ératio n des agent s des coll ectivités locales .................. . ........ .
Indem nité aux agents co mm unaux - Circulaire 53 et 75 du 28 Fév ri er 1952 ......... . . .
Ré>gim e de Sécu ri té Sociale - Cap ital décès accordé aux agents des collectivités locales
M edaille d'or Départe mentale et Communale .. .. .... .... .... .... .... .... . .. .
Assu rance coll ecti ve en c as de décès en faveur du personn el des co llectivités oJca les ... .
Circu laire mini stéri ell e n' 182 AD / 3 du 30 A vril 1952, rela ti ve aux empl ois réservés tommunaux
. . .. ..
. . .. .... .... . ...
Ci rcu laire mi ni sté rielle n' 200 du 9 Ma i 1952, re lative au classement in diciaire des agen ts
Comm unaux .. .. ..
. . .. ".
. . .. . . . . ... . .... . ...
Statut clu perso nne l co mmu nal - Loi du 28 Av ri l 1952 ....................... .
In dem nité aux age nts des coll ectivités loca les . . . .
. . .. .... .... ..
Attribution aux agents des co llec tivi tés locales de prêts destin és à l'a mél ioration de l' habit,!
prévus par le décret du 18 Juil let 1950 .. . . .. .... .... .. . .
. . .. . .. .
Rét ri bu·li on horaire pou r travaux supplémenta i res.... .... ..
. . . .......... .
Capi tal décès prévu par l'a rtic le 86 in fine de la loi n' 52-452 du 28 Alvri l 1952 porta nt statut
général du pe rsonn el des communes et êta bli ssements publics
. . .. .... .... . .... .
Ci rculaire 'd'a pp licati on du slatut au perso nnel com mun al ........................... .
Circu lai re re lative aux moda lilcs cie verse ment des allocati ons de matern ité aux agents des
co ll ect ivité s loca les . . .. .... ... . .... .... .... ... . .... .... .. . . .... .... . .. .
Assu rance collect ive en cas de cl écès en faveu r du. person nel des coll ect ivités loca les . .. . . .
Appli cation de la loi du 28 A vril 1952 port ant statut général au person nel des Commu nes et
1-2
6
10
10
10
12-1 3
12-13
12-1 3
20
20
21
21
21
21
24-25
24-25
32- 33
38-39
40-42
42-43
/
�5
OBJETS
COTE
BULLETINS
COTE
_
Indemnité pour le gardiennage des églises
Sta tut du personnel comm una l .... . . ..
N·· DES
BULLETINS
OBJETS
44-45
49-50
POLICE
P 0
Divers :
AFFAIRES INTERCOMMUNALES :
AG 3
M éda illes d'ho nn eu r départementale et communale . ... . . . ... . . . . .... . . ... ... ...... . .
Appl ica ti on de l'arrêté mini stéri el du 20 M ars 1952 rel atif au x co nditions d 'att ri bution d' indem. .. . .. . .
ni tés à certa ins agents des coll ecti vi tés lo cales . . .. . . .. .. . .
DEMOGRAPHIE -
AG 5
-
-
36-37
36-37
-
ETAT CIVIL
Eta t Civil - Table décenale _."
. - .. . . _. .... . . - - . - _. ....
. . . . . . ..
Certifi ca t de vie de célibat, de nOn di vo rce, de non séparati on de co rps, de non remari age
D ema nde de l iqu idation ùe pension ou de rente de vieillesse et d 'all ocation .. .. .... . . ..
-
32-33
44-45
49-50
. . .. ....
. ' . .. . . .
App el à la généros ité .pub li que pour l'ann ee 1952 . .. . . . . .
Autor isati on 'd'tln e quète à do mi cil e acco rdée à l'Associ ation régi onale de sauvegarde de l'Enfa n ~
. . .. ... . . . .
. . . . ... . . . ...... . .. .. ... .
Quêtes onganisées par des assoc iat ion s s' in téres san,t à l'In dochine . " . . . . .. . ,.
Arrêté régle'11entant l' ut ili satio n !l'un e sc ie cir culaire sur la voie pul:>lique ... . . , . . . . . . , .. .
j ourn ée de quêt'e onganisée par l'Assoc iat ion Natio nale d es famill es de f usi ll és et ma sacrés de
la Rési stan ce ... . .... .... . .. . . .. .... . . ..
. . .. .... ....
. . .. . .. .
jmy criminel pou,r l'année 1952- 1953 .... . .. . .
.... ...
. . . .... .
Appe ls à la généro sité publi que pour l'ann ée 1952
...... ... . .... . . . . .... .. . . . . . .
Interdi cti on visant certaines publications . . . . . . ..
.... ....
Emplo i de hau'ts-parleurs ... . . . .. . . .. .. ... . .. .. .. .. .... . . .. .. . . . ...
Pub lications ,périodiques interdit s aux mineurs _ . . . .. . . . . . . . . .. . . . .
In ted ic'tion visant certai nes publ icati ons . . .. . ...... .. .. .. ...... . . .. .•. . .• .
ASSOCIATIONS:
AG 6
Constit ution d'assoc iatioil syndicale l ib re pour l'i rrigati on d u qu a,rti er de Millet (commun es
d'A rl es) .. . . . . .. . .. , .. . . . . .. . .. .
Ass oci ation syndicale libre des arrosants de la commune de L a Barben ".
Conse il Supé ri eur de la M utual ité et Comifé Départemental de coo rdin ati on de la M utualité
des B o uc hes-d u ~Rh ô n e - Révision de la liste électorale . .
Conve rtio n d'u ne assoc iation synd ica le lib re Sainte-Marguerit e .. . . . . . . .
P3
9
P 4
AFFAIRES MILITAIRES:
AG 7
-
D ates d'ap pel et oblig ations d'act ivité de ia I re frac tion du contin gent à in co rp orer en 1952 Déc ret du 8 Fév rier 1952 ... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . .
Disp ense d'ob ligat ion au service mil ita ire act i l aux j eu nes gens dont deux proches parents sont
morts pou r la France . Loi n' 52-4 15. 18 Avri l 1952 ... .
- Présidence des Conseils de Ré\' ision - Arrondisse ment d e M arseill e .. . .
- Recrutement de l'arm ée - Appli cation de l'ar t. 4 de la loi du 18-7-52 .. . .
- Obli gati on milita i re des Français musul mans d' Algé r ie des classes 1947, 1948, 49 et 1950 ..
- Appel sous les drapeaux de la 2" frac tion du con t ingent il in co r porer en 1952
-- Ex trait de l'arrêté in terministé ri el du 12 Août 1952 . . . . . . . . . . . .
Français musu l mans des con tingents 1951/ 1 et 1952 /2 . . . . . . . . . . . .
Ouverture de colombiers de pigeons voyageu rs
. ... . . . . • . . . .. . .
-
28-29
42-43
P 5
-
Programme départementa l de prio rité de reconstruc ti on des biens sin istrés
M obilier et maté ri el commu naux détruits par fa its de gue rre ......... . . .
Délais de forclusion en matié re de déclarati on de sinist re .... . . .. .... . . . . . . .
Eval uation des dommages de guerre aux éléments d'explo ita t ion ag rico les ..
Evaluation des dommages de guerre aux élé ments d'ex ploita tion non ag ri co les, 2" tranche
Evaluation des dommages de guerre aux él éments d'ex pl oitation non agr ico le, 3' tranc he ....
Evaluation d es dommages de guerre aux élé ments d'ex ploitation non ag ri coles
P8
-
6
10
10
22-23
34-35
Circulaire mini stérie lle n' 193 d u 7 M ai 1952, relative aux cou rses ,de taureaux
Rectifica t if à la circu laire n' 193 'clu 7 M ai 1953
....................... .
Arrêté du 29 M ai réglem enta nt les épreuves cyd istes dans le département ... .
-
M ari ages des étrange rs
. .. .... ... . .... ... . . ... ...
. . .. . ...
Con,ditions d"ef\trée et de séjou r en France des membres des fo rces armées belges et canadiennes ....
. .. ...... .. ... . .... .... ..
. . .. . .. .
Op position d' aoquisit ion de la nationali-t!' fra nçaise pa r mari age (art. 39 cfu Code de la Nationali té française . .
. .................... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .... .
Déc'héance de nati onali té ... . .... .... .. .... .. . . .... . .. .
Situati on des étrange rs séjou rn anl dans un Etabl issement hospi ta li'e'r' 'P sy'c:ih'i â t ;iq ~, e' ~~. pé'n'i ~
tenll alfe .... . .. . .... .... .. . . ... . ...... .... .... .... . . .. .... . . .. . . .. . . . .
Conditi ons d'entrée et de séj our en France d es membres des forces arm ées et de leu rs fa milles
appa rt enant aux pays signataire s du traité d e l'Atl anti que Nord .... . . .. .... . ... . .. .
Contrôle de la situ,a ti on des étrangers au point d e vue profess ionnel ou économiqu e .... . .. .
In sc ri ptio n à apposer sur les récépissés déli vrés aux étrangers dont le titre de séj ou r est en
cours de renouvelle ment
. .... . . . . . . . . . ...
Réfu,giés d'ori gi ne russe, arm énienne, ou d ive rs qui ne peuvent 'q'u'a ~t' p ~é;e'n t' i;u rn'i; 'de 'c'e'r ~
tifi cat de nat ionali té. . .. . ... .... . . . . . . . . .. . . .... ... . .... .... .... .... . . . .
D échéance d e la natio nalité française .. .. .... .... . . . .
. . .. .... .... .... . .. .
Perc'eption et exonération d es ,dro its du tim bre nOn change men t des vignettes . .... " . . .. . .. .
â'
ELECTIO NS POLITIQUES :
AG 14
BC 0
-
Arrêtés relatifs aux électi ons canto nales du 10 févrie r 1952 - Canton de La Ci otat . . . . .. . .
. . . .. ....
. .... . ... .
Rev ision des listes élec torales - Franchise pos tale . . .. ...
Listes électo rales - Répu di ation de la nationa lité française ....... . , .. . .. .. .. . . ...... .
Election des membres de l'Assem blée Na tionale ............. . ..... .. . . .... .. ...... .
Vaca.nces su rvenu es au sei n des Consei ls mu nicipaux des CO'l11TT1u nes de 9.000 hab itants et p l us.
ElEctions mun iCipales compleme ntaires dans les comm unes sou mi se au sc ru tin maj ori taire
Rpvi ... inn ft;· ...
l i ~h'c:: p l At" t nT"1 1 P~
6
12- 13
12- 13
12-13
27
27
22-23
30-31
34-35
21
22-23
24-25
1-2
4
6
7-8
9
12- 13
18-1 9
22-23
27
44-45
46
BIENS COMMUNAUX :
-
Expe rti se de b iens commun au-x - Circu laire n" 69 AD 2 ........... . . .. . . . .. . ...... .
FINANCES
PO
12-13
12-13
El1RANGERS :
-
3
6
34-35
47-48
49-50
REUNIONS ET MANIFESTATIONS - JEUX ET SPECTACLES:
-
DOMMAGES DE GUERRE :
-
Aut ori sation de la pêche à la ligne fl ottante les dimanches et l ours féri és en pè>n ode d ' interd ict ion dan s oertain s cour s d'eau .de 2.... catégo rie . .
. . . . . . . . . .. . .. .
Rect ifi cati,f à l'a rrêt·é préfectoral .du 8-3- 1952 relatif à la pêch e en ri vière le dim anohe ....... .
Au tori sat ion de la pêche à l'a li gn e fl ottante les dim anches et jo urs féri és en pé ri od e de fermeture générale des cours d'eau de 2' ca t é~o ri e ... . , . .... . .................. .
Délivran ce de s permis de chasse -pour la ca mpagn e 1952-1953 . . . . . . . . . . . .... . .. . . . .. .
A"êté en date du 18 Août 1952, abrogeant l'arti cle 4 de l'arrêté du 3 j uin 1947 sur les pé rim étres de ,protection autour des débits de bois sons .... . ... . . .. . . . .
-
AG 13
16-17
21
22-23
30-31
HOTELS ET DEBITS DE BOISSONS
7-8
18-1 9
21
42-43
42-43
42-43
42-43
42-43
42-43
9
10
14-15
CHASSE ET PECHE :
-
7-8
5
Divers :
10
�7
OBJETS
N·· œ.s
BULLP:rtNS
-
C01'II
COMPTABILITE COMMUNALE:
_
_
Registre de l'Etat-Ci vil _ Frais de reliure et co nfecti on des regi stre s d' Etat Civi l
Contingent communal des <lépenses <l ' assi s ta~ce pour .1 95 1 ....... .
...... '
Frais de reliure et de con fect ion des registres ·d Etat C, v,l
18-19
22-23
24-25
-
IMPOTS ET TAXES
Taxe sur la publicité.. . .... .
. . .. .. .... .... .... . ...
Circulaire ministérielle du 21 Mars 1952 re lative au x taxes co mm u·nales de dési nfect ion
3
16- 17
EMPRUNTS ET SUBV ENTION S DIVERSES :
-
Apurement financier et réévaluation des projets inscrits sur les tran ohes 1951 et antérieu res ..
Prêt aux colle-ctivités loca les .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... . ...
27
44-45
N·· oe.s
OBIP:rS
TVX 1
BULLETINS
Déc laration d' U. P. des t ravaux d'a ménagement du carrefour des chemins départ ementaux
n " 10 et 69 D d ans la commune de Miramas .................. . .............. .
Sa laires nor mau·x et coura nts des ouvri ers paveu rs et des scaphandriers ............... .
Extrac tion des sables, pierres et autres mat ière s nOn considé ré-es co mm e amendements marin s.
Assoc iat ion syndi cale libre de la vo ie pri vée. Av is de c"o nstitution
..... .
Assoc iation syndicaJe autor isée
. . . .. ..
. ..
Att ri bution d' in demnité P(}LIT COn.cours spéc iaux prêtés aux coll echvi tés loca les par les co n·du cteu rs de chanti ers et agen ts de Iravaux de s Ponts et C ha.ussées .... ....
. ...... .
Pl an d'.éq uipement nationa.1 - Versemenl de subvent ion .... ..
. . ' '. .
. ' ... .
. ........ .
Fournitures et trava·u,x - Rechel"c"hes d'economies .. .. .... .... .... .... ..
. . .. .... ....
. . .. . .. .
Règlement d'exploital ion dan s les ca rri ères à c"ie l ouverl
Fonds spécial d' in ve st issement routi er - Tranche vicinale - Imp utati on de fonds dan s la comp tabilité commun ale .... ... . ... . .... .... .... .... .... .... .... . ...
BATIMENTS ET TERRAINS (;OMMUNAUX TERRAINS DE SPORT :
CONS11RUCTIONS
10
12-13
16-17
30-3 1
32-33
36-37
44-45
46
47-48
49-50
SCOLAIRES ET
SERVICES COMMUNAUX
Eau - Gaz - Electricité :
Décret du 29 N ovembre 195 1 modifia nt les ta rifs de vente volon taire
-
6
SC 4
SERVICE VICINAL :
M odificati bn au règlement su r les se r vices des ohemin s vic inau x ....... .
-
St age au centre d'in structi on de la Protection civ il e .... .... . . .. .... .... . . . . . .. .
Avis de Concours _ Inspecteu,r dépa rtemental Préfecture d.e la Creuse ................ .
Avis de concours - In specteu r départemental Préfect ure de I·a Haute- SavOie . ... . . .. ..... .
Protection des bâtiments conue l' incendie - Projet de distribution d' eau .... .... .... . .. .
Relèvement des taux de vaca tions des sapeur>- pompiers volontaires .......... .
Relèvement des taux de vacations des sapeur< -ponlpiers volon taire s - Erratum ... .
Circu laire ministérielle du 11-2-1 952 - Entrainem ent p'hysique ,des sapeu.rs-pompiers
Circulai re minis"'riell e n ' 78 ,du 29~2-1952 concer nant le se rvice .de securité assu ré pa r les
sapeurs- pomp iers. . .. .... ..
. . .. . ...
Médaille d' honneur des sapeu rs-pompiers - Promoti on du 14 j ui llet 1952
Etablisse ments classés - Fib res inflammab les .... .... .. . . .... .... . ...
Vacation des sapeu rs-pompiers. . .
. ... . . . . . . . . . . . . . . . .
Circulaire n ' 188 du 30 avri l 1952 - Mesures de sécurité dans les étab lissements fora in s
Circulaire n' 278 du 3 j ui llet 1952 _ Assurance contre l'in c'e l>die des bi ens commu'naux ~communes de plus de 1.000 hab itants) ....
. . .. .... .... .... . ...
Stages organisés au centre d' In st ruction de la Protection Ci vile ....... .
Médaille d' honneur des sapeu rs pompiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • . .
3
4
4
5
6
TVX 0
Diver
-
1-
TVX 4
12- 13
14-15
14-\5
16-17
22-23
Fonds d'a mortissement <les ('har,ges d'électrifi ·catio n
TVX 5
28-29
44-45
24-25
ADJUDICATIONS ET MARCHES:
-
Ci-rc"u laire ministériell e relati ve a'ux marc hés de fou rn itures de carbur.anl s liq'u ides passés par
les ·départem ents, les com munes et établi sse ments pub lics d'assislance et de bienfaisa nce.
- Décret n ' 52.578 d'u 23 M ai 1952, re latif à la pa ssat ion des marchés départementaux ... . . .
- Orcu laire ministé ri elle en date <lu 28 j 'u in 1952 relative aux modificat ions dans le prix des
marches passés par les coll ectiv ités loca les. ... .... .... .... ... . ...... .
-- M od ifica tion du réglemenl S'IIr les se rvices des chemins dépa rtementaux ...... . . . .
28-29
34-35
34-35
9
22-23
28-29
47-48
URBANISME ET LOTISSEMENT :
TVX 6
:
Arrêté du 17-1-1952 déclarant d'utilité publiq ue l'acqu isi tion par le département de s 13.-duRh. d'un terra in is à C1Jges-les-Pins .. .... .... .... .... .... .... .... .... . ...
Li st~ des archite: tes év alu ateurs et reconstructeur agréés et asse rm entés affecté-s au départe.............. . . . . . .
ment des Bouches-du-I~hône , à la date du 1er ja nvier 1952
Circulaire relative à la modificati on temporaire du ca ractère ·d'u n passage à ni veau, .. .
Bordereau des salaires normaux et cou ran ts du, b âtiment et ,des travaux pub li'cs ... .
Protection des l ignes télegraphiques et téléph oniques - Elagage des arbres.
Consvructions se'olaires - Emprunt des collectivités locales .. ......... .
Arrêté relatif aux tr avau·x d'extenti on du ca nal dnJ Verdon - A'lIbagne-Puylo uhie r
Déclaration d'uti lité publique des travaux d' aménage ment ct d'améliorati on du chem in dép artemental n' 36 entre la gare de l'Armelière-Gi raud et Salins-de-Giraud .. . . . . .. ....... .
Décla rat ion d' utilité publi que des travaux de rectifi ca ti on du chemin départementa l n ' 40 A
entre les P. K. 0340 et 0,7 10 dans la commune de L a Ciotat .............. . ..... ... .
D éclaration d'utilité publique des travaux de rectification du chemin départemental n' 5 du
Rove â Ensués-Ia-Redonne .. .. .... .... .... ... . .... .. . . .... .. .. .... . ...
f) .&r l ?r''lJ'/'''In (J'utilij.D n"hli"'ltIo npc: t r ::lV:lII'\' rP.::amp n ::lopom,p n t 011 r:. rrA fnllf ri e" rhf'mi nf' ri
Circulaire mini stér iell e n ' 247, en date du 2 j ll in 1952, presc ri va nt les amé nagements à réali se r Sur les châteaux d 'ea u en vue de perm ettre leur utili sation dan s les opérations de tri angulat ion .... .... .... .. .. .... ....
. ...................... . ......... .
Alin;te nt ati on en ea u potable, dé ri vation des eaux nons doma ni ales .. .... ......... .
ELECTRIFICATION:
7-8
II
TRAVAUX
,
46
47-48
ADDUCTION n'EAU :
PROTECTION CONTRE L'INCENDIE :
-
32-33
44-45
47-48
TVX 3
SC 7
Organi sme professionn el de qualifi cat ion et de classificat ion des entreprises du bâtiment ....
Constructions scola ire s .... .... .... ....... . .... ... .. .. . ... . ...... .
Ense ignement du 1er degré - Projets de t.r avau x de grosses réparation s et petits amé nage ments
prévus pour l'a nn ée 1953
. ... .... .... ....
. ...... .
Loi Barangé - Prog ramm e d'é quipement sco laire co mmunal , ann ée sco laire 1952-53
-
Aiménagement des so rties de M arseille - Sortie Sud ............................... .
Arrêté autorisant l'Adm in istration des Ponts et Oha'ùssées il pénét"er dans les propriétés publi,ques el privées closes ou non closes. . .. . . .. ........... . . . . . . . . . . . . . . . ....... .
40-41
44-45
6
6
6
7-8
7-8
7-8
9
EN
0
EDUCATlO,N NATIONALE
Divers:
-
9
9
9
-
Enquête sur les besoi ns en locallx et en mate riel : l ' des Ec oles Nationales ou M uni cipales de
M'llsique ; 21> des ~h éâtre s municipau x, sal1es de conce rts mUnici pales; orchestres symphon iques Illuni cipaux, Harm onies 1111u ni ci p,ales .. " .............................. .
Vente d' une broch'u,re co nce rn ant les travaux d éqUipem ent sportif . ..... . .............. .
Loi B ara ngé - fonc"t ionnement de la ~~ iss e départementa.le scolaire ................... .
Con struclions sco lai res - Prototypes d ecoles du 1er degre .... .... .. . . .... . ...... . . .
Loi Barangé - Etabl isse ment d'u, plan d 'é quipel11~nt scolai re communal ................ .
Circu laire rappe lant le sprin cipales dlspoSlho ns leglslahves apphcab les en mallère de 'rechcr-
7-8
12- 13
12- 13
14-15
16-17
�•
OBJETS
COTI!
-
Réglementation .If l'affkhage .... . ... . . . . .. .
. .: . . ........ ... . .. ......... ., .. .
Subvention aux communes pour l'insta llation et le fonchonnement des cen tres publIcs d enseignement post- colalre agrico le ou' ménage r ...... . ......... ....... . ... . . . . .. '.
Dépôt aux archi ves départementales de cmq exempl aIres de toutes les pubdica ti ons ad ministratives du département
.. .. . ... ... .
.. .... . .. .
N°· D!s
BULLETINS
28-29
COTE
OBJETS
-
44-45
49-50
Hôpitau x publi cs - Prise en charge des frais de transport des ma lades hospitali sés . . .. . .. .
Arrêté portant déclarati on d'utilité publiq ue en vue de l'exécuti on des droits d'enregist,ement.
Adm ini stration de l' As sistan ce Publiq ue à M arseil te - Prix de j ournée prév isionn el 1952 . . ..
Hôpit aux publiC's - Cir,cu'laire mini stérielle n° 44 du 29 Février 1952 relati ve à la mise en
re cou vrement des prod u,its hospitaliers ......
. . ................. . .. . ... .
N°· DES
BULLETINS
14-15
16-17
16-17
18-19
INSTRUCTION PUBLIQUE
EN 1
-
Achat de matériel scotaire ....
FAMILLE
FSO
18- 19
-
ET SANTE
-
Divers:
-
PS2
Arrêté portant modicati on de t' art ide 14 du règlement sanitaire départemental ........... .
Ar~êté portant modification de t'arrêté préfectora t du fi Juillet 195 t relat i f à la rémunérat ion
des médecins vaccinateurs et de leurs aides . . .. .... .... .... .. . .
. . ..... .
Médecins agréés pour pratique r les examens radioscopiques en ,"'-", de ,la dé livrance des certificat s prénuptiaux et prénataux .... ..
. . .. .... .... .... ... .
. .. . . . . .
Médecins agréés pour pratiquer tes examens radioscopiques .... . . .. ... . ... . . .. .
Ren ouvellement du Consei·1 'dépa rtemental deol' Ass ista nce pub li q'ue et privée
Arrêté habilitant la Commissi on D ~part6me n tale de Réforme du pe rso nne l 'hospit alier du dépa rtement des B."'CIu-Rh. à donner so n av is su,r l'oct roi des co ngés de longue -du rée . ...... .
Rectificati! relatif au renouvellement du Con seil départemental de l'Assista nce P.uhli q'u'e et
privée .... .... .... .... .... ....
. . ' .............. . . .
Médec ins ag réés pour pratiquer les examens raJdioscop'ques
Médecins agréés pou r pratique r les exame ns radi oscopiques
Médecins agréés pou r pratiquer !es exame ns radi osc'opiques
1-2
1-2
4
9
10
-
FS4
FS 6
Allocations militaires aux famill es de réservistes .... . . . . .... .... . .. . . .. .
A 0
FS7
Arrêté portant modificati on du règlement san itaire départemental .... .... . . .. ..
Agrément de la po e chimiq ue « Pe rfe cta • ....
. .... . ... . ... . .. . .... . ....... .
Arrêté préfectoral en date 'clu fi Mai 1952 rapportan,t les arrêtés des 29 Février et 13·Mars 1952
relatifs aux mesures prescrite s lors de la récente épidém ie de variole dans le départ ement
des Bouche -d,,-Rhône ....
. . . . .. .... .... .... .. .
. . .. .... . ...
Vaccination antivari oliqu e. ... .... .... ......
. ................ .
-
1-2
3
30-3 1
-
1-2
fi
A 1
-
22-23
28-29
-
5
5
5
-
Chambres d'Agriculture des B.- du- Rh. - Elec tions générales de 1952 ............... . . . . .
Comm ission co nsu ltati,ve des baux ruraux du dépa rte men t des Bouches-du- Rh ône .... . .. .
Destru cti on <les anim aux nuis ibles. . .. .... .... .... .... .... .... .... .... .. .. . . . .
Cours des denrées se rvant de base au ca lcul des fe rmages .......... . .............. .
Régleme ntat ion de l'u tili sati on des nappes fu migènes en agricul ture .............. . .... .
Arrêté fixa nt le taux des cotisations en ma tière d'a ll ocations fa mili ales agri co les pou r le
premi er se mestre 1952 .... ....
.
. . .. .... .... .... . . .. .... . .. .
Congé payé dans les ex ploitation agri coles ...
. . '. .... . . . . . ..... .
Arrêté relatif à la déte rm inati on des pé riodes penda nt lesque ll es les sa lari és des arti sa ns
ruraux ne peuvent pas prétendre à des absences de plus .d~ 24 heures au titre des co ngés
payés ....."
. .... .... .. .... ....
. . .. .... . ...
Logement des ouv riers des exp loitat ions agri co les proprement dites et des exploitations de cu lt u·re s spéciali sés . . . .
. . .. ...
. . .. .... .... .... .... .... . .. .
Accid ents du trava il des sa lariés agricoles..
. ...................... .
T aux des cotisations en matière d'all ocat ions fam iliales agrico les pour le 2"" semestre 1952 ' .
Fixa tion des cours des den rées se rvant de base au ca lcul des fermages
........... .
4
4
7-8
16- 17
16- 17
22-23
26
28-29
30-3 1
30- 31
32-33
42-43
Fi xat ion de la date des é,lect ions à la Chambre d'Agri cu lture des Bouc hes-du-Rhône
Accide nt du trava il des sa lariés agr ico les. .. .... . .. . ..
. . .. ....
. . .. . .. .
Election des délégués à la Chamb re d'Agricu lture.. .. ....
. ...... .
Assu rances soc iales agrico les - Nouveau tau:, des cotisat ions.... . ...
. ......... .. . .
Accord national de salaire da ns les coopérati"es agrico les de stockage de céréales de meun erie et d'approvisio nn ement . . .. .... .... .... .... .... .... .... .... . . .. . ...
1- 2
6
7-8
9
30- 31
CULTURES:
A 3
Prim es à l'olé icu lture
Date ,d'e nl év~ l1l e n t des réco lte s
D estnhc ti on d'in sectes nuisi bl es
Cépages inte rdits. . .
'" ...
6
fi
7-8
9
A 5
EAUX ET FORETS
11
II
11
1-2
24-25
30-31
44-45
ORGANISATION GENERALE:
ETABLISSEMENT D'ASSISTANCE ET DE BIENFAISANCE:
Appr obation d es dé libéra tions des Comm issio ns admini stratives des Hôpitau x et H O~ p I L C,' publ ics {l u départemea t .... . . . .
.. ..
.... '.. ". . . . . . .
Etablissements hospitali ers puhlic s - Pris de journée prévi sionn el s 1952
Etablissement et se rvices ho pitalier~ - Prix d e journ ée 1952 ....... .
Etablissements hospitaliers publi cs - Prix dé jo" rn ée prévisionnels 1952
Centre régional de lutte contre le cancer - Prix de journée 1952 .. ' .. . . . .. .. ......... .
Circulaire ministéri elle relati ve au x congés ann'uels des fo ncti on naires et age nt s des Etabli ssements hos p,taiJers publI CS 1952 .... . ............. .. ...... . .. . . ...... . .... ..
H ospice de Maussane - Pri x -de journée pré visionnel 1952 ................... .
Hôpitaux et Hospices publics - Frais de séjour des assurés sociaux admis <Ian s des lits d e
fondation .... .... .... .... .... .... .... .... .... ... . .... ... . ... . .... . .. .
Service des Hôpitau,x - Rectifi ca tif .... .... .... .... .... .. . . .
Se~ice des H ~pita~x ~ Centre ré~i o nal ?e ,lutte contre le cancer _ Pri~ de' j~~r~é~ '1952" .. . .
PriX de Journee prevISionnel applIcable a 1hôpIta l psy'chi âtrique -d'Aix -en-Provence à
27
49-50
Divers :
HYGIENE SOCIALE :
-
21
AG RI CUL TURE
ALLOCATIONS MILITAIRES:
-
Ass istance M édi ca.1 e Gratuite - In struction ..
. . '. .... . .. .
A.M .G. - P,ro thèse ,denta ire
. . .. ....
. . .. .... . .. .
Admi ss ion des malades de provi nœ dans les hôpitaux de Pari s .. ' .. .. ... .. •••.
Transfert du serv ice médica l de l' A.M.G. ...... .. . . . . .. .. . . .... . .. . . .. •
JO
12- 13
32-33
34-35
44-45
18-19
ASSISTANCE MEDICALE GRATUITE :
FS 8
ASSISTANCE A LA FAMILLE:
Protecti on maternelle et infantile . ..
. . . .... .
Allocati on forfaitaire de repos aux femme s enceintes
Serv ice des Hôpitaux . instruction min istéri elle du 15 Avri'i 1952, rela,ti ve à la mi se en recou vrem ent odes produit s hospitaliers
. . . . .. .... ... . . .. .... ... . . ...
Compos ition d e 13 Commission départ ementale de reform e du personn el hos pitalier pour l'année 1952 ....
'. ... .... .... .... ...... .... .... .... ....
. .......... .
Circulaire n° 90 du, 13 Mai 1952 relati ve à la rémunéra ti on des internes en médecine et en ph armac ie des établisse men ts hospitali ers pu bl ics ..
. . . . .... .... . . . . . ...
Hùpitaux et Hospi ces publi cs - Prix d e jo ur née
.................. . ....... .
-
Réglementatio n des congés payés da ns les ex pl oita ti ons forestières ... .
Arrêté rl at if au logement d es ouvri ers des ex pl oitations forestières ... .
6
12-1 3
32-33
49-50
�10
OBJETS
1\
CO'l1l
Réglementation des ouvri ers forestiers .... ... . ...• .... . ...
44-45
Fièv re aphth euse
A5
. . .. _.
COMMERCE - INDUSTRIE
16-17
16-17
18-19
20
21
24-25
-
-
32-33
-
CIA 0
Fonds nationa l de co mpe nsa tion des alloca tions f",mi li ales - -circu laire ministérielle n' 65
AD 13 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..
In struction relative au mod'e d e calcu l des prestation s en espèces de l'assuranee mortalité des
fonct ionnaires assujettis au régime de la Sécurité Sociale institué par le déc ret du 31 D écembre 1946 .... .... .... ....
. . . . .. .... ... . .... .... .... .... .... . . ..
- Circula ire min istérielle re lat ive ",u régi me ap pli cable en ce qu i co ncern e les presta ti ons famili ales a'U perso nne l employé à temps in com plet ou de manière occasionnelle ...... . .... .
- Déc ret n' 52.409 du 14 Av,ril 1952 portant relèvement du salaire l im ite prév u pou r le ca lcul des
co tisations de Sécr ité SOCiale ...
. . .. ... .
. . .. .. . . .... .... . ...
- Loi n' 52.634 du 4 j ui n 1952 Ill od ifiant l'art. 61 du li vre 1er du Code du Trava il ...... .
- Attribution 'de l' in dem nité spécia le temporai re .a ux anciens agents de l'Etat t rib·u taires de la
Caisse Nationale d'assu>rances su r la vie ................... . . . ............... .
-- Circu laire ·re lat ive au régime de Sécu rité Soc iale des foncti onnaires civ il s ,de l'Etat ....... .
- Loi n' 52.843 du 19 juill et 1952 relative à l'a melioration de la situation des ancien s co mbattants et victimes ·de la guerre .... .. . . • •.. .' ' c" " • ••• ." , . . . •• • • . •• . . .• • • . . . . • .
- Circu laire relative au versement des cotisations de SécU>Tité Sociale des fonctionnai res et mili taires de ca rri ère bénétciaires des régimes de secu rité soc iale institué s par le décret n'
46.2971 du 31 Décembre 1946 et pa r la loi n' 49.489 du 12 Av ril 1949 ........... .
Conditi ons dans lesquell es les années d'é!u,de accomp ti es par les in trmières et ass ista ntes
soc iales peuvent être va lidées aup rès de la ca isse nationale ·de ret raite
- Validation des se·rvices ",u,x ili aires - Question s diverses ........... .
- Règles de cumu l de pen sions et de r(-Illunéra tions publiques ., .•....
. . .. ... . . . .. .. . . . ...
CircuJaire mini stér ielle ,relative à l'a pplication de la loi du 17 Août 1950 sur les électi ons
consu laires .... . . .. . ... .... .... .... .. ..... . . .. . . . . .... . . .. .. .. .. .. . .. .
Auto risati on d'établi r et d'exploite r des dépôts dlexplos ifs
. . .. .. . . .... .... . ...... .
Electi ons consulai res - Anrê tés préfectoraux instituant les Co mmissions ·chargées de vé-ri fier
l'exactit·ude des listes électo rales dressées pourl 'a nn ée 1953 .... .... .... .... . ...
Exploitati on des carrières à c iel ouvert ... . ... . .... .... .... .... .. . . . . .. . .. .
E xplosifs de mi nes. . . . .. . . .... .... .... .... .... . . .. ... . ... . . . . . .. . . . .. .
Elections à la Chambre 'ues Métiers des Bou ches-du-Rh ône - Co nvoca tion des -élec tio ns art i. ." .. . . . . ........ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
sanales .... . . ..
CIA 1
TRAVAIL ET CHOMAGE :
-
CIA 4
Arrêté préfectoral relevant le taux des alll)('!i tions de chômage ........•.......•. . . ..
COM MUNICATIONS ET TRANSPORTS
Divers:
1-2
6
7-8
9
-
Election aux Tribunau x de Commerce
47- 48
Sécu ri té Sociale des fo ncti onnair es. . .. ....
. ." .... . ......... .. . . . . . . . . .
App lica ti on de la loi n' 51.71 4 du 7 j uin 1951 modifiant l'article 4 de la loi du Septe mbre 1947
relati ve aux ,conditio rf6 >de dé.gagement de s cadres d'es magistrat s, fonct ion naires et age nts
ci vils et mi litai res de l'Etat, modifiée pa·r la loi n' 48.1227 du 22 j ui ll et 1948
..... .
Applicat ion d·u décret n' 50. 133 du 20 j anvier 1950 fixant les rè gles d e i:oo rdin ati on appli ables en ce .qu i co nce rne l'assurance vieill esse aux fonctionnaires civil s et mil ita ire s tributa i·res du co de d es pensions civi les et mili taires de retr aite .... ....
. ..... .
Circula ire minis!érie lle relative aux alloca tions viagères
Elections consulai res du 13- 12-1951 ......... .. ......... ......... . ......... . ..... .
Elections consu laires - Renouvellement partiel des T,ribunaux de Commerce en 1952 ... .
Elections consulaires 1952 - Confection des l istes électorales - App li ca ti on de la loi du 17
COMMERCE :
42-43
-
ARTISANAT
Avril 195() .... . ... .... . ... .. . . . .. . ....
-
N·· DES
BULLETINS
PEiRSONNEL :
. . .. .... .... .... .. . . .... . . . .
Divers :
1-2
16-17
'AC 3
Foires et marchés
.... -...
. . .. .... .... .... .... .... . .. .
Su rveilla nce des étalons et baudets en vue de ,la monte de 1953 . . . .
. ...... .
Interdiction de foi res et m a r~h és à bestiaux sur le te rrito i re des co mm unes in fec t,ées ,de fi èv re
aphtheuse . . . . . ...... ... . . .. . ....
. ..... ' . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
36-37
OBJETS
. .......... .
ELEVAG E :
34-35
34-35
36-37
COTE
10
10
14- 15
16-1 7
26
32-33
38-39
40-41
40-41
44-45
46
47-48
CT 0
Colombophilie - Nouvelle llollle n dat u r~ des pOllltS d'e ntrée en France et en A lgérie de pigeons
voyageurs de provenance ou d'or igine etr an.gère .... .. . . .... ... . . . .. . ... .... .. '
11
AC 4
TRAVAUX PUBLICS
ADMINIST RATIONS CENTRALES
FINANCES:
1- 2
-
6
-
6
14-15
16-17
20
-
22-23
40-41
44-45
-
Indemnité pour frais de ù~placeme nt aux age nts promus rétroactiveJllent .... . ...
Budget de l'exe rcice 1952 - Im putatio n des dépenses ,relatives aux cot isa ti ons de la Sécur ité
Sociale .... .... .... .... .... .... ..... . .... .... .... .... . . ..
. ...... .
Apu rement des opérations de nature lJuc\gétaire des exerc ices 1940 à 1946 nOn imputées en
temps utile aux budge ts d'origine et des défic its et manqua nts consta tés pend ant la gestion 1940 à 1946 .... .... ... ........... ....
. ...................... .
Circu laire min istérielle . du 25 Février 1952 co nce rn ant l' in ciden ce du droit d'emegistrement
frappant les mar hes ayant pOu r objet la fourn iture de vé'hicules automobi les de pièces
détachées et d'accesso ires pour véhi cules automobil es ........ '.
..
Indemnités pour fr ais de dé ménagement et pour ohangement de résidence ...... .. .
Circu la're ministéri ell e en date des 21 Avril 1952 relative au relèvement ,du plafo nd à retenir
pour le ca lcu l des cotisati ons de Sécurité Soc iale.... .... ....
. .......... .
Paiement d ' inde~nités de licenciement aux a~ent s nOn titulaires bénéficia i res du régime de
re!ralte complementaire des assu rances SOCial es inst ituées pa'r le décret n ' 51. 1445 du 12
D ecembre 1951 .. .... ... ......... . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..
Répartiti on de la part de la taxe de circu latio n SUr les viandes représentati ve -de l a ta xe locale
additionn ell e aux taxes Sur le chiffre d'a ffaires .... .... .... .... ....
. ...
M an datem en t et justification des dépenses ..... . . ... .... . . .. .... . .. .
AC 2
Circu laire relative à 'Iapplicat ion du dénet n' 52 .256 du 5 M ars 1952 concernant les marchés
passés au nom de l'Etat. . .. ....
. . .. .... .... .... .... . . . . .... . ...
42-43
�REPUBLIQUE FRANÇ
, ,1 10 Jluier l!IS2
ADI~e. -
N" 1 et 21
DËPARTEMENT DES BOUCHES-
•
Recueil des Actes AdmmÎstratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secréta riat Général
ABHÊVIATIONe
A. P. : Arrêté p réfectoral. - C. ; Circulaire - Les lettres 0 et B suivies d'un dhiffre indiquent le Sen'ice ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des Services Technique •. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction depanementale de ta Population.
SOMMAiRE
Arrêlé. réglementaires et Circulaire.
Parcs
Paies
A 1. - Arrêté portant fi xat ion de la
date des élections à la Chambre
d'Agriculture des Bouc hes-d u-Rhône
FS O. - Arrêté portant modification de
l'article 14 du rè glement sanitaire départemental .... .... .... .... ...
et convoquant les électeurs ....... .
AG 2. - Rémunération aliouée par les
collectivités loc ales aux memb res de
l'enseignement du 1er degré effectuant
en deho rs des heures r églemen taires
des services d'enseignement ou de survei llance non compris dans te programme officiel ............... .....
C IA O. - Elections consulaires du 13
décembre 195 1 ....... . ... . ... .. .. .
FS O. - Arrêté portant modification de
l'a rrêté préfectoral du 6 juillet 1951,
relatif à la rémunératio n des médecins
vaccinateurs et de leurs aides......
2
FS 2. - Protection ma ternell e et infantile .... . . ........ ..... .........
P:lIlU
, FS 6. - Arrêté portant modifications du
4
Rè g lement sanitaire départemental ..
FS ~. - Assistance N\éd ic ale G ratuite.
• - Instr uçtiO IlS .... .... .... . _. .
P 8. - Mariage des étra ngers . . . . . . . .
5
6
6
6
Textes d'Intérêt Général
5
AC 2. Indemnité pour frais de déplacement aux agents promus rétroactivem ent .
7
5
AC 3. - Sécurité sociale des fonctionnaires .... ... . ...... . .. .
7
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D6 BI
A 1
ARRETE PORTANT FIXATION DE LA
DATE DES ELECTIONS A LA CHAMBRE D'AGRICULTURE DES BOUCHES-DU-RHONE ET CONVOQUANT
LES ELECTEURS.
Le Préfel des Bouches-du-Rh6ne,
Officier de la Légion d' Honn eur,
Vu la loi du 3 janvier 1924, relative à
l'organisatio n et au fonctionnement des
Chambres d'Agriculture, modifiée par le décret-loi du 30 octobre 1935.
Vu la loi du 6 juillet 1933 wmplétant el
modifiant les articles 15 et 16 de la loi du 3
lanvier 1924 .
Vu le décrei du 30 mars 1929, modifié par
le décret du 6 août 1936 portant rè glement
d'administration publique pour l'application
d. la loi du 3 janvier 1924 ;
, Vu le décret du 15 février 1938 subdivisant
!.arrondisseme nt d'Aix en deu x circo nscripIons électorales .
d Vu les articles ~I à 52 du décret organique
1"t·2 février 1852 et les lois post érieures rea 't~es. aux crimes et aux délits commis en
ma 1ère électorale
1 tVU l'.artiole 3 d~ la loi du Il mai 1868, red~ IVe a l'exempt ion du timbre des affiches
S candidats,
•
Vu les articles 18 23 et 24 de la loi
- 1884 Sur l'orga'nisation muni
Vu la lo i du 29 jui ll et 19 13 ayant pour
objet d'assurer le secret et la liberté du
vote, ainsi que la sincérité des opérations
électo ra les,
Vu la loi du 31 mars réprimant les actes
de cor rupti on dans les opéra-tions électorales,
Vu la loi du 20 octobre 19 19 concernant
l'en voi et la distribution des b ulletinS de vote
et circulaires électorales,
Vu la décision pr éfec torale du 27 mars
1951 , relative à la lor mati on des listes électorales,
Vu les instructions ministéri elles du 13 novem b re 1951,
, ARRETE
TITRE 1
Electi on des membres élus au sc rutin de
liste par les différentes categones d'el elteurs et d'électrices énu me rès à l'article 5
de la loi du 3 janvier 1924.
Article premier. - L'élection des membres
de la Cham bre d'Agriculture des Bouchesd u- Rhône au ra lieu le D'IMAN C HE 3 FEVRŒR 1952, pour ceux élus au suffrage unive rsel.
Art. 2. - L'élection aura lieu au scrutin
de lis-te à raison de quatre membres élus
par arr~ndissement ou circonscription élec
1
sur les listes électora les arrêtées le
~tiliiitliltïl...lIIiiIIM
w
Art. 3. - Des cartes électorales indiquant
le jour, l'endroit et l'heure du scrutin seront
adressées cinq jours au plus tard avant le
jo ur du scruhn aux électeurs et électrices
inscrits sur -la liste électorale.
Art. 4. - Le -vote aura lieu au chef-lieu
de la commune dans le local de la mairie,
et pour les commu nes rurales divisées en
sections de vote ou dépourvues de mairies,
a ux lieux et locaux d és ignés par arrêté prefecJo ral.
Le scrutin ne durera qu'un jour, il sera
OU\Oert à 8 heures et cl os il 16 heures.
Le burea u de vote sera composé d'un Président, assisté de deux électeurs qui seront
le plus âge et le plus jeune des électeurs
.présents ; le bureau ainSI compos~ se complétera en nommant un sec rétaire pris dans
\' Asse mblée parmi les électeurs. Le bu reau
statuera Sur toutes les questions qui pou rront
s'élever au cours des opérations électorales.
S'i l n'y a qu'un bure:lU, la présidence
appartiendra au ,M aire et, à son défaut, à
l'u n des adjoints ou à un conseiller municipal, suÎvant l'ordre du tableau ; s'i l y a
d eux bureaux, le J\laire présidera le premier,
l'acijoint ou le conseiller municipal qui le
remplace, le second.
Chaque électeur ayant présenté sa carte
électorale, son vote sera co ns taté par, la sig natu re o u le
de l'un des membres
du
�- -
2
Art. 5. - Le dépouillement aura lie u immédiatement après la clôture du scrutin, par
les soins du bureau. Entreront seuls en ligne
de compte les bulletins des candidats qui
auront fait leur dédaration dans les délais
légau.x et dont la liste nominative .complète
sera transmise par le Pref.et au Maire, deux
jours au moins avant Je scrutin.
Art. 6. - Dés que le dépouillement du
scrutin sera 3che\'é, le procès-verbal des
opérations fait en double sera arrêté et signé par les membres du -bureau ; un exemplaire sera adressé immédiatement -par les
soins du .Maire à la Mairie du ch€t-lieu d'arrondissemenl
Le recensement géné ral des votes sera fait
par
I~
membres du bureau du chef·,lieu d' ar-
rondissement et le résultat proclamé par le
Maire de cette commune.
Le procés-verbaJ dressé en double e-<em~Iaire sera signé par les membres du bureau
du cbef-lieu d'arrondissement et un exemplai(e sera immédiatement envoyé au Préfet.
Seront proclamés élus les candidats ayant
obtenu la majorité relative, il la condition
qu'un quart au moins des électeurs inscrits
aient pris part au scrutin.
Au cas où un second tour serait nécessaire, il aurait lieu le dimanche suivant cel ui
indiqué à l'article 1er du prése nt ù rêté, aux
mêmes heures et dans les mêmes locaux et
le résuftat sera acquis à la majorité rel ative,
quel Que soit le nombre des votants.
TITRE /1
Elections dts délégués désignés au sCru/in
de liste par les associafions et syndicats
agricoles du Département.
Art. 7. - Les associations et syndicats
agricoles inscrits sur la liste définitive arretée au 1er juiUet 1951 sont appeles à dési gner au scrutin de liste départemental quatre délégués à la Chambre Département.!e
d' Agriculture.
L'élection aura [jeu le troisième dimanche
qui suivra la !proclamation des résultats définitifs des élecrions ord inaires, c'est-à-di re le
24 lévrier 1952, si ces résultats ont été
acqu is pour l'ensemble <lu départeme nt dès
le premier tour de scru tin· le 2 mars 1952
si un second tour est néce'ssaire dans ce rtains arrondissements. Un ar rêté ultérieur en
fixera la date définitive.
Art. 8. - Le jour du scrutin, le président
de chaque groupement remettra au maire de
la commune du siège de ce groupement
dans les formes prescrites aux pa ragraph~
ci-après, les bulletins de vote du groupe~ent. Cette re!11 ise pourra, à défaut du préSident, être faite par une personne spécialement habilitée à cet effet par une décisi on
prise huit jours au moins avant l'élection par
l'Assemblée générale ou le Conseil d' Admi nistrati o n spécialement dési gné par elle. La
personne ainsi habilitée devra justifier auprès
du maire de sa qualité, par une copie certifiée CO n larme de la délibération qu i lui a
do nné ses pouvoirs.
Les bulletins de vote seront en nombre
égal à celui des voix auquel le groupement
a droit et ne devront conte nir aucu ne indication autre que les noms des candidats .pour
lesquels vote le g roupement. Chaque bulletin sera placé dans une enveloppe opaque
(enveloppe n· J), lournie par l'autorité préfecto rale.
Les enveloppes su r lesquelles ne devra ju~
tifier auCune mention extérieure seront cachetées et placées à leur tou r par les soins
de la personne habilitée à voter so~s une o~
plusieurs e",'eloppes (enveloppe n 2), qUI
devront porter exté rieu rement la désig-nati o n
du O'roupemenr (titre et siège socia1), le nom
de la personne habilitée à voter, ainsi q ue sa
signature, de même que le nom bre des en,·eloppes nO 1 enfermées dans chaque en veloppe n" 2.
. .
Le maire aùresse ra sans délai a la Préfecture, après les avoi r revêtues du cachet de
la Mairie, les enveloppes n° 2 reçues par
lui, accompagnées d'un bordereau réca pitulatif.
Art. 9. - Le recensement des votes du
Dépa rteme nt sera fait en séa nce publique,
dans le délai de cinq jours à dater de l'élection. II y sera procédé par une commiSSion
composée d' un rcpresentant du Prélet, p résident, et de quatre présidents d'association.s
et syndicats agricoles du Département déSIg nés par le Préfet.
I.es em'eloppes exté rieures (enveloppes
n° 2) transmises par els ma ires seron t ouvertes après vérificatio n du nombre de voix
attri bué à chaque groupement. Chaque enveloppe intérieure (enveloppe n° 1) contenant
un bulletin sera alors introduite dans une
urne. Lorsque toutes les enveloppes n° 1
au ront été ainsi introduites da ns l'urne et
mélangées, elles seront ext ra ites et ouvertes.
Les bulletins en se ront reti rés et le dépouillement aura lieu comme à l'ordinaire. Procèsver ba l des opé ratio ns se ra immédiatement
dressé et signé par le président et les membres de la commission.
Ar/. 10. - L'élection au ra lieu à la majorité rel ative des suff rages exprimés, à la
condiHon qu'un quart au moins des g roupements inscrits aient pris part au vote.
Si plusieurs candidats obtienn ent lé même
nombre de voix, l'élection sera acq uise au
plus âgé.
Art. 11. - A u cas où un seco nd tour de
sc r utin serait nécessaire, il a urait lieu le
deuxième dimanche qui suiv ra, c'est-à-di re
soit le 9 mars 1952, soit le 16 mars 1952, selon les deux cas envisagés au 2e paragraphe
de l' article 6 du présen t a rr ~. Le résu ltat
en serait acquis à la majorité rel ative quel
que soit le nomb re des g rou pement qui aient
participé aux électio ns.
TI TRE III
Candidatures, Eligibilité
Liste des Candidats
Art. 12. - La loi n'aya nt pas crée deux
catégories de candidats com me elle a créé
Cieux catégo ries d'électeurs, ce so nt les mêmes dispositions qui sont applicables aux
candidats des ~ associations ag ricoles comme
aux candidats qui se présentent devant les
électeu rs individuels, en particulier en ce qui
Conce rne les conditio ns d'éligibilité, l'e nregistrement des listes à la Préfecture et
l'exemption du timbre des affiches électo rales des candidats.
Sont éligibles tau; les électeurs dés ignés
à l'artic le 5 de la loi du 3 j.nvier 1924,
âgés de trente ans révolus et ne fig urant su r
aUCune liste électo ral e p rofessio nn elle.
Les listes des ca ndi dats seront déposées à
la Préfecture ou à la Sous-Préfectu re, s'il
s'agit d'un ar rondissement non chef-lieu ;
dans ce cas, le Sous-Préfet dev ra, dans les
vingt-quatre heures, en avIser le Préfet.
Le dépôt des listes devra a\~oir lieu douze
jours au moins avant celui du scrutin, c'està-<lire le 21 janvier 1952 avant minuit.
Les listes des candidats doivent porter 1..
signatures légalisées de to us les candidats
de la -liste, celle-cI ne dOit co ntenir aucune
autre mention qu~ celle de la . nature et d,
la date des élections de la circonscription
élec to rale, du nom et de la qualité des candidats.
Le Prélet enreg istrera les ·I istes et informera chaque candidat de l'enregistrement de
la ,liste sur laquelle il figure ; l'enregistre_
ment sera refusé à toute liste portant plus
de noms qu'il n'y a de candidats à éli re.
Art. 6. - MM. les Maires sont chargés
de J'ex écution du présent arrêté, qui sera publié et affiché immédiatement dans leu,"
communes respectives et inséré au Recueil
des Aote9 Administrati'fs.
Fait à Ma rseille le 19 décembre 1951.
Pour le Prélet,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
----c>ooc>·----
D2 83
AG 2
REMUNERATION ALLOUEE PAR LES
COLLECTIVITES
LOCALES AUX
MEMBRES DE L'ENSEIGNEMENT
DU 1er DEGRE EFFECTUANT EN
DEHORS DES HEURES REGLEMENTAIRES DES SERVICES D'ENSEIGNEMENT OU DE SURVEILLANCE
NON COMPRIS DANS LE PROGRAMME OFFICIEL.
,!j'ai J' honn eu r de porter ci-dessous à la
con naissa'nce cfe MM . les M·a ires du départeme nt le texte de la CÎ-rculaire interministéri elle n· 460 du 12 -Décembre 1951 relative
à la ré mu nération des heures d'e surveillaoce
effectuées par les membres de l'enseignement du 1er de g ré en dehors des 'heures
régime ntai res.
Pour le Préfet,
Lie Secrétaire Oénnéral,
LAMIASSOURE.
•••
Le Ministre d'e l' IntérÎ1eur et le Ministre
de l'Exi'ucation Nationale,
à M'M. les P.rélets.
REFER. : Arrêté interrrrinistériei
Jui llet 195 1 (J. O. d u 1"0 aoOt).
du il
Aux termes d'un a rrêté interministéri el en
date du 23 juillet 1945, p ris en application
des dispos itio ns de l' a rticle 7 de j'ordo nnance
d u ) 7 mai 1945, les ser vit:es d'enseignement
ou de surveillance assur~ par les membres
de l'enseigneme nt du premier degré à la .de.
mande des coll ectivités locales devaient et re
rémunérés sur la base du tau x horaire des
heu res supplémentai res effectuées par les
rédacteurs de Préfecture.
La suppressio n par décrets n· 49-869 et
49-970 du 4 juillet 1949 du corps des rédac·
teurs de préfectures et la 1ixation 4>ar
déc rets n" 50- 1248 et n" 50- 1253 du 6 octobre 1950 des no uve aux régimes des i n de~
nités horaires pour travaux sUiPp l é ment~l
res aux perso nnels de l' Etat, aya nt re n .L1
l'application de ce te xte extrêmeme nt m~l~~
sée no us aVO ns en accord avec M. le Mm 1
tre " du Budget, décidé do ca lculer su r. dns0
nouvelles Ibas~s le taux des rémunéraho
s usvisées.
.
. . ériel
Tel est l'oDjet de l'arrêtê IOtermlO~st
i
du 8 juillet 1951 (J O. du 10 aout) ~ u.
répond à la double préoccupalion SUIva nt .
3
_ d'une part, rompre avec le système de
l'assimilation entre les instituteurs et les
éda~teurs de préfecture, auj~urd'hui atta~hés de préfectu re,. tout. en maintenant à
tauX sensiblement Identique la rémun érat IOn
pour heures supplémentaires allouée à ces
deux catégo ries de 'personnel
-' d'autre part, réglementer expressément
les modalités d'oct roi des indemn ités accordées pour pallier certains abus rendus IPOSsibles par l'abse nce de règlemen t.
10 DéterminatioTl du taux de l'In demnité:
a) Contrai rement aux prin<;ipes posés par
le cté<:ret n" 50-1248 du 6 octob re 1950 pour
J'ensemble des personnels admi ni st ratifs de
l'Etat ·Ia rémunératio n des he ures s upplément~ircs elifectuées par les membres de l'e nsignement supérieur et de l'ensei g neme nt
du 2me degr~ ai nsi d'ai lleurs que par les
membres de l'e nseignement du 1er degré
exe r~a nt da ns
les classes primai res des
lycées et des collèges ne. var ie pas en
fonct ion de l'Indemmté de réSidence et peut
êt re acco rd ée a ux agents aya nt atteint ou
dépassé l' ind ice 315. Cc régime particulier
résulte des di spositio ns du décret n" 5(}. 1253
de la même date,
Il paraissait, dès Jo rs, diff ic ilement admissible qu'un so rt différent fût réser vé a ux
membres de l'enseignemen t du 1er de g ré,
suiva nt qu'ils exer.cent ou non da ns les
classes primaires des collè ges et des lycées,
et que cette de rni ère catégorie d'age nts fût
la seule à ne pas bénéficier d' un régi me au
moins sensiblement identique à celui institué
en faveur de tout le co rps enseignant.
C'est pourq uoi, aux term es de .l'a r ticle 1er
de l' arrété du 8 juillet 1951 , les services
d'ensei gneme nt non compris dans le programme officiel ass urés pa r les membres de
l'enseignement du 1e r degré sont désormais
rémun érés pa r les collectivités locales sur
la base d'un tarif horaire qui ne peut, e n
aUCun cas, excêder le chiffre obtenu e n divisa nt par 1560 le traitement moyen budgétaire des institute urs, ,le quotient de -cette
opé ratio n étant a rrondi au franc le pluS
voisin.
.Le chillre de 1560 co rrespo nd au nombre d'heu res deI serv ice no rm al efJfectuées
annuellement par les agents dont il s'agit,
soit une moyenne de 30 heures pa r semaine
~endant 52 semai nes, les heures de préparation des Cou rs ' po uvant être considérées
comme compensées dans le présent ca lcul
par les péri Odes de congés.
Quant a u traitement moy en budgétaire, il
s'obtie nt en tenant ~ompte des 14 échelles
~e traitement des instituteurs (indices 185
• 410).
Le compléme nt provisoire de traitement
~ant normalement partie intégrante de celui~I, la moyen ne ressor.tait au 10 août 195 1,
ate d'etfet de l'a rrêté, à 450.140 francs.
, ~'P rès arrondissement au franc le plus
' ?lsln, le taux de l'h eure supplémentaire
"levait à
450.140
= 289 trancs.
J560
te Dep ui s la publication ,u ].0 . du 27 sep" mt re 195 1, de tro is décrets en date du 26
embre 195 1, tendant à augmenter à
ra~Pter du 10 septembre 1951 les rémun él'h;ons du perso nnel de l' Etat, le taux de
"p~re Supplémentaire ressort depuis le 10
ombre 195 1 à
5 15.803
- - - - = 331 tr.
1560
.on
ct
Ce taux devra êt re rectifié à c haq ue
rév isio n des traitements.
To utd ois, le quotient de .l 'opér~tioll
effect.uée • cons.titue un maximum qUI nc
sa uraIt etre dépassé, que l es ressources
affe crées aux services susl';sés aient un e
origine publique ou privée . Il co rrespo nd
d'ailleurs approximativement à l'indemnité
horaire pour travail supplémen tai re allouée
à un attaché de préfl!ctu re de 3me classe,
5"}e éc helo n da ns la zo ne de sala ires 0 o/q.•
b) Dans les écoles à plusieurs classes, les
élèves bénéficiaires des services ass urés en
dehors des heu res réglementaires so nt
rassemblés pa r g ro upe de 30, l'el·Iectif en
ex.céda nt devant ètre a u moins égal à
15 élèves pour do nner lieu à l'attributio n
d'une heure s uppl émentaire.
c) Par ailleurs (art. 2 de l' a rrété), les
heures de surveilla nce notamment des ca ntines scolai res, des ga rde ri es d'enfants et
des récréatio ns qui, à l' issue des Cou rs
compris dans le ,prog ramme officiel, précèden t les services supplémentaires d'e nseig nemen·t. sont rét ribuées suivant un tarif
qui ne peut excéde r la moitié du maxim um
déterminé Comme il est dit ci-dess us. Qu'ils
soient ou no n etf&fués da ns l'en cei nte de
l'école, les se rvi ces de s urveilla nce o uvrent
droit à la même rémun ératio n.
Les deux di spositio ns q ui précèdent
maintiennent le régime a ntérieur. JI est, en
effe t , appa ru to ut a ussi nécessaire de
gara ntir la bo nn e tenue et le sérieux des
se rvices et de ,faciliter ,le tra vai l des maitres pa r la limitation du nombre des élèves que de rémun érer di Mé remment des
aotivités n'exigeant pas le même effo r t de
la part du person nel chargé d'en assumer
la resp o nsabilité.
d) De plus, pour évite r que l'orga nisatÎ on de ces services ne se heurte à de trOjp
grandes difficultés et que la charge publique
ou pri vée en résultant n'accuse trop de différence d' une collectivité à l' a utre, ou ne
soit trop lourde à ~uppo r·ter en raison ~u
petit nombre de bé néficiaires, j'ai cru deVO Ir,
comme par le passé, laisser à la souve.rain e
initiative des assemblées locales le SOin de
fixer. dans le cadre des observations q ui
p récèdent, le taux de la rémunérat. ùn a
nUouer.
Toutefois l'excrdce de ce pouvoi r reste
s ubord onné ' à l'intervention de la co ll ectivité dans l'organisation ou le fonctionnement du service. Cette infervention peut
d'ailleurs résu lte"! de la simple mise à la
disposition des maîtres de locaux pu b ~i~s ~t
de la prise en charge de dépenses d eclal rage et de chauffage par la . collectivit~.
.
Les déli bé rati o ns devant et re soumIses a
l' app robatio n de l'autorité chargée de régie!
le budget, il vous appartIendra de. \'ellle.r a
ce qu'il n'y ait pas de choquantes-IOégalItés
tant en ce qui concerne la part.lclpatlOn des
bénéficiaires que la rémuneratfon des maîtres.
e) E nfin, l'énumération d,es ~ravaux f! g~l
rant aux artioles 1 et 2 de 1 a r reté d u 8 IUI IJet 195 1 n'étant pas lim itative, vo us pourrez ap pro uver dan s le cad~e de~ dispositions
qui précèdent, les délIbératIOns porfa nt
attribution d'indemnités a ux membres de
l'enseignemen t du 1er d~gré dès lors q u'il
y aura véritablement se.TVlce rendu en dehors
des obligations professIOnnelles normales de
ces fonctionnaires.
Modalit és d'octroi des indemnités:
duit des rétributio ns privées n'étaient jusqu'ici sou mises en droil à aUCUn contrôle.
En el let, le Consei l départemental de
l'enseignement primaire se bo rn a nt, en
application des dispositions de l'arrêté du
26 juillet 1905, â fixer le taux ma xi mum, ou
mieux, à établi r un barème de la contribution demandée aux parents des élèves admis
à titre payant, les instituteurs collectaient
eux-mêmes, sans être tenus en prinCipe de
justi fie r à qui q ue ce soit aussi bien le travai l réel effect ué que le montant des sommes encaissées et la diversité des taux
appliqués a ux familles, la conscience professionnelle des maîtres s uppl ea nt les
ins uffi sa nces de la rég lementation. La pratiq ue de la perception directe n'en était pas
moins ilJ égafe car, dans Je cas présent, les
di!lpOsitio ns de l'article 3 du décret du 29
octob re 1936 concernant le personnel enseignant ne sont pas opposables à celles de
~'a r tic l e 1er de ce te xte a ux termes duquel
les ,f onctionnaires ne peuvent pas effectuer,
à titre privé, un travail moye nnant rémunéra·tio n.
Qua nt aux collectivités locales, elles délivraient fréquemment un manda t global de
paiement calculé d'après les taux prév us par
le Conseil departemental de l'enseignement
primaire et le nomb re des élèves dont elles
ava ient décidé l'admission à titre gratui t,
sa ns se soucier des heu res de présence des
maîtres, de la répartition des crédits allo ués
et du monta nt de la rémunérati o n eHecti\'ement perçue par le personnel, alors que
les services susvisés constituent des services
publics dépa rtementaux ou communaux.
Par voie de co nséque nce, que la collectivité
p renne ou non à sa c harge la totalité des
dépenses, ou alloue simplement une sor:nrn.e
propo rtionnel·le au nombre des élèves 1n~1gents, le montant globa l des recettes encalssees pou,"ait dépasser le maximum fixé par
l'a rrêté du 23 juillet 1945. Le taux de l'heure
supplémentai re tend ai t à varier, bi~n a udessus parfois du plafond régJementalTe, en
lonction de l'effecli, des élèves.
b) En applicatio n des dispOSitions de l'article 3 de t'a rrêt é interministé riel du 8 juil.
let 1f15 1, les collectivités locales sont désormais tenues d'inscrire, à leu r budget, le
mo ntant exact des cont ri butio ns privées à
)'orga nisatio n et au fonctionnement des services en cause. Ces participations sont déterminees sur les bases fixées lpa r le Conseil
départemental de l'enseignement primair~ et
compte tenu, d'une part, des dépenses pnses
en charge par la .colJecthri té, d'autre part,
du coût du service, c'est-à-dire indépendamment de quelques menues déJ?enses de
fonctionnement, du montant horaIre d~ ~~
rémuné ration allouée aux maît res, multiplte
par le nombre d'heures effectivement effec~
tuées.
La collectivité ne doit, en effet, reti.rer
aucun 'bénéfice de l'organisa tion du serVice.
Quant au recouv rement des participations
privées, il est eftectué par Je comptable de
la collectivité intéressée sur htre émiS par
l'ordonnateur compétent.
c) Après constatation du se rvice fait, c~lu!
ci établit périodiquement les man dats,.lndividuels de paiement et les soumet pa r Ilntermédi a ire de l'Inspection Académi~l.e et dans
les conditions prévues par le décret du 29
octob re 1936 rel atif aux cumuls de retraItes,
de rémunération et de fonctions, au visa de
l'ordonnateur du traitement principal, c'est-
�4
Le paiement des indemn ités est assure par
le comptable de la collectivité.
Il n'y a dans cette procèdure rien qui me
paraisse de nature 3 entrainer des difficultés. Il \"OUS suffit d'ailleurs de \"'OU5 reporter
à cet égard aux règles en vigueur en matière
de comptabilité publique et notamment au
décret du 3 1 mai IS62 et à l'instruction
~ènerale du 20 juin 1859.
3· Contr61. :
le rë{!inte .de la perception di recte des
participations privees ayant été expressément supprimé et le \'ersement des r émunt~rations
du
personnel
étant
désonnais
effectue sui\'ant des r ègles extrêmement precises, II n'a 'Pas paru nécessai re de pre\'oi r
dans l'arrêté du 8 juillet 1951, les modalités du contrôle à exercer sur les conditions
de fonctionnement des services.
Toutefois, l'octroi d'une rém un eration
devant être justifié par l'exéc ution effective d ' un sen'ire d'enseignement ou de sur\'eillance, il appartiendra à l'ordonnateur
chargé d'établir les mandats de paiement,
d'exercer un contrôle extrêmement strict. Ce
contrôle pourrait, par exemple, être faciJité
par la tenue d ' un reg istre que l'Inspecteur
d' A.c~der:nie viserait périOdiquement après
\'énflcatton des conditions dans lesquelles
les maitres assument leurs responsabi ljtés au
co~rs de tra\ta ux qui, en tout état de cause,
don'e nt demeurer facu ltatifs.
Il va sans dire que toute fraude entraÎn~r~it .l'application des sanctions pénales ou
d!SClphnalres prévues par ta législation en
\'Jgueur.
4 0 Observations générales:
· L'ar!~té du 23 juillet 1945 et to utes autres
diSpositIOns contraires à celles du nouveau
tex.te s! trou\"ant abrogées depuis le 10
aout 19.;, l, nous appelons une fois encore
votre attentio n sur les IJ}OÜlts suivants :
· - Caractère 1acultatif et public des serVlCes ;
· - Possibilit~ po ur les collectivités de
~xer~ dans la Ilmite du maximum prévu sur
Jarreté! le taux horai re des rémunérations
accordees ;
-. Int~rdictio n faite au. personnel de perceyo!r dltec~ement la mOindre rémunération
prl\'ee au titre des services susvisés.
Vous ,:oudrez bien nous rendre compte
so~ le timbre de 'a Direction de )' AdminiS-:
tr~tJ,on départem entale et co mmunale au
MInistère de l'I.ntérieur, des difncultés que
VOus rencontrenez dans votre département
pou r l'application des présentes instructions.
Pour le Ministre
et par autorisation
Le- Directeur Génëral
de l'Enseignement du 1er Degre
BESLAIS.
PoUr le Ministre
.t par délégation
Le Direcfeur du Cabinet
VERDIER.
,
---<>oOc>---
04 B3
CIA 0
ELECTIONS CONSULAIRES
OU 13-12-1951
Les Elections consulaires du 13 décembre
195 1 pour I~ renouvellement partiel des Tribunaux de Commerce de Marseille, Aix-enProvence, Salon, Arles et Tarascon, ainsi
que des Chambres de Commerce de Mar~
seille et d'Arles ont donné les r~sultats ciaprès qui ont ët~ proclamés à la Pr~fect,lre
le mercred i 19 décembre 1951 :
TRIBUNAL DE COMMERCE
DE MARSEILLE
Inscri ts .. ' ." .. ' . . .. . ... .
5.213
Votants ..................
1.878
Sont élus :
1· Présidl'nt (mandat de 2 ans) :
M. Blain Ernest ............ 1.850 voix
2· Juges Titulaires (mandat de 2 ans) :
MM. Maxen ce de Chanterac ....
jean Brunet ., . .. .. . ....
~Ia rc el Pilla rd ..........
Charles Bergasse
Eugène Moutte ."
Honoré Limousy .... ....
Albe rt Cas3ely .. , .... , ..
Paul Rul . ..... ... .....
l'larce l Veyrier ........
Lo uis Laurençon ...
André Salo ne ........ ..
Louis Richelme .......
Pierre Huyclin .......... .
jean Escudier .' . . . . . . . . .
i
• ••
•• ••
1.859 voix
I .S60 >
1.86 1 >
1.859 >
1.859 >
1.864 >
1.862 >
1.861 >
1.863 »
1.862 >
1.857 >
1.862 »
1.861 >
1.362 >
3· Ju ges suppleanls (mandat de 2 ans) :
MA\. Louis E. Pau get ....... . 1.859 voix
Charles Richardson ..... . 1.860 >
Albert Fascio ...... .
1.857 >
Guillaume de Blegiers
1.860 >
Pierre Gemy .... , ...... . 1.864 >
René Florens ......... . 1.S5S >
Marcel Depagne .... ... . 1.859 >
Marcel Gaimar ........ . 1.S61 »
Pierre Bourdillon ....... . 1.860 >
Roger Dufour ......... . 1.859 >
4· Juges suppléants (mandat d'un an) :
Marc Go ndran ..........
j ean F. Régis ..........
Oswald Théric ~ .........
1.S60
1.860
1.860
>
>
>
TRIBUNAL DE COMMERCE
D'AIX-EN-PROVENCE
Inscrits .........
Votants ... . .. ' ........ ... '. .
S ont élus :
1.513
663
1· Président (pour un mandat de 2 ans)
~\.
Pierre Blanc ........ ......
647 voix
2· Ju ges titulaires (pour un mandat de
deux ans) :
MM. Leo nard Ricard
611 voix
Louis Allema nd . .. ...... . 613 »
Rodobphe Lenoi r
604 >
3· Juges suppléants (po.r un mandat de
deux ans) :
MM. Pierre Guindon ... ,...... 606 voix
~rges Brun ............
613 >
Her,vé Cha rpal .... . . . . . . . .. 612 >
TRIBUNAL DE COMMERCE DE SALON
Inscrits ...................... 991
Votants .... .................. 553
Sont ~Ius :
10 President (pour un mandat de 2 ans) :
M. Jean-Marie Gi rard ..... .... . 546 voix
2" Juges litulaires (pour un mandat d
deux ans) :
e
MM. Pierre Casanova .......... . 548 voix
Louis Cocoz ... ,.
549 >
5° Juges suppléa/lts ('pour un mandat de
deux 3ns)
MM. E<louard Ba r tagnon ..... . 549 voix
Gaston Chei net ......... . 549 >
-
Mandat de 6 ans
MM. Louis Bergal1laschi ..... .
Henri Chauchard .... ' .. .
Elie Mathie u .......... .
Fernand Scia ll ano ...... .
3· Juge titulaire (mandat d'un an) :
M. Emile Maurel ..
. . . . . . . .. 159 voix
4· Ju ges suppléants (ma nd at
ans)
MM. André Mhénoux ......... .
jean Serris
....... .
Augustin Sabran .. '
de
deux
TRIBUNAL DE COMA'IE RCE
DE TARASCON
linscrits .. .. .. .. .. . .. .. . .. ...
Votanls .....................
105S
537
Sont élus :
1· Juges titulaires (mandat de deux ans) :
MM. jacques Colom baud .......
ja cq ues Trouillet
534 voix
535 >
2· Juges suppléants (mandat
ans)
MM. Pierre Veysseyre .. '
Marcel Mathieu ......... .
Albert Lambert ......... .
de
deux
535 voix
5~
>
534
,
3° Ju ge suppleanl (mandat d'u n an) :
M.. Marius Ripert ........ ' . . ... 533 voix
CHAMBRE DE COMNŒRCE
DE MARSEILLE
1.732
S31
Sont élus :
Mandat de 6 ans
766
M.M.. Francis Dufo ur .. '
768
Henri Teissier
Bernard Deville-Marigny ... . 764
jules Baillon ........... . 767
Jean Gassier ... , .... . . . 768
Pierre Mo nn ero n ......... . 768
voix
,
'
»
>
»
Mandat de 4 ans
Emile Blachette
A~T. 2. M·M. le Secrétaire Général <le
la Pr~fectu 'e, leJl, Sous-Préfets, le Directeur
Départemental de la Santé ou ses a<l'joints.
Les Diredeurs des !Sureaux Municipaux d'Hygiè ne, le Drrecte ur dICS Se rvices Techniques
<bu Départe men t, les M'aires Commissaires et
Agents de Po lioe, le Co mm ~nda nt de la Genda rm erie a :,n.si que la Gend<3rmerie Maritime
sont cha rgés, cha cun en ce qui le co nc ern e,
de l'exéc ut ion du présent arrêté qui aura effet
clu 1er septembre 1951.
.II. Viclo r Gay .............. :
2.269 voix
CHAMBRE DE ,COMMERCE D'ARLES
1re Catégorie
..............
Votants ........ . .............
I ~cri~
~
35
747 voix
ART. 2. - Le 2me paragraphe de l'article
8 de l'arr<t~ préfectoral clu 6 juillet 1951 est
abrogé et remplacé par le suiva nt :
c Lorsqu ' un secrétaire de M'airie assure
c à lui seul, le secrétariat des séances Qe
c vaccination en' cause, li reçoit u.ne rémue nération de 42 francs par séa nce p lus une
c prime <ie 1 fr. 50 par vaccination en prus
c de la quarantième par Commune et pa r
c an. ,
ART. 3. - Mi. le Secrétaire Général de la
·Préfecture, MM. les Sous-Pr~fets d'Aix et
d'A·rles, M. le Trésorier-Pa yeur G~n~ral et
M. le Dire<teur Départemental de la Sant~
so nt chargés, chacun en ce qw le concerne,
die l' exécutio n du présent arrêté qui aura
effel du 1er janv ier 1951.
Marseille, le 16 Octobre 1951.
Marseille, le 13 Septembre 1951.
Sont élus:
Le Préfet.
Pour le Préfet et pa r délégation,
Le Secrétaire Général,
LAMASSOURE.
Mandat de 6 ans
,\\,\1. Louis Lacroix, .... .
jean-jacques Serris ....... .
34 voix
34 >
Mandat de 2 a.ls
1 Robert Martin ........ .
.1
- - - -·c »OOc'o----
34 voix
D. D. S.
2me 'Catégorie
Inscri!s .. .•. . . . . .
Vota nts ........ . . .. . .. .. .. . .
Sonl élus :
ILl\. Charles j oube rt ...
Jacques Mauron
FS 0
ARRETE PORTANT MODIFICATION DE
L'ARRETE PREFECTORAL OU 6
JUILLET 1951 RELATIF A LA REMUNERATION DES MEDECINS VACCINAT,E URS ET DE LEURS AIDES.
409
134
Mandai de 5 ans
159 voix
159 ,
159 >
5· Juges suppléants (mandat d ' un an)
159 voix
MM. jacques Vadon .. '.
René Nouvel
.. '. . . . . . 159 ;
Ire Calégorie
Inscrits .. .. .. .. .. .. .. .. . .. ..
Votants.. . . . . . . . . . . . . .. . . .
2.269 voix
2.264 »
2.280 >
2.283 >
Mandat de 2 ans
Inscrits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
447
.....................
I~
Sont élus :
1· Président (mandat de deux ans)
M. Gédéon Daillan ...........
159 voix
159 voix
159 ,
I~ >
159 >
mental (arrêté préfectoral du 1er octobre
1945) est modifi~ ainsi qu'il suit:
Sllb~tituer les mots « 2 m,50 > aux mots
c 2 m. 70 > qui figurent au 1er alinéa de cet
article.
•
En outre, le 2me alinéa de cet article est
suppri mé.
6.000
2.285
Sont élus:
V o~n~
MM. Eugène Coustell ier .. ' .. '..
Barthélemy Courdurier . . ..
Marcel Roma n .... .. ..
Louis Generat ............
2me Catégorie
Inscrits ...... . . . . . . . . .
Votanls ....................
TR IBUNAL DE COMMERCE D'ARLES
2· Juges titulaires (mandat de deux ans) :
5
232 voix
230 •
Le f'réfet des Bou ches-du-Rhône,
Officie r de la Lég ion d'Honneur.
Vu
l'a
rrêté
préfectoral, en date du ~ Mars
3me Catégorie
1950.
portant
sègle
ment du Service DéparteInscnls ...............
947
mental -des vaccinations ;
413
Votants ................
Vu l'acte dit loi du 20 Août 1941 réglant
Sont él us :
l'imputation des dêpenses des lois des 24 et
25 Novembre 1940 ayant Irait, la pre mière,
Mandai de 6 ans
à
la vaccination antitétanique associée à la
.IIM. Robert Marignan... . . . . .
413 voix
\raccination anticliphtérique, la seconde, il la
Maurice Lapy ...........
412 »
vaccinatio n antityphoparathyphoïdique ;
Pour le Préfet
Vu la circulai re de M. 'Ie M,in.istre de la
par délégation
Santé Publ is ue en date d" 8 Février 195 1
Le Secretaire Général
concernant la rému nératio n des medecins
LAMASSOURE.
vaocinateurs pub.ics ;
- - - < : >00<>
Vru la délibéra tion de la Commission Départementale en date du 28/1'1ai 195 1 relative
D. D. S.
FS 0
au même ol>jet ;
'Dn~
Vu l'a rrêté préfectoral, en date du 6 juillet
"""". E PORTANT MODIFICATION
195 1, fixant la rémunération des médeci ns
DE L'ARTICLE 14 DU. REGLBMENT
vaccinateurs, des auxiliaires médicales et des
SANITAIRE DEPARTEMENTAL.
a ux.i,liai res administratifs ;
Vu la d~libération d e la Co mmission DéL~ Préfet d!es -Bouches-du-R.hône,
partementaJe, en date du 20 Septembre 1951
Chevail~ od'C la Légion d' Honneur,
relative à la rémunération des auxiUaÎ.res
la Vu la ~oi du 15 Février 1902 relative à
administratifs et des médecins-vaccinateurs
protection de la Santé Publique .
des Burea ux Municipaux d lHygjène ;
r.:.Vu le décr.et-doi du 30 octob re 1935 presVu les créd·its .inscrits au Budget Dépar.. ,vant l'insft f
d'
.
temental, e ha!>itre XIIJ, article 2 ;
~
1 U Ion
un regJement sanitaire
Vu l'avis favorable d-e MI. le Dir«teur Dèiltpartemental et moilifiant les articles 1 et 2
la 101 du 15 février 1902 .
partementnal de la Santé
Vu l'arrêté ~"f t
1 "' '
S u r la proposition de M. le Secrétaire
)IOrt
. ' " ec ora uu 1er octol>re 1945
IIOt:nt régleme nt sanitai<e d~ partementa l ,
Gé néral de la Pr~fectu re,
v"m~ent rarticle 14 ;
ARRETE
Sa. lé p cl~culalre de M. le Mj.n istre <le la
\
Vu " ublique. en date clu 1er juin 19!>1 ;
ARTICLE PREM IER. - L'a rticle 2 de l'arrêté
bl d'~ aViS émiS par le .Conseil Départemenpréfectoral du 6 juillet 195 1 est alYrogé et
S yglène dans Sa séance du 27 juill 195 1'
rempla c~ par le suiva nt
Par~ la proposition de M. le Directeur Dé~
« Ils reçoivent une ~n demnrté a nnuelle
mental de ta Sa nté,
... « forfaitaire de 47.()OC) francs pour les vacci« nations opérées au Bureau M.unicipal-d'Hy. AI!T ICLE po" A'RRETE : .
c giène de Marseille et Ik 32.000 francs
1article
"O[:.MIER. A titre pro VI soue,
c pour les vaccinations opérées aux Bureaux
14 du Règlement sanitaire départec M.llnicipaux d'Alx et d'Arles. >
C
Le
Pour le Préfet,
Général délégué,
LAM'ASSOUIRE.
Sec r~ taire
- - -c>ooc,.---
0.0.5.
FS 2
PROTECTION MATERNELLE
ET INFANTILE
j'ai l' honneur d-c porter à vot re connaissance qu ' un diécret, en dlate !lu 8-1 1-1951,
a abrogé le titre IV et l'article 44 d'li tirtre
VII de l'ordo nnan,,, du 2-11-45 relative il la
Protection Materr.elle et Infantile.
L'ab ro gatio n de ces textes entraîne la
suppression des allotations d 'Assistance aux
Femmes en couches à compter du 1er JI3Jlvier 1Y52. Elles sont remplacées par les allocatio ns mensu elles prévues à l'article 9 de
la loi du 15 Avril 1943 relati ve à J'Assistance
à l'Enfan ce et seront en cO'flséquence ntan<la té.. par M. J'Inspecteu r P nlleipal iIe la
Population et de l'E nlr'aide Sociale qui vous
do nne. par aiUeuTS, d:es i:nstnlctions à œt
effet. Ces all ocatio ns ne seroot accordées,
désormais, ·qu'à un nomb re très restreint de
bénéficiaires, lorsqu'il s'.agira par exemple de
femmes seules, en état de grossesse pour la
première fois, Qui ne se trouvent pas dans
J.cs co ndiHo ns prévues par les texres pour
bénéncier des prestations <l.'assuran ces sociales ou des allocations prénatales. Le diécnet
en question n'entraÎn~ œ-pendant que très
peu de mod irtications en ce qui co ncerne le
réglement départe mental de la Protection Maternelle et In fa ntile dont certains paragraphes seulement ile l'article 21 devront être
révisés.
Le « carnet vert > de bons d'e visites ou
de consu ltations gratuites continuera à être
dé~vré aux femmes enceintes démunies de
ressources et se trouvant dans l'incapacité
de béneficier des prestations de la S~curité
Sociale. En effet, le titre EH de l'ordo nnance
du 2 novembre 1945 n'est pas ab rolTé et les
femmes enceintes qui fréquentent réguüèr~
ment les ,Consultations .prénatales ainsi que
les 'jeu nes mères <iont l' enfant est présenté
tous les mois aux .consuJtations de nourrissons continuent à avoir eToit aux primes
d'assiduité. La prime co ncernant le père qUl
se go um et à l'examen médi ca l gé néral sera
~g'ale m ent attribu~e par le ",rvi<:e die la Prorection Maternelle et Infantile.
, Alin de me permettr.e .d,,e juger en too..te
conn:lissance d'e cause des droits éve nhle\s
dies in téressés je crois u.tile de vous demander de procéder, comme
le vassé, à l'enlia bi t ueH e
�--
6
du Conseil .\\unicipal sera seul. d~mandé sa!ls
qu'intervienne desormais celuI des Comffils-
sions cantonales : cette façoo de proceder
entrai ne ipso facto la suppression de toute
possibilité de recours par les intéressés
devant la Commission Dép..-tementale.
Je ne pcnse p.1s qu'il y âit lieu d'apporn.r
un cl1angement quek:onq-ue au modèll~. du
dossier questionnaire habituellement unbsé.
En ce qw concerne les < c~.ets 'verts ~I
ctëjà imprimës ils seront provIsoirement utilisés dans leur état actuel. Sien que 1",
primes d'allaitement soient suppri mées les
butletins Il à 18 continueront ... être remp~s.
En effet, il sera ten\! co mpte du fait que les
mères allaitent elles-m èmes leur enfant dans
J'évaluation de J'aUocation mensuelle dont
elles pourraient bénéficier.
Le critère à utiliser pour la dèlivr-ance a~
ces <:arnets me parait devoir êtr-e celu; prevu
pour l'octroi du bénéfice de rassistan~e mé-
.dicate gutuite.
Le Directeur Départemental de la Santé,
GOVLLEY.
-------<>00<>'----- - -
0.0.5.
FS6
ARRETE PORTANT MODIFICATION
DU REGLEMENT SANITAIRE
DEPARTEMENTAL
Le Préfet d'es B01lciles-du"Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu la loi du 15 Février 1902 relati ve il la
protection de la santé publique ;
Vu le décret-loi du 30 Octobre 1935 prescrivant l'institution d'un reglement samtaire
départemental et ntQdifiant les articles 1 et
2 de la loi <lu 15 février 1902 ;
Vu l'an'Hé préfectoral du 1er Octoore 1945
portant reglement sanitaire départemental ;
Vu les instructions, en date du 16 Octobre
1950, de M. le Ministre de la Santé Publique, relath'es il la modification des articles
20 et 21 du réglement sanitaire type ;
Vu la ck'libération, en date <lu 20 Décembre
1950, du Conseil ,Départemental d'Hygiène,
Sur la propositioo de li\. le Directeur Départemental de la Santé,
A'RRETE:
ARTICLE PREMIER. -- L'arrêté prélectoral
du 1er Octobre 1945 portant réglement sanitaire départemental est mo<!ffié et complété
ainsi Qu'il suit :
c Article 20, paragraphe 1er au lieu :
c Un conduit de fumée établi dans les COn• d'inons du présent réglement, mettre :
• Un conduit de iumée au moins établi
c dans les conditions de l'art. 21 ~i-a!>rès
c (le reste sans changement).
.
c ART 21. - P.,{lragraplie 1er. La phrase
relative à la section des cond\Uts est ainsi
modifiée :
c La section intérieure des conduits desservant des foyers â feu ouvert ne sera jamais
inférieure il 400 cm2 ; celles desservant des
foyers dits c fermés :. comportant admis-
est pas contraire et elle me parait ~VOtr
ê~e efficace dans le cas ~des. gens quil POur~
raient donner une contnbuhon ci conditio
de savo ir, dès q-ue les frais commencent ~
courir, qu 'ils risGluent d' y être astr~ints.
a
c les conduites des appareils à gaz >, d'ajouter un article 21 bis 3lOSi conçu :
( Article 21 bis: La s ectio n de tout cone (f uit desservant un appareil alimenté par
c le gaz de ville installé dans • une pi..;c"
c sec"ndaire de l'hab,ta tion poUoITa etre
, réduite aux dimenstoTlS -prévues par les
c normes en vigueur. :t
ART. III. - MM. le Secrétaire Général de
la Pr,lecture les Sous..J>réfets le Directeur
Départ~ment~l de la Santé et sesad'joints; les
Directeurs des Bureaux MUniCipau x d Hygiène le Directeur des Services Techniques
du Département, les Maires, le C0!'lm~n ct!ant
de la Gendarmeri e, les Co mmissaires et
AO'ents de PolKe, so nt chargés, chac un en
ce"qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté.
Marseille, le 2 Avril 1951.
Le Préfet.
BAYLOT .
-------<)00<.----___
Depuis quelque 1emps, mon Administ ralion
venfio n de La Haye du 12 lu.n 1902 aya nt
été dénoncée par la Fra nce le 12 novembre
1913. Sans doute ont- elles l'avantage de sim-
a été artl enee a l alre déférer aux TrIbu naux
compétents appelés à en co nn ai"tre, des Cas
de bigamie dont se so nt re ndus co upa hies
plifier b ,tâche d~s of.ficiers de l 'Etat-Civi~
qui, de ce fait . ,n o nt a observer q~e la lc;> t
française; mais elles pr ésen~en t I lncon~e-
plus spécialement des resso rt issants allemands ou ita liens, ex-.prisonniers de gue rre,
un is dans leur pays d 'o ri gi ne par les liens
' .
d'un mana ge antén e ur non dissous et qui,
contrairement â. l'O rd re ,Public, ont co ntra<>
té un nouveau mariage sur notre te rritoire.
P o ur évi ter de pareils incidents dont les
ges qui ne t.iennent pas co~ptc du stat ut fJJe:sonnel des Intéressés et qUI peuvent, par SUIte être annu lés. C'est a insi qu'un ce rtai n
n~m b re de décisions ont prononcé la null ité
de marÎ aO'es entre ét ra ngers o u ent re Fra nçais et étran ge rs, contractés a u m épris des
règles du s tatut .personnel (rribu n a~ de Tunis 2 juin 1920, Jo urn . TTlb. TuniS, 1920,
•
Le Préfet des BQuches-<!u-Rhi>ne,
il MII'1. les Maires du Département.
De l'exame n des dossiers d' AJJ\'I.G. neç us
1
par la présente attirer spécialement votre
attention) il Iésu l1~ de la même circulaire
que cette manière Ge procéder, - si elle
impliq,ue qu'iJ sera très souvent fait appel
aux admissions d 'urgenc.e par les soins du
Milire - ne supprime pas pour autant, toutes
les fois que c'est possible, ta voi-e de J'adnrission normale, c'est4- dire par la Oommission Cantonale d'assistance ; voie plus
lente mais plus sûre pour la détermination
des participations financiè res des intéressés
ou de leur famille.
Je vous -demanderai donc d'employer la
procédure normate toutes les fois que l'urgence des soins ne sera pas év idente.
Par ailleurs, afin de ne pas indAJir.e en
erreur le.s candidats à "A.M.G., qui y aUTont
~é admiS par 'Vos soins, j'estime qu ' il Convreoorait de compléter votre décision d'urgence par la formule <:i-a'J}Tès : c La présion d'air régla ble .dont la pUissance n'excèd:e
par 20.000 mth/ h, pourra être réduite à , sente admissio n n'est prononcée que sous
250 cm2 •. (Le reste sans changement).
rcse. ve expresse de la décision de la Commission. Canto nale et de la partiCipation qui
ART. 11. -- La régle mentation des sailes
sera m,se pa:!' eile il la charge de l'intéressé
de. bains ne figurant pas au réglement sani.
ou de sa famil le • . Cette fDrnlule n'est certarre type. il Y a lieu, ~n ce qui ConCErne
tes pas prévue par la loi ; mais elle ne lu i
nient de permettre la célébra t. on de ma n a·
conséquences graves ne vous éc happeront
pas - non seulement a u point de vue pénal
page 544 ; Seine, Premi ère Chambre, 15
juiilet 1920. Rev. D. 1. P. 1922- 1923, page
178).
pou r le d élinquant, mais enco re a u point
de vue civil, s ocial et fam ili al, le seco nd mariage étant, en principe, co nsidé ré comm e '
n'aya nt jamais ex isté, j'ai l' honneur de vo us
, " m'appa ra ît, en co nséquence, q u'i l
convient d'évite r da ns t oute la mesu re du
possible, de cé léb re r le ma ri age d'ét r a ngers
en Fran ce dans l'ignorance de leur stat ut
fJersonnel et de dissocier a insi deux élémentp.
rappeler la Circ ul ai re de M. le Garde des
Sceaux, min istre de la Ju stice, à hW. les
Procureurs Généraux, insé rée au Bulleti n des
Maires des S et 15 décembre 1949 (numéros
49 et 50) et dont vous trouverez ci-dessous
le texte reproduit in-extenso.
J'attire to ut pa rt ic uli èrement votre atte otio n Sur les de rnie rs rpa ragraphes de cette
Cir culaire.
..•
cfte dûment -co nstatée "par certificat médica l,
qu ' il s'agisse d'hospitalisation ou d'assistance
à dOmicile.
Mais, (et c'est sur ce point que je d'ésiire
PB
MARIAGE DES ETRANGERS
ASSISTANCE MEDICALE GRATUITE
INSTRUCTION
cise que les admissions au bénéfice <le l'A:MI.
O. ne doivent intervenir qu'en cas de mala-
1902 n'était pas appilcable, les ofh cle rs d.
l'Etat-Civ il ne deva ient eXiger aUCun ce rtificat de cout~me et po uv,aient même procéder
, la cé lébration du m a r~ age sans rechercher
fes disposition~ d e la ,lOI étran gè re, d ~s lors
que les ~o n d i tlOns. eXigées par la 101 fr a nçaise étale nt remplies.
c Ces règ les so nt devenues applicables il
tous les étra ngers sans dist~n~tion, la Co n-
Le Préfet
PAlRA.'
FS8
dans mes serv ioes il apparait que l'admissio n
d'urgrnce, c'est-à-dire par cfécisioon du Maire,
est devenue I-a règle.
Certes, I~ règlement ètu service clépartemental de l'assistance médicale g ratuite, <;e
référant ~ une circulaire préfectorale dIu 14
décembre 1944 - consaCf'e l'abo lition du système de l'inscript;on sur les listes communaJes d'assistance qui. avait pour conséquence, la plupart du temps, dl'adme!tre « il
vie» ci l'assistance un individu qui en était
justiciable c ci temps ».
Par voj.e d,e conséquence, le règlement pre-
~ de la Con vention de La Haye du 12 juin
Je vous serais très obligé de me faire Part
- --,>ooc ) -------
D3 B3
C'est dans ces conditio ns qu'une circulai' d'un de mes prédécesseurs, du 1er août
;~ll (B. O. M. J. 19 11 , p. 82) a disposé
u'à l'éga rd d es ét ran ge rs auxquels l'article
des observa!lons que la présente instruction
vous pO U17a lt suggérer.
Dl B3
7
4.'
c: Paris, le 15 octob re 1949,
Le Garde des Sceaux, ministre de
la Justice
à MM. les Procureurs Généraux,
. e Une juris prud ence ci peu p r ès constante,
tirant argument de l'art icle 3, alinéa 3 du
Code Ci~i1, décide que, sous réser've de l'ordre publtc irançais, les co nditions de fo nd
du ma riage des étrangers en France sont
régies par la loi nationale des inté ressés
(Voir notamme nt Cass., 15 juillet 1878, 51-
REY, 1878-1-320, Paris, 23 mars 1888, Dai·
loz pé riodique 1889-2.117).
« Aussi l'usage s'est-il etabli pour les lu·
turs époux étrangers de fournir eux-mêmes
la preuve de leur capacité matrimoniale au
rega rd de leur loi nationale par la produCt io n de doc umen ts et notamment par la présentation d' un ce rtificat de coutume émanant
soit d'autorités o u d' hommes de loi de leur
pays, soit du Ministère des Affaires Etrangè res o u de jurisconsu ltes français.
c Mais, il convient de ne pas perdre de
vue q u'aucun texte léga l ne règle en France
le mode de preuve des dfspoSitions. de la
loi ét rangè re et ne presc rit la prod UCtion de
cerlificat de co utume en vue de la célébratIOn
du mar iage,
f
céléb ration et va lidité, qui devraient êt re
intimement li és.
c Déso rmais, si le futur époux étrange r
ne iuslifie pas lui-même par un eertifical de
coutllme de sa capacité de contracler manage au rega rd de sa lo i nationale, l'officier . de
l'Etat-Civi l ne pou,v ant exiger la production
d'un tel document, qui n'est prévu par a uCune disposition légale, devra, .Io rsque les
prescriptions d e la ,loi nationa le de l'int éressé lui se ront in conn ues o u lui paraîtront
donner li eu à des difficu ltés d'i nterprétation,
<ons"l\er, 'Préalablement à la céléb ration, le
Procureur de la République fernfona lemenf
compétent. Celui- ci lui Ifera parvenir sa ns
aUCun retard sa r épo nse, sa uf à e n référer
éventuellement il ma Chanceil erie (Direction
des Affai res Civiles et du Sceau, 1e r Bureau
Etat-Civil) en cas de circonstances particulières rendant nécessaire l'i n te rvention de
celle-ci,
c Vous vo udrez bien vei ller à l'exécution
des présentes instructions, qui remp l ace~t
cell es de la circulaire précitée du 1er aout
Ciroulaire concernant plus spécialtment
les Administrations dt l'Elat
02 BI
AC 2
INDEMNITE POUR MAIS DE DEPLACEMENT AUX AGENTS PROMUS
RETROACTIVEMENT.
Paris, le 19 décembre 195 1,
Le Ministre de l'Inférieur
à MM. les Inspeereurs Généraux de
" Administration en Mission Ex~
traordinaire,
Cabinel,
Centres Administratifs et Te chniques Interdépartementaux,
MM. les Préfels (Métropole),
M. le Direcleur Général de la SDrelé Natio nale,
MM. les Directeurs et Chefs de Services de l'Administration Centrale,
M. le Préfet, chef des Services de
l'Algérie el des Départements
d'Outre-Mer,
Pour diffusion d :
M. Le Gouverneur de l'Algérie,
MM. les Préfels des Dépa,rlements
d'0l!tre-Mer,
La question a été !posée de sa.voir si, en
cas d'avancement rétroactif élevant un fonctionnaire à un g roupe supérieu r pour la d~
te rmi natio n des ta ux d' indemnit é Ipo ur fraiS
de déplacement, les som mes mandatées à ce
titre, 'po ur la période comp rise ent r e la da~e
d'eHet de la promotion et l a date de la n otl~
fication de la décLsion devaient donner heu a
révision.
Le Mi ni stère du Budget, consulté par ~es
soi ns, vient de me faire connaît re que les .In-
demnités pour frais de
déplacement,
bien
qu'elles soient allouées sous une 10rme forfaitaire, ne pe rdent pas pou r ~utant le ca ractè re de remboursement de fr aiS,
.
,
.En conséquence, il n'est pas pOSSible d, envisage r que des rappels soient effectués.a ce
titre, et en aucun cas le montant des fraiS d.e
déplacement payés à des agents. promus r ~
troactivement à une classe supéTlcure ne dOit
donner lie u à révision. .
.
Je vous serais ob ligé de 'bien ~oulol r 'Porter ces dispositions à la connaissance des
int éressés.
Pou r le Ministre de l' Intéri eur
et par délégatio n,
.
Le Préfet, directeur des Se,rVlces
FinancÎers et du Contentieux .P. DAMELON .
_____
1911 >.
c Signé : Ro be rt LECOURT. >.
.51-1335 du 19 novembre 195 1 portant relè-
TElTES D'IJTERU OEJERBL
D2 BI
<~oo«
)0------AC 3
SECURITE SOCIALE
DES FONCTIONNAIRES
La présente circulaire a Ipour objet :
_ de préciser les répe rcussions , sur I ~
calcul des cotisations et des. presta~lOns en
espèces d u régime de ~éc~nté SOCiale des
fon~ti o nnaires, de la la, n 51-1126 du 26
septembre 1951 portant rel èvement du sala!au calcul
II y a lieu de fai re un e distinctio.n e~t re
les cotisations dues au titre des mOIS d octobre et de novemb re 195 1 et ceiles se ra ppor tant aux pér iodes d'affiliation postéTleu-
res au 1er décembre 1951.
Période comprise enrre le 1er octobre
195 1 el le 30 Novembre 195 1 :
A. -
La loi n' 51-1126 du 26 septembre 195 1,
publiée au Journal Officier du 27 septembre,
a dans so n article ·S, porté il 408.000 francs
p'ar a n, et avec effet du 1er octob~e 1 ~5 1 , le
plafond à retenir pour la .d ét~rmlOatlOn du
montant maximum des cotisatIOns de Sécurité Sociale. Ce plafond avait été fixé à
324.000 francs par l'art icle 1er de la loi du
30 décem bre 1950 (ct Lettres n' 290 FLC2325 du 10 janvier 195 1 et 13·1 B-12 du
9 févrie r 195 1).
Le décret n' 51-11 39 du 28 septembre
1951 modifié pa r le décret n' 51- 1270 du
5 no~embre 195 1, a fi xé su r la base du .nou.veau pla>fond an nuel les plafonds il appllquer
suivant la 'périodicité des payes ; ces plafonds sont indi qués ci-après :
_ 102.0<Xl fT. si le sa lai re est réglé pa r
trimestre ;
__ 34.000 fr. si le salai re est réglé par
mois;
__ 17.000 fr. si le salaire est réglé par demi-mois;
,
__ 15.700 fr. s i le salaite est reglé toutes
les deux semaines ;
_ 11.340 fr. si le salaire est réglé par
décade ;
_ 7.850 fr. si le $,alaire est ré~lé par
semaine;
__ 1.600 fr. si le salai" est réglé par
jour;
. ' l'
d'
_ 800 If r. si le salaire est reg e pa r eml-
jo urnée de ;travail ne dép.assant ~as 5 heu res:
_ 200 fr. par he ure S.I ~e ~a~al re ~st régie
po ur une durée de travail IOfeTleure a 5 heures.
Par conséquent, à parti r du 1er, oct~bre
1951, lorsque le m~ntant de ~a re mun~ra
tion sur laquell e dOIt. être a,sslse la cotisa-
tion de Sécurité SOCIale depasse les plafonds indiqu és ci-dessus, ladite cotisation est
calculée sur la base de ces plafonds s~ns
ten ir compte de la partie de la rémnérahon
les excédant.
.
cotisation mensuelle maximum susce~
tible d~être retenue à un mème agent qUI,
sous l'empire de la réglementation antérieure au 1er Octobre 1951, était de 472 frs.
se trouve portée à 595 ~a~cs..
.
En olltre, <lu fait de 1éle\'atlOn a 408.000
Le Ministre du Budgel
à MM. les Ministres ei Secrétaires
d'Etat,
re limite servant de
1. - Ca cul des cotisations et indemnités de
Sécurité Sociale des fonctionnaires.
~La
Paris, le 7 décembre 1951 ,
-------(>00«>-------
veme nt du tau x de cotisation applicable aux
fonctio nn a ires ;
_ de compléter les r ègles à s ui vre en cas
de mise à la retraite des fonctionnaires.
cob-
francs <fru plafond annuel à re~e.nliT ~our le
calclli de la cotisation de Sécunte SOCIale le
montant maximum du capital-décès susceptible d'être v'ersé aux a~rants-cause des fooc~
tionnaires dkédés après l'à ge de 60 ans, ,et
non encore admis à faiTe v.aloir leurs dT01ts
à la retraite, qui était antiriel~rement fixé à
81.000 francs, se t rouve porto a 102.000 frs.;
ces nouvelles dispositions sont apphcabtes
dans tous tes cas où le décès est SUTVenu
le 1er Octobre 1951.
l'.i",,"le qu~ de la même
�8
décret du 20 Octobre 1947 et de ma circulaire Ciu 25 ,h:11 1950, les indemnités journalières et mensuelles de l'a.ssurance ma ladie,
longue maladie et invalidité, dans Je .cas o~
le fanehonnalre a épuisé ses droits statutaires il traitement, ou dans l'h)"pothèse où les
droitS st:ttutaires sont infé:1eurs. aux indle,mnités die Séc1A"ité Sociale, sont majore es par
l'effet de l'arhele
de la 101 du 26 Septembre 1951 susvi~
Les maxÎma qUE' pourront dlésorm~is
atteindre les indemnitês ci-dessus s'établis sent aux chiffres suÎ\-ants :
- IndemnVté journalière normale, 565 frs.
- indemn ité journalière majorée (3 enfants
ou plus), i55 francs.
- fndern mre mensuelle normale, 17.0Cl0 frs.
- Indemnité mensuelle maj orée (3 enfants
ou plus) 22.665 francs.
B. -
A partir du 1er decembre 1951
capital-decès versé aux ay.a ~!s...(jr~t des fo nctionnau"es decédés alors qu Ils éta lent encore
en acrivité après l'âge de ~ ans, et le montant des prestatiaus en especes ne. sont pas
modifies par les dispositions d u decret susvisé. Par contre, la cotisation me ns uelle
maximum susceptible d'Hre reten ue à un
même agent qui étajt p:-écédemment de 595
francs, se trouve porfé.e à 850 fra ncs a partiT
du 1er décembre 195 1.
Les disposi tions ci-dessus ne sont ~s
apphcab les aux fon ctionnai!es en s~rvlce
dans les dl'partements d'Outre-Mer q U] font
l'objet cI 'une ci rc ulai re s péciale à paraître
inC'essa mment.
La drculai,e n' 71 11 FLC/ 2533, Côm~!<l
bi lité Pubtique du 8 Octobre 195 1, dOit elre
consi dérée co mme caduque paT 1effet des
décrets des 5 Novembre 195 1 et 19 Novembre 1951.
Il. - Notification de la mise à la ,~tra~ëe des
L. décret n° 5 1-1 335 doJ 19 NO\'embre 1951
a poné, avec effet au 1er d.èGembre 1951, de
l ,ï5 ti'c il 2,50 o/é le taux de cotisation appli~ble aux fonctionnaires titulair"es en acti,;té, et de 1 % à 1,25 % le taux de cotisation des fonction narres retraités.
Les plafonds de cotisation, le montant du
agents filulaires aux Caisses P"motres de
Sécurité Sociale.
Les fonctio nnaires retraités perdent tout
droit aux prestations autres que les prestations en nature de l'assurance maJactie.
Or le~ Caisses Primai res de Sécu~Îté Sociale' sont généralement dans l'ignorance des
ad missrons
â..
-
la retraite <ies fonction naires.
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHON
Elles rencontrent p ar s uite, de grandes diffi_
t.:ultés pour appliquer en temps voulu eeH\!
régle m e n tatio~, nùt~~l ':flent à l'égard de ceux
des agents qUi bénéficient des presratlQns de
la lo ngue maladie .ou de la mater-nité ou e.n
sollicitent ,' attTibutlon im médiatement après
leur mise à la retraite. Pour mettre fin à ces
obstacles, il serait né cessaire que les Caisses
Primaires soi~nt avisées des mises à la
retraite opé rées.
En conseque nœ, et à cOOl I)ter ole la d'ate
de d'iffusion de la présente lettre, les Admi_
nistration)) devron t notifier les admissions et
mises à la retraite d'agents soumis aux disposi tif,"s d u décret du 3 1 Déce mbre 1946
portant créa tion d' un régime s pécia l de- Sé.
ouri1é Sadaie en fave ur des fon.ction naÏTes
à la Caisse pdmaire de Securité Socia~
ct'immatr iculation des intéressés, c'est-à-<tire
à celle dans le ressort d'e laquelle se trouve
le lieu de leur tra'vail (cif"cul aire <bu 12 Jai1~
vier 1949).
('Jette notification, qu 'ri 'convient d'effectuer
dès que J'admission à la retraite est 'Prononcée, doit indiq uer les no m, pré noms, adresse
et numéro mat ricule de l'intéressé, ainsi que
la date d-e mise à la retraite.
•
S ig né : P . COURANT.
REPUBLIQUE FR A N Ç AISE
17 J.. rier 1952
Recueil des Actes Administr~
et Bulletin des Mairies
Toute corresp onda n ce r e la tive a u Rec ueil d oit être adressée à la Prét ectu re S ecréta ri at G énéra l
=
ABR ÉVIA. TIONS
A. P . : Arrêté prefectora l. - C. : Circul aire - Les lettres D et B SUIvies d' un êh lff re indiquent le Service ou Bureau d'origi ne.
D. S. T. : DirectIO n des Se rvices Tech ni que • . - D. D. S. : Direction Dépar tem enta le de la Santé. - D. D. P. : Direction depa rtementa le de la Popul ation.
SOMMAI R.E
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pages
Paq-es
AC 1. - Remp lacement de ,la retenue
de ga ra ntie co mptab le par l' enga geme nt d' une caution perso nne ll e et soli~ i re .
. ... . ...... . .. . .
9
AG O. - Personne l de la P réfect ure et
des établisseme nts départeme ntaux..
10
AG 13. - Pro g ramme départementa l de
p r iorité de reco nst ruction des biens
si ni str es. . .... . . .
F 3. - Tax e sur la pub licité ....... .
FS 2. - Allocation fo r fa itaire de repos
au,x femmes encein tes.....
SC 7. - Stages au Ce ntre d' Instr uction
de la Protection Civi le on 1952......
Conununiqués, A vis, An nonces di ve rses
Pages
la
10
la
Il
Demande d·emploi.. .. .... . . .. ".
Il
Com muniqués du Secretariat
de l' Union des Maires
Erection d'un monument à la mémoire
d'Elie Corradi, maire ue Septèmes..
Il
ARRÊTËS REGLEMENTAIRE S ET CIRCU LAI RES
AC 1 1 nistratifs, offrent seu leme nt la facu lte aux
D2 83
titulaires de marchés de fournir une ca ution
REMPLACEMENT DE LA RETENUE DE 1 pe rso nn elle et solidaire en remplacement du
cautionnement pro"isoire ou dé'tïnltif et, le
GARANTIE COMPTABLE PAR L'EN GAGEMENT D'UNE CAUTION PER- 1 cas échéant, des retenues de ga rantie qui
leur sont imposées par les cahiers des cha rSONNELLE ET SOLIDAIRE.
". 1 ges ou .par les marchés. L'e x.p ressio n (' reteP"ris, le 10 décem bre 195 1.
Le Vi ce-Président du Conseil, Minis tre
des Fino(/ces et des Affaires Ecomiques
à MM. les Ministres et Secrétaires
d'Etal,
Copi~
-
OU1.i'é~
ceDtHat.
POUf"),e PrHet :
W S'trt'.w~ GhenaJ : LAMAS SOUlt&.
J'ai été amené à constal:er que ce rtaines
administrations acceptent Cles ent rep rises
avec lesquelles elles tr aite nt, en remp lacement de la reten ue qui en application de
l'article 13 (alinéa 2) d:1 décret du 3 1 mai
186.2. portant règlement généra l s ur la comptabIlité publique, doit êt re t::ffectuée s ur chaQue pai ement d'a com pte, l' engageme nt d'une
caution personnelle et so lidaire fournie dans
le cadre du décret d u t 2 décembre 1936, pris
Pour l' a pplication des a rticles 9 et 10 du
décret-loi du 30 octobre 1935, relatif au
financement des marc hés de l' Etat et des co l ~
lectivités pub liq ues.
A s'en tenir strictement aux te xt es s usvisés, la substitutio n d'une ca ution personnell e
et solidaire à la retenue susvisee n'est pas
auto risée.
1 En effet. le décret s usvise d u 12 d écembre
J36
(arhole 1er) et le décret du 4 juin t 938
rn' O. du 9 juin, p. 6495) sur le ca uti onneent des Soumissio nnaires de marchés admi-
•
nues de ga rant ie,. fig ura nt au décret du 12
décembre 1936 ne couvre donc pas la retenue
p rescrite par le décret d ll 31 mai 1862.
Sa ns do ute, .le décret d u t 2 décemb re 1936
prévoit en son article 16 que j'engage ment
d' une caution personnelle et solidaIre peut
êtr e substitué au cautionnement que les titulaires doivent constituer pour obteni r, da ns
ce rtains cas, le ve rse ment d'acomptes arant
la li vraison de la fourniture . Mais, :li nsi que
mon Dépa rtement j'a souligne pa r lettre collective nO 7959 G L-C 2Q.i3 du 29 novembre
1949 le terme
acompte> désignait à l' épo~
que où a été pris ~e décret du 12 decembre
1936, les paiements effectues avant < sen'ice
fait » et doit, en conséquemoe, a u ~e ga rd de
la terminolo(1ie emplo yée postérieurement
dans les dé~rets du 2 ma i 1938, relatif au
crédit et du 19 mars 1939, rel atif à l'att ribution d'avances a ux titulaires des marchés
d e l'Eta t, modifié et co mpléte pa r des textes
ultérieurs, ~tre interp rète com me désiO" nant
des « avances » . le terme « acompte» étant
rése rvé actuelle~ent aux paiements après
« se rvice fait ».
La dis tinct ion ent re le cautionnement proprement dit exigé en vertu des dispositio ns
du décr et du 6 avr il 1942, relatives aux gar anties à exiger des titulaires de ma rchés
de l' Etat pour répo ndre à la bonne exécution
du marché et la retenue prescrite par le décret du 3 1 mai 1862 et qui est destinée plus
pa rticuli è rement à ga rantir l' Administration
co ntr e une t rop large éval uat io n des c services faits ;p, o uvrant droit à paiement
d'acomptes, a souvent été perdu de vue.
La clause que ce rtai nes administrations
ont cru pouvoi r ins érer dans leur ca hi er des
cha rges, pour permettre de remplace r la retenue du d éc ret du 31 mai 1862 Ipar l' engagement d ' une caution personnelle et solidai,re
est cont ra ire aux prescri ptio ns imposées par
l'artiole 13 du décret du 31 mai 1862, mais
les ent reprises qui ont conclu un ma rché où
elle est insérée peuvent s'en preva loir.
Etant donné, d'autre part, qu'il est em'isagé de modifier proc hainement le régime
Lies ga ra nties im posé aux titu lai res des mar~
chés de l'Etat, il parait inopportun d'interdire actue llement c~tte pratiqu~.
POLIr ces raisons, je suis dispose à accep"
ter le maintien des errements actuels à la
condition toutefois que l'engagement SOuscrit par la ca uti on personn~lJc et solidaire
soit Ifédige de telle sorte qu'il offre à l'administrati on la m ~me st/rete que la retenue
prescrite par le décret du 3 1 mai 1862, qu'il
remplace.
A cet effet, l'engil!!ement Cil question doit
préciser qu'il ga rantit le re\lersement de toute
so mme do nt J' entrepreneur serait reconnu
débiteur au titre du marché pou r quelque
cause que ce soit dans la limite de la somme
correspondant au montant de la rete nue qUi
au rait été effectuée au taux prévu
le cahier des
ou
le
�Il
10
comptabilité ÙU minist~re intéressé si cette
sûrete 3\'ait ètê choisie.
En certu de la disposition faisant l'objet
ùu dernier alinéa de l'article 5 du decret-toi
du 2 mai 193 relatif au crédit et reprise par
l'article 33 du décret du 6 a\"fil 1942 relatif
aux marchés passés au nom de l'Etat, qui
interdit tout double emploi entre le caution-
Il est rappel é enfin que toute disposition
inséree soit dans le cahier des charges, SOIt
dans le marché en vue d'écar ter ou de limiter o\'application des dispositions de l'a rticle
13 du décret sus;;sé du 3 1 mai 1362 est irrégulière et ne sau rait par conséquent être admis. Il coovient de renoncer à en faire usage.
•••
l'administration est tenue de libérer le cautionnement dé initif. s'il en a été e.xigé, ou la
Je \'ous prie de bicn vou loir porter les termes de cette lettre à la co nn aissance de tous
les sen'ices intéressés r elevant de votre dé-
caution personnelle et solidaire qui le rem-
partement.
nement dl!finitif et les retenues de garantie.
place, au fur et à mesure des engagements
fournis aux lieu et place de la retenue du dé-
cret du 3 1 mai 1862.
POlIr le Minis/re et par autorisa/ion
le Directeur de la Comptabilité Publiqu e
G. DEVAUX
Dans le cas où le cautionnement définitif
placés par des engagements de caution, il
n'v aura lieu d'exiger de l'établissement de
cr"édit ou du tiers agréé, en ce qui conc.grne
la caution se substituant à la retenue, le
versement du cautionnement propo rtionnel
égal au dixième du montant de la retenue,
qu'à partir du moment où le montant de cette
retenu e dépasse celui du cautionnement défi-
nitif.
05 B3
AG la
PROGRAMME DEPARTEMENTAL DE
pRIURITE DE RECONSTRUCTION
DE BIENS SINISTRES.
Par a rrêté en date du 28 décembre 1951
pris su r propos ition de M. le Délégué Dépar:
temental du Ministère de la Reconstruction
et de ru rbani sme et après avis de la SOIIS.
Commission Départementale des lPriorités
chargée de déterminer l' urgence de reco nsti~
tution des bie ns si ni st rés, un ce rtai n nombre
de pr ioritai res ont été admis dans le prog ramme de pri o rité de reconstruction pOlir
195 1.
ILes listes de sini strés reco nnu s prioritaires
sont a ffi chées à la porte principale de chaque
- - - - . . . : : . 0 0 « » - --
et la retenue susvisée sont tous deux rem-
05 BI
AG 0
PERSONNEL DE LA PREfECTURE
ET DES ETABLISSEMENTS
DEPARTEMENTAUX
Mlle COLOMBAN I Antoinette .. ... .•.. . ..
M. GAVAUDAN jean .......... . ........ .
Al RUBY Paul ..... . .............. . ... ' .
Mlle VIDAL Gertnaine .... ' ....... .. , .... .
Secrétaire Principal de 1ère catégo rie
Secrétaire PrinCipal de 1ère catégo ri e
Mme ALBRA 0 Joséphine ............. .
AI. AMBROSI Dominique ... ......• .. ... .
Mme BARTOLI jeanne ................. .
~l BASTIANI Raymond ......... • ..... .
Mme BERANGER Marie .... . ... ....... .
M. BESSON Marcel ..................... .
Mme BOREL Simone .. . ..... ........... .
Mlle BOUCHON Marie-Louise . .......... .
Mme BRU Simone née PHILIBERT .... ' .
M. CANELL Robert ..................... .
Mme CHAPPUIS Madeleine .... ' ....... "
M. CHAUDOIN Désiré ........•...•.... .
Mme DIANA Angèle .. ......... ...•.....
Mme DUBOIS Alexand rine ....•.........
M. DURAND Georges ................. .
.Mlle DUSAN Armande . ..... ... ........ .
M. FERAUD Louis .......... , ...• . ..... .
hl. FONTES Charles ....... .. ... . .. . .•..
M. GAUTIER Paul .. " . . ........•.......
M. GRAUGNARD Henri ... . .. ......... , ..
M. ISOARD Pierre ......... ....... .. •...
Mlle j OUSSERAND Henriette ....... .. .. .
M. LOMBARDO Marc . . .............•....
At. MARCHETTI Roch ............. . ... .
Aille MARTIN Simone ........ , ........ .
Mlle MARTINI joséphine .............. . .
/IIlle MOUREN Thérése ................. .
Mlle /IIOURIER Blanche ............. •..
M. NAVARRO joseph .... . ... •....... ' ' . .
M. PALO/llBO Albert .................•..
M. PIETRONI César ....... , .. . ... .. . .. .
/II. RICHIER Antonin .... . . .. . . ........ . .
/lllIe SANTONI Camille ................. .
A\lIe SIBLEYRAS Irè ne ................ . .
M. TOMASI jean .. . .......... .. , .. ... .. .
Mlle VIER Suzanne . ............ , ... , ... .
M. VOLLAIRE Ferna nd ................. .
/II. LEDI Arsène ....... .... ............ .
Secrétai re Principal de 1è re catégorie
Secrétaire Principal de 1ere catégo rie
Secrétaire principal de 2ème catégori e
Secrétaire principal de 2eme catégo ri e
ec rétaire principal de 2eme catégorie
Secrétaire principal de 2eme catégorie
Secrétaire principal de 2eme catégo rie
Secrétai re principal de 2eme catéO'o rie
Secrétaire principal de 2eme catégo r ie
Secrétaire principal de 2eme catéO'o rie
Secréta ire principa l de 2ème catégo rie
Secrétai re principal de 2ème catégo rie
Secrétai re principal de 2ème catéfJorie
Secrétai re principal de 2ème cat~~o rie
Secrétaire principal de 2ème caté~o rie
Secretaire principal de 2ème- catégo ri e
Secrétaire principal de 2ème catécro rie
Sec rétaire principal de 2eme catégo rie
Secrétaire principal de 2ème catégo rie
Sec r étai re principal de 2ème catecro rie
Secrétaire principal de 2ème caté~o rie
Sec rétaire principal de 2eme caté~orie
Secrétaire pri ncipa l de 2eme catégo rie
Secrétaire principal de 2ème catégorie
Secrétai re principal de 2ème ca téO'o rie
Sec rétaire principal de 2eme catégo rie
Secrétai re principal de 2ème catégo ri e
Secrétaire principal de 2eme catégorie
Secrétaire principal de 2eme catégo rie
Secrétaire principal de 2ème catégorie
Secrétai re princip al de 2ème catéO'orie
Secrétaire principal de 2ème catégo rie
Sec rétai re principal de 2ème catégorie
Secrétaire principal de 2ème catégorie
Secrétaire principal de 2eme catégo rie
Secrétai re prin cipa l de 2ème catégorie
Secrétaire principal de 2ème cat~gorie
Secrétai re prin cipal de 2eme catégo r ie
Secrétaire principal de 2e me catégo ri e
Secrétaire principal de 2eme catégorie
Pour le Pré/et el par délégation
le Secrétaire Général
LAM ASSOURE
visite
post-natale, pourra s Il y a li eu
faveur de son enfant, sous couvert de
le M ~i:e de sa r~s~ den c.e (ou du
ervice social imtIal ement saiSI) qUI donnera
son avis motivé en prescrivant nécessaire-
~onsiellr
~ent que la visite post-nata le a été s ubie pa r
la mère, et que l' indemnité jo urnali ère de
repos maternité, des o rga nismes de Sécurité
Sociale est 'perçue o u non.
Le carnet ordi nai re d' enf ant secouru (o u
notification du rejet ser a alo rs éve ntuellement établi et adressé à la personne qui a
la garde de l'enfant. Les. co upons en seront
4:;)0 0 «;)-
F3
Confo rm ément à la loi du 8 ao ût 1950,
le Conseil Municipal
déli bératio n
du
de
Pa}is, le 26 déce mbre 195 1,
Le Ministre de J'Int érieur
à MM. les Préfets (Métropole),
J'ai l'hon neur de vous communiquer cidessous le programme des stages qui seront
organi sés au Centre National d'Instruction
de la Protection Civile en 1952.
TAXE SUR :LA PUBLICITE
M3Irseilie a, par
30 j uill et 195 1, inslitué,
a
Marsevlle, la taxe sur la publicité. Un arrêté
de M. le Maire de Ma rseill e a fi xé au 1er
j a nvier 1952 la date d' application de cette
mesure.
possibilités d'hébergement du Ce ntre étant
limitées, je ser ai cont raint de renvoyer Iles
Officiers de sapeurs-pompiers qui effectuer aient spontané ment le déplacement à Paris ;
dans ce cas, les frais de voyage i ncomberaie nt intégralement aux intéressés.
Je vous prie de m'adresSer, dès que possible, les noms des officiers cIe sa'peurs-pompiers et des ca ndtdats officiers désireux de
suiv re l' un de ces sta ges.
Pour le Millistre el par dél égation
l'Inspecteur Général de l'Administration chargé du Service
National de la Prot ection Civile
Stages ordinaires : du 21 janvier au 2
février ; du 11 au 23 février ; du 3 au 15
mars ; du 2 1 avril au 3 mai ; du 5 au 17
mai; du 15 au . 27 septembre; du 3 a u 15
novembre ; du 17 au 29 novembre.
Stages de préve'n fion : du 17 mars a u '5
mil ; du 9 a u 28 juin
décembn.
André PBLABON.
SC 7
STAGES AU CENTRE D'INSTRUCTION
DE LA PROTECTION CIVILE EN 1952
0 2 B3
Au cou rs de l'année 195 1, ce rt ains ca ndidats aux stages se sont enco re présentés
sans avoi r été régulièrement convoqués; les
---
02 B3
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué,
LAMASSOURE.
S tage d'éducation physique : du 29 sep·
tembre a u 18 octob re.
payab les chez le percepteur.
temental du Ministère de la Reconstruction
et de l'Urbanisme, 50, rue Saint-Laza re.
Marseill e.
----c>oo«;)----
,
j
a~resser une nouvell e demande de secours
ou dans les bureaux de M. le Délégué Dépar.
les promotions ci-après énum ér ées ont été
prononcées dans ~e Cadre Dépar temental
Nouvea u grade
d~ son. enfanl et dans
's qui suit, la benehcl al r.1.! de la dite
mOI
,le
. su b'1 0 bl'l ~a t Olrem~n
'
t
allocation, après aVOir
M ai rie inté ressée et peuvent êt re co nsultées
à ,la Préfecture, 5me Division, 1er Bureau
Par arrêtés en date du 15 décemb re 1951,
Noms et Prenoms
- b) A la naissallce
du, 1er au 20
•
Communiques - Avis
Annonces diverses
GOmPlOKIQOU DO SEGBETBBIBT
DE l'OHIOI DES lIlBIHES
ERECTION D'UN MONUMENT A LA
MEMOIRE D'ELIE CORRADI, MAIRE
DE SEPTEMES.
La commune de Septèmes a décidé de perp~tuer le souvenir de son regretté maire, Elie
CORR ADI, par l' érection d' un monument qui
serait placé à l'entr ée du cimetière com munal, dont l'agrandissement a été une de ses
derni ères œuvres.
En vue de fai re appel à la généros ité des
ami s de CORRA DI et de recueiUir les fonds
néct;ssaires à la r éalisation de ce souvenir,
un Comité a été constitué.
Les dons seront reçus individuellement par
le Maire de Septèmes, ou pourront êtr e ver-
sés au C.C.P. 551-38 /IIarseille que le Comité
s'est fait ouvrir.
DEMANDE O'EMPLOI
M. BERTRAND Vita l, domicilié au P u)'
(Hautes-Loire), 6, place Michelet, désirerait
obtenir un emp loi com mun al, de prefé rence
de secr étai re de mairie.
L'intéressé, âgé de 49 a ns, a été empl oyé
pendant
plusieurs
années
au
Le Bureau de j'Union ne doute pas que
les Maires des B.-du-Rh. auront à cœur de
manHester, à cette occasion, leur sympathie
à celui qui fut toujours un ami si ncère et
très dévoué pour tous.
Le Secrétaire Général de l'Union,
service du
Ravitaillement Géné ra l de la Vi ll e du Pu)'.
MM. les Maires intéressés par cett e ca ndidature vo udront bie n se mettre directement
AUD IBERT.
-------<>00<>------
en rapport avec M. BERTRAND.
----·<>00<»--- -
FS 2
OD.P.
ALLOCATION fORFAITAIRE DE REPOS
AUX fEMMES ENCEINTES
En exéc utio n du décret du 8 novembre
lflOl (Journal Officiel du Il novembre 195 1)
supprimant l'assis tance aux .femmes en couches et les primes d'all aiteme nt, il est prescrit .que sur le bud get départemental, la
Direction de la P opulation acco rdera une
aMocatio n forfaita ire de repos aux femmes
enceintes do nt le foyer sera dépo urvu de
ressources. .
Pa r sa ci rculaire d' application n/l ?OO,
Monsieur le Ministre de la Santé publiq ue
et de la Populatio n donne les directives sui·
vantes :
a) A vant les couches. Messieurs les M.aires
(ou Messieurs les chefs de services sociaux)
voudront bien désormais transmettre to ute
demande de secours formulée par les f.emm e5
encei ntes
sous le timbre : MonSieur 1e
Directeu; Départemental de ,la p op ulatio n et
de l'Entr' Aide Sociale (service de l' Assistance
à l'E nfan ce), 66 A, rue Saint-Séba~t"n, Mar·
sei ll e, dès la dernièr e visite prenata le du
8me mois de g rossesse.
L eur avis devra êt re motivé su r le q ue~
tio nn ai re (barré vert) qui peut êt re . réciam
dès à prése nt ainsi qu'il est indiqué cI_dessUs,
L'ayan t droit (femme enceinte ?u
taire) recev ra à sa résidence, ap:~s
ma.n~a~
d~ ISI~u
de Monsieur le Prélet, soit notificatIO n bl
rej et de sa demande soit le mandat paya ,.
chez
etc ... ).
tout
comptabi e
pu bli c
(percepteur,
U
Copie certi6éc eobt.rma.
POUT ~ Préfrt :
S,crJltJ;f'~ Ch.if'1Il : LAMASSOURL
�IQUE FRANÇAISE
Jaafier 1952
DES
10' Anné., - Numéro Sp'clal
BOUCHES-OU-RHONE
Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance r elative au Recu eil doit être adressee à la Préfecture Secrétariat Général
ABHÉV.A TIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. -
C. : Circulaire -
D, S, T. : Directio n des Services Technique •. mentale de la Population.
Les lettres ~ et. B suivies d' un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. D. S. : Dlfeclion Dépa rtementale de la Santé, -
D. D. P. : Direction départe-
AG 0
D6 B3
lv.[édaille d'I-Ionneur du Travail
ARRETE
Le P ré let d'es Bouches4\j-Rhône,
Officier de la Légjon d! Honneur.
Vu le décet du 15.l,\ai 1948 institua nt la
Médaille d'Honneur Œu Tr"",ail,
Vu l'arrêté d u 30 Juin 1948 fixa nt les conditions d'application du <i~cret susvisé
Vu le ~cret n' 5 1-41 du 6 Jan vier 1951
modifia nt le décret précéde nt ;
Vu la délégatio n acco rdée aux Préfets par
arrêté de M. le Ministre du Travail et cie la
Sécurité Sociale en date du LO Janvier 195 1,
Sur la proposi tion de Mc le Secrétaire
Général,
A l'occasion du 1er Janvier 1952,
ARRETE:
ART ICE PREMIER, -
La MMai))e d' Honneur
du Travail en argent est décernée aux perSOnnes dont les nQms suivent :
MEDA ILLE D'AIRGENT :
ABDALLAH Ben Mo hamed, ouvrier raffineur
aux Raffineries die sucre de St-Louis.
kBRI!\.L Jules, a llumettier a ux Manufactures
d' Allumettes d'Aix.
Mlle AGLfETTI Jeanne. raffineuse aux Ralfinenes de Su.cre de St-Louis.
AI GOU I Louis, chef de Divisio n aux Houi llièTes du Bassin d'e Provence.
ALB~~IC Albert, gérant et caissier dans la
Maison Pkon et Cie.
Mlle ALBNE Fanny, sténo-dactylogra)1he
A~;ns la M-aison Daher et Cie, transitaire.
ARO Ignace, employé emballeur a·ux
Ii~lfefles A. Roux et Savonneries J.B. Paul.
",LARD Alfroo, chau dron nier aux RaffiMnenes d~ Sucre St-Louis.
I~ AMPHOUX Thérèse, chef d'e service au
Ml; édi t Comm .,cial de France.
AI\'DRE Marie-A ntoinette, mécanograANDe au Crédll Commer,c ia l de France.
1.. RE Marc, em ployé à la Société MarseilANDI$t de Crédit.
d'ARuE VK:tor, a llumettier à la Manufacture
Umettes d'
AM
J.
ANDREANI Jean, l'ortier à la Sté Française
pour l'In dustrie d'e J' Aluminium.
ANIJHEJ Victor, manŒwvre à la Sté dies
Blan cs de zi n de la Méditerranée.
ANGLESSY Léopold, retraité min eur des
Houillères du Bassin de Provence.
ANGLESSY Antoine, mineur de fo nd aux
Hou illères ~ Pro,vence.
Mme ANTOUL y épouse GIACOBB I Marie,
raflineuse .à la Sté des Raffineries de Suc re
aux Houill ères du Bassin de Provence.
BARRIN Eugène, commis principal à la Cie
Géné rale Transatlantique.
Mlle BARTHALOT Théodora, premiè re ve ndeuse aux Chaussures Bai1ly.
Saint-Louis.
ARGA UD Philippe, chef d'équipe à la Sté
M.innière et MÉtallurgique de Penarroya.
ARNAUD Jean, dessinateur principal à la Sté
des Chantiers et Ateliers de Provence.
ARNAIUD N\arius, ouvri er min eur aux Houillères du Bassin d'e Provence.
Mme ARRIGH I épouse BURKARD Jeanne,
raffineuse aux Raffineri'es de Sucre St-Louis
AUBERG IER Paul, dessinateur projeteur à ln
Standard Française des Pétroles.
AUBERT Auguste, sous-chef de Service à la
Cie de Navigation Mixte.
AUiBERT Louis, retraité mineur aux H ouillèr es d'u Bassin de Provence.
AV6NA Jean, ouvrier spéciaJisé de fabrication .à la Cie Alais Froges et Camargue,
J\t\lli e AYMAR Eugenie, raffin euse à la Ste des
Raffine ries de Sucre St-Louis.
Mlle BADARAQUE Julia, Secrétaire-Comptable sous-principale à la Banque de France.
BAGN IS Jean, ouvrier aux
Bassin de Provence.
Houillères du
BAHAR Alexand re, cont remaître électricien
à la Sté- Proven ça le de Constructio ns Na-
vales.
BA IN Germélin, visiteur d'entretien à la Sté
An. des Chaux et Ciments de Lafarge et
du T.,I.
Mme BALDACCINI Vve BERTOLOTTI Virgin ie. raffineuse
M'lie BAST ARDY Louise, eml'Ioyée de maison chez Ml Allard-Rey, à Cabannes.
Mm e BATIFO ULfER épouse AISSIOUI Maria, raffineuse à la Sté des Raffineries de
Sucre St- Louis.
BARBERO François, journalier à l'extérieur
à la Sté des Haffineries
cie Sucre SI-Louis.
BANEGAS Pierre, verrier aux Verreries dlu
Quey lar.
BASSO Mathieu , retraité ~s Houillères du
Bassin de Provence.
BASTIEN Leon dit Rnoul, représentant a ux
Etablissements Dh"ille et aux Etnblisse-
BARTHELEMY Henri, retraité <les Houillères dU Bassin ce Provence.
Mme BARTHELDIY épouse AUBERT Mari e-Louise, employée à la Sté Gé nérale
Transatlantique.
M'me BARTHELEMY él'ouse GENOVESIO
Julia, raffineuse à la Sté des Raffineries de
Sucre St-Louis,
BARTOLOMEI Arna udo, cher de poste il la
chaufferie de la Cie Nais Froges et Camargue.
Mm e Baudet épouse FOUQUE Marie-Thérèse, a llumeltiè re à la Manufacture d' Allumettes do' Aix,
Mlle BAUD1NO Marie~~lagdeleine,aide-comp
table à la Cie Alais Froges et Camargue.
BAUME 6douanl, clief de fabrication il la Sté
Générale des Pâtes Alimentaires de France.
BAUX Gaston) rouleur aux
Bassin de Provence.
Houillères du
Mme BELLOT épouse GA Y Antoinette, employée à la Sté Marsemaise de rédit.
BESNARD Joseph, sous-di'recteur aux Etablissements Ku'hlmann.
BERZERO Antoine, oha uffeur de four à la Sté
des Blancs die ûn de la Médlterranée,
BERTHAULT Marcel, ajusteur à la Sté des
Raffineries de Sucre St-Louis.
BERTHOMŒU Jea n, Directeur il la Ci. Générale Transatlantique.
Mme veuve BEeK Eugénnie, cuisinière à la
1\ taison Cassoute et Cie.
Mine BERTOLfNO épouse TASSIOSTRO
Marian.,., employée c hez M. JOSBPH Grisolle.
BBRAtRUJ Antoine, manœuvre de fabrication
à la Sté Colo ni ale des Chaux et Ciment,.
�BERAOOO MieIlel, agent de maîtrise il la Sté
Marseillaise du Sulfure de .Carbo~e.
.
BERNUS Louis, ajust~ur~oll!t\leur a la Ste
Provençale tiIe Constructions NM'ales.
•
Mme BECANI épouse TE.RRENO Césanne,
employ~ de bu reau à la Sté des Raffineries de Sucre St-LoUIs.
BELTRANDO Jean, ouvrier môcanicien à la
St. A. et G. Gardn et C"'.
BENEDETTO André, mine ur du fond aux
Houillères du Bassin de Provence.
.
BIANCO Henri agent œ maitnse œ fabrication à la éie Pechiney Gar.danne.
BIANUCCI Joseph, contremaitre peinntre à la
Sté d'ApJ1lieations Techniques.
Mme BIOLIONE Vve COULOUBRlER Marie,
manutentionnaire aux Ets A. Garbit.
Mlle BLANC ,Marie-Jeanne, employée de maison chez '.\\. Brunet Fernand, ind'ustJ'!ioel.
BLANC R~né, comptable aux Houillère; du
Bassin de Provence.
Mlle BLANC Marie-Denise, infirmière à la Sté
œs Raffineries de Sucre St-Louis.
BLANC Blaise, garçon de recettes au D'édit
Lyonnais.
BLANœEZ Ju les, Directeur Technique aux
Nouvelles Huileries Cah·.t Delit.
BOCQUET Raymond, Directeur à la Cie
Générale d'Entrepnses Electriques.
BOISSE Auguste, Commis principal il la Sté
1mmo bilièr'" •...lar.seillaise.
BOLSSIERE. fienri, comptable il la Banque
Franco-Chinoise.
BON Louis, peintre il la Sté <l'Applications
Techni'l""S.
BONAL lIIaurice, cuiseur il la Sté des Raffinen.,. de Sucre St-Louis.
BONETTO François, 'Contremaître aux Etablissements Coder.
BONGIOANNI Pierre, <:o mp table à la Société
< Agricola >.
BONIF Ay Germai n journalier aux Houillères
du Bassin de Provence.
BONNAUD François, sous-chef de Service
à la Banque Franco -Chinoise.
BON ET Charles contremaître à la Standard
Française des Pétroles.
BONNET Auguste, Intendant à la Cie Générale Transatlantique.
BONN lOT Joseph, sous-brigaclier des garçons de bu reau à la Cie des Messageri es
. Ma ritimes.
BOREL Ja cques, chauffeur conducteur a
l'Enrre..-ise c Paul Richar » .
BOSSY Lazare, agent œ maitrise de fabrication à la Cie Alais-Froges et Camargue.
BOSSY Baptistin, aHumettier retraité de la
Manu facture
venCe.
d'Allumettes
d'Aix-en-Pro-
Mme BOVERO Vve LOMBARD Lucie, femme
de ménage chez Mme veuve LOUis
Cordesse.
Mme BOUIL LON épouse DBM()L Catherire.
employée de maison chez JI\. Germain Clément.
BOURGAUD Marius-Casinrir, allumettier a la
~lanufacture d'Allumettes d'Aix.
BOURRBL Y Elisée, chef compta ble aux
Houillères du Bassin de Pro\'ence.
BOURRELLy Aimé, retraité des Houillères
de Provence.
Mme BOUTEILLON Augustine, aHumetti ~re
à la Ma nu facture d'A llum ettes cl' Aix-enProvence.
Mme BOUVIER é';>o use CASSANT Marthe,
caissière compta!>le à la Sté Anonyme < Au
Lion d' Arles ,..
.Mlle BOYER Marie-Lowse, raffineuse à la
Sté des Raffineries de Sucre St-Louis.
BOYER Victorin, ouvrier du fond aux HOUIllères du Bassin de Prove~ce.
.
BREMOND Marius, aHumettier retra lt~ Je 1.
Manufacture d'Allu mettes d'Ai •.
Mlle BREMOND Marthe, sténo-dacty'o aux
Comploirs Dufay et Giga ndet.
.
BROQUIER Paul. essoreur aux Etabl!ssements Fraissi net.
.
,~\me BRUN Blanche, mécanicienne ;i 13 Ste
cf.es Anciens Ets E. Cauvin Yvos~ . .
Mlle BRUN Maria, Professeur de dessm chez
Mlle Delaage (: Co ur de jeuneg fill~s .~ .
hl~lJ,NO Desir';, raffineur à la Ste de Ilaft lll cri es de SUNe St-Louis.
BRUNO Louis. emballeur aux Grands Mouli n_ <le Belle-Vue.
.
BLIFFARIA François, empl o~é de bureau a
la Sté des Raffineries de Sucre St-LouIS.
BUI~LE Pierre, Econome il l'Ecole Supérieure
<le Commerce.
CA.DASSUS Gabriel, chef. de Servi..:e ~e,
manutentions dans la MallSOn Oa:her et C lt.
Mlle CA..'v\OIN Thérèse, télép honisk au x
Etablissements Garbit.
CANDULLO Pascal, peintre ma, ne et bâtiment Ste d'Appli-cations Techniques.
CAI'ERI Anto'ne, chef plombier au x EtabliFsements Kuhlmann .
CAlRfillGNANI Emi le, gara giste il la Sté A.
et G. Garein et Cie.
CASINI Jean, vlIvrier ()entretben A la Stl! des
Raffineries de Sucre St-Louis.
CASTE l\wni us, retr aité des H ouim'res du
Bassin de Provence.
CASU Sauveu r, peintre
j
la Sté d'Applica-
tions Techniques.
CA TA.F AGO Rodiolp he, ouv rier raffineûr il la
Sté .des Raffine ries d" Sucre St-Louis.
CA VA ILLES Lou:s, employé a u Créclit Lyonna is.
OAZORLA Fulgencio, rell'aité des Houillères
du Bassin de Provence.
.
Mme CE.CCALDI Marie, sténo-dactylo princlp:t le a la Cie des Messager ies Ma ritimes.
Mm" CHAIBAlIINE Vve BARRAL Henria, raffineuse à la Sté des Raffineries de Sucre
Saint -Louis.
CHAl>ASSI3RE Annet, allumettier il la Manu tacture d'Allumettes d!'Aix-en-Pro ven:e.
CHAljNARD ft ntonin, ohef de <lha ntier principal â la Sté des Gra ndi Tra va ux die Macseille
CHICUSE Milrtial, ga rço n die bureau " la Cie
Gé nérale d'Entrep rises Electri ques.
OHMo1iSELLAN Maurice, 'Inspecteur Gé nérai
dt!s Jvtan ~ltfntionnai res à la Cie Générale
Transatlantique.
Mme CHAR,BONN IER é\X>'Use OOUX Anna,
Secrétaire sténo-dactylo à ta Cie AJ ge rie nll~
de Crédit.
M.me CHAUVET épouse LAMiBERT Eulalie,
raffineuse à la Sté des Raffineries die Sucre
Saint-Louis.
CHAUVIN Henri, ouvrier vemisseur dans la
Maison Massi-Giordano.
OHEIK BEN KOUIDER, allu mettier retmité
de la Manufacture d'Allumettes d'Aix -enProvence.
CICALA ,Bastien, contremaître à la Sté <l'Applica tions Tech niques.
OJUTI Albin, ouvrier d'entretieD à la Sté des
Raffineries de Sucre St-Louis.
COL Ange, agent de maîtrise à la Sté des
Ralfineries de Sucre St-Louis.
COLA J.oseph, macmniste au x Houillères du
Bassin de Provence.
COLANSON Jean-Baptiste, allumeltier retrait,
de la Manufactu re d'A llumettes dl Aix-enProvence.
OOLOMBON Jules, lapissier dans la Maison
René Gauthier.
COMBES Charles, employé à la Sté des Raffineries de Sucre St-Louis.
CONAT Maurice, ingénieur à la Sté anonyme
pour la COllstrucholl et l'EntreHen dIS
Routes..
CONSTi\NZO JoseJ>h, chef d'équipe peintre
aux Etablissements Coder.
Mme CONTI épouse MACE Anna, raffineuse
à la Sté des Raffineries d.e Sucre St-Louis.
CORAZll Honoré, su us-c hef co mptable oà la
Sté des Raffineries de Sucre St-Louis.
CORB INBAU Mar;us, emplo yé il la Sté des
Raffineries d·e Sucre St-Louis.
Mme CORTES I épo use CHARREL M~lÎs,
raffineuse à la Silé des Raffineries oe Sucre
Salnt-Louis.
COSME Félix, mineur de fond aux Houillères du Bassin de Provcn<:e.
COTTE Henri, Sec rétaire Général à la Cie
Française de l'A.frique Occidentale.
Mme COTTOJ'I veuve PINDILLI Madeleine,
ra fifineuse à la Sté d·es Raffineries de Sucre
Saint-Louis.
COULET Emile, .dépositaire de la Maison
c: Chocolat rMenier ;) .
COUSTOULIER Alexa ndre, machi niste aux
Houillères 00 Bassi n de Prove nce.
CReHANGE Nu ma, fond~ de pouvoirs" la
Sté des Raffineries dl> Sucre St-Louis.
CUBI3DDU Jean-Ma rie, co nducteur die locomot.ive électrique aux Houillères du Bassin
de Provence.
DAt.EST Fernand , fo ndé de !louvoirs au x
Compto.ir$ Dufay et Gigandet.
DAVID Etienne, emp loyé a l'Ecolle Natio nale
d'Arts et Métiers, Aix-en-Provence.
D8BUT Marius, ouvrier â la Sté d'Exploitation des Tabacs et d'es Allumettes de Marseille.
DECAP Pierre, caissier à la ,Banque de
France.
DELOUTE Jean-Pierre, retraité mineur des
Houillères du Bassin de Pro vence.
DE!LNONDEDIEU Paulin , employé de bureau
à l' In.d:ustrielle Maritime.
DELUCCHI Anto ine, caissier à la Sté ,Provençale die CO llstru-ctions Navales.
DElPEYRE Adolphe, peintre à la Sté des Raffine r<Ïes de Sucre St-Lou is.
DeRiSSARD .Fernand, ouv ri er <Ile jour aux
Houill i:res d u Bassin de Provence.
DE SABOULIN BOLLENA Frédéric, employé
il la Banq.ue de Fran ce, Ajx.
,.
DISCOUH M1arius, ouvrier qualifié électnclen
à la ,Cie Pechiney, usine de Garda nne. .
DI TOSTO -Do minique, surveillant de fab rication à la Sté cles Chaux et Clmennts de
,Portland.
DJELLOUL Charl es, co ndu cte ur lithographe
à la Cartonn erie Im primeJ'lle <Ile Longcham~
Mme D'ORSO épouse BURLE Rose, Secr taire à l'Ecole Supérieure doe Comme.ree..
Mme DUCASSE épouse ANSELME Melanie,
employée de maion .chez ~. Eu gène Gen~lt:
DURAND Alexis, empJoyé a la Sté Mars"
laise Apparei llage A. Botta.
.
DURAND Antonin, tuyauteur aux Etablissements Rocca Tassy dl> Roux.
. aU
DUR,BEC Fla nçois, fond é de pOUVOIrS
CrédH Commercial de France.
' tre
DUTTO Joseph, pose ur <lescaliers â 1En prise Paul Abrk
,
~
EM.o\NELLI lHa'l>tistin, tourneu r a la
des rC~a nti ers et Ateliers die prove,nce. uJ
ESCARLAT Romam, ouvrier d'ateher a
f ;urière
Houillères de P,rove nce.
Mite ESCOT Clémence, dacty!o aC fiB.
au x Etablioements Léonard Pere et
3
--
POSITO "nge, chaudronnier aux Etablists Carel Fouche et Cie.
,fIt!NeNE Célestin, mineur retraité d~s HouilE.
du Bassin de Provence.
~~~~CHE M>lrcel, ajusteu r il la Sté des
E Chantiers et Atelie.'~ die Provence:.
EVA Ludovic, retraite des Houllh eres du
.
Bassin de Provence.
EYMIEU épo use DUPONT Marguerite,
Mme 1 ée au Crédit Co mm en."'Ial <Ile France
empoy
.
.
. 1 C' d
EYSSAUTIBH LUCie n, pOin teu r a a le es
Messageries .Man1:lmes.
ES
fACC HINI Guiseppe, mineur de fo n·ct aux
HouiUëres du Bàssi n de Ptrovence.
.
fA ISSAT Fernand, sous-chef comptable a la
Oie Algérienne.
fANUOCI Domin ique, employé chef de section à la Sté d'Exploi tatio n d'es Atehers
de Menpenti.
.
,
,.
FASANO jesualdo pein tre a la Sté d Apphcations Techniques.
. ,
.
FAURE Clément chef menuISier aux Etabhs.
.
sements j{uhlmann.
Mlle FAURE IMarie, employee de maison chez
Mme veuve H enr i Chabert.
.
fAURE-IWLLAND Ju l·es, chaud ron", e'. sur
cuivre <A la Cie Gé néra le T ransa tla ntique.
fllRRARIS LOllls, contremaitre à la Sté Commerciale et Industrielle du M"Jj .
FERRIER Louis, allumettier à la Ma nufacfure 0' Allumettes d'Aix.
...
f lORANO AI'exa nd!re, ouvrier raffmeu.' a la
Sté des Raffineries de Sucre St-LouIS.
.FLORENS Henri employé ve ncleur à la Sté
Anony me Ton{barel Frères.
fLORIO Alphonse, chal'pentier fe r â la Sté
des Chantiers et Ateliers de Pro ve nce.
fONT ANA HA VA Marcel, chef d'atelier aux
Houillères du Bassin de Provence.
.FRASOINELLI Jean-Baptiste, aj usteur à la
Cie Générale Transatlantique.
FREGIER César, agent de maîtrise de fond
aux Houillères du Bassin d.e Provence.
'GAJAN Jose ph, employé à la Banque FrancoChinoise.
(jALERON Albi n, chef de groupe à la Cie
Géné rale Transa tla·ntique.
."Ime GA LLI épo use MATHERON Marie,
raffineuse à la Sté des Raffi neries ete Sucre
Saint-Louis.
o(]ALLIEN Maurice, fondé <le pouvoirs il la
Sté Marcel de Bou uillanne et Cie.
-GARCIA Gaspard, verrier aux Verreries du
Queylar.
(]ARCIN Jea n, ret rai té mineur œs Houillères
du Bassin de Proven ce.
.Mme GARDE IL éuouse CHARRIER Marthe,
raffineuse à la Sté etes Rafineries de Sucre
Saint ...Louis.
Mlle GARELLA Thérèse Secrétaire comptable principale à la Ba'nque de France.
"'tme GARIGLIO épouse LON GUEVILLE Mane, raffineuse à la Sté d'es Raffin ... ies de
Sucre St-Louis.
<JAROUTTE Eugène, employé aux Etablissements Rocca Tassy de Roux.
(JASCIOLLI Oetave, employé de bureau à la
C1C Génnérale transatlantique.
(JAUDY JOS~P h , Directeu r d' Agence il fa Cie
de Navigation H.P.L.M ,Po rt-S ai nt- LouisdU-RhOne.
'~CULTIBR Victor, to ume ur à la Société <les
hanhers et AteH'ers de Provence.
Marius, employé de bureau à la
~tandar<
des Pétroles.
GAKDON Augustin., employé à l'Electricité
de France.
GAZELLE E<louard, emplo yé au Magasin
Général.
GEORGETTI Alred, chef ouvrier à la Sté des
Chantiers et Ateliers .(le Provence.
GENEVET Clément, gérant du Syndicat Agricole Etablissements Rieu, Châteaurenard.
GENSOLEN Louis, employé de bureau à la
Cie des Messageries Maritimes.
GENTIL-PBRRET Joseph, électr·icien à 1. Sté
Provençale de ,Construct ions Navales.
M"'le CHEYSSENS épouse AIRASCA PauI.ine, raHi neuse à la Sté d.es RaHi neries de
Sucre St-Louis.
I\I\me GHINAMO épouse BERN I Adrien ne,
raffineuse à la Sté -des I{affineries dre Sucre
Saint-Lou is.
GHO Paul ouv ri er raffineur à la Sté des
Raffinerd~s die Sucre St-Louis.
Mme GIAN I épouse MA.RTIN Marie-Anne,
raffineuse à la Sté des Raffineries de Sucre
Saint-Louis.
GIANOTT I En rLco, retraité des Houillères d'u
Bassin de rProve nce.
GIDE Léon, ca issier de 1re classe à la Banqu e de France.
.
Mme GIORDANO épo use GALLO Marne,
oérante des Eta blissements Fraissinet.
GIRARDI Duminique, chef lampiste aux
H oui ll ~ères du Bassin de Provence.
GIR AUD Camille, employé il la Société
Générale.
GIRAUO Victo r, ouv rier cre fond aux Houillèresdu Bassi n de Provence.
GORLERO Jean, chef ma gasinier à la Cie
Alais Froges et Camargue.
GORLIER jean, chef de contrôle à la Cie des
Messageries Maritimes.
Mme GORLIER Vve GUELFUCCI Marg ueri te, raffineuse à la Sté des Raffineries de
Sucre St-Louis.
GORETTI \ ictor co n<lL'C teur d'e self à la Sté
Coloniale des Chaux et Ciments de Portland.
.
Mme GOUDARD épouse GUIOT La zanne,
raffineuse â la Sté des Raffineries die Sucre
Saint-Louis.
GOU IRAND Louis, empl o~é de bu reau à la
Sté drs Raffineri es de Sucre St-LoUIS.
GRAND-DUr AV Roger, géran t de la Sté des
Comptoirs 'Oufay et Gigandet.
.
Mlle OI~OS Jeallne, comptaWe chez M. LOUIS
Sicar.ct.
Mm e GROSSO Vve PADOV}\NI Thérèse,
emjJloyée à la A\anufacture d'A llumettes
de .Ma ,seille.
GUERIN Marcei, chef de Service au Credit
Commercial <fie France.
GUIEN Paul el11ployéâ la Sté des Raffineries
de Sucre St-Louis.
GULIVI ARD Léon contremaitre all x Etablissemen ts Kulhm a nn, Port-de-Bouc..
.
Mme GUINTINII épouse FRION Mane, ra ffl ncuse à la Sté des Raffineries de Sucre
Saint-Louis.
GUGUELMET ;1Ibert, peinlTe a la Standard
Fran çaise d:e s Pëtroles.
Mm e GUGLIERI épollse BATTUT Adrienne
emplovée de bureau à la Sté des HaHlll eri cs
S u cr~ St-Louis.
de
HAUGER Lou's, caissier à la Société Général,
HENRY Joseph, liv reur it 10 Sté Marseillaise
de Cor respondance.
HOUVENAEGHEL Charles, fondé de pouà la Cie Algérien",..
ICARD Edmond, magasin ni er aux Ets J.-jCarnaud et Forges de Basse:lnd!re:
,
ISOAflD I Alexandre, ouvrier raffllleur a la Ste
des Raffineries de Sucre St-LOUIS.
JAYNE A'llguste, agent de maitrise à la Sté
des Raffineries de Sucre St-LOUIS.
JEAN Re né, méca nicien. de . remorqueu r à la
Cie Gé nerale de NWlgahon H.,p.L.M.
Mime jEANSOLIN épouse CHAtBAS Germa ine ouvriere méca nrclenn e dans la maIso n Zimbler et Fils,
Mlle JOURET 'Ma ri e-Louise, employée de
maiso n cnez Mme PoJlak.
JOURDAN Hen,ri, employé aux écritures li
la BanquE' Franco-Chmolse.
. .
Mme JULIEN di vorcée BOSSY Jutia allumettière à la Manufacture d' Allumettes
d'AIX.
JULLIBN Jea n, mach inisle aux Houillères du
Bassin de ProvellCe.KATZURAIKI Manolis, chauffeur de ch aud'ère aux Etablissements Fraissinet.
Mme LA.FFON épouse LOMBARD joséplhine,
raffin euse à la Sté des RallfineiÎes <1.~ Sucre
Saint- Lo uis.
LAGET Syl vère, mineur d~ fo nd aux Houillères du Bassi n de Pro vence.
LAG IER Flav ien, chef d'atelier aux Ets. Il.
Montel.
L AMIBE I~ T O Marius, pointeur de bennes aux
Houillères <hu Bassi n de Provence.
LAlP LANE Edoua"j" Directeur <te \' Agence
de M.arseille Comptoir National d'Escompte
de Paris .
LARGE Etienne, bri gad ier de comptoir à la
Banque de France.
LAU.aIER Fortuné, employé de bureau à la
Sté des Raffineries de Suore St-Louis.
LAULA,GNET Henri, tapissier en meubles
dans la ."-1aison Jean Reison.
.
LBRDA François, ouvrier spécialisé de fabncation à la ICic Pecr.liney, usine de Gardanne.
LESQUE LOl/is, chef comptable al a Banque
Franco-Chinois~.
L'HOPITA L Alexandre, "epr'sentant à la Sté
anonyme IMorteau « Chocolat Klau::; Jo.
Mme LIPPI épouse BERNARD INI Anna, -raffi neuse à la Sté des l{affint!riL"S lie Suerl!
Saint-Louis.
LONG .\'I",eol, chimiste à la Sté anony me
cites Chaux et Ciments de Lafarge et du
Teil.
LONG Roger, électricien à la Sté anonyme
t'l'es Chaux et Ciments de Lafarge et du
Teil.
LONG Va lentin, retraité mineur des 1I0uillèr~ s du Bassin de Provènct:.
LUCINI Egisto, ouvrier ra riineyr à ia Sté des
Raffineries de Sucre St-LoUIS.
LUCKAS Auguste, allumettier à la J\\anufacturc d'Allumettes d'Aix-en-Provence.
MACOHI Virgilio, agent de maitrise il la Sté
-des l~affineries <i'e Su-cre St-LoUIs ..
Mme ,M"CCHI épouse A ' DRE .~\,na, raffineuse à la Sté des Haffineries Ole Sucr&
. .
S.:tint-Louis.
MAGN AN I Settimo, manœuvre spéCialisé de
fabktcation il lia Cie Pechiney, usme de
Gardanne.
MA ILLET Léon allumettier retraité de la
l\'\anufacture 'd'A llumettes d'Aix-en-Pro·
ve nce.
Mme MALAGMLBA épo use LAUnUN Catherine, raffineuse à la Sté des Rafii neries de
Sucre St-Louis.
�MANTEL jean représentant des Ets Lory.
\ARCHETTI ioseph, ralftneur à la SI< des
Raffineries de Sucre St-LoUIs.
J\'\ARCHE1TI Armand, sun'eillant au, Etablissements Magnan Frères.
MARCHINI Sylyio, raffineur . il la Sté des
Ra lfinèlles de Sucre St- LoUIS.
.
1I\ARIA 1 jean homme de peute dans la ma.son Hubert
Vautier et Fils.
MARINETTI .\\athieu, ajusteur à la Cie Générale Transatlantique.
Mme MARINO Vve GALLO )\\a~leine, raffineuse il la Sté des Raffineries de Sucre
Saint-Louis.
MARRO André, retraité mineur des Houillères du Bassin de Provence.
MARRO Giorgio. rdra.1< minellr des Houillères du Bassin de Provence.
1IL-\RTEL Charles, employé au Crédit Lyonnais.
MARTE LOTTO LOUIS, retraité mineur des
Hou illères du Bassin de Provence.
MARTHELOT Henri, Directeur d'e la ,' Iaison
de _\larseille ~lanufacture française d'Arm~s et C\'cles de Saint-Etienne.
MARTI , ' Louisl chauffeur a la Standard
de
Française des Pétroles.
MARTI!\UCCI Giovanni, oUI'ner raffineur à
la St" des Raffineries de Sucre St-Lou is.
MARZ O .'>Iar ius, égoutier il la té des Grands
Tral'aux <le Marseille.
Mlle .\IASSA-TRLJCAT Thérèse, raffineuse il
la Sté des Raffineries de Su cre St-Louis.
MASSEUBE Alfred, menuisier à la Sté des
Chantiers et Ateliers de PrO\~enc e.
MASSI Remo, contremaitre dans la Maison
MASSI Giordano.
Mme MATrEA épouse BASACCO Adrienne,
raffineuse à la Sté de Raffineries ete Sucre
Saint-Louis.
1I1lIe -"lA TTEO juliette, ounière fourreuse
dans la Maison Maxime Zimbler et Fils.
lI\AU REL\\arius. Directeur du Centre omptable à la Ste Marseillaise de Crédit.
1I\AURIN Charles, ajusteur il la Ste Prol'ençalel <le Constructions Navales.
MAYA DE Paul, chel ~ Service adjoint à
l'Industrielle Maritime.
MEGE\'E."H Fernand, chel comptable il la
Sté Française pour nndustrie ~ 1'.~lumi
nium.
MICHALJD Pierre, chef de laboratoire aux
Etablissements Kuhlmann.
.\\lIe .\\OURRA IL LE Marguerite, Secrétaire
de Direction dans la Maison Mas~ Giordano
Mme MùUTON Vve VALLE Antomette, raffineus. à la Sté d", Raffineries de Suare
SaInt- LOUIS.
Ni\DjAR I Albert, c!lel de sen'ice au transit
#
dans la Malsol1 Commerciale des RIZ et
Légumes s.,cs.
Mme NAPP I 1 Vve SBRAGGI -Charlotte,
. raffineuse a la Sté des Raffineries de Sucre
St- Louis.
NEOELECH joseph, chef d'équipe docker à
la St~ c1eS Tïavaux et Industries !\·\anhmes.
NEGRE Henri, chef d'équipe menuisier à la
Sté Provençale de ConstructIOns Navales.
NEGREL Gustave
pompier de foo d aux
Houillères du Bassin de Provence.
Mm e NEGRON I ';pouse PAUL Nathalie, contrem3ltresse à la Sté des Raffineries de
Sucre St-Louis.
NORIGA Simon, ouvrier m~neur aux H ouillères du Bassin
cLe Provence.
OCCHETTO joseph, o uvrier d'entretien il la
Sté des Raffineries de Sucre St- Louis.
ODON I }ean, chef d'equrpe
ajusteur
aux
Eta blissements Coder.
Mme OLIVIER épouse ANGELIN Marie-Henriette J vendeuse dans la Maison Auguste
de Nibbio.
OLLIER Jean, allumettier retraité de la 1'Aanufacture d'Allu mettes d'Aix-en-Provence.
OLLIVE Salomon, retraité mineur des Houillitres du Bassin de Provence.
Mlle ORTOLAN Lou ise, ouvrière à la Manufaclure d'A llum ettes de Marseille.
PACHE jean, commis l'principal à la Cie
Générale T'3nsatlantiqlil>.
PALIS Jean, employé au Crédit Commerci al
de France.
PALISSE Hubert, chef égoutier à la Sté des
Grands Travaux de .MarseiUe.
PANDOLfl Augu tin surveillant il la Cie
des Messageries Maritimes.
PAOLI joseph, garçon <le bureau au Com ptoir National <t'Esconrpte d~ Paris.
PAPADI.\1AS Jean, ouv rier d'entretien à la
Sté des Haffineries de Sucre St-Louis.
PASTORELLI jean, fondé de pouvoirs il la
Sté Marseillaise de Crédit.
PATEGNOTIS Stratis, graisseur aux Ets.
Fraissinet.
Mme MICHEL épouse BERENGER Fernande
géran te aux Ets Fraissinet.
Mlle MICHEL Apollonie, employée de maison d.lez .\1me Pasquier.
f,UCHEL Fernand, chaufteur de camion à la
Sté Indvstrielle et Commerciale du Midi.
MICHEL André, mineur aux Houillères du
Bassin de Provence.
MICHOT Marcel, secrétaire aux Grandes
Minoteries il Fèves de France.
J
MILHE R1>ger, contremaître à la Cie Général e Tr.n,atlantique.
MIOUSS ET Lucien, agent de ser"ice hors
classe retraité de la Banque de France.
MOGGI.~ Antome, perceur à la Sté des Chantiers et A reliers de Provence.
MONCHIETTI joseph, agent de maîtrise il
la Stt Française pour l'Industrie de l'Alu-
minium.
,MON lEP Etienne, monteur dl appareils d1smbuteurs il la Standard Française des
Pétroles.
MONTEREAU jean , Directeur au Crédit
d'Algërie et de Tunisie.
Officier
PAYAN Edmond . mineur de fo nd aux Houillères du Bassin de Plrovence.
PEANO Léon, ouvrier qualifié chaudronnier
à la Cie Pechiney, usine de Gardann e.
PECOUD Emmanuel, chef de serl'ice à la Sté
PELLEGRL~ Jea n, chef d'équipe
à la SI!
rrançaise pour L'Industrie cre: \' Alumintum.
Mme PETRUZZELLI Vve BOZZI Emilie
employét: aux
Ets Molinari et Vautrin:
clattes.
PEY RON Albert, chaudronnier il l'Entrepris<
des Grands Tra\'aux Hydrauliques.
Mme PEYROTTI épo use BESSOLO Meri,
employée de bureau il la Sté des Raffinenesd'e Sucre St-Louis.
PH ILIPPE Maurice, chef d'e ntrepôt à la Sté
ete
l'Accumulateur Fu! men.
PlH IIJIIPPON Fernand, chef die groupe à la
Cie Génerale Transatlantique.
PICARD Charles, chef de service il la Sil
cles Raffineries tle Suc.re St-Louis.
PICCONE Victor, peintre à la Sté d'Applications Tet..:hniques.
PIEI{RI jean-Ba ptiste, contremaître à la Sté
des Nouveaux Etablissements A. Puget.
PIj OTAT Amedee, chef de bUreall à la St!
Nouvelle de la Cie Algerienne <le Credit
et de Banque.
POLLASTRI jules, allumettier à la Manulacture d'Allum ettes d'Aix-en-Provence.
PON CET Albert, fondé de pouvoirs aux Et,.
J.-\. Carnaudl et Forges de Basse- Indre.
PRIOU ZEAU Henri, agent de labrication à
la Sté des Chantiers et Ateliers de Provence.
PROTAIS André, comptable à la Banque
Franco-err.inoise.
PUB ILL Jacques, la veur aux Ets Fraissinet.
PUCCINELLl Soli mon. commis principal à la
Cie de Navigahon Fraissinet.
PUGNANT Josep h, co upeur de savon à la
Sté df'S Prod'uits Chimiques « Agricola
RAFFAEL Fernand', chef de service à la Ban·
que Commerciale Itahenne.
RAMIER Marcel, sous-c.hef comptable à la
Sté Marcel de Bouillanne et Cie.
.
RAMIN Antoine, chef de bureau il. la Sie
ano nym e des Chaux et Ciments de Lafarge
et du Teil.
. .
RAMOS Ramon, mineur....piqueur aux HOUllh:res du Bassin ete Proven ce .
RA.rvtPAL Auguste, livreur à la Sté Mar-
seillaise de Co!'respondance.
Mme RAM'PA L épouse HENRY Louise,
.
1'0'-
Iière à la Cie Générale Transatlantique.
RAMPAL Gilbert, chef de service il la Cham·
I>re de Cemmerce.
.
RAPLJ ZZ I Lo ui s. retraîté mineur des HOIIIIlières du Bassin d.e Provence.
.
RAVEL Baptistin, ouvrier de fond aux HOUJ1lères du Bassin de Provenc e.
. .
RAVEL Virgile, ouvrier de fond aux HO,UlIleres ddu Bass;n d.c Provence.
Marseillaise d'e Correspondance.
PEOGI Pierre, mineur de fond aux Houillères
du Bassin de Provence.
Mme RAYMONO \ 'ye .\ŒGE Thérèse. employée il la Sté Française pour l' in dust,,e
PEILLE 'Al ichel, garçonde bureau à la Sté
des Raffineries de L1 cre St-Louis.
PELAS Germain, manutentionnaire à la Sté
des Raffineries de Sucre St-Louis.
PELISSLER Aubin, mineur de fond aux
RAZZAROLI Alfred , che! d'atelier à la '
MarseUlaise d' Industrie.
de
LEBECQ Pierre, retraité de la Sanque
France.
Sté <leS
REBOUL Alexa ndre, portefaix à la
Houillères du Bassin -d'e Provence.
PELOUTIER Marius, mineur de
Raffin eries de Sucre St-LOUIS.
fond aux
Houillères du Bassin de Proven ce.
PENCO Antoine, manœuvrier à la Sté Provençak de Constructions Navales.
PERSI Antoine, manœuvre à la Cie Générale
T ransa tl antiq ue.
PETIT Gaston, employé de bureau il la Sté
des Raffi neries 'de Sucre St-Louis.
PETRI NI Pierre, 'etraité min eur des Houillères du Bassin de Proven ce.
retraité mineuT
sr
de l'Alumininum.
REYMOND Pa ul , employé au Crédit Lyon'
nais.
C Ainé·
REYNAU,O \osep h, e mployé à la .. ,
Ti enne de Crédit.
'ennes
REV ILLA Joseph, employé aux Anc'
Entrep ri ses Léon C.hagnaud et Flls. Raffi.
RICARD Marcel employé à la Sté des
neries de
Su~re
St-Louis.
Valentin,
A
à la Dis-
GASSIO Fra ncesco, ouvrier d' entreti en il la
RI Sté des Raffineries de Sucre St-Lows. .
ROCCA François, aide. magasln.er a la C.e
Générale T ransatlantique .
Mlle ROLANDO Jea nn e, raffi neuse à la Sté
des Raffi neries de Sucre St-LouIS.
hUle RA MANACCE Angèle, emp loyée aux
écritures à la C.e Sm ger.
ROMANO Amato, piqueur œe sel à la Sté
d' M,plieations Techniques.
Mme ROSSELON ~ve SIMON Marie- Lcruise,
raffi neuse à la Ste des Raffmerl es cte SUCTe
Saint-Louis .
•.
ROSS I Séverin, contrema .lre a la Sté Nou\'eHe de TTafle Mantlme.
ROUBAUD André, mét reur co mptable à l'E'Iltre~rise Rebufat et C.e.
,ROUGlER Albin, portefaix à la Sté des Raflîneries tle Sucre St- LouIS.
RAOUL Fortuné, fondé d~ pouvoirs il la Sté
des Raffineries de Suare St-Lou.s.
!lme ROlJX Vve GILIBERT Berthe, .. !fil
nellse à la Sté des Raffineries d!e Sucre
Saint-Louis.
RUGG I Ermano, che! de poste aux Houillères
du Bassin de Provence.
RUSSO Henri, sous-chef de Service à l' InMlle SA INT AVIT Geneviève, Secrétaire à
la Cie Alais Fro ges et Camargue.
.
SALADIN Gabriel. ouvrier spécialisé de fabrication à la Cie Pechiney , usine de Gardanne.
Emile, mineur
Houillères du Bassin de
de fond au x
Proven cee.
SAMBUC Alarc, caissier à l'Agence du Crédit
Lyonnais de Salon.
SANTIMON I Vito, savonni er aux Huileries
A. Roux et Savonneries j.-B. Paul.
SAREDI Emile, chef d'atetier aux Etablissemennts Coder.
SAllRAZIN jean, employé au Créclit Lyonnais.
SAUCLES Franck, chef de fabrication aux
Etablisse ments J.-J. Carnaud et Forges de
Basse ~ndre.
SAVAN' r A!RA Noë l manœuvre aux Houillères du Bassin d~ Provence.
SA VOURN IN
Léoll,
retraité
mineur
des
Hc>uilIères dtu Bassin de Pro vence .
SCASSO Maurice, ouvrier d-e fond aux Houillères du Bassin cl:e Provence.
SCAS-SO Félix, manutentionnaire à la Cie
Générale Transatla ntique.
Mme SCAVIO
res du Bassin de Provence.
M'Ille T AtMBINI Marie, repasseuse-teinturière
aux Etablissements Fraissinet.
Mlle TARROQUE Maria, ra.!fineuse il la Stè
des Raffiner;es de Sucre St-Louis.
Mme TINTOR I Vve BALDIN I Ernesti ne,
raffi neuse à la Sté <1~ Raffineries de Sucre
Saint-Louis.
roCHE Edmond" employé au Crédit Co mmercial de France.
Mme TORELLI épouse BEVERAGGI Angèle,
manutentionnaire dans la Maison
J. la-
motte.
TORN ER Joachim, chef d'équipe aux Entreprises de Grands Travaux H y{jg"a ulictues.
Vve TRAVERSA
Ouvrière spécialisée aux Ets
J.-J.
Santine,
Ca rnau d
et Forges de Basse-Indre.
SCOTELLARO Dominique, chaudrolUlier fer
a la Cie Générale Transatla ntique.
SL ~MANI Ali, retrai té mineur aux H ouillères
au Bassin de Provence.
Mme TRAVERSIER épouse BARBE Rose,
raffineuse à la Sté des Raffineries de Sucre
Saint-Louis.
llR1NCI Orlando, ajusteur méca nicien aux
TR INCI Angelo, mineur de fon d aux Houillères du Bassin de Provence.
TROTEBAS Auguste, allu mettier à la Manu fact ure d'A Uum ettes d'Aix.
TROVERO Etienne, agent de maîtrise à la
Sté des Raffineries de Sucre St-LouIS.
TSAUKIS Panayotis, ingénieur dessinateur
à la Sté Meridionalel d' Industne.
UNAL-SERRES Louis, géra nt de la SousAgence dn Crédit Lyonn ais, Mar.tigues.
URAS Lu igi, ajusteur à l'Entrepnse André
Borie.
Mme VALFRE épouse DE CONTl jea nn e,
co ntremaitresseà la Sté des Raffineries de
Sucre St-Louis.
VALLA üRI Giacomo,
retraité
min eur des
H ouillères du Bassin de Provence.
VALLET Anclré, agent général de la Sté A.R.
L. Gira udon et Flls.
VANRENTERGHEM RaymoruJ: caissier principal à la Sté des Raffineries de S ucre
Saint-Louis.
VASSIA Barthéle my, contremaître il la Sté
des Chantiers et Ateliers die Provence.
V J\SS IJ\ Albert, traceur il la Sté des Chantiers et Ateliers de Provence.
VAUDANO Clovis, contremaître .chef à la
Sté anonrme des Chaux et C.ments de
liherèse, raffineuse à la Sté des Raffineries
de maison
A T ITRE CO LONlAL
BECARUD Paul, agent colonial il la Cie
Française de l' A!rique Ocoidentale.
BEINET Robert, agent colonial à la C ie
Française de l'Afrique Occidentale.
A TITRE POSTHUME
COMIBAL Alexis, manœuvrier à la Sté des
Chantiers et Ateliers de Provence.
•••
M:EDAILLE DE VERMEIL
ART. 2. -
La Médaille d'Honneur du Tra.
vail en Vermei1 est décernée aux personnes
dont les noms suivent :
ANDRE Marius, gardien de nu it aux Raffineries ae Sucre St-LoUIS.
ANGLESSY Léopold, retraité mineur des
Houillères de Provence.
.
AUBERT Auguste, retraité min eur des Houillères du Bassin de Provence.
AUGLER Gabriel, sous-chef de Service au
Crédit Lyonnais.
BADETTI Louis, représentant aux Etablissements Fraissinet.
BARRET CHestin, chef comptable . à la Sté
d~s RaffmePIes de Sucre St-Lou.s.
Mme BARTHELEMY épouse NATTA Au!!Usta contremaîtresse à la Sté des Raffi-
~eries
de Sucre St-Louis.
Mlle BARHIELE.\\Y Madeleine, ohef de
groupt il la Cie Générale Transatl.antiqu~.
BA YET Emmanuel. <hei comptable a la C.e
des "Varrons-Foudres de Marseille.
BER 1 Pà'"'scal, manœuvre aux Glacières de
Pans.
BELICAR Antonin, caissier-comptable à la
Sté des Fils de Michel Storione, minotiers.
BERTHON Marius, so us-chef de Service il
la Cie de Navigation Fraissinet.
BERGER Mathieu, caissier <le l'Entrepôt de
.~\arseille, Etablissements Economiques du
Casino.
Mme VEN Florence, dacl ylograp he aux Ets
Garbit.
"
.
VENTU RA Alphonse, oUl'ner mmeur aux
BOU DIER Ehenne, employé cte bu reau à la
de
Messa geries Maritimes.
Mme VIALE épouse FISQUET Antoinette,
raffi neuse à la Sté des Rafflnenes cte SUCTe
S de Sucre St-Louis.
ERIS PaU l, conservateur au Crédit ComSEmercial de France.
RRA Lazare, manœuvrier à la Sté de TraMI~:uX et Industries Ma ri times.
du Bassin de Provence.
ZUOCON I Pierre, chaudronnier il la Coopérative Métallurgique cie Provence.
groupe aux
VAUDEQUIN René. chei
Française pour l' Industrie de l'Alurnjnium.
Mme SEIlAF INI épouse MARCONCINI Marie-
Bassin de Provence.
ZUCCHIN I Charles, retraité des Houillères
BERNA DAC Théodore, fondé de pouvoirs à
la ,\Iaison Louis DREYFUS et Cie.
BLANC Charles, retraité des Houillères du
L afarge et du Teil.
Houillères du Bassin de Pro vence. .
VERAN Paul) ouvrier de fond aux HOUillères
du Bassin d:e Provence.
Raffin eries de Sucre St-Louis.
Cie Algérienne.
W IL M()U ni j<lseph, mécanicien à la Stf
des Blancs de zinc de la Méditerranée.
ZERBONE Jean, porion aux Houilléres CIa
çaise pour l'Industrie de l'Aluminium.
STAVROULAKIS Emmanuel, raffineur à la
Sté des Ralfi""ies de Sucre St-Louis.
STEPFAN Godefroy, conlremaître il la Sté
SEGU IN Timoléon chef <le fabrication aux
Etablissemenls L~r y.
SOOU IN Emlle, chef de service à la Sté des
WALKER Maurice, fondé de pouvoirs à la
TORRES Lucas, contremaître il la Sté Fran-
Chantiers et Ateli ers de Provence.
dustrielle Maritime.
SALVAOIOT
Mlle SICARD-NA.Y Denise, magasinnière à
la Cîe Alais Froges et Camarg ue.
S ILVAGNO LI Emile, agent technique principal aux études il la Sté P rovençale de
Conslructions Nava les.
SUZANNE Maurice, manœuv re aux Houillè-
Saint-Louis.
.
VILA IN Gaston, che! d'a telier aux Etablissements Coder.
..
VINC IS Effisio, retraité mineur dies HoulllcTes du Bassin de Provence.
~.
VIRAT ELLE André, comptable aux EtablISsements Coopérative Pharmaceutique française.
.
V1TALIS Julien) ouvrier d'ateher aux
lières du Bassin de Provenœ.
VITALIS Paul ouvri<r
de
LI
1
"1
OUl-
Bassin de Provence.
Cie Française de l'Afrique Occidentale.
BOURGALJD ~Iarius , ajusteur il la Manufacture d' Allumettes d'Aix.
BOURELL y Auguste, constructeur d'appareils à la Ste anoe)'me des Chaux et
Ciments die L1.fanze et du Teil.
B.oUSWUET Ad rien, kchlli~iell d'exécutio n
à "En treprise Rebufat.
.
BOUVIER Félix, conducteur de chaud.ères
il. la .ste Fran~aisc ;tour l'Industrie et l'Aluminiu m.
BOYER Baptistln. ga rde à la Sté anony me
des Chaux et Ciments de Lafarge et du
Teil.
BOYER loseph, sous-maître
mineur
HouiUèÏ'es du Bassin de Provence.
a ux
�...
Mlle BRUN M.1tia professeur de dessin chez
Mlle Delaage,
de J""nes HUes.
SUSSO Dominique, retrarté mrneur des
Houillères du Bassin de Provence.
CARLIN P ierre, retraite mineur des Houillères du Bassin de Provence~
CATELL! Dominique, plombier à l'Entreprise
Rebutat.
CAUVIt'l jean, agent de maitrise. à la St.
des Raffineries de Sucre St-LouIS. . .
Cours
QERUTII Dominique, rouleur aux Houdleres
du Bassin de Pro\'ence.
CHAIX joseph, sous-airecteur de l'Agence
d'Arles, Comptoir National d'Escompte de
Paris.
CHATAGNIER jean, gérant de bureau all
Crédit LyonnaIS.
COLANSON jean-Saptiste, chaudronnier à
la Manufa.cture d'Allumettes d'Aix-en-Prove.nce~
COULo.\\S Pasoal, tourneur à la Sté Pro"ençale de Constructions Navales.
DARMOND Marius, bhef d'atelier à la Sté
Provençale des Constructions Navales.
DELAGOUTTE Henri, contremaître allX
Grandes A\oinoteries à. Fèves de France.
DELECLUSE Alphée, eontremaître à la Sté
Française pour l'Industrie de l'Aluminium.
DE LIGUORI Paul, maitre-laveur aux Etablissements Fraissinet.
DO.\tBRE Fréck ric, ingénieur en ehef à la
Cie de Navigation Fraissinet.
ESPANET Marius, manipulateur central au
Crédit Lyonnais.
FABRE Louis. caissier au Comptoir National
d'Escompte de Paris.
FOURNIER Claudius, comptable aux Fé"eries de la Méditerranée.
FRANCISC! jean, manœuvre spécialise à la
Standard Française des Pétroles.
GALLAND Marius, manŒuvre aux Chantiers
Navals de La Ciotat.
GARRIDO jerôme, fondé de pouvoirs au
Crè!lit Commercial de France.
GAROUTE jean, controleur gé néral adjoint
au Crédit Lyonnais.
GASSIER Gaston, employé compta ble au
Crédit Lyonnais.
GAZEL Etienne, retra itê min eur aux Houillères du Bass.n de Provence.
GENEVET Clement, géra nt du Syndieat
Agricole. Ets. Rieu, Châteaurenard.
G IANELU Auguste, chef de travaux, ajusteur à la Sté f'ro"ençale de Constructions
Navales.
GIRAUD j oseph, employé comptable au Cré-
dit Lyonnais.
GRAZIANI Antojne, manœuvre spécialisé
fra ppeur à la Cie de Navigation Paquet.
GUEYDON Louis, ouvrier mineur aux Houillères du Bassin de Provence.
HOSTACHY Auguste, chaudronnier à la Cie
Chambon.
f1,\sERT Emile, Direclur de la Sté Marseillaise de Sulfure de Carbone.
j.\QUET Ennemon , papettier massicotier aux
Papeteries F. Barjon.
JOURDAN Mari us, forgeron à la Sté Provençale de Constructions Navales.
JOURET ·Marie-Louise, emplo yée de maison
chtz ,\ lme Raoul Pollack.
LANGUEDOCQ Marcel, Inspecteur d'assurances à la Cie d'Assurances c "Abeille >.
L~LANE Edouard, Directeur de l' Agence
LAURIN Hippolyte, ajusteur aux Etablissemen'" C. Coq et Cie, Aix.
LA VAL Louis, garçon de recettes à la Sté
des Raffineries de Sucre St-Louis.
LERDA François, ouvrier spécialise cie labricatioo à la Cie Péchyney, usine de Gar-
danne
LONG Baplistin, mineur retraité des Houillères du Bassin de Provence.
LUCCINI F,redéric, raboteur à la Sté Provençale de Constructions Navales.
MACONE Raymoo<l, contremaître à la Sté
Nouvelle de Trafic A\aritime.
Mme MARCOLLI épo use ESQUISITO .Marie,
contrôleuse aux Etablissemennts Fraissinet
MARIOTTI Charles, forgeron à la .Manufacture d'Allumettes ' d'Aix-en-Proovence.
MARTIN ENQ Alexandre, ingénieur à la Sté
des Chantiers et Ateliers de Provence.
MATHIEU Séraphin, agent technique de
falxication à la Sté des Chantiers et Ateliers de Provence.
MILANO Dominique, serrurier à la Sté Provençale de Constructions Navales.
MILHAUD Paul, to urn e"" de métaux aux
Etablissements C. Coq et Cie, Aix.
M ILLET Marius, comptable à la Sté les Fils
de Michel Storione.
MIlLLOT Hen ri, employé de sous-Agence au
Crédit Lyonnais.
MOUREN Philippe, pointre chez M. Chabaud
j osep h.
NEDELECH joseph , chef d'équipe docker
il la Sté des Travaux et Industries ~ri
tlmes.
OUDIN Georges, r eprésentan t des Manufactures Hartman n et fils, S.A.R.L.
PANAZZA Auguste, emp loyé à la Cie des
Messageries
~Yla r i times.
PAOLI j oseph, garçon de bureau au Comptoir National d'Escompte de Paris.
PELLETIER Louis, Directeur Commercial à
la Sté des Raffineries de Soufre Réunies.
PERROTINO -M aurice, conducteur d'a pp.,-eils
à la Sté des Chaux et Ci ments de Lafarge
et du Te il.
PETRUZELLA Pasca l, co ntremaître docker
à la Sté Générale de Transbordements
M.. itimes.
PEYSSELON Marius. tourneur à la Sté Provença le de Constru ctions Navales.
PIEYRE Léopold, ajusteur à la Sté Provençale de Constructions Navales.
PIN Pierre, tou rn eur décolleur à la Sté Provençale de Constructtio ns Navales.
POLLASTRI )u le<;, bo urrelier à la Manufacture Française d'A llumettes d'Aix- en-Pro-
vence.
Mlle PORLEZZA Rose, co ntremaitresse aux
Etablissements Puget.
RAPELIN Raoul, mallcevu re spécialisé aux
Etablissements Coq et Cie, Aix.
RA VEL j oseph, retraité mineur des Houillères du Bassin de Provence.
RA YMOND Marius, chef de section à la
Société Générale.
REBI..lFFAT Marius, retraité mineur des
Houillères <Pu Bassin de Pro vence.
REYNAUD Arman d, agent de maîtri se à la
Sté des Rafineries cie Sucre St-Louis.
RICARD Louis. retraité mineur des Houillères du Bassin de Provence.
RICA-RD Marius, ret ra;té mineur des Hou illères du Bassin de Provence.
RICHAUD Pierre, " hef de rrroupe à la Stt
des Chantiers et Ateliers
de
Provence
RUEZ Marius, agent de maîtrise à la Sté' d
Raffineries de Sucre St-Louis.
"
SABATŒR Alexis, dépositaire des Etabli.. ,.
ments Garn~er et Ponsonnet
S~LVAIRE Ba,rthelemy, retraiié mineur des
Houillères du Bassin de Provence.
SCANAVINO joseph, mac hiniste verrier aux
Verreries du Queylar.
Mlle SI GRE Angèle, comptable à la Sté Pro.
vençale de Constructions Navales.
SILLA/'fl Pierre, ouvrier spécialisé ajllsteur ;
la Cie Alais, Froges et Camargue.
SOUBESSENS Victor, manutentionnaire aux
Etablissements A. Puget.
-
,,"II>nAN Mjchel, "ontremaltre à la Sté
"ï.Iéditerranéenne de Constructions Nava les .
MATHIEU Séraphin, agent techniqu~ à la
fabrication à la SocIété de<; ChantIers et
Ateliers de Provence.
MEZZO Raymond, contremaître à la Société
R. Paulet et C Ie.
MOUREN Philippe, peintre chez M. j osep h
Chabau<l
Mme PALUM Françoise, ouvrière aux Etablissements fouT.nÎer-Ferrier.
pORZIO joseph, che d'équipe allX Forges
M.éradoLL
7
VERDURA Aim é, contremaitre chef à la Sté
des Chantiers et Ateliers d'e Provence.
ZUCCOI\'J Pierre, chaud.ronnier à la Coopérative Métallurgique de Provence.
MEDAILLE SOJXANTENAIRE
ART. 4. vail
ta Médaille d' Honneur du Tra-
« soixa ntenaire
ART 5. - M. le Soeretaire Général de la
Préfecture est charge de l'exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des
A<:tes Administratifs et dont une ampliation
sera transmise à M . le Ministre du Travait
et de la Sécurité Sociale.
Marseille, le 1 j a nvier 1952.
> est décernée aux per-
sonnes dont les noms sutvent :
Mme JALLET,
Vve
CECCAtDl
Margue-
rJ,te , pantalonnière à domicile dans la Mai-
son Huber.! de Vautier et Fils.
tE PREFET :
,Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué,
Guy LAMASSOURE.
TABAN I Angiolo, emballeur chargeur à [g
Sté des Chaux et Ciments <le Lararge et
du Teil.
TARTON j ean, raffi neur à la Sté des Raffi.
lneries de Sucre St-Louis.
THERRAMATrE j oseph, chef des garçons
de bu rea u à la Sté cles ,Raffiner res de Sucre
Saint-Louis.
TREM-BLAIS Léon, allumettier retrailé de la
Manufacture d'AUumettes · d' Aix-en-Pro.
vence,
TRINel Orlando, ajusteur m0ca nicien aux
Chantiers et Ateli ers de Proven ce.
TR INCHEHO Antoine, chau dronnier riveur à
la Sté Pro ve nçalel de Constructions Nava-
les.
Mme TRON épo use BOYER Antoinette, con_
trem aîtresse aux Ets Frai ssinet.
TSALIKIS Panayotis, ingénieur dessinateur ( \
à la Sté Afér id ion"le d' Industrie.
Mme TUHELLO épo use GORI Rose, raffi·
neuse à la Sté des Raffine6es de Sucre
Saint-Louis.
VITALIS Eugène, retraité mineur des Houil·
lères du Bassin de Prov ence.
ZUCCONI Pierre, chaudronnier à la Coopérati ve Métallurgique de P rovence.
A TITRE COLONIAL
CORDUR IES Alban, ad'ministrateur à la Cie
Française de J'Afriqu e Occidentale.
.
FREAU Gaston, chef de service à la CtC
Française de l'Afrique Occidentale.
RIB EYRE Paul, agent ç olonial à la Cie Fran·
çaise de J'Afrique Occidentale.
A TITRE POSTHUME
COSTI Gu iseppe, contremaître à la ~o~ielé
Française pour l' Industrie de l'Alunllnium.
RAPPEL DE MEDA ILLE DE vm.\I'EIL
ART.
Copie cerlifiée conforme :
Pour le Préfet :
Le SecrMai" Général
LAMASSOURE.
3. -
Le raJYJ",1 de la Médaille J' Hon:
neUI ctu Travail en Vermei l est décernée aux
personnes don t les noms suivent :
BOYER Léon , a brrent de maitrise à la Standard Fra nçaise des Pétroles.
BHEMOND Lou is, cl,lCf de service à la SI!
Généra le de Transports Ma ritimes.
. IJ
BRUNY Delphin, emballeuf cha rgeur ~
So.dété anonyme de Lafarge et du Tel l.
. . la SI!
CAR,LE Francis, fond é de poUVOIt a
.'A:arseilla isc de CrécJj t.
.
dron'
CEOCALD I Vinee nt, co ntrema ltre chau llc'.
orcr à la Société Provençale de ConstI
tia ns Navales.
FIGAROL Pierre, typog raphe à l' Imprimerie
du Vieux-Port.
-
___ ........ _ ..... z.u.
lit. . . 6&1'"
'
�RÉPUBLIQUE
24 Janier 1952
FRAN(;AISE
10' AllDé.. -
DËPARTEMENT
N' •
DES BOUCHE.S-DU-RHONE
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute corre spondance r elative au R ec ueil do it être adressée à la Préfecture Secré tariat
Général
SOMMAIR.E
Arrêtés réglementaires el Circulaires
Pages
Paies
AG O. -
Annonces judiciaires légales
13
P 8. - Cond itions d'entrée et de séjour
A O. -
ba ux rura ux
du
en F ra n c~ des m embr es d.es for ces
armées belges et canadiennes ....
14
15
Méùecins agréés pour prati-
Cha mb.es d'Agri cultu re des
Bouches-du-Rhône. - Blectio ns géné-
prénuptiaux et pré nataux ......... .
pour le recru te ment d'u n Inspecteur
départementa l des Servkes d' Incendie. - Préfecture de la Creuse ..... _
d~pa rtem ental
15
1
\
Paies
16
Avis de Co n CO urs su r titres
pour le recrutement dl un Inspec teu r
vue de la déli vrance des certificats
14
Avis de Concours su r titres
SC 7. -
q uer les exa mens racijoscop iques en
A O. -
ral es de 1952 ....................
SC 7. -
départ ement d:es
Bouches-du- Rhône
FS O. -
Communiqués, A vis, Annonces diver. .
Commission consultat ive des
des Services d' Incen -
die et de SecoUIS. _ Préfecture de la
Haule-Savoie .............. . ......
16
ARRËTËS REGLEMENT AIRES ET CIRCULAIRES
' D582
AG 0
ANNONCES JUDICIAIRES ET LEGALES
ARRETE
Le Préfet iIes Bouch es-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur.
Vu la loi du 23 Décem bre 1941 , modifiée
par l'ordonna nce du 12 AV'rii 1945, dQ nn a'l1 t
pOuvoir au Préfet de chaq ue dépa rtement de
désigner SO us certa in es co nditio ns, les jOUTn~~ x autori sés à pu bli er les anno nces jud"Clatres et légales et fixa nt le tarif <l,es dites
annonces.
Vu les circul aires télégra phiques en da ..
du 28 Décembre 1945 et du 4 Janvier 1946
de M. le M~ nistre de l' Inform a ti o n ;
Vu l'arrêté préfectoral du 30-1 2- 1950 ;
Vu les instru ctio ns en date dJu 20- 11-1 951
de M~ le IMinistre de l' Infor mat io n ;
Sur la Propositi on die M. le Secrétaire Géné rai de la Préfecture,
AARETE
Article .Prem ier. ~ Sont seu ls susceptibles
de recevo Ir les a nn o nces exiO'ées pa r les lois
POur la va li dité de la pu b li c~tio n des procé~~~es ou des co ntra ts, a u cou rs de l'année
~hô2, dans le dé partement des Bo uches-d uo ct ne, les JOu rn a ux désignés ci-après par
r re alphabéti q ue.
MARSEILLE
JOurnau Q / ..
x uo Idlens du matif/ .
L. France de Ma rsei IJe et d u Sud-Est, 56,
rueL
Grign
a n, Ma rseille.
Ma;~e~!~seillaisel 15, Co urs dll Voeux-Port,
Le Mér' r
..
seille
le lonal, 18, ru e St-Domi nique, Ma r~
Le· Prov
seille
ençal, 75, rue de la Da rse, Ma r-
L'A nte nn e de Ma rseiJle, 33, ru e Jea n-F rançois-Leca, Ma rseill e.
Journaux Quotidiens du soir.
Le Soir, 75, ru e de la Darse. Marseille.
Jo urnaux Périodiques.
L'Ag riculteu r P rovençal, 15, rue Ed mo nd-
Rosta nd, Ma rsei IJ e.
Le Bull eti n Officiel de la Vi ll e de Ma rseille.
Jou rn a l de Ma rseill e, 19, rue Vent ure, Ma r-
seille.
j.o urn a:l des Anno nces Judiciai res et Légales, 37, rue P a radis, Marsei ll e.
Jo urn a l Ma ritime du Port de Ma rsei ll e. 35,
r ue Fried land, Marsei ll e.
Le Litto ral, 27, rue Gueymard, La Ciotat.
Massa li a, 16, Cours Ple rre..Puget, Ma rsei ll e.
Mid i Comme rcial et Judiciaire, 6 1 rue Grig na n, Marseille.
.
Publicatio ns Marseillaises, 38, r ue ParadIS,
.Ma rseille.
Petites AHiches Ma rseillaises, 33, rue Grignan, Marsei ll e.
Semaine Judiciaire, 19, rue de la Darse,
Marsei ll e.
AIX-EN-PROVENCE
Le Courrier d'Ai x, 24, rue Espa riat, Aix.
P rovence Lihérée, Co urs Mirabeau, Aix.
La Voix de Provence, 10, rue Joffre, Aix.
La Ter re de Provence, 20, rue de l'Opé ra,
Aix.
ARLES
L'Arl ésien, Place Jos.-Patrat, Arles.
La Li berté, 16, r ue du Marché-Neuf, Arles.
SALON
TARASCON
Le Commercial de Tarascon, 4, r ue Salair e,
T arasco n.
La Gazette Prove nçale (pou r l'ar ro ndisseme nt d'A,les seulement), Avigno n, 45, ru e
Ca rreterie.
Art. 2. - Le ta rif des anno nces judiciai res
et légales est fixé pou r l' a nnée 1952 ai nsi
q u'il suit :
- Pour les journaux quotidiens( d u mat in : 75 francs, du soi r ; 70 francs.
- Pour les journa ux périOdiques, 60 fr.
pa r lig ne de tre nte lettres-blancs ou s ignes,
le nombre de li g nes étant calculé au li gno-
mètre du corps employé de fi let à fi let.
Art. 3. - Le même tarif sera appliqué en
ce qui concerne les annonces et publications
dans les affaires domianales ou administratives, specialement en ma tiè re d'expropriation pour cause d'utilité publique;
Ar t. 4. - Ce tarif est réduit de moitié en
ce qui concerne les publications sui\'a ntes
relatives :
1" Aux jugements de faillite, aux convocations et délihërations des créanciers ;
2° Aux ventes judiciaires d'immeubles dont
la mise à jrix est inférieure à 8.000 francs,
confo rm éme nt à l'a rt. 5 de la loi tlu 23 octob re 1 8~4, mod ifié par le décret-loi du 17
juin 1938 ;
3 P Aux contrats et proc~dllfes dans le i
affaires suivies par appli catio n des lo is des
29 no\'embre et 7 décembre 1850 et 22 ja nvier 1851, su r PAssistance Judi cia ire;
Art. 5. - Lorsque la lfgne aura plus de
trente lettres fe prix de l'insertion augmentera en proportion Liu nombre de lettres s upplémentai res ; le nombre de lett res à la ligne
sera décompté suivant les règles typog ra-
�15
tographie, et mentionnant les nom, prënoms, date de naissance, le grade, le ser\'Ïce et, s'il y a lieu, le numéro matricule.
b) Ordre d~ mission coll ectif ou indi\'iduel ddl\' re par les autoritês belges ou
par un service relevant d'une orga nisatio n
militaire inter-alliée et attestant que l'intéressé (ou l'unité dans ~e cas d'un o rdre de
mission colleltif) fait partie des Forœs
armées belges.
c Ces facilités ne sonr, toutefois J pa~
applicables aux membres de la famille ou il
tout autre personne à la cha rge d' un militaire belge.
c: Vous voudrel bien donner aux sen'ÎceR
intéressés de \'otre département, les instructions ne essaires pour l'application de ce
régime qui entre en vigueu r le 15 janvie l
1952 •.
2" Circ uia ire n" -l9 ~ :
Je vous informe-qll' à la suite d'un 'ar rangement intervenu entre le Gouvernement
Français et le Gou,·ernement Canadien, les
membres des Forces Armées Canadiennes
bé néficieront de facilités particulières pour
l'entrée et le séjour en France.
c: Devront être co nsidérés, pour l'application de ces facilités. conlme membres des
Forces Armées Canadiennes : le personnel
des armées de ter re, de nier ou de l' air du
Canada, en uniiorme.
c Les membres des Forces Arm ées Ca na di.e nnes ainsi définis seront dispensés, pour
penetrer en France, des fo rm alités de passeport et de visa.
.
c Ils ne seront pas davantage astreints à
J' obligation d'obtenir un titre de séjour au
delà d'un sejour de trois mois en France.
hls de\'ronr, toutefois, se soumettre au
contrôle des services de police français lor3
de leur entree sur notre territoire ou à la
sprtie ainsi que penda nt leur séjour et justifie r de la possession des documents ci-après:
a) Carte d'identité personnelle, délivrée
par les au tontés ca nadiennes munie d'une
photographie et mentionnant' les nom prénoms, date de naissance, le g rade le s~r"lce
et, s'il y a lieu, le num éro matric'ule.
'
b) O rdre de .missio n cotilectif ou individuel ré.digé. en a nglais et français délivré
p!l r les autorités candie nnes ou par un se rVice releva nt d'u ne organisation militaire
i~te :-~lJiée, et attestant que l'i ntéressé (ou
1 unite dans le cas d' un o rdre de mission
collectif), fait partie des Forces Armées
Ca nadiennes.
.. Je vous précise que les permissionnaires
canadie ns benéficieront des mêmes facilitês
pour se rendre en France en provenance
d'un q~~lconque des états européens, dès
lors qu I!ls seront porteurs de leur uniforme
et munis de la carte d'identité et d'un titre
de pe rm ission bili ngue valable pour la
France.
c . Ces facilités ne sont, toutefois, pas
appli cables aux membres de la famille ou â
toute autre personne â la charge d'un militaire canadien.
. c: Vous vo udrez bien dl)nner aux serviceb
I~téress~s de vot re département. les instruchons necessaires pour l' appl ication de ce
régi me qui entre en vigueu r ~e 15 janvier
1952 . ,
P . le Ministre de l'Intérieur
Le Directeur Général
de la Sû reté Nationa le :
Signé: Robert HIRSCH .
fb.ê 3U prix du dit journal augmenté de la
taXE: de légalisation. Il est réduit de moiti~
pour l~s cas prê\'us à l'art. 4 ;
Art. ï . _ L'autorisation accordée pou rra
dr~ retln~e sans qu'il soit besoin de mise
en demeure à tout journal ne se conformant
pas au tarif édicté par les art. 3 et 4 ;
Art. 8. - Le présent arrêté sera soumis
à l'approbation de ,\\. le Ministre de l'Information et recena provisoirement son exécutian;
Art. 9. - Le présent a rrêté sera inséré
a.u recueil des actes administratifs et ampliation en sera transmise à M. le Procureur
Genéral pres la Cour d'Appel d'Aix-en-Pro"ence à .\IM. les Procureurs de la République
3
Marseille, à
Aix-en-Provence et à
Tarascon. à ,,\. le Président du Tribunal de
Comm.er~e de Marseille ainsi qu'aux journaux. Interesses ;
Art. 10. - M. le Secrétaire Général de
la Prefenure, hl'\, les Sous-Préfet et Maires sont chargés, cbacun en ce qui le
concerne, de l'exécutio n du présent arrèté.
Marseile, le 29 décembre [951.
signé: PAIRA.
------ ~~ oo c. ------
DI~
P8
CONDITIONS D'ENTREE ET DE SEJOUR EN FRANCE DES MEMBRES
DES FORCES ARMEES BELGES ET
CANADIENNES,
. Le Préfet des Bpuches-du-Rhône à Messieurs les Sous-Préfets fi' Aix et Arles
~\!es.sieurs les Maires du Département Mes~
sl~urs les Commissaires de Poliée du
Departement.
.\\. le Ministre de l'Intérieur, par circulai497 et 498, en date du 29 décemb re
uont vous trouverez ci-dessous les
te xtes repr?duits in-extenso, "ient d'appeler
mon a~tentlOn sur les facilités pa rticulières
accordees pou r J'entrée et le séjour en France des m.embres des Forces Armees Belges
et Canadiennes.
V<?us .voudrez bien veiller â la stricte
a pplicatIOn de ces instructions:
10 Circulaire n° 497 :
(. Je V?US infonne qu' la suite d'un a rrangement. mten'enu entre le Gouvernement
Françals et le Gouverneme nt Belge, les membres d~s, ~o rces f\rn:t~es Belges bénéficieront
d~. facIlites partlcuhe res pour J'entrée et le
sejour en France.
'4'. Il Y aura lieu de considé rer pour l'application de ces facilités, comme membres des
Forc~s Armées Belges, le personnel des
a~mees de t~rre, de mer ou de l'air de Belgique, e n untfonne.
. Les mem bres des Forces Années Belges
ainSI deftOls, seront dispensés, pour pénétrer
en France, des formalités de passeport et de
visa.
.' .lIs .ne se;ont p.as dav~ntage astreints â
1 o~l!g~hon ~ obteru r un titre de séjour au
dela d un séjour de trois mois en France.
1.ls devront, toutefois, se soumettre au
controle des services de police français lors
de l.eur. e~trée sur notre territoire ou â la
s?rtte alOSI que pendant leur séjour et justi11er de la possession des documents CÎaprès :
re~ n
~ 9,:) l ,
-
06 BI
AO
CHAMBRES D' AGRICULTURE DES
BOUCHES-DU-RHONE
ELECTIONS GENERALES DE 1952
Le, Préfet des Bou<hes-du-Rhône
a M,'Il. les Maires du d~ten:e 1
C 1
n.
, o n orm~ment a~lx textes législatifs et
regle~en.talres en vigueu r
t:t suiva nt les
preSCTlptlollS de ma . circ ulaire du 10 avril
195
procedé ' cette an liée ,ca' l'étar 1, vous avez
d
b• Issement, ans votre Commune des list
electorales en vue des élections al la Clla"
b re d' A gncult
.
~ <
m·
ure des Bouches-du-Rhôneô
qu'
auront lieu en 1952, listes do nt vOltS aviez à
m'adresser un exemplaire ava nt le 1er juillet 195 1.
La presente circul~.ire, Sllr laquelle j'alfire
Ilot.re loute partlc,!/~ere attention, a pour
oblet de vous preciser les conditions dans
lesquelles del/rollf se dérouler (es opérationt
,!le.clorales prévues Cil l'espèce par les textes
Slill'allts :
Loi du ~ janvier 1924 (J.O. du 4) ,arlicle 3,
arhcles 10 et 16 (loi du 6 juillet 1933)
O. du 7) ; artic les 17 à 20.
Décret. du 30 mars 1929 (J.O. du 10
avn\), article 1 ; article 10 (décret du 31
janvier 1935, J.O. d u 6 lév ri er) ; articles Il
et 17 il 20 ; artic le 2 1 (d éc ret du 6 aoùl
t936, J .O. du 14).
1. - Nombre de sièges à pourvoir.
La Chambre d'Agricultu re des Bouchesdu-Rhône ost composée de :
[. 16 membres élus (par des élecleurs
individuels) au scrutin de liste par arrondissement â raison de quatre pa r arrondissement ou circonscription électorale, soit : 4
pour l'arrondissement de Marseille; 4 pour
l' a rro ndissement ct' Arles i 4 po ur la première Circonscription d'Aix (cantons ci'Aix
Nord et Sud), de Gardanne, de Peyrolles,
de Trets et d' Istres ; 4 pour la deuxième
Circonscription d'Aix (cantons de Berre,
Lambesc, les Marti gues et Salon).
.
Pour les élections à la Chambre d'Agnculture des Bouches-du-Rhône. l'Arrondissement d'Aix-en-.Provence a été, en effet, sub·
divisé en de ux ci rconsc rip tio ns élec torales
par décret du [ 5 février 1938 (J.O. des 21
et 22 fév rier 1938, page 2. 156).
II. _ Cafldidatures (dispositions comOl Il •
nes aux éle cteu rs votants indi viduellement
et aux ~roupements).
a) Conditi ons d'éli gibi lilé .
Est éligible toute personne remplissant (es
3 conditions s ui vantes :
10 Appartenir à l'une des catégor~~
ler
d'électeurs pré, uéS par la Iloi du 3 jan\t
1924 et précisées par ma circu laire du 10
av ril 195 1.
2" Etre fi.gé de tren te anS révolus à la
date de l' élection ;
.
3" Ne fig urer sur auc un~ liste profeSSIOnnelle au tre qu'agricole.
b) Liste des ca ndid ats.
.In s
Elles sont déposées douze jours au mO
avant le jour uu scrutin à la Préfecture, ou
à la Sous-Préfecture, s'i:l s'agit d'lin ~r:t~
dissement non chef-lieu. Les Sous- r ~ n
d'Aix et d'Arles devront dans ce cas me
avise r dans les 24 heures. .
1 ati·
Elles doivent porter les signatures l.g
sles de tous les candidats de la I!s/~n:
celle-ci ne doit contenir aucune all~el mdtS
(i
.......i i••ÎÏ••iiiï.ïiï••••~~ti~o;n~q;u~e~c:el~le~d~e.la
•
'.>00<>
de la circonscrrpttOn
nature et deélecto
la
al~
ra
, 011
j'informerai chaque candidat de l'et'lregistrement de la liste sur laquelle il figure.
L'enregistrement sera refus é à toute liste
portant plus de noms qu'il y a de membres
a élire.
c) Bulletins de vote et circulaire électorales.
Co nformément à l'article 15 de la loi du
3 jan"ier 1924 les règles applicables aux
Chambre d'Agriculture sont celles de la roi
du 20 m'fobre 19 19 en ce qui concerne /' Im-
pression dl.'s bulletifls (Je . vole par L'Adminisfralioll. Il cn est de meme en ce qui
concerne l'envoi et la d istribution des dits
bulletins de vote et des circulaires éiecto ra-
les.
la loi du 20 octobre 19 [9 dispose que
l'envoi des bulletins de vote dans les Mairies est assurée par une Commission siègeant au chef-lieu du département et VOllS
devrez accuser réception de cet em/oi par
lellre au Greffier du Tribunal Civil Secrétaire de la dite Commission.
Par arrêté en date du [9 décem bre 1951,
j'a; convoqué les électeurs et fi xé au dimanche 3 tevrier 1952, premier tour des électio ns des. membres élus par les électeurs
individuels.
Un arrêté ulterieur fixera la date exacte
du scrutin concernan t les Groupements
inscrits su r la diste électo ra le. Chaq ue Groupement en sera avisé par mes soins.
II I. - Opérations électorales concernaflt
les membres ë/Ils par les électeurs individuels.
a) Scrutin.
Le \'Ok allra lieu au chef-lieu de la co mmune .. ~o~tefois, les communes rurales qui
~ont dlvl sees en sections de vote pour les
el~tions législatives, seront, par arrêté
prefector<l!l, divisées pareillement en sections
de "ote pour les élec ti ons des membres de
la Chambre d'Agriculture
Le scrutin sera ouvert à huit heures et
clos â seize heures.
b) Iso loirs et \'ote sous enveloppe.
~e~ regles édictées pour
les électio ns
~~litlq.ues en ce qui concerne l' usage de
llsolo~r, le vote sous enveloppe et le
dépou.llement du sc rutin sont applicables
aux Chambres d' Agricul ture.
c) Ca rtes électorales agri coles,
~ous aurez â ad resser cinq jours au
~olns ava n ~ .le jour du scrutin à chaq ue
lis~cte.u r et a chaque électrice inscrit sur la
., e electorale de vot re Commune une ca rte
~ ~~tor~Je agricole s ur laquelle devra être
l~ IqUI! Ile jour, l'endroit et l'heure du scru-
t ln.
Les ~'airies recev ront par mes soins les
cartes electo rales.
d) Bureau.
so;'~~e~lbl.ée e~t présidée par le Maire ou
sont 1l!legue _as.:slsté de deux électeurs qUI
teu e plus age et le plus jeune des élecco~s If;ésents ; le bureau ainsi composé se
dan~ l' e en nommant un secrétaire pris
burea Assemblée, parmi les électeu rs. Le
pell \'e~t st:: ue s ur toutes les questions qui
électorals (eve~ dans le co urs des opératio ns
1924). es article 16 de la loi du 3 janvier
e)
Dépouillement et rés ultats.
Le dépouillement aura llieu immédiatela clôture du sc rut in, par les
Dès que le
'Ilement
{es soins du Maire, à la ,1\1airie du Chef-lieu
par les membres du bureau et adressé par
les soins du Maire, à la Mairie du Che-lieu
rie la Circonscription électorale.
2" Le recensement général des votes se ra
fait par les memb res du bureau du Cheflieu de la Circonscription électora le. Le
résultat sera proclamé par le Maire ; le procès-verbal, dressé en double, sera signé par
les membres du bureau dMit Chef-lieu, et
Ull
exemplaire me sera immédiatement
adressé (Préfecture des Bouches-du-Rhône,
Gme Divisio n, 1er Bureau). Seront proclamés
élus au premier tour les ca ndid ats ayant
obtenu la majorité relative, à la condition
qu'un quart au moins des électeurs inscrits
aient pris part au scrutin,
Au cas où un second tour serait nécessaire, il auraIt li eu le dimanche sui va nt et
le résultat serait acquis à la majorité rela-
live, quel que soit le nombre ries lIotants.
/) Réclamations.
Je vo us rappelle que les procédures d'appel
co ntre les opérations électorales formées par
les électeurs sont prévues par les a rticl es 18,
19 et 20 de la loi du 3 janvier 1924.
IV. - Operations électorales cOf/cernant
les membres élus par {es Groupemeflts et
AssoCÎations Agricoles.
La liste des Groupements et Associations
AgricO!les 3'ppel~s à pre·n dre part à l'élection
des dél ég ués des dits Groupements et Associations a été définitivement close par
a rrêté préfectora l du 1er juillet.
Le vote a lieu par correspondance.
L'article 19 du décret du 30 mars [929
dispose que le jour fixé pou r l'élection le
Président de chaq ue Groupemept remettra
au N\aire de la Commune Liu siège social de
ce Groupement les bu ll etins de vote du Groupement, chaque bulletin éta nt placé dans une
t:nre loppe opaque (enveloppe nU 1) fournie
par l'Autorité Préfectorale.
Les enve loppes opaques, sur lesquelles ne
devra figurer aucu ne mention extérieure,
se ront cachetées et placées à leur tour par
les soins du Président ou de la personne
habi li tée à vote r au nom du Groupement,
sous une Olt plusieu rs enveloppes (envelOppes nU 2) qui devront porter extérieurement:
l " lia désignatIOn du Groupement (tit re et
siège social) i
2" le nom de la personne habilitée à vote r;
3" sa signature.
4" le nomb re de voix auq uel le Groupement a droit ;
5" et, s'i l y a li eu, le nombre d'enveloppes
nU 1 enfermées dans chaque enveloppe n° 2.
VOltS aurez à m'adresser sans délai (Préfecture des Bou ches-du-Rhône, 6me Division,
1er Bureau), après les avoir revêtues du
cacltet de l'otre Mairie, les enveloppes ,," 2
reçlles par vous, aCi:ompagnées d'un bordereau récapitulatif.
Je vous invite vivement à attirer d'atte ntion des électeurs agricoles de votre Co mmune s ur l'importance des élections aux
Cha mbres d'Agriculture qui so nt ues Eta-
blissements Pu bli cs institués, a ux termes de
la loi du 3 janvier 1924 pour se rvi r, a uprès
des Pouvoirs Publies, d'organes consultatlls
el professionnels des inlérêls agricoles.
Pour le Préfet,
Le Secréta ire Générall
LAMASSOURE.
06 BI
A 0
COMMISSION CONSULTATIVE DES
BAUX RURAUX OU DEPARTEMENT
DES BOUCHES-DU-RHONE,
ARRETE
Le Prefet des Bouclles-dl/-Rhone, Officier
~e la Lêgion d'Honfleur:
Vu la loi du 13 avril 1946 portant modification de l'Ordonnance du 4 décembre 1944
relative aux Commissio ns Paritaires compé~
te ntes pour stat uer pour les contestations
ent re preneurs et bailleurs de ba ux il ferme .
de l'Ordon na nce du 17 octobre 1945 relativ~
au statut du fermage ; de ce rtains a rticles
du Code civil et de la loi du IS juillet 1889
sur ~e Code Rural (Titre IV, Bail à Colonat
Paritaire) ;
Vu l'arrêté préfectoral du 26 octobre [951
portant convocation des Collèges électoraux
en vue de la désignation des assesseurs des
Tribunaux Pari tai res des Baux Ruraux ;
Vu les résuliats des élections aux dites
juridictions ;
Vu les désignations faites par l'Assemblée
Générale des Assesseurs dans sa séance du
21 décembre 1951 ;
Sur la proposition du Secrétaire G~nfral
Arrête :
Article unique. - La Commission Co nsultative des Baux Ruraux du Département des
B~uches-du-Rhône est constituée de la façon
SUIvante :
Prés ident : M. VaJlran, Ju ge au Tribunal
Civil de Marseille; l' In gé nieur en Cbef
Directeur des Services Agricoles ; le Direc~
te ur de la Caisse Régionale de C rédi t Agricole Mutuel, 2, Plan de la Cour, à Arles .
le Président de la Confèdération Général~
de IJAgricu lture, 16, rue Grignan, Marseil lej
N\e Cami ll e, Notaire, Salon . l'InO"énieur en
Chef du Génie Rural, 30, rue" EdouardDelanglade ; le Conservateu r des Eaux et
Forêts, Aix-en-Provence ; le Directeur des
Services Vétérinaires, Marseille.
Représentanls des Bailleurs. - ,\1. Amphoux Henri, Campagne la Philippine, Grand
Rigoulon, Aix ; J\'\. Pellet Prosrer, Les
Accares, La Valentine, Marseille : M. Quir iconi Pierre, Les Pinchinats AIX RittGeorges, La Ciotat j Paul Joseph, L~ Paradou : Gérin André, St-Rémy-de-Provence.
Représentants des Preneurs. - M. Ma rien
Hen ri, La Calade, Aix ; M. Arata Ro ge r,
La Mignarde, Aix ; Maitre Roger, 68 rue
des Trois-Frères Barthélémy, Marséille:
Long .Jean, La Bégude, La Croix-Rouge,
Marseille ; Molla rd Germain, Fontvieille ;
Bellon Roger, Entressen.
Marseillle, le 16 jal1\ier 1952.
Pou r le Préfet,
Le Secrétai r. Général
G. LAM ASSOURE.
----<>OOc>------
FS 0
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS RAOlOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX,
D.D. S.
Nt le Docteur Bouet, demeurant à Marseille, 2, rue Berlioz (arr~té préfectoral du
28 décembre 195 1).
M. le Docteur Gilbert Colonne demeura nt à Marseille, Il, ru e des Héros (arrêté
prélectoral du 4 janvier 1952).
Pour le Directeur Départemental
de la Santé,
�-
HI
Communiqués - Avis
Annonces diverses
SC 7
02 B3
AVIS DE CONCOURS SUR TITRES
POUR LE RECRUTEMENT D'UN
INSPECTEUR
DEPARTEMENTAL
DES SERVICES D'INCENDIE.
Préfecture de la Creuse
Un concours sur titres est ouvert dans le
Département de Ja Creuse, en vue du recrutement d'un Inspecteur Départemental des
Services d'Incendie à temps complet.
Le délai de réception
des
ca ndidatures
précédemment fixé au 15 octobre 1951
prorogé jusqu'au 9 février 1952.
SeuJs peu\"ent poser leur candidature à
emploi, confonnément aux dispositions
décret du 13 aoùt 1925, 1.. Capitaines
anciens
Capitaines
de
est
cet
du
ou
Sapeurs-Pompier!
ayant au moins frois ans de grade.
Les
candidats
devront
adresser
cendie.
. ,
l'
Le traitement de début afférent a 1emp 0 1
d'Inspecteur départemefita! ~es. Services
d'Incendie est calculé d'apres l ,"d~ce 300 ..
A ce traitement, s'ajouteront Ilnder:tnlté
de résidence, l'indemnité de cherté de l'If, le
supplement fami lial et le salaire ~m<l.ue
dans les conditions prévues par l ar reté
ministériel du 16 mar.; 1949.
Ce fonction naire aura droit, en outre, au
rem bou rse ment de ses frais de déplace~ent
il l'occasio n d u service dans les memes
conditions que les fonctio nnaires d.e I ) E~a.t.
Par ailleu rs il bénéficiera des d lsposl~lOns
du statut-type' qui a fait l'objet de l.a cirCulaire ministérielle n' 68 du 26 févTler 195 1
et qui a été adopté par la Commission départementale des Services d'Incendie. ,
Il devra obdigatoirement résider à Guéret.
Les candidats ayant déjà déposé un dossie r à la Préfect ure sont dispenses d'ad resser une nouvelle demande.
'0Leur cu rricuJum ;
2° Un bulletin de naissance
vi~
;
3° Un extrait du casier judiciaire no.. 2 ;
4" Un état signalétique et des services
militaires ;
51' Un certificat médical délivré par un
le
candidat est de constit ution robuste
av';: intégrité des organes de la respiratio n et de circulation.
AVIS DE CONCOURS SUR TITRES
POUR LE RECRUTEMENT D'UN
DEPARTEMENTAL
INSPECTEUR
DES SERVICES D'INCENDIE ET DE
SECOURS.
3° Leur curri cu lum vit(f: ;
4° Un état signalétique et des services
milita i.re 'délivré pal" la Directio n Rég ion a le du Rec r..Jteme nt dont ils relève nt ;
5° Un certificat médical délivré par un
médec i n assermenté, attestant que le
candidat est de constitution robuste
avec intég rité des organes de ~a respirati on et de la circu lation ;
6° L'en gageme nt de s'a bsteni r pendant
toute la durée de leurs fonctio ns de
toute représentation de matériel de
défense contre l'i ncend ie ;
7- La somme de 20 francs en timbres
poste po ur coût de l' extrait du casier
j ud ic iaire, bulletin n° 2.
Toute correspondance relative au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
SOMMAIR.E
Arrêtés réglementaires et Circulaire.
Paics
Paics
AG O. -- D él é~at io ns de signatu re ..
PO. -- Appels la générosité publique
pour l'année 1952 ......... ,......
SC 7.. -- Protection des bâtiments contre l'incendie : Prescriptions à obser-
1.
17
18
AG 0
1\
DELEGATION DE SIGNATURE
ARRETE
Le Préfet des Bou<:hes-<iu-Rhône,
Officie r de la Légio n d~ H onneur,
Vu le décret '<lu 10 Septemb.e 1926, relatif
à l'organisation de r Administration préfectoraie;
Vu le déc ret n' 50,722 du 24 juin 1950
relatif à la d'élégation des pouvoir.; prO'P'es
aux Préfets, Sous- Préfets et Secrétaires
Générau x de Préfecture i
Vu l'ar rêté préfectoral :du 29 Novembre
1951 portant délégation <lie signature à M.
Nobi1i, chef de 1a 4me Divisio n ;
Vu les nécess ités è!u service;
Sur la proposition de M. l e Secrétai rc
Genérai des Bouches-du-Rhô ne,
ARRETE:
ARTICLE PREMIER. __ M. LOMBARD Louis,
Attaché de Préfecture, ,Chef 'du 1er Bureau
de la 4me Division, est délégué pou r signer
en not re nom , pou r les affaires ressortissant
~u.x a t~ribu tions de son bureau, les a nw liaIOns <1 arrêtés, les copies co nformes d'e docll~ents, les convocatio ns, bOl1dereaux ou tetes Portant trans mission.
Copit eerti6.it eoDfonn..
Pour le Préfet :
14 S_crIIG,re Gé,,;rGl : LAMASSOURE..
ver dans l'étude 'lies ]lrojets de distribution d' eau .... . ... . ... . ... ...
18
FS 7. - Approbati(>n des '<IIéIibérations
des Commissions aJdministratives des
Hôpitaux et Hosp.i<:es publics d" DéIpa rteme nt.... ............... ......
22
Paiu
FS 7.. Etablissements hospitaliers
publKS : PrtÎx de journée prévisionnels 1952 . .. ................ ,. . ..
22
FS 7. - Etablissements et services
hospitaliers : Prix de journée prévi.
sionnels 1952 ....................
24
-
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET _CIRCULAIRES
D5 83
-------<"00< ••-------
N' 5
et Bulletin des Mairies
1° U ne dem a nde étab lie sur papier libre;
2-0 Un bulleti n de naissanfe ;
Préfecture de la Haute-Savoie
Un concours sur titres est o uvert pour le
recrutement en Haute-Savoie, d'un Inspe<:teur
departemental professionnel des Services
d'incendie et de secours.
10' Anné.. -
---Recueil des Actes Administratifs
Les officiers de Sapeurs-Pompiers rem_
plissa nt les, co ndit.ions requis~ désireux de
postuler à 1 emp lOI, peuvent des maintenant
présenter leur candidature e n faisant parve_
nir à la Préfecture de ~a Haute-Savoie
(Cabinet) avant le 15 février 1952, dernier
délai :
SC 7
02 B3
RÉ
31 Jun.r 1952
En application du décret du 13 août 1925
la nOnlm at lon. ~e pou~ra porter que Sur u~
pos~ulant c.ho~sl pa rmi
les capitaines ou
anclen~ capitaines de sapeurs-pompiers ayant
a u mOins 3 a ns de grade.
- - -t:" OO<,,----
leur
demand e à la Préfecture (1 Te Division, Jer
Bureau) accompagnée des pièces suivantes
médeci n assermenté attestant q ~e
s'abste~i r pendant la durée de Jeurs fonc~lOns ,.de
tout~ représentation de matéfleI d 10-
60 L'engagement éc rit de
1
ChART. 2. - En J'absence <le M. NOB IU,
.f de ta 4me Di vision il signera égale~e~t par délégation, ,pour les affaires rel em~~ésde .SOI1 bureau, les 'Cioc urnents non én ul'ar~té~' l'article précédent et prév us siii
concer e delégalion <J", 29 Novembre 1951,
sion. nant M. Nobil i, Chef de ~a 4me DiviART. 3 -
M I S
.
. e ecréta >re
G.néraj u-RllÔne et M". ~lle;,~::,é'~;ie:;;p~
Sont chargés, c
Bouches~
arrêté qui sera publié au .Recueil des Actes
AdministratHs d u Dêpa1rtement.
Mar.;eiIle, le 18 Jan vier 1952.
LE .?RSFET,
PA'J.RA .
Signé
05 B3
:.
AG 0
DELEGATION DE SIGNATURE
gatio n du 29 Novembre 1951, con>cernant M.
Nobili, Chef d'e la 4me Division.
ART. 3. -- M . le Secrétaire Général des
Bouches-du-Rhône et J\1. le Trésorier-Payeur
Général sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, d'assurer l'exéc ution d u présent
arrêté qui se ra publié au Recueil des Actes
Administratifs du IJépartement.
Marseille, Je 18 j anvier 1952.
LE PRE.FET,
PAIRA.
Signé
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu le dé",et <lu 10 Septembre 1926, relatif
à l'organisation de l'Ad ministration préfectorale j
Vu te décret n' 50.722 <lu 24 Juin 1950
relatif à la dt:légatio n des pouvoirs p ropres
aux Préfets, Sous-Préfets et Secrétaires
Géné raux de Préfecture ;
Vu l'arrêté préfectoral du 29 Novembre
195 1 portant délégation die signature il M
NOB ILI, Chef de la 4me Division;
Vu les nécessités du service ;
Sur la proposition de lvL le Secrétaire
Cl'néral des Bouches-du-Rhône,
ARr;ETE :
ARTICLE PREMIER. -- M. PADOVANI Paul,
Attaché de Pr6lechlre, de classe exceptionnelle, Ch-ef du 3me Burea u de la 4me Division, est désigné po ur signer en notre nom,
pour les affaires ressortissant aux attributions die son b ur ea u, les ampliations oct'a.rrêtés, copies confo rm es die documents, convocatiolls, bo rderea ux ou l'ettres portant transmission~ les cartes de ,voyageurs de commerce, les cartes cie co mm erçan ts étrangers,
les cartes de coiffeurs.
ART 2, -- En J'absence de M. NOBILI, Ohef
de la 4 me Division, il signera éga leme nt .par
délégatrion, pou r les affaires relevant de son
.05 B3
:.
AG 0
DELEGATION DE SIGNATURE
ARRETE
Le Préfet des Bou<:hes-du-Rhône,
OffÎ-CÎe r de la Lég.ron dJHo nneur,
Vu le décret dru 10 Septembre 1926, relatif
à l'organisation de l' Administration préfectoraie ;
Vu le décret n" 50.722 du 24 juin 1950
rel atif à la délégaNo n des pou voirs propres
aux Préfets, Sous-Préfets et Secrétaires
Généraux de Préfecture ;
Vu l' arrêté prHectoral du 29 Novembre
1951 portant détêgatlon de signatu re il M.
NOBILI, Chef <le la 4me Division ;
V u les nécessités dru service ;
Sur !a proposition de " '1. le Secrétaire
Général des Bouches-du-Rhône,
ARRETE:
ARTICLE PREi>IIER. -- M. BOUISSON Charles-francis/ Attaeht! -de Pr fecture, Chef du
2me B~Jreau de la 4me Division, est d.ë1éguê
pour s igner en notre no m, pour les affa ires
ressortissant a ux attributions de son bureau,
les ampliations d'arrêtés, les copies conformes de documents, les convocations, bordereaux o u lettres ,portant transmission.
�19
d~legation-. pour les aff.Jres .rele\·an.t de ~n
bureau, les oocuments non enumé~es .a .1 article préc.!dent et prhu$ sur 1 arrl'te de
délégation du 29 Novembre 195 1. concernant
Jt Nohili, Chd de la ~me D1\'ls1On.
ART_ 3. - .\1. le Secrétaire Général des
Bouc hes-du-Rhône et ,\1. le Trésorier-Payeur
GêneraI sont chargés, chacun en ce qUI le
conce rne d'assurer l'exécution. du présent
arrêté q:;i sera publié au Recuetl des Actes
Admi nistratifs du Département.
"'Iarseille, le 18 j anvier 1952.
LE PREFE1,
Signé : PAIRA.
,',
0563
AG 0
DELEGATION DE SIGNATURE
Le Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu le décret du 10 Septembre 1926, relatii
à l'organisation de r Administration prefectoraIe;
.
_
Vu le décret n' 50.722 du 2-l jum f95ù
relatii à la dflégation des pouvoirs pro])res
aux Prélets, Solls-Préf.ets et Secrét3.lres
Généraux de Préfecture j
Yu les nécessités du service j
Sur la proposition de .\\. le Secrétaire
Général des Bouches-du-Rhône ,
ARRETE:
ARTICLE PRE~\IER. L 'article leT de I"arrêté N" 786 du 20 novembre 195 1 est
modifi~ comme suit :
ARTICLE PRE.\\IER. - En l'ab,ence de .\1.
ARNAUD, Chef de la 1re Division, M. TH1BAL ,\\ichel, Attaché de Préfecture, Ohef de
Bureau, est délégué poUI signer en .notre
nom. dans toutes les affaires ressortissant
aux. attributions du 1er Bureau de la t re
Division et pour Jesquelle .\\. ARNAUD a,'ait
reçu àelégation par arr~tt~ en date du 29
novembre 195 1 •.
ART, 2. - M. le Secrétaire Général des
Bouches-du-Rhône et M. le Trésorier- Payeur
Général sont chargés. chacun en ce qui le
concerne, die l'exécution du présent arrêté
qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs du Département.
Marseille, le 22 janvier 1952.
LE PREfET,
Signé
P AIRA.
~.
AG 0
D5 B3
DELEGAT ION DE SIGNATURE
ARRETE
Le Préiet des Bouches-<iu- Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu le décret du 10 Septembre 1926, relati f
à l'organisa tion de l'Administration préfectoraie ;
Vu le <lécret n· 50.722 du 24 juin 1950
relatif à la délégation des pouvoirs pr(Jj)res
aux Préfets, Sous-Préf<ets et Secrétaires
Généraux de Préfecture ;
Vu les nécessités d:u sen'Îce ;
Sllr la proposition de M. le Secrétaire
Géneral des Bouches-du-Rhône,
ARRETE:
c Artide premier. - En ~'a.b~ence de Nt
ARNAU'D, Chei de 13 1re ?,vls,on, M . MARIN jean Attaché de Preiecture, Chef de
Bureau, ~t dé1ëgu6 pour signer en . notre
nom dans toutes les affaire.c::. ressortissant
aux attributions du 2me Bureau de la tr,e
Division, et pour l eSQueU~. \/\1. Ar naud avait
reçu délégation par arrete en date du 29
Novemb re 195 1. »
ART. 2. ~\\. le Secretaire G~néral des
Bouches-<iu-Rhône et ~\. le Trésoner"Paycur
Général sont chargés, chaCtln ~n ce qUI Je
concern e, de l'e.xécution du present arre~é
qUI sera publié a u Recueil des Actes Administratifs du Département.
MarseiUe, le 22 janvier ,1952.
LE PREFET,
Signé
PAl RA.
A
:,
AG 0
D5 B3
DELEGATION DE SIGNATURE
-
CHAPITRE 1
t 5 Février au .16 rv~a rs : Campagne de la
jeunesse en Pie," Air (avec quête le 16
Mars).
23 au 30 ,\ Iars : Ligue Française confre
le ca ncer (avec quête le 30 l\\ars).
28 A "ri l a u 4 .Mai : Comité Nat ional d,
l'Enfance (avec quête le 4 Mai).
5 au 18 Mai : Croix-Rouge Français~
(avec qllête le 11 Mai).
25 Mai : Fête des Mères.
8 juin : j o urn ée NaNonale des Paral)'ses
et Infirmes civils.
1er au 15 Juin : Qui nzaine de l'Ecole
Publique (avec quête 'le 15 juin).
12 Octobre: Journée Nationale des Aveugies.
26 Octobre : j our née Natio nale <les Vieux.
1er au Il Novembre: Campagne du
c. Bleuet ,de France » au profit des Anciens
Co mbatta nts et Victimes de la Guerre (ave<
quête le Il Novembre).
15 Novembre au 15 Decembre : Camp,"
gne du Tti mbre antituberculeux.
ûENERA\..ITES SUR L'EXTINCTION
DES INCENDIES
PRiNOIPES GENERAUX
j
Dans tous les cas, 11 importe d'e partir des
deux idées essent ielles suivantes :
10 L'engin de base .de lutte co ntre le feu
est 13 Moto-pompe de 60 m3! H dont so nt
.(Iotés les centres de secours.
20 La durée app roximative d'extin ctio n
d'un si nistre moyen l"eut être évaluée à deux
heures,
....
Comme co rollau e ImmédIat, Jl en réslilte
'lue les sapeu1rs-ponlp iers doivent trouve r sur
place en tout temps, 120 013 d'eau utilisables
en ~ u x heures. La nécessité ,d e poursuivre
l'extlnclion du feu sans in terruption ex.ige
que cette quantité ~uisse être utilisée sans
déplacement des engJns.
Il est à noter que les besoins ci-dessus ne
constituent que Ides minima et que. lorsque
les agglomérations présentent des ri sques
importants (quartrers saturés
d' habitatio n,
vieux immeubles où le bois prédomine, usines, entrepôts, theàtres, etc ... ) il y aura-lieu
de prévoir l'.nt erven tion simuJtanée-de plusieurs engIns pompes de 60 m3/ H : l'estimation du débit horaire dont il sera nécessaire de disposer à proximité de chaq ue risque isolé dlOit être fonct ion du nomtxe de
laoces que comporte le 1>lan d'attaque des
sapeurs-pom piers.
_______ <>00<> ______
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légio n d' Honneur,
Vu le décret <1t1 10 Septembre 1926, relatif
à l'or ganisation de l'Administration préfectoraie ;
Vu le dt'cret n· 50.722 du 24 Juin 1950
relatif à la rlélégation des pouvoprs prop res
a ux Préfets, Sous-Préfets et Secrétaires
Généraux de Préfect ur e ;
Vu les nécessités du serrvice ;
Sllr la proposition de M. le Secrétaire
Général des Bouches-du- Rhône,
ARRETE:
ARTICLE PRE.II1ER_ L'article
l'arrêté n' 784 du 20 Novembre
modifié comme suit :
1er
1 ~51
de
est
c Article premier. - En l' absence de M.
ARNAUD, Chef de la 1re Divisio n, M. GILLIS Georges, AttacM de Préfecture, C hef de
Bureau, est délégué pour signer en notre
nom , dans toutes les affrulres ressortissant
aux attributions du 3me Bureau de ta 1re
Division, et pour lesquelles At Arn aud avait
reçu dé légation par arrêlé en date du 29
Novembre 1951. •
ART. 2. - M. le Secrétaire Général des
Bouches-du-Rhône et M. le Trésorier- Payeur
Général Sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exécution du présent arrêté,
qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs du Département.
Jvlarseille, le 22 Janl'ier 1952.
LE PREFET,
Signé
PAl RA.
------ t:»ooc,,- - - - -
Dl
BI
PO
APPELS A LA GENEROSITE PUBLIQUE
POUR L'ANNE 1952
Ci-après le calendrier d.es appelS à la Générosité publique pou r l'a nnée 1952 au torjsés
pM M . le Ministre de l' In térieur.
Confo rm émen-t aux dispositions de la Circu laire insérée au Bulletin Officiel n· 15 d't,
8 avril 1948, les autorisations que vous serez
appelés à donner pour \'otre commune n e
pourront concerner Que des mannestations
SC 7
02 B3
jamais descendre au-dessou s de 0,600 kg!
cm2.
Ce réseau doit alimenter des prises d'ince ndie constituées par d'es bouches de
100 mm ou, de préférenc.e par ,des poteaux
de m ~ m c diamètre, plus visibles.
Boucht$ et poteaux d'incendie. Pour d'eS
ra isons de normalisation les bouches et poteaux <i' in cekiie doivent avoir un diamètre
de 100 mm .
Ces apparei ls ÙlOivent, en prin cipe, être
alimentts par dlE.'s conduites et des branchements d'un diamètre au moins égal à leur
orifice. Toutefois leur i nsta llation peut être
admise sur des canalisations d' un diamètre
m{Jindre, susce.ptible de fournir le débit de
17 litres-St'conde sous la pression minim um
indiquée ci-dessus.
Ils doivent être conformes aux normes
françaisesS 61-2 11 et S 6 1-21 3 homologuées le 3 1 maj 1951 (J. O. <lu 10 juin 195 1)
et en particulW!r être incongelables et être
dotes :
- Pour les bouches d'une douille à rebord
saillant permettant le brandhement des raccords à levier d u type Keyser ou dérivés.
- Pour les roteaux <L'un o rifice principal
de 100 mm. muni d'un raccord symétrique
iixe de 100 mm (3) et de deux orifices secondaires munis de raccords symétriq ues fixes
de 65 mm (3).
Ces prises ·doivent se trou ver en principe
à L1ne distance de 200 à 300 m. les unes des
autres et être réparties en fo nction des risques à défen " re ap rès un e étude dHaiUée
de ces derniers.
Toute fois, si le risque est particuHèrement
faihle, la zone de protection de certaines
houches ,d'incendie pourra être é.tendue il
400 m.
Leurs emplacements doi\'ent être accessibics en tOlite circonstance et si g nalisés.
PROTECT iON DES BATIMENTS CONTRE L'INCENDIE : PRESCRIPTIONS
A OBSERVER DANS L'ETUDE DES
PROJETS DE DISTRIBUTION D'EAU,
CHAPITRE
J'ai l' honn eur de porter à la co nnai~nct
Il
l'HA VAUX A ENV ISA,GER
de u\\"1\1. les Maires du départe ment la ,"culaire interm inistérielle nO 465 du 10 décem- 1
br e 195 1 qu; défin it les prescriptions àobserver d'ans l'étude ct... p rojets de dlsltlbution
d'eau en vue d'assurer une protection sulfisante des bâtiments contre l'incendie.
Les besoins rappelés au chapit re précé-
dent peuv el)t être satisfaits indifféremment :
- A parti r d'un réseau <le distribution,
- Par des points d'eau naturels.
- Par des réserves ar tificielles.
1° Réseau de distribution.
Le réseau d'e distribution présente le très
gros avantage de rend re possible la multiplkation des prises d'eau et, .par voie "de
consequence de réduire la Jongueur des
tuyaux de refoulemen t employés par les
~peurs-pompiers, les l'ertes de charge et
1usure du matériel.
M INISTEiŒ DE L'INTERIEUR
Service National de la Pr otection Civüe
M'INISTERE DE LA RECONSTRUCTIOK
ET DE L'URBAN ISME
Direc tion de l'Aménagement du Territoi r~
MINISTERE DE L' AGR ICU LTUHE
) A) Cas normal : Le réseau est capable
~ ahmenter une pompe à incendie qui refoule
Di rec t ion Oénl! rale du Génie Rural
et ete l' Hydraulique Agricole
l.eau prélevée en lui communiquant la presSlf\n nécessai TC.
Un tel réseau ne peut cependa nt prétendre
JSSur~r à lui seul la défense de la Jocatité
desservie que s'il remplit les conditions suivantes :
CirtCu laire nO 455
REPUBUQUE FRANÇAISE
Paris le 10 Décembre 1951
Le .Ministre ,de l 'lntér,ieur,
.
Le tv\i nistre de la Reconstruction et
ete l'Urbanisme,
Le Ministre de l' Agrku1ture, )
à M!.\!. les Préfets (Ml'.tropole. .
44 a donne
La circulaire du 5 Avr il 19
débits
uelques
dire"üves
d'ensemble
sur
les t"~
q
...
.
ti.
du ma en
à prévoir pour l 'ah menta' o~
d poLlf
d'incen-die et sur les mesures a pr~n ~~
co nstituer des réserves d'eau sufisan '. 1
breux proJe s
Cependant, l'examen .~s nom
l'Intérieur,
qui par viennent aux j\1.îOlstères de. me et de
de la Reconstructio n. et de l' Urb~ ~S certaines
)' Agricu1ture a permI s de. con~a e inStfuc, \
divergences dïnterp rétatlO~
. ~~essés,
tions entre les divers Ser vices ln 'et de ~Jle·
La présente circ ul aiTe a po~rlobl selon les'
ciser et de co m pléte r les r:g esétablis. fJI'
quelles ces projets <itl lven t etr~ du 5 Avn l
abroge et remplace la e"cullUre
Il
- .I.e ou les réservoirs doivent permettre
de dIsposer Id'une résenre d'eau d'incendie
d'au moins 120 m3 compte tenu é\'entuelle~~~t, d'un apport j garanti (1)' pendant la
uuree du sinistre.
.. - Les canalisations doivent pouvoir fourUn debit minimum de 17 litr es-seconde
(2)
- La pression de marche des prises, avcc
~e t~l~bit~ doit permettre aux sapeurs-'pompicrs
eU 11~"tI?n de tuyaux souples d'.1limentntion;
d~ fr~nclJ)e cette pression doit être au moins
die g/cm~; cepcn,d\a.nt une pression moinPOurra etre admise SOLIS réserve de ne
-~:-----
O
iet ) Garantie just ifiée par l' auteur du pro-
'tr~) éValeur arrondie de 16,66 1. qullieut
mUTtl. gaIement ad'lllJse Comme débit mini-
1
B) Cas particulier: a) bouches de 150 mm.
(Normes S 61-211 ).
Dans certaines grand'es villes, les sapeurspompiers disposent d'engins dits « il gra nde
::missance » de d~blts horaires de 120 m3 et
plus.
Ils pourront être conduits à demander l'installation de quelques bouches de 150 mm à
proximité tie risques parti culièrement im portants icelles-ci devr nt evidemment être
installées sur des canalisations maîtresses
d'un déhit en rapport avec celui de l'engin.
b) Réseau à grande pression.
Dans certains cas exception nels (régions
l110ntJgneuses en pJrticulier) les pressions
erist<lnt dans le réseau pemlettent l'lItilisation directe de lances sans inter·position
d'engi ns pompes.
La défense contre l'incendie de la locali té
à l'aijc de prises directes pourra être admise
SOliS résen'e :
- que le ou les résen·oi rs permettent de
disposer d'une resen'e d'e:tu d'incendie de
120 m3 :
q1le les cJI1.:1lis.:1tions. soient susccptib:es de fourmI' Ull d~bit mimmum de 8 Iltressl>cnnde ;
_ que la pression de marche d'èS p:ise~,
avec ce dt-bit soit au mOllls dl' 6 kgsJ cm2.
Cc réseau alimentera des pr ises t:ollstituées
par des poteaux de 70 mm ml1nis d'un seul
orifice avec raccord symétrique fixe de 65 (3).
Ces ap'pan.:ils devront se trou\'er en prin-
cipe à une di stance de 100 à 150 m. les uns
dt>S autres et Hre répartis en fo ncttion des
risques il défendre aprés une étllde détarllée
de ces derniers.
Leurs emplacements doivent être visibles
et accessibles en toutes circonstances.
2° Points d'eau naturels.
Les points d'eau naturels - cours d'eau,
mares, Hangs, puits, p ièces d'~a u. etc .. : p~u
vent, -dans de très nombreux cas, sahsfalre
aux besoins des services cfincendie.
Cependant, avant de se prononceer sur
leur utilisation poss~b lej il importe de s'assurer :
- que le point d'eau sera, en tou te saiso n
en mesure de fo urnir en deux heures les
120 m3 nécessaires i
- qu'il sera au maximum à ~OO mètres
des risq ues à dëfenclre ;
- que la hauteur d'aspiration ne sera pas,
dans les condWons les plus défavorables.
supérieure à 6 mètres j
- que le point d'eau sera toujours accessible à l'engin-pompe.
1\ conviendra alors de préparer soigneusement, à pro::âmité immédiate des plans
d'ea uj ties points d'aspjration afin d't':viter
toute perte de temps et tout incident ou
accident susceptibles de nuire à la rapidité
de mise en œuvre des engins des sapi!urs~
pompiers.
Parmi les travaux il exécuter il y a lieu
cie signaler :
- La ar~ation de barrages ou de bassins
cre retenue pour compenser J'insuffisance de
profoll'deur ou die débit d'un cours d'eau ou
réduire la vitesse de son courant.
L'aménagement d'aires ou de plateformes permettant aisément la mise en œuvre
dies engins et la manipulation du matériel.
Leur superficie sera au minimum de 12 m2
(4 x 3) pour les moto-pompes et de 32 m3
(8 x ~) pour les auto-pompes.
Ces aires seront êtménagées soit sur le sot
mêmej s'il est assez résistant, soit au moyen
de materiaux durs : pierres, béton, madriers,
etc ... Elles .eront bordées du cùtt' de l'eau
par un talus soit en terre ferme, soit de
préfén:nce en m.::lçonnerie ou en madrIers,
ayant pour but ù'é\'iter que, Ilar suite d'une
fauss~ manœuvre, l'engin ne tombe à l'eau.
Elles seront établies en lpente douce (2 cm
par mètre environ) et en forme 'de canive-au
très évasé de faço n a permettre l'evacua tion
..:onstante de I"t'au de refroidh;sement des
moteurs.
Ces points d'aspiration seront a\'antagt:us~mt.!nt Ùl.Jlltllc:-o. Tout au m li1S aux enJroi(s
jugés les plus utiles, afin de permettre t'utili sation d~s en.:!ins eventuel1ement appelés
en renfort, en cas de sinistre important.
- La construction, d..ans certains cas particuliers : sol mOll\'ant, bords de mer ou de
rivi~re, d'e:;tacades permettant l'aspiration
\·erticale.
- Lorsque, pour des rai~ons quekClnques
il ne sera ra$ possible d'at·pro~her d'UJl ~jn~
d'eau, la mise en commUnl(atlOn ~t:: i.elul-q
par tille trancht'e ou une l:onouite ~outer
raine an?c un puisard ;l créer t::n un endroit
trl'S acct~ssible et le plus pr~s pos~ible de fa
rive. Ce puits d'Oit avoir la profondeur VQUlue pour que, en tout temps, la trépine d'aspiratiun se trouve au moins .1 O,:{(J Ill. al1dessous dt la nappe d'eau et également au
minimum il 0.50 m. dl! fond.
S'il s'a~jt d'eau particulièrement boueuse
ou sablonneuse, il sera
de or,'va,ir
�entre le point d'eau et le puits d'aspiration,
une fosst! de ll.\l.cantation.
Ce }.l'lusard devra ètre muni d'un cou"ercle el t~nu constamment ferm~.
•
_ La c~tion ,"ers les pomts d'eau de
\ otes d'ac(;\:s convenablement entretenues
et prati~ables en toutes circonstances et en
tout temps.
3 0 Réserves arti ficielles.
Les réserves artifldelles doivent être
créées en des endroits judicieusement cllO'isis par rapport aux bâtiments à défen..ire et
fa'Cliement
mM_
acce~sibles
en
toutes drcons-
.
Chacune d'elles doit a\~ojr une capacité
minimum de 120 m3 d'un seul tena nt ; tou-
tefois lorsque son alimentation est assurée
par 1I~ réseau de distribution ou ,par une
source, cette capacité peut être rédu ite du
double du &bit horaire de J'appoint.
L'oU\'rage ainsi défini penn et d'assurer
une d~fense suffisante contre un risque
mo \'e.n snue dans un rayon de 400 mètres.
La con titution de ces réserves peut être
assurée par la collecte des eaux de pluie ou
de ruissellement, par le captage de SOUJ"'C'es,
par le Grainage de marécages, au. moyen
d'un branchement sur le réseau, enfin, à
partir d'un poi nt d'eau éloigné, au moyen
de récipients ou de tonnes ou mëme par les
engins pompes des sapeurs-pompiers. Dans
ces derniers cas, il appartient au maire ou
pour l'ensemble 011 département au Préfet,
de fixer par arrêté les conditions dans lesQuelles les
sapeurs-pornpte.rs assureront
cette opération.
Ces (esen·es pcu\-'ent être constituées par
des citernes, bassins,
piscines, lavoirs,
abreuvo trs et autres points d'eau similaires.
a) Citernes. - Les citernes enterrées présentent sur le bassins de nombreux ayantages au point de vue de l'hygiène, de la
réduttion des risques d'accidents, de la diminution des inconvénients du gel et de
J'én:t,poratirin, etc ...
Elles doivent comporter un regard de ,1site dt' 0.80 m. environ de côté ou de diamètre ,fermé par un tampon circulaire et, à
son aplomb, au point bas du radier, un
puisard d'aspiration de O,4{) m. de profondeur destiné a recevoir aiséme.nt la crépine
des tuyaux d'aspiration èe l'engin pompe.
Lorsque ieur alimentation sera assurée à
partir d'un reseau de distribution d'eau po_
table, la canalisation I(f'amenée devra, pour
é"iter tout retour, déboucher à un niveau
supérieur â celui du trop plein.
Lorsque le remplissage sera assuré 'Par
dra!nage ou col1tcfe des eaux de ruissellement, on pourra être amené à prévoir un
dispositif <ie décantation des boues.
b) Piscines. - Les piscines, par leur ca pacité, pres~ntMt un jntérèt certain au point
de vue de la lutte contre le feu.
Cependant, lorsque la diSPOsition des
Jieux ne permettra pas l'accès du bassin au x
engins d'incendie, il y aura lieu de prévoir
à la 'Partie basse de l'instal1ation une ou
plusieurs prises spéciales ou branchements
d'au moins JOO mm . Ces cana1isations
abouti ront en principe su r la voie pUbliq ue
et seront term inées sejon leur onen ta!.Îon - par une do.uille à rebord ~aillant de
100 mm. formant oouche ou par un .raccor d
symétrique fixe de 100 mm. (3) analogue à
(;.eluî équipant les poteaux /d'incencbe.
(3) Norme en préparalion.
Ces branchements seront munis d'u ne
vanne de barrage chaque fois qu'ils seront
en charge.
Les la\'oî rs , constitu.en,t e.n
c) Lm'oirs. génêral à eux seuls des reserves ln~u~l
sa ntes . il con\'Îeoora dOliC de leur 3.d JOIllrue de~ bassins de façon à obtenir les
120 m3 d'eau Ilêcessaire:::..
4° Cas exceptio nnels.
Pu.~a rd d'aspiration. Dans les 10calit~'s normalement defendues dans leur
ensemble par un réseau de distribl1tio~
avec bouches ou lpoteau...~ de 100 .mm., Il
est possi\)le que) dans ce rtaines zo ne ~ élo!-
a)
onées du ft'$ en 'oir, l a pose d'appareils debi tant 17 lit res-seconde nêcessite l 'installa tion de cana lisations dont le prix de
revient grève rait de ch.:trges anormales les
finances municipales.
Aiia de ,palier cet incoO\'enient, il y aurail normaJernent intérêt à construi re des
rtsen'es artificielles telles que définies precedemment.
T ou tefois lorsque le::; riSQUes sero nt peu
importants, 'et que les cana lisations prevues
auront au minimum 00 mm. de diamèt re et
débiteront 6 litres-seconde à gueule bée; il
pourra ~t re admis la ereafon de puisard!:>
d'aspiration.
.
Ces puisards, d'une capacite minimum de
l'ordre de 2 013, seron t 3'limentés par un
branchemen t de diamètre cgal à cel ui de la
conduite du réseau. Ils seront main tenus
fermés pa r un tampon. Leur brancheme nt
sera muni d une vanne de barrage normalement fermée, et debouchera â la .partie
haute du puisard. Ces o U\~rages seront munis à leur partie basse d 'une décharge perdue de très iai ble débit les majntenant
vides en temps nomlal. De tels 'Puisa rds
offrent, sur les bouches de 100 mm. insuffisamment alimentées, l'a\'antage d·éviter de
mettre les conduites en dépression, tout en
demeurant utilisables, à un régime évidemment réduit, par ·les
motopompes de
60 m3-li. des Cf>ntres de secours.
Leutr espacement devra être de l'ordre de
200 à 300 metres. Ces puisards pourront
être combin<:s avec des réservo irs (je chasse
d'égout.
b) Cilmles de 60 m3. Tou te ,propriété., maison isolee dans la campagne :
ferme, château, maison de culture ou d' habitation. éc.art présentant des risques lrmités doit po uvoir être défendu contre l'incendie,
Or, s'i l n'existe pas de points d'eau natu1els, l'obliga1ion de satisfaire les besoi ns
précédemment énoncés ,pourrait conduire à
des dépenses exagërées en éga rd aux risques à défendre ..
ppur des raisons d 'économie, il pourra
être admis la création de réserves de
60 m3 seulement, mais ceci est un minimltm
et doit être une exception.
CHAPI TRE
III
IŒAU SA TION DE LA D.EFENSE
Communes urbaines.
Dans les communes ur'baines, en raison
de l'importance des besoi ns, le technicien
chargé de 'l'établissement d'u n projet d'adduction d eau est norma lement conduit, tou tes questions de lutte co ntre l'i ncerKlie mises â pa rt, à prévoir des réservo~rs importants et des co nduites <ie distribution de
fort diamètre.
-
La lutte co ntre le feu peut dOnc normalement êt r~. assu:éc p~~ des bouches Ou
~tea u x d incendie uti lisés Conjointement
avec les poi nts d'eau naturels existants.
Il y aura c~pe~.dant a~an ta ge ~ fai re passer les canalisations malf.resses a proximit '
des qua.rtiers présentant des risques impot~
tants.
D ans ce rtaines zo nes dléf-avorisées, il
aura lieu d'aménager soit des réserves artfficielles, so it des pu isa rd s d\1:sp~r atio n,
Communes rurales.
Dans ,les communes rurales, le réseau
n'est, en général, pa ' uffi:san,t, sa ns augmentation sensi<b le des dépenses, pour assurer la lutte contre l 'incendie.
a) Si la commune dispose de points
d'eau nat u,rels répond.lant aux conditions du
chapHre Il : l e résea u peut alors ètr~ établi
Sans tenir compte des besoins du service.
d'i ncen.d ie, mais le~ points d' eau doivent
ètre soigneusement amênagés.
b) Si la com mun e ne dispose pas de
points d'eau naturels suffisants : il importera alors de fai re la balance entre -le prix
de rev ient de la défense à l'a ide du réseau
de distribution conve nablement renfo rcé, à
l'aide de réserves artificielles ou eniin gràce
à la co mbi naison simultanée des deux solutions,
Lo rsque la localité n'est pas étendue, la
créat ion de réser ves ar tificiel-l es se mOntrera en général pl.us économique, C'est
ainsi qu'une agglomération groupée, ayant
800 dll. dans sa Iplus g ran de dimension peut
être efficacement défendue par une citerne
centrale de 120 m3 ; une commune dont les
habitat io ns séchelonnent sur 1.500 m. au 1
maximum le long d'une route peut-être utilement défendue par deux ouvrages de
même capacité judicieusement répartis.
Au delà, l e problème nëcessitera un~ étude
dérai llêe et une comparaison économique et
technique des dive rses solut ions. . .
,
En particulier on évite ra de prevOi r des
renforce ments de ca nalisat ions dans lesquelles en service normal de distribution l.a
vitesse de l'eau serait très faible et on n'hesitera 'Pas à améliorer la défense i n<: e~die et
la distri bution normale par des maillages
judicieusement sit ués.
L e caloul des réseaux en service normal
et d'i ncendi e oevra êbre établi oompte tenu
de ces maillages,
.
En tout Hat de cause, i l est Ip réc ls~ que
la solu ti on tendant à assurer l a dêiense
d' une a,r.fO"I-omération il J'aide d'une seule
bouche
100 mm. est à éviter: en effet)
l'appareil un ique peut être inutilisable par
suite de d étéri oratio ns et, de toutes façons,
.
.'
ne permet pas l'lnterventton
Slmu Itanée de
plusieurs en,O"ins-pompes. Il y aura donc
Heu soit de t> doubl er cet appareil par ~ne
sec~n.de bouche ou par un pui~ rd ~'a9PI~:
tion, soit de prévoir la création d une
terne aliment<6e par le réseau.
ct;
C HAP I TRE
PRISES
IV
ACCESSO IRES
l" ~
Ce'lI-
L'ossature de la p rotect ion cont re ln l1S
die aya nt été constituée par les mo~~es
susceptibles d'assurer pendant deu x he _ ./
3h
l'alimentation des motopompes de 60 msera
il pourra y avoir intérêt, lorsque ce li des
possible, à installer en supplémen mertre
< prises accessoires > pouvant per JIlln
aux sapeus-pompie~ d'une communeavant
centre de secours d a'ttaquer un feu
21
l'arrtvCe des engins du c.::ent re. \'OISIO ou â
d~rnler de c.: om,p léter. Son ac1l0n.
Ce:, prises accessmres Ipourront être
constituees :
1" Si l es conduites sont en m~ure de
dëbl ter J 7 litres-secO!lde, mais si le ou le::;
rl"SCr voir!:t d'alimentatIOn ne permettent pas
de dispose r t!11 tout temps d'une rése r ve
d'cau (li'i nce ndie de 120 m3 : par des bouches de 100 mm . ou de preférence Ipa r des
poteaux d~JIlc'èndie de. même diamè.tre ~u
modèle déc rit au chapItre 11 (appa reIls utllisahles pa r les moto.pompes d~ 3U m3-h. ou,
momentanément, par des mo to pompes de
(j() m3-h.).
.
2" SI le::; conduites sont en mesure de
dé'biter 8 !ttres-seconde so us une p ression
de ma rche de 0,6 kg-cm2 au minimum :
pa' des bo uches de 70 mm. ou de pr éférence pa r des Ipoteaux de même diamètre
munis d' un seul orHice, les uns et les autres étant equipés avec un raccor~ syn:t~
Irique lixe de 65 mm. (3). (Appareils utilisables par ' Ies motopompes de 30 m3-h.) .
3" Si les conduites sont en mesure de
débiter 4 litres-seconde salis une pressio n
de march e de I"ol"ldre de 4 kgs-cm2 : par
des bouche:; de lavage ou des bornes de
40 mm. munies d'un raccord symétri que fixe
de 4{) mm. (3).
Il demeure cepend.lél nt bien entendu que
toutes ces _prises ne sont cons idérées que
comme accessoire et ne dispensen t en rien
de la réalisa t ion des aména·gements mentionn es aux chapitres précldents, dont elles
ne sont que les co mpléments.
ce
C HAP ITRE V
PARTJ.oPATION DE L' ETAT
AUX TRAVAUX DE DEofENSE
CONTRE L' INCENDIE
Il est rappelt! que, 'pour marquer l'i nté ret
qu'il attac he â l'a ménagement ou il. la
création de ressou.rces en eau destinces il.
assurer ,la d'éfense contre le feu, l'Etat peut
appor ter aux collect ivités ,une aide fi nanciè re importante pouvant atteindre, dans les
comm unes rurales, 75 % des dépenses
r.eellement et exclusivement prévues Ipou r la
pro tection co n.tre le fe u.
Cette q,uestion fait en particulier Il'ol>jet
des circulai,res :
- 123 A.G. J./3 du 22 juin 1945 du Ministère de n ntérieur et du N\in istère de
l'Agricultu re.
- 11 30 A.D./ l. N./ S.T. du 12 mars 1946
du Ministère de l ' Intér ieur de l'Educat io.n
Nationa-Ie.
Sous réserves des justifications li:onomiques et tec hniques demandées au chapitre
S~iv~ nt les d·~penses subvention.nables sont
alOSI dé.finies :
a) Cas
où la dcfense contre
l'incend ie
est aSsurée directement à partir d u résea u :
- Dépenses relatives à l'achat et à la
POse de bouches et poteaux d'incend ie prévus aux paragliaphes A et B du chapi-
tre 11 - l '.
~ Depenses r·elatives à la création de
Ipul sards d'aspiration me.ntio nnés au cha pitrel1_4'.
. - Depenses entraînées par les surd imclIsl.OI1S qu'il a fallu ~ ventucllcm e nt donner ;111
reseau POUl a. . Surer le sen'ice iru.:endlc tel
que défînl au chapitre Il ; cc~ dépel1 ~e~
--
.:s'établiront par différence ent re la d6pen~
totale réelle entraî née par la réal isa tion du
résea u et celle il. laquele aurait conduit
1 ctabtlssement d'un reSCa u s ll tfi~ant pour
aSSu rer le service normal. Cependant, la d€:pen!lC ~uppleme nt aire prise a ce titre en
cO llsid êrauon ne sau,rait depasser 20 % de
la dépense qu'entraînerait l'établissement
d 'un réseau capable d'assurer le service
110 rmal.
b) Cas ou la d~ fense contre l' incell<1ie est
a&:ourée à partir de ipoillits d eau Oll de réserves artificielles :
prévus au
chapiAmenagemen ts
tre Il - 2".
- Citernes enterrces o u bassi.ns et éventuellement leurs dispo!:titif-s de rernpl is:sage.
- Aménagements spéciaux pour l' utilisation des piscines.
Il est précise qu e dans ,les communes déclarées sinistrées la dépense subventionnable au titre incendie sera diminuée de l a
subvention â laquelle la co llectivité peut
pretendre en application des textes Sur la
reconstruction.
CHAPITRE
VI
ETABLISSEMENTS
DES
DOSS IERS
1 ECHNIQUES ET DE DEiVlANDES
DE SUtBVENT'ION. CONSULTATION
ET INTERVENT ION DE L'INSPECTEUI~ DEPARTEMENTA L D ES SERV ICES D' INCENrDlE.
En raison de l 'importance des questions
touclramt à 'la défense co ntre l'incendie, i l
importe que les techniciens chargés d'établir les Iprojets correspo.ndants prennent
contact avec l'inspecteur dcpa rtementaJ des
Services d'incendie au CO Urs des études, ei
précisent nettement les dispositions envisagées.
Oll particulier, si l a défense incendie est
examinée à l'occasion de la création J de
l'ex tension ou de la réfection d'un résea u
de distribution d'eau, les dossiers devront
comporter obligatoi rement un sous-dossier
incendie compr-ennant (4) :
Un mémoile explicatif mentiollnant :
TO llites les resso urces et rèserves ell
eau naturelles ou non existant dans ·Ia
commune qui répondent aux con-di·ûions du
chapitre Il de -la ·présente ci rcu laire en précisa nt celles qui sont utilisables par les
sapeurs-pompiers, sans aménagements spèciaux.
Les risques particuliers de J'agglomération.
- Les dispositions projetées pour aSsurer
la défense contre J'incendie conforméme nt
aux dispositions de la prêsente ci rcul aire, en
justifi ant J'Opportunité de ,ja solution retenue des points de vue technique et économique.
- Un plan de la commune sur lequel seront portés avec des repères distinctifs :
Les ressources existantes ou à créer,
avec leurs capacités.
- L~ canalisatio ns qui contribuent à la
défen se co ntre l'incendie, avec leurs diamètres.
(4) Ce~ illUicJtiol1~ JJlodlfit'llt ct comp lètcnt
le paragraphe A II-b de li) circulaire C.G.
1236 ou 2 dêce:-nbre 1948 du 1\llnistè rc de la
l~ eco lI strllctio ll et de II'UJlbank-me relative
il la co mposition de~ dossiers d'
- Les réservoirs avec leurs capacités et
la cote de leurs radiers, les prises dï n.cendie, les citernes, les points d'eau amênag6i.
avec la zone â. protéger par chacun d'eux,
{es prises accessoires.
- Eventuellemeni une note de ca lc ul du
réseau en service d' illcendie.
- Les dessins des o uvrages non nOlmaliséo.
- Un devlÎs est-imatif fa isant re~rtir les
supplémentlS de dépenses entraînées .par la
défense contre l'incendie.
Ce sous-dossier, assorti de l'a vi d~ l' I nspec teu r départemen ta l des Services d> l ncendie, sera joint obl igatoi rement à toute
demande de subvention adressée aux MÎ11istères de J'I ntér ieur ou de l'Agriculture.
. Dans le cas où le projet n'intéresse pas
d i rectement un réseau de distribution d'eau
les dossiers techniques et de demande d~
subvention devront être établis conformément aux directives des circulaires :
123 A.G.J./3 du 22 jui" 1945 du Ministere
de l'ntér ieur et du Ministère de l'AgricuJture.
196 A.G.P.C.T. du 1er juin 1949 du J\Unistè re de /' I ntérieu.r comp létée p3lT l a circulaire 339 du 20 septembre 1949.
D'autre part, il est rappelé que lorsque
les travaux envisagés ne donnent lieu qu'à
l'attr ibution d 'une subvention de la part
du 'M inistère de j' I ntérie ur., ils entrent dans
le cadre d'applica ti on du déc ret du 19 mai
1937 qui prévoit que le contrôle technique
local est exercé par le personnel du Service
des Ponts et Chaussees.
CHAPITRE V Il
CONTROLE
DE L'EXECUTION DES TRAVAUX
11 est apparu que, d.ans certains cas, les
travaux ex<..->Cutes n'étaient pas conformes
aux projets Sur lesquels les services compétents chargés de la défense contre l'incendie
avaient été appelés à donner l eur avis.
Il importe donc de veiller à ce que les
dossiers d~exêcution soient conform~ au
projet approuve.
Il est d'ail,leu'rs rappelé que, en cas de
,participation f inancière de J'Etat, le paiement
tant de. acomptes que du solde de la sut>v~nt i on ne peut lIltervenir avant que le ServIce de ,'Etat chargé du contrôle ait vérifie
l'état d'avancement des travaux et '~eur
conformité avec 'le projet au vu duquel la
subve-ntion a fté octroyée (article 13 du
décret-loi du 21 avril 1939). La roXeption
des travaux sera prononcée en présence de
l'Inspecteu r dëpartemental des Services d'jncendie.
La présente CÎrculai:'e ,IOIIS est adressée en
trois exem.p1ai res, dont J"un destiné à l' In!oopeeteur départemental des Services dïncendie. Elle sera insCr':e au recueU des a-ctes
administratifs du département.
D'autre lprurt, les .I\Unistères de l'Agriculture et de la Reconstruction et de l'U rbanisme assureront directement l a diffusion de
ce texte (5) :
A signaler qu'll sera e(!alcmenl dèpoau Bureau de Vente du 1\\inis1 ère de la
RCCl1llstructiOll ct de /'Urbamü; me. 2, ni\':
Gœthe) Paris XV I
r être mis, à titre
se
(5)
�-
_ Au..\. lng~ni eurs en chef du Génie:
Rural ;
_ Aux Ingenieurs en chef d es P on ts et
Chaus:s.ées
_ Au); ddeglk::> Iflterdêpa rten~entaux et
dcpartt:m\!nraux de la Reco nsrr ucbon ;
_ .-\u); chets de~ sen'i<.:es départem ent,ux de J'L rbamsme et de l' Habitation.
L< Sée"'ta;,e d'Etat
à l' Inh.'-rieur
Andre COLI N
Le .\linlstre de la l~econstrucho n
et de l' U ,oanisme,
Pour le lÙlOistre et pa r délegation
Le ,\\a;t:e d.,. Requè'es a u Conse;1 d'E tat
Directeur cbJ Cabi net
Christian CHAVANON.
Le Min .Z)tre de l'AgrÎ'CuJtuJre
Camille LAURENS.
- - -c>oo<>-- -
D3 B2
FS 7
APPRO BATION DES DELIBERATIONS
DES CO MMISSIONS AD MlNISTRATlVES DES H OPITAU X ET HOSPI CES P UBLI CS DU DEPARTEMENT.
Lt préfet des Bouches-du-Rhône
1"'1\\. les sous-prefets d'Aix et
d'Arles ; Mt.M.. les ..~\aires. presidents
des Commissions administratives des
Hôpitaux et Hospices publics du
département.
J'ai l'honneur de porter ci- après à votre
L"OnnalSS3nce le texte de la circulaire
commune du 7 janvier 1952 de ,\\M. les u\lin' tres de rlnto!rieur et de la Santé Publique et Population l rdative â la procédure
d'approbation des délibérations des Commi' Ions Administratives des Hôpitaux et
Hospices publics.
Cette ci rculaire pre.dse que les délibérations portanf sur les objets énumérés au
paragraplle 2 de l'amele 10 de la loi du
21 - 12- 1941 sur les Hôpitaux, soumises à
ajJpTobation préfectorale, de même que tes
""libérationS portant sur des objets semblables du Conse;1 muniCipal, doivent être
considerêes comme approuvées si aucune
décision de l'autorité de tutelle (Pre!et ou
Soûs-Préfet) n'est intervenue d'ans Wl délai
de 40 jours.
Les ~Iibérations en cause devant être
assomos de l'avis du Conseil M\micipal le
délai de -W lr>urs courtl non à compter' du
clep6t de la dtlibération de la Commissk>n
AQmjnistrative, mais à compter de la date
du dépôt de la délibération <lu Conseil .'>Iunicipal, pour avis. [J'autre part, je précise
que cette approbation tacite n'est suscepfible d'être invoquée que pour les seu les
détibérations portant sur les objets énumérés par l'arti'de 10, paragraphe 2 de la loi
du 2 1-1 2-45 et semblables â ceux prevus
par les articles 68 et 69 de la loi murucipale du 5-4- 1884 et sou mis il la même procedure.
.
E ~Ie ne s'applique pas, par contre aux
délibérations Sùu mises il une procédur~ rparticll'lière d'approhatlo n prévue pa r d'autres
textes législatifs ou règlementaÎIes.
a
Pou r le Préfet,
Le Secrétaire GênéTal,
: LA.\tASSOURE.
Paris, le 7 janvier 1952.
Le Mi nistre de la Santé Pubiique ef
de la Populatio n et le i\1inistre à e
l'J nteneur, il .\\M. les Préfets (pour
exéc utio n), "'!;hl les Direc teurs Dép.,a rtementauA de la Santé, M,\1. les DltHteurs Départem enta ux ce la Popula.tlo n
et de l' J:.n tr'a.ae Socia le (po ur mformation).
Notre atte nt ion a été appelée a d1ve rses
repris(;s s ur les ds ff ~ultes soulevées. va r
l' IIIterprétahon de l' aJ'bd e IOde la 101 du
21 décembre 1941 rela ti ve a ux Hôpita ux et
Hospices publics, en ce qui co ncerne nota mm ent les délais d'appro bation des délibérations de la C.ommjssio n admlOi s trat ive
hospitalière.
En son paragra p he 2, cet article précise
q ue :
c Les délibéra tions de la Com mbsit)-n
ad'rninistrative 'Portant s ur les objets sliivants :
Les budgets ct co mptes et, en générai,
toutes les recettes et dépenses <:1es ~ tabhs
sements hospitaliersl
< Les acquisit ions, échanges, a!1énation!:.
des propriétés de ces étatbhsseme ntsl leu !'
affectation au se r \"Ï'Ce et, en général, to uÏ
ce qUI in .ere&ie leu r conservation et ': eur
ameliorationl
c les projets de tra\' a ux po ur co ns tf1.tctions grosses répa ratio ns et dé molitions
dont l ia valeur dépasse lOO.<X>O francsl
c les conditions des ba ux et termes, 101 sque leur durée excède 18 a ns pour les bien:">
ruraux et 9 ans po ur les autres ;
c les actions judiciaires et les tra nsactionS I
c les dépiacements de fonds et emprunT;;,
< sont soumises â l'avis du Conse.a Municipal et s uivent qu ant au x autorisation s,
les mêmes règles que les délibérations de
ce Conseil >.
U ressort trl'S nette ment de ce texte q~e
les dé.libérations des Comm issio ns administrath"es hospitalières obéissent aux mê mes
regles d'apJlrobation que les délibé rations
des Conseils mu niclpau:.'1 portant s ur des
objets semblables.
Or, ces regies sont fixées pa r l'article 69
de la loi municipale <lu 5 av ril 1884 mooifié
par l'article 15 du décret .ru "5 nove mbre 1926, qui stipule nota mm ent que les déli bérations en cause du Conseil municipa1
sont soumises à l'approbation préfectorale
et sont considérées comme approuv~. si le
Préfet o u le Sous-Préfet n'a
pas fait
connaître sa dét.:lsion, dans un délai de quarante jours, à dater du dépôt de la .leiîh~
rati on.
Il résulte donc des dispositions combinées
de l'artieie 10 de la loi du 21 décembre 194 1
et de l'art~e 69 de la loi du 5 av rit 1884
modifié que 1'l"S dé libérations de la Commission admirüstrahve énumérées ci-dess us
sont soumises .il J'approbation préfecto rale
et que votre décisio n doit intervenir dans
un délai de 40 jours ,faute de quoi, passé ce
délai ILa déJibération est considérée comme
approuvée.
D'autre part, il convient de p réciser quel
est le point de départ du délai d'approbatlOn des <.leJi.hcrations de la
Commiss.ion
administrative.
L'avis du Conseil mu
énumérées au paragraphe 2 de l'article 10
de la 101 du 2 1 décembre 194 1, il est bien
certain q ue le dé la i d'approbation tacite ne
peut com mencer à co urir que lorsque la
déUbé ratio n de la Comm ission adm inistra _
ti ve est assorti'e de l'a vis du Conseil M.unicipal.
CepeTlidan t, li est arri vé que certains
Co ns eils Mu nicipa ux négli gen t d'émettre rapidement leur av is s ur l es d éli bérations des
Co mmissions adm inistrativ es qui leur son t
so umi ses et reta rdent ains i l' approbatiOIl de
ces délib ératio ns , ce qu e, précisément, le
législateur a vo ulu éviter.
Po ur pallier un tel in corwénient, nous
a vons décidé q ue la procéd ure suivante
po urra ètr e instaurée.
Il con \' iendIa que vo us inv itiez les présid'ents des Co mmissio ns adm inistra ti ves da;
Hôpitaux et H o~pices publics placés sous
vo tre tu telle, â transmettre, pour informa·
tion, a u service co mp étent d e votre Préfecture, les délibéra tions <i.e leur Co mm ission
ad ministrative, en même temps qu'elles sont
transmises a u Co nseil M un icipal po ur qu'il
é mette son av is .
Vos se rvices p réfectora ux a uront alors li
cllil rge de vei ll er à ce que le Co nseil MunI·
cipa l se pro no nce dans les déla.is normaux,
en faisa nlÏ au besoi n des rappels à cette
Asse mblée, si cell e-ci n'i nscrit pas à son
ordr e dtu jour les aff a ir€s q ui lui ont été
so um ises pa r la Co mm ission admi nistrative.
1\>\ ais il doit ê tre bie n entendu que le déla i d'a ppro bati o n tacite ne co mm encera à
courir que lorsq ue l' av is d u Co nseil Muni.dpal seraI à son to ur, déposé â la Préfet.tur e ou à la So us-Prefectu re, acco mpagne,
éventue ll ement, da ns le cas oû cet avis ne
serait pas conforjl1 e, d' une nouvell e. dêli! êratio n de la Commissio n adaninistrahve modifiée ou no n d'après J' avis émis par le
Consei1 Mun icip al.
Le Mi ni s tre de l' Int érieur,
BRUNE.
Le Ministre rde la Santé p ublique
et de la Pop ulation.
Pour le Ministre et pa r délégation
Le ConseiMer Tech nique,
P 6Q UI GNOT.
sionnaires paya Jlts, modifiés pa r le décret
N' 51-1 21S du 19 octob re 195 1 ;
Vu la c irc ul a ire d' applic ation N ' 183 de
M. le Min istre de la Santé P U-blique et de
ia population e n date du 24 oct"bre 195 1 ;
Vu les l'roposilio ns et justif icatioos des
Commissions Administratives des HOpitaux
et Hospices publics ;
Vu les rapports de M. l 'Inspecte ur Princi pa l de la P opulation et de l'Ent!" Aide ;
S ur la Œ'roposi ti on de M. le Sec rétaire
Général d e la Préfecture.
Majo ... tiOD
fS 7
ETABLISSE M EN T S HO SP ITALIERS
P U BLICS : PRIX DE JOURNEE
P REV IS IONN E LS 1952
PRIX DE JOURNEE INDIGENTS
D ÉS IGNATI ON DES ETABLI SSEMENTS
Services
H. : H ospice
M : Médec ine
C : Chintriie
H.
Hôpital- Hospice d'All auc h ...... • .. . • . . . •.
lM.
ç.
H.
Hôpi tal· Hospice de La Ciotat. .....•. . . . .
M.
C.
H.
lM.
C.
H.
M.
C.
H.
M.
Ma tern ité
Hospice de La Fa re .. , ... • ..•. . . .. . ...•..
Hospice d' Istres ...... . ...... • ... . .. . ..~ . .
Hospices d' Arl es ... .. .... .. .. . . . ..... . . .
...... ... ...............
Hôpital- Hospice de Ta rasco n ........ . , ..
.. .... ... ...
Hôpital- Hospice de Châtea urena rd .... . •..
H.
Hospice Mai ll a ne ....... . ..... .. . : :::::::
Hospice Ba rbe nta ne ..... . . ... .. ... . .. . . . .
H.
M.
C.
H.
,M.
C.
H.
ETABLISSEMENTS
... .. .... .......
H
'
-
.... '..... .. .
Hosp"", de Cass is .................. . ... .
ospIce d' Aurio l . ...... . ............... .
H
. .. . ... , ...... . . . . •.
Hos t"~.ce de Roquevaue
09pICes d'Aix ....... . ...... .. . . . ... ... .
.. . .. . . .. . . .. .. . . .. .. ·1·' · ·
H.
Services
H.
M.
C.
H.
M.
C.
H.
H.
H.
H.
'
-
.. ...... .. ..
HosPI ce de La Fare .. ...... .. ...... .. .. .
IlOSj)lce d' Is tres ........... . .. ....... .. .. .
""Ptees <l 'A, les ....... .. . ......... .. .. .
456
1.307
1.669
626
1.432
1,432
287,64
575,28
68,40
196,05
250,35
36
108
2 16
29,83
89,49
au..x pri x de journ6e
636
1.28 1
1.479
782
1.49 1
1.736
300
M.
1.<451
lM.
H
30
402,34
4OZ,34
H.
H.
M.
C.
Macti~~ ' :: ::::: : : :': :
390
366
540
753
1.643
1.868
777
1.603
1.842
604
1.553
1.353
-441
470
H.
HÔlli tal-lI ospice <1 e
2 1,3 1
11 2,22
336,66
65
195
exer-
a.ffecter
cices
constlau fon.cb
tution
antéde
d'un fo.okls rieurs
rouled.e pr o• ••t
flaio D
pourc ru DCK
irrécouvrab1et
+
+
668
1.348
1.555
723,69
RxcédeDts P rix
des
de
e....,.journée
cioes
prévisionnels
an tér ieurs
.r
32
67
76
58,06
72.35
106,58
1 .4 I S,~
1.629,85
370
497
795
1.737
1.970
78 1
1.627
1.822
598
1.538,48
1.538,48
450
470
524
1.503
1.9 19
662
1.540
1.648
3 17.47
664,77
282
378
des
C.
H.
M.
Ma t.
H.
41%
Indigen~
636
1.281
1.479
782
1.49 1
1.736
300
4
42
94
102
4
24
20
6
15
1~
9
7,86
22,54
28,78
60
76
36,66
37
00
46
32,66
70
0,63
1,08
2,30
98
35
2e caté,orie
Ire ca.té,orie
795
1.601
1.849
899
1.71 5
1.996
375
954
1.92 1
2.218
978
1.864
2. 170
450
MI
2.054
2.335
2.404
1.343
2. 1 li
2.004
2.303
590
708
1.886
1.669
366
540
43
3e catée-o ne
.... .... .... .. . .. ........ .
-
p'"''
D~icit3
et assurés socia ulC
P rix égal
Qp;tal"Ho'IPice de Sa lon . .. .... .. . . .. . . .
H'
773,69
1.624,78
1.633,34
71 6
1.432
1.432
568
1.1 36, 14
1.1 36,14
H.
PR IX DE J OU~NEJE P AYA NT S
Hôpital-Hos pice de .La Ciotat ......... . . .
:e
ratiotll
300
H.
M.
DES
69
207
4 14
8,40
402,6
5 1, 12
H.
Hôpital· Hospice d e Salon .. . . . ....... . •. .
DES IGNATrON
599
1.1 4 1
1.1 4 1
71 5,29
1.0 15,92
1.578,73
H.
...... ....... ..... ....... .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. .
Hôpital-Hospice de Ma rtig ues
Pri x de revient prévi sionnels
i énéral
médi cal
t otal
1
2
1 + 2
H.
Hosp ice de Cassis .... . . .............. . .
Hospice d' Auriol . .. . .............. . .. .. ,
Hospice de Roq ueva ire . .... . . . .•. . , ..• . .
Hospices d'Aix ....... . . .. .... .. . .... " .. .
Hôpi ta l- Hos pice d' All a uch ..... . ......... .
Arreté :
Le Prefet de s BOllches411-Rhône, Olficrer de la Légion d' Honneur,
.
Vu !a loi d u 15 j uillet 1893 s ur rA:\St>tance Méd ica,le Gratuite ;
.
V u la loi du 14 j uillet 1905 511' l'ASSI':
C5
tance a ux Vieilla rds Inlfirmes ct Inc urabl ,
,
19-14
Vu l'ondlonnance d u 18 d-êce lll bre
de
dé.termina.nt à tit re transit~ire les f1ègl~~. i~
fixation des pflX de jOU:CIJée dans les op
tallx et Hospices pt>t1lics ;
d'
Vu la c ircuia.ire ministérielle d.u ~g Jl
cembre 1944, I~· r,ise 'pour '1 '31>p 11 c.atIO
l'ordonnance précitée;
.
'J I lécclll'
Vu J'(\rt;t.:I~ 2fi Lie 1~1 lOI th~ -' \.k.< rcl
br\! 194 1 ct les étrti~l es 22 . et 34d~ I~. 'a lioll
d u 17 avri l 1943 ~ur les regles ~. elt '
Majo-
à
I. -
- -- - c >oo< > - - -
D3 132
Arrête :
Article Premier, - .Les prix de jourll~
prévisionnels 8ru>licables durant l'amlée
1952 dans les Etablissements hospitaliers
p ul>lics ci-après énumérés sont fixés comme
suit, avec e Het du 1er janvie r 1952.
1.1 29
2.002
753
1.643
1.868
777
1.603
1.842
604
1.553
1.553
441
470
472
1.45 1
1.9 \ 3
625
1.400
1.602
285
595
380
41 3
�DESIG_'ATlOX DES
Sen,ces
ETA8LlSSDlENTS
3e catégorie
ct assurée sociau:<
Prix égal
aux prix de journée indigents
C.
H.
d'Arf., ,... . .... . .... . .......... .
H6piW-H ospice de Tarascon .. _. - . - .... .
Hœp~
C.
Hôpital-Hospice de CMteaurenard ....... .
H.
Hospice de .\Iamane .................... .
Hospice de Barbentane . ... . ............ .
H.
~l
Article 2. - M. le Secrétai r. Général de
la Prdeclure, ,\1,\1. les Sous-Préfets d'Aix
et d'Arles. M.\1. les Maires, Présidenls des
Commissions Administratives, MM. les Receveurs de ces Elab!issemenls, M_)e Trésorier-Payeur Général sont chargés, chacun
en ce qui le concerne, de l' exécution du
présent arrêté.
!>!arseilt., le Il janvier 1952.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Signé : René PAIRA.
---<>00<>----
D3 B2
FS 7
ETABLISSEMENTS
ET
SERVICES
HOSPITALIERS : PRIX DE JOURNEE
PREVISIONNELS 1952.
Vu
tance
Vu
tance
Vu
ARRETE
Le Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneu,r
la loi du 15 juillet 1893 sur l'Assi<.\Iédicale Gratuite ;
la loi du 14 luiUet 1905 sur l'Assisaux Vieillards, Infirmes et locurables;
la loi du 30 juin 1838 sur les Aliénés ;
H.
Hospice .... .. •. .. •.......
Médecine ................. .
Ohirurgie ................. .
Enfants déficients ......... .
Aliénés .'. ~ ............... .
Mères hébergée-s ......... .
Vu l'ordonnance du 31 octobre 1945 relative à l'organisa bon et au fonctionnement
de la lutte contre la tuberculose ;
Vu l'ordonnance du 18 décembre 1044
déterminant à titre transitoire, les règles de
fixation des pnx de journée dans les Hi'>pitaux et Hospices publics ;
Vu la circulaire ministérielle du 29 décembre 1944, prise pour l'application de
l'ordonnance précitée ;
Vu l'article 26 de la loi du 21 décembre 1941 et les articles 22 et 34 du décret
du 17 avril 1943 sur les règles de fixatIon
des prix de journée des malades et pensionnaires payants, modifiés par le œcret
N' 51 -1 218 du 19 octobre 1951 ;
Vu la circulaire d'application N' 183 de
M. le Ministre de la Santé Publique et de
la Population en da le du 24 oclobre 195 1 ;
Vu le décret du 15 juin 1948 sur l'organisation de l'Administration de l'Assistance
Publique à Marseille et notamment son
article 16, alinéa 2 ;
Vu les propositions du Directeur général
de l'Administration de l'Assistance Publique
à Marseille ;
Vu le rapport oe M. l'Inspecteur Principal de la Population ;
•
884, 18
1.768,36
1.768,36
884,18
972,59
884,18
-
--
83,42
250,26
500,52
83,42
125,13
83,42
967,6
2.018,62
2.2Ô8,88
967,60
1.097,73
96,76
Prématurés ....... .
Sana j.-\lartin __ .. _... _...
1.525
1.797,39
Services
fin. 75
2.487
937
1.898
2.083
290,28
605,58
680,66
290,28
329,30
290,28
Cons'dérant que la formule du calcul forfaitaire condluit à fai re supporter en fait au
service Hospices une part de dépenses oé_
nérales et médicales qui n'aurait incombée
qu'aux Services Mé.decine. et Chirurgie, si
la formule par service avait pu être appli~
q\lee dès cette annêe et qu'il parait éqUitable dans ces conditions d'effectuer une rëduction lorfaitaire oe 10 %, soit 125 francs
sur le prix de journée hospice tel qu'il résulte de l'a~plication pure et simple de la
formule forfaitaire et de répartir c~tte reductron sur les services Médecine et Chirurgie dont le 'Prix n'est, de ce fait, majoré
que de 8 frallcs par jour par suite du nombre de journées propre à chacun de ces
services ;
Sur la proposition de 'M. le Secrétaire
Général de la Préfecture
Hœpice
..... . ...... . • . ..•... _. . ... . .. .
Prix de revient
prévisionnel
Redressedu 1er trim. 1952
ment
forfaitaire
(3
4)
5
6
Chirurgie ................. .. .......•.....
Enlants déficients ..•... _ ........... _.... .
Aliénés ............ _... _... , .. .......... .
Prématurés ........... __ . _• _.. . _... . .... .
Mères hélbergé,,,
Toutefois les prix de journée fixés con50rdi spositions de l'article premier SUSVisé avec effet du 1er janvier 195\
seront immédiatement applicables à flfre
provisoire jusqu'à J' intervention de la décision ministérielle qui les entérinera à fifre
définitif.
m~ment ~ux
Article :1. - A,ux !prix de journée fixés
sUIva nt les dispositions de l'article 1er cidessus, s'ajoutent pour chaque catégorie de
malades payants les honoraires médica ux
chirurgicaux et de spécialités calcul é~
conformément aux dispositions reglementaires en vigueur, telles qu'elles résulte nt du
décret dl! 17 avril 1943 dont les dispOsitions
ont été étendues sur ce point aux Hôpitaux
de Marseille par le décret du 19 février 1949.
Article 5. - M. le Secrétaire Général de
la Préfecture M. le llirecteUTùenéral de
l'Administration de l'Assistance l"ubhque à
Marseill e, M. le Trésorier Payeur Général
sont chargés, chacun en ce qui le concerne,
de l'e xécu tion du prése nt arrêté.
Marseille, le 9 janvier 1952.
Le Préfet des Bouches-du-RhOna,
Signé : René PArRA.
•
+
1.258
'2.624
2.950
1.258
1.427
1.258
+
+
125
8
8
-
125
Prix ~e
journée
prévisionnels
7
1.1 33
2.632
2.958
1.258
1.427
1.133
Prix de
journée
prévisionnels
1.525
1.865
1.525
I.R65
PRIX DE JOURNEE PAYANTS
3e catégorie
2e catégorie
Prix égal
Majoration de 20 %
au prix de journee
sur les prix de journée
Indigents
3e catégorie
1.1 33
2.632
2.958
1.258
1.427
1.525
1.133
Les prix d-e journée ainsi fixés comprennent toutes les dépenses y compris celles
d'antibiotiques.
Article 2. - Il sera tenu compte des déficits ou excédents de 1950 lors de la fixation définitive des pnx ae l<rornée au cours
du 2e trimestre 1952 étant précisé qu'ils
seront calculés pour être amortis sur les
neuf derniers mois de 1952.
Articl e 3. - Le présent arrêté sera so umis à l' approbation de M. le Ministre de la
Santé Publique et de la Population conformément aux dispositions de l'article 16 du
décret du 15 juin 1948.
--
-
1re catégorie
J\lajo ratio n de 40 %
sur les prix de journée
3e catégorie
50 % pour l' Hospice
Méifeclne ....... .. ~ ..... . ..... .. .... ..• ..
-
25
Arrêté :
Article Premier. - Les prix d'e journée
prévisionnels applicables dans les diver;
établissements et services hospitaliers dépendant de l'Administration de l'Assislance
Publique à Marseitle sont fixés comme suit,
à titre provisoire pour le 1er trim estre 52 :
Prix de revient prévisionnels
Général
Médical
Total
Services
IDe catégori~
475
PRIX DE JOU~NEES INDIGENTS
Prix de revient prévisionnels
Majoration
des trois 1erS trimestres 195 1
de 30 % sur
les prix de
revient prévision.
Général
Médical
Total ( 1 + 2)
Total
1
2
3
4
Services
:!e catégorie
2.200
719
1.679
1.842
1.913
625
1.460
1.602
285
595
380
413
Nl
-
1.360
3. 15H
3.550
1.700
3.685
4.141
1.300
1.700
L~
Copie certifiée cODferm..
Pour l-e Préfet :
S~criloMe GIÎft'ral : LAMASSOURlt.
�RÉPUBLIQUE
7 finier 195 2
FRANClAISE
10' ADDH. -
DÉPARTEMENT DES BOUCH ES-DU-RHON
N' 6
If
1
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correflpondance relative au Recueil do;' être adressée
à
la Préfecture Secrétariat Général
SOMMAIRE
Pa2'U
Arrêtés réglementaires et ClrCD1alrea
PalU
AG 2. -
Médaille ,d'Honneur dopar'
tementa.{e et co mmun ale. - Promotion
du 1er M'ai 1952 . . . .. . ...........
AG 13. - Mobiliers et matériels comm~naux détruits par fait s de g uerre.
AG 13. - Délais de .forclu sion en ma tière de déclaration de s inistre ....
AG 14. - Arrêtés relatifs aux élections
cantonales du 10 Février 1952. - Canton de La CiotM .. . ... . ... . .....
SC 2. - Décret du 29 novembre 195 1
25
26
26
26
modifiant les tarifs ,de v-ente des eaux
dérivées du' canal de Marseille . . ..
27
SC 1. - Relèvement d u taux des vacations des sa.peurS4>ompiers volontai-
res .... ........ ...... ...... ......
A"êté préfectoral du 17
Janvier 1952 déclarant d'utilité publique l'acquisition 'Par le Départemc"t
28
TVX O. -
Textes
<ies B.-du-Rh. d' un terrain sis a CL!-
ges-Ies'Pins et appartenant à Mme
Rougon Gabrielle épou x BonifrlY
Faustin ............ .. . ...... .....
TVX O. - Liste des architec tes évaluateurs et reconstructeurs agréé$
et assermentés, affectés au dé~a:'te
ment des B.-du-l{h. à la date du 1cr
janvier 1952 .. ...... .. ...........
FS 6. - Arrêté préfect<>ral relati f à
l'a g~ m ent de la iosse Chimique ot• •.ler·
fecta > . .. . ,.. .. ... .. ... .. .......
FS 7. - Eta.blissements hospitaliers PlibHes. - Prix de journée pr(visio:lnels pour 1952 ...................
FS 7. - Prix de journée prpv;s;(JI1I~d
1952 appli«lble au Centre régIona l de
lutte cont re le cancer .. ... .......
A 3. - Primes à ,Yoléiculture ...... . .
A 1. - Accidents du travail :les ,alanés agricoles. - Arrêté n° 526 .. ..
AC 3. -
d'Intér~t
Imp utation des
28
29
31
31
32
32
32
Général
Budget de l'exeKice 1952.
dépenses
relatives
aux cotisations de la Sécutlté Sociale
AC 3. - Appli<:ation de la loi n· 51-714
du 7 juin 195 1 modiha nt l' att. 4 de
la loi n· 47-1680 du 3 septembre
1941 relative aux conditions de dégagement des cad res de magistrats,
,fonctionnaires et agen ts civils et militai«s de l'Etat, modifiée par la loi
n· 48-1221 du 22 juillet 1948 ......
TVX O. - Circ ulaite relative a la m<><lifkation temporaire GU -caractère d'un
,passage à niveau ........ .. ...... .
35
36
37
Communiqués, Avis, Annonces dlver_
P 8. - Opposition à acquisition nationalité française 'Par ma riage (art. 39
du Code de la nationalité française).
37
- Dons et legs ....................
37
ARR~TÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
-
AG 2
0283
MEDAILLE D'HONNEUR
OEPARTEMENTALE ET COMMUNALE
PROMOTION DU 1er MAI 1952
J'ai ('honneur de porter ci-dessous à la
connaissance de MI\\. les 'Maires du département le texte Ide Ja circulaire ministérielle
n' 18 l'ER/AG du 17 janvier 1952 relative
~ ta constitutio n .des dossiers ,pou r l'attribution de la Médaille d ' Honneur Départementale et Communale.
Pour permettre l'envo i des dossiers à la
date prévue, MM. les u\laires so nt priés de
voutolr bien les faire parvenir avant le 15
Février 1952 (délai de t 'g ueur) il. la Préfec'
ture sous Je timbre 2me DiviSiOf'l, 3me Bu-
reau .
1 L,~:
Pour te Préfet,
Le Secrétaire Gên .... al délégué
Guy LAJMASSOURE.
.'.
Paris, le 11 Janvier 1952.
Le ,Ministre de l'Intérieur
à M. le Gouverneur Général de
"Al gérie.
'M. le Préfet de la Seine (Direction
dm Personnel et Direction des Affaires Départementales,
MM. les Préfets, Cabinet. (Métro,pole, Algérie, Outre-Mer).
OBJET : Médaille d'Honneur Déparle- PromotiOn du
meutale et Communale
1er mai 1952.
« J'ai l'honneur de
VOUS Iprier
de m'arlres-
« ser SOUS le présent timbrt, avant le 25
« <lévrier 1952, délai .re rigueut, vos propo« sitions en vue de la promotion de la
• Médaille d'Honneur Dépa rtementale et
« Co mmunale du 1er Ma, 1952.
« Les dossiers qui me parviendront après
« cette date ne pourront -être eX'ami nés qu' à
c l'occasion de la promotion du 1er Jan« vier 1953c Vous vo uda-ez bien vous conformer
e strictement aux instructlÎons déta iUees qui
e vous ont été fourntes a u sujet de la pré« sentation des dossiers.
« Je crois devoir, d'autre part, appeler
« votre attention sur les points suivants:
l' ConstitutioD des dossle~.
«. Certai n ~ d'entre vous oro ient devoir
« joindre à leurs prorpositions les bulletins
« <ie n ai~sa n ce des candidats. Je vous rap ..
« pelle 'lue par circulaire n' 19 1 ou 31 Mai
c 1950, je vous ai indiqué qu ' il n'é tait plus
«" nécessailre de joindre ces documents aux
c dossiers de candidature à la medaille suse visée.
2· Prise en compte des services militaires.
« Je vous ra.ppelle qu'en vertu d-e l'article
« 6 d~ décret du 1 Juin 1945, les se:vi<:es
c militaires doivent être pris en compte dans
« ~e calcul de ,'an.clenneté dres intëressés
«: dans la limite de :
"
- durée légale du temps de paix,
.- durée des services de guelYe
c Eon conséquence, dcit être pris en con• sidération le temps passé dutant la guerre
« 1939-1945 ;
a) Aux a rmées, en captivité et dans les
F.F. 1.
b) dans la résistance (en qualité d'agent
Plou P2) ;
c) <flans les F.F.l.;
d) en déportation ou en internement au
titre de la Résista nce ;
•
e) dans les ooontiers de jeunesse 'POur le
stage obligatoire.
�Il cOn\"ient d'autre part d'accorder aux
< déportés et internés de la Résistance les
-< majorations 'Prhues par ~a 101 ~ 2~ Jtnn
c t 950 conformément aux mstructions conc. tenu::S -dans ma circulaire n'" 25 du 26
c. janv- r 1951 .
3' Méclaille die Ve!llleil.
« rai pu ""nstale.- que les ipCoposrtions
formulees par certains d:en~re vouS en \'·u.e
• de l'attribution de la Medalllle de Vermeil
c excèdaient largement le pouf"centage de
• 10 % des .Médailles d·argent. fix' (>ID' l'ar• ticle 3 Id u decret précité.
e Je vous se;rais. obligé, en c~m~uence,
< de bten \'I)uloJf veiller tout pa.mculierement
c à ce que vos propositions sOient déS?rmais établies dans la limite de ce contingent.
e Elles de\"font m'êt re adressees sous un
bordereau récapitulatif unique pour l'en.semble des candidats (qu'il s'agisse des
titulaires de mandats t!lectifs ou d'agellts
des collectivités locales), "ur lequel vous
mentionnerez votre orcire de préférence.
e \'ous ,,\'O'Udrez bien indiquer sur ce Dor• dereau si ces clIDdidats sont dej' titulaires
de la ~\èdaille d'argent.
4· Cantonniers de la voirie départementale.
-< En ce .qui tonceIVne les car«fidatures des
cantonniers de la voirie départementale,
integrés il CO!TTjlter du 1er janvier J 948 en
qualité d'agents de tra\-aux et de cooduce teurs de chantiers.au service des Ponts et
a: Chaussées, je vous prie de vous Ieporter
aux indications contenues dans ma circulaire n" 45 du 2 Février 1950.
c Afin <l'é'\'iter toute confusion su r la na ture de la .~Iéda/lle qu 'il com'ient de decerner à ces agents, vous voudrez bien veiller
à ce que 1a mention e étatisé le--- :t
figure en marge de la rubrique des services civils. >
en Vlau-eur au 1er janvier 1939, ne dépasse
pas u~ maximum qui sera fixé par décret ;
2. Pour les bateaux armés ~ la pèche et
d'une jauge brute inférJeure à c:-'n q ton~ea.u.x :
30 Pour les immeubles publics ou d utIlite
publique qui sont la proprieté des communes,
.des départements, des seNiees, des fondations administratives qui s'y Tattachent.
.... 0 Pour tous les mobiliers et matériels q~
sont ta propriété .des Commllnes et <les Departements.
P OUT le Prefet,
Le Se<rétaire Gèn"'al,
LAIMIAtSSOLJRE.
- - - - c.ooc>, - - -DELAIS DE FORCLUSION EN MATIERE
DE DECLARATION DE SINISTRE
J'ai l'honneur de signaler à J'attention dè
lWo\1 . les Maires du département les wSjJOsitions d~ l'a<kle 37 de la loi <lu 3 Janvier
1952, Telative au développement des dépenses
de réparation des dommages de guerre et de
oonstruction pour 1952.
.
En application d~ ce texte et il compter
de sa promntgation -:
c Il est ouvert a ux personnes qui deman« dent le bénéfice de la loi n" 46-2389 du
« 28 Oelobre 1946 sur les do mm ages de
c guerre, u.n délai de six mois pendant lequel
« elles auront la faculté de présenter une
< déciaration dé sin~stré a uprès des serv:ces
« compétents.
< Les personnes, ayant dëpose une dec mande atteinte par la fonclusion, sont re!e c vees de celle-ci. ::.
Pour le Préfet,
Le Secrétan-e Général,
L.I\,.\'tASSOURE.
- - - -000<>,----
05 BI
AO 13
05 BI
- - - - c >00 0 '- - - AO 13
MOBILIERS ET MATERIELS
COMMUNA.uX DETRUITS PAR
FAITS DE OUERRE
J'ai l'honneur d'appeler l'attention de tMIM.
les Maires des Communes sinistrées du Département sur l'article 3 de la loi n' 52- 5 du
3 Janvier 1952 relative au dé veloppement des
dépenses de réparation des dommages cfe
guerre et Oe COrtS!ructtion pour l'exercice
1952.
Désormais, et en vertu de ce texte, aCCUn
.abattement pour vétusté ou mauvais état
n'est opéré au titre de la législation sur les
dommages de guerre c pour tous mobiliers
et matériels qui sont la propriété des
Communes el des Départements •.
L'article 27 de la loi du .28 Octobre 1a46
sur les -dommages de gUErre modifié pa'l'article 3 de la loi du 3 Janvier 1952 susvjsée est donc ainsi libellé :
ARTICLE 27. Aucun a battement pour
vétusté ou mauvais état n'est opére :
1" POlir les immeubles habités prineipalement. soit pa'r le propriétaire, soit par un
de ses ascendants GU dfscendants, à la d'ouble condition que le l'rupriétaire ne soit pas
assujetti à j'impôt SUT le revenu pour une
Somme supérieure! il 5(X).()()() francs, et que
la
locative cadastrale de l'immeu ble,
05 B2
AO 14
ARRETES RELATIFS AUX ELECTIONS
CANTONALES DU 10 FEVRIER 1952
CANTON DE LA CIOTAT.
ARRETE DE CONVOCATION
Remplacement d'un Conseiller Général décédé
ElectIons du 10 Fevrier 1952
Canton de La Ciotat
Le Profet des Bouches-du- Rltône,
Officier de la Légion d 'lionneur.
\iu la Constitution de la République Française en date d\1 27 Octobre 1946 et notammen! l'article 105 de cette Constitution ;
Vu la loi du 10 Août 1871, modifiée par
les l.ois des 31 Juille< 1875, 23 Juillet 1891,
8 Jutllet 1901,4 Février 1909, J7 Juillet 1928
et 21 Juillet 1931 ;
Vu le décret du 5 Nove mbr e 1926 art. 56,
Sur la proposition de M . le Soorétaire Générai,
ARRE:TE :
ARTICLE PREMIER. - Les collèges électoraux du canton .oe la Ciotat sont convoqués
le dimanche 10 Février, à l'effet d'élire un
Conseiller Général en remplacement de M.
Eugène Santini, dé.cédé.
Le second tour de scrutin aura
s'il
ART. 2. - La ca mpagne electorale sera
ouverte le dimanche 27 Ja nvier 1952.
ART. 3. - Les élections se feront sur les
listes olectorales closes ail 31-3-1951.
A . 4. - Le scruti n sera ouvert de 7 heures et clos re me me jour à 18 heures.
L.e dt:pouiUemeot suivra immédiatement la
dlôture du scrutin.
ART. 5. - Aussitôt après l e dëpou illement
les procès-verbaux: d-e chaque Commun~
seront tlr.ansportés au .chef-lieu de !Canton par
deux membres d u bureau. Le recensement
des vot es se ra fait par le bureau du chef-lieu
et le rés"ltat (>roolamé l'a r son Président.
A.RT. 6. - M. le Secrétaire G~nér.l et M)\1.
les 'J'V\.aires des Communes comprises dans.
le canton de La Ciotat, sont chargés, chacun
en ce qui le co nce rn e, de l'execution d'U présent anrêtê, qui sera imfll,é diatement publie
et affiché dans toutes ces Communes.
Marseille, le 9 JanvIer 1952.
Signé
R. PAIRA.
t.
D5 B2
AG 14
ARRETE FIXANT LES DATES LlMl1l:S
DU DEPOT PAR l.ES CANDIDATS A
L'ELECTION CANTONALE DES 10
FEVRIER 1952 (1er TOUR) ET EVEN·
TUELLEMENT DU 17 'FEVRIER 1952
(2me TOUR).
Le P,éfet dies Bouches-<lu- Rhône,
Officier de la Légion d'Honneu r.
Vu la loi n" 4'J-285 du 2-3-1949 réglemen·
tant la propaga.1<Ie electoral e ;
Vu ie décret n' 49-296 du 4-3'1949 pt)!.
tant reglement d'arllministration publiq ue p~ur
l'apljJ;cabon de la loi du 2-3-1 949 relahve
il la réglementation. de la propagande électora le pour les élections cantonales ;
Vu l'alIfêté en .ilate du 9 Janvier 1952,
GOn,v oqwmt .pourle JO Fé\Tier 1952 (1er 1011';
et ë"'entuellement pour le 17 Fevner 195.
(2me tour), les colJèges élect?,r~ux dl1 canton de La Ciotat, il l' effet d eltre un ÛJ~
seU!er Gé néra l en rerr:pJaceme.nt de M. Eug ene Santini, décédé ;
Sm la proposition d'e M. le Secrétaire
G~néral de la PTéfecture ,
•
AO 14
05 B2
ARtg~g~~I~to~~ ~'itSA:b~rg~~
LA PROPAOANDE
ELECTORALE
POUR L'ELECTION CANTONALE DU
10 FEVRIER 1952 (CANTON DE LA
CIOTAT) .
Le Préfet ,<les Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur.
Vu la loi n' 49-285 <lu 2 'Mars 1949 réglementant la propagand.e électorale;
Vu le Klécret n" 49-296 du 4 M'ars 11949
portant reglement d'admi.nistration publtQue
pour l'application die l'a lOI <lu 2-3- 194g nelative à ta réglemen tatio n de la Ipropagande
électo rale po ur les élections ca.ntonales ;
Vu l'arréte en date du 9 Ja nvIer 1952, convoquant pour le 10 Février 1952, les cotlèges
électoraux du canton Ide La Ciotat, à l'effet
d'élire un Consei ller Général en remplacement de M. Eugène Santi ni, décédé ;
Su r la prd'position de M. le Seorelaire G~
néra l de la Pr éfoc~ure,
ARRETE:
E n vue d'ass urer
l'attributio,tl du 'Papie r l'impression et la diffusion des doc um en ts electo raux pou r le
compte des candidats à l'électjon cantonale
du 10 Févr 'er 1'952 (1er to",r) et 'éve ntuellement Klu '17 Fév rier 1952 (2me tour) , il esi
constitué da ns le ca'nton de La C iotat une
Commission de !propagaTlldle qui siégera a u
cheM.ieu de canton .
FAle est co rn posée de :
- M. Excoffon Je a n-Ma rie, Juge de Paix
~ La Ciotat, Président.
ARTICLE PREMIER. -
18 hClI'l"es.
(
caS,
La Commission n'assurera, e~ a~cun aiel1 1
la diff usio n d~s documents qUI lUI s~.rmites
~ransm i s postérieurem ent auX dates [
fi xées .ci-dessus.
d la
ART. 2. - NL le Secrétaire Généra~u e rePréfecture est chargé de l'exéc utIon
P
se nt arrété.
Marseille, le 1er Février 1952.
Pour le P réfet,
Pa< délégation,
Le Seorétaire
ART. 2. - Cette Com missi.o n se réunira
à la dihgence
, die son Président.
ART. 3. - M. le Secrétaire Général est
chargé de IJexéc uti on du présent arrèté.
MarseiHe, le 23 Janvier 1952.
POlir le Préfet,
par délégatio n
Le Secrétaire Général,
LA MrA!SSOURE.
----<>00«-).---
02 B3
SC 2
DECRET DU 29 N.OVEMBRE 195 1 MODIFIANT LES TARIFS DE VENTE
DES EAUX DERIVEES DU CANAL
DE MARSEILLE.
Le Président du Conseil des 'Ministres,
Sur le rapport du Vice-P résident du
Conseil, Ministre des Finances et des Affaires Economiques, du Ministre de II'lntérieur.,
du N\inistre du Budget et du Secrétaire
d'Etat à l' Interieur,
Vu le decret·loi du 30 juillet 1937 nOtamment en SM article 'premier,
VII Je contrat passé le 29 juill et 194 1 entre la Ville de Marsei lle et la Société des
Eal1 x et plus particulJièrement les articles 25
et 26 dudit contrat,
Vu les rappo rts du Préfet des Bouchesdu-Rhône en date des 13 juillet et 30 oclobre 1951,
Vu les avis émi par l' Ingénieur en Chef
des Ponts et Chaussees des Bouche~u
Rhàne en date des 20 juin et 22 octobre
1951, ensemble les autres pièces du dossier,
Vu da d.él~bération du Conseil Municipa:l
Ile Marseille en <Iate du 9 avri l 195 1, reje~a n t la demande de relèvement des tarifs
présentés .par de régisseur, en vue d'assu rer
f'éq uil irbre financie r de l'exploitation du
service,
DEORETE :
Article pre mi er. - Les tarifs de vente
des eaux dé.rivées du Canal dt' Marseille
sont majo.rés conformément au 1ableau annexé au présent décret.
Article 2. - Le Ministre de l' In térieur est
chargé de l'ex'écution du present décret qui
s'mppHquera aux consommations d'cau faisant robjet d'un premie r relevé postérieur
à son intervention dont mention sera fa~re
au Jo urnal Officiel de la République Française.
Fait à Paris, le 29 novembre 195 1.
R. PLEVEN.
•
Par le Prksident du Conseil des i\hnistres,
Le Ministre des .Finances
et des Affaires Economiques,
Pierre COU RANT.
Le Ministre de l'J'ntérieur,
Charles BRUNE.
Le Ministre du Budget,
Pierre COUIRANT.
Le Secrétaire dJEtat à l'Intérieur,
Andre COLIN.
DECRET DU 29 NOVEMBRE 195 1 MODIFIA N T LES TARIFS DE VEN TE DES EAUX DERIVEES DU CA .VAL DE MARSEILLE
TASLEALJ ANNEXE
Article
du Règlement
DES IGNATION
TARIFS
Francs
10
ARRETE
ART ICLE PRE.\\lER. _ Les dates limit~ dl1
dépôt, pa r les calld;d'a ts, ~es d,ocuments el~~
toraux qui doiv ent ~tre diffuses par la Col'
. .
"
t au che f- leu
miSSion
de propa ::>f7an d
e slegean
1'1
,.
j qu 1
du canton de La Ciotat sont fixees ams
suit:
t'CU
_ Pour le 1er tour les bulletins e ~lf . lai-res doivent être déposés lu~di 4 Fevner
1952 à midi il la M.. irie d'e La CIotat. t être
POUT te deuxième tour ds de'Vro~ , 'er
déposés au même lieu le mercreœ 13 evn
â
- M. Sapin, Pencepteur il La Ciotat, repré""ntant .M. le Trésorier-Payeur Génénral d'e s
Bo udhes-du-Rhône.
- M. Haye, Receveur des P.T.T. il La Ciotat représentant M. le Directeur Départemental des P.T.T.
-- M. Gras Eiysée, 'repré.entant l'Administration Préfectorale.
•
11
13
14
15
16
Contribution forfaitaire aux frais de ,premier établ issement:
A. - Concession d'eau druTl'est ique à la jauge, toutes catégories:
Pour 1/ 10 de module ........ ,. ........ , ... .
Pour cMaque 1/ 10 de modtlJe e n sus ..
B_ - ConcessiollS périodiques d'eau d'arrosage :
Pour demi-lHtf1e par seconde ......... . . .
C. Concessions industrielles au mètre cube, par compteur.
Diamètre des compte urs:
10 et 12 mm. .... .............
.. ................ .
1'5 mm . .. .. .. . ... .
. .................... .. .... .. . .
20 mm . .. .... . ... .. . ............. .... .. . ........ . .. .
25 mm . .... . .•.•. . ...• •. ....... • ... • ... . ... . . . . •. . .•
:lO mm.
. . . ....... . .. . ......... . ......... . .. .. . .
40 mm . ....... . ...... . ... . .... . .... .. ........ ..
50 mm.
. . .. . .. .. ....... .. . . ............ . . . . . . .
6(} mm ..................... . ... . ...... . ... . . . ..... .
80 mm... ........................................ ..
100 mml et au-dessus ..
. .. ' ........ .
Etablissement d'un branchement pour fourniture d'ea u continue pOlir
lISages domestiques . .. .... . . ...... . .. . ..... · . . · · ... · . ... . . . .
Redevan ces annuelles pour les concessions d'eau continue domest ique:
lire, 3e et 4e categories:
1/ 10 de module . .... , ...... . ... ...... . . . ... . . . . . .. . .. .
2e ca llégorie : 1/ 10 de module .... .. .. .. .. ...... .... .. .. .
Redevances annuelles pour les co ncessions d'eau d'arrosage, le dem ilitre seconde .. .... .... ... .. . ....... .. . ,., ·.· . ... . . .. ..... . .
I<edevances mensuelles- po ur concessions d'eau à usage de force
motrice, pa r cheva l Poncelet et par mois .. .. .. .... . . . . .
Rede\'ances trimestrielles - Eaux fOlfr.nies au comptellr :
11.240
3.690
Il.240
12.320
14.730
17.520
20.310
23.560
24.650
30.690
35.030
44.800
58.900
A la série de pri x de la ville.
3.055
2.390
5.350
4,420
�28
29
Francs
A. -- Usages industriels :
1 re catégorle. le mètre cube .... . . . . ... . ....•.. .. . . .. . .. ... ~ .
J\1inimum de ,perception trimestrie l . . .. .... ... • .. .• . .•.. . .. ....
2e catégorie, le mè tre cube :
Du 1er
au 10.000· ... . ...... ....... ...... . .... . . ... ... . .
Du 10.001 au 20.000· ...... . . . . . .. •....... •. . .•. . . ...... ...
'Du 20.001 au 40.000· . .. ..... . ... .. .. . . • . . • . . . . .. .. . .. . .. . .
Au~essus du 40.000· .. . ... . .... ...... . . ............. . ..... .
Minimum de perception trimestriel . . . ...... . .. . . •. .. •. .•... _..
B. -- Usages Agricoles :
le mètre cube . . . . ..... . . . . .. ......... . ......... . . .. . .
17
18
Article premier. - Mau Règlement.
Article 7 de 1'. rréte du
26 novemb re 1943.
IlE"
frais d'entretien et de vé rification de prises:
Eau c9ntinue domestique, toutes catégories, par prise et ,par an ... •
Eau d'ar rosa ge .par dispositif de prises, et 'par an ...... . ....... . . . .
Eau à usage de fo rce motrice, entretien et ·vérif·ica ti o n du bassin de
charge, par cheval Poncelet et par an . ... . ...... . ........... .
Vérification des compteurs et entretien des branchem ents, par an :
10 à 20 mm . . . .. . ........... . . .. ... . ... . . . ... . .. . ... . .... . .
25 à 35 mm ............... . ..... . .. .. .... . . .. .. . ... . .. . . . . .
40 mnl ... .... ·· · ·····•· · ··•·· • ···· · ··••· ·• • · .. ··· ·· • ··· ·· · ·
50 mm . ......... . ........ .... ... . ... . ... ... .... . . . . .. .. .. .
60 mm . ... ..... . . ......... . ................ . ... ..... . . ... .
80 mm ........ . .............. .. . . .......... . .. . . . . . .. ... . .
100 mm. et au·dessus . . .. . ...............•.......... .. .. . . •
Concessoins aux Communes:
Redevances annuelles par litre seconde ,'" . . ... . .. . . .... . . . . .
Eau tous usages au compteur, y compris location et entretien des
compteurs : le mètre c ube ... . . .. . . ..... ....... . ... . . .. . . .. . .
Décrel modifianl i2s tarifs de ven le des
~aux dêrivées du Canal de Marseille.
Rectificatif au journal Officiel du Il décembre 1951, page 12.169, premi ère co lonne
(art. 17), frais d'entretien et de vé rifica tion
de p rises :
Au Jieu de :
Eau d'arrosage
par
Pour le P léfet et pa r délegation,
Le Secrétaire Gé néral,
LA!MiASSOU RE.
disposit if de
prise et par an .. ............. .
Eau à us~e de force motrice, en t re-
1.01 5
Lire:
d'arrosage pa r disposilif de
et par an .. . .... .... . ... .
Eau à usage de fo rce motrice, entretien et vérification du bassin de
charge, par -c heval Poncelet et
TVX 0
D 5 BI
Eau
pr i~ e
-------If;.»oo« ».-------
1.505
tien et verific ation du bassi n de
charge, pa r c heva l P oncelet et
par an
par
Le taux des vacations accordés lpo ur
séance d' insnuction est fi xé â. 75 % du taux
ci-..dessus.
Les tariis ci1dessus so nt applical1les à
com pter du 10 Septembre 1951.
1.01 5
ARRETE PREFECTORAL DU 17 JANVIIOR 1952, OECLARANT D'UTILITE
PUBLIQUE L'ACQUISITION PAR LE
DEPARTEMENT OES BOUCHES-DURliONE D 'UN TERRAIN SIS A CUGES-LES-PINS ET APPARTENANT A
Mme ROUGON GABRIELLE EPOUX
BONIFAV FAUSTIN.
AR RETE
1.505
an
Le Pre.fet d es Bouches-du . . Rhône,
Offi cico:r Ge la Lég ion d' Honneur,
-------.~ oo c~,-------
D283
SC 7
RELEVEMENT DU TAUX DES VACATIONS DES SAPEURS-POMPIERS
VOLONTAIRES.
J'ai l'honneur d'attirer l'attention d e MM.
les Maires du département sur le te xte de
t'arrêté interm inistériel du 12 Janvier 1952,
paru au journal Officiel <l u 2 1 janvier 1952
et relatif au rel èvement du taux des vaca·
tions des sapeurs-pompiers volontaires.
Ces taux sont les suivants :
Officiers .... . .. . ....... . . . ... .
Sou5-()ffic\l,~rs .. .. ... •..
200 frs.
160 frs.
Vu l'a.ete de .cession a mia ble en date du
I!, janvier 1952, par leque! u'vl.me ,Rougon
ü abn elle. epouse Ho nJ la y Faustin , a cce ptt:
~ céder a u Uépa rtement des Bouches-'duRhô ne, ce ux parcelles de terrains situées â
Cuges, en bordlJre de la Route Nationale Il ''
8 dl! Pa ris à T o ulon, et cadas trée lieu dit
c Les Esco urs Jo s ection B ,n° 41 et 42 p,
nécessaires là l' aména gement du terminus de
la I;gne de troHey bus Au bagne-Guges ;
Vu la dèl ib<Ora tion d u Consed Géné ral des
Bouches-du-Rhône en date <lU 6 Octobre
1927, a!>prouvant le prolongement jusqu'à
Cuges de la ligne de trolleybus . AubagneGémenos , ;
Vu l'artide 22
26,95
2.695
22,75
20,30
15,95
14,55
2.275
10,1 5
2. 140
1.505
1.01 5
597
829
1.596
2.06 1
2.604
3.596
5. 11 5
30.040
28,65
budget gé néra! de l'exercice 1929, .et aln5l
lilbeHé : « Ne do nn ent lieu à aucune per-ception au profit !CIru Trésor les aoquisihons faites à l'a miable et à titre onéreux par les
Départements, Commu,n es, Syndicats de ~om~
munes, de sti nées à l'enseignement pubhc, a
l'assistance ou â l'hygiène social, ain~i qu'aux
travaux d' urbanisme et de construction, SOUS
réserve qu 'un arrêté p réfectoral aura déclaré,
en 'cas d'urgence, .l' utilite ;publique de c~
acquisitions, sanS ,q u' ij soi t besoi n .de proceder a ux formalités d'enquête • .
Atte ndu que l'acquisition am iable e~visa
gée il titre onére ux entre, par son O,bJet. et
ses caractères dans l' une des categones
visees pa r le texte de loi ,préci té ;
Atte ndu 'qu e le cara ctère I(j'urgence de
cette opér,ation est reconnue;
,
Sur la prOlPOsition de J\\. le Secrétaire Ge'
néral,
AH.RETE :
ARTICLE PRE,\\tER. -- En vu e 'd e J' exemption de la per·ception au profit <lu T.ésor des
droits de mutation a Hér" nts à 1'?péra!lOn
e"visagee, est décl a rée d ' ltt~ ité publique 1~c:
quisition p ar Je <lépa rtement <l es Bouohes-."i.
Rhône de deux paroe Ues de terralltS Sise n'
Cuges en bo,dllre de la Route NatlOnal~ 4J1
S, lieu dit . Les Escollrs • sectIOn B, n 2 t
et 42 p pou r une conte nance de 820 m e
,
' eli épouse
"ppartenant à Mme Ro ugon Gabn e.
9
Bonifay Faustin, de meura nt à Marseille, 3 "
rue Daumier.
Fait â Marseille le 17 janvier 1952.
Le Préfet,
Signé: PAIRA.
- - - - - - - 0 00< ) - - - -
TVX 0
V5 BI
TARIFS
DESIGNATION
Article
du Règlement
:>
,
....
1.083 Bentz Yvan , 72, r. St-Ferréol Marsei lle. Tél. DR. 13-34.
'
LISTE DES ARCHITECTES EVALUA5. 153 S'entz j ean'P hilippe 44 rU e Dagon
TEURS ET RECONSTRUCTEURS
Marseille. Tél. DR.' 60-39.
'
AGREES ET ASSERMENTES, AFfEC_
1.781 Berato V;etar, 7, rue Emer,jc-Dav.id
TES AU DEPARTEMENT DES BOUAix-en·Proven ce. Tél. 13-57.
'
CHES-DU-RHONE A LA DATE DU
4.847 Bersagol Eldoua, d. à Sa lin- de.Gimud
1er JANVIER 1952, COMPRENANT
par ArJes-sur-Rhône.
192 NOMS.
6.774 Blanc François, 8 rue j aubert M'arseille. T él. GA. 28-02.
'
Cette liste annule et remplace celles qui
18,
quai
de
Rive6.325
Blanqui
Anlonin,
ont été antérieurement diffusées.
Neuv", Ma rseill e. Tél. DR.45-29.
0 .120 Blondel André, 16, place de l'H OtelNOTE l'MlPORTANTE
_
de-Ville, Ai~-en-P,oven ce. Tél. 10-12
Su r cette liste figurent un certain nombre
5.582 Boegll E'frrest, 67, ancien C'hemin de .
d'aochitectes fonctionnai res du Département
Maurgu es. Marseill e. Tél DR 90-217
ou de Ja Vi ll e de Marseille.
'
5.94 1 Bo n.fo ux Alfred, Bd Vi ctor:Duru y
Ces architectes d'ont les no ms so nt signaLa Barasse, Ma rseille.
lés à. ,l ' atterll~()n pa~ lin as téri sque, ne peu7.085 Bondon Robert, 65, av. Foch, Marseille . Tél. GA. 20-36.
vent mterve mr a u tItre de la législation s ur
5.584 Bonnardel Gilbert, 26. av. de la Cales dQmma ges de guerre q ue da ns les Conditions s!nietement <l éfi ni es ral>pelées ciden elle, ."'arseille. Tél. DR.48-90.
après:
6.776 Borrel y Louis, ~6, Route Nationale
- Les architectes tant municipau x que
St-Loup . MarseiUe. T é l. GA. 92-34.
départementa ux,
7.478 Bouil le Léon, IBO, Boel de la Corderie
wl a rs eille. Tél. DR. 53-27.
'
. 1.° Ne pe.lI ven t opé rer pour le compte de
4.09 1 Boyer ,\ola riu s, 24, r,ue F1égier lMar'
SInistrés pnvés qu'après a uto'r isatio n a'ocofsei ll e. Tél. NA. 64-35.
'
_
dée par leur administration .
0.792 Boyer Féli x. 17, av. du Bel-Air,
o Ne ,peuvent inte rve nir lpour les 'Î mmeuP'.,is (17").
bles ..si ni s~rés appa rtena nt à leur p ropre
7.975 Brémond Ra oul, 79, rue Paradis,
adminIstration qu'en tant que membres d'un
M a rs eill e. T é-1. DR.8 1-45.
service d'étude spécialisé d ûment agréé e n
8.2'52 Brizzi el i ~, 2, Bd: Bernex, M:arsei Ue.
t~nt que ~el, et .sous réserve q ue les opéra8.298 BTllnschvlg Danièle, 5, rue 'du ChatIons ~~~It serVice spécialisé s oient vérVfiées
let, "''la rseille.
etoCerhflces par un arc hitec~e a O' réé é tranger
.à l'administration intéressée. ~
• 5.3 18 Caillea u Isa,Ï, 53, nu~ die la Répu blique .. ~a rseill e , (anc.len fo nctionn aire
3° Ne. ~ourr~i en t,. s' iJs 'Venaient à quitter
~unl c.l'P'a l ; da te de cessati o n de fon cleur ad'm1l1 Istrat1oll, Inte rven~r au titre ' d'évatio ns, 1-6-50) . Tél. CO. 26-25
luat~ u r POli! le com,pte de .ce1! e-ci, avant un
5.466 Carrière Cha rl es, 56, Crs D",dÙiers
délaI .de trOIS ans à compte r de la cessation
;
Marseille. Té l. GA. 45-33.
de leurs fonctions.
Le Pla n-d e-Mey reuil (B .-du-Rh.).
OBSERVA,T10NS
5.321 Ca r'ro n Albert, Il, pl. de la Bourse
La prése nt e l'1S t e a et
. é mise â. jour à I.a
Ma rseille. Tél. CO. '_9,4 "
'
<late du 1er J,, ~vier 1952.
5.3Z2 Castel Gasto n, 2, rue C~oix'de-RéIl
.
g nier, Marseili'e. T él. GA. 01-96.
" ,conVient de prend.re contact a vec le
6.785 Castel Au g uste,
ru e Croix-de~ervlce Oé j)a rtemental àu Mi ni stér.e de la
_
Ilég nier, Ma rseill e. Tél. GA . 01-96.
econ ~tructl o n et de l' Urban isme pour avoir
~. 600 Cha mblo n Lo ui s, 24, rue Aldebe rt
conn(u~san-ce de toutes modifi cations Iqui
Marseill e. T él. DR. 72-09.
'
~oe~t'a~e~~ti~lid!;~e apportées pos térie u.. ·
4.856 Cham poll io n André , 11 5, r ue Bre• 8.11l7 AI
teillk Ma rsei ll e. T el. DR. 83-29.
' b erti ni Pasca l, 15, ru e Che'\rali er5.47 1 Ch'ipot Gasto n, 5 1 rue Sa in t-Saëns
Ro ze <,Io nctio nna ire muni cipal) Ma rM arseill e. Tél. FE. 05-1 9.
.
7
seIll e.
'
4.910 Chir,ié Eugène 51, cou rs Pierre... Pu·
.210 A,Uègre Gil bert, 24, ru e FIé";er M 3 rget, MD rseilie. Tél. DR. 04-1 2.
5
sedl e. Tél. NA . 64-35.
b,
6.5 13 Chrysoc'heris An'dré, 79, r. Sv lvabell e
.2% Anue Léon, 155, ru e <le Rome, Mar Marse ille. Tél. NA. 64.43. .
• 7
seille. T él. GA . 54-84.
3.5 19 Co nte Robe rt. l, rll e Alontara nd
.072 ~nfoS6o j ea n-Bap ti s te. 18, Bd des
IMorsc ilie. Tél. DR. 0.\-52.
0
,
Jatan es, J\\o ntreldon Ma rseille (an5.608 Crillon André, 3 bis rue L.1fayette
'C len fonc~onn3Jr-e mun i.ci pal ; délte
~\tarseille. Tél. NA: 10-57.
'
4.857 CroLet j ean, 39. (Ollrs GOllflé, Jlla rde. cessaho n de fo ncti o ns 1-6-50)
' ..
s.:lIe. Tél. GA. 42-23.
4075 TeI.DR. 96-44.
Ar~ h A)pho nse, 24, ru e Fléai er Ma r1.2 17 Cuvill ier CI"arles, a'venue de la Ga re
,
6.768 ,teille. Tél. NA . 64-35.
b,
La Ciotat. Tél. 2-36.
'
. ~f'ud Etienn e, 16, ru e Christophe5.609 Dallest Marius. 3, rue ,M o ustier N' ar8345 A omb, Marseille.
seiNe. Tél. CO. 62- 30.
'
.
S~'I~Z Mic he l, 58, avenue Foc h, I\ l ar.
* 7. 109 Daude Raoul, 126. avenue du P rado
8,246 BaUy'M .
. .
Marseille. Tél. DR. R4-05.
'
".223 Barb a nus 46, r. TI voli , ~1 arsei.ll e.
(fonction nai re d-u département).
m eza t An-dré, 13, Bd Nostrad a·
5.046 !David l\l\arius, 39, co urs Gouffé
5.874 Ba~' Sa l o ll~ e-Pro ve n te. Tel. 6-52.
l1arseille. Tél. GA. 42-23.
seil!:r;~;erbeR' 60, ru e d u Coq, IMa r5.333 D.lbes Jean, 69, Bd Notre-Dame
' . . 04-1 2.
·M·a rseille. Tél. DR. 13-71.
'
2.105 Bart F
.Ai
! a nçols, 8. ru e Sa int-J a cqu es
? 15 / D
h
P
6.896 Beai rsyellle. T él. DR. 06-93
,-.
esoue es ierre, 33. nie Paradis,
v
36'
Marseille. Tél. DR. 00 20.
Mars '101 n,
7, a ven ue du Prado. 1
6.525 ü ev in A
rue Saint-Fe-'-I
*
oJ
a.
. e,
l
1e..T.;;él~.';D~R~.4~6-0
;7i'• • • •~......
"W ,
*'
7.330 DucaIuge Louis , 97, COUTS Lieutaud'
'
.'Io\a rseille. Tél. GA . 68-83.
(fonc~io n ""lÎre municipal) .
8.201 Dumame Alphonse, 12 bis, av. d' IndochJne, Aix-e n-Provence. Tél. 0-73
5.483 l?un~yer de Segonza.c André, 10, Bd
fh.- f urn er, Marseille. Tél . GA 19-52
5.977 Dupré Pierre, 25, rue <l". Colonies
'
Marseille. T él. OR. 13-69
7.622 Duval Pa ul, Montée des ' Po rcelets
Fos-sur-Mer (B.~u-Hh.).
'
1.868 Egger René. 38, rue Longue-OescaPUCI.nS, Marseille. Tél. CO. 52-21
6.537 Enl ouvin Henri, 66, ru e St-j a cques
Ma rse.i.lle. Tél. DR. 65-31.
'
1.870 Escou~y rou Louis, 110, c rs Lieuta ud, Ma rseille. Tél. LY. 74-79.
4.107 Estienne j ea n, 156, La C:mebière,
Marseill e. Tél. LV. 4 1-70.
4.551 Fa r vault AdoJphe, 253, Prom o de la
Corniche, Marseille. T él. DR. 64-83
5.345 Faure . Emile, 37, Bd des Dames'
Marseille. T él. 'CO. 35-18. .
'
7.581 Faure G erma in, 100, av. du Prado
Marseille. Tél. DR. 10'85.
'
4.9 18 Favel Char,les. 39, rue Montgran'd,
M" rs eiHe. T él. DR. 18-34
4.180 FeveiJle Vi ggo, 10, Bd Richard, La
Pmnt~-Ro u ge, MarseiUe.
7.342 Forestier Lou is, 42, Bd jea n-Mermoz
Ma n g na ne. T él. 1-00.
4.863 Francescltini Pa ul , 49, Crs Devilliers
Marseilk T él. GA. 74-57
'
4.920 Gallerand And ré, 14, rue' EdmondRost a n~ Ma rseill e. T él. DR 27.{)1
7.83 1 Ga rde il El ie, 3, ru e j oseph-Autra~
~l arseill e. Tél. DR. 76-55.
'
5.352 Ga uti er Emile, 1 ~8, av. d"S Chartreux. ,~I arseille. Tél. GA. 49-28
8.356 Ga y Rom a in, 4, av. Vic to r-Hua o ' La
CIO ta t. (Doss iers infé rieu rs à~ 4. m.
pa r ensembl e immob ilie r)
4.864 Ga ubert j ea~ 10, Bd ' Nati onal.
Marseille. Tel. NA. 20-94.
5.496 Gensollon Pierre. 14, ru e d u Coq
'Marseille. Té l. NA. 50-04.
'
6.677 Giamp iét ri Cam ill e, 27. rue Châtea uredon, Marseille. T él. CO. 30-70
7.993 Gigo t Ch~ rl es, 5, place de la j oliette'
. Marse ille.
'
3.546 Gill ard Robert, 19, r ue Duauesc lin
Ma rseil le. Tél. LV. 56-93. ~
,
7.495 Gira ud Louis, 68, Bd de Marsei llev~yre. Mo ntredon-A\a rseiUe.
5.357 Gluglaris louis, 11 3, COur::; Lieutaud
Ma rseiÙe. T el. LY. 6&-25.
'
7. 73 1 Grava Hélix, 28 a, q ua i de RiveNeuve, Marsei lle. Tél. DR. 39' 55
5.990 Grave /eau M,a x, 25, rue Daumie'r
"'ar$Oille, T el. DR. 70-65
.
6.088 Guelphe Pierre, '+6, rue
Lodi
Ma rseille. Tel. DR. 69-00. (Fonc:
tlonnalre mu"jcipal).
4.503 G uesnot l/\\ a rl.'el , 1-1., rut' Proudhon
Tarasc n-su r-Hhôlle. Té!. 1-18.
•
5.362 Guez André, 16, rue AdolpheTh ie rs .•' !arseille. Tél. LY. 65-9!1
7.900 GU ldoni Philippe, 3, rue P l u~i'er
Marsei ll e.
.
de
7.353 û, uilllb,aumt:;Genül Cha rles, 7. rue
. au ert, l \la r~ej lle.
5.902 Guyot Raoul , 4-1, Bd P e rier Ma rseille. Tl~. FE. 67- 99.
.
6.390 Heineis Marcel. 3-1.
Marsei ll e. Té l. DR.
6.234 Heriaud Raymo nd,
�30
6.565 Hoa Léon, 138. rue Breteuil, Marseille. Tel. DR. 33-9-1.
4.709 Huot François, 156, La Ca~ebière,
.llarseiMe. Té!. LY. 41-70.
1.390 Imbert Georges, 6, place St-Cesai re,
Arles-sur-Rhône. T él. 9-15.
2.321 Jaubert Paul, 35, r ue de la B ibliothèque, Marseille. Tél. L.Y. 61-37.
3.667 Jaume Pierre, 16, place de la Bourse, I\larseille. Tél. CO. 85-50.
6.094 Jogand P aul, 71, cours Li eutaw,
Marseille. Tél. GA. 08-61.
6.242 Kazandjian Hra ..." 71, Bd CamilleFjarnmarion, Marseille.
4.427 Ker Suzan Etienne, 44, Bd de l a
Libération, Marseille. Tél. GA.25-08.
5.662 Lacroix Francis, 9, rue Cle mencea u,
Aix- en-Provence.
6.243 LaHon Jean , 46, Bd Rabateau, MarseiUe.
5226 Lajarrige Joseph. 16, rue Berlioz,
',llarseiHe. Tél. GA. 02- 9~ .
2.32ï Lambert Marius. 2, rue des Co Jl\'alescents, .llarseiUe. Tel. GA. 51-95.
2.328 Lange Robert, 19, rue DugusclLn,
MarseiUe. TE\!. "-Y.56-93.
5.229 Laurent;"r Edouard, 56, rue SaintSavou rnin, "Iarseille. Tél. LY. 47- 30
4.429 Lautier Jean, Allauch. T él. 0-66.
, 5.832 Lauze Jllarce l, 9, rue Estelle, Ma rseille. Tétl. CO. 52-52. (Fonctionnaire municipal).
5.373 Lecha rme Georges, 199, a,'enue du
Prado, Marseille. Tél. PR. 86-83.
6.943 Lestrade CharJes, 133, La Corniche,
Marseille. Tél. DR. 43-26.
5.675 Libe.rsat Paul, 15, rue Stanislas-Torrents, Marseille.
4.282 Liogier François, 3i , cours Lieutaud, Marseille. Tél. LY. 75-00.
5.082 Lyon Henry, 3, Bd Grimaldi -Régusse, St-Barnabé, Marseille. Tél.
GA. 7~14.
2.699 Malgaud Hermand, 6, rue Fondere
.M arseille.
J
3.681 ~largari tis Florent, ru e ,Montgolfier
Fréjus (Var). Tél. 1-98.
'
5.845 Maron René, 2, 'Place de la Concorde Tarascon-su r-Rhône, Tél. 1-87.
• 6.843 Marot Louis, tO, Bd Paul- Doumer,
Marseille. Tél. DR. fh.7ï. (Ancien
fonctionnaire du département· date
de cessation de fonctions : 1:~50).
4.288 Ma~in Pierre, 10, rue de Seine,
Pans (YI' ).
8.2 1 l ,~lartin Chal'e Bernard, 59, Bd
Périer, MarseiUe. Tél . PRo 84-51.
5.244 Masse Herre Wyn Rene, l, rue Capitaine-Badille, La Ciotat. Tél. 4-11.
6.953 ,Ilaugêe Robert. t l , rue Af>eneHoussaye, Paris (VI') et 29, rue
Glycérine à St-just-Marseille. Tél.
'A. 9+-67.
6.845 Maurel de Pei pin René, 8, rue de la
Ca 1ade, Arles-sur- Rhône, Tél. 9-13.
5.687 ,\la)'ol Laurent, 57, rue Max- Dorma)", Marsei lle, T él. GA. 71-64.
7.397 Mazoyer Maurice, 90, rue Sylvabelle,
Ma rseille. Tél. DR. 26-77.
~.913 Merie Camille, 49, av. de GauUe,
Château rena rd-de-Provence, Tél. 74.
1.533 Michel Albert, 2, rue Rougi.,., Marseille. Tél. GA. 60-89.
4.879 Miroglio Henri, 3 1, rue Terrusse,
Marseille. Tél. GA. 23-08.
5.690 Mistral Ludovic,
rue de la
6.429 Mizzi Salvator, 84, .ue St-Savournin , Marseille. Tél. L Y. .JO-46.
4.6.\7 ,\Ionlier Jean, 3, Bd d'Athènes, "'arsei lle. TIEi. CO. 70-10.
8.015 Morea u Georges, 2, ru e du C hâteau-d11f, La Pointe-Rouge, M,arseille. Tél. PR. 87-12.
4.987 "'Io uren Féli x, 52, rue St-Savournin,
Marseille. Tél. LY. 16-45.
4.9 11 De Negri Raymend, 2, traverse de
Pomègue, Ma rsei lle. T é!. DR 96-60.
4.443 emoz-Po uiU aHiOll Ferna.nd, 97, ru e
de Rome, ,Marseille. Tél. NA. 11-9 1.
5.699 Nogaro Fortunè, 39, a ll ées Léo nGambetta, Marseille. T él. NA. 2 1-25.
5.-104 Olmeta Louis, 56, Bd de la Corde rie,
Marseilk Tél. DR. 7(}.{J7.
7.416 Oppenheim Henri, Il , tr averse des
Bons-V oisi ns. Marseille,
5,765 P.alangue Gaston, 18. rue Grignan.,
,llaTseilie. T él. DR. 3 1-9 1.
• 7.170 Pa»pert Geo'ges, 14, Iue ChevalierRoze, .~arseille. Tél. DR. 62-23.
(Fo nction nai re du département).
8.516 Peltie r Jean, 12, Bd Bensa, ,1'l arsei1le.
6.441 Pepiot Roge r, 4, rue des Chartreu x,
Aix-en-PIovence. T él. 3-98.
5.705 Pe",ult Emile, 65, rue Fort>uné, Marseille.
4.447 Perrier Jea n, 4, av. Victor-Hu go,
Aix-en-Provence. Tél. 4&31.
• 6.592 Peyridier Marce.l., 17. ru e Terrusse.
Marseille. Tél. CO. 72-00. (Fnnctionnaire mun icipal),
2.227 Pierre René., 35 1, Bd Mi~helet, MarseLile. Tél. DR. 9 1-68.
4.886 P.ierre Léon, 38, rue ,Lon gue des
Capucins, Marse~ l e. Té!. CO. 52-2 1.
7.259 Piozin Victor, 106, rue IM are ngo,
Marseille. Tél. GA. 05--17.
4.144 P la nche Louis, 53, Bd Eugène-Pier·
re, MarseiHe. T él. GA. 37-60.
4.728 Pouillon Louis, 133., av. des Chartreu x, Marseille. Tél. GA. 37-60.
7.430 Pouillon Fernand, 38, rue Longue:
des Capucins, Marseille. Téléphone
CO. 52-21.
5.257 Poutu 1-.ouis, 16, rue Bertioz, Marsei lle. Tél. GA. 02-94.
8.455 P(}Utu Georges, 16, ru e Berl ioz, Mar_
seille. Tél. GA. 02-94.
1.622 Provin Robert, 30, quai de Gaulle
La Ciota t. Tél. 4-69.
'
3.98 1 Pl' René, 14, ru e Aristide-Briand,
Arles-su r-Rhône.
5.713 Rainerie Pj efIe, 26, rue du Four à
Chaux, Ma rse ille. Tél. D R. 15-28.
2.236 Rasongles Jean , 8, rue St-Jacques
Marseille. Tél. D R. 06-93.
'
5.544 Raymond Georges, 78, Bd Baille,
Marseille. T él. GA. 71-64.
5.112 Rebagly Bernard, 5, quai Marceau,
Martigues. Tél. 1-05.
5.545 Rebagly Marcel, t l, rue Sylvalbe lle,
Marseille. T él. DR. 53- 12.
7.434 Recours Jean -François, 8, rue du
Lycée Périer, Marseille. Télépoone
DR. 7~79.
5.715 Rei naud Gab ri el, 410, rue d' Endoume, MaTseilie. Tél. DR. 63-34.
~. 716 Renault Maurice, < Clos des Plages " La Ciotat.
7.180 Rey Jean, 5, rue du Mar&hal-Jofhe, Aix-e n-Provence. Tél. 13-53.
ier F
COu rs Belsunce,
-
6.279 ReYlloird Au g ustin, 18, \:Id Ch.,
~ larseill e. T el. GA. 52-33.
e,
8.469 Re)'lIoird Jean. 18, Bd Chave Ma .
seille. Tél. GA. 52-33.
,r
6.456 Rivo ire André, 52, rue BreteUil Mar
seille. Tél. .oR. 78-60.
,6.457 Rolulle r_ Eugène, 3, rue Mouslier
MarseiJle. Tél. CO. 62-30.
'
8.2 14 Ro~x Ar1mand, 82, rue Na u, Marserlle. Tel. GA. 33-17.
4.304 Ro~an Jean, 2, r ue Beaumont, Marsei lle. T él. N,A. 11-9 1.
5.772 Samat Louis, 16, rue Fa rg~s, Marseille. Tél. GA. 20-20.
5.429 Samat Ma r ius, 20, CO urs lieulaud
Marse ilJe. T él. CO. 14-34.
'
5.725 Sarce Robert, 1?, rue du Château.
dl ! f, La Poin te-Rou.ge, Marseille.
T él. ,PRo 89-46 et 2, rue YincentAloiègre, Toulon .
5.430 Schorp lI'larce l, 17, place A<lexa ndreLabadié, Marsei lle. T~ 1. NA. 54-18.
4.665 Secret Paul, 53, Bd Eugè ne-Pierre,
Marse ille. Tél. GA. 37-60.
7.1 93 Senès Victo r, 7, rue Sainte-Claire,
Marseille. Tél. CO. 42-56.
4.468 She rjal Hen r i, 2 1, Bd de Ja Ferrage,
Sa lon"de-Provenee. Tél. 1-39.
6.883 Simien Edmo nd , 34, rue St-Savournin., Marseill e. Tél. .L Y. 72-70.
8.484 Sin'ger François, 108, rue de la Repu blique, Marseille. T él. CO. 74-76.
(Pour dossiers inférieurs à 6 mi!lions pour ensemble immob ili er).
2.577 Sourdeau Jea n~o ui s, 69, cou rs Pierr""P uget, Marsei ll e. Tél. FE. 11-41.
5.73 1 Squelardl Eugène, 8, rue de la Cala·
de, Arl es-sur- Rhône. Té l. 9- 13.
4.470 Steiner Frédéric, . IOS, Bd Cha\'e,
Marse ille. T él. DR. 3 1-91.
5.279 Suria n J ules, 59, rue du Maréchal'
Joffre, Salon- de- Provence. T él. tHl5.
5.559 Tabuteau Bernard, 73, Bd Camille·
Flammarion, Marseille. Téléphone
NA. 07-08.
4.834 Thi baut Joseph, 8. rue 'Meyerbeer,
Nice (A.-M.).
.
6.980 Tourrières Guy, 2, Bd JI\tchelet,
Ma'rsei,Ye. Té l. DR 93-41.
4.157 Tousche E milien, 129, rue Jauberl,
Marseille.
4.3 17 Turcat Albert, 12, rue Edmond-Ros·
tand, Marseille. Tél. DR 26-97.
3.60 1 Va go P,ierre, Grand PalaiS, Porte E,
Pa r is (Y li!').
. ?_
5.735 De Yalaurie (Huglles) Andrè, -.~'
rlle Aug us tin-Fa bre, MafSOllle. T~.
GA. 50-69.
d la
5.44 1 Van Microm Jacques, 8, rue e
Calade bA rles-su r-Rh ône. Tél. 9- 13.
6.625 Va ud Adolphe, 109 , rue ConsOlar.
Marseille. T él. NA. 32-92.
• 2.375 Villarxl Albert, 20, rue de Lod., Mar·
seille. T él. LY. 70-13. (FoncltOn natre
municipa l).
Gaza n
'
6.634 W ogenscy Andre, 43, ru e
Par is (XIV').
in
4.321 Ya rd Paul. 59, rue St_Savo urn .
Ma rsei lle . T él. GA. 45-42. Li be rlé,
5.567 Yun g Jea n, 4 1, Bd de la
'M a rse il'I e . T él. N A. 4~22.
ellc
4.529 Zubiena Jea n, 90, rue Sylvab ,
!Marseille. T él. DR. 26-77.
-------<>00<>--- - - -
31
0.0.5.
FS 6
ARRETE PREFECTORAL RELATIF A
L'AGREMENT DE LA FOSSE CHIMIQUE . PERFECTA • .
Le ,Préfet d es Bou~ h es-du-Rhôlle,
Officier de la Légio n d'Honfleur,
Yu la loi du 15 février 1902 s ur la protection de la Santé PUlblique ;
Vu l'arrê té iplcfectoral, en date du
1er avrtl 1929, règle'J11entant "emploi d~
fosse s chimiques ;
Yu Jes résultat s des an'a1lyses eff~tuées
par le Labo ratoire iMu nicipa l d' Hy,gièl1e a u
1
cours de l'expérience
qUI
a duré du 1..5 no-
vembre 1950 au 16 m a rs 1951 ;
Vu J'avis favora·blc
émis !par le
.
Conseil
sanitaire les plans de l'appareil il installJer,
qui compo r teront, notamment, l'indication de
la capacité et ,le nombre d'usagers.
Arlicle 3. - ,M. le Secrétalfe Général de
la Prefecture, M. le Dlrecteu.r Départementa l de la Santé, MM. les Directeu rs des
Bureaux Municipaux d'Hygiène, J\.\N\. les
Vice-Prés idents des Commissions Sanitaires,
J\'\JV\. les Ma ires des Communes du Departement et ..MIMI. l'es Com mi ssai res de Police
so nt charges, chacwl en ce qui le concerne,
de l'e xéc ution du présent arr~té,
M a rsei lle, Ile 4 janvier 1952.
L.E P,REFET.
Le Sccr-etaire Généra l De légue,
Pour le Préfet,
1-.A<MASSOtJRE.
Départemental d' Hygiène au cours de sa
séance dU! 28 novembre 195 1 ;
Sur la proposition de M. le Directeu r Dépa rtemental de la Santé,
Arrête :
La fosse d ' ais~nce à
Article premier .... action chimique ~ IPerfecta » constnllte 'p'~ r
les Etab lissements ve uve IL. Goby et f Its,
5 ave nu e des C hâlets, à Choisy ...le-Roi (Sein'e) et co nforme à ·l'appa re il expérim ente,
est agréé dans le Dépa ttem ent de:=, Houchesdu-Rhône.
Article 2. - Avant toute installation, le
constru cteur d.ev ra so umettre à l' a utorité
- - - - c » 00 «:;)- - - D3 B2
FS 7
ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
PUBLICS
Prix de journee p rév ision nels pour 1952
Vu
tance
Y'II
tance
M<RETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Le.gion d'Honneur,
la loi dtl 15 juillet 1893 :,ur ['AssisMédicale Gratuite ;
lia lo i d u 14 jllillet 1905 s ur l'Assisaux VieiUa rds, Infirmes et In curables;
Vu l'ordonnance du 3 1 octobre 194,5 portant orga nisa non de la lutte contre la tube rculose et les textes d'application ;
Vu l'ordo nn ance du 18 décembre 1944 d~
terminant à titre tran:;itoire les règles dt!
fixation d!!s .prix de journée dans les Hopi taux et Hospices publics j
Vu la ci rculaire ministérielle du 29 d~
cemhre 1944, ,prise pour l'apphca tion de
l'ordonnance précitée ;
V~ J'article 26 de la lo i du 2 1 décemhre
194 1 et les a rticles 22 et 34 du décret du
17 avri l 1943 · sur 1.. règles de fixation d""
prix de journée des malades et pen:iionnaires I>ayants., modifiés par le décr!!t
N' 5 1. 12 18 du 19 octobre 1951 ;
Vu la circulaire d'application N° 183 de
M. le Ministre de da Santé Publique el de
ia Population en date du 24 octobre 1951 ;
Vu les prropositions et ju .. tifications de"
Co mmi ssIOns Administra t ives de;:) Hôpitaux
et Hospices publics ;
Vu les rappor de Al Il ln j>t:cteur Principal de la Population et de l'Ent r' Aide ;
Sur la proposition de . \, . le Secretaire
G~ n é ra l de ~a Préfecture,
ARRETE
Article premier, - Les pri.x de jo urn ee
prév isionne ls applicables d1lrant l'année 1952
dans les Etablissements hospitaHers publ i ~S
ci~aprt:s énumérés sont fixés comme suit,
avec effet dlll 1er j anvier 19.52.
PR IX DE JOUIRNEE INDIGENT S
DESIGNATION DES
Se rvices
H Hospice
}or Mêclecine
C Ch irurgi e
ETAB LI SSEMENTS
H.
M.
Hôpital- Hospice d'Aubagne .. . , ... . . .~ . . .
C.
Hospice
Hospice
Hospice
Hospice
de
de
de
de
St-Cannat
. ... .. ....... . .. .
Rognes
. ... .. . . ........ .
Gardanne " ._ . . ... . .... ... . . .
St-Chamas . ..... . ... , ..
Aé6um de t\'\ontvert .... , . '
Sana torium du PetitA rbois .. , ... , ....
Hospice de Maussane .... . .
Hôpita l- Hospice
de St-Remy
Pri x de rc\; e-u c prév is·o nn ds
Généra.-\
614
1.374
1.489
M ~ di ca'I
9
252
293
Ma jora ti on
à affec ler
D ~ fi c ils
au fQnds
des
exerci{'\Cs
Total
de roul ement
a n l~ ri e'l? r$
623
1.626
1.7&2
25
6
43
85
71
+5
58
405
H.
H.
332
5 13
H.
H.
E xcéden ts
de<
exe rcices
an t(.'"Tieurs
586
1.566
1.769
360
380
5U
430
48
Recond uction du p rix de journee 1951 à dé faut de
propositions de l'Etablissen1ent (D isposi ti ons légales).
En \l 'albsence de propos itions d e l"EtabHssement., reconrluction du p rix de journée 1951 avec majoration
forfaita i·re de 5 %.
2.129,6
H.
En J'absence de propositions de l'Etablissement reco nduc tion du prix de journée 195 1 avec majo~ a ti o n
fi xée à 50 fr a ncs.
10
373
363
H.
758
728
30
M.
P rix de
journêc:
prc\'ision ucls
11 3,6
645
2016
280
3
8
:l70
750
PRIX nE JOUR.NE E> PAY ANT
DESI GNATION
DES
3e catégorie et Assurée soc iau x
Prix égal au pr ix de journ cc
ETABLl SS ~IENTS
S ervices
Hôpital ... Hospice d' Au'bagne
Hospice
Hospice
Hospice
Hospice
de St-Ca nnat .... : : : ::::::: :: ::
de Rognes ......... , .. . ....... . .
de Gardanne ... . . " ... . ... , . .
de St- vhamas ..... . .. ... . .. . .. .
~érillm de Montvert .. "." ... . . , . ... , . .
anatorium du Pet itA rbois .. , .. , .... , .. ,
H09pke de Maussane .... • , . ... . , . , . , ..
Hôp't1 a 1- Hosp ice de St-Rémy ...... . , ... .
H.
M.
C.
H.
H.
H.
H.
2e catégorie
1re c3ttgorie
Ind~nts
586
1.566
1.769
360
380
513
430
645
2.016
280
674
1.723
1.946
732
1.957
2.2 11
�-
32
Article 2. - ~l le Sec retaire Gênerai de
la Prt'fecture, ~L\l les So us-P réfets d'Aix et
cf Arles. J\L\\. les ,\Iaires, P résidents d es
CommL ionti Administratives, Al\1. les Rece"eurs de ces Etablissements, M. le Trésoner-Paveur GéneraJ sont charges, chacun
en ce· qUI le concerne de J'e..xecut ion du
present arrêté.
Marseille, le 25 janvier 1952.
Le P réfet des Bouches-<Îu-R,hône,
René P Al RA. - - -«> 00 0 - - - -
03 B2
FS 7
PRIX DE JOURNEE PR~VISIONNEL
1952 APPLICABLE AU l.ENT RE REGIONAL DE LUTTE CONTRE LE
CANCER.
ARRETE
Le Pre'fet des Bauches-du-Rhline, offider
dt la Légion d'Honneur,
Vu l'ordonnance du 1er octobre 1945 et
l'arrëté du 15 jaO\'ier 19-17 sur les Centres
r~gionaux de Lutte contre le Cance r ;
\OU la convention entre l'Admi nistration de
l'A!>SiSl ance Publique et le Centre Régional
de Lutte contre le Cancer de Marseille;
\"u rordonnance du 18 décembre 1944,
d~terminant à titre transitoi re les règles de
hxation des prix de journëe dans les hôpi (aux et hospices publics, et la circu laire
d'application du 29 décembre 1944 ;
Vu la circulaire de M. le Ministre de la
Santé P ub lique et de la POj}tllation du
29 jan\'jer 1951 , relative au calcul du prix
de journëe des Centres régio naux de Lu tte
contre le Cance r ;
V u les propositions du Directeur Général
de l'A<lministration de l'Assistance Publique
il Ma rseJ le ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire
Genéral ,
ARRETE
Article premier. - Le prix de journée
prévisionnel applicable au Centre rêgionaJ
de Lutte contre le Cance r, et représentant
la rede\'ance due par le Cent re à l' Admini~
trati on de l'Assistance Plublique à Marseille,
pour les prestations dont il bé néficie, est
fixé comme suit, à ti~re "provisoire, à compter du 1er janvier 1952.
Prix de journée Indigents :
2.632 francs. (Prix de journée Médeci-ne
de l'Assistance P ublique).
Prix de journée Payants ;
3e catégorie et
A urés
Sociaux
2.632 francs ;
2e catégorie: 3.158 francs;
1re catégorie : 3.685 francs.
(Prix de journée "ayants Médecine de
l'Assistance PubLique).
Article 2. - ILe prix de journée propre
au Cent re et qui s'ajoutera aux p r ix de
journée fixés par l'artiole précédent, sera
déterminé ultér ie urement.
Article 3. - Le prése nt a rrêté sera sou mis à l'approbation de M. le Ministre de la
Santé Publique et de la P opu la tion, conformément aux dispositions de l'ordonnance du
1er octobre 1945 et de la circulai re du
29 janvier 1951.
Toutefois, tes prix de
prem ier susvise avec effet du ter ja nvie,r
195 1 se ro nt rmmédiatement applicabJes. a
titre p rovisoire, jusqu'à d'i ntervention de la
dêcis.ion mi nistèneJle qui les entér inera à
tit re définitif.
Article 4. - M. Je Secrétaire Génera l <le
ta f1 rèfecture, M. le Directeu r du Ce ntre Régiona l de Lutte contre le Cancer, Al. Je Directeur Gé néra l de j'Administra tion de l' Assistance P ublique à Marseille, M. le T r ..:SOrie r-Payeur Ge néral, sont ch ar~J eha-cun
en ce q ui le co nce rn e, de l'exécu tio n du
présent ar rêté.
MarseiYe, le 25 ja nvier 1952.
Le Préfet des B ouches-du -Rhône,
René P AIRA.
-------,<)00 <» -------
06 BI
A 3
PRIMES A L'OLEICULTURE
Le P,,-éfet des Bouches-du-Rhône,
à ,\lNl les Mai res d" D éparteme nt.
j'a, 1 honneur de vous rappeler que les
Oleiculteu rs dcsira nt bénéficie r des primes
de régéné ration Ou de plantation doivent,
entre le 1er janvier et le 15 [évri er, délai de
rigueur, faire à la MaÎrie .de la Commune
ou sont situés les o livie rs une décla ratio n
établie sur l'imprimé mddèle - N ° 1 indiq uan t :
1" Le ncml.bre tota l d'o liviers régé nér és
par r.ecépage simple ou s ur greffes s ur le
domallle qu'i ls exploitent don na nt droit" la
prime de régén ération pour lesquels Je délai d'attribution de 10 ans n'est ,p as encore
écoulé ;
2° Le nombre total d'oliviers nouvellement plantés sur ce dom aine donnant droit
à la ,pri me de plantation nouvelle, po ur lesquels le délai d 'attribution de 15 ans n'es t
pas encore écou lé;
3° Le nombre d'oliviers que les o léiculteurs se proposent de régénérer po ur rec épage, avec ou sans greffe, avant la fin de
l'ann ée en cours (cette décla ration constitue
la demande d 'a uto r isatio n p réa lable nécessaüe à l' obte ntion de la p r ime de n~~ (Yéné ration).
b
La déclaration dev r a précise r «: Ile lie u
dit :» et le numéro cadastral des parcelles,
leu r sU'pe rficie et le nombre d'oliviers co n tenus dans chaque parceIJe, en spécifia n t
celle des deux ,primes prévues par ta toi qui
s·applique aux arbres considérés.
Ces déc/armions seront personlleiles,
eUes devront étre certifiées et signées fJIlr
les déclarants.
Je vous 'Prie de bie n vouloir porter à la
con naissance des oléiculteurs de votre commune les dispositions qui précèdent et les
inv iter, le cas échéant: à remettre à la
Mairie, avant le 10 févrie r 1952 les Mdarations modè le N° 1.
• \
li vous appartiendra d e delivre r aux inté ressés un certificat de r éceptio n o u récépissé de déclaration modèle N° 2. signé
pa r VOus o u votre d élég ué.
Je vous serais obligé de bie n vou loi r me
faire connaitre le nomb re d'imp rimés modèles 1 et 2 et les taillea ux récapitulatifs
communau.x q ui vous sont nécessaires, pou r
me pe rmett re de vous les ad r esse r.
t~ l a tifs Id oi ve ~ t .être éta.b lis en do uble exem.
P6 a
~ prem ier aBd resse à la Préfecture
,e IV,lslon - ,1er
ureau" l e secoTKi à M~
1 In génieur, D Irecteur des Se rvices OJéic .
les, 79, rue Dra gon, à .M arseille, et parven~r
avant ,le 15 . mars 1952 : tOlite expéd'Yio
ID,. ,
n
posténeure a cette date sera rejetée.
Ma rsei l/ e, le 28 janvier 1952.
P o u r le Préfet et pa r Délé".tion
L e Secrétaire Générai
LA'MIASSOURE.
'
33
Sur la
Général ,
proposition <le
M . le Secré ta ire
ARRE/ nE
Article .premier. - Les sa laires m o yen~
la rémun ératio n en nat ure et les sa,l a ires
minim a deva nt, d a ns les cas prév us pa r les
arti cles 8 et 9 de la lo i du 15 décembre 1922
servir de base a u calcul des re ntes et iru:1emnités journa li ères d ues aux vict im es d/acci-
dents du travail dans l' agriculture so nt
fi xés .pour le Département des Bouches-du~hOne conformément a ux indicatio ns contenues dans le tableau. ci-annexé.
Artiole 2. - L e présent a rrêté, qui sera
p ubl ié au Recueil <les Actes Admin ist r ati fs
de la Préf ecture se s ubstitue à l'ar rêté du
21 ma rs 1951, don t les d isposi tions cessent
d'être appli cabl es à la date d u 1e r ja nvie r
1952.
Ar ticle 3. - M. le Secrétai re Général de
la Préfecture et M. le Co nt rôleu r des Lois
Socia les en Agr ic ultu re so nt cha r gés de
l'exéc utio n d u prése nt ar rêté.
Marseille, le 29 décemb re 1951.
Pour le Préfet,
Le S ecrétaire Général:
G. LAMASSOURE.
'
---- «~ oo «)-----
0 6 BI
AVANTACES
CATEGO RIE D E TRAVAILLEURS
SALAIRE
(Coe ffi cien ts prlivus par arrêtés préfecto raux
MOYEN
Ai l
Vu la loi d u 9 avril 1898 conce rn ant la
respo nsabilité des accidents dont les ou·
vders son t victi mes dans leur trava:1 .
VUJ la loi du 15 juillet 19 14 étenda,;t aux
expl oi tat io ns forestières les dispositions de
la loi pr écitée ;
Vu la loi d u 15 décembre 1922 étendant
aux exploitations agr icoles la légis lation sur
les acc iden ts dU! t r aval·1 ;
Vu la lo i clu 30 avrU 1926 et l'ordon·
na nce 45- 1842 dn 12 ' aoflt t 945 modifia nt,
co.mplétant et interpr étant la loi du 15 M·
cemb re J922 s usvisée ;
Vu le9 arrêtés p réfectoraux des 30 aVlil
et 18 décembre 1946 portant fixation du
rëgime d u travaiJ des sa lari és dans les ex·
ploita tions agr icoles ;
Vu l'a rrêté p réfecto ral du 5 ma rs 1949,
r~latif aux salaires du personnel des champs
de course ;
Vu l'arrêté préfectoral du 28 juillet 1949
po rtant règlement d u t ravail pou r les ou·
\' r iers forestiers ;
V u. les acco rds de salaires conclus les 8 et
10 fév r ie r 195 1 e ntre les représenlant, de
la Fédér.ation Dépa rtementa le des Syndical>
d 'Ex.pJoi tants ag ricoles et ceux de l'a ~e<:
ti"n Fédéra·le des trava illeurs <1e fagncul·
ture ;
Vu l' accord de sa laires concernan t les
eXiplo ita tions salinières co nclu le 9 octobre
195 1 ;
Vu l' acco rd de salaÎres concernant le~
lads co nclu le 18 octobre 1951 ;
Vu le décret du I l octobre 1951 portanl
fixatÎon d u sala ire min.imum garanti dans
les professio ns agricoles ;
Vu ,les décisions de la Fédé ration Dép'"
tementale des Syndicats d'Exploitants a~n"t
u'il com'Ien
.
coles, relat ives aux sa 1'aires q
. d'ou'
ru, payer aux différentes catégOries. r n
vriers agrico les à la suite de la p~bilc.a 10
du décret du I l octobre 195 1 s usv isé,
. . t "' 1 d, 20 novem·
Vu l'arrête. .IOtermlnlS
eu e
l
fxé
b re 1951 m odifiant le délai de deux ans le,c_
"tés pre
pour le reno uvellement -des arre
l ' du
tora ux p ri s en applicatIOn ~e la Dl ces
15 décembre 1922 et ,p resCflvant que .".
a rrê tés se ro nt révisés à la date du 1er 1
vier 1952 ;
de
.
.
d M le Ministre
1951 i
Vu les inst ructions e ·
l'A!g r iclll tu re e n d ate du. 3 décemteenQuite,
Vu les p ropositions falles, ~prSs cia les en
M. le Co nt rôleu r des LOIS 0
AVANTAGItS
EN l'lATOU
SALAIRE
PAIl ""
PAR JOUR
ACCIDENTS DU TRAVAIL
DES SALARIES AGRICOLES
Arrêté n ' 526
L e Préfet des Bouches-du-Rh6ne
Officier if", la Légion d'Honneur:
EN NAT URE
des 30 Avri l et 18 D écembre 1948)
JOURNALIER.
(à aj outer
au salaire moyen
MOYEN
Y t NJMtnf
ANNUEL
j ou rnalier )
1. -
(à. ajou ter au &ala ire moy~ aD·
nuel et au salaire
minim um arurael)
AGR ICUI.. TU RE
VITI CULTURE
VI NICU l.TURE
CULTURES MARAICHE RES
HORTI CULTURE
AR BORI C ULT U RE
P EPINiE RISTES
Coeff . 100
» 110
)0
120
»
130
-
Ma nœ uvre
Ouvri er à to ute mai n ........... .
J a rd in ie r . . . . . . .... ' ........ " ' .
Ouvr ie r co nn aissa nt so n métie r,
vac he r, po rcher .............. . .
150 - O uvri er agr ico le spéc ia lisé, premi e r cha rret ier, cond ucteur d e
trac teur q ualifi ê, chauffeur, Bayle
tra va ill a nt ... . ...... . ........ .
160 - Ja rdinie r haute nl ent qua li fié ... .. .
175 - O uvrie r hautem. qualifié - g ra nge r.
59 1
624,80
681,60
63,25
63,25
63,25
177.360
186.690
194.746
1ï4 .360
174.360
177.235
18.980
18.980
18.980
738, 40
63,25
210.974
192.000
18.980
852
908,.90
994
63,25
63,25
63,25
243.432
259.661
284.052
221.54~
236.3 14
258.468
18.980
18.980
18.980
59 1
624,80
3 1,65
31,85
177.360
186.690
lï4.360
174.360
9.490
9.490
1.08 1,90
63,25
324.576
295.392
18.980
. .. .... .... .... . ...
1.1 90, 10
63,25
35 7 .03 ~
324.931
18.980
Coeff. 120 - Ga rde de Ire catégo rie ... . . , . .. ,
» 135 - Garde de 2e catégorie ...... . . . •
» 150 - Garde de 3e catégorie .. ....•.. ,
Jo
160 - Garde-chef ... . .... . . .. ...•... ,
681,60
766,80
852
908,80
194.746
219.089
243.432
259.661
177.235
199.390
221.544
236.3 14
681,60
766,80
852
908,80
965,60
194.746
219.089
243.432
259.661
275.890
177.235
199.390
221.544
236.3 14
251.083
659,20
197.762
197.762
211.507
245.869
211.507
245.869
)0
>
)0
Personnel fé minin ;
Coeff. 100 - Se rvante déb utante . . . ," .. • " .. .
»
11 0 - Servante de fe rme ... . •.. . , . . .
Bayle-Régisseur;
Coeff. 200 .... . ............ "
R égisseurs ;
Coeff. 220 . . .. . ...
II. -
III. -
CHASS ES GARDEES.
CHAMP IGNONNIERES.
Coeff.
>
>
>
>
IV. -
120
135
150
160
170
- Champignonnistes Ire ca tégorie ..
>
2e catégorie
>
3e catégorie
•
4e catégorie
)
5e catégorie
CHAMPS DE COURSES.
(Coe ffiCie nts préVUS par arr2 fé préfect. du ~-3-49)
Coeft. 130 - Homme de 'p istes gazon nées . . . .. .
> 140 - Homme de pistes sab lées, Lad nC
m onta nt p as à cheval . .... . ... .
)
165 - Lad mon ta n t à cheval. ... . ..... .
:»
170 - Chef d'équi pe ..... . .......... . .
�- -
34
oc
AyANTAG~S
CATEGORIE DE TRAVAIllEl:RS
SALAt ....
EN NATURE
AVANTAGBS
SALAIR.E
SALAIR.E
PAil AN
PAR JOtJI.
(Coefficients pré\-us par arrètés préfectoraux
des 30 Avril et 18 Décembre 1948)
MOYEN
(à ajouter
JOURNALrER
:lU
salaire moyen
journalier)
EN NATOU
)dOYEN
lollNlMtL\(
ANNUEL
\a. ajout~'r au li.
taire moyen linuel et au salaire
nlnlmum annuel)
VI. -
Manœuvre
Fagottiers
Bûcherons
Bûcherons
Bûcherons
.... . ... . ... _ .... .
.... ........ ...... ..
.................... ..
qualifiés ........... ..
hautement qualifiés ..
591
653,20
733,40
852
880,40
63,25
63,25
>
>
177.360
186.631
210.974
243.432
251.546
174.360
169.850
192.000
221.544
228.929
18.890
18.980
18.980
18.980
18.980
180.360
180.360
22 1.544
18.980
18.980
18.980
18.980
ENTREPRISES DE TRAVAUX AGRICOLES.
Jeunes ouvriers ..• •.. .... ........ . . . .... .
Manœuvres ............. ... . . . . .. •...•..•
OUI'Tiers qualifiés, conduc!. de tracteur qualifiés
Ouvriés hautements qualifiés . . . ...... . ..... .
Chef de chantier ..... .................... .
VIL -
852
•>
180.360
207.414
255.600
994
>
284.052
258.468
180.360
242.700
174.360
221.544
601,20
691,40
>
OUVRIERS DES ARTISANS RURAUX.
Jeunes ouvriers ........................... .
Ouvriers qualifiés .... ..................... .
VIII. -
OUVRIERS DES COOPERATIVES AGRICOLES.
Manutentionnaires .... ..
Ouvriers non qualifiés ... ... .... . . . .... .. .
Ouvriers qualifies ............ . ...... ... ... .
Contremaîtres, ouv riers hautement qualifiés ... .
J.
IX. -/EXPLOI TATIONS
_ •••••••••••••••
601,20
809
707
936
1.090
1.I30
212.100
2S1.000
327.000
339.000
174.360
222.000
259.000
295.000
194.400
180.360
SALlNI~RES.
C~tégorie ;' Femmes, ouvrières à capacité professIOnnelle reduite : jeunes de moins de 17 ans ....
1re
47,45
648
14.235
2t !Ça/égorie.- Jo urnaliers,
manœuvres,
ouvriers
n ayant aucune connaissance de! travau..x salins
personnel de nettoy~ge et d'entretien, accrocheurS
de wa~o.ns, hommes a la surveillance des rouets
magasIniers sans responsabilité, hommes effect~ant
des trayaux légers : racco mmodages et triage des
sacs, debutants aux éc ritures .... _. ........ . .... .
•
·S08
63,25
242.400
242.400
18.980
848
63,25
244.400
244.400
18.980
944
63,25
283.200
283.200
18.980
976
63,25
292.800
292.800
18.980
1.005
1.145
1.215
1.284
1.354
63,25
63,25
63,25
63,25
63,25
301.700
343.600
364.500
385.400
406.400
301.700
343.600
364.500
3S5.400
406.400
18.980
18.980
18.980
18.980
18.980
3e Catégorie .- Manœuvres spécialisés, conducteurs de
grues,. de tra ~te~rs et d'appareils d'écrasage, aidecommis aux ecntures ........ .... .... ......... .
4e Catégorie .- Ouvrier~ d'ateliers, terrassiers qualifiés
aux tr~vaux des .sallns et susceptibles de travailler
en éqUlP~, CommiS aux éc ritures, expéditionnaires
d~ mouhns, rouleu rs de tables, chauffeurs de camIOns, ramonets ........ . . . ..... . ... " .... ".,
5e Catégorie .- Ouvriers spécialisés, cnefs d'équipe. '.
PERSONNEL DE MAITRISE
1·
Sous-sau nier
2*
Contremaître, saunier auxiliaire, chef des expédit.
Sauniers, contremaîtres en chef et sous-agents ..
Chefs de fabrication, chefs d'atelier ........... .
3·
4°
a) 1er Echelon .... ' .. ... ... .. .
b) 2e Echelon ................ :
lUTH l'IlnKEr BOUSL
Ciroulaiu concernant plus spécialement
1.. Administrations de l'Etat
D281
AC 2
BUDaET DE L'EXERCICE 1952.
IMPUTATION DE DEPENSES
RELATIVES AUX COTISATIONS
DE LA SECURITE SOCIALE
V. - EXPLOITATIONS FORESTIERES.
(Coefficients prévus par arrêté préfec/;; du 2S-7-49)
Coeff. 100 Coeff. 115 >
130 >
150 >
155 -
35
République Française
Paris, le 26 janvier 1952.
Le M.in~stre de l' Intérieur
il MM. ,les Inspecte ur s Généraux de
l'Administration en ·mission extraordinaire (LA.T. L) et MM. les
Préfets (Métropole).
REF. - Ma circulaire Fin ./Bud. N' 1 du
8 janvier 1952.
J' ai J'honneur de vous prier de vou,loir
bien trouver ci-joint le texte de la circulai re W 12·6 S / 2 - 3 B/ 12 du 16 janvier
1952 de M. le Min ist re du Budget, relalive
au versement des cotisations de Sécurité
Sociale des fonctionnaires et mili taires de
ca rrière bénéficiaires des régim es institués
par le décret N' 46-2971 d u 3 1 décembre
1946 et par la loi N' 4~89 du 12 avril
1949.
tes .dispositions de cette circulaire appe llent de ma part quelques commentaires.
1\ est tout d'abord rappelé que -l'article
spécial visé au second paragraphe de ce
texte est, en ce qui concerne le budlget re
l'Inlérieur, l'a rt icle IO du chapitre 4.000.
Vous observerez ensuite que tes règles
pratiques qui ressortent de ce docum en t
peuvent~ en ce qui concerne ta tâche vous
Incombant en votre qualité d'ordonnateur
secondai re, se résu.me r ainsi :
- 'pour , les fonctio nnaires ti tulaires (y
compflS, bien ente ndu, les stagiaires), ~es
deux parts (part patronale et part à la
charge du person nel) des cotisations de
Sécurité Sociale so nt cailc ul ées ,par les so ins
de l'Atiministrat ion Centrale et versées dir~ctemen: par elle aux organismes de Sécunté Soclâle. Les o rdonn ateurs seco nd aires
n'ont donc, à a ucun mom ent à intervenir
étant, bie.n ent endu, cependan't, que la part
« employc :. des cotisations doit êt re comme
par le 'passé, précomptée sur Ile tr~itement
~ersé aux. intére!;sés imputé sur le chapit re
e rémunerations principales.
( - . .pour 'l es personnels · non tituJaires
aUXIliaires, contractuels et ouvriers) des
~~rlseme~ts des cotisation~ <te Sécurité' Sola e. ~olvent être effectu.és dans les mêmes
condlhons que précédemment, c'est-à-dire:
doSur le plan ,local, par les soins de l'or·
nnateur secondaire .
no~u~ la qase des ré~unérations réelles (et
ur . une) base forfai ta ire comm e pour
les titul
MaIres i
ttm esnSlle~lement, en
principe, en même
p que le mandalement des traitements.
r des les opé rat .ions de transfe rt de crédits oules
pales ) aCt~aPltre.s .. Rémunérations prÎI1Cide l'Ad .-. chapllre 4.000 étant du ressort
teurs S:lOldst~ation Centrale, les ordonna•
on aires doivent :
1 SUr les ohapitres «; Rémunérations
présent la part des cotisations à la charge
du personnel ;
2" s ur le cha.pitre 4.000, article 10, mandater aux Caisses de Sécurité Sociale
c?mme . ill a d'ailleurs été indiqué ,par mo~
télégramme 3020 Fin./SeA:. du 19 janvier
1'95~, -1 ensemble des sommes à verser à la
Sécurité Sociale, à savoir :
.
a) ,l a opart -précoll1iPtée comme il vienl
d'être dit;
b) la part patronale.
. Au cas où, ,pour Le versement de fin janvier 1952, des ord<>nnateu,rs secondaires
auraie nt été amenés, fa ute d'instru:clÏons
préci.ses, à opere~ des versemênts de la part
ouvnè re <ies cotisatio ns de Séc urité sociale
en les imputant sur des chapitres de rémuné ralions prin.c_pales, il y a urait lieu pour
eux de procéder, dès que possible à une
réil1\putation de la dé pense sur I~ chapitre 4.000, article 10, qui doi t SILpporter ia
totalité des oharges de l'espèce. '
Vou~ voudrez. 'bien .me saisir, sous Je présent timbre, des d iffic ultés que pourraient
so ul ever ~'éllpplicat ion des dispositions quj
font l'objet <i.es présentes instructions.
Pour le Mini.stre et par délégation,
Le Directe ur des Services Financiers
et du Contentieux:
Signé: .E. MARRON.
•••
Paris, ·Ie 16 janvier 1952.
Le Ministre du Budget
à uV\M. les Ministres
et Secrétaires d'Eta!.
OBJET.
Verse.ment des cotisations de
Séourité Sociale des fonctionnaires et miUtaires de carriëre benefiriaires des régimes
institués par [e décret n' 46-297 1 du 3 1 décembre 1946 et par [a loi n ' 49-489 du
12 avril 1949.
Par lettre n" 8 166 F.L./ C. 2575 du 26 novembre 195 1, adressée sous le timbre 'de la
Direction de la Comptabili té P,ut>lique, M.
le Vice-Président du Conseil, ~\r\inistre des
finan ces et des Affaires Economiques vous
a 1 1lfonme des modiücations apportées, à
compter du. 1er ja nvier 1952, au mode de
versement des cotisations de Sécurité Socia le des fonctionnair~ de l'Etat et mili tailles 'de carrière, Ibénéficiaires des régimes de
Sécurité socia le institués par le décret
n" 46-2971 du 31 decernbre 1946 et par la
Joi n· 49-489 dl> 12 avril 1949. Un .projet
de d>écret en instance de sig nature prévoit,
en effet. que Ue produit des colisalions à la
charge de l'oEtat et des intéressés est ordo nnancé globalement, entre le 1er et le 15 du
deuxième mois du tdmestre au titre duquel
so nt dues les cotisations au profit de la
Caisse Nationale de Sécurité Sociale ou de
la Caisse Nationale Milita.ire de Sécuritë
Socia le, s ui\!.f1.nt ne cas, par Jes Ministres
cha rgés de la gestio n des crédi ts s ur lesquels sont imputés les tr aitements ou sokLes
des personnels int~ressës.
Pour per.mett r.e l'applica tion de ce tte procédure, tous les crédHs afférents au. versement de ·l a cotisation patronale de ,'Etat qui
figuraient précédemment dans les diff érents
chapitres de traiteme nt s, de soldes et de
;alaires, ont étc re gro upés à u\1 artiol~ spécial du chapitre ouvert â la 6c partie dlll
budget de chaque Départem.nl
le ve r-
toire. par aiUeurs, la loi de finances pour
l'exercice 1952 comporte un article spécial
(art. 34 du projet de .toi) autorisant le transfert à ce ch"IPitre 'Par arrêté du Ministre du
Budget, de Ja fraction des crédits ouverts
aux chapitres de t rai.tements, soldes et salaires, destinée au versement de la cotisation à la cha rge des intéressés.
Le règlement trimestriel des deux cotisations, désormais iJTljpU'tées sur un même ohapitre, fera donc .l'o!>Jet d'une seule ordonnance émise a ur époques indiquées cidessus.
Je crois toutefois devoir appe ler votre
attention s ur Jes points suivan ts :
d'application tU [a nouvelle
procédure.
Ainsi que ,le Iprévoit le projet de décret
susvisé, seules feront l'objet d'un règlement
global et forfaitaire les cotisa tions de SécurHé sociale des fonctionnaires (titulaires et
stagiaires) de J'Etat et des militaires de
carrière, bénéficiaires du régime de Sécurité Sociale institué -par le décret n' 46-2971
du 31 décembre 1946 ou du régime de Sécurité Sociale institué par la do i ,,' 4~9
du 12 av ril 1949, à l'exclusion toutefois des
fonctionnaires civils titulaires en service en
Algérie et da ns les départements de la Gua'deloupe, de b Martinique, de la Guyane
française et de la Réunion.
En ce qui concerne ces derniers fonctionnaires et les perso nnels non tit-ulaires de
l'Etat (auxiliaires, contractuels et ouvriers
Ile lelevant Ipas d u régime spécial des fonctionnaires) les Administrations continueront
donc à verser les cotisations dans les mê·
mes .conditions que précédemment, avec la
différerrce toutefois que lia cotisation patro1Iale et la cotisation à Ja charge de l' intéressé seront également ma nd a tées, l'une et
l'au tre, sur le chapitre des prestations à
caractere obhgatoire, puisque to us les credits afférenls al> règlement de ces deux cotisations doivent être également OlLVerts ou
transférés à ce chapitre.
l ' C/uImp
2" Détermination du montallt des versements et ordonnance ment au profit des
organismes de Sécurité sociale.
Les sommes ordonnancées chaque trimestre dan s les conditions pr.év ues par ~'arti
cie 2 du projet de décret présentent un caractère forfaitai re ; e~les doivent correspondre a u qua rt de la fraction des crédits
inscrits et transférés à l'a rticle spécial du
cha'pitre susvisé. Da ns le cas où ces crédits
auraient été calculés sans tenir compte des
déductions pour vacances d'emplois prevues
dans les différents chapitres de traitements
et soldes, il conviendrait de les rédu ire
dans une proportion correspondant à ces déductions.
Devront également être déduites du total
des cré.dits ouverts au titre de la Securit'é
Sociale. préalab lement à la détermination du
montant des ve rsements trimest riels visés
par le projet de décret) les sommes nécessaires au' Ipaiement des cotisations des perso nnels ne re nt rant pas dans te champ
d'application de ce texte (fonctionnaires de
,'Etat en service en Mgérie et dans ies départemenls de la Guadeloupe,. de la Marliniqul\ de la Guyane Française et de la
Réunion ; auxiliaires contractuels et OUv ri e~ ne relevant pas du régime special des
�36
ordoo Dances trimestrielles devront
être établies, suivant de cas, au nom de la
Caisse ationale de Sécurité Sociale ou aa
nom de la Caisse
ationaJe- Militaire de
Sécurité Sociale • enes seront awllY"es, il
titre do j usfiIicatio ns, d'u n état dU modèle
cj,..annexê.
L'ordonn ance émise au profit de la Caisse
Nationale de Sécunre Sociale sera rëglée
par Je Pareur-Généra:! de la Seme, lIlar virement au compre o.- 603 ouven a u nom
de cet organisme il la Caisse des Dépôts et
Consignations ; quant à l ' or~onnaITce . ~rrr:se
au profit d e la Caisse Nahona ~e Mll~tat~re
de SêcUIité Sociale, ell e devra et re reglee,
par le Payeur Général de la Seine, par virement au ~rëdi.t du compte ouve rt au nom
de cet organisme dans les écritures du
comptable sUipérieur -précilié.
Les
37
_ et, d'autre part\ de l'ar r~té por,tant
lransfert d"5 ch""itres " Rémunerahon~
prin.tipales )l au chapitre c ~r.estatrons a
caractère objjQ!3toil'e :t des OOOlts applica-
bles' à na cotis~ti'On. de Sécuriœ Sociale à la
charge personnelle d"5 agents de. l'Etat
Je- cr-ois devGi r SÏlgnalel\ en outre', qg11l Y
aura lieu de tenir cOfl11JIe, pour le c.a:k:ul des
versements à effectuer au)!; ~m:es de
Sécuolé Sociale, des moldilicafions de crédi ts qui pourraient résulter en c~urs ,d' ex~r
ciœ de modifications apportées a la COnsiSta nce des effectifs ou au n relèvement des
rémunérations.
Par ailrems si le budget n'était pas voté
avant le 1er j~rrvi"eT de l'exerc ice, les administrations dt:vraient effectuer entre ~e 1er
et fe 15 févrrer, un premier versement calculé 5ar la IJase des cré.dlts ouverls à cette
3· Tran sfert dts crédi/'S nécessaires au
ptlie.merrt du cotisations à ILl chargt
date paT
zièmes..
la loi
o u paT les lois de d
Ou-
Les di~sitions d. la: glé'ente circulair,
son t ~jJpl1cables aux ~ud gets annexes. En
ce q~ J co nc:erne les. offices et établissements
pU'bhcs nationa ux., 11 y aura lieu de- déter.
m~ner
le mo~tant d-es- versements trimestne!s ~n fonct ion des . précomptes rceUement
effectués sur le traitement des 1 intére"",
jusqu'à ce que res sommes n.écessa"ires au
\'ersemeot des deux: cotisations arent été
regrou:pêes dans un même chapitre. par
a nal ogie avec ce qui a é'té fait dan s le bud.
get des différents départemen ts ministériels
'à défaut des pièces justificatives s us~l~tionnées ils doivent produire. à l'appu.i
de leur r~uête, le r~cépissé d élivré par
l'admi.ni stratlon des AnCiens Combatlants et
Victimes de la Guerre.
Leur réintégration ou leur recla ssement
pourra intervenir aussitô~ que la Commis.sion Nat ionale aura statue s ur leur cas.
Le Ministre du Bud get
pour le Ministr e et :par ~ élégat i on,
Le Directeur du Cab lO et :
MIARHAL-SliMON.
Le Secrétaire dl Etal
à b Préside nce d u CO l1 se~l,
Pour ~e Secrétai re d'Etal
à la Présidence du Co nsei·l
et par dé légat io n,
Le Directeur du Cabinet
M . AICARD !.
et dans les budgets annexes.
Pour le Minist.re et par autori s<ltion,
Le Dilrec teur du Budget:
Si g né. : R. GŒTZE.
Modèle a nn exé à la lettre
N° .. ........ du
Ministère de ...... . ........ .
ùtitirfssis..
Dans le courant du mois de janyier, le
ET"'T
monrant des crédits 'lui doi\"·ent être préledes cotisations de Sécurité Sociale à ordonnancer au nom de :
vés s ur les chapitres de traitemenfs de sol(1) - la Caisse Nationale d.e sec urite Soc iale ;
des et de salaires, poU T le versement des
_ 'Ia Caisse Nationale militaire de Sécurité SociaLe au tilre d u .... tri cotisa tions à la charge des perSOnnels remumestre de l'année 195 ... A (ApIJfication du 'décret n' ........ .
né.rés ur ces chapitres, sera notifië au
Controleur des Dépenses Enga-gees qut,
du .. . ....... . ......... _....... ... .. ............. 195 .... ).
après vé rificatio n, blbquera ces crédits dans
ses écritures en attenda nt Jeur transfert au
Monta.nt d es cotisations
chapitre des prestations à ca ractè re- oblîgaNliMERO des chapit r es su r leSQuels som
toire sur lequel doit être directement ordon1!otal
à ta ch arge à ta cbarg.e.
imput~s
les
trait~leDLs.
des
per sonnels
nancé le mo ntant des consations au profit
Obserdes
de
des
assujettis de la cot:i.satiou.
des organism es de Sécurité Sociale.
ordonnall ces valions
l'Etat
in
téressés
Les crédies ouverts par les lois bu>1lgetai5
4
3
2
1
res de l'exercice 1952 élant calculés sur la
hase de~ rémunérations en vig ueur a u mois
de mars 195 1, les A<lminislTations devront
TOTAUX
indiquer, en outre, aux Contrôleurs des DéCertifié exact
penses Engagees, d' u_ne part!. le m on~ant
VISA DU CON11ROLEUR
des crédits supplémentaires qUI devrnnt ëtre
à
............
~
....... . . . .
DES DEPENSES ENGAGE ES.
prélevés sur les différents <:lIapitres de personnel ap rès ré:partition entre ces chapltr~
du crédit glabal ouvert ail budget des F,(1) Rayer la mention inutile.
nances (Section 1 - Charges Gomnlllnes)
pour le paiemen t des .augmentations de
Iraitements, de soI<Ies e.t de salaires, inlerD2 B l A C 3
classeme ll ts des bénéficiaires de la loi du
venues postérieurement au 1er mai 195 1 et.
7 ju in risqllart de 1ése r les agents .s.usceptid'aulre pa ,t, le montant des cr~dits slllPPléAPPUCATlON DE LA LOI N ' 51-714 DU
I>les de se prévaJoiT de ces disposlliO ns au
mentaires qui doivent êt re oU\-e rts directe.7 JUIN L95 r MODIFIANT L'ARTICLE
titre des sen" ices rendus dans un mOUl'e4 DE LA LOI N" 47-1680 DU 3 SEPd 1 RIF
men t par cet arrêté de- répartition ail c hap'TIVE AUX CON
ment e 'a . . .
.
tre des prestations il caractere obligatnire
TEMBRE 19 47 RELA
En effet, les mesures de répa ra loin prepour couvrir l"lncidence de ces augment«DITlONS DE DEGAGEMENT DES
vues devant être effectuées, SOit de plelO
tions, ainsi que du relèvement du taux e.t du
CADRES DE MAGlSTRATS FONCdJroit soit d'office .les admi nist rations onl
plafond des cotisations de Sécllrité SociaIe,
TIONNAlRES ET AGENTS C VILS ET
été i~vitées à y p;"céder immédiatement fi
sur les dépenses afférent5 au v.ersement
Mll..ITAIRES DE L' ETAT MODIFIEE
la <la te du 3 1 décembre 195 1 . a. été _h~~:
de la cotisation pat ronale de l'Etat.
PAR LA LOI N ' 48-1227 DU 22 JUILcom me date limite pour le depot des
LET 1948.
d
d
. té
é
Pour éviter tou.t retard dans le paiement
ma n es es LO ress s.
des cotisations, les administrations cen tra les
Paris, le li jan.'oder 1952.
Les ,m emb res de la R LF. qUi
ju~tif~;!
devront, sans atte nd re la réaHsa-tion des
pa <I.e services homologués dQlven, '.
é
au chapi
Le Ministre du Budget et le
transferL susvisès, effectuer les versements
Secrétaire d'Etat à la Prés ide nce du Consetl
te rmes des dispositions .. pr v~es . - de la
trimestriels prévus par _le projet de d-écret,
tre Il de la circu laire- et re t l.tu lalrdee'l. Ri..
(Direction de la Fonctio n Publique)
1 lai es
<
sur la base des crédits ouverts aU cha-pitre
à M.M. les Ministres et Secrêtaires d'Etat
carte de Co mbattants vO on r.
ct vant
sistance, la dUTée de l eu~ serv.l ce~ ear 13
récité et des c rédits à- prélever su r. les cha(Direction chargée du Personne:)
1~
déltvre.. P
P
pitres de traitements et de so!d~,.a la. c~n•
faire l'objet drun e attes alJO Il
ts VO~
dition que le monta nt de ces .crédits ait eté
Not re attention a été a'ppeiée su r ce r taiCommiSSIOn Nationale di$ Combatta n
notifié- au Contr ôleu r ..des Depenses Enganes difficultés sou levées p-a r la circula1re du
iontaires de la RésistanŒ.
ités pa r
·
gées, et ,- é ri·f·é
1
par 1·
Ul, d ans 1es- dél ars
3 août 195 1 (publiée au Journa l Officiel d u
Or, en raiso ns des de·1·
alS nécess
.
f1ents
prévus.
31 août), fixa nt les co ndHions d 'applicatio n
l'i nstTucti o n des dossiers. cer taIns d at>four~
D es
instructions
particuljères- serant
de ta loi du 7 juin 195 1 modifiant ,l'a rt. 4
ri squen t de ne pas être en ~esure f95 L
adJ:essées uJtérieurement en ce qui conœrne
de la loi du 3 septembre 1947 relative a u
nir ces pièces avant le 3 i decemb re
la
.
dé ga:geme nt d es Caures
-~
de magls
. t ra 1s, [on<:la p.rcparahon
:
En co nséq uence, ,nouS avons décidé
. ~t que
oppo~
_ d'une part, de l'a rrêté po rtant répartitionnaires et agents civils et mi,l it ai res de
date limi te du 3 1 décembre 195 1 n,!~ ce qui
tion su, l' exe,cice 1952. des crédits globaux
l'Etat.
sable aux memb res de la R.I.F. ~' (ie ri inIl est apparu que la procédu re indiquée au
conce rne Je dépôt de leur demr ~ entendU
ouverts. pour l'amélioration de la situatic:m
.t.._oid.eiis~a:liSl:ie::nts:ii\..lld~e.,,;I~'E;,t::a~t...i.;_ _ _ _ _ _ _ _ _!..::C:::h:a:~pl:.:·r:::te~4:....!:po~u.:.r,:I:e:s,:r,:e,::in.::t:::é::g:.:ra~t.::io:n~s:...:e~1~I:es:....:r~e~-~~té~g~r~a:ti~o:n 0 u de reclassemen t, tan
ck'~
- - - C ) 00 <)'-- - -
D5 BI
TVX 0
CIRCULAIRE RELATIVE A LA MODIFICATION TEMPORAIRE DU CARAt;.
TERE >D'UN PASSAGE A NIVEAU.
MINISTERE DES TR,A VAUX P,UBLiCS
DES TRlAN S PORTS ET DU TOURISME
Circulaire n ° 160 du 13 novembre 195 1
(Directio n Généra le d es chem ins de fer el
des tra ns por ts. Sen fice du contrôle
teohn ique des
chemins .de fer.
2e Bureau. - Direction d es Ro utes. 2e Bureau).
(No n publiée ail J.O.)
Classe.roont : T .P. 347/ 182.
Le Min istre des T rava,ux Publics,
des Tra ns ports et du Tourisme
à M'M. les Pré.fels.
~ ive rses circ onsta nces telles que l'exécuhon de travaux ou la 'Prévision d ' un encombr~ment de la voie ,pubJique peuvent
n~esslt~r une déviat io n temp ora ire de la
clrcul.at l ol~ d'une voie importante s ur un
chemm ou la circ ul ation est habiuuellement
< de caractère esse ntie ll ement local ».
Or, une ci rcul ai re du 4 arv riliJ 94 1 attribue
ce caractèr.e à une voie empruntée c par
moin s de d·jx véhicules automobile s par jour
en moyenne avec pointe de cinquante vo itu res au plus dans lia ou Jes jo urn ées de
fréquentation ma ximum >. D'autre ,part,
.l' a rrêté du 25 jarrv ier 194 1 so lkmet Iles passa'ges à tOiveau non gardés e xis ta nt su r d e
telles voies à des conditions de séc urité
moi ns rigoureuses que ceHes qu i so nt exigées sur les vo i.es à circu.lation non loca!e.
U.ne modifi catio n de ,la ci rculati o n, qui
cha nge le ca ractère hab ituel d'u ne voie.
pouvant avoir des c011séquences très g r aves
pour la sécurité, j'ai l'honneur de vous prier
d' invite r les auto ri tés loc a les qui se verrai ent dans "'obIÎ'gatiorl> de ,prevoir des déviations de circulatinn, à prendre en temps
uHle aux passages à niveau dont le caractè re se trouverait modifié, les m esures de
sécurité particulières rendues nécessaires par
les circonstances.
POlir le Ministre et par dél éga l ion,
Le Chef de Cabinet
G. SEPl'EMBRE.
------- <» 00 <) -------
Communiqués-Avis
Annonces diverses
Dl )32
P9
OPPOSITION A ACQUISITION NATIONALITE FRANÇAISE PAR MARIAGE
(ART_ 39 DU CODE DE NATIONALITE
FRANÇAISE).
D3 B2
DONS ET LEGS
Avis publié et&. ~~écu ' icn de J'arliole 3 du dl.Vel du 1er févrie r 1896, atmS le l)1It d'inviNr
'-es hériti4rs inconnllS des testateurs à pr~rt!
toulIaissonce du testam ent, en tl l-.e de dOtl~"
leur cons~n tLt1I~1tt 0" d~ produire leurs tnoy~nJ"
fI'oPp osition.
Les r.:clamatiol1U" ne S Otit recevables que aafu
un. délai de trols mois à parilr de l'lIlsertiOfi
au c BI4lfetin ~.
P)3r testament oIQgraphe du 20 février
195 1 déposé aux minutes d e MI ROU SSETROUVIERE, nolaire il Marseille. 20, rue
Paradis, feu Yvonne Jeanne Delphin e MALARET a légué :
10 La villa sise à Marsei~l e, 37., traverse
des Salles-J a unes, à l'Œuvre des Dames
AuxiJiatrices du Purga toire ;
2 0 L'i mmeuble sis à Marsei ll e, 82, ' rue St·
Savournin, excepté Jes 1er, 2e et 3e étages.
à l' Œuv re du. Ca lvai re .
Co nfof1TTlémen t aux d isposit ions du décret
du 1er févr ier 1896, ,les 'héritie rs con nus ou
inco nnus de feu Y.vonne Jean nè DelphiM!
MALA RET, sont in vités à p rend re connaissa nce du testament. donner leur consentement à son exéc ution ou produ ire leurs
moyens d 'opposition dans un délai de trois
mois à dater du jour du prése nt avis.
Par décret en date d u 27 d écembre 1951
- rend u sur avis co nfof1me du Conseil
dlEtat l'acquisition de la natio nalité
française a été refusée à la no mm ée SOMA
Cécilia, née ,le 11-6-1925 à Piève-<ii-Téco
(Ila lie), demeurant il Ma rseille. 74, R"ule
Nationa~e La Croix- Rou.g e, qu i a cont racté
ma ri age , le 30-6-1 95 1, avec notre compatr iote MEDJAD P au l Felnand.
Marseille, le 4 février 1952.
------- <> oo c~ -------
i
l1:
CO j)le cerUDee cODfe rm.,
Pour le Préfet :
lA S,crél",re GI";,.,,, .' LAMASSOURlL
�RÉPUBLIQUE
14 .t 21 Février 1952
DËPARTEMENT DES
10.~et8
FRAN0AISE
..
f
'
BOUCH E.S-DU·RHON E
Recueil des Actes Administr~
et Bulletin des Mairies
-
Toute correspondance
relativ~
au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pages
Palles
AG 6. IConstitution d'association
syndicale libre pour l'inrigation du
quartier de Mmet ~commune d'MIes.Camargue ...... . . . . . . . . . . . . . . . . . .. 39
SC 7. - Relèvement du taux d'es l'acations des
sapeurs-pompiers volon-
taires - Erratum ... . ..... ... . . ....
39
TVX O. - Bord-er.eau des salaires normaux et courants ŒU 'bâtiment et des
travaux publ ics ................. ..
39
TVX O. -
Arrêté préfectoral pour la
protection des lignes té1égraiphiques
et téléphoniques - Elagage des arbres
F'S O. - Ho&pices ,civils d'Arles - Cons-
40
truction d'un nouvel hôpi tal - Expropriation pour cause d'utilité publi-
Que. - Arrêté de cessibilité : sieur
Olivero ..... , .......... . , .. ", . . ..
A 0. - Destruction des animaux nuisibles ............ . ..... . . . . . . . . . ..
A 1. - Election <les dél égués à la
Chambre d' Ag riculture ............ .
40
41
41
Textes d'Intérêt Général
TVX O. -
Co ns tructions scolaires. _
Emprunts des collectivités locales ..
41
FS 7. - CircuJaire ministéri'el1e relative
aux congés annuels des fonction naires et agents des Etablissements hospitaliers puljlics pou r 1952..... ...
lant les Tègles qui doivent être obser42
A>C 2, -- A>purement des o pérations de
nature budgétaire des exercices 1940
à 1946 non imp utées en ternp' utile
aux budgets d'ori gine et des déficits
et manquants constatés pendant les
gestions 1940 à 1946 ............
42
P 8. -
-
43
AC 3. A!pplication du déc ret n'
50-1 33 du 20 Janv ier 1950 fixant les
règles Ide coordi nation applicab les,
en ce qui Concerne ,'assurance vieillesse, aux fonctionnaires civils et militaires tributaires du Code des pensions civ iles et mi litaires de retraite
AC 3, -
AG 7. - Décret n° 52-141 du 8 Février
1952 fixa nl la composition, les dates
d'appel et les obligatio ns d'activité
de la première fraction du contingent
à incorporer en 1952. U' O. 9 Févri er 1952) ......... ......... " ..
44
44
Communiqués, Avis, Annonces dIver. .
PIC 3. - A!pplioation d1u déoret n'
50-133 du 20 Janvi er 1950 fixant les
règ les de coordination applicab les en
ce qui concerne l' assura nce vie!1!esse
aux fonctionnaires ,civils et militaires
tributaires du Code des pensions
civiles et miUtaires de retraite.. ". .
vées en matière de cumul d' une
retraite et d' une fonction publique. .
45
Déchéance de nat ionalité ", .
Emplo is réservés - Avis de vacances ........... ,.. .. ........ . ... .
45
Dema nde d'emploi de secrétaire de
Mairie " . ... ,.,.,.,.,.. . .......
45
Textes d'intérêt communal
44
Cir cu1rure ministérielle :appe-
EN O. - Enquête s ur les besoi ns en
locaux et en matéri el: I O des Ecoles
Nationales ou municipales de musique ; 2" d'es théâtres municipaux,
salles
de
concerts
municipales,
orchestres symphoniques municipaux,
Harm onies mun(ci pales ... . . ,.,....
46
-===========================~--~
_ .====~~========~--====~
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D5 BI
AG 6
CONSTITUTION D'ASSOCIATION SYNDICALE LIBRE POUR L'IRRIGATION
DU QUARTIER DE MILLET (COMMUNE D'ARLES-CAMARGUE) .
:Sux termes d'un acte sous signatures prien date à Arles du 19 décembre 195 1
portan t la mention 4: Enre O'istré à Arle~
~~ct~
Civils), le 27 décembre 195 1, Folio 3 1,
mem ro 166, dont l' un des originaux est de-
v
duré ann exé à la minute d'u n acte de d épôt
M:"ô~~n double minute pa r M' JO UVE et
ID, tous deu x notaires à Arles, le
j?'istr/~nl bre 195 1, portant la mentio n enrebr, 195 1 Arles <actes civils), le 27 décem, Folio 3 1 Numéro 167
L'A
l
,
gatio SS~ciation Syndica le Libre pour l' irriles né u quartier de Millet commu ne d'Ard~ ~I ~é. Constituée par application des lois
Par le Jé,n 1865, 22 décembre 1888, modifiée
le Cret du 21 décembre 1926, ai nsi que
r,èglement d'administration publ ique
22 dé
L'Association a pour but : l'expl oi tatio n
de l a station de pompa ge du Rhàne, sise au
Mas de Millet, commune d'Arles et des Canaux d'arrosage en vue de l'irrigation des
Doma ines l\ \as de J\+tillet, Berger ie de Mi llet,
I\\as d'Az.'égat, seuls membres de l'Associati on.
Le siège de l'Association est fixe à Arl es,
15, ru e du Pont.
L'Assemblée Générale, par app licatio n du
paragraphe 3 de l'ar,ticle 31 du rè ~lement
d'adm in istration publique du 18 decembre
1927 se réserve la solution des questions
e nu~ érées ci-après :
Emprunts' DissolHtion Admission de no uvea ux mem b ~es ; Gestion de l 'Associa ~ion.
Le nomb re des Syndics à élire par 1 Assemblée Gén é rale est fi xé à trois. Ces sy ndi cs nomment à leur tour lin D i recteur,
Pour extrait.
Sig né: J. JOUV E et L. DAVID,
- - - - ( »00«»---
D2 ll3
SC 7
RELEVEMENT DU TAUX DES
VACATIONS DES SAPEURS - POMPIERS
VOLONTAIRES
Erratum
Dans le Recueil des Actes Administ ratifs
nO 6 du 7 févrie r 1952, page 29, lire:
Taux maximum des vacations horaires:
Officie rs ....
Sous-officiers .......
Capo raux et sapeurs..
260 <au lieu de 200)
2\0 <au lieu de 160)
160 (au lieu de 120)
- - - -«> 00<>'- -- -
TVX 0
BORDEREAU DES SALAIRES NORMAUX ET COURANTS DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS_
D6 B3
ARRETE
Le Préfet des Bouches-dI/-RhOne,
Offi cier de la Léfion d'Honneur,
les déc rets du 10 av ril 1937 sur les
�41
40
ARRETE :
Article premier. - Sont considé r és comme
" normau x et courants ,à dater du 4 deambre 1951 , les salai res du Bâtiment et des
Travaux Publics r sultant de (' accord intersyndica l du i décem b re 195 1 :
Y u l',,rr~tê ministériel du 15 jander 193\
sur les Commissions des Bordereaux de sa13ir~s
;
Vu l'a\"is êmis par la Commission des
Bordereau:\. de s a.laires dans les Industries
du Bâtiment et des Tra\"a ux Publics, dans sa
séance du 25 janvier 1952,
Abattements de zo nes
0 %
CATEGOR IES
-
5 %
Gard ien balayeur ..... . .... .. . ........
Man œuvre (1) .............. . . ..... . ....
Ou\'r ier sp <ci a lis é 1er échel o n (2) . . ......
102
106
III
OU\'Tier sp écialisé 2e échelon __ . .. . . . . . . .
OU\Tier sp èci alist! 3e ëchelon . ....... . ...
117
120
Qu\'rier qu alifiê 1er éc helo n ............
Ounier qualifi é 2e échelo n ..... _'" .... .
Ouvrier qual ifié 3e échelo n . .............
Ouvrier hautement q ualifi é _ .. . _ . _ . - , .. ,.
126
135
141
150
96,00
II\O,;U
105,45
111 ,15
114
11 9,70
128,25
133,95
142,50
153
145
Indemnitê de pa nier
-
15 %
10 %
92,50 (3)
95,40
99,90
105,30
108
11 3,40
121,50
126,90
135
88,i 5 (3)
90,10
94,35
99,45
102
107,10
114,75
11 9,85
127,50
138
130
(1) .1.1nœuUt: moins de 3 mois dans la pro fession.
(:?) Manœune plus de 3 lUois dans la pr ofes sion,
(:J) Compte tenu de la réduction d'abatt eme nt de zone de 25 % d ont bénL.fie ic seul le sal aire minimum inter professionnel.
que l les a battements de zo ne affecta nt le
sa laire mi nimum de ga ra nt i sont éte ndus à
l' ensemble des s a la ires du Bâtiment et des
Tr a\faU X Pu bli cs :
Article 2. So nt cons ideres comme
c: norm a ux et co ura nts :. , à dater du 24 d écembre 195 1, les s a laires résultant de l' accord du 21 décemb r~ 1951 , aux termes du -
0 %
CATEGO RIES
Ga rd ie n ba layeur . , , . . . . . . . . . . . . .........
...... . . - . . . . . . . , . . , . .
Manœu\' re
Ou\'ri er sp é ialisé 1er échelon . _., . , _ ... _.
Ouvrier spécialisé 2e éc helo n . , .. , .. , _ ...
Ouvrier spécialisé 3e échelon ........ .. ..
Ou \' rie r qu alifie 1e r éc hel on .. - - ....
DU\'ri er qu alifié 2e échel o n ., ............
Ou vrier qu ali fié 3e échelo n .....
Ouvrier ha utement qua lifie ...... , . , . . . . . .
102
106
III
117
120
126
135
141
150
lOi
11 3
116
122
130
13ll
145
95
99
103
109
III
117
125
13 1
139
91
95
99
104
107
11 2
120
126
134
A,RRETE :
ARTICI.E PREI>\IER. Le Directe", des
P.T.T. à Ma rse ille est autorisé à prendre les
disposiüo ns uti.l es pour assurer le bon fo nctionnem ent des lign es télép honiques dans les
condi tio ns prév ues à "arrété type autorisant
la cons tructi o n d es dive rs es art ères.
- - - - < > 00<> ' - - -
TVX 0
ARRETE PREFECTORAL GENERAL
POUR LA PROTECTION DES LIGNES
TELEGRAPHIQUES
ET TELEPHONIQUES
ART. 2, - Les J>Top riéta ir es riverains sont
mis en dem eur e de co uper et d'éla g uer les
pla nta tio ns qu i présenteraient des 1>ranches
en s ai lli ~ cians les rues SUT les routes et chemins, et sera ient s us:ce pti bles ete toucher aux
f1ls.
ELAGAGE DES ARBRES
Le Préfet des Bouches-du-Rhô ne,
Officier <le la Légion d' Honneur,
Vu I"ordo nnan ce royal e du 4 Aoûtf 1731
Vu le décret du 27 Décembre 1851 ;
Vu la loi du 28 juille! 1885 ;
Vu tes instructions de '\.. le Ministre <tes
Postes ct Télégraplres , en date du 1er Sep-
99
103
11 ,25 %
Vu la lettr e, en da te du 1er F6:vrier 1952
de M. le Directeur des P.T,T. rel1a tive au
mai ntie n en bon état d 'c xpl, oitation des li a nes
télégraphi q ues et tel~honiques,
1:>
Toutes les condi tio ns habitu elles d' application d es s alaires demeurent maintenues,
Artide 3. - M. le Sec retai re Genéral de
la Préfecture est cha rgé de l'e xéc ution du
présent a rrêté.
Fait à Marse ille le 5 février 1952.
Le Préfet :
Ren e PAl RA .
D5 BI
Aba tt emen ts de zo nes
- 7,50 0/0
-3,75 %
1
ART. 3. - DIX jOllrs après la notification
du prése nt arrêté il se-ra, le cas éc héa nt,
procedé d'office par les soins de l'Adm inist" tion des Pos tes ct Télég,raphes et aux
frills des p r opri~tair es a ux élagdges do nt il
~'agi L
AISICLE 4. - Le p résent a rrêté sera inséré
au Recueil d es Actes Administratîfs, et affi-
MM. les Maires, M. (e Co mm andant de
Gendarmerie et de Directeur des PTT
J\\sarseîl1 e-, son t chargés d~ en aSSurer i' e~é ' a
cu~
tion, chacun e n ce qui le Concerne.
Marseille, !e II FéVTier 1952.
Pour le Préfet,
Le Secretaire Centr al déle oué
. ,
LMI,A SSOURE.
-
-------c ' oo < ~------
03082
fSO
HOSPICES CIVILS D'ARLES - CONS.
T R UCTION D ' UN NOUVEL HOPITAL
EXPROPl~IATION
POUR
CAUSË
D'UTILITE PNBLlQUE. - ARRETE
DE CESSIBILITE : SIEUR OUVERO.
Le •Préret
ARRETE
des Bou<lhes-<l,u-Rhône
O fficier de la Légion d 'Honne ur, '
Vu le décret-lo i du 8 Août 1935, r.>latil à
l'exp r op ri atio n pou r cause d'utilité pu blique,
comp léte par le décret d u 30 Octobre 1935,
et nut a mment, les articles 6 1 à 6(, ;
Vu la délibé ration du 12 Août 1949, par
laq uelle le Conseil Municipal de la ville d'Ar.
les a décidé l'a cquisitio n, par voie d'expropriatio n pubH.q ue, des terrains néressaires il
l'édification d' un nou vel hôpital;
Vu l'arrête préfecto r al d u 9 Janvier 1951,
portant déclaration d 'uti li té :pub lique du projet d' acquisition pa r voie d'expropriation
publique des di ts terrains ;
Vu le plan parcellai r e des propriétés donl
la cessio n est nécessaire au x fins susdites,
lequel p lan indique la superfi cie d es ;>rop riét és en cause et les noms des propriétaires
tels qu'i ls sont insc ri ts .à la matrice des
rôles j
Vu le dossier de l' enqu ête pa rcellai re â
laquelle il a Hé procédé en ve rt u des pres'
cr ipti o ns cie J'a r rêté p réiec to ra l du 13
Fév rier 195 1, p ris en exéc uti o n du decretlo i du 8 Aoû t 1935 ;
Vu les pro cès-ve rba ux de l' el1 q u ~te
Vu la décis ion de la Co mmission Arbitrale
d'Eval·uatio n dll t 6 Juin 195 1 et je j ugem~~t
rendu le 4 Ja nvi er 1B52 par le T riblln al Civil
d e Tarascon, sur l' ap pel int erjeté pa.r M.
Olive ro Guiseppe é po ux Audi be rt, ~shm~nl
ins uff isante l'indemnité fi xée par la Commiss io n a rbitra le d'éva luation i
Vu la délibéra tio n du 12 j uill et 195.'. ('3;
~aqlJel1e le Conseil u\-\u ni cipal ICi' Arl es a ~~~n
de po ursuivre la pro céôure d'ex',:ropnaho
e ngagée;
Vu la cklibe ra tion du 18 ja nvier 1952, ~~
laquelle la Commissio n AdmlOistratl ve
t
emen
Hospices Ci vils d 'Arles a cce pte ie jug
d u Trib unal Civil, fi xa nt le nouveau montant de l'indemnité à fr.a ncs : 1.504.476 franCS
et décid e de pours ui vre l' exprop ri ation.
' GI·
SlIr 'la proposition de M. le Secr ét aire
néra l de la Préfecture;
ARRETE :
é l 's cessibles
Article pre11lIer. - Sont d c aree
1 n par·
immédiatement confo rm ément au p a,
ès
cellaire ci-dessus visé, les propriétés cl-apr
.
.
désignées, à savoir :
_~ _ _
que (en veloppe n° 1) fournie pa r l'autorité
préfectorale.
. L ~~ enveloppes su r lesq uelles ne devra
Situation
tels qu'ils
Justifier auc un e mention exté r ie ure se ro nt
des immeu bles
Surface prise
s o nt ins cr it3
tels
W du Pla n
ca~hetées et placées il leur tou r 'par les
à la mat rice qu'ils SO I ~ t
SOlOS Lie la personne habili tée à voter sous
des rôles
une ou plusieu rs envelo ppes (enveloppe n° 2), qui devront po r ter extérieureme nt
1
la ~t és i g na tio n du g ro upement (titre et siècre
ARLES
1057,
OLi
VERO
Guiseppe
épx
1056,
1052,
SOC ial), le nom de la pe rso nn e hab llike a
1 Ha 58a 70 ca
Sectio n Y d u Plan
AUDIBERT Marguerite
1057 bis, 105S,
vote r, ainsi que sa si g nature, de même que
li eu dit
Qua rt ie r de FOURCHON
1058 bis, 1059, 1060.
le nombre des en veJoppes n" J enfermees
Plan ùu Bourg
Mas Li Pastres - ARLES
. et 1061
1
dans chaque enveloppe n° 2.
Le mair e adresse ra s an s d élai il la pré,
f ecture, a p rès les avo ir revêtues d u cac het
rèts! les Ma ire~, le Commanda nt de GendarArticle 2. - MM. le Sec rétai re Gén é ral
d~ la mai r ie, l e~ en velo ppes n" 2 reç ues par
~ erte so nt ~ha: gé~, chacun en ce qui le conde la Prefecture et le Mai re d'Arles so nt
11I1~ accompag necs d'un bo rd ere a u rél'ap itucer ne, de 1 execu h o n du prése nt a rr ~t é .
charges de la notifi cati o n du présent a rrêté,
lat , f.
qui 'sera inséré au Bulletin Admi nis tratif
lv\arseil1e, le 14 février 1952.
Art. 4, Le re ce nsement des vo tes du
des Mairies.
Pour :e Préfet,
d épa rtement s era fait en séa nce publique,
Le Secrétaire Généra.t
Marseille, le 5 fevrie r 1 9~2.
~ ~ ns .I e d éla i de cinq jo urs à date r de
LAMASSOURE..
Pour Ile Préfet:
1 e l ect ~on: Il y sera procédé par une
Le Secrétaire Générat
co mm iSSIO n ~o mpos ée d'un reprl!se ntJ.nt du
------- c:' oo c: ~-----LAMASSOURE.
P,ré fet, . préSident et d e qua tre presidents
06 B I
A 1 d aSSOCiatio ns et s ynd icats a g ricoles du
___
dl: pa r teme nt dési g nés pa r le Préfet.
ELECTION DES DELEGUES A LA
A 0
• Les enveloppes ex ter ieures (e nveloppe
06 BI
CHAMBRE D' AGRICU LTU RE
n" 2) t ra nsmises pa r les mai res se ront
DESTRUCT ION DES ANIMAUX
ouvertes après vé r ificatio n du nombre de
Le Prdd des Bo uches-du-Rhône O ff ici er
NljlSIBLES
voix att rib ue à cha que g r oupem ent. Ch a qu~
,
de la Lég io n d' ho nn eur ;
enveloppe inté rieu re (e nvelo ppe n° 1) conteARRETE
Vu la loi du 3 1 janv ier 1924 relat ive à
na nt un bu ll etin se ra alo rs introd uite d a ns
l' o rga nisa tio n ct au fonction nement d e;)
une urne. Lo rsq ue t outes les en ve lop pes nO 1
Le Pr éf et des BO llc/zes-dll-Rhôlle,
Cha mb res d'Agric ul tur e mod if iée par le
auro nt été ai ns i int rod uites d ans l' urn e et
Officier de fa Légion d'Honneur,
d ec ret-lo i d u 30 oc to br~ 1935.
mé1an,gees. elles seront extraites et nu\'e rtes.
Vu l' ar rèté régleme ntaire pe rma ne nt su r
Vl! le décret d u 3 mars 1929 mod ifié pa r
Les bu ll etins en sero nt retirés et le dépo uilla Police de la Chasse du 6 septem b re 1949
le dec ret du fi a oùt 1Y3G po rt a nt re1rlemt!nt
leme nt a ura lie u co mme à l'u rdinaire. Proet parti culi èrem ent le titre III, cha pit re IV,
d 'adm inist ration p ublique pou r l' ap plicatioll
cès-ve rba l des opérations sera immfdiatearticle 25, rég lementa nt " empoiso nnem ent
d e la loi du 3 ja nvie r 1924 ;
men t d ressé et signé pa r le p résident et les
des anim a ux nuisi bles :
Vu la décisio n préfec tora le du 1e r j uill et
memh rcs de la com miss io n.
Vu la lett re de M: le P resi d ent d e la Fé195 1 relat i\'e à la fo rmat,o n de la liste élecArt. 5. - L' électio n au r·1 lie u à la ma jodé rati on Dépa rtemental e d es Chasseurs des
to ra le des .g roupements et associations
rité relative tles suffrages exprimfs, à la
Bouches- du.Rh ô ne, d ema nua nt l'a uto risa ti o n
appelées à prend re pa rt aux élections à la
conditio n qu' un qua rt au mo ins des aroupour la Fédé rat io n de d étruire les a nimau x
Chamb re ct' Agricu lture des Bo uches-ct upe ments insc ri ts aient pris pa rt au vot~.
nuisibles ;
Rhône ;
Si plusieu rs ca ndidats obtienn ent le même
Vu l' a rrêté préfecto ra l d u 19 d éce mb re
Vu l' av is du , Co ns ervat eur des E a ux et
nomb re d e voix, l'électio n se ra acquise au
195 1 n fa ti f a ux électio ns à la Cha mb re
plus âgé.
Forêts j
d' Agr icul t ure des B o uches-d u~Rh ô n e ;
Ar t. 6. - MM. les Mai res sn nt cha rgés
Sur la propos itio n du Secrétai re Gé nér a l,
d e 1.'~xéc ut i0!1 ? u. p rése nt a rrêté qui sera
ARRETE:
Arrête :
pub li e et a ff ic he Immédi atement dans leurs
Articl e pre mier. _ La Féd ératio n Dépa rArtic le 1er. - L'électio n d es d élég ués ~l
commun es res nectives et ins~ré au Rec uei l
tcmenta lc des Chasseurs des Bouches-dula Chamb re d' Ag-ricu lt ure désig nes 311 scr udes ac tes a dmi nis tra ti fs,
Rhône, 6, ru e des Epina l\:<, à Aix- en.Protin de liste par les Associatio ns ct S yndiP o ur le P n'fet ,
venc~, ~st a uto ri s~e, pend a nt la péri od e du
ca ts inscri ts sur la lis te d éfinitive ar rêtée
Le Sec rétai r e Généra l
~O ftvn er a u 15 avril 1952, à fai re p roced er
au 1er juill et 195 1, nura licu le 2-!- févr ie r
Guy LAMASSOURE.
a la destru ct io n des re na r ds et bl ai rea ux a u 1 1952,
m~ye n d' appâts empoisonnés, da ns les te rArt. 2. - Chaq ue g- roupeme nt inscrit SU"
rams do nt ell e assure la sun'eillan ce et
la liste électo rale en sera info rm é.
cel
a da ns toutes les co mm un es du Dép~rtement.
Art. 3, - Le jour du sc ruti n, le p reside nt
CirCllllnire COTZ('Cmant ftlilS sp,ici llenl/;:nl
de chaq ue gro upement remett ra au mai re de
les Administrations de l'Etal
. Artid e 2, _ Ces destruct io ns seron t o péla commune du siege de ce g roupement,
r~es pa r les Ga rd e-C hasses de la Fédé rada ns les fo r mes prescr ites aux para ~ raphes
0233
TVX 0
tlO,~ ~vec l' asse nt im ent p réalab le des p roci- ap rès, les bulletins de vote d u .!!roupepn ~t al res fe rmiers et métaye rs ct détenteurs
ment. Cctte remise pourra, à défa ut du préCONSTRUCTIO NS SCOLAIRES
du droit de chasse.
si dent, êt re fai te
pa r
un e pe rso nn e
EMPRUN T S D E S COLLEC T IVIT ES
L O C I'ILES
loArtiCle ~, _ La Féd éra tio n de\' ra s e co nspéc ialemen t ha bili tée à cct effet pa r un e
rm er .stn ctement au x o bli gati ons et reco md éc is io n p rise hui t jours a u moi ns avan t
~and aho ns p réCitées pa r l'élft icle 25 du rèl' élect io n pa r r assemb lée gé nérale o u le
J' a i l'honneu r de V('IUS aùresser, ci-join t.
r.ie~ent perm anent, ta nt en ce qui co nce rne
Co nse il d 'Admin istratio n' s péc ialeme nt dési qu elqu es reco mma nùa tions pou r la rca lisaIc~l erv~n tio.n du Maire de la Commu ne que
g né pa r elle. La perso nn e ains i habi litée
ti on des emp r unts. En pa rt iculi e r, \,ou" t rouacc'ctPrCcaUho ns à prendre pour év iter les
dev r a justifier au près du maire de s a qu a",c rez quelques precisio ns sur les dispos i1 en1s aux p
,
lité, pa r un e copi e certifiée co nforme de la
tlOns de la lo i du 24 J' uin 1950 sur la ges·
étant d' al'1'1eurs erso
~ ' bé rati' o n QUI. 1ui a d
'Irs,
t llndes et 'Iau
I x ;:Ullmau x,
c1cll
o nn sé
es pO UVO
tio n des fo nds des Caisses d'EI1:\ r!"'ne.
tout1'0état ~e ca use,
en enl'entière
LI qu e e g arde, en
L
I etlns
'
de.
res po nsabi lité
es bul
de vote seront en nombr e
, Par un e s ituatio n de fait, les p rêts a ux
,ègle Pérahon co nfo rm ément à l'artic le 3 1 du
égal à celui des voix a uquel le g roupement
d eparte ments et co mmun es so nt cons entis .!n
ment.
~
a dro it et ne devro nt co ntenir au cun e indig ra nd e partie pa r les deux (J'rands établisArtkle 4
L
.
,
cation aut re que les nOmS des caflllidats
s~ments de créd it. à savoir: t<le Crédit FonPréfect
. e Secrétaire Géneral de la
pour lesquels vo te le g roupement. C haqu e
cler ~ I! F:ance et la Caisse des Dépôts et
N a m des P roprietai res
_ _ _. . . . . . . .,.".e.,
«~ oo c», ----
HUES D'INTÉftH GfNfB8l
.le_c_o_n_se_r_\'_a_te_'_"_d~e=S:...:E~a~u=x..:.et~F~o•. _=I~H~'I~le~t~in;.;;s;er~a~p~la~c;é.d;a~,~,s~u~n.e~eïnï\'.CÎloïr.pÎeloÎPïi,.-• •cÎo.n.sï' gï'." .t,ons.
�42
l ' ) Caisse des Depots et Consignations.
Votre attention est. a ppel~ sur les di spo• itions de la loi du 24 juin 1950 précitée
U.O, du 29 juin) ; aux te rmes de laquelle
une partie impo rta nte des fonds déposès
da ns les Caisses d'Epa rgne est rêserv~ à
des prt?ts dont les départeme nts et communes, en particulier, pe uve nt H re bénéficiaires ; ces prêts so nt co nsen1ls s ur la seule
proposition des Caisses locales et après
approbatio n pa r la Caisse des Dépôts et
Consigna tions.
Une ci rc~lai re ad ressée pa r cet orga nisme aux T resoriers Pareurs Gélleraux, le 8
décembre 1950 commente les dispositions de
ta loi s usvisée.
Il ne vous échappera pas quï l l' a int';r.;t,
pour tous les projets de t ravaux inf~rieur
à 50 millions, â. inviter les collectivités désireuses de contracter un emprunt à se mettre
en instance cra bo rd auprès des Caisses
d'Epar~ne locales. Dans le cas où leu rs
demandes ne pourraient are satisfaites, vous
l'oudrez bien m'en aviser en me communiquant l'avis du Comité départemental prévu
par la loi du 24 jui n 1950.
Les dites demandes seront a'lors ad ressées
par mes soins, au même tit re que celles qUi
se ra~p o rtent aux projets importants, soit il
la Caisse des Dépôts et Consignatio ns ellemême. soit au Credit Foncier de France.
2°) Crédit Fonder de France.
Les disponibilitès d u Crédit Foncier de
France sont limitées par le \Iolume des
emprunts qu'il est autorisé à lancer dans le
public Chaque année.
Dans la limite du volume de crédits
d'emprunt qui sera affecté en 1952 au.
constructions scolaires et tenant compte
autant que possible des désirs des collecti\;tes qui n'auraient pu avoir satisfactiog
aupres des Caisses d'Epargne mes services
contj~ueront , d'adr~s~, co~me par le
~asse' . des listes penodiques de propositions a cet Etablissement prèteu r.
3·) Autres possibilités d'emprunt.
En raison des disponibilités encore insuifisaotes des deux Caisses prêteuses principales, il y a lieu de rechercher toutes les
méthodes possibles de financement de la
part resen'ée aux communes dans les t ravaux de constructions scolaires. On peut
r,ecommande~ l' utilisation partielle de fonds
hb~es, combinée à des prêts à court terme
émiS par la commune auprès des habitants
ou sollicités auprès d'autres établissement~
prêteurs.
la Commission du Plan d'Equipement
Scolain: s'efforce evidemment de trouver à
ce problème délicat une solution qu'elle
propose ra au Gouvern ement.
...
Je vous se rais obligé de bien vouloir
porter ce qui précède à la connaissance des
collectivités de votre département qui au rpnt
à se préocc upe r a u cou rs de l'ann ée 1952
de finance r leu r partici pat ion prop re dans
une dépense de const ructio n scolai re.
Sig né: HUD E:LEY.
FS7
03 B2
CIRCULAI.RE MINISTERIELLE RELATIVE AUX CONGES ANNUELS DES
FONCTIONNAIRES ET AGENTS DES
ETABLISSEMENT S HOSPITALIERS
PUBLICS POUR 1952.
le "'ti ni stre de la Sa nté P ubliq ue
et de la Pop ulation
à J\>\M. les P réfets (pour exéc ution) ; MAt. les Directe urs
départementa ux de la Santé
(po ur info rma ti on) ; MM. les
Di recteu rs dépa rtementa ux de
la Pop LÙ ation (pou r info rm ation).
Compte tenu de la décisio n prise par le
Conseil des Mi nistres en ce qui co nce rn e
les fonctionnaires et agents de l'Etat j'a i
l 'ho~neur de vo.us fai re co nnait re q~é la
dure~ des conges a nnuels acco rdés aux
fonctionnai res et age nts des Etab lissement':;
h~spitaliers
pu~lics
(hôpitaux, hospices,
hoplt~ux p's~chla.tnques, sanatoriums, etc.)
dOit et re tlxee ainsi qu'il s uit pour l'an née
1952 :
'
Fonctionnaires titulaires.-
Trente
jo urs
consécutifs.
Agents non titulaires.- En fo nctions
depuis plus d'un an : T rente jours consecutifs.
. En fonctio ns depuis moins d' un an : Ur:
Jour ouvrable pa r mois de présence.
Les employés aux iliaires âQ'és
dt: moins
0
de 21 ans à la dpte d u 3 1 ma, 195 1 et
c~~ptant moins d' un an de service béné-
hCler~>nt d'un co ng.é de 2 jours pa r mois de
t ra\'al~ ~ffectué 3\'ant le 1er octob re, s'ils
sont a~e3 de moins ete 18 ans, et d'un jou r
et demi par mojs de travaù effectué avant
le 1er octQb re s'ils sont âgés de plus de
18 ans et de moins de 2 1 ans.
Pa! a~alogie. avec le rég~me prévu par
la 101 du 19 aout 1946, rel ative aux con gts
p3.yés des jeunes travailleu rs du secteur
pTlvé, les intéresses ont droit sur leu r
dema!1 de , au ma ximum de co~gé a cco rd é
aux .Jeunes gens de leu r catégorie soit
30 Jours consécu-tifs, éta nt entendu 'qu 'ils
n ~ percevront auCu n traitement pen da nt la
penode excéda nt Ja du rée légale.
Suivant les besoins du service les co ntrés
pourront être pris en une ou p l ~l sieurs f~is,
Sauf , en ce qui Concerne les auxiliaires el;
fonctions depuis moins d'un an, po ur lesqueJs les jours . ouvrables entrent seuls 2i1
comp!e, la duree de chaque péri ode de
~onge sera calculée du premier au derna:r
J~u,r! sans déd~ction des dimanches et jours
!l:nes, ToutefoIs, en cas de f ra ctionnements
Im posés par les nécessités du sen/ice. la
.!urée du congé devra s'étendre sur 26 jours
ouv rables.
Comme précédemment
les co ngés non
pris ne donneront pas' lieu à indemnit{o
compensatrice,
1 Je v,?us dema n ~e d: in viter les Djrecteu ls
(} Etab,hssement s a veill er to ut parti cul iè rrr:lent a ce que les dépa rts en co n·ré de leu r
pers?n nel s'éc helonn ent su r un; péri ode
a ussI éte nd ue que possi ble a fin d'évite:tou te .perturbation da ns le fo ncti onnement
- - - - < :.00<:.,---c!ts différents services hospitalie rs.
j'ajoute que le samedi 16 ao ût sera
chômé dans to ute la mesu re où les nécessités
• _ _ _ _ _ _ _ __ _ __ _ _ __ _ _ _ _Lgd]L
u service le permett ront.
-
Vous vo udrez bien porter ces i 15
.
à, la , ,co nna issa nce des Administr~ti truChons.
pltalteres d e votre resso rt en les o~s hQs•
se co nfo rme r strictement a ux p /n ~n ~ ·d~
sus-indi q uées.
r SCrtpttons
-
seraient adressées par les Comptables supérieurs du Trésor.
Pour le Vice-PrésideD't du Con~eil
Mini stre des Finances et des Affa ires
Eoonomiques, et par délégation
Le Directeur de la Comptabilité publique
G. DEVAUX.
Po ur le Mini stre
et pa r délégation
l e Chef de Cabi n;t
J. M. GA LLE. '
____ <->00<>___
- --<"00<" _ _ _
O? BI
APUREMENT
AC 2
DES OPERATIONS DE
NATliRE BUDGETAIRE DES
• EXERCI
02 B l A C 3
APPLICATION DU DECRET N ' 50- 133
VIE
9 0 FIXANT L S
DU 20 JAN
R 1 5
E
REGLES DE COORDINATION APPLICABLES EN CE "UI CaNCERNE
, . .VIEILLESSE
.
ASSURANCE
AUX
L'
,
FONCTIONNAIRES CIVILS ET MILI-
CE S 1940 A 1946 NON
•
EN T EMP
IMPUTEES
S UTlLE AUX BUDGETS
D , O R IGINE, ET DES DEFICIT S ET
MANQUAN'CS
CO
NST ATES PEN
D ANT LE S GESTIONS 1940 A 19'".'
'''l'V
Références. _ Mes lettres n' 4498 F Ll e
1962, 573 1 F Ll e 1999, 2800 FLl e 2158
".877 F l/~ 2239, 1343 FLI C 2362 et 44S'Î
FLl e 24.1 1 des 22 juillet 1949, 1"5 septem·.
bre .H)~9, 24 avril 1!J50, 4 septembre 1950
19 fevcle r 195 1 et 9 jui n 1951.
Un article, du p rojet de la loi de Finances
p~ur l'exerCice 1952 prévoit que la date de
~l ot~lre. du compte spécial d'apurement
Insti t ue par les articles 21 à 23 de la loi
n". 43-1 862 du 9 déce mbre 1948, fixée pri,
mlt~vement a la date d'arrêté défi nitif des
éc n t,ures de la gestion 1948 et repo rtée suc.
cesslvement pa r les articles 32 de la loi
n!> 49- 1040 du 1er août 1949, 21 de la loi
n° 50-928 d u 8 août 1950 et 62 de la loi
n0 5 1-598 du 24 mai 195 i , est reportée a'
la date d'a rrêté définitif des écritu res de la
gestio n 1952,
Toutefois, aucu ne imputat,·on a u comp""
"
spécial d'apu rement n'est possible, ta nt que
la
t . Joi de finances conten(lnt cette disposlIon ne sera pas votée et promulgée,
Afin de ne pas a rrêter les trava ux d'apurement en cours, j'ai décidé, par analogie
aveo les dispositions prises en 1950 et en
195
. 1 à l'occasio n des précédentes proroga·
t,ons et qui ava ient été portées à la con'
naissance des différentes Administrations
par les lett res de mo n Dépa rtement nO2800
F LI C 2)58 du 24 avri l 1950 et 1343 F Lie
2362 du 19 fév ri er 1951 d'ouvri r dans I~
écritures d u T réso r un c~mpte d'atte nte Qui
portera le n" 43- 13 de la gestion 1952 el
l'intituler; « Compte d 'i mputation provisoi re
d'opé ratio ns anciennes de recettes et de
dépenses ».
A ce compte seront imputées provisoirement les dépen~es et les recettes qui, si le~
dispositions prév ues ci-dessus avaient éte
votées e n temps utile, auraient été portées
au comNe
v' spécia l d'apurement nO 4J..07de:
1: Apurement
d'opérations anciennes.
recettes et de dépenses ", dans les condlmes
tions fixées par la lett re de l' un' dde "
prédtc esseurs n" 4..J.98 FLle 196_ U - "
. . 11
In'9
j Uti et
.,.....
'.
L' im putat,.on nrovisoi re des opératIOn:;
~
, pas
'apur eme nt a li -compte n O 43-1 3 n a . ts
d
pour effet de mod ifie r su r les autr,es P?J~u.
l e~ disposi ti ons pr~v lles p~r ladi te C:~ep.
ta ire ; en part iculier les b tres de
tou~
t ion et les ti t res de paieme nt d evro~ 43-01
jo urs po rter référence au compte n
précité.
. sitio ns
Vous vo ud rez bien po rter ces diSPO teurs
à la co nn aissance des ser vl ce~ o.rdo ~n: don~
de vos Départements, en les , n ~ltan possible
ner suite da ns le pluS bref d al ui leur
a ux d2ma ndes d'o rdonn a nCe!!m~e,!!n!..
t ~q,::,:,,;;,,,,,,
P:
TAIRES TRIBUTAIRES DU' CODE
DES P E NSIONS CIVILES ET MlLITAIRES DE RETRAITE .
Le Vice-Préside nt du Co nseil
Min istre des Fi na nces et des Affa ires
Economiques
a MM. les Ministres et Secrétai res
d'Etat.
Les dispositio ns d u décret n" 50- 133 so nt
comm entees pa r la circulaIre du Minist re du
Trava il et de la Sécurité Socia le nO 2 11 SS
du 27 décem br.e 1950 (J ,O, du 13 ja nvier
195 1). To utefo is, il es t appa ru nécessaire.
de préciser s ur certains points les co nd itions da ns lesq uelles doive nt être effect uées
·f
.
.
1es ve rsemen ts r ét roac t 1 s a ux caisses pnmai res de Sécurité sociale a u profit des exfonctionnai res civils et mili tai res de l'Et at
trib t .
d
..
., 1 d
t·t
u aest
ires l'obJ
u ·et
reglme
genera
es
re rai
l
de
la
pré
e
te
lettes,e
Te
s n
r
commune.
b) Règles
particulières applicables au..
d e l'Etat qui ont quitté
1 A dmlmstratlOn après le 28 janvier
1950.
rem bo urse ment des retenues a été ou non
sollicité.
~gents
. l ' ) Les.. dispositions du déc ret du 20 ja n-
yle~ 1950 s'a ppliquent obli ga toirement a ux
I~te resses sous les réserves indiq uées à l' ar-
lIe1e 3 1 de la ci11Cul ai re d'u 27 déoembre
19<n 1
JV.
l a ppa rtient don c aux Administrati ons
d'ori gine de s'assurer que leu.. a"en ~s
venant à quitter le service ne devie~nent
pas t.ributaires de ~un des rég,·nl es de
retraites énumérés pa r led,·t art,·cle et d"...
joindre a u< doss ier tra nsmis au Mi nistère d es
Fina nces Directi on de la Dette P ublique - Serv,·ce de la Dette V,· a"ère
2me
t>
Burea u, une décla ratio n des intéressé~ à ce
sUJ·eI.
La sit uat ion des age nts qui ne devie nàraient tributaires de ces régi mes de retr ai tes qu'ap rès qu'a uro nt été effect ués les verseme nts retr.oacJüs se ra rég ul a ri sée suivant
la proced ure prévue à l'éga rd des age nts
ass ujettîs au régime général des ass ura nces
sociales ava nt de devenir tri butaires du
régime général des retrattes (a rticle 4 du
décret du 20 ja nvier 1950). Il en sera de
même da ns l'hypot hèse d' un e réi ntég ration
dans un empl oi de l' Etat.
2°) Les périodes de se rvices effect uées
hors d u te rritoire métropoli tai n ne doivent
pas. être prises en co nsidératio n pour l'a pplicaho n des règles de coordination instit uées
par le décre t du 20 janvier.1950.
En conseq
' uence, a ucu n versement ne doit
être fait à la' Sécur ité sociale po ur les
fo nctionnai res civi ls ou militai res qui ont
servi unitluement en deho rs d u te rritoire
nl e.t ropol,."ta,. n.
POUî ceux qui ont servi successivement
ou a lternath"ement dans la mét ropole et
hors de il metropole, seules les périodes correspondant à des services rendus dans la
métropole doivent donner lieu au versement
prévu à l'article 2 du déc ret qui sera effectué
a lors au profit de la Caisse primai re de
Sécurité sociale du dernier lieu dè t ravail
da ns la mé~rol'ol"
T ourefois, les services effectués hors d~
la métropole seront pris en compte lorsq ue
leu r durée se ra inferieu re à six mois,
Ne sero nt pas non plus prises en considérat ion les pé riodes de trave rsées marititim es enrre la métropole et un te rritoire
d1outre-mer sallf dans "hypothèse où il ne
se rait pas possible de déte rminer la date à
l aquell~ ont pris fin ou ont débuté les services dans la métropole.
3") Les caporaux, brigadiers, quartiersmaîtres de 2me classe, soldats et matel ots
servant par contrat au delà de la duréE"
lérrale du service, qui perçoivent une solde
b
spéciale progressive non soumise à retenues
nou r pension, ne peuvent prétendre à aucun
t"
rembourseme nt de retenues s' ils viennent à
quitter l'a rmée sans avoi r droit à pension
ou à solde de réfo rme, Les intéressés bénéficien t cependant des dispositio ns du décret
du 20 janvier 1950, le T'résor devant en
r espèce s up'po rte r la cha rge de la douhlè
cotisation de l'e mployeu r et de l'employé.
.
2") l 'état visé à l'a rticle 37 de la circulai re du 27 décembre 1950 devra être strlCtement co nforme a u mode le ci-a nnexé.
S'il est procédé en même temps a u remboursemen t des retenues et au ve rsement
rétroactif, cet état sera produi t en trois
exempla ires,
Si le rem bourseme nt rétroactif est effectué
isolément soit que le rembo ursement des
t
'
re enu es a.it dejà été effect ué, soit que ce
rembou rsement n'ait pas été soll icité, l'éta t
se ra prOd uit en deux exe mpla ires.
Si le rembo ursement des retenues intervient ap rès que le ve rsement rét roactif a été
é J" . l'ét t
d· é
r a ,se,exemplai
a res.
sera pro Uij ga iement en
deux
Dans chaque hypothèse, l'état comport era les indications et les calculs nécessaires à la réalisation de Ja ou des opé rations
enVisagées et le dossier t ransmis à mes
Services devra compre ndre en outre un état
des services acco mplis, un extrait de l'acte
de naissance du fonctionnai re ou militain:
un e copie certifiée co nforme de la d~cisiu~
de radiatio n des cad res et, s'il y a lieu, la
dema nde de rembou rsement de retenues.
Les exemplaires de l'état se ront revêtus
de la mention habituelle relative à IJe..'<:istence
éve ntuelle d' un débet et devro nt êtl'1e commun iqués à l'agent intéressé po ur acco rd et
visa,
3°) Si le fo nctionnai re ou le mi litaire a
soll,·c,·té le rembou rseme t de
-ete e
n
s '. ' nu St
l'Administration d'ori gi ne dev ra, en vertu
de l'article SB du Code des pensions de
retra,·te de·du,· re du mo ta t des ete es ·
'
n de
n la contt,·but,
r nu ·ol'a
rembo urser
le mo nta nt
incombant à l'ancien fonctio nnai re ai nsi
d'ailleurs qu'i l était de règle sous l'empi re
du décret du 20 décembre 1931. Il en se ra
de même si le ve rsement rétroactif a dé)·a
été effectué fors du dépOt de la demande
de remboursement de retenues,
4°) Dans l'h ypo thèse où le fonctionna~re
' , re a obtenu le remboursement
ou le militai
des retenues a"ant la publication de la circulai,re d u 27 décembre 1950, soit avant le
13 janvier 195 1, le versement rétroactitf sera
limité à la contribution de j'employeur
(artiole 53 de la ci rculaire du 27 décembre 1950).
Les états faisa nt ressortir le mode de
cal cul et le montant de cett~ contrib ution.
dont l'un est destiné à êt re transmis à la
Caisse primaire de Sécurité sociale, seront
dans ce cas revêtus d'une mention indiquant
qu'il appartient à celle-ci de réclamer à
l'intéressé le montant de la fraction du versement rét roactif qui lui incombe. Cette
mention J.. sera libellée ai nsi : c L'intéressé
a yant dt:!jà obtenu le remboursement des
retenues pour pensron de\'fa s'acq uitter
di-rectement de la contribution de l'employé
et le p rése nt versement est limité il la co nt ribution de l'employe ur ».
Sv) La situation des agents exclus défi nÎtivement des cadres pour l' un des faits visés
à l'article S3 du Code des pensions de
retraite et qui sont dêchus de leurs droits
à pe nsion et au remboursement des retenues ai nsi que celle des agents ayant à leur
cha rge les débets visés à l'a rticl e 79 du
même Code d'u n monta nt sup éri eur à celui
des retenues suscepti bles d'être rembour-
a) Imputation budgétaire des versements,
Sous le . .
té .
dé t d 2"
reglme
·anv,·er 1 9~
t 1 an " 1n eur. au
It ·t cdre déu \'t
J
JV
cre
du '0 décemb
ree 193qu
1 1 le resu
Se ·ca l d u1 Dett
, r v, e e a
e
Viagère n'i nter venait da ns les opé ratio ns de
coo rd,· nat,·on que po ur assure r 1e verse men t
au x organismes de séc un té sociale de la
part des cotisations affectées à l'ass urance
v ieill~se inco mbant à j'empl o}ré, part qui
venait en déd uctio n des reten u.e s à rembou r!1er en ve rtu de l'art ide 17 de la loi du
14 av ril 1924 et de l'a r tic le 55 de la loi du
20 septem bre 1948. La con tr ibution de
l '~mpl~yeur éta it versée Râr l'admi nist rati on
d onglne sur les crédits de son budget,
En ve rtu de l' artiole 2, pa r, 11 du déc ret
du 20 janvier Ig50, le ve rsement 'de la douàble1 co htisatio n (emp lolleu r et emplol'é) est
l" a c arge du régime de retraites auq uel
1es
Intéressé.
f t était aIfil ié. En ce qui concerne
dOit' done lonn ai res de l' Etat, ce verseme nt
D
on.c êt re imp uté s ur les crédits de la
e.tte Vlaaè e ( h ·t
760 d b d t d
J'
. /:'l r c ap i re
LI
II ge
e
exercice 195 1) ,
Toutefo·
t
, I S , cet e nOllvell e procédure n'est
apPltoable, de même que les modali tés de
~~Ii~~ d~ cO,ti~atio ~s, qu'a ux agents q ui ont
1950 e 1 A,dmlOl strati on après.' le 28 janviet"
27 dé (art,cles 52 et 53 de la ci rcul a ire d u
qUiltéCo:nbre. 1..950) . . Po ur los agents qui ont
1950 I! Ad!"lmstra tton ava nt le 29 ja nvier
.us ct antienne procédure rappelée ci-desc) Modalités pratiques d'application.
la co:tm.eur~ applicaole et le versemen t de
)0) Le versement rétroactif- doit être
tire elf' bfh on de l'employeur co nt inuera à
elfcct ut\ d'office dans un délai d' un an sa ns
Sur ses ec ué par l'Admin i s~ratio n â"'o rigi ne
donc qu'il y ait lie u d'ex iger une dema nde
_~~p~ro~p?.!r~e~s~crédits.
_ _ _ _ __ !.2s~é~
ci~al!le:...!ld~eJI!:J'i.!ln.!lté~r~e~ss:lé~nll.i.ld~ei.jlreiici.lhl:ieirlrcijh::ejr.jsili.l~e~.ilIii.lii,oiJIèis.iltiéd~iliiI~dIi.Ilï.liiilt~ri~b~u~ti~O~,,~d~"i._. . . . .
...
ÎÏiiÎ
�"
le mOlltant des retenues à rembourser,
déduction faite de la contribution de l'employé, est inférieur à celui dont le fonctionnai re est redevable, le versement rétro~
actif susvisé doit néanmoins êt re effectu é
intégralement, Je recouv rement du reliquat
du débet éta nt po ursuivi par les voies de
d roit habit uelles. Aussi bien, la mention
relative ft j'existence d'un débet ne devra-t~
elle pas figurer sur celui des deux ou trois
exemplaires de l'état annexé à la lettre
commune s usvis0e joints aux propositions
dont vous serez a mené à saisi r mes Services
qui est desti né à être tra ns mis à la Caisse
pr imai i e de Sécurité sociale compétente.
Je précise, en out re, qu e dans la mes ure
où un fonctionnaire bénéf iciai re d u décret
du 20 janvier 1950 a obte nu le rem bo urse·
ment des rete nu es pou r pensio n a près la
publication de la circ ulai re du 27 décembre 1950, soit après le 13 janvier 195 1,
hypothèse qui doit "tre à la vé rité exceptionneJle, le versement rét roac tif doit comprendre tant la contrib ution de l'emplo yé
que la co ntri bution de l' employeur, les dispositions de l'article 53 de la circulaire du
27 décembre 1950 n'étant pas app licab1es à
l'espèce. Bien entendu, mes Se rvices in viteront corrélati\'ement l'i ntéressé à reve rser
::lU Tréso r la part des retenues qui lui o nt
été remboursées co rrespondant au montant
de la contributio n de l'employé.
Pour le Vice-P résident du Consei l,
N\inistre des Finances et des Af faires
Economiques, et par dé légatio n
Le Di recteur de la Dette Publiq ue :
BILLARD.
remployé font l' objet d'une étu~,: particulière dont les result ats seront ulterieurement
portés il \'otre connaissance.
Pour le Vice-Preside nt du Conseil,
Ministre des Finances et des Affaires
Economiques, et par dél égatio n
Le Directeur de la Detle Pu blique
BILLARD.
_ _ _ c" ooc~'----
02 BI
AC 3
APPLICATION DU DECRET N' 50-133
DU 20 JAN 1ER 1950 FIXANT LES
REGLES DE CO ORDLNATION APPLICABLES
EN CE QUI CONCERNE
L'ASS URANCE
VIEILLESSE,
AUX
FONCTIONNAIRES CIVILS ET MILITAIRES TRIBUTAIRES DU CO DE
DES PENSIONS CIVILES ET MILITAIRES DE RETRAITE.
Le Vice-Président du Conseil
"\\imstre des Finances et des Aflfai res
Economiq ues
à M,\\. les Minist res et Secrétaires
d'Etat.
Dans la lettre commune n' 875 DP /92 DV
du 3 decemt>re 195 1 relative à l'applicatio n
ùu decret susvise, je vous a\'ais indiqué que
les solutions applicables aux: agents exclus
définith'ement des cadres pour l'un des faits
\-1si:s il l' article 83 du Code des pensions de
retraite et qui sont déchus de leurs droits à
pensio~ et au remboursement des rete nues
3insi lIu'aux agents ayant à leur charge les
débets visés à l'article ï 9 du même Code
d'un montant supérieur à celui des retenues
susceptibles
d'être
remboursées
aprè.s
déduction de la contribution de l'emplo,e,
\'ous se rai ent commu niquées ultérieu remen t.
Conformément aux conclusions d'un av is
du Conseil d'Etat n' 255.0~ du 20 no\'e1" bre 195 1, il convient, dans les hypothèses
considérées, d'applique r les règles suÎ\·an·
tes :
10) Agents déchus de leufS droits à per.-
- - -<>oo c>,- - - 1.)2 B3
CIRCULAIRE MINISTERIELLE RAPPE LANT LES REGLES QUI DOIVENT
ETRE OBSERVEES EN MATIERE DE
CUMUL D'UNE RETRAITE ET D 'U NE
FONCTIO N PUBLIQUE.
sion et au remboursement des retenues. Nonobstant les dispositions des articles 83
et 88 du Code des pensions de retraite, les
intéressés conservent le bénéfice des dispositions du décret du 20 janvie r 1950. Dè.
lors, qu'ils aien t ou non réuni à la date à
laquelle ils ont quitté le se rvice les conditions d'âge et d'ancienneté nécessai res pour
avoir droit à pensio n, ils doivent être repl:lcés dans la s!tuation où ils se seraient tr(l!..l\-'és s'ils avaient relevé du régime 'gé nér~1
des assurances sociales pendant toute la
durée de leurs services postérieurs au :10
juin 1930. En conséquence, le versement de
la double cotisation prévu à l' article 2,
para~. Il, du déc ret précité doit être effec~lIé
il le ur profit à ta condition bien ent~II~1j
qu'ils aient été exclus définitivement jcs
cad res apres le 28 janvier 1950.
2') Al!ents redel'ables de débets d'un mon-
tant supérieur à celui des retenues suscepti.
bles d'être remboursées après déduction de
la conlribution de J' employé. - L'a rticle se
du Code des pensio ns de ret rai te ne prévoyant la co mpe nsatio n de ces débet~
Clu'a vec le mo nta nt des rete nu es à rembo urser à l'a ncie n fonctio nn ai re et non avec les
versements à opérer aux organismes de
Sécurité sociale, ce texte ne peu t être in voqué pou r diminuer le mon tant du versement
, étroactif à effec tu er
des caisse.,
AC 3
!
J'ai l' honn eu r tle porfe r ci·dessous à la
co nn aissance de MM. les Mai res du département le texte de la ci rcuiai re n' 42 AD/ 3
du 3 1.1.1 952 par laquelle M. le Ministre de
l'Intériel1r rappe lle les règles qui doivent
Lotre observées en matiè re de cumul d'u ne
retraite et d'une rénumératio n publique.
Le '\' inistre de l'Intérieur
à h\M. les Préfets de la Métropole
Objel : Application de I:'article 3 de
l'ordonnance du 25 août 1944 sur le cumul
d'une ret raite et d'une fonction publique.
Références : Ma ci rcul aire n' 334 AD/3
du 8 août 195 1.
La circulaire citee en réfé rence vo us a
précisê les conditions de fixation du traitement indiciaire des secrétai res de mfliric
dans les com munes de moins de 2.000 hab i·
tants et VOLIS a i ndiq ué c in fine ::t que les
retraités civils ou mil itai res en appli cation
de l'article 15 du déc ret du 2Q octobre 1936
c ne pourro nt êt re rému nérés pa r les collectivités et se rvices pu blics qu'à l'o ccas ion de
travaux prése ntan t soit un ca ractère temporaire ou intermitten t, soit une activité et des
émolum e nts rest reinls . . Il était ajouté
qu ' un retraHé ne saurait donc recevoir le
traitement s usceptible, dans la même commune, d'être accordé à un secréta ire de
mairie professionnel à temps plein.
- -
Je, vous signale il ce sujet ue' .
Je 1 ordonnance du 25 août 1 ~44 l arlr<l, 3
les collectivités à faire appel au a autoriSé
de .retraltés pour remplir des conc?urs
publiques, mltme en dehors âes
fon~hons
l'article 16 du décret du 29 octob~: ~lSés l
I~ Y a donc heu, po ur le mOme
936.
tenir aux dispositio ns de l'ora o nt, de s'en
citée.
nna nce pré.
P o ur le Ministre et Pil r délé atlOn
.
Le. Directeur du Cabi lle1
,
Si g né : j . VERDIER.
----«:)00 4'.),- - _
05 B2
AG 7
DECRET N' 52-141 DU 8 FEVRIER 1952
FIXANT LA COMPOSITI ON
LE S
DATES D ' APPEL ET L ES OBLIGA
TIONS D'ACTI VITE DE LA PRE'
MŒRE FRACTION DU CONTINGENT
A INCORPORER EN 1952.
Le Président (lU Conseil des Ministre.;,
.Sm ~ e. rappo rt d u Vice-P resident du Con.
sell, min ist re de la Défense Nationa le
Vu la loi du 31 mars 1928, rel ative ~u rc.
cru tc ment de l'arm ee .
Vu la loi n" 50- 147S' du 30 novemb re 19:>!
p~ r.ta~t a c.1I~-llllJt mois la durêe du se rvice
mdl.t~lrc actif ct modifiant certaines dispOSitIOns de la Iloi du 31 mars 1928 relative
ou recru teme nt de l'ar mée .
Vu la lo i n' 5 1-11 20 d u 2 1' septemb re 1951
complétant l' artic le 7 de la loi n' 5O-1i78
du 30 novembre 1950 portant à dix-huit mois
la durée du service militaire actif .
Vu le décret n" 5 1-87 du 23 jam1ie'r 1951
fixant la composition, la date d'appel et les
o bligations d'activité de la première fraction du contin ~e nt â incorporer en 195 1 modifié par les décrets n° 51 -292 du 3 'mars
1951 et 11" 5 1-417 du 13 anil 195 1 ;
Vu le ùécret n" 5 1-984 du 30 juillet 1951
fixant la compositio n, la date d'appel et les
ob li gatio ns d'activite de la deuxitme frac·
li o n du conti ngent à in corpo rer en 195 1, modifié par le déc ret n' 5 1-1 159 dll 8 octobre
195 1,
DECRETE:
j
Artide premier. - Sous rése rve des dis·
positions de J'art icle 3 du présent décret, la
premii:re f raction du contingent à incorporer
en 1952 comprendra :
Les jcunes gens nés entre le 1er septemhre 193 1 et le 31 ;allvier 1932, ces dates
inol uses, qu i ont été reco nnuS aptes au ser\'ice militaire par les Conseils de rcvislO n ;
Les omis des classes précédentes r~co nn~s
aptes au service militaire par les Conseils
de revisio ll ;
Les su rsitai res des classes précédentes qui
au ront renoncé â leur s ursis, ou dont le ~ur
sis aura été annulé ou sera arrivé à expI ration ;
Les jeun es ge ns des classes 1950 et 1951,
nés ent re le 15 octobre 1930 et le 15 aVfll
193 1, q ui, co nfiés par décision d.e jusÎ1c~
j usqu'à leu r majorité à des étab\Jssemen~~
L1'édu ça tic n sutvei lilée, n'ont pas été appelt'S
en 1950 ou 195 1 ;
Les hom mes deve nus França is pa r voi~ de
l1
naturalisation réintégratio n o u déclaratlO ,
re censes avec.' la classe 1952 et reco nn!IS
aptes a u service militaire par les Co nse.l!'
de rev is io n ;
Les min eurs de fond de l' industrie ch~r
bonnière, appartenant a u cJcuxième contlO~
t d< la classe 195 1, qui n' o nt l'as étl
~c~rporês avec cc co ntin gent en applicatio J~
~~~ decret n' 5 1-11 69 ùu 8 octobre 195 1 ;
Les mineurs de (o nd I.l és. antér~curcmenl
1er d ~cell1b re 1930, qUI, dispenses t\! ITIPO:lU'remc nt de le Llrs obli ga ti o ns d'acti vité ell
",pplicalio n des d 'ISpOSI't'Io ns cl e 1a l 0 1' n"
~!).. I S8 du 14 fé~ ri er 1946, ~e : éun isse nt pJus
les co nd itions fIXées pa r . 1 artic le 30 c1u J é'rel n' 46-1433 tlu 14 jlun 1946 po ur conti~lI er :.\ bénéficier de la dispe nse cie se rvice
~ui leur a été précédemm ent a cco rd ée.
Art. 2. - Les homm es entrant da ns la
compositio n de la premiè re fra ction du COn~
lingent il. in co rporer en 1952 sc ro nt appclés
sous le:.; d ran caux :
1" Armée de terre
en une seule fois, i!
partir du 16 a v,.i~ 1952
20 Armée de mer : en tro is fo is, à pa rtir
des 1er mars 1952, 2 mai 1952 et 1er juillei 1952 ;
3~ Armée de l'air ,' e n deux fois, à pa rtir
des 15 avri l 1952 et 15 juillet 1952.
.
La durée du. service act if co mpte ra à p a r~
tir des dates CI-dessus pour cette fraction du
contingent.
Arf. 3. -
Sont dispensés de leurs oblifYations de service a ctif:
.::.
Les jeunes ge ns do nt deux frt res sont
, morts pour la Fra nce» ;
Les sursitaires, les o mis et les réfo rm es
temporaires nés avant le 1er décembre 1930
qui se trouvaient, avant le 1er n ovemb r~
t950, dans l'u ne des situatio ns énum érées a u
tableau 1 a nne xé au décret nO 51-S7 du 23
j'llI'ier 195 1, modifi é par le dec ret n' 5 1-4 17
du 13 avril 195 1.
r'1rlll1l1 er la demande (lllant te 15 mars 1952
au x Direct io ns régï'onrues du Recrutement
e1 de la Statistique (o u burea ux de re cruteTf!ent) ~on~ . ils . relève nt, en y joignant les
pièces Ju stificat Ives énumérées au tab lea u 11 1
annext! au décret n" 5 1·87 du 23 janvieT
195 1.
Après la da te c i~dessus les dema ndes des
intére ssés ne pourront plt;s sau f cas de for·
ce majeu re ~tre prises en 'co nsidé ration.
j
T o utefois, les si tuatio ns no uve ll es créées
postérieurement a u 14 mars 1952 en faveur
des jeunes ge ns do nt deux fre res son t
<: mo rts pour la Fra nce :. continueront à entr,ai ner la dispense du se rvice des inté resses ou éventuell ement le ur li bé ra ti o n s'ils
o nt déjà cté incorpo rés.
Art. 9. - Les orph e'i ns, les chefs et les
soutiens de famt/le. dési reux d'~t r e affectés
â une un ité proche de leur domicile devront
en formule r la demande, allant le Î5 mars
1~52, a ux autorités désig nées il l'a rt icle 8
CI-dessus, t'n y joignant les pièces justifica~
tives énum érées au tab leau III a nn exé au dé·
cret n' 5 1-87 du 23 janvie r 195 1.
Les situatio ns no uvell es créées postérieureme nt au 14 mars 1952 ne pou rront entrai ~
ner un rapprochement près du domicile que
dans le cadre de l'a rmée, de l' a me o u du
se r vice d'affectation.
Art. 10. Les dispositions des articles
3, 4 et 5 du present déc ret ne sont pas applicables aux insoumis, quelle q ue soit la décision judiciaire int er venue à leu r égard.
Arf. 1 t. Les jeunes ge ns qui auront
béneficié d' une dispense ou d'une réd uctio n
de service, en application des articles 3, -l
et 5 du prése nt décret seront versés dans
la disponibi lité à la date à laquelle ils au. Arl. 4. - LeS sursitaires, les omis et les
raient été incorpor(s s'ils n'a \'a ient pas été
reform es tempo raires nés avant le 1cr d é~
dispensés de se rvice o u à celle du renvoi
da ns I!eu rs foye rs, s'ils ont bénéficié d'une
eembre 1930 qui se trouvaient, a\'a nt le 1er
rédllction de service. Ils y seront maintenus
~ovembre 1950, dans l'une des sit uatio ns
enumérées au tablea u Il annexé au déc ret , jusqu'à la date du pass2.cie de leur classe
n ~ 51-87 du 23 janvier 1951 , modifié par le
d'âge ùans la première r~serve, sauf appli d,cret n" 5 1-4 17 d u 13 av r il 195 1, n' acco mcation des artic les 16, 21 et 23 de la loi du
pliront. que ?ouze mois, dix mois, SIX mo ig
3 1 mars 1928.
Ou troIS mOIs de service actif o u bénéfic ie·
Art. 12. - Le prése nt décret sera soumis
ront ~'une réduction de ser vice co rrespon·
à la ratification du Parlemen t, confo rmément
dant . ~ leu rs se r vices antéri e urs dans les
aux dispositions de l' a rticle ï de la loi n"
CO~dltlOns fi xées élU dit ta blea u.
50-1478 du 30 novembre 1950.
. Art. 5. - Les sursi taires, les omis et les
Arl. 13. - Le Vice-Président du Conseil,
rdo rm é~ tempo raires a ut res que ceux visés
minist re de la Défe nse Nationale, est cha rgé
au~ articles. 3 et 4 ci-dessus n'accomp lironl
de l'exécution du présent déc ret, qui se ra
qu lIne annce de service a ctif s'ils sont nés
publié au JOl/mal Officiel de la République
ava nt I ~ 1er novembre 1929.
Française .
. ~rt . 6. ~ ~es jeunes gens co nfiés pa r de·
Fait l Pa ris, le 8 février 1952.
elsl.on de Jusfl ce à des établissements d' édu~atlOn surveillée bé néfic iero nt, su r la demallEd ga r FAURE.
/ du Gardc des Sceaux, mini st re de lia JusIC~, ~'u n su rsis d' in corpo ration
si leur
Pa r le Président du Conseil des Mil11stres~
mainti en. dal
' .Ju~qu'à
le
~ ~ s ces ét a b'
Ilssements
Le Vice-Président dit COflseil,
ur maJon te est estimé nécessaire.
Min is tre de fa Défcnse National e:
Communiqués-Avis
Annonces diverses
P 8
DI B2
DECHEANCE DE NATIONALITE
Par décret en date d u 25 décembre 1951
O. du 29-12-51), est déchu de la nation ~li té française le nomm é : POGORELSKY Léonide, né le 15-1-1 9 14, à Odessa (Russie), qu i était devenu français par decret en
date du 4 mai 1933.
U.
Le susnommé demeure à Marseille, l , rue
Louis-Rège (le Rouet).
---c>ooc::.'- -- -
02 113
EMPLOIS
AVIS DE
RESERVES
VACANCES
Un poste d'appariteur est actuellement vacant à la Mairie de Port~dt!-Bouc.
Le traitement de debut est fi x~ ann uellement â 166.000 francs, auquel s'ajoutent
l' in demnité de résidence et éve ntuell ement les
prestations famili3!!es.
Les victimes de la guer re domiciliés dans
le dépa rtement, classées ou non classées
pou r un emploi réservé, pou rront déclarer
leur candidatu re à l"emploi réservé vaca nt
à compter du 18 fe\lrier 1952 et jusqu'au 18
mars 1952 inclus.
A cet effet, les intéressés transmettro nt
leur demande au Préfet des Bouches-duRhô ne, 2e Division, 3e Bureau, avec toutes
pièces j ustificaiives.
Pour tous renseignements concernant la
constitution des dossiers, ;.!s pourront s'a·
d resse r so it à la Préfectu re, soit à la Mairie
de leu r réside nce.
j
l'é~rt. 7. -
Les jeunes gens en réside nce il
ou r~nger sero nt in co rpo rés dans la mesu re
présle~ IlC se tr.ouve nt pas d ispe nsés de la
a . lC~ effectIve so us les d rapeaux , en
3~Phcatlon des articles 98 et 99 de la lo i ,du
mars 1923.
Arl 8
L .
.
b,'n' fi' .. - 1 es Jeunes ge ns s usceptibles d e
~ ICler <.1'
d
'
. 1lction d
. une
Ispense ou d'u ne recl
e sen'Ice actif en
des arti-
Geo rges BIDAULT.
- - - -c.>oo«)- - --
02 B3
DEMANDE D'EMPLOI
DE SECRETAIRE DE MAIRIE
Secrétaire de Mairie, 42 ans, études secondaires, dactylo, · références, recherche un
emploi similaire dans une commune de 1.000
à 2.000 habitants du département des Bouches-du-Rhône.
.MJ\1. les Maires inté resses pa r cette ca nd idature voud ront bie n se mettre en rapport
avec A\. \VILD Alfred, secrétaire de Mairie
à HEBECRE VON, par Saint-Lô (Manche).
Gu)' LAMASSOUR E.
_ _ _ «::tooq:;»--- --
c) 00«,.-----
�.2.
TUTU D1ITEIET GOlDJIlUJBL
04 B3
ENO
ENQUETE SUR 1.ES "BESOINS EN
LOCAUX ET EN MATERIEL: l' DES
ECOLES NATIONALES OU MUNICIPALES DE MUSIQUE; 2' DES THEATRES MUNICIPAUX, SALLES DE
CONCERTS MUNICIPALES, ORCHESTRES SYMPHONIQUES MUNICIPAUX, HARMONIES MUNICIPALES.
rai l'honneur de porter à la connaissance
de MM. les Maires du Département que M.
le Secrétaire d'Etat aux Beaux-Arts fait
actuellement procéder à une enquête destinée à établir Jes besoins en locaLLx et en
matériel des Etablissements ou Organis":,es
ci- après désignés, en vue de réla~oratJon
du prochain plan quinquennal d'éqUIpement
scolaire, universitaire, artistique et culturel :
étaient compris dans le précédent plan quin.
quennal.
l ' Ecoles Nationales ou Muni<'ipales de
Musique;
2-> Théâtres Municipaux, Salles de Concerts Municipales, Orchestres Symphoniques
nes qui se proposent d'en créer.
Municipaux, Harmonies muoicipales.
A cet effet, des fo rmulaires ont été adressés directement par les soins de l' Administration Centrale aux Commu nes, do nt les
établissements ou or ga nismes
susvisés
-
FRAN0AISE
N' t
10' ADDée. -
DËPARTEMENT DES BOUCHE.S-DU·RHONE
Cette enquête doit maintenant être égaiement étendue ~ J'ensemble des Communes
où se trouvent dé jà des établissements Ou
organismes de cette nature et aux commu_
Recueil des Actes AdminÎstràtifs
En conséquence, MM. les Maires inl~
ressés pa r cette e nq uête complémentai re
sont pries de le fai re co nnaître dans les
meill eurs délais, à la Préfectu re, 4e Oh;-
et Bulletin des MilffNs
sion, 3e Bureau.
-
RÉPUBLIQUE
Féni.r 1952
Pour le Préfet, par délégation
Le Secrétaire Général: 1
LAMASSOURE.
Toute correspondance relative au Recueil doi' étre adressée
a
la 81. f!,crt:r.e ~Secr6t.i.lat
'
J
ï
Générlll.
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaile - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre i \lilIuent 'le Service àj( ureau d·origine.
D. S. T . : Direction des Services Technique.. - D. D. S. : Direction Départementale de la SflntéiJ~ D~ D. ~ ' . Direction départementale de la Population.
1f J ~
SOMMAIR.lt:
Paru
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Paies
/JJG 6. - ,constitution d'u ne Association
syndicale libre des arrosa nts de la
commune de La !Bar,ben ..........
P O. - Autorisat.ion d' une qu ête à domicile a'c::ordree à l'Association régional e de Sauvegar'.dJe de l'Enfance à
Marseille . . . . . .. ..... . ...........
P 8. - Situation des Etran gers séjournant dans un Etablissement hospitalier psychiâtrique ou pénitentiaire ..
TVX O. - Arrêté relatif aux travaux
d'extention du Canal dl! Verdon dans
les régions d'Aubagne et Pu yloubi er .
(Projet Rigaud) ...... . . ... .. .. .. .
TVX O. - Déclaration d' utilité pu blique Ides travaux d'aménagement e t
47
47
48
48
d'a mélioration <lu dhemin départemental n° 36 entre la gare <le l'Armelière-Giraud ct Salin-de-Giraud.. .
TVX O. - Déclaration d'utilité publique
des travau x de rectification du chemin tdépartementa l n° 40 a, entre les
P.K. 0.340 et 0.710, dans la commun e
de La Ciotat .......... .. . . ... '. . . .
TVX O. - Déclaration tl' utilité publique des travau x de rectifi cation du
chemin départeme ntal n° 5, du Rove
à Ensuès-la-Redonne, entre les P.K.
14.250 et 17.250 ......... .. .......
ParCI
blissements publics d'Assistance et de
Bienfaisance.
Simplification des
dossiers ........ . ..... ... . ........
49
FS O. - Médeci ns agréés pour pratiqu er les examens radioscopi ques en
vue de la déliVTance Ides eertificats
prénuptiau x et ,prénatau x ... . ......
50
PS 7. - Hospice de tMaussane - Prix
de journ ée t a ux des cotisatio ns .. . .
50
A 1. - Assurances sociales agricol es.
Nouveaux taux des cotisations ... .
50
AC 3. - CiroCulaire ministérielle relative aux a ll ocatio ns viagè res ......
51
48
49
49
TVX 5. - Circul ai re interministérjelle
relative a ux marohés de fournitures
de ca rbura nts liquid.es passés par les
départements, les communes et éta-
Conununiqués, Avis, Annonces diver. .
-
Dons et l egs
52
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
05 81
AG 6
ASSOCIATION SYNDICALE LIBRE
DES ARROSANTS DE lA COMMUNE
DE LA BARBEN
BXTRAIT DE L'A)CTE n 'ASSOCIATION
•
Copie certifiée confonne :
Pour le Préfet :
L. Secrétaire Général
LAMASSOURE.
Une Associatio n Syndicale Libre est Iformée, co nformé ment à la loi des 2 1 JJ.lin
1865 - 22 Décembre 1888 et au règlement
d'administration 'Publique du 18 Décembre
1927, pour l' utilisa tion d~s eaux Ide la TOllloubre et des Sources de la Com mun e de la
B.ar~en, la défense des droits des arrosants,
alOSI que pour la réglementation des arrosages et l'exécution des travau x nécessaires
I>Our ass urer la bo nn e circu latio n des cau x.
S L' ~ssociatio n prendl le nom (il' Association
YLdlc~le Li bre des Arrosants de L a Barben.
M .c. Siège de l'Association est fi xé à la
aine de La Bar-ben .
9 La 'Commission Ad ministrab ve comprend
Syndics élus po ur l'Assemblée Générale,
r~u.r 3 ans et. renouvelables par tiers tous
s . EI1~ élit en son sein un Directeur et
Un
taire O~S-Dlre~te~r. ,EiUe no mme le ecréL' e le Tresone-r.
~~ag~r~é!ga~t~io~n~de nouveau x membres pour
5
__
......
----------------------------~::::::~==:::::::=::::=_~~~~:===========================~==~~::::::::=_~
ra avoir lie u avec approbatio n de l'Assemblée Générale.
L'Asse mblée Général e se réun ira en
sessio n ordi naire \Cia ns le mois de Décembre
de chaque année.
la tra nsform ation en Association Syndicale a utorisée 'POurra être demand ée par sim_
ple -délibération de l'Assemblée Gé nérale dans
les conditions Ide majorité fixées par la lo i
des 2 1 Juin 1865. 22 Décembre 1 888, après
a ppro batio n <1e M. le Préfet.
- - -«»00<> - - - -
Dl BI
PO
AUTORISATION D'UNE QUETE A DOMICILE ACCORDEE A l'ASSOCIATION REGIONALE DE SAUVEGARDE
DE l ' ENFANCE DE MARSEilLE.
le Préfet des Bouohes-du-Rhô ne,
Officier de la Légio n d' Honneur,
Vu J'artide 3 de l'a rrêté pr~fectora l du 2-t
Ja nJVje.r 195 1, réglementa nt les appels à la
gé nérosi té publique ;
Vu la circulaire n° 7 de M. le Mjnistre
<le la Sa nté Publique en date du 17 Janvier
1952 relajive à la campagne de yepts \dt
vignettes et de cartes au profit d:e l'Enfance
ina daptée ;
V u la demande du D irecteur D~artemen
ta l de la Population en vue de fi xer l'époque
où la ca mpagne précitée doit se dérouler
dans les Bo uches-du-Rhône,
ARRETE
A RT ICLE PREM I ER. l'Association Régiona le cie Sauvegarde de l'Enfance de Marseille est auto risée, dans le département des
Bouches-du· Rhône et pendant les mois de
Février et Ma rs 1952, à vend re à domicile
chez les pa rticuliers et les commerça nts et
dans les heux privés accessibles au public, à
l' exception de toute offre sur la voie publique, des vignettes et des timbres en faveur
de l'Enfance In adaptée.
ART. 2. - Le présent a rrêté sera notifié
à M. Je Directeur Départemental des Services de Police, à Nt. l e Commandant de
Ge ndarmerie des Bouches-du-Rhône, à MM.
les Sous-Préfets dl Aix et dl' Arles, pO LIT notificat io n ~ tous services o u orga nismes releva nt de leu r a utori té.
Fait à Ma rsei ll e, le 18 Pévrier 1952.
Le Prélfet,
R
PàlDA
�DI B3
P8
SITUATION DES ETRANGERS SEJOURNANT DANS UN ETABLISSEMENT
HOSPITALIER PSYCHIATRIQUE OU
PENITENTIARE.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
à ,\IiM. les Maires du Dépa rtement,
(En communication il IMM. les SousPréfets d'Aix et d'Arles).
J'ai l'honneur de vouS adresser, ci-apr s.
le te.xte a'une Circulaire de M. le ,Ministre
de \"Intérieur. en date du 8 Février 1952.
indiquant les dispositio ns qu'il y a lieu d'appliquer en ce qui concerne le r enouvellernen1
des cartes de séjour détenues par les étran·
gers en traHement dans un établissement
hospitalier ou assimile, ou 'dans un établissement pénitentiaire.
< Mon attention est appelée sur les difficultés que soulève le renou \'ellement des
cartes de sëjour détenues par des étrangers
en traitement dans un établissement .hospi-
talier ou assimilé (Hôpital, .Maison de Cure,
Sanatorium) lorsque celui-ci ne se trouve
pas dans le ressort de la P réfecture où ils
résidaient antérieurement.
c Pour éviter aux intéressés des déplace-
ments importants et écarter
effectuer les formalites habituelles en vue
de sc mettre en règle au regard des dispositions réglementa nt le séjour des étrangers
en France.
e Le temps dm an t lequel ils auront eté
démunis de titres de séjour ne devra cependant pas, à t'ctte occasion, être co nsidéré
comme un e interru ptio n dc leur séjour sur
notre territoire.
«. Vous vo udrez bie n porter ces instructions à la connaissance des services intéressés afin qu'ils en assurent l'appli catio n.
« Pour le Minjstre et par délégation,
Le Directeur d u Cabinet,
J. VERDIER. .
-------«»00(»-------
TVX 0
05BI
ARRETE RELATIF AUX TRAVAUX
D'EXTENSION DU CANAL DU VERDON DANS LES REGIONS D'AUBAGNE ET PUYLOUBIER (PROJET
RIGAUD).
Etudes et implantations des ouvrages
Autorisation de pénétrer dans les
propriétés publiques ou privées, closes
ou non closes.
d'autre part ,
t oute possibili té de contesta ti on au sujet de
la fixation du domicile de secours en matière
d'assistance, il èonv.ient d·applique r dans ce
domaine la procédure ci-après :
e l ' Oépôt de la demande de renouvellement.
« L'étranger devra solliciter le renouvellement de son titre de sejour dans les conditions habituelles, auprès du Commissariat de
Police ou de la M.airie de la commune sur
le territoire de laquelle est situé l'établisse'
men t où il est en traitement, en joignant à
sa demande une attestation de présence
délivrée par la Direction dudit établissement.
4: 2° Instruction de la d'emande :
< Le Préfet du Département où séjourne
l'intéressé n'est pas en possession du dossier
de ce dernier, qui conservant sa ( résidence
habitu elle et permanente ;) n'a pas eu à
effectuer les déclarations prévues par le décret du 31 Decembre 1947. Il lui appartiendra, en conséquence, -de consulter la Préfecture du département d'origine sur l'oppo rtun ité de procéder au ren ouvellement du titre
de séjour.
1
« 3° Renouvellement du titre de séjour.
( Dès réception de la réponse favorable
du Préfet du département d'origine. le Préfet
du département de réside""e procédera aux
formalités matérielles du renouvellement, sans
toutefois apporter de modifications à l'adresse
figurant sur le titre de. séjour, celle-ci correspond a nt â la résidence normale de l'intéressé, qui y a, de plus, son domicile de
secours.
( Cas particuliers des étrangers internés
dans un asile psychiàtrique ou détenu dans
un établissement pénitentiaire.
( Ces étrangers n'ayant pas, du fait même
de leur inter nem ent ou de leur détention, à
être en possession d'un titre de séjour la
question du renouvellement de celui-ci' ne
se ~ose pas. Ils doivent par contre, à leu r
sortte de ces établissements, et sauf dans
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhô ne,
Officier de la Legion d' Honneur,
Vu la délibération du Conseil Genéral des
Bouches-<!u-Rhô ne du 25 Novembre 1950
rel ative à la 2me tranche des travaux ;
Vu le rapport des Ingénieu rs du Génie
Rural, charges du contrôle d u Canal du Verdon en date des 13 et 16 Mai 1946 ;
Vu les lois des 22 Juillet 1889 et 29 Décern bre 1892 ;
Vu l'ar~c1e 438 du Cooe Pénal,
Considérant qu'il co nvi ent de prendre
toutes mesures pour que les Ingénieurs,
agents et ouvriers qui doivent co nco urir aux
études et implantations des ouvrages d u pro·
jet susdH n'éprouvent aucun empêchemen t
de la pa rt des propri étaires ou lo cataires dle~
terrains s ur lesquels ces opérations doivent
avoir lieu :
Arrête
ART.ICLE PREM IER. - MM.. les Ingénieurs
cha rges des études et implantatio ns des ouvrages du projet d'extension du Ca na l du
Verdon dans les régio ns d'Aubagne et Puylo ubier (projet Rigaud) les agents et ouvriers
placés sous leur o rdres sont autorisés à pro'
céde r sur le ter ritoire des communes de Fuveau, Mimet, Gréasque, 8elcodène Saint-Savournin, Cadolive, Peypin, BouiÜadisse, la
Dest rousse, Auriol, Roquevaire, Aubagne,
'J l,; ffiCnOS, Cuges, La Penne-s-Huveaune, Al
lauch, Plan-de-Cuques, Ma rseille, Roquefortla-Bédoule, Cassis, La Ciotat, Cey reste, aux
levers de plans tracés, nivellement et autres
,. r~tio ns qui exigent les études et les implantations d'o uvra ges du projet s usdit, et à
cet effet, à pénetre r dans les propriétés particulières, commu nal es 0\.1 domaniales, closes
ou non closes, d'y plan ter des mâts, balises,
jalons piquets, bornes, repères, à fran ch ir d-es
murs et autres clôtures ou obstacles quj
po~rraient entraver les opératio·ns, à pratiquer dans ces propriétés des sondages rlIans
-
AR~ETE
:
05 ,BI
du maté riel , des matériaux et du per
nnel
êlJ. gagcs et abatages d'arbres de har- •
clôtures et ~n rè,g.~ générale' tou~ l:'tr~
vaux nécessaires a 1accomplissement die 1 a
mission.
. eUr
ART ICLE PRE/.\IER. - Sont déciarés d'utiLité
ublique les travaux . d'aména,gement et
p. élioration du chemin départemental n°
~ntre la ga re de l'Arm~liére-Giraud (P.K.
13.7(0) et Salin-<!e-Oiraud (P. K. 32.3(0).
ART. 2. Il est interdit d'apporter
personn el ohar gé des étu-dles aUCun tr bau
• l
'
Ou 1<
ou em~et' lemen.t, ni de déran ger les diHé_
r e~ts plql1et~, slgnal~x ou repères qu'il établira. Ces piqu ets, s ignaux o u repères 50 t
placés so us la ga rd e des autoritês m'II,'t . n
E
d d'ff 1 é
alfes
n cas 1 e l 1 é' C.u t s ou résista nces quel:
clonques'd es ng !lleutrs 9u le personnel SOli!,.
eurs o r res, po urro n faire appel aux afTe ts
de la force plIblique.
0 n
ART. 2. - 'M. le Sous-'Prélfd d'Arles et M.
l'Ingénieur en Chef des Ponts et 'Chaussées,
sont chargés, ohacun en ce
le concerne,
de l'app lication <lu present arreté.
Fait ·à Marseille, le 30 Janvier 1952.
Pou r le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué,
qu:
LA·M'ASSOURE.
1
~RT . 3. Dans le c~s où pa r suite de~
ope l ~t1o n s sur le terrain, les prop.rie taire...
a~r.aJent ~ sup~rter
des dommages, l'i ndem_
~Ite . serait r~.!rl,ee, aua nt que possible, à
1 am iab le et SI 1 acco rd ne -pouvait avoi r lieu
par le Co nseil de Préfeclllre In te rdéparle:
mental de Marseille, conformément aux dispositio ns de la loi du 22 Jui ll et 1889.
ART. 4. - Le présen t arrêté sera publié et
affiche dans toutes les communes .intéressèes.
et inséré, en outre, dans l' un des journaux
etu Département et au Rec ueil des Acte~
AdminiS tratifs ,
ART. 5. - M. le Sous-Préfe t d' Aix, h~\1.
les Maires des Communes intéressées au :-travaux, .Nt l'I ngé nieur en Chef d u Génil:!
Rural et M. le Directeur de la Régie Dépar.
tementa le du Cana l du Verdon, so nt oh a r g~
chac un en ce qui le concerne, de l'exéc ution
du prése nt arrêté.
Fait à Marsei lle, le 12 Novembre 1951.
P our le PJéfet,
Le Secréta ire Général delégué,
LAMASSOURE.
-------(~oo«>-------
05 BI
TVX ~
DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE
DES TRAVAUX D'AMENAGEMEN:r
ET D'AMELIORATION DU CHEMIN
DEPARTEMENTAL N' 36 ENTRE LA
GARE DE L'ARMELIERE-GIRAUD ET.
SALIN-DE-GIRAUD.
Le Pr~fet des a"u ches--{\u-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneu r,
Vu l'arrêté préfecto ral e n da le du 28 Juin
195 1 prescrivant l'enquête d'utilité publique
su r le projet d' aménagement du chemi n d"
partemental n" 36 entre les PX 13.700 et
32.300 ;
Vu les plans et devis dressés pour l'exêcutio n de ce projet j
.
Vu les articles 2 et 3 du décret-lOI du ~
Août 1935 sur l'exp ropriation pou r caust
d'utilité publique ;
Vu le décret du 2 Mai 1936 po rtant régie·
mentation d'Adminislration Publique relatl~
à la procédure d'enquête préalable à la déela·'
ration d' utili té publique j
r
Vu les résultats de l'enquête ouverte dl
6 a·u 2 1 Août 195 1 ;
Considé rant que les formalités réglemen·
t aires ont été observées qu 'aucune dédar,1'
1ion n'a été formu lée contre le projet, que
le Commissaire-Enquêteur a émis un a\fŒ
favorable ;
Dé <m'
Vtt la dé libéra i ion en date d u 15 . cI a
é
bre 1951
le le Conseil 0 nefa
______
(~ooc. -------
05 BI
TVX 0
DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE
DES TRAVAUX DE RECTIfICATION
OU CHEMIN DEPARTEMENTAL N"
40 A, ENTRE LES P_K. 0.340 ET 0.710,
DANS LA COMMUNE DE LA CIOTAT.
A~RET.E
Le .Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légio n d'Ho nne ur,
Vu l'arrête préfectoral en date du 24 sePlembre 195 1 prescrivant l'enquête d' utilité
publique sur le projet de recti.fication du
Chemin départementa l N" 40 A entre les
PK 0.340 el 0.710, " La Ciotat;
Vu les plans et devis dressés pour l' exécutit n de ce .projet ;
Vu les articles 2 et 3 du décret-loi du
8 aoùt 1935 sur l'expropriation pour cause
d'utili té publique ;
Vu le décret du 2 mai 1936 portant réglementation d'Administration P,ublique lelalil à la procédure d'e nq,uête .préalable à
la déc laration d' utilité publique ;
Vu les résultats <le l'enquête ou ve rte du
17 au 31 octobre 1951 ;
Considérant que les formalités règ lement~ires .ont été observées, qu'aucune décla rahon na éte f"rmulée contre le projet, que
le CommlSSaiIe,Enquêtel!r a émis un avis
favorable ;
Vu la dé libération en date du 15 decem·
bre 1951 par laquelle le Conseil Genéral a
adopte le ,projet,
DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE
DES TRAVAUX DE RECTIFICATION
DU CHEMIN DEPARTEMENTAL W
5, DU ROVE A ENSUES-LA-REDONNE, ENTRE LES P.K. 14-250 ET
17.250.
AlR,Rf,TE
Le Pretet des .Bouches-du-Rh ône
Officiel de la Légion d' Honneur',
Vu l'arrêté préfectoral en date du ~ 1 ju illet 1951 prescri vant l'enquête d' utilité publique sur 'le projet de rectification du
Chemin départemental' N' 5 entre les PX
14.250 et 17.250 ;
" Vu les .plans et devis dressés pour l'e xécutio n de ce projet ;
Vu les articles 2 et 3 d u· décret-loi du
8 août 1935 SUT l'expropriation pour cause
d' utilité publique ;
Vu le décret du 2 ma i 1936 portant règle:me,n tahon d'Administrat ion Publique relat,f a la procédure d'e nquête préalable à
la déclarati? n d'utilité publique ;
Vu les resultats de l'e nquête ouverte du
20 septembre au 24 octobre 195 1 .
Considérant que les formalités ;èglement~lres ,ont eté observée~, qu 'a ucune déclaratio n n a été f"~'ulée contre le projet, que
la CommiSSion ct enquête a émis L!.rn avis navo rable ;
Vu la délibération en date du 18 janvie r
1952 par laquelle la Commissio n Départementa le a d écidé la rectilication du Chemin
D épa rtemental N" 5 entre les P .K. 14.250
et 17250 ;
Su.r la ,proposition de M. IJln gé nieur en
Chef des Po nts et Cha ussées ;
Arrête :
Article premier. - Sont déclarés d'utilité
publique les travaux de rectifica[ion d u
Chemin départemental N" 5 du Rove à Ens uès-Ia-Redonne entre les Pl K. 14.250 et
17'.260.
Article 2. - M. le Secré'aire Généra l de
la Préfect ure et M . Ylngénieur en Chef des
Ponts et Chaussées, sont chargés, ohacun
en ce qu,i le concerne, de l'appl.ication du
present a rrêté.
Marseille, le 7 février 1952.
Pou.r le Préfet,
Le Secrétai re Général Délé.g ué :
LAiMtASSOURE.
Arrêle :
Article premier. -- Sont déclarés d'utilité
Publique les travaux de rectificafion d u
Chemin départemental N" 40 A entre les
P,K, .0.340 et 0.710, dans la commune de
La Ciotat.
1 Artiole 2. - 'M. le Secrétai re Général de
Préfecture et lM. l' In génieur en Chef des
onls et Chaussées sont chargés ohacun
en",ce qui le conce;ne, de l' ap.p1i~ation du
pr""nt arrête.
•
t
Pait à Marseille, le 31 ja nvier 1952.
Pou,r. Je Préfet,
Le Secrébaire -Général Délég ué :
LAlMASSOURE.
----c»OOC)-------
. TVX 0
-------(.00<'·------02.83
TVX 5
CIRCULAIRE
INTERMINISTERIELLE
RElLATlVE AUX MARCHES DE
fOURNITURES DE CARBURANTS
LIQUIDES PASSES PAR LES DEPARTEMENTS, LES COMMUNES ET
ETABLISSEMENTS PUBLICS D'ASSISTANCE ET DE BIENfAISANCE.
SIMPLIfICATION DES DOSSIERS.
,Paris. le 12 févrie r 1952.
'Le Minist re de l' Inté rie urb
Le Ministre de la Santé Publique
et de la Population
à MM. les Préfets (Métropole)
Les cahiers des cha rges des adjudications
de travaux ,publics et de fo urnitures déterminent les pièces que les so um;ssionnaires
à }'
leurs soumisdoivent
sions, pour . justifier de leur capacité, de
leur morahle et de leur solvabilite.
Da~ un souci de bonne administration,
les dëj.>artements, les communes et établissements d'assistance et de bienfaisance exig~nt, généralement, la production d'un certa," nombre de pièces et nota mment s'il
s'agit de socié t é s . : '
,
.1° copie de l'inscription de la société au
registre du comme rce ;
2" acte constitlJ'tif de la société et actes
modificatifs desstatuls depuis la co nsti tution ;
3° journau x d'annonces léga les dans les·
q.u.els so nt pa ru es la constitutio n de la 90 cleté et les modifications intervenues ,.
4° certificat d'affiliation à une caisse de
compensa tio n et d'allocations familiales ;
5° œr.tificat de no n faillite;
6° justification de la natio na lité de 'a
s?cié té~ carte. ~'é!ecteur, passepor t nOn pénmé, livret mllitalIe, lettre de service d'officier de réserve et certificat de nationalité
française pOll!r chacun des membres du
Co nseil d'administration ;
. 7° certificat confirmant l' irnJX)rtance des
travau x ou fournitures et constatant
le ur bo nne exécution (ce certifjcat doit êt re
fourni par to ute pe rso nn e ou adminjstration
en rapport d'affaire avec le pétition naire) ;
ruts
8° certifi cat de pa tente de l'année en
co urs avec avertissement des contributions;
9° certificat attestant que la société n'es1
pas so us le contrôle d' un e firme ét ra nghe ;
10" composition du Conseil d'administration et . ~élibérat.ion du Co nseil indiquant la
,,?mpoSlhon désignant les directeu rs, admirustnateurs o u fondés de pouvo ir avec signature légalisée de chacune d~ ces personnes ;
II ° extrait du casie r judiciaire du président-d irecteur général et de chacu ne des
pen;onnes accréditées à signer po ur la société ;
12· at1estation du président du Conseil
d'admi nistratjo n rel ative à la sit uatio n des
administrateurs au regard de la loi du 16 novem ~r.~ 1940 sur les sociétés anonymes,
modlflee par la loi du 4 mars 1943 ;
13° nomenclature des pri ncipaux travaux
ou fournitures ex-écutés par le pétitionnaire
avec ind ication de- leu r valeur.
. Lorsque l'adjudication porte sur la fourmture de carburants liquides les soumissionnai res sont, dans presque' tous les cas,
des socjétés fonctionnant sur le plan national et prenant, dès lOI'\, part à un trés
grand nombre d'adjudications.
Ces sociétés doivent donc se procurer. à
plusieurs centaines d'exemplaires, chacune
des pièces énumérées ci-dessus, ce qui entraîne des formalités considér.,Jbles pour un
resultat qui paraît pouvoir être at1eint par
un moyen beaucoup plus simple,
En effet, de nom breuses sociétés prenant
pa rt à des adjudications de carb urants liquides sont titulaires d'autorisations spëciales d·import,. tion de produits dérivés du
petrole qui leur sont attribues par décret
pour trois ans, après étude par une Commis.:
sion du dossier présente par la société et
en considération de la forme juridique et de
la structure de "enutmrise... .aj n~ n11P ti f?o 12
�personnalité de ceux qui détiennent le
contrôle : le dossie r présenté par la société
conespond au minimum au dossier If( plus
complet ex.igé par les collectivités r6cales
pour la présentation des soumissionnaires.
Dans ces conditions, et en vue de supprimer des formalites inu-tiles, il Y allIait interêt à simplifier la présentation des dossiers
en insêrant dans Jes cahiers des chaTges
des adjudications poItant sur la fourniture
de
produits
pétroliers aux
departement~
aux communes ou aux établissements publics
de bienfaisance ou d'assistance qui en dépenden t, une clause spécifia nt que les sociétés dési rant prend re part à l''adjudication
seront dispensées de psoduire à l'appui de
leurs soummissions certaines justifications à
condition d'apporter La preuve qu'elles sont
titulaires d'une autorisation spéciale d'importation accordée par décret.
Je vous précise. à cet éga rd, que la liste
des sociétés bénéficiant de ces autorisations
a Hé établîe., en dernier lieu, par le décret
du 1er février 1950 publié al> < Journal OBiciel > du 4 février ; des extraits de ce
journal sont d' ailleurs vendus séparément
,;Ous le N" 539. Je vous tiendrai informé des
décisions particulières qui pourraient modifieT cette liste lorsqu'il s'agira de décisions
qui ne seront pas publiéeS aU < Journal
Officiel >.
Au vU de l'inscri ption de la société sur ~e
décret précité les collectivités locales intéressées pourraient, notamment. dispenser
les intéressés de la fourniture des pièces 1
à 8 ( inclus) énumé rées ci..:!essus.
Les départements, les communes et les
établissements publics d'assistance et de
bienfaisance qui en dépendent obtiendraient
ainsi des ga ranties correspondantes à celles
qu'elles pourraient attendre de la présentation de toutes les pièces actuellement exigées.
Vous voudrez bien appeler l'attention des
collectivités locales interessées sur les avantages que présenterait cette simplilication.
Pour le Ministre de I~ntérieltr
et par délégation,
ILe Préfet, directeur de l' Administration
départementale et communale :
IDAMELON.
Pour le Ministre de la Santé Publique
et de la Population
et par délégatio",
Le Directeur du Cabinet
LE VERT.
PSO
D.D,S.
MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET
PRENATAUX.
Pl>r arrêté préfectoral du 4 février 1952:
__ M. le DocteUT Bla nc Marcel, demeu rant à Nlarseille, 44, rue des Trois-FrèresBarthélemy, et M. le Docteur Grimaud Jean,
demeurant à Marseille, 28, boulevard Gustave-Gana y, à Ste-.Nlarguerire, ont été
agréés pou r pratiquer les examens radioscopiques en vue de La d éli vrance des certificats prénuptiaux et .prénataux.
Le Directeur Départemental de la Santé:
Article 2. - M. le Secrétaire Génér 1 d
la Préfe~ture, M .. J<; lM";r.,. Président ~e 1:
Commission Adrninlstrabve de l' Hospice de
Maussane, M. le Trésorier P aye ur Général
sont cl1a r ges, chacu n en ce qui le concern
de l'e>técution du présent arrêté.
e,
Par arrêté préfectoral du' 14 févsier 1952 :
_ M. le Docteur Perret Georges, demeurant à Marsein.,. 198, bo ulevard de SainteMarguerite, a été agréé pour pratiquer les
examens radioscopiques en vue de la délivran ce des certificats prénuptiaux et prénataux.
Le Directeur Départemental de ,la Santé:
Docteur X. S11RENNA.
-------c>ooc»----- -
D3 B2
Marseille, le 22 février 1952.
P.our le ,Préfet
Le S ecrétai re Génira l
LAMASSOU'RE.
FS 7
06 B I
Le Prétet des Bouclles-du·Rhône,
Officie r de la Légion d 'Ho nne ur,
Vu la loi du 14-7-1 905 su r l' Assista nce
aux Vieillards, In firmes et Incurables .
Vu l'ordonnance d" 18 décembre 'L944
déterminant, à titre transitoi.re, les règles de
fixation des prix de jo unnee i
Vu les circu laires ministé ri elles d'application notamment la circulaire du 29' d écembre 1944 ;
Vu l'arrêté préfecroral du 25 janvier 1952
P:Ortant fixatio n des prix de journée prévi Sionnels 1952 pour un ce rtain nombre d'établisseme nts hospitaliers du Département;
V u la demande de relèvement de prix de
journée présentée ,pa r l' Hospice de Maussa ne, en date du 4 février 1952 j
Vu l'avis de M. l' Inspecteur P rincipal de
la Population et de l' E ntr' Aide Sociale ;
Su r la proposition de M. le Secrétaire
Géné ral de ,l a Préfecture,
Co nformément aux d ispositions du dêcrel
N' 5 1-1 268 du 7 novembre I95L fi xant le
taux et l'aSSiett e des cotisa tions de l'Assurance sociale agricole dues pour tout tra·
vail effectué .postérieu rement a u 15 novem·
bre 19:>1 :
l ' le tau x des cotisatio ns est fixé à 135%
do nt 5,5 % à Ja c ha r ge du salarié er
%
à la cha r ge de l'employeu r i
2" les co~ i sat ions dues pou r les employés
des o r gantsmes professionnels aO'ricoles
restent ass ises s ur le sa laire réel . 0
3° les cotisatio ns dues pour les' ouvrjers
forestiers restent assises s ur la hase de la
rém unération réellement perçue, qu 'il s'agisse o u ·non d 'acomptes i
4° les cotisations d ues Ipour les salariés
agricoles et assimilés son t assises sur un
salaire fo rfaitaire fi xé :
- en ce qui concerne les femmes assuArrête :
rées, coJTl/pte tenu du sa lai re ho rai re minimum ga r a nti fixé pour les professions agri'
Artide premier. Le prix de jou-rnée
coles et pou r la zone d'abattement maximum
prévision nel 1952 app licable aux vieillards
de ohaque département ;
indigents placés en exécutioo de la loi du
- en ce qui concerne les hommes, à
14 juillet 1905 ainsi qu'aux pensi onnaires
11 5 % dutlit sa laire.
payants admis en 3e catégorie (sa lle
Ces cotisations, dans le départe ment des
commune) à l' Hospice de Maussane, est
po rté à 337 frs à compter du 1er mars 1952.· Bouches-du-R'.hône, so nt les s uivantes :
8
Part ouvrièr e
Part patronale
Total
a) Cotisations journalières
Honrmes
de 18 à 65 ans :
Travailleu rs normaux . ... . .. . .......... . .
Tr avai lleurs à capacité réduite ....•. . .. .
de
de 65 ans .. . . . .... ..... ......... .
de - de L8 ans ...................... ..
+
Femmes :
de 18 à 65 ans :
Travailleurs normaux .. .. ....... ....... . •
Trava illeurs à capacité réduite .....•....
+
de
de -
de 65 ans .... . ..... .... ......... .
de 18 ans . . . . . .... . · .. .. ····· .. ..
35
18
13
25
51
26
51
36
3L
L5
Il
21
44
22
44
31
86
44
64
61
75
37
55
52
b) Cotisatil>r's mensuelles
Hommes :
de 18 à 65 ans :
Travailleurs norma ux ....... . ........... .
Travaille urs à capacité ,éduite ...... , .. .
de
de 65 ans . . ...... . ......... . . • ...
de - de 18 ans ..... ... ..... . .....• ....
Femmes :
de 18 à 65 ans :
Travailleurs normaux . . ................• .
Travailleurs à capacité rédui te ......... .
de
de 65 ans ..... ... . . .... ......... .
de - de 18 ans ..... . . . .. . .. .. . ....... .
+
+
900
450
1.300
650
:m
600
1.300
900
750
1.100
400
300
550
c) Cotisalions frimestrielles :
La cotisation trimestrielle est égale au
triple de la cotisation mensuelle.
50 Les salariés qui tclésirent que le urs co tisations tant pat ronales q u'ouvriè res SOIent
assises sur le sa laire perçu effectivement
sa ns que ce sa laire puisse être in fér ieu..r
celui serva nt de base à la cotisation forfaitaire, doivent en fair e la dem a nde au
Contrôleur des Lois Socia les en Agrkultures, III , rue St-Jacques à Ma rseille.
A1
ASSURANCES SOCIALES AGRICOLES
NOUVEAUX TAUX nES COTISATIONS
A'~R,ETE
51
à
-------< . 00<.------
HOSPICE DE MAUSSANE - PRIX DE
JOURNEE PREVISIONNEL 1952
......
.iIIiiililil~
-
550
1.100
g()()
2.200
1.100
1.600
1.500
- - -- - - 4: » 00 « »,------
D2 B 3
AC 3
CIRCULAIRE MINISTERIELLE
RELATIVE AUX ALLOCATIONS
VIAGERES
J'ai l'honneur de porter ci-desso us à la
ro nn aissance de MIM. les Sous-Préfets' et de
MM. les Mai res du Départeme nt, le texte
de la ci rculaire de M. le Jvti nistre de l' In térieur N' ~6 l AD j 3 du 12 décemb re 195 1
relative alJx conditions de reno uvellemeni
des allocations viagè res.
Po ur le P réfet et par Délégation:,
Le Sec réta ire Gé né ra l :
Guy LMIASSO URE.
,Le 12 décembre 195 1.
Le Mini s tre de l' Inté ri e ur,
à MM. les Préfets de la Mét ropole,
OBJET : Co nditions de renouve llement
des allocations attribuées antérie urement a u
1er juillet 194-1 à d'anciens age nts d épa rte~ e~ta u x ou commu naux non tributaires de
regl rnes particuliers de ret raites.
REFERENCE : Circulai res du Ministère
de rInt' rieur N" 9 ADj3 du 16 ja nvie r 1942.
CIrcula ire du Ministè re de J' Intérieur
N' 189 ADf3 d u 23 spet mbre 1942.
Lettre.s c0":lmunes de la Caisse des Dépôts
et CO I~slg~atlO ns en date des Il juin 1942
et 26 Janvter 1943.
La p:ésente circu laire a pour objet de
po ~ter a ~ot re ~onnai ssa n ce la pro céd ure
~UI se ra desormal~ ad mise your le renouve l·
ment des allocatio ns aU rlbu ées a ntérie ure-men~ au 1er juill et 194 1 à d'anciens arrents
Ou a des vel1'ves d'anciens aqe nts dép~rte
~entau.x. ou cO~lm~nau x n~n tributaires
Un reglme pa rt Icu lier de retraites.
\. - Rappel des principes.
fai;n in ter~ i ~a nt aux collectivités locales de
e bé~éhcle r leurs personnels d'avantages
de retra ites s " .
.
v
up e neurs a ceux prevus
en fa3e~r . des fonctionnai res de l' Etat la loi du
sJ~lI et 194 1 a form ellem ent cdndamné le
me des allocations viagères.
Ces. allocat ions rep rése nta;ent en effet
Un ava ntage
é'
"
,
général d sans qu!val ent dans le régime
aCCordé es pensions puisqu'elles é.ta ient
retraite es en deho rs de to ut règlement de
ble de ~ et sa ns aucu..ne co ntributio n préalaa part des bénéficia ires.
DeplIls le l e . '11
attribution
r jU I et 194 1, toule lI ouvelig
quelque c' d~o.us quelque fo rme o u· dans
Ou de seCm'
on Ibon que Ce soit} d'allocations
.
tementa u lrs viagers à des agents d épa rSeules x Ou co m~una u x, est interdite.
eQnditio peuve nt e tre reconduites, dans les
après ~s, et sous les r éserves é non cées CÎasse~bJ'e~ allocations accordées par les
ee:;
loca les
antérieurement
11. - Conditions de renouvellement des
allocations attribuées anlér,~eurement au
1er juillet 1941.
a) Révision annuelle.
~es a l1o~atio n s attribuées pour la première
fOI S ant~ne~ement a u 1er j uillet 1941. restent ob h gatorrement sou mises à une r cvisio n
annuelle.
Les assemblées locales so nt don c tenues
de. iaire. connaitre c haq ue a nn ée, par un e
délIbé ratIOn exp resse leur intention de ma intenir à leu rs agents le bé néfice de ces
subs ides.
b) Tau x des allocalions.
Afi n de tenir compte des diffi cultés économlq~ es actuelles, il a é té décidé que ce
a ll ocf:LtlOns. p.ourraie nt êt re majo rées dans
certaines lImites. Ces lIimit es se ront fix ées
p ~ r référe nce a u régime des pensions, éta nt
bien entendu, natu relleme nt, que cette référence n'a ura pas pour èffet de modifier la
nature juridique de j'allocation.
l~ a été ainsi p rév u que le ta ux des a ll ocahons pou rra désormais être ca lculé en
f,o nctio n du .te~ps de ser vices accompU par
1 agent cons ldcré, c haqu e année de serv ice
~ u min imum vita l tel Quïl est prév u à l'arhc le 65 de la loi du 20 Septembre 1 94~ ma is
sa ns qu 'en au cu n cas, ce pourcentage puisse
êt re supérie ur à 3 % .
Le minimum fixé pa r l'art ic le 65 de la loi
du 20 Septembre 1948, dont le monta nt a éte
modifi é (écemment pa r l'intervention du décret du 26 septemb re 195 1, est act uellement
de 120.o:JO francs (soit 80 % du mont ant des
émolume nts soumis à retenue pou r J'i nd ice
100 - a'rt. 2 du décret n' 5 1 - 11 29 du 26
Septembre 195 1.
Un a ncien agent co mmunal titu la ire de 20
anllée~ de s~rvices et en faveur duque l le
ConseJl Munici pa l intéressé deciderait l'attrib ution d'une a ll ocat ion égale à 2 % du minimum par année de se rvice, pourra donc recevo ir au maximum:
20 X 2 X 120.000
------------ = 48.000 fra ncs
100
Si la mesure co ncernait la veuve d'un ancicn age nt compta nt le mème temps de se rvice, l'allo cat ion serait égale à la moitié du
mon ta nt de celle dont all ra it bénéficié so n
mari, soit :
48.000
---- = 24.000 francs
2
A condition de ne pas dépasser le maximum autorisé, les assemblées intére...;;sces
seront li bres, si elles le jugent utile non seuleme nt de faire varier le pou rcen tage d'une
année à l'autre, mais également, a u cours
d'u ne même a nn ée, de fixer ce pourcentage
à un taux différent suivant les att ri butions
de façon à tenir compte de l'interêt des si tu ations particulières ou de la qualité des
se r vices rendu s.
Les se r vices militaires de temps de pa ix
~de temps de guerre pourront être admiti
pmu le calcu l des an nées de services, ma is
ne sero nt comptés qu e pour leur durée
etrective.
0) Possibilités de cumul des allocations
avec d'autres reSsources.
.Les a llo cations vi sées par la présente circul ai re pour ron t êt re cumulées avec tous
a utres revenus Y
l'a lloca tion aux
tempora ire alJ'X vieillards, à condition que
le lolal des ressources personnelles de l'a1lo~ta i re (y co mpris, bie n entendu, Le secour:;
viager accordé par la co llectivité) ne dépasse e n aucun cas le ma xi mum prévu par
l'ar ticle 5 de l'Ordonnance n' 45-170 du
2 février 1945, modifiée récemm ent pa r la
loi n" 5 1-1\26 dOl 26 septembre 195 1.
Ce ma xi mum est actuelle ment fi xé il
188.000 francs pa r a n pou r un allocataire
céliba ta ire et à 232.000 fra ncs par an pour
un a ll?catai re mari é. Il co nvient d'appeler
~ 'a tentlO n . des collecti vités su r le fût que les
secours viagers accordés ne devront pas ent raîner un dépassement de ces max imums,
ca r dans ce cas, la Joi p récitée a prévu que
les a Uocations aux vieu x travailleurs seraient
rédu ites en co nséq ue nce.
III. -
Approbation des délibéralions por-
tant renouvellement des allocations.
Aux termes de l'a rticl e 2 de la loi du
3 juillet 194 1, l'attribution des allocations
v.iagères d oit ètre so umise à une approbation ministé rielle.
Il est cependant apparu dési rable da ns
l'i~té.rêt des a llocatai res, lo rsque les' prescnptlons du c hapitre Il ci-dessus seron t obse rvées, de reco uri r, tout e n respectant l'esprit de la législation de 194 1, à ltlle procédure si mplifjée pl us expéditive qu e celle
édictée par ce texte.
C'est seulement en cas de contestatio ns
ou ~ ~ diffic~ltés soulev~es, soit par les collectIVités, SOIt par les bénéf iciaires, et su -ce pti bles d'entraîne r des recours contentieux
que les dossiers de demande devront être
adressés com me précédemment aux j\rtinistres de l'Intérieu r et du Budget.
Au contraire, lorsque les demandes p rése !1t ~es r entreront dans le cad re des p resc rJptl o ns du c hap itre H. il suffira d'observer
la procédure suivante :
Les collectivités intéres$ées auront à vous
sai~ ir d'un dossier ad ressé en quatre exempl a ires et comprenant les pièces s uivan tes :
l ' Extrai t de la délibération du Co nseil
Oêaé ral, du Conseil lylun icipal ou de la
Commission adminis trative aya nt attribué
pOli r la prem iè re fois (anté rieu rement au
1er juillet 1941) les a ll ocations e n ca use i
2" Extrait de la délibération portant renouvellement des a llocations pour l' a nn ée
cons idérée et fixant les taux de ces all ocations i
3° Pour chaque a llocataire, une notice
i~dividuelle in diquant ses noms. prénoms,
li e u et date de na issa nce, l'indication de
l'emploi occupé, le nombre des ann ~ e.!, de
services à prendre en compte, la mention
détailiêe des ressources de toutes natures
de l'intéressé (annexe A) ;
4° Un tableau récap itulatif \oncerna n·
les allocataires d'une même collectivité (annexe B) .
Après avo ir procédé à une vérification
minutieuse des p'r opositions qui vous seront
faites et, après avoi r pris l'avis du Trésorier
Payeu r Général, vous transmettrez deux
exemp lai res des dossiers accompagnés de
cet avis à la Caisse des Dépôts et Consig nations (10" Division - 3" Bureau).
Au cas où soit en raison des obse rvations
d u Trésorier P a yeur Général, soit de votre
p ropre chef, vous estimeriez ne pas devoit
donner suite
il vo us
�-
52
la délibératon null. de droit pour illégalité,
par application des articles 63 et 65 de la
loi municipale (ce serait le cas, par exemple, de l'octroi d'W1e allocation qui n'aurait
pas été instituèe avant le 1er juillet 1941),
sai: en application des articles 69 et 148 de
cette même lo~ de rejeter ou de réduire les
crédits budgétaires dont le montant vous
paraîtrait exagéré, eu égard aux ressources
communales.
IV. - Mise en paiement.
La Caisse des Dépôts et Consignations,
'Iprés réception des deux exemplaires des
dossiers accompagnés de l'avis du Trésorier Payeur Gënéral, procèdera à la mise
en paiement dans les mêmes conditions que
précédemment (cf. lettre commune du
26 janvier 1943).
Vous voudrez bien veiller à une exacte
observation des dispositions de la présente
circulaire qui seront applicables à compter
du 1er janvier 1952.
Pour le ,Ministre et par délégation,
Le Directeur du Cabinet
j. VERDIER.
•
Communiqués - Avis
Annonces diverses
04 B2
DONS ET LEGS
Aru publié ni. exéculion de fartick 3 dM dédw 1er fhJ,ûr 1896, dmt.s k but d'in~
'-es hi'-itj,ns incon.rwu des testtJk-urs à prendre
JOnft4issont:e du tnta~t, en vue th donner
"a
1",,. cOftSenUm<tTW ou de produire le14rs mo)'eft.J
'''ptlorifioK..
Lu reclamolions "e sonl ,.ecnxJbles qu~ dmu
Wl dél3Î tk trois moi.r d l'0rli,. d~ '~in.rertio,.
. . c BwJldi" ~.
Par testament olograp~ du 17 Février
1951 déposé aux minutes de M." Camille,
f>lotaire à Salon, feu jean-François-joseph
Brandis, décédé le 30 Décembre 1951. a
légué à la Commune de Salon une 90mme
de quatre m~liMs de francs.
Cette somme devra être employée à ]'''''quisition de titres de rente sur l'Etat Idont
les revenuS seront 'Versés au frère du défunt
et légatair-e universel, sa vie durant.
AU décès de ce dernier, les revenus de
ces titres seront alors chaque année distribués à divers établissements et œuvres !d'assistance et <le bienfaisance ayant une activité
à Salon, par les sojns d' un Conseil d' A'<iministration Autonome placé sous la présiden.ce
du Maire de la Commune.
Conformément aux dispositions du d\!oret
du 1er Février 1896 les héritiers con nus ou
inconnus de M, Jean Brandis sont invités à
prendre <connaissance du testa ment et à
donner leur consentement â son exéc·ution
de prodwre leurs moyens d'opposition ~s
un délai de trois mois à dater du jour du
présent avis.
MarseiDe, le Il Février 1952
...
Par testament olographe du Il Avril 1949
déposé aux minutes de MI' Maurice Frévol,
Notaire à Marseille, 56, rue Grignan, feu
Pierre-Antoine Caubet, a légué :
Cent mille n-ancs à l'Œuvre Ide Saint-jeand..,Dieu à Marseille, Saint.Jlarthélemy ;
Cent mille fran.:s aux Petites Sœurs dies
Pauvres, à Marseille, Sainte-Anne ;
Cent mille francs à l'Institut Régional des
Sourds-Muets et Aveugles ;
,Cent mille francs à l'Orphelinat Vitagliano,
à Marseille.
Ces legs. sont faits nets de tous frais et
droits de succession
Conformément aux dispositions du décret
dU 1er Février 1896, les héritiers .:onnus ou
inconnus de ~t Pierre-Antoine Caubet, sont
invités à prendre connaissance du testament,
donner leur consentement à son exéc.ution
ou produire leurs moyens. rl~opposition dans
un délai de trois mois à dater du jour dll
'présent avis.
Marseille, le 14 fév rier 1952.
Par testament olographe du 5 Octob
1949, déposé aux minutes de M' Cour/'
Notaire à Marseille, 78, rue Saint.J'~~'
feu Clémentine-Henriette-,E[ise über!; 0 ,
Oberty. veuve Alèxandre Joubert a insn ou
l'Hôpital Ambroise Paré 1 rue du ,o.-talu.
...~ '1'_ son 1é gataire
" unitversel. r .. 1
a. UVlldrsel!"C
1
Conformément aux dispositions d" d'éc t
du 1er Février 1896, les héritiers connus ~'u
IOconnus de Mme O?""ti ou Oberty Vl!uvi
Joubert, sont InVités a -prendre connaiSsance
du testam"!'t, donner leur consentement.
son exéc.utlon ou produirè leurs mo
yens
d, OppOSI't'Ion dans un . dé lai t!e trois mo~
â
dater \du Jour du present avis.
n,
Marsei lle, le 16 Février 1952.
•••
Par testament authentique du 6 Avril t944
d'éposé aux minutes de Mo' Frévot Notai"
à Marseille, feu Blanche Meyer veu~e Bedri.
nes, a légué :
1· A l'Œuvre de la Provi<lence des Orpholines de Marseille, 40, bo ulevard Voltaire;
MarseiUe, la somme de vin!rt
mille fra......!
.,
b
.. "
2· A l'a Ville de Marseille pour l'entrclie11
du tombeau Ua'Vid Meyer, au dmetière israt·
lite, une cente perpétuelle de deux cenl>
francs par an ;
3· A la vjlle de Montélimar ]Jour l'entretien
du tombeau Genton, au ~i m etière d. cette
vi ll e, une rente perpétuelle de deux ct!lts
francs par an.
Conformément a ux dispositions du ~I
du l'er ,février 1896, les héritiers connus ou
in con nus de Mme veuve Bedrines, sont in\i·
tés à prendre connaissance et donner lat!'
consentement à Son exécution ou p r~.lire
leurs moyens d'opposition dans un délai il<
trois mois à dater du jour du présent avis.
Marseille, le 2 1 Février 1952.
- - - -<:.00«:»- - -
RÉPUBLIQUE
fi I.n 1952
FRANClAISE
10' Année. -
DËPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
N· 10
.",. c
........
7'
Recueil des Actes Administlatifs .
et Bulletin des Mairies
J
.......J
j
ru
<4
>"
Toute corre8pondance relative au Recueil doit "tre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
A.BRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origin •.
D. S. T. : Direction des Services Techniques. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départ.mentale de la Population.
SOMMAIRE
Pai et
Arrêtés réglementaires et Circulaires
AG O. - Atb,ibution d.e dots à un certain nombre de. filles de déposants
et d'assurés de la Cabsse nationale
d'assurances sur la vie (anciennes
Caisses nationales Kie Retra-ites pour
la vjeiHesse et d'assurances en cas
dè décès fusionnées) ......... .. .. . .
AG O. - Pef'SOnnel dép .. temental. Radiation d.u cadre ..... ........ .
AG 2. Salaires des journatiers
communaux .. . .... .. . . . . ...... .
AG 2. - Création d'une Médaille d'Or
d~artementale et comm.unale ... . . .
AG 2. - Prestations familia les. - Circulaire ministérielle n· 6 1-AD/3 ..
AG 13. - Evaluation des domma ges de
guerre aux éléments d'exploitation
agricoles .. . .......... . ..... . ... .
53
54
54
54
54
AG 13. - Evaluation des dommages
de guerre aux éléments d'exploitation non agricoles - 2e tranche ... .
P O. - Quête organisée par des associations s'intéressant il l' Indochine. .
BC O. - Expertise de biens commulI au,'< - Circulaire ministérielle n° 69
A~2.
... .
. . . . ... . ..
TYX O. - Décla ration d'utilité publique des travaux d'aménagement du
ca rrefour des chemins départementa ux n·' 16 et 53 B. dit de « 1' Etoble »
dans la commune d'Istres ...... . .
l'VX O. - Déclaration d' utilité publique des tra vaux d' aména gement du
carrefour des chemins départemen
taux n oa 10 et 69 D. dans la commun e de Miramas . . ............. .
FS O. -
56
57
~
51
57
Renouvellement 'du Conseil
Paiel
Départementa l de l'Assistance ,publique el privée ..... .. .......... . ..
FS O. - Arrête habilitant la Commi
sion Départementale de réfo rme du
personnel hospitalier du département
des B.-du-<R. à donner son avis su r
l'octroi des co ngés de longue durée.
~C 3. Fonds National de Compensation des allocations familiales.- Circulairè ministérielle n· 65 AD/ 3 ..
Textes d'Intérêt Oénéral
AC 3. - Instructon relative au mode
de calcul des prestations en espèces
de ,' a UranCe invalidité des fonctionnaires assujettis au régime de sécurité sociale institué par le décret du
3 1 décembre 1946 . . ... ... ..... ...
58
61
61
62
Erratum
FS 7. - Hospice de blaussane - Prix
de jOlU"née prévisionnel 1952 ... . ..
62
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D283
AC 0
ATTRIBUTION DE DOTS A UN CERTAIN NOMBRE DE F1Ll.ES DE
DEPOSANTS ET D'ASSURES DE LA
CAISSE NATIONALE D'ASSURANCES
SUR LA VIE (ANCIENNES CAISSES
NATIONALES DES RETRAITES POUR
LA VIEILLESSE ET D'ASSURANCES
EN CAS DE DECES FUSIONNEES),
Copie certifiée conforme :
Pour le Préfe t :
Le Secrélaire Général
LAMASSOURE.
------------------------~--~~--~~--------------------------------hll'al"''': 1f09t"'l:U.a DE )(.&.asall.J..a, 110, avs S.u.-r.
j'ai. l'hOnneur de porter ci-dessous à la
connaIssance de MIM. les Maires du Dèpar:ement le texte de la circulaire d~ DireceUr . Général de la Caisse des Dépôts et
C~nS1goahOf]S relative à l'ol>jeb sus~isé.
Pour le Piréfet des >B.-du-Rh.,
Le Secrétaire Général :
LAMASSOURE .
n ~a Commission su,périeure de la Caisse
d~ onale d'assurances sur la vie a décidé,
de n.s .Ie but d'enco ura ger la !prévoyance et
assurecompenser l es efforts des pefsonnes
rées près de cette institution, de l"Qcé-
der à l'attribution de dots de t 5.000 francs
à un certai n nombre de jeunes filles choisies
parmi les enfants de t itu lai res de livrets ou
de contrats de ladite Caisse, ayant é.levé une
famille nombreuse.
Pour concourir à l'attribution de ces dotsJ
candidates et leurs pare.nts doivent
réunir les condHions suivantes :
les
1· Le père (ou la mère) doit avoir effectué de son plein QTé, en dehors de l'application des législations sur les retraites o u·
vrières et les assurances soc.iales et en
dehQr~ de toute affWatio n à un système collectif de prévoyance, des versements sur une
assurance de re nte ou d.e capital en cas de
vie ou en c.as de décès souscrite à so n n0!'l
o.u au nom de ses enfants
(as~urances VIC
elltière, mi xte, temporaire, dotal~, terme
fi xe, capital différé, rente de surVie, rente
différée., rente immédiate)
2. Il ne doit pas ètre assujetU à la s urtaxe progressive gur le revenu des person-
nes physiques au titre de l'année 1951 (reven us de 1950) ;
•
3° La jeune fille à doter doit appartenir
à une familte d'au moins trois enfants vjva nts, être âgée de moins de qui nze ans et
n'avoir pas bénéiicié de l'une des do tations
accordées au cours des années précédentes
par la Caisse Nationale des Retraites pOUl
la Vieillesse et ru Caisse Nationale d' Assu.
rances en cas de décès.
Dans le cas où plusieurs sœurs se trouveraient dans les conditions requises, la dot
sera attribu êe à la plus jeune. Ma is la
sœur cade tte d' une jeune fille déjà bénéficiaire d' une précédente dotation peut, dès
sa nai ance, être admise à concourir dès
lors qu e-lle rempl it les conditions exigées.
A défaut de nou:vetle naissance, si la famille comprend au moins cinq enfants vi vants, la plus jeune sœur aînée d'une jeune
mie dotée depuis au main trois a ns peut
être admis e à concourir dans les mêmes.
J
�-
·~
conditions ~i, depuis lors, le pèr~ (ou la
02 B3
mère) a po ursuiv i ses efforts de prevoyance.
C R E ATIO N D 'UNE MED AILLE O ' OR
D EPARTEMENTALE ET C OMMUNALE
La Caisse Nationale l'erse sur des livrets
de capital différé la somme nécessaire pOUl'
constituer, au profit de chaqu~ enfant admi s à la répartition la dotation payable
quand l'enfant atteindra 25 ans.
Les demandes de postulants seront exa-
minées par la Caisse des Uépôt:s ~t ConS1:
!mations et les dots se ron t attn buees dam;
Îa limite des disponibilités en tenant
~ompte
:
10 du nombre d' enfants ;
2 0 de l'effort de prévoyance des pa re nts.
Les personnes
désirant concouri r pour
l'attri bution des dots dont il s'agi~ devront
en informer avant le 1er avril 1952, le Di-
recteur genéral de la Caisse, des, Dép~ts ~t
Consi!!TIatio ns (56. rue de LIlle a Pa n s (7 )
qui le~r fera parvenir '.a f?~mu~e à r,empfir
et leur indique ra les }ushflcaltons a produire.
Je \'o us serais obligé de vouloir bien. faire
insérer la p rése ryte lettre dans le Recueil des
actes administratifs de \'ot re département et
prendre- tou tes autres mesures . que . ~ous j~
gerez uti les pour que les dl~POS ltio~s CI~
dessus soient portées le plus tot poss ible a
la conna i ance des intêressés par l'entremise des ,Ma ires.
j'ajoute qu'il y a ura it égaleme nt in!é~êt .à
ce que ceux des journau x I?caux qUI ms ~
re.nt habituellement sans fra IS les comm uni cations administratives fussent saisis. par
vos soins, de ces renseignements susceptibles d'intéresser leurs lecteurS.
Jean W ATTEAU.
- - -<> 00<>- - --
05 B3
AG 0
PERSONNEL DEPARTEMENTAL
RADIATION DU CADRE
Par arrêté préfectoral en date du 18 février 1952, k\\me Lejeune née Prayer Paulette, Commis principal, est rayée du C~dre
Depa rtemental à compter du 1er mai 1948.
Pour le Préfet et par Délégatio n,
Le Secrétaire Général:
LAMASSOURE.
- - - < >00<>-- - -
02 B3
AG 2
SALAIRES DES JOURNALIERS
COMMUNAUX
Les journaliers communaux étant rémun~rés
sur les bases des sa laires pratioués
dans l'Industrie du Bâ timent et des T ra\'aUX Pu blics. Messieurs les Maires po urront se référer pour l'établissement de
leurs salaires aux bordereaux insérés dans
le bulletin n·' 7 et 8 des 14 et 21 février
1952.
P.our le Prtlet des Bouches-du-Rhône,
Le S~rétaire Généra l :
LAMASSOURE.
-------c ~o o< » -------
AG 2
J'ai l' honneur de po.rter ci -desso~s à la
conna issance de Messieurs les Maires du
Département le texte du d ~r~t n " 52.159
du 16 février 1952 portant creahon de la
Médailte d'Or depaTtementale et communale.
Pour le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Le Secrétaire Généra l :
LAMASSOURE.
Décret nt) 52- 159 du 16 fév r ier 1952 po rtant creation de la Meda ille d' Or déparlementale et communale.
Le President du Conseil des minÎst res.
Sur le rapport du ministre de l'Intérieur,
Vu le décret du 7 juin 1945, modiiié et
complété par les décrets des 20 décembre
1945, 14 février, 23 ma i et 5 septembre 1946,
Déc rète :
Article premier. -- L'article 3 du décret
du 7 juin 1945, modif ié par le décret du
20 d écem b re 1945, est abrogé et remplacé
par les dispositions suivantes :
« Art. 3. La médaille d'Honne ur départementale ct co mm un.1le compo rt e trois
échelons :
c La Médaille d' Argent est décernée après
vingt-ci nq an s de services a ux agents qu.i
au ro nt m anifesté une réelle compétence professi on nelle et un 'dévouement constant dans
l' exercice de leurs fonctions;
« La Médaille de Vermeil peut être d écernée après trente-cinq ans de se rvice aux
agents qui auront fait preuve de mérites
pa rticuliers au cou rs de leur carriè re. A
l'int érieur de chaque promotio n, ell e ne
pou rra être accordée que dans la limite du
dixième des médailles d' argent décernées ;
c La Méda ille d'O r peut être déce rn ée
après quarante-cinq ans de services aux
agents qu i a uro nt fait preuve au cou rs de
leur carr ière de mér ites exception nel s. A
l'int érieur de chaque promotion l elle ne
po u rra être accordée que , dans la limi te du
dixième des mé'dailles de vermeil décernées.
« La Médai lle d ' Ho nneur départementale
et commu'nale pou rra Hre décernée, à
posthume, aux personJles décooées par suite
de l'e xe rcice de leurs fonctions, ou en raison de leur attitude ,patriotique et qui totalisent, au moment de leur décês :
Ir Di x ans de services pour la Meda ille
d'argent j
< Vin gt-ci nq ans de se n rices pour la J\\édaille de vermei l ;
c Trente-cinq ans de services pou r la
Médaille d'o r •.
titre
Ar!. 2. -- Il est inséré dan le décret du
14 février 1946 un article 2 bis ainsi co nçu:
c Art. 2 bis, - Le temps de service exigé
des candidats à la Médaille d ' Hon neur départementale et communa le en or est réduit
à quara nte ans pour les fonctionnaires et
agents de toute nature des départements,
des communes et des établissements p ublics
dépa rtementaux et communaux r ésida nt en
Algérie. Cc délai est réd uit à trente~il1q ans
pour les titulaires d'emplois départementaux
et communaux comptant au moins vingtcinq ans de ~rvices dans les communes dés
territoires du Sud de l'A lgé ri e désignées à
l'article 1er du
décret >_
Ar!. 3. Le Ministre de l'Inlérieur es
chargé de l'exéc ution du présent décret qUi
sera publié au
Journal Officiel )
I~
~J!:pub l ique française.
c
de
Fait à Paris, le 16 février 1952.
Edgar FAURE
Par le Pr6siden~ du Co nsei l des Ministres;
Le Ministre ôe l' Intérieu r :
OJarles IliRUNE.
Le Secrétaire d ' Etat à l' Intérieur
'
André CO LI N.
------- «> oo c~ ----
__
D2 B3
AG 2
P RESTAT IONS F AMILIALES
Circulaire ministérielle n" 61 AD/ 3
J'ai l'honn eur de pa.rter c i-de~sous â la
connaissance de Messieurs les ,Maires du
Departement, le te xte de l'a circulaire de
M. le Ministre de l' Intérieur, n" 61 ADj3
du 13 février 1952.
Pour le -Préfet des Bouches' du-Rhône,
Le Secrétaire Général:
LM1IASSOUIRE.
MIN ISTERE DE L' IN11ERJ.EUR
Düection de l' Administration
Dépa rtemen tale et Communale
3e B ureau
Circu laire n" 6 1 AD/ 3
13 fév r ier 1952.
Le Min istre de l'Intérieur,
à MM. les -Préfets de la Métropole,
OBJET : IRégime applicable en ce qui
concerne les ,prestations familia les aux
personnels employés à temps incomplet
ou de manière intermittente par le~
collectiv ités affiliées au Fonds National
de Compensatio n des Allocations Familia les.
Conformément aux te rm es de l'a rticle 4
de la loi du 22 août 1946, les collectivites
publiques, Etat et co ll ectivités locales" ~up
portent la ch a r ge des, pres tations familiales
pour leurs a ge nts respectifs.
L'a pplication de ces dispositions d ~nnant
li eu à certaines d i fficl~lt é s, en ce qUI co."cerne les agents emp loyés à temp5 pa~ftel
ou de manièr e intermittente?u occaslon/.
nell e M , !le Ministre du Trava Il a de~and
l'avis du Conseil d 'Eta t sur l'application de
cet art icle à tette categorie d'agents.
Se référant a u'X termes de l'avis ~u
18 avril 1950 cm is par la Haute Assembl:e,
M, le Mini s t re du Bud get a diffusé une ~
culaire n" 96 6 B/ 12 du 23 novemb re 1
er ln951'
Ilrécisant qu 'à dater du 1er Janvi
. ' es r,n« il y aura lieu d'aff ilier aux CalS!'i
"
maires de Sécurité Sociale pou r les t~CC1n;
dents du traval'1 et aux C al. es d' Alloca
' T JOles•
Familiales pour les prestations ~amlt'a u~
les personnels s uivan ts, tant de 1fta q
des coll&tivités locales:
t ré.- les personnels exc ePtio ~nel1em~n tra'
munérés Sll r orédits de maténel ou e
vaux ;
' crédits
les person nels rémunéres S\I,r, 1 ca"
de personnel mais presentant le, tr;P.ê par
ractère de n' avoir pas leur eff~ct.lfla;i~'e, de
de dispositions ayant force legls 't ublic,
n'être soumis à aucun sta tu t de. dr~lmi~ente,
et d'êt re emp loyé soit de façon mte.
d'une
soit à temps partiel, soit à l'occa~,on
tâche détermin ée et lim itée dans e
55
L'a»l1licatio n de cette instructio n aux
30'cnts des co ll ecti~ i tés 'Ioca le~ ayant so ll.levé
d~S difficultés d' lO te~préta~loll, en ~alSo~
tamment de la termlnoloO'le emp loyce qUI
~~ppl ique plutèt aux age nts de 1.'E:tat, j'ai
estim.é, d'accord ave~ A'\. le MI.n,1·tre du
Budget, q u'i l conye na lt I,deb .le dITIOdl, fler . da l~s
des co nd itions qUI f,o nt 0 je t e a prese n e
circu lai re, en ~e qUI C
I oncernt:!1 le~ J>ectrs ofnnelS
des co ll ectivites loca es ef!1p oye~ , e açoll
intermittente, à te mps partie! .0 li. ~ 1 occaSio n
d'une tâche déterm inée et ltmltec dans le
temps.
Toutefo is, il a été décide, d'a~cord avec
M. le Minist re de la Santé Publique et cte
la Popu la tion, que la Ci rcu laire d u 23 n~
vembre 1950 deme ure i ntégra~eme~t appl1ca~ l e aux pers:o nn,els des . etabhs sem.ent6
pub1îcs d' hospltahsatlOn, de SO lOS ou de cure .
A -- RAPPEL DE LA REGLEMENTA.
TION
ACTUELLEMENT
EN
VIGUEUR.
J. - FONDS NATIONAL
DE COMAENSATION
Dans J' état actue l de la légis lation, les
departements. communes et établi ss,em~~ts
publics corrununa ux so nt tenus de. s aff il ier
obligatoirement au . Fond.s Nahonal de
Compensatio n. Ce I Ul-CI~ cree par . I .~ rtlcle 42
du décret du 29 juill et 1939 mod,l",a pour
objet de répartir entre ces co ll echvJlés les
charges rés ultant ,po ur celles-ci d~ s prestations famil iales q u'ell es versent directement
il leurs pe rsonnels.
En vue de la compensation, lesdites collectivités adressent ohaque année, a u Préfet
du ijépartement un état étab lissa nt, d'une
part, le tota l d~ sa laires payés et, d :2:utre
part le total des prestations famlhales
qU'eÎles ont versees pendant la même période de temps.
La Caisse des Dépôts et Consignations
qui gère le Fonds National détermine alors
le taux moyen de la charge des prestations,
au vu duquel les collectivités sont décl~rée::;
créa nciè res ou débitrices du Fonds s UIv a nt
qu'elles ont ,payé des prestations familiales
plus ou moins élevées que ce taux,
II. -- DRO IT AUX PRESTATIONS
FAMIU AIJES ,oES AGENTS
EMPLOYES A TBMPS lNCOJlH'iLET
Aux termes du décret du 21 avri l 1948 et
de l'arrêté du 6 août 1948 de M. le M.inis·tre du Travail et de la Sécuri té Socia le, les
sala ri és qui n'ont pas travaille au mo ins
120 heures par mois ne peuvent bénéficier
des presta tions familiales ,
Les collectivités loca les n'o nt donc pas à
payer les prestations familial es à leurs
a.gents qui ne remplissen t pas cette condilion. Elles sont tenues néa nmoin s de déclarer ~u Fonds National de Compensa tion I.es
salaires qu'elles leur ont verses (cf. ma circulaire 21 AJD / 3 du 23 ja nv ier 1950).
III. -- ACTIVITES MU.LT IPLES
En Cas d'activités mul tiples, il convient
de recherc!lcr si l'e nsemb le des activités
Jl,ennet ~ l'i ntéressé d e répo ndre au x condi_~ons. e~lg~es P?ur bénéficj~r des .pres~atiol1s.
ina ~lS 1 afflrmahve, cell es-ct sont vers ees au x
"tere~s pa r le pr incipa l emp loye ur o u
1 orga!lism~ auquel celu i- ci est affilié pour
f.'\ prestations familiales de SOn personnel.
En
.
s'agissant d'U~l sa larié
mu .
le
principa l emp loyeur est une collectivité loca le, ce lle- ci est tenue de ve rse r à l' intéressé
la tota lité des prestations familiales auxquelles celui-ci peut prétendre, à condition
d'être affiliée pour cet agent ad Fonds Natioual de Compens ation dan s les conditions
ci-dessous exposées.
B. -
NOUVEAU REGIME DES PRESTATIONS
FAMILIALES VES
AGENTS DES LOLLECTI VI TES
LOCALES EMPLOYES SOI T DE
FAÇON INTERM ITTENTE, SOI T
A TEMPS PARTIEL , SOI T A
L'OCCASION D'UNE TACHE
DETERMINEE
ET
LIMI TEE
DANS LE TEMPS.
En v il e de ,l'a pplicatio.n à ces person ne ls
de J'avis émis par le Conseil d' Etat. le
18 avril 1950, atl.sujet des agents de l' Etat,
les départements ministérie ls ci-dessus vis és se sont mis d'at;cord pou,r retenir les
principes suiva nts :
1. - IJ n'y a pas lieu de distinguer
com me le fa isait la ci rcul a ire du 23 novemb re 1950, tes agents r ém un ér és sur crédits
de matériel Ou de travC1Ux de ce ux qui sont
payés sur cr édits de personnels.
Le régime des prestations familiales applica bl es à des agents rémunérés sur crédits
de matérie l (ouvriers auxiliaires des chemi ns vicinau·x oroinai res) se ra déterm iné
par référence aux critères ci-dessous retenus.
I ~. Seul sera pris en considération pou r
la détenn ination du rêgime de prestations
familiales app licab les aux agent s des collectivités secondaires le fa it po ur Cp.s derniers:
1" d'êt re employés ou non à temps
compiet ;
2 ° d 'ê tre ou non recrutés pou r une durée
lim itée dan s le temps ou pQur l'accomplissement d'u.ne tflche déterminée;
3 11 d'être un is ou nOI1 à leur Administration par un lien de droit pu blic.
A cet effet) doit être considére comme
éta nt ern.ployé à temps complet tout a ge nt
qui travaille au moins· 120 heures par mois
au se rvice d' une ou de 'Plus ieurs co ll ectivités
locales (par exemple secrétaire de mairie
a ccompliss.ant au service de deu x commu~
nes respectivement ïO ct 50 heure s de travail pa r mois ) .
Est considérc comme étant sou mis il. un
statut de droit public, l' agent qui a fait
l'objet d'u'n e nomin ation par arrêté pour
une durée indéterminée. Le fait pou r un
employé comrn.una l ou dépa rtemental d'être
nommé par un acte éc r it pou r un certai n
laps de temps ou pour l'a ccomplissement
d'une tâ che d étermi née ne sa ura it co nf érer
à son bénéficiaire la permanence qui donne
il la si tuat io n des age nts publics so n caractère règlementaire.
IEn l'O nSl.'q uellce, il y a li eu d e distin-
guer :
1. - L es auen ts pour lesquels les cof(ectivités locales ° denl'euren t affNiées ail Fonds
National tic Compensation.
a) Les agents travail1ant ail moins 120 h .
par mois qui o nt fait ou! .non Pobje.t d'une
nomination par arrt?:té à conclitio.1I d 'avoi r
été rec ru tés pour une durée indéterminée.
b) Les agents travailla nt moins de 12~ h.
par mois qui O!lt fait l'objet d~unc nO~lna·
tion par arrêté pour une d~rée Ind é ter~llOée .
totalité des agents des collectivités locales
et principalement les gardeS-champêtres (qui
font obligatoirement l'objet d'un arrêté municipal étant donné qu'ils doivent être agréés
par le Préfet ou le Sous-Ptréfet) et les calltonllÎers.
A ces ca tégories, i~ convient d' ajouter les
femmes de service des éco les maternelles
qui, si elles ne sont pas nommées .par arrêté
mu nicipal, doivent l'être par la Direc tri ce
s ur agréme nt d u ma ire.
c) Dans to us les cas, et par r éfé rence il
l'avis précité du Conseil d'Etat du 18 avril
1950., te Secrétaire de Mairie, en raison de
la nat ure de son emploi qui le fait in contestab l~ment entrer dans la catégorie des
agents publics.
JI convient toutefois que cet agent soit
ret;r uté pour une durée indéterminée.
Les collectivités iocale::; sont tenues de
faire figurer s ur l'état a nnue l de sa la ires et
de presta tions familiales adressé par leurs
SOlOS et par votre ~n terméd i aire à la Caisse
de::; Dépôts et -Consignations, les remunérations ai nsi que, éve ntuellemen.t, les allocations qu'el les o nt, versées' à ces agents.
Il . - Les agents pour lesquels les collecti vités locales so nt teflues de s'affilier désonl/ais aux Caisses d'al/ofations familiales.
(Par caisses d'a110cations familiales, il
cOJ1vient d'entendre, stliÎvant les C<1S, soit les
Ca isses du régime du commerce et de l'industrie, soi t les Caisses du régime agricole).
a) Agents travaillant pius ou moins de
120 heures pa r mo is a u se rvice d' une co ll ectivité, qui ont fait l'objet d'une nomination
par arrêté, mais qui ont été recrutés pour
une durée limi tée ou pour l'accomplissement
d ' une tâche déterminee et limitée dans le
temps (cas 'de la perso.nne nomm ée pa r arrêté municipa l pour s upple er le titulaire malade penda nt la durée de so n conge - cas
des ouvrie rs saison niers bûcherons ouvrier recruté pou r effectuer un travail d étermine),
b) Agents travai.lant mo ins de 120 heures
par mo is qui n'ont pas été nommés par a·rrête et quelle que soit la durée de leurs se rvices (femmes de ménage).
Les collectivités loca les n'ont pas à faire
fig ure r le montant des salaires payés à ces
sa la riés su r l'état an nuel de sa!aües et de
prestations familiales ad ressé à la Caisse
des D6pôts et Consignations. Elles versent
à la Caisse d'allocations familiales compétente les cotisations d'allocations familiales
ca lcu lées e n fonction du salaire payé.
Ill. - L es agents des collectivit és locales
ne percel'ont lfll'un e faible ré11lunérafJon et
exerçan t par aillellrs Une actwitt} principale
,nOn salariée.
Il résulte de J'avis du Conse il d ' Etat du
13 juin 1950 que les personnes qui ne perço iven t qu'une faible rémun ération telles que
ger.a nts de cabines t61étphon iques rurales ,
porteurs de dépêches, sonneurs de cloches
et remonteurs d' horJ og~ et qui exercent,
par ailleurs, à titre d'activité prin cipale une
pro1fess ion nOUl sa lari ée, Ill! doivent pas être
co nsidérée s comme acco mplis~ant une activite sa la riée a up rès de la coltectivité locale
lorsque. les s ervices rendus à celle-ci sont
connexes à leur activité principaJe.
Le Conseil d 'Etat a souligné que doivent
être regardés COmme connexes
1 Les services
<)
�•
-
56
porte l'exercice nonnal de la profession de
l'intl'ressé. (Par exemple, l'horloge'!" chargé
dt remonter ~s horloges de la commune
ou le peintre chargé de repeindre les murs
d. la mairie) ;
2' Les services rendus à la collectivité
lorsqu'ils sont de naJure ~. amélio~er l'exer-
cice de la profession de . 1 mt~resse ~cas du
cafetier gérant de la cabme teléphomque).
La collectivite locale, ai nsi que je vous
l'ai précisé par circulaire n' 15 AD/3 <lu
18 janvier 195(, n'a pas, lors de sa dealaralion annuelle, à taire état des sommes ,payées
aux trayailleurs dont il s'agit, pas plus
qu'elle n'a à. verser de cotisation aux cais-
ses d'allocations familiales aw tit re de ces
derniers
Si les servîtes Tendus à la collecti\Tjté ne
sont pas connexes à ['activité principale ou
si cene adÎ\·ité principale est une activHé
salariee. les Îhté ressés seront considérés
comme des salariés et soumis, en ce qui
concerne le régime des prestations familiales, aux règles qui font l'objet de la présente
instruction (cas d'un agricOlteur porteu r de
dép<ches pour le compte d'une commune).
La ,présente circulaire est applicable à
compter du 1er avril 1952 sauT en ce qui
COncerne les personnels qui, confotmement
aux termes de l'instruction du 23 novembre
19:;0, ont été affilies aux caisses <l'allocations familiales à la demande des collectivites locales et qui, aUx termes des présentes
prescrip1ion~ doivent le demeurer. Po.ur
ceux-ci, la date de mise en \'igueur du
nouveau régime demeure ceUe du 1er jan-
vier 1951.
DECIDE:
ARTICLE PRE."lêR. - Le programme d'évaluation des éléments d·explOltation ~ffectes
à un usage agricole doit être, dans les trèpartements des 'Bouches-<lu-Rhône et du Vaucluse réalisé avant le 1er août 1952.
ART. 2. _ Le délai du 1er Août 1952 n'est
valable que pou·r les biens dont la reconst,tution n'a pas été idéclarée prioritaire, les
arrétés de prioritl' fixant les délaiS cte 'II•• gueur
Qui, le caS éohéant, se substituent au délaI
ci-dessus.
ART. 3. - Les lisles des dommages subis,
en ce qui concerne le cheptel vif et mort, ou
les rapports éta·blis par <les experts agréés,
dans les cas suivants :
a) restauration et amélioration foncière si
elles dépassent 800.000 'rancs ;
b) culture .p1ur.iannueBes, si la va leur vénale
dépasse 5.000.000 ;
c) reconstitution physiq,ue et chimique Id'u
sol,
devront en conséquence pour les éléments
d'exploitation affectés à un usage agricole
être déposés avant le 1er Août 1952. à la
Délégation <u.terdépart.mentale des Bouchesdu-Rhône, :;0, ru e Saint-Lazare, Marseille.
ART. 4. -
Les propriétaires des biens visés
à l'article 1, auront la faculté <le sign.fier à
mes serv.ices avant ('expiration du délai cidessus fixé, qu'ils n'entendent pas, soit <1époser eux-mè-mes la liste des dommages qu'ils
ont subis, soit faire pfocéder par un expert
de leur choix à l'établissement d' un ra pport
et qu'ils la~ ent par s uite ce soin à ,l'AJelministra.tion.
Pou r le Ministre et par déiéga tion,
Le Direc!eur du Cabinet:
ART. 5. - Les pièces teohniques nécessaires à l'évaluation des dommages visés à Partiele l, qui n'auront pas été déposées à mon
Jean VERDŒR.
Servke des Dommages là'e Guerre ou con-
vention des architectes experts et techni.
ciens dans la reconstitution des biens endom.
magés par fai,ts de guerre,
Vu l'arrêté de Mc le M]inistre de la Recons.
Iruction et ·d'e l'U rba n.isme en date du 5 Mai
1950 portant d'é1égation il ses Délégués Dé.
partementallx
D5 BI
EVALUATION DES DOMMAGES DE
GUERRE AUX ELEMENTS D'EXPLOITATION AGRICOLES.
Ministere de la Reconstruction et de l'Urbanisme - Délégation départementale des
Bouches-<lu-Rhône _ Service des Dommages de Guerr".
L' ln ""éDieur en Chef, délégué <lu ,'Ainlstre
de la Reconstruction et de t'Urbanisme pour
les Départements des Bouches-du-Rhône, du
Gatd-Lozère, Vaucluse,
Vu les dispositions des aTtides 3, 38, 39,
40 et 71 de la loi du 28 Octobre 1946 sur les
dommages de guerre,
Vu les dispositions des articles 18, 19, 20
du décret n" 46-2960 du 31 Décembre 1946
portant Teglement d'administration publique
pour l'application de la loi sus-visée,
Vu les dispositions de l'article 13 clu décret
n" 50-182 du 3 Février 1950, relatif à rintervention des arcllitectes experts et techniciens dans la reconstitution des biens endommagés par faits de guerre,
Vu l'arreté de M. le Ministre de la Reconstruction et Ide l'Urbanisme en date du 5 Mai
1950 portant <IéIégation à ses Délégués Départementaux pour fixer le
nt de départ
aux sinistrés
experts agréés désignés 'Par l'Administration.
ART. 6. - Les Experts qui serant désignés
par 1'"Administration pour p'rocéder aux évaluations ser{) nt r émunérés (f.a,ns les corid'ltions
du tit<e III du d:éoret n" :;0.182 du 3 février
1950.
ART. 7. -
La présente décision fera l'objet
de la plus g rand e diffusion, par insertion .dans
le Bulletin des Actes AJdIministratifs <1u Dépa rtement et dans la presse dk partemen tal e ;
par affichage dans les Mairies ~t avis alLX
groupements de sinistrés et aux Experts.
Marseille, le 30 janvier 1952.
Signé : R. CAliLOUD.
-------C) ooc> ------D5 BI
AG 13
EVALUATION DES DOMMAGES DE
GUERRE AUX ELEMENTS D'EXPLOITATION NON AGRICOLES.
(Deuxième tranche)
Ministère de la Reconstrudion et <lie l'Urbanisme - Délégation inte rd éparte mentale
des Bouches-du-Rhône - Service des dk>mmages de guet're.
L' ln gén;eur en Oh.ef, <lélégué du Minist1'e
de la Reconstruetion et de l'Urbanisme pour
les Départements des BOUChes-du-Rhône du
GaJTd-Lozère, Vauduse,
'
fixer le 'Point de départ
rart.c1e 1 qui nauront pas éte déposées il
aUCun servit:e
mon Service (tes Dommages de Ouerre ou
confiees à l'initiative d'e ce dern.ier, avant ~
cas, il se rait souhaitable que
15 aoûl 1952, seront établies d' office par d~
à un usage inld.ustriel, commercial, artisanal,
professionnel, socral, culturel ou à un ser·
vice public doit être, dans le d'partemenl
des Bouches-du-Rhône réalisé avant le 1;
Août 1952, pour les pro fessions suivantes :
-
Etablissements scolaires - Colonies dt
vacances.
-
Manutention - Pesage - levage.
Matériel <le garage et ateliers de rép.1.
ration . Accessokes pOUT automobiles.
_ T eintures - Blanchiments _ apprêtsrmp.ressions sur étoffes.
- Agen ceme nts des magasins.
- Ind ustrie du liège..
- Matériel électrjque et moteur.
-
-
Cabinets dentaires.
- M ,atériel de concassage et d'agg1omf-.
ration de charbons.
-
Madhines outils.
Sé cheurs et raffineries de chicorée.
Réservoirs métalliques.
-
Pantoufles et chaussons.
Sa1li nes.
1nd ust-rie laitière.
-
Indus trie textile (coton) li.vre 1.
ART. 2. - Le cfélai clu 15 août 1952 n'es!
valable qu.e lXIur les biens dont la r<COns!>
trution n·a pas été déclarée prioritaire, les
arrêtés de !priorité fix'ant J.es d'élais de VlgU elLl.
qui le ·caS échéant se s ubsti tuent au d~.
ci-dessus.
ART. 3. -
Les listes des <l'ommages su.s,
si l'évaluation approximative en vateu!
a'CtueHe est inférieure à deux minions,
ou,
peris
les rapports
établis par des ':" eIIl
agréés, si l'éva lualion est sU"péneu re ad",
mi llions, devront en conséquence, ~or el
biens des catégories ci- dessuS .préciS e:,tiservant à fexercice d'es profeSSIOns h~
vement énu mérées à l'aTticle 1er êtr: d Inler.
avant le 15 aoQt 1952, à la .oélé!fat,~n :J)
départementale des Bouches.<fu-Rhon~ ,
ru e Saint-Lazare, Marseille.
ART. 4. - Les propriétairesdes bi.en~fiv::
à l'arHcle 1, auront Ja fa.cult:e de sign lai cimes services arvant l'eXpiratio n du ~: d'épo'
dessus fixé, qu'ils n'entendent pas SOI qu'ils
Set eux-m.êmes la liste des dommages <JlCrl
ont sU:bis, soit l'fair e p~océder pa~ un r:pporl
de leur choix à l'établissement d u~ l'Adlll;
et qu'ns laissent par suite .ce som a
nistration.
ART. 5. -
Les pièces techniques
exemple).
Je VOliS pr ie de faire part de ces observations il tous les Maires de votre départe·
ment, afin qu'ils . s' en inspirent JorSCf\ùl~
enrvisagellt de passer de telles conventions
avec des cabinets d'affaires.
Je VO LI S r<t'Ppe~le, à cette occasio n, que les
d~ibérations des Conseils munjdpanx relativ~s à la passation Idesdits co ntrats ne ~igu
rent 'Pas sur la Liste des délibérations sou '
mises '>à approbation et qu'en l'absence d'une
disposition eXlpresse, les Idélibérations des
assemblées muntcipales sont, en application
Février \950.
.I\RT. 7. - La présente i({'é-eision fera l'oblj et
de la plus grande diffusion, par insertion
dans le Bulletin d'es A'etes Administratitfs Idll
Departement et 'd1a ns la Presse Départementa le par affiahage dans les Mairies et av,is
groupements de sinistrés et aux Ex.perts.
aux'
.\tarse"le. le 8 Fév"ier 1952.
Signé : R. CALLOUiD.
-------c>OOC>-------
DI BI
ex:écutoires par elles-mêmes.
Ce n'es t que dans ,la mesure où ces 'dJélibêrations entra înent l'ouvertur e de crédits,
qu 'il est possible à l'autorité de tutelle d'avoir
une action directe. Elle peut, en effet, refustfl'
d'approuver une dépense qu'elle jugerait
inopportune ou excessive et ri lui appartient,
à la Jumiere des observations qlli précèdent.
de sanct ionner ou non les 'dtécisions prises
par les nlllnidpalités, en ce qui COrlterne
l'é\raluation de leu rs bâtiments.
QUETE ORGANISEE PAR DES ASSOCIATIONS S' INTERESSANT A L'INDOCHINE.
ressé.
Le Secrétai,re .Général delégué-,
LAMiASSOURE
------<.00<>------D2 B3
BC 0
EXPERTISE DE BIENS COMMUNAUX
Circulaire ministérielle n ° 69 AD /2
A plUSieurs repr:ises, la Cour des Comptes
a
Pour le N\;nistre de l' Intérieur
et par délégation,
Le Préfet,
1
Directewï de l' Administration
OtopartementaJe et Comm una1e,
P. DAWI'6LON.
------. ::' 00<>-
-
D5 BI
Pour le J'réfet,
appel~ mon
attention SUT les cont.rats
pas~és par des communes avec dHférents
C?~mets kiraffait"es, pour l'e xpertise 'de leurs
bahments.
+La Cour estime que le recours à d'es
experts pour l'évaluation dies hiens commu~aux .ne s'impose pas, puisque bien sOllvent.
~1'IC'hltecte municipal Ipeut procéder à cette
::Che.. E!!~ constate, par aiUeu/s,
que fa
comu~erat1on demandée par ICes techni'Ciens,
co~tlt.U~ .une charge assez ,rour!CIe pour les
oe ctrv!tes, "?tamment, en lCas de sinistre.
vent~ns l~ maJeu.re pa.rtie des cas, les conl'é\'~lons. rntervenues conceTnen~, d'une part,
i
u~t.lOn de J'ensemble du 'Patrimoine
1~:Obtl~ler d.e la Ico.lIecni-vité, d'au tre part ,
··"er ISe après sinistre
laOr , 'Clans les viHes d:une certaine impornce ces CYlI"I
f
"
tUées)
··.v~r lses ')JoUfTalent etre effec-
. sans d,fficultés pa rtic uli ères paT les
sery Ices
t h'
.
chitoct
ea ~a~ues de Je commune et J'are mUfil~aI notamment.
Le recou s . d
hses
r a es agents d'a ffaires spécia-
POUr ~:speut ,guère se justifier, dès lors, que
petites communes où il n'existe
Sur la proposition <le M, l' Ingénieur en
Chef <les Ponts et Chaussées.
A<RRETE :
•
AR"r1CLE PREMIER. - Sont iléclarés d' utilité put>lique les travaux d'aménagement du
ca'llTefour des chemins départementaux nu-
méros 16 et 53 B dit de « l'Etoile . d'ans
la Commune d'lstres.
ART. 2. - M. le Secrétaire Général <fu la
P,éfecture et M. l'I,ngénieur en Chef des
Ponts . et Ohaussées sont ohargés, chacun en
ce .9U1 le co ncerne, de .l'exécution d u plrésent
aTTeté.
MarseiUe, le 9 février 1952.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué,
LAMASSOURE.
- -----<>000-------
de rarticle 6 1 de la loi dli 5 Avril 1884,
PO
Par circulaire n(o 37 du 30 Jallvrt:r 1')52,
MI. le 'M inistre de l' Intérieur fait con naître
qu'.en vue de coord'o nner les efforts des nom·
breltSeS Associations, Comités et Œuvres
diverses s'intéressant là l'Indochine, il ,con·
venait, avant d'a utoriser ces groupements à
quêter su,r la voie Ipublique, d'en référ,er au
Alinistre chaTgé letes Relations avec les Etats
Associ'és.
6n -conséquence, chaque fois que vous
serez saisi de semblables dema ~s vous ne
manquerez pas de rue les fa~re parvenir
aœompagnées I((e votre oa,'vis moti vé afin dEi
me permettre lCIe cons uJter le m inistère inté·
spétialisé. Dans ce
ticuliers fussent réduites au minimum : ,jJ
n'y a p a~ lieu, par exemple, de faire évaluer
par des experts la valeur d'im meubles non
bâtis qu'aucun risque susceptible d'être assuré
ne mena ce. (Voies !publiques, ponts par
ART. 6. - Les experts qui seront d.ésignés
par l'Administration pour 'Procé-der aux évaluations seront r émunérés dans les conctilions du ~tre III du Jd~cre t n" 50-182 l<!u 3
Le prog.ramme d'éva·
luation <les éléments d'exploitation affeclEs
mw1icrpa~
les éilarges
r..ésultant des cO ntrats passés avec des par-
èxperts agréés dfsignés par l'Administration.
DEOIDE :
ARTICLE PREMIER, -
août 1952, seront établies d'afficell'lr des
AG 13
pOUT
du déiai de six mois imparti aux sinistrés
pour les dlipôts de leur dossier d'évalualion.
Vu ma décision <1 u 22 Septembre 1951,
fiées à l'initiative de ce dernier, alvant le 1er
------c>ooc>-------
du délai de six mois
40 et 71 de la loi du 28 Octobre 1946 SUr '"
""mm ages de guenre,
Vu les dispositions des articles 18 19 20
au décret n' 46-2960 du 3 1 Décemb're Î94(,
portant r é!,lem.nt <1'a<lministration publique
pour l'applicatIOn de la 101 sUS-Visée,
.vu les dispositions d~ l'article 13 du détrel
n" 50-182 du 3 féVrier 1950, relatif à l'inler.
57
TVX 0
DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE
DES TRAVAUX D'AMENAGEMENT
DU CARREFOUR DES
CHEMINS
DEPARTEMENTAUX W ' 16 ET 53 B
DIT DE « L'ETOILE . DANS LA
COMMUNE D'ISTRES.
Le Pré let des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur.
Vu l' arrêté du 14.Février 195 1 presclrivant
l'o uve r tu r e de l'enquête d'utrlité publi'q ue sur
les projets d'a ménagement dans la commune
d'Ist r es du cérrrefour de l'Etoile j
Vu les plans et devis dressés en vue de
l'exécution de ce projet :
Vu les articles 2 et 3 du décret-loi du 8
Août 1935 sur l'expropr iation pour cause
d'utilité publique:
Vu le déc ret <lu 2. Mai 1936 pDrtan t réglement d'Administration relatif à la procédure
d'enquête pr éa lable à la déclaration d'umité
publique ;
Vu les résultats de
renqu~te
ouverte en
Mairie d'Istres du 16 au 3 1 Juillet 1951 ;
Considérant que les formaJ.ités r églemen.
taires ayant été remplies, aucune déclaration
n'a été formulée â l'encontre du projet et
que le Commissaijre Enquêteur a émis un avis
favorabl e à sa r éalisation ;
Vu la délibération dl. 15 Décembre 195 1
au co urs de JaqueUe le Conseil Général des
Bouches-du-Rhone a a·pipro uvé définitivemem
le projet d'aménagement dans la Ca:mmune
d· lstres, dll ca nrefour de l'Etoile (C. D. 1~ et
3 B. .
D5 BI
TVX 0
DECLARATION D'UTILITE PUBLIQUE
DES TRAVAUX D ' AMENAGEMENT
DU CARREFOUR DES CHEMINS
DEPARTEMENTAUX N °' 10 ET 690
DANS LA COMMUNE DE MIRAMAS.
Le PrOfet <les Bou ches"'4u-Rhone,
Officier de la L égion d'Honneur.
Vu l'arrêté du 5 Jui ll et 195 1 prescrivant
l'ouverture de J'enquête lCf'utilité. publique sur
le projet d 'a ménagement d u carrefour des
Ohemins Départementaux numéros 10 et
69 D dans la Commune de Miramas ;
Vu les plans et devis dressés pour l'exécution de ce projet ;
Vu les articles 2 et :J du <1écret-loi dli 8
Août 1935 sur l'expr opri atio n pour ca use
d'utilité
pub~que
:
Vu les r ésultats de l'enquéte ou\·erte en
"'lairie de Miramas du 6 au 2 1 Août 1951
dtans les formes prévues par le déoret du 2
W1:ai 1936 ;
Considérant qu e les formalités réglementaires ayant été remplies aucune observaticm
Il'a été formulée confire le projet et que Je
Commissaire-Enqu êteur a émis un avis favorable ;
au
Vu la délibération <1\. 15 Décemt>re 1951
·co~ rs de ~aquelle le Conseil Général a
.e
approuvé défintti ve ment
projet d'aménagement du Carrefour de J'A,venue de Saint·
Ohamas (C. D. 10) et du bOl~evard AristideBriand (C. D. 69 D) d'a ns la Commune d.
J\1.iramas ;
Sur la proposItion de M . rlngénieuf e"
Chef des Ponts et Chaussées
ARRETE:
ARTICLE PREM.ER· -
So nt déclares <f uti-
lité publique les travaux d'aménagement du
Oarrefour des Chemins Départementaux nu-
méros 10 et 69 D dans la Commune Ide
Mirama
ART. 2. - M. leS ecrétaire Général de la
Préfecture et M. rln génieur en Chef des Ponts
et Ohaussées, sont chargés, chacun en ce
qui Je concerne, de l'exéc ution du pr ésent
arrêté.
Ma rseille, le 9 FéVR'" 1952.
�FSO
D3 B-I
RENOUVELLEMENT DU CONSEIL
DEPARTEMENTAL DE L' ASSISTANCE
PUBLIQUE ET PRIVEE
l e Pretet des Bouches-<lu- Rhône,
il j\ L\\. les ,\l aires du Dt'Jl'lrtement
lai l' honneur de \·ous taire connaître qu ' en
appl ication des dispositions de l'article 26
de la loi du 14 Janvier 1933, relative â la
sun'e~lI an('e des établissenlt'nts de bienfaisance privee, il y a lteu de procéder au
renouvettemen t du Conseil Departeme ntal de
l' Assistance Publique et Pri,'ée dont 1 pOllvoirs son t ar rivés à expiration.
A u~ termes de Ja législation
usvisée et
d es nou\'elles instnfctions qlll m'ont dé
<.wGressees par .\\. le ~1inistre de la Santé- Punlique et de la Populahon posterieurement
... l'organisation du Conseil Supérieur dt:
1 Entr' Ai<k Socit!l~ (e C(lnsei l comprend
notamment:
3 membres t:lus par les Commissions
administratives des dabiissements publics
âassistaoce des Chefs-lieux ù'arrondlssemen t ;
2° 3 m~JTtbres élus par les P ré-hl'ents des
Œunes de bienfaisant.:e du département
reconnues comme établissement d.·utilitë publiq ue et inscrites sur les listes électorales
du Con eil Supé rieur de l'Entr'Aide Sociale ;
3' 2 membr es ,;Ius par les Présidents des
Œln'res de bienfaisance dé<:larées ayant au
moi ns 2 ans d'existence.
Confor mement â ces prescriptions, j'ai
l'honneur de vous taire connaître que par
k!s anêtés do nt vous \'oudrez bien trouver le
texte ci-après, j'ai formé hois collèges électoraux devant p rendre part au vote de ces
délégués et que j'ai fixé au jeudi 22 Avril
1952, la date des elections.
j'appelle \'otre attention sur le fait que
I~ associations qui n' auraient pas été compnses dans la liste des associations déclarées ,constituant le 3me collège et qui estim eTé~lent ..remplir .Ies conditions prévues par
la lor du .14 Janvier 1933 précitée, pou r être
a drmses a voter, peuvent formuler une rédama tion à la Préfectu re (3 me Division, 4me
Bureau) dans le délai de quinzaine à dater
<lu 7 Mars 1952.
. Je vous rappelle enfin qu 'en vertu des
disposlhons de l'article 17 du décret en date
du 16 Mars 1934, portant réglement d'adL
unrust rahon publique pour l'application de
la 101 du 14 janvier 1933, il Y a lieu, pour
le .M3ll'e de la commune dans laquelle l'éta~lrssemen t él ~t~r a son siège, d 'insérer
1 en v~oppe _quI lUI sera remise par ce dernieor
et qUI co ntiendra Son bulletin d'e vote dans
u.ne deuxième enveJoppe portant en s~scrip
hon le nom et la signature de l'électeur la
d~gnati on de l' Œuvre qu'il représente l'indlca~on de l'élection et le cachet de la' ,\1airie.
Ces enveloppes seront adressées aussitôt
pa r les soins du Maire à la P réfectu re (3me
Divisio n, 4me Bu reau).
Je vous prie de vouJoir bjen assurer en
ce qu i vous concerne l'exécution cre ces instruc tions.
MarseiUe, le 25 Février 1952,
ARR ETE
-
~< t'reld des Bouches-<lll-R hone,
Officier de la Légion (rt-Ionne-ur.
\ 'n la 101 du 14 JUIllet 1933, relative il la
sUT\"eillancc aes ëtahlissemel\ts de bie nfaisance pri\'e~ et notam mem l'article 26 ;
V u te d~cr et en date du 16 ."lacs 1934,
portant rcgle ment d'Adminisfration Publiqu e
en t'xécution de l'article 34 de la loi s lI svi ée
et notamme nt l'article 16 doolt dêcret ;
\' U la ci r<:ulaire de ""\' l'e MinÎst re de Ja
anté Publique èt de la J1opulation en da te
du 14 AI.ril 195 1 ;
Vu la 11 te des ëtablissements p ublics
d'assistance appelés à participer aux opérations ë-Iectorales du Conseil Supérieur de
l'EntrAide Sociale publiée aux J. 0, des 24
Janvier et 29 ,~\a
195 \ ;
Consid~rant qu 'aux. termes des Instructions
contentles dans la cioculaire ministérielle du
1-1 Avril 1951 su fisée, seuls les êtablissements publics d'assistanc.e ayant leur sièO"c
dails .les c hefs-lieux lJ'arrondissement du D~
partement sont appelés à prendre part 3tlX
elel' tions du ConseiJ. Départemental.
Sur la proposition de _\1. le Secrétaire
Gen~r al,
ARRETE:
ARTICLE PRE.\1 IER. La liste électo rale
des Etablissements Publics
d'Assistance
admis à p articiper à 1'~l ectio n de trois me mbres du Conseil Départemental de l' Assistal~ce Publique et Pri\'ée est arrêtée co mme
Sllit :
- . Hôpitaux et Hospices de l'Assistance
Pul>lique de Marseille,
- Hôpitaux et Hospice Civils d'Aix-enProvence.
- Hôpitaux et Hospices Civils d~ Arles.
- Bureau de Bienfaisance de Marseille.
- Bureau de Bienfaisance d'Aix.
Bureau de Bienfaisance d' A,rles.
ART, 2. - M. le Secrétaire Généra l lie la
":réfecture et MlM. les Sous-P réfets d' Aix et
d Arl-es, sont chargés, chacun en ce q ui le
concern~, de l' exécution du présent arrèté.
Marseflle, le 25 Février 1952.
Le Préfet,
Signé: PA IRA.
:.
ARRETE
larùs protestants
A I11broise-Rohert.
sance pTl~ee et spécialement l' articJe 2S ;
Vu I~ decret en d'a te du 16Mars 1934 por'
tant r~gtement d'Administration Publiq~e en
exé-cuhon ~e l' a~ticle 34 de la loi susvisée ;
Vu la Clrculru,e de AI. le Ministre de la
Santé Publique et de la Population en date
d 11 14 Avnl 1951 .
'
Vu la liste des' Œuvres de Bienraisance
re~onnues .d'utilité publique électrices au Conseri SUjJéneur de l'Entr' Aide Sociale parue
au Journal Officiel du 4 Ma,rs 195 1 "
Sur la propositi9 n de M. le Sec~étaire
Gé néral :
AllRETE :
ARTICLE PREM IER, - La liste électorale
des CEuvres r econnues d' utilité publique et
aSSimilées, admiSes à paticiper à l'électio n
de ~OIS membr es du Conseil Départemental
de 1 ASS ista nce Publique et Privée, est arrt: -
.........
-
a
-
la
.\\arseille
rue
'1
- . r-\s~ociation de J'Assistance par le trar '1
a AL\:.
al,
Associati?o protestante de MarsciHe el
Je a ba nheuè.
Associatio~ dite l:Vl.aiso n de l'Enfance et
de. 10 Famille, 67, rl1e St-Jacql1es, .11".
·ellle.
-. Associa,tio n '~e SOCQurs aux gens de mtl,
Cl J'rt.(lrsedle, ecole Cou rbet, aven ut de la
Muette, Prado.
- Comité médical (soins a donner aux Îndi.
g,ents). fi Marseille, 3, Man'héolCles-Capu.
clns.
- Dispensaire de la l\\a ison. des Enfants 67
-
rue Saint-J., cques, Marseille.
-
-
Le Préfet des Bouches-du- Rhône
Officier de la Légio n d~Hon neuT. '
Vula loi du 14 Janvier 1933, relative il la
sur\'ellla.~c~ des établissements de bienfai-
-
l'Ahr i Ma tern el, 73, ch ~ mlll de la Blan.
carde, /\ \arsC'itIe.
Asil~
!\\ari-e
pour garçon~ protesta
orphelins, Marseille.
nts
Associatloll de l'asi.le Marcel, pour \'Ît'll.
-
_
_
Dis!'l ensair~ tlt.."S enfants malades
Gilbert D~vois ins) , a Morseille
l
,
(CEune
26 rll~
Saint-$~bastien.
'
,
a~ u\"fe des Dames de 1,1 Providence a
A~ .
'
Œuvre des Dames de la Providence pour
les orphel1nes pauvres dites «. Orphelines
duCholéra ' . 36, rue dïsoard, .\larse:Ue.
CEuvre de l'Enf.:tnce Dflaissée, â .\Icuseille, Saint-Tronc.
Œuvre de la Goutte de Lait, d~ Arl es.
CEuvre Hospitalière de Ma rseille, Asi le de
nuit pour les hommes, 4 1, rue de Forbin.
CEuv r e de l'H ospitalité de nuit pour les
femmes, à Marseille, rue Ho norat.
Office Central des CEuv.res, 54, rue Pa·
radis, 1\1arseille.
CE uvre de la Jeunesse Laïque d'Arles,
Orphelinat des Enfants de l'Etoile, 60, rue
Rei nard ,Ma rseille.
Amis du Marin, 25, ,rue d~ Forbin, j\larseille.
Filles de la Charité de Saint-VincenHIePau l, à Aix, 27, rue Venel.
Filles de la C'harité de Sai nt-Vincenl-de·
Paul, à Aix, 4, rue Tou r -tie-Fabre.
Filles de la Charité de Saint- Vincent-de·
Paul. â La Ciotat, l , place Esquiros.
Filles de la Chari té de Saint-Vi ncent-<l'·
Paul, à
Marseille, 22, rue VincentLeb lanc.
Fi lles de la Charité de Saint-Vi ncent-cte·
Paul, à ,M arseille, 86, Montée du Rou rasBlanc,
Fi lles de la Charité de Saint-Vincenl-de·
Paul, il Marseille, 10, rue d'Austerlitz.
Fi lles de la Charité de Saint-Vincent·de·
Paul, il Marseille, l , rue Guérin.
Filles de la Charité de ~aint- Vincent-cte'
Pau l, il .~ I arseille, 26, rue Félix-Pyat.
Filles d'e la Charité de Saint_Vi ncent~de·
Paul, à .MarseilJe, 4, boulevard Camille·
Flammarion .
Fi ll es de la Charité de Saint-Vincent-d"
Pau l, à Marseille, La Capelelte, 5, boul'vard Sai nt'- Je a n.
..
Filles de la C hari lé de Saint-VIOcent-de
Pau l, à Marsei ll e, 3D, rlle Stanislas-Torrents,
,
-<1..
Filles de la Charité de Saint-VIOceni d
Paul, à Marseille, Montredon, 2, place t'
l'Eglise.
.
.
-d ..
Filles de la Charité de Salnt-V1I1ce~!Rue
Paul, il Marseille, La Pomme, Gran HI'Fi lles de la Charité d e Salnt-v,"ce'~ vanl
à Marseille, Le Rouet, 26, bot~
..
" _ _ _ _ _1iIi
Il
_ Filles de la Cha rité ae Saint- Vincent-<lePaul à Séo n, Sa mt-A ndré, bou levard Ma rtin, MllIsei11e.
_ Filles d e la C ha rité de Saint-Vincent-<lePaul à Sai nt-Barnabé, 2, r ue Au<l!1i<:,
_ FiII~s de la ,Cha rité Kte S a int- Vi ncent-<lePa ul , à Sai nt-Louis.
_ Fil les de la C harité <1'e Saint-Vincen t-<lePau l à Saint-Loup, 14. boulevard Bonifay.
_ Fill~S de la C ha rité <le Saint-Vinc-ent-d e,paul, à Sainj- Marcel, 50, rue d es 'Crotles.
_ Filles <le la Charité d" Sai nt- Vi ncent-d ePaul , à Ste1Marg uerite, 15, che min d'e SteMa rguerite.
_ Filles d e la C harité '"" Sai nt-Vincent-dePaul , à ToU!r-S ain te, M-a rse iU e .
_ Sœurs de Ma rie 'Imm acu lée <1'0 IMarseille,
Montée de l' Oratoire,
_ Sœ urs de Mla rie-joseph-d e-D orat, à Ma rseille, boulevard' Bernard'.
_ Sœ urs de la Miséricorde d e Moissac, a
Sai nt-R émy.
_ Sœ urs de Notre-Dame <le Charité <l'u 'Refuge, dites de St-Mi chel, 145, bo ulevard
Baill e, Marsei'lIe,
_ Sœ urs de Notre"Dam e de Cha rité d'u Bo nPasteur d' An ge rs, à Al'les, faubourg M,o nlerpe.
- Sœ urs de Saint-T,hornas cre Villeneu ve
de Notre-Da me !(je Grâce d' Ai x, 40, cou rs
Ifes Ar ts-et-M ét,ers ,
- Petites S œ urs des Pa uv.res d e Sairtt-IPern ,
213, ahemin des Cha rtreu x, Jv\ arsellle.
- Petites Sœ urs d'es Pau vres d e Sa;nt-I"ern ,
à Ai x, lroute de Berre.
- Petites S œ urs dies P a uvres de S ain t-P ern ,
332, che min d e Mazargu es, tM arseille.
- Petites S œ urs .cIes Pau vres (je S aint-Pern,
Sainte.JMarthe, Ma rseille.
- Comité rMarseillais d:'aid'e et d'assista nce
aux card iaque s, 61, ru e Paradis, Marseille.
- Sœ urs de Notr e-Dame de Bo n-S ecours,
de Troyes, 80, rue Au g uste-Blanqui, .M.:arseille.
- Œu vre de l'Infirm eri e p rotesta nte à 'M arseill e, l , rue du PJatane.
- Œ U'V r e de Nourrissons , 25, rue Thubanea u, Ma rsei ll e.
- œu vre des Orp heli nes protesta ntes, 80 a,
rue Sainte-Céc il e, 'M a rsei'lI e.
- Soa/été de Bienfa is a nce et <l'e Charité \0
me Saint-AldrrJen, MaTs eille.
"
- Société de C harité Mater nelle, 49 a, ru e
de la Pa lu d, Ma rseill ie.
- Société Ma rseillaise de patronage des
Irbéres et adolescents, à Marseill e 42 .:rue
des V ertus.
~
,
- Œ uvre d'es priso ns et seco urs a ux libérés, à Aix.
- Œ uvre de la Prot ec tio n du bébé, à Aixen-Provence.
- Œ uvre de la P rot edion J\l,atern elle à
Man!eille, l , Tue Gy ptis ,
'
-l'Orphelin at de la Providence des orphe~nes de Ma rseHl e de la Vi erge Do rée, 40,
ouleva rd Voltaire, Marseill e.
- Associa~ o n hosp ita lière d u Pra do 253
aven~ e d u Prad o, Ma rseille .
"
-BSoCté~ de bi.enfaisanrce Israéli te, 1119, ru e
reteUIl , Mars eMle,
- ySOCiété P rotectriee de l'EIlla nce 7 rue
enture, Marseill e.
' ,
- A U ~ ilia i re de la Jeu ne ,m Ue, J2, r ue Drago n, Marsei lle.
-<le
les1 A·m,s
. dIl Foy er pour 1. p rotection
a Jeun e Fill e, 26, rue 'Estell e, là Mar-
59
-
-
Ce rcle des Abe illes, à Mars eill e.
L' EntrAide Fémin ine, l , rue Gypt is, Mar'
seme. ,
Le Fo yer Colonial, boulev.,û de la Major,
Marseille.
Ins tit ut Régiona l des Jeunes A1Veu gles et
Sourd s-Muets des deu x s exes, 8, Montée
de l' Oratoir e, Marseille.
tL'Œ11v re du Ca lvaire,. il2, rue Chape,
IMarseille.
La !Maiso n du Ma rm, 104 bOlllev3l11d des
J),a mes, Ma rseille.
'
ART, 2, - M . le S ec rétaire Général d e la
l'', é fecture 'et MIM. 'les So us -P,éfets d' Aix et
d'Arles, s on t char gés, cha cun en ce -qUI le
co ncern e, de l'exécution du pr:és ent arrêté.
Marseille, le 25 Fév rier 1952,
Le Préfet,
Signé: PA IRA ,
.'.
ARRETE
Le Préfet des llo uches-<lu-Rhône,
Offici er de Ila Légion d' Ho nne ur.
Vu, la loi d u 14 juill et 1933, rela ti ve à la
s urvei ll a nce des établissements de b ienfa isa nce privée et not amment à l'a r tide 26 ;
Vu le décret en date du 16 mars 1934,
po rta nt règlement d ' Admin istratio n P.u bli q ue
en eX'éc u tio n de l'arti cle 34 de la loi s usvisée et notamment l' article 15 d ud it déc ret ;
Vu la ci rcula ire de M. le Min istre de la
Sa nté P ubli qu e et de la Pop ul at io n en d ate
d u t4 avri l 195-1 ;
,
Su r la p ropositio n de M. le Secrétaire
Gé né ral,
Arrête :
Article premier. - La liste élector a le des
Œuvres d e Bienfaisance déclarées ad mises à
pa rti cipe r à l' é'lectio n de de ux mem bres du
C<lnseil Départe menta l de l'Assistance Publiq ue et Pri vée est a rrêtée comme s uit :
- Associ atio n des Œuvres P rotestantes
d'End oume, 29, Chemin Vici nal de l'Oriol
à Marseile.
_ Foyer ,f!opula ire, 14, Passage de Lorette,
è'<ta rseHle.
_ Unio n Va udoise de Marse ill e, 5, r ue Gérs ndo, Marsei lle.
_ Assoc iati o n d'Education et d'Assista nce
Popu laire du Arado, 55, ru e St-Sébastien,
Marseille,
_ ,Le Secours tmmédiat, 67, rue P aradis,
Marsei lle.
_ Asi le de la Rive, 47, rUe Vallon-Jo urdan,
Marsei lle.
_ Association d~ntr' Aide aux Tube rcu leux,
47, place St-Michel, Mar seille.
_ L'Adoptant, 18, rue Chevalier-Roze, Ma rseil le.
_ Association de l'Oratoire St-Léon, 78, rue
S ta nislas-T or rents, Marsei lle.
_ O rphelinat Vitagliano, 11 2, Bd Boisson.
Marsei lle.
_ U nion d'Aide au x pauvr es et orJJhe lins
a rmé.niens de Ma rseil le, 3, rue Ve.nture.
_ Œuv res des consult ations prénatales,
73, Bd de la a la nca rde à MaI<;e ille,
_ D i$pe-nsa ire S t-Lazare, l, rue Oérin Ri ca rd, Marseille.
_ La Maiso n de la j eune Fi ll e (U nion NaHo na le
Ami s de la J~une Fille, 1, rue
_
Service Soc ia l Familial, In fi rmiè res Visiteuses de l'En fa nce, SO, rue Breteuil,
Marseill e.
_ CEuvre du resta urant fé minin, 37 a. rue
Montg ra nd, Marseille.
- Compagnie des Sauveteors ambulanciers
et ambul a nc ières des Bouches-du-Rhône,
17, rue Montg rand, Marseille.
- L' aid e de la Jeu ne Fill e, 54, rue Paradis ,
Ma rseille.
_ ŒuV'r e du 'Berceau. Lycée Montgrand,
13, r ue Mo nt gra nd , Ma rsei ll e.
- /iédération Nationale des Muhlé.'J, a cci'
dent-és et invalides d u t ra va il, Marseille Grou pement des Bo uches-d u-Rhône, Bourse du Trava.l.
_ CElLvre de la Cuille.rée de Lai t, 8 1, rue d.
la P alud, M a rs eille.
_ CE1>vre des Petits Prêts Gratuits. 67, rue
Pa radis, Ma rseiUe.
- Le travai l aux cha mps, 15, ru e Venture,
Ma rsei lle.
_ Associatio n des D ames d e la Charité
de St-Vincen t-de-Paul, 70, rue St-Jacques,
·M arseiU e.
_ Orphelin at St-Mich el, \ 6, rue MonteCri s to, M.a rsei ll e.
_ Assoc iatio n Va le ntin Haüy, 6, rue Aldebert, Marseille.
_ Uni o n Régionale des Co lo nies .de 'Vaca nces, 30, rue de la Répubtique, Ma rseille.
_ Secrétariat Catholiq ue des Co lo nies de
Vaca nces, 30, ru e de la R~ ub lique, MarseiH e.
_ Foyer dl! la Jeune Fi ll e, 30, r ue Fo ngate,
Ma rsei ll e.
_ Union Dépa rtemen tale des Associaüo ns
Locales des Pu p.i ll es de l'Ecole Ptub lique,
Ma rseille.
_ Œ uvres Muni cipal es des Co lonies Sco,Iai res de la Vi ll e de Marsei lle.
- Akle aux M.ères de Famille, Il , rue Ro uxde-Brignoles , Marsei ll e.
_ Société des Amies des Pauvres, 6, rue du
Dr..,Morucc i, Ma rse ilJe.
_ Asile de Notre - Da me - de -la - Garde,
44, Bd Ba rry, Marsei ll e.
- Asi le des Mères, 69, Bd de la Bla ncard e,
Marsei lle.
_ Se rvice Social d ~E n tr' Aide aux Em igra nts,
42, rue Mo ntg ra nd , Marse ill e. _
- « La Ma rie :. , Châtea u-Go mbert.
_ Uni on des Œ uvres de Charité, 35, rue du
Baign6iI, Ma rseille .
_ S~ rvi ce Socia l de Sa uvega rde de l'Eni.nce et de l'Adolesce nce, Palais de Just ice, Marseille.
_ Fédér atio n des cons ul tat io ns prénatales
et des nou rIissons. 67, rue Paradis, 1\.\ arsei lle.
_ Œuvre des Layettes protestantes, 15, rue
Grignan, Marseilie.
_ Œuvre protesta nte des enfants à la
Montagne, 15, r ue Grignan, Marseille.
_ Œ 'uvre c Santa-Maria ~ , 73, !t\ontée de
l' Oratoire, Marseille.
_ Société des Centres tl'Entr Aide aux Réformés et Libér és de la Légion Etrangère,
La Canebière, 'Ma.r.rei lle ,
_ Les Amis de Mardor, "5 1, rue AdotpheTlhie rs, Marseilte.
_ Asi le de St-J ean-de-Dieu, St--Ba rthélemy,
Marse iOe.
_ Fédé ratio n des Secrétariats du Pe uple,
4, ru e D ieudé, Marseflle.
des Loyers,
�- -
00
seille et Menpenti. 161 , a\'enue de Toulon,
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
_
Marseille.
c L'Angelus '>, 86, chOOlin du RoucasBlanc, Marseille.
. . .
.
Orphelinat de la S ainte-Tnntte, S am te.
Marthe lIIarseille.
Antitu'bercuJeuse scolaire de Marseille,
La Capelette, 2, ru e Laugier. .
Com ité de Vigilance et d'acholl pou r la
protection de l'enfance, 26, Bd Michelet,
M.arseille.
Comite! Français de seCQurs a u ~ enfants.
Ecole de la Treille, La Valenttne, ,'<Urseille.
Association phil antro.piq ue des Dames de
13 .Marine, 6, rue Vincent-Leblanc, M.arseille.
Section sanitai re de l'Enfance, 39, rue
Grignan, lIIarseille. .
Association du Cure d'Ars. 37, rue Paradis, lIIarse ille.
Conférences St-Vincent-de-Paul, 19, rue
Estelle Marseille.
Sociéié de Bie!>faisance protestante,
15 rue Grignan, Marseille.
éentre Provençal d'Enseignement ménager, 7, Bd Montricher, ~1.a rsejlle;
.
Associatio n Familiale de preservation
morale de la Jeune Fille, 11 2, rue d'El1doume, Marseille.
Association Maison de Repos c La Bonne Jeanne >, Aubagne.
Arles.
Asile de Vieillards, St-Césaire
Œuvre des Pupilles de l'Ecole fWblique,
Arles.
a
_ Pouponniè re Municipale Arlésienne, Ar-
Ies.
_ Association diocésaine d'Education et de
Blenfaisaoce. à Aix.
_ La Grande Mutuelle Mariage à Aix.
_ La Gwtte de Lait Aixoise, Aix.
_ Comité Permanent des Fêtes de Charité
à Aix.
_ L'Abeille Bienfaisante à Aix.
_ Grande Famille des Orphelins, Aix.
_ La Fraternelle de St-Jérôme, Aix.
_ Œuvre des Pupilles de l'Ecole Publique
(canton Nord), filles, Aix.
_ Œuvre des Pupilles de l' Ecole Publique
(canto n Nord), garçons, Aix.
_ Amicale de~ Prisonniers de Guerre de
l'arrondissement d'Aix.
_ Association Amicale professionnelle de
secours du personnel de la Police à Aix.
_ Œuvre des Colonies de Vacances des
Ecoles Publiques de la ville d'Aix.
-
Ordre du Service Social, Aix.
_
Office Régional des Mutilés et Invalides
du Travail. Aix.
_
Œuvre de la Crèche d'Aix, 27, rue Venal,
Aix.
_ Familiale de Provence, 12, rue du Séminaire, Aix.
_ Société des Amis de Lourmarin, Aix.
_ Œuvre des AlIJ)illes de J'Ecole Laïque à
_
_
Château renard.
Œuvre des P1upilles de l'Ecole Laïque it
Orgon.
Œ uvre
des Pupilles du Canton d' Eyguières, à Eyguières.
_ Œuvre des Pu.pilles du Canton de Ta-
rascon, Tarascon.
-
-
Crèche de Cllâteaurenard, Ohâteaurenard.
L'Avenir
Ouvroir
fance à
t'E nfance, à Graveson.
i
teurs et Institutrices des Bouches-duRhône, it Salon.
_ Œuvre cantonale des Pupilles de l'Ecole
Publique du canton de Berre. à Rognac.
_ Œuvre des Pupilles de rEcole 'publique
du canton de J\'\artigues, à Ma rtigues.
_ Œuvre des Pupilles de l'Ecole Publique,
o rphelins de g uerre, section de Trets ..
_ Œuvre des Pupilles de l'Ecole Publique
du ca nton de Salon, à Salo n.
_ Œ uvre des f\'~pi ll es de rEcole Publique.
o rphelins de la guerre, section de Gardanne, à Gardanne.
.
_ Œuvre des Pupilles de l'Ecole P",bllque
des orphelins de la guerre, canton d' lstres, il Istres.
_
Œuvre des P~liPill es de rEcole Publique,
orphelins de la guerre, canton de Peyrol,les, à Peyrolles.
_ Œuv re du Rayon de Soleil, 20, rue Pontis, Salon.
_ Comité lpe rmanent des fêtes de oharité à
Istres.
_ Association de la Goutte de Lait,
a Salon.
_ Comité des Enfa nts à la Montagne de
Berre.
_ Œuvre des enfants tLtberculeux à la Montagne, 541 rue Vacon, Marsei lle.
_ Œ uvre des Pupilles de 'l' Eonle Pu bliq ue
du canton de Lambesc.
Foyer des Orpheli ns <le Cha rleval , à
Cha rleval.
_ Les Amis des Orphelins de la Guerre de
Peli ane, p elissane.
_ Les Amis des Or phelins et des Veuves de
_
Guerre de Fuveau, à Fuveau.
Amis des Orphelins de la Guerre à Is tres.
Amis des Or phelins de la Guerre de
Lambesc, Lambesc.
_ La P.rovi<ience des Orphelins de la Gavotte-les-Cadenaux, Les Pennes-Mirabeau.
- Les Amis des Orphelins de la Guerre,
La Roque d'Antheron.
_
_ Association des Orphelins de lia Guerre,
La Fare.
-
Association du sanatorium " SainteMarie :) 1 à Velaux.
- Caisse locale de Prévoya nce en faveur
des Orphelins de Guerre, Miramas.
- Com ité des Colo nies de Vacances il Is-
tres,
-
Association Professio n nelle des Ins tituteurs et Institu tr ices Publics des Bouo hesdu-Rhône, il Salon.
- Œuvre des Onpheli ns de la Guerre à Aix,
-
Comité de secours immédiat aux réfugiés
et évacués à Aix.
-
Les Amis des Orphelins au Coll ège, à Aix.
Les Enfants de Ste-Germaine, à Ai·x.
As.<ociation des Orphelins de la Guerre
de St-Sébastien, Aix.
- Amis des O rpheli ns de la Paroisse de
Saint-Sauveu r, Aix.
-
Maison de famille des Orphelins de 1.
Guerre, à Aix.
- Maison des Orpheli ns de e Ste-Marie :),
à Aix.
-
Les Orp helins de la G uerre de l'Œuvre
Agricole de Fo ntlongue, à Miramas.
Amis des Orphe lins de la Guerre, à
Meyrargues.
- Foyer des Orp helins de Puy-SainteRéparade.
- Jeunes Amis des Or phelins de la Guerre,
-
à Aix.
P rotection de l'En-
Maison des Orphelins de Sai nt-Thom as,
-
Les Amis des Orphe!"ins de « Ste-Mare
à Aix .
< 1 ~
- Amis des Veuves et OrpheHns de 1
Guerre, à Rognes.
a
- Amis des, Orphelins de .Grans, à Grans.
- Les Anus des Or,phelms de Salon à
Salol1.
1
- La Famille des Orphelins des Milles à
Aix.
'
- Les Amis des OrJJhelins de la Guerre de
Luynes, à Aix.
- Les Amis des Ol'phelins de Martigues à
Ma rtigues. .
,
- So u· des &<lIes Laïques, à Sénas.
- Le Sou des .Ecoles Laïques, a Noves.
- Sou des Ecoles laïques, à Barbe nta ne.
- Sou des Ecoles Laïques, à Mollèaes.
~ Société des Amis des Orphelin: de SlJulien, à Arles.
- Amis des Orphelins de Châteauren ard à
Châtea uren a rd .
'
- Les Amis des Orphelins de Mallemort à
Mallemort.
'
- En,fance Heureuse (Association pour
l' épa no uisse men t de l' enfance de Plan-de·
Cuques, Croix-Rouge,
Dispensaire de
Plan-de-Cuques).
- Associatio n d' Enh"' Aiâe des Pupilles el
a ncie ns pupilles de 1',Elat du Service Dé·
l'a rteme ntal de l' Assistance à l'Enfance
des Bouches-du-Rhône, 79 a, ru e Ed mondRostand, Marseille,
- Associati-oll dépa rtemen t.ale de rééd uca·
tion et de réadaptation \l rolessionnell e el
sociale des Bouches-du-Rhône, 28, rue SISaëns, .Marseille.
- Association Lo uis Braille, M. Lallement
Georges, 57, rue d'Aubagne, Marseille.
- Groupement Amical d'Assistance aux
Militaires blessés de Guerre en traitement
dans les hôpita ux - Mlle Mo rell i Mathilde,
10, ru e Edgard-Quinet, Marseille.
- Commune ,Lib re de la Polace de LeRche,
M. Esposito Fra nçois, siège Ba r Jacques.
2 1, p lace de Lenche.
_ Co mm une Libre et P hil an thropique de
Tiboulin, M. Biggi N\athieu, 40, rue FéIi x-Pyat.
_ Association Régionale des donneu rs de
sa ng .
_ Comité Antitubercul eux d' Entr'Aide et
dJéd ucation sa nitaire, M. de PéJ issot,
38, ru e de la République, Marseille. .
_ Association l.Magdala, Mlle Evers LOUIse,
Villa Magdala, Ste- Ma rthe.
.
- Les Louise de Marillac, Mme Tardieu,
00 ru e des Crottes, St-Marcel.
_ Éntr'Aide des Bouc.hes-du-Rhône, 148, rue
Paradis, Marseille.
_ EntrAide aux Familles Ouvrières. dne
Marseille, 33 a rue iJ\rtontgrand (M. PICO ,
8 1, rue Auguste-Blanqui).
.,
_ Union Dépa rtementale de l' Entr'Alde ~" .
Familles Ouvrières des Bouches-dll-Rhone,
33 a rue Mont~rand, Marseille (M. Baba u,
,
b
)
28 Bd du Dr-Heckel, La Pomme.
.
_ Entr' Aide Ouvriè re Française, 51, rus
Grignan, MarseU,le.
. Anne
_ Groupe d'Aide Mutuelle de Sal nte,
1. Bd Labou ly, M"seille..
Br<--' Association AmHîé Ouvf1ère, 63, rue
teuil, Ma rseille.
1
_ Association Prove nçale d'Aide Familia e,
73, ru e Drago n, ij\'\ a rseille..
Cail_ Co miré Catholique d' EntrAide d~ 1101'
lois, L rue d u Presbytère, Les al '
J
_ Œuvre des Crèches de la Ville de Marseille, Hôtel de Ville, MarsOille.
,
.
Comité Régio nal d'Educah on et d Assls-tance de l'En fance d éficiente, l , rue Mo-
lière. Marseiile,
~rtic1e 2. - M . le Secréta ire Général de
ta ·Préfect ure et .MM. les So us-P réfets d'Ai x
et d'A rles so nt .chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exécutio n du prése nt a rrêté.
ARRETE HABILITANT LA COMMISSION DEPARTEMENTALE DE REFORME DU PERSONNEL HOSPITALIER DU DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE A DONNER SON
AVIS SUR L'OCTROI DES CONGES
DE LONGUE DUREE.
Marsei lle, le 25 février 1952.
Le Prélet:
Signé : P'A1R'A.
.'.
M~R'ET,E
Le Préfet cles Bou ches-du·Rhône,
Officier de la ILégio n d' Honn eur.
Vu la loi d u 14 Ja nvier 1933, rela ti ve à la
surveillance des établissements de 'bienfaisance p;ivée et nota mment J'article 26 institua nt le Conseil Dt'\Partemen tal d'Assistancc
Publique et Privée ;
Vu le décret en date du 16 Mars 1934,
portant réglement de l'Atdmi nistration Publi-
que, en exécuti on !Cie J'articl e 34 de la ~oi
susvisée etl nota mment, les articles 13 à 2 1
inclus j
Vu le décret-loi du 17 Juin 1938, poor t·a nt
à trois le nombre des représentants des éta!jJisscments pub~ks d' ass ista nce au sein de
ce Consei l ;
Vu la circu1aire, 'en da te du 14 Av ril 1195 1
de M. le Ministre de la Santé Pu blique et
de la Popu lation ;
Consid'érant qu e les po uvoirs dies membres
act uels de ce Comité sont arrivés à ex;pira-
FS 0
D3 H2
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légio n d' Hon neu r,
Vu l'ordo nn a nce N' 45-993 du 17 mai
1945, relative aux Services publics des Dé-
pa rtements ct communes et de leurs établissements pu blics et notamment SOIl article 3 ;
Vu I·e décrel n' 4S-006 d u 2 av r;l 1948
fixant les droits des trrbuta ires de la Caisse
Nationa le de Retra ites des agents des collectivités locales ct notamment son article 19 ;
Vu l'a rrêté in termini:,ié riel du 26 août
1948 prêvoyant l'institution de la Comm is-
sion Départeme nta le de Rêformc prévue par
' l' article 19 du décret du, 2 avril 1948 ;
Vu l'a rrêté préfectora l du 9 mai 1949
institua nt la Comm ission Dépa rtementale de
Réfo rme dans le Département des
Bou c h~s
du-Rhône j
VlI 'la ci rcul aire ministérielle « Intérieur )
d u 7 mars 1950 :
Su r la proposition de M .
Général de la Préfecture,
~e
Sec rétaire
tion .
Su; ·la p roposition de M . le Secrétaire Général :
ARRETE:
Arrê te :
Article premier. - La Commiss:on Départementale de Réforme du pe rso nnel hos-
Une élection pour :
10 Torois membres du Consej( Départemen'-
Rh ône instituée pa r l'arrêté préfecto ral du
9 mai 1949, est ha bilitée à donner SO n avis
sur l'octroi des congés de longue durêe aux
agents des éta blissements hospitaliers publics communaux du Département pou r lesquels aucune Commission locale n'a été prévue à cet effet par les statuts du personnel
ART ICLE PREM I ER. -
tal de l'Assistance Publique et Pri vée pa r le
C?lIège éJectoraJ composé pa r les CommisSIons adm inistratives des établissements
puillics d"assista nce qui ont leur siège (fa ng
les -chefs-lieux d'arrondissement du d'épartement ;
2° Trois memores du Co nseil Département~1 de l'Assis tance Publique et Privée,
par le Co~l ège électoral composé par les Œ u-
pita lier du
de l'établisseme nt.
Article 2. - M. Je Secrétai re Général de
Préfecture des IBouches-du-Rhône est
chargé de l'e xécutio n du prése nt arrêté.
la
\fr.es de Bielllfaisance reconnues d'ut ilité publique, aya nt leur sièg-e da ns le département
des Bouches ..rtu- ~h ô n e électrices au Conseil supérieur de l'Ent/A kfle SocIale'
3° Deux membres du Conseil Départemental de l' Assistance PubJ iq ue et PrÎ'vée par le
MarseiLle, le 25 février 1952.
,
Collè~e électora l composé par les Œuvres
de bienfaisance ,décla rées en conformité de
la loi d u 1er Jui ll et 190 1 dans le dépa rte-
ment des BOllchesoolClu-Rh6ne.
Aura lieu le 22 Avril 1952.
l' éArn: 2. - Les dispositio ns qui régissent
ti/a~hsseme nt des listes électorales, la conséuhon des collèges étectorau x et la proC dure du scruti n so nt celles qui sont insé6
~ues dans le titre III, articl-e J 3 et 17 in clus
Off déelcret d u 16 Mars 1934, .p<loblié a u Jomna l
ICl du 21 Mars 1934.
Pr~~Ti 3. - M. le Secrétaire Généra:! d" la
d'Ani C ure. MM. les Sous-lPréfets d'Aix et
Char:~ fv1:M. les Maires du Dépa rtem ent sont
: chac un en ce q ui le concerne, de
ecuh?n du présent arrêté.
l'e x'
Mars<llle, le 25 Février 1952.
Le
Dépa rtement des Bouches-du-
Pou r le P,réfet,
Le Secrétai re Général:
LM1ASSOURE.
-------«>00 «>----- -
02
AC 3
B3
FONDS
TION
LES N ' 65
NATIONAL DE COMPENSADES ALLOCATIONS FAMILIACIRCULAIRE MINISTERIELLE
AD/ 3.
J' ai l'hofMleur de porter ci-desso us à la
conna issance de Messieurs les ..Ntaires du
Départe ment le texte de la ci rcu laire
n" 65 AD j3 du 18 lev rier 1952 par laquelle
M . le Min ist re de
l' Intérieur donlle toutes
instruct ions utiles pour l'étab lissement des
états a transmettre à la Ca isse des Dépôts
et Consignations.
Po ur le Préfet des Bouohes-du-Rhône,
Le Sec rétaire Genér·a l :
M1N1 STERE DE L·INTERIEUR
Direction de J'Administ ration
et Communale
3e Bureau
Cir~u l aire n' 65 AD/ 3
D~partemel1tale
Le 18 février 1952.
Le Ministre de l' Intérieur,
à .MM. les Préfets de la Métropole,
OB/ET : ,Fonds National de Compensation des aHocations fami lia les !POu.r les
collectivités loca les - Opérations de
compensation. '
P ar ci rcul a ire n' 21 ADj3 du 23 janvier
1950, modi'fiée par ci rcul a ire n' 15 ADj3
du 18 janvier 195 1, je vous ai ad ressé toutes
instru ctions utiles relatives à la règlementation en vigueur concernant les opérations
de compensation des allocations fami liajes
versées à leurs personnels par les collectivités locales.
Je vous ai notamment rappelé les conditions dans lesquelles do ivent être élabo rés et
transmis à la Caisse des Dépôts et Consignations, avant .le 3 1 mars de chaque année,
pa r chaque cohlecti,'ité, les renseignements
permettant de procéder aUX dites opérations.
J' ai l'honneu r de \'OUS faire co nn aitre que
les prescriptions de ces circulai res demeurent applicables, so us réserve des indications
sui vantes :
PERSOl-iNELS
EMPLOYES
A
TEMPS INCOMPLET OU DE MANIERE I NTERMITTENTE PAR
LES COLLECTIVITES LOCALES.
Jlar circu lai re n(o 96 6 B/ 12 du 23 novembre 1950, M. le J\'\inistre d u Budget a
prescrit l'affiliation des collecti,'jtés locales
aux Caisse~ d'Allocati ons familiales pour
leurs personnels :
10 exceptionn ellement ré mun ~ rés sur crédits de matériel ou de tra"au x ;
2° rémunérés SUî crédits de personnel,
mais !prése ntan t le triple caractère de
n'a"Qi r pas leur eHectif fi xé par des dispositions ayant fo rce législat ive, de n'f:t re soumis à aucun statut de droit public et d'être
employés, so it de façon interm ittente, soil
à temps partiel, soit à l'occas ion d' un e tAche
détermin ée et limitée dans le temps.
Or, si de nombreuses collectivités ont provoqll~ l'affil iation. a ux Caisses d'a llocations
famil iales., de leurs agents remp lissa nt les
cond itions prevues, d'autres ont, a u contraire, diff éré l'adhésion de le urs personnels à
ces orga ni smes et ont continué à. ve rser
directement aux int éressés, comme p:J.r le
passé, les prestati ons famili ales.
Les catégories de personnels auxqu elles
cette circulaire doit êt re appliquée devant
être précisées à partir de nouve ll es bases,
des instru ctions rectificatives vous so nt par
ailleurs adressées par mes soins ur co
pOint.
D'a utre part, dans J'attente de leu r publication , le Directeu r de l'Union Nationale
des Caisses d'allocations familiales a prescrit, par lettre du 30 mai 195 \., aux Caisses loca les d'allocatio ns fam il iales, de maintenir provisoirement s ur leurs contrôles le
personnel déjà immatriculé et de cesser de
provoquer de nouvelles adhésio ns,
II en est résu lté que, pour la même catéde personnel. deux rég imes en ma-
A. -
�-
62
\'és mis en application simultanément, au
.
cours de 1951.
Les Départements ministériels intéresses
et la Commission Supérieure du Fonds National de Compensation ont recon~u qu'en
vue des opèra(ÎoDs de compensation pour
l'année 1951, il convenait d'entériner cet état
de choses et en conséquence, de VOUS
adresser à c~ ujet les instructions suivillltes ;
L'état que les collectivités au ront à vous
transme.Ure avant le 1er mars 1952, devra
mentionner :,
a) l1ll titre <lits salaires :
le montant des salaires et indemnités verses
pendant rannée 195 1 il tous les personnels
qui n'auront pas été pris en charge par ~ne
Caisse d'allocations familiales du régIme
général ou du régime. ~grico1.. même s'il
s'agÎt de pe'rsonneJs \Uses par la CIrculaire
n" 96 6 B/ 12 du 23 novembre 1950.
b) au titft des prestations lamiliDles ,
les prestations versées aUx mêmes personnels par les coliecti\'itOs pendant l'année
1951.
Lorsque des agents visés par la circulaire n" 96 6 B/ 12 du 23 novembre 1950 ont
éte immatriculés aux Caisses d' allocations
familiales au cours de l'année 1951, les rémunéTati~ns et prestations familiales pa}'ees
par les collectivités pour la. période de
temps romprise entre le 1er janVler 1951
et la date d'immatriculation aux Ca1sses
d'allocations fantiliales doivent, bien eptendlL figurer su r rétat de salaires et de
presUitions.
.
Enfin je vous confirme (JUe les cotIsations v~rsêe.s par les. collectivités aux Caisses d'allocations familiales ne doivent pas
être comprises dans les sommes à déclarer
au Fonds National de Compensation.
t.
Par aiUeu.rs il m'a été signale que oortaines collecti~ités don\ le -personnel visé
par l' insh'uction précitée de M. le Ministre
du Budget n'a pas été. pris en charge par
les Caisses d'allocations familiales, confoImément aux directives du Directeur de
l'Union Nationale des CaiSS8 d 'aliocations
familiales, se ont refusées à verser di rectement aux intéressés les prestations familiales.
Ces derniers n'ont donc pu percevoir au cune aUocation.
JI vous est rappelé qu'en application de
j'arti.cle 4 de la loi du 22 août 1946, les
collectivités publiques supportent la charge
des prestations familiales pour leurs agents
respectifs.
Dans la mesure oû certains de leurs personnels qui échappeot à cette prescriptiof\,
en application d~ilne nouvene règlementation
J1~ont
pas encore été. immatriculés . à une
caisse d'allocarions familiales 'par SllIte .des
cir-constances, les coliectivités se.co~a l r~
demeurent tenues de verser alL'( Interesses
les p.restations fami liales.
. Vous volldrez bien taire en sorte que ces
prescriptions soient respectées et invite r les
collectiyités qui auraient susI>f!"du le ve rseme"nt des dites allocations, à en effectuer,
dès à présent. le paiement ~t ce, à compter
de la date de cette s uspenSIOn.
Le rappel des Ip restations fami.lia~es q,ui
sero nt ainsi versées en 1952 a ux Interesses,
po ur 1951, ne devra pas êtr~ compris dW1~
les opérations de co mpensation afférents a
l'aflnée 1951 , pas prus que ne devront flO'ur.e r sur l'état des salaires les rém unera~
tions payée" en 195 1 pendant le même l""s
de temps.
.
.
Ces salaires et prestatioM seront pns en
considération pour les opérations de compensation de l'année 1952.
B. - MAJORA TIONS DES ALLOCATIONS
FAMIUALES
INSTITUEES PAR LES LO IS DES
2 MARS, 9 MAI ET 26 SEPTEMBRE 1951.
Ces majorations présentent le caractère
obligatoire ainsi que ;e vous l'ai 'Précisé par
circulaire télégraphique des. 7 m.ars et
24 mai 195 1 et pat mon ,"struction du
10 décembre 195 1. les sommes versées à ce
titre par les collectivités locales doivent figUIe.r sur l'état de prestations prod uit au
titre de l'année 195 1.
pour le Ministre et par délégation;
Le Directeur de l'Administration
diwarrementa!le et c.ommunale,
DAMELON..
•
au « Jou! nal Officiel > d", 19 mai 1950 1
relative au mode de calcul de la majorati:
des. allocations. d'in~lidité auxqueJ les on~
dr-o~t I ~ fO[~ctlon n alres. qtù so nt aSSUres
sociaux IOvaildes <lu trO Isième groupe
Les jnv:ali?-e.s d u trojsi~tUe gro ulle ~nt, en
effet, drOIt.a une. a11oc~tion d~invaliditê d'un
~aux . égal a celUI ~e 1 allocation servie aux
IOvahdes du d.euxleme groupe mais à la.
quE\lle s'ajoute une majoration.
!Il con.vient de noter que cette majoration
dont le montant minimum est actuellemenl
fixé à 120.000 francs est de 40 % du mOn. '
tant de l'allocation principale et nOn des
émoluments se rvant de base au oalcul de la
dite allocation.
i'I convient dès lors d' a!lpo rter les modi·
fications suiv3I11tes à la circulai re du
2~ avril 1950 :
- Section 'P - Ghapitre IV-B - paraora.
ph. intitulé « Taux de l'allocation >,
trième alinéa : li re « 40 % du montant de
l'allocation principale > au lieu de « 40 %
du montant des émoluments visés au 1er et
au 2e ::t.
_ Au tableau publié in fine du· chap. IV
prestations, la dernière li gne de la colonne
• suppléments éventuels. » doit êl re ainsi
recli fiée :
lM
S + P
16 % de T avec mi·
nimum 120.000 francs
Au lieu de :
M
S + P + 40 % de T ave<: mi,
nimum <le 120.000 fra ncs.
Le Ministre du Budget,
Pou r le M.inistre et par autb risation,
Le Directeur du Budget;
GŒTZE.
qua.
+
+
Circulaire concernant plus spècia(ement
les Administrations de l'Etat
Paris, le 16 janvier 1952.
Le Ministre du Budget
et le Secrétaire d'Etat
à la Plrésidence du Conseil,
à MM. les Ministres et Secrétaires d'Etat
(Direction chargée du Personnel)
La présente instruction a pour objet de
rectifier la circulaire du 25 avril 1950 parue
+
+
Pour le Secrétaire d'Etat
à la Présidence du Consei~
Le IMaître des Requêtes
au Conseil d'Etat,
Directeur de la Fonction Publique;
Roger GREGOIRE.
TEITES D'IRTÉRET GÉMEaU
AC 3
0 2 BI
INSTRUCTION RELATIVE AU MODE
DE CALCUL DES PRESTATIONS EN
ESPECES DE L'ASSURANCE INVALIDITE
DES
FONCTIONNAIRES
ASSUJETTIS AU REGIME DE SECURITE SOCIALE INSTITUE PAR LE
DECRET DU 31 DECEMBRE 1946.
+
_ _ _ _ < >00 • • - - - - -
ERRATUM
03 B2 - FS 7. - HOSpice de Maussane
Prix de journée prévisionnel 1952.
.
Dans le Recueil des Actes administranl.
n' 9 du 28 février 1952, dans le Somm"~
lire :
Prix de jounnée prévisionnel 1952 (au
lieu de : taux des cotisations).
RÉPUBLIQUE
J3 Mau 1952
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
A.BRÉVIA.TIONS
A. P. : Arr~té ~réfectoral. ---:
c. : Circ.ulaire
D. S. T. ; Direction des Services TechnIque>. mentale de la Population.
-
Les le ttres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'ori ine
D. D. S. ; Direction Départementale de la Santé
D D PD
g .
. . . . ; irection déparre-
SOMMAIRE
Pages
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pa~e9
SC 7. - Cinc ulaire ministé/riellc n' 62
du 19 féVTier 1952 relative à l'entrainemen.t p hys ique ,des s3Jpeurs-pompiers ...................
FS 7. - Hôpitaux et tho"pbces p ublics.
Frais de séjo ur ,des ass u1rés socia ux
admis da ns les li ts de fondation. . . .
FS 7. - !3ervice des 'hôpitaux. Rectificatif . . .. ... . .... ....
d
•••
•••
_
•
63
66
66
FS 7. - Service des ·hô,pitaux. Ce ntre
régional de lutte contre le ca neer.
Prix de journée 1952 .... .. ........
OIA O. - Autorisations d'é tablir et
d'exploiter des dépôts d'explosifs ..
CT O.
Colom~ophil ie.
Nouvel1e
nomenclature des poin ts d'.e ntrée en
France et en Algérie de ,pigeonsvoyageu rs de provenarnce ou d'origine étrangère ...... . . ......... ...
Communiqués _. Avis -- Annonces divenses
Palil U
66
Do ns et legs
67
67
63
conco urs ouv-ert par la
ViUe de Marig nane pour un emploi
de commis d'o rdre et de comptabil ité
68
Adjudicatio n pu,blique simple. Service
des subsistances militaires . . . ... . .
68
Avis
de
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D2 B3
SC 7
CIRCULAIRE MINISTERIELLE N ' 62
DU 19 FEVRIER 1952 RELATIVE A
L'ENTRAINEMENT PHYSIQUE DES
SAPEURS-POMPIERS.
j'ai ~'honneur d'athrer ~/attention de MIM .
l~ '!V1al~es du Dé partemen t su r la cir.cu~aire
nuntsténelle n' 62 du 19 :février 1952 felative à l'entralnement -ph,y sique des SapeursPompiers do nt ci-après le texte :
Po ur le Préfet et par Délégation,
Le Secrétaire Général ;
LAMlASSOURE.
Le Ministre ide l' ln téri eLlr
à 'MM. les Inspecteurs Généraux
-d'A!d:ministration
en Mission Extraordinaire
les Prêlets (Métropole) ,
Inspection dépairtementa'le
des Services d'incendie.
r~po mp le r s.
-----------------------------------------------
N' 1l
Recueil des Actes Administratifs
P e~BjET. -:- Entral nement
Copie ce rtifiée confonne ;
Pour le Préfet ;
Le Secretaire Général
LAMASSOURE.
10' AD o••. -
DËPARTEMENT DES BOUCHE.S-DU-RHONE
•••
______ «.00«>------
FRANClAISE
physique des sa·
m~~FI~~BdNCE. -
Ci rculai re AG-PC-IG nllu 30 mars 195 1 et précédentes.
Par les
.
vous
. . c'IllCU l'
alTes Citées
en référence je
rat.
al
SIgnalé
l'in
terêt
que j'attachais
la
P Ique de l'e t •
.
corps d
n ramement phYSique
dans les
Votre co~ S~Petllrs~om piers et j'ai ,porté -à
prescritesn~lssance les mesures que j'-avais
a ce
â
Je désire que l'action entreprise soit poursuivie et intensiiiée en 1952 et que le nombre
de ·sapeurs.Jpompiers passant avec suocës
les deux épreuves annuelles ,que je proconjse
augmente dans de notables proportions.
/1 importe en elfet ode ne IP"S perdre de vue
l'e ntraîne ment de j'ensembl-e, 'qui ne doit en
alOCu n ,cas êtile sacriofié à celui ,d'une sélection
la lutte contre le feu et les sin istres exig-eant
du personnel tout entier un entraî nement
phySIq ue convenable et suf'isant.
je vous prie de pren<lre, à cet égand,
toutes les mesures qui vous sembleront
oppo rtunes et do nt vous me rendrez
compte en présentant les résultats obtenus.
La note techni.que ci-jointe, sur laquelle
VOliS atti rerez tout spécialement l'att-ention
des Inspecteurs départementaux des services d'incendie, développe cinq palnts e:ssentiels sur ÎtS tests, les concours et
l'i nstruction en 1952, à savoir :
1u Epreuves annuelles de rontrôle ;
2<> Oh;\Ilenges r~latifs 311 par.cours sportif
du sapeur-pompi er ;
3~ Stages <l'in itiation (échelon régional) ;
4° Visites de propagande et d'information
dans certains départements ;
. SU Cours de perfectionnement et certificat
d' inst ru cteur (échelO-n nationaJ) .
Pour le lM.inistr.e de l'Intérieur
et par délégation,
L' Inspecteu r Général Ide l'Administration
ohar gé du Service National de la
Protection
NOTE TECHNIQUE
1 Epreuves annuelfes de contrôle
Pour q u'il soit tCotwenablement oriente et
aisément contrôla~e, l'entra înement physique
des sa'Peurs-potnlPiers doit viser deux objectifs essentiels :
- Le premier Co ncerne le déVeloppement
complet et éqWllbré et l'entretien des qualités physiques.
li est co nsac ré pa r le « Brevet Sportif
Populaire • .
- Le deuxième COncerne l'aptitutC!\! phpsique professionnelle convenable.
H est consacré pa r le c Parreours Sportif
du Sapeur-Pompier > (Mêté intenministériel
du 26 O<:tobre 1949. j. O. du Il Novembre
1949).
Ces deux éprel1ves de base s'adressenl iI
la totalité de l'effectii et se répètent annuellement.
Si l'entraînement à ces deux épreuves et
leulr organisation semblent trop lourds à
certains COI ps de volontaires, la priorité sera
aœordée au Parcourr Spqrti.! <lu SapeurPompier.
Les Inspecteurs départementaux Kies services d' iocendie so nt invifés à engager instamment les co rps de sapelllCs-pompiers placés sous Jeur autorité à organiser effectivement en 1952 ces épreuves de contrôle et
tout spécialement la seconde. Ils adresse~ont
au Ministère de l'Inthieur - Service Natiode la Protection Civil. - Inspection Gé0
�comprendra les résultats locaux enregistrés
par les lnspecteu"" départementaux entre le
20 Aoftt 1951 et le 17 Août 1952 inclus.
ces épreu,"es, conformément a u tableau ciaprès, même en cas de résultats. nuls. ..
En 1952, cet état de\"ITa parverur .au .\\imstère avant le 2 1 Août, terme de ngueurJ et
Département de . .............. .
Pancours sportif du Sapeur-Pompier
Brevet !\portif populaire
2e échelo n
1er échelon
b} supérieur
a} élémentaire
x 1
x 1
x 1
x 1
x2
x2
N
NOTAS. - A. - x 1 - Nombre de succès
dans l'ensemble du départeme nt flou r les
différents degrés des épreuves.
x 2 - Nomtxe total de succ~ dans r ensemble du département pou r l'épreuve indiquée.
.
_ Effectif total des sapeurs- poJ111)lers du
département (Officiers, sous-officiers, caporalL'\. et sapeurs de tout age comççis),
Ce terme e N :» ne doit pas indiquer le
nombre de sapeurs-pompiers présentés aux
épreuves, mais l ' eff~ctit total des sape~rs
pompiers d' un département, quels <:lue SOIent
leur qualité (volontaire ou professIOnnel) et
leur grade.
B - Ne pas ~omprendre dans le déco mpte :
a} Des brevets poptùaires élémentaires, les
brevets supérieurs j
b) Des 2nle êchelon du Parcours, les titu laires du 1er échelon.
Cela afin de ne pas prêter a confusion.
li est hident que le titulaire du brevet
supérieur ou celui du 2me ochelon du Parcours seront considérés comme ayant réussi,
a fortiori, une épreuve plus facile.
C - Aucun contrôle nomjnatif ne doit être
adressé au Ministère. les chefs de corps doivent rendre compte exclusivement à leurs
inspecteurs départementaux des 'résultats
obtenus.
D. - Le parcours spo rtif doit être organisé co nforméme nt aux: prescriptions de l' ar'':
rêté du 26 octob re (J. O. du Il novembre
J949) et du règlement d'application le co ncernant (brOChure spéciale diffusée par l'Adminjstrati on).
:.
Il. - CHALLENGES RELATIFS
AU PARCOURS SPORTIF
DU SAPEUR-POMPIER
A. - Challenge du c No mbre >
Le Challenge du c Nombre >, no rmalement remis en compétition en 1952, a son
règlement pro1ondément modifié.
Les départements sont divisés en 4 catégories suivant l'effectif de leurs sapeurspompiers.
- La première catégorie comp rend les
départements ayant de 300 il 900 sapeu rspompiers.
- La deuxième catégorie, ce ux ayant de
901 il 1.700 sapeurs-pompiers.
- La troisième catégorie, ceux dont Il' effectif va de 1.701 il 4.700 sapeurs-pompiers.
- La quatrième catégorie comprend les
départements ayant plus de 4.700 sapeurspompiers.
Dans
le classement sera
=
le nombre tot21 de réussites a.u Parco,urs
sportif (1er et 2e échelons réuOls) par 1 effectif total des sapeurs-;pompiers du département : officiers, sous-officiers). caporaux
et sapeurs, vol~ntaires ~t pr?feSSlOnnels de
tout âge, réguhe rem~nt Inscnts sur les contrôles des CompagOles.
Formule
Réussites
__________
=
quotient valable
pour le classement
Effectif départemental
Les quotients seront calculés pa r le Ministèrè d'ap rès les comptes rendus annuels
des Inspecteurs départementaux (cf. Note
su r les ép reuves annuelles de contrôle de
la prése nte circu laire) ceux-ci étant na~urel
lement responsables des chiffres fourniS. .
Le Challenge du 4: Nombre ') sera rem l ~
à la garde du Préfet du départeme nt classe
en tête dans chacune des quatre categories,
au confS d'une cérémo nie officielle, le s~
medi 6 septembre 1952, à Bordeaux (GIronde).
.
En cas d'ex- roquo, le nombre de succès departagera les concurrents.
. .
Les Inspecteu rs départementaux sont 10\'1tes à mettre en compétition dans leu rs dé·
partements respectifs un challenge similaire
à l'échelon c corps :» .
N. H. - Pour 1952, les comptes rendus
des Inspecteurs départementaux sur ~es
Quels seront faits les calculs, ~e\lront e! re
pa rvenus a u Ministère ?c l' I~t~ neur, Se r vice
National de la Protechon CIVIle, 60, boulevard Gouvion Saint- Cyr, le jeudi 2 1 aoat ,
terme de rigll~ur. Une ré~eI!tiol} plus tardive
ne sera pas prise en conSideration.
B. - Challenge de la « Qualité • .
1. - Deux divisions sont prévues
a) Sapeurs-pompiers volontaires, permanents compris,
Dépa rtements chargés
de l'o rganisation des 1/ 2 finales
Régions
régiona les
l'
LOIRET
2'
SOMME
3'
COTéS-DU-NO RD
4'
HAUTE-V iENNE . ...•.... . • ·
5°
AVEyRON . ..•...•. . ...... ··
-
b}
Sapeurs-po mpie rs professionnels,
Seuls peuvent concouri r les sapeurs-pom_
piers régu lièrement inscrits sur les contrô-les d'un corps commu nal au 1er janvier 1952
Un ce rtificat du Ma ire attes!ant cette app,,:
tenance, alOSI que la quallte de l'Intéressé.
volontai re ou professionnel, doit être exig~
à n'importe quelle compétitio n.
Dans chaque di1'ision, le challenge sera
co nfié au département (et non au corps)
do nt l'équipe aura obtenu Ja première place
a u co urs de l'ép reuve finale.
65
Dépa rtem enls cha rgés
de l'o rga nisa tio n des 1/2 fi na les
Régions
régiona les
.6'
MEUSE
7'
NIEVRE
8"
LO IHE
9"
Mosell e, Meurthe-et-J\otoselle, Aube, Ha uteMa rn e, Vosges, Ht-Rhin, Ma r ne, Bas- Rhin.
Yo nl1:, Ha ut e-Saône, Belfort, Doubs, jura,
Saone-et-Loi re, Cher, Côte-d'Or.
All ier. Puy-de-Dô me, Cantal, Haute-Loi re
Rhô ne, Ardèche, Drôme Hallte-Savoie Sa~
voie, Hautes-Alpes, I sè~e, Ai n.
'
Lozè re, Héra ult, Bouches-du-Rhô ne, Basse Alpes, Va r, Co rse, Alpes-Maritimes, Va ucl use.
GAR D ................ ,., ..
2° L'éq uipe, quell e q ue soit la division, se
compose de quatre hommes, don t deux au
moins seront vetéra ns (35 ans révolus aIL
1e r janvier 1952).
L'altention des Inspecteurs départementaux est specialement attirée sur la formule;
Equipe mixte c Seniors et l'~térans :l , divisions c volontaires et professIOnnelles :» distin des, déjà utilisée l'an dernier.
Ces co nd itions pa rti cul ières exigent que
chaque concurrent soit porteur, à toute corn·
pétitio n, de pièces officielle.s prouvant son
identité et sa date de naissance.
3~
La compétition se déroulera en Irois
temps:
a) Eliminat oires :
A l' échelon départemental, à l'ini tiative et
sous la respon sabilité de l'Inspecteu r départemental les conditio ns techniques et matêrieltes étant celles imposées aux demi-finales
(voir ci-après).
A leur issue, l' Inspecteur départ~mental
forme ra ses équ ipes : une de profesSIOnnels,
une de vo lontaires avec les meilleurs éléments: que! que soit leur corps d'appartenance, et les insc rira en temps "o~ lu ~uprès
de son collèaue chargé de l'orga Olsaho n de
la demi-final~ région"3.le (voir paragraphe
suivant).
Il est precisé qu'j[ s'agit d'une, équipe,. tl
non de quatre individus nommement ~esl
gnés à l'avan ce, ce qui donne toute I~h.tude
pour fai re concourir les éléments se revelanl
les meilleurs au moment de repreuve. Il e,l1
est ai nsi à chaque échelon de cette compètition - 1/2 fi nale et finale.
b}
Demi-finales:
Elles se disputero nt à l'éche~on, tt:~o~:
en prenant co mm e bases ter n to n 3
. .
..'
. 1 t ' te desquelles se
reglOns mlhtalres a a e . ,
de l'Adtro uvent les Inspecteurs Genera~x .
ministr ation e n mission extrao rdlO31re. d'
. t· 1 les e·
Sont cha rgés de leur orga nisa 101 ,
partements suivants:
haque région
Départements incorporés d a~s c
. de'sla né pou r
1
aut res que ce 11I
.1)
ré ion ale
J'organisation de la 1/ 2 fmale g
Seine_et-Marne,
.
Eure-et- Loir LOir-et-Cher,
IE ure, Sei~e-et-Oise. . 1 fé ·eure Aisne,
Nord Pas-de-Calais, Seme- n n
,
Ardennes, Oise.
1 rbihan UleMan che, Calvados, Finistè re' ~éo 'e ure, 'M,i·
et-Vilaine, Sarthe, LOlre- l n norne.
ne-ct-Loi re, V~ n d ée, Mayenntharente-Ma·
De ux-Sèv res VIenne, Indre, . d Lot-et,
C se Oi ron e,
d
ritime, Charent,e, reu , t_Loire, Dor lY
e
Garonne, Correze, IndreHautes-py,énées,
gne.
. é
Ta rn, J\1I.de,
Landes, Basses-Pyren es,
Ge rs, Lot, Tarn_et_C?aron ne, Hte·Qa.r:()IUItAriège, Pyrénées-Or .. ntales,
Les éq ui pes, d ivis ion c Professio nn els »
et div isio n « Vo.lontai res », constituées à la
suite des épre uves éliminatoi res disp utées
dans les départe ments d' une même région
mi litaire, se renco ntrero nt aux lieux et dates
choisis pa r les P réfets des départements où
seront orga nisées les 1/ 2 finales.
Les Inspecte urs chargés des 1/ 2 finales
indique ront eux- mêmes a leurs collègues la
date (imite de réceptio n des inscriptions. Les
résultats des 1/ 2 fina les, accompagnés des
procès-ve r ba ux signés des membres d u jury
se ront adressés au N\inistère de l'Inté rieur'
Se rvice Natio na l de la Protection CiviJe 60'
b?lI lev ard Go uvion, Sai nt-Cyr, pou r le 'jell~
dt 2 1 aoat prochain, terme de rigueur. Une
réception plus tardive ne sera pas prise en
considération.
,Po ur déte rmi ner le classeme nt des équipes
depa rteme.n~a~ es à. la demi-fi nale, quelle que
SO it la diVISIOn, Il suffit d'additio nner les
temps mis pa r les trois. meilleurs équipiers,
(q uatre c?ncu rr ents ; 3 mei ll eurs Classes).
En c~s d ex·œq uo, le classement se fait au
bénéfice de l'âge, l'équipe dont les trois
membres classés totalisent le plus grand
nomb re d'a nnées et de mois passant en tète.
Les Inspecteurs départementaux charrTéS
des 1/ 2 fi nales prendront toutes les ~e
s~res ~écessai res pour l'organisation ad ministrative, maté rielle et techniqu e de l' épreuve" ~n examen médical rapide ava nt la compé.tltlon est recomma ndé. Le règ lement détalll~ du Ipa~co u rs-spo rtif du sapeur-pompier
publié par ailleu rs (p resse pompiers fra nçais
brochu re d u Mi nis tère de l' Intérieur) doit
être ap pliqué à la lett re.
L'attentio n des Orga nisateurs est attirée
su r. la. hau,te ur. des fanions, qui ne doit jamais etre Inféneure_à 1 m,50. Les concu r;:ents sero nt invités à franchir prudemment
éch,elJe, sans prendre des risques excessifs
ne s accordant pas avec le caractère utilitaire et professionnel du Parco urs Sportif du
sapeur-pompier.
Il ~st !précisé qu'au.cun jury ne pourra
aUblonser Un Concurrent ayant échoué Oil
ando nne?
" t atre
. Ull second essai, s.auf si
l'éel
,.e~ ou 1 abandon sont dus à une défeetllas/t e du matériel
n
L'
.
départementaux charaés
des esI /?Inspecteurs
.
, . ement0 le
.
- ['lOa 1es co nstitueront
offiCiell
lury :
- P
r éSI'd
o,gan
t enl : Inspecteur départementa l
, Isa eu r .
« ~ Vice-Président : Représe nta nt de la
acco ~~ne~se et des Sports 1> (d ésigné après
Ou Dé oca l avec la Directio n Académique
SportsP:>.tementa le de la « j eunesse et des
- Secrétaire
-AI
.
2 jllge3~ntbrcs !echniques : 1 s!fl;ter ; 1
par ptste ; 2 chronomelreurs
Dépa rtements inco r po rés da ns Chaq ue région
aut res que celui dés ig né po ur
l'o rga nisatio n de la 1/ 2 finale régionale
Oll
piste, à choisir pa rmi les Inspecteurs départementaux ~e la Région, les officiers de sape urs-pompie rs et les personnes qualifiées
de la é': Di rection de la j eunesse et des
Sports •.
- Les aides nécessaires, pris sllr place.
Ce jury a Qualité p. .'ur régler sur place
les cas liti gieu x : ses décisions sont sans
appe l.
c) Finale
La Finale aura lieu à l'éc helon national
à Bordeaux (Gironde), sous l'a uto rité du Mi~
nistère de l' Intérieur, assisté de la Fédératio." Nationale des Sa peurs-Pompiers Français et avec (le concours du Régiment de--5apeu rs-Pompiers.
Elle se disputera le samedi 6 se ptembre
ent re les équi1pes représentant les départe~
ments classés en tète, dans chaque « di vi·
sion », aux 1/ 2 finales rég ionales,
Cette compétitio n se deroulera dans les
mêmes conditions administratives, matérielles et techniques que les 1/ 2 finales. La visi te médica le obligatoire sera éliminatoi re.
E!.le se terminera par la remise officielle
du Challenge de la é': Qualité :t.
cendie du No rd, d u Fi nistère et êtes La ndes,
selon la vi lle choisie pour sui vre le stage.
Les frais de voyage et d'hébergeme nt Conce rna nt les stages sont à la charge des collectivités pUbliques employant les intéressés. L'acco rd préalable de ces collectivités
sera sollicité pa r vos soi ns .
•••
IV. -
Visite de propagande et d'information
dans certains départemells
Il a ét~ con~taté q ue plusieurs départements avalent ti ré un bénéfice réel des seances de propagande et d'info rmation oraanisees dans leu rs cent res de secours d~puis
1949.
'
Cette mesure se ra reprise cette année,
pour d'autres départements. '
Un ,fo nctionnaire spéCia liste de J'entraÎnen:t~nt physi9ue adapté sera mis à la disposition des Inspecteurs départementaux des
se rvices d'incendie :
- de la Somme, les 15, 16 et 17 juillet
- du Calvados, les 19,20 et 21 juillet;
- de la Sarthe, les 23, 24 et 26 juillet
- du Morbihan, les 3, 4 5 et 6 août .
- de la Vendée, les 8,
10 et I l ao~t :
- de la VIenne, les 12, 13 et 14 août ;
- de la ChaTenle, le 16 août.
Le prog ramme de ces séjou rs co mprend :
- des ('onfére nces, 1PT0jections d'e fiJms
( 16 m/ m, muet) et séances pratiques à l'intentlon des officiers du département' et des
person nels des ce nt res de secou rs visités.
Les detaiJs de l'ho rai re de ces séances
fe ront J'objet d'un échange prealable de vues
ent re l'Inspecteu r départemental intëressé et
le ~onctjonnaire chargé de l'entraine ment
phYSique des sapeurs-pompiers au Ministère
de l' Intérie ur - Service Natio~al de la Protection Civile.
9,
:.
....
Cours d'instruction
et de perfectionnement
V. -
Frais de transport et d'hébergement des
concurrents
Le Ministère de l'In té ri eu r remboursera
les frars de voyage :
a) des représentants des départements
recevant le Challen ge dll « Nombre »,
b) des finalistes du Challenge de la
« Qualité » (8 pa r régio n).
L' hébergement sera assuré g rat uitemellt
pa r les soins de la Ville de Bordeaux, o ù se
déroulera la Finale.
Le voyage et J'héber ge ment des COnCu rrents des 1/ 2 finales seront pris en charge
par le département et les fra is inscrits su r
le compte « Hors-Budget:» du Service dépa rtementa l d'incendie.
.'.
III. - Stage d'initiation (échelon régio nal)
Afin de poursuivre l'effort entrepris depuis
194ï, trois stages d'initiation à l'entrainement physique, à l'usage des officiers, gradés, inst ru cteurs, moniteurs et élèves-moniteurs des co rps de sapeu rs·pompie rs seront
organises en 1952, sous Lia direction d'ull
fonctionnaire spécialiste.
Ces stages dureront une semaine et se
dérouleront :
- à Lille, du 7 au 12 juillet j
- à Quimper, du 28 juillet au 2 aotit ;
- à Mont-de-Marsan, du 18 au 23 aoüt.
Les demandes de renseignements et inscriptions co ncer nant ces stages devront êt re
adressées à l'Inspecteu r des Services d'In-
•
(Echelo n national)
Afin de compléter l'information donnée au
Co urs de~ stages d'été des années précédentes a~lx mstructe).lrs des corps de sapeu rspompi ers et de parfaire leu rs connaissances
un cours d'inst ruction et de perfectionne~
ment de 3 semaines sera fait à Paris, du 29
septembre au 18 octobre, et se terminera
par Ull examen sanctionnant les études et
confe rant le certificat officiel pr~vu pa r arrê·
té interministéril'I du 18 ft'vrier 1950 (J. O.
du 25·2- 1950) - (Brevet d'instructeur d'entraînement physique specialisé et diplôme
d'aide-moniteur d'Etat d'Education physique
et sportive).
. Ce co urs est réservé aux sapeurs-pompIers ayant effectue un des sta "'es d'initiati.on d' une semaine, o rganisé da~s plusieurs
Villes de province, chaque annee depuis 19-17.
T outefois, les sapeurs-pompiers de tous
g rades déjà titul ai res d'un diplôme officiel
I ~s autori.sa~ t à enseigner .Ies exen.:ices phySiqUes, aInSI que ceux ayant obtenll le bre·
v~t de « moniteur » de gy mnastique au Rég mlent de sapeurs-pompiers et du Bataillon des " marins-pompiers » de J\\arseille
ne sont pas tenus d'avoir suivi un des stages .primaires indiqués à l'ni inca précédent.
Ils de,'ront joinùre ft leur demande outre
les pi~es ci-dessous enumerëes, lIn~ CUpl\:~
certifiee conforme de leur diplôme.
Les ca ndidatures devront parveni r
Mirustère
�67
66
15 juin, sous la fonne de demande établie
par les intéressës . .
Les candidats doivent :
10 Posséder au minimum le Cert~ficat
d'Etudes Prim<üres ou une instruction réellemen/ équivalente.
20
Avoir confirmé récemment (moins d'un
an) la possession du brevet sportif populaire
convenant à leur âge,
3. Avoir montré une véritable aptitude
à la natation (nager 5 minutes sans inter-
ruption),
.
4. Avoi r réalisé le temps de 3 m.nutes
au plus au Parcours Sportif du Sapeur-pompier dans l'année,
5. Etre parfaitement notés de leurs supérieurs _ (une appréciation de leur chef
et de l'Inspecteur départemental sur leur tenue et leur aptitude aux fonctions d'instructeur sera jointe au.x déclarations de candidatures).
Les attestations ou copies certifiées conformes concernant les conditions énumérées ci-dessus, ainsi qu'un bulletin de naissance seront joints à la demande.
Les candidats qui n'ont pas pu assister ou
être cOn\'oques au stage de l'an dernier de·
l!ront confirmer leur intention de suivre cetle année le stage de perfectionnement. Leurs
lettres devront parvenir au Ministère par la
l'oie hiérarchique pour le 15 juin.
Le stage se fera à Paris. L'hébergement
et la nourriture des stagiaires seront assurés gratuitement par le Centre National
d'Instruction de la Protection Civile, 26, rue
Chaptal, Paris (90), qui leur remboursera
également leurs frais de voyage.
Les convocations des candidats retenus
pour suivre ce cours seront adressées en
temps utile à MM. les Préfets (Inspection départementale des SentÎces d'i ncendie) avec
les instructions nécessaires et le programme
de l'examen final.
--- c:~oo<~' ----
03 B2
FS 7
•
HOPITAUX ET HOSPICES PUBLICS
Frais de séjour des assurés sociaux
admis dans des lits de fondation
Paris, le 21 Février 1952.
Le ,'l\inistre de la Santé Publique et
de la Population,
à MM. les Préfets (pour exécution),
M.\I- les Directeurs Départementaux
de la Santé (pour information), .
M:\tl les Directeurs Départementaux
de la Population et de l'Entr'aide
Sociale (pour information).
J'ai l'honn eur de vous faire connaître que
mon attention ~ été appelée, à diverses
reprrses, sur des difficultés qui se sont élevées entre des Caisses de Sécurité Socia!e
et des établissements hospitaliers pubtics, au
sujet du règlement des frais de séjour des
hospitalisés admis dans un lit de fondation
Afin de mettre un terme aux difficultés pn
cause, et deva nt les divergeoces d'interprétation qui s'étaient é levées en la matièrt::,
j'ai été amené à demander au Conseil d'Etat
son avis sur la question de savoir si les
Caisses de Sécurifé Sociale étaient fondées
à refu ser aux établissements hospitaliers
publics le rem bou rsement de la part leur
incombant dans le oaiement des frais d'hospitalisation des assurés sociaux admis èalls
Vous· voudrez bien trouver ci-joint en
annexe l'avis émis à ce sujet par la Section
Sociale du Conseil d·Etat.
Je vous sera.s obligé de vouloir bien .l'orter cet avis à la connaissance des étabhssements ,hospitaliers ne votre département.
Le MinistIre.
Pour le Ministre et pa r d.élt:gation,
Le Conseiller Techlii ue.
PEQUIGNOT.
CONSEIL D'ETAT
EXTRAIT DU RE.GISTRE Dffi
OBLiBffiATlONS
Séance du 22 Ja nvier 1952
AV IS
Le Conseil d'Etat (section sociale), saisi
'Par le J\linistre de la Santé J'ut>lique et ce
la Population d'une demande d'avis sm b
question de savoir si les Caisses de Sécurité
Sociale sont fondées à refuser aux é!~hlisse
ments hospitaliers publks le remboursement
de la part leur incombant dans le jlaie.nent
des irais d'hospi,talisation des assurés socÎ:iUX
admis dans un lit de fondation.
Vu la demande d'avis Idu Ministr..: de la
Santé Publique et de la Population ;
Vu les observations du Ministre du Trav:til
et <le la Sécurité Sociale; Vu la loi du 21 Décembre 194 1, ensemble
le : écret du 17 Avril 1943 ;
Vu l'ordonnance n° 45-2554 du 19 Octobre 1945 .
Considér'ant que la situation envisagée par
la demande d'avis du Ministre de la Santé
Puolique et de la Population ne se !présente
que lorsqu'en exécutio n d.'u ne fondation ou
Id'un legs, un lit a été individualisé au profit
de ses bénébciaires à l'intérieur d'un établissement hospitalier et occupé prur un assuré
social ; que, dans ce cas, la réponse à la
question posée dépend des ola uses de la
fondation ou du t~tament ;
Considérant que. si le bénéfice de la fondation ou du legs a été accordé par Jeur
auteur à une categorie de personnes saliS
co nsidération de r essources, rien ne fait
obstacle à ce qu' un assuré social appa rtenant il cette catégorie soit appelé à en jouir;
que, dans cette hypothèse, }' hôpitaJ n'est pas
fondé à demander à cet assUIé social ni à la
caisse qui peut être subrogée dans sa dette
en application de l'article 25 de l'Qrdonnance
du.l:I Octobre 1945, le paiement d'une prestahon qu' ri était tenu de 4ui fournir gratu itement ;
Mais considérant que, gé néralement le
bénéfice des fondations et des legs' est
réservé pa,r la volonté expresse ou, à défaut
de stipulation contraire, tacite, du fondateur
ou du testateur à des malades pr;vés de
ressources ; que, pour la détermination des
bénéficiaires de telles libéralités, un assuré
SOCial ne saurait être considé ré comme un
m~l ade privé de resso ur.ces, .du moins en ce
qUI co nct::rne la part de frais d'hospitalisa tion
re~bo ur sée par la caisse ; qu'en effet en
~rOlt, les dispositions concordantes de 'l'article 2 de la loi du 21 Déceml>re 1941 de
IJartÎ'de 19 de l'ordonnance du 19 Oct~bre
1945 et de l'article 22 du décret du 17 Avril
1943 le rangent expressément dans la catégOTle des malades payants ; qu'en fait il
ne saurait être considéré comme dans l'i;cade
ses frais d' hospitalisation
de
cotisatio~s, le, droit de s~n voir rembourser
pa r la caisse a concurrence de 80 % . qu'e
équité, admetttre que la charge totai. d' n
malade ass~ré social hospitalisé dans I~
.conditIOns cndE7s~s ~(r~l evées dev,rait incom.
ber totalement a 1 hop.tal aboutirait" prive
les malades vén tab lement in<li.ge nts dl! béné~
fice de donations faites en leur faveur et
c réerait, da ns .cette hypotJ1èse, sans raison
valable,. un régllTl.c contraire à celui organisé
au prof.t des aSSIstés par l'article 86 de l'ordo nna nce susvisée du 19 Octobre 19<15 .
Considérant qu'il rés ulte de .ce qui précède que, dans cette derni ère hypoth èse si
le bénéfice de la .tiMradité peut être appliqué
au malade pn vé de ressources en ce qu i Concern e sa participation prévue par \'tutiole 24
de l'ordonnance du 19 Octobre 1945 au plix
de journée, l' hôpital est .fondé" lui réclamer
la !pa~t ~rantie pa~ les caisses, pa rt qui,
en exec ut lon de l'a rt icl e 25 de ladite ordon·
nance, peut être versée dir·ectement par la
caisse à l'étahlissement.
EST D'A VIS
qu'il y a lieu Kie répondre à 1a question posee
pa r le Ministre de la Santé Publique el de
la Po r>ulation dans le sens des considérations
qui 'précèdent.
Signé : ANDRIEUX, Porésident ;
Ajain BA-RJOT, Rapporteu r
A. RlDET, Secrétaire.
Pour extrait co nforme:
Le Secrétaire de la Section,
RIDET.
------- «» oo ~»· ------
D3 B2
FS 7
SERVICE DES HOPITAUX
Rectificatif
AdminÎstration de l'Assistance Publique
à MarseiUe
Prix de journée prévisionnels 1952
(Rectificatif)
au Recueil des A<:tes Aldmi nistratifs et Bulletins des Mairies n° 5 du :>1-1- 1952.
ArrHé .d<l 9 Janvier 1952 (page 25).
A l'artiale 3 paragraphe 2 lire :
Toutefois, les prix de journée fi~é5 conformément aux di spositions de l'a rticle Sus!visé avec effet du 1er Janvier 1952, s~r~nt
immédiatement applicables à titre provl~o~re
1usqu'à J'i ntervention de la décisi o ~ .~lmY
térid~e qui les entérinera à titre déhmtJf.
____
c~oOc:t----
03 B2
FS7
SERVICE DES HOPITAUX, CENTRE
REGIONAL DE LUTTE CONTRE LE
CANCER.
Prix ' de journée 1952
A.RRETE
Le Préfet des Bouc hes, du-Rhôn e.
Officier de Ja Légion d' Honneur,
Vu l' ordounance du 1er Octobre 1945 ~
l'arrêté diu 15 Ja nvier 1947 sur les Centr
l~é2'io nau x de Lutte contre le cancer ; . de
~
·· trton
Vu la convention entre l'Mrr11101S a ,1 . 1
" Assistance Publique et Je Centre ~eglOna
de Lutte coutre le Cancer de Marse.lle ;
ou de 50 kilos en classe 3
Vu l'ordonnance du 18- 12-1 944, détermiou de 500 kilos en classe 4
nant, à tittre tf.ansitoire, les règles de. fixation
ou de 100 kilos en classe 5
des prix de lou rn ée da ns les H ~p.taux et
Hospices publics et la ci rcul aire d'application
Ce dépôt se trouve situé sur le territoire
de la Commune de MarseiUe au lieu dit
du 29 Décembre 1944 ;
Vu la drcu laire de M.. le Ministre d\) la
c Carf'ière du Mer·lan ~ .
'
Santé Publique et 'de la Populatio n du 29
•••
Janvier 195 1, relative au .cafcuJ '<I.. u prix de
journée des Centres Régionaux de Lutte
Pa.r arrêté en date du 12 Fév,ier, M.
contre le Cancer ;
Gallet Joseph, gérant de la Société Gontier
Vu l'a rrêté pré1ectoml en ,date du 25 Janet Gallet, à Rog nonas, a été autorisé à établir
vj~r 1952 fi xant, ,à titre 'provisoire, à compet à e~ploiter 2 dépôts perm anents de la 3me
ter du 1er Janovier 1952, la red evance -due
'catégorie sis s ur les Com munes : IOde
par le Ce ntre Rég ional de Lutte contre le
Fontvieille, lieu dit « La Calaide > . 2° de
Cancer à l'Administration de l'Assistance
Graveso n, lieu dit « 'La Roque ) , '
publique à 'Marseille, pOltr les prestations
La contenance de chaque dépôt sera d.e
dont U bénéficie ;
50 kilos en classe 1
Considérant qu'aucune proposition n'a été
ou de 50 kilos en classe 3
presentée dans le délai réglementaire, en vue
ou de 100 ki los en classe 4
de la fixation , pour 'le 1er trimestre 1952,
ou de 100 kilos en classe 5
d'un nOuveau pri,x de journée propre ·au
Centre précité ;
Sur la proposition de 'M. le Secrétaire GéPa:r arrêté en date du 25 Février. la Société
nérai,
Fermière Négrel Martin i, à Roquevaire a été
PlRRETE :
autorisée à établir et à exploiter un' dépôt
ARTICLE PREM IER. Est re co nduit, à titre
permanent de la 3me catégorie, sis SUIf la
provisoire, pour le 1er trimestre 1952, le prix
Commune de Belcodène, au lieu dit c Jeande journée propre au Centre Régional 'de
Louis :b'.
Lutte contre le Cancer à J\I\arseille, fixé à
La contenance du dit d~pôt sera de
105 francs pour l'année 195 1.
50 kilos en dasse 1
Ce pri x , s'ajoute pour toutes les catégoou 100 kilos en classe 2
ries de mala.d~s a ux (prix de journ~e fixés
ou 50 kilos en classe 3
par l'artiClle 1er de mon arrêté du 25 Janou 500 krJos en classe 4
vier 1952.
ou 100 kilos en .classe 5
Un nouvea u prix de jOtllr née sera fixé au
moyen des docu ments réglementaires sur le
- - - «1> 00 <0- - prix de revient p révisionnel pour prendre
effet à compter du 1er Avril 1952.
C.T.O
1 D5 B2
ART. 2. - Le présent arrêté sera soumis
COLOMBOPHILIE
à l'approbation de M. le Ministre de la Santé
Publique et de la Population, conformément
NouveUe nomenclature des points
aux dis!)ositiolls de l'o rdonnance du ter
d'entrée en France et en Algérie
Octobre 1945 et de la c",culaire du 29 Jande
pigeons-voyageurs de provenance
vier 195 1.
ou d'origine étrangè re
Toutefois, le prix de journée fixé conformément à l'a rti cle 1er ci-dessus est imméPoints d'entrée en France
diatement apphcable, à titre ,provisoire, jusqu'à l' interve ntion de la décision ministéVoies terrestres
rielle qui l'e ntérinera à titre définitif.
AIMOR (No~d).
ART. 3. - M. le Sec rétaire Gé néral de la
BA ISIEUS (Nord').
Prétecture, M. le DirectelLT du Centre RégioBELLEGARDE (Ain).
nal de Lutte co ntre le Ca ncer, M. le Direc,sLANC-MISSERON (Nord).
teur Général de l'A·dministration de l'AssisOERB5RE (Pyrénées-Orientales).
tance Publique à 'Marseille, M. le T .ésorierFelON IES (Nord).
Pa.r-eur Géné ral, sont ahargés, c hac un en ce
GIVET (Ardennes).
qUi le concerne, !de l'exécution du présent
HBNDAYE (Basses-P)"rénées).
arrêté.
jWMONT (Nord).
Marseille, le 3 Mars 1952.
IŒHLlGare (Allemagne).
LONGWY (""eurthe-et-Moselle).
POUlr le P réfet,
SAINT-LOU IS Gare Bàle (Haut-Rhin).
Le Secrétaire Général,
THIONVILLE (Moselle).
LAMASSOURE.
TOURCOlNG (Nord).
AI~M'ENTIERES (Nord) ouvert a ux pigeons- - - C» OOCll'- - - voyageurs belges les vendredi et samedi
D6 B3
CIA 0
seulement.
HAuLUlN-Gare (Nond) ouvert aux :pigeons..
AUTORISATIONS
D'ETABLIR
ET
voyageurs belges seulement.
D'EXPLOITER DES DEPOTS D'EXH.ALLUIN-ROllte (No,d) ouvert seulement
PLOSIFS.
pour la rentrée des pigeol1S1Voyageurs
Ifra nçais éga rés à l'étranger.
M~ar arrêté ·en date du 15 Février 1952,
riè e Varrot, g~ra nte de la Société des CarVoies maritimes
Chre: <iu ~er l a n, 3, avenue Paulette, aux
BORD&. UX (Gironde).
éta~I~~-Lavle, ~a rsei.l!1e, a été a utorisée à
BOULOGNE-SUR-MER (Pas..de-Calais).
la 3 el ~xp lo.ter un ,dépôt .permanent de
me categone d1une contenance de :
OALA IS (Pas-de-Calais).
CHE RBOURG (Manche).
50 kilos en classe 1
DIEPPE (Seine-Infériellre).
100 kiJos en classe 2
.o.
DUNKERQUE (Nord) ouvert aux pigeon.voyageurs anglais et danois.
LE HAVRE (Seine-Inférieure).
MARSEILLE (Bouches-du-Rhône).
NANTES (Loire-Inférieure) ouvert aux
p igeons-voyage111s an~lais.
ROUEN (Seine-Infériellrê).
SAINT-MALO (lle-et- Vilaine).
Voies aériennes
Aéroports doua niers métropolitains publiés
au J. O. du 30 Docembre 1951 (arrêté du 23
Décembre 195 1 du Mi nistère des Travaux
PutJJics, des Transports et du Tourisme.
Service permanent :
At)ACCIO - CAMP DELL'ORO.
BALE - MULHOUSE.
BORDEAUX - MERIGNAC.
'
LE BOURGET (1).
LYON _ BRON.
MARSEILLE - MARIGNANE.
NICE - le,VAR.
ORLY (1).
PERPIGNAN - LLABA NERE.
STRASBOURG - ENTHEIM.
TOULOUSE - BLAGNAC.
Service permanent de jour (c'est-à-dire
entre le lever et le coucher du soleil)
BAST IA - PORETIA.
BA YONNE - BIARRITZ.
CANNES - MANDELIEU.
CHBRBOURG - MAUPERTUS.
DINARD - PLEURTUIT.
LILLE _ LESQUIN.
MONTPELLIER - FREJORGUES.
LE TOUQU5T - PARIS - PLAGE.
TOUSSUS - LE - NOBLE.
Service saisonnier :
ANNECY - MEYTHET.
DEAUVILLE.
PAU - PONT - LONG - UZELM .
TARBES - OSSUN - LOURDES.
Aéroports fonctionnant sur demande
CAoN _ CARPIQUET.
CORMiELLLES - EN - VEXIN.
LE HA VRE - OCTEV ILLE.
NANTES - CHATEAU - BOUGON.
PONTARLIBR.
POINTS D'ENTREE EN ALGERIE
DES PIGEONS VOYAGEURS
FRANÇAIS ET ETRANGERS
Voies terrestres
LAGHOUAT (Dépa rtement d'Alger).
LAuL.~.,MAGHRNIA (Département d'Oran)
LE KREID'ER (Département d'Oran).
BISKRA (Départem ent de Constantine).
SOUK-AHRAS (Dépa rt. de Consta ntine).
Voies maritimes
ALGER
ORAN - PHILIPPEVILLE.
Voies aériennes
ALGER.
.\\arsei lle, le 3 Ma rs 1952.
Pour le Préfet,
Le Chef de Division dé légué,
LODS.
(1) Lâdhers efiectués obligatoirement à
CORNEILLES-EN - VEXIN (aérodrome de
dégagement).
�-
68
Comm uniqués-A vis
Annonces diverses
D4 B2
DONS ET LEGS
AtJ&.s pubUt en ~riCtlti<m de l'G"ÎCle 3 du dér _ du lM I h:rie,. 1896, dtmS I~ b1ri d'invSkr
\rz "ritflrs ü,conmu des testoteurs à P"~~
If)fWJQisSOrlClt d u testame'nt , en (me de dOflnBr
' «tir
C'OM~ U'm e,,1
ou de produire leurs tnoye,.."
~ o#OS'Ïlicm.
Lu t'eclamotion.s 1ft sont rtCCtJQbles que dan.!
... dl lai tk trois mois à porl, r de l'mserlÎOfI
., c B.dlelin ~.
Par testament olo graphe du 24 Octobre
1950, déposé aux minutes de M' COURTES,
Notaire à Marseille, M. HenrI Slmonnot a
légué d ivers portraits et aqua relles au Musée
Longchamp à MarseiUe (M usée d es BeauxArts) et au Musée du Vieux Mars eille.
Confe>rmément aux dispositions du dlécret
du 1er Février 1899, les héritiers connus ou
inconnus de M. Simonnot, sont invités à
prc!n.dre con na issa nce du tes~a m.ent, Go nn er
20
el
ADJUDICATION PUBLIQUE SIMPLE
.~ooc~ ------
D2 83
AVIS DE CONCOURS OUVERT PAR LA
VILLE DE MARIGNANE POUR UN
EMPLOI DE COMMIS D' ORDRE ET
DE COMPTABILITE.
Un conCours pour l'emploi de commis
d' ordire et de co mptabilité sera ouvert par
la ville de J\>larignane le 28 ,Mars 1952. Indi ces 130 - 230. Inscriptions reçues jusqu' au
20 Mars. Limite d'âge 30 ans.
Pour conditions d' admission et progr-am me
tIu conCours s'a'lIresser au Sec rétariat Gén éra i de la Mairie.
S ervice des Subsistances Militaires
Pla ce de Marseille
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Min istère de la Guerre (ge Rigi on Militaire)
Une adjll:dication pu b1iq ue sim'Ple au ra lieu
le menered l 26 m",rs 1952, à 9 h e ur~ 30 à
l' Intendance des Subsista n'C es, caser ne Audéo ud, Pro menade de la Corn iche à Marseille, pO Ul" .la fournit ure a ux Corops 'de T,roupe et Etabltssements de la 9me Ré",;on Milita ire, pour la période du 1er Av~il au 30
Septem bre 1952, de :
-----
------- c.o o c~ -------
Coke de gaz . . . . .. . ... . .
Boulets ("void es) .. . . _.. .
Ligni te .. . . . ...... . . . . . . .
Antl;racite . .......... .. .
Houilles ... .. _ . ......... .
97
530
1.550
120
212
tonnes
ton nes
tonnes
tonnes
tonnes
F RA.N0A!SE
,, /
-- N" 12 el J3
DËPARTEMENT DES BOUCHES-D.U-RHONE
,
leur consentement à son execuhon ou produire leurs moy ens d'oppositHJn dans un
'délai de trois mois à dater du jour du Iprésent avis.
Marseille, le 25 Fév rier 1952.
_______
R ÉPUB LIQ UE
27 MI" 1952
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspo nda n ce r elative a u Recueil do it ê tre adressee li la Pre fecture SecrétarIa t Général
A.BRÉ VIATION S
A. P . : Arrêté préfectoral. - C. : Circulai re - Les lettres 0 et B s uivies d' un dhiffre ind iq uent le Ser vic e ou Bu rea u d'origine.
D. 5_ T. : Direction des Ser vices Tech nique • . -- D. D. S. : Direction Départemen ta le de la Santé. -- D. D. P. : Direction départementale de la Popul ation.
To us les documents se rapporta nt à l'adjudication peuvent être -consultés à l'Intendance sus-visée.
SOMMAIR.E
Paees
Arrêtés réglementaires et Circu1airq
AG O. - Lis te des jou rn aux autori sés
à publier les a nno nces légal es dans
le dépa rtement des Bouches-d uRhône en 1952. -- T arifs d' inse r ti o n.
AG 2. -- Rémun érat ion des agents des
coll ectivités locales . ..... .. . .....
AG 2. -- Indemnités aux agents
communaux. - Circula ires min istérielles n° 53 AD/ 3 et nO 75 AD/3
du 28 févri er 1952 . . ..............
AG 2. -- Régime de Sécurité Sociale.
- CapitaJ décés acco rdé a ux agents
des collec ti vités locales. - Circulaire
ministéri elle n° 100 AD-3 d u 7 ma rs
1952 . ... .... .. . . ... . . .... . ..
AG 14. -- Révisio n des listes électorales. -- Franchise I]lOstale .. .. . . ..
AG 14. - Circulai re mi nistéri ell e nO64
du 9 février 1952 relat ive au x listes
électora les. -- Répudiatio n de la natio nali té fra nçaise .... . . ........
69
70
70
74
75
75
AG 14. -- Déc ret n° 52- 140 du 6 févr ier 1952 po rt a nt a ppl icati o n de
l'a rti cle 4 de la lo i n° 5 1-5 19 du
9 ma i 195 1 modifi a nt -la lo i du 5 octobre 1946 relati ve à l'éJecti on des
me mbres de l'Assemblée Nationale ..
P 3. - Ar rêté fixant les co nditions
dans lesq uelles est auto risée la pêche
à la li g ne fl otta nte les di ma nches et
jours fé r iés, en pér iOde d' interdicti o n, da ns ce rtai ns co urs d'ea u de
deuxième ca tégo ri e .... .... . . ..
P 8. -- Co nditions d' en t rée et de séjou r en Fra nce des membres des
Fo rces a rm ées (et de leu rs fa mill es)
ap pa rtena nt aux pays signataires
du Tra ité de l'Atlantiq ue No rd ....
SC 7. - Ci rcul ai re mini stéri ell e n° 78
du 29 février 1952 relative a u se rvice de séc urité assuré pa r les
sa peurs-pomp iers .... .... ......
TV X O. -- Arrêté déte rmina nt les salaires no rm a ux et co ura nts des
o uvri ers pave urs et des scapha nd r iers ....
. .. .... .... ..
75
76
76
77
77
EN O. -- Vente d' un e broc hure conce rn a nt les tra va ux d'éq uip ement
spo rtif .. . . . . . . . . . . .. . . . _:...
EN O. - Loi Barengé. -- Fonctionn.,.
ment de la Caisse Dépa rtement ale
SCOlai re . . _. .. .. . ... . . .. . _. .
FS O. -- Médecins a g réés pour prati qu er les examens radioscopiques en
vue de la déJiv ra nce des cer tificats
prenupt ia ux et prénata ux ..........
FS 7. - Pri x de journée prévis ionnel
applicable à l'H ôpital psychia triq ue
d'Aix-e n-P rovence à compte r du
1-1 , 1952 ... . .... . . .. .. .. .. . .
A o. -- Arrêté pôrta nt fixatio n des
cotisatio ns
d' ass urances socia les
agricoles dues po ur les ouvr iers
gemmeu rs . . .. .... .... .... . . . .
77
77
78
78
79
Communiqués . . Avis . . Annonces c:livettses
-- Demande d' emploi . . .. .... .. . .
79
FS O. -- Rectifica tif reJatif a u c R.,.
no uvell ement du Co nseil dépar teme ntal de J'Assistance Publ ique et
P r ivée » .... .... .... ... . . .. _ 79
P3. -- Rectifica ti f . ....... . _ . . . . . .
79
ARRÊT ÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D5
82
AG 0
LISTE DES JOURNAUX AUTORISES A
PUBLIER LES ANNONCES LEGALES
DANS LE DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU -RHONE, EN 1952.
Copie certifiée conforme :
P our le Préfet :
L. SecrMai" Général
LAMASSOURE.
Tarifs d'insertion
ARRETE
Le Préfet des Bouc hes-du-Rhône,
Offi cier de la Légion d' Honn eur .
-
Vu la loi du 23 décembre 1941 , mod ifiée
par
nce du 12 av ri l 1945, donn a nt
pou l' ordonna
.
d VO ir au P réfet de chaq ue dépa rtement
. e déSig ner so us certa ines co ndit ions les
JOurnau x a t . ~-'.
'
jUdo
'.
U O Tl S~ a 'pu biJ er les annonces
dit~la lres et légales et fi xa nt le ta r if des
V u les ci rculaires télég rap hiq ues en date
du 28 décemb re 1945 et du 4 janvier 1946
de M. le Ministre d e l' ) nfo rmation ;
Vu l' a rrêté prefectoral du 30- 12- 1950 ;
Vu les instructions eQ date du 20- 11 -195 1
de M. le Mi nistre de l'Info rmatio n ;
Su r la proposition de M. le Secrétaire
Gé néra l de la P réfecture,
Arrête :
Article premier. -
So nt seuls susceptibles
de recevoir les an nonces exigées par les lois
po ur la va lidite de la publicatio n des pro·
céd ures ou des co ntrats, au co urs de l'a nnée 1952, dans le Dépa r tement des Bo uchesdu-R hô ne, les journa ux dés ign és ci-ap rès
pa r o rd re alphabétique.
MARSE ILLE
Journaux quotidiens du matin
de Marseille et du Sud-Est,
La MarseÎllaÎse, 15, cours du Vieux-Port,
Ma rseill e ;
Le Méridional, 13, rue St-Dominique,
Ma rsei ll e ;
Le Provençal, 75, rue de la Darse, Marse iH e ;
L' Anlenne de Marseille, 33, r ue Jean.-Fr.Lee a, Marseille.
Journaux quotüliens du soir
Le Soir, 75, r ue de la Da rse, J\larseiUe.
Joumallx périodiques
L' Agriculteur Provençal, 15, rue Edmo ndRostand, Ma rseille;
Le Bulletin Officiel de ta Ville de M ar-
seille ;
JOllrnal d e Marseille, 19, rue Ve nture,
Marseille
�-
10
Journal Maritime du Port de Marseille,
35 rue Friedland, MarseJlie ;
.
Le Littoral, 27, rue Guel'mard, La CIOtat;
Massalia, 16, cours Plerre-Puget, ,Marseille ;
.
Midi CommercIal et Judiciaire. 61, rue
Grignan ;
.'
S
P
Publicalions MarselUQlses, 3. rue
aradis, Marseille ;
".
Petites Affiches Morse/lia/ses, 33, rue Grignan, Marseille. ! .
Semaine JudlclDlre, 19, rue de la Darse,
Marseille.
AIX-EN·PROVENCE
Le Courrier d'Aix, 24, rue ~spariat, ~ix ;
Prol'enee Libérée, Cours MIrabeau, AI?, ;
La Voix de PrOl'eIJCe. 10, rue
Joffr~1 A~x
;
La Terre de Provence, 20, rue de 1 Opera,
Aix.
ARLES
L'Arlésien, place joseph- Patrat, Arles;
La Liberté, 16, rue du Marché-Neuf,
Arles.
SALON
Le R égional , 10, Bd de la République.
TARASCON
Le Commercial de Tarascon, 4, rue Salaire, Tarascon ;
La Gazelte Prol'ençale (pour " Arrondissement d'Arles seulement), 45, rue Carrote rie, A vignon.
Article 2. - Le ta r if des annonc~s judi;
ciaires et légales est fixé pour l'a nnee 195 ...
ainsi Qu'il suit:
P?ur les journaux quotidiens
du mahn .... .................... 75 Fr.
du soir ....................... 70 Fr.
- pour les journaux périodiques. 60 Fr.
par ligne de trente lettres, blancs. ou si ~nes,
le nombre de lignes étant calcule au. lignomètre du corps employé de filet à file!.
Article 3. - Le même tarif sera appl~ué
en ce qui concerne les annonces et pubhc~
tions dans les affaires domian~~s ou, admi nistratives spécialement en matler~ d exp ropriation p'our cause d'utilité publique.
Arlicle 4. - Ce tarii est réduit de moiti é
en ce qui concerne les publications suivantes rel atives ;
1° aux jugements de faillite,. au~ Convocations et délibérations des creanciers ;
2· aux ventes judiciaires d' immeubles
dont la mise à prix est inférieure à 8.<XX? fr.,
conformément à l'article 5 de la lOI. du
23 octobre 1884, mod ifié par le décret-lOI du
17 juin 1938 ;
3° aux contrats et procédures da~s les
affaires suivies par application des lOIS .des
29 novem bre et 7 décembre 1850 et 22 janvier 1851, sur "Assistance JudiCiaire.
Ar/icle 5. - Lorsque la ligne aura plus
de trente lettres, le prix de l'i nsertion augmentera en proportion du nombre de let.t res
supplémentaires ; le nom bre de lettres a la
ligne sera décompté suivant les .règles typographiques.
.
.
Ar/icle 6. - Le coût d' un exe,m!>laIre le·
galisé non compris les dro~ts .d enregistrement est fixé au prix dudlt Journal augmenté de la taxe de légalisatio~ . Il est, réduit de moitié pour les cas prevus a 1 article 4.
Article 7.
L'auto r isation accordée
mise en demeure à tout journal ne se ~011 formant pas au tarif édicté pa r les artJc les
3 et 4.
Article 8. - Le présent a rrêté .s~ra soumis à l'approbation de M. !e .MlnI~tre de
l'Information et recevra prOVISOirement son
exécution.
Article 9. - Le présent a r rêté ~era inséré
au recueil des actes admi nist rat ifs et ampliation en sera transmise à, M. le Pr,oc.u.reur
Genéral près la Cour ct Appel dAIx-e n'
P rovence à MM. les P rocu re urs de la Rép u~
blique à MarseiJl e, à Aix-en-.p rov<:nce et a
Tarascon, à M. le Président du T,'lbu nal de
Commerce de Marseille ai nSI qu aux Journaux intéressés.
Ar/icle 10. - M. le Secrétai r~ Général de
la Prefecture, Mlvl. les Sous-Prefets et MaIres sont chargés, chacun en ce qUI Ale. Conce rne, de l'exécution du présent arrete.
Marseille, le 29 décembre 195 1.
Signé
PAIRA .
- - - - <>00<>·- - - -
AG 2
02 B3
REMUNERATION DES AGENTS DES
COLLECTIVITES LOCALES.
P a r circulaire n' 400 AD /3 du 12 oc to·
bre 1951 (publiée au Recueil des Actes Administ ratifs n° 43 du 25 oct~b re. 1.95 1).
Nt le Ministre de l' Int érieur av.al t .'~l1sse au~
Conseils municipau x la faculte d etend re a
leur personnel le bénélice des ~écrets du
26 septemb re 195 1 pontant a m enag~n:ent
des traitements des fonctIOnnaires de 1 Eta~.
J' ai ' l' honneur de signale,' à .N!M. les MaIres du Département que I.a.rrete lOte rmlnlStériel repre nant les ~ISI?osltJons de ces tex tes pour leu r application aux agents des
coUeotivités locales a été publié au Jo urn al
Officiel du 2 mars 1952.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secretaire Genéral :
Guy LAMASSOURE.
- - - - «»00<>- - - -
02 B3
AG 2
INDEMNITES AUX AGENTS COMMU NAUX. - CIRCULAIRES W 53 AD 3
ET N· 75 AD 3 DU 28 F E V. 1952.
J'ai l'honneur d'attirer l'attention de Messieurs les Maires du Département ~u.r le texte
de deux ciI1culaires de M. le Mimstre de
f'lntéreur, la première n· 53 AD-3 du 28
février 1952, relative a ux travaux s~pplé
mentaires, IJautre n" 75 AU-3 de la . me!lle
date concernant les conditions d'a ttnbutlon
de diverses indemnités.
Ci-dessous le texte des deux cillcülaÎres.
Le Ministre de l'Intérieur
à Ml"'. les Préfets de la Métropc>le
OBJET. - Rémunération ,f orfaitaire ou
hor-aire des travau x supplémentaires accomplis par les fonctionnaires et agents des collectivité locales.
REF. - Arrétés ministériels des 1er août
(j .0 . du 15 août) et 21 s<:ptemb re U.O. du
27 septem bre 1951).
Le régime de rémunération des tra'Vaux
supplémentaires accomplis par les a"ents
des collectivités locales résulte désormaIS de
da rémunératio n su r Ja base ho raire et de
l'arrêté du 21 septembre en ce qui concerne
la ré munération su r la base du fomait.
Ces deux tex tes ap!>eIlent d'e ma part les
observations s uiva ntes au s uj et de leur applicatio n a ux départements, aux commune.s et
à leurs étahlissements publks autres que les
étabiissemenls 'hospi taliers.
C HAP ITRE 1
EOONOMŒ DU REGIME
Bie n qu'i nspiré 'Par le r ég~m e de rému né_
ration des trava ux supplémentaires etf-ectués
(par les fonc ti o nn ai res et a~e nts de l' Etat, "
s'en dist ingue rpar un certa in no mbre de d~s
positio ns q ui lui assurent la souplesse
néoessai re.
C'est ainsi que la clause rie la réglemen'
tation antérieure limitant strictement les credits de travaux supplémentaires n'a !}las été
maintenue,
Cet aménagement répond' à des besoins
in'Co ntestables te ls que : diversité de l'organisatio n des services des co ll ectivites locales, importance tr~s variable. des effec.ttfs Idu
perso nnel affecté a ces services.
Tell e de ces ·co ll ectivités demaridera
ex,ceptionnellement à ses. agents d' accomplir
des travaux suwlémentalres ; telle autre
.devra, au co nt raire, exiger .couram ment de
certaines catégo ries de Ipersonnel, des eHorts
supplémentai res.
" . .
La p répa ration d u budget, les a{jl~udica~lons
Ide travaux l' or,ga nisation de mamfestahons.
Iles él ectio~s l'exécution d' un programme de
travaux 'l' ét'ab lissement des id'ossiers d:'économiq uément faiblIes ne. souffr~nt pas de
retard et imposeront parnols le de~assement
de la durée réglementaire du travaIl.
Il est juste de do nner aux assemblées
locales la facu lté de rémunérer ces heures de
travaH s~Qplément,aires. Ce sera, la plupart
du temps , p~us rationnel que de (p~oceder au
recrutement de personnel ~emporaJJ'e, ,
Il a'Ppartiendra à l' autortt~ de tutelle
précier au moment de 1 apprdbahon
bud'get~ ,si les c rédits ,prévus pour la réf!1unératio n horaire des t ravau x suppl émental~es
ont bien été fixés e!1 .lfonc~Îon d.es 'bes~:
prév:isibles des admlnlst raho ns Intéress
Cette appréciation, pour être co n ecte, ~:i~
tenir co mpte non seuleme.nt des c ,
.
,consacrés a. 'cet article
au cour s de l'exercice
récéde
nt
mais
éO'a,lement
des oCi r.constances
P
,'=>
particulières
à ohaque com~une .narma lement p révisibles pour l' a nn~e a v~ n~. forlai~
En ce qui concerne les Indem01t <H . ~
taires susceptibles d'être. a!10ué~ ail~ ~~:(
teurs des services élidmiOlstrahfs r e 'tation
chefs de bureau, l'absence d'un~ ,mll tion
des crédits a pour .co nt r~-pa rtl e 1a~~~em'
des taux moyens ou m ax~mum des eteRuS
nités inférieurs à eeux qUI ~'"t étéé:éficiai.
!)Jour les fonctionnaires de 1 Etat b
res <Findtemn ités ldenhques.
d:
CHAP ITRE Il
INDEIMlN ITES HORA IRES '
SeCTION 1 - BBNE'.FICLAIRBS .
sceptlbles
Les fo n'c tion naires et ag:en ts s.u nt sated
de bénéficier de ces ind'e mnltés Dive
.faire aux conditions suivantes :
1· Durée du tra va il :
d . 'straLe régime de trava .il da nS les afi nll
é Rl
par le
tions publiques est actueUemcnl ~écret du
décret-loi du 21 avril 1939 ct e
71
En vertu des art icles 1 et 6 <lu d~c:et-Ioi
21 av ril 1939 la durée régleme nta Ire du
du aü da ns les adm inistratio ns de 1',Etat, ~es
~y tements des commu nes et des établis~par
se
ments pubÙCS, est lfixée à 45 heures par
semaine
1939
Le décret Kil! 8 septemb re
~, par
li rs exigé du personnel de seT\Vlce 48
al eu 'de trava il au lieu de 45 heures ~)our
helJ restres catéaories de personnel. ILe perIes aUI de sellvi;e com prend les agents affecsonn
.
tés àe une tàc he e~Lgeant
essen t'le Ill'm,en,t de
fa présence : gard iens de bur eau, 'hul sslers,
• é .. té' l '~ l e
rt icle 1er dt'" J' arret m tn lS rte 'U li
r
dern ie r p révoit <fonc q ue les heures de
00 '1 accI>lT\pJies par les agents des colt ectraval
. .
d' 1
tivités locales au-del~ d e la 48 me ou 1 e a
45me heure !pour ro n ~ et re ré munérées comme
heures s upplé mentaires.
,
.
Un e -catégorie de fonctio n naires c?mmu,nrofesseurs des Eco les Nationales
naux, les ..
R"
1
.res
de Musique et des Ecoles egl? na es
Bea ux-Arts, sont soumis à un régime de tra\'ail particulier, imposé par la nature de leurs
fo nctions. Lorsqu'Ils a uront dépassé la durée
réglementaire des cours qUi le~r est applicable, à savoir de J 2 h eur~s a t t\ heures
selon les établisseme nts, les Intéressés pourront percevoir des inde.mnités calculées de la
faço n suivante: Le tra itement moye n rbudgé~
taire annuel sera d ivisé par le. no m.br,~
ann uel d'heures de cours et le quotient alOSI
oblenu sera mu·ltiplié pa r 0.75.
2° Rémun ératio n maxim~l1n :
.
Le bé néfice des indemnités horai res \po ur
travaux supplémentaires est Hm~té :
- aux agents titulaires do nt le classement
indiciai re est inférieur ou égal à 3 15 j ..
- aux agents contractuels, aux auxlllatres '
de bureau ou de service, aux em.ployés de
bureau recrutés sur contrat percevant un~
rémunération an nuelle inoférieure ou éga1le a
380,000 francs 'Pour la période anté rfeure au
1er juillet 1950 ; à 410.000 francs pour la
période du 1er juillet au 24 déce mbre 1950;
~ 449.000 francs du 25 décemb re 1950 a u 28
février 195 1 ; à 467.000 fr. du 1er ma rs a u
9 septembre 195 1 et 551.000 francs à compter du 10 septem bre 1951. .
C'est ai ns i q u' un agent qUi, sans Qha~ger
de cadre bénéficiera d'u n avancement a un
échelon ~omportant un ind ice supérie,ur à 31.5
cessera de pouvoir pré tendTe là d'e s IndemOltés POUT trarvaux sll!~pl émentaires,
.
3· Catégories exclues dJu !bénéfIce d'es
indemnités horai res :
Ce sont:
a) t es aO'ents qui 'Perc;01vent une indeml1ité fonfaitaire pour travaux sl_pplémentaire~
d qui ne peuven t prétendre, en outre, a
aucune rémunératio n horaire même lo rsqu'il s'agit de travaux eX'ceptionne1s tels que
le dépouiMeme nt des scruti.ns élector.a ux ;
b) Les agents logés (Cf. Oh~pitre 9V) ;
c) Les agents 'Percevant déjà un e indemnité rémunérant certains travaux n'e ntrant
pa.s dans le <:adre des attributions régl em e n~
tan,es de J'emplo i qu ' ils occupent: 'par
exemple l'ao-ént chaf'O'é 'en sus de ses fonctions normaies dll s:c ~~tariat du Bureau de
~ieRfaisance
bé né-nciairc, il ce titre, .d'une
Inde mnité Ipartt-culi ère ;
li) Ll"'S oif;ciers, so us-offUciers, gradés et
sa.pe~lrs des eOf1pS de protection contre l' in~endlE~ S,oumis il un régime spéocial d.e travatl.
outefols, des inde mnités horaires rpour traraux Sll~émelltaires pou r ro nt le ur ètre
Plantons.
J..'
ot
ct
aUouées, lorsque le corps auquel ils appartie nnen t aura été appelé à paTtidper à des
missioas pa rticulièrement longues et da ngere uses.
J'i nsiste s ur le caractère tout il fait
exceptionnel des dé rogations que vous pourrez accorder dans le cadre de l'article 2 de
l'oroonnanee du 17 ma i 1945. Cette dispos ition doit permettre de réconllPe nser par
exertl/ple les efforts et le dévoueme nt de pompiers envoyés, pl usieurs jours du rant, ,hors de
leur comm un e o u appelés à co mbattre des
si nistres d' une partic ulière a mpleur (,comme
les incendies réce nts des La n'Clles OUi de ra
COte d'Az ur) ;
e) Les agents ayant :perçu des frais de
mission ou de tournée, ces derniers -!émLLnéra nt la totalité <les sujétions entrainées par
le déplacement de service.
SBCTION Il -
CALCUL DES INDEMN ITES
HORA IRES
L'article 9 de ;'arrêté du 1er aoOt d ispose
que le ta ux maximum horaire de ré munératio n des travaux sl\Pplémentaires varie en
fonction du montant global du traitement, de
l'indemn ité de résidence et du complément
provisoire de traitement (depuis l'institution
de ce dernier, soit à compter du 1er
mars 195 1).
Ce montant glabal est divisé par un c hifrire qu i varie lui-m ême selon que .Ies heures
supplémentai res ont été accomplies I)ar un
age nt de service ou pa r un agent appartenant aux .autres catégodes de personn el ;
avant ou après minuit ; lIll jour oUivrable
ou un dima nche o u jour férié ; jusqu'à
Co ncurrence de 14 heures au cours d'un
même mois ou au-delà.
CHAPITRE III
INDElMN ITES FORFAITAIRES
SECTION 1 - INDElMNITES
DES SECRET AIRES GENERAUX ET
SECRE'.TAoIRES GENERAUX - A,DjOINTS
L'arrêté du 21 septembre 1951 crée une
illdemnité fomaitaire !pour travaux su~lé
mentaires en ~ve ur !(les secrétaires gé néraux des communes de plus de 2.()(X) 'habitants et des secrétaires gé néraux ad joints
des vi l-les de plus de 20.000 ha.bita nts.
Cette mesure répond à la demande formulée pa r certains conseils mun~cipaux dlési.re ux
ld'accoJider aux Ifonction11alreS supé n eurs
des Communes une indemnité allouée jusqu'à
présent à leurs seuls . s~bordonnés directs.
L'in'demnité
forfaitaire Iperm ett ra aux
Assemblées qui l' estimero nt éq~it~'b le e~
nécessaire Ide rémunérer les SUj étions qUI
sont Imposees aux intéressés .du. fait que. I.a
réunion de nombreuses commISSions mUOl CIpales et du Co nseil lu i-même se tient, la plupart du temps, en d~hors des heures réglementaires de travail.
Cette ind em nité com porte seulement un
ta ux maximum .
SECTION Il
INDEMNITES DES DIRECTEURS
DE SERVICES 'ADM INISTRAT IFS
ET DES CHEFS DE BUREAU
les taux moyens servent au calcul des
crédits maximum susceptibles d'ê tre consacrés à cette indemnité.
.
j'insiste tout particulièrement s ur ,le fait
que M . le Ministre du Budget et mOI-m èmc
n'avons pas cru devoir ret ~ lli. r I~ mode de
calcul des indemnités forfaitaires apIPIt<:aole
aux fo nctionnaires des cadres des préfectu res. La variation des taux en fonction de
l'abattement de zone de la Commune de
résidence a été écartée lorsqu'il s'est agi de
fixer les indemnités intéressant des agen ts
n'apparte nant pas à un cadre natio nal et
n' étant pas susceptibles, à ce titre, de
changer de résidence à la suite de mutations.
L'a rrêté du 2 1 septembre 195 1 a prév\!
des taux moyens et ma ximum différents pour
la pé riode du 1er janvier 1948 ail 31 décemb re 1949 et pou r celle partant dll
1er janvier 1950.
Da ns l' hypothèse où VO li S auriez, ma lgré
l' absence d'instructions ministériell es, appro uve le relèveme nt des taux des indemnités dont il s'agit depuis J'i ntervention de la
circulaire du 3 décembre 194 7, je VOus prie
d'inviter les Assemblées locales à se conformer, dès réception de la prése nte instruction, à la no uvelle règlementation.
CHAPITRE IV
SITUATION DES AGENTS LOGES
Les agents logés, en ve rtu de leur statut,
par nécess ité de service, sans avoir à ve rser
le loye r en contre-partie, ne pourront bénéficier d'indemnités pour travaux supplémentaires, le logement leur étant accordé en
compensation de certaines sujétions parmi
lesquelles entre la plupa rt du temps ane
durée de présence supérieure à la normale .
Toutefois, deux exceptions SOillt prévues:
a) En ce qui concerne les bénéficiaires
ct' indemnifes horaires, en faveur du personnel o uvrier appelé à effectuer des travaux
hors de son domi cile.
Cette dérogatio n, bien qu'exceptionnelle,
ne doit pas êt re interprétée trop rest rictivement. C'est ainsi que pou rront éga lement
en bé néfic ier, par exemple, les agents qui
sont logés pour un motif n'aya nt pas de
relation dire<:te avec l'e xe rcice de la fonction principale : fonctionnaires co mmun aux
logés en qualité de pompier volo nt aire et
ast reints à ce titre à cer taines obligations
non imposées aux pompiers volontai res non
fonctionnaires.
II VO us appartiendra d' apprécier les si~
tuations particulières qui "ous seront soumises.
b) En faveu r des bénéfic iai res d' i nd emni~
tes forfaitaires pour travaux supplémentaires
qui pourront percevoir une indemnité ré.
duHe de la valeur locative du logement
qu'ils' occupent.
Cette valeur locative se ra fixée par le
Consei l Municipal dans le cadre de la législation su r les loyers.
CH-'PITRE V
SUPPLEMENT DE REMUNERATION
AU TITRE DU TRAVAIL DE NU IT
L'article Il de l'a rrêté du 1er aoOt 1951
permet aux co ll ectivités locales d' allo uer
allX agents qui ass urent un service de nuit
régulier une indemnité horaire de 30 francs
qui s'ajoute a u traitemen.t normaJ et éventuellement aux indemnités prévues par l'arrêté du 23 mai 195 1.
Cette indemnité ne peut être accordée que
pour le travail acco mpli entre 21 heures et
6 heures du matin.
En vertu de ces dispositions, un agen.t qui
accomplirait par exemple 7 he1tres de trava il entre 17 heu res et 24 heu res pourrait
pr,étendl:e à un supplément lie rém unération
�73
72
CHAPITRE VI
munérant des sujétions désormais couverte~
par le traitement afférent. ~ chaque emploI.
Par circulaires des :3 JUIn et . 12 octobre
195 1, j'ai porté à \:otre CO,~nalssance !es
modifications susceptibles ,~etre ?ppo rte~s
au régime d' attribution de 11TI~~mmté de .re-
DATES D'APPLICATION
DU NOUVEAU REGIME
ment en même temps que les condlbon.s
d'octroi du com.plèment provisoire de trai-
Cet 3\"antaae ne peut en aUCun cas être
cumulé avec Îa rémunératio." d',heures .supplèmentaires qui est. sowmse a. ta reglementarioo faisant l'oblet du chapItre II.
En ce qui concerne les indemnitês ~or~i
Tes les assemblées locales pourront prevOtf.
si 'leurs possibilités financièr.es ~e pe~met
te nt, la rétroacti,'ité au le, Janvle' 1950.
Cette même date pourra être retenue
comme point de départ de l'attribution d.
l'indemnité forfaitaire aux secrét~i ~es gê,né-:
faux et secrétaires généraux adjOlOts ainSI
que du second. relè\"ement des taux des
indemmtes des directeurs et chefs de bureau.
Le premier relèvement de cette dern!ère
indemnitê pourra prendre effet du ter Janvie, 19-18 si les assemblées locales disposent des ;essources suffisantes.
j'appelle tout particulièrement l'otre attenti on sur te caractère exceptionnel que dOit
revêtir l'octroi d'indemnites pour travaux
supplémentaires, forfaitai res ou horaires,
aux agents des collectivités locales.
Il convient de prescri re l'attribution d'indemnités qui ne rémun éreraient pas un travail supplementaire effectif, mais se présenteraient comme un complément régulier du
traitement.
Vous aurez à insister sur ce point en por·
tant le contenu de la présente circulaire à
la connaissance des Maires et Présidents
des Conseils d'Administration d'établissements publics qui auront à appliquer le nouveau régime de rémunération des travaux
supplémentaires.
Le Préfet,
Directeur de l'Administration
Départementale et Communale,
Signé: DAMELON.
:.
Le Ministre de l' Intérieur,
à Nu\\. les Préfets de la Métropole,
OBJET : Applicalion de l'arrêté du
23 mai 1951 ,elatif aux indemnités susceptibles d'être allouées aux agents des collce·
til'îles [o eDies.
INDEMNITES REPRESENTATIVES DE
FRAIS. - INDEMNITES POUR îRAVAUX PENmLES, INSALUBRES OU
SALISSANTS. INDEMNITES SPECIALES AUX SAPEURS-POMPIERS.
L'a rrêté du 19 novembre 194S, relat if au
classement indiciaire des fonctionnaires mu
nidpaux, dispose dans son arttcle 3 que
< les fonctionnaires et agents des communes
ne peuvent bénéficier, en sus du traitement,
que des suppléments pour charges de famille de l'indemnité de réSIdence et, le cas
éch~nt des indemnités spéciales fixées par
sidence et du supplément famillai de traitetement.
.
Vous recevrez par ailleurs des II1structions permettant l'application des arrêt~s des
1er août el 2 1 septembre 1951, relattfs au
ré crime de rémunération des travaux supplém:ntaires accomplis par les agents des col-
lecti vi tés locales.
.
A ces indemnités, ayant un ca r.actere générai, peuvent s'ajouter un . certa,1TI ~om~rt!
d'indemnités dont les modalltés d attnbllh~n
ont été fixées par l'arrêté du 23 mal 19.:> 1
(J.O. du 3 juin).
La p résente ci rcul ai re a pour objet de
commenter certaines dispositions de cet ar·
rêté applicable aux agents d~s c<;>mmunes,
des départements et de leurs etabhssements
publics autres qu'hospitaliers.
CHAPITRE 1
INDEMNITES REPRESENTATIVES
DE FRA IS
Ces indemnités peuvent ètre groupées en
trois catégor ies.
SECTION 1
1° Conditions généra les d'attribution .
En vertu de l'a rticle 2 de l'a rrêté du
23 mai 195 1, les agents des coUectiv~tés locales ayant accompli des missions en, ~ehors
des limites de l a commune de resldence
fo nctionnelle peuvent percevoir les indemn.ités pour frais de mission ou de tour."ee
accordées aux agents de l'Etat, par app1lcation du docret modifié n" 45-2268 du 4 oc-
tob re 1945.
Je rappelle qu'aux termes du décret précité :
_ l es indemnités pour frais de mission
sont allo uées « soit pour des déplacements
de -ca ractère accidentel effectués par les
aQ'ents en dehors de leurs attributions norn~ales, soit pour des déplacements entr'.lllt
dans les attributions normales de ce rtaI ns
a"ents mais effectués sans que ceux-ci
s~ient affectés d'une façon co ntinue à une
ci rconscrip.tion d éterminée» ;
- les indemnités pour frais de tourn ée
sont allo uées c.: pour les déplacements effec-
tués dans les lim ites d'un département par
le personnel exerçant habituellement hors de
son service d'attache ou de sa r éSidence,
ses fonctions normales d'exécution ou de
cont rôle • .
Il sera fait application de l' un ou l'a utre
des barèmes de remboursement forfaitaire
de fr ais selon la nature des déplacements.
Au surplus dans les deux cas, les frais de
transport s~ront remboursés selon l es r ègles
arrêté :ninistériel. Ces indemnités spéciales,
attribuées notamment en remboursement de
frais exceptionnels et en rémunération de
travaux supplémentaires,
pourront être,
établies par les articles 10 et II du décret
du 4 octobre 1945.
également, allouées à des agents appelés,
occasionnellement, à l'ex.écution de tâches
insalubres ou dangereuses •.
Par application de ce texte, la circulaire
<lu
janvier 1949 et celle du 14 novembre
vous avaient invité à veiller à ce que
le remboursement des frais de déplacement
à l'intérieur de la résidence par les trans-
Les agents d'un grade .. inférieur à réda~
teur ou acijoin t techniq ue pourront obteOlr
Iports en commun. A titre exceptionnel, la
même mesure pourra être prise en faveui
des agents d' un grade supérieur appelés par
leurs fonctions à utiliser couramment ces
de
OU <le tounlée
Aucun agent bénéficiant de l'indemnitt:
d'entretien de bicyclette ou d'indemnités ki.
'lometriques ne pourra obtenir le rembourse..-
accordées
aux
agents
de
l'Etat.
..
d e ce t ex t
-dre
Les diSjpoSltions
e pot
urron
ment de frais de déplacement en ville.
étendues aux agents des coUectivités loca-
Les collectivités locales -constituant des
administrations autonomes, il ne peut être
question d' accorder des indemnités de muta.
tion en cas de changement de collectivité.
les.Depuis la lPubhcat.lon
. .
d e l' ar~-té d 'u 23 mal.
1951 est intervenu le d~cret n" 5 1-792 du
22 'wn 1951 (J.O. du 24 juin) qui a releNé,
à c~mpter du 1er )uin 195 1, les tau x des
2° Classement dans les Groupes.
Pour l'application des règles qui précèdent, les agents des collectivités publiq ues
sont classés en quatre groupes selon l'indice ou le t raitement dont ils bénéficient.
Apparti ennent:
a) au gro upe l : l es agents titulaires dont
J'indice hiérarchique est égal ou supérieur
à 525 et les agents non titulaires dont la
rémun ération de base
_ était égal e ou supérieure au traitement correspo ndan1 à cet indice du 1er d~·
cembre 1 9~9 au 24 décembre 1950 (soit:
750.000 francs) ;
_ était égale ou superieure au traitement cor respondant à cet indice du 25 décembre 1950 au 9 septembre 195 1 (soit:
813.000 fr ancs) ;
_ est ê f1 ale ou supeneure au traite·
ment cor r~ponda nt à cet indice à compter
du 10 septèmbre 195 1 (soit: 988.000 frs).
b) au groupe Il : les fonctionnaires. ~onj
'l'indice hiéra rchique est égal ou supeneur
à 330 et inférieur à 525 ainsi que les agents
non titulaires dont la rémunératio n de base.
_ était égale ou supe rieure à 430.000 frs
et inférieure à 750.000 Irs, pendant I~ période du 1er décembre 1949 au 24 decem'
bre 1950 ;
. .
.
_ était égale ou supeneure a 474.000 fr>
et iniérieu re à 813.000 frs, du 25 décembre
1950 au 9 septemb re 195 1 ;
_ est éO'ale ou supérieure à 58 1.000 frs
et i nférieu~e il 988.000 frs à compte r du.
10 septembre 195 1.
c) au (Troupe III : les fonctionnaires ~ont
l'indice hiér archique est égal ou supérieur
il 220 et in férieur à 330 ainsi. qu~ les agents
non titulaires dont l a ré~un era~lon dŒJ~~~
_ était égale ou supéneure a 280.
déet inférieure à 430.000 frs, entre le 1er
cembre 1949 et le 24 décembre 19~?; 3000
_ était égale ou supérieure a _9 .
francs et inférieure à 474.000 fran<:S ~
du 25 décembre 1950 au 9 septembre 1951 ,
." .
. 364
_ est égale ou SlliP't:neure
a
· 000 franC>
dU
et inférieure à 58 1.000 francs it cOlT\pter
10 septembre 195 1 ;
.
00 t
d) au gro une IV . les fonctionnalTes . n
'l"
•
• 'é . 220 ainSI
l'indice hiérarchique est !Oa neur a
é li"
que les agents non titulaires dont la r m
nération de base:
.
_ du
_ était inférieure a 280.000 fran cs
.
l950
1er décembre 1949 au 24 décemb re _ du
_ était inférieure à 293.000 franf951 .
25 décembre 1950 au 9 septembre s ~ ;
_ est inférieure à 364.000 franc
rompter du 10 septembre 1951 ;
3" Date d'a pplication.
31
Pour la période du 1er aNril
1 94Je~~itéS
mai 1951, les taux maximum des I·~sion ont
pour fra is de tourn ée ou" de 9~~9 <lu ~
été fixés par le decret n 4
mars 1949 (J.O. du 3 1 mars).
, -té du
.
DepUIS
la pu bl'Ica f Ion de 1 arre
1 décre1
23 mai 195 1, est intervenu e 24 juill)
n" 51-792 <lu 22 juin 1951 U· dU ' n 1951,
qui a relevé, à c011\P ter du f 1~r J~I mission
les taux des indemnités pour raiS
o.
indemnités pour fraiS Ide mlsslo~ ou de tournée accordées aux agents .de 1 Etat.
Les dispositions de ce texte pourront être
-étendues aux agents des collectivités locales.
SBCTION II
INDEMN ITES KILOMéTRIQUES
POUR USAGE DE VO ITURE
AUTOMOB ILE, DE MOTOCYCLETTE
OU VELOIMOTEUR PBRSONNELS
DANS L'EXERCICt: DES FONCTIONS
Certaines fonctions ne peuvent Hre exer-
,des d'ans des co nditions satisfaisantes que
"Si l'agent qui, les occupe est doté d'un moyen
de locomation dont il pourra disposer à tout
-moment.
Les collecti.vit és locales consrdèrent souvent que l'entretien de véhicules leur appar"tenant est onéreux. Ell es prèfèrent dont autoriser certains de leurs agents à utiliser leur
véhicule Ipersonnel qu' ils devront entretenir
et alim enter en carbu rant lJ)ar leurs IprO'jJres
moyens, moyennant le versement par les collectivités d'indemnités Idites kilom étriques,
parce que leur taux varie en fon cti on du
kilométrage couvert d'a ns l' intérêt d u ser vice.
L'arrêté du 23 mai 195 1 fait une <listinc-tion entre les agents autorisés à utiliser une
motocyclette ou un vélomoteu r et ceux qui
peuvent utiliser une voiture automobile.
Vous devez veiller à ce que seu~s les chefs
-de service puissent bénéficier des disposi-
ilons de l'art:c1e 3 de l'arrêté, c'est-à-di re
être autorisés à percevoir des indemnités
"kilométriques au tarif alltomobile.
C'est ainsi que d'une façon générale et
sauf eX'Ception motivées par des circonstanCes particulières, seuls le secrétaire gé néral
et le directeur des services tec hniques
-devraient, dans Il es villes de petite ou moyenne importance, bénéficier de cette autorisation accordée .par le Consei~ ,M unicipal sur
la proposition d.1u maIre.
~ans les grandes viHes, il /peut être nécessaire de fai re bénéficier de la même autorisati? n le secrétai re général adjoint et des
fonchonnaires d'un grade inféri eur appartenant notam ment aux cadres techniques.
Il vous apparti end ra d'interprêter le terme
c chef de sCJ'lvice » dans l'intérêt bien co m])ris d"Cs finances locales et du ser vice d'une
façon gé néral e.
L'usage d'une motocyclette ou d'un vélo·
moteur peut être autorisé en fa.veur des
agents appa rtenant aux cadres moyens et
aya~t
à
se
déplacer Iréquemment. C'est
que les assistantes sociales, les enqu~
teurs administratifs, les surveillants de tra~~UXI les adjoints techniques ou ingénieur et,
Une façon génér ale, ,les agents passant normalement une partie importante de l eu r
tempS de tr3lvail hors de leur bureau ct d'ans
.ainSI
des secteurs Ipa dois très éloignés les uns des
a.utr~s, dOIVent pouvoir bénéficier de l'autonsallo n prévue à l'artic le IV
1 L'arrêté du 23 mai étab1ii un c~dre da ns
e~uel vous êtes libre de prendTe en considéra 11011 les circonstances propres à chaque
<0 lectivité.
En
ce quj Concerne les fonctionnaires
d~part"",entaux .
c'est
a u Conseil Général
qu'il appartiendra de se prononcer sur vos
propositions.
Rien ne s'oppose, bien entendu, à ce qu'un
agent cüsposant, par exemlPle, d#u ne automobile personnelle, soit autorisé à l'utiliser dans
l'exercice de ses fonctions moyennant le remboursement Ides indemnités kilométriques
prévues pour les agents usant d'une motocyclette. Cette manière d'agir perm ettra notamment de régler la situatio n d~ certaines
assistantes socÎitles départementales appe-
lées constamment à faire de longs déplacemeuts et qui ne peuvent, cepcndJa nt, être
remboursées foIifaitairement de leurs frais
Sur la base des indemnités ki~ométniqlles
accordées /pour usage de voiture automO'bHe.
Sauf d'éro ga tions exceptionnelles motÎ1Vées
~ar un service particulièrement pénible, seu·
les les assistantes sociales chefs peuvent
Ibénéficier d'autorisations dl' user d'une automobile personnelle à condition que la nature
de l eurs fonctions leu r impose régulièrement
des déplacements loin de leur résiden ce.
Je (j)récise que les indemnités ki10métriques
peu ve nt
être
aœord~es
pour les déplace-
ments effectués « intra muros » .
SECTION III
INDEMNITES POUR USAGE DE BICYCLETTE PERSONNELLE, POUR
USURE PREMATUREE DE CHAUSSURES ET DE VETEMENTS DE TRAVAIL
POUR UTILISATION D'OUTILS PERSONNELS.
D ans un souci d'économies, centai nes col')ectivités préfèrent ne pas fou rn ir les vêtements de travai l et les chaussures à ceux
de l eurs agents dont les tâches entraînent
l'usure prématurée de cet équipement. L 'indemnité prévue à l'article 6 de J'arrêté du
23 mai 1951 offre à ces collectivités le
moyen de compenser les f rais exceptionnels
ainsi occasionnés à leu r personnel. Il est
probable que les petites collectivités trouveront un avantage à utiliser cette possibilité
plutôt qu'à acheter au détail des chaussu res
ou des vttements de travail et à en aSsurer
l'entretien ou le rempl acement.
Les dispositions de ce texte n'interdisent
pas la fourniture, par les ~o ll ect i vitésf
d'uniformes ou de vêtements de travail.
L'indemnité de chaussures doit être réservée aux agents qui sont appelés à se dépl acer continuellement sa ns être autorises à
faire usage d' un moyen de locomotion (ga rdes-champêtres, enquêteurs) ou qui travaill ent constamment sur des chantiers.
Quant à /'indemnité de l'etit équipement,
elle peut être accordée:
- soit à du personnel ouvrier accomplissant des travaux salissants (et dans ce cas,
elle peut être, éventuell ement, cumulée avec
l'i ndemnité de chaussures (notamment lorsqu'il s'agit du personnel affecté à l'enlèvement des ordures ménagères) ;
- soit à du personnel obligé par ses
fonctions à avoi r en permanence des vt"!tements de travail propres (ex. : les infirmières de dispensaires).
Les conditions ù'octroi des i nùemnités de
première mise et d'entretien de bicyclette
n'appel lent auc une observation parti culière.
En ce qui concerne l'utilisation de J'outill age personnel par le personne} ot!v ~ier, je
précise qu'elle ne peut donner lI eu a Indem-
nisation que s'il s'agit de la totalité des
outils nécessaires à l'exe rcice de J' emploi.
CHAPITRE 11
INDEMNITES POUR TRAVAUX
PENIBLES, INSALUBRES
OU SALISSANTS
Un certain nombre de commu nes emploient accessoirement à des tâches diverses
des age nts qui sont classés dans l'éc heUe
correspondant à leur fonction principale.
Par ailleurs, l'accomplisseme nt d'une tâche peut se faire exceptio nnellement dans
des conditions particulièrement dangereuses
ou pénibles.
L'article 8 de l'arrêté du 23 mai t 95 1 permet aux c01lectivités d'allouer des indemnites aux agents se trouvant dans J'une ou
l'autre de ces situations.
Des taux va lables pour une journée ou
une demi-journée ont été prévus pour tous
les travaux qui s'effectuent normalement
pendant une durée supérieure à l'heure.
SECTION 1
INDEMNITES SUSCEPTIBLES D' ETRE
ACCORDEES AUX SEULS AGENTS
CLASSES DANS UNE ECHELLE AFFERENTE A UN EMPLO I QUI NE COMPORTE PAS COMME SUJETION NORMALE L' EXERC ICE DES TRAVAUX
INDEMN ISES.
CeM-e catégo ri e comporte les primes ou
indemnités suivantes :
1° Indemnité de collecte et d'élimi nation
des immondices :
Elle peut être allouée aux agents qui bé-
néficient d'une échelle in férieure a ce'lle
d'éboueur, soit 135-1 95, et participent soi t
à la collecte, soit à l'éliminartion par quelque
moyen que ce soit des immondices et des
ordures ménagères.
2° Jndemnité de désinfection :
Cet avantage est rése r vé aux agents qui
ne sont pas effecfés en permanence au Service de Désinfection.
3" In demnités de nettoyage ou de réfection des égo uts :
Elles peuvent ètre accord ées soit aux
agents du Service du Nettoiement non classés dans l'échelle d'égo utier et assu rant l 'entretien cou rant des égouts visitables ou non,
soit aux agents cha rgés d'exéc uter des travaux dans ces égouts, qu'il s'agisse des co nduits eux-m êmes ou des inSltallations qui
y sont logées.
4° Indemnité pour l'alimentation des cha u·
cHères de calo ri fères :
Ne peuvent y prétendre les agents affectés
d'une manière permanente (pendant toute la
durée de l'année) à l'alimentation des chaudières et bénéficiant it ce titre d'une échelle
particulière.
5° Indemnité de mise en bière :
En sont e.xclus l es agents classés dans
l'échelle de qJo rteur, 125-175, et affectés en
permanence au Service des Pompes Funèbres.
6° Indemnité pour exhumation:
Les fossoyeurs ne peuvent bénéficie r de
cette indemnité.
7° Indemnité de goudronnage des l'oies
publiques et indemnité pour curage de cours
d'eau :
Pourront en bénéficier les seuls agents
classés dans une éc helle inférieure à 125-175_
�SECTION Il
INDnlNITES SUS EPTIBLE
D'ETRE
ALLOUEES A LA TOTALITE DES
AGENTS EFFECTUANT DES TACHES
DANGEREUSES OU TRAVAILLA~'IT LA
'UIT.
Entrent dans cette catégorie ;
10 Les indemnités pour travaux dangereux.
Ces indemnités peuvent être accordées
au." agents travaillant dans des conditions
telles Qu'ils courent un risque particulier
qui n'cst pas normalement afférent à la nature de remploi. C'est ainsi qu'un peintre.
un plombier, un charpentier, par exemple
pourront y prétendre s'ils sont appelés
tra\'ailler dans les conditions pré\'11es à ,'article ;"'l, -1.", de "arrèté du 23 mai.
La notion de risque doit être appréciée
a\'fC tout le discernement désirable. L'énu-
â
mération des conditions d'exécution des tra ~
,'aux n'est pas limitative, mais doit seulement sen'ir de réfüence aux Assemblées locales pour distinguer les tra\' 3UX seulement
dang-ereux de ceux qui présentent un caractère exceptionnellement dangereux pour des
agents non entraînés.
20 L'indemnité de panier.
Elle est des~inée aux agents accomplissant leur travail au cours de la nuit et ne
p~ut . être accordée lorsque
la collectivite
dlstnbue aux intéressés un casse-croute.
Pour poU\'oir }' prétendret il faut, au surplus, effectuer la totalite de sa tâche en
d~hors des heures nonnales de travail en
Ylgueur dans la collectivité.
Cette indemnité ne peut être cumulée a\'ec
Je supplément de rémunération au titre du
t~a~'aÎI de nuit prévue par l'article Il de l'arr~te d~ I~r août 1951 , relatif au régime de
remuneration des tra\'au.x supplémentaires.
CHAPITRE III
INDEMNITES SPECIALES AU PERSONNEL DES CORPS DE PROTECTION CONTRE L'Il\;CEl\D IE.
Les sujétio ns propres à la qualité de
po!"pier p:ofessionnel d'une part - à savOir ~ssenhel1ement : le risque, le régime de
tr.av,all - les qualités complémentaires pos-sédees par un certain nombre de g radés o u
sapeurs, d'autre part, justifiem l'octroi au
~~rsonn.el des corps de protection contre
1 Jn~elldle, par les collectivités locales qui le
déslrent t des a\'antages particuliers suivants:
JO .Indemnité ~e logement en faveu r des
pompiers profesSIOnnels que la collectivité ne
peut caserner,
Cette i~demnité se ra égale à 5 % d'une
rémunération comprenant le traitement l'in~ernnité d,~ résid~nce et la majoration 'famihale de 1 mdemmté de résidence.
A ~ompter du 1er mars 1951, il cette rémunération pourront être ajoutés au traitement
et il .l'i~demn ité de résidence, le compléme nt
prOVISOire de traitement et l'aJlocation com.
plé~entaire de. résidence
(la majoration
famlhale de réSIdence disparaissant).
A compter du 10 sepiembre 1951 la rémunération comprendra : le t rai te~ent le
eomplément provisoi re de t raiteme nt hndemnité de résidence et le compl ém~nt de
rémunérahon prévu à l'article 3 du décret
n· 51-1130 du 26 septembre 1951, relatil au
régIme de l'indemnité de résidence.
Toutefois, quel que soit le montant de
'Cette rémunération, en auCun cas l'indemnité
-
de logement accordée à un pompier, gradé
ou officier, ne devra dépasser le double
de l'indemnite maximum d'un sapeur de
2e classe non quaJifié débutant, classé à
l'indice 135.
2 Indemnité de conduite d'un véhicule.
qui sera au plus égale à 5 % du traitement
correspondant à rindice 100, soj.t :
- pour la périOde antérieure au 1er mars
1951 ;
115.000 X 5
= 5.750 I r.
100
d'être aJlouées dès application de ce d .
ar rêté.
ermer
Je ,p,récise, toutefois, que les primes
techmclté des sténodactylographes et d d,
tylog.raphe.s, les honoraires des arChitec~~
fonc~onnal.re~ et d~ personnels des laboratOires, ainSI ~ue 1 Indemnité pour suPplêment de travail pourront continuer à elre
versées, Ces avantages fe ront l'objet d'
a rrêté ultér ieur.
un
~e vous invite.à ~égle r les cas particUliers
qUI seront soumis a votre app robatio n Ou à
celle des so us~pré!ets dans le cad re des dis.
poslhons de 1 a rreté du 23 mai 195 t et COn.
fo r mément aux prescriptions de l'a rt icle 2
de l'o rdonna nce du l7 mai 1945, avec COmme principal souci le désir de donne r aux
collectivités locales le moyen d'assu rer l,
fonctionnement de leurs services ration nel.
lement et aux moindres frais.
Pour le Ministre de l'Inté rieur
et par délégalion,
0
,pou r la periode du 1er mars au 9 septembre 195 1 ;
(115.000 + 6.(00) X 5
6.050 Ir.
100
- pour l.a periode postérieure au iO septembre 1951 ;
(138.000
12.(00) X 5
7.500 Ir.
+
100
Le Préfet,
Diredeur de t'Administration
Départementale el Communale .
DMIELON.
\
L'indemnité dont il s'agit ne pourra être
allouee qu'aux conducteurs des seu'ls véhicules utilisés dans les opérations de lutte
contre l'incendie et pour tenir compte de la
tâche supplémentaire leur incombant, à savoir la responsabiJité de tenir constamment
en état de marche le véhicule qui leur a été
confié.
3 0 Indemnité ùes moniteurs d'éducation
physique, des mécaniciens ou comptables
dont les taux maximum seront :
. - de 11.500 francs pour la période antéfleure au 1er mars 1951 ;
- de 12.100 francs pour la période du
1er mars au 9 septembre 1951 ;
- de 15.000 Irancs à partir du 10 sep'
tembre 1951.
Les bénéficiaires de cette indemnité dev.ront participer aux opé rations de protechan contre J'incendie au même tifre que les
autres agents du corps.
Si le~ simples sapeurs ne peuvent prétend re a aucune de ces trois indemnités réservées aux gradés, c'est en raison du fait
q~'.ils peuvent, s'ils sont comptables, mécaOICI:~S. ou mo~iteurs d'éducation physique,
bénehc.ler de 1 échelle de ""peur-pompier
qu~ilfle de 1re catégo rie, a lo rs qu'il n' existe
qu une seule échelle pour chacun des g rades
de caporal, caporal-chef, sergent et serf1ent~cl.
•
L'arrêté du 23 mai 1951 ne fixe pas la
date d'effet des dispositions qu'il prévoit.
Les Assemblées locales auront la laculté
de les faire rétroagir au 1er janvier 1948
date d'application du reclassement si leur~
possibilités financières le pe rm ett~nt ou à
telle autre date qui leur paraît ra conveni r
eu égard à leurs ressources actuelles,
Lorsque certaines des indemnités fiau rant
à l'arrêté ministériel avaient été maintenues
totalement ou partiellement, conformément
aux prescriptions de l'a.r rêté du )9 novembre 1948 et des ci rcul aires des 7 ja nvie r et
1.6 novembre 1949, les sommes ve rsées à ce
tItre devront, le cas échéant, êt re déd uites
du rappel accordé à chaq ue bénéficiaire.
Je vous prie de vei ll er à ce que toutes
I~s indemnités spéciales instit uées par l'arreté du 24 av nl 1946 et maintenues par
l'arrêté du 19 novembre 1948 et les circulaires susvisées qui n'auraient pas été prévues par l'arrêté du 23 mai 1951 cessent
-------<> 00 <> -------
02 B3
AG 2
REGIME DE SECURITE SOCIALE.CAPITAL-DECES
ACCORDE AUX
AGENTS DES COLLECTIVITES LO·
CALES. CIRCULAIRE MINISTERIEL·
LE N ' 100 AD 3 DU 7 MARS 1952.
1
J'ai l'honneur de !porter ci-dessous à la
connaissance {je M~\\. les J..'uaires du Département le texte de la circulaire de M. le
Ministre de l'Interieur n' 100 AD-3 du 1
Mars 1952 relative à l'approbation des déli·
bérations des assernbJées locales accordant
à leurs perso nn elS le bénéfice du capital ·
décès prévu par le régime de Sécu rité Socia~e des fonctionnaires de l'Etat.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secrétaire Général :
Guy LM1!ASSOURE.
Le Ministre de l'Intérieur.
à MlM. les Préfets de la Métrop()i~
OBJET ; Approbation des délibérations
des assemblées locales accordant à leurs
personnels le bénéfice du capital-décès prévu
par le régime de Sécurité Sociale des fon"
tionnaires de ('Etat.
Aux termes de l'artide 4 du décret du ~
Juillet 1938. abrogé à compter du 1er .avrii
195 t par le décret du 2 Jl\a~ 1951, les regl ements d1assurance institués en faveur de
leurs personnels par les collectivités locales.
ainsi que toutes modifications qui le.ur ~onf
apportées !lar délibération, doivent faIre l ob;
jet Œ'une approbation par décret contresigne
par les Ministres intéressés.
.
Se référant à cette disposition, le Conse.J ~
d'Etat dans un avis du 24 Mai 1950, a es~
mé que les déiibérations concernant l'att~
bution, aux aya nts-d roit des agents décdéécdès
des collectivités locales, d'un capital analogue à .celui prévu en faveur dJes fO,nctionnaires de l'Etat devaie nt être soumIS:
à ce mode d'apprO:b atio n, dans l'attente e
la publication <lu déc ret relatil auX ~g~~
des coll ectivités looales, prévu pa' 1artl e
17 de l'ord o nn ance du 4 Octobre 1947.
Dans ces conditions, vous m'a~ez tf~ns"
mis, à cette époq ue, plusieurs dellbéraOO J15
prises en ce sens pâr des ~ss~mblées locales,
et vous m'avez demande d en provoq uer
l'approbation dans les form.es prév ues pa r
le texte précité.
M. le Ministre du Badget s'est reiusé, pour
des motifs d'opportunite, à cette approba tion.
Le décret du 2 Mars 195 1, relatil a u régime .de sécurité sociale des agents des collectivités locales, priS en a'Ppl~catio n de l'a rtide 17 de l'ordonna nce du 4 Octobre 1947,
est alors inten'e nu. SOli article 7 ayant abro gé le décret du 4 juiflet 1938, ses di"Po:
sitions se !mbstltuent a celles des textes qUI
l'ont précédé. Les délibératio ns prises a ntérieurement à so n entrée en vigueur (1er
av ril 1951) sont donc deve nues cad\Jques.
Vous vondrez bien porter cette précision
à la connaissance des maires et présidents
de Commissions administratives et leur rap peler;
10 Qu'aux termes du décret du 2 Mars
1951, les assemhlées 10caJes sont tenues de
prendre des délibérations adoptant, à compter du 1er Avril 1951, date d' app licatio n de
ce texte réglementairt:, l' un des trois régimes
suivants pour leurs personnels affiliés a la
Caisse Nationale de Retraites ou à un régime
ipécial de retraites :
A) A'ffiliation .:lU régime généra l ;
B) Affi liation à un régime spécial lorsque
cel ui- ci existait à la date du 6 Odobre 1945 ;
C) Affiliation à un régime mixte, inspiré
de celui institué en faveu r des fonctionnaires
de l'Etat par le décret dll 31 Décembre 1946.
2° Que toute délibération tendant Jl l'att rÎbt:tioll aux ayants-droit d'un agent décédé,
dll capital-décès d:es fonction naires de l' Etat,
doit être prise dans Je cadre <lu régime de
Sécurité Sociale adopte par la collectivité
locale en exécution du décret du 2 Mars
195 1.
Al S'il s'agit du régi me général, les délibérations co nc erna nt ce capital-,décès sont
considérées comme adoptant un régime complém~ntaire dtl régime général ; elles sont
soumises à l' approbatio n par arrëté interministériel conformément aux dispositions de
l'article 60 d" décret du 8 juin 1946.
~). S'il s'agit d'un régime spécial, les disposItions concernant 'Ce capital-décès doive~t être approuvées par arrêté interrninisténel (cf. article 4 d" decret du 2 Mars 1951).
S'il s'agit <iu régime mixte, les dispoS.lho.ns ,co ncernant ce capital . . dlécès font partie II1tegra nte dudit régime qui doit être
approuvé par vos soins (cf. article 5, paragraphe 5, du décret du 2 Mars 1951).
Je vous Signale enfin que:
) 0
Pour les délibérations prises postérieurement ail 1er Avril [95 1 la date d'effet de
leurs di~positio l1s relativ~s au capital-c1~cès
iao~rr~ ~tre celte ,(j'u jour où aura été prise
éll~eratlon conforme à la nouvelle réf1le~~~Jtafion, à conditio n que la co ll ecti~ité
JO eressée en a it e)Qjlressément fait la demande. avant le 1er Avri l 1952
2 POur les délibérations prises antérieu~m.ent au 1er AvrH 195 1 et relatives au
re~~al-<lecès, l'asse mb lée délibérante inté, te pourra, sur sa de mande obte nir de
l al! orré ' .
'
que lei ,lnves.h,e du ,Po uvoir d'approbarion
Ol ai nt s {hsPOSlbo~s d ru nouveau règlement
régi enant IUl ré!1lme spéciali 011 adoptant le
soie ~e mlx.te qUI o nt t rai t a u cap.ital-décès
de ~ ap~hqué~ rétroactivement à la date
d'eff a délrbérabon primitive ou à la date
et que cell e-ci avait prévue. Toutefois,
.9
0
elle ne peut en aucu n cas recevo ir ap.plication a ntéde ur ement au 1er Janvier 1947.
Peuvent bénéficier de cette laculte les dé libérations concernant le capita l-décès au taux
majoré qui m'ont été tra nsmises pa r vos
soins, pour ap,probation par décret, en appl1cation des termes de l'article 2 du décret, du
4 j uillet 1938, il condition, comme il est pré'
cisé ci-dessus, que les collectivités en adressent la demande à 'l'a utorité comp étente,
da ns les formes prévues.
Pour le Ministre de l' Inté rieur
et par délégatio n.
Le Préfet,
Directeur de l'Administration Départementale
et Communale,
DMAnON.
------«>00 «>-------
D5 B2
AG 14
REVISION DES LISTES ELECTORALES. -- FRANCHISE POSTALE.
Paris, le 12 Janvier 1952.
Le Ministre de l'Intérieur,
il MM, les Préfets.
OBJET ; Franchise postale.
Le décret d" t 1 Février 1936 ac<ordait Il
franchise postale aux !\\aires rpour les communications éc han gées entre les (\'lairies à
l'occasion de la révisiOli des listes électorales
pe ndant les moIS de Janvier, Févrie r et Mars.
Les dispositions de la loj d u 28 Aol'tt 1946
ont ame né les Maires à échanger des communications de cette nature pendant le cours
de l'année.
Dans ces conàitions, le u\1inistre des P.T.T.
a décidé sur mon intervention d'étendre à
l'année entière le bénéfice de la franchise
postale aux Mairies pour la corres-pondance
relative à la révision des listes électoraJes
entre les J\'\airies.
VOliS voudrez bien informer les autorités
munieipales de votre département de ces
nouvelles dispositions.
Vous leur ra ppelerez que les plis dont iJ
s'agit doivent être expédiés sous enve l ~e
non close portant la mention « révision des
listes électora les ».
Pour le MiJlistre de l'Intérieur,
et par délégation,
Le Directeur du Personnel
et des Affaires Politiques,
Oh. LOBUT.
------- ~» O G<»-------
05 B2
AG 14
CIRCULAIRE MINISTERIELLE N ' 64
DU 9 FEVRIER 1952 RELATIVE AUX
LISTES ELECTORALES. -- REPUJ)[ATION DE LA ' NATIONALITE
FRANÇAISE.
Paris, le 9 lévrier 1952.
Le Ministre de l' Intérieur,
il MM. les Prefets.
(,"'étropole et Départements d'OutreMer).
OBJET ; Listes électorales - Répudiation
de la natio nalité fran çaise.
Une lacune a pu être constatée Idans le
contrôle exercé su r les listes électo ra les.
Ce rta ines personnes, régulièrement inscrites
ont PLI, en effet, pendre la nationalité française 'Postérieurement à 11\\r i
à la
suite d'une répudiation de nationalité ou
d'une option, en ap.plicatio n d u titre IV chapitre t er du Code de la nationalité ou à la
suite du retrait d'un décr~t de naturaJisation
Les Maires ne· sont informés de ces modifications du statut des intéressés que d' une
manière occasionnelle; ils ne sont donc pas
en mesure de procéder aux radiations correspondantes sur les listes électorales.
POUT pallier cet inconvénient, j'ai l'honneur
de VOliS faire connaître qu'il a été décidé, en
aocord avec le J"Hnistre des Finances et d'es
Affaires Economiques (I.N.&E.E.) et avec le
Ministre de la Santé Publ;que et de la Population) de constituer un fichier des pertes de
nationalité dans chaq ue direction régionale
de l' I. N.S.E.E. Ces Directions seront avisées
par le Ministere de la Santé Puhlique et de
la Popu lation des p ertes de nationalité par
répudiation et prendront connaissance des
décrets relatifs aux lipérations d'allégeance
ou aux déchéances de la nationalité française qui sont publiés au fournal Officiel.
L' I.N.S.E.E. constatera si les intéressés
figurent sur les listes électorales et, da ns ce
cas, informera immédiatement le Préfet et le
Maire de la Commune d' inscription. La radiation pourra aJors être' opérée à l'échel(}n communal.
Ce mode de contrôle ne pourra fonctionner
normalement que depuis l'année 1951 ; les
recherches portant sur les pertes de nationalité française intervenues aupa,rava nt
n'étant pas envisagées pOltr le moment.
j'appelle votre attention sur le fait que les
cas de répudiation sont assez peu nombreux,
300 environ p ar an et qu'il est prononcé en
géné-ral moins de 600 déchéances de la
nationalité française au cours d' une année..
VOliS voudrez
bien trouver ci-joint un
exemplaire des demandes de radiation qui
seront adressées par l'I.N.S.E.E. aux I\<\airies.
Je vous laisse le soin d'informer les ,\laires
de votre départemen t de ces nouvelles d;spositions par insertion de cette circulaire au
Recueil des Actes Administratifs de votre
Préfecture.
Pour le .\1inistre de J'Intérieur
Le Di,recteur d\! Personnel et de~
Affaires Politique,
Cf". LOBUT.
------- c' oo «~ -------
05 B2
AG 14
DECRET N ' 52-140 DU 6 FEVRIER 1952
PORTANT APPLICATION DE L'ARTICLE 4 DE LA LOI N" 51-519 DU
9 MAI 1951 MODIFIANT LA LOI DU
5 COTOBRE 1946 RELATIVE A
L'ELECTION DES MEMBRES DE
L'ASSEMBLEE NATIONALE.
(Extrait du • journal Officiel > du 9-2-1952)
MIN ISTERE DE L'INTERIEUR
Le Président du Conseil des ,Ministres,
Sur le rapport du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et du A\inistre de l' Intérieur,
Vu le décret organique du 2 févrie r 1852,
relatif à l'élection des députes au co rps législatif i
Vu la loi du 7 octobre 1874, relative à l'électorat municipal ;
Vu la loi municipale du 5 avril 1884 ;
Vu 1'ordonnance du 13 août 1945 concernant le casier
et la réllat)ilitatiol';
�76
Vu l'ordonnance du 17 aolÎt 1945, relative
l'~ligibilité des militai res ;
Vu la loi n" 46-1889 du 28 aoùt 1946, re-
à l'électorat et
lative au contrôle des inscriptions S UI tes
listes électorales et à la procédure des inscriptions d'urgence ;
Vu les articles ~ et 9 de la loi n" 5 1-5 19
du 9 mai 1951 modifiant la loi n' 46-2151
du 5 octob re 1946, relative à l'élection des
membres de l'Assemblée Nationale,
Le Conseil des Ministres entendu,
DECRETE:
Article premier. - Tous les nationaux et
ressortissants français majeurs des deux
sexes, jouissant de leurs droiots civêl et poli-
tique, qui ne figuren t pas sur les listes électorales et remplissent les conditions exigées
pa r la loi pour y ètre inscrits doivent, soit à
l'occasion de la rév ision annuelle des listes
etectorales, soit, le cas êcheant, en application des dispositions du titre Il de la toi
du 2
août 1946, relative au cont rôle des
inscriptions sur les listes électorales et à
la procedure des inscriptions d'urgence, solliciter leur inscription sur les listes électorales.
Artide 2. - Le délai dans lequel Yinscriptian sur les listes électorales doit être sollicitee est fixé dans les conditions suivantes:
10 Les nationaux ressortissants français
qui ont changé de domicile et de rès id ence
et n'ont pas revendiqué l'application des dis-
positions du parag raphe 2 de l'article 14 de
la loi du 5 3nil 1884, doivent solliciter leur
inscription lors de la première révision des
listes qui suit, ce changement
j
2° Les jeunes gens Qui atteignent l'âge de
vingt et un ans a,'ant le 3 1 mars doivent sol-
liciter, avant le 10 janvier, leur inscription
12 de la loi du 28 août 1946 devront, si elles
ne figurent sur auc une liste électorale, déposer leur demande d'inscription da ns les con-
ditions prévues par l'article 13 de ladite loi.
Article 4. - Les commissio ns administratives établies par l'amicle 1er de la loi du
7 octobre 1874 pourron t, lors· de la révision des listes électorales, procéder d'office
à l'inscription des jeunes gens nés dans la
commune et qui y sont domiciliés, qui a uront
atteint l'âge de vingt et un a ns ava nt le 1er
avri l.
Article 5. - Le Ga rde des Sceaux, minist re de la Justice et le Ministre de l' In té ri eur
sont chargés, chac un en ce qui le cOl~ce rne,
de l'exécution du présent décret, qUI sera
publié au Journal Officiel de la Républiq ue
F ra nçaise.
Fait à Pa ris, le 6 févrie r 1952.
Edgar FAURE.
Par le Présiden t du Conseil des Minist res
Le Ministre de l'In térieur
Charles BRUNE.
Le Garde des Sceaux,
Ministre de la Justice :
Léon ,\\ARTINAUD-DEPLAT.
- - - - «:» 00«>'- - - -
05 BI
P 3
ARRETE FlXANT LES CONDITIONS
DANS LESQUELLES EST AUTORl-·
SEE LA PECHE A LA LIGNE FLOTTANTE LES DIMANCHES ET JOURS
FERIES, EN PERIODE D'INTERDICTION, DANS CERTAINS COURS
D'EAU DE DEUXIEME CATEGORIE.
sur les listes électorales de la commune où
ils sont domiciliés ;
3° Les étra ngers naturalisés qui bé néficient des exemptions prévues par l'article 82
du code de la nationalité françai se, ou qui
ont fait l'objet d'un décret d'exception en
application de l'article 83 dudit texte, doivent solliciter leur inscription sur les listes
électorales lors de la première révision qui
suit la parution du décret leur conférant la
nationalité française ;
4 0 Les étrangers naturalisés bénéficiant
des dispositions de l'article 10 (2e alinéa)
de J'ord onnance du 19 octobre 1945, devront
soU ici ter leur inscription dans les mêmes déJais que les ét rangers visés au paragraphe 3 0 du présent article j
50 Les étrangers naturalisés soumis aux
dispositions de l'article 81 du Code de la
nationaJité française de\'ront solliciter leur
inscription sur les listes électorales lors de
)a révision qui suivra la date â laquelle la
période d'incapacité de cinq ans prévue par
la loi aura pris fin ;
60 Les femmes ét ran géres devenues françaises par mariage avec un fr ançais devront
solliciter leur inscription sur les listes élecl'tora les lors de la révision qui interviendra
aprés le délai de six mois prévu par l'arti-
cle 41 du Code de la Nationalité Française;
7' Les personnes frappées d'incapacité à
la suite d'une condamnation qui bénéficient
de la réhabilitation ou font l'objet d' une mesure d'amnistie, devront solliciter leur ins-
cription sur les listes électorales lors de la
révision qui suivra la cessation de leur inca-
pacité.
Article 3: -
Les personnes qui appartien-
nent aux catégories énumérées par l'article
Le Préfet des Bouches-du-Rhône, .
Officier de [a Légion d'Honneur,
Vu les lois des 15 av ril 1829 et 3 1 mai
1865 sur la pêChe fluviale ;
Vu le décret du 29 aoùt 1939, modifié par
le décret du 14 septembre 1950 et notamment son article 4 ;
Vu l'arrêté interministériel du 16 septem·
bre 1950 ;
Vu les avis favorables du Conservateur
des Eau x et Forêts, de l' Ingénieur en Chef
des Ponts et Chaussées et du Président de
la Féd ération Départementa le des Associations de Pêche et de Pisciculture ·des Bouches-du-Rhône ;
ARRETE:
Article premier. - Les membres des Associations agréées ,de P êch e et de PisCÎ.ful-
ture, affiliés à la Fédération Départementa:le
de Pêche du département des Bouches-duRhône, sont auto ris és durant la période de
fermeture générale de 60 jours fixée à l'article premier, pa r agraphe B, du décret du
29 août 1939, à pêcher les dimanches et
jours fé ri és, de la rive ou en marchant dans
l'eau, dans les co urs d'eau suivants classés
en deu xième catégorie: le Rhône, la Duran.ce, le Ca nal d'A rles à Bouc, le Viguerat, la
Vallée des Baux et les canaux de Camargue.
Article 2. - Ce droit pourra être exercé
indifféremment dans les eaux tant publiques
que pri vées mais, dans ces dernières, Je Con-
sentement des détenteurs du droit de péche
sera touj ours exigé.
Article 3. - La (pêche ne pourra être pra~iquée
qu'a l'aide d'une seule li gne flottante
tenue à la main, teUe quel le lest ne doit, en
a ucun c~s, rep ose,:" sur e f onds, ni empe_
cher la ligne de sUivre le co urant.
La pêche au lancer n'est pas autorisée.
Article 4. - P<:)llr exercer ce droit, le pê.
cheur ~evra avoir ~cq uj tté une taxe dite
c du dim anche >, qUI sera pe rçue et utilisée
suivant les mêmes modalités que la taxe
ann uelle prévue au para graphe 1er de l'ar.
doivent, en ou~re, .présenter . une demande
de carte d'identrté SI ell~s ~éstrent pralonge r
leur séjour en ~rance .a t expIratIon du délai de trois mOIs précIté.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Se crétaire Général :
LAMASSOURE.
t ice 5 de la 'loi du 15 av ril 1829 et fi xée au
-------< >0 0 <.-------
même taux que celle-ci.
Le (poisso n captu ré dans ces
co nditions ne pourra être ni colporté ni mis
en vente, ni vendu, ni acheté.
'
Article 5. -
Artic[e 6. -
Da ns les Cours d' ea u de dell.
xième catégorie faisant limite avec les départ ements vo isi ns, la pêche les dimanches el
jours f éri és r estera interdite, sur les deux
ri ves, si lesdits départements n'ont pas adop.
té cette mesu re.
ArtiC/e 7. - Les p résentes dispositions
seront valables tant qu'el1es n'auront pas été
rapportées.
Artic[e S. - Le Secrétaire Général de la
Préfecture, /14,\0\. les Sous-Préfets d'Aix et
d'Arles, les Maires, le Co nservateur des
Eaux et Fo rêts, 1' 1ngéni eur en Chef des
Ponts et Cha ussées, le Directeur des Contributio ns I ndi r ectes, le Comm anda nt de Gendarmeri e, les Commissaires de Police, Gendarmes, Ga rdes des eaux et Fo rêts, Ga rdes·
champêtres, Ga rdes asserm entés et pa rticu'iiers, employés des Contributio ns Indirectes,
sont cha rgés, chacun en ce qui 1e co nce rne,
de l'exécutio n du pfésen,t arrêté, qui se ra
insér é a u Recueil des Actes Administratifs,
publi é et affiché dans to ut~s les communes
du Département des Bouches-du-Rhône.
Ma rseille, le 8 ma rs 1952.
Pour'e Préfet,
Le Secrétaire Général délégué:
LAM ASSOURE.
SC 7
D2 B3
CIRCULAIRE MINISTERIELLE N" 78
DU 29 FEVRIER 1952 RELATIVE AU
SERVICE DE SECURITE ASSURE
PAR LES SAPEURS-POMPIERS,
J'ai l'honn eur d'attirer l'attention de 'MM.
les Maires du D épartement sur la circulai,re
ministérielle n" 78 du 29 Févri er 1952 ciaprès, r elative au Service de Sécurité assuré
~ar
les Sapeurs.J'ompiers dans les salles cie
spectades atnsi que Sur lia circulaire n° 4 15
du 21 Décembre 1950 parue au Recueil des
Ades PldoInlnistratifs n' 52 du 25 Décembre
1950 co ncernant le même objet.
Pour
1
tPréfet et par délégation,
Le Secrétaire Général,
LAJMASSOU'RE.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à MM. [es Maires du Déparl emen[,
Par cirCulaire insér ée au Recueil des Actes
Admi ni stratifs et Bulleti n des Maires nO 4
du 24 janvier dernier, je vous ai fait pa rt
des instructions de M. le 1\'\inÎstre de J'Intérieu r a u sujet des cond itions d'entrée et
de séjour en France des militaires belges et
canadiens.
J'ai f honnt;ur de vous indiqu.er, aUJou r:
d'hui que ces' instructions s'appliquent éga
lernent aux militai res des forces Armées des
pays sui va nts : Danemark, Etats-Unis, .ltali e, Lu xembo urg, Pays-Bas, Royaume-U nI.
Les éléme nts civils accompagnant ces
Forces et les personnes à cha rge des me~
bres des F orces Arm ées et des éléments Cl~
vils sont sou mis au régim e du droit commun.
Ces deu x dernières catégories d'étra n ge~
doivent norma lement, pou r un séjo~lr s~~ln
rieur à tro is mois, être en po~s~sslon. eiles
passeport valable et d'un visa d entr ée,
vous ai précisé les conditions dans lesquell es
devait être établf éventuellement un S6l'1Vice
<le surveillance dans les établissements de
spectacles ainsi que les taux maxima ,dies
rémunérat ions qui 1P0uvaient être demandées
aux eJCploitants.
Pour éviter des modifications de ces tarifs
par cirtculaires, iJ m'a paru opportun de les
déterm iner non par des chiffres mais par une
relation simple avec le taux des vacations
horaires aUouées aux sapeurs-pompi ers volontaires.
Le montant de ces vacations est en effet
fi xé par arrêté intermin istériel, d' après les
traitem ents moyens des sapeurs-poniPiers
iprofessionnels com munaux.
En consequence. le tablea u figurant à la
page 4 <le la oif'Cuiaire précitée doit être
remplaeé par le tablea u ci-après :
- --
«>-00«>'----
EN 0
02 B3
VENTE D'UNE BROCHURE CONCER~
NANT LES TRAVAUX D'EQUIPEMENT SPORTIF.
Le Préfet des Bouches-du-RMne
à MM . les Maires du Département,
Sur la demande du Ministère de l'Education Nationale - Direction Générale de la
Jeunesse et des Sports, j'ai l'honneur de
vo us faire connaiire que ce Departemen t
Ministériel a fait éditer, à l'usage des collectivités, une brochure portant codJfi<:ation
des différentes instructions actuellement en
vigueur en matière d'équipement sportif.
Cette brochure est mise en
Catégori es de
personn el
Nature et .horaire du Service
a) SurveiUance de matinée, d' apresmidi ou de soirée (a,va nt 0 h. 30 (1).
Officier (2)
S/ Officiers
Ville de moins
de 50.000 h.
1 vacation et
Ville de plus
de 50.000 h.
vente
au
2 vacations
-------c
c~o o <~ ---
Survei llance
Ife
nuit
après
o h. 30 (3) .............. ..... . . .
cl Rondes ava nt 0 J1. 30
Officiers (2)
S/O fficiers
Caporaux et
Sapeur.;
3 vacations.
OHiciers
demi- vacation.
3 vacations et
demie.
Officiers
S/Officiers
Les autres dispositions de ma circulaire du
21 Décembre 1950 demeurent ,en vigueur.
Pour le IMlinistre et par délégation,
1 vacation.
1 vacation
demie.
et
Vu l'avis émis par la Commission ~es
Bordereaux de salajres dans les. Industnes
du Bâtiment et des Travau x Publics dans sa
An rlré P.ELABON .
séance du 28 févrie r 1952 ;
ARRETE:
Article premier. - Sont .considérés co~me
« normaux et cou rants " a dater du 21 1.an -
- - - <::tooc~·-----
vier }952, les salaires attribués aux ouvr:ers
paveu rs de Marseille par le protocole d ac-
l'tIn.pecteur Général de l'A\lministratio n
Chargé Irlu Service Na tional de la Protection
Civile,
TVX 0
D6 B3
ARRETE DETERMINANT LES SALAIRES NORMAUX ET COURANTS DES
OUVRIERS PAVEURS ET DES SCAPHANDRIERS.
Le ·Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de [a Légion d'Honneur,
Vu les décrets du 10 avri l 1937 sur les
Conditions du travail dans les Marchés Publics i
Vu l'arrêté ministériel du 15 janvier 1938
sur . les Commissions
salaires j
des
Bordereaux
de
cord du 23 janvIer 1952
Catégorie 1. - Salaire, 150 prime de rendement : 34.
.
d
Catégo rie II. - Salaire, 135 ; prime c
rendemeDt : 15.
Article
LOI BARANGE, - FONCTIONNEMENT
DE LA CAISSE DEPARTEMENTALE
SCOLAIRE,
Alarseille, le 24 mars 1952,
vacation .
S/Offi ciers
d) Ro ndes après 0 J1. 30
EN 0
04 B3
Sapeur.;
b)
tio ns de t' Education Nationale, 14, ru e de
l'Odéo n, Paris (fie) >.
Pour le Préfet et par délégatio n,
Le Secrétaire Général :
GU)' LAMASSOURE.
demie.
Capora ux et
P 8
CONDITIONS D ·ENTREE ET DE SEJOUR EN FRANCE DES MEMBRES
DES FORCES ARMEES (ET DE
LEURS FAMILLES) APPARTENANT
AUX PAYS SIGNATAIRES DU TRAI·
TE DE L'ATLANTIQUE NORD,
OBJET : Service de sécurité assuré l'ar
les sapeurs-pompier.; dans les salles de spectaoles.
REFERENCE: Mes ~irc ulaires n" 2 18 AD /
IN/ST du 7 Mai 1948 et n" 4 15 du 21 Décembre 1950.
Par circulaire <I"u 2 1 Décembre 1950, je
Salaires horaires de plonge
1re cat~gorie : 608 ;
2e catégorie : 51>1 ;
3e catégo rie : 472,80.
Ar[ic[e 3. - M. le Secrétaire Général de
la Préfecture est chargé de l'exécution du
présent arrêté.
Fait à Marseille, le 10 mars 1952.
Pour [e Préfet,
Le Secrélaire 'Général délégué:
LAMASSOURE.
• Service d'Edition et de Vente des Publica-
----<~ooc :t ---
DI B3
Paris, le 29 Février 1952.
ILe Ministre de l'Intérie ur,
à MiM. les P,éfets (Métropole).
2. -
La loi n" 51.1 140 du 28 septembre 1951,
dite . Loi Barangé >, promulg uée au }. U.
du 30 septembre 195 1, met ft la disposition
de tout chot de famille do nt l'enfant fréquente régulièrement un établissement distribuant l'enseignement du premier deg r ~
un e allocation de I.()(X} fra ncs par trimestre
de scolarité.
,Ces aflocations sont, en ce qui concerne
l'enseignement public, mandatées directement à la Caisse départementale scolaire,
gérée par le Consei l Général.
Les modalités d'attribution de ces allocations, ainsi que les conditions de fonctio~
nement de la Caisse Départementale ScolaIre ont été fixées par le décret n" 51-1395 du
5 décembre 1951 , puhli. au J. O. n" 288 du
6 décembre 1951 et par la circulaire de M.
le J\\inistre de i 'Education Nationale du 15
janvier 1952 publiée au J. O. du 16 janvier
1952.
Pour l'immédiat, il appartient aux Maires
Sont considérés comme
« normaux et courants :., à dater du 4 décemb re 195 1, les salai re~ attribu~s aux
scapJlandriers par l'accord mtersyndlca l du
d'établir de toute urgence
3 décembre 1951
Salaires horaires de présence
Départementale ScO'laire.
A cet effet, Mesdames les IlJl5pec!rices et
1re catégorie : 234 ;
2e catégorie: 213,70 ;
3e catégorie : 187,30.
le
programme
d'équipement scolaire de leur propre. co~
mune réalisable dès 1952 sur les crédJts qUI
seron't mis oà leur disposition par la Caisse
Messieurs les Inspecteurs Primaires, Mesdames les Directrices et Messieurs Jes' Direc-
teurs d'Ecole ont reçu des instructions p.rl!-
�-
11l
.ses de M. l'Inspecteur d'Académie pour faciliter leur tâche.
. .
C'est donc a,'ec la collaboration éclalree
tle ces derniers que les Maires dresseront
la liste des besoins scolaires de leur commune.
Ces listes seront ensuite soumises par tes
Directeurs et Directrices d'école, avant le
30 mars à l'Inspecteur ou à l'Inspectrice
Primair~ de leur circonscription, qui les re-
tourneront aux Maires, accompagnées de
}leurs avis et observations.
.
Les Maires inviteront a lors leur Conseil
Municipal à statuer sur les achats à faire
sur les travaux à effectuer. Ils transmettront sans délais, et en tout état de cause
avant le 1er avril, les délibérations interGU
venues
appuyées des devis de travaux ou
des achats retenus, au Préfet, s'il s'agit de
communes de l'arrondissement chef-lieu ;
aux sous-préfets, s'il s'agi t de communes de
leur arrondissement.
Il convient de ne pas perdre de vue, en
effet, que c'est au cou~ de. s!l session du
Illois d' avril que le Conseil General est a"pelé à se prononcer sur l'e nsemble des pro~e~
des communes et à fixer la part de credit
revenant à chacune d'elles sur les fonds de
la Caisse Departementale Scolaire. Je sais
combien MAt les Maires sont attachés au
Ion fonctionnement de l' enseignement dans
leur commune pour ne douter en aucune
manière de la di.ligence qu' ils apporteront
dans l'accomplissement de la tâche qui leur
<st confiée.
Je crois devoir toutefois insister auprès
. 'eux pour que les Assemblées communales
ae réduisent point les crédits qu'elles affectaient nonnalement à des dépenses d'amélioration du service scolaire. Une telle prati~ue irait en effet à l'encontre du désir du
législateur de voir augmenter substanbellelIlent de tels crédits.
Deux situations pourront se présenter devant le Conseil Municipal au moment de
l'adoption du plan d'équipement scolaire
communal.
A. - La Commune dispose de ressources
suffisQJItes pour couvrir l'int égralité de La
dtpense envisagée.
Dans ce cas, le Conseil Municipal peut
adopter définitivement le projet présenté par
Je Maire et inscrire au budget commu nal
les recettes co rrespondantes. Cette délibéralion est exécutoire dès approbation par
t'autorité de tutelle. La participation éventuelle de la Caisse Départementale scolaire
se substituera aux recettes primitivement inscrites au budget de la commune.
B. - La Commune ne dispose pas de
,~ssou,ces propres suffisantes.
Le Conseil Municipal peut alors, tout en
retenant le principe du projet, subordonner
13 réalisation à une participation satisfaitiante de la Caisse Départementale.
Ce n'est que lorsque cette participation
&fra connue qu'une nouvelle délibération
prévoie ra le financement de la part restant
à la charge de la commune.
Les Municipalités sauront exactement le
montant de la participation qu'elles peuvent
attendre de la Caisse Départementale Scolaire dès que le Conseil Général aura statué, au cours de sa prochaine session, su r
l'ensemble des projets d'équipement des
eommunes.
En exécution de l'engagement pris, celles
des Municipalités qui n'auraient pas prévu
un financement au moyen de leurs seules
ressources propres feront figurer ,à. leuJ
budget supplémentaire la dépense amsl subventionnée et inscriront, en contre partie,
la participation de la Caisse Départemen,t ale.
Aucune difficulté ne s'élèvera en cas de
remboursement intégral de la dépense par
cet oroanisme. Si, par contre, la partiCipation n;Oen couvre pas la totalité, le Conseil
Municipal devra dégager des recettes propres pour couvrir la p.a~t res!ant à ~a ch~r
ge. Si le compte admmlstratlf de 1 exercice
,précédent a laissé apparaitre un excédent
de recettes aJllPréciables, tout ou partie de
cet excédent pourra ainsi être utilement employé.
Si la Municipalité ne peut dégager de
fonds libres, soit en réduisa nt certains crédits trop largement dotés, soit en augmentant certaines recettes, soit en employant
les plus-values des exercices précédents, elle
devra reporter l'exécution de ses projets à
. l'exercice suivant.
Ce n'est qu'à titre to ut à fait exceptionnel
que les communes pourront recourir à l'emprunt pour finance r la part restant à leur
charge. En effet, les dépenses subventionnables par la Caisse Départementale Scolaire sont essentiellement des dépenses o rdinaires. Presque toutes les opérations im}X>l"tantes qui légitimeraient un recours a u
crédit sont, en principe, susceptib-Ies d'être
subventionnées par le Ministre de l' Education Nationale et comme teHes n'entrent pas
dans le chemp d'application de la loi du
28 septembre 195 1.
Mandatemenf aux collectivités
La subve ntion attribuée à chaque commune sur les fonds de la Caisse Départementale par le Conseil Général ne sera mandaté qu'au .vu du relevé des dépenses visées
par le Receveur Municipal et rappelant la
nature de la dépense, so'n montant, le chapitre et l'a rticle de l'imputation, la référence
à la décision du Conseil Géné ral.
En fait, te versement des sommes allouées
par le Conseil Général n'aura li eu qu'après
exécution du travail ou après li vraison du
matériel ac heté et après paiement de la dépense correspondante.
C'est pourquoi les bud gets communaux
n'auront pas â prévoir de fonds réservés au
titre des att ri butions de la Caisse Départementale.
Lorsqu'il s'agi ra de communes de faible
importance ne disposant que d'un volant
de trésorerie réduit, des avances n'excédant
pas les 9/ 10 du montant de la participation
de la Caisse Dépa rtementale Scolaire pourront, â titre exc~ptionnel, être consenties
aux collectivités qui en feront la demande
sur justification de la passation du marché.
Exercice 1953 et Exercices suivants
P o ur l'exe rcice 1953 et pour les exercices
à venir, il importe que les opéra1ions susceptibles de bénéficier d'une allocation de
la Caisse Départementale Scolai re figurent
au budget primitif.
A cet effet, ,les coll ectivités qui voudraient bénéficie r d'une attribution statueront, dans le cou rant de l' été, sur les projets
qu'eBes se proposent d'entreprendre au titre
de l'année s uivante.
Les dossiers transmis selo n la procédure
indiquée dans la présente circulaire pour
l'exercice 1952, se ront centralisés à J'lns-
pection d' Académie, quinze jours au moi
ns
avant l'ouverture de la session bUdgétai
normale du Conseil Général, qui débute ;e
fait à la fin de s"",tembre. C'est au cou~
de cette session que l'Assemblée Départe_
~~ntale statuera sur les modalités de répar ..
tltlon.
Les Conseils Municipaux connaissant alors
Je montant de la participation pourront à
leur budget primitif, prévoir tin financem~nt
complet des opérations pour lesquelles leur
sera versée une attribution de la Caisse Dé..
partementa-le.
.
René PAIRA.
-------<>00 <>------
DOS
FS 0
MEDECINS AGREES POUR PRAT!.
QUERLES EXAMENS RADIOSCO.
PIQUES EN VUE DE LA DEll·
VRANCE DES CERTiFICATS PRE.
NUPTIAUX ET PRENATAUX,
Par arrêté p.réfectoraJ, en date du 27 Fêvrier 1952, M. le docteur Colonna, demeurant
à Port-Saint-Louis-du-Rhône (B. -<lu-Rh.), est
autorisé à pratiqueJ" Iles examens md~osco
piques en vue de la déüvrance des certificats
prénuptiaux et prénataux.
:.
Par arrêté " réfec tora l, en date d u 27 Février 1952, M. le doctem Héraud Robert,
demeurant à MaJJtigues (B.-d'u-Rh.), est autori sé à pratiquer les exa mens radloscopLques
en vue de la délivrance des certificats prénuptiaux et prénataux.
Le Directeur Départemental de la Santé,
Dr X. STRENNA.
-------« »00 «»------
03 B2
FS 7
PRIX DE JOURNEE PREVISIONNEL
APPLICABLE A L'HOPITAL PSYCHIA·
TRIQUE D'AIX - EN - PROVENCE A
COMPTER DU 1-1-1952,
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Offider dl! la Légion d' Honneu r.
Vu la loi du 30-6-1 938 sur les Aliénés;
Vu le d~ret ,du 12 Juin 1912 sur les Hôpi·
taux Psy;chiâtriques autono mes j
.
Vu l'andonnance du 18-12-1944 d~tenm
nant â titre transitoire tes règles de fixation
des 'prix de journée dans les H ôpit~ lJ x. et
Hospices :publics et la circulaire d'appll callo n
du 29 Décembre 19« ;
Vu les articles 22 et 34 <lu décret du 17
ANril 1943 sur les règles de fixation des "",
de journée des mala'des et penslon"",res
payants, modifiés pa r le décret n' 51.1218
<lu 19 Octobre 1?51 ;
Vu les cir~ula'res de M. le Ministre de~:
Santé Publique et de la Population des
Octobre et 2 Novembre 1951 prises pOlir
l':<pplication <Jiu décret ,précité du 19 Octobre
. ' ,6Jdmi1951 ;
Vu la ~l ibération de la ,CommiSSion
t
nistrat.i ve de l' Hôpital Psy,"'iâtrique en da'
du 23-11-1951 ;
. . al
Vu le rapport de M. l' lnsp~teur Pflnc~II
de ,la Population et de l'Entr aide SOCiale
12-1-1 952 ;
""2 .
Vu la dép('che minist<ri~le du 27-2-.1,- ,
-
Consi'dérant qu'il y ~ u!"gence à détennin~r
au moins à titre pro-vtsOlre, le nouveau priX
de journée prévisionnel ap.pl.i cable à Il ' Hôpital Psychiâtrique d'AIx, a compter du
1-1:; 1952 ;
..
Sur 13 p.roposlhon de M. le SecrHaire
Général de la Préfecture,
AiRRETE
ARTICLE PREM IER. Le prix de journée
prévisionnel applicable à l' Hôpital Psyohiâtriq ue d' A i x-.en-:-Pro~e",ce est fi xe comme SUIt ,
à titre prOVISOire, a compter du 1-1-1952 :
Malades ll1d'ige nts 'ft assurés
sociaux.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.060 frs.
payants
Autres
pensionnaires
(classe unique) .. .. . ........ . 1.155 frs.
ART. 2. - Ce prix (ile journée provisoire
est immédiatement applicable en attenda nt
l'inten'ention de ta décision ministé ri elle (qui
l'entérinera à titre définitbf.
ART, 3. - Mi. le Secrétaire Général de la
Préfecture, M. le Sous-Préfet d' Aix, M.le
Directeur de l'Hôpital Psychiâtrique d'Aix et
M. Je Trésorier-Payeur Général, sont chargés
chacun en ce qui le concerne, de l'exécution
du présent a"rêté.
Marseille, le 18 Mars 1952.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
, LAMASSOURE.
Catégories
Gemmeur âgé de 18 il
65 ans ... , .. , .....
Femme - gemmeur .. ..
Gemmeur âgé de mo ins
de 18 a ns .... ....
Gemmeur à Ci,pacité
professionnelle réd uite
Gemmeur âgé de 65 ans
Gemmeur à capacité
rédu ite. âgé de 65 ans
e! gemmeur âgé de
10 ans . , . . . . . . . . .
.
AO
06 BI
ARRETE PORTANT FIXATION DES
COTISATIONS D'ASSURANCES SOCIALES AGRICOLES DUES POUR
LES OUVRIERS GEMMEURS,
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de La Légion d' Honneur,
Croix de Ouerre,
Vu le décret modifié du 20 avril 1950, relatif au financement des assura nces sociales
agricoles ;
Vu l'article 12 du décret n' 51-1268 du
7 novembre 1951 ;
Vu J'avis du Contrôleur Divisionnaire des
Lois Sociales en Agriculture,
Sur la proposition du Secrétaire Général,
ARRETE:
Article premier. - Les cotisations d'assurances sociales ag rico'les dues, à dater du
15 novembre 1951, pour les ouvriers gemmeurs sont fixées trimestriellement comme
suit;
Part
ouvrière
Part
patronale
2.850
2.565
4.150
3.735
Récolte de 6.800 litres
Récolte de 6.120 litres
1.000 Fr.
6.300 Fr.
1.995
2.905
Récolte de 4.760 litres
4.900 Fr.
1.425
1.040
2.015
4.150
Récolte de 3.400 li tres
Récolte de 6.800 litres
3.500 Fr.
5. 190 Fr.
520
2.075
Cotisation trimestriel1e tota le
de 3.400 litres
Récolte
,
2.595 Fr.
Article 2. - Le Secrétaire Général de 1.
Préfecture et le Contrôleur des 1..ois Sociales en Agriculture sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de 'l ' appticati~n du présent
a rrêté, qui sera inséré au Bulletin des Actea
Administratifs du Département.
MarseiUe, le 10 mars 1952.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général " LAMASSOURE.
•
Communiqués-Avis
Annonces diverses
02 B3
DEMANDE D'EMPLOI
M. TISSERAND Robert, demeurant au
Creusot (Saône-et-Loire), 4, rue R.-Vaillant,
sollicite un emploi de garde-champêt re ou de
concierge dans le département des Bouchesdu-Rhône.
L' intéressé, âgé de 45 ans, est un anciea
militaire de carrière.
/'Y\JI<I. les Maires intéressés par cette candid at ure voudront bie n se mettre directement
en rapport avec M. TISSERAND.
-------<> 00 «>-------
03 B4
FS 0
RECTIFICATIF AU RECUEIL N' 10
DU 6 MARS 1952
- Page 58, colonne 1. - < Renouvel'e.ment du Conseil Départemental de l'Assistance Publique et Privée ».
Circulaire à lv\.M. les Maires du Département,
- Lire à la 33e ligne du texte de la circulaire :
« Mardi 22 Avril 1952, la date des é1ec1ions ) , au Heu de :
Jeudi 22 Avri l, ainsi qu'il a été indiqué
par erreur.
-------c> OO C)------
05 BI
P3
RECTIFICATIF
En raison de nouve1les instructio ns mini stérieUes, il y a lieu de surseoir, jusqu'À
nouvel ordre, à l'application de l'Arrêté
préfectoral du 8 mars 1952, autorisant la pêche en rivière le dimanche.
Copie certifiée conforme :
Poûr le Préfet :
Le Secrétaire Géniral
LAMASSOURE.
�RÉPUBLIQUE
3 el 10 Avril 1952
,-
FRANnAISE
10'
Mué •.
N" 14 et 15
DËPARTEMENT DES BOUCHE.5-DU-RHONE
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute c orresp o nda n ce r elative a u Recueil doit être adressée
a
la P r é fectur e Secr é ta r ia t
Général
A.BRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulai re - Les lettres D et B suivies d'un chiff re indiquent le Se rvice o u Burea u d'origine.
D. S. T. : Di rectio n des Ser vices Technique •. - D. D. S. : Direction Départementale de la Sa nté. - D. D. P. : D irection départementale de la Pop ul at io n.
SOMMAIR.E
personnel employé à temps incomplet
ou de man iè re occasio nnelle
SC 7, - Médaille d' honneu r des Sapeu rs-Pompie rs. Pro motio n d u
14 juillet 1952 .. , . " " . .. . . .. . . . . . . .
SC 7. - Etablissements ciassés : Arrêt é au sujet des llims inflamm ab les. .
EN O. - Constructions scolai res.P rototy pes d'écoles au 1er degré.
Paltes
AG O. -
O rdre public : Circula ire re-
lative à I Je nl~ë vement d'inscriptions
séditieuses SU T la voie publique..
A.G O. -
81
Add iti f à l'a rrêté préfec to ral
en date du 29 décembr e 195 1 paru au
R. A. A. n" le et 13, page 69..
P O. - Arrêté réglementa nt l'uti lisation
d'u ne scie circ ulai re su r Ja vo ie p ubliq ue "".. .... . .. "
" . ' . . .. .
AC 3. - Ci rcula ire ministérielle relative a u rêgime applicab le en ce qui
concerne les prestations familia les au
Textes d'Intérêt Général
Pages
Arrêtés réglementaires et Circul aires
,S I
82
82
83
83
FS 7. - Hôpitaux publics. - Prise en
cha rge des frais de transpo rt des
ma lades hospita lisés . ... .... ....
A 3. - Dates d'e nlèvement des récoltes
81
AC 2. - Circula ire ministé rieI le du
25 février 1952, relative à l'incidence
du droit d'enregist rement frappant
les marc hés aya nt pou r objet la fo urniture de véhicules automobiles, de
pi~ces détachées
et d'accessoires
pour vé hicules automobiles . ..
84
Communiqués .. Avis -- Annonces diverrses
83
83
86
Adjudicatio n publique restrein te ... .
Intendance militaire des subsistances..
86
AR RËTËS REGLEMENT A IRES ET _CIRCULAIRES
CAB INET DU PREFET
DES
BOUCHES-OU - RHONE
AG 0
ORDRE PUBLIC
Circulaire relative à l'enlèvement
d'inscriptions séditieuses
sur la voie publique
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à MM. les Sous-Préfets d'Aix et Arles,
MM. les Maires du Département,
AI. le Commandant de Gendarmerie,
M. le Directeur Départemental des
Services de Poli ce,
Depuis quelque temps, les inscriptions et
mo t~ d'ordre di ve rs se multi plient sur la voie
publique et même sur les murs de bâtiments
publi cs.
Les Services de Police on't pour rôle de
prévelltr ces pratiq ues reg rettables. L'a rrêté
préfecto ral du 31 octobre 1950 notamment
l etué r permet d'intervenir. Leurs consignes
"
o nt
é renforcées, et des rés ultats obtenus.
l'. J'ai l'honneur d'attirer votre attenti o n sur
dlJnportance que revêt en outre l'e nl ève ment
'te telles inscriptions' lo rsqu'eiles n'ont pu
e re empêchées.
'
Je précise que la char ae d'enlever ou d'eff acer ces·
. t"
"
IiIscnp
IOns·n'lOcombe
pas aux Ser-
1
vices de Police ; il appartient a u contraire
aux Municipalités de prendre toutes mesures
à cet effet en faisant appeJ à lears Services
de Voirie.
Le COnCours de la po lice ne pourrait êt re
demandé que pour assurer le maintien de
J'ordre au cou rs de Ilopération, s'il en était
besoin.
Je suis certain que .M.M. les A'\aires s'acquitteront de leurs respo nsab ilités avec dilige nce, pour la plus' gra nde dignité de nos
cités.
R. PAl RA.
------- <»o o ~>, -------
AG 0
D5 B2
ADDITIF A L'ARRETE PREFECTORAL
EN DATE I)U 29-12-1951 PARU AU
R.A.A. N" 12-13 PAGE 69
ARRETE
Le Prê/et des Bouches-du-Rhône,
. Officier de la Legion d'Honneur,
Article uflique. - L'Arfêté Préfectoral, en
date ùu 29 décembre 195 1, fi xa nt la liste des
journaux habilités à rec~v~i r les annonc.es
judiciaires et légales, a~nsl que les tan!s
app licables pendant l'annee 1952, dans le departement des Bouches-d li-Rhône, est modifié ai nsi qu'il suit :
A j'article 1er, ajouter à la liste des journau x périodIques c L'Officiel de l'Automobile, du Cycle et du Motocycle >, siège social,
16, avenue de la Grande-Armée, Paris,
Marseille, le 10 mars 1952.
Pour le Prefet.
Le Secrétaire Général dèléglU :
LAMASSOURE.
- - - - <'00 «:.' ------
PO
DI BI
ARRETE REGLEMENTANT L 'UTILISATION D'UNE SCIE CIRCULAIRE
SUR LA VOIE PUBLIQUE.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
\ ' u l'article 99 de la loi du 5 a\'fil 1884 ;
Vu la circulaire n'" 90 en date du 28 féHier 1952 de M. le JV\.inistre de l'Intérieur ;
ARRETE:
Nul ne pourra utiliser.
sur la voie publique, une scie circulaire pOUl
le tronçonnage de hois, si elle n'est pas pro·
tégée comme suit :
1" « Toute la partie de la lame non utilisé'e pour Je sciage sera protégée, de façon
à permettre toutefois une é\'acuatio n facile
des sciu res; >
Article premier. -
•
�S2
2°
!13
.. La partîe de la lame utilis~e. pour
le sciage sera protegee pa~yn dlSpOS.lttf mobile s'effaçant de,'ant la pu,ce de bOIs. >
3"
c La scie sera en outre, munie d'une
(J'riffe de ser raae afi~ de maintenir la pitCè
de bois et d'e~pëcher la rotation de celleci. :.
Articl. 2. - hL le Directeur Départemental des Sen'ices de Police, MM. les SousPréfets il Aix et à Arles, M. le Commandant
de Gendarmerie Mhl. les hlaires du Département' sont ch~ rgés, chacun en ce qui le
concerne de J'exec ution du présent a rrêt:!,
qui sera inséré au Recueil dei Actes Administratifs et Bulletin des Mairies.
Marseille, le 18 mars 1952.
Le Prefet :
R. PA IRA.
-------<> 00<>-------
AC 3
D283
CIRCULAIRE MINISTERIELLE RELATIVE AU REGlME APPLICABLE EN
CE QUI CONCERNE LES PREST ATIONS fAMILiALES AU PERSONNEL
EMPLOYE A TEMPS INCOMPLl:.l OU
DE MANIERE OCCASIONNELLE.
J'ai l'honneur de porter ci-desso us a ta
connaissance de MM. les Maires du Dépanement le te..\.te de la circulai re de M... le Ministre du Budget n· 18 - 4 B/ 12 du 3-3- 1952,
relative aux conditions d'a1filiation aux caisses d'allocations familiales et de sécurité sociale du personnel employé .il temps incom·
plet.
Pour le Préfet et pa r délégation,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
•
00
Paris, le 3 mars 1952.
Le Ministre du Budget
à MM. les Ministres et Secrétaires
d'Etat,
•
OBJET. - Regime applicable en ce qUI
concerne les prestations familiales, les accidents du travail et les assurances sociales
au personnel emPloyé à temps incom plet ou
de manière occasionnelle.
REFERENCE. - Ma circulaire n' 96 6 B/ 12 du 23 novembre 1950.
Par lettre citée en référence, j'ai eu l'honneur de vous indiquer dans quelles conditions les agents de l'Etat, employés il temps
incomplet ou de manière occasionneUe devaient être affiliés aux caisses d'allocations
familiales pour les prestations familiales et
aux caisses de sécurité sociale pour les
accidents du travail.
L'interprétation littérale de cette ci rculaire conduirait, lorsqu'il s'agit de fonctionnaires de J'Etat qui exercent une activité accessoire également rémuné rée par l'adm inistration, à rfaire admettre qu' un même
employeur se trouve astreint à affilier un
même salarié .il deux régimes distincts de
sécurité SOCiale en raison de la dualité des
activités exercées par l'agent considéré.
Une telle conséquence était évidemment
étrangère aux préoccupations du Conseil
d 'Etat et de mon administration lorsqu'ils
ont estimé utile l'affiliation aux organismes
de sécurité sociale cle cette catégorie de personnel. Surtout elle serait susceptible de
compliquer la tâche des admin istrations
alo rs que le but reche rche par la ci rculaire
n" 96, 6 B/ 12 etait au cont rai re de la simphlier.
C'est pou rquoi, en accord avec le Ministre
du Tra\'ail et de la Sécurité Sociale, je vous
info rm e que la circulai re n· 96, 6 B/ 12 du
23 novembre 1950 n'est pas applicab le '1
l'éga rd des agents de j' Etat-- employés il
temps ijlcomplet ou de manière occasion nelle,
lorsque les intéressés sont d'aut re part assujettis au régime de sécurité sociale des fonctio nn aires ou des mil itai res a u titre de leur
activité principale. L'Etat n'a donc pas à ve rse r des cotisations au régime généra l de sécurit é sociale au titre des rém un érations qu' il
sert aux intéressés pour une activité accessoire.
Ceux,i n'ont également a ucune cotisation il verser à ce titre.
Cette solution s'appl ique nOn seuleme nt
aux cotisations d'allocations familia les et
d'accidents du travail, mais enCo re à celles
d'assurances sociales.
Pour le Ministre et par deUgatlOn
Toute proposition pour cette di sti nction
doi t étr~ appu yée dl ~ln rappo rt détainé SUr
les services du ca ndid at et êt re so umise à
l'fII'is de /' Inspecteur départemental des services d'In cendie.
Je vo us précise que les Sapeurs-Pompiers
qui ont a~com~li .des actes de sauvetage
peu vent fai re 1 obJet de propositions nOn
pou r la Médaille des Sapeurs-Pompie rs: avec
rosette, mais pour la Médaille pour Actet:
de Courage et de Dévo uem ent.
~
Je VO liS demande enfin de cl asse r vos propositions dans chaque éc helon par ordrralphabélique pour l'ensemble du déparlement.
Le Directeu r du Cabinet
Signé: MART IAL - S IM ON
:.
------- <>00 (>-------
SC 7
0283
La N\~aille ù' Argent al'er roselle e. t
être ~tt n buée sans. co ndi tion d'ancien~e~~
aux. Sapeu rs- P?mplers qui ont rendu des
se~\'lces exceptfOnne~s dans l'exe rcice ordl:
nalre de le~rs. fonctIOns tels que : création
ou réo rg~ ntSatlon du ~orps, mOdernis ation
d u mat én el, co nco urs a des œuvres de m _
tu alité ou à des g roup eme nts corpo ratifs ~e
déf~nse co ntre l'in ~e ll.d.ie, . confé rences Ou
éc nts e n vue de 1 utilisation pratique du
ma té riel et de son perf ectionneme nt am .,_
Iioration de l'inst ru ct io n, etc...
,t:
MEDAILLE D'HONNEUR
DES SAPEURS - POMPIERS
PROMOT ION DU 14 JUILLET 1952
j'ai l'honneur d'atti rer l'attention de lv\}A.
les Mai res du Département sur la ci rcul a ire
;ni nistérielle n' 127 du 20 mars 1952 ciap rès relati ve à la Médaille d' Hon neur des
Sapeurs-Pompie rs
P romotion du 14 juillet 1952.
Gu)' LAMASSOURE.
.'.
Paris, le 20 mars 1952.
Le Ministre de l'In térieur,
à M. le Gouverneur Général de l'Algerie
à MM. les Préfets - Cabinet
(MetroPole et Algérie)
J'ai J'honneur de vo us prie r de m'adresser
sous le prése nt timbre, avant le 30 avril
délai de rigueur, vos propositions en vue de
la promotion de la Médaille d' Ho nneur des
Sapeurs-Pompiers prévue pour le 14 juillet
1952.
les dossie rs qui me parviendront a près
cette date ne pou rront être examinés q u'à
l'occasion de la promotion du 4 décembre
1952.
Vous voudrez bien vo us confo rmer stri.ctement aux instructio ns très précises que je
vous ai fournies au sujet de la présentation
des dossiers.
Ainsi que j'ai eu l'occasion de vo us l'i ndiquer, à diff érentes reprises, aucune proposition pour les Médailles d'A. ge nt, de Vermeil et d'Or, ne peut être présentée en faveur
1
a) des Sapeurs-tt>ol1lJ)Îers honoraires de
tous g rades (Officiers et Sapeurs) ayant
quitté le servÎCe depuis plus de cinq ans au
1er janvier de l'année en cours pour la promotion du 14 juiMet et au 1er juillet pour la
promo tion de la Sainte-Barbe ;
b) des Sous-Officiers, Caporau x et Sapeurs IJgés de plus de 70 ans aux mémes
dates.
Par ai ll eu rs, je crois de\·oir vous rappeler
q ue la Médaill e d' Ho nn eur des SapeursPompiers a pou r but de récompenser les
services effectifs acco mpl is dans un co rps
de Sapeurs~Pompiers.
En co nséque nce, le se rvice mil itaire légal
du tem ps de paix ne peut, en a ucun cas,
entre r en li g ne de compte pour le calc ul de
l'ancienneté, même s'il a été accompli posterieurement à l'entrée du candidat dans le
Corps des Sapeurs-Pompiers.
Cependant, le te mp s passé sous les drapeaux au cou rs des guerres 19 14- 19 18 et
1939- 1945 pa r les Sapeurs-Pompie rs qui
faisaient 'partie d'un co rps de Sapeu rsPompiers ava nt leur mobilisation ne constitue pas une interruption de services et
doit fi gu rer dans le calcul de l'ancie nneté
effective.
Pour la g uerre 1939- 1945, il Y a donc lieu
de co nsidé re r co mm e services effectifs les
se rvices mil itaires sui va nts accomplis ap rès.
leur entrée au co rps :
a) a ux armées, en captivité et dans les
F.F.L. ;
lb) dans Ja Résistance (e n qu ali té d'age nt
P. I. OU d'age nt P2) ;
c) dans les F.F.l. (postérieurement au
6 juin 1944) ;
d) en déportation ou en Internement au
titre de la Résistan ce.
:.
Vous voudrez bie n me retourne r, apr~s
l'avoir compl é.té, l'accusé de réceptio n Cldessous.
Pour le Ministre de l' lnlérieur
et par déléga tion,
Le Directeur du Perso rrrref
tt des Affaires Politiques ;
C~ri stia n LOBUT-
_______ (>00<>----
0482
SC 7
ETABLISSEMENTS CLASSES
Arrété au sujet des films inflammables
Le Préfet des Bouches-du-Hhône
Of.ficier de la Légio n cf' Honn eur. '
Vu la loi du 19 décem bre 19 17 relative
aux établissements dangereu x, insa lu bres ou
incommodes, modifiée par les lois des
20 avril 1932 et 2 1 novembre 1942 ;
Vu l'acte dit loi N' 263 du 5 lev ri er 1942
relative au transport et à Ja ma nut ention
des mati ères dan gereuses ou infectes ;
Vu l'arrêté du 15 avril 1945 de M. le Mi·
nistre des Travau x Pu blics, des Transports
et du Tourisme approuvant le règlement
pour le transport par c hem ins de fer, pa r
voies de terre et pa r voies de nav iga tion
intérieure des mati ères dange re uses (e xplosibles, inflam mables, toxiques, etc ... ) et des
matières infectes ;
Vu l'avis de M. l'Inspecteur Divisionnai re
du Trava il et de la Main d'Œuvre, chel"du
Servi ce d'In spectio n des
Etablissements
classés j
,
Vu l'avis de M. l' Inspecteu r Départemental des Services d' Incend ie ;
Su r la proposition de M. le Sec rétaire
Géné ral de la Préfecture,
Arrête :
Article premier. - A dater de la publication du prése nt a rr êté tous les films cinématog ra phiq ues su r suppo rt in fl a mmable
devront êt re signalés pa r l'apposition s ur
la boîte même qu i les renferme de l'étiquette
indélébile prescrite par le règlement susvisé
su r les emballages de ces films pendant leu r
transpo rt.
Les boites dev ront porter co nstamment
cette étiquette, qu'elles soient en cours de
tra nspo rt, chez les distributeurs ou dans les
salles d'utilisation.
Article 2. - M. le Secrétaire Général de
la Préfecture, MM. les Sous,Préfets et les
Maires, M. l'Inspecte ur Divisionnaire ' du
Travail et de la Main-d'Œuvre, chef du SerVice d' Inspectio n des Etablissements Classés, M. l' Inspecteu r Départementa l des Se rv l ~es d' In cendie sont cha rgés, chac:1n en ce
q UI le concerne, de l'exécut ion du prés'ent
arrêté.
Marseille, le 19 ma rs 1952.
Pour le Préfet et par dé légatio n,
Le Secrétaire Général :
LAMASSOURE.
-------<>00<>-------
02 ,83
EN 0
CONSTRUCTIONS SCOLAIRES
PROTOTYPES D'ECOLES du 1" DEGRE
A Pa r une . i~se rt io n dans le ( Recueil des
b etes Ad ministratifs > n° 47 du 22 novema~e ~95 1 , J'a! appelé votre a tt enti on s ur les
co an ages que p ouvait présenter, pour les
c mmune~ envisagea nt la réa lisation de
scolai res peu importantes
1,0andstructlOns
option d' un d es prototypes
'
agréés
d'écoles'
A Sur le plan national.
broc~~tte âccasion,je vous a i s ignalé qu'u ne
ees pr~t t onna nt . t6us renseignements sur
La dO ypes éta.t en cou rs d'édition ..
prix es~te brOChure vient de pa raître, so n
pourront ~I,e b25O. f ra ncs et les Municipalités
a tenlT en adressant un e demande
à < Publications du Centre National de Documen tatio n Pédagogique > Burea u de
ve nte : S.E.V.P. E.N., 14, r~e de l'Odéon,
Pa n s. C.C.P. 9060--06, Paris.
Pour le Prélet et par délégation,
Le Secrétaire Général :
Guy LAMASSOURE.
---<>00(>---
0 382
fS 7
HOPITAUX PUBLICS
Pl'Ïse en charge des r~ais de transport
des malades hospitalisés
reconnu nécessaire en raison des b esoin ~
du traitement et le médecin-contrôJeur de la
Caisse Primairt: intéressée pourra éve ntuelleme nt Hre ame né à exercer so n co ntrôle à
ce s uj et et toutes justifications devront êt re
fournies pa r l' Hôpj,t al à la dite Caisse.
Vous vo udrez bien po rter le contenu de
la pr~sente commun ication à la co nnaissance des Administrations . Hospitalières
in té ressées.
Le Ministre,
Pour le Ministre et par délégation,
Le Directeur :
BOIDE.
-----c >ooc~-------
Paris, le 25 lévri er 1952.
Le Minislre de la Sanlé Publique
et de la PoPulallOn
ci MM. les Préfets (pour e~éc u tion)
à MM. les Directe/lrs Départementaux
. de la Santé (pou r informati on )
a MM. les Directeurs Départementaux
de la Populalion el de l'Enlr' Aide SoLiale
(pour information)
J'ai l'honneur de vO us faire connaître que
mon attention a été appelée s ur des difficultés qui se sont élevées, dans certains départeme nts, entre des Caisses de Sécurité
Sociale et des Ad minist rations Hospitalières
au s uj et de la prise en cha rge des frais de
t r a.n ~port par ambulance des malades hospi·
ta lises dans un établissement public de soi ns
et qui doivent êt re transportés dans un aui re établissement hospital ie r en vue d'un
diagnostic ou d' un t raitement.
Certaines Caisses estimaient, en effet ne
pa~ avo!r à pa rt iciper à ces frais qui' devaient, a leur avis. incomber à l'établissement dans lequel se trouvait- préceJemment
le malade et t!tre incorpores, en conséquence
dans ses prix de journée .
Cette questio n vie nt de faire l'objet d'un
examen de la part de mes services en'
li aiso n avec les se rvices du Minjster~ du
T ravai l et de la Sécurité Sociale.
De cette étude, il ressort que Jeux cas
doivent être considé rés :
En premier lie u, le malade a besoin d·êt re
transporte, . en vue d'un diagnostic, pa r
exemple, dans un établissement mi eux outillé q ue celui dans lequel il est hospitalisé
mais il doit êt re ramené, pour la suite de~
soins, vers ce derni er établissement, dès le
diagnostic effectué.
Dans ce cas, les frais de transport, Încombent à l' Hôpital qui a acc u.eilli en premier le malade et doivent être incorporés
dans les prix de journée, car on peut consid&rer a lors que le di a gnostic, même effectué
dans un autre établissement, fait partie
intég rante du traitement pour lequel le malad e est rentré à l'hôpital.
Par contre, il n'en va pas de même lorsque le malade quitte défini t Îvement l'hôpital
pour être admis dans un établissement plus
important - ou plus spécialisé (Hôpital
Psychiatrique par exemple) - où il trouvera des soins 'Plus appropriés à son état
et qui ne pouvaient lui être prodigués dans
le premier établissement. 11 y a alors lieu
à nouvelle hospitalisation distin cte de la
premiè re et les frais de transfert doiveni
être supportés par les Caisses de Sécurité
Sociale.
Cette prise en cha rge par les
pourra évidemment êt re acc:ord ée
le cas où le transfert
D6 BI
DATES D'ENLEVEMENT
DES RECOLTES
A3
Le P réfet des Bouches-du-Rh ô ne
Officier de la Légion œHonneur:
Vu les articles 142 1 et 1932 du Code Généra i des Impôts ;
Vu ''' avis de l' In génieu r en Chef Di recteur
des Services Agricoles ;
Sur la proposition du Secrétaire Géné ral,
Arrête :
Article premier. -
Les dates d'enlèvement de récol!te pour chaque nature de culture so nt fi xées ainsi qu'il suit dans le
ct parteme nt des Bo uches-du-Hhô ne :
Raisins ; du JO juillet au 10 novembre.
Ceri~es : du 1er mai au 30 juin.
Abricots: du 15 jllin au 3 1 juillet.
Amandes : j uiIJet-octobre.
Pêches : 15 mai au 15 septenlhre selon
les variétés.
Poires: 25 juin au 15 octob re selon les
variétés.
Melons: 1er juin au 30 septembre.
Olives: 1er octobre au 3 1 décembre.
Tomates: 15 juin au 30 septembre.
Aulx : 20 juin au 10 août.
Haricots verts : 1er juin au 10 novembre.
Oignons: 1er juillet au 10 octob re.
Pommes de terre Primeurs : 1er mai au
1er juillet.
Pommes de terre de grande consommatian: 1er juillet au 30 septembre.
Ble: 10 juin au )5 juillet.
Avoine: 15 juin a u 10 juillet.
Orge : 25 ma i à fin juillet.
Seigle: 10 juin a u 15 juillet.
Riz : 1er septembre au 10 décembre.
FOlN DE PRAIRIE NATURELLE
1re coupe: du 3 mai au 15 juin.
2e coupe : du 1er ail 30 juillet.
3e coupe : du 2fl aoùt au 20 septembre.
Articie 2. - Le Secrétaire Gén éral de la
Préfecture et le Directeur des Contributions
Directes sont chargés, chacon en ce qui le
concerne, de J'exécution du présent arrêté
qui sera publié a u Recueil des Actes Administratifs des Mairies.
Marseille, le 1er avril 1952.
POlir le Préfet,
Le Secrétmre Général
G. LAMASSOUHE.
------( >00
�-
84
TElTES D'IUEBEr aElEBHL
CirculiJir~
concernant plus spêcioltmenl
1.. Administrations d, l'Etal
02 BI
AC 2
CIRCULAIRE MINISTERIELLE DU 2 5
FEVRIER 1952 RELATIVE A L' INCIDENCE DU DROIT D'ENREGISTREMENT FRAPPANT LES MARCHES
AYANT POUR OBJET LA FORUNlTURE DE VEHICULES AUTOMOBILES, DE PIECES DETACHEES ET
D'ACCESSOIRES POUR VI:.HICULES
AUTOMOBILES.
Pa ris, le 25 fév rier 1952.
Le P résident du Co nseil,
Ministre des Fi na nces
et le Mi nis tre des Affai res Economiques,
à M. le Secrétaire d'Etat à l'Intérieu r,
Incidence du droit d'enregistrement frappanl les marchés ayant pour objet la
fourniture de lIéhicules automobiles, de
pièces detachées et ' d'accessoires pour
véhicules automobiles.
Plusieurs arr ètés inte rvenus au cou rs de
l'année 195 1 ( 1), publiés au Bulletin Officiel
des Services des Prix, ont placé hors taxation les prix des diverses catégories de vé hicu!es automobiles.
Toutefois, lorsqu'ils traitent a\'ec des
administ ratio ns publiques, les constructeurs
et impo rtateu rs de véhicules automobi les ou
leUIs concessio nnai res doivent, en vertu de
l'arrêté n'
15.653 du
10 septembre 1946
(Bulletin Officiel dts Services des Prix du
15 septembre, page 569 ; Rectificatif publié
au Bullelin Officiel des Services des Prix
du 25 octobre), modifié pa r l'a rrêté
n' 21.822 du 9 août 195 1 (Bulletin Officiel
des Services des Prix du 24 aoüt, page 222),
toujou rs en vigueur (2), consentir sur le
prix de catalogue une remise c administrative » - corresponda nt à une f raction de
la remise du concessionnaire - et dont le
minimum varie suivant ('impo rtance de la
commande annuelle.
Malgré da restriction que l'arrêté d u
10 septembre 1946 modiiié appo rte à la li·
berté accordée aux fournisseu rs de débattre
avec leurs clients le prix de vente des véhicules automobiles, ce texte ne retire pas aux
prix des véhicules livr és aux administrations
publ iques le caractère de prix « libres »,
puisque les tarifs figurant au catàlogue et
sur l esquels s'impute la remise administrath'e minimum ne sont plus réglementés.
Aussi , il ne peut être fai t application aux
marchés aya nt pour obj et la lournitui'e de
vé hicules automobiles, approuvés depuis la
!date d'applicati on de chacun des tex.tes ind iqués au renvoi (1) ci-dessus, des dispositio ns du deu xième alinéa de l'articl e 46 du
d éc ret n' 1082 du 6 avril 1942 relat if au x
marchés passés au nom de l'IEtat, mOdifié
par le dec ret n' 50- 1367 du 31 octob re 1950
Uournal Oificiel d u 3 novembre, page 11 2-16)
q ui pe rm ett ent aux Adm inistrati ons de pr endre le droit d'enregistrem ent à leur charge.
En conséq uence, c'est le fo urnisseur qui doit
suppo rte r le droit d'enregistrement.
,Les Adm i nistrati ons doivent s'effor cer
d'ob tenir que ce d roit reste effecti vement à
la charge de leurs co-co ntract ants, c'est-àdire q ue le prix des vehic ules ne soit pas
supén eur au prix de cata logue, dimi nué, le
cas échéant, de la remise minimum. Ce ré-
sultat est susceptible d'êt re a ttelllt
I q r s q u~
j'Administration est en mesure de fai re
jouer la co nCurrence entre l es fo urnisseurs,
notamment en ce q ui conce rne les véhicules
utilitaires.
Toutefois, dans Jes cas où il s'avère impossibl e de co nclu r e le marché dans ces
conditions, il peut être admis que le fo urnisseur tienne compte de l'i.ncidence d u droit
d'enregi strement dans la déterm ination d u
pr ix auq uel il accepte de tra iter avec les
ser vices acheteurs i il paraît util e d'indiq uer
aux Ad min istratio ns le
pri x maximum
qu'-elJ es peuye nt être amenées à acc epter
dans cette dernière é\lentualité.
l'
DET ERMINAT ION DU PRI X MAX IMUM UN ITAIRE DANS LE CAS D'UN
MARC HE OUVRANT DRO IT A RE·
MISE.
A un pr ix de cat alogue, préalablement diminue de la remise de 100 f rancs, co r respond un prix " hors taxe :J de 83,65 ; les
taxes étant actuellement la taxe à l a production au taux de 15,35 % pour les vente~
en gros et la taxe sur les t ransact ions au
ta ux de 1 % .
Si le fou rn isseur n'accepte de t raiter avec
l ' Administ ra tion
q u'à Ja
co ndition
de
conse rve r ce pr ix " hors taxes >, il doit
établi r so n prix de factu ration en y faisa nt
entrer non se ulement les taxes susvisées,
mais également le d roit d'enregistrement des
marchés au taux de 1,80 %, soit un total de
taxes et droit de I·S,15 %.
Pour déterm iner le ta rif maximum auquel
l'Administr ation peut t raiter, il su ff it de diminuer le prix de catalogue co rrespondant
au type de véhicules prévu au ma rché de la
remise minimum pr escri te
par l'arrêté d u
10 septembre 1946 modifié, et de mul tiplie r
( 1) Arrëté nO 21-419 du 21 février 1951
(B.O .S.P. du 27 févrie r 1951) relatif aux véhi.
cules
automobîles
pour le
transport en
comm un ;
Arrêté n" 21-716 du 26 juin 1951 (B.O.S.P.
du 26 juin 1951) relatif aux vébicules automobiles utilitaires d'une charge utile égale ou
supérieure à 2 tonnes :
A rrêté nO 21-916 du ft octobre 195 1 (B.O.!J.P.
du 7 oct obre 1951) relat if aux voitures pa rti<.-u1ières et aux véhicules utilitai rés d 'une charge
utile infé rieure à 2 tonnes ;
Arrt:té nO 21·936 du 5 novembre 1951 (B.a .
S.P. du 7 novembre 1951) relat if aux véhicule!
1mporth
(2) Voir, e.n annexe, Je t exte reproduisant ln
4i!positions des deux arrétés eu Question.
le résultat ai nsi obten u pa r
83,65
Soit à titre d'exempl e, un marché aya nt
po ur objet la liv raiso n de véhic ules do nt le
prix de catalogue est de 6 10.000 fra ncs s ur
lequel la remise mi nim um est (je 10.000 frs.
Selon le mode de calcul ind iqué ci· dessus
le prix devant fig urer au marché ne doit pas
dépasser, pou r chaq ue véhicule, la somme de
francs :
83,65
81 ,85
DETERMINAT ION DU PRIX MAXI
MUM 1J N ITAIRE DkNS LE CAS D'UN
MAR CHE N'O UVR AiN T PAS DRO IT A
REMISE.
multipli er le pr ix de cata logue co rrespon'
dant au type de véhicules prévu au marché
L'Administration, au moment où eUe a
traité était assurée de régler l a fo urniture
à un t arif qui ne serait pas supéri eur à ceJ ui
fjuu rant au barème accepté par le Départem~ ilt des Affai res Economiq ues. La situ ation respective des deux part ies au
cont rat se trouve do nc mod ifiée sur ce poi nt
puisque désormais le pri x de règlement n'est
plus co ntrôlé, dan"S Je cad re d~ .la règkmenration des pnx. Da ns ces condItIOns, et étant
don né que l es po urce ntages des hausses
inte rve nues depui s la mise hors taxat ion est
suscepti bl e de vari er d' une fi rm e à l'a utrt:,
les ser vices peuve nt être co nù uits il t rai.te r
avec un autre fournisseur. 11 a'ppartient alors
à l'Adm inistrati on d'exami ner si elle estime
devoir résilier son marché, obser vatio n etant
faite qu'en cas de reco urs du fournisseu r
pour résil iation abusive ell e serait en droit
de souteni r que ~a r éférence à un prix
contrôlé co nstituait une cla use essentielle du
ma rché.
D'autre pa r t, da ns Je cas - le pl us générai - où la résiliation du marché n'est
pas prononcée, le fait de passer d' un régime
de pri x réglementés à un régi me de prix libres, n'entraî ne pas nécessairement passation d'un avenant po ur les r'aiso ns suivantes:
Dès lors q ue J'Administration a renoncé
à la rési li atio n du marché, la olause rel ative
au prix insé rée dans le co nhat, suiva nt la.quelle la fou rn iture doit êtr e r églée à sa valeur au j our de la li v raiso.n, suffit de justifier
le règlemen t su r la base d'u n prix « libre :J .
En second l ieu, le régime fisca l régissa nt
les marchés doit, au regard du droit d'enregistrem ent, s'a pprécier au jour où l es contrats ayant été appro uvés pa r l'autor ité qua~ ifi ée ont acquis Jeur pe r fectio n ju rid ique.
A cette époque, dans d'hypothèse envisagée, le ser vice était bien fondé à prend re il
sa charge le d roit d'enregistrement co nfo r-
pa r :
mément au déc ret n' 50-1367 du 31 octob re
L~ cas d'un .marché n'ouvrant pas droit à
r~m lse se réalise lorsq ue, en ve r tu de l'ar-
re té du 10 septembre 1946 mOdil ié, la cam.
mande annuelle est mfé n eure à 6 véhicules
ou à 10 tonnes de cha rge ut ile.
Si l'Adm i nistration fisca le, dont
devra se rapp rocher,
1 opératio n comme une ve nte au
taux de l a taxe à la produ ction
le ser vice
consi dère
détail le
subit ' er
application de l'a rticle 273 du Code gé~é ral
a,ch eteu~
des Imp ôts, un a ba tteme nt dont le montanl
est va ri able ( 1). E n parei ll e hypothèse el
étant donné que le p ri x d u catalogue es!
établi , en fo nctio n d u taux no rm aJ de la taxe
à l a p rod uct io n, c'est-à-dire 15,35 % ainsi
q ue de l a taxe sur les tra nsactions au taux
de 1 %, à un pr ix de 100 francs co rrespond
to uj ours un prix hors taxe de 83,65, comm~
da ns les marchés visés au paragraphe 1 cidesius.
En co nséquence, il dojt être tenu compte
dans la déter mi nation du pr ix maximum dt'
l'abattement de la taxe à Ja production.
Si le fou rn is;eur n'accepte de traiter av&
l'Administ ration qu'à la conditio n de Conser ve r le pri x « hors t axes >, il établi t son
p ri x de facturatio n t:n y faisa nt entrer non
seul ement la taxe à ,Ia prod uction au taux
de 12,28 % et l a t axe sur les transactions
au taux de 1 %, mais également la taxe
loca le additio nn ell e aux taxes sur le chiff re
d'affai res au ta ux de 1,75 % et le droit d'en·
registrement des mar chés au taux de 1,80 %
Q
SQit un total de taxes et d roit de 16,83 %.
Pou r déte rmi ner Je ta1"if maximum auquel
l' Ad ministration peut traite r, il suffit de
..
~ 95<.J Mais, aux te rm es de ce texte, ce q ui
83,65
83,17
Soi t à ti tr e d'exemple, un marché ayant
pour obj et la l ivt:aison de véhicules dont le
pri x de catrulogue est de 6 10.000 francs.
Selon le mode de c'alcul indiqué ci-desslI.s
le pri x devant figu rer au marché ne dOit
pas dépasser, pO \lr chaque véhicule, la somme de f rancs :
83,65
610.000 X - - = 6 13.520
33,17
JI convient d'examiner d'autre part, dans
q uelle mesur e l e .passa'ge d'un régime ~e
taxation à un r égime de liberté de~. priX
affecte les marchés approuvés avant 1.lIlterve ntio n des textes pl açant hors taxatl? " le
pr ix des diverses catégo r ies de véhIcules
au tomobi les, mais exécutés après la date
d'applicat ion de ces te JOIes.
81,85
600.000 X -
2'
=
61 3. 194
S5
En effet, ces marchés,_ bien qU'ayant, ~ti~
conc lus à une époq ue ou le priX des ,é ~
cul es a utomobiles était réglementé, so nt r n
gl és sous un régim ~ de liber,té d.es priX, a~s
vertu de 'da clause Insér ée d ordI naIre ~t t e
ces co ntrats qui stip ule que .l a fo u~n~I~lIr
se ra réglée su r la base du ta n; en v g
au j our de la livraison.
h . . le ta\1."<
( 1) D ans l'exe mple Qui va être C OIS I, la ta;<.e
de 12 28 % a été retenu ; le taux de . 1 %
sur le~ transactions d emeure incbanrc é, salt
.
JustIfIe li a pri se en char ge par le service co ntractant du d roif d'enrecristrement c'est le
fait que le pri x des t rav~ux ou d~s fo urni- ~
tu res faisa nt l'obj et du cont rat est limité
pa r d~s dispositions l égislatives ou réglementaI res ou par le ca hier des charges
d'une co ncess ion. Comme en l'occurence li a
f? urniture es t appelée, selon lia clause relatl\:e a.u pri x, à être rég1iée su r la base d' un
pn x li bre, le droit d'enrefYistrement dev rait
pa ~ co ns~ ue n t, etre sll pp~ r té non par l 'au~
to nté traI tante, mais par le fo urnisseur.
~ta llt donné cependant que le droit est
délà acq uitté et que le t ransfe rt d e la cha r-
ge d~d i t d roit de l'a uto r ité traita nte au
fo urnIsseu r au r ait co mme coro llai re une
augmentation du p r ix co nt ract uel à due co n·
Currence de ce droit l'économie d'un ave~ant stip.ulant ,ce t ra'nsfer t peut être fait 3.
conditIo n, bI en entendu, q ue te pri x soit
~u plus égal au tarif du catalogue dimi nué,
cas échéant, de l a remise convenue.
r
é; es piéces détac hées et accessoi res pour
Icules automobil es cédés di rectement par
es co nst!ucteurs et impor ta teurs de matér iel
automobil e aux adm i ni stratio ll ~ publiques
~o nt s?umises à un régime de pr ix ana logue
L~l ul ~ es véhicul es automobil es,
véh. s IPl èces détachées et accessoires pou r
' h I C ~ es a utomobiles ont été en effet placés
l'~~~~t~xa t~o n depui s le 1er j anvier 1948 par
(Bulleti n 1 ~2 72 du 30 décembre 1947
1er . n OffICIel des Services des Prix du
leurd ~~~l er t l948 , page 6) et les constru cIven , en vertu de l'a rrêté du 10
tembre 1946 modi fié, co nsenti r aux administrati ons publiques une rem ise minimu m sur
le prix de cata logue.
En conséq uence, les règles adoptées supra
pou r déterminer l e prix maximum de ve nte
des véh icules automobiles aux ad ministratio ns publiques dans le cas où il s'avère impossi-.ble de faire supporter pa r !le fo urnisseur la charge du droit d'en re(Jistrement
s'appl iq uent muta tis mu ta nd is po~r fixe r le
pri x limite des pièces détachées et dcs accessoi res pour vé hicules au tomobil es.
1[ y a lieu de remarq uer cepe ndant que
la remise du co ncessio nnai re, d'après l aq uelle .se ca l c~lI e la re mise admi nistrative qui
dOIt être co nsentie aux ad mi nistrations publiques, s'expr ime, dans le cas des pièces
détachées et ~es accessoi res, par un po urce ntage du pnx de cataUogue et nOIl, comme
pour. les vé hicules automobiles, par une somme fixée pou r chaque type de véhicule. Il est
donc ~ecessa.ir~ de rechercher pour chaque
marche co nslderé le montant de la remise
que 'doit co nsentir le fournisseu r. Sous cette
réserve, les indicatio ns données dans l a pre·
miè re partie de cette lettre, po ur les véhiculles automobi les, co nservent toute leur valieur .
So it, à titre d'e xemple, un ma rché co rresponda nt il un prix de catalogue d.!
100.000 francs ouvrant droit à une remise
admi nistr ative de 85 % de la rem ise d u co ncessio nnai re fixée, par hypothèse, à 27 %
d u pr ix de cata logue.
D ans ce cas, la remise admi nistrative s'élève au po urce ntage de :
27 X 85
- - - = 22,95
100
Au prix de ca talogue de 100.000 francs,
co rrespond pour l'administration un p ri x
t\: taxes com prises .:» de f rancs
100.000 X 22,95
77.0&)
100.000 100
Si le fo urnisseur n'accepte de traite r avec
l' Admi nistration qu'à la cond ition de conse rver le pri x « hors taxes ) , il doit établ ir so n
pri x de facturation en tenant compte des
taxes et du d roit d'enregist rement des ma r-
cMs au ta ux de 1,80 %, soit un
taxes et droit de 8, 15 %.
total
de
Pour déterminer ce prix de facturation qui
co nstitue Ile maximum auquel l'Admi nistrdt ion peut traiter, il suffit de multiplier le prix
de cata logue, diminué du montant de la remise, pa r :
83,65
81,85
Soit da ns J'e xemple choisi
033,65
77,050 X - 8 1,85
=
78.740
Nous vous pr ions de bien vowoir porter
Jes dispositions de la 'présente letlre à la
con naissance de tous les services intéress~s
pl acés so u') votre autor ité.
Le Ministre des Affaires Economiques.
p. o. le Directeur Général des PriX
et des Enquêtes Economiques :
Lo uis ROSENSTOCK-FRANCK.
Le Président du Conseil,
M inistr e des Finances,
pour le Mi nistre et par délégation
Le
·
de la
Compta~ilil .!
ANNEXE A LA LETTRE-COMJ\<I UNE
N' 2648 du 25 février 1952
REGIME DES REM ISES ADMINISTRATIVES SUR LES PRIX DE VENTE DES
VEHICULES
AUTOMOBILES,
DE
LEURS ACCESSOIRES ET DE LCUi(S
PIECES DE TAC HEES
Article premier. - Les rem ists milllol,a à
co nsenti r su r les pri x de catalogue Lie-s véhi cules automob iles par les co nsfructL urs et
impor tate urs de véhicules automollik3 ou
leu rs concessionnaires aux aclminisrrario ns
publiques et aux ser vices publics géneraux,
à l'e~clu sion des ser vices co ncédés, sont
fi xés comme suit 'Po ur l'ensemble des commandes passées dans l'a nnée.
Moins de 6 véh icu les Ou de la ton nes d~
charge utile défin ie pa r le catalogue: néant.
De ) à 10 véhicu les ou moins de 20 tonnes de charge utile définie pa r le cata logut: :
8,5 % de la remise du concessionnai re.
De 1 à 20 ve hicules ou moins de 40 tonnes de charge utile définie par le catalogue:
17 % de la remise du concessionnaire.
De 1 à 30 véhicules ou moi ns de 00 tonnes de cha rge utile définie par le catalogl'e :
25,50 % de la remise du concessionnai re.
De 1 à 40 véhicu les ou moins de 80 tonnes
de charge uti le définie par le catalog ue :
34 % de la remise du co ncessio nnai re.
De 1 à 50 vé hicules ou moi ns de 100 tonnes de char ge utile définie pa r le cata logue:
42,50 % de la remise du co ncessionnai re,
De 1 à 60 vé hicules ou moins de 120 tonnes de charge utile définie pa r le catalogue:
5 1 % de la remise du concessionnai re,
De 1 à 70 véhicules ou moins de 140 tonnes de cha rge utile définie par ee cata logue :
59,50 % de la remise du concessionnaire.
De 1 à SO véhicules ou moins de 160 tonnes de charge uti le définie pa r le catalogue:
68 % de la remise du concessionnai re.
De 1 à 90 véhicules ou moins de ISO tonnes de charge utile définie pa r le cata logue:
76,50 % de la remise du concessionnai re.
Plus de 9() véhicules ou plus de ISO tonnes de charge utile définie pa r le catalogue
85 % de lIa remise du co n'Cessionnai re.
J.
,En ce qui concerne les t racteurs automobiles, la force de tra<:tion se substitue à la
charge uti le pou r l'app réciation des remises
il co nsentir.
Les marchés co nclus depuis le 1er janvier
1946 seront retenus pour apprécier les reml se~ de quantité ci-dessus fixées afférentes
aux commandes passées à parti r de la date
d'entrée en vigueur du présent arrêté.
Article 2. - Les remises à consentir aux:
Administrations publiques et aux services
publ i.cs généraux, à l'excl usion des ser vices
concédés, sur la vente des pièces détachées
et accessoires de véhicules automobiles sont
aimitées aux pièces et accessoires que les
administratiùns et services achètent directement aux magasins du constr ucteu r ou de
l'im portateur pour leurs I>ropres besoins.
En co nséquence, les pièces vendues par
les concession naires des constr ucteurs ou
impor tateurs, ainsi que les pièces utilisées
da ns les réparations de vé hicules eff ectuées
so it pa r un concessio nnai re, soit par un ate-l ier du constructeu r ou de l' im
ne
�S6
Sous ces résen"es, la remise OllOlm um . à
consentir sur les prix de catalogue des pIèces détachées et accessoires d'a utomobIles
par les constructeurs et import.at.eurs . de
véhicules automobiles aux administrations
publiques et aux sen:ices publ.ics généra ux,
à l'exdusion des services concedés, ~t fix~
à la fraction de la remise du concessIO nnaire telle qu'elle résulte de l'application des
dispositions de l'a rticle premier du présent
C ommuniqués-Av is
~ Ann o nces diverses
importantes faites pa r ladIte adml ~J~tratio n
ou ledit service au constructeur ou a 1 Importateur pendant les 5 allnées précédant la
commande de pièces détachées et d'accessOIres.
Article 3. - Les conditions générales de
règlement qui s'appliquent aux mart:hés
Secrétariat d'Etat aux Forces Arm"es
« Guerre » g' Région Milita lr~ - Place
de MarseiUe. - Intendance Militaire
des Subsistances, c~.eme AUdéoud,
M.arseiUe.
arrêté pour tes commandes .an n uell~ . les p~ us
(paiement. garantie, etc.) excluen! to us suppléments de prix ou toute réduchon des remises fixées par le présent a rrêté.
RÉPUBLIQUE
1 7 el 24 Avril 195 2
ADJUDICATION PUBLIQUE
RESTREINTE
REPUBLIQUE FRANÇAI~E
pour la fo urn iture de 600 x/m d' hu ile d'ara_
chide.
Date de dépôt d'i ntent io n de Soumission_
ne r et des pièces le 15 av ril 1952, de rnier
dé lai .
Livraiso ns fr anco magas ins Subsistances
mi litai res, J, ru e Masséna, Ma rseille.
Po ur tO liS renseignements s'ad resse r à
l' Inte nda nce s usvisée.
Une adj udication pu bliq ue rest reinte a ura
lieu le r.ndredi 25 av ril 1952, à 10 heures,
-------~ > o o c~ ------
FRANC1AISE
10' Ann'e. -
N" 16 el 17
DËPARTEMENT DES BOUCHE.S-DU-RHONE
Recueil des Actes Administratif~ _......
et Bulletin des Mairies
Toute c orres pondan ce r elative au R ecueil do it être adr essée à la Pré fectu r e Secré tariat
Général
A.HRÉVIA. TIONS
A. P. : Arrêté préfec tora l. - C. : Circula ire - Les lettres l> et B s ui vies d' un dhiHre indiquent le Servi ce ou Bureau d·o ri gi ne.
D. S. T. : Direc tio n des Services Tec hnique • . -- D. D. S. : Directi on Départemental e de la Santé. -- D. D. P. : Direc tion départementale de la Populatio n.
SOMMAIRE
1
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pa~e5
AG O. -- P erson nel du' Cadre départemental. - Nom inatio ns de secrétai res principa ux de 2e catégo-ri e ..
AG O. -- Radi at ion du Cadre departementa l de Mm e Guitton Claire,
servan t. ...... . . .... . ... ........
PO. -- Arrêté en date du 15 av ril 1952
autorisant l'Association Nationalle
des Familles de Fusi ll és et Massacrés de la Résista nce à orga niser
Une joumée de quête ......... . ...
F 3, Circu la ire ministérielle du
21 ma rs 1952 relat ive a ux taxes
communales d e désinfectio n. -- A1>'
plication du décret n' 52-17 d..
3 janvie r 1952 ...................
SC 7. -- Vaca ti ons des SapeursPompiers ..... . .. ........ . . ....
FS 7. -- Administ ra ti on de 'l'Assista nce
Publiqu e à Marseille. -- P ri x de
jour.née prévisionn els 1952 . ...... .
FS 7. -- Ar,rêté portan t , déc la rati on
87
87
88
88
89
89
PallU
d'utOI ité publique el> vue de l'exemption des droits d'enregistrement ....
89
l'VX O. - Arrêté du 8 avri l 1952 'portant règleme nt pour l'extra€tion sur
le rivage de la mer da ns le d.épa rtement des BouGhes- du-R hône des
sa bles, pier res et a utres ma tières
non -considérées co mm e amendements marins ....... , ... ,...... . .
90
EN O. - Loi Bararrgé. Etablissement d u plan d'équipement scolai re
co mmunal .... ,. ........ ........
90
EN O. -- Cire ulai re rappelant les "rinci pales d ispositions législatives applicables en matière de recherche
arehéologique . ..... ...... ..... .
90
A O. - Cou rs des denrées servant de
,base a u ca lcul des fer mages ......
91
A O. -.Règlementation de l' uti lisatio n
des nappes fumigènes en agricul,tu re
91
CI A O. -- Blections consul aires. -- Henouvellemen t tpartiel des Tr~bu n aux-
de Commerce en 1952. - Confection
des listes électo ra les ..............
91
CIA O. -- Elections consulai re 1952.-'-
Confec tion des listes électorales.
Application de ,l a loi d u 17 août 1950
CI,A O. - Circulaire ministérielle relative à Jla.pplica tion de la loi du
17 août 1950 s ur les élections
co nsula ires .. . . . . ...... . . .... ,.
C IA 4. -- Dècret d u 15 novembre 1951
po rtant relèvement du taux des
a llocations de chômage ........ . ..
91
92
92
T ex tes d'Intérêt Général
AC 2. - Circudaire ministérielle relative aux indemnités !pOur f rais de
déménagement et pour changement
de résidence .. .. .... ... ...... .....
AC 3. -- Décret n' 52-409 du 14 avril
1952 portant relèvement du salaire
limite prévu pour le calcul des cotisations de Sécurjtê sociale .. ......
93
93
Communiqués -- Avis •. Annonces divenses
-- Dons et legs ............. .. .. . . .
94
-- Dons et legs ......... . ..........
94
-- Adjudications et appel' d'offres. Service des slJbsistances militaires ..
94
ARRËTËS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D5 83
Copie certifiée co nforme :
Pour le Préfet :
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
AG 0
PERSONNEL DU CADRE
DEPARTEMENTAL
NOminations de secrétaires principaux
de 2' catégorie
Par a rrêtés en date d u 7 avril 19,02, ont
été nOl1'lntés Secnétai res P,rincipau;.c de
2e catégo rie du Ca<lre D épa rtementa l
- hl. BEZAIL Geo r"es
- Mme BLANC M ;rie~Lo ui se.
- Mme CAN DAU Colette.
- M. CAZAUX Ra.y mo nd.
- M. GRANDMAISON Ma rius.
- M. GUICHAIRD Edmond.
- Mme HAN QUBT Louise.
- Mme ILEVY Mireille.
- MMme LEVY Ann e,Ma rie.
. MOUR·RE Simon.
- Mme NAV0 1'TE Jea nne.
- Mme PELLET Ma rguerite.
- Mme RASPLL8R Hélène.
-- Mme VILLAI!N 1rêne.
__ M~e VINCENT Marie-Thérèse.
Pour le Chef de Division,
pa r ordre,
Le Chef de Bureall S
ROYERE.
___
_ __
«~ oo
c:>
AG 0
05 B3
DEPARTERAD IATION DU CADRE
MENT AL DE MADAM E GUITTON
CLAIRE, SERVANTE.
ARRETE
Le Prélet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur"
Vu l'arrêté préfectoral du 31 <lécembre
1933 po rtant règlement du 'Personnel d'exé-
cution des Etablissements et Services Départementaux des Bouches-du-Rhône ;
Vu l'a rrêté préfectoral en Idate du 4 octo'b r. 1949 portant mise en àisponibil ité cie
Mme Guitton Clai re, servante à la Maison
Dépa rtementa le de Retraite des Vieillards de
Montdlivet pour une durée de un an à
com]>!.r dlt 1er octobre 1949 ;
COl1sidérant que IMme Guitton n'a pas repris son service a u 1er octobre 1950 et n' a
Ipas soll icité son maintie.n en disponibilité ;
Vu ~'avis de M. le Directeur de la Maison Départementale de Ret raile des Viei llards de Mo ntolivet i
Sür la proposition de M. le Secrétaire
Gé néral des Bouohes-du-Rhône,
Arrête :
Article premier, - Mme Gu itton Clai re.
servante à la Maison Départementa le de Retraile des Vie illards de Mon
est
•
�du Cadre Départemental des BOllchelHiuRhOne, à compter du 1er octobre 1950.
Article 2. - M. te Secréta ire Géné ra l des
Bouch es-<lu-Rhône, III le T résorier-Payeur
Général e t M. le Directeur de la Maison
Départe,.-nentale de Retraite des Vieillards
de Montolivet sont chargés, chacun en ce
-qui le concerne, de l'e,œouti o n dt présent
a rrtlt~
Marseille, le 9 avril 1952.
Pour le Préfet et par d~égatio n ,
Le Secrétaire Général
LAMASSOURE.
- - - -0 00 <>- - - -
DI BI
PO
ARRETE EN DATE DU 15 AVRIL 1952
AUTORISANT L'ASSOCIATION NATIONALE DES FAMILLES DE FUSILLES ET MASSACRES DE LA RESISTANCE A ORGANISER UNE JOURNEE
DE QUETE.
AARETE
Le Préfet des Bouches-du- Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur"
VI! l'arrêté préfectoral du 24 janvier 1951
portant interdiction des quêtes non autori-
sées .
Vu' la circulaire n° 489 du 22 .décembre
1951 de III. le Ministre de l' loté rieu r relative
aux appels â la générosité publ ique en 1952 ;
Vu la demande fo nnulée par le Comité
des Bouches-<!u-Rhône de l' Association Nationale des Fami.lles de Fusillés et Massacrés de )a Résistance à Ma rseille J 20, rue
Breteuil, à l 'effet d'o rganiser une journée
départementale au profit de ses œuvres
sociales ;
Consi<iérant que cet appel à la générosité
publique est 'limi t:ë au d~partement des
Bouches-<lu-Rhône et que les fonds recueillis
sont exclusivement affectés aux œuvres locales du grou.pement intéressé,
Arrête ;
Article premier. - A titre e >..~eptio nnel , Je
Com ité des Bouches-du- Rhône ae l'Associa tion Nationale des Familles des Fusillés et
Massacrés de la Résistance est autor isé à
organiser le dimanche 27 avril 1952, une
journée dépa r tementale dans les Bouchesdu-Rhône a'U profit de ses œuvres sociales.
Article 2. - MM. les Sous-Préfets à Ai l(
et à Arles, MM. les Maires du d épa rtement
sont chargés, chacun en ce qui le concerne,
de l'exécution du" présent arrèté dont ampliation sera adressée pour information à
M. le Directeur Dépa rtementa l des Services
de Police et à At le Commandant de Gendarmerie des Bouches-du-Rhône.
Fait à Marseille, le 15 avril 1952.
Le Préfet R. PAIRA.
------- <> oo <~ ----~_
D2~
F3
CIRCULAIRE MINISTERIELLE DU 21
MARS 1952 RELATIVE AUX TAXES
COMMUNALES DE DESINFECTION.
APPLICATION OU DECRET N · 52-17
OU 3 JANVIER 1952.
J'ai l' honneur de porter ci -dessous à la
connaissance de MM. les Maires du Département le tex te de la circulaire ministédelle
du 2.1 mars .1952 relati"e a't1x taxes Communales de dés infection.
Pour le Préfet et 'Par délégation,
Le Secrètoire Générat :
21 m a rs 1952.
Le Ministre de l'In térieur,
à MM. les Préfets (.Métropole)
Le décret n· 52-17 dw 3 jall\;er 1952 (J.O.
des 7 et 8 ja nvier) a modifié le décret du
10 juilÏet 1906 portant règlement d 'admi n istration publique sur des conditions d'orga nisation et de fooctionneme nt au se rvice de
désinfection.
Le maximum imposé pa r le d.é c ret du
10 juillet 1906 a ux taxes départementales e l
communales destinées à couvrir les dépen-
ses relatives à ce service dans les cas où la
désinfection est obligatoire, était, en effet,
devenu très insuffisant.
Un relèvement de ce taux s' imposai t donc
et il a paru possible. à cette occasion l d'a1lporter d'utÎ'les modifications au r égime antérieur tant en ce qui concerne l'assiette de l a
taxe que son mode de perception.
1. -
Assiette :
Le dê<:ret du 3 janvi-er mai ntient un r égime différent suivant qu'il s'agit de taxes
perçues à l'occasion des opérations de désinfection Ob'li gatoires ou facultatives.
Opérations obligatoires ;
Les taxes perçues à l'occasio n d'()péra-
A. -
tions obligatoires auront, désormais, une
base en relation p l us étroite avec le coùt de
la dési nfection : superfici~e, .nombre -d'heures
d'ouvrier ou nombre de pièces.
Ces divers -éléments simples à déterm iner
permettront, en o utre, aux agents chargés
de la dësi nfection de calculer, sur le champ,
le montant de la somme à !percevoir.
JI fau t entend re par su.perficie, l.a superficie de base seu lement et non la super:ticie
de base plus cell e des murs et plafonds.
Il n'a pas r-aru uhle de retenir le vo l ume
des pièces, car les d~penses des services de
désinfectio n c01nprmnent surtout des dépenses de personnel et de matériel automobile et la dési nfection de deux locaux de
superficie égale mais <ie hauteur différente
re vient appr-oximativement au même prix.
Enf"', il faut entend re par nombre d' heures d'o'Uvriers~ le nomb re dfheures ou de
f ractions d'heurres d'ouv ri ers.
B. -
Dpérat40 ns lacuf/alives :
Les Assemblées locales conservent, com me
par l e passé, toute l iberté, sam approbation
de l'alil10 ri té de tu telle, pour fi xe r J' assie tte
des taxes perçues à l'occasion <:les ~érations
de dés infecti o n fa,cuHatives.
Vous devez, toutefois, leur s;'gnal er les
avantages signal és pl us loin, qu'il y aura
dans un but de simpli,ficat io.n â asseoir ces
taxes Sur les 'mêmes él éments que les taxes
perçues pour les opératio ns ob ligato ires.
If. -
Taux;
Les ta xes de désinfection étant des taxes
de remboursement, il convien<i'fa dJ &ppeler
l' attention du Conseil Gén éral et des Coflseils
Municipaux sur la n.écessité de fixer autant
que possible des taux suffisants Dour permettre dr'assurer la co'Uverture des d06penses
du service. Ce princi,pe devra être appliqué
d'une manière très stricle 10rsqu' H s'a gira
d'opérations de désinfectio ns facultative:,.
A. -
TaUx maximum :
Le décret <lu 3 ja nvier a toutefois prévu
un taux maximum pour les taxes des opérations oOllg,alolres.
-
a) l or~uc les taxes pour opérat'
odJligatoires et facu ltatives seront a~ion~
sur les mêmes é l é.1nents, de la moi tié du ~œ
rif adQl(lté l'.a r le Co nsei l Géné ral ou :;
Conse,l l MUlllqpal po ur les opérations fa
cultahves ;
b) ~ans le <:as co ntraire, de 500 francs
par pIèce.
Les taxes pour opératio ns de désinfection
facultatives. ne so nt soum ises, 'Par Contre! à
aucun maXLmum.
B. -
Taux réduits:
1° L 'ar ticle 2 'o u décret diu 3 ja nvier lT1{).
difiant l' a r ticle. 26 du décret de 1906 pre.
VOit pour la desln fect lo n de ce rtai ns locaux
appelés à être fréquemment désin1ectës un
taux réduit égal à l a moi tié des t'aux
pour les opérations de dés infection obliga- toires,
Em outre, les rédudions de taux prevues
p ar le décret clu 10 juillet 1'9 06 restent applicalb les, c'est- à-dire q1ue :
2· Pour les oi>jets dont la d ési nfeclion esl
demandée indépendam ment de cell e des locaux, l a taxe ast réduite à la moitié de Ct
qu' elle eut été si l a d'ési nfection avait porté
également sur le ,I-oca'i ayant renfermé le!
dits objets ;
3° L es Assemb lées -l ocales peuvent prévoir
un t aux réd uit pour l a désinfection -des étab'lissements charitables ou scolai res;
4· La dési nfection est gratuite pauli ...
indigen t'S.
fixes
C. -
R ecouvrement :
En application de .Varticle 3 du .décret du
3 janvier, l es moda,l it.és de recouvrement se·
ro nt désormais d ifféren tes suivant que les
taxes pou r désinfections obligatoires et facultatives seront ou non assises sur les
mêmes élémen ts.
a) Dans le premier cas, le chef d 'éq'Uipe
char.gé , de lprocéder à l a désinfection peul
percevoi r SU!f le ch·amp le mont~nt. des !axes.
Il .doit. à cet effet, être conshtue régisseur
de recettes.
La régie de r ecettes insti tu ée pou r le recouvrement de ces taxes se ra orga nisée par
d·éliberation du Co.nseil Généra l ou du
Conseil Municipal. Cette d élibéra ti " n devra:
1° indiquer l e monlant du ca utionnement
que le Jlégisseur de recettes consti ~uera en
garantie de sa gestion ; cet agent P?ur,ra,
bi en entendu s'affilie r à une associatIOn
française d.e ~autionnement mutuel;
.
2° préciser que pou r tous les ertC,alsse·
ments qu Ï'I effectuera .Ie régisseur délivrera
-ct"" quittances extraites d'un regis tre à
<:he numéroté qu i lui se ra rem1S ,par le . rd~
sorier- Pa.yeur Général ou I)ar le receveur
l a comm une ;
. '
'mwn
3° fixer des délais dans la ltrolte ma:tl le
de JO jou rs, pour ' les versemen ts que dérég issettf devra faire au fomptabJe du
d ég&
partement ou de l a <:Offimune;
4° lI1diquer que les versements u rersese ur feront l' oDjet de bordereaux de ~ des
ment donnant le déta il et le. monta~ ucbe
produits encaissés et que le réglstr~ ~ue ver~
en COurs se ra présenté, lors de ~t ' a de SOli
sement, au comptable qui le reve l'ra
ri:
res payants, modifiés par le décret numéro
5 1.1 2 19 du 19 octobre 195 1 ;
Vu la ci rculaire d'appl ication n° 183 de
M. le Ministre de la Santé Publique et de la
P"pulation en date du 24 octob re 195 1 ;
Vu le décret du 15 juin 1948 su r d'orO"anisation de l'Admi nistr ation de l'Assista nce
Publique à Marseille et notamment son arti cle 161 alinéa 2 ;
Vu les propositi ons des Consei ls d'Administration de l'Assistance Publique et d u
Ce ntre Rég ional de Lutte contre le Ca ncer
de Marseille ;
PRI X DE JOU'RNEE lNDIGENTS
Le Dirtecfeur de l'Administration
Départementale et Communale :
DMŒLON .
Prix
Ser vices
de revient
gén éral
Prix
d e r ev ient
Prix
d t: j ourn ée
m.!dical
pr évisionn el
Vu les rapports de M. Il'Tn specte ur Principal de la PopUlation et de 1',Enlr'Aide Sociale en date des 29 ma rs et 4 avril 1952 .
Sur ~a propositio n de M. le Sec rét~ire
Gé néra l de la Préfectu re,
ARRETE
Ar.li~/e premier . - Les prix de journée
p~évls lonnels appl1cabl es dans l es divers établissements et senrîces hospital! jers dépen~
da nt de l'Administration de l'Assista nce Pu~Iiqu e à Marseille sant fixes com me sui t à
tItre provisoire, à compte r du 1er .w.ril
1952
PRIX DE JOURNEE PAYANTS
3- Catég, et
Ass, Soc. 2' Catég.
------- ~> oo c,,-------
1 0283
SC 7
1
2
3 (1 + 2)
Hospice
1.238
1117
1.355
VACATIONS DES SAPEURS POMPIERS
Médec in e ....
2.509
35 1
2.860
j'ai l' honneur d'informer N\essieurs Jes
Maires du Département que les vaca tions
pour intervention des sapeurs-pompiers ne
sont plus soumises aux abattements de ZO ne.
Cette meSure prenant effet à compter du
1er janvier 1952, MM. les Mai res so nt priés
de bien vo uloLr procéder à l'établissément
des etats complémentaires de vacat ions postérieu res à cette date.
Chirurgie . ,.,
2,388
702
3.090
E nfants d éficients
1.238
1.355
Aliénés
1.390
117
175
Pour le Préfet et pa r dé légat io n,
Taux majorés :
Les opérations ,de "désinfection talai.
effectuées ode I1ll it à la demande des intéressés <I.'o nnen t lieu à ·une redevamce supPwmentaire éga le à ' 50 % de la taxe,
III. -
5" indiquer que les registres à souche
épuisés seront déposés et co nservés dœns les
ariChives de la Trésoreri e Générale ou de la
Recette de la commune ;
6n rappeler que le régisseur agit pour Ile
compte et sous Ja responsarbilité du Trésorier-Payeur Général ou du Re<:eveur de la
commune Qui peut, à tout momen t, procéder
à la vérification. sur place de ses opérations.
Les Tréso rié.rs-Payeurs Généraux recevront incessammen.t de M. le Ministre des
finances toutes instructions uti1 es en 'V'ue de
l'OJiganisatio.n de r égies d~ .rece t~es pou r l a
perœption des taxes de désllnectlon'.
'b) M ilS le second cas, les taxes cfe désinfection continueron t à être p erçues, comme
par le Ilassé.
Le Secrétaire Général:
G uy LAMASSOURE.
--~. <C) O oc.))------
D3 B2
FS 7
ADMINISTRATION DE L' ASSISTANCE
PUBLIQUE A MARSEILLE
Prix de journée prév isionnels 1952
ARR.ETE
1.565
Préma turés. ... 2.000
2.000
Mères hébergées .... .. .
1.235
1.235
Centre Héli oMa rin JeanMa rtin .. ...
1.573
Ce ntre Anti Cancéreux.,. 2.345
(no n comprise
la majoration
propre au Cent re qui fait
l'obj et de Il 'a rticle 2 ci-après)
72
1.645
495
2.840
Le Préfet des Bouches-du-Rh ône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Yu la loi du 15 juillet 1893, sur l'Assistance Médicale Gratuite ;
Vu la Uo i du 14 juillet 1905 sur l'Assistance aux Vieil,lards, Infinnes et IncurabJes ;
Vu.la loi du 30 jui n 1838 su r les Aliénés ;
. Vu l 'o rdonnance d u 3 1 octobre 1945, relatIve a l'organ isatio n et au fonctionnemen t
<le la lutte cont r,e la tuberculose ;
Vu l'o rd onnance du 1cr octob re 1945 et
J'arrêté du 15 janvier 1947 sur les Cent res
';' Régionaux de Lutte co ntre Ile Ca ncer ;
Vu la co nven tion entre l' Admini stration de
l ' Assista nce Publi que et l e Centre Régional
de Lu t1e co ntre le Cance r de Marsei lle .
Vu llord onnance du 18 décelTIlbre 1944 dét~rm~nant à titre transitoire les règ les <ie
11):atlon des pri x de journée dans les hôpita ux et hospices publ ics .
Vu la ci rculaire m i llisté r ic~le du 29 de~embre 1944 prise pour l 'app licatio n ci e l'oronnance 'Précitée .
S Vu la ci ~cul aire 'd e M, l e Ministre de la
. anlt' Publique et de 'la Population ~II 29
-!~nvler 195 1, relative au calc ul du pri x de
J urnée des Centres Régio naux de Lutte
Contre le Ca ncer .
u
19r l' artiole 26 'd e la loi du 2 1 d écembre
17 1 et les artk les 22 et 34 d u d écret du
p ri xa';[ll ,1943 ,sur les rè gles de fi xa tion des
e J Ourn ~e des malades et pension nai-
Les pri x de journée ainsi fi xés comprennent toutes les dépenses, y compris celles
d'a nti biotiq ues.
Article 2. - Aux pri x: de journée fixés par
l'a r ticle précédent pour le Centre Régional
A llti-Ca ncér eux et rep.résentant la red evance d ue pa r le Ct!ntre à l'Administrati on de
l' Assi stance Publique à Marseille pour les
prestationsl dont i,J bénéficie, s'ajoute p~lIr
toutes les catégo ries de malades une maJOration jOllrnalière de 150 francs, représenta nt le Ip rix p·rop re au Centre Réglonal.
Ar/icle 3. --' Le présent arrêté sera soumis à l'approbatIO n de Nt le Mi~istre de
la Santé Publiqu e et de la Populahon, conformément aux textes en v igueur.
Toutefoi s, les prix de j ournée fixés pa.r
les ar ticl es précédents avec effet du 1er avnl
t 952 seront immédi atemen t applicables à
titre ,provisoi re j usqu'à l~inten' e ntio~ de d~
décision ministérielle qU I les entén nera a
tit re défi nitif.
Article 4, ......... Aux prix de journée fixés suivant les dispositions de l'a rtiol e l~r c.i-dessus s'ajoutent pOUf chaque categorre <..le
ma'Jades payants les hono raires médica ux,
chirur,gicaux et de spécialités calcul és Co nformément aux instructions ré~~lll, ml,nta ir,es
en vigueu r, telles qu'elles
Ser vices
J" Catég,
Majoration
Majorati on 40 % s. prix
P r ix égal 20 % sur de journée
au prix
les prix 3" catégorie
de j ourn ée de journée 50 % pour
indigents
3c ca tég. J'r~ospicc
HospÎces .... .
Medecine , ....
Chirurgie
Ellfants déficients
Ali énes ...... .
Prématurés ,.
Mères hébe rgées
Ce ntre Hé lioMarin JeanMartin
Centre AntiCancéreu x.
(non comp ri se
la majoration
propre au Centre, qui fa it
l'objet de ,l'a rlicle 2 Ci-ap rès)
1.355
2.860
3.090
1.626
3.432
3.708
2.032
4.004
4.326
1.432
1.729
3.408
3.976
1.355
1.565
2.000
1.235
1.645
2.840
cret du 17 avril 1943, dont les dispositions
ont été étendues Sur ce point aux Hôpitaux
de Marsei ll e, par l e décret du 19 février
1949.
Article 5. -- 1\1. le Secrétai re Géné ral de
la Préfectl.,.e, M. le Directeu r Général de
l 'Administrati on de l'Assistan ce Publique à
.I\'~a rse iLl e, M. le Trésor ier-Payeur Général
sont chargés, chacun en ce q ui le co nce rne,
de l'exécution du présen t arrêté.
Marseill e, le 19 avr il 1952.
P ou r le Préfet :
Le Secrélaie Général
LAMASSOURE.
-------<. 00<. '-------
03 B2
FS7
ARRETE PORTANT
DECLARATION
D'UTILITE PUBLIQUE EN VUE DE
L 'EXEMPTION DES DROITS D'ENREGISTREMENT_
Le Préfet des BOUChes-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu la délibération d u 27 mars 1952 par
le Conseil d'Administration de l'A!!,.
a décidé
de
�90
gue, pour t!tre utilisé comme hôpital de Contagieux ;
Vu l'a\'is favorable en date du 18 avril
1952 de la Commission Départementale de
contrOle des Opérations Immobilières ;
Vu, ensemble, la loi du 21 décembre 1941
sur les hôpitaux et hospices, le décret du
15 juin 1948 portant organisation de l'Administration de l'Assistance Publique, l'article 22 de la loi du 30 décembre 1928 et la
circulaire du Ministre des Finances du 4 mai
en date du 3 1 Mars 1952 et du Directeur des
Domaines en date du 17 Novembre 195 1 ;
ARRETE:
ARTICLE PREMIER. - L·article 8 de l'arrêté
susvisé du 24 Novembre 1927 modifié par les
arrêtés des 3 Septembre 19-13, 15 Septembre
Désignation des lieux d'extraction
19'>..9 ;
Considérant que l'acquisition projetée est
destinée à l'Assistance Hospitalière ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire Gé-
neral,
ARRETE:
Article Premier. - Est décla rée d·utilité
publique dans les conditions prévues par
l'article ?? de la loi du 30 décembre 1928,
en \'u e de l'exemption des droits d'enregistre-
ment, l'acquisition par l'Administratio n de
l'Assistance Publique de l'Hôpital Anglais,
sis chemin de la Madrague, pour être utilisé
comme hôpital de contagieux.
Article 2. - Le présent arrêté sera publié
et affiché à la Mairie de Marseille et inséré
au Recueil des Actes Administratifs.
Article 3. - MM. le Secrétaire Général de
la Préfecture, le Trésorier Payeur Général,
le Directeur de l'Enregistrement et des Domaines, le Directeur Général de {' Administration de l' Assistance Publique sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l'exécution
du présent arrêté.
Marseille, le 19 avril 1952.
-
De la limite Est du département d\,
Cap Croisette exclu ..... . ......... .
Du Cap Croisetle inclus au Cap ,Mé-
-
Du Cap Aléjean inclus au Canal Saint-
-
LouiS indus ... ·· ... - . ............ .
Du Canal Saint-Louis exclus à la limite
jean exclu ...... . ................ .
Ouest du tiëparteme nt ............. .
Le Secrétaire Général:
LAMASSOURE.
- - -<>ooc>- - - -
TVX 0
ARRETE DU 8 AVRIL 1952 PORTANT
REGLEMENT POUR L'EXTRACTION
SUR LE RIVAGE DE LA MER DANS
LE DEPARTEMENT DES BOUCHESDU-RHONE , DES SABLES, PiERRES
ET AUTRES MATIERES NON CON SIDEREES COMME AMENDEMENTS
MARINS.
ARRETE
Le Préfet du département des BOUGhesdu-Rhône,
Officier de la Legion d·Honneur,
Vu l'arrêté du 20 Octobre 1906 des ministres des rinances, de la Marine, de la Guerre,
des Tral'aux Publi<:s, des Postes et des Télég:raphes concernant les extractions sur le
rivage de la mer des sables, pierres et autres
matieres non consiùért:es comme amendements marins ;
Vu l'arrêté préfectoral du 24 Novembre
1927 portant r èglement Pour l'extracUon sur
le rivage ~~ la mer des sables, pierres et
autres maheres non considérées comme
amendements marins;
Vu les arrètés préfe<loraux des 3 Septembre 1943, .15 Septembre 1947, 8 Juillet 1948
et 14 Mal 1949, po rtant modification des
articles 8, 9 et 10 de l'a rrêté susvisé du 24
NOl'embre 1927 ;
Vu la loi n' 48-25 du 6 Janvier 1948, article 42 ;
Vu les
Chel
1947, 8 Juillet 194{; et 14 ,\Iai 1949, est r",,_
port avec les Directeurs de l a 12e Circonscription susnommés. ou avec mes Services :
4e Di\'ision, 3e Bureau.
placé par le t.exte ci-après :
« A~T . . S: L orsque l'e;..traction S
c assu Jettie a redevan.ce, le prix total à era
c: avant toute extraction sera fixé d'a P,ayer
« tarif suiva nt :
prl!s le
Le Préfet :
René PAIRA.
_______ C) 00 ()-------
AO
06 BI
COURS DES DENREES SERVANT DE
BASE AU CALCUL DES FERMAGES
Prh d u 1113 ode matériaux (sables fT 1 ou au tr es ma t ··
leres non co nsidérées ,co.""
amen-dements marins).
mme
ARRE.TE
Le Prèlet des B o uch es-du-~hône,
Officier de la Légion d' Honneur,
67 irancs
Vu ("ordo nn ance du 17 octobre 1945 rela-
180 francs
tive aU sta tut du' ferm age, rnod ifi"ée par les
67 francs
lois du 13 av ri,II.1946 et 31 décemb re 1946 ;
Vu l'avis €mis le 3 avri l 1952 par la Com-
45 francs
mission ConsuHative des Bau x Rurau x ;
Sur la 'proposition d u Secrétaire Général,
1° Les utilisateurs devront or ganiser à
leurs frais et aux abordS des secl'ions de
routes atteintes lpar les n3lpper-fumigènes une
signalisation
spécial e attirant nettement
l'attention des usagers (signau x lumineux,
pancartes très lisibles, etc ... ) de la route.
2" Les syndica ts de défense devront souscrire une police spéciale d'lssurances les
cou vra nt des risques résu ltant de l' otilisation
de ces nappes fu.migènes qui peuvent provoquer des accidents par suite de la mauvaise vis~bi l ité.
3~ Ava nt le début de l'émission d'es nappes
fumigènes, :e poste le pl us vois in de gendarmerie et fe poste de co mmandement Œe
la S.N.CF. (s'i l y a lieu) devro nt ètre 1'révenus téléphonique ment de l' heure .de r ém ission et des sectio ns ro utières ou ferrovi-aires
q ui seront atteintes par ces nappes.
Vous voud rez. bien me tenir informé des
mesures que vo us avez prises à ce sujet.
Pour le Préfet,
Arrête ;
ART. 2. -
-Le present arrêté modificatil
sera inséré dans le Recue.l des Actes A dministratifs de la Préfecture. Il entrera en
vigueur le 28 Avril 1952.
t\\. l'Ingénieur en Chef du Service !.Maritime
et M . le Directeur des Domaines sont oharges, chacun en ce qui le co~cern e d'en
assurer l'exécurion.
'
Fait à Marseille, le 8 Av ril 1952.
Pour le Préfet,
Le Secretaire Général délégué,
LMIASSOURE.
- - - - - -('00(>- - - - - -
Pour le Préfet,
05 BI
-
-
91
04 B3
EN 0
LOI BARANGE - ETABLlSSÉMENT DU
PLAN D'EQUIPEMENT SCOLAIRE
COMMUNAL.
Le Prefet ales Bouches-du-Rhône,
à MM. les Maires du Departement
(en communication à MAI. les Sous-Préfets
d'Aix-en-Provence et d'Arles)
Par circu.laire en date du 22 ~\\ars, insl!rée
aux Recueils des Actes Admi nistratifs et
Bulletins des .\1airies num éros 12 èI 13 des
20 et 27 _\1ars 1952, je vous ai fait part d'es
condi.t!ons dans lesqueaes était arppelce à
fonchonner la Caisse Départementale Scolaire, et donné toutes indications utiles en
vue de l'blaboration du programme d'éq uipement scolaire communal.
J'ai l'honneur de vo us faire connaître
qu'en. raison des difficultés ren contrées !par
c~rtalnes communes pour s'acquitter de cette
tache d\lns les ,delais impartis, j'ai décidé de
proroger jusqu 'au 1er Mai 1952 la date de
transmi sio,!1 primitivement fixée au ter Avril
des Cléhbérations et des devis de trava ux o~
a,chats retenus, d'accord en celii avec J\ \.
lourenc, president <i u Censeil Général.
Pour le Prélet et par délégation:
Le Secréraire Général: LAMASSOURE.
-------c>OOc>----___
04 B3
EN 0
CIRCULAIRE RAPPELANT LES PRINCIPALES DISPOSITIONS LEGISLATI_
VES APPLICABLES EN MATIERE OE
RECHERCHE ARCHEOLOGIQUE.
Marseille, le 10 avri l 1952.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à MM. les Sous-Prétets d'Aix et d' lrles
à MM. [es Maires,
1
latives applicables en matière de recherches
archéologiques et notamment que :
'
- Nul ne peut fouiller sans autorisation
réglementaire même sur une terrain lUI
apparrena nt ;
- La demande d'a uto ri sation doit ~tre
ad ress ée, suivant la nature des recherches,
soit à M. GAGN IEiRE, directeur cie
~a
f
Pommes de terres de consommation co urante, le quintal : 1.095 frs ;
12e
Foin de Crau, le quinta l : 825 frs ;
Foin ordin aire, le quintal: 650 fr ancs;
à M. F. BEN O IT, directeu r de la 12e Ci r-
Vin) le d' hl. : 290 fran os ;
co nsc ription des Antiquités Historiques, demeurant Château Borély, il Ma rseille.
Toute découverte fo rtuite intéressant la
préhistoi re, l'art, l'a rchéologie ou la numismatique doit être immédiatement déclarée
par l'inventeur ou le propriétaire au Maire
qui doit en saisir le Préfet sans délai. Le
propri étaire de 'l'immeuble dans lequel les
vestiges ont été découverrs est responsabte
de la consen 'ation des antiquités mises au
jour et le dépositair e des objets assume a
leur égard la même respo nsabi lité.
_ Le so r t des objets recueillis au cours
des foui lles méthodiques non subventionné~
'par l'Etat ou découverts fo rtuitement est df-
Laine, le kg. : 275 francs ;
Bœuf
~
Civi l édicte aussi :
« La propri été d'un trésor appa rlient;
« cel ui qui le trouve dans son propre fonds;
« si le ter rain est trou ve dans -le fo nds d'au:
« trui , il appartient pour moitié à c~l ~!
4: qui l'a découvert, et pour l'autre mOItie
« au propriétaire du fonds.
« Le trésor est toute chose cachée ou .en« .fouie su r laquelle personne ne ~eut JU!t« tifier sa propriété, et qui est decou\'erte
par le pur effet du hasard. »
11 conviendra de signaler aux directeurs
précités les fouilles qui auraient pu être e;trepr ises sans auto risation spéc.lale, et é~
m'informer des décoU\'ertes fortU ites port
à vot re con naissance.
Vous trouverez ci -après l'énumération ~~:
t~xtes essentiels concernant. la régl e~e~els
hon des fouilles archéologiques, au.«I caS
vous pourrez \'o us reporter utilement le
échéant :
_ Loi du 27 septembre 1941, va lidée par
l'o rdonnance du 13 sepleml1fe 1945 ,
_ Décret du 13 septemb re 1945 ;
- Arrêté du 19 novembre 1946
- Décret du 19 avril 1947.
1i
Pour
complémen a mettre en roP'
(poids vif),
2e qualit,é,
le kg.
143 franq; j
Huile d 'olive, le kg. : 290 franc s
Préfedure est chargé de l'exécution d u présent arrêté.
Marseille, le 5 av ril 1952.
Pour l e Pré.fet,
Le Secrétaire Général
ELECTIONS CONSULAIRES
Renouvellement partiel des T ribunaux
de Commerce en 1952 - Conteetion
des listes électorales.
Le Préfel des BOl/ches-dl/-Rhône
à IHM . les Maires du Département
(pour exéculion),
Mil'1. les Sous-préfets (polir informafion),
REFEfŒNCE. - Loi du 14 janvier 1933.
Son rectificatif du 19 mars 1936. - Loi
du 17 août 1950.
P. f. - Textes cités en réfé rence.
Co nformément aux dispositions ùe l'ar-
(I) Sous réserve de l'incidence des réf actions mo tivées par le décret n° 50- 1022 du
22 août 1950.
- - - « » 00 «»-- - -
AO
REGLEMENTATION DE L'UTILISATION DES NAPPES fUMIGENES EN
AGRICULTURE.
f)
CIA 0
ticle 1er de la loi du 17 août 1950 modifiant
les lois du 14 janvier 1933 et du 19 lévrier
G. LAMASSOURE.
D6 BI
- - -(;)0 0 «»- - -
04 B3
Marseille, le 29 mars 1952,
Fruits, le qui ntal : 3.875 francs.
Article 2. - Le Secrétaire Général de la
te rm iné par la loi. L'article 716 du Code
G. LM\ASSOURE.
devant servir de base au calcu l des fermages
sont fixes ainsi qu'i'i suit dans le Départe-
ment des Bouches-du-Rhône :
Ec/Mance semestrielle du 1er avril 1952 (1)
Blé, le quintal: 3.400 frs.
Circonscription des Antiquités préhistoriques.
demeurant, 49" rue Th iers, à Avignon, soi!
Le Secrétaire Général,
Les co urs des denrées
Article premier. -
Le Pretet des Bouches-du-101l6ne,
il "'LM. les A1aires du Département.
j'ai l'honneur d'attirer votre toute particulière attention sur la présente circulaire
relative a l'utilisation des nappes fum igènes
pour la .protection des cult ures co ntre les
gelées de printemps qui sera envisagée cette
année par de nombreux agrkulteurs isolés
et par des syndicats locaux de défense.
Depuis l'an dernier, la réglem entation qui
devait ~tre prise sur le plan natio nal n'est
c'est pourquoi VOliS serZI
pas encore parue
appelé à autori ser ces émissions de fumée
en vertu des PouvOIrs Municipaux que vous
Confère la loi du 5 Avri l 1884 et les texles
subséquents.
Vos arrêtés œevront prescrire toutes mesures que vous jugerez. utiles pour assurer la
séCUrité de la circulation, mais je vous rappelle un ce rt ai n nombre de précautions qui
èev ront ~tre prises il cet effet :
1908 sur les Elections Consul aires, les listes
des électeurs doivent être ad ressées tous
les ans du 1er au 20 av ril pour chaque commune, par le Maire et deux Conseillers Mu ·
'n icip3ux désignés par 4e Conseil.
Il y a donc lieu pour chaque N\airie de
procéder à la confection des listes des électeurs consulaires. Vous voud rez bien t roll,-er ci-joint une copie des articles 1 et 2 de
la loi du 14 janvier 1933, qui indiquent de
façon très précise la compositio n du colIi!ge electoral et une co pie de l'article 1er
de la loi du 17 ao"t 1950.
Denont seuls figurer sur les listes les
électeurs satisfaisànt actuellement a u ~ con<-litions exigées par la loi.
A cet effet, je vous signale que les électeurs commerçants doivent à la date du 1er
avril 1952 exercer leur profession depuis
cinq ans et être domici,liés dans le ressort
du Tribun al depuis cinq ans également, la
liste sera établie en prenant pour base le
Hegistre du Commerce pré,'u par la loi dlr
18 mars 1919.
Confor,mément aux dispositions l égales, il
apparti ent en cas de liti ge aux ju ridictio ns
compétentes de décider datlS chacun des cas
particuliers.
..
Les listes des électeurs cOtlsulalres dOivent
être établies en quatre exempfaires, du 1er
au 20 avril 1952 et f2tre adressées,
le
1~r mai
à M. le P
misSion vérifiant l'exactitude des listes élector ales consulaires, siégeant au Tribunal de
Commerce dans le resso rt duquel est si tuée
vot re co mmune.
j'ajoute que vous pourrez. vo us référer utilement pour l'accomplissement des formalités prescrites à mes deux ci rculaires du 5
avr jl 1 9-5 1~ dont l' une a été insérée aux nu-
méros 15 et 16 des 12 et 19 av ril 195 1 du
Recueil des Actes Administratifs et Bulletins
des Mairies.
Pour le Préfet,
par délégation,
Le Secrétaire Général:
LAMASSOURE.
- - -c>ooc»---
CIA 0
04 B3
ELECTIONS CONSULAIRES 1952 - CONFECTION DES LISTES ELECTORALES - APPLICATION DE LA LOI DU
17 AOU T 1950.
Ma rsei lle, le 8 avril 19521
Le Préfet des Bouches-dl/-Rhône
à MM. les Maires du D'partement
(pour exécution),
MA I. les SOl/s-Préfels (pour information),
RE.FER. : l~la ci rculai re du 29 mars 1952,
relative au renouvellement partiel des T ribunaux de Commerce.
Par circulaire citée en réfé rence, j'ai invit~
MM. les Maires il procéder, dans le délai fixé
par la loi n' 50.982 du 17 août 1950, à la
confect ion des l istes des électeurs consu lai~
res en vue d u renouvellement des Tribunaux
de Commerce.
Je crois devoir appeler de nouveau l'attention de Mi\l les Maires sur le fait que les
électeurs commerçants doivent, à la date du
1er avri l 1952, exercer leur profession depuis cinq ans au moins et ~tre domiciliés
dans le ressort du Tribunal depuis ci nq anS
~alement (c. f. article 1er de la loi du 14
janvier 1933 et article unique de la loi du
19 mars 1936).
Les instructions données l'a nnée précédente, auxquelles ,'ous pourrez vous rérérer, ont
traité des conditions d'inscription sur les Ilistes électorales consulaires des Entreprises
nationalisées et des Sociétés d'économie
mi xte.
La mise en l'i gueur dès 195 1 de la procédure de vérification de l'exactitude des listes
électorales co nsulaires, instituée par la loi
nO 50.982 du 17 aoùt 1950, a permis aux
Commissions compétentes de déceler un certain nombre de lacunes propres â gêner l a
mission que leu r a assignée le .Iégislateur.
Si, d'une manière générale, les Comm issions ont constaté que les listes électorales
consulaires étaient établies avec soin et
exactitude, elles n'en n'ont pas moins été
appelées fi formuler certaines remarques O~I
suggestions de nature à améliore r enCore l a
présentation de ces listes.
Dès cette année, il m'est apparu nécessaire, dans un hut de recherche d'une précision plus g rande, de teni r compte de~
constatations faites par les Comm issions et
qui peuvent se résumer ùans les propositions
suivantes :
1° Un ce rtain nombre d'~lecteu rs qui
sont inscrits et dont il n'a pas êt trouvé
trace d'immatriculation au Registre du Commerce appa rtiennent à la catégo rie artlsa-
�92
20
D'autre part, figu rent toujo urs su r les
listes, des électeurs qui n'exercent plus leur
~ommerce et qui se sont fait radier du ReiÏstre du Commerce j
3- Certains eIecteurs se trouvent insc rits
au Registre du Commerce postérieu rement à
leur inscription au rôle de la patente, notamRlent dans les cas de donations, de successions ou de (partages,
L'éno ncé dt$ constatations précédentes a
tléterminé les Commissions à fo rmule r les
, 'ŒUX suiva nts :
a) Indication sur la liste des electe urs
d u numero d'immatriculation au Registre du
Com merce de l'électeur consulaire ;
b) " Iention de sa date de naissance
uacte, l'indication de l'âge seulement ne
permettant pas toujours une identification
eer taine ;
c) Mention pour les Sociétes du nom,
de i'adresse, de la forme de celles-d, ai nsi
~ ue du nombre de personnes inscrites com.-Je êlecteurs consulaires ;
d) Communication par les Mairies au
Grelle du Tribunal de Commerce d'un état
complet des firmes patentées de\'ant être
obligatoirement inscrites au Registre d u
Commerce, afin de pouvoir vérifier si ces
dernières Ont rempli toutes les obligations
requises par la loi.
'
Au moment où allait être effectué l'envoi
d' instructions complémentaires relatives aux
IHspositions qui précède nt, pa r vint une circulai re de M. le Mi nist re de J' Ind ustrie et
du Commerce concernant l'applicatio n de
la loi du 17 août 1950 sur les élections
consulaires,
Les précisions apportées pou r répond re à
des demandes d'expl ications devront permettre d'é'viter certaines erreurs commises
tians le passé et de simplifier la tâche dévolue aux Commissions de révision des listes
électorales consulaires,
Le rô:le de la Commission est précisé désormais et ne consiste ra plus seulement à
consta te r les inexactitudes relevées dans les
listes et à les signaler aux Maires intéressés, mais à rectifier les erreurs sans qu'il
wit nécessaire de recou rir à une procédure
judiciaire.
Les listes ainsi rectifiées seront communiquées en temps utile par mes soins à MM.
les Maires. à qtri elles serviron.t de base
pou r l'etablissement des listes électorales de
l'année suivante.
Pour l'immédiat et afin de répondre au
vœu de certaines Commissions, il conviend rait de faire figurer sur les listes pour chaque électeur le numéro d'i nscription au Registre du Commerce, ainsi que le numéro de
la olasse et la designati.on du tableau de la
co nt r ibution des patentes à laquelle il est
inscrit.
•
Il n'y aurait que des avantages à ce que le
libellé des listes électorales lasse état, dans
fa mesure du possible et dès cette année,
tl e ces renseignements qui permettront de
faciliter le travail des Commissions, surtout
J'O ur ,l 'établissement 'des listes par categories professio nnelles.
Il est à craind re que beaucoup de Mai ries
ne soient pas cependant en mesure de fournÎr ces indications qui, pa r co nt re, po urraient leu r être do nnées par les Cham bres
de Comme rce ; ces Compagni es o nt, en
effet, été changées pa r M. le Min ist re de
l'Industrie et du Commerce d'établi r le fi c11ie r
consulaire de leurs ressor tissa nts et ta plup art ont d ressé un dassement géogra ph ique
fiches. MM. les Maires pourrai ent
s'adresse r util eme nt à eJ·les po ur l'etab lissement de leurs listes e.Iec torales.
j'a i dema ndé à M. le Presid en t de la
Chamb re de Comme rce de Ma rseille et à
M. le P resident de la Chambre de Comm erce d'Arles de vouloi r bie n prèter aux Mai res
qui en form ul era ie nt la dema nde, to ute l'aide
dési rab le et (leu r fo urni r to us renseignements propres à facilite r l' accompl issement
de le ur miss ion.
J'engage très vivement MM. les Ma ires à
te nir compte, lo rs de (' établissement des
listes électo rales co ns ul ai res a uq uel ils procèdent act uell ement des rema rq ues et s uggest io ns ci-dess us et à s'adresser a ux,
Chambres de Commerce intéressées dans Je
cadre des inst ructio ns donn ées, si cel'a est
nécessaire, Leur tâ~ he et le co nt rô le ulté ri eu r
des listes s'en t ro uvero nt fac il ités ta ndis
que le recensement des électeurs consula ires tend ra vers une pl us g ra nde exacti tude.
Il devra m'être rendu compte sous le t imbre 4e Division, Je Bu reau, des difficultés
rencontrees dans l'application des dispositions de la présente ci rcul ai re qui, conjointement avec celle du 29 ma rs et J'a ci rculai re
ministériell e sera publiée t rès prOChainement
au Bulletin des Mairies et Recuei l des Actes
Administratifs.
Pour le P réfet,
. pa r délégati o n,
Le Secrétaire Général
LAlMASSOURE.
-------c > ~oc » -------
CIA 0
0483
ELECT IONS CON S ULAIRES
Circulaire minis t é rielle re la tive à l' a pplica tion d e la toi du 17 Août 1950 s ur
les é lectio n s con s ulaires.
Paris, le 26 mars 1952.
Le Ministre de l'Industrie et du Commerce
à MM. les Prétets,
'
La révision des listes électo rales consulaires faite en application de la loi du
17 août 1950 sur les eleètions consulaires a
provoqué de la part de certaines P.rélectures
et Mai ries des dema ndes d'elOplieation portant pri ncipaJement sur :
- la designation des membres des Commissions inst ituées pour la vérif i-cation de ces
listes ;
- Je rôle de ces Commissions j
- la rédaction des listes electorales
- le lieu de dépôt des listes.
La présente circulaire a po ur objet de répondre aux questions !pOsées Sur ces différents points.
1 Désignation des membres des Commissions.
0
La loi du 17 août 1950 n' a déterminé aucune procédure pour la d;'sigootion et la
convocation des membres de la Commission
de révision des listes,
Vous de meurez donc libres d'adopter cell e
que vous jugerez Ja pl us opportune dans
votre départeme nt. j'estime cependa nt q ue
l'intervention d' un a r rête "rélecto",1 est préférable dans ce cas d'espèce à une simple
lettre d'inlo rm atio n.
'
ROLE DE,LA COMM ISS ION
DE VERIFICATJON DES LISTES
La question s'est posée de savoi r si cette
Commission. d'Oit s~ borner à constater les
inexactitlldes relevées dans les listes et à les
-
93
s i gnal~ r o u si ell e a le pouvoi r d
elJ~-meme aux rec ti ficatio ns J' u {J~ procéder
sai res.
oees néces_
j'esti me d'a",o rd avec M le G
Sceau~, " Ii nist re de Ja ju~tice a~e ~..s
préclsement le rôle essentiel de'
ecce"
mi ssIO n <le r ectiJie r les e rreu rs e , e Omêt:e commi ses dans les Ma iries 10;'~1 d~~! ' pu
b lt~eme n t des listes en OnP ra nt ell
,e1aso't 1
d ' t'
t''es-nlemes
,1
.a ra, la,.lo n ~e~ perso nnes imilÛ ment '
cn,te:s, SOit llOsc n ptlo n -des 'Pe rso nnes Om i~ns
SOI t. enco re I ~ u r reclasseme nt dans la c ~s,
gone I pr~fes~onlle1ll e à !laq uelle {!IIJes doi a éa ppa rt,e ntr et sans q u' il soit n6cessai reve~:
recou nr à. une p rocéd ure j udic.ia ire . le ï
d~ ~'au tO rtté a<iministrat,iv~ reste en ' erfe:-O/i:
mi te, . c?mm e d a n~ la ICiJs lat ion anterieure
a ll .d.-pot de la liste géné ra le au greffe d~
Tnbunal de Com~e rce et des listes spéciales
a u greffe , des Jus tices de pailX intéressêes
Cc d~Ol t rec,on nu à la Commission l'ai~e
comme Il co nVient, subsiste r la faculté pou'
to ut a)'ant-droit d'a ttaquer devan t le juge d~
pal,x, l e~ <d~ISIO Il S de la Commissio n qu'il
~hm e.r ~t Irrégu lières, conformément aux
d lsposlllons de l'arficle 3 de la loi d
14 janvier 1933.
'
u
, Il Y ~ ura i t i n t~ rêt to utefois à ce que les
Its!es alOsi rect iJiées p-ar ~es Corruniss:ons
SOIe1!t co.mmu niquées !par vos soi ns auoc Mair~ a qU I eHes se rviro nt de base pOllr l'établisse ment des listes électorales de l'année
sUlNa nte.
Ce~te procédure au ra l'avantage d'évite r
ce rtalOe,s el1reu rs co nstatées dans le passé et,
co rrélat iveme nt, de s impli fier po ur l'aven ir la
tâc he dévo lue a ux Commissio ns.
ci,
RElDAClïON
DES LISTES ELECTORAlLES
Certai~es Commissions ont dem a nd é
j'estime que le g re lle de chaq ue T rib unal
doit recevoir la lis te généra le des élec teurs
de SM. resso rt terri to ri a l.
Il est bien entendu q ue ces diverses in terpréta tions du texte de la loi d u 17 aoû t 1950
so nt donn ées so us réserve de l'app réciation
souvera ine des tri!b unalU.x en cas d.e contestat ion,
Vo us voudrez bie n por ter ces obse rvatio ns
à la conna issal1'Ce des Commissio ns ins ti t uées
dans votre dépa rtement co nf ormém ent aux
di"l'osi t io ns de la l oi du 17 ao ût 1950.
,Le Ministre de l'Jn'd ust rie et d u Comm e rce
p a r a ut'p risa tion,
Le Directeur du Commerce In térieur :
SIgné: E. ARR IG HI de CASA.NOVA.
06 B3
CIA 4
DECRET OU 15 NOVEMBRE 195 1 PORTANT RELEVEMENT DU TAUX DES
ftiLLOCATlONS DE CHOMAGE.
Le . Préfet des Bouches-du-Rhône rappene
il lv\;l\'1'. les Mai res q ue le Decr,et d'u 12 Mars
195 1 a lixé les ronditions d'att ribution des
all ocatio ns de chômage et q ue le Déc ret d u
14 Novembre 195 1 a po rté celèvement d u
taux des allocatio ns d~ chômage.
En co nsequence, le taux dies a ll oca tio ns
de ohômage es t fixé ainsi qu ' il s uit, à dater
du 15 Novembre 195 1 :
A. -- CHOMlEURS SBCOUIRUS PENDANT UN AN AU !MAX IMUM
Désignation des parties prenantes
A'ilocatio n printipale :
Chels de ménage .....
Majoratio n s uppléme ntaire:
Conjoi nt ohôm eu r ou no n travai ll eur ou
perso nne à e-harge v'i sée 'à l'alticie 27
du pré,ent arrêté ............... .
Enfa nts de 10 à. 15 ans n'ou vran t h>as 'droit
au bénéfice des aHocations ,fami lia les et
de salai re uniq ue. , . ,. " " , ,
Comrnunes
<le + de
15.000
habitants
Communes
de
d"
5.000
/habitants
Autres
Com munes
225
200
155
100
90
75
50
45
+
37,50
TEXTES D'llTEBET GElEBHL
AC 2
02 B I
CIRCULAIRE MINISTERIELLE RELATIVE AUX INDE MNITES POUR fRAIS
DE DEMEN AGEMENT E T POUR
CHANGEMENT DE RESIDENCE.
Pa ri s, le 7 avril 1952.
Le Secrétaire d'Etat au Budget,
d MM. les Ministres et Secrétaires d'Elat,
OBIET : Indemnités pour trais de déménagement et poor changement de résidJenc~.
RE FER E NeE : CirCUlaires Finances
n' 68 B/ 5 du 7 juin 1946, n" 121 -24 B/ 5 du
17 décembre 1947 et n' 9-5 B/5 du 1er février \95 1.
Par ci rc ulaire du 1er février 1951, citée e.
réfé rence, le -Dépa r tement avait prorogé jusqu 'au 3 1 décembre 1951 l'effet de la decisio l
prise pa r l'un de mes prédécesseurs, autorisant les agents mutés avec avancement il
recevo ir, dans les mêmes conditions que
Jeurs cotlègues mutés dans finté rèt d u service, les indemnit 's pour .démênagement et
cha ngement de résideoce prévues au titre 11
du décr;,t du 4 octobre 1945 modifi é.
J' ai décidé de reconduir~ à nouveau cette
mesure jusqu'à no uveH ordre.
La quotitoé des frais laissés à b charge de
ragen t demeurera fixée à 20 %,
Signe: jEAlN-MORE.AU.
-------c>ooc>-------
que
6u,r les.. listes électorales qui leur so nt so umises 11gurent pour chaque électe ur le num.é f(~ d'jnooription au Registre du Commerce
alOSl q ue le numéro de la classe et la désignation du tableau de la contribution des
pa te ntes à laquell e il est inscrit.
, Je ne voi~ que des .avantages à ce que le
libell e des 'l Istes " lectorales fasse eta t de ces
re nseigneme nts q ui. ,permettront de faciliter
le travail des Commissiolls surtout pour
l'étahlissement des listes par' catégories profession n elles, et je VOUIS laisse le so in de
prendlre to utes disP9sitions utiles il ce sujet,
Il est à craind're que beaucoup de Ma iries
ne soient pas cependant en mesure de fourIl ir ces indicatio ns qui , par contre, pourraient Jeur être donnees par les Chamb res
de Commerce j -ces Compagnies ont, en effet_
été chargées par mo n Département d'etablir
le f ichier consulaire de leurs ressortissants
et la p lupart ont dresse un a1assement géograph iq ue de leurs fi'ches, Les Mairies ~ur
raient s'adresser utnIement à elles poor l'etablissement de leurs listes électorales.
Je su is tout disposé à inviter les Compagnies consu laires à fac il iter leur travail sur
ce point.
LI EU DE OEP.o'f DES LISTES
Ce rtai ns d'entre vous ont demandé si~ dans
les ci rco nsc ri ptions d e Ohambres de Commerce comprenant un T.r ibunaJ de Comme:ce ct
un Trib un al Cl.vi l ju geant au comme rclaJ, le
dépô t de la liste généra le des électeurs
cons ula ires prévu par Il'arficie 4 d'e l,a I~
du 14 J'anvie r 1933 crevait être effec tue. aux
ce
g re ffes de chacLUk de ces trrb'unaux ou a lui d u Tribunal de Commerce seulement.
B, -
Les ohômeurs secou ru s depuis rplus
d'u n an su'biro nt un abatteme nt de 20 %
Sur le mo ntant de leurs alJocations, cet
abattement de 20 % étant augmenté de
10 % par année 'de secours.
Cette rérludio n continuera il s'appliquer
tant que l'f: chômeur n'a ura pas ooc upé, à
nouveau, un emploi lPe ndla.nt plus de deu x
mois. Dans le cas où la périod'e de travail
serait in,fé ri eure à deux mois, la durée de
secours il pre ndre en considératio n ,pour le
c~lcul des ab~ttements se trouvera prolon gée
d une durée ega ie au temps de trav ai l.
Par exemple : Si une 'Personne sero u rue
depuis 4 mois occupe un emploi pendant
1 mois 1/ 2, ell e pourra être secourue, à
nou vea u, pem:Jlant 9 moi s 1/ 2 au ta ux complet avant <le subir l'abattement de 20 %.
D'autre :part, le barème des ressources a
été établi, ainsi qu 'il suit, à dater du 1er
Mars 1952.
BAR8MEi DES -RESSOURCES
L'allocation de chômage, jointe a ux autres
r,essources de toute nature du ohô meur et
de son co njoi nt, des ascendlants et des descendants vivant sous so n toit, ne peut
dépasser, à compter du ter Ma rs 1~52, les
ma x)ma fixés par le barême ci-après :
=
Désignation des pa rties prenantes
,Chomellr isolé ............... .. ' ..
!Ménage sans .entant , . , . , , , ... , . , , , ... , ,
A~gmentaÏ'io n iflour ohacune des personnes
a Charge o u pou r chacu n des enfa:nts,
autres que cCUx ouvra nt Kiroit a ux allocatio ns fam iliaJes et rle salai re unique "
A.Ugmentation pour ohacun des enfants
ouvrant droit a u bénéfi.ce des a ll ocations
familiales et de salaire un iq ue ." , .. "
dt
j Oi ~~ser
ar ailleurs, la limite que /fIe pelllvent
les allocations.de ohô ma ge co mple1
chO aux autres ressources <lu ménage 'Cirun
meur quel ue soit le nombre de per-
Communes
de + de
15.000
'habita nts
Communes
de + de
5.000
,hailitants
Autres
Communes
405
360
297
73 1,25
652,50
540
02 B2
AC 3
OCRET N' 52-409 DU 14 AVRIL 1952
PORTANT RELEVEMENT DU SALAIRE LIMITE PREVU POUR LE
CALCUL DES COTISATIONS DE
SECURITE SOCIALE.
MINIIST,ERE DU llRAVAIL
ET DE LA SECU,RITE SOCIALE
Décret n' 52-409 du 14 avril 1952 portant
relèvem ent du salaire {.imite prévu pour le
calcul des cotisations de sécurite sQcLale.
Le Pf1esKient du Conseil des min istres,
Sur le rapport du N1inistre du Travail et
de la Sécurité Sociale ;
Vu I~ ordonnan<:e nO 45-2250 du 4 octobre
1945 portant o rga ni sation de la Sécu rite,.,.
ci ale, notamment l'article 3 1 ;
Vu le decret n' 46·1378 du S juin 1946
mooili é portant règlement d>administration
publique po-ur Jr'application de l'ordonnance
susvisée, nota mment les ar ticles 147 et J48;
Vu la loi des fina nces pour J'exercice 1952
n' 52-40 1 du 14 avril 1952 ;
Dec rète :
175
157,50
67,50
60
13 1,25
49,50
pouvant ptre éventuellement augmenté de la
ma joration par enfant il charge) a eté lixe 11 :
37.000 Irs. pour les villes de plus d" 15.000 n.
32.000 Irs, pour les villes de 15.000 à 5.000 Il.
ArUe//! premier,
Les chiffres fixés par
l'article 147 <lu décret du 8 juin 1946 portan t règle ment d'ad ministration publique
pour 4'applieation de l'ordonna nce n° 45-2250
d~ 4 octobre 1945 sont respectivement m,o..
diHés comme suit:
114.000 frs si le sala ire est réglé par trimestre;
38,080 frs si Je salaire est réglé par mois;
19,000. frs si le salaire est réglé par deIlÛ-o
mOlS;
17.540 Irs si le salaire est régie to utes les
�-
94
12.670 Irs si le salaire est regle .p~ decade ;
8.770 Irs s. le salaire est regle par semaine;
..
,
1.750 lrs si le salalTe est regle. par Jour .;
S80 lrs si le salaire est régie par dermjournée de travail ne dépassant pas
cinq Jleu ces ;
.
.
220 Irs si le salalTe est reglé pour une
durée de travail inlérieure à cinq heures.
Affide 2. - Les rémunérations par . jour
ouvrable, par mois gu par trimestre, prevues
par l'arti'Cie 148 du decret susvisé, sont portées respectivement à 1.750 Irs, 38.000 frs
et 114.000 Irancs.
Ar/icie 3. - Le lIÙnistre du T ravai! et de
la Sécurité sociale est chargé de l'execu1:iOJ!
du présent décret, qui sera publié au fourMI
Officiel de La République Française et aura
effet il compter du 1er avril 1952.
Fait à Paris, Je 14 avril 1952.
Antoine PINAY.
Par le Président du Conseil des Ministres,
le Ministre du Travait
et de la Securité sociale
Pierre GARET.
•
Communiqués - A vis
An nonces diverses
04 B2
D ONS ET LEGS
Avis ~lii nl t!xicuf io n de l'artiole 3 d14 déVd d", IN' fit;,.i.er 1896, dans Û! bul d'inviter
\es hif'iti.er.s inconnus des testateurs li prmd,-e
~fWJisso" ce du testamefl t, en t11l.L' de donner
l~r C-OftStfttL'menl 0" de prodwi,.e leurs mOyen.r
d'opposition.
Lu rc:cl'Hnotioll>$ tle sonl reC'Ct.'Obles que don J
,m dtJ~i rk trois " tOi.! à porll1' de "ulSution
QIW « Bulletin .J.
P"r testament authentique du 5 mars 1952
déposé aUx minutes de M' Felix SEGUIN,
notaire à AubagnE; feu M. Valnüre l5<1ac
ENIPART a institué l' Hôpital-H osp.ce d' Aubagne so n légataire universel, a cha rgé pour
cet établissement de donner les obJelB mobiliers appartenant au défunt à deux personnes désignées dans le testamenl
Conformément a ux dispositions d u déc ret
du 1er février 1896, les héritiers conn us ou
inconnus de M. Valmire EMPART sont
invités à prendre connaissance du testament,
donner leur consentement à son exécution ou
produire leurs moyens d'opposit.ion dans un
délai de trois mois à dater du Jour du pré-
sent avis.
Marseille, le 9 avril 1952.
:.
Par testament olographe non daté déposé
aux minutes de MO MAlLAUZAT, notaire il
Marseille, 59, rue Paradis, feu j ean-Baptiste
ROCCA a legué une somme .éga'(e à 2 % de
l' ensemble de ses biens il partager entre
diverses œuvres qui seront déterminées patr
la veuve et I.e fils aîné du défunt.
Conformément aux dispositions d u déc rel
du 1er février 1896, les héritiers connus ou
inconnus de M. jean-Saptiste ROCCA sont
invités à prendre connaissance du test~en t,
donner leur consentement à son exécutIOn ou
produire leurs moyens d'opposition dans un
délai de trois mois à dater du jour du ,pré-
sent avis.
02 B 3
ADJUDICATIONS P UBLIQUES
ET APPE L D 'OFFRES
SERVICE D ES SUBSIST ANCES
MILITAIRES
SECRETARII'\ T AUX FORCES AR,\tEES
« GUERRE >
9me Région Milit aire - Rlace de Marseille
10' Ana ••. -
N" 18 el 19
Recueil de·s Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
INTBNDANCE IM IUTA.JRE
DES SUBSIST ANCES
Caser ne Audéoud - Promenad'e de la Corniche
A'DjUDICAT!iONS PUBUQUES
RESTREINTES
Le Mercredi s!\pt Mai 1952.
10 Suue raffiné 200 x/ m, à 9 heures 30.
Sucre cristallisé, 1.000 x/ m, il 9 h. JO.
Date dépôt intention soumissionner et
dépôt <le pièces le 25 Avril 1952, dernier
délai.
2° Légumes secs sur présentation d'échantillons :
a) Iha ricots blancs, 600 x/ m, il 10 heures·
b) lentilles, 600 x/ m, à 10 heures.
Date de dépôt tI'échantillo ns, d' intention
de so umissionner et de pièces, le 25 Avril
1952, de rn ier dé la i.
Aif'flEL D' OFFRES
Fourrages: 2.000 x/ m <le foin.
Dépôt de soumissionner pour Je 30 Avril
1952, dernier délai.
renseignements
F RAN (;AISE
DËPARTEMENT DES BOUCHE.S-DU-RHONE
REPUBLIQUE FRANÇAI SE
Pour tous
RÉPU BLIQUE
1" el 8 Mai 1952
s'adresser à
l' intend'ance sus-visée.
Tou te correspo n dance relative a u Recueil doi' êt r e adressée à la Pré fecture Secr étaria t
Général
A.BRÉVIA.TI O N S
Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
A. P . : Arr êté p réfectoral. - C. : Circ ula ire D. S. T. : Di rectio n des Services TeChnique". - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. mentale de la Populatio n.
-
D. D. P. : DIrection départe-
SOMMA.IR. E
Arrêtés réglemen taires et Circulaires
Palles
Pages
AG O. -
Instances engagées contre les
communes. Production des mémoi res par les co ll ectiv ~té s locales
dans les délais fixés . . .. . . .... . . ..
.AG O. - Arrêté en date du 25 avril
1952 portant nomination de Monsieur DAUMAS Pierre en qu a lité de
sec rétaire g reffier adjoint du Conseil
de Préfecture Interdépartemental de
Ma rseille .. .
. .. ....
AG 7. - Loi n° 52.415 du 18 avri l
95
1
95
1952 étendant le bénéfi ce de la dispense des obli gations du Service militaire acti f a ux jeunes gens dont
deu x proches parents sont c morts
pour la France » . .
P 8. - Contrôle de la situatio n des
étrangers a u point de vue professionnel o u éco nomique
. . .. ..... .
FO. - Ind emnités communales au x
Greffiers des justices de Paix pour
le sec rétariat du Mini stè re Pu blic..
F 2. - Registres de l' Etat-Civil. Hembo ursem ent pa r l' Etat des fra is
96
96
96
Palles
de reliure et de confectio n des registres d'etat-civi l (a nn ée 195 1) ....
EN 1. - Aohat de materiel scolai re. .
FS 7. - Hôpitau x pu blics. - Ci rculaire ministérielle nU 44 du 29 fév rier
1952, relati ve à la mise en recouvrement des produits hosp ita liers . .
FS 7. - Se rvice des J-1 ôp'ta ux. - Instru ction mini sté rielle du 15 av ril 1952
rel at ive il la mise en reco uvrement
des produi ts hos pita li ers . ..
CIA O. Auto ri sati o ns d'ùab lir et
d'expl oite r des d épôts ù'explosifs..
95
95
96
99
99
Marseille, le I l avril 1952.
ARRÊT ÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D582
AG 0
INSTANCES ENGAGEES CONTRE
LES COMMUNES
,
Production d es mémoires par les
collectivités locales dans les délais fixés
Marsei lle, Je 21 avril 1952.
Le Préfet des Bou ches-du,!?h ône,
ci MM . les Maires du D épart ement,
Copie certifiée confonne :
Pou r le Préfet :
Le S ecrétaire Général
LAMASSOURE.
Par circulaire n ° 142, en da te du 3 1 ma rs
1952, M. le Ministre de l' Inté rieur m'a fa it
connaît re que SO n a tt entio n ava it été appelée à plusieurs rep ri ses et avec ins istance,
sur la durée des insta nces engagées deva nt
les juridicti o ns ad min ist ra tives, et notam·
ment en mati ère de reco urs rela ti fs a ux
marchés de Tra vaux Pu blics.
Ces lenteurs sont dues, en pa rti e, a ux rerds apportés par les collectivités loca les il
a producti on de leurs mémoires malg ré les
~~pel~ adressés pa r les Pr'és idents de
\,..{Jnselis de Préfecture .
exil ne vous échappera pas qu e les lenteurs
(1 agérées de la procédure en cente mati ère
d~ 1n sta~c es se pro longeant parfois pen·
c t plUSieurs a nnées) o nt des co nséq ucn·
es particulièreme nt fâcheuses.
\'e/l~ vous dem a nde donc cie bien vo ul oir
er perSOnnellement à cc que les mémoivos. services sont invités il produire
i·
-
co mmun es, nota mm ent en matiè re de ma rchés de trava ux publ ics, so ient produi ts da ns
les délais fixés.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général
LAM ASSOUHE.
- - - c:. ooc :.- - -
05 B3
AG 0
ARRETE EN DATE DU 26 AVRIL 1952
PORTANT NOMINATION OE M,
DAUMAS PIERRE EN QUALITE DE
SECRETAIRE GREFFIER ADJOINT
DU
CONSEIL OE PREFECTURE
INTERDEPARTEMENTAL DE MARSEILLE.
ARRETE
Le Pro!!et des Bou ches-du-Rhône,
Officier de ta Légion d' Honneur,
Vu la toi du 19 octobre 1945 po rta nt s tatut génera l <..l es Fo nctio nn ai res ;
Vu le decret n" 49-869 du 4 juill et 1949
po rta nt réo rga nisatio n de c~nta in s adres
d'age nts des Senrices de Prélect ures
Vu le décret n' 49-870 dl! 4 jui ll et 1949
po rta nt règlement d'.adn~ i ni stra ti o n publiqu.e
relatif au statut pa rt ic ulier des Chefs de DIvision et Attachés de Préfecture et, nota mment, so n a rtic le 2 ;
Vu le décret du 5
créa ti o n de Co nseils de P refectu re In te rdé.
pa r teme nta ux et, notamm ent, son a r ticJe 6 ;
Vu le déc ret du 25 septe mbre 1925 Conce rn ant l'a pplicatio n du déc ret du 6 sep tem ..
bre 1926 et, no ta mm ent, so n a r ticle 22 ;
Vu le déc ret du 23 fev ri er 1928 re l.tii à
l'orga ni satio n des Secreta ri ats-greffes et Secreta riats- g reff es-adj oi nts des Co nsei ls de
Préfecture Interd é.pa rtemen ta ux et, no tamment, so n a rti ole 2 ;
Vu le déc ret d u 23 février 1929 relatif
au fo nctio nn ement des Co nsei ls de P réfecture Inte rdépa rte mentau x et. not a mment,
son a rt k le 1er ;
Vu les propositions de J\l. le President
d u Co nseil de Pn, fecture Inte rd épartementa l
en date d u 22 av ril 1952 i
Co nsidé ra nt que l'impo rta nce du C.P.1. <..le
Ma rseille justifie la nominat io n d'un Secrétai re-g reffie r-adjoint pour nssister le Secrétai re-greffier du Co nseil de PnHectu re inte rdépa rtemental de j\'\a rseille et le supplée r
en cas d'empêchemen t ;
Su r la propositio n de M. le Secrétai re
Gé nér. 1 des Bo uches-d u-Rhône,
Arrête :
Article premier. j\\, Daumas Pie rre,
Attaché de Préfect ure, est nomm é Secrétai re-g reffier-adjomt d u Conseil de Préfecde . Ma rseille.
�96
Conseil de Prëfooture Interdepartemental de
!\\arseille sont charges, chacun en ce qui le
concerne, de l'exec ution du prêsent arrêté.
Marseille, le
~6
al'ril 1952.
L e Préiet.
R. PAl RA.
-------<.00 ••.-------
AG 7
D5 B2
LOI N " 52..!15 DU 18 AVRIL 1952 ETENDANT LE BENEFICE DE LA DISPENSE DES OBLIGATIONS DU
SERVICE MILITAIRE ACTIF AUX
JEUNES GENS DONT DEUX PROCHES PARENTS SONT « MORTS
POUR LA FRANCE • .
L'Assemblee :-\ationale et le Conseil de la
Republique ont délibéré,
L'Assem blee "'ationale a adopte,
Le Président de la Republique promulgue
point
n° 5O-14ï du
30 nO\"embre 1950 portant â. dix·huit mois
la dun:t: du sen;ce militaire actif et modifiant certaines dispositions de la loi du
3 1 mars 1928,
relati\"e au recru tement de
!'armee, est modifié ainsi qu'il suit :
c D'autre part, les jeunes gens dont deux
frères. sœurs ou ascendants du premier de-
grê sont
morts pour la France. sont dis~ns~s de leurs obligations de sen"ice militaire aClif
La pr~ente loi sera exécutée comme loi
de l'Etar.
Fait à ,\Iuret, le 1 a\Til 1952.
VINCENT AURIOL.
Par le Président de la Republique :
Antoine PINAY.
Le ;\\inistre de la Défense Xationale
R. PLEVEN.
Le .\\inistre de la Défense Nationale
,\\inistre des Anciens Combattants'
et rü:tlmes de l a Guerre par I ntérim :
-------<
00
Al on attention a été atti r ée sur le fait q ue
ce r tai ns Conseils Municipaux all ouaient une
Indemnité aux g reffier s des justices de paix
pour le secr éta ri at du Ministère Public.
l'ai l'honneu r de rappele r à ~IM. les Maires du Département que, conforméme nt aux
instructions en vigueu r en la matière, rappel~es par M. le Ministre de l'Intêrieur, les
dépenses du Ministère Public pr ès les tribunaux de simple police ne doivent pas
incomber aux communes.
Dans ces conditions, les délibér ations prises dans ce sens par les Assemblées Municipales ne pourront être appr ouvées.
Pour le Pr~fet,
Le Sous-Préfet, Directeur dl! Cabinet
-------<>00«>-----
CONTROLE DE LA SITUATION
DES ETRANGERS AU POINT DE VUE
PROFESSIO NNEL OU ECONOMIQUE
.\\arseille, le 22 a\'ril 1952_
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
â ,11M, ies ollaires du Déparleme~t
(en communication il :
'
,\LlI. les Sous-Préfets d'Aix et d'Arles
tU, le Directeur Départemental
'
de la Main-d'Œuvre),
Il ar ri\'e trts fr êquemment oue les formulaires d'enqu~te Hablis lo r s des demandes
de renouvellement de
cartes d'identité
d'étrangers compo rtent, à la ru brique « actÎ\'ité professionnelle ou moyens d'existence ", la mention: « titulaire d'une Cane
de tra\'ail n" .. .. , déliyrée en qualit é
de . _.... .>.
j'ai l'honneur d'attirer votre attention sur
le fait qu'une telle indication est incomplète
pour me permettre de statuer sur la situ ation des intéressés au point de vue du
renouvellement de leur titre de séjour.
En effet, la s.imple.. po~ession d'une auto-
L e Prefet d,es Bouches-du-Rh6n,
a MA,I. l~s M~/res dll Départcnœnt
(en com mUllI catlO1l n MM. les SOlls-Prefet
d'Aix el d'Arles).
'
Les crédits qui, par application de la 1
du 28 sel~tembre 195 1, so nt affectés . ::
~a lsse~ . D epartementa les ~colaires doh'ent
~~re ut,'hsés. e n vue de ramelioration du Service ct enseignement dans les écoles publi-
ques.
Il ne vo us éc happera pas que l'épuise..
I,n ent d~s classes ~n. mobilier mieux adaptt
a ce rtaines néceSSites d'o rdre péda Nogique
et physiologique peu t co nstit uer un élémen'
réel de cette amélioration.
.L'achat de ce matér iel n'a pas été rendu
obligatoire dans les écoles publiques du
premier degré, mais il est ce rtai n que les
Comm unes au ront le dési r de bénéficier, en
cette m atière, de l 'orientation donnée
la
const ru ctio n du mobilier scolaire.
Il me parait opportun, en la ci rc:onsta nCt,
de ra ppeler à 1\\1\1. les Mai r es que des l iste~
de prototypes de ce mMé riel, reConnue:,
co nfomles aux normes prévues par les ins·
tructions de M. le t\\inistre de l'Education
a
INDEMNITES
COMMUNALES
AU X
GREFFIERS DES JUSTICES DE PAI X
POUR LE. SECRETARIAT DU MINISTERE PUBLIC
PLETTNER.
P 8
A\arseille, le 21 av ril 1952.
F 0
D2 B3
02 B3
F 2
REGISTRES DE L'ETAT-CIVIL
Remboursement par l'Etat des frais de
reliure et de confectiOn des regis tres
d 'état-civil (année 1951)
.
Aux termes de la loi du 13 novembre 1936
modifiée par l'article 8 de la loi du 31 décembre 1938, les Communes ont la possibilite d'obtenir de l' Eiat le remboursemenl
des frais engagés par elles ijou r la reliure
et la confection des registres de " Etat-Civil.
Pour me permettre de solliciter de M. le
Ministre de la Justice une délégation globa le
de crédit, j'ai J'honneur de 'Prier MM. les
Maire de voul oi r bien m'adresser avant le
3 1 mai prochain (sous le timbre de la 2' Division - .3. Bureau) leur état de frais relatifs
à cet objet pour l'année 195 1 en y joignant
I.:omme piëces justificatives co rresponda ntes,
les mémoires des imprimeu rs-relieurs (en
t rois exemplai res) .
Tous ces exemplai res devr ont être < certifiés exacts > par ~t""\' les Maires.
-------< .00 •• -------
Hôpitaux- Hospices publics, à l'e>..c.lusion des
Etablissements . de cure (sanat?r~ums, préventoriums, aériums) et des Hopitaux psychiâtriques.
Au surplus, dans les H ôp ~ta u x. et Hôpitau x-Hospices, les dispositl.ons du Titre ' II
en cause ne sont pas éU'pllc ables aux personnes héber gées en perm anence. Il en est
ainsi notamment pour les vieUlards, in firmes
et incurables placés dans les se r vices d' llOSpice.
.
De même, en ce qUI co ncerne les malades
dont l'état de santé exige un sejour de longue durée dont la fin est imprévisi ble, mais
en tout étM de ca use, n'interviendra pas
ava nt plusieurs mois, au x titres individuels
pourra être substitué un état co llec tif de recouv rement, par analogie avec ce qui est
fait dans les Etablissements de cu r e.
Par co nItre. les dispositions du Titre III
re.Jatives à l'e nvo i des titres de recettes aux
Receveurs et ceHes du Titre IV « Dispositions à prendre par les Receveurs > (dans
la mesure où celles-ci ne so nt pas déterm inées par celles du Titre Il propre aux Hôpitaux) s'appliquent. à. J'e~sembie. ~es Etablissements d'hospitalisation (Hoplltaux et
Hospices publi cs - Etablissements de cu re -
EN 1
ACHAT DE MATERIEL SI,;OLAIRE
-------<.00 <'-------
~-------
-
effe c/ll 1 04 B3
R. PAIRA .
R. PLE VE N.
DI B3
l'e,erdce
u' une actÎ\'i.ft! salariée.
C'est pourquoi j'attacherais du pri x à ce
que les renseignements de l'espèce f ussent
complétL's par la référ ence à un ce rtifi cat d e
tra\'ail accompagnee de fa dernière feuille
de paye delhorée par les em ployeurs.
En raiso n des sanctions poU\'ant frapper
ceux- ci pour occupation irrégulière d' un employé étran ger, ou des incidences d 'o n.lr~
fisca l de cette déclaration, to utes garanties
pourront être réunes par l'Administration ee
ce qui concerne la situation exacte des
étrangers contrô lés.
Dans le but d'éviter aux assujettis des
déplacements inutiles, il y aura I.jeu d'indiquer su r leur co nvoca tion ou lors de leur
demande de renouvellement, quels sont les
documents qu'ils ont il produi re pou r obtenir la delivrance d'un nouveau titre de séjour.
L e P réfet :
la loi dont la teneur suit :
Article UnIt/ue. L'3\"ant dernie r alinéa
de rar,icle 1er de la loi
automatiquement
Natio nale en date du 3 mai 1950, sont
r iodi quement
publiées dans les
Hôpitau x psychiâtriques).
II. -
p~
Bulletins
Officiels de l'Edu catio n Nationale.
Le Préfel:
R. PAI RA,
-------«»00<>------
fS 7
D3 B2
HOPITAU X PUBLICS
1
Mise en recouvrement
des produits hospitaliers
Circula ire mm istérielle n°. 44 du 29-2-52
Paris, le 29 fel'rie r 1952.
L e Ministre de la Santé Publique
et de la Populaliol/,
à MM. les Prefels (polir exécution)
MM. les Directeurs Déparlemenla/l.~
de la PoPulation el de l'Enlr'aide sot'wlt:
(pour information),
MM. les DirectefIrs Départementaflx
de la Santé (pour information).
Re/éren{'c! : Instruction n° 114 du 9 juin
195 1.
Par d rcul airc n" 114 du 9 juin 1951, des
instructio ns vous ont été données en vue de
l'application de nouvelles modalités en "matière de recouvrement des frais de. s~Jour
des malades hospitalisés dans les HopItauX
publics.
.·t
que
rai l'hon neur de vous fai re cannai re, .
mon attention a été appelée su r cert~:nes,
difficultés qui se sont presentées pour
plication des dispositio ns .en ca use . ~ aU
cr ois utile à ce sujet d~ faire, urye ~;I~vee5
poi nt des di ve r ses questIOns aJOSI so pl éet de don ner quelques précisions cam
mentaires.
trllC
1. -- Champ cI'application de l'lns lion n" 114.
.
d' poSi'
Il doit être bie n entendu que .Iesn I~ 114
1ions du Titre Il de l'inst rucho n de
.
.
l'
t des Tllres
relatives a l'etab Issemen
qu'aU X
ne
produits
tre
1
Acomples versés aux H6pilaux p.ar
les Services d'Assisfance Médicale
Gratuit e et l es Organism es de Sécuritê Sociale .
La question m' a été posfe de savoir si les
acomptes trimest riels ve rsés par les ser vices
départementaux d' Assistance Médicale Gratuite et récupérés lors du règJement des
frais de séjour devaient èt re maintenus.
Une répo nse affirm ative doit être do nnée
sur ce point.
En effet, les dispositi ons de l'InSltruction
n° 114 ont pour but essentiel l'amélioration
de la trésorerie des Hôpitaux et la suppression .totale et immédiate des acompt es irait
precisément il l'encontre du but reoherché.
1\ convient donc, po ur l 'i nstant, de mai ntenir intégralement le principe des acomptes
et ce n' est que, dans l'ayenir, une fois la
péri Ode 'Oe mise au point terminée et s'i l est
dêmontré qu' un r yhtme satis faisant peut
être obtenu pour le paiement des frais de
séjour des assistés qu e la diminution du
monta nt des acomptes pou rra être envisagée, mais, en tout état de cause, il est bien
certain que ceux-ci dev ront être mail1te~lIs
tout au moi ns par tie llement. L' instr uctl o.n
nO 114 ne s'appliquant q u'aux ma lades béneficiaires de l'Assistance Médicale Gratuite,
à l'exclusion des vieillards hébergés au titre
de la loi du 14 juillet 1905, ainsi que je l'ai
prédsé plus haut il conviendra de mainteni~ les acomptes dans la mesure où)ls s'appliquent à cette catégorie (l 'hospitalisés.
Au Surplus, même si les services préfectoraux arri ve nt à déléguer aux hôpitaux
dans des délais suffisamment brefs, les
Sommes co rrespondant aux frais de séjour
de.s assistés, il s' écou lera néanmoins lin certall1 tem ps entre l'admi ssio n des malades et
le paiement de ses frai s de séjour, et il
ConViendra de mainteni r aux Etablissements
Un e ava nce co rr espondant aux frais engagés
par eux pendant ce lap de temps.
De même, en ce qui concerne les acomp..
tes ,consentis par les Caisses de Sécu rité
Soc:lale, ceux . . ci doivent êt re également
~ alntenus pour le moment. Leur réduction,
SInon leur
1
ression, ne pourra être en-
sure où les délais de règlement des frais
de séjou r pa r les Caisses ser ont sensiblement réduits. Au surplu s, lorsque les mesures prévue par le dccret du 19 octobre
1951 modifiant le Hèglement d'A dministra-
tion
Pu blique du
17 avri l 1943, pour la
const itution et la dota tion du fo nds de roulement auront acquis leur pl ei n !:!ffet, il est
bien ce rta i n que la questio n des avances
ve r sées aux h ô p ~ta u x devra alors ~t r e reco nsidérée.
Hospitalisés ben~ficiaires de l'A ssistan ce M édicale Gratuit e.
Des difficultés se so nt élevées dans un
certain nombre de départements en ce qUI
concerne les hospital isl!s pour lesq uels une
demande d'admission il l'Assista nce Médicale Grat uite a êté fo rmul ée et qui ont été
admis à l' hôpÎJtal au titre de l'article 3 de la
III. -
loi du 15 juillet 1893 et de l'a rticl e 8 du
decret du 30 octobre 1935.
En effet, le service départemental d'As-
sistance Medicale Gratuite ayant été classé
par l' Instruction n'" 11 4 comme tiers-payeu r,
vis-a-vis des Hôpitaux, ce r tains services
préfectoraux en ont déduit que ces etablîssements ne pourraient plus demander au
Departement que le règlement de l a seu le
part qui lui incombe et pou r les seuls malades dont il a la oharge.
•
Une telle manière de voi r est inexacte.
,L' lnst ruQtion du 9 juin 195 1 a eu pour
seul objet, la modification de la pr ésentation des tit res de recettes des Hôpi taux en
substituant aux êtats collectifs de recouvrement des tit res de recettes i ndividuels.
Cette réforme a été opérée, ainsi que je
l'ai déjà souli t7 né dans le but d'accélérer
les recou\'reme~ts 'et de permettre aux hôpitaux de disposer plus rapidement des sommes qui leur sont dues et les nou veUes dispositions ne tendent nullement il la modification de la procéù ure applicable actuellement dans les départements- en matière
d'Assistance M.édicale Gratuite.
Si l'Instruction comprend l e Dépa rtement
dans l'énumération des tiers-payeurs, cela
n'implique pas un ahando~ d~s méthodes
utilisées jusqu'à présent, mais c est une .Slfl'!pie constatation du fait que,. pour un IndIgent, le Dépa rteme~ t se Su?stltue au malatle
pou r r ég,ler ses fral~ de sé~ou r.
.
Je dois rappele r a ce sUjet que les dt.spositions des articles 1er et 2 de la JOI du
15 juill et 1893 su r l'Assistance Médicale
Gratuite sont touj ours en vigueur.
Or, l'article 1er de ce texte précise que
« Tout Français malade pniYé de ressources reçoit gratuitement de la .Commufle, du
Départemeni ou de l'E/o.t, SUI\'ant s,on do:
micile de secours, l'aSSistance médicale a
domicile ou s'i l y a impossibilité de le s<?i "ner utiJement à domicile, tians un étab lIS~emellt Iwspitalief >,
L'article 2 stipule que
la commun.e, le
département ou l'Etat peuvent toujours
exercer le recours s'il y a. l ieu, soit J'un
co ntre l'autre soi t contre toutes personnes,
sociétés ou ~o rporati o ns tenues à J'assistance médicale envers l'indigent malade, ~o
tamment contre les meml'lres de la famlLle
de l'assisté désignés par les articles 205,
206, 20ï et 21Z- du Code Civil >.
Il convient d'insister sur le fait que le
recours pnt\'u à l'article 2 ci-dessus, rte p.eut
t'tre exercé par les établ issements . h~~plta~
Iiers, mais seu femcnt
la coJ.lectlvlte
avec la décision prise par les Commissions
d'Assistance.
Il en résulte que le Di!partement est touj ours tenu légalement de faire l'ava nce des
t rais d'hospitalisation ut:!s assistés.
Cependant, il m'a ~té signalé que pour
i!liminer certains abu~ qlli pell\ent se produire à l'occasion des admissions d'urgence
au bénéfice tle l' Assistance Métlicale Gratui te et pour éviter lju e l'avance des frais
d' hospital isati on de ro ute personne ayant
demandé à bénéficier de J'A.M.G. ne vie nne
gonfler art ificiell ement les dépensts d'Assistance du Budget départemental, certains
dépar temen ts ont mis sur pied, après entente avec les établissements hospitaliers,
une proc&lure de c prise en charge » par
le Se r vice Départ emental d'Assistance Medicale Gratuite. C~l ui -ci ne faisant l'arance
des frais d' hospita'ilsation que pour les malades pris en charge pa r ses soins et l'hopi.tal recouvrant directement su r les intéressés, ainsi que le lui pe.rmet l'article 5 de la
loi du 21 dêcembre 19-1- 1, lorsque le Service
Depart emental reruse la prise en cha r ge.
Je ne vois que des avantages au maintien du système ai nsi instauré, à co ndition
bien entendu, que son application ne soulève pas de g ra ves difficultés comp romettant
le bo n fonctionnement tles dablissements
hospjtalier s.
IV. -
Précisions complémentaires à ap-
porter aux termes de l'Instruction
n° 114.
Je crois util e d'apporter quelques éclaircîssements au sujet de certains passages de
l'instruction_
1" Admission d'urgence.
Des difficultés sont nees d'une in te rpretation erronée des termes de l'Inst ru ction
n" Il.! qui précise au Titre Il (page 7 de
l'Instruction.) :
Lorsque l'admission est pronoOl:ée d'urgence, le ou les débiteurs dUfin itifs ne sont
désignés qu'après décision des organismes
compétents >.
Certains Ont pensé qu'i l s'ag-issait de la
prOl.:écJurc d'admission Li'urgen\.c â l'Assi~
tance Médicale Gratuite et que ce!Je-ci n'aurait plus en fait qu'une va leu r indicati\'e,
Je tiens à préciser que l'adm ission d'urgence dont il est fait etat dans J'lnstrul.:tinn
est l'admission d'urge11l:e ci ['hôpital POlll
raisons médicalcs.
Lo rsqu'un malade se présente ;1 l'HÎ)pltal
dans un etat td qu'il doit être hospitalise
d'urgence, l'hôpital a 'le devoir de l'accu~iI
lir et de prononcer son admission en rremier lieu et ce n'est lju'après cette admission qu'il se retQurnt contre l e tiers-payeui
pour obtenir la prise en charge des frais de
séjou r.
La procedure d'admission d'urgence à
l'Assistance Médicale Gratuite est toujours
valahle en principe et, sauf êvidemment dans
les départements où le s'yst~nJe de
prise
en charge li rar le Service départemental
d'l).ssistance aurait été in~taure, c'~.~t touj ours la rl"c)llÎsitioll du !\-\ai re qui vaut prise
en charge .pour les malalies assistés, ainsi
du reste qu'il est pre\'u dans l'Instruction
(Ipa~e 6).
Debiteur :
Assistance t\lédicale Gratuite, D~pa r teInent du
......... ' . ............ . . .
DéCision du ..... _... .
Admissi?n d'urgence du ......... , . . .... .
�2' Arrêlé des lilres d. recelt ...
Le Titre Il, • 3' Dispositions à prendre
par les EtabLissements .hospltahers • (p. 7)
promit que :
c A la fin des mois de mars, juin, septembre et décembre. les lia.sses de r~cettes
des malades présents depuIs au mOins .un
mois sont arrêtées pour permettre la
m~e
en recom~rement des sommes dues depuIs
leur entrée ou depuis le dernier arrêté périodique >.
Il convient d'inclure dans ces dispositio~s
qu'au 31 déc~mbr.e de . chaque année. dOl,'ent être aTretés les titres de r~~ttes . de
tous les malades présents, quels qu 115 SOient
afin Que le Rece\"eur soit c~argé de la totalité des produits de l'exercIce.
Au surplus. je tiens à. faire r;rna.rquer.que
les dispositions pres~nvent. ct aTTeter a la
fin de chaque trimest re Les b!res de, recettes
des malades presents depuIs plus d un ?,OIS
constituent l'obligatjon minima f~lte, a ce
sujet, au..x établisseme~ts. Ceux-cI conservent toujours la faculte de mettre en recouvrement les sommes dues par les mala?es
présents, it des époques plus rapp rochees,
par exemple, à 1a fin de chaque mOIs.
D'autre part, il est indiqué (page 8) que
les sommes dues au ti~re des na~ses de recettes en instance doivent êt re mises e~ recouvrement sur l~ospitalisé avant la cloture
de l'exe rcice lorsque les rechereh~ en.treprises par L'Etablissement pour determmer
le débiteur n'ont pas abouti.
Dans ce cas, les titres de recett~s ~e\'ront
faire l'objet d'une émission pa.t:tlcu!lère et
être groupés sur un bordereau des htres de
recettes. modèle n° 2. ne comportant pas
d'autres inscriptions.
3' Présenlalion malérielLe des lilres de
recettes.
a) IL a été donné de constater que quelques établissements hospitaliers ont mis en
usaQ'e des liasses de titres de re,c ettes du
.
modèle nouveau. mais dont le dos des différents feuiLLets a élè carboné au préalabLe.
Or, la Commission qui a procédé à la mise
au point du modèLe a rejeté L'emploi de
documents à dos carboné, en raison de
t'importance de la surface à couvrir et des
inconvénients qui en résu1teraient pour les
différents utilisateurs.
Je vous demande, en conséquence, de vouloir bien inviter les établissements à se
coniormer aux prescriptions de l'Instruction
(page 7) aux termes desquelles. une feuiLLe
de papier carboné de bonne qualité doit
être pLacée entre Les voLets de La liasse de
recettes >.
.
b) Honoraires médicaux.
LL a été fait observer que le nombre de
Lignes du titre de recettes réservées au • Dé·
tan des actes K • serait trop restreint. Je
souligne à ce sujet ta possibilité, pour les
hôpitaux qui le désirent, d'augmenter le
nombre de ces li g nes en reportant vers le
bas et en serrant légèrement les diverses li-
V. _
Dispositions com Plémeniair es
ajouler à t'lnslrucl/on n° L l 4
a
1 Procédure à adopter lorsque le second
tiers-payeur n'est pas e7a~t~meflt connu
lorsque le malade sorl de 1 hop/fal.
Dans ce cas, l'Administration hospitalière
a la possibilité de mettre en recouvrement
La participation des Caisses de Sécurité Sociale immédiatement après la sortIe du malade, même si le débiteur auquel incombera
le paiement du ticket modérateur n'est pas
encore connu avec certitude. Il suffira à cet
effet de scinder le titre de recettes en deux.
Un premier volet n° 1 sera adressé au
Receveur. oe comportant que le montant des
sommes dues par la Sécurité Sociale, mais
" Hôpital devra y faire figurer, de façon apparente. la mention c partiel >. Le volet
n° 2 destiné au tiers-payeur principal sera
ad ressé immédiatement à La Caisse de Sécurité Sociale en vue du recouvrem ent de la
participation de cet organisme.
Le reste de la liasse de recettes sera
conser.vée en attente par les services administratifs de L'HôpitaL jusqu'à ce que Le dé·
biteur appelé à supporter Le ticket mod érateur soit 'connu. La liasse de recettes sera
a lors cornpJétée, mais i1 sera nécessai re
d'adresser un nOuveau volet n° 1 au Receveu r. portant cette fois la ment ion c Com0
plémenl •.
Je souligne qu ' il ne sera nullement nécessaire d'uüliser deux liasses. mais seulement
deux volets n" l.
2° Reclificalions
failes ·d'office
par le
tiers-payeur.
Le Receveur doit aviser dans les moindres
délais l'Ordonnateur des rectifications qui
ont été appo rtées d'office au titre de recettes par les organismes tiers..lpayeurs, afin
de l ui permettre de mettre sa comptabiLité
en harmonie avec celle du Receveur.
Toutefois, il y a lieu de remarquer que de
tel les rectVfications ne devraient êt re faites
par ces o rganismes que lorsqu'il s'agjt de
redresser des erreurs matérielles du service
chargé de L'émission du titre de recettes.
Par contre. si le tiers-payeur n'est pas
d'accord avec le service émetteur sur le fond
même du titre de recettes, par exemple sur
la cotation des actes K, sur la durée de séjour ou pour toute autre ca use, il co nviendrait que 1e tiers-payeur n'apporte aUCune
rectification sur le titre de recettes, mais se
mette en rapport avec l'O rdonnateur pour
d iscute r des rectifications qu' il juge nécesSaire et l'Or.donnateur fera a lors établi r un
nouveau décompte en procédant ainsi qu'il
est indiqué it La page 7 de L'Lnstr uctio n pour
les décomp tes insuffisants et excédentaires.
3" Lelire d'envoi aux Liers-payeurs des
avis des so mmes à payer.
Vous
trouverez ci-joint,
en annexe, un
-
sommes à payer >. Ce modèLe répond allJ<
prescriptions du Titre IL de L'LnstrUClion
(page 8l - 4') Destination à donner au,
différents voLets de La Liasse de recettes.
Sans en faire une obligation, il me parait
judicieux d'en recommander l'emploi aux
étabL issements hospitaliers.
4 . . Bordereaux des titres de recelles (An.
nexe n" 2 de ~'Lnstruction). LI paraiL
souhaitable de recommander aux établisse.
ments d'é tabLir ces . bordereaux Sur feuiLLe
du format 36 X 27 ou 42 X 27.
VI. -
Personnel nécessaire pour la mise
ell œuvre de la nouvelle procédure
de recouvrement.
L'expérience a montré que, dans les Hôpi.
taux dans LesqueLs Les nouvelLes méthodes
de recouvrement ont été instau rées, le ~r.
sonnet administrat if présent, chargé anl~
rieurement de la co n.fection des états collec·
tifs de recouvrement suffit pour l'applicatil)n
des nou velles mod a lités et il n'a pas ~te
besoin de lui adjoindre des agents supple·
mentaires .........
Il convient, du reste, à ce sujet d'appeier
'j'attention des Administrations hospitalières
sur l'inté rêt qu'ils ont à rech ercher à la fa·
veu r de la mise en appli cation des nouvelles
dispositions, une meilleure organisation du
travail du service des frais de séjour. La
modification des méthodes de travail utill·
sées dans nombr e d'hôpitaux permettra,
dans bien des cas, d'obtenir un meillelOr
ren deme nt.
C'est ai nsi que je pense qu'iJ n'est pas
inutile de souligner aux hôpitau x qui ne ics
auraient pas encore uti1isés, les avantag~
qu ' ils pe uvent retirer de l'emploi des barèmes po ur servjr le titre de recettes : ces
barèmes faisant ressortir, d'une part, les
prix de journée des diverses catégories d~
malades d'aprés La durée de séjou r (de .1 ,
3 L jours) et seLon Les pourcentages appli ca·
bics au malade et à ses ayant-cause, selon
leur tarif de responsa5ilité et, d'aut re part,
les ho noraires médicaux d'après leur cota'
ti an en K et égaLe ment selon Les pourcenta·
ges app Li caWes aux différents payeu rs.
el
Telles sont les diverses observa tiOns
info rmations complémentaires que j'ai cru
devoir apporter aux dispositions dc l'ln~'
. obli
truction du 9 juin 195 1. Je vous se rais . .
('Té de vouloir bien les porter à la con n~JS
;a nce des Hôpitau x et Hôpitaux-HosPIC~
publics de vo tre dépa rtem ent.
• • •
j
.
t - ir inforfll,
j l.! vous dem a nd erai de 'Pc en
. nt
.'
.
. pour ra le
le cas échéant des dlffl cultes qUI
..
,
. t'
de ces Ins
se présenter pour l'applIca IOn
tructions.
Le Mi nist re,
.
allOn ,
Pour le Minislre el par délég
Le Chef de Cabinet :
99
EX8RCLCE 195
Lettre d'envoi des avis des Sommes à payer
Lettre d'em'oj n° ....... .
Imputation des SOmmes dues
Médecine ........ .
Chirurgie ......... .
............ ... ......
. ........ .
Maternité ...... .
Régime (L re c L) ........ .... ....... .
Partic. (2e cL) ......................... .
Clinique ouverte .......... . .......... ... .
Convalescen-ce ..... ......... . .. , ....... .
Numéro
d'identifiea tion
Nom
et prénoms
des militajres traüé.s. au compte du ervice
de Santé, dans les hôpitaux civils Ou mi xtes.
J'ai l' honneur de vous faire connaître
qu'après étude de cetle questio n l'a r Jes
services comp(:tents, il a été décidé que les
dispositions de ladite instr uction devaient
être intégralement app liquées aux malades
traités au compte du Service de Santé.
Par a ilI'eurs, mOIl attention a été appelée
su r I ~ fait que, dans certains dépa rteme nts,
le Service de San té aurait dem andé que les
titres de recettes qui lui son t présen tés .par
les IhôpHaux soient arrêtés en toutes lettres,
aiors que ~ modèle an nexé à l'instruction
n" 114 ne prévoit pas cette modalité.
j e dois vous rappeler, à ce sujet, que l' Instruction nO 114 a fait j'objet d'une approbation par M. le Président du ConseiL, Mini~
tre des Finances (Direction de la Comptabilité Pu blique) qui a admis, pour les tit res
de recettes en cause, une dérogation aux
règLes de La Comptabilité PlloLique.
Le Ministre,
Rour le Ministre et par de7égalion
Le Directeur : BOLDE.
Hôp itaL-Hosp ice d ... . ........ . .... .. .... .
Monsieur le ..... .. .. .. ... à . .. ... ... .
est pr.ié de trouver ci-joint les avis des
sommes à payer comportant décompte des
sommes dues par ,les hospitalisés pris en
oh2llige par ........ . ................ . .. . .
et étabLis à La <late du ............ 195 .. .
Le montant total de ces avi s, qui s'lélève,
suivant
récapitulation ci-dessous, à da
somme de .............................. .
................. . ............... . . ...
doit drr versé au Receveur de l' HôpitaolHospice à ... , ..... ... ........ : . ........ .
Compte chèque postal .................. .
Services hors budget
P roduits
hospitaliers
Honoraires
médicaux
TotaL
Hono raires
de Jaborat.
Observations
------- c~ oo c>-------
•••••••• 1 • ••.
,
D6 83
:::: .. :.... f··..··.....
CIA 0
AUTORISATIONS D'ETABLIR
ET D'EXPLOITER
DES DEPOTS D'EXPLOSIFS
MarseiLLe, Le 23 avril 1952.
.... . , ...... . ........ .
....... :i.......... .
... ...... ,.
Par arrêté en date du 20 a\'r~1 1952, M.
Mazza Ri ccardo, gérant de la Société Mazzo
Riccardo1 est autorise à ctablir et à exploiter un dépôt permanent d'exp losifs de la
3e catégorie, au lieu dit
La Ga votte >, sis
sur le territoire de la Commune des PennesMirabeau.
La contenance du dépôt sera de :
50 kgs de CLasse L Ou de 100 kgs de
CLasse 5.
.... ...... .
....... .
.',
Par arrêtës en date du J 8 av ril 1952, la
des H ouiJt~ res de Provence a étë
autorisée à :
Sociét~
A reporter ..
. . ..
1 . .
r·
D382
FS 7
SERVICE DES HOPITAUX
Instruction ministérielle du 15-4-52
Mise en recouvrement .
des produits hospitaliers
A. G. 3/48 N" 72
Paris, le 15 avril 1952.
Le Ministre de la Santé Publique
el de la Population,
à MM. les Préfels (pour exécution),
à MM. les Directeurs Départementallx
de la Santt!,
â MAL les DirecteUrs Départementaux
de !a Popu(p.tion et de l'En/r'aide sociale
(!pour iniormation),
REF. : Lnst ru ction N' 114 du· 9 juin 1 9~ 1.
Circulaire Nil 44 du 29 fcvner 19j2.
La question m·a. été ~sée, .à. diverses. r~
prises, de savoir SI les, ~ISposltlons de. Iln:s:-truction n° Il ... du 9 JUJII 1951, r el~hves a
la mise en recouvrement ~es produits hospitaliers, devaient être appllquces aux mala-
l CI deux dépôts perma nen ts d'explosHs de
la 3e catégo rie, sis sUr le territoire de la
Commune de Peytpin, a u lieu dit ~ GaroutteCarreau du Puits Armand> l
2° un dépôt permanent d'explosifs d~ la
3e Icat~go r ie. sis sur le territOire de la commune de Cadoli"e.!, au' lieu dit
Les Go.r('T ues> Carreau du Puits St-joseph.
b
Cha~un de ces trois dépôts ne devra à
aucun moment excêd~r le maximum sui\'ant :
de 50 kgs en c1 ass~ l ;
ou de LOO kgs en c1a --e 2 ;
ou de 50 kgs en cla&>e :3 ;
ou de 500 kg5 en classe ..J. j
ou de 100 kgs ell cla~e 5.
Pour le Préfet,
Le Sous-Prejet,
Directeur du Cabine!
Signe : PE TTNER
�--RÉPUBLI QUE
15 Mai 1952
F RANnAISE
10' Anné •.
DËPARTEMENT DES BOUCHE.S-DU-RHONE
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute co rresponda nce relative au Recueil d oi' étre adressée à la P r é fecture Secr étaria t
Général
ABRÉ V IATION S
A. P . : Arrêté préfecto ra l. - C. : Circula ire - Les lettres D et B s ui vies d' un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T . : Direction des Services Techniq ue.. - D. D. S. : Di rection Départeme ntale de la Sa nté. - D. D. P . : Direction départementale de la Popula tio n.
SOMMAI RE
Palles
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Paie s
AG 2. -
""'èda ill e
d 'OI
I<lépa rtementa le
et com muna le. . . .. ... ........ . ..
101
lf..G 2. Assur ance collecti,ve en <cas
de décès en fav eur du personnel des
coll ectivhés locales . . ............ .
EN O. - Enseignement du 1eT (iiegré.
Constru ctions scol ai r:es .......... . .
OIA O. - E lect ions ,co ns ulaires. - A·rrêtés pr éfec torau x instituant les Commissions chargées de vérifier l'ex actitu de des listes électorales dressées
po ur l' ann ée 1952 . .. .... . .. . ... . .
104
Textes d'Intérêt Général
Ar:;. 2.
date dll
Paies
r elèvement du pl3lfond il r etenir pour
le calcul des cotisa tio ns de Sécurité
Soc iale .. . ....... . .............. .
Ci r.cula ire ministérieUe en
2 1 Avril 1952 r elative a u
105
Communiqués -. Avis •. Annonces divenses
-
Do ns et !Legs . .. ... . . . ..........
-
Avis de co nco urs......... . . . ....
-
De ma ndes d'emplo i ..... . . . .. , . . .
Vente de deux vo itures tourisme..
105
106
106
106
ARRÊTÉS REGLEMENTA IRES ET CI RCUL AI RES
0 2 B3
AG 2
MEDAILLE D'OR DEPARTEMENTALE
ET COMMUNALE
J'ai l'honn eur d e po rte r ci-desso us à ~ a
(Onnaissance d e MM. les Ma ir es du Dépa rtement le tex te de da ci rculaire de Mo ns ieur
le Min istre de l' Int ér ie ur n' 183 AD-3 d u
26 av ril 1952 fixant les co nd itio ns d'att ri b ulio n de 'la Méd ai ll e d' Or .d épa rtementale et
comm unale.
Pour permettre J'envo i d es doss iers à la
date prév ue, MIvl. les Mai res so nt p riés de
rouloi r bi en Jes faire par veni r avan t le 25
mai (dél ai de r ig ueu r), à la Préfect ure, sous
le tim bre 2e Divjsion, 3e Bureau.
P o ur le Préfet,
L e Sous-Pr éfel,
Directeur du Cabinet
PLETTNER.
•••
P a ris, le 26 a,v ril 1952,
Ré/. : YM/G H P E R/AG
Circulaire nO 183
Le Ministre de l'IntérieUr
à M . le Gouverneur Généra l
de
l' Algér ie,
M. le Préf el de la Sein e (Direc l ion
du P ersonnel el Directio n des
Affaires D éPartemenlales),
MM. les Préf el s - Cabinel (M él ropole, Algérie, Oulre-M er ),
Il! OBJET. - Condilions d'al'trib ul ion de la
édalUt d'O, départementale et co mmunale.
du 17) a ins titué un e Médai ll e d' Or départe-
mentale et commun ale.
En ,Vertu de ce texte, cette Médai lle peut
êt re d éce rn ée ap rès 45 a ns de se rvices a ux
age nts des coUectivités locales et aux 'Pe rson nes i nvesties d' un mandat électilf dépa rtemental ou com munal, qui auront fait
pre uve a u cou rs de le ur ca rrière de mérites
exceptionnels.
A J' intérie ur de chaqu e promotio n, elle ne
se ra déce rn ée q ue da ns la limite d u dixième
des Méd ailles de Vermei l acco rdées.
Cette de rn iè re distinction éta nt ell e-même
attribuée dans la limite du d ixième des Médailles d'a rgent, le nomb re des Médai ll es
d 'O r accordées pa r promotio n sera au plus
érra l a u cefltième des Médailles d' Argent
a~cordées soit environ 40 Médailles d'Or
par prom'otion.
C'est di re que cette déco rati on au ra un e
très haute valeu r, et devra réco mpenser les
candidats qui se sont tout partic ul! èrement
sirynalés au co urs d'une longue ca rrIère, par
le~l r co'mpétence et leur dévouement à la
chose publique.
Je tiens à so uli gner que le po ur centa ge
fixé ci-dessus sera respecté sllr le plan na-
lional.
En conséquence, et. afin ù~ me pern~ettre
de p rocéder à un c h OIX parmi. les candIdats,
vo us pou-rrez me faire p~ r \lel1l r pour .chaq ue
promotio n des propoSItions excédant, pour
vot re dép~ rtement. la pro portion cte 10 . %
des Médail les de Ve rmeil, sous rése rve, bien
ente ndu, de ne m'adresser qu'un petit nom-
C'est ainsi que je ne ve rr ais que des
avantages à recevoir, pour l'ensemble des
d épaJrtements, cent â cent vingt propositions
parmi lesquelles je choisi ra i envi ron q uarante bénéficiai res, en considé rat io n de leur
ancienneté, de leurs mé rites, et de votre
ord re de préférence.
Je tie ns à p réciser que les instru ctions qu i
p récèdent ne s'appli que nt qu'à Ja Mèdai ll e
d'O r et ne sa ur aient êt re éte nd ues à la Médai ll e d e Ve rmei l. Po ur cette dernière distinction, vo us vo udrez bie n. comme pa r le
passé, m'ad resse r vos propositions dans la
s tricte li mite du dixième des Médailles
d'Arge nt.
So us cette r éserve, les instructions qui
vous ont été adressées en vue de la constitut ion des dossiers de candidat ure à la
Medail le de Vermeil s'appliquent, mutatis
muta nd is, à la Méda ille d'Or.
H en est ainsi en ce Qui concerne :
a) l'établissement des dossiers (q ui doivent comporte r un rapport détaillé sur les
tit res que les ca ndidats: se so nt acq uis à
l'a tt ribution de Ja Médaille) ;
b) l'envoi des dossiers sous bordereau
récapitulati f d ressé pair 'Ord re de mérite et
commun pour les age nts des coJlecnvi tés
locales et les personnes investies d'un ma ndat el ectilf ;
c) le calcul de l' ancie nn eté de service d es
candidats,
•••
la date il l aq u e ll~ est interportant création de la Mé-
�-
\02
première promotion concernant cette dist.i n.ction aura lieu exceptionnellement le 1-1 Julllet 1952.
.
\' cus \'oudrez bien, en consequen ce, me
faiTe parvemr al'ant le 31 mai dernier délai,
vos propositions établies conform~ment a~x
instructions contenues dans la presente
culaire.
Cir-
Charles BRU E.
-------••00.·-------
AG 2
D2 B3
ASSURANCE COLLECTIVE EN CAS
DE DECES EN FAVEUR DU PERSONNEL DES COLLECTIVITES LOCALES.
J'ai l'honneur de porter à la connaissance
de MM. les Maires du Département le texte
de la circulai,re de M. Je Directeur Général
de la Caisse des Dépôts et ConsÎgnations
n· ~t B2 du 28 av ril 1952, relalive li la possibilité de souscription par les coUectivites
locales d'une assurance .coJ1ecti\'e annuelle
en fa\-eur de leur personnel titulaire dans le
but de la garantie cont re le risque décès.
Pour le Préfet,
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabinet
PLETTNER.
•••
Paris, le 23 a"'" 1952.
Le DirecteUr Général de la Caisse
des Dépôts et Consignations,
à AL le Préfet des Bouches-du-Rhône
(il/arseille)
OBJET : Assurance collective en cas de
décès en faveu r du personnel des collectivités locales.
PIECE JOISTE : 5 Documentations.
J'ai rhonneur de ,'ous faire connaître que
la Caisse Nationale d' assurances sur la vie
est en mesure de garantir contre le risquedécès les agents in,'estis d'un emploi permanent des colJectivités locales auxquels Je
décret n· 3 1-<;80 du 2 mars 1951 est appli cable moyennant la souscription d'une assurance collective annueUe comportant les caracteristiques suivantes :
\ . Le capital assu ré n'est payable que si
J'agent decédé laisse un ou plusieurs des
ayants-<lroit énumérés à l'article 7 § 2 du
décret n· 4S-2().15 du 20 octobre 1947
(conjoint non séparé de co rps ni divorcé et
descendants, ci défaut ascendants à charge) ;
2· Le capital assuré est déterminé par la
collectivité -contractante au moment de la
souscription du contrat en tenant. compte
des dispositions prévues à cet effet par le
régime applicable au personnel à garan tir.
Il peut ~tr e révisé pour tenir compte des
modifications sun'enues dans le montant du
traitement et la situation de famille de l'assuré. Toutefois, cette ré\'ision ne peut intervenir qu'au début d'un trimestre d'assurance.
Il en résulte que le capital garanti reste
invariable au cours d'un même trimestre ;
3° La garantie de IJassurance s'étend à
tous les risques de décès, sous les seules
résen'es, énumérées dans les conditions générales de la police ;
4 ° Le paiement des sommes dues en cas
de décës d'un assur é au cours du co ntrat
est effectué à la collectivité contracta nte il
charge par elle de les reverser aux bénéficiaires visés ci-dessus.
La souscription d'une telle assurance est
subordonnee à la production :
a) si la collectivité a accordé à son personnel
des
avantages
complémentaires
s'ajoutant à ceux du régi~le général, .d~ la
Sécurité Sociale d'une copIe de la déllberation prise à cet effet et de l'~rrêté d'approbation du Minisnre du Travali et de la Sécu rite Sociale du J\'tinistre du Budget, du
Ministre de "Intérieur et éventuellement du
Ministre de la Santé Publique ;
.
b) si la collectivité a ?pte pour le r~gl me
mixte, d'une copie du reglement applicable
et de J'arrêté préfectoral d'approbaltOn ..
En outre, il appartient a la collectlVlte de
produire une proposition d'a~sUtranc~ du
modèle ci-joint, dÛJ11ent ' remplie et s ,.g ~ée
par le representant qualifié de la co ll ec tt\'lté.
A cette proposition doit ët re annexée une
liste des personnes à assurer éta blie en
double exemplaire et men~ionnant l es n?m,
prénoms et année de nalss~nce . des dlt~s
personnes, ai nsi que le capital a ga rantir
pour chacune d'elles.
_.
Enfin, je vous signale que la prime n.ecessaire, la première année, pour ga~anh r au
décès des membres du 'Personnel d une collectivité tocale un capital égal au traitement
majoration de
annuel augmenté d}une
40.000 f rancs par enfant à charge est de
1 % de l'ensemble des capitaux assurés. Ce
taux est un taux ferme qui n'est pas susce ptible d' être révisé à la fin de la période
annuelle d'assurance pour tenir compte de
l'âge de chaque assuré. non. plus q~e des
résultats constatés p'a r la Caisse Nationale.
Les co llectivités contr actantes sont ai nsi en
mesure d'apprécier, dès l'origine, [' étendue
exacte de· leurs engagements et la souscription de telles assu rances ne compo rte donc
aucu n aléa pour elles.
Mais il sera ten u compte des résultats de
cette catégori e d'assu rance au cou rs de la
première période annuelle pour le calcul d.e
la prime afférente à la période annuelle SUI- .
vante, de telle sorte que la Caisse Nationale
qui fonctio nne, ainsi que vo us le s~vez,
comme une vaste mutuelle et ne poursuit la
!recherche d'aucun bénéfice, pourra ·offrir
aux collectivités cont ractantes un taux de
prime co rrespo ndant aussi exactement qUE"
possible à la valeur des risqu es cour us.
Pour vous permettre de renseigner les
collectivités de vot re département qui envi
sa<1ent de souscr ire une assurance sur les
m;dalités de la police offerte pair l a Caisse
Nationale, je vo us adresse ci-joi nt quelques
exemplai res d'une notice comportant au dos
une formule de proposition d'assurance et
du texte des conditio ns génér ales du contrat.
Les collectivités pourront obteni r tous renseignements complémentaire~ à ce sujet sur
simple demande adressée à la Caisse des
Dépôts et Consignations, sous le timb re du
1er Bureau de la 4e Division.
Pour le Directeur Général
et par autorisation,
Le Sous-Directeur chargé de la 4e Division:
Signature Illisible.
•••
ASSURANCE COLLECTIVE ANNUELLE
EN CAS DE DECES
souscrite en vue de l'application du décret
du 2 mars t 95 1 relatif au régime de :S écurité Sociale des agents permanents des
départements, communes et de leurs établissements publics.
OBJET ET FORM ALITES
L'instructio n du 6 août 195 1, publiée au
• Journal Officiel. du 15 août 195 1, a pré-
cisé Jes modalités d'application du déoret d
2 mars t 95 t rel atif au régime de Séeu 't~
Sociale des agents permanents des dépa~e
ments, des communes et de leurs établisse
ment~ publics n'aya.nt pas le caractère in:
dustnel et comme rcIal.
En ce qui conce rn e l'attribution d'un capital-décès, la collectivit~ ~<?n,serve dans la
plupart des cas, la,pOSSlblltte, soit de ga.
rantlr directement 110tégralité dudit capital
soit de prevoir un co mpl ément de capital
s'ajoutant aux prestations payées par la
Sécurité Sociale.
La Caisse Nati onale d'assurances Sur la
vie offre aux collectivités auxquelles le dic ret du 2 ma rs 195 1 est applicable et qui
d ésirent se couvrir des paiements qu'el1e~
peuvent être appelées à '!ffectuer, un contrai
d'assurance collective dont les modalités ont
été étudiées spécialement pour répondre,
dans toute l a mesure du possible, aux
co nditions imposées pair le décret et l'instruction susvisée.
Pour souscrire une telle assurance, il suf·
fit à la collectivit é intéressée de transmettre à la Caisse Nationale : '"
10 une proposition d'assurance ;
2" une liste en double exemplaire de ses
agents soumis aux dispositions du décret du
2 mars 195 1 et précisant leurs nom, prénoms et date de naissance ainsi que le montant du capital à ga rantir pendant le premier trimestre d'assurances ;
3 0 s'il s'agit de l'appli catio n d' un régime
mixte:
_ une copie du r èglement établi dans ~a
forme prévue par l' Instru ct ion du 6 aoul
t 95 1 et portant mention de l'approbalion
pr6fectorale ;
.
_ s'il s'agit de l'application d'un régtme
complémentaire du régime général de la
Sécurité Sociale :
une copie de l a délibération ,?rise à cet
effet, portant mention d'approbation par les
ministères intéressés.
PROPOSITION D'ASSURANCE
Je soussigné (1)
...........
~
;p~è~ '~~~i'r p'ri~ 'c'o'~n~i's~~~~e' d~s' ~o~diti~~;
gé nérales propose li la Caisse Nationa le de
contracter su r la tête des membres du
orou pe déSigné danS la liste ci-joi nte (2)
~ n e assu rjlnce coJlec.tive annuelle en caS dl'
décès.
Je certi~je que le O'roupe à assurer co~rend
tous les aO'ents titul ai res rémunér s
P
o
.
t' d'un emsur crédits budgétaires
et IIlves
IS
ploi p~rmanent.
1
. à 1 col ,,L e capital assuré sera paye , . a. t à
tivité co ntractante si l'a~ent qUI ~I:~roil
décéder l aisse un ou plUSieurs aya n s 0"10énum é rés par le déc ret 47-2045 du 20 ·sobre 1947 retatif a u régIme de séCUrité '1
ciale des fonctionnaires (art. 7, pa-rag r'ta~i
à charge par elle d'en remettre le mon
à ces derniers.
le
Fait à
Signat ure (3),
de 13 col(1) Nom et qualité du Tep~éscDtaDt
Iccth·ité. Nom de cette dermère..
double
(2) Cette l ist~ doit. étre fourme ~~nolll') et
exemplaire et d OIt préCiser les nom..P. ut l~
année d e naissance des assurés, ains I Q
montant du capital à garantir.
d
mots :
(3) Faire précéder la signature es
c Lu ct approuvé ) .
103
ASSURANCE COLLECTIVE ANNUELLE
EN CAS DE DECES
des agents permanents des départ ements,
des communes et de leurs établissements
publics.
CONDll'lONS OEiN6RALES
Objet de l'assurance
Article premier. - L'assurance co llective
annuelle en cas de décès a pour obj et de
aaranHr, pendant une année à compte r de
date de sa souscription ou de son renouvellement, le versement d' un capita'l ell cas
de décès des agents du département, de la
commune ou de l'établissement public co ntractant, auxquels le dëcret du 2 mars 1951
est applicable, si ce décès su rv ient au courf:
de la période annuelle d'assurance.
L'assurance comprend tous les agents
investis d'un emploi permanent te ls qu'i ls
sont définis à 'j' article 1er du décret susvisé,
mais le capita l assuré n'est dû pa'r lia Caisse
Nationale .que si l'agen t qui vient à décéder
laisse un ou plusieurs des ayants-droit énumérés par le décret n· 47-2045 du 20 octobre 1947 (article 7, paragra phe 2) (conjoint
non séparé de corps ni divorcé et descendants i à défaut, ascendants à dharge).
la
Détermination des capitaux garantis
Article 2. -- Le capital assu ré est déterminé par la col lectivité co ntractante au
moment de la souscription du co ntrat, en
tenant compte des dispositions prévues à
cet effet, soit par le règlement visé dans
l'instruction du 6 août t 95 1 s'il s'agit de
l'application d'un régime mi xte, soit par la
délibération prévue par ladite instruction
s'il s'agit de l'applicatio n d'un ré gime
complémentaire du régime général de la Sécurité sociale.
Il est rév isé, s'i l y a tieu, a u début de
chaq ue trimestre, pour tenir compte des
modifications du tra itement et de la situation de famil'Ie des assurés survenues au
Cours du trimesfre précédent et qui doivent
ttre notifiées à la Caisse Nationale dans les
conditions prévues par le 3e alinéa de l'article 4 ci-après.
Caractère inconfestable du contrat
Article 3. - Les déclarations faites par la
collectivité contractante servent de base à
l'assu rance qui est incontestable, sauf dans
les deux cas suivants :
0
1 en cas de f raude, toute réticence ou
fausse déolaration i ntentionnelle de nature
à atténuer l'importance du ri sque ou à tromper Sur l'identité d'un assuré entraîne l'annulation de l'assurance de ce derni er et le
remboursement sans intérêts des sommes
versées, sous déduction des capitaux qui
auraient été payés et de la valeur des risques0 COurus par la Caisse Nationale ;
2 en cas d'erreur su r j'âge d'un ou de
~Iusi~urs assurés, l'assurance don ne alors
heu a révisio n dans les conditions prévues
par l'artiCle 81 de'ia loi d u 13 juillet t 930.
. C!bligg.fion du souscripfeur
SOIlSCnptlOn du contrat . _ Mutation s.
Article 4.~ - La col lecti vité cont ractante
ad resse à la Caisse Nationale en vue de la
~?uscription du contrat, u~e proposition
"~ssur~ nce accompagnée des justifications
essalres pour fixer Jes bases de l'assurance.
. Les mutations en
JOnctions et
rées par la collectivité cont ractante, dans
les cinq jours de la mutation.
Les modifications susceptibles d'intervenir
Chaque trimestre dans le montant des capitau x assurés en raison des changements
survenus dans ,la situation de famille ou le
traitement des assurés doivent ctre notifi~ s
dans les cinq j ours suivant le début du ~ri
mestre d'assurance à compte r duquel l a
Caisse NatlO n a~e au ra à en tenir compte.
Versement de la prime
Article 5. - L'assurance est souscrite
moyennant le ve rsement d' une prime annuelle dont le taux, exprimé en pourcentage
des capitaux assurés, est fixé par la Caisse
Nationale. Le ta ux de cette prime est révisable lors de chaque ren ouvellement annuel
de l'assurance.
Le ve rsem ~nt de la prime est effectué
d'avance â. la Caisse Nationalt: par cheq ue
ou virement bancaire ou postal à l'ordre du
Caissier général de la Caisse des Dépôts et
Consignations (compte chèques postaux Paris 9.063-4 1).
Les modifications du montant de la prime
résulta nt d'adjonctions et de radiations intervenues au cours d' un trimestre d'assurance ,font J'objet d' une régu larisation à la
,fin de ce trimestre. 11 en est de mème en ce
qui co ncerne les modificatio ns résu ltant du
réajustement du montan t des capitaux garantis à la suite de changements survenus
dans la situation de famille ou le traitement des assurés.
Obligaiions de la CaIsse Nationale
Risques garantis.
Article 6. - La garantie de l'assurance
s'étend à tOUS les ri sques de décè s sous les
réserves ci-ap rès :
10 Décès résultant d'accidents, blessures
ou maladies survenues du fa it volontaire de
l'assuré ou du bénéficiai re. Ces risques sont,
en principe exclus.
Toutefois, en cas de suicide, la Caisse
Nationale paye ,le cap ita l gara nti si, depuis
deux années, l'assuré était co mpris dans une
assurance collective an nuelle ou si, le suicide étant survenu au cours des deux premières années d'assurance, la preuve est
apportée qu'il a été inconscient.
2· Décès résu ltant de la g uerre:
Est co nsidéré comme décès résultant d'un
fait de guerre :
- celui provoq ué par un engin de guerre
ou co nsécutif à une blessure ou à une lésion
infli gée par l' action des belligérants j
- celui provoqué par des vio lences exercées Ipar l'ennemi ;
- ce lui survenant pendant que l'assuré
est prisonnier ou est l' objet de dêportation
ou d'internement du fait de l'ennemi.
Sont assimilés à raction d~ l'ennemi, à la
défense co ntre l'en nemi, les actes de même
nature aocomplis par ou contre une puissance quelconq ue en bdl igérance de fait ou
de droit.
Si le décès de l' ass uré résulte d'un fail
de guerre, la ga rantie du contrat joue dans
les conditions suivantes :
A l'expiration d'un délai d' un an après ,l a
date léaale de cessation des hostilités, la
Caisse t-Nationale procède à la répartition
du fonds spéc ia l oréé pour la co uverture du
risque de
entre tous Iles bénéficiaires
dont l'assuré est décédé du fait de guerre,
le bénéfice de cette répartition ne pouvant
jouer que dans la limite d'un capita l maximum de 5OO.0CX> francs pour chaque t~te
assurée. •
, La Caisse Nationale paie alors:
a) Si l'importance du fonds le permet, .e
c<lIpital assuré, limité à 5OO.CKXJ francs i
b) Si l'importance du fonds ne permet
pas cette rêpa rtition, un capital réd uit évalué proportionnellemen t à la valleur du Capital prévu, à l'alinéa pr écédent :
Si les bén éficiaires ne peuvent apporter la
preuve que le décès survenu au cou rs des
hosti lités ne résulte pas d'un fait de guerre,
.çe décès sera considé ré par la Caisse Nationale comme en résu ltant.
Les dispOSitions' visées ci -d essus ne sonl
applicables qu' aux con trats souscrits antérieurement à la date d'ouverture des hostili tés.
Paiement des capitaux
Ar(icle 7. - Le paiement des sommes
dues par la Caisse Nationale en cas de décès d'un assu ré au cou rs du contrat, est
effectué sans intérêt, il la collecti\'it~ Co ntractante, à cha rge par elle de les reve rser
aux benéficiai res, après rtception des pièces
justi.ficati\'cs ci-ap r ès :
1" certi ficat de la coUedivité co ntractante
attestant:
a) que l'intéressé appartenait au groupe
aSSu re lors de son décès;
b) qu'il existe des ayants-droit susceptibles de bénéficier du ca pital tels qu'ils sont
définis à l'article 7, paragraphe 2 du décret
n" 47-2045 du 20 octo!>re t 947 relatif au
régime de securité sociale des fonction naires. Le certificat doit préciser les noms,
qualités et adresses de ces aya nts-droit.
2 0 extrait sur papier libre de rat.:te de
décès ;
3" certificat médical constatant le ge nre
de maladie ou d'accide nt à la suite duquel
j'assuré a succombé ;
4" si le cap ital assuré est supeneur à
500.000 francs, cNHficat délivré par l'Inspecteur de l'Enregistrement compete nt et
co nstatant, soit l'aoquittement par le bé n ~
fici aire de l'impôt de mutation par décl.'S,
soit la non-exi gibilité de cet impôt. La production de ce certificat est exigée, quelle
que soit la somme due, lorsque les ayantsdroit sont domiciliés il rétranger.
Poiflt de depart , durée et renoul'cllemcfll
du contrat
Article 8. - L'assurance est conclue pour
une période d'une année à parti r de la date
fixee aux conditions particulières.
Le contrat prend effet du lendemain, à
zé ro heure, soit du jour où la Caisse Nationale reçoit l e chèque bancaire ou la somme représentant la ' prime lI'assurance, soit
du jour où le compte lie chèques-postaux
du Caissier géné ral de la Caisse des D~p ôts
et Co nsignations a été crl'dité de l adite
prim".
------- (~oo«)-------
�104
EN
02 B3
0
ENSEIGNEMENT DU 1er D EGRE
CONSTRUCTIONS SCOLAIRES
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
d MM. les Maires du Département,
Au cours de ,J'année 1951, le Gouvernement, r epondant à de nombreuses sollicitations, a, par des mesures de déconcentration
en matière de constructions scolaires du premier degre, tenté de simplifier la procédure
jusqu'ici employée pour ragrêment des projets et J"octroi des subventions.
C'est ainsi que les Prêfets, dans la limite
des crédits globaux de programme accordés
chaque année par le Ministère de l'Education Nationale, sont désormais compêtents
pour les travaux d'un montant n' e.xcédant
pas 50 millions.
En \'ue de fai r~ donner à ces mesures
4eur pleine efficacité, il est nécessaire que les
instroctions relati ves aux formalités préalables â la construction des bâtiments scolaires soient scrupuleusement observées.
Notamment, je rappelle qu'en auCun cas
la Municipalité ne doit fai re êtablir une étude par un architecte, tant que celui -ci n' a
pas été agréé et que M. l'fnspecteur d'Académie n'3 pas établi le programme pédagogique indlsPensabl e_
De même, il conviend ra de signaler aux
architectes pressentis, en vue d'établir un
avant-projet pour la const ructi on d'une école, qu'ils doivent éviter de se lance r dans la
préparation d'un travail trop poussé qui
donne lieu a des frais sou vent inutiles et
parfois abusifs pour lesquels des paiements
d'honoraires sont ensuite réclames_
Les intéressés seront au surplus invités
par vos soins à se mettre en rapport avec
M. EGGER, conseiller technique du Ministère de l'Education Nationale, 38, rue Longue-des-Capucins, à t\1arseille, qui les fi xe ra
SUT la façon de préparer cet avant-projet.
Je vous demande enfin instamment de bien
\'ouloir, a\'ant tout commenceme nt de formalités, prendre contact avec mes Services,
qui vous donneront tous les renseignements
nécessaires sur l a procédure à suivre.
R. PAIRA.
---c,oo<~,----
04
B3
CIA 0
ELECTIONS CONSULAIRES
Arrêtés préfectoraux instituant les Commissions chargées de vérifier l'exactitude des listes électorales dressées
pour l'année 1952.
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Legion d'Honneur,
Vu la loi du 14 janvier 1933, rela live à l'élection des membres des Tri bun a ux de Commerce ;
Vu la loi n° 50.982 du 17 août 1950 modi·
fiant la loi du 14 janvier 1933 et notamment
ses articles 1 et 2 ;
Vu la proposition de M. l e Président du
Tribunall de Commerce de Marseille i
Vu les propositions de M. le Président de
la Ohambre de Comme rce de Marseille ;
Sur la proposition de M . le Secrétaire Générai des Bouches-<1u-Rhône ;
ARRETE:
Article premier. - Il est institué au siège
du Tribunal de Commerce de Marseille une
Commission chaT~ée de ver ifier l'exactitude
des listes électorales consulaires dressées
-
Le Préfet des Bouclles-du-Rh6n
pour l'année 1952 par les Maires des comOfflcter de la Légion d'Ho Rneure,
munes du ressort. Cette Commission est
Vu la loi du 14 janvier 1933
.'
composee des membres ci-après;
d'élection des membres des Trih rel ative â
- M. NUGUE Albert, juge titulaire,
Commerce .
unaux de
chargé de la surveillance du Registre du
.
Vu
la
loi
'n
"
50.982
du
17
août
1950
.
Commerce, P.resident.
hant la 101 du 14 janvier 1933 et Ilot' rnOdl·
- hl MERt-I!ET Raymond, attac hé de
ses articl es 1 et ? .
amment
Préfec ture, representant M. le Préfet ;
Vu
la
'propositi~n'
de
M.
'le
Préside
nt d
- M. MARIOTTI Antoine, vice-présidenl
de Commerce de Salon-<1 •. p u
de la Chambre de Commerce de Marseille, , Tnbunal
ve nce .
~
président de la Féd ération des Syndicats
Vu
ies
propos
itio
ns
de
M.
le
Présidenl
Commerciaux et Industriels ;
de ,l a Cham!>re de Commerce de Mars.ille .
- M. BLACHETTE Emile, memb re de la
, Vu Jes proposItIons de M. le SOus-Prélel
Chambre de Commerce de Marseille, présid Alx ...en-Provence i
dent de la Société pour la Défe nse du ComSur la proposition de M. le Secrétaire Gêmerce et de l'Industrie,
néra
l des Bouches-du-<Rhône ;
désig nés par cette Compagnie.
ARRETE:
Article 2. - M. le Secrétai re Général de
la Préfecture est chargé de l'exécution du
Article premier. - II est instilué au siège
présent arrêt é, qui sera publié au Bulletin
du Tribunal de Commerce de S~lon-de-Pro_
des Mairies et Recueil àes Actes Aëlminisve nce une Commission chargée de vérifier
tratifs.
l'exac titude des l istes électorales consulai res
dressées pour l'a nn ée 1952 par les Maires
Marseille, le 30 avril 1952.
des Communes du ressort.
Le Préfet :
Cette Commission est composée des memRené PA l RA.
bres ci-après :
.
- M. GIRARD Jea n-M a ri e, président dn
•••
Tribunal de Commerce, chargé de la surveilARRETE
lance du Regjstre du Commerce, .président;
Le Préfet des Bouches-du-Rh6ne,
- ,M. LIOTARD Raoul, inspecteur COll·
Officier de la Légion d'Honneur,
tr ôl eur des Contributi ons Directes à Salon,
rep résentant de M . le Préfet ;
Vu la loi du 14 janvie r 1933, relat ive à
- M. TEISSIER He nri , membre de la
l'élection des membres des Tribunaux de
Chambre de Commerce de Marseille ;
Commerce;
- M. LEBRE Gabriel, ancien membre-cor·
Vu la loi n' 50.982 du 17 août 1950 modirespondant de la Ohambre de Commerce de
fiant la loi d u 14 janvier 1933 et not~mment
Marseille ;
ses articles 1 et 2,
VII la proposition de M. le President du
désignés par cette Compagnie.
Tri bunal de Commerce d'Aix-en-Provence ;
Arlide 2. - M. le Secrétaire Général de
Vu les propositio ns de M. le Président de
la Préfecture est chargé de l'exéc ution ~u
la Chambre de Commerce de Marseille ;
pr ésent arrêté, qui sera publié au Bulletin
Vu les propositions de M. le Sous-Préfet
des Mairies et Recueil des Actes Ad ministrad'Aix-eo-Provence ;
tifs.
Sur la proposition de M. le Secrétaire GéMarseille, le 30 av ril 1952.
nérai des Bouches-du ....Rhône,
Le Préfel :
ARRETE:
René PA IRA.
Article premier. - Il est insti tué au siège
:.
du Tribunal de Commeree d' Aix-en-Provence
une Commission cha rgée de vé rifier l'exactitude des listes électo rales consulaires dresLe Préfet de s Bouches-du-Rhône,
sées pour l'a nn ée 1952 par les Maires des
Officier de la Légion d'Honneur,
Communes du resso rt.
Vu la loi du 14 janvie r 1933, relative â
Cette Com missi o n est composée des meml'élection des membres des Tribunaux de
bres ci-après :
Commerce ;
.
- /VI. Lf,NOfR Rodolphe, juge titulaire
Vu la loi n' 5O.9S2 du 17 aoû t 1950, modli
men
chargé de la surveillance du Registre dll
fiant la loi du 14 janvier 1933 et nola m
Commerce, président j
ses arti cles l et 2 j
.
t du
- M. DUMAS Paul, secrétai re adminisVu les propositions de Iv\. le Préslden
tratif de la Sous-Préfècture d'Aix-eo-P roTri bunal de Commerce d'Arles;
. t de
"ence, rep,,;sentant de M. le Préfet ;
Vu les propositions de M. le Préslden
- M. POUCE;L Raymond, membre de la
la Chambre de Commerce d'Arles; p éfel
Chambre de Commerce de Marseille ;
Vu les propositions de M. le Sous- r
- M. COQ Célestin, membre de la Chamd'
Arles
;
. 06bre de Commerce de Marseille
Sur la proposi tion de M. le SecrétalTe
désignés par cette Compagni~.
néral des Bouches-du-Rhô ne,
Ar/icle 2. - M. le Secrétaire Général de
ARRETE :
la Préfecture est aha rgé de l'e xéc ution du
. nué aU siège
présent arrêté, qui sera publié au B l~lIetin
Article premier. - Il est Ins 1
Comdes Mai ries et Recueil des Actes Administradu T ·ri bunal de Commerc~ d'~rlesct~~~e des
tifs.
mission char gée de véri'tÎ.er 1 exa slé~S pour
listes él ectorales consul~lres dresCommunes
Alarseille, le 30 av ril 1952.
l' a nn ée 1952 par les MalTes des
Le Préfel :
du ressort.
nr
René PAIRA.
Cette Commission est composée des nif
hres ci-après :
105
_ M. COUSTELLl,ER Eugène, juge titulaire, chargé de I ~ ~urveillance du Registrr
ôu Commerce, President ;
_ Mlle DUMONET Germaine, secrétaire
administratif à lia Sous-Préfecture d'Arles,
representa nt M. le Préfef;
_ M. T HIERS Alfred, vice-president de la
Q lambre de Commerce d'A rles, directeur
technique
des
Etablissements « Au Lion
d'Arles :t j
_ M. LAPY /VIau r ice, mem bre de la
Ohambre de Commerre d'Anles, limonadier,
désignes par cette Compagnie.
Ar/icle 2. - /VI. le Secrétaire Général de
la Préfecture est chargé de l'exéc ution d u
prése nt arrêté, q ui sera publié au Bull etin
des Mairies et Recueil des Actes Adm inistrat ifs.
Marseille, le 30 avril 1952.
Le Préfet
René PA IRA.
•••
Le Préfet des Bouclles-du-Rl!6ne,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu la loi 'd u 14 janvier 1933, rel ative à
1'é'lection' des meml1res des Tribunaux de
èommerce j
Vu la loi n' 5O.98g du 17 août 1950 modifiant la loi du 14 jan vier 1933 et nota mment ses articles 1 et 2 j
Vu les propositions de M. le Président dll
Tribunal de Commerce de Tarascon j
Vu les propositions de M. le Président de
la Chambre de Commerce d'Arl es j
Vu 'les propositions de M. le SOlls-Préfet
d'Arles j
Sur la proposition de M. le Secrétaire Géneral des Bouches-du-Rhône,
ARRETE:
Article premier. - Il est institué au si ège
du Tribunal de Commerce de Tarascon une
Commission ohargee de vérifier ,' exactitude
des listes électorales consulaires dressées
pour l'année 1952 par les Maires des communes du ressort.
Cette Com mission est composée des membres ci-après :
- M. MISTRAL C harles, juge titul a ire,
chargé de la su rvei l·lance du Registre du
Commerce, Pr ésidenf j
- !vUl e DUMONET Germaine, secrétaire
administratif à l a Sous-Préfecture d'Arles,
représentant M. le Prèlet ;
- M. ~UY Eu gè ne, membre de la C hambre de Commerce d'Arles, expéditeur en
fruits et léaumes
o
,.
- M. MAURON Jacqlles, membre de la
Chambre de Commerce d'Arles marc.hand
grainier,
'
désignés par cette Compagnie.
Arlicle 2. - M. le Secréta ire Général de
la Pré.fecture, est chargé de l'exécution du
présent arrêté, qui sera publié au Bulletin
d
t .es Mam es et Recueil des Aè-tes AdministraIfs.
Marseille, le 30 av ril 1952.
Le Préfet :
Ren é PAl RA.
---«),00«11'----
TEXTES D'IHÉRH GENÉ8HL
CirClUlaire concernant plus spécialement
les Administrations de l'Etat
02 BI
AC 2
CIRCULAIRE MINISTERIELLE EN DATE
DU 21 AVRIL 1052 RELATIVE AU
RELEVEMENT DU PLAFOND A
RETENIR POUR LE CALCUL DES
COTISATIONS DE SECURITE SO-
CIALE.
N" 766 C. 1 - Lie 2686
Paris. le 2 1 avril 1952.
Le Président du Conseil,
Ministre des Finan ces
el d'es Affaires Economiques,
à M. l e Ministre de l'In férieur,
j'ai d'hOnneur de vous faire connaître que
la loi de Fjnances pou r l'exercice 1952 !publi ée au « Journal Officiel • des 14 et
15 avril a notamment, dans so n ar ticle 18
dont les dispositions prennent effet au
1er avril 1952, porté à 456.000 francs par
an le plafond à retenir pour la détermination du montant maximum des cotisations
des Assurances Sociales, des cotisatio ns
d'allocations familiales et des cotisations
d'accidents du travail. Ce plafond avait été
fixé à 408.000 francs par l'article 8 de la
,loi du 26 septemb re 195 1 (cf. lettre
n' 7111 FLIC 2533 du 8 octobre 195 1) .
L e décret n' 52-409 du 14 av r il 1952 publi é au « JOllrnal Officiel > d'lI 15 avril 1952
a fixé, sut la base du nouveau plafond annuel, Il'es plafonds à appliquer suivant la
péri od icité des .payes ; ces plafonds so nt
indiques ci- après :
114.()(x) frs si Je salai re est reglé par trimestre ;
38.000 frs si te sa~aire est réglé par mois;
19.()()() frs si le salailre est réglé par demimois;
17 .540 frs si le salaire est réglé toutes les
deux semaines ;
12.670 Jrs SI le salaire est réglé par décade ;
8.770 irs si Je salaire est réglé par semaine ;
1.750 frs si le salailfe est réglé q)a r jour i
880 frs si le salaire est réglé par demijournée de travaiJ ne dép...1.ssant pas 5 heu!res;
220 frs par heure, si le salaire est réglé
pour une àurée de travail inférieure à
5 heures.
Par conséquent, à partir du 1er avril 1952,
lorsque le montant de la rémunération sur
laquelle est assise la cotisation d~passe . les
.placfonds indiqués ci-dessus, la dite cotlsa1ion est calculée sur l a base de ces plafonds
sans tenir compte de la partie de la rému nération excédant le chiffre retenu pour le
calcul de la cotisation.
Si les adrrunistrations n·ont pu faire
al>[llication des Ilouvelles di~posit.ions à l'occasion de la liquidation des traitements ou
sal ai res du mois d'avril, ,les décomptes d'émohlments ne devront pas ~tre modifiés ; en
paJreil cas, le montant d~ coml>léme~1t d~ ~
tisation restant dO au titre du rvOIS d a.vnJ
sera précompté. en sus de la cotis.ation normale sur les émoluments du mOlS de mai
1952.
j'ajoute que, en raison du relèvement du
Icul de
plafond annuel à rete ni r pour Je
la cotisation de Sécurité sadaIe, la cotisa-
lion mensuelle maximum ,,"sceptible d'êllre
retenue à un même agent, en matière de
Sécurité sociale des fonctionnaires, se trouve
portée à 950 francs, à compter du 1er avril
1952.
Le montant maximu m du capital--d.écès susceptiJjJe dJêtre versé aux aya nts-ca use des
fonctionnair~ décédés après 60 ans et non
enCOre admis à faire valoir leurs droits à la
retraite, qui était ant-érieurement fixé à
102.000 frs, est lw-m ême porté à 114.000 ;
ces nouvelles dJspositions sont applicab1es
dans tous les cas où le décès est survenu depu.is le 1er avril 1952.
Sont également modifiés, à compt!er du
1er avril 1952, les maxima que ,peuvent
atteindre les indemnités d'assurance-maladie,
longue maladie ou invalldité dans le cas où
le fonctionnaire a épuisé ses droits statutai'res à traitement ou lorsq ue les droits
statutaires son t irliférieu rs aux indemnités de
Sécurité sociaie ; ces maxima s'établissent
désor.mais comme suit :
635 frs
Indemnité journalière normale. .
. Indemnité journalière majorée
(3 enfants ou plus) .........
845 frs
Indemnité men s uelle normale .. 19.000 Irs
Indemnité mensuelle majo rée
(3 enfants o u plus) ......... 25.335 frs
Les dispositions de la 'P resente lettre ne
sont pas applicabl es aux agents de l' Etat en
activité dans les départements d'Qutre..,.'vter ;
4a cotisation à la charge de ces agents devra,
jusqu'à nouvel orolre, être calcu lée dans les
condWons fixées par la ci rculaire du Ministre du Blldget n' 8-1 8/12 du 15 janvier
1952.
Po ur le "'lin istre et par Déléga tion ,
Le Dù'ecleur de la Comptabilité Publique,
POllr le Directeur de la Comptabi lité
Pu blique, le Directeu r-Adjoint
R. ARNOULD.
•
Communiqués - A vis
Annonces diverses
04 B2
DONS ET LEGS
Avis publié e1l exb:mtio1l de l'srticle 3 du déver dlf 1er févrIer 1806, dall..1 le but d'~nvi:hcr
!.es héritiers jt'connus des teslateurs li prC1ld~
ton1l4is,sallce du testalttC'lt. CIl tille de dOnlle,.
leur consentement ou de produire leurs moyen.!
d'oppos/ tipu.
Les rt!clamatioll"s tle sont ret:et'obles que danJ
cm d él~ de trois mois ci partir de "wsertlon
ou c Bulleti.n ».
Par testatement authentique du 23 janvie r 1952, déposé aux· minutes de M- Jean
COURTES, notaire à Marseille, 78. rue StFerreol, feue Madame LE RECULEY, veuve MIQUELLY a légué aux Petites Sœurs
des Pauvres des Cha r treux de Marseille une
somme de vingt-cinq mille f rancs.
Conformement aux dispOSitions du décret
du 1er ft!vrier 1896, les héritiers co nnus ou
in connus de Madame LE RECULEY veuve
MIQU EI.JLV sont invités à prendre connaissance du testament, donner leu r co nsentement à son exécution ou produire leurs
moyens d'opposition dans lun délai de trois
mois à dater du jour du prést!nt avis.
Marseille, le 7 mai 1952.
�MM. les Maires interessés par
05 B2
Un conCOurs pour
le
recrutement
d' un
Commis d'O rd re et de Comptabilité au!a
Ueu à la Mai rie de La motte-Beuvron (LOIret-Cher), le 14 juin 1952.
Les demandes d'i nscriptio n seront reçues
jusq u'au 4 juin 1952.
.
Pour tous renseignements complémentai-
res, s'adresser à M. le Maire de LamotteBeuvron.
Pour le Prélet,
/"
Le Ch ef de Division délégué
LODS.
can-
e Verte Feuille >; traverse
DEMANDES D'EMPLOI
aide-comptab1e, télé-
phoniste, neuf ans de services c Personne!
Civil Armée de Terre :., sollicite un emploI
de bureau dans une commune du département des Bouches-du-Rhône.
Manteault,
:.
Commissai re de Police dégagé d es cadres,
licencié en droit, dipl ômé d'étud es supérieures, 32 ans, désirerait obtenir un emploi
communal dans le d épartement des Bouchesdu-Rhône.
MM, les Maires intéressés par cette candidature vo udro nt bien se mettre directement
en rapport a vec M. André MALMEJEAN, 13,
rue Victo r-Hug<>, à Vau ve rt (G a rd).
:.
La Mair ie de LA ROQUE D·ANT'H.E.RON
no us prie de s ig naler que le poste de gardechampêtre se t,rouve vacant.
P ou r to us renseig nements, s'adresser directement à la Ma irie de cette localité.
10' Ann ••. -- N· 21
DËPARTEMENT DES BOUCHE..S-OU-RHONE
,
VENTE DE DEUX VOiTURES
TOURIS.ME
Le Département des Bouches-du-Rhône v,
procéder à la vente su r so um issions cache.
tées de deux vo itures to urisme:
OITOOEN 11 CV SL. 201 2 CB 4
CITROEN 11 CV BIL. 1861 CB 6
La vente aura lieu à la Préfecture des
Bo uches-du-Rhône, saHe 21 5, le 4 juin 1952
à 16 heures. Les soumissions devront êtr~
dépos ées au plus tard le 3 juin 1952 à 12
'heures, dernier délai, à ,la Préfectur'e, Direc tion des Services Techniques, bureau
43 (bis).
Le dossier complet, qui comprend toutes
les autres prescriptions de la vente, pourra
ê tre consulté à la P,éfecture des Bouchesdu-Rh ô ne (Burea u 43 bis) et dans les Sous·
Prélectures d'Aix et d'Arl es .
------- <~ o o<~ -------
FRANf1AIS:ij:
f
o. S. T.
à
Saint-Just, Marseille.
------- <~oo<~,-------
Sec rétai re copiste,
cett~
didature voudront bien se mettre directement en rappo rt ave< AUle SAQUARY, vill a
AVIS DE CONCOURS
02 B3
RÉPUBLIQUE
22 Mai 1952
106
Recueil des Actes Adm\nstratifs
et Bulletin des Mairies
Toute corre spondan ce r eLative au Rec ueil doit étre a d ress ée à la Préfecture Secrétariat Général
A.BRÉVIA.TIONS
Les lettres D et B s uivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Burea u d·ori gine.
D. S. T. : Directio n des Services Technique>. -- D. D. S. : Directio n Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Population.
A. P. : Arrëté préfec tora l. -
C. : Circulaire -
Le Directeur des S ervices Techniques:
SOMMAIRE
DAUD E.
Pa8'(!$
Arrêtés réglementaires et CIrculaires
Pages
AG 2. -
Ci,rc ul ai re ministé ri ell e nO 200
d u 9 ma i 1952 relative a u
classement ind iciaire des agents
communau x ........ ..,.....
AG 2. ~ Circul a ire ministéri ell e n° 182
AD/3 du 30 av ril 1952 relat ive a ux
emplois rés ervés co m mu na ux .,.
AG 7. - Arr êté préfecto ra l porta nt
délegatio n pour p réside r les séances
des co nseils de révision qu i siège ront
dans l'arrondissement de Marseille,
P 0, - Jur y cri mi nel pou r l'a nn ée
1 952 -1 ~53 ........ . .............
110/3
107
1ID
110
11 0
P 5. - Circul ai re mi ni sté r iell e n° 193
du 7 ma i 1952 relative a ux cou,rses
de taurea ux ............... , , ... , .
fS 7. -- Com positio n de la Co mmission dépa rteme nta le de réforme d u
personnel hos pi ta li er pour l'année
1952 ........ ........ ..........
A 5. - Circulaire mini sté ri ell e rela tive
à l'a pplication de l'arrêté d u 24 ma,rs
1952 su r l'épa ndage des pro dui ts
a ntipa rasitai res. (Ti t re II. Dispositions particulières concerna nt la
protectio n des abeilles) .. ..... .. . ..
CIA O. - Exploitatio n des ca rr iè res
à ciel ouvert ........ , ........ ,..
III
11 2
Pa aes
ClA 4. -- Appl ication du déc ret d u
15 juill et 1949. -- Co nditio ns dans
lesq uetIes des travaux peuvent ttre
exéc utes par des chômeurs
Textes
113
d'intérêt communal
AG 2. -- Statut du Pe rsonnel communal. - LOf du 23 avri l 1952 (J.O.
des 28-29 av ril 1952) ............
115
AG 2. 11 2
Indemnités aux agents des
coUectivités locales. - Ar rêté interministériel du 20 mars 1952 (J.O.
du 17 3>v.ri l) ............ . .. .......
115
11 3
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
-- --<--=- --------------------
02
P our le Prélet,
L e Sous-Préf et,
Dir ecteur du C:abin et
Si g né : PLETINER
AG 2
CIRCULAIRE MINISTERIELLE N ' 200
AD/ 3 du 9 Mai 1952 RELAT IVE AU
CLASSEMENT
INDICIAIRE
DES
AGENTS COMMUNAUX_
J'ai l' ho nn eur de porter ci- dessous à la
co nn aissa nce de J\>\N\. les Maires du Dépa rteme nt le texte de la circul ai re n" 200 AD /3
du 9 mai 1952 pa r laque ll e M. le Mi nist re
de n f\térieu r précise les cond itions d'application de l'a rrêté d u 10 novembre 195 1
porta nt modificatio n de l'a r rêté du 19 novemb re 1948 relatif a u classeme nt indiciai re des en;plo is co mmu naux.
P our le P,r;!let,
Le Sous-Préfet, Dir ecteflr dfl Cabinel
PLETTNER.
••
CHAPITRE 1
•
CirCUl ai re n' 200 AD/ 3
·Pa ris, le 9 ,Mai 1952.
Le Ministre de l'Intérieur,
•
modifié le classeme nt indiciaire de certains
emplois admin istratifs commu naux résulta nt des arrêtés des t9 novembre 1948 et 3
mars 1950.
Cette modification compo rte, d' une pa rt,
l'aménagement des échelles indiciaires ~e
chei de burea u sous-cllef de bu reau et rcdacteur et, d'a'utre part, la création d'u ne
éc helle d'agent principal.
La prése nte instructio n a pour objet de
précise r les modalités d'app.li~ation de ces
mesu res qui ont eu Ip our oflg'1I1e les transformations ou crêations de cadres sun'enues dans ce rtaines admi nistrations de
l'Etat, depuis l'inten~e nti o n du ·reclassement
des grad es et emplOIS.
li MM. les Préf els de la Métropole,
OBJET : Ap pfi cati o n de ,l'a rrêté mini sté r ie l
d.u 10 novem bre 1951 po rta nt mod ification de l'a rrêté du 19 novembre 1948,
relat if a u cl assement indiciai re des emplois Communaux.
L'ru'rèté d u 10 novemb re 1951 (pub lié au
Jou"131 Offi ciel » du 13 fév r ie r 1952) a
OBSERVATIONS GENE RALES
A la suite des transformations survenues
en 1949 dans la structure des cad res des
préfectures, j'ai eré saisi, ai~ls i q~e M, le
h\inistre du Budget, de plllsle~rs interventions tendant à la transfo rmatio n des g rades de chef de burea u et rédacteur en un
(J' rade unique d'attac hé de mai, rie,
II n1 a pas paru possi ble d~ p.rocé~er à
une no uvelle modification ~LII . nsqu,alt de
remettre en question l'o rga nls~tt,o n m,Ise sur
pied dans les se rvices admlOlstrattfs des
~
cOlT'JJ1unes depuis l'i ntervention des échellestype ministé rielles en 1944,
T outefois, afin de permettre aux Conseils
muniCipaux qui le désireraient d'accorder à
leu r personnel admi nistratif des avantages
de ré munération comparables à ceux dont
les agents des préfectu res ont bénéficié par
applicatio n du déc ret 49-870 du 4 juillet
1949, j'ai dû , en accord avec M. le Min istre du Budget, a.p porter au classement
indic iaire des cadres administratifs mllnici~
paux des modifications que les Conseils
municipau x pourront adopter si elles leur
pa raissent répo ndre, dans chaque l'.as particulier, à une nécessité,
Le nombr e maximum des b~lléficiaires
des échelons excep ti onnels n'a été fixé en
pourcentage du nombre des agents que pour
les vi lles de A\arseil1e et cie Lyon dont les
effectifs sont connus du J\linistère de l'Intérie ur,
Compte tenu de la diftél ellce souvent fort
importa nte qui ex iste ent re les effectifs des
cad res administ ratifs dans plu ieurs viUes
ayant des chiffres de population voisins, il
a paru piuS équita ble d'a rrêter en valeur
absolue, en ce qu i concerne les aut res villes
le nombre des agents susceptibles d'accéder
à ces échelons.
L'inst it utio n d'une échell e d'age nt prin1 répond à la nécessité d' offrir aux
�. 108
Assemblées municipa les le moyen de créer
un cadre d'a\'ancement en faveur des
commis d'administration
auxquels ont été
confiées des fonctions d'encadrement ou des
resp onsabilités particul i~ r~.. .
Désormais J'échelle IndiciaIre des chefs
de bureau ~ous-chefs de bu reau ou rédac-
teurs pou;ra varier selon l'importa.nce d~
mographique de la co mmune. Le meme cn-
tète sera reten u pou r la détermination du
nombre des agents princi paux.
Je rappelle à cet égard :
1· que le critêre de la populatio n, bie~
que parfois insuffisant, est cependant cel uI
qui traduit le mieux l'importance des servÎces municipaux nécessa i res aux besoins
narmau.x de la commune. La ection du
Personnel du Conseil National des Services
Publics dtq>artementaux et communaux,
consult ée sur l'opportunité 'de substitue r un
autre critè re à celui-là, n'a pu faire à ce
sujet de pro positions concr ètes tendant à
permettre de teni r compte d'éléments ~'ap
préciatio n no n démograp hiques po ur dete rminer simplement les tr aileme nts maxi mums
des fonctionnaires des collectivités locales;
2" que le chiffre de populatio n à rete nir
po ur l'app.lication des a rrêtes ministériels
relatifs au re classement des fo nctionnai res
commun aux est, en vertu des dispositio ns
du decret n' 45-2 155 du 22 septemb re 1945,
d éclarant la nécessité d' un nOuveau d énombrement géné ra l de la popu la ti on, celui de
la c population municipale totale >, d'o ù
est exclu le chiff re de la populatio n dite
c comptée à part » (cf. article 2 du décret
précité).
CHAP ITRE Il
ECHELLES DES CADRES SUPERIEURS
10 Eche/[e de chef de bureau.
L'échelle indiciaire de chef de bu reau
reste fixée à 275-390 en 6 échelons dans les
communes de 10.000 à 60.000 habita nts. Les
Assem blees des vil les de plus de 60.000 habitants peuvent prolonge r cette échelle :
- en ce qui concerne les communes de
60.001 à 200.000 habira nts : pa r un échelo n
exceptionnel 410, acco rd é à un ou deux
agents au maximum;
- en ce qui concerne les communes de
200.001 à 400.000 habitants : p a r un écheIon 410 accessible à la totalité des fo nct io nn ai res du g rade de chef de b ureau remplissant des conditions d'ancienneté fixées
p a r chaque statut particulier et par un
échelon 430 résen 'é à trois agents se uleent.
U
2' Echelle de sow;-chef de bureau.
L'échelle fixée par l' arrêté du 19 nove mbre 194 soit 225-315 est prolongée d'un
Se échelon 3-W accessible à l'ensem ble des
agents remplissant les conditions d 'a ncienneté p révues p'l.r les statuts locaux du pe rsonnel et d'un échelon exceptionnel 360
réservé à un nombre limité de fonctio nn aires fi xé par l'arrêté ministériel.
la créatio n d'un emploi sllpplémentaire de
rédacteur, d'autre part, l'attribution de
l'échelle indiciaire de rédacteur c: des
communes dans lesquelles n'existe pas de
cadre de sous-chefs de bureau > à un nombre de rédacteurs déterminé en fonction du
r appo rt exista nt dans la commune entre le
nomb re de pos tes de sous-chefs et celui des
postes de rédacteurs.
Exemples :
a) Le tableau des effectifs du personnel
de la co mmune A de 80.000 habitants
comporte 14 p ostes de rédacteur et 7 postes de so us-chef. La disparition par extinctio n d'un poste de so us -chef de bureau
permettra d'octroyer à deu x rédacteurs
(14)
- r échelle ind ic iaire 185-315
7
b) Dans la commune B de 80.000 habit ants égaleme nt, le cad re de sous-chefs de
b ureau com porte 6 unités et ce lu i de r édacteu rs 1 unit és. La dispa rition - d'un poste
de sous-chef de bureau pourra avoi r pour
effet d 'acco rder l'éc helle 185-3 15 à trois
rédacteu rs (18).
-
à ce que les Assemblées adoptent des règJ
d'avancement aux cl asses exceptionnelles es
ten~nt pa.s seuleme,nt compte de l' ancie~~
nete acq lllSèe dadns 1 éche lo n précédent mais
de la maOl re e servir des intéressés.
CHAP ITRE III
OREA T'ION OU CAQRE D' AGENTS PRINCIPAUX D' ADMINISTRATION ET ACCEs
AUX POSTE.S DE COMMIS D'OIIDRE
ET oDE C()'\~PTAJ3 IL1T E.
SECTION 1
Cadre
d'a gents
principaux
Les Consei ls Municipa ux qui auront décidé de créer ce cadre fixe ro nt les règles
d'a vancement au grade d'a gent principal.
Les dispositions de l' annexe Il de l'arrêté ministériel du 10 novembre 195 1 leur
laisse nt la faculté d' arrêter les conditions
d'accès qui leur pa raîtront légitimes.
Le nombre maxim um d e postes d'agent
principal doit être fixé en fonct ion dé l'impo rtance d émog rap hique de chaque Commune.
Toute tranche de 20.000 habi tants enta{llée pourra p ermettre la créa tion d'un em6
ploi supp léme nta ir e d'agent principal.
Da ns les communes de moins de 20.(0)
Je \'ous si g na le qu'i l co nvie nt de n'use r
qu'avec prudence, en faveu r de ces a ge nts,
habita nts, et même lo rsq ue j'effectif des
de la fac ulté de pro mouvoi r deux rédacteurs
commis est restreint, un poste d'age nt prinprin cipa ux a u premie r des deux êc helo ns
ci p al pourra être créé.
de la classe exceptionnelle (340 et 360) ; .
la cr éat ion d e ce ca dre ne dev ra pas
ca r, une fois les deux nomin atio ns interveen train e r de créations d'emp lo is et l'effectif
nu es, auc un e aut re ne pourrait être pronondu no uvea u cad re d ev ra êt re imputé sur
cée a\'ant que l' un des deux bénéficiaires
l'effectif g lobal des commis.
'
n'ait libé ré son poste.
C'est ainsi que da ns une vi ll e de 59.:xlJ
Si l'Assemblée locale le préfère, elle
habitants où existen; actu ellement 9 postes
pour ra attendre la dispa ri tion complète du
de co mmis d'ad mini st r ation et 21 postes de
cad re de sous- chefs de bu reau p ou r faire
commis d'ordre, il po urra être prév u:
bé néficie r la totalité des rédacteu rs de
l' éc hel le supé ri eure.
3 postes d'age nt prin cipal ;
.
8 pos tes de commis d'ad ministration;
3" Ech elle de rédacteur.
19 p ostes de commi s d'ordre.
a) Dans les commu nes où existe u n cadre
de so us-chefs de burea u, l'échelle indiciaire
SECTION Il
actuelle, soit 185-290, peut êt re prolongée
Accès au concours de commis de' mairi(
d'
9 é h 1
3 15 cco dé '
nomb re
L'a nnexe Il de l'a rre'té du 19 novembre
l'un
't ' de fc e ot'n
. a f' r é a un
l' re- té d
1011 e
e one IO nn alres I X par ar
u
1948 est modifi ée p a r l' a rrêté d u 10 novem·
10 novemb re 195 1 ;
b re 195 1 de fa ço n à pe rmettre
Assem·
b) Dans les a utres C'o mmun es, les Con. aux
1
cours
seils municipaux peuvent ajouter à l'éc helle
185-3
8 écconcerne
hel o ns) ;les vil les d e 5.00 1
_ 15
en (en
ce qui
à 60.000 habitants : un éc helo n exceptionnel 340 access ible à un ou deux agents ;
_ en ce q ui co nce rn e les vill es de 60.001
à 150.000 ha bitants; deu x éc helo ns ex cept·
~~~~t~1s; 340 e t 360 aCcessl'bl es a' d eux
_
en
ce qui
co ncerne
les
é
vi ll es de
340
150.00 1 à 400.000 habi tants: un ch ela n
accessible à la tota lité des fon ctionnaires
du g rade de rédacteu r principal remplissa nt
des conditions d'a ncie nn eté fixées par chaque stat ut pa rti culi er et un échelo n exceptionnel 360 dont trois agents seulement
peuvent bé néficier.
Je vo us rappelle que dà ns les co mmun es
de 5.000 à 10.()(X) h abitants, il ne peut exister qu' un seu l emploi de r édacteur.
Vous trouverez en a nn exe un ta bleau
fixant le nouvel éc hel o nn eme nt <les échell es
de chef de b ureau, sous- chef de b ur eau et
rédacteu r.
En portant à la co nn aissance des maires
les dispositions de la présente circulaire,
vous vo udrez
n faire obse rver à ces ma-
blées qui le d ési reron t d'O UVrir e ~?né x
de commis d' o rd re et de comptabdlt au
enquête urs administratifs aya nt 3 ans d.
services d a ns ce cad re.
CHAPIT RE IV
NS DE
APPLICATION DES DISPOSITIO 1951
L'ARRETE
DU 10 NOVEMBRE
AUX
DEPARTEMENTS
ET ETABLISSEME.NTS PUBLI CS.
ét bliss"
Dans les d épartements et les a les
ments publ,'cs co mmunaux autresft .qces
ue Pu.
établissements hospita liers et les a é' d'spoblics d'habitations à loye,r mO/dértiÎUldirls.
san t de cadres p.ropres. d gen s dis osi#
il pour r a êt re fait appli catio n de s
~ans
tions de l'a rrêté du 10 novembre l g5 1
les co nd itions suiva ntes :
a.
Je précise que les cad res de so us-chefs
de bureau pourront être mai nten us à titre
d éfinitif dans toutes les Communes de plus
1" Echelle de chef de bu~eall. . 215-390
de 10.000 habitants où ils existaient au
Cette échelle . r estera fi xée : rtem ent
24 novembre 1948 ; vous devez refuse r
quelle que soit l'imp ortance du d 1~~abliSS'd'approuver la créatio n de nouveau x cadres.
ou ce ll e de la ville do nt relève
Dans l'hypot hèse o ù un Conseil municipal
ment public.
aurait décidé de ne maintenir le cad re de
1
éd 1
2' Echelle de r aC euro
sous-chefs de bureau que J'usqu'à extinction,
. commuvous pourrez autoriser, lo rs de la s uppresassimilés au~
Dans les e'tablissemenls tpubl'cS
_ _ _ _ _5.i.o.n_d.·u. n_ e.m.;p;.l.o.i.d.e_S.O.U.S-.C.h.e...:f,~d.'u.n.e--.:p.a.r...:t,~.g::.i_s_
tr_a_ts_m_u_n_ic...:ip:...a_u_x_q:...u_'i_1:...y~a_u_r_a_it_a_v_a_nt~a"g",e_ nallx.. les rédacte urs:.....:s::e::.r.:.o"....._ _. . . .
b"
109
grade dés villes de 5.00 1 à
a o"cnts de même
.
20.000 habitants.
Dans les dépariemellls, l' éC helle 185-3 15
pourra être prolongée ~ar deux é~ hel o n~
exceptionnels (340) et (360) access,bles a
10 % au maximum des age nts du cadre de
rédacteurs.
3" Echelle d'agenl prillcipal.
Dans les départements et établissements
publics communaux, 1/ 10 de l' effectif des
commis au maxim um pourra accéder a u
g rade d' agent pri ncip a l.
Je vous rap pelle à cett e occasion que les
personnels administratifs des d épartements
et ceux des établ issements publics communaux a utres que les étab lissements hospitaliers sont soumis aux dispositi o ns de l'arrête modifié du 19 novembre 1948.
CHAPITRE V
CONDIT IONS DE RECLASSEM ENT DANS
LES ECHf,LONS ET L'E C HELLE CREES
PAR L'ARRETE M INISTERIEL.
Les Assemb lées o nt la fa cul té dé Ifixe r au
1er janvier 1950 la date d'applic a ti o n des
dispositions commentées da ns les chapitres
précédents.
C'est do nc à cette date que d ev ra êt re
considérée la situation administrat ive des
fonctionn a ires susceptibles, en vertu de cha.que statut particulier, de bénéfici er d' un
avancement a ux éc helo ns suppl émentaires
(lU au nouveau grade d'age nt principal.
La reco nstitutio n de ca rri ère qui pourra
s'en suivre ne devra pas avoi r po ur co nséquen ce de permettre à un age nt d e béné·
ficier rét roac ti vement de plus d'un avancement d'éc helon.
bre 195 1 et de l'arrêté du 22 novembre 195 1
à compte, du 10 septembre 1951.
Pour le Ministre de l' Intérieur
et par délégation,
L e Préfel,
Directeur de l'Administ ratio n
Départementale et Commu na le
P. DAMELON.
•••
TABLEAU. 1
Echelonnement des échelles instituées
ou modifiées
par l'arrêlé du 10 novembre 195 1
.cept i on n e l~e .
Etant donné que la mes ure prend effet du
!er janvier 1950 se ul ement, l'agent pourra
.etre pro mu a u principa lat mais devra attendre au moins le t cr janvier 1953 pour
.atcéder a la classe exceptio nn elle.
Compte tenu des obse r vatio ns qui précè<C1ent, le tab lea u Il ci- annexe fa it apparaître
J e~ traitements co rr espondant, pour l'a nnee 1950, aux indices no uveaux pa r tra nsiormation des 1res classes de chacun des
grades intéressés.
~n ce qui co n~erne l'échelle des agents
P.rJn cip a ux, il a fallu crée r un e éc hell e ficti ve de faço n à permettre te ca lcul des r appels s uscepti bles d'être attrib ués a u titre de
J'année 1950.
b li va sa ns dire qu'à partir du 25 décemre 195<,>, le t rait ement co.rresponOa nt à
f.haqu e m~i~e s~ra fixé p a r ~ppli cation de
1arrêté ministériel du 25 j a n vj~r 1951 pou r
"périOde du 25 d écembre 1950 au 28 févner 195 1, de J'arrêté du 20 novemb re 195 1
pour la périOde du 1er ma rs au 9 septem-
Rédacleur prin cipal :
Classe
3e ...... .. . . .. . ....••. . . , .. .
4e .. . ... .
Classe
Exceptionnelle ... .. ... ...... ..
Principa le ....... • . . ..........
Ire ... . . .. ....... .. . . ,.......
2e .......... _ ...... . . ..•. .. .
3e ........ . . . . .. .. .. .. .•. . ..
4e . . . . . ... .. ... .•... ..... ...
5e .......... ........ ....... .
. . . .. . . .
6e ..........
B. -
Classe
Indice
430
410
390
365
340
3 15
295
275
Villes de 60.001 à 200.000 habitants
Classe
Ind ice
Exceptionnell e ..... .. .
1re ............... . •.
2e ..... . ........ .. . .
3e ... . ............. .
4e .......... . ... . .. .
5e ............ . .... .
6e ................. .
360
340
3 15
297
279
261
Rédacteur :
Villes (l e 200.00 1 à 400.000 habilanls
A. -
lndice
E xcept 2e echelQn ............. .
E xcept. l'er éch e'lo n ... ..• _ . _ .. .
Ire ........ . ........ . .. . .... .
2e .. . . . ......... . . . . . . .. .. . .
C HEF DE BUREAU
4 10
390
365
340
3 15
295
275
SOUS-C HEF DE BUREAU
Indice
1re
2e
3e
4e
2H
223
204
185
Villes de 5.001 ci 60.000 habilants
C. -
RMacleur prinCipal :
Classe
Indi ce
Exceptio nn elle
1 re ......... .
2e ...... . .. .
340
3 15
297
279
26 1
Je ......... .
4e .... . .... .
Rédacl eur :
Classe
In dice
Ire .. ..... .. .
2e ......... .
3e ....... .. .
242
223
204
185
4e ......... .
(Villes de plus de 10.000 " abita nts)
Exemple:
Dans une vi!le J e 250.000 habitants, un
chef de burea u est à la Ire classe de so n
g rade dep uis le 1er janvie r 1945.
ILe Co nseil Municip a l d éci de de faire
a pplicatio n des dispositio ns d e l' arrêté d u
19 novem bre , 1950 et d'exi ge r 3 ans d'ancienn eté en 1re classe pour l'accès à la
.classe principale et 3 ans d'a ncienn eté dans
cette derni èr e pour l'accès à la cl asse ex-
' Vi/les de 60.001 à 150.000 habitanls
B. -
Classe
Exceptionnelle ........ .. _. . . . .
Pri ncipa le ...... ,... ...... . • ..
Ire ............... . . ... _. . . ..
2e .......... .. . . .... ... •....
3e .... .. ...... . .•. . ...... ,. .
4e .......•.. . ....... .... ... .
5e .......... ...... .. ....• ...
6e . ........ . ...... . . ... .. .. .
7e .......... ........ ........
Indice
360
340
3 15
300
285
270
255
240
225
2
0
Communes dan s lesquelles It! cadre de
sous-chets de bureau existe.
Grade
Classe
Indice
Rédac !. principa l
Exceptionnelle
Ire .. . . ... . .....
2e ..... .. ........
3e .... ........ '. .
4e .... . .......
3 15
290
275
260
245
REDACTEUR
10 Communes tians lesquelles n'existe pas
Grade
de cadre de sous-chels de bureau.
Rédacteur
A. -
Villes de 150.00 1 à 400.000 habitanls
f re
2e
3e
In dice
AGENT PRINCIPAL
360
Exceptionnelle
1re ...... ... .
2e . ...... . . .
3e ...... .. . .
4e .. . ... ... .
5e ......... .
3.JO
Classe
3 15
297
279
261
1re
2e
3e .... .... •.
Rédacleur
Classe
Ire
2e
3e
lndice
230
2 15
200
185
4e
Rédacteur principal :
Classe
Classe
Ind ice
242
223
4e ........ . .
5e ... . •....•
6e . ........ .
1l1dice
270
260
250
240
�II I
0582
TABLEAU 1/
Majo rarions
Traite-
TraitemenU
Rémuné:ments
ratiou
du
de
du
de référence
:lU 31-12-::1.7 reclassement let jan,-ier 1er juillet
au
au
au
(traitement
30 juin 24 deoembre
titre
complêmeDt
1950
1050
de 1950
lndices provisoi re)
Classe
(2)
(1)
(6)
(5)
(3)
ClHEF DE BUREAU
(,'illes de 200.00 1 il
~.OOO habitants) et Exceptionnelle ("i1les de 60.001 à 200.000
habitants) . . . . ..... . ..... . ... .
Principale
410
32.666
39.333
5.333
362.000
323.000
286.000
SOUS-CHEF DE BUREAU
33.333
340
255.000
Principale ........... .
REDACTEUR
de cadre de
(dans les communes ou n'exls;('
rG'
(\'illes de 150.001 il
~.OOO habitants) et Exceptionnelle (villes de 5.001 il 60.000 habitants) ........... . ... . .... .
5 17.000 550.000
503.000 542.000
~9 1.000 536.000
406.000 439.000
sous-chefs de
bureau)
Principale
340
233.000
3 7.000
399.000
436.000
REDACTEUR
(dans les communes DÛ existe un cadre de sous-chefs de bUreau)
.......
372.000 403.000
233.000
3 1.066
315
Exceptionnelle _ .......
_
1re
2e
3e
~
. . . . . . . . . - ......
. .
. ...... .
......... . ..... .. .
......... . . . . . . . .
_
.
Se . . . . . . . . . .. .....
... - .. _.
6e
7e ..... - .... ...... . .
o
•
•
•
•
•
•
•
_
•
•
02 B3
AGENT PRINC IPAL
216.000
270
260
209.000
........
206.000
250
199.000
........
240
230
192.000
"' .......
186.000
22&
210
183.000
AG 2
CIRCULAIRE MINISTERIELLE N · 182
AD/ 3 DU 30 AVRIL 1952 RELATIVE
AUX EMPLOIS RESERVES COMMUNAUX.
J'ai l'honneur de porter à la connaissance de MM. les Maires du Département le
texte de la circulaire n· 182 AD·3 du 30
avril 1952, par laquelle M. le Ministre de
l'Intérieur rappeJle la législation à observer
en matière d'emplois réservés communaux..
Ci-dessous le texte de la circulaire.
Pour le Préfet,
Le Sous-Préfet,
Directeur du Cabinet
PLETTNER.
•••
Paris, 30 avril 1952,
Circulaire n· 182 AD-3
Le Ministre de l'Intérieur
à MM. les Préfets de la Métropole,
OBJET. -
Emplois réservés communaux.
REFERENCE. Jlla circulaire nO " 493
AD-3 du 18 octobre 1947.
Il m'a été signalé que dans différents départements, il avait été procédé il des recr utements de personnel communal sans tenir
compte de la législation en vigueur sur les
emplois réservés communaux.
. 9r, par .ci rculaire citee en réfé.renc~ . j'ai
23. 133
21.100
19.866
18.733
17.133
15.933
14.433
318.000
306.000
294.000
281.000
268.000
256.000
244.000
34 1.000
328.000
3 14.000
300.000
285.000
272.000
258.000
réglementant cette question en vous priant
d'interveni r auprès des maires de votre d êpartementafin que le droit préférentiel des
victimes de la gue rre aux emplois r éser vés
communaux soit scrupuleusement obse rvé.
AG T
ARRETE P REFECTORAL PORTAN
DELEGATIO N POUR PRESIDER LE~
SEANCES DES CO NSEILS DE REvl
SION QUI SIEGERONT DANS L'ARRONDISSEMENT DE MARSEILLE. A,~HETE
Le Préfet des BOll clz es~du-R"ûne
Officier de la Légion d'Nonneur,
Vu l a Loi du 3 1 ma rs 1928 Sur le Hècruteme ll t de \' Armée j
Vu la Loi du 30 nove mb re 1950 nO, 50-1471
portant a 18 mOlS la durec du serv ice militaire actif et modifiant certaines dispositions
de la loi d u 3 1 mars 1928 ;
Vu la Loi du 21 septembre 195 1 numé ro
5 1-1 120 complétant l'arti cle 7 de la loi du
30 nove mbre 1950 ;
Vu la loi du 7 janvier 1952 nO 52-32 portant modification de I"artic\e 37 de la loi du
3 1 mars 1928 ;
Vu la Loi du 18 ar ril 1952 n· 52-415 mo.
difi ant l'article 1er de la loi dl! 30 no\'embre 1950 ;
V u la loi du 19 octobre 1946 portant slalul
génér a l des fonctionnaires j
Vu le décret du 4 jui1\et 1949 po rlant
règ lement d'Administration Publique, relatif
au statut particulier des Chefs de Division
et Attac hés de Préfectu re;
Sur la proposition de M. le Secrélaire Général,
ARREl1E :
Arlicle premier. - M. LODS Robe rt, chef
de l a 5e Di\'ision à la Préfecture des Bouches-du-R hône, reçoit délégation pour prê6ider les séances des Conseils de Révision
qui siégeront dans l' Arrondissement de .Marseille.
Art. 2. ~\. le Secrétaire Général des
Bouches-du-Rhône est chargé <t'e l'exécutio~
du présent arrêté, qui sera publié au Recueil
des Actes Administratifs du Département.
Marseitle, le 10 mai 1952.
Il convie ndrait de rappeler aux admi nistrateurs locaux que, pour toutes les vacances
susceptibles de s'ouvrir dans les emplois
comm unau x, les Mai res doivent vo us en donner avis dans un délai de cinq jours, afin que
l'Office Départemental des Anciens Combat·
tants et Victimes de la Guerre du Département puisse assurer la publication et l'affichage des offres d'emplois et que les candidats puissent déposer leur demande.
De plus, il m'est également signalé que
certains établissements départementaux ou
communaux n'ont pas le pourcentage de victimes de gue rre prévu par la loi du 26 avril
1924 su r "empl oi obligatoire.
Vous voudrez bien, en conséquence, prendre toutes dispositions pour que soit assu r é
le respect de la règlementation en la matière.
Pour le Ministre et par délégation,
Le Préfet,
Directeur de l'Administration
D épartementale et Communale
P.DAMELON .
------- <> 00 <> -------
René PA l RA .
- - - - - - <>00<>----
DI BI
POUR
p 0
JURY CRIMINEL
L'ANNEE 1952-1 953
Le Préfet des Bouches-c1u-Rilôlle
à MM. les Maires du Départem,nt,
Vous trouverez, .ci-après, le texte de "arrête que j'ai pris le 16 mai .1952 pour opé'J'
la répa rtit io n entre les dJ\'ers canton~ u
Dépa rteme nt des deux cent quara~te jur:u
que doit comprendre la liste gé nerale ?
jury Criminel pour les années 195 1 et I95Les Commissions cha rgées de dresser les
listes préparatoires par canton, Jist~s ~r;
devront contenir un nombre de nO~lS OUont
de celui qui est fixé par mon arre~é,. seJans
convoquées par MN\. les ju ges de alX prie
la premi ère quinz aine d'ao~ t.,Je é~~~t les
de vouloir bien préparer, des a pr fe~tion
éléments nt:cessai r es à la bo nne con
de ce t r avail.
.
i _du-RhôLa commune de Port. Sél:1nt..,Lou 5 M qui
ne et celle de Saintes-Manes-de-Ia-J edr"AI'X
forment un canton et les corn munes
. 'sées en'
d'Arles et de Marseille. qui s~nt d!V\a dési·
Iplusieurs cantons, .ont a pro!e.der :
doignat ion des COllselllers MUOIClpa u.
vpnt f-.';lirp n~rtjp de
•
sio ns Ca ntona les, con fo rm ém ent à l'a r ticle 8
de la loi d u 2 1 novembre 1·372.
.
MM. les Ju ges de Paix recev ront, en même
tempS, la lis te des jurés q uI ont été dés ianês par le so rt po ur Siége r aux ASS ises pendant l'a nn ée co urante et l'a nnée précédente,
ai nsÎ que les i~p r i m és n éces~ai res pou r la
formatio n des IJ st~s p r épa ratolfes.
Ces magistrats a uro nt à se repo rter aux
listes t ra ns mi ses l'a nn ée de rni èr e en ce qui
concerne les noms des jurés dés ig nés pou:Siége r a ux Assises des p remie r, deuxième et
trois ième tri mestre de l'a nn ée 195 1.
•••
AR<RETE
Le Préfet des Bouches-dll-Rhône,
Officier de la Légion d' l1onneur,
Vu la lo i d u 2 1 novemb re 1872 ;
Vu les o rdo nnances du 17 novembre 1944
et 20 aV I il 1945 et notamment les a rticles
385 et 389 ai nsi conçus :
Ire r epartltion par arrondissemen t :
Habitants
AIX ....... .
ARLES ........ , . . .
MARSE ILLE ....... .
c;om-
c Art. 389. - Une liste spéciale des jurés
supp léants pr is parmi les j urés de la Ville
où se tie nn ent les Assises, est aussi formée
r haque année en de ho rs de la li ste ann uelle
du j ury.
« Ell e co mprend deux cents pour Paris,
qua rante po ur les a utres départements.
c Cette liste est dressée par la Co mmi s sion die l'A.rrondissement où se tiennent les
Assises.
c A Pa ris, chaque Com missi o n d'arronJissement arrête une liste de dix jurés sup·
pléants.
Vu le décret en date du 25 décemb re 1936
9ui .déclare authentique, à partir du 1er
JanVier 1937, les rés ult ats du dénombrement
de la population du 8 mars 1936 ;
. Considérant qu'e n raison du ohiff re offiCiel de la popu lation du dépar tement des
BoucheS-du-Rhône qui est de 1.222.802
habitants, la list~ annuelle du jury, doit
comprendre 240 jurés.
ARRETE:
Article premier. _ Les 240 jurés qui doi\le nt composer la liste du d épa rtement d es
BoucheS-du-R,hône pour l' a nn ée 1952 seront
répartis entre les arrondissements et les Cantons du département de la façon suivante:
155.696
97.705
97 1.40 1
36
22
IS2
1.224.802
240
2e réparti l ion par canton
« Art. 385. -
La liste annuell e du j ury
compre nd pou r le département de la Seine
1.200 ju rés ; po ur les autres départements,
un j uré 'pa r 1.300 hab itants, sans toutefois
que le nombre des jurés pu isse être inf érieur
à 160 o u s up éiieù r à 240.
e. La liste ne peut comprendre que des
citoye ns ayan t leur do micile dans le d épartement.
e. Le nomb re des jurés pou r la liste a nnuelle est répa r ti par arrondissement et pa r
canton, propo rtionne ll ement au tableau officie l de la popu lation, un juré au moins
devant êt re pris da ns chaque canton.
e. Cette répartition est faite par arrêté du
Préfet, pris sur l'avis conforme de la
mission Departe mentale au mois d'avnl de
chaque année et, pou r le d épa rtem ent de la
Sei ne, sur l'avis conforme du bureau du
Conseil Généra l, au mois de juillet.
< A Paris, la répartition est faite entre
les arrondissements et les quartiers. »
ju rés
24.557
2D.958
11.115
18.239
12.390
26.81 1
6.274
4.0 15
24.537
6.750
6
5
2
5
2
7
1
1
6
1
155.696
36
ARROND ISSE.MENT D'ARLES
ARLES, EST
· . ..
ARLES-OUEST · .
CHATEAURENA IW . .
EYGUIERES .. ....
....
ORGON
PO in-SA INT- LOU ISDU-R HONE
SA INTES-MAR lES-DE·
LA-ME.R .. ' . ....
SAINT-REMY .. .. ' .
TARASCON ........
18.824
14.78 1
19.663
7.1 99
11.064
5
3
5
1
e
4.448
1.564
9.860
10.302
1
2
2
97.705
22
ARRONDISSEiME.NT DE MARSE ILLE :
5
t8.04 1
18. 157
5
10
56.0 t9
17
93.099
16
·36.819
25
140.184
44
225.374
21
114.542
27
15 1.459
10
55.087
2
12.620
AUBAGNE .... . ...
LA C IOTAT .. ' .....
MARSE I LLE, 1er canton
2e ca nto n
»
3e et 4e ..
»
5e canto n
»
6e et 7e ..
»
8e et ge ..
»
10e et 1.le
»
12e canton
»
ROQUEVAIRE · . ..
97 1.401
Article 2. -
t 82
Le présent arrêté sera inséré
au Bulletin Administratif des Maires et il
en se ra désormais ad ressé un exempl ai re à
M.M.. les Sous-Préfets, Maires et Juges de
Paix du Département, chargés en ce qui les
concerne d'en assurer l'exéc ution.
U ne ampliation de cet arrêté s.era également adressée à MM. les PréSidents des
Tribunaux Civils présidents des Commissions chargées d'établir la liste des jurés
par arro ndissement et â M. le Premier Préside nt de la Cou r d' ~ppe l d'Ai x.
Marseille, le 16 mai 1952.
Le Préfet :
R. PAl RA.
_ _ _ <>00«>----
CIRC ULAIRE MINISTERIELLE N" 193
DU 7 MAI 1952 RELATIVE AUX
COURSES DE TAUREAUX
Paris, le 7 mai 1952.
Le Mi"isire de l'Intérieur
à MM. les Préfets (Métropole),
Circulai re n° 193
ARROND ISSEMENT D'A IX
AIX-NORD
... .
AIX-SUD .... ......
BERRE ...... ... .. .
GARDANNE .... .....
ISTRES ..... .
MARTIGUES
LAMBESC .... ......
PEYROLLES .. ....
SALON ... . ......
TRETS ... .. . ......
P 5
DI BI
OBjET: Courses de tayreau x.
La loi pé nale actuellement applicable en
matière de ~courses de taureaux est celle du 2
juillet
dite e. Loi Grammont > ainsi
rédigée :
'
e. Seront p unis d'une amende de 600 à
1.800 hanes et pourront l'ètre de un à 5
jours de prison ceux qui auront exercé publiquement et abusivement des mauvais
traitements envers les animaux domestiques .
La peine de priso n sera touj ou rs applicable en cas de récid ive.
Cette loi.a été complétée comme suit par
celle du 24 avril 195 1 :
« La prése nte loi n'est pas applicable a ux
COurses de taureaux lorsqu·une tradition
ininterrompue peut être invoquée ».
Ce dernier te xte, en même temps qu'il
permet le d éroulement des Co urses de taureaux dans les lo ca lités où elles sont traditionnelles co nfirme à contrario que la loi du
2 jui ll et 1950 s'applique partout ai lleurs à
ce gen re de manifestation.
Sans doute, la lo i Grammont ainsi modifiée présente-t-elle un caractè re excl usivement pénal. Il n'en demeure pas moins
qu'elle refl ète l'état d'esprit du Parlement
à l'égard des courses de taureaux et qu'à
ce titre elle doit fixer la ligne de co nduite de
l'Administration .
Les courses de taureaux peuvent êt re classées en trois catégo ri es :
1° Les Courses de taureaux avec mise à
mort, pose de banderîl les et picadors, ou
avec pose de banderilles et picadors seulement ;
.
2 ° Les courses de taureaux sa ns mise il
mort ni pose de bande rill es, ni picadors;
3° Les co urses dites c Cou rses landaises » et c cou rses languedociennes :t .
Les courses avec mi se à mort, picadors et
pose de banderilles et celles sans mise à
mort mais avec picadors et pose de banderilles tombent sous le coup de la lo i. Elles
ne doivent donc être autorisées que dans les
villes où il est de tradition qu'elles aient
lieu ; cette tradition doit être ininterrom·
pue.
Le lé g islateur, en reten a nt la notion de
trad ition ininterrompue, a entendu limiter les
courses de taureaux aux quelques villes du
Midi de la France où elles ont lieu réguli èrement chaque année depuis des temps
immémoriaux. Les interruptions éventuelles
doivent être dues à des cas de force majeure, tels les deux dernières guerres ou la destruction des arènes, sous réserve dans cette
dernière hypothèse que l'interruption n'ait
pas d épassé les deux ou trois ans nécessaires à la recons!ruction.
Les cou rses des deux dernières catégories,
pou r lesque ll es il n'est pas à cra indre que
des mauvais traitements soient infligés aux
ta ureaux, peuvent, par contre, être autorisées dans toutes les localités. Vous 'tonserverez, néanmoins, la possibilité de retuser
l'autorisation ou d'interdire - les courses par
ItJO,
�112
IBM si \'O US estimez que l'ord re public est
susceptible d'être troublé.
Les dispositions de la présente circulaire
sont impératives. Il \'O US appartient de les
appliquer et de les faire respecte r strictement. je 10US signale à ce sujet que, l'a nn ée
dernii!re, certains organisateurs ayant demande et obten u l'a utorisation de donner
des courses sans picadors, ni pose de banderilles, ni mise à. mort n'o nt pas hésité à
renier leurs engagements et transtormer au
dernier moment 13 manifestatiun en course
espagnole intég rale. Vous devrez prend re
des dispositions nécessaires pour que de tels
faits ne se renou\lellent pas en prescrivant,
le cas échéant, l'interru ption immédiate de
la course. Au cas où les mesures préventives
n'auraient pu empêcher l'i nfractionJ pal
exemple si la mise à mort avait lieu à. l'occasion de la dernière co urse, vous me saisirirez sans délai de l'i ncident en m'i ndiQuant les noms des organisateurs respor.sables et ceux: des participants étrangers éventuels. Les noms des premiers seront diffusés.
afin Que toute a uto risation leur soit désormais refusée. Les seconds feront l'objet
d'une mesure d'expulsion.
j'ajoute que vous dev rez vous assurer,
comme par le passé, que toutes les garanties
requises ont été données par les organisa·
teurs tant en ce qui concerne le caractère et
la tenue des man ifestatio ns, que la sécuritr
des spectateu rs.
Pou r le Ministre de l' Intér;eur
et par délégation,
Le Directeur du Cabinet
Signé : VERDIER.
- - -000 . .· - - --
FS 7
D3 B2
COMPOSITION DE L A COMMISSION
DEPARTEMENTALE D E REFORME
DU
PERSONNEL
HOSP ITALIER
POUR L'ANNEE 1952
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-R hône,
Officier de ja ,Legion d'Honneur,
Vu l'ordonnance du 17 mai 1945, relative
aux services publtcs des dëparreme nts et
communes et de leurs établissements publiclj
notamment son artide 3 ;
V'll le décret du 10 septembre 1947 n.,.
tamment son a rt icle 4 ;
Vu le décret du 2 avril 1948 fixant les
droits des tri butai res de la Caisse Nationale
de Retraites des agents des collectivités locales et notamment son a rticle 19
Vu l'arrêté intenninistériel du 26 août
1948, relatif à la constitution des Corruni&sions de Réforme des agents des collectivités
locales notamment ses articles 1 et 2 ;
Vu la circulaire ministérielle du 5 janvier
1948 fixant tes catégories de personnel hospitalier représentées au sein de la Commission Départementale de Réforme ;
Vu le procès-verbal du tirage au sort qui
a eu lieu Je 18 avrit t952 pour la désignation des meml>res de la Commission de Réforme représentant le !personnel hospitali er ;
Considérant qu 'il y a lieu de pourvoir au
remplacement de M. Ginie, administ·rateur
de l'Hôpital-Hospice de La Ciotat, meml>re
titulaire de la Commission de Réfor"", ;
Vu les rësultats du tirage a u so rt qu i a
eu lieu à cet effet le 30 avri l 1952 ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire Gênëral de la P réfecrure,
Arrête :
Article premier. - Nt. Casse, adminjstrateur de l'Hôpital d'Aubagne, est désignê en
qualité de membre titulai re en remp lace·
ment de M. Ginie, administrateur de l'HëJpitai-Hospice de La C iotat, ]lou r rep résenter
les Commissions Administrarives et Co ngeils
d' Administration des établ issements pu.b lics
de bienfaisance a u sein de la Commissio n
Départementale de Réfo rme.
Article 2. - Sont designés pou·r représenter les diverses catégories de pe rsonnel
hospitalier au sein ,de Ja Commission .DepaItementale de Rilforme pmu l'année 1952 les
fonctionnaires et agents ci- après énumén?s :
5e catégorie. - Délégués titulaires : M.
SERP ILWN Pierre, chef de service à l'A.A.
P.M. ; M. DESSOIS, directeur B.B. Aix .
Ddégués s uppléants: Mme MOR6LLlNÎ
Adrienne, chef ?e bureau HospicesJ Aix ;
M. ARCHIER, rédacteur Hosp ices d' Arles.
6e catégorie. - Délégués titulaires : j\'\ me
MIGNOT, commise, Hospices d'Aix ; Mme
G~UD:f., crunmise, La Ciotat; Délég'Ués suppleants : Mme RICARD Armande commise
Hôpital, Si1'Ion ; M. BERNARD, c9mmis, Ta:
rascon.
7e ca tégorie. - Délégués titulai.es : Mme
SAEZ Blanohe, surveilla nte, H., La Ciotat;
M. REBUFFEL CésarioJl, H. Ta rascon ;
Délégués su;ppléants: Mme GRANG IEoR
Raymonde, surveillante, Hôpital, Salon ; M.
SH USTBR Charles, surveiJlan~ H_ d'Aix.
-
06 fil
A5
CIRCULAIRE MiNISTERIELLE RELA
TlVE A L 'APPLICATION DE L'ARRI:.TE DU 24 MARS 1952 SUR L' EPAN:
DAGE DES PRODUITS ANTIPARA_
SITAlRES (TI TRE Il DISPOSlTlONS
P ARTlCULIERES CON CERNANT LA
PROTECTION D E S ABEILLES)
J' ai. l' ho nneur de porter ci.,de~us, à la
connaissa nce de MM. les J\I\aires du Département le \exte de 1" circ",laire N° A P P /
208-?3 1 d u' 29 mars 1952 d<! M. le Mi'ni;t;,
de 1 Ag rICu lture relallve a l'a'pplkation d,
l'arrêté du 24 mars 1952 su r l'épantlage des
pro.dy l ~ . a nflpa rasltaLres en a'ttiran t tout
par~~uhereme~t .Ieur attention SU r les disP?s.IÎlons particulières du Titre Il dudit arrete concerna nt la Protection des Abeilles.
j e vous précise que le texte de l'arrêté du
24 .ma'rs 1952 a été publié au < journal
OfflCIe1 , d u 26 ma rs 1952 (avec reclificatif au j .O. du 28 mars 1952).
POlir le Préfet,
L e SClll s-Préfet, Directeur du Cabinel :
PLETTNIER
•••
Pa ris, le 29 mars 1952.
Le Ministre de l'Agriculture,
à MM. !Jes Préfets,
MM. les Ingénieurs en Clzef,
Illspecteurs de la Pro tection des VégCiaux
et Directeurs des Services Agricoles,
OBJET: Applicatio n de l'ar rêté du 24 mars
1952 re latif à l'épan.dage des produits
antiparasitailres (Ti tre Il . Di positions
partiùulières conœrnant la Protection des
Abeilles).
Se catégorie. - Délég uées titulaires: Mme
DURtAND Lu<: ie, iooinnièré, H. Martigues ;
Mme BU IŒRMAN Lolita, sage-femme H.
L'arrêté du 24 mars 1952 !>ublié au
Aubagne; D'léguées suppléants: Mme 'CEc joumaJ. Officiel » du 26 mars 1952 (avec
RIBELLI Simone, sage- femme, H. d'AUlbarect ificatif au j .O. du 28 mars 1952)., prévoil
gne ; Mme PE~RET ép. AGOSTIN I, saget
. que les traitements insecticides réalisés ail
femme, A.A.P.M>.
moyen de produits toxiques pour les abeill,:s
ge catégorie. - Délégués titu laires: Mme
sont notamment interdits sur les plantes VI·
VANHOUTTE Odette, maîtresse bua ndi è re, si tées pa r ces insectes pendant la période <le
« pleine floraison » ; l'arti cJ.e 7 'P,récj~e ce
H.,. Aubagne; M. VE'lLUTl j e~ n-Bapti ste,
ma ltre ouvner A.A.~M.; D ~legués s up- qu ' il fa ut entendre Ipa r cette expressIOn ,:
pl éa nts : Mme MI S~RAL Ernestine cuisi« Ce stade est atteint à. partir du moment ou
nière, H. Tarascon ; AA- P IGNATEL chef
50 % des pieds ont au ,moins lIne fleur dont
d'équipe, Hôpi tal de Martigues.
'
to us les pétales sont complètement étales et,
en tout état de cause dès que Je nombre to10e catégorie. - Délégués titu la ires: M.
ta i de ces fl eu rs est superieur à 100 par
TUDELA., servant, sana to rium' .Mme MOUmètre carré ''#.
LIN Madeleine, se rvan1e, Hospices d'Arles ;
La présente circulaire a pour objet de fi.xer
Délégués suppléants: AA- LLiNARES Antoit
la méthode de num ération qui devra cre
ne, aide soignant, H. d'Arles ; Mme FERutilisée pOIl! ,la détennina tion de ce stade. U
RAR I Esther, servante, H. Salon.
convient cependant de souLigner que ces nu
Articte 3. - M. le Secrétaire Général de
mérations précises ne se ront .indispen:jbl~~
la Préfecture est chargé de l'exéc ution du
que d ans un nom b œ d e cas t lmItes, c cst-a
present arrêté.
. 1
d'œil n'a ura pas
d ·Ire 1"a o u un slmp
e coup
ct 1
Marseille, le 13 mai 1952.
permis d'appr« ier e.xac temcnt l'etat e li
floraison et, lorsq ue les intéressés ne PéaJve.
Le prefel
P AIRA.
nan t !pas a. se me tt re d' a ccord , .la -proc liure
l'
prevue a u 2e alinéa de l'article 7 de arrêté 'devra êt re en gagée.
. ,
,
d
/.
e les dlffc~
Da ns ce cas, dant 'Onll'C qu
~. dans
rences se nsibles peuvent êt~e ?bse rvces ll~ il
----c'oo<>· - - - l'état de la floraison d ' une meme parce 'e#
r
sera indispensable d'opérer systén) ;2~i'
ment par sondages (dix au maxlmlUl1 épartis
sés à d ifféreTlltS emplacemen.ts et r toute
devra t!tre effectué dans les bordures Sur une
largeur de cinq mètres.
Pour effectuer ces sondage::;, qlli devranl
porter chacun
SU.f
un mètre
carre~
deux mé-
modes sont pas ibl~ : dans -le cas d"un se~
mis en lignes, connaissant l'ocar tement des
rangs, il est aise de c~culer la longueur du
rang correspondant a un mètre carre de
rerrain et d' uHliser une fice ll e de ce Ne longueur Ipo~rce sur les rangs aux empJacements Oh OISIS pour I ~ s sondages. (Par exem-
ple, si les lignes sont espacées de trente-cinq
cen timètres, on a, IP0UIr un mètre car ré, trois
lignes de un mètre chacune ; il suff it d'onE
de fai re la numera tion Sur une seule ligne
de trois
consiste
mètres).
un état des chômeurs occupés sur les chantiers en indiquant les allocations qui leur
auraient été attribuées s'i ls avaient été seCOurus par Un ervice d'Aide aux travailleurs sans emploi, compte tenu des personnes à leur -charge;. CN etat devait être soigneusement vérifié par les Se rvices de
Main-d'Œuvre.
- - - - - - <> 00 <'- - - - - - -
n ' autre par~ il a été rappelé, à différentes
repIises, que po u'r le calcul de ces allocatio.ns
il devait être tenu compte des dispositions
des articles 19 et 22 du d écre t du 12 mars
1951, fixa nt les conditions d'attribution des
allocatinns de chômage. Il semble que ces
prescriptions n'o nt pas toujours été st rictement suivies.
D5 B I
CIA 0
EXPLOITATIO N D ES CARRIERES
A CIEL O UVERT
Une seconde méthode
à utiliser un
cadre en
•••
AR'R ETIE
bois de
un mètre <ie côté que l'on dépose aux emplacemerrts .des sondages, cette dernière mérbode etant d'ailleurs la seule applicable alUx
fultu res semées à. la volée.
•
i.es dérogati ons aux dispositions des art icles 6 et 7 de l'a rrêté visent essentiellement
le CeuthorrhynQlIe (oharançon s iliqu en) responsable de graves dé.gàts dans les cultures
de colza, contre lequ elt 'les se ul s traitements
efficaces, di rigés co ntre les adultes doivent
tt re appliqués en pleine floraison. '
Les conditions exigées pour l'octroi de
ces dérogations qu i so nt Ip récisées à l'articie 8, leu r cOlllfère nt, en princi l>e, un carac1ère .individuel. !l'viais l'expérience ayant
prouve que, dans la plupart des cas, .les attaques des insectes peulVent fort bien se
Droduire simultanément dans plusieurs c ld,..
tures d' une même commune il sera souvent
nécessaire d'éten.dre à l'en~enlble d u territoire de cette commune la dérogatiOJ1, aocordée qu i revêtira alors un caractère colliectif.
Dans ce cas, c'est le Maire qui présentera,
au nom de ses administ rés la demande de
dèrogation et avisera des dispositions prises
les communes voisines dont le territoire est
d~tant de moins de 3 kilo mèt res des zones
'
rral-t ees
dans sa prop re com mune.
Le Ipr i.IlÔpe de simultanéité des traite!!lents Su r le te rr itoi.re d' une même co mmune
~tant posé au dernier alinêa de l'a·rtic]e H,
Il est absolument indispensable que l'ensembJe des cultivateurs inté ressés par cette meSure opèrent dans les limites de temps .fi xées
da~s la dé rogation, a1ltcune Ilouvel le auto.risaho.n ne pouvant être accordée individuellemen t par la sll He. Les d\o\ aires devront
assurer à l'alris de traitement la plus large
publicité ,possible afin que nul ne puisse prêtendre l'iO'.norer.
. Le dOlai fi xé pour l'exécution des opératians n'excède ra pas, en principe, 24 heures.
L~rsqu'u n jour don né (J) les traitements
n auront pas "i>.te· effec!ue's en totall"té ou en
partie, à .'cause des"intempéries o u pour toute
aut
re raiso n, la dérogation se ra automatiduement valabJe pour Ulle nOl1 vel le période
. e 24f heures à eYlpiration
d'Iun délai d' un
lOl
"
Ir ranc (J + 2), la procédure d'a~is aux
~~'":lmllnes voisines et au;..; alpÎCulteuIs étant
hgatoir,ement renouvel ée.
t Je 'la us
~~r. cette
~ualres de
v.ous
28 mars de l'a rrêté d u 24 mars 1952 et du
rectificaüf.
Po ur le Ministre
Le Directeur de la Productio'n Agricole:
Signé: R PROT IN.
Pou r ampliation,
Le Chef du Service
de fa .Pr~tecliO/~ des Vég étaux,
SIgne : lilllsiblement.
• • •
s.erais obligé de bien vouloir porCirculaire à la connaissa.nce des
votre Département en même temps
attirerez le ur atte~tion sur la pu-
Le Préfet des Bouch es-du-Rhô ne
Officier de la Légion d'Honnelir:
Vu le décret du 27 avril 1892 portant réglementation des carrières du Departement
de s BOUChes-du-Rhône er nota mment ses
articles 9 et I l ;
Vu l'a rrêté préfectoral du 3 t ao ût 1950
préconisa nt les règles d'abatage à obse rver
dans les carrières à ciel o uvert du Dépa rtement ;
Sur la ,proposition de l' In génieur en Chef
des Mines, Chef de ~'Arrondj sse m en t Mineralogique . de Marseille,
Arrête :
Article premier. Les dispositions de
l'arrêté préfecto.ral du 3 1 aoùt 1950, vi sées
ci-dessus, so nt complétées ainsi qu'li s uit :
En cas de demande de dérogation présentêe en ,Iertu de l'article 5 dudH a rrêté
préfectoral, la mise en application des mesures techniques prescrites dans le même
arrtté est suspendue jusqu'à l'inte rventio n
d' une décision du Chef de l'Arrondissement
Min ëralogique de Marseille au sujet de ladite
demande de dérQgation.
Article 2. - Les Maires et le Chef de
l'Arrondissement Minéralogique de il\1arseilJe
so nt charges de l'exécution du présent arrê té dont ampliation se ra ad ressée au Chef
de j'Arro ndi sseme nt Minéraiogique et qui
sera publié au Reclleîl des Actes Administratifs du Département.
1
Un .de ces impri més sera transmis au SCTvice de la Main-<l 'CEuv re qui~ lors de la 1Vérification des états de demande de s ubvention, confrontera ces derniers avec les déclarations faites par le!) chômeurs, en ce qui
concerne les personnes à charge et les ressou rces entrant au foye r. L'autre sera
consen'é pa r la Mairie.
Les Services Municipau x devront tenir les
imprim és remplis par les chômeurs à. la dispositio n des agents du ,Ministère du Travail
qui pourraient êt re chargés de mis sion de
contrôle.
CIA 4
])6 B3
APPLICATION DU DECRET
Par ameurs, afin de permettre à M. le
Ministre du Travail et de la Sécuritc Sociale de suivre la mal"c he de chaque chantier lo rsque le programme agréë en comporte plusie urs ou qU ' un nouveau programme
est mis à exéc utio n avant que le précédent
soit entièrement terminé, les Municipatités
doivent fournir non pas un seul état pour
l'ensemble de leurs chantiers en activité,
mais un étal distinct ip3r chantier, l'objet du
chantier figurant en tête de chaque etat.
DU 15 JUILLET 1949
"-ndilions dans lesquelles des travaux
\.A.J
peuvent e-tre ex <' utés par des chômeurs
M. le M.i nistre du Travail et de la St:curité Sociale demande de ve.ller à ce que les
ins tr uctions de la présente circulaire soient
appliquées sa ns délai.
Marseille, le 6 mai 1952.
Pour le Préfet,
Le Sous-Pré/et, Directeur du Cabinet
PLf.T~N6R.
- - - -c>ooc>- - -
Ç\;.
Par circulaire en date du 2 av ril 1952,
N' L.C.I\tO. 243/ 52, M. le .1\1irrist re du Tra"ai l et de la Sécurité Sociale a invité le::;
Préfets à appeler l'attention des Maires sur
l'application du Décret du 15 juillet 1 9"'~
fixant les condi ti o ns dans lesq uelles des travaux peuvent être exéc utes pa r des chômeurs. U avait été précisé que les Commuer
. d. r.e.s s. • ., c. h.a.q.u.e. q.ua. t.o.rz.' a. i.n.e,. . . . . .
b/
po"SS.~'I~b~le~s~~~ra:g~e~n~e.IIIII• •'t.a.lI.o.n_ au_ •..:j~o_u_r_n":I:..:O~ff~i~C~ie:I_._d~e~s. .2.6_ e.t ~.ne.s_d.e.V.ra.i.e.n.t
aussi régul ièremen t que
la surface de 1.. paroeHe ; a':,cu n son
Afin de permettre un contrôle effectif des
états par les Agents du Service de Maind'Œuvre, il ·y auraH lieu, lors de l'admission
d' tlO chôJTLe.ur sur les chantiers, de lui faire
remplir, en deux exemplaires, le formulaire
de demande d'admission au bénéfice des
allocations de chômage du modèle ci-joint,
où tous les renseignements nécessaires au
calcuJ de l'alœocation sont consignés.
•••
�114
Direction Dq,a rtementa le dll T'ravail et de la Ma in-d'Œuvre
Sen'ÎCe d'Aide aux Travaitleurs sans emploi de ......... .. . . . ... .
--
. , Nom ( 1)
e soussIgnt:',
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ...... . B,rénoms . ......... .......... . ..•.... . •.......... . .. '. . ...
. . . . . . . . . . . Département (o u P ays) ........ . . . . •..•.. ,.. . •....... . . .... .
Né le . . . . . . . . .. .......... .......... . . . . ..... . .
J
\ ,par le Sen rice .d.e C'hômage de ....... . . . .
d u ........... . au . . ...... . ...
et
'l "
. • .. • . •••• . •.•••.••.
d u .... ,.... . '"
au .... . .•.. ..
être sans emploi depuis le: ...•....•......•.. et être en possession des ce r tificats de hiavaiI suivants :
a
Natu re de l'Emploi
Salaire
Date d'entrée et de sortie
NOM ET ADRESSE DE L'EMPLOYEUR
.
......
· .. .... . . . . . . .. . . . . .. . . . . .. .
· .... .. .. .. .. ............. .. .
. . . . .. . . .. ..........
......... .
•
•
•
•
•
•
•
•
••
•
•
••
••
0
•
••
•
•
•
J' attest~. qu~ j e t?hôme pa r s u it~ de m anque de t ravai1 et 11 0 11 pour maladie ou accident.
Je ce rtifie 1 ~x.act l t ude des rense ignements ci-dessus que j'ai fO'u rn lS en vue d'être admis au bénéfice de Fallocation de J'aide aux
travaiHeurs sa,ns emp l ~1. .
. Je m e n ~ag~ a ~v l ser le f?nds de chôn:age dès que rau r~i clu trava il et, en oubrc, à l'i nformer de tout changement qui pourrait
survenir dans ma ~ ] tuah?n p.a~ sUi te de maladie oUJ de modifi.cation dans les charges de fami lle Ou mes rcssour~ et celles de ma famille.
Je. rec~ ~, n~ l s aVOi r, éte lnf~ rm é ,q ~e toute absen.ce 3l.\ contrôle ou. refus d'et11lJ>loi non justi fi é em.brainera ma r adiation d'office de la
liSte des .bcnéflclalres de 1altlocatlon. ~ ~lde aux traval~J e urs sans ~P~O I et que toute fausse déclaration entraînera le rem bo ursement des
secours uwGment perçus, sans pr~J uttrc~ des po ur ultes cor re,chon:-,elles qui pourraient être exercées conformément à la loi du 27 septemllT~ 194 1, re l atIve aux déda ratlons lIIexades des créanciers de l'Etat ou des collectiv ités pu@liques, dont je déclare avoi r pris
connaIssance.
A .................... , le .................. 195 .. ..
Lu et appr01lv.é,
Signature:
.;.~
. ........
. ... " ..
· ......... .... .. ..... ....... .
· ............ .... ... ........ .
· ... ....... ... ..... ..... .... .
· ... . . . ........ .. ... . . . ..... .
.. . . . . .. .. .... .... . .... .. .
( 1) L'intércssé dcn3 indiquer su.ivant le cas, le montant de ses r'cssources soit par an, soit par mois, soit par jouI'. II apJlartiendm aux
Ser-viccs d e 1-lain-d'eEuvre de faire le calcul du montant des ressources journaliè res.
(2) Rayer la mention inutile..
.. .......
.
... ......
. ..... ...
)
••••
TEXTES O'lHEaET COmmUNBl
parus au ].0.
D2 B3
Ma situation de famiUe est la suivante
veuf
divor.cé
sêparé
célibatai re vivant en pensioo chez ses parents (2).
Célibataire viva nt seul
A\ar ié à ... . ...... .. . . ...... .... .. ... . . . .... . . . . . .. .. ..... viva nt marita!lement avec . ......... ....... . .. . ... .•••..
èepuis le .... . .. . .. .......... . ... .. .... ......•... • . ..•..... travail lant
ne tra..ru ll ant ,pas
en chômage (3).
hen de parenté ... . . ..... .......... .. . ... . . .... . ... . .... .. . Nombre d'enlants à c harge .. .. ...... . ...... . ..... . .. . .
ouvrant dro it
Nom des eniants
. . . . ... ... .... .
. ' . . . .. ....... .
n'ouvrant pas droit
aux A·lIocations familiales
Situation
..\1essieurs les Ma'i res du Département
infonnés que
l'Admi nistration du
( Journa l Offici el » a fait éditer lune brochure contenant da loi du 28 avril 1952 porlant statut des agents communaux titulaires.
Cette brochure doit être commandée directement à l' I mpr imerie d u Journal Officiel,
sont
31, quai VOltair.e, Pa rjs (7e).
-
-
-
<: >00 «>- -- -
D2 B3
................,.. ,
Pa r an
Secours de ohômage autres que ceux accordés par le Service d'aide aux tra va illeurs sans em ploi .....•...
Allocation militaire ..... . - . -. _... .... . . - ... . . - . . . ......... . ............
. .. ..... . .
Retraite ouvrière et des Assurances sociales. . . . . . . . . . ............ . .........
.. - ..... _.
Assistance à la famille et secours d'assistance publique (allocatio n auxE.conomiquement laibles
Produit de location, de sous-location et revenu de propriété ........ . .. .. . ... .
Produit de commerce . ......... . . ........ .......... . .................. .
Pensions et retraites civiles et militaires . ... . ... ..... .. . ... . ...............
.........• . .•..•..•....
Pensions d'invalidite (Guer re . ... % .... majorations 'po ur enfants. Trava il .... %.. . . . .............. .
Etes-vous pr<\j>riétair<! de votre logement? ........ . .
( t .. . .......... .. , ..... . .
!alaire des memb r<!S de la
lamiUe qui t ravaillent .. . .. . ( :onjoi nt .. ' ... .
!pour les salai res horai res ou
journalier ind iq uer le nornbre
.. .................... . ... . .... .
\ Enfanls .. ' .... .
d' heures o u de jours de 1",,.. , .... ............... .
vail par semaine).
Autres "ersonnes du mé nag~
~
2: ............... .._.... .
vivant sous le toit. . . . . . . . . . ..... . . . ..
.
Paf mois Par jour
J'ai l' honneur d'a tii rer l'attention de 1\'\IN1..
les Maires du Dépar tement sur le texte de
. ... ",
l'an'Né intermi nistériel du 20 mars 1952
(publié au < Journal Offic iel > d u 11 avril)
. ........... .
... . ... ............
..... _., ..... . ... ,. .. .....
.. - ......... .. .... "
. . . ............ _." ..... "
............ , ...... , .....
. ......... ... . ... ..... .
.....
....... .. .......
........ .....
. ....... .. , ......
.. , o· ·· ··· ·· ."
. .... . .
.'
."
.... .
..... ... ,
....... ... . .... ..... .. .
.
(1) Les femmes ma riées ou veuves porteront, à la suite du nom I,atrouymiqwe du ma ri leur nom de jeune
fille seulem~Dt.
AG 2
INDEMNITES AUX AGENTS DES COLLECT IVITES LO C ALES. - ARRETE
INTERMINISTERIEL DU 20 MARS 1952
(J. O. D U Il AV RIL)
• • • • • •1• • •
RESSOURCES DU CHOMIEUR ET DES fERSONNES VIVANT SOUS SON TOIiT
nom de
AG 2
ST ATUT DU PERS ONNEL
COMMUNAL
Nom du chef de fa.ïlirle ou soutien de famil le .... . • . ..•. .. .. . .... Nombre tota!! de personnes vivant SalIS mon toit ....... ....... ..
Date de naissance
Par jour
-
Domicilié da ns la comm un~ depuis .......... ........ . . . . .... . ..... . ....... ... ... .... . .. ."..... ...... .. .. .......... . ...... ,
- .
Spéc ialité . ..... . .. . .......... . .. .. ..... Salatee ,. . . . . . . . .. . ... . ..... . .. . . ...... ,
P r o fesslOIl .....•.... .. . ... . ... ...... . ...
Titulaire de l a carte d'Assurances soda/les n° . .. . ............. . .. _. Tihil'aire ·de la ca r te de travailleurs ét ran gers n° . . ........... O" "
.
, au ........... . ......... . d{j\ ivrée en vue d'ex<!rce r la professiolt de ......... . .. . ... .. .. . . ... . .... déclare :
Valable lusqu
i1'avoir jamais été secour.u
Par mois
Autres ressources ... . ....... - . . . . . . .. .. . ......... ........... . .......... . ... . ... .. . .. , .. _.... '. . . . ........ _.............•
Total des resso urces j ou rn a'iières ( 1) .............. . . ........ . ............. .. .... . .. . ............. . ... . ............... _....•
préavis
COlligés payés (2) Combien ... . .......... pour q"e II e '>,,-rlO
.Jo' d e .. . ..... . .. .
Avez..IVOus perçu des i ndemn ités de li<:enciement
DEMANflIE D'AJOMI 5Sl0N OU DE READMISSIO N
avoir été dêjà secouru
Par an
----
fille, les femme! di\lorc
itS lell f
,
relati f à l'octroi de diverses indemnités aux
agenls des coll<!Ct ivités locales.
Ci-<lessous le texte de l'a rrêl é.
Pour .Ie P.réfet,
Le Sous-Préfet Directeur du Cabinet
P LETTNER .
•
Extrait
du
Journal Officiel du 11 avrit 1952
MINISTBRE DE L' INTER IEUR
OctroLI de diverses indemnités
aux fo nctionnaires et agents
des coltectivités locales
Le M' .
d'E' t ,"ostre de l'I ntérie ur et le Secrétaire
at au Budget
Vu 'l'ordO ltnanc~ d u 17 mai 1945 relative
aux s .
COrn ervlces pub lics des dépa rtements, des
et n~unes et de leurs établisse men ls pu illics
V 0 amment So n artiole 1er .
au ~II 'arrèté du 19 novembre' 1948 relatif
aSSement indiciaire des fonctionnaires
et agents communaux, modi fié Ipar les arJ'occasion d' analyses ou de travaux effectués
rêtés des 3 mars 1950 et 25 janvier 195 1, el
pour le compte de particuliers ou d' autres
notamment J'alinéa 2 de son artiole 3 ;
• callediiVités publiques.
Vu l'arIêlé du 16 mars 1949 cpncernant
Ces primes, dont le montant global ne
le di'assement ind.iciaire des fonctionn aires et
pourra ex<:ooer 25 % des rec ette~ ne de~
agc,nts départementa ux, mod ifié Ipar les arvront pas dépasser, pour chacun des intérêtés des I l mai 1950 et 25 janvier 195 1, et
ressés, 15 % DU traitement budgétaire
notamment l'aNnéa 2 de son article 3 ;
moyen de son grade.
Vu J'avis du Consei1ll national des services
Art. 5. - Une indemnité trimest riel1 le de
publ i'Cs départeme.rvaux et commt1naux,
rendement et de techniCÎ té lpourra être
aUouée aux sténodactytographes et dactyloArrêtent :
Article premier. - Le présent arrêté dé- graphes (titulaires ou auxiliai res) dans la
limite des taux mensuels ci -après :
ter mine les conditions d' octroi à ce r tains
fonctionnaires ou agents des collectivites
Taux
Taux
locales d'indemnités spéciales p revues aux
maximUm moyen
alinéas 2 des ar ticles 3 des arrêtés susvisés
Sténodactylographes ... .
900 Irs 600 lrs
des 19 novembre 1948 et 16 mars 1949 et Dactylographes ........ .
500 Ir 350 lrs
fixe ~,es taux maximum applicables à ces
SECTION
Il
indemnites.
SECTION 1
Primes de technicité et de rendemeflt
Art. 2. - Lorsque Iles services techniques
des col1ectivités locall'es auront élaboré les
projets de construction, de transformation
ou d'éq uipem ent de ,bâti ments, de réseaux
de distribution d'eau, de gaz, d'électricité ou
d'évacuation des eaux ilsées, d'installation
d'usines et de réseaux de transport en
co mmun, de const ruction de rues et d'ouvrages d'ar t et lorsque ces projets auront
dé exécutés par les collectivites sans recour ir à des architectes ou in genieurs privés,
les fonctionnaires ayant participé à l'étude
de ces projets lPourront bénéficier des primes d'un montant global au maximum égaJ
à 1 25 % du montant des travaux réalisés
au ~ours d' un même exercice budgétaire.
Arl. 3. - Les ,primes visees à l'article 2
seront répa rti es entre les in gé n i~u.rs et ~~ h
niciens intcressfos dans des condItIons ftxees
par chaque assemblée, sans que les agemts
ayant perç u des indemnités pour tra vaux
supplémentaires puissent y préte ndre et
sans que la prime perçue par chacun des
intéressés puisse être supérieure à 20 % du
traitement bud gétai.re moyen de son grade.
Art. 4. - Le persollnel des laboratoires
municipaux et départementaux p~urr~ bénéf icier de primes à titre de parh~lpatJon aux
recettes realiséespar ces établissements à
Indemnités spéciales au per~ on n e l
des corps de protection contre l'incendie
Art. 6. - Les chefs de batai llon ou capitai nes chefs de co nps de protection contre
J'incendie exerçarrt les fonctions d'inspecteur départemental des services de défense
cont re l' incendie pourront benéficier d'une
i ndemnité dont le montant ann uel ne de\'T3
pas dépasser le cinquième du traitement
budgétaire moyen de chef de batail{on.
Art. 7. Dans chaque département, u'
lieutenant (YU un caijJitaine d'un Corps de
protection contre J'incendie ,pourra être
charge des fonctions d 'inspecteur départemental adjoi nt et pourra percevoi r à ce titre
une indemnité annuelle au plus égale au
dixième du tr aitement budgétaire moyen de
capitaine.
SECTlON III
Indemnités divuses
Art. 8. -
L'indemnité pour supplément
de travail p revue -pour les agents de l'Etat
par le décret du 4 novembre 1946 peut être
mainten'ue en faveur d u. person nel. de maîtr ise et du perso nnel ouvrier des collectivités
locales,
lorsq~e
la durée règlementaire du
travail est supér ieure à quarante heures par
semaine.
Lorsque la durée du travail est de quaj
rante-cinq heures, le taux mensuel maximum
de cette indemnité est fixé à :
�116
230 frs pour les agents dont le classement correspond à un traitement budgétaire
inférieur ou égaJ à 60.000 francs sur la base
des l'chelles de rémuneration prévues par
l'arrêté interministeriel du 23 avril 1946 ;
300 Irs pour les agenlS dont le classement
correspond à un traitement compris entre
60.001 et 100.6I!O Irs. par a pplica tion de
l'arreté du 23 avril 1946.
Le taux de cehe indemnité dena subir
une fMuctien de un cinquième par heu re
comprise entre quarante heures et quarantecinq heures lorsque la durée règlementaire
est inférieure à quaran fe-einq heures.
Art. 9. - Les agents chargés des fonc ·
tions de régisseur comptable et ayant la
responsabilité effective du maniement de
fonds publics pourront percevoir Une indem~
nité de caisse dont le mon ta nt an nuel maximum variera en fonction du montant annuel
des fonds manies, dans les lirnjtes suivantes :
Alontani
des
Montant
de
l'indemnité
londs manies
Jusqu'à 100.000 ........ .
de 100.001 à 250.000 .... .
de 250.001 à 500.000 . ... .
de 900.00 1 à 1.000.000 ..... .
de 1.000.00 1 il 2.000.000 ... .
de 2.000.00 1 à 6.000.000 .
de 12.000.001 à 24.000.000 ..
de 24.000.001 il 48.000.000 ..
de 48.000.001 il 72.000.000 ..
de 72.000.00 1 à 96.000.000 de 96.000.001 à 120.000.000 . .
Néa nt
300 frs
600 Irs
1.000.rs
1.200 Irs
1.800 Irs
3.000 Irs
4.800 frs
6.600 ITS
-
Art. 10. -
Le directeur de l'ad ..
tion départementaJe et communal mmlstra~
recteur du budget sont cha rgés ec: t le di.
N" 22 .t 23
10' Anné •.
Recueil des Actes Administratifs'
Fait à Paris. le 20 mars 1952.
Le Ministre de l'Intérieur'
.
Le Secrétai re d'Etat au Bud get
Pour le Secrétaire d'Etat '
ef par autorisation,
Le Directeu r du Bud,get:
Ro ger GOETZE.
10.400 Irs
FRANf1AISE
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
ce qU I le concern~ de l ' ex k:utio~ du acu~ en
arrêté, qui prendra effet à co
present
1er janvier 1950.
mpter du
Oharl es BRUNE.
RÉPUBLIQUE
29 Mli .t 5 Juin 1952
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance r elative au Recueil doit étr e adressée à la Préfecture Secrétariat Général
---- c:. oo «~· ---
ABREVIATIONS
A. P. : Arr~tê ~ri:fectoral. -:- C. : Circ.ulai re - Les lettres 0 et B suivies d' un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Direction des ServIces Tec hntque.. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Pop ulahon .
'SOMMAIRE
Arrêt~
Palles
réglementaires et Circulaires
P ages
AO 0.- Arrêté en date d·u 29 ma i 1952
maire de Port-d e-Bo uc . ...... .. . Il7
AG 2. - Agents du Cadre départeme ntal. - Arrêté " rMector.a l en da te
du 15 mai 1952, portant modi.fica ti on
de l'a rrêté pPéfec to ra'1 du 27 ma rs
au ,o(C!assement
de c es
agents en catégories A et B. - Extrait du procès-verbal de da Commission d épa rtementale. du 18 avral
1952 ayant adopté la mod ification
proposée .... .... .... .... ....
AG 2. - Agents du Cad re départemental. - Promotions • . .. .. . ... . .
AG 13. - Eva luation des domma ges
de guerre aux éléments d'e.X!ploitation
•
non agricoles. -
Troi sième tranche.
1,18
11 ·S
11 9
ri sée la pêche à la li gne flottante
les dima'nches et jours féri.€s, en
11 9
semestre 1952 .... .... .... .. ..
Rectificatif .. .... 120
P 8. Inscriptioo à apposer Su r les
récépissés déli vrés a ux étra ngers
do nt le titre de séjour est en cou r s
Lutte contre
Textes d'Intérêt Général
Ci rculaire ministérielle relative au paiemen t d'indemnités . de
licenciement aux agents non t ~tu
la ires bénéf,iciai.res du régime de
retraites compl émentaires des Assurances Sociales institué par le docret
120
120
120
I~s
incendies de
forêts. Réqui sition de personnel
et de maté riel .... .... .... .... 121
SC 7. - In cend ies provoqués par les
dépôt d'ordu/es .... .. .. ........ 121
FS 6. - Arrêté préfectoral en date du
6 m..ai 1952, rappor tant les a r,rêtés
des 29 février et 13 mars 1952, relatifs aux mesu res prescrites lors de
la rècente épid cmie de va riole dans
le départem ent des B.-du-Rh . ......
12 1
121
AC 2. -
F 2. -
res de securité dans les établissements for ai ns .... .... .... . . . .
taux des
cotisations en matière d'a~ l ocatio ns
fam i lial es a gricoles pour le premier
de taureaux. -
de renouvellement ..... . .. . .......
Conti ngent communal des dépenses d'a ssistance pour 195 1......
Arrêté fixant le
n' 5 1-1445 du 12 décembre 195 1. .
TVX 5. - Décret n' 52-578 du 23 mai
1952 relatif à la passa ti on des marchés depa rteme nta ux (J.O. du 26 mai
1952, page 5323) .. .. .... ......
122
122
Communiqués .. Avis .. Annonces divenses
-
Vente
par
le
Département
des
Bouches-d u -~ lône de deu'X voi tu res
to urisme .... .... .... . . . . ....
- Vente d'un co rbiU ard hippomobîJe.
-
122
123
Adjudications p ubliqu es et appels
d'o ffres. - Service des subsista nces
militaires. . .. .... .... .... . ...
123
•
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
Pour le Prélet,
Le Sous-Préfet
Directeur du Cabinet
Signé : PLETTNER
CAB tNET DU PR ÉF'E'l'
DES
BOUCHES - DU - RH ONE
AG 0
ARRETE EN DATE DU 29 MAI 1952
SUSPENDANT DE SES FONCTIONS
POUR UNE DUREE D'UN MOIS, M.
R1EUBON , MAIRE DE PORl'-DEBOUC.
ARRETE
Le Préfet des Bou ohes-du-Rhone,
Officier de la Légion d' Ho nneur,
•
....=-- -----------------------------------"j;;;;;;;;;;~_;;;;:;;:;_;_;;;_V;;:::;_;_;_;_~:_:=
lilü.un~
~
lM, .... S,un..
cou rs d'eau de 2e ca tégo rie
SC 7. -
conditions dans lesque\lJ.es est au to-
C7VSl.L& Ils
Pallel
A O. -
SC 7. - Circulaire m i nist ériell~ n' 188
du 30 avril 1952 relative aux mesu-
P O. - Allpe is à .Ia générosité pu bi ique
pour l'année 1952 . .. .. ... ..... .... 11 9
P 3. - Ar rêté prefllCtoral lixant les
bln.ur:uJ&
fe rmeture générale des
P 5. - CircuJaire ministériell e n° 193
du 7 mai 1952 relati ve aux courses
suspendant d e ses fon.ction s pour
une dUTee d' un mois N\ . Rieu bon,
1950, relati f
périod e de
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _"'-_ _ _. . . .
l' V~I la loi d u 5 avri l 1884 et notamment
arh<lle 86 de la dite loi .
d Considérant que M. Re~ é Ri elwon, maire
de P.ort-de-B o u~ a g ravement méconnu ses
t ~Irs de premier magistra t municipal à
rOIS
reprises différentes :
à la tête d'une mani,festation et en remettant, sous la pression des manifestants, . au
poste de police de Port-de-Bouc, lIne mohon
de protesta~on de la section locale du Pa rt i
communiste ;
_ en encourageant par sa présence, dans
le co urs de l a nuit de ce même dimanohe
les indi vtdus qui apposaient des insc ri.ptions
injUTieu ses sur les chaussées et les immeubles de la Ville de Port-<le-Bouc ;
_ en prenant la p;<1Tole le l undi 26 mai
1952 et en provoq uant de la so rte un
attroupement sur la voie . publique à la so r~
tie des Chantiers et Ateliers d-e Provence a
Port-<le- BŒuc ;
Considérant qu'ell agissant ai nsi, M. Ri eubon a eu une artH'ude incompatible avec ses
fonctions de mai re j
que M.
• • •e11ln_s;
e ~p~la:ç~an::t~i:e_d~i~m.a
:;n~c~h~e.2~5~m~a;i~19;5~2_~ïii. . . . .
ïïi
ou trages à M. le Ministre de la De:fel1'5e
Nationale ;
Considérant que M. Rieubon a été invité.
oonfomtémenl il ,article 86 de la loi du
5 aVI·u 1884 8 fOUInir des explications écrites
et que celles qu'il a donn ées ne font que
condirmer les faits rapportés ci-dess us,
Arrête :
Arficle prlNTlier. -
Port-de-Bouc.
M. Rieubon, maire de
est suspendu de
tio ns pou-r un e durée d'un mois.
ses !om:- I
Article 2. - M. le Secrétaire Gén ér,a 1 de
la Préfecture et ,\1. le So us-P ré<!et d'AiK-enProvenœ. sont chargés de J'exécution du
présent arrêté qui sera publié aD Recueil
des Actes Administratifs du D épartement.
Marseille, le 29 mai 1952.
�. 118
AG 2 ,
D5 B3
AGENTS DU CADRE
DEPARTEMENTM.
Arrêté préfectoral en date du 15 Mai
1952, portant modification de l'arrêté
préfectoral du 27 Mars 1950, relatif au
classement de ces agents en catégorie
A et B.
Extrait du procès-verbal de la Commission départementale du 18 Avril 1952
ayant adopté la modification proposée.
Marseille, le
~I
mai 1952.
AARETtE
Le Préfet des Bouches-du- Rhône,
Officier de la LégiM d'Honneur,
Vu J'arrêre préfectoral du 31 décembre
1933 portant Ièglement du personnel administratif et technique des Etablissements et
Serv;"es Départementaux des BoU'Ches-duRhône;
Vu l'arrêté préfectQrad du 31 décembre
1933 portant règlement du personnel d 'exécution des Etablissements et Services Départementaux des Bo~s-du -Rhône ;
Vu l'ordonnance n· 45-993 du 17 mai 1945
relative aux servi<:es publics des departements et des communes el de leurs établissements publics ;
Vu le déc ret du 2 avri l 1948 portant règlement d'administration publique- pour l'a,pplication de l'a rticle 4 du décret du 19 septembre 1947 rEilatif il l'institution de la
Caisse Nationale des Retraites des Agents
des Callectivités locales ;
Vu le procès-""rtlal de la délibération
adoptée par ta Commission Départementale
des BOuches-du-.Rhône en sa séalKle du
13 septembre 1949, tendant il- l'apJ>lication
au .,ersonnel départemental des dispositions
des arrêtrés min istériels des 19 .novembre
1948 et 16 mars 1949 et fixant, cOJ1l!ormément à ces textes, la nouvel.:le répartition de
ce personnel et la Qualuication des différents
""1Pto is ;
Vu l'arrêté préfectoral du 19 d«embre
1949 pris pour l'.,,plioation de la délibération de la Commission Départementale sus,..
visée i
Vu l'arrêté de M. le Ministre de l'Intérieur
en date du 20 sept_bre 1949 fixant la
répartition des emplois des agents des collectivités locales en catégories A et B ;
Vu le décret du 5 octobre 1949 portant
règlement d'admin istrat ion pLlblique pour
l'application de l'article 3 de .l'ordonnance
n' 45-993 du 17 mai 1945 ;
Vu l'arrête :p.électoral du 27 mars 1950
étendant au personnel départemental les dispositions de l'arrêté ministériel précité ;
Vu l'avis de M. le Directeur lMpartemental de la Santé en date du 25 mars 1952 ;
Vu la séance du 18 avril 1952 de la Commission Départementale des BoU'ches-duRlllOne relative il la mod;tication de l'arrêté
préfectoral jJrécité ;
Sur la proposition de M. le SecrétaiTe Générai des Bouches-du-Rhône,
Arrête ;
Artiete premier. - L'article premier de
l'arrêté préfectoral susvisé du 2:7 ma", 1950
.est modifié comme suit;
Paragraphe Il. -
Personnel soignant
- Chets S .. rveillanls et Chefs Surveillantes ;
- Sun'eillants et SurveJUantes ;
- Infirmiers et lniimnières spécialisés
Infirmie rs et Infirmiè res diplômés ;
- Infirmiers et Irdimtièr.es autorisés ;
- Aides-Soignants et Aid"s-Soignantes ;
- Aides-Radiologistes ;
- Assistan tes Sociales.
Article 2. - Les Ass istantes Socia~es Chefs
et les Assistantes Sociales Püneipales so n t
classées dans la catégorie A .prévue par J'arrêté clu 2:7 mars 1950.
Article 3. - M. le Secretai.re Général d ..
Bouches-du-Rhône et M. le Trésorier-Paye ur
Géneral sont cha r,g és, ohacun en ce qui le
concerne, de ~'eXlécutiO'n du présent ,aruêtè.
Marseil le, le 15. mai 1952.
Pour ,le Prefet et par dé légatio n,
Le Sous-Préfet,
Directeur du Cabinet
,
..
OBIET " Modification de l'arrêté préfectoral
du 27 mars 1950 pQf'tant classement en
catego,;es A et B des agenis du C<NiTe
départem~ntal.
M. 'le
Préfet
nous soumet le faJpport suiva nt :
L'arrêté minisreriel du 20 septembre 1949
prévoit le classement en catégories A et B
d"s agents des Collectivités Locales en vue
de leur admission à da retraite.
En <:e qui con<:erne les Assistantes Socia,es, le classement suivant figure au tab leau
annexé â dJarrêté min istériel précité :
Catégorie B, a~tif, Assistantes Sociales
dont l'emploi comporte un contact direct el
permanent avec les malades, la limite d'âge
pou r la retraite est 58 .ans.
Pour le ve rsonne1 classé dans la catégo~i.e A., sédentaire, la Hmite d'âge est porMe
a 63 ans.
Les dispositions de l'arrêté s usv isé, compte
tenu de la dél.itlération de votre Assemblée
en date du 13 septemb re 1949, ont été étendues au personnel départemenlal par ,ar rêlé
préfector~ du 27 mars 1950, et toutes les
Assistantes sociales, y compris les cadres,
ont été ,"cluses dans le taobleau de la catégorie B.
C~pendant, après un nouvel e"amen de la
et notamment
l'Inspecte ur
après avis de
Divisionnaire de la
Santé
M.
il
ressort q.ue les Assistantes chefs et pri~j.
pales rte sont pas actuellement investies d' un
emploi comportant un contact direct et permanent avec Oes malades ;
ces dernières
devraient doll'C être ctassées en catégorie A
(sédentaires - limite d'âge ; 63 a ns).
Toutes les aut res assistant<;l', du fait de
la polyvalence, contactent les malades d'une
façon pefTT\anente e t le maintien de leur
cta9Sement en catégorie B s'impose.
Si la Commission Départementa le veut
bien aœepter le classement ci-dessus proposé, l'arrère pTéfectoral du 27 mars 1950
serait
suit :
pressio n des A,sslStan!es ohefs et 'principa~es.
< Article 2. - Emplois classés dans la
catégorie A ; A$Sistantes Chefs et Princi_
.pales '•.
j'ai l'honneur de l'rier votre Assemblée de
bien voL>lo ir déli'bére r s ur la présente question.
Messieurs, je vous demande de vouloir
bjen, q->mpte tenu des indicati.ons mention~
Délégation départ emelilaie des BOl/cites-du·
RMne - Service des dommages de guerre
nées darns le ra'pport d e M. le P.réfet, 3CC1lJ>ter le classement qUI nOus est proposé.
Si vous prenez lme telle décision, t'a r~tC
préfectora!l du 2:7 mars 1950 sera modifié
L' In génie ur en ,ohef, dél é,g ué d~ Mi nistre
de la lleco nstructiol> et de l' U rba ni sme pour
les Départements des Bouches-du-Rhône,
comme suit:
Vu' les dispositions des articles 3-38-39-40
et 71 de la loi du 28 octob re 1946 su r les
domma-ges de Guerre ;
Vu les dispositions des articles 18-1 9-20
du decret n" 46-2960 du 3 1 décembre 1946
« Article prtmier. Paragraphe II. _
E!mplois classés dans la catégorie B ; sllJ>pression des Assistantes Chefs et Principales,
< Article 2. - Errnplois classes dans la
catégarie A ; Assistantes Chefs et Principaies •.
je donne P!'rsonnellement mon avis favo'"
de
Extrait dit Proéès-Verbal. - Séance du 18
avril 1952. Présidence de M. l ean MASSE.
question
ou les rappo rts établi,; ,par des expe rts
servant à l'exercice des professions Iimitati.
vement énumérées â l'ar ticle 1er être dé~
biens des c3'tégor ies ci-dessus p;écisées et
ser vant à l'exercice des 'Professions limitivement énumérées à J'article lpremi er, être dé.
Le Président
la Commission Départementale
MASSE.
Gard Lozè re et Vau:d1luse.
portant règllement d J A'<1mlnistration P, l~hlique
pour l'applicaNon de la loi susvisée ;
Vu les dispo si tions de l'a rtidte 13 du décret W 50- 182 du 3 février 1950, ,elatif à
5 mai 1950 pontant c!&léga tion à ses Délé-
AGENTS DU CADRE
DEPARTEMENTAL - P ,R OMOTIONS
Marseille, le 27 mai 1952.
Par ar rêtés en date d u 6 mai 1952, les
agents du Cadre Départemental dont les
noms suive nt ont été admis alt bénéfice des
écheUes de trartements d'Attaché ou de Secrétaire Administratif de Préfecture
,
.
2· Echelles de Secrétaire Administralif :
Mme ES PIAN ET Blarrche
Mlle FERAUID Marie
M. GOT Marcel
M. JONQUET Roger
-Mme KU,PPER Gabrielle
M. LONG jean-Baptiste
Mme LUtCCIA.N I Antoinette
Mme MAGNAN Ma rie
M. MARZ:IIN.I Lo uis
Mme NI V J.E.RE Yvonne
M. PE.ULEORINI Hen ri
Mme PINA11flL Raymonde
Mme POL Lu cien ne
-MUe P,RA'DEL M'arthe
M. SUSE FernalM
M. ZUENA j ea n.
Po ur le Prefet et par dél~galion,
PLETIllNER.
MINISTERE DE LA RECONSTRUCT ION
ET DE L'URBANISME
Vu l'arrêté de M. ,le Ministre de la Re-
D5 B3
Le Sous-Préfel,
Direckur du Cabillel
(Troisième tranche)
coostr·uct ion et de l'Ul1banisrne en oate du
----<>00<>----
1· Echelles d'Atta ché .M. BERNARD Camitle
M. CAMU,RATI Victor
M. F'RkNÇOIS jean-Pierre
Mme MA:NICA.CCJ Restitude
M. POULARiD j ean
Mme GANIDAU Colette
M. GIRIN E'ugène
M. GUIiCHA>I~D Edmond
M. GUIGUE ElienOle
M. LECA Simon
Mille OSSOWSKY Angèle
M. RIOHI ER .Anto nin
M. VEROLA Louis.
D5Bl
l'i n.tervention des arrchitectes, eXlper ts et
1e<:hniciens dans la reconstitution des biens
endommagés tp3lr faits de guerre ;
Adopté.
COMMISSION DEPARTEM!ENTALE
DES BOOCHES-DU-RHONE
M. <MAssE, rapporteur. -
AG 13
table.
PLETTNER .
119
EVALUATION DES DOMMAGES DE
GUERRE AUX ELEMENTS D' EXPLOITATION NON AGRICOLES,
< A:ticle p~emier. Paragraphe II. _
EmplOIS classes dan s la catégorie B ; sil!>-
BMP.LQIS CLASSES
DANS LA GATEGORI'E B
-
gués départementaux !pou r fixer le point de
départ du délai de six mois irruprurti a-.ux
sinistrés pou r les dépôts de aeu r doss,.r
d'évalu·ation ;
Vu mes décisions des 22 septembre 195 1
~t 8 février 1952,
Décide;
Artèc[e premier. ...,.... Le .programme d'év~
l uation des éléments d'eXlp loitation affectes
à un usa"e i.n;dustriel , commerc ial, .artisanal,
.
professionnel, sociall, -culturel ou a un service Ipublic doit être, dans le Departement
des Bouches-du-Rhône réalisé avant le 1er
décembre 1952, 'pour Iles ·professions sui~
vantes :
-
Industrie du bois (outils à main pour
le travai l d" ,bois). Livre II ;
- Ind.ustri e du bois (produits forestiers,
"SCiages, meubles et d ivers). Livre III j
- Bouton nerie ;
- Brasserie - Mra!lterie ;
- Canalisations en acier ;
- Oultes (Algence-ment des édifices cultu-
rels et objets du cuite) ;
- ,Matériel des dépôts d'llydroca.bures ;
- E4u ipement des motocyclettes et v~lomoteurs ;
- Faïencerie;
- Hontogerie-Bijouterie ; .
- A\areyeur-s, swleurs. saurt~seurs.;
- Matériel de meunerie et wdllStrles annexes ;
- I ndust rie des pâtes alfmentai res
- Plhar,ma'c ie ;
- Suiferie.
Art. 2. - 'Le d élai du 1er Mcembre l ,52
n'est valable q ue pour les biens don 1.3
reconstitution Jl'a IPas été dédlarée pror~~
taire,. les arrêtés de Ip riori té fixant les d~lal.s
de vigueur qui, le cas édhéant, se sd)stl ~
tue"t au délai ci-dessus.
Art. 3. - Les fis/es des dommages lubis
- si l'évaluation approximative en v~Jeur
actuelle est irllférieure à deux miNions
posés avant le 1er décembre 1952 il la Délégat ion Interdepa rteme nta!le des ' Souchesdu-~hône, 50, nue ~t-Lazare, Marseille.
Art. 4. - Les prnpri étaires des biens visés à l'af1ticle premier auront la fac ulté de
signifier à mes ser vices avant l'expi ration
du délai ci~essus fiXlé, qu' ils n'entendent pas
soit déposer eux~mëm es lia liste des dom~
mages qu'ils on t subis, soi t faire procéder
pa r un Ex;pe rt de leur choix à l'établissement d'un r" pport et qu'ils laissent ,par s ui te
ce soin à l'Administratioll .
Art. 5. - Les pièces , teohniques nécessaires à l'évaluation des dommages visés à
l'a rticle 1er qui n'a uront pas été déposées
à mon Service des Dommages de Guerre ou
cormées à l'initia tive de ce der.nier, avant le
1er décem'bre 1952 se ront établies d'office
par des e"perts agréés désignés par l'Administ ration.
Art. 6. -
Les eXlperts qui seront désignés
pa r j'Admi nist ration ,pour procooèr aux eva~uations seront rému nérés dans les condi-
tions du titre III d u décret N" 50- 182 du
3 févri er 1950.
Art. 7. - La 'présente décision fera l'objet de la pJus gra.nde diffusion~ Ipar insertion
dans Ile BuUetin des Actes Admin istrahfs du
Département et dans ,La presse dépa rtementa le, par affichage dans les J\'\airies et avis
aux groupements de sinist r-és et aux E.\Jperts.
Marseille, le 14 mai 1952.
R. CAulOUD.
---<:'0() c> - - -
DI BI
PO
APPELS A LA GENEROSITE PUBLIQUE
POUR L'ANNEE 1952
Marseille, le 23 mai 1952.
Par cir.culaâre insér.ée au Bullletin NU 5
du 3 1 janvier 1952, je VOtiS ~i. nohfi~ Ja
liste des appels à !.a généroslte .p~bhque
autorisés sur l'ensemble du terntOl re au
co urs de l'année 1952.
Cette liste est complétée par les disposi tions suivantes:
Il a été decidé, en accord avec M. le /vlinistre d'Etat chargé des rel ations avec I.es
Etats Asso . . iés de comlicte r ce calendner
pa~ une j .Jumé~ Q.uÎ s.e:a o[l~ani~ée ,le. 22 juin
prooha;.1 par le Comite Nallonal ct Alde aux
Con\Jattants d'Indochme.
":"a foi du Il avril 1952, relative à la cé~
.Obration du centenaire de la créatio n de la
Jvl 00.aille Militaire, prévoit un certai n nom·
bre de dispositions destin~cs à commémorer
cet anniversaire.
Pour contribue r au succès des in.itia tives
qU·i marquero·nt cet événement, je V"O.us informe que M. le Ministre d.e .l' Inténeur .a
décid e d'aocorder à
l'Assoc iation des Me-
.05 BI
.
P3
ARRETE PREFECTORAL fiXANT LES
CONDITIONS DANS LESQUELLES
EST AUTORISEE LA PECHE A LA
LIGNE FLOTTANTE LES DIMANCHES ET JOURS FERIE~I EN PERIODE DE FERMETURE GENERALE DES
COURS D'EAU DE 2me CATEGORIE.
Le Préfe t des Bouches-du-Rhône,
Ofncier de 'l a Légion d'Honneur~
Vu les lois des 15 avril 1829 et 3 1 mai
1865 sur la pèche ~l~vraie ;
Vu le déc ret d" 29 août 1939 modifié par
les décrets des 14 septembre 1950, 17 mars
1952 et 8 av ril 1952 ;
Vu l'arrêté interministériel: du 8 avrH
1952 :
Vu les avis favorables du Conservateur
des Eaux et Forêts, de l' Ingénieur en Chef
des Ponts ef Chaussées et du Président de
l a F.édér'ation Départementale des Assocra~
tions de pêche et de <pisciculture des Bou-
ohes-du-Rhône,
Arrête
Article premier. -
Pendant la période de
fermetoure générale des eaux de 2e cat~gorie.
Il es membres des Associations agréées de
pêche et de pisciculture, offi'liés à la Fédération dttpartementéllle de pêche du département des Bouches-du-R hône, sont autorisés
à rpêc her les dimanches et j ours fériés dans
tous les œurs d'eau des deux catégories du
département sauf, toutefois, dans les reservoirs d'aJimentation des canalLX de navigation.
Art. 2. - Ce droit pourra être exercé
indifféremment d ans les eaux publiques et
dans les eaux privees mais dans ces dernières le consentement des détenteurs du
d roit de pêche sera ~oujours exigé.
Art. 3. - La pèche ne pourroa être pr·ati.
quée qu'à l'aide d'une seule l igne flottante
tenue à la main, telle que le lest ne doive
en aucun cas reposer sur le fond, ni empêcher la ilgne de suivre le courant.
Dans l es eaux de la deuxième catégorie,
cette pOOhe pourra être pratiquée de la riNe
ou en marchant dans l'eau et dans les eaux
de la première catégorie de la rive se ule~
ment.
La pêc.he au Ia.ncer n'est pas autorisée.
Art. 4. - Pour exercer ce droir, le pêoheur devra avo ir acquitté une taxe dite 0( du
dimanche » qui sera perçue suivant les
mêmes modalités que La faxe pisc ~cole annurule minimum et fixée au même taux que
celle-ci.
Art. 5. - Le poisson capturé dans ces
conditions ne ,p ourra être ni colporte, ni mis
en ,·ente, ni vendu J ni acheté.
Art. 6. - Le tim.bre ta xe c du dimanche » dé.livré à tout adhéren t d·une assocÎ.ation agréée de pêche et de pisciculture d'un
dépafltement ay,a nt autorisé cette pêche par
arrêté ·préfectoral, pris suivant les dispositions qui précèdent lui permettra de la pratiquer dtl.!lls tous les départernents l 'ayan t
au.torisée.
daillés Militaires l'autorisation d'organiser
le 6 juiN et prochain, une co.l!loot~ s.ur la voie
publique sur l'ensemble du terntOlre.
Arl, 7. - l 'arrêté pr6fecto raJ du 8 mars
Vous voudrez bien apporter tout votre
195:< est abrogé.
conco urs aux o rganism es locaux qu i auront
Les 'présentes dispositions resteront valapour tùçhe de mettre a·u I~ int les di':erses , bles tant qu'dies n'auront pas l'té rappor.
manifesta lions envisagées a ces occasIons.
�-
120
Art. 8. - Le Secrétaire Géneral de la
Préfecture, les Sous- Armets d'Aix et d'Arles,
les Maire" le Consen'ateur des Eaux et
Forets, J'fngènieur en elle'! des Ponls et
CIIaussées, le Directeur des Contn UtlO~S
tndirectes, le Commandant de Gendarmene,
les Commissaires <le Police, Gendarme.>, Gardes des Eaux et Forêts, Gardes Champêtre.,
Gardes assermentés et particuliers, employes
des Contdburions Indirectes, sont chargt?s,
cbacun en ce qui le ooneerne, de l'exécut ion
du present arrêté 'l'li sera inseré au Recueil
des Actes Administratifs publié et alf icilé
da"s toutes les Communes du Dépa r tement
des Bouohes-.du-Rh ône.
,\larseille, le 26 a\' ril 1952.
P()ur le Prefet,
Le Secrétaire Général déltigué
LA.\1ASSOURE.
Approu\'é par .\l le "'inistre de rAiricuJture le 8 mai 1952 sous le N" AF /8-1 .J08.
------ c~OOc~-------
Dl BI
P
5
CIRCULAIRE MlNISTERlELLE N ' 193
DU 7 MAl 1952 RELATIVE AUX
COURSES DE TAUREAUX,
En effet, la \'alidité .ou la nature de l'a utorisatio n IProJessionneUe peut rarier selon la
nature o u la validité du titre de s éjour.
C'est pourquo i il )' aura lieu., lo rsq u' un
étrange r sollicitera le renouveUement de sa
carte de sëjour, soit de lui dclivrer un tOcé·
pissé cOll1Q)ortant, en lett res t rès appa ren tes,
la mention : " renouvellement de la ca rt e
de séjour de < R~ident ...... » (Te"1pDraire, Ordinai re o u P.....vi1égi~), soi t d'i nscri re au verso du titre de sé-jour dont le re nouvellem ent est demarudé, la me ntioo :
c Demande de renouveUement actuell ement
en cours ~jn,strudi Oll ) .
Je vOus demanderai de veiller stricteme n t
à J'application des présentes instr'uctions,
tant dans l'jntérêt de; étrange rs et de vos
administrés français qu.i les emploient, que
dans celui des Administratrons de Iïn tèrieur
et du Travail .
Pour le Ppéfet,
Le Sous-Préfet, Direcleur du Cabinet
PLETTNER .
-------<>00<>------D3 B2
F 2
CONTINGENT COMMUNAL DES
DEPENSES D 'ASSISTANCE POUR 1951
Rectificatif
Paris, le 13 ma i 1952.
Le Ministre de l'Intérieur,
à MM. les Préfets (Métropole),
OBjET: Courses de taureaux.
REFER. : Ma ci rculaire N' 193 du 7 ma i
1952 . Rectificatif.
Le premie r parag raphe de la circulai re
citée ell rêference. doit être modifie comme
suit:
Au lieu de :
.La loi pénale actuellement applicable en
matière de course de taureaux est celle du
2 juillet 1950...
·Lire :
La loi pénale actuelleme nt ajl~licable en
matière de courses de taureaux est ceLle du
2 juillet 1850...
p'our le N\inistre de l' Intérieur
et par déléga tion,
Le Di~ecteur du Cabinet
VERD IER.
------- ·c>ooc~ ------
DI B3
bution d'une carte' -de tra\'ait aux étran gers
dont le titre de séjour est en renouveltement .
P 8
INSCRIPTION A APPOSER SUR LES
RECEPISSES OEUVRES AUX
ETRANGERS DONT LE TITRE DE
SEJOUR EST EN COURS DE
RENOUVELLEMENT
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
à MM. les Maires et Commissaires
de Police du Département
(en communication),
à MM. les Sous-Préfets d'Aix et d'Arles,
M. le Directeur Departemenlal
des Services de Police,
M. le Directeur Dépprtementat
de la Main-lffŒu.vre) ,
M. le Directeur Département ..l du rrravail
et de la .~\a;jn-d'Œuvre (M.O.E.) a a-ppelé
mon attention sur Jes difficultés que rencon-
Le Préfet des Bouches"du-I<Ihime,
Ofncier de Ja Legion d' Hon neur!.l
Vu les décrets des 30- 10-1 935 et 19-1 2-36
sur la ,rêpartition des charges d'assistance
entre les CollectiVités PUblkIues ;
Vu la l()i du 7 avril 1937, deternlinant les
conditions de réparti tion entre les communes
du contingent communal d'asslstance ;
Vu l'artiole 35 de la loi du 15 juillet 1893,
considérant que la cœnmune de Salon bénéficie du régime spécial de l'a r tiole 35 pour
l'année 195 1 j
Vu la détioé ration du Conseil Gé néral, en
date du 26 a"ril 1952, stat uant sur la repartition entre les Com mun es du contingent des
dépenses d'assistance mis à leu r cha J'Ige au
titre de l'année 195 1,
Arrête :
Article premier. - .Le contingent commu4
nal des dépenses d'assistance pou r 11année
195 1 sera répa rti entre les Co mmunes du
Departement, proportionnel:lement à la valeur du centime comm unal pour la même
année.
Art. 2. - Sont exdlues de c. régime les
d6penses d'assistaoce se .rapporIQ.li à l'A,M.
G. à la cha r,ge de la commu ne d~ Salon,
pour toute d'année 1951, cette comm ulle bé'
néficiant de l'organisation spéciale résur',nt
de l'a rticle 35 de la I<>i du 15 juillet 1893.
Art. 3. - M. le Secrétaire Général de ·Ia
Pretecture et M. qe Tresorier-Poayeur GèneraI du Département, sont chargés, chacun
en ce qui le concerne, de l'exécution du I>réserut arrêté qu.i sera pubhé a u Recueil des
A<ltes A<lministratifs.
Fait à Marseille, le 23 mai 1952.
Pour le Pretet,
Le Sous-Préfet, Di"cleur du Cabinet
PLE.TTNER.
------- C)oOC~
_______
D2 B3
Sc 7
CIRCULAIRE MINISTERIELLE N' 18&
DU 30 AVRIL 1952 RELATIVE AUX
MESURES DE SECURITE DANS LES
ETABLISSEMENTS FORAINS,
j'ai l'honneur d'attirer l'atterution de ,llll
les Maires du Dépa rtement Sur la ci rculair
ministérie~e ci- après n" 188 du 30 a\'T'Î~
1952 relative aux rrnesures de séc urité dans
les établisseme nts forains.
P<>ur le Préfet,
Le Sous-Préfel, Directellr du Cabinet
PUETT NER.
• • •
P.aris, le 30 avril 1952.
Le Min istre de l'Interieur
à MM. les Préfels, '
j'ai l' honneur de vous fai re con naître quemon attention a été att irée sur l'insuffisanœ
des mesures de séc urit.! contre l'incendie
prises dans de nombreux éta blissements 10rains et, en parUculier, dans les cinémas
ambul.. nts.
C'est ajnsi que centaines salles seraient
installlées s ur tréteaux et desser:vies par des
d égagements nettemen t insuffi sa ntsJ ne d i~·
poseraient d'a ucu n éclairage de séc urité,
seraient décoj'ées de te nltur ers f1ont.an tes, ipOSsèderaie nt des j nstaH~tio n s de chauffage
da ngereuses, etc ...
Je tiens à vous préciser qUE\ si le decrel
du 7 rev ri er 194 1 relatif il la protection
contre l'j ncendie des bâtiments ou locaux
recevant du public n' est a'!>p licable qu'aux
instaJI.lations fix"'e5, il importe cepe ndant que
les exploitatio ns ambulantes presente nt des
garanties de sécurité s uffisantes.
La necessité d'éta:blir .u ne règJeme ntation
dans ce sens sur le plan na tio nal ne m'a
d'ai lleurs pas éc happé et mes Services
proposent d'e nt re~reru:1re cette etude des
que se ra te rminée 'l a rév ision d u décret du
7 fév rier 1941.
Cependant, en a ttendant, il appartient au
mai re, en application de l'article 97 de la
loi de 1884, de prescrire par arrêté, les me"
sures de séc ur ité "prlic"oles dans sa com'
mune a ux étaiJ.lissements forains.
Le Pr-âfet peut égélliement, par un arrêt~
règJementaire pris I)our toutes les commune~
de son département ou plusieurs d' entr~
elles, en eX'écuNon de l'ar,ticle 99 de la 101
précitée, prescrire des mesures de cette na"
ture.
Ces derniè res po urrai ent utilement être
édictées e n prenant crumne base :
_ Les directives <lu rè glement sur les
constr uc tio ns ,proviso ires ou 30 novembre
1945 ;
_ Cemes données . dan s ma ci rculaire
<:52 AI[)/ IN-ST du Il mai 1948.
D 'au tre par~ il me pa raît sou haital>le qu:
~e contrôle des étab1issements. ~Olt eX:leeU~S
par les Comm issio ns de sécunte OU
:e
détlègués.
En tout état de cause, je vous r~~~:
q ue, en applicat ion des presw~tlons94dle
'du
tiole 143 du décret d u 7 fel'rier l
,on-
pelées par circulaire 1655
6 novemhœ
4I!, les.~.QIc>ital~~':::::".
12l
tooraphlq,ues amllwlantes en lo.mat de
35e, mm . dOh1ent être formellement in terdites.
pour le Minis tre et J'ar délégatio n,
L'lnspu1eur Général de l'Adminis tratton
chargé du Service National
de la Prot ection Civile
A nd ré PELASO N.
-------( . 00 <.·------SC 7
02 B3
FS 6
D.D.,S.
V u le décret du 29 juillet 1939 relatif à la
famMle et à la natali.tê fralll çaise ;
ARRETE PHl!PECT01tAL EN DATE DU
Vu les décrets des 13 mars et 28 mal 1940;
6 MAl 1952, RAPPORTANT LES
Vu la lo i du 22 août 1946 fixant le réARRETES DES 29 FEVRIER ET 13
gime des prestations familiales i
MARS 1952, !reLATIFS AUX MESUVu les dispositions de la section 2 du
RES PR2SCRl1:U LORS DE LA
chapitre 1er du décret du Lü décembre 1946
portant règlemen.t d'administration publique
RECENTE EPIDEMIE DE VARIOLE
pour 1'3J>pl ication de la loi du 22 aoOt 1946
DANS LED~PARTEMENT DES BOUsusvisée ;
CHES-OU-RHONE.
Vu l'arrêté ministériel du 3 1 décembre
LUTTE CONTRE LES INCENDIES DE
ARRETE
1946 relatif aux Comitlés départementaux des
FORETS
prestations famidia:les agrJcoles j
Le Préfet des B ouc h es,d u-l~h âne,
Réquisition de personnel et de matériel
Vu la lOf du 2 mars 1948 et ootamment
Officier de la Légion d' Honneur."
son article 2 i
Le PrMet des 80u c h e~ u' R h ôlle ,
Yu la loi du 15 février 1902 et notamVu la loi du 16 juiUet 1949 (no lamment
à MM. les Maires du Dépar tement,
ment SOn article 6 reJ.atif à l' obli gation de son a rt iole 10) ;
vaoon.ation
et
de
,la
revaocinatioTt
alIltila
5n vue cfapp"r,ter à la lutte cootre les
Vu l'a r rêté prHectora l, do TI fevrier 195 1
JI1cendies -de forêts le maximum d' eH1cacjté, varidlique ;
fixant les conditions d'activité p rofessionVu le déc ret d" 27 jui llet 1903 portant
il irnp0Tte que to us les moyens sorent mis
nelle ouv rant droit à l?attribution des presen œuvre dans le plus bref délai pos'!.\ble, règJ.ement d'administration plJblique Sur la
ta tion s familiales agricoles ;
dès le début du sinistre. En partielZ'!ler, il vacciD ation et la revaccination anti-varioVu la circulai re ministérielle n' 3 ASM/ 7
,
est d rU devoi r des Mai res de proc<bder aux lique ;
du Il janvier 1952 ;
Vu
la
loi
du
7
septembre
19
15
qui,
en
.son
réquisit io ns de pef'Sonnel et de raatériel néVu La ci.rculaire ministérielle n° 9 ASNij 7
article unique, dispose que c en cas de
cessaj.res..
du 25 janvie r 1952 ;
j e rappelle que les modalit~. de ces r.équi- gp er re, de calamité publique, d'épidémie ou
Vu les décisions !prises Ipar le Comité déSftiOllS sont ind iquées dans la circulaire de men ace d'éptd,êmie" la vaccination Ou la
partemental des p-restations familiales agrirevaccination antiva riolique ,pe ut être rendue coles dans ses séances des 5 juin et Il sep343 AG. 8 clu 30 octobT" 1950, insérée aux
B.A,1v1. n° 46-47 de d()çembre 1950 et que obligatoi re par décret o u par arrêtés pré·
tembre 1951 ;
fectoraux pou r toute personne, qu el que soit
le personnel feql\U'i es t couvert ant re des
Vu la d~isio n du Comité départemental
accidents pou.van.t 'lui 'advenir, ,pa r ulle assu - son âge, qui ne polllrra justifie r avoir ë~é des (p resta tions famili ales agricoles prises
vaccinée ou revac'6née avec s uccès depUIS
dans sa séa nce du 2 ma i 1952 ;
rance contractee par Je Département.
moins de trOis a ns ;) ;
Après avis du Contrôleur Divisionnaire
Le perso nnJ" tta', adl1a'Dt eo fo rêt et .pa rVu la circlilaire de .M, le N\inistre de l' In- des Lois sociales en agriclilture ;
ticulièrement les ~ésj.n.iers sont, de par leyr
té ri eur en date du 10 i·ulIlet 19 16 relative à
Sur la ,prOiPosition du Secrétaire Général,
travail, 'les prem:,ers qui peuven t déceler un
l'applitatio n de la loi du 7 seplembre 19 15 ;
sinistr,e, donn-er l'alarme, et .commen ce r da
Arrête:
Vu les arrêtés préfectoraux des 29 févrrer
lutte. Ce persoifloel .est ,donc un des lpremiers
Article
premier. - Les taux des cotisaet 13 mars \952 ' rendant la vaccination oblidont la rêquisitioA do i~ êt re prononcée.
fions
applicaWes
aux diff,érentes catégories
gatoire
dans
le
département
des
BoachesMais afin rl'éviter les difficultés qui pour- 1
d'assujettis a u firtancemen~ des 'prestation.s
raient nattrf~ il l'f)ccasion du rè glement de s du- Rhône j
famiJiales agricoles so nt fixés conune sUlt
Considérant qu'a uclÙ1 nouveau cas de vaindemnités dues 'Pour 'les accidents survenant
pour les premier et deu xième trimestres de
riole
ne
s'es
t
déc
laré
dans
le
département
~vant ia: réqui sition dans les forn:e~ régul'année 1952 :
ou pour éviter que le Sini stre ne depuis plus de 20 jours ;
lières a) Cotisations dues pour I~s e~ploitations
'étel1lle <lu 1.. it que les intéresses attenVu l'avis de u\t\. le Directeur Dépa rtemenag ricoles : 400 % du reve nu cadast ra l réel
. nt ,avant d'ag ir la réquisition formelle
tal de la Santé,
par trimestre j
I::y. VOl~3 pro noJlceriez - H serait uti le que
Arrête:
b) Cotisations dues pour les cultur!!S ma..'" p' issiez eontact dès .le début de leurs
raîc.hères et légumières :
ArUcle premier.
Sont rau>portés les
travatt>: a\[ec les entr~pr ises de résiniers ou
1<> Dans les commun es dont le revenu caarrêtés ,préfectora ux des 29 fév ri er et
autres travai'~l a n t en forêt, en leu r Slgnifiant
dastral des terres de Ip remière catégorie est
que Je L'OŒ0u rs Ibé névdle de leur person.ne:l
13 mars 1952.
égal ou supérie ur à 230 francs : 400 % du
~t det,nand é pou.r la IlLtte contJ1e le~ ,i nc~n
APticle 2. - I\1iM. le Secrétaire Général
revenu cadastra'i réel i
dies de forêts. Du fa it de cette solltcltatlon
des B0uches...dI.l-~hôn:e, le Tresorier-Payeur
2" Dans les autres co mmunes : 400 0/'0 du
~ui r> c peut être re~usée le pe~onnel
Géneral des Bouohes,du-Rhône,. les So us re"enu cadast ral réel affecté du cœfficient
lntl:r;t. - sera it considé ré comme requI s dès
Préfets d'Aix et ct ' Anles, les Maires du Deobtenu~ pour chaque commu ne, en divisant
l'in .. 'ta nt où ~I com mence à parti ciper à l,a
partemen~ les Directeurs des ~ureau~ Muluit e t Oll tre le sinistre et, dans l e~ condlnicipa ux d' Hygiène de, .Marsedle, AIX et 230 par le revenu cadastral des terres d.e
première catégorie de la comm une conSt·
'reJ'!lS InCl quées au paragraphe V II~ de, l,a
A nIes, le Directeur Departemental de. la
ciuc ' ne du 30 octobre 1950, seraJt btneSanté so nt éhangés, chacu n e~ ce q,UI I.e dé rée.
fi c:' .
tous Iles avantages du perso~nel
c) Cotisations dues lpour le~ entreprises à
conteme, de J'exécution du present arrête.
aY 'ant
requis dans les formes rég~leres
production spéciale et les arhsans ru raux :
Marseille, le 6 mai t952.
(rl~T1I.m éTat ion indemni.tés en cas d'acct'dent,
la % des salaires moy.ens départementaux
Le Préfet PAIRA .
~ :-c...
'
en vigueur a n cours du mois de décembre
Pour le Préfet,
______
1951.
.
l' . tt'
_ Pour les élevelLTS de cap nns, assle. e
Solls-Préfet, Directeur du Cabinet :
A 0 est calculée à raison de 1/25 du sa4alfe
PLETllNER.
D6 B 1
mensuel moyen departementat par tête de
,'\1·------·0000----ARRETE FIXANT LE TAUX DES COTIbétail
;
.
SC 7
SATIONS EN MATIERE D'ALLOCA_ P our les a'Piculreur.:;. l'aSSiette est c~l
{'"
I~S PROVOQUES PAR LES
TIONS
FAMI1..IALES
AGRICOLES
culée il rai o n de 2 journées de sai ai re
,
ptPOTS D'ORDURES
.
POUR LE PREMIER SEMESTRE 1952
moyen départemental par ruche et par an
avec abattement de 10 ruc hes à la base.
a i'l\O>neur de r ..ppeler à MM. les.MalLe Préfet des Bouc hes--du-R,hône,
d) Cotisations dues pour 1",: professions
li
~l'tement l'inst ruct ion publiee au
Offider de la Lég ion d'Honneu r,
con nexes: 10 % des sal ~t1res reels i
' t.. t
'n A \inistrattf des Mairies nU 36 et
Vu la lo i du Il mar s 1932 s ur les a lloca. . ...
7 et1 4 septembre 1950, page 15 1,
e) Cotisations dues par les personnes
\. l iii- "'"
nt 1. itllCendies provoqu é:; par les tians famüiales j
n'exerçant pas une activité agri~le: mais
'o odu'!;. .
Vu le décret·loi du 3 1 mai 1938 tendanl
oOOlupant néanmoins de la maln-d. œ~vre
our le Préfet,
à aJlnénager et à compléter les clisposlhono
agricole ail leurs que dans une eXlplOltahon,
lUS-Pré) , Direcleur du Cabinet
applisables a ux allocations fa!TUliales en
notamment pou r l'en tretien de y'~ins ou de
Î"~~_
..;'J!E~T~T~.~N~E.~R~.~_ _ _ _ _• •a.gïriïcïuli ti.u.re. ; • • • •
·c~ OO ~) ------
..__
�122
123
parcs attenant à des villas : 10 % des <alaires réds,
Art. 2. - Le cœfficient de majoratiQil, tel
qu'il est calculé à l'a rticle 1er - catégone
b 2· affecté aux exploitations mixtes, maraîchères et de polyculture, sera réduit dans
la même proportion que celle eXistant s~r
la base des unités de main-<!'ceuvre tbéonque adogtée pour l'ouverture du drOlt aux
prestations entre les sul'iaces de polycultures et l'e_ble de l'eJ<l]lloitation.
Art. 3. - Le Secrétaire Géll'éral de la
Préfecture et le Contrôleur des Lois sociales
en Agriculture sont chargés, cRacun en ce
qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté.
MarselUe, le 16 mai 1952.
Pour le Préfet,
Le Directeur du Cabinet
PLETTNER.
•
TEllES D'IUEREr oEBERn
Circulaire concef7lJlnt plus spécial.mtnt
1.. Administra/ions d. l'Etat
AC 2
D2 BI
ClRCULAlRE MINISTERIELLE RELATIVE AU PAIEMENT D'INDEMNITES
DE LICENCIEMENT AUX AGENTS
NON TITULAIRES BENEFICIAIRES
DU REGIME DE RETRAITES COMPLEMENTAIRES DES ASSURANCES
SOCIALES INSTITUE PAR LE DECRET N" 51 - 1445 DU 12 DECEMBRE
1951
MlNlSTERE DES FINANCES
Direction du Budget
N
33-6 B/ 4
Paris, le 10 mai 1952.
Le Secrétaire d'Etat au Budget,
à MM, les Ministres et Secrétaires d'EfJrI,
Les opéretioDa .. . . en place durégime de retraites _ t actuellement en cours
et il est permis d'.pUer qIII 'd.ans, ""! proche avenir les difficUlté dOllt Il s agit au·
ront disparu.
Néanmoins, afin d'éviter que certai.ns
agents soient privés pus lo~ de t~ut
versement au btre de la fraction de ·1 1ndemnité de licenciement qui leur . t ~ue,
j'ai décidé qU'e les almtiniatroations devraient
dès à présent leur verseT la p'!rt des mensualités \le ladite indemnité qUI correspond
au pla;fond mensuel de cotisations des Msurances sociales du régime général. A cet
effet sera pris en compte le taux de ce
p1af~mI en vigueur à la date d'effet <le la
mesure de licenciement.
Les sommes dont il s'agit pourront êlre
versées en une seule fois, onaque. fois q,r'el-
les correspondront à des mensu~htés qw, en
l'absence des di'WOsitions iprécltées du décret du 12 décembre 1951, auraient été .nor ma:lement servies avant la date à laquelle
Il va de soi que lorsque sera eonnu le
montant exact des allocations de retraites
dont les intéressés sont aruJelés à bénéficier,
il y aura lieu de régulariser à due conCurre fICe les ve rsements ainsi effectués.
Pour le Secrétaire d'Etat
et par d élégatio n,
sualités de ladite indemnité excédant le
montant mensuel de son allocation de retraite.
L'instruction du 12 décembre 1951, prise
pour l'application du clécret précité et plAAié
au Journal Officiel du 18 décembre 1951,
donne dans sa section VI un certain nombre
de précisions pour la mise en œuvre de
oe!te prescription.
Ces diSpositions, dont l'application ne
doit pas se heurter à des difficultés particulières lorsque le régime de retraites fonc-
tionnera normalement, n'ont pu jusqu'à ce
jour être observées lPar les administrations.
faute pour elles de connaitre la Hste exacte
des bénéficiaires et le montant des allocations de retraite. dorlt ils sont appeles à
bénéficie r.
sont ch3J'lgés, chacun en ce qui le concerne,
de l'ex«ution du présent décret, qui sera
pUblié au Journal Officiel de la République
Française,
Fait à Paris, le 23 ma i 1952.
TVX 5
DECRET N" 52-578 DU 23 MAl 1952,
RELATIF A LA PASSATION DES
MARCHES DEPARTEMENTAUX
(Journal Officiel du 26 Mai 1952)
Le President du Conseil des Ministres,
Ministre des Finances et des Affaires économiques ;
Vu le décret du 18 novembre 1882 relatif
aux adjudi<:otions et marchés passés au nom
de l' Etat ;
Vu le décret validé n' 2339 du 20 août
1943 fixant les maxima dans la limite desQuelS les départements sont d,ispensés de
passer des marchés écrits,
ainsi que les
maxima dans la limite desquels ils sont autorisés à tpasser des marchés de gré à gré;
Vu le décret n' 47-1238 du 7 juillet 1947
modifiant les maxima applicables pour la
diS\lense de marchés écrits en matière départementale ;
Vu le décret n' 48-1 3 16 du 25 août 1948
relatif à la passation des marchés départe-
mentaux,
Décide :
Article prem""r. -
Le maniant marimum
de la d~ de fournitures, transports ou . ,
travaux pour ~aqueHe les départements bé-
VENTE D'UN CORBILLARD
HIPPOMOBILE
La Commune de Port-Saint-.Louis-<!uRhOne met en vente un coobillard hiP\lOmobile en état satisfaisamt. Ecrire en Mairie.
Le Maire, Conseiller Général :
VIDAL.
---000<>---
,
'
ADJUDICATIONS PUBLIQUES
ET APPEL D'OFFRES
SERVICE DES SUBSISTANCES
MILITAIRES
2' Chocolat à croquer : 200 x/m à 10 h.. :
3' Avoine : 2.000 x/m à 10 h. 30.
Date de dépôt d'inlention de soumissionner et de dépôt des piéces le 10 juin 1952,
der_nier déhli.
REPU!BUQUE FRANÇAISE
Secrétariat d'Etat aux Forces Armüs
c Guerre)
ge Région Mi-l itaire, Plaoe de Marseille
INT'ENOANCE MlLfTA1RE
DES SUBSISTANCES
Caserne Audéoud, Promenade de la Corn.iche
ADJUDICATIONS PUBLfQUES
RESTREINTES
Le vendredi 20 jUin 1952 :
l' Sucre raffiné : 200 x/m
Sucre cristallisé : 1.000 x/m : 9 h . 30 ;
AAPBLS D'OFFRES
Fourrages : 3.000 x/m de paille de blé
aliment.aire.
Dépôt des sournissiOOlS le 20 juin 1952,
avant 10 beures, dernier délai.
PPur tous renseignements,
1'1 ntendance susvisée.
Par le Préside"t du Conseil des Ministre.,
Ministre des Fioonces
et des Affa'7es EcolTlOmiques,
Le Minis/rt de /'Intérieur :
Charles BRUNE.
,
Le Secrltair~ d'Etat au Bl/dget
OREAU .
•
Comm uniqué • A vis
Annonces diverses
D.S.T.
VENTE PAR LE DEPARTEMl,NT DES
BOUCHES-DU-RHONE DE DEUX
VOITURES TOURISME
1
Le D6i>artement des Bouches-<!u-R,/lône va
p rocéder à la vente s ur soum issions t"ti'bCtées de deux voi tu re.s tourisme:
C lTROc:N Il CV. 2669 CB. 6 ;
DBLAIMYE 20 CV. 148 L 9215 CB,. 5;
La vente a ur a lieu â la Préfeclure d Bouches-du-~ône salle 215, le 26 jwn .t
à 16 heures. Les' soum issions deY ont 1 ~- ;
déposées 8>U plus tard le 25 j ID 1
12 heures dernier délai, à la
Direction des Services Teohm" ,;,Iés
reau 43 ~bis).
Le dossier complet qui comp ~ mil
les a utres prescripti~ns de la
êt re consulté à la P réfect ure des
<lu-Rhône tbu reau 43 bis) et do/"
Pré1'ectures d'Aix et d'Arles.
Le O;"ecleur des Services
DAUDE
Pour Je Préfet et par Délégation,
Le Secrétaire Génlral :
Maxime MIGNON .
s'adresser à
---0000---
Antoine PINAY.
:Jean
Vu l' a r ticle 98 du décret d u 12 juillet
1890 sur la compt"bi lité délpartementale ;
l'E~t e[ susceptible de recevoir une indemnité de Licenciement au titre des dispositions
statutaires ou contracruelles qui le régissent
ne peut percevoir que la fractioo des men-
>Le Mjnistre de l' Intérieur, le
Ministre des Finances et des Affaires Economiques et le Secrétaire d'Etat au B~dget
- - --«»00 «'- - -
D2 B2
D2 B3
02 B3
Art. 3. -
R. O:OETZE.
L'article 5 du décret n' 5 1-1 445 du 12 dé-
d 'â"" applicable au personnel tel11iJlOraire de
ILe montant maximum de la dépe""e de fournitures, transports ou travaux
pour laquelle les dqlartements peuvent passer des marchés de gré à gré est POrté de
2 ,millions de fra",,~ à 5 millions de francs
et de 400.000 frs à ' 1 rni'l Iion de francs de
dépenses annuelles, s'i\ s'agit d' "" marché
passé pour plusieurs années.
Le Directeur du Budget
cembre 1951, instituant un régime de retraites complémentaires des Assurances sonéficiaire de ce régime atteint par la limite
Art. 2. -
sera effectué ce versement.
Su r le rapport du Minist re de 11 1 lntéri~ur
et du Secrétaire d'Etat a u 'Budget ;
ciales pour certai_ catégories d'agents de
l'Etat non titl&aires, a précisé que tout bé-
néficien t de la dispense de passer des matchés écrits est porlé de 250.000 francs à
500.000 francs.
•
�RÉPUBLIQUE
12 . t 19 Juin 1952
F RANnAISE
10' Ann ••. -
N" 24 et 25
OËPA RTEMENT DES BOUCHE.S-OU-RHONE
Recueil des Actes Administràtifs
et Bulletin des Mairies
Tou te correspondance relaUve a u Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P . : Arrêté préfecto ra l. - C. : Circulaire - Les lettres 0 et B suivies d'un dh iffre indique nt le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T . : Direction des Services Tech nique.. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la Population.
,
SOMM A IR.E
PaIlC~
Arrêtés réglemen taires et Circulaires
Pag~s
AG 2. - Attrilbution' aux a,gents des
colJlectivités locaies de prêts destin és
à l'amélionation d e l'J1abitat prév us
par le décret du 18 juillet 1950 ....
AG 2. - Rétrilb uti ons horaires pour
tra va ux supplémentaires .. . .......
125
127
P 5. -
Arrêté préfecto raJ du 29 mai
1952, règle menta nt les é preuves
cyclistes dans le département.... ..
127
Paies
f 2. - Regi stres de l'Etat-Civil.
RemlJ oursemen t par 1',Etat des fra is
d'amort issement des oharges d'Electrification de janvier 195 1 ..
12<,
de rcl iure et de confection des re-
FS 8. - Assistanc e médicale gr.aturte.
- Proth èse de ntai re .. " .... ....
128
CIA O. - Explosifs de mines .. .. ..
129
129
gistres d' EtabCivil' (Année 195 1).
- Rappel .................. ..
TVX 4, -
f onds d' amo rtissement des
char.ges d'électrification. - I nstru ction en date dUi 15 mai 1952 relative
précisions
aux modifioa ti ons et
appar tées aux déci sion s fa isant l'objet de l' Instructio n nO 3 du Fonds
Communiqués -. Avis -- Annonces diverses
-- Avis de conco urs. -
Recrutement
Diredeu.r
d~ un Viété rin aire-adj oint aU!
départemental des services vétérinai-
res du département de Seine-et- Oise.
130
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D21:l3
,
t
AG 2 ceder à l'i nstruction des demandes, wp rès 19 jllillet 195 1) et la cinculaire n· 19/ 5S d,u
ATTRIBUTION AUX AGENTS DES
COLLECTIVITES LOCALES DE PRETS
DESTINES A L'AMELIORATION DE
L'HABITAT PREVUS PAR LE DECRET
DU 18 JUILLET 1950
avo ir vérifi é Ja vé racité des décla ratio ns des
demandeurs ainsi que le cas échéant ~
réa lité et l'im por tance des t rava ux. Il conviendra de rejete r pu rement et simpl-ement
celles qui ne répondront ,pas strictement aulX
cond itions posées par la cinc ulaire n" 19/ 5S
24 jarwie.r 195 1 (J ,O. du 1e r fév rier- 195 1)
ont fi xé les ,modal ités et conditions d' attribu tion de ces prêts.
L es collecti vités locales sont aff iliées au
fonds commun de l'alloca,ti on de logement
en tant qu'oliganismes paye urs des prestadu 24 ,ja nvi er 195 1 (J .O. du 1e r février, tions fanüliales. A ce titre, e!'l es peuvent
J'ai l' hon neur de porter ci-d esso us à la
p. 111 2).
co nsentir des prêts de cette nature au perconnaissance de l\'lu\1. l es M aires du D éjpa rsonnel à qui eHes versent di rectement les
•••
tement le texte de la circu laire de At le
prestations farni:liaJes. Le montant des prêts
Minis tre de rln té ri eu'r n· 27 AD/ 3 relative
Ci rculaire n· 27 AO; 3
à consentir par chacune d'ent re elles ne doit,
aux condit ions d' attr ibution aux agents des
Le 24 janvier 1952.
en aucun cas, dépasser 0,30 % des prestacollectivités locales de prêts destinés
a
tions fami.l iales payée s Ipar ses so.in s entre
Le Ministre de l'Intérieur,
l'amélio ration de l' habitat.
le 1er janvier 1949 et le 1er juillet 195 1.
à MM. les Préfets de la Métropole,
Seront obligatoirement rédigées co nformement au fonmu1 aire type (modèle en anLe décret n° 50-849 du 18 juillel 1950,
POliu ~e Ministre et par délc.gation,
nexe) et devron t être accompillgnées d' un modifié pa r le décret n· 51-9 12 du 10 jll,;lLe Directeur d.u Cabinet
devis descriptif et estmatif des travaux à Let 195 1, a autorise, à titre except ionnel, ·Ie
J, V'ERDIER.
aoccmrplir ou, le cas écttéant, d.e la fact ure fonds COffilnmn de l 'al~ocati on de logement à
Ci-après le modèle de formuolaire à remdes travaulx accompLis (obse r va tio n faite affecter ses dispol1 ~ bi'li tés à l'a ttri bution, au
pl
ir
par les i ntéressés.
dans ce der'nier cas que les tra vaux effec- profit des bénuficiai·res des allocations fatu és antérieurement a u 19 juillet 1950 n'ou- milia:les, de prêts destinés à J'améliora tion
vrent pas vocat ion à l'attribution d'un prêt). de l' h~b>tat.
�126
Par quel mode d,ésirez-vous
qu e vo u S' s 01't eIfe<: tu é l e versement du prêt solli cité dans le cas où il vous serait accordé:
't d'
- par d're t rai é Iract
au
g
uichet de la' C's
é
al se Gê né r al e de la Caisse des Dépôls et Consignatio ns •• Paris?
OU 1 - NON ( I)
"
.
- ou ~n pr PO,s de cette Administration en dehors du département de la Sein.e ?, . ..
_ par virement a un comple bancaire?.......
.. . .. ... ........
OUI - NON (1)
_ (si OUL, désignez ce compte) ............. . ..........•........ ... ........... . .......
OU l
ON (I)
DEMANDE D'ATTRIBUTION D'UN PRET DESTINE A L'AME.UORATION DE L' HAB ITAT
'(application du décret n" 50-849 du 18 juillet Hl/H)
(Partie à remplir par le demandeur)
NOM
.. . .. . ...... . .... . . ......... ........
•
. . (p~~~ ·Ie~ï~~~s· ~~~Ù~~· o~ ·l;~~l;~;J . é~rl~~ le
" . -,
. .. .
- par virement à un compte de ohèques postaux; .... ' .....' ....... '. ........ '. .... ........ ' ........ '......... ........ , ........ .
_ (si OU I, désignez ce compte) ..........
........ ...... .....
........
OU I - NON ( I )
Je certii ie exacts les renseio-nements fou;~ i" d . '-' ; .. , ''-' .... -. .. . .... .. ... , ... :'.. . .... ',... .'
que~les m'eX'pose toute dt:.cla ratio n1:> vo-lontai rement S ln eanx,a-c
: ta P(Lrcs,endte ~~man.de et déclar~ .a.vo lr prb co nnaissalllCe tles peines aux'
e
01
li _"\J aout 1946 mml1hée).
Je
décl
are,
en
outre,
avoir
pri
s
éo-a
lemertt
c
o
'
' .
qu i conce r ne les intérêts les délais de
'en~
nn al~sance .des conditions
. de remboursement du prêt, no tamme nt en ce
24 jan vie r 1095 1 (Titre IV).
pal
en-t et les sal1c tlo ns prevus par l'a rrête du 18 ju ill et 1950 et la circulaire n" 19/55 du
. ...... .. . ....... . le faisant suil/TV! de c: femme X ,. ou « veuve X,).
nom de jeune fille en
Prénoms .... ···· ........ ...... . . . . ....... . . . .......... . .... . . .
1 é le ................ ' ..............•. à
•...•...........
Adresse. ....••. ....
. •. . .. .• .............. . ........ .
........... , .. . ............ .
D6partement ..
................. .
Grade ... ..... ........ ........ ..... ....... ..... .. . F-ooction ........ ............•. . .•.... . ..
. ....... .................... ... .
...... . ......... .
Service ........ . - . . . . .. . ...... .
Etes-\'ous allocataire de prestations familiales : OU'I - NON (1)
Etes-\'oU'S allocataire de l'allocation de logement: OUI - NON (1)
. ............ . ...... , .......... ... . .
Nombre d'enfants à oRange ....... ' ...... . ....... . . . ...... .
Nomble de peTSonnes habitant au foyer .' . .. . . . . . .. ..•..... .....•.... ........•..... •. .• . ...... .
Ressources entrées au foyer pendant J'année 1950 ........ • .. ..... .•.....• .... • ..•........ . ........ .
(y compris les prestations fM,iliales) (2)
.... . .. .
..... le
,
(Sie-nature)
N. B. - La prése.nte de.mande devra être dûnTi?nt remplie, datée el signée par l'intéressé qUI devra la transmettre par la voie hiérarchique à son chef de service
( I .G.A.ME.
pour les
perSOnnels des C.A.T.l. et
de
la
Sllreté
Nallonale
Préfe1s pou~ les persan.nefs d'Etal des Préfectures et Sous-Préfectures Dire c~
t,eurs ~t, Chets de servIce de l'Ad ministraMan Centrale pour les perso~nels de
............... . ..... . ............ . ........ . .... ... ..... ..........
Adresse du local à arn~io.rer
Des:ription sommaire du local ..... ... ..... . ... . ..... . ....
Fait à .....
1
...... . ..... . ... . . • ........ .
1 Admlrustra/tOn
Centrale
ou
y étant affeclés) .
(nombre et désignation des pièces, equipemenl sanitaire el ménager, elc • .)
... . ... . .......... ... .. ... . ........... . .. . .. .......... ........ ... ...... - ............... , ..
. _. _ . . . - ....... . ........ . ... _ .............. - ........... _ ...... . ........ - ....... .
. _ ... . ........... .
OUI - NON (1)
Etes-vous locataire ou sous-1locataire du locall ? ... .. . - ' _...... - _....... , .. , .. , .......... , ...... .•
Etes-vous occupant de bonne foi a u sens de l' artiale 4 de la loi du 1er sep tembre 1948? (3) . . .. . . .• . ..... . .
Si OUI, à quel titre. . . .. ... ........ ... ......... . . ........ ........ . . ... . .. . .... . .... . ....... . .
OU I - NON (1)
OUI - NON (1)
Votr.e baiUeur fait- il !p rafession de loueur en meublé? .. . .. . . ........... .. . .. .•. ... ......• ..
OUI - NON (1)
Occupez-vous ce local par voie de réquisition ? ... .. - . . . ... - . -, . .... ... . . .... ,. _. . .. , .. - .
OU I - NON (1)
Etes-vous propriétaire du local ? . - - . . . . - - ...... - . ...... - . . . ... ,. .. . . .... - .... . . - _.' - . . .. . •......
Nature des tra\~ux projetes; donnez-en une description sommaire en p,écisant leur utilité. _........... - ... _.. - .. . ... .
...... _. - - _ ... _. _ .... -" _.
. . . . . . .. ." -- . . . .. . ... , - ..
.... . . , . , .. _ .. . .. - .... . . . , .. - . ..
,. _
. ........... . . - -, . _. _ ...... , .... _ ..
. -- . . . . . .. _ .. - . . .. , ....... - .. . - . , .. .
_
...... .... - - .. , ... ... ...... .
AVIS DU CHE!f DE SE,RVICE
...
1° En ce qui co ncerne l' intérêt soc ial présenté IJar J'a demande eu ;"gard
a' la sl·tuat.·o., d LI d e-man d eu r et aux besoins de famiile
. ... . .....
.".,
'
............ .. .. ... . . , ........
,
.,
.. , ... , ........... . ... .
solvabilité du demandeur ct les o-aranties qu 'i l présente quant à son maintien dans les
2° En ce qui concerne la
un temps s uffi sant:
b
. . .,
. . , ........ . ................. , ..... .
. ... , ........... . ........ , .. , ..... ,.
3° En ce qui concerne le mé rite profession nel du demandeur :
.., .. " . , ................ ....... , ... , ....... .
....... . .. ..... .. . . , ..... " .. , .. .. ........... .
. ' '1' . •• •..
,
. . . . . . . .. .
avant les travaux. projetés
.
Catêgorie du local ....... -- - ... -- .......
"
. ..... .
après les travaux projetés
OU I - NON (1)
Avez-\'ouS obtenu l'autorisation de procéder aux travaux que .vous pTojetez ? .... . . .•.. ........ . . .......•
OU I NON (1)
Qui vous a accordé cette autorisation
{ votre propriétaire? .. ... _......... ..... . ..... , ..• , . . . ..... .
OU I - NON (1)
(joindre copie de cette autorisation)
\ une décision de justice? ,.,. , ................ - . .. " .. , .... .
Date approximatfve du commencement des travaux (4) ., ... ,.,.,
' . . . . . .. .......... . ... ., .... ,. - ,
Coüt des travaux restant définitivement à votre c.h13nge (à l'exclusion des SOm mes remboursées par le propri.étaire soit à la suite d'accord amiable, soit en vertu de a'isposi/lons légales) . ....... ........ . ..... - - - - - - Avez-vous déjà tlbtenu pour ces mêmes travaux une prim e dfaména.!gemenlt ? (5) ..... ..• .. . ... . . .., .... .
l i",',~ 'p'e'n'd' a' ,',t'
4" En ce qui concerne la nature, la valeu r, l'i mportan ce
et
l' utilit é des
tra,vaux
il. effectuer (2) :
.... . . -' .. . . , ........... .. " ...... , .. , . . ... .
. . . . .......... .... . ...... " .. , ... .
'
'
CONCLUSION : .. •. ...... ......•. . . ........ . . .. . •. ....• . ...... .
••, •, •••
• ••••••• ,.
• ••••• •• 1 •••• •••••••• , •• , ,.
•••••••• ••
• • •• •• ,.
Fait à ......... , ...... . ..
,
.,
....... . le ..... . .. .. . . . . . .. .. . . . . . . . . . . . . .
Le
(grade et fonction du Chef de Service)
(s'gn ature)
(1) Rayer les me.n.tions inut iles,
(2) Oonsulter, le cas échéant, un sen· ice tech nique compétent (~I.R .C .• Ponts et Chaussée-s, etc :... ).
OUI - NON (1)
S'i OUI, quel est le montant de la prime d'aménagement obtenue ......... . ........ .. ................ - - - - - - Avez-vous déjà obtenu pour ces mêmes trav a'ux un prêt du Fontls National de l'Am~lioMtion de l'Habitat ? (6)
Montant du prêt 5O!!icite au titre de la pré,.nte demande (7) ........ ........ .. . ....... . ... . .. .
OUI - NON (1)
(1) Raye r les mentions inutiles.
(2) Doivent entrer intégralement en ligne de compt e, outre les ressources du demandeur, celles de son conjoint, ainsi que celleS"
enfants même majeurs et d es parents ou autres personnes vivant habituellement au foyer. Son t cependant exclues les ressocrces du pe rS(lUll
d omestique et des sous-locataires, même si ces person.nes pa.rtagent la vie commu ne.
d~
(3) Voir circulaire 19/5$ du 24. janvier 1951 U.O. du 1er février) • Titre l, 5e ali néa.
ret
(4) Aucun prét ne pourra être attribué pour des travaux effectués antérieurement au Hl juillet 1950 (date de publica ti on du dèc
du
18 juillet 1950),
(5) Prévue par la loi du 1er septembre 194.8 et le R.A.P. du 30 d écembre 1948,
(6) Il est en principe interdit de cumuler un prct co nsenti par le F.N .A.H. avec
IS juill« 1950.
Dans les
limite~
UII
autre
obtenu
en
a,p plication du
décret du
,
~O C'"(
des taux et plafonds maxima prévus par l'arrêté du 18 juillet 19511(1. O. du HI juillet, page 7770). C'cst.à,.dL recb' r"'c,
dans la limite d'un max..imum de JOO.OOO francs pour les emprunt-eurs ayant mo~ns de 3 enfauts à aD
21actue llement
P5
reparties sur diffé rents articles D5 BI
, de traitements et indemnités.
ARRETE PREfECTORAL DU 29 MAI
RETRIBUTIONS HORAIRES POUR
Pour permet tre à l' avenir un cont rôle plus
REGLEMENTANT LES EPREUVt:S
TRAVAUX SUPPLEMENTAIRES
rigoureux, j'ai l'honneur de prier Nlessieurs:
CYCLISTES DANS LE DEPARTEles Maires du Département de veiller désorLe Préfe t des BOll ches-dll-Rfrône
MENT.
mais â. ce qu 'a ucune rémun ération pour tra·
à MM. les Malles dll Déparlemenl va ux supplémentaires soit imputée sur un
Le Prefet des Bouches-dll-Rhône,
L'a rr êté inte rm inistériel du 1e r ao üt 195 1 article autre que ceJui .p révu spécialement il
Officier (li' la Légion d'Honneur ,
n'aya nt fixé aucu ne limitation du nombre cet effet et dOl1t les prévisions auront ét e
Vu l'a r tic le 99 de la loi du 5 aHil 1&>4.
d'heures supplémentaires susceptibles d'ê tre admises par l'autorité de tute lle.
Vu la ci rculaire de M. le Ministre d~ l'ln~
acco rd é aux age nts des cobJectivités locales,
Pour le Préfet,
téri eu r en date du 12 décembre 1 ~125 ;
M. I ~ Ministre de l'Int érieur a précisé. dans
Le SOlls-Préfel,
sa Circ ul a ire n° 53 AD-3 d u 28 février 1952,
VlI l'aH~té préfedoral du :H dkcmhre
Directellr du Cabinet
qu'il appartiendrait ft l'au to rit é de tutell e
1925, rég lementant les èpreuv~s sporti ,·cs
PLETTNER.
d'app récier, a u moment de l'approbatio n des
dans le Dépa rtement ;
bud g~ts si les crédi ts prévus pour ,la rém u
Vu la circulai re de l\ \. le Ministre de \1' 111néra tlOn horaire des travaux supplémentaitérieur n° 48 du 23 avril 1926 ,
res ont bien été fixés en fonction des besoins
_ _ _ c:. ooc:.- - V~ le d~l' ret d~t :m. août \939. modifié par
prévisibles des coll eotivités intéressées.
le decret UI1 12 FUlvler 1948 "u r la circulaOr, dans la plupart des
les rému
et le
aze :
nérations
travaux
D2 ·B3
AG
�128
\'u le proces-verba' de la r~utl1on tenue
a la Prdt':l'turè It': 29 It~Hièr 1952. rela iÎ\-c ~t
la r~"lementation des .(ourses l)clisres Jans
le ll~partement ;
.
.
L ons iderant le nombre rouJou rs crols.ant
des epreu\'es spo rti\ es, iJ importe en la cir~unst.1nce de complete r la r~gkmt! ntation tri
\ igueur p3 T lh:s mesures nê.cessjt~es par les
conditions a tuelles Je ~a ctrcu.ahon ;
T out\:loÎS et par dérogations aux dispositions du present a rticl~ des autorisations \!xc.:~ti )nnt::lles et t.lùment moti\ees pourro nl
1. - MODIFICATIONS ET PIŒCI SIONS
CUNCERNANT LE BAREME DU 5 JA N.
VIER 1951.
\.:tre ~\ entue.llement acco rdées.
A. . - La maj.~ration . attribuée au titre t1u
Artide ô. - L~ prësent arn! te entr~ lm - chapi tre 1 « Utilité SOC iale et écono mique »
ncdi.1t~mcnt en appJ/tation.
~aragrap he 2° c pou r tra llaux de premie'
Ar.iflt· 7. - Nll,\\. les Sous-Préfets, M. le f..'fablisse m ent et d'extension des réseallx nn~
JIn:!lteur D-dpartementa des Ser\'ices lie Po- riens f!~ po ur IraI/aux de renforce ment et dl'
iice, .\\. le Comma ndant de Gendarmene d~s per/ecllonnemel1( des ouvrages existarits
Boul.hes-du-Rhône, M. l'Ingénieur en Che1' est fi xée, dans la limite de 3 poilltS, en le~
ARRETE
des Ponrs et Chaussées, MM. les !\'\ a ir~s des na nt . com~te dans chaq ue département cie
Arfjdt' premit'r. - La rêglemen tation des Com.nun~s du Département sont c h a rg~s, la disperSIO n de sa popul ation.
~r reu\es sporri\es dan
le Département, ~haclln en ce qUI le co nce rne, de l'executiOn
13 .. - La majora~i?n attrib uée au titre <.h!
Ilxt:e par l'arrêté prefectoral sus\'isé en date Ju présent a rr ~te dont ampliation sera notichapitre Il , « ConditIons techniques :./ pa raUU 3 1 d~('embre 1925, est complétée en ce fiee a :
g raph e 1" 4' Supports durables :. est fi xée
qUI cOIu.:.erne les ép reu\'es cyclistes, par les
- M. le President du Comité Régiona l de dans la limite d e 6 points, en ten~nt compte
dispositions du présent arrêté.
la Fedération Française de Cyclisme ;
Les demandes d'auto risation
- ~ I . le Président du Comité Régio nal de
dtposëes ou ad ressees à Ja Prefecture un la Federat ion po rtive et Gym nique du Tra·
mois avant la date de l'épreu\'e devront vail.
obli gatoirement être accompagnées, en plus
Fait à Marseille, le 29 mai 1952.
des documents et renseignements prescrits
Pour Je Préfet,
il j'a rtide 1er de l'arrête prefectoral du 3 1
Le S ous -Pré/el Délegué,
décembre 1925, des pièces complémentaires
Directeur du Cabinet
suivantes :
PLETTNER.
a) Les a\'is des Mai res des communes
tra\'ersées par l'épreuve.
---4;:"00<:.---Les autorisations de MM. les Maires des
F 2
0283
communes de t\\a rseille, Aix et Arles de\'fonl
ft re \'isees par flL\\. les Commissai res CenREG ISTRES DE LETAT-CIVIL
traux de Police. ou encore par "L\\. les SousPrefets en l:l' qui concerne Aix et Arles_
Remboursement par l'Etat des frais de
Article 2_ -
b) Le récep isse de la police d'assurance de
l'épreun~, lequel sera retourné aux organisateurs lors de la remise de l'auto risation
prê.fectorale,
Article 3. - Avant le signal de départ, les.
organisateurs de l'épreuve devront, sur placeet sur réquisition du représentant de l'autor i té- chargé d'assurer J'ordre, présenter
1
L'autorisation prefecto rale i
2'
La police d'assurance couvrant les
risques d'accidents ;
3° Les reçus (police, gendarmer ie) des
frais occasionnes par l'organisation du serrice d'ordre.
Article 4. - Les épreuves cyclistes ne seront autorisées que sous réserves suivantes.
I OLe peloton des coureu rs et éventuellement la caravane des voitu res suiveuse~
n'emprunteront jamais plus de la moitié ga u
che de la chaussée;
2 0 Les organisateurs devront se confo rmer strictement à tous arrêtés municipaux
réglementant éventuellement les épreuves
cyclistes sur le territoire Cles communes.
Article 5.
\'es cyclistes
559 A, ainsi
tal n° 5 est
-
Le déroulement des ep reu-
sur les routes na tionales 559 el
que sur !e chemin départemen·
réglementé comme suit :
t ' Est interdite toute épreuve cycliste em·
pruntant la route nationale 559 A entre Au-
bagne et Je Carrefou r de Bellefille.
Toutefois, cette route pourra être coupée.
de l'impo r tance des lig nes sur Supports durables par r apport à l' ensemble du réseau
Qu'il s'agisse de travaux de premier établis:
seme nt et d'extension des r ésea ux anciens
ou ~e travaux de renforcement et de perfectIO nnem ent des ouvra ges existants.
C. - Capacite et qualité de la distribution
Afin d'adapter aux ci rco nstances actuelle~
les d isposi tions fix ées antér ieurement
le
chiffre de 75 francs par kilo des conduc;eurs
ser va nt à déterm iner la majo ration co rres-
ponda nte est remplacé pa r :
120 fr. pa r ki~o pour Le cuivre ;
kil o pou r l'a lmélec ;
kilo pou r d'a lumin ium ;
ki lo po ur ,l'aluminiu m-acier.
reliure et de confection des registres
en questio n ont été établis en
d'Etat-Civil (année 195 1). - Rappel.
. ,
. se basant sur l es Co urs des méta ux en vi·
Les .commu nes qUi n ont. pas enco~e fal1 gueur au 1er nOl' embre 195 1.
~ar:\Iel1lr leur~ états de fr aiS, comme , II l eu.~
En outre ,le poids fixé fOIfa itairement à
etait demande dans le~ B. ~. M. n~m~r~5 I?
et 19. des l~r et b mal 195_,. s.ont Im'Itees fl
le faire maintenant sans del at. car les demandes trol? tardives ne pourraient plus èt,re
comprises dans le bordereau dont je compte
saisir prOt:hainement le Garde des Sceaux,
Ministre de la Justice.
II est rappe:é que les mémoires en frois
exemplaires doive nt être c. certifiés exacts >
par A1essieurs les M ai res.
90
80
75
Les
fr. par
fr . pa r
fr. par
chiffres
ki los par km. pour le cuiv re est remplacé respectivement par :
.. .
.
.
290 k~ l os pour l,alumIniUm-aCier ;
;30 k~Jos pour l, a lm é~ e~ ;
_00 kilos pou r ,1 alumll11Um .
Ne '~o llr~o nt toutefois bénéficier des points
d.e,.~aJora.t l o n correspon~a~ts ,que I.es collee~I\ ltes qUI ,a uront fou rni a 1 apPu.1 de leur
. e~l ande d allègement les rense~gnem~n t~
mdlspe nsables au calcul de ces pOints, a10SI
qu'il est précisé ci-apr ès.
----<'00<.--- - D'aut re par t, pour tenir co mpte des hausD283
TVX 4 ses inte r venues depuis la parution du 3e I~e·
cueil,
FONDS D'AMORTISSEMEN'f
DES CHARGES
D'ELECTRIFICATION
Instruction en date du 15 Mai 1952 relative aux modifications et précisions
apportées aux décisions faisant l'objet
de l'instruction n ° 3 du Fonds d'Amortissement des charges d' Electrification
de janvier 1951.
Paris, le 15 mai 1952,
Le Présidenl du Conseil du Fonds
d'Amortissement
à M. le Préfet du DéParlenlefll des
Bouches-du-Rhône,
1 400
-
le chiffre de 1.000 fra ncs par kVA pré-
vu pour les frans/ormateurs est remplat:é
pa r eel ui de 1.300 francs;
- le chiff re de 6O.<XJO fr. relatif aux disjoncteurs à réenclen chement automatique est
remplacé par celui de 80.000 francs.
Les dispositions et majorations correspo~
dant au présent paragraphe Ile sont appllc(lble$ qu'aux tra vaux do nt les marchés onl
été approuvés pos térieurement alt 1er nO·
vembre 195 1.
II. - MODIF ICA TI ONS APPORTEES A
LA PRESENTATION DES DOSSIERS D'An'est autorisée que dans 'e sens MarseilleLe Conseil du Fonds d' Amo rt issement de~ GREMENT ET
D'AuLEGEMEN T AU
Cassis jusqu'à 0 heure. Les concurrents de~ Charges d'Electrification Rurale ayant pr i~ FONDS D'AMORTISSEME NT .
\'font obligatoi rement prendre au carrefour d.es décisions d'ord re général modifiant, p réA. Demandes d'agrémenl (modèle
de Saint-Jean le chemi n d épartemental n° 1 CI sant ou complétant certaines dispositions
en direction de Roquefort et de la route Na- du 3e Recuei l des Textes Régleme ntai res « AG . ) el d'Allègement (modèle « AL . )
Les pri x forfaitai res rel atifs au matériel
tiona.:e nO 8.
(janvier 195 1), a estimé nécessai r e de les
ancien restant i nu ti lisé après les travauX
3° Le chemin départemental n° 5 est inter· porter à votre con naissa nce.
2° L'utilisation de la route Nationale 559
dit du car re fou r entre les chemins départementaux nO 5. et nO 48, jusqu'à Martig ues,
et ce dans les dellX sens.
~es d~vers itinéraires env.isagés devie ront
O?hgatOlrem.ent par le cherm n dépa ~temental
Je vous serais reconnaissant d'en assurer
la diffusion aupr ès des coll ectivités i ntéressées en les insérant au Recueil des Acles Ad1 minis trafifs de votre Département, co mme le
prévoit la circulai re de Monsieur l e Ministre
sont modifiés comme suit :
-
pOleaux bois co nsidérés à
neuf, amenés à piedd'œuvre, mais
non
im-
plantés .... ...... . ...
n 48 abou!!ssant sur la route Nahonale n" 1 de J' Industrie et du Commerce n° 11 31.
c en dur >
569 a Laure.
271
en date du 30 anvie r 195 1.
à
J'état de
4.500 fr. l'unilé
l'exception des potelets et
dépenses des divers branchements sont ma- 0383
FS 8
joré es de 60 %.
En outre, le Fonds Iprend en char ge, pour
ASSISTANCE MEDICALE GRATUITE
les alléger, les dépenses rel ati ves aux trava ux d' install ation des branchements neufs
Prothèse dentaire
« 2 /ils :. desser va nt de nouveaux abonnés, pour une somm e forfaitaire ca lcul ee
Le Préfel de s Bouches-du-Rhône
10 kVA ..... .......
2.600 fr . pa r kVA à raison de la moitié de la somme admise
li MM . les Maires du Département,
Ces nou vea ux prix ne sont applicables pour des branchements nouveaux à 3 ou
L e règlement du Se rvice Dépa rtementa l
qu'aux travaux dont les marches ont été 4 fils.
approuvés pos térieurement 011 1er novemCes diverses modifications sont co nsi gnées d' Assistance Médica le Gratuite sti pu le, dans
bre 195 1.
dans le tablea u suiva nt :
son article 13, que c les soi ns dentai res
D' autre par t, su r lIa dem ande d' all ègement
peuvent t!tre dispensés aux assistés :..
modèle « AL :» , so us l e titr e « Consistance
Fraction
Afin de paiJier d'éve ntuels abus, j'ai dédes ouvrages », au para graphe V 4: Autres
fonfaitaire
demandt:
rens eignem ents et observations _particulièallégeable pou r cidé q ue, dorénavant, toute
Nature des t ravaux
res :» , on reprod uira les renseignements
travau x de d' A. M. G. fo rmul ée à l'occasio n d' une prode bra nchements
don nés au décompte définitif, comme il est
branchements l hèse dentaire devra être instruite suivant la
dit ci-ap rès, rel ati vement aux poids des
procédu re normal e c'est-à-dire qu'a ucun bo n
co nducteurs des lignes B. T. (Travaux < N » 1" Branchement neuf 2 fi ls.
12.000 Ir.
ne devra être dêliv ré aux intéressés avant
et Trava ux < R ») classés par nature de 2" Branchement neuf à 3 ou
4 fi ls ................. . 24.000 fr.
que ~a Commission Ca ntonale n'ai t prononmetal avec la longueur des lignes corres3" Tra nsform ation d'u n branpondantes.
cé Jeur admissio n tOta le ou partielle à l'aschement r2 fils en brancheDe plus, on ind iquera, à ce mème paragrasistance.
ment à 3 ou 4 fils ....... . 24.000 fr.
phe V, les poidS réels des conducte ll rs H. T.
Le Préfet :
déposés à la sui te des modifi ca tions de li- 4 0 Réfection comp lète d' un anRen é PAIR A.
cie
n
branchement
2
fi
ls
....
11.200
fr.
gnes, suiva nt la natu re d u métal constituant
ces co nducte urs (al umini um, almélec, etc.), 50 Réfection compj1ète d' un
--- c» oo <~ --ancien branchement .à 3 ou
la différence (.q2 - (] 1) figu rant au tableau
4
fils
.......
.
CIA 0
16.000
Ir.
11 devant être, dans tous les cas l éga le à la
0683
consol es .. . . . . . . . ... 10.000 fr . l' un ite
_ conducteurs :
cuivre . . . . ,_ . ,
210 fr. le kilo
autres métaux ... ,
65 fr. le ki lo
- t ransform ateurs d' une
puissance supéri eure à
différe nce entre le poids global des co nducte urs neufs ajo utés et ce lui des conducte urs
ancie ns déposés sur les lig nes B, T . ai nsi modi fiées.
B. _ Décompte d é/irl.iti/ (joint à la demande d'allègement). ~
.
.. . .
Dans le dec?rnpte deflllltif des tra va l.l x :
- Au chapit re « canducteurs des lIg nes
B. T . :. (travau x « N » ) de vront figu ~er
avec les d épenses co r respo nd antes, ,les pOld~
réels des divers t}1peS de co nducteurs c1 asses suivant les différentes nat ures de métal
utilisé (cui vre, al mélec, etc ... ) en mème temps
que les IOrlluueurs des li gnes cor respondantes.
~
_ Au chapitre « Conducteurs neufs H.
T. :. (tr avaux « R :»), de vront figu rer avec
les dépen ses co rerspondantes les poids r éels
des divers types de co nducteurs neufs aya nt
se rvi au renfo rcement des li gnes B. T. anciennes, olassés suivan t les différentes natures de métal uWisé (c uivre, alum i nium-acier,
etc ... ).
On i ndiq uera en outre comment le pri x au
ki lo des ,conducteu rs utilisés a été obtenu à
pa r ti r d u Cours des tr éfile urs choisi co mme
CO urs de r éférence.
Exemple : Conducleurs des lignes B. T.
co nd ucte urs en cuivre (2 km 825 de
lignes)
784.52 1 fr.
1.444 kg 790 il 543 fr. le ki lo.
(co urs de réfé rence des tréfileu rs: 47 1,90)
-
(coefficient de majoration :
15 %)
- C onducteurs en almélec
(18 km 375 de li g nes)
6.720 kg à 452 fr. 50 ,le kg)
:1.040.800 f I'.
(Co urs de référence des t réfi-
leurs : 393,50)
(coefficient
15 %).
de
majoration
III. - BRAN CHE.MENTS
SION .
BASSE
'PEN-
EXPLOSIFS DE MINES
Ces div erses dispositions Ile so nt applicables qu'aux travaux exéc.utes posterieurePa r arrêté en date du 21 avril 1952, M .
ment ail 1er juillet ,195 1.
Roge r DAV I N, exploi tan t ca rri er à Rognes,
En co nseque nce, l'état relatif aux bran- est autorise à étab li r et à exploiter un dépôt
chements l cert!fié pa~ le Co ncessio nnaire,
dev ra désorm aIs mentIOnner les dates aux1 quell es. celix- c~ au,:ont eté ex~cllt és, faute
d~ quoI la maJorahon en questIOn ne pou rra être apP,li9uée.
_ .
Il est preclsé que les trava ux relatifs a
l'exécution des bra nchements nouveaux, à la
transformati on ou à l a réfection des branc hemen t~, anciens ne seront pris en co mp te
par le Fonds d'Amortissement pou r les al lé_
ger que s'ils accompagnent des travaux d'électri fication faisant l'objet de demandes
d'agrément et d'allèg em ent.
pe rmanent d'explosifs de la 3e catégo ri e au
l ieu dit « Les Grands Ve rgers :.. en rem1 placement de ceJui situe au ,li.eu dit < V~r~
1 saiWes ) (qui avait été autO ri sé par arrete
du 3 juin 1945).
La contena nce du dépôt se ra de 50 ki los
de la classe 3.
•••
Par arrêté en date du 5 mai 1952, la Société des Ca rbonates F rançais demeurant, 9,
ru e du Chat, à Avi gnon, a été autorisée à
établi r et à exploite r un dépôt perm anent de
la 3e catégo r ie au lieu dit « Vieu x CimeIV . - PAR.AFOUD IlES.
tiè re :'1 situé sur la co mmune d'O rgon.
Les dépenses relatives il l'adjonction de
La co ntenance d u dépôt se ra de
para fo ud res dans fies zo nes où leur util.isa- ou 100 ki los de la classe 2
ti on est obligatoire pourront etre exceptlon- ou 100 kil os de la classe 5.
ne'l ement allégées pa r le fonds d'A morti ssement lorsque ces pa rafoudres seront places sur les brancheme nts d'abonnes et il
Par arrêté en clate du 20 mai 1952, M.
co nd ition que les dépenses co rrespo~d~ n tes
BORI LLO Louis, ca rri er, demeurant à Cas·
soient pri ses en cha rge par la co llectiVIté.
sis, a été auto risé à établi r et il. exploiter un
V. - LOT I SSE~IENTS.
dépôt Iperm anent de la 3e catégorie au lieu
Les travaux d'électrification intéressant dit c quart ier du Picou vea u :., situé sur Ja
des lotissements ne peu ven t recevo ir l'ag ré- commune de Cassis,
ment du Fonds d'Amortissement en vue de
L a contenance du dépôt sera de
leur ru! lègement ultérieur qu'â la double con50 kilos de la QI"sse l,
dition suivante :
ou de 100 kilos de la classe 21
1 0 Etre projetés par la collec tivité deman- ou de 50 kilos de la classe 3.
deresse et être à sa charge j
ou de 500 kilos de la classe -l,
,,, Etre effectués dans des communes de ou ete 100 kilos de ~a classe 5.
moins de 2.000 ha bi tants ag.glomer~s au
Pour le Préfet, par délégation,
chef-lieu ou bien en dehors de localités de
Le Chef de DMsion .plus de 2.000 !labitaflt~ agglomé,n!s, la p~
SAUVA IRE.
puLalivn agglomérée r~po ndant a. I ~ déflnltion qui en a été donnee Ipa r le MlIl lstre d.es
Fina nces et qu i est rappelée dans une Clf
clu!ai re de la Di rection Générale des Con---c:.oo<>--tributio ns Indirectes du 18 mars 1 ~91.
•••
Le Présidenl du Conseil
du Fonds d'Amortisseme"t:
�130
Comm uniqués-A vis
Annonces dlvèrses
D5 B2
AVIS DE CONCOURS
Recrutement d'un vétérinaire, adjoint. au
Directeur départemental des ServIceS
Vétérinalres du Département de Seineet-Oise.
Un concours su r titres est ouvert à la Préfecture de Seine-et-Oise pour le rec rutement d' un vété rinai re, adjoint au directe ur
départemental des Services Vété rin ai res.
1. -
RÉPUBLIQUE
26 Juiu 1952
CONDITIONS A REMPLIR :
Peuvent seuls être admis à co ncourir les
candidats réunissant les co nditions sUÎvantes :
10 Etre de natio nal ité fra nçaise (les naturalises français devront justifier de 5 années de naturalisation, au 1er janvie r 1952),
A ces traitements, s'ajoutent les indemni_
Etre ârrés de 35 ans au plus au 1er
ja~\'ier 1952 (cette limi te. d'âge est s us~ep tés et a ll ocations de mème na tu re que celles
?O
tihle de diverses prorogations pour serv.l res prév ues po ur la rém un érat ion des fonction_
civils anté rieurs. services militaires obliga- naires de l' Eta t.
toires. enfants à charge)!
3" Etre titulaires du diplôme de docteur111. - INSCR IPTIONS ET RENSE IGNE.
vété rinaire :
. .. .
MENTS.
4" Etre inscrits à J'ordre des veteri na ires ;
50 Avoi r été reconnus comme posséda n1
Les inscr-iptions sont reçues jusqu'au 30
les aptitudes physiques requises.
juin 1952 inclus, dernier déla i, à la Préfec11. - TRAITeMENTS.
ture de Seine-et-Oise, Directio n du Perso nnel
L'échelle de traiteme nts applicable à l'em- et des Affaires Générales, 2e b ureau, où tous
ploi de vétéri nai re-adjoint est fixée ainsi
renseig neme nts co mpléme nta ires so nt tenus
qu' il suit :
à la disposition des postulants.
Traitement
Le Préfet :
annuel de base
Indice
Classe
Roger GENEBRIER
8 18.000
450
1re
758.000
420
2e
700.000
390
3e
- - - -<> 00 <>-- - 640.000
360
4e
58
1.000
330
5e
!;21.000
300
50
FRANClAISE
10' Ann ••. -
N' 26
DES BdUCHE.S-DU~RHONE
Recueil ~ Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relat;v6 au Recueil doit étre adressée à la Préfecture Secrétariat
Général
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectora l. - C. : Ci rcul aire
Les lettres 0 et B suivies d' un chiffre indiquent le Service ou Bureau d·origine.
D. S. T. : Direction des Services Techniq ue:5. _ D. D. S. : Direction Dépa rteme ntal e de la Santé. - D. D. P. : Direction départ •.
mentale de la Population.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
l''ag(:!
J'article 20 du réglement gé néral
aJlnexé
à l'arrHé du 30 avri l 1948 ..
13 1
A 4. - Ré glementation des congés
payés dans les exploitations fo resti ères. - Rect ificatif à l'arrê té n" 489
du 13 aoû t 195 1 ..................
Pag~s
AG O. -
D ~léga ti on
de signature..
A O.. - Congé payé da ns les exploita-
tio ns agrico les. - Rectificatif à l'arrêté
Il "
490 du 13 août 195 1, mod ifia nt
Pages
132 AC 3. -
Loi n" 52-634 d u 4 juin Iq5~
modifiant l'article 6 1 (l u livre 1er
dl1
Code du travai l. - Saisies sur t:-aitemenfs et rémunérations ........ :.
IJ2
132
•
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
0583
AG 0 et le personne! des Etablissements hospita- en disponibilit é du personnel du Cadre Déliers ;
partemental ;
DELEGATION DE SIGNATURE
ARRETE
Le P refet des Bouches'du-Rhône,
Officier de la Lé gion d' Honneur,
Vu le <lécret n" 50-722 ·clu 24 Juin 1950
re latif tà la délégation des pOtl vo~rs propre.;;
aux Prélets, So us-Préfets et Secrétaires Généraux de Préfectu re ;
Vu le décret du 29 IMai 1952 portant
nomi nation de M. !Mla x~me IMi gnon en qualité
d'e Secréta ke Généra l J la Préfecture des
Bouches-du-Rhône,
AIl~~ETE
Pour le Préfet et par Délégation,
Le Secrélaire Général :
Maxime MIGNON.
ARTICLE PRE.MIER. - Délégation permanente de signat ure est d'O nn ée à M. Maxime
Mignon, Secrétaire Général de la Préfecture
des Bouc hes-du-Rhône en ce oui concerne :
Les légalisations de 'signatur~s
Les passeports ;
Les cartes d'étran gers j
L'approbation des budgets et comptes des
co mmunes, aes établissements hospitaliers et
des associations reconnu es d'utilité publique;
L'approbation des llélibérations des Co n·
S~ils Municipaux et des Commissions AdrniOIstra tives des Etablissem ents hospitaliers j
Les 31rrètés concernant les Administrateurs
et le pe rso nn el de J'A ssistance Publiq ue d~
~arse1lJe, J' approbation des d'élibérations du
p,?nSel l d'Admi nistrat ion de l'Assistance Pulque de Marseille ;
Les arrêtés de fixatio n des prix de journée
Les arrêtés relatifs au Conseil die Discide l' Assistance Publj ~ ue d-e _o\1arseille et des pline et sa nctions infligées au personnel du
Etablissements ,hospitaliers;
Cadre Dépa..rtemental ;
Les arrHés co ncernant J'Assistance M.édiLe') arrêtés et notes de service relatifs à
cale Gratuite et les lois d'assistance ;
la Commission Administrativt:: Paritaire D~
Les arrêtes d'autorisation dl! depôts d'ex- partementale et au Comité Technique Paritaire ~Etat et Dépmement) ;
plosifs ;
Correspondances relati ves ail personnel du
Les arrêtés d'ex'Puls ion d'étrangers ;
Ca
dire des fonctionnai res de l' Etat et des
Les ordres de refoulement ;
Fonctionnaires du Cadre Départemental ;
Les co ntra ts, marchés, adJjudicat ions pour
Notation du personnel (Etat et Dépxtele compte du département j
ment) ;
Les a,rrêtes d'acceptation de legs ;
Tous actes, arrêtés ou décisio ns et la
Les arrêtés d'auto risations et récépissL"S.de correspondance générale en ce qui concerne
ciécla ration des Etablissements classés ;
l'A dministration du Departement;
Les contraventions de grande voirie ;
ILes cartes grises ;
Les récépissés de dé clarations d'AssociaILes permis de conduire ;
tions (Loi de 1901) ;
Les pel mis de conduire internationaux
Les ordres d'attribut ion d'office de logeLes arrêtés de suspensio n, cfe retrait d'an
ments et les arrêtés portant annulatio n et nulation dtS permis de conduire.
main-levée de réquisitions ;
ART. .,. - M. le Secretaire Général de la
Les airêtés portant nominatioll, titularisation, promotion de g~ade et avancement rie Préfe·.: ture est chargé de l'exécution du present arrêté qui sera publié au Recueil des
classe du personnel dlepartemental j
Actes Ad'ministatifs du Département.
Les arrêtés de mise à la retraite du pero
Fait il 'Marseille, le 19 Juin 1952.
sonnel du Cadre Départemental j
Les arreté-s portant reclassement du personnel départemental j
Les arrêtés et notes de service accordant
des co ngés die ma ladie, congés ann uels et
exce-ptionnels au personnel du Cadre de
l'Etat et du Cadre Départemental
Le Rréfet,
R. PA IRA.
---«)00«)---
�-
132
A 0 a'les como-entio",s collectives ou des co ntrats l' I ngéni~\I r en C hef Di rect eur des Services
D6 BI
CONGE PAVE DANS LES
EXPLOITATIONS AGRICOLES
Recti fica tif à l'arrêté n' 490 d u 13 aoû t
1951 modifiant J'article ~O. du réglemen.t
général a nnexé à l'arrete d u 30 avril
19-18.
ARRETE
Le Préfet des Bouches- du·Rhône,
OfficÎer de la Légion d'Honneur,
Vu l'ordonnance du 7 J uillet 1945 relative
à l'institution des Commissions Paritaires dll.l
Trlvail en arrriculture et à l'établissement de
reglements
wavail en agriculture,.,
" u le décret du 7 }uilJet 1945 modifie par
du
celui du 5 Août 1946 pris en application de
l'artide 1er, alinéa 2 de l'ordonnance du 7
Juillet Hl45 susvisé j
.
Vu l'arrêté préfectoral du 30 A\'"l 1948
modifié par celui du 18 Décembre 1948 portant réolement du travail en agnculture ;
Vu ,; ci;culaire en date <lU 19 Juin 1950
inlCfivjduels ).
ARTICLE 20 J.
Le pre mier alinéa de cet arti.c le doit êt re
lu ainsi qu'il suit :
c Les 3\'antages a ccessoires, ou e~ na t u:-e
dont les avants-droits ne contlllueraient pas
à jouir pen"dant leur congé entrent en com pte
dans le calcul de l'indem nité confor mé ment
aux dispositions prévues suiva nt le cas SOIt
par les ar ticles 14, 15 et 16 dl! régle ment
annexé à ra':Têté du 30 Avri l 1948 ma<1iflt
par r .. ticte 10 de l'arrêté du 18 Décembre
1948, soit par le décret el) vi~ u eu r en .mahère
de salaire mi nimum gara nti en agnc u lt~J e,
soit oar les conventio ns collectives appllca·
bies àux intéressés ».
Marseille, le 20 Jui n 1952.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
M. MIGNON.
réts, le Directe ur Dépa rtementa l de la Pro.
duction Forestière, le Con trôleur des Lois
LIRE : « Le Secrétaire Gênéral d. la PréfectuTe, les SOlls-Prefets, l' Ingénieur en Chef
Dir ecteu r des Ser vi-ces Agricoles, le ConsN.
vateur des Eaux et Forêts, le Contrôleur d,es
Lois Socia les en Agri cultu re, sont chargés,
chacu n en ce qui le co ncern e, de l'exécution
du p rése nt arr èté ».
Ala rscill e, le 20 Ju in
------ c ~ o Oc >----__
D2 B2
1.0. du 5 juin 1952
AC 3
Officier de la Légion d' Hon neur,
Vu l'ordonnance d u 7 JuiUet 1945 re lative
L'arrêté du 13 Août 195 1 relatif à la régle- il l'institution des Commissions Paritai res du
mentation des congés payés dans les ~xploi Tra vai l en Agricu!ture et à l'établissement
tations agrjcoles est modifié comme SUIt:
des réO"lements de trava il en agri culture ;
Vu l~ decret du 7 Juillet 1945 modifié pa r
A.u lieu de c Toute femme salariée bénéfi- celui du 5 Ao ût 1946, pris en applicatio n de
ARTICLE 20 B - 3me alinéa.
C"Î~
de deux jours dte congé supplémentaire l'article 1er, alinêa 2, d-e l'ordo nna nCe du 7
.
par enfant â cha rge âgé de 15 ans >,
. Ju illet 1945 susvisé ;
ARTICLE UNIQUE. Le premier alinéa de
l'ar ticle 61 du livre I=r emier dlu Cocfe du Travail est abrogé et remplacé par les dispositio ns sui\'antes
« Les réJ11u nérations visées à l'a rti ole 00 a,
sont saisissables ou cessibles, jusqu'à co n·
currence du vino'tième sur la portion inférieure ou égaie à:' 150.060 francs; d'u dixième
sur la portion supérieure à 150.000 francs
ct inférieur e ou égale à 300.000 francs, d\J
cinquième Sur la portion supérieure à 300.000
et inférieure ou égale il 450.000 fra ncs; du
Vu l'arrêté p réfecto ral du 28 .\ulllet 1948
de deux jours de congé supplémentaire par portant ré glement <l u travail dans les explOIenfant à chnge âgé de moins de 15 ans >. tations forestiè res ;
Vu la circulaire en date du 29 Juin 1950 de
ARTICLE 20 C - 2me alinéa.
Al.!. le ~\llinistre de l'A griculture et a1e M. le qua rt su r la portion supérieure il 450.000 et
Au lieu de c .... nota mment pour ca use de Ministre du Travail et de la Sécurité S()C iale; mféri eure ou égale à 600.000 ; du tIers pour
maladie et d'accident du travail, soit pour
Vu Iles propositions de l a Comm1ssion la pnrtiun supérieure à 600.000 francs et
l''Iwlication des dispositions de l'alinéa pré- Paritaire ·.du T ravai l en Agriculture réunie inférieu re ou égale à 750.000 francs et saJlS
li mitatio n Sur la portion dépassant 750.000
cédent •...
le 22 Juin 195 1 ;
..
francs. :.
Vu
l'a
pprobation
de
M.
le
MIOJSt
re
de
LIRE : c .... notamment pour ca use de maLa pr ésente loi sera exécutée comme loi
ladie et d'accident du travail, sont pour l'Agriculture et Ide M. le Ministre du Travail
l'application des oïspositions cre l'alinéa p.é- et de la Sécurité Sociale en date du 30 de l' Etat.
Juillet 195 1 ;
céden!... •.
Fait il Paris le 4 Juin 1952.
Sur la proposition du Secrétaire Général,
ARTIClE 20 C - 3me alinea.
Vincent AURIOL.
ARRETE:
A u lieu de c .... les lfiispositions quj précèPar le Président de la Répub lique:
dent ne porrent pas atteirrte soit aux. stipuL'arrêté du 13 Août 195 1 réglementan t les
Le Président du Conseil des 'Minist res
lations des conventions collectives des con- congés payés dans les exp l.oitations foresAntoine P INAY.
trats incfivjduels .>.
tières est modifié comme swt :
Le Ministre du Travail
LIRE : < .... les dispOSitions qui précèdent
ARTICLE 2. - Au li eu de : c Le Secrétaire
et de la Sécurité Sociale,
ne portent pas atteinte soit aux stipulations Général de la Préfecture, les Sous-Préfets,
Pierre GA RET.
LIRE :
Toute femme sal",iée bé néfiCIe
-DU-RHONE
Recueil des Acte~" Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondan ce r ela tive au R ecueil d oit étre a dressée à la Pré fecture Secrétariat
A. P. : Arrêté préfectoral. -
ABRÉVIA. TI ONS
Les lettres 0 et B sui vies d' un dhiffre indiquent le Ser vice ou Bureau d'ori gine.
C. : Circulaire -
D. S. T . : Direction des Se rvices Tec hni que.. mentale de la Population.
.
G é néral
D. D. S. : Directio n Départementa le de la Sa nté. _
D, D. P. : Directio n dé parte-
------c~ooc>-------
LOI N" 52-634 DU 4 JUIN 1952 MODI·
A 4
de .\1. le ~Iinistre de l'AgricuJture et de M le D6 BI
FIANT L'ARTICLE 6 1. D U LIVRE l"
.\linistre du Travail et de la Sécurité SoCIale;
DU CODE DU TRA VAIl.
REGLEMENTATION
Vu les propositions de la Commissi?n PanD ES CONG ES PAYES DANS LES
Sais ies sur traitements e t ré mun éra tions
taire Ou Tra vail en agriculture réu nie le 22
EX PL O ITATIONS FORESTIERES
Juin 1951 ;
L'Assemblée Nationale et le Conseil de la
Vu l'approbation du tJ\tUnistre . de l' Agri- Rectificatif à l'arrê t é n ° 489 du 13 août Rép ublique ont <l<' libéré.
1951
culture et du .~ tinistre d'U Tra vai l et de la
L'Assemb lée Nationale a adopté.
ARRETE
Sécu"te Sociale en date du 30 Juilllet 195 1;
Le Prés ident de la République promul gue
Le Préofet des Bouches-du - Rhô ne,
Sur la propositio n du Secrétaire Général,
la loi dont la teneu r suit :
ARRETE ':
10' Année. -- N' 27
,
1 ~52.
Pou r le Préfet,
Le Secrétaire Général,
M. M'IGNON.
SE
OËPARTEMENT DE
Agricoles, le Conservateur des Eaux et Fa.
Sociales en agriculture sont c.hargés, chacun
en çe qu i le co ncer ne, de l'exécution dtl
prése nt arrêté >.
RÉPUBLIQU
3 Juillet 1952
Pou r le P réfet et pa r Délégatio n,
Le Secrétaire Général :
Ma xime MIGNON.
SOMMAIR.E
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pai!!:S
AG O. -
Ar rêté de M. le Mi ni st re de
f lntérieur suspendant de ses fonctions, ,pour une dU/rée de trois mois,
M. H'ieubon, maire de IP ort- de~Bouc.
AG 14 , Vacances survenu es au
sei n des Co nseils Mu nicipa ux des
commun es de
pl us.
9.000
halb itants et
CircuJaire
ministériel le
n" 233 du 30 mai 1952 complétant
la circu la ire n" 139 du 17 mars 1948.
E~ections mun ic ipales complémen taires dans les communes
soumises au scrutin majoritaire ....
AG 14. -
P 8. 133
Au sujet des réfugiés d'o ri gi ne
russe, armén ien ne ou diverse qu i ne
peuve nt:,. quant à présen t, fo urn ir de
certifica t de natio nalité ........... .
F 4. 133
Paies
Programme d investissements
agr icoles. - Apu rernent financier et
réévaluation des projets inscrits su,r
les tranches 195 1 et antérieures
FS O. - Médecins agréés pour pratiquer les examens ra(j j o9c~iques en
134
vue de l a dél ivrance des certiJicats
- prénuptiaux et prénataux .,........
134
Pa ~t: -'
135
FS 7. - CiocuJ aire n' 90 du 13 m'Ii
1952 relative a Ja rémunération des
internes en médecine et en pharmacie des étalb1issements hospitaliers
l
pU'blies ... _.................. .
135
Communiqués .- Avis •. Annonces diveJ1ses
134 -
Deman de d'emploi ............ ..
136
=
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
CABINET DU PREFET
. AG 0
-
en prenant la parode, le 26 mai 1952 D5 B2
AG 14
-provoquant un attroup.ement sur la
ARRET E DE MONS IEUR L E MINISTRE voie publique.
VACANCES SURVEN UES AU SEIN D ES
DE
L' INTE RIEU R
SUSPENDANT
Arrête
:
CONSEILS MUNICIPAUX DES COMDE SES FONCTIO NS POUR UNE
MU NES DE 9.000 HABITANTS ET
Article
premier,
M.
Rieu!bon
est
susDUREE DE TRO IS MO IS, M . RIEUPLUS.
pendu de ses fonctions de Mai,re de la
BON, MAlRE nE PORT- DE-BOUC.
et en
REP UBLIQUE FRANÇAISE
Le Ministre de l'Intérieur,
Sur la ,proposition du Préfet des Bouches-
du-Rh ône,
Vu l'a rticle 86 dO! ,la loi du 5 avril 1884
modif ié ,par la loi du 8 juillet 1908 ;
Vu l'arrêté en date du 29 mai 1952 du
Préfet des Bouches.du-Rhône portant sus'Pension IpOur une du,rée d'un mois de M.
comnmne de Por t-de-..Bouc (Bouches-du Rlhône) pour une d urée de tro is mois à da- Circulaire ministérielle n ° 233 d u 30 Mai
1952 complétant la circulaire n ° 139
ter de la notification à l'intéressé de l'a rdu , 17 Mars 1948.
rêt é préfectoral susvisé.
Article 2. -
Le Préfet des Bouohes-du-
sflllheuses ,.
Paris, le 30 mai 1952.
Fait à Paris, le 25 juin 1952,
Le Ministre de l'Intérieur
Chanles BRUNE.
Pour Ampliatio n,
RielJbo n Ren é, Maire de la Comm un e de
Port-de-BoUIC (B.-d u-Rh .) ;
Le Sous-Préfel Direcleur du Cabinet
da Préfet des B.-<fu-Rh. :
Co nsidér,a nt que M. Riellbon René, Maire
PLETTNER.
de la Commu ne de Port-de-Bo uc (Bou ohe.>dU-~hô n e) li e u un e attitude iJ1compatil>le
av.e.c tes devoirs que IU!i i.moose sa qu!al ité
d.c mai re en se plaçant, Je 25 m ai 1952, à la
tete d'une mani f·estation et en remettant
s.ous la pression des man ~festants un e motion de protestation au poste de police j
. -:-, en encourageant par sa présence des
lnd~v.ldus qu i apposa ient des inscrip tions
REPUBLIQUIE FRANÇAISE
Rhône est chargé de l'exécution du présent
arrêté.
------- «> oc <~, ------
Le Ministre de l'Intérieur,
à MM . les Prefets
(MétrOpole el Outre-Mer)
Objet : Vacances survenues au sein des
Conseils
Municipaux
des
Conununes de
9,000 habitants et plus.
Ré/er. :
C i r!Cu~ajre
nO 139 du
17 mars
1948.
P.J. :
1.
Par circulaire v.isée en re fëren ce, un d'e
mes préd'ècesseurs avait ex.posé l es règles
à suivre lorsque (ies vacances sont o uvertes
au sein des Conseils Mun icipau x d'e s
'Commllnes de 9.000 hao itants et plus, et
des Communes de la Seine, quelle que soit
leur
ation, qui sont soumises à l a
�134
Il était indiqué que la proclamation des tion
par Ja
Commission
Mu.n icipale se CO ll sei~s municipaux qui se t rouveront
'
·t
' apres
nouvea ux Conl:ieille.rs etait faite par une ubstitue dans ces Communes à celle d e ce tt e . d ~ t e, réd II I s. P.oll~ ,quelque cause ue
ce SOit a .un effectif Infefleur à la mOitiéqd
Commission municipale presidée par le l'clection compJémentai re.
j\ \aire (ou. en cas d'empèchement. par un
adjOInt) et composée de delêguês des
Conseitlers municipaux (101 n ' ..17-1 32 du
5 septembre 19-17, art. 7 ; décret n" 48-308
du 2 1 lérrier 1948).
Pa r un a\'15 du 19 février 1952, Je D582
Conseil d'Etat a apporté- deux précisions en
Pour le Min istre de l' Inté rieur,
Le Directeur du Cabinet
nomb.re Icgal de leurs membres.
Le Ministre de l' Interieur
Le Directeur du Cabin et
Jean VERD IER.
Jean VERD IER.
U
~
.
-------c ~ oo c > -------------~ > oo «~ --
AG 14
____
D I 83
P8
ELECTIONS MUNICIPALES COMPLEla matière.
0
MENTAIRES
DANS
LES
COMMU
NES
AU
SUJET
DES
REFUGIES
D'ORIGINE
1 La Conunission MunicipaLe est t ellue
•
en 1000te hypothëse de r éclamer le col istier
le plus f al'orise ap rès le dernie r élu de 1a
liste interessée, en tenant compte dl(! ('o rdre
de preJêreoce établi en addlt io n-nant les voix
et les signes préfére ntiels (décret du 21 fé\'nec 19-18. a rt. 1er). Cet organisme n'est
pas .~u~l:li~< ~ .se prononcer sur l'eligibilite
ou,, mellf{lbJllte de ce colistier, question qui
SOUMISES AU
TAIRE.
SCRUT IN MAJORI-
Ci rculaire Ministerie1le nO 232
REPUBLIQUIE FRANÇA I SE
Paris, le 30 mai 1952.
L e Ministre de rInl erieur,
à MM . les Préfe ts
(,\létropole - Outre-Mer)
OBJET: Elections municipales complementaires da,ns les communes soumises au
scrut in majoritaire.
RU SSE, ARMENIE NNE OU DIVERSE
QUI NE PEUV ENT , QUANT A PRESENT , FOURNIR DE CERTIFICAT DE
NAT IO NALITE,
Le Préfet des B ou c/l es-du-Rllône
à MM. les Mair es,
'
AtlvI. l es Commissaires de Police
du D épartement,
rele,·e du juge de l'élection.
(En communica tion :
Ainsi la Haute AssemWee a-t-elle assimilé
à MM. l es Sous-Préfets d'Aix et d' Arles
sur ce point la Commission .'\untcipaJe au
M. le Directeur Département de la POlict:
bureau de \'ote qui, selon. une jurisprudence
cons~~nte. n'est pas admis à apprécier les
conditions d'eliO'ibilité des candidats (très
J' ai l'honneur de vous préciser qu'à l'ocI~ombreux arr~ts en ce sens et en particuLes Coonmu nes de moins de 9.600 habi - casion des demandes de renouvelJement de
Ii,:r . ceu~ des 5 novemb re 1926. Reilling et tants (à !' e;(ception de cel1es de la Seine) titres de séjour présentées par des réfuaié:>
Il Janner 1930, Prouguin).
sont r estées sownises au scru tin majori taire. titulaires precédemment d'un ce rtiri cat léJi, Par _consequent,. il y aura lieu d'appeler Dans ces comm unes, lorsque, par suite des v ré pa'r "un des Offices actuellement dissou:i'attention des Maires sur le caractè re et le vacances qui se sont ouvertes au sein de en même temps que l'O. I.R., il n'y a pas lieu
rôJe de cette Conunission et leur preciser cette Assembl ée, Je Consei l N\u niclpal a d'exiger la justification de leur nationalitc,
qu'elle doit, dans tous les cas, se borner perdu en cou'rs 9-e mandat au mo ins le tiers mais il co nvient, au co ntra ire, de recevoir
~ur.ement et simplement à prOClamer le co- ~e ses membres, III doit .être procéd é à des l ~ur demande en l a mêm~ qualltc qu e pré"stler le pl us favorisé.
el ectlons « conwlérnentahres :. portant UnI- cedem ment, tout en mentiOnnant sur la fl. ~a.ns doute cette règle peut-elle aboutir qu~ment. s~r les ~i~ges ~ po u r~lo i~.
1 che : « cert i ficat ~o? produit Jo .
a taIre proclamer un cai1didat notoirement' Ce pn nclpe a ete pose par 1 arti cle 42 de
.11 est de toute eVldence, en effet, que la
indigibJe, mais un recours devant le Conseil lia loi du 5 avril 188-1- modifi é pa'r la lot du 1 nationa.lité des étr angers dont jll s'agit n'a
tie P:éft.;'Cture avec possibilité d'appel en 9 mar:) 1 ~36, alinéa l e: .
,..
p~s varié .et que.. quels que soi~nt les.orgaConseIl d Etat est ouvert dans les conditions
~outefOis, une exception a ete prevue par nl smes qUI succede ro.nt aux offices diSSOUS,
habituelles contre Ta décision de la Com- l'alinéa 2 de cet article ainsi conçu :
seu le se poser a une question de forme ou
mission .\\unicipale (décret du 2 1 fe\'rier « dan~ l'année qU! pr.écède l e renoU\'e.hle- de redevéllnce.
.
1948, art. ï ).
ment Ifltégral, les electlOns complémentaires
A u surplus, les cartes sont conservees dans
2·' Les conditions d'éligibiliit! d C i n e sont obligatoires qu'au cas où le Conseil mes services après avoi r été établ ies, la
fer. proclamé par la -COmmission l~rUJlr;;~~I~ .\\unicipal a perdu plus de la moitié de ses questi~n de. la taxe ou du droit sprt:lal resdOll'ent être appréciees à la date de la ro- membr~ ~ ,
,
,
. tant reservee.
.
tlamafion et non à celle de téleel"o
p
Certains de vos coUeg ues m ont consu lte
Je vous demande donc d-e tefll r compte
Frequemment, entre l'élection ~t
ro- sur l 'inte,np l'I~ation .à d?~ner à la formul e de l 'ét at ~e ~a.it J:?récité. et de. ve il(e~ à C~
damation du nouveau conseiller s'est ecguJé
dan~ ~ annee qUI precede le r enoU\'elle- qu~ des )Ustllfl ca tlOns, ImpossJ1)Ie5 a proun long délai aU_CoUirs duquel la situa ti on ment Integ.ral >.
dUIre .actueJ lement, ne sOle!1Ï pas dem~de l'intéressê a pu être modifiée.
Cette question appehle les observations dées a des ét: a.Jlogers pa~rttcu l.lè.reme.~t dlAinsi
e em 1
d·d _ suivantes.
gifles de la sol~lcltude de 1 Administration.
,par x. p e. un can 1 at non clu
0
,.
. . . .
. .
lo rs dt l'election et qui, à cette éoue
ans 1 espfl~ de l a 101, !f Imp~rte d'év.l tCI
Pour le P réf~t .et par ~élégatlon.
n'avait 'Pas atteint l'âae de la majo~ti ' que les élections complementaires n'aient
L e Secretmre General
r~mpli tette condition ~ avant sa pr~a~a~ ~i eu à une. d~te trop rapproch.ée du re nouvelMaxime N~IGNON.
hon. Inversement, un candidat éliaible a Le.rnent .general ; en effet, .a cc:tte ép<?qu e,
------ G:::toO o« » - - per~u cene qualité par suite d'une c~ndam - eJl~s presentent so~ve nt un Intéret réd u.lt du
F4
nahon pénale ou parce qu'il n'a plus d'at- pomt de vue des el e::t"eurs. et d,es can~ldats, D2 83
t~he .3\'ec la Commune (inscription sur la le mandat de.s con~e!liers, el_US a la sUite de
PROGRAMME D'INVESTISSEMENTS
liste electorale ou au rôle des contrib r
ces consultatiOns etant remiS en cause lors
AGRICOLES
directes).
u Ions de ce re.nouveUement général.
fi s'agit de rob' ·
.
_
Le texte primitif de l 'a rtiole 42 prévoya it Apurement financier et réévaluation ~~~
p
,emes qUI ne .e 'po"nt que d
1 6
o·
··d t 1
1
projets inscrits sur les tranches 1
pas sous le rcgime de la loi du 5
884.
ans es
~ IS. prece an e, renouye-l
et antérieures,
en effet dans ce cas 1
ocl a"t . 1
J
lement,
l es
élections
complementaires
,
, a pr ama Ion des n'étal·e t ~hl·gato·,
u
. l'A
bl·
nou\'eaux ConseiUers _·t .
'd·
n vU 1
res q e SI
ssem ce
N' 56 AGJ / I
ï.
.
S~I
.'mme latement a\'ait perdu plus de la moitié de son effecup~oec~~ee.cts,opnec.~aOlmemPlémentental~e adlaquelle il est tif ; le lêgislateu r de 1936 a doulblé ce déPari s, l e 3 juin 1952.
.~
1
en vue e combler la 1 · P i t
.
'[
ou les \'acances (loi dUt il 1884
40 al.
ar e er.':I1 e «: annee '. 1 f~ut d<JflC
L e Ministre de /'A!;rieull urc,
alinéa dernier et arti 1:) :~)r
, art.
entendre l a péflode .de 12 mOIs qUI '~récède
à MM. les Préfets,
. '
ce ... _
le renoU've llement genéra'~ des Conseils mu_
1 L~
Conseil ct?Etat a p recIse que l orsqu 'i l nic~pa u x.
Apurement
de:> t ranches antérieures
1. s a~lt de Com:nunes sownises à la représenr d'3Ip rès l'article ?9 de l a 10· du 5 sep- à 195 1.
.
t IR
tatl on proportl~nnelle, I,:".conditions d'éligi- temb;e 1947, le mand~t des Con~eils muniCerta in es
collectivités
pou rsulvan
.
blhte dOlv.e.nt e~re ap~ recle~s au /?ur .de l a cipaux élus en octobre 1947 ou depuis lors réal isation de prQljets inscrits au pr~~a:re
proclamation el non ~ celUi ~e 1 el eetl on.
expire le 'p.\(~ mier dimanO.le du mois de mai me de 1950 ou à une tranche ant ~ . ue
La Haute Assemblee a fait ressortir en 11953.
dans l e cadre des rubriques c H ydlf:~é~a_
e_ffet q~e la _vaca nce du siège est la COndi Par conséquent, depuis le premier diman- ,Agricole .. , « Adtluction d'eau :J , « T ation
tlon ncc~ssaLfe du droit du col istier il etre che de mai 1952, les élections compl,""en- gements de villaJges » et « E I~tfl ~~ d,proclame et que la procédure de proolama- 1 tai res ne sont obligatoires que pour les Hurale > <>nt dép<>sé leurs doss .. rs
nia
r·'
135
mal'.ctes de prêt s après expi rat ion des délais
fixés par l a circu~ajr.re <Lu 25 j uin 195 1 et
se son t vu opposer, de ce fait, une fin' de
non recevoir par les etalb.lisseme nts prêteurs,
T out en main tenant en vi gueur les dispositions de cette circulai re, j'ai décidé d'admettre la possib~l ité d~y déro'ger lorsque le
reta rd ~ppo r té par les co ll ect~v it 6s dans l e
dépôt de leurs demandes de prêts aur,a eu
pour cause des cinco nstances indépendantes
de leu r vo lonté.
Les dema n.des de déroga tions dûment
motivées devront m' être ad{essêes par le
ca,na! du s.ervice local du Génie rurélll à
moins que [es é.tablissements de credit
n'aient reçu et conservé les dossiers de demande de prêt, auquel cas c'est à ces derniers q u'i l app a rtiendra de Ole saisi r de propositio ns de dé.rogation-:
, Les :oUoctivités ou organ ismes de i reux
dobtenlr des prêts c&mpléme ntai res destinés
à ;et uS~ç'e devront donc, en même temps
qu Ils saiSi ron t les établ issemen ts de crédit
de leurs . dossiers de prêts, faire pa'rvellir
aux S~ r~lces Techniques locaux co mpétents
?U .J~liJ1lstè re de l'Agri'Cliltm e, un do ier
jllstJüant les augmentation s su r venues dans
le co ùt d'exécuti on de leurs projets. Ces
Services me tra nsmettront les dits dossiers
accompagnés de leurs 'propositions.
•••
Je vo us prie de porter les i.h.dicatiol1s CÎdessu s à la co nna issance des callechvités de
vo tre Dépa rtement.
j'adresse, pou r ma part, amplîation de
cette circulaire à MM. les Chefs de Service
d'epartementaux du .Ministère de l'Agricultur e
compet-ents pour suivre la réalisation du
II. - Travaux d'alimentation en eau po- Programme d' I nvestissements agricol es.
table et d'l:le ctriticafioll rurale de la tranPou r le Ministre et par auto risa tio n,
elle · 1951.
L e Direct eur dtl CabInet
Par circulaire no' 83 AG J/ 3 et 89 AGJ / I
Y. MIA LEOOT.
des 9 et I l novembre 195 1, je vous ai fait
- - - - .:J; » !)o «~,-----connaître la Iliste des projets ou tranches
de projets, de travaux d'alimentatio~ en DD 5
FS 0
eau potable et d'électr irfication rura le pour
lesqu els pouvait être emvisagé'e l' at t riblttion MEDECIN AGREE POUR PRATIQUER
d·un e subvent ion sur les crédi ts de l'anLES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
née 195 1.
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
Je vOus illfortme qu.e les col1lectivités béné- CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET
ficiaires d:e subrventions de mon D épartePRENATAUX,
ment po ur la ré ali sation de ces projets, qui
s?n t d ~sireuses d'obtenir e n 1952 l'octroi
Par arrêté prefectoral cn date du G ju in
d un pret sur les ressources du F.N.M .E. par
_?
_
Je cana l dl! la C.N,C.A. et du Créd it Fon-' 19..)_, Al. le Docteur Jean BouiV.eyron, IJ, Bd
cie.r de F rance pour assurer le financeme nt 1 de ~\10ntolivet à Marseille, est autorisé à
de la part des dépe-nses demeu rant à leu r pratiquer les examens radioscopiques en vue
charge devro nt dôposer leu r dossier de de- de la dêhvrance des certirkats pr énupt iaux
mande de p-rêts avant le 1er août I)rochain. et préna tau x.
Je vous prie, en conséquence, de bien
Le Direcleur Déparfemenlal de fa Sanlé
vouloir transmettre à la C.N,C.A. dans les
meilleurs délais possibles, les dossiers de
Dr X. STllENNA.
demandes de ,prêts I)OUr travaux d'électrifi---«:too<. - - catio n fl~r ale qui VOLIS au ront été adresses
avant la date SUS-indiquée,
D382
n7
11 1. -
RéelloluafiO ll des travaux en cours.
(toutes !ranches - tOlites n ,briques).
CIRCULAIRE W 90 DU 13-5-52 RELA'TIVE A LA REMUNERATION DES
INT ERNES EN MEDECINE ET EN
PHARMACIE DES ETABLISSEMENTS
HOSPITALIERS PUBLICS,
Afi n de permettre aux collectivités et organismes aya,nt entrep ri s l a réalisatiOn de
tra.vaux inscrit s sur les tralO ches 1951 et
antêrieures du
pro!gralllme d'investissements a!g r ÎCoJ'es, de faire face au supplement
Circulaire n" 90
de dépenses résultant des variations éC'Ollomiques, j'ai décidé d'autoriser ces colJectiA.G. 93/-17
\'ités et organismes, il faire de nOuvealt
Paris, le 13 mai 1952.
<.ùppel: à titre complémentaire, à. l'aide d'es
~tahil sse men ts de créd its habilités à fina:nLe Minis/re de la Santé Publique
cer le Programme d'investissemünts ag ricoel de la PopUlation,
les au moye.n des ressources du F.N.l\\.E.
à MM. les Préfets,
L'oc troi du prêt cOITlJP~êmelltaire ne sera
pas, pour ces affaires subord<lnné à J'insMM . les Directeurs Départementaux
cription du .projet au Programme d'investisde la Sante,
s~men.ts agri co'les ptlÎsqu'il ne s'agit pas
Directeurs Départementaux
MM.
les
d affa i res nO'lIvelles, mais seu lement de
de la Population,
rééva lu ati ons.
Toutefojs, les prêts ne seront accordés
REFER. : Mes circu laires n" 250 du 3 dt'qu'après l'intervention :
cambre 19-!8 ; n" 6S du 14 mars \ 949 ;
- so it de la décision de relèvement de Il '' 257 dl! 28 octobre 1949 ; Il'' 153 cln
s.U:~ventio n , pour les co ll ectivités ayant sol- 24 aolit 195 1.
liCité un tel rel èvement ,.
J' ai l 'honneur de VOliS faire conna.ît re que
- soi t de mon avis technique favoral1le, les taux de la rémun ération annuelle des
pou r I ~s co:~lectivités et organismes ayan t internes en Jv\edecine et en Pharm acie de
renonce à demal1der une subvention, ou n'y J'Assistance Pubtique de Paris vien'nenl d"Hre
rév isés dans les conditions suivantes :
ayant pas droit.
Du 1er mai 195 1 au 9 septembre 1951 :
Externes en premier ........... ,
Internes de 1re et 2e années ... . ,.
Internes de 3e et 4e annees ... . "
285.CXX>
3 17.000
365.000
A compter du 10 septembre 195 1
Externes en premier .. " .... _.. ,
Internes de 1re et 2e années, , ... .
I nternes de 3e et 4e années ..... ,
346.000
384.000
441.000
Ces tau x de rémuné rati on concernent les
internes internes. POUir les internes externés
l'indemnité ann uelle rep résentative de logement reste fixee il 30.000 franŒ et l'indemnité repr ésenta tive de nourriture à 80 frs
par rflpas.
Il reste entend u qu e pour les i nternes des
h.ôpfta ux pub1ics de Provi nce, les Commissl~ ns admin is.t~at i ves demeurent règleme ntalrement h31bllltées, en apph-cati<l.n des dis_
positions des arti cles 149-177-204-214 et 223
du R.A.P. du 17 avnl 1943, à fixer le montant de l' indemni t ~ annuelle SOU!) réserve de
l'ap:p.ro batio.n prefectorale.
Toutefois, il m'a semijlé ante-rieurement
n ~-cessaire, ,pour éviter des décisio ns trop
dLVer:gentes, d'établi rI en aocord avec M. le
Ministrlf du Budget un ba'rême nationa~ destiné à guider les Commissi-ons administrati ves lors de la fixation des indemnités de
leurs i nternes.
Jtl a, en conséquence, éh": prévu (cf. ma
ci rculaire n" 250 du 3 dêcembre 1943) que
les indemnités des internes des hôpitaux de
province pourraient etre ca lculées su r la
base des tau.x de rémune ration des intennes
de l'Assistance Pl1blique de Pa ris, compte
tenu de certains cœfficients de minoration,
En raison, d'une ,pa rt, de l' augmentation
sensible des taux de ré.munération applicables aux internes des hàpitaux de Paris â
dater du ter mai 1951 et, d'autre part, des
dispositions du dé<:ret du 16 avril 1949 sur
la refomle des études médicales, en appücation duquel ~e nombre des internes re<:rutés
au conco urs dans les hôpitaux qui ne son t
Ipas situ.és au siège d'une ville de Faculté
Ol! Ecole de Plein If:xerciœ sont limités, j'a i
decidé, en accord avec M. le Ministre d u
Budget. de modifier, ainsi qu'il suit les
cœffîcients de minoration .applicables à dater du 1er mai 195 1 aux taux de rémuné ration signales au dehut de la presente circulaire
1" Internes des hôpitaux situés dans une
ville siège de FacuMe de I\\édecine et Internes des hôpitaux de la région sanitaire de
Paris : 10 % de minoratiO-n ;
2° Internes des hôpitaux situés dans une
\·ille siège d'Eco le de Plein Exercice de médecine ; 15 % de minorati on;
3" Intern es des autr.es hôpi taux : 20 % de
minoration.
En ce qui concerne les stagiaires hospitaliers de
1.l1l1ée affectes dans les hôpitaux, e.n apl)lkatio ll du décret du 16 avri l
1949 su r la rd orm~ des études médicales,
je vous rallpelle 'lue J'aflticle 4 de l'a rrêté
du 12 août 1\:J49 a /prévu que les Commissions administratives PCll\'eI"J.t leur accordel
une indemnité et des .wantages en natu re,
Il semble à M. le ,Ministre du Budget et à
moi-même que l'indemnit~ susceptible d' êt'te
acco,dée aux stagiaires de 6e annee ne de-
oe . .
�136
vrait pas dep3sser, actuellement, 120,000 frs
par an.
•••
Vo us \'o ud rez bien po rte r les ins truct io ns
qui précèdent à la .co nnais:",nce. des Com-
miss io ns admlnlstratl\'es In teressees.
Le ~Iin i stre,
Pour It. -'finis/f e et par délégation,
Le Co nseiller Technique :
Dr PEQU IG OT.
Communiqués-Avis
Annonces ctlvepses
D2 B3
!
mairie du
département des
Bouches-<lu_
R,hone.
10
RÉPUBLIQUE
et 11 Juillet 1952
MM . les Maires intéressés 'par cette
ca.n di datur e, voudron.t bi en se mettre direc_
FRAN0.AISE
10' Anno.. -
N" 28 .t 29
DËPARTEMENT DES BOUCHE.S-DU-RHONE
tement en r3lpport a.vec M . Marius Delva rt
DEMANDE D'EMPLOI
20, ro ute de Rob ion, à Cavaillon (V a UCluse):
Cha uffeur, âgé de 22 ans, mari é, sé rieuses
références, sorlicite un emploi dans u,ne
-
-
--<>0 0 0 -- - -
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des
f
Toute correspondance relat;~ au R eclIeil d oit ê tre adrl' s see à la Pretecture ISecrétart8Jl
Général
======f\=========
Les lett res D et B sui vies d'JlI1 ôttiffre indiq uent le ser~ • ou Bureau d'ori gi ne.
D. D. S. : DiTeclto n Départ emeota le de la San té. _ D. ~"iP,. : Direction départe•
_
/"
AB8ËVIATION8
~
1\- P . : Arrê té p ré fecto ra l.
C, : Cirç.ulai rc D. S. T. : DiTectlo n des Servi ces T ech ni qu e • . mentale de la Pp pula tio n.
•
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et C1tculaires
Pages
1
prescrivant
les
ame nag.ements
à
I,éa liser sur les châteaux d'eau en
vue ~e ,permettre leu r util isation
n évis ion cie la liste é~to r a l·e en
\' ue d es élect i0J1S des fI?l)rése ntants
dans les opérations de tr ia ng ulation.
des
ocg,an isrnes
mutualistes
au
T VX 5. - Circu laire minis térielle en
Conseil Superieu r de l a M ut ual ité
date du 28 j uin 1952 relative a ux
et des memh res d u Comilé d épar-
AG 6. -
Pai es
Pa ~~ s
FS 6. -
Vac ina ti o n antiva rio li q ue .. .
sala riés agrico les . ... .... '.,. ..
de
coo1'1d inoat i o.n
de
la
J 47
mO:difications dans le pri x des m ar-
A ~. - Arrêté relatif à la Mterminachés pass~s Ipar les coll ectivités
Mutu a lité des Bouches-d u-Rhône.
t ion des périod1!s pendant lesquelles
loca
les
...
.
....
....
....
145
........ .. 137
Année 1952 .... ....
les salariés des artisa ns ru raux ne
6N O. Règlementation de l' affiSC 7. - CiTculaire rninistérielJ e n" 278
Ipeuvent pas prétendre à des abse nchage. - Territoire de la Commune
en date du 3 juillet 1952 aya n~ pour
ces de pl us de 24 heures au tit re
ct' Aix-en -Pro\'ence. - Ter r itoire de
obj et la diffusion de co nditions pardes conges payes .... .... .. . . ..
par la Commune Je Cassis ... ... ' _ 145
ticulièr es tYlpe d'assu.rance contre
Communjqués du Secrétariat
l'incerrdie des biens al~pa r( enant aux
FS O. Interdi ction temporai r e du
de l'Union des Maires
com munes d'au plus '1.000 habita nls. 139
tra nsport et de la ve nte des coquilTVX 3. Ci rculair.e mi nistérielle
lages dans toutes les communes du
- 'Visit es chez M. le Préfet. - ConN° 247 en date d u 20 juin 1952
dépa rtement .... .. .... . .
1 ~7
gé annuel
. . . . .... .... ....
tement al
147
A 0, - Ar rêt é complétan t l'a r,rêté j>ré145
fec to.ral n' 526 du 29 décembre 190 1
rel ati.f aux accidents du t ravail des
1-18
14
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D ~B 2
Pour le Pré fet et par Délégation,
U
Secrétaire Général :
Max ime MIGN ON .
REVISION DE LA USTE ELECl'ORALB
E N VU E DES ELECTIONS DES R,EPRESENTANTS DES ORGANISMES
M UTUALISTES AU CONSEIL SUPER IEU R DE LA MUTUALll'E ET DES
M EMBRES DU COMlTE DEPAR'l'JEM E NT AL n r "(j)ORDlINATION DE !LA
U ..L ""
MUTUALI TE DES
BOUCHES-DUBHONE.
ANNEE 1952
Article premier. -
La
liste
électorale
pour les élections des repr~sentants des
organismes mutualistes au Conseil Su.peLe ,P"éofet ses Bouohes-du-Rhône"
ri~ur de la Mutualite ~ t de=> ffitmlb res du
Officier de ta Légion d' H onneur,
Comité Departemltntal de coorùination de la
Vu l'o rdonn a nce dlll 19 octob.re 1945, por- i\\utualité des Bourhes-<!u-Rhôue est établie
1an t sta tut de la M utual ité notamment son pOllr l'ann ée 1 ~152 coJ1ITonnémen t à l'annexe
a rti cle 69 ;
,
jointe au présent arrêté.
. Vu le déc ret n" 50-730 du 24 j uin 1950,
La deuxième partie de la dite liste ne
fIxant l es co nd it ions d,'élect ions des rep ré- s'appliq ue pas aux élections des m~mb~.es
sen tants d es o r ga nismes mutuali s tes au du Comité D~'Partemental de Coonltnatton
Conseil Supéri eur de la Mutua lité !
et des représentants terr itoriaux au Grand
. Vu le d écret n" 48-423 du 9 mar 1948 Conseil de la .\\u t u3I1té,pour It!squ ekles le=>
fIxant les
des
Uni ons et Fédératio ns Mutualist.cs
ARRETE
h'I'WU.EaIE NOU\ELLI:: DE ~iAJl S I::ILLE. 1 20, r ue Sainte
1
Art. 2. - Toute Société, section de Socié:ré l Union ou Fédérati o n, ayant SOn siège
l'a,rticle -! ;
VU les circu laires de M. le Ministre du 1 dans le Dt,partement des Bouches-<lu-Rhône
Trav a il et de la Secu rit e Sociale n" 2:14 SS pourra former un recours, SOIt en vue de
et 137 SS des 30-7-48 et 5 juillet 1950 ;
son inscription sur la liste électorale, soit
VU l'avis coroonne du Comité Dépante- en vue de la radiati on d'un autre groupemental de CU01'dinatioll de la Mutualité des ment.
Bou"hes-du-Rhôn1! en date du 28 j"in 1952;
Le recours formé par ecrit do;t Hr. pr';"
senté dans les 15 jours qui sU'l'ent la pU!hli~ur la proposition de w\1. le Sec.rétaire cation du présent. arr~te. li dena être
Oenéral,
ad.ressé à M. le Prefet des Bou,.hes-duArrôte :
Rhône, 5e DiI'ision - 2e Bureau, Service de
la Mutu a lité.
AM 6 Coordination de la Mutu alité et no tamment
Art. 3. -
Le présent arrêté sera publié
au Bulletin ad.ministratH des .I\1airies du
Département des Bouches-<tu-Rhône.
Art. 4. - M. le Se< réta ire Gé.nè ral des
Bouches-Ç.u-Rlhône est chargé de l'exécution
du IPresent arrêté.
Fa it à Marsei!.leJ le 1er juillet 1952 .
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général Délegué
,\Iaxime MIGNON .
�138
N°
RE\'IS/O.\' DE LA LISTE ELECTORALE
SOCIETES MUTUALISTES
AQ,\\JSES A FIGURER
UR LA LISTE ELECTORALE
POUR L'ANNEE 1952
1
d e la
Sod "té
2 L' Epi d 'O r ............. .
-1 St-Pie rre et St- Paul .. .. . .
7
t-Lotlis ......... ....... .
8 .\\ utualitc P rO\'e nçal ~ .' .. .
I l L ' Asce nsion ~. """"""
15 St-VicW T ......... _..... .
16 L'Ainitié et Constance ... .
21 La ParIai t e Union ... ... . .
26 St-Bienvenu ............. .
3-1
36
39
41
44
53
St-Antome-de-Padoue .. . . .
St-Augustin ............. . .
t-H ippolyte ... ... ...... .
La Franee .. . ........... •
St-Claude .....
Saint-Ba rthélemy .... . .. .
St-Pierre et St- Paul . . ... .
57
60 La Laborieuse ... . ....... .
81 Ste-Philomène ........... _
86 Ste·" \.rie - St-Raphaël ..
105 La R~che ......... . .. .. . .
lOS
L a Gauloise . ........... .
110 Union
Mutu.aliste
124 La Paix et la Gaule ... .
S t-jean-Bap tiste .. '
125 Société Philanthropique des
Commis et Ert'\Ployés ."
129 St-H enri ............... .
133 La Jeune Ascension ..... .
123
142 Ste-.\\arguerite ..........•
154 La Modeste ... . ......... .
155
St- FIançois-Xavier ....... .
160
163
St-Pierr e es-Liens ....... .
t-Cloud ............ .. . .
168 Les Bouchers Prévoyants ..
170
174
163
Com'ersion de St-Paul .. . .
Quartier àe St- Anne _. .. . _
S t-Laurent-Martyr ..... . .. •
184 S t- j ean-B"'Iltiste ......... .
186 Sau;veteu rs d u Midi ..... .
196 Salomon de Caus
205 As. A\utuelle Ville d'Aix ..
St-.\\ichel .... . . ......... .
222 St-Pierre ... . ........... .
231 St- Valentin ............. .
2:8 St-Pierre ............... .
240 Les Prm'oyants de la Penne
2-1 1 Gér ard Tenque ... _. .. .. .
246 St-j ean-B>;ptiste ...... ... .
259 N. -D.-de-Bon-Socours .. . . .
263 S t-H ubert ............. .. .
265 St-A 00 ré ...... . ...... . . .
221
272 L a Savoisienn-e _........ .
274 La Fraternelle .......... .
275
3
2
9
6
6
9
6
3
3
3
9
6
6
6
9
3
6
12
6
6
6
6
9
6
3
3
6
12
1
6
9
6
3
3
9
280
283
299
L'Espérance ..... . .
Les dro its de l'homme .. . .
Caisse de
retraite des
ouvriers de
304
3 15
320
D am es
et
demoiselles
388
399
414
6
6
1
9
6
2
781
6
3
2
2
6
6
Inline ............... ' ..
Les enfants de l'Ariège ..
4
3
9
795
798
799
542
556
561
571
586
590
594
606
S92
895
90 1
902
Sté An on)'I1le d'Explosifs
et de P,rodui ts Chimiques
de St-,\1 a rtin-d e-Cra u . .
Chantiers
N a val s de
La Ciotat ............. .
Per so nnel Usine Kuhlm ann
IntellProfessionnelle
des
M Cta ux ................ .
Personnel Usine Péchin ey.
Almis loo<' ptmda nts ...... .
Ass. Amicale des Comm is
et DrrlPloyés de la Ville
de Salon . . ...... . .. . . .
Disse du Pe rs. de l' Assa inisseme n t de la Ville de
Ma rsei lle . ............ .
Le Rouet .. ' .. . ........ . .
La P révoya nte ...... . ... .
Adultes b'Orgon .... . .... .
L'Humanité .. ' .......... .
La P a te ta ..
6
919 Ets de la Cie Fsc-"es Me-
La Frate rn ell e ......... .
0
n
fr aternelle
923
928
La Prévoyance Fraternelle.
L'Union Indépenda nte ...
La Mutuelle Féminine .. ,.
La Prévuyance ..... , ... .
Le Wagon ., ........... .
Les Agen ts des Contributions Indirectes .... . .. .
Les T ravai ll eurs Confédérés du Spectacle ...... .
9
3
2
1
9
9
2
2
6
12
1
9
3
3
9
12
6
4
:>.
:>
9
3
3
. ...... ,
3-
963
Anciens
Combattants de
la S.P.C.N ...... ...... .
o
986
Cais!:ie i.e P rêvoyance des
Courtiers Assermentés .. .
3-
L' E.g uili enne .. ' .. . ..... . . .
6
993
997
Mutu6lle
999
La Prévoy ance ...... , . . .
Chirurgicale des
1.000
Ass.
Amicale des Contri-
butions Directes .... , .. .
1.004 Les Sapeurs-Pompiers ... .
1.007
Panhe ~l tqu e des j\'\art igues.
en,fanb des Basses!\!Ipes Mutualistes ...
1.01 8 Mutu èlle des Peseu rs-jurés
1.01 9 Mutu ell e du P rovençal ....
1.021- Mu tue ll e d u Canal du
Ve rdo n' ... . ... ' .... . ... .
1.016
1.025
1.028
1.029
1.031
Les
IM utu elie Agricole ,."
'A' • •
1,049
3
6
4'
3
6
4
6
6
La Prévoyance Mallomo rtaise ....... _.. ' ...... .
1.052 Ass. Mutualle des employés
2
1.057 Mutuell'e du P e rsonnel de
e! cadres des Dames de
France ............... .
la Sté D umaine et Fils ..
Almic ale du
10
10
9
4
3
Personnel des
2
Ets Rocca-Tass)' et de
Roux ... .. .... . ....... .
2
Caisse de Seco urs des Ouv rier s des Etahlissements
1.061
3
des BOllches-du-Hhônc ...
L a P révoyance E ygu ierois e
6
1.058
6
6
30
6
9
4
6
6
9
de P o rt-St-Louis-du-Rhone.
La Pr,évoyance Roynenque.
Union D épartementale de
la C.G.T .............. .
Mutuelle de la Bouilladisse
1.033
1.042 Mutualité - Accidents élèves
1.048
30
9
de
N°
voi x
de la
Société
6
1.1 27
No uvelle ........ _. ... .
2
1.065 L' E nt rAide Féminine ... .
6
Désignati oll
1.063 Mutu eU'e Syndicale Aviation
1.064 Amica le de l' I mprimerie
1.077
Commune
aux
militaires
eLL rop~e ns de ca r rière des
troU'pes co lonia1les stat ionnees en F r ance et
dans les te rr itoi res d' Ou-
tr e-Mer ......... .
Les T nwaiBeurs du Livre.
1.080
Ass. des Officiers d'A cad émje 'et
de
9
3
Aciéries du, Nord ......
9
1.1 29
La Mutualite M, tefllelle ..
4
1.1 30
Caisse Région ale Assurance
Vieillesse des Tr avail-
date du 1er j u.i'loI et 1952.
.."
Ma xime 1\IIGNON.
T r aii.;,: M aritim e ...... .
4
SECTI ONS DE SOCIET ES MUTUALISTES
AOhWSES A FIG U I~ER
SUR LA LlSl -:E ELECTORA.LE
6
ANNEE 1952
Première Partie
1.091 COmitL de Secours j\\utuel
1.092
1.093
de la Bras seri e Marx Frèr es et Cie ........... .
Mutuelie de Coo rdination
Légale du Personnel de
la Ville de Marse ill e ."
Ca isse Mutu elle d es Trami.nots de St-Pien e ....
15
lvh:tuelle des Co ntriblLt i()ns Di rec tes
4
Forges et Chanti ers de
la Méditer.ra née ...... .
1.096
Sté Mu t ual is t e. des
Fourn ier e t Ferrier
et d u Cadast re
Les M&lai1les Mili taires
la
6
9
Sté de Secours Mutu els du Mi nis-
12
9
12
9
6
9
6
12
9
3
3
6
!l
9
12
6
9
6
Nombre
de
D énomi nat ion de l' Unio n
\ OLx
546
Caisse de r éassurance '.
Consei l Supérieur de la
10
Mutualilé - Aixoise .. ..
560
10
Gran<fl ConseFl de la Mu-
773
.Aharm acie de l' Union des
Sociétés
de
Secou r s
Mutuels d 'Ai x-en-P rov.
Uni o n des Stés Mutu a listes
2
9
pour
Société Mutualiste du Personnel du
Nlinistère de J'AgrrcuHure ......
Manufacture Nationale d'Allumettes
d'Aix-en-P,rovence ..... ... .. - .. .
Mutualiste du Personnel du Ministere de l'Ind ust rie et du ComITIer Ce . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
La Solidarité N\ilitai r e ........... .
10
Service
815
10
827
Aix-cn-Provence ._ ....
Caisse Régionale ,M u-
10
895
pou r al locations-décès...
Sté Mutu alist e des Chantiers Navals de La
10
Ciotat ............... .
MutuelJe
Gcnérale
du
Grand Co nseil d e la
Mutualité ........... .
10
tualiste
9S2
du
Sud - Est
10
Vu pour être annexé à notre ar rêté en
date du 1er juillet 1952.
Pou r le Préfet,
12
6
Le Secrétaire Général Délégué
l\ \a xime MIGNON.
00·
6
D2B3
6
CIRCULAIRE MINISTERIELLE N" 278
EN DATE DU 3 JUIIJLET 1952 AYANT
POUR OBJET LA DIFFUSION DE
CONDITIONS PARTICULIERES TYPE D ' ASS URANCE CONTRE L'INCENDIE DES BIENS APPARTENANT
AUX COMMUNES D ' AU PLUS 1.000
HABITANTS.
Pari s. le 3 ju illet 1952.
Le .MjnistÏl~ je l' I nh:ri~ur.
Le S~crt:tairt! d'Etat à la Presidence
6
3
2
Mutuelle Gênerale des l'.T.T. . ...
15
Mutuelle de la Marine ........... .
Mu tualiste du Personnel des Tra vaux PlIlblics et Transports, Sect ion n" 3 1 ....................
Ste Mutualiste du Personnel des
Travaux PLJblics et Transports
6
30 .' ....... ' ....... ' . . .... .
9
n"
le
15
M<i\lical .... . ......... ,
Mutu a li té Mate rnelle â
tère de la Heconstruction et de
l'Urbanisme .. ' ........... ' .. ...
3
de l'Union
et
Fédérat ioo
9
de
8ge section .... . ....
Société M utualiste du Personnel du
lJ\o\inistère du Travail et de la
1 Sécurité Sociale...
.. . . .. ..
1Mutuelle Civile de l a Guerre, Section de la ge Ré-gion ..........
Mutuelle Gênéràle d'e l'E nseignement
9
Ets
1.097 ,Mutu ell e des Dépo rtés du
Travail ............ '. _..
] .098 Sté Mutualiste d'Entreprise
Person nel U sine Soulet..
1.099 Sompa n (Personnel Anelec)
1.1 02 Mu t ueUe du Port ....... .
].103 S té Mutu aliste S )'ndLca le
des Ouvriers et E.mployes
M étall urgistes de Marseill e .................. .
1.104 M utueDie Chantiers et Ateli ers de Provence
1.105 ,Mutuelle Ent r ~prise Pr oceram , ............ ... .
1.106 Niutll a li s~e du Personnel
E.G.T .H.....
1.107 des Agents de la Cie des
Chemi ns de Fer de la
Camargue .. ....... .
!.I08 Cai::.se Complémentaire ct
d ' Actio n Sociale des IndustrieS E.lectriql~es et
Gazières CAS.
1.109 du Personnel
des
Ets
Groi gnard ......
1.110 Personnel Ets Paoli ....
1.111 du Pe rsonnel des Tréfileries et Laminoires de la
M éditerrance .. '
1.1 13 Sté M arsei llaise de Correspondance ..... .. , ... .
1.11 5 Person nel de la Sté des
Ra ffi neri es de Sucre StLoui s .. . .... . ....... .
1.11 6 Mutuelle A'viation ....... .
1.117 Caisse Acti on Soc.iale des
Industr ies Elec tr iques et
Oazières (C.A.S.) ..... .
1.11 8 Ami ca le Mutu a~ i ste Rouard
1.1 20 Syndicat des Ollivriers pt
Empl oyés de M artigues ..
1.121 Société S t-G obain ....... .
Nombr e
de voix
Désign at ion
].094 Mutue\lle d'En tr eprise des
Deuxième Partie
tua lite des B ...<Ju-Rh ...
RE V/S ION DE LA LISTE ELECTORALE
12
UNIONS
ET FBDEIMTI ONS MUTUALISTES
A{W,ISES A F IGURER
SUR LA LISTE E,LECTORALE
POUR L'ANNE 1952
391
Le Secrétaire Général Délégué
du P e,sonne l des Stes de
REV/S/O N DE LA LISTE ELECTORA LE
Vu pour être anne.xé à notre arrêté en
4
Ha utes-
AiIpes, Var et Vaucl use ..
1.088
4
Po u r l'e P réfet,
l·oJ1cti onnai r es
et
agents de PIéfecture des
et
voix
1.128
1.082 des
B.-du-Rh.
de
Designat ion
Les Prévoya nts de l'A urotraction ................
Mutu elle d' Entreprise des
l' ilistruct ion
Pub liq ue ......... . ... .
Nombre
leurs du SudCEst .... . . .
24
1.078
12
6
Nombre
de la
Société
6
U.N. des Combatlants ... .
Commerçants
1ndust ri els
d' Arl es .. ' ............ .
Bo uches-d u-Rh ône ...... .
6
6
3
3
ti
6
tu aliste .... . .
2
3
6
3-
taux .... .. . . . ... . , ... ,
9S 1 Fra ternelle Al gérienne N\u ·
9
9
6
6
des
La Cacho-Maïo ......... .
Les Héros du Devoir ... .
Mutuel le Victor Coq
Union des Agents S.N.C.F.
_ _~IiIIiW.
12
représentants
716 La Jeune France ....... .
717 La Séc urité Prim a ire ., . . .
71 8 Protestante de P,r,;"oyance
et de Secours Mutuels ..
720 Le Prévoyants de la joliette ............. . .... .
72 1 La C31bannaise .. .
730 M<.da illés Mi litaires .. ... .
766
2
88 1
906
620 Pélissan na ise ....... . ... .
63 1 Etoile d u Mi di ...... . .. .
754
755
Vi ctimes
6
de Commerce ......... .
731
737
739
748
A.C. et
ça is ......... _ . ... . ... .
Voyageurs
706
Retra ite
nicipaux _.............. .
l nter,professionnelle du Bassin de Sêon ....... . ... .
Dêcorés et .NlIéda illés Fran.A
619 Uni
684
rin es .................. .
Alliance Professionn elle ..
Franco-Italienn e .......... .
6
3
6
541
800
S I8
820
U.N .C. de Provence . . ... .
Les Prévoyants des Glyce-
832 Mutue ll e de l'Autom,,bile ..
838 Mutu ell e des Eanp loyés mu-
4
6
6
3
12
3
782 D oua nier Mutualiste ..... .
791 Les Prévoya nts de l' Alu-
de Guerre . . ... . .... . . .
439 La Union Ibérica . ...... .
Méca nicie.ns et Cha uffeurs.
VOnt
Druge et Bru n ....... .
St-A n.dré Apôtre ....... . .
6
472
535
d.
D ésignation
Amicale des Ateli ers Lubi n
438 Les P revoya nts du Glanlllm
688
2
de la
Sociét é
777
6
9
417
424
430 La Roque d'Antihero n ... .
NOmbre
6
6
en retraite ......... , ..
ConJraternité l\ lédicale ,._.
La Fraternelle ._ .. .. ..... .
6
9
9
3
3
6
t ous corps
d'Etat ................ .
Ste-Cécile Hwr;ani tai re ."
L'Arlésie nne ............. .
366
683
9
culie urs .. _........... . .
358
fer ..... . ..... .. .. . . ... .
Les Tra\ra iUeurs de SaintEtie l1Jte-du-Gres ... .. .. .
Ouvr iers de tous corps
d'Etat de la Ville d Arles
Insti.t ut de Sau\'etage de
la ~\ OOit erra nee ... . ... .
L'Union fai t la Force ... .
La Fra ternelle des Officie rs
fi
4
agri-
N°
employés des chemi ns de
676 la Fraternité ........... .
3
des
351 Ste-H ono r ine .......... . .
357 Sté Philant hrQpiq ue d es
2
6
Ipo raux et Brigadiers ..
Fraternelle
trains ................. .
La Bas- Alpine .. ' ........ .
La Çio ta<ienne ._ ..... ... . .
4
2
Anciens Sous-Officiers, CaLa
347
349
642 La Prevoyance d e St-And iol
643 Les Amis réun is ._ .. ... . . .
653 La j oli ette ............. .
662 Union Fratern elle ataise ..
668 Union des farnHles réunies
276 St-H ila ri on ............ . .
27~
La Prevoyance ....... .. .
338
343
9
21
9
6
9
voix
Désignation
Les enfants des A~pes ... .
Anciens Compagnons réun is
L' Union des Agents des
336
Saint-
Antoin e .. . ....... .. ... .
de
de la
335
Nombre
de
voix
Désignatiou
Nombre
N°
Société
Première Partie
N"
1
9
SC 7
du Conseil 'd aux Finances,
à \L\o1. ks P:-dets,
Métropole (saur Haut-Rhin, Ras-Rhin
et ,\\osellel.
J'ai l'honneur dl' rOtls transmettre le texte
des conditions rartÎ!.:uli~res accC'mp.1gné
mique ...
..,......
3
d'u ne note sur les mO t. alités de tarifi..:a tio n
J\\utuelle des T abaes et Allumettes
d'un contrat ..J.'a~snranc(,: dCftir.e à couv rir
Section J\o\arseille-Taba\:s .......
9
co ntre l ïn~t'miie le~ biens ap-1arkHJnt aux
l\\utuelle de J'Education Na iunalè..
15
co mmunes de nI(Jil1s de milk' j!~hitants dont
Vu pour être annexe il. noire arr~ té en les (Iallses ont été étahlit's par le Groupement Techniqu l' lks Socid~s ù'assurance
date du 1er juillet 1952.
co ntre l' incemlit' en accord avec.: mon DéPour le Préfet,
partement.
Le Secre/airl' Gént;ra/ Délégué
Je VOLIS rappelle que par circulaire n" AGI
Maxime MIGNON.
Leg Il'' 1-g3 du 3 Juin 1930, je \'OUS ai co mmuniqué notamm~nt ks conditions générales
des contrats types ci'assurance contre l'i ncendie des biens et hàtimen ts l:ommu naux .
Par contre, des stipulations .parti culières
Sté Mutualiste du Contrôle Econo-
•••
fixent pou r chaque contrat l'étendue de la
�1-10
bois et dans le c,s où la commune fait par Il ASSURANCE CONTRE L1NCE!\IDIE E,
tie d'une organisation de~artci11elltale de
LES EXPLOSIONS DES BIENS A?PAI!
secours.
.
.
.
TENANT A t,lX CO'\\'\\:l! NES D' AU PLULa garanhe et la pllme seront fi ch,~uc
1.000 HAJj J1ANTS El CU.\\PORTANT
t'ch"ance adaptees aux fluctuatIOns de lin·
,~\A I R I E, ECOLES CŒ\\,~~UNALES (1)
<lice du ?fix de construction. Si de telles
EGLISE ET PRESBYTERE AU PLUS '
la garantie jJiêrue, mais son montant ~l...:raH variations se justifient techl11qut!ment, ellt!s
.
garantie. Elles repo ent sur les <kcJarauons
du representant de la commune a qui il
appartient aïnajquer la ",Ieur de construction des diff.rents bàtimenls assur.s. En cas
d'insuffisance. non seulement l'i nJer.tni te ne
pourrait. pour un ar!icle determiné, exct'der
de plus, en ce qui concerne l'assurance lies pourraient en cas de hauss~
cl1trainl'f
Utll.:
immeubles et des rjsques locatifs. Tt'd ult dans el~\'auon des charges de la co mmunt!. Il CSl
la proportion existant entre la valeu r J.~urt:e donc il conseiller
\"i"ement
ces der
et celle des biens au jour du sinisfre. C'est nières, ne serait-ce que pour res pecter Il
ainsI qu'un Incendie causant un dommage pnncipe àe l'annualité budgétaire, d'insérer
de 100.000 francs à une mairje assurée pour dans leurs cont ra ts une clause de résiliation
1.0f.X).lXX.l de francs mais d'o nt la valeur de annuelle et il vous appartietldra ,L' y v e~l1er
reconstruction "étuste déduite serait. au jour dans la meSure où ces conventions seralt;'nt
du sinist re. de 4.000.000 de francs ne don- sou m is~s il votre cont rôle.
nerait dJOit qu'à une indemnit~ de 25.000
La prime ainsi calculée pourra, dans de
francs.
tri!s nombreux cas, sembler supérieure à
Ot, l'expérience montre que la plupart des 1 celle que supporte actuellement certaines
collectivite locales sont garanties contre communes. ~I\\als cette différence ne sera
l'incenctie pour des sommes notoirement qu'apparente et proviendra LIe l'insuffisance
insuffisantes qUI, en cas de sinistre entraÎ- aes Jaranties présentees par les contrats
neraient une réduction plus im'portant!:! d'assurance en cours. Àu contraire,. la re,'aencore que dans l'exemple precédent. La lorisatioll de c!:!s garanties au tarif ord.inaire
valeur des bien d~jà souvent sous estime!:! et dans le cadre des conventions existantes,
au moment de la souscription du contrat l'st se montrerait très généralement nettement
rarem ent adaptee aux variations du coût de p lus onéreuse. Elle ne donnerait pas, au surconstruction au cours èe son execution qui plus, au.x collectivités locales l'avantage de
s'éten d sur plusieurs annees.
l'abandon de la règle proportionnelle et ne
rai cru, en ' ue de remédier à cet état de comporterait pas toujours l'assurance âu
chose, devoir saisir de la question le Grou- risque to utes explosions, comme il est stipule
pement Technique des Sociétés d'assurances dans les nouvelles conditions particulières.
contre l'incendie.. Et celur-ci eu égard' à la
Il apparalt, en conséquence, souhaitable
imilitude existant dans la composition et d'a,ppeler ,'attention des collectivités locaks
l'importance du patnmoine des petites com- intéressêes sur les clauses forfaitaires qui
munes a établi il leur usage u.ne formule \'o nt leur ètre prl:sentées.
comportant une garantie étendue globale et
Pour les raisons indiquées plus haut, ces
adaptable, reposant sur des bases simples et dernières sont essentiellement destinées aux
tarifiée à des taux spécialement étudiés. La petites communes ; et quoique la validiti..!
mairie , les focoles, l'église et le presbytt'!re d'une telle cOn\' ention ne saurait ~tre mise
sont seuls nommément \'ises mais tout autre en doute du fait que la collectiyitê contracbâtiment â I.:aractl-re non industriel pourrait tante serait plus importante, le chiffre de
également t-t:-e compris dans l'assurance aux mille habitants a en definiti\'e ét~ retenu pour
mi!mes cond.itions.
définir l'importance limite des commu nes
La garantie sur immeubles et recours est dont il s'agit.
globalement fixée il ~ a "aleur d, l'ensemble
Le G'oupement Technique des Societés
des bâtiments assurés. Les meubles sont d'assurance contre l'incendie invite ses adlh{:cou verts pOUl' la ,'aleur demandée.
rents à autorist r la substitution des formules
La valeu r des constructions résulte de nouvelles aux anciennes stipulations quelle
t'étendue de la surface bâtie.
que soit la date d'expiration de ces derniêres.
Certt: sur face est fixée pour l'église â deux Il sf"mble equitable dans ce cas d~ laisser
fois sa sur.face au sol et pour les autres subsister le co ntiat ainsi modifié pour la
immeu bles au total des surfaces d u r ez-de- période initialement pré,'ue et d~ n'introchaussee et des etages (la surface des ça\'es, duire une clauge de resiliation annuelle qu'à
combles et greniers n'intervenant que pour effet du terme de la police ou Oe la péri ode
mOItie).
décennale en cours. En tout état de ca use,
Le prix du mtlre carre de construction est les com munes seraient protégées contre une
f~rfaitairement arrt:te.3 l ~.OOO franc ... fà lïn- t lévation imprévisible de la prime par les
dlce 2.129 du coût de construction etaoli par dispositions des co nditions particuliëres tyle Comité Int erprofeSsionnel du Bâtiment et pes rendant le contrat d'assurance résiliable
de la Construction métallique).
annuellement dans le cas où i'indtte vienLa valeur assurée est en définitive éoale drait a doubler par rapport à ttluÎ porté
au produit du mètre c~ rrê de const~uction lors de la souscription de cette assurance,
Il "ous appartiendrait dans le cas où des
(affecte le cas euneant des variations de l'indice:) par la surface dt: l'ensemble des immeu- difficultés naîtraient à. 1'0ccasio~ dt. ~es formules nouvelles, de bien voulOi r saISir sous
bles calculee comme il est ait ci essus.
E~ cas de sinistre, la Compagnie serait le présent ~i".1bre. le :ninistr.e des. Finances
engagée sans application de rêgle propor- d~ !outes diff~cul~e~ d ordre techmq~le_ et le
tionnelle (sauf a titre de sanction dans le ca:, mlllistre de 1 Inteneur de toutes difficultés
où la surface construite déclarée comporte-- d'ordre administratif,
rait une insuffisance supérieure à 5 % de la
Le M.inÎstre de l'lntérieur
surface réelle). Chaque bâtiment est ainSI Pour le Ministre et par délégation,
très largement assuré.
Le Directeur du Cabi net,
Le tarif de base proposé par le GroupeVEiRD 1EiR.
ment Technique des Sociétés d'assurance
Pour le Secrétaire d'Etat
contre l'incendie est suivant les dëpartement~
à la Prési dence du Conseil
de 4, 5 ou 7 franes le mètre carré (à l'indiC(
et aux Finances
2.129 du coût de co nstruction). Des rabais
et par dél égatio n,
sont consentis lorsque la couverture de
Le Directeur du Cabinet,
l'église ne comporte aucune charpente en
AICARD!.
t.es
1
a
r. -
Modalités de la garantie.
Assurance avec indice variable.
1•e caplta
. 1 assure. est ca lcu lè forfaitaire_
ment à raison de 18.000 franl.-"S le mètre
carre, pour un .indice du coût de la tOnstruction, à Paris, fixé à 2.129 (base 100 ~u
1- 1-1 94 1),
La surface sur l aqu~lle ln 'Prime est calculee est la surface totalisée des rez.decha ussée et étages, les caves, combles et
greniers n'etant retenus que pour 50 % lk
leur sunface r eelle. Toutes ces surfaces sont
calculées en tenant compte des murs ext~
rieurs. En outre, en ce qui concerneles
Eglises, la surface du rez-de-chaussée sera
doubl ée.
La garantie et la prime annuelle varient
dans la m~m e proportion que Iïndice du
co ût cie la construction tians la région Parisienne.
En cas de sinistre, le montant des dommages est i ntégralement remboursé, dans la
limite du capital garanti indiqué dans la
polie<. Il n'y aurait a pplication de règle proportionnelle que si . au moment du sinistre,
il était constate une superficie supérieure â
ce ll e dec larée.
Il. -
Tarif
1" Estima i ion forfaitaire des existences
en
18.000 X A Fr.
ce qui conce rne les bâtiments
2. 129
par l11ar~ carré de superficie totale des immeubles, obtenue en totalisant la surface d5
rez-LI e-chaussée et etages (les cares, combles
et greniers étant comptt:s pour 50 % dl'
leur surface. les églises comptant pour
deu x fois leur surface). Les su rfaces son!
toujours calculées en ten ant compte d~
murs extérieurs.
Dans le calcul ci-dessus A est l'indice du
coût de la cons truction d~ns la Région Pa·
risi en '1 eJ, au moment de la souscription du
cott trat.
2" Prime par mètre carré pour la garantil.'
du risque d'i ncenuie et toutes expl?sio.ns <.les.
bâtiments, recours des voisins, pn\'atlon de
jouissance
- Tarif 4 .. 4 Fr.
- Tarif 2 .. 5 Fr.
. - Ta rif 3.
7 Fr.
7 Fr.
- Tarif 4 .
pour un indice 2. 12~
3" Assurance des mobilie~s. - Ca'pit~ 1 u~
fixer en % du capital calcule comme Indlq
au § 1 ri-dessus.
L~ prime est ca lcul ée à raison ~1I. ~~~e
pourcentafre de ce lle due pour les batl m
,
par applitation des talix du § 2 ci-dessUS.
b) Si l a Commune est adh~rente à un OrTari{
Tarif
f'1a nisme Dépa r temen ta l de Secours et posDépa r tements
Départements
N'
N'
';êde une moto-pompe d'au moi ns 30 m3/
lieure portant le label de qualité MIH délivré
Savoie ...... . ........ .. .....
4
pa r l'Œuv re S. O. S., rabais de 5 % sur la Lo,ret ............... . . .... . . .... .
Savoie (Haute) ......•.... . .... . ...
4
Lot.. ............ ....... . .. .......
4
to talité de la prime,
Sei ne-et-Marne ......... , .......•..
Lot-et-Garonne .......•.. . .. ,......
3
III. - Tarifs applicabl es aux D épart e- Lozère .............................
Sei ne-Inf é ri ~ ur e , ......•..........
4
ments.
Seine-et-Oise .. . ........ . .. • . . _.
MaÎl~e-ehLoire .' ...•... , .. , .. ,.. . . .
1
Sèv
res (Deu x) ............. . .. . .. .
T arif 'M anche ........... _.. .. . .. . .. . .. ..
1
Départements
N'
Somme .,. .., .......... .. ..... '..
2
Marne ...... ....... .. •. . , . ....... . ~ 2
T arn
4
Marne (Haute) .... ............ . •..
2
Ain , .... ... .. , ... . ..... . , .... -, .. .
3
Ta rn -et- Ga ronne ..... , .. .. . , ...•..
4
1
Mayenne ...........................
Aisne ...... .. , .... _. ,. , . . , .. .. . , ..
3
Territoire de Belfo rt .... , .... , .... - 3
Meurthe-et-Moselle ............ '.' .' .
3
1
All ier ...... . . .....• • .. .... . ......
Va r
2
J\1euse ................. . , . ....... .
2
Alpes (Bassés) ................... .
4
Vauc l use .. ' .... . .... ' _..... , ... .
2
Morbihan ................. . ... , . , ..
1
4
Altpes ( Ha utes) .................•..
Vendée ............ . ....... _ .... .
Nièvre .......... _.. , ... _, . , .. ..... .
2
2
A!lpes-Maritlmes ................... .
1
Vienne ....... . .. . ........ , .... .
No rd .. ..... . . ..... .... .... _.. .. .. .
2
4
Ardèche ..... .... . .............. .
Vienne (Haute) . ... .....•.. . .... .
3
Oise ......
.... .... ... .......... 2 Vos ges
2
Ardennes .. .. ,., ........ . ......... .
4
Orne ..... , ... .. . , ..• .. _, .. _. . ,.
1
4
2
Ariêge ........... - . .. . ....... •.....
Yonne
P as-<le-Ca lais .... . . . . . . . . . . . . .•. . . . .
2
3
Aube ...... ..
Pu y-de-Dôme ....... . . . .. .. .. . .....
3
IV. - Exemple d'applicalion
2
Aude ........ .
Pyrénées (Basses) .. . .. . . . . .. . . . . .. .
4
Uti
lisation
du Tarif 2, le dernier indice
4
A'veyro n .,.'
......... , ...... .
Pyré nées (Hautes) .................
4
jour
de la souscription du co ntrat
connu
au
2
Bou ches-du-Rhône .. ' .............. .
Pyr énées Orie ntales .... . ...... ......
3
éta
nt
2.309.
1
Ca lvados ..................... ..... .
Rhône .................. . .. '. .. . . .
2
Va leur forfaitai re du mètre ca rr é:
3
Ca ntal .............. · ... · .. ·· .. · .. .
Saô ne (Haute) ....................
3
18.000 X 2.309
Chare nte ....... .
Saône-et-Loire., , .... .. , " .. ... , . . .
2
= 19.522
C harente-Maritime ........ , ........ .
2. 129
Sarthe ............................ .
1
Che r ............................. .
4
Corrèze .......... .. . ...... . ...... .
Surface partielle
Surface
Capitaux
4
Corse . .. ............ . . . ...•.. . ....
forfaitaires
Réelle
Considérée
totale
Risques à assurer
2
Côte d'Or .........•.......•.. . • . .
\
..........
.....
,
..
,
Mairie:
Côtes du Nord'
3
Creuse .................... . ..... . . .
80
Rez-de-chaussée ......... . . .... .... .. .. . 80
3
Dcrdogne .... . . ........ - . . . " . . . . .
80
80
1er étage .............. .. .. ....... .. . .
4
40
D oubs ........ . ..........• ···· •·· .
Caves ..... , ............ , . _. . , . ...... ' 80
2
4.685.280
Drôme .............. . .. . ....... . . . .
240
40
Combles .....•... . · · ····· ·· ·· · ·••· · · · . 80
Eure ........... . ......... .. ... ... .
Ecole :
'Eure-et ...Loir ... . .•.. . , .. . , . . . . . . •. .
1
\ 20
Rez-de-chaussée ........ , .......... .... . 120
Finistè re .... . .... . ..... ' . .. ,.: . ....
1
20
Caves .... , ... ····,····:·,··· ,_ . .... . . 40
Oard ..............................
3
3. 123.520
20
160
Comibles ... ........ . ................. . 40
Oa ronne (Ha ute) .... . .. . .... . .•.. .
4
7.808.800
400
400
.......
" , ..... , ....... , . 200
Eglise :
Oers ................. . ....... . ....
4
O i rond~ ...........................
3
H é~u l t ... .....
2
.... . . .. .
Ill e-et-Vilain., ..................... .
l ndre .... , ...... " ..•.. , . ... . • , .. .
Indre-et-Loire ................ . ... ' .
Isère ............................. ,
Jur a ...............................
tandes .................
toir-et-Cher .. .. ....... ........
Loi~ ............ . . ...............
Loire (Haute) ................. . ...
Loire-Infé rieure ............ , ...•. "
800
Total ....
2.000.000
Mobi li er ............. .
t
3
4
4
1
2
4
15.6 17.800
soit 12,80 % de 15.6 17.600.
Prime:
2.309
Bâtiments
~\obilier
800 X 5 X = 4.338
2.\ 29
12,80 % X 4.338 -
552
Total .. .......... ..... 4.890
4 U Rabais :
.
a) En cas de déclaratio.l que 1'.Egl~~~~:
COml)O rte au cune charpente en bOIS,
. la "arantl"C
de 20 % sur la prime propre a I t >
de l'Eglise ;
.
Il
'omporta nt
(1) Les Ecoles Professlonn e es C
de la
des atelters (fer Ou boiS) sont exc lues
présente assurance.
•
�142
143
Agence de .••. .... ..•.. .
Report .... .. . ... .. . .. .
Police N° ....... .
.
............ . . ... .
COMMUNE DE ....
(au plus 1.000 habitants)
.
. La prése nte assu ra nce est ' faite Sllr la déclaration de l' Assur'e que les bâtime nts
ga rantis pa r le présent co ntrat so nt co nstruits en maté ri aux divers et
t en maté ri a ux
durs (tui les, a rd oises, etc.), à l'excl usion de tous matériall~ lécre rs.
couve r s
TIT~E P~E"'IER
GARANTIE.
Article premier, _ La Socièté (Jarantit les dommages occasion nés pa" l'i ncendie des""===============""
Iml"eubles appartenant à la Commune de ..... , .. : .............. : .... .... .... ..
CAPITAUX
PR IME
et e\'entuellement les risques locatifs afférents aux Immeubles ,do~t la dite commu~~ est I ~c~-, ________
taire, tels que ces immeubles sont définis au paragraphe'3 de 1 a r ticle 2 des CondItions gene-I w
1--------11
raies du présent contrat, les dits immeubles à usage de Mairie, Eglise, Presbyt~ r~, Ecoles
communales, étant en tendu qu'il ne sera jamais tenu compte de la va leur a rtistique des
immeubles.
Art. 2. _ La Société garantit le recours des voisins tel qu 'il est défini au paragraphe
4 de l'article 2 des Conditions générales du présent contrat.
Art. 3. - La Société ga rantit la privation de jouissance, telle qu'elle est définie au
paragraphe 7 de l'article 2 des Conditions générales du présent contrat.
Art. 4. - La Société gara ntit également, outre les risques d'incendie, les risqu es de
toutes explosions tels qu'ils sont définis au paragraphe 2 de l'article 2 des Condi t ions
L' Ass~rée déclare, en o ut re, qu 'i l ne se trouve ni dansoles bâtiments nI dans ceux qUi
leu r sO,nt contigus, avec o u sans co ~munication, aUCu n dépôt de marcilandises, allcu ne
p~ofeSs!O n, a ucun .commerce, auc un e. Industrie: susceptibles d'a ugmenter les dange rs du feu et
d ent ral ner pa r stllte ~ne allg~l~ntatlOn des taux de primes aux te rmes des ta ri fs en via ue UI
(art. 17 et 22 de la 101 clu 13 IUIIlet 1930).
0
.
L'Assurée déclare enfin qu.e la superficie totale couve rte des immeu bles objet du
p resen~ c,ont rat, es~ confonne au chIffre déc la ré au Titre Jer ci-dessus. Ce chiff're doit ê tre
détermine en ,total.lsa.nt Pensemble des s uperfi cies hori zontales (murs exté rieurs compris) du
rez-de-chaussee, a inSI que de chaque étage de chaqu e bâtiment et, éventuellement, des dépe ndances" en tenant c<;>01pte des caves, comble~ ~t ~ reniers, les caves, combles et g renie rs n'e ntra nt
toutefoIs. d,ans ce dec~m~te q ue pour la mOI tIé de leur superficie. En ce qui co ncerne " Errli se,
la superfiCIe au sol dOIt etre doublée.
°
,
Dans ,le cas d'une décla.rat!on .i nsuffi5ante des surfaces, la prime ayant été fixée en
consequence, '~~surée ne se ra Ind\!~l~ISée en cas de sinistre que dans la proportion exista 0\
entr~ la superfICie réel.le e~ la s~lperflcle décla rée. Toutefois, la Compagnie renonce à se pr évalOI r de toute erreur mféneure a 5 % dans le calcul de la superJicie.
générales du présent contrat.
Mairie ............ . . ......... .
Ecole de garçons ... .. . .... .. . .... .
Ecole de filles .... .... . .... .
m2 Eglise' .... ~ .....•.... . ........
m2 Presbytère .... ,
m2
elle
est
m2
m2
et que la ,-aleur forfaitaire totale de ces immeubles a été fixée à raison de . ......... arancs
le m2, l'indice du coùt de la construction dans la région parisienne étant à ce jour de
francs .... , ..... , .' . .. (base 100 au 1er janvier Hl.) 1).
En raison des déclarations qui précèdent, la Société accorde sa garantie su r les
précédents articles avec dérogation à la Rè gle proportionnelle, mais sous réserve des dispositions du Titre III du présent intercalaire, à concur ren ce d' un capital de •....................
. . , , ... ...... ..... (I) et la prime afférente à la dite garantie est fixée à la somme
~
.. "
......
,
...
..
. .... . . . . . . . .
........ .
Art. 5. Les biens mobiliers de la Commune, tels qu'ils sont définis à l'article
~er des Conditions générales du présent contrat, sont ga rantis dans les mêmes co nditions,
a concurrence de ........... . pour cent de la valeur forfaitaire des immeubles assurés
soit .... .... .... .... .... .... .... .... moyennant perception d'une surprime d~
. . .......... pour cent de la prime ci-dessus soit .... . ... ... . . .. .... .... . ...
.
. Sur la declaration de l' Assu rée (1) que l' Eglise ne comporte aucune cha rpente en
bOIS TIl dans sa couverture nt da~s le clocher, la Société accorde une réduction de
francs ., ........ , ..... sur la totalité de la prime perçue (20 % de la pril11e propre de
l'église), soit. . .. . ... .... .... .... . . .. .... . .. , ....
. . .. . .. , .,.. ..,.
1
En outre, sur la déclaration de l'Assurée qu'elle fait partie d'une organisation départem"entale de secours dont le centre principal est à .. .... , .. , . ... . . . . et le centre de
secours, dont le plus rapp roché à .............. . . .. .. , distant de ..... ", ...... kilomètres
el ~u'elle po~ède une 1110to-pompe d :~u, moins 30 m3-heure portant le label de qualité ,\'\.I.H .
deli\'re par 1 Œuvre S. O. S., la Societe acco rde un rabais de 5 % sur la totalite de la prime
perçue, SOIt ...... , ........ . ... .
TIT~
Il
RENONCIATION
La Société renonce à tous recours qu'elle pour rait exerce r en cas de sinistre contre
les membres de la Municipalité dans l'exe rcIce de leur fonction les fo nctionnai res lo rrés ou
non, et en général con.tre toutes personnes dont l'Assu rée serait' recon nu e civileme~t r~spon
'Sable, le cas de mal\'eillance excepté. Dans le. cas de malveillance, la garantie de la Sociétt:
se t rouvera engagée au regard de 1 Assurée, maIs elle conser\'era ses droits de re co urs contre
les personnes responsables du sinistre.
A reporter . . .. , .. , ..... .... ,
(1)
5 étant la
18.000 X S X
2129
S UI iace totale pri se en C'onsidération.
1 étant l'indic(> au jour de l '~tablisseme nt du cont ral.
meotions inutiles.
PR IME
DECLARATIONS
CONDITIONS PARTICULlERES
L'Assurée déclare que la superficie fodaitaire totale des immeubles dont
propriétaire ou locataire est de ......... .. m2, décomposée comme suit
CAP ITAUX
TITRE III
T ITRE IV
1
1
.
ASSURANCE COMPLEMENTAIRE
Au cas où il ex iste rait d'autres assurances antérieure~ couv rant les m~mes risqu e s,
la prés~nte assu rance ne pourra jouer qu'à titre de complément pour cra ra ntir l'Assu rée d es
conséquences d'une insuffisa nce ou d' un e abse nce de aa rantie et seu lem:nt dans les limi te de
cette insuffisance ou de cette absence de garantie.
eTIT~E
V
-
INDICE VARIABLE
D'un commun accord entre les parties, il est co nvenu que les capi tau x ga rantis et
que la prime totale seront obligatoi rement et automatiqueme nt modIfiés proportionnelleme nI
à la va riation de l'i ndice d'éc héa nce par rap port il l'i ndice de base des pr ix de constructio n
dans les conditions indiquées d-d esso us :
L'i ndi ce de base est le plus récent indice trimestrie l des prix de co nst ru ctio n
dans la régio n pa risienne po rté à la connaissa nce de la Société a\'a nt la so usc ripti o n de la
présente co nvention. L'indice de base en cou rs à la sousc ription du présent contrat y eSI
men ti onné apparemment.
,
L'i ndice d'échéan ce est le plus r~cent , indi ce des prix de construction porte à la ca nnai ssance de la Société deu x mois au moins ayant le premier jour du mois de l'échéance de la
prime. JI figu rera sur la quittance cor respon da nte.
Les indi ces sont établis trimes triellement par la FEDERATION NATIONALE D U
BATIAIENT ET DES TI~AVAUX PUBLICS (ou par l'or<:a nisme qui lui serail substitué).
Au cas ou pour une cause quelcon que un nom'el indice n'aurait J'laS ~té porté à 1a
co nn aissance de la Sociéte dans les quatre mo is sui\'ant la da !e de fixation de l'indice précédent, ce nouvel indice serait ~tabli dans le plus bref de iai pa r un a rchitt!cte expert désign é
par le Président du Trihunal de la Seine, à la requ ête et aux frais de la Société.
La prime totale sera a rrondie au franc supérieur. Cependa nt il ne sera tenu compt e
po ur la modificati on des primes que des \'a ri atio ns de l'indice, soit en hausse, soit en baisse ,
égales ou supé ri eures à 10 % de cet indice, sur\'enues depuis la dernière éc héance.
.
Par dérogat ion à l'arti cle 15 des Conditions g-é n~ra l es , si J'indice des prix de cons tructJ? n afférent au trimestre qui a précéd é celui a u cou rs duque l le sinistre est survenu es t
sup~neur au plus récent ind ice d'échéa nce, o u à défaut â J'indice de base, cie plus de 50 <7c
les Inde mnit és dues au tit re du présent cont rat se ro nt au ma xi mum iixées en fonction des
val.eurs et des prix ayant cours à la da te d'échéance de la prime qui a immédiaiemen 1
precédé le sinist re, majorés de 50 O/C,
Dans le cas o ù J'indict! J'échéance atteindrait le double de l'indi œ de base, le S
parti es cont ractantes se réservent la faculté de rés il ier le présent cont rat pour l'expiration d c
chaque année d'assurance, moyennant préavis d'un mois, par lettre recomm a nd ée,
1
1
�144
CAPITAUX
•
Rtporl .. . .......... ·· ··
PR IME
.
D2B3
TVX 3
CIRCULAIRE MINISTERIELLE N' 247
EN DATE DU 20 JUIN 1952 PRESCRIV ANT LES AMENAGEMENTS A
REALISER SUR LES CHATEAUX
D'EAU EN VUE DE · PERMETTRE
LEUR UTILISATION DANS LES OPERATIONS DE TRIANGULATION.
Paris, 20 ju in 1952.
Le Ministre de l' In férieur
•.
à MAI. les Préfets (Melropole),
L' Institut Géograp h iqu~ National a attiré
mon attentio ll sur l'opport unité de prevoir,
dans ce r tains cas, lors de la construction de
chëlteaux d'eau, les aménagera ents nécess31res en vue de permettre I"utilisation de ces
ouvra;es dans les opérations topographiques
d'intéret général.
Pour les com munes urbai nes dont les travaux d'adduction d'eau dOllneront lieh à une
demande de subvention su r les crëdits d'équip~ment du Minlstere de l'intérieur, il
conviendra de recomm andt:: r il. l\lM. les l\\aireS de prescr ire l ux services chargts de
,l'étude des proj ets comportant l'édification
de châteaux d'eau susceptibl es d'intéresser
l'insfifut Géographique National (136 bjs:
rue de Grenelle, Paris, 7e) de se mettre, au
préalable, Cn rapport avec cet organisme
VOliS voud rez bien demand~r au service
chargé, sous votre autori te, Ou co ntrole des
distri butions d'eau t)ar applicatioll des dispositions du décret nU 46-2483 du 9 no vembre 1946, de veiller au respect de ces directives.
\
Il y aura lieu de joindre, déso rmais, aux
dossiers de demandes Lie subvention que
vous m'adresserez, copie de la réponse faite
pa r l'Institut Géographiqut: National lorsque
les tra\'aux prévus répondront aux conditions ci-dessus.
Je vous signale que les dépenses, d'ailleurs
peu élevées, occasionnées par les aména~ements géodésiques demandt's, seront su ,\~n.
tionnées au m~me taux que l'ensemble des
tra\'aux pris en considération par mon Dcparteme nt.
Vous voudrez bien égalemen t veiller au
respect de ces prescriptio ns pour l es projets
que vous serez appell's à subventionner sur
les crédits .rlobaux mis annuellement à votre
disposition .."3
Pour le Ministre de l' Interieur
et par déléO'atiol1
.
,
PRIME TOTALE
Le Préfet, '
Directeur de l'Administration
Déparfementale et Communale,
P. DAi\\ELON.
Ta xe unique d'assurance de 30 % (loi du 3 1 janvier 1944) . . . . . . . . . . . . . • . . . . .
-------«
T OT AL à pa ye r à l'échéance annuelle, soit le
J
<La présente poli ce an nul e et rem place ce lle N°
de l'A ge nce de
a été pa yée.
et do nt la prim e éc hu e le
Impôts sur la pr ime
Pour la Compagnie:
L'assurance esl faite pour
a
L ' Assurée,
le
TVX 5
CIRCULAIRE MINISTERIELLE N' 271
EN DATE DU 28 JUIN 1952 RELATIVE AUX MODIFICATIONS DANS LE
PRIX DES MARCHES PASSES PAR
LES COLLECTIVITES LOCALES.
Pari s, le 28 jui n 1952.
Le IHinisfre de l' I ntériellr
à MM. l es Préfe ls,
Par suite, il est ienu compte à l'Assuré d'u ne somme de
se décomposant comme suit :
Prime nette :
JO~~------
D2B3
mil neuf cent cinq uante
La questi on m'a étt:'! posée de savo ir dans
quels cas il }' avait l ieu de conclure un avenant lorsque le prix initial des marchés pas~és par les coll ectivités locales se trouve maJoré en CO urs d'exécutic n.
J'ai l'honneur de vous faire con naître qu'il
convient, à cet éga rd, d~ fai re les distinctions tI'inte rd iction de la publicité, notamment son
suivantes:
article 2,
Vu r a rr~té municipal du 9 juin 1949 régle1\0 La majoraUon des prix provient d' un e
mentant l'affic hage sur le terntoire ùt: la
augmentation dans la masse des tral'aux.
Si l'augme ntation dans la masse des tTa~ Comm ufl e d'AIX,
Vu l'avis dt: la CommissiOn Dépar te men"aux pr evus au march~ initiai excède la limite fixee au callier des charges, il convient de tale des Sites, Perspectives et Paysages,
conclure {ln ave nan t. Ainsi, et a tltfe d'exem- emis après aud ition des rep resenta nts tles
ple, si le marché se réfc re au cahie r des afficheurs tendant il ce qu'en liaison avec les
clauses et conditions génerales applicables mesures dïnteniiction de la publicité éd icaux entrepreneu rs de travaux com munaux tées pa r la loi da 12 avr il 194.3, des disposi(publi é à la Documentation Communale, p. tions soie nt pr ises afi n de protéger les quar8 l3-D3), celle limit e se tro"" fixée au 1/6e tiers de la Commune d' f\ix offra nt un ca racdu montant des travaux, en vertu de l'ar- tère particulièrement esthétique et pittorestlcle 30 ; toute augmenta tion dt! pl us de que.
1/6e devra donc faire l'objet d'un avena nt.
Sur la proposition de Monsieur le SecréD~ même, si des_modifications sont appor- taire Géné ral,
tées dans la natllre des travaux à effectuer,
ARRETE:
il Y a lieu, - même si la masse des tra\'a ux
Article premier. - E.n plus des prescripreste inférieure aux limites 'prévues au marLoi n" 2L 7
ché, - de conclure un a\·enant, en vue de lions generales de l'acte dit
déterminer de faço n précise les modifications du 12 avril 1943 », qui précise les interdicapportées au contrat et d'éviter toutes diffi- tions et les limitations à la publîcité par
lultés au moment du règlement des travaux. panneaux-réclame, affiches ou enseignes, les
Par cont re, si l'augmentation de la masse tlispositions pre\'ues aux artictes 2 et su ides travaux ne comporte aucune modifica- vants du present arrf:té sont applicables sur
tion il. la nature des ouvrages et reste infé- le territoire de la Commune d'A IX.
rieure à la limite prévue, l'exécution des traArticle 2. - Aux emplacements visés par
vaux supplémentaires pour ra donner lieu à le paragraphe It:r, article 4 de la tlite loi, est
un simple ordre de ser vice.
inte rd ite l"apposition de tous pan neau~récla
2" La majoration résulte d'une llariation me, affiches, peintures et tous autres prodans les prix,initialement prévus au marché. cédés de publicité présentant l'une des ca racLorsque le ma rché ne prhoit pas de ré- téristiques ci-dessolls dt':fi nies :
vision des prix, mais que pour lies raisons
a) la surface excède 16 m2,
excepti onnelles l'Administration est amenée
b) le sommet est il plus de six mètres
à envisap;er une modifcation de ces prix, la au-dessus du niveau ùu sol.
concl usion d'un avenant est indispensable
Article 3. - A l'exception lies panneaux
1 afin de fixer. les nOU\'eaux rrlx c~nt ra ctuels.
réser ves aux affiches légales, la publicité est
Au contraire, 10 r.S'Jue !e marc~e compor!e
un~ for~ule de rëVISI?~ a parametre ou prc;- interdite sur les monuments, ~difices ou bâtiments publîcs, sur les murs des bâtiments
,'Olt .le Jeu. de co~f.hclent~ . hO~lOl~gués a
scolaires, su r les murs des églises et des
appliquer a une seTle de pn'<, Il n y a pas
lieu cie conclure d'avenant: l'adoption d'une temples, y compris I ~s murs de clôture qui
fonn~l.e de va riati on ou la référen~~ ~ des peuvent entourer toutes ces constructions.
Article -l, - Les arbres des voies et procoefhcle~ts ~?f!10logués ayant pft.!~lsemenl
pOUf o.h~et d eVI!e~ .un recours ultérieur a~x menades publiques, les poteaux et candélaf~rmalltes de r~\'lslon d.u cont~at par \'o~t bres de l'éclairage public, les poteaux de
d, avenant dans "C .las ou .Ie .pnx des n~~te tramways et de trolleybus, les poteaux du
rI:llIX ou des salaires subirait des mo~.iJfl ca- télégraphe et du téléphone ne pourront recevoir aucune inscription publicitaire, à l'extions en co.urs d'execution tI\! n~ar:hé . . .
ll. apparhell~ .seult;ment. alors a I,Admlnls- ception ùes mentions autorisées sur les pantra.tlon de \'énher 1 exactitude .de 1 augmen- neaux tic si~nalisatiol1 par la loi tlu 3 jUillet
tatro n résu ltant des clauses m~lll~s du c?~ 1934.
t:3t et d~ !e co~stater par une srmple ùeClArticle, 5. - Tout affichage et tout panSion administrative.
ne:w publicitaire est interdit sur les immeuPour le Nünistre de l'Intérieur bks:, clotures et palis ad es bordant les voies
et par délé~ation,
publiques suivantes :
Le Prefet,
Place de la Rotonde.
Directeur de l'Administration
Boule\·a rd de la République (entre la rue
Deparlemenlai<' el COII/mullale: du Bras-d'Or et la Place de la Libération),
DAMELON.
Place Barthelemy-Niollon,
Cours St!xtius (sur une distance ùe 50 m.
------, oc
D4B3
EN 0 en partant du Boulc\"ard de la République),
Rue Victor-Leydet,
REGLEMENTATION DE L'AFFICHAGE
Cours Miraheau,
Place Forbin,
Territoire de la Commune
Rue Tournefort.
d'Aix-en-Provence
Rue Jflseph Cabassol,
Rue du -I~eptemhre et Place du .+-SepIIHRETE
temore,
Le Préfel des Bouches-du-Rhône.
Rue Frédéric-Mistral,
Officier de la Légion d'Honneur,
Rue ûoyrand (de la ru e Laroque jusq u'à
Vu l'acte dit « Loi nU 2 17 dl! 12 a\'ril la rue Fernand-Dol),
Rue Ca rdin ale (de l'A venue Malesherbes
1943 ~ , relatif à. la publicité par palll1eaUXréclame, par affiches et aux enseignes, no- à la rue d'Italie),
Rue Mazarine (partie comprise entre les
tamment tes articles 6 et 9,
Vu l'a rrêté préfectoral du 20 juin 1949 rues Cabassal ct du -l-Septembre),
Rue Larpque, sur tlne distance de 50 m.
déterminant pour le d~partement des Bouches-du-Rhône les zones
pittoresques) en partant du Cours f\.lirabeau,
�-
146
A\'enue Victor-Hugo, jusqu'à la rue Carùinale en partant de la Place de la. Rotonde,
A,"enue des Belges et rue Lapie rre, su r
une distance de 50 nl. en partant de la place
ùe la Rotonde,
Rue de l'Ope ra,
Rue Pa"lIon (ue la rue de l'Opéra il la
rue Maréchal-Joffre),
Rue du Tresor ; rue de la Masse ; rUE
Nazareth; rue Clemenceau; rue Fab~<\t ;
r ue Lacepooe (sur une distance de 50 metres
en partant du Cours Mirabeau). j
l ue fontatnt:-d'Argent (parue compC1s~
entre les rues Eme ric-David et de la MuleNoire) ;
Rue Jllanue!.
Rue Chastel (entre les rues Portalis et Manuel),
Rue Emeric-David,
Place des PrêchelUS.
Rue Portalis,
Rue Perresc,
Rue Rifle-Rar,.,
Rue Constantin, à partir de la rue des
Epinaux jusqu'à la rue Mignet,
Rue Félicien-David,
Hue Thiers,
Place d' Alberta~,
Rue Espariar (partie comprise entre la
rue Nazareth et la place Samt-Honore,
Place Saint-Honoré,
inscrit à l'inventai re supplémentaire ùe~
Monuments Histo riques et dans l es sites
classés inscrits ou protèges sans l'auto r isation 'préalahle de J\!. le Minist re de l'Edu-
cation NatiO nale.
Territoire de la Commune
de Cassis
Doi\'ent être soumis à l'approbation prélecrorale les projets d'enseignes desti nées il
ètre sur les édifices ou monuments de C3rac tère artistique, esthétique Ou pittoresque
et sur les immeubl es compris da ns les sites
urbains, des ensembles architectu raux ou des
perspecri\'es figurant sur ia liste pr évue à
l'article 5 de la loi du 12 avril 1943, ai nsi
que su r les immeubles situés dans les zones
d'affichage restrei nt créées pa r ap'p lication
de l'article 7 de ladite loi.
Officier de la Légion d ' H onneu~,
V u J'acte dit < L oi n° 21 7 du 12 Av ril
1943, relatif à ,la publ icité par panneaux
réclame, par affic hes et aux enseiO'nes nota mm en t l'ar ticle 6 ;
;:, ,
V u l'arrêté prefectoral d'li 20 Jui n 1949
dét erminant pour le Départe.ment des Bou~
ches- du-Rhône les zones « pittoresques,
d' interdi.ct ion de la publicité, notam ment SOn
ar t icle 2j zone 5 concerna nt la commune de
Cassis i
Article 8. - Des dérogatio ns aux i nte rdictions prévues aux articles 4 j 5 et 6 du pr sent arrèté pourront être accordées par décisiolls préfectofales ap rès avis de la Section permanente de la Commission Départementale des sites, perspecti ves et paysages,
Vu l'avis émis par la Commission D~parternentale des Sites, Perspecti ves et Paysages dans sa séance du 16 Avril 1952, il
laquelle assistait le r eprésentant des aificheurs i
SUir la proposition de J'y \. le Secrétaire Générai,
Article 9. -
En quelque lieu qu'ils se
ARRETE :
trouvent, les panneaux-réclame et affiches
ARTICI E PRE.'UER. _ T.oute publicité par
devront êt re maintenus en bon étai de pré- panneaux réclame, affiches, peintures ou dis6entation par leurs auteurs, Faute pour les positifs quel conques est interdite sur le terri~
i ntéresses de se conformer à cette disposi- taire de la Commune de Cassis, sauf aux
tion: l'Admin!stration se résen'c la factllt~, emplacements définis ci-après:
apre,s u~e nHse en demeu!e de , de~ x ':lOIS
a) N\ ur clôtu ra nt le terrain vague, situe
Rue Aude, sur une distance de 50 mètres rest~e ,sans effet, de proc~de,r d,office a la 1 au devant de la salle des fètes rue de N\arlacératIOn de l'affi~he , ou a 1 e n le\~ement du seille i
'
à partir de la rue Espari(it,
support e~ mal.lvals etat, les f.ral~ co:resb) !Y\ur du petit immeu ble hangar situé au
Place des Tanneurs,
bas de la même rue;
Place des Augustins,
, pondants eta nt a la charge des· Interesses.
Hue Viclor-Leydet (de la rue de la FontaiArticle ID, - Les panneaux, affiches, peinc) Pali $sade fermant l'en clos, sis au début
ne il la Place des Augustins),
tures qui existent actuellement en bordure de la rue de l'Arène i
Hue Espariat (de la rue Bédarrides à la des vo ies interdites à l'af fichage en \'ertu de
d) Mur du Marché co uvert du côté de la
Place de la Rotonde),
co ntrats liant M. le Maire de la Ville d' Aix rue Xavier-djAuthier.
Place de l'Hôtel-de-Ville,
et les co ncessionnaires seront utilisés pour
ART. 2, _ Les emp~acements visés au
Place Richelme,
la publicité, nonobstant les dispositions pré- paragraphe 1cr ne pourront reçevoir que le,s
I~ue Vau\'enargues,
,"ues aux art icles 4 et 5 du présent arrêté et publiCités pl ésentant les caracté ristiques SUIRue Marechal- Foch,
ç.ou rront être maintenus à titre provisoire vantes:
Rue des Coràeliers, jusqu'à la rue Verre- sans que la durée puisse excéder ni celle des
a) Surface inférieu-re à 16 m2,
rie en partant de la place de l'Hôtel-de-Ville, co ntrats en cours, ni une durée maximum
b) Sommet à moins de 6 mètres au-dessus
Rue Saint-Laurent, de la rue VaU\'enar- d' un an à partir de la publication du pr é- du niveau du sol.
gues à la rue Granet,
sent arrêté.
ART. 3, Aux li eux autorisés, les panRue Gaston-de-Saporta,
l{ue Lite rra,
Article II. - Cependant, dans les a rtères neau x réclame et affiches devront être mainRue Ada nson,
interdites énumérées :t l' article 5 ci-dessus, tenus en bon état Je présentation pa r leurs
des emplacements sur lesquels seront appo- auteurs, Fa ute pOIhï les intéresses (~e,se c~n·
Place des MaTtyrs de l a Résistance,
Rue Jacques-de-L aroque,
sés des panneaux spéciaux, pour permettre former à cette disposition, l'Adm.1nlstratlo ll
Rue de Jouques,
l'affichage dont l'intérêt est intimement lié se réser ve la faculté, après une mise en deRue du Bon-Pasteur (pa rtie comprise entre à la "ie de la Ville (Théâtre, cinémas, elc ... ) meure de deux mois restée $a ns effet, de
procéder d'office â la lacération de l' afficl~c
la rue Venel et la rue G.-de-Saporta),
seront designés ultérieurement.
ou à l'enlèvement du support en mauvais
Rue des Nobles,
Article 12. _ T o ute infract io n aux dis.
éta t, I~s f rais correspondant s éta nt à la charImpa sse des Eyguesiers,
positions du présent arrêté sera passible des
ge <ies intéressés,
R ue du Séminaire (de la r ue des Menudières à la rue Loubet),
sa nctions pénales édictées par l'article 15
ART. 4, - T oute i nfraction au\ , d i"p~si- ,
Hue de l'Ecole (de la rue d u Bon-Pasteu' de la loi 12 av ril 1943. En outre, il pourra
être fai t application à l'égard du co ntreve- tions du présent arrêté sera passlble ,.- ~tS
à la rue Brémondi),
nant des dispositions pr évues à l' article 16 &1nctions pénales édic tées par \'art l ~ le IJ de
R ue c'u Puits-Neuf (de la rue du Sémi- de la di te loi.
la loi du 12 Avril 19"+3. En outre, li Fourra
naire à la rue Saint- Henri),
!
être fai t application à l'égawd ?U , CO!ltreve
A\'enue Pasteur, du Boulevard A ristideArticle 13, - L'arrêté municipal du 9 j uin nant des <üspositiolls prévues a 1<lrtlcJe 1
Briand il l'Avenue de la Violette,
1949, relatif à l' a ffichage sur le territoire de d e la dite loi.
6
Cours Sextius, sur une di stance de 100 la Commune d'AIX est abrogé.
mètres de chaque cô té de l'en trée de l'Hôtel
des Thermes.
Article 6, - Les enseignes peuvent comporter l'annonce de l'exercice d'un co mme~ce d'une industrie ou de toutt autre actIvité dans l'établissement sur lequel elles soni
apposées.
Elles doivent être placées à la deva nture
ou à l ' étalage où s'exerce l' activité d~ l'en
treprise. sans obturer les entr~es baies ou
fenêtres et au-dessous du 1er etage.
Article 7. - Il est interdit d'apposer at:cune enseigne sur un immeuble classé Ol:
ART. 5. _ M. le Se~ réta!re Gén~ ral de ::
és
Articte 1.t. - M. le Secrétaire Général cie Préfecture, M, le Maire o~ CaSSIS,
la Préfecture, M. le Sous-Préfet d'Aix, M. le Commandant de Gendarmb;le, son t cha ç
M;
Directeur Départemental des Services de Po- C:hac un en ce qlll. le concernc j dC l'exécution
lice et M. le Commandant de Genda rmerie du présent arrêt é.
so nt Chargés, chacun en ce qui le concerne,
Marseille, le 2 1 Juin 1952.
de l'exécution du présent arrê ~é,
Pour le Préfet,
Marseille, !e 1er juillet 1952.
Le Préfel .
René PAIRA .
'Par <léIé&alion,.
Le Secrétaire Oéné r,\!,
Maxime MIGNON.
-------«> 00<>------
F S 0 plus il Y a intér~t à se sou mettre à une du travai l des sala riés dans les exploitations
DO S
AR~ETE
Le Prefet des BOUCheS-du-Rhô ne
INTERDICTION
TEMPORAIRE
DU
TRANSPORT ET OE L~ VENTE D ES
COQUILLAGES DAN S TOUTES LES
COMMUNES DU DEPA RTEMEN T .
L e Pré fet des Houches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
V u la loi municipa le du 15 A:v ril 1884 ct
notamm ent l'article ~9 ;
Vu la loi du 15 Février 1902 sur la Protection de la Santé Publique i
Yu l' avis favorable de M, le Directeur
Départemenlal de la Sa nté
proposition de
~'1. le Sccrétair..::
ARHETE
ARnClE PREM IER..- Au cours <fe la périOde
comprise entre les 1er Juillet et 1er Septemb re 1952, l'i ntrod uction, le transport et la
vente des coqllillâg~s marin s dt espèc es comestibles sont intèréiits dans toutes les communes du département il l'exception de celle
de Marseille pour laquelle doit intervenir tille
décision municipale spéciale.
ART. 2. - Les coquillages entrés, trans'Portés ou vend us en Iraude seront saisis sans
préjudice des sanctions pénales et autres qui
pourro nt être appliquées.
ART. 3. - M. le Seorétaire Général de la
Préfecture, "~\'M.. les So us,Préfels d'Ai, et
d' Arles, 1\'\M, les Maires du département, .o\o L
le Directeur Départemental de la Sa nté, A\.
le Directeur des Services Vétérinaires départementaux, l\'\. le Directeur Départemental
des Services de Police ' et fi \. le Chef d'escadron co mmandant la Gendarmerie des -8ouches-du- Rhône sont chargés, chacun en ee
qui le concerne, de l'exécution du prése nt
arrêté,
Mars eille, le 7 Juillet 1952.
Le Préfet,
PA II ?A.
------- « ~oo <~ -------
DOS
VACCINATION
agricoles i
•••
Le P réfet,
Vu l'arrété préfecto ral du 5 mars 1949, re-
R. PA IRA.
latif aux salaires du personnel des champs
de co urse ;
Le Mjnist re de la Santé Publique et
de la Popu lation,
AHRETE
Sur la
Général,
vacci nation,
FS 6
ANTIVARIOLIQUE
il MM. les Préfets,
MIM. les lOirectcurs
Départementaux
de la Sa ll té.
L' examen des rapports an nuels Slhr le fonctio nn ement des services dépar te mentaux de
v acci nation ant iva r ioloique a fait apparaître
qu'u n certain pou rcentage des assujettis à
œtte vaccination éChappe aux prescriptio ns
de la loi.
Si les enfants sont, pour la plus grande
majorité: vacl..:Î nes à un an et à I l ans, il
e3t indubitable que bon nom bre des assujettis de 21 ans n' est pas revacciné, Comme
Je prévoit la loi du 15 Février 1902,
Je tiens à appeler il nouveau votre attention sur cette importante question, alors que les -professions agricoles ;
quelques cas die variole se produisent sur
Vu les décisions de la Fédération Départele territoire métropOlitain,
mentale des Syndicats d' Exploitants agricoJe vous demande de bien vo uloi r prenâre les relati ves aux salai res qu'il convient de
toutes mesureS utiles pou r que le service des payer aux différentes catégories ,d'o,uvriers
vaccinations antivarioliques fonctionne dans agricoles à la suite tle ,la. publication du
les meilleures co.nditiolls et notamment que décret du II octobre SUSVise,
des séances de va ccinations soient p révues,
Vu l'arrêté interministérIel du 20 novemchaqu e année, dans la totalité des communes bre 19:>1 modifiant le délai de deux ans
du département,
fi xé pOlir le renouvellement des a r rèté~
VOliS voudrez bien en particulier organiser préfectoraux pri s en application tl e la 101
un e propagande en faveu r de la va~ci n,ation du 15 d~cembre 1922 et prescrivant que
antivariolique et rappeler aux assuJettis de ces arrêtés seront rLvisés il la date du Ittr
21 ans l'obligation qui leur es t fai te par ra janvier 1952 ;
Vu les instructions de Al. le Mi nistre de
loi, so us peille de sa nction.
Par ailleurs, dans les affiches exposées t l'Agriculture en date du 3 décemb re 195 1,
dans cilaque co mmun~ pour a nno~cer,la pro,Vu l'arrêté préfect oral du 29 dé~embre
chaine séance gratUit e de vaccmat,lons, JI 195 1,
conviendrait de préciser à la population qu~
Vu les proposi tions faites, ap rès enqu'::te,
le service es t ouvert à toute personne qUI
pa r fit le Contrôleur des Lois Sociales en
désire se faire vJcci ner, Il y au rait lieu en
Ag riculture ;
outre de sicrnaler, dans ces affiches, que plll~
Sur la proposition' de JI\. le Sec rétaire
la -dernièreboperation vacci nale est allc,ienne.,!
plus il y a intérêt à se sou mettre a ll UC Général,
ARRETE
1 evacci nation.
Le ~\\inistre,
Arficfe premier. - L'arrêté préfectoral du
Pour le Mi nistre ct par délégatio n,
29 décembre 195 1 est co mplété par les disL ~ Co nseiller technique,
pOSitions ci-après :
Sig né: PEQUIGNOT.
La valeur journalière de la ré~~unératio,n
_____ <> 00«> _____
en nature devant, pour l es salanes nourns
et logés, servir de base au ca lcul des re~te,s
AO et i ndemnités journalières dues aux ViC ti0681
mes des accidents du travail, dans l'ag riculARRETE
COMPLETANT L'ARRETE PREFECTO- tl1re co nformément aux dispositions prévues
RAL W 526 OU 29 DECEMBRE 1951 da n~ l'article 8 de la loi du 15 décemb re
1922,' est fixée comme suit pour l'ensemble
RELATIF AUX ACCIDENTS DU TRAdes catégo ries de travai lleurs :
VAIL DES SALARIES AGRICOLES,
- Nou rriture : 305 !f rancs i
"--- Logement : 12 francs,
Le Prefd des Bo uches-du-Rhône,
Ol/icier de la L.!gion d' Honfleur,
Articles 2. - Le Secrétai re Généra l de
Vu l a loi du 9 avril 1898 concerna nt la la Préfecture et fi\. le Contrôleur des LOIS
responsabilité des acci dents Li o,nt les ouv riers Sociales en Agriculture s~n~ c~ar !!"és de
l' exécution d u présent arrt'te, qUI sera p u~
sont vi ctimes dans leur travai l,
Vu la loi du 15 jui llet 19 J-t. é ten~~ nt aux blié au Recuei l d~s Actes Adminstratfs.
exploitations forestières les diSpOSitIOns de:
Marseille, le 1cr jui llet t952 .
la loi précitée,
Pour le Préfet,
V u la loi du 15 décembre 19~2 é~e ndant
Le Secr étaire Gtlll Pra f délégué,
aux exploitations ag ri~oles la légISlatIOn sur
Maxime MIGNON.
les accidents du t ravail,
V u la loi du 30 a\'ri l 1926 et l'ordonnance
Le Préfe t des BOllches-du-Rhône,
à Ml. \. les Maires du Département des
Bou c he~- du- Rhô ne.
L'examen des comptes -rendus annuels de
vaccination an ti -variolique m'a permis de
constater qu'un certa i!) pourcentage <ies
assujettis à cette vacc ination éC happent aux
prescriptions de la loi. Ce pourcentage est
particulièrement élevé en ce qui concel ne il:
nombre des assujettis de 2 1 ans, et surtout
ceux du sexe féminin,
J'attacherais du prix à ce que VO liS fass iez
le plus de pro pagande possib le en faveur de
la vaccination antivariolique et rappeliez aux
assujettis de 2 1 ans l'obligation qui lem est
faite pa r la loi, so us pei ne de sa nction.
D' autre par t, dans les afiichcs apposées
dans chaque commune 'pOlir annoncer la pro·
cl,laine séance gratuite <ie vaccinat ion, il co nVIendrait de préciser à la population que le 45- 1842 du 12 aoat 1945 modifiant, compléservice est ouvert à toute personne qui désire ta nt et interprétant la loi du 15 décembre
se faire vacciner, Il y aurait lieu, en outre, 1922, susvisée,
sur_
1 la
*
Vu l' a rrété pré.fectoral du 28 juillet 19.t9
portant règlement du travail pour les
ouvriers fo restiers ;
Vu les accords de salaires concl us les 8
et 10 fev rier 195 1 entre les représentants de
la Fédération Départementale des Syndicats
d' Exploitants agri coles et ceux de la Section Fédérale des Tra vaill eurs de l'Ag riculture;
Vu l'acco rd de salaires concernant les exploitations salini~res conc l u le 9 octobre
1951 i
Vu l'accord de salai res concernant les
lads, COnclu le 1cg octobre 195 1 ;
Vu le décret du Il octobre 195 1 porta nt
fixati on du salaire minimum garanti dans
- - - - - - 0 0 0 0 - - - - --
�14
RÉPUBLI QUE
24 .t 31 JuiUet 1952
D6B 1
AO
ARRETE
RELATIF A LA DETERMINATION D ES
PERIODES PENDAN T LESQUELLES
LES SALARIES DES ARTISANS RURAUX NE PEU VENT PAS P RETENDRE A DES ABSENCES DE PLUS D E
24 HEURES AU T ITRE DES CON GES
PAYES.
Le Préfet des Boucbes- du-Rhô ne,
Officier de la Ugion d' Honneur,
V u l 'article 5 du reglement d'ad'milljstr~
tion publique du 26 Septembre !936, relahf
au x congés payés annuels dans 1 agn cultu ~ e,
Vu la circulaire n' 13 ASS/ l du 5 Févrter
1952 de .\ \. le .\1inislre de l'Agn cultur e,
Vu r avis de la Chambre d'Agricultu re et
des Syndicats intéressés,
ARRETE:
ARTICLE PREMIER. - Les salar iés des arti sans ruraux ne p euvent prét endr e, à des
bsences de p l us <I. e 2-1 heur e~ au titre d,es
~onaës
en A!ITÎCulture sont chargés, chacu n eIl ce i nfo rmés que l e ~ v isites hehdomadaires chez
ui ,; co ncer ne, de l'ap plicatio~ au présen l M . le ftréfet sont s ll spe~ d u es jusqu'ail 31
ût en raiso n cfe la pé n odt! des vaca nces.
~rrêté qui s era insé;é a il Bulletin des Ac tes AoD'~
t1 tre part, le -Secrétariat de I ~U n ion des
Adm inistratifs du Departement.
Ma rseille, le 8 Juillet 1952.
Pou r le P réfet,
Le Secrétaire Général délég ué,
Maxi me ,MIGNON .
- - - -<"00<>'- - - -
10' ADDé •. -
GOllllllUMIQUEs DU SEG8ETRHlBT
DE L'URIOI DES PlBIDES
payés pendant la pénode co mpnse
ent':' le 1er M1li et le 1er Août.
Visites chez M. le Préfet. - Congé Annuel
ART. 2. Le Secrétair~ Général de la
.~\IM. les
.\laires du Département onl
Préfecture et le Contrô leur oes LOIS SOCiales
1
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Ma iries
Cependa nt afin qu'il n'y ai t aUCun retard
dans la corr~po n dan ce, le Secrétaire Gén~~
nées p ar semaine.
Le Secrétaire Général de l'Union,
AUD IBERT.
N" 30 et 31
DËPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHON E
Maires sera ferm é penda nt la pérl(,de allanl
du 1li }uill et au 16 Août in clus: -
,rai de l' Union vjendra au bureau deux matt-
FRAN(;AISE
Toute correspondance relaüve au R ec ueil doit (!Ire adressée à la Préfec ture Secrétaria t
Général
ABR~VIATIONS
A. P . : Arrêté préfec to ra l. -
C. : Circulaire -
D. S. T. : Direction des Services Tec hnique •. -
mentale de la Population.
Les lettres D et B su ivies d'un dhiffre indiquent le Ser vice ou Bureau d'origine.
D. D. S. : Dire cti on Départementale de la Santé. _
D. D. P. : Direction départe-
S OMMA I RE
Arrêtés réglementaires el Circulaires
Pages
FS 7. - Hospice de Sain t,Chamas. _
Re lhement du prix de jou rn ée previ sionnel 1952 .... ,... .... ......
149
Pages
AG 1. -
Frais de
déplacemenl des
membr es des Co nse ils IMun i ci paux ..
TVX O. ----, « AssoC'Ïatio n Sy nd icale
li bre de la voie p rivée ~. Avis de
constitutio n ......................
P O. -
149
I nterdiction visant ce r tai nes
publications .... .... ...
•
P 3. -
Déliv ra nce des 'pe rmis de. chas-
se po ur la campagne 1952- 1953 ....
fS 4. -
150
All oca tio ns mi litai res a ux fa-
milles <le réservistes ... .... .. .. ...
150
FS 8. Ad mission des malades de
'Pro vi nce da ns les hôp ita ux de Paris.
A O. -
Arrt té relatif a u logement des
ouv riers des exploitatio ns ag ricoles
propreme nt dites et des exp loi tat ions
de cultures spéc ialisées .. , ........ .
A O. - Accide nts d u t ra'vail des sa la150
ri és agricoles ..... ........ .
A J. - Acco rd nationa l de sa la ires
dans les coopératives agricoles de
stockage de cé réa les, de meunerie et
d'approvisionnement . ... .... . ...
15 1 A 4. - Arrêt é re latif au logement des
ou vriers des e.xploitations forestii'res.
CIA 3. - Héglementation de la pro~ession dt" recupérateu r en viei ll es
mati ères ..................... .
151
150
153
154
154
Com muniqués -. A vis - - Annonces divertses
153 Dons et Legs "" .... .. .. ........ 154
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D2 B3
Pour le P réfet et par Délégation,
Le Secrétaire Général :
Maxime MIGNON.
AG 1 q u'il ne pourra être don né suite
'lUX dé libéIlEV EL. Il peut êt re déplacé pa r le Syndic,
ratio ns des Asse mblées Municipales prises mais dans Marsei ll e se ulement.
FRAIS D E D EPLACEMENT
dans ce se ns,
L'objet de l'Association e~t l'e xëc ution, à
DES MEMBRES DES CONSEaS
Pour le P réfe t et pa r Délégatio n) frais communs, de to us les travaux co ncerMUNI CIPAUX
Le Secrétafre Genérat
na nt soi t l'entretien en bo n état de viabi lité
J\ laxime MIGNON.
de la vo ie p rivée précitée, soit les mesures
n es jifficultés s'étant prése ntées lo rs du
d' hy gië ne o u d'assai nissement décidées pa r
rembou rsement des frais de dép lacement
--- ~» oo ~» --l'Assem blêe Gé nérale ou imposées par l'a u·
exposés pa r les membres des Conseils .I\,<tu~
nici paux. j'avais élabo ré en accord a\'cc le D5 B I
TVX 0 to rité pub lique.
Trëso r ie'r Payeur Géné r~ I, un mudèle de déLes dépe nses sont réparti es ent re les prolibération à sou mettre à mon approbation, « ASSOCIATION SY NDICALE LiBRE p riétai res associés, en p ropo rtion de "intért?:t
tenant co mpte des directl\'C:s app lil'ab les en
DE LA VO IE PRIVEE »
de So n im meuble il l'exécution des travaux.
la matiè re.
La répa r tition sera arrêtée dans une Assem Sise boulevard Mic helet, n° 283
Ce modè le de délibérati on a eté porte il la
blée Gé nérale qui de\'ra réunir les -4 '5 au
eo nnaissance de MM. les .Mai res pa r la vo ie
moins du nombre total des associés, repréAvis
de
constitution
(lu Bu lletin Administrati f des Mairies (llumésentant les 415 au moins du revenu nct impoLe 26 juin 1952, les dix prop riétaires des sab le de l'ensemble de leur immcuble ; elle
Ta 46·47 des Il et 18 novem bre 1948) et
faisait resso rtir le ca ractè re d'acco mpli sse- immeubles sis à J\1arseille, et desse rvis par dev ra êt re votée par phls d\!s 31"' des prément de ma ndat s pécial que doi ve nt p rés~~ une \foie privée portant d u numér? 283 d u sents, représentant plus lles 3 .... de~ revenus
te r les déplacements des mag ist rats mUniC I- Bouleva rd J\ \i che let, se SOnt reunl~ et ont nets imposa.ales. Si ns conditions n~ son~
paux.
décidé, à J'unanimite, de se constit uer en pas rempli es, une no uvelle As~e.mb[ee est
Mon attention a été a ttirée su r le fait q ue Association Syndicale Li b re, du type prévu convoquet:! dahs l es m~mes comiltlons, dans
ce rtains COnse ils Municipaux d u déJJa r~e au titre Il de la loi dll 2 l juin 1865->22 dé- les dix jo urs. Si elle eChoue, o~ ap pliq~ e. tes
ment auto risaie nt leur Maire il se fai re cembre 1888, pour assurer l'ent,retien de la arti cles 7 et sui\ ants ùe la 101 du 22 JUIllet
a[ ~olle r , chaq ue tr imestre, une somme fo rfai- dite - voie et exet:uter, s'il y a lie u, les tra- 1912.
taI re rep résenta nt le q uar t du crédit globa l \'HUX qui \,jendr,aie~t ,; êt re rec?nn us ;é~e,s
Tous les ilssoci~s ont entr~e et uroit de
Ouvert à cet effet au budget de la Co mmun e. saires par application ùe la 101 du 2_ Juil - vote aux Asst!mbl~es Générales arec facu ttê
J'ai l' hon neur de fai re co nnaître il MM. les let 1912.
lle S'" faire ~pr~senter par un mamJatairt!
J\o\aires qu e cette façon de 'p roceder, qui s'a p·
Les statuts adoptês à l'una nin~ité fi x~ nt .le rcgu ller.
pare nte a u système d 'alloc atio n par \'Ole siège de r Associatio n il Marseille, 2H.} biS,
Toute r\ssembl~e
'l'abonnement, est fNmellement prohibée el bOlllcvard Michelet, chez I\ \. le Comte DE Syndic, par_le:
�150
ciés et à domicil~ huit jours au moins à
l'avance, avec J'ordre du jour.
L'Assemblée ordinai re annuelle se tient au
mois de mai, pour entendre le compte rendu
du Syndic et les comptes du Rece\'eur, voter
la repartition des dêpenses, les projets de
tea,"aux, les honoraires du Syndic, nommer
ou remplacer le Syndic, voter les emprunts
amortissables.
Des Assemblées e:draordinaires peu\'ent
être réunies sur l'initiative du Syndic ou il
la demande du quart des associés, ootam·
i
Tentation,
Minuit-Pigalle l
Tralala,
Enquête,
Voillple,
Medicalia,
Paname,
,
Cœuf d~ Paris,
Paris Es lhétiqlle,
Eve de Paris,
I
15 1
D3 BI
FS4.
ALLOCATIONS MILITAIRES AUX
FAMILLES DE RESERVISTES
Référence : Circulair e n' 12 1 de ,M 1.
Ministre de la Santé Publique et de la Po'pulation e n date du 8 Ju illet 1952,
L a loi nO 52 du 3 Janvier 1952, en Son
article 13 conifère aux militaires non officiers
de .Ia . disponi~ilit é et d~s r éserves, ayant
sahsialt effectivement a leurs obli1gations
d'~-ctivité et qui SOI~t convoq~és en temps de
paIx .pour accomphr des péri odes d'instru'C.
tio ns, les mêmes droits à la solde mensuelle
ou à la solde spéciale progressive que les
militaires non orficiers ,de même {J'rade et
de la même ancienneté et titulaires bd es mêmes ce rtifi cats ou brevets militaires, servant
par co ntrat et aya nt effectivement accompn
la durée légale du service actif.
La ~ircu~aire citée en référence précise que
l es reservlstes ne peuvent OUVrtr droit au
bénéfice des Allocations militaires, lesquelleS'
ne sont pas cum ulables ailec la solde men·
suelle ou la solde spéciale progressive .
Afin d'éviter désormais le dépO t de demandes ,d u chef des réservistes, et la transmis'
sion des dossiers de l'espèce aux Conseils
Départementa ux, je vous prie <ie vo uloir bien
don ner toutes instructio ns utiles à vos services et porter ces dispositio ns à la ,connaissance de vos administrés.
Pour le Préfet et pa r dél égatio n,
Le Secrétair e- Gén éral,
Maxime MIGNON ,
Article 2. - Il est inte rdit d'expose r ces
publications su r la voie publique, à Ilex terieur ou à l'intérieur des magas.ins, des kiostions indiquées ci-dessus.
ques et de faire pou r ell es un e pub li cité da ns
L ' Association est administrée pa r un Syn- les mêmes co nditions.
dic nommé par l'Assemblée Générale et ,rémunére par l'Association. Il assure l'e>.écuArticle 3. - ,MM. les Sous-P réfets à Ai x
tion des delibérations de l'Assemblée et des et. à Arles M, le Directeur Départemental
travaux ré:ponCiant à l'objet social. Il ordon- des Servic~s de police, MM. les Mai res du
n~~c~ le~ dépens~s et tie~t le r~gist re des 1 Département, M. le Commandant de GendardehberatJons de 1 Assemblee Génerale.
merie SOnt chargés, chacun en ce qui It'
Le Receveur Municipal est chargé de re- concerne, de l'exécution du présent arrêté
couner les recettes et 'Pa)'er les dépenses de qui sera inséré au Recueil Administratif et
l'Association.
Bulletin des Mairies.
Aucun associe ne peut se retirer de l' AsFait à Marseille, le 19 juillet 1952,
sociation sous auCun prétexte, en cas de cesMarseille, 16 juille t 1952,
sion, donation ou partage de son immeuble,
(o.mme en cas de décès, l'acquéreur, donaLe Préfet :
taIre, co-partageant, héritier ou légataire
R. PA IIRA .
remplace obligatoirement le précédent pro<>00<>-- - priétai re dans l'Association. Aucune autre
perso nne ne peut entrer da ns l'Association, D6 BI
P 3
L 'Associa tion a comme recettes les contributions de ses membres e; pour dépenses DELIVRANCE OES PERMIS DE C HASSE
les fraIS des travaux neufs ou d'entretien
POUR LA CAMPAGNE 1952-1953
les irais de gestion et le traitement du syn:
Le Préfet des Bouch es-du-Rhône,
dico
-------«»0 0 <> ------à MM, les Sous-Prefets d'Aix et
L'!\sso~i!ition ne pourr~ prendre fin qu'à
d'Arles,
la_ dIsparition ou suppressIOn de la voie pri D3 B2
FS T
MM , les Maire s du Départem ent,
\'ee.
HOSPICE
DE
~AINT-CHAMAS
, P a r délibération du 26 juin 1952, Mon J'ai l' honrteur de vous prier de vouloir
SIeur FAUTRIER, Administrateur de biens, bien porter à la connaissance de vos AdmiRelèvement du prix de journée
61, rue Monte-Cristo, à J\\a rseille a été
nistrés que le prix des permis de chasse
prévisionnel 1952
nommé syndic sans fixation de durée:
pour la campagne 1952.- 1953 a été fi xé à
Pou r extrait certifié.
ARRETE
1.550 francs. Ce permis sera valable sur
Le Syndic: FAU TRIER (9888)
port ant rév isio n .du prix de journée de l'Hostout le territoire.
Comme par le passé, les demandes de pice de Silint-'Chamas, à compter du ter
-------<) 00 <>- - - - - permi s de chasse seront reçues à la Mairie Juin 1952,
DI BI
P 0 du domicile ou de ta résidence de l'inté ressé
Le Préfet des Bouches-d u-Rh o ne,
Officier de la L égion cL' Honneur,
INTERDICTION VISANT CERTAINES et elles seront ensuite transmises par les
Mai res, avec leur avis, à M. le Préfet (6e DiPUBLICATIONS
Vu la loi du 15 Ju illet 1s:J3 sur l' As;is;rision, 1er Bureau) pour celles émana nt des
ARRETE
.
com munes de l'Arrondissement de M arseil le; ta nce Mé di ca le Gratuite ;
Vu
la
loi
<lu
14
J
uillet
1905
su
r
l'ASSIS'
pour les autres, soit à M. le Sous-Préfet
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
d'A rles, soit à M. le Sous-P réfet d'Aix-en- tance aux Vieillards Infirmes et Incurables ;
Officier de la Légion d'Honne~r,
Vu l'ordo nnance du 18 Décem bre 1944
Provence, selon l'Arrondissement dont déVu les articles 97 et 99 de la loi du 5 pend la Commune. Même pour les person- déterm inant, à titre transitoire, les règles de
avril 1884 .
nes ayant obtenu l'année dernière un permis fixation des prix ne journée des hôpitaux et
Vu l'arti~le 7 de la loi du 17 mars 1791 ' de chasse, une nouvelle demande devra être hospices publics ;
Vu la loi du 29 juillet 188 1 '
' faite en Mairie.
Vu la circulai r e ministériell e du 29 DécenlVu le décret-l oi du 29 juillet 1939 relatif
bre 1944, r elative à l'application de cette
Je
vous
rappelle
que
lo
rsqu
'
il
s'agit
d'un
à la famille et à la natalité française' .
mineur de 16 à 21 ans qui veut ob1:enir un ordonn ance ;
Vu les instructions de Nt le Ministre de
Vu l'art icle 26 de l'acte dit
Loi d u 21
permis de chasse, la demande doit être fo r
l 'Interieur j
Déce mb re 1944 • et les articles 22 et 34 du
mulée
par
le
père,
la
mère
ou
le
tuteur,
si
Considérant le danger que présente pour
le mineur n'est pas émancipé; par le cura- règlement d'administration puhlique du ~7
la jeune~se l'exposition sur la voie publique
avr~1 1943 sur les règles de fixation du ~rt:<
teur,
s'il est émancipé,
de certames publications illustrées co nsade journée des malades et pensionnaIres
Pour le Préfet :
crées aux crimes, à la prostitution, ainsi
payants, moàifiés pa r le décret n" 5 1.1218 du
Le Secrélaire Gel/ éral délégué:
que celles de caractère licencieux,
19 Octobre 195 1 ;
Ma xime M IGNON,
Vu la ci rcu laire nO j.s3 de M _ le Ministre
ARRETE:
de la Santé P ub li que et de la Po pul alion ,
Arlicle Premier, -- Il est Interdit de proen date du 24 Octob re 19" 1 ;
poser, de donner ou de vend re à des miVu l'arrêté préfectoral du 25 Janvier 1951
neurs de moins de dix-huit ans les publicaportant reco nduction du prix de jour~ét
tions 'Périodiques suivantes :
------- <> 00 <>- - - - - app licab le en 1951 " l'Hospi ce de Sam tFou-Rire,
Chamas;
Rose et Noir.
Delire
Vu la délibération du 29 Mai 1952,
ment pour modifier les statuts dans les co ndi-
Hospice dem:ande la révi sion du p'
journée ; .
T1X de
Considérant qu'il y a lieu dfa jouter
.
de journée fixé au 1er Janvier 195'1 aUII.PrI.x
d
'
1"
d
' InCI • ~n~e tJt~u rn a 1erte e l 'a~nuité de l'emprunt
con ra e pour ravaux d aménagement
·t
92 franës .
50]
Vu le ra'ppo rt de 11\t\. l'Inspecteur Pnncipal
de la Pop ul at ion et de l'Entr' Alde SOCIale
en dafe du 1-7- ..
1952,
- concilI ant en ce sens ,'
.Sur 1a p(lOpoSltlon de M. le Secrétaira Géneral de la ,Préfect ure j
t ?r, je. dois vous signaler qu'une reglemen~ Ion n g?ure.use est appliquce par les Ser- burea~~ d 'a~sistance, que des caisses de
~Ices ,de. 1 ASSIstance Publique à Paris pour SécuTlte SOCiale, afin d'avertir par tous les
1admISSion des rn .:liadcs venant d 'a utr~ dé- mO Y,e ns en vo~re possession, I~s malades de
g~rtements que celui de la Seine e:rcepté 13 r(gl~ mentatton appliq uée par les hôpi taux
ten en/elldu, dans les cas ct'urf1em:e .
• de IPans, Il 'Convient de les prévenir notamment que, faute ld'une prise en charQ'C déliEn
effet
l'As·
(
p
O
'
l
' "
~IS ance
ublique exÎll'c que
vrée
par un organ isme tiers-payeur i ls doie~ rrals ~'h.osplta l isation de ces ~a l ades
~?Ient ~nt l è.rement couve rts, soit pa r les ser v~n~ ve rsc~ une provision correspo~.dant au
\ Ices d ASSIstance M édicale Gratuite du dé- m~D',mum~ a, deu,x se~ailles d' hospitaEsation.
rartemen! ~ans lequel tes intéressés possèdent d ~utr.e part, 11 8rTlve que certains malades
eUf ?om,rclle <I.e. seco urs, soit par la Caisse a mIs ct ~~gence dans les hôpitaux de Paris
'1
~
de. Secunté SOCIale dont ils dépendent soit ~ont le sejou r a l''hôpita l sc prolonge, déclaAR-RETE :
e~t ne plus posséder les ressources neccs '
enfi n, par les i ntéressés eu X'-m~mes.
A~TrCL~ PREMIER_ . - Le pri x de jourJlêe
~s .au r e n ouvel~e m ellt de leur p ro vision,
Afm de s'assurer que les frais de séjour flalr
s
de 1 Hosplee. de Sai nt-Chamas est .porté à
des malades en ca u e lu i seront intégrale- bé ' f?lvent alors etre admis d'ur<Tence au
ne lee de l' Assistance.
e
franos ' 530, a co mpter du 1e r Jui n 1952, ment r,emboursés, l'Assistance Publ ique exi.
' ,
d
Et~nt
~onnt
la
situation
tOlite
parti
culiC::re
e
A
!5 ,. prealable'!,ent li toute admission, que les
J,. RT. ~. -- M . le Secrétai re Général de la
e~, etabll~sements de sOins parisiens, j'estime
Prefecture, ù1. le Sous-Préfet d' Aix-en-Pro'- IIlte:e,sSés presenten1, s'i ls sont assistés un
qu Il s~ralt Opportun d'admettre, dans ce cas
ve n c~,. M. le Tr~sorier-Pa ye ur Général et Iv\, certlflca1 attestant la prise en cha rgé J
une
de ro~atlon au principe posê par la loi
le Maire, de S.,~t~Chamas, Président de la l~ur !rals d'hos?italisation par le Service dSu 7 AVril 1937 mod ifia nt la Ipi du 15 juillet
Comm,lsslon Adomlnlstrativ e de rHospice sont d ASSIstance ~\éd1cale Gratuite de leur dcpar- J 93 ~t. selon lequel le reCOurs contre la
~ha~ges!, chacu n ,en ce ql1i le cOl1cern'e de t~~ent, et, s Ils sont assurés sociaux un cer- co llec!lvlté du do",!ki.lc <ie secours doit être
hfl ~at de prise en charge déli vré par leU!
1 executlon du present arrêté.
1
~xerce d,ans un delal maximum de , mois
alsse de Sécurité Sociale.
Fait à ·Ma rse ille, le 21 Ju illet 1952,
compter du jour de l'hospitalisation du
~n ~e qui concerne les malades payants a
malade.
Pour le Préfet,
qUI dOIvent aSSurer personn ellement le réfTle.Je pense .ql~'e n l'occ ure nce, le point de
L e Secrétaire Général
~ent de. leu ~s frais de séjour, J'AdministraM'IGNON,
han de 1 ASSIstance Publique exige, au préa - depa!t du delaJ de 2 mois peut être fixe non
lable, le vC,rs.elllt::nt ,d'une. provision équiva- pas a la dat~ ?~ l'huspltalisation, mais' à la
--~- .. oc<.,----_
~ate ,de la dtclslon d'admission d'urgence à
I:nte au nllmmum a 15 JOurs <t'hospitalisa- 1 ASSIstance.
D3 113
FS 8 Mn,
Pour le Ministre
ADM S
L' Assistance Publique est dans J'obli O'ation
Le Dire.cteur du Cabinet
. 1 SION DES MALADES
absolue de procéde r ainsi, En effet, il ';,rrive
LE VElf{T, '
DE PROVINCE
fre,quemme~t que les Services de l'Assistan ce
------4;»(;0 » -____
DANS LES HOPITAUX DE PARIS
Medica le Gratuite et les Caisses de Sécurité
,
, '
1 SOCIale refusent d'assumer la charge des frais
D6 BI
A 0
, .
MarseIlle, le 25 JUillet J952,
d' hospitalisation lorsqu'ils n'ont pas eté con_
. J al l' honneur d'attirer l'aHè ntion de Mes- sultés avant l'hospitalisation et qu'ils n'ont ARRETE RELATIF AU LOGEMENT DES
sieurs les M aires. des .~ommunes du Dépar- pa.s donné leur acco rd préalable. Il peut se
OUVRIERS OES EXPLOITATIONS
teme~t sur les dlsposltJOl1s de la circulaire falfc, en effet, que ces organismes estiment
AGRICOLES PROPREMENT DITES
nll:n~ro bl5 du 19 juifl 1952 de Monsieur le que leu,rs ressortissants auraient pu recevoir
ET DES EXPLOITATIONS DE CULMlnls.tre de la Sant é Publique et de la Po- des traitements analogues dans des établisTURES SPECIALISEES,
plliatlon~ relative à l'admission des malades seme~t~ plus pr.o~hes de leur domicile que
rie provInce dans les hôpita ux de Paris.
les ho plt~ux parisiens ou que les traitements
Le P~e~cl des Bouches-du-Rhône
qu.e les II1téressés désiraient subir ne s'avéPour le Préfet et pa r Délégation, ra Ient pas absolument indispE::nsables.
Offl cler de la L égion d'Hol/neu;
Le Secr étaire Gênerai
C'est po urquoi, l'A dministration de l'Assis- , y,u l'onl?nnance du 7 juillet 1945, rela~i\'e
J\\1\xime M IGNON,
tan ce Publique à Paris doit s'entourer d'un a 1 : n~tltutl.o n . de ~ommissions Paritaires du
certain. nombre de précautions d'estinées il tra\ a~ 1 et a 1é~ab!Jssement de rëglement de
- - - - « »oc" .... -----garantlr le rembou rsement inténral des frais travail en AgncuJture
Paris, le 19 juin 1952,
d'hospi talisation <les malades ~I e province , V~ .Ia I?i du 31 j~illet 1929 co ncerna nt
Le Ministre de la Sante Publique el admis dans, ses hôpitaux, faute de quoi elle 1 an:ellOratlon du logement lies travailleurs
se trouYeralt dans un d~ficit important diffi- agncoles, modi fiées par le décret du 17 juill
de la Population
1938 ;
cile
.à co mbler.
'
à Messieurs les Préfets (pOUr exéVu le ~écret du 16 novembre W32 modif1t!
cution) ;
, ~n outre, je dois \'OliS signaler que, pour
à Messieurs les Directeurs D éparte - e~lter un . encombrement dèS hôpitaux pari- flar le ~ecre,t ~u 20 'l\'ril 1938 portant règlemen/aux de la SaI/té (pour infor- sIens touJours prejudiciable au bien-Hre des m~~t t1 adm1ll1~tratioli puhllque pou r J'a pplimalades et assurer unè juste répartition des cahon de I~ 101 du 3 1 juillet 1929 ;
mation) ;
Vu le decret du Il mai 1938 portant rl: à M essieurs les Directeurs D éparle- malades dans les hôpitaux de province, il
gl
~m~,nt
d·administration puhlique pour J'ap
mentaux de la Population (pour est demandé aux malades de r rovÎnce de
produire, chaque fois qu 'il est possible un plJca~lO.n de la 101 du J t juill~t 1929 dans
informatioll),
avis de la Direction Départementale d~ la la RegIOn Parisienne
\·u l'a,rr~t~ prefcct'oral du JO a\'Ti l 1 94~
OBJET. '-- Admission des ma lades de Santé de leur département ,attestant qu'ils ne
province dans les hôpitau x de Paris,
peuvent être utilement traités dans leur port.ant fixatIon du régime du tra\'ali des salanes dans les exploitattllns a"T1\:oles des
J'ai l'honneur d'appeler votre attention région.
BouchE::s-du-Hhône .
.:.
Sur l es diffi cultés qui se prOduisent fré·
Les djverses garanties exig~es par l'AssisVu le p roc~s-verbal de la rêunion cJ~ la
quen~m.e n t pOlir l'admission des malaues de tance Publique ne vont pas sans don ner lieu
Comm :ssion Padtaire Deparlel1\~rta l e dl!
P~o~fJ n ce dans les hôpit;l,uX relevant tle l'Ad- parfois à des diffic ult ~s au moment où les
travail t:n Agriculture CJ1 date du 6 mai
mJnJ~tration Générale de l'Assistance Publi- malades de province se presentent pour totre 1952 ;
que a Paris.
admis dans les hôpitaux de Paris, car nomVu l'avis de !il. t'In genieur cn Chef DiDe nombreu x malades sont eJ1voyés, soi! bre d'entre eux sont dans lïgnosance des r~c'teur des Scn'ices Agricoles et de Monp~r le Copps Medical des Hôpitaux provin- formalités impos~es Cil vue de cette admis- SIeur le Controlèu r des LOIS Sociales Cn
Ciaux
. ~ar leurs. médecins personnels, sion, ce qui prûvoque quelquefois des situa Anriculture .
d
,SOit.
t a~s les hopltaux parisien s pou r y subir lin tions pénihles.
~Vll l'appr:)ha tion de 1\1. le J\\inistre dt
raltement approprié à leul" état ou recevo ir
En consequence, je \'OIIS serais tscs ohligé l'Agricll lturt: ct d~ A\. le Ministre du Tra\'all
d es soins qui ne peuvent leur être dOll nés de bien vouloir donner,
votre départe- et de la Securite SOlialc, notifiet' à la date
dans des établissements aut res que ceux de
la
j
C
�152
153
ARRETE:
Ar/icle premier. - CHMlP D'APPLICATION.
Le présent arrêté, qui complète le rè g lement géné.ral de travail dans les e:<ploitatians agri co les proprement dites et dans les
cultures sp écialisées, en date du 30 av ril
194 • determine les conditio ns de lo gemell~
des ou\'riers agr icoles logés par leur employeur.
Article 2. - COND ITI ONS GENERA LES
DE SALUBR ITE.
Les locau x mis à la disposition des sal ariés agricoles par les chefs d'explortation
doi\'ent obligatoirement répondre, quelle que
soit la date de leur co nstruction, aux co nditi ons génér ales minima de salubr ité qui font
l' objet nota mment du Règlement d'Administration Publiq ue du 16 novemb re 1932.
Ces conditions sont les suiva ntes :
1° Le couchage du personnel dans l e~
locaux ser vant au l ogement des animaux est
interdit. Il pellt toutefois être toléré temporairement pour les gar diens du bétail,
dans les cas où pour le temps où il est
justifié que leur pr ésence da ns ces locau x
est rendue necessaire par l'état de l a maladie ou l'imminence d'une parturition ;
2° Les locaux affectés au couchage du
personnel doivent :
_ avoi r des plafonds ét murs extérieur:,
mettant les occupants à l'abri des i ntempéries;
_ être munis de fenêtres ou autres ouvertures â chàssis mobile donnant directeillem
sur j'extérieur et -en nombre suffisant pour
realiser un éclairage et une venti lation convenables ;
- être éclai rés la nuit selon les usage;
co mmunément pratiqués dans les locaux
d'habrtation de la région ;
- être tenus en bo n etat de prop reté.
3° Chacun des salariés doit disposer d'ui1
lit pour son usage personnel et chaque ménage d'une chambre ;
4° Les dortoirs ne doivent conte nir que
des personnes du même sexe ;
5" Le 'personnel doit avoi r â sa disposition J'eau et les r écipients nécessai res aux
soins de propreté ;
6" Le personnel dispose ra d'eau potable
pour la boisson ; en Camargue, notamment,
cette eau sera filt rée et si nécessaire sténlisée.
Ar/ic/e 3. - MODALITES TECHNIQUES
CONCEoRNANT
LES
LOCAUX BATI:>
AVANT LA PUBLICATION DU PRESENl
ARRETE.
I O Le minimum de superficie des locaux
de couc hage est de 8 m2 ;
2° Les fenêtres ou autres ouvertures doi ·
ven t êt re à châssis mo biles, avoi r une section ouv ra nte au moins éga le à 1/ 10 d e IJ
superficie du sol de la pièce et comporter
des moustiq uai r es métalliq ues j
3' A défa ut d ' une épaisse ur plei ne de 22
ce ntim èt res, au môins, les parois ex.téri eures doiverrt comprendre un e co uche d'ai r 011
de matériaux isolants d'une épaisseur 5ul-
ube d 'ai r des locaux affectés au aménagés dans la cloison séparative. Elles
co uchage collectif ne doit pas être inférieur ne peuvent, en aucun cas, remplaoer les feil 15 013 par personne (1) - et pour les nêtres 011 a utres ouvertures à châssis mobi:c
dortoirs les lits doivent êt re séparés par un donnant directement sur l'extérieur et doivent fermer parfaitement.
i nten' alle d'au moins sa cm. ;
l a cloison séparative des loca ux ne peut
5" Les l ocaux ne doivent pas avoir de
être
conglruite qu'en dur et en matén aux
hauteur sous plafond infér ieure à 2 m. 40 ;
6' Le plafond doit êi re revét u d' un e nduit jointifs j
14° Pour les ou.vriers saisonniers, c'estsur toute sa surface. S'i l est co nstitué pat
des planches, celles-ci doivt:nt être sans fen- à-dire ceux employés en équipes pend a nt des
tes ni interstices. Il ne peut comporter une périodes inférieures à 6 semaines dans la
partie inclinée que ·s.i les murs extérieurs et m~me exploitation et res salari és forains
le comble rend ent cet te inclinaiso n néces- des entreprises de batta ge et d e travaux
saire pour que les cond itions minima de agri co les, il pourra être déro gé aux dispocubage d'air et de hauteur sous plafond si1ti ons du présent article,
Des déro g ations pewent également être
soient respectées ;
7 1J Les murs et oloisons des locaux affec- eX'ceptio nnellement admises en ce qui Concerne les exploitations pastoral es, pour les
tés au couc hage sont recouverts soit d'un
loca ux d'habitation utilisés temporairement
enduit permettant un l avage efficace, soit
et les bergeri es, Iû:rsque le couc hage a lieu
d' un badigeon à la chaux qui est fefait chaque fois que la p ropreté du loca l l'exige et au pa6 rc ou au co urs de l a transhum ance (1)
15
Dou ches. - Dans les expl oitations
au moi ns une fois par an.
Le sol compo rte un revê tement impe rm éa- occupa nt au moins 5 salariés, il devra ~ trc
bLe ou jointif se prêtant facilement a u la- pr évu une installation de douches à eau
chaude sur la base d' une insta llati on d'u!1e
\'age (2).
8" Les locaux de couchage doivent ~tre douche par ID ouvriers.
16° L orsque le personnel en feIa la depoun 'us de moyens d'éclairage appropri és.
Ils doiverrt être pou r vus, lorsque la tem- mande, les locaux devront pouvoi r ètre ferpératUTe extéri eure le justifie, d' appar eils de més à clef.
Ar/icle 4. - MODALITES TECHN IQUES
chau ffage;
9" Chaq ue personne o u chaque ménage CO NCER,NANT
LES
LO CAUX CONS·
dispose pour son usage exdusif d' une lite- T·RU ITS A PART IR DE LA DATE DE PUrie co mpren an t : lit métallique, sommiN, BLICATION DU P-RESENT ARRETE.
pai llasse ou mate las, traiVersin , pai re de
d raps, couve rt ures, ainsi qu' un meuble ou
L es locaux qui seront construits postéun placard pour l es effets, pouva nt être fe r- ri eureme~ t , à la date de publ.ication du premé à clef ou par un cade nas.
se nt a rre~e, en yue de servir de l ogemen t
Les draps ser va nt au couchage seront a.ux sa l a n és~ dev,r0n,t s~tisfaire. aux co ndlblanchis tous les mois et, en outre chaque . t lo ns prese ntes a ~ ar t icle 3 CI-dessus, de
fois que les l its changent d'occupants. Il est ' plus
. _
..
procédé toutes les fois que cela est nécessai - la SUpe.rflcle ml~lmum des locaux de
re au renouvellement des paillasses, au net- couc hage ser.a portée a 9 m2 ;
,
toyage des co uvertures, au carda ge des ma- . - l a. secho n totale ouvr ante sera portee
telas j ces opérations doivent être effectuée~ a 1/ 6 ,
. .
,
la p remi ère au moins deux fois par an, la
-,li a ,hauteu r minimum sous plafond seril
seco nde au moins une fois pa r an, la der- po r tee a 2 m. 60.
ni ère au moins une fois tous les deux ans.
Article 5. - En ve rtu de l'ar ticle 7 de
10' A défaut des loca ux distin cts, des l'Ord o nn a nce du 7 juil.l et 1945 et con formé'
aménagements spéciaux doive nt séparer les ment aux prescript ions de la loi du 25 sepsala riés chefs de fa mill e de leurs enf a nts de tem br e 1948 mod ifiant le ta ux d es a mendes
plus de 12 ans.
les chefs d'expl oitatio n qui au ron l
11 0 To utes mesures doi ve nt être pri ses co ntre venu au x dispositions du présent arré~t renouvel ées lorsqu'il est nécessai re pour té ser ont poursuivis devant le T ribunal de
la destruction des parasiles et des rongeurs simple poli ce et seront passibl es d'une amendans les locaux occupés par le pe rso nnel.
de de 600 à 1.800 fran cs.
Ces locaux ne doivent être, en aucun cas,
l 'amende est appliquée auta nt de fois
à proximité immédiate de fosses ou plate- qu'i l y a de person nes logées dans des CO~
fo rm es à fumier ou de dépôts malodorants, d itions contraires aux prescriptions du preincommodés ou tna lsains.
sent r ègl ement.
En cas de r écidive, les co ntrevenants sonl
12° Des cabinets d'aisance établis co n- poursuivis deva nt le Tribunal correction nel
formément à l'arrêté préfectoral en vigueur et punis d'une amende de 2.000 à 12.000 fr,
et portant règlement sanitaire dépa r témental
Il y a récidi ve lo rsque, dans les douze
so nt mis à la disposition du personnel.
mois antéri eurs au fait !J)oursuivi, le co ntreIls ne doivent, en aucun cas, être en com- venant a déj à subi une co ndam nation pOlU
munication directe avec les locau x de cou- co nt raventio n identique.
chage ;
En cas de plu ralité de cont ravention en13° 'Lorsque, pour fac ilite r l a surveill an- trainant les pei nes de récidi ve, ,'amen de est
ce de nuit du bétail, les loca ux occupés par a p pliquée autant de fois q u' il a été relevé
les sur.veillants so nt contigus aux locaux de nouvelles cont raventions,
abr itant les animaux, une fen être à vitrage
fixe ou mobile et une porte peuvent être
(J) Daos tous les cas. les di spositions gé'
nt ral es de l'a rticle 2 resta nt a..ppl ica hl es, ainsI
4'
Le
( 1) Toutefois, un euhe d'air in{érit"ur peul
que les modalités définies au
présent
article
fisante pou r proteger les occupants cont re i!lre toUré ap rès ,1\';5 con forme de la Com·· concc rn'a nt les moyens de c.hnufIagc, les rn~u
les variations brusques de la températur e. mission D~partcmenlale de l 'H abitat Rural.
bles ou placard'S indi viduels et la s;j~parallort
.
en outre, être
(2) Cette disposition n'exclut pas les plan- des locaux de couchage dèS locaux abrilant les
Article 6. -
ILes travaillturs sont responsables. du .bon e ntre~ ie n dt$ locaux et du
matén el mis à l eur disposition.
S i les .défectuosi tés co nsta tées dans les
I?gements ~on t imp uta,bles à des dégradatIOns commiSes vo lontai rement par les occupants des dits loca ux, procès-ve rbal est
~ressé ,par les age n.ts chargés de l' applicahon du présent arreté co ntre les occupants
responsables,
En vertu-~e l'a rt ic le 5 de la loi du 3 1 juil.
let 1929, modifi ée par l'article 5 du décret-loi
d~ 17 juin 1938 ~t confo rm ément aux prescnptlO ns d~ la lOI, pr écitée du 25 septe mbre
1948, les InfractIO ns aux <lispositions de
l'alin éa précéde nt so nt passibles d' une amende d e 100 à 600 ,fra ncs et, en Cas de récidive, de 600 à 1.800 ,francs.
11 y a récidive lorsque dans les douze
mois antér ieurs au fait pou rsuivi le cont reve nant a déjà subi une co ndamnation pour
une contra ve ntion identique.
Ar/icle 7. - Le pr ése nt a rrêté s'appl ique
nonobstant tous usages et co utumes loca ux
ou toutes autres stipulatio ns conte nues dans
les co ntrats indiviùuels de tra va il ou dans
les conve ntions co ll~ct ives, lorsq ue ces usages, coutumes ou stipul atio ns sont moi ns favo rables pour les travai lleurs que les dispositions du pr ésent règlement.
Article 8, -
Le prése nt arrêté sera affiché
~e faço n perm anente dans Chaque Commune
complétant et interprétant la loi du t5 Décembre 1922 susvisée;
Vu les arrêtés préfec torau x des 30 Avril
et 18 D écem bre t 948 po rta nt fi xation d u
régime du travail des salari és dans les exploi_
tations agricoles ;
Vu l'a rrété prefec toral du 5 Mars 1949
rel atif aux salaires du person nel des cha m p~
de Courses ;
Vu l'a rrêté préfectoral du 28 JuitI et 1949
porta nt reglement -d u travai l pour les ouvri ers
r
forestiers ;
Vu l' acco rd de salaires concern ant les
exploitatio ns sahnières co ndu le 9 Octobre
195 1 ;
Vu l' accord des salaires co ncerna nt les lads
conclu le 18 Octob re t95 t .
. Vu le dé cret du 1 t Oct ~b re 195 1 po rtant
fixat ion du salaire minimum garanti dans les
profeSSions agri co les ;
Vu l'accord de salaires co ncl u le 8 Février
1952 entre les rep résenta nts de la Fédération Dépa rt ementale des Sy nd icats d'Exploitants agricoles et ceux de la Section f édérale des T,ravailleurs de l'agri culture;
Vu les Instructions de .M. le ,j\otinistre de
l'Agri cuItu ro en date.du 20 Ju in 1952 ;
Vu les propOSItio ns faites, après enquète,
par ,M. le Contrôleur des Lois Sociales en
Agriculture ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire
.Généra l,
A I~, RETE :
a l'empl acemen t des publi cat ions officiell es .
ARTICLE PREM IER, - Les salaires mo yens
~n ,o utre, i l sera tenu à la disposition de~
mteressés au siège d u co ntrôle des lois so- et les salai res minima deva nt, dans les cas
ciales en Ag ricultu re: Ill , rue Sa in t-Jac- prévus par les art icles 8 et 9 de la loi du
, ques, à M arseille.
15 Décembre 1922, servir de base au cah:ul
Ar/ic/e 9. - L' a rticle 14 (à pa rti r de « Lo· des rentes et indemnités journ alières .dues
aux victi mes d'accidents du travail dans
gement. - L'employe ur doit mettre à la disJ'agriculture sont fixés pour le département
position de son perso nnel... jusqu'à Les dédes Bouches-du-Rhône conformément aux
gr ada tio ns commises vo lontai rement par les
indications contenues dans le tableau cioccupants des dits locaux seront punis des
amend es p r évues à l'arti cle 47 1 ~u Code annexé,
Pénal) » d e l'a r rêté préfecto ra l du 30 av ril
ART, 12. La valeur journalière de la
1943 esi ab rogé.
rém unération en nature devant, pour les salaArticle 10. - Le Sec rétai re Général de la riés nourris et logés, servir de base au ca lcul
Préfec tur e, l' I ngénieu r en Chef Directeur des des rentes et indemnités journalières dues
Services Ag ricoles, l' Ingénieur en Chef du aux victi mes des accidents du travail .clans
Génie H ural, le Co nt rôleu r des Lois Sociales l'agriculture co nform ément aux dispositions
en . Ag ri cul ture sont chargés, chac un en c( prév ues dans l'arti cle S de la loi dl] 15 'DéqUI l e conce rn e, de l'exécution du présent cembre 1922 est fixée co mme suit pour l'enarrêtéJ qu i sera inséré au Recuei l des Acte~ semble des catégorit:s de travailleurs.
- Nourriture : 305 ranCS.
Admi nistratifs de la Préfec ture.
_ Logement : 12 francs .
Marsei ll e, le 14 juillet 1952.
Pour le Préfet,
ART. 3. -
Le présent arrêté,
qui sera
Le Secrétaire Général délligué . publie au Recueil des Actes Administratifs
~ l axime WGNON.
de la Prefecture se substitue à l'arrêté du
----C)OOc:.---
DG BI
29 Dé ce mble IJ51 dont les dispositions
cessent légalement d'I?tre applicables à la
AO date du 1er Juillet 1952.
ART. ~ . _ ,\1. le Secrétaire Genéral de la
ACCIDENTS DU TRAVAIL
Pr éfe.cture et M. le Contrôleur des Lois SoD ES SALARIES AGRICOLES
cia les en Agriculture sont chargés de l'exéARRETE
cution du présent arrêti!.
Le Préfet des BOllches-du-R'hône,
J\ \arseille, le 2-1- Juiller 1!l52.
Officier cie la Légion d'Honneur,
Vu la loi du 'J Avril 1898 concem ant la
Pour le Préfet,
respon sabilité des accidents dont les ouvriers
Le Secrétaire Général délégué,
sont victi mes dans leur travail'
,\\a',"le o\UGNON.
Vu la loi du 15 Ju illet 19/4 'étendant aux
exp loitations forestières les ,disnositions de
la loi précitée ;
.
Vu la loi du ' 15 Décemhre 1922 éte nd ant
- - - -«),00<»--aux exploitations agricoles la législation SUI
les aCCidents du travail '
Vu la 101 du 30 Av~i l 1926 et l'Ordon-
DG BI
Al
ACCORD NATIONAL DE SALAIRES
DANS LES COOPERATIVES AGRICOLES DE STOCKAGE DE CEREALES,
DE MEUNERIE ET D'APPROVISIONNEMENT.
Le Préfet des Bouc hes-du-R hône
à MIM . I~s Sous...fp,réfets d' Aj~ et
et d' Arles;
à II'\M. les Mai res d u Dépa rt ement.
M , le .M inistre de l'A gri cu lture fait co nnaître qu 'un accordl national des salaires a été
co nclu le 31-1-52, entre les orga nisations
pat'ro nales et ouvrières .des coopératives agric.o les de .sto ckage de céréales, des coopérat.IVes aWlco les de Meunerie et des coopérati ves agricoles d'approvision nement en ve rtu
rie J'article 2 1 de l a loi d"u 11-2-1 950 relative
aux .conve ntions collectives.
Pour le cas ou des coopératives agricoles
de cette nature existeraien t dans votre com mune, vo u~ voudrez bien procéder à l'affichage d' un avis indiquant :
j'existence de J'accord, national dont
vous trouverez ci -après le texte '
les parties signataires ;
1
- la date et le lieu ,de dépôt.
Cet avis po ur~a être rédigé ai nsi qu'il sui t :
« ACCORD NATIONA,L DE SALA IRES
DANS LES COOPERATIVES AGR ICO LES
DE STOCKAGE DE CEREALES DE MEUNffiIE ET D'A!PPROV IS IONNsMENT. >
«" Un accord national de salaire a été ca ne cl u le 3 1 Janvier 1952, en vertu de l'article
c 21 de la loi du II Fevrier 1950 relative
« aux conv~ntions co ll ectives entre d'une
«: part :
c La Féd€ratiûn nationale des coopé rati c ves de céréa les ;
c: La Fédération nationale des groupements
« agri coles d'approvisionnement ;
« L'Union national e des coopérat ives a~i« coles de cêréales ;
:t
« L' l!~ion na tio nale des cooperatives d 'ap« provlslonnement j
c L'Union nationale .des coopératives aO'ri<col
es de J\\eune rie et meunerie-boulan~e.
0
« ne,
, Et "'autre part:
« La Fédération nationale des svndicats
c d'ingénieu rs, techniciens, cadres âdminis« t ratifs et employes de l'Agriculture et des
« organisation agricoles (C.G .A.).
" La Fédé ratio n nationale des travailleurs
de l'Agriclll111re et des Forêts (C.G.T.) :
« La fédération nationale des travailleurs
de l'Agriclll1ure (C.G.T.-FO.) ;
« La f èdération fiançaise de~ s)'ndicats
c chrétiens des technrciens de l'Agriculture
" et du person nel des organisations agrico« les (C.F.T.C.).
e Cet accord a été déposé le S Février
« 1952 au Greffe de la Justice de Paix du
7m~ arrondi ssement, 116, rue de Grenelle,
c. PaTIs,
« Les personnes intéressées par ledit accord
c pourront en prendre connaIssance au Con4: trôle départemental des Lois Sodales en
« Agriculture dont le siège se trouve- (me.nc tionne!' l'=adresse. ~
Pour le Préfet et par dé légation,
Le Secrétaire Géneral,
,
�REPUBLIQUE FRANÇAISE
1 el 14 Aoûl 1952
154
A 4 en Agriculture, sont chargés,. cha cun en ce
D6 BI
ARRETE
qui le concerne, de l'exécution. du present
LOGEMENT arrêté qui sera inséré ~u Recueil des Actes
Administratifs de la Prefecture.
RELATIf AU
DES OUVRIERS
DES EXPLOITATIONS fORESTlERES
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Lêgion d'Honneur.
Vu rUrdonnance du ï juillet 19-\5 relative
il l'institution de Commissions pan ta Ires de
Travail et à rêta h.lissement de règlements de
travail en agriculture ;
Vu la loi du 3 1 juillet 1929 concernant
l'améEoration du logement des tra:'atlleurs
agricoles modifiées par le Décret-lOi <lu 17
juin 1938 ;
Vu le décret du 16 Novembre 1932 modifié par le Décret du 20 Avril 193 portant
règlement d'admini~tration p.ublique pour
l'application de la lOi du 3 1 JUillet 1929 ;
Vu le Décret du 11 ,\\ai 1938 ]JOrtant
rèalement d'administration publique pour
l';pplication de la loi du 3 1 juillet 1929 dans
la région parisienne ;
Yu l'arraé prétectoral du 28 juillet 19.\8
port~nt régle~entation du travail pour les
ouvners foresners ;
Vu le procès-verbal de la r~union d~ la
Commission Paritaire du T ravaIl en Agnculture du 6 ,\l ai 1952 ;
\'U l'avis de M. lïngénieur en Chef, Directeur des Services Agricoles et de u\\. le Contrôleur des Lois Sociales en Agriculture;
Vu rapprobation de M. le Ministre de
rAgri culture et de .\1. le Ministre du Travail
et de la Securité Sociale notifiee à la date du
6 juin 1952,
Sur la proposition du Secrétaire Général,
ARRETE:
ARTICI.E PRE.\ItER. -- Il est inséré dans
l'arreté portant réglement. de travail des
ouvriers torestiers du 28 JUillet 1948. entre
les articles Il et 12, un nouvel article 11 bis,
rédigé ainSI qu'il suit :
c AR.TICLE Il bis. Lorsque l'ouvrier
c n'est pas logé tem porairement en forêt,
c les conditions requises pour son logement,
c si ce dernier est a su ré par l' employeur,
c sont identiques à celles prévues pou r les
exploitations agricoles par l'arrêté préfec« toral du 14 juillet 1952 et les contreve~ nants aux prescriptions prévues sont passIbles des memes sanctions. ~
ART. 2. Le Secrétaire Général de la
Préfecture, l'Ingénieur en Chef Directeur des
Services Agricoles, l'lngémeur en Ohef du
Génie Rural, le Contôleur des Lois Sociales
DONS ET LEGS
_______ <> 00<>-------
CIA 3
REGLEMENTATION DE LA PROFESSION
DE
RECUPERATEUR
EN
VIEILLES MA TlERES.
Circulaire de M. le .Ministre de l' Industrie
et du Commerce n' 95 1 D.C.I';IV. C. du 1
juin 1952.
Le Ministre de l'lodustrie et du Corn'
merce,
il M-~1. les Prétets.
OBJET. -- Carte professio nn elle de Récupé ra teu r en deilles mati ères.
La question m'a été .posée d: sa~oi r si
l'exercice de la profeSSion de recuperate ur
en vieilles mati~res était toujours subor~on~
née à la possessio n d·'e la carte professl~ nnelle instit uee par décision du 12 Jamner
1 9~~ du ,Comité Général ,d'Organisation des
Industries et Commerces de la Récupération.
.
J'ai l'honneur d.e VO~J~ conhrm~r que, conformément aux dlsposlhons de 1 arreté du 6
Fé,' rier 1947 abrogeant les . déCISions réglementaires de J' Office ProfeSSIOnnel des Industries et Commerce de la Récupération (J. O.
du 7 Fé,·rier 1947), cette quesllo n comporte
une répo nse négallve.
Pour le Ministre,
pa r autorisat ion :
.
Le Directeur du Commerce lnténe ur,
ARRIGHI de CASANOVA.
-------<.00<>-------
Communiqués-Avis
Annonces dIverses
04 B2
."arseille, le 16 juillet 1952.
Pour le <Préfe t,
Le Secrétaire Général délégué,
I\\axime \l GNON.
04 B3
1
Par t estame nt a uth e ntique ou 13 Novemore 1950, déposé aux minutes de "W j ouve,
Notaire à Arles, 3, boulevard des Li ces, feu
Thérèse-Ma ri e-rrançoise JACQUET, a institué pou r légataire universel l'Asile Saint-Frai,
il T arbes.
Co nformément a ux dispositions du décret
du 1er Février 1896, les héritiers connus ou
inco nn us de feu l . . herèse f\l\arie-Fran çoise
JACQUET, sont invités il prend re co nn aissance du testament, donner le ur consentement à son executio n ou produire leurs
moyens d'opposition dans un délai de trois
mois à dater du jour du p résent avis.
Marseille, le 17 juillet 1'352.
Pour le IP réfet, pa r autorisation,
Le Chef de bureau,
1l0UISSON.
04 B2
_______
c ~ ooc >--
__---
DONS ET LEGS
Par testa ment olograp he des 1er Janvier el
20 Av ril 195 1, déposé aux minut es de 'A1'
Malau zat, Notai re à N'arsei ll e, 69, ru e Paradis,
Feu Gaston-Benjal1)in~Martin BOUTEILLI ER, a lég ué .
10 Au Hureau de Bienfaisance d'Albi, des
titres de cent mille francs de rente perpétuelle 5 % 1949 ;
2' A la Commune d'Albi, deux millions de
\ francs .
3" A'l'Association des Anciens El"ves du
Collège et du Lycée ,d'Albi, des titres de
cent mille tran cs de rente perpétuelle 5 %
1949 ;
4 0 A l'Université de Tou louse, des titres
de cinquante mille francs de ren te perpétuelle
5 % 1949.
Conlormément aux dispositions du Décret
du 1er Févr ier 1896, les .héritiers con nuS ou
inconnus de teu M. BOUTEILLlER sont
in vités à prendre cun naissance du t estament,
tio nn er leur consentement à son exécution ou
produire leurs mo yens d'opposition dans un
délai de trois mois à dater du jour du présent
. avis.
Marseille, le 17 juillet 1952.
Pour le Prétet,
par autorisation,
Le Chef qe bureau,
BOUISSON.
1
P o ur le Prétet et par Délégation,
Le Secrétaire Général
Maxime MIGNON.
10' ADD." -- N" 32 01 33
DËPARTEMENT
Recueil des A t;s.~ '\ ministratifs
.~
.
~
et Bulletin
Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit être adres8èe tr la Prèlecture Secrétariat Général
A.I3RÉVIA'rIO!'<8
A. P . : ArrNé prétec toral. - C. : Circulai re. -- Les lettres 0 et B suivies d' un dhiffre indiquent le Service ou Bureau diori ~ine.
D. S. T. : Direchon des Services Techniques. -- D . .o. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Dtrection dép~ rte
mentale de la Population.
Arrêtés réglem... talrO$ et Circulaires
Paies
FS O. -- Médecins ag réés pour pratiquer les examens radioscopiques e n
Cabinet du Préfet. -- Arreté réglemenvue de la délivrance des certificats
tant la circulation des personnes et
prénupti a ux et prénata ux ........ 160
des véhicules sur l'aé ropor t de Marseill e-Marignane ... . .... .... .. 155 TVX O. -- Association syndicale a ulorisée
.... .... .... ... . .... 16 1
AG O. - Délégatio n de s i g~at ur e., .. 158
TVX 1. - Organisme professionnel de
AIG 1. - Indemnités de fonctions aux
qualification et de classification des
maires et adj oi nts .... .... .... 158
entrep ri ses du bâtiment ........ .
161
AG 2. -- Capital-décès prévu par l' a rticle 86 in tine de la loi n' 52-432 d u
A O. -- Arrêté fixa nt le ta ux des coti28 avril 1952 portant stat ut gé néral
sations en mati ère d'a llocations famÎdlt personnel des communes et des
liales agricoles pou r le deuxième seétablisse ments p ubl i~
......... . 159
mestre 1952 .. .. .... .... ...... 16 1
AG 5 B. -- Etat"Civ il. -- Tables décenA 3. - Viticulture. - Ir rigaTIon des vinales ........... . . .... ...... . 160 1 g nes et fabdcation des piquettes.... 162
.1
Pagr;,
PalU
A 3. - Destruction d'insectes nui s.ibJes.
CIA 0, -- Explos'fs de mine... ......
162
162
Textes d'Intérêt Oénéral
AC 3. -- Attribution cle l'indemnité
s péciale tempo rai re aux a nciens
age nts de l' Etat tributaires de la
Caisse Nationa le d'Assurances sur la
vie... . ....
.... .....
162
Communiqués -- Avis -. Annonces diveI'ses
-- Dons et legs .... .... .... .... .. 163
-.. Vacance d'emploi.... ...... .... 163
- Service des subsistances militai res
de Marseille. Adjudication restreinte .... .... .... .... ...
163
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
, Vu le décret du 3 janvier 1934 portant
; co ncession du port aérien de Marseille-Marig na ne à la Chamb re de Commerce de Marseille ;
ARRETE 'REGLEMENTANT LA CIRCUVu la circulaire interminist~rielle en date
LATION DES PERSONNES ET DES du 14 janvier 1952 ;
VEHICULES SUR L'AEROPORT DE
Sur la proposition du Directeur cie JI Aéro·
MARSEILLE-MARIGNANE.
po rt principal de Marseille, ap rès av is de la
Chambre de Commerce de Marseille,
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
ARRETE
Officier de 1110 Légion d'Honneur,
1. -- DELIMITATION DES ZONES
Vu la loi des 16 et 24 aoüt 1790 concernant les attributions des autorités &dminisArticle premier. - L'ensem ble des terrains
tratives en matière de police ;
constituant l'aé ropo rt de Alarse ilJ e-l\\arignaVu le décret du 25 mars 1852 sur la dé- ne est divisé en deux zo nes :
ce ntralisation administ rati ve et les textes qui
_ Une zo ne pu blique comprenant toute
I·on modifié;
la partie de J'a éropo rt accessible au public ;
Vu la loi mun icipa le du 5 avril 1884 ;
_ Une zone réservée cOrru?renarrt le reste
Vu la loi du 31 mai 1924, relative à la na- de l' Aérodrome.
vigatio n aé ri enne .
Les limites de ces zo nes sont définies par
Vu le déc ret no" 49-1676 du 3 1 décembre le plan Jo int au pritsent arr~té.
1949 portant organisation des aé roports en II. -- CIil CULATJON DES PERSONNES
métropo le et dans les départements d'o utreArt. 2. - Les heures d'ouverture de la
mer;
zone
pllhlique sont fix.ées par le Cl1ef d'exVu l' a rr êté d'ouverture à la circulation
aérienne publiqu e de l'aé rodrome public de ploitation de l'Aérnport.
Art. 3. L'accès de la zone réservée
Marseille-Marig nane en date du 6 février
n'est auto r isé dans les co nditions fixees peU
1947 ;
Vu l'arrêté préfectoral du 27 décembre les consignes particuliè res de l'aéroport
19 49, relatif à l' aéroport de ,~l a r eille-Mari- qu'aux personnes munies ;
- soit d'Url tit re de transport
gnane j
CABINET DU PRÉfET
DES
BOUCHES-OU-RHONE
- soit d'une carte individuelle de ci rculation i
- soit d'une carte professionnelle d'accès .
- ' soit d'un lai&sez-passer spécia l, délivré
pa r le chef de l'exploitatioll de l'aéroport.
Ces titres de transport, cartes individuelles et laissez-passer spéciaux devront être
présentés à toutes réquis itions des agerts
chargés de la police de J'aEroport.
Les sa ll es de contrôle de douane, de police et de santé ainsi que les locaux affectés
au trafic de transit ne sont normalement
accessibles qu'aux passage rs, aux personnels des services publics et des compagnies
aériennes et à toutes personnes dûment
autorisées à y pénétrer pour raison de service.
Arf. 4. La circulation des perso nnes
ayant accès à la zo ne rése rvée de l'aéroport,
cOllformément à l'article 3 ci-dessus, esf
soumise aux co nditions fixées tant par le
règlement de Ja circulation aêrienne q ue par
les cO'lsignes édictées par le chef de l'exploitation de l'aéroport.
111. -- CIRCULATION
ET STATIONNEMENT DES VEHICULES
Art. 5. La circulation des véhicules
daos la l.on.e réser"ee est strictement limitée
aux véhicules conduits ou utilisés par une
�-.
156
personne munie d'une carte de circulation
ou d'une ca rt e professionnelle d'accès et
dans les conditions fixees par les consignes
partÎl.:ulières de l'aéroport.
.
La circulation des embarcatIOns étranaè res au sen'ice de l'aéropo rt, dans les bas~ins de la zone réser vée, est l imitée aux
embarcations conduites pa r une personne
munie d'une carte professionnell e d' accès
portant mention speciale de ceWe auto r isation . Cette mentton est apposée par le Directeur de l'Aéropor t ou son dél égué, a pr ~
avis du Chef d'exploitation de la Chambre
de Comm erce de Marseille. Cette circ ulation
est soumise aux conditions fixées par les
consignes partic ulières de l'aér opor t.
Art. 6. - Les véhicules circula nt à r 'i n~
térieur des limites de l'aéroport, .quel qu 'en
soit le type, doivent r è-specter le sens de la
circulatio n, les indications et les vitesses
ma xima portées sur les panneau:\. indi ateurs
disposés a cet effet et se ronfo rm er d'une
manière général e aux p rescr ipti ons du code
de la route et aux injonctions des ga rdiens
de l'aéroport et des gendarmes de l'air.
Art. 7. - a) L'a ccès au pa rc de stationnement.existant à l'intérieur de la zone publique est résen 'ée aux véhicules pr ivés. Le
st arionnement est st rictement limi té â. la dur ée de pr ésence sur l'aéropor t de la personne Qui utilise le véhicu le.
b) Les taxis, les voitu res de louage et les
véh icu les de transpo r t en com mun doi vent
statio nner aux emplacements pa rticul iers
qui leur sont destinés. En outre, la mise en
service sur l'aéropo rt des vo itures de
louage et des véhicules de transport en
commun doit être autorisée dans les conditi ons prévues au tit re IV. ,
c) L'usage des pa rcs de stationnement
des "éhicules pr Î\'és et des emplacements
rés~ n'és aux taxis, "oitures de louage et
véhicules de transport en commun peut être
subordonné au paiement d'une rede\'ance.
[
Art. 112. -
Il est interdit d'effectuer des
ANNEXE
degradations quelco~ques au.x meubles. o u à l'arrêté préfectoral du 28 Il/In 1952 règle.
immeubles du domall1e publiC, de mu hJer
mentant la circulation des personnes el
les ~ r b res, de mar~her sur les gaw n~ et
des ." ehicules Sur l'aéroport de Marseille_
massLfs de fleuIs, d abando nner ou de J ~ter
Mari g nane.
tous détritus ailleurs que dans les cor beilles
CONSI GNES PART/CULIERES
réser vées à cet effet.
Art. 13. - La ga rd e et la conservati o n
des aéronefs, vé hicules. matérie1 s et mar·
chandises utilisant les ins ta llatio ns de l'aéropor t ne seront point â. la charge de J'Etat
ou de la Chambre de Commerce de M ar·
seille et aucu ne respo nsabilité ne pèsera sur
eux pour les pertes ou les dommages ne
résultant pas de leu r fait ou de celui d e
leurs agents.
1. -
CONS IGNES RELATIVES
A LA ZONE PU,BLlQUE
Article premier. La ZOne publique de
l' aéroport de Mar~éille-Mari g nane est Ouve rte en perm anence.
Art. 2. - Tous rassemblements, défilés
man i,festations sont in te rdits dans la zon~
publ ique, sa uf autorisatio n sp6.:ialc déli\'rée
par le Préfet des Bouches-du-Rhône.
Art. 14. Lorsque les circonstances ou
Art. 3. - L 'accès des person nes .~ des
les néœssités du ser vice l'exige ront, le chef véhicules à la partie Est de la ZOne publi.
de J'exploitation de l'aéroport pourra inter- que s'effectue normalement pa r le Chemin
dire tempor airement au public l' accès de d épart emental n o) 20 et l'embranchement
celui-ci ainsi que la ciIc ul ation des vé hicules ro utie r joignant ce dern ier à l'aéroga re.
quels qu'ils soient.
L'accès des pers onnes et des vé hicules à
l a pa r tie Ouest de l a zone publ iq ue s'e ffecVI. - SANCTIONS PSNALES
tue norm alement par le Chemi n départeArt. 15. - Sont approuvées, et en co nsé- menta l Nol 48.
quence exécutoi res, les co nsi gnes joinies en
La circulation publique sur la route privée
annexe.
joignant l'aérogare au C. D. 48.
Les nouvell es co nsi gnes ainsi q ue les moLa ci rculatio n publique sur la route pridifications aux consi g nes susvisées, qui vée joignant l''aérogare au C. D . 48, le long
s'avère raient nécessai res, seront soumises à de l' Etang de Vaine, est to lérée pour les
mon appro batio n ul té ri eurement, en rant que véhicu les et les cyc les seulement. Il est in~
de besoi n, par le Directeu r de l'aér opor,t.
terdi,t de statio nn er su r ce tte route qui traLes consignes spécia les édictées par le ve rse l a zone r éser vée.
Chef de l' Exploitatio n de l'aér opo rt, en cas
Art. 4. - La ci rculatio n des perso nnes et
d'u rgence moti vée par des raisons technÎ- des véhicules est in terdite en dehors des.
ques ou de secu r ité, seront immédiatement routes, chemi ns, pistes et terre-pl eins améapplicables. Ell es devront toutefois ~tr€. nagés à cet effet.
approuvées dans la f orm e pr écisée à l'alinéa 1 Art. 5. - Le stationnement des véhicules
précédent dans un délai de 5 jours fra ncs étrangè'rs au service de l'aéroport est interà co mpter de leur signature, faute de quoi dit ai lleurs q ue dans l es parcs à vo itures.
elles cesseron t d·êtr e applicables.
si gnalés.
Art. 16. Les infr actions aux disposiArt. 6. Il est interdit aux passagers
tions énoncées ci -dessus seront constatées des lignes aérienn es ve liliS à l'aéroport avec
IV. - CONDITIOl\S D'EXPLO ITATION par des p roces-ver baux qui seront transmi s leur véhic ule de laisser ce dernier stationner
aux t ribunaux compétents.
au parc à vo it uxes pend ant la durée de leur
COMillERCIALE
voyage. Les vé hicu les des passa gers doirenf,
Ar/. 8. - Aucune activité comme rciale ou VII. - DISPOSITIONS PARTI CU LI SRES ava
nt le départ, êt re conduits au ga rag~
industrielle ne peut être exe rcee à l'intérieur
Art.
17.
Le
plan
du
terrain
do
nt
'
"
l'acspêcia
lement réser vé à cet lisage.
de l'aéroport (ou de ses dépendances) sans
cès est règ lementé sera affiché sur les emArt. 7. - Le st ati o nn ement des ca mionsune autorisation spéciale.
placements réser vés à cet effet dans les cite rn es de r avitai ll emen t en ca rburants est
Art. 9. - Les exploitants a utorisés ne bâ timents de l' aéropo rt.
inte rdit en dehors de l'ell ceinte du parc deg,.
pourront employer que des personnels auxArt.
18.
L'arrêté
du
27
décemb
re
1949
pétroliers.
quels une autorisation speciale d'emploi au ra
éte accordée.
est rappor té.
I I. - CONS IGNES RELATIVES
A L A ZONE RESERVEE
Art. 10. Les autorisations spéciales
A rt. 19. - Le présent arrêté et les consi·
d'exploitation p r e\"ues â. l'article 8 ci-dess:ls gnes de l'aéroport de J\brseille-Marig llan c
Art. 8. - Les titres de transport donnanl
sont délivrées par la Chambre de Commerc~ jointes en annexe, seront publi és au Recueil accès à la zone réservée sont, d'une pa!1t,de A\arseille, les auto risations d'emploi pré- des Actes Administratifs de la Préfectu re les billets de passage d élivrés par les en\"ues à l'article 9, et d'accês, pré\'ues l'ar- des Bouches-du-Rhône et affichés dans les t rep rises de transpo r t aérien, d'autre pa rt,
ticle 3, sont délinées par le Ministre des mai ries des communes l imitrophes de l'aéro- les pièces justifiant la qualité de pilote ou
Tra\'aux Publics ou ses délégués, apTeS avis drome.
de membre de l'éq uipage o· al:ronef public
du Min ist re de J'Intérieur ou de Son délégué.
Art. 20. - Le Directeur dépa r l emen tal des ou p rivé en station nement sur l'aéropo rt.
Ces ti tres de tra nspo rt ne donnent accès.:
Se rvices de Police, le Directeur de l'Aé roport
V..- POLICE GENERALE
- en ce qui co nce rn e les voyage ur~, a
Art. Il . - Il est interd it de pénétrer ou Principa l de Marseille, le Commissai re prin- l'occasion d u voyage co rrespondant.' qu aux
de stationner dans J'aéropo rt en état d'ivres- cipal chef de la Police de l' Ai r des Bouches. salles de cont rô le de douane, de police et de
se ou dans une tenue inco n\'e nante ou de du-Rhône, le Receveu r Central des Douanes, santé aux loca ux affectés au trafic de tranle Commandan t du détachement de la Gens'y . livrer à la mendicité.
si t
aux ai res de stati onnement sur leT outes quêtes, toutes sollicitations, toutes da rmerie de l'A ir et le Chef d'Exploitation trajet co ndu isa nt de l'aéroga re à l 'aé ~onef ~
de
la
Chamb
re
de
Commerce
de
Marseille
offres de service, to utes distributi ons d'ob~
en ce qui co ncerne les éq Ulpa ~eS,
jets quelconques ou prospectus sont inter- sont cha rgés, chacu n en ce qui le co ncerne, qu'au x mêmes loca ux , au bu rea u de plste~
de
l'exécution
du
présent
arrêté
do
nt
unt!
dites à J'intérieur de l'aéroport, sauf autoau con"tr ôle l ocal et aux divers burea uX de
r isation spéciale délivrée par le Ministre des ampliation ser a adressée pour informatio n à leur Compag ni e.
.
M. le So us-Préfet d'A ix.
Tra"3ux Publics, des Transports et du T ouArt.
9.
Les
ca
rtes
individuell
es
de
clri
Fait à Marseille, l e 23 juin 1952.
r isme ou l'autor ité dûment déléguée à ce t
cul ation ne peu vent être que des modèleS
effet.
Le Préfet :
et 2 défi nis pa r l a ci rculaire 244, DBA dI~
Les jeux d'a rgen t de toute nature y sont 1
R. PAl RA.
14 janvier 1952. Elles so nt délivrees
prohibés.
• t: •
Secrétar iat Général à l'
à
et
157
Commerciale. Il n'en est pas délivré loca lement.
- aux usines de la Soci été Nationale de
b) éq uipes de secours avec les engins de
Constructions Aéronautiqu es du Sud-Est au
Art. 10. - Les cartes professionnelles Centre d'Essa is en Vo l, au Centre le Révi- dépannage;
c) Ca rs des passagers,
d'accès ne peuvent ;,tre que des modèles 3 sion de Mari gnane de la Compagnie Airet 4 définis par la circulaire 244 OSA du Fra nce j
dans les co nditions imposées dans chaque
14 janvier 1952. La délivra nce en est faite
cas par le Chef de la Circulation aéri enne et
- Su r les ai res de stationnem ent ;
sur demande écrit e. Elle n'est jamais imdes T élécommunicatio ns, le Commandan t de
- Sur l'aire d'aMerrissage, les pistes et quart, le Chef du Contrôle loca l ou le Chef
médiate.
de Tou r.
Elles sont délivrées ou ret-irées et signées bandes d'envol et les voies de circu latio n,
en vertu d' une déléga tion génét ale et per- est soumis aux rest ri ct ions édictées par les
ar tic les 19 à 22 ci-ap rès.
,Article 23. - Dans toute la Zone résermanente par le .commissaire prin cipal Cher
vee, et en dehors des ai res d' stationnement
du Service de la 'Polioe de l 'Ai r des Bou.
Arl. 19. - L'accès à la Société Nati onale et de l'aire d'atterrissa ge, la ci rculation des
ches-du-Rh ône.
de Co nstruc tion Aéro nautiqu e du Sud-Est au person nes et des véhiCules se fait un iquement
En cas de désaccord el\ltre ce dern ie r, le Centre d'Essais en Vol, au Centre de Révi- sur l es routes, chemins et pistes aménagés à
Directe ur de J'A éropo rt ct l 'In génieur en sio n de Marig nane de la Compagnie Air. ce.t effe t, ,sa uf auto risa tion spéciale, et horChef du Servit:e des Bases aériennes, le dif- France, est subord onné à une autori sation miS l e Cas de secou rs ou dépannage.
fé rend sera soum is po ur décision à M. le spéciale délivrée par ces étahlissem ents ou
Préfet des Bouches-d u·Rhône.
a un visa spéCial sur le ti tre d'accès
la . A.rlicte 24. -- Les embarcations au torisée s
a , Ci rcu ler dans les bassins de la Zone réserZOne réser vée.
Art. 11 . - Les laissez-passer spéciaux ne
vee .ne p~u \'e nt y p~nét re r, y évolue r ou en
peu ve nt ètre que du mod èle 5 défi ni par la
Art. 20. - N'o nt droit d'accès et de ci r- SOr tir qu après aVOI r reçu les co nsignes d u
circul aire 244 DBA du 14 j anvier 1952. Ils cu lati on sur les ai res de stationnement so us che f de la Section Hyd ro de la Chambre dsont délivrés par le Chef de l'Exploitation réser ve de se confo rmer aux instn/ctions Com merce de Ma rsei lle all de SOn délégué . •
en accord avec le Commissai re principal verbales du Chef de l'Exploitation ou de son
.chargé de l a Police de l'A ir, Sur demande délégué, et des agents de la Chambre de III. - C NS IGNES PAllT lCU LIERES AUX
écrite ou demande ve r ba le présentée au Ser- Commerce pn~posés a la police des ai res de
TAXIS, VO ITURES DE LOUAGE, VEH I.
vice d'Accueil et de renseignements dans stationnement, que :
CULES DE TI~ANSPORT EN COMM UN
l'aéroga re.
ArtiCle 25. - Tout exploilant de voit ur~
a) Les passagers munis d'un billet de pasArt. 12. - Les laissez-passe r spéciaux dé- sage, pour les opér atio ns d'emba rquement ~ e ,louage au~o r ~sé à exelcer san acti\ritê sur
f in is à l'a rticle 11 ci-dessus ne perm ettt! l1 t et de débarquement. Ces passagers devront 1 aeroport 'prinCI pal de Marseille-A\ari O"nane
la ci rculation dans la zon e réser vée que être g roupts et accompagnés d'llll a~1e n t de d~v ra obligatoirement munir d' un tax{~n ~ tre
dans ks limites qu' ils precisent. J
l'Ent~eprise de tra nspo rt a~rie l1 a~ant la r.eglementaire les vé hicu les desti nés à statlOn ne.r ha bituell ement Su r cet aeropor t.
Art. 13. - Dans le cas de visites en prop ri été ou la cha rge de l'aéronef, qui en
est
responsable
Article 26. - Il est intenlit aux taxis nOn
g roupe, il pour ra n'être dél ivré qu'u n seul
autorises à ~xercer leur activite Su r l'aérolaissez-passe r spéCia l au chef de groupe. Le
b) Les prop ridaires, commandants de pOTt d'y s~ationner au-ddà uu temps necesJaissez-passer comportera l'i ndi catio n du
nom bre de personnes l'accompag nant. Cha- bord ou m~ll1bres de l'equipage d'aéronets sai re au debarlJucm~nt d~ leurs passagers et
cune de ces I~rso n nes devra êt re munie d'un militaires, publics ou privés, en staiia nne- ~e leurs bagages. Il leur est interdIt de sta~
hanner aux emplacements réser\"t:s aux taxis
ticket de visffe, qui devra être présenté à ment sur l'a~ropo r t j
autorises et d'embarquer d~s passauers sauf
-toute réq uisitio n des agents chargés de la
t'I,
c) Les titulaires de cartes professiollnelles commande spéCiale préalable.
pOlice de l'aéroport.
d'acces modèole n" 3 dans l'exercice de leurs
Article 27. - Les taxis autorises devront
Art. 14. - Les \'isiteurs isoles ou en fonctions j
exc~uslvement stationner en bon ordre au
Jtr0upe sont tenus de se faire constamment
d) Les agents et les véhicules des entre- droIt ~es panneaLL'{ portant l'inscription
accompag ner par un d"$ agents spécialeTa.'{ls
ct dnns les limites de la station.
prises de transport atricn et tks Socie:cs
ment pr éposés à ces visites.
ùistributrices de carburants, titul aires de Let.,r~ con.ducieurs ut\'ront Obtemperer a touArf. 15. - Toute personne munie, ou de- cartes professionnelles cJ'aCl:ès modl?le nU -! te ln,Jo,nttJon des agents charges de la police
mandant la délivra.nce d'un Inissez-pnsser pu ur l 'exerciœ ùt: leurs fonctions j
de 1 aeroport, ayant pour rntSsion d'as~urer
s pécial doit, à son arr ivée sur l'aéroport, se
le bon ordre et la srcllrlt~ Sur J'aêropart En
présenter au Service d'Accueil et de renseie) Le personnel et les \"éhicules des entre- aUCun cas, leur usag-e ne devra lonstituer
gnements dans l'aérogare. Il en cst de ml'mc prises de transports rOu liers d des auxÎ- UUf gtne il la cin.:ulation des autres vehicules
des ':isiteu rs.
liair~s du transport aérien, titlliaires d'un utilis3ieur::; tle l'aeruport.
Lës chauffeurs
Arf. 16. - Sont chargés de ln police de titre d'aLcès à la zone rcservée, et SOllS la prendront rang Sur la station au fur et à
l'aêroport et ont qualité pOlir se raire pre- LomIunt' et la responsa bi liit! d.'uli agent de meSure lie Ie-ur arri\'~e d cOlls\!r\'Crùnt ce
senter les titres d·accès ;l la lont! rês;;,rvêe, l'Entreprise de Transpor a':rien ayant la rall""~ jusqu 'au moment où l'usager reclameproprieté ou la t"harge de j aerond ~n sta- ra leurs sen"iœs.
les a~ents t'Ï-dessolls :
tionnenh.~nt ;
Article ~S. - Il est inkrdit aux chaufrl:urs
a) Le Uirecteur de l'Aüoport, le Commissain.~ printipal Chef Lie la Polke ùe l'Air
f) Les Ùluipl:s ùe S~CUlirs et de dépan- tles voilures de ~ralldc remise et ~ transports en I.:ommun de faire stationner, ml'me
des BJuches-du-Hh6nc ct les fOJlctionnaires na.;,:e.
momen,an0ment, leurs \'oitun:s sur les emde la Sûreté Nation,le (Police de l'Air) ;
taxis . ,\u Las
b) Les personnels des Corps de la NaviArtidl! 21.
En exploitation normale, placements n:''"St.'rn's au:...
gation aérienne ;
n'ont Jccb à l'nin.~ Li',U<..'rrissage, aux pist~s où leurs n:"hicules seraient Lomlll.!mk~, et
c) Les personne.ls de la Gendarmerie dc et bandes ù'envol. aux 'Oies Lie clrl:Ula,ion, dans l'attente de leurs dients, ils deHont les
l'Air;
"LJ UC ks ag~nts pt n~h;cllies char!.;~s de I~I faire stationner sur l't.:mplac .lent ~tr.ribue
d) Les persol1nds des Douanes ;
s:!T\'cill.1nce i!t lie l'er.trcticn ~t 'es a~ents aux voitures parti\.ulll:rt:s"
c) Les a,yents et gardi~ns assermenh.'s de ~Î \'thil·nles (har j.:~s ùu r;:morquJge lies
Arfide 29. - Le racola!!!.: des \'OY3QCUrs
la Chall1br~ de Commerce de I\\arseille.
a~rol1cis
tians J'enceinte de l'Aéroport, ou l'utilisation
à
Ces p~rsollnels de ,·ëhiL'Llks se ront Illunis
Art. 17. - Les titres d'accès à la zone
r éser vée, énum ér ês aux articles 9, 10 et Il
- <1..: jour: d'un fanion rou ge,
ci-dess us, donnent le droit de ci rclil er OJIlS
- de nuit : d\! deux feux rouges.
l a ZOne réservée, mais ne do nnent pas, par
e~lx-n~f! rn es et sauf mention spêciale, le droit
Article 22. - En cas d'incitlent ou d'acd acces à l'i ntérie ll r des bMlments et instal- ciden, sont autorisés à circu:er dans cette-..
l ations, sauf rai son de service.
partie de la zone réservée les personnels et
Arl. 18. - L'accès des personnes et des véhicules ci--<lessotls :
·véhlcules munis d' un des tit res d'accès vises
a) titulaires de cartes
ar ''''l p, 9, 10 et Il ci-dessus :
par les chauffeurs de voitures publiques d'lIn
uu plusicurs q, rabat ,eurs » Sont interùits.
Article 30. - fi est interdit 'l.ll~ chauffeu rs
de quitter leurs voitures en stationnement,
de SI:' reunir t'n groupe sur l':t station. Il leu r
est enjoint d'~tre correctement \'~lUS.
Article 3 1 - Les
pulliques admis sur l' ""èronorl
liter aux
�158
159
Article 32. - Les chauffeurs ne pourront let des presentes consignes parliculièros, le
exiger des pourboires ni des prix supérieurs D;recteur de ".Aéroport 'principal de Marà ceux fixés par les tarifs en ,igueur mar- s~~ le peut I~Ontr en conference toutes autoqués au compteur.
ntes de police compéten tes en v,ue de pro
Artide 33. _ L'accès des divers locaux de poser au Préfet toutes mes"res uhles. .
l'absence du Chef de Division, télégrammes
en cas d'extrême urgence, correspondances
ne comportant ni déc.isions, ni instructioos
genérales, cmes grises, permjs de conduire
~
-certificats de non-gage.
ART. 2. -- M. le Secrétaire Géné<'al des
i'Aero-gare réservés aux \"oyage:u.rs et aux
Article ,41. - ~~ présentes . conslgne~
b~"B0es. des aires de stationnement, de IJap- pourront etre moctifiees ou completées par II! BOl"ohes-du-Rhône et M. le T résorier-Payeur
pont:mentz est ~O'()ureusement interdit aux Oirectwr de r Aéroport, ou ,te Chef de l'E x- Généra l sont chargés, ohacu n en Ce qui le
chauffeurs, lesquels ne denont pas se subs- ploit.tion, selon l~ modalités et dans .\es concerne, d'assurer l'exécution <tu présent
tM"uer aux bagagistes pour ie pott des baga- formes prévu~s. a 1arhde 15, pa:a ~ rap nes arrett qui sera publié au Recueil des Actes
ges de leurs clients.
2 et 3 de l'arrete préfectoral du 28 JUin 1952. A<iministratifs d u DÔIlartement.
Marseille, le 28 jl lillet 1952.
IV _ PREVENTION ET LUTTE
Article 42. --:- Les présentes consignes c!
.
CONTRE L' INCENDIE
leurs modIficatifs eventuels sont t~nues ~ la
Le Préfet,
diSpOSItion du public au Senrlce d Aocueu ct
R. PA IRA.
Article 34. - Il est interdit:
de R"nseignements de l'Aér<lport.
a)
de fumer aux abords et à l'intérieur
Approuve.
des aéronefs,
b} de fwne r à l'intérieur des hangars,
c) de mettre ou de ro nsen-er en marche
le ou {es moteurs en rou te sous les hangars,
cf) d'effectuer des mouvements d'aéro-
------- <>0 0<>-------
nefs à l'aide de ou des moteurs de l'aéronef à l'intérieur des hangars,
e} de garer des véhicules de :ous o rdres
à l'intérieur des hangars réservés aux aéro-
05 B3
AG 0
DELEGATION DE SIGNATURE
ARRETE
nefs,
n
-------<. 00«>'-------
Marseil"', Je 28 juin 1952.
L e Préfet des BOllches-du-RItô",
René PAl RA.
Le Préfet des Bouahes-du-Rhône,
d'allumer des feux, d' utiliser des appa·
a Hamme
Officier de la IL égion d' Honneur,
nue (lampes à souder. chalumeaux. etc ... ) à l'intérieur ou à proximité des
Vu le décret n" 50-722 du 24 juin 1950
aéronefs, des hangars d'aéronefs, des dépôts r~atif à la délégation des pouvoirs pr<lpres
de stockage de matières infiammabJes et no- aux Préfets, Sous-Préfets et Secrétaires Gétamment pres des dépôts de carburants et
reils
lubrifiants,
g} de laisser subsister des
néraux de Préfochlfe ;
moyens
Vu l'arrêté -préfectoraJ en date du 20 Node vembre 1951 portant délégation de signature
02 B3
AG 1
INDEMN ITES DE FONCTIONS
AUX MAIRES ET ADJOINTS
r ai l'hon.neur de porter à la connaissance
de MM, les Maires <lu Département le texte
d;, la loi n' 52-883 d u 24 juillet 1952, portant détermination et codiilcatio n des règles
fix.ant les indemnités a'Ccordée.:s aux titulaires
de œJ taines fonctions munj(:ipales et départementales.
Pou~ le Préfet et par délégati on,
Le Seceetaire Géneral,
~\axime MIGNON.
L oi n " 52-883 da 24 juillet 1952 portant déferminafi.on ef codification des règles
fixant les indem nit és accordées aux filufaires de cer/aUles fonctions mUnicipales tl
chauffage dans les locaux après le départ e.n faveur de M. Lods, Chei de la 5me Drvides occupants.
SIon ;
départemeniales (J).
Article 35. - Toute personne découv rant
Vu l'a rrêté prefectoral en date d u 19 Mars I<j
al Offi 'eI d ?5 j li t 1952
ge 7515)
ourn
CI
u Ul e
, pa
un danger d'incendie est tenue de crier c Au J 952 portant mutation de \.M. Padov ani Paul,
feu> et d'avertir immédiatement le premier Atta ché ide Prelecture de classe exceptionL'Assemblée nalionale et le ~nseil ~. 1.
agent de l'Aéropo rt, de la Chambre de Com- nel!e, Chef . de Bu rea u de la 4me Division il
merce de l\\arseille ou d' une Compagnte
aérienne qu'elle rencontrera et qui décl enchera fexocution des consignes d'incendie de
la !)me DlVlS1on,. 2me BUfea~ ;
République ont ,!lêlfbéré,
L ' Assemblée national e a adopté,
Vu les nécessItes du servIce ;
SUI" la p roposiuon de M. le Secrétaire
Le Pr<'sident de la Républi que promulgue
la loi 'dont la teneur sUlt :
l'Aéroport.
ARTICLE PRE..\HER. _ Les indemnités maxiGénéral des Bouc.hes-du-tRhône,
Article 36. - En cas d 'incendie, toute perARRETE :
ma J'our l'exencice etfecti.i des f() n.c tion; de
sonne se trouvant sur l'Aéroport est tenue
ARTIClE PREMIER. 11\1 . Padovani Paul, maire et adjoint des communes, de president
d'exêcu te r sans délai les instructions des
Attaché de Pni.fecture, Chef du 2me Bureau et membre de delègations spéCiales laisa nt
agents du Service de Sécurité.
de la 5me Divjsion, est dé4égué pou... si.gner fonction d'adjoint, de mem bres de certains
V. - POLICE GENERALE
en notr~ nom, pour les affakr"es relevan t de Conseils Municipaux et d~ Conseiller Géneral
Artiete 37. - Le pacage, le fauchage, la son bureau, les bordereaux, r écépissés, Con- tie la. Seine sont fixbes par réféore rn:e aux
culture, la cueiHette des fruits et des fleurs vocations, transmisstons de pièces, nOfi.trca-1 indices de l'échelle des tra itements de la
sont interdits sur l' Aéroport, sauf ConcesstOn tions à particuliers, demandes .rtrenqu Hes ou ionction publique, conformément au t at>'eau
-de renseignements, copies conformes et, en
régu1iêre.
Ar/icte 38. -
Sont inte rdits dans la totalité de l'Aémport :
a) L' accès et le séjour des bestiaux de
toute na tuTe y compris les bêtes de trait, de
charge ou de monture {article 70 de la loi
du 31 mai 1924}, sauf concession régulière
pré\'ue à l'article 38 ci-dessus,
b) La dh'agation des chiens ; sews les
chiens tenus en laisse seront tolérés ;
c) La chasse sous quelque forme que ce
SOIt,
d) le c camping >,
e) les prises de vues cinématographiques
sauf autorisation écrite_ du Dj recteur de
l'Aéroport ou de son délégué.
Ar/iete 39. - Pour tous renseignements
il est recommandé de s'adresser de préf":
rence au Service d 'accueil et de Renseigne-
ments installé dans l' Aérogare.
VI. - DISPOSITIONS PARTICULIERES
Ar/icle 40. Pour l'organisation des
services d'ordre. permanents ou occasionnels,
sur l'aéroport, et l'application des disposi- 1
•••
leU I!;;:! uv.......
"". v _..
_ ..• •
--_
.• -
suivant:
..
Caté.
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
Il
12
13
Popu lation Municipale
!Moins de 501 ......... . ........ .
De 501 à 1.000 .................. .
De 1.001 il 2.000 ................. ,
De 2.00 1 à 3.0c0 ................. .
De 3.00 1 à 5.000 ..............•...
De 3.001 à 9.000 ......... . . .... .. .
De 9.001 à 15.000 ............... .
De 15.001 à 30.000 ..... . ......... .
De 3O_00 I. à 50.000 .............. ..
tOe 50.00 1 à 80.000 .............. ..
De 80.001 " 120.000 ............ ..
De 120.001 à 150.000 ............. .
Au delà de ) 50.000 ............ . .. .
L yon et lM arseille ...... . . .. ... ... .
Paris. -
Irroemn ités dfs "onse~lers
municipaux ......
Seine. -
......
Indices
Valeur
de
annuelle
actuef1e
rëférences
. . .. . .
,Indemnit<'s Ides conseillers
210
250
270
300
330
380
400
37.500
50.000
ï5.000
120.000
150.000
2311.000
290.000
344.000
422.000
462.000
521.000
581.000
679.000
719.000
200
325.000
25
33
50
BQ
100
150
l,BQ
-
1 DEMNITES
DES ADJOINTS
INDIOMNITES DES MA.IRES
gori es
-=...,. - -
Cœfficient
ad valorem
50 %
50%
50 %
50%
45 0/0
40 %
40%
40 %
40 %
40 %
40 %
40 %
40%
50%
Valeu r
annue\le
ac tuelle
18.750
25.000
37.500
60.000
67.500
95.200
116.()(J{l
137.600
168.800
184.800
208.400
232.400
271.600
3!>Q.SOO
Art. 2. - Les indemnités de fonctions de
maire et adjoints des arrondissements de
Paris sont fixées dans les conditions prévues à l'article 1er et conformément au tableau suivant :
Désig na tion
Indice
de r6férence
Indemnités :
Des maires d'arrondissements ..
Des adjoints ....... .
Valeur
annuelle
art uelle
travaux d' électrification. Des arrêtés préfet-I D2 83
toraux détermineront les
Communes
AG 2
dans
lesquelles les dispositions du présent alinéa CAPITAL - DECES PREVU PAR L'ARso nt app li cables.
TlCLEi 86 IN FINE DE LA LOI Ns 52Art. 9. - L'inùemnité de certains magis432 DU 28 AVRIL 1952 PORTANT
It rats municipaux pourra dépasse r le maxiSTATUT GENERAL DU PERSONNEL
mum prévu, à conditio n que le montant total
DES COMMUNES ET DES ETABLlSde la dépense ne soit pas augmenté.
Sous la même condition, les adjoi nls sup-
SEMENTS PUBLICS COMMUNAUX.
plémentaires pourront bénéficier d'une indemnitl> de fo nctions.
330
230
581.000
383.000
J'ai l~o n.n e l1f de iJ)or ter cbdesso us à b
connaissance de MJM:. les Maires du DéparArf. 10. - Le cum ul de l 'indemnite perçue tement le texte Ide la cinculaire nO 290 AlD/3
juillet 1952 'par laquelle oMo le
par les membres de l'Assemblée nationale en. 'da te du
d u Co nsei l de la I{épublique, de l'Assem b l é~ MiOls~re de llnténcur précise les co nditions
de l'Union française ou de J'Assembl ée AIO'é-- d'a pplication ide l' article 86 du Statut Narienn e, avec les indemnités de maires bOU tionoa l des agents communaux.
d'adjoints, n'est admis qu'à concur rence de
j'att;ce tout particulièrement l'attention
la moitie de ces dernières ; l'a utre moitié de MIM. les ·Maires, dont les age nts sont
pourra être déléguée par le bénéficiaire à soumis à la loi du 28 avril 1952 sur l'inson ou ses suppléants.
térêt que présente la conclusion r~Pide dfun
Arf. Il . - Le cumul de l' indemnité per- 'contrat auprès d'une Société d'Assurances
çue par les membres de l'Assembl ée natio- en vue de la ,c::ouverture d u risque c Capital-
2!
Art. 3. - Les dispositions des arti cles 1er
et 2 sont a pplicables de pl ei n droit dans
toutes les communes pour lesquelles les indemnités prévues par ledit article constit uent
des dépenses obligatoi res.
Arf. 4. - Les conseils muniCipau x des
communes chefs-li eux de département, d'arrond isseme nt et de canton peuvent vote r des
majorations d'i ndemnités s'él evant au maxi mum à 25 % pour Iles magistrats municipaui\
des chefs-lieux de départem ent, à 20 % 'P0lor
ceux des ohefs'llieux d'arrondissement et
15 % pou r ce ux des chefs-lieux de canton
Art. 5. Les conseils municipau x des
communes sinistr ées peuvent vote r des i)"clemnités de fonction s majorées au maximum
d'un pourcentage égal au pourcentage d'immeubles sinistrés de la commune. Ce supplëment d'i ndem nité peut se cumuler, le cas
échéant, avec les majorations prévues à l'article 4 mais il doit être calculé d'après le
~on.ta~t de l'i nd em nité tel qu'il est fixé par
1 artIcle 1er.
Arf. 6. - Dans la région parisienne, les
conseils municipau x des communes de plus
de 2.500 habitants, situées dans la première
zone de salaires, peuvent voter dés indemnités de fonctions dans les limites correspondant à l 'échelon immédiatement supéri eur à
celui de leur population, t'e l qu'il résulte du
tableau figurant à l'article 1er.
La même faculté est acco rdée aux conseIls
municipaux des com munes suburbaines à
caractère industriel des vi lles de plus ùe
120.000 hab itants.
Art. 7. - Dans les vi ll es de plus de
400.000 habitan ts, autres que Paris, les conconse ils mun icipaux peu vent vote r des indemnités de fonctions aux co nseill ers municipaux
autres que le maire et les adjoints dans la
limite des deux tiers du montant de l 'i ndemni té accordée aux membres du Conseil Muni ci pal de Paris.
a
nale, du ConseÎI de la Répu blique o u de l'As- Décès ' .
POUT le Pré let et pa r Déléga ti on,
Le Secrétaire Général :
Maxime MIGNON .
semblée de l' Union françaIse avec les i ndemnités . de fonctions de conseiller général de
l a SeIne ou de conseiller municipal de Par's
n'est autor isé qu'à co ncurrence de la moi ti'::
de ces dernières.
Art. 12. - Les frais de missio n exposts
p.a r les maires, co nseillers municipau x, pré·
sldents et membres de délégations spéciales/
dans l'accomplissement de mandats spéciaux
peuye~t être rembou rsés ~o r f.a itr~f!le~t dans
I~. lmllte du mO,ntant des Indemnlte~ Jou~nalIeres allouées a cet eHet a ux fonct IonnaI res
1 cie l'Etat ap~artenant au gro upe 1.
1
Les dtpenses de transports effectuées dans
l'accom plissement de ~~s mi,ssions sont re~-l
bou rsees su r présentation d un état de fraIs. ·
Arf. 13. _ Il peut être alloué au Prési.
dent du Co nseil Généra l de la Seine une m3joration po ur frais supplémentaires de rep résentation.
Art. J 4. - Les membres du Conseil Général de la Seine qui ne bénéficient pas des
allocations familiales et de l'allocation de
salaire unique à raison de leur profeSSio n,
percev ront cel les-ci dans les condit ions prévues par le décret du 29 juillet 1939 et par
la loi va lid ée du 6 juillet 1943.
Art. 15. -
La présente loi est applicable
aux départements du Haut-Rhin, du BasRhin et de la Moselle, ainsi qu'à l'Algérie.
Art. 16. - Sont ou demeurent ab rogés les
articles 2, 3, 4 et 5 de l'ordonnance numéro
•••
Cinculai re n' 290 ADj3
~I
juillet 1952.
Le J\'tinistre de l'Intérieur,
à MIN\. les Pré-fets de la Métropole,
J..'article 86, alinéa dernier, de la loi nn 52432 du 28 avril 1952 portant statut génttal
du personn el des communes et des établissements publics communaux: clispose que
« les veuves et orp helins mineurs des
age ~ts soumis au .présent statut décédés en
servIce auront droit au pai ement du capita ld~ès préyu par le régim~ de ?ecurité Socl.ale applicable aux fonctIOnnaires. Ce capltal-;décès est caleu.lé ~ur le mo~ta~t des
appomtements soumiS a retenue a t excluSIo n de tout supplément :» .
Cette disposition doit recevoir application
dès la date d'effet de la loi et peut avoir
des répercussions Jmportantes pour les btldgets des petites co mmun es. Pour cette raison, il m'a semblé indispensa'ble -die VOliS
donner les indicatio ns nécessaires.
Le <:apital-décès visé à l'article 86 de la
loi est celui Iprév u en naveu r de ionctionnaires de l'Etat par le décret du 20 octobre 1947, mOld!ifié, sous réserve qu'il n'est
attribué qu'à une
catégorie restreinte de
bénéficiaire (veuves et orphelins mineurs de
45-260 d u 21 févrie r 1945, les ordonnances l'agent <1écédé).
Dans les communes de plus de 120.000 numéros 45-2399 et 45-2400 du 18 octob re
Rappelons que dans l'état actuel des texhabitants;-Ies conse ils municipaux so nt auto· 1945 et les texites qui l es ont modifiés, ainsi tes (décret '<iu 2 mars 1951, relam au rérises à vote r des indemnités de fonction'i que les articles 1er el 2 de la loi n' 5 1-117 gime de Sécurité Sociale ides agents per-
aux conseillers municipaux: de certai nes
fonctions ou missions particulières.
. Art. 8. ~ Les co nseils municipaux des
VIlles classées stations hyd rominérales, climatiq ues, balnéaires, touristiques ou uvales
peuve nt majorer les indemn.ités prévues au
tableau figurant à l'a rticl e 1er dans la limite
de 50 % pour les communes dont la population municipale totale est inféri eure à 5.000
habitan~s et cie 125 % pour celles dont la
population municipale totale est supéri eure à
ce chiffre.
La même faculté est accordée aux conseils
,:,unicipaux des communes dont la pop ulatIon, depuis
l e recensement de 1946, a auO"•
.
men té a I ~ suite de la mise en route de tra-
du 2 1 septembre 1951.
manents des départements, des co mmunes
et de leurs établissements :publi CS n'aya nt
Art. 17. - La présente loi a ura effet a pas le caractère industriel et co mmercial et
compter du 10 seplembre 195 1.
j nstru ctions ministéri elles du 6 août 195 1
La présente loi se ra ex écutée com me loi publiée au ].0. <lu 15 août), les ayants-droit
de l'Etat.
cres agents décédés des collectirites locales
Fait à Paris, le 24 juillet 1952.
Vincent AURIOL.
Par Je Présiùent de la
I~épublique
Le Président dll Conseil
des Ministres, Mini~fre des Finances
et des Affaires Economiques
Antoine PINAY.
peuvent déjà bénéficier de ce capitaJ- décès,
à condition que l a .collectivité dont relevait
l'agent en cause ait décidé expressément de
leur accorder cet avantage.
L'article BD de la loi innove ~n ce sens
que, dans l es conditions et limi tes ci-desSOllS définjes, les veuves et ol'lphelins mi-
neurs des
bénéficient
soumis au statut
du c..)it,~-dléc,ès
�100
A _
.
161
Champ <l'application de l'article 86 de 1 engagement lIans les ar mées frança ises et
la loi du 28 avril 1952.
les organisatio ns <le ta résistance ou I11 ter..
.
l'
b' <fi .
nement consécutif à des actes de résista nce.
Les conditions a -remp'f pour
enC' ca.er
de l'attribution automatique <tu capitatdécès au taux majoré sont les suivantes :
t. _ Contlitions résultant de la situation de
l'agent .recédé.
a) CetuKi doit être soumis au statut gépéral, c'est-à-<lire avoir 1ait l'abjet d'une
décision individuelle de titulansatio n et
occuper un emploi. à temps comiPlet comportant un service d'au ,moins 45 heures de
travail hebdomadaire. ~
Par ailleurs, il est à noter que la loi ne
s'applique pas aux personnels régis par il.es
dispositions législatives et règlementaires
particulières Eonstituant un statut ~opre
(agents des hôpitaux et hospices !\>Ubl.cs et
des caisses de crédit municipal).
D'autre part, cie mê me que le décret du
2 mars 1951 précité, le statut ne s'applique
pas aux. auxiliaires et contractuels.
.
Enfin, la loi du 28 avril 1952 rie vlse m
les personnels d es départements, m ceux
des établissements publics départementau x.
b) 11 faut que l'agent ait été « en s ervice » au mom.e:nt de son décès, (:'est-à-dire
se trouve dans l'une des positions prévues
par la circulaire intenninistérielle d'U 17 avril
1948 - 3e section - IV - A l ' - Uournal
Officiel du 18 avril 1948).
.c) Au moment d'f son dé cès, l'agent doit
être àgé cire moins de 00 ans. Au de~; de
~et àge, il ne donne droit il ses ayantsdroit qu'au c «pital-<iécès prévu par le rêgime général de la Sécurité Sociale.
U y a lieu de souligner, ellfin. que le .régime de Sécurité Sociale appli~able au personnel de la collectivité auquel appartenait
l'intéressé est sans irdluence sur l'attribution dudit capital-<1'écés aux veu·v es et orphelins minll!urs de ce dernier.
Ceux-ci pourront b énéficier de cet avantage a10"5 même que leur de cujus serai t
d'une part, affilié au regime .général de la
Sécurité Sociale p ou r tous les risques s auf
Je risque v1einesse et, d'autre part, tributaire de la Caisse Nationale de Retranes
d ... agents des collectivités locales.
B. - Calcul du capital-décès.
Le ca",tal-dérès visé à l'article 86 de la
loi. du 28 avril 1952 éta·nt <celu i p révu 'Par
le régime de Sécurité Sociale applicab le aux
fonctioo naires de l'Etat, son mo ntant d'Oit
être égal à celui fixé 'Par l'article 8 d u œcret du 20 octobre 1947 modiiié et les instructions pl1ises pour so n applicatio n (oit":
.culaire du 9 septe mbre 1948 'pllbliée au JO.
dll 15 sep tembre 1948 et ci rcu laire du
25 avr-i1 1950 puoLiée a u J.O. iCI'u 19 mai
1950).
C. _ Caractère du capital-déCès.
Ainsi qu'il est rappelé plus haut, le eapiprév u '-par le stat ut géneral pré,
sente le caractère obligatoire et doit ê tre
versé, sans défai, aux veuves et orphelins
mineurs de l'agent déCédé par la collectivité
dont relevait ce demier,
Par ailleurs, le bénéfice des tlislOositio ns
de J'article S6 du statut général concernant
le capital-<1éCès \peut être revendiqué dès la
date de prom ulgation de la 10 1, à condit·iem,
bien entendu, que le décès ouvra nt droit
;lU capital-décès ne soit pas lui-même antérie ur â cette date.
1
Or, il ne bit aucun doute que la c harg e
résulta nt pour les fin an ces local es d'u p aiement du capitaJ"décès au taux majoré .peut
être lourde e n ce qui concerne surtout les
moyennes et petites communes.
Pour ces motifs, J'estime ind iSIPensable
que vous insist,iez tout particuli èrement a uprèis des maires sur l'intérêt q.u 'ont leurs
communes de SO-assurer aussitôt que possible auprès à ' une société d'assura nces Ide
leur choix pour la couverture du risque
« capital-<lécès • .
Je vous raru>e11e à ce sujet que les oblIgations résultanf du contrat pour l'assureur
.doivent, dans tous les cas. être stipulées au
profit d e Je fCoUectivité ell~mem e, et non
au profit des ayants-droit des agents.
Dans le cas où les 31gents :perma nents
d'u ne collectiv ité sont soumis au régime
gÊ'néra l .des Assuran ces Sociales 'pour le risque ,d'é cés, les ayants..dr oit ne perçoivent
le capital p n!:vu par la loi du 28 a vril 1952
Q~e sous déduction de celui qu'ils reçoi.vent rd e ,la Carsse Primaire de Sécurité So,cime.
ta~écès
li . - Conmtions tirées du fait des ayantsdroit.
CellX-ci doiven.t être :
a) La v euve de l'a gent.
Si l'on admettait !à la lettre le terme
c veuve :. , l'épouse séparé-e ode .corps d u de
cujus »Ourrait revendi<juer le bénéii<:e dudit D.
Ayants-droit de l'agent décédé nor.
capital-décès, alors q ue c et a vantage n'est
bénéficiaires des mspositicms <le 1'.,.pas accordé il l'épouse séparé e de COJ1lS du
ticle 8l) in line de la loi du 28 avril
fonctionnaire de fEtat.
1952.
Le lé gislateur n'a yant pas eu l'intentio n
Ne
peu
venf se pré v:!loir des diSpositiOns
d'attribuer un avantage à une ~ atégorie de
personnes qui ne 'Pourraient en bénérficier de l'article 86 in fine de la lo i du 28 av ril
si l'ayant-.cause était un agent ~e "fEtat, on 1952 :
- le veuf de l'agent féminin décédé ;
doit admettre que par c veuve de l'agent >
- les ascendants du de cujus ;
il faut entendre l'épouse non d ivorcée ni
- Jes .enfants recueiJlis p ar le de cuj us
séparée <\'e corps du d éfunt.
à Son foyer ;
b) Les orphelins mineurs <le ragen!.
- tous les ayants-droi'! de l'intêressé
Cette exwessian, par référence à farti.cie 8, § 2 du décret n' 47-2045 du 20 octo- lorsque cehM~i occupe un emploi onécessibre 1947 relatif aux fonctionnaires de l'Etat, tant une du rée hebdom adaüe <i e tra vail s uvise tes enfants Jégitimes, naturels, recon- péri eure il 36 h eures et irefé rieure il 45 !h.
nus et ado)ltifs âgés de moins <le 21 a ns ou
(ICette inferoic tion v,is e, en p arti culi er,
jnfirmes.
tous les a yants -droit d' un ag ent a ffili é il la
La limite d 'âge Id e 21 ans )Jeut être pro- Caisse Nationale <le Ret ra ites des a gents
longée de cinq ans au plus, pour les en- des collectivités locales, bénéffCiaires du réfants dont les études ont été retaJ'dées 'Par gime de SécuTité Sociale a dopté e n faveulf
les événements résultant des hostilités tels de son pers~~ne l , en 3'Pp'lication d u décret
mais do nt l'e mploi nécessl'taï t un e dlI~ e
hebdomadaire oe trava il co mprise entre 36
et 45 ·h eures).
•••
En to ut éta t de cause, les dispositions de
l'article 80 d u Statut généra l ne font Qlas
obstade il l'attribUTIon fac ultative pa r les
collectivitès locales dU'di t ,capita l..d&ès au
taux majoré da ns les condi tions prévues par
le ~écret du 2 ma rs 195 1 et rtnstruction
jnte rm i n ist ér~elle du 6 août .f95 1.
Celui-ci est aacondé par déi15éral1o n soumise â approba ti on :
10 a ux aya nts..ldro it ,.a utres que l a .veuve
et les ollPfnelins mIneurs de tout agent décédé so umis a u statut gé Ilé ra l ;
2' à tous fes ayants- droit d'e tout aoenl
décédé non so um is au Statut ta) agentre.jevant d' une. collecti'vltë' ne re ntrant pas
dans le cha mp d'app lication de la loi \lu
,28 aV'l'il 1952 - départeme n15, hôpitaux et
Jlospkes publics, caisse (d'e crédit munic i~
pal, etc .. . ; b) agent releva nt d' une colleet/vité r entrant dans ,le ;:,hamp d'application
p e la l o~ mais ne consa'C ram pas à- soo
emploi 45 heures de travail a u moins par
semairre).
•••
Ainsi q u' il est t)recisé plus haut, il n'y a
pas lieu pour les collectiNitès <Io nt le perso nnel r elèVe ,du Statut Général de faire
pr en dr~ un e <l.é1ib_
ération expresse ten~nl
il l'a!;JIplica tio n là so n personnel des dil\Positio ns <lie l'arti'Cle 86 de la loi ralat;ves au
capitaP-~cès.
.
,f.r>M, les - àélibérat ions concerna nt le
capital_décès au taux majoré qu i ont iti
prjses avant )'jnf'en' ention die la loi rd.u
28 avri l 1952 reste nt val"ùles.
il..e Nli nistre ae l'Interieur
.Charles BRUNE.
-------< . 00 «'------D2.83
AG 5b
E TAT -CIVIL - TABLES DECENN ALES
11 est rappelé il MM. les Ma ires, conforméme nt aux instructions donn ées par M. le
Garde des Scea ux (R. A. A. num éros 19 et
20 des 10 et 17 mai 195 1) qu' après utilisation po ur l'a nnée 1952 des papiers a~'
an ciens fo rm ats pour re gistres de l'~tat
Civil, ils sont invités à utiliser les ,feLIIlles
du fo rmat noc,ma lisé 0,27 X 0,42, il l'exclusion de to ut autre papier.
En co nséq ue nce, les communes doivent
faire parve nir sOus le timbre : 2e Di vision,
3e Bureau, leur demande de feuill es en format règlementaire à prévoir pour l'anné<
1953.
Pour le P réfet et pa r Délégation,
Le Secrélaire Général
Maxime MIGN ON .
-------c> oo c>------D DS
FS 0
MEDECINS AGREES POUR PRATlQUUEERS
LES EXAMENS RADIOSCOPIQ
EN VUE DE LA 'DELIVRANCE DES
CERTIF ICATS PRENUPTIAUX f T
PRENATAUX.
Par arrêté préfectoral en dat e du 6 jui;
1952, M. le Docteu r COU,RITAS AntOine, .'
place de Strasbourg, il Ma rseille, est auto"sé à pratiquer les e xamens rad iosco piquées en
vue de la délivrance des cer tifica ts pr nUPtiau x et prénat,aux.
Le Direcleur
de
P a r a rrê té préfec tora l en dale du 20 juin
protocole a co nfié a u <ti C ôr ganltlhe 0 6 BI
1952, M . le Docte ur LUMBROSO A. ave nue la Ce
A 0
mission :
des P ins, Les Olives. Marsei lle, est 'a uto ri sé
ARRETE
FIXANT
LE
TAUX
DES
COTIIO de cent ra liser tous renseignements
à pratiq uer les exame ns radioscopiq ues en
SATIONS EN MATIERE D'AlLOCAvue de la d élivr a nce des ce rt ificats 'prénup- concerna nt les entreprises d u Bàtiment I~ur
TIONS
FAMILIALES
AGRICOLES
potentiel et les travaux qu'elles sont ' Sustia ux et p ré nat a ux.
POUR LE DEUX IEME S EMESTRE
ceptib les d'exécute r ;
,
Le DirecteUr Départ emental
1952.
2" t(j·e les classer da ns les différentes actide la Santé :
vitès <l u Bât.iment et de- les q ualifier en
Le Préfet des Bouc hes-<1u-Rhô ne
D r X. ST RENNA.
te na nt compte de leur compéte nce teohni- .
Officier de la Légio n d' Honneur;
------- < .. 00<>- _ _
que, ai nsi que de leurs moye ns en personVu la k>i d u Il mars 1932 sur les allocatio ns fa mili aJes,
D5 BI
TVX 0 " el -et en matéri el ;
3' de porter cette doc um enta ti on il la
Vu le décret-loi du 3 1 mal 1938 t l!mfant
ASSOCIATION SYNDICALE
co nnais~a n ce des ti ers pa.. fous les m oyens il a-n:énager et à compléter Jes -dispositions
AUTORISEE
a pp ropn és et, notamment, 'Par la d'éJjv raoce apJlh.cables a ux allocations fa miliales en
a ux entr eprises Ô/ une pjèce certl'fiee Co n- agriculture,
ARRETE
fo rme faisant apparait re leur qualification
Vu le id'é<: ret du 29 juntet 1939 relanf à
et leur class_mcatio n (certifreat de qualifka- la famiUe et il la iiatalité française
Le Préfet des Bouches-du-Rh6ne
ho n profesSIOn nelle):
- Vu la loi du 22 août 1946 fixa~t le réOfficier de !a Légion d' Honneu;,
Sur le pla b national, les .principaux gime des prestations familiales,
Vu le procés-ve rba l de la réu nio n de l'As-- rouages de l'organisme sont:
Vu les dispositions du chapitre 1er du
semblée q~n~ràle de l' A~sociatiOjl Syndîca1e
décret du 10 Décembre 1946 po rtant
des prop netalr-es du Lotissement < Leï Ro u- Le Comité de perfectionnement préSidé r.èglef!1en~ d' Administration puqlique pour
~e ~ , à Sainte-N\.arguerite, Marsei lle. d uquel par M; Surl eau, Conseiller d'Etat: Ciispec- 1 appltcahon de la loi du 22 Août 1948
Il resulte que cette Association demande sa teu r generaJ des Po nts et Ohaussées . ce susvisé ;
transfor mation enl Association Syndicale C~mi.té <:on~ait cfe toutes les .question~ de
Vu J'arrèté ministériel du 31 Décembre
Auto ri sée ;
prmelpe tnteressant l'objet de l'Association; 1946 relatif aux Comités dépa<te m"nlaux des
- La Commissio n Supérieure oe qualuï prestations fa.mitiaJes agricoles .
Vu l'ar.!ic le six des statuts de cette AssoVu la Joi du 2 Mars 1948 ei nota mment
ciatio n a insi réd igé: « La Commission pour- cation .,devant laquelle sont portès, en derra à toute époque faire toutes demandes de flIere Instance, tO l!S les fitiges indruviaùefs son artic le 2 ;
reco nn ai.ssance et d'autorisation a uprès de conoernant la 'quahfication et la classificaVu la loi du 16 JulDet 1949 et notarnmenot
son article 10 ;
qui il appa r,tiendra, en vue de co nvertJ r la tio n des entrep rises.
présente assoc iation syndica le en sy ndicat
Sur le pla n régional fooctionnen! des
VII l'arrt'té préfectoral du 27 Fév rier 1951
a utorisé. conformément â la loi du 21 juin Commissions régiona:les <le recours.
fixant les condmons d 'activité professronneUe ouvra nr droit à l'attrib ution .des pres1865 • .
. Enfin, sur le plan depar:temental, l' Orga- tations fal111lial es agricoles ;
Vu la loi du 22 j ui llet 1912 su r l'assain isflIsme comprend des sections ~ départemenVu le ~ret du 3 Juin 1952 relatif au
seme nt des voies privées ;
t~es,. <?rganes de contrôle, (('informahon et -égim e des cotisation s dues au x Carsses
ae. liaison, et des ~omntissions d'examen, Mutuelles d'Allocations Familiales Agri'C oles ;
ARRETE
q.u.I
st.atu ent en pref!1~er .resso rt sur la ,qua- , Vu l'arrêté MinIstéri el du 28 Juin 1952
Artiçle premier. - L'Association Syndi- hficauon
et la dassdlc·a uon des entrep ris e5 relatif à 'l'assiette des cotisa tjons dues aux
cale lI bre des propriéta ires du lotissement
Pour 'Votre information, vous trouvere; ·Caiss.es d' AlI ~a t! o ns fa mili ales agricotes par
c Leï Roure " Spi nte "'a rgu e rite, Ma rseill e,
est conve rtie en Associa tion Syndicale Auto- ci-joint une broohUTe relativ e â j'o(.O'anism l certains assuJett Is ;
Jont il s'aO'jt (1).
t>
Vu les circulaires ntirustérieIJes n° '9 et la
risée.
•
0
_
ASM/ 7 du 25 Jamier 1952 ;
Arlicle 2. - U\\. le Secrétaire Généra l de
En ra IS?'.l du grand nombre des eotrepnVu la circulai re ministérieJJe 11 0 61 ASN\j 7
la P r~fecture est cha rgé de l'exéc ution du ses du .B a tll!l e~t et -de leur extrê~~e va~été, du Il Ju in 52 ;
présent arrêté, qui se ra notifi é à M. le Maire 1 Y a mtér<:! a ce que les ~d.m'OIstrat lO m
Vu la ci rcul ai re min is t ~rid l e n" 72 ASNu/ 7
de Ma rseille et inséré au Rec ueil des Actes "t,. notamment, !es collectrvltés. loc'ales du 30 JUln 52 ;
Administratifs.
p U1ss~nt obtcflIr su r ces entrepnses des
Vu les dëc is ions prises par le Comité ,deren~el
gnem€'nts
complets
et
exacts_
à
l'oc.partemental
d es f)d"estations fam iliales a griMa rseil.le, le 29 juiUet 1952.
caSIO n des march és de trav a ux qu elles se coles da ns ses séa nces des 5 Juin et 11 SepPour le Préfet,
proposent de conal ure.
temlxe 195 t .
Le Secrétaire Général
Max im e MI GNON.
-------,•• 00«.-------
D5 BI
TVX 1
ORGANISME
PROFESSIONNE L
DE
QUALI FICATION ET DE CLASS IFICATION DES ENTREPRISES DU
BATIMENT,
Ci rClll aire N il 282
~E.PUBLlQUE
FRANÇAISE
Pans, le I l juilld
1952.
Le ,Minis tre ae 7lniérieur ,
Le Ministre de la ReconstructIo n
et de l' LJ:rIianismê,
à MIM, les Préfets (,\Iétropole)
Le J ourn al Officiel du 2 dé cembre 1949
a .''.ublié le texie d' un profucole entre te
Mlntstre de la -Reconstruct ion ct de l' Urba.~isme et rOr~anism e professionlle l de Al1i\hficabon et d e /Classification d u Bâtim ent
(cc'ns·ti·'tllé so us [a forme d'une assoc iation
Aios; qu 'il est indfqu é dans la c.iJ"ICula ire
5 t-38 du 26 iéYri er 195 1 ad r ess~ par le
J\1.inis tre de la Reco nstru ctio n et de l' UJ'baoisme- j ses ctélfgués, et do nt vo us avez
reç u copie po ur lnfo nn atio n, l'orga nis me de
QuaIifit:atio n et Classiflcahë n procède actu-etlement d. l a mIse en Vlace des sections
départeme nt a les et commissions departementales d' exa men visées ci-ava nt.' Vous p ourrez appo rter votre Concours
aux ré unions orgJ nisées dans ce -but pa r
ledit orga nismt:.
ClaudJl1s ,pETIT.
Charles .BRUNE.
Vu la cJré.ci~ion du Comité dépa rt em enta l
presta tions familial es agricoles p rise da ns
sa séa nce du 9 Ju iUet 1952 ;
A'Pres av is du Co nt rô leur Divisio nn a ire des
Lois Sociales e n Agric ulture;
Sur la p roposition d u Secrétai re GénéraJ,
AiRRETE ;
ARTICLE FRE..\UER . - Les ta u~'.: des cotisations applicables aux différentes catégo ries
d'assu jétis au fi nanceme nt des prestations
familiales agricoles sont fixés comme suit
pour le deux ième se mestre cteJ'a nnée 1952 :
a) Cotisations d ues po ur les ~pJ oita tions
agricoles : 800 % dtl revenu cadast ral réel
par semestre ;
b) Cotisations dues pour les cultures ma( 1) Cette hrochure est éditée par J'organism e professionnel de qualification et oe raîc.hi!res et légumières :
10 Dans les com mu nes dont I~ revenu
classHi-cation du txltiRlen t et des a.ct'fv i'tés
cadastral des t erres de première catégorie
.tl nn exes, 7, rue La P êrouse, Paris (XVI").
est égal ou supéri-e ur à 2JO fra ocs 1 800 % du
revenLi cadastral réei j
2- Dans les au tres Communes : 800 % dU
revenu ca<iast r a~ réel a ff ~te d u coefficient
- - -0 00 <> - - obtenu, pour chaque commun e, en œvisan t
.par le ,.evenu cadastral des 'terres de
�162
1
163
.
A 3 ' vice de la p rotel::lIOn des Vegétaux et la
c) Cotisations dues pour le~ entreprises à 06 BI
justification officielle de ce contrôle' pOur~
production spéciale et le~ artisans n~raux :
ro nt suifire pour autoriser la commercialisa_
DESTRUCTION D'INSECTES
10 <1. d' un salaire 10rfnitalTe él;al .a celuI
tion des bulbes et oigno ns à li eu rs .
NUISIBLES
determinê pour J'assiette des cotlsabons en
Arlicle 7. - En appli catio n de l'arlicle 13
matière d'assur a nces sociales agricoles paT Arrêté permanent, prescrivant la luite
obligatoire contre les mouches et les de l'o rd on nance n" 45.,2.627 du 2 novembre
l'article 3 du Mcret d.u 20 A\nl 1950 ;
anguiUules des bulbes et oignons à 1945, s i un . propriétair~# r efuse d' effectuer la
_ Pour les eJ.e,'eurs de caprins, l'assiette
r
il1i1 te da ns les délais p resc r its et conformé_
fleurs.
est calculée à raison de I j25 d u salaire form ~ nt a ux arrê~ës p ris en la mat ière', il sera
faitaire ;
Le Préfet des Bouches-du-Rhôlle,
priS cont re lUi toutes les mesures permet_
_ Pour les apiculteurs, l' assiette est calOfficier de la Légion d'Ho"n eur,
ta nt d'assllrer à ses frais les luttes telles
culée à raison de deux journé-es de saJai-e
Vu
la
loi du 5 avril 1884 j
9u'~lJ es sont pré~' lIes à cet arti cle, sa ns preforfaitaire par ruche et 'Par a n a"et abatteVu l'o rdonnance n" 45-2.627 du 2 nove m- Juchee des s a nctIOns 'pénales o u ad mini st ra~
ment <ie 10 rudh es à la base ;
_ Pour les a rtis a ns Iruraux travaitlant bre 1945, o rgamsarrt le ServI ce de la Pr~tec- tives po uvant lui l'tre appliquées.
des Vége taux et notamment ses arheles
A t" 1 8
"1 1 S ét'
G'
seuls, le taux des cotisa tio ns est ra ment: il tion
Il ,12 et 13;
r~ce . - lV. e eer ai re
enéral ùe
5 0/, du salaire forfaitaire.
Vu J' a rt icle 2 de l'a rrêté du 1er juillet sur la P refecture, MM .. les SOlls-P réfe ts, M, l' tnd) Cotisations dues po ur les professions la lutte co ntre les parasi tes des cul tures;
,gé.nl ~u r e n Chef,.ln.specteu r d e .Ia C ircO llS~
.connexes 10 o/c des salaires rêels. dans la
Attendu que dans le d épartement les d é- cnp.tlon phytosanJt~.lTe de J\'\ arsedl~, M. l' I~~
limite du plafond pré\'u po ur les cotisations gàts des a ngui llules et mouches sur les cu l- ~él11 eur en C hef, DI.recteu r ~~s Services A gf1~
en mat ière d'assurances sociales agricoles ; tures de b ul bes et o ig nons à fleurs pro\7o- l.:ole~, MM. I~s ~1.alres, offl~lers de Gendar~
c) Cotisations dues par 1.. person nes quent l'anéa nt isseme nt rapide de ces cu l t u~ m~ne, CommlssaJres de Po li ce, Garde~Ch.am_
n'ex.erçant pas une actinté agricolt; ma l.s res, et que cette contamination s'oppose aux petres et t? US Agents d e la F<?rce Publique
oc<:upant néanmoins .de la maÎfl-(J''?!u\'re agn- expor tations de b ulbes à l'ét ra nge r ;
son~ charg.es, cha c u~ en ce 9uI le co nce rne,
cote ailleurs que dans une explOI tatIO n, nOVu l'avis de M. l'In ge ni eu r en Chef, di· d e 1 exécution du present a rreté.
e
t amment pou r l'entretien de jardi ns ou
Ma rseille, le 30 juillet 1952.
parcs attenant à des "illas : 10 % des sa~al ~ recteur des Services Agricoles du Depa rteres reels, dans la limite du plafond prevu ment, et sur la proposit ion de M. l'In genieur
Le Préfet :
pour les cotisations en matière d'assurances en Chef, inspecteur de la Protection des VéRené PA l RA.
géta ux dè la C irco ns criptio n p h ytosa ni taire
sociales agricoles.
-------«»00< >------ART. 2. - Le coefficient (i.e majoration, de Marsei li e ;
Su r la p roposit io n de M. le Sèc. rétai re Gé- 06 B3
tel qu'il est ca~culé à t'article l~ - ca tégori e
CIA 0
B 2" aff€'Cté aux exploitations mj xtes maraî- néral ;
EXPLOSIFS
DE
MINES
ARRETE
chères et de polyculture. sera ré~ u it dans
la mème prapootion que celle eXistant sur
Article premier . Tout le Dépa rteme nt
Par Arrête en date du 10 juill el 1952, M.
la base des unités de main-d'œuv re théori- des Bouches-du~R h ône est déc laré co n tami ~ [sARRA, exp lo itant carri e r à la Roque-d'A n~
que adoptée pour l'ouverture du droit aux né par les Angui llul es des bu lbes et oigno ns théro n, est auto risé à exploiter un dépôt per'Prestations, entre les surfaces de polycultu- à fleu rs (Anguillu lin a Dlpsaci K.) et les m ou ~ m anent de la 3e Ca tégorie, sis à la Roque
;es et l'ensemhle de l'exploitation.
ches des bulbes (Me rodon &tuestris F. - Eu· d'Anthé ro n, lieu dit quartier de Saint-Chris·
ART, 3. - .\\. le Secretaire 'Général de la merus Strigatus Fall - Eumerus Tubercula- top he.
Préfecture, .\\. le Contrôleur des Lois Socia- tus Rond).
La co nte na nce d u dépôt sera de : 50 kilos
les en Agriculture, sont chargés, chacun en
Article 2. - La lutte contre les mouches et en classe 3.
ce qui le concerne, de I"e.xecution du présent
anJuilluJes des bulbes et oignons à fleurs ci•••
arrêté.
dessus désignées est déclarée obligatoire su r
Par Arrêté en datc du 10 IUlllet t952,
Slarsei)le, le 2S Juillet 1952.
.out le territoire du dépa rteme nt.
l'Ent reprise JAUBERT et ~IEJE, bouleva rd
Pour le Prélet,
Foch , à Salon, est autor isée à exploite r un
Article
3.
-Cette
lutte
dev
ra
êt
re
effecLe Secrétaire Général dé légué,
dépôt permanent de la 3e categoriel sis à
t",1e
:
Maxime .\lIGNO..
1" pa r le t rempage des bulbes ava nt la Lan çon, au lie u dit «. Les Roquilles ».
La co ntenance du dépôt sera de : 50 kilos
plantation dans un bain d'eau chaude à
00
en classe 3.
A 3 4-+" C pendant 3 à 4 heures ;
06 BI
2" par le contrôle des plantations penVITICULTURE
Pour le Prefet et par délegation,
dant la \'égétation a,'ec arrachage et inci n é~
IRRIGATION DES VIGNES
Le Chef de Di .. ision
ET FABRICATION DES PIQUETTES ration des bulbes reconnus contami nés, ainsi
M. SAUVAi1Œ.
que ceux d'une zone comprise dans un rayo n
Le Prt/et des [Jollfhes·dll-Rhône
de 0 m. 50 au moins, à parti r des pieds
à MM. les Sous-Préfets,
attei nts. Cette dernière opération deva nt
ALlI. les Maires du Département, être extcutée sous le contrôle désigné il cet
J' ai l'honneur de \ 'OU5 rappeler ci-aprt!s effet j
les dispo itions des articles lOI et 147 du
3" par toute autre méthode jugee efficace
Circulaire concernant plus speufllenu'nt
Code du Vin fixant la dare limite d'irn:!ation par le Service de la Pro:ection des Végetaux.
les Administrations de 1 Etal
d es vignes et règlementant la fabrication des
piquettes :
Ariide 4. - Les operations de contrôle
AC 3
1" L'irri{!3tion des vignes demeure inter- seront pbligatoirement eftecutées par le Ser- 02 B3
dite a dater ùu 15 juillet jusqu'à la date de \'in d~ la Protection des VE:gétaux ou l'Uf}
l'enle\"t!ment de la réco[7e ;
de es délégués officiels, ou tout autre agent ATTRIBUTION DE L'INDEMNITE SPECIALE TEMPORAIRE AUX ANCIENS
2" La fabrication des piquettes est éga- dûment commissionné.
AGENTS DE L'ETAT TFJBUTAIRES
lement interdite en dehors des limites prt:Article 5. - Ne pourront ëtre livrés au
' "Ue'S par le 1er alinéa de l'article 147. En .;ommerce que les bulbes ayant subi le trai~
DE LA CAISSE NATIONALE D'ASSUconsbquences, seuls pourront fabriquer des ternent l' année précedentt! avant plantation
RANCES SUR LA VIE.
piquetets ou des vins de sucre, et unique- et sous contrôle du Service de la Protection
J'ai l'honneu r de porter ci_dessous ~ la
m ent en '"Ue de la consommation familiale et des Vegétaux 'lui délivre ra une attestation.
pa
dom estique, les \'iticulteu rs dont l'ensemble
T outefois, cette attestation ne sera pas connaissa nce de MM. les Maires 011 DCp
d es déclarations de récolte n'accuse pas, exig~e avant le 1er jui n 1954 pour les bul~ tement le texte de la circulaire de l'v\. le r
pour l'année en cours. une production supé- bes destines aux cultures explgitées en vue sident du Conseil, Ministre des Finances, r;6
de la récolte des fleurs et ce rtifiées indem- lati ve a l'application des articles 55 et u'1
r ieure a 100 hectolitres de vin.
Je vous serais obli gé de vou loi r bien ,'eil- nes d'ang:ui llules et parasites dangereu~ pa r de la loi de Finances n" 50-92~ du 8 ao
le Ser vice de la Protection des Végétaux.
1er à l' applicatio n de ces dispositions,
1950. '
Pour le Préfet,
Article 6. P enda n t la période transiPour le Préfet et r 3r déléga tion,
Le S ecrétaire Général délégué: tai re et a"a nt le 1er jui n 1953, le cont r ôle
Le Secrétaire Gh!ér~1 :
d.
•
TEXTES D'INTÉDEr GERE80t
;=
i
1lIlIiIIii~ïiïiilïlIlÎÎïÎ';iïlÎïlÎÏII"II"
"~ÎlÎÏÏI~ÏI.le~~~. . . . . . . . . . . .~~M~a~x~in~l~e~A~\~IG~N~O~N•.
La lettre collective n' 5.020 G du 16 aoGt
1950 du .Départeme nt ~t!s Fina nces, publiée
sous le ti m bre de la Direction de la Co mptabil ité Publique , 5e Burea u, 2e Section
(Pensions) a fixé les modalit és d'application
de l'a rticl e 55 de la Loi de Finances n°
50.928 du 8 août 1950, relative aux dépen·
ses de fo nctionnement des se rvices civi ls
pour l'a nn ée 1950, publiée au jOllrnal Ol/iciel du 12 ao ût 1950, pa ge 8.475. Limitant
son Objet aux dispositio ns de l'artiole 55
cette instru ctio n indiquait que les retraité~
visés pa r l'arti cle 56 d e la loi du 8 août 1950
percev raie nt en attendant l' envoi d'instructions parti culi ères pou r l'appl icatio n de cet
a rti cle, l'i ndemnité spécia le temporaire au x
taux p r é~ l1s all.c h apit r~ 1er, § 1er et § 2.
La presente Inst ru ct io n a pOli r objet de
comp léte r la lettre co ll ective Il '' 5020 G du
16 août 1950, en ce qui co ncern e l' a pplication de l' article 56 de la loi n° 50 - 928 du
~ ao.ût 1950 et d'.i~diql1er, su r tin point pa rtlcuber, les co nd itions d'att rib uti o n de l'indemnité spéciale te mpo ra ire prévue par 'article 55 de la loi .
1 9~, mes services devront êt re saisis, sous
le tl1~lbr(> de la Direction de la Co mptabi lit é
Publique, bureau C4 93 ru e de Rivo li Par is (le!), des cas d~ns iesquels les se ~vices
des prefectures ou les se rvices admi ni stra tifs
des t~rrit~i~es d 'O utre-fy~er estimeraient que
ces d.lsPosltJons trou.ve ra lent leur applicatio n.
Des Inst ru ct io ns se raient donn ées dans chaqu e cas pa rtic uli e r soumis à l' examen de
mon Administration.
pour eette Association de verser une somme
de vin gt cinq mille fr ancs à la Basilique de
N.-D. de la Garde pour la céléb ration de
messes, et une so mme rl.e vi ngt mille fTancs
à la Ville de MarSei lle pour l'entretien du
tombeau de la dé funt e.
Co nformément aux dispositions du décret
du 1er Fév rier 1896, les hériti ers connus ou
in co nnus de feu Eùgénie MEYN IER, son t
vn vltés â pre ndre co nnaissance du testame nt
Il. - Détermination du mOoXimum de l'in- donne.r leu'r Co nsentement à SO n exécution o~
demnité spéciale temporaire rés ultant de p rod.ulre leurs mo ye ns d'oppos itio n dans un
l'appli cation de l'ar/icle 55 de la loi numéro d é ~ a l de trois m ojs Ji dater du jour du présent
aVIs.
50-928 du 8 août 1960.
Marseille, 10'30 Ju ill et 1952.
Po~r répo nd re à des qu est ions posées en
ce qUI concerne la d étermin at io n d u mo nta nt
Pour le Préfet,
~ax in:'um de l'ind emnité s péciale temporaire
pa r auto risation,
a. attT1~u~r...en vertu des di sposi tions du derle Chef de bu rea u,
mer altnea de l' a rticle 55 de la loi du 8 ao ût
J, POUHQUJER,
1950, il est précis qu 'il doit être tenu compte du mont a nt de la rente complémentaire
- - --c>ooc>---servie par J'Etat pou r le ca lcul de ce maxi- 02 B3
mum de l'i nd emnité spéciale tempo ra ire a
VACANCE D'EMPLOI
a ll o uer a ux ret raités. En aucun cas le mo ntant
globa
l
de
la
rente
co
mpl
éme'ntai
re
et
J'ai l' honne ur de !porte r à la con nai ssa nce
1. - Application des ' disposition de IJa r~
tiele 56 de la loi Il ' 50 - 928 du 8 aoat de l' indemni té spéciale te mporai re ne doi t de Ml\-\. les .\I\aires du Départ ement q ue le
excéde r la so mme de 55.(X)() fra ncs.
poste de gar de c h a m ~tre de Meyrargues
1950.
Pour le. Ministre et par d éléga ti o n, sera vaca nt à parti r du 1er Octobre 1952.
Aux termes de l'a rt ic le 56 de la loi nO
Les personnes intéressées pa r cet emploi
50-928 du 8 aolÎt 1950, l'indemnité spéciale
Le DIrecteur de la Comptabilité
devront s'adresse r direc tement à la Mai rie
tempo r ai re, a ll o uée au x age nts visés à l' arPublique,
ticle 55 d e cette lo i, c'es t-à-d ire aux anciens
Po ur le Directeu r de la Co mpabilité de IMEYRARGUES.
age nts de l'Etat tr ibutai res du régi me généPu bli q ue,
Pour le Préfet et pa r délégation,
ra i de la Caisse Natio na le d' Ass ura nces s ur
Le Directeur-Adjoint
Le Secrétaire Général,
la vie ou d'un régi me spécia l de retraites
G IBELIN.
la xime MIGNON.
comporta nt a ffil iatio n à cette Caisse a insi
•
-------c 00«»-----qu' à leu~s veuves, qui ne bénéficie nt, pa r ai l- I
leurs, d a ucu ne pe nsio n o u rente a u titre
102 B3
d' un régime q uelconque de ret raites ou de
1
SERVICE DES SUBSISTANCES
p revoya nce, ne peut êt re inf érieure au mon·
tant de la majo ration prévue par le tit re 1e r '
MILITAIRES DE MARSEILLE
de la loi n' 48-777 d u 4 mai 1943 (fournal 0 4 B2
OffICIel du 5 mai 194 , pa ge 4238), co ncerADJUD ICAT ION RESTREINTE
DON S ET LEGS
na nt la revalorisation de certaines rentes
Une adjudication restreinte aura lieu à
Avis pub/ili etl C.,·éC lftiQII de l'article 3 du dé·
servies par la Caisse Nationale de retraites
vet dl( 1er féi.:rier 18913, dOl/s le but d'i1lv,tt', l'Intendance ,Mi litaire des Subsistances de
pou r la vieillesse .•
I.tos héritiers incolUws dcs testfileurs à prend re Ma rseille, caserne Audéoud bâtiment c R >
L'a r ticle 2 de cette loi fixe le mo nt ant 1O""aisSO/lcc du testalllent, l'II vile de donl/er Promenade de la Corniche,' le ma rdi 9 S~
't"'Il r Co"sClIlClIICllt 011 de prodUire leurs moyenJ
de cette majo rat ion à :
tembre, il 9 heures, pour la fournitu re de
-:- 300 % de la rente actuelle pour celles d'opposition.
pain de t roupe à la ration, djstribution de
Les rl'clomotiOJ/.S Ile SOli' rccc1'ables que dOflJ 'viv res, matériels et combustibles.
qUi ont été const it uees avant le 1er septemlm déh, de trois fIIois à parllr de l'U/st:rfloll
bre 1939,
Les pl aces mises en adjudication sont les
-:- 100 % de la rente ac tu ell e, pOlir ce lles ail « g"Uetln »:
suivantes :
qUI ont êté constituees entre le 1e r septemPar testament olograp he du 24 Aoflt \94'+,
SALON-DE-PROVENCE (B.-du-Rh.).
b re 1939 et le 1er janvi .. 1946.
déposé aux minutes de ,1\\" Deydier, Notaire
A VIUNON (Vaucluse).
à
Marsc;Ue,
62,
rlle
i\\ontgrand,
feu
TlhéoPratiquement, il semble que l'avantage
Péri
ode clu 1er Octobre 1952 au 30 Sepaccordé, pa r l'article 56 de la loi du 8 août do re ARGENCE a légué à di"ers~s œuvres
1950, aux bénéficiaires de l'iudemnité spé- des sommes d'un montant global de trois tembre 1953.
La date extrême de dépot de l'intention de
Cia le tempo rai re de la loi dll 30 mars 1944, cent dix mille francs (310.000 francs).
~e peut, éta nt donné son fa ible mOlltant,
Conformément aux dispositions du déc.-et soumis.sionner. des pièces et du mémoire su r
J?ue.r en faveur de ce rtains agents visés à du 1er Février 18~16, les héritiers connus ou l'Organisation de J'Entreprise est FIxee au
1 arhcle 3 et à l'article 4, 2' de la loi n' 154 inconnus de feu TJléodore ARGENCE, sont 20 Août 1952, avant 18 heures.
du 30 mars 1944, c'est-à-dire d'anciens jnrvités à premJ1re connaissance Ûll testa ment. . ~ou~ les documents se rapportant à l'adr
agents de l'Etat titulaires d'une ren te de la donner relIT consentement à son exécution Judlcatlon sont à consulter il l'Intendance
Caisse Nationale d'Assu rances su r la vie ou produire leurs moyens d'opposition dans susvisée.
Constituée avec participation de l'Etat et qui un délai de trois mois à dater du jour du pré~nt ?btenu la liquid atio n anticipée de leur sent avis.
l e~ ra lte, en app lication de l'artic le 11 de la
Darseille, le 1el' Août-' 952.
lOI du 20 jui llet 1886, en cas de blessures
g raves ou d ' infin1!ités p rémat urées régulière~
Pour le Prefet;
ment co ns tat ées, entraînant une incapaCité
par autorisation,
a?solu e de t ravail et dont l'ind emnité spéLe Chef de hurea u,
Claie tempora ire serait, il compter du 1er
J. POURQUIER.
J an~' l e r 1950, in férieure ail montant de la
* ••
Pour le Préfet et par dHégation .
ma joratio n de la loi du 4 mai 1048, ca lçulée
Par testament o lographe o u 1er Octohre
Le SeO'élairc Gefléral :
d a ns les co ndit ions indiquées ci-dessus.
1939, déposé aux minutes de MO MAUBE,
Maxime r..1.1GNON.
Etant don né le très petit nombre d!agents Notaire il Alarscille, feu Eugenie Jl\EYNlER,
qU I
se
I)i r des dis~ a
l'ensemble de
bien's
fŒuvt+e
Communl'que's-Avl'S
A nnonces ctlvepSeS
a
�REPUBLIQUE FRANÇAISE
21 .t 28 Aoit 1952
DËPARTEMENT DES
Recueil des Actes A_.........~
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit élre adressée
-
,
a
la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIA'l.'ION8
A. P. : Arrêté préfectora l. - C. : Circula ire. - Les lettres 0 et B s ui vies d'un dhi ff re indiq ue nt le Service où Bureau d'origin e.
D. S. T. : Di rectio n des Se rvices T echni que • . - D. D. S. : Direction Départe menta le de la Sa nté. _ D. D. P. : Direc ti on départementale de la Popula ti o n.
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Palles 1
Pag es
AG 13. -
Eval uat ion des domm ages
de g'uerre
a UlX
éll:6ments d'eXiploita -
ti on non agr icol es . ....... ,.. . . . ..
AG 14. Rév isio n des lis tes éle<:tor aies. -
Cil1cu lai r e à MN\. les M ai res
du ctépart<lrn ent ................. .
PO. - Em ploi des h" ut-<parleurs
P 4. - Arrêté en date d u 18 août 1952
abr ogea nt l'article 4 de l'arrêté du
3 ju in , ' 947 su r I les pé~îmètres ,de
165
!pr otec tion autour des débIts de bOlssons . . .... . ................. ,...
SC 7. - Stagies organisés au Cent re
166
d' lnst·r uct io n· d e la Protection civ il e.
166 SC 7. - Médai ll e d'Honneu r des Sa-
i
Palles
peu rs-P ompiers. Promot ion d u
4 décem bre 1952 .................
166
FS O. _ Médecins agréés pour pratique r les examens radioscopiques en
166
v ue de la délivrance des certifL,cats
IpréOluptia ux et prénataux .,.......
166 A 5. -
Fièv re illp hteuse ............
167
167
A 5. -
Fo ires et marchés il bestiaux..
168
ARRËTËS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
AG 13 /profession nel, socia~, culturel ou il un service pubfic doit être, dans le département
EVALU AT IO N DES DOMMAGES DE des Bouches-du- Rhône, réalisé avant le
GUERRE AUX E LEMEN TS D' EX - 1er fév rier 1953, pour les professions suiPLO ITATION NON AGRI CO LE S .
vantes :
QUA,TRŒME TRANC HE
- Commences d'alimentation j
li' I n.génieur en Chef, Dclégllé du ]\·\i.nist re
- Bibliothèques collectives ;
de la Reconstruction et de "Urbanisme pour
- I ndustrie du bois, /ivre l, Machines à
les Dopartements des Bouches-d u-R'hône., !>ois" outillage et accessoires
Gard, Lozère et Vaucluse.
- Briqllete ries, tu.ileries i
Vu les d ispositio ns des a rtides 3, 38, 39,
- Càhlerie ;
40 et 71 de la loi d u 28 octobre 1946 sur
- Papier (industrie du) ;
les Dommages de Guerre,
- Indust rie de, T extiles, livre Il, IndusVu les dispositions des ar ticles 18, Ill, 20 trie de la Laine ;
du décret n' 46-2960 du 3 1 décembre 1946
- I ndustrie des Textiles, livre VII, Texportant règ lement d'Administ r at ion Publ ique tries artificiels,
D5 131
pour l'application de la loi susvisée.
f\... I... ... ..,
... v . . .. ..
Les propridaires des biens visés.
mes Services avant l'expiration du délai cidessus fixé, qu'ils n'entendent pas, soit déposer eux- mêmes la liste des dommages
qu'ils ont subis, soit faire prOCéder par un
Expert de lewr Clhoix il. l'établissement d'nn
rapport et qu'ils laissent par suite, ce soin
il l'Administra tio n,
Art. 5. - Les pi~ces techniques nécessaires là l'e\'aluation des dommages visés ft l'ar_
ticle l, qui n'auront pas été déposées à mon
Service des DO.\il\MGES DE GUERRE ou
confiées il l'initiative de ce det"nier, ayant le
1er Février 1953, seront étab'ies d'office par
des exp~rts agréés, design es par l' Administration.
Ar.!. 2. Le delai du 1er février 1953
Art. G. - Les experts qui seront dt:osignés
n'est valable que pour les biens dont la reco nstitution n'a pas ete déclarée prioritaire, par "Administration pour pr océder aux évales arrêtes de pri oritt2- iixant les délais de luations, seront remunért!s -dans les condirigueur qui . le cas ëchéant, se substituent tions <lu titre III du d~cret n" 50-1 2 du 3
Féwier l,950,
au délai ci-dessus.
Art. 7. - La présente d~cision fera l'objet
Art. 3. - Le;) lisft!s dL's dommages subis,
si l'évaluation approximative en vale ur de la plus grand e diffusion, par insertion
dans le Bull~tin des Actes Atlministratifs du
actuelle est inférieure il deux millions,
Département e-t tdans la presse départemeno u,
tale. par affichage dans les _\\airies et avi5
Les rapports établis pa r des experts agréés, aux groupements de sinistrés et aux Experts
si r évalua tio l1 est sllp~rieure il deux .mi llions,
Marseille, le 18 Juillt! 1952.
Vu mes décisio ns «es 22 septembre 1951, devront en conséquellce, pOnt les biens des
c,1té-rrories
ci
-d
esslls
précisées
et
servant
11.
Signé : R. CALLOUD
8 févr ier 1952 et 14 ma i 1952,
l'ex~cice des pwfessions limitativement énuDéc id,. :
mérées à l'articl e 1er, 0tre dêllosés avant le
---c:.OOC~--A ~ticle premi er. - Le programme d'éva- 1er révrier 1953 il la Délttgatioll Interdépar~u ahon d es éléments d'expJoitatiO'n ~ffectés tementale ~es Bonche.-dn-Rhone, 50, ru e
a un uSéllge industriel, comrnerciaJ, artisanal, Saint-Lazare, ~\\arseil1t!.
Vu les dispositions de l'article 13 du décret n 50- 182 du 3 févrie.r 1950, relatif à
l'inten'ention des Arohite<:tes, Ex,perts et
Tech.niciens dans la r econstitution des biens
endommagés ,par faits de guerre,
Vu l'arrêté de AL le Ministre de la Reconstruction et de l' U rbanisme en date du
5 mai 1950 ,portant délégation à ses DélégUés dC!partementaux pour fixe r le point de
dépar t du délai de six mois, imparti aux
s inistrés pour les d opâts de leur dossier
d'évaJuatiol1e,
Q
1
Art. 4. -
à J'article l, auront la faculté de signifier â
�-
• 166
05 B'
AG 14 1 sent arrêté qui sera inséré au Recueil des tructi~n des cad~~s e.t j 'ai toujours recom_
Ades Administratilfs et Bulle tin des Mames. mande aux muntclpahtés de favoriser da
toute la . ~esure possible le séjour à Pa~:
REVISION DES USTES ELECTORALES
Fait à Marseille, le 13 août 1952.
des staglal1es.
Pour le Préfet,
Circulaire à MM. les Maires
. D'autre pa rt,. con!ormément aux tHsposi.
I..e
Secrétaire
Général Délégué
du Département
hons de ma Circulaire nO 1001 d'u 21 No..
Maxime MIGNON.
vemtJ:re 1946, les candidats à un poste d'of.\1. le Ministre de !"Intérieur dans sa cirficier dans lUl co rps pro fessionnel doivent
-------<:.00<:.------ci
culaire n 301 du
Juillet me signale que
P4 db!~ga to~rement acc0":lplir . ce stage, avant
certaines Mames se
ignent de n-e pas être DI BI
qu Il plusse être procedé a leur Ilomination.
iniormées od~ la r éception des doc uments
ARRETE
EN
DATE
DU
18
AOUT
1952,
Je vou~ pri e dO ll c de vo uloir bien inviter
qu 'elles transmettent aux Directions RégioABROGEANT L'ART. 4 DE t ' ARRETE les muniCipalités à renoncer à cet errement
nales de !"I .N.S.E.E. PoU[ l'exercice du ConDU 3 JUIN 1947 SUR LES PERIME- qui va à l'enco:nt,r e -des instru.ctio ns .rela tives
trôle Electoral.
TRES DE PROTECTION AU~OUR au Cen.tle et risque Jdle décourager les CanOr cette information l(ies Ll\1.a.ires serait
didats désireux de profietr d'un enseiO'nement
DES DEBITS DE BOISSONS.
assurée sans. difficultë si ohaque envoi de
dont 'bénéficient en défi nitive, l' ense':;ble d..
ARRETE
documents étai t effectué sous bo.rder,eau mooo llec tiv it és.
dèle 7 comme il est prescri t pa r l'article 127
Le Prefet des How:hes-dl1-Rhône,
VOLIS 'voud;r ez bien cependant pr~c iser aux
de la circulaire oodifica tive n O 414 d'u 30
Officier de l a L égion d' Honneur,
Maires qu' il leur appartient, en ac-cord avec
Noyembre 19-19 de M . le ~\inistre de l'InteVu l 'arrêté préfectoral du 3 juin 1947 re- l'i.nspe oteur départemental <Pes Ser vices ,d'in.
rieur.
latif aux distances à obsefJver pour l'ex.ploi-
Ces boroereau..~J qui peuvent etre recla més taticm des débi ts de boissons ;
aux Di rections Rëgionales, comporten t en
Considérant que la loi du 22 mars 1942
effet deux " olets dont l' un est reto urné à la dio;pose qu'il al1partient aux préfets se uls de
Mairie pour ser\'!r d'a cusé de reception.
détenmmer l-es distances dont il s'a.,git,
j'ai don-c l'honneur de vous prier de vou-
Arrête :
loi r bien, le cas échéant. rappeler ces pres·
criptions à votre secrétariat. leur respect
ce ndie, d'éohelonner l'envoi au Centre de
leurs ca nd idats, compte-tenu des possibilités
d'u servi.ce, dre.s vacances éventuelles à pour·
v,oir, de la manière die sel'1v ir et de l'intérêt
que les postulants po ur.raient retih"er <f:e cet
enseignement.
P o ur le J"' inistre et par délégation,
Article premier. - Le second alinéa de
l' Inspecteur Gén éral de l'Administralion
étant seul susceptible de rendre efficace le l'a rticle 4 de l'a rrête préfectoral du 3 juin chargé du Ser vice National de la Protection
Civ ile,
co ntrôle et de faciliter la tâche <le l' I.N.S.E.E. 1947 précité est ab rogé.
A. PELABON.
Art. 2. -- M. le Secrétaire Gé néral des
En outre je crois devoi r préciser que vous
Bouches-du'R-hôn"" M. le Directeur Dépardevez vei ller à ce que soit transmis à la
-------0. 00 •• ------",mental des Services de Police, MM. les
Direction Régi<>nale de Marseille, 134, bo uSous-P.réfels d'Aix et d ' Arles, "-'v... les Maires 02 B3
SC 7
levard !Michelet, un bord erea u < néa nt :. lorssont chargés, chacun en ce qui le iConœrne,
'Qu' un -docume nt ne doit lui être a<lressé à
MEDAILLE
D
'
HONNEUR
de l'exécution du !pJése.nt arrêté qui sera
l'issue de la révision et que les accusés e
DES SAPEURS POMPIERS
insêré au Bulletin Administratif des Mairies.
réception que vous recevez d e l' I.N.S.E.E.
soient tenus il. la disposition de la Commission Administrative chargée du co ntrôôle des
modificat:ons à apporter à la liste élec torale.
1
Ma rseille, le 18 août 1952.
Pour le Préfet,
U Se crétaire Général Délégué
Maxime MIGNO
Marseille, le 1er Août 1952.
-------<' oc <,-------
Pou r le Préfet et par dél égatio n,
Le Secrétai re Général,
Maxime .\IlGNON.
------- <)00<:. - - - - - -
DI BI
P 0
EMPLOI DES HAUT-PARLEURS
ARR ETE
Le Prefet des Bou ches-d~- Rhône
Officier de la Légion d' Honneu r:
Vu notre arrêté du 9 janvier 195 1 règlementant l'emploi <des
\'o ie publique ;
haut-parleurs Sur la
p~ ~leurs sont ,placés dans un lieu pr ivé mais
telle faç<>n
STAGES ORGANISES AU CENTRE
D'INSTRUCTION DE LA PROTECTION
CIVILE
que les émissions
peuvent être entendues de la voie publique,
Arrête :
Article premier. -- L'article 2 de notre
1 J'ai l"honneur de .porter ci-dessous à la
con naissa nce ,de M.M. les Ma ires du Dôpartement, le texte de la circu laire ministérielle
n° 3?...3 du 12 aoAt 1952, relative à la constitution d-es dossiers .pour l'attribution de la
Médaille d' Honneur des S ape ms1Pompiers.
Pou r p ermettre l'el1lvoi d'es dossiers il la
date p réV'<l~, MM. les Mai res SOllt priés de
vou lo i r b ien (les faire panvenir avant le
10 SElptembr" 1952 (délai d·e .ri gue ur) " la
J'ai I\!tonneur <te porter .ci-<!esso us à la P,réfecture sous le ü mlbre : 2e Division connaissance de M!N\ . les IMaires d'u Dépar- 3e Bu reau.
te ment le texte de la drculair e ministérielle
Pour le P réfet,
n' 318 du 13 Août 1952 relative aux faciU SOlls-Préfet , Directeur dll Cabinel :
lités qui doivent être accordées aux sapeursRLETTNER .
pompiers désireu x d'effectuer un stage au
Centre d'Instruction \ie la Protection Civile.
Pour le Préfet,
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabinel :
PLETINER.
Considéran t que f réquemment des haut-
dlngés de
02 B3
Promotion du 4 Décembre 1952
•••
P aris, le 13 Août 1952.
Le Sous-Préfet, Directeur <lu CaDmet,
Le Ministre <le l '~nt~rieur,
.il ,MM. les Préfets (lMétropole).
Il m' a été signalé Ique des sapeurs-pom-
arrêté du 9 janvier 195 1 est complété ai nsi piers profession nels désireux d' effectuer un
stage au Centre d' Instruction de la Plrotecq u'il suit :
tion Cwile .en qualité de « candidats offi'Son t également in terdites les instaMations ciers » avaient été mis dans l'obligation
de haut,parleurs 'lu\. placés da ns un li eu d'imputer Sur leur con gé an nu el la pér iode
privé, sont dirigés <le telle façon qu'ils dif- consacrée au stage.
.
fusent leurs émissions sur la voie publique.
Je vous serais obligé de vouk>i.r h ien attiArt. 2. -- M. le Directeur Départemental rer l'attent ion des Maires su r les invorwédes Servi<:es de Police, M. le Comm anda nt nicnts Que présente cette mesure pour ,les
de Gendarmerie des Bouches-du- Rhône, .NIIM. intéressés et pour le service.
les Sous-Préfets d'Aix et d' Arles, MIM. les
En effet, le Centre a élé spécialemen t
.
du pré- or ganisé
faciliter et perfectionner l'ins-
167
tion. pour les MédalWes d Ar·gent, de Ver- MEDECINS AGREES POUR PRATIQUER
LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
meit et d'Or, ne \peut êt re présentée el')
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES
faveur :
CERTifiCATS PRENUPTIAUX ET
a) des sapeurs--p()ffipiers honoraires de
PRENATAUX.
tous grades (Offkiers et Sapeurs) aya nt
quitté le service depuis plus de cinq ans alU
Par arrèté I>réfecto.ral en œ te d·u 8 Août
1er j anJVie r de l' année en CO llrs pou r la p ro- 1952, M. le docteur Tafani Donat, 25, bo umotion du 14 }uillet et au 1er juiMet pour levar.d1 de Pilombières, à IMarseille, est auto-
I.a prom otion de l a Sa inte-B arbe j
,b) des Sous-Officiers, CaJpo rau x el Sapeurs âgés de plus de 70 ans alhX mêmes
dates.
La MédaiUe d'A rge nt avec rosett e peut
Par arrêté p réfectoral en dale du 4-8- 1952,
êt re att,rib uée sa ns conditi'Oll d'andenneté ·MI. le docte u,r Jul es-J. BloClh, demeurant il
aux Sapeurs-P ompie~ qui ont rendu des Marseille, 15-1, rue Loubon, est autorisé à
services exceptionnels dans l' exerCÎ'C e orrli- pratiquer les exa mens ra dioscopiques en IVue
naire de leurs fonctions tels que : création de la délivran ûe <tes certi ficats prénuptiaux
ou réo.nganisa ti on du Corps ; mod ernisation et p;-énataux.
du makriel ; con'COlDrs à des œu:vroes de
Par arrêté préfectoral en date du 4 Août
mutualité ou a des gro~pements corporatilfs
de déf ense contre l'incendie ; confér ences ou 1952, M. le docteur Jean Magnouat, demeu éc.rits en vue de l' uti lisation prat ique du ran t à :J\I\arse11le, 128 A, rue de Lodi, est
matériel et de son 'e.erfectionnement ; amé- autorisé à p ratiquer les exa mens ra-dioscopiques en 'Vue de la délivrance des certificats
l io ration de J' Lnstruction, etc ...
T oute (proposition pO'ur cette distin ction prénuptiaux et prénataux,
doit être appUlyée d' un rapport détaillé sur
Le Directeur Départemental de la Santé,
les services du oaTld idat et être soumise à
Dr X. STH8NNA.
•••
•••
l'avis de l'Inspecteur
Services d' Incendie.
Départemental des
------4:>00<»- - - - Je vous précise qLle les Sapeu rs-Pompiers
DIRECTI ON
qui o nt accom:pli des .actes de salwetag.e
DES
peuvent fai re l' objet de p rQPositions, non SERV ICES VÈTER I NAIRES
pour la N\édruille des Sapeurs-Pon,pier~ avec
de Cowage et die D évo uement.
Je vo us demande enfin de dasser vos
prQpositions dans -chaque échelon par ordre
alphabétique pour l'ensemble du département.
Pompiers a pour but de lécompenser [es
services effectifs accompl is d.ans un conps
de sajpeulfs-fprAIT-.piers.
En cons équence, le servi'Ce militai re légal
du tefT1l(Js de paix ne peut, en aucun cas,
entrer en ligne de compte pour le ca l: ul de
l'ancienn eté, même s'il a été accompli postérieurement à l'entrée du candidat dans le
Corps de Sapeurs-Pompiers,
'Cependan.t, le ten,ps passé SO liS les drasai·ent partie d'un co~ps de sapeurs-pompi ers
ava nt Leu r mOlbi lisation ne constitue pas une
interruption de se rvioes et doit figurer da ns
le calcu l de l'anciellineté effective.
(lMétropooe et A'lgérie)
J'ai l'honneur de vous prier d.e m'adresser, sous le ,présent timbre, ava.nt le 15 se~
tombre 1952" ,Mlai de rigu eur, vos pr?poS111;
tians en vue de la promotion de la Mcd ",
d' Hon neur des Sapeu,rs-Pompi ers Pré vue
pc>ur le 4 décembre 1952.
.
Les dossiers q,ui me parv iend ront
apr~~
. . qua
cette date ne Jl}ourro.nt être exa~n~nes 53
l'oocasion de la promotion clu l " luI IIO t 19 .
.
f
er stneV ous vouttrez bien
y()us con crm
'e
tern ent aux. inst ructi ons très précises iU~'~1I
vous ai fournies au sujet de la présen a 1
des dossiers,
REPUB<L1QUE
Pour les
"'u~rres
FRAlNÇAI SE
Le Préfet des Bouches-d u-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu
1898
Par aü1eU!r~ j e crois de\'oir \'OUS rappeler
Vu
qlte la M éda il'le d 'Hon nellr des Sa,peursVu
•••
•••
Le Ministre de l'Int érieur,
..
à M. le Goltvern eur Général de l'AlgeM,
MM. les Préfets - Cabinet
qui en font l'objet et dont le signalement
les lois des 2 1 juillet 188 1 et 2 1 juin
;
la loi du 7 juill et 1933 ;
le décret d'w 6 octObre 1904 ;
Considérant que, si le d·épartement des
Bouohes-du-R.hône est actuell emen t indemne
de toute forme g réwe de Fièvre Aphteuse,
cette aff.ection prend lln caractè re de plus
en .P~us erllva.ltissant dans tou s les départements dont proviennent habituellement les
vaches laitières qui y sont intro~' uites ;
Considéran-t qu 'i'i ~nllpor te, en co nséq uence, de réglementer le commerce de ces ani maux, gc néralement responsable de la diffusion des é-pidcmies de Fièvre Aphteuse ;
Sur l a prQposition du Di rer:tcur des Services Vétérinaires,
A rrêt-e :
Article premier. -
qu els il a été pr1\Paré).
Les certi ficats dy Maire et du Vétérinaire
Sanitair.e seront abJtgatoirement visés par ~e
Directeur des Services V étérin ai.res du de·
partement d' origine ;
3" d'uf)e attestation de l' eXlpéditeur certifiant que_ tous les animaux on t été, irrunédiatemem avant leur mise en wagon ou sur
camion, désil11feclés pa r lavage géné ral avec
une solution d',hydroxyde de soude (soude
caustique) à la dose de 4 po ur 1.000.
Art. 2. - Les animaux seront cQnduits en
voi ture jusqu'à leur destination où i.ls sUibiront une quarantaine de 5 jours francs pen dant lesquels il s seront isolés aussi parfai·
tepl.ent que ,possible. Dès leur arrivée ils
seront désiJllfectés pa.r lavage général avec
une s()l'uti on d'''ydl'oxy<le de soude à 4 pour
1.000.
A5
flEVRE APHTEUSE
rosette, mais pour la Médaille pou r A<tes
RBPUBLIQUE FRAN ÇA ISE
Circu laire N' 323
phe d'une commune elle"lJTlème inJectée ;
2° d'un certiCicat délivré par un Vétérinai re Sanitaire et attestant que les anrmaux
precis, comportant la mesure de l'éca rtement des cornes, est donné, sont indemnes
de fièvre aphteuse et qu,' ils ont été vacci n-ês
co ntre cet te aff ection depu is 15 jours au
moins et 4 mois au 'Plus.
Ce ce rthf icat mentionnera', en outre, les
risé à pratiquer les examens rad~oscop.q u es
oa'racte ris tiques du vacci n employé (nom du
en vue de la délivran ce des certifica ts prép,roducte ur et valen-ce du vaccin avec indinuptiaux et prénataux.
catio n .pr écise du OUI des virus co ntre les-
peaux au catlirs des g uerres 19 14-19 18 et
1939-1 945 par les sa.pell rs1Po mpiers qui fai-
Paris, le 12 août 1952.
fS 0 dans un pértmètre d'interd iction, ni limitro-
Ainsi que j'a. eu l'ocoaSion de vous J'indi- DOS
quer à différentes ~rises" aucune proposi-
Sur tout le territoire
Dans les ,premières 24 heures de leur sc·
questration ris se.ront soumis à une première visite,du VCtérin aire San itaire qUI
adressera rappor~, sans délai, il la Direction des Ser.vices Vétérinaires, de ses cons. tatatiol1.S.
A l'expirati on du, 5e j ou r franc le Vétë.ri" aire Sanitaire procèdera à lin nOlwel
examen olinktue de tous les animaux séquestrés,
En l' abseoce de tout signe Ou symptôm~
pouvant Hre rattaché à une évolution aCtuelle au recente de fièvre a1phteuse ou permettant de suspecter cette l~o llltion , le
Vétérinalre Sanitaire dêlivrera un laissezIpasser pour chaque animal, mention.n,ant
exactement son signalement avec i ndication
de Ja mesure de l'écartement des co rn es. Ce
laissez,passe r est remis à l'acheteur de
l' anim al correspon dant et refbVoyê à la Di recti on des Services Vétérinai res apres
mentio n du nOm ct de l'adresse de l'aoheteur.
A u caS où le Vétérinaire Sanitaire constate l'existence o u la suspicion d'un s)'mptôme ou signe pouvant être rattaché à l'evalution actuelle ou rl>cente de la fièvr e
aphteuse, tous les animaux sont mainte n u~
du département des Bouches-du-Rhône tou1939-1945, il Y a donc tes les .personnes qui introduisent dans leurs séquestrés et l'ét,,ble est placée so u- ar rête
lieu de consid érer comme services effectifs étables, enclos., parcs ou pâturages, des
les se rvices militaires suivants accomplis animaux d'espèc es bovine destint!s à la vente
~p r ès leu,r entrée a u cor,ps :
dOt1'ent en faire la dcclaration dans les
a) aUiX .armées, elll captivité et dans les 12 ,heltres à la Préfectu re , Direction des
Senrices ' ;étérLnaires, 66 A, ,rue St-Sébastien.
F.F.L. ;
La déclaration m en~ionne r a :
b) dans la Résistance (en qualité d'agent
Plou d'agent P2) .i
a) ,le nombre d'ani.nmux introduits ;
c) da ns les F. F.1. fjpostériellrement au
h) le moyen de t ra n~porl utilisé;
6 ju in 1944) ;
c) la date et l'heure cFarrivée,
. d) en déportation ou en intern ement au
EUe sera Clbligatoirement nccompagnée
lit re de la Rés is t anee.
1° d'lin certificat d'orlgine délivré par ,le
Maire de la Commune d'où provienne.nt les
Paul[ le Ministre de l 'Intérieur
animaux, attestant que cell~-ci s'y trouet rpa r dél égation,
vaient depuis 5 j our au mOins et que. la
I..e Directeur d/1 Personnel
commune n'est, Cfepu.is 15 jours .au. m O I~ ,
et des Affaires Politiques
ni infectée de fièvre
1
III
flse
Signé : Christian LOBUT.
d'infection par application des
visant la fièvre aphteU'Se,
Art. 3. -
règlements
Les étables, cours et passages,
les véhicules et tous les objets souillés so nt
désinfectés chaque jour ft ra iode d'une SOltt~
tion aquellse d'h}'d roxi)"de de soude fi 8 pour
1.000 éga lement lJtiHsée pou r cons tituer à
rentrée des locaux un tapis humirl.e de::."ii..né
à assurer la désinlfectioll automatique des
cha'ussures des personn es, des pieds des
animaux et des roues des v~hicules.
Art. 4. - L'introduclion d'un nouveau IQt
d'animaux dans un local où se trOUlve encore
sequestré un ,premier arrivage,. J10n ·ou insmfisamment isolé, prolonge le dél ai de sé""""'Totion du remier lot
l'expira-
�16
J',.
.Aucun
acoès non aménagé comme d es t
tian du terme <k surveiUance "",licable a u
Article premier. - La tenue des loire et d it cI-<lessus ne ser,a toléré.
dernier lot introduit.
marchés à bestial>' est interdite, salt! déroArt. 6. - Dès la lin de la réun ion les
Art. 5. - Le délai de séquestration de gatlon e.'(presse. Sur Je territoire des ~aa;m e nts réservés au"" animaux et les
5 jours lrancs est un dclai minimum valatle communes déclarées infectées de fièvre V01~S d a~cès a·ux . ~rcs seront nettoyés et
seulement dans les cas où toutes les mesu- ..phteuse ou de c1avellée quels que soient le ~,"lectes. Les hMres et lumiers seront
les prescrites aux -a rtictes ci-dessus ont été nombI~ la répartitjon géograph;que et l'Îm- arrosés à , la solution aqueuse d'hydroxyde
rt'gulièrement appliquées.
portance des foyers d'infection décelés sur de s?ooe a 8 .p~u.r 1.000 a'vant d\'être transIl sera de tO jows si l' une de ces mesures ce territoire.
por~es chez t u;tJllsêflteur qui en pr-endra lin'a pas été respectée. Si l'illiraction porte
Art. 2. - Dans tous les autres cas, la Yla lson.
sur la vaccination antiaphteuse ceUe~i deten ue des foires et marchés ouverts aux
Arf. 7. - T oute constatati on ou suspicio
\"Ta être pratiquée sans détai et les ,animaux
animaux
des
espèces
bovi
ne,
ovi
ne,
catprine
de
, maJadie, contagieuse sur un' ou , plusie.ur~
ne seront libéris que 15 jours aprés cette
et po/cine ~t sOUllTlise aux obligations CÎ- a n Imaux. d ~n t~olLpea~ en t raî ne ra la mise
intervention.
é\Près qui s'a.joute nt aux mesures permanen- e.n, a.pphc~ h.on I~ éd l ate ~es .dispositions
Art, 6. - Les visites, vaccinations, certi- tes de surveiU'ance et de désinfection 6dloC- legaJes speciales a la ma lad ie dlagnOSfi,quêe
ficats, disinlections et autres obligations tées par la loi sur le code rural et les textes la séqu'e~t r ati?n et l 'isoje111~n{ sur place
résultant de l'apphcation des articles ,précé- pns pOUJ' son application.
pouvant etre eve nhtellement ordonnés.
dents sont à la chafige des Ipersonnes introArt. 3. - Une bardère sa nitaire se ra 1 Art. 8. - J..,'or,g anisation d u contrôle sa~
duisant des animaux de l'espèce bovine dans Installée sur une ou pl usieurs vo ies donnan.t nirai re sur les bases ci-dessus fera pou r
le département.
accès à la ville siège de la foire o u dur m.ar- chaque commune, l'objet d'un ar réré' muni~
Art. 7. _ L'arrêté prélectoral du 21 jan- ché considé re. Chaque barriè re com portera cipal sownis à l'a~p rob.ati on du Pr6fet. Pour
,';er 1952, sur le même objet, est rapporté. un Vétérinaire San~taire assisté des forces les marchés qui se tiennenf hebdomadai re·
Art. 8. - M . le Secrétaire Général, M. le de police nécessaires à la bonne exéoution me"'t et q.ui compor tent moins de ID bovins
Commandant de Gendannerie, M. le Direc- des opérations de contrOle et de refou le- et moins d'e 100 petits animaux, les bar·
teur des Serv;ces Vetérinaires, J~ les ment s'il y a Heu.
rières saJ!i taires pr esc ri tes à l'article 3
Maires, j\\'\\' les Commissaires de Police et
Sur demande d,u .Maire, l'administr.atioll pourront fonc.tion'ner se.ulement à l'ent,rée du
tous agents de la lorce publique sont char- préfectorale mettra à sa disposition le per- marché dans les conditions fixées par arrêté
gés, chacun en ce qui le concerne, de l'exé- sonnel nécessaire.
municipa L
cution du present arrête qui sera inséré au
Ne seront admis à franch ir ces bar r ières
ILes a rrêtés mun icipaux visant les foires
Reoueil des Actes Adrnini tratifs du dépar - que les animau.'( :
seron t adresses pour _approbat ion, a l'admitement et porté à la connaissance des intéa) indemnes de tout symptôme apparent nistration préf~c!Oral,e, 15 jo u rs au moins
ressés par tous les moyens de publicité dont pouvant être rattaohé: à une évolution aC- avant [a da.t e f,lxee pour fa tenue de la foire,
,\1.\\. les Maires disposent.
tuelle ou r écente d' une m'aladie contagieuse accolTllI>.agnes, eve ntueHement, d~une demande
et .,lus particulièrement de la lièv re aphte use de personne!! .
.\\arseille, le 12 août 1952.
ou de la clavelée;
Art. 9. - Les tenues des foire s et marPour le Prélet,
b) accompa.g nés d'un certificat d'origi ne chés pour lesquels les mesures ci-dessus
Le Secretaire General Délfgue
délivré par le Maire de la Commune d'où prescrites ne pournaient pas être strictement
Maxime J\UGNON.
j'!s proviennent, attestant 1 qu'ils s'y trou - et totalement ap.pliquées, sont et demeure·
vaient c:Lepuis_ 5 jours au moins et qrue s ur rOllit interdites.
- ---<>ooc > - -les territoires de. la commune d'origine et
Art. 10. - Les marchés à bestiaux anDIRECTION
des c~unes. limitr~phes . aUClln cas ~e nexés aux abattoirs ne sont pas visés par
DES
A 5 maladIe contagIeuse na éte déclaré depliis tes dispositions du présent arrêté
SERVICEC VÈTÉRtNAtRES
15 jours au moins, ce, délai étant porté à
Art. Il. _ Les frais d'e contrôl~ sont il la
FOIRES ET MARCHES A BESTIAUX 50 joun; pour la c1avelee.
charge des communes qui pourront s'en
Art. 4. - Les certificats prévus â l'art. 3 rembou rser .par l.a perception d~u'ne taxe
seront visés pa r Le Vété r inaire Sanitaire et S'aniiaire fixée par tète de bétail.
REPUBLIQUE FRA ÇA ISE
conservés par le cond\U.Cteur du, trou,peau,
Art. 12. - Les concours d'animaux sont
Le Préfet des Bouches-du- Rhône,
pour valoir laissez ...passer jusqu'à l'e ntrée supprimés jusqu' à la fin de l'annee 1952.
Officier de la Légion d'Honneur,
du terrain réseIiVé à ta foire ou au marché.
Art. 13. - MlM. le Secretaire Généra.! de
Vu la loi du 21 juHlet 1881 j
Ils seront alors remis au Vétérinaire Sani- la Préfectu,r e, les Sous-Préfets, les N\ai res,
Vu la loi du 21 juin 1898 ;
taire chargé de la surveiQlance de la réunion. le Comm~ant de Gendarme rie, l' Ingénieur
'·u 1la
.. loi
D'"ecteur des S e"vices Ag","
. 1es.
Vu
loi du
du 57 avril
juillet1884
1933; ;
Art. 5. - Les accès immédiats des e111- en Ch·'
o,,
lacements re'se rve's a' la tenue des fOI',res et le Directeu1r des Sen1 ices Vété ri naires, les
, 'u la circulaire ministérielle du 8 août P
1952
;
marchés seront amé nagés de manière qu'un C
I ommiSSaj res d'e Po.Jice et tous agents de
C
.,
" .
.
tapis humide (son, sciure de bois,. sacs, a force pUlblique sont ohargés, chacun e,"
. o~slderan~ G.u Il Importe: en raison ~e la paille largement imbibés) ou. UI\ pédi luve ce qui le concerne, de l'exécution du preSJ1UatlOn) samtalre
anll1laux ~e àrebesgle- puisse assurer automatiquement la désinfec- sent arrêté qui sem inséré au Recueil des
men ter a tenue des olres marc es
- ltion par une solution aqueuse d'hydroxyde Actes Administratifs du Département.
tiaux "
.
de soude à 4 pour 1.000, des chaussures des
Marseille,
le 2t aoll! 1952.
Sur la proposition du DIrecteur des Ser- personnes, des pieds des animaux et des
Le Préfet :
\';ces Vétérinaires,
roues des véhiouJes ayant à les emprunter.
René PA IRA.
Arrête :
de;.
h
Pour le Prélet, .
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabinet
PLET.fNER.
_~________________~~~~~~~~~~____________~__- - - 1
JllrRI3U.lut: l\'OllVJ.:LLE DE. MAStSEILLE, 120, ru~
Sainte
...t Il Septembre 1952
REPUBLIQUE FRANÇAISE
DËPARTEMENT DES
10' ADD.' -
'..-- '-.,..
BOUCHES-DU-RHO
Recueil des Actes Adminis ' ~E
J
. ' .. J
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au R ec ueil d o,'t ê tre adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIA.'1'ION8
A. P. : .A rr~ t é ~réfecto ral. -:- C. : Circulaire. - Les lettres D et B suiv ies d'u n chiff re indiqu e t le S '
B
' ..
D. S. T. : Direc tIOn d~s Services Techniques. _ D. D. S. : Direction Dépa rtementale de 1 St'"
erVIce ou llreau d oflglOe.
mentale de la Popu lation.
a an e. - 0 D. P. : Direction départe-
SOMMAIRE
Arrêth réglementaire. et Clrculolr...
Paaes
à ce rtai ns agents des collèctivités lo. . .. .. .. ....
cales .... '..
169 AG 3. - Médai l.le d'honneur départementale et co mmun a le. - Promotion du 1er janvier 1952
TVX O. Attributio ns d'indemnités
tm pou r conco urs spéciaux prêtés aux
collectivités locales par les conducteurs de chantie rs et agents de t ra·
vaux des Ponts et Chaussées ..... .
Communiqués -- Avis .- Annonces diverses
Palle!!
A 5. - Sur vei ll a nce des é1a lons et
baudets e n ,vue de la monte <i'e 1953
A 5. - Int erd iction d e foi r es et marchés à bestiaux s ur le territoi re des
com ml,Jll es iOl fe~tées de fi èv re aphteuH .....................
AG 3. - Application de l'arrêté ministériel du 20 mars 1952, relat if a ux
conditions d'att r ibution d'indemnités
t 70
Paqe,
-
Recrutement de person nel comm una l . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
17,2 - Demand'e d·emploi .
Dons et legs ....
175
175
175
Communiqués du Secrêtariat
de l'Union des Maires
174 -
OHre d'emploi . ... .... .... . ...
175
ARRÊTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
A5
A.rticle 2. ~ Les d.éclarations devron! par:
vem r, pou r 1 Arrondisseme nt du chef-bey, a
SURVEILLANCE
la Préfecture, et, pour .Ies au1res Arrondl.sseDES ETALONS ET BAUDETS
ments, aux ?ous-Prefectures respectives,
EN VUE DE LA MONTE DE 1953
élvant le mardi 30 septembre.
ARR,ETf:
Article 3, - Dès le mercredi 1er octobre,
il sera dressé pour chaqu e Ar ronélissement,
Le Prefet des BoucIJes-du-Rh6ne,
sur l'rmprimé réglemen taire, un état des aniOfficier de la Légion d'Honneur,
maux déclarés.
Vu les lois des 14 aoû t 1885 et 8 mars
Cet état se ra Immédiatement transmis au
1923 su r la surveillance des éta lons,
Vu les ar r ~tés cl'app lication des 25 sep- Di rec teur des Haras, à Tarbes.
tem bre 1885, 12 septembre t 886, 9 avril 1923
Article 4. - L'examen des animaux par
et 26 juillet 1928,
la Commission Jura lrcu, en principe, a ux
Vu les arrêtes de M. le Ministre de l'A gri- dates et emplacements ci·après :
cul~ure du 6 aoflt 19 12, 26 juillet 1925, 5 noSamedi 8 novembre :
vemb re 1927, 10 ao ut J ~42, relahfs à la
AIX-EN,PROVENCE : sur t' Hippod rome,
monte des baudets,
Vu les instructions ministérielles en la ma- à parti r de 14 h. 30.
tière et notamment celles du 25 juin 195 1
Dimanche 9 nO l1embre
p resc ri vant aux Commissions Départemen~
Chez M. VlSAINT-ESTEVE-JANSON
tales d'examen de faire preuve d'une g ra nde
DAL, il partir de 9 heures.
sévé r ité pour le choix de nouveaux étalons à
Dimanche 16 llol'embre (pour mémoiadmett re à la monte publique en réduisant
notamment chaque année la catégorie des rel :
reprod ucte urs simplement acceptée,
MARSEILLE : A partir de 9 h. 30, réuVu la proposition du Directeur des Haras nions non publiques stricteme nt réservées
de la Circo nscri pt ion de Tarbes,
pour quelques visites à domicile, après entenSu r la proposit ion de .N\. le Sec réta ir e Gê· te directe avec le Directeur des Ha ras de
!léral,
Tarbes.
ARRBTE:
Lundi 17 novembre :
Article premier.- Tous les étalons et bauMIRAMAS : Au Haras de Sula uze, à par·
dets destin és à Ifaire la monte publique en
t 953 devront être déclart's et présentés aux tir de tO h. 30 ;
Mas d' ArENTRESEN : Ali
Commissi ons Départementa les
d'examen
douin
,
à
partir
de
Il
dans les délais et conditions ci-après fixés.
D6 BI
1 ARLES: Au terrain de' la Croisière à a r·
tir de 15 heures.
' p
La Commission ne se rendra à chacun
des lieux indiques ci-dessus qu'autant q
les propriétaires int eressés auront décla ré~
dans les d~lais fixés, devoi r y présenter.
En r~vanche, si besoin était, d'ap rès les
déc larations reçues en temps vou lu, des lieux
d' examen supplémentaires pourraient eventuellement être fixés.
Article 5. - L'éprellve de cornaO'e est
absolument obligatoi re pour les étaio ns et
les propriétaires sont rigoureusement tenus
dly soumet1re leurs animaux devant la Commission par leurs proPres moyens.
Article 6. - Aucune autre tournée départementale d'~xamen ne pouvant être organisée pour la monte 1952 postérieurement â
celle faisant J'objet du presenl arreté, les
reproducteurs qui n'auraient pas éte présentés en temps voulu pourront être examÎnés
jusqu'au 3 1 mars 1953 par le Directeur des
Haras de Tarbes, mais .celui-ci d ev;a exiger que la présentation ait lieu au siège
du Dépôt National d'Etalons ou que les
frais de déplacement du ronctionnaire des
Haras soient remboursés à l' Etat conformément aux instructions ministérie\1es du 15
décembre t949.
Article 7. - Il est rappelé aux p ropriétaires :
l oQue désormais les nouveaux étalons
prê.senh~s de\'ront, pour pouvoir êt re accept~s, avoir un certIficat d'origine avec sig nalement conforme ;
�.f
170
171
Que les reproducteurs acceptés par 1 de police ,nécessaires à. la bonne exécution
les Commissions peu\rent rece\'oir de J'Ad- des opérations de rontrale et de refoulement
ministration des Haras l'attache officielle s'ii y a lieu.
s'ils remplissent les conditions gé nérales
Sur dema'1de du ,Maire •. l' A~n:inistration
d'àge, de ra ce, de modèle, d'épreuve e~ préfectorale m~ttra a sa diSposition le perd'habitat, prescrites pour les étalons par sonnel nécessaire.. .
.
..
l'arrêté ministériel du 14 Dovembre 1938 et
Ne seront ad mis a franchIT ces narncres
pour tes budgets, par l'arrêté ministériel d~ .que les animaux :
7 nO\.. mbre 1937.
a) indemnes de tout symptôme appa re nt
De plus, ces reproducteu rs, pour pouvoir pouvant être ratta ché à une . évolution, acHre sUb\'entionnés, devront, a ux termes des tue ll e o u récente d' une ma ladIe contagIeuse
instructions ministérielles du 8 août 1944, et plus particulièrement de la fièvre aphteuse
confinnées 'pa r celles du 10 août et du 14 o u de la clavelée ;
septembre 1945, êt re d'un modèle permetb) accompagnés d'un ce rtificat d'origine
tant leur entrée dans "effectif des Haras délivré pa r le Maire de la Commune d'ol! ils
Nationaux et les étalons devro nt, en outre, proviennent, a ttesta nt qu'ils s'y tro uvaient
être inscrirs au Studbook de leur race.
depuis cinq jours _au moins et que sur le.s
te rr itoires de la commune d'origine et des
Aucune su bven tio n ne peut d'ailleurs êt re communes limitrophes aucun cas de maladie
attribuée à un reproductel}r qui fait la monte co ntagieuse n'a été déclaré depuis 15 jou rs
à un prix supérieur à celui fixé pa r le der- au moins, ce détaLétant porté à 50 jo urs
pou r la clavelée.
nier arfité ministériel pris à cet effet.
2°
Article . - ~l le Secrétaire Général de
Ia Pn!fecture, MM. les Sous-Préfets et Maires du Département, ainsi Que J'A. le Directeur des Ha ras de Tarbes sont cha rgés,
chacun en ce qui le concerne, de l'exécution
du present arrètë, qui devra être publié et
affiché.
Marseille, le 2 septembre 1952.
Pour le Préfet :
Le SoUs-Préfe( Directeur du Cabinet:
Sig né: RLETTNER.
Article 4. _ Les certificats prévus à l'a rtiole 3 seront visés par le Vétérinaire Sanitaire et conservés par le conducte ur du
troupeau.. pour valoi r laissez-passer jusqu'à
l'entrée du terrain rése rvé à la foire ou au
marché. lis seront alors rem is au Vétérinaire Sanitaire chargé de la s urveilJ a nce de la
réunion.
Arlicle 5. - Les aocès immédiats des emplacements rése r vés à la tenue des foires et
marchés se ron t aménagés de manière qu'un
tapis humide (so n, sciure de bois, sacs, pai l____
le largement im bibés) ou un pédiluve puisse
A5 assu rer auto matique ment la désinfection par
06 BI
une solution aque use d' hydro xyde de soude
INTERDICTION DE fOIRES ET MAR- à 4 pour 1.000, des chaussures des perso nCH ES A BESTIAUX SUR LE TERRI- nes. des pieds des animaux et des roues des
TOIRE DES COMMUNES INfECTEES 1 véhicules aya.nt à les emprun.ter.
.
DE flEVRE APHTEUSE.
. Aucun acces non amen:,!;e comme II est
dIt cI-dessus ne se ra tolere.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Article 6. - Dès la fin de la réunion, les
Officier de la Légion d' Honneur,
emplacements réservés a ux anim a ux et les
voies d'accès aux parcs seront nettoyés et
Vu la loi du 21 juillet 188 1
désinfectés. Les litières et fu mi ers seront
Vu la loi du 21 juin 1898 ;
arroses il la solu tion aqueuse d'hydro xyde
Vu la loi du 5 avril 1884 ;
de soude à 8 pour l.<X>O avant d'être tran sVu la loi du 7 juillet 1933 ;
Vu la ci~ulaire ministérielle du 9 août portés chez l'utilisateur qui en p rendra li1952 ;
vraiso n.
Considérant qu'il importe, en raison de ,la
Article 7. - Tou te co nstatation ou sussituation sanitaire des animaux de réO'lemen- picion de maladie contagieuse sur un o u pluter la tenue des foires et ma,rchés à b~tiaux· sieurs animaux d'un troupeau entraînera la
Sur la proposition du Directeur des Ser: mise en application immédiate des dispos i\lices Vétérinaires,
tions légales spécialts à la ma la die diagnostiquée, la séq uestratio n et l'iso lemetlt su r
ARRETE:
place pouvant être éventuellement ordonnés.
Ar/icle premier. - La tenue des foi res et
march és à bestiaux est interdite sauf déroArticle 8. - L'o rga nisati o n du co ntrôl e
ga tion expresse, sur le te rritoi;e des com~ sanitai re su r les bases ci-dessus fera , pou r
munes déclarées infectées de fièvre aphteuse Chaque commune, l' objet d'un a r rêté mun iou de clavelée, quels Que soient le nombre cipal soumis à l'approbation du Préfe t. Pour
la répa rtition géographique et l'im po r ta nc~ les ma rchés qui se tien nent habdomadaire·
des foyers d'infection décelés sur ce terri- me nt et qui co mpor te nt moins de 10 bovins
toire.
, et moins de 100 petits a nim aux, les .ba rri è res
Article 2. - Dans tous les autres cas, la sani taires presc rites à l'a rticle 3 pOUffont
tenue des foires et marchés ouverts aux ani- fonctio nner seuleme nt à l'entrée du marché
maux des espèces bovine, ovine, caprine et dans les co ndit io ns fi xées pa r a rrêté muniporcine est soumise aux obligations ci-après ci pa l.
Les a rrêtés municip aux visant les foires
qui s'ajoutent aux mesures permanentes de
surveillance et de désinfection édictées par se ront adressés pour app roba tion, à l'Ad mÎla loi sur le Code Rural et les textes pris nist rat ion lpréfecto rale, 15 jours a u moins
ava nt la date fixée pour la tenue de la foi re,
pou r son application.
accompagnés, éve ntuell ement, d'une demande
Ar/icle 3. - Une barrière sanitaire se ra de personnel.
installée sur une o u plusieurs voies donnan l
Articl~ ~. Les t enue s des foires et maraccès à la ville siège de Ja fo ire ou du marr lesquels les mesures ci-dessus
ché considéré. Cha9,ue barrièr;. c? mp? rtera chés
----c>oo<~--
et totalement appliquées, sont et demeure.
ront ii1 terdites.
Arlicle 10. - Les marchés à bestiaux an.
ne xés aux aba ttoirs ne sont pas visés par
les dispositions du présent ar rêté.
. Article Il. - Les frais de co ntrôle sont
à la cha rge des communes, qui pourront s'en
rembourse r par la pef'ICep tion d' une taxe sanita ire fixée par tète de bétail.
Article 12. - Les concours d'animaux sont
supprimés jusqu'à la fin de l'année 1952.
Article 13. - MM. le Secrétaire Général
de la Préfecture, les Sous ~Pr éfets, les Maires,
le Commandant de Gl!ndarmerie, "Ingé nieur
en Chef, Directeur des Services Agricoles, le
Directeur des Services Vétérinaires, les Commissa ires de Police et tous age nts de la force publique sont chargés, chacun en ce qui
te co ncerne, de l'e xécut ion du présent arrêté,
qui sera inséré au Recueil des Actes Admi·
nistratifs du département.
Marseille, le 21 août 1952.
Le Préfet :
René PAIRA .
- - - - <> 00«>'--- -
02 B3
AG3
APPLICATION DE L'ARRETE MINIS·
TERIEL DU 20 MARS 1952, RELATlF
AUX CONDITIONS D'ATTRIBUTION
0'1 N D E M NIT E S A CERTAINS
AGENTS DES COLLECTIVITES LO·
CALES.
j'ai l' hon neur de porter ci-dessous à la
co nnaissance de MM. les Maires d u Département le texte de la ci rc ulaire n' 327 Aj3
en date du 14 août 1952, par laquell e M. le
Ministre de l' Intérieu r précise les condl·
tions d'appli catio n de l'a rr êté ministériel du
20 ma rs 1952.
Pour le Prélet,
Le Sous-Prélet,
Directeur du Cabinet
Signé : PLETTNER.
•••
Paris, le 14 août 1952.
Le Ministre de l'Intérieur
à MM. les Préfels de la Métropole ,
Ci rc ulaire n" 327 AD-3
L'instruction minist érie lle n" 75 AD j3 du
28 février 1952 vo us informait que c: to~tes
les indemnités spéciales instituées par 1 arrêté du 24 avril 1946 ' et mai nte nues. par
l'a rrêté du 19 novemb re 1948 > et les c"~9
laires des 7 janvier et 16 novembre 1.
devraient cesser d'être a ll ouées dès ap~l;ca
tio n de l'a rrêté du 23 mai m51. Une. rogation était to utefois pré~u~ en ce
~~~:
cerne les Iprimes <le techni cIté des st no .
tylographes et dactydo g raphe~, les h0 noral·
er.
Tes des a rchitectes fon ctio nn aI res et ~eés Pou r
sonnels de laboratoires et f'indemOl t p
supplément de tra vai l.
ré
/ourL'a rrêté du 20 mars .1 952 (pub 1 au ter le
nal Officiel du Il avrol) vIent compl~ des
régime des ind emnités dOTl t les. agend~ bécoll ectivités locales sont susceptIbles
néficier.
.
'té créées
Désormais aucune des Indemm s peut
par l'a rrêté ~usvisé du 24 al'ril. 1 9~/;révue
être maintenue, à moins d'aVOI r
. le 19
par lin des arrètés intervenus depUIS
q;u
La présente ci rcu laire a pour objet de
D'a utre part, les m~mes tra vaux ne saupréciser les modalit és d'application de l'arraie
nt, bien entendu, ouvrir en mc?me temps
rête du 20 mars dernier.
des droits aux 'Primes de rendement et aux
CHAPIT.R,E 1er
inde mni tés po ur travau x suppl émentaires.
PRL\ŒS DE TECHNICITE
B. COND IT IONS D'ELABORATION
ET DE REiNDEMENT
DES PROJETS D'EXEiCUTION DES TRAVAUX.
SECTION 1
Les projets doivent avoir été étudiés par
Primes pour études de projets
le seul personnel de la ville et tes (ravaux
de Iravaux neufs
exécutés sous la direction et le contrOle de
L'Arrêté du 24 avri l 1946 'prévoyait en ce personnel.
fave ur des architectes fonctionnaires co nsa..
C'est ainsi que les fon cti o nna ires des sercrant toute leur activifé d la commune et ne vi ces techniques des éollecti vités lo cales
prêtant, par co nséquent, leur COncours ni a?,ant col~a~oré avec des architectes o u ingéaux parti culiers, ni à d'autres collec tivités meurs pri ves ou les fonctionnaires de se rvides ho noraires pour les travau x neufs qu'il~ ces techniques de l'Etat, soit a u moment de
étaient appelés à effec tuer pour le compte l'é tude des projets, soit à celui de l'exéc utio n
de leur collectivité.
des tra va ux, ne po urront préte ndre a u bénéLa circ ul a ire du 22 juin 1946, prise po ur fice de ces primes.
l'application de l 'a rr ~ t é sus\iIsë, avait préPar contre, celles-ci po urro nt êt re att r rcisé que ces ho no raires ne pou rr aient êt re buées lo rsqu e les t rava ux n'a uro nt pas été
a lloués qu'au x archi tectes fonctio nnaires ex~c utés en rég ie, à condino n que les ent re.. cha rgés de l'étude et de l'exécution des pri ses auxquelles les collecti vités a uron t eu
tra va ux :» .
recours n'aie nt fourni que- la mai n-d'œuvre
L'attribution ,de ces Iho noraires ne Ipo U- o uvrière, les mat ériau x et le mat ériel.
De mêmt::, le reco urs exce ptio nnel à un
vait au surplus, porter l a rémunération gJobaie perçue po ur chaqu e fonct ionna ire inté- a rchitecte ou ingé nieur co nseil cha rgé de
ressé à un ta ux supé rieur a u total cumu la- do nner so n avis s ur les avant-p rojets établis
ble, par appli ca tion de la légisaltio n sur les pa r les fon ctio nn aires de la coJlectivité pourcumul s de rémun érations pu bliq ues (soit ra ne pas exclure ces dern iers du bénéfi ce
act uellement, en vertu de l'article 9 du dé- des prim es. JI convie ndra, da ns les cas de
cret-loi du '29 octob re 1936 modifi é par l'ar- l'espèce, de tenir co mpte de deux critè res à
'
tide 1er de ,l'o rdonnan ce du 25 ao ût 1944, savoir :
150 % du mont a nt glo bal du traiteme nt buda ) q ue l'éla bo ra tio n des ava nt- projets, la
gétaire et des suppléments ayant le ca ractère mi se au poin t défi nitive du projet et la co nde traitement).
du ite des t rava ux dev ront être assurées pa r
La totalité: des a rchitectes et techniciens les seul., fonctio nn ai res j
dépa r tementaux, d'une pa rt, les ingénieurs
b) q ue les prim es dont il s'agit dev ro nt
nlltnicipaux et, d'une faço n généra le, tous les permettre aux coll ecti vités .de réalise r des
fonctionnaires muni cipa ux tec hni cie ns no n éco nomies en ne confiant- pas l'ét ude des
architectes, étaient exclus du bénéfice de cet projets à des technicie ns privés ou à des se rava ntag e, a lo rs même qu' ils po uvaie nt être vices technique§ de l'Etat.
appe lés à ét udi er des projets de travaux
II va sans di re qu'étant don né le mode de
neufs et à di ri ge r ou co ntrôler leur exécu- calcul des primes, cell es-ci ne peuven t êt re
tio n.
ve rsêes qu 'après exéc ution des travaux, sa ns
L'arrêté du 20 ma rs 1952 mod ifie cette qu'il soit toutefois nécessaire d'attendre leur
règlementation :
achèvement pou r établi r Je monta nt global
10 pa r un e extension du bénéfi ce des affé rent à un exe rcice budgétai re, lo rsq ue les
honoraires à de no uve ll es caté~o ries d'agents t ravaux doi vent s'échelo nn er sur plus d' une
muni 6pa ux et départementau x ;
a nn ée.
20 par un e limitat ion du taux maxim um
C. - NA TU TRE D"'S TR AVAUX.
des ho nora ires susceptibles d'être perçus par
Peu ve nt do nne r droit a ux p rimes:
chaq ue fon cti o nn a ire.
Cette nouvell e règlementatio n appe ll e un
a) En ce qui co ncerne les bâtiments .- la
certain nom bre d'observations.
const ru ction, la tra nsfo rm ation o u l'éq uipement d'immeubles dont la co ll ectivité est
A. - BEN EF ICIAIRES.
propriétaire ou locataire, quell e que soit la
Le critère retenu pour la détermination 'destination de ces immeubles.
d es catégories d'age nts des commu nes, des
d épa rtements et de leurs établissements pub) En ce qui concerne la lIoirie .- la
blics autres qu'hospital iers susceptibles de co nstruction de rues et d'ouvrages d'art, la
bénéficier des primes de rendement est à la réfection des revêtements et le pe rcement de
fois simple et souple.
voies non classées doivent être exclues. Au
Les primes so nt destiJlées à .réntlmérer contraire, l' éla rgisse ment d'une lue pou rra
essentiell ement le travail de conception. Les êt re retenue comme celui d'un ouvrage d'art
agents appelés à en bénéficie r doivent do nc (ponceau, par exemple).
avoir Ipa rticjpé à l'élaboration des projets.
c) En ce qui concerne l'équipement des
11 co nviendra d'examine r avec une pa r ti- services publics : la const ruction, la t ransculière attention le cas des fonctionnai res formation ou l'équipement:
'affectés en perma nence a ux bureaux d'étu
- des réseaux d'addu ction, de distribudes l de façon qu'il s ne puissent prétendre à tion d'eau potable ou non potable ; cie proces primes qu e s' ils on t rée ll ement pris un e duction Ou de distribution de gaz et d'é lecpart personnelle à la conception du projet tricité, d'éc lairage public; de tra nspo rt par
et non pas seul ement à son flabo ration ma- tro ll eybus, pa r autobus ou pa r tramways ;
térieIJe.
- d'usines d'é limination des im mond ices
Un autre . élément d'égale im porta nce doit par incinération Ou de traitement industriel
êtr.e retenu, à savoir que les fonction naires de ces irT'!mo n di~es ; .
.
dOIvent n'a vo ir pas CE"ssé d'assure r leu r
- d'ustnes d élévatIon, de hltrage et de
1 distribution d'ea u i
service norma l pour étudier les proje ts.
. - d'ateliers de construction ou d'e ntrehen de mat éri el (vt'hic ul es ou mobilie r) .
- de dépôts de matériel roulant' des
transports publics ;
- de gares routières.
Il va sans dire que les trava ux d'ent retie n
nc. pourront o uvrir droit au bénéfice des
primes dont il s'agit.
D. -
MU NT ANT DES PRI J\IES.
doublem ent limitées
~es primes seront
pUI~H:
1"
'
Le tota l des primes v.e rsées à l'en-
semble du pe rso nn el intéressé ne pourra
~xcéder 1,25 % du montan t des trava ux réaIIs.és au Cours d'un même exercice budgétaIre ;
2" Par ailleurs, aUC un des bén éfi ciai r~
~ e po urr~ prétendre, en ce qui le concerne,
a ~ne pnm e a nnuell e s up érieure à 120 % du
traltem~nr b.ud~éta i re moyen de Son g rade.
Pour 1appilcatlOn de cette disposition il
co nvi end ra de reten ir le tra itement et le cbmpléme nt provisoi re de traitement affé rents à
l'échelon moye n d u orade - c'est- à-di re le
4e da ns le cas des ~h ell es à 7 classes. '
Il se ra procédé à la répa rtit io n de la masse des .primes ent re les di ff éren tes catéoori es de fonctionnai res bé néfici ai res selon
no rm es fixées par déli bé ra tion s~ um ise à
app robatio n, eu éga rd à la part prise pa r
chacu n dans l'élabo ra tion du projet en rése rva nt à l'appo rt de conception une place
toute pa r titüli ère.
Les mai res o u les prés idents des co nseils
d'administra tio n en ce qui Conce rn e les
agents des communes et des étab lisseme nts
pu blics, vo us-mêmes en ce qui Co nce rn e les
age nts départementau x, trouve rez probablement opportun de consulte r les chefs de se rvice intéressés ava nt de saisir les assemblées
de vos propositions. Je ne puis, pou r ma
part, q ue vous invite r à recourir la r~eme nt
à cette consuJtatio n prealable, afi n que soie nt
vraiment récompe nsés les in itiatives et les
efforts de vos fonctionnai res.
Mon attentio n a déjà été appelée su r un
ce r taÎn nombre de situations pa r ticu liè res
d'architectes fonctio nn ai res qui, sous le régime de l' a rrêté d u 24 avril J 949, avaie nt
accepté de prendre la responsabilité de prog ra mmes importants de const ru ction, ce qu i
avait permis à leu r co ll ectivité d'éviter des
dépenses souvent co nsidé rables.
En acco rd avec M . le Ministre des Fi na nces, j'ai décidé d'exa miner ces situations
avec la plus g rande bienveillance chaque fois
que l'Assemblée co mpétente aura délibéré
sur cette question et se sera prononcée pour
le mai ntie n, à titre provisoire, des disposi tions antérieurement en vig ueur.
Le cas èchéant, vous aurez ft me saisi r, à
cet effet, de rappo rts circonstanciés faisa nt
apparaître notamment J'importance des trava ux, leur degré d'achèvement, la part prise
par J'architecte fonctionnai re dans l'étude
des projets et la réa lisation des tra\'aux.
ies
E. - CUMULS DE FONCTIONS ET DE
REMUNERATfONS.
Les priT'1es pou rront t">t re accordées aux
agents autorisés dans des conditions réglementaires â eX'ploiter un cabinet pri vé ou à
prêter leur concours à d'autres collectivités
(cf. décret-loi du 29 octobre 1936 et instruction de M. le MInistre des Fina nces en
date du 15 juin 1937).
A cet égard, Je crois nécessai re d'appe let
votre a ttention sur un ce rtai n nombre de
, questions
la
�li.!
é'est ainsi qu'u n oU\'rier professionnel de
r ation des fonctionnaires ainsi autorisés à 50 <;ê de son traitement budgé taire (complé2e catégo ri e se trouva nt, au 1er janvier
cumuler.
ment prO\isoire inclus).
1951, à la seconde classe, a urait pu bé nêSECTIO.V Il
1° Exploitation d'un raDinet pril' ~ ..
r
ficier d'u n traitement de 68.000 f rancs au 31
Il vous appartient d'inviter les collectivites
décembre 1947 ; une indemnité pou r supplé_
Pâme de rendement du personnel
à ne pas raire appel au cabinet privé de
ment de travail de 300 trancs pourra lUI
clrs laborato!res
leur a..r~hitecte fon..:.tlonnai re pour etudier des
êt re acco rd ée.
projets de tra\·aux en faisant application du
Cette prime arait été prév ue par l'arrêtt
•••
décret du 7 fë\"rie r 1949 pour le calcul d'ho- mini teriel du 24 a\'riJ 1y-tô, sous forme de
lL'a rr êté du 20 ma rs 1952 peut po rter effet
noraires qui s'ajouteraient à son traitement. participation aux bénéfices H!alisés par les à co mpt er dit 1er janvier 1950.
En etfet, à partir du mOllH::,nt oû un archi- labo ratoires muni cipaux su r les trava ux
Il va oe so i que les agents aya nt perçu,
tecte est fonctionnaire d'une collectivité, il eHectués pour le compte de particuliers o u en vertu de d élib ératio ns régu li èrement
doit consacrer toute l'activité nécessaire à la d'autres collect ivités pu bliques. La circulaire appro uvées, des inde mn ités à un tau x s up écommune, au -departement ou a l'etahlisse- du 22 juin 1946 avait admis qu'en l'absence ri eur à celui prévu pa r l'a rrêté, n'a u ront pas
ment puhl ic, saut pour ceux-ci à faire appel d' une comptabilité commerciale, les co nse ils à effectuer le reve rsement.
il des architectes prh-és lorsque les projets municipaux pour raient verse r au perso nnel
Le Directeur de r Administration
em isages sont d'une ampleur teUe q ue le des laboratO ires 25 % du monta n t des reDepartementale et Communale
tonc iiu llnaire ne peut les étudier seul ou avec cettes réalisées à J'occ asion des travaux dont
Signé : DANtE LON.
l'aide de ses seuls suboroonnés.
il s'agissait.
- - - -0000'- - - Par ailleurs, et sous rêsen"e que soient
Le régime institué par l'a rrêté du 20 m a rs
respect~e5 les prescriptions réglementaires r952 diffère du précedent en ce qu'il s'ap- 02 83
AG~
concernant le recrutement des agents non plique sans équivoque aux labo rat oi res detitulairt!S, il peut être proc~d~ à l'engage- partementaux .comme aux municipaux et
MEDAILLE D'HONNEUR
men t en qualité de contractuels (ou tempo- limite à 15 % du traitement budgétai re
DEPARTEMENTALE
raiTt~s) de personnel technicien necessaire il moyen de son g rade les primes susceptibles
ET COMIVIUNALE
l'etude de projets detennines,
d'être accordées à chaque agent.
Promotion
du · 1er janvier 1953
2' Concours prêté par des jonrtionnOires
Tou te fois, étant donne les délais qui ont
techniciens d'une fvllectivité locale à une séparé la réalisation complète du re classej'ai l'honneur de porte r ci- dessous à la
autrl! colleetil'itJ publique:
ment de la publication de l'arrHé du 20 con na issan ce de 1\'\M. les Maires du DéparLorsque des in~njeurs 011 architec ~es mars dernie r, M, le Ministre des Fi nances tement le texte de la ci rculaÎle min istérielle
fondionnaircs auro~t été autoris~s à prêter et moi-même serions disposés à examin er n" 345 du 25 ao ût 1952, r elati ve à la co nstiut,·on de 1.
leur concours à d 'a ntres collectivités, cellcs- avec bienveillan ce les sit uatio ns particuliè- tut ,·on des doss,·e rs IJou r l'.t!r,·b
(
ci, en l'absence d'une réglementation parti- res des directeurs de laboratoi res qui bénéfi- 1\. . \éda'·lle d'llO nneur dépa rtenlentale et co rn culi~re, qui derra interveni r conformement cient actuelle ment e n fait d'un régi me plus muna le,
.
aux dispositions de l'article 85 de la loi du avantageux, en vertu de délibérations prises
Cette circulaire est suivie du décret du 7
8 aout 19-47, relatÎ\'e à certaines dispositio ns en vue d'obtenir la rentab liite de l'exploita~ juin 1945 po r tant créatio n de la Médai ll e
d'or~re . finan ier, font la plupart du temps rion de ces établissements par l'exécution d'Honneu r départementale et commun ale,
application du régime de rémunération établi de travau x payanis.
modifié et comp lété pa r ils décrets des 20
par le d""rer n ' 49- 165 du 7 lé",ier 1949,
SECTION 11/
dé<:embre 1945, 14 fév ri er, 2] mal et 5 sep1 tembre 1946, 16 fe~Tle r ,195_,
.
,
fixant le tanf des honoraires et autres ré-I
~unérations aUouées aux architeltes, ingéIndl'mnite de rendement et de technicité'
Pour ,pe rmettre 1 e nvoI ,de~ dossler~ a la
nltu:-; et. autres techniciens spécialisi:s pour 1des sténo ~dacfJ'lographes cf dactylographes ~ate p rev,ue, Ml\1. l.es Maires , son~ pTlés ~e
la dlr~.:tl o n des tra\'aux ex~cutês au compte
Cette ir.demnité doit être mentio"nn ée po ur \ou lOlr bien les f~lr~ par~:nlr a\~nt lep -é~
des departements des communes des éta
..
dT
d' tt ·b f
'
t septemb re 1952 (dela, de n"ueur) a la r
bli- eme nts public's et services en dépendant- 1 memolr~é' sdes c?n 1 IO~ S t.tat ' Tl u lo n ndaéyan, fecture, sous le timbre : 2e ' Di\'ision, 3e Bul
" ,
' pas va n
epUlS son ms 1 u Ion par e
crel re au
Toutefo,s, S" comme Ji est fréquent, il es! n" 45-1566 du 13 juillet 1945 (J. O. du 18
.
Po ur le ·PrHet :
fa h appel aux sen'ices techniques d'une col- juillet).
Le Sous-Préfet, Direc/eur du Cabine! :
l~tJ rjt~, les honoraires ou autres rému néraJe \'OUS prie de vous reporter à cet éga rd i
Sig né: PLETTNER .
ttons denont t-tre versées ci la collectivité aux inst ructions contenues d a ns les circ ul ai-I
do nt l'assemblée aura à établi r la répartition res de mes prédécesseurs 1.4(';0 AD-3 du 2::!
entre les diffërents fonctionnaires ayant par- jui n 1946 et 384 AD-3 du 26 aoùt 1947.
P aris, le 25 aoOt 1952.
ticipe il la direction des travaux.
PER-AG
Réf. AM- EP
JI conviendra que la collectivité employeur
C HAP IT RE "
Circulaire ni> 345.
consen e une part des honoraires en co mpensation des frais généraux dont elle aura
INDEMN ITES D IVERSES
Le Ministre de l'Intérieur
a M. te Gotlvern eur Général de l'Alla charge. Cette part pourra varier selon les
SECTION 1
gérie ;
.
circo.nst.an ce~ l?c:ales. mais semble ne P 2 5 '
, .
..
1
de\'o lr cire mreneure à 25 %.
Indemni tes speclG!es au pers~~neJ d~s corps
M. le Préfet de ta Seille (DirectiOn
La mi.me
,I
de
contre
1 tnctndle
du Personnel et Direction des
. . , soult,·o n p0 urra e-t re apportte
, protection
.
. '
Affaires Départem entnles) :
au,'" q~estlOns posées pa r fa participation 1 Des ', nstr.uchons, speciales vous ~e ront
MM. tes Préfets - Cabinet (Métrod'arcllltectes ou techniciens des collectivités ad resscees a te sUjet sous le double timbre
pole, Atgérie, Outre-M er),
loc,a les aux opérations pré\·ues par la légis- de la Direction de l'Administratio n , DéparJatl on sur la Reconstruction ~t les Domma- tementzle et Communale et du Sen'Ice Naj'ai l'honneur de VOliS prier de bien vouloir
ges de guer re, le tarif des honoraires ayant tional de la Protection Civile,
m'adresser sous le présent timbre, avan t le
été, à cet é~ard, fixé par le Ministère de la
1er oclobre 1952, délai de ri gue ur, vos proSECTIO
N
1/
Reconstruction et de l'Urbanisme (cf. notampositions en vue de la promotion de la Mément ci rculaire nO CG. 652 du ~ 8 novem b re
Indemnité pour supplément de travail
daille d'Honneur dépa r'ementaJe et comm u1946 et 0092-P. 02 du 13 janvier 194R).
Cette indemn ité peut continue r à êt re nale du 1er ja nvier 1953.
La détermination de la parr revenant à \tersée aux aze nts remplissant les conditions
Les dossiers qui me parviendront apr~~
Chaque fonctionnaire au tit re du co nCours prév ues par les circulaires de mes prédéces~ cette date ne pourro nt êt re examiné~ qu a
pn?té à une aulre collectivité publique o u seurs no.> 1.666 AD-3 du 22 novemb re 1946 l' occasio n de la p romotion du 1er mal 1 9~3.
en particulier au Ministere de la Reconstruc- et 76 AD' 3 dtl 3 f~vrier 19 47. Aux
VOliS voud rez bien vo us confo rm er stTlCtion doit ~tre faite compte tenu de l'artkle 9 termes de l'ar tic le 8 de l'arrêté ciu 20 mars tement aux instructio ns détai ll ées qui v~us
du décret-loi du 29 octob re 1936.
1052, le mon tant de cette ind emnité variant ont été fournies au SUI'et de la ,présentatIO n
li en résulte que si un fonctionnaire peut en fonction des échelles de tr aitement fixées des dossiers.
tre
J e crois devoi r ' d'autre part, Hppe ler vO
bénéficier en même temps des p r imes pré- par J'arrêté du 23 avril 1946, il co nvient,
vues par J'arrêté du 20 mars 1952 et des nou r son att r ibution, de se rappo rter aux attentio n sur les points suivants:
,
hono raires susvisés, il pour ra cumuler les échelles co rrespondant, en 1947, aux traitero Prise en compte des sel,'ires militai-
•••
In'Oou'il
riP,
••••••••••••••
r.es. e.t . as
. sïim
. il.és•..• • • • • ••
I •••••
Je vous rappel.le , qu'en vertu de l' a rticle 6
du décret du 7 JUin 1945, les services mili~
taires doivent êt re pris en compte dans le
ca lcu l de l'ancienneté des intéressés dans
la limite de :
_ la durée léga le du temps de paix,
- la durée des se rvices de gue rre,
Doit être pris en considération le temps
passé durant la g uerre 1939-1 945 :
En vertu du décret précité, cette distinc- d écembre 1904 et 4 octobre 1924, relatifs à
tion he pourra êt re acco rd ée que dans la la Médaille d' Honn eur des Octrois,
limi te du di x ième des Médai ll es de Vermeil
Vu les décrets des 22 juin 1900, 24 av ril
décernées, ce qui revient â di re que le nom- 1901 et 23 juin 19 15 et l'arrêté du 26 juin
bre des Médailles d' Or se ra a u pl us éga l au 1900, relatifs à la Médaille d'Honneur des
centième des Médailles d'Argent acco rd ées, Ha ll es et Marchés ;
soit au maxi mum 40 médailles par promoVu les d éc rets des 20 août 1921, 16 mai
tion.
1924, 22 octob re 1924 et 22 décembre 1938
Je tiens to ute'fois à pré<..~ser que ce pour- et les a rrètés des 4 janvier et 23 d éce mbre
centage se ra calculé s ur le plan nat io nal. 1938, relahfs â la Médaille d' Honneur Coma) aux armées, en captivi té et d a ns les En co nséque nce, vous pourrez me fa ire par- munal e,
f. F. L. ;
venir pou r vo tre d épa rt ement d es proposiDECR,f,TE :
b) da ns la Résista nc e, en qua lité d'agent t·
l " "d ·11 d'O
éd t 1
po
'ons pour a m" a' e
r exc a n a proArticle premier. _ Sont abrogés
PI oU ~;
portion de 10 % des Médailles d e Vermei l,
c) da ns les F. F. 1. ;
sous réserve, bien ent endu, de ne m'ad resse r
Les déc rets des 26 mars 199B, 8 octobre
d) en d épo rtatio n ou en internement a u qu' un petit nombre de propositions,
1924 et 26 j uin 1927 et lesa rrètés des 4 avdl
titre de la Rés is ta nce ;
1898 et 6 juin 19 13, relatifs a la Méda ille
e) dans les ollantiers de jeunesse pOUl
j'ajoute que les dispOSitio ns relat ives à d'Honneur de la Voirie départementa le et
le stage ob ligatoi re,
I~oct roi de la Médaille d' Honneu r départe- communale,
ti tre postliume s'apLes d "'"
~ rets des 16 novembre 1903, 24 déIl co nvi ent, d'autre part, d'acco rd er aux mentale
1·
t et
· communale
l ' ·Iéd ·11 àd'O
.
p
'quen
a
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al
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r.
cemb
re
1904 et 4 octob re 1924, rela t,· ls a· la
déportés et intern es de la Résistance les
P
t d"t
é
tt
majorat ions pr é vues par la loi du 24 juin d· t·ourt·ron 1 One e t re d pro posIl S t· pour
·té lce e "'\'Iédai lle d' Honneur des Octrois,
co ec IVI S ocd a-!
Les d <
'·c ret.
des 22 J·u,· n t 900, 24 avri l 1907
"
1950, confo rm éme nt aux instructions conte· 1 IS InCt 1Ion es agen s . es t·e"'
es
e
es
perso
nnes
lO
ves
1 s l.! un man a
et
23
J'uin
19
15
et l'arre-té du 26 J'uin 1900,
nu es d a ns ma circulai re nO 25 du 26 J'a n- ' 1 t·' d ·
t
t 1 to
i d ·c'
vier 195 1.
.
e ec Il
epar emen a
e c mmu na, e e- rel atifs à la I\-\édai ll e d'Honneur des Halles
dés depuis moins de 5 ans par suite de et Marchés ;
Le de rni e r alin éa de l'a rticle 1er de la l'exercice de leurs fonctions et lotalisant au
Les d & rets des 20 août 192 1, 16 mai 1924
loi du 26 septemb re 1951, instit uant des bo- moins 35 années de services au moment de 22 octobre 1924 et 22 décembre 1938 et les
nifications d'ancienneté po ur les perso nn es leu r décès.
arrêtés des 4 janvier 1922 et 23 décembre
ayant ,part icipé à la Résista nce pispose que 1 Vos propositions po ur la Médaille d'Or 1938, relali,s à la Médaill e <l' Honneu r CornIes rapp els et bo ni ficatio ns accordes en ver- devront m'être ad ressées sous un bo rd ereau
tu de cette loi « co mpte ront dans tous les récapitulatif unique pour l'ensemble des m~n~~e'2, _ (llv\odifié par les .décr ets du
cas pour l'att ri bution de d éco rations »,
ca ndid ats, qu'i l s'ag isse de titulaires de man- 20 décemb re 1945 et 5 septembre 1946), _
Le règlement d'admin ist ration publique dats électifs ou d'age nts d es coll ectivités 10- Il est créé une Médaille d'ancienneté, dite
tendant à 1'3!pp lication de ce tte loi aux ca les, et su r lequel VOliS mentionnerez votre « Médaille d!Hollneur Délpartementale et
agents des département~ et des comm unes ordre de préférence.
Communale », destin ée à réco mpenser les
n'est to utefois pas enCore inte rvenu ( 1).
1 Je vous sig nale, par ai ll eurs, que M. le Se- services des agents de tout e nature, des
En co nséquence, et pour 1e moment, les , c r~tai re ,d'Etat au BlIdg~t, saisi .par m;:,s <lépa rtements, des communes et des établisservices accomplis dans la Résistan ce ne 1 SOIns, ~1 a récemme~t f~lt connalt re q~ II sements publiCS dépa rtement a ux et commupeuvent dO llner lieu à aucune majoration a~ceptalt .que les tItulaires de la fo.'\~daille , naux, qui rempliront les conditions prévues
pour le calcul de l'ancienneté requi se pour d Or r~,ço.l\'e~t, au moment. ,d e ,la remise de , aux articles suivants,
l'attribution de la Médai lle d'Honneur dépar- ce tte dlstt nctlon} un e gratificatIOn de 1.500
La j\\édaille d'Honneur Départementale et
tementale et com mun ale,
francs,
Communale peut également être attribuée
Seul donne li eu à majofation le temps
Je VOLIS prie de bien vou loi r trouver, sous aux personnes tItulaires de mandats électJ,fs
passé en déportation ou en internement dans ce pli, un exemplaire codifié du d éc re t du des dé partements et des communes, dans
les conditions rappelées cÎ-dess us,
7 juin 1945 portant création de la Médai ll e les memes conditions que 'pour les agents
d'H on neur départementa le et communale, des services désignés ci-dessus.
2° Médaille de vermeil.
Les services rendus pa r les sapeursmodifié et complété par les décrets des 20
J'ai pu constater que les propos itIOns for- d écembre 1945, 14 février, 23 mai et 5 sep- pompiers, en faveur desquels existe une mémulées pa r certai ns ù'enê re VOliS, en vue de tembre 1946 et 16 fé vrier 1952.
daille d'ancienneté spéCiale, ne sonf pas susl'a ttri butio n de la Médaille de Vermeil excéJe \'01lS serais obligé .de bien vou l?ir d,iHu- cepHble:s d·ëtre recompensés en tant que tels
daient la rgement le pourcentage de la % ser la prése nte ins tru ctio n aux se r VIces Int é- par la Médaille d'Honneur Départementale
des Médailles d'Argent, fixé par l' artic le 3 ressés notam ment aux Maires, et, le cas et Communale,
du déc ret précité.
échéa~r. aux Conseils d'Administration des
Art. 3, _ (~"\odi fié par le décret du 16 féJe vous se r ais obligé, en conséquence, de Caisses de Crédit Municipal et Monts-de- "rier 1952) . _ La ~I(daille d·Honneur Débi en vo ulo ir vei ll er tout particulièrement à ce Piété.
pa rtementale et Communale comporte trois
que- vos propositions soient désormais étaPour le Ministre et par délégation
échelons:
blies dans la limite de ce contingent,
Le Directeur du Cabinet
La t\\édaille d'Argent est décernée après
Elles devront m'êt re a dressées sous un
Signé: J. VERD IER,
vingt-cinq ans de service aux agents qu i
bordereau récapitulatif unique pour l'ensem• .. ..
auront manifeste une réelle co mpétence proble des candida ts (qu'il s'agisse des titulai- Réf, AJ\\-EP
PER-AG
fessionnelle et un dévoueml!nt constant dans
res de mandats effectifs ou d'agents des coll'exercice oe leurs fonctions.
Paris, le 7 juin 1945.
lectivités locales), sur lequel vous mentionLa Médaille de Vermeil pe ut J?tre décernée.
nerez vo tre ordre de préférence,
DECRET DU 7 JUIN 1945 PORTANT .::tprfos trente-cin~ ans de service aux agents
Vous voud rez bien indiquer sur ce bordeCREATI ON DE LA IIIEDAILLE D'HON, qui au ront fait preuve de mérites partu."1Ireau si ces candidats sont déjà titulaires de
NEUR DEPARTEMENTALE ET COII\- li ers au cours de leur carrière, A J'intérieur
de chaque promotion , elle ne pourra être
la Médaille d'Argent.
~ \UNALE
acco rd ée Que dans la limite du dixième des
3" Médaille d'Or.
Le Goullernement provisoire de la R,ipU- Mt.':::Iailies d'Arge nt décern ées ;
La Médaille d'Or dépar:ementa le et com- blique Française,
La J"\édaille d"Or pellt Hre décernée après
munale! instit uée pa r le decret du 16 fév rie r
Vu l' ordonnance du 3 j uin 1943 portant quarante-cinq ans de sen' ices aux agents
1952, peut êt re décernée après 45 ans de institution du Comité français de la Lihé- qui a uront fait preuve au co urs de leur carse rvices aux agents des co llectivités locales ration Nationale, ensemble les ordonnances ri ère de merites exceptionnels. A l' intérieur
et aux pe rsonnes investies d'un mandat élec- des 3 juin et 4 septemb re 1944 ;
de chaque promotion, ell e ne pourra être
Hf dépa rtemen ta l et communa l, qui auront
Vu les décrets des 26 mars 1898, 8 octo- accord-ée que dans la limite du d ixiè me des
fait preuve de méri tes exceptionnels au cours lHe 1924 et 26 juin 19:!7 et les a rrc? tés des l\\édailles de Vermeil decernécs.
de leu r ca rri ère,
La Medaille d' Hollneur Départementale et
4 avnl t 898 et 6 Juin 1913, relatils il la
Médaille d'Honneur de la Voin e départemen- Communale pourra être décernée. à titre
1 poslhume, aux personnes décédées par suite
(1) Le d'écrct du 6 juin HI 52 ne s 'applique 1 t a 1e e t conlmu nale .,
qu 'au x agents de l'Etat,
Vu les décrets des 16 novem bre 1903, 24 de J'exercice <ie leurs fonctions ou en raison
�174
de leur attitude patriotique et qui totalisent, du Conseil de Discipline de l' Administration chantiers soient appelés par des collectivités
auquel il 'lPpartient et a ,v is du Prélet.
loca~es à intervenir alors que le concours du
au moment de leur décès :
_ Dix ans de services pour la Médaille
d'Argent;
.
.
_ Vingt-einq ans de services pour ta IM-edaille de Vermeil ;
_ Trentt-dnq ans <le services pour la
Mé<laiUe d'Or.
Art. 4. - La durée de services exigée
doit être entièrement acquise dans les .cadres administratifs <des départements, communes et établissements publics départementaux et communaux, mais non pas obligatoirement dans les cadres d' une même ad ministration ni dans les cadres d'ax1ministra-
En cas d'indignité dûment constatée du
titulaire, elle peut être retirée par arrëté r'u
Ministre de l'Intérieur.
Art. 10. - Le mod èle de la \Médaille, la
couleur et la d~sposition du ruban sont -fixés
par arrêté mwstétiel (2).
Art. 11. Le Ministre de l' Intér ieur est
chargé de r""ocution du présent arrété qui
aura effet à compter du 1er janvier 1945.
fait à Paris, le 7 ,juin 1945.
(Z) Arrêté du 30 avril 1952 -
J. O.
du
.j
mai.
-------<.00<.------tions relevant d'une même persorute morale.
Art. 5. - Les années de sen1ices ne sont D5 BI
TVXO
prises en com,pte pour l' obtention de la Médaille d' Honneur Départementale et Com mu- ATIRIBUTIONS D'INDEMNITES POUR
CONCOURS
SPECIAUX
PRETES
nale qu'à partir de l'âge de 18 ans.
COll.ECTlVITES
LOCALES
AUX
Art. 6 (Ao\odifié par le dêcret du 23 mai
PAR
LES
CONDUCTEURS
DE
1946 (1). - Le temps passé sous le~ draCHANTIERS ET AGENTS DE TRApeaux en période de guerre est compte d'ans
la durée des services.
VAUX DES PONTS ET CHAUSSEES_
Le service militaire du temps de paix n' )'
est compté que pour la durée légale du service obligatoire.
Art. 7 (Modifié par le décret du 20 décembre 1945). - Après un délai de 5 ans courant à partir de la date" laquelle un agent
aura été mis à la retraite, ou, s'il n'est !pas
titulaire, aura cessé ses fonctions, auCune
proposition ne pourra être formulée en vue
de provoquer ~ sa faveur "octroi de la Médaille d'Honne-ur Départementale et Communale.
Cependant, à titre exceptionnel, et pour les
promotions incluses dans les deux années
qui suivront la date de parution du present
décret, la Médaille d' Honneu r Départ""",ntale
et Communale porrrra être attribuée, in<Iépendamment du délai prévu à l' alinéa précédent, à d'anciens fonctionnaires ou agents
départementaux et communaux mis à la retraite ou qui auraient cessé leurs fonctions.
Art. 8. - Les candidats à la Médaille
d' Honneur Départementale et Communale
doivent avoir mené une vie parfaitement honorable, exempte d e toute condamnation
pénale grave.
Leur loyalisme patriotique doit être audessus de tous soupçons.
Art. 9 (.\1odlfié par le décret du 20 dé ·
cembre 1945). - La Médaille d' Honneur
Départementale et Communale est accoroée
par arrêté <lu Ministre de l' Intérieur sur proposition du Prélet.
Elle se per.d de plein droit :
1° pa r déchéance de la nationalité française ;
2° par toute .condamnation à une peine
afflictive ou infamante ;
3° par toute condamnation à l'emprisonnement ;
. 4° par la révocation.
EUe peut être retirée en cas de sanction
intervenue à la suite d 'une faute disciplinaire ; dans ce dernier cas, la Médaille
d'Honneur Départementale et Communale ne
pourra être retirée à l'agent qu'apres avis
(l) En ce qpl concerne la durée des service.,
il doit être fait application de l'article 8 de la
lQi du 6 août 1948, relatif à l'attribution de
bonifications aux dbportés et internés de la R~
Circulaire lnterminis1érieUe N' 86
du 31 juillet 1952
Non 'Publiée au J.O.
Classement T. P. 73-65
Le Ministre de l'Intérieur,
Le Ministre des T ravaux Publics,
des Transports et du Tourisme,
à MM. les Préfets,
Une enquête récente effectuée da ns 'ies
départements a montré que l'arrêt-é interministériel (.fÎnances - Intérieur - Travaux Publics) du 27 janvier 1950 et la errculaire
interministérielle (Intérieur et Travaux Publics) n' 56 du 23 mars 1950, concernant
J'attribution d'indem nités pour co nCours
spéciaux prêtes aux collectivites locales par
les -conducteurs de chantiers et les agents
de travaux des Ponts et Chaussées avaient
donné lieu à des mesures d~ applicatio n très
diverses, débondant même, dans plusieurs
départements, le cadre des instructions
ad ressées.
Il a par u, en conséquence, nécessaire d e
vous faire parvenir des indi'catio ns complémentaires, étant entendu que, dans les départe ments o ù les mesures prises s' écarteraient notablement des direc tives d'ensemble ainsi donnees, il y a ura it lieu de les
ramener dans le cadre de cell es-ci à la premi ère occasion.
'
Parmi les conCours qui p'euvent être demandés aux. coniducte urs de 'Chantiers par
les Collectivités 10cales ou organismes divers, en dehors de leurs attributions obHgatoires, il y a li eu de bien distinguer, d'une
part, les interventions qui concernent la
gestion de services et qui font l' objet de
l'arrêté du 27 janvier 1950 ; ainsi que, le
cas échéant . . les surveillances de chantiers
de travaux occasionnels ; et, d'autre part,
les tâches qui ont trait il la préparation de
projets.
•••
interventions concernant
Les
la gestio n
de services se trouvent ré-munérées dans tes
conditions fixées par l'arrêté interministoériel
du 7 janvier 1950, qu'il s'agisse de la gestion proprement dite de services t el que celui de la voirie rurale ou de la voirie ur.baine
ou Ide J'exercice d'un contrôte ayant trait
au fonctionnement d' un Service.
On peut obser ver qu'il n'est pas rare, dans
ces divers conCours que des conducteurs de
servIce des Ponts et Ohaussées n'a pas été
demandé dans le cad're de la loi du 29 sep_
tembre 1948.
~~ vu.e de l'a p p~ication de l'a rrêté i n~
te!mlTllsténel du 27 Janvier 1950, la ci rcula"e du 23 mars 1950 a SOuligné que seuls
~es con-cours effectivement prêtés . po~vaieni
etre rémunérés par les intdemnités prévues
et ce, dans les li mites correspondant à l 'im~
porta nce de >ces co nco urs. li ne saurait Idonc
être question que toutes les co mmunes
attri buent nécessairement de teUes indem nités, ni que les indemnités accordées soient
fixées unifoml ément au mfme taux chaq ue
année. Ces indemnités doiven t, en règle g&néra le, être détenninées annuellement par
ohaq ue collectiv jté inté ressée en ifonction
des colla borations diverses qui ont pu lui
être appo rtées par le Cond'ucteu r de chantiers (et, tout à fait exceptionnellement (1)
par des Agents de travaux), en dehors de
le urs attribut ions obbgatoires. Pour la Survei ll a nce des travaux d'entretien, il sera
souve nt expédient de cons idérer le montant
de ce ux-ci et lCfe lui appliquer un po urcentage appropri é, qui ne devra pas toutefois
en principe, dépasser 1 % .
'
Les indemnités ainsi accordé es au titre de
l' arrêté du 27 janvier 1950 feront 1'0bjet, en
principe, en fjn d'année, de propositions de
paiement établies par Plngé ni eur T.P.E.
Sub:divisionnaire, vérifiées pa r l' In.génieur
d'A rrondiss ement, visées pour « Auto ri sation de payer » .par l" ln génieu r e n Ohef, qui
en tiendra un I;elevé a nnu el et approuvées
pœr le M,aire ou le Présrdent du Syntiicat
intéressé. L'Jngénieur en Ohef fera, le cas
échéant, les réductions nécessaires pour que
la limite prévue à l'article 3 de l'arrêté ne
soit pas dépassée ; ces réductions seront
effectuées a u 'Prorata des sommes allouées
à l'intéressé par les différentes coUectivités.
Lo.,;que l'i ndemn ité votée comprendra forfaitairement les frais de déplacement, l' Ingénie ur en C hef <léd uira d' a bond' 1'our la
considération du plafond de 10 % , les sommes co rr esponda nt à ces frais, selon justifications fo urnies par l'A!ge nt intéressé.
POlIT la surveillance de c hantiers d e trava ux occasionnels (Travaux neufs ou de
grosses répa ra{ions), il est Jait app el ord inakement à des surveillants spéciau x. Lorsque, à titre ex'Ceptionnel et pOUT des tîJV aUx
souvent peu impo rtan ts, c'est un Conducteur de cha ntiers qui assure cette s urveilla nce, en sus de son service normal, c'est
a ussi l'arrêté ministériel du 27 jan vier 1950
qui doit être avpliqué.
175
les frais de levés topog ra phiques normau x
(cf. la circulaire interministérielle n° 122 du
28 avril 1949 § A).
Dans ce cas, l'indemnité attribuée au
Conducteur de c han ti ers est prélevée Sur le
montant global des hon o raires, avant toutes
répartitions. Rien ne s'oppose, ainsi que l'envisage la circ ulaire min istéri ell e nU 42 du
22 mars 195 1, à ce Iq ue la somme ,due au
Conducteur de clha ntiers lui soit pa yée par
chèque tiré sur le compte 33-06.
. .Dans ce cas, l'i nrde mnité perÇllë i)a r le
Conducteur des c ha nti ers n'entre pas en
compte dans la limitation prescrite par l'article 3 de l'arrété du 27 janvier 1950, qui ne
c0n+"er ne que les seules indemn ités perçues
au titre de cet anrêté.
••
Vous voud rez -bien insérer la présente
circulaire au I~e c u eil des Actes Admi nistralids de votre département et, le cas échéant
faire con naître sous le timbre <lu Ministè r~
des Trava ux Publics (IPersonnel - 3~ Bureau)
les difficultés que pourrait ent raî ner son
application. Copie en est adressée direct ement à M :M . les In génieu rs en Chef des
Ponts et Chaussées.
Pour le Ministre des Travaux Publics
des Tra nsports et du T our isme
et par délégat io n,
Le Directeur d'u Cabi net
J. BOUCQliRAN.
Pour. le Ministre de l'Intérieur,
Le DIrecteur de l' Administration
Départementale et Communale
[)Ai\>~E.L ON.
------- «~ oo <~ -------
1
Communiqués-Avis
Annonces dIverses
D382
DONS ET LEGS
Avis publié en ~.récut io n de l'a r t i c l~ 3 du did" 1er fév rier IS!)(; , dan..s le but d'lnvihr
1 ~s héri/iuJ i~lconnus des testatell'S li prendre
WJl1uJissafi ce du t ~s'a mc"t , e n vue de donne r
RECRUTEMENT
1 ! eUr cOns en lLme,lt 0" al! produ ire Il!1lrs mO)'l!nJ
DE PERSONNEL COMMUNAL
d'opp osition.
Les r.:cfamat io".s UI! Salit recet,:abll's que dan.!
L' ASSOCiation des Anciens Etudiants de
lin débi tk trois tn-ois à partl r de /'msertion
0283
.
v~t
l'Ecole Nationale d'Ad min ist ration u'v\un ici- au « 8'411etin :t.
pale, siège : ,I ns titut d' Ur,ban.is me, 3,1 r ue
Pa r testament olograp he du 2 novem bre
Mi ohelet, Paris (VI'), a créé un s_ice de
1950, déposé aux minutes de M' A Ibert
placeme nt pou r les a ncie ns étlJdia nts de LLEUTAR<D, notaire à Marseille, 60, rue de
l' Ecole.
Rome, fe u Marie-Louise N IEL a légué aux
MM. les ~\r\.aires qui dés.rent re cruter d u Sœu rs 'de St-Vincent'de-Paul, 12, rue SaintAdrie n à Marseille, un immeuble sis à Nansperson nel peUlvent s'a dresser à la Secréta ire les"Pins (Var) .
de l' Association , J\rUle Gerain, Secrétariat
Conformément a ux dispOSitions du décret
Génêral de la Mairie de Pantin, qui leur du 1er février 1896, les hériti ers connus ou
inconnus de feu Marie-Louise NIEL sont
enverra une liste de candidatures.
invités à prendre connaissance du testament,
donner leur consentement à son exécution
----- <~ O Cc::t ----ou ,p rQduire leurs moyens d'opposition dans
0283
un (fê lai de trois mois à dater du jour du
présent a'Vis.
DEMANDE D'EMPLOI
!Mar~eille, le 4 sep tembr e 1952.
Secréta ire Général de Mai, ie d e 2' classe
Pour le Préfet, par autorisation,
(ind ice 310), â gé de 40 ans, sé ri euses réféLe Chef de Bureau :
rences, solli cite un emploi éq uivalent dans
une commune du Département des Bo uchesdu-Rhône de 3.500 il 5.000 habita nts.
MlM. les Maires intéressés par cette
candjdature so nt priés d e se mett re dir ec tement en ra p:port avec M . Jean Morgan d,
10, rue Albert- t er, à St-Polllrcain-s ur-S io ul e D2 B3
OffRE D'EMPLOI
(Allier).
Le poste de Secreta ire de .\1 airie à Rogna c
est actuellement va ca nt.
------ c~o o c» ----Les· c andi~a tul es doivent êtr e a dressées
directement à ~\\. le ~'\ a ir e de Rognac.
•
GOJUfIIUKIQDU DU SECBnBDIBT
DE L'UNION DES PIBIRES
• ••
Par contre, il arrive que le servlc e des
Ponts et Ohaussées, ch.argé par un e coll eetivité de dresser un projet, 'asse a ppel à u~
Conducteur de chantiers pour -c ollaborer a
la préparation de ce pro'j et, soit pOl1or recueillir localement ce rta ins ren sei g nements
nécessaires,""' soit pour participer à l'exécution des le vés to.pograp1üques correspondants.
Il appartient a lors a u Ser,vice de rémunérer ce Conducteur de chanti e rs s ur les honora i,es qu'il perçoit !pour l' ét ude du pmj,l,
ces honoraires devant cou vrir notammen.t
(l) Cette exception pourra résulter notamment d'une vacance dan s Je cad.;c des co nduc-
teurs de chantie rs, l'emploi va('an t étant momentanément confié à un Agent de Travaux.
POlir le Préfet, .
Le So us-Préfet. Directeur du Cabinet
PLETTNER.
�18 et 25 Septembre 1952
REPUBLIQUE FRANÇAISE
~-......;:- N" 38 .t 39
DËPARTEMENT DES BOUCHES-DU>
Recueil des Actes Admin~.!~fs
et Bulletin des Mairies
Toute corr espondance r elative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
•
A. P. : Arrête préfecto ra l. - C. : Cir cul aire.
D . S. T. : Direction des Se rvices Technique • . mentale de la Population.
ABRÉVIATIONS
Les lettres D et B sui vies d' un dhiffre indique nt le Ser vice ou Bureau d'origine.
D. D. S. : Directio n Départeme ntale de la Santé. - D. D. P. : Direction départe-
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires et Circulaires
Pages
Pages
AC 2. - Circulaire r elative a u régùne
de Sécuri té soc iale des fo nctionn a ires civi ls de l'Etat ........... .
177
AG 2. - Circulai!e d'appli catio" du
statut du personn el conunun aJ .....
FS O. - Règleme nt sa nitaire départemental ... . .... .... .... ......
177
Communiqués -. Avis -. Annonces diveJ1SeS
Pa;-es
-
Permutation d'emploi de secrétaire
de ma irie.... .... .... .... ....
188 - Ofrre d 'emplo i . . .. .... ........
196
196
ARRËTËS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
D583
AC3
CIRCULAIRE RELATIVE AU REGIME
DE SECURITE SOCIALE DES FONCTIONNAIRES CIVILS DE L'ETAT.
N'55 - 7B/ 12
Pa,is, le 2 aoO t 1952.
Le Secrétaire d'Etat au Budget,
à MM. Jes Ministres
et Secretaires d'Etat.
vant le service des prestations auxquelles 1 02 83
AG2
o nt droit les intér essés.
1
STATUT
Seuls, ceux d'entre eux qui n'étaient affi- 1
DU PERSONNEL COMMUNAL
liés, jusqu'à présent,
nr
au régime de Sécu-
rité Sociale des fonctionnaires civils ni à
oelui des milit ai res de carrière et qui résident su r le territoire métropo li tain, sero nt
rétroactivement à
compter du
affiliés
1er janvier 195 1, Idate à pa<rti r de laquelle
les cotisatio ns OTH été p récomptées sur ~ es
arrérages de leu rs pensions.
11. -
Cotisation due par les fonctionnaires
en congé ete maladie ou de maternité
donnant lieu à paiement du traitement
entier..
La présente cÎlrc uJ a ire a po ur doub le objet
de modifie r les règles actuell ement appli cables pour l!affiliation des fonetion~aire~
civils ,r,etrai rés ti tulaÎlres d'urne Ip enslOn a
L a e ircu laire du 9 d~cemb r e 1947 fixe,
forme militaire et d'aq>p.orter une préc ision,
dans sa sectio n Ill, chapitre 1er, les règles
en ee quj concerne l'assie!te ~ .a cotisa- applicables en matière d 'assiette de cotisation de certai ns fonctio nnaIres en co ngé die tio ns dues par les fonctionnaires en co ngé
ma ladie.
de ma ladie donnant li'Cu il paiement du trai1. - Fonetionnaires civils r etJ1aités titulaires tement entier.
d"une pension à forme militaire,
li y a lie.u de co~pléter, ainsi ~'i1 suit.
les disposptlons relatives au dewoeme cas
M-a circula ir e n" 11 8 Ibis B/12 du 23 avril (section Ill, chapitre 1er,. Première partie 1948 »recisait que les intéressés ont droit et B - 10 ) du traitement entier
o UlV rent droit da ns les m~mes conditions
It Bien entendu, si le fonctionnaire a au
q",~ les ,fon ~ tionnaires r etraités titulaires
d' une pensio n dv ile, au bé néfice du régim e mo ins trois enfants à charge, au sens die
de Séc urité Sociale des fo ncti onnaires CÏlvils. l'articl e 24 CIe l' Ordo nn ance du 19 octobre
1945 s ur les Assurances socia les, la cotisaLe maintien de .cett e Id~spositi.on ne se tion n'est assise que Slfr le hers des émolujustifi.e plus dep uis la mise en place d u ré- ments mensuels assu jettis >,
gime de Sécurité Sociale applrcable aux
Signé: JEAN-MORElAU.
militaires de carrièr e.
. . ....." .. _...... . '
En conséq uence, tous les tit111air~~ ~e
pens Îo ns militaires et à forme mliltrure
all ouées ou révisées au titre die la loi
n' 48-1450 du 20 septembre 1948, doilvent
être
Caisse NationaJe MH itaire
- - - 0 0 0 0 -- -
J'ai l'honneur de po rte r à la connaissancede MM. les ~\aires du Département des
Bouches-du-Rhône la circulai re de Nl le Ministre de l'Intérieur n° 325 du 10 août 1952,
relative aux modalités d'app li catio n de la
loi du 28 ami 1952 portant Statut Général
du personne l des communes.
Pou r te Préfet et pa r détégatio n,
Le Secrétaire Général
Signé : Maxime MIGNON.
• ••
Pa r is, le 10 août 1952,
Le Minisrre de l'Intérieur
li Mill. les Préfets de la Métropole
el des Départements d'Duire-Mer,
Obj et. - LOI PORTANT STATUT GE NERAL DU PERSONNEL DES CO~L\\U
NES ET DES ETABLISSEMENTS PUBLICS COMMUNAUX.
Le Journal Officiel du 28 avril 1952 a publié la toi portant statut du personnel des
communes et des établissements publics communaux. Le but essentiel de ce texte est
d'apporter à l'ensemble des agents commu:
naux occupant à titre permanent un. e!l1plol
à temps complet des gara n tie~ g~.nerales
comparables à celles des fonctionnai res de
l'Etat.
Chaque fois que cela .1 été possible, il a
été fait application aux agents communaux
des règles prévues par le Stat,lIt Génêral.des
fonctionnaires de l'Etat. MaIS en meme
la loi a innové ; c'est ai nsi que ,oar·
�H8
obligatoire groupant toufes les communes gi me législatif o u
occupant moins de
agents titulaires à sont:
temps complet et dont le rôle est de facilitel
(3) 1· Parmi le
.w
)'application du 9\atut. De même, les articles
14 et 15 instituent des commissions paritaires communales o u intercommunales dotées
d'attributions consultatives, mais dont le rôle
peut être trèli important. L'article 36 apporte
au personnel des ga ranties nouvelles en matière de discipline en lui permettant de saisir, dans certaines conditions, le Conseil de
discipline départemental.
Enfin. J'a rticle 92 crée un Comité paritaire
nation al consul tatif des services municip aux
qui participe à l'établissement des règles généra les de fo nction nement des services.
Un certain nombre de textes d'application
dOÎ\'ent suivre la publication de la loi ; leur
élaboration est commencée avec le concours
du Conseil NationaJ des services publics
départementaux et communaux.
Parmi ces dispositions du statut, certaines
(par exemple celles relatives à la rém unération) ne pourront entrer en application qu'après la publication de ces tex:tes Ou la mise
en place des organismes prévus par la loi.
Il y a lieu, dans ce cas, de considérer
Comme maintenues provisoireme nt en vigueur les dispositions et procédures a ntéri eures, même lorsque celles-ci figu rent pa rmi les textes ab rogés par l'article 96 de la
loi. Ce point a été précisé exp ressément par
le rapporteu r lors du vote définitif du statut
par rAssemblée Nationale.
La présente ci rculaire, qui tient nota mment compte des débats pa rlementai res et
des travaux des commissions qui les ont précédés, a pour objet de \'ous donner des éléments d'information sur les principales dispositions pouvant appeler un commentaire.
TITRE 1
DISPOSITIONS GENERALES
,CHAPITRE 1
Champ d'application du Statut
Arlicle 1er (alinéas 1 et 2) et article 89 .
A. - (1) Définition générale.
L'ensem ble des dispositi ons du statut s'apphque aux agents titularisés dans un emploi
permanent à temps compl et des communes
et des établissements publics commu naux et
intercommunaux.
Il s'agit d'agents :
1" ayant fait l'o bjet d'une décision individuelle de titularisation, décision qui a pu
revêtir dans le passé soit une forme verbale
soit une forme éc rite, cette derni ère étant
maintenant systématiquement recommandée
pour éviter toute contestation ;
0
occupant un emploi comportant un
2
service d' une dur,é~ égale à celle prévue par
les d,Sposlltons legtslatlves et réglementaires
en vigue ur (actuellement décrets des 2 1 avril
et 8 septembre 1939, Cf. circ. 55 AD'3 du
28 février 1952, p. 3).
B. - ~2) Cadres et agents soumis à des
régimes spéciaux.
la loi précise, d'une rpart, qu'il n'est pas
dérogé aux dispositions législatives et réglementaires qui créent en faveur de certai nes
catégories d'agents un régi me spécial et,
d 'autre part, que le· statut ne s'applique pas
au personnel des établissements prèlientant
un caractère indust riel ou commercial.
d:~lle_nts
d' un ré-
-
spécial du decret du 1.7 .fevrie r 1930. Par co ntre, ne
sont pas co nslde rées comme services à ca.
personnel propremenl ractère industrie l o u commercial c les régies
or ga nis ées excl us i\'emen~ da ns un but d'hy_
communal :
giè
ne ou d' assistan ce et ne compo rtant que
les age nts pour lesquels ce rtai ns textes
législatifs ou réglementaires oni prévu des des recettes en atté nu atio n des dépe nses »
dispositions spéci ales rel atives, en particu- a insi q ue le précise le trois ième a linéa d~
lie rJ au rec ru tement. à la nomination ou au l'article premier du décret d u 28 décembre
t926.
régime discip lina ire.
Ai ns i, un e comm un e peut o rga niser Un
Il s'agit. notamment :
service de bai ns-douches m unicipaux sa ns
- des directeurs et professeurs des écoles donner à so n eXiploita tio n un e form e comnatio nales de musique et des ecoles muni- mercia le.
cipales de Beaux-Arts (décret d u 25 mars
(7) Les ,conditions de tra vai l et de rému1852, art. 5) ;
- des biblio th écaires et a rchivistes (loi du nération des agents des établissements la.
ca ux à ca ractè re industriel ou co mm ercial
20 juiJiet 193 1) ;
- des conservateu rs de musées classés et ai nsi défi niS rel ève nt des co nventio ns collee.
tives et des accords de salai res prévus par
co ntrôlés (décret du 3 1 aoû t 1945) ;
la
loi du I I fév rier 1950, qui s'a ppli.q ue aux
- des directeurs et di recteurs-adj oin ts des
bureaux d' hygiène (décret-loi du 30 octo- pT4lfessions industr ielles et com merci a les.
Seules, sont exclu es en effet du bé néfice de
1935) ;
- des vétérin aires et inspecte urs du co ntr ô- cette loi les entreprises pu bliques, dont le
le de la salub rité des viandes (déc ret du pe rso nne l est soumis, pour les conditio ns de
travai l relevant des conven tions collectives,
29 septembre 1935) ;
- des femmes de service des écoles mater- à un stat ut législatif ou réglementai re pa rti.
culie r (nouvel article 310 du Code du Tranelles (décret du 18 janvier 1887) ;
vai)),
ainsi que « les établisse ments dont le- des agents de police (1) et ga rd es-c hampêtres (loi municipale, a rt. 102 et 103, perso nn el est soumis au même statut législoi du 6 octob re 179 1 exigea nt 25 a ns latif o u réglementaire particulie r que celui
d'e nt rep rises publiques » (no uvel article 31
.d'âge pou r les ga rdes- cha mpêtres) ;
- des sape urs-pompiers professio nn els (1) du Code d u Tra va il).
régis par le déc ret du 13 août 1925.
(8) La liste des entreprises publiques à
(4) 2· Parmi l e personnel des elablisse- ca ractère ind ust ri el et comm ercia l dont le
ments publics communaux et intercommu- personnel bénéfici e d' un statut législati f ou
réglementai re a été établie par le d éc ret nu,
naux :
méro 50-635 du 1er j uin 1950. Elle ne coma) les receveurs des offices ct/hab itations
porte pas de service co mmunal et d'ap rès les
à loyer modé ré (art. 16 de la loi du 5 déce m- renseig nements e n ma possession, auC un serbre 1922, modifié par l'a rticle premier du dévice comm un al à caractère industriel o u comcret-loi du 30 octobre 1935) ;
mercia l n'est doté pour son pe rsonnel d' un
b) les agents des hôpitaux et hospices
statut identique à celui de l' une des entrepublics (loi du 2 1 décembre 1941 et d éc ret prises publi q ues figurant au d éc ret.
du 17 avril 1943) ;
(9) Il en résulte que les personnels des
c) les agents des caisses de crédit municipal (l oi du 24 juin 1851 et d éc ret du 30 établissements communau x à caractère industriel ou co mm ercial relève nt, selon la
décembre 1936).
branche professionnelle co nsidérée, des con(5) Le premier al inéa de l'a rtic le premier ve ntions collectives co nclues s ur le plan nade la loi précise bie n que le statut s'applique tional, régio nal ou local.
e sans qu'il soit dérogé a ux dispositions léA défaut de conven tion, il peut exister ur.
gislatives et r églementaires » aya nt créé un
régi me spécial pou r certaines catégories accord d'établisseme nt da ns le cadre des
dispositions de l' a rt icle .31 nou veau du Code
d'agents.
Il rés ulte de cette formule que c'est seule- du Travai l. Ces accords ne portent que sur
ment dans les domaines propres à ces dis- la fixatio n des sa lai res et des accessoi res de
positio ns spéciales que les règ les gé nérales salai res.
du statut ne sont pas app licables. Lorsq ue
(10) Ils peuvent e ntr aî ner, à ce rtains
les dispositions spécia les ont une portée très éga rds, des assimilations entre le personnel
limitée et se bornent à prévoir, par exemple, soumis au statut et les personnels des serun mode particulier de recrutement Ou de vices à caractère industriel ou comme rcial.
nomination pour les agen ts en cause (cas vi- Mais il n'e n reste pas moins que ces dernie rs
sés au 2° a), il est évident que le nouveau agents so nt des salariés de droit privé et
statut leur sera applicable pour toutes les que, en particulier, ils ne peuvent pas releaut res matières.
ver du régime de la Caisse Nationale de
Au contraire, lorsque les dispositions spé- Retraites des age nts des Collectivités Locales
ciales constituent elles-mêmes un véritable (décret du 19 septemb re 1947, article 1), pas
statut ou prévoient une procédure particuliè- plus que des rég imes de sécurité sociale des
re de fixation de règles statutaires (cas visés age nts perma nents des dépa r te ments et des
co mmun es (décret du 2 mars 1951, a rticle 1).
a u 2· b et c) ci-dessus), le oouv"au sta tut
peut êt re appliqué.
C. -
(6)
ré glementaire
D. - Agents titularisés dans lin emplor
Agents des services d caractère permanent à temps non complet (article 89).
industriel ou commercial.
( 1) a) Discipline. Congés.
Ces personnels sont exp ressément exclus
L'article 89 de la loi a prévu que ces
du bénéfice de la loi. Echappent don c a u statut les a gents des régies constituées sous le agents bénéficieraient <les dispositions du tl-l
régime du décret-loi du 29 décem bre 1926 et tre VI et des articles 43 à 49 du SMtUt. 1
s' agit Là, bien entendu, uniquem ent d'a ~ents
appartenant à <les services ou établisse(1) Cf. ~alemeDt loi n O 52-836 du 18 juillet ments co mpris dans le champ d'appbcaho n
d'a.<lministTation
du statut. Un
171
blique fixera les mooalités d'appl ication de
ag"nts des collec tivités locales et à l'un des
ces d'i spositions.
régimes
de séc uri té sociale des agents des
Dans le cas où les électio ns aux commisdépa rtements et communes (décret du 5 ocsions pari ta ires aurai~nt lieu avant la ptilbli- tobre 1949, artide I l, d'é cret d u2 mars 1951
ca ti on de ce texte, Je crois uti le die vous
1. Cf. Instructio n du 6 ao ût 1951. ),0:
préciser que pour assur,er aux ag,ents en article
du 15 ao ût 195 1).
cause le bénéfice des gara ntiesl discip linai res
prév ues par le t itre VI de la loi, ils d""ront
CH APITRE 1/
pa rti dper à ces élec ti o ns.
Vous ind iquerez donc aux maires et aux Fixation de l'effectif des emplois communaux
présidents des syndicats de ,com mun es qu'ils
permanents (a rti cle l , alinéa 3)
a uront à fa ire fi g urer les intéressés sur la
~ I'Ô) l 'a linéa 3 de l'artide premier préliste des élect eurs aux co mm issions p3'ri~ai- VOit que la liste des emplo is permane nts
res dressée en arpp tkatio n de l'a rti cle 15 du do nt les titulaires sont so um is au statut
s tat ut.
.
fixée pa r déli.béIlation du Co nseil muni éi pa l
Il fa ut soulig ner à ce S1l1et qu e da ns de so umise à l'aJPprobation préfectorale.
no mlbreuses pe tit es com mun es, on trouvera
A
(17) E
des employés titula ires à temps inco m~.et
.mplois visés.
(secrétaire de mairie, ga rd'e...champêtre) alors
Les emplois 'il porter sur cette liste doivent
qu' il n'y aura pas d'agent à temps com pl et répondre
à trois critères principa ux :
0
et que de ce fait la co mmun e ne sera pas
1 Correspondre aux necessités permanenaffiliée au sy ndic'a t d'e co mmun es oréé par tes du se rvice et non à des besoins tempol'article J3 de la loi.
raÎTes. Une liste des emplois t:ommunaux a
Vous d ev rez dans ce cas transmettre la d~ d'ailleurs déjà être établie d·aJ)"rès ce
liste de ces agents au Président du synclicat cntère en "pplication de l'artiole 2 de 1'0>1"afi n qu ' il les fasse figurer pa rmi les électe urs donnlélnce du 2 novembre 1945 et de r artià )a com mi ssion. ,paritaire in tereom munale.
cie premier de ~a loi du 15 féw ier 1946.
En ce qui concern e l'es mod'alltés d'appli( 18) 2 0 Etre c. co nfi és à un personnel
cation des artic les 43 à 49 de la loi aux exclusivement co mmunal >, c'est-à-dire tenus
agents à temps inco mplet, ell es se ront ,pré- par des age nts -co nsac rant toute leur activite
cisées par le <Tèg lement d'administration pu- à da commu ne.
b.liq ue précit.é.
(19) 3· Etre occ upé par des lilulaires
(12) b) R émunération .
sOllmis au sla l ut.
Le législateur a prév u en faveu r de cetie
Ce ontère n'est pas Ident ique aux deux
catégorie d~ agents l'établi ssement par vos précédre nts bie n qU 'li les r~ourvre e n partie.
soins de ba rèmes indicatifs de traite ment.
En effet, no us avons vu dans le chapitre 1
Pour les secrétaires ,cfe mairie ces barè- que le maLntien en viguer des dispositions
mes pourront être établis selo n d~s princi'pes Ilégi.91atives o u réglementaires créant des
.analo gues à ceux é no ncés par ma circ ulaire régimes spéciaux en faveur de catégori eS
334 AD/3 du 8 août 195 1.
1 partic ulières
d'agents, entrainait la nonPour les autres agents, la formu le la plus , application du statut à certai ns agents oocusim ple semble êtr-e d'établir les barèmes en 1 pan t pour.tant des emplois communaux perp r.o.portian du nombre d' heures -de travail et manents a temps complet.
par réfé rence aux traitements des titulaiores
Ainsi doivent êt re écartés de la liste les
:à temps complet ooc upant des emplois iden'- emplois des hôpitaux et hospit'eS ainsi que
iiq ues (Cf. art. 6 <le l' arrêté du 19 novem- ceux des caisses <le crédit mun icipal. Par
b re 1948).
co ntre, do've nt y figurer les ,emjplois pOUl
(13) En ce qui co ncerne la « co ns ult a- lesq ue}s les disp,osi tio.ns spéCiales ma tntcnu~
tion des maires ret des perso nn els intéIes- 1 en vlg ueur. n établissent pa~ un st~tllt
-ses» prév ue par la lor préa lablement il l'éta- ~?mplet, mais. se~lement des regles Jl3'rtic ublissement dies barèmes, VOliS avez toute h ~re~ ~e nommatl o ~1 de r~cruteme nt ou de
latitud e pour l'organise r dans les co ndiHo ns dlscrplmc (Cf. chapitre 1 cl-'dlesSlIS, n°· 3, -l
qu i vous paraîtron t les meill eures. 11 va sa ns et 5).
dire q~e vous n'aurez pas à. consulter tOl~
B. _ (20) Elaboration de la liste des
les maires et tous les. ag~n ts mtéressés, mats 1 emplois pl'rmanenfs.
seule ment les orgamsatlo ns ou les perso n.
.....
nalités qtLÎ VOLIS para îtront les plus qualifiées
Conform cmen.t ~lIX pnnclpes.déJa rapp eles
.
..
pa·r les textes vises au n" 17 CI...cressUS, c'est
(14) c) DlsposJiwns générales.
aux assemblées tocales compéte ntes qu'il
Bien que le législateur n' en ait pas fait ariPartient <le fixer la liste des emplois permentio n, il semble normal de reco mm ander ma nents.
a ux co nseils municipau:x d'e .p.révoir dl l'ég.ald
Une telle liste existe déjà en fait dans la
de. ~es agents des dl~posltlons statutaires plupart des communes qui ont été amen ées
vOISi nes. de 0ell es des ti tres l, III, V et VIII à définir le cadre permanent <les emplois
.
.
devant être occupés par des agents titu laide la 101.
. I?ans !?,US les . cas, . ~I ces . agents bénéI:- res et à disti nguer les emplois à temps
e la lent ~cJa des dIS'Poslh~ns dl un statut local, compl et des emplois à temps incomplet da ns
celles-c,1 demeurent applicables dans I~ ~e- les déli'béra ti ons 1'"elatives à La co mposition
Sure ou elles n.e .sont pa~ en . contradl~t lo.n et aux effectifs de lenr,s agents, soumises il
.avec les presc ~lptlons obhgatOJres de 1 artl - l'((pprobation préfectoral e en ve.rt u de l'ard.e 89 de la loI.
tiele 2 .dIe l'ordon nan ce du 17 mai 1945.
(15) A l'égard du titre IX (Pensions el
Ce dernier texte avaü d'ailleurs une portée
Sécurité sociale), il y a lieu de noter que les p1us largle que celle de l'a linéa 3 de l'artiage nts titulaires rémunérés sur des crédHs cie premier de la loi du 28 avril, puisqu'il
b ud'géfoaifles de pe rsonnel et consacrant à prévoyait l'approbation de toutes les délibéleur emploi la plus grande partie de leu r ratio ns c relatives à la composition, lUX
ac tivité, c'est-à-dire 36 heures par semaine effectifs et à la ,rémun ératio n > de tous les
de la -co mmune alors qu.e le 3e
au moi ns, pellive nt t7:tre affiliés a u régime
<te la Caisse nationa le de
.
est
u.niqu~mel1t les emploi! permanents dont les
htularres so nt soumis au statut.
.Cependa nt On do it considérer co mme paT_
faltement valab les les d'élibérations déjà
prises fi xant Les effec tifs actuels de la. commune et de ses établissements publix:s et il
ne semble pas utile dans l'immèdiat d'uwiter les collectîNités à en prendre de nou,veUes
pour l'application · du st.at ut, éta nt bien entendu que seuls devor-ont être soumis à ce
derni er les titula ires des emplois définis aux
nOB 17, 17 et 19 ci-dessus.
(2 t)
En effet, l'M ti cte 22 de ce!ui<i a
pr.év~ que le comité paritai re nationa1 établua lt ~n class.eme nt-t yrpe des emplois par
catégone et des tablea ux d' effectifs selon
et a précisé
qu ap res aVIS ou sur !proposition de différents o rga nismes, les assemblées locales
fixeraient l'effectif des emplois communaux.
Aussi lon.gtemps qu e la nouV'elle procédure n'au ra pu intervenir, c'est le mode
actuel d'approbation prévu à l'article 2 de
l'or.donnan ce d u 17 mai 1945 qui çontinuera
à s'appliq uer dans tous les.cas où les colleetiv.ités po ~r des nécessités d e servi'c e juge~
r,ale nt mdlspensable de procéder à la créahon ou à la transfor~tio n de certains ' emplois ai~s~ que [PO Uf celles n·ayant pas
encore fIxe un tableau des effectifs permanents.
l' i~'Po~ta nc e, des communes
(22). A ce propos,. ~I convient cfi nàiquer
que mem e apres la penode interm édiaire de
n:ise en applica ti'on du statut, les disposibons de l'arti<: re 6 de j'ordonnanoe du 17 mai
1945 demeureront en vigueur et que seuls
pourront êt re consid'érés Comme réguJièrement existants les emplois auxquels correspondent les crédits nécessa Îlres aux ohapitres
budgétaires de personnel correspom:fance
qu'il appartie nt à l'auto rité préfectorale de
vérifie ~. C'est, en effet, une règle indispenscl?le. a la bo nne administration qu'aucune
creation o u transfonnation d·emploi ne
pu isse. ~~re opéré.e ~\ra nt qu afent été prévus
les ciedlts budgetalres nécessaires.
C. - (23) Approbation de la lisle des
emplois permanents.
Le législateur en employant les termes
d' « apprObation préfec torale ,. a entendu
que cette approbation serait donnée pa r le
sous-préfet pou r les communes dont il rèO"le
le budget, oe qui ~st d'atHeurs déjà le ~
dans le cadre <les dispositions de l'article 2
d~ l 'ordo~ n ance du 17 mai 1945. Nêanmoins,
afin d'éV iter toute contestatio n il semble
préférable que vo us donniez des' délégations
expresses aux sous-préfets dans les conditions prévues à l'article 5 du decret du
24 juin 1950. Le sous-préfet devra comme
cela se pranque déjà dans certains dt..5partements faire parvenir à la Préfecture le do uble ~es documents approuvés afm Que vos
serv Ices Ipui'ssent tenir à jour une liste des
emplois communaux dont les titulai res de'
vront être sou mis au statut.
(2~) Cette liste devra être complétée pa"
celle des emplois permanents à temps non
comptet dont les titulaires so nt soumis ail
statut restreint prévu il l'article 89 (Of. supra ch<ljpitre l, n° Il),
D. - (25) Porlée de la liste des emplois
permanents.
j'attire votre attention sur l'importance
que presente cette liste, qu'elle soit établie
selo n la procooure encore en
ou se-
�ISO
Ces asse mblé.es ,pelwent s' inspirer d . .
gles crénéra les s ujvantes :
es rcChaque catégorie d'a,gents élit a u bUl'1 t'
' l a maJo
" n té, ses représenta
'
e III.
sec.re t e t . a.
nts
la commISSion. De ux tours de sorllti n p a
t •t é ·
Ourrdon effr e n ces~al:esé' Le'l majori:é absolue
e:s su rages exp nm. s sera req UIse au econseillE.'f'S municipaux et, d'autre part, en ml er. to ur. .Au deUXi ème tou r, la maj:r'ité
nombre 8gal , des rE.WI ésentrulrs du ,per.5vn- relativ-e s ufhra.
fiel.
( 10) Da ns .dhaque catégori e, to ut olee_
Ces commissions peuvent êtr e "COllstih.:ee5 teu r d ev ra désog ner u" no mbre d~ ca ndld~ts
,lès à prèsent.
dO,uble de celin des t> t ul aires à élire, le
(4) a) Représentation des administrations m e m ~. sl~ utln seIVa'nt à désig ner, à la fois
~s th U a ires et l'e s s uppléa nts, Toutefois'
commu nales.
1
express~on d u suffrage ne d'evra pas com~
Les délégués de la munici,palité sent désignés par le mai re ,et no n élus par le con sei l porte r d ord r,e j'>féférentieJ e n vue de la 0<.
municipal. Il s'agit, en effet, de q uestions slgnatlo n de tel ca ndidat po ur le poste de
rentrant dans les attr~buti o n s de l' exécutif t ltillalre e~ d'e tel ~ulre pour celui d'e sup.
pleant., C est, le ,resultat général seul qu i
de la coounu n'e.
,
déterm inera 1 attnb utlOn does siè.ges suivant
(5) En vue d'assurer une représentation le nombre total des suffrages obtenus,
équitable des établissements communaux au
(I I) So nt électeurs et él igib l ~s tous les
sein des commissio-ns p'a r ita.i>res, vo uS recommanderez tout spéciatement aux magis- agents so um IS au statut. Les agents des
trats muni cipa ux d'e désigner, le cas éc.héant, établissements IPublics commu naux seront
un ou plusieurs conseiHers municipaux éga- do nc appelé'S à prendre part aux élections
l.ement membres de commissions ad!tll1nis- au même titre q ue le !person nel pr~re:ment
tratrves, à'e conseils d'administration ou de co~munal. Les agents à te.mps non complet
comités de gestion et d'admin istration die qlll , cO'l'liforrném!ent à l'article 89 de la loi
bénéficient des diispositions prévues par I~
ces or ga nismes.
tibre VI et les articles 43 à 49 inclus parti(6) Il con;vient éga~ement d'inv iter les
c~per ont a ux élections.
maires â désigner des membres suppléants
( 12) Le mabre dresse la liste d'es élec·
qui pourront être appe lés à remplacer les
délégués titu lai1fes en cas d'absence ou teur s, .reçoit les ca ndildJaturM, porte cel les-ci
â la con naissance dies élect-eurs, convoque
ctrempêchement'd'e ces d:erniers.
les collègt!S électoraux, I>rocède a u dépo uil.
(7) b) Représentation du personnel,
lement des suffrages et à la proclamation
C'est le conseil municipal qui arn-êter.a le des résultats d'a'ns les ,co nditions et les dénombre de membres deva.nt composer la lais fixés par 'les déli bé.ra tio ns p'évues à
commission paritaire, de même que cette l'alinéa 1er de l'artiale 16 de la loi <du
assemblée déterminera les catégories en vue 28 awil 1952,
de l'élection des délégués du personn,,1. Il
( 13) En ce qui concerne les établisse·
y a intérêt, malgré les difficultés d'organisation de ces élections, à ce que chaque caté- ments commu'naux, le président se borne à
gorie pro fessio nnelle soit r e~résentée. C'est dresser la liste odes électeliis et à la t'fans·
d'ailleurs l'in tention du législateur. La répar- mettre au maire de le commune. C'est à ce
tition des sièges lPo urrait s'effectuer entre denniN qu'il ..ppartient d'accomplir 'à l'égard
dU perso nn.el de ces établissements les aules catégori~ suivantes :
cJlefs de service et cadres adminisnratifs ; tres for mralités nécessaires.
( 14) En raison de leur co mp étence spéohefs die service et caldl-es tec-hnilques ;
ciale et de leur 1C0 nnaissal1ce d.e l'ensemble
agents ad.ministratifs d'exécutio n ;
agents techni'Ques d'exéc ution et oU'vl ier.s. dies perso nnels communaux et des problèCette é num ératio n n'est pas lim itative, mes qui les intéresse nt, il y aurait rntérêt à
Suivant la situation spéciale de c haque ce que les secréta.ires généraux partÎlCipent,
co mmun e, il l)Jou rra être nécessaÎre de créer à titre coosultatif s'ils ne se"t pas membres
des catégories supplémentai.res ou différen- de la commjssion, à tous ses trava ux.
tes,
T ITRE Ifl
(8) c) Personnel des ' étabtissements puRECRUTE.JI.\.ENT
btics,
'
(1)
L'a
rticle
88 de la loi du 5 a.vril 1884
Lorsqu'il n'ex.iste dans la ·commune aucun
établissement p ublic occupant lui-même donnait au maire le pouvoir de nomination
40 agents ou pl us, le personnel <le ces éta- à tous les eTTIIPlois co mmun a ux pour lesblissements doit suivre le même sort que le quels les lois, décrets et ondon nances en
vigueur ne fixai,ent pas un droit Slpéci,a1 de
personnel de la commune eUe- même.
Agir a utrement auarait pour effet d'e faire nominati.on .
La loi d'u 28 avril 1952 a r~ris ce texte,
dépendre le perso nnel d'e s établissements
Le titre 1 de la présente circûlai re a, prépuWi<s du syndicat de communes et de la
ns
commission pa ritaire intercommunale, alo rs cisé les emplois soumis à des dlSposlho
lég
isl'
a
tives
Ol.!
règlemenmires
s[>éciales,
\1
que le personnel
la com mune au,rait sa
suffira de s'y reporter.
..
,
commission propre.
Ul1 certain nom bre de CQlnldltlOns sont
. On risquerait ainsi d' alboutir à dlfS règles
diff érentes pour des agents qui doivent être imposées aux cal1didats â un empJoi co mmunal :
traités de 'la même façon.
1. _ Conditions générales (art. 19 et 20),
d) Modalités des étections (article 16),
(2)
Nationalité, _ L'obligation de n~tio~
(9) Conformément à l'article 16 du stanalité
française
pour l'accès aux fane!!,'::!,
1 tut, les modalités des élections sont flXées
communales n'alVait fait jusqu'à ce Jour 1 par d~libération àes consei.s municipa ux.
le cadre des dispositio ns de l'article 22 d.e 1 (3) B. Commissions paritaires co mmunales (a r tic le 14),
la loi,
Da ns les co mm unes occuparrl au moin"
C'est elle, en effet, qui déterminera le -l0 agents so umis au sta tut. il est crée ur.e
champ d'application pratique de la loi dans commission paritaire com muna le co mpn.·
cha<:ltJle des collectivités intéressées.
nant, d'u ne 'Part, le matTe et des délég u..!6
(26) Aux tNOles de l'arti" le 8 de l',,r- choisis par lui parmi les aJdjoi nts o u les
don nance du 2 nO\'embie 19-15, ces emploios
Ile
peuvent d'aitleurs être occupés par des
agents aUXIliaires que po ur ass urer le remp}.aL"ement de titulaires momenta ném ent indisponibles (Cf. la circillaire com mu ne Intérieur-FinrulC'eS 373 .6.D/3 du 24 n"",emor"
1950 qui a précisé les con.diti();ns gén érales
d'emploi des agents non ti tillaires da ns les
services des collectivités locales),
CHAPITRE III
Dispositions générales
(4' alinéa de l'art. 1 et a r t. 2 à 12)
(27) Etablissements publics communaux
et intercommunaux.
Le quatrième alinéa de l'articie premier a
posé com me principe géneral que da ns ces
êt~blisseme~ts les pouvoirs dévolus par Id
ID! aux maLTes et aux conseils municipaux
étaient exercés respectivement par ies o ral·
nes exécutifs et délibérants.
C
C'est ai nsi notam ment qUi! le Président
du Comité ou du Conseil Id el'étab.Jissemer.t
exercera le 'POuvoir de nQfTlination, de notation, etc ... à l'égard des agents du service
et que les assemblees délibérantes fixerollt
leurs rémunérations et leurs effectifs.
Mais ce principe général deva nt recevoir
sor. applkatkm selon les règles d"ocO'an' ation administrative prévues par le stat~t dan:,
le c~dre communal ou intercommunal , je
ser., appelé à en préciser les modalités
d'application chaque fois ,que cela sera nécessaire.
TITRE Il
DISPOSITIONS ORGAN IQUES
1. -
Syndicats de communes (article 13),
(1)
L'article 13 institue dans chaque décommunes auqucl
sont obilgatmrement aff iliées toutes les
c~mmunes ~o~pant. moins de 40 agents (1).
C est. la pnnctpale IOnova1ion die la loi. Ce
syndicat n'a pas de tâœe de gestion ,propre.
Il a poUI objet de faciliter aux communes
qui n'o nt pas de services suffisamment difléren~iés l'afllJÜcation du statut. Le principe
de . 1autonomie 'com munale n'en est pas
mOins sauvegaJ'"ld:é puisque le rôle d~ cet
organisme nouveau consiste SUutout à donner. des avis et à faire des propositions aux
maltes et aux conseils municipaux.
partemen~ U11 ~yndkat de
JI. - Commissions paritaires.
(2) A, Commissions paritaires intercommunales (article 15).
Pour le personnel des Communes occu~ant moins de 40 agents, U doit être Co nstitué par département une commission paritaire cha,rgée Ife donner son avis Sur toutes
les questions intéressant ce personnel. Toutefois, l'organisatio.n de ces commjssio ns
dépendant du syndîcat de communes il n'esl
pas possible, pour le mom~nt de' donne:
des instructions pour leur constitution.
(1) Par com munes occupant moins de 40 age nts
il faut entendre celles dont la li ste d'effectifs
approu ... é~ comrJte moins de 40 emplois,
I
*
-
'et d'a ucuo e dispositio n gé nérale, Cepen.knt quelques . c.om~tlnes, d~J1S . l~u.r s~t~t
partic uJier, avruent fixé des co't1dltlons d aIlleurs variables.
Aux ter mes du stat ut gén é ra~ des agents
com mun a ux, nu l ne p~ut être n,o.mmé il un
(>fl1p\oi co m.mu!,al « s ~ I n.e possede la .national ité fra nçaise d.epu is clIlq ans alU mOinS,
sauf s'i l .a été natura lisé fnaonçai.s au. titre <le
l'a rticle f).l du Code de 'la NatlO na l>té tramçaise ».
Le texte ci-dess us est \plus IibéraA, au
1110 lns da,ns sa Jettre, que Celui de l'a loi
portant stat ut gén6ra l àes fonctionn'aires de
l'Etat q ui écar te des em'PlolS pu blics tOllt
eancüda t ne possédoa nt pas la nationa lité
frança ise depuis cinq ans au moins.
(3) Il est ,bon de rappeler ici le texte
meme de l' artiale 64 dll Code d'e la N'ationalité (Orel. n· 45-244 1 d'u 19 octob re 1945) :
( Peut être natu raJ isé, sans cond'iiion de
stage :
c i o L'enfant légi time mineur né d'e parents étrangers, si sa mère acquiert du
vivant du père la ;-taHo nalité française ...
c 8 L'étranger qui, en temps de guerre,
a co ntradé lItn engagement volontaire dans
les armées françaises ou allliées ou celui
qui a servi dans une unité de l'a rmée fra nçaise .. ,
« go L'étranger qui a .rendu des services
exceptionnels à la Fra nce ou celui d'ont la
naturalisat ion prése nte pour la Fra nce un
intérêt exception nel » ( 1),
(4) Moralit é, - La bonne moralité des
citoyens était jushfiée jusqu'ici par un certificat dit de bonnes vie et mœurs délW ré
par le marre ou le commissaife de po;ice.
Un décret piJblié au « Journal Officiel • du
,0 mai 1952 a supprimé <oe do'cument. Dans
ces conditions, d,e meu.re seule exigée la pro·
duction d u bulletin nO 3 extrait du ca'Sier
judiciaire, qui ne doit porter aucune ins-
Pour apporter a l' Ad minrstra t10n tou tes
les garant ies n~ccssai r l.::s, ces exa mens doivent ètre effectués par des médecins dont la
compéte nce et l'indépe ndance sont garanties
pa r le fait qu'ils sont dési g nés et rémuné rés
par ell e,
Age (a rticle 20),
(8) a) Communes de moins de 2,500 ha-
0
<ripti,m,
(5) Situation militaire, -
Le candidat
doit se trouver e n ,position rég uli ère au regard des lois su.r le recrutement de l'armée.
Ceci ne signjfie pas, bien entendu, que le
temps de servioe légal do it a'v oir été eff,ectué, mais simplem.ent ,q ue 1'intéressé d'oit
avolr été l'objet d' une décision défi nitive qui
peut être u ne exemption (C, E" 23 décembre 1931) un ajour nement ou un sursis.
~~tte obligation n'exclut pas, ainsi que le
preelse l'ali néa 6 de l'article 18 la <lominaiio n de jeunes gens âgés de moi~s d'e 21 ans.
Aptitude physique, - Tout ca ndidat est
Soumis à des conditions de deux ordres :
,(6) a) Fournir un certiJicat d'un méd1eCln de SOn choix attesta.nt qu'il est physiq~emen.t apte à remplir l'emploi' qu'il sollicite .. SI cet emploi exige des conditions
P~YSlql1es parti'culières, celles-ci seront port,ces ? ,la oo nnaissan ce du .candidat par
1Ad\mrustratio n,
\7) b) Subir les exa mens médicaux qui
d'~ll ve nt permett re, notamment, de s'assurer
fI est Indemn e de t oute affection tu be rcueuse, cancéreuse ou mentale.
~l ) POur J'accès aux emplois publics de eeratns ressortissants de l'Union fr anc;..·lÎse et des
11~:S de protectorat ainsi Que de certains natu~ I~és, cf. les circulaires des .J et 20 août 1949,
t .1. le Ministre cha rgé c:.'c la fonction publique.
t
bitan/s,
Aucune co ndition d'âge n'a été fixée.
(9) b) Aures commUnes,
L.1ftrticle 20 fi xe les conditions à rempli r.
Pour l'a pplication des dispositio ns co ncernant l 'ordon n a~ce d u 15 juin 1945 modifiée,
vo us voudrez bien vO liS repo rte r a ma circulaire n· 704 du , 9 septembre 1945,
La limite d'âge est recul ée d'une année
par enfa nt à charge; pour ies mères de famille, ce bé néfice jouera qu'elles aient ou
non la quali té de chef de famille,
(10) Aucune condition d'àge n'est fixée
pou r le personnel ensei g na nt dans les co nservatoires de musiqu e et les écoles de
Beaux- Arts. Cette mesure a été adoptée en
vue d'en faciliter le recrutement.
(1) Il en est de même pou r les emplois
de secrétaire gé néral ou secrétaire de mairie, di recteur gé néra l des se rvices techniques
et pour les emplois de direction de se rvices
autres qu'administratifs.
II. -
Règtes de re crutem ent (a rtic le 2 1),
(16) Les ca ndidats reç us au conCours
o u examen et qui ont fait l'objet d'un arrêté
de nominat io n du maire ne pourront êtrt::
litularisés qu'après un stage d'un an.
Pour éviter que puissent être avantagés
ceux qui, pou r une raison quelconque, n'ont
pas accompli de service milItaire, les agents
mascu lins se trouvant dans cette situation ne
peuvent être titu la risés qu'un an après la libé ratio n de leur classe, La durée du stage de
ces agents pourra don c être supérieure â
une année.
La pé riode de stage de même que la durée
des services militaires entrent en li gn e de
compte pour l'avancement.
(17) Vous r appelerez, le cas échéant aux
maires qu'il ne faut pas confo ndre c ~omi
nation > et « titularisatiem ~ . La nomination n'a pour effet que 'd'affecter un agent à
un emploi public. La titularisatio n, au contraire, a pour objet de conferer non plus un
emploi mais un g rade dans la hiérarchie
a dm inist rative. Toute nomi na tion n'a ya nt
pas pour objet de pourvoir régulièrement a
une vacance est interdite, ce qui exclut tou:'
tes les formes de nomination c pour o rdre >,
c'est-à-dire toute nomination qui n'est pas
suivie d'une prise effecti\'e de fonctions.
L'alinéa 8 de l'article 21 rappelle le caractère conditionnel de la nomination.
(18) Le licenciement d'un stagiaire n'ou·
vre droit à aucune indemnité.
B. - Dispositions spéciales.
A. - Principe's généraux.
Le maire peut dispenser certains candi( 12) A l'exception des bénéficiai res de dats des co nditions de diplômes, stages ou
la législa tio n sur les emplois rése rvés, nul concou rs prevus ci-dessus :
ne peut ~tre titu larisé s'il n'a satisfait aux
1· Dispense de dipt6mes et de stages.
épreuves, soit d'un concours, soit d'un ex a- ,
(
19) Peu ven t en bénéficier, les candidats
ment d'aptitude ou s'il ne possède un diplôme spécial et, en ce dernier cas, après aya nt occupé dans la même administration
un emploi immédiatement inférieur pendant
co nCou rs sur titres.
une durée minimum de trois années. Ces
(13) C'est au Co nseil Municipa l ou au ca ndidats devront néanmoins subir les ép reuCo mité du Syndicat des communes, sui\'ant ves du conCours ou de J'examen prévu pou r
le cas, que la loi a confié le soin d'établir les l'accès aux fonctions qu'ils postulent.
conditions de recrutement. Cell es-ci dépen2° Dispense de diplômes, stages et condront de la détermination par a rrêté mtn isié ri el, apres avis du Comité national pari- coUrs.
(20) Peuvent en bénéficie r, les candidats
tai re, de la liste des diplômes et des prog rammes des conco urs pour l'accès à cer- qui justifient avoi r exercé, pendant deux ans
tains emplois analogues à des emplois de au moins, un emploi équivalent da ns une
l'Etat. Ces listes et programmes serviron~ aut re administ ration commu nale où les conen effet de « pilotes :. pour les autres em- ditions de recrutement sont identiques à
celles de la nouvelle administration.
plois ad ministratifs ou techniques.
En attendant, les règles établies par les
3° Emplois spéciaux. Recrutement direct.
délibérations antérieures co ntinueront à êt re
(21) Certains emplois tels que ceux de
appl iquées,
secrétaire général ou secrétaire de mairie,
(14) Il convient de soulig ner que le con- directeur géneral des services techniques et
CourS à des emplois communaux est un directeurs de services autres qu'administraconcou rs de présentation et non un conCou rs tifs, peuvent ê tre pourvus sui\'ant des regles
de nomination ; c'est-à-di re que les candi- différentes de celles qui viennent d'être expodats classés n'ont qu' une vocation à nomi- sees. II s'a git là, en effet, d'emplois qui
nation et non un droit abso lu (C, E, 1S no- nécessitent une competence spéciale et aux
vembre 1904, Avignier). ~e pouvoir de no- titulaires desquels le chef de l' Adminis tration
mination appa rtient au maire. Cependant une municipale doit pouvoir accorde r une partijurisprudence importante limite ses possibi- cu lière confiance.
lites de ne pas tenir compte du concours. Le
li importe néanmoins, pour éviter l'arbimaire peut ne pas combler les vacanc.es ou
traire et pour que les candidats retenus
procéder à .un nOuveau con~?u,:,. MaIS ces soient à mème d'apporter dans l'exercice de
dro its ne lm sont ouverts qu a 1 encont re de
leurs fonctions toutes les qualités qu'on es!
toute la liste. S' il nomm e, Il ne peut le faire
en droit de leur demander, d'exiger certaines
qu'en suivant l'o rdr e établi par le jury.
ga ranties.
(15) Le maire détermine par voie d'a rCes postes pourront donc être pourvus par
rêté les modalités d'application des règles de
la \"oie du recrutement direct mais seulement
recrutement prévues par le Conseil Munici- parmi les personnes justifiant des co nditions
pal. Il fixe notamment les conditions d'orde diplômes ou des capacités requises.
rra ni sation du concours, les dates et heures
Je \'ous ai signalé, par ailleurs, qu' un
des épre uves. L'ense mble de ces pr~s~riptions
arrêté ministériel fixera, après 3\"is du Codoit faire l'objet d'une large publiCité,
�182
hiérarchique. De mème, il fixera le nombre
d'échelons que compo r tera chacu n des emplois ainsi créés. Enfin, il a rrêtera le tab lea u
des effectifs maxima de chacu ne des ca tégosibilités de recrutement direct seront donc en ries d'emplois comn:tunaux, c~mpte te nu dr
l'impo rtance respective des diffé rentes comfait limitées.
En attendant la publication de cet a rrêté, munes.
3~ phase. - Inlerventio,! de la Commission
il convient de maintenir en vigueur les dispositions des statuts locaux relati\"es au re- paritaire communale ou Interco mmunale.
crutement direct.
(4) En fonction des propositio ns d u Comit é paritaire nahona l co nsultatif, les cof!!C. - Approbation des délibérations.
missions paritaires communales po ur les .:vIl(22) Les délib érations fi xa nt les condi- les occupant au moins 40 agents, I ntercom~
tions de recrutement pour l'accès a ux diffé- muna les pou r les aut res, ent re pren nent a
rents emplois sont soumises à l'approbation leur tour 11étude des besoi ns respectifs des
préfectorale.
communes. II est possible, en eff.et, que pour
Il ne me semble pas possible, sur ce point, des raisons' particulières à cer tallles com~u
d'envisager une dëlégation de compétence nes, les propositions fai~es su~ le l?lan na hoaux sous-préfets.
nal ne répondent . pas a la sltua~I 0!1 locale.
En effet, vaus seuls pouvez approuver la L'intervention des organismes pan.talres au ra
délibération du syndicat de communes et, pour objet de prévoir les adaptataons recond'autre part, il est souhaitable que v.o~s nues indispensables.
approuviez également l' ensemble des déltbe4- phase. - Intervention du syndicat des
rati ons des communes occupant ~O agents o u
communes
pour les com munes occupant
plus.
moins de 40 agents.
TITRE IV
(5) La Commission pa ri ta ire inte rcomREMUNERATION ET EFFECTIFS
munale transmet le résultat de ses tra~aux
1. - Rappel des dispositions en vigueu r. a u Comit é du Syndicat de comml!nes, ql11 les
exami ne à so n tour ava nt de faire s.e~ pro(1) Les traitements des agents tit ul aires posi tions aux différents co nsei ls !TI.uOl clpaux.
des com munes et des établissements pu blics
5' et dernière phase. - La décISIon apparcommunaux sont actuellement fixés librement tient en défi nitive aux assemb lées loca les.
par les conseils municipaux ou les co mmis(6) Celles-ci, en posse~s ion de. l'arrêté
sions admi nistratives, conseils d'administration ou comités de gestio n dans la limite des ministe riel et des proposItions et .avls pr~cé
rémunérations méLxima fixées par arrêté in- demment exprimés, fixent l'effectIf des dIfféterministériel, en vertu de l'article premier rents emplois et les échelles de traltement
de l'ordonannce du I7 mai 1945. En applica- des differentes catégories de personnels.
tion de ces dispositions, plusieurs arrêtés ont
(7) Le dernier ali néa de l' a rti cle 22 du
déterminé les traitements maxima correspon- statut a précisé que le traitement le ~lu s, bas
dant au classement indiciaire des différents de la hi éra rchie communale résulterait ~ une
grades et emplois communa ux.
loi. Celle-ci n'étant pas inte~ven.ue, Il ne
Ces dispositions demeureront en vigueur peut actuellement être fait apphc.atlo n de, ces
tant que la procédure prévue pa r le Titre IV dispositions. Il y a cepe~dant . Ifltéret a c~
de la loi du 28 avri l 1952 n'aura pas joué. que vous incit iez les maires a acc~rd e r a
leurs agents à tem ps complet un t~altem.e~t
Il. - Pro cédure nouvelle.
qui ne sau ra it êt re infé rieur a~ sa l a~ re m1111Ire phase. - Arrété du Ministre de l'in- mum interprofession nel ga ranti attribué a ux
sC!Ja riés du sec teur privé.
terieur.
mité paritaire national, la liste des diplômes
et des programm~s de cD.ncours pour l'accès
à certains emploIs en raison de leur analogie avec certains emplois de l'Etat. Les pos-
A
(2) Le Mi nistre de l'Intérieur, ap rès avis
du Ministre du Budget, fixe pa r arrêté les
échelles de traitements susceptibles d'être
attribuées par le Conseil Municipal aux titulai res des emp lois admi nistratifs ou techniques déterm inés par le plan de ",elassement,
e n raison de. leur analogie avec certains emplois de l' Etat.
Les échelles fix ées par l'a rrêté minis tériel
constitweront des mamma. Elles joueront
d'autre part, le rôle d'échelles c pi lotes :t,
pour les emplois non prévus dans l'a rrêté
ministériel.
2- phase. - Intervention du Comité paritaire national consultatif.
Ill. - Approbatio,1 des délibérations.
(8) Effectifs : Cf. supra Titre l, chapit re
Il, n° 23.
(9) Rémunération. - La loi a mainte nu
l'approbation préfec to ral e du tableau d'effectifs' sans que déso rmals le TréSO ri er Payeur
Général ait à inte n 'enir. Elle a, par co ntre,
supp rimé cette app robati~ n. en matière . de
traitement. Dans ces condltlons, la questlO.n
se pose de savoir quelles seront désormais
YOS possibilités de controle: Il faut cherche r la réponse à cette questt.on da.n~ les a rticles 63 et suivan ts de la 101 muni cipale du
5 avri l 1884. Vous vé rifie rez si la lo i a été
respectée, c'est-à-di re notam.m.ent. si les
éc helles fixées par arrété m10lsténel pour
certains emplois n'o nt pas été dépassées.
Dans l' affi rmative il vous apparhendra de
déclarer la nullité des délibérations prises
en violation de la loi.
A
(3) Cet o rganisme consultatif propose un
classement-type détaillé, par catégorie, de
tous les emplois nécessai res au fonctionnemen t des services municipaux. Ce classement
tiendra cOI11pte notamment de l'importance
des communes et de Je ur ca ractè re respectif.
II ne pourra mod ifie r les échelles fixées par
TITRE V
arrêté ministériel pour les empl ois c piNOTATION ET AVANCEMENT
lotes •. Mais il aura la possibilité d'intéorer entre ces emplois d'autres emplois dont
«1) Les règles s uivies en matière de n orexistence au ra été jugée nécessai re au bon tation et d'ava ncement sont la rgement Insfonctionnement des services communaux.
de celles qui ont été élabo rées pa r la
Pour ces
il déterminera les échelles
19 octob re 1946.
ici enco-
statu t no uvea u son ~~ r.actè re prop re en te~
na nt compte des s UJ~ttoml ,particulières du
pe rso~ ne l et en c?m blnan t 1 In te rvention des
pouvOI rs et orgaOlsmes cent ra ux avec le respect de l'autonom ie des communes.
1. - Notation (a r tic les M, 25, 26).
(2) Tout agent, quel que soit SOn grade
ou SO n emploi, fa it l'.objet d' une note ann uel.
le. Il g ravira plus ou moins rapideme nt les
échelo ns de la hiéra rchie admi nistrative en
fonct ion de ses notes. C'est a u chef de l'Ad_
mi nistratio n, c'est-à-dire a u maire Ou au
prés ident de j'établissemen t public, suivant
le cas, qu'il appartie nt d'app réc ier les differents aspects de la \>"a leur professionnelle
de Pagent.
Mais bien souvept, surtout dans les villes
im po rta ntes, le maire ne peut connaître tout
so n personnel. C'est a lo rs le chef de service
d'abord, le sec rétaire gé néra l ensuite qui
donneront leurs appréciations. Le mai re tien.
dra le plus grand compte de ces avis lors.
qu ' il attribuera sa note définitive. Cette note
do it être chiff r e et acco mpa g née d'une
appréciation éc rite,
(3) Les éléments entrant en comple pOUl
la déterminatio n des notes seront fixés par
le Comité national paritai re. En attenda nt
l'interve ntion de cet organisme, les règles
statutaires actuelles co ntinueront à êt re sui·
vies.
(4) Les notes attrib uées par le Chef d.
l' Administration seront communiqu ées aux
intéressés, a insi qu'au préside nt de la Corn·
mission paritai re. Celui-ci pourra, à son
tour en donner co mmuni catio n aux membres
de l'a Commission qui le demande raie nt, à
l'exception des re p ré ~e ntants du personnel
a pp a rten an t à une catégorie inférieu re à
ce ll e de l'age nt en cause.
Les notes seront communiquées obligatoirement à la Commission paritaire ou, le cas
échéa nt à la sous-commission prévue à l'artîcle 32, au mom ent de l' établissement les
listes d'aptitude.
(5) Les .commissions paritaires peuvent! à
la requête de l'inté ressé, proposer au maire
la révis ion de sa note si, co mpte tenu d~s
éléments qu i leur ont été fournis, elles estiment q ue, par rapport à ses co ll èg.ues no tamment, il a été injustemen t apprécIé,
Le mai re demeure! en définitive, ,!ibre de
maintenir ou de réViser la note qu 11 a cru
bon d'attribuer.
(6) Les" fiches an nuelles d~ notes doiven l
être classées au dOSSier de 1 Intéressé.
(7) La loi prévoit q ue, sur le plan dépa rte menta l pa r la Commission panta1re m~r
co mmun ,1Ie, su r le plan . national pa r le ~
mité paritai re national Il pourra êt re ~ta 1
un e péréquation des <' modes d'attribution .
des notes. Si l'on se reporte a ux débatsdr:~~
leme ntai res il semble bien que ce SOIt
l'
péréquation, des notes et non. d
u.n'earm
n ' ia l1satio n des c mod es d'attnbuhon ;) qu
En effet cette djspositio n tend s~rS'a"isse
0 0 ' ,
t . certatnS
tout à perm ett re, le cas échéa~ , a nts en
maires, de po urvoir des emp lOIS. yaca'autres
reche rchant du personnel quahhé d
le
commu nes SI, 1es con d 1't'IO ns prév ues rpourpar
recruteme nt sont pa r ai ll eurs remp les
les cand idats évent uels.
'1 esl
Si cette péréquation est demandée,.; r/aen tous cas so uh a itable qu'elle ne s~~ perlisée que pour ce rtai nes catégo"des omm uson nels s
bles de changer e c
~ce
que soie nt adjoin ts a la Com mission
a ' tai re intercomm una le cha rgée de réalise r
pan éréquatio n ,des mem bres de la o u des
la Pmissio ns pa ri taires communa les. 1\ serait
comrmal que la Commission intercomm un ale
anoml'nât se ul e la s it uatio n d u perso nnel des
examm unes occ upa nt au mOinS
. 40 agents qU .I
~~ so nt do nc pas memb res d u syndicat de
.communes.
Il. -
l'
i
Avancement. ,
Avaucemenl d'échelou (artiCle 28),
(8) J' a i précisé q u' un a r rêté min isté r iel
fixe rait les éche ll es de traite ment .s us~eI?t ~
bles d'êt re att ri b ué~s pa~ le C? nSeil. mln lCl·
pa l à ce rtains titu la ires ~ emplOIS < p~ l otes .»
en raison de leu r ana logie avec ce r tains emplois de l' Etat.
De même, se ra fixé le nombre d' éche lons
que compo rtera chacu n de ces emplOIS.
(9) En outre, le temps minimum il passer
pour accéder aux échelo ns moyen et term inai sera déterminé par la même procédure.
Ainsi pour un emploi donn é, l'arrêté fixera
pa r exemple six éc helons dans le g raae ; il
jlrécisera égaleme nt que . pou~ ac~éder au
3e échelon, il sera néçessa lre d avoi r ~ccom
pli au mi nim um dix années . de s~ rvlc~, et
po ur accéd,e r à l'éc h el~n termllla i di X- hUit ou
vinat annees de service.
tatit ude sera la issée aux Co nsei ls municipa ux pou r déterminer la durée d u temps à
passer dans chaque éc he lon, sauf à respecte r les minima fixés ci-dessus ,
(10) L'avancement d 'éc helo n il l'ancie nneté ma ximum est de droit, sauf da ns le cas
prévu à l'a rticle 33, c'est-à-dire en cas de
sanctions disciplinaires. L'avancement à l'ancie nneté minimum peut ê tre accordé par le
mai re pour une promotio n sur trois. Le même agent pouva nt d'a illeurs en bénéficier à
chaque promotio n dans les se rvices où il
existe au moins trois employés du même
grade susceptibles d'ava ncer d' échelon.
2" Avancement de grade (article 29).
(Il ) II a lieu exc lusiveme nt au choix.
(12) Le deuxième alinéa de l'article 3 1
permet à un age nt affecté d'un service à un
autre dans lequ el son g rade n'est pas prév u
,à l'i ntérieur d' une mê me co llecti vité de co n.server, à ti t re perso nnel, le bé néfice de son
grade et de son éc he lo n. P a r co ntre, l'intéressé ne saurait continuer à bénéficier de
l'avan cement dans son ancien g rade. De plus,
les indemnités ou avantages accesso ires attachés à ce g rade ne le suivront pas dans
'San Il..ouveau ser vice.
En tout état de ca use, de tell es mutations
ne peuvent interveni r que dans l'intër~t .du
se rvice.
3' Elablissement des
(artiCle 32).
lisles
d'aptitude
L.'autorité investie du pouvoiü de nomi natto n établît pou.r rl'ava nœmet de grade
des listes d'''ptJitude qU'eHe communique,
,pou r avis, à ri a COllllmission pa ritaire. POLIr
les communes occ ulpant ma in de 40 agents,
les maires acl1 essent le u rs Iis.tes a u P,res ident
d.e la Commission parivai,re in,te rcomm unale.
li y aura le plus gra nd intérêt à ce que
~ous invitiez les Présidents des Commissio ns
a uliliser très la rgement la possibilité qui
le,ur ~st l ~issée par l'a li néa 3 de l'article 32
d InViter a prendre pa rt à titre co nsultahf
aux travaux des commi ssio ns les chefs de
sen'ice Connaissant pa rf ai tem ent le pe rsonnel dont la situation est en discussion.
T ITRE VI
1
9 de l'article 33 ne peuvent être prises sans
l'avis du Conseil de discipline,
(8) Le retard dans l'avancemen t ne doit
(I) Le régime disc iplinaire est traité dans pas è tre co nfondu avec l'abaissement d'é<!hele titre VI, qui énumère l'échelle des sanc- Ion.
tions et les conditio ns dans lesquelles le
La première de ces deux peines n'entraîmai re peut les appliquer. Il Concerne les
agents occupant un emploi permane nt à ne pas de conséquences pécuniaires immétemps complet ou non complet (Cf. sup ra, diates co ntrai rement a la deuxième. De plus,
elle est en gé néral moins sévère quant à sa
tit re l, chapitre l, n" I l),
durée.
Par rappo rt a u régime actue l, qui ré(9) La mise il la ,retrai te d'o ffice semble
sulte de la loi du 12 mars 1930, la procédure de la loi ' d u 28 avril 1952 contient se confondre avec la peine suivante la révopension.
une in novatio n : l' institution d'un conseil de catio n sans suspension des droits
discipline d'appel qui peut ët re saisi par Le légis lateur a estimé que si le résultat des
le fonctionnaire d éfé ré devant un conse il de deux sanctio ns était voisin du poi nt de vue
discipline communal ou interco mmun a l dans pécunia ire, il en est autrement du point de
vue moral : c C'est un degré dans la
ce rtaines conditions.
hiérarchie des sa nctio ns mora les :t (1). 1/
Les nouveau x co nsei ls de discjpline sont convient pour l'application de ces deux sancco mmunau x pour les villes comptant au ti o ns de se repo rter au titre VIII ci-ap rès.
moins 40 agents à temps complet, inte rcommunaux dans le cas con;raire.
(10) Aux termes du dernier alinéa de
('article 33, si, à l'expi rati on de ce rtains dé(2) Cepe nd a nt, les nouvelles dispositions lais, qui seront fixés par le comité paritaire
présentent des analogies nom breuses a vec nationa l, l'agent en cause n'a pas été l'obce ll es de la loi du 12 mars 1930. Le prin- jet d'une n6 uvell e mesure disciplinaire, la
cipe de la représentation parita ire est res- sanction prononcée contre lui est rad iée
pecté. C'est le juge de paix le plus ancien d'office. Cette disposition est plus li bérale
de l'a rrondi ssement chef-lieu qu i préside e1 que celle prévue par l'a rtiCle 83 du statut
qui procède à la dés ig nation des membres général des fonctionnai res. Celui-ci prévoit,
du Conseil par vo ie de tirage au sort. La en effet, que le fonctionnaire frappé d' une
procéd ure en mati ère de communication du peine diSCiplinaire peut introd uire une dedossier est la même.
mande tendant â ce qu'au cun e trace de la
(3) Pour toutes les dispositions qui ne sa nction ne subsiste à son dossie r ; il n'est
sont pas co ntrai r'e s à la loi du 28 avril 1952 fait droit à sa demande que si l'intéressé a
o u don t l'application n'est pas précisée dans donné toute satisfaction depuis la sanction
la prése nte ci rcu laire, vo us pourrez donc dont il a fait l' objet.
vous rep0.rte~ utilement, d'une ~a rt, ~ ux rèIII. _ Les Conseils de disei line (articles
gles appllquees pour les fonctIOnnaires de 34 et 36)
p
l' Eta t ; d'autre pa rt, à la pratique établie 1
.
.
pour l'ap plication de la loi du 12 ma rs 1930.,
(I l) 1" En premier ressorl. - Le ConseiJ de discipline est co mmun al pour les
. d
' d' . r '
1
E
. :cerClee u POUl'OI~ '.SClp tnalre..
communes employant au moins -1.0 agents à
(4) Il appartient en pnnclpe au ma ire, temps complet, intercommunal dans les
sauf exception prévues par des dispositions a utres cas. Peuvent y êt re déférés tous les
législatives o u réglemen ta ires spéciales (Cf. agents occupant un emploi permanent, à
sup ra l, n " ~ 2 à 4) .
temps complet ou non complet.
Conformément au dernier alinéa de l'a rLes membres du Conseil de discipline
tiele premier de la loi, les at tributions dé- qu' ils représentent IA dmi nist ration com mu~
volues au mai re sont exercées, en ce qui na le ou le personnel, doivent faire partie
co ncerne le personnel des établissements pu- des commissions paritaires au sein desq uelblies co mmun a ux o u intercommunaux, par le les ils sont choisis pa r voie de tirage au sort
Président de la Commission administrative, pa r les soins du Président du Conseil de
du Conseil d'ad mi nistration o u du Comité discipline. Les membres suppléants participede gestio n de ces o rganismes.
ro nt au tirage au sort au même titre que les
(5) L'exercice du pouvoir disciplinaire titulaires pou r pe rm ett re un choix plus large.
fait partie des attr ibutions du maire seul, et
Le juge de paix le plus ancien de ('arIa délibération d'un conseil municipal pro- rondissement préside le Conseil de discipline.
nonçant un e sanction est nulle de droit (C. S'il s'agit du Conseil intercommunal, c'est
E. 9 décembre 1927). Les décisions, prises le juge de paix le plus ancien de l'a rrondisen forme d'arrêtés, sont di rectement ex écu- sement siège du syndicat de communes, qui
toires sans approbation; l' intéressé peut ce- préside ra.
penda nt faire appel, dans ~es conditio.ns préEn aucun cas, le Conseil de discipline ne
\'ues à l'article 3ô de la 101 du 2S avnl 1952. doit comp rendre des aoents d'une catéoone
'f
b
b
Cet appe l n'est pas suspensl .
inférieure à celle de l'agent
déféré.
GARANT IES DISC IPLINAIRES
à
Il. -
L'échelle des peines (article 33).
(6) Elle comprend tout d'ab o r~ trois
sa nctions qui pe uve nt. être prono~cees p.ar
le maire seul sa ns aVIs du Co nseil de dlsci pline : l 'avert i sseme~lt, h~ blâme (q~li dOÎ:
ê~r e obli cra to irement IOscnt au dOSSIer) et
la mise à~ pied jusqu'à un maxi mum de cinq
.
1 f t
jours. Ces peines sanct~onll~ro~ t e~ ~u es
les moins g raves. La mise a pIed ainSI que
la peine suivante (l 'exclusion temporaire)
en !!rainent la privation de toute rémunération.
(12) 2' En appel. - Le Conseil départemental donne aux agents communaux,
obj ets d'une sanctio n -disciplinaire prise
ap rès avis du Conseil communal ou intercommunal, la possibilité d'obteni r la ré\'lsion
de la sanction qui les frappe.
Cette faculté ne leur offerte que si le
maire a prono nc é une sanction plus sévère
que celle proposée par le Conseil de discipline en premie r ressort. Le maire ne peut
alors décider d'appliquer une peine plus
�18-1
cette faute peut être immédiatement suspenCe. d roit entr~i~~ évi dem ment Comme Co
rollalre la posslblltté du fractionnement ddu par le mai re.
u
La suspension ne constitue pas en elle- wn~
Néa nm oins, cette possibilité est lim itée
même une sanctio n. C'est une mesu re co nservatoi re, qui évite de prolonger une situation la n~tion d'inté rêt du service. A l'inverseP~r
cont raire à j' intérêt du sen' ice ou permet fract io nnement du congé peut être imp' é'
dans l'inté r~t du ser vice.
os
d'eviter J'agg ravation d'un préjudice.
Suivant la g ravité de la faute, l'agent sus.q) Les fonctio~na}res ~ommunaux sta.
pendu peut soit -conti nuer à pe rcevoir l' in té- g laIres ~t ceux qu~ ':t a uraient pas aCCom li
gra'lité de son traitement, soit en être pr ivé u!1e a l!nee de services avant l'expiration ~e
pa rtiellement o u totalement.
I ~ . pénode du. co ngé an nuel, peuve nt béné~
La suspens ion n'est pas une position. Ell e flcler du rég Ime des fonctio nn aires de
doit co nserver son ca rac tère excep tion nel et l'Etat (1).
temporaire, Il co nvient donc d'en lim iter la
(4) Les age nts qui quittent définitivedurée et d'activer dans toute la mes ure du
possible les formalités nécessaires à la réu- ment le service avant d' avoi r pli prendre le
co ngé affé rent à l'année en Co urs ont droit
nion du Co nseil de discipline.
Vous vei ll erez â ce que le maire avise de à un co ngé d'une du rée proportionnelle à
Fonctionnement des COllseils de discipline. toute urgence le juge de pai x, président du celle des services eMect ués a u tit re de ceH,
même année. Cette disposition ne s'applique
(l.t) L'autorité investie du po uvoir de Conseil de discipline, qui convoquera cet pas aux agents démissionnaires ; la démis.
nomination, qui entend déférer a u Conseil o r tTa nisme dans le mois .qui suit cet avis.
sion est en effet une rn.anifestation exp resse
de discipline un agent communal avise de sa
Il lu i adressera en même temps le rapport de la volonté de l'infLessé de quitter l'addecision le Président.
exigé par l'article 39.
ministration commun a le.
Elle lui adresse un rappo rt indiquant clai(20) Le statut géné ra l des fonctionnaires
(5) Le deuxième a linéa de l' article 44
rement I~s faits repréhensibles.
prévoit que la situation du fo n ctio n~ ai re sus·
précise que les co ngés de maladie ainsi que
Le Présiden t doit procéder dans les moin- pendu doit êt re réglée dans un délai de quaceux obtenus pou r accompli r une périOde
dres délais au tirage au sort des délégués. tre mois à compter du jour où la décision de ob li,g atoi re d'inst r uction mi'iitai re so nt conIl no tifie ensuite aux.. interesses le résultat du suspension a pris effet. La loi du 28 av ril sidé rés co mme se r vice accompli. Les con gés
tirag.e au sort et fait toutes diligences pou r 1952 n'a pas fixé de dé lai- lim ite ; ce penda nl de 'maternité suivent le so rt des congés de
réunir le Conseil en veilla nt -à ce que les la combinaison du dernie r a linéa de l'a rti clE: ma ladie, J... es agents bénéficiaires de ces difdélais prévus par l'a r ticle 41 de la loi du 38 avec le premie r al inéa de l'a rticle 4 1 de·
fé rents congés peuvent do nc prétendre éga·
28 avril 1952 ne soient pas dépassés.
vrait abo utir à un résu ltat identique.
lement au co ngé annuel. 11 appar,tiendra à
(15) La 101 a prévu que le secréta ri at du
Le maire dev ra p rendre sa décisio n défl- l'Ad ministration de fi xer la date de ce derConseil dé partemental serait assuré par les n!ti\~e ?ès notificatio n de l'avis du Co nseil de nie r, compte tenu des nécessités du se rvice,
soins de \'05 sen·ices. li conviend ra que vous dlsc.lplme..
.. ' . ,
.
b) Alltorisation s exceptIOnnelles d'abpreniez cOntact avec le Président du T ribu~I la sancho~ deflmtl\Te n e,mporte p~s pnnal Civil siégean t au chef-lieu de votre dé- I vat,lOn du tra]tement. ou d ~ne partie du se nce (article 46) .
(6) La plupart des Administrations d,
partement pour a rrêter la procédu re à suivre 1 traitement de 1 agent, Il. a drOit ~u r em~o~r
tant pour la co nvocation du Conseil que sement des ~etenues qUi ont pu etre operee!-- l'Etat o nt prévu l'octroi à leu rs agents de
co n!!es supplémentaires à J'occasion d'événe-pour la rédaction du procès-ve rbal et la no. sur son traitement.
ments familiaux: naissance a u foyer, mariatification des avis qui seront donnés par cet
V. _ Révocation (article 37).
~e ou décès d'un membr e de leur famille.
organisme.
(21) Il convient de se reporter pour l'apLa loi du 28 avril 1952 a laissé â ces
Ga~anties et moyens de défense de l'agent plicatio n de J'article 37, concernant la situa- a uto risations un ca ractè re facultatif et n'en
tradUlt devant le Conseil de discipline.
tion de l'age nt tévoqué, aux dispositions (tes a pas fixé la durée. Elle a prévu la possi(16) L'agent déféré a le droit d'obtenir articles 50, 5 1, 52, 54 et 61 du décret du bilité, pour le maire, par voie d'arrêté el
a~ssitôt que l'action disciplinaire est enga~ 5 octobre 1949 portant règlement de la ap rès avis de la Commission paritaire, de
g.ee, la comm unication intégrale de son dos- Caisse nationale de retraites des agents des déte r miner les conditions dans lesquelles ces
collectivilés locales.
con2:és se ront acco rdés. Vous pou rre z V~IIS
SIer.
inspire r toujours sous la rése rve de l'm·
C'est au maire qu'i l appartient d'aviser
Les voies de recourS.
té rêt du se r vice, des dispositions adoptées
j'agent des g riefs a llég u6t à son encontre,
(22) L'institution du Consei l de discipliC'est lui également qui informera l'intéressé ne depar temental n'en lève pas aux age-nts en faveu r des fonctionnaires de l'Etat (1).
qu'i l peut prendre com municati on de son objets de sanction la possibi lité d'uti lisèr les
c) Autorisations légales d'absence.
dos~ie~ dans un délai déterminé, qui, d'après
voies de reco urs habituelles :
: (7) Elles sont énumérées à l'article 47 du
la JUrisprudence, doit être suffisant selon
- recours g racieux,
statut et co rrespondent à celles prévues en
le cas d'~spèce, pour lui 'permettre de pré- recou rs pour excès de pouvoir devant faveu r des fonctionnaires de l'Etat.
.
senter uhJement sa d.é.fense. Il J'avisera éga- la juridiction administr ative.
d) Congés de maladie (articles 48 et SUlIement de la composItion du Conseil de disvants).
cipline.
TITRE VII
(8) Les conaés de maladie sont accordls
(17) Bien que le statut n'ait pas repris
au personnels ~ommtlnaux dans les mê~les
POSITIONS
sur ce palOt Je texte de la loi du 12 mars
conditions oue ceux attribués aux ranch.on1930, il semble qu'en vertu des règles généCHAPITRE 1
naires de l' Etat. En co nséquence, il convient
rales applicables à la matière, chacune des
é"alement de se repor ter à la loi du 19 oeloActivités.
Congés
parties intéressées conserve Je droit de récub;e 1946 et aux différents textes interve~uS
se r un membre du Conseil de discip line.
(1) La position d'activité est cell e dont
pour son 31Pplication (2).
( 18) La communication du dossier doit l'ensemble des disposi tions étudiées dan s
permettre à l'agent de prendre sé ri eusement les chapit res précedents constitue le régime.
(1) (Cf. in s tru ct ion nO 7 du 23 Ol" rs 1050,
connaissa nce de toutes les pièces do nt on C'est la position habituelle de tOllt fonctionnaire titulaire. Aux termes de l'aNicle 4:1 de J. O. des 26 ma rs, 17 et 20 M'Til 1050).
fait usage contre lui.
la loi, l'agent -en aci'ivité est celui qui, regu·
(2) Décret port.."Ult RAP nO 57·1456 dlt 5
Le maire ne pourra pas invoquer devant lièrement titulaire d'un g rade, exerce effectile Conseil de discipline d'autres griefs que ve ment les fo nctions de l'un des emplois août 1947 (J. O. du 7 août 1947) modifié p"r ~~
décret nO 49.4.23 du 23 m<l.rs 1949 (J, O. dll -,
ceux portés à la con naissance de l'intéressé
cor rspondant ·à ce g rade.
mus 1949) relatifs ;\ l'organisation des CO~.I
ni d'autres pièces que celles contenues au
tés médica~x et l'octroi d-e s congés demalalt
a) Congés annuels (articLe 44) .
dossier communiq ué.
(2) Le sta tu t prévoit un droit d'option et de longue durée,
mens
IV . - Suspension (article 38).
.
' f au"", e:o:a
entre un congé de t rente jours consécutifc
- Arrêté du 19 .. out,
r el:ltl
..
dt
( 9) L'article 38 prévoit qu'en cas de et un congé de vingt-six Jours ouvrables médicaux effectués en vue d e l'attribution
sévère que celle proposee par le Conseil dépa rtemental.
La composition de cet organisme est paritaire.
Les membres en sont désignés par voie
de tirage au sort comme en premier resso rt.
Ici encore, les membres suppléants des commissions paritaires communales et intercommunales ' participe nt a u tirage au même titre
que les titulaires.
(1) Les conseils de discipline e n premier
resso rt ou en appel ne peuvent comprend re
de membres panies à l'affaires. Il fauf inte rpréter cette interdictio n stricto sensu, c'està-di re que par c: membres pa r ties à l'affaire», on doit entendre « directement en
cause :..
-
(9) Le dernier aiinéa dc l'artic'Ie 50 de
e) Accidellts sur.","s dans l' exercice ou à prévues à l'article 49 de la loi d u 28 avril
la lui du :t!:.i aVrIl l Y:>:l intruu ult un e dls~ J'occasion de t'exercice des fonction s (arti- I l '52 . t · _.
l"
"
.
.'sltlO Ilouvelle . ; la pOSSIOIlllC pou r le
~ ,c es -a-ulre a expiration d un cOl"\ge
n
"
cie
56).
de
malad..ie
d'
une
durt::e
totale
de
six
mOlS
Pmaire o'affecter a un St!r~ h.:e moins p~nible
un agt: nt ayant éie atrelllt. ct une OIalache
( 15) Les dispositions prevues ci-dessus pendant une periode de douze mois consé~ e 0 sus 'ept bl ct
pour les articles 3 1 et 50 peuvent recevoir cutifs, L'agent lperçoit alor.s pendant six mois
longUe et sen~u~
u
\.:
1 e. e reChute,
1· ·
( 1) T
la mOI·tl·é de son traitement d'o~tl·vI·te' a l· llSl·
.
t cODservant le Iltnell Ce ues
app Icatlon
.
Ol>t a,ge nt attein t d'une
~
cet agen .
.
avan- mVa;Lt
. ~J'd··
que la totall·té-des ...,,....
'unple·m~nts pour char:::e
atfectat
0
'e
t
Ite
'p3Jrtielle
à
l'a
su.ite
d'un
accident
'"'
~
L.et"
tages acq UI s.
Lt!
1 n n ~s
pos, l'
de fami~ l e ,.
sloie, blt~n entendu, . que dans un emploi va- surve nu a -occas;on ou da·ns l' exercice <te
ca nt. L'agent peut elre aiors remplacé dans ses fonctions Ipourra être pourvu d'un a,utre
<22) b) d'aU1 re part, en faveur de La
.son anc ltm emplo I. .l:. n ce qU I co ncerne! le e!'"tP1Qi , co:rrespDtldant à ses aptitudes phy- femme fonchofllnaÎre lpo ur élever ses erufants,
benéhce des ava ntages acquIs à l'agent slq ues.
dans les ccmditions prévues à ~'artlole 120 de
atfecté à un a u tre. se r vicel Il co nvient de
L'avis de la commission de réfo rm e doit la loi du 19 octobre 1946. Elle perçoit alors
rapprocher cette disposlllon de celle qui cepe nd·a nt êt,e sollicité.
la totwlité des prestatio ns fami lia'ies.
.a eté prév ue par le oe""er alinea de l'artlCHAPITRE Il
(23) La disponibilité est u,," positio n
cie 3 1 ( f. tit re V ci-dessusl n" 12).
L'
tempo raire entrainant le Iemplacement de
(10) Les co ngés de longue d urée ne pe ue deLachement (article> 59 et s ui vants)
l'agent da·ns son cadre d'o rigine.
\lent être accorues et rClIouvelés q u'apres
(16) ILe détéOOhement est la position d' un
(24) La du rée de ta mise en disponrbi1ité
agent /pla.<:é hors de son cadre d'ori!lin-e mais
· le Comite medlcal departeme
al
examen p
n- contmuant à béméficier dans ce cact;.e de ses P?ur c?nll/e nances personn~es ~st lim itée à
tal cna rge d'examiner les IOJlct lon nalres de d o'
. l'
.
.
C'
SIX mOIs ; eUe est de tr.otS mOIs seulement
l'Etat.
r ilS a. , avancern.en~ et a la re!ralte,
est, pour les fonctionnaires de l'Etat. De même
Les frais résulta.ll1t de ces examens seront une Iposl tIon ~n~pnncl.pe te~pora l re.
.
que p?u.r la o:ise en service détaché et pmu
.à la cha rge des COI11ll11unes intéressées (de(l7) Il dort et~-e de~and.re. par, le !()d1ct~on- I~ memes . ralsD:n~" ~ est souhaitable que la
,ret du 5 août 1947, article 35).
na~re e~ ne .'pe ut etre acoorde qu a~ tOnctlon- miSe en dls,ponlblhte ne soit qu'exception(1 1) Aux termes du dernie r a lin éa de naLre titulaire de .son grade. Le! det.a:chement nellement accordée dans les .pel:Jtes commul'article 52, lorsque l' intér.essé demande Je d' otti:ce n'existe pas. ~atrl dans le cas prévu nes.
ben.fice de la plo10ngation à cinq et trois à l'alinéa c) de J'article 59, le détachement
Toutes les autres dispositions de ce cbaannees de son cOllgé de lÛlIl!gue dwrée pour n'est pas de droit. Le maire conserve 1,LPoS- pitre soot identiques à celles qui ont été
maladie contractée dans J'e"" rc,ce d.e ses sibilité de ref,user la mise en se rvice détadhé. prevues par la loi du 19 octobre 1946.
jonotions, la ~ d'éciSL{)n :. doit êt re ,prj se par Dans Jes limi tes fixé.es par la Ici, il l. r rêt.e
TlTRE VIII
le Comite m édicafl supérieur.
la du rée du .détachement ainsi que les com:iiOrll do it entendre par là que, en raison de tions de IenolJ.,velllement possible, 1'1 est r,eCESSATLü.N DE FONCTIONS
l a cOflllPétence spéciale dre cet orgalfl isme, 1e.s commandé de n'a utoriser le détachement
maires ne pe u,v ent que se conformer il l'avÎlS d~ ~n aJ~ent que dans des commu~~~ d' une cer(1) Les quatr,e cas dans lesquels un
mèdica'i qu i sera fonnule.
tame .U1~pontanc:e, possédant de]a un œdre agent co~unal peut être a.mené â cesser
,
.
.
organise. Le detac.hemen:t de long.ue durée ses ronchons sont les mêmes que ceux énu( 12) Lorsqu e 1 age nt a. ~pul sé ~es drOIts entraîne, enl eHet, le rerrwLacement de l'inté- mérés dans fartic le 130 du statut ;enéral
.aux.••••
congés
. es Se u1 l' ord
. .
5 1 dans
t 52lest conditions
·
1 t· prevues auxt 1 ressé
,. . dans. son .emp~oi
" et par ail'leurs
. . ' sa· des fon"t·on
... 1 nalr.
re O
en a ete
arliWCD .
e
rOlS sa u 101115 peuven remtegratlon obhgatolfe. Ces conditions sont 1 modifié.
lntervOOl r :
1 difficiles à remplir dans une commu ne où
, . .
.
1u ou il peut reprencbre du service et être i'effectif du pem<mnel mu'ntcipal est peu im1. - La denusslOn (arhcJes 79 et sulyants).
aff~té â .son emploi antérieur j
.
.
portant.
(2) EUe doit être aœeptée par le maire
2 o u cl peut rep.nendre du serVice, ~acs
( 18) cLe détachement pour remplir une lequel fixe la date il laquelle elle prend' effet.
..son e!a! de santé ~e lUI permet pas d etre fonctio n puoliqœ ou élective ou un mandat La .decls~Qn ~Olt llIter\'emr ~ns.le délai d'un
affecte a s?,n ~plOl anté~,leu!". .
"
syndical ne doit êt re accordé que lorsque ta moiS qUI SUI,t la d,ate de recept~o~ d.e la deLe. dernier aJl.j néa de 1 art'de, 50 s applc- fonction ou le mandat com,porte des obliga- mande .. La date d effet de J.a d~lon sera
que . ~Q maire ~ -la Ip?ss.bil(~e d affecter cet trio ns empêcha..nt d'exercer normaleme nt J'em- d'éte~mJnee en fon hon des neces5ltes de
age~t a u~ service moms pén,.ble.
pl~i. (Cf. iClSt, uction al' 3 du 1er août 1947, semee .. U est cepend~nt désirable que le
.3 Ou l 'élIgent n~ peut .re,pre.n~~e <t~ s~r- modifiée ; J.O. ,des 9 août 1947 et 26 mars matre t1enrre cOffiil?te egalem~t dans. tou!e
Vice. Il ~t 3l1ors mis en d lspon,lblilté d off,Loc 1949. Titre Il, section l, chapitre 1er).
la m~~re. du po.sslb1e des raisons qUI ameou adm iS, sur sa demande, a ~a retraite.
S· t·
d LI
t dét hé d
' t d nent Ilnteress:e a rompre avec l'admmistraDans ce dernier cas, fi y aura lieu d'appH~
ltI/Ja ton e. a~efl.
a~
U pOl,fl
e tion.
quer l',,rtiale 22 d'u, déoret du 5 octollre 1949 vue de ses drolls a la retracte .
(3) Si l'acceptation d'e la démission ne
por,tant règl ement de l,a oaisse des .etraites.
(19) Elle est réglée par le deuxième ali- fait pas (jbstacle, le cas éehéant, à l'exercice
de l' act ion discipli.naire, cette action ne doH
Dans le premier cas, c'est-à-dlre la mise néa de l'article 64.
en disponibiA.ité d'office ap rès cpuisement
L'agent détaché reste tr ib utaire de la s'exe rcer que ipour des faits -commis antédes droits a ux cOflgés, d'agent bé.néi~cie, le Caisse des retraites et dOlt effectuer les ver- rieurement à la date à laqueUe la dëmission
cas éohéant, du maintien des avanrages pré- se ments fixés par le règlement des retraites ser.a devenue effective.
vus par la Sécurité Sociale ou par le régime sur le trait6IT1ent d'activité à son grad-e et à
(4) Il peut arriver .!lU'Wl agent remette
d'assurance-rnva.lidité de la collectivité.
so.n échelon dans le service dont il est déta- sa démission au maire d ' une conunune cians
ché.
(14) Dans tous les cas où il peut y avoir
Les oonditions dans lequel!es s'effectuera l' intenti.on de se faire nommer dans une auprolongation, les in téressés doivent saisir à le ver5ement de la contribution patron are tre commune. Le maLTe de la ville B s'assurera auprès de ceJui de la vine A que le
nouveau 'l'administration aVlant J'CXlpiration seront précisées ultérieurement
délai de préavis de trois mois a bien été
de leur congé et ne peuvent prolonger leur
respecté.
abse nce sans autorisation préallabJe.
CHAPITRE III
Le demtier alinéa de l'article 81 précise
Disponibilité (articles 66 et suivants)
que les mutations pour convenances pe.rson- instruction n° .J. du 13 lDars 19::18, relative
(20) C'est la position de l'agent qui, nehies n 'ouvrent droit à aucune indemnité
à l'applicatio n d es textes visés ci·dessus (J. O. placé hms des cadres de son administ ration, pour frois de déplacement ou de dé ménagedu 17 mars 1948
cesse de bé néficier, dans cette oposLtion, de ment. n y a lieu de considérer, en p"inciP"l
- Instruction ~o 4 bis du. 6 avril 1950 COIU- ses droits à l'avancement et à la retraite.
qu'une mutation de commune à commune
piétant, la précédente (J. O. du S avril 1050).
L'intéressé perd en outre tout droit à la est accordée pour con~\lenances personnelles.
- Ci rcul aire du Ministre des Finances (Bud· rémunération. Il existe, toutefois, delLx ex·
II. - Licenciement (articles 83, 84, 85).
-get) du 11 février 1949, reladve aux congés d e ceptions à cette règle en faveur :
malernité (J. O. du 16 février 1949) ,
1J peut intetTVenir :
(21) a) d' une l'art, du foncti~nnaire mis
d - Avis du Conseil d 'Etat nO 24 1·950 (séance
en disponibilité d'office dans les conditions
(5) a) Par dégagement des cadres. - Il
dU 8 Octobre 1948) relatif au cumul des congés
ne peut être prononcé qu'à la .suite de s~
e . longue durée et des congés d e maladie orèinau't.
pression d'emploi par mesure d'econœnie.
JI. 9.
�-
186
d'ans un el11lploi de caté.gorie B ou de cat~ Ja veuve et 1"" onphelins ont droit ail rel'
quat des ~PlPo intemel'bts du mois, lia pensio~
gùrie insaiubre.
de rev.erslo." prenant effet du ,premier jour
b) Admission d'office à la retraite.
. . du mOIS sUivant.
(14) L'a:linéa pr'emi'er de l'ar.tiole ~ lndlLe reliquat des a-ppointen\ents doit QOmque également que l'autorité investl,e ,du prendre, comme pou r les ayants-<iroi\t des
pouvoir d'e nomination peut adm~ttre, d office fonctio nn aires de l'Etat d6cédes en service
un ,alYent
à faÎfle vaJotr ses droIts a lla re- (mticle 50, 1 de la loi du 20 seplembre 1948 ,
C
traite dès ~ors qu' ;l a atteint l'âge d'~:)llve r artiole 145 du Code des pensions), le trai:
ture du droit à IpensiM qui l ui est &ppl lcable, tement augmen't é éventueJllement des a,lan(15) La question se ,pose de savoi r si t age<; famili,",x et dtr SUlp,plément fami lial à
cette dIi-spositron donne au maire un J;l0UVOIT l'exclusion de touffes au,tres indemni.tés, J
discrëtionnaire pour mettre à la rebralte tout
(19) La vewe el 1... orphel ins ont égaagent se trou,vant dlaons cett-e situ.ation (et liernent droit à un capital décès dans des
remDlissant naturèU\ement par aI ll eurs la co ndi tions qu i ont été pré.cisées pttr la ci rcu_
condition de durée de service exigée pou,r lai re n" 290 d'u 21 julllet 1952,
avoi'r droit à lPensÎ<m) ou si l e législateur ~n
TJTRE IX
employant le terme de mise à l a retraite
c d'office :p a elYtendu setilemen:t se référe r
PENSI ONS ET SECURITE SOCIJliLE
aux deu.x cas de ce genre expressément prévus par le statllt (mise à la retraite d'offico
1. - Pensions (a.ticle 87),
par sanction disciplinaire ou pOlir .\Osufft( 1) ,Le ,premier aHnéa de l'article 87 pré(9) L'autorit~ investie du pouvoÎ'r de nO- sance pr()fessronnetle visées respectivement voitt l'affiliation ooligatoüe à la Caisse namination .'Peu~ !Illettre fhn,. aux ~onctions df'un aux ar.tic1es 33, 8° et S5 de la loi).
t ionale de retraites des agents des collectiagent qUI fait preU\ e d trys~ffl?ance ~ro esDiverses cOllSirlérati ons semblent jouer en \rités tocales des a~ents visés à l'a'riide presionneIJ-e. L~ . Conseil de dlsc.lph~e dOit alors fa1/eUlr de cette seconde interprétation et no- mier de la loi, c'est-à-di re des titu'laires
être obligaiolrement,consu l te S"IlIV,ant I ~ ,pro- tamm~t l e 'al't que +Ie trojsième a'l:inéa d e .
d
1
' d't'
~'
"
soumiS au. statut ans es ooh l' lOTIS qui onl
ure pr évu:, au T ;tre, VI ' L lnt e( esse pieu t l'artiole
86 décl are que « les dispositions lé- été p récisées au titre 1 de l a p.résente ins~tre adml. d o,fflce a f~lfe va1011.s.es droDts e-islatives ou règlementaires relati ves à la truction.
a b retraite s. il rem~i1t les conditIOns pré-- fi xatron dIes Hmi.tes d?â g-e des fO l1Jctionnlaires
Cette mesulfe ne nécessitan t l'intervention
vues pa r le derr"t du 5,octob,re 1 94~. por-, cfe l'Etat so~ "np"l l'cables allx "'gents C()m, ,
1 C
d
t t
II I
....
d' aucun texte nouveau ni d aUCun des oogat ant règl ement de a. arsse. es ,re rai ~ , mun aux soumis au présent statut ». Or,.1' une nismes créés'pa1r le sta1ut doit prend're effet
cette meStrre ne peut Jntenven!r qu entre.1a.ge de ces dispositions est constituée par l'arti- à cCXl11lpte r de la dat e d'WPIPHcation de l a loi,
d:oU\rer:t~.re du dr.()i~ â Ipenslon et I.a. Itmlte c'Ie 72 cre la !()L du 31 mars 1932, se!{)n ,Ie- c'est-à-dire à compte r du ter mai 1952.
d âge. S 11 ne .rem,pllt . pas ce~ ,condlt.lOns, . H quel l'admission à lIa retraire d'office ne 'peut
pourra nece\'?lr une mdemtU!e de hce.nClf'- êtr'e prononcée avant la date à l aqueNe 'les
(2) Le législ ateur a 1prévu seulement
!11 ent C~~-CJ ne devra 'Pas etre s~éneure intéressés atteignent les Iim~tes d/â.ge Qui l 'affiJiation obliQ'atoire des agents soumis au
a ~e flx.ee pour les agents de 1 Etat par l ieur sont apolicables, sauf d'ans l es cas d'in- statut. Mais cette. a~iliation ,~ur prodw,:'
le docret du 3 mars 1951 U·O., 6 mars).
\'a~irdité ou d'insuffisarrce pr{)fessionnelte.
tous ses -effets ~~It. s accompa,_rrer. n.écessal,
.
" , , , rement de l'affiliation des collechvltés ocIII. - RévocatIOn.
.
1 ( 16) Cependa.n!. Il m est aoparu . l,ndlS- j clJloant au m{)ins un agent soumis au statut.
(10) Ble ne ,peut être prononcee. conior- pensable pour eVlter toute. oontestahon de 1 Il vous appa.rtient donc de dresser une
mément à l'article 35; qu'après consultation demander l' a'vis du COl1lsed d' Etat sur ce l iste de ceMes de ces collectivités (communes
d~ Consei~ de .discipline et sous r:ëserve ~e DOlOt;. E~ artendant ~et aVIS, le vous e_man = et établissements ,PIl1)!iCS) qui ne seraient
J' mtervention eventuelfe du Conse.1 de dIS- de d tnvlter I~s malTes et les ad:r~l\t1I\ ~tra pas encore afWiées à l a Cai~se nation(ble et
dpline départemental statuant sllr a[1pel de leurs locaux a ne prononce r de m!se a l a d'adresser cette l iste à 1" Caisse <les Dépôts
J'intéressé, d ans les conditiorrs précisées par retraite d'off\C'~ ava.ll! l a limite d' ag e que et Ûl nsi gnafions. 10e Di vision. 3e Bureau.
le titre VI de la loi.
dans .Ies c~s .d l."v~l ll(ltté o~. dan$. l es cas de Cet ong-anisme fera oarvenir à ces collectiIV. _ L'admission à la retraite.
san~t\On drscLPl1 nal~e ou d msufflsance pro- vités toutes i nst.ructions utiles en vlfe re
fesslo rrnell.e, étant Iblen ~nt~nrdu que ~l3ns ,ces l eur affiliation. Celte-oci aura dams tous les
a) Ouverture du droil à pension. - Admis- ~elfX derniers .cas, la ':'lIse la la. ~,tral'te d 01- cas effet à compter du 1er mai 1952.
sion à la retraite SLU la demande 'de l'inté- flce ne peut IIltervenrr que SI ,1 rnté r ess~ a
. .
ressé,
attein t l'âO'e {!'ol1Verture dJ1 droit à pension
(3) Cette qJrocédure est Indlspensabl,'
(II) Le premier a1fnéa die l'article 86 fixe et rernplitla condition d'aocienneté de ser- pour que soit ré&1isée pratiquement l 'aD~11l es âJ!'es d'ollVerture d.u droit à pension, vices exigée +par le règlemen t de la Caisse ca tion des di911Ositions O'Tévues fP3r1 ,le lé.!!!5nati{)nale.
' 1
lateu r . Elle peJ1metûra égalemen11: la v.a1hdac'est-à-dire les âges à partir desquels les
Faute d'observer ces 'PrescItÎlpHons. les tion des serviCes accarrvplis auprès. ,~es
agents, selon leur catégorie, ont le droit de
maires s'exposeraient oe l a part des agents communes qui n'étaient pas en cure a,ff rhees
d~ander leur mise à l a retraite.
à des recours contentieux ,
à la Caisse nationale aVaJf1 t le 1er mal 1952,
( 12) Cette demande ne peut être présen..
..
d'
vaHtfJa,tion Qui pourra s'effectuer dans Iles
c) FixatIOn des Iimlles
lige,
con<litions ,prévUe<; à l'a rticle 44 du déclel
tée uNlement que si l'agent remplit pa'!' ail (17) Les l imi:tes cfâj(e compo rt ant cessa- du 5 octolYre 1949,
leurs les conditions prévues par l'artiele 6
du décret du 5 octobre 1949 portant rèj!'le- tian oblij(atoire de fonction seront désormais 1 (4) P
l'
r f
""s disposition.
~ur
~Pl) Le:!.. 10~ .
d ' !;ment de la Caisse al'atiorrale de retraites, cel1es é1!PpJicables aux fonctionnaires de
l'Etat.
,du
deu
xième
alinéa
cie
1
arhol
e 87" es '"~
c'est-à-dire si l'a.gent âgé de 60 ans coml'te
Pr
Elles sont donc de 63 a'ns ,pour les em- tl'luctions ffiJécialles seront envovée,'5
Rh aux
d Bastrente années de sefV'Î:ces effectifs ou si
plais
de
la
caté~ori'e
A
et
de
58
ans
pour
fets
des
~
6pa
rteme"ts
dll
H
aut,n,
u
é'
l'agent âgé de 55 ans compte vinogt-cinq anR'hin et de la Moselle, où su~istent l es r glnées de services, dont quin7Je passées effec- les erTllJllois de 'la ca·t égone B, ou insalubres mes }ocau-x de retraites que l e législateur a
tivement crans un emPloi de la catégorie B. avec possibilité de maintien en fonction
pendan t deux an'S sUJlP~émen taires, en 3JP'pli,.. en t endu viser.
(13) Une catégor.le nouvelle d'emplois
Il , _ S{!C/"i/é Sociale (.ar.ticie 88),
,
insa1ubres pe rmet aux .agents qui les occu- cation des 10is dlu 18 "oût 1936 et du 15 f é(5) Aux ter.mes de l 'articl e 88 de, la IOli
pent de demander leu'r admission il l a re- vrier 1946 et dU' décret du 18 décembre 194<3
« le Consei,1 muni'cip,,1 crevra obl watOlfemenl.
traite â ('âge de 50 ans ; mais la Joi n'ayamt (Cf. circulaire 69 AD/3 du 17 mars 1949),
Le classement des emJllois en catégor ie A
~,
par
prévu en faveuT' de ces agents qu'une rooLlcopter
l 'un dies vstèmes orevuS . aU
20 septem- décret pour
n" 51-280 ~lI 2 mars 1951 relaM rtian de l 'âge d'ouverture du droit à pen- et B a été oœré par l 'arrêté clu
ré!(ime de -Séwrité Soc iale des agents peet
sion, ils devront pour 50Uiciter leur mise à bre 1949 (J,a, du 16 octobre),
V, - Avantdges accordés à Irt veuve et manents des départements, des com munes as
la retraite remplir les conditions exigées des
"gents OOCl1JP'lll1t un emlJlloi ru, la caté.go- aux orphklins mineurs en cas de décès de d'e leUirs établissements publics n'ayatt p
ans d~ l'agent.
rre B, c'est-à-dire 3lVo;r
l e caralCtère industriel ou commerc~ • .
(6) En ce qui ooncerne les fonctiom,aires
(fe "Etat. le cWgag.emenl d~ cadr~ ne peut
inten·enir qu 'en vertu de loIS sP~laJes. Po.u r
les agents communaux, au contraire, les dlspositions prévues à l'artitle S3 ont une ,portee pennanente.
(7) L'agent dégagé des cadres ~oi~ ètre
inscrit Ali centre départementaJ d onentation et de réemploi, Cette inscription lui permet de il"nHicier par priorité, d'oo reclassement dans run des emplois vacants sianilaires des communes du département SO us
réserve qu'il remplisse les conditions d'31ptitude nécessaires.
(8) L'agent peut prétendre à une peJlsion
pr'oportionneUe, s'il rempht les CO~ltlOms
exi2'èes par les lois et règlements en vigueu r
con.:cerJlant le dégagement des cadres.
lb) Licenciement pour cause d'insuffisance
professionTU!lle,
7
:ro
g
-
187
ent applicalble en insistant sur 1'0blLgatiOn !
incombe a~ co.m.mcnes dle~ée.uter s.i
~Ies ne l'ont déJa fait, les prescnptlons du
décret.
(6) Ce choix ol.'Hg.atoire ne doit cepenas avoir pour conséquence de COnda~t dPe les communes dont Ile personnel est
Iralll 'sr au stattIt cr,énéral à une option défisoum l
b'
,
T
pour ,l'un des tro is régimes de Sélcu~!tt~oci ale, S'il en étaLt ainsi, en effet, ces
onectivités se tr.o.wverai ent notammen.t dams
~obligation de conserver u,n régime ~éci all
QU ~ sati&faisarnt à ,F {)Ir~gi neJ pourrait pllUs
tard se révéler nCll vi"b le, Telle ,n'a pa.s été
l'intention du tégisl:ateur qUI a entendu
conserver, sans mod'ifi.c3ltion interne, l e reginre prévu ,par le décret du 2 marS 195 1
rout en lUI colf1lférant une force pius grande
tirée de la loi.
En COITl$équence, les dites coJlectivîté's
conservent, comme elles la possédaient déjà,
la facuHé die mettre fin à tout moment et
dans les conditions prévu'C$ 'Pa r le dK!cret, au
régime de Sécurité sociale dont est doté
leur persoJTn-a1. (111 l'eur est, cependant, toujours iilterdit dJado,pter un régime spéciall de
Sécurité Sociallef, si pareil régime n'éta it p'3S
déjà en vigueur).
(7) Enlin, bien que le l'égislateu r n'ail
mentionné eXlpre.ssémoent que « le Consei l
muni c:~pal » il est èv.ident, par référen:ce à
J'arHcle premier, alinéa denüer de ,la loi , que
t'article 88 de ce lJe-c i vise non seUilement
~es commu,nes, mais éga~ement Jes établissefllents publics communaux -et interco mmunaux.
~li
(8) Il est à noter que le régime de retraites aussi !bien que celui de Sécurité So·
cia le s'ap,r l iqlleront (sel'oo les dispositions
.prévues par le rè~lement de l a Caisse nationale et par le décret du 2 mars 195 1) non
seulement aux agents titulaires occupant un
emploi â telTlJPS compJet, mais également aux
agents de la comm un e ou de l'établ issement
consacrant â 'leUir emploi l,a plus grande
pa rtie de ~eur acti~j,tê, c'est-à-dire effectullint
une durée jo.uInalièr:e de t'favail au moins
égale à six heures, soit 36 heures par semaine.
TlT-RE X
D ISPOS l l"l ONIS DIVERSES
ET TRANSITOIRES
1. - Agents titulaires occupan:t à titne
permanènt 'un emploi à temps non complet
(~rtic1e
89),
'
,(1) Des indications 001t d\!.jà été données
~ leur sujet dans le tibre ~ chapit re l, n"' 11
a 15,
En outre, certains d'ent.re eux sont visés
par la remarque faite au IX n° 8 ci....ctessus.
li, -
TitulUJfisation des <Iuxilinires (art. 93),
(2) Le wemier alinéa de cet artiole donne aux ~ir,es et aux Ipnésitl1ents des cOlflseils
o~ comités ohangés de la gestion des établissements ,publics 'la possibilité de titulanser certains agents auxiliaires.
,le deuxième alinéa détel'l'l1ine les co nditions pécun iaires de cette titularisation.
Premier alinéa.
(3) L'intention
dU' léj(isllateur
a été de
~endre 16g~ l ement possible l a tituJ arisation
1es auxrlJal<es même s'ils ne remplissent pas
es COndllions général"'s de recrutement prévues par le statut et notamment la <o ndition
La loi impose ceperuiaiTt des oondition,. sUjJJprimé par la nouvelle lo i, Par eXelT1Ple,
aux mesures de tHülarisation, puisque seuls on Ile peu+t imaginer un agent demandant en
peuvent être titulaIisés, en déroga tion des sa faveur le maintien de l'ancien système
r~~les st~tu.:ai.res norma1es, l es .agents auxi- d\sciplinaire pn..~u fYclr la loi du 12 mars
Ita~res qUI, a la ~ate <tu. 1er mal 1952, occu- 1930.
paient un empfol de clébut dans les cadres
(10) 2 " Le maintien des d"roilos acquis
des eft:.ectirfs permanents et à fem,ps complet pour une matière déterminée n'est pas autor6guHèrement ~proUIYés. (Cf plus haut ti- matique mais ne ,peut intervenir que sur
t
1 h '.,
Il
17 '23) ,
re ,0 3lpll're .. n°·
a
.
option de l'agent. Le lugisla.t.eur n'a pas
(4) Ces mesUIes dérogatoires ne pou,- imposé de délais pour cette option, En effet,
rOll1t être prises que pendant un délai de six iUn grand nombre des ,dispositiQf1\S dU' statut
rrmis à dater du l'fr mai 1952, c'est-à-dire pour lesquelles des demaooes de ce gen re
jusqu'au 11er novembre 1952.
pouuaient intervenir ne lPrenJ:ront effet
" Il !'on,vient dlappeler l'attention des collee- Ilu'a,près l'intervention de 1ex.tes et de metJVlteg su r ies dewx polOtS sUivants :
sures d'~plioation particulières. Dans la
(5) 1.;0 La titul.1orisation d'agents ayant .plupart des cas, il n'es t donc pas !possible
attei.nt un âge tl10p élevé r isque d'êt", préju- pans Yimmé.diat pollr les agents d'estimer si
diciilie .aux intéressés eux-mêmes en lelJlr les dispositions de J'ancien statut local sont
faisamt courir le risque d'atteindre l'âge de ou ,non iPfus favorables pour eux que celles
J'a retraite aVélJnt d 'avoir le nombre d'annui- {du Mweau statut général.
t és requis pollr ()bteni r une pension d'an(I I ) Cepend\urt, dès que les nouveUes
denneté, et en leur donnam don c dans ce règles statutai'Tes app)kables dans un docas le seuj bénéfice d'une retraite propor- :mai ne déterminé auront été 'fixées par les
(ionnelle, qui peut être il1Jférieu.re .aux avan- auto.ri~es com,petentes et portées à la conta'ges garantis tpa r la Sécurité Soc~a'le. naissance des agents, il sera no rma l et exD ' autre part, .\a titufarisati{)n entraione pour I,pédi.ent d'inviter ces =derniers à déoIn.rer s'ils
,les inté.ressés, l'obdi'gation de verser rétro - lVeulent ou non co nti nuer â bénéficie r des
aCtÎlve~ent les cotisat!ons pou~ ~~nsion, (6 % ) 1 anciennes dispooitions statuta;res.
calcu lees sur l e t raitement 1111 tl a'i d agent
(12) 3" E"fi l\,
Y a lile~ de préciser que
t lttJ~a~re, les. versem,ents pour I~s pen~es les droits acquis slf'SCeptibl'e5 d'être mainteanteneur.es. a 1945 éta~t. toutefOIS calculées JlllS sont ceux existant arvant le 1er mai 1952
sur l es traltemoots de 1 epoque.
tels 'qu'ils rse Iprésentent dans un domaine
(6) 2 0 La municipalité devra ,prévoir le déterminé et sans qu'on pui e les mod ifier
financement des changes supplémentaires qui en faisant intervenir cerrains des éléments
lui incomberont du fait de cette validation: du nOUNeaa statuot. Par exemple, lorsqu'un
versement d~ une cotisation rétroadive de agent occupait, .à ta date du 1er mai 1952,
12 % dans les mêmes condit ions que l'inté-I un emtPloi. régi par des règlet5 statutai res
ressé. (Id est à noter cependant que ijes v.es- . permettant (j',atteindre l'indice de fin de carsements effectuês aux assu ran ces social es au 1 rière x en un certain nombre d'années A ·iL
titre .de l 'assurance vieBlesse vle.ndront en peut: demander à conserver le bénéfice des
déduction des cotisations rétroadives à dro its acquis si les mesures prises dans le
payer t""t par l'inté ndsé ' que ,par la collee- cadre du :nouveau statut ne permettent plus
tiv,té),
d'atteindre le même indice de fin de car(7) l'~'PP!Ï'Cation.du deuxième alinéa de r~è re x qU'aJprès un. no~bre d'annees de ser, ' . 93
bl
1
d d'If ' VICes A + N swpémeur a A,
1 art.tcre
. ne.~m e pas sou ever e 1 1lWafs si.. d'ans Le cadre du nouveau .;;tatut,
cultes partl culleres,
l'erruploi en question fa~t l'obje t d'une revaIII. - Maintien des droils acquis (art. 95), lorisation et que 'son indice de fin de car(8) !les documents parlemenrt:aires ,et no- rière se trouve tPOrté à x
10, le maintien
tammen't 'le ".~pol'! présen!é par M, le Dé- des d-roits acquis ne ,p ourra permetl're à
/'"
J'aQ'ent de demander à atteind r e ce nouvel
puté Nénon pour la deuxièm.e lecture du in&ce x + 10 dans le nombre d'anrJlées A
texte d'evant l'Assemblée Nationale indiqtrent
nettement que le maintien des d.roits acquis prevu pour l'al1cien indice de fi n de. oard
1 ft l '
rière x alors que le noU'veau statut eXigera
qui joue en faveur es personne. 1 U_-3lres .1\.
N années de services pour obtenir
en 1onctions,;, la date du 1er mal 1952 ne P
,
.lnd'IVI'd ~e.1 . ,
l'indice x
10,
peut s'exercer u'â titre
li 'Ile s'a!git donc !las de malnt,,"1r d un'e
(13) Cette interprétation est ronfor.me à
façon généro3l1e en v"gueur -df:S ~Isposlhons la jurisprudence qui a toujours nette-ment
statutai res loca les en contradiction avec la précisê que b notion des cProits a-cqui~ toml o~ mais seulem~nt de perme ttre. q~e ~ portait le maintien des avantages en vlg~eur
dispositions continuent d'être a:pphqu~es I~- nonobstant l'interventron d'un te~'1:e qUI les
dividueHement à tel ou tel agen't. apres supprimait ou les réduisait en principe, mais
option.
que ce maintien ne devait pas entraîner ufle
Ce pGint a fêté souhgrré au Conseil de la . augmentation de ces avantages. c ~ors
République pa r iJ\'- le Sé"ateur Masteau dont même que cette augmentation eu~ resulte de
Ilamendement forme l 'actuel article 95 de la l'~plication automalique d'ilne echelle moloi: « Nous avons prévu la possLb,ilité pour btle ou d'UB statut adO?t.e anténeureme~t >
l'a,O'ent el> fonctions de ,se prévalOir de SM (C, E, Cnrcha.ndeau, 9 JUlllet 1,943 ; Cf, egaan~ien statut si, tpour un cas particulier, une lernent C. E. 30 ma rs 1949, sieur Gros).
disposition de celui-<:i ",waralt pl us favora(1 4) D aM un domaine d~fférent, celui des
.Q!Je que celle corre$pond ante du nouveau limites d'âr!e, il oon\'1ent d exarnmer egaiestattrl . (débats C, R, 195 1, p, 2,213),
ment la portée des dJspOiSitiolllS de l'art, 95,:
Cette dêfinition ent raîne les consequeq.ces
Lorsque l'ancien statut prévoyait une hsuiva,nfes :
mite d'âge supérieure à celte du nouveaLll, le
(9) 1" Les droits acquis dev.lIt s'exe,;er maintien en f?_nction~ etait de droit jusq~'à
.a t'otre indil\lÎduel i' n'est pas poSSible d en cette lunrte (1 a.g~. L agent pourra dom: \ .a, ,1 mer le maintien torsque celui-ci suppo- lab\ement, ,au titre des ava~ta)~~ aa:tUI~,
ree a
.
C'oDecti{' demarnder à conserver ce drOit a !ttre mdl-
J'
+
+
+
�188
189
~t",
.yjduel et à
maintenu ell fo nction JUSQu'à 1bation, soit actueWement en vertu de .rart'i-I
J'ancien.ne limite d'âge.
\:Je 88 de la loi muni ~a le et d'e 1'.arrêM du
(15) ' P.ar contre, l'existence d' une 'limite \19 novembre 1 ?4S~ soit dans .le f utur PO"
<fâoe inrerieure à cel1e du nOuvea u statut application die 1 article 21 d,u statut.
..nt~trai'ne auoune consequence en ce qui
P ou r le J\+hnist re d'e l'Intérieu r
"nncerne les droits acq UIs individuels. En
effet, selon les dispositions du ,pr emier a1i-
nea de l' article 8ô tout comme pans le cadre
de l'ancien statut, rage nt a tOlljo urs l a po:;..sibitiré d~ demander sa mise à la retraite
avant d'atteindre la limite d'âge com portant
cessation obtiga toire de Ponctions .dès qu'il
remplit les conditions d'-ollVertu re du droIt 'à
pension fix.oêes !par ne rè~emel1t de la Caisse
ootiona le a~ retraites,
Si, par e",em.P1~ rancien statut avait fiX!é
la Iimlte d'âge à J'âge d 'olWerture du dirai t
à IpensiWl, soit 60 ans pour les emplois de
lat ego rie A, ,al ors que le nOlA'eau statut fixe
la limite d'âge à 63 ans, l '...,,,,, ,,t pollrra touJours demand-er sa mise à l a retraite dès
J'âge de 60 ans, le nouveau statut lui donn ant le droH s' il 1e desrre de rester en fo nctions jusqu'à 63 ans (Cf. supra, titre VIIl,
Il'' 15 à 17).
IV . - AlJrogation de certains textes (article 96).
(16) L ·article 96 abrqge ex;pressement un
certain nomb re de textes législatns ou régJelllentarres et prévoit également 1't3lbrogatian de toutes tes dispositions co nt raires au
statut qui ,figureraient dans des textes non
e.x.pressé-ment visés.
Aknsi que cela a déjà ébé indiqué à plusieurs repdses dans la (présente instruction,
l es textes abrogés doivent êtI1e coooi<fkrés
comme p.rQ\'isoirement maintenus en v'gueUJ
aussi longtemps que les meSUTes d'aJlplioation du statut ne seront pas imtervenues.
A propos de l'énumération des textes abrogés il semble utile de signaler deux points:
(17) l ' L'article premier de l'ordonn ance d u 17 mai 1945 prevoyant l'intervention
d'arrëtés intermi nistériels fi xant les maximwns de rémurrer.ation des agents des collectivités locales n'est pas abrogé. 1\ demeu.re applicable à tous l es agents non sou...
mis au statut: personnel non titulaire, auXii.lIÏarre ou contr actuel, et personnel départemental titulaire. Par contre, en ce qui
concerne le personnel comm un al titulai re, il
est abrogé et remplacé ,par les di"sp05itions
de l'article 22 du statul pOlU les agents à
temps complet el par cel les de l'.article 89
pour l es agents à temps iocOl11lplet (Cf. tiIre l, n' 12).
(18) 2' L'article 29, paragra<phe B, de
la loi de finances dll24 mai 1951, est ab rogé
en ce qui concenne les communes. Ce texte,
conunenté par la circulaire 375 du 25 s~
tembre 195 1, prévoyait que les recr utements par concours d'agents titulaires dans
l es communes de plus de 50.000 "abitants
devaient être autorisés par le Préfet sur avis
conforme du Trésorjer-Payeur Général.
(19) Une telle auto·risation n'es t désormais plus ex~gée. Cette disposition entre
immédiatement en vigueur puisqu'ell e ne néœssite l'intervention d'atlcu.ne mesure spéciale d' application.
(20) Il dojt rester bjen œJtendu que l es
recrutements ne peuivent s'opérer que dans
Ica limite des emplois vacants et des crédits
.
. (Cf
.
ud g é taJres a<pprOu.ves
. supra titre l,
th" itfe l' n' 22)
~.
.
" l'
(21) D autre Ipart, les r ègles m~es de
lJ'ecrutement sont tOU)OlbTS sounuses a a,tppro-
et par d élégation,
Le Préfet, Directeur ale l'Administration
départementale et COllununale
DAMELON.
-------< >30<>-------
DD5
FSO
REGLEMENT SANITAIRE
DEPARTEMENTAL
Arrêté
portant règlement sanitaire départemental
propreté. Elles seront Illunies de 1110 d'é,'acuation des eaux pluviales et des ye,l~s
res usée~, )' .c?mpris les eaux ménal~::~eS
Toutes diSpositIOns seront prises pOli r I '
~Ü/Ol les loca ux et les prêservcr de 11 1~~Om~~
ART. 2 bis. -
lions.
Implantation des COt/str
IlC-
Aucun poin t d'une constru ction no .
pl antée à .Ia mitoyen neté de ligne sépa~at\~;
des propn tés ne devra être éloi gne de pl
us
.
d ~ qlllnze
me· t re.s d' u.n ali·gnement de voie pu~
bhque ou de VOle pnv ée auto risée.
Allcun, point . d' une constr uctio n nOn im~
plantée a l a mItoye nneté ne devra ètre d· _
.
d
•
.
IS
1antd e, mOinS
e qua Ire metres des limites
séparatJves.
Deux propriétaires mitoyens peuvent tou~
jours s'entend re. pa r acte notarié notifié à la
comm un e pour Implanter leurs construcilons
su r I ~ li gne .m itoyenne, pourvu q ue ces Cons~
tructlons sOient édifiées sim ulta nément. La
longueur totale des ~onstructions ainsi jux~
taposées ne pourra depasse r 30 mètres.
Il en sera. de même lorsq u'un propriétaire
dema ndera a adosser une co nstruction nou~
velte il un bâtiment voisin construit en bo r~
dure de l a l igne sépa rative des deu x pro~
priétés.
Le Préfet des Bouohes-<!u-Rhône,
Vu la loi du 15 fé\"rier 1902 relatwe à la
pro tection de la santé publ ique ;
V,u le d~cret-l oi du 0 octobre 1935 prescriva nt IÏnstitution d'un r èglement sanitaire
départemental et modifiant les articies 1 et 2
de la loi du 15 février 1902 ;
Vu la .circulaire de 'N\. le Ministre de la
Santé Publique en date du 26 av ril 1937 ;
Vu l'arrêté pr éfectoral <lu 15 fév ri er 1939
porta nt règlement sa ni taire départemental ;
Vu l' avis é.mis par le Conseil départemental
ART. 2 ter. - Densité des co nstructions.
d'h ygiène dans sa séan.ce du 1er octobre
Il ne pou rra être co nstrUit su r Chaque pro~
1945 ;
priété :
Sur les oproJlOsitions de ,M. le Médecin10 Pour les bâ timents d'expl oitation arrri~
Inspecteur de la Santé et de M. te Di recteu r
cole,
y compris le bâtimen t d' habi tatio n, ~us
des sel'Vices teohniques d u département.
de 50 % de la superficie totale de la parcelle ;
A~RETE
2" Pour l es bâtiments n'aya nt aucun caTITRE PREM IER
ractere agri cole, plus de 33 % de la superficie totale de l a propriété.
Des constructio ns
Toutefois, dans toutes l es portions de lerARTICLE PRF,\\lER. - Dans toute co mmune
qI/el que soit le chiffre de ses habitants, rai n où l a construction à l a mitoyenneté est
auCune constru ction nouvel l e, quelle que autorisée (àmoins de 15 m. d'un alignement),
soit la nature des materiaux utilisés, ne aUCune limitation de surface construite, sauf
pourra être habitée de jou r et de nuit si elle celle résul tant de l'applica tio n des \lues di ~
ne répond pas aux conditions d'hygiène dé- rectes telles q u'elles sont définies à l'article
6 ci-après, n'est imposée.
finies ci -après.
Sous le nom <ie construction nouve lle, il
Hauteur des constructions
faut enten<lr e, non seulement les co nstrucART. 3. - La hauteur des co nstructions,
ti-ons neuves, mais aussi les transiormations quelles qu'elles so ient, en bordure de la voie
des constructions existantes affectant soit le publique ou pri vée, mesuree su r te point mi~
gros-œuvre du bâtiment soit son économie lieu de la façade ent re le niveau du trottoir
générale,
'
ou le r evers pavé au pied de cette façade
Sous le nom d' habitation, il fa ut ente ndre et le niveau supérieur de la co rniche ou du
tout l ocal powvant servir de jour ou d~ nuit mur de la façade ve r ticale de l'immeuble,
au logement, au travaiJ, au repos ou à n'excédera pas la largeur de la voie publi ~
l'agrément.
que ou privée r égulièrement autorisée entre
Les dispositions du présent titre relatives les ali gnements app rouvés.
au gabarit et à l' implantation des Iconstruc·
Les co nstructions ou parties de const ruc~
tions sont applicables dans toutes les tio ns élevées en retra it de l'ali gnement pourCOmmunes qui ne son1 pas assujetties à CÎ!eS ront ajouter la largeur de ce re trai t à la
dispositions de même natur e provenant du lar geur de la voie publique dans I.e cal~u l
programme de sen,iturles d' un pkm Commu- de la hauteur perm ise. Les co nstructIOns dls~
nal d'aménagement ou re.gional d'urbani5me. pens ées de la servitude d 'a li gn~ment ne
pou rront, même par tolérance, être s uré~e~
CHAP ITRE PRE/,IIER
vées au-dessus d' une hauteur égale il la dls~
tance
qui sépare l e mil ieu de leur façade de
Des constructions nouveUes
l'alignement opposé.
Dispositions générales
Il en ser a de même pour les constr uctions
Règles générales de salubrité
élevées en bordure des voies privées, la l a~
ART. 2. _ Les constr uctions visées à l'ar- geur effective de la voie priv ée éta nt as.s l.
h~le premier du prése.nt règlement seronT milée à la largeur réglementaire des vOIes
disposées de malllère a être aérées large- publiques.
· s
1 ment éclai rées et
1 ·ll é
1 1 1
La hauteur des faîtages des construct IOn
,
.
enso el es e p us ong1 temps pOSSible. Leurs revêtements intér ieurs ai nsi que ce lle des murs mitoyens ne pourra,
seront disposés de manière à ce qu'ils puis- en aUCun cas excéder 25 mètres pour :es
1 sent être facilement maintenus en état de comm unes de 'plus de 5.000 habitants agg o~
mérés et 15 mètres pour les autres communes (1).
ART. 4. Lorsq ue les vo ies sont en pe~
le la façade des bâtiments ~n bo rdure sera
Ji~'isée, pou r le ca lcul de la h aute~ r, en sections dont auc une ne pou r ra depasser 30
mèt r~s. La cote ~e ha~l !eu r de chaq ue s~ction
se ra pri se au pOI nt mIlieu de chacu ne d elles.
ART. 5. - Pour les bâti ments compris entr~ les vo ies d'inégale largeur ou de niveaux
différe nts la hauteur des co nstructions en
bordure
c h ~c ll ne ~es voies .ne pourra dépasser cell e qUI est hxée en r aIso n de la lar0eur ou du nivea u de l a voie sur laq uelle
~lIe s'élève.
Si la distance entr e les deux voies est iniérieure à 15 mètres, la hauteur de la co nstruction èlevée ent re les deux voies est rég ie
par la pluS l ar ge ou de niveau plus élevé,
ART. 6. - Es pa ces libres, cOl/rs et cou-
de
rettes.
Toute baie n'ouvra nt pas su r une voie publique et éclai rant une 'pièce d éf.i~ie à l'article premier, y compris les CUISineS, ser a
soumise aux dispositions ci-après. La vue
.
d d
d l' Ir
directe a':lra, au Olveau li essl~s e a ege
de la baIe et da ns toute son etendue, une
. ~e~ Cours et co urettes ne pou rront t tre assurée dans les pièces dl'habitaiton par un
dlvlsees que par des murs bah uts d'un metre système r econnu efficace par le Conseil sumax imum de hauteur su rmontés d'une grille. périeur d'hygiène pubtique de France.
A «T. ET. - A l'étage le plus élevé de la
Jours de soufframce
constru ction, la surface .régiementaire prévue
ART. 9. - Les jours de souff rance ne à l'article 13 sera mesurre à 1 m. 30 au pou rront jamais être considérés comme baies dessus du sol, le cube de la pièce ne ,pourd'aér ation ni d'éclai,rage.
ra Hre in férieur à 22 mètres cubes .
Les parois ~e la pièce ne devront présenleal/eS
te d'angle rentr.ant en aueu·n poin t.
ART. 10. - Les ca ves ne pourront être
ART. 16. - L es pa ro;' de toutes les pJèces
aménagées pour servir à l'habitation. Elles
seront '<1isposées de façdn à
s~ron t ve ntilées par des soupi raux commu- d.lolvalbitatiorn
niquant avec J'ai r extcri eur. Ces soupi r aL: x p ropéger les oœupants contre les vari'atÎ'Ons
auront au moins chacun 12 centimètres de de la tem,pérature ex.térieure.
Les cœfficients d'inertie thermique, d~ iso
hauteu r avec une section libre minimum de
lement et d'i,nsanor\saiton des matériaux de
8 centimètres.
Aucu ne pièce comportant une porte ou remplissage ou de co nstructioll moderne detrappe de communicatio n avec une cave ne vront être au moins équivatents à ceux d'ur.
mur de pierre de 0 m. 50 d'épaisseur minipourra ètre affectée à l'habitation de nuit.
Sous-sols
ART. 11. - Les sous-sols destinés à l'habitation ne pourront être descendus à plus
de 1 m. 50 en contre-bas du ni veau de la
ru e ou de la cour qu'ils bordent ; ils au ront
chacune de leurs pièces aérée et éclai rée au
largeur horizo ntale de deux mètres de pari mo}'en de baies ouvrant sur rue, sur co ur
et d'autre de l'axe de la baie du rez-de- e~ ay~nt les dimensions indiquées aux artichau:Jsée. Aucu ne co nstru ction faisant face ~ es ~I-dessus. Les , m~rs ~t . l~ S?I d~vr?nt
à cette baie du rez-de-chaussée ne pourra 1 etre I~per~éabl~ a 1 humldlte. L habitatio n
monte r à une hauteur 'supé rieure à une fo is de nUIt est interdIte dans les sous-sols,
et demie la 10n&,u1fu,r d'e .l a voie directe par
Rez-de-chaussée et étages
ra ppo rt à l a pa rtie sai ll ante de l a façade
ART.
12.
- Le sol des re z-de-chaussées
sur co ur. Cette disposition devra être mutuelle entre les cons tructio ns qui se font face.
Les espaces l ibres dits oC courettes ,. qui
ne répondront pas aux conditio ns du premier
alinéa ci- dessus ne pourront desservir que
des pièces non visées à l'artiCle premier ;
la sur face horizon ta l e ne sera jamais inférieure à huit mètres car rés, ni le plus petit
côté à deux mètres. 1\ sera aména gé, au rezde-chaussée, une arr ivée d'ai r permanente
destinée à assu rer la ventilation.
ART. 7. _ Il est interdit d'établir des combles vitrés dans les cours et cou rettes audessus des parties sur lesquelles so nt exclu sivement aérés et écl airés soit des pièces
pouvant servi r à l 'habitatio n, soit des cuisines, soit des cab inets d'aisance, à moins
qu'ils ne soient munis d'un châssis ve ntilateu r à face ve rtical e dont l e vide aura au
moins le tiers de III surface de la cour ou
co urette et 40 centim ètr es au minimum de
hauteur ; dans ce dernier cas, il sera étabLi
au vois ina ge du sol des orifices prenant l'ai r
à l'extérieur et assurant en permanence l e
renouvellement de l'air de ladite cour ou
co urette, ou tout autre disposi tif soumis â
l'agrément de l'a utorité sanitaire assurant
le renouvellement de l'air dans ces conditions
au moins équi va l entes.
ART. 8. - Les propr iétaires d'immeubles
Contigus pe uvent se mettre d'acco rd pour
avoir des espaces li bres, cours ou courettes,
Communs, dont l es dimensions seront celles
prescrites aux articles ci-dessus.
Ils doivent, dans ce cas, notifier leur acco r~ au maire et prendre envers l'administrahon municipa le avant le co mmencement
des travaux, l' en ga'gem~nt, par acte authentique, de mainteni r leur Co urs et courettes
conformes aux dispositions de J'alinéa précMenl.
0)
destinés à l'habitation devra êt re établi sur
caves ou sur sous-sol ou, â défaut, il devra
être surélevé de 30 ce ntimèt res au moins
au-dessus du niveau extérieur.
Quand il reposera immédiatement sur terre-plei n, une couche de maté r iaux Împerm éables s'interpose ra ent re celui-ci et le dallage,
le ca rrel age, les parquets,etc. ; le sol en
terre battue est interdit.
Quand aux constructions existantes, dans
lesquelles serOfli apportées des modifications
ou transformations et où, sur le même plan,
se trouvent déjà d'autres ouv rages qu'on
ne peut démol ir ou modifier, et lorsqu'il n'y
aura pas de caves, cette hauteur sera réalisée
par un hérisson de 0 m, 20 d'épaisseur sur
lequel reposera une forme en béto n de ciment de 0 m. sa qui, avec le carrelage, donnera une hauteur isolante totale de 0 m.30.
Toutes dispositions se ront prises pour
éviter l'ascension dans les murs de l'humidité
du sol.
ART. 13. _ Au rez-de-chaussée et aux
étaues l e sol de toute pièce pouva nt servir
à l'habitation aura une surface mi nimum de
9 mètres carrés.
Ohacune de ces pièces sera éclairée et
aérée sur rue Ol! sur cour au moyen d'Ulle ou
plusieurs baies dont l'ensemble devra prés~ter une section totale oU\lrante au mOins
é"ale au sixitme de la surface de la d'ite
pièce.
ART. 14 (1). __ La ha"teur ,des pièces d·habitatioln mesurée sous plafond ne ·sera pas
. f' .
.?
70 et l'eur prOifoncLeur ne
ln eneure a_m.
,
pourra dépasser le double de leur ha~lteur.
Toutefois cette hauteur pourra ~tTe réduite jusqu'à? m. 50, SI wne venti latio n per- "
t
ec'«'I e est
manente automau"i ue e no~ m anl"1 u
(1) :M odifi é temporairement par a rrête du 13
Septembre HI;)l don t le texte est insére à la
mum.
Les matériaux ,pro,poses devront eté étud'iés, avant tout commencement d execunon.
par les taboratoires de:::- Arts et 'Métiers, de
la Chambre de Commerce, des Bureaux
c Véritas > ()lU Séeuritas >.
ART. 16 bis. -- Da.ns tout :lJppartement ou
Logement ne possèdant pas de salle ,de bain,
sera dbligatnirem ent installé Ull local sp~
ciadement affecté à <l'usage de douches froides ou cha wà'es.
Ce local r ecev-ra des parois et lJIJ1 sol, arvec
receveur d.e douch es, absotument étanches,
Boutiques des finéts à l'alimentation
ART . 17. - T ous les l ocaux dans lesq'Ueis
seront vendus et conservés des p roduits altmentaires attérales tels que poisso ns frais,
,'olaines, gibier, via.n.des, fruits, légumes, etc.
sero.nt di~posés de telle sorte que l'aU" 11 soit
constamment renou'velé. A cet effet, s'.il n'y
a pas d'ouverture du côté opposé à la façade, ils seront munis d'tun con'duit de v entilatinn d'au moins 4 centimètres carrés - ,de
section, s'ouvrant dans la partie du J:iafond
la plus éloignée de la .de,'anture et s'éI.evant
jusqu'au dessus d'e la ,partie la plus élevée
de la construdion.
' Les murs et l e sol seront revêtu s de matériaux imperméables et .imputrescibles. Au cun étalage de denrées alimentaires ne pou...ra être établi à une hauteur moi.ndre <te 60
centimètres d u sol. Le :;01 sera disposé de
manière à pe'l"mettre de frequents lav'ages
et à diriger les ea'ux en provenance vers un
orifke à'evacuation stphoné.
En aucun ças, ces locau..x ne (pourront servir à Il habitation. Aucun câbinet d'aisance
ne devra s'y oU'H ir directement.
Un arrêté municipal poulTa soumettre les
condit ions d'installation et d"aménagement
des 1000000ux visés au présent article â une vérifrcation prealable de leur conformité a\'ec
l es wjj~ositions du présent règtement.
.
1
Escalt~rs..,
ART. 18. - L es ~scahers. co rndors, _,..,sub~-I..'~s et (:oul~l~ a. usa.ge commun
aeres 'et éalau~es duectement dans toute:s
1
mes
e~s ~ cr'
ne po.urru. êt re inférieure à
eu; ar,oeur
un m tre. ~t
t· t · .
t ·t·.~1.i
Les reve emen
10 eneu rs seron e av S
de manière à lpo llvoir être mai ntenus en état
de <pr<>preté et 'aooement entretenU6.
sefOlI1:
Chauffage
�190
parternent est dote d'lUl système coll""tif de
cl\auffanf la moitié au moins des !J)ièœs
destine;s'à J'habltation deVIa pouvoir ~tre
c.hauriee indi\Îoo-eJlement. A cet effet, chacunê des lpii:.>ces dotéeS du chauffage Jndîviduel d'ev ra être mu'llie d~lln conduit de fum~
l
mêment aux règles de la ·bon.ne tect>nique
et CWlstanunent maiBtenues en bon état, élIf~
qu'il ne puisse ,résulter de fexistlIDce et de
l'utiLisation de.ces installation aucun risque
po ur'es choses ,ni powr <les personnes.
Des robinets d' arrêt seront placés sur l'es
colonnes d "':t~ ension et de distribution d'eau
special et etanche.
AR" 20 (modifie par arrèk préfectora!l du pour .pennettre, le cas éché",nt, l'isœemer>t
2 avril 19ô1). _ 10ute cuisine comportera
obligatoirement. :
.
1" Un tOnd'U1t de fumée, a,u moins ëtabl't
dans }es co n.ditioos de t'aTticle 2 1 ci-a,prës..et
d~une a desservir l es ~r.ei1s fb."'eS ou
mobiles b rùl ant d
combushhles solides, Jjquides ou gazeux;
2" Unt: hotte installée au-dessus de l'emplace~nt reservé au fourneau ou réchaoo
quel qu'il soi t et lJ)O un1u il la pa rtie t'a phus
haute d 'un conduit ascendant de ventilation
de section lib re sllffisante indépendant du
conduit de fwnée.
Ce conduit de \'"en tiia tion longeant autan.t
que possible le conduit de tumée ser~
comme ce dernier, prolonge ju,squ'au-dessus
de 1a pa rtie d.a plUS étev'ee de la cO'Ilb"'tnlction, à moms qu Il ne
it muni, à sa so rtie
du toit, d'un appareil aspim.teur efficace.
A defaut de Mtte, ~ devra être ét abli un
disp~i tif d'une efficacité au moins éq uivalente.
Le < tl>b,,€e > des eo.nduits de f"mée est
interdit, mais l' usage po ur les cuisines de
conduits ~éCi a ulXJ fabriqués en matériatu:
résistant a u fe u et imperméables à l a fumée
et cO<l1Porta'nt des condui ts de oumée et de
\'entilation accolés, lpourra être autorisé.
complet de 1 muneuble.
ART, 25. - Les instal,l atifrns électriques
g~n~rales de l'immellWe devront être étatb-Iies
de Imanière à permettr.e ail! min i-rnum I·a fOlLrniture simu'ltanëe d',unelPuissa.nce de 25 watts
par mètre carré de surface des dJifférents
localLX défin is à l'Iélrticle pJ'!emie r.
Eva cuation des eaux pllJl'iales
ART. 26. -
L'évacuation <!.es eau'" ,plu'
vi al es se.m assurée r~idement et sans stagnatiO'n. Les gouttières et chenaux <l'6Vront
~tJre maintenus en bon état de fcxn ctionrnement et d'étanchéité.
ART. 27. - U .est interdit de ,projeter des
eaux ,usées, des détritus ou autres inunondices, de quelque nature qu'ils soien\, d ans les
chenaux ou g0111tiè res .
ART. 28. - Le s01 des cours et cou'rettes
présente.ra des pent-e.s cOlWenabllement rég lées et les dispositifs ilécessaÎtres en Vlue de
J'cvac uation.des eaux stagn:antes.
E vacuaton des eaux
et matièr es usées
ART. 29. - Les eaux et ma,tibres usées
devr ont ~ tre éloignées de l'hab'itation dans
des conditions teJ l es qu '~ les Ine puissent ja-'
mais nuire à la santé qJublique. Lorsque l' agglomération compo rtera u.n résea u d'as a1nissernent, que fi mme uble !pourra êt re reliê
et que rien ne ~nd ra cette mesure t echnif.
quement impos iIl1e, le raœordement de toutes les cëU1.aüsations evacua!ntes des eaUIX
usées et d'es matières de vidange sera ob~ij
g-atoi re.
ART. 30. - D ans toute maison, il y aura,
par appartement ou log.ement, queUe qu' en
soit l'importance, à partir de de ux 'Pièces
lrab.it3!oles ~en y coma> r-enanrt la cuisi ne), UJl
cabJOet d'aisance. Un po ste de lav age aveo
vidoÎlr silphoné seTa install lé â Ipro x imité de
ce cabinet. ~a dis.positio.n des ca nélliisa t ions
de\'ant excl ure tout ri sque d'intercomml1nicaNon.
AR,.. 3 1. - hl sena étalbli ég<lilement, et
dans les mêmes con.d.it ioJ1 s, po ur Ile service
des pièces habit a'btes l ouées sépa r';mC'llt, un
cabinet d'aisance pa r d nq pi èces habHables
et un posle d'eau l'a" dix pi~ces habi tables.
ART, 32. Dans t out établissement, le
nombre des œbi nets d'aisanœ sera déterminé
en p renant pour base le nomb re de personnes a~el ées à en fai re usage, avec un minimum d'un cabinet pour qui.nze pel"'SOnnes.
ART. 33. - Les c.,binets d'aisance seront
munis de revêtemeT1lts Jis.ses et imperm éabl es
suscep tibles d'~tre ,fadlement lavés ou blanohis à la ch aux. Ils serOlnt éclai rés et aérés
directement sur l'extérieur. Le système
d'aération se ra instaNé de telle sorte qu' il
p uisse assu rer I{! renoUlv,ellement pennanent
de l'air.
ART. 21 (modifié par arrété p",fectoral du
2 antl 1~5 1) . - Les conduits fixes de fumée
s"e-lèveront à 40 œntirnètres au moins audessus de l a ",artie la plus élevee de la
constructio n. Les conduits de hnnée ne devro nt commu niquer ent re eux ni intérieurement ni extérieurem.en t et être établis de
manière à cirite r les siphonn.ements. L a soctton intérieure dies condui ts dessen'an t des
foye rs â. feu ouvert ne sera j am ais j·nfér ieur.e
a 4JO cm2 ; celle dessen 'ar>t des foyers dits
of fermes :t COll'Ulortalnt admission d'air rêglable, dont la poissa,",:e Il'excède pas
"O.OÙO mth / h., ,pou r ra être réduite à 250 =2.
Les clefs destinêes à rbgler le tirage de ces
conduits Ille dev ront jamais ' pouvoir fe M11 er
complètement leur section.
Les foyers et co ndu.its de fumée semnt distants de 0 m. 16 au moins des pou tr es de
plancher ou de charpente ()ll autr es pièces de
bois,
ART. 21 bis (ajouté par arrêté préfectonal
du 2 anil 195 1) . La sechon de tou,
condui t dessen'a'nt un appareil alimenté par
Je gaz de ville insta:llé dans une pièce secondaire de l' habitation pouma être rédu ite a'ux
dimensions 'Prevues ,par les nonnes en vi g ueur.
ART. 22. - Le systême de chauffage devra
être tel qu'i:J ne se dégage à l'intérieur des
pièces habitables ni fu mée n'i auCun gaz pouvant compromettre la s&nté des habitants.lI
ART. 23. - Les prises d ' air .et notamment
cel1es des oalo r ifères, devrorrt se faire â l 'extérieur de l'habitation à l',,,,dusion des couART. 34. - L es calb inets d'aisance inslalrettes. Ce1les qlki cooo uir{)nt J'air à l'loté- lôs dans les hall itaNons ne communiqueroo t
rieur de l 'habitation devront être munies directement ni avec l es sal!l.es à man'ger \ni
d' un dIspositif arrêtant Jes poussiè r es.
avec l es cuJsines
'
.
Installation d'eau, de gaz el d'éleclricile
ART. ~. Les cab ,,,ets d'aisance s",o~t
ART. 24. - Les installations d'ea u, de gaz mUniS d une cuvette StlPjlon~e, un. dlSIPosltuf
et d'électricité devront être réaHsées confo r- assure ra le lavage de la cu.vetre.
~~rSQue le raœondement à un résea.u
'
Sera tedh'niquement irréar d as~
les call1lJlets d'aisance seront munis d' Isable,
~OSit.f <le fermerure mettant l'hrubita~n dis:
1 rubr~ des émanations.
I(),n a
ART. 36. - Les fosses septiques '
~JHlT.a~
toces. les fos~es chimiq ues Ou
~rulogues, lorsqu'elles ne seront ~~p~eIIS
dites, seront établies con.formément . /ertruction ministérie.ille d u 22 J'UNI 1'9?5 a lns·
t
• 1
.
- ou tous
~u ~ rCl,go emen,ts en rvtg,ueur au mom.ent d
1 a(JIPhc.1tlon du présent.
. e
Dans. de cas où l'aggJI.omérationl ne con
porterrut pas de réseau' d"~ut l= ffl
I, ' . e U!\JIts
des d 1't es f osses n e sero.nt"'Sv
envoyés au
.
.
seau
( 0 u a. I.a we qu' 3jprès e;puratioll
crUlSplément~ire d!ans une tranchée filtfta,nte ~m
modèle a so umettre à l'lIIAAroba tion ~rér""
m~~
• ~
Enfin,
dans
'
. .Je ,oas. où auCun service d 'eau
PLIlbj IC ou pnv.e !1 eXIste et que le demandeur
J1e !pQssède 1P01.nt te t-errai'n ,néc-essair .
l'étabLissement d',u"e tr..w c""e filtrante 1
; a
é
' au. t'
t onsa
JŒl ct' talblir une fosse septique
sera 'Pas accordée. U faudra recourir :e
consé<;luence"à la solution d" la fosse étan~
clle reglementarre.
Les rfosses, d'a is~nce au-dessus du sd1 des
caves so'nt mt eliChtes. Les f osses d'a isance
sero~t co":Struites sur le pla.n rectangulaire
ou cl rcuJalre, de façor> à éviter Les angles
rentra",ts et ~~s étran,g l e:ments. E11"s auront
au mOins 2 anètres de hauteur sous plaifolld
Les mur~ le ,plancl1er na ut ou l a voûte a~nsi
gue le r adier ausont une épaisseur v'a riii!nt
de 20 centimètres ,au moins, 'Pour le bétM
de cim""t, à 45 centimèbres pour la maçonnene. et seront r«ouve·rts d' un enduit assuM!nt une 'étanoh éité r Î\go ur.euse et permanenÏ'e et ne pr ésentant aucun e solut ion de
continuité inltéri eure. Le fcmd des fosses sera
constr uit en fonne de cuvette CQncav.e et
tous l'es aJfl~les arrondis à 25 centimètres de
rayo n. 1L '.ouverture d'e..x,t ract ion sera placée
au ~enltre <:Lu tPl,am, rnLllnie d 'u,n tampon, h'ermétlque ayant un minimum de 0 m. 70 sur
1 mètre de seotion. Les tuyaux de chute ser.ont verticau x et auront un diamètre .mirtimum de 20 centimèt res. Un tuya u d'évent
Sena éta.\)j i à l' ,,plomlb des tuyaux de chul<
et monte ra verticalement jusqu'â l a hauteur
des souJCIhes de chem~nées de l' immeUll)le et
des constructioo s co ntiguës. Les fosses d'ai·
san ce sero n.t r~go'ureusemen t étanohes. Celles do n.! l 'io,;all1b rité serait constatée devront
~ tre i mmédi~teme n t répa rées o u amenagées,
ART. 37. T oute coms truction, de fosse
d' aisance devra faire l'objet d'une déclaratiOll à l'auto'rite sa'llitaire.
Les fosses d'aisamce des immeubles- démo1is d evront êt re vidanllT6es et désinfectées,
,
Aucune fosse d'aisance ne !po urra etre comblée avant d'avoir été vid'",ngée et désinfectée.
. d
ART, 38. - Les puits ",erd us et pUlsar s
rubsonbants s()nt i nlerdi,t s.
uS
ART. 39. - Les parois intérieu res de .to
les oUlV'ra'ges appelés à recevolr des matières
o d'eau pluiVlaie
usées ruvet ou s.a ns m é'lall1°e
o u de tous autres Iiquides sero·nt lisses et
.alJll~ent
-
191
ILes joints senont hermétiques.
Le6 canalisat ions ser ont munies d'e tuyaux
dits c d'évent '11. CeUlx--ci ser,onif: prolongés
, u-<1essus des V.,rties les plus élevées de la
construction ' ; Hs serorut établis de manière
à ne jamais déboucner soit au-dessous soi1
à proximité des fe nêtres ou des rése;voir
d'eau.
.
~' 1 ~ !,I
ART. 40. - Les condUits d'évacuation des
éviers, Javalbos v id'oir~ saLLes de bai'n, etc ...
serant in~enda'nts des descentes d'eau.
S'U<.) SOfbt r aocondés awec ceux des Calbinets
d'aisanoe, 'l'ooalusion sera établie comme
pour ces derniers et routes di'spositil>ns utilœ
seront prises pour év,i'e r le désamwçage des
siphons.
ART. 4 1. - lDans tout immeuble destiné
à l'habitation collecHve, il sera aménatré un
local spécial, oIos, ventilé, aisément :ccessible, ouvréllnt dir& t-em ent Sur rU"e, ,COUi OU
courette, IPO ur Je' dépôt ,des réo~pi'ents à ordures ménagères.
Le sol et les parois de ce local d""mnt
être conshtués par des matériau x imp utrescibl es et impenméabl es ne permett ant en aucun cas l'i,ntTusion des ro.o.ge'UliS.
Le local sera constamment fermé dune
[porte qui en ~nterd'ira l'accés.
Les rédpients destinés à con tenir l es ordures ménagères seront éta.nches, constitués
de matériaux it11!perm éab!l.es et munis d'un
mode de fermeture interdis31nt l'accés de ces
boites aux mouches, ro ngeuII5 et autres animaux: Leur assise sera teUe qu 'ils ne pourront etre ren,ve rs és par les ohi ens ou autTes
animaux.
Mesure de protection
contre la propagation des in cendies
j
ART, 41 bis. - 6n vue de s'opposer à la
propogation lCies incen.d<ÎC~s les i mmeubl es
construits à la mitoyenn eté devron t être conformes aUX dispositions suivantes :
- les murs sép a.rat.ifs entre bâtiments ne
contien d;ront ni vides ni co nduits .
- les murs de r ef~nd seront m ~ntés jusqu'à la toiture ;
.
- les matériau x de couverture et les sdls
d'es comlWes hab ités Olt non seron t incombustibles .
Iles • toitures~ter-rass es, plancners, et
fa~x-planohers résls~ero n t ,à un e suroharge
umfonnéme.nt réparhe de 200 .kilos Ipar mètre
carré .
:- I~ grenier.s seront Ki,'aacés et de surveIllance faciles .
. - rn. co nstru~tion de citernes à liquides
~nflammables est intendite sous le /porohe d!es
unmeubles.
CHAPITRE Il
~
' mpenn éables.
.
Ces
Ser'?nt
~~drer .....a · o ~dn e .evacua 1?11 Le rs commu&0 1 es t;~ l lqLU es a necevolr.
u
. d
n ications avec l'extérieur se ront étabhes e
telle sorte qu'auc un retou r de .liquides, de
1matiNes ou de gaz nociJfs ne pU1S~ se produire dans l'intér ieur des habitations.
o~vr~ges
ét~bliS ~:snt~~;;,~~
Dispositions particulières applicables
aux constructions et habitations rurales
Habilations
le:R.T.
4? -
D ans les constru ctions neuves,
~arols des mu rs et des cloisons seralnt
~du l ~es Q~ tout au moins badigeonnées à
pis t~neur a la ,chaux, L es constru-ctions en
f é n.e pouront être élevées que sur une
h~~h~n ho~r,dée tout ou moins en cha ux
s,~· au hque Jusqu'à 50 centimètres au-desus du sol.
d~IlT, 43., - . L~ sol <tu r;z..ctc-ohaussée,
Co dinté à 1habita lion, sera etabli dans le<;
n IOns fix ées à l' article 13 ci-dessus.
ART. ~. --:- La cuisine, pièce souvent comdOit ctre haute, spacieuse, lafigement
surf~ce
d' La
d'éclai r"", ent sera au minimum 1 lois ou des r èglem ents antérieurs à la loi
uln slx.lerne de la surface de la mèce et précitcc'
t ·
. ..
,.,.
.
pourra
é'
~ t r~ re'd·
Ul e a un !hmtlème dians les
Le même
permis est exig é pour les !rar ~I ons frOides .
.
.
vaux entraînant atteinte au gros-œuvre ou
on sol sera , rend\! Impermeable. Les changement dans l'aspec t extérieur d e ces
m~r~ le se~ont e.gaJement sur Uofle hauteur bâtLments, ainsi que pour les travaux qui
~tmmum d un m et~ . Dans le reste de leur entrainent modHicatioo de la distribution Înct ~ndue, l e~ mu~s ,et .Ie p.I.afo~.d' seront 'eJJ- térieure sur d'Cs points v isés par les règ'le~
Ults et peln~ '3. 1 huliee Ou a la coUe au ments sanitairES ou le proO'ramme compris
seront. au , mOi ns blanchis a la c hau x vive dans le projet d'aména.gembent.
un~ fOlS 1 an. ,
Tout efo·is, sous réserve des obli gations ré~
~ foyer sera place 50 115 une hotte d!es- sultant d e lois ou de règlements non albro~~rvle p~r .un tuyau de .fum ée sur~o"'tant de gés par l'article 11 3 de la loi précitée, noé centl metres a'U mo ~ n s ~a partIe la !pl us tamment à proxi mité des aedd!romes et pour
~yée d e la constru ction ; l1ne ventilation la protec.tion contre les ,inondations sont dislC'3ce se~a as.surée. .
pensés du permois imposé par le p~agraphe
Des ,pr7cauho~s etflca~es seront (prises qui précède les trava,ux mocfmant ta d istripour en:"pecher. 1 introduct ion et assurer la butio" in téri eure àes bà tim ents existant dans
d.estru.c h.o~ des mouches.
les co mmunes de moins ~ 2.000 habitants
. La c;ulsme au ra un évi~ acvec un tuyau non soumi'ses aux règtes resultanl de projets
sI,Phon e. ~ Le eaux .ménageres, si elles ne d' am énagement ou de reconstruc.tio n.
p~ent etre rem' oyees darts un réseau d'asSi la construction doit Hre êdifiée en borsaJOI~ment ou dans un e fosse ~a n~e, de· dure d'u domaine public, la dema~ de pervr?nt et:e amen~es p~ un e ca~ahsa.ho.n f~- misde construire ne dispense pas de la -déli!!,ee et etan(1~e Jusqu en ~n ?JOLnt aUSSI 6101- vrance, sïl y a lieu, par l'autorité cornpéo né ~l.le pOSSible lCI'es habItations et dans d es tente, de t'alignement eu du nivellement au
cOfllCMlOns t e~es qu'eUes ne puissent nutre à droit du terrain sur lequet doivent porter tes
la santé p l1bllque.
travaux.
~RT. 45. ~ Tou te pièce servant à l'habiL es seTTVices publics et les conœssionnaires
tatl?O de JOUI o u Je ntlit se ra haule aU de services p ublics do~vent obtenir le permis
mOins de 3 m. 50 sous pla fo nd et d'une sur- de construire 31vant d·entreprendre l es co nsfa ce min ~ml!m de 12 mètres car.rés. EUe sera tructi ons et travaux mentionnés au troisième
édlairée et aérée direct em ent au moy en d'u ne paragraphe de l'ar ticle ci- dessus.
ou de plusieurs baies dont l' ensemble d{!vra
Formes des demandes
présente r une sectio n totale ouvra nte au
ART, 5 1. - L e préfet procède à J'instrucmoins ég'ale au sixième du sol de la cfite
tion de la demancfle de permis, qui lui est
pièce.
traasmise par le maiJ'1e, accompagrnée de soo
46. - L es chemi.nées J fours et ap- avis, dans les quatre jours qui sui ven t le déparel~s
quelconq ues de cha uffage seront
établIS dans les œnditions des articles 19 pôt de la demande.
La demande fait cannaitre obligatoire21, 22 et 23.
'
ment les noms, prénoms, domicile du pr o. AilT. 47. - L' habitation de jour et <le nuit priétaire, de l'architecte et de l'entrepreneur.
est IntendSte dans les caves. Elle est interdite
EUe . est aoco~a&née, en outre, des piède mut dans les sous-soJs, gr eniers il O'rains ces SUlVamtes :
et à fo urrages ainsi que .da ns les pièc~ dél 'Un plan d'ensemble (échelle : 1/ 1.000
pourvues de fenêtres ou insuffisamment sê· au minimum) des voies publiques ou privées
parées des logements destinés au animaux. et des constructions immédiatement avoisiART, 48. - Les cabinets, tinettes et fosses nantes, avec l'indication de la hauteur des
d'aisance seront établis de teUe sorte qu'ils maisons et dies murs de clôture au -d'fSSus du
e ~ puisent .co ntaminer les sources, Ipuits et s01 des rues ;
citernes.
2' Les plans à l'éohelle de 0,01 p. m. de
D es pré,ca utions efficaces seront prises fondation, de chaque étage et de la couvercontre l' introduction et la pullulation lCles ture (le plan du rez-d.e-<!haussée <foit in<fimou'Ches et des moustiques.
quer clairement l'alignement de la voie) :
Les fosses d'aisance devront répondr e aux
3' Les profils ct coupes nécessaires à la
prescript ions des artides 36 (deuxième ali- compréhension du projet 3ivec toutes fndka tions relatives aux alimentations e neau gaz
néa) et 37.
ART, ~g. - Les fosses sepli'!ues épuratri- électricité et évacuation des effluents, ' exis~
ces, les fosses chimique!i, ou a,ppareils ana- tantes ou à creer.
logues, lorsqu'elles ne sont pas interrutes,
Ces dossiers, en triple exemplaire, doivent
seront établies conformément aux régl'e.men- êtr e établis conformément aux prescriptions
tations spéciales en yigueur.
d1J pr ésent règlement.
Pour les réparations ou restaurations, les
CHAPITRE III
renseignements demandés aux § § ci-dessus
seront limités aux parties de J'immeuble à
Des autorisations
restau rer ou à modifier,
Demandes d'autorisations
U est déliVTé ,.,;cépissé du d~ôt de la deART. 50.- Ç"",formément aux dispositions mande et l es pièces annexées.
du tire VlII de la loi d'urbanism" du 15 juin
Sous reserve des dlspositions concernant
1943, nul ne peut édifier une .habitation sam les communes et constructions sinistrées, le
une autorisation écrite délivrée par le ~éfet prêlet statue sur la demande par arrété motiaprès avis des inspoctcurs departementaLL"\': \·é. La décision dlJ préfet doit intervenir
de l' urbanisme et de l'hygiène.
dans le délai de 60 jours à dater dIJ dépôt
Toute personne qui entend édifier une du dossier à la mairie. Si le dOssier est Înconstruction, que celle-ci soit ou non à usa- con1]llet le dél ai commence à cou rir Qu'à
ge d'habitation, doit préalablement obtenir dater du jour où les pièces manquantes ont
un permis de construir e. Ce permis se Sl1bs- été remises par le pétitionnaire à la mairie..
A13T.
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192
ddai f ixé par l'alinéa qui précèd~, le perm is assor ti r cette co nda.mnation d'une astrei nte 1 . A~1. 6 \ - Il est inter dit allx propriHaires
ùe 50 à 500 francs par jour de retancl au pro- ~ot. te;Sét ~~.a I1 C lerS ou ~érants des i mmeu~
de construire est rêputè a.ccordé.
Notification <le l'arrêté du préfet est faite
par le maire.
Le permis de construire ne peut être accordé par le préfet que.si les constructio ns
ou travaux prdjetés sont coniormes aux pres...
criptions résultant des lois et règlements on
vigueur. à l'alÎigill ement et au nivellement indiqués par l'autorité compétente et aux dispositions des projets d'aménagements appro uvés.
Il peut " tre refusé ou n'être .accoroé 'lue
sous réserve de modifi-cations dans les construdions ou travaux projetés, si oes co nstructions ou tr3lva'llx. :par leur situation, leurs
dimensions ()U l"aspect e-xtéci.eur des bâ timents à é.difier ou à modifier, sont de T\3 rtlie
à porter atteinte à la salubrité ou à la sécurité publique, au caractère ou à l'intérêt
des lieux avoisinants ou à la co nservation
des perspeotives monumentales et des sites.
Délai de validilé des aulorisaJion.s
ART. 52. - Le ,permis de constr uire est
périmé si les travaux ne sont pas e.ntflepris
dafis le délai d'un an à camp"" de sa d~ti\'Tance.
Sun'eil/ance des travaux
ART, 53. Le ~réfet p eut faire visiter à
tout moment les ouvrages en cours de IcO'nstruction.
Permis et interdiction d'habiter
ART. 54. - Lorsque les travaux sont achevés, le htulall'e du permls de construire doit
deposer une décllar.ation à la mairie. Le mai- I
re transmet cette déclaration au p réfet.
Dans le cas où les travaux ont été éxécu tes sans le conco urs d'un architecte, il est
procédé au reco1ement des travaux. Ce recolement a pour but de vérifier si la co nstru ction satisfai t allX co nditions imposées tant
par les règlements en vigueur que par le permis de construire.
Dans le cas où :leg trawaux ont été, soit
dirigés par un architecte, soit exécutés sous
le contrôle d'un fonctionnaire de l'Etat, le
recolement n'est pas dbligatoire. L'ar'Chitecte
ou le fonctionnaire ,qui a été ohargé d'u con'"
trôle des t ravaux certifie la co nformité 3IVOC
le permis -de construire, et son attestation
es t jointe à la déclaration prévue au premier
alinéa du présent arrêté.
Dans le délai de trente jours à partir du
dépôt à la mairte de la déclaration d"achèvement des travaux, Je ,préfet délivre, s'il y a
lieu, un certificat d'e conformité qui, si la
construction est d.estinée à l'habitation, -vau t
permis d'habiter.
.A. défaut de décision dans le délai susmentionné, J'intéressé peut saisir le préfe1
d'une nouvelle demande, par lettre ,",commande avec accusé de r-éception . Le certi.ficat est réputé délivré si le préfet ne s'est
pas pr ononcé dans le ,délai de trente jours à
dater de la réception de la nouvelle
demande.
Dans le cas où les traIVaux ,prévus à J'artide 50 sont réa~isés sans p,ermis de construire, ainsi que dans le cas où le c erti1icat
de conformité a .été. refusé, l e propriétaire,
l'Mchitecte et l'en trepreneur r-esponS3Jble sont
passibles d"une amende de 500 à 10,000 fr.
Le préfet peut interveninr à l'instance et, s'j)
y a lieu, se porter partie civile, Le tribunal,
lorsqu'il oroonne la remise des lieux en état
ou la mise en conformité au permis de C<msà la demande ,de la partie civae,
fit du Trésor.
En cas de rêcidm'e, ramende peut être portée de 2.000 à 50.000 francs.
TITRE DEUXIEME
Eaux d'alimentation et bains publics
AlimentatiQ/I
ell
eau
ART. 55. _ Dans to utes les agglo mérations
ou parties dl'3Igglomératio ns d esservi.es 'Pa r
Wle distrfo ution d'ea u potab.le, toute rhabita tion devra y être re liée par un branoheme.nt,
suivi d'ulle cana lisation 4uj mette cettc eau
à la portée de tous les habitants de l'i lThm e u~
ble, a tous les étages, à to ute heure du jour
et de la nuit.
ART. 56. _ Dans le cas où un immeUlble
est en outre, desservi par une canali·s ation
de~ u non po table, celle'ci d'oit ~ ~re entièrement distincte de la p remière et revêtue
d' une peinture de co uleur rouge. li ne devra
exister, entre tes d eux cana lisations, aucune
co mmunication directe ou inctirecte.
. ~::;~.
a "t.lssements ou de l'ea u est mise
~ I~ ~.gr:~1 w n des usagers de livrer, POlir
a Imen atlOIl . e t P.Oldl~ to us les usages ayant
un rarppor merne l n Irect 3"OC l'a lime:ntatio
tels ql.lt~ lavag~ des réc ipients Il.lestinés ~
c~ n tent r. des bO ISSO'I1S, du lait, Lies produits
all.m,enta lres). une autre ea u Ipo tah le (eaux
n:lII~era\es nat~t r e lles et eaux de table autorlS~ cxceptees) que cetle de distrihution
publrque.
La même interdict ion s'applique aux fab"i.
ca nts de glace, eaux gazcuses, ' Iîmona!d~e sod'as, e~c,
'
Lorsque, par suite d'u n motî,f dont justifica tion sera d ue à l'autorité sa nitaire l'eau
déJilvrée aux co n~o mm.ateurs ou utilisé~ pour
des usages co nnexes ne po urra pas être celle
de la ca nalisation unbaine, ou s'il n'y a pas
da ns la co mmune cfe servi'ce pU1ulÎc dres eaux
les personnes ci-dessus désignées Se-ront as:
treintes à to utes précautions utile pour évi'
ter tous dangers qu'elles peuvent faire couri r à la population. Il leur est ordonne de
s'assure-r que l'eau offerte par elles pour l'a·
Iimentation est saine" et d'en fai re la dëclaration à l'a utor'it~ s3!nitaire a'Vant to ute util isaion,
Lorsqu 'il existera des raiso n de craindre
la co ntamination des eaux , même si la presente de ces causes d'~n saltubrité ne ~eur est
' t bl 1
. é
.pas l mpu al e, es IperSOndl e5 VIS es au premier alinéa au,r ont robl ~g.ation de 'prendre
to utes mesures utiies pour rendr e sûrement
et en to ut temps les eaux indemn es de to ut
O'erme pathoO'ène ou -OO.nO'ereux. Ces mesu1 ~es. seront.p~~tées ~ la ,co~naissa~~e d~ l'autonté sa mt;ure qUi au ra la faCilité a tout
mom en t de contrôler Ja aualité des eaux.
Lorsqu 'il sera co nstaté que les eaux ne
sont pas saines, qu'elles sont insuffisamment p rot êgées, leur 'usage sera immédiatement i nterdit. Leur utilisa ion ulér.ieu re sera
subordonnée à une autorisaHon p r ~fectorale
spéciale q ui ne pour-ra être accordée qu'après avis favo rable de l'a uto rité sanitaire.
ARl. 57. - Les parois intérieures çles réservo irs d'eau potable ser01lt fo rmées de matières qui ne risquent pas d'altérer les ea ux.
Le plomb et ses co mposés notamment sont
prohibés.
Les réservo irs seront closd'e faço n à ce qlle
Ilfs p oussières ou toutes autres matières
. .....
étrangères, solild'es ou liquides, n'y lPUlsscllt
pénétrer. Ils seront établis de mallière à permettre leur v idamge totale et leur nettoyage,
Us ne devront 'T eceVOIr que des eaux 'P oba bles et seront . alùnentés par. SUflverse.
Des p r ~a u.tl?nS S~T(;)nt ,pn~es pour assurer la con tinUite de 1 ahmeniatlon en ,eau po table pendant la mise hors circuit des réservoirs.
Ceux-ci seront protégés co ntre la c-haleur
et sans aucun co ntact possible avec les COI1duits d'évacuation des e-.au.x usées, y co nlpris les ,eaux ménagères.
ART. 58. _ Aucun puits ne pourra êt re
utilisé pour l'alimentarfion s'il ifI 'est à l'abri
Piscines ouvertes au public
de to ute ,possibillté de co ntaminatiol', nutam ment .celle proiVen.ant de cabi nets (\'aART. 62. - L es ,pisdnes Ollvertes au puj5ance, dépôts de fumjer ou d'i mmofld ice5, blic ne seront autorisées que si efles réponmares, potagers, etc
dent aux pr,escri:J)tio ns suivantes :
I.es puits seront protégés contre tout~ inLa diSiposition Ides lieux devra être teUe
filtratio n d'eaux su.perficiclles pa'f l'établis- qu'it soit impossible de pénétrer directement
sement '(j" une aire étanche d'a u moins deux sur le trottoir oui bordent la piscine.
mètres autour du pu~ts, herm étiquement reUn système de do uches et de pédiluves sejointe aux parois du ,puits et légèrement in- ra ÎnstélJUé où passeront obliga tOiremept . les
cli llée vers l'ex térieu r.
bai~e u rs avant de pénétrer -dans la plscme.
L'eau sera puisée à l'aide d'une (pompe ou
par tout au tre mOYfn évita,"t la co ntamination de l'eau.
ART. 59. Tout projet d'établissement
d'un nourveau lPuits d~vra faire l'objet d'une
Ifemand'e d'a utorisation à l'autorité sa nitaire.
ART. 60. - Les citernes destinées à r eoevoi r l'eau de p luie seront étanches et co uver tes. L'eau y sera puisée à l'aide d"une
pompe ou par to ut au tre moyell évi tant la
contamination. La couverture ser a mUinie à
so n so mmet d' une baie d'aéf"ation et le
t uyau d'aération sera muni d'une tÜ'Île métaU ique inoxydable : on, ne devra pratiquer
aucune culture sur la COUiVert ure.
Les citernes seront précédées de dispositiofs
destinés à écarter les p remi ères eaux de lavages des toitures et à arrêter les corps
étrangers tels que te rre, gravie r. feuines, d'étritus et décheffi de tous or<Wes.
L 'eau d'eyra, après épuration par fi1trat~on,
ou par tout autre procédé équi~alent, etre
dési,nfectée par un procédé qUI Ipermette
d'assurer d'une fa ço n constante l'absence de
ger mes pathogènes. L es exploita-n!S seront
astreints à toutes p réca utions utiles. p~ur
évi ter tous dangers que le b.ain en piSCine
peut fa i.re co urir à la lpopulatlon. Il I ~ur. est
ordon né die s'assurer que l'eau des pl~mes
qu'ils eXiploitent es t sai ne et d'en' fa ire la
déolaration à l'a utorité sanitaire.
Il devra ex.ister un local permettan,t év entuell ement l'examen sani taire des balgneurs,
une installatio n de désinfection l)Our les c~
turnes de bain et les lavabos et warer-clOS e
en nombre suffisant.
'
. .
t
Nonobstant les co nditions qUI prée't-r ~s
les piscines devront ré/pondre au~ cory 1 10
du règlement généra4 du co mmlssanat au:t
sports.
193
TITRE T RO I SIEME
l 'Pr ovenant de ce curage auprès <res habita- tres résidus fermentescibles seront soumis
tio.ns.
aux djSlPOsitions ci~rès.
Lavoirs
ART. 71. - Le transport des matières viART. 63. - L 'étalage à l'a ir libre, à l' extéART. 67. - Les lavoirs seront largement sées à l'article précédent devra être opéré
rieur des magasins d~ ;vente, des produits
aüm.entaires (y co mpns la glace) ne subis- ~é rés. L~ revêtements.de leurs pa rois seront dans des coOOii tions telll!s qu'il n'en résulte
tisses et Imperméables. Le sol aura des rl- aucune nuisance po u.r la santé publique.
sant pas la c~ i sso n ~st interdit.
Les vidanges sero n~ transportées en réciLes sucrenes, cremes, fromages, beurres, goles d'écoulement po1ur les eaux. Ces ea ux
fruits séchés, gâteaux, etc. devront être re.n- seront canalisées jusqu'en un point où ebles pients parfa.i.tement étanches. Les autres
fermés dans des bocaux, cases, globes 010- ne seront plus susceptibl.,,; cie nllire. Les matières ne pouTIont être tr ansportée:s et
baSSI ns des l'avoirs seront étanches tenus ci rculer su r les routes et chem ins que dans
ches, boîtes vilNées ou métal liq ues, et~.
.aJVElC.
plus ~ rarule p rop reté, vidés, ~ettoyés des voitures à parois pleines au moins j usLes commerçants ambulants et C~x Ides
qu'en haut des ridel1es. û!s voi tures ~ ront
marchés ~ ul;;lics sont ten us de p ren.dre l es et desmf ectes au moins une fois par mois.
au moi ns cachées. Elles ne devrnnt laisser
mêmes précaUrtions.
Fumiers
éohtllPper auc·u:ne parite de leur co ntJenu.
Les aljments cuits ,préalalbleme nt à la venART. 68. - Les flll11iers des éculries vacheLes véhicules aussitôt chargés devront se
te et desHnés à être consommés dans l'état
où ils sont mis en vente ne devro nt jamaiS ries, bouveries, ber,geries et po rohe~ies se- rendre di rectement au point de destination.
être exposés aux éta1ages à l'air Jj.br e à rex- ro ~t évacués aussi so uvent qu'i.! sera neoes~ JII leur est interdit de stationner sur aucu.n.e
sa ire !pour q'U'iJs ne causent aUCUiJle nuisance, place, rue, rou te ou chemin .
téri'eur d'eS magasins de vente.
Il est fo nnellement interdit de les aCOUART. 72. _ Les d~ôts des matières visées
Les commerçants qui vendent les p roduits
alimentaires sont tenus de mettr,e à la Id!is- mllier et de l es J'aisser séjourner en bo rdure au p resent ti tre devront être éJoignés des
positiOfl de leur ,person nel, d.a ns un local fac i- de la v()i>e pubJique, co nt,e les habitations h'abitati<>n5, TOutes et chemins, mis à l'abri
lement accessible et au voisi nage immédiat et tous établissements pubJiœ ou à proxi- dies mouches. l'Is seront établis su r des ai res
du magasin de ve nte, de l'eau et du sa·v\.'1l mi~é des s~urces, des c3/pta,ges d'ea.u, des éta nches avec rebords étanches, à mojns
pUits, des citernes et,d u littoral ma ritime.
qu'il ne soit recoonu par l'au tOTité sanitaire
pour le lavage des mains.
En attend'ant leur uti.Lî.saiton, on devr.a l'eS que la naure du sol et des depôts n'exige
L'entrepôt, le transport ou l a livraison à
domicile ,d'es alÎlments do i,ven t être entourés 'dé!poser sur des ai r es étanches co nvenable- Pé\S cettepresc rilpitionl
Tout dép6t qllÎ constitu.era une cause d'indes pJiécautio ns nécessaires pour les mettre ment disposées pour l'év'acuatiQn des l iquides à la fosse à p urin.
salubrité sera supprim é.
l'abri de toute so umure.
Toutes mesu res nécessaines sero nt prises
Il es t j.nterdit de déverser des urines, de
Il est interdit d'e déposer des subta nces
destinées à l'ali mc-ntatîon humaine, et no- pour empêcher la pUlllul ato n des mouches et dêpo-ser des matiè res lécales sur le sol, dans
les dépendances et au voisinage des habitatamment d'u Ipatn, sur le sol, sur les pai llas- des phlébotomes.
Tout 'd'6pôt de ,fumie r, q uel le qu'en soit tiens et sur les routes et chemins.
sons aux portes dies habitations ou à la porl'imlPortamce, sera slll~rimé s'il est recon nu
tée des animaux.
ART. 73. - Les dépôts de boues, d'imslJoSCephble de nu ire à )a santé.pUi~ ique.
TITRE QUATR1EAIE
L
f
,.
t
t·t
mondices, d'o rdures ménagères, de gadoues,
es osses a pUTIn se ron COns [,01 es en faits en v ue d'une utilisation immédiate sur
Protection contre les matières usées
maç?.n.neri.e, rendues complètement. étancBe5 des teTra ins de cu1tu.re et à J'exclusion de
et Lvldan'gces comme les fosses d'aisance.
cession à des tie rs, ne ,pourront être"établis
Logement des animo/.lx
1 ..e ,contenu des fosses à 'p urin pourra être qu'après une déclaration préalable faite à
.'
.
1 utllJse pou r i'é,pandage agncole loin des haA,RT. 64. - .Les c<;: uPles, bo uve.Tles, ber- tMtations. Id ne sera j3!mais déversé sur les ta mairie. Aucun de ces d~ôts ne pouTra
ge (]~s, por~e Tles, etc. ,se:ont efflcaceme~t légumes ou sur des fruits susceptibles d'être avoiT un volume supérieur à 2.000 mètres
ventll6es, ~hcac~e nt eca ln~es par des VI - co nsommés c.rus.
cubes.
~mges obl igatOirement peints en bJeu et
Les fosses dont l 'i nsal'llbrité serait consCes dépôts ne seront jamais faits dans
~ourvlfes ~' u n p lanaher haut, entièrement tatée devront être immédlatem:ent réparées, une ca rrière ou dans toute autre excavation,
e!anche et Isol~nt. E'h1 es sero nt C'Omplètement re construites ou supprimées,
ni àproxi.rnité die puits, sources, cours d'eau,
~epLarées des pièces. des tin é.~ à f ~,ab.it~NoJl.
Tout écoulement des purins dams les ca- bai~nades., ,plages, parcs à coquillages.
es.mu rs seront Imlperm ealoJes mteneure- niveaux de rue sur la voie puDlique ou ses
Us ne pouront être étabJis à moins de cinq
m~nt }usqtià 1 1TTl.
à pa r'tir du sol et bl an- I dependanœs o~ dans les couJ"s d'eau, sour- mètres des routes et 3iutres chemins, et de
dus a la :c h~Uox vive dans le reste de leur ces ou mares, dans les p.uisards, bétoires et 200 mètres de toute habitation existante.
hauteur, ai nSI que le plafond .
Tous Ct!~ dépôts d-e.\ront être com"'l'
~teca rrières abandonnées ou non est form€llt'"
L~ ur sQlI égallement i,mperméa ble devra ,Iement interdit
'
ment recouverts aussitôt après les décharavoir une !pente conven,able facili tant l' é c o u r ·
gements faits dao.ns une jourO(~e,lPar une couT ITRE CINQUIEME
che de terre meuble ou autres matières inerlement des Iiqu~des au ca niveau d'évacuatio n
et à ~a fosse à 'p urin.
tes da'u moilns dix centimètres d'épaisseur.
La hauteur sous .plafo,nld sera au mo ins
Mesures -de salubrité générales
ART. (·t - Am:un triage ou clüffonnage
de 3 mètres pour les écuries et lés étables ,Vidanges, ordures méJUIgères, gadoues, ne devra être fait sur les dépôts d'ondures
et ~e 2 m, .50 pour les po r-chedes et ~es ber- dépôts de pulpes, drèches, marCs et autnes
ménagères quels qu'ils soient.
genes. En cas Œe plafond à pente unique~
résidus fermenlescibles
ART. 75. L'utilisation cUJlturale des
ces hoauteu rs co nstitueront des hauteurs
boues, immondices ordures ménagères ga
m~yennes miflilma . Des précautions seront ART, 69. - LI est interdit de déverser ru- doues ne pourra av'oir lieu qu'au fur et me=
pns~ .pour empêcher l'i ntrod uct!ion et l a puR- rectement dans les COUTS d'eau, lacs et sure des besoins, ces matières devront être
lAllation des mo'uches et pour aSSurer leur tétangs dans Ua mer et de deposer sur leurs enfouies per un labour assez profond effocdestruetl' '-".
On.
J1~ves, des matières de vid'anges, ordures mé- tue. d-aills les Ip'renuers
. .jours SUlva-n
.
ts.
.
nagères, gadoues, irTbJ1londices, huiles, maCellIers, pressoirs, locaux de cuvage
1,zout, pétroles et dérivés,. et en général, ~oute
ART. 76. - Les déchargements et déverseART. 65. _ Les cel1iers, pressoirs et
substance q~~ :erait .d~ nature à constituer ments des matières de vidanges. en queLque
tau~ de cuvage sero nt bien éclairées et une ca~ d m:sa~u:bnte. "
lieu que ce soi1:, sont formeHement interdits,
Mres.
1
Cette Interdiction ne s ~pphque pas au sauf s'ils sont effectues dans des citernes
Mares
d.ëversement d' eaux usées et de matières ex- étanches et couvertes ou dans des usines
crémentieUes qui ont fait l'objet d'un trai- de traitement dont le fonctionne-ment aura
ART. 66. - La ~ réation des maJleS ne peu t tern enrt coruforJl1es aux loits et règl ements en été !pr éalablement autorisé ,p ar J'autorité prévigueu r et ~pprou'Vé pa r l'autorité sanitaire. fectorale, conformement à la loi du t9 dése f.aire sans une autorisaiton du mai re,
ART. 70. _ Sans prejudice de l'applica- cembre 1917, modifiée, vi~e à l'article 70
st Les mares, aJb rewvoirs, et foss es à eau
il agnante seront é.!Q'gnés des habitations ; tian de la Uoi du 19 décembre 19 17, modifiée ci-dessus.
. ART: 77. - Toutefois, la distri~ution et la
6'~ seront curés une fo is [par an, ou comblés et cOlTlpltée par la loi du 20 avri-! 1932, reJatrive aux établissements dangereux, 1Osa1u- repartltJon non massive des matieres de V1 ~ sont I>uisibles à la sa nté publjque.
n aucun cas le déversement des eaux b res et incommodes les dépôts de matières danges à !a sllITace des terres labolrrables
~~t d~ quelque nature qu'eUes soient, n'y de vidanges, ordur~s ménilgère~ .gadoues, 1 pourroot être tolérées, si eUes sfl!1t faites à
a oleré. 1\ est défendu' d'étaler les vases linunondices, re uiUes, marcs de ralsU! et au- une distance de 200 metres au mOins de tooDenrées alimentaires
a
:50
à
10-1
�194
l '
.
.
-
Les 'vdncules des senv iees de t:ansport en 1
TITRE SEPTIEME
te h.ûbit~tion et à une distanc~ suffis:a.nce cde
tous cours d'eau, sources., puits, baIgnades, cOlllmun devront, s'i.s effectuent Wl service
journalier, être nettoyés au moi ns une fois ~a~~Itrf.LOTl colleclllle da ns [es lieUX Ou locou
plages, pales à coquillages, routes e! c.he- par jour e! Je p lanch er devra en être l avé.
es mes llJ.IX vaCQfW;S, au. repos, aux lotSi,:
mins, pour
n'en rësuJ t ~ au~.un Inco,:
Leur dlesi nsectisat ion devra s'eHetu er péaUx sports,
la vte salli e, etc
'
vément a.u point de ,"ue de 1 h}rglt~ne publt r i'Odiquemen.t.
ART. ~ . - L' habitatio n colle<'tive mè
que .
d 't f .
Animaux morts
temporatre, dans tes insfandations c~p&' Ille
Toute operation de cette n~tu re . 01 .all~
d' une maniè re généralif, en tous ~eu
et,
l'objet au prea lable d ' un e declaratlon a J,a
ART. 84. - 11 b-t interdit de jeter les ca- tous locaux desNmks aux vacan.ces a~ ou en
mai rie pa r l' eXiploltant. .
.
Jav,r-es dJamjmau x sur la voie -pu'blo
i que ai nsi aux 10isirsJ aus Siports, à l a \lie ~ain:er~
Lt!G matières seront repa~due~ ,untrorméQue d'ans les mares, ,r~v i ères) abreuvoirs, d es agglomé r ations .-/lie se ra pemtise 'u Ol~
ment sur le sol à l' ai.a."e des dlsp,osltlfs approgouffres et bétoires o u de les enterre r a il les dites in stalU'atoiJls o nt été auto<isé~ e SI
priés puis enfouies lP rofo ndeme~t par UII
voismage des l1lClbi tatlio ns des tp ui ts ou des le p réfet, sure le vu do
' un rap.port €tabl' par
l abo~r dans les premier s jours sUlvantlS.
ab
reuvo,rs.
l'i
nspecte
u
r
dé,p'a
r'teme
ntall d: h y~iène al
Le stationnement sur l es routes et . ~h e
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D est ru et IOIZ
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~~quc e ,sur ,p alCe qUI lpo rt-era su, les
min:; de$ v.e.nicu1es t r ansportant des m~tler€S
ART, 85. - Les IJ)rqpr.ietaires d' immeubles cond!ltJons ct emplacement, dfi nstaHation de
de \'idlanges est formellement interdit ; le
stationnemen t de ces Yehicu~es ne pou r ra devro nt faire boucher to utes les o uov ert ures logement o u de camrp eme n4 de ravitaill
être tolén! que su r des .o.hemtn~. ru ~a u.x o~ accide ntel~es ou suscep tibles de donner a;ccés ment, d'approvisionnement en eau potabl~
d' e>..1J!oitation, à la c~ndltaon qu Il ait I~eu a aux rats. Lo'rsque la présence de r ats aura des ea ux et matières usées. etc, \IDe distaJlCe d'au mOtIl8 100 mètres des ha- été const'atée dans un immeuble, le pr~r,ié- ~ Ces. i~sta l!atîo n,s pou.rroot, en tous tertlJEj
tai re sera tenu de prend re sans délai l es me- dne VIs Itées par 1 auton té sanitaire qui presbitations.
sures
qui lui seront prescri tes paT IJauoto ri té cn ra toutes l es m-CSulfes jugées utiles pOUl
ART. 1 . Les opi!rations prévues aux
sanitaoire.
remédier ~, u x d~fec:t uo~i tés constatées et qUi
ar tJcles du present ti tre 5O.nt fO,nmeHement
en pOU!fSUIVra 1 execution condOl'l11frnent aux
interdites sur tous les terrainS ou son t culDelense con Ire les moustiqUj!s
d is positions d ll préllient règlement ou, s'il y
tÎves .des fruits, le.gumes et salades poussant
a heu. dans les formes !prévues à l'aort. 12 de
ART.
86.
-Les
'bassins
d
'o
rn
em
e
nt
et
à ras de terre et desHnés à être co nsommés
la loi du 15 fév r ier 1902.
,d'arrosage, les vases orneme ntaux vides, Les
crus.
.
~'t
L a dema.,de .d'autorisation ,précisera la du.
Ces op':ratio ns pourroot êtr~ U1tellUl ieS 'par abreuvoir.s pO'Ur anirrnall!r peti'ts et gra nds, les
rée a nnue!l'Ie totale e t le nombre de journées
gouttières,
etc.
doi,
v
"nt
être
vidés
com
plè
tele m"fet, après avis du Canseil dépa~emem
S'ucces&,iveg df utilli satio n.
tal ' d'hygiène, dans les zones délurutees au-- ment une fois par sem3Ône.
tour des a.ggtomërations, co urs d'ea~ , aqueLes bm,;;ins de , r.e1ais des eaux de distriT ITRE H UITIEME
ducs, sourol'es, mares, poits d·eau. ba lg.n ad~, bution d'Oivent ètre recoUJ\oerts d'u-ne tojUe
Prophylaxie des maladies transmissibles
pl ages zones littorales paros à coquid~ages .méta.llique [ine ino:ddalb le à maiWes d' un milastraintlfs à la déclaration obligatoire
mètre .
etc.
ou facullative
8ala}'~lge. Nettoiement
Les citernes i nutilisées sero nt Slllppr,rmees .
ART. 90. - En vertu de l'a.rticle 4 de la
ART, ï 9. _ Dans les agglomé rations.où le ,les citernes serOnt s~paroées du tuyau dit!
balayage Il'est pas assure p..::t.f. les m.unlclpa- ,chute pa r un siphon ; le tuyau d 'aér ation lo i du 15 févr ie r 1902 et conformémenl à
lités les habitants so.nt. tenus. aux Jours et sera garanti pa r une toile méta~ljque fine l'alrticle premier du décret du 10 févrie r 1903,
les p récautions à prerudre pOUI .p.révenir ou
heures fix~ par le maire, de bal ayer, après inoxydable il mailles d ' un milllimètre.
arrosacre., le sOlI du devant de leur maiSon,
U ne toile m ~tallique fine in oxydable il ~aire ceser l es maladies transmissibles sont
de leu~ magasin, de otut bâtiment, du mur madl~ d'un millimetre garni ra le tuyau d'aé-- dét ffrninees, notamment en ce qui concerne
l'fsoiement du mal ade et la d. sinlection, dans
de clôture et des cours ou jardins en- bordu- ratiun des fosses d'aisance,
les conditions fixées par les articles ci-aplès.
re de la voie poolique.
Ces (mesures sont a1~p l icables oègalement
TITRE 51XIEME
ARr. BO, - Les or.dures ménagères seront
su r ,l a demand~ des familles, des chefs de
oblil'Tatolrement r.êunies dans des liécipients
coHectivi tés pub:1iq ues Ou privées dans des
mét~lIiQues étanohes et <l00s dll nt !,enlèv~ Surveillance des '()llV'Tages et instplLalions ad ministl'1ations hospitaJières au des bureaux
concernant
les
eaux
potables
et
les
eaux
tment sera assuré par les SOlns de 1 autonbé
d'assistance, après entente avec les intéreset matières usées
mwticipale.
sés.
ARI. 87. - Ind'épend<rmme nt des pr/lSCr'l>"
ART. S I. - Les modalités et, éventuelleIsolement
ment les cahiers de charges ré~an.t les con - tions IJégalles sur la protection des eaux poART. 9 1. - Toute IPf!rsonne attein te d'une
<1itio~s d'enlèvement des vidanoges, ordures tables, notamment sur la su r ve ill ance des des ma!lad\ es visées à l'a,rtic le qui précède
illénagères, gadoues et immond.ices de toutes péri mètres de protection" et de la législation sera iSQlée de telle sorte qu'e.iJ<, ne puisse
~es devront être sounùs à l'approbation en vigueur su r les établissements classes, propager cette m alad1e lpar eUe-meme ou lpar
Ile lautorité préfectoMJ.e. L'ap probation de- Je co ntrôle sani'taire s'exercera su les Oll- ceux qui sont appelés à la soigner.
..
vra être dbligatoirernent porter su le maté- \~a.ges et illsta'llations destinés à crupter, à
L 'isol ement sera pratiqué SOit à dom lc}l~,
lei d'entèvement, ta destination des immon- traiter, à recevoir ou à co ndu.ire des eaux soit dans un loca.{ spécialement aménage a
,:tices et la surveiUance du service par l'au- d' alimentation, ainsi que su r les ouvr3Jges cet effet, soit à l'hopit allc
et insfa11ations destinés à recevoi r, collecter,
t{)lrit~ sanitai re.
ART. 92. - Jusqu'à la disparition complèle
ART. 82. - Il est interdit de secouer ou ël-oigner et t r aiter les eaux et m al1ières usées, de tout danger de transmission, {)n ne laISPOUI l'applicœtion du présent article, les sera aJ!>;>rooher du malade que les person'
de battre aux fenêtres ou sur a voie publiAue des torchons, tapis, objets de literie, etc., eaux minérales n.aturelles pou,rront être co n- nes s'étant astreintes à prendre les mesures
en dehors des heures règJementaires. Il est siderees comm·e eaux potables par ar rêté du nécessaires powr eviter la ,prOlpaga1ion de la
interdit de balayer à sec les cours, corridors, m inistre de la santé pub lique ",près avis de
maladie.
aUées, escaliers et, en gt.néral, toutes les pa r- l' aca<lémie de méd.ecine .
Tran sport des malades
ties communes des maisons con\'Portant plu~
Etablissemenls
classés
ART. 93, _ Le tra~rt du malade s~~:
sieurs l!)cataires ou dont les portes so nt
OU\'erfes su r la voje !publique . ..
ART. 88, - Ind~e n damment de la législla- effectué par une voiture spécIale qUI <k
-.L
Le nettoy.age des murs ou des ,Illafon<ls, le tion en vigueur su r les é.tablissements das- êt re désin.fectée après Je voyage..
D ans le cas où, il d éhut de vO iture "".
racla,ge des poussières doivent s'effectue r en sés, il est formeWemen t interdit d'amé nage r
d'une vQlt u.re ptrd'
p renant des ~allitions efficaces Ipour évi- ou d'ex.ploiter les tueries par ticul ières da ns ciade , il serait fait usaae
b
être t;
rt
ter la dispersion des poussières. Le battage les stations climatiques, t ouristiqu es, ba:1- blique ou pri vée., ce v&hicule dev,ra
sinlecté immédiatement "II'rès le .transp<> el
~es pa;l'lassOClB, t",pis de pieds, tentures est néaires ou uvales.
i nterdit en dehors des lieux et des heures
Les tueries particul ières ~xistant à l'.heurle so us la respons abilité de ses. !pJopneta~~~c3t
con.ducteurs qui pourront eXIger un ce 1
réglementai res.
actuelle dans lesd ites stations devro nt, dans
de désinittticm.
délai
de
.rois
ans
à
dater
de
la
pwmuJun
ART. 83. II est interidt de cracher à
ART. 94. - JI est interdit à to ule pei::
du présent arrêté, être tr ansfé rées
terre dans les rues, les promenades, las
.
i
atteinte d'une des maladies !:ransm
qur.
Pl'
195
~i-<1essus
l
i qu e dans des cas exceptionnels et sur au to-
: , . aUX articles
de pénétrer dan s ,ection obligato ire so nt sou mis à un e s urvne vO iture aHectee au transport en com-I ~el1Jance lPelTlla nente exercée par le service
~un.
.'
aépa rtem entl d'hygièn.e.
DéstJl.fe.ctlon .
1
ART. 104. - Le m:>lade ne dev,ra effectuer
ART. 95. -;- La désmfechOn. c' est-à-dire sa prem ière sorti e qu'après avoi r .pris les
la destruction des genmes pathogènes, ~evra yréca-~tion.s de prOlp.reté et de désinfection
être faite P3!" un p~océdé, r ec~nn u ef1 l c~ .presentes par l ' autorité sanita i,re.
tir le Conseü 8upéneur d Hylglène,
DJans ie cas où i l solitirait d' un êtccblissePART, 96, - Il est inte rdi t de déverser au- m e nt h o~p it allier, po ur quElique motif qu e ce
."l·ection ou excrément (crachats m a- SO it, avan t que tout dan"er d e contam in ation
aune uc
,
'.
~"
tières fecales, u,rines, etc) provellan~t d' un a! t dispa rUt, avi$ .devra en être ~?nné imlmémalade attei nt d' une affection translm ss l!:>le, dlatement da ns les ,"!,êmes cond itIO ns qu.c . la
sur les voies pUlblhq,ues ou privées,. d ans les d~l a r1atloll de ~l'ald.e, en iprOClsan t le lIeu
da ns Ues l'a rdlfl>s " sur \les fUl111llettS <ilans ou .le malla-de a deolaré se rendre.
co11rS, <
le:, cou rs d'caru, m~ ~es o u étangs (ainsi que
ART .. 105. _ Les enfants ne pourron.t être
sur le littoral mar!h me. ou d~n~ les basSl,ns r~adnlls à IJécdlc, so it IpubJique, soit privée.
des ports). La me me mte rdlctlon est faite que swr certificat affimnatif du medeein traipour le déversement des -eaux de baIns et.dae tant. constatant que Ile risque ~e . co n~a~lO n
toüette de ces m alades.
. .
a dispmu et que tou tes prescnptlons regleJAS déjectIons ou exc rc,h? ns seront Ire- mentalres ont été prises au préalable.
cueiU ies dans des vases spcclaux ; elles seront d~sin!fectées et ero1usivement déversées
Cadavres
dallS les cabinets d'a isance ou lems co nduits
ART, 10. - Les cadavres des p-erson nes
d'evacutation.
mo.rtes de maJa<lies transmÎ5sibles seront isoART. 97. - Pelldant l a durée d 'une mrua- lés immédiatement et 4es dispositions néces.die transmissible, j ~oojets à lisage person'" saires Se!Tont prises pour assu r-e r la mise
nel ou domestique du m a lade et dies person- en bœTe et l'inhumati on, en exécution du œnes qui l'assistent, de même que tous ,o bjets cret du 27 avril 1889.
contaminës Ou souül1 és, .seront désinfectés.
Refuges et asi~s
ART. 98. - 1'1 est inte!rdit, sans désiniocART, 107 . - Dans les établissements pution préal abJe, ,de j eter, secouer, ou t.X!pose r
bJics ou privés reoueillda nt, à titre temporaire
aux fenêtres albCUIl Jin ge, vêtement, objet de
ou perman'ent, des pel"5onnes sans asile., les
literie, tlljJJis ou tentures, etc. ayant ser'Vi au
vêtements et et.fets à usage de cel les-ci semalade ou provenant de locaux occUUJés par
ro nt aussitôt désinfectés ou tout au moins
lui.
diffiinsectisés.
ART, 99. - Le nettoyage de la pièce et des
Le .nettoyage du matériel et des locaux
objets qui l a garn issent se fera exdlusive- de ces établissements S6na pratiqué ohaque
ment, pendant ·toute la durée de la maladie, jour, pour toute l a par tie du matériel ayant
à l'aide de 5nges, é toffes, tissus et substan- senvi au.x Iféfugiés ~t des locaux qu'i1s ont
ces fmprégn.és de liquides antis~tiques.
OCC11iPés.
Logements garnis
ART. 100. - Il est inte r dit d 'e nvoyer san.s
dilsinfooton préala'ble auX 'Iavo,irs publics ou
ART. 108. - T out local meublé, tota\iement
privés ou al.l:X bl anc11iooeries des li nges et ou partiellement destilLé à l a 1ocation, sera
effets contaminés ou souiile-s.
placé SOus lit survei~lance de t'autorité sarriDans le cas où le laVlage de ces ,objets y taire., ,pour l'application, co.njointernent avec
aurait été néanmoins :pratiqué par erreu i {) U le mai.e, des dispoSItions de l'article 2 de
pour toute atJl,Ire cause, le propriétaire du l a- la loi du 19 juilll!t 1924.
voir QU de l a bl andhi sserie devra se conforlU est interd it d1hébe rger des hôtes dans
me~ aux prescrilPtions de J'a.uto ri té sanHaire, les 10ooU!X ne remplissant pas les condit·ions
CecI sans p réjudice des mesureos ,prévu-es lPaor prescrites par ne présent règlement sanitai re
le. Code de travtaÏlll et la législation des éta' ou d~ Leur ~ouer Ou sous-louer des locaux.
bllssements classés.
Il est égaleemnt interdit de lell'r louer des
~l est interdit dJenvoyer, sans désinlfection locaux ayant été ocoupés, même pa rtielleprealable, auoc établisement6 industriels qui ment ou temporairement, pa r des persollnles
pr~hquent le cardt3Jge ou l 'opér ation dénom- atteintes de maladies transmissLbles:, si ces
IIree eplUation l des m atelas, literie, couver- locaux n'ont pas été désinfectes dans les
tur~, tapj-s, etc. ay·an~ .servi à des malades conditions prévues au présent règlement.
atteints . de maladies transmissibles.
TITRE NEUVIE.I\E
Il est intendit de mettre en contact il ,"u.un moment des objets désinfectés et des obPélUI1ités
lets il désil>fecter.
ART, 109. - Les contraventions aux dis, AIrr. 101. - .Le:; looaux OCCL>pés par le ma- positions d'li présent règlement seront IPOUITseront désilllfectés aussitôt après son suivies, conformément à l'article 27 de l a loi
ransport en clOOors de son d omicile, sa gué- dl> 15 février 1902, et passibles des pénaliflSOn ou SOn d'écés
tés prév ues tant ,p ar cet article que par l'art L'exécutiO'TIi de ~ette prescrLption pourr·a tiale 471 du Code pénal, sans préj udice de
~ r~ constatée par Uill certificat <LéJivré aux 1''4lIPIioaiton des artioles 28, 29 et 30 de la
~n1eressés .p al "autorité sanitaire, sur Ueur loi précitée, ainsi que des contrave.nh.ons
df'""a;roe. Ce oo rtif icat désignera les ,Iocarux dites c: de arande voirje » qui l eur seraIent
rn :II~..Ject~, sans mentionner ni le nMI du applicab les, ~ et œs sanctions prévues par les
",,",e, ni la n'ature de la maladie.
articles 7, 9 et \0 et des établi""",ents 0sp':-'i!;. l m. -:- La dési"tectio.n sera pratiquée tréicoles.
OUIie
ServiCes publOos, soit par des partiTITRE DIXIEME
l'ar~ dans les conditions prescrites par
AIt 7 de la ,l oi du 15 février 1902.
Dispositions diverses
<lIljlllT,V' .10,3. - Les a.waTeli5 de désin'fection 1 ART. 110. - 11 ne
dlans toll1le Commune à la disi n- nr<"",rintions du pr.~sent "~I'eernnt
;ade
risat ion p rë:fecto.nal-e, ~p rès avis coruform-e de
l'autorité sa nit aire. Dans le cas de dérogatio n, les intéressés devront pren<lre l'en,:;a g:ement écri t de se confo rmer aUX prescnptlons q~i leur seront ~donné'es. Tout: contra ventton ~P?'rtera déc.h~nc~ complete de
c~tte a u~onsahOtn sans préju,dlce ~ SaflC110ns d"";'ues par le décret...loi du.30 octotrre
1935 et 1arr!lCle 109 du present reglement.
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oge e rerni}> ace c w
du 15 fe>ner 1 9'39.
.
.
Les tl.lsposl Ïlons ~u pn;sent regl e:me~-t ~nt
exéautolres un mOIS apres {a publooatlOn du
•
-é
p..resent arret .
ART. Il l. A Le Secrétai:re Général, les
Sous-Préfets, l'Inspecteur départemental des
Senvrces d'H ygiène ou se~ ~djoknts, les, DirecetUIs des Bureaux MunlcLpaux d'Hygiène,
le DüectelLT des Serviees Techniques du DépaJftement, l es Maires, Cormnissai.res et
Agents de Poliœ. ainsi que la Gendarmerie
Maritime, sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l' exécutron du présent arrêté.
Fait â Marseille, le 1e.r octobre 1945.
Le préfet : VEYREN.
• ••
Le P,réfet des Boualles-<lu- Rhône, Offici",
de la Lég ion d ' Ho nneur.
Vu 'J a loi du 15 février 1902 relative à Ja
pro,!ection de Ja Santé publique ;
Vu le decret-loi du 30 octobre 1935 prescri vant l'institution d'un règlement sanitaire
dé,pa.rtementaJ et modifiant les articles 1 et2
àe la loi du 15 fév.rier 1902 ;
Vu l 'arrêté préfectnral du 1er octClbre 1!>45
portant règleemnt sanitaire départemental
notamment l' a.rtide 14 ;
Vu la ci.oculaire de ill le Ministre de la
Santé PuliJ; que en date du 1er juin 1951 ;
Vu J'a.vis émis par le Conseil Departemental d' Hygiène dans sa séance du 27 juin
1951 .
Sur' Ja prOiPosition de M. le Directeur Départemental de la Santé.
AR,RETE :
ARTICLE PREoIIiER. A titre provisoire,
l'article 14 du règlement sanitai.re départemental (alrrêté préfectoraJ du 1er octobre
1945) est modifié a,jŒlsi qu'id suit:
Substituer les mots c. 2 m. 50 ;t aux mots
< 2 m. 70 > qui figurent au 1er alinéa de cet
artide.
En outre, le 2" alirrea d" cet article est
supprimé,
ART. 2. - MM. Il e Secrétaire Général de
Ja Préfecture, les Sous-Préfets, le Directeur
Départeemntal de la Santé o u ses adjoin~,
les Directeurs des Buueaux Municipaux d'Hyg;ène, le Directeur des Services de Po lice,
le Commandant de la Gendarmerie, ainsi que
la Gendarmerie Maritime sont chargés.. chacun en, ce qui le concernE\ de l'exécution du
présent arrêté <j)1i awra effet du 1er septembre 1951.
Marseille, le 13
~e
1951.
LE PREFET.
Pour le Prt{et et par délégaJion,
Le Secrétaire Général
Signé: LAMASSOURE.
•••
�196
ARRETE
Le préfet des Bouches-du-Rhône, Officier
de la Légion d'Honneulf,
..
Vu la loi du 15 févIie r 1902 relatJVII! a la
protection de la sante publique j
Vu l'arrété prefecto ral du 1er octobre 19-15
portant règlement sa nitai.re d~antemental . et
notamment d'article 110 ;
Vu la loi d ' urba nisme du 15 jou in 1943 ;
Vu l' ordol>narrce d u 27 octobre 1945 relative aux permis de co nstr uire;
Vu le procès-v~r.bal de la co nf.érence intermini stéri elle tenue le 23 ma rs 1950, chez M.
le D;recetu r de l'A'ITléna~ent du Territoire
du .'\Unistère de la Reconst ruction ;
Vu la dlwèohe de M. le Ministre d'e la
Santé Publique et de la Population N ° 71.750
du 8 ay,ril 1950 ;
Vu l'av is de M. le Directeur départemental de la Santé ;
Vu 1'3\% d.e Ne le Délègue d<\partemen.taJ
de la Reco nstruct io n et de rU nb anisme ;
Consi-dérant les besoins de relogement qui
se po .. nt à MaTsei.(le avec une acuité taure
particulière ;
Sur la J)r(\position du Secrétaire Genera:!,
ARRETE :
ARTICLE PREMIER.
A l' inté.r ieur de la
zone A telle qu' elle est définie a u p rojet
d'aménagement et de reco nstruc tio n de la'
ville de Ma rseiUe, les règles suivantes seront
appliqu ées en ce qui conêe rne la hauteuI des
oonstnrctions .:
t .. Pou.r les voies de moi ns de 10
-
m ~bres
tia n, M. le ~\ai.re de Marseille SOnt char
de larO'e ur la hau teur des façades sera aU ollacu n en ce qUI de concerne de l'exé-c g,és,
'
utlon
pl us égaJ-e' à la largeU'r de La voie (soit : du tp résent a f'l rêté.
H = L).
MarseiUle, le 4 mai 1950.
2" Pour les voies de 10 à 13 mdres, cette
hauteur sera au plus ég<lle à 1 fois 1/ 2 la
L. Pré/el :
3 L
Signé : BA YLOT
llr.getlf de la voie (soit: H = - - Jo
2
3° PO llr les voies de pLus de 13 mètres, la
ha'uteur sera a ut 'Plus égale à 1.a la rge u:r de la
vo ie
a "g,mentée d'" 6 m. 50 (soit
H
L
6,50).
En out re, les immeubles po ur.ront corr\'porter un étage en retrait. La hauteu.r de cet
PERMUTATION D'EMPLOI
ét"ge ne ,pou.rra excooer 3 m. 50 et le retMlt
DE SECRETAIRE DE MAIRIE
par r.,l'port à la â"çade principale ne pou.rra
Sacr,étafre Général "ommun e de plus de
être infériellT à la Ihauteur de l'étage.
Enfin, l'angle de la to itu re et de J'hori zon- 10.000 habitants, régtion p arisienne (loge..
Il" nt assuré) permu;te~ait avec COllègue mai,
tale Tl'e dev.ra pas excéde r 30°.
La hauteur des const r uctions est limitée, "" de plus de 10.000 Ii·a bita nts d .. dl\partesauf dérogatio'l. au ohiff re maximum de 27 ment des BOUiOhes-<l;\~-~hône.
S'adresser à M. Geanges JAM, Mairie des
mè1:res à la verticale et à l' ali gnement.
IMurea ux (Seine-et-Oise).
ART. 2. - Ces di~positions d e rogato ires
-------<.00 «.------au règdement sanitaire départemena1 n'ont
qu~ un ca ractè,re p rov;isoire et cesseron t d'être 0 2 B3
au>plicables dès l'approbatio n du pla n <1' 1>OFFRE D'EMPLOI
ménagement de la ville de Marseille actuel~
ment à l' étude.
L", .poste ·de g..nde-ohaimpêtre ;, Cabriès
ART. 3. - M. le Secrétaire gé néral de la ",st ac tuell ement vacant.
Les ca nd ida tu res do>... nt être ad ressées
P refecl.",e, M. le D irecle ur de la Sa nté, M.
le Délégué dJ(\paniemental de la Reconstru~- ' directemen,t à M . 1", Maire de Cabriès.
•
REPUBLIQUE FRANÇAISE
2 el 9 Octobre 1952
10' ADD.'. -
N°'
40 et 41
DËPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
= +
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIA.TIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. Circulaire . - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Directio n des Services Tec hniques. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départementale de la P opula tio n.
c. :
SOMMAIRE
Arrêtés réglementaires el Circulaires
Pagcs
Pagcs
TVX 6. - Aménagement des so rt ies
de MarseiUe. - Sortie S ud. - Projet
de déviatio n de la R. N. 55 dans la
traversée de Cassis. - Autorisation
de pénétrer da ns les propriétés publiques ou pri vées, closes o u non closes. - Arrêté IP réfectorail . . . . . . . .
AG 2. - Circulaire relative a ux modalités de versement des a ll ocations
de maternité aux agents des coll ecti,vites hales . .. . .... .... . .. .
FS O. - Autorisation de pratiquer les
examens ,radjosCOiPi.Qlle5 .. . . . . .. .. .
Textes d'Intérêt Général
AC 3. - Loi n' 52-843 du 19 juillet
1952, relati ve à l' a mélioration de la
situatio n des a ncien s combatta nts et
victimes de ,guer"" ..... . .. . . .. .. ..
AC 2. - Repartition de la part de la
taxe de circulatio n s ur les vi a nd es
représentati ve de la ta xe loca le addi t io nnel'Je au x taxes su r le chiffre
d'affaires .... . . . . . . .. . .. . .. ..
AC O. - Décret n° 52.105 1 du 10 septembre 1952 modifiant le décret n'
47.;2045 du 20 octobre 1947 fi xa nt
ce rtain es modali tés d' app licatio n d u
197
décret n° 46-294 du 31 décembre
1946, rel atif à l'institution d' un régime de séc uri té sociale pa rm i les
fonctionn ai.res .... .. .. .... .. ..
198
AC O. - Circula ire rela ti ve au règlement de la \lale ur des produi ts ex198
crus sur les immeubles dom a ni a ux et
consomm és en nat ure pa r les services a ffecta ta ires des imm eubles , qui
re lèvent du bud get gé néral. - Applica ti o n de l'a rticle 2 du décret-l o i
d u 28 f évrie r 1940 .............. ..
198
AC 3. - Circul a ire rel a ti ve a u ve rsement des cotisatio ns de Sécur ité so-
Pa~~.
ciale des fo ncti o nnai res et m~l i t ai r es
de ca rrière, bénéficiaires des régi mes
de secu rité sociale institués par le
décret n" 46-2971 du 3 1 décembre
1946 et par la lo i n' 49-489 d u 12
avr; l 1949 .. . . . . . . . .... .. . . .......
199
Comm~J.njqués
200
-. Avis -- Annonces djveflses
-
Intend a nce des subsista nces m ilita iAdjudi catio ns pub liques rest reintes .. .. .... . .. . . ... .... .. 201
199
- Ou verture d' un com:o urs po ur l' admission à l'emplo i de ma nip ulateur
aux l aboratoi res des Ser vices Vétérina ires de P aris et d u Dépa rt ement
de la Seine ... . . ... . .. . ... . ... . 20\
Off re d'em ploi ...... ... . . . . .. .. . 201
res. -
C<Jmmuniqués du Secrétariat
de l'Union deS Maires
Demande d'emJ>loi . . . .. ......... .
201
ARRËTÉS REGLEMENTAIRES ET CIRCULAIRES
05 BI
Le Secrétaire Général :
P ou r le Préfet et par Délégati o n,
Maxi me MIGNON .
----------------~==~~~~~~~---------------
li.I ,.vn.Ult. Nouv!:L.U: DE MAUETLU:, 120, rue Sainte
TVX 6 de pi q uage et levers de plan de la<iite dévia- qu'e.xtge cette étude, et, à -cet effet. à. péné-
tion i
V u les lois des 22 Juil let 1889 et 29 Décem bre 1892 i
Vu l'a rticle 438 du Code Pénal ;
Co nsidérant qu'i l convient de pr endr e
to utes mesu res !pour que les Ingénieu rs, Géo_
mètres, Agents et Ouvriers qui doi\'ent conco uri r à l'étude dont il s'agit, n'éprouven t
a ucun em,pècheme nt de la partr des p rC1j)riéta ires des terra ins s ur lesquels cette étu,de
le Préfet des B o u c,h es-d u-~h ô n e,
d'oi t avoi r lieu;
Officier de la L égio n d' Ho nneur t
Sm la proposition de M . le Sec rétaire
Vu la décision de ~'k Je M i.nÎ s tre des T r,1 - Gé néra l des Bouches-du-l~hôn e ,
vaux ~u bli cs en dat e d u 30 Ju illet 19,,2,
AtR RETE :
prescnv~ nt l a mise à fenqu ê te d' ut i'lité publiqu e. et 1ou vert ur e de renqu ~ t e 'pa rcellai re du
ART ICLE PRE.\\l ER . -l\fiM . les In gé nieurs
~olet ~ e Mvi"tion de la R. N. 559 dans la cha r aés de l'étude de la So rtie Sud de l araversee de Cassis .
seille: les Géomèt res, Agents et Ouvrie rs
V
'
du u .le ral,port de M . l' Ingénieur en Chef placés sous leurs ondres sont autoTlsés à
pé éDt epartement ex,posa nt
la nécessité de procéder, sur le terr ito ire de la .commune de
n rer td ans les
Cassis,
levers de pla ns, plqueta.ges. de
AMENAGEMENT DES SORTIES nE
MARSEILLE. - SORTIE SUD. - PROlET DE DEVIATION DE LA R.N 559
DANS LA TRAVERSEE DE CASSIS. AUTORISATION
DE
PENETRER
DOANS LES PROPRIETES PUBLIQUES
U PRIVEES, CLOSES OU NON CLOSES. - ARRETE PREFECTORAL.
trer dans les .propriétés !particulières, communales ou doman iales, closes ou non closes,
à y rpIanter des bail t'S, ,talons, piquets, bo ..nes- repères, à fran-c.hir les murs et a\Jrrers
clôtures ou obsta-cles qui pourraient entraver
les opêrahons. à .pratiquer dans ces proprié·
tés des so ndages , élagages et abatages d1aro res, de haies, de clôtu res et, en règle géneraie, tous les travallX necessaires à l'aceomp lissement de leu r missio n.
ART 2. Il est interdit d'apporter au
personnel ohargé 'des ét es aucun troubl e
ou empêchement, ni de déranger les cüfféren ts 'piquets, signaux o u repères qu'il établira. Ces lPiiluets, Signaux ou repères, so nt
placés sous la gande des autorités militai'i"es.
En cas de difficul tés ou résista""es quelconques. les ingénieurs ou le personnel so us
leurs o rdres, pour ront faire appel aux agents
de la Force P ut>lique.
r s uite des
�198
auraient à supporter des domJllages, J'indem - n' 327 B-5 du 9 ma i 1952 a-t-il décidé que
nité serait regtée. autant que possi ble • .à l'a- ceux-ci pourraient bénéfi cie r, sous certai nes
TEXTES D'INTERET GfNE88L
-
conditio ns, des dites allocatio ns de mate rCirro/aire concernan t plus specialement
nit é, dans la mesure o ù les dé lais prévus par
les Admi"istra/ions de l' Etat
la ,législa ti o n en vig ueur ne seraient pas dépasses de plus de trente jours.
AC 3
L'aNocation ainsi accordée dev ra être re- 0 2 BI
affiché da ns la Commune intêressêe et inséré, d uite de 1/30 de so n mo ntant par journée LOI N" 52- 843 OU 19 JU ILLET 1952
en nu tre, d3ns l'un des jowrnaux du DéilélIte- a u de là du déla i normal prév u pa r la légisRELATIVE A L' AMELlO~TION DE
ment et au Recueil des Actes Administratifs . latio n.
LA SITUATION D'ANCIENS COMART. 5. - ,\1. le SN:rélaire Genéra l de la
Exemple. - P o ur un e naissance inte rveBATTANTS ET VICTIMES DE LA.
Préiecture, .\1. le Mai re de Cassis. M. le Co m- nue
jou rs a près l'expi rat ion des u élais
GUERRE.
mandant de Genda rm erie so nt o,largés ,c l ~a lega ux, Je mo nta nt de l'a ll ocatio n de matercu n en Ce qui le concer,ne, de t'exéc utio n du nité att ri buée sera égal aux 20/30 de celu i
L' Assemb lée Natio nal e et le ,Co nsei l de la "
présent ar~ètt.
de l'alloca tion que le bénéficiai re aurait Rep ubli que o nt dé libé ré,
réell eme nt perçu si les co ndi tions p r év u e~
~\arseille , le 20 Septembre 1952.
L' Assemblée Nationa le a adQpté,
par l'a rticle 5 de la Jo i du 22 aotit 1946
Pour le Prefet,
a,raie
nt
éte
respectées.
Le
Président de la Répub lique ,promul oue
I.e Secrétaire Général délégué.
J'
ai
l'honneur
de
vo
us
fai
re
co
nn
aître,
la
loi
do nt la teneur s uit :
C>
\.I\'\axime l\\IGNON.
d'acco rd avec l\\ . le Secrétaire d 'Etat au ................ . .. . ... . ... . ' ..
- - - -<>00<>'- - - Budget, que rien ne s'oppose à ce que les
AG 2 collectivités locales décide nt d'acco rde r lesART. 6. - Les dispositions de l'article 23
D2 B3
dites a ll ocatio ns de mate rni té dans ,les co ndi - de la loi ode fina nces d u 9 Décembre 1927
CIRCULAIRE RELATIVE AUX MODA- tions prév ues pa r la ci rcul ai re d u 9 mai por tant a tt ribntion aux lonctio nna'res a nciens
LITES DE VERSEMENT DES ALLO- 1952 preci tée, à ceux de leurs age nts à qui co mba tt an ts <ile la guerre 19 14-19 18 de maCATIONS
DE MATERNITE AUX elles versent directe ment les prestations joratio ns d'ancienn eté valables pour l'al'.nAGENTS DES COLLECTIVITES LO- fami li a les.
cemen t, .compl été ,pa r Iles a rtiales 33 el 34
CALES_
T o utefois, en ra ison du caractè re de bien- de la loi de fina nces Idu 19 M a rs 1928, sonl
'ai .J'honneur de po r ter à la connaissa nce vei ll a nce q ue prése nte cette mes ure, les dé- étendues
fonfction~a~re~1
et
oUlV riers .d eaux
\' E tat,
onctlOn na lr es a.gents
et agents
j
de MAI. les Sous-P réfets et de MM. les Mai- pe nses qui résulte ro nt de l'appli cation tl e ties dépa rteme nts, communes et des établisres du Dépa rtement le texte de la ci rculaire 1 cell e-ci Ile peuvent être prises en cha rge pa l sements pu blir.cs d'épartementa ux et commun° 356 AD-3_d u 26 septembre 1952 par la- le Fo nd s Natio nal de Co mp ensation des all o- na ux, ay ant partncipé à la campagne de
quelle t'tt le Ministre de l' Inté rieur a uto rise ca tio ns fa mili a les, la co.m pe nsatlOn ne ~o r- 2: uerre 1939-1 945 contre les \I).uissa nces de
les collectivités locales à acco rder à leurs tant
. que s.ur les pres tat Io ns ve rsées ob ll ga- ,'. .,.Axe ai nsi -qu 'a ux a nlCÎens co mbattan ts <le
age nts les mêmes ava nta ges q ue ceux co n- tOl rement a leu rs age n.ts p~ r les dépar!esentis aux fo ncti o nna ires de l'E tat en ma tiè- me nts, commu nes et etabllssements pu bliCS l' lndochi.n~.
.'
.
re d'allocati ons de maternité
départeme nta ux et commun aux.
ToutefOIS, Jes pflson nrers de guerr e, htu.
.
L
h
d
'
.
laires de la 'Médaill e des évad'é s recev ront
Pou r le Pré iet des Bouches-du-Rhone
a c a rge es allocatio ns de mat erni té
.
t'
,"'
.
té é' 1 .
Ile
Le Secrétaire Général:
1
pa},ées da ns les .conditions qui précèdent 1 une. m~Jora Ion lU a ncl en~ ~ . ga e. a
TS
Maxime .\tlil'G NON' .
dev ra donc inco mbe r intégralement à la col- a ttn buee au:, plus favonses des ipTlso nn e
d e g uer.re qUI ne se so nt Ipas évadés.
lectivité inté ressée
Les disposit ions' de la ci rcul ai re du 9 ma i
• •
Un règlement Ki'adm~nistration p ubliquf
1952 acco rdant J'ava ntage dont il s' agit aux pris sur le ra~ rt des mi.nist re s des Financfs
26 septemb re 1952.
age nts de l' Etat, pren a nt effet à compte r du et des Affaires Bco nom iques. des antiens
Le Ministre de l'Inf érieur
1er avril 1952, les mesu res prises dans le co mbattants et .victimes de lia g uerre et idf~
à MAI. les Pridets de la Mélropole, même se ns en faveur des agents des coll ec- secrétai res d'Etat à la présvde nce du Co nse.,1
Aux termes de l'a rticle 5 de la loi du 22 tivités locales pourront ètr e a ppliquées à (fo nc tion ptublique) et au budget, <lé termlaoût 1946, modifié pa r la loi du 7 juillet compte r de la mêm e da te, sa ns qu'auc un e nera 1es mod.allités d'ruppl.'ication du 'prése~t
1948, l'allocation de maternité n'est acco r- rét roacti vi t é puisse être in voquee pou r la ré- a rti cle, co nw t.e tenu des d rco nstances 'Parl~
culi ères des ca mpa g nes v isées à l'alinêa cr
dée, pou r une première naissa nce, q ue si g ula ri satio n des situations an té rieures.
dessus.
celle-ci s urvien t dans les deux ans du maPour le Mini str e de l'I ntérieur,
riage.
ART. 7. - L'ar ticle 8 1 <l u Code gé nér. 1 des
et pa r délégation,
impôts est complété com me suit:
II est exigé, d'autre part, pou r une seco nd e
L e Préf el,
naissan ce, qu'elle se p rod uise dans les t rois
4: 12° iles ret raites mutue ll es se rvies auX
Directeur de l' AdminislralÏon
ans de la première maternité ou dans tes
Départementale et Communale, a n.ciens combatta nts et vidi mes rde la · guerre
cinq a ns du mariage ; pour la troisième
dans le cadre de la lo i d u 4 ao ût 1923, mOP. DAMELON .
naissa nce, qu 'elle se prod ui se dans les trois
difiée.
------- ~> oo c> ------ans de la précédente mate rnité. les six de la
La présente toi se:-a exéc ut ée co mme loi
première maternité ou )es huit a ns du ma- 0.0.5
FS 0 de l'Etat.
riage.
L'allocation de materni té est acqu ise ~ans AUTORISATION DE PRATIQUER LES
Fait à Pa ris le 19 juillet 1952.
condi tio n de délais pour les naissances suiEXAMENS RADIOSCOPIQUES
V. AURIOL.
vantes.
Ces délais o nt jusqu'ici été st rictement
Par arrêté préiectoral en date du 18 SepP ar le Prés ide nt de la Rép ublique ,
obse rvés pa r les a dm inistrations publiques, tembre 1952, .~. le docte ur Ca rtosio 'Malicel,
Le Prés ident d u -Co nseil des Min ist res,
Etat et collectivités locales (celles-ci pou r
Ministre des Fina nces
.
leurs perso nnels relevant du Fonds Nat ional demeura nt à Ma rseill e, tO, bouleval'1d Gi lrbert,
et des Aff a ires Eco nomiques,
de Compensatio n des "lIocatio ns iamiliales). est auto risé à pratiquer les exa·mens rad lOSA,ntoi ne RIN'AY .
Par cont re, les règles de gest io n des Cais- {: QP~ues en vue die la délhv ramee des .certises d'all ocations fa mili a les du régi me gé né- fi cats p rénuptiau x et prénata ux.
Le Minis~re des Anciens Comba ttants 1
rai pe rmettent d'appliquer la réglementatio n
Le
Directeu<
Départem
en
t
al
de
la
Santé.
et victtples de la IZuerre"
en vig ueu r avec beaucoup pl us de so uplesse
Emm an uel TEl~PLE.
en ce qui conce rne les a l,locatio ns du secteur
pri VÉ:
Aussi, afi n de ne pas désavantager les per- - - -«»00«:)'- - - -------<»00«»'------sonnels de l' Etat en ceUe matière, M. le SecrétalTe d'Etat du Budget, par ci.e1l I.. , "
miable et s i racco rd ne pouvait avoi r lieu,
par le Conseil <le Préi""tu re In terd~p3rtemen
tal de ,\larsei.lle, conformement aux dispositions de la loi dll 22 juillet 1 89.
ART. ~. - Le prés ent arrêté sera publié et
la
ct
•
199
02 BI
AC 2 ,02 BI
AC 0
REPARTITION DE LA PART DE LA DECRET N ° 52-105 1 OU 10 SEPTEMDE LA TAXE DE CIRCULATION SUR
BRE 1952 MODIFIANT LE DECRET
LES VIANDES REPRESENTATIVE
W 47-2045 OU 20 OCTOBRE 1947
DE LA TAXE LOCALE ADDITIONFIXANT CERTAINES MODALITES
NELLE AUX TAXES SUR LE CHIFFRE
D'APPLICATION OU DECRET W
D'AFF AIRES.
46-2971 OU 31 DECEJ\llBRE 1946
RELATIF A L'INSTITUTION D ' UN
Le Ministre de 1'rn té.- ri eur et le Seorétaire
REGIME DE SECURITE SOCIALE
d'Etat du Bu,dget,
POUR LES FONCTIONNAIRES.
Vu les articles 15 à 2 1 Id.e la loi 5 1-598 du
24 Ma i 195 1,
Le Préside nt du IConseil des Mi nistres
Vu le d ~cr et n' 52-828 du 15 juillet 1952 ministre des Fina nces et Id'es Affa ires E cono~
fi xa nt les modalités Ide répa rtitio n -d u pro du it miqu es1
Sur le ra:pport du ministr e d u Travail et
ld'e la taxe de ci rcul atio n des "lÎand'es,
de la Séc uri té Social e Idu secrétai re d'Etat
A~~ETENT :
au Bud get et d u secrétaire d' Etat il la PréARTICLE PREMI ER. - La pa,rt Klu [prod uit SIdence d u ConseiJ, oha rgé de la fonctio n
de la taxe de ci rculati o n s ur les vian.des reve- ·publique,
Vu la loi n' 46-2294 d u 19 Octobre 1946
nant aux d ~artements et aux co mmunes,
sera, à cornrpter du 1er Ja.nv ier 1952, attr i- portant statut général des fonctionnai res ;
Vu le décret n° 46-2971 Id u 3 1 Décembre
'buée:
A ,raiso n de 151p. 100 a ux dtWa rteme nts ; t 946 relatif à l'rnstitution d' un rëgime de
séc ur ité soc ia le pou r les fonctionnai res,
A ra ~s o n de 6ï p. 100 a ux: co mmun es,
A raison <l:e 1 p. 100 a ux fonds Ide pé ré- ensemble la loi n' 47-649 d u 9 A vril 1947
qu ation.
\ po rtan t ratification dudit décret;
Vu le déoret n' 47-2045 du 20 Octobre
ART. 2. - La pa rt ,de 67 Il. 100 revenan t 1947 fixa nt ce rtai nes modalités d'appli cation
a ux commun es sera répa rtie entr e ces der- du décret n' 46-297 1 du 3 1 Décembre 1946
ni ères en fo nction de leur po pulatio n mun i- susvisé et les textes subséquents qui l'ont
cipa le tota le résult3lnt du dernier ,recense- modifié, nota mm e nt ,le déc ret n" 49- 1305 du
ment officiel co nnu et affectée des coeffi - 26 Septem bre 1949.
cie nts die m ajora tio n ci-après:
DEiCHETE :
Tranche de populat io n ,de 0 ,à 1.000 hab itants coeilicient 1.
ART ICLE PREMIER. - Le onziè01e a!i néa
Tranche de populat io n cie 1.00 1 à 2.000 du paragra:.'he 5 de l'a rUole 8 bis d u décret
'ha bita nts, coeffioie nt 1.50.
n° 47-2045 du 20 Octobre 1947 su"visé est
Tra nche d'e populatio n de 2.00 1 à 5.000 , modifié ai nsi qu'il suit:
habitants, coefficient 2,50.
« En outre • ,pour les i~valides du troiTranc he de p<>puJatio n de 5.00 1 à 10.000 sième g roupe, le mo ntant des éléments énu hab it.nts, cœfficient 3.
mérés en a et b est majo,é Ide ~ p. 100
T,ranch e de population de 10.00 1 à 20.000 sa ns que la majorat ion puisse être inférieu,re
habit:m ts. cœfficien t 3,50;
au chiffre minimum fixé iJ)ar J'article 56 § 3
Tranc he de population <le IPlus de 20.000 de l'ordonn ance n' 45 -235~ d u 19 Octobre
hab itan ts, coefficient 4.
1945. >
Toutefois, le chiffr e de la IPOPU latio n muni ART. 2. _ L'a r ticle 9 du déoret nO 47-2045
cipale tota le d'es co mmun es d'e la Seine, à du 20 Octob re 1947 susvisé est modnié ainsi
l' excep tion de Paris se.ra affecté du coe ffi- qu'il suit:
cient 4.
« Article 9. - En cas de maladie, ,lo ngue
ART. 3. - La pa rt de 15 p. 100 revenanl maladie et maternité les fonctionnai res bénéaux dépa rt ements, sera répa1rtie entre ces fident des prestatio ns en na ture prévues par
dern iers en fo nction de la somme des IPOp U- l'ordon nance nO 45-2454 (f u 19 Octobre 1945,
latio ns affectées dies coefficie nts ,pr6v us à da ns les conditions et suivant les tarifs en
"article 2 ci-ldess us de tout es les com mun es \rigueu r dans les ca isses de Sécurité Socrale
de ohaque dé:Pa rtement.
auxq uelles ils sont affiliés sous résel'lVe des
A'RT. 4. - II sera ten u compte des att.ri- dispositions tPrévues par le p résent décret.
« Les fonctionnai,res retraités pOlir invaJ \,butions qui seront versées aux commun es en
appli'ca tion de la rHcle 2 et aux d~partements dité a u titre Idu régime général .des pensions
en a,pplication de l'a rti cle 3, po ur le ,calc ul civ~l es de i"Etat et les fonctionnai res qui.
des att ributions du fonds national de pérer- reconnus en etat d'iniValidité temporai re dans
qll ation prév u pa r j'articl e 1577 d u ICode les conditions tprévues à l'article 8 bis cidessus, au moment de lelJlr mise à la retraite,
gé néra l des impôts.
o nt été admis d'office à faire valoi r leurs
ART. 5. - Le Directellr de l'Admi nist ra- droits à la retraite en application de ff'arti'cle
tion dépa-rtementa le et ,co mm unale a u minis- 2 ( 1") d u rode des pensions civHes et mU rtère de l' Intérieur1 et le Di recte ur du buodJget ta ires de re~raites, ont d roit aux prestations
a u minist ère des Finances sont chargés, cha- en nature de ('assurance inva li dité selon les
Cun en ce qui le co nce rn e, de l'exécution du mo da lités fixées à l'alinéa !précédent. Lorsque
présent arrêté.
les intéressés attei'gnellt l'âge de soLxante
a ns, ils ont Idroit , sans limitation de durée,
Fait à Paris le 12 Août 1952.
aux prestations en nature de l'assurance
Le ,Ministre Ide l' Intérieur,
ma ladie pOlir l'affectation ayant donné lieu à
Oh~ 'l es BRUNE.
l'attribution de la !pension d'invalidité 011 d e
Le Secrétaire d'Etat au Budget,
l'allocation d'invalidité temporaire. ...
Jea n ,MOREAU.
_ ILe (Mi ni stre du Travail et de la
:'ocI,,!l e, le Secrétaire
au Bt1~
-------<>00< .-------
Consefl, chargé de la fo nction publique sont
c hargés chacun en ce qui le ,co ncerne ce
l'appli cation du présent décret qui sera publi é
au j o urnal Officiel Ide la République Française.
Fait à Paris, le 10 Septembre 1952.
An toine PINAY.
Par le Président du Conseil des Ministres,
Ministre des Finances et des A,ffaire
Eco no miqu eS.
Le Ministre du Tr a\v ai~
et de la Sécurité Sociale,
Pierre GARET.
Le Secrétaire d' Etat .il la Préside nce
du Conseil ohargé de la fo nctio n
publique, .
Guy PETIT.
Le Sec rétai re d'Etat au Budget.
j ean MOREAU.
- - --<,>OOc>- - -- AC 0
02 BI
CIRCULAIRE RELATIVE AU REGi.EMENT DE LA VALEUR DES PRODUITS EXCRUS SUR LES IMMEUBLES DOMANIAUX ET CONSOMMES
EN NATURE PAR L'ES SERVICES
AFFECTATAIRES DES IMMEUBLES
QUI RELEVENT OU BUDGET GENERAL. - APPLICATION DE L' ARTICLE
2 OU DECRET -LOI OU 28 FEVRIER
1940.
Paris, le 30 j uillet 1952.
Le P résident du Conseil,
Ministre des Finanoes et des Affaires
Econ omiQues,
il 11\.\1\. les Ministres et Secrétai res
d'Etat.
Les brens immobiliers afiectés il un service
public peuvent fournir des fruits et des pr<>d uits (par exemple : herbage, taillis, menus
p roduits .. ) En apl1lication de J'article 2 du
décret-loi <lu 28 IF<'vriN 1940, relatif à la
gestion et à l'al.iénation du domaine mobilie r
de l'Etat, le service affecta taire ne peut conserver, pour son usage, « les produits eX'C!1.lS
su r cet immeuble qu'en versa nt à l' administration d'eS Domaines, au titre du Budget
général, ~a valellr de ces produits.
Les !dispositions de ce texte doivent s'entendre diffé remm en t suivant que le service
affecta taire de l'immeuble relève ou non du
budget général :
a) Si le service affectataire relève du Budget général, H doit effectivement verser â
l'Administration des Domaines la valeur des
fru its et des :produits exûTUS sur Iïrnmeuble
et co nsommés par lui. En principe, cette prescription s'applique mème si. par ex'Ception
à la règle générale, le :produit de la vente de
l'immeuble qui a fou rni les fruits et proàuits
consommés en nature, n'est pas pris en
recette au Budget général, mais lPf'ut Hre
rétabli au profit du servi ce cédant ou dit
DéparJement ministériel dont il rdè\'e et
s'ajouter ainsi aux o:--édits déjà o uverts à ce
d'ernier par la loi de finances.
b) Si le service affecta taire ne relève pas
du Budget généra l, il est, par appli:eation d'eS
di spositions des articles 7 et 8 du décret-loi
du 28 Fé,,;jer 1940, dispensé de verser entre
les mains du Receveur Goes Domaines la valeur des fruits et produits exorus sur l"immeuble et qu'il consomme directement.
La procédure -de r~glement de la valeur des
="""",'"= Pt.
r
"i.
�200
201
3· Le règlement sera réalisé entre les
maUlS d'un com,ptable des Domaines, contorm~me.llt aux prescnptlOlls
expresses QU
décret-lOi du 28 t evrier 19-J.O et aux in>uicatlons que lourDlt le cOrT\?te genéral de l'AdmtlllstratiOn des finances.
Dt:s que votre M ministranon ct:ntalè sera
en possessioll des etats des trOlts et 'prodwts
consommt!s en nature par \.·os services
locaux, Ù '"DUS a,pparbena:ra de ;provoquer
l'emlsslOn sur les credits tt.l u Budgc [ de votre
Départelllt!nt
ce destines, I(j Iln titre de
paiement global au nom du Heceveur des
Domaines au :lme Burea u des 'entes moblHère, \ll).l, lfue de HLchel!eu, Paris). Ce
comptaule a été inv;té à aoqUitter pour ortlre
les titres de paiement qlÙ lUI paJVleooront ~n
exécution de la présente lettre coUective et
à en prendre le montant en recette, en p nncipe, au compte c Produits et revenus du
Domaine de J'Etat ::t.
Pour facilite r la tàche de ce co mptable,
les titres de pajeme.nt ,qui seront émiS à son
[Iom portero nt une mentio n Ide référence a
Ia présente instruction.
considére r, dans les deux cas, que la double
cotisatIOn est comprise dans Je versement
forfaitai re et global effect ué par l'Admi nistration 'd ' origine il la Caisse Nationale de
Sécurite Sociale, dans les conditions fi xées
A l'heu-e actuelle, ce règlement est effecpar la lettre du 16 ja nvi er 195~ .
tué, la plupart du temps, au stade local, selon
des périodicités qui varie."t avec I~ . servrces
En ce ql.l i conce rn e la cotisation perso nconsommateurs. Par fois. II est réalise annuel.
nell e de l'intéressé, il convient de distinguer
lement entre les mains de l'agent comptable
Je cas du fonction nai re titula ire détaché dans
central du Trésor. par application d'errements
un emploi de contractuel et celui du fonctio nnai re exe rçant une foncti on élective ou
qui ont été etabUs officieusement..
,
j'ai l'honneur de \'OUS fa LIe connaltre qu à
un mandat syndical.
. ,
..
.
compter de la presente année, le règlement
Dans le premier cas, 1 Admin istr atIOn qui
de la valeu r Qes fruits et p.rodtüts ex-crus SUI
, o~donn~nc~ le traitement du fonctio~ n ai re
des immeubles domaniaux et consommés en
d etac h~ do!t se bo rner, purement et s lm ~ l e
nature par les services anectataires relevan t
n.lent. a precomper le ,.m~ ntan! de la cot1~a
du Budget gènéral devra Hre opéré dans les
tlo n a l a char ge. de l l~teresse sur l e tralleconditions ci-aJ)rès
ment de ce dernier, qlll es t ord onn ancé pour
1" Le règl~ment sera r éalisé, en !principe
le net.
annuellement au d<ëbut de chaque annee.
Dans le deuxième cas, J'Administrat ion de
pour la valeur des fruits et produits consomlaquell e a été détach é l'age nt intéressé doil
més en nature au cours de l'année prêc~
déterm iner au début de chaque trimestre
dente. Les dérogations qui pourraient devoir
écoulé et inviter l'intér essé à ve rse r ce manI!tre apportées à cette règle, en raison de
tant il la Caisse du Heceveu r Ce ntr al des
nécessités particulières, seront établies par
Finances de l a Seine. Ce comptabl e supéaccord entre le service consommateur et
Pour le tVûnîstre et pa r delégation
r ieur fait rece tte de la somme versée aux
l'Aùministration des 'Domaines.
Le Directeur ,de la Compta,bilite PubÎlq lJe. produits divers du budget à la lig ne « Re2" Le Ifèglement sera réalisé globalement
Pour le Dlfecteur de la Comptabilité Publique cettes accidentelles à différents titres >, el
pour la "aleur de l'ensemble des fruits et proLe Dir.ecteur adjoint,
fait parvenir le jou r même, à l'Admi nistracuits consommés en nature lperudant la penoSigné: Gll3ëLIN.
tian intéressée, un e déclaration de recette.
de il laqudle ù s'applique. Cette \'aleu r sera
En ce qu i concerne les budgets annexes,
déterminee SIU le plar local dans les condi- -- - 0000- - -les
offices et étab lissements nationaux, les
tions suivantes :
AC 3 cotisations à la charge des age nts détachés
Vos chefs de sen'ices locaux intéressés 0 2 BI
pour exerrer une foncti on élective ou un
seront invités à dresser en double exemplaire,
des etats annuels détaillant par nature et par CIRCULAIRE RELATIVE AU VERSE - mandat syndical doi vent être versées par les
MENT DES COTISAT IONS DE SECU- intéressés entre les mains de l'Agent comp·
quantité, les fruits et produits consommés
RITE
SOCIALE DES FONCTIONNAI- tabl e des organismes, offices ou établisseet J)foposant une estimation pour chaquf'
quantité de fruits et produits consommés. 1 RES ET MILITAIRES DE ' CARRIERE, ments in téressés qui en font recette à tit re
BENEFICIAIRES DES REGIMES DI:: de recettes accidentdles au budget de ces
L'estimation est normalement faite, soit·
SECURITE
SOCIALE INSTITUES PAR organismes, offiOf.s ou ét abJissements.
d'ap:ès le cours moyen des biens consommés
LE DECRET N" 46-2971 DU 3 1 DELes dispositions prévues ci-dessus, en ce
pendant l'année de la consommation, soit
CEMBRE 1946 ET PAR LA LOI N" qui co ncerne les fonction naires détachés,
d'après le cours du jour de la eonsommation.
49- 489 DU 12 AVRIL 1949.
Des justifications sont, le cas échéant, porsont applicabl es àux militaires placés dans
têes sur les états, à l'appui des estimations
des positions analogues.
Paris, le Il ju in 1952
~
fournies.
II. - Cotisations afférentes à des rappels
Le Secrétaire d'Etat au Budget
Les Liais seront datés, certifiés exacts et
de traitements versés au tifre
à MM. les Ministres et Secrétaires
signés par \IOC chefs de services locaux. Un
des exercices antérieurs
d' Etat,
des exemplaires sera envoyé, avant le 3 1
JaO\'ier de l'année qui suit celle de la conLes Administrations doivent, dans la limisommation des fruits et prodllits, au Direc- . Par lettre n" 12 du 16 janvier 1952, des te du pl a fond ap plica ble à ,la période consiteur des Domaines dans le ressort de la instructions vous ont été données pour le dérée. précompter sur ces rappels de traiteDirection duquel se trouvent les immeubles ve rs em~ nt, à compter du 1er j anvier 1052. me nts I.es cotisations à la charge des intédomaniaux ayant fourni les fruits et produits des cotisations de Sécurité Sociale des fo nc- ressés ; mais elles n'o nt à effectuer aucun
consommés en nature. Le Directeur des tionnaires et mili tai res de ca rr ière bénéficia i- versemen t parti culier aux organismes de séDomaines destinataire devra accuser récep- res des r égimes institués par le décret nu- curité sociale.
tion de retat. Si, dans le délai d'un mois à méro 46-2971 du 3 1 décemb re 1946 et par
Les rappe ls de trai tements étant imputés
c""",ler de l'envoi de l'état, il n'a pas con- la loi n" 49-489 du 12 a\'ri l 1949. L'appli ca- su r l es crédi ts de l'exercice cou rant, le vertion
de
ces
instru
ctions
ayant
provoqué
des
testé les estimations qui y sont faites, cellessement forfaitai re et gUoba l effectué trimesci seront considêrées comme acceptées. Dans demandes d'explications su r un certain nom- t ri ellement, conformément aux règles fi xées
de
points,
j'ai
l'
honneur
de
vous
précibre
le cas où il contesterait ces estimations, la
par la l ettre du 16 janvie r 1952, comprend,
vallror des fruits et produits consommés en s~ r , ci- après, les r ègles qui doivent être sui- en effet. le mon tant de l a double cotisation
VIes dans les divers cas qui m'ont été sig nanature serai t alors fixée, soit ,par estimation
afférente à ces rappels de traitements.
lés.
contradictoir~. soit, en cas de désaccord !persistant, par expertise. Les frais de l'e~rtise
Ill. - Relèvem ent du plafond de cotisation
1. - Fonctionnaires tilulaires détachés
d.emeureraien t il la charge de l'Administration
L'articl e 18 de la ,lo i de Finances pub liée
Aucune difficulté ne se prése nte pou r les
dont les estimations se trouvent les plus éloiau
J. O. des 14 et 15 av ril 1952 a po rté
fonctionnai
res
détachés
dans
un
emploi
co
ngnées de la valeur définihvement retenue.
Dës que l'aocord se trouvera réalisé entrl duisant a pension du r égime gé néral de re- le plafo nd de cotjsati o n de sécurilé SOCIale
eux les Directeurs des Domaines, vos chefs tra ites (cas prévu au 1" de l'a rlic le 99 du de 408.000 il 456.000 fr a ncs par a n, il compter du 1er av ril 1952.
de services locaux devront transmettre aUA Stat ut Général des Fonctio nn a ires).
Bien en tendu, les Admin i'strations doivenl
servicp-s intéressés de \''l')tre Administratlo~
En ce qui conce rn e les fonctionnaires décentrale l'exe mplai re de l'état des fruits el tachts aupr ès d'une adm inistrati on d' Etat teni r compte de ce nouveau plafond pou.r
produits consommés en nature, qui est de- dans un empl oi ne cond uisant pas à pension détermin er le montant du versement forféH meu ré entre leurs mains.
du régime général de retr aites ou les fonc- laire à effectu er aux organismes celltra~1 ;(
Les Directeurs des Domaines feront, de tionnaires détachés pour ~xerce r une fonc- de sécu rité sociale, en application <.le ma CIrleur côté, avant le 15 Mars. parvenir leur tion publique électi ve ou un mandat sy nd ical cul aire du 16 janvier 1952.
La dépe nse '
rés"ltant du
au 5" de l' a rti cle 99 du Statut
.".mnl,,' .. au Service central des Ventes du (cas
les services qui sont soumis aux prescrùptions
de l'article 2 d u do!cret-loi du 28 Février 1940,
Il'a jamais été organisée d"une iaçon systématique.
a
les conditions prévues à
circulaire n" 36-16 B-2 du
Pour le Ministre
L e Directeur
Sign é : D.
la page 2 de ma
Date de dépôt d' intention de soumissionner
23 mai 1952.
et des pièces le 23 Septembre 1952 dernier
•
et pa r délégation délaJ.
du Cabinet·
'
POUt tous renseignements sa dresser à IlnARNAUD. .
te-ndance susvisée.
N. B: :- La cir.cul aire n° 12 du 16 j anvier
- - --c>oo<::..- - - 19~2, citee fentrél,febren ce dans l~ présente cirCU.31re, a al
0 Jet de la notificatio n nu- 02 B3
mero 38 FIN.-BUD d u 26 janvier 1952.
OUVERTURE D'UN CONCOURS POUR
L' ADMISSION A L'EMPLOI DE MANIPULATEUR AUX LABORATOIRES
DES SERVICES VETERINAIRES DE
PARIS ET DU DEPARTEMENT DE
LA SEINE.
-
•
Communiqués-Avis
Annonces diverses-
INTENDANCE DES SUBSISTANCES
Un c<;>ncours po ur l'admjssion de 2 emplois
MILITAIRES
de mampulateur aux Ser vices Vétérinaires .de
Caserne Audéoud, pr omenade de la Corn idhe Pari s et d11 tiépart ement de la Seine s'ouvrira à la Préfecture de Police à Paris à une
NIL~ RSEiJ LLE
da te qui sera fixée uHérieuement
Adjudication s publiques restreintes
Le reg istre d'i nscription des ' candidats
sera clos le samedi 15 Novembre 1952.
MAiRDI 7 OCTOBRE 1952
Les co ndi~o ns d'arlmission et le program1· A 9 hewres, Chocolat il croque r : 200 xl
me des. matièr es du concours sont tenus à
(deu x cents qUintau x).
la disposition des ca ll{fjdats à la Dir ec ti on du
2° A ~ 'ho ~O, Sucrer cristall isé ou Sucre O'I a- Personn.el, du Boo'get , du Matéri el et du
nule raffiné: 600 xlm (six' cents qui n ta~lx). Conte nh eux Werso nnel) de la Préfect ure de
Pol ice.
'
3°. A 10 heurres.' Pâtes aLimentaires: 500 x/m
Le traitement me ns uel net de déb ut des
(rclnq cents q Uintau x) .
~a.n!pujateurs est ~e 25.200 francs, auqu el
4' A 10 h. 30, Tollé noi r : 10 xlm (dix quin- s. ajoutent le cas éc hean t, les allocations fa mitaux).
lLales.
02 B3
OFFRE D'EMPLOI
Un COncours pour le recrutement d'un
de tJur ea u (indiCes 110-160) sera
prochain ement ouvert à la Mairie de Porta e-Bouc. - Conditions d'âge : 2 1 il 30 ans.
Les ca ndidatures devront ~t re adressées
à la Mairie.
emplo~é
•
COllllllUNIQUEs DU SEGOETBBlBT
~.IDE L'UNIOH DES P1DIDES
02 B3
DEMANDE D ' EMPLOI
Secrétaire Général Mairie Puy-de-Dôme
so1licite. en raison de J' état de santé de sa
femme, un emploi équivalent dans une commun e du département des Bouches-du-Rhône
de 3.500 il 5.000 habita nts.
J\lM . les Maires intéresses par cette candidature sont pries dte se mettre directement
en rapport avec le Secrétariat de l'Union.
Le Secrétaire Général de rUnion.
AlIDIBEiIIT.
----c~ooc,---
Le Secrétaire General :
Pour le Préfet et par Délégation,
Maxime MIGNON.
�REPUBLIQUE FRAN Ç AISE
16 .t 23 Octobre 1952
10' Ann ••. -
N" 42 el 43
~;:;)UCHES-DU-RHONE
DËPARTEMENT
~
."
i "
"~\,
,
Recueil des A~IL/" ""':dministratifs
Mairies
et
Toute correspondance r elative au R ecueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIA.'1'ION8
A. P . : Arrête préfectoral. - C. : Circulàire.
D. S. T. : Direction des Se rvices Techniques. -
Les lettres D et B suivies d'un dhiff re indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. D. S. : Direction Dépa rtementa le de la Santé.
D. D. P. : Direction départe-
mentale de la Popu lation .
SOMMAIRE
Pages
Textes d'Intérêt Général
,
Mrèté préfectoral fixant le
c.ou rs des deMées servan t de b~e
Paies
AG 7. - .Recrutement <le l'Armée . au ca lcul des ferm ages .. .. ........ 205
Alwlicatio n ,ct" 'l ',,rtiole 4 de la loi
n' 52-836 du 18 J'uill et 1952
203 ClA 4. - Arrêté ,préfecto ral relevant
AG 7. - Rec r utement de l' Anm ée. le tau x des allocations de chômage. 205
OlYli,gatioos miditaires des F ramça is
CIA O. __ Elections à la Chambre des
Musu lm ans d'Algérie des classes
Métiers des Bouches-du- Rhône. 1947-1 948-1 949 et 1950 ............ 203
Convocation des électeurs artisanaux 206
AG ï. - Recrutem ent de l'Al'ITlée. Appel s<1us 'l'es d rapea ux de la
A 4. - Arrêté rel atif au logement des
deuxième t raction du contingent à
ouvriers des exploitations forestières.
i ncorporer en 1952 ................ 204
- Rectificati:-f ................... . 20ï·
AG 7. - Recru:tement de J' m>ée. Circulaires concernant plus specialement
Extrait de l'31rrêté i.ntenninistériel du
,
les Administrations de l'Etat
12 août 1952 ............ . ....... 204
AG 7. - Recrutement de l'Anmée. AC 4, - CiJ'Culaire relative à J' ''IPPliFrançais MusuLmans des contingents
195 1/ 1 et 1952/2 .... " " " " . " , 205
AG 7, - Qu'Verture d'e C<l'lombj.,rs de
pigeons-voyageurs ... ,-, ...... .
205
TEXTES
D5 B2
Textes d'intérêt communal
A O. -
cati on du déoret n° 52-256 du 5 mars
1952 concernan.t les marches passés
"au nom de l'Etat ."",." .. "",
AG 2. - Assu rance cnUective en cas
de décès en fa.veur d'u personnel des
208
collectivités locales ... ,'., .. " ..
"'G 6, - Arr êté préfectoral autorisant
'la conversion de " Association syndicale Et>re <les prOlP riétaj res du lotissement « La Pugette > il SajnteMarguerite, Ma.rseilte, en association
syndicale autorisée ............... . 211
Communiqués -. Avis .- Annonces divel!SeS
-
Ouverture d' ll1l concours à la mairie
de .Marignane pour le reorutement
d.''Un commis d'ordre et de com,ptabilité , ..... , .......... " " " " . "
I
207 -
211
Communiqués du Secrétariat
de l'Union <les Maires
Campagne pour la Vieillesse ..... .
2 11
DïNTËRËT GËNËRAL
AG 7 contingent libérable en octobre 1952 > se D5 B2
{
r~P'Porte aux jeunes gens inscrjts nonmalement en misan de leur âge sur les listes de
recrutement cantonal des fractions de .clas-
AG 7
RECRjJTEMENT DE L'ARMEE OBLIRECRUTEMENT DE L' ARMEE - APPLIGATIONS MiLITAIRES DES FRAN CATION DE L'ARTICLE 4 DE LA LOI ses appelées (classes 1950/3 et 1951 / 1) en
ÇAIS MUSULMANS D ALGERIE DES
N' 52-836 DU 18 JUILLET 1952.
a.vri l 195 1, â. J'exclusion de ceux appelés
CLASSES 1947-1 948-1949 ET 1950.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône.,
à MIM , les Ma ires du Département,
L'a rticle 4 de da loi n' 52-836 du 18 jujllet 1952 qui astreint â. 6 mois de sel vice
actif supplém.entaire Iles ca,ndidats à la Genda rmerie ,au r;égiment Ide Sêl(peUlrs-Pol'llIpiers
de. Pari s, et à certains enl!plois publ ics énumeres à l'a rti ale 1er de cette lru, st>P'"le :
« .Les chispositio ns de l a Iprésente loi sont
a'PP l ~ cab le s aux jeunes
gens ~ppartenant alu
contlnrgent Ililb6.r,able e>n octobre 1952 et aux
contingents suiva-n.t'S ».
J'ai l'honneur de VOUS faire connaître que,
par circu.laire du 29 août 1952 M le Minis-
t re de la Défense N atioilaJe ~ p'récisé que
a.vec ces fractions de classe dont l'incorpo-
r ation a été retardée pour une cause quelconque (ajournés, naturalisés, omis, sursi-
tajres),
Ell conséquence, les dispositions de la loi
n0 52-836 du 18 juillet 1952 ne sont en fa~t
afPP'lica,bles qu'aux j~ltneS gens nés postérieurement au 3ü novembre 1930.
P our 1~ Préfet et pa< del~gatio""
Le ecrétairt! Géneral
,\\axime MIGNON,
_ _ _ _ q;,»OOC) _ __
Le ~ré.fet des Bouches-du-Rhône.
à MIM. les Maires du Departement.
En raison de l a lim itation d
effectifs
des classes 1!J.l7, 19.\8, 19.\9 et 1950, imposée par les lois bu.dlgetaires, les Français
MU5'ulmans d'Algérie 3»partenant à ces
classes (jeunes gens nés en 1927, 1928, 1929
et 1930), n'ont pu dre a~pelés SOus les
d rapeaux.
Afin de. rcguJari-ser la position des intéressés, .\t le Ministre de la Défense Nari~
na le vient de ,pn.!c.iser qu'il est décidé qu'ils
seront consiùérés conune ayant satisfai t ,à
!eurs obligations militaires d·acHyih~.
~
l'p l'pntirm li
�205
204
1
gens engagés qui Su1\'ent le sort de leur et la résen'e a ux dates indiquées dans le
« Tout homme appa,rtenant à la catéoorie
ci-Jessus qui, ava nt l'âge de 30 ans ab du ,
Annee
de naIssance
le droi t de bénéficier de ,la dispense de 1.
présence effective sous fies drapeaux, est in~
corporé dans I ~ {léla i d'un mois à compœr
de la con.staw. tlon de sa nouvelle situation
JI accompl it alors la d'UTée du service impo:
séoe à sa classe d'âge.
classe de recnnernent., dans la disponibilité table"u ci-dessous
fait de son ,elHlimgemlent de résidlence~ pérdu
POSItion Militaire
à pa rtir du 15 -10-19.:19
1927
1928
1929
1930
disponibilité
disponibilité
di!ipo nibilité
disponibilité
D ate de lpassage
dalls la 1re n!serve
15
15
15
15
Date de lpaS9.1ge
da ns .a 2e nése rve
octobre 195 1
oct{jb re 1952
octdbre 1953
avr il
' 1955
15- 10-1967
15-1 0- 1968
15- 10-1 969
15- 4-197 1
Pour Ile Préfet "t par délégation,
...Le Se~rétaÎf't! Général :
Maxime M'IGNON.
IV. -
-------<~oo c~ -------
AG 7
D5 B2
RECRUTEMENT DE L' ARMEE - APPEL
SOUS LES DRAPEAUX DE LA
DEUXIEME FRACTION DU CONTINGENT A INCORPORER EN 1952.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône;
à M.\1. les Maires du Départenrent,
L'article 2 du dé<:ret du 20 aoùt 1952
fixant la composition, les dates d'awel et
l es CJbJ.igations d'actÎlvHe de la deuxième
f raction du contingerrt à incor1po rer en 1952
précise que l'Alrmée de t'Ai r sera 3!Ppelée
en deux fois â partir du 1er novembre 1952
et 16 anvier 1953.
J'ai J' honneur de vous faire connaître
qu'un dé<:ret du 6 octcmre 1953 a modifié
cette première date.
Les jeunes gens dudit contin gent incorpores dans l'Armee de l' Air seront appelés
sous les drapeaux à partir du 15 octobre
1952 et du 16 janvier 1953.
Pou r le J>.r~fet et paw dclégatiofl,
Le Secrétaire Général
Maxime ~·\JGNON .
05 B2
AG 7
RECRUTEMENT DE L'ARMEE _ EXTRAIT DE L'ARRETE INTERMINISTERIEL DU 12 AOUT 1952.
Les ta1JOeaux n° 1 e t n° 2 an nexés
à J'arrêté i ntenrninistécriel du 19 jaJl'vier 1933
son t Sl\Pp r iin~s et r"m",lacés par les t•.
Ill . - le t""te de l'article 5 de l 'arrHé blea'Ux n°, 1 et n° 2 ci-j oints.
intennimstérie! du t 9 ja nvier 1933 est SlipV. L es pres""'ptions édictées ,par le
pr.ûmé et rem:pl.a'Cé par le suivant :
présent ar rêté ne s'appliquent qu'aux hom< ART. 5. - S<>nt dispen. és de la ,pré- mes recensés a'Vec l es classes 1953 et ~
sence effect~ve so us les dLl"éltpeaux en exécu- térieu·res.
tion des dispositions du 2me al inéa de
Fait il Paris, le 12 août 1952.
l'a rt. 00 de ~a l oi du 31 mars 1928 et 'ous
les con ditions sp6c.ifiées pa,r cet article les Le Secrétaire d'Etal' à ln Gllerre
jeunes gens dom icifiœ ou r ésidant dans Iles
D E CHEV I GNtE.
territoires et 'Jes dépa rtements d'OUh'e-.\1er,
Le Ministre de ln France d'Olllre-Mer :
tenr itoires so us t utfllles et territo"'res dies
PE<L lM L/oN .
Etats Associés. énumérés au tableau 2 ci-
trnnexé.
.
Le Min istre de la Défense Nationale
PiLEVEN.
« Les jeunes gens dispensés de l a presenœ eH·ective sous Iles d·r.a.peaux reçoivent
Le Ministre d'Etat
le l ivret individuel prévu par l'artiole 29 de chargé des retations avec les Etats Assad/s,
la loi du 3,1 mans 1928.
j. LETOU,RNEAU .
Article 2 de l'arrêté du 19 janvier 1933
TA&LEAU N' 1
Siège des conseils de reVIS10ns 1P0wr les terri toires et départeme nts ,d/Qutre-Mer,
œrr itoires sous t'utelles et territoires des FAél!ts Associés où iJ n'existe pas de troupes.
françaises et pOUI ceux où 'un conseil ne peut être régu1ièr-ement co nstitué.
Siège
du Congejd de Révision
------- c>oo<~ ------_
« L es r èglltes à s uivre pou.r da jusfi,fioation
par l,es i ntérêts de l eurs dro it" au bénéfice
de la dispense de la ,présenlce effective sous
les dra,peaux sont indiquées à l'a r ti dle 9 ci.
~près • .
P&ris .............. ..
Pondichéry .... .. ... .
Nouméa ....... . ... .
Papeete .. . ........ . .
Territoires de r ésidence
Obsef'Vatio~s
Saint-Pierre et M iquelon.
Euablissements Français de Pinde.
A rChi,!>el des NOlbvclles-Hébrides et
Waililis et Futurta.
Etabl issenrents Français d'Océanie.
Iles
Arrêté modifiant l'arrêté interministériel
du 19 jan vier 1933 mis à jour avec les ar_
Ar/icle 5 de l'arrêté du 19 janvier 1933
rêtés du 3 1 juil/et 1934 e/ du 26 avril 19-16.
TA,BLlE.AU
N' 2
déten:ninant les conditions d~applicafioll 111e 1
la 10l du 3 1 mars 1928, relaltve au r ecrute- T er.ritoires et D~arteme nts d'Outre-Mer. terr itoires sous tuteJlle et terr itoires des
ment de l'Armée et nofamment celte de
Etats Associés ou la réside""e <tispense de l 'accompliss:ement d'u service adif.
l'art. 9S de cette loi dan s les territoires sous
tuterle et territoire des Etats associés SItués
Ter;ritoire où lI a résidence dispense
hors au bassin méditerranéen.
Observations
Le Préfet des Bouches-du-Rhône.,
à A<L\1. les Maires du Département,
J'ai l'honneur <.le porter ci -dessous il l'Ctt e
cOllnaissam:e un .extrait de J'a rrêté intermir
:1 isté riel en date du 12 août 1952. moditil(Jllt
c<liui du 19 janvier 1933, mis à jour 'I""r 1;,s
ar rêtés des 3 1 juillet 1934 et 26 avril 1946,
déterminant Iles conditions d'application de
l 'art. 98 de l a loi du 3 1 mars 1928 su r le
rec.rU'tenrent de l'A rmée.
f. - Le dernier ,par~graphe <le l'article 2
de l'aHété JOterministériel du 19 janvier 1933
est su'PPrimé.
II.
Le" _"
âernier
paragra.pJ1e det
J.. .'" __ 1 _ _ _ _
.1,
_
. _ _ _ : __
Grou,pe
de T errit oi res
Padfique ...... .
D Oi>a rtemen~
des A ntil1es .......... .. . .
T'erritoires des Btats
associés dJl ndochine
et
Etablissements
Français de l' i nde ..
·Ies Français et naturalisés français
de l a présence eHeotüve sous ,les d'rapeaux
Il es du Paci'iqlle autres que l a Nou'V'<ll leCadédùnie ( 1), T ahiti et Moréa.
Les ter ritoires de St-Pier re- et-Mi quelo,n.
!iles de la ~r des A,ntillies autr.es que
l a GU'adeloupe et l a Martiniq ue.
Etablissemen,ts français de l' I'nde.
AG7 indications fausses oU' incomplètes, soi1: par
Article 2. - Le Secrétaire G~n cra l de la
sUP'J)ression, substitution ou contrefaçon de Pléfect ure est changé de l 'exécution du préRECRUTEMENT DE L'ARMEE - FRAN- bague., soit :pa.r tout autre moy"" de natu re sent auêté.
çAIS MUSULMANS DES CONTlN- â empêcher l' i.de nti~ication des volattles :t.
Marseille, le Il octob re 1952.
llENTS 195 1/ 1 ET 195 1/2.
Pou r 'e Préfet et par délégation,
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général :
Le Préfet des BOl\ches-du-Rhône,
Le Secrélaire Général
M'axime
M
IGNON.
à M'M. les Maires du Départ_t,
Maxime M IGNON.
( our in'ft>nmat ioll à MNI. les Sous-Préfets
----- c.)o o c~, -----p
d' Arles "t d' Aix-en-P.ravence)
------- <~ oo c~ ------06 BI
A 0 06 B3
CIA 4
E'" raison de oe rt ai ntes .diffic ultés d'o rdr.c
D5 B2
admi nisllratif l
d' inJCorpor a.:tl O,tl. des
FrançaJs ARRETE PREFECTORAL
M UJImans d ' Algérie d'es contln glents 190 1/ t
FIXANT LE
COURS DES DENREES, SERVANT DE ARRETE PREFECTORAL RELEVANT
LE TAUX DES ALLOCATIONS DE
BASE AU CALCUL DES FERMAGES_
CHOMAGE.
etU~95 1 /2 qui résidaient en métrqpole a-::ant
leur 31Pipel so us les dr'alpeaux., n a, .pu etre
ft otuee a·ux dates pr ues pour. Ilf1cor;po- ,
Le Pr0et des Bouch es-d.u- I~ô n e,
~at~on de ces -contin gents. ~He-c i s'est, en
Officie r de la Légion d' Honneur.
I.e Préfet des BoucJ1cs-<lIJ- Rhône r appelle
fa irt:. éotrelonné entr.e le 8 mal .et le 24 _sepVu l'ordonnance du 17 octobIe 19-45 rela- il Ml\\. les Maires que le. décret du 12 Seplembre 195 1 pOllor ceux du <:ün hnge.nt 190 1/ 1 tive au statut du fermage, modifiée .par les tembre 1952 (paru au J. O. du 13 SeptembJ.--e
t le 20 octOJbre 195 1 et le 30 Jan",er 1952 lois du t 3 av ril 1946 et 3 1 décembre 1948; 1952) a relevé le taux des allocations de chôe ur ce ux du con ti ngent 195 1/ 2.
.
Vu l'avis émis le 2 ootobre 1952 pa r la mage.
~
poOr, la question s'est J'osée de savo~r que.bl.e Commission ConsuJtative des Baux Ruraux;
En
co
nséq
uence,
l'arreté
préfectoral
ci était la date .d'ori gine des services c.~s lflteSur l a proposition du Secrétaire Géné.r a1l, dessous modi1ïe le tau x C.leS anocations et le
ressés.
. "tre ue
barème des G"essources.
A'R,RETE
j'a i fhonneur de vo~s faire . ~o~ n a~
.q
.M. le Ministlile de la D.cfensc t\atl~n~e Vient
Article premier. - Les cours des denrées
ARR,ETE
de préciser que le pôlllt de d.~ l "t l:.5 se.r- devan1 servir de Ibase au calcul des fermages
·c.s
des nlllit3.lres dont Il
J. ... ·r JOlt, sont fixés ai nsi qu'il ,;uit dans Je D~arte
Le P réfet d'es Bouehes-du~hône,
VI ...
.
• .
, l a
conformément aux dlSpOSttlull ~ Ul
..L•. , I_ men't des Bouches-du-Rhône
Officier de la Légion d'Honneur.
-d l'articl e 4Q de la lui du J I li ars 1~ U.
Vu le decret du 12 Mars 195 1 fixant les
ê~re fixée à l a date de \'incolpClr ,.tIV.l ~J!t:CEchéance
co nditions <i!a ttoribution des aUocations de
ti ve des i ntéressés.
. .
du 29 septembre 1952 chômage,
En conséquence, leur llbt.:y at "~: du oorVu le décret du ~2 Septembœ 1952 <porvice actif ne ,pourra intel en~ 1 LJ.u alp rè~ s~
échéance
échéance
tant rel èvement <lit! taux des allocations de
tisfacti on totale de leurs Oil:Jll lgat1~ns d. ~ch.
annl.""elle semestrielle
chômage.
vité telles qu,'elles résulte"t des dl'W"slhons
Vu le Règlement Départemental dlJ Service
des décrets n' 5 1-87 du ~ janvier 195 1 et Blé (le quintal) ... . . . 3.4 15 (1) 3.4 15 (1)
d'
Aide
au.x tra vailleurs sans emploi en date
n' 5 1-984 du 30 ju,llet 190 1.
Pommes de ter re de
d'u 5 IMars 1952 ;
Pour ~e Préfet et pa.r délégation.
consommation co uVu les circulaires ministérielles des 2S FéLe Secretaire Gén éral :
rante ~Ie qu intal) .. 1.1 97
1.300
vrier 1952 et 22 Septembre I9;jZ, modifiant
Maxime M IGNON.
Foin de Crau (le quint.)
88 1
937,50 le barème des ressources;
Foin de Ip rairie ordiVu l'arrêté préfectoral du 2 Avril 1952 ;
-------<.)ooc»------728
naire (le quintal) ..
689
Sur
la p"oposition de u\\. le Directeur DéAG 7 Vin (le D " hect.) ... .
283
286,60
• D5 B2
partemenial
du Trav ail et de la ,\laiR-d'Œu2-13
259
Laine (le kg) ...... .
vr e.
OUVERTURE DE COLOMBIERS
Bœu'f poids vif 2e q ua139,50
136
lité (le kg) ....... .
AR ~ETE ;
DE PIGEONS VOYAGEURS
Huile d'oli,ve ('le kg) ..
305
~O
ARTICLE
PRE..\llER.
- Les tableaux anne,xe
L'artia!'e 2 de l'ordonnamoe du 25 juin .194.5 Fruits ('I.e quintal) .. 3.937,,50
4 .000
et annexe 2 joints au Règlement du Senice
relative à la ColomlJOJphilie Civile, .preclse
de l'aide aux t!ravailleurs sans emploi en date
c T oute Ipersonne de nat!o natité f~~llçaise
( 1) Sous rt'serve de l',n cide nce des réfac- du 5.i11ars 1952 sont, à compter du t er SepvoU'J.runt ·oréer un colombJer de Plgeons- tIOns mO'hvées !par le décret N" 50-1022 du tembre 1952. rem placés par les tableaux
Vo yageurs, roc voir ft titre permanent ou 22 août 1950.
annexes ci·atçrès
tranSitoire, eXlpéd.!e-r ou . coùporter" ache.ter.
v-endre ou coder des volattlles de ce~tc ~spece,
TABLEAU A,NNEXE 1
doit. Obte-ni r préal;!albleme nt l'aut~nsat!On, du
ToUlX DES ALLOCATIONS DE CHOMAOE ln DES h\AjORATIONS
P reflet de SOIl N partemen·t a g~ssant d a-cPOUR PElRSONNES A CHARGE A CŒ\\PTER DU 1"' SEPTE.\\BRE 1952
i:o.nd. avec l 'autorite mwita i rc rcglOnHle.
« La d1emande l.l'au torisatioll d'ouvertu,r.e
Décret du 12 Septem bee 1952
d'un cc,Jombier ou d'un com.merce de ~I
geon.s-VOyC;<7cu.rs do it 0tre r~llllSe au mmre
A - CHQ\\EURS SECOURUS PE.NDANT L N AN AU .\\"U·_\LU:\\
·de la co mlll~une dan~ laque1;e S.! t rou"t: l e
colombier ou dans laquelle r .:siLle le colomCommun..:s de
Communes de
Aqt-es
bqphrle. Le mai re t ra nsmet cette. ~~la ltd e
de 15.000
de 5.()(X) Commun es
au Préfet du département en lu! Jotgnant
DESIGNATION DES PAlnlES PRENANTES
habitants
habitants
son avis » .
Je crois all'jourd'hui devoir vous r~pp~l.e.r
ces in st ru ctions et vous dem a-nde-r cl 1Il'\lltcr Allocation principale :
·vos rservioes à vdiller à l eur eXL~utio ll.
Chefs de mt:nage .....
2CO
230
Vous voudrez bien m ~ signaler, inU11 ~ dia
.i
l
ajorntion
supplémentaire
tentent toute infraction qui sera. pUll . ..!
co nl or ~ ~ 111 ellt ~l la :-t:de 2::> :lt:! la l.!lk 0 . Conjoint c'Jl omeur ou . l1?n . tr~vJiJleur ou
personne à cJl arge VISes a l art. 27 du
dO'llnance ainsi conçu :
présent arrêtê ........
. ............ :
11 5
105
85
« Se ra punie d' une amende ùe
.à
Enf3nts d(> 10 â 15 anS Il 'ou'vrant pas ŒOl t
15.000 fra'l1'Cs tOlite pers ol1ne qui ~ura dlsslau 'bénéfice des alloca tions familiales ct de
mu.l é ou tenté de dissimuler J'eXistence, la
salaire unique .... , ............. . ...... .
5Î.50
52,50
42.50
détention ou l'origine de propriê~-é Gle
P .ilgeons-Voyageurs, soit par déclaratIOn ou
+
( 1) lI ôts
co IIlIp ris.
immMrals
L a résidence sur lester,ri toi res des Etats
associés ne donne pas
droit à dispense.
-=
Pour le P.éfet et pM délégation,
Le Secrétaire Général :
3.009
+
�207
B. - Les chômeurs secourus depuis plus
d'un an subiront un abattement de 20 % sur
le montant die leurs allocations, cet abatte~
ment de 20 % étant augment.' de 10 % par
année de secours.
Cette réductioo continuera â s·appliquer
tant que le cltômeur n'aura I]las occupé, à
nouveau, un emploi penrlan t plus de deux
.... mois. Dans le cas où la periode de travail
serait inférieure à deux mois, la durée de
secours à prendre en considération pour le
calcul des abattements se louvera prolongée
d'une durée égale au temps die travai l.
Par exemple : Si une personne secourue
depuis 4 mois occupe: lin emploi pendant un
mois et demi, elle pourra être secour ue, à
nouveau, pt"IlOant 9 mois et demi au taux
complet avant de subir l'abat tement de 20 % .
TABLEAU ANl\'EXE Il
Préfecrure (6me DiNision, 3me Bureau) p",
M.'1. les présidents d'es Assemblées él;"'toraIes.
ART. 7. - Le présent arr';té sera publié
et affiché dans toutes les Communes d.
Département.
.Jy\a;rseille, le 10 Octobre 1952.
Pou r le .Préfet,
Le Secrétaire G néTa l dél';"'ué
Signé : Nlaxime lM IGNON. '
ADDENDUiM. - . Il est rapp elé que suivanl
la 101 du 14 j'an vier 1933 modifi ée par le
L'allocation de chômage, jointe aux autres 1cflants \.j"a nt sous son toit, ne peu t dépasser, cté""et-loi du 30 Octobre 1935, les candidats
ressources de toute natu re du chô meur et de à compter du 1er Septembre 1952, les maxi- aux fonctIons elles membres die la Chambre"
son conjoint, des ascendants et des descen- ma fixés par le barème ci-après :
des Métiers devront se iaire connaître â la
Préfecture du Département HUIT JOU llS
au mOinS avant le scrutin. En conséq uence
Communes die
Autr es
Communes de
les can~i<i.a~ures seront j'eç ues.à la PréJectur;
DESIGNA TI ON DES PARTIES PRE.I\'ANTES
_c de 5.000
Communes
+ 15.000
(6me DlvJslon, 3me BUlTeau) jusqu'au S Nohabitants
habitants
vembre inclus.
Ces d'é cla rations dev,ront étre faites par
Chômeur isolé .. , ... , .. , ............... .
468
414
342
écrit
et dùment l égalisées : il en sera donné
Menage sans enfant ................. , ... .
843,75
753,75
618,75
récépissé. L es ,bulletins au nom relies ca ndidats
Augmentation poUT chacune des personnes
qui n'awraient pas fai t la déclaration prêvue
â cha rge ou pour chacug des enfants
ci- dessus, seraient müs.
autres que ceux ouv.rant droit aux allocaLes électeurs qui désirent voter par 'Cor.
tions famiUales et de salaire unique. _....
2!1I,25
183,75
1;48,75
re.spond.3nce
devront !réclam er l'enveloppeAugmentation pour chacun des enfants
necessalre au Secrétariat .cie leur ,Mairie.
ouvrant droit au bénéfice des a!locations
L'enveloppe extérieuT'e fournie par l'électeur
famil iales et de salaire unique ... .... .. .
7~
57
devra mentionner Son nom , Son a<iresse la
c,atégorie à laquelle il appartient, la désignatIOn <Le sa qualité (maitre ou com·pagnon).
Par ailleurs, la limite que ne peuven t dépasSur la proposition de M. le Secrétaire L'~lecteur dre.vra également y inclure sous
ser les allocations de chômage cornplet jointe Général,
peine de null'té de vote sa carte d'électeur
aux autres ressources du ména'ge d1u n ohôA'RRETE
qui doit être signée.
'
meur Quel que soit le nombre des personnes
ARTICLE PREMIER. Les élections en vut:
composant le ménage (ce taux pou\'ant être du renouvellement triennal de la moitié des
J
.
.. ... .
êventueJ1ement augmenté de la majoration membres de la Chambre des Métiers ,a'les . e CT<?IS, en ~utre, devobr VOliS rappeler les.
par enfant à charge) a été fixé â :
Bouches-du-R/hône sont fixées au 16 Novem~ Imsrruchons sUIvantes :
42.000 francs pour les villes <le plus de bre 1952.
1· CONVOCATION DES ELECTEURS.
15.000 habitants.
ART.
2.
Les
électeurs
inscrits
sur
l
es
37.000 francs pour les villes de 5.000 à
Conformément au décret du 12 Mai 1948
listes électorales artisanales, maîtres et com~ il vo us sera t ransmis ,etes cartes d'électeur~
15.000 habitants.
31.500 francs 'Pou r les villes de moins de pagnons désigneront leurs représentants à la de couleur différente : vert clair pOUf les
Chambre des Métiers dans ohacune des caté~ maîtres artisans et jaune .clair pour les com5.000 habitants.
gories ci~après énoncées :
pagnons.
à co~tef du 1er Octobre 1952.
VOLIS }' porterez les différenes mentions
ARTISANS MAITRES
ART. 2. - _'11. le Secrétair<o Général de la
co
ncernant les électeurs et vous en effec1re, 2me, 3me, 4me, 5me et 6me catégories:
Préfecture, M. le Directeur du Travail et de
tu erez la distributi on aux intéressés. Les carla Main-d'Œuvre, M.. le Chef du Service Dé- 2 sièges.
tes d'électe urs devront être distribuees HUIT
partemental -de la .A"1ain-"lfŒuvre, MlM. les
ARTISANS COMIPAGNONS
avant la d'a te d,es élections. Les carJOURS
Maires sont chargés, chacun en ce qui le
Ire, 2me, 3me, 4me, 5me et 6me catégorie tes qui n'auront pu être distribuées seront
concerne, de l'exêcution du présent arrêté.
1 siège.
' tenues à la C1isposition d es titulaires par le
Marseille, le 3 Octobre 1952.
La durée du mandat de tous les memh res bureau de vote, elles ne pourront leur être
Le Préfet,
élus sera de SI)( ANS.
remises qu'tip"ès vérifi cation de leur idientité.
René PAIRA.
L 'él ~ctell r ~e peut H re a'dmis à voter que
. ART. 3. - Le scrutin aura lieu de 8 heures Sur presentatron de sa carte,
-------('00<>------a 1,7 heures, dans les locaux ci-après dési06 B3
CIA 0 gnes :
2· ORGAN ISATION DU SORUT IN.
ELECTIONS A LA CHAMBRE DES
A, ",!.ARSEILLE : Ecole Maternelle, place
.
Afin de faciliter les opérations électo rales,
METIERS DES BOUCHES-DU-RHO_ de 1 Hotel des Postes pou, les artisans maiIl vous sera remis des en,ve loppes portant
NE _ CONVOCATION DES ELEC- ~~i~t a rtisa ns compagnons d'e toutes caté- e~ . caractères imprimés po ur chacun e des.
TEURS ARTISANAUX.
Dans toutes les autres communes d\J Dé- senes d'éle~teurs la qualité et la catégorie
de ces cJ1e,rnlers. Oette méthode permet l'u tij'ai l'honneu r de \'O uS communiquer l'ar~èté partement, EN MAIRIE.
hsatlon d une seule urne pour les artisanspréfectoral en date du 10 Octobre 1952, porLa loi autorise le vote par coorespondiance
maîtres et d/une seule urne pour les artisanstant convocahon des électeurs artisanaux.
ART. 4. L'Assemblée électorale sera compagnons,
ARRETE
présidée pa~ le lMaire ou SQn délégué, assisté
Lorsque l'électeu r se présentera dans la
.
,
.
de quatr-e electeurs qUI sont les deux plus saUe de vote, il a'Ppar tiend ra au Préside nt de
portant convocatIOn des electeurs artisanaux, âgés et les deux plus jeunes électeurs prê- véTlh er son identité, sa ca tégorie, et de lu i
Le Prefet des Boudes-du-RMne
1 sents.
re m ettr~ une enveloppe correspon~nt à cette
Officier die la Légion d'Honneur,'
ART, 5: - Les nominations sont acquises catégone.
Après la clôture du scrutin il y aura lieu
Vu le_ décret du 16 Juillet 1952 portant au preTl1Ier tour de scrutin il la ma'jorité
avant d'ouv.rir les entveloppes: de les classer publicaMn dl! .code de l'A,rtisanat .
relative.
par. ca tégo ~les et de façon distincte po ur les
Vu l'arrêté ministériel du 1er Aont 1952
ART. 6. - Les p1'océs-ver-baux de l'élection
fixant la date des élections aux Chambre~ se!o~t dr~és en triple exemplaire et trans- ma ltres artIsans et les compagnons. Ces dif~
fé re ntes. catégories devront êtr e dépo uillées
des Métiers ;
mIs Immédiatement après Je scrulion a la s~ccesslvement et jamais simultanément.
BARElM!E DES RESSOURCES
__ ...
: __ 1
,
,
AC 4 tions de procéd'er, sans passer de marchés,
Tous l es bulletins blancs ou nuls sans exoep- D5 B I
à l'acquisition de fournitures sur fadures et
tion devr ont être co ntresignés par l e bureau
et an nexés au procès-verbal avec leurs erwe- CIRCULAIRE RELATIVE A L'APPLICA- il l'exécution de travaux sUr mémoires, a
T ION D U DE CRET N · 52- 256 DU 5 donné lieu il certaines difficultés d'applicaIO'Ppes.
tion plus particulièrement en ce qui conce rne:
Les ,bulletins trouvés da ns une enveloppe
MARS 1952 CONCERNANT LES MAR- les acilats de fournitures .
de l'une des catégo ries et portant les noms
CH ES PASSES AU NOM DE L'ETAT . 1 La question s'est, en effet, posée de savoir
de ca ndlidats d'une autre catégorie doivent
être obligatoirement déclarés nu ls.
ce qu'il <fa~lait entendre par l'expression
W 738 FIN/OEN
« besoins prévisibles du service > figuTant
ILe vote par correspondance étant admis,
à l'aIlinéa 1° dudit article.
les enveloppes intérieu res nécessaires aux
Paris, le 2 avril 195~.
votes dev ront être mises à la disposition dies
Etant donné que les crédits budgétai,res
électeurs. To utefois, i,l ne pourra être délivre
Le Preside nt du Conseil,
mis à la disposition des administrahons sont
par le Secrétar iat de la Uvlair ie qu'une seult
Ministre des fUlan'Ces
accordés annuellement, ceMes-ci dohrent aJpenveloppe aux éledeurs 'Qui désirent vote!
et des Affaires Economiques,
précier leurs !besoins pour une durée d'une
par ,correS'j)o ndlance et sur pr ésentation de
à M.Jv\. les Milllistres et Seoréta'res d'Eliat, annœ. Il faut en conolure que, 'l o rsqu'un
leu i carte électorale. Ces enveloppes seront
StlVÏce a besoin d'une fourniture d-èterminee,
affranchies au tarif ordinaire et doivent VOliS
J' ai l'honneur d'appeler votre attention il ne peut acheter sur sirrw1e facture cette
parvenir ava nt la veille du scr utin. D'autre SUr 'les dispoSitions du décret n° 52-256 du fourniture que si le montant de ce qu'il a
part, à l'entrée ,de chaque bureau de 'Ilote, 5 mars 1952 Uournal Officiel du 6 mars, besoin d:acheter pour l'année n'excèdle pas
vous devez apposer l' arreté de convocabn page 2.671 - rectificatif a u Journal Officiel 500.000 f ranes.
des électeurs ainsi que la liste indiquant les ciu 13 mans, ,page 2.939) rell'\plaçant et
En consequence, dès lors que le montant
noms des ca ndjdats qui sollicitent un siège.
oomJll éta n~ d.ifférentes dispositions du dédes commandes passées successivement dans
Les procès-veflhaux de l'élection serom cret n" 1082 du 6 avril 1942 relatif aux le counant de l'année par un même service
dressés en triple exemplaire et transm:s ma rrchès passés au nnen de l't::tat. mociilfié à W1 OU p lusieurs fou.rnisseurs pour se proimmédiatement en Q'Ouble il la PréfectUïe par le décret n° 48-607 cfu 1er avri l 1948.
curer des <fournitures indentiques dépasse
(6me lOivision, 3me Bureau) .
En vertu de CE:: texte, qui a pou'r obj et 500.000 francs la passation d'un ou pI'usieurs
j'éIjppelle votre attention su r la nécessité essen ti el d'ada,p-ter au niveau gén-éIa!I des marchés de rélTwarisation s'impose. 11 Y a
de me transmetf,re des p çocès-verbaux conl- prix les divenses litnütes prévûes pa r 1'3 rè- li eu de noter que la !.imite de 2 miMions
pIets comportant le nomlbre d~ inscrits pour gl~mentation relative aux marchês de ~'Etat prévue en fa.veur des services en gestion
cha.que catégOrie, tle nombre de votants, le et quoi ont été d'ix·éeg en dernier lieu par Ile directe des Départements de la Ouerre et de
nombre de suffrages exprimés, les blan'Cs et décliet du 1er avril 1948, les admi nistra'1ions La Marine et du Service des Har as doit s'apprècier égaleme.nt dans le cad,re. de l' ~lIf!lée,
nuls, et le nombre die voix obtenu par chaque peU!vent :
candidat, tant en ce qui concerne les maîtres
1° Faire exécuter des travau.x SUT mémoi- mais que à l a différence du reglffie gene ral ,
q ll ~ les c,~mpagnoll~.
Ces procès-verbaux res ou acql:érir des fournitures sur factUIet5 c'est le I~ ontant total des achats effectués à
un même fournisseur qu'i:l faut considérer.
dO ive nt m etre expé.d~és au plus tar d le len- 1 jusqu'à concurrence de 5OO.<XX> francs.
La règle posée ci-dessus, S,ui.vant laqu~l~e
demain du scruti n,
1 Cette limite est portée à 2 millions die
Pour le Préfet,
francs par vendeur pour les acquisitions de l'année est retenue comme penode de refeLe Secrétaire Général d'élégué, denrées alimentaires. grains et four.rages rence, est apparue rigoureuge~ et il a éte
Signé: Maxime MllO ON.
efft::ctuées par Tes services en gestion directe fait observer que des lempe~a;ments dedes Dépa'r tements de la Guerre et de la vraient y être 3jpportés pour les raisons
-------<>00 <>------Madne désignés par le Ministre de Ja De- suivantes :
Lorsque les achats portent sur des denA 4 fense Nationale et le J\<\inistre des Finances ;
D6 BI
les achats de grains et four,ra'ges effectués rées 'J}érissa!bles. l 'importallce de chaque
ARRETE RELATIF AU LOGEMENT DES par 1& serviee des haras, qui reH~\'e du .M.i- commande depend, soit de la durée de
nistère de l'Agriculture, bénéiici:ent égale- conservation du produit en question, SOIt des
OUVRIERS DES EXPLOITATIONS ment de lia limite de 2 millions de francs.
possibUités d'entn?tPosage du service a-cheFORESTIBRES - RECTIFICATIF.
2' Passer des maochés snr il>ppel d'off res teur.
D'au tre ,part, il lP"ut être de l'intérêt de
_ en dehors des cas prévus aUx alinéas 2°,
Au lieu de :
3' et 4' de l'artiale 20 du décr",t du 6 avrill l'Administration IOf8qu'il s'agit ]lotamment
< Vu l'arrêté préfecto ra l du 22 Ju illet 1948 1942 mod~fi é, pour lesquels l'emploi de cette rte p.roouits sai'sonniers, de fradi?,nner ses
~rtant ré glem entation du travail pour les procédure est autor;sé quel que sort le lllÛ'n- cOJ11jIT1andes pour se pOtrter acquereur aux
tant du marché - jusqu'à 20 millidns de périodes où ,les prix sont les plus favorables.
ouvriers forestiers ».
fr.ancs oU', s'il s'agit de marchés passés pour
Enfin et surtout, il est quelque.fois maLire:
plusieurs années, jusqu'à 4 millions de f'rancs laisé potlT les sertvices d'3ipprécier exacte< Vu l'arrêté prélec toral clu 2S Juillet 1949 par an ;
ment leuus besoins au début de l'exercice et,
portant r·églementation du t,rav ail pour les
3° Ne Ipas soumettl'e à l'avis de la Com- en cours d'année des ci.rconstances impréouvriers forestiers ».
vues peuvent fai;e apparait~e de~ beso~ns
mission Consultative des marchés :
cOITljplémentaires dont la sahsfachon e:oge
Au lieu de :
a) les projels de marchés passés sur appel
« A·rticle 1er. - Il est inséré dans l'arrét~ d'offres dont le montant n'~:\'Cède pas de nouveUes commandes.
!..es raisons irloVoquées ne sont .pas san~
portant réglement du travail des ouvriers 20 millions de francs, ou 4 millions de fI'5
a; an s'il s'agit d'un maJX:hé passé pOUlr valeur, Cependant, j'estime que, en ce qUI
forestiers du 28 Juillet 1948 • .
P
.
concel ne les foucniturés, qu'il est necessaire
. el onnetS,
.
'l,1
pl usieurs annces ;
Lire :
de se procu.rer par livraisons ech
b) les Projets de ~arc~és passœ. par e~i\jrticle 1er. - ~,l est mséré dans l'arrêté
portant r èglement <.le travail des ouvriers tente directe en élj~pll cahon des alméas l "
20 3° 4° 5° 6° et 7° de l'article 22 du
.forestiers du 28 Ju illct 1949 •.
de'oret' du 'ô a~~ri1 1942 mo'difié dont le monMarseille, le 6 Octobre 1952.
tant n'e~,:cède pas 20 mi1lions de francs ou
4 miniions de francs patr an s'il .s'agit d' un
Le Préfet,
march é !passe pour p.lusieurs arlnees ou don.t
"'laxime MIONON.
l a durée d'exCcution excèd'e 5 années s'hl
s'agit d'un marché de fournitures.
Ces di~ositions, qui consistent. en un
sÎilllple relèvemc"t des lim.Hes eXIstantes
- - - c : > 004:.)· - - - - - n'a'ilpellent Ipas de comment3.nes.
Mais l'article 26 . . tu décret du G avril 1942
faC IM F- JllI~
suit, pOtlT les ser\"Îces, de lJ)asser un marche
dit « à command.e ::t (à ne pas confondre
avoc le marché sur conunande visé à l'art. 24
du décret dut 6 aJVril 1942), ainsi que le prevoient certains calliers des clauses et con~ti~
tions O"énéral!es en pa rticulier.. cehli des D~
parben~ents militaires (artide 17), Le marché
"à commande > permet en effet de ~a~r
des commandes sucœssi\'e5 dans les limites
ind iquées par le contrat, qlÙ doit i~ldi~uer la
durée m axim~ d.'exêcu!~n (en prmclpe une
1 année) et les ltrrutes mlfl!m~m et .m~xlmum
de la fourniture globale a 1.lVrer IImtfes e.,.x1 nrlm~<;;; ..:;nit P>n
<;;;(ut pn v:'I lpur
'f"S
�•
possibilités offertes par cette catégorie de 1 à l'examen des Commissions co nsul tati ves
marchés me paraissent recommander. un des marchés. D 'autre !part, le secret nO 1082
emploi généralise de ces derniers.
du 6 a,' ril 19-12 stipule en SQll articl e 2, qu e
Les cOm,ptables payeurs, à qui il a,ppar- les Conunissions consulta tives des ma rchés
tient de vciller à l'aJW.1ication des textes rè- doivent farmltler un avis sUr les projets de
O'lementaires sur les marchés, seront invités marohês qui lui sont soum is en a'Pplioation
~ tenir laraement CWlij>te des divers motitfs notamment du dec ret susvisé du 28 féw ier
valables qui peu.vent, s'il n'es t pas filit usage 1940. Comme enfin, le décret n" 48-1 763 du
du marc.hé c à commande ;) j ustifier - dans 19 Ilovembfle 1948 reJatil aux Commissions
)'Înterêt de r Administ ration un certain collsu ltatives"des mÔJrohés se borne à indifractionnement des c()J'Il1Tlandes dans l e cou- Quer en son article 3, l 'l, que chaque
rant de l'année. En revanche, aucune toJé- comntission est appelée à for.muler un avis
ranre rte sera admise dès lors qu' il sera éta- c: SlU Jes proj ets de matrchés qui lui sont
bli que le fr actionnement des oonunandes so umis en applicatio n d'LWl texte règ,leme:n.a eu pour seul mobile d'éviter la 'Passation taire ou sur lesquels eLle est cons~l tée par
d'un marcJ1t\ de tel,;.es pratiques obligeant le !l1in1st're », il en n~u3te que à s'en
l'administration à r égler ses acqu.isitions sur tenir strictement aUx textes les projets
la base. des prix de détail et pouva nt, en de marchés p~ë5 par ad,j udication devaient
outre, conduire à frustrer le tréso r du droit être encore soumis à l'examen des Commisd'enregistrement des marchés,
sions cOllSultatives <fies marchés dès lors que
En tout état di! cause, les se('\vÏCes auront leur montant e éd.ait 500,000 ,francs.
à justilier au COl1\Ptable payeur des mOllis
DésOO"mais, le seu;1 de C<>nbpétence des
les ayant conduits à procéde.r à des aohats Commissions consultatives des ma'rchés est
SUr simple factllTe au-delà de la limite auto- lixe wtiforunément, quel que soit le m<lde de
r~te et des raisons pour lesquelles la pas- passation, à 20 millions de francs, ou à
sation d'un marché c à commande '~ n'a pas 4 millions de francs ,par an s'il s' agit d'un
eté envisagée.
marché concl u pou r plusieu'rs années,
A la difference des fournitures acquises
La seconde disposition, qui fait l'objet de
sur f,actures, dont le montarut peut, le pl us l'article 5, sanctionne l a dérogatio n qu 'a,psouvent, êtr'f connu exactement des s~rvices Rorte aux limi tes de compétence des Comacheteurs au moment de la commande, puis- missions COllsliltatives des marchés, le déoret
que, devant être livrées immédiatement, ce, Il" 51 -1 290 du 8 novembre 195 1 (J o urnal
fournitures sont facturées sur ta base d'un Officiel dlu Il nOl'embre, page 11.205) i l1stiprix ferme la pré,rision d u coût r,ée! de la tuant une Commission consultative des m8Jrdépense est plus délicate lorsqu'il s·agit de chés auprès du SecrétaIiat d'Etat il la
travaux.
Guerre (Sem/ire ses Etudes et Fab ri oa ticm.s
En effet, la réalisation de l'ouvrage peut d'armement).
exiger un délai assez long et, dans ce cas,
A l'occasio n de l'env<>i de la présente letle décompte final, si le service n'a pu tra ite·r t re, je vous demande l'~plication de la
a, p,rix fenne, .peut être affecté par les . va- ']I?esure ~uiva~te! qui a .été Ipreconisée pM
nations de pnx sun 'enues depUIS le debut 11 Inspection Generale des Finances à la suite
des t r a v a u x . '
die la verification du service de la dépense
Aussi l' e;q>ression c valeur présumée .. des Tréso.reries générales.
figurant au pren:tier a~néa d.e. ~'ar.ticl~.26 du
Actuellement, la plupéllrt des services ordécret du 6 avr il 1942 modifie sl~nlhe . que donnateurs
adressent
aux
comptablesl,a limite de 5OO.00<? f:an,cs dOit s ,apprecI~r pa~eurs deux e,lQpéditions des pièces j usti,fic?ffipt~ tenu des. priX a 1ép~u.e ou 1 Adml- catives de J'engagement de la d~pense (marnJstratlo~n ~ confie le travaIl a 1 entrepreneur chés., 'procè:s-veflbaux d'adjudicatio n, cahiers
des charges), l'u ne à l 'at:~p'Ui du I)flemier
de son chOIX.
~n ~onséquence. au~~e m~ure de régu- mandat, l'a utre au mo menrt: du règ,lemen. du
l ~nsaüo n ne sera ~xl~ee d\.'"S lors que le ISolde, Les ordonnances et mandats, accomd~passemen.t de la Irmlte de ~.~ frdncs pagnés des justifkations correspondan~es
resul:era dune nausse d~s 'pnx II1terv~nue étant é!dressées ch'aqU'e trimestre à mon dédepUIS ce ,moment, le de~a:ssement qUI , se partement en vue d'être sO UiITlis au contrôle
sera P!od Ult dans ces cJ>ndltJons devant etre de la Cour des Comptes. Les comptab lesJU tlfle au. cOJ1ldl~able paye~.
payeurs sont privés des docwnents ton trac. Néanmolll~, afin que le depassement de la tuels depuis l' envoi de ces ,pièces jusqu'au
Imllte pr~nte reste. exceptionnel, !l est re- règJemen t final dès lo rs que la période
cor;unande aux services de p~~~r un rnar- d'exécution du marohé est, comme c'es t le
c~e lorsqye le ~~mtant preVISible de I~ cas le plus genéral, supérie ure à trois mois
depe.nse etant VOISin de ,?OO.~ f~anc!', Il En v'ue de remédier à cet éta t de choses qui
est a. présumer que le cout final depassera rend plus difficile ou retarde le contrôle sur
"" chiffre.
?
pièces. qu'exercent les comptables-payeurs,
Le decret du 5 mars 195_ oonlient.. en LI convient que les deux eXlpéditions du maroutre, deux dispOSitions touchant aux regles ché ou autres pièces susvisées t 1
~e compétence des Commissions consulta- échéant, des avenants au cont~a't fnifi~
tlVes des f!1archés..
, l'
"
soient adr:essées à'}'3jppui du \prern ier manua première, qw faJt . 1oblet, de 1 arbcle 4 dat auquel ils do nnent lieu. En conséquenoe
a 'pour eff;:t de sUJ.pprJmer 1 anomalie .qu,e les services ordonnateurs n'a uIont plus
fait ,apparal;re le ra'PProchemen~ des dlffe- produire l'exOOl!Pla,re qu'ils garden1 actuelrents ,t~tes f ixant .. Ia competence des leme.nt pour être fou rni au moment du dernier règlement.
CommiSSions consultatiVes des mar-chés.
L 'artiole 22 du décret du 28 février 1940
je vous prie de bien vouloir porter les
rela~Lf , aux. économlE:S a réaliser dans les termes de ,-' eHe lettre à la co nnaissance de
adminiStrations pubhques et aux 3"nmées a to us les servÎces in,téressés relevant d-e votre
fixé à 500.000 francs l a limite à partir de Département.
(aquelle, d'une manière générale, les macAmtoine PINAY.
chés - quel que soit leur mode de passa-
à
TEXTES D'IHTEBET GOfflfflUJ8L
0 2 83
AG 2
1
r
ASSURANCE COLLECTIVE EN CAS DE
DECES EN FAVEUR DU P ERSONN EL
DES COLLECTIVITES LOCALES.
j'ai l'honneu r de porrer ci-dessous à la
co nnaissance de .h\!M. les Maires du D épa'Tt,elllent l e texte de la ci Jicu!laire n° 4 1 B du
16 sep temllJne 1952 pa< laqueille M. le D irecte ur Général! d'e la ûai,sse des D épôts et
Cons.ig natio ns (précise les conditiOtl8 de
l'assuran<:e offrerte pa r la Caisse Nationale
d'Assura nces sur la vie aux co l ~oOCt iv i tés locales dési<reuses d'assurer lewr personnel
contre le risque décès.
Pour le P,éfet et I>ar delégation,
U
Le Secré taire Gén éral
Maxim e MWNON.
•••
Réfé.reooe : 41 B
Paris, le 15 septembre 1952.
Le Directeur Général
de la Caisse des" Dép61s el Consigna lion s,
à M. le Pre/el des BOllches-rtll-Rh'ône
Marseille.
Je vous ai adress é, en avril demier, une
documentation sur
!'asSlll·rance collectilve
offerte rpar la Ca isse Nationale d'assurances
sur la vie aux co1lec ti\vités doc ales désireuses
cl'assurer leurs a'gents !J)ermanelùts contre le
risque de décès dans .le cadre du régime de
Sécurité Sociaile adopté par ces cOllectivilés,
en apl,lica·tio n dlu décret du 2 ma rs 195 1.
Depuis lors, est inter venue la loi n° 52-432
du 28 a",il 1952 porta nt statut général du
per50nnel des commu nes et des éta'bl issements publics oonlJnlU,naux dont l'article 86
(dernier alinéa) ouvre droit au profit de 'ia
\'e~ve et des or;pheli ns. mine urs des agcllIts
sO~lmis au statut, décédés
en service, au
p~ l ement d u c8Jpital-décès /prêvu par le régime de sécurité sociale 3lpplica'ble aux fonctionnai,res,
J'ai l'honneu r de vous faire con1naître que
la Caisse Nationalle es:t égall ement en mCSll're
d'assurer le risque de d écès des agentJS permanents des commUJ1es et éotablissemenfs
comm unaux, dans le ca<Lre de I·article 86 de
la doi !pIécitée. Les conditions géné rales de
l'assurance qui serait souscrite dans ces
conditio n~, ne diffère pnatiquemen! de celles
de-l'assurance contractée en vlIe de l'application des régimes de sécuritê sociale institués dans Ile cadre du décret du 2 mars 1951,
qu'en Ce qui concerne l'énu.mération des bénéficiaires d u calPital-<lécès.
En tout\état de cause, qllel que soit le
texte miS en ajpplicartion
" assu'rance est
consentie moyennant le p~iel1lent ,d' une prime calcUlée, po ur la première période d'as·
surance, sur la base d'un tau x annuel de
1 % de l'ensemille des capitaux assu<és.
je vous r"IPpelle que De taux est un taux
~erme, qu i n' est pas susc~.ptiblc d'être révi~é
a la fln de la période d'assuran ce pour tenir
com.pte de l'âge moyen du g rolqpe considéré
non plus que de;; résultats effectivement
co nst atés. Les coJlecti"ités contracta nies son t
ai nsi en mesure d'apprécier ,dès l'origi ne,
l'étendue exacte de leurs engagements et, de
ce .fait, la SOuscrlption de tolles assurances
ne compOtie aucun a'léa po ur elles, TOlltelors de
ue renouiVell ement annuel,
il sera t enu C'osupte, pour la détermi nation
d'u tau x de Ipr ime à ~p1 ique r à l 'eX'epcice
uJ térieur, du compor tement d u groupe ,assLlfé
précèdemmellt.
Pou r vo us pe.nm ett r~ de rensei gner les codlectivités de vot re -détPartement qu i envisagen,t de fai re OiPpel au CQIICQ Urs de la Caisse
Nationale pOUl' da couvert ure du risq ue d u
décès de leu.rs agellits peJ1lTIa nents, je vaus
adresse ci-joi nt quelques exem.ph~ires d'u ne
documentatio n co mpor ta nt :
1 UJle nothee eXjposant des diver ses modal ités de l' assurance offerte "a·r la Caisse
Natio na.Je et les fo rmalit'és de souscrUltion,
selon le régime de Sécurité Soci ale adopté
par ces dernières i
2" le tex!e des conditioms générales de
l'assurance, appl icable aux coUectivités qui
souscrivent en a~(J1icati'on.ctu décret du
2 mars 195 1 ;
•
30) un exen,pla i re de prqposition d' assurance pouvarrt être uti liséra usSÎ!bien Uorsqu' ü
s'agit de l'appl ica tion du décret dltt 2 mars
' 951 que de la loi du 28 avriq 1952.
Pour ,l e Directeur Gé n~ra1
et par auto ri sation,
Le Sous-Diflecteur chargé de la Division:
Signé
Caractère incontestable du contrat
ART_ 3. _ L es déclarations laites par la
collec-tÎ'V~ té 'COntractante servent de base à
l'assurance q ui est inco nrestable, sauf dans
les deux cas suivants :
Jo) En cas d'e fraude toute rét~e n ce ou
fa usse déclarat ion intention nelle de natuTe à
atténuer l' importance du r isque ou à tro mper
Sur l'identité d'un assuré entraî ne l'a nnulahon de l' assurance de ce <1-e.rni-er et Je rem·
boursement sans intérlêts des sommes VeTsées, sous déduction des capitaux qui auraient ét é payés et de la 'Valeur des risques
co urus par la Ç,aisse Natl9nal'e.
2 0 En cas d'er,reuT sur 1'âge dfun ou de
plusieurs assurés, l'assurance donne alors
lieu à révision dans les co nditions .prévues
par l'article 81 de 1. loi du 13 jCi.illet 1930.
Obligation du souscripteur
Souscription du contrat· Mutation
!cide étant
survenu au cou rs des deux pr emières ann~es d 'assur ance, . la preuve est
apportée qu Il a été tnconsclent.
2 0 Décès r ésultant ~e l a guerre
La couverture du T1sque de guerre couru
RaT l'assuré soit au cours d' une guerr e
nationale, soit au cours d'opérations d'une
guerre étrangère dont les effets atteignent le
T er ritoire fran çais ou l'un quelconque des
T erritoires de l'Union Française, est assurée
ai-nsi qu'l1 suit :
Est considéré comme décès résultant d'un
fait d,e gu.erre :
.
- eel,ul ~Toyoqu é par un engJ.n die &1;~e
ou consecuttf a une blessure ou a une leslon
infli gée p~ l' a<:tion des be llig~rants i
- CelUI ipfovoqué par des vtOlences e.x:erct'es par l'ennemi ;
- Celui survenant pendant que l'assuré
est prisonnier ou est l'objet de déportation
ou d'intern ement du fait d.e l' ennemi.
ART. 4. - La collectivité contractante
Sont assimilés l'action de l'ennemi, il la
adresse â la Caisse Nationale., en vue <le la défense cont,re l'ennemi, aux 'Violences, à la
souscription du conkat, une proposition d'as- d~portation,.à l'internement par l'ennemi, les
surance accompagnée des
justifications actes de même nature accomplis par ou
nécessaires pour tiJlier les ,bases die l 'assu - contre une puissance quelconque en bellirance.
gérance de fait ou de droit.
Les mutations en cours d' assurance (adSi le décès de l'assure résulte d'un fart de
joncHo ns et radiations) doivent être dêc.la- guerre, la ga rantie du contrat joue dans les
rées par la collectivité contractante, dans les condHions su~vantes :
cinq jours 1CIoe la mu tation.
A l' expiration d' un délai d'un an après la
Les modifications susceptibles d'jntervenir dare légale 'Cie ce5;?ation des hostilités, la
ASSURANOE COLLBCTIV-E ANNU8L LE
ohaq,ue trimestre dans le montant <lies capi- Caisse Nationale procède à la répartitio n du
f.N CA S OE 1)80ES
des agents permanents des Idépartements, !dies taux assurés en raison des changements ionds Spécial créé pour la -couverture du
com munes et d'e leurs Etablissements publics survenus dans la situation de famille ou le risque de g uerre entre tous les bénéficiaires
traitement des assurés doivent être notrliès de contrats d' assurance en cas de décès dont
1 dans les 5 jours suivant le débuf du trimes- l'as~uré est décédé du. fait de
guerre, le
COND IT IONS GENERALES
OBJET DE L 'M;SURANCE
1tre d'assurance à compter duquel la Caisse béneflce de cette rep~rtihon ne pouvant Jouer
L'
li
Nationale aura à en tenir compte.
1 que tdans la "mite d un capital maximum de
. A RT I CLE PRE.\1IER. a~su ra nce co ~c5OO.<XX> f.raocs pour chaque tête d~assuré.
h ve annu~lle en cas de déces . a ~ur objet
Versement de l a prime
La Caisse Nationale paie alors :
de garantir, pendant une annee a compter
. ,
de la date de sa souscrtption Ol! de son
ART. 5.-- L'assuran ce est souscrite moyenSI Ilmp?rt~n~e, ~u _fonds le permet, le
renouvellement, le versement d'un capital en nant Je versement d'une prime annuelle dont capita l . as~ure, limIte a oOO,<XX> francs.
cas de décès etes agents d u département, de le tau x, expnm é en pourcentage des capib) SI II~ po r~a.nce du fo~ds n.e permet
la commune ou de l'é tablissement public con- taux assur($, est fixé par la Caisse Nationale. pas cette r~partJtlon, un, capital redutt év~
hactant , auX!quels le a'lécret du.2
195 1 Le taux de cette pri me est révisable lors de lué p~op?rtl?nnellement a -'a \'aleur du ~apl
est applicable, si ce décès surVlent en cours chaque ren ouvellement annuel de l'assurance. tal redult ev~ll1é prop?rt,lo ~n~lIem~n! a la
de -la période annuelle d 'a ssurance.
Le versement de la prjme est effectue valeur du capita l prévu a 1alinea precédent :
Si les bénéficia~r~s ne peuvent apporter la
L' assurance comprend tou s les agents d'avanc'e à la Caisse Nationale par chèque
i nvestis d'un emplo; perm anent tels qu'ils ou vire ment bancaire ou postal à l'orlG/r e preuy~. que le, deces surv,enu a.u cours des
sont définis à l'article 1er du décret susvisé, du Caiss.ier Général de la Caisse des Dépôts h osh,lT~es ne result~ pa,s d un fait .de guer!e,
mais le capital assuré n'est dû par la Caisse et Consignations (compte chèques postaux ce deces sera co nSidere par la CaIsse Nat.lo1
. 1·
t
. . t ' 1·Ié· d
P"is 9-{)(\3 - 41).
nale commune en résultant.
·
N ahana
e que SI agen qUI Vieil la a. c~ er
L
d·f· t·
d
t t d i S· l'
é
d J.
• d f·t d l'
d
Jaisse un ou plusieurs des aya nts-drO it enues 010 1 Ica IOns
u mon an
e a . 1 ass.ur. per a, vie u. Cl:1
e un es
mérés par le décret n" 47 _ 2045 du 20 Octo- prime résult.ant d'adjonctions et de radiations T1sques VIS~S au present allOea, en dehors
bre 19-17 (article 7 _ pparagraphe 2) (con- intervenues au cours Idf un trimestre <l'assu- d~.. ~as qUi y.so nt pre\'us. le contrat est
joint no n séparé de corps IIi divorcé et des- rance font l'objet d'une régularisation à la r esille e~ ce ,q.UI le c.o~cern~ .
cend'ants . ; défaut ascendants à CÎl ar O'e).
fin de ce trimestre, Il en est de même en ce
L~s dispOSItions VIsees cI -dessus. ne sont
, a
:.
qui concerne les modifications rés~ltant du applicables qu'aux contrats souscnts antéDétermination d.es capitaux garantis
réajustem ent du montant 'des capitaux ga- rieurement à la date d'ou\'erture des hostirantis à la suite de changements su rvenus lités,
ART. 2. - Le capital assuré est déterminé dans la situation de famille ou le traitement
PAIEMENT DES CAPITAUX
par la collectivité cont ractante au moment des assur~s,
ART.
7, - Le paiement des sommes dues
de la souscription du co ntrat, en tenant
par la Caisse Nationale en cas de décès d'un
compte des dispositions prévues à cet eHet,
OBLIGATIONS
assu ré au cours du contrat est effectué sans
soit par le r èglement visé dans l'instructi<>n
DE LA CA ISSE NATIONALE
intérêts à la collectivitë contractante, à
<lu 6 Août 195 1 s·il s'agit de l"applicatlOn
Risques garantis
charge' par elle de les reverser aux: b~~éfi
d'u n rég.ime mi xte, soit par la délibération
prévue par · Ia'dite instruction s'il s'agit de
ART, 6. La garanhe de l'assura n<:e ciaires, après réœption des pièces justIfical'aiJPHcation d'un régime complémentaire du s'étend à tou s les risques de décès sous les ti ves ci-après :
1'" Certificat de l a collectivité contr actanrégime gé néral de la Sécurité Sociale.
réserves ci-après :
Il est révisé, s'il y a lieu, au début de oha1° Décès Il'ésuitant 'tl)accictents, blessures te attestant ;
a) que l'iTltéressé appartient au groupe
que trimest re, pou,r tenir cO~p1oe des . modli- ou maladies surv enues du fait volontaiTe de
fications ,du traitement et de la situatIOn de l'assuré ou druhéneficiai re. Ces rjsques sont, assuré lors de son décès ;
b) qu'il existe des ayants-droit susceptifamille d'es assurés survenues au co urs du en ,principe, exclus.
. .
'
trimestre p flécédlfnt et qui doivent être noN...
Tourefois, en cas ~e SUICide" I~ Cai~e bles de bénéficier du capital tels qu'ils sont
fiées là la Caisse N ationale dans les con di- Nationale paye 'e capita l garanti SI, depuls définis il I·article 7. paragraphe 2 du décret
t ions prévues 'Par le 3me alinéa de J'article
deux ann ées, J'as.~uré était compris .dans un.e n· 47-2Q.15 d" 20 octobre I P47, relatif au réci-ap rès,
assurance collecttve annuelle oU SI, le SUI- gime de sécurité sociale des fo nctionnair es.
•• •
,
al
""'ars
,r
)
41
�210
Ce c"IPital peut être révisé, en cou'rs d'assurance, pour tenir coollJJte des modifiJcations
survenues dam; le montant du traitement et
la situatio!> d~ jamille <les assu rés. Touterois, cette révision ne peut intervenir qu'au
d'élbut d'un tri:mes~re d'assurance. Il en réPar. 2". - CAPlTAL'DAIM,NT\.
sulte que le Célipital ga ranti reste illvarial!xle
Le capital- gar'l'nti est ~lui dont le paie- au cours .d' un même trnmestr.e.
POINT.DE DEPART, DUREE
ment incombe à la collectivité, co..mpte te nu
3".
CARJ\;CTE'R fST lQUES DE
ET RENOUVELLEMENT DU CONTRAT du régime 'll'plical:lle à son perso nn el.
Par.
L'A!SSURANCE.
Article 8, - L'assurance est conc lue pour
a) Collectivités qui, en apptication du déune periode d'une année à partir ùe la date cret du 2 mars 195 1, Oflt adopte pour leur
a) L' assura nce n~ doit c()Jlllpre nd,re que les
fixée aux conditions particuJ.ières,
personllèl le régime mixte (affûliation en na- a~en'ts re!lwantl SUIvant le cas, SQit du réLe' contrat prend effet du lend emai n, à ture .et lprise en charge tPaf la colUectivit é ciu g ime d~ Sé<: urité SociaJIe adoplé J'ar la colzero heur.el soit du jour où .Ia CaÎsse Natio- serv;'" des prestatio ns en espèces) : le lect iVite en ajJpllcaho n du décret du 2 maiS
nale reçoit le chèque bancaIre ou la somme Cél@ital garanti est, pour chaque agent, au 195, 1 ~p~rso "" e1 penm;an"nt accomlplissa"t au
r eprésentant la prime d'assurance, soit du plus égal au capital-décès tPrévu par le ré- l1I<?lnS
JI,eures de ser:v!ce lpa'r semain e),
jour où le compte de chè<j"es postau~ ~u gime de Séc u r, i~ Sodale aa>plicaJb.le alux SOit de 1 ar,l Ide 86 de la 101 du 28 avrid 1952
Caissier Général de la Caisse des Depo ts fonct ionnaires de l' Etat. Ce cél!}Jita l est hui- fjpersonnel ) ,e.nmanemt à temps comp:et
et Consignations a été crédité de la dite même égal au montant dfU demier t'raitemen.t eff~ctuaOtt 4.:> Iheures ~ service par &ema ine),
prime.
annl'el d'activité, augme.nté de la totalité j\1als pour assu:er l e Jeu nO'nrnal ,de l a comPour copie conforme :
des indemnités aocessoires (autres que l'in- .pensatlon des n sq'ues qui est à la base de
LE CHEF DE DIV ISfON.
demnité de résidence et les avantages fami- l'a9Suranc~, eNe. doit .comprendre tous ces
Iiaux)t à l'e.xceptio n de celles qui son t atta- agentst meme SI certains d'entre eux n'ont
PROPOSfTlON D'ASSURANCE
chées à l'exe.r.cice de la 'fonction ou q.ui ont pas . actuellement d'ayants-<lroit "'PiPe.lés il
Application d'un régime de Sécurité So- le caractère de remlbourseme.nt de frais; il bénef lclfr du. c"IPital e~ cas cie décès. Cette
cial~ institu~ dans l e cadre du décret du 2 est majoré de 40.000 francs par e nfant il règle ne C~pO'Ttre ~'e.~cC'!ptioll qu'ell ce qui
COncerne Jes agell1s ages de lplus de 'Soixante
charge;
mars 1951 (1).
Appl iëation de .'article 36 de la loi du 28
b) COllecli"ités qui ont affilié leurs agents ans dont ~es ayants-droit ni: peu v.en t
a\'r il 1952.
au régime général de Sécurité Sociale pOllr con,r~l;mérn.ent a'ux rèrgtles élJPipl.icahles a ll ~
Je soussigné ~2) . ... .... . .. , , ...... .. . J'ensemble a~s risques, y compris le risque fon~tlOntfl.a lres ~e l'Etat, Ipré,tendre qu'a u
après avoir pris co nnaissance des conditions vieillesse : si ces co1llectivités (mt ,accordé à c~pl ta.l -deoès .prevu par I.e régime général de
générales et des precisions co n ten~es dans leurs agents, no.tamment en cas d.e décès, pa'l SeCU''.'té SOCiale. Toutefois, Uorsque la colla notice jointe à la lettre de la Caisse Na- a~ i catio n du décret ' du 2 mars 195 1, des lectivité a adopté Je régime mi xte, LI y a lieu
ti onale ct' Assurances sur la Vie du ....... . avantages c0111iPlémenta ires de l a Sécurité de com.prend re les interessés d'ans l'assu,. . .. .... .. . . .. . .,. . ... .... .... .. sociale, je capital-.g.aranti est a.u plus égal il r a nc~ J'ou r un c'\PitaI égall il celui qui serait
du g roupe désigné dans la liste ci-jointe (3), la différence e.nt re le ca,pitail dont les m:>da- verse ,pa r l a Sécllr.ité Soci ale, éta nt donné
une, assurance collective annueUe en cas de lités de calcud sont défhnies à l'alinea précé-. que la coillectivité doit a/lOrs su~orter Ce
déces.
.
,
dent et le ca,pita!]-<l.ecès prévu par le régime paiement de ce c3jpi ta!l ;
Je ce rtifie que le gr.oup~ a assurer com- 1 général de la Sœurité Sociale .
'b) La garan1ie de J'assurance s'é tend à
prend tous les agents tltulalfes relevant (1) : 1
. . ..
.. ~
_ du ré ai me de sécurité sociale institué
c) CollectIvites qUI ont affilie leurs age nts tous les risques de décés sous les seudes
conditions gédans le calre du décret du 2 mars 195 1 ; 1 â la Caisse Nationale de Retr(lif,es des reserves énumér ées dans
_ de la loi du 28 avril' 1952 portant sta- AgenJs des collectivités locales pour le ris- né rales de la police ;
Le certificat doit préciser Jes noms, qualite
et adresses de ces ayants-{lroit.
2° Extrait sur papier libre de l'acte de
décès ;
30 Certificat médical constatant le genre
de maladie ou d'accident à la ~uite duquel
l'assuré a succombé.
e.n 'IPplication du décret du 2 mars 195 1,1
soit tians Je cadre de l'article 86 de la 101
clu 28 avril 1952., 'p ortant sta~ut gênerall du
personneol des communes et des étabhssements puWics ConunUI1i3ruX.
3?
j
ies
tut général du personnel des communes et
des établissements publics communaux.
Le capital assu ré sera payé à la collectivi té contractante si l'agent qui vient à décéder laisse un ou plusieu rs des ayants-droit
prévus par le régime appiicable t à charge par
elle d'en remettre le montant à ces derniers.
. ,
faIt a ............ , le ............
Signature (4):
(L) Ne pas ome ttre de raye r la mention inutile.
(2) N' Cim et Qualité du représentant de la collectivité. - N om de cette dernière.
(3) Cette liste doit ëtre fournie en double
exemplaire et doit préciser les noms, pr énoms et
dates de naissance des assur és, ainsi que le
m ontant du capital à assurer.
(4) F aire précéder la signature des mots :
C' lu et app r ouvé ...
•••
CAISSE NATIONALE
D'ASSURANCES SUR LA VfE
Assurance collective u1Uzue([e en cas de décès
des agents permanents des départements,
des commun es et de leurs élablissl!ments
publics.
Par. l '. -
OBJET.
Cette assurance collective a pour objet de
garantir le paiement d'u'l1 c"",ital en cas de
décès des a<Ye.nts pennanents des col lectivités
looales, soii dans le cad '" du régi me de
Sécurité Sociale adopté par ces collectivités
f{~e a~
~ecunté
c) Le paiement des sommes dues l en cas
vieillesse et aa régime K,énéral d~
SOCIale pour les autres nsques : II de décès d'un ass.uré au cours du contrat
résulte de renseignements recueillis auprès
du Ministère de l'Intérieur que ces col1cctrviti:s n'on t pas l a possibili'té comme les cO'Ileotivités visées à l'aJinéa b ci-dessus, d'acrorcier à leurs agents, dans le cad re du
décret du 2 ma rs 195,1, un crupitali-.cIécès
complémentaine du ca'Pitall pri s en oh ange
par la Sé<:u rité Sociale. Il ne leur est do.nc
pas possible de souscr.î re une aSSura nce à
ce titre.
Toutefois, lorsqu'il s'agit de communes ou
d'étab1isse.ments publics communaux ou
i.ntercœt1iJTlunaux, la Caisse Nation3!le d'As.su rances sur la Vie est en mesure de co nsentir à ces co1Jecti vités une -assurance collect ive
destinée à garanti r le pa iement du c'\P it aJIdé<:ès pr';'", à l' aTtie le 86 de la lo i du
28 avri l 1952, porta:nt statut généraI du person nel des communes et de leu'rs établiss ....
me.nts publics" sous déduction du capitaldécès versé par la Séuurité Sociale. Le capital s usce;ptutile d'être gara.nti est alors
calculé dans les co ndî1i()n5 qui sont indiqUées
à l' alinéa b ci-dessus.
Les r ensei g.nlMlents qui prϑdent ne sont
donnés qu'à ti tre d:ooUtlTlentaire. 1/ appartient
à chaque collectivité di! d éterminer ellemêm e, au moment de la souscription du
contrat et sous .sa pr~pre. responsab ifit ~, le
l1loll~ant du capital ql1l dOit être garanti sur
la tete de chacun de ses agents, en tenant
compte à cet ef{'l!t des dlspoSl/lons apPlica-1
bles au personnel en cause.
est effectué à la coMectivité 'contractante â.
cha:ge par elle de les reverser aux aya l~s
drOIt de l'ass.ur-é. Le c3lp.i,t aJ...garan,t i n'est
paYaJl:lle que SI 1'''Ige nt décédé lai 0. un ou
pluslell'T'S des ayants-droit pOlwant prérendr-e au vers6lT1ent de ce célljJita l. Ces aya ntsdroit so nt Jes SU'bvantG :
. - -s'i l s'agit d' agen"ls relev a nt d' un ré~,me de Séc urité Soc ia:Ie adqpté e n a,pplira'
11011 du décret du 2 m a rs 195 1 : conjoint non
séparé de canps ni divorcé et descendants,
à défaut ascendants à charae ,.
- s'il s'agit 'agen ts relevant de l'arti cl e 86
de la loi du 28 avril 1952 veUives et o nJl h~
lins min eurs, Sont don'C e;clus, dans ce ca ,
les ascendants ainsi que les veufs d'a'gents
du sexe fémin in.
ZII
51 C
. c)Suivant le régime applicable, les justi-I D 5 BI
AG
"cations s u""antes :
1
- caliectiIVités ayant qpté pour le rég ime ARRETE PREFECTORAL AUTORIS ANT
mi xte: un e cClipi'e d'~ règllem~"t adopté et <le
LA CONVERSION DE L 'ASSOCIAl' arrêté I""fector"j (!'ap,probati on ;
TI ON SYNDICALE LIBRE DES PRO- coilectivités ayant a""ord é à leu~ perPRIETAIRES
DU
LOTISSEMENT
so nn el des a,v antage:. cO"1~eme"ta lfes sajou;
« LA PUGETTE » A SAINTE- MARtant a cellx diu réo·me gé né ral de Séou,'.'te
GUERITE
MARSEILLE EN ASSOSoclade : u.ne CO;'p I-e de la dc:ILbératlon ,puse
)
,
il cet effet et de j'.nrêté d'",~r(jbatio" du
CIATION SYNDICALE AUTO RISEE.
Mi'n istre 'du Tr.,' ail et de la Séc urit é Sociale, du Mi'nistrc d,u Bud.get et du Minist.e
AJ~RETE
de J' l.ntérieur.
Le Préfe t des BOllches-!lu-Rhô ne,
Si l'assurance est souSicri t-e en vue de l'apOfficier de la Légion d'Honneur.
plication de l'article 86 de la loi du 28 avril
Vu le pro cès-verbal de la réu nion de l'As1952, \la co llcc1ivi1é n'a aucune justifi cation
il produi'ret les diS@Ositioll5 de cet ar ti'cle semblée Gé né rale de l' Association Syndicale
s'appliquant de pleilt droit aux agents sou- du Lotissement c La Pugette ;) à Saintemis au statut général du ~n r so nneJ d es
·)\'\.arguerite duquel il résulte que cette Assocommll'nes et de l euTs établissements puciation demalrde sa transfo rmation en Assoblics.
ciation Synàicale Auto risée.
Par. 5°. - TAUX DE LA PRIME.
Vu l'articl e 4 des statu ts de cette AssoL'assurance est consentie, dans les condi'- cia tion ainsi rédi gé : « sur simple décision
Hons qui précèdent, moyennant le ,paiement
ÔU bureau, le Conseil d'Administration pourra
d'une ,prime cal'cul ée, ,pour la première période d'assu ra nce, sur la ba&e d' un taux an - d'emarlder à l'autorité co mpétente la transen Syndicat
nu~ de 1 % de tl'ensemble des capi taux for matio n du Syndicat li bre
as&urés.
autorisé ;) ;
Ce tallX est un tau x ferme qui n'est pas
Vu la loi du 22 JUillet 19 12 SUI l'assaisuscfiPtilb le d'êtr e m ctJiflt~ rétroa-ctivement, à
nissement
des vo ies pr ivées
l a fion de la Ipéri ode dl'assuranoee, pour tenir
compte de ~'â ge moyen du groupe assu ré,
non plus que des rèsu ltats effectivement
constatés. Les colleotivités contractantes sont
3Ï'nsi en mesure d'éljpprécier, dès l'origine,
l'étendue exacte de leurs en.gagements et la
souscription d·une telle ass uran-ce ne com porte, de ce fait, aucu.n aléa pour elles.
-T outefois, lo rs cfe chaque renouvellement
annuel, ~l sera tenu compte, pour la détermination du tau x de pr ime à alPpliquer à
J'exe rdce suivant, -du comporlemen1 du
grou,pe assuré precèdemment, de telle sorte
q,ue la Caisse NationalLe d'assura nces sur l a
Vie, qui fonctioJlln e comme une vaste mu1:uellle et ne poursuit l a reohenche d'aucllJ1
bénéfice l pourra off rir aux collec tivités un
faux die ijHime corr~pondal1t aussi exactement que poss ible à l a vaJleur des risques
'COurus.
ARRETE:
•
mUDIOque's-AvloS
A
dO
nnonces IVepSeS
0
m
D2 B3
OUVERTURE D'UN CONCOURS A LA
MAIRIE DE MARIGNANE POUR LE
RECRUTEMENT
D'UN
COMMIS
D' ORDRE ET DE COMPTABILITE,
Un co ncours 'P0U'f le recrutement d'un
commis d'ord r,e et de Comptab-i1ité aura lieu
là la Mairie de tMarignane le Veridredi 5
Décembre 1952.
Eue de nationalité irançaiset âge Limite 30
ans plus service militaire. Traitement indice
130-240, affiliation à la C.N.RA.C.L., (programme et tous renseignements, Secrétariat
Général de la ,Mairie). InsC'riptions ava nt le
20 NDvembre 1952.
•
commUNIQUES DU SECBET81l1RT
DE L'UNION DES lIlBIBES
D2 B3
CAMPAGNE POUR LA VIEILLESSE
l ' Association SyndiL e Président de l'Union des l\olaires adresse
cale li bre des propriétaires du Lotissement
un
ion'ent appe l à tous ses Collègues du
(' La Pugette » Sainte"'J\'larguerHe..JJ\\.arseilie
Départemen
t en faveur de la campagne pour
est converti e' en Association Syndicale Autola
Vieillesse.
Il espl'!'e que chacu n œuvrera
risée.
de son mitux pour une réussite comp lète
.4RT. 2. - M. le Secrétaire Générallde la
de cette cam pa gne qui se poursuivr a jusqu'au
Préfectu re est chargé de l'exécution du ;pre1-1- Novembre prochain.
sent arrêté qui sera notifié à M. le l\1a.ire de
Le Président,
M ars eill e et inséré ail Recueil des Actes
Dr Louis BRUNET, .Ylai;e tl·Allau ch.
Administratifs.
ART ICLE PR EM IER. -
'Marseille, le 3 Oct()bre 1952.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
Maxime Iv\JGNON.
------- (~OOC ~-------
~
Par. 4", -
FORMJ\;L1TES A REMP,uR .
En vue de la souSlcrbption ,d'une t(.l)le ass ur:nœ, les collectivités doivent ,produire à la
CaIsse des D épôts et ConsiO'"nations (so'us le
timtbre : Caisse Na tiona~ d' Assurances sur
la Vie - 4re Di vision - 1er Burea u)
a) La pro.pos.j.tioll d'ass urance ci-jointe,
d'ümenrt rc",plie et signée par le représentant qu alifi é de l a co~l ec tivi t c ;
b ) Une liste des agents à assurer , compo rtant leurs nom, prénoms et dates de 1l3issa nce, ainsi que le monta nt du c,,"pital devant être ganlJ1ti sur la tête de c hactl1l
d'eux ;
Le Secrétaêre Gt!neral :
P0ur le Préfet et par Délégation,
Maxime MIGNON.
�30 Octobr. et 6 Noy.mbre 1952
REPUBLIQUE FRANÇAISE
OËPARTEMENT DES
10' Anné.. -
N" 44 et 45
BOUCHES-OU-RHONE
Recueil des Actes
Adminisl'~·fs
et Bulletin des Mairi
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Se
A.BRÉVIA.TIONS
A. P . : Arrêté préfecto ra l. - c. : Circulaire . - Les lettres D et B suivies d' un dhiffre ind ique nt le Service ou Bureau d'origine.
D. S. T. : Directi o n des Ser vices Technique • . - D. D. S. : Di rection Départementale de la Santé. - D. D. P. : Direction départemental e de la Pop ul atio n.
SOMMAIR.E
Textes d'Intérêt Général
Pages
TV X 6. - Arrêté a uto risa nt l' Administ ration des Ponts et Chaussées à pénétrer dans les pro pri étés pu bli q ues
2 13
et privées, closes ou non cl oses....
Pag~s
1'IC 2. - Mandatement et justificatio n
des dépenses. . .. .... .... ..
AC 3. Co nd itio ns dans lesq uell es
Textes d'intérêt communal
les a nn ées d'é tu de accomplies par les
infirmi ères et assista nt es social es
AG 5 b - Cer tificat de vie de céli bat
peuvent êt re va lid ées a uprès de la
de non-divorce, de no n-séparation de
Caisse Nationa le de Ret rait es. . . ... 2 14
conps, de non- remariage ......... .
FS O. - Autorisatio n de p rati qu er exaA 4. - Rectificatif à l'a rrêté du 16 juilmens rad ioscopiques e n vue de la délivrance des ce rt ificats présuptiaux
let 1952 su r la règlemenbtion des
et prénataux .... .... .... .... 2 14
ouvriers forestie rs
P 8. - Déc héa nces de la nat io nalité
fran çaise .... .... .... . .. .
2 14 AG 2. - ApplIcation de la loi du 28
avril 1952 portant stat ut généra l du
P 8. - Ins tru ction des dossie rs de napersonnel
des co mmunes et des étatural isatio n et de réi ntégration.... 2 14
blissements publics co mmu naux ....
TVX O. - Pl an d'éq uipement nationa.!.
- Ve rsements de s ubventio ns . . .. 2 15 AG 2. - Indemnités pour le gardiennage des églises . . .. ...... . . .. . .
TV X 1. - Co nst ructi o ns scolai res. ... J 15
•
TEXTES
AC 2
D2 H2
MANDATEMENT ET JUSTIFICATION
DES DEPEN'SES
Le Préfet des Bouches-du-Rh6ne,
à MM. les Directeurs
des Services Extérieurs de l'Etat,
•
A la suite de -diverses observations formulées par l a Direction de la Comptabilité Publîque conce rn ant cer taines dépenses, je
crOIS utile de renouveler ci-dessous les rè gles rel at ives aux justifications de ces
dépe nses, ceNes-<i n'étant IPas to uj ours strictement alAPl iq uées.
1 Distinction elltre dépenses de personnel
0
et dépenses de mo/ériel.
Co nfo rm ement aux dis,positions de l'art. 9
du décret du 15 novembre 19 15, les mandats
em is Sur les chêljpitres de traitements ne doivent g rouper que les allocations et indemni tés qui co nstituent les accessoi res de ces
traitements.
Paies
EN O.
pou r
ment
2 15
ment
Subvention aux communes
l'i nstall atio n et le fonctionnedes centrlS publics d'enseignepost-scolai re agric()Je ou mé-
nager . . .. .... .. . . .... .... _...
f -4. - Prêt a ux coll ectivités locales ..
TV X 3. - Alimentation en eat! potable.
2,16
Dérivation des ea ux non domani ales . ... .... . . . . . . .. ........
220
221
221
Communiqués •. Avis .. Annonces divellSeS
2 16
FS 8. -
T ransfe rt du se rvice médica l
de l'A. M. G . . ... . ............ . 221
- Ouverture d' un conCou rs pou r le
recrutement d'un cont rô leu r tempo2 16 1 raire des lois d'assistance .. ' .
221
Avis de Concours . . . . . . . . . " ... . 222
220 1 - Dons et Legs .. . " .".. .... . .. . 222
D'INTÉRÊT GÉNÉRAL
Par mesure de simpl i1ication, ce caractère
peut ètre étendu aux indemnitês forfaitai res
pour fra is de tournees et de 'bureau, mais on
ne peut pas considérer comme accessoires
du traitement les indemnités pour frais de
mission ou de tou rnées dont le taux va rie
selon J' importance du service fait et allouées
SlU Iproduction <l'états justiffcatifs. En aucun
cas, ces indemnités ne devront donc être
cOJT1(prises sur des mandats affé rents à des
dépenses de traitements.
[D"autre part, confo rmément aux p.rescriptions des ci rculai res n° 3269 du 14 decemble
1936 et n" 605 du 26 mai 1948, les dépenses
de matérie l, frais de fonctionnement, etc".
doive nt faire l'objet d'un mandat distinct
pour chaque créance et chaque créancier.
Cette règle do it être (lIppl.iquée en ce qUI
conce rne les frais de mission, de tournée: o u
de déJ>lacement.
duction des feuillets correspondants aux
ex.amens prénataux détachés du carnet de
maternité.
3 Payement des Allocations de maternilé.
0
Le tpayement de la première fraction doit
être justifi"é par un buUetin de naissance de
l'elliant.
Le payement de la deuxième fraction doit
être justifié par lU1 certifi<:at de vie de l' enfant ou une cqpie cer tifiée du liv ret de famille.
4° Frais de missions, de tournées, etc...
Les état décomptés, annexes aux mandats énus en vue du remboursement de ces
indemnités, doivent indiquer les renseignements suivants qui constituent les êléments
de la liquidation de la dépense.
a) indice de traitement du fonctionnru re ;
b) groupe dans lequel il est classé;
2· Payement des Allocation préntrtales.
cl qualité de chef de famille ou de céliLes mandats émis en payement de ces
"allocatio ns doivent ttre justifiés par la pro-. bataire ;
�-
.
AC 3 cop iques en vue de la d~l iv rallce des certifi~
d) dates et heures de dopart
et de retour 10 2 B3
'Ca ts prén uptiau x et prénataux.
à la résidence ;
CONDITIONS DANS LESQUELLES l.ES
Le Directeur- D épartemental
e) itinéraire :parcouru avec date de séjour
ANNEES D'ETUDE ACCOMPLIES
de la Sant é :
dans
chaque ville ;
Sig né : Ill isible.
f) .puissance de la voiture ",ersonnelle
PAR LES INFIRMIERES ET ASSIS utilisée et nombre de kilomètres parcourus
TANTES SOCIALES PEUVENT ETRE
- - - -«» 00 «>- - - deouis Je déhut de l'année ;
VALIDEES AtJPRES DE LA CAISSE Dl B2
P 8
g) par aillelUlS, les demandes de rembou r- NATIONALE DE RETRAITE.
DECHEANCE DE LA NATIONALITE
seme nt de frais de transport par ch,emlO. de
FRANÇAISE
f er Ou voitu re publique seront obh,gatOlrej'ai l'honneur de porter . c i-dessou~ à l a
ment accorrwagnêes d'une d ~lar~t.lon des connaissance de M!vt les MaIres du Depar tePar déc ret du 23 aoClt 1952, pu blié au
intéressés certifiant qu' ils ne b enéh<:lent \pas, ment un extrait d' une ci rcula ire du 16 octo- Journal Officiel du 30 aoOt 1952, le sieur
à quelque titre que ce soit. d ' a,:antag~ 'Per- bre 1952 par laquelle M. 1< Directeur Géné- WAR LlNSl<l Bronislas, né le ~2 mai 1926, à
sonnels QU, dans le 'Cas contraIre, qUI 15 ne rai de la Caisse des Dépôts et Co nsIgnatIons Hermanowo (Pologne), deven u fran çais par
bénéficient pas o 'autres avallt~g~ person - précise l es co nditions dans lesquell.es. le~. an- l'effet collectif attac hé à la natu ralisation de
nels que ceux dont ils nt faIt etat da o> nees d' études accomplie par l es Inhrnll eres ses parents (déc ret du 5 janvier 1939) a été
leur demande.
et assistantes sociales plwven t être v~lid ées déchu de la nationalité française.
A x termes de l' article 2 d u docret auprès de la Caisse Nationale de RetraItes.
Pour le Pr~fet et par délégation,
n" .\5-2268 du 4 odobre 1945. les in~emnités
Pour le P réfet et par Délégation,
Le Chef de Bureau :
pour frais de missions sont aUouees, SOIt
Le Secrétaire G énéral:
Signé: PEZ.
pour des déplaçements de caradère acciden• Maxime MIGNON.
t el
effectués par les
agents en, dehors de
---- ~> oo .>----
leurs attributions norma les, SOIt P?ur. des 1 _ Années d' etudes accomplies par les InP 8
déplacements e ntrant da ns les attributio ns . firmi ères el Assistantes So cial es . - Po.s- DI B2
DECHEANCE
no rm ales de certains agents, malS effectués
sibilit J de vaUdafion au regard de la Cm ssans que ce u...x-ci soient affecté;; de, f~çon
se Nationale.
Par décret en date du 28 aoGt 1952 U. o.
cn ntinue à une circonscription deterrnmee.
« Le Conseil d' Administration de lia Cai sse du 30 août 1952), est déchu de la nationaEn vertu de l'article 5 du même décret, N ationale avait précédemme~t admis qu~ I.es lité fran çaise le nomm é EGOROV Ni kita, né
aucune mission ne peut être donnée à. ~ n années de scolar ité accomplies par les InfIr- le 7 septembre 19 13, à Ri ga (Lettonie), qui
alTent sans l' autorisati on préa lable du MIflIS- mières et les assistantes sociales pourraient était deven u français pa r décret du 19 août
tr~ Ou du Chef de Service ayant reçu dél,,- être valid ées au t itre du ré gime de retrait es 1939.
,"ation à cet effet, en ce qui concern e Jes de cette Caisse, selo n l es modal ités fi xées .b
Pour le P réfet et par délégation,
;gents pl atés sous son autor ité.
.
Le Ch ef de Bu reau :
l'arti cle 43 du décret du 5 octobre 1949, maIs
Les ordres de missions doivent être JOInts à la co nd ition que les études aient été effecSigné : PEZ.
aux mandats -<le rem boursement des frais.
t uées dans une école publique d'i nfirm ières
- ---«>00<>'- - - Aux termes de l'articJe 8 de ce décret, Les ou de sen'in~ so ci al du département dans
indemnités pour frais de tourn ées sont al- lequel les in té ressées ont ét~ ti tulari sées.,
P 8
Dl B2
louées pour les dépl acem ents effectués .d ~ns
J'ai l'honn eur de
vo us
Info rm er
qu au
les limites d'un déiPartement ou du ternt one co urs de sa derni ère séance, l e Conseil d'Ad-
d' une di rection par l e personnel exerçant ministration a décidé que l a Caisse Natiohabituellement hors de son ser vice d ' att ache nale pourrai t accepte r la va lid a~i o n ~ es. anou de sa résidence. ses fonctio ns norm al es nées d'étud es en ca use, même SI les Inter esd'exécution de contrôle.
sées à l eur so rtie d e l'école. ont été titul aL·article 10 prescrit qu e les voit ures par- risé~s dans un départ ement autre que ce lui
ticul ières ne doivent être l~tiI isées qu'à dé- da ns lequel se trouve le siège ?e I· é~ol ~ . ,
fau t ...-je voi tures publiques ou de tout autre
Il a en outre été décidé qu un delal d un
mode de transport plus économique, à moins an, à 'compter d'u 23 juin 1952, s~ ra i t ouvert
qu'un cas d'u rgence dûment justifi é en im- aux infirmièr es et assistantes SOCiales actuelpose l'eI11iPloi.
lement en fonction pour demand er ,l a validaPar ailleurs, le même art icle précise que ti on des ann ées de scolarité qu'e lles peuvent
l orsque la nature de l a mission Impose aux avoir acco mplies da ns les co nditions susagents de se déplacer ipar avion, il doit être visées.
produ it une décl arat ion signée par l'i ntéressé
Je vous ser ais obli gé d e bien vo uloir prenet con tresignée par le M;n istre ou'. à défaut dre toutes mesures utiles pour que l es no upar le Chef d u service dont il relève, ce rti- ve lles décisions du Co nsei l d' Admini strat ion
fiant que la m ission comportai t obligatoire- de la Caisse Nationale soient portées à la
men t l 'emploi de l'avion comme moyen de connaissance des in fi rm iè res et assistantes
transport.
sociales q ui, exe rça nt dans vo!r.e. dépa'rteEnfin , au x tenrnes d e la lett re du M inist re me nt, sont s usceptibles d'en bénehcICr.
du Budget N° 19 B/ 5 d u 17 janvier 1949,
j' aj oute qu'en au cun cas le t e':lPs de scoles frais de voiture, autobus, tramw ays pour l arité passé dans une écol e pnvée • même
circul at ion en vil le ne peuvent être rembou r- agréé e par l'Administ rati.o n, ne p.eut etr e vasés qu'aux fonctionn aires se dépl açant à lidé au reoard de la CaIsse N atIOn ale. »
b
l 'inté.rieur de leur résidence et dont J' indice
hiérarchique est in·férieur à 360.
Jean WATTEAU .
Afin de permettre de s'assurer qu e les
----<>00
«»
--pres-c ri.ptions ci-dessus ont bien été suivies,
FS 0
les mandats relatifs à l'achat de ca rnets de D.D.S.
tickets de tramwa ys devront être justifiés
par un relevé des tlltilisateu rs étab li d ans les AUTORISATION DE PRATIQUER LES
EXAMENS
RADIOSCOPIQUES EN
formes habituelles des états de frais de déVUE
DE
LA
DELIVRANCE
DES CERplacement.
TIFICATS PRENUPTIAUX ET PREJe vous prie de voul oir Ibien in viter vos
NATAUX.
services à 3IJpJiquer strictement Il es prescriptions rappelées ci-dessus.
Par a rrêté préfectora l en date du 14 octoPou r le Préfe t et par Délégation, bre 1952, M le Docteur RE NE Jean, demeu.
Le Secrétaire Général :
1 rant
à M arseIll e. 128, avenue de la Tlm one
INSTRUCTION DES DOSSIERS DE
NATURALISATION ET DE
REINTEGRATIO N
M arseille. le 25 oc tobre 1952,
M. le Préfet d es Bouches-du-Rl1ôll e
à MM. les S ous-Préfets d'Aix et
d' Arles,
MM. les Maires du Départemenl,
M. le Commissaire Cellirai de
Mars eille,
..
MM. (es 'Commissaires de polIce,
M. le Ministre de la Population et d.. I'
Santé Publique a r app el é dans sa circulaire
du 23 avri l 1952 que ll es étaient les instructions ac tuel·Jement en v igueur en matière de
naturalis ation. Je vai s en résume r les pas ss~
ges essentiels. afin que vo us puissiez i nstrUIre les dossiers en tenant co mp te de ces nOUve lles dipositions.
DEPOT DE LA DEMANDE.
Tout étranger résidant en Fra nce peut déposer une demand e de naturalisation. Il ne
vous app artient pas de déci der si cette demande est ou non rec evab le. T oute d em a ~de
de natural isation en t raîne donc obligatOIrem ent l'instruction intégral e du d ossi.cr . régJe;
mentaire du postulant ct l a tra nsml sslO~ ~
ce d ossier à mes services dan s un délaI e
2 mois.
PIECES CONSTITUTIVES ,DU DOSS IER.
1°
La requ €te.
L'étran ge r qui désire obtenir la. naturali;
sation ou la réintég ration doit rédlgeér à ~:e
effet sur papier libre une requête pr sen
aussi simplement que ci-desso us
21 5
M. le Ministre de la Population,
Je soussigné .. . ... . .. . .. ~ ....... . . .
né ,le ............ · · ··· · , ·, a . . . .. . . . . . . .
.domicilié à ..... . .. . . . .. . . . ......... .
ai l'hônneur de solliciter la naturalisation
fran çaise (ou la réintég ration).
(suit un exposé rres bref rie la situa lion de
famille, des . titres militaires, aes ressources
et de la durée du séjour en France du demandeur).
VeuiJ.lez ag réer,
Signé: X ...
L' épouse q ui désire acqu érir la nation alité
française se born e à ajouter au-desso us de
la signature du mari :
.
Je m' as.s<?cie à I.~ d,ema~de de mon m~TI,
-ou j e sollI CIte la relntegratlon dans l a nati onalité f rançaise. Si gné y .... femme X .. .
Quand le postulant demande la fra ncisation éventuelle de son nom ou de son pr énom, i l est so uhai ta ble de trou ver SO n dési r
.exprimé dans la demande même de natura lisation.
i
cette simple p'hrase destinée sans doute à
Cette observati on valait également pour
tenir lieu d'avis « aucune remarque défavo- 1 les subventions attribuées directement par le
rab le >. j'insiste auprès des Maires et <les .J\lin istre de l' Intérieur.
Commissaires de Police pour qu'a l'occasion
M. le N.IOIst re de l'Intérieur vient cep ende chaq ue demande qu'ils s.ont arppelés à d~~t de. m' i~io rme~ qu'en d ~ lt de cette déinstruire . ils émettent un aVIs dam ent mo- CI SIOn., II lUI ser aIt p ossi ble. po UT des cas
tivé, qui portera notamment sur la condu.it~ ex~eptio n nels et dûment jushties de satisla moralité, ~e loyalisme du postulant al ~~1 fa.Jre au x demandes de versements d'a..:ompque sur so n attitude au point de vue pOhtl- tes, SOus Tt."Serve que t eUes-ci lui pan'iennent
que et natio naL Si l' étranger est attein t d'une avant le 1er décem bre 1952, et étant entendu
in firmité particu.lièrement visib le, il sera bon que .celles-ci ne concer.n ero nt q ue des suOd'e la signaler dans ce paragr3IPhe .
v~ntlol.l ~ ne tomb ant Ipas sous Je coup des
PIECES O~U GATOI RES
dIspOSItIOns de Il'articie 1\ de la loi du
.
30 ma rs 1947, (travau x n'ayant Ipas été
SO!)t ob-l igatoires les pièces suivantes : c{)mm encés dans les deu x ans à compter de
Requête, déclaration sous la fo i du serment. la date d' att rib ution de la suovention).
acte de mariage des ,postulants, actes de
J\r\!M . les Ma ires voudront do nc 'oien me
naissance des postu lants et de leurs enfan ts, transmetire éventu ellement l eurs demandes
événruellement acte de décès d' un con.joint de versement dans un délai tel qu'elles pu isou copie intégrale d u jugement de divorce, sent être soumises par mes SOinS à M. le
copie des titres de séjou r, <:erhficats de ,na- j\r\ inistre de J'Inté rieu r avant le 1er d écem-
tionalité pour [a femme et les enfants fran- br e 1952.
çais., copie des pièces mllitaircs, ce rt ificats
médicaux,
analyse sérologique,
examen
radioscopique. certific at de t ravail menti onnant le sal aire et l' elTldJl oi, c erti ~i cat de sco2° Notice de renseigrœments .
lari té, Iprocès-venbal d' assimilation, certif L"c at
Cet imprim é doit être rempJi a'vec le p'ius de résiden·ce, certificat de nDn inllposition ou
g rand soin ; c' est ~Jl.e d es pièce ~ les pl us bordereau de situation fisca le. photogrruphies,
importantes du dOSSier . Les rens~l g ne~ents notice de renseignements., avi s motivé.
qui sont mentionnés su r cette notIce dOlvent
exactement être en concordance avec les ETRA,NGERS N ATUi~LlSES .
d iffére nts documents qui co nst it uent le dossier. Pa r exe"lple : la p age 2 où sont indiquées les r ésidences en France ~t à l 'étra n(Jer concorder a avec la déclaration sous la
foi du serment. l a page 5 qui note l' assim il ation con cordera avec ,le Iprocès-ve rbal
d'assirn Hation et ainsi de suite.
Pour le Préfet et par dé.léga ti on.
Le Secrétaire Géneral
M ax ime MIGNON .
- - --«:too «:t- - - -
02 83
TVX 1
CONSTRUCTIONS SCOLAIRES
Le préf<l ries Bou ches-du-Rh c'n"
à MM. les Maires,
Enfin lorsque je VO liS transmets un décret
J'ai l'honneur de vous signaler que M. le
de naturaJisation, vou s devez vo us assurer
qu' à la date de signature du dL'C"ret, j'lO té- Mi nIstre de l'Educatio n Nationale a, par
ressé a>v alt Sa résidence en France (art . 6 1 -ciroul ai r~ d u 1er septembre 1952, fi xé des
C.N. F.). D ans le cas où cette co ndition ne nOI mes Sur les di mensions des locaux scola i l es.
1 serait pas remplie. il co nvie ndrait de me
Cett e ci rc ulai re et les documents anne xes
1renvoyer le décret. Je ne sa urais t rop vous
recommander lia plus grande vigil ance pour on r étë édi tés sous fonne de bro.chure par
3° Pièces de l' état-civil.
exerce r ce contrôle dont l'impo rtance ne le Service d'Edition et de Vente des Publications de l'Education Nationale. 13, r ue d u
L'état-civil des in téressés doit êt re vérifi é vO'us éch a~e ra pas.
Four, Paris (6). q ui en assure la ven te au
avec la rigueur voulu e à l a fois pour des
Pour le Préfet,
p rix de 60 fr ancs l'exempla ire.
r·aisons de Iprudence élémentai re et pour des
Le Secrétaire Général
raisons de bon ord re administr ati f.
Pou r le Préfet et par délégation,
Max ime MIGNON.
IL'acceptati on de documents destin és à
Le Secretaire Genéral :
rernplacer au dossier les ac tes de I"état-------c >00 «,-----" laxi me MIGNON.
civil ne doit lnter veni r que très exceptionTVX
0
- - - - - c :tOO e : t - - - _
nellement. L es relatio ns avec les pa ys ét ra n- 02 B3
gers sont. en (J"enéral, suffis amm ent norm a05 BI
TVX 6
PLAN D'EQUIPEMENT NATIONAL
les 'pour que ,l'~ n pUÎsse d ire qu'en p rati que
ARRETE AUTORISANT L'ADMINISles réfu O"i és JSont Iles seuls postulan ts 11 0&1
VERSEMENTS DE SUBVENTIONS
TRATION DES PONTS ET CHAUSSuscfWti~ es de Se IprQlcurer Ipar les voies
SEES A PENETRER DANS LES
Le
Préfet
des
Bouches-du-Rhône,
-ordinaires les p ièces o rigin ales r ~u i ses .. lls
PROPRIETES PUBLIQUES ET PRIà MM. les Maires du Département,
auront alors r ecours à des ce rti ficats -etaVEES, CLOSES OU NON CLOSES.
b.lis pal' des OffÎ'ces de Réfugiés. L'e recours
Pa r des ci rcuJaires insérées au B.A.~\<\.
Aménagement
des sorties de Marseille
aux a ctes d1e notoriété toléré par la règle- n"l' 23 42 et 50 de l'année 195 1, j 'avais i nSortie Est
menlaliol}. ne doit être suggéré aux intéres- formé 'MAL les Maires de Ilntérêt qui s·atAutoroute Marseille - Aubagne
sés qu'en désespoir de caus e.
.
taahait â ce qu'ils m'adressent au plus tôt,
Don.~, -e n r ègfe gencrale, .v~us eX Ige rez les d emandes de vers~ment des subventions
Le Prefet des Bouches-du- Rhône.
des rpostulants à défaut de 1''Orlgl nal de leu rs qui avaient lie attri'buees à leUi commune
Officier de la Legio n d'Honneur,
actes d'état-civÎlI des traductions cerlitU!es pour l' exécution de tra\'aux agréés dans le
\'u la dccision de M. le ;" -inistre des T raconform es à l '~rigi n a l . établies de préfé- cad re du Plan d' Equipement National et je \'aux Piu blics, en date du 12 août 1952,
ren ce p ar d es t ra ducte urs-jurés.
leur avais précisé que .M. le Ministre de approu\'ant .l'a\·ant..,projet de l'autoroute de
l' Intérieur venait de mettre à ma disposition la sa rhe Est de .\\arseille ;
4° Procès-verbal d'assimilation.
Vu l e rapport de 1\\. l'Ingénieur en Chef
Est di t assim ilé au sens de l'article 69 du le montant des crédits necessaires a u verseCode de la N ationali té Française, l 'ét ranger ment de la tota l ité des subventions attr ibuées du Dëpartement, en date d u 30 septembre
qui, !par son Il angage, sa mani ère de vivre.. par mes arrt!tés en date des : 21 mai 19-.17, 1952, eX@osa nt la nccessitë de pénétrer dans
SOn état d'esprit, so n comportement a 22 :lvril 19-18, 18 mai 19.+8, 28 septembre (es pro,pr iétês privees !pour p rocéder au."X
l 'égard des institutio ns f rançaises se distin- 19-J.8, 30 novembre 1948. 1er oc tobre 1949, études définitives et OtP~rations de pi quetage
,gue aussi .peu que p ossible de ceux de nos 1er avril 1950, de même que celles intéres- et levers de pl an de ladite autoroute ;
V u les lois des 22 juiUet 1889 et 29 dénationaux au milieu desquels il vit. (Pour sant les Iprogr ammes de voirie vic inale
la rédac ti on du procès-venbal d' assimilatio n, agréés ail co urs des années 1946, 1947 et cembre 1892 ;
Vu I"article 43B du Code Pénal;
je vous demande d e VO liS repor ter à ma cir- 1948.
Mais ai nsi que je J'avais précisé dans les
Consid.!rant qu'il convient de Iprendre
cula ire du 30 octobre 195 1).
cÎ;culaÎres pr6citees. les subventions susvi- toutes mesures po ur que les Ingenieurs..
AVIS MOTIVE.
sées non utIlisees à l a clôture de l'exercice Géomètres, Agents et Ouvriers qui doiw nt
Il m' est arrLvé t rès so uve nt
195 1 se trouvera ient automatiquement frap- l concourir .:\ l'étude dont il s'agit, n'êprouue l es dossiers m'étaient
�217
216
propriétaires des terrains sur lesquels cette
etude doit avoir lieu ;
Sur la pr<wosition de !II. le Secrétaire
General des Bouches-du-Rhône,
Arrête :
livrés tles certificats de " ie, de lCéilibat, de
no.n divorce, de non séparation de COIlPS et
de non remaria ge. Je vous info rm ais q ue
j' intervenais auprès de mes collègues pour
leur demander de sUlbstituer, aussi souvent
que possiblc,à ces certificats, soit des déclarations établies SOus la foi du serment
par Jes intéressés eux-mêmes, soit des
cop ies ~ertiftées conlo nnes du livret de fa.mid1e.
JI es t apparu que da ns diff érents cas, il
convenait de mai ntenir !.les certirfica ts en
cause Ipot!.r éviter, soit des erreu rs, soit le
recours pêriodi que à l'ët alJ.lissement d'ades
d'état--c.ivil .
Pou r ces mofi,fs, j 'a i J'hon neur de vous
préciser que lorsque des demandes de certificats seront adressées aux mun icipalités
pour satisfaire aux r.ègJles de <constitution de
dossier prescrites par certaines admi nistrati ons, il conviendra d'y réserver une suite
fal'orabole afi n d'eviter les r etards qui seraient Ipréj'u diciaWes aux admi nistrés.
Par
ailleurs,
d~V'erses
municipalités
m'ayant fait valoir les ava ntages des ceïti~i~ts de vie colledifs permettant d'éviter la
consultation simultanée de plusieu rs mai ries,
ces certificats pourront, à la dema nde des
administrations intéressêes, ~tre délivrés
dans tous les cas où l'autori té ,mun ici pade
s'estimera rense ignée sur l es requérants,
soit que le maire ou ses se rvices les cOllnaissent personn.ell ement, soit que l es pièces
02 B3
AG 2
APPLICATION DE LA LOI DU 28 AVRIL
1952 PORTANT STATUT GENERAl
DU PERSONNEL DES COMMUNES
ET DES ETABLISSEMENTS PUBLICS
COMMUNAUX.
j~\. les In génieurs
chargt's de J'étude de l'autoroute de l a sortie
L e Préfet des Bou ches-du ...Rhônc,
Es, de Marseille, les Géomèt res, Agents et
à MM. les Maires du Département
Ouvriers Iplacês sous leurs ord res sont auto(en co mm unication à MLrv\. les Sousrises à procéder sur le territoi re des
P réie ts).
communes de Marseille, la
Penne-surL'article 13 de la loi du 28 Av ril 1952
Huveaune et Au.oagne, aux levers de plans,
prévoit la co nstitution dans abaque départepiquetages de trac '
nivellement et autres
ment d'un sy ndicat de co mmun es auquel
opérations qu'exige cette étude et, à cet
sont oblkgatoi-reme nt affiliees toutes les corneffet, à .pénétre r oans les ,pro,priêtés particumun es occupant moins de 40 agents titulalières conununales ou domaniales, closes ou
ri sés d'ans un emploi permanent là temps
non closes. à y planter des balises, j alons,
complet.
piquets, bornes- repères, à franchir les murs
Les cond~tions de co nstitution et de foncet autres clôtures ou obstacles qw pourtionnement
de ces syndicats ont été fixées
rai ent entraver Jes opêrations, à pratiquer
par le d~cr et du 6 Septem bre 1952 (Jo. O. du
dans ces pTOJlriétés des sondages, élagages
IR Septembre).
d ' arbre~ de haies, de dôture et, en règle
Par ci rculai-re n° 382 du 17 Octobre 1952,
générale, tous les travaux nécessaires à
pub liée ci-après, M. le ~I\"inistre de J' Intérieur
l 'a<A:omplissement de leurs missions.
a précisé les modalités <l'app li catio n du décret
Art. 2. - Il est interdit d'aj:\JJorter au
susvisé.
personnel chargé des études aucun trouble
Pour per mettre l'établissement de la liste
ou empêchement, ni de déranger les diffédes co mmunes qui seron t affiliées au syndirents piquets, signaux ou repères qu'il étacat de com mun es du D épartement des Boublira. Ces ,piquets, signaux ou repères sont
ches-du-Rhône et ultér ieu rement la constitution de la Comm ission paTitair,e intercomm uplacés sous Ja garde des autorités militaires.
Eu cas de difficultés ou résistances quelnale, M'M. les Maires sont priés de remplir
avec le pl us Q'rand soi n le t·ablea u <i.e renseiconques, les Ingénieurs ou Je personnel sous
produites à l'a~pui de la demande ap parais- anements joint en an ne xe là la pr,ésente cirleurs ordres, pOllrront faire appel aux se
nt suffisamment prQlbantes.
~.
. avan t 1e 20
cu
laire, ,qui devra paTve01r
...N0Agents de la Force Publique.
1 vembre 1952 à la
Pour
le
Ntinist
re
de
l'In
térieur
Préfectu
re,
2~ DIVIsion,
~rl .. 3. Dans le cas où, Ipa r suite des
et par délégation,
Bureau, pour les com mu nes d-e l'arrondisoper~tlon~ sur le terrain, les propriétailres
Pour le P réfet
1sement de 1vlarseille ; aux Sous-Préfectures
auraIent a sUipporter des dommages, J'indem- 1
Directeur de l'Administration
1 pour les arrondissements d' AIx et d' Arle~.
~ité . erait rég~ée, atltant que possible, à
D épartement ale et Communale,
Les 'effectifs devant être portés sur ce
I.amlable et SI J'acx::ord ne pou\'ait a\'o ir
1 tableau sont ce ux qui ont été autorisés soit
heu, par le Conseil de Préfecture Interdépar- ( Le Directeur-Adjoint de l'Administration
Départementale et Communale
au moment de la révision générale des effeetemental de ~\tarseille, conformément aux
H. FOU~RrER.
tifs ~l'e 1946 soit au L'o urs de modifications
dispositions de la loi du 22 juillet 1889.
ultérieures 'approuvées par l'autorité de
IITI .. 4. - Le présent arrête sera publié et
------- <' 00 «.------tu telle.
affiche- dans les Cnmmunes intéressées et
A 4
Pour le Préfet,
insérè, en outre, dans l'un des journaux du 06 B I
Le Secrétai"e Gén éral dé légué,
Département et au Recueil des Actes Admi- RECTIFICATIF A L'ARRETE DU 16
Signé : Maxime MiGNON.
nistratifs.
JUILLET 1952 INSERE AU RECUEIL
••
DES ACTES ADMINISTRATIFS DES
Arl. 5. - M. le Secrétaire Gén éral de la
OB.I ET : Statut généra l d u personnel com24 ET 31 JUILLET 1952.
Préf~hIre, ~~\1. les lI1.aires de Marsel~e,
munaL
La Penne-sur-H\.1veaune et Aubagne, lM. le
Au li e u de :
Commandant de. Gendarmerie sont c hargés,
1. - Applic atio n du décret d u fi Septembre
< Vu l'arrêté préfectoral du 28 jui ll et 1945 1952 (J. O. du 18 Septembre) tixant les conchacun en ce qUI le concerne de l'exécution
du present arrêté.
'
portant règlementation du travai l 'po ur l es ditions de co nstitution et de fonctlOnncment
ouvriers forestiers ;) ;
des sVl1àî'Cats de communes pour le person~
Marseille, je 14 octobre 1952.
nel.
Lire:
POur le Préfet,
II. - Commissions paritaires intercomLe Secrétaire Général déléuué
c Vu l'arrêté ,préfectoral du 28 juillet 1949
Maxime MjONON. 0
portant règlementation d u t ravail ,pour les munales.
ouvriers forestiers > .
REFERENCE :Ma circulaire gé nérale
ADC/,PER n' 325 d u 10 Août 1952, titre II.
Au lieu de :
< Arlicle premier. _ Il est inséré dans
L'article L3 de la loi portant statut général
du person nel des communes et de leurs étal'arrêté portant règlement du trava il des
02 B3
AG 5 b oUI\'riers forestiers du 28 juillet 1948 ::. ;
bl issements pu blics dispose:
.. Il est co nstitué dans chaque département
CERTWICAT DE VIE, DE CELlBAT DE
Lire:
uo svndicat de communes auquel sont obhNON DIVORCE, DE NON SEPARA« Article premier. - Il est i nséré dans gatolrement affiliées toutes les c.ommunes
TION DE CORPS, DE NON REMAl'arrêté po rtant r ègl ement de travai l des occupa nt moins de 40 agents SOUlTIlSaU pJ\éRIAGE.
Ci rcula ire n0 375
ouvriers forestiers du 28 juillet 1949 :» .
sent statut, c'es t-à-di re titularisés dans un
MarseiJle, le 6 octobre 1952.
emploi permanent il temps complet.
Le Ministre de l'Intérieur,
« Ce sy ndicat a pour objet de faciliter aux
à MM. les préfets de !a Métropole,
Le Préfet,
comm unes l'a o. pli<atio n du présent .stat.ut. Il
Le Secrétaire Général délégué
t
REFER. : ·.\>\es insnructions n' 194 du 4 juin
Maxime MIGNON.
exerce en outre, les attributions qUI lUI so n
1949 et 325 du 30 septembre 1950.
conférées par la présente loi.
Par instr uctions d~ 4 juin 1949 et 30 sep- i
1: Un décret, qui dev ra intervenir. dans un
t em b re 1950'
- ---0000---délai de 3 mois après la pro.mulgatlO n de la
, le V(KJS al- fal't ~onnaJ·tre 1es 1
Article premier. -
1
13"
•
•
TEXTES D'INTERET GOJIIJIIDNHL
Cette faculté devient une obliga tio n si le
Pour vous permettre d'arrêter la liste des
communes et établissements publics membres nombre des em:Plois des établissements est
du syndicat, il sera nécessaire que vous pro- supérieur ou égal .ft celui des emplois p'ro·
cédiez à l'examen de la situation de toutes prement commu naux.
les com mu nes de votre département. Vous
3" Etablissements intercommunaux.
inviterez celles qui, en vertu des dispositions
Ils sont représentés, en oprinéipe, par leur
antér.ieures ne vous auraient pas encore
adressé le tab leau de leurs effectilfs, à le faire président et, s'ils compten t plus de 5 emplois,
sans tarder. Vous leur rappellerez à cett~ par un deuxième d~l"gué elu par le Conseil
T ITRE 1
oocasion, la not ion de remploi' permanent â d'administration.
te mps complet (2).
Ce second' dél ég ué est norma lement cho isi
SyndJcals de Communes
au
sein du Conseil, parmi les membres n 'ap~
Je
sou
ligne,
un
e
fois
de
plus,
que
doivent
Les sy ndicats de co mmu nes ont pour D'bjet
de fa-ciliter aux co mmun es qui n'ont pas de êtr e considérées com me va lables, les délibé- par tenant pas déjà à un autre titre au synservices suffisamment différenciés l'applica- rations déjà prises fi xant les etfectilfs actuels dicat.
Toutefois, des cas exceptionnels pourra tent
t ion du statut et spécia lement la co nstitution die la com mune et de ses établissements pudes or ganismes co ns ultatifs cn matiètre d?a- blics. 11 n'est donc pas utile, d'ans l'i mmédiat, amener des dérogations >à ces règles :
d'in.viter les collectivités à en prendre die
Ire hypothése :
va ncement et de discipline.
L'établissement cOll1'Jlte au plus 5 emplois.
Leur rôle co nsis te à do nn er des avis et à nouvelles [po ur l'application du statut, à moins
a) Si le pr';sidlent est déjà membre du
faire des proposit ions aux maires et aux Con- qu'elles n'entendent modifier, pour des rai seils muni cipaux. Ils n'o nt de jpouvoi rs de sons dont il vous appartienàra d'apprécier Comité du sy ndicat à un autre titre, le Conseil .d.!esigne dans son sein un autre délégué ;
décision qu'en matière de recrutement ; fixa- l'opportunite, J'eff ectif exista ni (3).
Lorsque \'OUS aurez arrêté La liste des comb) Si le préside nt et tous les autres memtion des règ les d'accès aux différents emplois
(article 21) et en matière .(j'avancement ; munes et établissements intercomm llnaux bres sont déjà membres du Comité à un
fixation de la d'llrée maxima et de la durée membres du syndîcat, vous en informerez les autre titre, le Conseil doit exceptionnellement
mi nima d'u temps susceptible d'ê tre passé maires et prési dents intéressés en les priant choisir une personnalité en dehors de son
dans chaque éohelon pour chaque catégo'rie de répo ndre à votre convocation pour la 1re sei n qui ne soit pas elle-même déjà membre
réun ion. co nfor mément à J'article 9 du dlécret. du Conseil syndical à un autre titre.
d'e mplo is (article 28).
Si des doutes subsistaient quant à l'af.fi2me hypothèse :
OHA,P lT'RE 1
liation d'e ce rta illes communes ou si certaiL'établissement ~ompte plus de 5 emplois:
nes d'entre elles omettaient d'établir la liste
CONSTITUTWN DU SYNDICAT
a) Si le président est déjà memb're du
des emplois perman en ts, il s"erait inutile (fat- Comité synd~al, le Conseil désigne deux
A. -.! Critères à r et enir pour l'affiliation.
tendre qu'un e solution définitive inten'ienne, délégués dans son sein ;
Fo nt ob ligatoirement pa rtie du sy nd:icat
et d' ema:>êcher ainsi le fonctionnement dtu syn
b) Si le présid'en t et tous les mem bres du
to utes les co mmunes occupant moins de 40
dicat. ILes articles 3 et 4 du décret vo us d!o n- Consei l sont d'éjà membres du Comité, le
agents titula risés dans un emploi permanent
nent en effet la possibilité de mod:i fier à tout Conseil désigne exceptionnellement deux peril temps com plet.
moment la liste des communes membres.
La liste de ces emplo is - établie par le j'appelle vo tre attention sur le fait que toutes sonnalités choisies en dehors de Son sein, et
Conseil municipal et par les Conseils des éta- modification apportée à la liste des com- qui ne soient pas elles-mêmes déjà membres
blissements publi cs, puis approuvée par l'au- munes membres doit être immédiatement d'Il Comité à un autre titre.
Il conviendra d'appeler l'attention des col torité préfecto rale - détermine l' obligation nohfiée par vos soins au Président du Synpour une commune de farre partie du syn- dicat en même temps qu'aux coJlectivitês lectivités intéressées sur le fait que "faute par
elles de désigner leur deuxième délégué, elles
dicat.
intéressées.
ne disposeraient que d'une voix au Comité.
Pour la définition des emillois permanents
CHAP ITRE Il
à temps co mplet, vous voudrez bien vous
FONCTIONN8MENT
4° Groupement de communes.
reporter à ma circ ul aire n° 325 du 10 Août
A,fin d'éviter que le Comité du syndicat ne
1952 (Tifre 1 - Ohapitre 1 et Il ).
A. - Repoésentalion des Communes.
comprenne un t lop grand nombre de memC'est le nombre des emplois et non ,celui
1" Communes comptant au plus 5 emplois. bres. notamment dans les d-épartements
des age nts qui doit être retenu. En effet, la
solution inverse risquera it d'entraîner des
Ces communes sont représentées par leur comptant ;plusieurs centaines de communes
modifications fréquentes du nombre des corn- maire. La co nstitution du syndlcat étant obli - soumises au statut, le décret a lé\issé la possiC'Yatoir e il n'est pas utile que des délibéra- bi lité aux collectivités ne co mptant pas plus
Intmes membres du syndicat.
Toutefois, il im porte qu'une c? n cord~nce tions s~ient !pr ises par les Conseils munici- de 5 emplois de se grouper entre elles pour
soit maintenue e n~re le nombre d emplOiS et paux pour marquer leur açihésion au syndi- se faire Teprésenter. Cette mesure présente
en outre l'avantage de réduire les dépenses
ce lu i des agents tltulaires qui les occupent cat et pour dlési·gner leur représentant.
occasionnées par le déplacement des déléeffectivement. Il serait anormal que dies
2' Communes comptant ~Ius de 5 emplois. gués.
emplois restant co nstamment v~cants ~Ie
soien t pas supprimés. Il vous apparhe!ldra cre
Pour équilibrer au sein du Comité la repréVous pourrez donc re<:ommand-er l'utilicon trôler l'application de cette règle ;:::\a ns les sentation des différentes ,communes, le décret sation de ce ,procédé chaque fois que les
co nditions fixées à l'article 6 de I"ordonnance a prévu une double repr~se n tatio n .'Pour celles circonstances locales le permettront.
du 17 'Mai 1945 (Voir Circ. généra le l, 22). qui comptent plus de clllq emplors. Dan~ la
11 est cependant souhaitable que le nombre
!>iande maj orit'; des dt\j)artements, les petries de communes r eprésentées par un déléguë
•••
~ommunes
sont
en
effet
les
plus
nombreuses
Le ?me alinéa de l'a rticl e 1er du décret
unique ne soit pas trop important pour perprécis; que «" sont considérés comme faisant et les problèmes qui s'y posent en matière mettre le fonctionnement normal du Comité
partie du personne! communal les agents de de personnel sont d!ifférEnts de ceux qui sont
la co mmune et d'e ses établissements pu- soulevés dans les communes possédant une B. - Composition du btu1eau.
organisation plus développée.
blics ~.
Le bureau comprend au moins trois maires
C'est le total des emp lois intéressant le
C'est au Conseil Muni<:ipal qu'ô été laissé et au max.imum 20 membres. Dans ces limipersonnel prop.rernent ,communal (liste ~xée le soin de choisir le 2111e r eprésentant d'e la tes, le Comitë est libre d'arrèter le nombre
pair le Conseil municipal) et de ce ux Inté- communc au Comité du syndicat.
de ses membres et de fixer leurs moà'aliks
ressant le -personnel de.s, éta.bliss.ements
11 est souhai table, pour assurer une repré- d'élection.
pUbli cs die la commune (listes ctabhes par sentation des établissements publics, que le
Le Conseil de la République, au cours des
l'or ganisme délibérant) qu 'il convient de choix se porte SUI un membre de la Comd'ébats a exprimé Je souhait que Ce nombre
retenir pour déterminer l'affiijMioll d'une m.ission admi nistrative, d'u Conseil d'Ad'm isoit assez élevé. En effet" le bureau exer-ce
comm une au syndicat ( 1) .
nistration ou Comité cre gestion lorsqu'il un rôle important puisqu'il lui appartient de
B. - Etablissement de la liste des com- existe dans la commune d-e semblables éta- régler, dans l'intervalle des sessions les. problèmes qui peuvent se poser. De plus, Il est
munes et établissements membttes du syn- blissements.
char"é de l'e xéculion des decisions du Codicat _ Rôle du Préfet.
mité~ et il reçoit de la loi des attributions
19.
nronrt'~ ("t'st
Que l'article 16 de la loi
tution et de 10ncHonnement de ces sy ndicats
intercommunaux. ~
Le Journ al Oftficiel du 18 Septembre 1952
a publié le texte de ce décret . Les sy ndicats
in t~rc ommllnaliX et les orga nismes qui en
dépenden t : Commission pari taire interco mmunale, co nseil de d'iscipline intercom munal, ,peuvent !donc être mis en place.
I
�219
du 28 Avril prévoit que < les mod'aUtés des 1 à compter .de cette réception, 'POur pr.;genter
élections des représentants du personnel sont ses propositions. Elles dOivent être notifiées
fixées par délibération du bureau du syndicat dans le dlé la i d' un mois aux communes et
o.e communes >.
établissemenrs intéressés. Vous veillerez a
De même l'article 17 lui laisse le soin de ce que ces délais soient respectés.
Le Comité du syndicat propose suiva nt la
fixer le nombre des sessions obligatofres pour
les travaux des Commissions paritaires.
même procédUIe les indemni tés. ;primes et
avantages accessoires visés à l'article 23 du
C, - Tenue des sessions,
statut général.
Le Comité flx.e également la durée maxiL'article 10 du dokret préYoit que le Ol mité
tient chaque année un e sessio n ordi na ire mum et la durée min imum du temps suscepobligatorre dont la date d'ouvertu re est fixée tible d'être passé '<lans dlaque échelon pour
au .cours de la première réunion qui a lieu à cha 'Lue catégorie d·emplois.
votre initiative. L'époque à laquelle aura li eu
Il doit tenir co mpte de l'a nciennet minjcette session pow-ra donc varier suiva nt les mum arrêtée par Je Ministre rie l'Intérieur
circonstances locales.
pour J'accès aux éc-helons moyen et terminal
Le Comité peut être convoqué en sessio n de c hacun des grades ou emplois dlont il
extraordinaire dans les conditions prévues détermine les éohell es de traitement maxipar les alinéas 4 et 5 de l'article 10 du mum (article 28, alinéa 2 ; V. circulaire
généra le, V, 9).
decre!.
CHAPITRE III
CHAP1'fRE LV
ATTRIBUTION DU SYl\'DICAT
DISP06ITIONS FtNANCIERES
Comme il a étë rawel~, le syndicat 3,
A.
Dépenses . frais de fonctionnement.
d' une manière générale, pour objet de faciliter au.x communes adhérentes l'applkation
Elles compr.,nne.nt :
du statut <tu personnel.
1° Les frais de dé;>la cement et de séjour
La loi lui confie, d'autre part, certaines des <iélégués pour .,participer aux travaux d!u
attrrbutions précises.
Comité. de la Com mission paritaire j nte.rA. - Constitution des Commissions pari· co mmunale, du ConseiJ de discipline intercommunal ou de tous aut,res or.ganîslTIes
taires intercommunales:
da ns lesquels ils rep rése ntent le syndicat.
Le s)rndicat jout! en la ma tière un rôle
Aux termes d~ l'a rticle 12. de la loi d\! 24
essentiel : (Voir titre Il ci-a;pres.
'Juillet 1952, les frais exposés par les maires
B. - Conditions de recrutement du pero dans l'accomplissement de mandats spéciaux
peuvent être remboursés forfaitairement dans
sonnel.
Le Comité détermine, par délibération sou- la limite du montant des indemnités jourmise à votre approbation, les conditions de nalières allouées pour le même objet aux
recrutement pour l'accès aux différents fonctio nn aires de l'Etat appartenant au
groupe L
emplois.
A chaque mission, doit en principe co rresLorsque rarrêté du ~'1inistre de l' Intérieur,
pondre
un titre justificatitf du caractère d~ in
prévu au 4me alinéa de l'aiiic1e 21 du statut
général, sera intervenu. les .conditions fixées térêt général présenté par le déplacement,
par le Comité ne pourront d~oger aux règles c'est-à-dire une délibération de l'Assemblée
générales prévues par cet arrêté. Elles pour- Municipale portant autorisatio n d' effectuer
ront, par contre, les compléter -pour tenir celui·~ci.
Cependant, il est admis que le Olnseil
compte de circonstances locales particuM'Unicipal n·a pas à se prononcer lorsque la
lières.
En attendant, les Jègles étabLies par les mission inco mbe au maire d'Û'ffice en ve rhl
délibérations antérjeures de chaqUe Co nse il d' une obligation législative ou réglementaire
municipal continueront à être appliquées expresse. ce qui est le cas ici.
(cf, cireulaire générale du 10 Août 1952 III
2° Les [rais die déplacement et de mission
13).
' , des représentants du personnel po ur partiC. - Détermination des effectifs des cIper aux travaux des Commissions paritaires et des Conseils de discipline intercomemplois et des échelles de rémunérati~.
munaux. Ces -frais 'eur seront r emboursés
En . fonction du classement type et des suivant la catégorie à laquelle ils appartieneffectifs proposés par le Comite National nent (cf. circulaire 75 AD/ 3 du 28 Février
consultatif et après avis de la Commission 1952).
paritaire intercommunale. le Comité propose
3° Les frais de oureau, d'adlministration et
aux Conseils Municipaux et Conseils d'Ad· d'étud~s.
ministration ou Comités des établissements
Il appartient au Comité de déterminer les
publics, l'effectif des rufférents emplois corn· conditions dans lesquelles seront réglés ces
munaux et les échelles de traitement de. frais. Vous aurez à approuver les délibéradifférentes catégories de personnel. Les
tions prises 3 cet effet.
écltelJes ne porront être supérieures à eelles
qui seront fixées 'Par arrêté du Ministre de
B, - Recettes . Répartition des frais entre
l'Intérieur pour certains emplojs ad'ministra - les communes.
tifs ou techniques déterminés par le pla n de
L'article 18 de la lai a prévu que le Co mité
reclassement en raison de leur analogie
d'u syn'd kat de communes répartit entre les
ayec certains emplois d'e l'Etat (1).
collectivités "dhérentes les d~penses e"gaPour éviter que des d\!la is trop longs ne gées pour le fonctionnement du syndicat de
s'écoulent entre la réception des propositions la Commission paritaire intercommunale et
de la Commission paritaire et Jeur examen du Olnseil de discipline. Dans le cas où un e
par le sl'ndicat, l'article 13 du décret a fixé commune refuserait d'inscrire sa part à son'
au Comité un dl!lai Impérati.! de trois mois, budget, il vo us appartiendrait d~y pourvoir
à l'artid'office d'ans les co ndHions
•
Il pourra être notamment tenu eo mp fe
po~r la répartition de ces dépenses, d~
"hlffre de la p.opulation muniCipale tota le et
au nombre des agents employés dans chacune des com munes.
Le. groupement de communes pour la dési.
gnahon. do:un seul délégué entraînant une
économie IInporta~te pour le syndicat, il ~st
normal que les com mun es groupées en tirent
un ava ntage sur le plan fina ncier. 11 est dOll c
souhahitable de rédu:ire leurs ..::harges dans
la proportion cie la rédluction des frais de
missio n en r ésultant .
•••
OBSERVATIONS GENEJR.AILES
L~ dlécret renvoie d'une manièr e générale
au titre VIU de la lo i du 5 Avri l 1884 re latit
aux syndicats de communes po ur toutes le"
disDositiolls non contrai res à ce décret.
1
Dans c~s condition~, il convient d'apprl.
quer les .regles du d rOlt commun chaque fois
qu 'une question n'est pas explicitement r~
glée nar ce texte ou par la présente èircu
laire.
Il en est ainsi notamment:
- des co nditio ns d'approbalion des délibé·
rations du Co mité et spécialement des déli·
bérations d'ord re budlgétaire (article 170 de
la loi du 5 Avri l 1884) ;
- du recrutement éventuel - et die la r,émunération d~un secrétaire administratif;
- ~e la désignation . du receveur dru sy ndicat
(article 172 de la 101 du 5 Av ril 10884).
T ITREJ 011
LES COlMuWISS IONS PAlOlTA IR'ES
tNTElRCOMMUNALES
L'article 15 de la loi du 28 Avril 1952 a
créé dans C'haq6 e département, pour les
communes comptant moins Œ>e 40 emplois
d'agents soumis au statut c'est~-d'ire pOUl
I t$ communes
affiliées au syndicat. une
Commission paritaire intercommunale dont
le rôle est identique à celui des Commissions
paritaires communales po ur les- communes
comptant au mojns 40 emplois.
OH A'P ITRE 1
COMPOS IHON DES COMiM/lSS IONS
Le Comité du Syndîcat détermine la compOSition de la Commission paritaire. Il arrête
le nombre de ses membres fixe les catégories de personnels représe'ntés, et désigne
les délégués du Comité qui seront cbargés
de représenter le syndîcat à égalité a vec les
représentants du personnel.
La com,position des Commissions paritaiintercommunales pourra donc varier sui ..
les départements. Il parait cependa nt
SO Uhaitable que le nombre de ses memures
soit suffisamment réd uit pour permettre un
tra vai l efficac.e.
A, - Repr~sentation de l'Administration.
En raison <lu (ôle important que la Commission paritaire est agpclée à jouer, il est
préférabl e q\l.e ce SOit le Olmité ct non le
bureau qui d~sig n e les re-présentants du syndicat à cet organisme.
TI semble indiqllé que ce choi x 5' exerce
par la voie d'élections à bull etins secr ets et
à la majorité relative. Toutefois, si le syndicat préfère
toute autre fu rmule,
1 •
Vous invit'ere.z le sYl1:dicat à désJgner dies
membres sup'plea nts (lUI pourront être appelés à remplacer les délégues titulaires en cas
d'absence ou d'empêcfhement.
L'a,ticle 34 de. la loi ayant prévu que le
Co nseil de dl~cIP.1lOe compre nd 3 Mai,res tirés
au sort parmi les membres d'es Commissions
paritaires, il importe, pour permettre l'appli ...
catio n de ces dispositions, que 3 Maires au
moi ns fassent partie dl($ Commissions .paritaires.
B, -
Représentation du personnel,
L a CommissiQn pa,ritaire agissant aussi
bien en qualité de Commission administrative que de Oomité technique; Chaque caté·
gorie de personn~l doit être représe ntée
(article 15 de la loi) .
,Les syndicats de communes Idevront s'effoncer d'établir un certain équilibre entre la
representation des cadres et celle des pero
son nels d~exécution.
Vous pourrez uti lement leur suggérelr de
s'inspirer des catégories déterminées par le
dédret portant réglement d'administration
publique du 23 juillet 1930 modifié par le
décret du 9 février 1932 opou r l'a,pplication
<le la loi du 12 ,!vIars 1930 sur les Co nseils
de discipline.
Le troisi ème alinéa de l'article 34 doe la loi
ayant ~!1évu que le Conseil.de discipline (dont
les 3 membres représentant le Ipersonnel sont
tirés au sort parmi les membres des Commissions paritailres) ne devait en aucun cas
comprendre d'agents de catégor,ie inférieure
à celle de l' agent déféré, il va de soi que
les secrétaires de mairrie devront avoir une
représentation ·spéciale au sein de la Commission.
De même en vue '(I·e permettre l'application <le l'a rticl e 89 de la loi en ce qui concerne les garanties d.isc~plinarres des agents
à temps incomp let, une ou plusieurs catégorues spéciales seront réservées à ces agents
au sein de la Commission paritaire où leu1rs
représentants ne siègeront, bien entendu, que
lorsq ue seront traitées des questio n les intéressant (application, du ti~re VI et des articles
43 il 49 de la loi).
Il n e semble pas indispensa'ble !de prévoÎl
llne catégorie spéciale pour les personnels
des établissements communaux et intercommunau x ; cependant, rien ne s'y oppose.
C, -
œr.,,;se la liste des électeurs, reçoit les can-I
didatures, porte ce lles-ci à la connaissance
des éleeteu'.., convoque les collèges électoraux, procède au dépouillement des suffrages et à 1a proclamation des résultats dans
les co ndUlions et le~ dé la is fixés par les délibératlons ,prévues a l'alinéa 1er d'U présent
alrti..cle. ,
Le Président du bureau n'étant pas en
possession des listes 'CIu person nel de chaque
co mmune. il appartient à l'autori té in vestie
du pouvoir de nomination d'établir ces listes
et de les communiquer ensuite au PoI1ésident
d-u synd'icat qui est ohargé de dresser la liste
des électeurs.
Les agents occupant à titre permanent un
emploi à temps non complet seront électeurs
pour les représentants -de leur catégorie. (Voir
ciTculaire n° 325 du 10 Août 1952 - Titre 1
Chapitr~ 1 n° Il).
Modalités 'd es élections,
Le léO'islateur a tenu à ce que les représenta nt; du personnel soient élus .à la représentation proportionnelle. Il a estimé. en effet,
que Sur l e plan du département, ce I!l0~e de
scruti n est piuS équitable. Vous InVlterez
donc le bureau du syndicat qui est chargé
d'établir les moda li tés des élections à s'inspirer des rèo-Ies adoplées pour les élections
aux Commis;ions paritai,res de l' Etat.
J'appelle votre attention sur le . fait 'lue
pour que le système de la representahon
proportionnelle puisse être appliqué, le ~om
bre de sièges attribué à chaque catégone ne
pourra être inféri eur à 2.
D. _
teurs.
I::tablissement d'e la liste des élec·
Le 3mealinéa ,de l'articl e 16 de la loi <lispose: « Le ,president du ,bureau du sl'n<lical
de Communes en ce qui con cerne l'élecbon
des représent ants du
nel au sein de
E. -
Intervention d'office du Prélet,
Si dans un délai de 6 mois le Comité du
Syndicat a omis de déterminer les catégories
de personnel en vue des élections aux Commissions paritaires, et de fixer les modalités
de ces élections. vous vouctrez bien le mettre
en demeure d'y procéder dans un nouveau
délai que vous jmpartiorez, et qui ne pourra
excéder 3 mois.
Si à l'expiration de ce nouveau délai, les
mesures nécessaires n'ont pas été prises, il
vo us appartiendra d'y pourvoir d'o-ffi~e .(a\rticie 15, dernier alinéa et 16, 2me altnea de
la loi du 28 Av ril 1952).
CIiMWfRE. Il
FONCTIONNBME.NT DES OQM!M ISSIO NS
PAR ITAIRES
A, - Cas dans lesquels la consultation
des Commissions est obligatoire.
Les Commissions paritaires sont obligatoirement consultées pour l'établissement du
t bl
des eff cffs des différents emploiS
a eau
el.
communaux et les échelles de t-raJ1ement dJes
dJfférentes catégories de personnels.
Elles doivent donner leur avis sur l'avancement d'échèlon des agents à l'ancienneté
minima .
Elles examinent les listes d'aptitud~ qui
doivent leur être soumises par les maires et
p-résidents d~établissements JlUblics.
EUes donnent leur avis sur les conditions
dans lesquelles les autorisations d'absence
peulVent Hre accordées aux agents soumis
au statut 'à l'occasion de certains évènements
fantiliaux.
B, - Cas dans lesquels la COIIsuitation
des Commissions est facultative.
Le ,bureau du syndicat et les maires peuvent consulter les Commissions paritaires
chaqu e fois qu'ils le désirent (article 17,
ali néa 4 de la 101).
Les Commissions paritaires peuvent être
appelées à donner leur avis sur les conflits
provoques par l'application "du statut. 11
s'agit bien d'avis et non pas -d'arbitrage. Le
législateur n'a pas voulu qu'une Commission,
même paritaire. pût se substituer â l'autorité qui a « la charge, le souci et la responsabilité de l'administration communale > (cf.
débats Conseil de la République - séance du
29 Août 1951 - J. O. du 30 Août 1951,
page 2174).
Les Commissions paritaires peuvent, à la
requête des intéressés, proposer au maire la
.révision de la note annuelle qu'il leur a
attribuée.
EUes peuvent enfin procéder, pour l'ensemble ou pour une partie des personnels
communaux, à une péréquation générale c du
mode d'attribution des notes ~ . li Jeur appartient alors de fixer les modalités d'applica'
tion de cette péréquation. (Voir circulaire
n° 325 du 10 Août 1952, Titre V - 1 - n° 7).
La loi n'a pas fixé les règles de fonctionnement des Commissions paritail'res. Elle a
seulement èécidé que la Commission paritaire nomme son président parmi les maires
qui en font partie et a attribué à celui- ci une
voix prépondérante en cas de partage des
voix.
L;s rèO'les de fonctionnement seront déterminées pOar le réglemen.t i~térieur qui pourra
'inspirer des rèO'"les adoptees pour les agents
de l' Etat et not~mment du Titre III de l'instruction n° 5 du 23 Novembre 1948. (JI. O.
du 24 Novembre Ig48).
Les frais de fonctionnement des Commi~
sions paritaires sont supportés par ,le syndicat (article 18 de la loi). Ces trais comprenRent notamment les frais de d~Iacement et
de mjssion des représentants du syndicat ~t
cellx des représel1tants du personnel. (VOIr
Dans le ca; où des difficultés particulières
Titre 1).
se
présenteraient pour la mise en place des
CHA,PITRE \II
syndicats et des Commissions paritaires dans
COMPETENCE DES COJ\!.M!ISSIONS
votre département, vous voudrez bien m'en
PARITAIRES
tenir informé.
En règle générale. les Commissions pariPour le Ministre de l'Intérieur
taires sont compétentes pour toutes les ques'
et par délégation,
tions concernant les fonctionnaires et agents
Le Préfet,
soumis au statut. ,Mais les cOllilltions de leur Directeur de l' Aciministration Départementale
consultation varient selon la nature des
et Communale,
affaires. Dans un certain nombre de cas limiP. DA MELON.
tati\rement énumérés par la loi, elles doivent
être obligatoirement consultées. Dans d'au----<>OOC),-- - tries cas, leur consultation n'est que facul-
• ••
�221
ANNEXE
-- Dél ibération du Conseil
-'NOlll LE L'
ou
E),fPLOIS A TO(PS
çO).ll.ft;"SE
DE L~ÉTABL1SSEllO'T PUBLIC COW141JNAL
Nature de l'emploi
(2)
EMPLO I S
COMPLET
Kombre de titulai r es
(1)
A
Munic~pa l
.
-
Fiche financière de la Commune j ,
Certificat du Mai re sur l'installation ou
te fonctionnement du Cen tre;
TEMPS I NCOMI'LF.T
Nombre
de titulaires (1)
Nature
de l'emploi
Nombre
d'heures de travai!
-
Projet de ,bud get du Centre faisant
apparaître, d'une part, les recettes (participatiol1 cùlmmunale, sub'Vention du D~arte-
ment, des col'Iectivités Joca,les, de l'E.tat) et,
d'autre
,
-
part,
les
dÉ!penses
prévues Ipour
l' irtstall ati(}n et le fonctionnement de r ét abl isselllent i
_
•
nanci er de l'Etat a u titre de 'J'ann';" 1952.
Pour le Préfet et paI délégation,
Le Secrétaire Genéral
l\laxime MIGNON.
.
------- <>0 0 «»-------
PRET AUX COLLECTIVITES LOCALES
(1) Nombre résultant d~s tableaux d'effectifs théoriques ou des délibérations r f gu1ièremcnt approuvées par l'Autorité de Tutelle.
(2) Doive.nt ëtre indiqués tous les emplois occu pés par des agents soumis au Statut, y compris ceux qui bénéficient d'un régime spécial.
EN 0
AG 2 la vie survenue depuis 1941, vous pourrez 0483
INDEMNITES POUR LE GARDIENNAGE désormais, sans objection de ma part, SUBVENTION AUX COMMUNES POU R
aWrouver de telles indemnités. pGurvu
L'INSTALLATION ET LE FONCTIONDES EGLISES
qu'elles n'excèdent pas 8.000 francs.
NEMENT DES CENTRES PUBLICS
J'ai l'honneur de \>Orter ci-dessous à la
]e vous r"IPpelie que la rétribution dont ~
D'ENSEIGNEMENT POST -SCOLAIRE
connaissance de MNl les Sous-Préfets et de s'agit est seulement aceordêe pour reconAGRICOLE OU MENAGER.
MM. les Maires du DépaIternent le texte de naître des services effectivement rendus et
la circulaire n° 339 du 13 août 1952 par la- qUt: les règles relatives à l'o u.verture et à
Le Préfet des Bouches-dll-R/J6ne,
quelle III le Ministre de l'Intérieur autorise l'approbation de la dépense ainsi qu'à la
à MM. les Sous-Préfets (pour information)
le relèvement de l'indemnité allouée pour le désignation des gaIdiens ne sont autres que
et MM. les Maires,
02 B3
POIU le Préfet et par délégation,
Le Secretaire Général
Maxime MIGNON.
•••
celles en vi gueur ipOur l a
nomination des
employés communaux.
C'est ainsi que les credits
J'ai l'honneitr de porter à votre connaisne saur aient san.ce que des crédits ont été inscrits .pour
tire insc ri ts au budget au nom d'une per- l'année 1952
au budget du
Ministère de
sonne déterminée, mais exclusivement sous l'Edu.catio n Nationale, en vue de permettre
la rubrique « Rétril>ution du gardien de l'octroi œune aide financière au x Comm unes
circu.laire n° 119 du 14 avril 1941-, l'église communale ~ . Il appartient donc a u pour nnstaIJ ation et le fo nctionnement des
vous avez été avise que les Conseils Muni- Maire, seul, de nommer, par arrêté, tel gar- Centres Publics d'enseignement post_scolalfe
~r
dpaux pourraient, s'ils 1e désiraient, relever dien qui lui parait offrir les garanties agricole ou ménager.
Les demandes de subvention qui seront
jusqu'à un maximum de 3.000 francs, l'in- convenables, l'intéressé doit, notamment,
delTtnité annuelle allouée pour le gardiennage avoir sa résidence dans la localité où se présentées devront m'être adressées avant
le ID rwvembre 1952, délai de rigueur, sous
trouve l'église.
églises.
le timbre: 4e Division - 3e Bureau. accom·
Charles BRUNE.
M. le Directeter d,u Crédit Foncier de
France me prie de faire con'naître aux Maires du de2tpartemeut que Il'e taux œintérêt des
prêts ordinaires accordés aux collectivités
Jocales res te maintenu à 6 % , à moins qu'il
ne s'agisse d'emprun ts co ntractés pour le
fonctionnement d'une régie à caractère rTIdustriel ou commercial.
POltr les prêts destinés au fonctio.nnement
de ces régies, le taux sera fixé ultérieurement.
En ce qui cO.ncerne l a limitation dll délai
d'amortissement, la duree des prêts aux c01Jectivités pubJiques sera désormais limitée à
15 ans. Cette durêe sera une durée
.maximum ; eUe pourra donc être rédt..ite,
conformement à la juri~prudence administlTative, lorsque le montant du prêt ne sera pas
destiné à des travaux inllportants et durables.
ALIMENTATION EN EAU POTABLE
DERIVATION DES EAUX NON
DOMANIALES
N" 19 AG] / I
P,atris, le 12 septembre 1952.
Le Ministre de l'Agriculture,
à MM. les Préfets,
Par ma ciocltlaire n" 81 AG] / 1 du 15 d écembre 1950, j'a1 attiré votre attention sur
tion et de déco ncentration administratÎlVe du
4 o.ctobre 1950 lpou.r ce qui regarde la dérivafton des eaux non domania les en vue de
l'a1imentation en eau rpotal)le des communes.
Je crois devoir vous rappeler qu'en vertu
du décret du 24 -mai 1938, l'acte déclaratif
d' uti lité publ iq ue déterm ine le volume d'eau
susc~tibl e d'être ,prélevé et fixe les conditions auxquelles ce prélèvement reste SUOordonné en vue de Iprotéger les intérêts
généraux dont le Ministre de l'Agriculture
a la garde.
. Or, il anr~ve fréq uemment qu'une derrvahon faite au (profit d'une collectivitê Ip ourrait
ultérieurement être util isée également par
une autre coll ectiv ité lorsque le débit est swftisant.. Au surplus, tle Consei l d'Etat,. oans
un a'V1S du 15 novembre 1949 a admiS que
l'Aldministration éta it fondee de réduire
T'attribution faite .à une commune IPOur permettre l'approvisionnement en eau po table
d"'l1H~ commune voisine.
Cependant M in d'éviter toutes difficultés
lorsqu'une n~uvelle répartition des eaux se
tro uverait justifiée, il m'3Jp,parait indispen-
« taillation de ses propres ouvrages, sans
c préju.dice de sa pa rticÎlPation à l'amortis< sement des ouvrages empruntés ou aux
« dépenses de !première instaUation.
< L'amortissement COUIra à compter de
< la date d'utilisation de J'ouvrage
li.
Dans les visas de l'arrêté déclaratif, le décret dt> 24 mai 1938 devra êbre substitué à
celui du 30 octobre 1935.
J'adresse
directement pour
information,
I ngénieurs en Chef d'u Génie Rura( ainsi qu'à
Mil" '. les In génieurs en Chef des Ponts et
Chaussées cha rgés du Service Hydraulique.
Y. MAlLBOOT,
•
Communiqués-Avis
Annon c es diverses
FS8
03 B3
TRANSFERT DU SERVICE MEDICAL
DE L'A. M. G,
J'ai l'honneur de j)Orter à la con naissance
de MM. les Mai res d u dilparteme nt que le
serviCe médical de l'A.M.G. ser a transféré il
dater du
2 1 octobre 1952, â la Direction
Départementale de la Santé, 79 A, rue Edmond-Rostand, à N\arseiLie.
En conséquence, toutes les ordonnances
ou devis !Je fournitures devront être adres-
sées, à compter de la <Iate précitée, à ce
sable de 'préciser dans J'acte dUelarat if
d'utilité publique des travaux autorisant la sendce aux tirs de 'Visa.
dérivation des eaux nOn domaniales que l a
Pour le Préfet,
collectivite bénéficiaire devra éventuellement
Le Secrétaire Général
supporter ('utilisation ultérieure de ses ouMaxime MIGNON.
vrages de prise d'eau en vue de l'adduction
lectivité à ce autorisée,
On 1peut mffine envisa'ger - à titre exceptionnel, il est vrai - Yh Ylpo thèse Où la
conduite JJ}rinci.pale de la cdllectivitê autorisée la prem1ère à déri.ver un œrtai'n vo l ume,
pourrait véhiculer un voll1me sl~pplémentai re
et cO.mme dans le cas gén érall, l'acte déolaratH pourrait Iprévoir cette utilisation par
un e seconde co.l!lectivité.
L' acte qui aurait déteI11l1iné le volume
d'eau ma ximum susceptible d'être prélevé,
fixerait en même temps les conditions imposées à ce lpréllèvement, tout en règlant les
raf.lports financiers entre les coUecttvites
intéressces.
La clause Qui résenverait de cette manière
les utilisations futu res de "eau me paraît de
tous points légale et conforme à l'esprit et
à la leltre du décret précité du 24 mai 1935.
Je vous invite, en conséquence. à inscrire à
l' avenir dans vos M;rêtés d'éoJaratifs d'utilité
n'autre part, les l>rêts d'un montan,t infé- !publique de travaux d'alimentation en eau
ifieur ou égal il un mi'l'lion de fra11cs devront (potable 'des communes rurales, 1Ia melltion
être amortis dans un dél ai aussi court que suivante à la suite de l"article 2 du modèle
possible, qui ne saurait en prlndpe e~céder d'arrêté joint à ma circulaire du 7 décembre 1938 :
8 ans.
Pour le P",~ret et par delégatio",
« La Commune d ................. ' (ou
L e Secrétaire Général
c le Syndic'a t) devra Il aisser toute autre
Maxime MIGNON'.
< collectivité dûment autorisée par arrêté
« préfectoral, utiliser les ouvrages visés ,par
------<>00<>'------
Cette dernière collectivité
c: prendra à Sa charge tous les f rais d'ins
F 4 des eaux surabondantes par une autre col-
D2 83
.
31 « surabonda ntes.
les conséquences du decret de d'écenlra:lisa- cqpie de la présente cir culaire à Mi.~. les
Alvis de l' Inspecteur d' Aca;:lémie.
Afin de favoriser le développement de
t'enseigl)ement post-SCOl aire ag.ricdle et ménager, le montant des créd its inscrit s à cet
effet pour l'année 1952 a été relevé dans de
notables prQportions, M. le Ministre de
l'Educat ion Nationale sera donc en mesure
de réserver cette année une suite favorable
à un nombre de demandes ,plus important
qu'au co urs des exercices écouJés.
Afin de permettre à l'Administration CentraIe d'aAPûrter dans la l imite des règlements en vig ueur une aide efficace aux Munici.palités, celles-ci auront intérêt à ta ire
ftigurer sur le projet de budget du Centre pièce qui doit être jointe à l'3tPpui de toute
demande de subvention l'ensemblle des
dépenses qui permettraient de réaliser une
installatio n >convenable de l'é taJblissement et
de 'I,ui assu rer des conditio ns de fonctionnement satisfaisantes (acquisition de matériel
par exellllPle),
Les Communes dont l es pemandes de slJlbventio nl, prêsentées en 195 1, n'ont pu être
satisfaites qu'au cours du présent exercice,
peuvent à nouveau soUiciter le concours di- J
,
gaTdiennage des églises.
TVX
pagnêes d'un dOtSSier comp.renant les ipièces 02 B3
suivantes :
..
Etat etes Employés communaux titulaires à temps complet ou incomplet
c le prêsent arrêté en vue de la dérivation
-------<> 00 <>,-------
D383
FS 8
OUVER.TURE D'UN CONCOURS POUR
LE RECRUTEMENT D'UN CONTROLEUR
TEMPORAIRE
DES LOIS
D'ASSISTANCE.
Un ooncours SUI épreuves rpour le recrutement d'tin lCo ntrôleur temporaire des lois
d'assistance (indice 185-360) aura lieu â la
Préfecture du Var, les 24 et 25 noveml>re
1952.
Sont admis à 'Concourtr, des candidats du
sexe masoulin âgés de 25 ans au moins et de
35 ans a'U ,plus à la date du concours et tltuJaires .de l'un des diplômes exigês pour être
admis à sUlbir les ~preU!ves du concours de
•
secrétaire ù'administration.
Sous réserve de mêmes conditions d'àge et
de sexe, pourront également se présenter ~es
fonctionnaires titulaires des administrations
pubHques et les agents auxiliaires des mêmes
administrations qui justifieront de 3 années
de services ininterrompus.
Les dossiers de demande d1inscription seront reçus à la Prêfecture du Var jusqu'au
�222
Le proaramme est fixé en conformit~ de la
Tous renseignements utiles concernant la
C. M. duo 10 août 1951.
constitution des dossiers et le programme
L'échelle applicable à l'emploi comporte
des épreuves seront fournies sur simple del'indice de début 130 et l' indice termina l 230.
man<ie adressée à ,,\. le Préfet dit Var,
- - - -«-. 00 <>
2e Di,oision - 4e Bureau. (Un timhre devra
D4 B2
être Joint pour la réponse).
---- c~JOc,----
D5 B2
AVIS DE CONCOURS
La Mairie de Martigues recrutera a u ConCQurs le 30 novembre prochain, un Commis
DONS ET LEGS
Marthe IMICHElGUEVY a légué la somme de
dix mflle francs 1lette de tous frais et droits
au Bureau de Bienfaisance d' Ant~bes pOlir
les familles pa u v~es et nécessiteuses de cet le
v'tle,
Conforméme nt aux di~positions du déc ret
d u 1er février 1896, les héritiers connus ou
Avis publié en exécuticn de l'ar/iole 3 dw décret dl' 1er février 1896, dan,s le but d ' jflViNr
!.es JI~rilie-rs incon1/.Jl.J' des testateurs à pr~nd f"e
tontlaissatlce du testament, cn vue de dmlfJer
leur cOfl.StrllCmen.J Ou ae prodlu're leurs fIIoyeflJ
d'opposition.
Les f"cclamo.tiof!.S ne sont recevables que daflJ
un. délai de trois m.ois à parti,. de /'msut;oll
/J14 c Bulletin ».
inconnus de feu Marthe MIC HEiL-LEVY sont
invit,és à tPrendre \conna issanœ du testament,
d'o nner t.eur co nsentement à Son exécutioJi
ou produire Jeurs rnopens d'o~pos iti on dans
un délai de trois mois à dater du j our <iu
d'Ordre et de Comptabilité stagiaire.
présent avis,
Les conditions d' admission audit Concours
sont conformes aux dispositions des articles
Marseille, le 23 août 1952,
19 20 et 21 du Statut Général du Personnel
Par
testament
authentique
du
13
juin
1949,
d';; Communes et Etablissements Publics,
- - - - <>00<>---Les Candidatures doivent être présentées déposé aux minutes de M' Gaston Gallais.
notaire à Antibes (Mpes-Maritimes), feu
avant le 15 novembre 1952.
REPUBLIQUE FRANÇAISE
13 No..mbre 1952
OËPARTEMENT DES
10' Anné., -
W 46
BOUCHES-OU-RHONE
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
Toute correspondance relative au Recueil doit être adressée à la Préfecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P. : Arrêté préfectoral. - C. : Circulaire. - Les lettres D et B suivies d'un dhiffre indiquent le Service ou Bureau d'origine.
D. S, T, : Direction des Services Tech niques. - D. D. S, : Direction Départementale de la Santé, - D. D, p, : Direction départementale de la Population.
SOMMAIR.E
Textes d'Intérêt Général
Pages
Apatrides, créé par la Loi n' 52-893
du 25 Juillet 19;;2. (J. O. d u 27-7-52).
223 P 8. - Percep tion et exonération des
droits Idu timbre Nansen - Chang'€ment des vignettes .. .............
225 TVX 1. ----- Enseignement -du 1er degré.
IPirojets de travtlu x de grosses réparations et petits aménagements prévus pour l'a nnée 1953 ......... . ..
Pages
Ale 3. - Validation des Services auxilIaires - Questio ns dLverses ......
FI> O. - Etabl issement des lis tes annuetfes d'es Médecins, Chirur,giensDentistes et Sages-Femmes . .. . . ...
FS 7. - Revalor,sation d'es ind emnités
allouées aux agents des Etabl issements 'hospitaliers publics et ca lculées en pouncentage du traitement..
P 8. - ,M;se en place et fonctionn ement des Services de l'Office Français de Protection des -Réfu giés et
225
Textes d'intérêt communal
TVX O. Règlement d'exploitation
dans des ca rrière s à cicl ouvert ....
Communiqués -. Avis •• Annonces wveItses
225 -
ConcoUis en vlle du recrutement
d'un secrétaire de -Direction là l'Hôpita l Psyc hiàtrique de Dury-lesAmiens . .. .. .. . .. . .... . . .. . ...
Demande d' un poste de Secrétaire
Gén éra l, co mmune de plus de 5.000
habitants ..... ....... . . . . . . ..
Avis de vacance . . ..... . ... . . . . .
Vent e sur soumissions cachetées de
troi s voi tures de tourisme ....... .
Ven te sur soumissions cachetées
d'une fo urgonnette Renau lt .. ..... .
225
225 -
-
226 1
Pa an
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TEXTES OïNTÉRËT
D2 BI
AC 3 i ntégr és dans les caClres dont l'éla1boration 1 agents auxiliaires de l' E.tat, requis au titre
VALIDATION DES SERVICES
AUXILIAIRES - QUESTIONS DIVERSES
Le Secrétaire General :
Pour le Pré fet et par Délégation,
Maxime MIGNON.
ÙOJUlOalE NO VVSUE DZ ~LuSJ!ILL.E, 120, rue
Sainte
est aduellement en 'Co urs.
Le Salis-Directeur du Perso nnel
M . FA 11IRE.
'
•••
N' 66-2 B/6
Le Ministre de l'Intérieur.,
à M!M, les Inspec teurs Généraux de l' Ad!miPa ris, le 8 Octob<e 1952.
nistration en mission ex traordinai,re, Cabi Le Secrétaire d'Etat au Bu dget,
net et Secrétariat Gé néral d u C.A.T.1. ;
à II\IUA. les Ministr es et Secrétaires
à MM. les Préfets (,M.étropole - Algérie
d'Etat.
Outre-Mer) ;
L 'intervention recente etes différentes disà M/VI. les Directeurs et C hefs de Serv ice de
posi tions législatives et reglementai,res a souJ'A'Üministration Centrale.
levé certaines <lifficu ltés concernant la valiPour exécution.
dation des services aux iliaires prévue à l'article 8, l" d'u Code des penSions civiles et
Les cITculaires des 13 novembre 1948 et 16 militaires d.e retraites.
j uin 195 1 aUXlquelles se Iréfère l'instructîon
La présente circu laire a pour objet d'in'Ci-dessou~, ont été diffusées par le Ministère
de l' In térieur les 17 novembre 1948 et 30 former les administ rations des solutions qu'il
juin 195 1, sous les numéros 13,658 Per / 1 et co nvient de don ner <J1a ns les situations slIive ntes :
10.507 Per / Ag.
I. - Périodes de service de travail obliPour l'application du para grra p<he IV de
~ ).instructjon ci-après, le Ministère de l' i nté- gatoire ou d'insoumissi on au serv ice du traneur adressera. en temps opportun, des p ro- vail obUgatoire visées par la ci rculaire 145positions au Secretaire d' Etat au Budget, en 10 B/6 <:u 13 nove mbre 1948.
La ci~c~laire 145-10 B /.6 du 13 nove mbre
vue de la détermination des traitements ficprise sous le timbrê de mon Dëpartetifs sur lesquels seront c(lILc ulées les retenues
avait
devront verser
ete la ,loi du 4 septembre 1942 ou de textes
ultérieurs, avaient dû provisoirement abandonner leurs emplois, soit pou r tl'availler au
S.T .O., soit po ur se réfugier <lans la clandestinité.
Or, la loi n' 50- 1027 du 22 ao ût 1950 établissant le statut du réfractaire, la loi n°
5 1-538 d u 14 moi 195 1, relative au stat ut
des ptrsonnes contraintes au travail en pays
tnilemi, en territoire étranger occupê par
"ennemi 0 11 en territoire fra nçais annex'.: ;,ar
l'enr;{mi, modifiant profo ndément la sit'~3 tion
de ce rtains ces personnels visés par la circuJai ie dL! 13 novembre 1948.
D'u ne 'pa rt, les périod es de S.T.O, ou d' insoumission so nt considérées, non pas comme
des servi ces civilg validables, mais COll"! me
de'i ~ervic es mi litai res actifs en tem ;i ~ <:e
pa iX, que les intéressés aient ou non la qualité d'agents auxil iaires de "Etat avan t l eur
d!~part au S.T.O. 0 11 da ns la .clandesti mté.
Mais, d'autlre part, à ,'inverse de la ci rt'ulai re du 13 nov embre 1948, q ui, ne dônnant
pas une défin ition précise des oo;'ons de
S.T.O. et surtout <fie refractadat, pouvait
r ec~vo ir un large ohamp d'applicatior 1 les
I r.j~ sU5visées des 22 août 1952 et 14 :lIai
195 1 ont dêlimité avec precision les notions
f
n f":) II';::P
rip Ç.nrt p
'i l
n'"
........ " .,,"',.1> .......... +
�224
,
titre de la cir ulaire susvisée et celles dont reverse ment. En revanche, il n'y a pas lieu
la prise en compte pre.vue par les récen~ de poursuivre le reversemeut de celles qui
n'ont pas été versées et bien entendu, aucune
statuts,
Il importe <lonc de rep rendre la question retenue ne sera e...xi gée Id'es agents titularisés
postérieurement à la date d' effet de ces deux
dans son ensemble,
iois.
1· Définition des services,
Les services de réiractariat considéré,s II. - Services accomplis dans les corps mllicomme services militaires sont définis par le taires féminins.
clt'cret n· 52 -l OCH du 17 août 1952 et ceux
L 'article 27 du dècr et n" 5 1-11 97 clu 15
du S,T,O, par le décret n· 52-1 00 portant octobre 195 1 portant statut du person nel de,
la même date,
corps militaires .féminins, dispose que : « les
IV. - Questions diverses - Services contractuels.
p
lusieurs administrations ont d'emandé si
les service~ accom,plis par un agent cont rac_
tuel, p<.>uvalent être assim ilés à lCi.es services
aux.llIalres.
La question comporte une répo nse a!firmatlve, sous réserve qu'il s'ag~sse die Services accomplis dans des emplois pour les'
quels est interve nu un arrêté 'pris en ar1Plication de l'ar ti cle 8, paragraphe 3 du Code des
En ce qu i les concerne, la circulaire du services accomplis da ns les corps militai res Pensions.
13 novembre 1945 a cessé de recevoir ajlpli- fémini ns créés depuis juin 1940 sont des sercatio"1..
vices militair es à tout point de vue ».
Bl revan che, ses dispositions CO;'i~i l1~C:llt
Il résulte notamment de ces dispositio ns
à jl)Jr r à. l'égard des sen tice accom:.>Ii.;
que :
_ d' une pa rt , par des agents à qui la lui
10 Sans validation, ni versement de r eterefuse la qualitë de réfractai re, notammenr nues rétroactives, les services dont il s'agit
parce qu'ils ont réussi à se faîTe embaucher sont, de droit, pris en compte, tant pour la
?ar d es f ntreprises protégées par l'cllnemi
(art. 4 de la loi du 22 août 1950) 01.; r.'ont
pas eu une attitud'e absolument irréprocha·
l'ie pendant ('occupation (art, 18 .d e la Ion, à
cor.ditlù rl bien entendu qu'ils aient aopartcn:J"
~ l'admintstration au moment où illii se $ont
sou$traits à la réquisition et qu'ils ai!.!llt H:Intégré leur emploi lorsqu'ils en ont re~rùuvé
la poss:hlité ;
- d',: utre part, par des personnes qui t:e
peu vt- nt bénéfi cier de la loi <1u 1..J. mai 1951,
au fait, ~r e~emp!e, qu'elles ont eff~ctuë
leu: navail obligatolfe dans la M-étnYfJolJ!,
2' Frise- en compte des services,
Pour les ~gents dont la tit~lz.r~sa tion n'~st
p~s tnrDre mten'enue, la ~'a hdah~ n des se ~-
\1CCS de S.T.O. ?u de . refracta;l ~ t , ne pre-
~entera ~ucune. di,fficulte, les penoae;; dont
Il cte~ra etre fa~t ~tat ~eva nt figu,rer ~ur les
cl:i:s dont les IOteresses seront htulalrl;;;i en
application des deux décrets du 17 août 19!>2
e: GU'ils devro nt présenter à leur arl ministrati lii1.
Ces périoâes seront co nsidérées comme
services milîtaires et prises automatiquemen}
en compte dans la pension des intéressés,
Tou tefols, les retenues seront exilTées Icrsqu'il s'agira d'3:uxlliaires qui, en abpplic:ltio n
des mesurespn ses par le Gouvernement de
l'époque, ont conti nué à appartenir à leur
administration, dès lors qu'ils comptaient au
moins six mois d'a ncienneté et Ont perçu
leur salaire norm al.
En re\'anche, les autres péri odes non co u\rert~s par les 10is susvisées, mais par la CÎ.rculane du 13 novembre 1948 ne seront valitla bles qu e comme des sen 'ices civi ls suivant
les r ègles de droit commun,
3. Régularisation,
E, n c, e qui concerne la régularisat ion des
operatio ns d e validation déJ'à effectuées et
concernant ~ péri odes pour lesquelles les
~etenues , ne sont pas exigibles,
pl usieurs
eventu ahtés sont possibles :
a) le fo nctionna,' re qu,' a fa ,' t va l,'dDr
des
,
périodes de S.T ,O, ou de r éfractariat conform ément aux instructi ons précédentes en
.
d· '. 'é
vigueur, a ela et admis à la retraite. On
doit co nsidérer sa situation co mme définitivement réglée et aUCune réa U 1 " t'
to an sa Ion ne
do,'t ,'nter,'en ,'r '
,
~
b) le foncti onna.ÎIe enc ore en activité a
t
l
i
t
'
Il
verse 0 a emen ou partie em ent les rete-
const,itution du droit que pou r la liquidatjon
de la pension;
2 0 les r etenues rétroactives qui ont été
payées sous l'empire -d es djspositions abrogées de l'article 14 de la loi du 31 décembre
19-18 seront, SUI d emande des intéressés,
rembou rsés conformément aux I(jispositions
de l'article Sï du eoae d'es pensions c;viles
et m,litaires de retraite,
L'attention est éO'alement a,pp elée sur le
cas d'es agents qui~ avant de souscrire un
engagement dans les corps militaires fém inins, ont effectué des servi ces civils auxil1'a'Ir es va l 1'da'bl es pour 1a re t"t
ra i e, L e d'él al"
de rigueur dont les .intéressés disposent pour
demander la v alidation d'un tel service court
à partir du 7me mois sU bvant la date de l'engagement, prévue à. l'art k le 8 diu décret du
1 15 oc tobre 195 1 et en ce qui concern e l es
personnels apparten'ant à la date I(j u 18 octob
n5
.". . ,
.
re J.:, 1 au x corp?s mlhtalres fe mlnlns, ex pire
le 18 octobre 195_,
Traitem ents à prendre en compte
Quelques dif1ic ultés se sont présentées
pour l'application de la circ ulaire d u 2 no~
vem bre 1945 qui permet die calculer les
retenues f:orrespondant aux périod es validabl.es antédeures au 1er février 1945 sur la
base d'es traitements ser vis av ant cette date
lorsqu 'il s'agit d'emplois créés postérieure~
ment.
Pour les emplois institués avant le 25 décem bre 1950, il Y a li eu de se 'reporter aux
arrêtés qui ont fixé le montant d'es tran C'hes
de reclassement servies de 1948 il 1950, et
qui ont prév u un t raitement « 1945 :J fi ctif,
dont il suffit de .pre ndre le ti ers,
Pour les em plois qui pourraient ultéricureme nt ~tre créés, il y aurait lieu de prévoir
des < assim ilations » qui seraient établies
en accord! a . . ec mon Département (D irection
du Bud'!. .!et,
6me Bureau B,),
.
A ce tte occasion, il y a lieu d'e rappeler
qu e la rémunératio n à ret enir est le premier
t rai tement du titulaire effecti vement perçu ~
même si, en application des dispositions
,réglementaires, la titul arisa ti on pr end effet
d' une date antér ieure il celle de la première.
rémun érat ion ,
Il con vient cepen dant de si gnaler que si.
dans certains cas , ,par le jeu des dispositions
Ill. - Services accomplis dans les admi· législ ati ves autorisant la ,prÎse en co mpte de
nistrations allemandes fonctionnant en Alsace cert ains services et notamment des services
et en Lorraine pendant l'occupation.
militaires pour l'ava ncement, certai ns agents
'
A la suite de l'i nt er ve ntion de la ci rc ulaire peuvent, le jour même de leur tit ulari sation,
44-2 8 /6 du 16 juin 195 1, diverses adminis- êt re promus à un e classe supérieure à cell,e
trations ont posé ,la questio n d.e savoir si les de de.b ut, le t rait ement là prendre en conSIAlsaciens et les M osellans évacués d'offi ce c1 érati on ("st celui Id/e ,'emploi d'u d'ébut,
en 1940 et ultérieurement recrutés par les
Services auxiliaires rémunérés pantie par
autorités d'&cc upa ti on après leur retour, en l'Etat, parti~ par les collectivités loca1es.
Alsace et en Lorraine, peu ve n.t êtr e assi miQuelqu es ca tégori es d'au xi liai res ont été
lês à leurs compatriotes dem eurés sur pl ace rémunérées su r des crédits rattac hés, 'Pour
apr ès l'invasion allemand e (a gents visés au une pa rt, au bu dget de l'Etat et, pour une
para:graphe 1er de la circulaire du 16 jui n), autre, à celui des co ll ec tivi tés local es,
La question comporte un e r éponse négaLorsqu e les parts sont d'un montant i n ~g:.iI,
tive.
la validation évcntue lle doit incomber a la
Je précise d'ailleurs que la même solution collectivité qui supportait la c,har ge la pills
doit être appliquée à l'égard, non seulement (le vée,
des personnes c: évacuées d'office :J, mais
E
h
- n revan
c E et c' est 1c cas 1e p 1li:;- fr·,aussi de toutes les perso nnes nui,
po ur un qUE'n,
t l orsqu' e1'1es so nt 'A
_
t'Iqll €'S, ,l e ~'r,t 1.:'Ire
""
Ivcn
motif quelco nque et à un moment quelcon- a. p~ h~, !' r est ce l UI' d usa
t t li t d' .h'. 1l v,t·.....
que de l'occupation, se sont trouvés en rési.5i =o oc, c'étai t le Gouvern e,men t ou scn
dence dans un dtpartem ent de l'intéri eur et, ·
1 "
"t
1 té
r nom
dC Tetour da ns les départements d e l' Est, representant
l
p ~u , ,r loca
' qUI
1 aVal qua
~ <!\:> t 1 s am t
ont été recrutés par l es ad ministr at io ns all e- mer ou IcenCler es agen
n lb
c' est au tit re de la loi du 20 septem re
mandes.
que la va lidation devra être effectuée,
,
Je ra ppell e, enfi n, que ra cj ]"lculaire d'u i 6
' 1 e
J'uin 195 1 autorise, dès maintenant, la valiSi a11 co nt,ra ire l'intéressé éta it htu air
d'un' statut de fO:l ctionnai re local, c'est la
daTio n des services acco mplis par les inté- Ga,'sse N at,' onal e des Retra ites des agents
ressés dans les ad ministration s all emandes des coll ecti vités loca les qui supportera la
fo nctionnent en Alsace et en Lorrain e, à la
con dition expresse qu'ils justi fient de la ohan....te de la vali dation.
1948
nu es qui lu i ont été demandées,
reconn aissance officiell e des ser vices qu 'ils
• • •
.
Il appartient, éventuellement, " aux admi;
Les lois du 22 août 1950 et du 14 mai on t éven tuellement re nd'us dans la Résis195 1 n'ayant pas de caractère rétroactif il tance d.' Al sace et de Lorrai ne, ou de leur nistrations i ntéressées de, me ~alslr, sO~~ ff_
y aura lieu d'admettre que les retenues v'e1r
-~ilnilternement ou de leu r déportat ion
i
, a, ictle~itii
m~b~r~e.id~e~la;p~r~é~'s~e~nt~e;c~Lf
.cîiu.laso.'îreni.,;d.e.s.,.'
1
cuités
nter
D,D,S,
o 1 tement
L'instruction interministérieUe du 1er sept embre 1952 sur l'institution. l'organisation
ETABLISSEMENT DES LISTES
et le fo nctionnement, conform ément au déANNUELLES DES MEDECINS
cret du 15 janvier 1952 pub"" au Journal
CHIRURGIENS-DENTISTES Eï',
Officiel des 10 et Il mars 1952, des régies
SAGES-FEMMES
de recettes pour la perception de différents
droi
ts dans les Préfe ctures et Sous-Préfec:I~ék( ,: Ordonnan ce du 24 eptembre HJ45.
tures a apporté plusieurs modifications â la
En co nformité des dispositions r.::o ntenues
procé du :-e en usage dans les ser vices pré dans l' ord onnance du 24 septembre 1945
fec toraux relativement il cette perception,
mOn administration doit 'Procéder à l'étahlis:
Ainsi qU'Il est indiqué au Titre V de la
sem~nt des listes ann uell es des docteu rs en
circulaire
i nterministérielle du 1er septembre
médecine, chirurgi ens-dentistes et safTes1952, l'appro visionnement <i<os Préfectures en
femm es
ëtab'lis
dans
le
d é pa rte n~ent
vi gnettes doit être fait par l' Office Fra nçai s
des Bouches-du-Rhône au 1er ja nvie.r 1953,
de Protection des Réfu giés et ~pa;rides et
A1i n de me perm eHre d'effectuer cette
par l'i ntermédiaire des Trésoriers-Payeu rs
operation, je VOLIS s~r a is ob ligé de vo uloir
bien me f(ltrê par venIr, pour le 15 décembre MISE EN PLACE ET fONCTIONNEMENT Généraux, qui centraliseront également les
DES SERVICES DE L'O f fiCE FRANÇAIS receltes, provenant de la perception de ces
1952, sous le timbr e < Direction D ép<l rteDE PROTECTION DES REfUG IES ET droits,
menta le dle la Santé - IPolice u\1 édicale _
APATRIDES, CREE PAR LA LOI N '
D'autr e part, les vignettes actuellement en
OOa, rue Saint-Sébastien à LM.arseilie ;J , le re52/893
DU
25
JUILLET
1952
(J,
0,
D
U
usage
doivent êtr e remplacées par <!~ noulevé des médecins, chirur2'iens-den tistes et
27- 7-52),
veaux timbres impn més par les soin. de
s32es -<femmes exerçant dans i\fotre commune
l'Office Français de Protection des Ré1ugiés
Chacune de l'es listes qui d e rOnt i:tre dis~
Le Pr6fe t des Boul"lles-uu..,l-{hône,
et Apatrides,
ti,nctes, men.ti o nn,e~a les noms, pr ~ n o m s, réil MM, les Mai res du Dé-partement
Vous voudrez. bien prendre en con séquen ..
Sidence, na!lOn ahte des prat iciens; ,pour le~
(E n com municatio n,
' c e to utes ctispositions utiles pour adresser a
pNsonnes Installées d'epuis le 1er janvier
à M, le Chef d'Escadron com mandant part ir du la novembre aux T résoriers1952, la d.ate d'obtention de leur dipl ôme sa
Payeurs Genéra ux leurs d~m a ndes de timla Cie de Gendarm erje des B.-du-Rh"
provenance, ajnsi qu e la date d'enregi;tre.
à JWM1, les SOlls-Prdets d'Aix d d'Arles) bres, afin que les nouvelles vj gnettes puisment tà la Préfectur e,
' ' l 'h
se nt être mises en vente à partir du 20 noPour ~ es femm es mariées, il )' aura lieu , J, ~t
.? nne L1 ~ de \·OllS fm,r e connaître que ve mbre 1952 " 1t.'S Préfectures renverron t
IOffl
ce
Fra
nça
is
de
Protect
ion
des
f<éfuCTiés
de mentionner les noms d'épouse et de jeuet Apah ides., créé ,par le texte cité en objet directement à l'Off ice Français de Protecne fi lle de dhacune d'ell es,
foncti onn e 'régulièremen t depuis le 22 sep ~ ti on des Ré-iugiés et Apatrides, 7, fue Coj'attire votr e attention sur le soi n et tembr
e 1952,
pern ic, les anciens timbres 'portan t la surl'exactitude qu'il y il lieu d' apporter dans
Des
instru
cti
ons
VOLIS
seront
adressées
char ge < cOl1ga nisation Intern ationale pour
l'éta'blisseme.nt de ces docum ents mes serles Refll giés » dont ils so nt détenteurs,
ultéri eurement à cet égard.
vices rel evant, chaqu e année, au' cours de
't t i '
, di'
Je vo us rappelle que les prescription s de
leur vérification de très nombreuses erreurs, d .'J~ pUI S, ou ~ OIS, vo us I~ (tuer, d ores et la circulaire du 1er avril 1948 co ncernan t les
Les communes ne posséda nt auCun des .eJa, que I ~ Dl r~cteu r, cfe 10 ,F,P.R.A. a dé- quoti tés va leurs et caté"ori es de réhH!ies
praticiens mentio nnés ci-<i'essus sont tenus Signé ,.M . l , GUldegula,n comme délégué à visés par I~ t axe d u t i';;bre Nansen ai nsi
obligatoirement, Comme 1es autres, d'adres~ J\~arseille .d,: cet organisme, pour le~ ~e.fu ·1 que les exonérations totales ou par'tiel1es,
ser l'état dem andé, en faisant figurer sur g.és , Annemen s et les personnes d ongU1e r estent applicables,
anneru~nne . poss,édant actuellement une au Les recettes encaissées j usqu'au 19 nocelui-ci la mention « «néa nt »,
Je compt e sur vo tre di ligence pour m'en- tre n~tio,nahté, L adresse "du burea,u de LM" T, vembre seront imputées dans la co mptabilité
voyer ces r enseignements da ns les délais GU6ciJgUlan est : 6" ru e d A~~ol el a. Nl ars~llIe, des régisseurs au com pte « ProdULtS ;J . L eur
fixés J sans qu' il soit hesoin de \'ous adresJI y aura donc lieu de dJrlg~r \ ers I l~ 1 les mo ntant sera viré dès le 20 novembr e ail
ser un rappel.
~e~sonn es ~elevant d<:- ~a c0r:!pete~c.e qU! sol- com pte co urant po stal 9064-7 1 Paris, ou ver t
MIM, les Maires des arrondissements d'A ix It C lt~ ~ t, SOIt un c,e r tJfl ~~t ct l ~en tJ te, SOI t un ail nom de r O,F,p,R.A,
et d" Arles devront me fai re .parvenir ces re- certifica t de nahonahte, SOit toute autre
L e Minist re de l' Intéri eur,
levés par l'intermédiaire de M , le SOlls-,Pré- pièce d'état-civil précédemment dèlivrée par
le Ministère ,des A ff aires Etra ngères, Service Po ur le Min istre d'e l'Intérieur
fet de leur arrondissement.
et par déléga ti on,
des Apatrides, ou par la Sec tion Française
Le Directeur du Cabinet :
------- <» 00 <> ------de l'Organisation In te rn ationa le .J>our les
Signé : J, VEOO rER,
03 B2
FS 7 Réfu giés,
Le ,\1inistre des Affair es Etran gères,
Je vo us précise enfin que l'adresse de
REV ALORISA TlON DES INDEMNITES I"O.F'p,R.A, est à Paris, 7, rue CoperniC
Pour le Mi nistre et par autorisa tion,
ALLOUEES AUX AGENTS D ES ETA- ( 16e) ct qu e toute correspondance l'intéresLe ,M inistre Plénipotentiaire
BLISSEMENTS HOSPITALIERS PU - sa nt doit être adressée imperson nellement à
l1irectell r d'eS Affai res Administrati\'es
BLICS ET CALCULEES EN PO tJR - M , le Di recteur de l'Office Français de Proet Sociales :
CENTAGE DU TRAITEMENT,
Signé : SERRES,
tection des Réfugiés et Apatrides.
Pour le Pré let ct par délégation,
------000 ) - - - - - Paris, le 14 octobre 1052,
Le Secrétaire Gé-néral
TVX 1
0 2 B3
Le M in istre de la Santé Puhlique
M, ,\\IGNON,
EN SEIGNEMENT DU t" DEGRE, - PROet de la Popu lation,
- - - - - - C ;J 00< : t - - - - JETS DE TRAVAU X DE GRQSSES
a MM , les Préfets (pour e,<cution),
P B
lŒPARATION S ET P ETITS AMENA02 B I
MM , les Direc teurs Departementaux
GEMEN TS PREVU S P OUR L 'ANN EE
de la San té (pour information),
PERCEPT ION ET EXONERATION DES
1953,
Mw\.. les Oirecteu rs Départementaux
QROITS D U T IMBRE NAN SEN
cie la Popu latio n et de J'Entr' Aide Sadaie
Le Prefet des Bou ches-du-Rhône,
CHANGEMENT D ES VI GNETTES
(pour info rm atio n),
à MIM, les Maires du Départ ement ,
Paris, le -l no\'cmbre 1952,
Les cilculair es mi nistériell es JI ". 108 et
Conformement à l'arti cle 68 <le la l oi du
175 d'es 3 1 mai et 10 octobre 195 1 ont perLe ~\\i1 l1strc des Affnires Etra n gl: r e~,
JO août 1871, les projets de travaux co nce rmis Je relèvement des traitements des agents
Le ~\'I inistrc de l' lntërieur,
nant les écoles ne peuve nt être subventiondes Etabl issem ents hospi tali ers publics, il
il ,\'\1.\1. les Préfets,
n~s au titre du !J\\inistère de l'Education Nacompter des 1er mars et 10 septembre 1951,
1 es ~enin~s préfectoraux ont t:tê informés tionale que s'ils figure nt sur une liste par
dans les ml:mes conditio ns que celles pré- par diverses circu laires ministériell es, ell par- ordre d'urgence arrêtée à la fi n de chaque
\' ues pou r les fo ncti onnaires de l'Etat.
ticulier ce lle dl! 1er nVTlI 1948, des condi- année pour l'année sui\'ante par le Co nseil
Ces circulaires aI'aient cependan t préc isé tio ns da n :esquelles doit être perçu le droit Général.
qu ~ les indemnités allouées aux personn els 1
i 1 à exiger des réfugiés hénéficiant du
En ce qui concerne les listes à établir pour
en caUGe et établie s en pO llrce n ta ~ e du trainltc.Kc;;a ir~ ""ont
l'a.nné I Q~3 l
FS
demeureraient proviSOirement calculées sur la base des lraitements fi xés par
l'a rr êté interministi:riel du 1er fc vrier 195 1.
j'ai l'honneur de \'O IIS tai r ~ co nna îtr e que
ces dispositions sont annulées,
Les agents bénéfician t des dites i ndemnités peuvent, en consé quence, percevoir imméâi atem ent les rappels co nsecutifs au x
augmen tation s dt trai tements accordées il.
partir des 1N mars et 10 sep tembre 195 1.
Pour le M inistre et par délégation,
L e Ohéi de Cabinet
J_-M" GAI.-I.-E,
-------< 0 0 ' . - - - - - DI B3
P 8
�227
fo.rnis par 16 Inspecteurs primaires quant
à J' ~tabl;,;sement de celfe relati ve aux cons-
10 Ne dQivent ti gurer su r CC t ableau q ue
saurai ent t'tr e subven tionnés les travaux
exécut és aI\térieurement à l'attr ibution de h
s u bvent ~o n ; l'octroi de cellewci nécessitant
des avis et un contr ôle qui sont i mpossibles
les !rOl'a ux de grosses Iéparations et petits
améo8~ements dont l'e..,écu tion est vraim enr
Il reste donc à p, éparer pour ladite a nné:e prév ue pour le co ura nt <1 e l'a nnée 1953 el
t.ructiQns neU'Ye5.
la liste des projets de grosses réparations et pour lesq ul!ls les c ré<i~ts som inscri ts au bud ' si l' opération es t déjà réa l i s~e ;
aménagements oe l1Iodifiant pas la structure get du même- exer cice :
4" Les trava u x non inscrits s ur la liste nc
des locaux scolaires.
2" U se rait préma ture de faire eta·blir les pourront pas êtr e subventio nnés ;
La préparation de cette liste ne peut se ava nt-projets sa ns y ~t re invité par mes
5" Le ta blea u préc ité devra t? tr e Soum is
faire de ,façon exacte q u'a" ec votre aide. soins, 'Cela afi n d~év i te r des frais inu tiles
au visa de l' Inspec t eur pri maire ,don t dépemt
A ussi vous serais-je obligé de bien vouLoir pUlir la Commun e si ce lle- ci ent end ne fa ire vo tre Commu ne.
me fair e r etour, avant le 15 novembre 1952, les t rava ux en ca use qb'avec l'ai<le d'tln e
Pour le Préfet et par <1lélégat ion
ùu tab leau ci-jo;n!, d'û ment r empli, et à dé- subvention de I~.f.tat i
Le Secréta ire Général:
'
fa ut, avec l a mention « néant ::. .
3" E.n ver t u des r èglements appliques par
Mlaxi me MIGNON .
j'appe lle to ut pa rticulièrement votre a ttenle M inistère de l'Bdtu ca ti on Natio nale, ne
tio n Sur les points suivants :
roW~UN E
ATURE DES TRA\'AUX
AUX ECOlES
\' Petits
a~na-g-ements
=
MODE DE. Fjf»I ANCE.ME.NT
PREVU AU BUDOEIT DE 1953
ne
Indiquer, s'il y a lieu,
la dépense prise en
EVALUATION
modifiant pas la struc tur e
locaux
d
DE
APPIWX!,\\ATI \lE
2' Grosses
;éparations à
l' exclusion des travaux
d'f'ntretien, tels que: peinture, serrurerie. vitrerie,
ef~ .. .
DES TRAVAUX
EMPRUNT
cha r.ge par le M..R. U.
a u titre <les dam ma[
ges de guerre.
AUTRES
RESSOURCES
OBSER\'ATIONS
1
,
1
1
VU
LE .......... .
LE MMRE,
L'Inspecteur Primaire,
gement méca nique, l'exoploita nt adresser a .là
jusqu'à décision à son endroi t, le carac tèr e
l'In gé nieur en Chef lCIes Mines une déclara- obl>gatoire des dit es prescriptio ns .
ti on préc isa nt les caractéri s tiques de sa peUe
ART. 8. -- Le présent a rrêté, qui a nnule
et not amment la hauteur au -dessus du sol
de l'ax e d'e rota tio n d u bras porta nt le god\!t les arrêtés <1."" 3 1 aoOt 1950 et 6 mai 1952,
ainsi que la distance 'horizontale du poste de est immédi atement applicable.
comm and1e au front, mesurée dans le plan
TEXTEI D1JTEBET GOœœUJBl
D5 B\
riè res du Oépartement entendus ;
Sur la proposit ion de M . le Secretaire Gé'
TVX 0 néral de la Préfecture,
Arrête :
ARTICLE PRE.'I\IER. - Dans les carrières à
ciel ouvert d u Dépa rteme nt, l'abatage des
AARETE
terres de r ecouvrement et de la masse e-.<Le Préfet des Bouches-<lu-Rhone,
ploitée est soumis notam ment aux règles
Officier de la Légion d' Honneur,
d'exploitation ci-après.
ART. 2. - Le procédé par havage qui
V" Je décret du 27 avri l 1892 portant ri:glementa l ion d'es ·Carrières d u Département consiste là pr atiquer une saignée à la base d u
des Bo u ch es-<fu-~h ô n e et notamment ses f1ron t d'exploitati on pour en pr QIVoq uer
l'ébo ulement est interdit. Cette interdictio n
articles 9 et I l ;
Vu l'ar l1êté préfectoral du 3 1 ao ût 1350 port e aussi ,bien sur l'exploitatio n des masco mplété par l'arrê té préfectora l d u 6 mai ses naturell ement en place que su r la re1952 et concernan t les règles d'abattage à prise des masses abattues.
observer dans les carrièr es à ciel ou ver t du
ART. 3. - Si les terres de recouv reme nt et
Département ;
la masse exploi tée sont de co nsist ance et de
Vu les rapports et avis des In gé nieurs des colhésio n comparables, cell es-d éta nt fa ibles
Mines en da t e d u 22 octobre 1952 ;
(cas notamment des ocres, sables et gr aviers
REOl.EMENT D ' EXPLOITATIO ti DANS
LES CARRIERES A CIEL OUVERT
terres â bri ques et il tui les, tertes de fonde·
très tendres, etc ... ) leur
ex.Pk>'itation devra tfespecter les disposi tio ns
r ies, ar giles ca lca ires
ci- après :
Da ns le cas o ù l'exploitation est manuelie,
le fro nt d'exploitat ion sera co nstitué par des
gradins dr oi ts ete deux mètres de hauteur a.1I
max im um , séparés par des banquettes hon'
zontales d'un e lar geu r au moins égale à la
haute ur d u gr adin à la base duquel se trouve
située ohaq ue banq uette.
Da ns le cas où l' exploitation est effecluée
m~ca n iq u em ent, le front d'exploitation sera
tai llé, soit il quara nte-ci nq degrés (cas d'emploi de pell es o u de dragues speciales), SOli
en gradi ns d' un e ha uteu r au plus égale aux
poss ibili tés de dégagement <1.. la pelle sanS
surplo mb, deux gra dins consécutifs éta nt .é·
pa rés par des ba nq uettes ho rizontales suffisa mme nt larges pour perm ellre 1'/volu\1O"
de la peli e sa ns danger.
D ans tous les cas visés c+deseus de char-
L es co ntraventio ns aux pres-
Rhône, 2e. D ivision - 3e Bureau, avec toutes
pièces j usti ficatives.
Pou r t ous J r ensei'gnements concernant l a
constit ution des dossiers ils pourron t s'adresser, soit à l a P.r;éfecture. soit à la Mai ri e de
leur r ésidence.
de reco uvr ement se fera <fans les cQnd'itions
ART. JO. - M. le Secrétaw-e Gé néra l <l.. la
fixées il l'a rt icle pr écédent. En ce qui Con- Préfect ure, ML l' Ingé nie u.. en Chef .d es Mi nes,
cern e la masse elle-même. les dispositions M!JI.L les So us-P, éfets et ~lai r es du Dé parte- D. S.T.
ci-dessous sero nt observées.
1" D ans le cas œex ploitation par mines
vert icales. la masse ser a taillée en gradins
d' une haute ur au plus égale là la profondeur
des mi nes vertica les habituellement prati quées ;
2 0 Da ns le cas d' exploitation par mines
horizonta les, la masse ser a taillée en g,radi ns
d' une haute ur cOlT\Ptabi ble avec le pouvoir
d'arrachement des charges h abituellemen1
pratiquées, sa ns que puisse en r ésulter la
oréation systématique de surplombs i
3° Dans le cas d'exploitation par mines
obliques parallêles au front, la masse ser a
tai llée en gradi ns do nt la diminution suivan t
la plus grande pente n'excè dera pas la longueur des m ines {habituellement pr atrquées.
D ans chacun des trois cas ci-dessus. deu x
g,racli ns co nsécutLfs sero nt séparés par une
banquette cre largeur suffisante pour ,permettr e le déplacement et le tr avail du per sonnel, sans dan ger et sans gêne exces~ive, ~es
surplombs qui r estent forme llement mterdlts,
seron t supprimés sur chaque grad:in dont le
fro nt sera purgé avant l' exécution crun travai l quelconque sur l' une des plateformes
inférieures.
-------<>00<>-------
ment sont chargés, chacun en ce qui l e
co ncerne, de l'exécution du présent arrêté qui VENTE S UR SOU MISS IONS CACHEsera insér é au Recuei l des Actes Al(\ minisTEES DE TROIS V OIT URES TOU-
tratils de la ,préfecture des Bo uches-duRhône et aff iché da ns toutes les Communes
du Uépar tement.
Marse ilie, le 28 octob re 1952.
Le Préfet
René PA IRA.
•
Communiqués - A vis
Annonces diveps es
RISME_
Le Departement des
Souches-<lu - ~ône
va
procéder à la ve nte sur soumissions cachetees de trois voitu res tourisme :
Citroën Il CV. BL 984 CB 6
Citroën I l CV. B 6476 OB 5 ;
Citroën \5 six 8 19 Q 13.
La vente ama lieu à la {Préfecture d'es
Bouohes"""-Rhône, salle 2 15, le 27 novemlbr e 1952. à 16 Iheures. Les soumissions devront être déposées au pl us tard le 26 noD3 82
vembre 1952, à 12 heures. dernier délai, à
CO NCO URS E N VUE D U RECRUTE- la Préfec ture Di rectio n des Services TeahniME NT D ' U N S ECRETAIRE DE DlREC'.
TI ON A L'HOPITAL PSYCHIATRIQUE ques, Bureau 43 biS.
.
DE DURY -LES- AMIENS _
1 Le dOSSier complet qUI comprend toutes
les autres prescnphons de la ve nte pourra
Un co nco urs sur épreuves en vue du Ife- être consulté à la Préfecture d1es Bouchescrutement d' un Secrétaire de Direction à elu-Rhône (Bureau 43 bis) et dans les Sousl'Hôpital Psychiatrique d'e Dury-les-Amiens,
Préfec tures d'Aix et d' Arles,
ART. 5. - Lorsque l'exploitation en masse aura lieu à la PJéfecture de la Somme, les
Le Directeur des Services Techniques
consistante réglementée par l'article 4 s'ef- 17 et \ 8 décemb r. 1952.
L a liste des pi èces à fournir, la nature et
DAUDE.
fectuera par des gra di ns d'une thaute ur sup~.
rieure ou égale à quatre mètres, une co nsI - le programm e des épr euves imposées seront
------- c~o o c~ ------gne spéciale approuvée par l' in génieur en remis aux :,lostulants sur leur demande à la
, Ohef des Mines et affichée s ur le chantier, Pr éfectu re de la Somme - 3e DiivisiQn- D,D.P.
règle ment era les conditions dans lesquelles 1er Bureau.
VENTE
D ate limite de dépôt .res can ~id atu res : le
seront effectues la surveillance et l'assai nisSUR SOUMISSIONS CACHETEES
sement périodique du fro nt Idr'ex,ploitation 2 décemb re 1952.
D' UNE FOURGONNETTE RENAULT
(périOdicité des visites, mod1alités d'exécu--- «.) Oo C~ ------tion qualité des v isiteurs, procédés de purLe dépa rtement des Bo uches-du- Rhône va
ge, ~ettoya ge des banquettes interm oo1iaires, __ DEMANDE D'UN POSTE DE SECRE- procéder â l a vente SUT soumissions caci1e-
DE tées d'une fourgonnetle Renault Jwva-475 17 CB 5.
La vente aura lieu à la Préfecture des
M, CAlBARET Gilbert, 36 ans, Chef de Bouches-du-Rhône, saUe 2 15, le 3 décembre
BUleau en 3e classe, indice 340, B.E., E.N. 1952 à 16 heures. Les soumissions devront
A N\ domicilié 3-l avenue Paul-Doumer. à être déposées au plus ta rd le 3 décembre 1952
N~el1iïly-Plaisan~ e (Seine-et-Oise), solli cite un à 12 heures, dernier délai, à la Direction
poste .cre SeCIéta.i~e G én~ ral , commune d'e Départementale de la P<>pulation, Service de
plus de 5.000 habita nts.
l'Assistance à l'Enfallce (Bureau n° 24),
ART. 6. - Les résultats des visites J'érioIL es offres d'emploi doi ve nt être adr essées 66 A,' rue St-Sébastien, M.arseille.
diques du front d' exploitation seront consi- directement à l'intéressé.
Le dossier complet qui comprend toutes les
gnés il leur dIa te s l ~r lin regjstr e spécial, coté
autres +pr escriptions de la vente pourra être
-------<»oc«~--et par aphé par !e Maire ou le Comm issaire
consulté à la Directi on D epartementale de la
de Poli ce. Ce re gist,re devr a êtr e cons.el,'vé a~ 02 H3
Population, Service de J'Assistance à l'Etnc-hantier, à la disposition des a uton~es ql~l
AVIS DE VACANCE
fance (Bu reau N' 2.\) et dans les Sous-Pré- '
co nco ur ent ft la surveillance Id'es carn ères a
Un post e d'~~pa rit eur est actuellement fectures d'Aix et d'Arles.
cie l ouvert.
OUVRŒR.
vac
ant à la N\airie de Martigues.
ART. 7, - Lorsque des condit ions excepLe
traitem~
nt
de
début
est
fi
xe
annuelletio nn ell es d'exploit ation de la masse se p.réPour le Préfet et par délégation,
senteront, le Chef de \' Arrondissement !Min é- ment à 20 1.000 francs auquel s'ajoutent 'l ' inetc ... ).
Les représentants des exploita nts de car-
A RT. 9, -
vert ical de sy métri e d u bras et <lu godet de criptions d u prése nt arrê~ seront co nstatées
la pell e elle-même disposée perpe ndiculaire- et pou rsuivies con form ément aux dîsposiment à la direction d'u fr ont.
.
tio ns <les articles 29 et suiva nts du décret
ART. 4. - Si la masse exp loilée es! de du 27 av,i l 1892 J'orta nt règleme nt <les carconsi st ance solide, l'ex pl oita tion des t erres ri ères du dépa rte ment.
po ur un emplo i réservé po urront déclare r
le ur candidature à l'erl1iploi rése rvé vacant à
cOrJljJte r du 20 nOIVembre 1952 et jusq u'au
20 décemb re 1952 indus.
A cet effet, les inté ressés transmettront
leur dema nde a u Préfet des Bouc h es~u
Lorsque l'exploitation en masse consistante règlementee par l'article 4 utilisera certains proceàés sp éciaux d'aba ta ge en gran.de
masse la même co nsigne précisera, en outre, le~ mesures d'e sécul:-ité particuli ères (empk>i des explosifs, débitage et chargetne nt
des matériaux abattus) qui s'i mposent dans
le cas du procéd1é utilisé.
ra logique pourra, sur la demande de J'exploitant, accorder une
':'AIRE GENERAL, COMMUNE
PLUS DE 5.000 HABITANTS.
Le SecJ"ë'oiJ"'" Gbu!·ral :
demnité de r ésidence et éventuellement l es
1bxime MIGNON.
prestations familia les.
. .
Les victimes de
(J'uerre domlc1ltées è.ln~il-=:o;:=;;=;:;-~;;--:;------;;---;;;;---;;::;--
�20 et 27 Novembre 1952
REPUBLIQUE FRAN Ç AISE
DËPARTEMENT DES
10' ADD' •. -
N" 47 et ' 48
BOUCHES-OU-RHONE
Recueil des Actes Ad.ministratifs
et Bulletin des Mairies
:To ute corr esp on da n ce relative a u Rec ueil do'
/
ê tre a'âr e3Sée à la Préfecture S ecr étariat G é n éral
)..
A.HtÉV~ATION8
A. P . : A rr~ t ê: ~ré fec toral. ~ C. : Ci rc~ laire. - Les letttes Ô et B s ui vies d' un ~hi ffre indiquent le Ser vice o u Bureau d'ori gine.
D. S. T. : D lTec tlon des Services Techmques. - D. D. S. : Direction D épart en1'~ntale de la Santé. - D. D. P. : Direc ti on départementale de la Populat io n.
.. ïi ;
SOMMAI~
Textes d'Intérêt Général
_
_'-"
P ages SC 4. - Modi~ica t ion du règlement
. sur les services des Chemins ViciRègles d e cumul de pensions
AC 3. et de rémunérati o ns pu bliq ues
C I.A 1. ---.. Elections aux T ribunaux de
Comm erce. - RenoUlveli emen t pa rt ie,!
en 1952 ............. . .......... .
p O. -
229
230 T VX 5. -
Modificatio n du Règlemen t
su r les services des Chemins dépar-
23 1
TEXTES
'."
na ux ............ .
T VX O. - fournÎt ures et T rava ux.Rec herches d'économi es ... . ..... . .
P,uh3k atio ns lPé riodiques inter-
dites aux mi neu rs . . . ......... ... .
D2 82
ïI/
AC 3
te mentaux._ . . . .. . ..... . ...... .
P ages
Textes d'intérêt communal
Paies
'VX 1. - Loi Barangé. - Eta1:Jlissement du p rogramme à·é q u.i~ment
231
scolai re commu nal. - A nnee scolai re
1952- 1953 ...... . . . ..... ........ 232
23 1 Communiqués -. Avis •• Annonces divenses
Déchéance de l a nationalité française ....... .. . . . . . . .... ...... 232
- Permutation d'emu>loi de Secrdaire
232
de Mairie .. .. ...... .. ..
232
D'INTÉRÊT GÉNÉRAL
~ l'a nn ~e, ou forfaita.irement sous forme d'une 1 . II reste b}en
Indemnité ou allocation quelco nque sont SOllREGLES DE CUMUL DE PEN SIONS mises aux règles restrictives de cumu l.
Par rontre, n'entrent pas en ligne d'e
.ET DE REMUNERATIONS PUBLIQUES
compte, notamment les indemnités à ca ra cL e Préfet des Bo"ches-d'"-R hô ne,
tère familial ou rési dentiel, indemnités repréà ~\M . les Mai res, les Directeurs des sentatives de frais, etc...
Ser vices Extérieurs des AdministraL1MIITES PECUN IAIRES DE CUMU L
ti ons de J'Etat.
Les règles die cumu l aya nt salivent donné
En vertu de l'article 4 de l'ordonnance du
l ieu à des observations d'e l'Administration 25 aotit t 9..J...+, modifiée en dernier lieu par
Centrale, je crois devoir rappeler t..+après tes l'article 59, paragraphe 1er de la loi {'['u 20
règles en vigutur en la matière,
septembre 1948 (article 53 du décret n°
Confo rmément aux rlisoositions de l'article "'9.14 16 du 5 octobre 1941), les pensions et
16 du décret-loi du 29 oct'obre 1936, le champ rémunérations d'activite peu\'ent se cumu ler
d'applicatio n de la législat ion concerna nt le d'ans la linüte d'un plafond fixé :
cumul d'es pensions et des r~muné ra tioJls
soit all montant des émoluments afférents
d~acti vi té s'~tend à tout~s les collect ivités et au nOll,'~l emploi occupé;
or gan ismes 'Visés à l'article 1er du dit décret- , _ soit au montant d'es émol uments de base
loi.
pris en compte pour la fixation de la pension
Les dispositions de l'article 1er du decret- aprt-s, ab.atte~ent, s'il y. a, lieu"
,
.
t
f
1 m nlm m v taJ c est a
t
loi sus-mentionné ont été reprises par ~ 'ar- ---:- SOI a rOIS .01:. e.., l , li ,
L, ' .
- i icl e 124 du Code le gislatl! des pensions dire 9 1.600 X 3 :- _74.Xoo Jusqu au J I d"·
civ iles et militaires (décret n" 51-590 d\1 23 c~mbre ,çqg, <:t é) quatr~ fOIS, I~ mlnllT~Um
M ai 195 1)
n tal l SOit 3660400 Irilm's a partir du 1er 1anL es ém~l u m cn1s de retrait e retenus pour vier 1950,
J'applica tio n des règl~s de cumul sont ceux
A. co mpter du 10 septembre 195 1, le minide la pension l>ïi ncipale, à 1 exclusion des mUIll "rita l a eté por te à 120.000 francs,
aocessoir es, et notamment de la majoration
Il con vient d'appliquer celle de ces trois
pour enfan ts.
!tmites cI~ cumul qui est la plus favo rahle à
En ce qu i c.o ncerne les rcmun t!rn ti ons d'ac- J'agent.
ti vité, toutes les sommes allouées sous ql1elPour l'appr~cia1ion des limites pécuniaires,
d'ênominatlon
e ce soit, à raison de les cmoluments d'acti\'iti! et de retraite sont
entendu que si l,a r é munér~hon attachee au nOllvel enlplOl est superieure au montant ces émoluments de base
pr is en compte pour la fixation de la pension,
elle est perçue en totalité à J'exclusion de la
pension.
C
i ' un ex t rai·t d' une reponse
.
de .\1..
-aprl:S
le Ministre des Fjnances et des Affaires Economiqu es à une demande rela tive à l'application des règles res trict i,'es «Île cumul :
t o Conformément à l'articl e 1er du riêcretloi du 29 octobre 1936, dont les disposition
'o nt été reprises par l'article 12.f. du Code
législatif des pensions civiles et militaires de
retraite l les règles r estreignant le cumul
d'une pension et d~une rémunération d'adi\'îte sont applica bles aux personn~ls ces services publics de "Etat, départements et communes, offices, étahlissements publics et
terri toires et pay d'outre-mer. . \aroc et
Tunisie, Société Nationale des Chemins de
fer français ou réseaux de dhemins de fer
d'intérêt local et autres ser\'Î.::t:s concédés,
~~r~~~~n~el~bv~~tio~I~~~;,at;~;ies·\\~rl~~~i~al:i
et départementales directes ou intt~ressées,
caisses d'aSSl1rélllCeS sociales, 11 convient de
souligner à cet égard que se.lon l'a,'is émis
par l e Conse.il d'Etat I~ 14 juin 1950, les
ag-ents de tous organismes chaq~és de l'exécution d'un service public tombent sous le
coup des dites rè les, mèm~ si les organismes
aup!"ès desquels ils sont employés cons ti-
.L~'.""''''''
.
>-J'
••
�230
231
1
ques Ma uret, juge Sllppl~ants so rtants, plus 1 Bouillallisse (avec rattachement des commu'
anciens a1..l tab leau, canditlats ju'gos tit ulai- I nes de Belcodène et de Saint-Savournin)
Tes ; Emile Ab raham-A·\ ic hel,
Ibert Liell- La Dest ïO usse, Gréasquc, Hoquevai re (avl!,:
taud , Maurice Croisy, Calixte Du neau, Os- rattachement des comm unes de Peypin et de
wa ld Th ê-ric, Jean-françois Régis, Marc Ca doii\'e) .
Gondran, l'urres
su'~plëants
so rtants et réëli,).... .. P
Tfi·b UfiO 1 (e
1 COI1lJ1lerCe d'AÎx~
....
t"
ourI e
gibles).
e.n-Provenu.
4" A l 'éJ ~cti o Il pour un mandat de un ail,
A la 1\\'ai rie des Communes d'Aix (a,'ec
de un juge suppléa ~lt (sièrre de J\l~ . Louis E.
' Aau get, juge ~ulPpl~ant, pl us. ancl~ n au .ta- rattac hement des communes de Th olonet
l~.(ea u demi sSlOnnal re. ca ndidat Juge tltu- Vauvena rgues, Vene ll es, Mey reuil, Sai nt:
An tonin-sur- Ba yoll, Châtea u neu f-le-RouO'e)
laire):
Elgui Nes, Ga rdan ne (avec r attadlemell t de~
II. _ Pour Aix-en-Pro vell ce .
Qom m Ull~S de Bouc-Bel-Ai r et de Simiane~
\ " A l'élection. pou r Ull mandat de :Jeux Collongues), Les Pen nes-Mi rabeau, 'Septèmes
H
ans d'un juge titulaire (siège de M.
cnri (avec r attachement de la commune de CaMa;l rel, J'ue-e sortant non rééli gible) .
briès), Chàte auneu,f-Ies-!J\!\artigues, Ensuès....
2" A l'él ection, pour un mandat de deux la-Redonne (avec ra ttachement des commuans de deux juges titulaires (si èges de I\lL\ \ nes .de Carry-le-Rouet et Sausset~le s-Pins),
AlI Œuste Palanque et Marius Lau gier. sor- J\\angnal1e ( a'\'ec rattacJ1ement de la commu....
ne de Gignac-Ja-Nerthe), J\ \artigues, Port-de.
tallÎs et ré éli gibles).
3" A l'élection, pour un mandat de deux Bouc, Saint-VictGret, JGuques( avec rattaans, de trois juges suppléants (sièges e chement de la COmmune de Sa int-Paul-les_
MM. Louis OIéme.nt, Jean Bert rand, Emlie Du ra nce), Pey rolles, Fu veau , R()usset, Trets
ART. 12<,;. Ceux qui par d.e fausses
)
(avec ratta chement d es communes de Peynier
déclarations ou de quelque maniêre que ce Doze, sortants et r ééligibl es.
.
4" A I·électlon. pour un mandat d'un an, et de Puyloubier). M ey rargues (avec rattasoit auraient usurpé plusieurs pensiO ns ou
p'
un traitement avec une pension. seront rayés d'un juge suppl éant- (si ège ~e M.
ler:e chemen t de la comm un e de Pu y-Sa inte-Répadu ITrand livre de la dette publique. Ils Gui ndon dont le mandat d~v alt prendre fll1 r ade), Le Rove.
sero;t. en outre, poursuivis en restitution des en 1953.' démissionnaire, ca ndidat ju ge-ti tu3" Pour le Tribunar de Commerce d·Arles.
• laire).
sommes indûment perçut;$.
A la Mairie des Co mmunes ct 'A rles, FonlPour le Préfet,
II I. - Pour Arles.
vie ille, Saint-Martin-de-Crau, Po rt- St-Louis·
par délégation,
10 A l'élection, 'Pour un mandat de deux du-Rhôn e et des Stes-Maries-cle-Ia-Mer.
Le Secrétaire Général.
ans, d'u n J'u!!e
..., titu laire (siè2'e
.... de I\.~ .. En. l ~l e
'4" Pour le Tribunal de Commercc de
_"\laxime MIGNON.
M aurel, J·u.ze
ti~ulaire sortant et de111ISSI0n~
T arascoll.
naire).
- - -<>00 <>-- - A la Nlairie des Comm un es de Tar ascon,
2" A ~'élection. pour un mandat de deux
Sal11t-Etienne-du-Grès
(a vec rattachement de
04 B3
CIA 1 aos, de deu x juges SUllpléa nts (.sièges de
la commune de Mas-Blanc), Barbentane (am
ELECTIONS AUX
TRIBUNAUX D E 1MM .. René Nouvel et Jacques Vadon sortants
rattachement de la commune de Boulbon).
COMMERCE. _ RENOUV ELLEMENT 1 et r"eehgl?l:s) ..
PARTIEL E N 1952.
3 il. 1elec!!G~ pour . ~n mandat d'un an. Ohâteaurei1ard, Eyragues, Noves, Rognonas,
d'un Juge suppl eant (siege de M. Augustin Eyguières (avec rat tachement des com munes
Sabran, dGnt le mand at fini, ait en 1953, d'Alleins, A'ureille, V ern ègues et Lamanon),
ARR,ETE
démissionnai re, ca ndidat au siège de juge- Mallemo rt, Mouri ès (avec rat tachement de la
Le Prefet des Bouche<-du-Ilhône,
commune de M aussane), Cabannes, Plantitulalrej.
Officier de la Légion d' Honneur,
d'Or<1on (ai\rec r attachement des communes
IV. - Pour T arascon.
d'O rgon, Eygalières et de McJlèges), SaintVu la IGi du I~ j am·ier 1933 relative il
1 A l'élection, pour un mandat de deux Andiol, Senas: Saint-Rémy (avec rattadle·
l'élection des membres des Tribunaux dt
ans, du President (siège de M. Numa Cor- ment des communes des Baux et du ParaCommerce j
dOU), Graveson (a\tec rattachement de la
Vu la loi du 17 aoû t 1950 modifiant les bessas, Prés ident sortant nGn rééligible).
lois du 14 janvier et du 19 fév rier 1908 sur
2 0 A l'électio n, pOUJ un mandat de deux com mune de Mail l ane).
les Elections Consulai res et po rtant su.p- an:), de deux juges titul aires (sièges de MIM.
5" P our le T r ibunal de Commerce de Sa/on,
pression des Chambres Consultatives des Cha rles Mistral et Max Valay, juges titulai·
A la Mairie des Commu nes de Salon (avec
Arts et Manufactures
res so rtants et r ééligibles).
ratta chement de l a com mune de CornillonSur la pr<>positiGn 'de M. le Secrétaire
3 A \' ~Ie-ct i on , pour un mandat de deux Confoux), Gran s. L ançon. J\ \i ramas, P~l is
Géneral,
ans, de deux juges SUPlpléants (sièges de sa nne (avec rattachement des (,Oll1mun~ de
Arrëh: :
M.~\. Jean-Marie Galemn et AntGnin Ripert, La Barben et d'Au","s), Berre, La Fare-les:
OILviers) RoO'nac (avec rattachement de~
Article Premier. - Les électeurs des Tri- juges suppléants so rt ants et rééligibles).
commun ~s det> Ventabren. Velaux, Coudou:'i
b unaux de Commerce de Marseille. Aix-enV. - Pour Salon .
et VitrGlles). Fos-sur-Mer, Istres, St-Chamas.
Proven.:e, Arles, T arascon et Salon sont
1 A l'élect ion, pou r un mandat de deux Charleval, L ambesc (avec ratt at: hem ent d.c
con\'oqués le Jeudi 4 décembre 1952 il reflet
ans, de deux juges titulaires l~ièges de M. l a CGmmune de I~ognes), La Hoque-<!'Anth'·
de pmcéder :
Teissier Léon, juge-titulaire so rtant et non
J. - Pour Marseille.
ri:êligible et de lM. ?îchou Jérôme. juge- ron , Saint-Cannat.
Art. 3. - Dans les villes di"isérs en plll~
titulai
r e sortant et rééligible).
1u A l'élection pou r un mandat de ôeulC
2" A l'élection, pour un mandat de deux sieurs cantons, M. l e l\\aire désignera, nO ur
ans, de cinq jU'ges titulaires (sieges de A'\.o\1.
Joseph Régnier, Marcel D igonnet, Albert ans, de deux juges Slillp léants (sièges de chaque canton. l~ local où s'effectueront le~
Nugue, Sylvain S()ulagnes, Albe rt Delaage, MA\. Blanc Delphin et Our> Eu~ène, jt:ges opération',) électorales et délègue ra, pOlI r ~
présider, l'un des aùjoints ou 1''iII1 des.
juges titulaires sortants et non rééligibles). Sotlf/'l)léan ts sortants et ré6ligibles).
Consei llers ml\nic~patlx.
,
2" A l 'élection p'o ur un mandat de deu x
Art. 2. - Le vo te au ra l ieu :
Art
4
_
L'
Asse
mblée
lectG
rale
se
ra
~rc:
ans de dix juges titulaires (sièges de MM.
lSt,
. le M ai re ou sOn .,
é ass
1" Pour le Tribunal de Co mm erce (e
1 sidée .par
ue' II: ~ 1I,
•
Louis Altiéri, Emile Richelme, Louis de Hasque de La,'al, Emile Gendre, Jean CaillGl, Marscille,
de trois él ecteurs coniS ul aires.
. ni
Les noms de ces trois éledeurs ~ero .
Edmond Isoard . Raymond Pailla, RaymGnd
A la Mairie des Communes de Marseil le,
. té de deu'1
• .
aS~I~
Tessor, Joseph MGuroux. Jean R()ustan, juges Allaul'h. Plan-de-C uq ues, Aubagne (avec tirés au sort par le lnalre,
Conseillers
municipaux.
quatre
jour~ :t\'an)titulaires sGrtant et rééligibles).
rattachement de la COmnlllne de Cuges), Gè3 A l·électiGn pour un mandat
m\!nos, La Penne-sur-Hu\'t~aune , Cassis, La les électIOns ainsi que ceux d(' trol~ s'"~nl
1 ·res fer •IiC
1 u al
su !'Ipl';ants .
Ciotat (a\'ec rattal'hement de la commun\.: d~ ",can·lS pour , le cas ou. les t·t
20 L'article 127 d u Code slIs\'isë prévoit
l'obligation pour les colle-cti\'Î~es r~mun~rant
à un titre quelconque ~n pen510n!1~ ~e 1 Etat
d'en taire la déclaration au t\\imstere ~es
finances dans le mois d'entree en fonchon
de 1·I·nte·resse·.
Décret no) 51 -590 du 23 Mai 195 \ portant
codHication -dIeS textes legislatjfs co ncernant
les pensions civiles et militaires.
:4.RT. 127. _ Toute collectÎ\'ité qui rém unère à un titre quelconque un pension né de
l' Etat d'evra, dans le mois d'entrée en service
en fai re la déclaration au A\inistère d~s
finances.
Aucun pensionné ne pourra recevoi r les
't . 1
arrérages de sa pension ~'il n'~ souscn ,3 a
Caisse du Comptable-asslgnatalre une declaration faIsant co nnaître qu'il est ou qu'il n·est
as au service d'une des collectivités ou
P
entreprises \'isées à l'article 124.
T ont pensionné qui aura fai t une fau.sse
déclaration relative au cumul sera passible
des 'Peines prévues par l'article suivant.
g
(J
Q
(J
Le Maire dev,ra avis!!r ùans les 24 heures
Ar!. I l . - M . le Sec rétaire Gén éral de la
ARRETE:
les électeurs ain.si désignés. En cas d'empê- Préfecture, MM. les Sous-Préfets d'Ai x et
ARTICLE
PRE,
'
"ER.
- L·article 37 de l'arrête
c h~1l1~nt, ceux-cI devront ,prévenir le Maire
d'Ar les et MM . les Mai res du D épartement
qui a\Terti r ales suppléants et faire val oi r sont chargés, chaoun en ce qui le concerne, dl! 2 Mai 1872 est mc>dlfic cGm me suit :
leurs ex cuses auprès du juge de paix qui de l'exécution du présent arrêté.
Ar/icle 37. - Premier alwéa san chanp r o n or.~era sans opposition ni a~pel. cont re
gement.
OGvemore
1952.
MarseiJle,
le
13
le défaIlla nt, une amende de 20 fra ncs sans
~me aiirléa. T outefois, des marchés
dé~imes. au cas uù ses excuses ne seraient
Le Préfet
écnts peuvent ~tre passés i..e gré à. gré poUI
pas jugées va la1J.les.
René PA.lRA. les travaux transports et fournitures dont la
Le bureau, ainsi composé, nomme un seva leur n'excède pas pour le montant total
- - - < > 0 0 .. ' - - - _
crétai re pri s da ns son sein,
de l'Entreprise la somme de un miJlion de
P 0 francs dans les Communes ayant une popuArl. 5. Le scrutin ser a ouver t de D I B 1
lation inf~rieure à 5.000 habitants. Ce maxiJO l1 eu res â 16 heures. Néa nmoi ns. dans les
PUBLICATIONS PERIODIQUES
mum est -porté à 2 millions dans les Corn·
~10mnlll n eS où les co ndit ions locales le perINTERD ITES AUX MINEURS
munes de 5.000 il 20.000 habitants ei à 5
mettront, le Préfet pourra rédui re cette dumillions dans les Communes Qfu ne popu larte qll i Ile devra, en aUCun cas, êt re inféAIRRETE
tion supérieure. (Décret 52.5ï9 du 23 _\tai
rie.u re à deux heures sans interr uption.
Le Préfet <les Bouohes-du-Rhône
952)
•
Ar!. 6. - Les electe urs vote ront avec une
Officier de la Légion d'Honneur:
1.
3me alin"a. - (de A il H) et 4me alinéa
seule liste quel que soit le nombre des manVu les ar ticles 97 et 99 de la loi du 5 sa ns changement.
dats à conferer en indiquant le nom du Avril
1884 ;
ca:1diâat cu des candidats en face de ahacun
Vu l'arti cle 7 de la loi du 17 Mars 179 1
5me alinea. - Cette auto risation n'est pas
des mandats.
Vu la loi du 29 Juillet 188 1 ,
nécessaire et il peut tt re traité SUT simple
Vu le Décret-LOI du 29 Juillet 1939 relatif factu re pou. les travaux. transpo rts et fou Ar!. 7. - Sont éligibles les elec teu roS insnitures G.ont la dépense n'excède pas 2.50.000
crits sur les listes éJecto rales, âgés de tiente à la famille et à la natalité française;
Vu les instructions d'e M. le MlIllstre de francs. da~s les Communes de mOllls de
anS ; sont également éligibles les anciens
20.000 habItants et de 500.000 francs, dans
commerçants français ayant exer cé l eur pro- l' Intérieur .
c:.onsidér~nt le d'3 nger que ~ résente pou, I I ~s .Communes d'une ~opl1la~ion supérie~re
fession fiJenda nt cinq ans au moins, dans la
CÎn.:onscription territoriale de la juridl€tion la Jeunesse l'exposition sur la voie publique 1 ~1Il~ 1 . que tC11a~S ce ll es. m~rne ct une pop~lat\On
de certain es pu blications illustrées consac rées IIlfeneure qUI sont slt.uees ~ans un dep~rte
co nSlllai re ou y résida nt.
N·ul ne pou rra être élu Président s'i·J n'a aux crimes, à la prostitution, ai nsi que celles lT!ent .do nt la populatl~n depasse 2 ~llh9ns
ct habitants (décret 52.379 du 23 Mal 1932).
exercé pendant deux ans les fonct ions de de caractère l ice n ci~ux,
6me alinea. - Sans changement.
juge titulaire et nul nt! pourra être nommé
ARRETE:
titulaire s'il n'a été ju ge supplean t pendant
ART. 2. - M. le Secrétaire Général de la
ARTICLE PREM IR. - Il est in terdit de pro - Préfectur e, M,';\. les Sous-P,éfets, .\l\1. les
un an.
~oser. ~e do nn e~ ou ~e vendre à des t.·nin~urs i\\aires, M. le Trésorier-Payeur Géné ral . MJ\l.
Art. 8. - Les cand idats al.lX.. fonct ions de
~ .m~lIls ,de ~ lX hUit ans, les pu blications l es Percepteurs et Rece\eurs .\\unicipaux, Al.
ME"m bres des Trilbunaux de Commerce depenodlques slllvantes :
l'Ingénieur en CInef des Ponts et Chaussées.
vront fai re leur déclaration de' candidatu re
RII~E
PIN
l!P
,\IAGA~fNE
-.
NUS,
EN
I
sont cha rgés, chacun en ce qui le concerne,
à la Pr éfectu re (4e DivisiGn - 3e Bureau B)
RELLEF - EXCIlING \ > SpeCIal d Ete. de l'exécution du present arrêté.
huit jou rs au moins avant celui d'un des VOLLA (Supplém ent de VOIR). - 'ATURIS.
?
•
_
dellx scr utins.
illE 52 _ SENSUALITE DE PARIS _
,\\arsellle, le _6 Aout 19,2.
Les déolarations de candid'atures peuvent HEP - PARIS SEXY - PARIS PARADISE _
Pour le Prefet,
être individuelles ou coJ lect ives.
PSCHITT.
Le Sous-Prefet m'kgué
EHes doivent être faites .pa r écrit et dûDi recteur du Cabinet J
ART. 2. Il est interdit d'exposer ces
ment légalisées. U en sera donné récépissé
PLETTI'\ER
publications Sur la voie publique, â l'e'Xtéet les candidatures déclarées seront immérieur ou à l'intérieur des magasins, des kios- - - - < '0
diatement afficht.'es à la Préfectu re.
. ques et de faire .~ OI1T elles une publicité dans
N 'entreront pas en compte dans le ca lcul les mêmes conditIons.
05 BI
TVX 0
de la major ité les buJletins au nom des
ART. 3. - M. le Sec rétaire Général de la
fOURNITURES ET TRAVAUX
candidats qui n'auront pas fait la décla ration
Préfecture, J\IM. les Sous-P réfets ct·Aix et
RECHERCHES D'ECONOMIES
prévue ci- dess us,
à Arl es, M. le Directeu r Departemental {"es
Art. 9. - Aucune élection ne sera valable Services de ,Police, M.\\. les .M aires du Dé'UNISl ÈRE DES TRA\' ..\ l'X PUBLICS
au premier tou r de scru t in si les candidats partement, M, le Commandant de GendarDES TRAi\SPORTS ET DL TOURIS.'\E
no'nt pas obten u la maj orité des suffrages merie sont chargès, chacun en ce qui le
Circulaire n'· 116 du 30 Odobre 1952
exprimés et si cette majoritê n'est pas égale concern e, de l'exécution du présent arr~h'
au quart des électeurs inscrits. Dans le cas qui sera insere au f~ecuei\ Administratif et
Dire!.:lion àu Personnel, -lv Bureau
où il se rait nécessaire de recourir à un se- Bulletin d~ ~\lairi~s.
:\on publiée au J. O.
cond tour de scrutin, il y serait ,procédé
Fait
il
.\\arsl'ille,
le
fi
NO\'embre
1952.
Classement
T. P. 135.
quinze jou rs a,près. c'est-à-dire le jeudi
. 18 décembre 1952, SOIIS la présiden~e du
Le Préfet.
Le .\linistr~ ... e!' Tra\'aux Publics, des
R. PAIRA.
même ,bureau et la majorité relative suffira.
Transports ~ t du Tourisme,
quel q'Ue .:lait le nombre des ~ uffrages expriâ .\\.\l. les l ngèmeurs en Chef des
--c:t>oo«'
)
-més.
Ponts et Chaussees.
Toutefois J quatre jours ava nt c ~lui du D5 BI
SC 4
La faible importanct des dotatio ns bud.zt!deuxième tour de sl'rutin, le Préfet réu nira
taires attriblll't:s à l' Administration des Trales membres de la Cc)mmission cha r gés du MODIfICATION DU REGLEMENT SUR \'aux Publics, im ""os~ ... ~ \·t'iller, plus que
r e~enseJl1cnt généoral des \'oks ct leu r sou- LE SERVICE DES CHEMINS VICINAUX jamais, :i l'utilisation ratillnnl'II~ des credits.
mettra le tableau des sièges à pourvoir et
. ~ cro1s utile J l'et l'~ard .... e com,)léter les
AI~RETE
des ca ndid atures déolar~(' s.
jnstLuct~ons dl' ma l'irculain.: Il' 7~1 du 21
Lorsque le Hombre dcs candidats ~ era
Le Préf~t des Boudll'S-du-Rhonl:,
Juillet U52 rc\nti\'t..' ft la passation des maTOffidcr .Q~ ln Le~on a'Honneur.
exachvlIcnf égal el flue, depuis le prcmÎel
C"lles et ce lles que je \ ous ai donnees \'erba l our de scrutin, auculle rlo/lI'eUt' c(lmlllllnfure
Vu l'arrête prèi~!.:toral .. lI 2 ,\ \ai l~ï::! por- lement le Hl Septemhrl~ dernier, par les
n'aura été déclare€:, ces tam/iclals sao111 ta nt Rè~l' ment Oenéral sur le serricr des recommandat:ons sui\'antl's :
proclnmés é/lls,
1" Dans les l:Îrconstance'" ac tuelles, toute
Chemins vicinaux ct notamment J'a rticl~ :n :
\'u le dëcret 52-5i:) du 23 .\lai 1952 relatif dépense ayn nt un c:tra\.' t~·rl' dt' luxe ou de
Arl, 10. - ,Le resultat lie J'('ledion ~st
des marchis commun:tux:
]sur!.:roit doit l'trc exclu..:. C l~ttl' rccommandaproolamé par l~ rr ~sident de chaque t\ssem- à
r"",nort de 1\\. l'Ingénieur en Che' tion \ aut nO'l seulement )our les operatÎons
hILe Electof1l~
trAnsm~t imnt~-diatement 1
~I
'"
1'\1
-
•
�232
20 et 27 Novembre 1952
vaux en cours d'exécution. Je vous demande
rionc de reconsidérer tous ces travaux et
d'exami ner si les dispositions pr évues sont
bien celles qui sont le plus strictement a d'aptëes aux besoins à satisfaire. Chaque fois que
des simplifications génératrices d'économies
seront ,possibles, vous voudrez bien les prescrire, en negociant au besoin des avenants
avec les entreprises titulaires des marchés.
2' A l'approche de la fin de l'exercice budgétairt; je vous mets en garde contre la
tendance qu'ont . certains Servi ces à vOllloir
dépenser systématiquement ta totalité <Iles
crédHs restant -':1 leur disposition, il est ~vi
dent que les circonstan ces éco nomiques
actuelles ne permettent pas, il quelque epoque de l'année que ce soit, d'exécuter des
travaux ou de procéder à des achats d' approvisionnements et d e matériels qui ne
répondent pas à des besoins impérieux . Cette
pr~tique est enco re plus condamnable si, en
raison des conditions atmosphériques ou de
l'état du marché, l'A dmÎrtistration est conduite à traiter à des prix supérieurs aux prix
normaux.
30 Enfin l'Administrati on n'a pas intérêt
dlans la plupart des cas, à acquérir du matériel pour le mettre ensuite à la disposition
d'entreprises c har gées de t ravaux . En dehors
des mauvaises conditions dans ~esquelles ce
matériel est généralement amorti et des
charges qui en résultent pou r le budget de
l'Etat, ces acquisitions ont en outre, l'inconvénient de défavoriser, lors des appels à la
concurren ce, les en treprises qui ont fait un
effort d'équipem ent, effort qu'il est d' intérêt
public d'enco urager . Je vo us invite donc à
ne pas proce der à de t elles operations. Les
cas très exceptionnels qui pourraient justi fi er
une dérogatio n à cette règle devront m'êtTe
soumis au préalable.
V ous répondrez aux préoccupations dU
Gouvernement en vous i nspirant d~ directives ci-dessus pour to us les travaux que
vous fa ites exécuter ou que vous contrôlez,
quel que soit le Département ministériel , la
collectivité ou l'établissem ent public qui en
supporte la ch arge.
J'adresse copie de la pr ésente circulaire à
MM. les Préfets. .
André A\ ORICE.
1':' Pour les fournitures tra nsports ou tra'
vaux dont la d\!pense totale· n·excède pas 5
millions de francs, ou s'il s'agit d'un malrC'hé
passé pour plusieurs années, dont la dépense
annuelle n' excède pas 1 million de francs
(décret 52.578 du 23 Mai 1952).
Le reste sans changement.
Article 35. - II l'eut être sUIlPl éé au x
marohés écrits 'Par des achats .sur simple
facture pour les objets qui doivent être lÎ'Vrés
i m m éd~atement quand la va leur de ces ac41ats
n'excède pas 500.000 francs.
La dispense de ma rché s'é.tend! aux travau x
et transports dont Ja valeu r présum ée n'excède pas 500.000 francs, et q ui peuv ent être
exécutés sur simple mémoire (décret 52 -578
du 23 Mai 1952).
Article 36. 1er alinéa : sans changement.
2me alinéa : Cette autoTisation ne sera
pas nécessaire toutes les fois que la dépense
n'excèdera ·pas 500.000 fran cs (d écret 52-578
d u 27 Mai 1952).
ARTICLE 2. M. le Secrétaire Géneral
de la Pr éfecture, M, le T'résori er ....Pa )' eur
Général, 1.\/ 1, l'Ingénieur en Chef des Ponts
et Ohaussées, sont cha rgés, chacun en ce
qui le concerne, de l 'e x~cution d\l présen t
arrêté.
.Ma'nseille, le 26 Août 1952.
Pour le Préfef,
Le Sous-Préfet délégué
Directeur du Cabinet,
PLETTNER.
____ c;, oo«>,- - - -
D5 BI
TVX 5
s~olaires
q,ue Je Conseil Général est SliSce
ftble de reserver: cf!- laveuf des Ecoles d~~
Communes particulièrement désh éritées.
~pératlOns
du ~~auffage . et d~ J'écJaira ge, achat de
~ob.lheI sco'lalre. pel.ntures des olasses, etc,)
runSJ . que J?Our Je f.lOancement des tr avaux
de r~parat.IOT~ et ~ entretien des bâHments
s~~lalres, a 1 exclusiOn , t oule/ois, des acquisItions ~t travaux courants oUI'r ofll droit à
subventiOll de l'Etat.
Il me lParaît e~fin oppo rtun , en la Gir·
C?nsta .~ce, de souligner à nouveau qll e l'aide
flOan~ l e re d'e !la
Caisse D épartementale
~o:1alre ne doit a'bouti.r, en aucu n cas, à
decharger les Communes de leurs obli aations
en matière d'enseignement du 1er deg~é.
Po ur Je P réfet et par déléna tion
Le Secr étaire Genéraf::':
'
Maxime Mil GNON.
•
C ommuniqués - Avis
D'INTERET GOmmONHl An no nce s diverses
DECHEANCE DE LA NATIONALITE
LOI BARANGE ETABLISSEMENT DU
FRANÇAISE
PROGRAMME D'EQUIPEMENT scoLAIRE COMMUNAL (ANNEE SCOPar décret du 28 Aoû t 1952 publié au
LAIRE 1952-1953).
Journal Officiel du 30-8- 1\152, le sieur BEN·
Y.ENUlll Guise'ppe, né le 16"6- t 9 16 il Mar·
liano (Italie), natu ralisé français par décret
du 4 février t 949, a été déchu de la natio·
Circulai re Interministéri elle (Inténalité
français e.
ri eur,
Education
Nationale d'u
15 septembre 1952) .
- - --«>0 0 « > ' - - - -
Le Préf et des Bou elles-d fl-Rh ône,
à MM. l es Maires a'll D é pa rl ~m e nt,
Refé r .
Le Prélet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur.
Vu J'arrêté prélectoral du 25 Septembre
1944 portant règlement général su r le service
des chemins départementaux et notamment
les articles 27, 35, 36 ;
Vu le ct;'cret 52-578 du 23 Mai 1952 relatif
à la passation des marchés dépar tementaux ;
Vu le rapport de M. J'Ingénieur en Ohef
du Service Ordinaire du 5 Juin 1952 ;
ARRETE :
D'EMPLOI
nement sur le mode de répartition des fo nds
Secrétaire de Mai!rie en fon ction dans une
de la Caisse Départementale Scolaire quïl Commune de 2.000 à 5.000 habita nts, chel·
entend reten)r pour l'année scolair e 1952-53. lieu de canton, IO!lement assuré, cherche
Il irl1!Porte cependant que, dés à présent
la l iste des besoins des Ecoles Publiques.d~ pour !faison de famille à permuter avec
chaque localité soit établie ,par les munici· collègue occupant un poste i dentique dans
palltés au titre de l'année soolaire 1952- 1953. une commune du département des Bouches·
,11 !V?uS 3!pparhent donc, comme pour 1d "l-f,ihône.
1 exercice précédent, de prendre immédiateS'aclresser directement il M. Marcel
ment contact avec le personnel enseignant et
POU.~RAT,
secrétaire de .Mairie il M oretles a"torités académiques et de dresser avec
1eur collaboration, l e Gnogramme d'équipe- sur-Loing (Seine-et-Marne) .
ment scolaire de votre commUl1e. Celui-d
pourra être établ i sur la base du chiffre
obtenu en multipliant le nombre d'enfants
d'âge scotair~ fréquentant régulièrement les
Pour le PrHet et par délégation,
o
Ecoles Publiques de la localit é par 3.000
'
Le S ecrétaire Géll6r l :
(montant annuel des allocations revenant à
Maxime MI GNON.
ARTICLE PREMIER. - Les articles 27, 35 et
36 de l'a'rrêté <iu 25 Septembre 1944 sont
modifiés comme suit ,
Article 27. - JI peut être
chacun d'eux),
--
sous reserve taule/ois de
iiï••iiï.ïï.ïï.ïïïïïiïïï
la~• • •
N" 47 et 48
Recueil des Actes Administratifs
et Bulletin des Mairies
•
To ute correspondance
relative a u ReClIel' do,·t être adressée à la P ré f ecture Secrétariat Général
ABRÉVIATIONS
A. P . : ~rr~té ~ ré fe ctora l. -:- C. : Circ~l aire. - Les lettres ~ et B suivies d'un dhiHre indiquent le Service ou Bureau d'origme.
D. S. T. . DirectIon des SerVI ces T echmques. - D. D. S. : Direction Départementale de la Santé. - D. D. P. . Direction départementale de la Population.
SOMMAIRE
Pag .. \
Textes d'intérêt communal
du rè glement
,
Pa(es
SC
4.
Modification
Pages
Chemins YiciT Y X 1. - Loi Barangé. - Etablissesur les se rvices des
AC 3. - Règles de cumul de pensions
. .. . .. .. . . .. 231
ment d u p ro gramme à'équipemen t
naux ...... .
scola ire commu nal. - Ann ée scolai re
et de rémun érations publiques .... 229
232
t 952 -1 953 ............... .
'TVX O. - Fournitures et Tr ava ux. ICJ,A 1. - Elections au x Trib un aux de
231 Communiqués -. A vis -- Annonces divenses
Recherches d'économies . ... , .
Ccnun erce. - l~e n olllvellem ent pa rtie,'
_ D échéa nce de la nat ionaJitë franen 1952 . . .... . . ... ... ... .. . ..... 230 TY X 5. - Modificati on du Règlement
çaise ....... .... . . . . . . .. . - . . .. 232
_ Permutatio n d'efTJjploi de Secrétair e
sur
les
se
ryices
des
Chem
i
ns
déparP o. - P,ub.1ications [pêriodiques interde .\1 ai rie .... ...... .... ...... 232
tementaux .... ,.. . . .... . . . . .. . . 232
dites aux mineurs ....... . ....... . 23 1
Textes d'Intérêt Général
TEXTES
TVX 1 DI B2
D4 B3
j'ai l'honneur de vo us faire co nnaître qu'en
MODIFICATION DU REGLEMENT SUR ~pplication des dispositions de l a ci rculaire D2 B3
LE SERVICE DES CHEMlNS DEPAR- interministérielle citée en réf érence , le
PERMUTATION
Conseil Général doit se Ilrononcer pr ochaiTEMENTAUX.
ARRETE
~le
ayant po ur objet l'équi pement ~:
1 ameuage ment des locaux existants en
'E
·
M énager, d'e J'Enseigne_
,
Vue
de l n-sel gne~ent
ment ~u travaJ'i manue/l, de l'Enseignement
des SCiences de trava'ux visant d ' une maniè
guénér~.le à une aun &lio r ation des conditio~:
d hyglene et de confort des en·fant (arné.
ho:atlon des l nstalnatlOlls sanitaires, instal.
latlon de lavabos, de dou ches, am élioration
•
TEITES
10' Année. -
OËPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
Je crois devoi r vous raPIPeler que les fonds
de la Caisse Départementa le Sco laire 50 1
exclusivement réservés à l 'achat de maté ,nt
coHe-ct!f d'enseignètnent, au fin ancement
REPUBLTQUE F R ANÇAISE
D'INTÉRÊT
GÉNÉRAL
l'a n n~e~ ou forfaita~remf:.'n t sous fo rm e d'une 1 11 reste bien entendu que si la rému néraAC 3 ~m~emfllte
ou, allocation. q~elconqu e sont sou- tion attachêe au nouvel emploi est supé~ lI X regles restn cttves de cumul.
rieure au montant des émoluments de base
REGLES DE CUMUL DE PENSIONS mises
Par contre, n'entren.t pas . ~n !igne de pris en compte pour la fixatio n de la pension,
ET DE REMUNERATIONS PUBLIQUES compte, notamment les In demnites a carac - elle est perçue en totalité à l'exclusion de la
D2 B2
tère fa milial ou reside ntiel, indemnités repré - pension.
Le Préfet des Bouches-du-Rh ône,
à MM.. les M aires, les Directeurs des sentatives de i rais, etc.. .
Ci-après un extrait d'une réponse de .\I\.
Services Extérieurs des Administ rale Mi nistre des Fina nces et des Affaires EcoLIMITES PECUN IAIRES DE CUMU L
nomiques à une demande relative à l'appliti ons de I·Etat.
En ver tu de J'article 4 de l'ordon nance du cation des règles restrictives "d"e cumul ;
Les règles die cumul ayant sOllve nt don né
25 ao Clt 1944, modifiée en dernier lieu par
lieu à des observat io ns td1e l'Administration
10 Conformement à l'article 1er du dëcretl'article 59, paragraphe 1er de la loi du 20
Centrale, j e crois devoir rappeler ci'après les septembre 19~8 (article 53 du décret n° loi du 29 octobre 1936, dont les dispositions
règles en vig ut:ur en la matière.
~9. 1 ~ 1 6 du 5 octobre t 94~), les pensions et ont été ret'Tises par J'article t2~ du Code
Confor mément aux dispositions de l'artide rém unérations d'activité -peuvent se cumuler législatîf des pensions civiles et militaires de
retraite, les règles restreignant le cumul
16 d u décr et-loi du 29 octobre 1936, le champ dans la limite d'un plafond fixé :
d'appli ca tion de la législation concernant le _ soit au montant des émoluments afférents d'une pension et d'une rémunération d'activité sont applicables aux personnels des sercumul cres pensions et des rémunérations
nouvel emploi occupé ;
vices publics de l'Etat, départements et comd"acti vité s'étend à toutes les collectivites et au
_ soit au montant des émoluments de base
or ganismes 'Visés à j'Jrtic1e 1er du dit dëcret- pr is en compte pour la fixation de la pensio.n mu nes, offices, établissements publics et
territoires et pays d'outre- mer. .\\aroc et
loi.
après abattement sïl y a lieu.
T unisie, Société Nationale des Chemins de
Les dispositions de l'article 1er du décret- _ soit à trois tois le mi nimum vital, c'est-à- fer français ou réseaux de dhemins de fer
loi sti s-m E!ntionné ont été reprises par J'ar_ dire 9 1.600 X 3 =' 27~ .ROO jusqu'au 3 t M- ct'intérH local et autres sen"ices concfdt=s,
ticle 124 du Code législatif des pensionS cembre 9-l9, d à quatre fois le minimum Compagnies cie Na\'igatio n .\taritime et
ci viles ct militaires (décret n" 5 1 ~500 d'u 23 vitali soit 31)6.400 fr:l.nrs il partir du 1er jan- aérienne sulwentionnfes, r~gies municipales
Mai 1951).
et dépaiiementales directes ou intëressées,
vier 1950.
Les émol uments de retraite retenus pour
A compter du 10 septembre 195 1, le mini- caisses d'assurances sociales. Il con\"Îent de
l'application des règles de cu mul sont ceux mum vita l a ét~ portê fi 120.000 fra ncs.
souligner ft cet égard que selon ra\'is émis
de la pensio n principa le, à l'excl usion des
Il convient d'appliquer celle de ces trois par le Conseil d'Etat le t -l juin t950, les
accessoires, et notamm ent de la majoratio n limites de cUlllul qui es t la plus favorable fi agents de tous organismes chargés de l'exécution d'un service public tombent sous le
pour enfants.
l'agent.
coup des dites r~gles, même si les organi smes
En ce
co nce rn e les r emu nératiofls d'acPOlir l'aPl'rêciation des lim ites pécuniaires,
auprès desquels ils sont employés constiles sommes allouées sous quelles émoluments d'activité et de retraite sont ,.,~I\.~-{. ~. ·"~\o.l:n"W"'·\·tlllr.. .n":'··/K- ... _ ... _ .. ..-.. .... ...
d~ nomin al:l D n
ce soit, à raison de
"O'.~~'" .... . . . ........ l, .....
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
RÉPUBLIQUE
Numéros 49 et 50
FRAN QAISE
4 et 11 Décembre 1952
..,
DES
ACTES ADMINISTRATIFS
ET BULLETIN DES MAIRIES
.
TABLE DES MATIÈRES
TEXl'ES D'INTERET GENERAL
AC 4. -
Décret n" 52-711 du 18 jui n 1952 portant règlement d'administration pu blique
et
modi-
fia nt le modèle de règlement d'ea u po ur l e~ Ent rep rises auto risées su r les cou rs d'eau. Portée et application de ce texte en ce qui co nce rne les a uto risations do nn ées sur les
EN O. FS 7. p O. -
co urs d'eau non navigables et non fl ottables. . .. .... .. . . .... .... .... .... . ... ....
234
Dépô t aux a rchi ves dépa rtementa les de cinq exemplai res de toutes les pub li cations administratives du Départ ement ..... .. .. . .... .. ...... .... ... . . . .... ...... ... . ....
235
Hôpitaux et Hospices Publics: App lication du décret du 19 oc tob re 195 1 .... ....
Inte rdict ion d' expose r une publica tion périodique ... , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
235
244
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
AG 2. -
Statut du personnel communal . ... . ... •... .•.. . ... . . .• ..•. .... . . .. ...• ......
245
A 3. -
Cépages i nte rdits. ... ... . .... .... .... . ... ... . .... .... . ...
245
AG O. -
Taux des indem nités d'entretien des sépu ltu res militaires perpétuelles
246
AG 5. -
Demandes de liquidation de pension et de rente de vieillesse et d'allocations aux Vieux
Travai lleurs salariés .... .... .... .......... .... ... .
. . .. .... .... ....
246
Fonds spécial d'investissement routier. - Tranche vicinale. Imputation des fonds da ns
la comptabilité communale .... ... . ........ .... .... .... .... .... . .. . ....
24ï
TV XO _
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
_
-
Médecins autorisés à pratiquer les examens radioscopiques
D emande d'emploi .... .... .... ... ........ . .. .
2-lli
243
ABREVIATION S. - A. P,, : !,-~rêt~ préfectoral. - t? . ~ireulaire. ---: Les letlr~s D et B su ivie! d'un. chi~re
t le Service au Bureau d onglne. D. S. T. : Dlrechon des SeI'Vlccs Tecbnl.Ques. - D. D, .: Dlrectlon
Dé;~~::mentale de la Santé. - D. D, P. : Direction Départementale de la Population.
. d·
�TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
05 B\ . AC 4
REGLEMENT D'EAU -
DECRET N° 52-711 DU 18 JUIN 1952
co ncédée, elle n'a urait eu à ve rser aucune indemnité au co nce.3~
sionna i re, sous la seul e réserve que le chiHre inscrit à l'article 50 du Cahier des C harges de la co ncession intéressée, ne se
fût pas trouvé dépassé du fait de la dér ivation à effectuer .
Paris, le 13 Octo bre 1952,
Le Ministre d. l'Agriculture
à A'fessieurs l es Préfets,
fi "
J'ai l'ho nneur d'appeler vot re atte~t.ion sur !e. dé<.:ref
52-711 du 18 luin 1952 (Journal Off,c,.1 du 20 lU1l1 1952,
page ôlS9) porta~t règlement
d' ad~inistration
modifiant le modele de règlement d eau
autorisées sur l es cours d'eau.
pOUT
pubilque
et
les entreprisc~
Ce texte a plus précisément pour objet de compléter
l' article 16 (clauses de préca ritél du mod èle de règlement
d'ea u a pprouvé par déc ret du 30 juillet 1920 portant r~l,o
nient d'administration publique pour 'alppllcatlon de 1 arll·
cle \ 8 - paragraphe 2 de la loi du 16 octob re 19 19 sur l'é n<r ·
gie h}'draulique.
La rMactian de j'article 16, complèté par l'insertion" d'un
nouvel ali néa entre les deux alinéas primi tifs, est désormais
la suivante :
"" Le permissionnaire ou ses ayants-droit ne pourront prétendre à aucune ind emnité ni dédomma rrement quelconque SI,
à quelque époque que ce soit, l'Administration reconnaît néct!ssaire de pre.oà.l'"e, dans l'intérê t de la défense nationa le, de la
salubrité publique, de la police et de la répartition des eaux,
des mesures qui les pri vent d'une manière temporai re ou défir:itive de tout ou pa rtie des ava ntages du pr ésent règlement.
c Notamment, l'Etat se reserl'e de pratiquer, concéder ou
autoriser sur la rivière . ... . ..... .. .. à J'amont de la prise
«eau autorisée et jusqu'à conCUrrence d'un total de ...... .
Iiues par seconde, toutes dérivations en \lue de l'aJimen lation des centres habités, sans que l e permissionnaire puisse prêILndre à aucune indemnité à ce sujet (1).
c Si ces mesures devaient avoi r pour r ésultat de modifier
d' une manière définitive le co nditions du présent règlement,
elles ne pourraient être prises qu'après l'accomplissement de~
formalités semblab les à celles qui l'o nt précédé. »
II a paru en effet oppo rtun, dans la meSure où l a différen ce
dt' régime juridique entre l' autori sation et la co ncession l e
perme t, d'harmoniser le texte de l'article 16 précité, avec celui
de l'a rticle 50 du Ca hi er des Cha rges· type des concessions de
forces hyd rauliques ap prou vé par déc ret du 5 septe mbre 1930,
articl e dont le 3e alinéa est ai nsi rédigé:
c L' Etat se réserve de pratiquer, concéder ou autori se r sur
la ri\'ière .. ... ..... ..... ... à l'amont de la prise d'eau.
concédée et jusqu'â co ncu rrence d' un total de . ......... litres
par seconde, toutes dérivations en vue de l'i rri gation, de j'alimentation des ce ntres habités ou d'un service public, sans que
le concessionnaire puisse élever aucune réc lamation à ce
sujet. )
Dans la pratique, en effet, il est arrivé fréq uemment qu'une
commune ou qu' une association syndical-e désireuse de dériver une partie des eaux d'une r iviè re, en vue de l'alimentation
el! eau ou pour l'i rri gation, se soit t rouvée dans l'obli ga t io n
d'indemniser un usinier d'aval titul ai re d'une autorisa tion, alors
que si l a co llec ti vité s'était tro uvée en pr ésence d' une uSine
(1) L'alinéa souligné est celui que le d i!cr et du 18 juin J952
ajoute au texte pri mitif,
234
Il pourrait do nc paraître peu confo rme à la logique et à
l'équité q ue dans l e seul cas de la co ncession, une franchise de
débit fût réser vée pour l'ave nir aux besoi ns éventuels des i)'ri~
gations et de l'alimentation en eau.
Dans le but de faire cesser cette situation, une solution
avait été envisagée, consistant à reprodui re jJlirement et simple~
ment dans la r édaction de l' article 16 du modèle de r ègl eme nt
d' eau, le te xte du 3e alinéa de l'a rticle 50 du' Cah ier des Cildrges de forces hydrauliques, cité pl us haut.
Cette solutio n, appar emment satisfaisante pou r l 'éq uité, n'a
cependant pu être retenue.
En effet, les rapports entre j'Etat et les co ncessi onnai n:s
n(> so nt pas de même natufe que les rappo r ts entre l'Etat et les
permissionnai res.
sont rega rdéc;5 pa r le Conseil d'Eta t au Co ntentieux comme un
des cas où l'int é r~t de la sa lU!brité 'PubJ ique est en j eu ct où
l'article 14 ( 1re a lin éa ) de la lo i d u 8 av ri l 1898 pell t-etre
appliqué.
C'est IPour les motifs exposés ci-dess us que les dérivations
en vue des irriga ti ons et de l'alimentation des servileS publics
visés à l'a rt icle 50 d u Caqlier des Charges de concessions de
forces h}r(\ r au l iques ne ,figuren t pas au nouvel alinéa complétant l'artiole 1 f' du modèle de règdement d'eau, ce qu i dO lln e au
décret du 18 juin 1952 une ,po rtée assez l imitée. T outefois, le
pr incipal intérêt de ce te xte r ' g.lementai re réside dans le fait
qu' i\, confi rme eXlllfcssément la jurispnu<1ence antërieure du
Con sei l d 'E tat au Conten ti eux.
III va sa ns di re que le décret du 18 juin 1952 ne vise que
les nouvelles demandes d'autorisation. Il sera cependa nt SO llhaitab'Je de prévoi r l'int rod uction du nouvel alinéa de l'art. 16
dans Ile te xte d es autorisatio ns d~ja acco rd ëes, à J'occasion
d'une dema ndc de modification du règ1l€'ment d'ea u présentée
par le permi ssionnaire dans le sens de commod ités ou d'avant ages I>J us impo rt ants en sa faveu r.
05 . EN 0
L a situation d'un permissionnaire est tou te d iffé rente: :ies
rapports avec l ' Etat ne r ésultent pas d'u n co ntrat, mais excl usivement d'une permission ou autorisatio n déli vrée au nom d~
la pui ssa nce publique q ui s'attache à l a sauvega rd e des intéras
génér aux po uvant être mis en ca use.
L' a rt icle 16 de la loi du 16 octobre 19 19 permet de révoq ue r
ou de modi fi er sa ns indem nité les au tori sations dans les cas
pr év us pa r les lois en vi gueur sur le régime ç1es eaux, c' est-a~
dire e sentiell ement pÇlr la loi du 8 av ri l 1898. Or, en ce ~l ll
co nce rne les cou rs d'ea u non navigables et non flottabl es, l'arti cle 14 de cette loi dispose :
« Les perm is ions 'peu.vent être révoq uées o u modifiées san.s
« indemnité, soit da ns l' intérêt de Ja sa'lubrit é pu blique, S01t
~ Ipour préveni r ou ,fai re cesser Il es inonda ti ons, soit ~nfin dans
« le cas de la règlementatio n générale 'p révue à l' articl e D.
c D an s tous les a'utres cas, elles ne peuvent être r 6voquées
c ou mod ifiées q ue moyennant j ndemnité ».
11 ressor t donc, de ces textes, que la d imin ution des avanta ges aocond és Ipar une Ipermission ou allto ri sation doit rouj o u ~S
être accompagnée de J'octroi d 'u ne Înd€lmoité lorsqu e cette dl ~
mil.1'ution n'est pa s mo ti vée par l'un au Imoins des i nterêts gênéra'ux visés par le 'premie r 3Ili,néa de l'artiole 14 précité.
11 en est ;lÎnsi notamment en catS de dé riva ti o ns en vue de
l 'i rr iga ti on Ou de l 'a limentation dl un se r vice publ ic, En rev.anche , les dérivations en v ue de l'alimentat ion des centres hab Ités
J'ajoute, enfin, que des instruction s vous parviendront,
ultér ieu rement en ce qui co nce rn e une modification pa rallèle
de l'a r ti cle 17 du modèle de 1 èglement d'eau ann exê à la ci rl..u lai re d'un de mes prédécesseurs en date du 26 décembr e 1884.
Je noti fie d i rectement la présente circulaire, pour exocu tio n
en ce qui les (oncerne, à M!M. les Ingenieurs en Chef des Ponts
et Chaussêes, cha rgés du Service Hyd raulîque et à MlM. les
Ingénieu rs en Che f du Génie Rural chargés du même ser vice
da ns l eS ùepa rt ements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de la
Moselle.
J'en ad resse également copie pou r înforrmation à ;\lM, les
I ngéni-eurs en Chef du Gén ie Rural.
Pour le Minist re et par dêJégation,
Le Conseiller Technique
G. DU PONTA VICE.
DEPOT AUX ARCHIVES DEPARTEMENTALES
DE CINQ EXEMPLAIRES DE TOUTES LES PUBLICATIONS
ADMINISTRATIVES DU DEPARTEMENT
C'es t un co ntrat q ui lie l' Etat et le co ncessio nn ai re, ce d~ r
nier aya nt à remp l i r les différentes obligations prévues par le
Cahier des Char ges et bénéficiant en contre-partie d'un certa m
l~o l11bre de facilit és accordées par la loi.
Lorsque les prélèvements, r éduisa nt la produ ction d' énergie
de l'usi ne, sont opérés à l'amont de la prise d'eau, soit directement par l' Etat, soit en vertu d' une auto risatio n que l'Eta t a
acco rdée le co ncessio nnaire serait en droit de dema nder une
il:demnité en réparatio n du préjudice causé par la mod ificatio n
à son détrim ent, d u cont rat de concession, si, justement l' Etat,
par le j eu des dispositions préci tées de l'a rticle 50, n'avait pris
l a préca uti on de se r éser ve r une ce rtaine f ranchise de débit
pour la sat isfac ti on de besoins éventuels tels que l'alimenta tio n
en eau et les irrigations.
La présel!te instru ction ne vaut que pO'-lr les auto risa tions
données. en allPl.i ca tion de la loi du 16 oc tobre 19 19 sur les
cours d'ea u non navigables et nOn fl otta bles qui seuls relèvent
de mOn Dt.lp ar tement.
Paris, le 19 novembre 1952.
Le Ministre de l'Edu cation Nationale,
à M. le Prétel du D éparl ement (Ca binetl.
J'ai l'honneur d' atti rer votre attention sur l'interêt qu'il y
a pour vot re admi nistration et pou r la docume ntation générale
à ce que les Arc hi ves dépar tementales possèdent plusieurs jeu x
co mplets des publicatro ns administratives de vot re dépa rtement.
En raison des demandes de prêt faites pa r les différents
ser vices admi nistratifs el de la difficulté ren contr ée par Nt l'Arthiviste en chef pour obtenir la réintégration dans ses collecti ons des pu blicatio ns admi nist ratives, j'estime que la conser-
03B2·FS7
vation de celles-ci serait mieux garantie si cinq exemplaires de
chacune d'ell es étaient déposés aux Archi ves départementales.
En co nséquence, je vous serais obli gé d'e xaminer la possibili té de donner des instructi ons pour que toutes les publications sorties de l'imprimeri e adm inistrative de la Préfectu re
soient el1\'o yées en cinq ex emplai res au Services des Archives
dêpartementales.
Vous \'oud rez bien me rend re com pte de l'exécuti on de la
présente dépêche.
Pour le i\\inistre et par autoris ation,
Le Directeur des ArchÎl'es de France:
Signê : Illisi blement.
HOPITAUX ET HOSPICES PUBLICS
APPLICATION DU DECRET DU 19 OCTOBRE 1951
Paris, le 28 Novemb re 1952.
CHAPIT RE P RE.\\IER
Le Minist re de la Santé Publique
et de la Population,
à MM. l es Prét ets,
Depcfises d'entretien, de grosses n'parations
et d'amdioratiolls courantes
Les Directeurs Départementaux
de la Populaliofl et de l'EntrAide Sociale,
Le Journal Officiel d u 18 nO\'embre dern ier a publié l'arrêk du 6 no \'em ore 1952 fixa nt la Jimite dans laquelle peuvent
f! tre comprises da ns les pr ix de jou rn te les dépenses co nce rn ant
J"entretien, les grosses re-paratlOn~ ~ t les amt:rl iorations cou rantes
appJiquëes aux se n ÎCes hospita liers ainsi que les r~gles d e
fo nctio nnemen t du fo nds de pro\rision po ur tra\'aux, \"i5~ à
l'a rticle 23 1 du d~ re t d u 17 avr il 194.3, modifié par le d-écret
ÙU IV octoore 195 1.
La pr ésente instructi on a essen ti elJ ement pour obje t de
preciser les modalitës d'application de cer taines dispositi ons d u
decret du 19 cctoh re 1951, notamment su r les probl èmes rel atifs
aux dépenses d' entreti~n , d e grosses reparati ons et d'amCJio ration s cou r antes et à J'lItilisa tion du fonds de ,provision po ur
cr éances Îl\Técouvrables, ainsi que sur les questi ons co nce rn ant
le fo nds <.le rOll1lement. Enfin, il sera donné quelques indicati ons
sur la pO'litique il sui vre en ce qui co ncerne les pri x üe jou rn ée
prLv isionnels pour 1953,
1" Depenses cl'entre/ien, de grosses reparations ct d'améliora-
tions couraufl's pouvant elltrer t..'llns les elt'ments constitutifs
des prix de re l'icnt.
Les taux des dëpenses d'entre tien, de g rosses répa ratio.ns
et d'amélioratIOns cou rantes pouvant ent rer dans les élèm ents
235
�des prix de revient fixes définiti\'e m en~ vous ont déjà éte donnés, à titre indicatif, dans mes instructtons du 2-l octobre 195 1,
soit :
.
10 % des dépenses o rdinaires l~rsque la majeure pa rtie
des bâ time nts a été édifiée d~uis m OlO5 de -tO. ans;
.
12 o/c des mêmes dépenses lorsque la majeure partie des
bâtiments a été ediliée depuis plus de 40 ans.
Ces taux qui corresponden t à ta relation existan~ ent re Je
montant des f rais d' entretien et l'àge des .co~structiOn~ ~nt
applicables à l'ensemble des dépenses h?Splt ahères ord lO3,Ires
ft l'e.:x.cJusion de celles relatives à l'entretien, a'ux g rosses repa-
rations et aux amélioratio ns courantes.
.
Le t aux maxi ma à reteni r !pour chaque étab hssem~t. est
au volume ex tûrieur des bâtiments hospitaliers
f ·IX e' eu eO"ard
~
.
.
d 40 ilS est
Si le volume àes bâtiments é<hfiés depuIs mOinS .e. ' a
éO'al ou su,périeur à 50 % du vo lwne total des bahments hospitaliers, le taux à appliquer n ~ ~eut ~x;céde r 10 %, dans le cas
contraire, \a Commission AdIm fllstrah ve peut adopter un ta ux
allant jusqu'à! 2 % .
Il est préi:isé que ces t aux sont ~es taux maxima ~t . ~ue
chaque Commission Administrative .dOlt prendre une declslon
indiquant le taux qu'elle entend apph.q~e r, dans les limites ainsi
fix ées, à l'étab1issement qu'elle adnuflIstre.
Les ëtablissements qui demanderont à bénéficier d'un taux
supérieur à 10 % devront fou rn i r, à l'appui de leur budge t, tous
documents et pièces de nature à justifier leur demande .. Dans
ce cas la dêcision prise sera soumise à révision. chaque fOIs que
l'établissement edifiera ou entrera en !possesslO n de no uveaux
bâtiments.
D'u-ne façon générale, n'en nrent pas dans I ~ champ ~ 'ap
plication de la provision les dépenses de construc tIO ns, .d~ ,demolition de reconstruction ainsi que l es drwenses d'aequlSltJon de
\>aleu'r s immobilisées (C.F. dernier al inëa de l'a rticle 1er de
l'arrête du 6 novembre 1952) qu i ne pe u\'ent en aucu ne faço n
ètre incorporés dans les prix de journ ée.
JI y a lieu de conside rer comme acq uisition de va leurs
immobilisées, toute acquisition de biens immobilises réellement
ou par destination. Ce sont, notamment, les achats o u les tral'aux de const ructio n de bâtiments destinés à être utilisés pou r
l'installation dt services propres à l' hospitalisation, les acq uisitions de matériel (outillage, instalJations et meubles) appelés
à devenir immeuble pa r destination ou à êt re utilisé d'une m aniè re durable cilffime instr ument d'eXiJ)loitatio n.
Le budget des établissements hospital iers pourra, en application de l'article 2 de l'arrété du 6 noven>b re 1952 comprendre
un article nOuveau intitulé : « Dotation au fonds de provision ».
Le montant prédsionnel de cet article, dont l'alimentation reste
facultative, sera déterminé par la différence entr e les dépenses
au titre d'entretien, grosses réparations et amél iorations co urantes suscepti1::(les d'entrer en compte pou r le prix de j ournée,
eu égard à l a limite fixée pour l'é tal>lissement et les d ~pe n ses
effectivement prévues à ce titre pou r l'année en cours. II est
ra ppelé, pa r contre, que ces travaux peuven t s'effectuer de deux
manières : soit en les confiant à un en~repreneu r , soit en les
faisant exécuter par le personnel de l'Etaolissement. II convient
donc de tenir compte des différentes dépenses co rr espondantes,
qui se trouvent classées comme suit au budget :
Travaux ci l'entreprise.
a) Cad re annexé à la circulaire du 15 décembre 1926. Titre I l - Chapitre l, Sectio n III, g ross~ réparations aux édifices
hospitaliers. - Section I V. D épenses d'Entretien,
b) Cad re annexé à la ci rcu laire N° 145 du 30 septembr e
1952. Article tî3 1. Entretien et Répa rations.
Tra vaux elfeclu és en régie.
a) Cadre annexé à la circu laire du 15 dé'Cembre 1926. T itre \1 - Chapitre l , Section 1V - Personnel des Se r vices Géné236
raux. Atel iers, Pensions et r et raites d u Perso nnel. Ateliers. - App rovision nem ents divers - prod uits d'ent retien
_ chauffage , éclairage (part des ateliers) - menus obj ets de
co nsommation '.
b) Cadre annexé à la ci rculaire n° 145 du 30 septemb re
1952 :
A rtiQle 6025 Produ its d'entr etien ;
A r ticle 60263 P.roduits destines aux atelie rs;
Artic le 6 123 T raitements et indemn ités - Ateliers
6 16 Sécu.rité Sociale ;
Article
verseme nt forfait ai're
620 l'nwôts et taxes Article
Ide 5 % ;
Ar t iole
633 Pe tit outUlJage ;
Cll11<pitr e 64 Transpo,r ts et déplacements
AJrti ole
650 E lectr icité ;
65 1 Ga z.
A r ti cl<!
, ..
..... , ..... . " . ,
C~~· d'é'penses sero nt eventuellement r éd uites de la valeur
des imm ob iJ isations édifi ~es pa r l'établissement à l'aide du personnel de ses atel iers.
1\ est précisé, en ce qui concerne les tr avaux exécu tés en
reg ie, que les d épenses à prendre en co mpte doi v~nt co mprenci re toutes celles qui correspondent à des prestatIons de ser~
vi ces à des a..:hats ou à des fournitures conco urant, directement
(JlI i~directeme ntJ à la réalisa ti on de travaux d'e.ntretien, de
O'rosses répar atio ns et d'amél iorati ons co uran tes. Les établ is;ements qui éta bl issen t leu r bud get en utilisant I ~ cad re a nn ~~é
à la circul ai re du 15 d écembr e 1926 et ce ux qUI, tout en utlll..,
sa nt l e cad'r e ann exe à l a circulaire n° 145 du 30 septembre
1952, ne se ront pas tenus de jo indre à leu r Ibu d g~t un e fel~i lle
de répa rtitio n et d' im)J utation (Conllptabli té des pTl ~ de revIent
par ser vice - Inst r uctio n en p ~ épa·r at i o n) dev ro nt Isoler. nettement dans les documents bud gétaires le montant des dQpenses
d'entretien, de g rosses répara tions et d 'am é li ora ti ~ n s c,ou.rantes,
A'u ssi lorsq u'un artide du budge t de ccs eta bllssements
comp rend;'a, à l a fois, des dqpenses de cette nature et d'autres
dépenses, il devr a êt re subd ivisé en plusieu,rs l igne~, J'une de
ces li g nes groupa nt o\jligatoirement les , depens~s I~! éres~a nt
l es travaux d' en t retie n, de g rosses répa ratu:m s et d am~horatlo ns
cou r antes.
II est 'Possible, à défaut de .lPrav~s ion, que, des gro~se~ ~é~a
r ations o u des travaux d'entretien différés sOient régies a 1 aI de
de fonds d'emprunts. La par t d'amortissement de ces emp runts
à régler au cours d' un exercice co nsidé ré devra, dat~s ce ,cas,
êtr e ajo utee aux dépenses d' entretien, d,e grosses, r epar at lons
et d'améJlioratio ns cou rantes d~ cet exe rClQe. pou r fixe r le mon·
tant total des som mes pouvant être co.mpr.is dans le calcul des
pri x de revient.
. '
L'arti cle 3 de l'a rrété du 6 novembre 1952 precise que
4.: toute ouvertu re de cr édits suppl émentaires pour depenses
è'e.n tretien, de g rosses r épara tions et d 'améliora ti ons courante~,
non gagee pa r un e resso ur ce supplémentai re ou nouvelle, dOit
être co mpensée par une r éd uctio n, à due co ncllrr en~~. des crédits ouve rts .i l 'ar ti cle « D ota tion au to nds de prOvISIons :t,
e Les crédits suppJ6me ntai res ai nsi o uve r ts et non compe nsés par l a r éduction p r évue à l 'alinéa 'pr éc~ent, ~e po~lrr ont
être pr is en co mpte po ur un e révis~o~ du Ipn,x de Journ ee ,que
dans la mesure où, ajoutés au x credIts p réc6den~met1t ou \erts
pour le même objet, ils ne conduisent pas à un dQpassement du
maxi mum incorporable.
« Pour le su r plus, il pourra être procédé à un prél è\leme~ t
sur l e « Fonds de provisions pour t ravaux » dans les condIti ons p r vues à l 'a rti cle 5 ».
ILes différentes si t uations qui peuvent se présenter son t
examinées dars l'exemple sUlva nt qU I est suppose lIl.têre ss er
un établissement dont la majeure pa rtie des cOllstructlons est
construite dep t:is pl us de 40 ans et do nt Ile b ud get comporte les
prévision s initiales ci-ap rès:
- D é.penses ordinaires des services hospital ie rs, non compris les dépenses d'entreti en
~d ' o ù lin plafond t ill!oriq lle des dépenses
d'entretien de 12 miNions),
100 mill io ns
- Trava ;Jx d 'entretien, de grosses ré.pa rations et d'a mélior ati ons co ur antes ... ,..
(d 'aprè s les subdivisions b udgétaires ou
d ' ~près la feu il,le de répartition et d' imputation).
8 millions
- Amo r ti ssement d 'un empr unt affecté à des
g rosses répa rations , .. ,., ... ,..
, , , " .. ,
1 million
- Do tation annuelle au fo nds de provis ion
pour t rava ux .,
2 millions
l'I est à lIote r que cet étahl issement n'use pas de la fa cuJté
q ui l ui est reconnue d'inolure dans 'le pri x de revjent prévisionuel, au tit re des dépenses d'entretien , la tota lité du ,plafond
fj xé par le pourcentage qui lui est applicab le.
Au co urs de l'exe rcice, l'établissement utilise l a totalité de
crédits de 8 ndltions fi gurant aux articles 'budgétai res intéressés, La Commission ad min istrative décrde, en o utre. de procéder
à de nouveaux travaux pou r un montant de 1 miUion.
Dlle do it , en 'même tem,ps, !prend re une d cis ion in diquant
les moyens qu 'ell e co mpte affecter à cette nouvelle délpense.
Différentes solutions peu\'cnt alors se prése nter:
a) Une aug mentati on de l'acti vité de l'établissement c r ~e
des resso urces nouve lles, nOn prevues au budge t, qui couv rel~t
in tég raleme nt la depense supplémentai re. Cette dépense aJoutée aux prévisio ns initiales, dem eure dans les lim ites fi xées par
l'arrêté du 6 novem'\jre 1952. tLa dota tion au fo nds de provision pour tra va ux :nscrite au budge t peu t donc être maint e nl1 ~.
b) Une augmentatio n des prix de revient j ustifie le reièvement des pri x de j o urnée, les conditio ns fixées par l'a rticle 2
de l'Ordonnance du 18 décembre 1944 éta nt réguli èrement remplies (5 % d'éca rt en tre les prix de revie nt réels et les prix de
rev ient pr évisio nnels). L' ensemble des dépenses d'ent retien
r estant dans les limites fixées, la dép ense nouvell e de travaux
suppl émentaires peut être couve r te par les ressourtCS p rovenant
du relèvement des pri x de journée sans modifier la dotatio n au
fo nds de provision.
.
c) Si aucune ressource nouvelle ne vie nt compense r la
dépense supplémentaire, il convie nt de réduire, à due concurn ·nce. le monta nt clu crédit ollvert à l'article Dotation au foncl
de pr ovision » qui sera rame né, dans l'exemple cité, à 1 millio,l
de fr ancs.
Si la ~pense supplémentaire avait été de 3 millions et
qu'aucu ne ressource nOllvelle ne permette de la couvri r, les
crédits ouverts à l'a rticle « Dotation au fonds de p rovision :)
auraient dû être transfér és en totalité aux arti cles auxq uels
seron im putés l es trava ux i et il au rait dù être fa:t appel aux
provisi ons pour travaux constituées au cou rs des années precrrlfntes, pour couvrir le surplus, soit 1 million.
Bien entendu, ces différentes procédures peuvent jouer pal
fractions ou conjointement.
2°
Fonctionnement du Fonds de Provision pour tral'au.\ :
L'article 4 de l 'a rr êté du 6 novembre 1952 précise que les
crédits inscrits à l'article «. Dotation au fonds de provision ~
sont, sur le vu d'un mandat de l'ordonnateu r et sous réser vt!
des emplois prévus ci-dessus, inscrits en recettes à un compte
4: Provision pour travaux », ouve rt selon le cas parmi les
comptes hors bud get et parmi les co mptes de capitaux permanents.
Il en est de même pour les cr édits d'entretien, grosses répa «:!tions et améliorati ons cou rantes non utilisés en cours d'année dans la mesure où la Commission Administrative décide ùe
ne pas co mprendre ces sommes dans les credits fi annuler, II
faut toutefois precIser que ce tte éve ntualité ne pourra intervenir que dans l' hypo thèse d'un exerc ice non déficitaire.
Il convient de souligner que le compte « Provision pOl.!"
tra va ux ::t sera ouvert parm i les ser vices bars budoet lorsque
l'Établissement intéressé ne ser a pas enco re pourvu Ode la nouvelle co mptabi lité, déjà mise en vigueu r dans un certain
nombre d'hôpitau x (C. F. ci rcul aire n° 145 du 30 septemb r~
1952), P<:,ur ces derniers, le com pt e en ca use figurera parm i les
comptes des capitaux permanents SOl.!S le numéro et l'intitulé
suiva nts : 1553 Provision pour travaux.
L 'a rti cle 5 de l'a rrêté du 6 novembre 1952 précise la limite
dans laquelle l e budget pourra co mprend re des crédits pour
entretie n, g rosses r éparations et améliorations co ul antes.
Ne peuve nt être compris en tout état de ca use dans le
cQ lcul du pri x de j ournée que les crédits co mpris da n; l a limi te
d u pource ntage prevue â l'article 1er de l'arrt:té du fi novembre 1952. Lo rsque les travau x envisagés excèdent ce montant.
I ~ surplus donne lieu â un prélèvement sur le co mp te c prùviSion pour t.ra va~x ». Bien entendu, le total des cr édits pré\'u'i
ne pourra JamaIS excéder la dotation de l'exercice, augmentée
du montant du fonds de provision en ca use,
L'e~P lo i des sommes po rtées au fo nds de provÎsi on est
co nstate co nfo rm ément aux dispositions de l'ar ticle fi de J'arrêté du 6 no vemb re 1952, au vu d'un mandat délivré par l'ordo nn at~u.r, dont le monta nt est porté en dépense a'u co mpte
~ Pro VIsio ns pour travaux » et, en recette, à un article ouve rt
a.u budget so us ,l'intitulé « Travau x couverts par des prmriSlons lI .
J'appelle vot re attention sur les dispositions de ('a rtic le 7
de: l'arrêté du fi novembre 1952, qui précisent que le solde du
compte « Provisions po ur travaux " ne peut excéder 20 % des
dépenses hospitalières du dernier exercice co nnu .
, Aucune dot.at~on nouvell e ne doit être affectée if ce compte
des que cette limIte est attei nte. Les documents établis pa r :t!
Receveur : Situations de trésorerie, balances des comptes d u
Grand Livre, com pte de gestion, fournissant tous renseignenlents à ce sujet.
Il faut noter enfin que la constitution du Fonds de provisions est li ée à l'é ta blissement d'un plan s'étendant sur plu sieurs années pour les réa lisa ti ons envisagées d'entretien, grosses réparations et améliorations cou rantes des services. Ce plan
sera annexé au budget.
CHA:PITRE 1\
CREANCES IRRECOUVRABLES
Le décret du 17 avril 1943, modifié par le décret du Iq
octobre 195 1 a pré\'u en son article 235 bis que pour la déternlÎnation du prix de journée, le prix de revient pouvait être
augmenté d' une somme destinée a êt re affectée à un fonds d~
provision pour créances irréco uvrables.
Le montant de cette somme est déte rm iné chaque annee par
li! Commission Administrati\'e dans la limite d'un pourcentage
f!xe, pour chaque établissement, par le Prefet, aprês avis du
Tl ésorier Payeur Général et du Directeur Départemental de la
Population et de l'Entr'Aide Sociale. Ce pourcentage, qui est
établi eu égard aux difficultés de reCOU\"Tement particuliers 3.
l'établissement, ne peut excéder 1 % des depenses hospitali~('e-.;
ordi nai res.
1u Dotation du fonds de prol1ision pOlir créances irrécouvrables :
Le montant des sommes annuellement affectées au fonds de
provision pour créances irrtcollvrables fera t'obje t d'un crédit
pudgétai re ouvert, parmi les dl'penses ordinaires, il un articl~
intitulé " Dotation de l'exerci\7e au fonds de pro\'ision pour
créances irreco u\' rables
Cet article figur~ sous le n° 6851
237
�30 septembre 1952. Cette ouverture de crédit ser a faite à titre purement
é\'aluatif. Une décision de l'ordonnateur, prise à la clôtu re de
~'exercice. fixera le montant défi nitif de ce cr édit, en fonction du
nombre réel de journées d'hosoita lisation.
La majoration qui aura été autorisée à ce titre dev ra , èt r.~
illte.gralement versée, en fin d'exercice, au c~mpte ~ provIsion
pour créances irrécouvrables :., Ce compte, a O~lvnr, selon le
cas parmi les services hors-budget ou parmi les comptes
die 'tiers (compte 41 9) sera approvisionné au V ll d'u n mandat
de l'ordonnateur établi au nom du receveu r et imputé à l' a rti cl~
.. Dotation au fonds de provisio n pour créances i rrécouv rables ' .
Pour déterminer le montant exac t de la somme à verser
à ce compte, il suffir a de calcul er la somme qui redent sur
ch aque journée au fonds de provision et de multiplier pa~ ,I,e
nombre réel de journées servies au co urs de J'année conSIQt:r fe, Ce décompte sera, comme il est de règle, porté sur le mandat dont il est question ci-dessus.
fUI cadre comptable annexé à la circulaire n" 145 du
Ce mandat sera appuyé des pièces ci-après :
(lors de la première dotation et à chaq ue changement
de pourcentage), ampliati on de l'arrêté du Préfet fixa nt
le pourcentage i
-
ampliati on de la délibération de l a Comm issi on Administrati,'e fixant le taux de majoratio n applic able à
l'exercice.
2" Emploi du fonds de prol·bu"oll pour créances irréco uvrables
La constitution d'une prorision pour créances irrécounables ne doit pas être de nature à inciter l'établissement à
ren oncer prématurément à obteni r le payem ent des cr éa nces
hospitalières. Ce n'est que lo rsque tOlites voies de droit au rollt
été épuisées et que l'i rréco u\' rabilité d'une néance au ra étp
r"gulièrement prononcée qu'i l co nviend ra d'imputer san mon tant
sur le fonds de prO\'Î sion constitut! à cette fin.
II est précisé, à ce sujet, que les sommes é,·entuellemcnt
mises à la charge de J'établissement, en application de J'articie
12 de la Loi de finances nU 52- 401 du 14 av ni 1952, rel atif aux
durées excessives d'hospitalisation, seront, lorsqu e l' însolvabi litp
du malade aura été dûment constatée, co nsidérées Comme
... réances irrécouvrables et devront être imputées au fond s de
provisions correspondant, prévu par l'a r ti cle 235 bi s du Règ lement d'Administratio n Publique du 17 avril 1943, modifié pa r le
decret du 19 octobre 195 1.
Le montant des produits hospitaliers réguliè remen t ad mi fi
er non-,'aleurs sera porté en recette aux articles budgéta i r e3
i ntéressé. Cette opération sera compensée pa r une dépe nse au
com pte c Proyjsion pour créances irrécouvrables » co nstatée au
vu, d'une ampliation de la décision intervenue qu i j ustifiera les
écritures d u receveu r.
3
U
Plafond du fonds de prol/ision POlir créances irrécoll-
l'fables
Les établ issements devront évite r de doter le fonds de pro, ~sjon pour créances irrécou\'fables dès que son man(\at se r:)
sensiblement égal aux charges que ce fonds peu t être conduit
il supporter au cou rs des deux plus prochains exercices.
J'ai déci dé, à cette fin, que, pendant une périOde t ra nsitùl H:, l e solde du compte c: Provision pour créa nces i rrécouvrables :. ne devrait pas excéder, apres sa dotation de fin d'exerCJceJ 3 % des dépenses hospitalières ordinaires d u dernier
exe rci ce COnnu. Ce pl afond atteint, aucune nouvell e majoraüo 'l
fiC devra êt re inco rpor ée aux pri x de journée, en applicatio n d~
l'a rticle 235 bis (i " ) du décret d u 17 avril 1943, modifié pa'
le décret du 19 octobr e 195 1.
238
CH APITRE III
dvnnant une évaluation aussi précise que possible des restes à
liquider, mandater et payer co rr espondants.
FONDS DE ROULEMENT
Il est inutile de souligner à cette occasion que les restes
de cette nature doivent être extrêmement réd uits et qu'i l app artil:'nt à l'ord onnateu r et à l'économe de taire toutes dili gen ce.~
auprès des créa ncie rs de l' Hôpital pour obtenir en temps util p
les factures, mémoires, décomptes et autres pi èces justifi ~a
ti ves des somme du es.
Les dispositions qui suivent repren nent et mod irient sur UI1
n:rtai n nombre de poi nts les prescr iptio ns de la circ ul aire
p " 123 du 28 juin 195 1 qui est .an nulée.
1" Con stitul'iofl du Fonds de Roulement .Depuis l'interventio n du d éc ret du 19 octOb re 195 1, le Fond,
clt I~oulement visé à l' artI cle 2 de l'Ordonnance du 18 déccm
bre 1944 peut êt re co nstitu e par t rois mo yens différents:
a) Par un emprunt dont les an nuités pourront ~ tre incluses dans le prix de journée, en application de l'a rti cl e 229 (3e)
du décret du 17 avril 1943, modifié par le décret du 19 octob re
195 1. Il s'agit là d'un mo yen exceptionnel et qui ne sa urait être
recommandé ; à l'heu re actuelle, particulièrement, en rais on des
fai bles disponi bilités en mati ère de crédit. Cette di sposit ion du
décret d u 19 octobre 195 1 avait essentiell emen t pour objet
dl' ré gul ariser ce rt ai nes situations acquises.
En to ut ét at de ca use, les annuités de l'emprun t co ntracté
à ce titre ne sau r aient dépasser, eu éga rd aux dépenses ordinaires de l'exercice co nsidéré, le pource ntage ma xi mum prévu
rar l'a rrêté du 7 janvier 1952.
Il exclut, bi en en ten du, l e r ecours d' urie majoration du pri x
de j o urnée lorsque le pourcentage prévu ci-d essus est attemt.
b) Par une majo ratio n du prix ete revient prévisionnel
servant de base au ca lcul du pri x de j ournée d ans l es condih ons fixées par le par agrap he 2 de J' arti cle 235 bis d u décret
du 17 avril 1943, modifie par le décret du 19 octobre 195 1 et
dans les l i mites de l'arrêté du 7 janvier 1952.
c) Par l'a ffectation d'une partie de l' excéde nt de recettes
d' un exercice, corrio rm ément aux dispositio ns de J'arti cle 2 èc:
l'ordonnance du 18 décembre 1944.
Je
rappell e que l'article 2 en cause pr écise que Il. si lors
de la clôture de l' exercice, le pri x de r evie nt pour une ou piusieurs ca tégo ri es d'hospit alisés s'avè re inférieur au pri.~ Je
journée, le Préfet pourra, ap rès avis du Directe ur RéglOlln l
de l a Santé et de \' Assistance (à J)heure actuelle, du Directeu"
Dépa rt emental de la Popul ation et de l'En tr 'Aide Sociaie),
ord o nner que l'excéden t de recettes co nsta té soit aff ecté, et
SEul ement dans la limi te du tiers, à la constitution d'un fond5
de roulemen t do nt le mo ntant ma xi mum se ra déter min é su r b
bLise d'un p~urcentage des dépenses o rdin ai res des trois derni ères années, par arrêté du Ministr e de l 'i nté'rieur, du Ministre
des Finances et d u Ministre de la Sa nté pu bl ique, te surpl u:;
ét ant défalqu é des éléments co nstitutifs du prix de JOLlrn ée de
l' exercice suiva nt... »
Il resso rt de ces dispositions que l'e xcédent de recette -devr a êt re ca lculé par la co mparaison du pri x de jOllrnée prc\'isio nnel et du pri x de revie nt r éel en fin d'e xercice par caiégo de d' hospit alisés (médecine, chirurgie, hospice, convalescents ... ).
Aussi co nvie nt-il que le pri x de r evient réel comp renne
tu utes les dépenses d'un exercice considéré, y compris cel~~s
qui n'auront pu êt re co nstatées dans les éc ritu res avant I~ CiO··
ture de l'exercice, mais qui peuvent êtr e connues avec ce r tItude,
si non quant à leur montant exact, mais du moins an~c une
approximation satisfaisante. Il en est a~ n si des .res~e~ à payer
su r ser vices faits au 3 1 décembre, maIs non ilqUld es et Ilon
nJandatés c'est-à-dire les pr évisions de d épenses cor respondant
à des se; vices faits antérieurement au 1er janvier de l'année
su iva nte, pour lesquels les créanciers de l'étab lissement, n'o nt
pas four ni en temps utile les pièces p~rmettant, tle p.roccder~.:l
l a liquidation des somm es dues au tItre de 1 ex~ rc l c~ C(lI;:5Idéré. Ces prévisions so nt justifié.es par l a ~Hodl1 c tt o,., Ù ."n et~
dressé par l' ord o nn ateur indi quant le déta il des operations, 1<
da te d'engagement de 'la dépense, la ,d/ate du service fait et
Seront également compris parmi ces restes à payer ce rtai ne.:;
mesures co nce rnant le personnel, qui i nterviennent souvent avec
effet r étro actif. Lorsq ue leur incidence po urra être co nnue il
la clôture de l'exercice, il convie ndra d'en te ni r compt e pou r
leur montant évaluatif Jors de l'établissem ent de l'état ci -dessus.
Il sera nécessaire de vei ller à ce qu'aucune dépense de
l'année co nsidérée ne soit imputée sur les crédits d'un de:;
exerci ces su iva nts. 11 s'agit là d'une pratiqu e qu i a été Constat ée à di verses reprises et qui engage l a responsabi lité directe
-de celui qui s' y livre,
Il est rappel é, à ce sujet, que les dépenses imputa bles à \11\
exercice et qui n'ont pu être réglées ava nt la clôture de cet
exer cice doiven t, dans l'un des exercices suivants, être imputées
sur les crédits spécialement ouverts au titre des exercices
antérieurs.
En prin cipe, l'excédent co nstaté pou r chaque catégo ri e
{j'hospitalis és peut être affecté dans la l imite du tiers au fond,
de: rOlilement. T outefois, je ne m'opposerai pas à ce qu' une
certaine compensatio n ait lieu entre une catégori e défi citai re et
une catégo rie excédentaire, de mani ère à éviter des fluctuation')
trop marquées dans le prix de j ourn ée. T ou tefo is, cette com pensation ne pourra jouer qu'e ntre ser vices de malades et no n en
ifaveur Olt défaveur du prix de journée hospice.
2"
Dotatioll du Compte «: Fonds de roulement :. :
Le montant des sommes destinées à co nstituer le [onas de
reulement es t imputé, dans les écri tu res du receveur, à un
c(lmpte à ouvrir, parmi les ser vices hors budge t, sous l'intitulé
« Fonds de roulement ». Ce compte figure au cadre comptab le
annexé à l a circulai re n° 145 du 30 septembre 1952 sous k
n" 114, parmi l es comptes de capitaux perm anents.
Les op érations intéressant le « Fonds de roulement » sont
constatés dans les conditions ci -après :
a)
Fonds de roul ement constitué par emprunt :
Lorsque le fond s de roulement est c? nstitué par la vo ie. de
l' emprun t, il y aura lieu d'ouvrir sur les docu ments , b ud gé talr~
deux articles d'un montant égal, l' un en recettes ou se ra po rt ..
le produi t de l'emprunt, et l'autre en dépenses,. destine à doter
le compte « Fonds de rou lemen t » ( 1). Le crédit en cause se r:!
versé au compte hors budget « Fonds de roclement », an
mo ye n d'un mandat de l'ordonnateur.
Cette opération peu t intervenir dès la r éalisation effect i,·e de l'emprunt, c'est-à-dire à tout moment de l'année.
Le mandat délivré au nom du receveur pour doter le fo nds
de roulement doit ~t re accompagné des pièces sui\"a ntes :
(Lors de l a première dotation et à chaque modificatio n
de plafond), ampliation de l'arrèté préfe cto ral fixant 1~
plafond dLi fonds de roulement;
Ampl iatio n de la délibération de la Com~ission administrative décidant l'emprunt et en déte rmlil ant le montant. Cette ampliation doit porter mention de l'approbati on des autorités de tutell e.
lIU
(1) Ce comille ligure sous le n" 207 « Frais financ iers à :lnlortir Il
cadre comptable annt;xé à la cin.'ulaire nU 1·1.:; du 3V sep tembre
1052.
Il co nvie ndra, dès réception de la présente Ci rculai re, dt?
porter au co mpte c Fon ds de roulement :. le montant des emp:-unts réalisés au cours des exercices antéri eurs, pour creer
ou doter ce fonds.
Le montant total de ces emprunts fera l'ohjet d'u ne oU\-erture de crédits supplémentaires qui seront employés, dès appr0t'lation, conformément aux indicat ions donn ées ci-dessus.
de
b) Fonds de roul ement constilué par majoration du
revient prévisionnel :
prJ,(
Pour la déterm ination du monta nl des som mes â ve rser
au compte hors bud get 4: Fonds de rou lement », il convient de
procéder, co mme il a été indiqué en matière dt! créances i rrécouvrab les (C.F. Chapitre Il).
Le montan t de la majoration du pri x de revient affecté au
fonds de roulement fe ra l'objet d'un crédit budgétaire ouve rt,
parmi les dépe nses ordin aires, à un arti cle intitul é c: Dota tion
au fo nds de roul ement ... Cet article fi gu re sous le numéro 677
ail cad re co mptab le annexé à l a ci rcul ai re n° 145 du 30 septembre 1952. Cette ouverture de crédit sera faite à titre pu rellIent éval uatif.
Une décision de J'ordon nateur, pri se à la clôture de l'exercice, fixe ra le montant définitif de ce credit en fo nction du
T!ombre réel de journees d' hospitalisa ti on.
A la clôtu re de l'exe rcice, l'ordonnateur délivr era un mandat au nom d u receveur pou r le montant des sommes à ve rser
au fo nds de rou lement. Ce mandat sera appuyé des justificati ons ci-a pr ès :
-
j ustHication du nombre de journées effectiveme nt servies au co urs de l' exercice considéré ;
Ampliatio n de l a délibér atio n décidant la majoration
du prix de revient pou r constitution du fonds de roul ~
ment portant mention de l'auto risation ;
En out re, ampliation de l'arrêté préfectoral fixant le
piafond du fo nds de roulement (c.1. ci-dessous).
c) Fonds
r ece ttes :
de
roulement
constitué sur
excédents
ae
Si , à la clôture d'un exercice, les opér ations propres au
fonctionnemen t de ce rtains services hospitalit=rs fo nt appa raltre
un excédent de rece ttes, détermin é comme il est dit ci-dessus,
la Commission admi nist rative pourra affecter une partie de Let
excédent dans la limite du tiers, à la création ou à la dotation
du fo ndis de roulement 'Prév u là l' article 2 de l'ordonnance du
18 décembre 1944.
L'excédent de recettes dont il s'agit doit être déterminé en
comparant les recettes et les dépenses des services hospitaliers
figurant à la sedion ordinaire du budget, c'est-à-dire compte
non tenu des opérations propres à la gestion de la dotati on non
affectée aux services d'hospitalisation.
Cet excédent doit être calculé â la fin {je chaque exercice
par J'ordonnat~ur qui etablit, à cet effet, un état (modèle n" 1).
L 'état ainsi d r essé est certifié par le rece\"eur en ce qui
concerne les r enseignements portés aux lignes l, 2, 3, 6, 7 et 8
et pa r l'ëconome en ce qui COnCèrne les lignes -! et lo. Il est
joint au compte administratif et y reste annexé ainsi que tous
les états ou certificats dont l'établissement est préYlI dans la
présente CÎIculaire
L a décisio.r: prise par la Commission administrative de\'Ca
figure r dans l a délibération portant approbation des comptes
de fin d'exercice, la part d'excédent ainsi affectee au fonds de
roulement se ra inscrite en dëpenses au budget supplémentaire
à un articl e nouveau à ouvrir sous l 'intitule: « Part lfexcédenf
affecté au tonds dc roulemellt • (ord. dll 18 déc. 194-1, arl. 2).
Dès que la décision de la Commission administr ati ve aura
dé app rouvt!e par l'autorite de tutelle, l 'or donnateur établi ra
239
�un mandat su!" les crédits ouverts au b udget suppléme.ntaire à
l'ar tiole « Pari excédenl affecle au fonds de roulemenl ., Ce
mandat sera tr ansmis sans delai au Receveur appuyé des IPtèces
ci-après :
_ (Lors àe la premiè re dotation et à chaque modification
du l'la fond) an<»liation de l'arrêté l'réfecto ral fixant le plafond
du fonds de loulement.
_ Copie de J'état fixant l'excédent 3niuel des ser vices hospitaliers (modèle n' 1).
_ Ampliation de la déltberation de la Commission adminÎsrratÎ\*e fixJ Pt le montant de la dotation annueJote au fo nds
de roulement.
Dès rëception de ce ,mandat le Receveur por te son mon tant
en dèt>ense au compte hudgetaire de l'Etalllissement et constate
une r ecette d'égaJ montant à un compte à ouvrir. pa rm i les
sen'Ïces hors budget (tparag. 1) ROUS l"intitulé « Fonds tPe r Oulemellt » (ordan. du 18 décembre, art . 2 - décret du 19 octobre
1951, article 235 biS) .
3"
Il est ra;>pelé que l a situation de tr éso rerie des établi sse_
ments est detemlÎ née en tenant co mp te, à l a fois du soJde du
co.nlpte bud gtta ire, d u sœde des co mptes d'avances, tr aites et
valeurs mo bi~i~ r es, et du solde d es comp tes du pa ragréllphe 1er
des se r vices Îlo rs-lbudge t (opér atio ns effectuees po ur le compte
de l'établissem ent dont le Receveur est compt "b le) ce sont no·
tamm ent les cOrT1!Pte ci- ap rès :
-
Le pl ..fond du fo nds de roulement est détermin é pour chaque établissement l'ar le Prêle t au vu d'u n ce rtificat (modrue
n" 2) étabU par le Receveur et visé ,pa r Il' Ordon nate ur faisant
apparaître pou r les trois dernières années les éle.men ts à prendre en considération pour déterminer ledit plafond. Les coJonnes 2, 3 ft ~ ce ce ce rtificat reqJrennent, respectivement et pour
chaque annee, les indications portees aux li gnes 7, 8 et Q de
l'etat modrue n' 1.
j'a~pel!le rotre attention sur le fait que l e pouIcentage fixé
par l'arrêté ir.terministériel précité constitue un maximum qui
doit être appliqué aux établissements ne disposant d' aucun
moyen per.manent de trésorerie .
En re\'anche, ce !pou rce ntage doit être inférieur audit
maximum ~orsque les établ issements di$posent d'élémenrs de
tresorerie relativement constants tels que : ex<:édents de recettes de la dotation non affectée aux services hospital iers, a\ ances pe rm a nent~ des organ ismes de Sécurité Sociale ou des
départements. Il vous appar tiendra de te nir co mpte de ces é1ém~nts da~s la ~ecisi o n que vous serez cond,uit à ipr end re à ce
su!e~ apres a\'Oir consulté, le cas éch éant, le Trésorier-P ayeur
General.
Votre décision devra être révisée chaque fois que la
moyenne an~a~lIe ressort ant du certificat modèle nt) 2 prése ntera une van atlon, en p lus ou en moins égale ou supérieure â.
10 %.
4> Emploi du fonds de roulemenl :
Le f~nds ,de r~11'Iement, a pour seul objet de fourni r des
moyens o e ,tresorene au x etablissem ents en vue de leur per~ettre d~ r egl ~r les dépenses ordinaire s des servi.;;es hospitaliers de 1 exercice en cours dans le cas où les recettes co rrespondantes , n'aolr aient pas ~ncore été encaiss ces. 1\ es t IP recisé
lJue les depenf;es budgétaires devront touj ours être Lmputées
au compte budgétaire, qui pourra .presenter momentanément un
cx<:ooent de dépenses .<:Jans l a mesu re où cet ex céd ent ne cond,uit
pas il créer un déficit de t résoreri e.
Par co ntre, les établissements ne peuvent -utiliser les sommes portées en recettes au compte c Fonds de roulement ;)
Excéde nts de ve r sements ;
Recettes faites ava nt
- Un titre de recette à prendre en charge au co mpte
bud gétai r e
marche des ser vices hospitaliers dev ront être recherchées lors
- Un ord re de paiement à por ter en dépenses au compte
« fon.ds de roulement ::t .
Je vous raroJelle, par ailleurs, que le décre t du \ 9 octobre
195 \ a abrogé l es dispositions de l'article 235 du décret du
17 avril 1943 rel ati~ au ca1cu:1 for,faitaire des prix de revient.
Toutes i nstructions utiles ont été données dans ma circ ul aire
Ces deu x documents seront établis pour le montant de la
différ ence dO ll t i1 est question ci-dessus.
Votre atte ntion et celle <les oroonnateurs et des comp ta·
b" g so nt appel ées sur le fai t q.u'aucune dé.pense ne pourra ~t re
rortée au débit du co mpte « Fonds de roulement :» en dehors
dt"s repri ses cOr reSI)o nd'ant à des réductions du plafond dont il
"ent d'être parl é.
l ' o U\' e r ~ ur e
de l'exerc ice
LES PRIX DE JOURNEE 1953
Honoraires médica ux;
En dehors des poi nts qui viennent d'être évoqués, aucune
dispositio n règllementai re nouvelle n' est inter ve nue d~puis 'a
Reten1les en vertu d'opposi ti on
circuJ aire du 24 octobre 195 1. Ces prescriptions demeurent donc
D ~à t :;
tn vi gueur <Jan s la mesure où eUes ne sont pas modifiéts par
l a pr ésente instruction.
Frai s d'adjudicati on ;
de ga ranties et cautionnements
Recettes à oIasser ;
Fonds déposés I>ar les maaades ;
A vances su r frai s d'hos.pitali sation des ma'iades payants;
Avances des caisses de Séourité Socia'le
~
me ,parait i nu tile d'insister sur le fait que, d'une façon
générale, auCun e augmentation des pri x de journée ne pourr a
être j ustifi ée par des hausses du coût de l a vie.
-
Avan ces des départements
-
Fonds de ro ulement ;
pri x de j ourn ée prévisionnels fixés au 1er janvier 1952 forres·
ProlVisions pour travaux
pond'ent, dans la gra nde major ité des hôpitaux, aux 'prix de
revient de 'I·année en cours.
-
Provisions po ur cr ca nces irrocou,vr abJes.
L es Receveu rs transmettront à l'oroo nn..at,eur, à la fin de
chaque mois pour les établiss em ents de 'pl us de 200 lits et à
la fin de chaque t rhmestr e da ns l es autres établissements un
état du modèle do nne en an nexe (modèle nO3) faisant apparaître
les fonds ctisponi'bles de l'étabJ issement.
Des sondages qui on t pu être effectués, il resso rt que les
La situati on du compte SHB « Fonds de rOlilemenl , appa raîtra en fi n è' exercice au compte de gestion du Heceveur dans
les mêmes co nditions qu.e celles des aut res cOTTl;ptes de sen'iceshors budget. Cette situatio n devra éga lement figurer au compte
administ ratif qu i coTIl'prend ra un cadre nouveau (mod èle nU 4)
a la suite de l'état final.
Ce cadre prese ntera :
La situation du compte c fona·s de roulement :» au début de l' exercice ;
La dotation de J'exercice faite à ce co mpte
-
La situation à la fin de l'exercice.
du 24 octob re 195 1 pour que chaque établ issement soit en mesure de dégager avec une approximation satisfaisante le pr ix
de revien t par ser.viœ. Vous voudrez bien me signaler les Ad ministrations hospi1alières qui ne se seront point conformées à
Pour ten ir compte d'u ne demande répétée, je ne ve rrai aUcun inconvénient à ce qu'un prix de journ ée spécial soit étalll i
pour les servi-ces ode prématurés de quelque importance. Bien
entendu, il ne pour,r a être donné suite à ces demandes que dans
la mesu re où toutes justifications c011l!Ptables auront pu être
fournies par !'établissement.
Enfin, j'insiste
à nOuveau pou r que toutes dispositions
soient prises aussi rapidement que possible pour J'organ.isation
de services de convalescents. 11 ne peut être admis que des
malades qui ne sont plus justiciables d'une thé rapeutique active,
mais qu'il peut être utile de conserver à l'hôpital. conti nuent à
occuper d es lit-s de médecine ou de chi ru rgie et de payer les
prix de journée y afférents.
...
La stabil it é: économique actuelle permet donc de penser
Je sais pouvoir compter sur la dÎtligeoce de toutes les co\-
qu'il ne se ra pas nécessa ire de procéder au titre des ajuste-
lecti vités locales intér essées pour a;pporte r Jeur ,plein appui à la
ments aux besoins réels à un relèvement généralisé des prix de
j ournée ,prévis;onnels de 1953.
.
politique de stabilite et de baisse entreprise par le Gouve rnement depuis plusieurs mois. Les Administ rations .hospitalières,
dont le rôle seci al n'est pas à souli gner comprendront, tu t-ce
Un facteur .peut, toutefois, modifier ces estim ati ons. Nom-
5° Situatioll en fin d'exercice :
de l'él.!horation des budgets de l' année 1953.
ces règles.
CHA PITRE IV
n
Frais de poursuites ;
/\Ionlant maximUl/Tl du fonds âe r oulemen t
Un arrèté: intermin istéri el en date du 28 juin 195 1 precise
que le fonds de' roulement qui peut êt re constitué pa r les Hôpi tau x et Hospices en application des dispositions de l'a rtide 2
de l'ordonnance du 18 décembre 19+4, ne !J'f ut être supérieur
aux 5/ 12 de 1:\ moyenne des d~penses o rdinaires des trois der·
nières annêes, les d6penses prqpres à ~a dotation devant êt re
défalquées de ce total.
240
pour combJer les d6ficits de gestion qui doivent, aux termes
de l'art icle 2 de 1'()I,d'on nance du 18 décembre 1944, être a,joutés
aux éléments constit,uti.fs du lprix de j ournée de l'exercice suivant. De même, aUCun ,prélèvement ne pourra être fait sur le
fo nds de roulement pour co uv rir les dépenses supplémenta ires
de l' exercice 1; 1; cou rs.
bre d 'hôpitau x n' ont pu ajuster à tetlllPS leurs prix de 195 1 ipour
cOITljpenser les hausses impo rtantes qui se sont ,manifestées au
cours du second semestre de cette année et ont co nnu, de ce
fait, un déficit plus ou moi ns important à la clôture de cet
exercice.
Ces déficits, s' ils n'ont été résorbés pré-visionn eUement au
au pri x de qu elques sacrifices, leur devoir en la matière.
Vous voudrez ,bien me tenir in'formé des diff icultés que vous
pourriez rencontrer pour l'appl ica t io n des présentes d ispositions.
En tout etat de cause, je vous signale qu e cette circulaire
n'est pas appl icable, dans tous ses termes, alLX établissements
de cure antit,ubercuJeux et hôpi taux p sychi àtriques.
COurs de J'ann ée 1952 devront êtr e in.c.orporés dans les pri x d e
Pour ces deux ca tégories d'étal1lissements, des instru ctions
journ ée 1953, conform é.ment aux disposit ions de l'ar ticl e 2 de
ultérieures seront ad ressées par les soi ns de la D i rection de
l'o rd onnance du 18 décembre 1944.
!' Hygiène Soci ale.
Bien ent endu, afin de limiter au maximum les incidences
de cette mesure, toutes les économi es co m,pati'bl es avec la bonn e
Le Ministre:
Paul RIBEY RE.
Il est possible, pa r su ite de la r éduction de J'a cti\'itê d' un
établissement que le plafond du fonds de roul ement défini
comme il est dit ci- dessus, soit r amené pa r décision du Préfet
il UII chiffre inférieur à cel ui sur la ,b-ase duquel ont été fi xées
les dotations an nu elJes portées en recettes au compte c fo nds
de roulement >. D ans ce cas, et lorsq ue la situation en fin
d/exe rcice dudit co mp te « Fonds de ro ulement » sera sU/périelire
de plus de 1/ 10 au nouvea u plarond déter.miné par docision du
Préfet, la di ff érence appa r aissa nt par comparaison entre la situ ation et le plafond devra êtr e réintégrée au budget.
A cette fin, il se ra ouver t au budget suppl ém entaire un
article en rect:ttes, intitu lé « Reprises SUr le fonds de rou l ement , pour le montant de cette différence, dès que le bll dget
supplémentai r i! au ra été réguliè rement a'ppro uvé, J'ordo nnateur
remettra au Receveu r :
2~ 1
�M od èle
HôpitalHosp ice .................... . .
II ~
H ~ i tal
de ..... . ........ . .
Hospice de ............... .
ETAT faisant apparaître les résllllais à la clôillre de l'exercice 195 . . . . .
Modèle n" 2
Certificat donnanl les éléments pour permelfre de fixer le plafond du fontis de roulement
GESTION DES SERVICES HOSPITALIERS
D É PENS ES OROINAIR.&S DES
VENTILAT ION DES tLtMENTS PAR S ERVI CE
Ges tio n
TOTAUX
Médecine
Chirurgie
H ospice
Co nvales ce nts
Dépen ses payées
Restes à payer figurant à l'état
des restes à payer
2
3
l
1. Excédent ete recettes de l'exercice prêcedent do nt la pa rtie disponible a été défa lqu ée des élémen ts co nstilut ifs des prix d e
journée . .. . .. ..
. . ... ... . . . ....... .
19 ......... • . ... .
des
Tota ux ........ . . .
2. Recettes se rappo rtant à la
services hospitaliers . ...
gestio n
.. . .
19 .. . ........... .
19 ....... . ...... .
. .. .
3. Restes à recouvrer sur produits hospita-
••
•
6. Déficit de l'exe rcice précédent ajo uté au
,
0
•
••
0
•
•
-
+
9
0
o
•
•
0
•
•
•••
••
•••••••••••••
••
•
••
•••••
•
0
••
0
•
0
o
•
0
•
0
••
•
••
•
•
•
•••
•
TRElSO~El I~ IE
Recettes
DESIGNATIO N DES COMPTES
A. -
2
0
particuliers (chambres de 1re et 2e catégories) .. . . .... .... . . . . . . ..
B. -
+
•
•
0
•
••
0
•
•
••••
•
•
••
•
•••
0
••
0.0.0
•
•••
•••
••••
•
0
•
•••••
•
•
•
•
0
••
o'
•
0.
•
••
•
•
•••••
D épenses
3
Excédents
de rece ttes
(2 - 3)
4
1
1
CO~ I P TES
E.xcédents
de dépe nses
(3 - 2)
5
•
0
••••
•
•••••••••••••••
0
0
••••
0
•••••
•
•••••
0
••••
0
•
••••
S ervices hors-budget (p a r. 1er).
Ex.cédents de versem ent .....
Recett es fa ites avan t l'ouver ture de l' exercice.
F rais de pours uites ...........
Frais d'adjudicati on ..
H onora ir es médica ux .....
Retenues en vertu d'opposition .
D épôts die garanties et cautio nn ements
Recett es â. classe r ......
Fond s déposéi pa r les malades ...
Avances ve rsées par les malades ..
~vances ve rsées pa r les Caisses de Sécu rité Sociale . .... . ...
Avanc es ve rsées pa r les dépa rtemen ts.
0
•
•
•••
••
0
••
•
•
••
•
0
.
0.0
•••
0
34 du décret du 17 av ril 1943. Elle dOIt
être affectée, par pri orité, à l'équipemel1t
hospita lier.
•
0
•
1
J3. Résultats des Services Hospitalie rs
12 - 5),
- Déficits ( 11
- Excédents (5 - 11 - 12).
de la majoration visée aux articles 22 et
•••
•••
Opérations Budgétaires.
Balan ce d'entrée ?u 1er janvier 19 ..
Opération s de l' exe rcice IPrêcêdent .
Ope rati ons de l'exencioe co urant . ......................
12. Part disponible sur le produit des régi mes
Lignes 12. - Cette part est fixée par la circulaire n ' 30 du 28 mars 194 1, à 25 %
••
A ILA DATE OU ... _...... . .
1
+
Lignes 3 et 8. - L'é tat des restes à reco\!vrer p. 502 et l'état des res tes à payer
p. 505 doivent être aménagés de faço:l
à faire apparaître en une totalisation pa"ticulière les restes se rapportant à la ges'
tion des services hospitaliers.
•
••••
SOLD E DES
lm .... .... .. ......... . .... .. '
Ces lignes n'ont pas à
être servies par les ét ablissements q lii
tiennent leur comptabilité suivant les regles de la circula tion n' 145 du 30 septembre 1952.
•
•
5/ 12 de la moyenne
l
Lignes 3, 4, 8 et 10. -
•
•
•
0
1
10. Valeur du stock au début de l'exercice
8
0
SITUATION DE
à l'état ,p 505 .. . .......... ... ........ .
+
•
••
(Modèle n' 3 (p_ 501 A)
1
9. Restes ci payer, sur se rvices fa it, non li
quid és et non mand atés, ne figurant pas
7
•
5
••
services hospi taliers .................. .
+
0
Hôp ital de . .. . . . . . ... . ... .
Hosp ic e de .. . .. . ,
7. Dépenses se rapporta nt à la gesti on de s
8. Restes à pa ye r figurant à l'état p. 505 . . .
••••
TOTAU X
1
éléments co nstitutifs des prix de journée.
1J. Total des dépenses (6
0
L'Ordonnateur:
+ 2 + 3 + 4)
•
Moyenne annu ell e . .
Ce rt ifi é exact, le . ...
4. Valeur du stock à la fin de l'exe rcice
5. Total des recettes (1
Restes à payer sur services
faits non liquid és et non
mandatés
4
••••
1
liers figurant à l'etat p. 502 .. .. . . .... .
SERVICES HOSPITALI ERS
Arrêté par l' ordonnateur so ussig né, l'excédent de recett es des services hospià la somme
. . . . . .. . .
. ....... .
t aliers pour l'exercice J95
Le
Receveur
soussig.n é
ce r ti~ie
les renseignements portés altX
lignes J" 2, 3, 6, 7 et 8.
A ...... .. . ... le . . '
L 'Econome
soussign é
cer tifie
exacts des renseignem ents por tés au x
li gnes 4 et 10.
A . ....•..•... le . . ..•... . . . .
..... . ... ...
le
•
•
•
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···0.
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0
'
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••••••••
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0
· · · · · · 0
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••
0
0
••••••
•
•••
••
Fonds de rou lement ..
P ro visions pour tr avaux
P rovisi ons pour creances irrécouvrabl es
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••••••
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0
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A
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exacts
0
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0
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•••
••
•••
0
Avan ces, traites et valeurs mobilisables.
Avances de l'Econome
Tr aites de coupes ord inaires de bois . .. .
Trai tes de cou pes ext rao rd1llaires de bois ....
0
o.,
•••••••
0
0.0.
0
00
T ota l des opérations
•
•
•
•
•
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0
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•
•••••
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··
0
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0
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•
•
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0
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••••
•••••
·0
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0
0
•
0
•
o.
••••
Disponibil ité au T résor ..... .
Balance ......... . ........ .. .
2.\3
�M odèle n' 4
Hôpital de .. .. . . .. ..... . . .
Hospice de .. ' ... ' ....... . .
TEXTES
COMP1'E ADMilNJSTRAT II'
D'INTËRËT . COMMUNAL
Sillll1llon du comple « Fonds de Roulemelll »
QI>É:RAT IONS DE L'EX E R CI CE
SlTu.nl0N
au début d.
D ota ti on
2
l'exercice
0 2 B3 • AG 2
S l TUA Tl ON
~
STATUT DU PERSONNEL COMMUNAL
11 la. li" de l'exe r cice
Repri ses
3
(1
+2
-
3)
4
1
\
1
J'ai l' ho nne ur de por ter à la conn aissa nce de MM. le s
Maires du D ~l>a rte m e nt le texte de la circula ire du 20 novembre \ 952 N " k DC/ P E;R 428 pa r laquell e M . le M i nist re de
Iïntérieur compl ète sa circulai re N ' AD C/ PSR 325 d u
10 août 1952.
Pour le p'rèfet,
L e Secr étaire Oéneral Délégué
'M . 'MI GNON.
Paris, le 20 Novembre 1952.
Le Ministre de l'Intérieur,
à MM. les Préfe ts de la Métropole
et des D épartements d'Ou tr e-Mer .
OBJET
Add itif à la ci rculaire générale ADC/ PER N' 325 du
10 " oû t 1952 rela tive à l'application de la loi portant
s ta tu t du personn el co mm unal.
J' ai l'h o nn eu r de vo us fai re co nn a ître que deux d es pa rag raph es de la circul a ire susv isée do ivent êt re com plétée de la
c D'a utre pa rt, en ve rtu de l'a rt icle 8 d u même règlement,
« le droi t à ,pe ns io n propo rt io nn elil e -est acq uis sans condi tio ns
c de d urée de se rv ices aux age nts se tro uvan t da ns un e posic ti o n va labll! po ur la retraite dès qu 'ils attei'g nent la li mite
« d'âge de leur em \l loi ou l'âge de soixa nte a ns sans pouvoi r
« prétend re à une pe ns io n d' a ncie nn eté. L'age nt aya nt attei nt
c l' àge de so ixante a ns 'Pe ut donc val abl ement demande r sa
e mise à la ret raite même si la lim ite d' âge de son emplo i est
« fi xée à un â ge s upérieur , .
Titre X (Dis pos itio ns dive rses et transitoi res) - Il - Titula r isation des ël uxilia ires, § (6), aj o uter :
c Cette validatio n es t o bli gato ire po ur la mun icipali té lo rse qu 'eUe est dema nd ée pa r l' a gent da ns le délai d' un an à
« co mpte r de sa tituJ a risa ti o n. E.lle s'o pè re da ns les cond itions
c prévues au x a rticl es 43 et s ui va nts du déc ret du 5 octob re
« 1949 'Po rta iit règlement de la Caisse Nati o na le de Ret ra ites :. .
P ou r le MinistIe de J' Intérieu r et pa r délégatio n,
Le Préfe t, Directeur de /' Administration
Departementale et Communale
faço n s uiva nte :
Tit re VIII (Cessa ti on de fonctions) - IV - L'admission à
l a retr ai te, § (1 2), aj oute r :
04 BI . A 3
CBPAGES INT ERDITS
Le Préfet des B ouches-du-RhOne,
à MM . les A'faires du D épartement,
Pour memoire. Plafond autorisé d u fonds de roulement . .... .
P a r ci rcul a ires d u 1er novem bre 1952, M . le Minist re d'e
l' Ag ricult ure relève qu e da ns certa ines régions divers pépi Olèristes et vit ic ulte urs semble nt ig nore r la règlementatio n relative
(décisi on du . . . . ... . )
au x cépages interdits.
DI BI . P 0
lNT ERDICTION D'EXPOSER UNE PUBLICATION PERIODIQUE
A ~REn'.
Le Préfet des Bouches-du' Rhône,
Otf k ier de la Légio n d' Hon neur,
Vu les a,tiol es 97 et 99 de la loi du 5 avril 1884 ;
Vu l' art icle 7 de la loi du 17 mars 179 \ ;
Vu la loi du 29 juillet I BS I ;
Vu le décr et-loi <lIJ 29 j ui llet 1939 relatif à la famille et à
la nata lité fran ça ise ;
Vu les i nstruct ions de M . le M inist re de J'Intérieur ;
Considérant le danger que présente pou r la j eu nesse l 'exposition sur !a vo ie p ublique d e ce rta in es publica ti o ns illust rées
consac rées aux crimes et à la prostitution, ai nsi qu e ce ll es de
ca ractère !l icencieux
Arrête:
A rticle premier. - L' ex.'Positio n aux porches, vit r ines, k iosques, magasin:;, etc., de m an ière qu'ell e puisse êt re vue de la
vo ie 'P ub liq ue ainsi que l a ve ntoe et l'off re sur Iles .pl ans et voies
publiqu es de la publication périodique « OSE » est i nterdit e.
Article 2. _ MM. les Sous-Préfets à Ai x et à Arl es, M. Je
D ir ecteur Dépar t>emental des Sef'Vic es de Pol ice, IvlM. les Al aires
du D épa rtement, M . le Commandant de Gendarmer ie sont
cha rgés, chaçun en ce qui le concern e, d e l'exéc utio n du prése nt
arrêt é qui sera inséré au Recuei'i Administra t i f et Bulletin des
Ma iries.
P. DAMELO .
En co nséq ue nce, je vous prie de vo uloir bie n rappeler a ux
intéressés qu e, co nformémen t aux d isposit io ns des a r ticles 95
et 96 d u Code du Vin, il est interdit d'off rir en vente et de
ven dre su r le ma rché intérieu r, ainsi que d'aoheter, transpo r te r
ou planter les cépages « Notllh, OtheHo, Isabe Ue, Jacquez, Cli nto n, HeI1b emo nt >.
De plus, er: a~p li catio n des dispos itions de l'a rtiole 3 13 d u
même code, il est interdi t d'importe r, de vend re, de détenir en
vu e de la vente, de mett re en vente o u en ci rculation en vue
de la vente, ~a ui pou r la vin aigrerie o u la di stil le rie, tes vins
issus de ces cépages .
Les infrac ti ons a ux dispositions ci-dessus sont passibles des
sa nctio ns prévues Ipa r les a rticles 125 et 323 d u même code
(conf iscatio n, amendes et empri so nnement).
D'a utre pa rt, da ns le cas où l'existence de vignes-mè res
o u de pépinières illicites au ra it été constatée par le Cont rôle
Technique, les destr uctio ns q ui n' a uraie nt pas Hé opé rêes,
co nfo rmément a ux ins tructlo ns données a lo rs aux intêresses pa r
ce Se rvice, expose raient les contrevenants aux pénalites fixées
par les lois des 11 octob re 19-+ 1 et 2 août 19-13 sur l'orga nisation du ma rché des semences et plants.
j'attacherais du prix à ce qu'une large diffusi on soit don llée
à ces mesu res.
Pour le Préfet,
Le Secretaire General
M . M IGNON,
Fai t à Marseille, le 28 Novemlbre 1952.
L e Préf et :
R. PAIRA.
245
�02 B3 . AG 0
W
ARRETE FIXANT LES DIVERS T AUX DES INDEMNITES D'ENTRETIEN
DES SEPULTURES MI LIT AIRES PERPETUELLES
I.\().l 5.0 .F.
Paris, le 18 novembre 1952.
Le Ministre des Anciens Combattants
et Victim es de la Guerre,
à MM. (cs Préfets.
J'ai l'honneur de \'ous adresser, ci-joi n!, a mpl.i~tio.n d'u,n
arrêté portant fixation du nouveau ta ux des indem nites ~ attnbuer aux mu nicipalitês et aux Associations pour l'entretien des
sepultures militaires perp étuelles.
Cet arrêté a été publié au • Journal Officiel » des 12 et
13 novembre 1952.
Je vous serais très obli,gé dt! vou loi r bie n en faire ~ssu rer
IJ diffusion dans les meilleurs délais, en invitant, par ailleurs,
les municipalités à me fai re parvenir leurs etats le pl us rapidement possible.
Pour le Ministre et par délégation,
l
Le Directeur du Contentieux,
de l'Etat· Civil el des Recherches
MATTE\.
ARRETE
Le j\\inis[re des Anciens Combattants et Victimes de la
Guerre j
Vu l'arrêtê interm i nistériel du 3 octobre 1952, portant
fixation du taux des indemnités à attribuer aux J\\unicipalités
et aux Associations pou r ('entretien des Sépultures Militaires
perp étuelles.
ran b ne remplissan t pas enCO re les co nditions d'âge exigées
par la loi et même l'omiss io n de la menti o n du d6cès d'un
enfant à cha r ge.
tio nnellement et temporairement hors ùe ces cim etières, SOlit
fixés comme suit :
A. -
Entretien par les Municipalités:
1 à 200 tombes: 104 f rancs par tombe et par
20 1 à 500 to mbes
102 francs par t ombe et
mini mum de 20.800 ;
50 1 à 700 tombes
100 f ran cs par tombe et
mi nimum de 5 1.000 ;
701 à 1.000 tombes: 98 francs par tombe et
min imu m de 70.000 ;
Plus de 1.000 tombes: 96 fr ancs par tombe et
minimum de 98.000.
an
par ail avec
par an avec
ART ICLE 2. L es disposi ti ons du p résent arrêté auro nt
effet pour tous les tra\'a ux d'entretien effectués aux Sépultures
Milita ires perp étuelles depuis l e 1er j anvier 1952.
ARTICLE 3. - L e Directeur du Con tentieux, de l'Etat-Civil
et des Reche rches reçoit délégatio n pour signer, soit les
a\' enants aux co nventio ns d éj~ existantes, soit les nouvelles
co nvent io ns qui seront passées avec les mun icipalités et les
associatio ns sous r éser ve du visa du con trôle des engll gements
de. dépenses.
l'a rrêté du 8 novem-
Fa it il Paris, le 23 octobre 1952.
Le Ministre des Anciens Combalfants
et Victimes de la Guerre,
ARTICLE PREMIER. - Les taux d'indemnités d'entretien des
Sépultures militaires pe rpétuelles situées dans l es cimetières
communaux de France et d'Algérie, Tunisie, N\ aroc ou ex cep-
dOÎlVent vérifiu, à J'a ide deo; pièces d'état-civhl Il également valables, l'exactitude des renseignements inscrits
SUT
la demande,
en particullier l'orth ogra.p he du nom, J'o rdre des prénoms, la
Pour le Ministre et par délégation,
Le Directeur du Cabinet
DIDKOW5KI.
02 83 . TVX 0
Paris, le 29 Octobre 1952.
Le Ministre de J'Int érie ur,
à MM, tes Pré/els (Métropole),
RJ:jF,ERENCE : Ma circu laire du 27 septembre 1952.
,P ar circ ulai re citée en rélé'rence, je vo us ai donné toutes
vr,écisions Sur les eo lldUions dans lesquelles devait être ouver t
o'a ns la comptabi lité de vot re département, un co mpte de
se'rvice hors budget sous l'intitulé « Fonds d'i nvestisseme nt
routi er - Trandhe vicinale ~ .
D ès qu e -ce compte sera alimenté, v'û us pourrez ve r er au .'(
communes l'allocation qui leur est attribuée en 1952. Les mandats que vo us établirez seront appuyés d'un extrai t de l'état
de répartitio n d'u crédit die paiement, dressé par vos soins, et
<Yun extrait de la délibération du Conseil Général accordant
cette allocation,
lmpnm es est r emrp lacee par une attestation du maire ce r tifiant
te nant compte du co ût réel des travaux à entreprendre.
S'i l ne J'a pas encore fait, il importe qu 'il délibère aussi
Pa ri s, le 5 Novembre 1952.
que les Înrlicattolls d'état-CÎvU portées sur da deman-de ont été
rapi(fiement que pOS5ibie sur ce point.
Le Ministre de l'Int érieur
et le Ministre du Travait et de la Sécurité Sociale.
à MM. tes Pritets de la Métropote,
conf rontées avec les pièces justificatirves valables présentées
Ainsi que vous le savez les modèles de demandes de liquj·
vieux tra\'ailleurs salariés fixés pa r J'arrêté du 27 janvier 195 1
lariés o nt cOl1s.taté que dans de nombreux cas, ,les mentions
reJatives à 'l'état--crvil n'ont fait l'objet d 'a ucune vé r tfi.cation
(qui ont fait rabjet de la circul aire interministérielle n" 5 1-55
dans les mairies où ces pièce::; ont été déposées pour être re-
du
vêtues d u sceau de la mairie et de la sig.nature du maire.
d'avantages de rtwersion fixés ,par J'a rrêté du 14 juin 19S 1 (qui
établis dans le b-ut de rêunir, en. princi«>e, Sur un même docu-
à entr ave r les rechere.~h es faites au f ichier alpha1bétique général
des pension nés vieil'esse pou r éviter l 'attri butio n d'avantages
Ilon
En outre, il résulte de l'emploi de ces modèles, un a\l 6gement de la tâche des services des mairies puisque l a production
des pièces
d'état-civil
obligatoirement
jointes
aux
ancie ns
Toutefois, il sera nécessaire de prévoir en dépense un
article spécial qui permettr a de mieux suivre les opérations
financées à l'ai-de d'lI Fonds Routier.
Dans la comptabilité communale, les attri"butions provenant
du Fonds: Routier, seront sui·vies dans les mêmes condrrtions
que les autres recettes vicinales.
Les allocations consenties alOC: communes pa'r le Conseil
Général au titre du Fonds RlI'utier, et non utilisées à la clôture
de l'exercice, seront r~rtées directement au budget de l'ex errice suivant.
Flour le Ministre et ?ar délégation,
Le Préfet, Directeur de l'Administration
Départementale et Communale
P. OAMELON.
Les erreurs qui ont été décelées so nt le plus souven l des
er reurs d'or thog rapne dans l es noms patronymiques de nature
ment, tous les renseignements nécessaires et d' al·leger les j ustifications exigm des requérants.
En effet, il me parait .difficile de constituer des co mptabilités
distinctes pour les opérations fi nancées au moyen des recettes
\ icinales ordinaires (taxe dies prestations, taxe vicinale, etc ... ) et
celles qui seront co uvertes par J'attributlon du Fonds <i~i n ves
tissement routier.
Or, depuis la mise en serv ice des nouveaux imprim és les
datIOn de pension ou de rente de vieiltesse et d'allocation aux
ont fait l' objet de la circulai re n" 107 du 15 juin 195 1), ont été
Les (}J>ération financées en tout ou partie par le Fonds
Routier, t'ranche vici nal e, figureront également au budget vici nal.
par le requ éra nt.
Caisses Régiona l es d'Assurance-V ieil'Iesse des Travailleurs Sa-
27 mars 1951), de même qué les modèles de demandes
Directeur du Cabinet
FONDS SPECIAL D'INVESTISSEMENT ROUTIER
TRANCHE VICINALE
IMPUTATION DES FONDS DANS LA COMP.TABILITE COMMUNALE
naux, le Conseil Municipal a dû ouvri r, en recettes, dans le
chapltrè co nsacre aux participations financi ères des autres
collectivités, un article spécial où figure le montant d'e J'attribution escomptée du Fonds routier, et en dépense, un crédit
VERIFICATION PAR LES MAIRES DES DEMANDES DE LIQUIDATION
DE PENSION OU DE RETRAITE DE VIEILLESSE
ET D'ALLOCATIONS AUX VIEUX TRAVAiLLEURS SALARIES
Circulaire n" 406
Le Ministre du Travail
et de la 5écu r ité Sociale,
Pour le Ministre et par d~/égation,
Le Maitre des Requêtes au Conseil d'Etat,
A. P\iEJRAl~D.
En soJlicitant l'inscription de certai ns travaux au pro gramme de remise en éta t et d'amélioratio n G6 chemins vici-
02 B3 . AG 5
Le Minist re de 'l' In térieur,
Pour Je Mmistre et par délégation,
Le Directeur du Cabinet :
VERDLER.
par an avet
Entretien pa r le « So uve nir Français » et les aut res
,\ ssociations quel que soi t l e nomb re de tombes, tarif unique
de 100 francs.
Arrête
instru ctio ns de la circu laire précitée aux termes desqueLles ils
par an avec
B. -
ARTICLE 4. - Les dispositio ns de
bre 1949 so nt annulées.
D ans .ces co nd it ions, je vous prie de ra,ppeler à fvW. les
M ai res, par la 'Voie du Reouei~ des Actes Administratifs, les
date de na issance, la nationalité et éventuelleme nt la qualité
de réfugié.
cumulables et susceptilblles d'elltralner
des erreurs de
paiement des mandats-l)Joste.
•n
a été égél!l ement re,levé àes erreu rs de date de naissance
Le natu r e à c:ntrainer l' attr ibution des avantages à des req ué247
�COMMUNIQUES
DD S
AVIS - ANNONCES DIVERSES
AUTORISATION DE PRATIQUER LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES CERTIFICATS
PRENUPTIAUX ET PRENATAUX
Par arrêté pn'leetoral en date <lu 1S Novem bre 1952, ,M.
l'
93,
pratiquer les examens radioscopiq ues en vue de la délivrance
des certificats !1Ténuptiaux et prénataux.
Par a rrêté p réfectora l en date du 24 Novembre 1952 :
2' M. le Dacte ur BOUSQUET , dem eura nt à Mo uriès,
Ont été ag réés po ur pr atiquer les examen s rad ioscop iques,
en vue de la dé li,v rance des certi.Î'Cats p rénuptia ux et 'préna taux.
Comm is d ' ordre et de comp tabil ité à la Mai r ie de Caen,
Numéro 51
FRANQAISE
25 Décembre J9 52
..,
DES
ACTES ADMINISTRATIFS
DEMANDE D'EMPLOI
D2 B3
RÉP U BLIQUE
M. le Docteur Z W hRN Jean, deme urant à Marse ill e
Par adi s ;
,
le Docteur Ludovic GASQUET, 36, Tu e Borde, est autorisé à
Tlle
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU -RHONE
ET BU'L LETIN DES MAIR1ES
MM. les Maires intéressés par cette candidature voudront
âgê de 38 ans, désire ob tenir un emplo i similai re da ns une
bien se mettre directement en rappo rt avec M. Pie rre GUER IN,
Mairie d u Dépa rtement des Bo uches..d u-Rhône.
Mairie de Caen.
•
:)
EN 2. -
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
'Erectio n des monuments commémoratifs .... .... .... . ..
250
F O. -
Imputation buùgetaire des cotisations de Sécurité Sociale des personnels rémunêrés sur cre-
F O. -
Paiement d~s sommes n'excédant pas 25:000 fra ncs dues aux hérit iers
251
F O. -
All ocafion de lo gement et prêts destin és à l'a mélioration de l'babitat
252
dit de matériel ou de tral'au x ....
. ...
2"J
TEXTES D'J NTERET COMMUNAL
A O. -
CIA l . -
Bnqu ête sur les Entreprises de camio ns baza rs actuellement exista nt es . . ..
sc
Ca hi er des aharges-t.ype co ncernant la concessio n du se rv ice exterieur des pompes funèbres .
O. -
F 4. -
Le Secré/aire GeneraL :
Fi xation du cours des denrées serva nt de base au calcul de fermages .. - .
CAB. -
Travaux d'équipement rural
Journée dépa rtementaJe de la Vieillesse ....... .
255
256
256
Pour le Préfet et par Déléga tio n,
Maxim e M IGNON .
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DlVERSES
D,O 5. -
Avis de co ncours ....... .
256
"04 B3. -
Autorisatio n d'e ntreposer des explosIfs
257
ABRll~ VIATJONS. A. P. : Arrêté prêf~ctoral. - C. ~ Ci rC\ù aire. - Les lettres D e t B ~ u i"ie s d'un "'hi~re
·nd ·quent le S(!1'"\'ice ou BU1"t-au d'origine. - D. ~. T. : Direction des Services Tecbniques. - D. Il. S. : Direction
~ é;artemcntale de la Santé. - D. D. P . : Directiou Déparlementale de la Population.
I.w:pann:a u::
NOUVE l.L E DE MAR SEI I.L E,
120, rue Sai nt ~
�TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
ERECTION DE MONUMENTS COMMEMORATifS
APP,L HèATlON DU DECRET DU 16 JANVIER 1947
02 B3 • EN 2
Paris, le 3 docembre 1952.
Le Ministre de ('Intérieur,
à MAI. les Préfels (Metropote et Outre-Mer),
REFEREN E . ~\es cirrulaires n" 186 du 18 ,,'! il 1947 ; n' 264
du 9 juillet 1949 ; n· 260 du 29 juillet 1950.
PaT ma circulaire n° 186 du 1 av ril \947. je VOUS ai indiqu~ la procoo UTe a;pplicable à l'êrectio~ d~s . monuments
commemoratifs, ef je \ 'OUS ai exposé les necesslt~ a uxqu ell es
elle T\."pond. j'e>"'11hquatS que cette règlementahon. ,quI fut
arn?t~e à la sUite d 'une étude appro fondie en coll~horat\On avec
\\ le Mln i str~ de l'Education Nationale. a essentlel'Iemen~ I?<,u r
~~t de prll\'en.r le retour des errements ant~rieu r~1 en ~vltan~
que des initiatives inspi rées par de loua\)les Jntenh~n~ n abou
tissent il rerection de monuments d'un ca r actère artis tIque trap
discutable.
Par la suiteJ j'ai constate que t rop sou\"ent les, m~nicipalités
ou les comités d ' erection semblaient igno rer les pnnclpes e~sen
tiel-s qui ont l'té ,posés et ne tenaient aUCun co~pte ~es aVIS de
la Commissi on t~ ntral~ des monuments commemo r atifs.
Par ma circul aire n" 26-l du 9 juillet 1949. je vo us ai don,né
les raisons pour lesquell es j'estimais indis.pensable d,~ faiTe
~lppJiquer strictement cette règ1ementation , A la IUB"mere de
l'experience acquise, je faisais obsen'er notam~ent q~e, san~
rlllterventi on de la Commission cent rale, ce rtams projets qUI
constituaient de véritables injures à l'Art Français auraient
mutilé quelques-unes de nOS perspecti,'es les plus celèbres,
,MalQ'fé mtS efforts, des manquements graves aux prescrip tions qu; je \'uus avais ra.ppelees sont encore à déclarer.
Or, les motifs qui ont conduit à l'institutio n de cette Com mission persistent et la Commissi on a pu co n ~tater que la
mOconnaissancf: Ou la yiolation de la règlementation avait
contri bue à permettre tout récemment l'ërection d'œu vres affligeantes sur le plan esthétique.
Il importo; donc que 113. règlementation s'app.lique et il vo us
appartient d'y veille r ,
Désormais aucune construction ne doit être entrep rise sans
que la Comrni~sion centr al e ait donné un a\'is favoral>le,
Deux so rtes de d ispositions seront prises : les unes aya nt
un ca ract~re préventif, le secondes de\' an t H re prises en oas
d'inobservation de la règlementati on.
1. -
MESURES PREVENT IVES
A, - Faits cOl1Wlémorés ou personnalités auxquelles il est
rendu hommage,
Il convient tout d'abord que l'érec ti on du monument soit
justifiée par la qualitë de la personnal ité à honorer ou par
J'importance des faits â commémorer.
Aussi, vous ne manquerez pas de me demande r l' accord
prealable prevu pa r ma circulai re n" 186 du 18 avril 1947.
Enfin, nomb re de belles pe r spec~i;ves ou places gagneraient
à rester dégagées et il serait néanmoins très possi!>1e de
commémo rer le souvenir de faits ou de pe rsonnalités ayan!
exercé une influence sur le plan local par l 'appo 'ition de simples p~aques sur les monuments exi stants ou sur les mu rs
è'édifices publics ou
250
1
priv~s.
.
B. _ Commandes pnssécs allx artistes.
Chaqu e fo is que vo us au r~z co~n~issan:e de, la cOllsti tut ioll
mon ument,
d'un Comité chargé de proceder a j ~~CtJ' Ot~ d
l'O US lui si gna lere z ains i qu'à la mlllll c~pa 1 e, q,u ll ll CIl~ ~ commande Il e peut être possf-e avec l es ar ltste~?ll e~r ' ?rrf'r1,tectcs,
e le décret d'a~ r()lbation n"a 'pas ete notl
le 0 IClelleta n t qu
Il
. .
naire de la co mmun e, et vo us r appe erel., pa r cc nt,
men t au t
_
'
1
'
à cette occasion, la règl em entatio n en vigueu r et es sa nctl Olls
qui en assurcpt le re&pec t.
li:'
c. -
r
Finaflcement du projet.
Je suis amené à cet éga rd, à imjpOser des règl es plus
strictes que celles qui étaient fPn:vues par ma ci rculaire n° 186
du 18 av ril 194ï.
.
02 BI . f 0
18 avril 1947, p. 8 et suivantes) Ipou r opermettre a la Com mIS'
sion centra le des monu ments commémo ratifs de se prononce: .
Or, les ab us qui o nt été constatés m'obligent, ,oha~ue/Ois
que j'en au rai les moyens, à subor,qo nn er, ~ O ~Sq l~ Il s agI . ,de
subventi on le ve rsement des fonds non p lus a 1 aCLord de prIncipe mais 'au décret d'autorisation ,
'Bien ente ndu conformément à l'a rt icle 7 du décret du
16 janvier 1947, v~us conti nuerez à ~ns~rer au doss~er qui se,ra
prcsenté à la Commission !lne note IOdlquant le co ut du projet
Le Sec rélaire d'Etat a u Budget,
à NUN1, les Ministres et Secrétaires d'Etat.
Il m' a éte signalé que ct:i~ ta ,"s ser vices éprou vaien t des
<i.ifficultés pour déterm iner l'imputation qu'il con vient de donner
aux cotisations de Sécuritè Sociale, d'acc idents du travai l et
d'allocations familiales, lorsque les dites co tisatio ns se ra pp ort ent à des salaires ordonn ancés SlU;- dèS oha,pitres de matéri el ou
de trava ux .
c) Souscr iptions fai t es par des associafioll s. Les sous·
c r ~pt i ons so nt ,rén ér alement faites par un Comité d'é rection.
Si celui-ci re\rêt le ca r actère juridique d' un e associ ation reco,nnue d'utilité jlub lique, j'envisager ai le r etrait <te la r eco~n~ls
sance d'utilité pu1Jl\ique et vous me signalerez l es cas ou es
souscriptions ~eront fai tes Ipar l' interm édiaire de telles ~SSO~
ciations en vile d'ériger des monum ents pour lesque.ls un dl'cre
d'a'Plp roba ti on ne sera pas intervenu,
II. - MESUoRES DE-VA!NT INTERVEN IR
EN CAS D' INOi:lSEoRVATl0N DE LA REGiLEME-NTAT ION
,Les di,;posltions précédentes doive nt permettre d'ass urer le
respect d u dOCTet du 16 i>a nvie r 1947.
J ail j',honneur d'e \'OliS fa ire savoir quI..' ces co ti satio ns doivent rec evoir la m ~ l11 e imputation qu e les sa laires, Par suite,
ces colisatiolls ne peuvent è tr~ im put ées Sll r le tl,Jélpi tre r elatit
aux 'pr estatio ns et versements il ca rac tl're (}bligatoire,qui doit
<i!(sormais su pporter les co tisa l ions afférentes aux traitements
et salai res ,d'cs différentes ca tégol i~s ci e pei'so nnel rému nérés su r
Jes Clhapitres de traitem ents, de so~.;·es et de sala ires, co nfor-
r
02 BI . F 0
EXECUTION DU PROJET
Non seulement il cOlwient (Ile les règles administratives
fixées par le décret du lG j anv' r ' 947 so~ cnt observées, mais
enco re il est nécessaire q ue l'exécutio n du monument soit su rveUlée afin que J'œuvre achevée soit bien conforme à la
maquette app rouvce,
Pou r vous permt.!ttre d'ap'pr('cic r ce tte conformité, je VOus
ad resserai avec ch aqu~ ampliation du d ~~ ret d'approbation une
photograp hi e de la maquette ce rti.f ilC co nfo rm e à l'original que
je co nse r ver ai.
Vo us voud rez donc bien ne pas omett re de m'adresser ies
photog raphies et les dessins en douo le exemplaire.
Vous m'accuserez réception des p r ~sentes instructions qui
devront ètre insérees au r~ecutjl des Ades Admini~ trati fs et me
saisirez, le ~ as érhéant, SO IIS le présent timbre, de toutes les
difficultés qu'eîle:) pourraient compo rter.
Pour le J\\in istre et par dël égati onl
L e Direcleur du Cabin et
jean VERD IER .
IMPUTATION BUDGETAIRE DES COTISATIONS DE SECURITE SOCIALE
DES PERSONNELS REMUNERES SUR CREDITS DE MATERIEL
OU DE TRAVAUX
Paris, le 2'2 Novem bre 1952,
et son mode ce financeme nt et le mont,ant de l'a somme qt1e les.
sOllsi.: ri ptelrrs espèreront recueilli r,
,
ID ans le .cas où, en violatio n des te xtes, un monument seraI t
néanmoins cri rr é sans qu'un decret d 'ap.p rob-ation soit inten/e LHI :
a) \1 o u-:; Omettrez en œuvre les pouvoirs dont vous di~o,sel
léfTal ement en vue d'exeT1cer votre contrôl e sur les collectlVltCs
lo~a l es, soit pou r annuler , soit pou r ne pas revêti r d~ vot re
o,pprO'bation les délibé r,ations ou mesures d' exécuti on qUI po~r
raient cond uire à l 'érection d' un monum ent sans re~pecte r les
dispositions du décret du 16 janiVi er 1947 ;
d
b) VOliS i nterdirez, !pa r arrêté, les q uf:tes e ~ , faveu,r , ~
projets non approuvés pa r déc...!~t, dans les cond.ltlons hX~té
Ipa r la circulai re n° 308 du 9 septembr e 1950 qUI vous a~ c:- ,
ad ressée sous le timbre « Direction Générale de l a . Surete
tex te qui a remplacé lI a circulaire du 2 août 1946
1If. -
li est à peine b€soin dit! VO us souligner que ni \' us-m('me,
ni vOs co l!la oorateurs ne pourraient Iparticiper à l'inaugu ration
(f un monumen t ér igé en \'iol-ation de la loi.
.
Cell e-ci indiq uait que l es moyens fina nCiers perm ettant
d' exécuter le p roje t !pouvaient être envisagés d~ qu'~urait été
obtenu mOIl é.'CCord, de pri ncipe, L es sommes nece~salres, une
fois recueilli es vous deviez m 'a dresser un dOSSier complet
contenant n ot~mme nt une note .fa isant connaît r e 'le cotît du
.projet et son mode de fin ancement (cf , ci rcul ai : e n° 186 ~H
Natio nale, Direction de la Règlementation, Sous-Direction de la
Règlementation Intérieu re, 6' Bureau > (cf. de la ,page 8 de ce
TOl1tefo i ~, lorsq ue les sOuscr~pt i o ns auront (te faites par
voie de presse et par déma rches personnelles, lorsque pa r suite
d'une négligence les credi ts auron t été ap,prollvés, l'administration n'aura p'llis aucu n moyen d' action afi n d'empëcher l 'ërecti on d'un monument indé-p~ndamment de toute a u to r i~<ltio n ,
Dans cett(: h)'1XJ thèsc, lorsque vo us aurcz COll naissance
qu'u ri monument es t en voie d'exécu ti on Ou sur I~ point d~
!'être da ns utl e co mm ul1 e d'e vot re dépa r tement _ et de tels
faits ne doivent pas être ignor és de vo us - vous voudrez bien,
ell . ralJlpel a~t édlX aute urs de cette manÎ,fes tati on la rè~l eme ll
tah on Cil \'1gu i:: lIr, les met tre en demeure, !par lettre rL,COl1lm~ n+
d ée avec acc usé de r cept ion, d'une façon très ienme
d 'interrompre leurs tra vaux et leur fai re connaît re que les
d ispOSitions de l'art iO'!e 9 du décret du 16 jan\'ie r 1047, qui
permet de faire en~eve r ce monument, ser ont appliqu ées s'i ls
ne se co nforment pas à vos injonctions.
10\ y aura l ie u immooiatement de me saisi r afin que j e puisse
appr éc ier, aprts a\'Îs ~ven tll e l de la Commission des monuments
co.mmémoratif~, si je dois vous dem ander d'a p,pl iquer cett~
sanct ion,
mément aux dispositio ns de la eu"Cu laire de mon Oêparterncnt
" " 12-6 B/ 2 • 3 B/ 12 du 16 Janvi er 1952.
C'est seul ement délns l es cas tout il fait exceptio nn els où
des créd its, spéciau x auraient été prév us à l'in térieur du Chapi tre
de. prestat! ons
\'~rse m ents j ca ractère obliga toi,re, po ur le
e:
paIement oes cotIsati ons se rapportan t aux 5.:1lai res ordo nnancés
~ur, des aha pitres d'e matér iel Ou de u:a\'aux, que It>s dites cotisa tJO ns devraient être i mputées sur ces créd'its,
Signé : j EA N~\\ O REAU.
N ,-B. - L a présente ci rculai rc conf irme les termes de la
dépêche n" 38 Fin/ Su d, du 25 Jam'ier 1~)52.
li est prëcisé que les c eLi its specia ux visés au derni er
paragraphe ct,..: la ci rcu la ire q ui fa it l'ühj et de la présente notifi cati on Il ' e xis ~ent pas au Bu alge t du .\\ inistère de l'Intérieu r. Les
cotisations de Séc urit t: Sociale t' oncer nant le personn el re muncré SlLi des cha'pi !rL'S de materi e.l ou de- trava ux doivent '';onc,
cl ans tOIlS les cas, être imp,u tëes sur ces dt'rn iers chapitres,
PAIEMENT DES SOMMES N'EXCEDANT PAS 25.000 FRANCS DUES
A DES HERITIERS
Palis, le 24 Novem'1r l! 1952.
L e Secr ëtaire ci'Etat aux Fil/afin'.' ,
à MM. les Ministres 1.:1 Secr él ai r/!s d'Elal.
En applicati on d'un e d0cision prise pa r un de mes prL'd0cesse urs le 26 j anvi er 1948, décisio n qui él ët~ portl:C il la
.conn aissance de V(J tre Oépartemc;lt pa r Itlt re col lective
n" 1520 F • :689 G - 453 N .LIe 1: 21 Ln 10 Illa rs 1 9~ ~ . le.
sommes de 10,000 frall OS et a u -d L's~O ll S dues au x Il éri tie rs des
créanciers de !' Etat, dcs dépil rte men ts, des commu nes et des
étab1issemellt s pu bli cs, peuve nt être payées sur pr odudion d' lin
ce rtifi ca t d'h ér('d;t0 dd ivrc pa r le ,\\::li re de ln r0s.idclll'c du
defunt et Lnonçant q ue l es parties " dCllomllJécs ont seuies le
d roit <..l e (oucher en qua lite d' h é r iti~r"i,
La l11t:m;..: d&isio ll éllilOrise Ic..'i comptabl~~ .1 l' yt-r cntrlt
ks ma in s de celui des héritie rs: d'u n cr 0allcier de l'Eta t,
d' un dépa rtement, d ' ll ll ~ co mmun e ou d' un dab.lissr..:mt'nt publ ic
qui cn fai t la de.mande, et sur so n acq uit, le.-:, Sem,nes n'cxcLdan t pas 10,000 franc~ rcprCSL'ntant l' ensemble des pa rt s de
ses L'o-hér it iers, so us la do uble co nd ition :
1" qu 'il conse nte à donner acquit Cil se po rtant fo rt pour
ses co-h ériti ers ;
2" que les j u s!ification~ pro.luites au comptahle ct~l hli~
!:ien t nette:ne:l! que la somme rc\'e ll ~l l1t :l l' e n sel1ll1l~ "':I..'S no n
pn:scll(s Il' e:H.èj~ p:1S JO,OUO franes,
�,
1.1"· termes de la m~me décisio n, le paiement de la
Enl 10. a .
.
. ct
as la somm.e
art dt:.s héritiers absents, si cette .J.r.Ht n exce e. p~
.
~e
limite prlvu e dans les trois cas susvises par la décision du
26 janvier 1948.
10 0Cl0 francs, peut a\'oir lieu entre les m~lI~s du, I~otal.re
. d e l'IqUi'd er la~.
succession lo rsqu~ cet offiCIer mini sté rIel
1 . 't'
~
.
't en se portant fo rt pOli r les 1en lers
l'ou r le Secrétai re d' E tat et ,pa r délégation,
Le Directell r de la Co mptab ilit é Publiqll e,
P our le Directe ur de la ComptabUité P lfbliq ue,
Le Directeur A<Noinl
G IBBLl N.
charoe
consent a donner acqui
.
n'intervenant pas au moment du paiement.
j'ai l'honneur de \'ous faire connaît re qU~t par décision du
6 novembre 1\152, j'ai élevé de 10.000 fra ncs a 25.000 francs la
ALLOCATION DE LOGEMENT ET PRETS DESTINES A L'AMELIORATION
DE L'HABITAT
02 82 . F 0
Par.is, le 4 NO'\lembre 1952.
Le Secrétaire d'Etat ail Budget,
à MM. les .\limstres e~ S"crélaires d'Etat.
Le de"re! n 52-923 du 25 juilM 1952 publié au J. O,. du
1er août 1~2 a fixé- les conditions dans lesquelles don',ent etre
sen'ies les allocations de logement pour la periode s'etendant
du 1er juillet 1952 au 1er juillet 1953.
Il cam'ient de ,p réciser, tout d'abord, que les c:onditlons
de liquidation des aiJocations de l ogem~n~, telles qu elles on~
ète lixées par le décret n" 5 1-9 11 du 9 JUillet 195 1 (commente
par la circulai re de mes Sen'ic ..
8 1-22 B/5 du 13 octobre
,,0
1951) demeurent en dgueur ; le montant des dites al1oca!t0nS
étant toujours déterminé en appliquant un P?U rCe~ltage, ,,:a,nahle
suh'ant la situation de famiUe des aJlocatalres, a la dlfference
existant entre Je loyer principal effecti\'ement payé, dans la
limite des plaionds prevus il J'article 4 du d~cret et le . loyer
minimum pc':', li pour l'ouverture du droit à cette aIJocation.
POur la l'é riode s'étendant du 1er juillet 1952 au 1er juillet 1953, ces pourcenta es sont fixés à :
_ 40 % pour les jeunes ménages sans enfant bénéfi<:iaires
de l'allocation de salaire unique ;
_ 60 % pour les ménages d'un enfant benéficiaires de
l'aUoc:ation de- salaire unique ;
- 80 % pour les ménages de deux enfants ;
- 90 % pour les ménages de trois enfants;
- 95 % pour les ménages de quatre enfants et pl us.
Il est, tontefois, raNlelé que les allocatio ns de logement
ne peuvent, en alfCun cas, être supérieu res à 75 % du loyer
principal effectivement payé, ni être inférieu res il 150 fra ncs
par mois.
Pendant la même période, le to}'er minimum ,prévu pour
l'ouverture du droit aux allocations de logement est fixe aux
pou rcentages sUlvants des ressourCes de l'ensemble des personnes vivant au 'foye r :
- 6,3 % pour les
- 5,7 % pour les
- 4,5 % pour les
- -l, 1 % pou r les
- 3,8 % pour les
- 3,5 % pour les
- 3,3 % pour les
avec dimi nuti,>n de 0, 1
jeunes ménages sans enfant
ménages d'un enfant;
ménages de deux enfants ;
ménages de trois enlants ;
ménages de quatre enfants ;
ménages de cinq en.fants ;
ménages de six ema nts ;
% par enfant au delà du sixième.
Le tableau joi nt à ceUe instruction fixe, en fo nction des
ressources de la fami lle et du nombre d'en.fa nts à charge, les
minima de loytr mensuel pennettant de solliciter l'all ocation de
logeme nt.
Les ressou rce
â prend re en considération po ur la periode
LOCAUX ' ANCIENS
du 1-7-5 1
du 1-7-52
a u 1-7-52
a u 1-7-53
comprise entre le 1e r juillet 1952 et Je 1er ju illet 195~ sont
celles qui sont entrées au foyer de l'allocataire pendant 1 annéede référence, c'est-à-di re en 195 1.
Il e-st prt!cis~ que êes ressources doi~'ent com?:endre l'intcgralité des rcmuné rations et des p rest~t1ons f3lTIlhal~s perç,u~'S
au cours de l'a nnce 195 1. Sont toutefoIs exclues les II1deml11t~s.
représen tatives de frais, ai nsi que les aLlocatinns de .maternité
et les allocations com,pensatrices instituées par l'article 2 du
aécret n° 43-! 555 du 6 octobre 1948.
Ces
resso urces sont, d'autre Ipart, arr ondies jusqu'il
400.000 francs, au multiple de 20.000 f rancs im médiatement
infér ieur; all delà de 400.000 francs, a u multiple de. 40.000 f r,;
ImmédiatemEnt in férie ur.
~a r ail!leurs, les loyers et les minima de loyer Jlle~sllel p!is
en considé ration sont arrondis jusqu'à t ,OOO francs a la Clllquanta ine de fra ncs immédiatement . infë~i ~ure ; al~ d,el.a de
1.000 fian'Cs ~ la centai ne de francs Immediatement II1feneure.
L'a r ticle 4 du Mcret n° -l8- 1971 du 30 docen,b re 19-18 prévoit que le loyer à prendre. en considé.ration po ur le calcul de:
allocations de logement est le ;oyer pri nciPa l elfecti.ement paye
dalls la limite du prix licite au t er janlVier précédant le début
Je chaque période d'a pplicatio n.
E n application de ces dispositions, pour la période d.lI
1er juillet 1952 au 1er juill et 1953, ill conviendra de tenir
compte du loye r au 1er jan-vier 1952.
Je raJ)pe ll e, .par ailleu rs, qu'aux te rm es de l'aJ1ide 8 du
même décret est assi milée à u.n loyer la mensualité d'a mortIssement due ~a r le Ipro,priétaire du logement qu'il occ\1pe à titre
de résidence principale pendan t toute la ,pé riode au cours de
laquelle il se libe re de la dett e contractée pou r accéder à 1"
IHopriété de wn logement. Il en est de même dans le cas de
!ocation-\'ente ou location-attrib utio n et dans celUI de constltu·
tion de rente ,·iagère.
En Olltrt! en vue d'éviter de faire couv rir 'à l'allocat ion de
logement la ~a rtie du loyer qui co rr espo ndrait à une i~stall.a~
tion somptuai re) il a été i n ~titué un pl.afond de 1 0.y~r qUI a?et~
fixé mens"ellement pa r l'arllale 5 d u decret du 25 Jlll11et 195_, a
5.9 ..W francs majorés, s'il y a lieu, de 660 francs pa r enf.ant a
charac au de:; du premie r ou à 8.400 francs majorés, S'II Y a
lieu, 1::1de 1.260 francs par ertlfan t â charge au delà du second:
selon qu'i l s'agit ou nOn d' un iogement co nstruit ou ach.e'\'~
antérieu rement au 1er septembre 1948 ou d'u n logement sItue
da ns une haoi tation à loyer modéré achevé antérieurement au
3 septembre 1947.
Le. tableau ci-d essous indi que pour chacune des catégories
de bénéficiai res, en rega rd du loye.r m a~ i ~ um en vigueur pour
la pé riode du 1er juill et 195 1 au 1er Ju il let 1952, , le plafon~
('e lL, yer m(lIsuel1Jrévu à compter du 1er jUill et 195_,
Jeunes ménages sans enfant .....
Ménages ayant un enfant . . .... · . . . . . . . . . .
Famill es aya nt deux enfants . .. · . . . . . . . . . ,
troi s enfa nts
· · · oo ·· · · · · .
>
quatre enfants
cinq enfants ..
six enfa nts . ....
sept enfa nts
· . . . . .. .
Augmentati on par enfant au delà du 7e.. ..
oooo
•
l
1>
•
•
•
•
•••••••
•
•
•
•
4.860
4.860
5.400
5.940
6.480
7.020
7.560
8. 100
540
Enfi n, auCune modi fica tion n'est intervenue en ce qu i CO I1cerne les conditions d'att ributio n et de déterminati on du montant des primes d'aménagem ent et de déménagement. II y a
LOCAUX "NEUFS
du 1-7-5 1
du 1-7-52
a u 1-7-52
a u 1-7-53
5.940
5.940
6.600
7.260
7.920
8.580
9.240
9.900
600
7.200
7.200
7.200
8.280
9.360
10.440
11.520
12.600
1.080
8.400
8.400
8.400
9.600
10.920
12.180
13.440
14.700
1.260
to ujours lieu de teni r compte, en ce qui co ncern e ces primes,
de la majoration de 43,75 % des alloca tio ns ra mili ales résultan t
dl! la loi nO 5 1-1 126 du 26 se ptembre 195 1.
MIN I,MA DES LOYIfJRS ,M BNS UELS P,E.r~MIETTANT DE SO LLlCl T E.R L'ALL OCAT ION DE LOG6MENT
Ressou rces
totales
ann uell es
(en milli e rs
d e frallcs)
100
120
140
160
180
200
220
240
260
280
300
320
340
360
380
400
440
450
520
560
600
640
680
720
760
800
840
880
920
960
1.000
1.040
1.0S0
1. 120
1.160
1.200
1.240
1.280
1.320
1.360
1.400
Sans
enfan t
500
600
700
300
900
1.000
1.1 00
1.200
1.300 .
1.400
1.500
1.600
1.700
1.800
1.900
2. 100
2.300
2.500
2.700
2.900
3. 100
3.300
3.500
3.700
4.000
4.200
4.400
4.600
4.800
5.000
5.200
5.400
5.600
5.800
6. 100
6.300
6.500
6.700
6.900
7. 100
7.300
e llfall!
450
550
650
750
850
950
1.000
I.TOa
1.200
1.300
1.400
1.500
1.600
1.700
1.800
1.900
2.000
2.200
2.400
2.600
2.800
3.000
3.200
3.400
3.600
3.800
3.900
4.100
4.300
4.500.
4.700
4.900
5. 100
5.300
5.500
5.700
5.800
6.000
6.200
6.400
6.600
2
enfa nts
3
enian ts
350
400
500
550
600
700
7éJJ
850
900
1.000
1.000
1.1 00
1.200
1.200
1.300
1.400
1.500
1.700
1.800
2.000
2.100
2.200
2.400
2.500
2.700
2.800
3.000
3. 100
3.200
3.400
3.500
3.700
3.800
4.000
4. 100
4.300
4.400
4.500
4.700
4.800
5.000
300
4CO
450
550
6W
650
750
800
850
950
1.000
1.000
1.1 00
1.200
1.200
1.300
1.500
1.600
1.700
1.900
2.000
2. 100
2.300
2.400
2.500
2.700
2.800
3.000
3. 100
3.200
3.400
3.500
3.600
3.800
3.900
4. 100
4.200
4.300
4.500
4.600
4.700
4
e nÎams
300
350
400
500
550
GOO
650
750
800
850
950
1.000
1.000
1.1 00
1.200
1.200
1.300
1.500
1.6O\J
1.700
1.900
2.000
2. 100
2.200
2.400
2.500
2.600
2.700
2.900
3.000
.1. 100
3.200
HOt)
3.500
3.600
3.80l)
3.000
4.00U
4.100
4.30~
4.4()()
5
enfa nts
. 250
350
400
450
500
550
600
700
750
800
850
900
950
1.000
1.1 00
1. 100
1.200
1.400
1.500
1.600
1.700
1.800
1.900
2. 100
2.200
2.300
2.400
2.500
2.600
2.800
2.900
3.000
3. 100
3.200
3.300
3.500
3.000
3.700
3.800
3.000
4.000
G
;
~
enfants
en fa n ls
enfa nts
250
300
350
400
450
550
600
650
700
750
800
850
900
950
1.000
1.1 00
1.200
1.300
1.400
1.500
1.600
1.700
1.800
1.900
2.000
2.200
2.300
2.400
2.500
2.600
2.700
2.800
2.900
3.000
3. 100
3.300
3.400
3.500
3.600
3.700
3.800
250
300
350
400
450
500
550
600
650
700
800
850
900
950
1.000
1.000
1.1 00
1.200
1.300
1.400
1.600
1.700
1.800
1.900
2.000
2. 100
2.200
2.300
2.400
2.5CO
2.600
2.700
2.800
2.900
3.000
3.200
3.300
3.400
3.500
3.600
3.700
250
300
350
400
450
500
550
600
650
700
750
800
850
9CO
950
1.000
1.1 00
1.200
1.300
1.400
1.500
1.600
1.700
1.800
1.900
2.000
2. 100
2.200
2.300
2.400
2.500
2.600
2.700
2.SOO
2.900
3. 100
3.200
3.300
3.400
3.500
3.600
9
enfa nts
<50
300
350
400
450
500
550
600
650
700
750
800
350
900
950
1.000
1.1 00
1.200
1.300
1.400
1.500
1.600
1.700
1.800
1.900
2.000
2.100
2.200
2.300
2.400
2.500
2.600
2.700
2.800
2.900
3.000
3. 100
3.200
3.300
3.400
3.500
lU
e nfants
200
250
300
350
400
450
500
550
600
650
700
750
800
85J
900
95')
1.000
1. 100
1.200
1.3Où
1.400
1.500
1.600
1.700
1.00
1.900
2.000
2.100
2.200
2.300
2.400
2.500
2.600
2.700
2.000
2.900
2.900
3.000
3. 1OC
3.200
3.300
�Ressources
totales
annuelles
(t' D milliers
d. francs)
1.+10
1.480
1.520
1.560
1.600
Sans
f-n fant
1
enfant
2
enfants
3
enfants
7.500
7.700
7.900
8.200
8.400
6.800
7.000
7.200
7.400
7.600
7.700
7.900
8.100
5.100
5.300
5.400
5.500
5.700
5.SOO
6.000
6. 100
6.300
6AOO
6.500
6.700
6.800
7.000
7.100
4.900
5.000
5. 100
5.300
5.400
5.600
5.700
5.800
6.000
6.100
6.200
6.-100
6.500
6.600
6.800
1. 6~0
1.680
1. 720
1.760
1.800
1.8-10
1.880
1.920
1.960
2.000
•
5
enfa nts
enfan ts
en fants
S
enfa nts
9
enfa nt s
4.500
4.6CU
4.80)
4.9ùG
5.000
5.100
5.30')
5.400
5.500
5.700
5.80J
5 ..900
6.000
4.200
4.300
4.4CO
4.500
4.600
4.700
4.900
5.000
5. 100
5.200
5.300
5.400
5.600
5.700
5.S00
3.900
4.000
4. 100
4.200
4.-100
4.500
4.600
4.700
4.800
4.900
5.000
5.100
5.200
5.300
5.500
3.seo
3.900
4.000
4. 100
4.200
4.300
4.400
4.500
4.600
4.800
4.900
5.000
5.100
5.200
5.3C0
3.700
3.800
3.900
4.000
4. 100
4.200
4.300
4.400
4.500
4.600
4.700
4.800
4.900
5.000
5. 100
3.600
3.700
3.800
3.900
4.000
4.100
4.200
4.300
4 .400
4.500
4.600
4.700
4.800
4.900
5.000
enfants
6 . 20~
6.300
7
6
3.400
3.5()()
3.600
3.700
3.800
de la lo.i. de Fina nces du 24 Mai 1951 .
- 150.000 f rancs pour les emprun teurs ayant moi ns de
t rois en fants a char ge ;
- 185.000 f r ancs pour ceux ay an t moi ns de ci nq enfa nts
à charge ;
- 225.000 francs Ipour ceux aya nt au moins cinq enfants
à charge.
D ' autr e ç,art, les prêts sont désorm ais remboursables par
fracti ons égal es en 30 mensual ités au maximum, ex i,gibles à
compte r d u 6e mois qui suit leur attributio n.
Ces dispositi ons ne sont él;Aplicables q u'aux demandes de
TEXTES
04 BI - A 0
prêts déposée, il pa rti r du 1er jumet 1952.
Elles n'appellent ·pas de commen ta ire spécia l.
Sig né: J'EA N-MOREA U.
D ' INTÉRËT
COMMUNAL
ARRETE
Eohéance annuelle du
1er No vem bre 1952
Le Préfet des Bouohes-<fu- Rhône,
Blé . . . ....... . .
le qu inta l ....
Pomm es de terre
»
»
Foin de Cra u ......... .. . . .
Vu l'Ordonnance du 17 Octobre 194:;, relative a u sta tut
du ferma ge modifié par les lois du 13 Avril 1 9~ et 3 1 Décemb re
1948 ;
Vu l'a vis é mis le 27 Novembre 1952 pa r la Co mm ission
Coosultatiwe des Baux RU!I"aux,
Sur la 'j)roposition du Secrétair e Gé néral,
A~RETE
ARTI CLE PREM IER. -
:
Les CO urs des denrées <leva nt servil
de base au calcul des fermages sont fi xés ai nsi qu'il s uit
Foin or.{ji nair e ....... . . , . .. .
Vin ................. .
L ain e mérinos ...... . .... . . .
Bœ uf poids vif 2me qua lité.
Huile d'olive ............. .
Fru.its .. ...... .
•
le dou ble hl.. ...
le kilo ......
»
»
......... .
le quint a l ..... .
3.4 15 frs ( 1)
1.233 Irs
914 Irs
71 8 Irs
288 frs
25 1 ,rs
138 Irs
303 Irs
4.000 frs
( 1) Sous réserve de l'i ncidence des réfac t ions motivées
pa r le <lécret n" 50. 1022 du 22 Aont 19:>0.
ART. 2. -
Le Secrétaire Général die la Préfec ture est chargé
de l'exéc utio n d u présent anrêté.
Marsei Ue, le 1er Déce mbre 1952.
Le ,Prélet,
René PAIRA .
0
2" Nombr e d' en treprises de même ~ature cl'éëe.s antérieure"
,
ment à la loi du 24 11\' ai 195 1 Ipouvant exister da ns le départem.enl.
A'ux: teromes d'es instructio ns min istéri eJles, il co nvient Ide ne
pas co nsidérer co mme ca mions-bazars-, ni les voitures de lilvraison q.ui apportent aux clients- des marchandises préalablemen t
c(!) mm and~es, ni les· camionnettes des ambulants et fo rains qu i
totan sporten t les obj«ts dé'balJés- et vendus ensuite par ces I!o mmerçan ts sur les mac hés. D 'une manière génér ale, les C': urnionsbaza/rs v isés par la loi revê tent les car actér is~i q ues suivantes :
a) Ils transportent des maroha ndises qui son t !düectement
ven d'tles au pu bli.c sans commande p réalable j
b)
marchandises ne sont pas débaltées sur des éventaires, mais le camion lui-mème est aménagê en boutique où
elles sont expose es, vend ues et payées par le cl ient. Cette opér atio n a lieu pélIrfois, mais non obli gatoirement) su r le marché.
c) Les objets vend1us so nt multiples, souvent standardis s
à l a manièr e de. ce ux vend us par les magasi ns dits " UN LP RI X ».
Je vo us serais obligé de vo uloir bien me. faire c.o nnaître s'il
ex iste parmi les com merça llts ambulants et fÛl~ains dom iciliés
cl ans votre co mmune, des entreprises de camio ns-bazars créées
soi t po sterie.urement, 50i1 antérieulfemerrl à la loi dU 2.4 Mai 195 1.
.ces
D 2' B3 -
FI XATION DU COURS DES DENREES SERVANT DE BASE
AU CALCUL DES FERMAGES
Officier de la Légion d'Ho nne"r,
1" Nombre d'entreprises de ca mions-bazars aya nt présenté
une: demanlde d'e créa tion o u d'e.xtension de,p:-uÎS La ~o mu l~tion
4 .8 0~
liOJation de i habitat de l a manière suivante :
interministériel du 25 juiHet 1952, les a rticles 2 et 3 de l'a rrêt é
interministénèll du 18 juillet 19:>0 so nt modil iés de la ma nière
M. le Mi nistr e de 1·l ndustri e et du Co mm eTce, a prescrit un e
. t" nquête afin de dênombrer les entre pri ses de ca mio ns-b aza rs
exis tan t ac tu ellem cnt dans le dépa r tement, dont la créati on Oll
l' exte nsion ·d~m eur e soumise, en appli c.atio n de l'arti cle 5 1 d.e
la loi n" 5 1.592 du 24 M ai 195 1, à l'au tonsat ion pr éfectorale
préalable co nfo nmérn ont aux dispositio ns d'II IdéCJiet du 9 Septembre 1939 co ncern ant la créa tion ou l'extension des établis"
sements co mm erciau x, industri els: ou artisa nau x.
'Cette enquête d!oit por ter sur les deux obje1s suotarrts :
4.000
4. 100
4.20J
4.300
4.400
4.500
4.600
4.TlO
suivante les prf:t s J)euvent atteindre 80 % des dépenses effectuées par l'empru nteu r da ns l a limite d' un maximum de :
D'aut re part, confo rmément aux dispositi ons de l'arrêté
ENQUETE SUR LES ENTREPRISES DE CAMION5-BA1!A:RS
ACT UELLEMENT EXISTANTES
Le Pré le i des Bouohes-du-Rhô ne
à J\1l\-l. les Mai res d~ Dé"oa rte'm ent.
3.900
Le déc ret n° 52-924 du 2j juillet 1952 a modifi é le déc ret
n 5 1-9 12 du 10 juille t 1952 rela tii aux prêts destin és à l'a mé1° il su r stitue à la date du 1er juiUlet 1952, la date du
1er juillet 1953 comme limite de dépôt des demandes de prêts ;
la pèriod e d'attrib ution de ces prêts qui devait se term iner le
1er juill et 1952 est donc prorogée d' une a nn ée ;
2" il substitu e la date d u 1er ju ille t 1952 à cell e d u
1e r ju ille t 19:;1 ,po ur l'applicatio n de l' article 2 du déCIe t du
18 juillet 19:>0, c'est-à-di re po ur la détermi na tio n du mo" ta nt
des ressou rces susceptibl es d~è tr e aff ectées à l'a tt r ibution des
prêts a l'a meJio ra tio n de l' hab itat.
D4 B3 - CIA 1
10
enrants
sc: 0
Dans les deu x cas, il me serai t utile d'avoir le plus de rensei~
gnem ents !possibles- S UI' le nombr e de ca mions-bazal5 exploités,
leur ~) u issa..n ce., leulrs aménageme.nts, les mar ch andises qu'ils
transport ent et les régions qu'ils visitent le plus so uvent.
li ne fau t pas se diss imul'er que l a di scrim i nation entre
co m; nerça nts ambu lants et forai ns, d"un e part, et enttreprer1 eurs
d e ca mionS-bazars, d'autre -part, sera parfois malaisée 10:; établir
car il est à penser que ces dern iers ~ ju.,rc h en t à se co uvir du
t crrne génér ique d'ambulant et de fo rain afin de se soustraire
aux obliga tio ns qùe la loi leur i",pose et de ne pas s'expos6r
ai nsi all risque d'un refus d'a utorisatio n. Une l'aison qui m'inclin e: fI. ém.ettre- c.e.t:te opinion est que mes ser vices co mpétents
n'ont pas eu il co nnaître au cours de ces (j~ rni ères ann ées
de demandes de creatio n ou dr'extension d'entreprises de camionsbazars au titre de l'applicatio n du décret ,d u 9 Septembre 1939.
Il powrra se fair e éga lement que vous vous trouviez en
présence d'ent repri ses de e:a mions-bazars dont le siège social
est sdtué soit hors du départem ent, soit dans une com mune
autre que le vôtre. II conl\'iendra à l'égard' de cell e-ci de me
préciser le lieu du siège social r éel, lorsqu'il pourra ~tre con nu
de vous.
fi importe, dans ces co nditions, que cette eTU:(uête sait conduite avec une- attentio n toute SIpL:..ciale, n'e,.xcluant pas lai céJérilé 'Pa r les 3'utorités- q ualifiées pÜlcêllS sous vos or dres) en e-.x.ença nt, SI besoin est , dies su r veilla nces sur les mardhés de vo1rœ
commune, a-fi'l1' qu~ j'aie en mai n, d ans un délai auss:i bnef que
possible, les éli.!ments nécilssaires à la rédaction du rapport
d'ensemble dema ndé par iJ\ol. le J\ttiinistre dit l'lndustrie et- du
Commerce d.,.ns l'e cad,re des mesures qu'ill envisage pour
améliorer et moderniser la distr ibution commerciale.
Je me perm ets de co mpter su r une prompte diligence de
votre ,part pour aS5.ULe[ une t ransmission tr(:s prochaine des
renseignemen ts que vous ser ez il même, le cas échéant, de me
comm uniquer .
Pour le Prélet,
Par <lélégation,
Le Serrétalre Genéral,
Signé : Maxime MIGNON.
CA!mEIl IDES CHARGES-TYPE CONCERNANT LA CONCESSJON
OU SERVICE EXTERIEUR DES POMPES FUNEBRES
P a ris, re 30 Novembre 1952.
Le Minis/r e de l'Intérieur,
à MM . les Pré/els,
Deux. décrets du Conseil d'Etat, en date d u 19 avr il 1952
(journ al Offici el du 30 av ril 1952 - Rectificatil Journal Officiel
Cu 21 mai 1952) ont app rouvé les Cahie rs des rharge>-tl'Po
relat if à la concession du seryice extérieur des Pompes Funèbres et i n té r ~ssa n t, d'une part, Les communes ou les syndicats
de comnllfues dont la population est comprise entre 4.000 et
20.000 hab itants et, d'autre pa rt, les villes de plus de 20.000 habital,t~ lo rsqut" celles-ci ne son t pas .prO'pr iét-aircs du matériel.
J'attire particu lièrement votre atten tio n sur les dispositions.
d e l'or donn ance d u 24 fév r ier 1945, en applica t ion descp.reI1es-
ont éte établ is ces cahiers des oharges-type. Son article 2 prc\lait, en effe t q~t e : .. Dans le (ltlliai d'un an à corn,pter (!-e la
pub-l ication des ca hie.r$ des c."harges... Jus contrats <le COIl<::CSsio.n ... devro nt ê.tre 1Ié-\(isés da ns chaq ue cas où les conditions
<le L'eXlpl oita1ic n en cu urs s'avère ront plus onê-re uses ou p.l us
désa vantage uses Ipour les collectivités ou les usagers que celles
resu lta nt (le l"anplicatio n Ides dispositions pr evues au ca hier des
Char ges-ty pe N .
Il vous appartient de signaler dans les meil1eurs délais à
l'atten t ion dcs Al aires la publication de ces deux noureaux
ca hie-rs des clHl rges et la possibilité qui leur est offerte, pendant
k dt!Jai, d' un an, soit jusq~t 'a tl 30 a\'rit L953, de modifier leurs
'C ontrats actue.ls en vue d 'y substituer les clau ses de ces cahiers
~.~s cha rges-type.
Le caractè re ohligafoÎre de la rUVISlon des contrats en
cours, lorsq~ leurs dispositions sont plus on~reuscs ou pJus
lk'savantage uses pou r les communes ou I~s usagers que cell~s
des n.ouveau..x.. cahiers. des ch.arges-ty,pe, implique de votre part
le cont rôle des d(eisions qui seront ,prises à ce sujet Ipar mes
mllllicillalités intéressées. Vo us roudrez bien veiUer notamment
ft ce qu'une exacte appréc iation de la por tée reSlpective des
clauses des cont rats en cours et de œUes des cahiers des cha rges-tripe soit faite pa r les conseils municipaux et apporter à
Leux-ci l e CO .1cours de vos services pour l'examen de ces problèmes dél icats.
Les demandes en revision des contrats actuels dev ront êt re
faites, pa r lettre r ecomma ndé.e avec avis ete rcceptio n afi n
d'avoir la preuve qu'elles ont été faites dans le délai lég~ .
255
�Je vous rappelle, en outre, qu'en cas de désaccord. entre les
coUecti\'ités concédantes et le concessionnaire Su~ .la revlSlOn d u
contrat en cours, il doit êt re statué sur cette revision ou sur I~s
conditions d'une éventuelle résiliation du contrat par décret priS
sous mon contreseing après a\'is du Conseil d'Etat.
Marseill e, le 12 Décembre 1952.
POlir le Ministre de l'Intérieur et par délégation,
Par arrêté en date du 25 novembre 1952, M. BARRA Marcei, demeu r ant à L a Roque-d ' Anthéron, est autorisé à ent reposer
dans SOn dé:pM de 3e catégorie, les quantités ci-après
Le Prefet,
Directeur de l' Administr ation Départementale
et Communale:
Vous voudrez bien m'adresser un doub le des demand~. en
r é\ision des contrats qui seront faites par les ~oU~ChVltés
50 kgs eXlplosifs ed classe 1
ou
ou
ou
ou
D AdlŒUON .
concédantes en application de l'ordonnance du 2-1- fe-v n er 1945
,
Paris, le 3 Decembre 1952.
Le Ministre de l'Agriculture,
à A/M. les Ingeniellrs en Chef du Génie Rural.
Il arrive Qu'une colJecth;të l ocale, telle qu 'une coopérative,
essaie d'obtenir, en particulier d'une Caisse Hègionale de Crédit
Agricole, un prêt à court ou moyen terme pour e~tre?rend re
une importante r éalisation, comme un bâtiment cooperatif avan t
que le projet soit subventionne 0 11 techniquement agréé par
me soins.
Indépendamment du fait qu'il est absolument irrationnel
d"entreprendre avec un crédit à cour t ou moyen te rme, une
œuvre qui, par sa nature même, doit être amortie sur un grand
nombre d'annees, la co1lectivite locale risque de se trouver
100
50
500
100
kgs enplosifs
kgs e"plosifs
kgs eXlplosilfs
kg explosi fs
en
en
en
en
dasse
classe
classe
olasse
2
3
4
5
Pa r arrêlé en date du 12 novembre 1952, M. MAH ION Fils,
demeurant, 397. boulevand Mic,helet, à Ma rsei lle, est auto risé à
entreposer dans SOn dépôt de 3e ca tégorie, sis au lieu dit c Les
Vieil les F~ l u r:l ues », l es quantités sui vantes :
50 kgs eXiplosifs classe 1
TRAVAUX D'EQUIPEMENT RURAL
AVIS SUR DEMANDES DE PRETS AUX CAISSES REGIONALES
DE CREDIT AGRICOLE
0 2 B3 . F 4
AUTORISATION D'ENTREPOSER DES EXPLOSIFS
04 . B3
et me tenir infonllé de la s uite qui leu r a ura été dOllnée.
Le Directeur,
ultérieu rement dans une situation très diiicile, parce que la subvention ainsi que tout .prêt à long terme su r Jes resSOu rces du
F.N.M.E, doivent l ui être refuses si les t ravaux ont été
conlmencés.
Comme en général ces prêts à cou rt terme ne sont consentis
localement qH~ sur votre avis favo rable je vous prie, à l'avenir,
de refuser formellement cet avis, même si l'inscri.ption de
d'affai re à un programme d' i nvestissement a Né obtenue.
11 est bien entendu que cette in terdlction ne vise pas les
prêts- relais à co urt ter me aocordés ap rès i ntel'vention des décisions centralec; de financemen t.
ou
ou
ou
ou
100 kg,;
50 kgs
500 kgs
100 kgs
e:q>losifs
e"plosifs
explosifs
exp10shfs
oJasse
classe
classe
classe
2
3
4
5
Pa r arrètès en date des 9 décembre 1952 et 10 décembre
1952, M. MAR ION Fils, 397, boulevard Michelet, à Mar srill<,
est autorisé à entreposer dans chacun de ses dépôts de 2e catégorie, sis au x l ieux dits <: Les Viei lles Fa luques » et c Les
Bau mettes,
500 kgs d'explosifs de la olasse 5
Par a rr êl~ en date du 12 décembre 1962, la Société SAGEH,
133, rue de Rome à MarseiUe, est auto risée à entreposer da ns
son dépôt de 3e oatégor ie, si s â P,as-des-Lanciers
100 kgs d'explosifs de l a olasse 5
,
POur le Mi nistre et par délégation,
Le Directeur du Cabinet
MAL ECOT .
•
1
JOURNEE DEPARTEMENT ALE DE LA VIEILLESSE
tion tle l'ordin ai re sera a.:ppo rtée dans tous les hospices et
maiso ns de retraites civiles et privées et une r eprésen tation
gratuite sera ~onnée à l 'O~é r a Mu nicipal,
Le Prefel des Bouches-du-Rh ône,
à MM . les MaireS,
Le magnifique succès remporté depuis cinq ans par la
en faveur des Vieux Travailleurs et la j oie ainsi
rLpandu e auprès des bénéficiaires de ce mouvement de solidarit é, m'ont inl'!té à étend re, tette année encore, au dépa rtement
tout entier, cette heureuse initiative,
Je suis sûr
rarti.cirper à cet
festations pour
la r ge initiati v~
Nous avons pensé qu'il se rait souhaitable de placer la
juurnée du 10 janrier sous le signe de la solidarité au service
de la Vieillesse.
Je vo us signa le que l'Ent r' Aide des Bouches..du-Rhone,
1-1.8, rue Paradis, e tiendra à votre disposition pO lir to ut
concours qui ,pourra vous être utile.
c~mllagne
que toutes les Municupalités auront à cœur de
éla n de générosité, en organisant toutes manilesquelles je ne puis que vo us laisser la plus
: go üter, po r t de col is à domicile, etc".
Le Préfci :
Pour MarseiUe, le banquet des do}'ens se tiendr3t, comme
c~aque annce, aux Salons Michel, rue Aldebert. Une améliora-
Le Secrétaire
G~nl!ral
:
Pou r l e Préfet et par Délégatio n,
Maxime MIGNON .
Hené P,AIHA.
---------------------------------------------------------
COMMUNIQUES
-
D.D.S.
AVIS - ANNONCES DIVERSES
AVIS DE CONCOURS
1. - Un concours pour j'emploi de Commis au Sanatorium
départemenl al de Hoquef raiche, il Lauri, (Vaucluse) sera ouvert
l es 5 et 6 macs 1953.
11. -
Recrutement d' un
Contrôleur sur
place des
lois
<l'Assistance, il la Direction Départeme ntale de la population
du Var, à D raguignan, co ncou rs les 8 ct 9 janvier 1953.
Pour to us renseignements s'adresser: D irection Oé parte)menta le de Id Population, 66'A, rue St-Sébastien (Iér étage,
MARSEILLE.
l WPII'ME:.U NOU\' I!LU Olt MAII Slt tL.L &, 120, ru~ S .. intl!
256
251
�
https://odyssee.univ-amu.fr/files/original/2/274/RES_JP_118_RAA-BDR_1953.pdf
f6743ee2bb93daaec340f12e75651c95
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Text
AVIS DE CONCOURS
0\ BI
bOOflfs-Du.RHONE
Inspecteurs adjoint$ stagiaires de la Direction des finances au Maroc
Secrétaires stagiaires des Services Civils de l'Algérie
_8.C.:te'c5::~ min ist rat ifs
Rédacteur à la Mairie d'Aix-en-Provence
Un concours pour le recrutement de 60 inspecteurs ad j oi nts
stagiaires des cadres extérieurs de la Direction des Fi nances d u
Maroc aura lieu les 8 et 9 mars 1954 à Rabat, Paris, et, s i le
nombre des candidats le justifie, dans d'aut res ce ntres de la
Mitropole.
Le registre des inscriptions ouvert à la Direction des Finances (Bureau du Personnel), à Rabat, où les candidats pourront
s'adresser pour obtenir tous
clos le 25 jaO\oer 1954.
renseignements utiles sera
.".
Un concours pour 14 places de Secrétaires Stagiaires des
Services Civils de l'Algérie aura lieu:
10 _ pour les épreuves écrites, le lundi 5 avril \954, da ns
les Centres suivants : Alger, Oran, Constantine, Paris, Marseille, Lyon, Bo rdeaux, Nancy, Rennes, Lille, Toulouse, Ajaccio,
Rabat, Tunis.
20 _ pour les épreuves orales, aux Cent res qui seront dési gnés ultérieurement.
La date de clôture des lfisc ri ptions est fixée au 5 mars
1954.
30 _ P o ur tous rensei,gnements complémentai res, s'ad resse r
~HI Gouvernement û~néïa l , Direction d e" la Législat ion et de la
Fonction Publique, Personnel des Se rvices Civils, à Al ger.
:.
La mairie d'Aix-en-Provence organisera, les 21 et 22 jan~
vier 1954, un concours pou r l e r ecr utement d' un r édacteur.
Les conditions d'admission son t l es suivantes:
Limites d'âge - 21 ans au moins et 30 ans au p'lus, au
1er janvier 1954. Cette dernie re limite d'âge est prolongée d'un
an par enfant à charge et des ser vices militaires obli gatoires.
Diplôm es exigés - L'un des d Iplômes ci-ap rès :
Bacca lauréat de l'enseignement seco ndai r e
Brevet supérieur de l'enseignement primaire
1953
Diplôme de l'Ecole Nationale d'Administration Mu nicipale
de l'U nive rsité . de Paris.
Dép6t des demandes - 16 janvier 1954, dernier délai.
Pour tous renseig nements sur l a co nsti tu t ion des dossiers
et le programme de ce conco urs, s'adr esser en mairie d'Aix,
ser vice du Personnel.
TABLE DES MATIÈR ES
AUTORISATION D'OUVERTURE DE COLOMBIERS
Par Arrêté Préfectoral en date du 15 décembre 1953, ont
été autorisés à ouvrir un colombier de pigeons voyageurs dans
leur domicile, MM. :
_
GUIDONE Joseph, 121 , chemin de St-Julien, Marseille;
SERRALIER Ro ge r, 15, Bd du Pont-de-Vivaux, Marseille;
LAFONT Hector, 3 1, rue de la Boétie, SHlarnabé ;
LE MARCHAND Pie rre, 3, Allées des Ifs, Bois-Luzy,
Marseille.
EXAMENS RADIOSCOPIQUES - AGREMeNT D' UN MBVECIN
Par Arrêt~ Préfectoral en date du 21 décembre 1953,
M. Guy LARTIGUE, médecin, demeurant 295, Bd Chave, a été
agrèé pour pratiquer l es examens r adioscopiq ues en vue de ia
délivrance des certifica ts pr énut iaux et pr énataux.
MISE EN DISPONIBILITE
Par Arrêté PrHeclo ra'l en date du 18 décembre 1953,
Mme BERTHE Louise, ouvrière professionnelle de 1re catégorie affectée au Foyer des Pupilles, a été mise, sur sa demande,
en disponibilité san solde, pf)ur une période d'un an, à comp-
ter du 2 1 novembre 1953.
Pou r le P réfe t et par Délégatio n.
Le Secrétaire Général
Maxi me MI GNON.
298
'1rIII".I~.II:
parue s
NOD.,..s,' .. .... M.Utal LLI:, lolO, rur SalOle
o la.ssées
par
au
de
l année
1953
rubr1"ques
où
oours
le s
et
textes
dan s
o nt
l' or d r e
été
0
h ralla 1ogique
publiés
�AVIS DE CONCOURS
0\ BI
bOOflfs-Du.RHONE
Inspecteurs adjoint$ stagiaires de la Direction des finances au Maroc
Secrétaires stagiaires des Services Civils de l'Algérie
_8.C.:te'c5::~ min ist rat ifs
Rédacteur à la Mairie d'Aix-en-Provence
Un concours pour le recrutement de 60 inspecteurs ad j oi nts
stagiaires des cadres extérieurs de la Direction des Fi nances d u
Maroc aura lieu les 8 et 9 mars 1954 à Rabat, Paris, et, s i le
nombre des candidats le justifie, dans d'aut res ce ntres de la
Mitropole.
Le registre des inscriptions ouvert à la Direction des Finances (Bureau du Personnel), à Rabat, où les candidats pourront
s'adresser pour obtenir tous
clos le 25 jaO\oer 1954.
renseignements utiles sera
.".
Un concours pour 14 places de Secrétaires Stagiaires des
Services Civils de l'Algérie aura lieu:
10 _ pour les épreuves écrites, le lundi 5 avril \954, da ns
les Centres suivants : Alger, Oran, Constantine, Paris, Marseille, Lyon, Bo rdeaux, Nancy, Rennes, Lille, Toulouse, Ajaccio,
Rabat, Tunis.
20 _ pour les épreuves orales, aux Cent res qui seront dési gnés ultérieurement.
La date de clôture des lfisc ri ptions est fixée au 5 mars
1954.
30 _ P o ur tous rensei,gnements complémentai res, s'ad resse r
~HI Gouvernement û~néïa l , Direction d e" la Législat ion et de la
Fonction Publique, Personnel des Se rvices Civils, à Al ger.
:.
La mairie d'Aix-en-Provence organisera, les 21 et 22 jan~
vier 1954, un concours pou r l e r ecr utement d' un r édacteur.
Les conditions d'admission son t l es suivantes:
Limites d'âge - 21 ans au moins et 30 ans au p'lus, au
1er janvier 1954. Cette dernie re limite d'âge est prolongée d'un
an par enfant à charge et des ser vices militaires obli gatoires.
Diplôm es exigés - L'un des d Iplômes ci-ap rès :
Bacca lauréat de l'enseignement seco ndai r e
Brevet supérieur de l'enseignement primaire
Diplôme de l'Ecole Nationale d'Administration Mu nicipale
de l'U nive rsité . de Paris.
Dép6t des demandes - 16 janvier 1954, dernier délai.
Pour tous renseig nements sur l a co nsti tu t ion des dossiers
et le programme de ce conco urs, s'adr esser en mairie d'Aix,
ser vice du Personnel.
TABLE DES MATIÈR ES
AUTORISATION D'OUVERTURE DE COLOMBIERS
Par Arrêté Préfectoral en date du 15 décembre 1953, ont
été autorisés à ouvrir un colombier de pigeons voyageurs dans
leur domicile, MM. :
_
GUIDONE Joseph, 121 , chemin de St-Julien, Marseille;
SERRALIER Ro ge r, 15, Bd du Pont-de-Vivaux, Marseille;
LAFONT Hector, 3 1, rue de la Boétie, SHlarnabé ;
LE MARCHAND Pie rre, 3, Allées des Ifs, Bois-Luzy,
Marseille.
EXAMENS RADIOSCOPIQUES - AGREMeNT D' UN MBVECIN
Par Arrêt~ Préfectoral en date du 21 décembre 1953,
M. Guy LARTIGUE, médecin, demeurant 295, Bd Chave, a été
agrèé pour pratiquer l es examens r adioscopiq ues en vue de ia
délivrance des certifica ts pr énut iaux et pr énataux.
MISE EN DISPONIBILITE
Par Arrêté PrHeclo ra'l en date du 18 décembre 1953,
Mme BERTHE Louise, ouvrière professionnelle de 1re catégorie affectée au Foyer des Pupilles, a été mise, sur sa demande,
en disponibilité san solde, pf)ur une période d'un an, à comp-
ter du 2 1 novembre 1953.
Pou r le P réfe t et par Délégatio n.
Le Secrétaire Général
Maxi me MI GNON.
298
'1rIII".I~.II:
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NOD.,..s,' .. .... M.Utal LLI:, lolO, rur SalOle
au
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1953
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0
h ralla 1ogique
publiés
�3
COTE
NI' oes
BULLet'1NS
OllJETS
SOMMAIRE
ADMINISTRATION
AG 0
Parc!
AD MINISTRATION GENERALE .... . ...... · .. · ·· .... ·
PO LICE
........ .......... ....... ..... ............ .. ..
BI ENS COMMUNAUX ...................... ..
FINANCES
.. - ... ............ .... ... .. .... .. ... .... .. .
SERVI CES COMMUNAU X ... .. .. .. . .. .... . .......... .
TRAVAUX ... . ........... .... .... . ............. . ..... .
•
EDUCATION NATIONALE .......... · · ........ · .... . ..
FAMILLE ET SANTE . . . ............ . ......... . ..... .
l
Di vers . . . . . . . . . . . . , . . . . . • • . • . . • . .. . ••.
Magist rats r.,'funicipaux .... .... .••• .• •. . ......•
Person nel ('ommunrul .... .... .•. • . ... .... .... • .•.
Affaires intercommuna.les .... .... .... • ... . .. .
Politique ct propaga:lde
D élUogT;tphi e .. . . .... .... •..• . ... .... • ...
Associations .... .... .... •.• . . . . . • .. .
Affaires militaires .... .., . . . .. .... • .. .
Dommage de guerre . . . .
Elections politiques
. . .• .... • ... . ...
3
3
Divers.. ..
. . . ' .. . . . . . - . . . . . . .. .. . .
Cbasse et pêche . ... . ...... . ..... . .. . .......... .
Hôtels et débits de boissons . ... .... .... . .. .
Réunions et ma nife stat ion s. ---: Jeux et spectacles
Etrangers ... . .... .... . ...
4
5
5
5
5
Acquisitions ... . • . .. .... . .....•.•...
5
Divers . . . . . . .. .. . . '. ' ....
Comptahilité comnlun.:l.lc .... ..,.
Impôts et taxes. - Droits di vers
Emprunts et subvent io ns .... ....
.. . • • • • . .... '. . ...
.... . ...
.... . . , .
. .. . . .. .
5
Protection contre l' incendie .... • . .. .... .••. .... • • ....
6
Divers .' .. .. .. .. .. .. ..
.. .. . . .. . . . . . . . .
Bâtiments et terrains communaux. - Constructions scolaires
et terrain s de sports ... . .... .... .... .... .... . .....
Electrification , . .. .... . ...
Adjud'ications et marcllés .... .... . ••. .... . ••. ••..•.•.
6
Enseignement technique et app rentissage .... . ...
7
Divers . . . . . ' .. .. .. . . . . .. .. .. .. .. .. • . . .• . ..
Assistance à la famille ... . .... ....
. ... • .•• ,.
H ygiène sociale .... .... ....
... .... .... . •..
Etablissements d'Assitance et de Bienfaisance ....•.•.....
Poilee médicale .... .... .... .... .... .... .... . .....
RAVITAILLEMEN T ET RATIONNEMENT .......... .
Prix et ta xJ.t ions .... .... .. . . ..•• • • .. .... . • ..... . . .
AGRICULTURE ...... . .... .. ............. .. .......... .
Di\'ers .. . . .. . . ..
Organisation génér •• le
Habitat rural .... . ..
Cultures
COMMERCE. -
IND USTRIE. -
ARTISANAT ....... .
ADMINISTRATIONS CENTRALES ........ - _. _. - - _..
.. .... .,..
.... . ...................
. , , . ..
. ........ , ....... .
..
.. ..
4
!
!
j
4
1
4
-
r.
AG 1
.. ..
,
..
..
,
.. .. .. .. ..
,.,.
....
. .. .
Réduction du nombre de Division s de la P,ré fecture des B ouches-du-Rh ône .. .. . . .. _... ,. .
Li ste des journali'x du D épa,rtemen t des B.-du-Rh ., autorisés à pub lier les annonces judiciaires
et légales en J953 . _.... __ ....... _ .... .. .. .... ..... .. ,. . . _. .. ... . . . . . . ..... .
Rattachement des Bureaux du, Timbre Extrao r din aire et du Trib unal de Commerce aux Bu~eawx
de la débite du Timbre et des Ju stices de Paix
_................ . ... . .... . .. .
Fonds de ga rantie au,tomobile _ Accidents corpo rel. _. __ . " _. . .............. . ..... . . .
D omma.ge s causés par les Forces Alliées sta tionnées en France ......•..............•..
D élégatio ns de sig nature - Arrêté du 16 Mars 1953 ....
.. __ .......... .... ...... ..
Adopti'Jn d'un vi ll age holl anda is _. __ ...... _...... _.... ,............... ... .... . .. .
Domm ages causés pa r les Forces Alliées sta tionnées en FranCe ......... _.. . .......... .
Dispense de purge des pr ivilèges et hypothèques dans les acqu isitions immobilières de l'Etat,
des Départements, des Com munes et des Etatllissements Publics .... _' . ... ......... _
Sinistrés Program me Départemental de priorité....
. ... '. . . _
Réglementati on des épreu,ves cyc l istes. _.. _'.. .... .... . ... .... ....
. . ....•.
Etats Gén éraux des Com mun es d'Europe __ .. .. . . .... .... .... ... . •...
. ." .. .•
D étachement de fonctionnaires de l'Etat da ns les se rvices mu'nicipaux .. _. .... . ... . • . ...•
Avi s aux fa mill es des personn es décédées d'Outre-Mer __ ..... _ ......• . _.... _.• ...•
2
2
J1
Il
12
15-16
15-16
26-27
26-27
26-27
26-27
35-36
42
48
MAGISTRATS MUNICIPAUX
6
G
Régime des indemn ités de fonctions allou ées aux Maires et Adj oin ts ...... ...•... _..•. _.
AG 2
7
7
7
7
PERSONNEL CO MMUNAL :
-
8
8
S
s
S
9
9
9
Arrêté intermini stériel du 20 Décembre 1952 portant relève ment des taux des indemn ités fdrfaitai res po ur travaux suppléme ntaires . ... _' .... ... _.. . ... . . .. ...... .... . ... . .
Application de la loi du 28 Avr it J952 port a nt statut général du personnel communal - Constituti on du Synd ica t .. _. . . .. ____ ". _ . . .. . _. . . _.. . .. _ . ... . .. .
Méd aill e d'Honn!,!!,r Départementale et Corn mun ale - Promotion du J" Ma i 1953
Attr ibution de Dots ........ '. __ . _.. _... __ ..
Statut généra l du Perso nn el communal _..... __
Conditions de renouve ll ement d'es all oca tio ns viagè res _... _. _... ..... ..... •.•.
Caisse Nat iona le des Retraites des agents des Collectivités Locate s .,.. .... . .' ..
Sécurité Soc iale - Situat ion des vé térin aires co mmunaux . _.. __ .... _.. .. .
Statut Géné ral des a.gen ts commu naux ..... __ . __ .... __ ... _ . _.. __ ..... .
Jours fériés et régi me des congés annue ts des agents des co llect ivités locales ....
M ontant maximum des avances suscept ibles d'être consenties aux agents spéciaux des se rvioes
COln nlunau x .. "
_
9
g.
Divers .. .. ..
T ra\'ail et chômage
Di\'ers ..
Personnel
'
Divers :
-
~
GENERALE
_
_
.... .... ....
. .... . .. " ...... .. . . . . . . . . . . . . . . . . ..... .
Cai sse Nationale des Retraites des agents de s co llectivités locales - Election des membres du
Con se il d'Admini stration . _.. -' .... .. _- .. ...... _.... _ .. ..... _ ..... _..... .
Validation des services rendu s à des coll ectivités locales immatriculés à la C.N.R.A.C.L. .. . .
Droits à pe nsion des agents des collectiv ités publiques . _... _.. _' . .... . .......... . . . .
'Ass urance co tlect ive en cas de décès, en fa ve ur du personnet des co ll ectivités locales _.... _
Election des membres du Conse il d'Administra tion de ta Caisse Nationale des Retraith des
age nts des collectiv ités loca les _..... . ........ . -'. _ ........ . ... . ...... .
Méda ill e d'Hon neur Départementale et Com111 una le
. . .. ... . .... ... . . .. .
Cai sse Nationale des Retraites des age nts des collectivités locales ..... - . . ....
_..• "
Pensions des age nts des Coll ec ti vit és Locales - Recours en Consei l de Préfecture _. ....... .
Appl ica ti on au'x age nts des Collecti v ités lo ca les de la loi du 26 SeptemIJ-re 195J _... . ... _.
Elect ion des membres du Conseil d' Ad'mini st r atio n de ta Caisse Nationall e de Re traites des
agents de s Collectivités loca les -' "
... - - - ". - ... ... ......... ....... _.... .
St~tllt général du perso nnel communal - Modificalion de l'a rrêté préfectoral du 16 Janvier 1953
et 10 Mars 1953 --.. .... - --. .. -- - --.. .. - - - - - - -- - - . - . - . -" .... --.. .. -Situ ati on des agents des Collectiv ités loca le s victimes .l'accidents du travail .... __ ..... .
des fr ais de déplacement engagés par les agents des Collectivités locales ..
3-4-5
3-4-5
3--4-5
7-8
11
Il
15-16
15-16
17-18-19
20--21
,
· 2~
20-21
20-21
26-27
28---29
30-3J
32-33- 34
32-33-34
32-33-34
35-36
35-36
37
37
44-45
�C011!
OBJETS
-
AFFAIRES INTERCOMMUNALES :
AG 3
-
N·· DES
"'"
BULLETINS
Syndicat de Communes - Renouvellement de s Comités .... .... .... . . ............... .
Arohives communales - Recolement: rappel des dispositions réglementaires ...... . ..... '.
Transformation en association syndicale auto ri sée du, Syndicat libre des arwsant s de Charleval
OB)1rrS
P 0
22-23-24
25
49-50
POLITIQUE ET P\WPAGANDE :
AG 4
-
Election des Maires et Adjoints
••
o·
••••
••• •••••
•••
•
. ...
. ....... ... .
15-16
DEMOGRAPHIE :
AG5
-
Cas où les extraits d'actes d'Etat-Civil doive nt Hre exonérés du droit d'expédit ion et du droit
de légalisation . . .. .... ... . .... . ... ... . .... .... .... .. . . . .. . .... . ... .. . . . ...
Recensement et révision des jeunes gens nés entre le 13 j anvier et le 31 >Décembre 1934 ..
Légalisation des expéditions des actes de l'E tilt Civil et des actes notariés. . .. .... .... ..
Circulaire du 31 Octobre 1953 relative à l'application du décret n' 53-914 du 26 Septembre
1953 portant simp lification de formalit és adminisf.ratives et de l' arrêté du 26 Octob re 1953
prévu à l'artic1e 3 du dit décret ............. ... ... .. ......... .... ...... . .. .
9- 10
15-16
28-29
Révision de la liste électorale en vue des élections des représentants des organismes mutu'al istes au Conseil Supéri eur de la Mutualité des membres du Comité Départementa l de Coordination de la Mutua lité des Bouches- du, Rhône ....... .
. . . . ,. . . .
Dessèchement des quartier de la Comm une d'Eygali eres ... .. ... .... .............. . .
-
Délégation de solde aux familles de militaires décédés, disparus ou faits prisonniers en In dochine ........ . . . . . . . . . ..... .......... . ................. . .. ... .... ... .
Sociétés sportives agréées au titre du service de l'entraînement préparatoire et des réserves ..
Convention du 19 Juin 1951 - Statut des Forces Armées des Etats Parties du traité de
l'Organisation de l'Atlantique-N ord ...
. . .... ...... .. .......... .... ....... .
Recensement et révision dans la Métropole et en Afrique du Nord des j eunes gens nés entre le
1er jal1vier 1935 et le 31 Décembre 1935
.. ........ .. ...... ..
28-29
32-33.34
P 4
7-8
46-47
Evaluation des dommages de guerre aux éléments d'exploitation non agr i.coles
Evaluation des dommages de guerre aux élé ments d'exploitation non agricoles
-
Révisi on annuelle des li stes électorales artisa nal es .... . ... . . .. . .. .
Révisi on des listes électora les Prud'homales ............. .
Elections municipales du 26 Avril 1953 ... . . . . ...... ... . .
Résultats par Comm unes des scrutin s des 25 Amil et 3 Mai 1953 .... .... .... .... . . . .
Compositi on des Conseil Municipaux .................................. .. ' .
Composition_des Conseils Municipaux - Rectllicat if du· R.A ,M. et B.A.M. - Numéro spéc ial ùe
JUIllet 19~3 ." .... .... .... .... ...... . . .. . ... . ... .... .... .... .... .... . .. .
Composition des Conseils Muni cipaux - Rect ifi ca tif au B.A.M. &pécial de Juill et 1953 ... .
12
28-29
9-10
9-1 0
Spécial
Avril
Spécial
Juillet
Divers:
-
Vitesse des véhicules à traction méca ni que da ns les aggloméra ti ons du département des Bo uches-du-Rlhône .... .... .. . . .... .. . . . ... .. .. .. .... . .. .
Appel à la générosité publique ... . .... ..
Répression des il1fraction à la législation sur le permis de construire ...
Vente de vigne'tles par l'Association régionale pour la sauvegarde de l'e nfance
Arrêté du 10 Déce mbre 1952 sur les périmètres de protection en mati ère de débits de boisso ns.
_ Débits de boissons - Peri mètre de protection
_ Pol ic'e des hôte ls et meubles .... . ...... .
REUNIONS ET MANIFESTATIONS
7-8
12
13-14
43
3-4-5
22-23-24
40- 41
JEUX ET SPECTACLES
. .. ............ .
ETRANGERS:
. .. . .... .... ....................
_ Déchéance de la nati onalité frança ise
_ Liquidati on des successions lai ssées par des travailleurs allemands décédés en France ."
_ Situation des réfugié s et apatrides ré sid ant en Fran.ce
_ Mariage des étran gers en France .... . ...
_ Ohangement de département des ét ranger s titulai res d'une carte de travail à validité terri.. . ...... ..... .... ..
toriale limitée ............................... .
28-29
7
2
6
12
20-21
25
40-41
42
BIENS COMMUNAUX
BC 2
ACQUISITIONS :
_
Purge des hypot hèques ........... . ... .
. . ........ ......
9-10
. .. .
FINANCES
37
44-45
POLICE
-
2
2
3-4-5
/,6-47
F 0
PO
40-41
HOTELS ET DEBITS DE BOISSONS :
Jeu., d'argent sur la voie publique ....... .
ELECTIONS POLITIQUES :
AG 14
22-23-24
25
26-27
30-31
40-41
CHASSE ET PECHE
P 5
DOMMAGES DE GUERRE :
-
1
1
15-16
17-18-19
20-2 1
20-2 1
37
P 8
AG 13
Appel à la gé nérosité publique .... .... . . . .
jury crimin el pOUf l'année 1953-1954 .... ... .
....
Emploi de haut-parleurs su r la voie publique
,Colombaphilie _ Lâchers de p'geons voyageurs fran ça is et étrangers .. " ....
Placement des fond s dépendant de la dotati on des associations et de la réserve des fondations
·reconnu es d'utilite publique .... .... ...
. .......... .
Recen sement annuel des ,re ssources co lombo phil es .. . .....
. .... ' ............... .
- In sc ri pti ons su·r les murs et chaussées. . . .
. ........ "
............
. ...... .
_ Délivrance aux jeu nes gens du ce rtifi cat de positi on militaire pour l'obte ntion d'u n passeport.
- Campagne en faveu r de la vieill esse .... .... .... ....
. . ' . ................. .
_ j ournée départementale au profit des œuv res sociales de l'Association National e « Les Fils
des Tues » ....
. . . . .... . .. .... . ............... .. .... . .. . .. .
Pêche fluviale - Réglementation permanente
................. . .... . ..... . .. .
_ Périod e d' interdiction de la pêDhe en 1953 .. . .
. . .. .... . .. ~ ..... .' .
_ Arrêté du 9 Janv ier 1953 réglementant l'e mp oise ment des animau x nui sibl ~ ........... .
_ Rectifi c'at if à l'arrête préfectora l du· 23 Décembre 1952 su r les périodes d'in terd iction de l a
...... ' ..
. Y'
pêc he en 1953 . ......... '
- Poli ce cie la chasse
... ' .... . ... . .... .
- Poli ce de la .pêche. . .
. .. . ' . .
Arrêté de clôture de l a ohasse pour la ca mpagne 1953-1954 .... ... . .... .... . ... .. .
44-45
AFFAIRES MILITAIRES:
AG 7
-_
P 3
ASSOCIATIONS :
AG 6
BVLLIrrINS
Divers :
·
. s de l'Etat - Assurances Mc ès - Enfants posthume s
Sécuri té Sociale cles fonc t llmnalre
des dépen ses des exercices peri mes.. ... .
>
de subvention s à des assoc lalJon s et œuv~e I ~cales
par chèques des dépenses des exer cIces perimes
. " . .. .... .... ..'
. ppe ls d'émoluments au profit des age nts mut es ................... .
N\ and atemcl1 t de ra
1
. ..
.
b, "
de l'Etat des Départements des ' Communes ct des EtaJhssemen s
Acqul Sltto n s II1 U\110 1 leres
,
..
publics
. . .. .... . ... .... ....
..' ... . ................ .. .
_ Régime de
_ Règlement
Versement
Règlement
1
1
3-4-517-18-19
35-36
•
••••••••
37
�OBJETS
C01II
FO
-
F2
Comptabilité des opérations de dOlllmages de guerre de co llecl ivi tes loca les .. .. .. . .
Application de la déchéance quadriennale allx <letles des coll ecll vi lés locales .... .... . .. .
Caisse nationale d'assu rances su r la vie (altri bution de ,dOIs) . . ....................... .
Maintien de l'indem nité ck mutalion aux agents cha,gés de famille nouvelle ment recrutes . .
NU DEs
BULLETINS
3R-39
43
TVX 0
46-47
5 1-52
COMPT ABlUTE COMMUNALE :
-
Frai de fonctionnement des Justices de Paix ct ùes Tribun aux de si mple pol ice
Recettes accidentelles et \'3 ri ab les . . .. .... .. ..
. ......... . .
44-45
48
IMPOTS ET TAXES - DROlTS V/VERS:
F 3
-
Surtaxe communa le d'abatage . ... ... . . ....... . . . ...................... . ... .. .
Taxe locale sur les ven l es au détai l .... . ... . .............................. .
Assujettissement des établissements industri els de l' Etat à certains impôts département aux el
-
Suspension provisoire de la perception de la ;axe locale frappanl certai ns produits alimentaires
Simplification de formalités administratives - Application du décret n" 53.914 du, 26 Seplembre
1953 et de 1 arrêté du 26 Octobre 1953 . . .. .... .... .... .... .... .... . ...
Assujettis ement des départements et des com munes cl de leurs régies de se rvi ces publi cs à
l'impôt Sl'r les Sociét és et aux taxes sur le chiffre d'affaires .. .. .. ........ . .
Taxe locale additionnelle aux taxes sur le chiffre d'affaires
. . .. .... . .. .
cornlTIUnaUX .... .. .. .. .. .... ....
-
. ....... .......................... .
15-16
35-36
42
43
48
48
51-52
EMPRUNTS ET SUBVENTION DlVEI<SES :
F 4
- Prêts du Crédit Agricole aux collectivité publi ques r u'ra les
- Prêts aux collectivités loca les ....
. . .. . .. , .....
Elangissement du chemin départemental n' 4 de Saint-Louis à Saint-Menet .... . ...
Aménagement de vi ll age - Creation de buan deries communales ...... .. ....... .•...
Travaux ù'équipement r Ura l ..
. . .. .... .... .... .... . ...
Constit ution d'une associ ation syndic~le li bre .... .... ....
. . .. . ... .... . .. .
. . .. . .. , ... .
,Expl oitation de cu lture par submersion .... .. . . .... ... . ....
.Déviation de la R. N. 8 entre Bouc-Bel-Ai r et Aix-c:' -Provence .................. . .
Assouplissement des règles d'emploi des ex'plosifs à oxygène liqu ide dans les car rières ~. .ciel
. ouvert .... .... .. .. .... .,.. .... .. .,.. ....
. . '. .... .... .... .... . .. .
- Détacheme nt de parcelles .... .... . ... .. ... . .. . . .... .... .... .... .... .,. . . .. .
- Sursis du permis de construire de la Société Rou tière Colas .... .. .... ,. .... . ..... . .. .
- Approbation du projet d'assa inissement de la commu ne des Saintes-Mari es-de-la-Mer ... .
- Tra vaux communaux d'alimentation en eau' potable - Syndicat comprenant à la fois des
commu nes urba in es et des communes ru raies ... . .... .... .... .... . ...
- Réglementation de l'in sta llation de dislributeu rs automat iques de carb urant sur la voie
publique ... . .... .... .... ... . .... .. .. .... .... .... .... . ... .... . .. .
- Autorisation de pénétrer dans les propriétés publiques ou, privées, closes et non closes
- Curage de la rivièr e « Touloubre • _ Arrêté du 28 Octobre 1953, autorisant l'occupation temporaire du terra in . .. . ................. .. ............... . ........ . .. .
- Organi sation de la voirie dans les quartiers d' habitati on ....... . ................... .
- Programme départemental de ,pr iorité de re co nstru ction des biens sin istrés pour 1953 ... .
- Route nationale 11 3 - RectifiC'ation entre l e, Pennes-Mirabeau, et le Baou
- Prime départementale complémentai re à la Re co nst ruction . . .. ... . ...... .
. . .. ... . .... ....
. . .. . ...
- Calcul des 'ho,aires d'architectes .... .... ....
-
BATIMENTS ET TERRAiNS
ET TERRAINS DE SPORT :
TVX 1
44-45
51-52
_
-
SERVlCES COMMUNAUX
SC 7
Protection contre l'incendie :
-
Stages au· Centre d'instruction de la protection civile en 1953 .... . . . . . . . . . . . . . . . . . . ... .
Entrainement physique des sapeu rs-pompiers - Circulaire mini stérielle du 3 1-12-1952 ... .... .
Décret du 7 Mars 1953, relatif à l'organisati on des corps de sapeurs-pompiers . ..... . .... .
Application dll décret du 7 Février 1941 .. ' ................ . .......... .
Corre pondance avec le serv ice dépa rtemen ta l d'incend ie .... .... .... . . .. ... ..,.. ...
Parti ~ ipati o n de. l'Eta t aux dépenses d'équipem ent des services ',publicS d' in cendie (mesures de
deconcentrahon) .... .... .... .... ...... .... .. .. . ... .... .. .. .. . . .... . .. .
S~curité des établissements de natat ion .... ...
. . .. .. . . ....
. , .. . .. .
Attrib ution d'indemnités aux officiers de sap eurs-pomp icrs vo lonta ires . ' .... .
Méùa:i1e d'Honneur des sapers-pompiers .... .... .... .... . . .. .... .... .... . ...
Responsabilité des Communes en mati ère de protection co ntre l 'in cendie _ Contrats d'ass u"
rances .... .... .... ...
. . .. .... .. . .... . .. .
Régiment de sapeurs-pompier de Pari s - Recrutement du pe f>o nn el ...... ..... .
Entraînement physique des sapeurs-pompiers .... ... . .... .... .... .... . . . .
Méda!"e. d' Honneu.r des sapeu rs-pompiers - Promotion du 14 Juill et 1953 ... .
In cllleralJon des vegetaux .... .... .... ...... ....
..
Taux horaire des vacations à payer aux requ is ............... ..... :: . ... :: ......... ... . '"
6
7-8
12
13-14
13- 14
13- 14
13- 14
13-14
15- 16
_
-
1-
1-
Rég'lementati.on Sur l'emploi des explosifs dans les ca rrières du département des B.-u-Rh .. .. .
A~chlteetes evalu ateu rs et reconstructeurs aff eetés au départeme nt des B .• du-R1h. .... . .... .
ReglementatiOn de la clrculal10n des embarca tions à hélic'es sur le littoral de la II I' Région
111antlme .... .... .... .... .... .... .... . ...
Arrêté préfectoral génera l pour la protection des lignes têligra'p'hi;lu~~'~ t iéléph·;n·iqu~ ~:.
Cal cul des horaires d'arch itec tes .... .... .... .... . ...
Contrat relatif à l'explO itation et à la modern isation ,des in5t~ÙaÙo;1 ~ ' de ' ~h~uff~ge
Rectification d ~ chemi n départementa l n' 55 F. . . . . ... . .... .... .... . .. .
Travaux de deviation ùu chemin département al n' 49 E. .... .... .... . .. .
Tra\'a ux de rectification du chemin départeme ntal n' 5......... . ... ....... .
Evaluation des dommages de guerre immobiliers (imme ubles bâtis de toute nature)
Dispos iti ons relatives au eoû t des constru ctio ns sco laires (Circu laire n' 53-80 du 7-2-1953) ..
Constr uc tion s scolaires du l " degré ............ ...... ... . ................... .
Projet d'a mén agement de la com mune de Fos- sur-Me r ......... .. ... . .......... .... .
Acquisition de matériel scOla ire par les CO~lmunes ... .. .. ...... ................. : ..
Ati énation des immeubles appartenant aux u épartement, Comm unes et Etablissements Publics.
Fixati on des frais de contrô le dus à l'Etat par les ent repreneu rs de distribution
élect riq ue pour l'a nnée 1952 ....
. . .. .... .. .. .... .... . ... . ...
en exécution .... ....
d'énergie
. . .. ..
. . . . .. ....
. . .. .... .... .... .... . .. .
_ Marchés des collectivites locales .... .. .. .... .... . .. . ... . ....
. . .. .... . .. .
-- MarClhés de c.harbon .... .... .... .... ...... .... .... ... . ..... ..... ,.... .... .: ..
Interd iction de la réper cussion dan s les prix des marc'hés de .Ia parltclpatlon a la co nstrucllon
illlposée aux employeurs par le décret n' 53-70 1 du 9 aout 1953 ................ ... .
Modification de l'ad re sse de l'In spect ion Prin cipale de l' Enseigne ment Technique . ....... . .
44-45
46-47
46-47
48
49-50
49-50
9-10
17-18-19
30-31
4O-4f
40-41
2
1\
40-4 1
44-45
49-50
49-50
37
FAMILLE ET SANTE
Divers :
FS 0
T-8
7-8
7-8
7-'8
_
7-8
38-39
43
ENSEIGNEMENT rECHNIQUE ET APPRENTISSAGE
Autori sa tion de transfert de co rp s. . , .. .... .... .... .... .... .... .... . .. , .... . .. .
Prestati ons ial1\iliales et all ocatio ns logem ent
.. ~
: . .. .... . ..•
_ Rec'rutel11ent d'internes dans le s ,hôpitaux psy~llÎât~iques et les sa natof1ums . ...... .
t ct personnel hosp itaher pour 1 ann€e 1953 ...................... ..
·
ge
- C°énd
annuet . ll,S a' pratiquer les examens .radioscopiques (ce rtific ats prénuptiaux et pre- M eC ll1 s au· on se
.
6
38-39
EDUCATION NATIONALE
_
6
6
35-36
SCOLAIRES
_ Marcll és des collect ivités loca les paya bles pa r annuités. .. . .............. .
_ Ma rchés des co l1 eec·tivités localles - mention s su r les piè ces justificatives de la date de mise
EN 3
1
6
CONSTRUCTIONS
25
25
30-31
ADJUDICATIONS ET MARCHES
TVX 5
Divers :
-
COMMUNAUX -
12
15-16
15-16
22-23-24
22-23-24
25
ELECTRIFICATION
TVX 4
28-29
30-3 1
30-3 1
32-33-34
37
40-41
TRAVAUX
TVX 0
NU DES
BULLETINS
OBJETS
COTB
Con~'~lti~~~?n ' d~' réio'r;n~' d~ p'e'r~o;l~ei h~~pita i;~;' p~~; '1'~~~~ùi53 ......
13-14
13-14
15-16
15-16
17-18-19
25
�8
9
=
OBJETS
CO're
COTE
-
Placement d'urgence des personnes atte in tes de troubles mentaux ou présu mées telles .. ... .
Personnel des Etab li sements Publics d'H osp italisation, de soi ns Ol! de ~ ure - Limite d'âge ..
Contingent coTIlmunal des dé.penses d'assista nce pour 1952 ......................... .
. . . .... ... . .... ... . .... .. . . . . .. .... . . . .
Fichier central d'assistance .... .. ..
30-31
48
51-52
51-52
-
Il
-
HYGlENE SOCIALE :
-
Arrêté du 21-1-1953 portant modifi ca tion des taux de remb ou rse men t des opé rations de dési n............ . .. . ... . .... . .
fection dans le département des Boudhes-du-Rhône
In terdiction du transport et de la ve nte des coqu illages marin s dans toutes les co mm unes du
département .... .... .... .... .... ...... .... ....
.. .. . . . ... . ... . .. .
ETABLISSEMENTS
FS7
-
3-4-5
-
-
D'ASSISTANCE E T DE BIENFAISANCE:
I.I.. . ". . . .. .... .... ....
. . " ....
3-4- 5
3-4-5
Spécialités agréées à l'usage des collectivités publi ques ... .
Sltuahon fIscale des membres du co rp s midic al hospitalier ...... : : . : ....... ' : : : ...' : ...... .
Etablissement des listes annuelles des méde ci ns, chirurgien s-dentistes et sa,ges- Iemmes
....... .
Pri s de vente des laits de consommat ion
Prix de vente au déta il -des viandes frai ches de bouderi e ..
6
Rembourseme nt des frais de déplacement des fo ncti onn ai res du cre e rural
Elections de la Mutualité Socia le Agri co le .... .... ".
" III
Arrêté du Il Mai 1953 su r la sa lubrité des viandes
. . . .. .... .... .
Réglementation de la fabrication ~t de . la vente du y'a~'II;t' ~~, 'y';gh~~;t' .... :::: :::: ::::
Taux des cOllsatlOns en mall ere d allocallons familiales agr ico les pour lei l " s
t 1953
At!r1 buhon de prunes aux chevaux des Sociétés ,hi
urbain es ........ e.~es re
. '. :
Statut des baux ruraux ....... . ....... .
A rrêté fixant les cond itions d'atiribution d'u ne prime départem ental e d'access on à la petite
proprié té .... . ..
Proje t de reconstrud ion et d'aménage ment de la vill e de La Ciot at ................... .
25
28-29
28-29
9
12
12
38- 39
42
49-50
CULTURES:
Lutte co ntre les enn emi s des cu ltures .... .. .. ...... . . . . ."
Empl oi de s.péciali tés antiparas itaires agri co les pe ndant l'année 1953
....... .
- Fi xat ion des cowrs d es denrées devant servi r de base au calcul des f~rmage s
...... .
.- Re ct ificat if à l'a rrêté préfectoral ,du Il se.ptcm bre 1953 fixa nt le cou rs des denrées se rvant de
base au ca lcul ·des fermages .... .... . ... .... .... .... .... .... . ..
- Cou·rs des denrées devant serv ir de base au ca lcul des fermages ..
. . .. . ..
9- 10
13-14
20-21
38-39
40-4 1
49-50
COMMERCE - INDUSTRIE - ARTISANAT
13-14
CIA 0
15-16
22-23-24
22-23-24
26-27
32-33-34
32-33-34
CIA 4
Règleme ntation de la ferme ture des boulanger ies pendant la période des congés
25
Divers :
Homm ages pub li cs .... . ... .... .... ........ .. . . ..
. . .. .... .... .... .... ".
_ Concours d'admission à l'Ecole Nationale d'A clministration 1954 ...... . . . . . . . . . . . . . . . .
_ Verse me nt des ,retenue s rétroact ives p ou r la va lidation des services pris en compte dans L1ne
............. . ....................... - ..... .
pen sion .. '
, AC 3
G
17-1 8-1 9
25
ADMINISTRATIONS CENTRALES
30-3 1
32-33-34
46-47
13-14
20-21
26-27
26-27
Vérifi ca ti on des li stes électo rales consu laires - Constitu tion des Commi ssions ~our le ressort
des Tribunaux de Commerce de Marsei ll e, Aix-e n-Provenc'e, Salo n, Arles et Tarasco n
Application du décret-loi du 12-11 - 1938, relatif à la carte de co<mm erçant, pour les ét rangers
TRAVAIL ET CHOMAGE :
_
AC 0
49-50
49-50
Divers:
-
43
44-45
49-50
Divers
-
A'
7-8
AGRICLILTURE
A 0
51-52
HABITAT RURAL
PRIX ET TAXATIONS :
R4
38-39
51-52
A 2
-
Fixati on des prix de j ou rnée 1953 .... .... .... .... ..... . ,... • .,..... •. ,', '..... ""
..
Fixation des prix de journée prév ision nels appli cab les durant l'a nn ée 1953 à l',hôpital-hospi.ce
de L~ Ciota t .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... ... . . ... . . . .
Fixation des prix de journée pour l'année 19.53 dans div er s établisse ments hospitali ers ..... .
Foyer des pupillles de Saint-J oseph - Prix de jou rn ée .................. ... .. . . . ... .
Rectificatif à l'a rrêté préfectoral du 4 fé vri er 1953, re lat if à la fi xation -des pri x de jou rn ée <lans
<livers établ issements ho pitaliers
. . . . .. . . .. . . . . . ..
T axe su r le chi ffre d'affaires et taxe uniq ue de rem.placement - E;~~ é ~~ ti ~ n ' 'ci~s '';t~b l is's~~
ments et instituti ons sanitaires .... .. .. .... .... . . .. .... .... . .. . . ... .... . .. .
Hôpitaux et hospices publ ics - Etablissements d e cure et hôpitau·x psychiâtriqu es .... . .... .
Centre départemental <le rééducation de ï en lance déficiente - Prix de joumée ......... . . .
Services .hospitaliers de l'Administration <le l'Ass istance Publique de M arse ill e - Pri x de
Journee .. .. .... ... . .... ....
Hôpitaux et hospices publics - Remboursement des soins dépensés par des aux ili aires
médicaux.... .... .... .... ....
. . ......... . ... .
T~xe su r le ohiffre d'affaires et taxe unique de rem,placement .... ... . .... .... .... . .. .
H,?pltaux et h,osp l c~s pu·blics - Répa'rti tion ;des malades payants, en trois ,catégorie s .... . .. .
DedaratlOn d ullilte pubhque du projet d acqulslll on d'une pr opriété par l'hôpi tal-hnsp ice
d'Allau ch .... .... ....
.
Hospice de La Fare - Prix <le journée ....
Hôpital-h ospice d'Aubagne - Prix de journ ée ..
. .. . .. .
Addlllf au réglement de l' Internat la.. que dép wrtemental ... ,
Hôpitaux - hosp,ces - Réforme de la comptabi lité ....... .
Maison départementale de ret raite de Montoli vet
Réglement at ion de la créat ion de dépôts de pain dans le départe ment des B.-du -Rh... ... .
Condi tions d'act ivités professio nn el les ouv rant droit à l'attribution des presta ti ons familiales
agrico les .... .... .... . ...
T axe d'a rro sage et d'assèchement
26-27
POLICE MEDICALE :
FS 10
At~ribution de primes aux ohevaux de s sodé tés hippiques urbain es ........... . ....... .
Autorisation de livrai so n d'ex pl os ifs agri co les. . . .
. .. .... .... .... .... . . . .
Facili tés de créd it aux comm u'nes sinistrées à la suite des pluies torre nt iell es su rvenues du
22 au, 28 septemb re 1953
. . .. .... ....
. . .. ... . . ...
ORGANISATION GENERALE:
Centre départemental hospita li er pour nourris so ns déb il es et prématurés . ... ... . .... . . ..
FS6
-
NU DES
BULLETINS
A 1
ASSISTANCE A LA FAMILLE,
FS2
OBJETS
9- 10
43
48
PERSONNEL:
Décre t n' 53-5 11 du 21 Mai 1953 relat if aux 'modalités de remboursement des fra is engagés
par les personnels civ il s de l'Etat à l'oc'cas ion de leurs dépla cements ........... .
_ Attri but ion de faci lités de prépa ration aux candida ts à l'Ecole Nationale ,d'Admini s ~ration (2""
concours)
. . .. .... ....
. . .. ..'
_ Arrêtés po rtant délégat ion de sig nature ....
. .. ' .... .... .... .... .... . ...
_ Remb ou rse ment des frais engagés par les pc rsonncls civ ils de l'Etat il l'occasio n de leurs
. . .. ....
. . .. .... .... .... .... .... . ...
déplacements ....
In dem nité spéciale dégressi ve en faveur de certaines catégo ries de personnels de l'Etat ..
Rembourse ment des in demnilés de dép lacement et-de changement de résidence ....... .
25
35-36
37
37
40-41
49-50
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
R É PU B LIQ O:E
•
F R A N ÇA I SE
Num é ro
'"'
'=11'
DES
ACTES ADMINISTRA
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
TABLE DES MATIÈRES
TEXT ES D'INTERET GENERAL
F O. -
Régi me ete Sécurite Sociale des fonctio nnair es de ,'Etat - Assu rances déces _ Enfants posthurnes ...... .
.... .... .... .... ... . .... .... . ....... . .
260
Règlement des dépen ses des exer ci.ces péri m és . ...
260
F O. -
T VX O. -
Réglementat.i on sur l'emploi des explosifs dans les carrières du Dépa rtement desB.-du- Rh.
261
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
AG 1. -
Régi me des indemn ités de fonctio ns all,auées aux Maires et aux Adjoints . ...
COMMUNIQUES
S.D.D. -
-
,
8 Janvier 1953
A VIS - ANNONCES DIVERSES
tMêdecili autorisé à pratiquer les examens radioscopiques en vue de la déli vrance des certificats pr énuptiaux et prénataux ...... ........
Mairie de Port-de-Bouc. -
262
Avis de co nco urs. . .. • •.. . . . . .... .... .... .... .... ....
26ï
268
ABIU~VJATION8· - A, P. : Arn:té préfecloral. - C. . Circulaire. - Les lettres 1) et B &ui\"ies d'un chiffre
. d iquent le Service ou Bu reau d'origine. - O. ~. 1'. : Direction des Services Techniques. _ D, 1). S. : DirectiQll
D épartementale de la Sauté. - D . D. F .
Di rection Départementale de la PopulatioD.
�TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
02 BI - F 0
Je précise cependant que les créances d'exercices périmés
1!>férieures ou égales à 50.000 francs, se rap.portant à des ser-
f
REGIME DE SECURITE SOCIALE DES fONCTIONNAIRES DE L'ETAT
ASSURANCE DECES - 'ENfANTS POSTHUMES
Paris, le 10 décembre 1952.
Le Secrétaire d'Etat ail Budget,
à MM. les Ministres et Secrétaires d'Etat,
~\a circulaire n' 6\ -6 B/ \2 du 26 juillet \95\ a l' révu que
les enfants légi times nés viabl-es dans la période de 300 jours
suivant le décès du ~onctionnaire ouv rent droit à la majoration
fixe 'Prévue au paragraphe 3 de Il'artlcle 8 du décret du 20 octoh re 194ï tout en rest a nt e:\.."clus de la répa rtition du capital docL'!; proprement dit.
Tenant compte du fait que le décret du 20 octobre \ 947 a
entendu accoT.d er les mêmes avantages aux eniants naturels
reconnus qu"a.ux erlfants légi t imesJ j'estime qu'il y a lieu
d"étendre, en faveur des premiers. les dispositions applicables
seconds.
Un texte, dont l'objet est de modiiier le décr et du 20 octohre \ 947 pou r fixer les droit aux 'Prestations décès des enfants
posthumes lcgitimes et naturels reconn us, est actuellement en
co urs de signat ure.
11 convient, sans attend re la publ ication de ce texte, d'appliq uer dès à présent les règles suivantes :
é: UX
OUI'erture du droit aux majorations fixes.
Ouvrent Groit â l a maj or ation fixe non seulement les
enfants visês au paragrallhe 1er du chapitre 1 de la 2me section de la circula:re du 25 avril 1950, et' les enfants l égitimes
nés viables pendant la période de 300 jours suivant le décès du
fonctionnai re \'isés par la circulaire n" 61-6 >8/12, mais aussi
tes enfants posthumes naturels reconnus, nés viables.
Attribution et répartition du montant du capital-décès et des
majorations fixes.
Rien n'est changé à la répartition du capital-dëcès proprement dit, les enfants posthumes restent e""lus de cette
répart ition.
En ce q:li concerne les majorations fixes dues à chacun
des e!>fants oya nt dro it à un" fraction du capital, e1\es sont
versées 'comme pflécédemment en même temps que cette fraction.
Les majo r atio ns fixes allouées aux en'fants posthumes ~égi
times nés !Viables ne leur sont attribuées qU"~pres leu r n a i ssance~
Les majorat ions fixes al,touées aux enfants posthumes naturels reconn.us ncs vialbles leur sont v.ersées, soit après leur
naissance en cas de reconnaissance antérieu re à l a naissance~
soit après la oecision dèfiniti ve en cas de reconnaissance par
jugement.
Il est precisé que les majorations iixes de 4D.OOO francs
so nt dues même lorsque l e capital-décès proprement dit n'est
pas attribué.
vices pour lesquels des credits n'auront pas été prévus au
b udget de Vexercice en COurs au moment de l'ordonnancement,
devront faire l' o.bjet de demandes d'ou.verture de crédits spé.ciaux et être imputées ensuite sur les chapitres « Dépenses des
.,xercices périmés non frappées de déchéance •.
Toutefois, si les services en cause ont simplement fait
l'objet d'un tranSilert au budget d'un autre Département ministériel, les cf1éances devront être réglées par imputation sur 4es
.cr édits correspondants de J' exencice cOurant de cet autre budget.
Bien entt.r.du, les créances d'exeocices périmés iniérieures
ou éga1es à !'lO.OOO fran"CS, ne peuvent ëtre payées que si l a
déch éance quadriennale n'est pas OIlPosa!boIe au créa ncier.
Dans ces conditions et confoJ'Tl11ément à la procédure sui:vie
antérieurement pour 'es créances inférieures à 10.000 francs, il
cOl1vioendra de j oindre, à l' appui des Qrdonnan<: es et mandats, en
dehors des l)Jièces rel at ives à l'ex-écution du service fait, un cer1;ficat attesta fit que la déchéance n'est pas opposable aux
D5 BI - TVX 0
Pièces à produire.
Pour bénéficier de la majoration fixe attr ibuée à l'enfant
pos thume léaitime, il suffit de :p roduire à l'ap.pui de la demande
un extrait de l'a.cte d.e naissance permettant de constate r que
l a naissance (:st interven ue dans la période de 300 jours sui\'a nt ,l e décès d u tonction-naire.
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhôlle,
Ollicier de la Légion d'Honneur,
Vu le DEcret du 27 avril \ 892 portant r égl ementation des
ca rrières d u Département des Bouches-du-Rhône. notamment
.son artitle n , 2e alinéa;
Dispositions transitoires.
explosifs dans l es dites carrières, notamment l'a rticle 8
Vu l'arrêté préfectoral du 6 novembre 1930, mod ifié par
l'arrête pr éfectoral du 23 avril 1933, réglementant rempl oi des
j
Vu la Ci rcul aire Ministérielle H S M n" 25 en date du
2(1 janvier 1948 ;
Vu les rapports et avis des Ingenieurs des j\'\;nes en date
<les 26 no vemb re et 1er décembre 1952 ;
Su r la proposition de M. le Secrétaire Général,
Signe: JEAN-MOREAU.
ARRETE:
02 BI . F 0
REGLEMENT DES DEPENSES DES EXERCICES PERIMES
(APPLICATION DE L'ARTICLE 23 DE LA LOI N° 52-1268
DU 29 NOVEMBRE 1952)
Paris, le 13 décembre \ 952.
Le Secrétaire d'Etat au Budget,
à MM. les Ministres et Secrétaires d'Etat ,
j'ai l' honneur d'appeler ,'otre attenti on sur l'article 23 d ~
la loi n' 52-1 268 du 29 novembre \ 952 (J .O. du 30) qui a mo(,llfié la règlement ation relative aux dépenses des exercices
périmês.
Cc texte stipuk :
« L'articl~ 24 de la doi du \ 8 décembre 1947 est remplacé
rar les diSIPositions suivantes :
c Art. 24. - Les dispositions des articles \ 39 et 140 du
décret du 31 mai 1002 portant règlement génér al sur la comp-
250
tabi lité publique ne sont 'plus applicables aux dépenses de,.
exe rcices périmés ne dépassant pas 50.000 francs.
« Dans la mesure où la déchéance quadriennale instituéepar l 'artiNe 9 de la loi du 29 janvier 18s \ , modifié en dernier
lieu pa r L'a rticle 148 de la loi du 3 \ décembre \ 945, ne sera pas
opposabJe aux créanciers, l es dépenses 'Visées à "alin éa 'p récé~
cJent se ro nt imputées sur ,les crédits ouverts, .pour les mêmes
ser.vices, au budget de l'année en cours à la date de l'ordonnancement :J.
Je vo us prie de bien vouloir- porter les dispositions qui
précèden t à la connaissanre da ordonnateurs relevant de votre
autorité.
Pour le Secrétaire d'Etat et par délégation,
Le Directeur dl! Budget
R. GOETZE.
REGLEMENTATION SUR L'B~I DES EXPLOSifS
UANS LES CARRIERES DU DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
Pour 1es enlfants posthumes naturels reco nnus, il y a liell
de produir-e à l'appui de l a requête un extrait de l' acte de naissance permettant de vérjfj er que la naissance est intervenue
dans la période de 300 jours suivant le décès du de cujus et
que ta paternité de ce dern ier a bien .été, soit reco nnue, soit
établie à la s,tite d'un jugement définitif.
Pour la période antérieure à la date de publi~ation de la
présente circulaire, les -avantages accondes aux enfants posthumes l égitimes sont étendus aux enfants 'Posthumes naturels
reconnus, à conditio n que la demande en ait été faite précédemment ou so it formuJée dans le délai d'lin an à compter de
l a publication de la présente circulaire.
créanciers intéressés et exposant 1es motms sur lesquels J'administration se fonde pour ne pas O'Jlposer la déchéance.
Les piéces visées dans le certificat précité qu i seront
conservées dans le dossier de la liquidation, devront être communiquées aux Contrôleurs des dépenses engagées et aux
comptables du Tréso r, si ceux-ci en font la demande~ pour
l'exercice de leur contrôle.
fwjoute que les créances d'exercices périmés ne dépassant
pas 50.000 fr.1ncs ,pour le rè glement desquelles des cr édits ont
été accordes par la loi n' 52-\268 du 29 novembre 1952 lpûurront eXlOe'ptionnell ement Hre réglées au moyen de ces crédits et
imputées sur les cha;litres spéciaux c Dépenses des exercices
périm.és non frappées de déchéance , .
Article premier.
Par dérogation aux dispositions d'!
l ' Arrêté préfectoral du 6 novembre 1930, modifié le 28 avril
1933, l'ar ticle 8 notamment, portant réglementation sur l'emploi des explosifs dans les carrières, le tir de mine à l'an ~lais1.!
J)ourra être pratiqu é dans les ca rri ères à cie l ouvert du ~epar
tement des Bouches-du-Rhône pour le débitage exclusif des
blocs abattus durs et compacts non susceptibles d'une trOI\
~ra nd e fra gmentation et sous les co nditions ci-après dêfill1es.
Art. 2. La déroga tion est subord onnée â l'approbation.
par l' In génieur en Chef des Mines à Marseille, d' une consigne
(léfinissant ses co nditi ons d'application.
Cette co nsi gne précisera notamment la carrière dans
laquelle le tir à l'angl aise est autorisé, la nature de l'explosif et la co nstitutio n des cartouches, les conditions d'amorçage, l a l ongueu r de la mèche {s'iL y a lieu), le mode de recouvre ment de la charge par une ca lotte d'argile rempl açant le
hourrage, le nom bre de coups pouvant être tirés simultanément, la quatité des personnes respons ables et de celtes autorIsées à préparer et à exécuter le tir, les conditions d'évacuatio n du chantier, etc ...
Art. 3. _ Tout incid~nt devra être signalé sans délai à
M. l'Ingénieur en Chef des Mines à Marse.iUe, qui pourra, à
tout moment, suspendre dans l a ca rrière intéressée. l'applicatio n de , la présente dérogation.
Art. 4. _ Les cont r aventions aux prescriptions du prêstnt arrêté seront constatées et poursuivies conformément aux
ûispositions des articles 29 et sui va nts d u Décret du 27 aVrI l
1b'92 portant règlement des ca rri èr es du département.
Arl. 5. - M. le Secrétaire Général de \a Préfectu r",
M. l'Ingénieur en Chef des Mines, .MM. les Sous- Préfets t:t
Maires d u Département sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exécution du p résent ar r~té, qui sera inséré au
I<ecueil des Actes Administratifs de la Préfecture des Bouchesliu-Rhône et affiché dans toutes les Communes du Départem~nt.
\arseille, le 29 décembre 1952.
Le Pretet
Hem' PA IRA.
Ainsi, le mo ntan t maximum des cr-éances d'exercices pcrimés qui doivent être imputées sur les crédits ouverts pou r les
mèmes services au budget de "'année en cours il la date de
l'ordonnancement, se trouve porté de 10.000 à 50.000 francS.
26\
�Article Ipremier
TEXTES
D ' INTÉRËT
COMMUNAL
INDEMN ITÉ DES MAIRl:S
('atégo r ies
02 83 - AG 1
Le Ministre de l'inttrieur
à MM. les Préfrts ~t Sous-Préfets,
Loi n° 52.883 du 24 juillet 1952, publiée au
• Jo.urnal Officiel > du 25 juillel.
REFER. -
La loi du 24 juillet 1952 codifie les règles fixant les
indemnités accordées aux titulaires de certaines fonctions
électi\"es tout en y apportant quelques modifications.
La présente circulaire a pour objet, non seulement de
\'OUS donner des instructions en ce Qui Concerne les disposi-
hons nouvelles. mais encore de prétiser certaines "dispbsitioJIS
non modifiées.
Gratuité des fonctions électil'es municipales
Le principe de la gratuité des fonctions électives municipales posé par l'article 74 de la loi du 5 av ril 1884 demeu' e
toujours en vigueur. Les magistrats municipaux ne peu\'ent
donc quêtre rembou rses des' frais exposés par eux pour l'exercice effectif de leurs fonctions
ce rem bou rsement s'effectuant
soit forfaitairement sous la forme d'une indemnité de fonctio .l.
soit sur états de frais. Ces deux modes de remboursement
vont être étudiés successÏ\·e:ment.
1. -
INDEM liTES DE FONCTION
Nature et conditions d'ocfroi de l'indemnité
a) En principe, les indemnités de fonctions allouées aux
magistrats muniCipaux sont destinées à couvrir nOn seulement
les frais que ceux-ci sont tenus d'exposer pour l'exercice de
l eur mandat, mais aussi, dans une cerfajne mesure, le manque
à gagner qui résulte pour eux de la perte de temps qu'il.;
consacrent aux affaires publiques. Toutefois, comme il es"
toujours admis que les élus ne doivent tirer aucun profit personnel de leurs fonctions, les indemnités dont i l s'agit ne
peuvent, en aucun cas, revêtir, même pour partie, le caractèr~
d'une véritable r émunération. Il semble d'ailleurs plus conforme il l'idée du mandat public et de l'élection de ne pas les
assimiler à un traitement.
b) Leur - octroi reste cependant subordonné à J'exercice
effectif du mandat. Antérieurement justifie par la nature des
iJ:demnités et l'objet pour lequel celles-ci ont été instituees
cette règle est desormais expressément énoncée à J'article 1e':
C'est ainsi, par exemple, qu' un maire suspendu ne peut p~r
revoir l'indemnité correspondant à la période de suspension.
c) Par ailleurs, les indemnités de fonction constituent,
depuis le 10 septembre 195 1, date d'entrée en vigueu r de la
f10uvelle loi, une dépense obligatoire pour les communes.
En effet, l'a rticle 3 stipule que les < dispositions des
..ticles 1 et 2 s o nt applicables de plein droit dans toutes les
communes pour lesquelles les indemnités prévues par lesdits
articles constituent des dépenses obligatoi res >. ToutefOIS,
1 article 1er ne portant que détermination de c maxima », [a
Question peut se poser de savoir si l'article 3 fait obligation
aux conseils municipaux d'inscrire en dépenses au budget de
262
Popu lation municipa!e
Indices
de réfé rence
Valeur annuelle
actuelle
CoeHicient
ad va lorem
(fr.)
25
33
50
80
100
150
I SO
2 10
250
270
300
330
380
400
200
400
(f r.)
37.500
50.000
75.000
120.000
150.000
238.000
200.000
344.000
422.000
462.000
5ZI.OOO
581.000
679.000
71 9.000
325.000
71 9.000
(%)
Moins de 50 1 habita nts ...... . . .. . .. ......... . . .
De
50 1 à
1.000. . . . . . . . .
. ...... . .
De
1.001 à
2.000 ................. . ... . .. . . .
De
2.00 1 à
3.000.. ....... . .. ..... .. ... .. . .
De
3.00 1 è
5.000 ..... __ . . . . . . . . . ...... .
De
5.00 1 à
9.000
... _ ...... . ..... . . . .
De 9.00 1 à 15.000
.......... .. .. . ... . . . .. .
De 15.00 1 à 30.000 .... . ........ . ..... . .... ... .
De 30.00 1 il 50.000
.... . ... .. ... .
De 50.00 1 à 80.000 ........... . . . ... .. .. . . . .. .
De 80.001 il 120.000 .. .
IDe 120.00 1 à 150.000 ......... . .
Au delà de 150.000 habitants . . .. '
Lyon et Ma rseille. . . . . .
. .. . ... .
Paris
Ind emnités des Conseille rs Municipaux
Seine: Indemnités des Conseillers Généraux ... . . .
50
50
50
50
45
40
40
40
40
40
40
40
40
50
18.750
25.000
37.500
60.000
67.500
95.200
116.000
137.600
168.800
184.800
208.400
232.400
271.600
359.500
REGIME DES INDEMNITES DE fONCT IONS ALLOUEES AUX MAIRES
ET AUX ADJOINTS
Paris, le 19 décembre 1952.
A. -
INDEMNITEs DES ADJOINTS
1
2
leu r commune les crédits nécessaires au pa iement des indem~
r.ités maxima ou si, au contraire, il n'impose q ue l'ouvertur~
d'une ligne budgétaire spéciale et, dans la limite des maxim~
rr évus à l'article 1er, l'inscription d'lJll cr édit, même Symboli_
que, pour indemnités de fonctions .
Dans un avis n° 259.735 du 2 décembre 1952. la Sectio"
d. l'Intérieur du Conseil d'Etal que j'avais saisie de la questiona considéré < qu'il résulte tant de la combinaison des dispositions des a rti cles l , 3 et 9 de la loi que du principe de l'autonomie municipa le consacré par ['article 61 de la loi du 5 avnl
1884 et confirmé par l'arti cle 37 de la Constitution du 27 octobre 1946, que si les Conseils Municipaux sont tenus d'accorder
une indemnité de fonctions , au mai re et aux adjoints, il leur
appartient d'en fixer le montant dans la l imite des maxima prèvus à l'article 1et et é,)entuellement corri gés, co mpte tenu des
dispositions de l 'a rticle 9 et d'ouvrir à leur bud get les crédil3
co rrespondants »,
Les Conseils Municipaux sont donc simpJ ement tenus de
rrévoir au budget un article relatif aux i ndemnités de fo nct ions.
Au cas de refus de leu r part, il l'out appartiendrait d' user des
pouvoi rs qui vous sont confé rés pa r l'article 149 de la loi d"
e avril 1884, à charge toutefois, pour vous, d' exam i ner d:.!n.;
chaque cas particulier le crédit qu'il y aura lieu d'inscrire d'office au budget, celui-ci pouvant, dans ces cas extrêmes, ètr~
réduit à une somme symbolique.
L'obligation incombant aux co llectivités locales ne porte
que sur les indemnités allouées aux maires et au.:< adjoints et,
en aucun cas, les dispositions de l' article 3 ne sauraient être
étendues aux majorations prévues par les articl es 4, 5, 6 et S
ni aux indemnités dont l'article 7 autorise l'oct roi en fav\"!:r
des conseiller municipaux de certaines grandes vill es.
II. -
a)
3
4
5
6
7
8
9
10
Il
12
13
Articte 2 (Ville de PARIS)
Indi ce
de réfé rence
Dési gnation
Va leu r ann uel le
actuelle
de 25 % dans les comm unes chefs-lieux de départements,
de 20 % dans les communes chefs-li eux d'arrondissements:
de 15 % dans les communes chefs-lieux de ca ntons.
Communes sinistrées :
b)
Indemnit és .Des Maires d'Arrondissements .
Des Adjoints . . . . . . . . . . . . . .
330
230
581.000
383.000
Remarque :
II I. -
Modalités de détermination.
Majoration
Depuis le 10 septembre 195 1, les indemnités d e fonctio ns
ces magistrats mu nicipaux sont déterminées automatiquement
par référence aux indices de l' échelle des trait ements de la
fo nctio n publique.
POUf teni r compte de certaines situations particulières
entraînant un surc roît de tra vail pour les magistrats muni ci))au x, le législateur a autorisé les co llectivités locales à majorer
les indem nités de Jonctions.
Prenant pour référe nce de base l'indice 100 d e la fon cti on
publique, l e législateur a estimé que la "aleur actu elle de cet
iTldice, soit 150.000 francs, correspondait à l' indemnité qu'il t:st
co nvenable d'accorder aujou rd 'hui au maire d'une commure
dont la population est comp rise entre 3.000 et 5.00 1 hab itants.
A partir de cette base, il a établi la hi érarchie des indemnités annuelles de fonctions d'ap rès l e chiffre de la populahon municipale, critère le plus simple et aussi le plus logique,
semble-t-il, de l'importance de la fon ction, et il a déc id é de
calculer l es indemnités des adjoints eo foncti on de l'i ndeml11té
allouée aux Maires.
Ces majorations sont facultati ves et les Co nse ils i\-\un icipaux sont séu ls souverains pour en déterminer il la fois l'oppurtunité et le montant. Mais, alors qu'il leur est possible de retenir des pourcenta ges de majorati on i n fé ri e u ~s à ..ce ux r~.ppe l es
ci-après, ils sont tenus Je ne ca lculer les ~ al o rat\O n s. qu Ils ?~ t
exp ressément décidé J 'acco rder qu'à parti r des
Indemllltes
principal es » qu'ils ont effec tivement allouées et non en f~ n c~ion
des taux maxima autori sés. L'ex pression «: indemnités pri ncIpales » implique par ell e-m ême q u'une majoratio n en sau rait ~t rc
calc ulée à partir d'une indemni té déjà maj orée à un autre tItre
et qu'au ca l de cumul entre plu sieurs maj orations, le monta nt
de chacune d'elles doit être déte rm i né, selo n des règles p rop r~s,
à pa rti r des indemnités perçues en appl ication des dispositîons
de l'a rt icle 1er.
a)
En application des dispoSitions de l'article 5, les Conseils
lvlunicipaux des communes sinistrées peuvent majorer les indemnités de fonctions du Maire et des Adjoints d'un pourcentage
égal à celui des immeubles si nistrés.
I o De la notion de commune sinistrée.
fPour le classement des com munes dans l'une des catégo ries
ptévues au premier tableau, il ne peut être ienu compte que de
la population municipale totale telle qu'elle résulte du dernier
rece nsement, soit actuellement celui de 1946 authentifié par le
décret ,, " 46.2949 du 30 décembre 1946.
Alontant des Indemllités
Au-dessous <le 3.00 1 habitants, l'i ndi ce de réfé rence esl
affec té d'un coefficient, de sorte que l'indemni té autorisée ne
co rrespond pas à un indice, mais à une fraction du traitement
co rrespondant à l'indice 100 de r éféren ce, Par contre, au-dessus
dt' 3.000 habitants, il n'est plus procéùé par pourcentage et h.:
montant maxim um de l'indemnité est égal au traitemen t corresr onda nt à l'i ndice inscrit dans les tableaux anne xés aux articlES
1 et 2 de la loi reproduits ci-après.
-
Valeur annuelle
actuelle
Commufl es chefs-lieux :
L'a rticle 4 perm et aux Conseils M un icipa~x. d~ majorer Ic.)
indemnités de fon ctio ns du Mai re et des AdjOints
En l'absence de définition légale ou réglementaire de 13
notion de commune sinistrée, seules les co mmunes classées dans
cette catégorie, par décision du Ministère de la Reconstructi on
et de l'Urbanisme, peuvent être juridiquement considérées
co mme communes sinistrées. Toutefois, le Conseil d' Etat a
reconnu, dans un arrêt du 2..... mars 1950 (Maurice contre
Commune de Lan geais) que le classement d' une commune dans
la catégorie des communes sinistrées pouvait résulter de considerati ons de fait et que sero nt notamment pris en consid érati on
les sinistrés partiels en même temps que les si nistrés totaux.
Il vous appartient donc de tenir com'P te, dans chaque cas
particulier soumis à votre appréci ation, de l' impo rtance des
dommages subis par faits de guerre par une co llectivi té et
notamment de ce que celle-ci bénéficie de la subvention prévue
par l'o ru onnance du
août 19. . .5 pour fai r e application des
disposi tio ns de l'art icle 5.
2
0
Détermination du pourcenta ge .
Pour la détermin ati on du pourcentage d'augmentation à autoriser, il convient de co nsidérer comme sinistré tout immeublr
endom magé, ne serait-ce que partiellement, par faits de guerr e,
qu'il s'agisse de bomb ard ements ou de déogradarions commis~s
pa r l'occupant.
Les servi ces locaux du Ministère de la Reconstr uction et d.~
J'U rbanisme ou du M inistère des Finances devraient èt re en
mesu re de VO LI S ùonner, de faço n suffisammen t precise. k
nombre et le pourcen tage de déterioration des immeubles sinbtres Lies Communes relevant de \'otre autor itê.
263
�Au cas de divergence d'interprétation entre ces services,
il peut être fait application d' une formule s'Inspirant de la
formule sui\'ante dejà utilisée dans certains départements
100 T
Pourcen tage
+ 0,65 A + 0,30 B + 0,05 C
== -------------------------------N
T dési g nant
A désignant
B d ésig nant
C désignant
10 % ;
le nombre d'immeubles totalement détruits,
le nombre d'immeubles sinistrés de 75 à 50 %,
le nombre d'immeubles sinistrés de 50 â JO %,
le nombre d'immeubles sinistrés à moins de
N désignant le nombre total d'immeubles de l a commune,
II \'a de soi que les immeubl es recons trui ts ou répares ne
doÎ\'ent pas entrer en li gne de comptes. Les pourcentages de
majoration doivent donc ètre rectifiés chaque annee en foncti on
des reconstructions effectuées.
30
Prise en considération du r ecensement de 1936.
La majoration d'indemnité accordée aux magistrats des
communes sinistrées a été créée pour tenir compte à la fois .:le
la diminution du chiffre de la population subie par ces collecti\'ités et des dh'erses charges suppll'TTlentaires qui peuvent
incomber à leurs administr ateu rs.
A la demande du Ministère de l' In térieur, le Ministère des
Finances a accepté, en 1949, de prendre en considération la
population municipale du r ecensement de 1936 pour le calc111
des indemnités.de fonctions des maires et des adj oints, Mais, les
a\ antages respectifs d~ deux systèmes Qui peuvent être utilisés ne pouvant être cumulés, le choix du Conseil Municipa l doit
faire l'objet d' une décision expresse.
De plus, dans l' hypothèse où celui-ci opterait pour l '
cieuxième système, les majorations qu'il serait amené à allou~r
à un autre titre (communes chefs-l ieux, par exemple) doivent
~tre -déterminées â parti r de l'indemnité princip ale susceptible
ct'être accordée d'après la population r~ultant du dernier recensement et non de celui de 1936.
c)
Communes de la Région Parisienne:
Le premie r alinéa de l'ar ticle 6 prévoit que
oC Dans la r égion parisienne, les Conseils Municipaux des
communes de plus de 2.500 hab ita nts, situées dans la première
zcne de salaires, peu\'ent voter des indemnités de fonctions dans
les limites correspondant à l'échelon immédiatement supériet;r
â celui de leur population, tel qu' il r ésulte du tableau figurant
à l'article premier ...
d)
Communes subUrbaines à caractère industriel des villes
de plus de 120.000 habilanls.
Comme pour les communes de la région parisienne
cûmprises dans la 1re zone de salai res, le 2e alin~a de l'article
(i permet aux Conseils Municipaux des communes suburbaines {1
caractère industriel des villes de plus de 120.000 habitants, dt
Calculer les indemnités de fonctions Su r la base et dans la
limite des taux maxima autorisés pour la catégor ie de Communes immédiatement supérieure à celle dans laquelle ces collect i \'ités de\'r aient être classées d'après leur population munici!-ale fa ta le telle qu'elle résulte du dernie r recenseme nt.
Le champ d'application de ces dispositions est actue llemePl
limité aux aggloméra tio ns de Marseille, Lyon, Toulouse, Bordeaux, Nice, Lille, Saint- Etienne, Strasbourg et Toulon. En co re
com'ient-il d'observer que toutes les com munes qui, démogrJr'hiquement, sociologiquement ou économiquement peuvent êt re
considér ées comme rattach ées à ces centres urbai ns et compnses dans les limites géograph iques de la zone de populatlO!l
c dite agglomérée », ne ppeuvent en bénéficier .
254
Elles doivent, en effet, aux term es de la loi, présent
un double caractère, à savoir être suburbaines et comporter II ef
prédominance des activités industrielles sur les autres acti\'1t ~e
es.
Bien qu' il n'existe pas de. défi ni tio n juridique o u légale de
Id nohon de commune suburbalOe a caractère IIldustriel, la déc"_
sion de l' auto rit é de tutelle doit être dictée par référence 1
cert ai ns critères susceptibles d'assurer l'homogénéité des cla '~
scments effectués, voire même de permettre une apPlicati;n
rapide et automatique des dispositio ns du 2e alinéa de l'Mtlcle 6 précité.
C'est ainsi que pour déterminer le ca ractère suburbaIn
d'u ne commune par rapport à l'une des villes citées ci-dessus
il lui appartient de tenir compte:
'
-- de l'absence de solution de contin uité entre les ZOnes bâties
- de rimp ort ance des migrations alternantes de poplilatiop'
soit pour activité salariée ou professionnelle, soit même pou;
raisons commerciales, voire éducat ives,
- de la communauté des ser vices publics tels que eau et assainissement, transports en commun, etc ...
- de la densité de la population,
-- de l'application du même taux d'abattement pour ZOne de
salaires.
Pris isol ément, cert ai ns de ces cr itères sont manifestement
insuffisants. Mais, associés à d'aut r es, ils paraissent de natu 'c
à completer votre jugement et à justifier votre décision ( 1).
Quant au caractè re industriel d' une commune, il peut résultn soit de l 'importance des installations nécessaires à l'une
des activités énum érées sous les cotes 06 à 61 de la « Nomenclatu r e des ent reprises, établissements et t outes autres activités
collectives >, 2e éditi o n de 1949 publi ée par l' « Imprime rie
Nationa le ~ , soit de l'importance qu'occupent l es zOnes industrielles, pa r ral'port aux zo nnes résidentieJl~ soit de la proportion de la population vivant de ces adivités. Les fascicules
cl'épartementaux du r ecensement de 1946 contiennent toutes
informations l< tiles Su r ce dernier point.
e)
Stations classées.
En définitIve, c les arrêtés » que vOus aurez à prendre
« ipour déterminer les Communes dans lesquclfes les présentes
dispositions sont alClI>licables > (artiCle 8) doivent être justifiés
par trois ordres de considérations :
-- rintérêt national de~ travaux apprécié en fonction de la
qualité du maître de l'œuvre (Etat - entreprjses l1 atiooa1isée~ .. ,)
e l J'objet auquel il!5 s'appliquent (richesses nationales, défense
natIonale, domaine public nationa'l) ;
- l'a ugmentation de la pnpulation, c'est-à-dire ,l'effectif de
la main-d'œuvre utilisée;
-
la durée des travaux.
Les maj orations autorisées dans ces conditions peuvent
être maintenues a'Près la clôtu re des travaux tant que Ja surveillance des ouvra ges ou l'ex.ploitation des installations sont
assurées en permanence par une m ain -d~œ llvr.e étran ,=,è re à la
commune entraînant un accroissement important et certain de la
popul at ion de celte-ci.
.
IV . a)
Aménagements
Dérogations à l a règle des' maxima.
Aux t-ermes de l'article 9 « .J'indemnité de certains magistra ts municqpa ux pourra dépasser le maximum 'prévu., à condi 1lOn Que le montant total de la d6:pense ne soü pas augmenté.
Sous la mêm l! condition les adjoints su~l émentaires pourront
bénéficier d' ur:e indem nité d-e fo nctions >.
P,a r suite, comme sous le r égime de l'ordon nance du 18 octob re 1945, le:; c~r édits ouverts au titre des indemnités de fonctions ne peuver!t, en aucun cas, dépasser le montant des indemnités maxim :t susceptibJes d'être allouées au maire et aux
adjoints règ1ementaires et constituent une seule masse que le
Co~seil municipal est habilité à répartir entre les benéficiai res
(maire-adjoi nts règlementaires et adjoints supplémentaires)
qu'il aura dësigné.
Le. 1er alinéa de l'a rt icle 8 donne aux Conseil Municipaux
des Villes
classées stations
balnéaires,
h yd rominéral~~,
climatiques, touristiques ou uvales, la facu lté de majorer 1 ~s
inde mnit és du Mai re et des Adjoints,
-- de 50 %, lo rsque la popu1ation' municipale totale de ces collectivités est inférieure à 5.000 hab itants,
de 25 %, lorsq ue cette pop ulation est supérieure à ce chiffre,
Toutefois, les mai res ne sauraient être autorisés il bénéficier des dispositions de ce texte. En effet, l'expression c certains
magistr ats munici paux» s'applique uniquement aux adjoints et
toute autre Interpretation ser ait contraire à la fo is à la lettre
et à l'espri t de j a loi puisQu-e les maxima -prévus à l'a rticle 1eT
ont été établis en tenant comp te des charges inhérentes au
plein exercice des fonctions de maire.
f) Communes olÎ s'effectu en t des tra va ux d'inférêt na/iof/al,
Cette faculté est éte ndue par le 2' alinéa du même articl e
a.ux Conseils Municipaux c des commu nes »' dont la- populahon a augmenté depuis 1946 à la suite de la mise en route ue
travaux publics d'intérêt national, tels que les tra va ux d'électrification ».
De même, l'indemnité allouée à un adjoint qu'il soit règlementalre Ou supplémentaire, Ile peut être, à aucun moment,
supérieure nu montant maximum, ~p rès major-ation, de celle
dont l'octroi est autorisé en faveur du lpremier magistrat de la
commune.
Cette .expression, qu'il convient d'inte rprét-er c stricto
sensu .» , vise les grands travaux intér essant la vie économique
du pays to ut entier, comme les travaux de construction de barrages, de centrales électr iques importantes, de ports et d'aérodromes, oeux de percement de tunnels et de canaux ou ceux
,,'aména gement de la navi gabi lité de fleuves.
~ar~ille ~ éfinition exclut les
const ructions de groupes
(! habitations ,a loyer modéré et d' une manière aénéraJe toutes
les réa lis~tio ns d'intérêt local o~ qui n'obli gent ~as une' importante main-d'œuvr e à séjo urner pendant plusie urs mois sur le
territoire de la commune,
p
( 1) Bien que la li ste publiée ait été éta bli e cn fOllctic.n d'une di:tlI.ition extrèmchlent restri cti ve de la notion d 'agglomération el m:
j'résen te pas un ca ractère officiel, vous pourrez utilement \'OUS rcpOIleI' au n O 1 de 1952 de la Revue trimest ri elle « Population .. , pa~c~
!){, à 108, de l'Institut National d'Etu des d émographiques.
Pour la llétenmination du montant des crédits à inscrire au
budget, le Conseil mun icipal est autorisé il assimiler à un adjoint
règlementaire J'adjoint special régulièrement désigné dans les
conditions prLvues par l'article 75 de la loi du 5 a\"fi l 188-1,
mod ifié par le décret-l oi du 5 novemb re 1926.
L'inscription des credits nocessaires au paiement des indemr.ités de fo ncti on s ne peut è!re consideree comme ouvrant au
maire et aux (ldjoints un droit au \paiement des indemnités. Le
Conseil municipal doit donc se l)rononcer su r les modalités de
r ~parti t ion des cr~dits, Tout efois, l'intervention d'une délibération spéciale n'cst pas nécessaire si la volonté de J'assemblêe a
été exprimée avec suffisamment de cl:!.rté lors du vote du bltd~~t.
b)
Substitution de bénéficiaires:
l u L'arti 0!e 82 'de la loi llIunicipale du 5 a\'fil 188-+ dispose
que le mai r e 4: peut, sous sa surveilla nce et sa rt!sponsabilit ~,
déléguer" par arrêté, une partie de ses fonctions à un ou pl usieurs de ses adlj oints et en J'absence ou en cas d'empêchement
de ceux-ci) à des membres du Conseil mun icipal ».
Cette délégation de pOuvoirs "" comporte pas de délegation d'ind-emnite.s et le maIre ne .peut disposer que des sommes
qu'il -a ]>érçues pour indemniser le titulaire de la délégation.
Par contre, il est permis au Conseil munIcipal de tenir
compte de l'importance et de l'étendue de la délégation ""lir
décider de l'3.ftribution d'une indemnité à celui-ci, fut-I! conseil-1er mUrr1cipaL Il lili suffit de fair.e, en roccurence, application
des règles posées par l'a rticle 9 analysé ci-dessus, sauf à réduire
l'indemnité d~ maire du montant de la somme allouée.
2" En dehors de la dé légat ion de pouvoirs, l'a:rtide 84 de
la loi précitéè du 5 avri~ 1S84 spécifie c qu'en cas d'absence,
de suspension, de r évocation ou de tout autre empêchemer.t, I~
maire est provisoirement remplacé, dans la p:1enitude de s~
fonctions, par un adjoint, dans l'ordre des nominations.,- et ~
défaut d'adjoints, par un conseiller municipal désigné pa:r le
Conseil, sinbn pas dans l'ordre du tabJeau ;,o.
Cette suppléance a lieu de plein droit et dans l'ordre ind;"
quë par la loi.
SUT décision du Conseü munici,pal, le suppléant désigné,
bénéficie, aux- Lieu et pla.ce du maire empoché et à l'exdusion de
toute autre indemnité, de ceUe normalement allouée au premier
magistrat de la commune. CeJuj -ci ,perd, pendant toute la du.réj,
de l'empêchement, le benéJice de son indemnité et l'assemb l~
peut répartir entre les autres adj-oi.nts règleemntair-es ou sup.:"
plêmentair-es, ies crédits rendus disponib.Jes à la suite de ifl
désignation ct":! leur rollègue.
v. -
Cumul
1 Aux turnes de l'artide 10 c le cumul de l'indemnité de
fonctions allcuée aux membres de l'Assemblée Nationale, du
Conseil de la Repllblique, de l'Assemblée de l'Union française
ou de l'Assembiée a~gerienne, a,'ec les indemnités de maires ou
d'adjoints, n'est admis qu'à conCurrence de Ja moitié de ces
dernières ; i'~utre moitlé pourra être déléguée par le bénéficiaire à -son ou à ses su~leants .. .
0
Ce terme de suppléant doit être pris dans un seDS très gé>né ral. Il s'applique indistinctement à tout membre du Cons",r
municipal qui aurait eté. chargé d'une partie des attributioBS
du maire et il n'y a pas lieu de distinguer entre la délégation
qui (artide 82) consiste pou r le maire à confier à des membres
du Conseil municipal une pa rt ie de ses fonctions et la suppleance qui (article 84) se caractérise par une substitution
con\plète d'un membre du Conseil municipal au maire absent,
suspendu, revoque ou empêché po ur toute autre c-ause, C-etre
distinction a!.lrait, en effet, pou r consequence, d'interdire au
maire de déléguer l a moitié de son indemnité de foncttons aux
conseillers muni<:ipaux délégues_
Ind(-pendamment de l'argument tire de l'incompatibilité qUI
parait exister entre le pluriel utilisé et maintenu par le législateur de 1952 et runité de la suppJeance, cette intenprétation de
l'artiole 10 est dictée par la nature m~me d-e Ilndernnité de
fonctions.
De plus, l'objet des dispositions de c~ texte est moins de
désigne r le bénëficiai re éventuel de la partie nOn cumulable de
!'indemnité, que de limiter le montant de la somme perçue par
le maire et de. déroger aux règles relati\'es à l'attribution et
au montant de-s indemnités allouées pour tenir compte du surcroit de travail resultant, pour certains membres du Conseil
municipal, de l'absence d u mai re retenu par ses fonctions
parlementaires.
De là, le ca ractère facultatif de la destination de la partie
su sceptible d'être d~~guee. et le pouyoi r du
maire qui reste seul juge pour désigne r le ou les membres du
Conseil municipal qu'il estime de\'oi r faire bënmicier., en raison
de leur acti\"itê, d'un avantage supplêmentaire.
de l 'indemnit ,~
�2' La règle posée par l'article 10 s'",pplique indistinctement
aux indemnit ' prindpales et aux majorati~ns de .~leS-Clt m~ls
elle n'a l'as lieu de jouer lorsque le Conseil mUDlClpal a décIdé
de n'aUouer t\.ux magistrats intéressés qu'une somme a~ plu~
égale à la mcitie de l'in<lemnité que ceux-ci sont autonsés a
~rce\·oir.
Par ailletas le maire n'est tenu de creléguer que la somme
~ui fui a ére aC::o rdéc au delà de la moitié du maximum légal
c)
Qutorise.
3" Le fait lpour un adjoint suppleant de cum ule r so n ind~m
nité propre a"ec la partie qui lui est déléguée pa r le ,ma Ife,
même si elle le place dans une situation plus favonsee que
œlle daos laquelle se trouvent ses collègues qui touchent une
indemnité moindre n'est en contradiction ni avec ~es termes de
I~ loi, ni avec J'esprit qui a présidé à la rooaction de celle-ci,
T'Outefois, le suppléant ne saurait, en aucun cas, percevoir ~e
indemnité superieure au maximum qui, compte tenu des maJorations. peut ~tre alJouée au ipremier magistrat de la commune.
4° Le ",-aire étant seul chargé de l'administration de la
l.'Ommune (article 82) et le titulaire d'une dèlégation de fonctions ne pouvant dél~guer, à son tourJ une partie des attributions qui lui ont été confiées, les adjoirMs n'ont la possibilité
,,'user des pouvoirs qui leur sont <accordés par l'artiole 10 que
dans un cas -extrêmement Iprécis, à savoir celui où ils font
fonction de maire. Par contre, ils ne sont habilites à perce\'oir
'lue la moitie de leur indemnité d'adjoint s'Us sont memores
tfune des assemblées ënumérëes !par l'article ID, car les règJes
du cumul leur sont opposables en toutes ci~onstances.
\'1. -
Di"positions speciales aux conseillers tmunicipaux
a)
Villes de plus de 400.000 habitants tU/tres que Paris.
Le premi" alinéa de J'article 7 préroit que c dans les villes
lie plus de 400.000 habitants, autres que Paris, les Conseils
municipaux p.t"u~ent l'mer des indemnités ct;e jondions aux
eonseillers municipaux autres que le maire et les adjoints dans
la limite des deux tiers du montant de l'indemnité accordée aux
lIlem bres du Conseil municipal de Piuis •.
bl
E.n tout .ét.at de .caus~, il vous appartiend~a d' inviter les
ConSei ls mUOl<:q>aux a teOlr compte de la destlOation donnée
pa r le législateu r aux indemnités de fonctions et de veiller à
ce que, d'une part, les indemnités dont il s'agit ne présent... t
pas un caractère univer sel, permanent et automatique et, d'au~
tre part, ne dépassent pas, lorsqu'elles seront attribuées le
mont"nt de celles allOUées aux maires et aux ad joi nts dont' les
tâches so nt incontestablement plus absotbantes.
Villes de plus de 120.000 Mbitant .
Aux tennes du 2me alinéa de l'article 7 c dans les commude pius d~ 120.000 hab itants, tes Conseils municipaux salit
~ut orises â vote r des indemnitès de fonctions aux conseillers
fl! Unicipaux autres que le maire et ~ adjoints, pou r l'accomplissement de enaines fonctions ou m issio ns p articulières ~.
ilfS
La loi du 9 anil 1947 (article 3) contenait une disposition
identique, sauf que le chiffre de la population â prend re en
Lo nsidération n'etait pas de 120.000 ma is de 110.000 habitants.
Autres co mmunes.
Dans des autres commu nes et sauf le cas prévu ci-dessus
(substitution de bénéficiai res § IV-b·l l'attribution aux conseillers municipaux d'une indemnité même pour lperte de salaire
est formellement interdite par l'a rti cle 74 de la loi d" 5 "'fil
1884.
Au reste., en application des diSlpOsitions de l' article 60 de
ce texte, complété pa r l' article 1er de la loi n' 49-1101 <111
2 août 1949, les employeurs sont tenus de foaciliter la récupéra_
tion des heurèS de travail 'perdues par les salariés pour assister
aux séances plénières des asse'niblées dont ils so.nt membres ou
à ceUes des commissio ns qui en dépendent.
B. -
FlRAlS DE MISSION
1\1' D''\,In.e manière généra le, les indemnités forfaitaires de
fondions ont é té instituées .pour permettre au x magistnats mu~
nicipaux de faire face aux dépenses qu 'entraîne nécessairement
l'e xercice normaJ. de leur mandat. Elles servent donc à couvrir
les frais engagés au COurs des déplacements incombant allx
maires et aux adij oints, en vertu d,' une ol)ligation résultant d'une
disposition légistative ou règlementaire eXipresse. C'est ainsi
que les déplacem.",ts habituels à la Sous-Préfecture ou à la
Préfecture et ceux necessités ,pa r l'obligatio n d'assister à cer~
taines conunissions telles que les commissions ca ntona les d'assistance et les conseils de révisi.on do ivent êt re considé-rés
comme inhérê'Tlt6 à la fonction. Les f r.ais qu'iis occasionnent
co nstituent des dépenses générales couvertes par l'i ndemnité
de fonction ;
2' II est cepend:ant ùes déplacements que commande l' in·
térê t <le la commune et que le Conseil mun icipal peut estimer
indispensables, mais que les magistr.ats munici paux ne ~nt pas
règlementairement tenus d'effectuer. De plus, e n cas d'empêchement de ctux-ci, des conseiUers mun icipaux ,peuvent êt re
appelés à se dépla<:er pour assu rer ~.e rè glem"nt des affai res
co mmunales et devraient. en " absence de d ispositions spéciales,
faire faœ aux dépenses engagées à cette occasion a u moyen
de leurs resso urces personr.eUes puisqu' ils ne so nt habi lités à
percevoir u:ne indemnité de fonctÎo.n.
~n
Il doit dolIC ~t re fait application des règles anterieure~nt
\'igueur à Sêf\"()jr que les indemnitfs dont il s'agit ne peuvent
~tre attribuées automatiquement. chaque moi~ à tous les membres de rassemblée municipale mais doh'ent, au contra ire l êt re
justifiëes par l'exécution de tâches particuliè res.
L' article 12 permet de pallier ces inconvénients. Ce texle
precise. en effet, que c les frais de missio n exposés pa r les
maires, adj oi nts, conseillers mun icipaux, présidents et memb res
de délégations ~iaJes dans l' accompJissem e nt des mandats
spéciaux peuvent être remboursës fo rfaitairement da ns la limite
d u mo ntant des: indemnités jo urnalières allou ées à cet effet auX
fo nctio nn aires de l'Etat appartenant au g ro upe 1 ) .
Certes, l'octroi d'une indemnité forfaitai re dispense parfois
..eux-ci de la production toujour ~ délicate d'état de frais qui
!i.urchargent les se.n·ices administratifs et comptables de la colJedÎ\;té. Il n'en reste pas moins que, compte tenu des t rava ux
parlementaires, le fa it d'appartenir à une commission " oi re
mt-me d'en a - urer la présidence o u le ecréta riat à ce'r tai nes
o. oasien o·est pas. â lui sem, suffisant po ur ou\' ri r droit au
h~ndice de l'indemnité. C'est pourquo i devra it figu re r dans les
documents budgétaires des \'iWes intere -sées, au regard des
rrêdits destin{os à l'allocation d'indemnités a ux conseille rs
municipaux le detail des \'ersements effectués.
C Les d épenses de transpo rt effect uée
da ns l'acco mp lissement de ces missions so nt remboursées sur prése nta tion d'un
i?tat des frais -i .
L'e x.p ressio n c mand ats spéciaux » s'appliq ue uniquement
a ux miss ions aocomp li es dans l'inf éré! de l a comm un e pa r un
memb re du Co nseil nllln~c ~pal ap rès auto r isa tio n de celui-ti.
C~tte définition, coniirmee d'ailleurs pa r la jurisp r lloence du
Co nseil d'Etat (Arrêt du 2-l.mars 1950 _ Ma urice cont re co mmu~
ne de Langea;s) impJique pou r l'A embl ûe munKlpa le l'o bli gation de prendre une délibération précis ant l'objet t!t ta' du ree
de la mi ion, ainsi que l'étendue des po uroirs confé rée au
membre du Conseil municipal désignë p>Ur eil.edl1er celle-<:i .
Toutefois, pour évite r des difficultés pratiques ,pouvant naître
de circonstances partkuJières, ,la déli bé ratioll> prise à cet effet
peut êt re postérieure à l'ex-œution de la mission .
Aar ai lleurs, la di ve rsité des tâches confiées a ux magistrats municipau x ren.dant difficile) P9ur ne pas dire impossitlle.,
par suite des risques d'omission, l'ëlaboration · d' une liste limitative des .missions pou.v ant donner lieu à rembo ursement de
frais, il 'Vous a,ppa rticl1t de tenir compte, d'une part, de l'a nature
de -la destlnation et du montant de l'ind emnité de fondion et,
d'a utre Ipa rt, de la signification précise qui s'attache à la not ion
de 4: mandat ~péciléltl ) pour appréc ier, dan s chaqu e cas d'e~pèce
soumis à vo tr e a"pp robation, Fo;ppo rtunité du remboursement.
3" Ce re.mbou rseme nt s'effect ue sous ,la double form.e de
frais de tran sport et de frais de séjour.
Iles frais de transpo rt sont remboursés sur présentation
d'un état de frais au pri x des tarilfs de chemin de fer en
1re classe., mais lorsqu' il en résulte une économie pour la commune, les mem\bres de "Assem'blée municipale peuvent être
autorisés, s ur décision de celle-ci, à faire usa ge de leur voiture
personn et!,le. Lr tarif des indemnités, accordées dans ces co nditions varie suivant !l'importance de la commune, la puissance
de la voiture et le no mbre de kil omètres parcourus co nforméITent aux d isposi tion s du déc ret n' 49-439 du 30 ma rs (J . O.
du 3 1).
Quant aux frais de séjo ur , ils sont rembo ursés fo rfaitairement sur la base des indemnités journa'liè res allouées po ur le
mêm;;o objet a ux fon cti onnaires de l' Etat appartenant a u gro upe 1 dans les co nditions prévues par le décret du 4 octobre 1945
modi,fié en dernier li e'.1 opa r le décret n'" 5 1-ï92 d u 22 juin 1930
(J O. du 23).
4'" Au cun e all ocation ne peut être acco rd ée par vo ie d 'abo nnement (Conseil d'Etat - 29 juin 1900 et Cour des Compte,
- 16 avril 189 1) et à ohaq ue missio n doit correspondre un titre
justificatif dit ca ractèle d' intérêt comm un al prése nté par le
déplacement, c'est-à-dire d' une manière gene rale, une déliberation du Conse~1 municipal po rtant mandat d 'effect uer celle-ci.
Il ne fait au cun doute que cette obligation présente pour
un maire, oroonnateur de ses pro pres indemnités, pins d'avantages qu e d'inconvenients.
S 0 0
E11e est, au surplus, conforme aux instructio~s générales
ea 'tfigue.u.r en matière de comptabil ité pu1llique, pUI~ue (a responsabilité d'un cornptaIik public !le pert ~ ~..gagee que par
la production de pièces justifiant la « reallte de ta dette ..
(pièce d'or.dre financier == états de frais en l'occurrence) et la
c validité de paiement » (pièces justificatives du ca!~tè re. et
de la durée du déplacement, soit en l'espéce, une delrbératlOn
du Consei l municipal.
Toute dérogation a ces règles se rait ir régulières co~lme
faisant échec aux dis positions de l' a rti cle 158 de la 101 du
5 avril 1884 relatH à la responsabilité des receveurs municrpaux.
CONCLUS ION
Bien qu'eile pose, d' une man ière définitive, le ,p-ri.nc ~pe de
l'i ndemnisation des ma gistrat s municip aux et des autres membres de certaines assemblées com munales, la loi du 24 jui"llet
1952 se trouve limit ee dans ses effets par le mai nt ien de l'article 74 de la loi du 5 avril 1884. L'appli catio n combinée de ces
deux tex tes corrière a uX indemni tés accordées leur .caractère
parhculier et donne a u système adopté une certaine souplesse.
elle n'en obéi t pas moi ns à des règles précises
_ inscription obli gatoi re au budget d'une commune d' un
article spécial pour indemnités de fo ncti o ns ;
_ souveraineté du Conseil muni cipal pour, d' une part,
désigner en fo ncti o n de la destination de l'indemnité, les bénefi ciaires de ceille-ci et, d"autre part, en déterminer le mont a11t,
dans la limite des ma xi ma fi xés pa r la 'lo i ;
_ poss ibilité de cumu l entre l'ind emnité forfaitaire et les
frais de missi o n ;
_ inte(oclrction a ux bénéficiai res de dêlég uer to ut ou partie
de leu r indermnité sauf le cas prévu pa r l'a rticle 10.
Compte tenu de l'objet pour lequel l'octroi de l' indemnité
a été a utorisé, le respect de ces règles essenticlles doit vous
permett re de résoud re les difficultés que VOus pourriez rencontrer !pou r l'3!pplication de la nouvelle loi.
Le Ministre de l'Inférieur
Cha rles BRUNE .
MEDECIN AUTORISE A PRATIQUER LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA,oELIVRANCE DES CERTIFICATS PRENUPTIAUX
ET PRENATAUX
Par arr,;t é préfecto ra l en date du 23 décembre 1952, M, le
Docteur MON CHAISLON Jacq ues, demeurant à Marignane
(B.-<l u-Rh .), " été autorisé à pratiquer les examens radio scol'i-
ques en vue de la dél ivrance des certificats prénuptiaux et
prénataux.
261
�~~------------------------~--~~---------,
t
COMMUNIQUES - AVIS ~ ANNONe'ES DIVERSES
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
RÉPUBLIQUE
MAIRIE DE PORT-DE-BOUC -
AVIS DE CONCOURS
le
ment prévues pa r le statllt du personnel des communes et des
29 janvier 1953, une sténo-<lactylogra;phe, homme ou fem me
Etablissements putllies.
Les candidats doivent être pr ésentés avant le 28 j anvier,
La Mairie de Port-<le-Souc recrutera
au concours,
(traitemellt : indice 135 à la 7' classe; indioe 190 à 1re cl asse).
Les candidats d6V1'ont être âgés d'au moins 2 1 ans et de
30 ans au plus. Ils devront remplir Les conditions de recrute-
Numéro 2
FRANÇAISE
15 Janvier 1953
."
dernier délai.
Pour rou~ r ense.ignemen ts co mplémentaires, s'adresser à la
Mairie de Port-de-Bou c,
DES
ACTES ADMINISTRAT
ET BULLETIN DES MAIRIES
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES O'INTERET GENERAL
AG O. -
Réduction' du nombre des divisions de la Prefecture des Bouches-du-Rhône
12
AG O. -
Liste des j ouJ'inau x du Dépa rtement des Bouches-du-Rhône autorisés â publier les Annon. . .. ..... .. . .
ces Jud iciaires et Lega les en 1953 .......... ....
12
Vitesse des véhi cules à traction mécanique dans les agglomérations du Département des
BOLLches-du-R,hône . ..
. . . . . . .. . .. .
13
p O. -
TVX 4. -
Le Secrétaire. Gellual :
PoUT le Préfet et par Délégation ,
Maxime MIGNON.
Fix:ation des fraÎs de co ntrôle dus à l'Etat pai les entrepren eurs de distributions d'énergie
61ectr ique pou r fannêe 1952
. .......... .
P 3. -
Pè<:.he ~Iuviale. -
P 3. -
Pér iode d'i ntendiction
Règl ementation perm anente
I~
14
de la pêche en 1953
16
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES OIVERSES
-
Don ' et Legs
-
Concours en \' ue du rec r utement d'u n chd
(Pré. fectu re de Vaucluse) ....
18
de
secti on des
Se r\'i ces d' Ar chitectu re
IS
ABIU~VfA'l'IONS. - A. P. : .\r rÙ': pr l·fcC'!Qral. - C . . Circul ai re. - Lt.:s lett res D ct 8 9u i\"ie:o; d'un chiffr e
indhuen t le Se r\"ice O\l Bun:au d'origin e, - U . S.' T, : Direc ti on des Ser.'ices Techniques. _ D. V. S . . D irecti on
D ~pa rte m c n ta l c de la Sauté. D. 0 , P. : DIrec ti on Dêpa r tt:mentale de la Popu lation.
268
lwPRIWUIE NOUVELLE DI: MARSEILLE, 120,
rue Sainte
1\
�TEXTES
ARRET E
Co mmerce - Courti ers en vi ns et sJ)jri t" e
El '
("'
.
lI X.
eC!lons ......onsu lalTcs et Budget des Ohambres
de Lo m merce - Plrix et ta xa tio ns .
Le Préfet des B ouches-d u- Rih ône,
Ol"fi i.cer de la Légion d' Honn eulf.
Vu la loi n" 46-2294 du ID Octobre I P-16 relati ve au statul
,ces f oncti onnaires ;
Vu les i nstru ctions mnistér iell es en date ~u 24 t.t\ \a r s 1950
1 t!lati,"es aux effectifs du ,personnel de P: éfectures et fi xa nt .a
cinq le nombr e des Ch efs de Dlvisi on affectés à la Préfecture
ces Bùuches-du' l! hône ;
" u la c'e p<che <!e M . le -"Ii ni. tre de r lnteri eur n° 2.3 18 PEI(
d u 20 Fév ri er 1952 fi xa nt à de ux l es Chefs de D ivision en
surn omb re à la Préfec ture des B O l1 c h es- d u- ~h ô ne et pr escn\'a nt la mutation d es Ch efs de Divisio n e n surnombre ;
Vu la dépèche ministeri elle n° 9.662 P ER du 2 Ao ut 1 95~
relativ e à la mutatio n à la Préfectur e de la M larNniq l ie d'e M
Guy Bo nn eil, Ohef 'de Di vision en fonctions au C.A.T. I. de
Marseille ;
Vu r"",dé mi nistel: iel n° 1 273 011 19 A out 1952 porta nt
affectation d e A\. Guy Bonneil, il la Préfec ture de la l art ini·
que en qualité de C~ l ef de Di\' ÎslOn ;
Sur la proposition de J\t le Secretaire Général des Bou-
3"'" Bnreau : TRA V A Il. - ETAtB LlSS5MILNTS CL ASSES.
Tr~va i l .- Sa la ir e~ ~ Fer.metures hebdomadaires
o bhga to:r es -M edJa liles d'ho nneur du Tra vail _
Elect ions sociales - A,i d'e aux NO['ldLAfricains.
- C hômage - Sy ndlcats pro fessi olln els - Empl oi
obliagt oirE." des lM,utilés de guerre.
Etablissements classés - Explosi fs.
g~ n èra l
ches-du- Rhô ne,
ARRET E '
ART ICLE
l'RE.\\l ER. -
L es -l m e et 6m e Div isio ns
sont
fusi o nn ~ es
ART. 2. -
La 4me Di vision ::tinsi consti tuée com pren d
c; ua1!re b urea ux :
Bureau : AGRICULTURE.
- Produ ction végétale c::t a nima le - Tra va il et
loi soci ales en agriculture - Législation .d es
baux ruraux - Tra\'au x - Habitat ..r ural - Po lice
de la Chasse - Statistiques agr icoles - RaNitaillemen t.
2"" Bureau
-
REDUCTION DU NOMBRE DES DIVISIONS DE LA PREFECl1URE
DES BOUCHES-OU-RHONE
AG 0
1"
GÉNÉRAL~
D'INTÉRËT
CO~'l~ I'ERCE
_ E.CONO.\t IE NAT IONA!LE.
Co mmerce
françaIs - Sa ll es
cinematohrrap hiques - Br evet d'i nvent io ll - Car tes pc-ofessionnelles - .\\ agasins Gêne-a ux - Voyageu rs de
+'"
Bureau
EiDUOAT ION NA,T ION AiLE .
Instr ucti o n Pu bliq ue - Beaux-ArtoS - Jeunesse
et Spo r ts, Ca mpin g - Sites et N\Io numents historiqu es.
- T axe d'ap pr entissage.
Enseig nem ent T echniq ue - Ode n ~a t io n Professio nnell e.
Bourses d' Enseig nem ent,
ART. 3. - L e Servi ce des Réq uisitio ns de logements et le
Ser vice des Opératio ns Immobilières so nt désorm ais rattacht:i
.il la 51lle Di viSIo n et en co nstitu ero nt le 2me Bureau.
ART. 4. - Le Service <les Cartes 'de Comm et:'çants étra ngers
<'s t ratt ac hé à la 1r e Div isi on.
Le co n.t:ôle <ie l' indemnité des soi ns au x tuberculeux est
r attach é à la 3me Divisi on.
L es vi sas et légalisa tio ns, les do ns et legs sont rattachés
au Ser vice du Contentieux.
ART, 5. - M . Sauvaire, Ohe'f de la 6me Di vision, prend la
D irectio n de la 4m e Di vision ainsi co nstituée.
AR r. 6. - M . le Secretair e Génér al de la Préfecture est
chargé de I"ex écut ion Id'u prés ent arrk té qui aura eHet à compter
CÜJ 1 Décem:bre 1952 et sera pu blié au Recll ei l des Actes Ad mi·
nlstratiofs d" Départ ement.
Marseill e, le 2
D ~c ern b r e
lvI'A,RSEILLE
Journaux quotidiens du matin :
l a France de Mlarseill e et du Sud-Est, 19 A, Tu e Ve nt ur e,
Marsei ll e.
L a Marsei llai se, 15, COurs du Vieux-P ort.
Le IMéri{l ional, 18, r ue Sai nt- Dominlque.
Le Provença l, 75, rlle Fram.:is D av so.
L' A nte nne de i\'\arseille, 83, ru e Sai nt-Jacques,
Journaux quoti diens du Soir :
L e Soir, 75, rue F1" ancis..-Da vso.
Joumaux Périodiques :
L' A,gr iculteur Prove nça l, 15, rue Edmond-Hostam:ll, ,Marsei l1'.!.
Le Bull etin Officiel de la Vill e de M"rseill e.
j ou rn al ri'e Marseille, ID, rue Ventu re, M arseille.
j ou rn al ,èes A nno nces j udic iaires et Légales, 37, rue Para dis,
IMar eille.
Jour nal I.M ari ~im e d'l.l Port de Marseille, 35, ru e Friedlanà,
Mlar eille.
Le Littoral, 27, ru e Glle ymard , La Ciotat.
.M assalia, 16, cours Pierre-Pu get, M arseill e.
MIdi Co mmerc ial et Jud icia ire, 6 1, r ue Grignan, Marseille.
Publicatio ns Marsei llaises, 38, ru e Paradis, J\\arseille.
Petites A ffi ches A\rt rsei llaises, 33, r ue G;-ignan, I!\ \arseille.
Sema ine J'udiciai re, 19, ru e Fl'a ncis-D avso, ,M arseill e.
L'O ffici el d e l'A utomohi le, du Cycle "t du ~ l otocyc1e , 16,
aven ue d e la Gran":"e -Armée, Paris.
A ! X· EN -1>110 V EN CE
Le Courrier d' A ix, 24, rue Esparia t, Ai x.
Provence Libérée, cours ,.\ '\ irabeau, Aix.
La Vo ix de Pfovelll:e, 10, rue Joffre, Aix.
La T errre de Prov ence, 20, ru e de l' Opéra, Aix .
ARIJE5
L ' Arl esien, pla ce Joseph-Patra t, Arl es.
La Liberté, 16, rue du Ma rche-N euf, A rles.
SA LON
L e Régional , 10, boulevad de la Répu bliq ue.
T ARASCON
Le Comm ercia l de T êlfélscon, 4, ru e Salai rs, Tarascon.
'L a Ga ze tte Prov en çale (pour l' Ar:undissement d'Arles seu le ment, 45, rue Carroteri e, A vig non.
ARr. 2. - LI:.' tarit des an nonc es jud~clai res et lé;;ales est
fi xé po ur l' ann ée 1953, aillsi qu' il suit
L e Préfet,
Signé : R. PA m A.
D 5 BI . PO
L e Prefet des Bou c h es·du -~hô ne,
Officier de la Légion d' Honneur,
Vu la loi du 23 Décembre 194 1, modifi ée par l' ordo nnance
du 12 Av ri l 1945, donn an t pouvoir au Préfet de ohaque Départe'
ment dt' dés:gner, sous certai nes co nditions, les journ au x autorisés à publier les annonces j udiciai res et légales et de fi xer le
tarif des dites annonces ;
Vu l'arrête prflecto ral du 29 D,;cembr e 1951 ;
;\\arseille, le 30 Deceml1 re 1952.
Pour le Préfet,
Le Secretaire Géneral,
Maxime .\I IGNON .
VITESSE DES VEHICULES A TRACTION MECANIQUE DANS LES
--AGGLOMERAT IONS DU DEPARTEMENT DES BOUCHES-OU -RHONE
L e Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier d~ la L(gion d' Honncur,
LISTE DES JOURNAl.:X DU DEPART EMENT DES BOUCHES-OU-RHON E
AUTORISES A PUBLIER LES ANNONCES
JUDICIAIRES ET LEGALES EN 195 3
A I!RETE
Pour les journaux quotid iens du matin .,. . . . 75 francs
du soir .. . .. . 70 francs
- pour les journaux ,pér iodiques ... _... , . . . . 60 fra ncs
par lig ne <1.e trente lettrec3, blancs ou si g nes, le nombr e de lignes
étant ca lculé au hg nomi:t re tiu corps ~m p l oyé de filet à filet.
ART. 3_ - Le même ta ri,f sera appliqué en ce qui Concerne
les annonces et puhlicaticJ!ls dans les affaires domaniales ou
administratives, spéc ialement l n matière d'expropr iation pou r
ca use d'utilité publique.
ART. 4. - Ce ta rif est réduit de moitié en ce qui con ce;-ne
les publi cati ons suivantes rela tives ;
1" A li x ju gemen1s de fai llite, aux co nvocatio ns et déli bératio ns d ,e s crea nciers ;
2" Au x ve ntes judici aires d'im meubles dont la mise â prix
~ s t infé rieure à 8.000 fr ancs, conf o.'mément à l'article 5 de la
ioi du 23 Octobre 1884, mociific par le décret loi du 17 Ju in 1938 ;
3" Aux contrats et pr océd ures dans les affaires suivies pai
applicatio n des loi s ées 29 Novembre et 7 Decembr e 1850 et
~2 j anvier 18 15, sur j' ASSIs tance Ju diciaire.
AR1. 5. - LOisque la ligne aura pl us de trent e l ettres le
pri x de J' insertion augment~ra ~n propo71ion du nombre de
lettres supplémentaires ; le nomhre de lettres â la ligne sera
t..t! compte suiva nt les rt:gles typogra"'h:ques.
ART. 6. - Le coû t d'u n exemplaire légalisé non co mpris
les dr oits d'enregistre ment est fixé au prix du dit journa l augmente :;·e la taxe de légalisa tion. Il est réd uit de moitié pour les
cas prév us â l'arti d e 4 .
A RT. 7. - L 'autorisation accordée pourra être retiree sans
qu'il soit besoin oc mise en demeu re à tou t jou mal ne se ccmfor mant pas au tar if édic t~ -par les articles 3 et ~ .
ART. 8. - Le prése nt arrète sera ~oumis à l'ap;)robatio n
dt At le ,\\ inistre de l'ln lo: mation ct recevra pro\:isoirement son
exéc ution.
ART. 9_ Le présent ar rêté sera inséré au Rec ueil des
Actes Aüministratifs et ampliation en sera transm:se il ,\\ . le
Proc ureur Général prLs la Cour d'Appel d'Aix-en - Provel1l:e ; il
lv\l.I\ L les Procureurs de la Répuhlique à .\\arseille, à Aix-ent'ï O\'enCe et ft T arascon, à ..\~ le Prt:si:ent du Tribunal de
Comme-ce àe _\\ ar'5eille ai nsi q u'aux journaux intéresses_
ART. ID. - ,\1. le Secrdaire Général de la PrGlectur e, ,\L\1.
k-s Sous- Préfets et Maires, so nt chargês, chacun en ce qui le
co ncerne, de l'exécutio n du p résent arrêté.
1952.
ARRETE
D5 56 . AG 0
-
Vu les instru ctio ns de M . le Secrétaire d/Etat à la Présidence
d'lI Conseil et l' I nformat ion en date du 22 Décembre 1952 ; éSur la proposi tio n de M . l e Sec rétaire Général de la Pr
fec tu re,
a
. les
A R'JJeLE PREM IER. - Sont seuls susc eptib les de rece~ol rf n
annonces exi (Té es par les lois pour la va lidité de la pUb l IC~ 105
d~ p rocéa'ur; s ou d es contrats, au co urs de l'annce 1 95~,
le Département des Bouahes-d~I-R hô n e, les jouInSUx Cl·apreS
r oc ordre alphabétiqu e.
J\
Vu le l..~cret du 20 Août L3Y mo ":'ifi~ par ks déuets des
27 Fé vri er 19--10, 2 1 Aout 1 ~1-l,O I t{ Octobrl!: 194 1, 28 Dec~l~b~e
1943 17 Ao ût 19-16 et 12 Jamier 1 9-1~, porta nt ri:gl~lllent gcnerai ~ ur la police de la circulation et du roulage (Code de la
Route) ;
_
V u la d n .:ul aire du 30 Novembre 1 9~ 1
V u J'.wis de lïngénicur en Oh e~ des Po nts et Chaussées
~ n d1atc du 15 Av ri l 1952,
AR rŒT E
A ln ICLE. PRE,\\ IE.R. - Dans les agglomération.s Cltl ~)eparte
ment des Bou c..hes-cill-Rhône, ks véhicules à tractIon mcca1l1que
n e devro nt pas dé))asser la \'itessè de 40 km / h.
.
ART. 2. _ Les dispositions de j'ar ticle 1er CI-dessus ne
modifient en au:une bçon l'exécutio n dt.:s prescriptions d'orcre
;...ênëral e:::lctêe par J"artic1e 3 1 du d~c.:rct du 20 Aoùt 193'J
(Code de la Route).
ART. 3. - Toutes di"'--:ositions contraires au prl:sent arnttc
sont abrogees.
ART. -4. - .\DL le Secrétaire General ct' la Prefecture, les
~nus--Préfets (F Aix et d'Ar les, les .\\ain~s, le Commandant de
Genda rmerie, rJ ngeniellf en Chef dt!S Ponts et Chaussees, les
Commissaires Centraux de Polin~, sont char~t-s, chacun en ce
qui le co ncerne, de \'ex~cl1tion du present arrt:t~ qui sera insëré
au (\ecuei l des Actes .r\d n1l1üstra tiis de la Prefecture.
A Marseille, le 29 Dec~m l)re 19.52 .
Pour le Prefet,
L~ Sct::rt'taire Gëm:ral delégué,
Si~n';
: .\ IIG~ON.
�FIXATIOIII DES FRAIS DE CONTROLE DUS A L'ETAT
PAR LES ENTREPRENEURS DE DISTRIBUTION
02 B3 . TVX 4
D'ENERGIE ELECTRIQUE POUR L'ANNEE 1952
Paris, le 26 Décembrre 1952.
le .\ tinistre <le l' Industrie et du Commerce.
" Mj.\1. les Préfets.
j' ai Phonneur de vous faire connaître que, par décisio n en
date de ce jour, j'ai fixe de la fa ço n suivante les frais de co n·
trôle dus à ,'Etat pou r l'a nn ée 1952, par les entrepreneu rs dt:
ctistribution d'énergie électriq ue.
l ' Les frais de contrôle dus à l'Etat par les entr epreneurs
de distributions d'énergie électrique établies en vertu de permissions de voiri e ou de concession sont fixés à :
- 300 francs par kilomètres de ligne et pa r a n pour les
distributions soumises au contrôle exclusif de l'Etat.
réalisées avec le concou rs financier de l' Etat, des Uéparteme ts
des Commu ne-s ou des syndicats de comm un es dans les co n ·•
d
tions fixées par l'article 1eT du décret du 27 Décembre 1 ~2;
les f rais de con t rôle dus à l' Etat sO"t fixés à :
"
- 60 fra ncs ,par kilomètre die li gne et pa r ail pour les
èistributions so um ises au co ntrôle des M 'unicipalités SOUS J'au.
tOrlté du M!i nistre de l'Industrie et du Com merce.
j'adresse copie de la présente <:ir,culaire à M!M. les Ingé'
meurs en Ohef des Circonscriptio ns Electri ques, ainsi qu'à MlM.
les Ln'génieurs en Ohef dru Contrôle des Distributions d~Energie
IOlectr ique.
Le Directeur du Gaz et de l' Electricite,
6ù jours co nsécutiTs à compter du dernier
mardi de Mars, sauf sur les cours <i"eau
où cette pêohe est autorisée <fans les conditions prevues ci-desso us.
60 jours consécutifs il compter du dernier
60 jours conséc utils à compter du dernier
mardi de Mars.
60 jours consécutifs il compter du dernier
mardi de Mars.
ECREVdSSES .....
du 16 Octobre au 13 Juillet.
60 jours consécutifs il compter du dernier
mardi de Mars.
GRENOU ILLES .......... . ........ .
dll 16 Octobre au 13 Juillet.
60 jours consécutifs à compter du dernier
mardi de Mars.
Tous poissons nOn
dessus ..... . .
N. B. -
ARTICLE PRElMIBR
la péche es! soumise aux prescriptions des textes rappelés
ci-dessus et dE leurs modificatifs et, pou r l e départeme nt aux
conditions par ticuliè res ci-après.
Les j ours indiqués domme ori grne et fin des periodes d'interdiction sont compris dans les dites périodes.
Par dérllga1ion aUx disposi tions précéden tes et en application de l 'ar~ icle 4 du décret du 29 août 1939, est autorisée a
toute époq ue:
5"
6(0
b)
COURS D'EAU EN CATEGORI ES
GENERAl;E :
La pêche est i nterdite d'une façon générale pou r les grenouilles, écrevisses et toutes espèces de poissons autres que le
sa umon :
a)
Le ruisse au de St-Pau I4ez-Durance en amont de son
j
2'"'
Le Réa l ou Ruisseau de Rians, en amont de son
co nfluent avec la Du.rance
3'
la Touloubre,
4°
L'Huveaune en amont du Pont de Roquevaire;
en amont du
Pont de l a
Ro ute de
Grans;
PERIODES D 'LNTERD ICT I ON DE LA PECHE
FEl~j\\'ETURE
Première catégorie avec salmonidés dominant :
confluent avec la Durance
Deuxième catégorie - Cyprinidés dominant ,'
B. -
TABlliAU DE CLASSEMENT
Le Ruisseau des Encanau x ;
Les ~ffluents des cours d'eau ou po rtions de cours
d'eau désignés ci-dessus.
Tous les cours d'eau ou 'Portions de cou.rs d'eau et canaux
non classés en première catégor ie.
En ce qui concer ne le Rhône : le Grand Rhône dans toute
!a t r aversée du D épar tement des Bouches-du-Rh ône jusqu'à la
limite de salul r des eaux fixée par le déc ret du 7 décembre
19 12 à la normaJe passant à Vextrémité Sud du Quai St-Louis
lequél sépar e le fleuve du Ca na!! St-Louis.
Le Peti t Rhône, da ns toute la trilversée du D épa rtement
des Bouches-du ...Rh ône j usqu'à l a l imite de salure des eaux
fixée par décret du 19 novemb re 1849 à l'Ecluse de SyJ.véréal
B.K. 322.
ART IOLE 2
AppLicati on des articles l, 2, 3, 4, 5 et 6 du décret du
29 août 1939.
mardi de ·Mars, sauf sur les Cours d'eau
où cette pêche est autorisée dans les conditions prévues ci-dessous.
mentionnés ci-
b) Dans tous les cours d'eau du D épartement (y compris
Ile Rhône), la pèche de l'angll ii'l e par les procedes dits de la
vermée ou au sausset.
ARRETE:
14
du 1er Juillet au 31 Décembre.
ALOSE, ANGU ll..I... E, LAMIPRO IE ...
ARRETE REGLEMENTAIRE PERMANENT SUR LA POLICE
DE LA PECHE FLUVIALE
Vu l'avis du Comité D épartemental de l a Pêche Fluvi ale
en date du 28 novembre 1950,
du 15 Février au 3 1 Mars.
NEANT
dll 1er Ju illet ail 3 1 Décembre.
a ) Dan ~ le Rhône seulement, la pêche des migrateurs
(alose5., anguilles. l amproies, mu ges, bars ou loups de me r, au
moy.en de tous file ts et engi ns règl ementaires ;
Vu le décret du 29 août 1939 su r la pêche fluviale et ses
modificatifs j
1'"
BROCHET ...................... . .
du 1er "\drdi d'Octobre au jOllr qui précède
le 1er Samedi de ·.\\a rs.
ESTU llGEON .................. .
PECHE fLUViAlE - REGLEMENTATION PERMANENTE
Vu les lois des 15 a\'fil 1829, 31 mai 1865 sur la pêche
fluviale et leurs modificatifs;
a)
du 1er Mard'i d'Octobre au jour qui précède
le 1er Samedi de Mars.
Cours d'eau de :lm- catégorie
Signé : L. S.A lI LGEOT.
Le Préfet des Bou ches-du-Rhône,
Officier de ta Légion d'Honn eur,
DE
Cours d'eau de 1.... catégorie
Pour le Ministre de l'I ndustrire et du Commerce,
2· Pour les distributions d'énergie électrique établies en
vertu de permissions de 'voirie ou de concessions, qui ont été
A. -
TRUITE ET O"'~BLE CHEVALIErl
110 francs par kilomètre de ligne et par an l'Our le
distri butions so umises au contrôle exd us if de l'Etat ;
s
- 70 francs J'ar kilomètre de ligne et par an \Xlur les
distributions soumises au eontrôle des .~tunicipaJjtés sous l'autorité du ,\\knisrre <le Iïndustrie et du Commerce.
0 5 BI - P 3
Désignation des espèces
b)
Dans tes cours d'eau de première catégo rie:
Du 1er -nardî d'octdbre au jour qui précooe le 1er samedi
de mars ;
Dans ceux de de uxième catégorie "
Du rant 60 jours consécutifs il. compter du dernier mardi
de ma rs.
PER IODES D' INl'ERDICTLON SPECIF IQUES
Sa ns préjudice des péri odes d'Înteroict ions gcnérales. ci·
de~s ll s, l a pêc-he est, en outr e, interdite pOlir les especes
ci~après désign es, dura nt les périodes suivantes :
A.RTICl;E 3
Apptication de t'article 7 du dé cret du 29 aOlit 1939
IL a pêche ne peut s'exerce r plus d'une demi-heure avant le
leve r du soleil ni pl us d'une demi-heu re après so n coucher.
ARTICLE 4
Application de l'articte 9 du décret du 29 aOût 1939
La dimen!'ion de ria truite captur able est fix ée il 23 cm.
dans tous les cas.
épervier à mailles câ rrées, losang;q ues ou rectangulai res de
40 mm. au moins de ('ôté (petit côté du rectangle) ou à mailles
!~exagol1ales r.unt le 1/ 4 de périmètre est au moins de 40 mm.
dans le chenal pr incipaJ du Rhône, en amont du Pont de Trinquetail11e à Arles et dans ie Petit Rhône, en amont d.u pont
suspendu de St-Gilles.
Cette pèche ne pourra "=:tre effectuée qu'entre le lever et le
coucher du !;oleil dans les parties profondes du Rhône, aux
emplacements qui seront désignés par le Préfet pour la capture
de toutes les grarKies espèces de ~issons, teUes que: anguilles,
truites, car pe5:,. brochets, barbeaux, brèmes, mauniers, aloses,
perches, tanches, loches, lamproies, mulets et bar s.
La longueur des filets trainants ne powrra excéder de plus
d'un tiers la largeur mouillée du fleu\re.
L'emplo i de ces engin~ est autorisé à toute époque, mais
la capture de tous poissons pendant l a période d'interdiction
qui lui est propre est défendue. Ces poissons devron t être
Immédiatement rejetés à l'eau.
ART I CLIE 9
ARTICLE 5
Appticatio n de l'article 19 du décret du 29 août 1939
Application de l'article Il du décret du 29 août 1939
Pa r dérogation aux preso<iptions générales die l'article ) ~,
du déc ret du 29 ao ût 1939, les nasses, paniers et filets à demeure pourr:>nt êt re aoco lês aux écl uses, barra ges.. chutes
naturelles, pertuis. vanna'ge, cou rsiers d'usine des cou rs d'eau
de deuxième catégork) sauf toutefois, dans les cours d'eau du
Demaine Pub lic du 1er nO\'emb re au 3 1 décembre, deux heures
avant le lever du soleil, pOlir être utilises deux heures après le
coucner du soleil, pour la pêche de l'anguiUe d'3\'aJaison.
Cette pêche ne sera pratiq uée que dans les empJacements
qui auront éte autorisés pTt!3lablement pa r decision préfectorale
après enquête des se rv ices des forêts et sur demande des
Intéressés.
ARTICLE 10
La pêche de la montée d'anguiNons est interd ite.
ARTICLE 6
Appll ca ticn de l'articl e 12 du décret du 29 août 1939
La pêche au,," filets, nasses, bi res, etc., est autorisée dans
les conditions des maiIlles indiqu ees à J'article 12 du décret du
29 aOlH 1939.
ART ICLE 7
Application de l'article 15 du décret du 29 aO/lI 1939
l a largeu r m ouill~e du cours d'eau sera toujours pr ise en
pOlir l'application des dispositi'On~ de l'article 15.
L 'eml)loi des carre let:; <ie 5 metres de côté au plus t'st autoris~
SUr le Gr and Hhône, en amont du Pon t de Lunel et en 3\'31 du
Chantier de Bari ol.
ARTICLE 8
consid~ration
Application de l'articl e 15 du décret du 29 aOIÎ/ 1939
Filets !raillallis. - Est auroris e. l'em.ploi de filets train .. nts,
dits grand s filet s, filets co urants, coub le, senne, gille ou gra nd
ApplicatIon de l'article 20 ail dteret du 29 août 1939
Sont inte:'dits en tout temps ~t dans tous les cours d'eau
les modes de pêche ci-après :
1" la pêche aux filets tournants automatiques ou nOn sauf
dérogations prêvues ci-après:
2" la pèche aux bris de ~late .
3" 13 pèche aux bacs de fo n'ds et autres appa reils de
mêm~ espèce tels que barriques et fagots ;
4" l a fJoche à l'aide de la brëcaniè re. trouble, poêle, toUJbillon, capi roun et sartan.
�Toutefois, l'emploi des engins enumérés au pa ragr aphe
préct...'dent, brécanière, etc ... est auto r ise pour la pèohe de l'anguille, de l'alose et de la l amproie, mais seulement dans le
chenal p rincipal du Rhône à l'exclusion des hras secondaires
et aux emplacements d~igll~s sur la demande des ayants-droit
e pendant la periode du 15 mars au 30 juin (ces dates incluses).
50 la pèche à la ligne coubl6e ou po rtée, la p~che dite « à
l'a \'iol1 » ou au c flotteur » ;
6" l'utilisation des œufs de toutes espèces de poissons
comme amorces ou appats, que ces œufs soien.t naturels ou artiiiciei fr ais ou de conse r ves ;
7" I"utilisat ion de l"ast Îcot naturei o u artificiel comme
amorces Olt comme appttts dans les cüu rs d'e au de
pr emièrec atégorie.
F ILETS U. ' IQUL\ ENT AU T OR IS ES DA 'S LE Imo 'E
Est autorisé. uniquement dans le Rhône, remploi des f ilets
tournants ap'pelés douille sartan, vi re blanchard, tourniquet,
mu.nis de deux filets a"ec palettes motr ices sous cond itions
qu'ils seront il maiUe de 27 mm. au moins dans le cas des
mailles en forme de carré, de l o~a n ge ou de re ctangle (petit
côté) ou si 1(5 maiUes sont hexagonales, lorsque le 1/ 4 du
pé-rimètre sera supérieur à 17 mm.
Ils ne de\'ront comporter aUCune annexe tel le que barrage,
même partiel, contraignant le poisson à se dirige r vers l'en gi n.
Ces appareils pourron t être munis d' un cou loir, mais SOliS
la condition obligatoire que ceJui-c i d é\' ersera directement le
poisson dans un vivie r ouvert en ea u li bre muni de gri.llage o u
de filets à mailles de 32 mm. au moins.
Ces appareils seront assimiles aux engins fixes et leur
fonctionnement sera complètement arrêté pendant 36 heures
chaque semaine du samedi l B heures au lundi 6 heu res.
L'emploi des filets tourn ants est auto ri se du 15 mars
inclusivement au 30 juin inclusivement.
Pourront Hre capturés à l'aide des filets :
l"
2"
pendant la p~ ri ode d'interdiction gënérale de la pêche.
c'est-à-dire pendant 60 jours à compter du dernier
mardi de mars, les poissons mi gr ateurs, l'alose, la
lamoroie marine, l'anguille, le muge ou mulet, le loup
Ou bu, à J'e xcl usion de toutes autres espèces
ARTICLE Il
Application de far/i cle 2 1 du dé cret du 29 août 1939
JI! est interdit ù'apparer les hameço ns nass""" f·1
' ' ' ' ' , 1 ets ct
.
.
aut res enOl":; avec des pOissons don t la taille de
.
.~
té
1·· l
'
pTl se est
re:;.emen e par artl c e 9 du dt:cret d u 29 août 1939 ma . ,
par le déc r et du 14 septemb re 1950.
<lil,é
ARTIOl.JE 12
L'emploi cc la boutei lJ e, de la ca rafe en verre et 1 b .
d· un e COll t enance dc ?_ 1·It,res au pl us, pourra êt re autorisé
<u darl l
les co urs d'eau de deux ième catégo r ie seul emen t I)our 1 .ans
.
d
.
a cap·
ture eXlc1llSlve es pOlsso,ns ser va nt d'a mo rce. L a de", d .
· Ip u
a n e.
a d resse r a a ,rl:."lec tu re devra preciser l'empdacenl'''nt .
• rr'
t l '
, .
,
ou ces
en;;:olns se ron p aces. El~e fera 1 objet ct unc autorisation spéciale.
Les fagots ou fascllles ne sont pas a ut o r is ~s pou r la ca
tu re de l'a nguille.
pART IC LE 13
Le prc':sent a rrête abr oge et remplace celui du t 1 décemb re 1950 et ,es modilicatifs.
AIH ICLE 14
EXECU TION DE L'ARRETE
Le présellt arr~të ent r era en "igueu r le 1er j an\'ier 1953 et
restera va lab le tant que ses dispositions n'au ront p
modifiées.
as
e
ér
.MM. les ~ous-Préfets, Mai res et Adjoints, Officier et Prepo~e~ des Forets, I n~ël1i.e urs des POnts et Chaussées et Agents
IOfeneurs de la navlgatlon, Officiers de Gendarmerie, Gendarme , Agents et EmploYls des Do uanes, des Contri butions Indir~ tes et d~s Octrois., Com missai r es de Police, Gardes-Charn~etre, Syn?IC des Gens d~ .1\\er, Gardes Maritimes, Gendarmes
la, Manne, et tous Offl.c lers de Police Judiciaire, sont charges d en aSsurer l'exécutio n.
Le present arrêté sera insé ré au « Recuei l des Actes
Admini tratifs .., pub lié et affiché dans tOlites les Communes
du Departeme nt des Bouc hes-du - Rhône.
(1:
Marseille le 29 Novemb re 1952.
Po ur le Préfet,
Le Secrétaire Général Délégué
Maxime "IIGNON.
PERIODE D'INTERlJlCTION DE LA PECHE EN 1953
AV IS AU PUBUC
En appli~ation des décrets des 29 Août 1939 et ses modifi catifs et de J'arrêté préfectoral permanent du 29 'ovembre
1952, la pixhe par tous procédés, mtme â la ligne flottante
t enue à la main, est interdHe dans le Département des Bouchesdu-Rhône, pou r les grenouilles, les écrevisses et toutes espèces
ESPECES
de poissons, d u r~nt les périod1es d' interdiction générale ci"après :
•
) du 1er j anv. au fi Ma rs 1953.
10 Co urs d'eau d~ 1re catégo r ie
du 6 Oct. a u 3 1 Déc. 1953.
2" Cours d'ea u de 2 mt ca tegorie: du 3 1 .\tars au 2~1 !,Iai 1953.
COn1 'J te tenu decette r emarque, l es périrodcs d~ fer meture
par espèces, sont It:.s suivantes :
Cours d'eau de 1U catécrorie
(Salmo ni dés domina nts)
Co urs d'eau de 201 ' catégorie
(Cyp , imi ~és dominants)
T RU iT E ............ .
du 1er Janvier au 6 ,Ma rs.
d u 6 Octobre au 3 1 Décembre.
du 1er Janvier au 6 Mars.
du :l I ,M ars au 20 Mai.
du 6 Octobre au 3 1 Décembre.
B ROCHET ........•..... •.. ..... ..
du 1er Janvier au 6 Mars.
du 6 Octobre au 3 1 Décemb re.
du 16 Février au 20 Mai.
ESTURGEON .. :...................
dll 1er ju ill et au 3 1 Décembre.
du 1er Ju ill et au 3 1 Dé·cemh l'c.
IG
T ous poissons
dessus ... ,
EC~EV I SSBS
du 1er Janvier au 6 Mars.
du 3 1 !Mars au 29 Mai.
ctu 6 Octobre a u 3 1 Décembre.
du 31 Mars au 29 Mai.
du 1er Janvier au 6 Mars .
du 3 1 ,M ars au 29 Mai.
du 6 Octobre au 3 1 Décembre.
du 31 N\ars au 29 Mai.
du 1er. j a nvier au 13 Juillet.
du 16 Octobre a u 3 1 Décembre.
du :1 1 Mars au 29 Mai .
dOl 1er j a nvier au 6 iMars
dm 6 Octobre au 3 1 Déce~bre.
du 3 1 Mars au 20 Mai.
non mentio nnés ci-
....... .. . ... .
"
Applicalion rie l'ar/icle 22 <Ill d écret du 29 aOal 1939
en p~riode d'ouvertu re cie la pt!che routes les espèces
migratices o u non .
05 BI . P 3
ANGUILLE, ALOSE, LAMPROIE (sauf
ex cepti on prévue à l'art. 2 de l'arrêté
prêfectoral permanent) ., ...... " ..
.
GRENOU ILLES
IMRPEL IDE DIV BHSES DISPOS IT IONS:
1" Il . es t ra~pe lé ~u~ les jours indiqués co mme ong1l1e et
flO de pénodes d interd IctIOn sont comp ris da ns lesdHes périodes.
. 2° En dehors des périodes d'interdiction généra le tout
?olsson ~a~turé pend'ant ct's peri od'es de fermeture ,propr~ doit
elre remis a l'eau.
'
3,0 La pèohe ne peut H re exeTcée p1us d'une demi-h eure
avant le lever d'LI solei l t plu s d' une demÎ...Iheure après son
coucher. (Déc ret du 2/8/39 , article 7).
4 " A,Rl' ICLE 30 DE l.!A LOI DU 15 AVRI L 1829 - DEORET
DU 29 A OUT 1939 - ART IOLE 9.
Il est ,i nterdit en tout temps de pêcher, de mettre en ve nte,
de vendre, <fe -colpor ter et ,d' acheter des poissons ayant une tai lle
in fé r ieure à la taill e réglementai re (voir nouvelles dispositions).
Il est interdit cfappâter les ,hameçons, nasses, filets et autres
engins avec des poissons dont la taille de prise est réglementai re.
5" D8ŒET DU 5 J UIN 1926.
li est interdit de mettre en ve nte, de vendre, de transpor terr, de colpor te r ou d'acheter ries poissons penda nt le tem ps
où la p~che est interdite.
6" A'RT IC LE 20 DU DEORET DU> 29 AOUT 1939.
En ce qui conce rn e plus spécialement le brochet et dans
les co urs d'eau classés en 2me catégorie, la pêohe au vif, au
poi~so n mort à la cui ller, au d'evon, à tous leurres métalliques
el autres amorces artif1cielles, est interdite d\1 16 Fév rier au
3 \ u\'\ars, périOde de fermeture qui lui est propre. Cette interdiction ne s'applique pas à la .pêche à la mouche.
7' LOI DU 24 SEPTBMBRE 6943 VALIDEE PAR
ORDONNANCE DU 14 AVRIL 1945.
II est ra ppelé qu·aux termes de la loi du 24 Septembre
1943, nuJ ne peut se livrer â la pêche s'il ne fait partie d'une
Association depêche et de pisciculture agréée par le Ministre
cie r Agricultu're, et s'i l n'a versé en sus de sa cotisatio n, le
mo ntant de la taxe piscicole. Ce versement est attesté par
l'appositio n de ti mllres spéciacx sur les ca rtes de sociétaires.
8" DECISION MIN ISTERIELLE DU 30 NOVEMIBRE 1945.
Lorsqu 'une portio n de CouïS d'eau est limi t rophe entre deu x
Départ ements dOnt le;; péri odes d'interd iction (générale o u prol're à une espèce .(f'éterminée) ne sont pas id entiquesl on appliquera co mm e ori gine et fi n de péri ode d'interdiction, sur cette
portion, la date de ferm etu re la plus précoce et la date d'ouvertur e la p lus tardive de celle des réglementations river ai nes.
9' PEOHE LE DI.~\l~NCH E - DECRET DU 8 AVRLL 1952.
a) li n'aura plus qu 'une seule taxe et no n deux pour la
pêche les dimanches et jours fériés en période d'interdiction
générale des poissons blancs.
b) Un pêcheur a}' ant déjà acquitté la taxedimandhe dans
son Département pourra également pêcher, sans payer de nQU\' eHes ta.xes dima nche, dans les Départements où la pêche sera
autorisée les dimanches et jours fériés.
Pour de plus amples infoimations et p récisions, le public
est in vité à consulter I) arr~té r églementaire permanent l'arrêté
préfectoral du 26 Avril 1952, et le decret du 29 A\'ril 1939.
Marseille, le 23 Décembre 1952.
Pour le P réfet,
L e Secrétaire Général délégué,
,~\ axi m e ,~\I GNON.
�COMMUNIQUES
AVIS - ANNONCES DIVERSES
-
r
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
BÉPUBLIQUE
Numérol 3, 4 t,t 5
22-29 Janviej
et 5 Février 1953
FRANÇAISE
DONS ET LEGS
Par testam ent olo!!Taphe du 15 Mars 1952, dêpose aux
minutes de lM" Marc JOUBERT, notaire à Aix-en"Proven ce, 15,
place d'Albestas, fe u ,Marie-Pierrette VIAUANT veuve Fernand
AR LAUD, a lêg1Jé à diverses œuvres des sommes d' un montant
de deux cent dix mille francs (2 10.000 frs).
••
••
Conformément aux dispositions dOl décret du 1er F' .
"é ·t·
·
evner
1896 , 1es ~I n leTS ,co nnuS ou In co nnus de feu Ma ri e,.,P·e
....
d
1 rrette
11 ALAN1'
, so nt Illvltes a pr en Te co nna iss~nce du testa
\ 11"\'
·t . ,
ment
d Qlln er 1eur consen t emen a son execution ou pr od uire 1
moyens d, appasi't'Ion d ans un dé lai. de trois mois à datereurs
d
jour du présent avis.
li
r ('
~ l.
1
.P-
DES
CONCOURS EN VUE D'UN IŒCRUTEMENT D'UN CHEF DE SECTION
DES SERVICES D'ARCHITECTURE - PREFt:CTURE DE VAUCLUSE
Un concours pour remploi de Chef de Section des Services
,r.""'hitectUTe sera ouvert il la Préfecture de Vaucluse le lundi
16 Mars 1953 (concours du nivea u de celui or ganisé par le
Ministère des Travaux Publics pour le recrutement des ingenieurs
des travaux publics de l'Etat).
Pour tous rensei gnemen ts
ACTES AD ·MINISTRAT
ET BULLETIN DES MAIRIES
complémentaires à ce sujet,
prière de s'a dr esser à la Pr éfecture de Vaucluse, bureau du
.
Perso nnel.
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
FS 6. P 4. ~
O. -
FS O. -
Arrêt~ du 2 1, janvier 1953 portant modification des taux de remboursement
de ~eslnfectJOn . dan~ le Département des Bouches-du- Rhône. _. . .
des opérations
.
. ....
bA r.reté du 10 decembre 1952 sur les -périmèt res de protechon en matière
de . .....
débits . de
olssons .. .... .... ..
Fixation des prix de jou;~é~
Flxatl?n des prix. de journ ée prév.isionnels applicables dur~ ~ t' J'~'n'n'ée' .
Hospice de La CIota t ..... , ........ , ...... ,.. ... . ... . ...........a _l'......
Hôpital-.
ï 95:3 :.:::::::: ::::.:.: .. -. .... .... .... ... . . .. .
'1953": ....... -
20
20
20
21
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
Le Secrélaire OtneraL :
Pour le Préfet et par Delégation ,
Maxime M IGNON.
AG 2. -
Arrêté interministeriel du 20 déœmbre 1952 portant rel èvement des ta
d
. d
..
fonfaltalres pou r travaux supplémentai res, . . . . . .'..
lL'(
es ln emnltes
3, - Ar rê~és. du 9 janvi~r 1953 règ'llem entant l 'empoisonn'e~~ut 'd~ '~~im~~' n'u'i~i'bl~~" ... .
A 2. - ApplIcatIon de la 101 du 28 avril 1952 portant statut aenér al du pe
ni
· .... .
ConstitutIOn d'un syndicat de communes
b
rson e commun al. AG~ 2. - jJ\\édaiUe tI ' Honneur . Départementale . ~t C~~m't;~~le: .~ p;~~o'â~~ ci~
'1' '-' . .. .
F O. - Versement de subventions à des associations et œuvr{'s locaJ es .... , ....e.r. ~~I.. 953 .. . .
ri
1 ... ..
.
22
22
23
24
25
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
-
A\'is de concours. - A\airîe d'Avignon .. ....... . ... .
Avis de ~ nco u]'~. Chef de corps de sapeurs-pompiers'
'Cil~~~,~~t (li ~ ~te~\\~ 'rn~)' .
Demande d emploI , ............... ,. . .. , _. .... ...
..
Emploi de garde-c hampètre il J\\ aussa ne
. . .. , , ... . ...
A'l1to risation d'entreposer des explosifs
'à
-
25
26
26
26
26
ABIHi:\·lA'.rlONS. - A. P. : Arrê-té prHecto ral. - C. . Circulaire:. - Les Ie-tt
DB
' .'
.
.
indiquent le Service- ou Bur~u d'or igin e. -:;- O. S: T .. : Dir,ection d es Ser"i~s Tcch:~ues, e~ D~U':;.IS. ~ l~. ch,~re
Dépa rtementale de la Sa ute. - O. O. 1. : Direction D epartementale de la Popul ation.
. IreCtlou
18
1YPJU"r..IE NOUVEl.l.e DE M.usaIl.LE, 120, rue Sainte
t ,....
,.
. - - . . {' ç
�----------------.
TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
DDS - FS 6
MODIfICATION DES TAUX DE REMBOURSEMENT DES OPERATIONS
DE DESINfECTION DANS LE DEPARTEMENT DES B.-DU .RH.
AlmETE
Le Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier de fa Legiun d'H onn eur,
Vu la loi du 15 fenie r \902, su r la Protect ion de la Sa n t~
Publique;
Vu le décre t du 10 juillet 1906, relatif à l'o rga nisa ti o n et
a u fo ncti onnement du Service Departemental de Dési nf ec tion ,
sauf en ce qui concerne les a rticles 22. 26 et 30 ;
Vu le décret n" 52-IÎ du 3 ja nvie r 1952, modifiant les a rt icles 22, 26 et 30 d u décret du 10 juill et 1906, préc ité
Vu la circulaire de M. le Ministre de la Sa nte Publiqu e,
en date du 5 fév rie r 1952, n° 2û j
Vu la délibér atio n du Conseil Général
I ~ h ô n e , en date d u 18 déce mbre 1952
des
Bouches-du-
Sur la pro position de M. le Directeu r Départeme ntal de la
Santé, Chef du Sen"ire Dépa rtem ental de Désinfectio n,
ARRETE:
Opéra li ons fac ultati ves ...... '
»
obli gatoires .. . .
»
effec tu ées dans des locaux relevan t d' une habita ti o n co ll ective, objets
à désinfecter, loca ux releva nt d'un établ issement
scolaire o u charitable ..
)
effec tu ées d ans des loca ux habités par des indi gen ts .
........
néa nt
Arrête :
A RTICLE PRE.M I ER. Notre arrêté Busvi sé en date du
6 ja nvie r 1948 est et demeure rap po rté.
O/Iicier de la Légion d' Honneur,
Vu l'arrêté préfectoral d u 6 j anvier 1948 limitant aux déb its
de bo isso ns à it s de 4' ca t égo rie (g rande licence) les effe ts de
l'arrêté prCfectorm du 4 jui n 1947 relati f aux 'péri mètres de
prot ecti on en matière de d ébits de boi ssons prévus par la l oi
(!u 22 mars 1942 ;
ART. 2. - M. le Secrétaire Gén é ra:! des Bo uches-du-R hône,
M . le Directeur Dépa rtemental des Services de Police, MM. les
Sous-Préfets d'Ai x et d'A rJes, M:M. les M aires so nt chargés,
chacun en ce qui le conce rne, de l'e xé.cut ion d u présent arrêté
qui sera inséré a'u Bull etin Adm inistratif des M airies.
Mars eiJle, le 10 d écemb re 1952.
Consid êrant qu'i l est nécessaire de remettre en vigueur les
dispositions pce miè res de l' a rrêté du 4 juin 1947 précité,
D3B2·FSO
Le Préfel :
Rene PAIRA.
fIXATION, DES PRIX DE JOURNEE 1953
Le Préfet de s Bou ches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'lionn eur,
15 jllillet 1893 s ur
l'Ass is tance Médicale
1
, ,.
pour
VI~I Ial .ci r~U!I'a ir e minister ielJe du 29 décembre 1944 prise
app Icatlo n de l'ordonn ance précitée;
Vu l a circu I.ai fit! de M. le Ministre ci e la Sa nté Publ iqu e
et de la Pop l1'l ah on du 29 jan vie r 195 1, relative au calc ul du
prix de j ourn ée des Centres Régionaux de Lutt e contre le
Cance r ;
Yu l' artiole 26 de la loi du 2 1 décem b re 194 1 et ks a rt i<-les 22 et 34 dll décr et d ll 17 avr il 1943 Su r les rèrrl es de
fi xa tion d,es prix de j ournée des mal ades et pensio~naires
payants, modifiés par le décret n" 51-1'218 du 19 octob re 195 1 ;
Vu l a circula i re d'app lication, nU 183 de M. le Ministre d~
la Santé Pu bliqu e et de la Po pulat io n du 24 octob re 195 1 ;
Vu te d écret d u 15 juin 1948 sur l'organisa ti on de l' Administration de l' Assist ance Pub lique à Marseille et notamment
son art icle 16, a1lin éa 2 ;
Vu la cir culai re mi niste.ri elle n° 172 du 28 nO\"embre 1952
,
relative à la i ixa ti on des prix de j ournée 1953 j
Vu l ' a rr ~t l: préfec toral du 19-4-52, fixa nt les prix de jou rJ1ées des dive rs se r vices d es établ issements hospitaliers d~
l'Administ ration de l'A~sis t ance Pu blique de Marseille à compter du 1er avr il 1952 ;
Vu l'es prl:positions de M , le D irect eu r G 'néral de l'Administ rati on de \' Assist<l n c ~ Publique à f\ ~ a r sejlUe en d·ate du
30 dé<:em b re :952 ;
D3 B2 - FS 0
Su r la ,proposition de 1\0\. le Sec rétai re Général de la Préfect ure,
A rrête :
ARTiCLE PREMIER. Les pri x de journ ée pr évi sionnels
fixés par J'arrêté du 19 avril 1952 et applicab les depuis le
1er avril 1952 dans les divers établissements et serv ices hospital iers dépend ant de l'Administration de l'Assi ·tance Publ ique
il MarseiJ1e, sont reconduits pou r le 1er t rimestre 1953.
Awr. 2. - Est égallemc nt reco nd ui te pou.r le 1er trim estre
1953 la maj oration de 150 fr ancs propre au Cent re anticancéreux telle qu'elle a été' fixée po ur 1952 pa r l'a rt icle 2 de
l 'a rrêté s u svis ~ .
ART. 3. - Le pr ésent arrêté ::,era soumis à l'arpprobati on
de M. le Ministre de la Santé Publique et de la P op ul a tion ,
confo rm ément aux tex tes en vi gueur,
T outefoi s, les p ri x de j ou rn ée ainsi rec ond uits a\-ec effet
du 1er j anvier 1 ~53 se ront imm ...d iatement applicabl r.:s à titre
provisoi re jusqu'à l' interventi on de la d ecision mi nistén elJe
qui les ent érine à titre définitif.
ART. 4. - Nt le Sec rétai re Géneral de la Préfecture, !\t l e
D i recteur Oénual de l'Admi nistration de l'Assistance j:lublique
à Marseill e, M . le Tr éso rier-Payeur Génér élll sont chargés, lha(un en ce qu i le concerne, de l'exécution du présent arrêté.
l\\ arseille, le 29 janvier 1953.
Pou r le Prdet et par dëlëgation,
Le Serré/aire Gént!ral
Maxi me A·II GNON.
FIXATION DES PRIX DE JOURNEE PREVISIONNELS APPLICABLES
DURANT L'ANNEE 1953, A L'HOPITAL-HOSPICE DE LA ,CIOTAT
Yu 'la loi du 14 juillet 1905 s ur I!Ass is ta nce aUX VieiJ1ards,
In>firmes et In. ur ables ;
Vu la loi du 30 juin 1838 sur les a lié nés ;
Vu l'ordo nnance du 1er octob re 1945 et 'l'arrW du
15 janvier 1947 sur les Cen tres Régionau , de Luite cont re 1.
Vu la loi d u 15 jui llet 1893 ~ ur l'Assistance .\\édicali! Gratu ite ;
V u la l oi cl u l-l j ui l !et 1905 sur l'A - istance aux VieiHards.
ln·firm es et I ncuralble.5 ;
Vu l'o rdüJ'na nce d u 18 décembre 19..w dêterminant, â tit re
t r ansito ire, l ~s r ègles de fixat ion ties prix de j lJ urn ..~ dans les
H ôpitau x et Hosp ices Publics;
Vu tla circul aire mi nistérielle d'li 29 décembre 19+4 prise
pour l'applica tion de l'ordon nance préci tce ;
Vu l'art icle 26 de la loi du 21 décembre 194 1 et les art icles
22 et 34 du (\ ü ret du 17 avri l 1949 su r les règles de fixatio n
des pri x de j ourn ée des malades et pension naires payants, modifi és pa r dlc ret n" 5 1- 12 18 du 18 oc tobre 195 1 ;
V u la ci rculai re d 'application n" 183 de M. le Ministre de
la Santé Publique et de la Popula tion, en date d u 24 octobre
1951 ;
Vu la circul aire ministé rielle n" 172 dl 28 novembre 1952.
r elativ e à la fixatio n des pnx de journëe 1953 ;
V u les 1 ropositions de la Commission Administrati,-e de
l'H6pital-H osp:ce de La Ciotat, en date du 30 décembre 1952;
Vu le rappor t de M. l' lnsp te ur Principa l ut:: Ja Population
en clate du 2D j aJwie r 1953 ;
Sur la proposi tion de M, le Sec rétaire G~né ra ue {a Prefectu re ;
AR I~ETE :
ARTICLE PREMIEH. Les prix de j ournêe prl:visionne l ~
a ppli calJ.Jes durant J' a n n0~ I P53. il l'H ôpital-Hospice dt! L<l Ciotéit , sont fixlli co mme suit n,'ec effet du 1er ja nvier 1953 :
ARIX DE JOURNEE INDIGENTS
1. -
ARIŒ TE
L e Préfet des BOfl ches-liu-Rhône.
Officier de la L égi orr d'H onfleur,
Pi:RIMETRE DE PROTECTION EN MATIERE DE DEBITS DE BOISSONS
Le Prefel des Bou ches-du-Rh ône,
20
>
Marseille, le 2 1 janvier 1953.
Pour le Pr éfe t,
Le S ecrélaire Oim éral Délégué
Sig né : Maxime M IGNON .
~RRETE
Vu la loi du
u r atuite
1.600 fr. par pièce
800 »» ..
Ces dispositions so nt app licab les à to utes les Yilles du
Dépa rtement, sauf Marsei lle, Aix et A rles qui sont dotées d'un
Bureau Municipa l d' Hygiè ne char gé de dema nder aux Municipalités de ces Vi lles de fi xe r elles-mêmes les taux de remboursement d es opérati ons d e désinfection.
Ar/icle 2. - Les recouv rements sero nt poursuivis par le:;
soins de la 2" Divisio n d e la Préfecture, d'après les états trimes t rie ls établ is par la Ditection D épartementale de la Santé.
Arlicle 3. - M. le Secrétai re G éné ra l de la Préfect ure
I\lM. les So us- Préfets, MM. les Maires du Dépar tement, M. 1;
Tréso ri er Payeu r Géné ral du Dépa rt ement et M. le Directeur
Dé pa rtemental de la Santé, C hef du Se rvice Départeme nta l de
Dési nfe cti on, sont chargés, chacun en ce qui le con cerne, de.
l'exécution du présent arrêt é.
Article premier . - A dat er du 1er j anvier 1953, l es dispositio ns de l'a rti cle 42 de l' a rrêté prt'fec tOJ al du 19 décem bre 1907
conce rnant l es taux de remb oursement des d ive rses opérations
dl' désin fection sOnt modifiés ai nsi qu'i l suit :
DI BI _ P 4
-
~lI , l'o rd On n a n ce d u 1 ~ d ~cemb re 1944 déterminant, j titr e
transU'Olre, l es r~gl es de fi xa tion des p rix de j ournée da ns les
hôpita ux et hc.spl ces publics j
oai cil
+
E'Xce.dent
Prix
de journce
l'rt!\'i:;ionnds
195:3
t:t
anl~
S ... n"ie<:
Hospice" '
.\\ éJeci ne ..
Chir urgie.
rieurs
pn!\'isiuunds
G[.néral ).I['dical Ta,al
755
1.1 28
1.D8-I
1\
~
1!J,1Q
if,2
1.-192
I. ti[;U
7
364
516
12
81
35
16
ï~~
34
1.539
38
1.5'Jï
PRIX D E JOURNEE PAYANTS
)'laj.
)'laj.
Service
Hospice .. _.....
\hctecine
Chirurgie ....
3- Calégorie
ct assures
Sociaux
~ur
prix.
3" Cal.
75
~
1.539
1.770
1.597
1.837
•
15 'ft
15 %
Ire Cat.
)
1.92-1
Ul96
sur
prix
;; Cat.
»
25 . (,
25 %
ART. 2. - 1\\ le Secretaire G~néral de la Prdecture, .\1. le
.\\aire, P r esb~nt lie Ja Commission Adrrunistrati\'e de J'HôpitalHospice de La Ciotat, .~\. le Rece\'èur de l'Etablissement, 1\1. le
T r ~sorie r-Payeur GLnéral J ~ont lhargLs, chacun en ce qui le
conce rn e, de. J'exëcutio n d u présent arrête.
r a it il Ma rseiUe, le
~
fev r ier 1953.
Pou r le Préfet et par dé légatio n,
Le Secretaire Gén ëral
;\\axime J\UGNON.
1
Cancer
j
1
21
�D'INTËRËT
TEXTES
l-
COMMUNAL
INDEMNITE fORFAITAIRE POUR TRAVAUX SUPPLEMENTAIRES
02 B3 - AG 2
EXTRAIT DU « JOURNAL OFFICIEL . DU 8 j A1NV IE.J~ 1953
Relê,'ement des taux des indemnités forfaitaires pour travaux
supplémentaires susceptibles d1être allouées à certains
fonctionnaires communaux.
Le Ministre <le l'ln térieur et le Secrétaire d ' Etat au Budget ,
Secrétaire
Gén érn.l
Villes de
Plus de
150.000
80.000
40.000
20.000
10.000
5.000
2.000
400.000 habitants
il 400.000 Illabitants
il 150.000 habi tants
il 80.000 habüants
il 40.000 habita nts
il 20.000 ha bitants
à 10.000 habitants
5.000 habitants
à
leurs établissements pub1ics ;
Vu l'article 3 de l'arrété modi1ié du
Francs
Franc!
.122.500
103.000
90.500
77.500
64.500
5 1.500
35.000
27.000
97.000
84.000
71.000
58.000
45.000
•
portant
classement
19 novembre 1948
Le Préfet des Bouches-du -Rhône.
Officier de la ,Légion d' Honneur.
chasse du 6 Septembre 1949. et 'Parti culièrement le titre Ill. chapitre IV, réglementant l' empoisonnement des animaux nuisibles ;
Vu la lett re de M. le Président de la Fèdération Départe-
•
menta le des Bo uches-du-Rhône, demandant
détru ire les animaux nuisibles ;
indiciaire des rfonctionnai res
et
agents
conununaux ;
rauto ri sation
de
Vu l'avis du 'Conse r vate ur des Eaux et Forêts ;
Sur la proposition du SeC'rétaire Général,
106.000 Fr.
53.000 Fr.
Taux maximum
Le Secrétaire Général délégué,
Maxime ""IiLGNON.
Tat1.-.:
74.000 Fr.
raie de la chasse en 1953, à faire procéder â la destruction des
renards et blai reaux en terrier, au moyen de la chloropicrine
ou de tout autre gaz similaire,dans les terrains dont elle assure
la surveilla nce sur tout le territoi re du. Département, ainsi que
le spécifie l'article 26 <le l'arreté 'Permanent.
ART. 2. - Ces destructions seront opérées par les gardeschasse de la ,fédé ration, avec l'assentiment p réalable des pIOprietai'res, fermiers et métayers, et détente-urs.clu œroit de ohasse.
ART. 3. -
'Le Secrétaire Générail de la Préfect ure, le Con-
servateur <les Eaux et Forêts, les Maires, le Commandant de
Gendarmerie sont ohargés, oha cu n en ce qui le concerne, de
l'exéeution du pyésent arreté.
Marse'lIe, le 9 Janvier 1953.
Chef de Bure au
Taux moyen
Le Préfet.
Pour le Préfet.
REGLEMENTATION DE L'EMPOISONNEMENT
DES ANIMAUX NUISIBLES
bre 195 1 da n., les co nd itio ns suivantes:
Taux maximum
Marseille. le 9 janvier 1953.
Le Secrétaire Géné ral àe la Prétlec ture, le Co n-
Vu l'aTrêté H':glementai re perm anent sur la poltce ete la
••
ART. 2. - Le tableau de l'artiale 3 d~ l'arrêté Susvisé du.
2 1 septemb re 195 1 p ourra être mad,fi é avec effet du 1er octo-
Di rect etlr
de Se n l ice admi nistr a tif
servateur des Eaux et Forêts, les Maires. le Commandant de
Gen'Ci2rmerie, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de.
l'exécution du présent arrêté.
Secrétaire
Général A'tijoilll
Vu l'article premi er de l'ordonnance du 17 mrui 1945 relative aux services publics des département~ <ies communes et de
La Fédération devra se confor mer strictement
du réglement perma nent, ta nt en C'e qui Concerne j'inter,ven tion
~ u. N\aire de .Ia Commune, que les préca utions à prendre pour
t!v lter les aCCidents aux personnes et aux animaux éta nt d'ai lleurs entendu qu'elle garde, en tout état de ca~se rentièf~
responsabilité de l'opératio n co nfo rmément à l'arh~le 3-1 du
réglement.
ART. 4. -
j'ai l'honneur de po.rter ci-desso us à la co nnaissance de
MM. les Maires du D épartemeIü le texte de l' a rrêté intenministériel du 20 déçemb re 1952 porta nt relèvemen t des taux d es
indemnités forfaitaires pOUT travaux supplémentaires.
Pour le Préfet des Bo uc hes-du-Rhône.
Le Secrétaite Général
Maxime J\UGNON.
ART. 3. -
a ux obligations et reeom mandatio ns préCi tées par l'article 25
mO)'1'1l
Pour le Préfet.
ARTICLE PRE.MIER. La fédératio n Départementale des
Chasseu rsd!es Bouches-du-~hô n e, 6, rue des Epinaux à Aix-enProvence, est autorisée pendant la période de fermeture géné-
Le SecrétaÎle Général délégué,
Maxime ,M WNON.
37.000 Fr.
Vu l'arrété du 16 mars 1949 relat if au classement indiciaire
des fonctionnaires et agents communaux;
Vu l'arrêté du 21 septembre 1951 fixa nt ,le régi me des
indemnités forfaitaires pour travaux supplémentaires susceptibles d 'être accordées à certains fonctionnaires COmmunaux ;
A RT. 3. - Le Directeu r de l'Administration départementale
et eomm unade et le directeu r du bud'get sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l'exécution du 'Présent arrêté.
Fait à Piar;s. le 20 décembre 1952.
Le Ministr e de l' Illtérieur,
Arrêtent :
ARTICLE PREMIER. supplémentai res des
L'indemnité forfaitaire pour tr.avaux
secrétai res généraux et des
POur le Minislre de l'Inlérleur el par délégatiOll,
Le Directeur de l' Admi nist rat ion dépa rteme ntale
et comm unàle :
secrétaires
généraux adjoi nts de mairie prévue à ~"' artiale prem ier de l'a r-
rété lIu 21 sepremb re 1951 pou rra être aœordée il compter du
1er octobre 1951 dans l a limite des taux annuels maximums
suivants :
Pierre DMI1!ElLON.
L e Socré taire d' Etat au Budlget,
Pour le Seaétai"" d'Etal el par délégmion,
Le Directeur du Budg~t
Roger GOETZE.
02 B3 - AG 2
APPLICATION DE LA LOI DU 28 AVRIL 1952 PORTANT STATUT
GENERAL DU PERSONNEL COMMUNAL - CONSTITUTION D'UN SYNDICAT DE COMMUNES
d ..ns le Dépa rtement des Bouches-du- Rhône. le s)'ndiC'3t de
com mllnes prév u par la loi du, 28 avrul 1952 et ·Le déc ret d'"pplication dll 6 septembre 1952.
La premiè re réunion du. Syndicat aura lieu à la Préfecture,
la date en sera ·fi xée 'Ulltérieu rement. En 'Vue de.. cett.e réunion
je crois devoi r appeler votre. attention
REGLEMENTATION DE L'EMPOISONNEMENT
DES ANIMAUX NUISIBLES
ARRETE:
ARTICLE PREoIliER. -
Vu l'arrêté réglementaire permanent sur la polke de la
chasse du 6 Septembre 1949. et particulièrement le titre 111. c hapitre IV, ar tk:le 25, réglementant l'empoisonnement des animaux
.
Vu la lettre de M. le Prési<lent de la Fédération Départementale des Chasseurs <les Bouche ....du >Rhône. demandant l'autorisatKJn pour la Fédération, de détruire les animaux nuisibles ;
Vu ravis du Conservateur des Eaux et Forêts
Sur la proposition du Secrétaire Général.
22
la. rè gl ementation en
vigue.ur (cf. ci rwlaire n· 382 AD/ 3 d\l 17 octobre 1952 inséré
au ~
La ,Fédérati on Départementale des
Chasseurs des Bouohes-du-Rhô n ~ 6, .rue des Epinaux à Aix-en:
Provence, est autorisée pendant la périod e dll 5 Jan'vier au 1.:>
A.v ril 1953, à fai,re (procéder à la destruction des animaux n u~
sibles (rena'rds, b laireaux, etc...) au moye n d'appâts empol·
8onnés, .dans les terrains dont elle assure la su r veil lance et cela
dan s toutes les Communes du Département.
ART. 2. - Ces destructions seront opérées par les gardeschasse de la Fédéra tion avec l'assentiment préalab le des "ropriétaires. ferm iers et métayers et détenteurs du dr oit de ohasse.
Vu l'arüc!e 13 de la loi du 28 av ril 1952 portant Statut
Gé.néral du personnel des co mmun es et des établissements publics commWlilUX et intercommunaux;
Vu le décret du 6 septembre 1952 fixa nt les conditi1)ns de
constitution et de. fonctio nnement des syndkats de communes;
Vu la circ ulaire .ministérielle n° 382 du 17 octob re 1952,
A~IŒTE
termes de laqueUe. :
l es commufles comptant au plus 5 emplois de titulaires
à temps compiet sont représenté.es pa r leur maire. BlIes ont la
fa'Cu1té de se g roluper entre dIes lo rsque les circonstances
locales le per,mettent pour se faire représenter au Comite du
Syndicat par fUn délégué unique sous la réser ve que le groupement constitué ne représente pas plus du quart des communes
affiliées ;
- les commun es comptan t plus de 5 emplois de titulaires
à temps complet ont une dOllljj\e représentation . C'est al!
Conseil M un ici pal qu'a été l aisse. le soin de choisir le deuxième
représentant de l'a eO'fnmtrne.
Je vous ser ais ob(\jIgé de vien vouloir prendre, dans les
meilleu rs délais, toutes dispositions utilles à cet effet.
-
Le Préfet d~s Bouohes-d u-Rhône.
Officier de la Légion d'Honneur,
nuisibles ;
SUI
Le Prffet des BoucheS-du-Rhône,
Officier de la Légion d~Honneur,
au Recuei1 des A.c.tes Administratifs d'eS 30 octobre et 6 no,·em-
bre 1952)
04 BI . P 3
A-AAE.TE
fai nhon ntur de. porter ci-a'près à l a connaissance de M!M.
les Sous-Préfets et de ,M M. les Mai res du Departement, le texte
de mOn arrêté en date du 16 janvier 1953 déc!aran·t constitué
POLI r le Prefet et par dél égati on.
Le Secretaire Gén éral
Maxime MIGNON.
:
ARTICLE PRE.'UER. - Est constit.ué. d·ans le département des
Bouches-<l.u-Rhône un syndicat de communes auquel sont obli gatoirement affiliées les communes dont les noms Sl..Ûvent .
1"
Arroolaïssemi!nt dt Marseillt.
AUauoh ; AunoL ; Cado~i\'e. ; Cassis ; Ceyreste' Cu cres .
Gemenos ; Gréasque ; La Bouilladisse ; La De;trousse ~
La Penne-su r-Hu veaune. ; Peypin ; Plan-de-Cuques ; Roquetort-:a-Bédou le ; Roquevaire ; Saint-Savournin .
2"
Arrondissement 'd'Aix.
Berre-l'Elang j Bouc-bel-Air ; Cabrit!s ; Carry-le-Rouet ;
CharLeval ; Châteauneuf-Ies-A\'artigues ; Eguilles ; Ensut!s-laRedonne; Fos-su r-l\Ite.r ; Fu\reau ; Gardanne j Gignac ; Grans;
Ist res; Jouques ; La Fa!'€' ; Lambesc ; L ançon: La Roque-
d'Anthëron : Le Pu)'-Ste--Rl'pa rade ; Le Rove ; Le Tholo net ;
�Les Pennes-Mirabeau : N\arignnne ; Martigues; Meyrargues;
Meyreuil ; .Ntimet ; Mirantas ~ ptéli~anne ; Peynier ; Pey~l
les ; Port~ e-Bou.c ; Pu yloubIer : h o gnac ; Rognes ; SamtCannat; Saint-Chamas; Saint-Mitre; Saint-Paul-les-D urance;
Saint-Victoret; Sausset: Septèmes
imiane ; Trets; Velaux i
Venelles ; Ventabren; Vitrolles.
3e:
Arrolldissement d'Arles.
d'Orgon: Port-Saint"'Louis--du-Rhône; Rognonas; Saint_
Andiol; Sai nt ..Etienne-du-Grès ; Sa intes-.M aries-de-.La_,Mer
Saint-Martin-Je-Crau ; Saint ....Rémy ; Scnas
Tarascrn
Ve rn èg ue s.
ART. 2. - Le Sec rétaire Général de la
cha rgé. de l'e\.é cutio n du présent arrêté.
Ala rsei ll e. le 16 j1lnl'ier 1053.
Alleins ; Barbentane; Boulbon ; Cabannes ; Chàtea urenard; E)rgalières ; Eyguières ; Ey r agues ; Fontvieilie ; Graveson : Lam anon j Les Baux ; ,I\\a;lIane ; MaIJemort ; Maussarre ; Moll~ges ; ,,\ \ouriès ; Noves ; Or go n ; Paradou ; Plan
D2 B3 . A.G 2
Pour le Préfet et par dél égati on,
Le Secretaire Géueral :
Maxime MIGNON .
MEDAILLE D'HONNEUR DEPARTEMENTALE ET COMMUNALE
PROMOTION DU t oc MAI 1953
J' ai l'honneur de porter ci-desso us à la c? nn a i ~an c~ ~I e
.M M. les I\taires du D épartem ent le tex te de la circulaIre mlnl')t ~ riell e n" 19 PER, AG du 22 janvi er 1953, rel ati ve il la co nstitutio n des dossiers pour l' attribution de la .\\éd ai ll e d' Honneur
D épartem entale et Communale.
.
Pour perm ettre l'em"oi Lies dossiers il la date pre\'uc,
MM. les M ai res sont priés de vo uloir b ie n les fai re parvenir
cvant le 15 fél' rier 1953 (d élai de r igueur) il la Prelccture, SOU'i
II:! timbre 2" Di vision, 3" Bu reau.
Pour le Préfet au par dél ég ati on,
Le Secrétaire G éneral
Si g né: Maxime A'UGNON .
REPUBLIQUE FfIANÇA ISE
P aris, le 22 ja nvie r 1953,
L e Ministre d e l'Int érieur
à AL le GOUl'ern eur Général de l' Algérie.
Ar. le Prétel de la Seine ,Direclio n du Perso nne/ et Directioll des Affaires Départemenlaies ),
AfAr. les Préfels • Cabinel (Af élropolc, Algérie,
Ou tre-M er),
j'ai l'h onneu r de vo u pri er de hie n \'o llioir m'ad resser so u5
25 fé\' rie r 1953, délai de r igueur,
la promot ion de l a M édaille d' Honneur Dêpartementale et Comm unale du 1er mai 1953.
Les dossiers qui me parv iend ront après cette date ne pourront être exami nés qu'à l 'occasion de la promotion d u 1er
j anvier 195-l.
Vous voudrez bi en vo us co nfo rm er st rictement aux instruct ions détai llées qui vou s ont été fournies au suj et de la présentati on des dossiers.
Je croi s devoir, d'a ut re part, appeler votre attention sur
les points suivants :
I :~ pr ésent timb re, ava nt le
\ OS proposi ti ons en vue de
e)
dans l es chantiers de j eunesse pour le sta ge o bli gatoi r~.
II convient, d'a ut re pa rt, d 'accorder aux deport és et inte rnés de l a l~ és i s ta n ce les maj orati ons pr év ues par la loi du
2-1 ju i n 1950, co nfo rm ément alL\. i nst ru cti ons co ntenues dans
ma circul aire JI " 25 du 26 jaO\'ier 195 1.
Le dernier alin éa de l'article 1er de la l oi du 26 septe milre
195 1 insiituant des llo nifica t io ns d' an ci enn etê pOlir les personI~e s aya nt part icipé à la Résistance dispose qu e les rappels el
bonifica ti ons acco rd és en \'e rtu de certe loi « comp tero nt da ns
tous l es cas pour l'a ttri buti on de décorations ».
Le règlement cI'administr atio n publiqu e tendant à l'a pplica tion de cette loi au x agents des départem ents et des communes n'est toutefois pas en Core inte rvenu (1),
En conséquence, et pour le moment, les se rvices accomp,is
l~a n s la Résista nce ne pcuyent dônner li eu à auc une majoration
pour l e calc ul de l' anci enneté r eq uise pour l'attn bution de la
;\\éd a ill e d' Ho nn eur Départementale et Commun a le.
Seul, donne lieu à maj orati on le temps passé en déportat ion ou en in~e rn e m e nt dans les co nidtions rappe l ées d -dessus.
2'
M édaill e de Vermeil
J'ai pu co nstater que les propos it ions fo rm ulêcs par œ:t ains d'entre \'o us, en vue de l'attrib uti on de l a Médaill e de
Verm ei l excédai ent largement le pource ntage de 10 % des
M édaill es d' Argent, fi x é par l' article 3 du déc ret precite.
Je vo us ser ai s obli gé, en con séq uen ce, de bie n vouloi r \'~I l1er tO ll! par tic ul ièrement â ce que vos proposi tions soien : d~sor
n:ais éta bli es dans la limite de ce conti ngent.
Elles dev ront m'ê tre ad ress ées s ous lin bordereau récapitf/latif uniqu e pour l' ens embl e d es candidats (qu'il s'agisse des
ti tul aires, de mandats électi fs ou d'agents des co ll ectivités local es) sur lequel vo us mentio nnerez votre ordre de prdérence.
Vou s voudrez bien indiquer sur ce bo rù ereau si ces canditl a ts so nt d éjà titul a ires de la Méda ille d ' Ar gent.
3'
J'"
Préfec ture est
Médaille d'Or
Prise en compte des S en /ires militaires et assimilés
Je vous ra ppelle qu 'e n vertu de l' a rt icle 6 du décret du
7 juin 1945, les Services mil itai res doivent être pris en co m pt~
.(jans le calcul de l'ancienneté des i ntéressés d ans la limite de
- la durée l égale du temps de paix,
- la durée des services de -guerre,
Doit être pris en consid érati on le t emps passé durant l ?
guerre 1939-1 945 :
a) au x a rm es, en capti vité et dans les F. F. L. ;
b) dans la Résista nce, en qualit é d'a ge nt PI. ou pl.
c) dans les F. F. 1. ;
d) en déportation ou en in ternem ent au titre de la r ésistance ;
L a M edail le d' Or D êpar tement ale et Comm una le, institu ée
r ar le décret du 16 février 1952, pour êtr e décernée apres
45 ans de services au x agents des coJJectivités loca les et aux
personnes investi es d' un mandat élec ti f départ ementa l ou commun al, qui auront fait preu ves de mérites exceptionnels' au
cours de leur ca rr ière.
En vertu du d écr et précit é, cette distin cti on ne pourra ~tre
acco rd ée que da ns l a limite du dixi ème des M édailles de Vermeil décern ées, ce qui revi ent à dire que le nombre des Médail-
( 1)
I~ décret du
l'Etat.
(j
j uin 1'952 ne s'app li qi.lc 'lU';lU:\. age nlS de
1er-. d'Or sera au plus égal au ce ntième des Médailles d'Argent
acco rd ées, soi t au maximum 40 médailles par promotion.
Je tiens toutefois à préciser que ce pourcentage sera calculé sur le plan national. En conséqJence vous OOll rrcz me
faire par\renir pour vot re dépar tement de; propos'itions pour
la Meda ill e <I·Or e ~c ~dant la proportion de 10 % des Médail<les
de Vermeil sous ré..<;;erve, hien entendu.. de ne m'adresse r qu'un
peti t nomb re de propositions.
j'31joutc que Iles dispositions rèlati ves à l'oct roi de la
Nt6daille d' Honneur D épart ementa1le et Commun ale à titre posthulme s'appliquent à la Méda'iHe d'Or.
p ourrc nt d'one êtr e proposés pour cette distinction les
agents des co llectivités locanes et les personnes investies d' un
mandat électif départementa l et communal , decédés depuis
moins de 5 (/li S JJar suite die l' exerci ce de leurs fonction s el
lolalisant au moins 35 années d e services au moment lte leur
décès.
Vos propositions pour la M é d a il~ e d'Or dev ront m'être
adressées salis un bordereau réc apitulatif unique pOllr f'en se1mhie des candidat s , qu'i l s' agisse d e titul aires de mandats électirfs
ou d' agents des com~ ivitës locales, et sur lequel vous mentionne rez vot r e oro re de pr éférence .
Je vous ,appelle, par ailleu rs, q Je M. 1e Secrétaire d·Etat
au Budget, saisi par mes soins, m'a fait connaîtr e qU'II aoceptru t
que les titulaires de lia M [-daille d'Or re çoivent au moment de
~a r emise de cette distinction une gratification de 1.500 f r ancs.
Je vous précise que la promotion de Médailles d'Or Départementale et Communale du 1e r janvier 1953 fera l'objet,
avant la fin de ce mois. d'un arrëté spéci~ qui sera pu blié au
B~lleti n Offici el des Déco ra tions , M éda il les et Il éco mDenses.
Je vous ~lgna 'ie que les s ervices benévoJes rend-üs en qua:I té de membre d'un bu r eau de bienfaisance ou de l a Commission administr ati ve d'un étahlissement hospitalier ne peuvent,
en aucu n cas, êt re assimilés aux ervioes accomplis par les
agents des départements çu des communes et ne peuvent, d ès
lors, êt re pri \) en compte pour le calcul de Il' ancienneté exigée
pour l'attribution de la M eàaill e d'Honneur D épa r tementale et
CommunaJe.
Je vous se rais obli gé de bi en \'ouloi r diffuser la présen te
instruction au x services intéressés.
Pour le J'Ainislre de l'Intéri eur et pa r délégation ,
Le Dlrecleur du Personnel el des Affaires Poliliqu,
Christi a n LOB UT.
VERSEMENT DE SUBVENTIONS A DES ASSOCIATIONS
ET ŒUVRES LOCALES
D2 83 • F 0
Un relèvement sen sible du nomb re des subventions ve rsées
par l.es commLnes du d épartement à d'es associatio ns et œu v re s
l ocales a été co nst até lors du règlement des b udgets.
Je rappelle à Messieurs les A'\ai res qu e conform ément à I.a
règlementati o"n en vi gueur en 'Iô matière trois conditions doivent être r eq uises pou r que oes su\),ventions soi ent régulières :
t 0 La situati on financière de l a co mmune doit
et pennettre llorm al emen t cette libéralité
2° L' organi sme bénéfici aire doit
comm un al in co ntesta ble ;
prLsenter
COMMUNIQUES
--
~ tr e
un
saine
3 0 Les subventi ons à des organismes à caractère politiqu e et confessionn el sont interdi tes.
j' appelle, d'au t r.e part , l'att entio n de .M essieu rs les Mai r es
l' a rriM du 4 juin 1952 de la Co ur des Comptes qui exige
d es Receveurs Mun icipaux la product ion à l' appui des dépenses
de subvention s à d.es Associations ou Organism es, de copies
des délibér ati ons des Consei l Muni cipa ux ayant app rouvé 15
comp tes des a ss oc iati o ~s bénéficiaires.
"Ir
Po ur le Pré fel
Le S ecrétaire Général
Max ime MIGN ON.
i nté rêt
AVIS - ANNONCES DIVERSES
AVIS DE CONCOURS
Deux co nco urs pour le rec r utement de trois rJdacteurs
stagiaires et cinq crom mis d 'ordre et de comlptabi lité stagiai re
s'ouv r ir ont à la u\'\ai rie d'Adgnon le 27 fêvrier 1953.
Les candid ats de\' ront ~tr.f;' Français et jou ir de leu r!'.
droits civils ct poli tiq ues et j usti f ier en outre r éunir les conditions suivantes :
1" Avoir au, 1er janv ier 1953,2 \ ans au moins et 30 ans
au 'Plu s. Cette limi te d'~ige sera rt!c ulëe d'une pé r iode ega ie
à la durée des services militai res obli gatoi res ou à <.:e.Ue des
empêc hements à l'exencice de l a fonction pub,lique prc-vlIs par
J'ordonnanoe du 15 j uin 19-+5 modifiée; ell e se ra également
reculée de la du rée des services accomplis en qualité de tit ulai re Ou d'auxiliaire, soit au compte de Il'Etat, soi t au compk
d'un e coll ecti vité loca.lc. Cette limite d'âge ser a reculée égaiement d'une année par enfant à charge ;
2"
Produi re l'un des dipl ômes suivants :
Pour rédacteur : Baccalauréat de
l'enseignement St:'Condai re ; Brevet superieu r de I"t'nseignement p rimaire; Diplôme
de l'Ecole 'atio nale d'Adm i nistration Municipale de l'Universitè
de Paris. T oute fois, les commis comptant au moins trois ans
de service en cette qual ite dans l'Administration communale
pou rront être dispenses de l' un Lie ces diplômes :
Pour commis : B revet élémentaire de rEnseignement Primai fle ; Di plùme de capacité de droit; Diplôme de fi n d'~ udes
secondai res; D iplôme de gradué de l'Ecole Nationale d'Administ ratio n M unic ipale de l'UnÎ\'e rsitê de Paris.
Les i nscr iptions se ront closes le 22 fëvrier 1953.
Pour les co nditions et le programme du ('onCOur , s'adresser à la M airie d'Avignon, Bureau du Personnel.
25
�AVIS DE CONCOURS
DÉPARTEMENT DES BOU'--nl~~·L..ILJ-1'(1
J'
Chef de Corps des Sapeurs-Pompiers à Chaumont (Haute-Marne)
RÉPUBLIQUE
Les can<liéats à l 'emploi de hef de COTpS des sapeurspompiers à Chaumont devront, avant Le 25 mars 1953. adTesser
à la Préfecture de la Haute-Marne (Ire Division - 1er Bureau),
les pièces sU!varrtes :
10
Une
demande me.ntionnant leur
nom~
prénoms et
aùresse
2°
3'
Un 'bulletin de naissance ;
Un extrait -de leur casier judiciai re (bulletin n' 3)
4° Un exposé de leurs titres et de l eurs services allté~
rieurs dans UII corps de sapeurs-pompiers (joind re certificats);
6
: '
FRANÇAISE
1953
5° Un certificat dé.livr é pa r U"O médecin assennentê COnstatant qu 'ils E"'O nt physiquement ap tes à exercer leu rs fonctio ns
et su,' ils ne présentent aucu n signe d ' affecti on tubercu leuse.
Le canù idat agré aura le grade de cap itaine. 11 se ra logé
et son t raitement co rr espondra aux indices 300-4 10.
DES
ACTES ADMINISTRATIFS
DEMANDE D'EMPLOI
Secrétair~ de M.airie depui 9 ans dans une commune de
2.<X>O habitants recherche poste équivalent dans une commune
oe 2,000 à 5.000 habi tams du Département des Bouches-duRhône .
.MM. l es "'laires intéressés par cette candidature v()udront
bien se mettre directement en rapport avec J\1. P,ie rre BIDAULT
Secr étaire de Mairie à Brignais (Rhône),
ET BULLETIN DES MAIRIES
EMPLOI DE GARDE-CHAMPETRE A MAUSSANE
Le poste de garde~hampêtre à Maussane sera vacant le
1er fév rier 1953.
Les candi'datures devront être ad ressées d irectement il
M. le M'aire (le .N1.aussane avant 'l e 25 j anvier 1953, dernier délai.
TABLE DES MATIÈRES
AUTORISATION D'ENTREPOSBR DES EXPLOSIFS
D4B3
Par arrêt,; en date du 31 décembre 1952, MM. SIGNORéT
Emile et CO 'STANTIN Daniel, gérants de la Société d' Exploitation de carrières de Vitrolles, rue Pastoeur, à Rognac, sont
autorisés à établir et exploiter un dépôt perm anent de 3' catégorie, sis sur l a com mune de Vitrolles, au lieu dit c Vallon de
Vandamble >.
La conteGance du dépôt sera de :
50 kilos e.>OJllosifs OIasse 3
ou 100 kilos eX'plosils Cl asse 5
:.
Par arrêté en date du 3 janvier 1953, MM. DOS9ETTO
Père et fils sont autorisés à établir et à ex'ploiter un dépôt
TEXTES D'INTERET GENERAL
permanent de 3e catégorie su r la· commune de B ouc..Ibel-Air, au
heu dit c SOlll3 le Crêt " dont la contenance est fixée à :
50 kilos d'eX>pl osifs de la Classe 3
ou 100 kilos tl' e"pl osifs de la Classe 5
...
Par arrêté en date d u 27 déœmbre 1952, M. ROUBAUD
Rosia, à FLUv.eau, est autorisé à entreposer dan son dépô~ permanent de 3" catégorie, sis sur 'la comm.une de Meyre u ll~ au
lieu dit « POllt de Bayeux » :
50 kil os de la Classe 1
ou 100 ki los de l a Classe 2
ou 50 kilos de l a Cl asse 3
ou 100 kilos de 'ia Classe 4
ou 100 kilos de l a Glasse 5
t\ O. -
Remboursement des frais de déplacement des for~tio nnair-e.s du Genie Rural ........... .
28
FS 7. -
fi xatio n des prix de journées pour l'armée 1953 dans divers établissements hospitaliers ..
29
Appel à la générosité publique .. .. .... .... .... . .. .
32
p, O. -
,
...... . ........... .
TVX O. -
Architectes évaluateurs et reconstructeurs affectes au Département des Bouches-du-Rhône.
32
TV X O. -
Règ1iementation de la ci rculat ion des embarcations à hélices sur le Littoral de la
,·
'\ . .
<
III • 1,\cglon
If an hme
.... ,. , .... , ....... . .... .... .... .... ... . .... .... . .. .
32
TVX O. -
Arrêt e-préfectora2 général pour la protecti on des lignes télégraphiques et téfëphoniques ..
33
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
SC 7. -
TV X O. -
Stages
au
Centre
d'Instruction
de
la Protection civiJe en 1953
COMMUNIQUES - AVIS
-
34
ANNONCES DIVERSES
Médecin autoris e à pr atiquer les exarn>!J1S r ad ioscop iques en
certificats prél1u,pt iau x et prënataux
Pour l e Préfet et par Dél éga ti on,
33
Calcul des honoraires d'a rchitectes ....... .
vlIe de
la
dklivranct" ùes
34
Le Secrélaire General :
Maxime M IGNON.
- .\ . P. : Arr~ té prdecrornl. - C. . Cirt'tll aire. - Les lettre$ D et B suivies d'
.b ~
S
·
'··
.
d es S er\'lces
.
en'lce
ou B
ur ' au donglnc.
- D . :"'i.' 'l' . : D·IrecltOn
Techniques _ DU" . un
D· C lITre
.
'
1e cl e 1a Sant.
é - U . D. l ' , : D'Irectl.on Departementale
.
.
. . ... .. lTecuon
Dcpartementa
de la Population.
.
ABll·~'-1A:TrON8.
1n d ·I(luen li e
26
I WpatWERJE
XOU\'ELLE DE "!A_SEILLE, 120, ru~
Sainte!
�TEXTES
D'INTËRËT
~GËNËRAL~
L-~~~--------0283 - A 0
REMBOURSEMENT DES fRAIS DE DEPLACEMENT
DES fONCT IONNAIRES DU GENIE RURAL
M ont ant ri es crédits pOUIIGrlt êt r e affect és à ces re m bourse men ts.
Paris, le 15 décembr e 1952.
/Je Millistre de /' Agriculture,
à MM. les Préfe ls,
Les l uspecteurs Géneraux des Eaux et du Génie Rura/,
L es Ingénieu rs cil Chef du Ornie Rural ,
.t
Pa r a rrd~ interministér iel du 12 deœmbre t 952 pr~s Il
.:\pplic3tion de l'o rdonnance du 17 mai 1 ~. tes Collec tlvl e~
locale:; sont (il.ltor isees à rembo urser l es fraIs de dépl~enle.n
des fonctionnai res du Génie Rura l à l'occasion d~s servl~es ~ue
ceux-ci leu r rE::nde"t e n de ho rs de I ~ur inte;venho n obh gatolJe
au titre d 'a<Tellts char gês d'un Service de l.Etat.
Ces re:bourseme.nts· seront -effectu és co nfo rm émen t aux
dISpositions du décret n" 49-2268 <lu. 4 octobre 1 9~6 et ~::
textes qui l'"nt com plét é ou mad,lite, f.lxa~t le reglme
Îm!emni tés pour frais de de.pliacemen t at t nb uees aux agents dr
rEtat.
L J. p résente inst ructio n a pou r obj et de prec iser 'les m odaEté.s d' a-pplication de cet au lêté.
/l'alure des deplacements auxquels s'applique la dérogation .
L 'arrête intermi.nister iel limite J'autorisat,ion de rembour ·
sement pa r les CoU"cti\'ités locales aux déplacements effectués
en dehors de J'intervention obligatoire des fo nctionna ires d u
Génie Rural aU tit re d'agent cha r gés d'u n Service de l'Etat.
Cette distinctfon s'impose, puisqu'aussi bien le,s .conOC: i\~ ités
locales n 'au raient aucun motif de réserver des c rédl~ .sp&la'U x
pour l es inten'entions obligatoi res des agents du Gén Ie R.u r al,
~ titr.e de fOllct ionnaires de l' Etat, dépenses auxquel les dOivent
normalement subvenir les crédits d~ l' Etat.
Il conviendra to utdois, en .pr atique, d ' apporter tO~lte la
souplesse néctssaire â cette disti n'c tio n. Dans un but d' ~o:"o
mie il est, en effet, recommandé de grouper -pl usieuTs V l sl te~
dans une même tournée. I~ ar rive do nc f réquemment que., d.a~s
un seul dncuit un fonctio nn ai re du Génie Rural assume l-es fraiS
dont le remboursement doit incomber pour partie à l' Etat, pO UT
partie à une GU plusieu rs coJllectivitê.s locales. S' il est n~ rm a l
que l'organisme: intéressé par ticipe pour sa part aux fr 3..1s, I~
décompte j ustificatif de la contribution de chacun ne saurait
être exi gé, à moins de calculs complexes et dans une certaine
mesure arbi trai re.
Aussi do!t- il êt re entendu que l' Ingénieur en Chef aura
compétence pour venti~e r la dépense totale entre l' Etat, le
Dépa rtemen t et les communes.
Il est prédsé, en outre, que ces remboursements ne po urro nt inter veni r que poUI les dë.placements effectués dans les
limites gêQ"!!Taphiq ues de ohaque ciTlCOnscripti on du Génie
Rurai . Les ;xce;ptio ns à ce tte règle devront fa ire l' ol>jet d' une
demande de dérogati<>n soumise à l'appJoba ti on préalable de
M . le Ministr e de l' Inté rieur et de moi-même.
L 'imputation de la d épense avec indication du pourcentage
de pa rt icipation fig urera dans les états individuels po ur chaque
dépl acement (cf. modèle d' état individ uel
annexe A, colo nne
13, 14, 15 et 16).
28
Ce montant est évalué en règ·l e général e à 0, 4 % du mOnta nt des t raval. x. Il est, en eff\et, ra ti onnel de pro")xHt ionner le
mo ntant des créd its q ue les D 6pa rt em ~ n.t~, l es Comm unes,
Syndicats de Commu ne ou a ut.r e~, coll ectIVites loca les peuven t
affecter à œs remboursements a 1 Importance des t rava ux pour
l esq u ~ls est sol licité le co nco urs du Gén ie Rur a'!.
Il y a lieu, œp.endant, od e te~.i r -comp~e d es va riations qU I
peuvent se p rodui re s~o n l es ann ees, l es heu x et la nature des
tla\'aUX, da ns l e rapport entre l e vol ume des tr avaux et le
montant des fra is de déplacement.
Auss i, l e taux de .0 ,4 % doit êt re co nsidér·é seulement
co mme l'i ndicati on de Il'o rdre d e gr andeur des ,depenses que les
-col,l ectivi tés 1 0c~les pou rront en'Visager po ur l a, c.ouve rture des
[rais de déplaoement d es fo nctio nn ai r es du Genie Hu ral ,donl
elles soll ic ite nt le co nco urs. MaiS Il est bien entendu qu elles
co nse rve ront la f aculté de s'e n éca rter chaqu e fois que les ci rconstances J'e reco mmanderont.
Modalilé de paiemenl el de conlrôle.
L'OIbject if rec herché est d'dbt eni r un co nt rôle. t rès s~ rict
ri goureusement ce ntr~i sé, sans pour auta nt alourdi r la tache
cornptablle des ~ rvices ni re tarder .à l'e~cès le r emboursel,nent
des sommes avancées pa r les foncti onnai res ,pour leu rs deplacements.
Le co ntrô le i ncombe ra en premier lieu à 1.' , n"génieur en C~ef
(l ui co nt in uer a d'assumer les fon.dions d'ordonnateur secondaIre
pou r le remboursement des f rais de d épl acement sur crédits
<l' Eta t. Il lui <lppa rtiendra not amment de ve iller à la tenue du
registre des tQur nées, sur l equel chaque agent dOIt tnSC r,l re au
j ou r le j Oltr les déplac ements qu'i l effectu e po ur les beSOinS du
ServLce (pr escrip tions de l a cinoul air,e du 2 f évr ier 1934 su r la
tenue des Burea ux, rappelées par m a crrc11!i ai re n" 23 1 AGJ/ G
du 15 mars 1946).
Ce regist:'e, dalls l equel ser ont po rtés tous les déplacemen ts
sans distin cti on des cr-édits su r ~ esqu els le rembo ursement el\..
sera c.;bten u servi ra à fétab'lissem ent de l'état individ uel ell
princiope tri ~estri61, d' un t ype anal'Ogue à ce lui qui est a~tue1~
lement en ,usage pou r ser v ir au remboursement ~es .frrus d
déplacement. Il m'eS>!, en effet, aI'Pa ru q u'il y avai t 11011, ta lit
po ur l'util isation des stocks d 'im pr imés en ,pl ace, ~ue pour
faci li te r la tâ-che .de votre compt ahilité, de c()nt inu.er à employer,.
en les adaptan t, les imprimés en usage.
D ans ce b ut , j e vo us adir esse ci-joi nt, en annexe A, un
modèle d'état auquel vo us vous .réfé rerez "fin d'y adapter les
modèles en usage dans vot re circo nsc ript,ion.
VOLIS veiLl er ez no tamment au x ,points SU1ivants :
- sur la vremlère 'P age, il co nvie nd r a de faire figurer
toutes les ment ions fi gur ant au modèle qu, son1: ,ind ispensables
au co ntrôle.
- sur J'état li n-m ême, vous remarq uerez spécialement les
co'lonnes 13, 14, 15 t t 16 desti nées à ind iq uer la ventila ti on d"
l a dépense entre lts di ve rs bud gets.
Da ns la colonne 6, vous vei"llerez à oniffrer sépar ém ent le
nombre de kil omèt res en deça et aIL delà des 5.000 premiers
kilomètres depuis le 1er ja nvier, Lorsq ue cet te t ra nche sera
atteinte au C()U'CS d' un d6placem ent, 'l es d eux chiff res seront
portés l' un all-dessolls de ,'a utre et réun is par une accolade.
L a réca;Jitu l ation figurant en page 4 sutrit des mo.difiça·
1ions impo rtantes. T outefois, je me suis eff orcé de fai re en
so rte que celll e!-'~.ci puissent être port·ées sur les imprimés ac tu els.
Les états ainsi vér i fiés et arrêtés par vous-m ême, co nfo rmémen t à la ct ' léga ti on qu i VOliS a été octroyée pa r la circ ul aire d'u' 15 nJars 1946, se ron t rassemJbl és par Dépa rt,ement ,
sous bo rd OJ"eJ u récapitu latif du modèle ci-j oi nt (a nnexe B) qui
1iend ra lieu d u re!evé Ilomi nahf tri"mes tri el que VO LI S é t i~ j usqu'à ce jour, tenu de m'e nvoy-e r .
Enfin, VO l'S éta.b li rez po ur Jes Collectivités 10caJes par ticipa,ntes, autres que le D épar tement, un relevé d
mandats à
';mettr.e du modèle égalemen t j oint (a nnexe C).
Lorsque le: D épa rtement pa rticipe a'U x f rais de dépl acemeni:.
les docu ments, accompagnés des mandats que vo us établi rez
pour les dtpense3 imputées sur ,J e Budget de l' Agricultu re,
seront adressées di rectem ent au Préfet qui , après a\'oir arrêté
l'état en ce qui Je conce rn e et établ i les mandats co rrespo nd an ts,
t ra nsmettr a au T r éso r ier-Payeu r Général les documents qui lui
.so nt desti nés.
Les col1ectivités J'ocales autres que le D épartement procècleront au paiement des sommes qu'elles 'P ren nen t en charge
.sur le v u d'un exemplai re des re levés (modèl e C) que vous
leu r acLresserez di re.c tem ent.
Sa ns préj udi ce de r.ejet dans les conditions habituelles des
mandats soum is il so n visa pOur le paiement des f raÎs à la
charge de l'Etat et du D éparteme nt~ le Trésorier-P ayeu-r Général sicrnalera
au P.r éfet les i r regular itës ou erreurs .qu'il relève ra
,
et qui affecteront les dépenses à la charge du D epartement et
<les Commu nes.
A fin de fa ci liter votre tâche et d'éviter to ~te ambiguite
5ur la procédure à sui vre, j'ai r ésumé dans le tableau annex.!
à la précédente instructi on les pièces à établir et l a dest ination
â leur don nè!", sui va nt les différents cas dans lesquels \'OUS
pouvez VO us trouve r .
II est bi en ent endu que ! ' Inspecteu rs Gé.neraux co ntin ll eron t d',exercer le co nt rôle qui leur inco mbe tant pa r la
vé rification tl es l ivr es de frais d e tou rn ée3 et de missÎ-ons au
Cours de l'f ur:;: inspec ti ons que ,par l' examen du double des
états ind·ividuels que vo us con ti nuerez à leu.r adresser trimestriellement.
Ell'fiJl, vous m'ad r serez tr imestriellement sous le timb r.!
de La présente instr ucti on un exemplai re du bor de reau recapitulatilf (modèk B) qui, je vous le rappelle, se substit'J e aux
relevés que vous deviez, jusqu 'ici me com mun iquN.
03 82 - fS 7
Circonscriptions de plu sieurs départements"
Cette nOll ve]e procédu re de paiement et de cont r ôle
m'ob.l ige à revenir sur un point pa r ticulie r en ce qui conce rn e
l es ci rco nscr.rptio ns compre nant plusie urs de:pa r tements.
Alprès J'l r'lstau ration de la paie centrale en 1950, il avait
été d'écidé que l es dépe nses de frais de déplacement seraient
assignées sur Le seu l Tr éso rier-P.ayeur Général du Départe~ent
ou résid e l' I n'géni-eur en Che!f. Le maintien de cette p ratrque
qu i a d'a ihleurs perdu sa justification dep uis le 1er j anvier 1J52,
date à laquelle ,l-e nombre des T résor ie rs-Paye urs Gé.n ér aux
assignatai r es de:s .dUpenses de pe rso nnel d.u Génie Rural, a étc
ramen é à 19, serait incompatible av·ec les r ègles qui \'Îen nen t
d·être édictées.
'En conséquence, les credits de di.-placement seront dor énava nt ouverts dans chaqu e département, COmme i ls l'étaient
ava nt 1950 et assignés su r la Caisse du Trésorier- Payeur Géneral de ce Dépa r tem ent.
La centralisation dans un seuL état de tous
ments effectuê5 par chaque fonctionnaire faciHtera
le co ntrô~-e du monta nt total des i ndemnités de
perçues et pe rmettra l'application correcte de la
des indemnités ki lomét r iques.
les déplacegrandement
dépl acement
dégressi vité
Aussi, je n'ai pas bes i n d'insister su r le contrôle très
stri ct que i\>tM. les In génieurs en Chef doivent exe rcer sur les
états des tournées qui leur sont présentés.
Je recommande égalem ent à MM. les I nspecteu rs Généraux
de contrôler personnel,lement au COucs de leurs inspectio ns
l'emploi des crédits affectés au rembo ursement des frais oe
d6plaœ ment.
Les présentes instructions qui ont été élabo rées en accord
a\'ec ML"'\. le3 !\\ini:stres de l'Interieur et des Finances perme~·
tront, le cas échéan t , aux dé/partements et ·ca1lecti\"ités locales
de pa rt icipe r ~ u rembou rseme nt des f rais de dé-placement et de
service engagés postérie urement au 30 juin 1952. Les modifications aPiJ;)rtées aux règtles de liqu idation et de contrôle ainsi
qu'à la présentation des états et rele\'és seront appliquees dès
la r éception de la présente circulai re.
Quant à l'assignation de toutes les dépenses de déplacement SUT la Caisse du T r ésor ier-P ayeur Général de chaq ue
D êparternent, e.:Je ser a appliquée afin d'éviter les opérations
de reprise d~ cr édit et dl! réordonnancem cnt à compter du
1er janvier 1953.
M.\1. les Tr êsor iers-Payeurs G~neraux seront a\'isés de
cette nouvelle procé-du re pa r les soi ns de la D i rectio n de la
Comptabi lité Pu blique au !\'\inîstère des Frnances.
Pou r le Ministre et pa r délégation,
L e Directeur du Cabinet
Y"es .\LoU.ECOT.
fIXATION DES PRIX DE JOURNEES POUR L'ANNEE 1953
DANS LES ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
Al!I~E T E
Le Préfel Iles Bou clze,-au-RI,ôl1e ,
Officier de la L égion d' Honfl e/lr,
15 j ui llet ISn5 sur [''\ssistant e :\1LJicale
Vu la loi du
Gratuite ;
Vu la loi du I ~ juil.ilft 1905 sur l'As.5istance allx Viei l!nrds,
l nfirmes et 1nc urab1es ;
V u l'ordon nance du 3 1 octobre 19-15 portant orgnnisati::)T1
<ie la l utte cont re ln tu berculose et les textes tj'appli..:ation ;
Vu l'ordon nance du 18 dëcembre 19-1-t determinant à titi"!
transitci r e les règles de fL\ation des prix ·de journée dans les
hùpita u1\ et hOSpices publics ;
Vu la ci r culaire min istériul·le lI.1 29 dëcembre 19..4-1- pris~
pour ra pl ita t ion de l'ordonnanl'e prlx'itée ;
VlI l'artic.:le 26 de la loi du 2 1 decembre 194 1 et les articles
22 et 3-4 du ü~'cret du 17 a\'ril 1943 sur les règ1es de fixation
des prix de jour n(e pour les malades e1 pensionnair - payants,
modifies par Je ctècret n" 51-121 du 19 octobre 195 1 ;
29
�1. -
SERV ICES
des Etablissements
ARRETE:
DES IONATION
ARTICLE PREM IER. L es prix de journée l'révisionnels
aI'Plicables durant l'a nnée 1953 dans les étaWissements hospitaliers ci<..après énumérés sont fix-és comme suit avec effet du
1er jan,vier 1953.
Sanatorium
Départemental
flu
Petit-Arbois ....... ....... .. .
Hôpital-Hospice d'Allauch ... .
Hôpital-Hospice d' Aubagne ...
Hospice
Medecine
Chirurgie
Hospice
Médeci ne
Chirurgie
Total
pré visiorlnets
Hôpita l-Hospice d'Allauch ... . .
Majoration
il affecter
au fonds de
roulement
M'édical
exercices antérieurs
à ajouter
à dédui re
préyj.
s ionllel~
12
23
60
68
Recond'u ctio n des prix de journée 1952
Hospice de Roquevaire .. ' .•...
Hospice
Reconduction des prix de journée 1952
6\0
\.468
1.836
34
249
2.42
Aérium ~ Montvert ......... .
552
1.666
1.518
29
23
362
366
300
540
685
1.7 17
41
87
1.8().l
2.078
100
2.178
644
700
700
581
683
1.80:;
102
216
218
1.589
1. 8~0
2.098
507
441
507
Hospice de Oar<lanne .. ... •..
Hospice
Hospice La Fare .......... ..
Hospice
Reconduction des prix de journée 1952
Hospice d'Istres .........•...•
Hospice
Reconductio n des prix de jo urnée 1952
470
Hospice de Rognes ......... .
Hospice
Reconduction des pri x <l:e jo ur née 1952
380
Hospice de Saint-Cannat
Hospiee
Reconduction des oprix de jo ur née 1952
360
Reconduction des pr ix de journée 1952
530
Hospice
Hospices civils d'Arles ....... .
Hospice
Médecine
Ohirurgie
Hôpital- Hospice de Châteaurenard ................. . ... .
Hosp:ce
Médecine
Hôpita l-Hospice de St-Rémy
Hospice
Médecine
Hôpital- Hospice de Tarascon
Hospice
Médecine
Ohirurgie
Hospice <l'e Barbentane .....•
7
343
506
Hospice
Hospice de Maussane ....... .
Hospice'
Hôpital-Hospice de Martigues ..
Hospice
Médecine
Maternité
519
1.4 10
1.893
8
22
30
49:1
34
46
1.47
51
\.872
10 'k
25%
~
450
50%
855
2.255
25 ~
25 %
2.723
25 9',
l.027
2.703
3.267
50 %
50 %
\.986
2.28ï
JO 0/0
9 0/,
3.6-19
2.676
18 %
18 %
493
616
23 o/c
1.478
1.872
!.7()()
Hospice
J66
Hospice Ce Cassis .... .
Hospice
300
560
Hôpital-Hospice de Salon
683
1.804
2.178
Hospie.
Médecine
Chirurgi e
683
1.805
2.002
Hospice
507
Hospice de La Fare
HospKe
441
HospiCe d' Istres ............ . .
Hospice
470
Hospice de Rognes
Hospice
380
Hospice de St-Cannat ...... .
Hospice
360
Hos pice de Saint-Chamas
Hospice
530
Hospices civils d'Arl es, , .
Hospice
M~ecine
Ohi rur gie
Hôpital - Hospice Châteaurenar d ..
Hôpital-Hospice St- Rém y ....
Hôpital-H ospice de Tarascon
~Iédecine
595
Hospice
.i\\édeci ne
3ïO
-141
750
93ï
Hospi.ce
.Medecine
Chirurgie
436
52-1
1.573
I. W4
1.730
\.863
Hospice de Barbentane ..... .
Hospi~e
485
Reconduction des (i,rix de journée \952
370
Ho.pice de Maillane ......... .
Hospice
410
HOSJlice de Maussane ....... .
Hospiee
Hôpital-H ospiœ de Martigues ..
Hospice
Médecine
Ohirurgie
1.49 1
104
437
1.595
\.423
287
\.710
9
19
22
16
1.694
485
55
480
456
\.573
2.153
Hospice
595
428
375
205
Reconduction des prix <ie journée 1952
750
795
25 %
25 %
25 %
25 o/c
1Oe,\-
25
38
,.~
50%
645
Hospice de Gardanne ... . .•..
285
Hospice
Hospice de l\1aillane ...... .
30
512
1.167
1.167
25 %
Hospice d'Aurioi ...... .
Aérium de Montvert
1.626
1.715
sur prix
de 3' Cat.
850
2.123
2.332
770
1.868
2.032
617 '
\.698
1.865
26
1re Catégorie
50%
50%
617
1.69B
1.860
Hospiœ
,Médecine
Ohirurgie
591
1.638
1.798
Cal~gorie
60%
Hospice
M édecine
Chirurgie
Hospices civi ls d" Aix ..... , ..
9
Majoration
prix
954
Chirurgie
Reco nduction des prix de journée 1952
582
sUJ'
\.921
2.218
\.601
1.849
Hospice
Hospice
Hospice Saint- Chama<;
Hôpital Hospice d' Aubagne ....
de 3'
636
1.88 1
1.479
Hospi ce de Roquevaire . ...... .
Hospice de Cassis ....... .
Hospiee
Médecine
Ohirurgie
Ex cédents
Prix
des
de j ournée
Hospice
Médecine
636
1.88 1
1.479
Hospice
Hôpital-Hospice de Salon ... .
Déficits
Majoration
2.0 16
2.016
Hospice d'Auriol .......•....
Hospice
MMecine
Chirurgie
SERV ICE.S
Reconduction des .(XIix de journee 1952
Reconduction des 'Prix de jo urnée 1952
Hospices civils d'Aix . .... .. .
des Etab lissements
3' Calégorie
el Assurés Sociaux
Prix égal aux pri x
journée indigents
Sanatorium Départeme ntal du
Tetit-Arbois . . ' ............ .
PI~I X DE J OU I~NEE INDIGENTS
Oéner31
PRIX DE JOURNElE PAYANTS
fecture,
Prix de revient
DESIGNATION
II. -
Sur la p.opositioll de M. le Secrétaire Général de la Pré-
Vu la ci,culaire d'a!,plication n° 189 de M. le Ministre d~
la Sante Publique et de la Population en date du 24 octobre
1951 ;
Vu la circulaire ministérielle nO 172 du 28 novembre 1952
relatÎ\'e à la fixation des prix de journée t 953 ;
. .
Vu les propositions et justifications des Commlss,OIls
Administratives des Hô!,itaux et HosJ>ices publics ;
Vu les raiJPOrb> de M. l'Inspecteur Principal de la Po!,ulalion et de J'Entr' Aide Sociale ;
5 12
13 %
15 t"k
739
50 %
1.92 1
30 %
2,434
30%
20 %:
25 S'è
355
50 %
\.125
50%
15 o/c
10 (!c
10 t;é
513
1.956
2.117
50%
25 %
25 %
23 S'a
357
532
1.76\1
1 .7S~
410
4 10
337
Recondu ction des prix de journée 1952
516
24
540
5
, .32 1
1.321
436
436
1.757
1.757
18
18
13
7
12
532
1.769
1.788
M
ARTlCI.E 2. -
M. le Secrétaire Général de la Préfecture
, fotl les SOus-Pr6fets d' Aix et d' Arles, MM. les Maires, Prés.-
d~nts
des Commissions Administratives des Hôpitau x et Hos-
p.ces
T
' PU'Il'ICS. MM. les Recev eurs de ces étabiissements, M. le
rt'Sorier-Payeur Général, sont chargés, chacun en ce qui le
concerne\ de l'exécution du prêsent arrète.
Marseille, le -1 tevrier 1953.
Pour le Préfet et par dèlëgation,
Le Secrètairt' Généra[
Maxime .\11 G:'-1 ON.
31
�A~REiTE
APPELS A LA GENEROSITE PUBLIQUE
01 BI . P 0
ARTICLE ?REMIER, Marseille, le 3 février 1953.
Ci- après le «olendriet des appels à .la générosité puWique
pour l'année j 953, autorise 'parM. le M..imstre de Il ntén eur.
Conformêment aux dispositions de la circula ire insérée au
Bulletin Officiel n° 15 du
anil 194 , les autorisations que
\OU5 serez appele à donner pour votre comm une ne p()ou rr~TIt
eoncern.er que des manifestations se déroulant en deho rs des
périodes
OÙ
une campagne natîonale a été prévue.
15 févner au 15 mars. - Campagne de
Plein Ai r (avec quête le S mars).
16 au 22 mars. - Ligue Française contre
quete le 22 mars).
13 au 26 avril. Quinzaine du Comité
aux Combattants d' lndochine (a,'oc quête le 26
la }eulle-sse au
27 avril
le 3 mai).
3 mai. -
Maritime, la c;rcul ation et les évolutions des bâtiments à hélices
sont interdites à moins de cent mètres du rivage .
4 au 17 mai. - Croix-Ro uge Française (quète le 10 mai).
7 juin . - j ou r née Natio n"le des Paralysés et lnlirmes
CLvils.
ART. 2. - Est seule aurorisée dans cette 'bande littor",le
et à allure très réd uite, !la circulation des bâtiments partant de
leur point d'e mouil'Iage ou le regœgnant. Cette ci rculatio n doit,
<Jutan.t que possilbllc, se faire perperldicul airement à la côte.
1er au 14 ju in. - Qui nza ine de l'Eco'le Publique (quète le
14 juin).
Il oc tobre. - j ou rn ée Nationale des Aveugles.
25 oCotob re. -
ART. 3. -
ART. 5. - Le présent arrété remplace et annule l'arrêté
préfectoral du 13 août 1952 portant règlementation de la circulation des emba rcations à hélices.
Signé : LAMBERT.
Sont e)(.Qlus des présentes di spositions les bâti-
j ournée National" des Vieillards.
le Cancer (avec
2 au Il novembre. - Cam'pagne du Bleu.et de FranC€:1 au
profit des Anciens C(}miJattants et Victimes de l,a Glierre (avet
quête le Il novembre).
National d'Aide
15 novembre au 15 dêcemb re. Antituberculeux.
avril).
5ur tout le littoral de Ja 111' Région
Comité National de l'En,fance (quête
flU
nlents d.e IJt:che se livrant à la !"'che il titre professionnel dans
la zone visée.
ART. 4. _ L' Inscription Maritime et les Agents de la force
pu\j)ique sont chargés, chacun en ce qui le concerne" de
!'e>Gécution dl! présent arrêté.
:
05 BI . TVX 0
ARRETE PREFECTORAL GENBRAL POUR LA PROTECTION
DES LIGNES TBLEGRAPHIQUES ET TELEPHONIQUES
Campagne du Timbre
IElagage des arbres
ART. 2. - Les propriétaires riverains sont mis en demeure
de couper et d'élaguer les plantations qui présenteraient des
branches en ~aiUie da.ns les rue et sur 4es rou.tes et chemins
et sera ient susceptibles de toucher aux fils.
L e Préfel des BOllches-du-Rhône,
Officier de la Lé,g ion d'Honneur,
05 BI . TVX 0
ARCHITECTES EVALUATEURS ET RECONSTRUCTEURS AFFECTES
AU DBPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
La liste des architectes éxaluateurs et reconstrudeurs
affectés ail Département de; BOllches-du-Rhô ne 'pu ljEée au
Recueil des Actes Administratif - du Département des BOllchesdu-Rh ône n° 6 du 7 fë\'rie r 1952 est ainsi mise à jour au
1er janvier, 1953.
Additif :
3.613 • CR1STOL Pjerre, 17, rue de Chabannes, Taillon.
1.780 - BEiRATO Victor, 7, rue Emilie-David, Aix-en-provence.
4.847 - BBRSAGOL Edouard il Salin-<le-Giraud par Arles-sur-
-
ii.242 -
Rhône.
BLANC François, 8, r ue jaubert, Marseille.
BORRELY Louis, 96, Rte "tio nale, St_Loup, Marseill e
BOUILLE Léon, 180, Bd de la Cor derie, Marseille.
FAURE Germain, 100, avenue du Prado, Marseille.
HOA Léon, 138, rue Bretmtil, Marseille.
KARANDjl AN HRA T, 71, Bd Camille-Flamma rioll,
Marseille.
4.288 - MARTIN Pierre, 10, rue de Seine, Paris (VI' ).
6.845 - -"\AUREL DE PEIPIN René, S, rue de la Ca lade,
05 BI . TVX 0
S.0 15 - MOHEAU Georges, 2, rue du Château-d' If, Marseille.
2.236 - RASONGLES jean, S, rue St-jacques, Marseille.
5.545 - lŒBA GLY Marcel, Il , ru e Sy l vabelle, Marseille.
Le Vive·Amiral d'Escadre,
Préfet Maritime de la 3" Région,
14 juin
1844
COnce rnant le Se rvice
Admini st r atif de la Marine (a.rticle 11 ) ;
Vu la l oi du 30 jalwier 1930 concernant la police et la
règlem entation de la pèche côtière ;
Vu le décret du 1er février 1930 !,ortant attributions des
Préfets Ma ritimes en ce qui concernt: les pou\'oirs de police et
La reg!ementatJOn de la pt-che côtière;
ARJ<ETE
5.7 16 - RENAULT Maurice, Clos des P~ages, La Ciolal.
5.nl - SQUELARD Eugène, 8, ru e de l'a Calad'e, Arles·sur·
Rhône.
ART. 3. -
Dix jours a'Près la notification du présent arrêté.
li sera, le cas échéa nt. procéd é d'()ffiœ. par l'eS soins de l'Administration des PtJstes et T élégraphes, et aux frais des propriétaires aux clagages dont il s'agit.
ART. 4. - M. le Secrétai re Général de la Préfecture, M!M.
les Mlair,es, M. le Commandant de Gendarmerie et le Directeur
des P.T.T . il MarseiJ1e, sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, d'assurer l'exécution du. présent arrêté qui sera inséré
au Recueil de.; Actes Administrat'fs et affiché en placard dans
les communes trave.rsées.
AtTiCLE l'IEM IER. - Le Directeu r des P.T.T. il Marseille
est autorisé à prendre les dispositions utiles pour assurer le
bç>n fonctio.nnement des lig'l1es télép,honiques dans les conditions
prevues à l'ar.rêté type autorisant la construction des 'diverses
artères.
Ma rsei1Je, l e 2 février 1953.
Pour le ?réfet,
Le Secrétaire Général délégué:
Maxime MIGNON .
5.279 - SUR 1AN jules, 59, r ue du Marochal·joffre, Salon.
6.634 - WOGENSCY André, 43., rue Gazan, Paris (X IV').
Reclifical/On :
5.71 3 - RAINEJRŒ Pierre, 7, rue des Fédéres, Nice, au lieu de
26, rue du FOllr-il-Chaux, MarSeille.
3.60 1 - VAGO Pjerre, Grand Palais, Porte E à Paris (VI II').
ELY S4- l 5.
REGLEMENTATION DE LA ClRCULATION DES EMBARCATIONS
ft., HELICES SUR LE LITTORAL DE LA III' REGION MARITIME
Toulo n~ le 22 janvier 1953.
Vu J'ordonnance du
4.647 - .~WNTIH~ j ean, 3, Bd d'Athènes, Marseille.
8.2 14 - ROUX Armand, 82, rue Na", Marseille.
Suppression :
6.774
6.ï76
7,478
7.581
6.565
Arles-sllr-Rhône.
Vu l'ordonnance royale du 4 août 1731
Vu le décr et du 27 décenjbre 1851 ;
Vu la loi du 28 juillet I S85 ;
Vu les illst r,uctiorrs de M. le Ministre des Postes et des
Télég"aphes, en date du 1er septembre 1936 ;
Vu Il'a ~ett r e, en date d'u 5 janvier 1953 de M. le Directeur
des P.T.T. rel ative au maintien en bo.n état d'exploitation des
lignes télég r a?~liqu es et téléphoniques ;
Sur l a prOl)ositio n de M. le Secrét·ai r e Généra l de la
Préfecture,
1 TEXTES
02 B3 . SC 7
Vu les artioles 47 1 et 474 du Code Pén al ;
Vu la C.N. . du 9 juin 1939, sur l'i nlerpr étalion et l'appli·
calion des articles 27 1 et 272 du Code de justice Al ariti ",e du
13 janvier 1938,
COMMUNAL
STAGES AU CENTRE D'INSTRUCTION
DE LA PROTECTION CIVWE EN 1953
J'ai l'honneur d'attirer l' attention de J\o\'essieurs les Maires
du Département sur la circu'laire ministérielle ci-après, relative
aux stages du Centre d'Jnstruction de la P,rotection Ci le en 1953.
Pour de Préfet et par dél égation,
Le Secrétaire Gén éral
Maxime MIGNON .
Vu la dép~ch e ministérielle 1490 E.M.G .f3 d'u 17 novem·
bre 1950 de M. le Secr·étai re d' Etat à l'a M ar ine concernan t les
pouvoi rs de règJe111entation dans les eaux territoriales ;
Vu la lettre de M. le Pnéœet du Var en date du 9 aoùl 1952;
Vu les artidles 27 1 et 272 de l,a loi du 13 j anvier 1938
portant Code de justice Mili tai re 'l'our Il' Armée de Mer;
D ' INTÉRËT
Paris, le 15 janvier 1953.
Le Minislre de l'Inlérieur,
à MM . les Pré/elS (M étropole),
J'ai l''honneur de VOliS commun iq uer, ci-dessous, I~ prodes stages qui seront organisés a'u Centre d' Instruction de l a Pmtection Civile en 1953.
les noms des officiers de Sapeurs-Pompiers désireux de suÎ\'re
l'un de ces stages.
Stages d'information pour les Inspecteurs déparlementaux :
janvier.
Examen des candidats Inspecteurs départementaux : première quinzaine d'avril.
Slage d'applicalion des catUlidals In sp,ecteurs déparle!"enau 20 avri1 au 17 mai.
taux :
Stages or<.l.irùaires : du 2 au 1-4 février; d'U 1er au 13 juin;
du 14 au 26 septembre; du 2 au 14 novembre ; du 16 au
28 novembre.
~ ramme
Vous voudrez bien me faire connaître, dès que possible.,
~
Stalges de 'pr-evention : du 2 au 2 1 mars; du 15 juin au
juillet; du 30 novembre au 19 décembre.
Stage d'éduC<1tion p hysique : du 28 sept. au 17 octobre.
33
�Je vous pr ie de \"ouloir bien m'adresser séparément les
demandes de participation à ce dernier stage : ellcs. de\' r~nt
être ~tablies ronfonnément aux disp~sitions ?e ma c lrc~~lre
n" 464 du 31 décenùxe 1952 relative a l' entramement ph)'!'iJque
des Sapeurs-Pompiers.
rappelle rotre attention su r la nocessit', pour les Inspee-
pr":'"venti on : ll ne priorité ser~1 en co n séque~c.e, resen ée aux
demandes d'admission présentees par ces ofhCJers.
Pour le Min istre et 'par déléga tion,
L' Inspeel ellr Général de l'AdminisIra''on
chargé du Service National
de la Prol ec lion Civile
Andre PELA BON .
tru rs-adjoints des Services d'incendie, de SllIv-re l e stage de
RÉPUBLIQUE
Numéros 7 et 8
-
FRANÇAISE
19 et 26 Février 1953
••
CALCUL DES HONORAIRES D'ARCHITECTES
D2 B3 - TVX 0
REPUBLIQUE FRANÇA ISE
Circulaire N° 26
Paris, le 28 janvier 1953.
Le MinisIre de [, l nlériellr,
à MM. les Préfets,
La Cour des Comptes a appel'; mon attention su r le fait
que certains architectes caJculeraien! I~ honoraires qUI leUT
sont dûs, à l'ocœsion de travaux executes 'Pour l e co~pte des
collectivites locales ou de leurs éta'blissements publics,
non
seulement sur le montant des décomptes des t ra\laUX, mais
c-aaJement sur la taxe locale sur le chiffre d'affai res qui s'y
t~U\"e ajou tée par une mention distincte.
.
J'ai l' hnnneur de
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU·RHONE
voUS
telles pratiq ll ~s co mme i n admi~s i b.l es .. En effe~~ l'h?Jllllle de. l'an
nJayant pas le contrôle de l a hqulda.tlOll ~e I impot. perçoit. en
pareil cas, des hono raires sa ns se rvice fa it.
Vous voudrez bien vei ller à ce que l es enrements signalés,
en ce domaine, pa r la Haute Juridiction ne soient pas poursuivis.
DES
v
•
ACTES AD MIN 1ST R A -N·E-W
ET BULLETIN DES MAIRIES
Pour le Mi nistre de 1'Intèrieur et par délégation,
Le Pritfet,
Directeur de l'Ad ministration départementale
et communale
o I\WlEtI.,ON,
fai re connaitre que je consIdère de
TABLE DES MATIÈRES
COMMUNIQUES
DDS
AVIS
- ANNONCES
DIVERSES
TEXTES D'INTERET GENERAL
MEDECIN AUTORISE A PRATIQUER LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES CERTIFICATS PRENUPTIAUX
ET PRENATAUX
lVlarseille, le 5 février 1953.
Par arrèté prétfectoral en date du 3 fév rier t953, M. le
Docteur DE CESPEDES, domicilié à Saint-Victoret, est a uto risé
à pratiquer les examens radioscopiql1es en vue de la deIT"rance
des certificats prénu ptiaux et prénataux.
FS 7. !',3. -
Foyer des Pupi~les de St-Joseph. - Prix de journée. . .. .... .... .... .... .... ....
Rectificatif il l'arrête prétfectoral du 23 déœmb re 1953 sur les périodes d'interdiction
de la pêche en 1953 . .. . .... .. .. ..... ... .... .... . . . . .... .... .... .. .. ....
36
P O. -
.Répression des infractions à la lëgisl ation sur I.e permis de construire .... . .. ,.. .. _. . .
36
Contrat relatif à 1' e,~pl o,tation et à la modernisation des insfallati.o ns de chauffage ..
Rectification du chemin départemental n' 55 F .... .... .... .... ... . .... .... ....
Trava ux de dév iation d~ cilemin départemental n' 49 E .... . . . . .... . . .. .... ....
T rava ux de rectification du chemin départementai n' 5 .... .... ... . .... ..... .
37
40
40
40
E.vaJuation des dommages de guerre immobiliers (immeubles bâtis d.e toute natu re) . .....
-lI
Vente de vignettes par l'Association .égionale pou r la Sauvegarde de l'Eruiance ........
Délégatio n de solde a ux famill es de militaires décédés, disparus ou faits prisonniers
en Indochine ................ .. ............ . ........... . ..... . ..... _.. _
..1
TV X
TVX
TVX
TVX
O. O. -
O. O. -
TVX O. -
P O. AG 7. -
36
..2
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
AG 2. -
Altrib ution de dots
Fe 7. -
Entraînement physique des sapeurs-pœnpiers. -
Circul aire ministérielle du 3 1-12-1 952..
-t2
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
l'ou r le Préfet et pa r Délégatio n,
Le Secrétaire General
M~xime
MIGNON,
AG 2. AG 2. DOS -
Demande d'em1Jlloi ...... .... .... .. . ..... ... . .... ... . .... ... . .... .... ....
I~ectificatif à l'arrêté intermi nisteriel du 20 décembre 1952, insèré a u B.A.1I1. n' ;1, .. et 5
des 22-29 j.m' ie r et 5 lévr ie r 1953
. . . . . ... ....
Mécecin autorisé à p ratiquer les examens radiosC'Opiques .... ....
-16
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-lô
. A8Rf1JVIAT~ONS. - il. p'. : !,-:-rêté Jlréfec~oral. - C, . ~ir('u1aire. - Les lettre s 0 et B suivies d'un chiffre
Ind iquent le ServIce ou Bur~u d ongme. - U. S: T, . : Dlr.ect loD des Services TechniQues_ - D. O. , : Direction
Départementale d e la. Saut e. O. D. 1', : DlTcctlon Departementale de la Population.
_
�-~_É_N Ë R A L~
!--_T_E_X_T_E_S_D_'I_N_T_É_R_Ë_T__
0 3B2-FS 7
FOYER DES PUPILLES DE SAINT-JOSEPH - PRIX DE JOURNBE
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de fa Légion d'Honneur,
Vu la loi d " 10 août 1871 ;
Vu. ensemble, !les lois du 15 avril 1943 sur l'Assistance à
J'Enfance et du 15 juillet 1893 sur l'Assistan~e Mid icale
Gratuite ;
Vu j'ordonnance du 18 décembre 1944. détermlOaut à
titre transitoire. les règles de fixation du prix de journée préyisionnel dans les Hôpitaux et Hospiees Publics ;
Vu les circulai res d'application des 29 décemb re 19<U.
22 novembre 1949 et 28 novenJbre 1952 de M. le Minist r~ de
la Santé Pu blique et de Ja P,op ulation, r~latives au caku l du
prix de jou rnee ;
Vu le déuet du 19 octob re 1951 su r les prix de revient
Vu la delibé ration du 25 novemb re 1950 d u Co nsehl Général, décid a nt la creation d' un Cent re Départemental hospitalie r
pour deb iles et pr&n atu res au Foyer des P upilles de St-Joseph ;
Vu l'a rrête prelectoral du 23 décembre 1950, portan t
créatio n de ce Centre, corrlo rmement à la décision de l'Assemblée dépa rte mentale :
•
Vu, notamment, les dispositi ons de l'article 2, 3me alinea
de cet arrête, concernant les prix de journee ;
0 5 BI - P 3
Pé ri odes d'i nterdictio n de la pêc he en' 1953
1
Première ligne lire 4: applica tio n du d écret du 29 août
1939 ,. au li en de <r: applicatio n des décrets ". ;
(>
TabJeau des péri odes de fenmet Ltre, lire
Brochet: première cat~go ri e : néa nt ; deux i ~me catégo r ie:
du 15 fl'vrie:- au 3 1 mars;
ST - P 0
Vu J'ordon nance 45-2542 du 27 oct obre 1945 r el ativ e au
Hermis de construire et notamment l'a rticle 7 de ladite ord onnance ;
Vu l'arrêt é interministériel du. I l j anvier 1946, rel atif il
l'app licatio n de l'a rti cle 16 de l' o rdonnan ce susvisée ;
Vu le déc ret 46-1792 du 10 août 1946 'po rtant règlement
d'admi nist ration publique pour l'application de ladite ordonnance ;
Vu l'arr~té ministéri el du JO août 1946,
36
sin istré,
AIlT ICLE 4. - MM. les Mai res so nt chargés de la pllbJication du pr ésent ar rêté.
Commu n\'! ... , ... . .... N ° ....... ..
D ate . . ......... .
Ma rseille, le 22 Janvier 1953.
ART ICLE 3. - "'lM. les Mai res, M. ,le Délèg ue Dépa rte me,,l al it la Recons tru ctio n, M. le Chef du Service Dépa r tementa l
de l' U r ba nisme et de l'H abitati on, M . le Commandant de 'la
02 B3 - TVX 0
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général
Ma xi me MIGNON .
CONTRAT RELATIF A L'EXPLOITATION ET A LA MODERNISAT ION
DES INST ALLATIONS DE CHAUFFAG E
Paris, le 30 Janvier 1953.
ARTICLE. PRE..\\l ER. Le p r ix de j ournée prLvlslonnel du
fi: Centre D epartem enta l hospita lier pour déb iles et prématu rés»
foncti o nnant ,' u F oye r des Pu pill es de St-J oseph, est lixé, à
com-pt er du 1er janvier 1953, â 3.000 francs pour ces deux
catégo r ies d~ nourri ssons.
Ce p r ix de jou rn ée est 31pplicahle aussi bi en aux assistés
bénc.ficiai res oe l'A.M.G ., qu'aux mal ades ayants~roit d'assu rés
sociaux.
ARTICLE 2 - MM. ije Secrétai re Généra l de la Prèfectu re
le Tr(sorier-Payellr Générall du D épa rtement, le Di recteu r d~
F ye r des Pup ill es, l' Inspecte ur P rinc ipal d'e la Po pu lat ion et
de ,'Ent r' Aid.: Soc iale so nt char gés, chac un en ce qui le
con ce rne, d e l'extéc utio n du présent arrêté.
Fait à
MarseiH~,
le Il Fév rie r 1953.
Pour le Préfet,
Le Se crétaire Général
Maxi me M IGNON .
Au lieu de : pr emiè re catégo r ie: du 1er jan vie r au 6 mars,
du 6 octobre élU 3 1 décem1J.re ; deuxième catégo r ie: du 16 févrie r au 29 mai.
Gren ouille . deuxième cat égorje : du 3 1 mars au 29 mai ~
Au lieu d<.: : deu..x ième catégo r ie: d u 31 mars au 20 mai.
ARTICLE 6. - Pêche au bro.chet, 4m e li gne, lire:
Du 15 févr ier au 3 1 mars au lieu de : du 16 fév rier au
3 1 ma rs.
3"
REPRESSION DES INFRACTIONS A LA LEGISLATION
SUR LE PERMIS DB CONSTRUIRE
Le Pré!'" des Bou ches-du-Rhône,
Officier de ta Légion d'HOnneur,
Gonda .merie, M. le D irec teu r Dépa r temental des Services de
Police sont cna rgcs de l'exécutio n du présent arrêté .
ARR ET E:
RECT IFICATIF A L'ARRETE PREFECTORAL DU 23 DECEMBRE 1953
SUR LES PBRIODES D'INTERDICTION DE LA PECHE EN 195~
Arr"te préfecto ra l du 23 décembre 1952.
2°
VUI les concl usions du rapport de M . l' In specte ur Principal
de la Pop ulatio n et de l'E nt e' Aide Sociale, en cta te d u
26 ja nv ier 1953 ;
Su r la pro pos itio n de M. le Sec rétai re Géné raJ,
M aire s' il s' ag it d'une cons tru'Ction nouvelle, par le Délégué
.départementa l à la I~econstrll<..iion, s' il s'a:git d'ull immeuble
ARRETE :
ARTICLE PREMI ER. - Toute person ne physiql1e ou morale
exécutant des travaux de construction ou' de reconstr uct ion doit
obligaroi remcnt afficher su.r Urli panneau, placé en évidence â
l 'ent rêe du chantier les autor isations et indi cations justifia nt
!'ouverture rcgl-cmentaire dudi t c hantier. L es Architec tes et
Entrepreneurs sont solidairement respon salbles de l'exécution
de cette prescripti o n.
AR11CLE 2. - Ce 'panneau mentionnera:
1" Le nOm du propriétai re ex écuta nt les travaux. ;
2" La r6fi:rence du permis de constl'iuire àélivré par le
i nstallations St: traduisent par une r t lluction proportionnelle du
pe rsonnel affecté à ce service.
Le Ministre de l'Int érieur,
Pour l e .i\1inistre de l'Intérieur et par délégation,
Le p'réfet,
Directeu r de l 'Administration D épa rtementale
et Communale :
P. DMlELON .
à MM. les Préfets,
L' attell.ti on de M . le Ntinist re de l 'Industrie et de J'Energie
a éte appelée sur l' utilité de favo r iser 1e r '2.quipement des ins·
1aUations .de chauffage en vue de r ~3Ili ser d'es économies de
combustihles ct de permettre une meilleme utilisation des qual ités prod uites 'par les HOJ illëres Fr ançaise s et Gaz de Fr ance.
A cette fi n a été créée sur l'initi ative de la Caisse National e des M.arc hés de l' Etat, lies coUectivités et étaJolissements
publics, 13 socié~ê. de Ca ution Mutu eMe des exploitants de chaulflage < SOMJEX •. Cette sociéte est desti née il J'e rm ettre à la
Caisse Natioliale des Marc hés d'i nten1 eni r dans le financement
des tr ava ux de modernisation par l'attrib ution aux entrepreneurs de créctits à moyen terme.
Le prO'gram!l11 e de r ééquipement envisagé con cernant non
-seulem ent le secteu r privé mais aussi les administrations publiques, la soci~té « SON\EX ., se propose (j 'é tend re son activité
.aux cQlIl"ec ti '/ités locales et aux établissements publics en
relevant.
A cet effet, elle a établi, à l'usage des collectivités locales,
-un modèle de contrat comporta nt à la fois le rééquipement des
installations d'e c'hauffage et l'e,.x,ploitation de ces installatio ns.
Des facilités spéciales de rëgl ement sont prévues afin de
permettre aux cO'I'leativit6s de iinancer, en prindpe, les t ra\'all x
de rééquipement au moye n des économies réalisées dans les
<!épe nses anlluellles de chauffage : les installations nouvelles
sont mises à la disposition des collectivités qui en assuren·t le
r èglement par des redevances échelonnées sur ci nq ans.
Ce modèle de contrat, qu e vous \'ouùrez \')ien trouver cijoint, a eté mis a~ point en acco rd ~l\'ec mes services et ceux
de M. le Ministre ûes Finances et de M. le .t\\inistre de la
S a nté Pu tll iq !1e et d. la P opulation.
Les com'entions pass~es par les collectivités locales dans
Je cad re de ce contrat-type sont, en raison des garantie.s prl:vues, susceptibles d'approba tion, êta nt entendu que les règles
applic3b':es il l' apl:)ro~1ation des emprunts denont Nre obse r\' ees
en l'espèce.
j'ajou te. qu'avant de passer de:; contrats de cette nature
les co ll ectivit ès pourront recueilli r l'a\'b technique des Sèrvice~
d'U1iIisa ti-o n l ~ati o llnel\l'! des Cc.mbustibles dt-pendant d~s Charbonnages de Fran ce.
Je pr écise, enf in) que lorsq u'une coklectlv ité aura ainsi d ~
ddc de procede r à la modernisation de seS installations de
..-:hauffagc, tou t en conservant le soin de fou rni r la main-d'œuvre
nécessaire a1l service de chauffe, il co nv ienJ r a de "eiller à ce
<lue les éco nomie de main-d'œuvre qu'impliquent les nouveUes
SOLEX
Contrat de cha uffage -type
(avec intervention de la Sté SA LJIIET)
Entre les soussignés :
d'une part "
La Coll ectivite
R"i>resentée pa r M.
autorisé par
Ci -après -ri ignée l'Administration.
tl'a utre part,'
1° L a Société dont le siège social est à
Représentee par ~\.
Ci-apiès designée rExploitant
2° L a Société pou r l'achat et
pement thermique,
Rep résentée
M.
Ci-apr ès désignée. SaJmet
la location de matériel d'équi-
var
3 La Societé X, agissa nt conjointement et solidairement et
dénommées ci-aprt!s, les Entl;-eprises,
11 a été Conve nu et arrèté ce qui suit
Q
ARTICLE PRE..\\IER. -
Principe du L'ontrat.
En vue d'assurer le chaufiage des .bàtiments dans de
meilleures conditions, les entre·prises 'engagent :
1" A effectuer les trayaux d'installation Olt de mode:-nisation
~pécifies en annexe ;
2" et â assurer le chauffage <tux coniitions stipule-es ciapr~'S.
nI
est prêcisé j toutes fins utiles :
1u Que la Sodétë Salmet s'engage il metll.-C' â la disposition
de l'Ad'ministralÏo n, les mat~riels et leurs 3l'CeSSOIres prévus au
devis ci-,a nnexê et qui seront sa propriét e perso nnelle (ce dont
elle devra justifier à toute rêquisition de l'Ai..Iministration.
2" Que l'exploitant et la Sociétê X, SOllS les modalités CÎaprès prevues, article 3, 2" s'engagent à proceder aux travaux
ci.' installation des mat~rie-Is mis à la -disposition de l'Administration par la société Sai met ct à aSSlf"er I~ chaUlïage aux
Londitions stipulées ci-apr~>s , artirle- J, l '.
...,
37
�ART. 2. -
II. -
Trm'aux.
le devis descriptif nn
du
annexé au présent contrat. ayant reçu l'approbation de J'Adrnjnistratio l1, les enflreprises
s'engagent .a mettre à la disposition de l'A-d!mi nistration tes
installations correspondantes à (Ia ter du
A leur chè\'ement, les ~ra\'aux feront l'objet d'un procèsveroal de la part de l'A<!ministration, constatan t leur exécutio n
dans les conditions prévues au devis.
l.es installations seront rétrocédees à l'Administration à
titre gratuit ap rès achèvement du paiemen t de to utes les redevan Ces prêvues à l'article 5 ci-ap rès.
L es Entreprises devront remettre les installations en parfait
état, compte tenu de leur dllrée d'utilisatio n, et l'Ad'ministra~on
dressera le procès- verbal de réc"lltion au moment de la rétro-
cession.
U sera procédé de même en cas de libétiation anticipée.
ART. 3. - Exploitation - Conditions assortissant les engagements pris à ce sujet.
1. -
EXPLOITATION
DaJ1s la mesure où les installations eXistantes le permettent,
l'Exploitant et la Société X s'engagent :
a) Chauffage :
à assurer le chauffage
d~ locaux suivants : . .......... .
pen<lant une durée de 'Principe de I SO jours consécuti,s par an,
compris entre le
et le
L' Exploitant garantit dans les locaux une température de
pour une température extéri eure de
b) Sen'ice d'eau chaude:
il assurer le sewi ce d'eau -chaude toute l'année à la temdans tous les bâtiments de l'Adpérature moyenne de
ministration il l'exception des jours 'Ci'arrêt nécessités par l'entretien,
En conséquence, l'exploitant dev1ïa
vantes :
les prestations sui-
1· la fou rn itur e du combustible et les produits d'allu mage
nécessaires au fonctionnement <les installations de ohauffage et
de distribution d'eau chau<l~,
Il..e~ eng3gement~ .. cO,njoints ~t S?li~aires , SOuscrits par
l'ExplOitant et la Societe X . et relatifs a 1ex plOitation, engage_
ments dont la nature est deffermt'~éed?ans la première partie du
présent paragra.pJle, sont a ec es
un comm un accord entre
les ,parties, des <co n{H tions ci-après :
1" IL 'engagement pris par l'Exploi tan t sera Irésilié purement
et simplement 'CiIans l'un des cas suivants, dont la r éalisation
en,traÎn era la mise en j eu de la condition resolutoire affectant
ledit engagement:
a) Mise en faillite de l'Exploitant ;
b) Liquidatio n judiciaire <le l'Expl oita nt ;
e) Cacence de l'E"ploitant dûment constatée pa'r l'Administration, qui fera notifi er la résiliation en d!écoulant, dans ledélai de 8 jours de la constatation par l' intermédiaire de la
société Salmet, au moyen d'une lettre lreco mmandée avec accus~
de réception, tant à l'Exploitant qu'à la Société X.
2° L'engagement pris par !a Société X ne Iprendra effet
qu.e dans l'un des cas suivants (entraînant résiliation, comme
dit ci - dessus, de l'engagement de ll E..~lojtant) cas dont la réalisation v.a.uiira aoco mplissement de la ,çonclition suspensive affectant l edi t eng3Jgement.
a) IMise en fai ll ite dte l'ILxploitant ;
b) Liquidation judiciaire de l'Exploitant
c) Carence de l'Exploitant co ns tatée et notiliée comme dit
ci-dessus.
ART. 4. - Durée du co ntrat :
L e présent co ntrat est établi pour une du r·ée de
années à partir de
jusqu'
ART. 5. -
L' Administration utilisera les i nstallations prévues au -d'e\r1s
an nexé, !réalisées par les soins des entreprises et mises
à sa disposition à la date du
moyennant une redevance annuelle de francs :
payable chaque
trimestre, la première red-evance étant due à la fin <i u trimestr-e
qu i suit l'établissement '<Î.IU ~)rocès-ve;-ba l prév u à l'article 2, par,2
ci-dessus.
n°
.
e) L 'assurance <les risques de r esponsabilité civile, i ncendie
ou <l'égals des eaux provoqués par une faute dans la conduite
de la chaufferie.
Courant élee/rique et eau froide :
Le courant électrique nécessaire au fo nctionnement des
appareils automatiques et des pompes, ainsi que l'eau d'alimenta~o n des i nstallations de Qha uffage et d u seTiVi cc d'eau chaude,
r esteront à la charge de r Adm inistration.
3R
du
ILe montant des travaux fiX!é par Je devis n"
s'élève il
En 'C as CC' var iation de rp'liix, postérieurement à la remise
du devis jusqu'il achèrement des tnwau x, ch acun des paiements.
pré\'llS au pr<':sent article se-ra frappé de l'ind ice P/ Po sui\'ant
f ormule :
11N\
S
HF
P = Po (0.10
0.30 0.30 0.30 )
HFo
T~l o
So
dans laquelle :
+
Po
HF
== Pri x révisé.
== Pri x à révise r.
== T an f du cat a..to.gue
1M
=
'5
==
r
HF
=
50
==
Index tôle m oy~nne MART IN, pris comme base po ur
l'établ issement des devis, soit:
Indice des salaires des industri es élec triq ues et mécaniquES de la Région parisienne pris comme base pour
l'étal1l issement des devis.
Les indices TM et S seron,t relevés au B.O.S. P.
L'Administrati on aura la faoulté de se IÎIbérer 'par a nti c~pa
tion à la fin de chaque exer.cice contractuel, moyennant préavis
donn é aux Entreprises: 6 mois à j' avance. et pa iement des sommes ci-après lixées :
_ à la fin de la prem ière année;
- à la fin de la deu.xiè11le ann ée ;
- et<=...
2· CIIGajjage
Pour as..;urer le chauffa'ge, suivant les besoins de l'Administlrati on, une redevan.ce annuelle de :
payat>le par tie rs, les 15 octobre, 15 j anvier, 15 avril de chaque
.année (ou bien une r edevan'C e fo rfaitai r e au miJlion de calori es
fourni détermine pa r un compteur).
Des j o un~ées d'e chauffage supp.lémentai res pourront être
demandées pa r l 'Administration, au-<l~là des 180 jou rs de base
p révus. Le prix fo rf aitaire ci-dessus ser ait alors majo ré de
1/ 200me par jouJ'née supplementaire.
3 EGil CllGllde :
0
p,our le service d'ea u chaude, la redevance égaler a une
·somme de franc :
N x P
.où
N
P
== Nom'bre
==
de mètres cubes d'eau chaude consomm ée,
relevé chaq ue trimestre en totalisant les indicatio ns
des cO'Jl1ipteu rs installés à cet effet ;
Prix du mètre cube au :
+
+
des fond eu rs pour la fo nte de
c hauffage au m oment de 'i'élJi>p rovi sionnemen t sur
chantier dûment constaté.
Index tôle moyenne "'\.ART IN au mome"'t de l'approvisionnement sur chantier dûm ent co nstaté,
Mo yenn e des indices des sa!lai r es des industries électriqu ES et mécaniques de l a Région parisienne pendant
la période de montage.
En cas tt'auigmentation ou de suppression de surface de
:Chauffe. l 'Expl oitant devr a en être informé a;fin de contrôler
si ces install ations nouvelles sont conciliables avec les moyens
-de prod,uctioa de chaJ eur,
La redevan ce ch auffage SUlbira la même va riat io n que la
surface de ch auffe installé;,.
l1ldices d e variation.
ART. 7. Pour
i ntervenir
chauffage
2 et 3 de
-
ten i r compte d'es va riations économiqu es pouva nt
enl cours de co ntrat , les redevances afférentes au
et ,Ill service d'eau ch aud e, sllivant les pa r ag raph es
l'a rti t,le 5 ci-dessus, seront frappées :
pou r
I~
chau ff age
C'
du cœfficient X C
+
C'
S
S'
= Prix du même combustible
.chaqu e échéance.
= Salaire au
S'
y S
C'
po ur le st'r\'ice c1 'ea u chaude : du cœfficient -
C
C ::::: Pri x au
des
au tarif
des HOllihl ères majo ré des f rais de tr anspo rt jusqu'en
gare d ~
par w agon isol e de 20 tonnes,
soit :
du
le 1er du mois precédant
de J'ouvrier monteur en
chauffage, publié par le journal l' c Usine :> et ressortant
a la date de la signature des pr ésentes, à :
majoré des chatges pn>portionnelles, soit
%.
Sa lai re et charges du même ouvrier le 1er du mois précéda nt chaque échéance et publié pa r le journal
l ' c Usine >.
ARr. 8. -
Pénalités.
En cas d'z; rrêt du cha,uffage par suite d'une faute imputable
ft l 'Exploita nt, l a r edevance de chauffage subira un abattement
de 1/ 125me paur chaque j ou r de nOn chauffage, du 15 décembr e
au 15 février, et 1/ 200me en dehors de cette péri ode.
En cas J'insuffisance de chauffage, l' EXiploitant subira une
pénatlité de 1/ I 5me des abaltements prévus au paragraphe précédent Ipar degré d'ocart entre les tempér atures moyennes d i urnes observées et les temp ér atures prévues aU cahier des charges
des instaHateu rs.
.Les abattements et pénalité stipulées au présent article
ne sont pas applicables dans les cas de force majeure mettant
l'Explo itant dans l'i mpossibilité d'exécuter tout au partie de
ses engagemerits.
ART. 9. -
Cas de jorce ma.jeure.
Il est Conv.enu que seront assimilés aux cas de force maj eure, non seulement l es faits de guerre, grève, etc ... mais d' une
façon générale tous les faits no n imputat>les il l' Exploitant et
le mettant da'1s J'impossibilité absolue de tenir ses en gagements.
ART. 10. -
Responsabilité des liers.
Les d ég M~ qui serai ent causés aux inst aUations par suite
d'incidents nOn imputables il l'Ex.ploi t ant son t en tièremen t à 1a
charge de l'Administration .
ART. 11. -
Addition Oll suppression de radiateurs.
ART. 6. -
Redevances
1° Installations nOlll/elles
2· a) la main-d'œuvre de chauffe ou
b) la surveillance de la main d'œuvre de chauffe qui sera .
fournie J'3'r l'Administration, étant Ib ien précisé que cette main
d 'œuvre sera plac ée sous les ord!res directs de l' Explojtant au
point de vue teChnique et devra suivre les instructions données
'Par lui, pOlJr la bonne exécution de ses obligations.
En cas d' infraction de la part de ce personnel, l'E.Japloitant
pourra exiger le remplacement des chauffeurs déficients.
c) L 'entretien <le la chaufferie et des installations de chauffage il l'intérieur des locaux, étant toutefois entend u que la
fourniture de matériel de rechange et toutes réparations impor'
tantes,. ne seront pas com prises dans ses obli o-ations, sauf en
ce qpJ. concerne le matér iel neuf instaUé par lui.
d) tl'enlèvement des scories.
CON DIT IONS ASSORTISSANT LES ENGAGEMENT'
SOUSCRITS PAR L ' EXPLOITANT ET LA SOC IETE ~
ET RELATIVES A L'EXPLOITATION.
TMo
Confrôle des installations.
La Société SAJLMET et la Société X devront visiter au
mOÎns une fo!s pa r an les i nstal lati on s, de maniè re a con trôler
leur éta t d'ent re tien ; l'Ad mi nistr ation et I"Exploitant l eur
donneront tou tes faciiit ês à ce t éga rd.
A RT . 12. -
Nantissement et paiement.
L e present marché, établi en exemplaire uniq ue, pou rra
être nanti à la Caisse Nationale des M archés de l' Etat.
Le fo nctionnair e competent est
Le comptable assi!:,TTl atai re est
L ',l\t:lmin IS1rat ion se libèrera des sommes dues aux Ent reprises 'pa r virement au compte j oi nt, ouver t à leur nom, à la
Caisse Nationale des N\archés de l'Etat sous le ~ "
ART. 13. -
In tér êts morat oires.
En cas d~ retard dans le paiement des factu r . l'E xploitan t
sera en d roit d'exiger le paiement d'intéœts mor atoi res au taux
léga l.
ART. 14. -
Cautionnement.
Eta nt dO'1ne les conditions de ce contrat, les Ent repr ises
sont dispensl'es de \'erser un cauti on nement.
Fait à
en
le
exemplai res
La \'a leur de base de oes par amèt res étant
T ari r du ca talogue des ,fondeurs pour la fonte dechauffage au moment tl e l'établissement des devis.
0
==
39
�RECTifiCATION DU CHEMIN DEPARTEMENTAL N' 55 f.
D5 BI • TVX 0
A'RREl'E :
ARI~ETE
Le
Prete des Bouches·du-Rhône,
Officier de la Legion d'Honneur,
Vu l'arrêté dl! 21 Févrie!, 1952, proseri,,,ant l'ouverture de
l'enquête d'utilité ,publique sur le prOjet de r ectification du ohemin departemental n ' 55 F, entre les P.K. 3.3 13 et 5.135, dans
la Commune de Vitrolles ;
Vu la dél,ibération du 20 décembr e 1952, au COurs de laquelle
le Conseil Genéral a approuve dellnltlvement le projet de recti.
fication du chemin departementa l n' 55 F, entre les P.K. 33 13
ct 5135 ;
Sur la proposition de MI. l' In gé nieur en Chef d'es Ponls et
Cha ussees ;
A~RETE
ART ICLE PREMIER. -
Vu les plans et devis dressés pour l'exécution de ce projet;
Vu les articles 2 et 3 où <lécret-I oi du 8 août 1935 sur
l'expropriation pour cause d'utilité publique;
Vu les résultats de l'enquête ouverte en M airie de Vitiro lles
du 2<\ mars au 3 anil 1952, dans les formes prévues par le
décret du 2 mai 1936 ;
Considérant que les fol.rm alitës réglementaires aya nt été
remplies, les observations présentées ne s'opposent en rien au
principe même de la réalisation du projet et que le Commissaire-
:
Sont déclarés d'uti lité publique les
travaux. de r ectification du Ich em i n tfépartel11 en t al n " 55 F, entre
les PX 33 13 et 5 135, dans la Commune de Vitrolles.
ART, 2, - M. le Secrétaire Général de la Préfect"':e et M.
l'Ingénieur en Che f des Ponts et Ohaussées, sont chargés, Cha.
C.llll en ce qui le co ncerne, die l'exécution du présent arrêté.
ARTICLE PRUIIER. - Sont Mola rés d'utilité publique les
rra\'aux de rectification du Chemi n départementaJ nO 5, entre
les P.K. 41.77.1 et 45,150, dans la commune de Martigues,
ART. 2. - Le Dépar tement des Bouches·du-Rhône est
auto rise il acquéri r , soit à J'amiable, so it, s'il y a lieu, par voie
d'ex,propriatioll en \'ertu d'li d écre t~loi du 8 août 1935, les immeubl t:!s et po rtions <l' immeurbles compris dans les alignements
ci-dessus détermi nés, tels que lesdits immeubles et I:>ortions
d'imme-ulblcs :,Q-nt i ndiqués par une t,einte jaune sur le pl an
stlsvisé.
D5 BI . TVX 0
Marseille, le 20 ]Jan vier 1953.
Pour le Préfet,
L e Secrétaire Général,
Signé : wl axi me M IGNON.
Enquêteur a émis un avis favo;rable ;
TRAVAUX DE DEVIATION DU CHEMIN DEPARTEMENTAL N' 49 E.
DSCISION
de l'Ingénieur en Ohef, Délégué Interdépartemental
L e Préfet des Bo uches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu l'arrêté du 14 août 1952, p reser,vant l'ouverture de
J'enquête d'utilité publique Sur le projet <le déviation, au Sud
de l'agglomération de ,\1artigues, du chemin départemental
n° 49 E, qui traverse cette commune ;
Vu les plans et d..,s dressés ,polir l'exécution de ce projet;
Vu les articles 2 et 3 du décret-loi du 8 août 1935 sur
l'exp ropriation pou r <:.ause d'utilité publique j
Vu les résultats de l'enquête ouverte en L~\airie de Marrtigues
du 8 au 18 septembre 1952, dans les formes prévues par le
décret du 2 mai 1936 ;
Consid'érant que les formalités 'réglementaires ayant été
remplies, les observations p résentées ne s'opposent en rien a u
principe même de la réalisation du ,projet et que le Commissaire Enquêteu.r a émis un avis favorable ;
Vu la délibération du 18 décembre 1952, au co urs de laquelle
Je Conseil Général a approuvé Mfinitivement le projet de dév ia·
tian} au Sud de "agglomération de J\\artigues, <lu chemin dépar_
temental nù 49 E qui traverse cette co mmune ;
Vu les articles 18, 19 et 20 du décret 4Q-2960 du 3 1·12·46
portant règlement d'ad min istration 'Publique pour "appl icatio n
de ladite loi ;
A~RETE :
ARRETE
ARTICLE PREA"ëR. Sont déclarés d'utilité publiqu e les
tra,vaux de déviati on, au Sud d~ l'agglumératio n de Martigues.
<l u ohemin dépa rtemental nO 49 E, qui traverse cette commune.
,ART. 2. -
Le Département des
Boud;,es·du-Rhône est
autorisé à aoquérir, soit à l'amia<ble, soit, s'il y a lieu, par voie
d'ex,propriation en vertu du dé"cet-Ioi du 8 août 1935, les
immeubles et portions d' immeubles compris {'[Ia ns les alignements ,ci-dessus déterminés, tels que lesdîts immeubles et por'
tions d'i meubles sont indiqués par une teinte jaune sur le plan
susvisé.
ART, 3. -
La présente Mcla'cation d'utilité p ublique sera
.considérée comme nulle et non avenue si l es expropriations à
effectuer pour l' exécution de ces travaux ne sont pas accomplies
<lans le délai <le cinq ans à compter de ce jour.
ART. 4, - 'M. le Secrétake Général ile la ,Préfecture, et M.
l' i n cr nieur en Ohef des Ponts et Ohaussées so nt chargés, chacu na en ce qui le co ncerne, de l'ex éc ution du présent arrêté.
Vu le décret 50- 182 <lu 3-2- 1950 et notamment l'article 13
relatif à l 'i ntervention dies a';"chitect es, experts et techniciens
cf-ans la reconstitution des !bie ns endom magés par faits de guerre;
Vu l'arrêté du 5 IMai 1950 de ,Monsieu r le Mi nistre de la
Reconsflruction et de l'Urbanisme portant délégation à ses délégués d'èpartemelltaliX pour fixer le Ip oint de départ du délai de
six mois i lll,'p arti aux si nistrés pour présenter les pièces administratives neces:;aj.'res pour justifier leur demande d'i ndemnite,
ainsi que les plcces techniques r elatives aux évaluations d'office
visées par l'ar ticle 13 du décret 50'182 du 3-2-1950 ;
Vu la loi 52-5 du 3- 1-1952 et notam ment son article 37,
Le Déléguc In teralépartemental du Alinist. re de la Reconstruction t de l' Urba nisme, décide, ,pour le département des
BOtJches-dll-l~h ô ne ;
ART I CLE P I~EM I ER, Imm eubles de toute nature. Demandes
dji ndemnité déposées antérieurement au 4 Jan vier 1~52 : le point
DI BI . P 0
Pour le Préfet,
Vu l'arrêté du 14 a.oût 1952 presc rivant l'ouverture de
l'enquête d'utilité publique sur le projet de rectification du
Chemin Deportemental N' 5, entr e tes P.K. 41.773 et 45.150,
cans la commune de Martigues ;
Vu les plans et dc\'js dressés pour l'exécution de ce projet;
Vu les articles 2 et 3 du M'C ret-l oi du 8 août t 93~ Su r
J'exprop natio ~l
pour cause d'utilité publique;
Vu 11:5 rë:su ltats de l'enquHe ouverte en Mairie de 1\\ar40
Ma xi me M IGNON.
de départ du délai de 6 mois dans lequel les sinistrés dowen!
déposer les pièces auministratives nécessaires POUlj justifier les
demandes d'indem nité est fixé au 1er Février 1953.
ART. 2. - Immeubles de toute natur e. Demandes d'indem nité déposées au titre -dIe la loi d u 3 Janvier 1952, c'est-à- dire
en~re le 4 j anvier et l e 5 juillet 1952 : le point de départ du
délai de 6 mois dans lequel les sinistrés doi\'ent déposer les
pièces administratives nécessaires pour justifier '<les demandes
d'indemnité ainsi que les pièces techniques relatives aux évaluations, est fixe au 1er Février 1953,
Ain , 3. - Les dossiE.'liS visés aux articles 1 et 2 pour lesquelS les pieces administratives n'auront pas été déposées dans
le délai imparti, seront considérés frappês par la for clusion et
feront l'Objet d'une <lecision de rejet.
ART. 4. POulr les dossiers visés à l'article 2, les évaluations seront faites d'office par un évaluateur désigné par
l'Aoministration lorsque le de\"is à lïdentique n'aura pas été
déposé dans le Mlai lmparti.
ART. 5. - La présente d'écision sera portée à la connaissance des sinistres par les soins du .\\ aire de chaque commune
in teressée.
Marseille, le 29Jal1\' ier 1953.
R. CALLOUD.
Le Secrétaire Général,
Si gné : '}\\..:1xime . MIGNON.
.
Le Prdet des Bouches- d.II-r~hône ,
Officier de la L égion d'HonneU'~,
TRAVAUX DE RECTIfiCATION DU CHEMIN DEPARTEMENTAL N° 5
Le Préfet des BOllches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Pour le P,réfet,
Le Secrétaire Général
VENTE DE VIGNETTES PAR L'ASSOCIATION REGIONALE
POUR LA SAUVEGARDE DE L'ENfANCE
ARRETE
ARRETE
1\1."eille, le 15 janvier 1953.
Marseille, le 15 j anvier 1953.
Sur la proposition de M . l' Ingénieur en Chef des Ponts et
Chaussées ;
D5 BI . TVX 0
ART. 4. - M. le Secr étaire Général de 1. Pretecture et
M . l' I n~énieur
en Chef des Ponts et Chaussées sont chargés,
0
• .
chacun en œ qui ,I~ concerne, de l'exécution cJ.J présent arrete.
EVALUATION DES DOMMAGES DE GUERRE IMMOBILIERS
(immeubles bâtis de toute nature)
Vu la loi 46-2389 <l u 28-1 0-46 Sur les Dommages d'e Guerre
et notamment les <jrticles 19, 36, 38 et 39 ;
D5 BI • TVX 0
ART. 3. - L a présente déclaration d'utilité publique ser~
considér êe comme nulle et non avenue si les exprOpriatIOns a
effectue r pou- l 'exécution de ces trava·ux ne so~t pas accomplies dans le délai de cillq ans à compter de ce Jour.
seille du 8 au 18 septembre 1952 dan" les formes prérues par
l e décret du, 2 mai 1936 ;
'.
.
'té
COllSldu3nt que les fo r malités r eg11ement;\1r~ ayant e
remplies, les observations \présentées ne s'opposent cn rien ~II
prin cipe m~m e d'e l a réalisation du projet et que le Commlssaire-e llqLlêteur a émis un avis favorab le;
Vu la d~libération
dlu
18 décembre 1952 au
COllrs
de ~a;
qll c ll~ le Consei l Général a a.ppr ouvé c1 éri niti rement le proJ~
àe rectification du Chemin départemental n' 5 ent re les P.K,
41.773 et 45.150 ;
Sur la proposit:on de M. l' Ingénieur en Chef des ponls el
Chaussées,
Vu l'article 3 de l'arn~té ,préfecto ral du 2-1 Janvier 195 1,
réglementan t les appels il la générosité publique;
VII la cilculake n'" 14 de M. le ~\ tir.i stre rie la Santé Publique
et de la Population en d ate du 27 Jander 1953, rel ative il l a
campag ne de vente de vignettes et de cartes pour la sallvcg<lfde
de l'Enfance et de l'A d'olescence ;
Vu la demande du Directe ur Dé.tlartemental de la Popul:ltion en vue de f\xxer l'époque où la campagne po:-écitéc doit se
dérouler da ns les BOllclles-dlu-Hh6ne;
ARRETE:
..\RTICLE PREMII:.I~, -
L'Association Régionale pour la Sauvegarde de l'Enfance de 'J\ \arscille est autoris0~. dans le dêpar-
tement des Bouches-au-Rhône et pendant le mois de Février
1953. à \'enè.!,e à domicile, chez les partiCuliers et les commerçants et dans les lieux prh'és accessibles au oublic, à re..xception
de toute offre Sur la voie pubitql1e, dt!s vignettes et des timbres
en faveu r de l'Enfance Inadaptée.
ART. 2. Le présent arrête sera notifié à .\\. le Directeur
Departemental des Services dt'! Police, â .\t, le Commandant de
Gendarmerie des BOllC'hes-du-h',tône. à ~\L.\\. les Sous"Prëfets
d'Aix et d·AI.-les. il ~\\\.\L les ù1aires -<it' t'arrondissement de !J\\ar:-;eille, pour notification il tous services ou organismes relevant
cie leur autorite, t' Il les priant de fal':ilitt'r dans toute la mesure
AH possible le déroulement de Ct'ftt! campagne,
Fait il .\larseitte, le 17 Févri~r 1953. v
Pour le P ·';Id,
L e Secrétaire Genérat dëlégue,
Signé . .\la xime \\1G)[O~.
�DELEGATION DE SOLDE AUX FAMILLES DE MILITAIRES DECEDES,
DISPARUS OU FAITS PRISONNIERS EN INDOCHINE
CP • AG 7
«
«
c
c
c Messieur s les ,\taires sont inform és que l'Intendance d'e
la France d'Outre-Mer (93, boulevard Périer,. à Marsedle
(8me) (Bouc.hes- du-Rhône), est char gée d" servIce, des dele·
gations de solde d'oHice aux fa mIlles (épouse ou, eventu ellement, ascendants).
1"
2"
« nie.r s en In<i'ochine. »
3"
4"
TEXTES
D ' INTÉRËT
1· Le père (ou la mère) <l'oit avoir eHectu é de son plein
gré, en dehors de l' application des législat ions sur les- r etraites
ouvrières et les Assurances socia les et en dehors de toute affi-
20 II ne doit pas être assujetti à la surtaxe progresSIve sur
le reve nu des perso nnes physiqu es au titre de T année 1952
(revenus de 195 1).
3" La jeun e fill e il <loter -do it appa rtenir à une .tam ille d'au
moins trois enfa nts vi vants, être âgée de moins de qUlOze ans
et n'avoir pas bénéfi cié de l'une des dotat ions accordées au
cours des années précédentes.
Dans l e cas où plusideurs sœurs se tro uveraient dlans les
conditions r equises, la dot serait attribuée à la plus j eune. lMais
la sœur ca dette d'une jeune fi lle déj à bénéfi ciaire d'une precé·
dente dotati on 'peut, dès sa naissance, êtr e adlrllÎse à concourir,
dès lor s qu'elle remplit les conditions exigées.
A "Ié!aut de nouvelle naissance, si la famille comprend au
moins cinq enfants vi vants, la plus j eun e sœur aînée d'une
jeune fi lle dotée <1!epuls au moins t rois ans peut être admise à
concourir dans les mêmes conditio ns si, depuis lors, le pète (ou
la mère) a Ipoursuivi ses efforts d:e prévoyance.
La Caisse Nati onale verse sur des livrets de ca,pital différé
la som me nécessaire pour constitu er, au profit de chaque e ntant
admis à la répartit ion, la dofation payable quand l'enfanl
atteindra 25 ans.
ILes demandes de postulants sero nt examinées par la Crusse
àes Dépôts et Consignations et les <lots seront attribuées dans
la limite des disponibilités en tenant compte :
10 Du no mbre <ifenfants ;
2' De l'eHort de prévoyance des parents.
liation à un s ystème collectif de prévoyance, des versements
Les personnes désirant co ncourir po ur l'attribution des dots
sur une assurance de r ente ou de cap ital en cas de vie ou en
cas d~ décès souscrite à son nom ou au nom "des enfants
dont il s'agit , devront en inform er, ava nt le 1er avril 1953, le
Directeu r Général <l e la Ca isse des Dépôts et Consi gnations
(56, r ue de Li lle, à Paris, 7m e) qui leur fera ,parveni r la formule
à remplir et l eur indiq uera les j ustifications à produire.
l'ho nneur de porter ci- dessous .il la c~nn ais~an ce ~ e
MM . les u\\aires du Département le texte <le la elfculalre de M .
le Directeur Génér al de la Caisse des Dépôts et Co ns lg n a hon~
en dat e du 3 le\'rier 1953, concern ant l'attrib ut ion .<le dots a
un eertain nombre de déposants et d'assurés de la Caisse Naho~aJe d' Assurances sur la Vie.
.
..
,
.'AlM. les Mair es voudront bien donner aux dIspOSItions de
J' ai
cette circulaire, toute la publicité utile.
.
.
Pour le Prétet et par delegallon,
iLe Secrétai re Général,
Si gné : u\>laxime M:lGNON.
Le Directeur Géneral
de la Caisse de Dépôts et Consignations,
à MM. les Préfets,
La Commission supérieure de la Caisse Nationale d'assuran.-
ces sur la \'ie a décidé, dans le but d'encourager la prévoyance
et dl: r ecompenser les eHorts des pêrsonn es assurées prés <fe
cette institution, de procéder il. l'attribution de dots de 15.000
francs à un certain nombre de jeu nes fi lles choisies parmi les
enfants de titulair es de livrets ou de contrats de lad\te Caisse,
ayant éleve une famille nombreuse.
.
Po ur concourir â l'attribution de ces dots, les candldats et
leurs parents doive nt réunir les conditions suivantes :
(assurances vie entière. mixte, temporaire, dotare, ferme fi xe,
capital différé, rente de survie, rente différée, rente immëOial e).
D2 B3 . FC 7
Pari s, le 3 1 decembre 1952.
Le Minis/re de nntérieur,
à MM. les Pr éfets.
REFEREN CE : Circulaire PC / IG n· 62 du 19 févrie r 1952 el
précMentes.
Par les li rcul aires cit ées en référenee, j e VO li S ai signalé
l 'intérêt que j'attachais à la pratique de l 'entraincment ph ysi·
que dans tles corps de sapeurs-pompie rs et j' ai po rte à votre
connaissa nce l es mesures que j'avais presc rit es il ce suj et.
Je désire que l"ac tion entr eprise soi t po ursuivie et inten... ifjee en 1953, et que le no mbre de saq)eurs-pompie rs passan t
avec succè s It:S deux ép reu v'es annuell es qu e j e prëconise augmente da ns de notables propor ti ons. Il im porte, en effet, de ~e
pas perd re d e vue l'ent raîneme nt de l 'ens,emhle G'll Î ne d OIt,
en aucun cas, être sa cri f ié à ceIlui d' une sélection, la lutte
contre le feu et 1e~ sin ist res exi gea nt du person nel tout entier
un ent raînement physique co nve.nable et suffisant.
Je vo us pr ie de prendre, à cet ega rd, toutes les mesures
qui \'ous sembler ont opport unes, et dont vous me rend rez
compte e n, présentant les résul tats obt e nll ~.
La note t echn ique ci-jointe, sur Ilaqllellle vous attirerez tout
spéci aleme nt l'at tentio n des inspecteurs départemen taux des
é!lreuves annuelles d e co ntrôle ;
challenges rel ati fs au Pa rcours Sil orti f d u sape urpompièr j
stages d'init iatio n (échelon régional) ;
\'isites de propagande et d 'informati on dans certains
dép:utemen,ts ;
cours de perfec ti onnement et certificat d'instr ucte ur
(échelon, nati onal).
Pou'r le Minist re et par délégation,
POlir l' lnspect eür Génér al de l' Administra tio n
chargé du Service Nati ona.l de lia Pfotection Civi le,
Le So us· Préfet hors classe
Eugè ne SIRVE.NT.
NOTE T ECHN IQUE
J. -
Eprea l1es annueLLes de contrôle
Pour qu'il soit con;ve n a~eme n t ori enté et aisément con t rôlable, l'ent raîne ment physique des sapeurs-.pompie rs doit vi ser
deux ol>j ectifs essentiels :
- le premier conce rn e le d évelorpement com pl et et <'quilibne et l'entrclien des qualites p hysi.ques.
1'1 est co nsacr é 'Pa r le « B re vet S porlif Populaire >.
- Ile deuxième Co ncern e l' aptitude pnysiqu e professionnelle
convenable.
\II est co nsa.:r" par le < Parcours S portif du Sapellr.
Pompier » (arrêté intermi nistériel d u 26 octobre 1949 · J. O. du
Il novemb r e 1949).
Ces deux ép reuves de base s' ad ressen t à ia totalité de
l'eHectif et se répètent annuell emen.t.
Si l' entraînement à ces deux épreuves et l eur organisatio n
semblent trop !.ourds à certains corps de v olor.tai res, la prior ité
sera aocoro.é~ au Par cours Spor tif du S"'Peur-Pompier.
Les lnspecteurs d.epar te-men.tau x des services d' incendie
so nt invités à engag.er instamment les corps de sapeurs-pompiers pla-cés .so us l euI autor ité à org-aniser effectivement en 1953
ces érr euves de contrôle et tout spécialement la seconde. Ils
adresseront au Ministère de l' Intérieur - Service N ational de
la Pro tection Civile, Inspection Générale ---J un contr6le num érique co ncern ant ces épreuves coruorm'érnent ML tableau ciaprès, même en cas de résultats nuls.
En 1953 cet état devra par veni r altI Ministère ava nt Le
20 j uin., t erme de rig ueu r, et comp rend re les résultats l oca ux
en regist rés pa r l es l11specteurs département aux ent r e le 21 ao ût
1952 et l e 14 j ui n 1953 i nclus.
ENT RAINEMENT PHYSIQUE DES SAPEURS-POMPIERS
J'ai l' honneur d'attirer l'atten t ion d e 1\1 essi eurs les Mai res
du Departement sur l a ci rcul aire ministériell e ci- après, relati ve
aux stat::reg du Centre d' Instruction de la Protect ion C ivile en
1953.
Pour le Préfe t et par déléga t io n,
Le S ecrétaire Général
Maxime M IGNO N.
42
5"
COMMUNAL
ATTRIBUTION DE DOTS
D2 B 3 . AG 2
N
!:terrÎces d' in ct!ndie, dév50 ppe cinq poi nts essentiels sur les
tests, les conco urs et J'instruction en 1953, à savoi r:
« C'est à cette ad resse que doive nt être tra ns mises direc.
« t ement toutes dema ndes de renseignements présente es Par
« les fa milles de militaires décéd és) <!isparus ou fai ts prîso n-
D ~J>3Irtem e nt
de ...... .
Breve! Spo rti f
popu laire
/
al
'0/
c:lementai re
x 1
Parcou rs S>ro rtif
du Sapeu r-Pompier
supériour
x 1
x2
1" echelon
2" échelon
x 1
x 1
x 2
N
No tas. -
AI
x 1
== Nombre
x2 _
de succès dans J'ensemble du
dépa rtoment po ur les différents degrés
des l~p re U\'es.
Nombre total de succès dans l'ensemble
du département pour l'éprell\'e indiquee.
=
E Hectif total des sapeu.rs-pompiers du
département (OHiciers, Sous - Officiers,
calJO raux et sape urs de tout âge compris).
Ce tenne « N » ne doit pas indiquer l e nombr e de s"reUIspompiers présentés aux épreuves, mais l'effectif total des
sapeurs-pompiers d' un départemen t, quels que soient reur qualité (\'olontaire ou prmessionnel) et leur grade.
B/ • Ne pas comprendre dans le décompt e
a) Des brevets papuJ aires élément ai r es, les brevets supérieurs j
h) Des 2me echelon du Pa,rcours, les titulair es du
1er <<oheIon.
Cel a afin de ne pas prèter à confusion.
Il est évident q ue le titu'l aire du brevet supérieur ou celui
du 2rne échelon àu Parcours se ront considér és comme ayant
réussi, à fortio r i, une épreu"e pIu ~ facile.
CI - Aucl1n contr ôle nominati f ne doit être adressé au
Min istêre ; les chefs de corps doÏ\-ent rend re compte exclusivement à leurs Inspecteu rs départem entau x des ré sultats obtenus.
D/ - Le Parco urs Sporti f doit être organisé conformemen t
aux prescr iptions de l'arrêté du 26 octotrre 1949 (J . O. du
11 novem bre (949) et du règlement d'aw1ication le coocem ant
(brOChu re sp(.'CiaJe diff usé par l'Administration).
I I. • Chall enges relatifs au P arcours Sportif dll Sapeur·PQmpia
A. -
Challenge d u c Nom bre» :
Le Chall enge du c Nomb re », nor mallement rem is en compéti tion en 1953, se disputera dans les mêmes condi ti ons qu'en
1952.
Les dépar tements sont divisés en 4 cat égories suivant
l'effectif de leLLrs sapeurs'pompie rs.
- La première catégorie comprend les dëpartements ayant
de 300 à 900 sapeurs-pompiers
- La deuxième catégo rie, ceux ayant de
sape urs--po mpiers ;
90 1 à
1.700
- La troisième catégoril!, ceux dont l'effectif ya de 1.70 1
à 4.700 sapeurs-pompiers ;
- La qllatrième catégorie comprend les dépa rtements
aya nt pl us do 4.700 sapeu rs-pompiers.
Dans chaque ca tego rie, le cl assement ser a établi d'aprèS
le quotient obtenu en divi-an t le nombre total de réussi tes au
Parco urs spo r tif ( 1er et 2me echel<>!lS r éunis) opa r l'eHectif
total des sapeurs-pOll1!p iers au d.epa rtement : officiers, sousoffi"ciers, capvr aux et sapeu rs. ,·olontaÎres et professionnels, de
to~t âge, rcgulièrement insc rits sur les cont rôles des Compagn ies.
Farmule : Réussites. -
Effectif dèpa rtemental
== Quotient
val able pour le classement.
Les quotients seront calculès pa r le Ministère d'après les
comptes rendus annuels des I nsp~teu rs dt!partementaux (cf.
Note sur les epreuveg annuelles dt! contrôle de la présente ci rculaire) ce ux-ci étant natu rell~ment re~ ponsahle... des chiffres
fo urnis.
Le Chall~nge du « Nomhre
~cra remis a la garde du
Préft!t
d~arteme.nt classe en tt-tt! da ns cha.:-une des quatre
catl'gon~s, au cou rs d'une cl:rL'monje otiïcielk. le sa medi -l juillet 1953 il l'\anc)' (.\\eurthe-et·'\\oseLl<l
?tI
En ,as (j'ex-:eqllo, le nomhre de SltCt:l~S dt!pa rtager a les
I..oncurrents.
�Les Inspecteurs départementaux sont i nvités à mettre en
compétition (I~ n s leurs départements respect i fs, un chal lenge
similaire â l'échelon c. corps ;).
N.-B. - Ppu r 1953, les com?tes rendus des Inspecteurs
àèpa rteme.ntaux sur lesquels seront fa its les ca lculs, devront
être pan'enlls au Minjstère de l' Interieur, ervice Nat.ional. ~ e
10 Prote~tion Cirile. 60, Bd Gou\'ion-St-Cyr, le samedI 20 IllIn
terme de rigueur. Une réfcplion plus !ar(ltl'e Ile sera pas prise
en considératio n.
B. -
Challenge de la « Qualite»
Départ ements
chargée de l'orRégions ganisat. d~s 1/ 2
fin ales ré-gional es.
10
Eure- et-Loir
Loiret, L oir-et- Cher, Sei ne-et\of' arne
Eure, Sei ne-et-Oise,
'
20
Ais ne .........
Nord, Pas- de-Calais, Seine- Inférieure
Somm e, Ar dennes, Oise.
'
3°
MO f,b~h a n
M,a ~ c l~e, Ca lvados, Fi nistère, l11e-et_
VIlaI ne, Sa rt he, IL oi re-lnféneure
'J\ ' ai ne-ef Loir e, Ven dée, Mayenr~e'
Orn e, Côtes-d u-Nord.
'
.. . . , .
1° Deux dh'isions sont pré\'ues :
a) Sapeurs---pompie rs l'olon/aires, pe rmanen ts compris
b) Sapeurs-pompiers pr<>Jession nels.
4'
Sews peuvent concourir les sapeu rs-lpompiers r~gulièrement
inscrits sur les contrôles d'un corps communal au 1er janvier
1953. Un certificat du _"laire attestant cette appartenance, ai nsi
que ta qualité de lïntLressé : volontaire ou pro'fessionnel, doit
être exige à !limporte quelle compétition,
5°
Co rrèz e . ...•..
Gers .. .. ..... . .
Dans chaoue division, le challenge sera confié au aepartement (et non ~u corps) dont l'équipe aUIa obtenu la première
place au cours de l'bp reui\'e finale.
Haute-Marn e
20 L 'équipe, quelle que soit la divisioll, se compose de
quatre honunes, dont deux au moins seront vétêrans (35 ans
r é\'olu au 1er jamier 1953).
L'allention des Inspecteurs dëparf ~mentaux est spécialement attirée sur la formule : Equipe mixte c seniors et vétérans >, divisions c l,%lltaires et professionnelles> distinctes.
t!éjà utilisee ['an dernier.
Ces conditions particulières exigent que chaque homme
soit porteur, il toute comlflétition, de pièces officielles prouvant
son identité ct sa date de naissance.
Il est recommandé de soumettre les foncurrents éventuels
à un examen médical uu à un test cardio-pulmonaire sérieux
m'ont le début de leur entraînement.
Deux-Sèvr es, Vienne, Indre, Chare nte-'t\'\'él.riti me, Charente, Creuse,
Gironde, Lot-et-Garonne, Indre_
et-L oi re, Dord'Ogne, Haute-Vienne
Landes, Basses-Pyrénées, Hautes:
Pyrénées, Avey ron, Lot, Tarn-etGaronne, Tar n, Aude, Aritoe
Pyrénées - Orientales, H al1te-Ga~
ronne.
,'\'\oselle, Meurtlle-et-Moselle Auhe
J\'l euse, Vosges, H aut-Rhil1,' ~\' \a rne:
Bas -I~hi n .
7'
Belfort
Yon ne, Haute-Saône, Nièvre Doubs
Jura, Saône-et 'Loire, Che;, Côte.'
d'Or.
A leur j ~ue, l'Inspecteur départemental formera ses équ.ipes : une de professionnels, une de volontaires avec les meilleurs êléments, qut.! que soit leur corps d'appartenanœ, et les
ill&rira en temps voudu auprès de- son collègue chargé de
l'organisation de la demi-finale régionale (voir paragraphe
suiv ant).
li est précise qu'il s'agit d'tille équ ipe, et non aie quatre
in dll'itlus, nommement désignes â l'avance, . ce qui donne toute
latitude pour tai re concourir les cléments se révél ant les meilleurs au moment de l'épreuve. 11 en est ainsi à chaque écheJon
de cette compétition - demi..,f;nale et fina le.
b) D emi-finales :
Elles se C,!sputeront à l'échelon régionaJl en prenant comme
bases territoriales les régions â la tête desquelles se trouvent
les Inspecteu rs généraux de l'Administration en mission extraordinaire.
Sont
sllÎ\'ants
44
chargl"S de
leur
organisation, les
départements
Il est précisé qu'aucun jury IZe pou rra autoriser un concurl ent ayant (:ChO flé OU abando /m il à faire un second! essai, sauf
si J'échec 0 (1 l'abandon sont du s Ct une défectuosité du matériel.
Les Ing.pccteu'rs dépa rte mentaux c hargés des dem i-.f in ales
co nstitueront oHitCie!l lernent le jury:
Présiden t : Inspec teur -dépa rtemental or ga nisateur ;
Vice-Pre"iidell t : Repr ésentant de la c. Jeunesse et des
Sports :. (designé apr ès accor,d 'local avec la D irection académiq'll e ou oopa rtcmenta le de ta c Jeunesse -ct des s.por ts ;) ;
Secrétaire.
Membres techniques : 1 starter; 1 ou 2 juges pa r piste ;
2 chronomçt rcurs par piste, à choisi r parmi les Inspecteurs
dépa rtemen taux de l a région, lesOfficiers de sapeu rs- pompiers
ct les perso nnes qualifiées de l a « Di rection de la Jeunesse et
des Sports', ;
Les aide ) nécessai res. pr is sur place.
Oe jur y a qu alité ,po ur régler SUI place 'les cas litigieux
:"es décisions sont sans élIppel.
c) Finale :
All ier ... .. . . . ..
Loire, Puy- de- Dôme, Cantal, HauteLoire, Rlhône, A rdi&:he, Drôme,
Haute-Savoie, Savoie, Hautes-Alpes, Isère, Ain.
La finale aura l ieu à l 'êchellon nationé\!1 à Nancy (Meurtheet-Mosel!le) sous l'a,utorité du Min istë re de l' Intérieur, assisté
de la Féd ératio n Nationale des Sa'peu rs- Pompiers f rançais et
avec le 'Concours d u R~gimellt des Sapeurs- Pompiers.
go
Var .. , .. , , . ..
E:l le se disputera le samedi 4 juiLlet, entre les équipes
représentant les d-éparrement classés en tête, dans chaque c division >, aux demi..,fi nales r égionaJes.
10 0
Alger . . .... , ..
Lozèïe, Hérault, Bouahes-du-Rhône,
Basses-Alpes, Gard, Corse, AlpesMaritimes, Vau cluse.
Oran, Constantine.
Martinique, Guadeloupe et Guyane.
a) Eliminaloires :
A l'éc.helon départemental, à l 'initiati \'e et sous la r esponsabilité de l'1!19pecteur dCp.artementaJ, les conditions techn iques
et materi,elles étant ceUes imposées aux demi-finales (voir ci après).
ailleurs (presse spécialisée, bulletin de la Fédérati on Nati onale
des sapeur s-po mpiers fra nça is, brochure <fu Ministèr e de l' In'téri eur) <loit êtr e appliqué à la lettre.
,L'attention des organisateurs est attirée su r la hateur des
fa nions, qui ne doit j amais être infér ieur.e à 1 m. 50. Les
conc urrents ser011t i nvitLs à fraJllchi r prudemment l'éche11Ie, sa ns
prendre des l''sques cXlCessi1s ne s'aaco rda n;t 'Pas avec le caractère util itaire et professionn el du Parco urs Spo rti f du SapcurPompier.
80
Il '
3° La contpétition se déroulera en trois temps
D epart, ements
in co rporés da ns C1la•
que reglon
autres
,
. . que celui <tés'Igne.
pOlIr l or gal1lsa tlO n de la 1/ 2 f 1
régio nale.
Ina e
L es équipes, division « Professionnels » et division II: Vo'
lontaires
constituC!es â l a suite des épreuves éli minatoires disputées dans les départements d' un e même ré-gio~ militaire, se
rei1·contrerontl aux lieux et .ctates choisis .par les Préfets d\:'S
dépa rtements où sero nt or ganisées les 1/ 2 iinales.
Les Inspecteurs chargés des 1/2 finales indiqueront euXmêmes à leurs collègues la d'ate limite de réceptio n des inscriptions. Les résultats des 1/2 finales, accompagnés des proCl'Sverbaux signés d'es membres du jury, seront adress~s au .\1inistère de l' Intêrieur - Service National de la Protedion Ch'ile,
60, Bd Gouvion-St-Cyr, pou r le sl1'medi 20 juin prochain, tame
de rigueur. Un e réception plus tardil1e ne sera pas prise rn
Cette compétttion se dé roulera dans les mêmes conditions
administrati.ves, matérielles et techniques que les demi-finales.
La visite médical'e: obligatoire sera éliminatoi r e.
Ellie se termine rJ par la remise officiel,tIe du Challenge de
la « Quali té ».
»"
cOnsidération.
Pour déterminer le classement tles équipes départementales
a la demi-finale, quelle que soit la di viSÎon, il suffit d'ad1dition ner
Jes temps mis par les frois mei lleurs équipiers (quatre connurents - 3 meif'leurs colas és). En cas d'ex-fequo, le classement ~e
fait au bénéfice de l'âge, l'équipe dont les trois membres claSSes
totalisent le plusgrand nomb re d'années et <lIe mois passant en
tête.
Les Inspecteurs departementaux cl;;argés des 1/2 finales
prendlron t toutes les mesures nécessaires po ur l'orga nisallon
administrative, matéri ell e et tec hn ique de répreuve, un examen
médica l rapide ava nt la co mpétitio n est conseillé. Le reglernent
àétai llé du parcours-spo r tif du sapeur-pompier, publié par
Frais de transport
et 'd'hébergement
des cOlfcurrents
Le ]\'\ inistè re de l' Intér ieur remboursera les frais de voyage:
a) des rê1p rf5Cnta nts des d'êpartements recevant le Cha llengc du « Nombre :.. , departements algér iens et d'Outre-Mer
exceptés ;
<b) des finalisles du Challenge 'de la « QuaJité » (8 par région) à l'cxception des représentants des IOme r égion (AIlgérie)
et Il me (0./,1.).
L'héber gement sera assuré gratuitement par les soins de
la viJie de Nan'Cy où se déroulera la finale.
Le voyage et l' hébergement des concurrents des demi~ma l es seront pris en charge 'par le departement, et les frais
Ulsc.rits Sur le compte ~ Hors budget )) d'u Service départemental d'incendie.
11 1. -
Slagles d'initiatio1l (Echelon régional)
Afin de poursuivre l'effort entrepris depuis 1947, deux
d'initiation à l'entraîn ement pll ysique, à l'usage des
OffICIers, gradrés, instructeurs, moniteurs et élcves-moniteurs de9
c?r.ps. de sapeurs-pompiers, seront organisés en 1 95~ sous ta
drrect lon d'U~ l fonctionnaire spécialiste.
st3!~~S
Ces stages dltreront une semai ne et se de rou.leront
à Besançon, du 20 aIL 25 j uillet;
à Montpeljier , du 17 au 22 août.
-
Les dema ndes de re nseignements et inscriptions concernan t
ces stages devront êt re adressés à l' Inspecteur des Services
d' incendie du Do ubs ou de l'HtralLIt, selon la vi lie choisie pour
suivre le stage.
L es fais de voyage et d' héber gement co ncernant les stages
so nt à la charge des ~o ll ectivités publiques employant les i ntéressés. L 'accordl préalable de ces co llectivités sera sollicité par
les services pré.fectoraux.
IV. -
Visites de propagande e f d'information dans certaill
départemen ts
II a éte co nstaté qUe plusieurs départements avaient tir é un
bénéfice réel des séa nces de propagande et d' infor mation organiséesdia ns leurs centres de secours, depuis 1949.
Cette mesure sera reprise, cette année, pou r d'autres départements.
Un fonctionnaire spécialise de l'entraînement physique
adapté sera mis â la disposition des Inspecteurs départementaux
des seT'vices d'incendie :
-
<lIU
de
du
du
de
territoire deSelfort, les 14 et 15 février;
la Haute-Saône, d'u 15 au 19 juillet;
Puy-die-Dô me, du 27 juillet eu 1er août
Ca ntal, du 3 au 8 août ;
la Haute-Loire, du 10 au 14 août.
Le programme de ces séjours comprendtra
Des ~o nfér ences, projections <lie films (16 m/ m muet) et
séanceg pra tiques,.il l'intention des officiers du <ilépartement et
des personnel:; des Centres de secou rs visités.
L es détails de l'horaire <ie ces séances feront l'objet d'un
échange préalable de vues entre l'Inspecteur <i'épartemental intéressé et le fonctionna ire chargé de l'entraînement physique des
sapeurs-pompiers, au 'i\\.înistère de l'Intérieur - Service National
de la Protection Civile.
V. -
cours d'illstruction et de perfectionnement
(Echelon national)
Afin de compléter l'information don née au cours <ies stages
d'été des années précédentes aux i nstm cteurs des corps de
sétpeurs"pompiers et de parfaire leurs connaissances, un cours
d~i nst r u ctio n et de penfectionnement de 3 semaines sera iait à
Paris du 28 septembre au 17 octobre, et se terminera par un
examen sanctionnant les études et conférant le ce:1:ificat offi.ciet
prévu par arrëtê interministériel du 18 février 1950 (J. O. <iu
2:>-2- 1950) _ (B, evet Ql'i nst r u~teur d'entraînement jlhysique
spécialisé et diplôme dnaid-e-moniteur d'Etat d'Education Physique et Sportive).
Ce cours est réservé aux sapeurs-pompiers ayant effectuë
un des stages <rinitiation d'une semaine organjsé dans plusieurs
villes de ",:o\'ince, chaque année depuis 1947.
Toutefois, les sapeurs-pompiers de tous grades d-èjà titu laires d'un diplôme officiel les autorisant à enseigner les exercices physiques ainsi que ceux ayant obtenu le brevet de « m..oniteur ;) de gymnastique au Régiment de Sapeurs-Pompiers ou
du Bataillon de Mari ns-Pompiers <:!'e Marseille ne sont pas tenus
n'avoir suivi un des stages pri maires indiqués à l'alinéa précédent. lis devTont joindre à leur demande, outre les ptèces
ci-dessous énumérées, une copie certifiée conforme de leur
diplôme.
Les candidatures ·devront ,parvenir au J\\:inistëre par la voie
hié rarchique QI'ant le 15 jlfin, sous la forme de demande ét:tblie
par les Intéresses
Les candidats doivent :
�10 Posséder au minimum le certifiC'at d'Etudes PrimaIres
ou une instruction reellement équivalente ;
20 Avoir confirmé récemment (moins dun an) la possession
du brevet sportif poplùaire convenant à leur âge ;;
3" Avoir montre une véritable aptitude à la natation (nager
5 minutes sans ;nterruption) ;
40 Avoir réalisé le temps de 3 minutes au ,plus au Parcours
Sportif du Sapeur-Pompier dans J'année ;
5. Etre 'Parfaitement notés de leurs supérieurs (une appréciation de leur ohef et de rlnspeeteu r ~partemental sur leur
tenue et leur aptitude aux fonctions dlinslructeur sera jointe
aux déclarations de candidatures)
Les altestations ou "opies certifiées conformes conc~rnant
les conditions énumerées ci-dessus, ainsi qu'un Ibulletin d e naissance, seront joints à la demande.
Les candidat:; qui n' ont pas pa 'assister ou être co '
au stage de l'an dernier devront confinl7le.r leur int' >I,nl~ oqué3
.
.
,.
.~.
sUIvre cette annec le stage 'Ue perfectionnement. Lellr 1
1
1 pan'emr
. au M··
(fl/fon
mlstère par l a lIoie hférarchique s etl""
15 juin.
pour /.
L~ stage setfera à Péaris. L'hébergement et la nourriture
st aglall'es seron
des
assur s gratLUtement Ipa le Centre N f
d'I nstruction de la Protection Civile, 26, rue Chaptal P: 10~1
qui leuT remboursera également leuJ'S frais de voyage.' Cesn~ . 1
_ es ne concerne" t ,pas 1es S t3g'lalres
··
mesur
appartenant aux dé eux
tements drA lgérie o u d'Outre-M.er.
par.
FRAN ÇAISE
5
'II"
~.
\
Chef brigade gendarmerie, 41 aDs, retraité proportionnel
recherche emploi brigadler police muoicipale. VîI1e moins de
5.000 habitants.
départementale des Services d'i ncendie) avec les inst'ucti 'On
Ons
DES
MEDECIN AUTORISE A PRATIQUER LES EXAMENS. RA[)IOSCO,PIQUES
Par arret. en date du 14 Février 1953, lM. le Doc!enIT
POUCBL, œ,meurant 6, rue du Belloi, à Marseille, -est aufônsé
u
ET BULLETIN DES MAIRIES
TABLE D ES M A TIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
AC O.
AG 14.
AG 14.
FS 7.
-
FS 7. -
Hommages publics ...... .... . ... . .. .
Révision a nnue Ue des listes électorales ~ ~i~a~;,j~s .... .... ........ .. . . .... .... . .. .
Révision d es listes éledoraJes pru.dl homales . . .... ..... . . . : .... : : ..... .
.RechficaM à l:arrêté préfectoral d u 4 fév rier 1953 rel atif à 1; ·fi"";i·;; d~ · p~i·~ · d~
Journee d,a ns dJ ve~ étab lissements hospitaliers .... ..... . .
Tax-e~ sUlr le chiffre d'affaires .et taxes uniques de rempl a'C~m~~~" ~ ·Êx~~é~a~··o·n· des
Etablissements et institutio.ns sanitai res .. . . .. .... ... . _... .. .. .... ....
à pratiquer les examens radiocopiques en vue de la délmance
<tes certificats prénuptiaux et prénataux.
49
49
1
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
AG 5. -
Be 2. 'fIVX 1. -
Cas où les ext ra its d'actes d' Etat-Civil doive nt être exonérés du droit d'e){jlOdition et
id u droit d'e légalisatio n ............. . .......... .. ... . . . . .
Purge des hypothèques .... .. ...... .. . ... .... ... . .. .. .. .
D;spositio ns relatives a u coût des const ructiuns scolaires. - L~i n~·
·d·u ·7-2~53·
53-00
..
51
52
52
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
SG. AC· 3. _
Pour le Préfet et par Délégation,
Le Secrélaire General :
Maxime MIGNON.
AlC 3. FC 7. -
Dons et legs . ..... . ... ... . .... ... . .. .. . ..
A.vlS de co nco urs pour le recrutement d' un contrôle~r · d·e~ · I~·i~ d'~~i~~~ ~. j) : . ·t··
ment de U'A.dèohe .. . .. . .. . . . ... . .. . .... . ... . ... .... ... .
.
~par <Avis de. conC<lu~s pour J'emploi de Directeu r Eco nome de l"Ecoole d~· ·PI~~· ~i~ · ~~
Garde a St-Dld,er (Vaucluse) ...... ....
<Avis d'examen d'aJ1titude tecllllique po",r· ·I ~· r;;'~~~~,~~t · ·d,in~' p·ec··te·'::': d~ · rt· . .. t·· ··
O'f.
1 t
1 t .
..
~
~o"pa emen aux
pr .es5lorme e va on a ires des sefV1ces d~ m cend ie et de secours . ... ... . .... . ... . .
..
·5; ·
52
53
54
. . ABRKVI AT ~ON S. - A. P. : A r rêté préfectoral. - C. . Circulai re. - Les lettres D B
· ..
,
.
lndLquent le Ser.... lce ou Bureau d·origine. - D. S. T. : Direction des Services T ec hniques e~ 0 sur; I~ ~~. chl~re
Départem entale de 13 SantlP. ; Direc tion Dépa rt emental e de III Populatio~.
. . . . IrC!:ctlon
46
• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •iI
!w•.•. •n • ER'5
~Ou\'ELLa PE h.lA.'••E•••LL.E., .12.0.' .'u••• s,. in.'••• • • • • • • • • • • • •
"_ . ".-
1
'-
------
ACTES ADMINISTRATIFS
1\ItM. les Maires il1teressés par cette candidature voudront
bien se mettre directement en rapport avec M. ROQUES Emile
à Ascon par Ax-les-Thermes (Ariège).
'
Villes de 5 à 10.000 !habitants: 45.000 (au lieu de 35.(00).
- .,
.~
RECTIfiCATif A L'ARRETE lNTElRMINISTERIEL DU 20 DECEMBRE 1952
INSERE AU B. A. M. N° 3, )Il ET 5 DES 22-29 UANVIER
ET 5 FEVRIER 1953
Dans le tableau concernant les indemnités allouées aux
Secrétaîres Généraux, lire :
,
~
..,
, -
o
nécessaires et le programme de l 'examen final.
53
.,
".
DEMANDE D'EMPLOI
D2 B3
S.D.S.
Numérol 9 et 10
RÉPU BLIQU E
Les convocations des ca ndidats retenus pour suivre ce cours
seront a<liressées en temps ut, le il MM. les Préfets (lnspecf
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
D2 B3
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
!
~
1
�l
TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
HOMMAGES
02 B 3 - AC 0
Paris, le 19 Fevrier 1953.
Le Ministre de l'Int érieur,
à MM. les Préfets (M étropole) ,
Je vous 1 ctppetle que les au to rités competentes po u~ statuer
Sur les demandes tendant à attr ibuer un hommage publi e sont :
_ en ce qui concerne les dénominations de rue s el places
publiques el :'apposition ae plaques commém oratill~s : ..
_ le \.Mj n îstre de l'Intérieu.r si l' homm a ge est d ecerne a une
rperso nnal it é étrangère o u à une peT nne française vivante ;
_ le Prefet dans tous les autres cas (décret d" 12 ami
_
_
_
1948).
concessions gratuites dans les cimetières :
le Prétet dans tous Iles cas (décret du 12 av ril 1948).
pouvant être envisagées : tit f e de
citoyen d' honneur, dénomination d'un inuneut>!e pulJ.)\ic,
etc.. .
autres hypoth èses
Le decre! du 12 avri l 1948 n·ètant pas api>licable à ces
hypothèses. il conv ient de se référe r à l'ordonna nce du 10 j uillet 1816, en " ertu de laquelle un dec.ret est nécessai re.
rai constaté que les demandes en vue de l 'attrib ution d'un
hommag e publ ic tendaient à se multiplier. Aussi je crois utile
de souligneT que ces requêtes doivent êtr.e examin ées attentivement en -y-ue d'éviter que les autorisations ne soient données
trop f réquemment, solution qui aurait po ur co nsequence de
D4 B3 - AG 14
1
Le Préfet d es Bou ches-du-Rhône,
-
PUBLICS
po rter atteinte aU ca rac tère eX1eept ion nei que doivent rev~ti r les
hommages publ ics.
Au surplus, Iles modifi ca.tions successi'ves des nOms de rues
et places p ubliqllle5 peuvent entraill,e r b disparition de sauve.
nirs historiqu es loca ux dignes d'interêt et fai re naître des
conf usions pratiques regrettables, ne. serait-ce que dans la
bonne maliche du se rvice des P..T.T.
Je VùUS i aj)pelle à cet égard que l a COlllmission départe.
menta le des monuments naturels et <Les cités, créée ppr la loi
du 2 mai 1930, do it se ,prononcer Sur Ile choi x de la voie publique susoeptible de r ecevoi r une autr e dé n om ~natio n .
J'ai observé, au surplu~ qu:e, lorsque lia décision doit êtr~
prise par déc-ret Ou par arrêté ministérieJ, les éléments d'appré.
ciation que vous me commllJ1 iquiez étaient souvent t rop l imités.
Je VOus demande cfe bien vou loi r me tran smettre, en même
temps que le texte de li a déli bératio n du Co nseil Municipal (en
me ,precisant la majo r ité à l aquelle el'Ie a été pri se) u.ne notice
su r la person nal ité à 'I,aquel ~e l'JlOmmage doit être décern é et
les moti fs Iparticu1liers de natur·e à j ll sti~ier ceI1u'i-ci (notamment
l es serviees éminents rendu s à Ja .commune).
Vous vo udrez bien éga'l ement me faire connaître vonre avis
personnel sur l a suite à réser ve r à l' initiative du Conseil
Mun ici.pal.
Pour le Ministre d,e l ' Intérieur,
Le Directeur du Personnel
et des Affaires Politiqu es
C. UOBUT.
Officier d e la Légion d' Honn eur,
Vu l' Article 6 de la loi du 26 Jeillet 1925 portant créatio n
des Ch ambres de M étiers ;
Sur da proposi t ion de M . le Secrét aire Général de l a
Préfecture,
ARRETE:
Article premier .
La r é\'ision des listes des électeurs à
la Chambre de Métiers des Bouches-du-Rhône aura lieu du
1er au 20 avril 1953.
Pendant cette période, les personnes r emplissant les
conditions requises pour bénéficier de la qualité d'él ecteur
Le Préfet des Bou cll es-du-Rh ône,
Officier de ta Légion d'Houneur,
Vu l'article 22 du Li vre I V du Code du Trava il relatif au x
conditions nécessai res po ur êt re électeur prud ' homme ;
Vu l'article 24 du Livre IV du Co de du Tra vai l sur la révision des l istes élector ales prud 'homales;
Sur la propositio n de M. le Secr éta ire Géné ral de la Prêfect ure,
ARRETE :
Article premier.
La reVISlon des listes électo raJ es
prud' homales pour les Consei ls de Prud' hommes de Marseille
ct d'Ai x-en-Provence, aura lieu du 1er au 20 avril 1953.
Arf. 2. '-" D urant l a période susvisée, les personnes remplissant les co nd itions requises pou r bénéficier de la qualité
d'électeur prud' homme, qui ne se raient pas inscr i tes sur lIn '~
liste él ectora le pour quelque cause que ce soit, ou qui ont
changé de r ésidence, sont invitées à se présenter à la mai r ie
0 3 B2 - fS 7
MN\. l es Maires du dépa r tement des Bouches-
du-Rh ône, assistés d'un artis3n-maitre et d' un artisan-campa·
gnon ·désignés par leur Consei l municipal ou, à défaut d'arti·
de leur commune à l'effet de justifier de It!ur qualité et d'obt('nir leu r inscription sur les listes élector ales.
Art. 3. - MM. les Maires du dépa r tement des Bouches-du-Rhône, assistés d'un électeur ouvrier, d' un élec teu r
empJoyé et d' un élec teur ,pa tron, dési gnés par Je Consei l municipal, inscriront su r des tab leaux distincts, établ is en trois
exem l)lai res, les électeu rs prud'hommes ou vriers, employés et
patrons. Ces exemplai res se ront ad ressés à la Préfecture
(4 ème Division - 3ème Bureau), dès que l a r évision sera effectu ée.
Art. 4. - M. le Secr étaire Génér al de la Préfec;u re et
MM. les ' Maires des co mmunes des r essor ts des Consei ls de
Prud'hommes de Marseille et d'Ai x-en-Proven ce, sont char gés,
chacun en ce qui le concerne, de ll'exéc ution du présent arrêté
qui era i nsér é au Bulletin Administratif des Maires.
Marseille, le 5 Mars 1953.
Pour le Préfet,
Le Se crélaire G énéral d élégué:
Max ime M I GNON .
RECTIFICATIF A L'ARRETE( PREFECTORAL DU 4 FEVRIER 1953
RELATIF A LA FIXATION DES PRIX DE JOURNEES
DANS DIVIBRS ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
Prix de journ ée indigents
Hôpitall-Hospi ce_d' ANa u'Ch, Mé.decin e : l i re 1.28 \ au li eu
.de 1.88 1.
Hôpital-Hospi ce de Sal on, 3° colo nne, Médec in e: li re 1.566
au lieu de 1.666.
Hospices Civils' d' Arl es : report er le chiffre 34 de la 7< à
la 8'" colonn e (e xcédent des exe'rcices anteri eurs) ; 3e colonne,
Ch irurgie: li.e 1.387 au l ieu de 1.167 ; r eporter le chi ffre 5 1
de la 7" à la 8~ colo nne (e xcédent des exercices antérieurs) .
Hôpit alil-H ospice de T arascon : reporter le chiff re 19 de
la St à la 7° co1()'Jlne (d éf ic its des exercices antérieurs) .
Hospice de B ~ r be ntane, 5" colonn e: lire 430 au li-e u de 480.
mune à l'effet de justifier de leu r qualité et d'ob tenir leur inscriptio n sur les listes électoral es.
Art. 2. -
REVISION DES LISTES BLECTORALES PRUD'HOMALES
ARRETE
REVISION ANNUELLE DES LISTES ELECTORALES ARTISANALES
ARRETE
04 83 - AG 14
Prix
d~
journ ée payw! ts
Hôpital-Hospi ce d' A'lI auch, 3e col onne, M éd ecine : li re 1.28 1
au lieu de 1.88 1.
Hôpita l- Hospiœ d' Au bagJle,
2.052 au li eu de 2.032.
4~ co,l onn e,
Chir urgie ; li re
Hospice de Roque va ire, 3~ colonne: lire 540 au lieU' de 560.
Hospices Civi ls d'Aix, Y col onn e, Hospice : lire 685 au
lieu de 683 ; Go calonn e, M édeci ne: li re 2.706 au l ieu de 2. 703,
4' c o l o nn ~ Chi rurgie : lire 2.722 au li eu de 2.723.
Aé r i um de M ontvert : lire 700 au l ieu de 645.
Hôpi tal-H ospice de Salon, 4' co lonne, Alé<lecine : lire 1.985
au l ieu de 1.986 ; 60) .coJonne, M édecine: lire 3.249 au l ieu de
:'.649 ; 6" co lonn e, Chiru rgie : lire 2.476 au lieu de 2.676 ;
b~ colo nn e, Chi r,u rgie : lire 2.09 au lieu de 2.002.
H ôpital-Hospice de Ohâte.l urenard : Hospice: l i re 285 au
l ieu de 205.
Hôpita,l"fl ospice de St- Remy, 6' colonne., Hospice : lire 555
au lieu de 355.
Hôpi tal -H ospice de T ar ascon, 3- co lonne, Hospice : (ire
-156 au lieu de 436 ; 6' co lonn e, Hospi ce : l ire 593 au l ieu de
513 ; 6" w lon ne. Médecine : li re 1.966 au l ieu de 1.956.
Hospice oe M aussane : lire 337 au l ieu de 357.
Hôpi tal-H ospice de M ar tigues : li re M aterni té au l ieu de
Chi rur gie.
san -compagnon, de deux ar tisans-maîtres, sembl abl ement dési·
gnés, inscr iro nt su r des tab l eaux distin cts, établi s en trois
exemplaires, les électeurs-m aî tres et les électeurs-co mpagnons.
Ces tableau x seront adressés à la Préfecture des Bouchesdu-Rhône, sous le timbre: 4ème IDivision, 3ème Bureau, dès
que la révision aur a été effectu ée.
Art. 3. -
Mlvl . l es Maires du départemen t des Bouchesdu-Rhône sont chargés, chacun en ce qui le co ncern e, de l'exé·
tutio" du présent arrêté.
Ma rseille, l e 5 Mars 1953.
artisanal, qui ne seraient pas inscrites sur une liste électoralle
pour quelque cause que ce soit, ou q ui Ont changé de résidence, sont invitées â se présenter à la Mairie de leur com-
Pour 'le Préfet,
L e Secrétaire Général délégué:
Maxime M IGNON.
48
.'-LE, 120, rue Sainte
03 B2 - fS 7
TAXES SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES ET TAXES UNIQUES DE
REMPLACEMENT - EXONERATION DES ETABl.ISSEMENTS
ET INSTITUTIONS SANITAIRES
Paris, le 3 M ars 1953
Le Min ist re de la Sallté Publiqu e
ef de la P opulation,
à Messieurs les Préfets,
Au Cours de l'a nnée 1952, 'Administration des Contributions Indirec tes, s'appuyan t sur ulle circu l ai re n" 55 B 2/ 2 du
22 Février 1952, paru e à son bul letin officiel du 28 Février 1952,
avait consid éré que les ~tab l isseme n ts de soins et d'assistance étaient red evables de la taxe dite « de circulation 8ur les
\';andes », dès l'i nstant où ils abattaient eux-mêmes des a,1:maux soit achetes, soit élevés pa r eux.
Cette inter préta ti on du décret n' 5 1-1-\.5-1 du 2 1 décem.
l're 195 1 pr is en applicatio n de la loi du 24 Mai 195 1 devait,
(;'11 raiso n des incidences sensibles du paiement de cette taxe
sur les fina nces des co ll ecti\''Ît ~s , soulever une reelle émotion
dom les nomb reuses délibérations de~ Commissions administr atives et des co nseils d'administr atio n de établissements, que
les services pr éfectoraux l11'o nt transmis ces derniers mois, se
sont fait l' écho.
49
�Les bureaux compétents de mon depar temen! ministériel
ont, alors, ent repris auprès du m i n i~tère de s FI~ a.nces, les
démarches nécessai res en vue d'obteru r q ue I ~ ho p lta u ~, ~ es
institutions et les fo ndations à ca ractère. médical et samtalre
sans but l ucratif, soient exemptés du paiement de l a t axe et,
en général, de tous impôts hab.it uellement perçus s~r l es entreprises ayant des fi ns commerciales.
.
Aux teMlles de ces pourparlers et à l'iss ~le d~ deba ts parlementai res qui ont entouré l e vote de la 101 .de fi nances 'pour
l'exercice 1953, l a Di r ect io n Génér ale des lmpo ts a ~d resse aux
fonctionnai res des Cont r ibutions Indirectes, l e 23 fev n er 1953,
tes instr uctions suivantes, que je croIs .u t l~e d~ port~ r sa ~.s
retard à votre connaissance dans leu.r . IOteg r~ h té, af~n qu Il
vous soit donné de répondre à la l ég.tlme preoccupaho n des
iutéressés :
STRUCTION N" 45 B/ 2/ 1 - 2/ 2 DU 23 FEVR IER 1953
Taxes sur le chiffres d'affaires et taxes Il n~q ues
de remPlacement - Etablissements hospItalIe rs
L'article 8 de la loi n° 53-59 du 3 fé\'fier 1953, do nt le
texte est reproduit ci-dessus sous la rub rique « Textes l ~gis
latifs ou règlementaires > exonère des taxes su r le chl~f re
d'affaires et de toutes taxes uniq ues de rempl acement I~s .IOStitutions ou établissements fondés pa r des assoclatlor.s
sous le régime de la loi du 1er j uillet 190 1, pa,r des
groupements mutual istes régis pa r Il'o rdon nance n° 45-2 4~6 du
10 octobre 1945 ou pa r des fondatio ns aya nt un but med.cal
ou sanitai re et' suppléant à l'éuipement sanitai re du pays,
sous réserve que ces instit utions ou établ issements se bornent à une exploitatio n ou à des opérations de car actère nOIl
lucratif et sous la condition que les prix pr atiqués aient étt
homologués par l'autorité publique.
Ce texte dispose, en outre, que la nouveUe exonération
de s'applique pas aux objets ou produits livrés, ni aux ser vi ces rendus à des personnes étrangères à l'établissement
bénéficiaire.
L'exonération susvisée est prévue exclusivement en faveur
des trois catégories d'organismes limitativement énumérées pa r
la l oi, c'est-à-di re:
_ les associations constituées dans le cadre de la loi du
1er juillet 1901 ;
_ les groupements mutualistes régis pa r l'o rdon nance
C O 45-2456 du 10 octobr e 1945 (cf, J.O, du 20- 10-1 945, pages
6,781 et suivantes) ;
- les fondations ayant un but médical ou sanitaire et suppléant Ji l'équipement sanitaire du pays.
a)
Associations.
Aux termes de J'a rt icle 1er de la loi du 1er juillet 1901,
l'Association est la convention IJar laquelle deux ou plusieurs
personnes mettent en commun, d' une .façon permanen te, leu rs
connaissances ou leur activité, dans un but autre que de partager des bénéfices. L'organisme qui résulte de cette co nvention s'interdit donc, par sa nature, tout but lucratif mais cettE"
situation n'est pass uffisante, à elle seule, pour entrainer l'exonération sus\isée ; il est indispensable, en effet, que l'exploitation ou Jes opérations réalisées par ce t organisme aient en
elles-mêmes un caractère non lucratif . Dès lors, si l es ta r ifs
pratiqués au cours d'une période détermi née donnent lieu à la
r éalisation d'un excédent de recettes, cet excédent devr a, ell
pr incipe, être absorbé par une réduction cor responda nte des
ta r ifs en vigueur pour la période suivante.
b)
Gr oupements Mutualistes,
L'a rticle 1er de l'ordonnance du 10 octobre 1945 susvisé
définit les sociétés mutua!jstes comme des groupements qui,
au moyen des cotisations de l eurs membres, se proposent de
50
mener, dans l 'intérêt de ceu x- ci ou de lieur fami\JIe, une action
de prévoyance, de solidlHité ou d'entr'aide, visant notammen t :
10 L a prévention des risques soci aux et la répar ati on d6
leurs conséq uences ;
2° tL'enco uragement de l a maternité et l a protecti on de
l'enfance et de l a famille;
3" Le dével oppement moral, intellectuel et physique de
h.: urs membres.
Il importe d' observer, à cet égard, q ue, quelles que soient
~ es attrib utions norm al es des groupements mutualistes et des
associat ions susvisées, seul es, l eur acti vités se r apportant à
I"exploitati on de leurs établissements hospi taliers et des fondations ayant un but médical ou sanitaire peuvent bé néf icier de
l'exonér ati on des taxes sur le chiffre d'aff aires, à l'exclusion
de toutes aut res opérations non couvertes pa r une exonération
gpéciale.
l' )
FIX/dat ions,
Par fondation, i y a lieu d'entendre 'l'affectatio n perpe.
tuelle de biens ou de valeurs donnés ou légués à un service
déter mine par le disposant.
La fo ndation peut être r éalisée par la cr éation d'un établissement auquel est donnée la capacité nécessai re pour recevoi r le don ou le l egs destin é au fo ncti onnement du service
que dési re assurer l e fondateur. EUe peut également rés l~!te r
d' une char ue imposée par ce dern ier à un donata"i re ou légataire ; tel :st le cas de la cr éation de lits da ns un hôpi tal, par
exemple,
Quelle que soit l a nature de l a fo ndation en cause, le
bénêf ice de l'exonération instituée par la ,lo i du 3 fév rier .1953
ne peut l ui êtr e accordé que dans li a mesure où, par son obj et,
elle répo nd aux dispositions de ce tex te, c'est-à-dire qu'elle
a un but médical ou sanitai re et supplée à l'éq uipement sanitaire du pays, à l'-excl usion de t oute aut re activité.
L'oct roi de cette exo nératio n est, en outre, subordonné à
14:1 réalisatio n des aut r es conditions req uises par le texte susvisé
et, notamment, l'homologation des prix pr atiqués.
Bien entendu il appartient aux dive rs organismes qui
soll icitent l e bénéfice de li a nouv'ele exo nération de justifier
qu'ils remp lissen t l es conditi ons prévues à ce~ eff~t. ~I .s'ensuit
Gue l es soci étés commer cial es et les ~ ntrep r.lses l~dlVlduelles,
autres que cd!es rés;ultant d'une fo ndati on, dOivent etre exclues,
ipso facto, de l adite exo nér atio n.
d)
Et ablissemefl l s bénéfici aires.
L'exemption des taxes sur le ch i ffre d'affaires s'applique
i ndépendamment des établ issements exploités par l ' ~ta~ ou par
les coll ectivités local es, aux établ issements hospItaliers, et,
sous ce term e, il co nvient de comprendre, non seulement les
hôpitaux proprement dits, mais enco re les cliniq~ ~s, . Ies sanatoria, les pr éventoria, les établissements psy c hl a t.rl ~ lIes, les
maisons d'accouchement, les hospices r ecevant des Vieillards ou
des infirmes, les maisons de r etr aite et ~es orphelinats. Par
contre, sont notamment excl ues de l'exoné ration, les p ~la.rma
cies, y comp ris les pharm acies mutual istes et les chmques
dentaires, alors même que ,leurs pr ix seraient r églementés.
e)
Prix.
Il est précisé, pa r aill eurs, que, d'une mani ère gén ér ~le,
le bénéfice de l'exonéra t ion est subo rdonné il l' homologatIOn
par l'au torité pu biq ue des pr ix pratiq ués dans l es étab\Jssements en cause. Dans la pr atique, l'homologati on sera , gé~é
ralement effectuée par le préfets et, bien entendu, les orga n ~r
mes i ntéressés devront j usti fier de Il'approbation de leurs. tan 5
pa r l'auto rité compétente, A défaut, l'exonération devra.t leur
être refusée,
f)
Opéralions exo nér ees,
L'exonér ation s'appliq ue seul ement aux fo urnit ures et aux
services rendus aux personnes admises dans les établissements
expl oités par les or ganismes définis ci-dessus, à l'excl usion
de toutes livraiso ns à des per sonnes ou entreprises étrangères
à ces établissements. Tel est le cas, notamment, pour tes ventes
à l'extéri eur de produits ou de denrées provenant de l'exploitati on de ces établissements ou de leurs annexes ou des ser vices, tels que : Javages, répar ati ons, etc... effectués pour des
tiers et qui demeurent soumis aux tax-es sur ~e chiffre d'a ff aires suivant les ~ ègl e s habi.t uel\es,
g)
Etendue d e l' exonération en ce qui concern e la taxe unique
sun les viand es.
La taxe de ci rculati on n'est pas exigi ble des établissements
hospitaliers et des fondati ons visés à ,l'arti cle 8 préci té, qui
élèvent ou achèt-ent des animaux de boucheri e, puis l es abattent eu x-m êmes ou les font abattre pour ,l eur compte dans
une tuerie parti culi ère, un aba ttoi r public ou indust riel.
Par cont re, la taxe de ci rculation est exigible sur les
viand es prove nan t de ces ani maux qui seraien t cédées, à titre
onéreux, au personnel ou à des perso nnes ou coll ectivités
étrangèr es à l'é tablissement bénéficiaire. Toutefois, la taxe ne
sera pas r éclamée su r les cessions faites à d'autres hôpitaux
ou fond ations susceptibles de bénéficier, po ur leurs abattages,
de b nouvelle exonérati on.
Bien ent.endu, lia taxe co nt inuer a à être ex igée de toute
personne qui abat les animaux dont elle est pl10p ri étai re et
qui vend une parti e ou l a totalité des viandes en provenant,
à un étabissement visé par 'ar ticle 8.
FOR.MA LI TES A LA .CIRCULATION :
a) Vi andes exonér ées: En attendant l a mise en service
des vignet tes sa ns poids, un laissez-passer sans timbre, déEvré par le receveur-b uraliste et · por tant l a mention « viande.;
exonér ées » se ra ex igé pour tout enlevement des viandes non
soumises à lia taxe : t r ansports de l'abattoi r à l'établissement
hospitalier, cessions d'un hôpital à un autre hôpital, etc...
b) Viandes imposabl es : Même si elles sont destinée;
TEXTES
D2 B3 . AG 5
à un établ issement bénéfici ai re des disposi tions de l'ar t icle 8
préci té, les via ndes achet ées à un abatteu r, un boucher en
gros, sont soumises à l'i mpôt et aux fo r malités ordlOai r es de
circul ation.
h)
Taxe unique sur les vins.
L'exo nération co nsentie en fave ur des établissements hospi taliers ne trouve pas so n appl ication en mat ière de vins.
En ef fet, les vins 'r éc()\tés par l es établissements en q uestion sur l es vignes qu'ils ex pl oitent bénéficient déj à de l a f ranchise du droi t de ci rculation et, par tant, de la taxe unique.
IPar contre, les vLns achetés par ces établissements doivent
leur par venir, libérés des droits, au même titre que l es de nrées
ou ma rchandises de to ute nature.
Enfin, aux t erm es mêmes de l 'art icle 8 de l a l oi d u 3 février 1953, Jes vins vendus par Il es établ issements en cause doivent être soumis aux droits dans l es conditions de droit
commu n.
:.
Je vous serais obli gé de bien vouloi r, dès réception de la
présente lettre, fai re pa rt, à tous les établissements et oJ1ganismes relevant de mes attri butions, des nouvell es dispositions
ç-r ises en leur fave ur. Pl us particulièrement, et si tel est e cas dans \'otre dépar tement, je souhaiter ais que vous exami niez, avec les servics
l ocaux des Cont r ibutions Indirectes et tles Administr ations
hospitalières qui on t fai,t J'objet de poursuites pou r ref us d'acquitter les taxes dues en 1952, les moyens appropr iés d' abouti r à une r emise de leur dette. M. le Mi nistre des Fina nces a,
en effet, donné au Parlement j 'assurance que les requêtes qlli
ser aient i nt rod ui tes dans ce se ns recevr aient de ses ser vices un
acc ueil bienveil lant.
li vous appartiendra de me saisir, éventuellement, sous le.
timbre de la Di rection. de Il' H ygiène Publique et des Hôpitaux,
Sème Bu reau, de toute difficulté qui surgirait dans l'applica tion
de ces instructions.
Le Milllstre.
Pour le Ministre et par délégation,
L e Direct eur du Cabinet :
LE VERT.
D 'I NTÉR ËT
COMMUNAL
CAS OU LES EXTRAITS D'ACTES, D.'ETAT -CIVlL DOWi::NT ETRE
EXONERES DU DROIT D'EXPEDITION ET DU DROIT DE LEGALISATION
Ci rcul ai re n" 53
Par is, le 20 Févri er 1953,
Le Gard e des Scea ux, M i nistr e de la Justice,
Le Ministre de l'Int érieu r,
à MM . tes Préf ets de l a M ét ropo l e,
Par ci rcul ai re nO 628 du 10 f évrier 1949, 1I 0 US VO LI S avons
adressé Un t abl-eau vous précisant Jes cas dans lesquels les
extraits d'actes d' Etat-Cvil son t exonérés des droits d'elOpè'<lition. Ces exonérations s'appliquent également au droit de
léga lisatio n fiéS t!o.cllments lorsque ceux-ci do iven t être produi ts en exécution des lois fi gurant aud it tableau.
r ai l'honne.ur de IVO US faire connaît re qu'il co nvient de
compléte r ce tableau par le cas suivant :
Assurances sociales agricoles: T outes pi èces r elatives à
l 'appl icati on ùes assurances soci ales agricoles. ( D,-L. du 30 octobre 1935, art. 13, relati f au x assu rances socia les agr ico les).
L e Garde des Sceal/x, Minist re de la Justice :
MARTINAUO-D EPiLAT ,
L e Ministre de l'In téri eur
Charl es BRUN E.
51
�PURGE DES HYPOTHEQUES
02 B3 • BC 2
AC 3
Paris, le 2ï Janvier 1953
Le Ministre de J'In férieur,
à Messieurs les Préfets,
.La Cour des Comptes m;a signalé que certaines co mm~
Iles acquérant des immeubles appa rtenan t à d'a utres collectI-
vités croient devoir procéder da ns tous les cas à la purge des
hypothèques légales.
Or ôn ne conçoit pas qu'il puisse exister d' hypothèques
l égale;sur les immeubles du fait de ces collecti,'ités ou établissements publics; quant à celles qui pou rra ient g re ve r les bi ens
dont il s'agit du chef des ancie ns prop riétaires, elles se
La purge des hypothèques l ëga l e~ .co n ~titue dOlIC, dans
res ci rco nsta nces, une procédure aussI Inuti le qu'onéreuse.
Vous voud rez donc bien rappel er aux communes et aux
établi ssements publics locaux que, lorsqu'ils aC'hètent un im.
meuble appa rtenant à d'aut r es collecti vités ou établissements
publics la formalité de purg~ des h y p.ot l~ èques n'a. pas a être
effe otuée si le vendeur était proprietaire des bi ens acquis
dep ui s plus de trente an~. JL a même r~~l e. est app~ i cabl e dans
le cas où ~e vendeur, bien que prop n etalre depuIs moins de
t r ente ans, a effect ué l a purge des hypothèques lors de l'acqui ..
sition de Il'immeubie.
,p.. le Mini stre de l'Int érieur et par délégation,
Le Préfet,
Directeur de l'Administration Départementale
et communale:
trol~
vent éteintes - même si ces coll ectiv"ités ont o mis d'accomplir
l es fo rm alités de purge - dans le cas où elles sont pr opr iétaires depuis plus de trente ans.
02 B3 . TVX 1
P. DAMELON.
DISPOSITIONS RELATIVES AU COUT DES CONSTRUCTIONS SCOLAIRES
Loi n° 53-80 du 7 Février 1953
Le Préfel des Bouches-dl/-Rhône
à A/M. les Alaires,
Dans une ci rcul aire récen te, M. le Ministre de Il'Educatio n
Nationale constate et regrette que, trop sOll vent, les projets de
constructio ns scolaires, établis pa r les architectes, ne s'inspir ent d'aucun souci d'économie ou que des modifications dans
les tra vaux en cou rs d'exécution ont pour effet d'augmenter
càns de trop grandes proportions les devis estimatifs initialement approuvés.
Aussi ,\\. le Ministre de l'Education Nationale qui, déj à
par circulaire du 1er septembre 1952 (voi r i nsertion dans le
BuUetin Administ ratif des Maires n° 4-1, du 30 octob re 1952)
a\'ait fixé les normes dimensionnelles à respecter pour les bâtiments scolai res, a récemment arrêté les pri x maxima correspondants.
collec ti vités l ocales et les rémun ér ati ons des archi tectes pour
la constructio n des bâtlments scolai res seront calculées sur un
montant maximum de travaux de 4 millions de francs par
cl asse et Ide 3 millions de Irancs par logement ».
j'appell e vo tr e attention sur ces dispositi ons dont le carae.
tère impér atif ne sa urait \' D US échapper, et je ne doute pas
que vo us veillerez à ce qu'elles soient respectées par les archi.
tectes auxq uels vo us po urrez être amenés à co nfie r l'étude d~
proj ets de co nstr ucti ons scolairoes su ivant les modalités prévufi
dans la brochure 1952: « Pour construi re une école ... »
COMMUNIQUES
SG
AVIS
Le conco urs est ouvert ;
1" Aux can didats, fonc tionnai res ou non fo nctionnai res,
titUtlaire de l a li cence ou d'un diplôme équivale nt;
2° Aux Ifonction naires titulai res des Admi nistratio ns
Publiques, Préfectures, Di r ections Départementales de la
Populati on, Directi ons Dépa r temen tales de la Santé, pourvus du baccalau réat, du brevet supér ieu r ou de la capacité
en Droi t, et compta nt au moi ns t rois ann ées ini nterrompues
de service;
3° ,Aux employés auxil iai res d'Etat des Ad mi nistrations Publiques r éun issant les mêmes conditio ns de t itres et
d'ancienneté de ser vice;
4° Aux assista ntes sociales âgées de 26 ans à 40 ans,
posséda nt au moi ns Ile baccalauréat ou un diplôme éq liiralent, des co nnaissances juridiques et des r éférences exc~p
tioJ 1 nelles.
<AC 3
Pour le Préfet,
Le SOlls-Préfet , Directeur du Cabinel,
- ANNONCES DIVERSES
Co nfo rmément aux dispositions du décret <.lu 1er Février
! ~96. les hér itiers Connus ou inco nnus de feu Mme FRISON
sont invités à. prendre connaissance du testament, donner
leur consen tement ci son exécution ou produire leu rs mo~ens
(l'opposition dans un délai de t rois mois il dater du Jour
du présent avis.
Marsei ll e, le 2 Mars 1953.
Un Concouns pour l'emploi de Directeu r-Eco nome de
l'école de plei n air de Ste-Ga rde à St-Didier (Vaucluse) se ra
ouver t à l a Préfechtre de Valleuse â Avignon, Iles 16 et
17 avr il 1953.
P-euvent prend re part au concours:
1° Les ca ndid ats des deux sexes, de national ité française, titulaires du dipl ôme du bacca lauréat de l'enseignement
secondai re, du diplôme du brevet supérieur, du diplôme de
sortie des écoles supérieures de Commerce, du certificat de
capacité en Droit ou d'un diplôme équivalenr j
2° Les chefs de bureau
ments hospi taliers publics;
3°
Les
Les dossiers de candidature devront parveni r, .nant
le 20 Mars, à la Di rec tio n Dépa rtementale de la !-'or"la:-ion
et de l'Ent r' Aide Sociale, ci Pri vas, et comprendre:
1° une dema nde d'inscription su r papier ti mbr é,
2° un bulletin de naissa nce,
3° un extrait du casie r judicia ire datant de moi ns de
trois mois,
4"
un e copie cert ifiée confo rm e des diplômes,
5 " une pièce établissa nt la situatio n militaire des can didats du sexe mascul i n,
6" un cu rriculum vitae indiquant les services antérieurs,
accompagné de toutes justifications, ce document ayant une
double importance pou r les candidats âgés de plus de 26 ans
ci la date du co ncou fS,
7° deux certifi cats médicaux délivrés par des méderi ns asserm entés ou agréés, l' un attesta nt que le candida t
n'est attei nt d'aucune infi rm ité ni maladie incompatible avec un
se rvice actif, et, notam ment, d'a ucune affection mentale ou
ca ncér euse, l'autre éma nant d' un p~tisio l ogue constatant
qu'i l est indem ne de to ute affection tu be rcul euse.
La olô ture des inscr iptions allra lie u le 20 Mars 1953.
Le cand idat nomme à la suite du CO ncours sem soumis
ci un stage probatoire d'une an née.
Tous renseignements complémentai res seront
par la Direction D épa rtementa le de la Population
l'Entr' Aide Sociale, ci Pri vas.
donnés
et de
AVIS DE CONCOURS POUR L'EMPLOI DE DIRECTEUR - ECONOME
DE L'ECOLE DE PLEIN AIR DE STE-GARDE A ST -DIDIER (VAUCLUSE)
Marseille, le 2 Mars 1953
PLETT NER.
DONS \ET LEGS
Par testament olographe du 9 Mars 1946 déposé aux
minutes de 1\1" Georges CA ILLOL, notaire à ~\ arseille, Mme
FR ISOI\, née THOMAS Denise, Augusti ne, décédée à Ma rseille, le 8 Décembre 1952, a Înstitl!é l'Association HospHaliére du Prado ( Hôpi ta l St-J oseph), en qualité de l égata ire
â titre universel.
Un concours sur titres est ouve rt dans le Dépa rtement
de l'A rd èche, pour l e recru tement d' un contrô leur Sur pl ace
des lois d'assistan ce.
Le concours est fixé au vend redi 27 M ars 1953.
Les ca nd idats doive nt être â'gés de 26 ans au moi ns
e.t de 35 ans au plus, au j our du co nco urs; la ,lim i te d'âge
est prolo ngée d'un temps égal â la durée des se r vices antérieurs civi ls ou mi l ita ires et d u temps prév u pal" les dispositions de j 'art icle 162 du déc ret du 29 ju illet 1939, r elatif .\
la famille et à la natal ité fr ançaise, sans pouvoi r , en aucun
cas, excéder 40 ans.
J'ajoute que je r ef user ai mon approbation à tout projet
pou r l'ëtablissement duquel i'j n'aurait pas été tenu compte
des pri x maxima fixés par la loi pr éc itéc-o
L'article 18 de la loi n" 53-80 du. 7 fé,'rier 1953 en Consacr e la portée en prescri\'a nt: « Les subventions all ouées aux
AVIS DE CONCOURS POUR LE RECRUTEMENl' D'UN CONTOLEUR
DES LOIS D'ASSISTANCE - DEPARTEMENT DE L'ARDECHE
et
r édacteurs
fonction naires en act ivité, de
d'établisse-
traitement ind i-
ciaire équivalen t, ainsi que les postulants inscrits sur la liste
nationale d'a ptitude aux fonctions de Directeur-Econom~
d'établissements hospital iers.
Les candidats doivent être de nationalité française,
;',gés de 25 ans au mojns et de 30 ans au plus à
la date ct"
concours.
Les demandes d'admission devant parvenir à la Préfecture de Vaucluse, 2éme Division, au plus tard le 6 Avril 1953.
Les traitements du Directeur-Econome de l'ecole de
plein ai r de Ste-Garde, so nt actuelrlement fixés ainsi qu'il
suit: indice 30J à 410.
Pour tous renseignements complémentaires concernant
les épreuves et les conditions du concours, s'adresser à la
Préfecture de Vaucluse, 3ème Bureau, à Avignon.
�Fe 7
AVIS D'EXAMEN D'APTITUDE TECHNIQUE POUR LE RECRUTEMENT
D'INSPECTEURS DEPARTEMENTAUX PROfESSIONNELS
ET VOLONTAIRES DES SERVIOES D'LNCENDIEI ET DE SECOURS
En application des décrets 52-982 et 53-22 des 23 Août
1952 et 21 janvier 1953, et des a rrêtés du min istre de l' Intérieu r des 2S Août 1952, 21 janvier et 9 Février 1953 (J. O.
des 28 Août, 5 Septembre 1952, 23 janvier et 10 Février
1953), un examen, en vue de l'inscription sur la liste d'aptitude
technique aux fondions d' inspecteur dépa rtemental professionnel ou volontaire des services d'ince ndie et de secours,
aura lieu le 15 Mai 1953.
Les épreuves éc rites a uront dieu au ministè re de l' Intérieur; toutefois, des centres Pégio naux pourront êt re institués selon le nombre et la résidence des candidats; un a rrêté
ultérieur désignera ces centres. Les épreuves orales auront
lieu le 29 mai, au Centre National d'Instruction de la Protection Civile. Le stage prévu à l'art. 10 de l'a rrêté du 28 Août
1952, commencera le 1er juin.
Les can~i~atllres dev r?"t .ê~ re ad ress~es, ava nt le 15 Avril
1953, au mInistère de llnteroeur, Senoce National de la
Protectoon Clvde, 60, Bd Go uvlo n-St-Cy r, Paris (XVii' )
accompa,g nées des pièces prévues à l'a rt icle 3 de l'a rrêté d'
28 Août 1952, mod ifi é par celui du 21 j a nvier 1953.
"
Le mémoire devra être envoyé a u plus tard le JO LIr des
ép reuves éc ri tes.
Il est rappelé que les ca ndid a ts non officiens de sapeurs_
pompiers, doi vent effectuer, avant l'examen oral, un stage
pratique de 15 j ou rs, à leurs frais, au régiment de sapeurs.
pompiers, au batai llon de marins-p ompiers de Marseille Ou
dans un corps de sapeurs-pompiers professIonnels d' une 'ville:
dt plus de 50.000 habitan ts.
La liste d'aptitude technique établie à l'issue des épreuves
comprendra, au maximum, 33 noms.
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
RÉPUBJ.... IQUE
Numéro 11
FRA N ÇA ISE
19 Mars 1953
.
...
..
L
DES
ACTES ADMINISTRA
ET BULLETIN DES MAIRIES
• ••
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
AG. O. -
Rattachement des Bureau x du Timbre Extraordinaire et du Tribunal de Commerce aux
Burea ux de la Dé bite
d~
56
Timbre et des justices de Pai x ..... . . .... .
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
FS 2. -
Le Secrétaire General :
Dépa rtemen tal
Hospitalier
pOlir nOllrrissons, débi les et prématurés ...... .. . .
57
AG O. -
Fonds de ga rantie au tomobil e accide nts co rporels ... .
57
AG 2. -
Statut Généra l du Personnel co mmun a l ... .
58
TVX 5. Pour le Préfet et par Délégation,
Ce ntre
AG 2. -
....
. .. .
A\a rchés des collectiv ités loca les payables par a nnu ités .. .
58
Conditions de renouvellemen t des allocat ions viagèr es ...... . . , ... .... . .... .. , . . . .
58
Maxime MIGNON .
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
Avis de co ncou rs. -
i\;\ai ri e d'A ix-en-Pr ove nce ..
_ .. __ . ..
_. . • . . . .
_ . . • ..
61
ABIU~ ,"lATIO NS. A. P. : A rrêté préfectoral. - C. . Circu laire. - Les lettres 0 et 8 suh' i ~ s d'un chiff r e
indi4uent le Service O\t Bureau d'o ri gi ne.
D. S. '1'. : Direction des Serv ices Techniques. - O . V. S. : D ir ectio n
Départementale de la Sauté. - D. D. P. : Direction D é pa rt em~ n tale de la Population.
M--------------~--~---------------------------hn".. ull: NOIJ'VE"LtJE DE M.u:nnu, 120. rue Sainte
~
�,___T_E_X_T_E_S
__D_'_IN_T_É_R_Ë
__
T..,..G_É_N.._É_R_A_L--.J]
RATTACHEMENT DES BUREAUX DU TIMB RE EXTRAORDINAIRE
ET DU T RIBUN AL DE COMMERCE AUX BUREAUX DE LA DEBITE
DU TIMBRE ET DES JUSTICES DE PAIX
B3 B2 - AG 0
0 3 B2 - FS 2
Ta xe sur les op érations de Bo urse.
D IREct iON GEN Œ AI..E D ES IMP OTS
(ENREG ISTREMEN T)
ARRETE
Le Di recteu r Gé néral des Impôts, Comma ndeur de -l'O rd re
' ational de la Légion d' Ho nn eu r,
Vu les a rrétés des 21 octob re 1933, 23 juin 19-16 et
16 an il 195 1 fixant les attr ibutions respectives des bu rea ux de
Marseille;
ARRETE
Article premier. -
Les bu rea ux du T imb re Extraord in a ire
et du T r ibu nal de Commerce son t sup pri mes et rattachés respecti\Teme nt a ux bu rea ux de la Débi te du T imbre et des
j ustices de P aix - Huissie rs II.
Arf. 2. - L es attri butions et appellations respectives des
bureaux fusionnés et de ce l ui des Huissie rs l, sont fi xées ou
modifiées a insi qu'il s uit:
10
Bureau du Timbre (anc ienne appell atio n : Bur eau de
la Débite d u T imbre).
D ébite du Timbre aux dist ributeu rs auxil iai res, aux débitants de tabacs, aux services publics et au public.
Ti mbr age à l'extraordinaire.
Visa pou r timbre, droits de timbre payés sur éta :s.
Machines à ti mbrer_
Taxes su r le chifre d'affaires due par les ma rchands de
biens.
Impôt sur le re\'enu des valeu rs mobilièr es ét rangères.
3" Bll rea ll d es Actes Administratifs (a ncienne appellaHo n : Bu rea u des H uissier s 1).
Actes admi nist rati fs.
Ac tes des Commissai res Priseurs, porteurs de con trai nte3
et co ur tiers de marchandises.
D ébite ùu ti mbr e de dimension nécessai re aux Commissaires Priseurs.
Art . 3. - Am pli a ti o n d u prése nt a rrê té sera dé posée aux
sec rétar iats de la Pr éfecture et de la M airie, ainsi qu'au:<
greffes des T rib unaux Civils, de Commerce et de simple polic~,
et des j ustices de P a ix de Ma rseille.
Fa it à P a r is, le 12 déce mbre 1952
Pour le Directeur Général
et pa r délégatio n,
l'Adm inistrateur
de (a 1ère Division el du Personnel .R. jAILLE T .
Impô t sur le revenu des créa nces payé sur ét ats.
2" Bureau des Justices de Paix - Huissiers et Tribunal
de Comm erce (ancienne appella tion: Bu rea u des Justices de
Paix et Huissie rs Il).
Actes et jugements des j ustices de Paix de Marsei ll e.
Assistance judiciai r.e devant ces ju r idictions.
Le présent arrêté ent rera en vig ueur le 26 fév ri er 1953, en
ce qlJi conce rne la suppr ession du bureau de Marsei lle (Tim~ e
Extraordin aire) et so n ratiachement à celu i de Marseille
(T imbre).
Les aut res dispositions entreront en vig ueu r à une date
ultér ieu re.
Enregistrement des actes d' huissiers.
Débite du papier timbré aux greffiers des Justices de Paix,
du T ribunal de Commerce et aux huissiers.
Liquidation des congr éga tions.
et jugemen ts
du Tribunal de Commerce
de Mar-
CENT RE DEPART EMENTAL HOSPITALIER POUR NOURRISSONS
DEBILES ET PREMATURES
Ma rseille, le Il Me rs 1953.
Im pô t sur le chiffre d'a ffai res dû pa r les ba nqui ers, chan_
geurs, esc ompteurs, agents de change, remisiers, cou l issier~
assureurs, co urtiers d' assuran ces, co urt i ers maI itim es et autre~
personn es pratiqu ant l e commer ce des va leurs ou de l'a rgent.
Procès-ver ba ux de -co ntravention et autres actes extraj udiciai res.
Acles et jugements du T rib unal de simple police.
T axes de tim bre et d'enregistrement d ues sur les co ntrat)
lI 'assur ances.
Paiement des traitements du personnel.
Actes
seille.
!~T_E...a.X_T_E_S__D_'I_N_T_É_R_Ë_T_C_O_M_ M__U_N_A_L_
A Ma rsei ll e, le 24 fév ri er 1953.
Le Directeur :
Si g né: TURG UI E.
L e Pref et des Bouches-du-Rh ône
li MM . l es Mai res du D épart emen l,
à MM . l es SO ll s-Prefets d' Aix el d' A r l es,
à M. le Direct eur Général d e l'Administra tion
de l' Assistance P ublique de Marseille,
J' ai l' honneur de si gnaler à nouveau à l'a tt ent ion de
JW'1. les Maires du Département que, par arr èté du 23 déce:r.bre 1950, pris en exéc ut ion d' une délibératio n du 25 novemore
1950 du Conseil Général, il a été créé en annexe au Foyer
Dépa rteme nta l des Pup ill es de St- jose ph, un Ce ntre Dépar ;cmental Hospita·li er pour nour r isso ns, débiles et prématurés.
Ce nouveau ser vice sa ni tai re, qui co mpte 20 lits, fO llc·
t ionne il la pouponni ère de ce t établ issement depu is le 10 j uillet 1952.
Les adm issions som prononcées par le D i recteur, aprl':'i
avis du médeci n-chef de se rvice.
Il co nvient d'a lerter le Centre dès la naissance, cel ui-ci
assure le transport qui se fait, so it en inc uba teur po rtatif, soit
en be rcea u-ma llett e, dans un vé hicu le aménagé et so us !a
survei ll ance d'u ne puéricu ltrice.
Les frais d' hospita lisatio n pe uvent être pris en charge, au
tit re des prestatio ns malad ies, pa r ·Ia Caisse de Sécu rité Sociale, suiva nt tarif de respo nsabilité des 'Caisses pour les t nl'utai res des régim es de Sécu rit é Sociale.
En cas d'i nsuffisa nce des resso urces, il peut ~t re dema nJ ê
le bénéfice total ou pa rt iel de l'Assista nce méd ica le gr atui te,
confo rm ément à la lo i du 15 j ui ll et 1893.
Le pri x de jo urn ée d' hospi ta.lisation a été fixé à 3.000 Frs
l,o ur 1953.
Po ur le Préfe t,
Le Sel'rétaire Général .
Max ime M IGNON.
IPeuvent y êt re admis dès les 24 pr emièr es heures, les
prémat urés pesa nt moi ns de 3.()(X) grammes à la naissa nce.
05 BI - AG 0
FONDS DE GARANTIE AUTOMOBILE ACCIDENTS CORPORELS
Ma rseill e, le 6 Ma rs 1953.
Monsieur le Préfet des Bouches-du-Rh6ne
à Messieurs les Maires du Départem ent ,
La lo i n" 51- 1508 d u 3 1 décemb re 195 1 (a rt. 15), a Cree
t'n fonds de ga ranti e au profit des victimes d'accide nts d'alltcmobil'es.
Le règlement d'admin istration publique, en date du 30 juin
1952 prév u pa r ce texte, dis pose nota mm e nt (art. 6), que tOlite
t ra nsaction aya nt pou r objet de fi xe r ou de rég ler les i ndemnités dues par les responsables non assures d'accidents COfl'orels ca usés par l'emploi de \'éhicu les automobi les doit êt re
I:otifiee au Fo nJs lie ga rantie pa r le débiteu r lie l'ind em nité
cl.ans le delai d'u n mois, par lettre recommandee, avec demande
c!'avis de réception.
Ces dispositio ns étant susceptibles tle s'appliquer notamment aux co llect ivités locales ainsi qu'aux se rvices en ré gie
ou co ncédés uti li sant des vé hicules automobiles, j'ai l'h o nn~ur
cl'appeler vo t r e attention su r l'obligation qui VO li S est faitt~
(l'avise r ·Ie Fonds de Garantie, con formémellt à l'avis du 9 110-
lembre 1952 (J.O. du 9 nOl'emb re, p. 10.568), de toutes tran sact ions relatives à des accidents corporels ca usés par des
vthic ules automobi les et non intégra lement cou\'erts pa r une
pOlice d'assu rances.
Eta nt do nné, d'a ut re par t, que les responsabl es sont appelés en ve rtu de l' a rtic le 14 du décret du :;0 jui n 1952, et de
J'art icle 1er du décret du 8 aotit 1952, il \'erser au Fonds de
Gara ntie une co ntr ibution de 5 70 â 10 % su r le mo ntd nt
des indemnités dont le paiement r este il ·!eu r char ge l orsqu'ils
sont, pour to~t ou pour partie, leur propr e assureu r, je me
pe rmets d'insister su r l'i ntéret qui s'attache il ce que vous
souscriviez des cont
rats d'assu rance couv rant l'in téO'ra
lité des
•
b
dommages susceptibles d'être callses par les \-éhicules automobiles apparrtenant il la commune.
Il vous appa r tient également de vciller il ce que les po.ices d'assurances concernant \'OS sen'ires puhlics comport ent
ks m~mes garanties.
Pou r le Préfet,
Le SL'CréJaire Genéral DNégué.Maxime 1\\lGNON.
'>7
�02 B3 . AG 2
STATUT GENERAL DU PERSONNEL COMMUNAL
MODIFICATION A L'ARRETE PREFECTORAL DU 16 JANVIER 1953
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur .
Vu l'article 13 de la loi du 2-8 Av ril 1952 portant $tatut
Général du personnel des co mmunes et des établissements
jJublics communaux et intercommunaux ;
Vu le décret du 6 Septembre 1952 fi xant les ,onmtions de
constitution et de fonctionnement des synd icats de communes ;
Vu la circulaire ministérielle n" 3S2 du 17 Oc tobr e 1952 ;
Vu l'arrêté préfectoral d" 16 Ja nvier 1953 ;
02 B3 . TVX 5
Le Ministre de Iïntéricur,
REFER. -
Ml~
A~T I CLE PRE.\II E~. L'article 1er de l"arrêté Susvisé es,
co mplété a insi q u' il suit :
2\1 arrondissement ct' A IX , Rousset.
ART. 2. - M . le Secrétaire Gén éral de la Préfecture esl
cha rgé de l'exéc utio n du présent arrêté.
,~\"1rseille,
!e 10 M'a rs 1953.
Signé: Ma xim e M IGNON.
MARCHES DES COLLECTIVITES LOCALES PAYABLES PAR ANNUITES
Paris, le 27 Jan vier 1953.
il
ARRETE
les Préfets.
Ma ci",ulaire n' 309 du 6 Septem bre 1950.
Pa r circulaire du 6 Septembre 1950, j'ai appelé votre atte ntion sur les marchés co ncl us pJr les collectivités locales et
comportant des clauses de r èglem ent par a nnu ités.
Je vous ai p récisé les conditions dans lesquelles les marchés
:le cette nature pouvaient être approuvés et notamment la
nécessité de prévoir que les annuités ne seront réglées pa r la
collectivité que sur justification de service fait ou après réception
prOViSoire des travaux.
11 m'a été donné <le constater depuis lors que l' application
de ces !prescri ptions ne suffisait jJas à garantir pleinement les
aucune possibilite pour la co llechvité de suspendre le paiement
des annuités ni aucune retenue de ga rantie,
Vous aurez don c soin <te vei ller di:sO'Tmais à ce que dan
les mar,ahés en quest ion soit incluse une clause prevoyant
expressément que jusqu'à dlé livra nce <lu proces-verbal de récephon défin itive le r èglement des an nui tés ne sera effectué que
sous déduction ,d' une certai ne somme (5 ou 10 %) du montant
<.lu marché) équiva len t rit un e retenu e habituelle de garantie.
A u cas où le marché prévoierait la cession des annllites
pour l'entrepreneur et te \' erseme nt des som mes provenant de
cette cession entre les mains d'un séq uestre, la clause v isé~
ci-dessus pourrait être r emplacée par une disposition formelle
prévoyant qu' un po urcentage ,de cette som me (5 à 10 'if )
r €'Stera à tit re de retenue de garantie, et jusqu'à réception définitive, entre les mains du séquestre qui pourra la Nerser directement à la com ltlune en cas de malfaço n dlûment constatée.
collectivités contre les inconvenients que peuven t ,présenter les
marohês en question ,
Pour le 'Ministre de l'Interieur et pa r délégation,
Le IP,éfet
fJl effet, entre la réception provisoi re et la réception d'é!i·
nitive, les t ravaux et fournitures peuvent se revéler défectu eu x
et la plupart des marchés payables pa r a nnuités ne co mp ort ent
Diredeur de l'A.ct ministration D épar tementale et Communale,
P. DA:N~ELON .
les réser ves énoncées ci-ap rès, les allocations accordée~
pa r les assemblées loca les a ntérie urement a u 1er juill et 194 1.
SOU S
11 Y a lieu de distinguer nettement ces allocations de
œil es qui, octroyées en application d' un r èglement de ret raites, co nstituent de vé ritables pensions et, comme telles, co nt;nuent à être payées trimestriellement sur fonds spéciaux p(tr
la CJisse des Dépôts, o u ses préposés, ap rès prod ueti on par
Ja coilectivité d'états d'ordo nnanceme nt et au vu de carnets
à coupo ns, san qu'i l soit besoin de les soumettre chaqu e
année il l' approbat ion d' un e assembl ée local e.
Enfin, ,i l y a lieu de préciser que des anciens agents, ~ Ul
ont été ass ujettis pendant quinze ans au moins à la Caisse
Natio nale des Retraites pour la Vieillesse, ou aux Retraites
Ouvri ères et Pa ysa nnes, doivent voj,r leu r rente ou pension
po rtée au tau x d e l'allocation aux vieu x tr availleu rs saLar iés (A.V : r .S.).
Les allocations différentielles, obli gatoires en appl ication
du décret du 25 février 1946, doivent être pa yées directement, c'est-à-di re sans le co nCours de la Caisse des D épôt s
et Consi gnations, soi,t par la collectivité employeur, soit par
la Ca isse Régionale d'Assurances VieilJesse, si les inté ress~s
ont été affil iés aux Hetraites ouvrières et paysannes ou aux
Ass urances sociales.
~ E1Les
doivent f igurer cependa nt sur la noti ce des ressources des allocataires, au cas où ces derniers bénéficie raient ,
en out re, d'u ne allo ca tion viagè re.
/1.- Co nditions de renouvellement des allocations attribuées antérieurement au 1er juillet 1941.
a)
Révision annuelle
Au co ntrai r e, le renouvellement des allocatio ns viagè res
accord ées en dehors d' un régime de retraites à d'anciens
agents en raison de ieurs états de se rvice, doit êt re soumis
chaq ue année à l'approbation de J'assemblee locale.
b)
Taux des allocations
Afin de tenir co mpte des difficultés économiques actuelles, il a été décidé q ue ces allocations pourraient èt re maj orées dans ce r taines li mites. Ces lim ites se ront fixées par référence au r égim e des pensions, éta nt bien entendu, naturellement, que cette référence n'aura pas pO.ur effet de modifter
la natu re juridique de l'all ocation,
Il a été a insi pr évu que le tau x tles allocations pourra
02 B3 . AG 2
CONDITIONS DE RENOUVELLEMENT DES ALLOCATIONS VIAGERES
J'ai l'honneur d'atti rer l'attention de ,\11'-1.. les Maires du
Departement sur le texte de la circulaire AJ)C/~ER n' 52 en
aate du 24 Février 1953, par laquene Jv\\ le Ministre de l'lnt"·
rieur j>récise les conditions de renouvellement des allocations
viagêres allouées antérieurement au 1er Juillet 194 1.
Ci-dessous le texte de la circulair e.
Pour le Préiet des Bouches-du-Rhône,
Le Secrétaire Général,
Signé : Maxi me M 'IGNON.
Paris, le 24 Février 1953.
Le Ministre de J' I ntérieur
à Messieurs les Préfets de la Métropole,
J'ai l'honneur de vous faire con naître qu'il m' a païU
nécessai re de modifier ou de compléter su r certains poinr.;
les instructions données dans ma circu laire nO 461 AD/3 du
12 décembre 195 1 relative à l'objet ci- dessus mention né.
La présen te instTllction ann ule donc et remplace la Clfculaire précitée.
1.- RapPel des prin cipes
En inte rdisant aux collectivités locales de fai re bênfticie r
Ie:urs jJersonnels d' avantage de r etraites supérieures à cm,l :\
prévus en faveur des fonction nai res de l'Etat, la loi du ~ J\llllet 194 1 a form ellement condamné le système des allocation;
viagères.
Ces allocati ons repr ésen taient, en effet, un aV:lntage sans.
équivalent da ns le régi me géné ral des pensions Pl1 ls qu'elh :o
Haie nt acco rd ées en dehors de tout règ,lement de retra ites , \
sans auCune con tr ib ution préalable de la part des belll'·
ficiai res.
D epuis le 1er juillet 194 1 tOlll e nOllvell e allribllfiofl, SOI''Î
,
' t d'alluQuelque fo rm e ou dans quelles conditio ns que ce SOI,
cations ou de secours viage rs à des agents départementaux
ou com munau x, est interdite.
Seil les peU\'ent etre reconùuites, dans les co nditions l't
A co ndition de ne pas dépasser l e ma xi mum auto risé, les
assembl ées i ntéressées ser on t li bres, si ell es le jugent utile,
non seulement de faire va r ier le pourcentage d'une année à
J'autre, maÎs également, au cou rs d' une même année, de fixer
Cc pou rce ntage à un tau x différent, suivant l es attribution3,
de façon à tenir compte de l 'inté rêt des situations particuJi ères ou de la qualité des services rendus.
Les ser vices militai res de temps de paix et de temps de
guerre pourront être admis pour le ca lcu l des années de service, mais ne sero nt comptés que pour leu r durée effective.
c)
Possi bilités de cumul des allocatiofls a l'er d'aut res ressources
Les all ocations visees par la présente circulaire pourront
t tre cumu lées avec tous l es autres re ve nus, y compris l'alloca'tion aux vie ux travailleurs salariés et l' allocation temporaire
aux viei llards, à con dition que le total des ressources perso nnell es de l' allocatai re (y comp ri s, bien entend u, le secour~
viager accQrdé par la co-Jlectivité), ne dépasse en auCun c~s
le maximu m pré vu par l' article 5 de l'Ordonnance n° 45.170
du 2 fév r ie r 1945, modifiée pa r la loi n" 51.1125 du 26 seplembre 1951.
.
Ce maximum est ac tuellement fi xé à 188.()(X) frs par an
pour un alfocatai re célibataire et à 232.000 frs par an pour
un allocatai re mar ié. Il convient d'appeler l'attention des
co l1.ecti vités sur le f.ait que les secours viagers accordés ne
devro nt pas entraîner un dépassement de ces m axim um, ca r,
clans ce cas, ta loi précitée a prév u que les allocations aux
vieux tra\' ailleurs seraien t r éduites en co nséquence.
Les seules resso urces qui n'entrent pas en ligne de
compte pour la déterminatio n des maximum fixés et qui ne
doivent pas fi gurer sur l es notices individuelles des allocataires, sont celles VIsées par la législation des \,ieux travailleurs
salari és, c'est-à-di re la retr aite des anciens combattants, les
traiteme nts afférents à la Médaille Militaire et à la Lég io.l
d' Honneur, les all ocations farnHiales, etc ...
Doivent donc être déclarées toutes les autres r essou rces,
y compris les ressources du conjoint, les pensions de mutilés,
de veuves de guerre ou d'ascendants, les rentes dlacci dents
du travai l, les all ocatio ns temporaires des économiquemellt
faibles, l' allocation au x vielLX tra va illeurs salariës, etc ...
11/.- Cas particulier
Pour répondre il diffé rentes questions qui m'ont ~t.!
posées, il m'est apparu nécessaire de vo us donner les pr écisio ns suivantes:
ètre ca lcul é en fo nction du tem ps de services accompli pa r
l'agent considéré, chaque année de ser vice éta nt affectée d'un
pourcentage déterminé tlu mini mum vital tel qu'il est Vrévl1
il l'article 65 de la loi du 20 septembre 1948, mais sans qu en
aucun cas, ce po urce nta ge puiss e êt re supéri eur à 3 %.
a)
Le minimum fixé par J'article 65 de la loi du 20 septelflbre 1948, dont le montant a été modifié par l 'i ntervention du
décret du 26 septemb re 195 1, est actuellement de 120.000 FI ;
(soit 80 % du montant des emol uments soumis il retenues
pour l' indice 100 - a rt . 2 ùu decret n" 5 1/ 1129 du 26 septem·
bre 195 1.
Les allocations viagè res sOnt des alloca tions d ' ancienn~t(:
basées sur les ann ées de services. Ne rentrent donc pas dans
cette catégorie les allocations accontêes pour réparer le p rejw..liœ résult ant d'un accident du tra\' ail et qui font l'Objet
d' une règ1ementati on spéciale à. laq uell e il convient de s ~
repo rter.
Un anci en agent communal titulaire de 20 an nées d~
service et en fa ve ur duquel le Conseil Municipal i nteressé a
décidé l'at tributi on d'une allocaton égale à 2 % du min imum
pa r an née de service, pourra do nc recevoi r au maXlIl1Um :
20/ X 2 X 120.000
=
4S.000 Frs
100
Si la Olesure con ce rn ait la l'euve d'un ancien agent
compta nt le même te mps de service, l'a l location sera it égale il
I ~ moitié du montant de ce lle dont aurait bénéficié son mari
soit:
48.000 : 2 = 24.000 F rs
b)
Accidents du travail
Réversion
L'a llocation viagère peut t?t re repo rtée pour moitié sur la
ttte de la veuve d'u n allocataire, dans tous les cas où l a
délibération d'o ri gine qui l 'attri buait, avant le 1er j uillet 1941
au mari , n'excluait pas expressement cette ré\'e rsion.
,)
Droits des h éritiers
Les allocations viagè res, aya nt un caractère personnLi,
pou rront être rev endiquées par des ayants-d roit, et notalnment par la ve uve, en vertu de l'article 18 de la loi du 12
é:.\'Ti l 1922, que si elles ont fait l'objet d'lin ordon nancemen t
11('
59
�.
r e\~tu
ù li
Vu Bon
C
.a' ·Pal'e r
.
> de l a Caisse des Dépôts el
Consignations. Dans ce cas, le montant ordonnancé est pa:/~
en totalité aux ayants-droit ap rès justification de leurs qua-
lités, et la ,'eu,'e n'a droit à la re\'ersion qu'ap rès )'expiratior.
de la période visée dans J'o rdonnancement.
d)
Les allocatio ns ,riagères ne peuve nt êt re octroyées qu'à des
ex-aO'ents dépa r tementaux, co mmuna ux o u d'établissements
PUbl~S loca ux; elles ne pe u\'ent do nc être att ribuées à ~cs
.
. . n'al'a nt pas (à ce ti tre
sapeurs-pompiers
volon tai. res, ceux-cI
la qualité d'age nt communal.
Les commu nes utilisant les services de sapeurs vol o nt a~
res peu\'ent co nstituer l!ne caisse spéciale da ns les conch-
tio ns pré\"ues pa r la loi du 5 av ril 185 1.
déliberations
portant re!loupelle·
ment des allocations.
Aux termes de l'articl e 2 de la loi du 3 juillet
194 1,
l'attribution des allocations "iagè res do it èt re so um ise à un~
app robation ministériel le.
Il est cependant apparu désirable, da ns l'intér êt des allocataires lorsque les pr escriptions !lu chapi tre !Il ci-dessus seront
observë~.
de reco urir, tout en respectant l'esprit d e la ~égis
latio n de 194 1, à un e p rocédure simplbfiée, plus expédit·ive qu e
celle t'dictée par ce texte.
C'est seulement en cas de contestati ons ou de diffi cultés
soulevées, soit pa r les <collectivités, soit par les bénéficiaires,
et susceptibles d' entrai ner des recou rs contentieux, que les
dossiers de demande devront être adressés comme p récédemment aux Ministres de l' Intérieur et du Budget.
Au contraire, lorsque les demandes J}resentées rentreront
dans le cadre des prescr iptions du chapitre Il, il suffira d'ob-
server la procédure suiva nte :
Les dossiers des allocations soumises à renouvellement
doivent être établies en quadruple exemplaire dont deux doivent
parvenir, -chaque année, par votr e inter médiaire, à la Caisse des
Dépôts et Consignations (Hl" Division, 2' B ureau) et compren-
lir e :
10 L 'a.vis d1J T résorier-Payeur Général ;
2 0 Une notice, par allocataire, faisant ressortir
a) L'état-civil de l'intéressé (mar ié, veuf,
célibataire ou
'tÜvorcé) ;
b) Le décompte Ge l'allocation (compte tenu des se r vices
civils et militaires) ;
COMMUNIQUES
..
AVIS
- ANNONCES
DIVERSES
(Cette notice devra êtr e approuvée et si gnee de l'allocataire.
Sapeurs-Pompiers
IV.- Approbation des
c) Les diverses r esso urces chiff r ées, de l'alloca taire et even_
tu ellernent de so ~ conjoint (là. la s.eule exception des reSSOurces
susment ionnées n entrant pas en !Igne de compte 'POur la déter_
mination des maximums prévus par la !égislatio n Sur les vieux
travailleurs salari és).
3<;1 L' extrai t, cer tifié par vos soins, de la dé-li bérati on de
l'assemblée loca le qui a accor dé pour la premièr e fois l'allocat ion ava nt le 1er ju ill et 194 1 (inuti le d'envoyer cet extrait à
c.haqu e r en ouvell ement, mais viser seulem ent ce tt e première
délibération dans la dema nde <le renouvellement).
4" L'ext rait, également ce rtifié et approuvé ex.!)ressement
pa r vos soins, die la déli béra tion qui r en ouvelle - et le cas
échéa nt majore - ladite allocatio n pour l'année en cours.
5<;1 Un tableau r écapitulatif des allocataires d'u ne même
collec ti vité, aNec le monta nt de l'allocation att ribuée à chacun
dieux. C'es t sur cet état que la Caisse des Uépôts et Consignations ap1X>sera son « V u Bon il P ayer ».
Au cas où, soi t en raiso n des obser,vatio ns du T résorierPayeur Général, soit de vo t r e propr e ohef, vous esti merez ne
pas devoi r tdo nner suite aux proposit ions, H vous appa rtiendra,
so it de ,déclarer, l e "as ec héa nt, la délibé ratio n null e de droit
po ur illégalité, ,pa r appl icati on d'es ar ticl es 63 et 65 de la loi
mu nicipale (ce serait le ca s, par exempl e, de l'octroi d' une
alloca ti on qui n'a urait pas été instituée ava nt le 1er juillet 194 1),
AVIS DE CONCOURS - MAIRIE D'AIX-EN-P ROVENCE
La tlvll3iri e d'Aix- en-Provence orga nise un conco urs pour le
recrutem ent d'u n rRécllacteur et un conCO urs pou r le r ec r utemen t
d'un COlll mis.
Limites d'âge: 21 ans au moi ns et 30 ans au plus au 1er
• janvier 1953, (prolo ngée d' li n an par entant il charge et des
services milita ires obliga toires).
Dipl6m es exigés :
- Pour r em ploi de Rédacteur : Baccal auréat de l' Enseignement Seco ndaire, B revet supérieur de l'Enseignement Primaire, Dilplôme dt! l' Bcole Natio nale d' A,dministratio n M unicipale
de l'Uni versité d'e Pa ris.
Pour l' em ploi de Commis : B revet Elémentai re de
t' enseignement pr imaire, diplôme de Capacité en Droi t, diplôme
de fin d'études seco n~ai r es, diplôme de Gr adlJé de l'Ecole Nationale d'Admi nistration Mu nicipa le de l'Université de Par is.
Dépôt des demandes :
-
Pour l'emploi d'e Rédacteur : I l A~ri l 1953 ;
- Pou r l'emploi <le Commis: 15 Avri l 1953.
Derni ers délais.
Pou r tous r enseignements sur la constitution des dossiers
et le programme de ces co ncours, s'adresser en Mai r ie d' Aixen- Provence, Ser vice du Personnel.
soit en applicat ion d'es articles 69 et 148 de cette même loi,
<ie r ej eter ou de réduire les cred.its budgéta ires do nt le montant
vous parait rai t exagéré, eu éga rd aux r essour ces comm unales.
V. M ise en paiemen t.
Dans un but de sim plifica tio n, pour éviter tout mouvement
dE: fo nds et réd1utr e les déplacem ents des allocatair es, les allocat ions viagèr es, c'est-à-dir e celles sujettes à renouvellement
annu el , seron t désorm ais payées di rec tement par le Receveur
de la collectivité or,do nnatrice, sur les fo nds propres de celle·ci,
dès q ue fun ,des dossiers transmis là la Caisse des Dépôts el
Co nsignati ons aura été r envoyé r evêtu par celle-ci de son « Vu
Bon il P ayer > .
La cireulair e de la 'Co mptabilité Pub lique n° 1088 du 17
Ma rs 1952, sera modifi ée en co nséquence.
Pour l e Préfet et par Dél égation,
Pour le IMinistr e et par délégation,
Le Secrétaire
le Pr éfet
G~neral
:
Maxime M IGNON.
Di recteur de l'Administration Departementale et Comm unale,
Signé : P. D-"'MELON.
!"rlt.IIE ltIK
Nouvu!."
Di
MARSEILL E, 120,
rut: Saintt:
6\
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
RÉPUBLIQUE
Numéro 12
~e~
FRANÇAISE
26 Man 1953
...,
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~~U~IL ~~~
; .•
DES
r 1
'01
ACTES ADM 1N ISTRATIES/
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
Il
TABLE DES MATIÈRES
1
TEXTES D'INTERET GENERAL
FS 7, -
H ôpitaux et Hospices publics, -
Etablissements de cure et hôpitaux psychiatriques
AG 13. -
Evaluation des dommages de guerr e aux éléments d'eXlploitation non agr icoles ........
TVX 0, -
E la'rgissement du Chemi n D épa rtemental
FS 7, P 3, -
AG O. -
Il ·
4 de St.Louis il St-Menet
Centre départemental de Rééducation de j'Enfance déficiente. -
Prix de j ourn ée
64
64
65
65
Po!ice de la chasse "
66
UQmma ges ca usés par les Forces All iées stat lonll ées en F rance
66
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
Fe 7. -
D éc ret du 7 mars 1953 rela~if à l'organisatio n dES corps des sapeurs-porn~iers
67
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
P 8. -
Déc héa nce de la Nationalité française
67
AUH.EVJATIONS. - A . P. : Arn:té prdectora l. - C. . Circulaire. - Les lettres n et B sui\"io!s d'un chiffre
indiquent le S rv icc 011 Bur eau d'or igine. :- O. ~: T . . : Dir.cllioll d es Services Techniqu.t!s. - O. 1). S , : Direction
Dépa rt ementale d e la Sauté. - O. D. 1 . : DJrect lo ll DC\I;\rtcllltntale de la Popula.tton.
�TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
D3B2-fS7
HOPITAUX ET HOSPICES PUBLlC.S
ETABLISSEMENTS DE CURE ET HOPITAUX PSYCHIATRIQUES
Le Ministre de la Saille Publiqllt!
et de ta Poputation
à MM. tes Préfets,
J'ai l'honneur de \'ous faire connaH re que mon attention a
appelée sur les difficultés qui se sont élevées dans certain.:;
dëpa rt-ements au sujet du paiement des f rais d' hospitalisation
des assur és sociaux pour 1953.
ét~
Certaines caisses de Sécurité Sociale n'acceptaient pas, en
effet, de régler les frais de séjour de leurs ressortissants selo!l
les tarifs fixés par arrêtés préfectoraux conformément à J.
rt!glementation en vigueur.
Pour mettre un terme aux difficultés ren co ntrées en la
matière, cette aHaire a été soumise à l'a rbitrage de la Presidence du Conseil, et, à la suite de cet arbit rage, il a été dédd~
que les tarifs à réclame r aux malades hospitalisés dans les
D5 BI - AG 13
L'Ingenieur en chef, délégué du ministre de. la Reconstruct!on et de l'Urbanisme pou r les départements des Bouches-dlll~h6ne, Gard, Lozère et Vaucluse;
Vu les dispositions des articles 3 - 38 - 3U - 40 et 71 de
la loi du 28 octobre 1946 sur les Dommages de guerre,
Vu les dispositions des articles 18 - 19 - 20 du décret
46-2960 du 31 décembre 1946 portant règlement d'admi nistration publiq ue pour l'application de la loi sus-visée j
Il''
Vu les dispositions de l'article 13 du décret n" 50-1 82 du
3 février 1950, relatif à l'intervention des architectes, exper :s
et techniciens dans la constitution des biens endommages par
Îaits de guerre ;
Vu l'a rreté de ~\. le Ministre de la Reconstruction et de
l'Urbanisme en date du 5 mai 1950 portant délégation a sc,
délégués départementaux pour fixer le point de dépar t du délai
df. six mois imparti aux sinistrés pour le dépôt de leur dossier
<j"évaluation ;
Vu mes décisions des 22 septembre 195 1, 8 fév ri er 1952,
mai 1952 et 18 juillet 1952,
DECIDE
Article premier. - Le programme d'évaluation des é:~
nlents d'exploitation affectés à un usage industriel, commercial, artisanal, professionnel. social, culturel Ou à un ser vkc
public, doit etre, dans le département des Bouches-du-Rhônt,
réalisé avant le 1er septembre 1953, pour les professions SUI\'a ntes
64
hopitaux et hospices publics, les étab lissements de Cure et les.
hôpitaux psychiâtriques, se raient les prix de jou rnée fix~
pour l'a nn ée 1953, par les arr êtés préfecto raux pris Conformé_
ment aux dispositions d" l'ordo nnance du 18 décembre 194-1
du règlement d'Ad minist ratio n Publique du 17 avril \943, m~
difié pa r le décret du 19 octobre 1951 et la Ci rculai re n' ln
ou 28 no,'embre 1952.
J'ai demandé a M. le Ministre du Travail et de la Séeurile
Sociale d'ad resser à ce suj et toutes instructions utiles aux
organismes rel evant de .son autor ité.
Vous voud rez bien me tenir au co urant. éventuellement
des difficultés qui pourraient enCo re se présenter pour l'appli~
cation de ces dispositions.
Le Ministre,
Paul HIBEYRE.
EVALUATION DES DOMMAGES DE GUERRE
AUX ELEMENTS D'EXPLOITATION NON AGRICOLES
CINQU IE,\\E TRANCHE
I~
-l
-
Distiller ie,
Matériel de5 hôpitaux et cliniques,
J\\obilier et matêriel de burea u,
Professio ns libêrales,
Savonnerie,
Installations téléphoniq ues,
Verrerie, cristallerie,
Vins, (matér iel et stocks),
Industrie de textiles - Livre I X - Bonneterie.
Art. 2. - Le dél ai du 1er septembr" 1953 n'est valable qu~
pour les biens dont la reconsti tution n'a pas été déclarée prioritai re, les arr êtés de prio rité fixant les délais de rigueur qUI.
lE cas éc héa nt, se substituent au délai ci-dessus.
Art. 3. - Les listes des dommatTes
subis ' si l'é\raluatior.
b
.
app roximati\'e en valeur actuelle est inférieure il deux mIl·
lions;
ou,
Les r apports établis par des experts agréés, si l'évaluation
est supér ieure à deux millions, devront en consequence pour
les bie ns des catégories ci-dessus précisées et servant il l'exer·
ci ce des professions limitativement énumérées il l'a rticle 1.er,
i.1re déposés ava nt le 1er sep tembre 1953, il la DélégatlOll
Interdépartementale des Bouches-du-Rhône, 50, rue St-Laza",
Marseil le.
Art. 4. - Les propriétaires des bie ns visés à l'article I.er,
(l uront la faculté de signifier à mes ser vices avant l'cxpiratIOa
au dél ai ci-dessus fi xé, qu'i ls n'entendent pas, soit déposer
e u x-m ~ m es la liste des dommaO'es qu' ils ont subis, soit faire
t>
•
d'un
procéder par un expert de l eur choix il l'établissement .
rapport et qu'ils laisse"t par suite ce soin il l'Adminislra\lOu.
Art. 5. - Les pièces techniques nécessaires à l'évaluation
tics d~mmages vi~és à l'article 1er, qui n'a uront pas été dépo~ées a mon serVilte des Dommages de Guerre ou confiées tt
l'initia ti ve de ce dern ier, avant le 1er septembre 1953 seront
établies d'office par les exper ts agréés désignés par l'AdmiOlstration.
Art. 6. - Les experts qui sero nt désignés par l 'Admi nistra.
tion pour procéder aux évaluations seront rému nérés da ns les
conditions <lu titre II I du décret n' 5O- I S2 du 3 févr ier 1950.
D5 B I - TVX 0
Ma rseille, le 15 février 1953.
R. CtlLLOUD.
ELARGISSEMENT DU CHEMIN DEPARTEMENTAL N° 4
DE SAINT -PONS A SAINT -MENET
ARRETE
Le Préfet des Bouches ·du-Rhôn<
Officier de la Légion d'Nonneur,
Vu l'a rrêt é préfectoral en date du 28 février 194 1, prescr iva nt l'enq uête d' utilité publ ique sur le projet d'élargissement
du chemi n dépa r temental n' 4 entre le CV.O. 37 et le C.V.O. :;
dans la comm une de Ma rsei lle j
VII les plans et devis d,ressés pou r l'exécut ion de ce projet:
Vu les articles 2 et 3 du décret-loi du 8 aoOt 1935 sur
l'ex prop riation pour cause d'uti lité publique;
Vu le décret du 2 mai 193tl pontant régi emelilatio n d'administrati on pu blique relatif il la procédure <l'enquéte préalable
à la déc laratio n d' utilité publique j
Vu les r és ultat3 de "enquête ouverte du 24 mars au 9 avri i
104 1 ;
Co nsidérant que les forma lités réglementaires ont été ob..
servées, qu'a ucu ne déclaration n'a été fo rmul ée contre le projet,
que la Commission d'enquête a émis un avis favorable ;
D3 B2 - fS 7
Art. 7. - La pr ésente décision fera l'objet de la plus
grande diffusion, par insertio n da ns le Bulletin des Actes Ar:ministratifs du département et da ns la presse départementale.
par affi chage da ns les mairies et avis aux groupements (lI!
si nistrés et aux experts.
V u la déli bératio n en date du 4 juin 194 1 par laquelle la
Commissio n admi nistrative du département des Bouches-duRhône a décidé l'élargissement du chemin départemental n ' ~
en tre les CV.O. 37 et CV.O. 5 ;
Sur la proposition de 1\\. l'In génieur en chef des Ponts et
Chaussées,
ARRETE:
Article premier. - Sont déclarés d' utilité publique les tra\'aux d'éla r gissement du chemin départementa l n° 4 de St- Louis
" St-Menet dans la pa r tie comp rise enbre le C.V .O. 37 et le
CV.O. 5 s.ur une longueur de 1.110 mèt res.
Art. 2. l' Ingénieur en
Cun en ce qui
Marsei ll e,
M. le Secrétaire général de la Préfecture et M.
chef des Ponts et Chaussées, sont chargés, chal es concerne, de l'applicatio n du présent a rr è t ~.
le 6 mars 1953.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Générat Délégué,
Signé: Maxime Mf GNON.
CENTRE DEPARTEMENTAL DE REEDUCATION
DE L'ENFANCE DEFICIENTE - PRIX DE JOURNEE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
Officier de la Légion dJfloflflcllr,
ARRETE
Vu la loi du 15 av ril 1893 sur l'Assistance médicale gratu ite ;
Vu la loi du 15 avril 1943 sur l'Assistance il l'Enfance
Vu l'ordonnance du 18 décembre 1943 détemlillant ft titre
provisoire les rè gl es de fi xat ion du prix de journ ée prévisionnel dans les hôpitaux et les hospices publics ;
Vu l' ord onnance du 18 août 1945 relati\'e au remboursement. des fr ais d'entretien dcs mineurs délinquants placés en
internat dans les œuvres habilitées j
Vu les ci rculaires des 29 décembre 1944, 26 octobre 1 9~:;
ct 22 novembre 1949 de M. l e Ministre de la Santé Publique
et de la Population relati ves au calcul du pri x de journée;
Vu la circulaire d'application du décret du 19 oc tobre 195t,
modifiant le décret du 17 avril t943, portant règlement d'aùmlnistratio n publiq uc pour l'application de la loi du 21 décembre 195 1 re lati ve aux hôpi ta ux et hospices publics;
Vu le rapport de M. le Directeur départemental de la Popu latio n du 20 j anvier 1953 sur le prix prévisionnel cie l'Etablisseme nt ;
Considér ant que l'amort issement des frais d'investissement
et de premier établi ssemen t, déduction faite des subvention:;
obtenues, nécessite l'i ntégration dans le pri x de journée prévisio nnel 1953 d' une somme de 39 fr. par jour ;
Co nsidérant que le déficit 195 1 il amortir dans le prix de
jou rnée s'élève
63 fr.
Vu la délibération de la Commission départementale en
date du 27 février 1953 ;
Sur la proposition de ~1. le Secrétaire génér al,
a
ARRETE:
Article premier. - Le prix de journee prévisionnel pour
1003 du Centre déparlemental de Rééducation de l'Enfance
Déficiente aux Cadeneaux, est fixé, avec effet du 1er j anYiei
1953, il 8 15 fr. pour les malades, tant assistés qu'assu rés sociaux.
Art. 2. - M. le Secrétaire général de la Préfecture, M. le
Trésorier-Payeur Général des Bouches-du-Rhône, ct M. le Directeur du Centre départemental des Cadeneaux, sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret.
Fait il M arsei lle, le 18 mars 1953.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Gélléral,
Signé: Maxime ~IIGNON.
�POLICE DE LA CHASSE
D4 BI . P3
Le Ministre de l'Agriwllllre,
\'u les lois des 3 mai 18+1, 1er mai 1924 et 23 fevrier 19211,
Vu l'article 7 de l'ordonnance du 9 aoùt 19-14 maintena,,!
en application les actes dits Lois des 28 juin 194 1 et 27 decem·
bre 1941 ;
Vu l'avis
de M. le Conservateu r
Aix-en-Provence
des
Eaux et Forêtsl à
i
Sur la proposition du 'Préfet des Bouches·du-Hhône,
ARRETE:
Arfide premier.
L'article 15 de l'arrêté réglementair~
"ermanent sur la pOlice de la chasse en date du E septembre
1949, est complété comme suit :
..
c En ce qui concerne les iapins de ga renne, les propn~
taires, possesseurs, fermie rs et métayers pourront êt re autonses à les capturer en \'\le du (repeuplement au mo ye n de panlIeaux. de bourses et de pièges, sous les conditions énoncées
c La d~m ande en autorisatio n visee par I,e maire, attl!stant la qualité de demandeu r, sera appuyée obligatoirement d
l' avis donné ap rès e nquête par le Service Forestier et la Pëde~
l ation Départementale des chasseurs ».
Art. 2. - MM. les Prefets, l e Secrétai re Général de 1
Préfecture, les Sous-Préfets d'A ix et d'Arles, les Maires 1:
Co nser vateur des Eaux et Forêts, le Directeur des Contribu_
tions Indi rectes, le Comm andant de Gendarmerie, les Commi '
saires Centraux et de Police, les li eutenants de Louveteri~
gendarmes, préposés des Eaux et Forêts, ga rdes-l' h ampêtre~'
"ardes-peche, gardes asse rm entés de la Fédér ation déparl':
mentale des Chasseu rs et des particuliers, sont chargés, chacu n en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrèté.
Cette procédure permettra à l'Administratio n française
d'avoi r con naissance des litiges exista nts, et d'intervenir éventuellemen t auprès des orga nismes améri cains pour en activer
lz solution.
En vue d'assurer une lar ge publicité â ~es dispositions un
communiq ué a été inséré dans la presse à l'intention du public
(copie ci-dessous) :
HEGLEMENT DES DOMMAGES
CAUSES PAR DES MEMBHES DES FOHCES AL LI EES
L'atten tion des personnes aya nt subi Oes dommages pa r
suite d'incidents ou d'accidents dont la responsa bilité incombe
à des membres des Fo rces All iées, est atti rée sur l' i ntérêt
qu'elles ont :
Pour le Mi nistre et par délégation,
Le Chef de Cabinet,
ITEXTES
DOMMAGES CAUSES PAR LES FORCES ALLIBES
STATIONNEES EN FRANCE
Le Préfet des BOllches-du-Rh6ne
Inspecteur Général Pour la 9" Région Mililaire,
à Messieurs (es Sous-Préfets,
Messieurs les Maires
j'attire \'otre attention sur le problème du règlement des
dommages causés par des memb.res des Forces Alliées stationnées en France. Le Secrétariat d'Etat à la Guerre a fixé ai nsi,
:.près entente avec les autor ités américaines, les cond itions
dans lesquelles sont réglées les indemnités, et la procédure
d'instruction des réclamations de ces dommages.
1" Les réclamations, qui doivent être déposées par l es
requérants dans le délai d'une année, à compter de la date des
faits, à peine de forclusion, seront désormai~ ad res sées aux
autorités américaines indiquées ci-après:
a) Dommages causés par les membres des Forces Armées
de Terre: Les demandes seront présentées aux autorités américaines du détachement des Forces de Terre le plus proche du
lieu de l'accident, si les victimes sont à même de déterminer
l'existence et l'adresse de ces autorités.
Dans le cas contraire, les demandes devront êt re adrt$sées au Service du Contentieux de l'armée américaine, 15, rue
Vernet, Paris (8°).
b) Dommages causes par les Forces Aériennes: Les réclamations seront adressées, conformément aux cas prévus dans
le paragraphe ca :. aux autorités américaines de la base
aérienne la pl us proche du lieu de l'accident, ou il la Comm is·
sion Américaine de réclamation, hôtel Astorta, l, rue de Presbourg à Paris (8°).
Il '' Les services régionaux des réparations civi les pourlont être amenés, comme par le passé, à prêter leur Concours
pour faciliter le règlement des dossiers par les autorités americaines. Ces services pourront êt re invités, sur la demande des
sen'ices américains adressée au Service du Contentie ux de
l'AdministraHon Centrale, à prescrire les enquêtes de gendar-
66
COMMUNAL
D ' INTÉRËT
Jean HOU GE.
2D 3B . FC 7
Marseille, le 16 mars 1953.
3") A in former la Préfecture (Cabinet), des retards qu'elles
estimeraient avoir été appo r tés au r èglement si, dans un délai
raisoIlnable, elles n'avaie nt pas été informées de l a suite donnée à leur affaire pa r le Co mm andement américain ou la Compagnie d'Assu r ances avec laq uelIe l'auteu r de l'acciden.t au rait
passé un con trat pour sa voitu re personnelle.
Cette faço n de procéder permettra aux auto rités françaises
ti'une part, d'être i nformées avec précision, d'autre part, d'intervenir, le cas échéant, en toute connaissance de cause, auprèr;
des sen"ices américai ns compétents.
Pa r is, le 26 février 1953.
dans le présent article.
CP . AGO
1") A fai re etablir un co nstat par la police ou l a gendarmerie,
2' ) il adresse r il la Préfecture (Cabinet), une cop re de la
demande qu'elles auront envoyée aux auto rités américaines,
selon les indica tions donnees par celles-ci,
DECRET DU 7 MARS 1953 RELATIF A L'ORGANISATION
DES CORPS DES SAPEURS POMPIERS
Le Préfel des BOllches-dll-Rh6ne
merie, dont 'les résultats seraient nécessai res à la constitution
des dossiers, à faire visi.ter les victi mes par des médecins militaires du service de Santé, en vue de déterminer le taux d'incapacité ou, enfin, à faire procéder à des expertises matérielles.
Dans cette hypothèse, des inst r uction s seront données au>
services régionau x par le Service du Contentieux de l'Adminis1ration Centrale.
1\ reste entend" que l'Administration française se bornera
à ce 'rôle strictement co nsultatif et n'i nter viend ra, en aucun ca~,
dans la détermination du montant de l' indemnité susceptible
d'être allouée aux requérants en r épa ration du préjudice subi.
111 (1 Les ser vices régionaux des réparations civi les ~~
r ecevront plus, à l' avenir, de procès-ver baux de gendarmerie
ou de rapports de police étab l is il la suite de dommages cau·
::iés par les membres des Forces américaines stationnées eH
France.
Ces documents seron-t t r ansmis directement aux autorite.:i
américaines q ualifiées par la uendarm erie et les services ,Il'
' b
police, à qui des instructi
ons ont été données à cet éga rd pa,'
le Service du Contentieu x de l'Administration centrale.
nistratio n publ ique pour l' orga nisation des co rps de sapeurspompie rs et statut des sapeurs-pompiers communaux.
à Messieurs les Mair es du départ emeflt.
J'ai
l' hon neur d'attirer
tout spécialement
j'attention
de
Pour le Préfet et par délégation,
L e Secrétaire Général,
Maxime MIGNON .
~:M. 'les Mai res du département sur le décret n' 53 170 du 7
mars 1953 (J.O. du I l mars 1953) portant rè glement d'adm,-
COMMUNIQUES
DI B2 , PB
Le nommé
AVIS
- ANNONCES DIVERSES
DECHEANCE DE LA NATIONALITE FRANÇAISE
Zyto Zygmont,
né le 25 mai 1929 à
Di\rion
(Pas-de-Calais), devenu Français le jour de sa majorité, au
bénéfice de l'article 44 du Code de la Nationa lité, a été décll:l
cie la nationalité française pa r décret du 18 fé\' rier, publié au
j uurnal Officiel du 2 \ fé\' rie r 1953.
~\arseille,
le 20 mars 1953.
Or la Mission Centrale de Liaison pour l'assistance aux
armées' alliées si!!T1ale qu'elle a eu, à diverses reprises, son
attention appel ée "su r le r etard apporté au règlement d, :":
taines indemnités mais qu'elle ne dispose, actuellement, d a~
cun élément lui {Jermettant d'intervenir en temps utile au.pres
des com missions compéten tes pour statuer su r res réclamatIon').
E n conséquence, il a été décidé
d adop ter l es dispositions suivantes :
d'un commun
accord
10 ) Les particuliers ou co ll ectivités, victimes de dOOlm:ge:~
se ront invités il ad resser il l a Préfecture (Cabinet) du d~l~r.
h:ment de leur domicile, une copie de la demande de
0
magemen t adressée au Commandement américai n.
Pou r le Préfet et par Délégation,
Le Secrétaire General
Maxime MIGNON.
2' ) En cas de retard anormal dans le rè glement,
il~ dt"
.
.' Imnlvront le signaler à la Préfecture (Cabinet), qU I salSl raDéfensl~
diatement le Secrétar iat général permanent de la
:-Iationale (Mission Centrale de Liaison),
I UPRIt.fEIlIK NOIIYBLl..E Olt MARSEILLE, 120,
rue SaiolC'
07
�DÉPARTEMENT
DES BOUCHES·DU·RHONE
- -_._,-- - RÉPUBLIQ UE
Numéro Spécial
l!' RANC)A ISE
Avril 1953
DES
ACTES
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AD MIN 1STRATlF.S ·: !.r~.~
ET BULLETIN DES MAIRIES ', ~
UN EX'EMPLAIRE DU PRESENT BULLETIN DEVRA ETRE
DEPOSE LE JOUR DU SCRUTIN SUR LA TABLE DE
CHAQUE BUREAU DE V011E, CONFORMEMENT A L A
CIRCULAIRE MINISTERIELLE DU 27 SEPTEMBRE 1934.
S O MMA IR E
AG 14 - CP.
IN STRUCTIONS CONCERNANT LE DEPOUILLEMENT
1· Comm unes de 9.000 habita nts et plu s (Loi du 5 sept em»re 1947) ...
2· Comm une de moi ns de 9.000 habi ta nls (Loi du 5 seplembr;, 1947)
2
2
TEXl1ES LEG ISLATIFS ET REG LEMENT AIRES
L oi n " 47- 1732 du 5 septem bre 1947 h x allt le régi m.e génér al des Bl ectiorlS mu..nioi'prules
..................
Loi 11 ' 47-1744 <lu 6 septembre 1947 modi fi ant la loi du 5 avril 1884 sur l'or ganisati on m LLn ic i ~ l e..
EJbect io ns fll lllni ci paies. Ci rcul ai-re mi.nistér ieJ.l e n" 4 11 du I l septembre 1947 ........ ........ . ...... ........
Loi n· 53-243 d'u 28 m ars 1953, modiEant l'article 4 1 de la loi du 5 avril 1884 et ,Vartidle 13 de la
loi n" 47· 17'83 d u 5 septembre 1947 ..... . . ....
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. .......
Loi .n· 53-252 du 1er avriJ 1953 moduf ialtt et complélant la 10. n' 4ï~ 1 732 du 5 seplemb re 1947
fixant le r égi me général des électi ons mu.nicipales et complêta nt La loi d lll 5 aV'r iQ 1884 sur "O'rganisation mun ici pal e ...... .... .. . . . . . . . . ...... .... .... .... . . . . . . .. .... . . .. ....
D écret n· 47· 1836 du 18 septembre 1947 portant règlement d'administration publique pour l'appli~atio n de 'La loi " . 47- 1732 du 5 septembre 1947 fixant le regime général des éleetiol1s
m ~ ~~~...
:
. . . . . . . . . .. ... . . . .. ........ .... .... .... ... . .... .... ....
Ci rculaire ministérielle n° 428 du 20 septpembre 1947 sur Ile dépouillemen t du scrutin lors des prochaines électio ns mllnicipales .. . . .... .... ...... . .. . .... .... .... .... .. . . ... .
Li ste .des pièces d'identité exi gdbl es lors du scruti n pour les élections mu.nicipa les dans les comm unes de plus de 9.000 habitants ...... ...... .... . . .... .... . ... .. . . .... .... . .. . ....
Ci "culai re mi nistér iell.e n" 127 .. . ... .... .. . . . ... . . . .
. ... .... .... .... .. . . .... ....
A r rHé fi xa nt l a liste des co nun llnes .de plus de 9.000 habitants ai nsi que ceIJes de IpJUS de 2.500 habita nts et de moi ns de 9.<XJO habi tants .. . . .. ............................ 1 • • • • • • • • • • • •
ArJ'êté du 7 avril 1953 désig.nant l.es membres des commissions de propagande pour les communes
de 2.500 habil"nts et plus .... .... .... . . ...... .... .... .... .... ... . .... .. . . .. . .
Arrêté du 7 avril 1953 convoq uant les coJl èges élec toraux du, D"pa r tement des Bouches.du.Rhône
en vue des électinns municipaJ.es du 26 avr il 1963.... .... .... .... .... .. . . . ... .... .. . .
2
5
5
6
1
8
9
10
Il
Il
12
13
�ELECTI'-'NS MUNICIPALES
DU 26 AVRIL 1953
INSTRUCTIONS CONCERNANT LE DEPOUILLEMENT
D2 B4
1°
-
Communes de 9.000 habitants et ptus
PRE,\UERE OPERAT IO . -
Feuille de depouillement mo-
dèle 1 :
AG 14
Totaliser l a colo nne 7 et po r ter ce chiff re da ns la co-
lonne 8 ;
- Tot~iser les co lon nes 6 et 8 et porter ce chi ffre dans la
colonne 9.
:.
Pointer sur cette feuille, pour chacune des listes en présence, les bulletins de ,'ote correspondants non modifiés 011
mod ifi és par panachage (chaque bulletin no n modifié o u modi-
2(> Communes de moins de 9.000 habitants
(Loi du 5 septembre 1947)
fié representant une voix pour la liste). Cette première opé rahon donne le total des bulletins attribués il chaque liste.
PREJ\\ IERE
DEUXIEME OPERATION. modète 2 :
- Porter dans la colonne
opération (Feuille modèle 1) ;
Feuille
de
dépouillement
le tota l obtenu il la précédente
- Reprendre les bulletins nOIl modiiiés et appeler les signes préférentiels ;
-
Reprendre Oes
bulletins
modiliés par
pan achage et
- T otaliser les ratures co rrespondant il chaque candid at
dans la colonne 3 ;
-
Retrancher ce total du total de la co lonne 1 et porte,
la diff érence dans la colonne 4 ;
-
Pointer les noms manuscr its dans la col1 on nc 5 ;
-
Totaliser dans la colonne 6 les colonnes 4 et 5.
- Pointer dans la co lonne 7 les poi nts préférentie ls pour
chaque candidat j
Feuille
de
dépol/illement
modèle 1 :
Pointer sur cette fe uille, pour chacune des listes en
pr~
sence, les bu ll etins de vote co r respondants non modifiés ou mo-difiés par panac hage (chaq ue bull etin non nlOd i,fi é ou modifié
1 ep résentan t
une voix pou r l a liste). Ce tte premi ~r~ opération
donne '~e total des suff r ages obten us pour chaq ue liste.
DEUX IEME
OPERAT ION . -
Fel/ille
de dépol/illement
modèle 2 :
-
poin ter les ratures dans la colonne 2
OPERAT ION. -
Porter dans la co lonne 1 le to tal obtenu à la précédente
opé ratio n (Feuille modèle 1) ;
- Reprendre les bulletins modifi és par
panachage el
pointer ies ratu'res dans l a col on ne 2 ;
- ~ Totaliser les r atu res co rr espondan t à chaque candida i
cia ns la colon ne 3 ;
1
- Ret r ancher ce total du total de la co lonn e 1 et porter
la diffé rence da ns ,la co lonne 4 ;
Pointer les noms i ns:.:r its dans la co lonn e 5 ;
-
Tota,l iser dans 1:'a co lonne 6 les co lonnes 4 et 5.
TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
Loi n° 47.1732 dw5 septembre 1947
fixant le régime général des élections municipales (J . O. du 6-9-47, page 8.994)
L' Assemblée nati onale et le Conseil de l a République ont
délibéré,
L'Assem bl ée natio nale a ad opt é,
Le Président de la Republiqu e promulgue la loi dont l a
i eneur sui t :
T fTRE PREMIER
DI/ r égim e éteetoral appticable aux élections
de s Cons eils municipaux
Article premier. - Dans les communes du département de
l a Sei ne, sauf Paris, dans les « I mmunes de 9.000 habitants ct
2
plus, les consei ll ers municipaux sont éJus au scru ti n de liste à
lin tour avec dépô t de liste co mplète, représe nta tion proportionnelle, panachage et vote prt:férentiel, co nform émen t aux
dispositions .ci-après. L 'ensemllie de la com mune fo rme une
ci rco nscr iption unique.
A·rt. 2. - Nul ne peut être cand id at da ns la même C?J11mune sur plus d'une'" liste. Si un oand idat fai t acte. de candJda~
tur e sur p lusieurs listes, les voi x recueill ies par lui ne peu ven
être co mptées ni à lu i ni aux listes sur lesqu ell es il fi gure.
Art 3. - Dans ces co mmunes, l!a d éclaration de candidd~·
, ure est obl ig atoi re. EUe r ésulte du d épôt d' une liste de can ,-
dats en nombre éga l à c-e lui des sièges à pOll!r voi r. Elle est
-effectuée au plus tard ci nq jours f rancs avant ,'ouvertu re du
scrutin à la mairie de la co mmune où il en est délivré récépissë.
Est nul tout bulJletill éMbli au nom d'une liste de ca ndidats
dont l a déclaration de ca ndidature n'a pas été régulièrement
enregis~rée à l a mairie intéressée.
La décla·ration est fa ite co ll eotivement pOlir chaque liste
par un mandata ire de celle-ci.
EJ le com porte la signature légalisée de chaq ue cand idat
sauf !~Ie droi t I)o ur tout ca ndidat de co mpléter l a déclarat,i on
co llective non signée de l ui par une déclaration i ndivid uell e
faite dans le même dél ai et portant sa si'gnature léga lisee.
Bil e i nd iq ue eX I)ressément
1° L e ti.tre de l a l iste présentée ;
2" L es nom, prénoms, date et li,eu de naissance de chacun
d es ca nd idats.
Récépissé ne peut êt re délivré que si l es condition~ énumérëes au paragraphe précédent ont ét é remplies.
Dans les départements de la Martinique, de la Guadeloupe,
de la Réu nion et de la Guya ne française, il défaut de l a signature légalisée des ca ndidats à l'appui de l a déclaratio n de
caO'jidature, un e procuration de ceu x-ci doit H re prod uite.
Art. 4. - Sur (les blll'i eti ns imprimés ou manuscri ts comportant un titre co nfo rme à l'une des déclarations prévues à
l 'articl e 3, le vo te préférent iel est admis de la manière sui vante:
Les é.leoteu rs ont la possibilité Sur les bulleti ns de vote de
ma!fquer d'une croix, à tit re d'indication préférentielle, ci n ~l
noms de .ca ndidats au maxi mum, Ga croix étant placée sur la
même li gne que le nom, avant ou apr ès cel ui-ci. Si un bulletin comporte ,plu s de cinq Noix, il ne sera tenu com pte que
des cinq premi ères.
Si plusie urs croix so nt placées avant ou après le même
lIom, ell es ne comportent que pour un signe préférentiel.
Si un bulletin est panaché, seules sont valiables les ,oroi x
placées avant ou aprè5 les noms des cand idats de la Ilste.
Art. 5. - Dans chaque com mune, il est procédé à la détermination du nombre de voi x obtenues par chaque ca ndidat
et au calcul des suffr ages obten us par chaque liste.
Ce nombre de su ffrages de liste est obtenu en di visant
par le nombre de sièges à po urvoir le total des voi x recueilJ.lies
par les candidats de l a l iste.
Dans chaque comm un e, on procède également à la détermination du nomb re de sig nes pr éférentiels obtenus par chaque
ca ndidat.
Art. 6. - Le nombre de si èges revenan t à chaque l iste est
calc ul é oomme sui t :
On détermine le quotient électoral en divisant le nombre
totall des suff rages de liste expr imés, par le nombre de si èges
à pour vo ir.
Dans une premi ère r épartit ion, chaque liste a autant de
sièges 'que le nombre de ses suffra ges comprend de fois te quotient éleotoral.
Les siè ges r est ant, s'il y en a, sont réparh s sui vant la
règle de la plus forte moyenne.
Da ns chaque liste, les sièges sont attr ibués aux candidats
d'aprés l' ordre de ~référe n ce établi en additionnant les voix el
les signes préférenti els obtenus par cha cun d'eLLx.
Au cas où il ne r es te qu'un siège à pourvoir si le nombre
des vo ix et des si gnes es t le même pOUI Jes deux ca ndidats,
celui qui a ob~c nu le plus gr and nombre de vo ix es t élu.
En cas d'égali té des voi x et des signes préférentiels, le plu:;;
âgé est élu .
Art. 7. - Dans le cas où, par suite de décès ou pour to ute
autre ca use, un si ège d evient vaca nt, il es t attri bué au ca ndida1
fig ura nt sur 1a même l iste q lte le co nseiller à remplacer qui a
obte nu le pl us grand nombre de vo i x imm édiatement ap rès le
derni er élu de cette ,liste.
Toutefois, si dans la mi!mc liste la \'acance a lieu par suite
de démissions su ccessives Ou simu ltan ées, il ne peut y avoir
plus de quatre remplacements dans la mtme année, au bénéfi ce
de cette liste.
Si tous les èa ndidats de la l iste ont été élus, il n'est pa '
po urvu à la va cance. Lorsque la moitié des sièges d' un méme
co nseil municipal so nt vacants par suit e de démission ou po ur
toute autre cause, i l y a lieu à élection g énéra le dans la commu ne sui vant les dispositions de la présente loi.
T oute fois, si la de rni èr e vaca nce a l ieu moins de si x mois
avan t le renouveilement généora.J du Conseil mun icipal, il Il'y a
pas lieu à électio n partielle.
Art. 8. - Da ns les communes auxquell es s'appliq ue l a r.ègl e de la propo rtion nelle, les listes qui n'auront pas obtenu un
r.ombre de suffrages au moins égal il 5 % du nombre des électeurs inscrits ne bénéficieront pas de la répartition des sieges.
A'rt. 9. - Les présentes dispositions sont applicables à. tous
les départements fran çais métro politains et d' ourre- mer sauf
aux départements fra nçais d ' AJgérrie.
'
Art. tO. - Dans toutes les communes de la métropOle et
des départements d'o ut re-mer non \ri sés pa r les articles 1er à 8
de ,I~ présente loi et dans toutes les <.'Ommunes de l'Algérie Il es
électIOns des Consei ls munici paux demeurent soumises au ré O'i~
me de la loi du 5 avril 1884.
0A rt. I l. - !Par dé rog atio n il la disposition général e de
l'ar ticle II de la même loi pou,r toutes les com munes de 2.500
habita nts et au- dessus les ca ndidatu res isolées sont interdi tes
et les bulleti ns distrib ués aux électeurs doivent comporter autant de noms qu' il y a de sièges à pourvoi r .
Les électeurs co nse rvent ,le droit de déposer dans l'urne des
bulletins dont Il,, liste est incompl ète.
Art. 12. - Par dêrogation aux dispositi ons de l'articl e de
la loi du 5 avr i l 1884, dans les co mmunes décl arées sinistrées
où . le dern ier recensement acc use un e dim inution de la populatIOn. par rapport au recensement de 1936, le nombre des
conseillers munictpau x, des adj oints et le r égime tÏecto ral
seront fi xés d' après les chiffres du rece nsement de 1936.
Art. 13. - Les dép utés à l' Assembl ée nati onale ~t les
co nseillers de l a Républ ique élus sur le pl an départemental sont
él igi bles dans toutes les commun es du département ou de l a
circQnscr iptio n où ils ont été ca ndidats.
TITRE Il
Du contr61e des opéra fions électorales
Alrt. 14. Lors des élec tions mun ic ipales,
des co mmunes de 9.000 habitants et plus et des
département de la Seine d evront présente r au
uureau électoral, au moment du vo te, en même
ca rt e d'électeur, un t itre d' ident ité.
les électeurs
communes du
pr ési dent du
t emps que la
La l iste.d es titr es d'identité va laljles se ra établie par arrété du ministre de l' Inté rieur.
A'rt . 15. - Chaque liste de oa ndidats a droi t à l a présence
en perm anence, dans chaque bu reau de vote, d' un délégué
habi lité il co ntrôler les opérati ons électorales.
Ces dél égués ne pourron t Hre expul sés.
En ca s de désordre ]>r ovoq ué pa r ce délégué ou de fl agrant délit justifi ant son ar resta t iont ûl sera i mmédj atem elllt fait
app el à un d él égué suppl éan t. Les noms <l es délégués titulaires
et suppléan ts devront être noti f iés au maire au moins ving'tquatre heures ava nt l'ouve rtur e d u scr utin.
Les maires dél ivreront un r écépissé de cette d écl aration.
Ce r écépissé servira de ti tre et garantira les droi ts attach és à l a quali té de mandataire de l a liste.
3
�Art. 16. - En aucun cas, le bureau àJ.ector al ne pourra
proceder seul au dépouillement.
Celui-ci sera contrôlé par des scrutateurs, désignés par les
mandataires des listes en présence au moins une heu re ava nt
1<: cloture du scrutin .
Ces sorutateurs seront affectés aux tabl es de dépouillement
afin que la lecture des bukletins, d'u ne part, l'inscription des
\ oix (1) et des signes préférentiels obtenus, d'autre part, soient
contrôlê~s simultanement pa r un scrutateur de chaque liste en
prêsence.
Art. 17. - Les procès-ve r baux devront être rédi ges dans l a
salle de \'ote immédiatemen t ap rès la fin des opérat ions. L es
mandataires des listes en présence seront obli ga toj'rement i nvités à les contresigner.
Cette .rédaction terminée les résu ltats seront prod.amés et
affichés en tçutes lettres dans la salle du vote.
Art. 1S. - Dès la fin des opérations élector ales, les maires sont tenus, sous leur responsabilité personnelle, de faire
assurer la garde des listes d'émargement.
Après Je scrutin, les listes d'émargement seront tenues à la
disposition de tout électeur qui en fe rait la demande, pendant
les délais r èglementaires.
Les mandatai res des listes en présence auront prior ité pour
consulter les dites listes.
Ari. 19. - Les dispositions du pr ésent titre seront applicabl-es aux départements de la Guadeloupe, de la Guva ne française, de la Martinique et de la Réunio n.
TITRE III
De la réglementation de la propagande électorale
pour les électio ns municipales
Art. 20. - Pour assurer aux listes en pr ésence l'égalité des
moyens au cou rs de la campagne électo rale, il sera att ribu é à
Chaque liste deo:arée ou à chaque candidat un contingent de
papier permettant d'effectuer la propagande dé:erminée par les
lois et règlements en vigueur.
Art. 21. et plus, il sera
gent de papier
d'affiches et de
de vote.
Pour toutes les communes de 2.500 habitants
att ribué à chaque liste de candidats un continpermettant d'assurer la propagande par voie
ci rcuJaires, ainsi que l'impression des bulletins
Dans les Communes de 2.500 à 9.000 habitants, les ~istes
qui voudro nt bénéficier de ce contingent de papier devront
faire une décla ration dans les conditions pré vues au premie r
paragraphe de l'article 3.
Art. 22. Chaque ca ndid at se présentant isolém~nt ou
chaque liste de candidats aux élections municipales ne pourra
faire apposer, durant la période électo rale, et éventuell ement,
a\'a nt Chaque tour de scrutin, sur les emplacement:; détermines
par la loi du 20 mars 1914 :
,
•
Chaque canùida t ou liste de ca ndidats ne pourra fai re ét
cl i r, pour chaque. tour de scrutin , un nombre de bulleti ns su ~..
rieur à trois fois ~e nombre des électeurs inscrits dans la ~e-.
. .lon. C es b uIl et·ms ne pourront dépass~r le fO rm
Clt·
co nscnpt
t
13,5 X 2 1 cm. pour les listes de candidats. Ce format pou a
t·t re porté il 2 1 ?< 2ï CIlI. en ce qui concerne les \tilles elis~~~
plus de 3 1 conseillers.
Les bullelins des ca ndidats qui au ront déclaré se présente
isolément ne pourront dépasser le format 8,5 X 6,3 cm.
r
Loi n' 47.1744 du 6 septembre 1947 moditiant la loi du 5 avril 1884
sur "organisation municipale (J . O. cb 7-9-47, page 8926)
L'Assemblée nationale et le Co nseil de la République Ont
délibéré,
L'Assemlll-ée nationale a adopté,
Le Président de la République promul gue la loi dont la
teneur suit:
Art. 23. - L' impression et l' utilisation, so us quelque forme
que ce soit, de ci rculaires, tr acts, affiches e l bulletins de vote
pou r l a propaga nde élector ale en dehors des co nditio ns fixées
ra r l a presente l oi, salit interdit~s.
Art. 1er - L'articl e 10 de la loi du 5 avri l 1884 sur l'o rganisation municipa le es t modifi ée ainsi qu'il suit
Art. 24. - Dans le mois qui suivra les élections, chaque
candidat ou liste de ca ndidats <tevra justifier auprès du Prélet
que nes quantités ou les co ntingents de papier qUI lui ont été
~:tt ri bués, ont été employés entierement et excl usivement pour
l'im ression de ces documents électoraux.
Les bons de monnaie-matière inu tilisés devront êt re resti~
tués.
au-dessous;
4: Treize membres da ns les co mmunes de 50 1 à 1.500 habitants ;
c: Dix-sept membres dans les communes de 1.501 à 2.500
habitants ;
c Vin gt et un membres da ns l es communes de 2.501 à
3.500 habitants
Vingt-trois membres dans les com munes de 3.50 1 à 10.000
habita nts ;
« Vingt-sept membres dans les communes de 10.00 1 à
30.(0) habi tants ;
c Trente et un membre dans les commu nes de 30.001 a
40.000 habitants;
« Trente-trois membres da ns l es co mmunes de 4O.{X)l il
50.000 habitants ;
« Trente-cinq membres dans les communes de 5O.(X)! à
00.000 habitants;
« Trente-sept membres dans les communes de 60.00 1 et
A rt. 25. - Des comm issi ons, do nt la composition et II!
fonctionnement seront fixés par dé,cret, sero nt chargées, pour
les communes de 2.500 habi tants et plus, de :
a) fournir les envelopp es nécessaires à l'expédition des
wc ul ai r es et des bulletins de vote, faire préparer lieu r libellé el
en assurer l 'envoi aux électeurs ;
b) prendre les dispositio ns nécessaires pou r assurer le vole
par co rrespondance;
c) fai r e .remettre aux mai res, en temps voulu, les bulletins
de vo te de chaque liste qui doivent être mis à la disposition des
électeurs le j our du vote.
Art. 26. - Dans 'les com mu nes de plus de 2.500 habitants,
un mandataire de chaque liste doit verser, avant les élections,
entre les mai ns du T résor ier Payeur Général, Oll c:iu Receveur
municipal, agissant n qualité de préposé de Ja Caisse des
Dépôts et Consignations, un caution nement de 500 francs par
ca ndida!.
Le cautionnement sera rembours é aux listes qui auront
l ec uei lli au moi ns 5 % des suffr ages.
Art. 27. - Sera pun i d'une amend e de 6.000 à 100.000 francs
et d'un empriso nnement de six jo urs à six Illois, ou de l'une de
ces deux peines seul ement, q uiconq ue enfreindra les dispositions
àes articles 22 et 23 de lia présente l oi.
Art. 28. - Pendant un délai d'u n mois suiva nt la p rom ul~
gation de la pr ésente Joi, tout citopen ifrançais rétabli dans ses
droits civiq ues en appl icatio n de la loi d'am nistie pourra demander son inscription su r les ,l istes électorales selon !la pro~édurc prévue pour les fonctionnaires mutês.
4:
Le Conseil mun icipal se compose de :
« Onze membres da ns les Com munes de 500 habitants et
~ u-des s us .
4:
L e reste sa ns changement »,
Art. 2. - Le premier alinéa de l'a r t. 51 de la loi du 5 avril
1884 sur l'organisation municip8l1e est compl été ai n i qu'il suit:
Ap rès Il es mots :
« Les déli bérations so nt prises à la majorité absolue des
vo tants » est insérée l a disposition suivante:
« Un conseiller municipal empêché d'assister à une séance
peut donner à un co ll ègue de son choix pouvoir écrit dE. vote l
en son nom. Un mêm co nseiller municipal ne peut être porteur
-que d' un seul mandat. Le mandat est toujours r évocable. Sa u f
cas de mafl'a die dûment co nstatée, il ne ,peut être va l able pour
plus de trois séances co nsécutives ».
La présente l oi sera exécutée comme 10i de l'Etat.
procéde r, dans le pj us bref dél ai possible, à la r épartition des
sièges de co nsei ller mun icipa l entre les sections d~ ces .c~mmu
Iles. CeHe r épa rt ition devra êt re faite par vos SOlOS, SltOt que
vo us co nnaitrez et le total ùes électeurs inscrits dans l a commune et le nombre des électe urs inscr its dans ohaq ue section.
Je crois devoir, d'ores et déjà, vous rappel er les règles à
suÎ,vre en l a matière.
Je sou li gne tout d'abord qu'aux termes de t1la rti cle 1er de
l a loi du ï juill et 1874 « dans l es com munes qUI auront eté
divisées en sections électoroa les, l a liste ser a d ressée dans chaq ue section'... ).
D'autre part, en ve rtu de l'article 1 Ide l a loi du 5 avril
1834, chaque section « él it un nombre de co nseiJ.lers proportiùnné au chi ffre des él ecteurs inscri ts> et en vertu de l'a rti cle 12 de la même loi, il vo us appa rt ient de déterminer c d'apIès
les chiff res des électeurs inscr its dans chaq ue section, le nombre de conseillers que la loi lui attribue >. Aucune section ne
peut avoir moi ns de deux consei ~le rs à élire.
Cette répartition, que vous au rez à faire, comporte deux
opérations : il s'agit d'abo rd de diviser l e nombre des électeurs inscrits par le nombre des conse illers auxquels la commune a droit, de diviser ensu ite par le quotient ainsi obtenu
Ir nombre d'électeurs de chaque section.
Il est rare que l e dernier q uotient obtenu soit lM1 nombre
entier . Il comporte presque toujours 'Une décimal e; celle-ci est
comptée po ur une unité si elle est supérieure à 5/ 10 ; ell e est
négl igée si elle est inférieure. Une déci male supé r ieure à 5/ 10
peut également êt re négligée dans certains cas.
Voici, au surplus, un exempl e emprunté à la jurisprudence
du Consei l d'Etat (24 mai 1889 Hach e).
Une commune dont le Consei l municipal comprend 12 membres, compte 382 eIecteur.s i-nscrits répa rtis entre trois sections
ayal\t respectivement 178. 12 1 et 83 éJectellrs.
Le prem ier qootient est
382
-=31,8
12
En divisaltt le nombre des lilecteurs' de chaq ue section par
oe quofi:ent, On o'btient des quotients suivants
178
Fait à P,aris, le 6 septembre 1947.
-=~59
Vince nt AUR IOL.
31,8
Par le Président de l a Réput>liq ue,
Le Présidenl du Conseil des Ministres;
Paul RAMADIER .
121
-
Edouard D5PREUX .
Art. 29. - Le mandat des consei llers municipaux e:\pi rera
l e premier dimanche du mois de mai 1953.
83
-- =
ELECTIONS MUNICIPALES
2· Plus de deux affiches format 1/6 colombien (21 X 45
(m.) pour annoncer tenue des réunions électorales. Ces deux
affiches ne de\'ront conteni r que la d:lte et le aieu de la réunion
ainsi que le nom des orateurs inscrits pour y prendre la parole
et les noms des candidats.
Chaque candidat se présentant isolément ou chaque liste
de candidats ne pourra faire imprimer et envoyer aux électeurs
avant chaque tour de scrutin, qu'une seule ci r culaire de format
21 X 27 cm.
(1) Additif
J. O. J20-l;.
Art. 30. - Un règlement d'administration publique déter·
minera les conditio ns d' appli cation de la présente loi.
Circulaire ministéri elle n° 4 11
Paris, le Il septembre 1947.
La pr ésen te loi sera ex~cutée comme loi de l'Etat.
Le Ministre de l'Int érieur
à Messieurs l es Préfets,
Fait à Paris, l e 5 s~ptemb re 1947.
:.
Vi ncent AURIOL,
Par le Président de l a République,
Le Président du Conseil des Minis/res :
Pail) RAMAD IEH.
Le Millislre de l'Inlérieur ;
Edouard DEPREUX.
Le Minislre de la Frof/ce d'Oulre-Mer
Marius MOUTET.
1.
RElPARTITI ON DE SIEGES DE CONSE ILLER MUNICIPAL DA NS LES COMMUNES S5CTlONNEES :
A l'approche des élections m unicipales et en vlIe de permettr e des opérations électorales r égulières dans les co mmunes
ayant fait l'objet d'un sectionnement électoral, conformémellt
aux articl es Il et 12 de la loi du 5 avri l 1884, il co nvient de
2,6 1
31,8
0
1 Plus de deux affiches électorales dont les dime nsions ne
pourront dépasser celles du format co lombier;
=3,80
3 1,8
Le Ministre de l'Intérieur
Les nombres entiers de ces trois quotients font un total
de 10 ; les 3 dCdmales, 0,59, 0,80 et 0,6 1 sont superieures à
5/ 10 ; on néglige la moins forte.
En définith'e :
-
la prem ière section rompte ......... .
la deuxième section compte 341, soit ..
la troisième sec ti on compte 24 1, soit ..
5 conseille-rs
4 oonseillers
3 conseillers
12 conseillers
Vous voudrez bien vous conformer aux r ègles exposées
ci-dessus pou r détenminer, tians chaque oonunune sectionnée de
�8
\ otr e depar,ternen t, ~e nom bTe de conseillers m un icipaux à éJi.ne
par les dicénm tes sect ions do nt eUe se compose.
:.
II. -
j'att i re enfi n tout spécialement \'otre att~t ion sur Je ,fait
4 ue dans les communes so umises à la répartition pf()'portlonlieUe et en application de l'article 1er de la loi n· -17-1 732 du
!: septembre 19-17 qui indique que l'en.sem ble ?e la ,commune
f orme une c; rconscri ptîon unique, aUCU11 sec tio nnem ent élrector.al ne doit 5ubsister, une partie d' une CQmm liJl e ne pOlwant
~t re soumise à un régi me él ecto r al dî ff ' ren t d~ celui appl iqué
dans le reste de la commu ne.
C est ce oui résul,ie de faço n très nette des débats q ui on t
eu lieu sur cette questio n, lors de l'e x.a men des lo is électo r ales
.. . .. . ." . .., . .. .
Il mem bres da ns les comm unes de
..
, . ..... . ..... , ..
»
»
13
. . .... , .... . . .. .
.
.
»
17
·
.
·
.
•
.. . · . · . , . .. .. ....... ....
»
21
»
...... , . , . .' .
..... »
23
. .. ... ' . . , ... . . ... . ... . .
»
27
~
....... . . ..
.... .
»
31
»
.. ... , ..
.... . · .
»
33
»
...
·
.
»
»
." .
35
.. . ...
....... ,
37
»
»
.....
•
par le Conseil de ,la RépLUbliqu e (Cf J. O. Débats parlem enta
n" 101 d u 23 ao ùt 1947, pa'ge 1873, 3me colonne).
Ut$
FIXA1>l ON DU NOMBRE DE CONSEbLLERS MU 1.
CIPAUX :
j' ai l' ho nneu J d'a ppeler vot'r e attenti on Sur la manie
.
'
d ans Cll aqoo .co mm une le nombre d"
do nt il co nvient
de f IXler
consei ller s mu nicipaux à él i ne aux procttahnes électio ns,
e
Le Inomlbre en est fixé par l'anticle l n de la loi du 5 avril
1884 mod,Uie pa r 1.. ,I(}i n· 47- 1744 du 6 s~pt.,m b r e 1947. Ii
"a rie de Il il 37 d'ap rès ua. po pula,t iol1 municipale to tale (1)
t-e.~I!e qu"eUe r ésul te d u dern ie r recensement hom ologue, c'està~ ire cel ui du mo is de mar-s 1946 et s' i nsorit d,an s le tableau
su iva·nt :
500 habi tants et au-dessous.
»
»
»
»
•
»
»
»
»
»
»
»
»
1.500
2.500
3.500
10.00>
30.00>
40.00>
50 00>
60 00>
••
»
»
»
et
a u ~dessus.
=
Dans ies
\'Ïne.~
divis ées en pl usieurs mairres, le nom br e de
conseillers munidpa ux est a ugm e.n;t é d e troi s par mairie,
VOliS vo udrez bien me rendre co mpte, sous le p résent
timbr e, d'eS ouxtificatÎons q u'a lll'On t en tl1ain ées dans vot ne
dépa rtement le calcul d u nomb re de consei~l e rs munici paû:X
dans chaq ue commu ne, d'apr ès le r ésultat d u r ecen sement d e
19-16 et l'application de la loi n· 47-1ï-l-l du 6 septembre 1947.
Je ' 'Ous rappelle, pa r aiUelirs, qu'a ux te rm es de l' article 12
de la loi n· 47-1732 d u 5 septembre 1947, l'effectif du Conseil
to ria antit uOcrculeux d,ans l'eS
co n\>'a.l'esoentes ;
asil es de
co n'Valescents et de
« D étenus cLa ns les maisons cent rales de fo rce et de
« Ple rso.n nes .ecu.e' Llies da ns les dépôts de mendicité, hôpi·
taux et hospi ces;
« 6l èves Internes des l ycées, co llèges communaux et Ecoles
N o rm al~s
pr imai nes,
écol es spéc iales,
d 'oo uca tio n et écoles avec pensiollllials ;
pou r le nomb re des adjoints de ces localités.
F. DEPRE UX.
de ux qui sont d étaah és a u service des 'l0spicos et écoles ;
le r ecensemel:t de 1946 a pr ecisé dans son art icle 2 :
« Ne compteront pas dans le chiffre de la popu lation servant de base il l'assie tte de l' impôt ou d" .l'application des lois
d'or ganisation m unicipa le, les catégo ri es suivant.es :
MHitai r es et mari ns dans iles co r ps de tro upe de te r re et
c!e mer logés dans les ga rn isons et quar tie r s ;
c Per onnes en t r aitement àans les sanato r ia et p ré\~en·
COf·
r ecti o n., m aisons d 'éducatio n, co.lo.nies agr ico les de jeunes
détenus : ma isons dJarrêt, de j ustide et d e C'Ü'rrection ;
municipal dans les communes sinist r ees doit être calc ul é sur l a
base du r és:Jltat du r ecensemen t de 1936. U en ser a de même
Le décret n" 45-2 155 du 22 septembre 1945 qui a ordonn é
séminai res,
maisons
« 11\1embl'es de L'o.rnmun autés r el igieuses à l'exception de
« O uv ri er s ét r angers à la co m rn l4ne oocupés aux chantiers
t empor ai res des t r ava u x publics ».
( 1) La po'{>uJ at io.u mUJ1dcipal e totale est l' ensemble de la populati on de la commue e d éd uct ion faite d es ca légo ries spéciales de
p<>!.)ulaüon comptées Ô. part (priso.n, ga rn isons. pen s ionnats, orphellIla ts, etc... ) do nt l'éo umér a ti wl est rep r oou ile da ns chaque décret
qu i pr escril le d én omb r em en t.
LoI n' 53.243 du 28 Mars 1953 modifiant l'article 41 de la Loi d~ 5 Avril 1884
sur l'organisation municipale et l'article 13 de la loi n ' 47 . 178~ du 5
Septembre 1947 fixant le régime électoral pour les élections au Conseil
Municipal de Paris et au Conseil Génénral de la Seinne.
L'Assemblée Naholla le et le CÛ'nseil de la Rep ubliqu e o nt
atio nale a adopte;
Le Préside nt de la Républiq ue promulg ue la lo i dont la
te neur suit
c A r t. 4 1. -
6
'ulpUa!AUOJ Jna l !nb .aueJ nl? lUP!PUl?J n1?'aAnOU un Jed
Ja:)u'lP waJ al l UOJ'Aap SJêI !lS!f0J ~s 'af1?JopaI9 au2 udwl?J e l ap
>IOA ap xneaJnq s ap S4 Ua p l s~ Jd sal ·. unww oo ~,a p alqulas
-u.,1 JOod salOA sap leJ ~ui'1I jlUaw.sua""J al eJ .J ~do,s ~ o .10.\
ap le1 lu3J ne;unq np luaplSY;Jd nt? Slp od lU a w a l e !p ~HUW ! RJaS
x neqJaA-s~JoJd s aJ ap 3.1!1?[dwaxa un 'uOlU l?J' np no luawas
-S!PUOJJl?1 ap 3+ 011. ë) p xne;;unq SJ3A!P sa p SluôJPIS~")J d sap S3 U ~ IS
SJJ1 ro
l eJOjOal·
sdJOJ np uoqe JOAUOJ ap ~H1J e uos s uep laHJd al Jl?d ~u.3!S~P
UOlU1?J ap no luawass!puolJ l? P 31011. ap neêun q un ~ l-uap!S1Jd al
led s~p od IUOJaS aloA ap neaJn q an b~ 4 " ap sle lln~J sal
'au ]1?qJn 3!ued e l t;,nb
eJëm b!ldde,s au U0H!so dS1P 3.}.lêlJ 'ailEJ"J 3!ped aun H ;W !1?q JI1
a qJt~d aun 3lJoctWOJ UOlU1?J a )!s ~ UOlUl?.;) np no l uaWSS!p
-U OJl e,1 ap ~}lpl?J 31 SUEp ~ 1 01\ wp rel ~ U ~.a l u-a w asua;nlJ Jallll,ud
un "Ç 'SU OlUl?J SJna!Snldl ua no Slua Wass!puOJJ "l? sm <1!snÎd ua
S3vS !AI P S3unwwoJ saI suep v p~OO Jd l?13S l! 'Sêq OA ap l U;:HU\lS
-ua:>al ap suoqUJ:}do sai l al! [!':>U! JO od l a 'ZÇS I l ap A:}j Z np aJ!T? l
-u a wa IJj~J laJ O~ p np Zf a p~J e, 1 ~ U O! leJjoJ~ p '"d - '8 'PV .
' n l ~ ~ welQ oJd
Article premier. - L'a rticle 4 1 de la loi du 5 avri l 1884
modifié comme .sui t
,
UIllC:
'a:>uuss!eu uo:nu ap au.5!s un ;,J1UWOJ
SJHJrualU! aJH lUUA tl od aJ~peJ"\?J un:>n"\? Japodw oJ l UOJt\a!)
au êllS!Ji aun.p Sl I? P!PUI?J su!ep a:> ap w ou np aJej ua allag
"ual 5'Hl d UO!l eJ!pu!.P a.rl!l ~ sa~Je ld X!Ol'J sal - "9 'p"
"3T1rn31nb TJU~H
rl' SU<ry np IU l> p!SV~d - aol A '1
date fixee au moins trOiS
. ' . Ires Les
' uoJjv3?l?P Jod "
saJISIU!W s'P tl'SUO;) T1iJ I U'P!S?Jd '1 JT10d
'anbllQnd9 H e1 .p IU<lP!'9Jd .. p J ~d
La d ate des èlections muni cipales de 1953 est
IQd~p
np SJn Or SIOJI sa i suep
UO!Sp'!p u. elpUaJ
!nb
'êll !l?lUaw9IdwoJ
u O ! le,"p~p
aun ,p la rqo,r eJal
Il e sleplpue" s,p un ,l ap
aJn lep!p ueJ 0naAflou anay
s.o~P
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's! w pe I?l aS au aJl1lep!pUl?J 3p
I!UJlaJ un J ne 'alsll e l ap IUGWa JlsI1l.JUa,1
s~J dV ~
'f 'jJ V
"areJOpêl l:} auZl?dwoo ap apoP 9d el aJAno l a uOlpa l:}J lUl?AP.
SU !OW ne sJOof azu!nb saun WWOJ sa: suep i}!1qnd lsa ~HJJe
)ë)J . >)J l ê) +JaAno ruas l! Së) lIanbx ne scuna 4 S<l l anb lsu!e tuaI!
-n oJ5)p as u!l nJJS 31 ~ o xnCJOI ~ I au :J!s~ p !nb l<)j ~Üd np i}HJl e
un Jed a~ n bo" uoo 15' sJOap, 1i' sap ai' lq w. ssV,l -
'Z 'PV
laJ:>;>p luasi'Jd np 6 . P !p e. 1
"P 1. Lv6 1 alq waldas ç np Zf LI-Lt , u !Ol El ap Il la Z l 'II
sap!pp. sap sUO!l!sodS1P sap ë)A J aS~ J sn os 'Lv6 1 aJqlU ald~s 9 np
ttL I -Lv oU !Ol el Jed a:}!1!pow 'W Sl I!JAt? ç np aledplunw !Ol
\?I!, ap iWO!l!sods!p x nu 'saunw wO:l SaJl n e sai sal nOl suup ~ Lv6 1
~)Jqwal dêls ç np Zf L I -Lv oU !Ol l?1 ap suo!l !sods!p xnu 'S!Jed
ap uoqdaJXa,1 ~ 'au las el ap lUa watled~ p np s<> un WWOJ sai
suep l a SlUel!qe q OCX:r6 ap snrd ap sau nww oo sa i SUEp 'asl w nos
lsa xnedp !un w sl!aSuo:) sap UO ! Pê)I ~ ,l -
'J 3! tuaJd apq.J'tf
nmd pIUl1l.U sJl asu0:J sap
SUO!P'/? xno 'tqvJI/ddo /VJOp . /? , w!3?J na
.ra 1 3 ~LL Li
11
3.L3~03a
'npu. lu. lel3 ,p 1!.suo'J al
~ Zçg ( l a!J A~j Z np aJ !l?lUaWa I2~J l~)J J~P al nA
~ Lv6 1 aIqwald.s 9 np vvLl - Lv . u 101 ~ I Jlld a~! ) lp
· ow alc d!J! unw uoq es!u l?1l'J0.l 1I1S 178S I Ip Ae ç np !or el nA
~ « !Ol aluas;;JJd 1?'11 ap UO!leJ! ldde, p SUO!l!PUOJ sai el a'.
-!wJ al:} P anb!lqnd uOj4 eJ l S!u!wpe,p lU êl lU a l 3~J un :t : n:')uro !SU! C
Of ap!lJe uos Juawwl?l OU 'sa red!.J!unw suoq ;>al:} sap Il?J"5'USlg
oW llli'J al IU ex!) Lv6 1 aJqw. ld.s ç np ZfL I - Lv , u ror el nA
';}..)JêltuWOJ np
FI aplsnpu l ,l ap êlJlS!U!W np 'J;)lU-ëUlno,p ë).)ueId el ap aJJSIUIW
np ' saJueu!d sap aJlS!U !W np 'aJnsn[ RI ap aJlS!u!w 'xn~a~s
sap apl e'z np 'JJl ë) !Jyl UI,1 ap aJ l !lI !lU np p oddU J al Jn S
'SiJJ/S!U!W SlJP l!JSUOJ up IUJPIS;JJd
J7
xn" ~ au,,1I IV, 1 ~ sarqE:l! lddu IU OS !Ol ~ju.silJd " 1 .p Z aF'lj
-J U.1 ç sa nA;>Jd j lJd wasmoqUldJ .p SilI! lepo w s"1 - ' L 'PV
.« salS!1 sap
. n~Yr~p Sd1 11?d la u.o!SS]UnlIOJ el ~p sal qW'aW sa i
snol Jed 1UZ!S l~ H : ~l!J!Iqnd ~ w~w el l!O~dl la saUnmlUOiJ
saJ~lle sai S'uep a!n b Sailll Oj Sa.W~ltl sai suup H q~H lsa l"1?qJél.\
'fÇ6 1 I!JAE J. l <>r 'S!lUd ç l!u:I
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él ections ont li eu ie di manche »,
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Lt6 1 l;uqUl;)~<klS g ~]Y ZI>L rLt . u !Ol III IIp uOfjll;)!lddll,1 mod ;)nb l\q nd
UO!~Il.1lS!U!WPll,p ~U\lUl;)I1!~J ~ullpod Lt 6 l ;)lqW;)ld;)S 8 l np 91>81" L17 ', u l;)J;>;lO
'3Nn~g safJU4:>
~n'!J? IUr,1 .p 'JIS!U!W '7
a upa r ava nt par d écr et pri s en conseil des lllln lS
Art. 2. -
~ll ~
ur
.
ILes conse.
ils m '
llnLClpaU
X son t e'lus pour six
entre le 1er (t vriJ et le 15 m ai à
IS'
snld al l ep!puuJ ~~ 'x nelol sJa!uJ ap sa::> ap :}l!I e2~ , P se:> u3
· s l ail.uaJ~HJd' s.ull!s ap ja X!OA ap ~Aa l~ snld al lelOI al nualqo
e !nb SlUP!pU eJ xnap sap !nla::> ç ~mu op l sa a2'~!s al ' X!OA ap
~-.lJ q w o u aw :} w al !lI!anJa.l l UO asne::> ua salS!! x nap sai !S
'X!OA ap : uqw ou pueJZ snld a ~ lI nan::>aJ U ln i>
als!l el ç ;lUUOp l 'Sa !::>-!n jd:> 'l ;mqpu e ~ a,g~!s un,n b alSaJ au
1! 1)0 l a êl UU3AOW 3 W~W "Er l UO Sal S!! À'l1ap ~ O seJ al suea
'JêI!uJap ne,nbsnf synq!JH'E UOU sag~ ! s sap Un Jelp
mod u 0 !J eJ ~do a~w 'Er ç l UaWaA!Ssa:nns ?p~Old l sa II
'auua,{ow ~auop snld el nualqo luehe alS!! el 12' 5'J5'j UOJ lSêI ~nq
: p ~ uou a.o ~!s l êlfwa Jd êl l 'êllS!r el 12' synqpue ç f~ p sa.s~! s s~ p
~l !u n êl unlP 5'lu êl W ~ n 'E ';;I lq w ou JI Jed ~S! " !p l'Sa sal s!l sap al/n)
-Tnp l ed snu3l qo sa2eJjJJ ns ap êllqWOLJ al ';muahOW ap Oj sn Id ui
sp a11l'J
I U~A rns sali. !s sap UO!I1JJl1d')J el Jn od - 'L 'PV
. . allem ent dans tou t le ce r n't'
r enouvelés Integr
QJ r e nlét rolJOlltalO,
't"
en Al gérie et da ns des dépar t ements et t ern QJres d 'o ll t re~merl
,
moi
~st
'xnt?qJëM
-s~;)oJ d SJ3!UJap Së}J ~u oJ a u.a!s UOlU E';) ap no luaw asslpu oJJ e,p
ans. Lo rs même q u' ils o nt ét é élus dans Il'intervalle, ils . s~nl
dél ibcr é ;
L'Assem blée
' l ul u aw all ed~ pJ al U ! êlJnl:>êlHl d ap ,-asuoJ al lU"E'Aap J!oAlnod as
lUOJJnod al s!1 aHa:> lns Sl!J:lSU! SlUP!PU l?J saI 'alS!l aun,p l U~HU
-al~s ! .8aJU afl ap F)fns ne 1I 0!-ll?lSaluOJ ap seJ u3 'ç 'p'tf
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Il e lu';}!p"l?d'de lUd lu'aSS~ldluo;JOl?J lUoP snsS<lp-p sj)mew.10! S';}I
'sa!J!L'W sln'!Sn ld jlJdlSlxa t o 5;)fT!A 5;)1 suep 'S!O!'ln0.L •
�< Touteiois, dans les \Tilles
0>
existent plusieurs mairies,
les fonnalités ci-dessus dont l'accomplissement appartient au
territoines d'outre-mer en ce qui ronce"'l!! les villes de plus de
9.000 habitants.
président et au secrétaire du bureau de v'Ote sont effectuées par
La préSènte loi sera exécutée comme ~oi <le l'Etat.
le président de lia commissiOJl visée à l'a rtide 27 ; le procè9-
Fait à Paris, le 1er avril 1953.
"erual est établi dans les mémes fonnes qllf dans les autres
conUllunes et reçojt la même publicité ; j,1 est signé par tous
les membres de la rommissi01l et par les déJégué$ des listes •.
Art. 7. - Le; mod"lités de rembollrsement prévues à l'article 2 de la presente loi sont appliJ..':'3hles à J'Algérie et aux
Vincent AURIOL.
Par le Pré$ident de ~a HtWubUque,
Pour le Président d'a Con seil des Ministres
et par délégation,
Le Vice- P~ési<len t dt> Consei l :
He nri QUf"-U1LLE.
Le Ministre de l'/ntùieu~ :
Cha'rJes BRUNE.
Décret n° 47.1836 du 18 Septembre 1947 portant règlement d'administration
publique pour l'application de la loi n° 47.1732 du 5 Septembre! 1947
fixant le règime,général des élections munincipales.
Le Président du Conseil des Ministres.
Art. 6. -
Les c roix
placées à titre d'indication préféren_
Sur le rapport du ministre de l'Int érieur, du garde des
Sceaux, ministre de la Justice, du ministre des Finances, du
ministre de l a France d'outre-mer, du ministre de l 'Industr ie ct
du Commerce .
tielle en face du nom de ce rtain s ca ndidats d'une ,liste ne
devront comporter aucun caractère pouvant être interprété
comme un signe de reconnaissance .
Vu la loi n· 47-1732 du 5 septembre 1947 fi xa nt le régime
général des élections municipales, notamment so n artide 30
ainsi conçu: < Un règlement d'administration publique détermi-
la plu s forte moyen ne, le nombre de suffrages obtenus par cha~
cu ne des listes est divisé par le nombre, augmenté d 'une unité,
des sièges déjà att ribués "' la ~iste. Le premier siège non '*Iri.
liera les conditions d'application de ija presente loi» ;
Vu l a loi du 5 avril 1884 sur J'organisati on municipale mo-
difiée pa r la loi n· 47-1744 du 6 septembre 1947 ;
Vu le déc ret réglementaire du 2 février 1852 ;
Le Conseil d'Etat entendu,
DECRETE
u
TITRE 1er
Du régime électoral applicable aux élections
des Conseils municipaux
Article' premier. -
L' élection des Conseils municipaux est
Art. 7. -
Pour la répartition des sièges sui vant la règle d.
bué est conféré à la liste ayant obtenu la plus ~o rte moyenne.
II est prooédé successi,v ement à l a même opé ratio n pour
chac un des sièges non attribués jusqu'a u dernier.
Dans le cas où deux listes ont da même moyenne et où il
ne reste qu'un siège à attribuer, cel ui-ci est donn é à la liste
qui a recueilli de plus grand nombre de voix.
Si les deux listes en cause ont recueilli le même nombre
de voix, le siège esl donné à celui des deux ca ndidats qui a
obtenu le total le plus élevé de voix et de sig nes .préférenliels.
En cas d'égalité de ces derniers totaux, le candidat le plus
âgé es t proclamé élu.
Ar!. 8. - Par dérogation à l' article 32 du décret réglemen·
taire du 2 fév rier 1852, et 'pour f·aciliter les opé rat ions de recen-
so umise, dans les commun es de plus de 9.000 habitants et dans
les commu nes du département de la Sei ne, à l'exception de
Paris, a ux disposilions de la loi n· 47-1732 d~ 5 septem bre
sement de votes, il sera procédé d ans l es communes divisées
en plusieu rs arrond issements ou en {plu sieur s can tons, à un
1947 ; dans toutes les autr es communes, aux dispositions de 'ira
dissment ou du canton ; si le ca nton com porte une partie
urbaine et une partie rur alle, ce tte disposition ne s'appliquera
qu'à la partie urbaine.
loi munici pale du 5 av ril 1884, modifiée par la loi n" 47-1744
du 6 septembre 1947, sous réserve des disP9sitions des articles
11,12 et 21 de la loi n" 47-1732 du 5 septemuTe 1947 et d"
l'article 9 d u prése nt décret.
Art. 2. -
L'Assemblée des éJecteu rs est convoquée pa r un
arrété du Préfet qui désigne les locaux où le scrutin se déroulIera ainsi que les heures auxq uelles il sera ouver t et ClltS. Cet
arrêté est publié dans !es commu nes quinze jours au moins
avant l'élection et oU'Vre l a période de campagne éledorale.
Art. 3. - Après l'enregist r ement de la liste, aucun retrait
de ca ndidature ne sera admis.
premier recensement g~né ra l des votes dans le cad re de l'arron-
Les résultats de <: haque burea" de vote seront portés par
le président à un bu rea u de vote d'arrondissement ou de canton
désigné pa r le préfet dans son a rrêté de convocation du corps
électo ral.
Les rés ultats du recensement des votes dans l'ar rondisse·
nient ou le ca nton seront consi gnés d ans des procès-verba~x
signés des présidents des divers burea ux de vote de l'arrondissement ou du ca nton. Un exempl ai re de ces procès-verbaux
En cas de décès de l'un des cand idats a u cours
sera immédiatement porté au président du bureau ce ntral de
,'ote où s'opè rera le rece nsement géné ra l des votes pout l'ensemble de la commune. Les présidents des bureaux de vote
de la campag ne électorale , ses colistiers devront le rem p}.ace r
par un nouveau ca ndidat au r ang qui leur conviendr a.
d'a rrondissement ou de canton si gner ont ces der niers procèsve rbau x.
Art. 4. -
Cette nouvehlc ca nd idature
fera l'objet d'une décla ration
complémentaire.
Art. 5. -
En cas de contestalioll au sujet de l'e nregistre-
ment d'une liste, les ca ndiùats i nscrits sur cette l iste pourront
se pourvoi r devant le Conseij de préfecture interd épa rtemen ta l,
qui rendr a .a décision dans les trois jours du dépôt de la
1 equête.
Art. 9. - Dans les commun es de 2.500 à 9.000 habita. n;~
où, conformément à ,l'article 21 (a lin éa 2) de "" 101 n' 47-17
du 5 septembre 1947, l'a ttri b'uti on d'un contingent de paple~
est subordonné au dépôt d'une déclara ti o n, si une lISte néglrg
de fa ire cette déclaratio n les bulletins établis au nom d~,
candidats qui y figllfent ~e seront pas de ce fait frappés "
nullité.
TITRE Il
Du contrôle des opérations electorales
Art. 10. - Vingt-q uatr e heures au moins avant J'ouve rture
du scrutin, dans les co mmunes visées à J'ar ticle 1er de l a loi
susvisée n" 47-1732, les maires devront recevo ir, sous pli
recommandé, not ifi ca ti ~ n des noms du d él égué titula ire et dl!
dél égué suppléa nt de chaque liste, charges da ns chaque bureau
de vote de co ntrôJ:er au nOI11 de cell e·ci res opératio ns électorales. Les délégués dev ront être choisig parmi les électe urs cie
la commune co nsi dérée. Leur notificati on deNra obligatoiremen t
comporter leur nom et prénoms, d ate et lieu de naissance,
ainsi que leur adresse.
Art. 11. - Les listes d'émargement de l'haque burt!a u de
vote signées du président et du secretai re demeure ront déposés penda nt huitaine au seêrétariat de la mairi e.
TITRE II I
De la règtementation lie la propagande
pour les élections municipales
Art. 12. -
Le con tin gent de papier prévu aux articles 20,
21 et 22 de la loi n' 47-1732 d u 5 septembre 1!i47 est al loué
10 D'indiquer au préfet le nombre d'envelop pes nécessaires
ù l' expédition des circulaires et bulleti ns de vote dans la ou les
('ommunes de leur compétence et de les r épa rt i r, le cas échéant,
en tr e ce!:> co mmunes;
2" De fai re assurer maté ri ellement le libe: lé des enveloppes et leur envo i en franchise aux électeurs avec les circ ul aires
et bulleti ns de vote de chac une des listes en présence dans la
même co mmun e. Ces documents devront parvenir aux ék cte urs
cieux jo urs au moi ns ava nt l e scrutin;
3" D e prendre, d'accord avec l es mai ri es intéressées, les
di spositi ons nécessai res pou r ass urer ~e vote par ~o rr espo n
dance dans la mesure Oll les lois en vig ueu r autorisent cette
p rocédure 'parti çuli ère ;
4" D e fai r e remettre aux mai res in téressées, la ,'eille du
s.c r utin avant midi, au plu s tard, et en nombre au moins égal
au nombre des électe urs inscrits, les buJJ etins de vote de chaque '-iste, â moi ns que Jes délégués .n'a ien t déo!aré qu'ils y
pourvoiraient par eux-mêmes.
Hormis ce derni er cas, les mandatai res des l istes dev ro nt
remettr e à la comm ission, quatre jour avant le scrutin, leurs
circulaires et bu llet ins de vote.
A r t. 16. - Le jo ur du scr uti n, le maire mettra l es bulletins
de vote à l a disposition des électeurs, dans tous l es bu reaux
de vo te. l a garde de ces bu!letins se r a co nfiée à un employé
municipa l.
dès l'enre,g istrement de la déda ra tio n, au vu du récépi:isé de
celle-ci, et de la justificatio n du verse ment du caut ionnemen t.
Dans les co mmun es de moins de 2.500 habitants, i l est alf.oué
au vu d' une demande adressée au sous-préfet ou, dans l'arr ondissement chef-li eu, au préfet, huit jours au moi ns avant le
premier tour de scrut in et cinq jours avan t le second.
Art. l7. - Il ne sera pas. exigé de nouveau ca utionnement
des listes se représenta nt au second tou r de scrutin, même si
ia composition de ces li stes a été modifiée à la sui te du premier
tour.
Art. 13. - Dans l es commu nes de moinsde 2.500 habitants,
chaq ue li ste ou .ca nd ida t isolé doit remettre au maire de la
comm un e la vei ll e du scru tin, à midi, au plus tard, un nomb re
de bu\):eti ns de vote au moins éga l au nomb re des électeu rs ins~
crits po ur être mis à la disposition de ceux-c i par l'administration co mm unale.
Art. 18. - Le ministre de l' In térieur, le ga rde des scea ux·,
ministre de la Justi ce, le ministre des Finances, le minis tre Je
la Fra nce d' outre-m er et ~ e ministre de J'Industrie et du Commerce so nt char gés, chacun en ce qui le concerne, de J"t! xec ution du présent d écret, qui sera pu bli é au Journal O fficiel de
la Répu blique française.
Art. 14. Les Commissio ns prévues à J'a rticle 25 de la
loi se ront inSTitu ées par arrêté préfectoral, q uinze jours au
moins avant les élections. Elles com prendront un magistra t ou
ju ge de paix, en activité ou hônoraire, président, désign é pa"
le présiden t du t ri bunal ci vil ; un r epr ésen tant du trésorierpayeur crénér rul et le receveu r principal des postes, té légraphes
et téléphones.
D ans les cantons compta nt plusieurs communes de 2.500
ti abitants et plus, le préfet pou rra autor iser J' institution d' une
!Seul e co mmission intercommu nale sié geant dans la co mmune
eff ran t le plus de com modités pratiques.
Un delégué de chaque liste, dûment ma ndaté, pourra assi ster, avec voi x consultati ve, au x tra\'au x de la co mmission dans
la Comm un e où cette ~iste sc présente.
Art . 15. -
Ces co mmissions ont pour tâche:
Fait à Paris, le 1g septembre 1947.
Paul RAMADIER.
Par le Président du Co nseil des Mi ni st res,
Le Ministre de l'Int érieur:
Edouard DEPREUX.
Le Garde des S ceaux , Ministre d e Ja Jus liee :
André MAR IE.
Le Minis tre de la Recons tru ction et de l'Urbanism e
Ministre des Finances par inlerim :
Jean L ETOU I~ NEAU .
Le Ministre de l'Industrie el du Commerce
Robert LA COSTE.
Le Millistre cie la Fran ce d'outre-mer
Ala rius MO UTET.
Dépouillement du scnltin lors des prochaines élections municipales _
Circul aire min istérielle N I> 428
Paris, le 20 septembre I9./7.
Le Ministre de l'Int érieur,
à Messieurs les Préfets,
M on attention a éte attirée sur l a Jenteur que présentera,
lors des p rochaines éJections municipru!es, le dépoui ll ement d u
sc rutin dans les grosses co mmunes soum ises au régime de la
Rep résen tatio n prop orti onn elle et où j oueront à la fois le panachage et le vote p référentiel.
Il est évid ent qu e dans ch aqu e bureau de \'ot~, l es opé ra-
ti ans fort
heures.
compl ètes de dépouillement
demanderont
pili sie urs
Or, ~es r ésultats ob tenus dans chaque Bureau de vo te devront être ensuite portes au Bureau ce ntral de vo te où se fe r a
l a totalisa tj on des résultats po ur l a total ité de la co mmune.
L'e nsemble de ces opérations ex iger a donc un temps co nsidér abl e qui sera d' autant plus long qu'a u bureau central de
vot e la r écapit ulati on des r ésultats obte nus dans chaq ue bureau
de vote, portera sur un plus grand nombre de ces b ureaux.
D ans i(' but de remédie r à cet incoll\'énient, au moi ns dans
les grandes co mmunes divi sees en un certai n nombre de Can-
9
�tons ou d'arrondissements, un article a été insé.ré dans le ~e.gl r
ment d' Administration publique dëterminant les conditions
ù'application de la loi n· 47-1732 du 5 sep tembre 19H fixallt
Ir rëgime genêral des élections municipales.
Cet ar ticle dispose que :
Par derogation à l'article 32 du décret r è 'ementai re du
2 fe"rier 1952 et pour faciliter les operations de recensement
des "otes il sera procédé dans les communes divisées en plusieurs a r~o ndissements ou en plusieurs cantons à un premier
recensement aénéral des votes dans le cadre de l 'arrondissement ou du c~nton : si lE" canton comporte une partie urbaine
et une partie rurale, cette disposition ne s'applîquera qu' à la
.
partie urbaine.
Les résultats de chaque bure au de vote seront portés par
le Président à un bureau de vote d' arrondissement ou de canton désigné par le Préfet dans son arrêté de convocation du
corps électoral.
Les résult ats du recensement des votes dans l'arrondissement ou le canton seront consignés dans des procès-verbaux
signés des présidents des divers bureaux de vote de l'arrondissement ou du canton . Un exemplaire de ces procès-verbaux
sera immédiatement porté au président du bu reau central de
vote où s'opèrera l e recensement "enéral des votes pour
l 'assembl ée de la commu ne. Les présidents des bureaux de \1 1
.
dt.
0 e
(l'arrondissement ou e can on signeront ces derniers procès.
verbaux.
De {'e tte fa ço n, un temps precieux sera gagné, le burea
central de vote n'ayant à recapihu'er que l es résultats glObau~
de quelques cantons (ou d' arrondissements) a!.l lieu d'avoir
procéder au même t r a\'ail pour les r esultats de plusieurs di~
zaines de bureaux de Ivo te.
Vous voudrez bien me rendre compte des mesures que
vous aurez prises pour l'application des présentes instructions
que vO us voud rez bien porter à l a connaissance des maires
intéressés pour l eur fa ciliter la tâche.
j'ajoute que da ns les bu,r eau'x cantonaux de vote, il devra
être fait lisage pour de recensement cantonal des vo tes des
mod~les de procès-v erbaux de r ecensement général des votes
utilisés dans les bu reaux centraux de vote.
Au bureau centra l de vote, l es procè s-verbau x de recense_
n!e nt général seront signés par les présidents des bureaux Cantona ux de vote et non par les présidents des diverses sections
oe vote.
Pour l e N\inistre de l' Intéri eur et pa r délégation,
Le Directeur du Cabin et
Circulaire télégraphique n° 127
Le Ministre ùe l' IntérieUT.
Direction des Affaires Politiques,
à M~ . les Préfets de la Métropol e et a'Outre-Mer.
L'article 25 1er nouvea u <1" la loi du 5 Septe mbre 1947
J!!odifié par la Iloi du Jer Avri l 1953 dispose:
Les dépenses visées à l'article 25 bis ne seront remb oursées
qu'aux listes ou aux ca ndi dats isolés qui auront fait une décla.
ration dans les con ditions prévues au p'remier alinéa de l'article
3 et qld auront obtenu au moins 5 % des suffrages exprim é~.
Je crois lIécessaire d'éclaircir un e diHiculté d'interpréta tioll
de ce texte sou levée par certai ns d'entre vous. Malgré
l'emploi des termes « candiùats isolés ,. les travaux préparatoires à la loi du 1er Ayril 1953 montrent que le l égislateur
n'a null ement vou lu remettre en cause le pri ncipe des list t!s
compl ètes dans les communes de plus de 2.500 habita nts.
VIGU IER.
Arrêté fixant la liste des Communes de plus de 9.000 habitants
ainsi que celles des Communes de plus de 2.500 habitants
et de moins de 9.000 habitants
LISTE DES PIECES D'IDENTITE EXIGIBLES LORS DU SCRUTIN
POUR LES ELECTIONS MUNICIPALES DANS LES COMMUNES
DE PLUS DE 9.000 HABITANTS ET DANS LES COMMUNES
DU DEPARTEMENT, D:E lA SEINE
Le .\\1nistr e de l'Intérieur:
Vu l'article I~ de la loi n· ~7 -17 32 d\1 5 Septembre 1947
n.xant le régime général des élections municipales, ainsi co nçu :
c Lors des é-le-ctions municipales, les électeurs des communes de 9.1JOI' habitants et PiUS. et des communes du département de la Seine, devront présenter au présid'ent du bureau
électoral au moment du vote, en mëme t~mps que la carte
d 'électeur, un titre d identité.
3
c La liste des titres val. bits sera établie par arrête dL
Mi nistre de l'lntérieuT. >
Vu l'article 15 de la loi n· 47-1733 du 5 Septembre 1947
fixant le régime électoral pour les élections au Conseil .M unicipal de Paris et au Conseil Général de la Seine, ainsi conçu:
c: Les dispositions r elath'es à l'identité des électeurs el a
10 prapagande electorale pr évue aux litres Il et III de la loi
concernant le régi me général des élections municipales sont
applicables aux assemblées parisiennes : Conseil Municipal de
Paris, Conseil Genéral de la Seine (banlieue ,. ;
Vu la loi n· 50-1548 du 16 Décembre 1950 modifiant pour
les départements de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Mart inique et de la Réunion la législation des électio ns, et notamment
son article 9, paragraphe 2, ainsi conçu :
c La liste des titres dridentité valables sera etablie par
arreté préfectoral dans les deux mois qui suivront la .promulgation de la présente 10L >
AiRllliTE :
A Paris, dans les communes du
departement de la Seine et dans les communes de 9.000 habitants et plus, à l'exclusion d'e celles des ,répartem ents de la
Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et de la Réunion,
les électeurs et électriœs devront présenter au président du
ARTICLE. PREM.IER. -
10
Hestent donc integralement en vigueur : d' un e part les articles
1 et 3 de la loi du 5 Seplembre 1947 qui pr evoient le dépôt
{je listes complètes et d'autre part l'article 11 de cette même
loi aux termes duquel les candj.datur~ isolées sont interdites
dans les communes de 2.500 /habitants et au-dessus et les
l"ull etins distribu és aux électeurs d'oivent comporter auta nt de
noms qu'il y a de sièges à pourvoir. Cependant maJ gré
cette interdk tion légale le Conseil d'Etat a jugé _ arrêt commune
de Saint Florent du 7 Janvier 1949 - que restent néa nmoins
valables les suffrages exprimés par les électeurs au moyen des
bulletins imprimés contenant moins de noms qu'il y a de sièges
â pourvoir. Le Conseil d'Etat estime que la distribution
de tel s bulletins par les candidats rend seulement Ces derniers
passibles des sanctions édictées ,par l'article 27 de la loi du 5
Septembre 1947. T"I. est l e sens du rectificatif à ma ci rculaire n° 100 du 2 1 Mars 1953 annexe à ma circulaire n° 121
d u 1er Avril.
bureau électoral au moment du vote, outre leur cart e <l'électeur
l' un des titres d' identité désignés ci-après :
'
Cart d'identité avec photographie délivrée par les Préfels,
~ires ou Commissaires de Police
Li vret militaire ;
Extrait lu livret mjJjtaire
Cart e de combattant de co ul eu r chamois ;
Passeport, même périmé, {j'éli vré ou renouvelé postérieurement au 1er Octobre 1944 ;
Permis de conduire ;
Permis de chasse non périmé
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu la loi n' 47-1 732 du 5 septembre 1947 fixa nt le régime
général des électio ns municipales ;
Vu le decret n· 47-1833 du 17 septembre 1 9~7 fixant la
date du renouvellement intégral des Conseils municipaux ;
Vu le décret n· 47-1836 du 18 septembre 1947 portant
règlement dJAdministratio n publi que pour l'ap.pli cation de la loi
n' 47-1732 du 5 septembre 1947 fixant le ré gime général des
élections munidpales ;
V'll le décret n· 46-2948 du 30 décembre 1946 authentifiant
les résultats du recensement du 10 mars 1946 j
V,u la cir,culaire télégraphique
Livret .d!e famille ;
Carte d'ident ite de fonctionnaire avec photographi e détivrèe
llOstérieu rement au 1er Octobre 1944 par le Directeur du personnel d'une administration centrale, par les préfets Ol! par
les maires, au nom d' une ad ministration de l'Etat, des Départements ou des Communes ;
Carte d'immatricu lation et d'affiliation à la Securité Sociale;
Carte sociale des économiquement faib les ;
Titre de réduction de la Societé Nationale d'es Chemins de
.fer Français non périmé ;
Carte d'identité ou cart e de circulation délivrée par les
a.utorités militaires d'es Armées de Terre, de Mer et de l'Air j
Titre de .penSion (carnets à coupo ns ou brevet d' inscription)
justifiant de l 'identité du titulaire.
Ap,T. 2. -
9.000 ha bitan ts et pour lesquelles le mode de scrutin régi par
la loi municipale du 5 aVTil 18S4 a été modifiee par la loi du 5
septembre 1947 (art. Il et 2 1) en ce qui co ncern e le dépôt de
candidatu res isolées et la propaga no'e électorale :
ARRETE
L'a'rrêtél du 8 Septembre 1947 est abro gé.
ART. 3. Le présent arrete sera publié au « Journal
Officiel > de la République Française.
Fait à Paris, le 1er AlVril 1953.
Oharles
BRUNE.
Il \>
42:1 du 20 septemhre 19-+7,
ARRETE :
IARTICLE PRE.MIER. - Est fixé comme suit la Liste des co mmunes du d'épartement des Bouches-du-'Rhône 'CIont la population
municipale totale est supéri eure à 9.000 habitants et qui, pa:'
applicatio n de la loi du 5 septembre 1947 éliront les Conseillers
municipaux au scrutin de liste à un tour, avec représentation
pro port io nnell e, panaohage et vote préférentiel :
Habi tanls
1. Aix ..... .
46.053
2. Arles .. .
35.0 17
3. Aubagne .. .
16.06 1
4. La Ciotat ....... .
13.4 10
5. Marseille
636.264
G. Martigues
11.295
7. Salon
15.82{i
ART. 2. -
Est fix é co mm e suit la liste des communes du
départem ent des Bouches-du·Rthôn e dont la popu lation municipale t ota le es t supéri eure à 2.500 habi tants, mais inférieure
a
1. Allauc h .......................... . ...... .
2. Auriol ....... .
. ............ .
3. Berre-l'Etang ... .....' ...... .. .•.... .. . .. .. .
4. Cassis .. .. . . . .................. ...... .
5. Châteallneuf- Ies-"Martigues . ....... . ... . _.... .
6. Châteaurenard .. ..... . ........ . ......•.. ..
7. Gardanne .. . . . . . .. ........ .... . ... . .... . . .
8. Istres . . . . . . .. ........ ....... . • . ..... _. . ... .
9. La Penne-sur-Hu vea une ... ....... '
10. Marignane ........
. ..... , . . .. . .... . , . .
Il . Miramas ... . ...
. . . . . . .. . ........ .
12. Noves .......... ..... . ................... .
13. Pennes-.Mirabeau .......................... .
14. Plan-de-Cuques .. ...... . . .. .. . . .... . ... . .. .
15. Port- de-Bouc ........ ........ ........ . .... .
16. Port- Saint-Louis-du-Rhône .......... . .. _.. _.. .
17. Roquevaire ....... .
. . . . . . .. . ...... .
18. Saint-Chamas . ............. . .... .......... .
19. Saint-Rémy . ..... . ........................ .
20. Septèmes .. ...... ........ ........ . ..... .
21. Tarascon .... . .. . . .... . . .
22. Trets . . .... ............................. .
Habitants
7.148
2.809
5.859
2.769
2.536
8.6().j
7.979
5.749
2.516
8.050
7.3 10
2. ~O
5.60 1
4.53<i
6.625
3.982
2.521
3.441
6.877
3. 1~4
7.781
2.553
ART. 3. - Le présent arrêté sera publié et affiché dans
les communes sus-mentionnées en même temps que l'arrêté de
co nvocation des él ecteu rs.
Ma rseille, le 29 septel1lbre 1947.
D.N .B. 5489
Pour le Prefet
Le Se crétaire général délégué
Signé: François COLLAVER I.
Il
�Arrêté désignant tes membres des Commissions de propagande
pour tes Communes de 2.500 habitants et plus
Le Prefet des Bouches-dll-Rhône,
Officier de la Légion rl'Honnellr.
Vallons) : M. Coniti Joseph, juge cie Paix à Ga rda i'
~
. .
ne, prés!.
dent ; M. Casasoprana Dom inique, percepteur de Gar 1
( anne
Iv\. Leromain Julien, receveur des P.T.T,
Vu la loi du 5 septembre 19.\1 art. 25 modifiée et complé;ée
par la loi n' 53-252 du 1er avril 1953 ;
Vu le décret du 18 septembre 19.\1 portant règ lem ent
d'administration publique pour l'applicalion de la l oi du 5 septembre 1941,
ARRETE
Article premier. - La composition et le siège des tommis~
s ion cha rgêes d'assurer la propagande électorale dans les
communes de 2.5OCl habitants et plus, lors des élections municipales des 26 anil et 3 mai 1953, sont fixés ainsi qu'il suit
ARRONDISSEMENT DE MARSEILLE
CO,\L\\ISSI0N D ALLAUCH (chargée de l a propagande pOUf
les communes d'Allauch et de Pllan-de-Cuques) : M. Lanata,
Juge de Paix du 8°' Canton de ~ \ a rseille ; président: M. Gardie Pascal , percepteur à Allauch ; 1'\. Gi raudi n P au l, receveur
J
des P.T.T. à Allauch.
COMMISSION D'AuBAGNE (ohar gée de la propagande
les communes d'Aubagne et de la Penne-sur-Huveaune)
Ha nne François, Juge de Paix à Aubagne, président; M.
pech Achille, percepteur à Aubagne ; M. Sall'eta Arthur,
pour
: M.
Del·
rece-
"tur des Postes à Aubagne.
CO.'\MISSION DE LA CIOTAT (chargée de Ja propagande pOUl
les communes de La Ciotat et de Cassis) : M. Excoffon Jean,
Marie, Juge de Pai x à La Ciotat, president ; M. Sapin Jean,
percepteur à La Ciotat; M. Hay Charles, receveur des P.T.T.
a La Ciotat.
COMMISSION DE MARSEILLE (char gée de la propagande pour
la commune de Marseille) : M. Michel Roger, Juge au Tribunal
Civil, président ; M. Marchand Remy, second fo ndé de pouvoirs
à la Trésorerie Générale j At Luton Henri, r eceveur des
P.T.T. à Marseille.
COMM ISSION DE ROQUEVA IRE (cha r gee de la propagande
pour ~ es communes de Rouevaire et d'Auriol) : M. Hanne François, juge de Paix à Roquevaire, président j 1\.\. Signaux Pierre,
percepteur d~ Roquevai re ; Mme Ansos Céline, receveur des
P.T.T. à Roquevaire.
COMMISSION D' ISTRES (char gée de la proparra nde
pOur les
communes d' istres et de St-Chamas) : M. Bourgo in Amédé
ju ge de Pai x à Martigues, président j M , Jonq uères Sébél$tie~'
percepteur d' Istres; Iv\,. Rouge Louis, receveur des P.T.T.
'
e.(
CO.~\\l SSION DE MARTI GUES (chargée de la propaga nde POur
les comm unes de Martigues, Châteauneuf-Ies-Martial,es
'1 .
e.
, H an·
gnane, Port-de-Bouc) : M. Bourgoin Amédée J' li fTe de P ' .
'e.
alX a
Martigues, président ; M. Pascal Emi le, percep teu r de Ala r~gues; M. Maurel Charles, receveur des P.T ,T,
CONu\"SSION DE SALON (chargée de la p.ropagande pour les
communes de Sa lon et Miramas) : M, Agier Lucien, juge de
Paix à Salon, président; N\. Guerrin Marcel, receveu r-rJercep.
teur de Salon; M . Biau Charl es, receveur des P.T.T.
CO'\\MISS ION DE TRETS (chargée de l a propaga nde pour la
commune de Trets) : M. Coniti Josep h, juge de Paix à Gardanne ; M . Joubert Daniel, percepteur de Trets; Mlle Audiberl
Marie, r ~eve ll se des P,T .T .
COMMISSION DE BERRE (chargée de la propagande pour la
commune de Berre) : M. B aby Jean, juge de Paix à Berre, président ; M. Hou rs Maurice, percepteur de Berre ; M. Dat Paul,
receveur des P.T.T.
COMMISSION DE GARDANNE (char gée de la propagandt pour
12
Gardanne,
Pennes-Mirabeau,
Septèmes-Ies-
. Vu la loi du 5 Avril 1884, titre Il , cl"pitre 1er Sur la formation des Conseils Municipaux ;
Vu la loi du 29 Ju il let 1913 ayant pour objet d'assurer le
~ecret et la I! be~t~ du vo te ai nsi que la si ncérlté des opérations
eleotorales, modl fl ée et ,co mplétée pa r la loi' du 3 1 Mars 19 14 ;
Vu la loi du 20 Mars 19 14 tendant à réglementer J'affiohage
électora l ;
Vu la loi du ] 1 Mars 19 14 aya nt pour Objet de réprim er
les actes de cor ruptIOn dans les Ol)érations électorales .
. Vu la loi . n° 46-688 du 12 Av ril 1946 instituant :Jne procedure exceptionnelle de vote par procuratioll ;
Vu la loi n° 4t>-880 du 2 Mal 1946 abaissa nt à 18 ans en
matièr e électorale la lim ite dtâge des jeun es français titulair es
de certaines décorations j
Vu la loi n° 46-2 113 du 1er Octobre 1946 fixa nt à vi nat
trois ans, Vâge de J'éligibilité aux assemblées et collèges élec t~
raux élus au suffrage universel et <iir ec t j
Vu le décret du 30 Décembre 1946 authentifi ant les résultats
du recensement quinqu ennal du 10IMars 1946 ;
Vu la loi n' 41-1732 du 5 Septembre 1941 fixant le régime
général des élec tio ns municipales ;
Vu la loi n' 41- 1744 du 69-1 941 mod ifia nt la loi du 5
Avril 1884 sur l'organisation mun icipale ;
COMM ISSION D'ARLES (char gée de l a propagande pour la
comm une d'Arles) : M , Cassari n, ju ge de Pai x à Arl es, prési·
de nt ; M. Coeflfic Eugène, receveu r des Finances d'Arl e!; ; M,
Guiraud Léon, receve ur des P.T.T.
Vu le décret n' 47-1836 ' du 18 Septembre 1941 portant
règlement d'admin istration publiq ue pour J'application de la loi
nO 41-1732 du 5 Septembr e 1941 fixa nt le régime gé néral des
elections munici pales ;
COMM ISSION DE CHATEAURENARD (chargée de la propagande
pour les commu nes de Châteaurenard et de Noves) : Nt Ran·
chon, j uge de Paix à Châtea urenard, président ; M. Comalada
Pierre, percepteur de Châteaurena rd ; M. Jull ia n René, receveur <les P.T.T.
COMM ISS ION DE PORT- St-LoUIS (c hargée de la propagande
pour la commune de Port-St-Louis-du-Rhône) : M. Riagnou"
ju ge de Paix suppléant 'à Port-St.,Louis, président ; M, Molinier M au ri ce, percep teur d'Arles-ba niieue ;M. Garnier Pierre,
receveur des P.T.T.
COM;\\l SSION DE St-REMY (chargée de la propagande pour
l a commune de St- Rémy) : M. Foatta, juge de Pai x à St-Rémy,
président ; M. Castella ni François, percepteur de St-Rémy; M.
Cadea u Edmond, receveu r des P.T .T.
COMM ISS ION DE T ARASCON (c har gée de l a propagande pour
COMMISSION D' AI X (chargée de la propagande pour la
commune d' Aix) : M. Boimond Jean, Juge de Paix à Aix, president ; M. Martin Gérard, receveur des Finances à Aix ; M.
L aureau Léon, receveur des P.T.T.
Le Préfet des Bouches -du_l~ h ô n e
Offi cier de la Lêgion d'Honneur,'
ARRONDISSEMEN T D'A RL ES
ARRONDISSEMENT D'AIX
les communes de
Arrêté convoquant les Collèges Electoraux du Département
des BOUChes-du-Rhône, en vue des élections municipales du 26 Avril t 953
la Commune de Ta rascon) : Mlle 'Ci cludo, juge de Paix il Ta·
rasco n, président ; M. Amblard Victor, per cepteur de Tara..
con
j
M. Marnas Fernand, receveur des P.T,T .
Vu la loi nO 53-243 du 28 Mars 1953 modifiant l'artic le 41
de la loi du 5 Av ri l 1884 sur l 'organisation municipale et l'article
13 de la loi nO 47- 1183 du 5 Septe mbre 1941 fixant le régime
électoral ..pour les elections au Co nseil 'Mfuni.cipal de Paris et au
Conseil Général de la Scine ;
Vu la loi n" 53-252 du 1er A vril 1953 modifian nt et complétant la loi nO 47-1732 du 5 Sel)tembre 1947 fi xant le régime
général 'd'es élection s muni cipales et \:ompléta nt la loi du 5
Avril 1884 Sur l'or ganisatio n municipale;
Vu notre arrfté du 29 Septembre 1947 fixannt la liste des
communes de plus de 9.000 habitants où le vote aura lieu au
Il membres dans les commun es de
.............
. . ... , . , ......
13
>
... ....... , . " ., . " .
11
>
...... . .
21
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23
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35
»
»
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...
3ï
»
»
•
•
.
.
... ....
Art. 2. - Ces commissions devront se r éunir au plus tard
sautin de liste avec représe ntation proportion nelle et cell es de
plus d~ 2.500 habitantns ou l'élection aura lieu dans les COnditio ns fixées par la loi du 5 Avril 1884 modifiée par la loi
Cu 5 Septembre 1941 ;
A~RET1E
:
ARTICLE PREMIER. - Les électeurs du département des
Bou ches-du -Rhône sontn co nvoques à l'effet d'élire les membres
du Co nseil Muninripal de leur com mun e le di manche 26 Avril
1953.
S'il Y a lieu d~ y recourir, le deuxième tour du scruti n pou r
les com mun es dont le chiffre de la population est inférieur à
9.000 est fixé au 3 Mai 1953.
ART. 2. -
Dans les co mmun es de plus de 9.000 habitants
les élections auront lieu au scrutin de liste il un tour avec
aépôt de liste complète, r eprésennation proportionnelle, panaohage et vote préfér entiel.
Dans les com mun es de moins de 2.500 habitantns les électIOns au ront lieu all scrutin majoritair e à deux tours, en application de la loi du 5 Avril 1884.
Toutefois et par dérogatIOn à l'ar ticle Il de la loi du 5
Avril 1884 dans les com munes de plus de 2.500 habitants les
candidatures isolées sontn interdites et les bulletins distri bués
aux électeurs doivent comporter auta nt de noms qu'il y a de
sièges il por voir.
Les électeurs conser vent le droit de dépvser dans l'urn e
des bulletins dont la liste est incomplète.
ART_ 3. - Les électio ns seront fa ites su r les listes électorales arrêtées au 3 1 Mars 1953 ; les ~I\la ire s des communes ou,
l:onformément il l'a rt icle 8 1 du décr et réglemeotaire du 2 Février
1852, il Y aurait lieu dl appor ter des modifications à ces listes,
publieront, cinq jours ava nt la ré union des électeurs, un tableau
contenant les dites modifica tions.
ART, 4. - Le nom bre des mem bres du Conseil Municipal
est détermi né dans chaque commune par l'im portan ce die la
po.pulation municipale totale telle qu 'ell e resso rt du recens ement
du 10 Mars 1946, homologué pa r décret en d"t e du 30 D écembre 1946.
La loi du ô Septem bre 1941 modifiant la loi du 5 Avril 1884,
él fi xé la co mposition des Conseils Municij>au x ainsi qu'i l suit:
500 habitants et au-dessous.
501
1.501
»
»
2.50 1
»
»
3.50 1
»
»
10.001
»
30.001
»
»
-10.001
»
50.00 1
»
»
60.00 1
et au~d ess lls ,
•
•
•
•
•
1.500
2.500
3.500
10.000
30.000
-10.000
50.000
60.000
quinze j ours avant le scrutin.
Art. 3. .-
MM . les Sous-Préfets d' Ai x et d'Aples sont chardu présent
~és, chacun en ce qui le concerne, de l'exécuti on
~ rr êté,
Marseille, le 1 Avri l 1953.
Pour la commun e de M arseill e, en application ·de l'article
la der nier alinéa de la loi du 5 .J.\ vril 1884 et du décret du 3 1
Octobre 1946, le Consei l MUlilcipa l sera composé de 63 membres.
ART. 5. - Dans la co mmun e de Mi ramas di vÎsée en sect io ns électorales la Ire sec tio n (JMiramas gare) élira : 2 1 Conseillers municipau x ; la 2me sect io n (M iramas vill age) élira :
2 ConseHlers mun icipaux.
René PAIRA.
13
�ART. 6. - Le recensement général des \'otes et la proclamation des résultats auront lieu pour chaque co mmune à la
qui devront êtr e publiés et affi-d llés dans chaque commune cin q
jours au moins avant le scr utin.
Mairie.
ART. B. - .M:.'-'\. les Sous-Préfets d' Ai x et d'Arles, l'vi \\. les
Maires du département, sont chargés, chacun en ce qui le con
cerne, de l'exécution du prësent arrêté.
ART. 7. -
Le scrutin sera ouvert à 8 heu res et clos à
lB m.ures.
Toutefois dans les communes où po ur faciliter aux électeu rs
l'exercice de leurs droits il paraîtra it utile de de\' ancer l"heure
des dérogations pourro nt être accordé es par a r rêtés s pécia ux
Marsei ll e, le 7 Avri l 1953.
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU·RHONE
R É PU B LIQU E
Numéros 13 et 14
F RAN ÇAISE
2 et 9 Avril 1953
...
~.
Ren é PA lRA.
~~CD~~IL
(2
1
ACTES ADMINISTRATlF:'S
1
/
•
~
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
Il
TABLE D ES MATIÈRES
1
1
1
TEXTES D'INTERET GENERAL
FS 7. FS O. -
P 3. -
Services Hospitaliers de l' Administ ratio n de l'Assista nce Publique de Ma rsei ll e. - Prix de
journée. . . . .. ...... ...... ... . .. ... .. . . ..... ...... . . .... ..... . . .............. .
Prestations Familiales et Allocations logeme nt. . . . . .. ...... ...... . ....... .. . .
Autorisation de la pêche à la digne fl ottank les dimanches et j ours fér iés en période d' În1erdi ction dans certains co urs d'eau de 2" catégorie ... . .. ...... ...... . ..... . ...... .
70
70
73
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
i'our le P réfet et par D éléga tion ,
Le Secrétaire Général
Maxime M'IGNON.
FS O. -
Autorisations de transfert de co rps ..... .
73
FC
FC
FC
A
A
FC
Entraînement physique des sapeu rs pompiers ............................... .... .
Médaille d'honneur des sapeurs pompiers - Promotion du 14 Jui llet 1953 ........... .
Incinération des végé tau x .. , ........... .......... .. ... . . ... ....... .......... .
Lutte co ntre les ennemis des cultures .... ...... ... .. . . .... .
Elections de la Mutualité Sociale Ag ricole ...... . ... . .
Taux horaires des vaca ti ons à payer aux requis ... .. , ....... . . .................. .
74
74
7.
7.
7.
3.
O.
7.
-
75
75
76
76
COMMUNIQUES" AVIS " ANNONCES DIVERSES
ST SC DDS -
Vente sur soumissions de 4 vo itures to uris me ..... . ...... . ..... . .... .
Dons et legs ...... ...... . .... .
Avis de concours. . . . .. ...... . . .... .. .... ....
.
Ann ul ation de l'arrêté du 14. f'vr ie r 1953 co ncernantle
·Po ~ ~~l"............ : ." .... ."
0;
76
7û
77
77
ABR~VIATIONS. A. P. : Arrèt ~ [lnHectoral. - C. . Cir<.'Ul aire. - L es lettres 0 et 8 su i"its d'un chiffre
indiquent le Service ou Bur eau d·or igine. - D . S. T, : Direct ion des Se rvices Techniques. - D . D. S. ! Direction
Départementale de la Sa ut é. - U, D. J", : Direc tion Départemtntale de la Population.
14
hll' .IU Y EA1!'; NOUVEl.l.!,; DE MAIlS t: Il.l. F.,
12 0 ,
rue Sainte"
/
�TEXTES
D3B2-fS7
D'INTËRËT GÉNÉRAQ
FIXATION DES PRIX DE JOURNEE
DANS DIVERS ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS
A I{RETE
Le Préfet des Bouches-dI/-RhOne,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu la loi du 15 juill"t 1893 sur l'assistance médicale gra-
tuite i
Vu la Joi du 14 juiUet 1905 sur J'assistance aux viellla rd::-,
infirmes et incurables ;
Vu la loi du 30 juin 1838 sur les al iénés ;
Vu l'ordonnance du 1er octobre 1945 et l'arrêté du 15 jar.vier 1947 sur les Centres Régionaux de Lutte contre le Cancer;
Vu l'ordonnance du 18 décembre 1944 déterminant, à titre
transitoire, les règles de fixation des prix de journée dans les
hôpitalLx et hospi<:es publics ;
Vu la circulaire ministérielle du 29 décembre 1944 priSé
pour l'application de l'o rdonnance précitée ;
Vu la circulaire de M. Le Ministre de la Sa nté Publ,q ue et
de kt Population du 29 janvier 1~5 1 , relative au calcul au prix
de journée des Centres Régionaux de Lutte cont re le Cancer ;
Vu l'article 26 de la l ai du 21 décembr e 1941 et!es articles 22 et 34 du décret du 17 avril 1943 sur les règles de fixa-
tion des prix de joW'née des malades et pensionnaires payants,
modifiés par le décret n" 51-1218 du 19 octobre 1951 ;
Vu la circulaire d'application n" 183 de M. le Ministre de
la Santé Publique et de la Population du 24 octobre 1951 ;
Vu le décret du 15 juin 1948 sur l'organisation de l'Administration de l' Assistance Publique à Marseille et, notamment,
son article 16, alinéa 2 ;
Vu la circulaire ministérielle n" 172 du 28 novembr. 1952,
relative à la fixation des prix de journée 1953 ;
Vu l'arrêté préfectoral du 10-4-52, fixant les prix de journées des divers services des établissements hospital iers de
l'Administration de l'Assistance Pu bliq ue de MarSéille à compter du 1er avril 1952 ;
D2 82 - fS 0
V u l es pr oposi ti ons du Consei l d'Ad mtnistr ation de l'Assi _
S
tanue P ublique de M arseille, suiva nt déli bér ahon en date d•
3-2- 1953 ;
V u le rapport de M. nnspecteur Divisionnai re, directeu
dépa rtementa l de la ,Popwla tion en date du 17 mars 1953. t
1.
Vu l'arrêté pr éfeoto<'al d u 29- 1-53, reco nduisant
1er trimestre 1953 les prix de j ournée 1952 des divets services
de l'Administration de l'Assistance Publiq ue de Marseille;
pou;
Su r la proposition de M. l e Secr étai,re Général de la Pré-
iecture,
ARRETE:
Article premier. -
Les dispositions de l' arrêté du 29 janvier 1953 recond uisa nt po ur l e 1er t r imestre 1953 les prix de
journées provisionnels 1952 applicables depuis ,le 1er avri l 1952
dans les divers services hospitali ers de Il! Admi nistration de
l 'Assistance Publique de Marseille, y compt,is la majoration
propre a u Centre AntioancéIieux, 'co ntin uero nt à s'appliquer en
1953 postéri eurement au 31 mars 1953.
Art. 2. - L e pr ésen,t arrêté ser a so umis à l'approba tion de
M. le Ministre de la Santé P ubl ique et de la Population, ses
dispositions étant, to utefois, provisoi rement applicables immé('iatement jusqu'à J',nterve ntio n de la décision ministérielle.
Art. 3. - M. le Secr ét,aire Général de la Préfectu re, M. 1.
Dirt'Cteur Général de II'Adm in istMtion de l' Assistance Publique
de Marsei ll e, M. ~e D i recteur dù Centr e Anticancéreux de Matsei ll e et Nl le T,réso r ier.Payeu r Général des Bouches-du-Rhône,
sont cha rges, chacun e n ce .qui le concerne, de l'exécution dll
prése nt arrêté.
Marseille, 'Ie 25 mars 1953.
Pour l e Préfet,
Le Secrélaire Général
Signé : M axime M IGNON.
QUESTIO NS DIVERSES CONCERNANT LES PRESTATIONS FAMILIALES
ET LES ALLOCATIONS LOGEMENl1
Le Ministre du Budget,
à Messieurs les Ministres et Secrétaires d'Etat.
1'"
-
Cumul de l'allocalion de salaire unique et d'une pension
proPortionnelle.
Pa r circulaire n" ·S-4-!l/ 5 du 1er février 1951, mon prédécesseur a accepté que, par mesure de bienveilJan~, les agents
de l 'Etat ayant au moins trois enfants à chaIge et dont le
conjoint a demandé à bénéficier d'une pension proportionnelle
avec jouissance immédiate, au titre des articles 6 et 24 de la
loi n" 48-1450 du 20 septembre 1945, puissent continuer à percevoir l'allocation de salaire unique sous réserve que l e total
des sommes perçues au titre de la pension proportionnelle et
de l'allocation de salaire unique ne dépasse en aucun cas le
montant du salaire de base.
D'autre part, ma circul aire n" 32-7 B/5 du 9 mai 1952 a
complété l'instruction du 1er février 195 1 su svisée en précisant
que .l'allocation de salai re unique et la pension proportionnelle
"ourtraient continuer à être payées dans la limite de 73 0/0
(pour deux enfa nts à <lha.ge) et 53 % (pour un enfant) du sal aire de base, la réductio n étant, s'il y a li eu, opér ée sur ."all<>cation de salai r e unique. Enfi n, cette circul ai re prévoyait .que
les mêmes dispositions s'appliquai ent également aux ,fonotlonnai res de Il'Etat dont la femme a été admi se à bénéfi cier d'une
pension pr oportionnell e au ,t itre de l a l oi du Il octobre 1940 sUt
le travai l fémin in.
Or, mon attention vient d'êtr e appel ée Sllr te fai t que ,le
sta-tut national du person nel des industri es électriques et gazteres autor ise, commë,l e fai t l e sta1ut génér ail des fonctiounaJ r~
de 1'51at, les agents fém ini ns de ces établissements publiCS
ayant élevé au moins t rois enfants, il bénéficier d'une penSIOn
p ropO'f'tionnelle ave~ jouissa nce im média te, après 15 an nées de
ser vice. Les dispositio ns susvisées du statut national des personnels .: d'El eotri{'ité de Franoe :. et de c Gaz de France ;)
consti tuant une transposition pu re et Si mple des rèo;les prévues pa r l a l oi du 20 septembre 1948, en faveu r des abgents de
J'Etat, il conviend'Ta d'assi miler ces pensions à celles de cett~
.derni ère loi pour l' applicatio n de la circul aire nO 8-4 B/ 5 complétée pa~ des dispositio ns de l a circul·a ire nO 32-7 B/5, toutes
àeux SUSVisées.
Bien ente ndu, à t itre de récip rocité, les ad ministrations
~ d'Bl ec t rici t é de France » et de « Gaz de France » pren~t ron t
à leur charge le versement des allocations de sa laire ull rquC!
différentiell es susceptibl es d'être allouées à ceux de leurs agents
dont tJ.a fe mm e, fon ctionnaire de l'Etat, a été admise au béné fi c~
.d'une pensio n propor tion nelle. Cette mesu re prendra eHer à
com pter du 1er janvier 1953.
2"
Affiliation ailX caisses d'allo cations familiales du régime
général des personnels des administrations de l'Etal et ies
collectivités locales non soumises à un statut de drcU
public.
Par ci rculaire n" 96-6 B/ 12 du 23 novembre 1950 mon
-prédécesseur a fi xé Iles cond itio ns d'affil iation aux caisses d' allocatio ns famil iales du régime géné ral des pe rsonnel3 des
admi nistr atio ns de l'Etat et des co llectivités locales non assujettÎ6 à un .statut de droit pu b.i ic.
L ' .l,. dministratio n est soumise, en ce qui concerne ces personnels, aux obli gations des em.ployeurs du secteur pri vé; elle
est notamm ent tenue de ve rser les cotisations ré glementaires
.aux or ganismes de Sécurité Sociale.
Aux terme!':' de l'article 36 de l'ofldonnan ce du 4 Oc tobr e
1945 les cotisatio ns d'allocations [famil iales d'oivent fai re l'objet
de versements par l'emplo) eur il la caisse p ïimaire de Sécurité
Sociale ou à la caisse .d' allocations fami liales dans les qllÎnze
premiers jours de chaq ue tri mestre si l 'employeur occupe moi ns
de dIX salariés et dans les quin ze premie:-s jours de chaque
mois da ns le cas contraire .
En fait" conformément aux instructions du ,M,inistère dll
Travail et de la Sécurité Socia le, cette cotisation la it J'objet d'un
versement unique quel que soit le nombre d.es sa lariés employés,
ce qui permet un co ntrôle efficace de chaque employeur.
Or, des rel~ seigne m e nts qui m'o nt été commun iqu és par
J'Union Natio nale des Caisses d~ a llo cations fam iliales, il rés ulte
que certaÎ nes ad mini stratio ns et collectivités locales procèdent
.au fractio nnement de leurs cotisa tions en effectuan t autant de
règlements mensuels qu 'elles emploient d'agents dans la ci rco ns'
cription d'un même or ganism e et ceci, quand bie n même co ti sa nt
pour moins de '(j'i x agents, elles ne seraient tenu es qu'a 1111 seul
versement t.ri mestr ieJ.
Cette manière de proceder i mpose aux caisses d'allocatio n::,
iamiliales du r égime génér al, en même temps qu'un surcroit de
travail important, des frais de gestion supplémentai :-es et rend
plus difiicile le contrôle des dossiers qui leur sont communiqués.
A ussi, d'accord avec !e Directeur de r U.N.C.A .F., j'invite
les administrations publiq ues à généraliser la procedure déjà
utilisée par certains Dépa rtements J'l1)nistériels et selon laq uelle
le règlement des co tisati ons dues à une même ca isse, par tous
l es services locau x d'une même a'dmin istratioll, est effectué en
un seul versement, même si ces cotisations co ncernent plusieu rs.
age nts apparte nant à des services difflrents dont les dépenses
de fonctio nne ment font l'obje t d'imputations hudgetaires C'jst inctes.
Ce versement unique sera bien effectue trimestr iell emcnt et
nOn plus; Chaque mois lorsqu 'il s'agit de colleltivit és ou d'c
services cotisant pou r moins àe dix agents. Enfll1 , les services.
intéressés devron t accompa l.!, ller les états de versement de toutes
indicatio ns uti les permctta nt aux caisses d'a llocations fa mllial.!s
de co ntrôler J'origine ct J'oajet des paiemen ts.
Dans l' h ypo~hèse où la mise en application <Je la procédure
envisagée se heu,rterait pou r certains de vos services, à des
difficultés 'lui risqueraient de compromettr e leur fonction nement
normal, je vou.; dEmande n'inviter vos représentants locaux à
~e mettre en rapport avec les fonctionnaires compétents des
caisses du régi me généra l, aftn de recherc her en commun une
solutio n pratiq ue à 'Ces difficultés.
3"
Changement d'organisme payeur des prestalions familiales Transmission des dossiers
Par ci r cu lai re n ' 76-20 B/ 5 du 17 Septem !>re 195 1 mon
prédécesseur a appelé J'attention des Départements Ministériels
sur la complexité du travail imposé aux admi nistrations publiques, :l UX caisses du régime général et aux bénéficiai res éventuels, lors d'e la constitution des dossiers relatifs aux allocations
de logement.
AUSSI, dans le but de simplifier les forma lités admin istra_
tives consecutives au cnangement de situation des allocataires
qui passent .du régime général à un régime pa rticulier ou inversement ou, encore, font valoir leurs droits. à pension et cessent
toute activité professionnelle, mon Département avait-il prévu
que les dossiers desdHs allocataires, en ce qui Concerne les
allocations de logement, pourraient être transmis au nouvel
orga nisme, sur sa demande; par l'ancien organisme payeur.
Cette pro cedure nouvelle s'étant révélée particulièrement
efficace da ns SO I1 application, j'ai décidé, en accord avec M. le
Mi nistre <fu Travail et de la Sécurité Sociale, d'étenclre la possibi lité du tra nsfert des dossiers à l'ensemble des prestations
fa~iJja l es, lo rsque certains bénéficiaires viennent a changer de
régime.
Bien entendu la même procéd'ure sera appliqué également
dans le cas de mutation d' un fon ctionnaire entr e deux Départéments ~injstériels. le dossier de l'i ntéressé et le certificat de
radiation étant alors tran smis à la nouvelle adm inistration qui
doit désormais supporter la 'dharge des prestations ,familiales
\'ersées.
te Ministre du Tra vail et de la Sécurité Sociale donnera
aux -ca isses d'allocatio ns familial es toutes instructio ns utiles à
ce sujet pou r que, par mesure de récipro cité celles- ci transmettent aux admi nistratio ns publiques les .dossiers d'allocataires
rel evant anciennem ent du régime général ou d'un régime spécial
et que ces admi nistrations seront appelées à prend re en charge.
4°
ALJocaJions de logement - Frais d'assurance-vie en cas d'accession à la proPriété
A différentes reprises la questio n m'a été posée de savoi r
si les frais d'assurance-vie, mis il la dharge des personnes contracta nt un emprunt pour accé der à la propriété d'un logement
à co nstru ire, po uva ient être in clus dans le montant des an nu ités
de rembour.sement servant au calc ul des allocations de loge ment.
J'avais jusqu'à présent es tim é que les dispositio ns générales
concern ant les allocations de logement ne semblaient pas autorise· cette inclusion, J'assurance-vie co ntractée lors du prét
jou ant da ns r inte.rêt du seul bénéficiaire et non du logement
et servant pratiquement de garantie aux sociétés de crédi t.
Or, il es t apparu que les personnes accédant à la pro.priété
de leur logement avec le Co ncours des sociétés de cré-dit i mmobilier fonctionnan t dans le cadre de la législation sur les habitations à loyer moderé devaient obligatoirement supporter les
frais de l'assurance- vie ai nsi i mposée. D'autre ,part, lès remboursements périO diq ues de prêts sont calcu lés co mp te tenu des
p-rimls d·assu rance, J' opé~atio n ne faisant apparaître qu' un
rt:sultat L'hiffrê globalement. Il est, dès lors, très difficile pour
les sociétés i ntéressées d'établ ir le décompte nécessaire aux
caisses et aux organismes payeu;-s des allocations logement pO lir
discriminer la so mme cor respo ndant effectivement aux prêts.
70
7l
�Dans ces conditio ns, et, en accord avec les D épartements
du Travail et de la Sécurité Sociale et de la Reconstruction et
de rUrbani me, j'admets que, pour des raisons avant tout ~'or
dre pratique, les primes ôassurance-\rie peuvent entr~ en ligne
ce compte dans le montant des remboursenients de prets retenu
pour le calcu l des allocations de logement.
Bien entendu cette tolë-rance ne peut jouer qu'en faveur
des futurs propriltaires pour lesquels le co ntrat d'assuran ce -vie
est une condition sine qua no n du prêt, c'est-à-dire pour ceux
entrant dans le cadre de la legislatio n sur les habitations ;\
loyer moMré.
En tout état de cause, les frais d'enregistremen t et d'actes
notaries demeurent exclus comme prëcédemment du mo nta nt
du rem boursement à prfJ1<ire en considération pour le calcul
des dites allocations de loO"ement.
5°
Conditions de peuplement exigées à compter du 1er janvier
1953 pour fa/ribution de l'all ocation de logement en app/ica/ion du décrel du 27 derembre 1952.
Un décret n· 52-1401 du 27 Décembre 1952, publié au
Journal Officiel du 30 Décembre 1952, a modifié les dispositions
du règlement d'administration publique du 30 Décembre 1948
fixant à titre t ransitoire !es conditions auxquelles doivent répo ndre les logements, quant à leur composition, pour ouvrir droit
au bénéfice de l'allocation de logement.
A compter du 1er Janvier 1953, les <lites conditions de
peuplement sont fixees co mme suit :
a) Pour les immeubles existants au 1er septembre 1948,
ainsi que pour les habitations à lo}'er modéré à normes réduites
é<lifiees dans le cadre des dispositions de l'article 25 de la loi
tiu 2-1. ,,"\ai 1951, situes dans les commu nes où existe un service
des logements et dans celles où a été instituée la taxe. sur les
locaux insuffisamment occupés, le nombre minimum des pièces
à usage d'habitation est fixé 3 :
2 pi~ces "}JOUI 2, 3 et 4 per50 nnes.
3 pie es pour 5 et 6 personnes.
4 PH!Ces pour 7 à 10 personnes.
5 piè<:es pour Il personnes et plus.
b) POUI tous les immeubles situes dans les co mm unes non
visées par l'arrêté du 30 Décembre 1948, ainsi que pour les
immeubles achevés postérieurement au 1er Septembre 1948 (à
j'exception des H.LJ.1., édifiées dans le cadr e des dispositions
de l'article 25 de la loi <lu 24 Mai 195 1) qui so nt situés dans
les communes visées .par cet arrêté, le nombre minimum des
pièces requis est fixé à :
2 pièces pour 2 et 3 personnes.
3 pièces pour 4 et 5 personnes.
4 pièces pour 6 et 7 personnes.
5 pièces pour 8 personnes et plus.
Le décret du 27 Décembre 1952 prévoyant ainsi des prescriptions plus libérales que celles qui avaient été fixées par
l'article 11 du dé<:ret du 30 Décembre 1948 susvisé, il est dés
lOTS vraisemblable que le nombre des bénéficiaires de l'allocatio n
de logement se trouvera augmenté.
Auss i certaines demandes d'allo.c ations de logement qui ont
pu faire l'objet d'un rejet, antérieurement au 1er Janvier 1953,
pour non justification des conditions de peuplement exigées à
l'époque, pourront d..esormais être r etenues.
Il importe donc que les Ad ministrations Publiques donnent
une large publicité ~ux ,!,esu~es réc emm ent adoptées afin de
permettre aux fonctionnaires iOtéressés de ,re nouveler le
éch~ant, leurs demandes. Bien entendu l'allocatio n ne ser~ verC~s
' . .
..
t d
se.
aux nOuveaux bénéfJClalres qu ~ ~mp er u 1er Janvier 1953 et
non à partir de leur deman~e I11lhale.
j'attire d'autre part votre attention sur le fait que le nomb
..
. ,peu t , d ans t ous i es cas Comprendre
re
minimum des plt~C~S
requIs
une pièce secondaire.
Ertfin, le cas particulier des cuisines est réglé ,par les dispo.
sitions slüvantes :
Elles peuvent, au même titre que les autres 'Pièces, Hre
co mptées pour un e pièc ~ pri ncipale si elles répo ndent aux Conditions p revues à l' articl e 2 du décret d u 22 Novembre 194&
fixant tes conditions de détermination de la surface corrigêe
c'est-à -dire si ell es mesurent au moi ns 9 m2 de surface. b ,
Dans le cas co ntraire, elles ne pourront pas être prises en
co nsidération pour le ca lcul de l'allocation de logement même
au titre de pièce secondaire.
Cette restrictio n introduite par le décret du 27 Décembre
t 952, peut, pour ,certai ns allocataires entraîner la suppression
du droit à l'allocation de logement. En effet, les logements disposant d'une cuisi ne de moin3 de 9 m2 mais de plus de 7 m2
de surtace pnse en compte sous l'empire de J'ancienne régie.
mentation comme pièce secondaire et excl ue désormais, peuvent
ne .p lus co mporter le nom bre de pièces requis.
Dans ce cas, afi n d'év iter la supp ression. de l'allocation de
logement à ses bénéficiaires actuels, j'accepte, en accord avec
Ni. le Mlj nistre du Travai! et de la Sécurité Sociale, de maintenir
le bénéfice de l'allocation de logem ent aux intéressés jusqu'à
J'expiration de la période de paiement en cours, soit jusqu'au
30 Juin 1953. Poati'luement, en raison de cette mesure de bien\'eillance, les admi nistrations n'a uront à revoi r l'ensemble des.
dossiers en ce qui conce rne les co nditions de peuplement qu'à
l'ouver ture de la prochaine pér iode de paiement, à l'occasioll
des modifications de ta ux annuelles.
j'attire, <l'autre par t, votre attention sur le fait que 1"
co nditions les moins sé,,'ères prév ues p<>ur les constructions
~xistantes au 1er Septembre 1948 da ns les communes où fonc[ionne lin serviçe de logement 011 da ns ce ll es où a été instituée
la taxe sur les logements insuffisamment occupés, sont égale·
ment applicables aux habi tations à lo y'" modéré dit.s < à
normes réduites » ac tuell ement ' cn constr uction et situés dans
ces mêmes localités.
Il s'agit des habitatio ns à loyer modéré édifiées dans le cadre
des dispositions de l'artiole 25 de la loi d'u 24 Mai 1951. Un
arrêté du 15 Septembre 1952 (J ournal Officiel du 17 Septeml>re)
ft fL'(é les car actér istiques teohniques de ces logements économiques.
0 5 BI - P 3
AUTORISATION DE LA PECHE A LA LIGNE FLOTTANTE
LES DIMANCHES ET JOURS FERIES EN PERIODE D'INTERDICTION
DANS CERT AINS COURS D'EAU DE 2m• CATEGORIE
Le Préfet des Bouches'du-Rhône
Officier de la Légion d' Honneur . '
Vu les lois des 15 Avril 1829 et 3 1 'M ai 1865, sm la pêChe
fluvia le ;
Vu le décret du 29 Août 1939, modifié par le d.écret du 14
Septembre 1950 et notam ment son arti cle 4 ;
Vu l"a rrêté inter ministériel <lu 8 Avri l 1952 ;
Vu les av is fa vorables d'u Conservateur des Eau x et Forêts,
de l'Ingénieu r en qhef des Ponts et Chaussées et du Président
ete la Fédératio n Départementale des Associ ati ons de P~che et
de Pisciculture des Bouches-d u-R,hône,
Ad~RETE
:
ART ICLE PREM IER. - L es mem bres des Associations agréées
de Pèche et de PiscÎ.Cuitu re affiliés à la Fédêration ,oépartementale de Pê"he du Département des Bouches-du,Rhône, sont
autorisés durant la période de fermeture générale de 60 jours
fIxée à l'art icle 1er, paragraphe B, du décret {Î ll 20 Août 1939,
à pêcher les dimancJ les et jours fériés, de la ri ve ou en mar;;.hant dans l'eau, dans les co urs d~ eau suivants classés en
deuxième catégor ie : le Rhône, la Du ra nce, le canal d~ Arles à
Bouc, le Vi.guei rat, la Vallée des Baux et les canaux de Cam.:trgue.
ART, 2. - Ce droit pourra êtr e exe ncé indifféremment dans
les eaux tant publiqu es que pri vées mais, dans ces derni ères, le
co nsent ement du détenteur du droit d'e pêche ser..:1 toujours
exigé.
ART. 4. - Pour exer cer ce droit, le pêcheur devra avoir
acquitté une taxe dite c du d~ m a n Qh e » quj sera perçue sui va nt
les mêmes modalités que la taxe piscicole annuelle minimum et
fix ée au rn.:ème ta ux que cell e-ci.
ART. 5. - Le poisson captué da ns ces cond it ions ne 'pourra
être ni co lporté, nj mis en vente, ni vendu, ni acheté,
ART. 6. Dans les cours d'eau de deuxième catégorie
taisant li mite avec les départements vo isins, la pêche les di manqhes et j ours fériés restera interdite, sur les d'eux rives, si les
dits départem ents n'ont ,pas adopté cette mesure.
ART. 7. - Le s présentes dispositions seront valab les tan t
qu'elles n'auront pas été rapportées. L'arrêté ,préfectoral d u 26
Avril 1952 est abrogé.
ART. 8. - Le Secré taire Général de la Préfecture, MIM . les
Sous-Préfets d' Aix et d'Arles, les Maires, le Consewa teur des
Eaux et ,For êts, l 'Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, le
Directeur des Contributions Indi rectes, le Commandant de Gen~
darmerie, ,les Commissaires de Police, Gendarmes, Gardes des
Eaux et f'onêts, Gardes Champêtres, Gardes Assermentés et
particuliers, employés des Contributions Indirec tes sont chargés,
chacu n en ,ce qui le co ncerne, de J' exécution du présent ar rêté
qui sera i nsér é au Hec uei l des A,ctes A<lmi nistrati fs, publié et
aMiché dans toutes les Communes du Département des Bouches-d u...IR,hône.
Marseille, le 2 Mars 1953.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué,
Maxime 'M~GNON .
ART. 3. ~ La pêc he ne pourra être pratiquée qu 'à l 'a i~e
d'une seul e li gne fl ottante tenue à la main, telle que le lest ne
TE X T ES
D.D,S, . fS 0
D'INTÉRËT
COMMUNAL
AUTORISATIONS DE TRANSFERTS DE CORPS
Le Ministre de J'I nférieur
à MM. les Préfets de la MJtropcte
Cinq types de logement sont notamment ainsi définis:
E 1 - une pièce principa le, salle d'eau, water-closet, cuisi ne.
E 2 - une pièce princIpale, une chambre, salle d'eau avec w.-C.
ou w.-c. indépendant, cUISi ne.
E 3 - une pi èce principale, 2 chambres, salle d'eau. w. -c. indépendant, cu isine.
f
E A 3 - Comm un E 3 mais avec en plus : 1 chambre non etrn ée donnant sur la pièc e prin cipale majs éclairée par une
fenêtr e par ti culière.
éE 4 - une piè0e ,pri ncipa le, 3 ,chambres, sall e d'eau, W,-c. ind
pen d'a nt, cuisine.
Si gné: JEAN-MOREAU.
doit, en aucun cas, reposer sur le fond, ni empêcher la ligne de
sui,vre le courant. La p~ohe au lancer n'est pas autorisée.
Le dernier alinéa de l'article 15 du décret du 3 1 dt'œmbre
1941 ~ relatilf aux incinérations, prévoit que dams le cas de mort
violente ou d'une mort dont la cause est inconnue ou suspecte,
l' inci nération ne peut avoir lieu qu'après l'autorisation du P arquet. Cett e auk> r isation est indispensa1ble, même après inhumation, toutes les fois que le penllis d'inhumer n'a pas été délivré pa,r le mai'r e, mais rpar le Parquet ou pa r le magistrat
instructeur.
P,ar ana'l o oie ct d,ans le souci d'éviter la d'isparitjon d'(lcmen ts d' Investigation qui peuvent devenü indispensables à la
connaissance cfU1n c rime ou d'un délit, il m'-a paru souhaitable
que dans la même 'h)'1pO~h èse, les maires ou toutes autres autorités qualifiées n'autorisent le transfert d'u n corps à l'étranger
qu'après avis de l'autorit~ judjciaire qui a déJivré le permis
d'i nhumer.
Vous ,'ouàrez bien porter œs instructions à la connaissance
des maires de votrt département et des fonctionnaires intéressés.
POur ie ~"\inistre cie B' lntérieu'r et par délégation,
Pour le Préfet,
Dj recteur de l'Administration
D épart ementa'le et CommunaJe
Le Direc/eur-Al/joint,
1-1 . FOURRIER.
73
�D2 53 . FC 7
ENTRAINEMENT PHYSIQUE DES SAPEURS-POMPIERS
J'ai
l'honneur d'attirer l'at\1ention de MM. les Maires du
Departement sur la circulaire Ministérielle ci-après) relative aux
stages du Centre d'Instruction de la Protection Ci,ile en 1953.
Pou.r le PH'fet et par délegation..
Le Surétaire General,
Maxime MlGNON.
Le Ministre de /'I ntérieur
à Messieurs les Préfets de la Metropole
J'ai d'oonneul' de VOus fa~re connaît re que les modifications suh'antes ont dû êtJ'le apport ées au programme des
stages qui seron t organises en 1953 au Centre National d' Instruction de la P.rotection Civile;
) 0, _
Epr~uves
krites ; ':e 15 mai 1953 ;
Epreuves ora les : le 29 mai 1953.
Le sta'goe d'application prévu pa r l'arllal e 12 de l'arrêté du
28 août 1952 se dérou ler a du 1er au 30 jui n 1953.
3°, - Les sta'ge5 ordinaires et de pr évention prévus d
1er au 13 j uin et du 15 j uin au 4 j1uùUet son t supp rimés; Il
4°, - Un stag-e ordi,nai re aura lieu du 13 au 26 avril 1953
5°. - Les stages prévus à pa r ti r du 30 j uin sont ann ulé"
à l'exception de ~ u i d'éd ucatiO'n 'ph,ysiq lle q ui se dlé-rou~e ra d~;
28 sepremI>re a 11 17 octobre.
Par ailtleurs, je crois devoir vous rappeler que la Médaille
d' Hodneur des Sa,peurs-Pompiers a pour Ibut de récompenser
les s<'rviccs effectifs accomplis dans un corps de Sapeurs-PompIers.
on conséquence, de service militait<e léga l !du femps de paix
re peut, en accun cas, entrer en li gne de compte pour .Ie ca lcul
de l'ancienneté. même s'il a été accompli postérieurement à l' elZ~
!rée tfw ca nd,da! dans te corps de Sapeurs-Pompiers.
Cependant, le temps Ipassé sous les drapeaux au cours des
guerres 19 14- 19 18 et 1939·1 945 par les sapeurs·pompiers qui
faisaien t partie d'u ll corps ,die sapeurs-pompiers avant lenr mobilisation doit !figurer dans le calcul de l'ancienneté effective.
:.
Je vo us serais obligé de bien vou loir vei ller à l'application
de la présente instru.ction.
Pour le Ministre de l' Intérieur et par délégation,
Le Directeur du Personnel et des Affaires Politiques,
Ch. LOBUT
Doivent do nc être pris en compte dans le calcul de l'an-
Po ur le Munistre et par '(j'~légation ,
L'I nspecteur Généra l die. l'Administration
Chargé du Service National
de la Protection Civile,
André PElA'80N
2". - Les examens des candidats inspe.: teurs départementa JX auront lieu aux <Lates suivantes :
cienneté des intéressés, les services suivants, accomplis après
leur entree au corps durant la guerre 1939-1945 :
a) aux armées, en captivité et dans les F.F.L.;
b) dans la Résistance (en qualité d'agent Plou d' agent P 2)
c) dans les F.F.1. ;;
d) en déportation ou en internement au titre de la Résis·
tance.
INCINERATION DES VEGETAUX
0 2 B3 . FC 7
A la suite de r écents incendies de coMines, il est rappelé
MEDAll..LE D'HONNEUR DES SAPEURS-POMPIERS
que J' incinération des végéta ux su r pied est 'f'églementée dans
Promotion du 14 juillet 1953
rai l'honneur d'attirer l'attentio n de ,\"""1'. les Maires du
Departement sur la circulaire mi nistêrielle ci-après relative à !a
Médaille d'Honneur des sapeurs-pompiers, promotion du 14
JuiUet 1953.
.
Pour le Préfet et par délégation,
le Secrétail e Général,
Signé : Maxime MJGNON
Le Mjnistre de l'Intérieur,
M.~. les Prefets.
à
J'ai l'honn-eur de vous prier de m'adresser, sous le présent
timbre, av-ant le 30 avril 1953, delai de rigueur, vos propositions
en ''lU! de l a p romotion de la M éclail Le d'Honneur des SapeursPompiers, prévue po ur le 14 Juillet 1953.
Les dossiers qui me parvien-dront après cette date ne IpoU ;-ront être examinés qu 'à l'occasion de la .promotion du 4 décembre 1953.
Je vous demande de bien vouloir vous conformer st;ictement aux insrructioons très précises que je vous ai fou rnies au
sujet de la présentation des dossiers.
:.
Le décret n° 53·170 <lu 7 Mars 1953 (J . O. du I l), portant
statut des sapeurs-pompiers commun aux, apporte un certain
nombre de modifications au régime des limites d'âge des
sapeurs-pompiers.
Ces disposit ions me conduisent à modifier les règles de
forclusion en matière -d e présentation des dossiers de candidature à la médaiUe pr ecitée.
En vertu des artides 55 et 64 de ce statut, les limites
d'âge applicables au~ officiers, sous-officiers, caporaux et
sapeurs, sont désormais les suivantes :
65 ans pour les officiers.
60 ans pou r les sous ~officiers, caporaux et sapeurs.
Aux termes des instructio ns en vigueur, les can-dBdatUfes
à la Médaille d'Honneur des Sapeu·rs·Pompiers peuvent être
présentées dans un délai de 5 ans suivant la date de cessation
de fonctions des intéressés.
L'application combinée de ces dispositions et du nouveau
statut des sapeurs·pompiers conduit à frapper de forclusion les
candidatures il la distinction susvisée concernant :
les Bouches-du·Rhône par arrêté préfeotoral du 13 avri l 195 1
do nt on peut prendre co nnaissance da ns les mairies.
a) ILes officie rs âgés de plus de 70 ans au 1er janvier de
l'année en cours pour la promotio n <lu 14 Juillet et au 1er luillel
pou r la promo tjo n de la Sainte-ilianbe ;
-
1» Les saus·odificiers, capo r.aux ·et S1\peurs âgés de plus de
65 ails au 11er jamviler Ide fétll'née en COll!rS IpQ WJ' la 'promotion du
14 Jui""et et au 1er Ju illet .po ur la pr omotio n de la Sainte~Barbe.
T outefois, et po ur ten ir compte du deuxième alinéa de
l'artiele 55 du décret précité, l es dispositions ci·dessus n'en.
tlelont en application que pour la promotion ,ru 4 Décembre
1954, et les promotions suivantes.
En cons équence, à titre tr.a nsitoire, et pour lesseu{es promotions des 14 juil/et, 4 décembre 1953 et 14 juil/et 1954, l'OUI
pOUfrez m'adresser ,vos propositions suivant les règles actuellement en vigueur, en vertu desq uelles :
a) les olficiers peuven t être .proposes quel que soit leur age;
lb) les sous-officiers, caporaux et sapeurs peuvent être proposés lorsq u'ils so nt âgés de moi ns de 70 ans;
c) les candida ts devJ'ont, quel que soit leur grade, avoir
cessé leurs fo nctio ns depuis mOÎ!ns de 5 ans.
:.
Je NOUS r appell e que 'l a Médaille d 'Argent avec rosette peut
tlr'le attr ibuée sans condition d'anciennet é a ux sal>eurs-pompierqui ont r endu des services exceptionn els dans J'exe rcice ordinai're de lIeur rfonction tels que:
Création ou réorganisatio n d u Corps, mod'ernisation du
matériel, concours à des œuvres de mutualité ou à des groupe·
ments corpof\3tifs de défense -contre .J'incendie, confére-nces ou
ecrits en vue de l'utilisation pratique du matériel et de son
perfectionnement, amélioratio n l{Î'e l' instru ction, etc .. .
Ce texte préCise notam ment que :
-
dans la zone de 400 il 200 mètres des bois et forêts tout
2°
Organiser une su rvei ll ance du feu.
dans l a zone des 200 mètr es d' incinération est soumise â
autorisa.tion.
D'autre part, il est interdit â ,toutes personnes auvres que
les proprietai res de bois ou leurs ayants droit d'allumer du
propriétaire ou ayant droit qui désire incinérer <foit :
feu dans l'i ntéri eur et jusqu'à la distance de 200 mèt res des
1 Faire une déolaration en mairie, 8 j ou rs au moi ns à
l'avance.
bois et forêts ; cette interd iction S'al)plique même aux prop ri é-
(>
04 B I . A 3
taires de bois pend an t l a péri ode du 15 mai au 15 octobr e.
LUTTE CONTRE LES ENNEMIS DES CULTURES
Réglementation de l'épandage des produits anti-parasitaires
Le Préfet des Bouches·du·Rhône
à Messieurs les S I ·Préfets d'Aix· en·Pro vence, d'Arles,
à iHessieurs les Maires du Département
Des dispositions particuli èr es conce rn ant la protection des
abeil les fig urent au Titre Il du dit arrêté.
C'es t ainsi que les M ai r es seront notamment amenés, en
cas de désaccord en tre l es agriculteurs déSirant utiliser des
j'ai l'honneur d'appeler votre toute particuli ère attention
produits étnti-parasitaires et des apiculteurs sur la déterm ina-
sur Iles dispositions de Il'arrêté de M . Ile Ministre de l'Agricul-
tion du stade de plei ne fl oraison des pl antes visitées par les
ture en date du 20 mars 1953, publi é au Jou rn al Officiel du
abeilles, à pr endre des arrêtes fixant, pour tout ou partie du
22 ma,.rs, qui abrogent celles de l'arrêtéministériel du 2. . . mars
territoire de l eur commune) les dates à partir desquelles ce
stade sera atteint.
Pour le Préfet,
Le S ecrétaire Général délegué,
Signé: Maxime M IGNON.
1952, en ce qui concerne la régJemen tati on de l'épandage u~s
produits anti-parasi tai res destinés à lutter cont re les ennemis
des cultures.
T o ute pr"::>position pour cette distinction doit être appuyée
d)un rapport déta i l~ë sur qes se rvices du candidat et être sou·
mise à J'avis de l'Inspecteur Départem en tal des Sen /ices d'Incendie.
L'articl e 37 d u décret du 7 M Il'rs 1953 rappelle en Duire
que les sapeurs-pompiers qui ont accompli des actes de s~uve
tage peuvent obtenir, à titr e indi,v idu el ou à t itre collectIf, la ,
médaille pou r acte de cou rage et de d'évouement.
Je vous adresserai proc hainement des instructions co mplé'
mentaires pour l'applicatio n d'e ce texte.
74
i5
�ELECTIONS DE LA MUTUALITE SOCIALE AGRICOLE!
04 BI - A 0
D3 B2
AVIS DE CONCOURS
REMBOURSEMENT DES DEPENSES AUX COMMUNES
Le Ministre de l'Agriculture
à Messieurs Jes Prérets,
J'ai l' honneur de
\ '(lUS
faire -connaître qu'en application de
l'article 38 de mon a r rêté du 13 juilld 1949 mocWié par a rrHé
du 25 avn] 1952, fi"... nt les mod'a lités d'application de la loi n'
49-752, du 8 juin 19-19, p<>rtant rétablissement et organisation
de l'élection des >consei ls d 'administratio n des orga'nisrnes de la
mutuaHtê agrÎCole, les cajsses mutueJles d'al locations familiales
agricoles ont été invitées à remlbourser aux communes les (iépenses occasionnëes par cette élection sur les bases suivantes
semblables à cell "lui o nt déjà sen'; à l'éval uat io n des crédits
inscrits en matière d'élection politique, da ns la loi d u 3 1 décenmbre 19-18.
Chaq ue c3isse ,Mpartementa le o u interd'é pa rtemental d'
location.. familiales agricoles, étab lira, lo rsque les list'; él alt'Or ales d6fini:ives seront arrêtées, Ue montant de la s oc..
w
quo'l"
ere Atlent <.l'1! a, d'ISPOS1~lOt.11J
oue
cha.cune des communes omll1<
corn_
prtl;es ""éla ns ~a C! T:on.scr,lp Ion et ehle l e notifiera aux maires
111 ures~ S IqUI, pa r ues SOms die tleur percepteur, ferQnt procé<!
à la ITlISe en r ecouvrement.
er
Ces -d épenses seront r épa rt ites entre des caisses d'allocat'
l a Ol uHlj1es
'" l
'
'Ons
a:grJ' C'o l es et ~es 'Ca Isses
d 'assura-nces sociales agricol
C'o.nlformément aux dispositions de mon arrêté 'précif'.é.
es
L'Union des Caisses Centrales de la Mu t ua lité Agricole est
infonm6e de la présen,e d'écision,
Deux concours sur épreuves sont ouverts à la Préfectur~
de l a Haut,e-Savoie pour de rocrufument,
d'un économe (indices 225 à 390) ;
d' un rédac te ur (indices 185 à 3 15)
à l' Asile 'D~pa"1"lm",,tal de Vie illa rds et In curables de Reignier
(Haute-.Savoie),
.oD,S. - FS 0
ANNULATION DE L'ARRETE DU 14 FEVRIER 1953
CONCERNANT LE Dr POU CEL
ARRE'T1E
ARRE'T1E :
Po ur ,le ,Ministœ et par Délégation,
Cent f rancs pa r commune ;
Le Chef de Cabinet
Trois francs par .electeur inscrit.
J, ROUGE,
'
Le Préfet dies Bouches- du-Rhône
Officier de la Légion d' Ho nn eur.'
Vu l'ordon na nce n· 45,2720 du 2 Nove mbre 1945 s ur la
Protection 'Miatern elJe et Infa ntile;
D2 B3 - Fe 7
Les demandes d'admission au conco urs devront être adres-sées à la p".Mecture de la Haute-Savoie (Cabillet du, PTéfet), à
Annecy, avant te 15 ma; 1953, date de 'l a clôture de ga liste
d'inscr iption où tous renseignements complémentaires peuvent
êbre demandés sur les co nditi ons d'admission e t ,le programme
des 6pre uves,
TAUX HORAIRE DES VACATIONS A PAYER AUX REQUIS
J'ai J'honneur de porte r à la co nn a issa nce de MM, les
Maires du Departement que le taux horaire des vacations à
payer aux requis pour la luite co ntre les feux de fo rêt, a ét é
porté de 75 francs il t20 francs pa r la Comm ission Spécia le du
COMMUNIQUES
se
St:rvice Incendie da ns sa séance du 6 novembre 1952.
Pour le P'réfet et pa r Délégation,
Le S ecrétaire Général,
Sig né : Max ime MIGNON,
Vu l'arrêté du 15 Alvril 1946 de M. le Mjn istre de la Sa nté
Publique e t lie la Population et les rectifica tions par ues au
Jou,"a l Officiel, des 10 Ma, et 15 Septembre 1945 fi xant le
modèle dU certificat d'exa men médical avant le mar iage
~u l'arrêté n' 2.129 en date du 14 Févri er 1953 ;
Sur la propositio n de M, le Di recteur Départementa l de la
Santé,
ARTICLE PREM IER, - L'arrêté n' 2, 129 en date du 14 Février
1953 co ncernan t M, le Dr Poucel, demeurant 6, ru e de Belloi,
est annulé,
ART_ 2, - M, le Secrétaire Général de la Préfecture, M, le
Maire de Marseill e et 'M, le Directeur Départemental de la Santé
sont cnargés, ohacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent a rrêté,
Marseille, le 24 Mars 1953,
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué,
Signé : Maxime :M)IONON
AVIS - ANNONCES DIVERSES
VENTE DE VOITURES
Le Département des Bouches-du-Rhône va p rocéder à la
vente sur soumissions cachetées de Quatre voitures tou risme
Citroën
>
>
>
11
Il
11
Il
B
B
B
BL
92-80
39-82
140 E
20-85
CB6
CB7
13
AAl3
La vente au ra lieu à la Prélecture des Bouches-du -Rhône,
salle 2 15, le 7 mai 1953, à 10 he wres 3D, Les so umissio ns devront êt re déposées a u plus tard ,l e 6 mai 1953 à 12 heures,
dern ier délai, à l a Préfecture, Direction des Services Techniques, bureau 43 bis,
Le dossie r co mpl et qui comp re nd toutes des autres pres·
c ri ptions de la vente pourra êt re consulté à la Préfectu re des
Bouches-du-Rhône (B urea u 43 bis) et dans les so us- Préfectures
d'Aix èt d'Arles,
Pour le Préfet et par Délégation,
DONS ET LEGS
Par testament olographe du 14 mars 195 1, déposé aux
minutes de Mo Régis DUGAS, notai re a Marseille, feu Mor.sieur LEAUTIER Marie, Antoine, Marce l, a fait le legs ciaprés :
c. Je désigne à titre de légataire universel de ma succesSIon l'Administration de l'Assistance Publique de Marseille . ,
Le Secretaire General "
Maxime MIGNON,
Co nfo rm ément aux dispositio ns du décret du 1er fév rier
1896, les hérit ie rs co nnus ou incon nus de ~tonsie ur LEA U11ER Marie, Antoi ne Marcel so nt invités à prendre w nnaissance du testament ~onner I~ur co nsentement à son exécution
ou produire l eu rs ~oyens d'opposition dans Uil délai de trois
mois à dater du j our du présent avis.
hlP RU&ERIE. NOUVELLIt
DJ: MARSEILLE ,
120,
rue Sainte
77
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
R É PU BL IQ UE
Numérol 15 et t6
,..
F R A N ÇA I SE
16
et
23 Avril 1953
,.;r
/r
f
1
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DES
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," 1
ACTES A D MIN 1ST RAT 1Ffi-=:-//
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
•
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
AG
AG
FS
AC
PO
O. 5, -
DéJé!l"ation de si anature, arrêtés du 16 mars 1953 .... .... .. ...... ...... .. .. .. .. .. ..
Recensement et révision des jeunes gens nés entre le 1er janv ier et l e 31 décem bre 1934
7, , - H.qp it,,~x Publics - RembourSemen t des soins dispensés pa r des auxiliai r es médicaux . , . . ..
3. - Recrutement d' Intern es dans les hôpitaux psychiatriques et l es sanatoriums ... . .... .. ..
- Appel à l a générosi té publique
. . . . . . . . . . .. . .. . . .... ..
. . . . .. . ....... .•.. .. ..
80
82
,93
~
5
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
AG 4. AG O. SC 7. F 3. AG 2. TVX O. TVX O. AG 2. SC 7. AC 3. -
Eiection des Maires et Adjoints. . . . .
. . . . . . .. .. .. .... . . .. .. .. ....... .
Adoption d' un village holl andais
. .... " .,. . .... . . . , . .. , . . . .. , .. .... . ...
Correspondance avec l e Ser vice Dépar tementa l d' Incendie . .. . , .... . . . •. , . . •........
Su r taxe comm unal e d'abatage " .. . .... . . . """ ..... . , . .... . ... . ... . . .. . ,. . ....
Caisse Nationale des Retraites des Agents des collecl ivit és locales .... . . . , •.... .. . ,...
Am énagement de village - Création de buand er ies communales . . .... ....... . ..... ...
T r avau x d' équipement r ural . . . ... . ... . . ... .. . .. ........ ..... . .. . .... . • . .•. . . . ..
Sécurité' Social e - Situation des vétérinai res comm unaux . ...... . . .... . . .. . .• . ..... . .
Appli cation du déc ret du 7 févri er 1941 ... . .... . . .. . ... .. . ..... ........ •.........
Congé annuel du personnel hospitalier pour l'ann ée 1953 ........ . ... ... ... .. .. ......
~5
85
85
86
87
93
93
94
94
95
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
SO
D2 8 3. D2 83, -
R,ecru tement d'inspecteurs élèves des Douanes ....... .
Dem ande d'emploi de ga rd e-c hampêtr e ................ .
Dem amle d'emploi . . .....
. .' .....
. . ..... .
Do ns et legs ........ ..
........ ......
. ...... .
96
96
96
96
ABR.)!;,"l AT I O~ S. _ A . P . : Arrété préfect?ra~. - ~ . . ~ir(''UJa;re. ~ Les lett r~s 0 et B su i \'ie~ d'un. chit:rre
indiquent le Servi ce ou Burea u d'origine. - D . s: 1: .. : D,r~ctton des ServIces TechmQu.es. - D. D. s. : D:rectton
Département ale de la Sa nté. - O. D . P. : Direction Departementale de la Population.
.
�TEXTES
GÉNÉRAL
D'INTÉRËT
1
'_ _ _- = -_ _- DELEGATION DE SIGNATURE
CATI· AG 0
AI~IŒTE
Le Pre.:.r des BouDhes-d u-Rhone,
Officier de la L égion d'Hon neur,
\ 'u la loi du 2
Pluviose An VIII, ensemble les textes
qU I
l'ont com plëtee ou modifiée ;
u le décr et du 10 Septembre 1926,
u les dé<:rets numéros 49- 1149 et 49- 11 50 du : Août 1950
(elatifs à la création et à l'organisathln des Centres Admi nis tratlts et Techniques Interdépartementaux du Ministère
aè l'inte-
rieur,
Vu la ci rculair e . Hnister ielle de M . le Vice President du
Conseil, Ministre de l' Intérieur n" I/ PEiV OP/ 2 du 13 janvier
1950, relative à l'organisation des Centres A<iminisl ratifs et
1 echniques Interdépartementaux et aux pouvoi rs <Les Secrétaires
Generaux, Chefs des Cen tres Administratifs et Techn iques
Interdépartementaux,
Vu le .' ret àu 19 Juin 1950 portant réglement d'admi nist ration pu olique relatif au statut parti cul ier du Cor ps Préfecoral,
Vu le décret du 24 Juin 1950,
Vu le décret du 26 Janvier 195 1,
Vu l'Instru ction Ministériel);, PER/ CP/ 2 du 3 Févr ier 195 1,
Vu le décret du 4 Fé\'rier 1952,
Vu le décret du 14 Février 1953, nommant M . Langlade
Henri, Secrétaire Gé-néral de P;-éfecture, chargé au Centre
Administratif et Technjque In terdepartementa l de Marseille,
Vu les nécessités du Sen'ke,
ARRETE
M. Langlade Henr.i, Secrétaire Génér al
de Préfecture, chargé d u Centre Admi nistratif et Technique
in terdépartemen tal ri.e Marseille, est délégué pour signer en
notre nom les .mandats de paiement, ordres de paiement, chèques, bordereaux d'émissio n, titres oe r ecettes, ordres de re'Versement et p:èces comptables de tous or dres concern ant la gestion du personnel de la Police et la mise en œuvre des moyens
materiels et financiers de la Sûreté Natibnale et du Service des
T ransm issions.
ARTICLE. PRE.M IER. -
ART. 2. - M. le Secretai re Gé néral <1" la Pr électure, chargé
du Centre Administratif et Technique IntNdépart emental <le
Mar eille, est chargé de l'exécution du présent arrëté qui sera
notifié à M. le Trésorier-Payeur Général des Bouches-du-Rhone
et inséré au Recueil des Actes Administratifs du Dépa rtement
des Bouches- du- Rhône.
Fait à ilMarseille, le 16 ."'lars 1953.
LE PREFET,
Signé : Rene PAIRA .
:.
-\RRETE
L'Inspecteur Géné:al de l'Admi nistration en
en mission extrao ;-di nalre pour la IX' régio n
militair e,
Vu le décret <o u 10 Septembre 1926,
Vu les décrets 19-1149 et 19- 11 50 du 2 Ao ût 1949,
so
Vu la ci rcul aire Ministéri ell e du 13 jan vier 1950,
Vu le décret du 24 Juin 1950,
Vu le décret du 26 janvier 195 1,
Vu l'In s~ructio'n Ministéri elle PlORj CP/ 2 n' 43 du 3 Févri er 195 1,
Vu le décret d u 4 Février 1952,
Vu le déNet du 14 Février nommant M . Langlade Henri
Secrétaire Général de Préfe cture, chargé du Ce ntre Adminis~
tratif et Tell.mique Interd épartemental de M arseille,
Vu les nécessités du Service,
ARRETE
ARTICLE PRE.MIER • . - Délégati on ,permanente est do nnée à.
At Henri Langlade, Secréiai re Généra l de Préfec ture, chargé
du Centre Administr atil et Technique i nte rœ~pa-r tement a l de
Marseille, pour signer da ns la limite des attr ibutions co nférées
à l'Inspecteu r Général de l' Administration en Mission extraordi nair e pour la 9'" Région .M;litai re, t ous ac tes, arrêtés ou décis:ons relati1s à la gestion des person nels de la Sûreté Nationale,
des Tr ansmissions et du IMatériel du 'M~ nist è r e de l'Intéri eur
ai nsi qu 'à la rèunion, la mise en œuv·re et la gesti on des moyens
matéri els mis à la disposi ti on de ces pe rson nels.
ART, 2. - L·ar. été du 29 Septembre 195 1 relatif à la délégation per ma nente de signature donnée à M~ Re y, Secrétai re
Général du Centr e Administratif et T ec hnique Inler départemental
de Marseille est rapporté.
Vu le décret du 24 Juin 1950,
Vu le décret du 26 j anvi er 195 1,
Vu J' Instructio n 'Ministérielle PER/ OP/ 2 du 3 Févri er 195 1,
Vu le décret du 4 Févri er 1952,
Vu le décret .du 14 Février 1953 nomm ant M . Langla de
Henri, Secr étaIre G énér al de Prélecture, char gé du Centre
Administratif et T echnique Interdépartem ental cie Marseille
Vu les nécessit és du Servjce,
'
Sur la propositio n de MI. le Secr étaire Général de Préfecture
chargé.du .Centre ~tilm i ni stratif et T ec hnique Interdépart ementai
de Marseille.
:.
ARTI CLE PR""" ER. - 'MI. M arin Jean Atta ché de Préfecture
Ch el de Bu·reau des Fin ances et de ,la 'Compta bilité de la Divi:
'Sion Administrativea'u Centre A dministratif et Te t hni que dnterdépa ,temental de M arseill e, est délégué pour siuner en notre
nom les ma~,dat~ ?e p~iem e,n t, ordres de paie~ent, chèques,
bordereaux a émISSIon, titre (l'e r ecett es, ord r es de r eversement
et pièces comp tables <te tous ordres co ncern ant la crestion du
personnel de la Police et ,la mise en œuvr e des moye n~ matéri els
et finan ciers de la Sûreté Nationale et du Service des Transactions,
L'Inspecteur Général de l' Admini str atio n
en mission extraordi naire pour la I X" Région Militaire~
LE PRBFET,
Signé : Ren é 'PA,iRA .
,'.
ARRETE
Le Préf et des Bouches-du-I! hone,
Offic ier de la Légion d/Honn eur.
Vu la loi du 28 Plu viose An VIII, ense mble les te xtes qui
l'o nt coml>létée ou modifiée,
Vu le décret du 10 Septemb re 1926,
Vu les dé<:rets numéros. 49' 1149 et 49-11 50 d" 2 Aoûl 1949
relatifs à la créatio n et .à l'or ganisation des Centres Admi nistratifs et T ec.hni ques Interto'épartementaux du Ifv\'i nÎstè-re de l' Intérieur,
Vu la cir cula ire Ministérielle de M . le Vi ce-Président du
. Conseil, Ministre de l'Int6rieur n" 1j Pf;RjOP/ 2 d,u 13 Jan vier
1950 r elative à l'or ganisa ti on des Centres Admini stratifs ~t
Techniq ues Interdépartementaux et aux pouvoirs des Secrétai res
Généra ux, Ct1els des 'Centres Ad ministratifs et Techn iqu es Inlerdépartementau x,
ART, 3. - NL le Secréta ire Général de Prélec ture, char gé
du Ce.ntre Ad~ m lstra[lf et T eohllique Interdepa rtemental de
MarseIlle est Gnar ge 'ale l'exéc ut ion du présent arrêté
.
notT é . M I T '
. P
qUI sera
~ 1 a
', e res?Tl er- ayeur Général des Bouches-d u-Rhône
et Inséré au Recueil des Actes A clministratifs du Départ ement
des 'Bouches-du-RhôlTe.
Fait à à.~'l arseille, le 16 Mars 1953.
LE PIŒFET,
Signé : René PA I R.~ .
L'ar,rê té ,d'u 6 Novemb re 1952 S. P.L. 1149 're latif
:.
à la délégation de signatu re de.A1'. Marin Jea n, Chef de Bu rea u
des Finan ces et de la Com ptabilité est ra~port é.
ART. 3. --' M:. le Secrétai re Généra l, de Préfecture, oharrré
nu Centre Administratif et T ec,hni que ,Interdépartem ental
Marseill e est chargé de l'exécution du p'rése nt ar rêté qu i sera
notifié à M. le Trésori er-Pa yeur Généra l des Bouches- ti u-Rhone
et inséré au Recueil des Actes Administratifs du Département
des Boudhes-du -Rh ône.
de
Fait il àM'a rseille, l e 16 Mars 1953.
ART. 3. - M . le Secrétair e Général de la Préfec ture, chargé
du Centre Ad ministratif et TeC'hnique Intendl'-partemental du
Ministère de l'Intér ieur il 'Marseille, assurera l' exécution du
présent arrêté qu i aura effet immédiat et sera notifi é à MM!, les
Préfets d'es départements de la 9me Région 'M; lit aire, à M. le
Trésorier-Pa yeur Général des Bouohes-du-Rhône, aux Ohels d'e
Se rv ices et inséré au Recueil. des Actes ,Admini st·ratifs du Département des Bouches-duoRhône.
Fait à àM-arseille, le 16 Mars 1953.
ART, PRE.\\/ ER. - M . Chouquet Oharles, Atta ché de Prélecture, Che! de la Division Administrative du Centre Administr at if
et T echmque Int erdépartemental ,die Marseill e, est clélégll é pO lir
signer en, notre nom les mandats de pa iement, ord res de paiement, chequ es, bo rd erea ux d'émission, titres de recettes ordres
de r eve.rsement et pièces comptables ':l~e to us ordr es cO I~ cern a nt
la gestIo n d u ?ersonn el de la Police et la mise en œuv re -des
m oy~ n s matériels et fi nanciers de la Sûreté National e et du
Service des Transmi ssions.
ART, 2. - 'L'a rrêté du 26 Novembre 1952 relatH à la .<fêléga ti on de signature de M . Chouq uet, Chef de l a Di visio n Administr ati ve, est r apporté,
AR'RETE
ART, 2. -
ARRETE:
L E PREFET
Signé : René 'PA/IRA .
:.
AHRETE
Le Pr éfet des Bou ches 'du- I\!dône,
Offici e.r de la 'L égion d' Honneur.
Vu la loi ti u 28 Plu viose An V III ensemble les textes qui
l'ont complétée ou modifiée ,
'
Vu le décr et <lu 10 Sept embr e 1925,
Vu les décrets num éros 49- 11 49 et 49-11 50 du 2 Ao Îlt 1949
r~la hfs à la créa tion et à l'o rga nisation ares Centres Administratifs et Te chniques Inter dépa rt ementan x du M inistère de l'Intérieur,
Vu la circulaire M inistériell e de l~'1. le Vi ce-President d"
Conseil, Min ist ' e de l' Int érieur n" I / PER/ CP/ 3 du 13 Janvier
1950, relative à J'organisation des Centres Administrati fs et
6~c~niques lnter dépa rtemental'x et aux pouvoi :s des Secr étaires
d ~n eraux, .chefs des Centres Administra tifs et T ec hniq ues Interepartementaux,
Vu le décret du 24 Ju in 1950,
VII le décret du 26 Janv ier 195 1,
Vu l'Instru ction Minister iell e PERj OPI2 du 3 lévrier 195 1,
~u le .d~.cret dru 4 Février 1952,
. u le decr et du 14 Fév r ier 1953 nommant M . La n ~l ade
H
·
Gen
' éra 1 de P:'éfecture, charge,
Adenn.'. Secre·t aire
du"
Cen t,e
mlnlstratif et Techni que In terd épar temental de Marseille,
Vu les nécessités dll Service
Sur la pr opOSition d'c M. le 'Sec :étai re Oénéral, char rré d"
Centre Ad . .
.
~
seille
mlOlstratlf et Techniqu e Interdépartemental ùe M ar-
,
A I~RETE
L' Inspecteur Génèral de l'Administration
en mission ext ra ord inai re pou r la J X~ r égion
militaire,
Vu le décr et du 10 Septe mbre 1926
Vu les <técrets numeres 49-1149 et 49-11 50 du 2 Août 1949,
Vu la Cir culaire s\t\'Înisterielle du 13 Janvier 1950
VII l e dé<:ret du 24 Juin 1950,
'
Vu le decret d u 26 Jan"ie r 195 1
Vu l' instrll ction Mi nistériell e PEi~/ cPj2 du 3 Février 195 1,
Vu le Idlécret du 4 Févri er 1952
Vu le décret du 14 'Février 1953 nommant M. Lan glade
Hen ri, Secrétaire Génér al de .Préfe cture char lIe du Cent re Ad ministraüf et T ech niq ue 'inte rdé pa rt eme~ta l
Ma rsei lle
Vu les nécessités du Ser vice
'
S~r la p roposjtion de M. le S~crétaire Général .ole Prèfectu re
cha rge du. Centre Administr atif et Technique Interdépar tementai
de Mmseille.
d:
.".
ARRETE
~Arrr,I CLE PRE.MIER. - M. Genin , In génieur en Chef Réuional
du ~ e r\'lce ùe~ Tr~ nsmissio ns, a uélégation de sig n a ture~ pour
tou~ e s les aff aIres a car ac t ~ re tf'l.:>llIüque entrant da ns ses attribllt:ons.
ART, 2. - L'ar :-eté n"
et demeure ra ppor té.
J(r....o
en t..:.Ia te du 13 Flnier 1951 est
ART. 3. - M . le Secrétair e Général de Pr é"'ec: ture char ITé
du Cent ;-e Adm inistrati f et Te ch nique I n t e ;'dépa r te l11 ~nta l
~\'l a rs~ iI1 e, est c l~a r gé de l' exécut ion du pr ("sent arrèré qu i sera
IIlsére au Re cuell des Actes Adm inistratifs .alu Dépa -tement des
Bouciles-d u-Hhone.
de
l'uit à à.~l a rsei ll e, le 16 ~\ a rs I l153.
L' Inspecteur Géné:'al cie l'Ad minis trati on
en mission extraordinaire po ur la IX' Hégion Militai"e,
LE PREFET ,
Signé : I~e ll e PAm A.
�Dt . AG 5
Le .\timstre de la Défense l'ationa le et des For<'eS Armées ;
Vu la toi du 31 mars 1928, relatil'e au recrutement d"
l'armée :
Vu la 101 n· 5Q.1478 du 30 novemb re 1950, ,portant à dix·
huit mois l.a dUTée du service militaire actif et modifklnt certaines dispositions de la l<li <l u 3 1 mars 1928, relati"e all
recrutement de l'armée ;
Vu le décret n· 53-245 du 2-1 mars 1953 relatif à la for'
A RTICLE PRE.MIER. -
RECENSHIEJ H
Les maires, administrateurs, contrô -
lelITs ou fondiorma ires civils procèdffont au recensement dieS
jeunes gens nés e ntre le 1er janvier 1934 et le 31 décembre
1934, nés ou domiciliés dans leur commune OU ci rconscr
- iption.
ART. 2. - Les opérations de recensement commenceront le
4 mai 1953. Elles se termineront le Il juillet 1953.
eront inscrits s ur les taibleaux de recensement:
1· Les je u~ gens nés entre le 1er janvier 1934 et le
31 décembre 193-1 inclus, y corn l'ris :
a) Ceux l'isés à l' article 3 de la loi du 31 mars 1928 ;
b) Ceux " ;sés à l'artiole 12 (§ 2) de la loi du 31 mars 1 ~28
qui demanderont leur inscription sur les tableaux de recensement de lel.lr classe d' âge.
2· Les jelates gens visés à l' article 12 (§ 1er) de la loi du
3 1 mars 1928, nés antérieurement au 12 juillet 1932, qui n'ont
J>aS été inscrits sur les tableau x de recensement des dasses
précédentes. Les jeunes gens nés postérieurement au II juillet
1932 et ,Osés a udit a rticle, ne devront pas faire l'objet d' une
inscriptioll d'o ffice j_
3· Les ""mmes visés à l' artiole 13 de la loi du 31 maYS
1928, qui SO"t devenus ou deviendront Français par voie de
naturalisation, de 'réintégration ou de déclanation entre le
1er janvier 1952 et le II j"uilIet 1953, ces dates incluses ;
4· .Les hommes visés à l'article 16 de la loi du 31 mars
1928, onus des classes l'récéden.tes, dont ~'omission aura été
signalée ou découverte.
ART. 4. - Les tableaux de Tecensem.ent seront établis
d' après les règles lixées par l' instruction du 4 décembre 1936,
relative au recensement et à la 'révisi<ln du con\:in;gent. Les
maiTes, admir.isl!rateurs., comrMeurs ou fonctiMnaire.s -civils se
confor.meront aux p rescriptions <le l'artiole 4 de l'instructio n
visée ci-dessus, ~ls inscriront d'office sur Les tableaux de recensement les jecnes gens nés dans leLl'f commune ou circonscription entre Ile 1er janvier 1934 et le 31 d écembre 1934 (il l'ex·
ceptioll de oeux visés à l' article 3, J>3nagraphe 2 ci-dessus) et
pour IleSquels ils n' auront pas reçu d'avis d'inscription dans
une au t re co J1llYIUl1e.
82
a u plus tard .
Les maires devront s'assurer que la notification
à ,la mairie du
~ieu
1954.
De
ttablles
de leu r
co nseils
œtte façoll, toutes les IproJ>Ositions d' aptitude physiq"e
à d'éga rd des individlus "utorisés à êt re visités au lieu
r ésidence, pourront être soumises à la décision des
de révision, en> s6ance de clÔtu,e, dans les départe.
ments de recensement.
d~s
décès
des jeunes gens or igi nai res ci.'une aU'tre commune et nés en
B. -
ARRETE
A. -
rendre imp ropres au ser vice ntilitaire, devront être transmis au x
Préfets par les services municipaux pour l e 1er décembre 1953
fffect u ~
Ii~u de leu r residen ce sera effectué dans les
1935, Ces jeunes gens seront e.xamülés au COurs d'une séance
fixée uniform ément pour tous les départements au 1er avril
Les demandes et dossiers de jeunes gens aya nt d éclaré ou
rait déclarer être atteints d'infirmité Ou mtaJadie 'pouvant les
193-1 a été
3U
conditions fixées par l' article 53 de l'instructi on du 4 décembre
de IIl,issance des
décédes.
mation <le la classe 195-1,
ART. 3. -
être visit(s
RECENSEMENT ET REVISION DANS LA METROPOLE ET EN AfRiQUE,
DU NORD DES JEUNES GENS NES ENTRE LE 1er JANVIER
ET LE 31 DECEMBRE 1934
Des dispos~tiol1s all aJl ogues devroJlt êtr.e pr ises dans ~ es
consulats de Fra:nce, en ce q ui conoerne ~' examen des jeunes
gens en résidenoe à l'é tranger.
D'e s s ursis d' incorporation ~j>remièr,e attri bution)
...seront accordés aux j eunes ge ns de Ja !Olasse 1954, aux aj ournes des cfasses 195 1, 1952 et 1953, déclarés aptes au s ervice
militaire dan ~ les cO :ld ition s fixées par j'es artioles 22 et 23 de
ART. 9. -
REV ISIO N
AR r. 5. - La session o«linaire du Conseil de Révision
s'o uvrira le 4 ja.nvier 1954, tant dans lia métropoLe qu'en Afri·
que da Nord. La séance d~ clô~"re de œtte session aura lieu
le 29 avril 1954.
Entre les deux dates inaiquées ci-dessus, les préfets et
résiè enls géné raux fixeront l' iti-nérair.e d u consei l de révision
et les dates ùes séances, en tenant compte de la situation cli·
D3B2·FS7
P aris, >
Ie 2 avril 1953 .
Les itinéraires seront arrHés en aoooJ1d avec l es gén6raux
commandant lles régions militai res (ou 'les gén.éraux comman-
tés il cet effet
A RT. 6, -
Seront con voquês relevant 1es conseils de révision
tie lac classe 195-1 :
10 Les jeunes ge'ns insc r its sur le tableau de \recensement
de la classe 1954, visés à j'" rti-ole 3 d u !présent arrêté; .
2' Les jeunes gens a~ouTnés des
classes 195 1 et :952
(3:me p-réselùt~tio.ll lpour lesquels le co nse~1 de révision devra
'prendre une décision défi nitive d'aptitude ou d' i.naptitude au
oorvice militaire;
L e Minislre de la Sanlé Publiqu e
et de la Population ,
à MM . les Préfets,
Les cond;tions daas I~ squell es do ivent être l ixées les SOI11m~s d"es par les mala<les extern es des Hôpita ux pu blics sont
3' Les jeunes gens ajo urn és de la ciasse 1953 (2me l>réART. 7. -
Un dossier médical. d'evra être éta bli pour cha·
que reCl'lue, La dl!Iee des séances sera fi xée de t elle maniè-re
que Il es examens, dont les résubMts doiVlCnt figurer au dossier,
puissellt êt re pratiqués avec so in .
ILa moyenne horaire <.les jeunes gens exami,nés ne devra
pas déJ>3sser quarante et la moye'nne jouma'li ère deux cenl
ci-nquartte.
~I ne dE!\'ra pas ê'Ilr<! 'Procédé à l'examen de plus de d~ux
oanton.s dans la même j oumée,
,
Pour la corr/position des commissions mildical es, les géné·
raux commandant les régions m'ilitaires de ron t a"""l a ux mé.<l<·
cins des arm ées de terre) de mer et de 'l'air,
ART. 8. - L'oexamen des jeunes gens qwi ne résident ""S
dans le dél'l>rternent où ils sont r,ecensés et qui demandent,.
ART. '11 ..-
Le GO'uverneur Général' de l'Algérie, les rési-
dents gén éraux de France en Tuni sie et a!\J ' Maroc et les préfet;
sont chaI gés, chacuill en .ce qui le conceme. de l'exécutio n du
présent a rrêté, qui sera publié a u Jo unn al Officiel de la Républ ique Fra nçaise.
Fa it à Paris, le 24 mars 1953.
Ren é PLEVE. '.
s aires de SOinS gerés par l'HÔpital ». Le Conseil d' Bta l co nt lut:
« La procé<lu.re prévue par l' article 10 de l'o rdo nn ance du
19 octob re 1945 étant, comme le Co nseil d'Et at fa reco nnu l'ar
un aVIs d u 17 mil 1 1949 a pplicable aux cas " isés à l'article II
il rés"lte de ce qui p récède que les tarifs de rembo ursement
des so ins doat il s 'ag it doivent e<1 l'état act uel des textes laire
l'obj et des conventi on s conclues entre les Caisses Ré-frionales
determinées j>ar l'article 48 cllL R.A.P. du 17 avril 11143.
Les dis positiOns en ca use prenant po ur base les tarifs
applicables c u Cabine t du pratic ie n et les dispositions de
J'artiale 49 prevoyaùt, J)'a r aHleurs~ 'une venti lat ion des sommes
et 'les w mmissions ad min ist rati ves des Hôpita ux et :'ppr ou'
vees. pa r la ,CommlSsi? n Nati on""" des T arifs qui a égalemen t
perçu~s e'ntre hononaires méd ica ux pr oprement dits et f rrais de
jOI~ctionnem<:n,t de la consultati O'J1, il en résulte que les mod'alites aÎIIsi prévues 'pour IClt déterminati on des sommes dues par
Jes mala~es c'JnsuJ tan1s ne concernent que l es cas où les mal ades ont été examinés ou on t r eçu les soi ns d#uln m édecin.
Il convient, en consëquence, d'inviter les Commissions
admi nistr at i \'es des H ôpitaux où SOnt dispensés des soins exte rn e~ p~ r . des ~uociHaires méd ic<,ux et les Caisses Regionale s
de Sec,unte SOl.:létl: à passer UJle convention p'articul'iere po ur
. Or, " est If réquent que d'es m" lades s e vo ie nt p resc rire,
SOlt par le médecin de l a consultat ion extern e, soit , même par
lUI médecin oe ville une sé r ie de opi qür es des massages. des
pansementS d C.. , qui sont ultérieurement assurés, hors l a présence d'un mt.-dec in~ par les auxiliaires médicaux de l'Hôpital.
C~ ,soPns donn és à des maJades extem6S pa r des auxiJiaües
m~~cau x emraÎn ent des f r ais souvent importants pour Jes
~OP1!au x et il importait d'en permettre le rembo ursement aux
etabilss,emen ts hospitaliers qui, l également, ne peu:vent indure
.ces fra iS dans Iles pri x de jo urnée d'hospitalisatiOJ1,
j
sentation),
ART. la. - La date de la session extraordinaire du
co"seil d'e rév;sion de la classe 195-1 sera fi xée ultérieu rement.
HOPITAUX PUBLICS - REMBOURSEMENT DES SOINS DISPENSES
PAR DES AUXILIAIRES MEDICAUX A DES MALADES EXTERNES
leur département.
Les directeurs dU! Service de Santé Régional seront cOilsul-
indications q"; leur seront données à cet égard dans les mai'
ries. Afin d'éviter toute contestation ultérieure, les demandes de
sursjs d'incorpor ation devront être soigneusement datées) et les
mai re.,.; remettront aux .inté ressrs un accusé de r éception de
leu r derna.n de.
j
matologique de leur département ou de œrtains ca,ntons de
danls supérieurs) de telle sorte que le consei l de révis ion siège
successiNement et non simuJtanément d'ans les déJ>3rlements les
moins ""uplés de 4a région.
la ioi du 31 mars 1928. Les jeunes gens dési r eux de bénéficier
d'un sursis d' incorporation seront invités à se conformer aux
j
quallte, en l J:bsent'e
ne convention, pou r fixe r en ce tte matière
des ta rifs d'a utorité
~.
détermIn er les ta n fs d'e re mbo lUsement apl'licables.
III nOLI s a pa ru uti le de vous donner ft cet éO"ard cer taines
directives,
'
t>
j
Les. ~a,têgo ri e.s ,de soi ns susceptibl es d'être dispenses pd r
des allxll~alres med lcaux hor s Ja presence d'un médeein sont,
le pl us generaJement, des 'piqû r es, des J}c"lnsements et des massages,
A, - En ce qui concerne les piqûres et les pansements
chacun des ac~es comJ>O rte un "'ément de frais à peu t>Iès
des soil1s en 'l'a bsence de toute consultation médicale les
Idenuq,ue, et qu on dOIt poU\'olr d~gager forfaitairement ; l'éléme.nt t r aiS d~ personnel et frais gënc:raLL'\, Sauf dans les établissements importants où un personnel infirmier est maintenu
à peu près en per manence à la dispositioll cres malades exter nes
ce sOIH~ la plupart du temps) les infirmiers ou infirmièr es des
services d'hositaJisation qui consacr ent une partie de leur
temps aux malades extern'es, Un calcul forfaitaire étallii eu
tenant compt\:! du temps moyen consacré par Les infirmiers 011
inf,irmière-s aux soins externes et du nombre de soins dispensés
dOJt permettr e de dëgager en moyenne le monta-nt des frais
par acte accompli. Aux dcpenses de personnel soiqnant dOÎ\'ent
s'aJo~iter les dépenses d'entretien des locaux (p~rsonnel servant - frais de chauffage - nettoyage - am rtis~ment de~ .oit.t;llIents et au materiei),
onsultations exrernes des Hopitaux jouent le rôle de dispeIJ'
A t'es frais genéraux il est utile d'ajouter un ..:enain pour-
Le wnseil d'Eta t (Section Sociale) q ue nous avons ';t~
amenes à, consulter. à nO U\rlaU conjointement sur cette question
j
a , par aVIS en date du 2 d écemb re 1952 estime qu'en attend"nl
la mod ifiqation <les tex.tes en vigueu r
~ modifiœtion que nous
~etton s à l'ét ujd,, - « il parait possi~le d'appliquer au cas
["Isant l'o bj et d e tla présente dema nde d'avis, les dispositions
I,"ales de l'a rticle Il d e >\"ord()nnanœ d u 19 octobre 1945 qlll,
J1Sque les soins sont donnés dans un rlispensaire, pre-\"oit la
tlxatlon
des tanifs de r embOU rSe211C11t par une convention
~,o.nOlue e~ltre la Caisse Réglonate et la Commission ad111inistra-
:nt
ne du dIspensaire; qu'en effet (1<1I1S la mesu re o ù ils dispen-
�ce nta!.re d~ l'ùrdre de 15 à 20 % environ pour frais d'ad mi nisahsentt?lSme et ro ux f r ais.
En ce qui (om:'e rne les piqùres il convien t de fa ire pa yer
à part, le produi t injectable ; si les maJade5 viennent, comme
cela ar ri\"e a\ ff l-eu r produit, i~s n'auront à payer que le pr ' x
corresp ondant aux fra ' gëné.raux ci~essus exposés. S'i ls se
presenten t sans le proocit inje<:table J' Hôpit al devra le œll r
fou rn i r mais au prix de revient hospitaUe r (pr ix d'ac hat hospI tal ier
15 % pour f rais di'\'ers d-e commande, con t r ol~1
consen 'ation, etc ... ). Cene
l ution de faire Ip.aye.r à pa rt le
produi t injedal>l~ pa rait l a pl us éqailtable -en r aison des .pri x
très \'ariables des prc'tiuits en ca use, D 'a ut re part, l a fo u:nnltu rt"
des produits par J' Hôpital ne manque ra pas d'é\' Îter pou r ~es
OrlTanismes dt kurite Sociale des â~J*nses impor tante5 résuJtan~ de la fréquente non ~~tllisa.tion de la tota lité des di ts
produits lorsqu'ils SOnt achetés par les malades eux-1T1ëmes.
tratio~ gffi~r"t1e,
+
B. -
exemplt,' et d:lIts lesqu els sont effectués un nombre impo rt ant
de pansemen!s pour d es malades externes peu ve nt va lablement
prë",oi r plusieurs pri x. D ans les autres cas. un prix fo rf aitaire.
un ique semblerait plus pr aHq ue.
C. - Qua nt aux massages, en dehors des f r ai s géncraux
de chauffage d'entreti en et {i' amo.rtissement des Joca ux et du
matériel. l a p:.. r t impor tanre d u Ipri x de revient r ésulte des dépenses de t rai tement du p er sonnel speoi al isé. U" cabc ul pa r ti('u li~r devra l·tre effectu é en i ond ion du t emps co nsacré par
les m asseurs aux m alades exrer nes et du nomb-re d'e mala{l'es
t ra.tés. Un pr ix forfai tai re dev"" être établ i.
VOLI S voud rez bien noUs acc user r éceptio n des p résentes
i nst ruct tons et nous info rmer, chacun en ce qui nous co nce rn e,
c1es difficultés éventuell es d'a,ppl ication c1 esdi tes i l"'~rLl c tions .
Le Min istre du Travail
et dl! fa Sécurité Sociate
P()~r les pansements,
il y a lieu d'aj ou'te-r aux! fr ais
genër aux identiques à ceux des piqûre, les fra:s de fournit ure
Dl BI - P 0
Comme suite à l' inserti on parue au n" 6 du 9 fév r ier 1953
publ ique Joit êtr e
,ampiétée
co mm e suit :
Le Ministre de fd Sant é Pu bliqlle
et Ile la Population,
Toute fois, ~~tte dispense a €té ubordonnée à la condi tion
que les internes \'isés ci -dessus seraient recrutés -par un conCOurS
régi onal et non par un concours d'établissement.
Une r r emière liste d'établissements suscep tibles de faire
bénclicier leurs inte rnes des a~sposi tions visées ci- dessus a été
publice au journal Officiel Cu 1 Septemb re 1952. Une liste
complémentaire sera publiée p.ochainement.
Ces dis;>ositions m'ont amené à apporter certaines modification aux textes concernant les internes des sanatoriums et
des hopitaux psychiatriques pour permett :e à ceux ·ci de bénéficier dans leur intégralité des a\'antages qui leur sont offerts.
Ces modifications a;:;"fIellent 4uelqu~s
\ ous trou\'erez ci-ap:ès,
Hôpitaux
commentai ~es que
pS)'fhiatriCJlle~,
Un arrêté ou 20 Fe\'rier 1953 (J . Ü. du 17 .\lar 1953), a
apporté c.es modifica tions aux dispositions de l'arhcle 101 du
Rtglement modèle du service intérieur des hôpitaux psychiatr iques annexe à l'arrêté du 5 Fénier 193H, qui vise les conditions
de recrutement des internes en médeci ne.
Cet arrêté do nne donc aux Hôpitaux 'Psychiatriques la
possibilité c'e recruter par concours régional orga nisé da ns les
conditions prévues par un 2me arrtté du 20 Fé vrier publié au
): O. du 17 Ma rs aussi des internes en cou rs de scolar ité
dis;Jensés des stages de 5me et 6me années,
Cc deux'ème arrêté donne toutes précisions utiles conCernant l'orgaliisation des concou:s : conditions d'admissio n des
Dr F. A UjALEU .
3. 1 mai 1953 :- Fête des M ères.
D ans ces co nd it ions, aUCune au tre quête Sur la voie publique ne doit être autor isée par V05 soi ns à lia date précitée.
L E ROY.
RECRUTEMENT D'INTERNES DANS LES HOPITI\UX PSYCHIAT RIQ UES
ET LES SANATORIUMS
Par ':,;cret du 21 ,\l ars IY5 1 (J. O. du 2-1,\ \ars 195 1) modifiant le decret du 16 avr il 19-4-9 sur les études médicales. mo,
CoII~gue de l'Education
ationale a bien voulu étendr e les
dispen es de stages afferents au~ SOle et 6me années d'é tudes
mt!â.icales aux internes, nommés au concours, des hôpitaux
psy~ tiatriques et des sanatoriums figu rant sur une liste fixée
par arrêté conjoint d'li J\\inistere d~ l'Edu ca tion Nationale et du
Ministère Ge la Sante Pubhque et de la Population.
Pour le Minisl r e
L e Direc teur de l' Hyg iène Sociale,
Le C hef de Cabi net
TEXTES
D3 B2 - AC 3
Il r este bien entend u que les établissements qui ne désire'lt
pas reco ur i r, pour pourvoir l eurs postes d'i nter nes, à des éh! dia nts de ser,v ice de 5" ou de 6" année, pourront co nt inuer à
r ecruter leurs intern es comme par le p assé,
APPELS A LA GENEROSITE PUBLIQUE;'
du présent rec ueil, l a liste des appels nati onaux à la gé J1 éros i t~
BACON.
des pansemer. ts et prociuüs pllarma.ceutiques, A cet éga rdb il
pûurrait ~tr c",'isag~, soit d'établi r un prix de re\'ient forfaitaire unique, soit un prix de revient diffê renciê pou r les pe tits
Qansemen , moye115 pansements et grands pansements. Certains H ôpitau~ situ ~ s dallS des agglomerations i ndustr ie:.les par
'ntern es orl'e sa natoriums, de bénéfi cier des dispositi ons du décret
21 Mars 1951. Cette m odification a été apportée par décret
du 20 Févr ier 1953 p ubhé au j ournal Utficiel du 17 M ars 195:i
également.
Le JournaL Of.ficiel du même jour publi e égaiement l'arrt: té
du 20 Févr ier 1953 précisant les moda lités d'organisation du
conco urs régional qui sera ,ù1éso r mais néc essaire pour recr uter
Jes inte rnes de sa natori um désireux de bénéfici er des disposi tions rappel ées ci-dessus,
~Il
candidats aux épreuves, co mposit ion à'tl Jury, én ume ration et
co tation des épreuves notamment.
Certaines situations part iculières (i nt ernat de la Seine, établissements pr i\'és fa isa nt fonction d'établissements publics et
Hopitaux psychiatriques qui recr utent leurs i nter nes par un
concours commun avec des Centres hospital iers déjà habilités
il recevoir des etudia nts <lispensés d'e stage) font robjet d'arti cles pa rticuliers.
VOliS voudr ez bien pr endre to utes mesures utiles en vue de
la modification des r églements i ntér ieurs du ou des hôpitaux
psychiat,riques ·tile votre dépar tement, co mpte tenu des présentes
instructions.
Il doiot ~tre entendu que, da ns le cas où l'établ issement
adopter ait str ictement ta rédac ti on de l'a r ticle 10 1 du règlement
modt:le, modifié par l'ar rêté du 20 f évr ier, la modlification ainsi
apportioe au ré glement intéri eur d'e l' hôpital psychiatrique n'aura
pas à êt,e soumise à mon app-robation. Il suffira que VO liS
m'a\'isiez qu'il a été tenu compte des dispositio ns de mon arrêté
susvise. Par contre, si l'établissement adopte une rédaction
différente, vous vo udrez bien me saisir de la déliberation de
la Commission de survei llance prise à ce sujet aux fins éventue lles d'app roba tion.
Il co nviendra de vei lier, à l'avenir, à ce que les étudiants er:
cours de sco larité affec tés dans les hôpitaux ps ychiatriques
co mme internes et qui doivent tfre, po ur ce faire, <üspe nsés <l1~S
stages de 5me et 6me ann ées, soient effectivement recnltes
dans les conditions prévues pa r l'arrêté susv isé.
2°
Sanaloriunls,
L e décret du 24 M ai 1948 r elatif au fonctio nnem enl des
sanatoriums prévoit, en SO n art icle 10, que les i ntern es de ce.s
établisse ments devro nt être soit o(j!es d'Octeurs en médeci ne, SOIt
des étudia nts ayan t au moi ns 20 inscn ptions validées.
Une modificaion de cet art ic le étai t donc nécessaire pou r
.permettre aux ét udiants de 5me année ( 16 inscriptions "al i d ~es)
D2 B3 - AG 4
D ' INTËRËT
ELECTION DES MAIRES ET ADJOINTS
Par circulaire tél égr aphi que du 17 avr il 1953, M . le Ministre de l' I nt ér ieur m'inform e que, d'après un. avis du Co nsel!
d'Etat en date du 14 a'Vr i l 1953, l' ar ticl e 29 de- Ia l oi du 5 septem bre 1947 r este en vig ueur et dans toutes les co mm unes y
com pris cell es où to us 11es sièges so nt à pour voir au 26 avril
prochai n l es pourvoi rs des Co nsei ls mun ic ipa ux sor ta nts expireront l e 3 mai,
D2 B3 - AG 0
COMMUNAL
Les mai res et les adj oi nts ne pou rront ~t re élus qu'apr ès
ce tt e date, c'est-à-dire au plus fôt le
mai, compte ten u d!!5
délais de 3 j ou rs fra ncs prévus par l'a rtic le 48 de la loi d u
5 avri l 1884.
Pour le Préfet et par dé:égation,
L e S ecrétaire général :
Signé: Maxime Ali GNON.
ADOPTION D'UN VILLAGE HOLLANDAIS
M. le Mi nist re de Il ' Inté rieur vo ul ant co nn aître les co mmu-
nes qui serai en t évent uell ement dési r euses d'adopter un villagl"
hollandais sin ist ré lo rs dc:s dern iè res inondationsl j'ai l'ho nneur
duits, si l e Co nsei l municipal q u'ils présiùent a manifesté une
intention de cette natu r e.
Pour le P réfet et par d';"égation,
de prier MM. {es Ma i r es du D épar tement de vou loi!' bien m'in-
Le Secrétaire gé/leral :
form er so us lia prés ent t imbr e et dans les délais les plus ré-
Signé: Maxime M I ONU ".
D2 B3 - SC 7
CORRESPONDANCE AVEC LE SERVICE DEPARTEMENTAL D'IN CENDIE
Le Pr éfel Iles BOllches-du-Rhône,
à Messieurs h's Maires du Département .
Dans un but d' uniformité et avec le so uci esseniiel de tenir
MM. les So u s-Pré f ~ ts in form és des qllestions de sécu rité int0ressant les communes de leur arrondissement, Nl l\\. les Maires
OU dépa rtement sont in vités à ad opter pour l'ache min ement de
le ur corresponda nce avec le ser vice départemental d' Incendir,
!,j procéd ure observée en matièr e administrative, l"est-à-di re (l.
tll\foyer ,les leltres SO ll S le couvert d~ l\ \M. les Sous-Préfets.
Pour le Préfet et par d&~égation.
Le Secrétaire gênerai :
Signé: Maxime M IGNON.
�de la sllrtaxe créée ,par ~:a rti cl e 7 de la loi du .16 av ril 195 1,
SURTAXE COMMUNALE D'ABATAGE
02 B3 . F 3
j'ai J'honneur de porter cl-d~s - us à la con~aissa.,,;:e d.e
MM. les ·.'taires du dëpartement le texte de la circulaire. nllnistérielle n' 94 ADj 2 du 24 mars 1953 donnant cer~"In~s . Ir.dlcations supplémenati res au sUjet des modahles d .a.pp'ICaho n
des articles 7 à 10 de la loi n' 51A26 du 16 aV ril 1901. .
Je précise que la circulaire initiale n° 202 du 19 ma: 1 ~lj l ,
a paru dans le B.A .•\\. n' 24 du 14 juin 1951.
Pour le p,,' fet,
positions en ca use uniquement comme une r esSOurce mise a
leur disposition pour fina nce r l'ensemble des dépenses commll~
!laies, et qu'une r el ation devait subsister, entre la ca use de la
recette et celle de la dépense.
Certai ns conseils municipaux semblent avoir perdu cette
recommandation de vue. 11 serait bon que vo us en teniez
compte a u moment où vous êtes a ppelé à approu ver des délibe.
rations rele\ant le ta ux de la ta xe d'abatage et de la taxe d.
visite sanitaire des viandes.
Le Secrétaire gJnérat
Signé : Maxime tl\IGNLJf\ .
Le ,'li",stre de ("Lnkrieur
et le .'\inistre de l'Agriculture,
à .\1..\\. les P réfets.
Par circulaire visée en réference J je rcus ai inù iqu~ dans
quelles conditions les communes pouvaient . app~quer ~es .an icles ï à \0 de la loi n' 51--126 du 16 a\, rli 19,1, et Inshtuer
les taxes d'abatage et de visite sanitaire des viandes.
L'application de cette circulaÎre a donné lieu à quelques
diff ic ultés, et c'est pourquoi je crois de\'oj r vous donner des
indications supplémentaires sur les impositions en cause.
l'
l'on dOIt penser <lu en ra iSo n de
Assiett e des taxes municipales d'abatage et de visite sani-
laire des viandes.
. Il m'a été signalé que certaines municipalités assuraieht
ne pas pouvoi r peser les vlandes provenant des animalLx abat-
tus dans l'abattoir mun icipal. Dès lors, elles pèsent les an imaux vi \'ants au l ieu de procéder) après abatage, au pesage de
ja ,;ande nette et font application du décrèt du 18 juillet 19 b
ou du décret du 13 juin 1930, déterminant les rendements en
\ :ande nette d'après le poids vif des animaux, pour eta o.
!'assiette de la taxe d'abatage.
Cette façon de fai re aurai t pu, a la ri gueur) ëtre admise
avant J'inten'ention du décret Il " 51 - 1454 du 21 décemb re 1951
fixant les modalitès d'appl ication des articles 15 à 2 1 de 1.
loi n' 51 -598 du 24 mai 1951.
Mais, depuis lors, cette pratique ne pe ut plus être to lérée,
car ,l'article 13 de ce texte d ispose que tout abattoi r, public ou
pri\'é, doit être muni d' un appareil en état de bon fonctio nne-
ment pour le pesage des viandes.
Vous rappellerez cette disposition aux municipalités des
communes exploitant un abattoir et vo us les inviterez à acquér il une bascule, quand elles n' en p ossèdent pas, et à asseoi !"
désorma is la taxe d'abatage sur l e poids de viande nette, détermi né, non point forfaitairement, mais après une pesée réell e.
Vous profiterez de cette occasio n po ur les inciter à adop·
ter, pour l ' assiet te des taxes municipales d'abatage et de visite
sanitaire des viandes, les règles posées par le même décret au
21 décembre 1951, pour l'assiette de la taxe de circula ti on sur
les viandes.
Vous soulignerez qu' il est commode de r etenir pour Ils
III
Je signalais, dans l a circulaire du. ~ ~ .mai 195. 1, que les
municipalités avaient déso rmais la pOSsibilite de majorer, dan:;
j(!. l imi te d' un f r anc par kilogramme de viande nette, la ta xe
d'abatage. Le produit de cette surtaxe qui, contriliremellt à
celui de la taxe !propremen t dite, est grevé d'aMectation sp ~
dale doit permettre à la commune d' amorti r l es dépense s
pour construi re ou modern iser son abat
toi r
q U'e(le a enO'alYées
b
•
.
En fait, la surtaxe doit essentiellement gage r l e service dC:i
emprunts que l a munici palité contracte dans ce but, l a loi précisant en effet, que crue la SUJtaxe a pour objet d' amortir Jes
dépen~es, et non de permettre la cons~itution de 1eserves qui
seraient U'ltérieurement consacr ées au financement des tr avam,.
ce const ruction ou d'amélioration.
La mise en recouvrement de l a surtaxe doit donc être subordon nee à l'exécution de tra vaux extraordin aires et ne p eld
être admise quand il s'agit de f inancer des dépen ses ordinai re::;.
Or, il m'a été s-ignalé que, dans un certai n nomb re de ca s,
les prescriptions de la circul ai re du 19 mai 195 1 avalenl. SU (
ce point, été perdues de vue.
Ainsi des municipalités ont été autorisées à mettre la Sll r-
taxe en ~ecouvrement pour financer des travau x d'en tretle,1
courant ou des acquisitions de simple matér iel ; d~a ut re s perçoivent J cette su rtaxe sans même avoir commencé les tr ava ux,
dans il' espoir de se constituer des r éser ves qui ne seraient utilisés qu' au cas où les projets seraient agréés par d'autori i('
ministérielle.
Ces pratiques doivent être rejetées et pou r ap-
prouver les délibérations instituant la surtaxe, vou s sui vrez les
di rectives ci - ap rès :
Lorsqu'une commune entreprend des travaux de c o~ strll c~
ti on de réédification ou de modernisation d' un abattOi r, qU I
sont alg réés par le Ministre de l' Agricu l t ure ou par le mi nistère de l' lntér ieuJ, quand il s'agi t d>abattoi rs con st rui ts dan:,
des viltles et qui sont, à ce titre, subventionnés ,par .l'Etat, il est
normal que la surtaxe d'abatage soit mise en re co uvrement.
Si les travaux que la mun icipalité se propose d'entreprendre n'ont pas à ètre soumis à une admi nistr ation ce ntrale, la
surta xe ne pourra êt re perçue q u'au cas où l a procéd ure prevue pour les établ issements dangerem.) i nsalub res ou incommo-
des aura été mise en jeu . Les abattoirs publics s ont, en effet,
rangés par le décret du 24 décembre 19 19 dans la . preml ere
sani-
taire des viandes.
Dans ma circulaire précitée du 19 mai 1951, je vous p rêcisais que les municipalités ne deva ient pas considérer les im-
lations fri go rif iques, et so n taux doit être calcul é de faço n à
permettre l'amortissement des frais engagés à cet te occasio n.
POUf !j'application des prése ntes instru ctions, il vous sera
touj ours possi ble de r ecuei ll i r l'avis du Directeu r Dépa rt emel!'
t al des ser vices vétérin ai res et de l' Ingénieu r en chef du Génie
rural, qui sont particuli èrem ent qual ifiés sur l e plan tech nique,
'j,Jour apprécie r la va leur des trava ux entrepris par une co l ~ec
livi lé.
Le Minis tre de l'Int érieur
Charles BRU NE .
En outre, les travau x de création, de modernisatio n ou
d'équipement d'un entrepôt fri gorifique, annexe à un abattoi r
I,'ont pas il être finan cés par la s urtaxe d'abatage. Une rede-
vance spéciale peut èt re perçue sur les utilisate urs des instal-
D2 B3 . AG 2
Le Ministre de l'A gricu/lure :
Camill e LA URENS.
CAISSE NATIONALE DE RETRAITES
DES AGENTS DES COLLECTIVITES LOCALES
rai l'honneur -de porter ci-dessous à la co nna issa nce de
MM. les Maires du Département le texte de ta ci rcul aire de M.
le Directeur Gé néra l de la Caisse des Dépôts et Consignatio ns
,n date du 26 Fév ri er 1953.
POUIR LE ~REFET,
Le Secrétaire Général délégué,
Signé: (Ma xim e MILGNON.
SOMMA IHE
Titre 1. - Inter pénét ration des carr ières ac complies SO liS
Je régime de la Caisse Nationale de 'Ret-raites des Agents des
Collectivitês locales d' un e part et so us le régi me de la Caisse
de retraites die la Fra nce ,ctI Outr e-Mer, de la Caisse générale de
Retraites de l'Al gérie o u de la Caisse locale de ret raites du
~\ aroc d'a ut re part.
Titre II. - A ppli cat io n des dispositions du § V ,ri'e l'article
46 <W décret du 5 oct<>bre 1949 mod ifié pa r le dé::ret n' 52-673
dll Il juin 1952.
Tit,re lf.I . - Dispositlo ns relativ es au x limites d'âge et au x
prolon gations dl'activité.
Titre IV . - Ouverture, au 1Jrofit de certains agents, d'un
nouveau délai d'option pour le maintien de leur em ploi, à titre
personnel, en ca té go ri e A oU B,
Tit're V. - Uispositions par ti cu lit!res con cernant l'admission
il la rerrai te pour i nvalidi té.
Titre VI. -
Hévisio n des décomptes prim itifs de valida ti on.
Titre VIII. - Périodes de servi ce du tra vail obligatiore ou
d'insoumission au ser vice du t-ravail obli gatoire.
Titre VIII. - Services acco mplis da ns les fo rm ations militaires fémi nines de l'arm ée.
du re q ue déterminent la loi et le règleme nt. P a r ai ll eurs, tout
M 10ntant ,d'e la co ntri bution complémentaire à
\erser à la Clisse Na tio na le pe ndant l'a nnée 1953.
transfert d'un établissement classé sur un autre empl acement,
toute tra nsfo rm ation en l' état des lieux, dans la nat ure de
de visite
abattoir municipal ne devront Ipas, en raison de 'Ieur minime
'
'
d e l a surta xe.
donner l leu
a. 1a percep t Ion
lin
importance,
Titre IX. - Services au xilia ires rémunérès partie par l' Etat,
partie par les Collectivités locales.
l'outi.1lao-e ou du travaill toute exte nsion de l 'e xpl oita tio n entrainant une modjficatio~ notabl e des conditions im posées par
l' arrêté d'au torisation. nécessite une demande d'au tori sation
complémentai re, qui intervient à l a suite de l a même ,procédure
municipal" d'abatage et
carti\'é le déclanchement de la procédure prévue par la loi
mOdifiée du 19 décembre 19 17, et par ses textes d'appli cation ,
~sO permettront un e réell e m9dernisation de l' établissement.
Tous Iles autres travaux qui pourront être entrepris dan$
classe des établissements dangereux, insalubr es ou II1co m m~
ries. Leur ouvertu re est, de ce fait, subo rdon née à une proce-
impôts perçus par les collectivitès '! ocales et po ur les impôts
Taux des faxes
a
Surlaxe communale d'a batage .
perçus par l es régies fina nci ères, une assiette semblable. Il en
résulterait, indiscutablement, une simplifi cation, tan t po ur les
r ede\'ablcs que pour les administrations fi nancières, dont la
tâche se trouverait, ainsi, facilitée ,
Il
leur consistance qui
Gue la demande d'ou,verture.
Dans ces co nditions
portance qui doivent êtr~
ne peuvent être r éalisés
ses formalités p rescrites.
tous les travaux d'une cer ta ine imeffec tués da ns un abattoi r m un l~ipal
qu'après accomplissem ent ùes diverIls pourront être financés au mo}'en
Tit re X. -
Ti t re X!f. - Répartition, au sein ci e la IOème Division, des
opérations relatives à la gesti on de la Ca isse Natio nale.
. TITRE 1
Interpénétration des carrières accomplies sous le régime
de la Caisse Nationale de Retraites des Agents des Collectivités
lOCales d'une part et sous le régime de la Caisse de Retraites
de la france "'Outre-Mer, dCJ la Caisse général e de Retraites de
l'Algérie ou de la Caisse de Retraites d u Maroc d'autre part.
Le déc ret n' 52 673 du II juin 1952 publié au Jou rn a l
Officiel <l'u 17 juin 1952 çpage 605 1), a comp lété les ar ticles II
ct 46 du déc ret du 5 octobre 1949 .
Ce texte stipule que seront désormais pris en compte, tant
pour la constitu tion du droit que pou r la liquidation d'une
pension concédée par la Caisse Nationale de Retraites .rifes Agents
des Collectivités locales, les services accomplis so us le régime
de la Caisse de Retraites de la France d'Outre-M er, ai nsi que
so us le r égj me des caisses locales de revraites de J'Al gérie, die
la Tunisie et ctlll Maroc, dans des conditio ns semb lables à celles
da ns lesq uelles ces institutions ad mettent les serv ices acco mplis
sous le régime de la Caisse Nationale d e Retraites des Agents
des Collectivités locales.
Des dispositions identiques aya nt été .prévues :
- à l'article 7, 7°, d u décret clu 2 1 avril 1950 q ui, a vec le
Gécret du 1N novemb re 1928, régi t la Caisse de R e tr~i tes die la
France d'Outre-Mer,
- il l'article 24 de la décision nO 49-043 de l'Assemblée
Al géri enn e ayant pour objet d"étendr e au x fonctionnaires et
a gents tribu'taires de la Caisse gé nérale ,cie Retraites de l'Al gérie les dispositio ns de la loi n" 48-1-150 du 20 septem bre 1948
portant réfo r me du régime des pensions ci viles et mili taires,
décision qui a ét é Ihomologuée par décr et c u 30 avril 1949,
. il l'art icle 2ï du dlahir d u 12 mai 1950 porta nt réfo rme
du régime des pens io ns civiles dhérifi ennes (caisse locale de
ret'raites du 'Maroc) ,
le principe de l'interpénétration dies qu at re
reglmes de
retraites en cause est ent ré en vi gueur par la seule publication
du déc ret ,d\1 II juin 1952. ( 1)
Je vo us prie de trou ver exposées ci-après les con-c\li ti ons
da ns lesquelles ce décret doit s'a ppliqu er à l'éga rd des agents
de votre collectiv ité qui peuven t se prévaloir de ses disposi tions,
à savoi r ceux qui ont accompli des services valables ou valida'
bles ·au ti tre de l' un ou plusieurs des régimes de retraites de
la Caisse de retrai tes de la France d'Outre-Me r, de la Caisse
générale de r etraites <die J'Algér ie et de la Caisse locale de
re traites du Maroc.
II convient de disti nguer parmi ces agents ies titulaires en
activité, les ancie ns age nts titul air es Tetrai tés et les allxiliakes.
1 Titulaires en activité.
Q
L es ser vices de titulai r e accomplis dans des ca dres co ndui-
sa nt il pens ion de la Caisse de retraites de la Fra nce d'Outre·
( 1) NOTA. - Le régi me actuel des pe ns ions des fo nctio nnai res
et employés T unis iens, fixé pa r le déc ret beylical d u 19 novem-
hre 1949, ne prévoit pas la prise ('n compte des services accom-
plis pa r ses tributaires dans les collecti\ités locales de la Mét ro·
pole.
87
r
�,\\er, de la Caisse générale de retraites de l' Algér~e ou ~e la
Caisse locale de retraites du Maroc pourront elre pns en
l.ompre à la condition que les agents de votre collectiv~té qu:
auraient effectué de tels sen'ices proJ\Jisent une attestation de
la Caisse de retraites à laquelle ils appartenaient, établissant
que ..:es sen'tee sont \"alables au ,regard d u rLg1me de r etraites
ù" ladite Caisse
Certe attestation de\ ra être adress~e par votre collectivité it
la Caisse des Depots et Consignations (lOème Division - 3t'mt>
Bureau).
il est r ecommallà<ê aux agents qui se t rouveraient dans cette
situation de formule-r leur demande tendant il obtenir l'a ttestation sus\'iséc dans un délai de trois mois à co mpter de la date
de la presente circulair e.
Par ailleurs, les servj<:es auxiliair es, temporaires ou Contractuels accompf dans des cadres dont le titulaires étaient
tributaires soit du régime de la Caisse de retraites de la France
ù'Outre-..:\ \er, soit d u régi me de la Caisse gênérale de r~traites
lie l'Algérie, soit du régi me de la Caisse loca le de retra l ~e~ du
. \aro c, mais qui n'ont pu être yalidés au regard de ces reglmes
parte que les agents n'ont pas étt titularises dans les . ca~res
én questio n, peuvent faire maintenant l'objet d' une \'ahdatlon,
à co ndition que les intéresses en fassent la -demande,
_ soit avant le 19 JU În 1953 s'ils daient affiliés à la Ca;sse
~ationale de retraites des Agents des Collectivités locales à la
date du L juin 1952.
_ soit au cas contrai re, dans le délai d' un an suiva nt la
date de I~ur affiliation â ladite Caisse.
Les demandts de \'alidation des servi ces de j'espèce doi vent
t'tre adressées ~ la Caisse cite., Dépôts et Consignations (tOme
Oh'isioro - 3me Bureau) qui les transmettra aux o ~ganismes
interesse a\'ec les indication:; nécessaires pour permettre le
calc ul des retenues rétroacti\'es.
POU i éviter to ut risque de fo rclusion, il devra être recom mandé aux agents qui auraient déjà formulé une demande de
\-alidation a\'an! que les dipositions Sus\'Îsées aient été portées
â leur connaissance, de bien vouloir renouveler leu r demanùe,
2 Retraités.
0
Seuls peuvent in voque~ le bé néfice des dispositions du
oécr et du 1J juin J 952 les agents de votre collectivi té qui, affilies â la Caisse Nationale de retraites, ont été mis â la retraite
-:)O ur co mpter d' une date .postérieur e au J er Janvier 1948 (appli'
èatio n du § V de l 'article -16 du décret du 5 octobre 1949
mo!li fi é par le de cr et n' 52-673 du Il juin 1952).
Si, parmi eux, certains rempl issent ks conditio ns nécessai r es à la prise en co mpte supplémentaire de ser\'Î-Ces valables ou
va liurables au titre du Tégime de la Caisse de retTaites de la
France d'Outre-.'\ \er, du régime de la CaIsse générale de Tet rai tes de l'AJgé.-ie ou du régime de la Caisse locale de Tet Taites
du J\\aroc ils de\'orn t adr esser à la Caisse des Dépôt s et Con Signations' ( IOme Division - 4me BUTeau) une dema nde de révision de leuT pension accom pagnés soit de r attestation vi sée au
premier alinéa du 1" ci -dessus s'il s'agit de services valables
pour la retraite au egar ' de l'un des trois régimes de r etraites
susmentio nn és soit d'une demande de validation s'il s'agi t de
servi ces auxHi~ires validables. Dans ce dernier cas la demande
de revision devra être produite ava nt le 19 juin 1953 (délai de
rigueur pour qu'il puisse être fait droit a la demande de va lidation) .
Remarqu est faite que les services ai nsi pTis en co mpte
seront liq ui des dans les con<lltions fixées par le décret du 5
octobre 1949 et ne ·don neront nota mm en t pas lieu à attri bution
de bonifications pour services hors d'Europe.
3 Auxiliaires.
0
Ces agents doivent être avertis qu'ils peuvent, au moment
88
de leur titu larisa tio nl dema ndeT, le cas échéa nt, la va lidatio n
des catégor ies de services susv isés,
ILe délai <i'o nt ils disposent est évidemm ent le dêlai or d~
naire d'un an suiva nJ la date de l' arrêt é de titula risation les co ncerna nt.
Lorsq ue votre co llectivité demandeTa, dans les conditions
indiquées au Titre N, chapit re l, .page 21, <d~ mon Instru ction
du l a décembre 1 94~), l'av is de la Caisse Natio nale S Ui l'a'dmission à la ret raite d'un agent qui aura accompli des services
\'a lables ou va lidés au Tegard de l' un !Ciles autres régimes de
r etTaites visés ci dessus, il co nviendr a d'i ndiqu er les périOd es
de ser vices en questio n dans le « T ableau ,tiles se r vi ces » figurant au veTSO de l'état des ser vices à liq uider du modèle L 2
qui doit êtTe an nexeé à la demande ·àravis du modèle L 1.
111TRE Il
Application des dispositions <lu § V ëe l'article 46 du décret
du 5 octobre 1949 modifié par le dëcret n ' 52 -673 du I l Juin
1952.
Aux termes du § V de l'ar ti cl e 46 d u décret du 5 octobre
1 9~9 modifié par le décr et n" 52-673 du 1'1 ju in 1952 « les dise positifs d'es §§ l, Il , III et I V dudit. article so nt applicables à
« compter du 1er janvier 1948 aux agents qui, à ce tte date,
« étaie nt en activité et affil iës à la Caisse Nationale de r et raites
des Agents des Collect ivités locales »,
Or, les agents de votr e collectivité qui, affiliés à la Caisse
Natio nale de Te t raites des Agents des rColi ecti vités locales, ont
été admis il la Tetraite apr ès le 1eT ja nvier 1948 mais avant le
16 octobre 1942 (,ollte d' effet du décret du 5 octobr e 1949),
n'avaient Pli , avant la publication GU décr et nI) 52-673 d u 11
juin 1952, fai re valider les ser vices auxiliai res, tempo raiTes Ott
..:ontrectue ls qu'ils étaient susceptibles d'avoiT accomplis dans
une administration de l' Etat ou en qualité d(ouvriers des établissements in d1ustriels de l'Etat.
L es disposi tions rappelees ci-dessus ont donn é à ces anciens
agents la pssibilite d'obtenT la val idation de tels servi ces au
titr e de la loi du 20 septembr e 1948 ou la lo i du 2 août 1 9~ 9.
Les retraites qui dési Tent user dte cette faculté dev ront
adresser à la Caisse des Dépôts et Consignations (lOme Di vision - 4me Burea u) ava nt le 19 juin 1953 une demander de
révision de leur pensio n, ac co m.pagnée d'une dlemande .d!e valiàation des ser vices en cause, ,pTécisant la pé i iode au co urs de
laq uelle ces ser vices ont été ac-co mpli s, ai nsi que l'ad mi nistratio n
ou l'établissement indust rie l ,àe l' Etat au quel ils ont été rendu s.
TITHE III (1 )
Dispositions relati ves aux limites d'âge et aux prolongations
d'activité.
L1ar ticle 86 de la loi du 23 avri l 1952 pOTtant statut général
du personnel des co mmunes et des établissements publics
('omm unaux p révoit que les agents trtbutaiTes de ce statut sont
so umis au même régi me ,ale limites d'âge que les fon cti onnaires
de l'Etat.
En conséquence, à co mpter du 1er mai 19521 les disposi
~ions relati ves aux limites d"âge contenues dans les ancie ns
statuts .particu liers de peTsonnel sont d'evenues caduqu es.
Le:; limites d'âge géné rales des fon ction naires de l'Etat
sont de 63 ans pour les emplois de la catégori e A et de 58 anS
pour les emplois de la ca tégorie B Lo is des 18 aoCit 1936, articles
1 et 2 et 15 février 1946, article 10).
( 1) Les dispositions de ce tirtre ne co ncern ent que les agents
devenus t ributaires du statut généra l du personnel des communes et des établissements publi cs commu nau x éd icté pa r la
loi n" 52-432 ,dlu 28 avr il 1952 (Cf Titr e 1 de la circulai re
n° 325 A D C/PER du Mi nistre de l' Intérieur en date du 10
ao ût 1952).
L'at tenti on dies collec t ivités est attirée sur le fa it que d'autres textes perm ettent aux agents d'obt enir, à titre pe:sonn el un
ecul de la limite d'âge affér ente à l'emploi occ upé.
'
r
Il s'agit <le l'article 4 de la loi du 18 août 1936 (fonc tionnaires a}rant eu trois err:fa nts vivants à l'âge de 50 ans et fo nctiO nnaires aya nt des enfa nts à cha rge) et <le l'artic le 18 de la
loi du 27 févr ier 1948 (10 nction naires dont un ou plusieurs
enfa nts sont morts pour la IPra nce), Temarque faite qu'un même
enfa nt ne peut ouvrir droit à de ux avantages différents.
Les di spositio ns susvisées ,concern ent les agents locaux
soum is au stat ut du 28 avr il 1952, dès lors qu'à la <late du 1er
mai 1952 ils n'ont pas dépassé la limite d'âge résultant de
l'avplication de l'ensemble des textes en qu estion.
Il est rappelé d' a u ~re part que les co llectivités locales ont
la faculté, co n form ément aux indIcations qui leur ont été données da ns les circulaI res adTessées aux Préfets par le Ministre
de l'In tér ieur (II " 69 A D3 du 17 mars 1940) et le ,\1inist re de
la Santé publiq<le et de la pop "lation (n " 2 1 du 12 février 1950)
d'accorder à l'ensemble de l eu rs agents la ,possibilité de pro -'
longeT leur activité au delà de leur limite d'âge dans les mêmes
conditions que ce lles fixées à l'alticle 2 du décret n' 48- 1907
du 18 d~ce m b re 1948 (Cf. titre 1 de ma circulai re du 10 octobre 1951).
, Il co nvient d' obser ver à ce propos que, dans le cas Oll la
collectivité a usé de cette fa cuité, la .p rolongatio n d'activité
ne peut {itre accord ée ~l u ' au ta n t que Il intéTessé a fo r mulé sa
demande au moi ns trois mois avant ,dJêtTe atteint par la limite
d'àge qui lu i est applicable (décr et n" 49- 111 7 du 2 août 1949) .
POUT per mettTe à la Caisse Nationale de p r endTe éventuellement en compte, dans la liquidation .des pensions) les I"olo ngations dr'act ivité 'fégu li èrement accor dées, il y au ra lieu d'adresser à la C.,isse <fIes Dépôts et 'Consi gnations (IOm e Division _
3me Bureau) pou r chaq ue ca3, un double de la demande formulée par l'agent et une ampliation de la décision ayant accepté
~
la demande.
Il est rappelé en outre qu'a ux termes cfe l'aTticle 1er du
décret n" 5 1-98 1 du 27 j uillet 195 1, la prolongation de services
ne peut être pri se en com pte da ns la pension que si elle n'est
pas interrompue à la deman de de l'i ntéTessé .pour un motif autr e
que l' incapacité intellectuelle ou physique, et seulement dans
la limite des vi ngt- ci nq ou trtnte ans de services exigés pour
l'obten tion du droit à pension d'a ncie nneté.
qui n'ont pas exereé l'option qui leur avait été antérieuTement
reco nnu e, dès lors que ces agents étaient, avant je t ell mai
1952, tr ib utaires d'un statut local co mportant pour tous les
emplois de la co llectivité une ml2me l imite d'âge supérieure à
la nouvelle li mite d'âge fixée pour les emplois de la catégorie
Il par l'article 86 de la loi d,. 26 avril -951 (c'est-à-dire 58 ans).
L 'option devra ètr\~ exp ressément for mulée par l'agent et
t·ran!>rn ise par la co ll ctiv 'té a la Caisse des Dé.pô ts et Consignations (tOme Division, 3me Bureau) dans un délai de six
mois il COm l)ter de la date de la pr 'sente circu lai re; elle sera
.
irrév ocable .
T ITRE V
DispOSitions particulières concernant l'admission à la retraite
pour invalidité
Au cours de sa séan ce du 15 décembre 1952, le Conseil
c' Administration de la Cais:ie Nationale, considérant qu'en cas
de mise il la Tetraite pour !Ova lidité un délai parfoi assez lon g
peut s'écouler, pour dlfS raisons diverses, entre la date à la4 uelle la Commissio n départem entale de réforme formule son
avis et celle à laquelle l'a'utoritc qualifiee prend, apr ès avis
confoTme de la Caisse Nationale, l'arrêté d'ad mission à la
retraite, a adop té les dispositions ci-après.
Désorm ais, dès que la Commission dépa Ttementale <le
rêfo rme aura émis un avis con01uant à l'impossibilité définitive et
absolue, po ur un agent, de co ntinu er ses fonctio ns, l'autorité
qualifiée Ipo urra prendre un arrêté portant admissi on de l'agent
à la ret raite « sous réser ve de ravis co nfo r me de la Caisse
Natio nale de Retrai tes Vrévll à l'articl e 23 QIU d<'cret n" 49- 141 6
du 5 octo bre 1949 • .
Cette rése Tve devr a figuTer expressê men t da ns l'arrêté qui
sera co nsidéTé co mme un acte so us co nditio n, et ne produ ira
ses effets qu'en cas d'avis co nforme de la Caisse Nationa.le, et,
dans cette hyq>o thèse, la jouissance de la pension et, éventuellement, de la 'ren te d'inva lk1itë pou rra être fixée au jour de l'arrêté,
en admetta nt qu'à cette date l'agent ait épuise ses dToits statutaires à congés de maladie ou à congés de longue d urée.
Une am pliation de l'arTêté ainsi inter ve nu sera jointe aux
pièces que -la co llectivi te <iûit produire à la Caisse Nationale
po ur demandN l'avis de cette dernièr e (Cf. Instruction du ~O
décembr e 1949 _ Titre Il, Chapitr e l, page 2 1).
T ITRE VI
1'I1lRE IV ( 1)
Ouverture au profit de certains agents, d'un nouveau délai
d'option pour le maintien de l eur emploi, à titr,e personnel, en
catégorie A oU B.
Mes instr uctions d'es 10 déce mbre 1949 (com menta ire de
l'article 6 § 1 <l u déc r e~ n' 49-1416 du 5 oc tobre 1949 contenu
dans le titre IPremier - pa ge 5) et 13 fevri er 1950 (cha pit re Ill,
page 8) avaient in di qué les conditi ons da ns lesquelles,
0
1 les agents occ upant un emploi qui était classé dans la
catégorie B en vertu de leur sta tut ou du règlement pa rticulier
~ retraites antérieurement appl icable, et qui ne figurait pas
<lans les tab leaux annexés à l'arrêté interm inistéri el du 20 septembre 1949 (J . O. du 16 octobre 1949) pouvaient, jusqu'au
9 juin 1950 opter ,pO tlT le mai nti en de leur emploi, à titT e perSonnel, dans la ca tégorie B.
2" certains agents occupant un emploi Televa nt, avant le 17
octobre 1949) <:Le la catégorie A, mais classé dans la catégorie B
par l'arrêté inteTmin istériel .précité, pouvaient opte T, jusqu'au
12 août 1950, pour le maint:en de leur emp loi) à titTe personnel,
tians la catégorie A.
Il résulte de <lel'bérations du Conseil d'Ad ministration de la
Caisse Nationale (séan ces des 13 octobre et 15 décembre 1952)
~U'~n nouvea u ciJélai d'option pO lir le maintien d'e leur emploi,
a titre personnel, en ca tégorie A ou B, est ac.co.rdé aux agents
Révision des décomptes primi t ifs de validation
Dans mes instructions Telatives à la varidatio n des services
à "'affiliation à la Caisse Natonale je vou s signalrus
que, lorsque votre collectivité ne serait pas en meSUTe de déter _
mi ner elle-même le montant exact des cotisations vieHlesse
d'AssuTances Sociales à annuler, la Caisse Nationale déduirait
des cha rges rétroactives afféTentes aux pé ri odes T tenues pour
la va lidatio n un chiff,e forfa itaiTe oe cotisations viei llesse, et
qu'il serait procédte â la re\rision du décompte primitif lorsqu 'elle aurait reçu de la Sécllfité Sociale le montant des cotisations annulées.
Ell ra ison des inconvénients que presentait cette procéd ur e,
mon Etablissement a, depuis le mois d'aoùt 1952, adopté les
nouvelles dispositions suivantes.
Après examen des deman à1es, la Caisse Natio nale vous
avise des pério des qu'elle accepte de retenir po ur la va lidation,
aftn de \-'ouS peTmettTe ce demander à la Caisse régio nale
d'AssuTance-Vieillesse i nt ér e~e l'annulation des coti sationsvieillesse versé.es au titre de ces periodes . Elle n'é tablit ensuite
anté ri e~s
( 1) Les dispositions de ce t irre ne conce rn ent que les agents
devenus tTib utaires du s.tatut général du peTsonnel des communes et des établissements publics co mm unaux édicté par la
loi n" 52-432 <iu 28 avril 1 95~.
89
�les de omptes de retenu es et contributions rêtioacti\'es dues
Qu'après 3\'oir eté créditêe r ar 1[\ Sécurité Sociale du montant
des cotisations 'vieillesse annulêes,
Afin tie hàter les operations de rédsion des dêcomptes
primitifs établis selon l'ancien syst~me, et dont le nombre est
tr~ important, je vous ser:\is ohlig~ de bien vouloir faire rectifier, il raide des copies des dé-cigions (<" annulation que les
Caisses régionales d' Assurance-Vieillesse VOliS ont ao.ressées
COI\iormément aux dispositions ce la ci:-culaire n" 38 SS du
Ministre du Travail et rie la Securite Sociale en date du 2
f';vrier I P5 1 U. O. du 10 mars 195 1), le monta nt des char ges
rétroactives primitivement fixées,
Cette rectification s'effectuera en substituant aux sommes
« à -~ duire ,. indiquées à la page 3 des formules modèles F
ou G \~' est-à-dire les montants forfaitai res, ou déterminés par
\'os soins des cotisations-\'ieillesse) le montant des cotisationsouniere et patron,!le, effectivement annulëes par la Sécurité
Socia l ~ au profit de la Caisse
ationale.
Les rectifications ainsi opérées pourront conduire aux résultats ci-ap rès examin~.
Premier cas. - Les \'ersements effectues avant la date à
laquelle vous procéderez à ces régularisations sont supérieurs
au montant r ectifié des retenues et contributions rétroacti ves
dues.
Vous aurez à suspendlfe tout versement rétroactif et à m'en
aviser sous le timbre tOme Division, 3me Bu reau , en établissant
pour (,ùaque agent un décompte rectifica tif du modèle ci annexé, Il sera procédé aux r emboursements qui s'imposeront ;
toutefois, j'attire votre attention sur le fait qu'en raison du
grand nombre d'affaires de l'espèce actuellement en cours, la
régularisaion comptable dont il s'agit pourra demand er un
certain délai.
D euxième cas. Les \'ersements effectués se t·rouvent
~tre inférieuïS aux taux rectifies par vos soins.
Vous aurez à poursuivre les \'ersements rétroactifs selon
la cadence et les taux mensuels antérieurem ent .prescrits par
mes sen'ices, étant entendu que vous interromprez les versements lorsque le montant global de ceux-ci sera égal au montant rectifié, Vous au rez alors il m'aviser de l'interruption .des
versements r étroactifs en établissant pour chaque agent un
décompte rectificatif du modèle ci annexé.
Troisième cas. - Le montant des retenues rétroactives déjà
versées est inférieur à leur montant rectifié ; pa r co ntre, le
montant des co ntributio ns retroa-ctives déjà versées est supérieur à leur montant rrcctifie.
III co nviendra d'établir un décompte rectifica tif co nform ément aux indications suivantes.
Dans la colonne c Retenues . sera in<ilqué le montant définitif des retenues rétroactives à verser, sans qu'il y ait lieu
de pr éciser le montant des versements déjà effectués, ni celui
des versements restant à effectuer,
Par contre, la colonne c Contributions ,. sera complétée
par l'indication du montant dêfinitif des contr ibutions rétroactives à verser, du montant -d'eS versements déjà eftectués et
du montant de la somme à remboursei en co nséquence par la
Caisse Nationale.
Le versement des retenu es rétroactives devra ëtr e poursuivi dans les conditions indiquées au deuxième cas) jusqu'à
ce que le total des sommes versées à ce titre soit égal au montant définitif indiqué par vos soins da ns le décompte rectifica tif.
Il ne sera pas nécessaire d'informer mon Etablissement
lorsque le versement du r eliquat des retenues aura été effectué.
Quatrième cas. - Il s'agit du cas inverse du précédent qui
doit être réglé de la même manière, les dispositions prévues
pour les retenues étant applicahles pour les con tributions et
inversement.
,rajoute que l'ense mble des od~spositi o ns qu i précèdent est
applicable .pour to us les agents <ie votre collectivité en acf . é
I()rs de l'élablissement des décomptes 1)rim itifs, mème .Ivllt
.
'"'' ont ete
.. ren d li S a. d'autr,es collect;vités enSIt es
services
va 1II.>.ci
. ( 1)
,
ota·
. .
.
1Ite ou en partie
Il n'y aura pas li eu d'etablir de décompte rectifi ca tif.
- au nom des agents qui, lors de l'établissement du décol'
. "f d e va l'd'
'
pnnllh
1 atlOn) é
talent
en activité auprès a'. une 'pte
t
· ·é 1 1
au re
co Il ect IVlt oca e,
- au nom des agents qui, lors de l'établissement du décon 1
. 't'1.f d e va l'd
p:lml
~ at'IO n, é"
,talent en. activ ité auprès à'une Acl'1'mi-e
IlIstratton ou d un Eta blissement Industriel de l'Etat.
Vous Il 'aurez pas Il on plus à m'adresser ,die èJé compte re r~
ficatif au nom des aO'en ts pour lesquels vo us avez saisi n~olll
Etablissement d'une demande de rembourse ment, lorsqui! cett
demande étaient ann exées touts indications reatives tant au:
nouveaux taux rétroacti !s qu'aux montants des verSt.>111ents
rétroactifs déjà effect ués.
.par contre vous voudrez bien faire établir par priorité les
déco mptes r ectificatifs ail nom des age nts pour lesquelS vous
avez saisi mon Etablissement d' un e demande de 'remboursement
ou de régularisation sa ns mention ner le montant des versement<::
rëtroactifs effectues; ces pièces èaev ront m'ëtre a.:-;!ressêes SOll~
la référence 103 BJ / D.
T fTRE VII
Périodes de seltyice du travail obligatoire ou d'insoumission
au service ~u travail obligatoire
Dans sa séa nce du 26 septembr e 1949, le Conseil d' Admi·
nistration de la Ca isse Na tio nale, consj.(i~érant les d~s p ositio ll s
contenues da ns une circulaire du Mjnistre des Finances n" 145'
10 B/6 en date du 13 novembre 1948, de laquelle il résultai t
que les périod~~ passées au servi ce d u travai l obligatoire I>ar
les agents aUXIliaIres d'e l'Etat ultéri eurement intégrés !cia ns les
cadr es, ou le temps pendant lequel ceux-ci ont été réfra ctaires
au S.T.O., pouvaient ,;tre validés 'Po ur la re~raite au titre de
l'article 8"f-3" de la loi du 20 septembr e 1948, avait déciM que
des d ispositions identiques seraient notifiées aux collectivités
affiliées à la Caisse Nationale.
Cette notifi catio n a fa it I"()!)jet du titre V, chapitre l, seclion
IV (pages 43 et 44) de mon Instruction du 10 décem b,e 1949.
0" la loi n" 50- 1027 du 22 ao ût 1950 établissant le statut
du réfractai re et la loi n" 5 1-538 du 14 mai 195 1 relative au
stat~t .des. perso nnes co ntraintes au travail en pay~ en nemi, en
territoire et l anger occu pé par l' enn emi ou en territoire français
annexÉ' par l'a nnemi, mo d.~fien t profo O'd'ément la situation de
cert ains des agt:nts visés dans la partie susvisée de mon lnstruc·
tion du 10 décembr e I ÇM9.
D·une part, les 1>ériodes de S.T .O. oU d'insoumission sont
considérees, non pas comme IÔ'es services civils vali •..'ables mais
~omme .des, services militaires actifs en temps de paix, que les
lOteresses aient eu ou non la qualité d'aO'ents locaux avant leur
départ au S.T.O. ou dans la clandestinité.
Mais d'autre part à l'in\'erse de mon Instru cti on du 10
âécembre 1949 qui, ne donnant pas une r::i~ fin i ti o n c récise diCS
notions Ge S.T.O. et sm tout de réf racta ri at, pou v~i t recevo ir
une large champ d'appHcatio n, les lois susvisées des 22 ao ût
1950 et 14 mai 195 1 ont délim ité avec précision les notions en
cause, de sorte qu'il n'y a pas forcement coïnci dle nce entre les
périodes validab les au titre de la circ ulaire sl1svisée et celles
dont la prise en compte es t prévue par les récents statuts,
( 1) Lorsqu e la Ca isse rérrionale de Sécurité Soci ale inté·
'
~
ress ée n aura pas porté à votre co nnaissance la répartition de
la part patronale entre votr e coll ectiv ité et les autres collectivités
locales, et que vous la saisirez d'une .dlemande à cet effet, VO li S
aUiez à annexer une copie de sa répo nse au x décomptes recti~
ficati'~s que vous m'adresserez,
Le Secrétai re d'Etat au Budrret ayant) dans une circulaire
" 66-2 B/6 du 8 oc tobre . 1952
a repri s la question dla,s
son
d'
1
n
ensemble, VOl~~ trouverez III I(~uées ci-après les nouvelles dispositions ~??hC~bles e ~ la ma!l è ~e a u ~ agents des coll ectivités
locales aHlhees a la Ca isse Na~lona l ~, 'Q'lspositions qui s' inspi rent
de celles .contenu es dal}s la Circ ulaire ministéri elle susvisée,
1" Définition des services
cont ri butions versées avant leur intervention J'o nt été réguli è '
rement et ne doivent faire l'objet d'aucun reve rsement, En
revanche, il n'y a pas lieu de poursuivr e le rever ement die celles
qui n'ont 'Pas été versées et, bien entendu, aucu ne retenue ne
sera exigée des agents titularisés poste-rieurement
la date
d'effet de ces deux lois.
a
T ITRE VIII!
Les services de :'é fracta r iat consi éléres comme serv'ce
militai res sont définis par le décrd n" 52- 100 1 du 17 août
et cell' du S.T.O. par le décr et Il '' 52 1000 portant la mêm;
1195~
deite.
En ce qui les concerne, mOIl Instru ction du 10 décembre
1 9~9 (Titre V, chapitre l, Section IV) a cessé ct'. recevoir appli.
cation,
En rev anche, ses dispositions co ntinuent à joue r à l'égard
des services accomplis:
_ d'u ne. part, par ,dIes age nts à qui la loi refuse la qualité
cie réfra ctaire, notamment pa rc e qu'i ls ont réussi à se faire
embaucher par des entreprises protégées par l'ennemi (art. 4
de la loi du 22 aoüt 1950) ou n'o nt pas eu une attitu de absolument. i.rréprochable penda n,t I"occupation (art. 18 de la loi),
â condltlon .hl en entend u qu Ils aient appartenu à l'A dministrati,on au "mo,ment où il se s~nt sO l1 s~,raits à la réquiSitio n et qu' ils
ment relO tegré leu!' emplOI 10i squ ils en ont retrouvé la possibilité ;
- d'autre part, pru;' des personnes qui ne peuvent bénéficier
de la loi du J4 m~i 195 1, du fai t, par exemple, qu 'elleSi ont
effectu é- leur trav ail obl igatoire da ns la 'M'é trop ole,
2° Prise en compte des services.
Pour les agents dont la titularisation n'est ,ças encore
inter \'enue, la l)i ise en compte <l'es services de S.T.O. ou de
réfractariat ne presentera aucune difficulté, les périodes dont il
devra être fait état deva nt figu r er Sur les cartes dont les intéresses seront titulaires en application des deux décrets dlu 17
aoùt 1952 et dont une copie certifiée con 'o rme sera jointe aux
dossiers de pension tran smis par la collect ivité à la Caisse
Nationale au moment de l'a-: missiol1 à la retraite G'es intéressés,
Ces périojles seront cOllsidén! es comme services militaires
et p;ises automatiq uement en compte dans l al~ ension -d es intéressés. Toutefois, les reten ues ct conÎ'j!b l1tion~ seront exi cré es
lo~sqll 'i1 s'agira d'a uxiliaires qui, en aF~ l icatio n des mes71res
pTl~es, par le Gou vernement de l'(poque, ont co ntinué à appart~nl r a leur Administration, d~s lo':,s qu'i ls comptaient au moins
SIX mois -d 'ancienneté et ont perçu leur salaire normal.
En revan che, les autres périodes non cO ll vertes Gar les lois
sus\'isées, mais par mon Instruction Ki\1 10 déce 11l b~e 1949 ne
s,eront validab les que comme des servit:es civils suivant les
n:gles de droit commun.
3" Régularisation,
En ce qui Concerne la ré gularisat ion des o;'érations <le
validatio n déjà effectuées et concernant les périodes pou r lesq,uelles les retenues et co ntributions ne sont pas exi!!ibl es, pluSIC
'
,
""
urs eventuahtés
sont possibles :
d ~) L'agent qui a foit valid~r des périodes de S.T.O. oU
~ refractariat) conform ément aux instru ctions précédentes cn
\'.ltgue~lrl a déjà été ad mis à la retraite, On doit considérer sa
SI uatlOn comme défin itivement ré()'lée et aucune rérrul ari satio n
ne doit inter venir '
l:J
l:J
tieli b) L'agent en c~re en activité a versé totalement ou parement les retenues qui lui ont été demano'és.
de ILes lois 'ot! 2'2 aoÎlt 1950 et du 14 Illai 1951 n'a)'a nt pas
carctère rétroa ctif il y aura lie u d'admettre que les retenues et
Services accomplis dans les formations militaires féminines
de l 'Armée
M on Instru ctio n du 10 dëcemb re 1 49 (Tit r e V, chapilr. l,
ectlon VI, page 44) rappel ait que de tels ser vices aux termes
de l'article 14 de la loi n" 48- 1992 du 3'1 décembre '1 948 étaient
« des services civ ils auxi liaires validables pour la ret raite lCÎ'ans
les con ditions prév ues par les articles 10 d ie la loi du 14 av ril
1924 et 8, l, 3" de la loi du 20 septembre 1948 '.
L'article 27 du décret n° 5 1-11 97 du 15 octobre 195 1 portant
statut dju ,person nel de~ corps militaires féminins dispose que;
« les ser vices accomplis dans les corps militaires ,fémini ns créés
depuis juin 1940 sont des services militaires à tout point de
vue if .
" résul te notamment de ces dispositions que :
1" sans va lidation, ni ver sement de retenues rétroactÎ'ves
les ser vices dont il s'agit sont, ,cic dlroit, pris en compte:
ta nt pour la constitution du droit que pOll'T la liquidation de
la .pensio n ;
. 2" les retenues rétroactives qui ont ëté payées so us l' empire des dispositions abrogées <ie l'arti cle 14 ole la loi 1Ci'!.1 3 1
décembre 1948 sei ont, sur demande des int6ressés, r embo ursées
conform ément aux dispositions die l'article 67 0\1 code des pensions civiles et militair es de retraite,
TITRE IX
Services auxiliaires rémunérés parti e par l 'Etat partie par les
collectivités locafes
.. Vous voudrez bien trouver ci-ap:-ès reproduites les dispoSitIOns contenues ria ns la eir culai re n" 66-2 8 / 6 .a'U Secrétaire
d'Etat ou Budget en date du 8 octobre 1952 concerna nt les
modalités de validation des sen,r ices en ca use,'
« Quelques catégories d auxiliai l es ont été rémunérées sur
« des crédits rattach és pour une part, au bud get dte l'Etat et~
« pour une autre, à celui des collectivités locales.
a:: Lorsque les parts sont d'u n montant inégal, la validatio n
« éventuelle doit incomber à la collectivite qui supportait la
« charge la piuS él evée.
« En r eva nche) et c'est le cas le plus fréque nt, lorsqu'elles
« sont identiques, le critère il reteni r e t cel ui du statut d'ativité,
4: Si donc, c'etait le Gouvernement ou son rep iésentant
« local qui arait quallte pour nommer ou licencier les aO'ents
c do nt il s'agit, c'est au titre d'e la loi du 20 septembre °19-lS
4: que la validatio n devia être effectuée,
c Si) au co ntraire, l'inté ,esse était titulaire d' un statut de
« fon ctionnaire local, c'est la Caisse Natio nale de Retraites des
«: Agents des Collectivités locales qui supportera la chartre de
« la va lidation ».
~
TITRE X
Montant de la contribution 'Complémentaire à verser .à la
Caisse Nationale pendant l'année 1953
Par a~lpltcatioll de l'article 2 et des deux premiers alinéas
de I"arti cle 3 du décret n" -I7-1S-l6 du 19 septemhre 19-17 les
collecti\'itês affiliêes versent mensuellement à la Caisse N~tio-
91
�nale les retenues de 6 ~ ( ex~cees sur les trai tements de leurs
agents et une contribution égale au double dit montant de ces
retenues.
Elles peu\-ent en outre, en cas d'insuffisance des ressources
de Ilnstituhon, etre appelées à \'erser une co ntribution complément.ire fixée dans les conditions prevues à l'artide 3 du
décret précité.
Comme pour l'année précMente, le montant de la contribution complementaire à verser pendant l'année 1935 a été fixé
à. 6 Cé du montant des traitements par un arrèté concerté du
30 jam·ier 1953 pltblié au journal Officiel dlt 12 février 1953
("age 140 1).
Pratiquement, il convient de conti nuer à verser mensuellement à la Caisse Nationale une contr ibution égale au triple du
montant des retenues exercées sur les traitements des agents
en activité, sans qu'il y ait lieu d'inscrir e séparément, sur l es
bordereaux de \'ersement <lu modèle lI , la contribution norm al e
et la contribution complémentaire.
Je vous ser ais obligé de bien vouloir assurer la diffus'
pa rmi vos agent en ac tivité, des dispositions de l a prés~o ~,
cir culaire qui sont susceptibles de les co ncerner.
n t.'
Il conviendra également, dans toute la mesure possibl
d'in form er les retraités de votre collec ti vi té de celles de ce,
dispositions qui peuvent les intér esser.
es
Le Directeur général
<lie la Caisse des .Dépôts et Co nsignations,
j ean WA1IiEAU
ANNEX E A L A CIRCULA IRE DU 26 FEVRIER 1953
Caisse National e de Retrait es d es A gents des Collectivités
tocaLes.
Collectivité:
DECOMPTE RECT IFICA TIF
T ITRE X I
Répartition, au sein de la 10" Division, des opérations relatives
à la gestion de la Caisse Nationale
Les tâches que comporte la gestion de la Caisse Nationale
sont réparties entre les 3me, 4me, 5me et 6me B ureaux de la
l Ome Division conformé-ment aux indi ations ci -après.
3... 1 Bureau. - Affiliation des collectirités ;
Affiliation des agents ;
Validation de services ;
Réception des décomptes individuels de versements ( modèles C et 0) ;
Rachat des rentes constituées à la Caisse Nationale d'Assurance sur la Vie au profit de tributai res de Ja Caisse Nationale
(exécution de la circulaire du 10 juin 1949) ;
Remboursement de retenues.
4 10• Bureau. - Examen des demandes d'avis sur l'admission à
la retraite des êlgents j
Liquidation des pensions) rentes d'invalidité et major ations
pour enfants et examen des réclamations ou recours gracieux
aux quels ces opérations donnent Ii-eu ;
Liquidation et paiement par mandats des pensions d'orpjlelins et des avantages familiaux et examen des réc lamations
ou recoUIS gracieux auxquels ces opérations donnent lieu ;
Règlement des fra is de déplacement des membr es des com missions départementales de réforme.
5 1111 Bureau. - Emission des brevets -d'inscription des pensions,
ren tes d'invalidité et majorations pour enfants :
Péréquation des pensions concédées par les anciennes
caisses particulières de retraites et examen des récla mations ou
recours gracieux auxquels ces opérations donnent lieu ;
nêvision des pensions concédées par la Caisse Nationale
en cas de modification des émoluments de base ou des éléments
déductibles ;
Contrôle des paiements d'arrérages ;
Application des règles de cumul ;
Prorata d'arrérage dûs au déds des pensionnés.
6~
Bureau. - Affaires générales ;
Examen des recours contentieux formés contre la Caisse
Nationale;
Opérations financières de la Caisse Nationale ;
Tenue des comptes de liquidation des caisses particulières
de retraites dissoutes.
Ces indications nous sont <iunnees pour permettre à notre
collectivité, en vue de faciliter la répartition d\i courrier à son
arrivée, d'ad r esser les correspondances et envois qu 'elle destine
la Caisse Nationale sous le timbre du Bureau intéressé.
92
0 2 B3 - T VX 0
aes retenues
rét~oac.tives
AMENAG EMENT DE VILLAGES
CREATION DE BUANDERIES COMMUNALES
Par is, le 9 ma rs 1953.
_ que le maître de l'œlWre ne pe ut I!tre, dans tous les
cas', ql1e l a commune ou un syndicat de commu nes.
Le Minist re de l' AgriCII ltllre,
à MM . les Préfe ts,
- que les pro j ets de l'espèce peuven.t fai r e l 'ol>jet de pr opositio ns de subventions et d'e prêts da ns l'eS conditions habituelles, étant sig na l ~ les di,l1ectives Ilar tic uli èr es adressées au x
In génieLtrS en . C'l1et du Génie Ru ral des dépa rlements ou ont
Né inst it uées d'es zones-témoiln.
La créat ion de bua nderies collectives, pOllivant éga lement
comprendre une sadJ e dre dou'C hes est eniVisagée dans certaines
communes r ur aleg et i'évent ualité d'a id'e fi nancièr e de l' Stat
sous forme de subventiol1 s et de pr èts ayant été posée, j 'ai
J'honneur dre vous faire conOlaÎtne :
Par ce même courrier, j' adresse am pl tation de la pr ésente
ci rcul aire il MM. les Ingénieurs en Chef du Génie Rural.
_ que de tell es ;nstaJJ " t ions rentrent effectivement d<l ns le
cadre d'eS t ra'V.a ux d'aménagement de vi ll ages et, à ce titre,
peuvent bénéficier d'es sulbventions pr évues au tableau F annexé au docr et du 2 1 avril 1939 (taux de 10 à 25 %).
Pour le Miulistre et par délégation,
Le Directeur Général du Génie Rural
et e l' Hydraulique Agricote
A. BL ANC.
et co.ntributions Co rrespondantes
aflérentes à La vatldatlOn d es services accompLis au près de
02 B3 - T VX 0
Entretien des ouvrages
Nom de l'agent ................._...... .
n" ma/ricule
Par is, l e 27 mar s 1953.
RETENUES
( 1)
( 1)
Et at modèle F
Etat modèl e G
T OTAL
A DEDU IRE :
Cotisations vieillesse annulées pa r la Sécu r ité
Sociale.
Versements C.N.R.V.
Versements anticipés
T OTAL A DEDUI RE
Montan t défini tif
rence)
(2)
(3)
CONTRIBUTIQNS Observa tions
( 1)
(1)
(2)
(3)
(di Mé-
Montant des versements
rétroacti fs effectués
A
REMBOURSER PAR
CA ISSE NAT IONALE
(1) Indiquer
TRAVAUX D'EQUIPEMENT RURAL REALISES AVEC LE CONCOURS
FINANCIER DU MINISTERE DE L'AGRICULTURE
LA
le montant, sans aucune d éduction, d es retenues et
contributi,)ns rétroactives tel Qu'il est fi xé sur le décompte primitif.
(2) II doit s'agir des versements effectués :
(a) au cours des périodes validées.
(h) Cn exécution et dans les limites d'un r èglement particulie r
de retraites qui dispensait dans le même temps les intéressés de
l'assujettissemen t au régi me général des Assuran ces Sociales pou r
le risq ue viei llesse.
Il n'y aura d c nc pas lieu de mentionne de versement s C.N.R.V.
lorsqu'au titre de la même période vous aurez à déduire le montant d es cotisations viei ll esse-Assurances Sociales anDutées i en
effet, dan s ce cas, les ve rsements C.N.RV. n'auront pas été opérés
dans les cond"itions susvisées et au ron t donc été d 6d uits india ment
par mon Etablissement lors de l'établissement du décompte prim itif.
(3) Versements de charges rét r oactives effectuées antérieurement à,
la date d'établi sseme nt du décompte primitif de validation.
Le Ministre de l'A griculture,
à MM. tes Préfels,
Une cir culaire de l' un d'e mes prédécesseurs, en date du
8 novembre 1934, touj ours en vilgueu,r (Annales de l a D irection
des Eau x et du Génie Rur " l· - fascic ule 64 op. 1 ~7 j ournal Officiel du 9 no,eml>re 1934) vous a donné d~ instructions précises sur les dispositions à envisager afin que les dépenses indispensabl'es au bon ét at d'entr et ien des oUIVr ages d'équillement
ru ral réalises avec le ()()nCOu(l5 filnancie r du Ministère de l'Agr iculture soient prév u.es chaqu e années au Ibuktget des c<lllectivités
et étab lissemellts pu b ~'cs l O'ca ux qui en son t les béne!icia'res.
Oependant, l'ex péri enoe dlf ces derniè res ·années 'fait apparaître les inconvénients sér ieux de J(imprévoyance -et panfois
"",me de la I,égllgence des alIltmi1és qui ont la charge de la
:.gestion ,d'u n pa tri1Tlo0ine créé en 'partie, souvent importante,
grâce aux sacri,f,Lœ s pécu n~ ai·res de l a Nat io n_
Il résttL~e , par ailLeurs, de .œtte ci rconstance que ,les intéressés se retourn ent à nOU'v eau 'Vers J' E'tat pour réparer ou
reconstruire ,des ouvrages qu ' un .entretien convenable et regulier eut permis de consen rer en bon etat de fonctionnement
durant de lOlrgues an·nées.
.. Je m e pl ais à espér er que vous vo uid1rez bien veiller a\'ec
Vi gilance à ce que l es dispositions visées par .1a circulaire pré-
citée du 8 novembre 1934 soient str ictemen,t obser vees et qu,e
l' inscri ption "es arM;ts d'entretien bien adalltés il ,l'éta t des
ouvrages soient inscr it s chaque all n e au bud get des coHectWités ou établissements .puolics rntér essés, soit sur 'Proposition
des Ilngén ieurs char gés d u co ntrôle, soit, si nécessaire, alprès
consultation cie ces derniers.
D' autre part, j'tai dccidé doe renfoO rcer l'obt.i gation mOIsie de
toute callectivité qui sollicite ItI1e subvention ou un prêt de mon
W!Ja rtement par l' inser tion dans j'acte obligatoi re qui approuYe
le projet définitif d'une cla use spociale par laquelle la Mu nicipalité ou le syndicat « s'engage formellement à inscrire chaque
année à san bud~et annuel les sommes nécessaires au baIL entretien des ollvri1lges pour la réalisation desquels le conCOUrS
finan cier du Minis/ère de t'Agriculture a été sollicité.
Une copi~ aut hentique de la déli bér8ltion ci-dessus, awo uvêe par vos soi ns, ser a obligatoi r ement jointe au dossier
co-nstitué paur l'octroi de la subvention ou du prêt.
lot sera pr is ,ade, dans l a décision attr ibuticve de subvention
ou dans l a notjlfÎ-cation' d~ag ré m e n t dUt p-rojet en vue de l'attri~
bution du prêt d'e l'enrgagement ainsi so uscrit.
Je v.ous ser ais obligé de bien vouloir diffuse r à MM. les
Sous,Pr Ofeb .la présente .circulaire dont j'aid resse directement
copie il ~M.\t les Ingénieurs en Chef du Génie Rural et des
Ponts et Chaussées, chargés du Service Hydraulique.
C. LAURENS.
93
�D2 8 3 - AG 2
SECURITE SOCIALE - SITUATION DES VETERINAIRES COMMUNAUX
J'ai "honneur d'attirer l'attention de Messieurs les j\t\aircs
du Departement sur le t~xte de la circulaire nO 17 SS du fi mars
1953 de _r\t le .\\inistre du Travail ei de la Seru rÎté Socia le,
relati"e à l'objet sus-mentionné.
Ci-dessous
~e
texte dt: la circulaire.
Pour le Préfet des B.-du-Rh.,
Le Secrdaire genhal .
Signe : .~ I axime MIGNON.
L e Ministre du TrDl 'ail et de la Sëcurile Sociale
à .UM . les Présidl!nts des Conseils d'Administr ation
des Caisses Primaires de Sêcurité Sociale, des
Caisses Régionales de Sécurité Sociale, des Caisses
d'Allocations Familiales el des Caisses Négiollafes
d'Assurance Vieillesse des Travailleurs sa/arills.
(5/ c. de MM. les Diredc!urs régionollx de la
Secllrite Sociale).
rai l'honneur de vous prier de vouloir bien trouver cijoi nt cople de l'av;s n' 260-28-1 rendu le 3 fév rie r 1953 par le
Conseil d' Etat au sujet des Vétérrnaires qUI sont charges par
les Municipalités de l'inspection de salub rité des viandes.
En la circonstance, la Haute Assembl ée a estimé que ces
vétérinaires, lorsq u'ils conser vent en même temps l eur clientèle
privée, se limitent il une activité constituant pour eux un p~o
lonO'ement normal àe leur profession li béra le et que, par sune,
ils ~e sont pas compris au nombre de personnes qui so nt ass u- .
jetties aux législations de sécu rité sociale en vert u des dispositions de l'article 2 de l'Ordonnance n° 45-2454 du 19 octobre 1945,
sur l a question par mon dêpartement, sous r~se r vc de l'appré_
ciat ion sou,'er ai ne des tri bu naux,
Le Minêslre du Tra vail et de la Séruril h Sociale.
Signé : BACON.
.
-
Le Co nseil d'Etat (Section Socia:le), CO n ulté par le Min;,_
tre du Travail et de la Secunté SOCiale sur le POi nt de savo'
si les vétérin aires qui, tout en "exerça nt leur profession l ibé raJ~r
sont char gés par les municipal ités de l'inspection de salub rit~
des viand es co nstituant po ur eux une mission accessoire SOut
soum is aux législations de séc urité soc iale.
•
Vu l' O rd o nn a nce d u 19 octobre 1945
Considérant que les vétérinaires, q ui, tout en tonservant
leur clientèle privée, so nt en même temps char gés par les municipalités de l'i nspection de salu bri té des viandes abattues, sc
li mitent ainsi à une ac ti vité qui constitue pou r eux un prolongement normal de l eur profession li bér ale ; que par suite, ils
Ile sont pas compris au nombre de personnes qui sont assujetties aux législ ations de sécurité sociale en ve rtu des dispositions de l'ar ticl e 2 de l'o rdonnan ce du 19 octob re 1945 ;
EST D'AV IS
(I U' il y a lieu de r épond re à la q uesti on posee da ns le sens des
cbse rv,1 tions qui p récèden t.
Signé: A. ANOR·IEUX, Président
L. FLECK, Rapporteur
A. RIDET, Secrétaire
Je p réci se qu'en ce qui me concerne, je fais mienne la
manière de voir du Conseil d'Etat et que la presente ci rculaire
annule tOlites instructions cO:1~ raires données antérieurement
D2 B3 - SC 7
Pour ex trait co nfo rm e,
Le Secrétaire de la Section
A. RIDET.
APPLICATION DU DECRET DU 7 FEVRIER 1941
AUX CONSTRUCTIONS PROVISOIRES
J'ai l' ho nneu r d'attire r l'attention de NIM. les Mai res su,
la circulaire
AV IS -
ministérielle ci-après lo ncernant
les Etablissc-
wents recevant le publ ic install-és dans des constructions pro -
tia ns mi nima imposées par le r èglement sur les co nstru ctions
provisoires en date ùu 30 novembre 1945, vo Ire méme en bois
no n protégé,
,
Cette tolérance deva it prendre fin le 1er juillet p rochai n.
visoires,
Pour le Préfet et pa r dé légation,
Le Secrêtaire général
Signé: Maxime MIGNON.
Le Ministre de l' ln tériellr
à Messieurs les Préfets.
Par circulaire citée en référence je ,·ous arais fait connaitre qu'en ra ison des difficultés épro uvées pa r les exploitants
d'établissements détru its par fai ts je gue rre, l a Commission
Centrale de Sécur ité avai t admis que, pendant une péri ode de
.5 ans, des établissements receva nt du public pourraient, sous.
certaines r eserves, être l'onstruits confo rmement aux co ndi-
C~pe nd a nt, mal gr é l'effm t de r econst r uction entrepris, il m'a
été si gnalé qu'il serait diMici le d'obtenir qu'à ceUe da te tous
les établissements en cause aient été rempl acés I)a r des bâtiments conform es au décr et du 7 févr ier 194 1, relatif à la
« Protection contre J'i ncendie des bâtimen ls ou locaux rece-
va nt du public • .
Dans ces conditio ns, et après avis de la Commission ~en·
traie de Sécll ri té. j'ai décidé de proro ger Jusqu'au 1er jUlllct
1956 la tolé rance préocé<1emment accordée.
Je VOliS serais do nc obl igé de porter cette décision ~ la
connaissance des Maires et des Commissions de sécurite dt!
vot re dépa rtement.
Le Secretaire d'Elal à l'In férieur
André COLIN.
D3 82 - AC 3
LJUREE DES CONGES ANNUELS DES FONCTIONNAIRES ET AGENTS
DES ETABLISSEMENTS HOSPITALIERS PUBLICS POUR L'ANNE 1953
Le Ministre de la Santé Pubhquc
et de l a PopulatIon
Compte tenu de la décision prise par le Co nseil des Ministres, en ce qui conce rn e les fonction naires et age nts de
l' Etat, j'ai Il' honneur de VO liS fai re c-O nnaitre q ue la durée des
co ngés ann uels accordés aux fonctio nn aires et agents des Etablissements hospitali ers publics (Hôpitaux- Hospi ces, Hôpitau>.Psychiatriq ues, Sanato rium , etc, .. ) doit être fi xée ai nsi qu' il
suit, pOlir l' an née 1953 :
Fonctionnaires titrzlaires
Trenle j ours co nsécutifs.
Agellts non filulair e:) : En fonct iollS depuis plus d'un an :
Trente j ou rs consécutifs,
En fo nctions depuis moins d'un an : Un j our ouvrable pJr
mois de présence,
Toutefois, les empl o)'és auxi l iai res âgés de moins de 2 1
ans à la date du 3 1 mai 1953 et comptant moins d'u n an de
service, benéfici~ ron t d'un co nge de 2 j ours par mois de travai l effec tu é ava nt le 1er oc tobre, s'i ls sont âgés de moi ns (k~
18 ans, et d' un jo ur ct demi par mois de t ravail effectué avant
le 1er octobr e s'i ls son t âgés cie plus de 18 ans et cie moi ns dr
21 ans.
Par ai lleurs, ~l es intéressés au ront droit, sur leur demand e,
é1 U maximum de congé acco rd é aux je unes ge ns de leur ca té"
gorie, soit 30 jours consécutifs, étant entend u qu'i ls ne perce··
vront aucun traitement pendant la pé riOde excédant la dllrél
légale.
Sui vant l es besoins du senrice, les co ngés pourront lotre
pri s en une ou p lusieurs fois, Sa uf en ce qui Concerne les
auxiliai res en fonctions depuis moins d'un an, pour lesquels les
j ours ouv rables entrent seuls en compte, la durée de chaque
pé riOde de co ngé sera calc ul ée du premie r au dernier j our,
sa ns déd ucti on des dimancl1es et j ou rs fériés. Cependant, en
cas de fractionnement imposés par les nécessités du service, la
durée du co ngé devra s'étendre sur 26 jours ouvrables.
Comme précédemment. les co ngés nOn pr is ne donneront pas
li eu à i ndemn ité oompensatri ce.
Je vo us demande d'invite r les directeu rs d'établissements ~
r ciller to ut particul ièreme nt il ce que les départs en co ngé dl:!
leur perso nnel s'êc.helonnent sur une pér iode aussi éte ndue que
possi ble afi n d'êviter toute perturbati!)n da ns le foncti o nn f' nl ~at
des différents services Ihospltal ie rs.
1
J' a jo ute que le lun di 13 juillet et le samedi 26 décembre
SE'r::mt chômes dans toute la mesu re où les nécessit és du ser\'ice le permettront.
VO liS voudrez bien porter ces instructions à la co nnaissance des Admi nistr ations hospital ières de vot re ressort Cil
les priant de se co nfomler strictement a ux prescr iptions S llSi nd iquées.
Pour le Ministre et pa r délégation,
Le Chef de Cabinet
G. LEROY.
�COMMUNIQUES - AVIS
- ANNONCES
DIVERSES
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
RÉPUBLIQUE
m
FRANÇAISE
SG
RECRUTEMENT D'INSPECTEURS ELEVES DES DOUANES
-
Un conCOurs pour le recrutement de 30 inspecteurs-élèves
des Douanes aura lieu les 8 et 9 septembre 1953.
_ soit de l'un des diplômes ou titres exigés pour s e présenter au prèmier co nCO urs d' entrée à l'Ecole Nationale d' Administration,
"II'
,"
DEMANDE D'EMPLOI DE GARDE-CHAMPETRE
dépa rteme nt des Bouches-du-Rhône.
NIM. les Maires intéressés par cette candidature so nt prie;
cite un emploi de garde- champêt re dans une commune du
de se mettre di rectement e n rapport avec M. GASTOU.
-..
..-
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
TABLE DES MATIÈRES
dront bien se mettre di rectement en rapport avec M. Andr,
LONGUEVILLE, secrétaire de mairie à FRONCLES (Haut"
Marne).
TEXTES D'INTERET GENERAL
0'-
Règleme nt pa r chèq ues des dépenses des exercices périm és ............ .
jury crimi nel pour l'a nn ée 1953-1 954 .. ... _.. ..... . . . ..... .
98
DONS ET LEGS
A 1a Croix-Rouge Française : soixa nte-quinze mille Frs
j
A l' Académi e des Sciences, Ag riculture, Arts et Belles
Lettres d'Aix-en-Provence, la nue propriété de la partie pouvant lui apparten ir de la collectio n de ta bleau x et d e la bi bliothèque de son époux.
TEXTES D 'INTERET COMMUNAL
Confo rm ément aux dispositions du décret du 1er fév rier
1S96, les héritie rs co nnllS ou incon nus de Mada me ROSSOLIN
T VX 1. -
Jeanne, Ma rie, Marthe, Noémie, épouse RAMPAL, so nt invités
à pre nd re connaissance du testa ment, donn er leur co nsente-
CIA O. -
ment à
SOn
AG 2. -
exéc uti on ou produire leurs moyens d'opposition
da ns un délai de t rois mois il dater du j our d u présent avis.
Co nstructio ns scolaires du 1er degré . ... ... .
Sta tu t gé néra l des age nts co mmuna ux . . ........... ... . .
d'e~' commi~~i~~~ ;)~u'r ' ;~ 'r~~
Vé rI fi cat ion .des listes électorales co nsul ai res. Consti t ution
sort des Tnb una ux de Com me rce de .N1a rsei lle, Aix-en~ro"ence, Salo n, Ar les et T araSCO n ........ ........ ........ . ... . .. .
.... ...... .. .. . ... . .
101
l OI
Ma rseine, le 10 avri l 1953.
COMMUNIQUES
AG 2. FS O. -
FS O. -
AVIS - ANNONCES DIVERSES
Dema ndes d'empl oi ....... _ .... .
103
103
A vis de conco urs ....... .
Dons et legs ....... . . .. .
Pour le Préfe t et pa r Délégation,
.. . . .... ... ....... .
I().I
Médeci n a uto rise à pratique r !c- exa mens réld ioscopiq lles (ce r t'f'
' a ux et préJ Ica ts pr é
nuptI
nataux
.. . .... . . . .. . ... .......
10~
Le Secrétaire General :
Maxime MIGNON.
ABRl!;VIATJONS· - A. l'. : Arrêté pr ...·Ceclo ral. - C. " Circulaire. - Les leltr"s 1) t I=>
.ln d l(juent
'
1e S
'
il
d "ongln
. e.:- 0 . ":
" 'l"' ,: Dlr.ec ti on des Services
. Techniques.
"e)o
CTVlce
OU
urt' au
_
D épa r tementale de la Sali té. - D . D. J . : Direction Dcp<\rteme nta le de la Population.
.
ch lffr e
0: ...• S. d:,unDirection
96
lWl'III!dEltlE N OUVE LLE DE MARSEILLE, 120,
rue Sainte
~
'.
/
ACT -E S AD MIN 1ST RAT IRS-'
---- .
F O.
P O. -
Par testament ologra phe d u 3 1 décem bre 1945 déposé au x
minutes de M' JOLI VOT, notai re à Marseill e, feue Mme ROSSOLIN jea nne, Ma ri e, ~\ a rt h e, Noémie, épouse RAMPAL, a
fait les legs suivants :
'.
~"~'
;
':-(~(~
(.
DES
DEMANDE D'EMPLOI
Seer~taire mairie, âge de 38 ans, 13 a ns de s ervice, sollicite un emploi similaire dans une commune de moins de 2.000
habitants du département des Bouches-du-Rhône.
Messieurs les Maires intéressés par cette candidature vou-
.. --,-
/ .'" _-1
,.
M. jean GASTOU, âgé de 43 ans, ex-ga rdien de la paix
auxili ai re, demeurant â .\\ a rseille, 96, rue Horace-Bertin, solli-
02 B3
30 Ani!, 7 et 14 Mai 1953
~~t=U~' IL
- soit du baccalau réat de l'e nseignement secondaire et de
la première partie du bacca la uréat en droit.
Les insc riptio ns sont reçues jusqu'a u 1er août 1953. Le,
renseignements doivent êt re demandés à l a Direc tion Régionale
des Douanes, 96, Bouleva rd des Dames, à Marseille.
Il est ouvert aux candidatS du sexe masculin titulaires :
D2 B3
....
soit du baccalauréat de l'enseignement secondaire et
d'un certificat de licence,
Numéros 17,18 et 19
~.e
"Ul\
1),
tt ..
.1
�TEXTES D'INTÉRËT
0 2 B2 - f 0
REGLEMENT S PAR CHEQUES DES DEPENSES
DES EXERCICES PERIMES
P a ris, le 3 anil \953.
à M essi ellrs les M i llis/ r es el Secrétaires d 'Et al
L e AliTl istrc des Ftnances
Par Lettre en date du 7 mai 1948, puhli ée au Jou rn al Off iciel des 10 et I l mai 1948, (page 452S et sui\'a ntes), de,
instructions \'ous ont été données notammen t pou r J'appl icatio n du déc ret n V -l8-359 du 2 mars 19-1-8 rela tif a u pa!eme nt
des dépenses de l'Etat pa r chL'<}ues ti res su r les co m }Jtab l e~
assÎo-nataires. Ces inst r uctions prê\'oient en pa rticulie r 'Ille re::;
chèque sont payables à \'ue pa r ce r lains co mptables publics
émt Tes que ~e comptable assig natai re, s'ils so nt présentés ,'1
leurs guichets tia ns un dél ai de six moi<) à part i r de leu r d ate
d'émission. Il \ 'O US a êt~ signalé Que les mêmes dispositio ns
SO:1t applicables au règlemen t des dépenses de l'Etat en A lgé·
rie et en T unisie (cf. les leltres n" 7247 F du 7 novemb re 1949
et 6396 F du 28 septemb re L95O).
Or, par applicatio n des disposi tio ns de l'a r tiole 139 dll
decret du 3 1 mai 1862, les chèq ues émis en règJement des dé·
penses de::; exercices périmés - que ces dépenses soient imp utées sur les chapitres budgëtair~s intitulés
D épenses des
t:".'Ce rcices périmés non f rappés de dechea nce ~ ou sur l es chapit res du budget de l'exercice en co urs confo rmément au:-.
prescriptions de l'ar ticle 24 de la loi n· 52-1 268 du 29 novemhre 1952 - r.e sont payables que jusqu'à la clôture de l'exer
cice au titre duquel ces depenses sont ordonnancées, e'est·à- dir·
jusqu'au 2~ fé"rier de l a deuxième année de cet exercice.
DI B I - P 0
Cea e règ le r isque de ne pas êt re str idement obser vée si
des chèqu es so nt é:nis en r èglement de d épenses ùes exercices
périmés ap rès le 3 1 ao üt ; It:!s c.hèqu l:!s peu" ent, en efftl, ètre
p3\'és pa r des compta bl es publics aut res qu e l e lOmptable
élssi;.!llil taire posté ri eurement au 28 fév r ier.
En consl·qucnce, j'ai l'ho nneur d e \' OUS fai re con naître que
ies dep'.:! l1 ses des exe rciez::; périm és ne d e\ ront plu s fai re l'ob.
lei J' un règ-kment par ch èq u~ apr ès Ic 3 1 aoti t. Ces dtpenscs
sc,!) nt rég:l p~.3 soi t par \' irement li e compte, soi t au rnoyt! 1l d'un
ur I re lh- paiemer. t du modèle n \> 5 f ig ur.1l1t en annexe à la le\..
tre ùu 7 mai 1948.
Les ordles de paiement émis d ans ces co ndi tions ne seroul
l)lc n entend u payables que jusq u'à l a clôt ure de l'exercice.
Au 1er janvier de J'année suiva nt ce ll e d e la clôture de
l'exercice, les co mp tab les assig natai res éÎ~b li r ont par ordan.
l1ateur, 11 11 re le\'é, d' une par t, des chèq ues et, d'autre part , cic;;
old res de paiement, émis en règ lem ent des dépenses d'exercice.,
périm és, qui n'a uro nt pas été présentés au paieme nt à la date
de clôtu re de cet exercice. Ce relevé sera so um is au visa de
l'o rd onnate ur co mpétent. Le montant to tal de chaque releve
sera ensuite versé par l es comptab les interessés au bud g~t
génér al il la Ii!!ne d e recettes « Recettes AcdLiente ll es à di[ft~ r ents titres )o .
Jl' "uus serais obligé de bien vou loir adresse r des in$t r uct io ns en Ct: sens à vos ser;vices.
Po ur l e Nti nistre et par Délégation,
Le Directeur de ta Comptabilité Pubtique
G.
D EVAUX .
JURY CRIMINEL POUR L'ANNEE 1953 -1954
Vous trouverez, ci-après, le texte de l' arr êté que j'ai p r i~
lt 27 mars 1953 pour operer la répa rtitio n ent re l es d ivers
ca ntons du département des de ux cent qua rante j ur és que doit
comp rend re la liste générale du Jur y Crimi nel pou r les a n n ée~
1953 et 1934.
Les Commissions char gees de d resse r les l istes prépa ra
toires par canton, listes q ui denont conte ni r un nombr e d e
noms do ubh! de celui qui est fixé pa r mo n ar lêté, se ror:t
com'oq uees pa r MA\. l es Juges de Paix dans la première q uinzaine d'aoüt. Je \'oUS prie de bien vouloi r prépa rer , dês à pr é·
sent, les él~ments nécessai res â. la bon ne confection de ce tra\'ail.
La commune dt! Po r t -Saint-Louis-<.lu-I~ h ône et ce ll e de..:
Saintes-Ma ries-de-Ia-.M er qui fo r ment un ca nton et les co mm Llfies d'Aix, d'A rles et de I\ \arseille qui sont divisées en plusiell r~'
can tons, ont â. procéde r à la désignation des Consei ll ers Mu·
nicipaux qui doivent faire parlie de chacu ne d e Co mm issio n ~
Ca ntonales, confo rmément à l 'a rticle 8 de la loi du 2 1 no1 embre 1S72.
M.t\1. les Juges de Paix recevront, en même te mps, 12
liste des ju r és qui oni été désignés pa r le sort pour siéger aux
iLo;sÎses p~nda n t l'a nnée co urante et l'année pr écéde nte. ai nsi
t.l ue les imprimés nécessaires pour la fo rmation de'" listes pr eparatoi res.
9R
-,
GÉNÉRAL
Ces magistrats auro nt à se repo rt er aux l is!es tla nsmises.
l' année dern ière, en ce qui con cern e les noms d es ju rés désignés.
pour siége r aux Assises des premier . deux ième et troisième tri·
mes t res de l'an née- 1952.
AR IŒTE
Le Préfet des BOl/cll es-JI/-Rllône
Offi cier de l a Légion
(r I-I ollrli!fl r,
Vu la loi du 2 t novem bre 1872 ;
V lI les ordo nnance s du 17 novem bre 194-l et 20 avril I g~5:
(' t notamm ent les ar t. 385 et 389 ainsi co nçus:
ART. 385. - La liste annuell e du Ju ry comprend pour ·c
départeme nt de la Sel ne 1.200 jurés ; pour les alltres départements lin jur': pa r 1.300 habi tan ts, sans toutef ois que le nombre des ju rés puisse être infér ieur â. 160 o u sllpériel:r il 240.
La liste ne peut co mprend r e! q ue Lies citoye ns aya nt leur
domicile da ns le d épa r teme nt.
Le nombn.! Li es j urés pour la li st e annu ell e est ré parti par
étrrond issement et pa r canto n, rp ropo r tionneltement au ~abl ea u.
off iciel de la populati o n, un juré a u' moi ns devant être pri S dans
chaqu e ca nto n.
f
Celtte répartitio n est faite pa r :\ rrHé du Préfet pris Stl.
l 'avis confo r me de la Commission Départemcnlale au n~o.)
d'avr il LIe chaq ue année et, pour le départem ent de la SelnlJ,
sur ' avi s co nfor me du burea u dll L unsei l Génér al, au Illois d~
j ll illet.
A Paris, la r ép:\ rlit iO Il est fa ite entre les ar rond issements
e t les quar tie rs .
~RT, ~89: - Un e .Iiste .speciale des ju rés suppléants pri s
parm i les Jures de 13 \' lll e ou se tiennent les Assist.s est aussi
formée chaq ue année en dehors de la liste ann ut::lle l i u j ur y.
Ell e. com p rend deux cents pour Pari s, (jl larante pour co:;
autres departements.
Cette l iste es t d r essée par la Comm issi on de l'a r rondissement où se t iennent tes Assises.
A Pari s, chaqu e Comm ission d' ar ro ndissement arr ête un e
liste de dix j urés suppl éants.
VII le déc ret Cn date d u 25 décembre 1936 qllÏ decla!:.!
aut hentique, il parti r du 1er j anvier 1937, les résu l tats d u déJlombrc ment de la popu lation du 8 mars 1936 ;
Considérant q u'e n raison du chiffre offi ciel d e la pop ulation
du dépar tement des Bo uches-elu- Rhône qui est de J.222.H02 habitants, l a liste annuell e d u jury doit compre ndre 20.10 ju res
ARRETE:
ARTICLE PREMIER. L es 240 jurés q ui doivent co mpose"
l a liste d u dépar tement ùes Bouches-d u-R hône pOli r l'a nnée
1953 seront re.pa r tis ent re les arrond issements et les cantQIl:i
,i l! dépa r teme nt de l a faço n suiva nte:
I re Répa r ti tioll par arro ndissemef/ t
Habitants
..Aix ...... .... , .
A rl es ..
" Larseil,le .....
Jurl:.i
155.6\'6
97.705
971.40 1
36
22
182
1.224.R!J2
240
24.557
20.f.58
11.11 5
1q.289
12.390
26.8 11
6.274
4.0 15
6
5
2me Répart i tion par can t ofl
ARRON D I SSEl\~EiN T
Aix - No rd ..... .
Aix-Su<l ...... . .. ", . .. .. .
Ber re ...
Gard anne ...... . .. .. .
Istres
,M ar ti g ues
La mbesc ..
P ey rOll es
D 'A'lX
.. .... ..
,
.......
Salon
T rets
24 537
6.750
ri
155.696
3~
1
ARR ON D ISSEiMEJN T D 'A-R LES
Arl es-E st ...
18.824
A rles - Oues t
14. 78 1
Château renar d .. , .. , ...... . .. .
19.663
Eyg uières .. " ...
7. 199
Orgo n
1 1.064
Por t-St-Lo uis-d u- Rh ônc ....... .
4.448
Stes-N\a ri es- de-la . . . \rter ...
1.564
Sa in t- Hél1l y
9.860
T arasco n ...
10.302
2
2
97.705
22
A I~ R OND lSSE,\lE
A ubagne
L a Cio tat ...... ' ..
J\l arsei ll e 1er Ca nton
:,.
2" Canton ." ....
»
3" et 4" Canrons
"
5" Canton ... " ..
•
6" et 7· Ca ntons
,
8" et 9" Cantons ...
:»
10" et Il \> C311to ns
»
12" Ca nton .. .
Hoq uevai re ...... " ' .. .
5
3
5
1
2
T DE N\iA.RSlE ILLE
18.C41
il"U57
56.019
Y3.099
86.819
140. 184
225.374
114.542
15 1.459
55.087
12.520
5
10
17
Iti
25
44
2t
27
10
2
97 1.40 1
182
':
ARr. 2. - Le prése;'J t ar r~té se ra inscré au Bulletin Admillist rahf oes Ma ire.; et il en se ra désor mais adr.e.ssl> un exempl.ai re â J\1.i.l\ \. l es Sous-Prûrets, Ma: res et Juges de Paix, 'J u
ctepartement" charges ell ce qui les conce r ne d en assurer
1 execntion.
'
:t
1
5
2
Une ampliation de cet arr~té ~e r a également ad r essée
lefi prësi d~nts des T ribunau'x Civils
Presidents des
~ommissio ns ~h (ugées d'ctabli r la liste d~ jures pa r arrO,lIIssement et a v\ '\'. le FYremier Présiden t de la Cour d'Appel
d'Aix.
7
!\I arseil'e, le 27 Illa rs 1953.
NW\t
U Préfet
Ren o PA I I~A .
TE XTES D' INTÉRËT COMMUNAL
0 2 B3 - T VX 1
CONSTRUCTIONS SCOLAIRES DU 1" DEGRE
Loi d'Investissement et d'Equipement du 7 Février 1953
Par inser tio n da ns le Hecuci l Lies Actes A dmin istratifs n" n
du 5 Mars 1953 / j'ai cu l'honneu r d'appeler \'ot re attention sur
l es 'Pr escrip ti ons de l'a r ticle 18de la loi n" 53-80 du 7 Fe vrit' r
1953 relatives all x dépenses maxima deva nt servir l;j ~ has~
pour le ca lcu l a"es subventions qu'accorde l'Etat a titrt! <h.' partic ipa tio n fin anciè re da ns les co nstru ction scolair es du 1t:.'r degrt.
Mi. le Mi nistre de l'Education Nationale, p~r l'irclllai r~
"a-~ressée aux Préfets en di:lte du 27 .\\-a.s 1953, et do nt VOliS
trouverez ci- desso us la te neur, a IKêcisé la porté~ u"lIdil Ic~h:
et ra pp elé ce rtaines disposi tion s antérieu res.
Pou- le Préfet,
Le Secrétaire Gêné;al,
Mamime M IGNON.
APPLi CATION DE L'AHT ICLE 18 DE LA LOI DE
FINANCES DU 7 FEV I ~lER 1953
ART. 18. - Les subventions éllloll~es aux collectivités locaIt::s et les rélllunërations dl's Architectes pOlir la l'onstructiOI1
ci e bâti ments scolaires seront çalculées sur 1111 monta nt maximum de ~ravaux de .:.1 mi ll iuns de f,'anl's par classe et de 3 millions de francs pa r logement.
. Des dérogations pourront ètre apportées par d'écret pris su r
aVIs co nfoime de la Commission des Fina n ct!~ de l'Assemhlée
f\'ationale et avis Le la Commission lits FinanC'es du Conseil de
la flépublique.
Les dispositions ci-~ess lls s'appliqul'ront aux pr oje ts nOn
encore ag r é~s.
�En posant comme principe àans l'article 18 de la loi que
la classe doit coûter moins de -1 millions et le logement de
maître moins de 3, le Parlement a manifesté sa "olonté de
construire les écoles dans des conditions d'économie qui n'excluent é\'idemment pas la qualité des locaux.
Un décret précisera les conditions d'application de cette
loi. Alais, sans attendre sa parution, \' OUS trouverez ci-dessous
les instructions utiles pour l'application de cette disposition
législative. ,"ous voudrez bien les communiquer aux Maires, aux
Architectes d'opération, aux différents Conseillers techniq ues
et aux personnes qui \'ous entourent et ont à con naître des
constructions scolaires.
Il com-ient de préciser que ce texte s'applique seulement
aux projets non agréés, c'est-à-dire qui n'ont pas fait l'objet
d'un arrêté de subvention.
Dans la détermination des dépenses maxima à subventionner,
en raison de la nature d'une construction scolaire du 1er degré,
vous \·oudrez bien en principe assurer le respect des prix fixés
dans la p ïesente circulaire :
a) pour le coût d''L:ne classe élémentaire et ses annexes,
c'est-à-dire la classe ordinaire définie CI-après :
b) pour le co ût d'une classe maternelle ou enfantine avec
ses annexes <tefi nie également ci-après,
Si les l\tunicipalités désirent construire dans des conditions
plus onéreuses, elles seront libres de le faire à leur charge et
dans le cadre des lois de tutelle administrative e~ avec cette
résef\'e que le Gouvernement entend voir s'i nstaurer un régime
d'économie dans les Finances des collectivités locales comm e
dans les nnances pubüques, Il appartiendra donc aux IM unicipalités d'assurer seules sur leurs reSSources budgétaires la dépense
supplementaire.
Des dérogations 'Particulières pourront intervenir en faveur
de certaines écoles et groupes scolaires si, pour des raisons
pédagogiques ou sociales (cantines) ou pour èes travaux soumis
à des sujétions exceptionnelles, ces dérogations se revèlent
nécessaires.
A. -
PRIX _'MXlII-It;.\\ D'UNE CLASSE ELE,\IE :rA IRE
ET DE SES A:-INEXES
- une part de branchement de gaz de 10 mètres da 1
écoles urbaines ;
ns es
enfi n, l es travaux de br ancheme nt 'co r respondant et
installation de compteu rs des Compagnies co ncessionnaires
d'eau, gaz, électncité et parfois incendie.
L e co ût m aximum de la classe ainsi d~fi n ie et de ses
annexes ne devra pas dépasser à Paris :
- la somme de 2 mi llions pour l'element principal class
et cou loir-vestiaire,
'
e
et une somme v~,ri a~ t ~e 2 , à 1)2 millio ns pour l'ensemble
des annexes selon qu il s agir a d un groupe scolaire Comprena t
de une à dix classes,
n
Dans les départements, le montant <1\0 la dépense ainsi fixée
subira des variations co nformes aux coefficients d'adaptation
dépar tementaux publies par le Mjinistère de la Reco nstructio~
dont vous trouverez ci-j oint une tab le pour le mois de janvier
1953. (Bouches-du;Rhône 18,40 - PARIS 2 1,30).
B. -
du 1er degré pour garçons ou filles qui entrent normalemenr
dans le prix de revient d~ une classe élémentaire seront co nfo'rmes à l'énumération suivante :
a) l'o;Iément principal :
La classe de 56 m2 le co uloi r et le vestiaire correspondants
20 m2 complètement construits et avec des fondations normales.
b) Eléments annexes obligatoires :
Ces éléments sont assez nombreux et leur retentissement
Sur le prix de revient d'une classe élémentaire est variable avec
le nombre de classes du groupe scolaire construit,
Entrent ainsi en jeu :
- la part .du préau ouvert .a raison de 20 012 par classe
en sus des 40 m2 fixes ;
la part a'équipement sanitaire (lavabos et w.-c.) Conforme en nombre aux jnstructions ministérielles ;
- la part de cellier ou de chaufferie selon l'importance de
l'établissement et la nature du chauffage,
et divers éJéments dont on ne peut fixer une va leur forfaitai re
sans serr er d'aussi près les dimensions Oll l'importance j
- une part d'aménagement <le terrain hors Cour ;;
- une part de chauffage par poêles GU chauffage central
- une part de fosses septiques ou dhimiques avec une part
de branchement â l'égout fixé â 10 m~tres ;
- une part de Ibranchement d'eau de 10 mèt res;
1
Aussi conviendra-t-il que l'existence de ces éléments fasse
l'objet d'une propOSition spéciale de l'Inspecteur d'Académie
pour être approuvée par vos soins, et la dépense cor.respon ·
da nte être détai llée par l' Architecte sous une rubrique spéciale
du .<.fevis esti matif et descr iptif, IDans l'arrêté de subvention,
mention sera faite cie ces éléments et de la dépense admise en
subventio n,
Je vo us ,rappelle ..:1 cette occasion que le taux de subvention
des ca nftnes-réfectoires uniformément fixé à 50 % est différent
de celu i des locaux d'estinés à l'enseignemen t.
Une co nstru ctio n peut, pour des raisons diverses et à tit re
exceptionnel, entraîner certaines sujétions
PRIX ·MAX IMU,'<!! D 'UNE CLASSE M;Al1ERNELLE
OU ENFANTINE ET DElS ANNEXES
;y
- une salle de propr eté)
- une salle de jeu qui ,r emplace dans une certaine mesure
l e préau,
- un e salle de repos po ur l es maternelles seulement.
L e pr i xde r evien t de la classe maÏ'ern elle ou enfantine ainsi
défini e devient plus élevé.
Il ne devra pas dépasser 2 mill ions pour l'élément ,principal-c lasse et cou loi r-vestia ire, mais il pourra atteindre pour
les éléments annexes une somme de 5,5 millio ns pour une éco!ematernelle à 1 cl asse, 4 mill ions par classe pour une écol!!
maternelle â 2 classes, etc,.. Si l'u n ou l'autre des élémenTh
annexes n'est pas construit, la salle de r epos par exempl ~
pour les enfants d'âge supérieur à 5 ans, la dépense serl
réduite de 20 il 30 %.
DEPENSES DEVtJ\NT FAIRE L'OBJET ID'UN ARRETE
DE DEROGA,TION SPECIAL
Indépendamment <ies éléments qui constituent la classe
é!émentaire et la classe matern elle qui viennent -drêtre définis,
la construction d"un groupe scolair e peut enrraÎner la création
de salles compJémentaires d'enseignement ou entraîner quelques
tr avaux par t~c uJjers dans des conditions qui devront l'un et
l'autre taire l'Objet désor mais d' un arrêté de d~ ro gation particulier .
a) E léments complémentaires à caractère pédagogique 011
social.
Ce3 élements co mplémentaires devront faire l'objet d'un
examen attentif et sevère des autorités et en particulier de M
l'Inspecteur d'Academie pour juger la nécessité de leur introduction dans la construction envisagée,
fis peuven,t être les suivants :
- vestibule,
- bureau de Directeur et au bespin salle d'attente dans les
group~ très importants,
- salle destinée aux trava ux m anuels,
- salle destinée à l' enseignement ménager,
L e cas échéant, une salle commune peut servi r à la fois
pour les trava ux manuels et l'enseignement ménager ,
- la salle <le ca nt ine,
- le "'fectoi re et la cu isine dlans les éco les et groupes
im portants.
11 est difficile à prior i de détermlOer la surface de chJ Cl:n
d'eux pr oportionnellement au nom br e de classes du gr~uP;
scolaire et cependant ces divers éléments peuvent aboutir a
-
la construction {ie puits puisards,
des par ticularités de mitoyen net!:!,
Il n'est pas excl u de subventionner les dépenses correspondantes mais leur évaluation devra faire l'objet d'une rubrique
spéciale du devis préparé par l'Architecte d'operation et l'am!te
de dérogation qui sera pris pour subventionner ces dépenses
devra etre précédé d'un contrôle préalable très strict.
IDans les cas où les dépenses de cette natijre dépassent
15 % du coût de la construction nor male pou r laquelle aucune
dérogation n'est adm ise, vous voudrez hi en m'en référer avant
de prendre l'arrête de dérogatio n.
D. -
b) Sujétions part icu lièr es à la co nstruction :
La construction d'une classe maternelle ou enfantine eXÎO'e
les élèments d~jà définis pour la classe élémentaire; mais il
ajoute quelques locaux complémentaires :
C. -
Les divers éléments obligatoires d'une construction scolaire
majorer ·d' une façon considérable le prix de revient d'une classe
.
utile.
-
une cl ôture spéciale,
-
des
des
des
des
terrassements exceptionnels)
fondations spéciales,
murs de soutènement,
rep r ises en sous-œuvre,
D2 B3 _ AG 2
LOGEMJ6NTS
La Iloi prévoit un maximum de 3 millions pour la construction du logement de maître, La superficie d'un logement et son
aménagement intérieu r condîtionnent le pri x de revient d'une
telle construction, Depuis le logement de Directeur jusqu'à celui
de maître suppléant dont la surface est réduite en génêral à
une chambre et à un cabinet de toilette, les prix maximum à
faire respecter sont va ria bles, mais en aucun cas, la dépense
à subventionner pour le logement le plus grand ne devra
dépasser 3 millions.
STATUT GENERAL DES AGENTS COMMUNAUX
Constitution du Comité du Syndicat
Le Prélet des Bouches-<lu-Rhône,
à M;MI. les Mair es du Dépar tement.
Le Syndicat des Communes prévu par l'article 13 de la loi
du 28 Avri l 1952 a été co nstitue dans le departement d'es Bouches-dll-Rhône par mon arrêté du 16 Janvier 1953 modifiê par
celui du 10 Mars 1953.
En vue de la 1re 1"éunion du Comité du Syndicat je vo us
rappelle que la représentation des communes doit s'effectuer de
la façon suivante :
10
Communes co mptant au plus 5 emplois
Bli es seront re pr ésentées par le M aire. La constitution du
syndicat étant obligatoire, il n'est pas util ~ que les Co nseils
M unicipaux ~)rennent une délibérati on pOU T désigner leur repré~enta nt.
2"
Communes comptant plus de 5 emplois
Ces com munes seront rep résentées par le N\aire et par un
D4 B2 - CI A 0
deuxiè me représentant cho isi par Je Conseil Municipal suivant
une délibération adressée il l'auto ri té de tutelle.
3
0
Groupement de Communl?lS
Les co mmunes comptant moins de 5 emplois peuve nt S6
groùper entre elles pour se .taire représenter par un délégué
unique, sous réserve que ce grou pement ne rep résente pas plus
du quart des communes affiliées. Cette mesure représente
l'avantage de réduire les dépenses occasion nées par le déplacement des d'élégues. Ce délégué unique disposera d'autant de
voix qu'il rep résente de communes.
M IM. les Maires sont invites en co nsequence à prendre
dès maintenant toutes dispositions utiles en vue d'une proc ha in~
réunion du Comité,
Pour le Préfet,
Le Sec rétaire Gén~ral .
,Mamime MIGNON.
VERIFICATION DES LISTES ELECTORALES CONSULAIRES
Constitution de Commissions pour le ressort des Tribunaux de Commerce
de Marseille, Aix -en- Provence, Salon, Arles et Tarascon
ARRETE
Le Pn!fet des BO/lches-d/l-Rhône.
Officier de la L égion d'Hoflfleur,
Vu la toi du 19 févri er 1908 relative à t'ellietior. des Chambres de Commerce,
Vu l a loi du 14 janvier 1933 r elativt à l'élC'ct ion des
membres des Tribun aux de Commerce,
Vu la loi N ' 50.982 du l7 aoOt 1950 modifi,nt la loi dl!
14 ja nvier 1933 et notamment ses articles 1 et 2,
Vu la proposition de 1\1. le Président du Tribun al d ~
Comme rce de Marseille,
Vu les propositions de J\\. le Présiùent de la Chambre de
Commerce de Marseille,
Sur la proposition de M , le Secrétai re Général,
ARIŒTE:
ARTI CLE PRE,\UER. La Commission cha r ~~e de \'eri fier
l'exactitude ùes listes ël~(.1oTé!les consu laires dressées pour
l'annéè 1953 pa r les maires des communes du ressort du Tribunal de Commerce de Marseille est co nstituée ainsi qu'il suit:
A\. VEYHIEH , Ju ~e au Tri hu nal de Commerce chargé dei la
surveilla nce des Ht:glstres du Commer-ce, Prtsident i
101
�111. BO ISSON. Att aché Je Prefectu re, Chel J e Burea u, I~ eprésentant 111. le Pr éfet ;
Al I\lA RIOTTI An toi ne, Vi<."t:,- President de la Chambre de
Com me rce de Ma rs e ille :
101. ROU X Edmond . ,\l embre Je la Chambre de Commerce de
J\\ a rseill e.
Vu la propositi on de M . le Présid ent
Commerce de Salon-de-Provence,
Vu la propositi on de M . le Pr e ide nt de la Chambre de
Commerce de M arseill e,
Vu la propositi on de M. le Sous-P réfet d' Ai x-en l'
- rovenre
Su r la propo si tio n de M. le Secr etai re Gënéral,
'
ART. 2. - M. le Socre:tai re Gêne ra i ùe la Prefecture est
cha rgé de J'exécut io n du prese nt a rrètê qui se ra pu bli e au
Bull et in des J\ \ai r ies et l{ecueil des actes administ rat ifs.
ARr. 2. M . le Secrétaire Général de la Prefec ture est
cha rg~ d e l' cx~~ ~l ti o n du p~ese nt a rrêt ~ qui sera pu blié au
Bulletrn des M ai ri es et Rcc uell des Actes Ad ministr atifs.
Le Secretaire Général Dêlégué
~UG NON .
:.
A RR ETE. :
ARTfCI.E. PRE.\UCR. La Cumnllssio n chargée de vérifier
l' exac t itud e des listes élec torales co nsulaire s dressées pour l'année 1953 par les !\1aÎ res des co mm unes <i u resso rt du T r;h unal
de Co mm erce de Ta ra co n est co mposée ainsi -q uï l suit :
Pour le Pretet,
Le Secrétaire Général <iélégué,
,\'I axi me M IGNON.
.'.
l' exacft
d
1u e
Po ur le Prefet,
ARRET E
-
t e Préfet des Bouches- du-Rhône
Officer de la t érrion
d'Honn eur, '
o
ARRET E
M. GI RARD Jean-M ar ie, Président du T r ib unal de Comme,,"
chargé de la surve i ll ance du Re gistre du Commerce P ,sident,
' re-.
Vu la loi du 19 Fév ri er 1908 r elative à l'élec ti on des Chambr es de Comm erce j
Le Prefet des BOIi Lhes-dll-Rh ôll e,
Officier de la Légion d' H onncar,
,\1. L1 0 T A UD Raoul, Inspq: teur- Co nt rôle ur des Contributio
Directes à Salon, r epr ésentant M . le Préfet,
ns
Vu la loi du 14 Janvier 1933 relat ive à I"électio n des M embres des Tri bu naux de Co mm er ce ;
M . TE ISSIER, M embre de ·la Chambre de Commerce de Mar.
sei ll e,
M . LELU , Anc ien membre co r r03ponda nt de la Chambre d"
Comm er ce de M arseille.
-
Vu la loi n' ~0.9S2 du 17 Ao tH 1950 modifiant la loi dit
14 j anvier t933 et notam ment ses articles 1 et 2 ;
\'U la loi du 19 fé,' rie r 1908 relat ive à l'ëledioll du
Chambres de Commerce,
Vu la loi ù u 14 janvie r 1933 rela tive à l'électio n des
Memb res des T ribu na ux de Co mm erce,
Vu la loi N ° 50.932 ou 17 ao ût 1950 mod i fiant la loi du
I~ janvier 1933 et notamment ses articles 1 et 2,
Vu l a proposi tion de M . le Président du Tri bunal d~
ART. 2. - M . le Secr ét ai re Général de la Préfecture e:il
c h ar g~ de l'exé.cl.lti on Ou prése nt arrêté qui se ra publié él U
Bull etIn des lv\al Ti es et Rec ueil des Actes Ad ministratifs.
Commerce d' Aix-eo-Provence.
Po ur le Pr éfet,
œAix-en- P rovenct:,
Le Secrétaire Général Délégul!
Sur la proposi tion de M. le Secr f/a i re Genér ai,
Max im e M IGNON .
A RRETE :
:.
ARTICLE PRE.\\l ER. - La Commission chargé~ de \'é ri fie r
i'exactitude des listes électo ra les consulaires d ressées po ur
l'année 1953 pa r les mai res des commu nes du r essor t d u Tri bunal de Commerce ù'Aix-en-P rovence est consti tue ai nsi qu'il
Euit :
A RRETE
M. LE 'OIR Rodolphe. Juge Titulai re char gé de la su rveillanc,
d u regist re du Comme rce, Prés ident,
M. DUMAS Paul, Secrétai re Administ ratif à la Sous-Préfec tu re
d'Aix-en-Provence, représenta nt M . le P refet,
M. POU CEL Ray mond, Membre de la Chambre do Commerce
de M arseille,
M. COQ Célestin, M embre de l a Chambre de Commerce\ de
Ma rseille.
ART. 2. - M. le Sec retai re Genér al de l a Prefectu re est
cha rgé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au
B ulleti n deS Mai r ies et Rec u<;il des Actes Ad mi nistr at i fs.
L e Préfet des Bouches-dU"'R.hône,
Offi cier de la Légion d/ Honneu r.
Vu la loi d u 19 F évrier 1908 re lat ive à !"élection des Cham.
br es de Co mm erce ;
Vu la loi dll 14 Janvier 1933 relat ive à !" election des mem·
bres des T r ibunaux de Commer ce ;
Vu la loi n·· 5O.9S2 d" 17 Août 1950 modifiant la loi du
14 j an vier 1933 et notam ment ses articl es 1 et 2 ;
Vu l es proposit ions de M. le Président de la Chambre de
Co mm erce d' Arl es ;
Sur la pr oposi tio n de !\-L le Secrétaire Général,
"Le Secrétaire Géneral Délégué
Jl1arseille, le I l Mai 1953.
Pour le Préfet,
Le Secrêt<:lire Gé néral dé l égll~,
fll 'a xime M IGNON.
Vu les proposi ti ons de M. le Prési de nt de la Chambre de
Comm erce d'Arles;
COMMUNIQUES
0 2 B3 - AG 2
AVIS - ANNONCES DIVERSES
DEM ANDES D'EMPLOI
Secrétai re Général de i\ \airie, meill eures réfé rences, 18
ann ées de pratiq ue, diplômé de l' Eco le des Hautes Etudes Muni cipales, recherche poste /(j'a ns Commune de 2.500 habita nts ou
plus.
Secrét aire de I\\airie, en fonctioll d('lpuis 1942, âgée de
33 ans, tit ulair e du C.A.P. et Là:i plômé é.e l'E.N. A.M., rec herche
emploi sim ilaire da ns une Commune de plus de 5.0Cl0 habita nts
IMu\1 . les M ai res inté ressés par ce tte ctin didature vo udr ont
bien se mettre di rectement en rapport avec ,1\\1. Giltes JOU VE,
2, r ue de la So lidarité, à I~io m - l:S- Mo nta gnes (Cantal).
M'l'AI. les Maires i ntéressés pan.:ette ca ndidature, vo udro nt
bien se mettre '(ij rectement en rappo rt avec .~ \ . L ABBE, secr é-
du Département des Bo uches-du-R hône.
tai re de tvtairie à Plu rien (Côtes·el u-Nord).
D3B2·FSO
AVIS DE CONCOURS
Ouverhtre d'un concours pour le recrutement d'un contrôleur sur plac:!
des Lois d'assistance
AoH-RETE :
Maxime M IGNO .
ARRETE
L e Préfet des BOll ches -du-J<hôlle,
Officier de la Légion d' H oIIIII';IIT,
rel ative à
ART. 2. - M. le Secrétaire Genéral de la Préfectu re est
cf"'a rgé de l'exécution du présent arrtté qui sera pul1 1ié au Bulietln des Mai res et I ~ecu ei l des Actœ Admi nistrati fs.
Vu les propositions de M . le So us-Pr efet d'Arlrs
Pour le Prefet,
Vu la loi du 19 fél·rier I 90S
Chambres de Comm erce,
Vu la proposi ti on de J\I\ . le Président du Tribu nal de Commerce de T a!"ascon ;
-
Vu la pr oposi tion de M. le Présid·ent d'u T ribuna l de Com·
merce d'Arles ;
Marseille, le Il mai 1953.
.'.
-
ML NUISTRAL Cha rles) PrésiGent du T ribunal de Commerce,
assurant la survei llance du Registre du Comm erce, Pr é-sident.
Nt M OURRE, Secrêtai ;-e Princ ipal dt! 1re ca tégorie il la
SO lls-Préfecture >à' A rles, représentant M . le Préfet.
M I. RU Y Eugène, Mem br e de la Chambre à'e Commer ce
d' Arl es, expéditeu; en fruits t:t légumes.
M. !\\IAUHON Jacq ues, Membre de la Oha mbre de Commerce
d'A ri es, marqha nd grai nier.
M arseille, le 11 mai 1953.
Vu I~s propositions de M . le Prési dent de la Cham bre do
Comme rce de M arseille,
Vu la proposition de M. le Sous-Préfet
Vu les proj.}ositions de M. le SOlls-Préfet d' Arl es
Sur la proposi tio n d~ M . le Secrétai r e Général,
Marseille, le 1t Mai 1953.
ARRETE :
ARTICLE PREM IER. - La Comm ission cha r oée ùe ., .1.
d es f Istes t:!ect
'
0
1 <ri 1er
orales co nsul ai res dre~s
t:es PO Ul
l'année 1953 par les mai r es des co mmunes cl u resso rt du Tribuna l de Commer ce de Salon-cle..,Provence est Const it ue"
comm~ il suit
'
"
.\l arsei lle. le 11 mai 1953.
M ax im e
du Tribunal Oe
l' électi on
des
Vu la loi du 14 j anvie r 1933 relative il ,'élection
M embr es des Tri bunaux de Commerce,
des
ARTI
CLE PREMI ER j L a Comm ission charrrre
·de vérifiel
.
0
'exactit ude des list es électorales co nsulai res dressées pour l'an·
née 1953 par les M ai res des Comm unes du resso rt du T ribunal
de Comm er ce d'Ar les est composée ain si qu 'i l suit:
- Ml.
-
Vu la loi N " 5O.9S2 d u 17 août 1950 modi fial1l l a loi du
J4 ja nvie r 1933 et notamm ent ses arti cles 1 e't 2,
COUST EtL Ll EJR, Ju ge titulaire chargé ci e la surveillance
du Registre de Commerce, President.
M~ MOURI ~ E, Secrétair e Princ:lj>al ci e 1re célt~go ri e il. la
Sous-Pré fec tu re d'Ar les, re presentant ,,"l,. le Préfet.
M . T H:,EJRS Alfred, Vice-Présid en t de la Chambre de Commerce d'Arles, Di r~cte u r des Ets « Au Lio n d'Arles ».
M. L APY """ urice, M emb re de la Chambre de Commerce
d' Arl es, limonadi er.
Un con co urs sur ép reuves pour le recrutement d'un co ntrôleur sur pla!.:e <Ï<:!s lois d' assistancQ Undice 185-360) <lu ré! lieu
il la Préfecture.. du Var les 29 jui n (éprcll\'cs ~t.: rit es) et 6 ju illet t953 (êp reul'es o rales).
Les dossie rs de demande d'insc ription seront reçues il 11
Préfe,cture du Var jusq u'au 10 juin 1953.
T ous renseignements utiles cu n c~ rl1 ant l a !.:o nstitutio n de~
dossie rs
et le prog ramme
des
e pr ~II\"1'::s
sero nt
fournis
Su r
simple demande adressée il M . le Préfet ou Var, 2me D ivision,
4me Bu re:1u (ulle t nveloppe timbrée devra èt re jointe pour Il
reponse).
IOJ
�DONS ET LEGS
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
Par lestament olographe du 27 aoùt 1951 dêposé allx ;n i-
de \\' Rë!!is DUUAS, notaire à .\Iarse,llle, Feu ~\II~
~Eugenie a institu é . l'egotaire
'
"\Iarie
un!'11f l sel de sa
,
succession l'Administra/ion de l'Assis/once PlIbilqlll!, de "'arseil/e.
te-
nu
s
DIDIER
Conformément aux dispositions du décret du 1er février
1896 les héritiers connus ou inconnus de MademOIselle D I-
DIER Marie Eugénie, sont invités à prendre connaissance du
testament, donner leur consentement à son e,xécutlOn. Ou ~ru.
duire leurs moyens d'opposition dans un délai de tro Is mOIs i.l
dater du jour du présent avis.
Marseille, le 22 avril 1953.
OOS-FSO
Par testam.."t olog raphe du 10 février 1953 dép osé au
minutes de M' Antoine COLOMB, Notaire à RoquO\'airc, Fe,:
Monsieur POUTET Josep h Geo rges a fait le legs CI après:
Je' Mglle à l'Hôpital SI-Joseph, Prado, Marseille, la sOm m,
de lin million de francs.
RÉPU B LI QUE
Numéros 20 et 21
~e&n~
!F RAN ÇA I SE
21 et 28 Mai 1953
lm
Conformément aux dispositions du décret du 1er fe\'n~l'
1896, les hé ritiers co nnus ou incon nu s de M. POU l ET Josep!,
GeofO'es sont invités à pr endre co nna lssancej du testament,
donn; r leur consenteme nt à so n exécution Ou produire leurs
moyens d'opposit ion dans un dél ai de t rois mois il datEtr du
jour du pr ésent avis.
Ma rseille, le 24 avri l 1953.
~.
~~CU~IL
DES
MEDECIN AUTORISE A PRATIQUER LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
CERTIFICATS PRENUPTIAUX ET PRENATAUX
Par arrêté préfecto ral en date du 21 Avril 1953, M. le
Docteur NEA U, domicilié à La Fare-les-Oliviers, est autorisé à
pratiquer les examens radioscopiques en vue de la déli v ran ce
des certificats pénuptiaux et 'Prénataux.
ACTES ADMINISTRA
ET BULLETIN DES MAIRIES
Par arrête préfectoral en ,,l'ate du 4 Mai 1953, M. le doeleur
LOM\BA IID I, demeurant à Marseille, 132, chemin de SaintJoseph, est autor isé à pratiquer les examens radioscopiques en
vue de la dé livra nce des ce rtifi cats pré nuptiau x et prénataux.
TA BLE D ES MATIÈRES
TEXTES O'INTERET GENERAL
A O. -
Arrêté du Il mai 1953 su r la salu bri té des l'iandes .. .. ... . . .
106
p O. -
Emploi des hau t-parl eurs sur li a vo ic p ub liq ue . . . .. ... ... . . ... . .
106
p O. -
Colombop hili e : l âchers de pigeons voyageurs f r ançais et étrange rs. . . ... . •. . .. . • . . . . . .
107
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
AG 2. AG 2. -
AG 2. -
Pou r le P refet et par Délégati on,
Le Secretaire O ~neral :
Maxime MIGNON .
Jou rs fé ri és et régime des congés annuels des agents des coll ectiv Î'tés locales ...... . ...
Monta nt maxim um des ava nces susceptibles d'êt re consenties a ux agents speciaux des
se rvices commu na ux .... .... ....... . ........ ..... .. . . ....... . ...... . ..........
Caisse Nationale des Ret raites des agents des co llectivités locales. Election des membres
du Consei l d' Admi nist ratjon ........ ........ ........ . ....... . . ....... . . . ..... .. .
107
IDS
AG 12. P 8. -
Va lidatio n des sen'iees rend us à des coll oetil'ités locales, immatricu les à la C.N.R.R.C.L.
Liquidatio n des successio ns laissées par des tra\'ailleu rs allemands décédés en France
108
110
1 ID
A 3. -
Emploi des spécialités an tiparasi taires agncoles penda nt l'année 1953 ..................
III
COMMUNIQUES - A VIS - AN NONCES DIVERSES
Auto risation d'en treposer des explosHs ....... .......... .
Roq uefo rt-l a-Bédo ule -
Vente de 3 moteurs Ba udoin. Diesel. Type 2
.. ...............
112
112
ABH ~VJ A'rl0~S. - A. P. : Arr êté pr0it'ctoral. - C. . Circulaire. - Les lettres 0 et B sui"i~s d'un chiffre
indiquen t le Service ou Bureau d'origine. :- U. S: 'l' . . : DirectÎon des Services Techniql~es. _ O. D. S. : Direction
Dépar tementa le de la Sa nté. - D. D. 1 . : DIrectIon Départementale de la Population.
104
--------------------------~---hl l'R I" E RI E N O UV ELLE
DI1: MA. S EILLE, 120,
rue Sainte
�TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
~RT. 5, - Tout~ in~raction aux presentes dispositions sera
·sanctlonnée par appllcallon de l'a rticle 471 du Code Pénal c
' s'i1 y a lieu, par la saisie administ rative des appareills pendan t
24 heures.
SALUBRlTt: DES VIANDES
. ART. 6. - M. le Directeur Départemental des Services de
Poilee, ,M , le Commandant de ~ ndarmer ;e des Bouohes-duRhône, M.M.~ les Sous-Préfets à Aix et à Arles, MM. les Maires
D4 8\ - A 0
Le ,préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion dtHon neur.
Vu la loi mun,cipale du 5 Aivril 1884 et notamment les
articles 97 et 99 ;
,Vu la loi <fu 7 Juillet 1933 sur la prophylaxie <le la .tuberculose des bovidés et le co ntrole de la salubrité des viandes ;
Vu l'arrêté 'préfectoral du 16 Octobre 1952 réglementant
d'ans les Bouches-du-Rlhône la préparation, )'jntroduction, )'entreposage, la <listribution et la vente des viandes découpées en
merrceaux ou en .pièces, désossees ou non ;
Vu l'avis du Conseil Départemental d' Hygiène en date du
17 Décembre 1952 ;
Sur la proposition du Secrétaire Général,
ARRETE:
ARTICLE PREW ER_ - Le 3me a linéa <le l'article 4 de l'arrêté
du 16 Octobre 1952 précité est modifié co mm e suit:
.. La C hambre de réfrigératio n sera établie selon les régies
c: de l'art. Elle devra avoir des dimensions suffisantes pour co ne: tenir les careasses d'animaux nécessaires à deux journées d e
< travail de découpage et de désossage. Sa température sera
c maintenue entre 0 et
20 • ;,
+
ART. 2. - Les <lispositions des articles Il , 12 et 13 de
l'arreté du 16 Octobre précité sont ahrogées et remplacées pa r
les dispositions suivantes :
ARTICLE Il (nouveau) :
< !Aprés em ballage, les viandes devront être réf.rigérées ou
c congelées. Elles seront entreposées dans des salles froides
c: maintenues à des températures inférieures ou égales- à
2°.
+
c La congélation des viandes sera estimée suffisa nte lorsque la
c température a u centre de 11em ballage atteindra - 6°. Cette
c température <Jev ra être maintenue durant tout l'entreposage
« dans des salles dont la température sera inférieure à-15°. ~
ARTICLE 12 (nouv·eau)
< L,: transpor.t des vian?es ~isées par le prése nt arrêté
« devra etre assure de :aç~n a ma lOten,lr les viandes co ngelées
< en bon état de congela lion et les VIandes 'ré figérées à UI"
« température inférieme ou éga le 'à
2". L'exposition en Nue
c de la vente .des «. pièces de viand'e ;0 devril être assurée dans
« les mêmes co nditions de conSffvation, la température maxi~
« mum des vitrines d'exposition étant de 2°. Les viandes
« lTéfrigérées devront être hvrées aux co nsommateu rs ou utilisées
.. ,pour la fabrication 7 jours au plus après l'abatage des.
« ani mau x dont elles proviennent. Ce délai ne pourra être pro< longé qu' après autorisation du Service Vétérinaire d'lnspece tion , >
ARTICLE 13 (nouveau) :
< Les locaux <Ians lesquels sont vend ues les < pièces de
« viandes ;) faisant l'objet de la présente réglementation sont
« ,placés sous la surveillance des Services Muni cipaux d'Hy« giène .
< Ils ~evro nt toujours êt re pourvu <l' un matéliel de rélrie geratio n permettant d'entreposer la totalité des « pièces de
« viandes ) détenues à la température « et de les maintenir
« aux dites tempélratures jusqu'au momen t de leur remise dlrecte
« aux consommateurs. Des thermo mètres f.o urnis par l'intéressé
e et convenablement placés devr ont permettre <l'e contrôler à
• tout mo ment 'la température de c haque install ation . La IJlTOc tection so us verre des marchandises exposées à la vente dans
« les vitrines réfrigérées devra être assurée. Aucune autre cone dition de vente n'est prescrite quant à l' a ménagement de ces
« locaux ~ vente. Toutefois, leur exploitation reste soumise,
c s'U y a Heu, aux prescriptions spéciales visant l'ouverture et
« la tenue !dies magasins .œaLimentation, édictées notamment par
of les règlements sanitaires dëpartemental et commun a ux. >
Marseille, le Il Mai 1953.
Pou. le P,éfet,
Le Secrétaire Général délégué,
M"x ime MIGN ON.
DI B2 - P 0
Marseille, le 20 mai 1953
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
à Messieurs IffS Sous-Préfets d'Arles et d'Aix-en-Provence
à Messieurs les Maires du département.
'
J'ai l'~ o nne ur de vo us faire co nnaître que, par télégramm e
.d.u 18 ma l co uran~, M. le Ministre de J'Intérieur vient de preciser que le Ohapltre 1 (paragraphe B - Etrangers - Réciproc ité) de l' Instruction Gé nér,.le de l'année 1947, relative à la
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu l'art. 99 de la lo! du 5 avril 1884 ;
Vu les instructions de M. le Ministre de l' Intérieur relatives à l'interdiction des haut-panleurs sur la voie publique ;
Vu les ar rêtés préfectoraux des 11 juillet 1947, 8 janvier
1951', 13 août 1952 pris en conformité des textes précédents ;
Considérant qu'il importe, pour la commodit~ de l'exéc ution de codifier les textes précités ;
Sur la propo!:ition de M. le Secrétaire Généra l,
ART. 2. ~ L'emploi des haut-parleurs dans le dépa rtement
des Bouches-<lu-Rh ône est formellement interdil su r la VOie
publique.
Cette interdiction vise tous les appa reils fixes, y compris
ce ux en façade d'immeubles, ou mob iles, de quelque nacurt
qu'ils soient.
Sont également interdites les inst alla'tions de h aut-parle~."
qui plac~ da ns un lieu pri vé sont di rigées de telle faço n qu Ils
diMusent leurs émissions sur la voie publique.
ARRETE:
ART. A, _ Toutefois, des dérogations au ,principe de l'i n·
terdiction pourro nt êt re accordées à titre exceptio nnel, dans
l'i ntérêt gé néral, par l'autorit é préfedtorale en ce qui conc~rn'
l'a rrondissement de Marseitle, par .MM. les Sous-Préfets d AIX
et d'Arles pour. leur arrondissement.
ARTICLE PREM IER. - Les arrêtés préfectoraux des Il juillet 1947, 8 janvier 1951, 13 août 1952 sont rapportés et remplacés par les dispositions suivantes
ART. 4. - MM. 'l es Maues peuvent, en raison . des circo~:;
r
tances locales, restreindre la portée de l' autonsatlo n aCCo
par l'autorité 'préfectorale.
106
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué
Max ime MIGNON.
règlementation de la Colom bophilie Civile, est modifié ainsi
qu'i l suit ;
c A ,partir de ce jour, les pays usant de réciprocité avec
Il' notre SOnt : Grande-Bretagne, Danemark, Hollande LiJxem-
bo ur:g, Espagne, Suisse, Italie, Portugal, Allemagne 'Occidentale, Be~gique :..
Pour le réfet,
Le Secrétaire Général.
Maxime MIGNON.
TEXTES D'INTÉRËT COMMUNAL
02 B3 - AG 2
JOURS FERIES ET REGIME DES CONGES ANNUELS DES AGENTS
DES COLLECTIVITES LOCALES
J'ai l'honneur de porter ci-dessous à la connaissance de
_'1\1'1\. les Sous-Prmets et de MM. les Maires du Départoment le
texte de Ja ci rcul aire Ide M. le Ministre de l' In té rieur n° 15 1,
du 30 avril 1953, relative aux congés des agents des coll eciivités loca les.
Pour le Préfet et par dé léga tion,
Le Secrétaire Général :
Signé : Ma xime MIGNON.
Le Ministre det l'Intérieur,
à Messieurs les Préfets de la Metro pole
et des Déparlements d'Outre-Mer
EMPLOI DES HAUT-PARLEURS SUR LA VOIE PUBUQUE
ARRETE
Fait à Marseille, le 13 mai 1953 .
COLOMBOPHILIE -' LACHER DE PIGEONS-VOYAGEURS
FRANÇAIS ET ETRANGERS
+
oPa ris, le 30 avril 1953.
Dl BI - ,P 0
sont chargés de J'exécut ion du présent arrêt!! qui sera inséré au
Rec ueil des Actes Administratifs et Bulletin des Mairies.
Pour répondre à différentes questions qûi m'o nt été posée:"
j 'ai l' honn eur de porter à vot re con naissance les précisions
suiva ntes :
l' )
JOllrs fériés
La loi n' 53-~5 du 20 mars 1953 (J.O. du 2 1) relative à
la comm émo ra tion de l'armistice du 8 mai 1945 déclare qUi'
Ce 8 mai est jour férié. Le 8 mai s'ajoute donc à la liste de.
fêtes léga·les comportant cessa tion du tra vai l dans les ad ml '
nistrations publiques.
2") Con gés annuels acc ordés au personneL communal en
"erlll de l'article 44 de la loi du 28 avril 1952.
Les dispositi o ns de l'article 44 ont éte co mm entée,; par
111a circulaire gé néral e n' 325 d" 10 aoùt 1952 (VII, 2'). Mais
deux points de ce~te instruction appelle nt des précisions
Complémentai res :
a)
Possibilité de demander le bénéficl! du congé de vingt~six
jours ouvrables.
Pour évi ter toute -équivoque, il co nvient de précise rI ainsi
que cela avait été fait par le rapp orteur du proje t de loi au
Conseil de la République, que le co ngéde vingt~six jours ouvrables ne peut être accordé qu'en cas de fractionnement. LoNq U 'lI~ age~t demande à bénéficier de son congé de manière
contlnue~ ~I peut seulement obte nir le co ngé de trente JOUiS
co nsécutifs.
b)
Possibilité pour le maire d'imposer le fractionnement du
congé.
, .C,e tte ,.p0s:>ibilité a été p~évue par la ci rculaire généra le
precitee, ~ Insp~rar.t sur ce POlOt des dispositio ns applicables
aux fo nctionnai res de l' Etat. Ce fractionnen!ent du concré an nuel ne peut êt re imposé que po ur des nécessités absol~es de
service, Ce peut être le cas, par exemple, lorsque l'absence
sim~ta n ée de plusieurs agents en congé de maladie risque
d'ent raîner da désorganisation momentanée d'un service.
:.
Les d ispositio ns de mes précédentes circulaires demeure nt ~n vigue ur, notamment en ce qui concerne le régime des
conges a nnuels des agen ts auxilia ires.
P . le Ministre de l'Intérieur et par délégation,
Le Préfet,
Directeur de l'Administration
Départem entale et Communale
P. DAMELON.
101
�D2 B3 • AG 2
l\10NTANll MAXIMUM DES AVANCES POUVANT ETRE CONSENTIES
AUX AGENTS SPECIAUX DES SERVICES COMMUNAUX
ARRETE
j'ru l'honneur de porte ci-<lessous à la connaissance de .\L\1.
les Maires du Département le texte de mon a rrêté DNB/ n°
53-0J33 en date du 27 .\1 ai 1953, fixa nt le montant maximum
des avances susceptibles d'être consenties aux agents spéciaux
des seIvices communaux régis par économie.
Pour le Préfet et par délégation,
Le SeC1'è taire Général,
Maxime MlGNON.
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légio n d' Honneur.
Vu l'article 993 de l' Instruction GGénérale du 20 juin 1859
ART ICLE PRE,\lIER . Le montant maximum des avanc
susceptibles d'être consenties au x agents spéciaux des serv' es.
.'
.
.
t
té ·
I~
communaux r egls pa'r economle, es por a 1.500.000 francs.
ART. 2. - Tout régisseu r dJavances ou de recettes doit
foun,l i: un ca u tio n.ne ~ ent, dO,nt le ~ on.tant est fi xé par l'arrêté
mUOlclpal de nominatIOn de 1 agent mteressé, ou s'affilier à Une
associat.ion française de cautionnement mutuel.
ART. 3. - L es régisseurs d'avances des services com mu.
naux doivent tenir une comptabilité desti née à faire reSSOrti r à
tout moment, la situation des ava nces reçues, des fonds emplo;és
des sommes <lisponi bles.
La tenue d'une comptabilité destinée à faire ,essorti r à toul
pour les régisseurs de recettes e ha rgés de l'en caissement des
r~e du pe.rs~nnel . en actiVité devront être avisés du dépôt des
listes et lll Vltés a en prendre con naissance. Les listes devront
ètre affich ées dans les lieux de travail confo rmément à l'a, ti-
produits communaux.
sation comptable des servi ces départementaux régis paT écono-
d es Bouches-d'u- Wtône, sont char gés, chacun en ce qui le con-
de recettes ;
cerne, de l' exécution du présent arrêté.
Vu la circulaire ministérielle n' 18 ·du 24 janvier 1953 co n-
M'a rseille, le 27 Mai 1953.
cernant les avances aux agents spéciaux des services commuDaux r égis par économie ;
Pou r le P réfet eti pa r <rélégatio n,
Le Secrétai re Gé néral,
Maxime M'IGNON.
Sur la proposition du Secrétaire Général,
D2 B3 • AG 2
CAISSE NATIONALE DE RETRAITES DES AGENT S DES COLLECTIVll'ES
LOCALES - ELECTION DES MEMBRES Dl\ CONSEIL D' AI>MI-·
NISTRA TlON.
Je tiens à vous rappe ler que seront à ~omprend re sur les
l'Intérieur m'a fait connaître des conditions générales dan,;
lesquelles aura lieu, dans les mois qui viennent, le ren ouvelle
hstes les agents visés à ,l'article 2 1, a lin éa 4 du décret du
déc ret du 19 septembre 1947 qui, bien que ne r emplissant pas
les conditions normales exigées -po ur l'affiliation à la Caisse
Nationale, étaien t à la date d u 1er octobre 1947, tributaires
ct' une caisse particulière dissoute et ont été par la suite affi·
liés à la Caisse Natio nale.
Par contre les agents en acti vité à carri ère miÀ~e, qui
Ci-dessous un extrait de la circul aire.
Pour le Préfet et par délégation,
L e Sflcrtitaire Géneral :
Signé : Maxime MIGNON .
Un des principaux objets de la présente circula ire est de
\'o us préciser les <tispositions qu 'il est nécessaire de prendre
dans des délais rapprochés, afin de pe rm ett re dans les meilleures conditions le déroulement des diverses opé rations élec.
torales.
l'
pas êlre inscrits sur les listes électorales.
Les agents en activité deva nt être appel és à voter sur les
lie ux de leur travail, les collectivités don t dépendent plusicur>
servÎces
je vous IJl récise que, conformément à d'arrêté interministériel modifiant l'arrêté du 27 août 1948, seuls pou rront être
inscrits les agents dont l'affiliation aura fait l'objet d'un avi,
(j'aoceptation <le la Caisse Nationale daté au plus tard du
15 juillet 1953.
ou étaWissements
auront là faire établir des
distinctes pour chac un
listes
des services ou établisse-
ments considérés.
Etablissement des listes tilectorales
a) Pour le Personnel en activité, Jes agents des deux sexes
effectivement affiliés il la Caisse Nationale en vertu des dispositions des § 1 ou 2 ou 3 de l'article 1er du décret n' 47- 184G
du 19 septembre 1947 modifié par le décret n ' 53-IOS du le
février 1953 ou celles de l'article 21, dernier alinéa du même
décret.
lOS
relèvent actuellement d'un service de l' Etat, tels que les fonction naires et agents du Cadre National des Préfctures, cer·
tâins fonction naires de l a Sû r eté Nationale, etc ... ne doivent
électo rales
b)
10 Les titulaires d'une pension d'ancienneté, d'une p~n
sion d'invalidité, d'une pension proportionnell e, d'une pensJO.n
de veuve posséda nt un ti tre de ~a Caisse Nationale de Retral'
tes, c'est-à-di re un t it re de pension 00 un titre d'avance sur
pension.
2'
Les age nts admis à la ret raite qui ne ~ont. p~s enc~:c
prononcée aprés avis favorable d e la caisse nationale.
En ce q ui CO ncer ne les électeurs de la catégorie des retraités, vous recev rez des notices qui, par l es soi ns des collectivités intéressées, devront être adressées individuellement i'I
chaque électeur po ur l'avise r de son insc riptio n sur la liste électorétjle et l ui indiquer les conditio ns dans lesquelles il pourra
"oter par correspondance.
En même temps que vous assurerez la tra nsmission de ces
notices, il conviendra q ue VO LI S fassiez plPblier, par la voie de
l a pr esse, un avis informant les intéressés de la notification qui
leu r sera faile et invitant ceux d'en tre eux qui ne se raient pas
touahés par cette n<1tificatio n à s'adresser à la collectivité do nt
i~ s dépendaient lors de leur admission à la retraite.
C/6ture des listes électoral es - Envoi d' un exemplaire de
ces listes à la Préfecture
A l'expiration
des délais de
réclamations
ouverts
par
l'article 7 de l'arrêté du 27 ao ût 1948 et 'a u plus tard confo rmément à l'arti cle 8, ,le 30 septembre 1953, un exemplaire de
chaque liste électorale devra vous être ad ressé, un deuxième
exempl aire étant conservé .par la collectivité i ntéressée.
40
Recensement des agents appelés à participer au Ilote
Afin de faciliter l' en voi et la r épartition des imprin és
nécessai res (bull eti ns de vote, notices aux retraités pour lC5quels est pr évu l e vote par correspondance) je vous prie tic
faire co nnaître, dans le moindre délai, pour chaque collectivité
i ntéressée de votre département, le nombre aussi J)1"écis que
possible des électeurs <les deux catégories (perso nnel en acti·
vité et perso nnel retraité) qui seront appelés à participer au
vdt •.
Ces renseignements devront être adressés d'urgence à la
Préfecture (2" D. - 3' B.).
VOLIS recevr ez en temps utile une circulai re complémentaire
Pour le personntN en retr aite
detenteurs d'un des titres susvisés mais dont l'admiSSIOn a
aoat 1948.
qui fixera les modalités du vote et du dépouillement des suffrages.
Il résulte des précisions qui vont être apportées à l'articl' 3,
2' de l'arrêté du 27 août I 94S q ue, se ront à inscrire sur les
listes des retraités :
.
cie 6 (mOdifié) de l'arrêté du 27
3'
Par circulaire n' 137 du 23 avril 1953 M. le Ministre de
Oient du Conseil d'Administration de la Caisse Nationale de
Retraites des agents des collectivités locales.
Cinqua nte jours au moins avant la date de l'él ection c'esL
à-di re au plus tard le 25 aoat 1953, les électeu rs de la ~atégo
Vu le décret n' 52-339 du 22 Ma rs 1952 relatif à rorga ni~partem e ntales
A Iris d'inscription Sur les listes électorales.
20
moment la situation .d'e leur encaisse, est également obligatoire
ART. 4. -< M. le Secrétai'e Général de la Préfecture, M. le
Trésorier-Payeur Général et MM. les Maires du D ~artement
mie et des régies
.. Ne doivent pas être i nscrits les anciens agents des col!ectlV l t~s locales do?t les rentes, pensions Ou allocations sont
s~rv l es ?~ar la Caisse ~es Dépôts e~ Consignations (tOo DiviSio n - - Bure~u) au titre des pensions sur fonds spéciaux.
Je . ne CroiS ~as devoi r imposer de modèle pOlir la
co n fec~l?n de ces III.stes, VOus l aissant l e soin de donner aux
collectl\rltés et ser vices chargés de ce t ravail les indications
necessaires.
Ces I.istes devront, natu rellement, être établ ies avec le pl!J.s
gr and sOin de faço n à ce que sOÎent évitées les om issions et
l es erreurs.
Les mentio ns qui y seront por tées devr ont être suffisantes pour permettre une ide ntifica tio n rapide et précise de
l 'éleveu r et évi ter toute confusion en ca s d' homonymie.
L'adoption de l'ordre alp habétiq ue est à reco mmander.
e
VI. -
DESIG NATON DES REPRESENTANTS DES COLLECT IVITES (autres que le departement de la Seine et de la
Vil/e de Paris).
l'
Collecli vités prenant part aux élections :
Seront invités à prendre part à l'éleclior. des représentants
des collectivités, les conseils généraux, des conseils municipalL'l
les commissions administratives ou de surveillance représen·
tant respectivem ent :
Les départements, les communes et les établissements pu-
hiics hospitaliers don t le personnel est affili é à la Caisse Na·
tionale.
Celte énumérati on exclut d'une part les établissements
hospitaliers n'ayant pas le caractère juridique d'établissemer'
public, c'est-à-dire les établissements qui nC sont ddtés ni d~
l a perso nna lité morale ni de l'autonom ie financière et, d'a utrp
part, les établissements pu blics autres que les établissements
hospitaliers.
Ces derniers, co nform ément aux dispositions du dernie i
.Ii n ·a de l'article 1er de l'arreté d u 27 août 1948, seront rep ré ·
sentés au titre de la cat~goric à laquel le appartient la collee·
tivité do nt ils relè ve nt.
En résumé, les collecti vités autres que les départements
et les communes, ne pourront prendre part au vote qu';'>
condition d'off rir le double caractèr e d'établissement public et
d'établissement hospitalier.
Seuls seront admises à participer au vote les collectivité5
dont l'immatri cul atio n leur aura été notifiée par une lettre d.
la Caisse Nationale antérieur e au 1er juillet 1953 et fixant leur
numéro d'immatriculation.
2
Q
Mode de désignation représentants des collectivités.
Vous recevrez en temps util e par les soins de la Caisse de~
D pôts et Consignat ions, la liste des ca ndidats ; fi vous appartiendra de la notifie r aussitôt à toutes les collectivités inté
ressées de votre département.
Dans le délai com pris entre la date de la r éception .., e
cette l iste et la date limite du 1er octobre 1 53, l es assembl ~es
des collectivités en ca use auro nt il exp ri mer leur suffra ge dr. n ~
les conditions fixées par l'article 3 de l'arrêté du 27 aoOt 1948.
Aux termes de cet article, chaque assembl ée vote pour un
nombre de candidats co rrespond ant aux sièges de titulaires e ~
de suppl éants à po urVOi r dans la catégori e dont ell e relève.
Le vote porter a donc su r deux candidats pOlir les collectivités appartenant à la 2", à l a 3 0 ou à la 4" catégori e et sur
(,uatre ca ndidats pour les collectivites de la 5" catégorie (éta-
blissements hospitaliers).
L'expression du suffrage ne devra pas comporter d'ordre
rréféren tiel, en vue de la dési gnation de tel ca ndidat pour Il'
poste de 't itulaire et de tel autre pour celui du suppléant. C'est
le résultat général seul qui déterm i ner a l'a ttribution des sicges, suivant le nombre total des suffrages obtenus ; chaque
assemblée ne dispose que d' un seul suffrage et de la dél ibcrat ion prévue à "article 7 de l'a rrêt é du 27 aOltt 1948 co nstitue un vé ritable bulle1i n de vote.
En consequence la délibération dont il s'agit allra simpl ement il. menti onn er qu'à la maj orité des voix, l'assemblée intéressée s'est prononcée en faveur de tels ou tels cand idats.
La déli bérati on devra vous être adressée en double
exemplaire.
,
Les résultats tdtalises pour chaque catégorie, accompagné,;
d'un exemplai re des délibérations intervenues, seront tra nsm is
par vos soins à 1\\. le Directeur Gênerai de la Caisse des Dépôts et Co nsignations - 10 0 Dh'ision - 6<> Bureau, 56, rue de
Lille - Paris (7").
J'appelle votre attention sur le l arge clélai imparti pour
la décision des collectivités, qui doit leu r permettre d'exprimer
leur suffrage lors J'une des sessions intervenant entre juillet
et octobre. L a liste des candidat vous étant notifiée dès les
premiers jours du mois de juillet par la caÎsse nationale, il
,-o us appa rti endra de prendre toutes mesures utiles afin qu ~
les votes des assemblées interviennent le plus rapid ement pos-
sible.
P. le Ministre et pa r délégation
Le Préfet,
Directeur de l'Administratiofl
Départementale et Communale
P.
DAMELON.
109.
�D2 83 - AG 2
VALIDATION DE SERVICES RENDUS A DES COLLECTIVITES LOCALES
IMMATRICULEES A LA C_N.RAC.L.
j'ai l'llonneur de porter à la connaissance de MjM. les Maires
du Déparrement le texte de la circulaire de ,~ le Ministre je
l'Intérieur n' 168 <lu 18 Mai 1953, relative à la réouverture du
délai pour la validation des sen'ices rendus li des
collechvit~s
locales immatric ulées li la C.N.R.A.C.L.
en cause n'ont pas été affiliés à un régime particu lier <le retraite
par la collectivité intéresséel soit de non-titulaire.
La Mcision dont il s'agi t a été notifiée aux collectivites
locales intressées par cir"ulaire du 1'6 Avril 1953, citée en référence.
Dans ces conditions, une demande ou une nouvelle
demande établie en double exemplaire, devra êt re adressée il M.
le 'Directeur Général de la Caisse des Dépôts et Consignations
et viser expressément la circulaire précitée.
Ci-dessous le texte de la circulaire.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
.\ Iaxime M'G ON.
Le .\linistre de l'Interieur,
a _~u\. les Inspecteurs Généraux de l'Administration
en Mission extraoroinaire (C.A.T.L»,
jes Préfets Métropole (sauf Seine et Police),
les Préfets Algérie.
RERERENCfl : Ma circulaire n' 67 du 26 Février 1953.
Urculaire de la C.N.R.A.CL. - 10me Division du 16 Avril 1953.
Par circulaire en date du 26 Février 1953, je vous ai fait
connaître Que la loi nO 53-76 du 6 Février 1 ~53 , r elative au
collectif d'oroonnancement accordait un nouvea u délai expirant
le 30 Ju in 1953 aux fonctionnaires de l'Etat, en activité, pou r
demander le bénéfice des dis posi tions de l'article IOde la loi
du 14 Avril 1924. Je \'ous priais, en co nséquence, d'inviter les
jntéressés à .présenter une demande ou, si la forclusion leur a
été opposée, a renouveler leur demande avant le 1er Ju illet 1953.
Par analogie avec cette mesure de bienveiIJan ce du législateur, le Conseil d'Administration de la C.N .R.AA:.L. a décidé
dfaccoroer pour la présentation de demandes de validation de
services accomplis pour le compte de colJectivités locales immatrieulées il cette Caisse, un nouveau déli expirant le 15 Septembre 1953.
En outrel ainsi que cela est prévu pour les services rendlls
à l' Etat, cette décision ne vise que les agents ayant gardé Un
lien avec J' Admi nistration, c'est-à- dire non selltement les personnels en activité au sens <iu Statut Général, mais encore les
personnels déta chés, en dispon;bilité ou sous les drapeaux.
Peuvent donc bénéficier de cette réouvert ure de délai, )(>s
agents qui, à la date du 16 Avril 1953 ne se trouvaient pas en
position de retraite ou radiés des cadres.
Je vous rappelle que se uls les services accomplis depuis
l'âge de 18 a ns sont validabl~s.
Je vous prie de !bjen vou loir porter les (flspositions qui
précèdent il la connaissance d'es fonctionnaires placés sous Vos
o rdres et transmettre a la CN.R.A.CL, 10me Division, 3m<
Bureau, 56, ru e de Lille, P.aris 7me1 les demandes des intéressés,
acco mpa gnées d'une copie de la carfe d' immatricu lation de
l'agent à la Sécurité Sociale et de l'attestation établie par vos
soi ns dont mod èle vous a été donné par ma circulaire FIN. PENS.
n" 66 du 28 Fév ri er 1950.
Pou r le Di recteur du Personnel et
d'u Matériel de la Police,
Le Sous-Directeur du Personnel l
A. LETENEVR
Pour le Ministre de l' Intérieur,
Pour le Directeur du Personnel t:t
de Affaires Politiques,
Le Sous-Dire cteur du Personne~
M. FAVRE.
Les services dont la validation peut ê tre d emandée sant
les services effectués en qualité, soit de titulaire, si les agents
Dt 83 - P 8
LIQUIDATION DES SUCCESSIONS LAlSSBES PAR DES TRAVAlLLEURS
ALLEMANDS DECEDES EN FRANCE
J'ai I\honneur de porter à votre co nnaissance que, pM
CirClb'-
laire c Reg/ Etr c E » n' 160 bis, en date du 1 1 Mai 1953, M.
le Ministre de J'Intérieu r a décidé de revenir aux règles du droit
commun potrr le règlement des successions des travailleurs
allemands <lécédés en France.
Il convient donc désormais de co nsidérer co mm~ nuUes et
Don avenues les précédentes instructions données par ce même
Ministère laisant J'objet d'une insertio n au c Recueil des Acte,
Administratifs et Bulletin des M'airies n' 37 et 38 (page 195)
des 13 et 20 Septembre 195 1.
Je vous précise, toutefois, qu'à titre de réciprocité el
malgré J'absence d~ conventions entre la rran<:e et la 'République
110
de Bonn, les autorités Consulaires allemandes, territorialement
compétentes - en J'occurrence le Consulat Général de la Répl,blique Fédérale d' Allemagne, avenue dll Prado n" 338, à MarseiJIe -
deVTont doréna vant être avisées, par simple lettre, de
tout décès de travailleur allemand' surve nu dans le département.
Vous voudrez bien également aviser de ce décès le Service
D4 BI - A 3
COMMERCE ET EMPLOI DES SPECIALITES , ANTIPARASITAIRES
AGRICOLES DITES TBLETOXIQUES OU SVSl1EMIQUES PENDANT
L'ANNEE 1953.
J'ai l' honneur d'appel~r votre atte nti on Sur tes termes
Circulaire ministérielle ci-dessous :
d~ la
La lettre-contI3t devra preciser, la natu re et les quantités
/L'arrêté du 10 Avri l 1952 (Journa l Officiel du 16 Avril page
de spécialités achetées, la nature des cultures à traiter et les
superficies de ces cultures, le nom de la Commune ou de~
4021) réglemente le commerce et Femploi des produits antiparasitaires agricoles qui contiennent des esters thio-phosphori•
ques.
Communes où elles SOnt situêes, le nom et radresse die J'acheteur.
Dans cette lettre-contrat, " ac heteur s'engagera :
Parmi ces produits, certains contiennent co mme matière
active du thiophosjXhare td'e dléthyle et d'éthylthioglycol et sont
appelés « téléto xiq ues » ou « systémiques » parce qu 'ils peuvent,
soit se diffuser dans les plantes tr.aitées, soit passer dans lell r
système vasculaire.
b) A observer strictem ent les prêca utions d'e' mploi quj sont
prescrites.
En raison de leur grande toxicité, les spécialités commerciales à base de la substance précit"e qui auront fait l'ahjet
d'une autorjsation provisoire de vente en application de la la:
validée du 2 Novembre 1943 seront soumises pour l'année 1953,
aux dispositions particulières ci-après :
c) A per mettre l'a ccès de ses cultu res aux autorités chargées <l u con trôle, particUlièrement aux agents du Service de la
Pro leclion des Vég<'tallx et aux agents du Service de la Répression des fraudes, et à leur faciliter l'exécution de leur mission,
notamment d'effectuer des prélèvements.
10
4<>
Concentration des spécialistes et doses d'emploi
La concentration eo mmer ciale des spécialités liquides doit
être au maximum de 10 pour cent de 6hiophosphate de di elhy lc
et d'éthy lthioglycol.
La concentration d'emploi agri cole dies solutions prêtes à
être pulvérisées doit êt re ail maximum de 0.05 pour cent de
matière active.
La dénaturation par une matière colorante est de rigueur
comme pour toutes les substances thiophosphoriques ; b coloration doit être suffisante pour que les solutions d'emploi soient
elles-mêmes colorées.
2"
est a utorisé d' employ~r les spécialités tél étoxiques slir
les plantes ornementales, les cultu res florales et les pépinières.
Exceptionnellement, so nt autorisés les traite ments des houIblonnières sous réserve que cessent to utes opérations <te pulvérisations 2 mois au moins avant la récolte.
Sont intcr-di~s les traitements de tous vêgétaux dont une
partie quelconque (fruit, ra cine, feuille, tige) peut are consummée par ("homme ou les anim aux do mestiques.
Cependant, sous réser ve d'autorisatio ns accordées pa:- le
Service de la Protection des Végétaux, les pommiers et poI ri ers
peuvent être traités en cas d'infestation calamiteuse par llai°nées rou oes, sauf pendant les deu x mois précédant la récolte.
30
.
Conditions de délivrance des spécialités
des Etrangers de la Préfectu're (Ire Division, 3me Bureau, Ire
Section) qui se chargera d'en informe r Il Admini stration Centrale.
Pour le Préfet et pwr délégatio n,
Le Secrétaire Général,
Maxime Mi.GN ON.
Conditions d'emploi
Les prescriptions de l'arre lé du 20 Ma rs 1953 (Journal Officiel dl! 22 Ma rs) s ur l'épandage d~s prdd uils a ntip arasitaires
doivent être strictement observées.
Les spé<'ia lités ne doivent pas être pulvérisées aux ,heules
chaudes de la jou rn ée.
Eiles ne doivent jamais i!tre employées en espace fermé,
notamment dans les serres.
Elles ne doivent pas être p ul vérisées au moyen de pulvérisateu rs pneuma tique s.
Il sera veillé à ce qu'aucune culture intercalaire de produits
comesHbles ne soit touchée.
Cultures pouvant être traitées
~I
.
a) A effectuer uniquement les tr aiteme nts sur les cuHures
mentionnées dans sa demande qui auront été autorisés.
Les spécialités télétoxiques doivent être déli vrées uniquement paT des fabri ca nts qui ont obtenu une autorisation provisoire de vente.
tElles ne seront distribuées par ces fabrican ts qu'aprês
signature par l' utilisateur d'une lettre-contrat établie en trois
exemplai res destinés respectivement au vendeur, il l'ac neeu:et au Service 'Régional intéressé de la Protection d'e s Végétallx.
=-"
Précautions d'emploi
Outre les préca lltions pr escrites par J'article 8 <le l'arrêté
dll 10 Avril 1952 Sllr les esters thiophosfJhoriques (J. O. du 16
Avril 1952), il est obligatoi re:
a) De porter un masque pendant les traitements et de
renouvele r les cart ouohes filtrantes appropriées après le nombre
d'heures d'utilisation fixé par le constructeur ;
b) De porler des ga nts de caoutchouc pendant les travaux
ainsi que des v~tements de protecti on permettant d'év iter le
contact du corps avec les produits toxiques;
c) De nettoyer aprés emploi le,s vêtements de protection al'
savon et à l'eau de Javel.
:.
La presente circulaire devra être insérée au Recueil des
Actes Admirtistratifs et signalée à MM'. les Maires ainsi qu'aux
c hels des différents services ministériels de volTe Département.
Pou r le Ministre et par délégation,
Le Ch el de Cabinet,
Jean ROUGE.
lit
�COMMUNIQUES
AVIS - ANNONCES DIVERSES
Par arrêté endate du Il .\Iars 1953, modifiant celui du 31
Juijlet 1939 (en son art1cle 5) la Soci .. !'; Coloniale des Chaux
et Ciments de Portland est autorisée à entreposer dans SOil
dépôt sis à la Cal'olle-.\Iazargues lieu dit • Jas de Segond "
les quantités sui'ontes (j'explosifs :
50 kg de
ou 100 kg de
ou 50 kg de
ou 500 kg dt
la
la
la
la
ou 100 kg de la
classe
classe
classe
classe
classe
1
2
3
-1
5
Ce dépôt ne devra à aUCu n moment d~asser la quantité
ci-apr~s
50 kg de la
ou 100 kg de la
ou 50 kg de li a
ou 100 kg de la
ou 100 kg de la
4, 11 et 18 Juin 1953
....
....
~~t=U~IL
classe 1
classe 2
classe 3
classe 4
classe 5
Par a rrêté en date du 26 Ma rs, M. Rigaud' Henri, demeurant
boulevard Boyer, à Trets, a é~é autorisé à établir et à exploiter
un dépôt permanent de 3me catégorie Sur le territaiT de la
Par arrêté en date du 26 .\lars 1953, ,\\. Etienne Roupiol,
demeurant 6, rue \'anloo, à Aix, a ete autorisé à établir et à
exploiter un dépot permanent de 3me categorie sur le territoire
de la commune oe .Meyrargues au lieu dit c Recla\'ier >.
Numérol 22 , 23 et 24
d'explosifs soit
•••
:.
R É PU B LIQ lJE
FRAN ÇA IS E
AUTORISATION D'ENTREPOSER DES EXPLOSIFS
D4 B3
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
commune die Peypin, au lieu dit (; Le Juillet ~, quartier Bouteille
La quantité d'explosifs contenu dans ce dépôt ne devra
jamais excéder le maximum de :
ACTES ADMINISTRAT
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
,
Il
TABLE DES MATIÈRES
Fai.re offre pou.r l'achat de 1 ou :plusieurs moteu rs ou pour
l'échange contre moteurs élect r iques (de 35 CV et 25 CV 1500
TM\ 220/ 4-10 - 50 périodes) à la Mairie de l~oquefort-la"Bédou le,
ou à M. l' Ingénieur T.P.E. Descosse, 4, rue Sainte, Marseille.
TEXTES 'D'INTERET GENERAL
FS 7. -
Taxes sur le cltiff" d'àffGires et taxes uniqJes de remplacement , .... , ... ,. . ......
114
FS 7. -
Hôpi taux et hospiocs publics. -
114
1".4. -
D ebits de Iboisson.
-
Répartition des malades payants en trois catégories. .
. '. '."., ,., .. , , . . , ... . . ,.,
11 5
TVX O. -
Constitution .d'une Association syndicale libre., .. .. , ... ,. ' ........ ..... ,. , ... ,...
Périmètre de protection
116
P O. -
PJ;:.cement des Fonds dépendant de Ja dotation des associations et de l,a réserve des
Fondations reconnues d' uti·lité publique ... ,. .
. ... , . . .. . .. "., .. . , ,...... .
116
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
TVX O. -
AG 3. -
Exploitati()J1 des cultures par submersion ...... ".... . .... .
117
Syndicats de comm""es. -
\1 7
Renouvellement des com.ités .. ' .. .
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
Le Secrétaire General "
.Maxime MIGNON,
Dons et legs . ,., .. ,.,' .. , .. ", . ... ....
, . " . ..... , .... ,
Vacances d'emploi ........... , .. ,
........ ........
Demande d'emploi .. ,..... .. ......
.. .. .. •. ' .. '....
Décret naturalisation rapporté
. "" ,.. ........
M édecins autorisés à pratiquer les examens radioscopiques , ...• , ., ...• , .....
Vente de mobiijer par la commune de St-Andiol .,.,.. . .. , ........ "....
118
\18
118
11 8
118
118
ABR~VIAT~ONS. - A. P, ,: ~:rèté préfec~oral. - ~. ; ~irculaire. ~ Les It!"ttr~s 0 et B ,uivit:s d'UD cbiffre
indiquent le Setvlce ou BUTeau d ongme. - D. S: T . . : DlrectlOo des Serv ices Tecbtl1q~e.9. - D. D. S. : Direction
Départementa.le de la Santé. - D. D. P. : Directi on Départementale de la PopulattoD.
.
.)
...
-'
,
.
/
1
50 kg de la classe 1
Pour l e Préfet et par Délégation,
,"
1
DES
VENTE DE 3 MOTEURS BAUDOIN-DlESBL! TYPE 2
La commune de Roquefort-la-Bedoule, dispose de 3 moteurs
Baudoin-Di' el tppe 2 n' 147-1-1 de 1 et 20 CV en bon état
de marche.
,
.0
."
."
.
"
~
.
�HOPITAUX DE
TEXTES D'INTËRËT GËNËRAL
D3B2-fS 7
Hos pice ..... . .
Médecine . ...... _. . . .
Chirurgie.. . . . . . . . . . . .
Matern ité....... ...
Exonération des Etablissements et Institutions Sanitaires
Le ,\tinist re de la Sante Publique et de la Pop ulation
(Direction de l' Hygiène Sociale)
à ~L\1. les Préfets,
les Directeurs departementaux de la Santé
(pour information)
les Directeurs departementaux de la Population
et de l'En!r'aide Sociale (pour exécution).
Par instruction citèe en référence qui a été reproduite dans
la circulai re n' 32 du 3 Mars 1953, diffusée sous le timb re de
la Direction de l"Hygiène Publique et des Hôpitaux, la Direction
G~nérale des Impôts a donné <l'es directh'es à ses services pour
l'application de l'article S de la loi 53-59 du 3 Pénier 1953,
selon lequel c les taxes su r le qhiffre d'affaires, ou toutes taxes
uniques de remplacement ne sont pas applicables aux institutions 011 établissements fondés par des associations sous le
régime de la loi de 1901, 'Par des groupements mutualistes régis
par l'ordo nnance -15-2-156 du 19 Octobre 1945 en ce qui cOncerne
exclusivement leurs établissements hospitaliers, ou des fondations ayant un but médical ou sanitaire et suppleant l'équipement sanitaire du pays, dès l'instant que ces institutions ou
établi ssements se bornent à une exploitation ou à des opérations
de caractère non lucratif, et sous la co ndition que les prix
jlratiqués aient été homologués par l'autorité publique.
D3B2 - PS7
Par lettre <iu 7 Mai 1953, la Di rection Générale des
Impôts a bien vo ulu me fa ire co nnaître qu'il lui paraissai t
possible {j'admettre que les cent res régionaux <Je lutte contre
le ca ncer soient assimilés aux organismes énu mérés par l'ar..
ticle
de la loi d u 3 Fév rier 1953. Ils pourront donc bénéficier
des exo nérations de taxes s ur le chiffre d'affaires et (s' il y a
lieu) de la taxe de circulation sur les viandes dès lors qu'ils
r e.pondent aux autres pr escriptions requises par ce texte (carac..
tèr e non luc ratif de leurs opémtions, et homologation des prix).
2° L 'Ad ministration des Impôts ne s'opposera pas nOn plus
à ce que les aér iums puissent bénéficier du régime fiscal appli ..
cable alLX sanatoriums et préven tor iu ms lorsqu'ils sont gérés
par un or ganism e resso rtissant à l' une des trois catégories
én umérées pa r l'article 8 de la loi d u 3 Fév rier 1953 précitée et
s'ils r emplissent les autres i ndications requises (opérations de
caractère non lucr atif, prix 'homologués).
l'
Vous 'Vo udrez bien, dès réception de ,cette circulaire, porter
les indications qu'elle 'contient à la connaissance des établisse·
ments intéressés de votre dépar tement.
E. AUJALEU.
HOPITAUX, ET HOSPICES PUBLICS
REPARTITION DES MALADES PAYANTS EN 3 CATEGORIES
Officier de la Legion d·Honneur.
VU la loi du 21 Décembre 19-1 1 Sur les Hôpitaux et Hospices Publics ;
VU le décret du 17 Avril 19-13 portant règleme nt d'Admi nistration publique ;
VU la circulaire du 1-2-1 9-1-1 portant application des textes
susvisés ;
VU le décret n' 51-121
du 17 Avril 1943 ;
du 1:1 Octob re modifia nt le décret
Nombre
'<ie lits
3 ou 4
2
2
4
3
2
12
4
2
catégor ie
1rt
Hos pi ce ..... . .
Médecin e ...... . ...... .
Chirurgie . ...... .
Matern ité ...... ..... .
catégorie
2"'''
35
2
3
72
29
20
7
2
4
4
2
2
1
MA!R1110UBS
Hospice ........ .
Médec in e .. . . .. .. . . _..
Chirurg ie ....... ... ... .
Maternité . ........... .
categori e
3mf
Hospice ............
Médecine ...........
Chirurgie ... ...... .
Maternité ...... .
280
303
124
2
5
6
3
18
75
40
4
3
5
YU les propositions de la Commission Administrative des
divers établissements publics hospitaliers ;
Chiru rgie . ..... _ . . . . . .
~ I aternité .. ............
160
15
3S
12
4
2
ARLES
Hosp ice ..............
Médecine .. ' ... , . . . . . ..
Chirurgie.. . . . . .
.\Iaternité ............
170
245
87
10
5
4
20
10
catégorie
1'"
catégorie
calégorie
2"~
55
2
4
1. 200
ROQUEVA II~E . . . . . .
22
ROGNES ..........
12
SAINT , CAiNNAT ....
20
SA INT-GANNAT ....
20
MA ILLANE ... ......
10
AUR IOL ....... ...
13
BARBENTANE ... ...
18
CABANNES . .. . . . . .
7
CASSIS...... ......
23
GA'RDANNE ........
18
LA FARE les OLIVIERS
26
MAUSSANE....... .
10
20
50
MARSE ILL E
1
2
1
2
1
2
2
2
S AUON
Hos pice ....... .
Médec ine ....... .
Chi rl1rgie ............. .
Ma ter ni té .......... .
179
57
11 0
27
10
3
15
5
7$
2
6
5
4
4
SA,INT.REMY
Hospice ..
Médeci ne .......... ..
4
15
ARTICLE 2. Il est précisé, toutefois que les lits momentanément non occupés par des malades paya nts peuvent to ujou rs êtr e affectés à des malalles assistés en cas de nécessité.
ART. 3. - M. le Secrétai re Gé néral de la Préfecture, M~M
les D,recteurs Départementa ux de la Sante et de la Popu lation,
MM . les Mai res, Présidents des Comm issions Administ rative'"
des Hôpitaux et Hospices Publics Sont chargés. chacun en ce
qui le concerne, de l'exéc ution du présent arrêté.
Marseille, le Il Juin 1953.
Hospice . ...... .
85
Médeci ne .......... _ .. .
67
Chirur gie .. ' ............ .
20
Materni té ...... _........ .
15
3
3
5
7
2
2
DEBITS DE BOISSONS ARRETE:
Officier de la Légion d'Honm'lIr
Vu les actes dits lois des 4 novembre 1940, 22 mars I g·~2
et 6 mars 1943 relatifs aux débits de boisso ns et prévoyant des
périmètres de protection auto ur de certains &Iifices ;
Vu les lois des 9 novembre 1915 et 24 septcmhrc 19-1 1
co ntre l'alcodlisme ;
Vu les arrêtés préfectoraux pris en conformité dcs le xte:;
précités ;
ALLAUCH
ISTRBS ... . ....... _
Nombre
'<le lits
(Mo nto live t)
Le Préfel des BOllcizes-clll-Riz6/Ie.
Hospice .......
A\édecine ..... __ .. _...
ARTICLE PRE.IIIER. - La répartitio n des mafades payant>
en 3 catégories dans les Hôpi taux et Hospices Publics de mon
Département s'effectue comme suit :
5
AJX
VU les avis de .\IM. les Directeurs Départementallx de la
Santé et de la PO)lulatlOn ;
SUR la proposition de M. le Secrétaire Généra l de la
P réfecture,
ARRETE:
80
79
34
LA CIOTN r
DI BI - P 4
PROPOS ITI ON DU NOMBRE
DE Mi\JLADES PAYANTS
HOP ITAUX DE
HOSP IOES DE
T ARASCON
Pour le Ministre,
Le Dir ecteur ,de l'H ygiène Sociale,
Le Préfet des Bouche -du-Rhône,
Hospice ....... .
Médecine ...... . .
P ROPOS IT ION DU NOMB RE
DE MALADES PAYANT S
3'''~
CHATEAURENAlIID
Les dispositions du wésent article ne s'appli quent pas aux
obje t~ ou prOduits livr és, ni aux services r endus à des personnes
H rangèr es à l'é tabli sement ,bénéficiaire.
ARRETE
catégori e
AUIJi\JGNE
TAXES SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES ET TAXES UNIQUES
DE REMPLACEMENT
Paris, le 29 Mai 1953.
Nombre catégori e ca tegorie
'<le lits
1'"
2"'''
Y'u l'avis de l'U nion Départementale des Syndicats llùh.'lie rs des BOllches-du-llhône dll 19 décemb re 1949 ;
VII les articles 99 et 10-1 de la loi du 5 avril 1884 ;
Co nsidér ant qu'il iml>orte decodifier la réglementation en
vigueur da ns les Bouches-du-Rhône relative aux périmt·tres de
protectio n en mati ère de débits de boissons, et de tenl r cornptfi
à cet éga rd, de l'esprit de la législation contre l'a l coo il~l1le en
même temps que de l'évolution des conditions économiqu es
Sur 'la proposition de NI. le Secrétaire Général,
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général déh~gué,
Maxime MIGNON .
PERIMETRE DE PROTECTION
ARRETE
ARTICLE PREMIER. Les arrêtés prefectoraux des 13 jan~
vier 1'943, 16 juil let 1945, 3 juin 1947,6 juil'Iet 1948, -1 déco,"
bre 1950, 18 aoÏlt 1952 et 10 décembre 1952 fi xa nt un perimehe de protection autour de certains édifices publics ou pri\'t~s,
Cn matière de d~bÎts de boissons sont rapportes et r~mplal:cs
par les disposition suivantes:
ART. 2. - L'ouverture ou le transfert de débits de boissc>I1s
de Ioules catégories est interdite autoll'r des édifices du culte,
des cimetières, hospice, des établ issemen is d'instruction putl-lique. sanatoria et préventoria, orga nismes publics cr~es en
faveur de la jeunesse et de la Sante, établissements penitc!lHaires, casernes, camps, arsenaux et tous hâtiments ot.:cupé:;
par les t,roupes des Arm ées de Terre, de Mer et de l'Air,
dans un ra yo n fixé ainsi qu'i~ suit:
à 50 mètres pOlir agglomérations dont la population ne
dépasse pas 500 ha bitants ;
à 100 mètres pour I ~s agglomératio n dont l a population
est comprise entre 501 et 1.000 habitants ;
à 150 mètres pour les ag!glomcrations dont la population
est comprise entre 1.001 et 10.000 habitants;
�à ;JI:IJ mètres IJ6lIr 1
aggl<llTlérations dont la population
est compr;,;e ntre 10.001 ~t 20.000 habitants ;
à 250 mèt res pour les agglomérations dont la population
et supérieu« à :1O.1l8O habitants.
Cette distance sera i:alculée d'après l' itinéraire le plus
rourt et de l'orte à porte.
ART. 3. Par ailleurs, dans tout le dépa rtem~"t des
Bouches-du-Rhône, il est interdit d'ou"ri r ou de transleter un
débit de boissons à une distance inférieure à 50 mèlres d'un
de!>il déjà Mistam.
La di stance sera <:akulée d'après l'jtinëraire le ,plus cQurt
et de porte à porte.
. .
.
Cette disposition est applicable à tous les deQ'1s de bOIs-
sons quelle qu'en soit la catégorie.
Toute demande d'ouye rtu re ou de t[~s(e,t ~'lIn
débit de boissons sera transmise pour examen et déciSion, a la
Préfecture, l-r-e Division, 1er Bureau :
ART. 4. -
D5 BI - rVX 0
pour l'arrondissement de M .....tlil.le, directement par If,
mairies intéressées ;
pour l es arrondissements d' Aix..et d'Ar.les, par l es mairies
intéressées sous le cou,'e rt de MA>!. les Sous-I'relets.
-
ART. 5. -
ART. Q. - M. le Secrétai re Géné ra l des Bouches-du_Rhône,
MM. les SOus-PTt;fets à Aix et à A rl es, M. le Di recteur Depa r_
Le Préf.eJ :
Signé: H. PA IRA.
SYNDICALE LIBRE
DI BI . P 0
Par un vote à l'una ni mité, l'Assetnblée Générale a acceph'
la constitution de 11' Association Syndicale autnrjsée e.t après
désignatio(l .des memtn:es du bUlleau, J'Assem blée tut clôturée.
L'Assembl ée Générale s'est -à nOu'veau r éunie .e 20 mar')
1953 sous la Présidence de M, Sa rkissia n M. (Pr<'sident du
Jour) où a eu lieu pa r vote l a constitution du Bureau.
Président : ~ \ . VAHAN IAN Sarkis ; vice-president : M
MAZMA ' IAN Pa ra mez ; sec rétai re : M. MIKAEL! AN Antoine;
,ire-sec rétaire : M. KERMIAN Gabriel ; auditeuŒ de,
cOJllptes: MM. SARKISSIAN Michael, DONIK Etienne;
Conseillers : MM. DAIŒSSIAN Njchan, MAZMA IAN Papken.
Et après lecture des Statuts de l'Association, l'Assemb lée fut
clôturée.
Le Secrétuire :
Signé: MIKAELIAN Antù;ne.
COMMUNAL
EXPLOITATION DES CULTURES PAR SUBMERSION
Les exploitations des cultures par submersion, exi O'ellt
d'importantes quantités d'eau d'irrigation dont une notable ~rû
porti on d'un tiers environ s' infiltre dans le sol et provoque un
fel èvement notable de li a nappe phréatique préjudicia ble au x
propriétés contigües soit par l'excès d'humidité persistante
entretenues, soit par les remontées de sel qu'elle provoque en
certaines ci r co nstances. Par ailleurs, lorsque ces cultures sont
riveraines des r outes et chemins, il en r ésulte une cause de
dommages importants, qui, outre la gêne et l'insécurité qui sont
ainsi apportées à l a circu'! ation, aggravent co nsidérablem cnt
les fra is d'entretien de ces voies, essentielles à la commodité de$
échanges et au confort des populations.
Il est cependant possible dans la ,plupar t des cas d' éviter
ces i nco nvénients en assurant par des ou vra ges appropnés
l'évacuation des eaux ex cédentaires vers des exutoires naturels.
L'ex périence prouve que l'éta bliss ement des fossés de drainage
de profondeu r conven able et de sec ti on en rapport avec le débit
.à collecter, am énagés à la périphérie des surfaces submergées,
pour intercepter ces eaux excédentaires sont des ou vrages su ffisants s'ils peu ven t écoul er les eaux recueillies.
Pour assur er une ef ficaci té satisfaisante, ces fossés doive nt
avoir l eur plafond réglé à au moins 1 mètre en contrebas d e~
terres ri veraines les plu s basses et en par tic ulier du niveau de
l a plateforme des routes et ch emins. Lorsque leur éco ulement
par l a simple gra vité ne peut être ass uré, une station d .. pom .
page de capacité suffi san te doit être install ée au poi nt le plu s
bas ou le m i~ux approprié pour le refoulement des eaux ve rs
---
J
un exutoire capab le de les recevoir sa ns dommage po ur les
ri ve rains d'a'VaJ (canaux et roubincs des résea ux syndic\\ux de
dessèchement, co urs <..l'eau, ~tangs ou marais, etc ... ).
Il peut cependant exister des terrains non susceptib les de
par leur si tu ation, enclaves dans des :parcelles appartenant a
des tiers différent s de leu rs proprietai res d~ recevoir un aménagement de cette nature ; en pareil cas les propriétaires devraient s'absteni r de toute culture par submersion.
En portant ces directi ves à votre connaissanc e, je vous
invite à leur donner le ma ximum de pu bli cité en attirant l'attention <les agricu lteu rs qu 'elles peuvent concerner, Sur la responsa bilité civile qu'ils encourent lorsque les su bmersions qu 'ils
pratiquent cntrainent des conSéquences dommageables à des
tier ou au domaine .p ublic, et Sur les pén alités encou rues en
application des articles 1382 et suivants du Code Ci vil - -1.71,
para g, 4 et 15 et 479, parag. 4 et II du Code Pénal.
Je crois devoir rappeler ..il Messieurs les Maires que la loi
du 5 avril 1884, art. ~17, leur fait obli gation d'assu rer le bon
ordre, la sûreté et la sal ubrité publiques par des précautions.
convenables, ces mesures étant renforcées par l'appliCation de
la loi dit 15 fév rier 1902 relati", à la protecti on de la Santé
publique.
En outre, Messieurs les Dir~ c te urs des Associ ati ons Syndica'les sont in vités à refu ser de dé!J vrcr li e l'eau aux J\\ embres
de I·Associ ati on qui en feraient lin lIsagt! contraire à l'i nterd
général. Dans ce but les di ri geants des Associations intéressées
trou ve ront tout l'appui qui leur sera utile auprès de l'Adm i nls.
trati on.
Vous voudrez bien veiller élU respect de ces tex tes et pre6criptions et me tenir inform é des réclamations ou des litiges
qui pourraient naître il la su ite de leur inobserva tio n et de
toutes les difficultés de tOIlS ord res qu e vo us pourriez rencontrer po ur en assurer Il'exécut io n.
Le Préfet :
: K PAIR ft
'ign ~
~MENT
DES FONDS DEPENDANT DE LA DOTATION DES
ÜSOClAl'IDNS f i DE LA RESERYE D.ES FQNDATIONS
RECONt:ruES D'UTILITE PUBUQUE
02 B3 . AG 3
!.lle Ministre de l'Inl<!rieur vifitt d.e laire coonallYe qu'aux
re rm ettant aux établissements en cause d.e bénéfkier de droir.
termes de nouveaux statuts-trpe étaborès par te Conseil d'Eta' .
sans modification de leurs statuts de ta prèselrte fa cult é, ce,
les etablissemenls r'ConmiS d' utiliw Ilu.blique constitué;, sous
établissements s'ils veuleot l'utiliser devront le lai re qu'à l'or-
lorme d'associations régies par la loi du 1er jl1iltet 1901 et de
casion d'autres modifications statutaires
foodalWQs sont d.ësormais babiliUis à p':acer les capitaux mobi -
cements
liers dép.endanl, pour les premiètes, de
j~T
dotatioo et, poUl
les secondes. de leurs fonds de résen'e, non seutement comme
auparavant en "aleurs nomin.atives de l' Etal ou pranties par
t'Etat, mais encpre en valeurs nOf1)inatives admises par la Ban-
(lue de France en garanties d'avallCl!j!.
Toutefois, jusqu'à l'intervention d'une mesure légi5IatÎ\·~
116
D'INTËRËT
Le Prefet des Boucll es-du-Rllône
Officier de la L':giol1 d'Honneur'
à Messiellrs les Sous-Préfels, les Maires,
Le Présiden t dll Syndical des Riziculteurs de France,
le Président de la C.G.A.,
les Presidenls des Associations Syndicales de Dessèchement,
les Présidents des Associations d'Irrigatioll _
Fait à Marseille, le Il juin 1953.
(Application de fartic\e 1) de la 10i des 21 Juin lS65 - 22 nécembre 188S,
modifiée par'ie décret du 16 DécetJ1bre 1927)
A,p,""
D5 BI - TVX 0
temental des Sen'ires de Police, M . le Comm anda nt de Gen<lar.
merie, MJ\I\ . les Maires du Département -S00l d\argés, ChaCtln
Cli ce qui le concerne, de l'exécution d u pr ésen t ar.rtlt(~ Iquj
sera inséré au Recueil des Actes Administratifs et Bulletin des
Mairies.
C@oNSTI:rUTIO~ f)'~ .ASSOCIATION
L'As;emblée Génërale des p(O,p riétaires intéu:ssès du
Loti sement du Commandeur et C~pagn.e R.assoletll', .sis il
Saint-Antoine Marseille (XV,) a eu lieu le 18 lé"ner 1953, au
siège d<UIS le tocal QIJ Temple, I..oli&sewent du C=endeur,
SOUS '~ prési"E\IMlf "" M. le ,PaSte"r At V-'kilian (,pr~dtnt du
Jour).
. .
.m,i, iait leet....e <le l'ext,rait dp Journal Ofhci.el >
au 26 mars 195,2, loi Il · 52.335, ffi ce qui concerll" .cooslJ:uction, Logement, Urbanisme et Aménagement des LotIssements
défectueux > et ayant apporté le "'"'" d'"n Q<>II eooabre de
propriétai res pour la constitution d'une Associati?n Sy.n~ical.e
Autorisée en \'ue de ~ a mrse en viabilité des quartiers VISes Cl dessus.
Parmi les 38 projlfiét.. i,es, les présents ayant atteints le
quorum plus un, l' Assemblée Générale a décidé pou r entamer
les pourparlers avec les Pouvoirs Publics.
TEXTES
Les d roits acq uis '$ont ex,pressément résen:t!s.
J
env~sagés
O lt
d' importa nts pl a-
Vous ne
Le Ministre de /'Interieur
à Messieurs les Prefets
J'ai l 'honneu r (j'attirer votre attentio n su r les dispo~itioll~
de l'a rticle 171 de la loi municipale du 5 aniJ I SS-I. modifit't: par
la loi du J 3 novembre I VJ7, conce rnant l'administration des
Syndicats de communes.
par rétablissement par suite de faits excep·
tionnels (legs ou donations).
manquerez pas de po rter
ces dispositIons à 1:1
connaissaoc.e des aSiociations intéressées.
Pour le Prefet,
Le Secrétaire Général Délégué
Maxime MI GNON.
SYNDICATS DE COMMUNES - RENOUVELLEMENT DES COMITES
Ce texte stipule en effet:
« Le Sy ndicat est admi nistr é par un Comité. A moins dl!
dispositions con t rai res, confirmées par l a décision d'institue tion, ce Com ité est c.:ollstitue d'après les règles su i\'anks :
c Les membre s so nt élus par les consei ls municipaux d~s
c comm un es in té ressées. Cilaque commune est rt'pres~nk'"
« dans le Comité pa r deux délê'g ués. Le choix uu Conseil municipal peut por te r su r tout citoyen réunissant les condition.,
« requises pour fai re partie d'un conseil munitipaL Les dl:h~
t. gués sont élus au scrutin s~cret ct il la lllajoritL' rlhsc"'ue .
c si, apr ès deux tours de scnrlin, aUCUll candidat n'ri ohtenu 1(1
c majorité absolue, il est rrocéd~ à un troisième tour, l't l'él~rC
tio n a lieu il. la majorité relative, En GtS d'egalit~ de suffrages, le plus âgé est déclaré d u. Les dclcgul:s du co nseil
« mun icipal suinwt le sort de cette asscmhlcc quant à la du rée
de Icur mandat ; mais ~n cas de suspension, de dissolu tion
du consei l municipal ou de démiSSIon de tous les membres en
exercï.ce, Ct! mandat est conti nue jU!;l)u'a la nomi nation des
ùl-Iégués pa r le no uvea u ConseiL Lt!s dtll';.!ués sorta nts sout
rééligibles. En cas de \·aca nces parmi les dt'-Iegués, par sUIte
de dt!cl-s, démissio n ou toute autre cause, le consei l munic ipa l pou r voit au rempl acement dans le d~l ai d'u n mois. SI un
<\ consdl, ap rès mise en demeure du Pr éfet, néglige ou re fu s~
de nOmme r les d~l ~gu es , lIe maire et le premier adjoi nt repré« entent la commune dans le Comité du Syndica t
Des dispositions de la loi il resulte que :
le mandat des membres du Comi té est arrivé à expiration
depuis la da te du rCIlOllYc l1 ('m~nt intégral du co nseil municipa l, c'est-à -dir e depuis le 26 avril dans les commu nes
de pllts de \1.000 habitants et a com pter du 3 mai dans les
autres ;
�_
chaque noureau conseil municipal est tenu de designer les
deux dê-Iè!!U~s
r~ulerne
ntaires qui réuniss~nt les conditions
~
~
requ ises (rocation à ~ tre eligibJe dans une cornrnune: quel-
paralyser .l'efficacité des syndica ts des communes trop SOllvent
compromise par la ca rence de cer tains de leurs membres
Je vous dema nde, enfin, d'appeler l'attenti on des mU~lici _
lit"s sur le fait que le rappel des dispositions de la loi l'allt
conque).
Je \''Ous serais donc ohligé de ,"ouloir bien i.""iter les rna ires
des commun~ appartenant à un Syndicat â fa ire pr..')céùer
d'uf!::ence, s'i;s ne l'onl d~jà fait, â la designation des délégués
du Comito'.
r ous devrez leur r appeler , en eHet, que conforrn érnent â
l'article 1ï3 de la loi municipale modifiée ~ le Comite tient
haque année une session ordinai re au m?i~ d~ m~i ,L: retard apporté dans {a d~signation des delegues nsqueralt de
DÉPARTEMENT DES BOUCHES.DU -RHONE
~:e
en deme ure et que :
RÉPU BL IQ UE
c si un co nseil.. . négli ge ou refu e de nOmmer les t..I élélYUI!s
«: le maire ct l e premi er adjolOt sont représen·tants de e. plei~
, droit , .
Pou r le Mi nistre de Il' In térieur
Le Directeur du Personnel
et des Affaires Politiqu es
Chr istia n LOBUT.
'
Numéro 25
FRAN QA I SE
25 Juin 1953
'II"
'II'
(,
,
COMMUNIQUES
1
DES
Par testament olographe du 1er octobre 1951. déposé aux
minutes de .\\" Barthflemy. notalfe il Saint-Chamas (B.-du - Rh.).
feu Lèopold r incent VIAN. domicilié à Saint-Chamas. décédé
te 18 octob re I fl52, a .fait les legs suivants :
JO.lm frs (dix mille frs) à l'hospice. de Saint-ChamaJ .
IO.lm frs (dix mille frs) à l'Institut de Do n-Bosco à Marseille.
Conformément aux dispositions du décr et du 1er février
1896, les héririers connus ou inconnus de Monsieur Léopold
r incent V IAN, sont invités à prendre connaissance du testament, donner letnr consentement à son exécution ou prOduire
leur moyens d'opposition dans un délai de trois mois à dater
du j our du présen t avis.
Lemploi de garde-champêtre sera vacant dans la commune
de Jouques à dater du 1er août 1953. les demandes de candidature seront reçues en Mairie jusqu'au 30 juin.
TABLE DES MATIÈRES
Les postu lants devront être âgés de 2'" il 45 a ns. Diplôme
exigé : Certifi ca t d'études primaires.
Le Maire donnera tous r enseignements compl émentai res
aux intéressés.
TEXTES D'INTERET GENERAL
DEMANDE D'EMPLOI
02 B3
hl .\IAUREL. âge de 29 ans. demeurant à Aix.-en- Provencc,
JO, lue du Félibre-Gaut, recherche un emploi de garde-champétre dans le departement.
bien se mettre di rectement en rapport avec M. MAUREL.
Le décret du 18 av ril 1952 qui avait acco rdé la nationali ·"
française aux. époux SZCZYGlEJI...·SOCHOVA. demeurant à
I~ D ECLN S
CI A 0
. -
Gardan ne, Cité Biver 49 D. a été rapporté par décret de
16 avril 1953, pul>lié au Journal Officiel du 17 av ril 1953.
T VX 0
TVX . O. -
Par arrêté en date du 28 mai 1953, Mo. le Docteu r André
pratiquer les examens radioscopiques en vue de la délivrance
des certificats prénuptiaux et prénataux.
. .
.
C~mm ~ssion
..•....
. .......
1953· .:. ::.:... .... ....
de réfo rme du pe r~~~~eï 1~~S~i·t~iie~ · ~ u~ · J·'~ n~é~·
SItuation des réfugiés et apatrides résidant en France
............ .
Dé . f
....................... .
Vi a Ion de la R.N. 8 en,re llollc-Bel-Air et Aix-en-Provence
:4s~o uplJ ssem e nt des règles d'emploi des explosi fs à oxy'gène liquid~· ·d·;n; · I ~~· ~a'r~i· ·r~~
a t'lei ouvert . . .. .... .... .... ,... ., ..... . ...........
. . ..
AUTORISES A PRATIQUER LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
ROUIT, demeuran t à Marseille, 15, Bd Grawitz. est autorisé à
Décret n' 53-511 du 21 mai 1953 ,...latif a
gés par' les perso nnels civi ls de l'Eta t à I~x m o~al ltdes de r em?ou rsement des f raIS enga.'.
<
OCCaSio n e leur depl acement ........... . . .
é~i:~~:r~o~ du decret-loi dll 12 novembre 1938 relati f à l a ca rte de com merçant pour les
b
FS O. P ,3. -
DECRET NATURALISATION RAPPORTE
Dl 82
S.S.D.
AC 3. -
Aù\o\. les Mai res intéressés par cette candidatu re voudront
......
..... .
1 2~
126
126
127
13 1
132
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
Par arret é préfecto ra l en date du 28 mai 1953. M. le Doc·
teux V IDAL Louis Jean, demeurant à Marseille, 53, rue Gri
gnan, est autorisé à pratiquer les examens lfadioscopiques en
vue de la délivr ance des certificats prénuptiau x et prénataux.
p
p
I~ecensement annuel des ressources colombophiles ...... . .
Règlementation de la création de dépôt de pain dans le dé· ~~;~~e· ; .~ .. ...... . .... .
~èglementatio n de la fermeture des bo ulan ge ries pendant périod; de:sc:';·~-Rh.
g
3.
,A rchi ves communales - Recolement : r appel des dispositio s ét'J'I
t·
·······,
_ Detachement de parcelles...... ...... ......
n r e. ~men aI res
o. -
A 1.
OIA G4.
~~ A
1VX O.
-
II
............
132
132
133
133
13-1
VENTE DE MOBILIER
La Mairie de SAINT-ANDIOL dispose actuellement d'u n
imJX)rtant mobilier scolaire bois en assez bon état, comprenant:
Armoires - Bureaux de Mailres - Bureaux à 2 places - Tableaux, eiC .. ., qu'elle cèder ait à des conditions avantageuses.
Se re nseigner aup rès d u Mai re.
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
Dons et legs ...... ...... ...... . .... .
Avis de concours (Mairie d'Allauch) .. , .. .
Avis de concours (Préfecture du Vaucl use) .
Pour le Préfet et par Délégation.
Le Secrétaire General :
Muillle MIGNON.
118
'kI'lluuan
NouveU-a oa M.t.u<.l..I:, 110. n.c s..i..Me
.l..c
.. ,
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~
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ET BULLETIN DES MAIRIES
VACANCE D'EMPLOI
0 2 B3
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r..2 c: l;: • 1)
, .
ACTES ADMINISTRAT ·
DONS ET LEGS
56
,
r
AVIS - ANNONCES DIVERSES
,
135
135
135
ABREVIATIONS· - A. 1). : An-fié préfectoral. - C. . Circula ire _ L I ' .
indiquent Je Service ou Bureau d'origine. _ U. S. T . . Direction des S· . eST e'htr~s D et B S\,l I \'I~S d'un chiffre
D D ,..
'. .
ervlces ec Dlques - DUS
D·
.
•
Dé par , emen '1
a e d e 1a S ante. . . . : Direction Départementale de la PopuJatio~.
. . . : lrect lOD
�TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
D2 83 • AC 3
DECRET N' 53-5 11 DU 21 MAI 1953 RELATIF AUX MODALITES DE
REMBOURSEMENT DES FRAIS ENGAGES PAR LES PERSONNELS
CIVILS DE L'ETAT A L'OCCASION DE LEURS DEPLACEMENTS.
(Rectifié selon l'insertion parue au j. O. du 19 juin 1953)
Le pr~sÎ dent d u Co nseil dt:S .\\inistres,
Sur te rapport du ministre du BlId~, du mini stre. des
Finances et du Secretaire d'Etm il la presi dence du Conseil,
\ "u l'ordonnance du 6 janv:e. 19-15 ;)Ortant réforme des
traitements des foncrionnaires de J'Etat t:t aménagement des
pensions cü"jles et militaires ;
Vu la loi de finances pOlir l'exerCl,'e 1~53 n" 53-79 du 7
le\'fier 1~53 ;
\'u le dt<rot n
45-226>' dll .j octobre 1945 relatif au>:
pour frai de depl3cement attribuées aux fonction·
nn1res ci\'ils, agents. emplopes et 0\1\ riers de l'Etat et les textes
qui l'ont modifié ;
\'u le décrd n" -H- HI59 du 9 octob:-e 19·1.7 relatif aux: parcs
automobiles des admini trations publiques ch'i1e
Vu le décret n' 49- 1620 du 28 décembre 1949 relatif au
lassement des fonctionnaires civils, agents, ouvriers et employes de l'Etat dans les groupes pour l'attribution des indemnites de deplacement ;
Le conseil des ministres entemJu.
Indemmt~s
Décrète:
TITRE l" . ARTICLE PRE..\\IER. -
Dispositions générales.
Le p résent
d ecret fixe. les
modalités
de remboursement des frais engagés pa r les personnels civils
oe l'Etat (fonc!JO nnaires. 30'ents. emp loyes et ouvriers) en ser-
vice sur le territoire- de la France mt!-tropolitaine, en Afrique du
:-lord ou dans les départements d'outre-mer, qu i sont appelés il
,e deplacer pour les besoins à u service ou qu i font l'objet d'une
mutation avec changement de r~sidence.
1/ n'est pas applicable aux personnels pour lesquels cette
matière se trou\'e regie par des text~s particuliers.
Tout déplacemen-t doit être autorisé préalablement par le·
ministre dont dépend l'agent intéressé Ou par le fonctionnai re
ayant régulierement reçu délégation à cet effet.
ART, 2. - Les frais <1e dépla cement comp , ennent
1 Les frais de transports des personnes ;
2 0 Les indemnités journalieres ;
3 Le cas êClhéant, les frais de transport de bagages et de
mobilier,
RT. 3. - Pour l'application des I..rspositions pré\'ues au x
articles ci-apres, les personnels !KJnt ctassés dans des group es
déterminés comme- suit :
Groupe 1. - Fonctionnaires dont l'i ndice hiéra rchique est
egal ou supérieur à 525 et agents dont la rtmunération ou le
salaire de base correspon d au traitement afférent à un indice
hiérar.chique égal ou supérieur il 525 ;
Groupe Il. - Fon~tionnaires dont l'indice hiérardhique est
igal ou supérieur à 330 et inférieur à 525 et agents dont la
rémunération ou le salaire de base correspon d au traitement
afférent à un indice hiél archlque égal ou supérieur â 330 et
inférieur il 525 ;
Groupe III. - Fonctionnalfes dont l'indice hiéra rchique est
égal Ou supériClir à 220 et infüieur
330 et agents dont la
"èmun~ratioD ou le salair~ Ce base correspond au traitement
a
120
afferent il un indice hiérarchique égal ou superieur à 220 et
inIérieur il 330 ;
Groupe IV. - Fonctionnaires -do nt l'i ndi ce hierarchique est
infériellr il 220, agents àont la ré nHllh.: ration ou lè sal aire de
base cor respond au traitement afférent il un indi ce hiérarchi·
que inferieur à 220 et perso nnels ouvriers.
ART, ·t - Les. conditions de rem boursement des frai dl'
déplac ement sont dëterminees en fonction du groupe dans
lequel l'interesse se trou v e classé à la cate où le déplacement
s'effectue; aucun r~pel en diminution ou en au gmelltation ne
peut être accordé à raison d'une modification de la situation
de J'agent intervenant a\' ec effet rétroactif.
TITRE II. -
frais <le transport des versonnes.
ART, 5. - Les personnels visés à l' article 1er, qw ne son t
pas auto risés à faire usage d'un véhic ule personnel, sont rembou rsés de leurs [rais de t ranspo rt pa r la plus directe et la
plus économique des voies de terre ot! de m~r.
La voie de l'air peut t:tre utilisee chaque fois que le cotît du
\' oyage aér ien est inférieur au coût total des frais de transport,
pa r voie terrest re ou mari time, majores, le cas eehéant, des
indemnités journalièr es allou ées pendant la - durée du àépla cement.
Elle peut toujou rs être utilisée lorsque le depla ce men t co mporte une traversé e maritime d'une durée exce-da nt quarantehuit theures.
ART, 6. - Le remboursement des trais de transpor t est effee
tué dans la limite des tarifs de la classe à laquelle l'agent peut
prétendre c: onf0rm ément aux indications ci-o esso us.
Lorsque la durée prévue pour la mIssion le rper met' ct (~u'i'
en résulte une économie, ragent doit obliga toirement utll lser
un billet a ll er et retour.
A. -
Voyage par yoie ; errê e,
Ag ents classés dans les groupes 1 et Il . . '
l ' cl ass e.
2· classe.
Agents classes da ns le grou pe III ....... . . . .
Agents classés dans le groupe 1V ......... .. . 3 cl asse
L orsque !e train ou l'autorail utilisé ne co mporte que des
classes inferieures à celle à laquelle l' age nt peut prétendrt'.
te rem boursemerrt ne peut e.'~:c éd er le tarif de- la classe réellement utilisée.
Lorsque le train ou J'autorail utilisé ne comporte 4ue des
classes supérieures à cellc à laquelle ragent -p eut prde.n.dre,
le remboursement su r la base do tarif de [a classe utilisee,
doit faire l'objet d,'une autorisation spéci ale de la part de l'autorité qui a dëcidé le >déplacement ; cet~ e au tor isation ne peut
être aceordée que pour le cas d' urgen ce co nsta tée ou S'I,' en
r ésulte une éco nomie port ant sur J'ensemble dcs frais ~e deplacement . Un tel surclassement ne peut être accordé en cas de
mutation avec changement <le rési dence,
· ' co mp orte le
Lorsque l'accês au trai n ou a rautorall. lltl·1Ise
,
paiement -d'un supplément de prix, le rembourse ment de ce
~ u p plé m ent est autorisé, sauf en cas de mu tation avec c hang~
ment de rési den ce.
Le remboursement du pr ix des ",,-agons-Ii ts et des sUjJplcm"nts pour l'ouchettes n'est pas autorisé ,
Toutefois, lorsqu 'un agent classe dans l'un des I!roupes 1 ou
JI aura ((tlt u S~l!t> d'ull wngon-lil il pourra, quelle que soit la
classe des wag-olls-lits dans laquelle il aura voya gt!, ohtenir le
remhoursement sur la base du prix du voyage en \'oitur~ de
1Tt: classe, majoré de l'indemnite de -d écoucher alloure dans les
conditions pr~vues à J'article 13 ci ·apres.
'
B. -
Voyage 'Par voie maritime
Dans la moins onèreu e des classes de lu xe cie demi-llIxt!
Ou de '1re flVeC supplémen ts, les agents dont I~ rëmunératiol1
oe base correspond à un indice ltllérarchique au moi ns égal
à 7QO.
En 1r e classe ordinaire, les age nts class s dans les groupes
et Il .
En 2~ classe. les agents classés dans le groupe 111.
Dans la classe tmmé&iatement inféneure il la 2~ cla sse, les
agen ts classés dans le groupe IV.
Lorsque, sur le na.vire uti lisé, la 1re classe ord inaire est
elle-m ême divisée en plusieurs catégories, il y au ra lieu de
di,oser semhlablemellt les groupes 1 et Il (indices ~30 à 700
C'xclus) en autant de sOlls-groupes qu'il existe de clltégories
dans la 1 re u.lasse ordi naire et de fai re vayager les agents dans
les .catégories corIespondant aux sous-groupes dans lesquels ils
sont classés.
Si aucu ne p lace n'est disponible dans la catégo ri e à laquelle
rage nt peut ,prétendre, celui-ci devsa voyage r ,dans la catégo rie
immédiatement i nférieu re ou, en ca de nouvelle impossibilité,
dans la catégorie immédiatement supérieure,
Les compagnies de navigation françaises doivent être utilisées de préférence aux co mpagnies ét r a n g è re~.
C, -
Voyage pa r voje aérienn e.
Les agents classés da ns les groupes 111 et IV voyage nt <Ja ns
la classe la morns éle\"éc, si la ligne comprend plusieurs classes.
Le remboursement du voyage comprend le p ri x demand e! par
la compagnie de navigation pour le transpor t des voyageur5
[Oe l'aérogare à l'aérodrome et inversement.
Le remboursement d u 'passage en avion de luxe n'est pas
auto.rise.
L'ex.cédent de baga g es peut être :cemboursé, sans que le
poids total de bagages transportés, y compris ceu x admis en
franchise par les com~agnies de navigation aérie nn e, puisse
excéd.er 40 kg par persollne.
Les cOI11.1)agnies de navi gati on aérienne .fra nçaises doivent
H re uti lisées de préféren ce aux compag nies étrangères.
ART. 7. - Le rembou rsem ent des frais de transport en
autoca r s'effectue sur la bas e des frais réellement exposés,
Les voi tures de louage ne doivent être utilisée s qu'à défaut
de voitu re publiqu e Ott de tout autre mode de tra nsport plus
économ ique et Sllr autor isatio n du fo ncti onnai re qui a ordonn é
le déplace ment. L e remboursement des frais de t rans~'1o r t es t
effectué dans ce cas sur un état certi fi é des dépenses réelles
et nécessaires faites di rec tement en vlI e de l'accomplissement
de la ntission.
ART. 8. -- L es .agents titulaires de cartes ou permis de cir
cu lation ou suscepti bles de bénefi cier, à titre personnel dt
réduction de tarif, pour queJque ca use que ce soit, Il 'ont pas
droit au rembours ement des frai s de transport pour la par tie
co rrespo ndant à l'exonérat ion à laqu elle ils Ipeuvent prden d"e
}\R1'. 9. - Sau f déroga ti on prévue par décrd en conseil def,
mintstres le rem bours ement .des f rais de t ranspo rt n'est pas
autorisé pour les dé1Jlacements effectu és il l'in te rK!\tr dll 1er·
ritoi re de la commun e de résidence ou de la ommune où
s'effectue la m i~ion ou la tournée.
ART. 10. - Pou r J' appl ica tio n des dispositions de l' article P
.ci-dessus, J'ensemble du dépaTtement ,de la Sein e est l:onsidèrlcom me formant le territoire d~"ne même com mune,
TITRE III. -
Missions, tout'nees, intérim.
ART. Il. - Les agents \"isés il l'article 1er, awelés à se
deplacer pour les besoins du senit:~ autrement qu'a J'occasfon
d'une mlltation avec changement de résidence, sont remboursés
oes <Jépenses diverses occasionnees par le déplacement (no urriture, logement, etc,) à l'ex ception dl.$ trais de tra nsport visés au
titre Il, pa r l'attri bution d ' in demnit~s forfaitai res dites de mission ou de tournée SUIvant que le déplacement s' effectue il
l'eX Térieur ou à l'int érieur du J ~pMft!Jllent da ns l.equel se trouve
la résidence ad ministrà1 i\'e de l'agent,
ART. 12. - Le taux de hase de l'i ndemnité de mission est
fixé par arrHé du ministre char gé du bud get et du ministr e
chargé de la fonction publiqu e.
Le taux de base de l'indemnité de tournée t."St égal à BO %
de celu i de l'indemnité de mission .
ART. 13. - Il est dlî une fois le taux de base pour c haque
repas ou chaque décou cher interven ant au cours de la mission
ou de la tourn ée.
Pou r l'application de J'alinea précédent, l' obligation "dt! prendre un repas 011 de découcher est établie par le simple fait que
l'agent s'est trouvé en mission 0 11 en tournée pendant la tota.
li té de la période de temp s comprise . :
Entre onze heures et quatorze heures, pour le repas de
mirli.
Entre dix ... huit heures et \'in gt et une heures, pour le repas
du soir,
Entre zéro Iheure et ci nq heu res, pour le découcher.
La mission, ou la tournée, commence.à l' heure de départ de
la réside nce prévue pour le mO)' tn de transpor t utilisé et fi ni t
à l' heure d'arrivée à la résidence. En cas (l'utilisation des transports en commun, tout retard excédant tlne demi-heure SUI
l' horaire p.révlt doit ~tre jllstifi ~ par un bulletin de la compagnie pou r être p ris en compt e dans la durée de la mission ou
oe la tournée, .
Le temps passe à bord des navires ou avions ne donne
droit à aucune attribution d'indemnité de repas ou de décou.
dher,
A~IT. 14. En cas de séjour da ns la même loca lité, pour
quelque cause qu e ce soit, l'indemnité d ~ mission es t réduit e de
20 % à parti r du trente et uni ème jOllr.
Au cune mission ne peut se prolon ger au delà de la durée de
deux mois sans qu 'avant l'expiration de ce délai il n' ait été
rendu compte au ministre des motifs de cette prolonga ti on,
Toutefois, les directeurs générau x et les chefs de servi ces
ce ntraux peuv ent substituer leur allt orisation A ce lle du ministre
en cas d'urgen ce ou lorsque des circo n ta nces particuli ères le
jl'sti!ien!.
ART. 15. - Le régim e ci-dessus n'est pas applicahle a ux
déplacements -des agents envoyes da ns des stages lrinstruction
da ns des ca mps ou dans des écoles et, d'un e man iere générale,
à to us les deplarements ro llec-rifs ou pour lesq uels la no urrit ure
ou le logement so nt fo urnis par l'administratio rt.
Ces situations dOÎ \"cnt fai re l'objet Je tt:-xtes .,art ic uliers
Ims en appJiClltion du present dec ret.
ART. 16. - A l'exceptio n de ceux po ut lesqu els des barèlTles spéciaux sont pre vus, les agents envoyés en interim dan ~
un 'Pos te situe n dehors de leur r~sid en ce perço ivent le indem_
nités "d'intènm dans les co nd itions ci -apr ès :
1" Si le poste d' interim est si t ue il l' in térieur du d6~atrt em ent
de résidence de l'agent, l'mdcmnité j ournalière d'intérim est
i:gale à l'ind emn ité de tournée allouée pO UT une journée <f t'
d~pl ace m e n t (deu.\ repas
un d~collt h er) ;
,
2- Si le poste d'i ntërim est situt! hors de la l imite du d arteme nt de r~side n ce de J'agent, 1'1Od emn ite journ alière d'i ntérim
est egaie a rjnd emnite de mission allouee pOlir U ll e j ourn~e de
+
�depl.cement (deux repos + un d';coucher) : elle est réduite
rartide 1-1 cI-dessus.
dans les conditions prt~nles
hoursés da ns la lim ite d'un e esti mation forfaitai re du mobilier
oe 20.000 francs par 150 k g ou par mèt re cube au maxi mum.
ART. 17. - Il ne peut I?tre attribué d'indemnitê de mission.
de tournt~e ou dïntérim pour les dt'':Jlacements effectu~s dans la
commune de rësi-dence de l'agent.
Pour l'application du prësent article, l'ensemble du d~p~-
ternent de la Seme est considé ré comme formant le terfl tol re
d'une m~me commune.
A RT. 2 1. - L e r emboursemen t des frais de transport de mobilier est effectu e d'après le poids ou le cubage effectivement
t ransporté (emballage co mpris) sa ns que ceux-ci pu issent excéder les maxima ci-aprês :
a
Tl r RE IV. -
Changement de résidence.
ART. 1 . - Les agents visés il t' article 1er ont d~oit, en cas
de changement de residence pronom:é dans l'i ntérêt du servÎce,
au remboursement des fiais qui en résultent, da ns les con di-
liet' il un 3\"anCement de grade ou de classe, les remboursemenTS prénls ci -d ous ne sont effeCtues _q~e partielle~lent
oans une pro;onion fixée par arr~te du minIStre t.:harge du
budgt:t et du ministre chargL- de la fonction publique_
Les a~ents n'ont droit â aucun remboursement dans tous
les autrt'S cas et notamment en cas de d~placement pour con v€:nan e personnelle et de dëplacement d'office pronon~e conf07mément à la procédure <!isciphnaire_
ART, I R -
L-agent est rem boursé de ses frais de transpo r ts
personnels c.a.ns les conditions p,-é\'ucs au titre Il _ d~1 p resent
di!<.:ret. Toutefois, la roie aerienne n'est !las autOflsee_
L 'a"enr est remhoursi:! des fr:lis de transport de sa fa mille
dans I~ mt-mes conjitions que pour lui-même_
Par famille il faut entend' e : le t.:onjoint, les en:ants à
char~e au ens ~re\'u par la If,g'islat!on sur les prestations. fa.milialt:s, le en fants infirmes vists par J'article 196 du code general
des impots, les ascendants d~s conjuints \'i\'ant habituellement
sous leur toit pt qui ne sont pas impost$ ci la SU' taxe "rogressire
L a!!ent autorise il fair~ lIsag~ de son automobile person nelle pour It::s besoins du erdce peut utiliser celle-ci pour se
1 endre a sa nouvelle rés; .. ence et pe. (oit alors les indemnités
k ilomdriques au taux correspondant à son am:ienne rtsidence_
L~s mt-mes dispositions sont applicables aux agents non
autorisés à utiliser leur voiture automobile personnelle pour le!'
besoins du en-jce, mais les taux d'indem nit~s kilométriques
sont ohlj~atoi~ement ceux pn:\'us pour le groupe B au titre V
ci -ap ·c ..
T outefois, les rem bour ements eff~ctués en a;>plication des
~ispositions des Jeux alinéas precedents ne pourront excéder
ceux: qui auraient été effectués si l'a~ent avait utilisé, avec
sa famlllt:. I~ moyens de transports en commun,
ARr , 20. - Le Iransport du mobilie: doit êlre effectué ~ ar
le moyen le olus t!conomiqtle, en une seule fois et cans le délai
ma:\ l~um de· deux ans il part ir de la jate Ge la mutation.
Donnent lieu à remhoursement les frais reellement exposes
et enumt.:rcs ci-aprl'S :
D~ménagement par
voie ferrée, - Transport, maind'œuvre, camionnage, location de caCfes et de petit matériel,
fournitures, frai spéciaux d'entretien, pourboires obligatoires,
taxes et timb,~es.
2 D~mlnagement par camion_ - Transport, main-d'œuvre,
fournitures, frais s.~éciaux d'entreprise, pourboires ohligatoi 'es,
taxes et timhres_
3' Déménagement par voie fe rrée et maritime_ - Location
~e cadres et de petit matériel, main d'œuvre et camion nage,
frais de transit, transport maritime, fraÎs spéciaux d'entreprise, assu rance maritime, frais de retou r du .cad~e vi:1e, pou rboires ohligatoires, taxes et timb res_
Lt:s frai s spéciaux d'entrep-ise sont da ns tous les cas r em -
i 22
Pou r
le conjoint
Pou r
l'Agen t
tions pre\'ues i-ap:-ès.
Lependant. lorsque la mutation da ns l'intérêt du sen'iee est
Kg
Groupe 1 ..... . .. 2.500
Groupes 11 et 111 .. 2.000
Groupe 1V ..... . .. 1.000
M3
17
14
7
P a r en fa nt
cu pa r ascendant
Ou \'r:lnl d roit
au remhoursement
d es frais
de transport
des personnes
(art, l!l)
~13
Kg
M3
Kg
2.000
14
1.500
ID
7
500
500
4
4
500
4
1.000
Le rem bou rsement des frais de transpo r t des automobiles
personnelles n'est pas autorisé pour les parcours terrestres.
Pour les trave rsées mari times, le poidS de la voit ure n'est
pas comp is da ns les max ima 'Prév us ci·dessus s'il ~'agit d'un
30'ent rë~lllièr('m~nt autorisé à faire lisage de sa vOIture auto~~bile p·o ur les be oins du ser vice et qui continue à bénéficier
de cette autorisation à son nOU\'eau pos te_
ART. 22. - A titre transitoir e, les age nts dont la mutation a
eté p rononcée antérieurement à la date d'effet du présent,décret
et qui n'ont pas encore procédé à leur -déménagement pourr~ n t
effectuèr le tran port de leu r mobilier dans la limite des pOIdsmaximum prévus par J'a'rtide 16 du décret n° 45-2268 du
~ octobre 1!'45.
ART , 23. L'a gent muté à une rési dence comportant un
100'emf:'nt meublé par J'Etat a droit au remboursement <le ses
tr:is de transport de mobilier da ns la limite de la moitié des
maxima fixés à l'article 2 1 ci- dessus_
Les agents ayant un mobilier à transporter ne
sont pas remb ou rsés de leu rs frais de tra nsport de bagages.
L'agent n'ayant pas de mobilier à transporté est r e l11 b~ lI~sé
de ses fr ais de tra nsport de bagages ou colis dans la Ilnllte
d'un maxim um de 250 kg.
ART. 2-t. -
ART. 25. - Pendant la durée du transport du Illohilier, détermio ée par la date de remise figurant sur la lettre de vo~t ~re
et la date de J'a vis po r tant notificatio n de l'arrivée 'd u mobilier,
augmentée d'une journée au départ et d'une journée à l'arrivée,
J'aO'ent est r~m bo ursé forfaitairement dcs f rais d'hôtel et de
r e ':'taurant qu'il expose par l'attribution des indemnites suiva ntes :
Pour lui-même : 1° lorsque l'ancienne et la nouvelle rcsldente administratives sont dans le même département : indemnité de tourn ée par journée com.plète ; 2 0 dans le cas cont rai re:
.
indemnité de mission par journée complète.
Pour son conjoint : deux tiers de l' indemnite allouée a
J'agent.
Pou r chaq ue enfant ou ascendant ouv r ant droit au rembo u~
sement de leurs frais de t ransport perso nn els dans les co n~l~
tions prévues par l'ar tic le 19 ci-d essus : moitié ,de l'indemnlte
allouée à l'agent.
Lorsq ue le transpo rt d u mobili er a lieu par voiture auto
mobile, le remboursement forfai taire des frais d'hôtel et de
restaurant est effectué Comm e il est ind iq ué ci-dessus sur la
base d'une durée de t r anspor t fo rfaitaire de trois journées,
_ L orsq ue le t r a n~p o rt ~ ~I mobilier est eff ec tué, au moi ns pHrtlellem ent, !par , vO ie ma ntlm e, le temps passé par les in té ressés
il bord du navi r e penda nt leur passage person nel ne donne lieu
à l'a tt ribution d'aucune mdemni té de .frais d' hôtel ou de restaurant.
. A près le 1er j ui llet HI53 ct po ur les auto risations qui n'ail.
l aien t pas éte revisees, les Indem nités kÎ l o rn étr iqu~s sero nt p ro \'isoi rement liq uidées Su r la base des ta ux prévus par l e
gr oupe B.
Qu elle que soi t la durée rée lle du transpor t du mobil ier les
indemnité p rév ues pa r le présent ar tic le ne peuve nt être ~tt ri
bu ées pendant une d urée supêrieure il vi ngt jours.
ART. :~O. - Les ta ux des indel11 f11 tt'S kilomé tr iques sont
fixes pa r arrêté du mi nistre chargé du budge t et du nlln ist rc
char "'é de la fonctio n p ubl iq ue.
Am, 26. - Un e indemni te di te « de mutat ion ;, peut êt re
attrib uée aux agents qui, ayanr il leur oharge au moi ns 1 enfa nt
o u ascendant ouvrant drui t au rem bourSem ent des frais de transpor t, se trouve nt dans l'im,possibi lité absolue de 'rei nstallcr leur
f oy er él U lieu de leur nouvelle résidence.
L 'impossibilité de se reloge r dans laquell e l'agent se trouve
placé lllal O"ré ses efforts devra etre certi fiée par le chef de ser' l ice, so us sa r esponsabilité.
•
Les t aux de ('ette i ndemni té sont fixés pa r a rr~té du minist re ohar gé du budget et d u mi nistre chargé de la fo nction
publ iq ue.
L' ind emn ité de mutation ne pe ut être attribuée pendan t
une durée supér ieure à une année â com p te r de la date de mut atio n, sa ns pouvoi r se cumuler avec l'i ndemn ité de frais
d' hôte l et de resta urant pr év ue à l'ar ticle pr écéde nt.
U ne majo ration de Ct'S ta ux est accord ée aux agents e,\crça nt leur activité habit uelle dans les zones montagneuses tell es
qu'ell es so nt défi nies pa r un arrêti! pri s t: n applicat ion d u p Tt:.
se nt texte.
T ITRE V. -
Inde mnités pour usage de 1It!hicule personne/.
AIn, 27. - Les fo nctio nnai res occupa nt un emploi bud gétaire ci e di rec teur général, di recteur ou chef de ser vice d'u n ~
ad mi nis t rat io n ce nt rale so nt autor isés à utilise r li eur auto mob il e
perso nnell e po ur les besoi ns du ser vice,
Si cette utili sation Il e se cumule pas, sauf le cas exceptionnel de force majeure, avec J'usage d'une voitu re uu parc dl.!
l 'a dmi nist rati on d not ils re lèvent, ils bénéficient d'une i n dem n it~
fo rfaitai re dont le mon tant maxim um est fixé par arrêté du
mi nistre charge du budget et du mi nistre chargé de la fonct io n pul>liq ue.
Da ns J' hypothèse où, pou r J'execution du service courant.
i l est fa it usage concurremment u'une automobile pe rson nelle
..ct d'u ne voi t ure de sen'ice, les indem nités ci-dessus sont rédui·
t es p roportionnellement aux pou'rce ntages respectifs d'utilisat io n de l'un et de l'autre de ces \'éhicules.
ART, 28_ Les pe rsonnels des se r \'Îc~s exté rieu rs dcs
ad ministr atio ns continueront à pouvoir être auto risés, par des
arrètés r evêt us des signatures du mi nistre intéresst ct du III 1·
nis tr e _ohargé du budget, à utiliser leu r \'oiture automobile
personn Il e pou r les besoins du service.
Ces arrHés détermine ront, co mpte tenu du nom bre de \'oitures de service, les catégo r ies de rfon ctionn ai res et le numhn.!
nlaxi mul11 d-'agen ts de chaque catégorie autorisés â utiliser leur
\'oit ure perso nnelle et procéderont à la ré pa rt ition des agents
ai nsi au tor ises entr e I~s ùeux groupes suivants:
Groupe A : agents pour lesquels l'exécution du ser\'Ït:e ~XI·
ge l'uti lisati on de leur voiture;
GroLlpe B : agents pour lesquels l'e xécutio n du sen·ice est
..simplement facilitée par l'utIlisation de leur voitu re...
.
Les décisions individuelles prises par les admlnlstratlon~
o u se r vices en appl ication de ces arlê tes de\ ron t ohligatoin:.m ent precist::r le nomllre nlilximum de kilol11&tres quo: thaqu>!
zqent est autorisé à parcourir annuellement, l'étendue dl: 'a
ti rconsc r ipt io n habituell e dans laquelle il effectue ses tlL-rlac,_'111ents et les caractéristiques de la voit ure utilisée.
A RT. 29. - Le s autoTlsalions tléli\'r ~es avant la puhlit.:atiu:1
d u p rése nt decrct st!ront r e\'Ïsé~s a\'ant Io! I l:r juil let I~)'~J, en
\'ue du cl assem ent de leurs béndiciaires dans les g r oup~s A
ct B susvisés. Les indemnités kilomttriques s~ron t, en tout d;\l
de ca use, liquiu ées jusqu'it Clttc dnte sur la base dl,,'s tan"
p r év us ci-dessous pour Il: groupe J\ .
ARr. 3 1. -
Le payemen t des indem nités kilomdr iques est
cffel'lll é d'après Je taux co rresponda nt à la puissance iista:e dt.:
la voit ure mentionn ee dans la décision \'isée il l'a rticle 28 CI dessus et SO us réserve des dispOSi tio ns qui suivent.
Les agents dont la ci rconsc r iption terr itor iale visée pa r LI
même décisio n n'exct:dc pa le cadre de l'arrondissement f) tI
du dépa rteme nt ne peuvent bénéficier de taux d' indemnités
supérieu rs à ceux q ui sont repec tivement pr évus po ur l es " ()
t urcs d'une puissance fiscale au pl us (-gale â 5 CV ou coml> ri se
enl re 5 et 9 CV,
ART. 32_.- Par dcrogatio n aux disposi tions de l'artic le
pré..:édent, les per onnels \'isés il l'a rticle 28 ci-dessus et q ui
" uront été auto r isés à utiliser leu r voit ure automobi le personnell e pou r les besfJi ns du service ante rieuremcn t au présent
lierret, pourro nt continuer
benéfic.:ier des i ndemnités ki lomét riq ues co r respondant tt la puissance fisca le de la voitu re qu'ils
utilisaient aH jOllr de la publ ic<J t io n d u p résent décret, et ce
j usqu'à l'expi ration d' un dél ai de deux ans compté il pa rti r de
l'aC(l uisition de ce ve hicule 0 11 d'u il an il compte r de la. p ut>tication d u présent décret.
a
ART. 33. - Les arliLies 10, Il l't 12 du décret n" 47- l 95~
UU 9 octobre 1Y.J7 sont abrogc:s_
Le fonction naires \'ises aux articles 27 et 36 du présent
déc ret, ainsi que ceux \'ises il l'artide 2Q, qui aurOnt été classes
tlans le g roupe A pou r ront, sur leur demande, bénéficier des
facilites 'CJ·e crédits prévues par l'a rticle 79 de la loi n" 47- 1.f65
du 8 août 1947.
Aln_ 34_ - L es agents ne bé n ~ficia nt pas de l'autorisation
d'utilis~ r leur vOiture p e rsonn~lle pour les besoins du ser\'ic~
pou rront néanmoins ditctuc r certaines ues missions qui leur
::;eraie nt confiees en utilisant leur voiture pt.!'isonr".:lIe, lorsque
leur llhef de se rvÎL'e estimt ra qUt ce mod.e ue transpurt est
avantageux pou r J'~ xéc ution du se r vice et sous réser\'e que les
illtéressés satisfass~nt aux l'onuitions prevues par l'article .17
ci-après en matière d'assuran ce. Il leur sera fait alors appl:cation ùes tarifs pr evus pour le g rou pe B, sans que la somm .:
qui Icur sera attribuee au titre lI'un mt:IlIC déplacement puissl..!
excéder le prix du bi llet de Lh emin d~ fer à plein tarif CO rres~
pond~tnt au kilolllt-trage pa rcouru, délns la classt! à l aquell~ leur
ùonne droit le g roul1\! dalls lcqm:1 Ils Sont placés en applÎCati'.)lI
ùu present décret.
ART. 35. - Les fonc'iullna.lrt:s et a!.!~nt s de l'E!(1t autorise::;,
co nform êment aux dispusitlOns de l'artille 21-l Li-dessus, il fairè
usage de leur \·oiture autolllobi le pttrsonnellc pou r l'executlO'1
lie kur serrit.:e ne pourront utiliser œ mou~ de transport qu..!
lorsqu'il ell résultera unc cconomi~ sur l'cnscmhle ùes f r;:lis
(s~jour et dépla..:cmellt) ot.:t.:asio nncs pour chaque mission 'JIt
tournêe. POlIT appr0cie r l'opportu ni te d'emploi de la \'oitu i\.!
personnelle, l '~vaillation du cO llt du LiL'pla.l'cment en rhcnli n d~
1er ou en voiture publ iqtl~ dcna êt re cffectllt!e ~n fonction du
pnx <.Ill bi llet à plein tarif d,HIS la classe â la(IUe'le l'êt,!! ent pCtlt
prétend re.
AR1. J6. - Les agents Je l'Etat auto risés à raire usa!!,c
pour I~s besoi ns du st'r\'i..:e de motûc)'dett~, \domoteurs 01 1
biLyc:Jdtcs fi nwt..:ur utlxili,urc h.'ur :tppa rt cnnnt pen;ui\'cnt d~"\
123
�indemnit - kilome riques dont It:"s taux sont fixés par arrEL.
du ministre cha~ du budget et du ministre chargé de la fonctIon publique.
.'\RT. 3i. - Les agents utilisant pour l'exécution de leor
sen·ke un des v~hicules personnels vises au present titre dt·
\Tont souscrire une polict: d'assurance garantissant d'une m3nière illimitée leur responsa.bilité personnellt! aux termes des
articles 1382, 13 ,t3c4 du code civil ainsi, e\'entuellement, que
la responsabilité de l'Etat, r compris le cas où ceUe-ci est
CDlYagee \;s...à-,;s de personnes transportées. Les polices de\'ront, e1l outre, comprendre l'assurance contentieuse.
Les int~ressés seront li bres de choisir I~ur assureur sous
le:: cont rôle de l'adnùnist ration supérieure.
Ils auront la faculte de contracter une assurance compJ~
mentaÎre Couvrant tous les risques non compris dans l'assurance obligatoire.
Les ao-ents Qui ne jugeront pas à propos decontracter ces
a uranees complémentaires de\' ront officiellemenl :recor,naÎtn..'
qu'lls
nt leur propre assureur pour tous les risques n..on pre·
nlS dans l'assurance obligatoire, notamment le \'0 1, J'incendi e,
les tlêgàts de toutes sortes su'bis par le \'ëhicule et la privation
de jouissance consécuti\'e à ces degâts.
En toute occurence, les intéresses n'auront droit à auCune
indemnit~ â la charge de l'administration dont ils relèrent pou,r
ùOO1m~ges subis par leur yéhicule.
ART. 3R. Les aDents utilisant pour J'exécution de leur
_ n ;ce un des ,'êhicules personnels vises au présent titre ne
pourront, en aucun cas) prétendre au remboursement, par leur
administration, des impôts et taxes qu'i ls auraitnt acquittés J
1"0ccaslOn de l'utilisation de ces véhicules.
ART. 39. Les agents autorisés a faire usage de leur
bicy'tlette pOUT j'exécutÎon de leur service pourront prete ndre
à des indemnités de première mise et d'entretien dont les tau:\
sont fixes par arrêtè du ministre chargé du budget et du ministre cha roé de la fonction publique,
ART. 40. L'indemnité de première mise est payable ~n
t.1eu:( tois ;
,\ioltié après trois mois ;
.\toitie aprës six mois d'utilisation consécutive de ta biC}'clette pour les besoins du sen·ice. Elle n'est toutefois définit:\·ement acquise aux ayants droit qu'au bout de douze mois
J'utilisation réelle de la bicyclette.
Lorsque la dur~ d'utilisation a été infé rieure à un an et
si la I.:essation de l'emploi de la bicyclette est moti,'ée pa r des
é:hsences personnelles ou a lieu à la suite d'un changernênt
situation ou de sen ice pro\'oqu~ par une maladie de l'jntê res'i ~.
celui-ci sera tenu de re\"e rser proportionnellement à la période
lestant â courir au moment de la cessation du service pour
parfair!'! une annêe entière a compter de la date du commencement lrutilis3tion de la bicydette.
ART, . U. - L'indemnité d'entretien n'cst due que pour le~
mois d'utilisation réelle de la m achine. U n'est c~ ndant pas
fait de réductio n pour les interruptions de durée au plus égal~
a un moi résultant:
Des congés de maladie ou d'absen e autorisee ;
2
De l'impraticabilité accidente!Je et reconnue des \'oies
de communication ;
3° De la réparation d'une machine dété.riorée en service.
ART. 42. - Lorsque par suite de changement d'organisation un agent ne sera plus autorisé à faire usa ge de la bit.::
clene, il continuera à recevoir l'allocation mensuelle pendant
les deux mois suivants celui au cours duquel il cessera d'utiliser
sa machine. Cette allocation supplémentaire sera suppnmee si
l'autorisation d'utiliser la bicyclelte lui est retirée a la suittd'irrégularité de sen'ice dûment constatée Ou si J'agent est
2.ppelé sur sa dt11lande ou par mesure de discipline dans un
StrH i.: ne comportant pas l'emploi de bkyclette.
124
TITRE VI. -
Modalites de payement
Le pa~tement des indemnités \'Îsées aox titreS III et V ainsi que- le remboursement <ies frais de trans_
port (titre If) sont ef!ectués il la fin du déplacement Ou mensuellement et à terme ëchu, sur présentation d'états certifié-s
appuyés, le cas éc héa nt , des pièces justificatives necessai re~
indiquant les itineraires parcourus, les dates de séjour dan r::
chaque localite ainsi que les heures de départ et de retou r a
la résidence.
Le remboursement des frais de transport de mobilier ou d.'
bagages et le payement des indemnités de frais d'hôtel et dô
restaurant sonf effectues sur présentation d'états certifiés PJl
lE chef de service de la nou\'elle résidence et appuyés des ju::-.iifications nécessaires.
Le payement des indemnités de mutation est effectué mensuell eme nt sur présentation d'un état œrtifié par le chef dt
service et appuyê des pièces justificatives nécessaires.
ART . 43. -
ART. 4-1-. -
Des a\'an es sur les payements des indemnit:ts
ct remboursements de frais prévus au prêsent décret pourron .
être consenties aux agents qui en font la demande ; eHes I~e
pourront e-xcéde r ï5 p. 100 des sommes prësumées duts à la
fin du déplacement ou en fin de mois, suivant le cas.
Dans cette hypothèse, le monta nt de l'annce est précompte
sur le mandat de payement émis â. la fin du déplacement ou en
fin de mois, à lo'appui duquel doivent être produits les éta T5:
et pièces justificatives visés à )'a rtic.le 43 ci-dessus.
En tout état de cause, la régularisation des avances doii
inten 'e nir au plus tard trois mois après le payement des ommes avancées.
ART. 45. - Le décret n" 45-2268 du ~ octobre 1945, les
textes qui l'ont modifié et le décret n· 49-1620 du 28 décembro
1949 son t abrogés.
Les textes ayant institué en fa\'eur des personnels \'ises au
deuxième aJiné..a de l'article 1er des régimes forfaitaires d~
deplacement ou des régimes particuliers de rem boursements de
trais de déplacement de\'ront, a"ant le 1er juillet 1953, faire
l'objet, soit ue nou\"'t~aux décrets en conseil des ministres !o=i
leurs dispositions doivent être modifiées ('orréla~i\'ement a cdle;
du présent texte, soit, dans je cas contraire, d'arrètês d~ confirmation pris, en application du present article, par I~ ministre
intéressé, le ministre cha r O"é du budget et le ministre cha rgé dl'""
la ~onction publique.
Passé le delai su \' isé, les frais de dep lacement ou de toui!!
nature cou\'erts par les dites indemnités forfaitaires ou par des
régimes pa!"ticutiers ne po urront plus faire l'objet d'aucun
remboursement.
ART. 46. - Le ministre du budget, le minjstre des finan·
ces et le secrétaire d'Etat à la présidence du Co nseil sonl
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'ex écution du p.rese'1t
déc ret, qui aura effet à compter du 1er juin 1953, sous reserve
des dispositi ons transitoires spéciales qui sont prérues, et st'r ~
publie au Journal Officiel de la Répu blique Fran,aise.
Fait il Paris, le 21 mai 1953.
Relie A\AYER.
Par le Président du Conseil des Ministres ;
F IXAllON DES TAUX DES INDEA\NITES
DE DEPLACEMENT
GROUPE B
prél'us par le décret n" 53-5 11 du 2 1 mai 1953
Le ministre. du budget et le secrétaire .d'Etat à 1
es'dence uu Conseil,
a pr 1
Vu le décret n· 53-51 1 du 2 1 mai 1953 relatif aux modali tés de remboursement des frais enO"!lO"és p l i
" 1 d l'E
"
13'""'0
ar es personne s
ÇIVI s e
fat a 1 occasion de leurs dép lacements,
Arrête nt:
Quel que soit le kilométrage, taux pré\'us ci-dessus dans
les colonnes 3, 5 et 7.
Dans les ZOnes montagneuses définies par l'arrêté prevu à
J'article 30 du décret, les taux ci-desslIs sOnt majorés de 3 F
par kilomèt re pour les agents exerçant dans les départeme.nts
r lassés en catégo rie A et de 2 F par kilomè~re pour les agents
~RrlCLE ,PREAlIER. - Les taux des indemn ites prévus par
les dl~rers a rtI cles du. decret n° 53-51 1 du 21 mai 1953 susvisé
sont fixés de la manIère s uivante.
ART. 2. - Tau x de base de l'i ndemnite de
l'article 12 du décret :
Personnels classes dans le groupe 1 : 640
Personnels classés dans les g roupes Il et
Personnels classés dans le groupe IV : 400
mission prévu à
F.
déja effectué par l'agent depuis le 1er janvier 1953. Toutefois,
III ; 520 F.
les liquidati ons afférentesl a ce kilométrage seront considérées
F.
remboursement des fraiS de changement de résiden ce prevu
J' art icle 18 du decret est fixé à 80 p. 100.
Taux de l'indemnité de mutatio n prévu à l'arti cle 26 du décret ;
ART. 4. -
VILLES
VILLES
de 20.000 à
GROUPES
habi lanls
.IOO.OO<J
habilants
Groupe 1 , .... , ..
G roupes Il et III '.
G roupe IV
Fr<lncs
200
t75
150
Fr<lncs
185
155
130
Les nouveaux taux prévus par le présent a rticle sont applicables à partir du 1er juin 1953, co';;pte tenu du kilométrage
.
ART. 3. - En cas de mutation dans l'i ntérêt du service liec
a un avancement de ~ade ou de classe, le pourcentage dl!
de l,lus d e.
100.000
exe rçant dans les ca ntons montag neux des départements classés' en catëgo ri es B et C.
VILLE
d'e moins de
20.000
habitants
Francs
' 170
140
110
com me définiti\'eS et ne pourront faire J'objet d'aucun rappel
en pl us ou en moi ns.
ART. 6. - Taux des
l' a rticle 36 du décret;
indemnités
kilométriques prevus
il
1" Motocyclette (cylindrée supérie ure à 125 cm3) ; 6,50 F ;
2" Vélomoteur (cylindrée de 50 à 125 cm3) ; 4 F ;
3" Bicyclettes à moteur auxi li ai re (cylindrée infé rieure à
50 cm3) ; 2,50 F .
Toutefois, pour les catégo ri es 2 et 3 ci-dessus, le montant
mensuel des indemnités kilométriques ne pourra t?:fre inférieur ft
IIne so mn~e forfaitaire de 350 F.
ART. 7, - Taux ues indemnités de premi~re mise et d'entretien prévus à l'artiale 39 du décret;
ART. 5. - Les taux des indemnités kUométriques ,prévus a
l'article 30 du décret sont fixés co nforméme nt au tableau ci •
après, les ki lomét rages prévus co mm ençant toujours au 1er jan·
vier de chaque a nn ée:
GROUPE A
1" Indemnité de premit!re mise : 10.(X)() F ;
2" Indem nité d'e n~retien ; 350 F par mois.
ART. 8. -
Le d irecteur du budget est chargé de l'e xk u·
tion du prése nt arrêtél qui aura effet à co mpter du 1er juin
PARIS
VHLLES
ct d épa rl ement
de plus de
VILLES
d e. mo ins de
de la Seine 40.000 habitants 4{J.OOO habiti\l1lS
1953 et sera pu blié au Journal Officiel de la Ilép ublique Française.
Fait il Paris, le 2 1 mai 1 95:~.
PUISSANCE
F ISCALE
1
jusqu'à Après Jusqu'à Après Jusqu 'à Aprt:s
111.000 W.OllO 111.000 10.000 10.000 10.000
km.
km.
km .
km.
km.
km.
7
2
3
i
J
6
Le Miuistrc du Budget
Jean MOREAU.
Le secrétaire d'Etat à fa Presidence dll Conseil,
Moins de 4 CV
4 et 5 CV .. , .... ,
6, 7 et 8 CV ......
9 CV et au-dessus ..
f,.
13,50
17
23
24,50
Fr.
7
12,20
8,40 15,50
Il ,60 2 1,.20
13
22,40
Fr.
Fr.
Fr.
6,70 Il,40
8,20 14,50
Il ,20 20,20
12,50 2 1,10
f,.
6,50
8
Il
12
Pour le ministre et par déléga tion,
Le Directeur du Cabinet:
Alaurice AICA IWI.
...
Le minislre des Finances,
Maurice BOURGES-MAUNOURY.
Le ministre du Budgd~
Jean MOREAU.
Le secrétaire d'Etal Ij la Présidence du Con sL'Î1
Félix GA ILLARD .
•••
11~
�DI BA, CIA 0
APPLICATION DU DECRET-LOI DU 12- 11-1 938, RELATIF A LA CARTE
DE CO"'\MERÇANT POUR LES ETANGERS
Le Prefet de Bouches,d u-Rhône
à .11. le Diru/cur Dépa rtemental des S erltices de Police,
Me sieurs les Alaires du D rpartemenf,
AI. le Chef d'Escadron CI la Cie de Gendam erie d es B .-4u-Rh.,
t'n fo mmunifation à MM . les SOlls-Préfels d' Aix el d'Arles.
l' les Sen 'iees ont été a menés à constater, lors de l'examen des demandes de ca rte de co mm erça nt fo rmul ées par
d~s
étrange r , q ue ùa ns un très g ra nd nombre de cas les intéressés
3\'aient comme ncé â exe rce r en f ait sa ns aucune autoris ation.
Certai ns même n' hésitent pas il sc réclamer de l'infr acti on
q u'ils ont ainsi commise en presentant lellf req uête comme une
r e!!\l lar isation de sii ua tio n ~.
j'ai l'h on neu r de vo us rappele r le princi pe fo rmel qui se r t
n ies pa r le Décret-Loi.
En conséq uence, j'a i "ho nneur de VO us demander de bi en
,'ouloir faîr e p rocéder à un con t rôl e sévè r e chez les commer.
çants étran O'ers afin de déceler Iles étrang ers qui ex erce nt une
profession ~om l11e rcia l e, i nd ustr iell e ou ar t isanale requérant 1.1
possession de la carte spéciale de co mmerçant.
Cetle même opératio n de""a êt re effectuée s ur les mar<:hés.
aux fins de veri fication de l a situatio n des marchands am bulants étra ng-ers qui doivent égal ement posséder une carte de
co mmerça nt.
Il me sera it agréable de co nnaître le résultat de vos inl'esti ga tions.
Pour le P réfet et pa r Délégatio n,
Le S ecrélaire Général :
Signé: Maxime MIGNON.
d elinance de la ca rte de commen~'a nt étranger d oi t êt re préal able à l'exercice de l' act i \' Î t~ pou r laq uelJe elle est demandee,
COMMISSION DE REFORME DU PERSONNEL HOSPITALIER
POUR L'ANNEE 1953
ARRET E
7me CAT EGORIE
Le Préfe l ,les Boucll es-4u-Rhône,
Officie r de ia Légion d 'Honneur.
V u l'ordo nnance du 1ï mai 1945, relath-e aux ser vices
publics des départements et Communes et de leurs éta blissements publics, notamment son article 3 ;
V u le dêcret du 19 septembre 19-17, notamment son ar-
ticle 4 ;
Vu le déc ret du 2 ",'ril 1 94~ fixant les droits des trib utaires de la Caisse Nationale de Ret rai tes des agents des Collec,
ti\'ités 10c~les et notamment so n article 19 ;
Vu l'a rrêté inte rm i nistériel d u 5 ja nvie r 1948 fi xa nt les
catégories de personnel hospital ier représentées au sein de l a
Commission Dépan ementale de Réfo rme
V u les r ésulta ts d u ti rage au sor t qui a eu lieu à cet ef fe t
le .'H>-I9.53 ;
Sur la proposition de M. le Secr';tai re Gé né ra l de la P réfecture,
ARRETE :
Arlicle j.remier. - Sont désig n~s po ur rep ~ése n te r l e~ d iv~ r
ses catéO'o ries de personnel hospitalier au sei n de l a Commls-
,;ion Detkrtementale de Rélo rme, pour l'an née 1953, les fo nc-
D cltigués liIulaires : CARON Léon, Prépa rateur H. Arles;
I\lECHI N-BLAN K Suza nne, Surveill ante S. Peti t-Arbois.
Délégués suppltiants : HERNANDEZ Fern a nd e, Surveill ante H. d' Aix;
SHUSTER Cha rles, Surveilla nt H. d' Ai x.
de
Service
\lme CATEGOR IE (o uvrier)
Délég ués tilulaires : GU IOT Ma rius, Hospices d'A ix
GRANG IER, Vve MOU Ll AS, Lingère, H. Ta rascon.
Dé/égu és suppléanls : VAN HOUTTE Odette, mai lress<buand ière, H. d' Aub agne ;
Dtilégu és lilulaires : LOMB ARD joseph, Hospice d' Is tres;
CASALTA, ép. CAS ANO VA, Comm ise A.A.P.M.
Délégués suppléanls : RENE
Germai n,
M arti gues ;
HUBERT Huguette, Comm ise, H. Salon,
126
Délégués liIulaires : F ILl P,p1 Gina, Préposée H. La Ciolal;
VIAL Félicien, Servant, Sa nato rium.
va nte H_ Marti gues
Commis
H. de
r at te nu à VOllS ad resser « in extenso» le text e de la
ci rculaire du 26 Mai 1953 de M. le Mi nist re de l' In te r ieur e l~
raison de son importam:e et du ca ractère délicat de Son a,pplicatio n.
Elle consti t ue, au demeura nt, la nouvell e ohart e etes ré fu gi é~
et apatrid es, catégorie à la fois co nsidérable et dig ne d'intérf: t
d' étrangers q ui resident Sur le ter ri toi re fra nçais.
j e vo us demarrde de VO LI S y référer pour toutes les fo rm alités ad ministratives te ll es que deman des de car te ou de renou\'ell ement de ca r te de séjour présenté es par des ress ortissa nts
de
l ' O , F. P . I~ . A,
Pou r le Préfet et pa'r déléga ti on,
Le Secrétai re Général,
Ma Xi me M"GNON.
.'.
Paris, le 26 Mai 1953.
Circulai re il MM . les Préfel s (Métropole et Algé rie).
tect io n des Réfu giés et A'Pa t rides char gé d'assurer la pr otect ion
de ces deux catégories d 'é trangers résidant su r notre sol. L~
décret d ll 2 Mai 1953 a préc isé le rô le et les attributions de
cet orga nisme. D'aut:-e par t un e Co nventi on Gé nérale sur Its
réfu giés a été conclu e <i Genève le 28 juillet 1?5 1. Cette Conve ntio n si gnée par la France le Il sep tembr e 1952 e.s t ac tu ellement so umise à la ra tifica tion du Parl ement; ce rta1ll es de ces
dis:posi ti ons sont toutefois visees da ns la loi du 25 Jui llet 1952
et sont en co nséqu ence, dès à présent, appl icables Sur not re
t erritoi re.
L a présente ci rculaire a pour objet <le VO liS fai re part des
in novatio ns et modifications interve nu es et de vo us donne r des
d.irectives pour l'examen des cas de réfugiés ou apatrides qui
peuven t êt re so um is à \/OS ser vices.
T IT RE 1
j
TUDELA Pierre, Ser vant Sana tori um .
Art. 2. - M. le Secréta ire Gé néral de la Préfecture esl
cha. gé de l'exécution d u p résent a rrêté.
6me CA TEGO RIE
Ces deux textes so nt consécutifs à la nouvelle Conventi on
générale su r les Réfugiés co ncl us à Genê-v e le 28 juillet 195 1
et sig née par la France le Il septe mbre 1952.
La loi cfu 25 jui ll eet 1952 a créé l'Office Fra nçois de Pro-
j AUME Ali x, infi rmiè re H. T a rasco n.
Délégués supp/éa nls : CARCA ILLON( ép. BODU IN, Ser-
Delégués suppleanls : BOYER Pierre, Rédacteur Hospice
d'Arles ;
\l' ALTHER Henri, Rédacte ur A.A. P.M.
Ce tt e codi fi ca tion a été re ndue nécessaire à la suite de la
pro mulga tio n de la Loi du 25 ju ill et 1952 créant l'Office Fran çais
de Protec ti o n des l~éfu gi és et Apat rid es et celle d u Décret du
2 M ai 1953 p récisa nt les att (ihutions de cet Orga nisme.
mi èr e, H. M arti g ues;
10me CAT EGORIE
Chef
Ce tt e circulaire ::omport t: la cudifica tion des instructions
, isant leS' étrangers réfugiés et apatrid es qui rësi dent en Franct:
ou qui y pénètreront ultérieurem ent en cett e qualité.
Di!ltigués lilulau es : BOURNIER Edwi ge, sage-femme, II.
Salon ;
BOISSIERE T ony, infirmier, ' d'Ar,les.
Délégu és suppélanls : P EYSSON, ép. FO UQUE, in fi r-
5me CATEGOR IE
Délégués liIulaires : BLANC André,
A.A.P.M. ;
DESSOIS Paul, Directeu r B. B., Aix.
j'ai l' honn eur de vous ad resser, ci-après, le texte d'u ne
récente ci rculaire de M . le Mi nistre de l' Intérieur relative il la
situati on des réfu giés et apa trides r~sÎ da nt en France.
8me CATEGOR IE
LECHEVALLIER Aimée, Cuisi niè re, H. La Ciotat.
t ionnai res ci -ap rts énumér és:
SITUATION DES REFUGIES ET APATRIDES RESIDANT EN FRANCE
Le Préfet des Bouches-du Il hône
il MM . les SOus-Préfets d"Aix et' d'Aries
MM. les M aires et Commissai res de Police du
Déparl emen t.
T o ut exercice anticipé est un d él it passi bl e des sancti ons pr~
de base au dec ret-l oi du 12 no\'embre 1938, à savoi r que la
B3B2, FSO
DI B3 ' P 8
Fa it il Ma rseille, le 18 j uin 1953 .
Po"r le Préfet,
Le Secrélaire Général
Signé : MaximeMIONO N,
SITUATION JURID IQUE ET ADM'INISTRAT IVE
DES I~BF U(j I ES ET A,PATR IDES
l'
Rôle el allribu/'ions de l'Offi ce François de Pro/crtion (J,'s
Réfugiés e/ Apatrides.
La prot ecti o n ju ridique des réfugiés et apatri des est dés~~
mais assu rée par l'Office Fra nçais de Protection des !~ ~f ll gles
et A,patrides (O. F.P.R.A.) il qu i sont reco nn ues et conferees les
att ri butio ns qu'avait précédemment la délégation pour la France
de l'or o-ani sme inte rnatio nal pour les rt: fu giës. Son si êg e est
à Pa ris, 7, rue Coper l1l c (1 6~) .
C' est nO tamll1ent rUffice ll ui a seul ,,:o Jll pé t~n ce pour détermin er la qualité de réfugi e ct dt:li v rl'r Il' cas échéa nt aux intélesses un certifÎl: at att estant ce tlè qllallé, Vous vo ud rel bien
trouver en annexe un moacle de ce certifi cat, ai nsi qu'un spécimen de la signat ure du D irec teur et des Ilauts foncti onnai res
de cet orga nisme Ihabili tés il si g ner les ce rtifi ca ts.
Il convient de n ot~r quà' la différel1 L'e de rO.I. R. la co mpeten ce de r O.F.p .R.A . s' êtend égalemen t au x apatr ides. T outes
les co rrespo ndances qu~ VOliS adressiez precédemment 'il ce
sujet au M inistre des Aff aires Etra l1 g~ res (Directi on des Affaires
administ rati ves et sociales) devront à l'avenir être ad ressées
b I"O.F.P.R.A.
En ce qu i Co n ce r n ~ I~s r ~ fu gi és pro'p r e m ~ n t dits l'a rticl e 5
de la loi du 25 ]:uillet 1952 a prevu en cas d e refu s par le Direc-
tellr de l'OJF.P .R.A . de la recollnaissance de la qualité de ré fu gié,
la possibili té d'un re co urs deva nt une co mmissio n spéCiale qU I
St at ue en <lern ier ressort .
La nou velle conve ntion et la loi du 251 ju illet 1952 o nt
al>porte d'assez sensibles modifica ti o ns au régime antérieur en
donna nt une dêfi nitio n à la fois plus précise t::t plus lar ge du
réfugié et en co nférant li n statu t int ern atio nal à de nouvell es
ca tégories d'é trangers qui, jusq u'à ,présent se t ro uvai ent excl ues
du bé néfice des co nve ntions intern ationales ant érieures.
En effet, seuls les réfugiés NANSEN, les réfu giés espa g nols
et Il.!s réfu gies en p rov enan ce d' Allemagne bénéfi ciaient de
l'en semble des dispositio ns p. év ll es pa r lés accords internati onaux. La nou ve lle co nve ntion est d'une por tée bea uco up plus
large et le statut peut ê t r ~ accordé à to utes personne vic time
c d'événements survenus ava nt le 1er jan\'ier 195 1 . Il Convie nt toutefois de so ulignl'r lju'en signant la cOIl\'t ntio n, le
gouvern ement français, co nformêmtn t a la possibilite qui était
offert e à chaq ue natio n) a lim ité, en ce qui co ncern t::, la portée de
la co nvention aux vic tim és d' év(:nemen l s surve nus le 1er ja nvie r
195 1 en Europe seul ement.
To utefois, la loi dll 25 j ui llel 1952 place l'e nsemble des
réfugiés sou s la protec tio n j uridiq ue de \' O.F.P , I~.A puisque
J'art icl e 2 de ce tex te précise q1l e « l' Office Français de Protection des Réfu giés et A'pa trid'es reconn ai t la quali té de réfu gie
il toute p ersonne qu i rd èv e du ma ndant du Haut-Co mm issaire ».
!I ~ n rêsulte qu e, sa ns bénéfk ier ell Fran ce de l'e nsemble des
disposi tio ns de la co nve ntio n les perso nnes o ri g in ai r ~s de pays
~i tu és hors d'Europe peu ve nt, le cas eL: hta nt , se voi r rec nn aitre
la qualité die réfugiè ; Sur le ,plan ad ministratif, leur cas doit
être réglé <l' une manière ana logue ~ ce lu i des rtf ugiés couve rts
r ar la Co nve ntion ; un di rt ercO\:e Sera toutefois marquc!:! pal
la nature du cert ifi cat qui leu r Sera délivré par l'O. F.P.R.A. et
<.t ui précisera q u'il s'agit de perSOIlIlt' rele \'a nt du mandant d u
Haut-Co mmissai re.
L'a rticle 1er de la COllvention du 2H Juillet 1 ~)5 1 dÙI1Il~ d'autr e pa rt, la défi nition du term e
réfugie ». Indépendamment
des per so nn es répo ndant aux definitions t:o ntenucs dans le::,
CO ll ventions et arrange ments a n t~ r ieurs, la qua lite de r(ofll gi~
peut êt re reCO nnu e à toult: persol1nt'
qui, par sUIte lr(oVl'nel11 ents sun'enus ava nt le 1er jal1vler I Y51, et craig- nant avec
raiso n d'être ,persécutées du rait d ~ sa race, de sa n~·llgiOfl, de
sa nationalité, de so n apr artenancc il un ce rtaill g roupe social
011 de ses opi nio ns politiqul's, sc tro uve ho rs dll pays don t elle
il la nationa lité et qui Ile peul ou, du fait de l'elte I.: raillte, ne vcut
se réc lamer de la protel'liol1 de Son pays ; ou qui, SI elle n'a
pas de nationa lité, et se tl ou\'e 110 rs du pays dans lequel cll e
avait sa résklence habituelle, il la suite de td évi::nement, ne
peut ou, en raiso n de la dite cramte, ne veut y retourne r ...
Toutefois, certaines catégo ries d'ét rangers ne peuvent se voi r
�accorder le statut de réfugié (personnes ayant commis un crime
l'ontre la paix ou un crime de guerre ou étrangers qui ont commis un crime grave de droit commun en dehors du pays <facc\leil avant d'y ~tre admÎs comme réfugiés),
Les crit~res prévus par !"octroi du statut de refugiés étant
plus larges. il en rësulte qu'en dehors de quelques cas e.xceptionne1s, touS les ét rangers resldant en Fcance doivent normalement être rangés dans l'une des trois ca teoories suÏ\'antes :
nationaux, réfugiés ou apat rides.
Il ne sera donc plus établi désormais de certifi cat c d'asile ,
jusqu'alors délinés aux errangers qui, résida nt en France anterieurement aux é\'ènements qui se sont prod uits dans leur pa ys,
ont perou la pr otection de leur Consulat.
Il peut arri ver toutefois, que des parents proches d'un
réfugiê (é.pouse ou ertfants) sans avoir eux -m~mes cette qualité,
ne peuvent obteni r en Fr ance un passeport national. C'est le
cas notamment de femmes ou de jeunes gens venant d'Espagne
rejoindre leur mari ou leur père et mère réfugiés en France,
Dans cette Ilppothèse l'Office délivre une altestation dont un
mod~le est joint en annexe certifiant la nationalité et le lien de
pa renté de l'intéressé an~ c un réfugié. Il vous <\ppartien dra alors
de porter la nationalite indiquée sur l'attestation 'à la rubriqu e
cor respondante de la carte oe sejour: un titr e de \'oyage pourra
r tre délivré dans le cas où les intéressés seraient da ns l'obligation de se déplacer hors de nos front ières.
D'autre part, certai ns étran gers établiS en France qui ne
peu\'ent être considérés comme apatri<ies se trouvent cependant
dans lïmpossibilité d'obteni r un passeport national ; c' est l e ca s
notamment de personnes de confession israélite originaires dt.::
pays du Moyen-Or ient. .
Il est alon; déli\'Té par I·Office un certifica t « de présumée >.
Il est entendu qu ·en dellors de cette mention portée à la ruorique e nationalité :t su r leur cart e de sejour et de l'établissement
eventuel d'un titre de voyage tenant lieu de passeport, ces
étrangers ne peuvent prétendre au bénéfice d'aucune des dispositions des conventions sur les réfugiés.
Il. - ROLE DES PREFECTURES ET DES SERVICES DE
r- OLICE DA,NS L'EXA.\IEN DES DEMANDES DE CARTES DE
SEJOUR PRESE TEES PAR DES REFUGIES OU APATRID ES.
A)
Etrangers résidant en Fran ce antérieurement à la reconsance de leur qualite de r éfugiés.
Aucun problème particulier ne se pose en principe lorsqu'il
s'agit d'étr angers résidant r ~gulièrement en France et qui obtiennent par la suite un certi ficat de réfugié ou d'apatride,
La carte de sejour doit être rectifiée pour tenir compte de
la nouvel1e situation des inté ressés.
Dans tous les cas où vous estimeriez, compte tenu des renseignements en votre possession, qu ·un ét ranger muni du certi ficat de rdugié ne parait pas pou voir prétendr e à cette qualité,
il vous appartiendrait de me saisir immédiatement de son cas,
en me communiquant t outes les précisio ns nécessai r es pour
permettre d'en saisir rO.F.p.R.A .
B)
Elrangers arri,'anl en Fran ce el demandanl à bénéficier do
droit d' usile.
Lorsqu'un étranger demande il bé néficier du droit d'asite
tn invoquant sa qualité de réfugié, diverses solutions doivent
êtr e envisagées suivant qu'il est entré su r notre territoire sous
couvert d' un passeport ou d'un titre en tenant lieu ou qu'il est
ar rivé clandestinement.
1" Entrée en France sous couvert d' un passepOit ou d' un
titr e en tenant lieu.
Il peut se produire dans certains cas exceptionnels qu 'un
étranger arr ivé sous couvert du passeport national soit tout
de même en droit de prétendre il la qualité de ré fugié ; dans
cette hypothèse et apr ès un examen ra.pide de sa situa tion et
l~
si les arguments évoqués VOLIS paraissent valables, il VOus
appartient de lui déli vrer un~. autoTl~atio.n provisoire de séjour
indiquant expressément que 1 Intéresse dOit se mettre en ra pport
avec l'O.F_P.R.A . pour détermination de sa sit uation (voir
en annexe le modèle de ce réc épissé) : il vous est d'ailleurs
possible de saisir directement rO.F.p.R.A. si VOus le jugez
utile. Quant aux étrangers auxquels le stat~t .de r éfu gié a dcja
tté reconnu dans un autre pay s, leur cas dOit etre exami né dans
les mêmes conditio ns que celu i de tout étrallO"er qui arrive I!II
Fran ce sous couvert d'un visa de court séjour et selon II:
prin cipes fixés par ma circulaire no.1 62 du 29 janvier 1947. En
toute hypo t,hèse, soit que les intéressés viennent en France munis
d'un visa d'étahlissement, soit que vous ayiez ,décidé à titre
exception nel de régulariser leu r situation, ils doive nt être in v ité~
il. se faire établir de nouveau x certificats de r FP.R.A.
2" Clandesti ns.
L'article 3 1 de la Con vention du 28 Juill et 195 1 dispose que
e les Etats contractants n'appliqueront pas <ie sanctions pénales
uu fait de leur entrée ou de leur séjour irrégulier aux réfu giés
qui arrivant directement du territoire où leur vie, où leur libert,
étaient menacées en sens prévu à l'article 1er, entrent ou se
trouvent sur le territoire sans autorisation, sous la réserv e qu'ils
se presen tent sans délai aux autorit és et leur ex posent des
raiso ns reconnues valables de leur entrée ou présence irrégu.
lière • .
Je vous rappelle à ce sujet que ma circ ulaire n" 1165 du 27
Avril 1949 vous a dejà donn é des instructions dans le même
se ns. Il convient toutefois de préciser la portée des disposi tions
de l'article 3 1 de la Convention, En premier li eu, ell e ne s'appli·
que qu 'aux réfugiés ; les apatrides ne sauraient en bénéficiel et
ne peuvent prétend r e obtenir la rér.ularisation de leur situation
après une el1tr ~e ClandEstine ou un séjour irr égulier sur notre
territoire,
D 'a utre part, l'a rticl e 31 ne peut s'appliquer que da ns le CJ:-,
où le réfugié arrive directement du pays où sa vie, sa liberté
étai ent m e na cé~s : des ooursuites peuvent donc êt re e ~ t reprises
lorsque des infractions de cet ordre sont commises par des
r éfugiés qui r ésidaient aupara vant sur le territoire d'autres pays
où ils avaient obtenu le <iro it d'asil e, Sans rp erdre de vue le
légiti me souci d' assurer le respect de la réglementation existante
et le maintien de l 'ordr e public, il convient toutefois de Jaire
preuve de compréhension et d·humanité dans l'examen de ces
cas ; c'est ainsi qu 'il n'y au ra pas lieu , en pri nClpe, d'engager
des poursuites contre des réfugi és qui fu yant leu r pats d ' ori~ne
n'ont fait que traverser un autre pa ys ava nt d'arrrver en IFrance,
Enfin, l'artide 3'1 fait une obligation po ur les réfugiés de
se présenter sa ns délai aux autorités du ,pays où ils- <lemandent
asile, Je ne puis sur ce point que vous inviter à vous reporter
aux prescriptions de ma circulaire n" 165 préci tép ,
Il résulte des dispositions de la Co nvention <l e 1951 que
le premi er acte que doit accomplir un refugié à son (l rrivée en
Fran ce est de se prése nter aux autorités admin istr atives ou de
J.:olice ; l'Office ne pourra qu'ensuite examiner leur situation,
En conséquence, il vous appartient, dès que vous êtes saisi d'un
cas de ce genre, <l'accorder au r éfugié une autorisation pro\'Isoire de séjour à moins que l'exa men de situati on auquel vous
l'aur ez soumis ne vous apporte la preuve ljU ' i1 ne s'agi t pas,
en fait, d'un réfugié politique, Il conviend ra de l' inviter à s'adres'
ser aussitôt après à l'Office : une mentio n dans ce senS devra
êt re appos~e sur le r écépissé ou sur l'autorisation pro visoire dt'
séjollr qui sera -délivré (voir en ann exe le modèle de ce récépissé). En attendant que l'Qffice ait statu é, il vous ",t loisible
de réduire il la circon scri:ntion de votre choix )a validité tem·
toriale du titre de séjo ur s'il vo us parait ind ispensable de SOI~·
mettre l'intéressé à une sur veillan ce particuli ère, La rég~llaf1'
sation définitive <le la situation de ces étrangers po urra Intervenir après exa men de leu r cas par l'Offi ce. Ce t organisme
disposant d' un délai de quatre mois, I. s intéressés dev ront être
m,unis, ,en attendant, d'autorisations de séjour mensuelles ou
tnm~stTlell~s ~\'ent u e ll l! m e nt renouvelables leu r permettant, le
ca,s ('-lC~éant, <1 effectuer .des demartfhes pOlir t rouver un emploi
afm d assu rer leur subSistance
VOliS mett rez a· prof't
l ·
1 ce d"
~ al
"
pOlir effec~uer une enqu ete plus co mplète Su r ces Hra ngers et
pour e~a mll1 e r, ell a,ccord avec les services de la Main-d 'Œ uvre
Etrangere. ~~ !es ,.Dlrections Dépa rtementales de la Population
leur possibI lit e d Installal ion sur notr e sol.
TITRE Il
COMMISS ION DBS RE COU RS
. ,L 'arti cle. 5 de la Loi du 25 Juillet 195 1 a institué un e ComnllSSlOn spéCia le chargee d'examiner deux so rt es 'de recours q e
li
peuv ent formuler les ëtra ngers :
- re cours contre les. décisio ns du Directt::ur de J'O.F.P.R.A ,
r efusant de leur reconnaltrc la qualité de réfu gié ;
-:- r~.co urs contre les megures administrati ves prises contre
les r efuglcs.
Le décre t du 2 .Mai 1953 a fixé la procéd ure devant cette
Commission,
0
1
Recours contre les d écisions du Directeur d e l'O ,F.P.R,A.
refusant de reco flflailrr: la qualit é de réfullié.
~i mon départe ment ni nos ser vi ces n'ont cl i nt ervenir dans
la, Circo nstance, Les décisions de rejet prises par l'Office à
J' e~a,rd d'étr~nge rs résida nt dans votre dtpartement vous seront
notifiées ; d a.utre pa rt, si aucu ne décision n'est intervenue au
bout de qu at re mois, ce silen ce eq uÎ vaut il un rejet. Dans l'une
ou ,l'a utre de ces l1yp othcses l'étran ger dispose d'un -d élai d' ull
mOIs pOlir présenter Son recours ; il vous appartiendia dOIl(
"'\' a n~ de statue r défin itivem ent sur le cas de l'étran ger en cause
de lUI accorder une autori sation de séjour pendant ce nouveau
d~ l ai. et, s'il a formé un recours, jusqu 'à la decision de la CommiSSion, L es décisio ns prises par cette Commission ne sont
susceptibles d'au cun re co urs,
2" Recours contre les
l' égard des réfugies.
sanctions
adminÎslrali11es prises
1/
En raiso n des term es tr ès généraux des arti cles de la Convention, ~.es recours p eu vent pratiquement être formul és par
les réfugies contre tOlites les mesures administrati ves : refu s
~e ,séj?ur, refou lement, expulsion, assig nati on il rési dence, ou
limitatIo n 'Ci e la validité territoria le des ti tres de séjour.
La Comm ission saisie de r ecours de ce t ordre n'a pa s dt!
pouvoi r de décision j son rôle co nsiste à émettre un avis sllr
le mai ntien ou j'annulatio n de la mes lITe età en faire part ;1
man D épartement.
Le réfugié disposé d' un délai d'une semai ne pour sa isir
ce! orga nisme, le reco urs est immédi atement transmis à mon
Departement qu i doit fa ire ,part de ses observations dans les
dix jours sui va nts, Etant donné la br ièveté de ce délai il
importe que vos ser vices soi ent en mesu re de me fo urni r à
tout moment un rapp ort détail lé sur les étrangers en ca use.
A cet te occasion, je tiens à appeler to ut partic ulièrement
" otr e attention sur les mesu res de refus de séjo ur ou de refo ulement que VOtlS êtes amenés à prendre à l'encont re de réf ugiés résida nt en France et déj à pla cés sous la protceti)n de
l 'O,F,P.RA, II con vie nt d'exami ner les cas de ces étrange rs
avec le maximum de bienveill ance et d'humani té compatibl e.'.
avec le mai nti en de l'ordre public, L'expér ience prouve q u ~,
dans de très nomb réux cas, les réfugiés établis en France et
frappés dt: refus de séjou r ou de refoulement ne peuvent pr atiqui;'ment pas déferer à ces mesures ; i ls se trouvent alo r3
placés da ns une si tu ation précaire 1eur interdi sa nt toute pOlisibilit~ de trou\"er un emploi réguli er leur permettant de subveni r
normalement à leurs besoins I!t à ce ux de leur fami lle ; ils;
risquen t ai nsi de tomber à l a charge des ser vices d'assistanct
il moins qu'ils n'en vie nn ent à vÏ\~re en marge de nos lois r T
règlements Ou à commettre des délits plus graves troubl ant
ai nsi plus sérieusement la sécurité int rieure qu'ils ne l' ava ien t
fait précédem ment, A moi ns de fai ts présenta nt un sériel.l '<
ca racthe de g ravité ou d'une mauvaise volonté éviden te il
convient que vos se rvices s'efforce nt, en accord avec les a utr e.~
services intéressés, tels que les directions départementales du
Tra\'ail d de la Population ou le Se rvice Social de la Ma1nu'Œuv re, de trou ver une o",:cupation stable aux réfugiés et dl!
kur permettre d'avoir des condit ions de vie normale.
S'il est nat urel d'oppose r 1\11 rdus de séjour à un ét range r
qui peut sans difficulté regagner Son pays d'orirrine dès lors
qu'i l ne peut justifier de raisons valables pou r '=s' éjou rn er en
France, i l convi ent de ne jamais pe rdre de vue qu'un réfugie
se trouve placé dans une situatio n absolument différente I!t
q~e ,des effo rts tout part iculiers doivent être faits pour parvenir a les recl asse r et il les stabilise r.
D'autre pa rt, da ns toutes les propositions d'expulsion qUI!
\'OUS m'adresserez, il conviendra de me préciser s'il s'agit d'un
réf uO'ié pOlitiq ue et cie me fou rnir le plu de précisio ns poss ~
bles, non seulement su r les faits qui l ui sont reprOChés mais
sur so n comporrelllt:nt général. Ainsi que je VOLIS l'ai i lld iqu~
pré-céde mm ent la Comm ission cré ée par la loi du 25 juillet 1952
n'emet qu'un avis sur le maintien ou l'annula tion des sa nctions administrati ves j l 'artI cle 5 de cette loi prévoit toutefOIS
que
II! reco urs es t suspensi f d'exécution ,., En conséquence,
el en dehors du cas des arr.? tés d'expulsion pris selon la proc&,hl're li 'urge nce absolue, il co O\'ic mh a, lors de la noti fic ation
des déci si ons prises, d'accord er aux intéressés un su rsis d~
quinze jours ; i l vous est d'aill eurs possible si le comportement
de cet ét ranger vous parait l' imposer de prendre des mesures
de sécurité qui vo us paraîtraient nécessaires telles que rédu ction de la \'alid ité territorial e de j'autorisation de séjour, poi ntages fréq~ e nts a un commissa n at de police ou une bri gade de
gendarmene ,
Je vous précise d'autre part que les garanti es prévues par
la loi du 25 juillet 1952 ne concernant que les réfu giés qui sont
cn possession d'un cer ti fic at déli vré par l' O,F.P.RA, en
c! ehors de cell x to utefois qui vien nent d'a rr h'er su r noire '3 01
et feraient l'obj et d'une mesure de refus de séj our pou r en t rée
clandes tine j j e vous ai c! 'aill eur i ndique ci-dessus l'att itude
qu 'il convient d'obser ver à leur 'éga rd , Il cst bien évident
d'a utre pa rt, que ces clisposi ti ons ne j ouent pas en ca s de
l efo ulement dès le passage à la f r o n tiè r ~ (à moi ns qu 'i l ne
~ ' ag i sse de la fro ntiè re d u pays qu'ils ont dû fuir) ou en cas
d ~ r efus de séj our ou de mfou lement d'un réfugié déj à bénéficiai re du droit d'asi le dans 11 11 autre pays et qui est enco re
en mesure de retourner J ans ce pays.
Je VOLIS serais obl igé de vei ll er à l 'applicat ion stricte d ~
ces prt.::sni ptions par les se rv ices placés sous \'o tre autor ité en
leur rap pelant d'examiner ces cas da ns J'esprit d' humanitë et
dc bienveill ance confo rm e aux traditio ns d' hospi talité de no cre
pay ,
Le Ministre de l' Intérieur
Signé: C. BRU NE.
�ANNéXE IV
..INNEXE 1
REPUBLIQUE FRANÇAISE
Page 4
REPlJBLlQUE FRANÇA ISE
Validité prorogée pour trois ans à partir du ... .. ....... . .. .
MINI STERE DES AFFAIRES ETRANGERES
Le Directeur de l'Office.
Jlh ulogr.lph iel de
profil dr oit et
Le DirectelU de l'Office.
Article ' 16
du
décret
i ntermini stér iel
,n
52-1094 du
25 septembre 1952.
(J . O. du 27 septem!>re 1952).
Page J
Page :;:
N· d'enregistrement
Le Directeur de
Réf ugiés et Apatrides
(photographie facultati,-e)
Signature du litulaire
J'Office
Français de
que M ... . .. . . ... . ................................ .
Demeu rant à ... _. . .. ... . ... . .......• •....... . . . ... . .
Né (e) le ........ __ • _.. ___ . . . __ . ......•..... . • _ • __ '.
ft ...... .. ....
. .•..•• • ..' . • ..•. . . ' .. •. ,
. . . . . • .. . ... . . .... . .. .
fils (Jille) de . ..... ...... .•. .
elde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
est réfugié (e) (apat rid e) ..... . ...... . ... _. .. . ... . .. . . .
et qu'il (elle) est placé (e) sous la protecti on juridique el
admi nistrative de l'O Ff iCE.
Ce Certificat est va la ble :
du .. ..... . ......... . .. .
au ........... .. .. .
Paris, le ... . _.. .
Le Direcleur.
REPUBLI QUE FRANÇA ISE
Perception : Art. 14.
que Madame (nom, prénom et nom de jeune fille) . .... .
,
................ . ....... ...... .... . .... . . . .
. . .. . . .- .
. ...
..... . _..... il .... • . . , ....... ... . .
. . .. . ..
.... .. . . ... . . .. ....
. . .. . ...
de na tio nalité .... .. .. .... . ...
. .. . .. .
Délivré en vue de la régula risat ion de la situation administrative de l'intéressée.
<le
l'O. F.P.R.A.
NQ ... . .............. . ......... . .
OEVIATION OE LA R. N. 8 ENTRE', BOUC-BEL-AIR
ET AIX-EN-PROVENCE
Autorisation de pénétrer dans l es propriétés publiques et privées
closes ou non closes
Le Préfet des Bouches-du-Rholle,
tt
O ffi cier de la Legion d' Hon neur,
~nt r a ve r
AR RETE :
ATTESTE
.... ....
D5 BI . TVX 0
Sur la proposition de M . le Secrétaire Gtnéral,
Le Directeur de l'Office
auprès
( 1) Nom et prénoms. Pour les fe!i .mes mariées, menti onn er l e nom de jeune fi ll e après cel ui du mari.
Considérant qu 'il co nvient de pr endr e tout es mesures pour
que les Ingénieurs, G éo fll ~ tr t!s Agents et Ouvriers f.jui doi\'t:nt
co ncou rir à l'étu de dont il s'agit, n'ép rouve nt aut:un t: 11l ~chl:!
ment de la na ft des propri eta1ft:$ dt:s terrains sur ll:!sq ll eb cette
I:!l u je doit avoir lieu :
réfugié bénéficiaire de la Convention du 28 octobre 1933 (déc ret du 15 mars 1945),
dûment inscrit à l'Office Français de Protection des Réfugiés.t Apat rides SOus le numero ....
instance
A . . .. . . . . • . . . ...• . .... . le .... . .
Vu les lois des 22 juillet 1889 et 25 Décem hre IXIl2 ;
A la demande de M. (nom et prénom) ... . .. .. .... .... ... . . ... . . .. . .. .
. . ....... .. •...... en
NU .. . .............. .
Timbr: d e la
l\ l air ie ou du
C OlII missa ri al
Vu l'art icle 438 du Code Pénal ;
demeurant à ...... .... .... . .. . . .. . .... . ... . . .. .. .. . ...... .... . .. .. .. . .
à ....•. . .....
Le p r ~se nt récêpi ssé tena nt lieu IJTovisoi reme nt d'a ut.Hisatio n de séjour, sera va lable jusqu'au
( 1 il 3 moi maxÎmum) (éventuellement pour démarches M .O.E. )
les propriétés privées pour procéder aux études ddin itives ~ t
opêration s de piqueta ge et levers de plans de la di te aut oroute
ATTESTATION
née le .. . . . . .. . .... . .. ...... . .•... ......
demeurant à...... .... . . .. ....
est épouse de M. (nom et prénom) .... . ...
. . .. . . .. .... .... .... .... .. .. . ...
nationalité d'ori gine. . .
• .. ... .. ...•
r~sidant à ....... .. ....... . . . .• . .... . .. . . . .... . . . ...
Rue ..... . . ............ . ... ... . . . .... . ..... . . . ... . . .
Profession ...... .. . ... . .... .
de
Vu ta décision de .\1. le .I \\inistre des Travaux Pu blics, en
date d u 5 j an,' ier 1953, approuvant J'étude de la dé,-iation de
la R. N. 8 entre Bouc-B el"Ai , et Aix-e n-Provence i
Vu le rapport de N\. l' Ingénieur en Chef du Département en
date du 1er ju in 1953, exposant la nécessité de pe nélre r dans
ANNEXE III
OfFICE DE PROTECTION
DES REfUGIES ET APATRIDES
7, rue Copernic
PARIS (1&)
Tél. : KLEBER 22-05
Deli",é il M. ( 1) ......... . ............. .
né le ....... . . . . . . . . . . . . . • . .
Protectio n des
CERTIF IE
AIINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES
de renouvell ement de la carl t:! nU .... .. . . .. . . .... . .. .
cac hel
Certificat de Réfugit!
ù
RE CEP ISSE DE D5MANDE DE CAHTE DE SEJOUR
0 11
sa n s ('h al ,ca Il
OFFICE F I~ANÇA I S DE PROTECTION
DES R5FUG I5S ET APATRIDES
Validité prorogee pour trois ans à partir du . .. ......... . .. .
DIRECTION GENERALE DE LA SURETE NAT IONALE
Page 1
RENOUVELLEMENTS :
ARTj CLE P RE.\1IER . At "'- les Ingrniellrs Qhar!!~s e l'rtud~
de la deviatlon de la r~. N. S entre Bouc-Rd-Air et Aix-cnProve nce, les g-éom ètrcs, ag,ents et ouvnl;! l's places sou::; l~lIis
ordres so nt autorises il prOt:édl.:'r sur J~ terr itoire des Curnmullc.:l
de : Aix-cn-Prov ence, Bouc-B el- Air. CabrieS. aux le\ crs dl:
plans, piq ueta ge de traces, nivellemen t et autres operations
qu·e>. ige cette étud e, et. ù cet effet, il pénétrer dans les prop ri ttés parti culi~re s cOll1 l1lu na l ~s ou doma niales, d()s~s (Ill no,~
lloses, à y p lant eï des baltst:s, jalo ns, piquds, hornes, n!I)\:rc~.
fran ohir les murs et aut res clôtures ou ob tades qUI pourraient
les opérations, il pratiquer dans ces popriété des son ..
dages, ëlagages d'ar bres, d e haies, de d ô tu rt:s et en rt:!gle
générale, tous les travau x nécessaires a l'a ccomplissement de
leu r mission.
ART. 2. - 11 est interd it d'apporter au personnel chargé
des études aucun trou ble ou empühemt:nt , nÎ de déranger les
d'i fférents p iquets, signau x ou repères qu 'il établi ra.
En cas de dIffi cultés ou rési stan.ces quelcon ques, les in gt!'
nieLlrs ou le per olln el SOll S leurs ordres, pourront faire appel
aux agents de la force publique.
ART. 3. - Dans le cas oil , par suit e dcs o p ~ratio ns sur le
terrain, les propri étai res aurai ent il ::,upport er d es dommages,
l'ind emnité serait réglee, autant qu e possi bl e, â l'am iahle et si
!'acco rd ne 'pou vait av oir lieu, par le Co nseil de Préfec ture
IIlterdépartemental de .M arseille, c o n fo rl1l ~ m e n t aux dispositIO ns
de la loi du 22 j uillet 1889.
ART. 4. - lI....e présent arrl:té Sera publil' et affiche da ns le~
Co mmun es intéress ées et ins€:n, en outre, dans l'un des j ournaux du Départ ement et au Re-c ueil des A ctes Administratifs.
ART. o. - M. le ecrétai re Gé néral <le 13 Préfecture, .\\.1\
ks \ la ires d·Aix-en- Prov C'n ce. Bo uc-B el- \ lr, Cahrit-s, .'v1. . le Comma lld-ant cie Gendarmerie, sont charg-és, chac un en ce qui te
co nce rn e, de l'e xec ution du prése nt ar rêté.
Le
Pour le Préfet ,
Géncral deJégue,
Sl:crdan~
,I\a,ime I\l ON ! J.'
Le Direcltur.
13 '
130
�05 BI . TVX 0
ASSOUPLISSEMENT DES REGLES D'EMPLOI DES ExPLOSIFS A
OXYGENE LIQUIDE DANS LES CARRIERES A CIEL OUVERT
Par arreté pTéfectoral du Il .\l ai 1 93~, l'emploi des explosifs à oxygène liquide dans le carrj~res à ciel ouvert, a ~t.é
mterdit dans le département des Bouches-du-Rhône, en application de la circulaire ministérielle, série B n" 2l.: du 4- Avril 1939.
Toutefois, à rheure actuelle des
am~liorations
apportées
dans la nature de la matière absorbante et de rem'clappe des
cartouches permettent de diminuer notablement la sensibilité
au choc.
C'est pourquoi futilisatior1 dans les carri~res à ciel ouvert de
cartouches d"explosif à oxyg~ne liquide dont le fournisseur aura
certifié la ronformitê à un type qui, aprl's autorisation de fabrication dans les conditiohS fixées par j'article 600 du Code des
Impôts serait approll\"ê par les soins de M. le .:\ \inistre de l'Industrie et <le l'Energie, sur le ,·u d'un procès~\'e r ba l d'essais
du LaboratOire de la Commission des Substances Explosi,'es, ne
sera soumis désormais qu'aux règles speciales suh'antes :
2° Poids Olaxim,um de ea ~tout'hes en charge simultanément
portées par un ouvrier: 10 kIlogrammes.
Art. 6. Les infractions allX dispositions qui précèdent
feront l'objet de procès-verbaux qui seront transmis aux Tribunaux compétents_
3° Nombre maximum de cartouc hes en cha rge simultané.
ment portées par un ouv'rier : 2.
rie 50
Ill.
Dans les tirs par mines profondes, les ca rtOllohes seront
desce ndl1es dans les fourneaux avec les précautio ns nécessaire~
pour éviter tout choc.
04B3 ·CIA4
Aucune mod.ifica tion n'est apportée pour le moment dans
les exploitations aut res que les carrlères à ciel ollvert, aux res.
trictions appor tées par la ci rcu l ai r e ministérielle - Séri e B nO28
du -t Avri l 1939 pour remploi des explosifs à oxyg~ne liquide.
Le Préfet des BOl/ ches-dl/-Rhô"e,
Officier de la Légion d'Honneur,
Le Secrétaire Général,
Maxime M IGNON ,
COMMUNALl
RECENSEMENT ANNUEL DES RESSOURCES COLOMBOPHILES
Le Prtfet des Bouches-du- Rhône,
~la"es du Département.
j'ai rhonneur <ie \'ous fai re connaître que le recensement
annuel des res our es colom bophiles, pr evu par rarticJe 19 de
D4 BI . A 1
Le Préfel des BOll ches-du·Rh6Ile,
Officier de la Légion d'Honllellr,
\ 'u la loi du 5 anil 1S84,
Vu la loi du 15 fé"rier 1902 sur la protection de la Sante
publique;
Vu la loi du 1er août 1005 sur la fI:pr~ssion des fraudes;
Vu ('an'été du 15 octobre 1949 fixant les condition. d'hygiène â. respecter pour le portage du pain;
Considérant qu'il i-mporte dans l'intérêt de la santé publique d'assurer la ' -ente du pain dans les meilleures conditions
cl'hygiène possible ;
Qu'il convient également d'éviter toute fraude sur le poid,
et la qualité du pain mis en vente;
Qu'il y a donc lieu d'en reglementer le transport et l a
vente hors des boulangeries spécialem~n t aménagées et aHecfées a cet effet, et assu rant ainsi au consommateur toutes.. ga·
ranties et sécurité désirables ;
Sur la proposition du Secrétaire génér al,
ARRETE:
Article premier.
Dans le département des Bouches-d~lRhone, toutes création de dépôt de pain sera subordonnee .\
132
l'Ordonnance du 25 Juin 1:l45, n'a ura pas lieu au mois de
décembre 1953. (Télégramme de M. le Ministre de l' Intérieur du
13 Juin 1953 n" 19 1/37.308),
REGLEMENTATION DE LA CREATION DE DEPOT DE PAIN
DANS LE DEPARTEMENT DES BOUCHES-OU -RHONE
ARRETE
Le Préfel .René PAIRA.
une autor i ation préfe ctorale délivrée sous forme d'arrêt é. Les
pétitionnaires devront ad resser une demande à cet effet au
Préfet (..(.me Di vision, 1er Bureau). L'autorisatjon ne sera aC·
cordée qu'autant que l'i nstallation aura été reconnue par la
Direction D partementale de la Santé, comme répondant aux
conditions d'hygiène r églementai re.
Art, 2. - Dans un délai d'u n mois à compter de la da!\!
prés::nt arrêté, pour tous les dépôtsde pain existant, Ulll.!
demande d'autorisation devra être formulée dans l~s meme.'
io rmes que celles prévues par l'article 1er, ci-d essus.
cu
Art. 3, - Dans tous les magasins vendan t acœssoi rt'menr
pain, un emplaceme nt sera r ése rvé pour la \'ente de ce pro·
duit. Il devra se trouver complètement isol é du local où peuve nt
eventuellement s'effectuer l'entreposage et la venk d'au,tres
prOduits tels que : viandes de boucheri e, poissons, volai lles
\"Î\'antes, lég umes trais ou secs, produits de drogue rie, etc ..
dont la promiscuité ou la manipu lation ri sque de com promettre l'hygiène et la salubr ité du pain. Le pain de\'fa 2tr..: pes~
dans des conditions de prop reté impeccable.
t'U
Art, 4. - .Toute perso nne assu r ant le colportage du pai~
t'st tenue d'en faire la déclaration à la Préfecture Jans le.,
conditions prévues à l'arti cle 1er du pré ent arrl-té.
Ar 1_ 5 . -
.
.
Le transport du pain en vile de l a livraison
,h.,
REGLEMENTATION DE LA FERMETURE DES BOULANGERIES
PENDANT LA PERIODE DES CONGES
ARRETE
Pour le Pretet,
D ' INTÉRËT
à .\t\t les
Marseill e, le 12 juin 1953.
du chantier : 50 litres.
MW
DI B2 . P 0
de la Santé, Inspecteur Départemental de la Répression des
rraudes, Commandant de Gendannerie, Commissaire de Police,
sont char gés, chacun en ce qui le co ncerne, de J'exécution dl.!
présent arrêté,
Art. 7, - M . le Secrétaire gén rai de l a p'réfect ure, MM.
les SOlis-PnHets, Maires, Directeur Départemental et Inspecteur
4· Quantite maximum d'oxygène liquide prés~nte à moins
10 Poids maximum de haque cartouche en charge : fixé
l'ar la <lecision d'approbation.
TEXTES
l'acheteur de,'ra s'efft:ctller dans les conditions énoncées dans
l'arrêté prefectoral du 15 octobre 1949,
'1
Vu les article 54 F et 54 N, Chapitre IV, Livre Il du Code
du Travail, Sur les congés payés;
Vu l'article 99 de la loi du 5 avril 1884 ;
Vu l'articl e 9 ' de la loi du Il février 1950 sur les conventions collectives ;
Considérant que l'arlicle 3 1 de la dite loi précise que
« sont soumises aux ohligations de la convention toutes personnes qui l'on t signée personnellement ou qui so nt memb.res des
Organisations signatai res ~ ;
Considérant que les patrons et oll\'riers bo ulangers ont
si gné un protocle d'acco rd er'! date du 5 juin 195 1 par lequel
i ls s'engagent â fermer leu r boula ngerie 3 semaines pendant
l es périod es de congé ;
Co nsidér ant, d'autre part, qu'ils ont établi, en ce qui co n~
cerne la Ville de J\\arseille, un tour de ralliement pour cc.;
fe rmetures et qu'ils ont demandé à l'Autorité Préfectorale d'cn
contrôler l'exécution ;
Considérant, par ailleurs, qu'il appartient aux Préfets de
prendre toutes mesu res nécessaires pou r assurer le ra vitail kment en pain de la population pendant les mois d'été
Vu l'avis de A\. le J\\aire de Marseille;
Sur la proposition de M . le Secretaire Général de la Pr0·
f ectu re,
ARIŒTE:
Article prern irr. - Est avalisé le tour de rou lement dit
fe rm eture prévu par l'accord intersyndical du 5 juin 195 1, en
ce qui Concerne les houlangeries, les boulangeri es fo ra ines et
dépôts de pain du Départeme nt des Bouches-tl u-Rhône. Ces
02 B3 . AG 3
derniers seront fermés pendant les mêmes périodes que les
boulan geries qui les desservent.
Art. 2. - Pour la Ville de Marseille, les tours de ferme ..
turc sont fixés de la façon suivante:
1er tour: du lundi 29 juin au dimanche 19 juillet inclus,
2me tour: du lundi 20 juillet au dimanche 9 aoùt inclus.
3me four: du lundi 10 août au dimanche 30 août inclus,
.t.lme tour: du lund i 3 1 août ail dimanche 20 septembre
inclus.
Ar/. 3. - En ce qui co ncerne les aut res communes du
département, le tours de fe rm eture seront établis par le3
Syndicats des Maitres~Artisans boulangers en accord avec
J\\M. les Maires des commu nes intéressées.
Art. 4. - Dans les stat~o n s climatiques, touristiques et
uali1éaires du département dans lesquell es les mois d'été ami:r.ent lin affl ux de popu lation, MM . les Maires, en accord 3\ CL
les Syndicats, au ront toute latitude pour répartir les tours (JC
fe rmeture sur d'autres mois que ju i n, juillet, août et septembre.
Art. 5. - Pendant les périodes de ferm etur e, les travaux
de nettoiement et d'entretien seront réalisé dans les locaux d\~
l a boulangerie, magasi ns, fournils et d ~ pend ant.:es afin que le~
mesures d'hygiène et de salubrite pu blique soient rigo ureusement respectées.
Art. 6. - M. le Secrétaire Genéral de la Préfectu re, MM.
les Sous· Préfets d'Aix et d'Arles, AIAI. les Maires du Département, J\U\\. les Commissaires de Police sont charg-és, chacun
en ce qui le concerne, dl! l'exécution du présent arnH é.
Marsei ll e, le 5 juin 1953.
Le Préfet
René
PAll( fl.
ARCHIVES COMMUNALES - RECOLEMENT; RAPPEL DES DISPOSITIONS
REGLEMENTAIRES
Paris, le 27 Mai 1953.
Le Ministre de l'Education Nationale,
à A1~1. les Préfets.
A J'occasion des élections qui viennent d'avoi r lieu pour le
ren ouve llement de municipalités, j'ai l'honneur -d~ vous rappeler qu'un arrêté du Gouvernement ~n date du 1 9f1or~al an VIII,
complété par les circulaires du J\\inistre dt:: l'Interieur du 16
Juin 1843, 20 ctobre I S50 et 3 Ju illet 1865, et rappelé par les
instructions de deux de mes prc-décessems en date du 27 Octobre
191 9 et du 16 Mars 1953, a prescrit de 'P roc~de r, apres chaque
renouvellem ent des administrations co mmunal es, à un récolem en t de to us les pa piers, registres ct objets mobiliers appartenant aux Communes.
Les modalités <I.e cette opérati on, ainsi que le role incol11bant à cet égard à l'archiviste en chef dt.! "otre département,
ont été <iéfinis par les articles 4 fil à 65 du Règlement Général
des Archives communales du 3 1 décembre 1926 et reproduits
SOus la ru bri que < récolement » aux pages 005/ 01 et 005/07
<le la Documentation communale pltblitl~ par le .\ \in istre de
lïn t~rieLlf, Vous ,'oIll1rez hien VOliS y rl.'purtl'r.
Il me suffirade ral)j)t!ler que le prod:s-, erh.:d de déaliarge et
-de prise en charge et le r~colement Joint, d(lj"cnt ~tre dahlis en
triple exemplaire , lin pOlir le Maire sortant, un rOllr les Archives
de la Mairie et le troisième pour la Prdedurt! (archi"es départementales), et que, dans le cas Oll le ,\\aire sortant se refusC'
à procéder à la vt-rifil:ation des archi"es, le Pr~fet dêsigne un
co mmissaire il cel effet. Les main$ continuês dans leurs fonctions ne sont pas dispenses de proceder aud'it récole ment.
Vous vo udrez bie n rappele r ces prescriptio ns aux mll:t; '~'
palités par la voie du Hecucil tles Actl!S Administratifs de votre
Préfec ture et remettre la présente ci rcul aire à 1\\. l'Archiviste
en cl1ef de vot re dénartcntcnt, qui m'en accusera la réCltpt\l l1 p
sous le timbre {fe la O·rectlon des Archives.
Pour le 1\\ il1istre et par autorisatio n,
le Directeur des Archives de France,
Charles BRAIBANT.
133
�DETACHEMENT DE PARCELLES
D5B2-TXO
." .rseille, le 9 Juin 1953.
Le Prèlet des Bouches-du-Rhone,
Il est à noter à cet éga rd que ne constitu e pas un lotis~c ..
ment au sens de la loi l es opé rations suivantes :
à .\ \ .\\ . Il's .\1aJ res du Dl'partement.
j'ai COnstate qu'un nombre tri-'s importan t de dossiers est
:-,d ress~ â mes er\"ices. tant par les Ma ires du Departement
~ue par le Servire Departemental de l'Urbanisme et de l'Habitatia.l, "isant à fai re étahli r à l'occasion de toute vente ou de
a)
ciè re par détachement de pa r(eHes, des certificats c: d'autorisa~
de rente
ou
c:
de partage
~.
tous dtmembrements
de propriété par
partacres succes..
soraux.
:.
Tout efo is, il est souhaitable que l'acquélcur d' une pa r.
celle détachée d'une propriété soit informé avant la vente des
Or, une etude attenttve de la Loi d'Urbanisme du 15 juio
sen'itudes qui peuvent gre ver le fo nds qu'i l se propose d'acqut_
19-13 etablit qu'une !elle pratique n'est pré,'ue par aucune
rir et qui peuvent r ésulter notamment de l 'existence d'un .plan
disposition de ce texte. Le principe est donc que les ventes ou
d'aménagement communal ou intercommunal approu \'é ou ~
partages ùe propriétes fonciè res sont libres, du fait qu'aucun ~
re-tude, ou d'un plan d'alilYnement.
ùisposition
C'est pourquoi, j e ne puis que .recommander la pratique
des ce rti ficats dits « d'Urbanisme >, qui a fa it l'objet de la
légale ne règlemente
la passation de
tels actes
ju ridiques.
Le seul certificat que je suis habilité il déliner en application de l a Législation en \Tigueur est celui pré\'u par l'art. 5":;)
de la
Loi d'Urbanisme du
15 juin 1943 sus-visée, qui
circulaire de ~t le Ministre de la Reconstructi on et de l'U rbanisme n° 50-265 du 13 Mcembre J950.
vise
Ces pièces seront délivrées, dans tous Iles cas, par l' Inspec-
teur Dépar temental de l'U rba nisme et de l'Habitation Sur de-
meubles compris dans un lotissement ou un groupe d'habita-
mande du vendeur, de l 'acquéreu r ou d u notaire chargi: li
~.
de propr ieté foncière, le certificat ci-dessus visé ne peut être
nt::e Marie Virginie Oabrielh:: SAUS 'l:., su nt invités à prendre
a consenti les legs suÏ\'ants :
conn aissa nce du testame nt, dOllller leur co nsente l11ent il son
exécution ou prod ui re leurs moyens d'opposition da ns un lh:lal
5O.<XX> Frs aux Petites Sœurs des Pauvres à Aix-cn-Prol'ellce,
5O.CXJO Frs GIlX Frères BénédicllIls de En-Calcat, près lie Dourg nes dans Il! Tarll.
de trois mois à dater du,jo\IT du présent avis.
J\\arseille, le l fi jui n 195,3.
Un concou rs sur titres pour l'êmploî de Chef de Sel'ti on
Pour
tous rense ig-nements
COOl I)lémentair(s à
ce slljc ~.
des Services d'Architectu re sera ouve rt à la Préfecture de
s'ad resser à l a Prt':fedure tl e VAUCLUSE, Bureau du Per-
VAU CLU SE, le jeudi Jer octobre 1953 (date limi te de dèp ôl
son nel.
<.les dossiers de ca nd idat ure, mardi 1er septemb re 1953).
La dema nd e de déli vran ce de ce oe rti ficat sera déposée tU
Mairie pa r le pétitionnaire. Il pou rra être utilisé il cet effel
exigé par J'acquéreur, pa r tes notaires ou par tout autre per-
les anciennes formul es intitulées « Dem ande de Détachement
sonne intéresse, que lorsque le détachement de parcelle cons-
de Parcelle .) , qui devr ont désormais porter, par rectification,
titue un lotissement au sens des a rt. 82 et 92 de la Loi, Cetle
la mention « Demande de Déli vrance d'u n Cert ificat d'Urba-
piè<:e a seulement pour objet de constater l'accompJissemen'
des formalités légales d'autorisation du lotissement, pré,'ues
nisme ,) . A la dema nde pourront être util ement an nexés deux
rar les art, 83 il 88 de la Loi d'U~banisme.
En conséquence, dans le but de faciliter et de hâter le,
des géomètres, mais il co nvient cependant qu'ils présentent
transactions portant sur les propriétés foncières en vue de la
plans cô tés , Il n'est pas indispensàble qu' ils soient établis par
U!I
minimum de clarté et de précision.
La demande et les pièces annexées devront être ad ressées
construction, laquelle, dans les circonstances présentes, do,
par vos soins il l' Inspecteur Dépa rtemental de l'Urbanisme et
H re
de l' Habitation, Cité Admi nistrati ve, 50, rue St-Lazare, Mar-
encollragée par
tous les moyens
dont je dispose,
j 'a i
décidé de mettre fin aux errements actuellement suivis en ma-
tiè re de détachements de parcelles,
A cet effet les dispositions sui\'3ntes entreront en \t'1gueur
seille, qui établira le certificat.
En ce qui concern e les servitudes pouvant résulter du
plan d'alignement les intéressés
pourront se r enseigner utile-
il dater de ce jou r :
ment auprès des Services T ec hniques des commu nes ou des
1" Il ne sera plus déliné de c.. tificats d'autorisation de
yente ou de partage pour les détachements de parcelles intéressant une prop ri été fo nci ère ;
Ponts et Cha ussées.
2" Toutefois, sel on les prescriplions de la Loi d'U rbanisme <fu 15 juin 1943, il sera Ml;yré, Sur demande et sous la
du vendeur ou bailleur, le certificat prévu pa r
j'art. 89 de ce texte ;
3" De même, lorsqu'un démembrement de p ropriété par
détachement de parcelle \'olontaire co nstituera un lotissement
au sens des art. 82 et 92 de la Loi du J5 Juin 1943 sus-visée,
les vendeurs devront procéder aux fonnalités prévues par les
134
1896, l es hcriticrs conn us ou inconnus dt' ,\\m e \'\e C H BAUD,
Madame Vve CHf\BA UD, née Marie Virgi ni e Gabrielle SAUSSI::
passe r l'acte de vente ou de pa rtage.
Par suite, lorsque intervient un démembrement vol ontaire
I! esponsabilité
Confo rm ément aux dispositions du lIeuet du 1cr fév rier
minutes de M· Jea n GARDEL, Notai re à Pu}'-Sai nte-R cparade,
AVIS DE CONCOURS (Préfecture de Vaucluse)
expressément c Toute \·ente ou location de terrains ou d'im-
tion
DONS ET LEGS
Par testament auth entiq ue du 23 juin 195 1 dépost- aux
rropriètair.e consene le reliqu at du fond s initial
b)
SG
AVIS - ANNONCES DIVERSES
le prem ie r detachement de parcelle par ve nte lorsque II:
tout partage entraînant le démembrement d' une propriété fon -
tiOD
COMMUNIQUES
art. 83 à 88 de ce texte et constituer un dossier d'autorisation
de loti sement.
Pou r le Préfet et par ü êiéganon,
:.
Le Secrélaire General :
j'attire particulièr ement votre attention sur les présentes
Maxime MIGNON,
instructions, dont vo us vo udrez bien m'accuser réception, et â
l'application desquelles j'attache la plus grande importance,
Vous voudrez b ien me saisir , sous le tim bre 5me Division,
2me Bureau, des difficultés que vo us pourriez ren con trer dans
l'exécution des directives qui vous sont données par la présente
circulai re.
Le Préfet .'
Si gné : PAillA.
1~3
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
-
-- , -
RÉPUBLIQUE
FRANVAISE
Numéro Spécial
-
m
..
Juillet 1953
)
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DES
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ACT ES
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-.1
ET BULLETIN DES MAIRIES
RÉSULTATS PAR COMMUNE
des Scrutins des 26 Avril et 3 Mai 1953
ET
Composition des Conseils Municipaux
.,
�ARRONDISSEMENT DE MARSEILLE
DEPARTE..\IENT DES BOUCHES-DU-RH l>:'-1E
COM!t1U!I'E D'ALLAUCH
Inst.':rits : -l.ï..J.6 i votants: 3.73· ; suffrages e:\~rimés, 3.652
:\ombre de conseillers : 23.
liste d'Union Ouv,,;, re et Paysanne (1' CF.), LI 18 voix.
Line d'Union Socialiste et Rép, 2,451 \'oi, ; 23 élus.
Effectif du Conseil .\Iunicipal : 23.
,' Iaire : BRUNET Louis :
1"' A.djoint : RA)IBERT F"",and :
2' Adjoint : LONG Gusta\'e ;
Adjoint spt'cial : RECOLIN Lou is.
Conseillers munic.pau, : julien Albert, .\l'chel ~Ia rcel,
Chappe Eugène, .\lilon .\Iarius, Antom Dominique, Brunet Gabriel, Isnard jean, Tiran Victor . Audouœrt Pierre, julien ,~arcel.
S:anchi Roger, Vidal Auguste, PelJegrin Joseph, Sardo u ~"\ arius.
l\i\'Ît::-e Louis, Arnaud ReÎne. Benoist Jean-.\ \ar , Roulet Simone,
lynaud Louis.
CO,\/MUSE D'AUBAGNE
Election du 26 a\"fil 1953
ln
Tits: 9. 16 ; \'otant : . 160; suffrages exprimés, 7.987.
~ombre de conseillers : 27.
liste Union Ouvr:èr e et Paysanne ( Liste Garcin - P.CF.)
2.802 voix ; 10 elus.
liste d'Entente des Rtpublicains (Liste Bardy), 898 voi x;
3 élus.
Liste Independa nte aUnion Républicaine (Liste Legier), 429
voix, 1 élu.
liste d'Union Republ"caine (Liste Bo yer), 2.853 \'oix, 10 elus.
L iste d'Administration .\Iunicipale (Liste Cresp), 931 \'oix ;
3 élus.
Effectif du Conseil .\l unicipal :
.\laire : BOYER Manus.
1-' Adjoint: GAReiN Edmond.
n.
Conse:l1ers municipaux: Chouquet Yves, Luccia Her vé, Guis
François, Bargès Emile, Cre p .\\arius, Gévaudan Hen ri, BrengUier Louis, Vah'ert Michel, !\largier .\\arùhe, Boireau j ea n, Roubaud jea'h\\arTe, Grimaud oLucieT1, Petit Edmond, Pinet _~1ar<:el,
Legier Raoul, Bonifacy Pierre, G:rau-j N'kolas, FournÎe'r Yves,
•\-larin Jean, Ca tinel Julien, Montaron Léon, Maurras j osep h,
Brouchier joseph, Gr égoire Aimé, Gauthier Raymon d.
.\Iunicipalité dissoute. (Decret du 2 1 ,'Aai 1953).
Election du 14 juin 195j
Inscrits: 9.7
; votants: 1.767 i suffrages exprimés: 1.638
Liste d'Union Ouvrière et Paysa nne (P,C,F.) (Liste Garcin).
3.062 \'oix ; Il élus.
Liste Socialiste et Républicaine d' Administration .\Iunicipale
(liste Bardy) (S.F.I.O.), 1.251 \'oix ; -l élus.
Liste d'Union Rè;>ublicaine (Liste Boyer), 3.203 \'oix: 12 élus.
Effectif du Conseil .\lun icipal : 27.
,\la ire : BOYER Marius.
1°' Adjoint: .\lme BESSON Laure.
2' Adjoint : GARCIN Ellimond.
3" Adjoint : GRIMAUD Lucien.
Conseillers Municipaux : Chouquet Yves, Llucia Hervé,
Cresp Mario, Guis François, Val ve rt Miohel, Legier Raou l, Bargès Emilie, Margier Marthe, Gévaudan Henri , Boireaud Jean.
Brenguier Louis, Bonifacy Pierre, Giraud Nicolas, Fournier Yv es.
.\1arin jean, Roubaud j.-Marie, Mo ntaron Léo n, Artufel André,
Pinet Marcel, B resson And ré, Gallian Antoine, Gilly Baptistin,
Castinel ; ulien.
2
COA/MUNE DE CEYI?ESTE
COMMUNE D'AURIOL
Insnits : 1.73 1 ; votants: 1.517 ; suffra ges exprims
10420
Nomhre de Conse:lIers : 2 1.
l ist e Pasca u, 952 voix; 21 èius.
Effe tif du Conseil Municipal : 21.
MaJre : PASCAU Marius.
l 'Adj oi nt : NEûREL Baptistin.
2" Adjo.nt : BOl\'NET àdolptl"e.
Conseillers municipaux : E1neric Henri, Guig-ou Eugene _
Suzanne j ea n-Bap tiste, Re\'~st jul es, Chart ier Gusta\e, BincheRoger, Martin j oseph, Caillol Etienne Laget Marie née Ramin ,
Dol Ma rie-Louise, Bottero And re , Triohard Clai r, j ac 4uet Fran\,o:s, Plurnjer Raymon d, Guigou .\1a:-cel, Furet :oseph, Férauo
Paul, Garnier Pau l.
COA/AWNE DE BELCODEN/:;
Inscrits : 100 ; votants : 86 ; suffrages ex.primt!s
Nombre de conse.llers : 1 L
List e d'Union Républicaine, il voix; Il élus.
84.
Effectif du Conseil Municipal : Il .
.\laire : GOMBERT Léopold.
l " Adjoint : BON ET Vi ctorin .
Conseillers municipa ux : Ghio Joseph, Collomb Jeanne,
Rampal jean....Saptiste. Gombe rt Ernest,
Negrel A nge, Gras
r<ao ul, Morucc i joseph, Vedon Ernest, Amalbert Martial.
COMMUNE DE CADOLIVE
Inscrits : 698 ; votants : 654 ; suffrages exprimes : 65 1
'o mbre de conseillei5 : 13.
Liste U nion Républica ine (Liste hlaroc), 407 voix; 13 élus.
Lisle Communiste (Liste Mano) : 240 voix.
Effectif dU Conseil Municipal : 13.
Maire: MAROC Honore.
l 'Adjoint : O LLIVE Edouard.
2' Adjoint : BLANC Lu cien .
Co nseillers municipa ux : Constant Joseph' Haolll, Canstant
Auaustin-ViTgile, Long H<Jger-N1 31Jr iee-Louis, Olli "e Marius·V,,·
gde, Laeomblez née Cureatlx JVlarg uerit~, De:leuil Ma~e\...(iaston~
Suzanne A lIguste, Ollive Lu dov ic-Joseph- Georges, Vitalis Gabriel-Pa ul-Joseph, Gu ichard Augustin-Marills.
COMMUNE DE CASSIS-si -MEt<
Insc rits: 2.142 ; votants : 1. 848 ; suffra ges exprimes: 1.805
ombre de .co nseillers
21.
Liste d'Union Ouvr ière et Pavsanne (P.C.F.) : -116 voix.:
Liste d' Union RépubEcaine et de défense des Intüêts Cass.·
dai ns (S,F.1.0.) : 990 voix, 2 1 elus.
Liste d'Union pou, la D éfense Ges Intérêts locaux (Liste '
Allègr e). 339 \'oix.
Effectif d u Consei l : 21.
Maire : AGOSTIN I Emmanuel.
1-' Adjoi nt : L1AUTAUD Joseph.
2' Adjuint : M ONTIGNEAU X Georges.
3' Adj oint : VENOE Paul.
4' Adjoi nt : LAU~ENT Y vonn e.
Consei llers Mun icipaux : Poutet ~oseph, Tei sslè:~ Delp~i n ,
Dumon Fra ncis, Boyer Georges, Guernet Maurice, Guclln Adne n,.
Garein Fe rn an d, Th obert Augustin, Gambi Ariste, Hevest fer!
,and, Stabile jules, Dora t Claudius, Dallest M arcellin, Dalles
Etienne, Raimondo J\'\i chel, Revest Victorin .
Inscrits: 543 ; \otants : <169 ; suffrages ex primes: -452
Nombre de co nse.llers : 1:1.
!Liste d'Union Ouvrière ~t Pa)sannc (P.C.f.l, 120 voix.
Liste (S.F.i.O.), 323 voix. 13 c1us.
Effectif du Consei l Mun icipal : 13.
Maire : CRGGUT Balthazar.
l " Adjoint : TETON Alarcel.
2' Adjoint : BLANC ,Ludovic.
Conseillers mun:cinaux: : Jul ien Clément, Jeanselrne Eli ce,
Carignallo Henri, David Loui s, Masseran épouse H ell~e Marie
G renier Augustin, IEspanet AllfTuste, BOllngogne Lo uis, Ca rta
'ébastien, Grenier Ad ri en.
COMM UNE DE CUGES-LES-PINS
In sCïits : 576 ; votants : 425 ; sufirages exprimes : 322
Nomhre 'e co nseillt:s : I ~.
Li ste d'Union Ou\'rièrt! ct Paysanne (P.C.F.l , 2me tour, ~l05
, 'oix, 1 élu .
Liste d'Union Socialiste et Républicaine, 1er tour : 2n~1 \·oix;
[2 élus.
Effectif du Conseil Municipal: 13.
Maire : FABRE Stanislas .
l " Adjoint: Mme PARTICEL LI Joséph;ne.
2' " djoi nt : MARTIN Jean ne.
Co nseill ers municipaux : Jourdan Charles, Cal Gaston,
Foliot Jean, Espa net Antoine. Ruatta iHarcel, Pe yron Lucien,
Ro ux :\1ar cel, Chouquet Paul, Ouiran Eléonore, Ca! Lu:icn.
COMMUNE DE GEMENOS
Prem ier tour, 26 avri l 1953
Inscrits : 1.343 ; vo tants: 1.203 : suffrages e~primés : 1.1 gO
Nombre de consei lelrs : 17.
Liste d'Union I~ér>\lblicaine et Pro gressiste (P.C.F.), 352 voix
Li ste ·d'Union Française ct Républicaine (IListe Reyua rd
.A ndré,. 594 voix : 10 élus.
Liste In MpendoTlte d'Union Républicaine (Liste Cu lié), 220
voix.
Deuxr.~me tour, 3 Mai 1 ~53
In scrits :- 1.343 ; vota nts: 1.212 ; suffrages Qxprim és : 1.0-l2
Nombre de eonsl'illers : 7 si èges a pou rvoir.
Liste d'Union Républicaine et Progressi te (P.C r .l, :185 voix.
Liste d'Union Fran çaise et Rép. ( Liste Reynard Andre).
6 19 voix; 7 élus.
Effectif du Conseil Municipal
17.
M aire : I~EYNARD André.
l 'Ir Adjoint : GAUDE Georges.
? Adjoint: ORI.\IAlID Henri.
onseillers municipau x : BO!lifa) Alfred, I~ i checla Louis,
JourLian Rose, Homanès Marie-Louise, Lamhert Sebastien, Pi)!n!)!
joseph, Alex is Lou is, Colas Matinee, Olivier Joséphin e, Rouhauu
Léonaid, Olivier Antoine, De~saux Justin, Rouhaud Victorin,
Fouque Joseph.
COA/MUNE DE GREASQUE
Premier tour, scrutin du 26 Anil 1953
In scrits: 1. 169 ; votants: 1.029; slIfflages ~xr>rimes . \.OIH
Nombre de co nseillers : 17.
Li ste Union Ou\'rière ct Démoeratiqlle (P.C.F. ), :B..I ,·o·x.
Li ste <l'U nion Socialiste Rëpublicaine (S.F.I.O.), :Qfi \"IIi;...
liste d'Union ~t d'lntfrH Local, indépen ~ant. J5X \'u;x.
Deuxieme tour
Inscrits: 1.169 ; votants: 1.05 1 ; suffrages exprimês : 1.0-15
Liste d'Union Socialiste et Republicaine (S.F.I O.), 56-1 vo ix
17 élus.
Liste d'U mon et d'I nterêt loca l IL.ste MOllstier). 42<1 \"oix.
Effectif du Conseil Municipal : 17.
Maire : ARNAUD Ferdinand.
1-' A djoint: FONTANARAVA .\I nrecl.
, ~o~lsei ll e.rs municipaux : l':ollque ,\1 arccli n, Cometto jean,
Sabatlfll Manus, J\1acl'ario Paul, Coste .\tart'cI If ern an~ez PlO
Gimenez Michel, Amalbert .r\ \aurice, Baratini R~né , Vcuiller F1 o~
rent, Julli en LaUfe nt, Candel P,c; re, Emmanuel il Etien ne Co ulomb Maurice, Leydet Kléber.
'
COMMUNE DE LA BOUILLADISSE
Inscrits: 1.052 ; votants : 974 ; Suff ri'l ges cxprimls : 008
Nombre de co nseillers : 17.
Liste d·Un.on Ou\rière ~t Démocratique (P.C.F.l, 53k voix
17 elus.
voix.
Liste d'Entente Répuhlicaine (Liste Pa cal Ttu'odo'e), 422
Elfectif d" Conseil .\lul1lcipal : 17.
Maire : GA UTI ER Isidore!.
1-' Adjoint: LONG '\ Iarcel-Roger.
? Adjoint: SILVA Etienne.
Conseillers municipaux : MaUrin Eugène, f{a mpal Clovis,
J\ \arrdTilie Charl(!s, Boi J sel'\h, Caillol Paul, ,\liuouiller Lu cien,
Payan Edmond, Ma rtl1lCZ J ~an, .soucarr~ Joacillm, Lan f}' MarcelJules, Benedetti Rcn ~J CII1tns FrnnçQl , Vitrac Norbert, Dalmasso lr(:ne.
COillA/UNE DE LA CIOTAT
Inscrits: 8.060 ; vutants : 6.7-16 ; suffrages exprims : 6.54 1
Nombre de co nseil!er~ : 27.
Liste Perrimond (p.C.F. ), 2.!r'~ \"oix : Il élus.
Liste Graille (S.I'. 1.0.l. 2.842 \"OIX
12 étu
Liste Vincent, 555 voix ; 2 elus.
L iste Rigaut (!\I .RP.), 495 vo.x : 2 elus.
Effectif du Conseil Municipa! : 27.
Maire: GRA ILLE jean.
1" Adjoint: l'ALI BERT Edouard.
2"' Adjoi nt : Ci\lmON ' ET Charles.
3< A'd joint : I~ICIIARO Marcellin .
-1. Adjoint : GEORGIO J.-Lolns.
5- Adjoint : VIA,LA j acques.
6' Adjoint : VIN CGNT Mi",lel .
Conseillers municipaux: Maillollias j~an. Romand Georges,
Perrimond Louis, Pin tier Joseph, G~\' arl.l Jules, Trotol"las I1 te
(Jarnier Valentine. Thcl10ll x Gabriel, LH!utaud Louis, Tréhie
Auguste, Jourdan Pierre, Charentin LOUIS, Lan Pnul, BertohlcCI
Antoint, Trébie Jose!- h, Tl'rl as AnH~dce, Sihon Victor, Seror nee
' \'c r Andr~e, Hi gaud HaYTllontl, Cou lomb Antoine, Cannagnoh.!
j<Jsoph.
COMMUNE DE LA DESTROUSSE
Inscrits: 5-40 ; votants: 505 ; suffrages exp rimés : 492.
Nombre de conseillers : 13.
Liste Républi cai ne et dlnté"'ts Locau x (liSle Rebuffat).
3tJO voix : 1J clus.
Liste d'U nion Ouvriere et Démocratique
177 voix.
(Liste P.C.F.),
Effectif du Conseil lvtunicipal : 13.
Maire: REBU loFAT Paul.
l " AdjOint : ACHARD Emile.
2 Adjoint: C.\I LLOL Louis.
Conseillers municipaux : P.:lnfili LOUIS, Bcllardo Désiré, Lan
(jahriel, Rebuffat .' \ar ie-jt!ann ~, Lan Leon, Bruna Etienne, Tremellat Alarius, Lerd. joseph, Lan EdoltarJ, Suzan Jules.
�COMMUNE DE ROQUEVAIRE
CO.I/.I1 L'.\'E DE LA PEiI'.\"E-s. -HUVEAUN E
Premier tour, scrutin du 26 Av ri l 1953
Inscrits: 1.60"2 ; vo ta nts: 1.399 ; su ff rages ex primés: 1.379
Ca mille, Moreau Hen ri, Poi nso-Qhapuis Oermaine Alpe Ra
mo nd, Wey gand Fé lix, Pagès Valenti n, Oa yma rd' Max P/I~
Jea~1 Noguès. An<iré~ Po u~ol Pierre, Pacini Alfred, Féraud josepOh:
Sezla s .!\1athil de, 1 addel Lazare, Bregante Antoine,
Crottier.
Nombre de co nseillers : 21.
Com bes Alex, Reynie r Ma rius, Alby Mauri ce, Ma la lon Oa nie~
Lis te La not ( P .C.F.), 3-10 voix.
Lis te d'Union Com mu nale et R ~p u bli ca in e (Liste P elleg r in),
Sal van Georges, Rodillo n A n<iré.
589 voix.
Liste d'U nion Repub licaine d'Intérêts co mmunal (Liste Ra mpal), 431 \'oi x.
Deu xi~me to urJ scrut in du 3 M ai 1953
Inscrits. 1.662 ; vo tants: 1.30Cl ; suffrages exprimés : 1.379
N ombre de conseillers : 2 1.
Liste Lanot (P.C.F.), 3().t voix.
Liste d'Union Communale et Répub licain e (Liste P elleg rin),
602 voix ; 21 elus.
Liste d'Union Rëpublicaine d' In ter';t co mmun a l (Liste Ra m
pal), 4>1 l'oix.
Effectif du Conseil ,\ l unicipal : 2 1.
Maire : PEL LEGR IN j ea n.
l'Adjoint: LANFRAl 'CHI Bern a rdi n.
2" Adjoint: RA,\\PAL j ea n.
Conseillers municipaux : Deferrari Jea n, Lelarge Alfred.
Caillai Léon, Chabe rt Auguste, Boisson Ren ri, Bo ucha rd Pierre,
Dravet Paul. Dorier .\ \ axirnilien, (~3mbaud Georges, Lond ich e
Ju lie, .\lanelli Pierre, T rossero jean, T rouc he Félix, Ma urin Marius, Rebuffat Raoul, Roustan Jea nne, Greco Léon, Giaco mi
Lucien.
COM .IIUXE DE M AR EILLE
ln crits: 357.;;70. l'otants : 274.292; suff rages exprimés: 266.962
Nom bre de conseillers : 63.
Li te Union Ourriere et Dëmocratique (P.C.F.), 98.839 voix;
24 élu.
Liste l'nion des Socialistes et R e~ub licains (S.F. I. O .), 63.795
voix ; 15 élus.
Liste f~epubli<ai ne Action Sociale
17.5, '-oix; -4. élus.
et Familia le (J\I _R P.),
Liste Union Républicaine, 65.50 1 voix; 16 élus.
Liste R.P.F., 1 ~.57 \'oix; 4 élus.
Liste Republicaine Progres::;iste, 30 1 \'oix.
Effectif du Conseil Municipal : 63.
Maire : DEFFERRE Oaston.
1-' A_joint : RA TO IN j acques.
~ Adjoint : .\\.~SSE j ean.
3"" Adj oint : RAPUZZI Irma.
4 Adjoint : CHAZEAUX Alexand re.
5- Adjoint : .\\1 LAN 1 Pierre.
6 .~djoint : ,\\A/lI.,!UANO-OAIRAlm.
7" Adjoint : RIPERT Franc; .
Ajjoint : OUEIlI ' 1 j.-Françoi .
9" Adjoint : OüUDAfIEAU jean.
Hl' Adjoint : TRO.\1PETTE Paul.
II - Aojoint : COLü:-;:-';A-d'ANFRIANI.
11- Adjoint : AKDRIEUX Antoine.
Adjuint supplementaires : 13"" ,\\URZI j ean : 14' LOM B ARD Théo; 15 BE/lE. 'GER Uon ; 1& TAT ILLON HuguesP a ul.
. ConseiUers municipaux : Bilieux François, Bergasse Henri,
C nstofol jean, Doize Pierre, OTisoli Christia n, Oi rba l, Blaohette
Em ile, Labro Jean. Tichadou Lucia, A\arrot Jean, Pagès H enri,
Isoard P ierre, Rolland Elisabeth, Molina Lucien
Oazacr nai re
Louis, Senatore jean, Lebert Roger, Novel Augustin, Susi ni
Charles, Chia ppe jean, Ambroslni Oah riel, Oa rcia j ea n, Agostin elli Jeannette, Bernardini Marc, Fra nchi Toussaint, Commenge
COMM UNE DE PE YPIN
Insc rits : 692 ; votan ts : 604 ; suff rages exprim és : 597
No m bre de co nseillers: 13.
Lis te Répu bli caine In dépenda nte (Liste julien) 480 voix "
13 élus.
1
Effec t if du Co nseil Mu nic ipal : 13.
Mai re : JULIEN Lou is.
l" Ad jo nt : P O UMEAU Fréd'e ric.
2" Adjoi nt : CHA UVET Oustave.
A djoi nt s péc ial : BOSQ Ma rius.
Con seillers municipaux : Fouque Spl vai n, Isoardo Louis~
T orn ato re ChaT"les, Siccafld:i Gabri el, Garra Elie, Gu is Henr.i,
Bo urrell l' j ose ph, O ll ive Ma urice, Ma r t inez j oseph.
COMA lUNE DE SI-SA VOu/mIN
Insc rits : 1.962 ; votants : 1.720 ; suffrages ex pr imés : 1.7OZ
Nombre de cons eillers: 21.
Liste d'U nio n Ouv rière et Pa ysa nne (P.C.F.), 854 vo ix, 1 elu .
t.i.te d' Union Socialiste et Répu bli cain e (S.F. I. O.), 938 vo ix,
::20 élus.
Effe.tif cfu Co nseil M'ulTieip>1 : 2 1.
Ma ire : MARTINAT j osep h.
r" Adio in t : NEGRBL Alphonse.
2" Ad joint : OtrOH An d,.é.
Conseill ers municipa ux: Gsimal1d Lu.c.ien, Mallet Maurice,
Grim,aud F~rn a n ~, Nicolas Jean". Daumas Jea n, Be rger jea n,
Vern is LOUiS, UIH a j ea n, 'la n 1'Jéodore, Isna rd A.\phonse, Lon g
Claude, Careghi RobeJlt, Ollivier Noë l, Berger Andr éa, Cam oin
Laza re, Barthélemy ADt o nia, O ll iv i", Pau l, Bonnet Ant o nin.
COMMUNE D' AIX
Michel Adrien, lieu taud Louis, Ma rchetfi j eaO'Baptiste, Scampucci Ludovic, Oinestet Oasto n, Ouille Marthe.
COMMUNE DE ROQUEFORT-LA-BEDOULE
COMMUNE D'A URONS
Premier tour, scr utin du 26 A vril 1953
Inscrits: 2.660 ; votants : 2.225 ; suff rages exprim és: 2.225
No m bre de co nse illers : 23.
Lis te d'U nio n O uvr iè re et Pa ysa nne (P.C. F.), 552 voix.
Liste Un io n <ies Soc ia listes et Rép u bli cains (Liste /la mpai)
805 voix.
'
Liste Unio n des Soc ia listes et Répub licains ( Liste Oo nlard),
28 VOIX.
.
Liste In dépe nda nte d' Un io n (Lis te Co ude rc), 252 voix.
Deuxième tour, scrut in d u 3 Ma i 1953
Inscrits: 2.66 1 ; vota nts: 2.007 ; s uffrages exprimés: 2.033
Nombre de co nseillers : 23.
liste d'Union O uvriè re et Paysa nn e (P .C.F.), 726 voix.
Liste Union des Socialistes et Répub licai ns (Liste Ra mpal),
1. 263 voix ; 23 élus.
Effectif du Co nseil Mun icipa l : 23.
Maire : RAMPA L Théodore.
l" A'djo int : ,~l me OU IEN An na.
2" Aujoint : P INA TEL Marius .
Adjoi nt spécial : T ROUCHE Ad o lphe.
Conseillers municipa ux ; Sum ien Louis, Chaine Amédée,
Fenouil Jules, Chappe Louis, Bl anc Roger, Nevière Marius, Ray·
b~ud Marcellin ; Rollandi n Ferna nâ, Parrodi Jea n-Baptiste,
Figon l' \a rius, Desailly Ferna nd, Gi niez Lu cien, Gros jean Charles,
Inscrits : 73 1 ; votan ts : 657 ; suff rages eXI>rimés : 644
Nom bre de co nseillers : 13.
Liste d' Union Ouvr ière et Paysa nn e (P.C.F.), 42 1 voix
13 élus.
Liste de Ce ntre Oa uc he (L iste Ca me rl o), 197 vo ix.
E ffectif du Co nseil .Mu nicipal : 13 .
Mai re: AIMONE TTO Ma r ius.
1'" Ad joi nt : HO VAul A nto in e.
Consei ll ers muniCipa ux : Duchier Frédéric, Dallest Gu y,
Stiva Emilie, Barles ,'A a rius S ilvest ri Antoine Cornand Marcel,
Giraud Basile, Trione M a; cel1 e, Olli vier Gabriel, Falugi Guy,
Pas tore François.
j
suffrages exprimés :
m
Liste Ou vrière et Paysann e (P.C.F.), 414 voix; 13 élus.
Lis te d'En tente Rèpuhlica ine (lis te Hica rà lIIarius), 352 vo ix.
Effecti> d l> Conseil ,\ luni cipal : 1,3.
Maire : EoTI ENNE Edouard.
l " Adj oi nt : HENRY Oaslo n.
Adjoin t spéCia l : BUSSO Marius.
, ~o n se ill e rs muni6paux : Verra Antonin, Eymery Henri
Blggl Georges, Boyer Ma u ri<.· e~ Bruno Marcet
'
M ar~ e n go 'Ba rthélem y. Ma gne Hugues, Cazalin Maulic~ Cazalin
LOUIS, Rena uda Rosette.
ARRONDISSEMENT D'AIX
Inscrits : 26.080 ; vo ta nts: 21. 205 ; s uffrages exprimés: 20.578
No m bre de co nsei ll ers : 33.
Liste d'Umon Ouvrière et Democra tique (Li st~ Dumont s)
(P.C.F.), 4.766 voi x; 8 élus.
Liste d'Unio n d... Socia l\\;tes et Répu bli cains (l iste j uvena l1
(S.F.I. O.), 3.0 17 vo ix ; 5 élus.
List e des Indépendants po ur I"Ad m. et la Défe nse des
Intéri ts Ai xois ( Liste Mo u.ret), 4.809 vo ix; 8 élus.
Liste Répub li caine d' Un io n p o ur l' Actio n Communa le (Liste
Pasca l) (M.R.P. ), 2. 164 voix; 3 élus.
Liste d' Unio n po ur la gestio n des ID térèls <l'Aix (Liste
.Amouriq Louis), 3.843 vo ix ; 7 él us.
Liste d' Unio n Socia le et Natio nale (R. P.F.) (Liste Ferréol),
1.605 voi x ; 2 élus.
Effec ti f du Co nsei l M un icipal : 33.
Mai re : MOURET Henry .
1'" Adjoi nt : BONELU Vince nt.
2' Adj oi nt : BI A,NCHI He nri.
3' Adjo int : PASCAL P ierre.
4' Ad jo int s upp l. : OA Y Pierre.
5' A,djoi nt su ppl. : FE RREOL Pa ul.
6' AC\joi nt s uppl. : DA VIN Emi le.
7' A'djoint spécia ~ : DE REO IS j fKq ues.
8' Adjoi nt spécial : AMOU I~ I Q Lo UIS (n'est pas C.M.).
go !\djoin t s péc ia l : IlEBOU L Lio r.
Conseillers municipaux : Lebo uchet Louis, Riga ud Joseph.
Ju venal Max, Bouvet Il'\ arce lJ e, Allinieu Pierre, Ciccolini Feli x,
BJacas And ré, Gru vel Charles, Brémond Eugène, Boulet Rachel,
fa ure M arie-j ea nn e, Bontièrc Y\'es, I~ancurel Raoul, Beltç.aguy
Paul, Ho nn o rat Paul, Oazel AdolP'te-Toussaint, Marieu Henri,
Beley An dré, Mor ellini CharIes, Bougin François, jacquelin Leopo ld, Kl eniec Yves, La utard Camille, de Saint-Ferréo l. Edmond.
COMMUN E DE PL AN-DE-CUQUES
I l}scrits : 897 ; votants : 77:>
Nombre de co nseillers : 13.
Premie.r tour. scrutin du 26 Avril 1953
Inscrits : 58 j votants : 48 ; suffrages exprimes : 4R
liste Répub licaine des Interets Com munaux (liste ~\arrony),
39 voi x ; 10 élus.
Delt xicrne tour, scruti n ou 3 "'ni 1953
Inscrits : 58 ; votants . 48 ; suffrages exprim~s
Liste Répu blicaine des In tért:ts Communaux' 24 \'oix
Effectif d u Conseil MUnicipal : t 1.
Mair e : MEREND OL Louis.
48
1 du.
l" Adjoint : MAAAONY Léo nce.
2' Adjoint : OlJ/LLOU Marce l
Conseillers municipaux : J O ll rn ~ Clémence, Re ynau d Gaston
Boyer Adolp~e, Reynaud Paul, Troump Olive, Co nsonn i AChille',
All ema nd CleQlent. Allemand Adelin,
COMMUNE DE BEAURECUEIL
Jn s~r1ts ; 24~
j vo tants: 2 12 ; suffrages exprimés: 204
Lis te d' Uni o n Rép u blica ine et dïn lé rèts loca ux (Lis te Au dibert), 14 1 VI>IX ; I l élus.
Liste Communiste: 52 voix.
Effec tif du Co nseil Muni cipal
I l.
Ma ire: AUDIBERT j oseph.
l" Adjoi nt : OAUll E/{ julie n.
2' Ad jo int : HORI ON Henri.
~o nseiJ1,ef's nlunieipau.x : Ga utier M aurice, Gautier Paul,
Ga uli er ElTUle, Fa ure Adne n, P a ul R, Oaulie( Rao ul Ma rcel.
lin Roger,
'
COMMUNE DE BERRE-L'ETANG
Insc rits: 3.879 ; votants: 3.235 ; s uffrages exprimés: 3. 163
No mbre de co nseillers : 23.
Liste dJUnion Démocratiq ue pou r l' Indépenda nce NaUopale
(P.C.F.), 1.594 voix ; 23 élus.
Li ste d'U nion et de Défense des Intérêts Genéra t~x de la
ville de Berre ( liste S. F.I. O.), 1.532 VOIX.
Effectif du Conseil Alun icipal : 23.
Mai re : M'A RT IN Roger.
l" M'joi nt : CHAPELOT Leo pold .
2' Adjoint : RICARD Louis.
3' Adjoi nt : BAYET Louis.
4' Adjoint : FORASIETI Henn .
Consei ll ~rs munic ipau.'\ : Barroyer ,\ \anll5', jau rcL:1n Cm,imir,
l\leffre , He~ln, Dt~ plan Ouy, Vivoux Jeanne, .\r1aurin I~oger,
l-erro~lil rumé, Bna n,on Lucien, Peyrepl.ne René, Battarel
DéSIre, Bremond Rose, Ventre Odette, HllIliC Rene. Campanaro
f<o ger, Maurin Angèle, Clerico Clovis, Miraglia Oérard, Chaillan
AntOine,
COMMUNE DE BOUC-BE/'AIR
Inscrits: HIO ; votants: 685 ; suffrages exprimés: 683
Lisle d'Entente Ré publica me Liste Ouis), 472 l'ai • . 13 <'lus
Liste Commu niste (Liste Huguet), 139 voix.
1
•
Effectif du Conseil .~l u ni cip ~1 : I:l.
I\\aire : GUIS Mauril:e.
GABELlER Antoine.
1" Adjoint
2" Adjoint : COQU ILLAT Joseph.
�ConseiUers municlpau). : \\ath icu Emile, Boutière Oswald,
Chastillon Elise. Reyne Ernest, Alli"s Y,·et'te. Canobio Fernand,
Pontier Rose, Charron H en ri, Cristofari Jacques, Klein Pierre.
COMMUNE DE CABRIES
Premier tour, scrutin du 26 Anil 1953
Inscrits : 800 ; votants: 693 ; suffrages exprimés : 673
Liste d"l'nion Socialiste et Independante (Liste Alquier),
267 ,·oix.
Liste de De fense des Intt!rèts Communaux (Liste T rav er ari),
281 voix.
Liste Communiste, 75 voix .
Deuxième tour, scrutin du 3 ,\\a i 1953
Liste d'Union Sociali te (Liste Alquier), 353 voix, t 1 élus.
Liste d e Dëfense des Interèts Co mmunaux ( Lis te Traversari),
310 voix ; 2 élus.
Effecti f du Conseil .\\unicipal : 13.
Maire : ~\AR11N Raymond.
to, Adj oint : GAZELLE Antoine.
2'" Adjoint : ALQUIER Geor" es.
3 ,\dj oi nt spécial: .\\ ATHEOD.\ .\1ar<el.
Conseillers municipaux : Franceschi Dominique
C d
julien, Fonda Charles, Bourrelly j oseph, Blanc Gasto~ N~r ero
' t.raiR oger,. Hampalld And'r' é, !Colas
Natal, B ened~ttl. j ~an, M 15
OHv
Raym ond, Caltucoh M .-L OUise, POllohm Clovis, Fran çois F~re
cien, T amisier Fleury, Gouiran Léon, Chapouty Fernand D'At 1·
. H .
,
tl.
ho
COMMUN E DE CHA TEAUNEUF-LE-ROUGE
Inscrits
In scrits : 76 ; vota nts : 64 ; suffrages exprim és :
63
Liste d'Union Républicaine d' Intérêt Loca l (Liste Gautier)
52 vo ix ; Il élu s.
1
Effectif dl! Conseil Municipal : Il .
Maire : GAUTIER Fernand.
1'" Adj oint : BA~ET Adaa.
Conseillers municipaux : Sumian LU Ci en, j ourd'an JUlie
Mall et Ma rius, Ribouet N\ arie-Louise, Leydier Georges,
vid:i
Irenée, Fossat Emile, Bonelli Jean, Bossy Félix.
Inscrits :
Raidelet Claude, Meallan Henri, Tra versari Arm and.
CO.\IMUNE DE CARRY-LE-ROUET
Inscr its : 80 1 ; votants : 7n ; suff rages exprimés: 678
Liste Républicaine d'Interd local (Liste Grimaldi), 555 voix;
13 élus.
Liste d'L'n ion Ouv rière et D êmocratique (Liste co mmuniste),
lOI voix.
Effe hf du Conseil .\\unicipal : 13.
,\Iaire : GRL\ \ALDI Jean-Baptiste
1'" Adj oint : FOUQUE Angelin.
2" Adjoint, spécial : .\\UNAQ E Victor.
Con eillers municipaux: Coudray Germ a ine, Villard Antoine,
238 ;
votants ;
200 ;
suffra ges exprimés :
200
Liste d'Vnion Répubticaine et de Défense des Intérêts Com'
munaux (Liste de j esse), 158 voix; Il éllls.
Effectif dll Conseil Municipal : Il.
Maire : jESSE (de) Arnollid.
l " Adjoint : GROS Maurice.
2' A>djoint, supplémentaire : L IOTARD Charles.
Conseillers muni ci paux: Callamand Ma riu , Soma Fernand
Gros Pau l, Baron Paul, Callamaud Armand, Gailla rd Rollan<!',
Liotar d j ea n.
COMMUNE DE COUDOUX
Inscrits : 295 ; vo tants : 268 ; suffrages expr imés: 265
Liste des In ter êts Communaux : 200 voix ; t 1 él us.
Liste Co mmuniste : 62 voix.
Effectif du Co nseil Municipal : Il.
Maire : LAPIERRE jean.
l " Adjoint : BARET Alfred.
2' Adjoint : FARNAUD Léo nce.
Conseillers mun icipaux : André Palll, Cabner Raymond,
.\\arqu i:s Ra oul, Aicardi Jean-Baptist e, Abrard Roger, Reynie!
Elie, Roubieu Edmond, Nan Loui , Estella j acques, Garofolato
Gros Raoul, Salin M a r ce l, Bosc Hu bert, Brun H enri, Silvestre
Henri.
Jean, Guigues Lucien.
COM.llUi\'E DE CHARLEVAL
COMMUNE D' EGUILLES
Inslrits
629 ; votants : 527 : suffrages exprimés : 507
Liste tf Union Répu blicaine Li te Gaston Roux), 416 voix
13 élus.
Effectif du Conseil Mun icipal : 13.
.\1aire : ROUX Gaston.
1"' Adjoint : AVY Vin cent.
2' A djoint : CHABAS M aurice.
Consei llers .\\unici paux : H onorat Fran cis, Porte Gaston,
Bra ghieri .\\arius, G inoll x Dant on, Perrlm ond Marc, Ve rne Léo n,
Oddon Simone, Bonnet Roger, Ch a ffard Gaston, Jacquemus
Joseph.
COAI.I/U.\'E DE CHATEAUNEUF-LES-MARTIGUES
Inscr its : 1. ïï6 ; ,"otants : 1.578 ; suffrages exprimés: 1.546
N ombre de co nseill ers : 21.
Liste d'Union Ouvr i,,,e et Democratique (P.C.F.), 419 voix.
Liste Socialiste Répu bticai ne d"lnt';rêt local (S.F.I.O.), 1.017
voi x ; 21 élus.
Liste In d'épendante d' Union Répu blicaine
André), 123 ,·oix.
Effectif du Consei l Municipal : 21.
Maire: AUDlBERT Armand .
t " Adjoint : TOURREL Au guste.
2" Adjoint : CASTELLI Hen ri.
3' Adjoint, spécial : MOUREt-.: Simon.
6
(Liste Dejean
Premie r tou r: Scrutin du 26 av ril 1953
Inscri ts : 570 ; vota nts : 479 ; suffrages exprimés: 47 1
Liste d'Un ion Ouvrière et Paysanne (Liste Aillalld (P.C.F.),
2t 8 voix.
Li ste Artaud L éo nce, 243 vo ix ; 1 élu.
Deu xi ème tou r : Scru i in du 3 mai 1953
Inscrits : 570 ; vota nts : 507 ; suffra ges exprim és
Liste Aillaud (P.C.F.) : 237 voix ; 2 élus.
Liste Artaud: 257 voix; JO élu s.
Effectif <lu Conseil Municipal : t 3.
M air e : ARTAUD Léonce.
l " Adjoint : ARTAUD Paul.
2" Adjoint : IMBERT Marcea ll .
505
Conseillers municipaux : G autier Antonin, Ravel Marcel,
Armi eux Robert, Davin Alexa ndr e, No zilia Jules, Bru n Marcelin,
Cionini Michel, Guernieri Ant oinette, Aillaud Alfred, Aillaud
Désiré.
COMA/UNE D'ENSUES-LA-REDONNE
Premier tour : 26 avril 1953
Inscrit s : 535 ; vota nts : 426 ; suffra g es exp rimés 414
Li ste Co mmuni ste, 87 voix.
Liste Républicaine Socialiste d' Intérêt co mmu nal (Lisle
Gouiran), 222 voix; 9 éllls.
COM MUNE DE GIGNAC
Inscrits : 874 ; vota nt s : 764 ; suff rages exp rim~s : 757
Liste d'Uni on J<cpublicaine et de Odense des Intérêts co m-
Dellxi~m e tou r : Sc rutin du 3 mai 1953
elln.
COMMUNE DE CORNILLON-CONFOUX
Conseille~s municipaux : .\\irabel ' \ -an, Dieulou.fet M arcel,
foncin Emile, .:\\a v y Auguste, Est~ve Raphaël, Ottaviani Reine,
List e de Défense de s Intl'rèts com mun aux, 41 voix.
Union Répu bli ~ain e Int~rl't loca l, 5 voix.
535 ; votanls : 362 ; sllffrages exprimes
359
Liste Commu ni ste, 75 voix.
Liste Républicain e Socialiste, 16 1 voix, 2 élu s.
Liste de D éfe nse des Ill térfots comm un aux, 124 \'o ix.
Effectif du Conseil Mllnicipal : I l .
Maire : RICAUD Adrien .
l " Adjo int : OLIVE Raym ond.
2' Adjoint (spécial) : CARPE Léopold.
Co nseillers muni cipau x : Gouiran jul es,
Sa rd e Léopold,
O live Ro ger , Cayol Loui s, Olive Louis, Gouiran Simon, Ferraro
louis, Vian Maurice.
COMMUNE DE FOS-si-MER
Inscrits : 1.063 ; vota nts : 897 ; suffrages exp r im~s
Li ste OuvriL\re et Pa ysa nn e (P.C.F.), 28 1 \ oix .
8 16
Liste Socia liste (S.F.I. O.), 507 \'oix, 17 élus.
Effectif du Conseil .\1u nit ipa l : 17.
M aire : BOUILLOUD j llies.
1"' Adjoint: MAZA UiD jules.
2" A<ljoi nt : MA SSON Antonin .
munaux (Liste Arigon), 412 \'oix ; 13 élus.
Liste Républi caine In d,,"pendante (S.F. I.O.), 32~ voix.
Effectif dll Conseil Mllnicipal : 13.
Maire : AR IGON Cèlestin.
l " Adjoint : ~I GAUO jul es.
2' Mjoi nt : CASTE LLtNO LOllis.
Conseillers mun iCipa ux : i\lëlth i<.' u Paul, G uic hard Josep h,
Rouard Léo n, Pinatel Fo rtun é, Larocquc Ernest, Girau d Robe rt,
Gra s M arcel, Couissi ni er Marius, Foglia La ur ent, Ddlus Pascal.
COMAIUNE DE GRANS
In scri ts: 1.1 80 ; vota nt s : !l3 1 ; suff rages expnmes : UI9
Li ste d'Union O u\'rii:rl' et Paysanne (P.C .!· .), 23S \ 'OIX .
Liste d'Union des I~ép ll blicains Indépendants, Radicaux et
Socialistes, 574 voix ; t 7 élus.
Li ste des Républicains In dépendant
et Paysans, 124 voix.
Effectif du Conseil ,llun icipal : 17.
Mai re: GAVAUDI'IN Apo llon.
1" Adjoint: SI AS Paul.
2" Adjoint : COUTU l l IEI ~ He,,'é.
Gilbert, Orl andi Pierr e. Nalol i Roger, Del corso j oseph, Sabatier
Conseillers municipaux : Devoul x Victor , Viaud Louis,
Richau1f' Victor, Mistral Pie rr e, A rnaud Y von nit.: , Pey tavin de
Garam Henri, Ty ran Fran~~ois, Comte H enri, Ba rras Louis, POilS
Nl a rc el, Tro cchet Fernand, G rangicr Louis, Mlle ~I\'\ artin Marie,
Lau rent, Rieu Charles, Ca lzia Céleste, Regimbaud Cl aire.
Castelli j osep'h.
Conseill ers municipaux: Olive E.tienne, Bou c Paul, Grolie r
Daniel, Gilles L ouis, Pi g na tel Baptistin, Gozzi Aimé, Pa cc hi a rdi
COMMUNE D'ISTRES
COMMUNE DE FUVEAU
Premie r to ur, scrutin du 26 Avril 1953
Inscrits: 1.542 j votants: 1.343 ; suff rages exprimes : 1.329
Li ste d' Union Ouvri i:re et Paysanne (P .C.F.) , 137 voix.
Liste Républi cai ne SOl:i aliste et d'In térêts co mmunau x, 664
voix i 6 élus.
Li sted"Union Fuvelaine, 465 \' oi x.
Deuxième tour, sl:rut in du 3 ~ l ai 1953
Liste RépUblicaine Socialiste (S.F.I.O.), 695 I"oi~
Effectif du Conseil Al llni eipai : 17.
M ai re: PHILIP Al exandre.
1"' A djoint : r~ I OIlI ER Laza re.
2' Adjoint : M ARTIN j oseph .
3" Acljo int (su'p pl) : I<OSSIGNOL lioger.
4' Adjoint (suppl.) : GOMBEIH Georges.
Il élus.
Co nseill ers 11l 1ln ici/l aux : G iraud Alauri ce, Slé\SSO .'\rl auri ce,
BourreH y Fran çOI s, Gu ic hard Aug usti n, A nsart Ern es t, Gontard
Augustin, Beltramo )\\ari e, Borgna Lu cie nn e, Capli s G erm ain,
Moustier Lou is, M a tt io I ~ay m o n d, V\'e Au beit I\ \ ari~.
COMMUNE DE GARDANNE
In scrits : 4. 111 ; vo tants: 3A95; suffrag-cs txprirrH:s: 3 ,:~8 1
Nombre de co nseill ers : 23.
Liste d·tntérêt Loca l (S.F. I.O.) ( Liste Sa"llIe), 2.417 voix
23 élus.
Liste d'U nion O uvricre et Dê mocratiq ue (p.c.r), !U7 voix.
E.ffectif du Consei l Alun icipél l
23.
A'l aire : SA VINE Victor.
l " Ad"joillt : Ll EUTAULl Phi limo ll .
2' Adjoin t: j ULLIEN Ca lixte.
Conseill ers municipa ux: Car Félix, Jcard Nod, lroul l1 Paul,
D eleuil Gi lber t, V ia l Henr i, J\\ auIlÎt::,. Alht: rt, Du,and Charles,
Breton Gaston, Cortot Charles, Poussel Deni"
Il ollanJ jul es,
Mérentier L éo pold, V io ll Ferna nd, Jullien Ern est, Hon noré Ca·
mille, V ve M oustier .\\a .·guerite, Pil'rlIuÎ Sih-io, Cl émt.'nt Savi na,
Camoi n Madelein e, Amorelti lI ector.
In scrits: 3.599 ; votants: 2.H76 ; suHrages exp nmés : 2.6 15
Nombre de co nsei ll ers : 23.
List e d' U nion Ouvri cre et D émocra tique (P.C. F.), 723 voix.
Liste de la Résislance Répu blicain e et Socialiste (S.F.I.O.),
1.94 3 voix ; 23 élus.
Eff ectif du Conseil \r\u nicip al : 23.
Maire : GOU t FCli x.
1"' Adjoint : LA NTELME C';lestin .
2' Adjoint : LO.\ \ B,\110 Etienne.
3' Ad join t (suppl" mentaire) : JU LIE Sr"'a," .
4' Adj oi nt (spécia l) : A I ~N A U I) j oseph .
Co nseillers municip aux : Grac V ... lcnti n, .-\ ) mes Ad ri en,
Cha Ive Jos eph , M istlél l Paul, Aullthcrt A \I ~ u stc , Laugie r .'\ \a rius,
Gala n M a rius, Tro ll t: A ugll stt:, M e nnllr ~ t P ie rre, Bourrel'_y Au·
{{ li ste, Féraud H enri , Cla \'d Au guste, Suhil l\1 a ri e, 1\\ a\ hieu
Edm ond,
Girot Alfred , Sa \ o ll Sllll one, Bcrsia Ant oinette,
D omenge t Alf red .
COMMUNE DE JOUQUES
In sc ri ts: S!lI ; \'ota nts . 52S : sufr a:rcs expriml's
52ô
Li ste D emocréltiqul' (l 'U nittHt:pllh l ic~l i n e
( Liste
umian
D t!si re) , 3 14 voix , 1:\ clu!'i.
Li te Rep uhlicJi ne Sm:iallstd I nd'~pl'n J a n tc ( 1 iste Bon LL-o n).
203 voix.
Effect if du Conseil \\ lI n'o.; i,>al . 1J.
: SU,\lI A'I DeSire
1" Adjoi nt : ~I J\ Z El ü\ N j ules.
,~I J ir e
Co n seiller~ mun idpaux . Ve .. t Car men, Coll l'tin ferna nJ,
HOll ffnrd A lhe rt, Pianetti 1\ <1uul, juliell Rose, Ca Ihian Fra nço is,
Co thoklHJ y U~si rc, Nicolas P hi lim on, D UIllL!.! AUre.li, Fina j ean,
CO l11h aste l Oharl es,
COMMU \'E DE LA B IRBEN
in scrits: 14_1 ; \ ntanls
111, ~lIff rages cxrn mcs
108
Li ste Socialiste R~pllbli(,:alnl' In.' l'pendante (l.istc Ba rray er
Antl rius), 102 voix, I l l'lus.
7
�Effectif du Conseil ~hl11ioipal : II.
.\Iaire : OROUX .\\3rcel.
1'" Adjoint ; BOU.RGlJES ,\\.rsol.
COMMUNE DE LA RQQUE-D'.ANV'JfERON
Scrutin du 26 A-vril 1953
Conseillers munieipaux : Barrayer Andrius, Bonnard Geor·
ges, Caire F.rnand, Caire .\\arcel, MeynÏlrd Henri, Pinsolle 'Lo.uis.
Marcellin Clément, Jean Paul, Meynard Jean.
Inscrits
Liste
Liste
Liste
COMMUNE DE LA FARE
Scrutin du 3 ~Iai 1953
Inscrits : 822 ; votants: 7.J.l : suff ' ages e>:primés : 712
Liste d'Union Républicaine et Démocratique {P.C.F.), 35-1 \'oix;
9 élus.
Lislf de Wuse d.,. Inlérii!s commuaaux (Uste B~'"at),
329 voix ; 4 élus.
Effectif du Conseil MunicW81
13.
.'Iaire : DELAYE Joseph.
1°' Adjoint : RICHAUD Emile.
2" Adjoint ; GIRAUD Pau-\.
Conseillers municipaux : lcard André, Estienne Jean, Rous'
tan Jean-1'.\.,.ie, fsnard Jules, Reynier Clément, Vivian MaTc el,
Berle Charles, Fayard Benouin, Escot Sylvain, Valette H ~nri.
COMMUNE DE LA.MBac
Scrutin du 26 Avril 1953
Inscrits
750 ; votants : 655 ; suffrages e!<)ll'.ulles
Lisle P.C.F., 97 voix.
Liste Oiraud, 309 \'oix ; 6 ':'Ius.
648
Liste Escher, 225 voix .
Effectil du Conseil Municipal : 13.
Maire: GIRAUD.
J" Adjoint; OROUX Léon .
Conseillers mll1lioipaux : Vîlleviente IRaoul , Gautier Voltaire,
Porte Henri, Massie An<iré, Coustabeau Jean, Barra Marrel,
Granon Albert, Coustabeau Auguste, Fa bre ,M.a rcel, Grégoire
Marius, Co rbo n Maurice.
Liste d'Union Rép. de Délense commuoaJe et laïqu.e (P.C.F.),
232 ,"oix.
Inscrits : 778 ; votants : 693 ; suffrages expri·més : 685
Liste d' Union Ouvr. et Paysanne (p.e.F.l, 145 voix.
Liste Socialiste d' Union Républicaine (cListe Philibert Louis),
514 voix ; 13 élus.
Effe.ctif du COl>sei l Municipal : 13.
Mai re: PHlLlB:ERT Lo.uis.
l " Adjoint : DURAND Joachim.
2" Adjoint (spécial) : TIl'ERfC Marius.
Garcin Arthur, Oastinel Kléber, Isnard Oswald , Barras ,\Iarcel.
Bon :\Iarius, Gelliber! l''hilémon, Im bert Raymond, Collerin
~Iarius.
COMMUNE DE LE ROVE
Liste Républicaine d'Interets locaux d'action sociale et fami _
liale (Liste Bosc), 365 \·oix.
Scrutin du 3 Mai 1953
Inscr its : 396 ; vot~nts : 351 ; suffr ages exprimés: 339
Liste Gouiran Clément (P.C.F.), 167 voix.
Lisle J'U nion Républicaine (Liste Deba rd), 166 l'oix; 3 élus_
Inscrits : 1.402 ; votants: 1.163 ; suffrages e"primés : 1.133
Scrutin du 3 Mai 1§53
Liste Serre, 627 \'oÎx ; 17 élus.
List!' Bosc, 306 voix.
Li.ste P.C.F., 186 voi".
Effectif du Conseil Municipal
17.
Maire : SERRE Charles.
1'" Adjoint : RIGAUD Jean .
2" Adjoint : KROEPFLE Raymond.
3' Adjoint : ROUX Raphaël.
Conseillers municipa ux : Cl ot Léandre, La barre Louis, Pauri ol Gilbert, Gujgues Amédée, Salen Paul, Martin-Jaubert Lo uis,
Mme Honnora! Berthe, Verdier René, Epiney ,\Iaurice, Mm e
Inscrits : 396 ; votants : 346 ; suff rages exprimés: 346
Liste Gouiran C lément (P C.F .) , 11>8 voi x; 8 élus.
Liste Debard, 170 voix ; Cl i l:"s.
Effectif du Conseil Municipal : 13.
Maire : OOU IRAN Clément.
l " Adjoint : ISNARDON Alber!.
2" Adjoint : GOUmAN Héloïse.
.
1
Conseillers municipaux : Lanté ri N\arius, Sarde Henri, MI e
Gouiran Ma rie, Isn ardon Adrien, P ascal-Souard .\\ arius, Lau~ent
Je an, Isnardo n Marcel, Mathieu Etienne., Gouiran H enri, Gowrar
Féli x.
COMMUNE LE THOLONET
COMAIUNE DE LANÇON
Inscrits : 752 ; votants : 58? ; suffrages exprimés : 5 19
Liste d'Union Républic. (Liste Estienne), 456 voix
13 étus.
Effectif du Conseil Municipal : 13.
.\Iaire : ESTIE:-INE Victor.
1°' Adjoint ; BLEYMARD André.
: Blan c Georges, Leci'ent u Y ves,
Honnor" M.arcel, Rebattu Robert, Demarie Félix, Chambon Fir
min Bousquet Raoul, Le Rou x AlY.lré, Mathurin Emile, Sarrat
Auguste, Baldouin Simon.
8
Scruti n du 26 Avril 1953
Celaire
Martial.
1.11 5 voix.
Liste Socia liste Républicaine (Liste Odde), 2.009 voix, 23 élus
Effectit du Co nseil Municipal : 23.
Maire: ODDE Auguste.
1" Adjoint : REYNAUD Marius.
2' Adjoint : ROUX Emile.
3' Adjoint : ,\\lle Gabert Claire.
4' Adjoint (spéCial) : CAiJ)ENE.L Louis.
Conseillers municipaux: Cadencl Joseph, I~ollbinet Gustave,
Cadcnel Auguste, Bourre Albert, Mas Jean, ,M arin Maurice, Gastaldi Baptistin, Aurei ll e E doua rd, Malau sse Ernest, Roux Emile,
(Jard Léo n, An dréo Roman, Pellegrini Ange, Germain Fortuné,
Sumeire Fernand, Cresconi Jacques, Tass y Jules,
PanissOIl
Marius.
COMMUNE DE MARIGNANE
Liste d'Union des Socialist.. et Républicains (Liste Serre),
553 voix.
Conseillers municipaux
Inscri ts: :l.9-l3 ; votanls : 3.206 ; sufi l ages exprimés : 3. 1 ~8
COMMUNE DU PUY-Sle-kEPARADE
Conseillers munic.paux : Giraud .I\\ arte l, Monier Edmond.
: 1.1 63 ; suffrages exprimés : 1.1 33
Grospeaud Luc ienne, Re\'eillet M au ric e, Bla nc Louis,
COMMUNE LES PENNES-MIRABEAU
Liste d'Union Ouvrière et Paysanne (Liste Paret, P.C.F.),
: 822 ; \'otants : 722 ; suffrages exprimés: 713
d'Union Ré~ub. et Dem9CT8tique (P.C.F.), 297 \·oix.
de Déf. des Int. communaux (Liste Ble)'natl, 2ï5 voix.
Indép de Dé!. des Int. corn. (Liste Dej'dier), 107 voix .
Inscrits: 1.402 ; \'orant
l'on..
Scrutin du 3..Mai J 953
Scrutin du 26 al'ril J953
t'lscrits
Liste
Liste
Liste
: 750 ; votants : 673 ; suffrages exprimés: 665
d'Union Ouvriere et Paysanne (P.C.F.), 68
d'Union Répub. (Liste Gir aud M.), 330 VOIX , ï élus
de Concentration Répub. (LIste Escher Jean), 226 VOl'
Conseillers municipaux: Gautier Raphaël Autran Antonin
Richier Gabriel, Magère Félix, Fabre Fernand', Bonnaud H enri:
t)ubourg Théophile, Laugier Ga ton, Oru<'teon Yvonne (démissionnaire).
Scrutin du 26 Avril 1953
In scrits : 302 ; vo tants, 255 ; suffra ges eKpri~és : 251
Liste d'U ni on et d'Entente Rép ub!i.caine, 202 VOIX; 10 élus.
Liste d'Unio n et d'Entente Républ icaine, 160 voi x:
D ivers, 41 voix.
Effectif du Conseil Municipal : II.
Maire ; ROUBAUD Paul.
l " Adj oint: FABRE Antonin .
Liste d'Union Républicaine Démocratique et Sociale (Liste
Deleui l), 1.449 voix ; 23 élus.
Effectif d u Conseil Municipal : 23.
Maire : DEluEU'IL Laurent.
l " Adjoint : MIIUHAU Henri .
2' Adjoint : TOUWUSIAN J.
3" Adjoint (spécial) : M IOuLAND Henri .
Conseill ers municipaux : Mm e Gtde Rose, Mm e Jourdan
Germa ine, Bil go t Hené, Bernard Albe ric, Cadars I~ené, Collet
Fran çois, J ~an Leo n, Jea n Rosarius, .M.anderon Paul, Maria César,
Pierre Georges Damilano Raymond, Hicaud Au gustin; Amalbert
Stanislas, Aube'rt Alph onse, Ecke rt Pau l, Fouq ue Octave, juliarrl
Louis, Subeiran Fernand .
COMA lUNE DES MARTIGUES
Inscrits : 6.444 ; vot ants : 5.209 ; suffrages exp rim és: 5. 128
Nombre de co nsei ll ers: 27.
Liste LInion Ou vri ère et Démocratique (P.C. l'.), 2.229 voix
12 élus.
Liste de D élense In térêts commu naux (Liste S.F. I.O.), 1.448
vo ix ; 8 élu s.
Liste Répu blicaine d'Action ,MunIcipale (Liste Iladicale cl
Indépendante), 1.384 voix ; 7 elus.
Effecti f du Conseil Municipal : 27.
Maire : PASCAL Paul.
l " Adjoint : BOURDET Andre.
'}:' Adj oi nt: BOUTIIN Vi ctor.
3' Adjoint : COURT IAL Jean.
4' Alfjoint : BOYER Th éodore.
.
Conseill ers municipau x : Tu rca n Francis, Catto Gabnel,
Escoffier Cl ément Griscelli Oli\'ier, Gouin i\ \arius, Moulin ."arieLouise, Mouttet Gabriel, Coste Paul. Pellegrin Eugène, Lomhard
Paul Domen rre A ntonio. Fabre J·ulien, QlIeir~1 Camil1e, Salemme
Féli; Simiot Germain
Argème Victo rin, Goui ralld J\\arius,
Mjch~lis Mi chel, Olive' Julien, Fougier Roger, PistOll1l Vidor,
Roque Fortuné.
COMA lUNE DE M/RAMAS (Ire Section)
Scrutin du 3 Mai 1953
1nscrits : 302 ; votants : 220 ; suffrages exprimés
Insc rits: 2.970 ; volants : 2.364 ; suffrages exprimés : 2.33 1
L iste d'Union Ouvrière et Democratique (P.e.F.), 824 voix.
202
1 élu.
In scrits: 3.9 15 j votants: 3.261 ; suffrages exprim~s . 3. 183
Nombre de conseillers: 21.
Liste I ~épllblicaille de Defense des intcr~ts comm unaux,
1.607 voi x ; 21 élus.
Liste d'Union Ouvrière et Démocratique (P.C.F.). 1.4 11 voix.
COMMUNE DE MIRAMAS (2me Section)
Inscrits, 387 : votants: 3 13 ; suffrages exprimés: 300
Liste d'Union OUl'riere et Democratique (P.C.F.), 418 voix
2 . élus.
Liste Républi cai ne d'lntérèts communaux, 177 voix .
Effectif du Conseil Municipal : 23.
Maire : LAZA I~D Roger.
1<, Adjoint : COSTE Henri .
2' Adjoint BOREL ugllste.
3" Adjoint: JULtE,N Fernand.
4" Adjoint : PITRA Marius.
Consei ll ers municipaux : Latl l Gabriel, Sieard Abel , Mal goire
Alphonse, Re ynaud Pier re. Bavre Fernand', Viale Auguste, Nitard
Léopold, Isnard Lu cien, Bagarr~ jea n, Germain Ma rie-Laure,
Rhilippe M artial, Derbez Marcel. Marchetti j ean , C hab ri er Claudius, jauffre t Raou l. Basque Au guste, Cotton .\-'arius, Clerc Paul.
COMAIUNE DE MiAlET
Inscrits: 507 ; vo tants: 461
; suffrages exprimés: 461
!Liste d'Union Hépublicaine Ind épend an te et Progressiste
(P.C.F.), 175 l'oix.
Li ste So cialiste d' unio n
ouvrière'
et pay a nn e (S.F.I.O.),
273 voix ; 13 élus.
Effectif dl: Con ci l Municipal : 13.
Maire : MrlOEiRE Achille.
1"' Adjoint : SAMAT Gabriel.
2" Ad joint : MAIIE.CHA.L Mauri ce.
Conseillers municipa ux: Bruno j osep h, Ouey don R:l. )'mond,
Higa ud Léo n, .I\\i chel joseph, I~a tt o Marius, 1\1 0 ur ~f Bap!i::i till,
Deleuil Jean , I~apuzzi Fortuné, Vado n Emilie, BorgIhino (dém:is'
sionn ai re) .
COMAIUNE DE MEYREUIIL
In scrits: 623 ; \'otants : 53-1 ; suffrages expr imés: 5 12
Liste d'Union Ouvrière et Pa ysa nn ~ (P.C.F.), S.J. voix.
List e d' Interê t co mlllun ai (Liste Arène), 408 v..>ix : 13 élu:;.
Effectif du Conse il Muni cipa l : 13.
Maire : ArlENE VIROILE.
1"' Adjoi nt: BOUiRrŒLLY Adrien.
2' Adj oi nt : ROY EiRE Paul.
Conseillers municip aux : AIH3C hy Marce l, Bonn et F ran çOIs,
Bourrell y Louis. Coulomb Victor. Roustan Marcel, Long An d r ~.
I~ay n aud Louis, Nègre Joseph, Sa urin E mil e, Sa li vai re M arce l.
COMMUNE DE MEYRARGUES
Premi er tou r, scrutin du 26 avri l 1953
Inscrits : 552 ; votants : 484 : suffrages ~xprimés : 480,
Liste Répllblicain~ d'Unio n Locale (Corn.), 21R roi.\, 2 élus.
Liste Socialiste (Liste BI3nc And r e), 249 voix, 8 élus.
Deuxième tour, st'fu tin c.lu 3 mai 1953
Inscrits. 552 ; votants . ~75 :. ~ lIffrag'es expnml's : ~ïn.
Liste Répub licai ne «(0111 .), 2 12.
Liste Socia liste (Liste Blanc André), 2~5, :1 él us.
Bflectil du CO llsei l Municipal: 13.
Al aire: GOUIRAND Paul;
1"' Adjoint: BLANC André;
2' Adjoint ; FAB I~ E Lucien ;
Co nseillers mu nici paux : Brun Ca mille, P ea rona Gaston,
Brun Je an, B ru n AIH.Jrt~, Hichauc.l l\\olse, Brun jean, Maurean
françois, Donnat Raphaël, Plat Suffren, Noble Louis.
�COMMUNE DE PELISSANNE
COMMUNE DE PUYLOUBIER
Inscrits : 1.164 ; votants: 9 18 ; suffrages exprimés: 869.
Ins ~rits : 35 1 ; votants:. ~87 ; suffrages expri més: 219
Liste d'Union Ounière et Parsanne (Corn.), 2().j voix.
Liste de Défense des In terets comm unaux, 202 voix; IJ
Effertif du Conseil Municipal ; 13.
Maire ; FROIIDFOND H enri .
l " Adjoint; RE.YNIER M arcel.
2" Adjoint (supplémentaire); IALLET Anto ni n.
Liste d'Union Republicaine (Rad. soc.
Liste Bonnard), 577, \'oix, 17 elus.
Liste d'Action Sociale et Pa}osanne, néant.
+
.\I.KP.
+
Ind.,
Effectif du Conseil Municipal ; 17.
,\Iaite ; BONNARD Fernand ;
1" Adjoint ; GAUTIE R Agnès ;
:!" Adjoint; REYNAUD Gabr iel ;
CO.IIAlUNE DE PEYNIER
-l6O ; votants : 399 ; suffrages exprimés : 398
Liste d' Union Ou,'rière et Pa)'sanne (P.C.F.), 71 voix.
Liste d' Union Socialiste et Républicaine
Vincent), 289 voix ; Il élus.
(Liste DelpuecJI
Effectif du Conseil l\lunicipa l ; II.
-'la ire ; D6LPUECH Vincent.
1"' Adjoint; L.ONG Clement.
2" Adjoint ; .i\iIOHEL Paul.
Conseîllers municipaux : N\iohel Paul, Reyffort Au guste.
Decorne Henri. :\\ artin Paul, Lombard Henri, Signoret Pierre,
Hu rle Marius, Pourchier Genet.
COAIAIUNE DE PEYROLLES
In scri ts: 695 ; \'otants : 6 11 ;
uffrages exprimés : 583
Li te d'Union Ouvrière et Paysanne (P.C.F.), 17~ voix.
Liste d' nion Republicaine (Liste Bernard Aime), 374 voi x;
13 élus.
Effectif du Conseil Muni6pal ; 13.
.lIaire ; BERNARD Aim é.
l " Adjont ; BARTOMElUF Toussaint.
Conseillers municipaux : Ginoux Marcel, Lantea ume Fernand, Athénou x Edmond, Carle Paul, Iley Clément, Dosol jean ,
Chauvet Al bert, De Marc Gabriel, I\l azouillet Edmon<i, Athenou x
Gasto n, Pellegrin Edmond .
COMMUNE DE PORT-DE-BOUC
Inscrits ; 3.8.\6 ; ,'o tants : 3.39 1 ; suffrages exprimés; 3.337
Nombre de conseille rs ; 23.
Liste d'Union Ou \"fière et Democratique (P.C.F.), 2.147 voix;
23 élus.
Liste d'Union Républicaine et Défense des Intérêts communaux, 1.1 63 voix.
Effectif du Conseil Municipal ; 23.
Maire ; RIEU BON René.
l " Adjoint ; L AFOREST Gabriel.
2" Adjoint ; M0NTGRAND Charles.
3' Adjoint (supplémentaire) ; MILLE Clément.
Conseillers municipau x ; Audibert Ren é Laurent Albert
Giorgetti Alfred, Scarp elli Charles, Godard Marius, Salcioli Louis:
Guigue Armand . Gogioso Pierre, Peyre A uguste, Olive EmilienLouis, Olive Fél Icien-Jean, Saluzzo M arius, Tassy Marius, Rambaldi PauleHe, Legal Marcelle, La zzarino Geor ges, Giovanin n:
Delphine, Caparros François, Lienert julie.
10
liS.
ConseiHers municipa ux : Mistre I~Ll ou l , Brun Marcel M
J\\aximilien, Giraud Edmond. Rou re julien, Riga ud René 'Clo.utte
. . DeCOl1l1S
. L éon, 13 ert V·
' mSlol
Il a1l1e,
Ictor,
, Idgaud jean.
Conseillers Municipaux : Im bar Em il e, Caslelas M arcelli n,
Reynaud Pa III, Chau"et Gusta\'e, Daumas M arius, Michel Ferdinand, Fabre Eugène, Chaffa rd Louis, Deleuil Séraphi n, Rome
Jean, Beverini Raoul, Cristol Louis, TrollssÎer Germaine, Oui"
Georges.
Inscrits :
Û
COMMUN E DE f./OGNA C
In scrits: 1.617 ; vota nts : 1.399 ; suff rages expri més: 1.399
Liste Communiste, 32 1 voix.
ListeSocia liste et Rép ublicaine (S.F. I. O.), 929 voix 17 élus.
Liste Républicaine (Liste Gouirand), 149 voix.
Effectif du Conseil Municipal ; 17.
Maire ; GIRAUD Henri.
l " Adjoint; MOULINAS A ndré.
2" Mjo nt (supplémentaire) ; DAVIN jean .
COMMUNE DE St-CANNA T
Inscrits
Liste
List e
voix j 13
, 752 ;
vota nts ; 630 ; suffrag.. exprimés : 602
d'Union
Ouvrl ere et Paysanne (P.C.f.), 185 voix.
d'Union
Soclaltste Républicaine ('Liste Parraud), 417
élu s.
Effectif du Conseil Municipal; 13.
M aire ; PAHAUD Marcel.
l " Adjoint ; PAllDlGON Edmon<l.
2' Adjoint ; BOSSY Louis.
Co nsei llers Municipaux : Meiffren Sylvain , Barre Albert,
Ilaoul M ar cel, Artaud Francis, Gérard Albe rt, Caumont Elie,
GUIbert LOI11S, Rlchaud Marius, Bonfils j oseph, Ricar<l Pierre.
Conseillers municipaux : Teissier Fidèle, Caillol Lu cien
Massai Louis, Comte ,Francis, Chap ui s Ernest, Shobe rt Andre'
SolinJ.hac Paul, BOllrriLion Rene, Margier Pierre, Grangier Paul'
Blanchard Delphine, Darries Emile, Belloni Dominique, Imber;
Léon ce.
COMMUNE DE ROGNES
Inscrits : 592 ; vo tants : 534 ; su ffrages exp rimés: 520
Liste d'Union Républicaine et d'I ntérêts locaux (Liste Tassl'),
289 VO I X; 13 élus.
Liste d'U nion Républicai ne pour la Défense des Intérêts
locaux (Liste L èbre), 220 voix.
Eifectif ,ru Conseil Municipal ; 13.
Maire : l'ASSY Henri.
l " Adjoint; BRiOLE And ré.
Consei llers municipaux : Figui ère j ean-Baptiste, Valeyc
Y,'es, Briole André. Carluec Maurice, Simondet Ferdinand, Rabarin Emilien, Davin Angelin, Eymard Daniel, Bastard jllles, Grimaud Georges, Germai n Paul.
COMMUNE DE ROUSSET
Scrutin du 26 avril 1953
In scrits; 5 16 ; l'ota nts ; 479 ; suffra ges ex prim és ; 476.
Liste d'Un ion Républica in e d 'action Laïque (Liste j ouven
cel), 205 voix.
Liste d'Entente Républicaine et d'entente locale (Lisle
Vid al), 250 voix ; 10 élus.
Scrutin du 3 Mai 1953
Inscrits; 5 15 ; vota nts ; 432 ; suff rages exprimés
Liste Jouvenel, 19 1 voix.
Liste V·idal, 225 voix ; 3 elus.
Effectif du Conseil Municipa l
13.
Maire ; NEGREL Edouard.
1"' Adjoint; VIDA L Lauren t.
2" Adjoint ; BONJDURAND Emile.
l " Adjoint; Mm e MAURJN DE CARNAC
Conseillers municipaux . Dav l'd V'ICtO'
L'
E
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nn, oucagne mmanuel, Guanse
Marcel,
GaHiano
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ean-Bapt'ste
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a lano p 1' erre
N ove 1la P'
le rre, Maunn de Ca rn ac H ~ n( B
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Ma rtell y Gaston.
l"
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Onnal!
IIstave.
429
Co nseillers municipaux; Coquillat Etienne, Bar ba roux Raymond, NégreJ Edouard, tong Pierre, Havel Alexand re, Coulon
Fern and, Vidal Antoine, Magnan Hil aire, Jou rdan Hilaire, Rarel
Anselme.
COMMUNE DE St-ANTONIN-sj -BAYON
Inscrits, 32 ; votants, 32 ; suffra ges exprimLs: 32
Liste d'Union Répu b. Ind épendant e, 27 \'oix ; Il élus.
Effectif d u Conseil Municipal : II.
Maire; MARTINAUD-DEPLAT.
COMMUNE DE St-CHAMAS
In scrits: 2.22 1 i votants: 1.962 ; suffrages exprhnés : 1.883
Nombre de co nseIllers; 21.
L iste Républi cai ne Socialiste de Défense des In térêts Co mmunau x, 988 voix ; 21 élus.
Liste Ouv ri ère et Dé mocratique (P.C.F.), 869 voix.
Effecti f du Co nseil Municipal ; 21.
Maire ; AUGER Raoul.
1" Adjoi nt : ROBEIIT Morguerite.
2" Adjoint ; MICHELON Félix.
Conseillers munici pau x : Astie r j oseph Villard AU lYusti n
Roux Gaston, Faure Albert, Pi gaglio Alfred Gautier Arnold'
Goiran-d. Eugène, Venture Octave, Robert Gas ton Giaccarini
Loui s, Lagriffe Simone, Barantas L~o n, Saint·.,Mar'tin Siméo n,
Hamella Clotilde, Lion Georges, Ferrari Ancel, Du bois Paul,
Cravino Raphaël.
COMMUNE DE St-MITRE
Scrutin du 26 Avril 1953
Inscrits: 302 ; votants : 289 ; suff rages eX'J1l'imés : 288
Liste d'Union Ouvr. et Paysanne (P.C.F.), 134 voix; 2 clus.
Liste Rép. Indép. de Dé-!. des Int. comm un. 142 voix ; ~ élus.
Scrutin du 3 Mai 1953
In scrits: 302 ; votants: 289 ; suffrages exprimés: 288
Liste d'Ufli on Quvr. et Paysan ne. 135 vo ix.
Liste Républicaine In depell'dante, 147 ,'oix ; 4 élus.
EffectrJ du Consei1 Muni6pal ; 11.
Maire ; NIEC H Ant onin.
l " Adjoint ; FOURN IER Marius.
2 Adjoint ; BONZON Antoine.
Conseillers munjcipau..x : Roland Fran cis, Gautier Jules,
Joly Louis, Pascal .~l a rius , Rehel Alex.is, Jauras René, Sabatie:r
Alfred, Bruna joseph .
COMMUNE DE SI-PAUL-LEZ-DURANCE
In scrits: 15 1 ; votan ts : 125 : suffrages e:q)rimës
Liste d'U nion Républicai ne, t 10 voix; Il élus.
120
Effectif du Conseil Municipal; 1 t .
Maire ; CAIIJLAT Paul.
l " Adjoint; HOUX Mathieu .
2" Adjoin t : CAMELI O Antoi ne.
Conseille rs municipaux ; Dau mas Paul, Escudier Artlwr,
Sienne Gjlbert, Fabre Gerrn aJll, Caillat H enri, Cuomo Antoint;
Gi raud 1ar.cellln J Prou\re.n Ferna nd.
COMMUNE DE St- VICTORET
COMMUNE DE St-ESTEVE-JANSON
Scrutin du 26 av ril 1953
Inscrits : 1.297 ; votants; 979 ; suffr.ges exprimés; 960
Liste d'Union Ouvr. et Pa)'sanne (P.C.F.), 322 vou.
Liste l ~~publica",c (LIste Abha. le), 620 voi~ : 17 élus.
Effectif du Consei l Municipal ; 17.
Maire ; ABBAD IE Louis.
l " Adjoint; CAHBONEL Honoré.
2- Adjoint ; AMPH OUX Raoul.
In scrits : 55 ; vo tants: 50 ; sufifrages exprimés: 49
Li ste de Défen se des Interèts co mmun aux (Liste Th éri c),
24 voix ; 6 élu s.
Liste 'Ci' ln térets locaux ,Liste Vidal), 14 voix : 1 .Iu.
Conseillers municipa ux : Liotard Paul, Dufes jules, Ripault
Guy. Mairot Albert, Gillot II\\ arcel, Turb1ne Ernest, Meinardi
Pierre, Amphoux Raoul, De Kenmel Juliett e, Minetti Michet,
Fabri zy Ren é, Guillaume Ren é, Ge.rmain Marcel, Leger Noémie.
Scrutin du 3 Mai 1953
COMMUNE DE SALON
Inscrit s; 55 ; vot ants: 52 ; suffrages expri mes: 52
Liste Théric, 27 voix ; 3 élus.
L iste Vid al, 22 voix ; 1 élu.
Inscrits: 9. 164 ; votants : 7.270 ; suff rages exprimés : 6.984
Nombre de conseillers: 27.
Uste Cllapus (P.CY.), 1. 295 voix : 5 él us.
Liste Carcassonn e (S.F. I.O.), 2.015 vo ix; 9 élus.
Liste Laurent (Ibdicaux), 5~7 \'oix : 2 élus.
Liste Coye (Indép. Pays.), 43~ ,'oix ; 1 élu.
L iste Crou snillon (M.RP.), 2.205 voix ; 9 élus.
Liste Marzac (PP .F. et Indépendants), J!lj voix
1 elu.
Effectif du Consei l ~ lun ic i p. 1 : 27.
Maire ; CROUSNhlLON AlI>honse.
l " Adjoint ; GINOUX ,\Iareeau.
2' Adjoint ; CAU."IETTE Noi!!.
3' Adjoint ; PESNEL Robert.
4' Mjoint ; ROUX Albert.
Effectif du Co nseil .~\uni cipal ; Il .
Maire ; l'HERIC justin.
l " Adj oint. GRANOjEA.N Paul.
Conseill ers l1lunici p.:1 ux : Gelus Fernaoo, Tunmerm ans .\1aurice , Gelus Ferdllland, Laugl'" Améd.e, Gautier Gaston, Vidal
Jean, Durand &lmond, Ba rras ju lien, Martini Ange.
COMMUNE DE St-MARC-JAUMEGARDE
In scrits : 175 ; \'otants : 158 ; suff,ages ex.pri ml!s : 156
I-iste Indép. de Dèf. des Intér. co mmu n. 126 voix: 1l " I u~.
Li ste d·Un . Ouvri,,,c et Paysanne (P.C.F.), 29 voix.
Effectif du Conseil Municipal ; 11
Maire ; TRLYPH.EM'E Ernest.
l " Adjoint; CHARPAL Henri.
Conseillers municipaux; Alibert Gabriel, Martin Abel, Trup,hème Mauri~e, Gourgeon Célestin, Mary Charlotte, Mantet
Ida, r~e}' e ra Adrien , Benlisa Alhert, Nicodeme Antoni n.
Conseillers municipaux: Can.:asson l1c I ~oge r. B~rau d Louis,
Bourret Paul, Chapus r~ oger. R~",h:tldi E t l~ n ne, Fabre H enri,
P elle ne Alhert, Bord'on~Biron Emmanuel, Lacour François, Gauthier H enri, "ie Raymo nd, MalLac Albert, Francou j ean, Ay mard
Roger, Camelin Henri, Marin Paul, Berliawski Michel , Laurent
Marcel, Teissier Georges, Martin Charles, Barfhélemy Clarles,
Ga\'ot)' Hubert.
�CO.I/MU.SE DE SAU SET
Inscrîts : -105 ; votants : 36 1 ; suffra ges e:\.1lrÎm és : 352
Liste Communiste, 74 " oi),..
Liste d'Union Sociali te et Rêpublicain e, 2tH YOÎ:\.
13 elus.
Effectif d u Co nse il Municipa l : 13.
Maire : ~IA TRAjA P ierre.
l" Adj oi nt : BELLO Al ber!.
2' Adjo int (su ppleme nta ire) : FARN I Sail·a to r.
Conseillers municipaux : Mme veuve Paul .\tarie-Louise,
r ouque R:ob ert, Oth'e .\\ athurin , Bresson Louis, ac.coman Louis.
Russo Em ile, S olitaire Antoi ne, Gidde Paul, Blin Cha rles, Mme
Mich elis joséphine.
COMMUNE DE SEPTEMES-LES-VALLONS
Insc rits : 2.368 ; ,"ota nts : 1.987 ; suffra ges exprimés : \.93-1
'ombre de consei llers: 21.
Liste Socialis te (S.F.I. O. ), 'J57 voix ; 21 él us (2e to ur).
Lis te (P.C. F.), 675 , 'oix.
List e Corinelli, 2ï7 \'oÎx.
Effectif du Conseil .\hlniclpal 2 \.
.\lai re : RAP HA EL Bap fls ti n.
l" Adjoi nt : PI C Ma rce!.
2' Adjo in t : ROUO IER Fra ncis.
3' Adjoint : CAST ELLI N Elie.
Conseillers municipaux : Lafouge And ré, D ossett o André,
Chevalier Edo ua rd, Ro uba ud Ala rius, Ra pL laël He nri, Royère
N ictor, Brandis j o ep h, OreIlle Pa ul, Ferry j osep h, Carbo netlo
Philippe, Bourrell}' Ray mond, I~o u gi ei Fern and, Enfossi Vi cto r,
Martelli Fernaoo, Pero tte Louis, F rancesch l V alentin, Chave
CO.\I.\I U,\'E DE SIMI ANE- COLLONG UE
I nscrits : 525 ; votants : 43 1 ; suff rages exprimés : 411
Liste de Geslio n et de Ddense d es Inlé réts Co mm una ux
( Liste La beille), 3 15 voix ; 13 élus.
E ffectif d u Co nseil .\I unicipal : 13.
Ma ire : LAB EILL E E.
l" Adjoint : FERRERO Mari us.
ConseiUe rs mun icipaux: P o nt ier Lo uis-j osep h, Pa ll y ,~I ar ius,
Beisson Félix, M érentier Eugène, Sallier Fern and, M ytiliness
Ma ri us, Bo urrelly Lo uis, Lafo nt De nis, Ill y j ean Ma rie, Ma gna n
M arius, j ourda n Marie-Louise.
In scrits : 5-l-l ; votants : 50 1 ; suffrag es exprimés : 485
Liste Com muniste Ouvrière et Paysa nne, 90 voix.
Liste Républicai ne d' In térét local, 377 voix ; l :t élus.
Effectif d u Conseil Muni cipal : 13.
M aire : DAUL ET Jea n.
l" Adjoi nt : j.AUFJ'RE.T Vi nce n!.
C onseillers munici paux : B iscahy Ca simir, Ri gaud Antoi ne
D onn ier A l ex·a n dr~, ju lien Mari us, Bargier Françoi s, Pontier Elie'
Gourjon Mathieu, Salva i Mi chel, Jauffret Ern est, .f\'\ artin Laurent'
Liaumo n Louis.
'
COMMUNE DE VENELLES
Scr uti n d u 26 avr il 1953
I nscrits : 338 ; vorants : 285 ; suff rages ex primes :
283
Liste de Dé!. d es Intér. COOl. (Liste Fosse), 11 8 voix.
Liste d' Uni o n de Dé f des Int . Co mmunau x (Lis te T rucy),
148 voix ; 8 é lus.
: 1.775 ; " o ta nts : 1.579 ; sllff rages ex-primés : \. 532
.. ombre de co nserl1 ers : 21.
Conseillers municipal!X : Mistre j ulien, H enry Désiré, Bert
S éve rin, Milesi Cha rl es , Pelo ut ie r j ul es, Verlaqu e Lo uis, Girodo
Pierre, Coquillat Ma rius, Pa lla nca j osep h, Garcia An to ine,
Baille Mar the. Corgia t Paul. Imbert And ré, Feraud Georges.
Richa ud justin, Coqui ll at P hilémo n, Berna rd .~ Ia r i u s, Savo urni n
Justin.
COMMUNE DE VAU VENA RGUES
93
COMA lUNE D' ALLEINS
Inscrits : 503 ; vo tants: 4W " suffrarres
. é s : .382 .
0
expnm
N omb re de con seill ers : I J.
Li ste D el1l ~c ra t iqll e Soci aliste de D ~iè n se des I ntérêts
Communaux (S.F .1.0 .) : 282 \'oix ; 13 êlu s.
Ca l1 di~ a tllre uniq ue, Gaisnon (S.F.I.O.) : 222 voix.
Effe ctifs du Conseil Muni cipal : 13.
Maire : RO UX Léo n '
1er Alij oi nt : GU IEN 'j ules ;
Co n sel1 l e r~ mu nicipa ux : Hoche Th éophile, Fa ure I\ \ari us.
.
VIII.aron
ab n efl'J La urent Casi mir, I~ey n alld Lucienn e, Olli vier
Féli x, . Hoc he I~oge r, Laure nt Louis ,Vill e Jean, N\oll taO"ard E li e
M andl nc Léo n.
1:>
,
COMMUNE D'ARLES
In sNc r its : 20 A53 ; vo ta nts: 16.826 ; s uffrages expr.: 16.606.
om b re de Co nseill ers: 3 1.
L is te Un io n O uvrière et Démoc rat iq ne (P .C. F.) : 6.101 vo ix ;
12 elus.
Liste Ull io n et Actio n Soc. (S. F.I. O.) : 7.42 1 vo ix' 14 éhl".
Liste Concentratio n Hépublica in e : 1.63 1 voix ' 3 'él us.
Li ste
Eff ec tif d u Co nseil Mu nicip a l : Il.
Maire : TRUCY M a ri us.
l " Adjoi nt: SIGNORET Gâb rie!.
~cti o n
Famil ia le et Sociale: 1.33-1 voix ; '2 blu s.
Eff ectIf ù n Co nssei l Mun icipal : 3 1.
Mai re : PR IVAT Cha rl es'
1er Adj o in t: JO UVE Deni ~ ;
2e Ad joi nl : BLANC j ea n ;
3e Adj o ilYt : SAUTEl' E ngè ne
4e Adj o int: BUON jea n.
In scrits ; 340 ; vo tants : 268 ; suff rages ex primés: 268
Li ste Fosse, 129 voix ; 2 élus.
Liste Tru cy, 126 \Ioix i 1 élu.
Con sei ll ers mun ici paux : Amal )' Louis, Co ulet j ea n, Floris
COMM UN E DE VEN TABREN
j ean, G ue)' ra utl j aoques, Abadie j ea n, Cha mpel P ie rre, Tréb osc
Jean Arn aud Paul, Corn ill e Ange, Gueyraud Anto nin, G3u za rgues Mariu s, Pilliol Cypri en , M outo n Ad rien, Béraud Paul, Gar~nq P al[ I -~1 aurice, B rigan ti E ugène, Ceysson Auguste, Biru lli
Gino, Bara li ler Jean? Bas co u N\ adelei ne, J\'l orand Henri, Se rguey
j
Liste d' Uni o n Ouvri ère et Pay sa nne (P.C.F.), 65 voix.
Liste de Dé!. des Int. Co rn. CLis!e Bareill e, 20 1 voi x; II élus
Liste d' Uni o n Rép., Soc. et Fa milia le (Liste Bourde), 98 voix,
Effectif du Co nsei l Municip a l : Il .
Maire : BAREfLLE Ma x.
l " Adjoint : MONCLA RD Ro ma in.
2' Adj o int (s up plémentai re)
VlG O URO UX Fréderic.
dius.
Jnsc rits : 277 ; vo tants : 25 1 ; suff rages exprimés: 24S.
Nom bre de Consei ll ers : Il.
Il élus.
Liste Unio n Soc ia liste et Rép ubl icain e et d' Intér"t lo cal: 108
Effect if du Co nseil Mun icip a l : I l .
Maire: GU ILLAUM IER Aimé ;
1e r Ad joi nt : SO LE IL Co ns ta nt ;
Jinsl:rilS : 630 ; vota nts: 566 ; suff rages exprimés: 559.
No mbre de Co nsei ll e rs : lJ .
Li ste U nion O u v r i(: r ~ ct Paysanne (P.e. p.) : 87 vo ix.
Li ste Socia liste Ind épent..l antc (L Ut.:a Ge rm ai n) : 117 \·OIX .
Lis te Indé pe nd a nle ù' lnté rê.ts Commun a ux (G illes) : 367
vo ix ; 13 élu s.
Effec ti f d u Co nseil Aluni cipal
Mai re: G ILLES Prosper ;
1er Adj oi nt : NO BLE j oseph
Consei llers municipa ux : Gi 'ies j oseph, Gilles Eli e, ROC:1d
Prosper, Berl andie r Louis, Fab re E rn l: st, D urand Nicolas, Buravand JaC(IUe , Angell ier Joseph, Garei n Paul Gill es An to nin
Oill es Charles.
"
COMMUNE DE CABANNES
Premie r tour : 26 Av ril 1953
I nscrits ; 1.+40 ; vota nts: 1.228 ; su ffrages ex pr. : 1.213.
No mbre de Co nseille rs : 17.
List. Union Répu blica ine Ou vriè re et Paysa nne (P .C.F.)
253 voix.
Liste Radica:e-Soc. (Br uny i\l a ur ice) : 63 1 voi x ; 13 élusLi ste U nion Rép ublicai ne et Soci ale : 462 voix.
Scr utin du 3 M a i 1953
fns cri ts : 1.043 ; vo ta nts: 772 ; suff ra ges exp rimés: 757
Liste All a rd, 26 1 vo ix.
Liste Lo u bet, 474 vo ix ; 13 élu s.
Effectif d u Co nseil Muni cip a l
13,
Mai re : LOUBE.T Henr;.
1" Ad joi nt : M ARTIN Vi cto r.
2' A-d joint (su pplémentai re) : BAS INOT G eo rges.
3' Adjoi nt (s u pp lé menta ire) : DIA VID Hoger.
Co nseillers. mu nicip~u x : Co u ~oI11 b ~a lll, G~o.ux Fernan~,
P o ussel j osérJ,lI ne, Math Ieu P a ul , Be rard G Il be rt, (Jelabe rl Josep ,
De uxièm e to ur : 3 Mai 1953
168 voi x.
Liste Hadicale-S oc. (VI(lL au Ma rc-Antoine): -+41 vob. ;
Liste d'U nio n (M,R.P.-S .F.1.0 .) (liste Vid eau Pie rre)
clu.
520
voix ; 3 élus.
Effectif d u Co nseil Mu nicipa l : 17.
Mai re: DAUP HI N j osep h ;
1er Adjo int :. CLA I~ETUN E ugène;
2e Adjoi nl : LANSE Ma rius;
COMAIUNE DE BA RBENTANE
COMMUNE DE CHATEAURENARD
Premie r T our : 26 m'ril 1953
Inscrits: 5.8 15 ; vo tants: 4.565; suff rage exp rim é" : 4.485 .
N ombre de CO ll sei' !el s : 13.
856
Liste d' Unio n ( Liste 'Lo ubet ), 395 voi x.
Lis te Ind épe nda nte (Liste Amp ho ux), 238 voix.
13.
Consei ll t rs mu nici paux : Nicolas M.ichel, Jullia n Louis, Sylvestre Lu cien, J\\ ichel Franço is, j ull ia n M arcel, Lance Raymond ,
Brun)' Ma urice, D upl an Charl es , Joube rt Germa in, Pauleau
Paul, Vid au P j l' rr ~, Vilh ct Paul , V idau M arc-Ant oi ne, Arn ault
M arcel.
Liste Co mmuniste (Liste All a r j '), 2 14 vo ix.
Au zias Louis, Boujare! E milienn e, M archand Eugl- nc .
COMMUNE DE BOULBON
Co nsei ll ers mu nici paux: IT oufa y Antoni n, Chabani er M arcei, T roue! Lo uÎse tte, Gauth ier Edouard, BOllrloircl Louis, Sol eil Adrie nne, Clavel J\ \ aurice, M a rin Eu g-é ni e, Gilloux Fél ix.
Sc r ut in d u 26 av r il 1953
In sc rits: 1.043 ; vo tants : 863 ; suff rages ex primé s
Conseiller municipaux : Ginoll x L OUI S. J\\ ouc..:adeau Louis,
Plumeau Fern and, Chauve t François, D ar re Pierre, Bru yère
Gaston, G inoux j ea n, Fontailfe Jt:a n, M ouca t..l ea ll j ea n. CroU l et
Gabri el, Petit j ean, Pit ra s Jea n, Ardi gier Al bert, Georges M aurice, Li nsolas Henri.
Liste U nion Hêpublicnine Ou vri ère et Pa ysanne (P.e.F. ) :
COMMUNE D' AUREILLE
Li ste Comm uniste et Sympathisants Commun istes : 133
Nègre André, P ieu lle Ma r ius.
--
Eff ec tif du Co nseil Alun icip a l : 17.
Ma ire : BIWYERE M.-j .
1e r Adj o int : MO UllRlN Pie rre;
Ro ge r, \V eck Mau n ce, Blacas jea n, Comte Hen ri, Ba rd Cla u-
I nscrits: 4 19 ; votants : 358 ; suffrages ex primés : 355
COMMUN E DE VI T I<OLLES-LE-ROUCAS
Liste d' Un io n Ouve. d Démoc ra!. (P.C.F.) 549 voix; 19 élus.
Liste Socialiste Rép. et d'l nterêts locaux, 509 ,'oix.
Liste d Unio n Républicai ne et d' In!. locaux, 526 \'oix, 2 élus.
Effect if du Co nse il Alunic ipal : 2 \.
•\la ire : MIC HEL Ma r ius ;
1er Adjoint: RIPPERT Féli x;
2e Adjoint: MALLET Célestin;
ARRONDISSEMENT D 'ARLES
Scr uti n d u 3 Ma i 1953
Conseillers municipa ux : Ro uard Francis, Roua rd Louis,
Poitevin André, P erron Eu gène, Le ydier Paul, Eliena j acques,
COMMUNE DE TRETS
Inscrits : 11 6 ; vo tants : 93 ; suffra ges expram és
Liste Gauthier L ucien. 82 \'oix ; II élus.
Efiechf du ConseIl Municipal : II .
Mai re : G A UT I EI~ Lu cie n.
1-' Adjoint : M ICHE L Hen ri.
COMMUNE DE VELA UX
Co nseillers Municipaux : Coste Ferna nd, Fosse Eu gène,
Bajolle Gaston, Laurin G ervais, Cast el Paul, Laurin Marcel,
Chieusse Ro ger, Eyguesier Th éodore, Fina Antoine.
justine.
Inscrit
e~ n sei ll ers m u~icipau x : ~yg ll es i e~ Gabriel, Pey ron Alfred
Gauthier Jean-Baptiste, Gauthi er Sy h'aln, M audric Pierre F '
N "1 G
.
A
'
,
our_
. 1 R
ment G abn e, avera oe,
autle r .'"\U guStlJ1 , Gautier Maurice.
Insc rits: 1.568; vota nls: 1.327 ; s uff rages exp rimés : 1.3 l !.
Nom bre de Co nseil le rs: 17.
Li le Ga br ie l Ra)' na ud (P .C. F.) : 283 voi x,
Lis te Ind épenda nte ù' lnt érêt co mmun a l (Day re) : 577 VOIX.
Liste Ind épe nda nte d' intérêt commun a l (de Wa resqui el) :
588 voix.
D euxième tou r: 3 M.ai 1953
lnscrits: 1.566 ; \'ota nts: 1.359; suff rages exprimés: 1.340.
No mb re de Co nsei ll ers : 17.
Li ste Oêfense dt:s Intérêts co mm unaux (B ru)'(o re): 69~ voix ;
16 élus.
Li ste I nt!épendante d'i nté rêt co mmunal (dt:: Wa resquiel) :
6 19 voi x ; 1 élu.
Liste d'U nion Ou \' ri t!re et démou ai ique (P.C.F.) : 905 \'oix.
Lisle Rad.-Soc. et S.F. I. U. ( Liste Ma ri g nan) : 2.400 l'o ix,
23 élus.
Liste Indé penll . Répub. d' Intérêt co mmun a l (liste Arn a ud) :
1.1 00 voix.
Bffec tif du Co nseil Mun ici pa l : 23.
Ala ire : ~ \ flR I GNAN I~obc rt ;
1er Adj oint: LACRO IX J.-B. ;
2e ,\ djni nt : BE NEZI': T Lo uis;
Conseillers municipa ux ; Ferr ie r Pi erre, Crouzet AlexiJ.,
Murato r) J\ \l chel, T ru ull iet J acq tl ~, Au hag-ne Joseph) Pauleau
Au guste, Gai llardet Etienne, Pauleau Paul, Gino ux François,
13
�Robin .\Iarius Brocarel Marcel, jouve joseph, Gros Etitnn<,
Chau"et Gas[~n, Gene\'et PierTe, Dinard Antonin, Mathan Elis«!,
Riga{ Pierre, Pauleau Henri, Nkolas Virginie.
COM.I/UNE D'EYGALIERES
Inscrits: 776 ; "Olants : ï04 ; suffrages .,xprimes : 691.
Nombre de conseillers : 13.
Liste d' nion OUHière et Paysanne (P,C.F,) : 225 \·oix.
Liste Socialislt Indèpendan te des Inter,;!s communaux
454 "oix, 13 élus.
Effectif du Conseil Municipal: 13.
Maire : BREUG ' E Gaston ;
1er Adjoint: \'EISON Etienne ;
2e Adjoint (supplementaire) : MEYNIE.R Paul
ConseiUcrs municipaux: Goudet ~Iarcel, JIIartel Léon, Florent Simon, Arnaud Emile, Perrot Denis, Martel Auguste, Duleau ~\\arj~ Coste Marius, Bouche Léopold, Borri Auguste.
COMMUNE D'EYGUIERES
Ins crits: 1.-159 ; ,·o.tants : 1.193 ; suffrages expr. : 1.176.
Nombre de Conseillers : 17.
Liste d'Union Ouvrière et Pa)'sanne (P.C,F.) : 41 voix.
Liste de Concent ration Républicaine et d'Intérêt local
(S.ELO.) : 411 voix.
Liste Républicaine Indép. d'Action Communale (liste Codaccioni) : 595 ,'oix ; 17 élus.
Effectif du Conseil Municipal : 17.
Maire: CODACC IONI Louis;
1er Adjoint : MAHE Paul ;
2e Adjoint: SANIBUC Marcel .
3e Adjoint : J\IAZZON 1 Emile ;
Consei);)ers municipaux : Per",t jules, Sausse HOge>, Bionaz Joseph, Mathieu Fernand, Allemand Henri, Roux Marcel,
Mie Henri, Bacculard Jean, Monier Pierre, Arnoux AJe;..andre,
Bandon Daniel, Thiers Antoine, Agu Lucien.
COMMUNE D'EYR·~GUES
Inscrits : 1.230 ; votants : 1.0-16 ; suffrages expr.
1.012.
Nombre de Conseillers: 17.
Liste Union Démocr~tique (P.CF.) : 229 l'oix.
Liste Union Rép. et Soc. : 723 voix; 17 élus.
Effectif du Conseil Municipal : 17.
Maire : LAG EL Baudile ;
1er Adjoint: FABRE j ean-Marie;
Conseillers municipaux ; Métairie Adrien, Michel Fernand,
Deydier joseph, Escalier Baptistin, Revel Etienne, A ubert Antoine, Melchior jean, jauffret j oseph, Gras joseph, Achard Michel, Michel Henri, Bouchet Paul, F10rus Marie, j ouve Etienne.
Mollard Lau ren l.
COMMUNE DE FONTVIEILLE
Premier tour : 26 Avril 1953
Inscrit: 121 ; "otants : 1.106 ; suffrages expr. : 1.094.
Nom bre de Conseillers : 17.
Lisle Union Ouvrière et Pa)'sanne (P.C.F.l : 461 voix.
Liste Rép. Union Démoc. (candidatu re uniq,e) : 247 voix.
Liste Union Socialiste et Répu blicaine : 543 voix; 6 élus.
Deu xi ème tour: 3 Mai 1953
1er Adjoint : AR AUD Fe r nand ;
2e Adjoint : ESPIGOL Gabrie l ;
Conseillers municipaux : Philipon Albert, Tissot L ' .
Cornille Lucien, Etienne Al be rt, Brunei jean-Baptiste A OUIS,
. Journet A
' E ynes
. A nne", Leca Paul, Perret
' rnaud
\ /'letonn,
ntoOln,
11\
cel, Seguin ~imon,
.'bnen Andre.
Desmaries Hono ré,
Aubert Jean-BaPtis~~·
•
COMMUNE DE GRAVESON
Inscrits : 1. 100 ; votants: 94!l j suffrages exprimes: 918
Nomb re de consei ll ers : 17.
Liste Républicaine et d'Entente, 7 13 voix; 17 élus.
Liste Ouvrière et Paysanne (P.C.'F.), 92 voix.
Effectif d\l Conseil Mu ni6pal : 17.
Maire : BERLHE C harles,
l " Adjoint: PIERON A lbert.
Conseillers mu nkipaux : Guitlaumond Marius. Perrier Louis
Ferra nd Marcel, Bonnefoy Lo.uis, Bru n Raymond, S o ulaire Jean'
Laugier Jean, Testud Victor, Eymard Henri, Crestin N\arius'
Berteaud jean, Ferrier Charles, Petit Emile, Ayme laurenl'
Callet Henri.
'
COMMUNE DE LAMANON
Inscrits : 322 ; votants : 295 ; suffrages ex.primés
290
Nombre de conseillers : Il.
Liste Communiste, 65 vOÎx.
Liste des Intérêts Commu naux, 205 voix
I l élus.
Effe ctif du Co nsei l Mu nicipal : I I.
Mai re : BARBOU Jea n-Pier re.
l " Ad~o int : CANA L joseph.
Conseillers municipaux : ,Paszièr e louis, Garein ,Marius,
J\<\'oreau Pierre-Albert, Gorini A ntoine, Richaud Pierre, Rossier
René, Savoye André, Mauger Henri-Marcel, Pon chon Jean.
COMMUNE DES BAUX
Inscrits : 156 ; votants: 145 ; suffrages exprimés : 145
Nomb<e de conseillers : 11.
Liste d' Union Ouvrière et Pa ysa nne (P.C.F.), 35 l'o ix.
Liste d' Union et d' Entente, 36 voix,
Liste d' Union Ré'»ublicaine, 9 1 vo ix; Il élus.
E.ffectif du Conseil Municipal : I l .
Maire : V AYSS IERE Pierre.
1'" A<l!jo int : BOXBE!RGER René.
Conseillers municipaux : Graugnard André, Tougay Félix,
Rabot Mtoi ne, Griffe Etienne, A rsac j oseph, Venzin Angelo,
Chauvet Louis, Barneirat Antoine, Sicard Germain.
COMMUNE DE MA ILLANE
Inscrits : 9 16 ; vota nts : 668 ; suffrages exprim és: 656
Nomb re de conseill ers : 13.
Liste de Défense des Intérêts commun ., 580 vo ix; 13 élus,
Effectif du Conseil MunicifJ<!1 : 13.
Maire : MAURY Au guste.
l" Adjoint: BOUISSO Albert.
Conseillers municipau x: MouHin Pierre, Griot Louis, Dumas
César, Cornillon François, Roubat Ferdinand, Bayo l Louis, Lillamamll Adrien, Pitra Charles, Pi c hon jean , jou bert Robert, ArtauJ
Marcel.
COMMUNE DE MALLEMORT
Maire: TACHE Marius.
l" Adjoint : JOURDAN Emile.
2' Adjoint: AGARD Julien.
Conseillers municipaux : Lapierre Léon, Jullian Paul, Porte
Victorin, Perrimond Fernand, Mercier Aimé, Durand Henri, Fourniller Aimé, Germain Marius, Bougues Aimé, Paris Abel, Passat
Reine, Malacarn i 'Modeste, Dovis Julien, Beysson Lu cie.
14
Inscri ts : 1.398 ; votants: 1.204 ; suffrages ex pri més: 1.177
Nombre de conseillers: 17.
Liste Rt\publicaine d'Intérêts communaux (P ,C.F,l, 690 voix;
17 élus.
Liste d' Entente Républicaine et Dé mocratique pou r la
défense des jntérêts communaux, 448 voix.
Effectif du Conseil MuniCipal : 17.
COMMUNE DE MOURIES
I nscrits : lOI ; votants, 97 ; suffrages exprimés : 96
Effectif du Conseil Munic ipal : II.
Liste d'U nion Républicai ne et d' In!. local, 75 voix; II élus,
Effectif du Conseil 'M unicipa l : I I.
Maire : GONON Louis.
1" Adjoint : BOURDf:f Marius.
Conseillers muniCipaux : Ranc Prosper, Bernard Pierre,
Lim berton J\larius, Marin Jean, Eynaud Dieudonné, Coullomb
Joseph) Laurent Jacq ues, Eynaud Henri, N\atrnon André.
Inscrits : 1.005 ; votants : 904 ; suffrages exprimés: 882
Nombre de conseille rs : 13.
Liste d' Union Ouvrière et Paysanne (P.C,F,), 146 voix.
Liste Socialiste et Rép. d'Intérêt local, 543 voix; 13 élus,
Liste Republicaine J ' Intérêts loca ux, 221 voix,
Effectif du Conseil Municipal : 13,
Maire : BLANC André.
l" Adjoint: RA.MIN Edmond.
Conseillers mun icipaux : Robert Louis, Brémond Marius,
Arnaud Marthe, Caumont Paul, Arnaud Jean, Hugues André,
Bontemps Baptistin, Raynaud Au g uste, Ferrand Denis, Alturat
Marcel, Sauta rel Auguste.
COMMUNE DE MAUSSANE
COMMUIVE DE .-;OVE'
COMMUNE DE MAS-BLANC
Inscrits: 812 ; votants: 701 ; suffrages exprimés : 685
Nombre de co nseillers : 13.
Liste d'Union Demo cratique et Paysanne (P.C.F.), 153 voix,
Liste R.P.F., 107 vo ix.
Liste d'Union Démocratique, 3 17 voix; 5 élus.
Scrutin du 3 Mai 1953
suffrages expri més
700
Inscrits : 8 12 ; \'otants : 704
Nombre de conseillers à éli re : 8.
Liste Re)', 33 \'oix.
Liste Piquet (candidat unique), 3 18 voix; 1 élu.
Liste d 'Uni o n Ou vriere et P aysa nn e (La ff é Jean), 105 voix,
Liste d' Unio n Démocratique, 376 voix ; 7 élus.
Effectif du Co nseil Municip a l : 13.
Maire : PIQUET Charles.
l" Adjoint: BARBIER Simon.
Conseillers mun icipa ux : Arsac l\\arius, Blanc Joseph, Moulin Ra ymond, Blanc Jean, Cou-eJ'e rt AntoOln, Arnaud Louis) Teriay
Au guste, Sautei Louis, Darbesson Marius, Gonfo nd", Victorin,
Blanc j oseph.
COMA/UNE DE MEZOAHGUES
Inscrits : 153 ; vota nts: 136 ; suffrages exprimés: 129
Nombre de co nseill ers : 11.
Li te d'En tente Republic:tin e de Défe nse des Intérêts communau x, 1()..I. voiX' i II élus.
Effectif d" Co nseil 1\l unic ip al : 11.
Maire: DE HEG IS Geo rges,
1'" Adjoi nt : I ~AfF IN Hilai re.
Conseillers municipaux : Barry Jacqu es, Boyer Aimé, Bérard
Antonin, Blanc Louis, Blanc Pierre, Bura\'and Lou i , Ar lhac Jea n,
Durand' Florentin, Sorbi0re Séraphin.
Inscrits: 1.766 ; votants: 1.563 ; suffrages expri més: 1.548
Nombre de conseillers : 2 1,
Liste d' Union Ouvriè re et Paysanne (P,C,F,), 556 voix.
Liste Parti Socialis te (S.F. 1. .), 973 voix; 21 élus,
Effectif d u Conseil Municipal : 2 1.
Maire : SYLVESTI~ E Norbert.
l" Adjoint : ROUX Lu cien.
2' Adjoint : mOCUBLLO Denis.
Consei llers IIlunicipau x : Nicolas Léo n, Ohauvet Henri,
Thibaud A\arguerite, Ala zard Eu gène, Chauvet Léopold, Aillaud
Marcel, Ri card Jean, Chai ne Justinien, Lanteaum e Célestin, Bruneau Antoine, Palllea u Rëgis , Bo urrdly Féli x, I~ey j ean, Ricard
Georges, Chabaud Hippol yte, Uscl ar Emile, Duret Roger, David Léo n,
COAJAIUNE D'ORGON
Inscrit s : 966 ; \'otants : 744 ; suffrages exprim ês : 667
Nombre <i'e co nseillers : 13,
Lis te d'U nio n Rép nillicaine ( P,C. F.), 5H voix ; 13 élus.
Effectif d u Conse il Mun ici pal : 13,
Maire : COSTE Oha rles ,
l"· Mljoint : ROBERT Pa ul.
2' Adj oint : BRIA.ND j oseph.
Co nseil lers Illun icipaux : Sac Mariu s, Reboul El y, Fabre
Lucien, Lavi lle Louis, Bonn doy Paul, .l\\adier A nd ré, M estre
Julien, Pl esen François, Piquet Vincent, Nay An dr é.
COMA/U.VE LE PA RADOU
Inscrits : 623 ; vota nts : 549 ; suffrages exprim és : 543
Nom bre de co nseillers : U.
Liste d'Un ion Ouvricre et Paysan ne (P.C.P.), 84 voix.
Liste ,Q.·Unio n In dépenda ntc 23'J voix.
Liste d'Union I~ep u blicai n e et Socialiste, 159 voix.
Inscrits: 357 ; votants: ;l2Q ; s uffrages "'l'ri més : 3 13
Nombre de conseillers : 1.3.
Liste Unio n Républicaine (A uber t lI en ri ). 175 "oix ; 13 élus.
Liste Concentration I ~~p ll blicai n e, 104 voix.
Effectif d u Conseil Munici pa l : 13,
Ma ire : AUBERT li en ri.
1'" Adjo int : G ILLY Da urent.
Co nst::ill ers mun icipa ux : Durand' Edouard, Salvado Gabriel,
Reybaud l\\ arius, J\\arclhon Joseph, HOll\'cy re Rober t, Jamm es
M adeleine, f\ \aillet Il el:tor, Ar naud Emilien, Houger Ephrem,
Graugnard Hilaire, Pellissier Miclll::1.
Sc ru ti n c1u 3 JI'lai 1953
COMA/UNE DU PLA N-D'ORGON
Inscrits : 623 ; vota nts : 564 ; suff rages expri més: 560
Nom bre tle co nseillers: 13.
Liste de Concentration Répu blicaine, 285 voix; 8 élus.
Liste des Indépendants, 262 voix ; 5 élus.
Effectif d u Co nseil Alu nicipal : 13,
Maire : MAGN AN Lau rent.
Insc rits: 992 ; "ota nts : f>NO ; suffrages exp rimes: 6 19
Nombre de consei llers : \J.
Liste Répuhlicaîne ~ t Socialiste, 572 voix ; 13 élus.
Eff ectif d u Consei l .~Iuni cipa l : 13,
Maire: FARAUD: Pa ul.
1" Adj o in t: PAULEA U Mari us.
COA/A/ UNE DE A/OLLEGES
j
Inscrits : 1207 ; votants : 1.106 ; suffrages expr. : 1.086.
Nombre de Conseillers : II.
Liste d' Union Socialiste et Républicaine: 590 voix; Il e lus.
Liste d'Union Ouv rière et Paysanne (P,C.F.l : 458 ,'oix.
Liste Ressegaire (isolé) : 76 voix,
Elfectif du Conseil Municipal: 17.
Maire: DEYE jules;
1" Adjoint: GONDRAN Baudil.
Conseillers municipaux : Donat Jean, Fabre Paul, Perret
jules, Michon J-B" Brès Georges, Perrot Lucien, Gassin Fernand, Cha ba ud Raymond, Chabert Aimé, Vigne, Cha baud André,
�Conseillers muni:ipall\ . Corenson _-\bel~ joumon ... FeJi.\.,
Jarjayes .\\aurke. Chanas Lou15. Cal:-US Louis, Me.m iel R~n~,
Chabert .\'-'.rœ.le, r;..,u Elie, Olil ier ,\ laurice, Cha bas Lu"en.
Pel roi Eu~ne.
Conseillers J\lunic ipau : Gaieron j ean, Fa\-ier Pier
F
Georges, i\\auron Paul, Fargier François, Jalsse Laure~t!,,.\ abr r
r~lix, .A ubert I-\nt onin, Roux E9prit, Llmberton Franço'is' 'ft~e~
\ ais Paul.
' (je,.
CO,IWUNE DES Stes-MARIES-DE-LA_MER
CO.I/.IIU:VE DE PORT -'-LOUIS-DU-RHONE
losrtits : 2571 ; votants: 2.243 ; suftr.aO'es exprimes : '2.2Q..~
:'\ombre de conseille:"S : 23.
Uste d'Union UUHlcre et Paysanne (P,C.F.), 003 l'oix,
Uste Part, _.FJ,O. et Inter';ts locaux, 1A99 loix ; 23 elus,
Effectif du Conseil Municipal : 23
J\\aire : \lD.-\L Gustave.
1·' Adjoint : FUSI Louis,
2" Adjoint: SABON Jean,
Conseillers municiraux : Tt'ste Cyprien, Manin Gabriel,
.'kTz nn LoUIs, Fabr.... Io>o's. Berr)' l'ernand, Bou5queneaud
~aTins, Lejeune Eltge~, Coulom~ Jean, Bedo~i Lucien. Faure
Paul, Saurat Paul, Gar in .\\arius. B~nn ady Augustin, Di BeneQetto Henri. Courbe. Henri. Betlun)' a.rles, Romano Paul,
Azajs .\Iareel, Chaff ' ey Elisabeth, Peltinaroli Jean,
CO.ILlIU.\'E DE ROGSO,VAS
Inscrits : 1.145 ; l'otants : 9-1 1 ; suflrages exprimes
73
Nombre de conseillers : 17.
Liste de Odense et ~e üestlon des Interets corn" 767 voix
17 élus,
Effectif du Conseil Municipal : n ,
.\Iaire : .\1ARQUIS Paul.
1'" Adjeint : PAULEAU Julien.
Consei1Jers municipau.'( : Vignaud Henri, Pauleau .:\\idte!,
Durrieu Henn, .\UTtin Jean, Nitolas Pltilé.mon, Ginoux Jean,
Boyer Denis, Gin01lx f:ienri Lambert Joseph, Ripert Etienne.
Duret Roger, Cou di ère Urbain, Martin Gusta\'e, Perrier Joseph,
Chabaud Alexis,
CO.\lIJU.VE DE SI-ANDIOL
Jnscrits : 920 ; \'otants : 727 ; suffrages exprimes : 666
" ~onrbre de consemers : 17.
Liste Républicaine d'Action Sociale, 7ù9 voix; 17 élus,
Effectif du Conseil .\Il/nicipal : 17.
.\taire : FATIGON René.
l" Adjoint : ;\\ARTL'I Jean,
2' Alîjoint : ALLARD Joseph,
Conseillers wunicipaux : jouve Jos eph, Ribaud Félix, Aliard
Albert, Robert Marius, Lagarde Baptistin, Anglès Augusta,
Mourre Frédéric, Berto E:nest, Paulea u Joseph, Blanc J ean,
,M.arO:lan.d Honore, Faraud Maurice, Fabre Alexandre, Eymery
Pro""e ..
St-ET/ENNE-DU-GRES
Inscrits : 709 ; l'o tants : 648 ; suffrages exprimes
Nombre de conseillers : 13,
Liste <i"Union Républicaine et Socialiste, 290 voix
Liste des Indépendants et Paysans, 240 var:.:.
Liste Communiste, 114 voix.
642
1 élu
Scrutin du 3 Mai 1953
Inscrits : 709 ; votants: 638 ; suffrages exprimés : 633
Nombre de conseillers : 12,
Liste d'Union Républicaine et Socialiste, 308 voix ; 9 él us ,
Liste des ln<lépe ndants et Paysans, 270 voix ; :3 élus,
Liste P.C.F" 31 voix,
Effectif du Conseil .Municipal : 13,
Maire : ,'IDAU ArKi'ré,
l " Adjoint : BOUTEld Louis,
16
Insc rits: 1.035 ; votants: 863 ; su fi rages exp rimes· 83Nomb re de conseillers : 17,
' ~,
Liste d'U nion OUl7icre et Pal'sanne (P,C.F) 2'] .',
Liste Ré pu blicaine et Socialiste, 595 voix ;' '17 ~~11I~ OIX.
Effectif du Conseil Mnnici]J31 : 17.
"
Mai .. : oOELAGNES Roger.
1" Adjoint : SELLIER Bap tistm,
2" Adjoint: Il ILLET .\Ia rius.
Conseillers .\\unicipaux : Arm ieux Jacques, Cla\'t!1 Geo Il
Boucarut Mauri ce, Ri ca rd Paltl, Vergès I~ené, Roux .\\aur~:".
Comte Pierre, N1.e":";na François, Jar din Pierre, Borel Am:~~~:
.I\:nbert Fef1nand, Peyrarrl François, Ayna Adt!le, Barry Aime.
COtlfMU, 'E DE St-AIARTIN-DE-CRAU
Inscrits: 1...1-24 ; votants: 1.298 ; suff rages exprimes: 1.200
Nombre de conseillers : 17,
Liste d'Entente Republicaine, 70& l'oix ' 17 élus
Liste d'Union OUl'rii:re et Pal'sanne (PC,F,), 27' \-OIX.
.
Liste Indépendante, 27 1 voix,
Effectif d u Conseil Municipal : 17,
Maire: BAGNAN,lNCHl Joseph,
l" Adjoi nt : TI AN Lu cie n,
2' Adjoint : ROUSTAN Armand,
Conseillers municipaux: Berton Daniel, l3il':-e ri AllTelit!. Blanc
Joseph, Domergue Jea n, Chamanie r An'û'r~, Eynaud Arthur,
Cha manier Cami ll e, Lextrait Louis, Mousset Denis, Seguin Jean,
Damiano Pierre, Arrraud Etienne, Isnard Jean, Fa)' sse Fernand.
COMMUNE DE TARASCON
Effectif du Co n.eil Ml/mC/pal: 1 L
InsNcrits : 4. 139 ; Yo~a nts : 3.39 .... ; s uffrages expr. : 3.2..J:t
om bre dl: C onscl lIers Municipa ux : 23.
Liste Union OUI' f/ cre et P aysanne (P,C.F,) : 700 voix
Liste Ind ép, Intérêt Local (Va lette) : 2,307 l'o ix ;
él us,
Effectif du Conseil Alumcipal : 23,
Maire : VALETTE Ho no ré'
1er Adjoint: C ARD ONNEL 'Ma uri ce
2e Adjoint : S IMON Pao li '
3e Adj oi nt (supplémentaire) ': JULIAN Yvonne '
4e Adjoint (s upplémentaire) : CONTEST IN J ea ~
23
Co nS~i ll e rs
La peyre
Vincent
Denau x
Tou rter
muni ci pall ~ : M~ rtel ~Î e rr~,
Perrier Jea nne ,
1 aul, Corraze AntOI ne, Gilles VH.' to nn Aube rt f\n toi ne
Fe r J1~ J1 d, Predo n Joseph, Mairin J ea ~. Chaix Marius:
Hen~I J Gueydan Fram:k, So urdo n Jean, Peltier Jean,
AntOIne, Boudoy Ma ri us, Aubert Pa ul, Mistral Charles
Maire : CARRIOL Gustave;
1er Adjoint : ROMAN Albert ;
Co nseillers municipaux : Bou r ~'(; s Elie, TUi.:an Paul, J~t:y re
Gilbert, Houx Lu cien, C haix Fe rn and, Heyre Auguste, Blanc
Léandre, Gui ll aume Joseph, Bal:ql.liot Marcel.
COMMUNE DE VERQUIERE
Insc ri ts: 173 ; vo ta nts: 135 ; s uffrages ex.pri més : 13 1.
No mbre de s ièf,.tes à pourvoir: I l .
Liste Rép ublicai ne Ind épenda nte de Défe nse des In té rèts
co mmunau x: 11 5 ; 11 élus.
Effectif du Conseil Municipa l: Il.
Mair e :
COMMUNE DE VERNEGUES
Inscri ts: 19d ; votants: 16 1 ; suff rages exprimés: 160.
Nombre de lonseillers : Il .
Liste Républi<aine Démocratique et Sociale (S,F, I. O,)
146 voix; I l élus,
BI~UN
Ludovic;
1er Adjoint : PAILLET Léon;
Consei ll er mun icipaux : Pellen Louis, Pellegrin Lucie n, Eymery Paul, Fare Siméon, Gé nin Marius, Tatou Germain, Fare
Augustin, Chaza l Maurice, Ju illa n Léon.
COMMUNE DE St-REMY
Inscrits: -1,088 ; ,"otants : 3,5-11 ; su.fuages expnmes : 3,457
ombre de conseillen; : 23,
Liste . nion. Ouvrièr.e, Paysanne, La ïque et HépubJicaine
(P .C.F.)"
IX ; 23 elus,
~
Liste de Défense e
ame (S,F, L ),
'Qix,
Effectif d u Conseil Municipal : 23,
'
Maire: MAURON Charles,
l" Adjoint : MAirHI EU Casimir.
2' M Jjoint : LBRO Y Edgar.
3" A'djoint : fRUG IER Ed,
Conseillers muni cipaux : Chevallier u\l\arie-Jeanne, Armand
Paul, BoTies Alpho nse, Blanc Pierre, Joumond EmIle. Fêralld
Marius, Gonfond j oseph, T ounriJle Pierre, All vo n George;;,
Dourguin Cam !lIe, Valay j eanne-Marie, J\\aureau Jean, Gayle
François, Runaro . \a-deleine, Vigne Louis, Chauvet André, Gérin
Andre, Courbier Charl es, Sat Ehe.
e
f,22ô
t"vur le Prdet et par Dt'-Jég:ltion,
Le Sl'crelaire Général
~\axime
MIGNON ,
COMMU/ E DE SENAS
Inscrits : 1.562 ; l'otants : 1.395 ; s uffrages exp r.
1.39 1
Nombr~ de sièges à pourvoi r: 17,
Liste Lambert (P,C. F.) : 373 voix ,
Lis \e d'U ni on Rép ublicai ne et Sociale 990 voix 17 éllLS.
Effec t if du Co nseil Municipal : 17,
Maire: JA U BERT Auguste;
1er Ad joint: P OURCEL Henri;
2e Adjo int : MAYEUL Rap haë l ;
Co nseitle-rs municipmrx : Fassin Rom ain, Geymet August~,
Heynaud Léon, J\1a ur in Aug uste, Brégu ier Adolphe, Hugues ~e
lix, Jaubert Paul, Roman P au l, Flavien Marcel, C habert BaptiS'
un, C ha b. Re né, Pourcel Honor é, Roman Pal/l, Amour""'
Consta nt.
17
�DÉPARTEMENT
DES BOUCHES-OU-RHONE
-,~--
RÉPUBLIQUE
Numéro Spécia l
.I!'R ANVA 1 SE
Juillet 1953
...
••
DES
ACTES
ADMINISTR
_--_
ET BULLETIN DES MAIRIES
~
_-
........
....
.......
---_.....-_.-~-----~-
MÉDAIL LE D'HONNEUR
04 B3
DU
TRAVAIL
ALA I ~COR José,
meneur dt! chaudrons aux Ets Hu ile rie et
Savonnerie Rabaul!.
AI.JBERG HI Josep h, ouvrier de fab ri catio n au x Anciens Ers
ARIŒTE
Le Pre/el des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Legion d'Norlnellr.
Vu le Décret du 15 mai 1943, instituant la Médaille d' Hon-
neur du Trava il ;
Vu l'arrêté du 30 juin 1 ~)48 rixan t les co nditions u'apr-1l_
cation du Décret susvisé ;
Vu le décret N I) 51-4 1 du 7 ja nvier 195 1 modifi ant le tlec r\.! ]
précéd ent ;
Ma nte & Cie,
Henri, ounier il la Sté Générale de Transbordeme nts
ALB.EI~ T
r.. \ ari ti mes.
AII\ALBERT Martial,
journal ier du lond
aux Ho uillères
Mme AI\\JAUD~l C , née LATAR,Q Ma r ie, employée aux éc ritu res
dans la Maison Blanc Frères,
Al\10RETTI Léonardo, oU\'1'ie r qualifié de lab rication il la CI<
Pechine y, Ga rdanne.
A.NS6LN\O Jose ph, ma ço n a ux mines
de Provence.
aux H ouill ères du Bassi:l
Vu la délégation accordee aux Préfets pa r ar rêté de t\\. le
Ministre du Trarail et de la Sécurité Sociale ell date du 10 jan-
Mme ANTON I, née
,-ier 195 1 ;
ANTONIN I Charles, Caissier comptab le il la Caisse
des Bo uches-du-Hh a ne ,
Sur la proposition de M. le Secrétaire Gênerai,
A L'OCCASION DU 14 JUILLET 105J
uu
Tr .. \'ail. en
argent est déce rn ée aux personnes dont les noms sui\'~ni :
ADAM IS D émétriu s, ouvr ier de fabrication aux f\n cie ns Ets
Mante & C ie,
AG H ETTI Vi ctor, ouvrier hautement qualifie, i:lect ricien il la
Cie Péchiney, Gardanne,
AGNEJL M aximin, ajusteu r allx Ets Coq & Cie, Aix -en... PrO \l~ nce.
AGNELLI Dominique, chef d'équipe dockcr il la Ste üénerale
de Trans bo rd ements Maritimes.
AGOST IN I Ange,
conducteur de
travaux il
la
AlIlfrtine, a ide-ch imi ste d a ns
chef de se rvice
à la
Cie
de
d'Epar~ ne
Navigation
Mixte,
ARJ""ITIANO Louis, chffi d'atelier il la Sté des C ha nti e rs & Ateliers de Provence.
~ I\ el ARNAUD Ma ri e-Rose, caissiè re-comptable il la Manufac-
MBDAILLE D'ARGENT
La t\\édaille d' Hon neu r
G II~AR DO N
les Labo rato ires L. Beuret.
ARMAND M a uri ce,
AHRETE:
ARTl CI.. E PREJ\\lER. -
cl"
Bassin de Pro\'ence.
Sté Générale
d'Assainissement et de Distribution.
ALATA Dom inique, perceur aux Cha ntiers Navals, la C iotat.
tu re de Métaux Ouvrés.
ARNAU tJ Albe rt, co mmis principa l il la Chambre de Commerce
de Marseille,
ARNOUX Albert, Directeur gé néra l de la S te de Tr"", ux &
I ndustries M a ritimes.
Mill!:: ARNOU X Marie, emp loyée de com merce a ux Nouvelles
Gale r ies, A ri es.
ARETT f Joseph, Lonlremaihe savonnier a ux Ets Marius Fabre,
Sa lon-dt:!-Provence.
ARRETTI Maurice, co ntremaît re-savon ni er
Fobre, Saio n-de-Prol'e nce,
au'\ Ets !\\;Hi us
�AS"H~O Adrien, chd ~goutier
il la Srë Gènérale d'Assainisse-
ment ~t de DIstribution,
ATTIA .Ilaklouf, employé de bureau a la tt' Noul'elle de la
Cie AI)!énenne de Credit et de Banque.
A\' ALLONE Vinœnt, t'bemste a la Sté A. Bicchierini & Fis.
AVERSA Antoine, ou\-rier egoutier il la Sté Gênérale d' Assainissement & de Distribution .
A\ '0 . Edouard, employé aux Ets Cayol '" Salicis.
A OISTROU jean, commis qualifié il la Chamb re de Commerce
de Jllarseille.
AUMERAS Marius. l'oyageur aux Ets Cayol '" Salicis.
AU RLEJIlMA Pascal, retraité de la Sté Générale de Transbordements )\aritimes.
A \ .\lE Henri, ferreur aux Ets Coder.
AlAIS ,llarie, sous-chef de serl'ice il lia Caisse d'Epa rgne des
Bouches-du-Rhône.
BAU tELLE Isidore, chef d'équipe charpen tie r à la Sté des
Chantiers et Ateliers de Prol'ence.
B
TI VaJentin meneur de chaudrons à J' Huilerie et SavonJ
nerie Ra batau.
BARBL:T Mariu , chef de bureau il la Sté d'Exploitation des
Atel iers de Menpen ti.
BARLESI joseph, l'frnisseur ala Sté d'Applications Techniques.
BAnRI . L ouis, mecanicien-linotypiste à l' Imprimerie du Vieu},
Port.
BAR OTTI Emile, co ntremaitre do l' Hu ile ri e et SaI'onnerie
Rabatau.
BARlOTTI jérôme, rep resentant de comm erce de 1 a SiC Campa rd et de Gramond.
BA SU Jean, poin çonneur aux Cha ntiers Naval~ de La C iotat.
IIU1e BAUDINO Irène, sténo-dacty lographe co rrespo ndance à la
Cie Péch iney, Ga rd anne.
BAYOL j oseph, caissier-comptable à la Caisse d'Epargne des ,
Bouches-du-Rhône.
MJle BEAU 001 joséphine, pointeau 2me degre a la Cie Péchiney. G ardanne,
BELTR~\lDO Paul, mineur et ounier extéri eu r aux H ouil litres du Bassin de Pro\·en ce.
BEN EDETTO Jea n-Marie, sou -in génieur aux Chantiers Navals
de La Ciotat.
BE ' OIT ,\larius, conducteu r d'a ppareil il la Sté Anonyme des
Chaux et Ciments de Lafa rge et du Teil.
BERAUD Emile, dessinateu r principal aux Chantiers Nal'als d"
La Ciotat.
BERENGER Marius, chef oUl'rier aux Chantiers Nal'als de Ld
Ciotat.
MUe BERLE Pa uline, Emplo yée au x écritures au Magasi n Général.
BERNA ROI Auguste, Capitaine d'armement il l' Un ion Industrielle J\\ aritime.
BERRALDACCI Sabbatin, Alachiniste bois a ux Chantiers Nal'ais de La Ciota.
BERTAGNINI Em ile, O:icheur à l' Im primerie du Vieu x Po rt.
BERTOLOTTI Fra nçois, Oun ie r d' entretien a ux Ets ROCCA
T ASSY et de Roux.
PESSAC Louis, Cha rpe nti er il la Sté Prol'ençale de Construc.
tions Navales.
Mlle BEYSSON Augusti ne, Ge ns de maison che z A'm e VI'e
TROU IU,ET, Châ teau rena rd.
BEllO Lauren t, Contrema itre mac hin es aux Ets Pa ul D~ c los .
ISLAN C Ale xa ndre, Condu cteu r de mac hines il la Ste des Gi a
cières et Entrepôts.
BLANC Lo uis, Menu isier a ux Chantiers Navals de La Ciotat.
BLA 'C Eugène, Electri cien a la Ste des Cha nt iers et Ateliers
de Provence.
BIANCIOTTO Lucein, Magasinier aux Ets Craus az et Fournier.
Mme BILLIARD, née MI SSE Elise, Secrétaire correspo ndanciè re aux Ets Berger et C ie.
BIMBI Jea n, Mach iniste au x Anciens E~ s Mante et Cie.
2
BION DO Chal~es,
OUl'rier il la
Chambre de
Commerce d,
l' \arseille.
CAI~RA I Jean. Manœuv re ;lU ;" Houillères du Bassin de PrO\' enœ.
BOCOU ANO jacques. Etait cond ucteu r de pont roulant
Chantiers
avals de l a Cio tat.
aux
BOLLA Paul, Hetraite mineur des Ho uill ères des Cévenn
La Grand'Combe.
es,
BON Frantz, I~eprése ntant de la Sté Massimi.
BONA CORS I Pierre, Co ntremaitre il la Sté des Gaz Indusl rieh
du Midi.
Ba I IFA Y C l é men ~, C haudron nier fe r aux Chan tiers Nar als d.
La Ciotat.
'
BONNAFOUS Xavie r, Conducteur typographe à l'im primeri,
Grignan.
BONNEFOY Aug uste, Ouvrier hautement qualifié, forgeron
la Cie Péchine y, Gardan ne.
a
MlLe BONNET Yvonne, pointea u 2me degré à la Cie PéChincy,
Gardanne.
BO 1 ISSEL Maurice, Ouvri er professionnel aux Ets Kuhlmann
l'Estaq ue.
'
BOR REL! Auguste, Com mis aux éc ritu res aux Chantiers Nal'ais de La Ciotat.
BOSIO Maximin, Ajusteur il la &té Prol'e nçale de Construction,
Na\'ales.
BOSREDON Cesa r, P ese ur aux
silos il la
S:é Générale d,
Transbordements Maritimes.
BOUISSOU Gaston, Agent de maitrise il la Ste Anonyme de;
Mines et Fonderies de Zinc de la Vieille N\ontagne.
BOURGUE Paul, Ajusteur au x Cha ntiers Nal'aI", de La Ciota'.
Mlle BOURR8LY Ma rcell e, Plieuse aux Ets Fournie r-Ferrier.
Mme V.'e BOU RS IER , née BOCOGN ANO Adelaïde, Sténo·
à la Sté d'Appro visionnements Alimentai res.
ROUVEROT Cha rles, Commis chez M. j acques ROUSSE[,
Da cty log rap he
Agent de Chan ge.
P-OUV IER j ules, Chef ro .a ti "iste à l' Imprimerie du Vieux Pvrt,
BO\ ER F1onri , Sous-chef comptable il la Cai sse d'Epargne des
Dou c hc s-du-~h ône.
BOZIO Laur ent, Mouleu .. dans la Maison Poud e\'igne et Cie.
BRAU Constantin, Manœuvre aux Ets K uhlmann .
DREYSSrE j e~ h , Miroitier poseur aux Ets Nu g ue.
SRUGIER Gaston, Chef de parc aux Ets Desco urs et Cabaud.
BRU N jean-Ma rie, Chef de service au Comptoir Natiou,l
d' Esco mpte de Pa ris.
BRU Fra nçois, SUrl'ei ll ant il la Cham bre de Commerce d,
Marseille,
BRUN Césa r, Agent d'etudes a ux Chantie rs Navals de La Ciotal
BI~UNET Elie, Piqueur déplacé aux Houill ères du Bassin de
Prove nce.
BRU.NO Miohel, Cha rpentie r bois aux Ch a ntiers Na vals de La
Ciotat.
BUGG IAN I j o.eph, ,vlanœuvre il la Cie de Nal'iga tion Fraissinet.
CABANTOUS Marc, Co ntrem ai tre menuisie r il la té des
Anciens Ets Mante et Cie.
CABASSU Maurice, Caissie r-comptable il la Caisse d' 5pargne
des Bouches-du-Rhôno.
CABRERA Michel, Façonneur tàles a la Sté des Chanllers el
Ateliers de Provence.
CAG ACCI Vincent, Contremaitre à la Sté des Chantie rs el
Ateliers de Provence.
CAMO IN j oseph, Chef de bureau à la Cie I~\gé rie nn e , Aubagne,
p
Mme Cano, née LOMBARD Rose, Employée de Commerce a
NoU\'ell es Galeries, Arl es.
CANOVA Pie rre, Menuisier à la Sté Provença le de ConstruC'
tio ns Navales.
CAPANINA Imbe rto, Condu cteu r de cylirKi res aux Grand,
Moulins d'Arenc.
CARENZO Lou is, Cond ucteur de tracte urs il l' industr;elle
Maritime.
CARLO Joseph, Cont remaitre chef au x Ets Vinatie.
Mme CARTA, nec BI~
e1 Cie.
E'I T I Rosine, Trieuse il ta Sté \\'elll
CASSI 0 Alphonse, T ourneur Sur métaux aux C h a n ti~ r::. Navals
de La Ciotat.
CASTM..-DI Italo, Chef d'equipe chaudronnerie aux Ets j . Paoli et Cie.
CASTELLANET Louis, Magasinier aux Ets KuQ lmann .
CASTELLA NO Pierre, Co ntremaître aux Fonderies du Sud-Est.
Mll e CAULET jeanne, Sténo-Dactylographe il la Sté ~ l a rsei l laise de Transit , T ra nsport et StH\"eillancl::.
CA VAU.E Augustin, Garde il la Sté Anonyme des Mines el
Fo nderies de Zinc de la Vi~e Montagne.
CA \'OL Gabriel, Manœ uvre spécialise il la Sté André Bori e.
CAlAUX Octave, Chef de service à la Caisse d'lEpangne des
Bou c h es-d ll -~ h 6 n e.
CHAlBAlN I Pa ltl, Ouvrier d'e"tretien il lia Sté Esso Standard.
Mlle CHACHO Marie-Louise, Employée de Bureau aux ,Ets
F. Vinatie .
CHAMBEREAU Raymond, Commis principal aux Chanti ers
Navals de La Ciotat.
CHAMP IOT Edouard, Chef de service a la Cie Française de
l'Ar riq ne Occidentale.
CHASTEL Louis, Agent de maît rise de fabrication il ~a Cie
I~o uffi o.
DANDiNE Vincent, Menuisier aux Ohantiers Na vals de la
Ci otat.
DAV ID Pierre, Ebéniste aux Chantiers Na\',"s de La CIotat.
DEC HA i NEUX Victor, G raisseu r de machines aux Raffineries
de Sucre St-Louis.
DEGI OANN I Etienne, Contremaitre il la Cie Gé néral e Trans.llanti qu e.
DEj OUX Louis,
Co mptab le il la
Mm e CHAUVET, née DEGROND Suza nn e, Sténo-Dactylograph e dans l'Agence Charl es Arrio, Transitaire.
CHENET Aug1llSte, Di recteur Régio nal des Ets Michel, Merklin
et I{ ulm .
CHlEI~ASCO
André, Moul eur aux Es Fava nl.
CHEVALI ER Ernest, Chef électr icien à l' Huilerie et Savonnerie Rabatau.
CH IARABINI Marcelin, Maùhiniste a a ISté des Anciens Et;
Mante et Cie.
CHiRAUSSEL jul es, Tu yauteur aux Ets Cod er.
CHIUMINO Lucien, Moul eur il 1a Fonderie jullien Frères.
Mme CHR ISTOP HE, née TERAUBE Jul iette, Secretaire de
directio n aux Papeteries Zuber Rieder et Cie.
Mlle CLAUZ IER j eann e, Ouvriere il la St é Es
coecaz
0
Sta nd a rd.
Emile, Principal Cl erc chez M" H enri Bl anc, NOtaire.
COLuE Jea n, Agent de maîtrise au x H ouillères cl u B a~sl n u. .·
P rO\·enœ.
COMBE Paul, Bou cher â la C ie de Na viga tion Paque t.
COMBE S Yves, Ga rdi en à la Sté de Transbord ements A\ ari ti mes.
COMMANDEUR Ren é, Contrôleur a ux Ets Paris-Marse.ll e.
Mm e CONS T ANT, née THOME Anna, Femm e de m éna~~ au x
Grands Moulins d'Arenc.
COPPOLA Nicol as, Soudeu r Il l'arc électrique au x An cie ns Et,:;
Comte et Lau =ier,
CORDOLIANI Frédéric, Gardien à la Ste de Tra nsbo rd emenls
Maritimes.
CbRRADI Aug uste, Employé à la Sté Marseilla ise de T ransit,
Transport et Survei ll ance.
COTTALORD Lo uis, Che de service aux Ets Descours et
CABAUD.
Mme COULOMB, née NOUET Rosi ne, Trie use aux Houille r.s
du Bassin de Pr o\·e n ~e.
Survei(1a nt
Sal'onnerie
aux Ets
Fou rn ier-Ferri er.
COU IWOUAN E ugène, Clerc caissier chez M.' Ctaude jol ivol,
Notaire.
COUTSo.s Geo rges, Cond ucteu r de four a grenailler aux Ets
I<uhl mann , Po rt-de-Bo uc.
CYPR IEN Adri en, Chd de service aux Ets Rocca-Tassy-deRou x.
DA IRE Ren é, Directeur ho noraire de la Banque de France.
DALLEST Emile, Aléseur aux Chantiers Nal'als de La Ciotat.
Sté des Entreprises
Andr~
Borie.
Mme DEiLEUZE, née LAURENT Pauline, j ou rn a li ère aux Ets
Rocca-l'assy-de Roux.
DoEL FAVA Arsène, Agent de maitrise à la Cie Péchiney.
Ga rdanne.
Mme DELP HI GUE, née GARREAU Jul iette ,Contremaitresse f,
la ICie Française des Métaux.
DEMONTIS Angelo, Manœul're aux Chantiers Navals de La
Ciotat.
DEMOUSTIE.R j ean, Chef d'équipe il la Sté Nationale de
Const ructions Aé ronautiques du Sud-Est.
DE f'\INT O Cosme, Contremaitre maçon chez MM. Fea utr ie r et
Raimbault, Aix-en-lProvence.
DEPOUZlER Mart in,
Péchiney, Gardanne.
COULOUBRI 8 R Auguste,
,vIlle DAMIAI\I Mario-Louise, Secrétaire il la Ste Darier de
Charpe nt ier a
la
té Provençale
tle
Constru ctio ns Navales.
DEiSGEORGE Roge r, Chef de se rvice il la Sté Gé nérale de.
Hni tes de Pét role Br.
DESGRANGES Léo n, Chaufleur-tcntureur dans la MaiSon
Sauvai re.
DI LANIDRO Antoine, Ellectricien d'entretien aux Ets
Duclos.
DI SOMM.A Sauveu r,
Pressier verm icelier
chez
P ~ ul
J\l. J\ \arius
RI OL F
DO CHI ER Au g uste, J\\a gasini er au x E 's D esl:our et Caha ud .
DOlLE f\n dré, Che f ouvri er au x C hanti ers N avals de La Cio ta t
DOI" IN iCI Marius, Conùucteur rotati viste il 'IIm prim eri e d:J
Vieu x Port.
Mm e Dominique, né'c P ILU J\r\arie, Lin gere au x E ts M agnan
Frères.
DONADIEU Geo rges. T ypog raphe à J' l mpr i m~r it! Ù\I V ieux Port
DO NDO Emil e, Fond é de pOU\'oirs au x Et s Nugue.
DUDOT Faïx, Etab lissemen ,s Pau l Duclos.
Mlle D U MAS Valentin e,
GO llve r nant ~ chez
M . Marcel Prenez.
DUPIN Al\gust e, Agent de maîtrise de fa bri ea ôio n il la Cio
Péchine y, à Gardanne.
Mme Vve DURBEC, néo BLAN CHET Louise, OU ITi" re aux
Ets Fournier-Ferri er.
D U RBET Ma rius. Ouvrier moul eur spédai lse dans la M aisu 'l
Croze-Magnan .
D USSERT Fe rn and, Contremaître ~ I ectril'icn allx Ets J\1arti ,1Lava l.
DUTTO j oseph, J\laçon d'ent retien aux fo nde rieS d u Sud-Est
AIme E MO I ~ I NE, nèc MEYEIl Adel Ine, Em ptoyee comptable
dans la M aiso n Pa ris-Ma rse-ille.
Elv\MAN U ELLI Etienn e. O uni er d'atd ic r aux Houillues du
Bassi n de Pro\'ence.
E~PANET Aug usre, C hef ouvrier aux Chantie rs Na\'als dt'
La Ciotat.
ESQU IROL ,Pa ul ,
Baseu teur a ux
Il ou lllè res du
Bassin
de
Provence.
EST ARI CO Cha rles, Chef ou Se rl'ice Commercia l il la S,e
Française d ~s G l yc~rim's.
ETIENNE Hen ri, J\ \anœUHI! spl'l'Îalisé aux An cie nn es E nt repnses Chagnaud et Fi ls,
ETIENNE H enri, Grueur aux Cha ntiers Navals de La Ciotnt.
EVANGELI T I Charles, Contremaitrc il la Chambre de Commoree ~e ,\\arseille.
�FABRES Jal''iues,
Contrô-eur payeur il
rransbordements .I.\ \ aritimes.
la St~ U .. nerale
de
FAGIULI jean, Chef d't'quipe aux Ëls Fa,ant.
,\\m e F..I.lIŒ, ne" PROPUS Alexandrtne, Chef de rayon d,",
la ,'Iaison Pans-.'Iar.;;ellle,
FA , 'RU An.e, Chef de sen'iee aux Grands Moulins d'Arene.
FA,'Rù Loui-, Tourneur aux Ets Favan!.
FER RERO Cha rles, ,\Iach inis te a ux Ets Rocca-Tassy-de Rou x,
Mlle FERRETTI Franço,sé, OUH.ère aux Ets fournier-Fe r~.e r ,
FLACHAT ,\Ia reel, Peintre C3! rosse rie d UX E .s C, Bart hélem y,
FORTUNATO ,\Iathieu, Contremaît re aUx Et ' R. Gamonet.
,\ Im e FOUCARD, n~e ,\\l C HEL ,,\u~usta, Caissière co mpta ble
chez .\\. .\\aurice r{ousset, Assureur.
FOL\,)LET ,\Iarius, ,\;::eOl de maitr se au x Ets Rocea-T a ssyJe Roux,
FOUI~!l.Y Claudius, Lin otypiste a l'hnprimerie du \ ïeux Po rt.
FRE CERU ,\l a ri us, Plomhier aux Chan:ier.;; Nara!s de La
Ciotat.
FRECCERO , '.cto r, ,\\anœu,' re specialisé aux Ch anti ers :O<avaJs
de La Ciotat.
FL·LCR.-\~ Denis, C h a uùron ni~r cuivre aux Chantiers ~a\Jls de
La Ciotat.
.
GALAFAI~ Hen ri, Chef d'atelier aux Chantiers Navals de La
101at.
GARCLA Diego, sun' eillant atelier fa brica tion acide aux ,'la nu faltu res d Glaces et Produ its Chimiques de S, jnt-Gobain,
Chaun\" ~l Cire\', Port~e-Bo ut..".
GARXIER j oseph, ~ouleur aux Fonderies ,'leri:1io na'es,
,
OASCA Auguste, agent de maitrise aux Houillères du BaSSIn de
Provence.
GASTALD I ;ean, JUneur de fond aux Houille res (,u Bassin de
P:-ovenct.
GA T Al'D Louis, Retraite des Etablissements Noilly -Prat et Cie,
GA y jules, Contremaitre aux Etablissements F, Serris et Cie,
Port-Saint-LOUIs-du- Rhone,
GEXTILHO,\L\IE Alphonse, In génieur à la Cie Pechine)', Gar·
:tanne.
GEOXGET François, Distributeu. aux Chantiers è'1aval de La
Ciotat.
.\Ime GEURGES nee COL ,\larguente, Contremaîtr<5se aux
Etahlissements j , Parizot.
GH E.L-\ ROI Antoine, Chef ou\'riei aux Cha ntiers Na\·a.s de La
Ciotat.
GH IA:-''DA 1 Leonello, Retraite des Fonde eies du Sud-Es~.
GHIBAUDü ,\\arius, Garde il la té Anonyme des Chan ,ie, s et
Ateliers de Prove nce, Port-de-Bouc,
GI A N'N L'II Anhur, Ralfineur d' hu ,le aux Etab lisseme nts Rocca
Tassy de Roux.
GI:\DRO Pie r e, Ajusteur il la St'; Proven~ale de Constr uctions
Na\·ales.
GI. 't:PIO Auguste, GarOe il la Ste ,\limere et ,\létallu rgin uo de
PEN\AROYA,
GIORDAS jean, Employé de banque il la Ste Genérale, ,\larseille
GIRDA\ENGO joach.m, Ounier extérieur aux Houille,es du
Bas in de Provence.
GIORDX',O .\larius, ,'Iécanicien a l'Imprime rie du Vieux- Port.
,\Ime ,'eure GIORGI née VERRA .\larianne, gens de ma.son
chez .\L Paul Bouzon,
GIO \ 'A:'>.'NAè'1GELI jean, Chef ouvrier aux Chantiers Na"al de
La Ciotat.
GO, :DRA,''D Richard, Comptable il la Ste des Gran ds Travaux
de .lla r5e ille,
GO'1DRA:-''D Louis, Ajusteur aux Elablissements Paul Duclos.
GONT IER Eiie, Ajusteur aux Constructions "'Ietallique de Pro\'ence. Arles.
GRAZZ I:'\I Louis, Linotypiste à la Sté Nationale des Entrep rises
de Presse,
GUE IRARD Paul ,Che' clicheur il l'lm'rimerie du Vieux Port.
GUERI Fernand, ,\lagasimer aux Ets UC'cou rs et Cabaud.
ERIN André, C hef co mp ta ble au Ets Pollio et Cie,
GUEY Eile, Co mmis aux Chantiers Naval de La Ciotat.
(j
GUEYDON Ra) mond, OU\'iier mineur aux Houillhes du BaSSin
de Provence.
GUGLl Ell;\\1 Agostino, Ou ni e. il l' Huiler ie Savonnene llabatau.
GU IBBIl.JE I Un,bc rtt>, Chef magas. nier à l' Imp rim ene du Vieux,
Port.
'GUIIJAT j ean, C hef d' atelier il la Sté des Ent rep ri ses Andrr
Bo rie,
GU lhA UO Juan, Ouvrier ,de fabrication à la Ste des Anciens
Etablissements ,M ante et Cie.
GU llMUD Louis, Cha l,; ronnier à la Ste Gle de T ransports
.\ \aritimes à Vapeur.
GU IS Albert, J\\agasinier aux Ets R. Requier et Cie.
HEL E IN E ,Il au rice, Emp loye adminISt ratif il la Sté des Produits
Ceramiques, Aubagne.
.\lll e HEl, ' Al'\DEZ Crescencia, Ouvrière il la Sté Esso Standard,
HOST ACHY Noë l, Inspecteur au Serl'ice des Ventes a la Ste
c Ame r Pico n .» .
HUGUES julien, Chef de groupe il la Cie Gle Transatlantique,
~LARDO Charles, Contremaitre il la Ste Oénerale de Transports
L\ \a ritimes
a \'apeur.
I MBEI~r Louis, Gérant oe l'Agence C, Crédit Lyonnanis, Mil.,
L\IBERT Gaston, Fon :ié de Pouroi rs chez M, jacques Roussel,
Agent de ahange.
I.\1,B ERT Camille, Age nt de maîtrise il la Ste Gle de Transbor,
clements A\aritimes.
ISOA I,D Ju lien, !\\in eu r de fo nd aux Houillères du BasslIl de
P:-ovence.
ISOART An oe, Su rvei ll a nt aux Ets I~oeca T assy c e I~O IlX,
j5ANNETTO Louis, Piqueu ; a ux Houillères du Bassill de
PrO\·ence.
jOUhDAN Léopold, Maçon c h e~ ,~l. SUl'eran, Aix-en-P rove nce,
jOU_SEAL'c\IE Didier, Ingenieur rep résenta nt aux Ets Buhler
f r ~res.
LlOOIONJ Paul, Electricien à la Sté Gle de Transports M~ritimes à Vapeur .
..
Maritimes à Vapeur.
Mme LOM.I3ARD née Vif,RLAQUE Marie, Ouvrière aux Ets
Fournie'r Ferrier.
LOPBZ Francisco, Chauffeur de douches aux
Bassin <ie Provence, Cadoli ve.
Houill ères du
Mme LUOOHElSI née CAP8CHI Marie, Ouvrière aux Ets Fournier Ferrier.
Céramiques d'A. ubagne.
Ouvri e r bluteur
a ux Grands
Moulins
d'A rellc.
MAoGN AIN 1 Egi lJo, Garde de nuit a ux Anc , Ers 'M ante et Cie.
MAHISTrœ justin, Chef plombier a ux Ma nulectu res des Glaces
et Produits 'Chimiques de St-Gobain Ohau ny et Cirey, Port-
de-Bouc,
MAlUBOS Fe rn and, Manœuvre aux Ets Racca Tass y de ,Roux.
.MA.L.1lEl'E j ean, C ha"t fe ur d'a U'to a ux Ets Desco urs et Cabau:d
MALZJ,L\iC Justin, ,CIhauffeur au tomobile il l'Hu.l eri e-Savo nn eri e
Rabata u,
MiANUflL 'Ren é, Ohef de ra yo n a ux Dames de J'rance,
MtAlNlNiU ,F ra nço is, Chef ouvri er aux Chantiers Naval'S de La
Cio ta t.
MANSE André, Directeur de l'Age nce de Ma rseille des Etab lissements Bahu et Co ud,·ay et Ci e.
Mlle MJliRCHlE1'T1 Victorine, Sté no-dactylograp he à l' Hu ilerie
Nicolas Reggio.
à la Régie Na tion a le
Louis, Ouv rier hau te ment qualifié, u.13udronnier il. la
MAlREY Louis, Méca nicien aux Houillères du -Bassin de Provence
MJle "'~M~GAlmA Léo ntine, Ouvr ière il la Sté Esso Standard,
J\t~Y Antoine , Forgel on aux Chantiers Navals de La Cio tat.
M1A!R~ Gasto n, Conducteu r de machi nes à la Sté Gé néra le
A teliers de Provence.
LAUZI5RE j ean, C hef de service aux Ets Silbert et Ripert,
LAVARELLI j erome, T ypographe il l'Im primerie Lon gc h~mp.
LEMONNIER Francis, Directeur de succursale de la Ste Anonyme
fi::
Philips
:t .
LEO Gllstave, Caissier des titres a hez ,loi. jacques Rousset,
A gent de Ohange.
L EONA I~D I Mat hieu, C hef d'équipe docker il la Sté des Tral'aux
et Ind ustries Mariti mes.
.
LEROY j osep h, Manœuvre spécialisé <le la Ste des Enlrep"ses
And ré Borie,
LESTEL René, Direct eur co mmercial aux Ets Rocca Tassy de
Roux .
LEYD IER Antoine, Chef o uvrier a ux <.-nantiers Nava ls de L.
Cio ta!.
d'Assainissement et de Distribution.
MAI~RI NI Dom inique, .contro leur chez M,
Mme MIAI~S LLII née P IN ,Ma rie-A nt ouJette,
E, Prata li .
vendeuse et caissière
aux Etablissements Isoa rd .
MARTIN Marius, gra isseu r (ent retien géné ral) il la Société Nation ale des E ntreprises de P resse.
MARTIN Damase, .con lremaitre il la Chambr de Co mm erce de
M a rsei ll e.
MARAN'IIAIN Nicha n, P répa rateur de commandes à la Sté
Longométal.
MARTIN Robert, Directe ur de l'Usine Esso Standard, Port 6tLoui s-du . . . Rhône.
,MlASSON Be".ard,
MICHlEL Octave, Directeur d' usine aux Ets Favant.
MILl.JE <Emilie n, Employé prinCipal à la Sté Générale de Transbordements Maritimes à Vepeur.
MINAIRD Etienne, Employé aux écritures à la' Sté d'Exploitation
,des Ateliers de M enpenti.
M'IQU6L1S Ma rius, Co nt re maitre c haudro nn ier à la Sté Anonyme
des Anciens Ets Uroignard,
Mlle MONiOb\lO M ari e, ouvri ère à la Sté Blanchisserie-Teinturerie Maritimes.
MONETTJ Domlllique, Ca issier com,p table à la Ca isse d' Epa rgne
des ·Bouches-d u,Rhô ne.
i\\ONTAGNA,C Emile, Tourneur sur méta ll x à la Sté les ,Fils
de Louis Sa mat.
MON11I Alberto, o llv ri er "flOcialise de manute ..tio n à la Compagni e Pechine y, Gard ann e.
MORSELl.Jl Andre, Typographe à l'Imprime , ie Lo ngchamp,
MO RIN I josep h, Contremaître il la Sté Shell l' ra nça ise,
MOULIN Léon, Chef d'éq uipe il l'In dus trielle Ata ritime,
MOUIL y Léo nard, nirecteur ct'agence à J\1 a;-seill e de l'Entrej>rise de Génie Civi l et de T ,rava ux Publics,
MOUR IER Au g uste, Ohef ed rayo n au M'a gasin Gé néral.
MiOUIRlI.E5 An " ré, C h a.,)en~ e r de marine a u Service du' F\i lotage
des Port,
MDUYSSET Ado lphe, ,co ntremaît re de fa bri cation a ux Chantiers
Nava ls de La Cio tal.
MUS Rao ul, Ma nœ uvre spécialisé aux Ets C. Coq et Cie, Aix'
en..lPro vence.
MARoCHETT1 CY'prien, C hef de vente
des Usin es Rena ult ,
Cie Pe("hiney, Gardanne.
KI LGU Marcel, Ajusteur aux Ets Pau l Duclos.
LABRUN IE Louis, T ourneur-ajusteur il l' Acetylene Dissolls du
Sud-Est,
LA CI<UUX ;\\aurice, Sous- Chef de Service il la Caisse ri' Epargne.
. .l es Bouches-d u-Rhône.
LA.\113EI,TO j ean-Bap tiste, Ou l'ri" qualif.é chau cronnier à la
Cî\! PechineYl Gardan ne.
JIlme LANZA née SOLOMII.EU j eanne, Bi " liuthecalfe il la Li,
brairie Hachette,
LAP LA NB ,\lax, Sous-chef de Service au Comptoir National
d' Esco mpte de Paris,
LA PORTA Ilaphael, I~il'e ur aux Chantie rs Na"alsde La Ciotat.
LATY Gilbe rt, Co ntr ema itre aux Ets Fourni er Ferrier.
LAUCCI Jean, Chef cie sel vÎce aux issues aux Granùs .\\ouli ns
d'Arenc,
LAUIRENT j oseph, Chef ouvrier à la Sté des Chan tiers et
JULLIE
M6R()A!DAL \Ommanuel, Façonneur tôles à la Sté deds Ohantiers
et Atetiers de Provence.
M'~K Joseph, Caissier Comptable il la Caisse d'Epargne des
IBouches-du-Rh ô ne,
MERLIN Oharles, Co mmi s qualifi é à la C ham bre de Commerce
de Marseille.
LlJ.COHESI Am édée, Ouvrier maço n chez M, j acques " 'Io ngin.
LUIGI Antollle, Perceur de coqu e au x Chantiers Navals de La
Ciota t.
LUIMiLEY (de) Paul, Chef de service à .la ·Caisse d' Epargne des
Bouches-du-R,hOne,
LJUP.oRIN I Robert , Ouvrie'r meunier aux Urands Mllulins d'Arenc
LUQUET j aJ;;q ues, C hef o uvrier aux Chantîers Navals de La
C iotat.
M,,~GG I A!R Armand, Secrétaire Généra l de la Sté des Produits
MAJONAlL:DI P ie rre,
Mlle MEN ...OE Yvonne, Linghe il la Sté Ole de Transports
E1Iectricien " ux Chantiers Navals
de La
Cio~at.
.MIA6S0T Antonin, Ouvrier docker char,bo nnier il la Sté Gle
de Transbordements Maritimes.
M,o>.THBRON Hen ri , Ajusteur mecanicien à la Sté des Ohant.ers
et Ateli ers de Provence.
MATTEIA Eti elllle, Scaphandrier aux Chantiers Navals de La
Ciorat.
MiAUIR'EL Gab,iel, Ouvrier d'atelier aux Houillères du Bassin
ci e lPrOvence.
MAiURIC Fernand, Ohallo'rdonn ier cuivre aux C hantiers Navals
de La Cio tat.
M EIF,FREN j ean, Compta ble chez M. jacques Rousset, Agent
de OIlan ge,
NI!\iJPAS j ea n, Adjoint de Direction il la Sté Esso Standard,
Mm e veu ve N lOO LlNO née HUGUBS julie, AI"nœuvre s péciatisée à Ja Cie Pechiney, Gardanne.
NIOOLA!S Victo r. Contremait re à la Sté des Cha ntiers et Atelie rs de Pro vence.
ICOPOUSKY And ré, Ingénieur a ux Ets Henri Satre,
NOmET Jules, Co ntremaît re Service entretien aux IY\anufactures des Glaces et Prod uits Chim iques de Sain t- Gobain,
C hauny et Cirey, P ort-de,Bo uc.
NOVELJUA Domi nique, ma nœ uvre il la Sté Prove nça le de Constructions Na va les.
ODEiRIGO Lo uis, Mll deleur a ux C han ti ers Navals cfe La Ciotat,
OLl EiR Eldoua rd, Fondé de P o uvoi rs a u Comptoir Nationa l
d'Esc o mpte de Paris.
Mine OLW,IElR, née MISTRE Emma, Etiqueteuse aux Etab lissements Cuseni er.
OUVlliRI André, Contremaitre à l'Union Forestière Fran çaise,
PAGANI ~ené, Garde aux Houilleres du Bassin de Provence,
PALUAfID Louis, plombier il l'Entreprise I~ebufat.
PANUfi Gabriel, Tourneur allx Ets Paul Duclos.
PA' R~ Salvator, Riveur il la Sté des Chantiers et Ateliers de
Provence.
PELOUX iFélix, Ajusteur aux Efs Paul Duclos,
PELl::;SERO Honoré, Modeleur aux Ets Favant.
PELLEGRlN Oharles, Serru rier c hez M. Alexandre PELIJEGRlN,
Ai x-en-,Provence.
PElUIJEGRINO Auguste, Mécanicien aux Ets Descours et Cabaud
Mme PElRDRO Henriette, Secrétaire Steno"Dac(ylographe à la
Savonnerie du Miroir.
PER\LlS Fernand, Voyageur Inspecteur a ux Ets Ungemac h,
PHY M'arius, Chauffeur auto aux Orandsd Moulins d'Arenc,
PEYSSON Auguste, Gard'e canal éclusier à l'Œu vre Générale
des Alpines,
a
�PIC Ernest, Electricien aux Transports Maritimes il Vapeur.
PICCATO Eugène, ,\lodeleur aux Ohantiers Navals de La CIotat.
PILONE Florent, Chef ouvrier aux Chantiers Navals de La Ciotat
PIlllOL Victorin, Commis principal il la Chambre de Commerce
de Marseille.
PU ATEL jean, Onef saleur aux Glacières de Paris.
PIOL Auguste, Ouvrier savonnier aux Ets Marius Fabre jeune,
Saion-de-Pro\' ence.
Mme PI RISI nèe IARTINEZ Eugénie, Ouvri ère aux Etablissements fournier Ferrier.
hUle PLA ' CHAMP Elisabeth, Emp lo yée aux ventes il la Sté
Anonyme Ca,plain Saint-André.
PLANO Eugène, Caissier à la Caisse d'lEpaTgne des Bouchesdu -Hhône, succ ursale d~ PetiS53Ilne.
PLANTEVIN .Marius, Chef d'équipe méca nicien aux Etablissements j, Paoli et Cie.
POGGIO Etienne, Ouvrier mouleur aux Ets Fournier Ferrier.
POLI Dominique. Ouv rier de fa bri;catio n aUl( Ets Mante et Cie.
POLLL~I Guido, Su rveilla nt il la Sté anonyme des Filatu res et
Tissages.
POIIITIER Louis, Agent de maîtrise il la Cie Pechiney, Garcfa nne.
t\\rre PORTAiL née CA YOL Baptistine, Contremaitresse <la ns la
maison Gamonet et fils.
PQLJ}WE Georges, Chauffèur et magasinier il I1mprimerie du
Vieux-Port.
POUSSEL Léopold, Président du ConseIl eux Ets Fa va nt.
POlJTET Gaston l Contremaitre camionnage il l'Huilerie-Sa vo nnerie Rabatau.
PR IERI Baptistin, Ouvrier ha utement qualifié il la Cie Pechiney,
Ga rdane.
Mme veuve Q
RATINO née PALUMtBO Ma rie-Thérèse, Co ntremaitresse dans la maison G. et j . Rouq uette Frères.
~BBIA Pierre, Veilleur de nuit il l'H à tel de Paris.
RAIMONDO François, Chauffeur méca nicien il la Sté Ri chardson.
'{ANISE Baptistin, Chef magasinier à l'Hui lerie-Savonnerie
Rabatau.
\111e RA TTALINO Lucie, Contremaîtresse aux Ets Fournier
Ferrier.
RA VEL Mari us, Manœuvrier aux Houillèr.es du Bassin de Pre>\"tI1C'e.
REBUFFAT Martial, Mineur piqueur aux Ho uill eres du Bassin
de Provence.
REGIS Baptis~n, Employé de bu reau il l'Huilerie-Savonnerie
Rabatau.
REytl).AUD j or..epl>, Ch,u<lronnier à la Sté Provençale de Constructions Navales.
REVEL Louis, Chef ouvrie r aux Cantiers Navals de La Ciotat.
REYNAUD Georges, Commis principal il la Chamb re de Commerce de "'Iarseille.
REYNIER jean, Conclucteur de tracteur il J'Indu strielle Ma ritime.
RIBES Mar<:el, Soudeur il l'arc il la Sté des Chantiers et Ateliers <ie Provence ..
RICCI Amlef, Chauffeur aux Ets Rocca Tassy de Roux.
RICCI Denis, Charpentier fer aux Chantiers Na vals cfe La Ciotat.
NLlle RICOLVI Marie-Louise, Tapissiè re dans la maison Léonelly-Moutet.
RICI!AlRD j oseph, Planton il la Cie de Navigation Cyprien
Fabre.
RICHAUD j oseph, Ouvrier égoutier il la Sté d' Assainissement
et de Distri~tion.
RIs&ONE François, premier emballeur aux Grands Moulins
d'Ar.enc.
Mme ROBA née CElRUTTI oëlie, Emplo yée aux écritures aux
Etablissements E. Bodin.
ROBIN E1ysée, Soudeur à la Sté Esso Sta nd ard.
ROCHET Louis, Chef de bureau à la Cie Gle Transatlantique.
RODIER Albert, Employé au Comptoir National d' Escompte de
Paris.
RODR I,GUElZ Miohe1, S urve illant il la fab ricatiOn aux Etabr
ments Kuhlman n, Pwt-de-Bouc.
Isse.
ROl.JLAND Eugene, Employé à la Compagnie Algérienne
ROMIAlNO jos~h, G"de il la Sté Minière et Métallurgiq·ue
Penarroya.
de
ROQ:.J)EJS p,aul, Directeur de Yontrepàt de Rognac de 1 S
<le Pétroles c ShelJ Française • .
a t,
~\me ROSS I née REMOND~NO Césarine, Man œ uvre au E
Carenou et Cie.
x ts
Mlle ROT ILY Marie, Chef de la co mptabilité à la Société d
T ra nsports Geh rig et Cie
es
Mll e ROU.BAUD A~"~s, Man œ uvre ma nute ntionnai re chez .\t
LOUIS
Hrun et ame,
AlUlO !.
.
I~OV\SSEL Eugène, So us.,D irecteu r de , la Sté Wo rm s et Cie
ROUVIER Henri, Co ntrema itre aux Ets Rocca Tassy de I~~
ROUVIBREl Auguste, Chef de c hantier aux Entreprises Lé~~
Chagnaud.
ROUX jean"""arie, Agent tech nique à l'A cé tylène Dissous du
Sud-Est.
ROUX Charles, Algent romme rci",1 à la Sté des Grands Travaux
de Marseille.
ROUX A,imé, ,Contremaître fonde rie a ux Ets Favant.
ROUX Jean, Chef d'atelier aux Ets P. Le g ra nd La ndas et Cie.
Mlle ROUX oGermaine, Secrétaire au Magasin Géné ral.
ROY Eugène, Sous-ohef die Serv ice à la Cie Gle Transatlantique
RUIZ j osé, Sous-che{ meun ier aux Grands IMoulins d'Arene. .
SABA V,ictor, 'Cond ucteur de locomot ives éle : t riques a ux Houillères du Bassin de Provence.
SAiBA[HNI Remo, Retraité aux Ho uill ères du Gassin de Provence
SAlBlBATiNI Marius, Ohef d'équipe -il la Sté Gle d'e Transbordements Ma riti mes.
M me SAlCOMAN née tMtAR1IlN I Re ine, p re mièr e ven deuse chez
,M. Vezi ~ het.
Mme SA INT -SElRNPN nèeSiElBASThAN 1 Lou ise, journalière aux
Etablissements Rocca Tassy de Rou x.
SAL.A!OIN I Augusti n, Réceptionnaire il. la Régie Natio nale des
Usines Renault.
SA,l.!PE1'RE Emile, Tourneur aux Ets Favant.
Mme SALUSllRI Marie-Lo uise, C hef de Service aux Ets Simon
M'Qurre et Laurent Berlioux.
SALV ABEULA Sauveur, Coiffeu r dans la maison R. Requie r" Cie
SANNA Antoine, Soudeur autogène aux Houi llères du Bassin
de Pro ven ce.
SANllElLU A Ibert, Ouvrier é lect ricien il la Sté Gé nérale de
T ransbordements Mariti mes.
Mlle SAiPORTE j oséph ine, Ve ndeuse dans la ma ison Modea.
SAUNIIElR jean,Baptiste, IM'roitier pose ur au x Ets Nugue.
SA,VONJA, He nri, Chef d"é quipe il. la Chambre de Commerce de
Marseille.
Si\VERY François, Chef ouv ri er il. la Sté des Cha nti ers et Ateliers de Provence.
SEASSEAU Alexandre, Oha nfreinettr ret raité des Cha ntiers avais de La ,Ciotat.
SENAUX Célestin, Chef des titres il la Cie Al gérie nn e de Créri
SERElNO j osep h, Em,ployé aux Houillère s d u Bass lll de Prove nce.
Mme SEVElNIER née BEGOV j eanne, Con t remaîtresse il la
Banque Nationale 1'Our le ,Commerce et l'In d ustrie.
SOHIANO Pascal, Caissier chez M. j acque s Rousset, Agenl de
C hange.
SCOTTO 01 UCCIO Louis, Pointeur à l'Entreprise Ma ritime et
ICommerciale.
SIGOT IEdmon", Ohef <le section il. l'A gen ce France P resse.
SIM!IONE Antoine, Employé aux Ets Arb elo t.
SISSIA Victor, Chef ouv,rier aux Chantiers Navals de La Ciotat.
SOGLI VZZO joseph , Raboteur aux Ets Paul Duclos.
STOR,IONE He nri, Chef de service a'ux Gra nds Mouli ns d'Arenc
SVB RiN I Antoine, Fondé de pouvoirs ohez M. Charles Arrio,
transitaire.
SUM~A:N I<oge r, Contrema itre aux Ets Fournier Ferrier .
SUSINI Paul, Onef comptable il la Sté d'Applications Techniques
SUZA~NE Eugi!ne, Mineur de fo nd aux Houillbres du Bassin de
Provence.
SUZANNE Célestin, Mineur aux Houillères du Bassin de
Provence.
Cha uffeu r chez
A\me An gst du Puy
J\\ontbrull.
TAGLIAMONTE j oseph, Co nducteur de machines à la té No un~lI e des Glaci t:res de Paris.
TANZ I Eugèlle, Sous-chel de ser vice â la St é Gt!n~ ra le de
Trallshoruements Maritimes.
~Ime TAI~AN Z ANO, née FORCE jeanne, Ou vri ère s pécia lisée
aux Ets J.J. Ca rn auù et Forges de Basse- Indr/!.
TARDIF AimL, Cont remaître aux Eu; Panhard et Lerassar.
TAVEI~NIEI~ Barthélémy, Tourneur au x Ets Fa van t.
TESTA Blaise, Su" eil ~a nt a ux Ets Rocca T as'V de Roux.
THOMAS Luci en, Maitre mineur au }. Ho uillhes du Ba-sin de
Provence.
TIRONE Ma rcel, Chef d' équi pe à la Chambre de Commerce de
MarseiW ~ .
TI l TI Gu ido, Mo uleur aux Ets Fava nt.
TOBEL Lo ui s , Fo nù é de po uvoi rs à la
Crédit.
F~ li x ,
•••
TITRE COLONIAL
BAL TJ:::AUX l{(t)' mond, Agent Colonial a la Cie Française Je
TABARA CCI CI':ment,
TOCHE
,\ lme Z.\PPOL I, née IlATl ALiNO Viltoria, O uvriè re aux Et.
r ou rnier-Ferrier.
té Marseillaise
de
Co ntrt:: l11ait rt:! aux Cha ntiers Navals de La Ciotat.
TORLA I Laurent, Em plo yé da ns la Maiso n Blanc Frères.
TOTI Dante, Co ntremaitre a ux Ets Kuhlmann, Po rt-de-Bouc.
T OT I Carlo, Contrema ît re d'ate lier au x E ts Kuhlm a nn, Po rtde-Bouc.
TOURHEL Jooe ph, Charpc nt ier bois il la Sté des Cha nt ie rs ct
Ateli ers de Pro ve nce.
TR AN IO Sau veur, Photograveur à l' Impr ime rie du Vieux Port.
TR EOLIA Attilia, Ouvrier maço n chez M. Jacques i\\ongi n.
TRINel Dante, M ineur de fo nd aux Houill ères du Bassi n de
Provence.
TR ISTAN I Do mini qlle, Che f et e quai a ux Ets A. Ba hu CO IIdray et Cie.
TRUC C HI Denis, Emp loyé a ux Ets Arbelot.
TURI Cosimo, Manœu\' re aux Ets Victo r Régis et Cie.
ULiV A P ie rre, Aju steur a ux Cha nt ie rs Nava ls tl e La Ciotat.
Mme VALE I~O, née PER E Z j oséph ine, Co ntremait resse a ux
Ets Rocca-T assy-J e Ro ux.
VA:1.IL18H Ant oi ne, 1n~pecteu r HégionaJ da n la Maiso n Rob lot.
VALûT Geo rges, J\\ agasi nier aux Ets Cod~r.
VALVEHDE Antoi ne, Choisisscur aux Verre r ies tic QlIeyl ar.
Mme VANN I, née P lOT August" , Concierge à la Sté Industrit!lIe Auto mobile tle P rove nce.
Mlle VAUD OUH Angüe, Com mise chez 1\lme Vve A. Dra\'et.
VEHSI NO Fe r na ntl , Cont remaître d'ate li er au!\' Ets Fayant.
V IAL Esp rit, Vendeur aux Ets Isoan.l.
VIALE. Ba ptisti n, Chef d'éq uipe machint::s aux Ets Paul Duclos
VIAIIJLE Eugène, .\\erhlisitr-Carrossier chez M. C. Barth~lijlll)!
VIANO An ge, Fondé tle pom'oirs chez ,\\. Ja,qul:s f{oLls:\et,
Aue nt de Change
VIDA L Jea n, Ounie r hautement qualifié à la Cie Péchiney,
Ga rd a nn e.
Mme VIG N ALI , née DU PLAN AlexanJrine, O uvrière pompière
à la Bell e-j a rdi niè re.
.
VIGNES Anûré, Employé mécanogr aphe aux l:.ts FourmerFERRIER.
VINATIER Gt rmaÎn, J\r\ ~nuisier ta la Cie Générale Transatlantique.
VOU LA NO Gasto n, Chef de burea u a ux Ets KU h"mann, l' Estaqu e.
,
..
WALTER And ré, Chef d'éqll'pe il la Sté d ExplOItatIOn des
Ateliers de Menpenti.
WEBEH j oseph, Typographe i1 l' Imprimerie du Vieux Po rt. ..
ZANONI Hector, Ouwier de fahrieation aux Ets lIanlé et C,e.
~ 'A fr ique ÙCl:jdcnl~ l c.
DEN\OULIN P 1t rrt:, Ag-I!n t Colonial a la Cie F r an çaise de
l' triqu e UCl; l(jen tal e.
IŒNARD Marcel, Agent C o l onia~, il la Cie Française de l'Afrtqu e Uccidentale,
TITRE POSTHUME
BAlLON 1\0\ a ri us, Cha udro nnlcr il bord à la St6 Pru\lmça lt de
Co nstructi o ns N avales.
BtilGlEH Jean, Directe ur du S." i« I ~at l i na ge au x Ets Ilo ccaT a ssy-d. Roux.
FHAYSSINET Leo n, C O lldu c~ cur li e cy l indres au x Grand s j\r\ OUlins d'Arenc.
IGORRA Ja ime, Mln cur a ux H O lllIl~ r l.""S du Bassllt Je Prm- en et:.
KIBOU H Mo hamm ed, Jlllne ur Je to nd a ux Ilouillères du B..sin d e Provence.
MEJE AnJre, Compta ble il la Ste des Ateli ers Ternn .
PAUL An toine, ' ur\'(:! iha nt il l' Huilerie et Sa vonnerie l{aba ta ll .
MEDAILLE DE VERMEIL
ARTI CLE 2. - La Médaill e d' Honntur du Travail en Ver~
mei l est d écer ll èe au x persu nnes d o nt les no ms s ui vent :
A ILLAUl) Eugene, Caiss ier-Com pta ble il t.a Cai se d ' Ep a rg ne
J es B O \l c h cs-Ju - l ~ h o ne.
Af\U nE Ernest, O U\ rier d 'a' cl ie r a ux Houill ères du Bassin de
Pro\'ence.
AIW ITO j oseph, Chef po rt efaIX il la Cie des lI\ essa.~ert.;
Ma ritimes.
ARN O UX Albe rt, Directeu r ü énè ra l de la Sté Je T rara ux CI
InJ ust r ies Ma r itiml's.
AR OUX Fra nçois, Chef Je G ruup. comptable a ux Cha ntie rs
d Ate liers d e Pro\'e nce.
AR RATANU Hen r i, Maît re mou leur sur métaux aux Fond er ic,:;
d u SuJ-Est.
AU OI BERT Ln urt nt, Lo T1 t re m a itr~ à l a Ste tl e Tra\'aux ct
Inu ustr ies Mant lmt:s.
A U I{ IEMJ\r\ A Pasca l, Hctr aitc de la Sodcté Ge n ~ ra l e dt Tra nsborLl eme nts J\1 ari timcs.
BALLEST EH T ho mas, Age nt de malt ris. au, Ets CoteU:. ct
I":"oucher.
BëHBER IS Augus te, M anœ u \'r~ a ux C.hantiers Navals dl: La
Ciota t.
B.-\hI<A arq ues, Charg~llr aux \ 'crreri~s de Queyla r.
BAYLE. Eug~ne, C hef de t!rvice
\'entes
il la Brasserie et
.\\1Iteiie
L e Phénix
BAZIN L~on, u~rant de l'J\genet
B
du Cr~dit Lyonna is.
UELLIA .\\arius, Vitrier cuupeur aux Us Nugut'.
L'.ESl E Emile, Uuvrier Oc l~ilH1Lation aux AnL. tts A\ante t't Cie.
BLANC joseph, Contremaitre aux Chantiers Navals d.. La Ciotat
BLANC Louis, 1I0 mme de pe ine a la Socidé Générale.
.\\me \eure BLAY_4C née ESTIEll Marguerite, Employee de
Caisse au Créd it L yo nnais.
BIAGINI Haber t, Manœuvre de fonderie a llx Fonderies .d u
Sud-Est.
BONTE..\lPS R"oul, Cont rema itre a ux Ets Nugue.
BORG H 1 josep h, Contremait r. à la Stc ,des Anciens Et ablis ements Ma nte et Cie.
BOSSA .lIichel, Ma itre chargeu r aux Houi ll ères d u Bassin de
Provcnce.
BOUCII ET -LlOU,'I\6NQ Clement, Eml)loyé à la Sté Généra le,
Arles.
�BRAU~ ~\\arcel, Controleur
â la
tl' d~ Tra\'3ux et Inddustries
\\aritimes.
BRES .\briu3,
Cai~ -je r romptable au.:\. Etablissements
BUCHIG.'\A ' 1 Jules, Echalfaudeur aux Chantiers
fugue.
,,'ais de
La Ciotat.
BURLE Charles, Chef ded serv ice a la Cie des
.\l essage ri es
.\\aritimes.
CABOFIG E Emile, Dessmateur aux Chantiers avals de La
Ciotat.
Mme CA.\UCI née NOR,\V "0 PhIlomène, Bobineuse de fila·
ture à la Sté des Fùatures et Tissages de Marseille,
CAR LU joseph, Cont remaitre-dhef a ux Ets Vinatie,
CAR.\UNETTI Eugène, Chef d'ate lier aux Ets A, Martin Laval.
CAYOL Barthélemy, Retraité mineur aux Houillères de Provence
,'Ule CA YlAC, Comptable aux Etablissements Is oa rd,
Mlle CHALOT Gabrielle, St';no. Dactylographe à la Cie des
,\\essageries Maritimes.
CHARRIER Constant, ,Chef ouvrier aux Cha ntiers Naval de La
Ciotat.
CHE.'\ET Auguste, Directeur Régional des Etablisseme nts ,Michel
.\\e rklin et Kulm.
CHLO\PPE Germain, Attaché de direction à la Sté Marseillaise
de Crédit,
COFFI ' IE RES j oseph, Fondé de pou,'oirs au Com ptoir 'atio na l
d'Escompte,
CQ."\lL Honoré, Aide- lamineur à la Cie Française des .' "étaux.
CORRADI Au guste, Em~loyé a la Sté ,\1arseilla ise oe Transit,
Transport et Surveillance.
COULO.\IB Baptistin, Chef ounier a ux Chantiers Navals ce La
Ciotat.
•\lme COULOUBRIE R née .\IOLlNERO ,\I a rie, ouv rière il la Sté
Pico:1 et Cie.
COVRBON j ean -Ba ~tiste, Employé il la Sté Géné ra le, Tarascon.
COURDOUA:--.I Eugene, Clerc- Caissier chez .w Claude j oli,'ot,
Notaire.
COUR~EGES
Ferdinand, Clerc chez ,\\' Doat, Notaire.
C~ESTA Innocent. Pla ie r dans la maison < Paris-Marseille .,
DAIRE René, Directeur honoraire de la Banque de France.
DATTILO .\Iarius, Menuisie r il la Sté des Chantie rs et Ateliers
de Pro\'ence.
DA \'ID Pierre, Ebeniste aux Ch.antiers Navals de La. Ciotat ,
DOVERO Bernar<l, Retraité des Houillères du Bassin de Provence
DUBOIS Paul, Chef de service Commercia l il la Cie Géné rale
Transatlantique.
D MAlERT jean-Baptiste, Employé de main·d 'œuvre il la Sté
d' Exploitation des Atelier de Menpenti.
DUPONS Louis, Chef d'atelier aux Chan tters avals de La ClOiat
DEGRA.I"GE joseph, Rep résentant des Ets Da vey Bicko rd
Smith et Cie.
BUCLOS André, Président du Conseil aux Ets Pa ul Duc~os,
ERCOLI Umberto, Serrurier aux Chantiers Nav'als ce La Cio tat.
FEDER Louis, Chaudronnier cui ne aux Chantiers et Ateliers de
Provence.
FERRIGNO Antoine, Contremaitre il la Sté Marsei lla ise de
Trafic Maritime.
FILLIOL Clément, .~\anœu v r e aux Chantie rs Naval de La Cio tat.
FOURNES René, Directeur de la Sté anonyme des Messageries
Nationales.
FREGlER François, Emballeur chez Mme Vve Botello.
FRUCHIER Pascal, Dessinateur aux Chantiers Navals, La Ciotat.
GENTET P alll, Agent ~ rincipaJ il la Sté Genérale, Marseille.
GIRAUD joseph, Chef de service il la C,e Française de l'Afrique
Occidentale,
GOVBlN And ré, Chef de section d' Agence il la Sté Gé né ra le,
Marseille,
GUJRAN Paul, Concierge aux Chantiers Nava ls de La Cio tat.
Mlle HERNANDEZ Crescencia, Uuv rière à la Sté Esso Standard.
ICARD Louis, Contremait re aux Ets Paul Duclos,
8
c..
Jan tze n .\ta :-ius, .\lenu isie.r traceur che z
\.
Barthelemy,
c Carrosserie :. .
JEA. 'SELME Jose,l h, Tourneur sur métaux a ux C~antie rs Na~
va ls de La Ciotat.
j LIB .\I a rius, a ,lef o uvri er a ux C hant iers avals de La Ciolat
LA UCC I jean, Chef de service aux issues aux Grands Moulin;
RAOUX Jul es, A\a gasl nier aux Chantiers a va ls de La CIota t.
HAVEL Manu s, .\\anœU\'rit:r aux H ouillt.: ~. du tsaSS1!l de Provt::llce
l\\lI e RICOL Vr .\\ arie-Loui e, Tapissière dans la maison Léonelly
Mouret.
LAURE.I'\lÇON M aurice, Age nt tec hnique et commercial à l'Acé.
Mm e 1, ICOIW Marie-;eanne, Employée de bu reau a la Société
Esso Stan da rd ,
I~IGAU!) Elie, Ajus teur a ux Chantiers Nava ls de La Ciotat.
tvlène Dissous du Sud-Est.
liAUZIERE Jean, Chef de se rvi ce aux Ets Si lpert et Ripe ,t.
Mme veuve LU IG I née MOTTET Ma rie-j eanne, Corsetière
orthopédiste chez M. Geo rges Garde.
Mag nani E"i ldo, Garde de n uit à la Sté <l es A ncie ns Etab lisse.
RO lCAj O LA LOUIS, E mr loyé à la Sté des Messagerie Na ti onales
l?OSANQ lall oio, O uvrie r qualifié à la Cie Pcchine y, Ga rdan ne.
HOSS I E.rnest, Li vreur enc(lissel1 r aux éts Cotell e ct Foucher.
d'A r ene .
ments "'-1antt! et Cie.
MAITI(E~ BAN j oseph,
Commis principa l
à la Cie Gé nérale
Transa t lantique.
MANESCAU j ea n, Sous·Directeur à la Cie Cyprien Fabre.
Elisabeth, Employée au Crédit Lyonnais.
M.ARIAUD Gabriel, Garde a ux Ho uill eres d u Bassin de P ' ovence
MARTIN Léon, Ohef de transit à la Sté a no nyme Ces Message
Mlle~"\AREY
ries Nationales.
,'llJAlm 'ON Frlnçois, Menuisier chez MM. Silvestri et Pell ei nq,
Aix-en-Pro\'ence.
MATHIEU Lucien, Commis en ,do uane a ux Ets Henry Hamelle.
MAU'B5RT joa n, Sous-chef de caisse il la Cie Algérienne de
Cré:1it et ete B anque.
.1\1AUREL Auguste, Ebeniste dans la mai son A. Bicc hierini.
MAURIN Lou is, Ajusteur aux Chantiers Navals de La Ciotat.
M1ALPRINES Eu gè ne, Empl oyé à la Société Générale, Marsei lle.
MAl ZEI Thom as, Machi niste au.x Verr er ies de Queyla r.
MIGHELI Emi le, Chanfreineu r aux Cha ntiers Navals de La Ciotat
MflEUSSENS P ierre, Directeur de la Sté des Tra va ux et Ind us.
tries Maritimes.
MOLINETTI Henri, Chef du service co m ptable il la Société
Lon O'o métal.
MONGE j ea n- Baptiste, Chef de service au Comptoi r ational
d' Es co m pte de Paris.
MOURGUES Eugene, Emp loyé aux Ets Ro cca Tass)' de Roux,
10UYSSET Célestin, Contremaitre a ux C hantiers Navals de
La Cio tat.
NESME Ho no ré, Electricien aux Ets Martin La va i.
Mme NllA IW née RAPUlll Catherine, Ouv.-ière a ux Etab lisse·
ments Fo urnier Ferrier.
Mme NOCBRA née FO~M I SAtNO Mari a- j osép<nine, Co ntremai·
tresse à la Sté In-cl ust riell e et Commercia le de la Catie he
PA OLAs.sO Emile, Directeu r technique a ux Ets ,Favant.
PALLA'~D Louis, P lombier à l' E ntrep rise n ebuffat.
PAV ILLARD Eti enne, Calfat aux Cha ntiers Navals de La Ciolat.
PELLEGRINU jean-Baptiste, Riveur il la St é des Cha ntiers et
Ateliers de Prove nce.
PESCE j ea n.sa ptiste, Perce ur de coque aux Chantiers Navals
de La Ciota t.
PEYSSON August e, Garde canal éclusier à l'Œu''re Géné:.le
de s Alpines.
ALA.Ni5L Geo rges. Manœuvre a ux Chantie rs Na,'als de La
Ciotat.
PLANO Eugène, Ca issier à la Caisse d ' Epargne des Bouches'
du-Rlhône, succursale de Pelissanne.
~llle
\'EI~S I NO fe r na nd, Cont remaitre atelier aux Ets Favant.
TITRE POSTtIUME
TH o.\·\!AS Jear.-Baptiste,
Cont rema ître aux
RAPPEL DE VERMEIL
AR1 ICLE 3. -
Le rappel de la J'Mdai ll e d' Hon neur du Tra-
vai l en ve rmeil est d~cerné aux p e r SOl1 n ~s dont les noms
suivent :
A\lle ALB IN ET -.\ \ arit::, Ou\'ril'fc aux Ets Fournier-Ferrier.
BOROHI joseph, Contremaître il la Socit't~ des Anciens Etablissements Mante et Cie.
C usenier.
RUSSO VIII ce nt, CoursIer il la Cie Ped,l iney, Gardanne.
CH A I~AVLN Ma rcel, Direlt-.::ur adjoint à la
Mm e ve uve SANOH8Z née PlO LL E Eugénie, Chef de g roupe
à la Cie des A\essa geries Maritim es.
SENES Louis, C hef ouvrier aux Chantiers Navals de La Ciotat.
Mme SEVI::NIIBR nee BEiGOU jeanne, Co ntr ema itresse à la
~ \m e
Banque Nationale po ur le Commerce et l' In d·ustrie.
SCOT TU 01 CA I~ L O joseph, Tourneur il la ëté des C ha ntIers
et Ateliers de Provence,
SCOTTO 101 UCC IO Louis, Poi nteur a l'Entreprise Maritime et
Co m mer cial e.
SICA HO j ea n-lv\l.3 ri e, Caissier comptable à la Caisse d'Epar gne
des l:lo u ~ hes-du-'Rhône.
STR IXANO Aimé, Chautfeur à la Compagnie Chamh on.
Ciotat.
TERRAZZA 10 Alexandre, Contremaître aux Chantiers Navals
de La Ciotat.
CAMIC I nee NURJ\\AN 0 philomène, Bol)ineuse de fila-
ture à la Sté des FI latur es et Tissag~5 de ,\\ a rseille.
CA PPA Cha ries, Magasinier aux Ets Oescours et Cabaud.
CARLO j oseph, Contremaitre-chef aux Etabllsst::me nts Vinatie.
DESCOTltES Plaul, Caissier-Comptable a la Sté des Tuileries
Romain Boyer.
O H ERS rernan::l, Contrema ître
Ferrier.
entreti~n
et Poupardin, Salon1de-Pro vence.
TOMEI Albert, Contremaitre aux Chantiers Navals de La Ciotat.
TOR,REANO Louis, Age nt <l'études aux Chant iers Navals de
La Ciotat.
TOUC AS \M a r ius, P01l1çonn eur aux Chantiers Navals de La
ICiotat.
TOULON Raoul, Employé au se rvice des titres, Societé Générale
TH ICON- jean, Commis pri nci,pal
a la
Cie des
Messageries
aux Ets Fournier
GHlLl NI Lo ui s, Empl oyé de bu reau il la Sté Esso Standa rd .
JACQUET Darins, RelTaité de la Sté anonyme des C haux et
Ciments de Lafarge et du Teil, usine de Valdo nn e.
jOU~DA/'I
Lo uis, Trace", à la Sté des Cha nti e:s et Attlie rs
de Proven ce .
LA NÇUN Leo n, Aide-Com ptable
al"
Etal)ltsseme nts Le g re ,
MIAROLA t-Iono rê, GarJ.ien aux Chan t i~rs Navals de La Ciotat.~
MAIITLNON François, A\ enuisier c.hez M\\. Silvest ri et Pelleinq,
Aix-en-Pro\'en ce.
PALLA~D
Lou is, Plombier il l'Entreprise l~ebuJat.
PELLE.GRIN i\m édee, Ouvrier tuyauteur au Caoutchouc In dus'
triel.
ROLLAND joan.,Ba·ptiste, Vendeur a ux Eta blissements Isoard.
ROURA Fran cis, E.m plo yé aux Ets La til -Cho lat.
TOCHE Rémy, Commis aux éc ri tures aux Chantiers Navals
d'e La Ciotat.
Mll e TOMlAoSl Marie·jeanne, Comptab le il la Savonnerie Meoklen
Sté Allan} me des
Messageries Nationales.
TA j ASQUE Nicolas, Co ntremaitre cha udro nnier à la Cie des
Messa geri es !\<\ aritl mes.
TARtlJITO J\"arcea u, C hef de bureau à la Cie des Messageries
M aritll1les.
'l'A SSY .~1 a r ills, Charge du s.ef'./ice ad ministratif Secretariat perso nn el au:\. Chantiers Nava ls -de La Ciotat.
TIEMP IER Pie rre, Chanfrelneur aux Chantiers Navals de La
C hantie rs NavaJs
de La Ciotat.
}{IfPPEJRT Alphonse, Ou\'rier hautement 4ualifié a la Cie Picheney, Gardanne.
HOURA Fra ncis, E mp loyé aux Ets Latil"Cholat.
ROUSSEL Anto nin, Chef de service à la Cie Française <le
l'A,lrique Occide nta le,
i<OUSTAN Emit., Employé au Service Commercoa l aux Ets
VERAND Thé rèse, dactylographe aux Chantiers Nava ls de
La Ciotat.
•
MEDAILLE SOIXANTI:.NAIRE
ARTICLE 4. - La IMédaili e d' Ho nn eur du Travail c soixantenaire » est déce rn ée aux personnes do nt les n O I11 ~ suivent:
ESCAIRTElFIOUE Maximin, Papetier relieur aux Eta blissements
Moullot Fils Ainé.
AI1'fICLE 5. -
M. le Secrétaire Géneral de la Préfecture est
chargé de l'e xécu tion du présent arnth.' qUI sera inséré au
Recut:il des Actes Administratifs et dont une a mpliatio n sera
transmise à ~\\_ le -M inistre ,d u Travail et :i.e la Sêcurité SadaTe.
Maritimes.
VANNI Rar'j'at:!l, Ouvrier de fabrication aux Els .\\ante et Cie.
M~l e VAREIL Germaine, Secrétai re steno-dactylograph~ il la
,\ \",seille, le 15 juillel 1953.
Pour 1. PRE.FE.T, pa r delé~atiou,
Société des Orands Travaux <le Marseille.
V ARES IO ,Marius, Agent d'études aux Chantie rs Navals de La
Ciotat.
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabinet,
jules PLETTNER.
POGGIO Etienne, Ouv r ier mou leur aux Ets Fournier Fe rrier.
POLLIN I G uido, Surveillant il la Sté an o nyme des filal u,'OS
et Ti ssages.
POUG~UD Gabriel, Contremaitre ajusteur aux Ets C. Coq et
Cie, Aix-e n-,prov ~ n ce.
POUJIA .oE Geo rges, C ha uffeur et magasin ier à l' Imprim erie du
Vieux-Port ,
QU ILI GHIN I Paul, Caissier-co m ptable il la Caisse d'Epargne
des Bouches-du Rhône.
Imp. :'\ouyt'II.. de M'anuUe, 121),
TUt:
Saint"
9
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
RÉPUBLIQUE
Numéro. 26 et 27
FR AN ÇAISE
...
...
2 et 9 Juillet 1953
(:(~t=u ~I
DES
L (//--:
,
' ,-
.:
\"
•
ACTES ADMINISTRAtt~~
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
...
•
-
•
tABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
Dommages causes ~a r les Forces Alliées stati onnees eq France .... . . .. .... .... .. . .
Dispense de purge dt:s pri\'ilèg-t:s et hypothèques dans les acquisitions Immv bi li è r~s de l'Etat
des départements, de~ communes et des Etablissements publics .... . . .. .... .. . . ....
A O. --' Règlementation de la fabrication <:t de l a \'cnte du yaourt et yoghourt ...... ,. "
A O. - Taux des cotisatio ns en matière d'alloca tions Familiales agri co les pour le 1er semestre 1953
AG O. - Sinist rés. P rogra mme O é p an~nH!ntal de Pri o rit é...... . ... ....
AG O. - I~ è:::l eme nt ation des épreuves cyc listes.... .... .... .... . . .. .... .... . ... . .. .
AG O. AG O. -
•
13S
138
139
140
l-tl
144
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
p O. FS 7. -
AG 2. fS 6. -
Insc ript ion sur les mu rs et chaussées .... . . . . . . . . . . . . . . . . . " ........ , ... , ....
Déclaration d'Utilité publique du proje t tl'acquisition d' une proprieté par J'H opital- Hospice
d'Al lauch ...... .... .... .... ....
. . .. .... .... . ... . . .. .... . ... .... ....
Droits à pension des agents des co ll ectivités publiq ues., ...... , .. , ..... , . . . . . . . ".
Inte rdiction du transp ort et ue la ve nte des coqui llages marins dans to utes les COmmunes
du département ", .... , .. , ...... ,., ... ,. , .. " ......... , ....... , . . . . . . . . ,.,
145
145
1~5
149
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
Ads de cOllcou rs (Administration Pénitentiaire) , ............. , .... ..... , ........ ,
Avis de co ncours (Mairil;! de J\1arignane)
............ , ... , ...... , , .. , ... , ., ..
J\\étlecin auto ri se à pratiquer les ~xa l11~Il S radinsf.;opiqucs en vue de la t.I éli\'rance des cerllfiçats Prenuptiaux ct Prénatau x ....
. . ,. .... .... . ...
Autorisation d'exploiter un déput permanent d'explosif ... .
Demande d'emploi (Se c r ~tai r c ue Mai rie)
Union des Maires - Congé annuel
150
150
150
150
150
150
A8IU~ '· IATIONS. - A. »'.: Arrùé prdccto ral,' - ~ . . ~irC'UJaire. -: Lc~ .h:ttr~s 1) ct U s-u i \'it~ d'un chiffre
indiquent le Servlc~ "" Bunau d onglne.
l).~ , 1 . : DlrcctU)n des Serv ices 1 echmques. - U . U. :S. : Direction
Départementale de la Santé. - U. D, l', : Dirc:clion J)~p<trtementale de la Population.
�D4 BI • A 0
TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
CP •
AG 0
DOMMAGES CAUSES PAR LES FORCES ALLIEES STATIONNEES
EN FRANCE
Additif au C'OIIUItuniqué inséré dans le bulletin
Il'
1
12 du 26 Mars 1953
Changement d'adresse de la Commission Américaine des réclamations
de PAnnée de l'Air des Etats-Unis
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Inspecteur Géneral pour la 9~ Région militaire,
à MM.. les Sous-Préfets,
MM. les Maires.
Par un communiqué, paru dans le bulletin du 26 ~lars 1953,
j'ai attiré \'otre attention sur te problème du réglement des
dommages causés par les membres des Forces Alliées en France.
D2
B3 . AG 0
J'ai l'hon neur de vo us fai re conna ître que la Commission.
américaine des récla mations de l'Armée d'e l' Air des Etats-Uni
(claims co mmission de rU.S.A. F.), q ui é tait instaUée à l' Hôtel
Asto ria, l, rue de Presbourg, a t ransféré ses services, 53, rue,
Frllnçois-I er, ài Paris (8,.°).
Je
\' OUS
prie, en conséquece, de bien vouloir noter cette-
nouve lle adresse.
DISPENSE DE PURGE DES PRIVILEGES ET HYPOTHEQUES DANS
LES ACQUISITIONS IMMOBILIERES DE L'ETAT, DES DEPARTEMENTS, DES COMMUNES ET DES ETABLISSEMENTS PUBLICS.
61 9
3 LI C 2904
Le
Paris, le 13 Mai 1953.
L e Ministre des FInances,
à M. le Ministre de l' Intérieur,
rai
rhouneur d'appeler "otre attention sur l'article Il de
la loi n< 53-31 du 15 avril 1953 (J.O. du 18 avril 1953) faeilitant l a construction de logements cconomiques qui a modifi :!
les conditions de paiement des acquisitions immobilières de
l'Etat, des dépa rtements, des communes et des étab lissements
pub lics qui en dépendent, dans le but d'aocélére r ce paiement.
Les coo<!;!ions d' applicatio n des dellx premie rs alinéas de
cet artk:e. qui soulthrent diverses difficultés, seront précisees
ul te rieurement
Le 3me ôlinéa du mème article permet de payer sans
accomplissement des formalités de pur ge des pri,'ilèges et hy pothèques, les aoquisitio ns inunobilières faites pour le compt~ de
t'Etat, des de;;a rteme nts, des communes et des éta blissement.
puolics, do nt le prix n'excède pa s 500.000 francs.
Ce te.~te mod if ie la li mite de 15.000 i ra nes fixé. pa r ia 101
ci.:u 28 novem iJrc 1942.
.\\aIS la lo i du 28 novembre 1942 a ,'ait un objet pius
dendu . En matière d'acqui5i tion amiable fa ite suivant les r~gles
uu droit commun, son article 3 permettait le paiement des pr ix
ci'aoqu~ition n'ex~èdant pas 15.000 fran.cs sans accomplissement
des formal ités de purge. En matière ti 'elC]>ropriation, ses articles
1 et 2 m6drfi:mt ,!i\Cers articles des déc rets,lois des 8 aoùt et
JO octobre 1!(J6 r"lahls a la procèdu re de l'e,,propri~tion or.liflai re et de l'expropriation ci' urgenœ, dispensaient l'administl arion, jusqu 'a 15.(X)J fralllCS non 5eulement d'effectuer la p urge
mais au.s..ci de publier l'ordonnance d'eXapropr iation et de transcrire œrte demjère.
nOU\'eau texte
ne se
Marsei ll e, le 23 juin 1953.
Le Prefet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Le gio n d' Ho nn eur,
Vu la loi d'u 5 Août 1884 su r J'or ga nisatio n municipale,
,"otamment les a rti cles 97 et 99 ;
Vu les lo is du 15 Fé vri er 1902 et 7 Av ril 1903 Sur la pro.tecti on de la Sa nté Publique ;
Vu la loi du 1er Août 1905 sur la Répression des Fraudes;
Vu l'a rrêté préfec toral e du 17 Oc tob re 194 1 relatif à la
sal ubrité <l u la it, modifié et co mpl été pa r l'a rrêté du 14 Juin 1 49 ;
Vu l' avis de M. le Directeur Dépa rt ementa l <l'e la Santé, de
l vt le Dir ec teur Départemental des .Services Vétérinaires et de
l. l' inspectellr Dépa rlemental d" Serv ice de la Répr"ssion des
Fraudes ;
Vu J'av is du Consei l Départemental d'Hygiène dans ses
,séances du 25 Mars et d u 23 Avril 1953;
Vu la circuJai r e du 13 Mai 1953 relative au « Yaourt » ou
c Yo ~ho urt >, de M. le ,M inistre de l'Agriculture.
Sur la propositio n de M. le Secrétaire Général,
<ARRBTE
Sous la dénomination de « Yaourt :.
ne peut être mis en vente que le produit
ob tenu par la transformation des laits propres à la consomma1ton humaine, partiellement êcrémés s'il y a lieu et soumis
exclusivemef1t à l'action des deux seuls ferments lac tiql1t..~ spécifiqu es : « Termobactërium bulgaricll m :. et Co Streptococ us
Am'ICLE PRE.\\ l ER. -
o u «- Yoghou rt
Application de l'article Il de la loi du 15 Avril 1953
.
référant pas aux dL'Crets des.
8 aoÎl t et 30 octobre 1935, ni à 10 loi du 28 novembre 19-12, ne
peut modifie r la limite de 15.000 frs en ma tière de dispense rie
publicite ct de transcrrption de l'o rdonnance d'expropriation,
et, dans ces conditiorrs, ri n)y aurait pas de sens à dispenser
de iprrge, par applicatio n <le- la no uvel le dis pos itio n, les acqui'
sitions cfUln montant nl eJOCédant pas SOO.M f ran cs réalisée~
pa r voie d'expr opri ation, obsen~tion étant fa1te qu'en matière
d'expropriation, la procédure de 'Purge n'exi ge, en vertu de
l'art icle 21 du décret du 8 août 1935, qu ' un délai de 15 jOli"
a.près tla tran:;-c r iption.
En consôqu6l1ce, le dern ier alinéa de Jlarticle Il ne doit
"tre a!, pliqu é qu'aux acqu,sitions amia l)les, fais ant l' objet de la
pu r ge accompue suivant l a Iprocédur e de droit commun, laquelle.
exige 1If! iong délai après l a t ranscnption de l'acte.
• L a disposition législative àoit entrer en vigueur immédiate-
ment . Par conséquellt. l a nouvelJ.c Hmite de dispense de purg(
t es prh'ilèges et hypothèques est appi icable aux
acq uislt ~ons
immobilières ami ahles r éalisées à p~ rt i r du jou r où la 101 ;:
pris effet. Toutefois, si pou r des acquisitions co ncl ues antér.ieurentent La prûc6Gure de purge n'était !pas encore en tamée a I~
date d'etfet Ile la l oi, on peut admettre que la purge ne SOIt
pas a c comph ~ si le pri x n'excède pas 500.000 francs.
Je vous ee ra is obligé de voUloir bic n donner toUiles ins·
tructi ons utiles il ce sujet a ux SCTVices co'l1ectivi tes locales,
établissements publks relev.a,nt de votre ;u,tori tt! ou place; SOUS
vo tre contrôle.
Pour le Minis tre et pa r dé légation,
L e Directeur de la Com ptabilité p ublique :
G. DEVA UX.
REGLEMENTATION DE LA FABRICATION ET DE LA VENTE
DU YAOURT OU YOGHOURll
Jo
l1hermophi lus • .
ART. 2 . -- Le lait Idestin~ â la iabricati on ou
Yaourt » et
c Yog hourt » sera assa ini par l'un des procédés agréés par la
J'êglementation appli cable aux laits de consommation. 1\ devra,
au moment de l'ensemencemen t, répondre aux normes bati ériologiq ues d u lait pasteurisé certifi lt. L ' éc.réma ge, s 'il y es t procédé devra procéder cet assa inissement. Les cultures ci e ferments
lactiq ues utilisées pour l' ensemencem ent ainsi que les levains
provenant de fabri cat ions antérieures devront êtr e i ndemnes de
toutes souillu res et notamment de tou agent microbien ou para sitaire ,pathogène pour l' homme ou suscep ti ble de modi fi er la
présentation ou la bonne co nservation d u prod uit fi ni.
ART. 3. - T ous les appareils et instruments utilis~s nota mment pour le t ranspor t, le traitement, le co nditionnement et I~
stookage des laits ou du Yaourt seron t, ava nt utilisation ou
remise en ser vice, convenablement nettoyés et sh:rilist!s ou
aseptisés 'à l 'aide d'u ne méth ode et de produi ts inoffensifs pou r
la san té de l'h o mm e.
Ils devront être après, cette opération abondammt'nt r inc~s
à I/eau pota ble et égouttés si :a metllode ou les produits utilisés
sont suscepti bles cl 'avoi r laissé des traces de souill ures pouva nt
donn er au lait ou a u produit fini un goût ou une odeu r desag r~a
~b le
ou les rendre nocifs.
ART. 4. _ Sitôt après la coagulation le yaourt sera refroidi
à 10° et conserv é tel jusqu'à la livraison aux détailla nts qui
devront J'entreposer dans un appa rei l frigo ri fique, réglé pou r
qu e la tempé ratu re <le 10' ne soit pas dépassée.
ART. 5. - Les récip:eots contenant du yaourt seront, pour
la mise en vente, hermétiquement femlés par une capsule asepti que qui mentionn era le nom et l'adresse du fab ri ca nt et la
date limite 'tf'utilisation du produit. Cette dernièr e indication
~eTa donnée sous la forme : c A consommer avant le
:.
La da te limite se ra fixée à co mpter du jour de fab rication
au ma~;mum au 5me jour pendant l a période du 15 avril au
15 septembre et au 7me jo ur du 16 seplembre a u 14 avril.
La teneur en ma1ièr e grasse, caJs ulée d'après la méthode
applicable aux fromages, pourra être indiquée sur la capsule
d'obturation.
ART. 6. - Depuis la fin de la fab ricatio n et Jusqu 'au moment
de
livraison au onsommateu r, le yaourt devra présenter des
caractères physiques norm aux. En parti culier, il ne devra pas
avoir d'odeu r ou de saveur anormal es, ni présenter des signes
d'exsudation nette ou de dessicatio n superficielle prononcée. Il
ne <ie\fra être le siège d'aucu ne souillure ou altération mi.croscopique et ne p rtsenter aucune moisissu r e.
l'analyse bactériologiq ue le yao urt devra présenter un e
fl oie microbienne normale telle Qu'elle est définie par le présentes dispositions ou pa r l'usage. Il dev ra titres entre 0,5 â
1.5% d'acide lact ique libre.
L'analyse bastériologique ne doit revéle r ni grosses bactéri es rennées, l1j moisissures (filaments ou spores), ni germes
indologènes ou producteurs d' h
ogl!ne sulfuré, ni germes
pathogènes,
la
ART. 7. - Es t formell ement inlerdite l'addit ion au lait <Iestin é à la préparation du yaourt, de toute su bstance autre que
les cultures des deu x seuls ferments lac ti ques autorisés, les
levai ns fai ts â partir de fab rica tions antérieur es et les produi ts
aromatiques Ou colorants dont l 'incorporation dans les denrées
alim enta ires est autorisée ou géneralement admise.
ART. 8, -
Les a r rêtés préfectorau x des 17 Octo bre 19+4
ct 14 Ju in 1949 réglementant le transport, le stockage, l e traitement et le commerc.e du lait son applicables au x aeliers
de p r ~paration d u yaourt.
L es personnes ou Sociêtés fabriq uant ce produ it sont nota01mt?nts astrein tes à la déc l a r at~on prev ue l'ar ticle 1 de l'a rrète
préfecto ra l ' d u 17 oc toble 1 9~ 1.
ART. 9. - Al . le Secrétaire Genéra l d'e la Préfect ure, MM .
les Sous-Préfets d'Aix et d'Arl es, MM. les ,"l aires dll dépa rtement, M. le Directe ur Départemen ta l de la Sa nté, M. le Directeu r Dépmi ementa l des Ser vices Vélè rin ai res, MM. les Inspecteurs et A gents du Sef\'i ce de la Répression des Fra udes, _\\ . le
Directe ur Départem enta l des Services de Police et M. le Chef
cI'es~a dro n com mandant la Gendarm erie des Bouohes-du-Rhône,
son t ehargés, chacun en ce qu i le co ncern e, de l'exécut io n du
pré.sent arrêté qui sera i nseré au HecueiJ des Actes Administrati fs.
Le Pré fet,
René PA IRA
139
138
�0 -1 BI - A 0
ARRETE RELATIF AU TAUX DES COTISAT IONS EN MATIE RE
D'ALLOCATIONS FAMILIALES AGRICOLES
POUR LE 1"' SEMESTRE 1953
Le Préfel des Bouches-du-Rhône.
Officier de la Légion d'Honneur.
Vu b loi du 11 mars 1932 su r les allocation. familiales
0 5 BI - AG 0
SINISTRES
PROGRAMME DEPARTEMENTAL DE PRIORITE
ARRETE
2 0 d3ns l es autres communes : 800 % du revenu cadastral
réel affecté du ccefficient obtenu, pour chaque comm une, en
':ivisant 230 pa r Je revenu cadastr ad des terres de première
c at~gorie de la c ~ mmune considérée.
A,RRETE
L e P,éfet des Bouc!nes-du-Rhôl1 e,
Offi cier de la Légion d' Honneur.
c) Co/isalions dues pour les entreprises à productiOn spéciales.
Vu les arti cles 4 et 36 de la loi du 2 oOl obre 1946 n' 4Q..
:2389 sur les do mm ages de guerre, et l'ar ti cle 7 de la loi ne>
·46.292 1 du 23 décembre 1946 ;
en agr tcultun- ;
Vu le d';':ret du 29 juillet 1939 relatii il la famime et à la
Jiatalité frança isf' :
Vu la loî Gu 22 koût 1946 fixant l e régime des prestations
- 10 % d' un salaire lonlaitaire égal à celui déterminé
pou r l"assieUc d es co tisa tions en matière d'-a ssurallces sociales
~g r icoles pa r Il'artLcLe 3 du d-écret du 20 avr il 1950.
Vu l'a rti cle 18 du décret n' 46-2960 du 31 déce mbre 1946
portant règlement d' Administratio n publiqu e pour l'application
de la loi du 28 octobre 1946 n' 46-2389 ;
Sont assuj ettis au titre des entreprises à prod uctions spé-
Vu le décret n' 46-55 t du 30 mars 1946 portanl créa ti on
famil iales ;
dales., les ~pi n iè r istes, les hortioulteurs) les laitiers nourris~
$Cu rs ct les ôleve urs patentes ou asSimil6s.
de Commissions Départementales et Locales de la Reconstru c-
Vu le de::œt-loi du 3 1 mai 1938 tenda"t à aménager ct il
complt!ter les dispo itio ns applicable; aux a1Iocations familiaies
Vu I~ di positions de la sec tion 2 du chapitre 1er d"
décret d u 10 d';œmb re 19-16 portant règlement d'administrati on
publique pour l'application de la loi du 22 août 19-16 susvisee;
Yu !'arrété ministériel ùu 3 1 uecembre ' 9-t.6 relatif aux
Comites dé-p3rtementaux des prc...~ations familia les ?gricoles
Vl! la 10'1 âu 2 mars 1948 et notamment son article 2 ;
Vu la loi du 16 juillet 19-19 et no tamment son article 10
Vu l'arrête pr éfectoral du 27 février 1951 fi xant les conditions d'acti\ritf professionnelle o uv'rant droifl à l'attribution des
prestations fa miJiales agriool.es ;
Vu 1" decret du 3 juin 1952 relatif au régime des cotisati ons dues aux Caisses Mutuelles d'Allocations Familiales
Agricoles ;
Pour les éle\'eurs de caprin , l'assiette est ca lculée à raison
d'une jo urnée de salaire lorfaitaire ( 1/ 25me du' salaire forfai.
td!re mensuel) par tête de bétail et 'par an.
p c.;. ur les apicul teurs, l'assiette t'St crulcU'lée à raison d'une
Journê<: de s~ l ai re forfaitaire pa r ru che et par ean.
Son t exonér és de tou·te co ti satio n les apieulteurs ne possGtt?nt p.1S plus de 20 ruc hes.
d) Co tisations (l'lues par les artisan$. ruraux
.-
10 % du salaire furfaitai re déterminé pour l'assiette des
cù tisati ons en mati ère d'assurances sociales agricoles par l'at.
tic l~ 3 du décret du 20 avri l 1950.
des cotisations dues a ux Caisses d'AllOC'ations fami lirues Agri-
Pour les art isans ruraux tra vaillant seUls, le ta ux des
c tisa tio ns est r amené à 5 % du sa laire forfaitaire.
ooles pa r certains assujettis ;
e) Collsaliolts
Vu l'arr.;té ministériel du 2
Juin 1952 r elatif à l 'assiett e
Vu la lot du 6 février 1953 portant fixation du budget an nexe des p~iations familiales agrkoJes pour l'exercice 1053;
Vu la circulaire ministérielle n' 9 ASM/ 7 du ' 25 janl';"r
1952 ;
Vu la ciroulai re n' 22 A'SM/ 7 du 2 1 mars 1953 ;
Vu les dt'Cisions pr ises par le Comite D épa rtemental des
Prestations Famihales Agricoles dan s~ séa nces des 5 juin
et Il s"P tcm bte 1>15 1 ;
Vu 10:5 dé('isions prises par le Comité Départemental des
Prestatiors Fami liales Agrtcoles rlaru sa séance du 27 mai 1953 ;
AVrès avis de M . le Contrôleur Division"ai re
Sociales en Agriculture ;
des Lois
Sur la proposi ti on de M. le Secrétaire Généra~
ARRETE:
Arlic!e premier.
Est rendue exé-cutoi re
la décisior. en
date du 27 mai 1953 du Comité D epa r temental des Prestations
Fam rlial~ Agncoles tendant à fixe r com me suit le& taux de6
cotisattons dues au titre du 1er semestre 1953.
a) CO(lsatioll:; dues pour les exploitations agricoles, y compris
les explodations
s aliniè~es
;
800 % du revenu cadastral réel pa r semestre.
-
b) Cotisation.~ dues pour les cultu/ es maraÎchëres et légÎlmiêres:
0
1 dans les communes dont le reven u cadastral des terres
ce première ca tégor ie est égal ou supérieur à 230 francs ;
800 % du re\'enu cadastra l réel ;
140
Vu l'arrêté ell date du 13 juin 1952 modifié par la ci rculai re
n' 53-49 du 3 avril 1953 du Ministère de la Reco nstruction et
de l'U rba nisme, fix ant le délai au terme duquel les si nistrés doi\ ent présenter les pi èces administratives et teChniques necessai res
â l 'instructio n de leurs dossiers et entreprendre la recO nstitution
de leur bien sinistré, et doonant délégation aux délégués d ll
Ministre !(i'e la Reconstru cti on et de l'Ur banisme pou r fixe r le
point de départ de ce délai ;
Vu l' arr êté en date du 19 août 1947 du ~l i ni slre de la
Reconst,ructi on et de l'Urba ni sme portant d'élégation perm anent e
de po uvoi rs au x Préfets pour l'appli ca tion de l'arti cle 7 de la
loi n' 46-2921 du 23 décembre 1946, relatif à l'établissement, à
l'échelon départem ental ou local, de J'ordre 'CI'e priorite pour la
1 econstruction des bie ns sinistrés;
exploila/iOns foreslieres et les
Vu l'avis émis pa r la Commissio n Départementale de la
Rec onstructio n en sa séance du 2 juin 1953 ;
10 % ,tes sa la;r~s réels, dans la limite du plafond preV"
Su r proposition du délégué départemental du Ministre de
la Reco nstruction et de l' Urbanisme ;
dues pour les
professions con nexes :
-
t ion mot!ifié par les d'écrets n' 47- 1903 du 26 septembre 1947,
Il ' 48-753 du 27 avri l 1948 et n" 48-1970 du 27 décembre 1948 ;
ARTICLE PRE.M I ER. - 0 Sont inscrits au titre de l'exercice
1953, il l'ordre de pri orité départemental pous le versement des
indemnités de dommages de guerre; les sinistrés dont les noms
figurent sur les listes ann exées au présent arrêté, pour les b iens
dans les conditions qui y sont indiqu ées.
ART. 2. - (A) ILes sinistrés visés à l'art icle 1er du présent
ar,rêté devron t, da ns un délai de 3 mois, :à dater de la publi.·
cation de cet arrêté :
1CI Faire par ve ni r à la Délégatio n Interd épartementale du
M i nistèr e de la Reco nstruction et -de l'Urbanisme to utes pièces
aOministratives et techniques nécessai.res à la co nstitution de
leur dossier ;
2\1 Entreprend re la reconstitution de leur bien.
(B) Si dans le délai imparti les coadilions prévues à l'article ci-dessus ne son t pas remplies le sinistre se verra opposer
l'article 19 tle la loi tlu 28 oclobre 1946 el ne pourra prélent/re
(IU'a une indemnité d'évictiOn .
ART . 3. - Une ampliation du présent arrêté comportant les
listes annexées sera déposée à la Pr~fec ture et un e aut re dans
les bu rea ux du délégué du Minist re de la Recon tr tl cti on et de
l'Urbanisme, Cité Admini trative, ru e Sain t"'La zare, Mlarseille.
Une amp liation, co mporta nt les extraits de listes cor respo ndantes sera affichée, pa r les ,N\aires, da ns les Mairi es des
Commu nes i ntéressées.
ARf!'. 4. - Le Secreta ire Généra l de la Pré fecture, le Délégué Interdépartemental <i u .M inistère de la Reco nstruction et de
l'Urba nisme et les Maires so nt chargés, chacun en ce qui h
conce rn e, '<ie l'exécu tion du présent arrêté qui sera 'P lI bli~ au
« I~ec ll ei l des A ctes Administratifs du Departement :1.
Fait à ~\ arseille, le 22 Jui n 1953.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général,
~ \ axime MIGNON.
pou r les cot i<;a tions en matière d'assurances sociales agri coles.
Sc nt ass"j~ttis au titre d"s professions connexes : les
champignonistes) les entreprises de tvavau x agr icoles, de pres·
DOfv\MAGES DE GUERRE
,PRIORI"f1BS ANTEiR IEURES NON ENGAGEES EN 1952 ET ENGAGEES SUR PROGRAMME NOUVEAU DEiPU IS LE
l " JANV IEiR 1953
ANNEXE 1
:.agc et hottel ag~ de paBles et fO Ufrrages, de dressage et d'entraînement, les ohamps dIe COu rses et les or ganisations profes·
sion neiles.
f) Cotisatiolls dues par les
propriétaires de parcs el jardins
Nu méro de dossier
employeur:; de main-d' œuvre agricole:
- 10 % des ..,laires réels d'ans l'a l imite du plafond prév"
pour les ~otjsa t io ns en matière d'assurances sociales agrkoles.
CA
CA
L e cœfii~ient de majoration , te l qu'il est ca lcul é pour la
CA
CA
ca tégor ie b-2' ), affecté aux exploitations mixtes, maraichères
(lA
ct de polycul ture, sera réd'uit dans la même propo rtion que
CA
celle existant entre l es surfaces de pol yculture ~t l'ensemble de
l'exploitatio n, su r la base des unités de mai n-d'œuvre théorique
CA
CA
pr evue il "'artiale 3 <ie l' arrêté 'Préfector al du 27 févri er 1951
rel atif aux cOildilt ions d'activité -prO'fessionnelle ouvrant droit à
Arlicle 2. COJlt ràle ur <les
CA
CA
(lA
L e Secr étaire Général de l a Préfect ure et le
CA
CA
CA
Lois Sociales en
CA
J'attri butio n des prestations fmnili\ales agri cdles.
chacu n en ce qui le concerne,
Atg riCLilture sont cha rgils,
d~ J'exécLUtion du présent arrêté.
M arseille, le 23 Juin 1953.
Le Préfel " Rer.é PAl RA.
G. A. F. ADM INISTRATIF
24.593 _ Z
7.593 - Z
41.827
Z
15.806
Z
16. 11 6
Z
1.74 1
Z
25.664 - l lP
_ 17.046 - l
- 16.573 - ZIP
- 17.044 - l l P
- 17.043 - ZIP
- 1.685 - llP
- 16.446 - llP
108 - DS
_ 4.148 -I)S
NOM
Indivision ANDRE ............... .
AGRIFOGUO ..... . ............. .
Indivision MOURA ILLE ........... .
Veuve BIGAGU ..... .
Hoirie CONTE. . . . . . . . . . . . . . . . .• .
lndi\'ision FESSOL ......... .
MIAUROUARD .................. .
Indivision ROBERT ... .
Indivision ROBERT ............ . .
Ind ivision ROBERT .. , . . . . . . . . . .. .
fn division ROBEiRT ............... .
Indivision ROBERT
. .. . .. .
GRANOUX ..... .
PETRETTO .......
. ....... .
Ets VERM INCK ... " .. " " " " " .
LI EU DE RECONSTITUTION
33, rue Ste-Victoir e.
Rue de la Colline, Les Goudes.
T r. du Cerisier, l'Estaque,
Quartier du Quintin, Salon.
Chemin Noir, enclos Pasteur, Arles.
Transfert du Havre s/ Bd _"'o nastère.
10, rue de la Villette.
10, rlle de la Villette.
10, rue de la Villette.
10, rue de la Villette.
10, rue de la Villette.
le Bastidon, Le Rove.
2, trav. cil! Liban, Marseille.
Croix-Sainte.
Décision
A-B
523.5~9
1.47H.917
2.371.2-13
3.767028
3. t78.8 16
5.295..103
2.8-15.193
929.589
2.508.921
3.R I1.I04
3.750.912
1. 1 ~5.7 11
2.24-1.3-17
336.500
A 9.t.Jll.21 1
43.375.584
Réq uisition
-I67 .~:l5
393.543
616.t26
987.6-13
836.336
1.377.766
2.553.900
24 1.2-19
651. 124
989.072
973.450
304.8'l6
1.227.692
336.500
3.2R3.05 1
�DOMJ\>\AGES DE GUERRE
G. A. F. ADMINISTRATIF
G. A P. A!li'YHNISTRATIF
DOMMAGES DE GU6RRE
PRIORITE 1953
ANNEXE 5
LIST E PRINCIPALE
PRIORITES A RECONDU IRE SUR PROGllAMME 1953
ANNE.X.E 2
Num éro de dossier
NOM
Adresse du sinistre et lieu de re co nst ru ct ion
GA - 25.486 - Z
LAROCHE Vve HOFFllMNN . . . .. . ..... .
CA - 15.975 - Z
CA - 1.320 - Z
CA 57 - Z
GA - 17.665 _ Z
Z
ESTtABES j acq ues . ..............• . •..
PAILLET Pierre . . .......•.......•. . ..
RONDET ............. ' . . .... ' ..•.. . .
PERRIN j ea n .. . ........ . ...... . . .... .
CHAL BON Gal>riel .. . ......... . . . .... .
PEYROL Auguste ........ ... .. . ....... .
Ho irie POCCHI OLA ................... .
MARIGNy .......... ' ......... . ... ..
Hoirie FILLATREtAU ..... . .... . .. .. ... .
MOUTTE Auguste . .. ... .• . . • .. . .. .• . .
CA - 21.527 - Z
ZINNO joseph . ................. . ... .. .
1.349
9.037
CA 21.675
CA
12.325
CA 20.214
CA - 9.478
CA
CA
_
Z
Z
Z
Z
Z
MARSE ILLE
Valeur 1939
Hôtel Arles-T~inquetaille - Transfert quartier du Bas-Mo ul e)' res.
4, impasse ,A udil> ert.
927 - SP
Comm une <le LA CIOTAT .....• : . • . . . . .
GA VlaGlA Henri ............. .. .. .... .
CA - 10.37 1 - OS
BORE Maurice. .. .......... .... ... . ...
BORE Ma urice. .. . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . .
CA -
CA - 10.372 - OS
8, rue Meuriatur, T arasco n.
Q uarti er du Four·à-'Chaux, Orgo n.
3 à 9, rue Clary.
Verd uron Haut.
4 1.000
140.260
648.846
365. 184
227.52 1
220.000
223.402
577.131
134.470
34, 36, tue des Récole tt es.
430.4~T
8, Bd Ferevoux, ,sonneveine - T ransfert,
72; rll e Jean-Mermoz.
126.253
32, ru e Saint-Ba z il e.
282. 2815, ru e de L)'on.
Cala nqu e des Eaux-Salées, Carry-le-Rouet.
Val Ricard, Eos uès (B.- du-Rh.) _ Transfert
58.298
224.790
299.550
3 12.287
Ba lustrade et pa rapet.
Quartier Mugel, La Ciotat.
Franceville, transfert 18, Quai du Port.
Professionnel.
Suivant décision de la Sous-Commission des Priorités en date du 1er juin 1953, . le dossier CA - 42 - SP a été rejeté.
DOMMi\GES DE GUERRE
CA
12.732 - Z
40.093 2.029 - Z
25.668' Z
25,{i70 - Z
8.03 1 - Z
8.032 - Z
8.556 - Z
25.6 13 - Z
4 1.013 . Z
9. 105 - Z
7.930 - Z
7.93 1 - Z
3.227 - .oS
44.712 - Z
.z
Cf\
CA
GA
0.'1
CA
CA
CA CA GA -
CA
CA CA
CA CA
CA
CA
CA
CA
PRIORITES ANTER IEURES A RECONDU I RE
COOPEIM TIVE LA P HOCEBNiNE
15.570' Z
2.8 10 - .oS
- 6.708 - OS
- 10.578 - Z
- 25.656 - Z
- 25.73 1 - Z
ANNEXE 3
CA
CA
OA
CA
CA
CA
CA
CA
CA
25.295
Ll 6U DE R6CONSTRUCTION
Z
HUBEIIT
1.684
Z
- 43.180 - Z
_ 16.493 - Z
- 14.499 - Z
- 30.146 - DS
675 - Z
- 69.1 05 - Z
- 35.449 - OS
ROBERT
MELlAS . . ....... . . . . ... .... . •.... . .
BARNIER .. .................. . .... .
Hoirie G ILLY . . . . .. . . . ... . •.
BAYOL ......... . ... .. . . • . .. ..... ..
DIDIER ............ . .... . .. ..
BROG I ...... .. ..... ...
. .. . . . . ..
CARTALIER ........ .... ...... .. .. ..
Imm. Bosquet B (va leu r D. Sept. 1949
GAD 13,2j.
Il , impasse Ro l>e rt.
Q ua rt ier de la Ba um asse, Port-de-B o uc.
Qua rtie r du Gou rd., Martigues.
Qua,rtie r de la Baumasse, Port-de-Bou c.
Quartier St-'Ger va îs, IFos-sur-Mer.
60, r. Sy lvestre, quartier Belle-de-Mai.
13 et t 5, I>o ul evard Aillaud
Fos-sur-.o\1!er.
74, f ue Klébe r.
405.868
21 rue (J.les flots-Bl eus.
1 92. 7 ~6
Assoc iati on Aéro-Club de Pro vence
Terra in de l'En fa nt, Les Milles - Ai x.
CEll vre des Orphelins de la Vier ge Dorée.
Clinique Périer . . . . .... .......... .
Transfe rt à la Panou se.
3, 5, rue du r'llô ne.
57, ru e Franço is-Massabo.
2, rue d' Am iens.
Avenu e des Bergers, La Ci otat.
S. 1. M. . .. ..... ..
. ....... .
Hoirie BONNEF OY ....•...•... . .. . .
CHARP ENEL
..... ... ........... ..
LANOLOIS Roger ........ . .......... .
CO' PROPRIETE ............ .. ... .. .. .
CO PROPRIETE . . . .
. ....... .
A. S. R.
A. S. R. ................ . .......•...
Valeur 1939
DOMN~
G. A. P. ADM INISTRATIF
Rue Jaubert.
Rue Briffau!.
15, bouleva rd Aill a ud.
52, bouleva rd Aill a ud'.
50, bouleva rd Aillaud.
14, rue Py th éas.
Rue Ca pazza.
Ma rseille Cent re-Ville.
Arl es.
U ST E PI~ INC I PA LE
N ° de dossi er
18.593
2 1.50 1
43.71 3
18. 75
25.658
40.077
_
LIEU DE R6CONST ITUTION
Z
~MSTRAN T UANO
Z
Z
Association D iocésai ne d'Aix ... , .. . ... . .
DEY GLUM Henri ......... '.
Z
Sté de Sa uvetage des Naufragés . ...... .
.....
Z
Vl'e Jean MONOD .............. .
Z
Œ II \'r e de la Providence des Orphelins du
694 ' SP
Cholera
...... . ..... . .. . . .
Collège de Jeunes Fille
--------------------------------.--Va leur 1939
NO~\
Av. du Trébo n, Arles.
27, Q uai de T rinq uetaill e, Arl es.
Quartier Saint-Loup, La Ciotat.
Carro.
Les Blazots, Salon.
CA - 25.611 - Z
LU C IBELLO ..... . ..... . ... ... . . ... .
CA - 25.523 - Z
CODAOGION I .. .. ........ ........ ..
UEU DE
,1~ECONSl' I TUTI ON
23, Bd d'e Lo uvai n Date 0 mars 195 1
,CAO 15).
5, rue d u Mo nastère, Date 0 août 1952.
(Coef. 18,57) .(Eléments d'exploitati o n).
232.5 11
~13.5<kq
50.000
32 1.361
91.039
~28.482
Transfert à Puyricard.
Boulevard Jules-ferry. Tarascon.
~oo.ooo
1.936.94 1
LISTE SECONDAIRE
ANNEXE 4
NOM
508.5 7
1.200.000
2 19.3.j{)
471.330
G. A. F Am UN ISTRA T IF
--------------------------------
COOPERATIVE MtARSEILLE-LiTTOIML
r
2 . 25~.892
Ru e M erm oz.
PR IORITES ANl1ERIEURES A RBCONOUIRE
N· du dossier
65.000
27S.262
49.500
244.500
495.4 19
49S.000
812.000
436.127
35.000
155.561
259.61 1
124.570
146.328
PRIORITE 1953
DBf\ARllEMENT
149.625
81.628
non fixée
54.637
264.385
24.445
101.640
22, chemin du Ro ucas-Bl anc.
Av. les Chên es, Sainte-Margueri te.
9, boule va rd Isidore..!D atYna n.
69, boulevard de Paris.
71 , bou lev'ard de Paris.
20 bis, ru e Lanthier.
GES DE GUERRE
190.471
968.47 1
DOMMAGES DE GUERRE
ORTO LI Josep h .. . . . . . ... . . . .... . .... . .
ANTOUM ... . ... . . .. . .. . . ..... .. . .
RBCANA TI
. . .... .. . .. .
.. .. . .. ........ ..
BAYET Emmanuel
L6CA Jea n ...... . .
. . . . ... . .. •.
. 1. M.
. .. .. .... . . . ... .
S i M.
..
. .. . . .
. ..
S. I.M....... . . . . . . .
MOUYS .. . . . . . . . . .. . . •..... . .. . . . ..
Vve PEUSSI6R ........ . . . ......... . .
Louis BRo.GG I ... . ... . . . . ... ....... .
Mme G IRARD . ... . ..... . . . .... .. . . .. .
Mme G I RAI~D ... '. . . .
. ... ' .. .
PAR.o IGON Antonin .. ' ..... . ..... .. . ' ..
LI STE B
OA
CA -
G. A. ,P. AOMltN lST,RATIF
N ° d'u dossier
Valeur 1939
LI EU DE R6CONSTITUTION
NOi'Y\
USTEA
72, ru e Jean..:Merm oz.
CA . 41.225 - AG
N" de dossier
Valeu r 1 9~
11 3. 181
24.016
25.68 1 - Z
25.613 - Z
7.864 - Z
17.2 16 - Z
25.245 - Z
9.001 - OS
972 - SP
865 - SP
BOUV ILLE Félix ......... ·····.······.
PELISSIER j ules .......... . . . .........
MOU LIN Edouard ...... ........ . ......
MICHEL Etienne ......................
S HELL, Berre ........................
S.O.B.O.OA. - i.C.P ................. .
Mairie de MIRAMAS ................ .
A IX-EN·PROVENCE.
Quart ier Fontsai nte, La Ciota t.
Vitro ll es-le,Roucas.
Route Sai nt-Gi ll es, Arles.
Cité ct'e Berre.
Cie de Chemins de Fer de Camargue .. '
Tra nsfert habitation, Arles .
221.724
247.8-17
6ï.242
138.000
368.521
368.527
150.000
53.610
=143
142
�05 BI - AG 0
REGLEMENTATION DES EPREUVES CYCLISTES
ARRETE
Le Préfet des BOIUJiles-<lu-RMne,
Officier de la Légion d'Honneur,
Vu l'article 99 de la loi du 5 avr il l ~ ;
Vu l a ci rcul ai re de M . .[~ Ministre de l' Intérieur en date du
12 décembre 1925 ;
Vu le décr et du 20 août 1939 modifie par l e décr et du
12 jam'ier 1948 sur la ci rcul ation et le ro ulage;
Vu les ar rêtés préfectoraux des 3 1 décembre 1925 et
29 mai 1952 ;
Vu la circulai re de M. le Millistre de l' Inté ri eu r n" 86 du '
17 mars 1953 ;
Vu les avis de M. l'Ingénieu r en Chef des Ponts et Chauss"es, lit. le Commandant de Gendarmeri e, M. le Directeur Dé-
partemental des Services de Police;
Sur la proposition de M. le Secr étaire Général,
ARRETE:
Article premier. - La règlementation des ép reuves cycli stes
cans le départemen t est fixée pa r les dispositio ns du présen t
alrété.
Arl. 2. - La demande d'autori satio n comportant l'itinéraire et J'ho raire de la course doit être déposée ou ad ressée il
12 Préfecture au mo ins six semaJnes ava nt l a date de J.'épreu ve
Ce dél ai prend date il compter du jour de dépôt ou de la
r écep tion effective il la Préfecture de la demande et non pas
du tim bre à date dont celle-ci est revêt ue.
Arl. 3. -
Dans le délai de quinze jours qui suit la date de
dépôt effectif de la demande, les organisateurs devront produire
à la Préfecture :
a) L' autorisation des Maires des Communes traversées.
b) Le récépissé de la police d'assu r ance qu'ils devront
ohil aatoirement souscrire en vue de gar anti r l a responsabili .
du Groupement or ganisateu r en raison des accidents dent sec::
memb res et tous tiers participants peuvent être les victimes ou
les auteura au co urs du déroulement de l'épreuve.
La police d'assura nce devra également stipuler qu'el 'e
ga ranti t l' Etat, le Département, la Commune et l eurs représen:
tants contre tout recours qui pourrait êtr e exercé co ntre eux a
l'occasion du déroulement de la course·
Cette assurance devra êt re souscrite pour chaque épreu ve
et pour un montant illimité.
c) Récépissé du ve rsement du cautîonn ement effectué à la
Caisse des Dépôts et Consignations par les organisateurs ayant
l' intention de jalonner l' itinéraire ou d'apposer des affiches sur
cet itinéraire.
Art. 4. -
Avant le signal de départ, les organisateurs do
l 'épreuve devront sur place et su r réquisition du représentan,
d:! l'A utorité chargé d'assurer l'ord re, présenter:
1°
L'arrêté préfectoral accordant l'autorisation
12°
La police d'assurance couv rant les risques d'accidents.
3° L 'engagement d'efifectuer l e paiement des frais occa·
sion nés par l'or ganisation du service d'ordre dont l e montant
qui leur incombe neur aura été communiqué au préalabl e.
Art. 5. - Les épreuves cyclistes ne seront auto ri sées qu
sous réserves suivantes :
144
1° Heure limite de départ fi xée à 8 h. du matin et heul e
limite d'arrivée à 12 heures.
2°
TEXTES
Nombre maximum des engagements: I SO.
3° Nombre maximum de voitures autorisées à suivre
co urse : 10. Ces voit ures devro nt être munies d'un signe distinctif très apparent visible à l 'ava nt et à l'arri ère des véhicu_
l ~s, plaqlle ou fani on indiquant le nom du cl ub.
4
La course devra être précédée d'une voiture avec pannEa u portant l' inscription « attention, co urse cyc liste » et aut<.tnt que possible haut-parl eur ayanl se ulement pour 'but d'annOncer le passage des co ureurs à l'excl usion de toute alltr~
inform ati on et de toute propagande de quelque nature qu'elle
so it.
DI B I - P 0
D ' INTÉRËT
INSCRIPTIONS SUR LES MURS ET CHAUSSEES
Alarseil!e, le 15 juin 1953.
Le Préfel ies BOuclres-du-RI,ône,
Q
COMM UNAL
ci MM . les Maires,
Malgré les survei ll ances des Services de Police et de Gendarmerie, ~l a été co nsta té au co urs de la campagne électoral e,
une proliféra11ol1 des affic hes et des grt31fiti sur les murs et les
cha'u.ssées des ,~il1es du Dépa rtement.
La vue je ces insc r~pt ions est de nature à produire un
fâlcheux effiet sUir les to ur Îg.tf$. ét rangers qu i. au cours de ta
belle sa ison, sÉ'jourment ou !passe n~ dans"Je Dépa rtement .
.
En conséquenœ, je vo us se ra is oblige de volllloi r bien fa ire
procéder à u:) lessiva,ge systématique de ces inSCriptions, pour
la plus grande 'Propreté et la di gnité des cités du Département.
Le Prefet .-
R. PIA l,RA.
5° L e peloton des coureurs et les voitu res suiveuses n'.'
~tevro nt uti liser sur tout le pa rcou rs de l'épreuve que la moi i~
de l a voie, l a deuxième moitié restant 'l ib re à l a circulation.
D3 B2 .
f'S
7
6" L es courses en ci rcu it ferm é ne ser ont autori sees qu'a
titre tout à fait exceptionnel et sous r ése rve de J'avis favo rable
du Maire de l a ou des Communes où se déro ul er a l'épreuve.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier <fu ta LégiOn d' Honneur,
7" Le r èglemeilt de l~é pre u v.e devr a prévoir un contrôl::
médical séri eux de l'aptitude physiq ue des parti ci pants.
.go En pl us des mesures pri ses pa r la Police ou lJ.a Gendarmerie pour assurer la sécurité des Co ureurs et du public,
des Commissa ires dési,gnés par les or ganisateurs responsables
assureront sous leur r esponsabilité l a régular isation du pa rcours
de l'épreuve aux points parti culi èrement dangere ux. Dans ce
but, i ls prendront co ntact avec les au torités de poli ce et les brigades de gendarmerie.
9<>
Interdic tio n de jet de j ournaux, imprim és, écha ntillons,
ct de produits quelconques sur l a voie publique.
10°
Interdiction de j alonnement de l'itinéraire sauf si
orga nisateurs ont procédé au dépôt d' un cautiollile rfl ent
1.(X)() frs par kilomètre de l'itinér aire prévu avec plafond
50.000 frs ga ran tissant l'e nlèvement des affiches après
course.
les
dl
de
l,
Ce ca utionnement ser a ve rse à l a Caisse des Dépôts et
Consignations, chez le Trésori er- Payeur Géné ral des Bouches·
du-Hh ône ou ses préposés. So n r emboursement n'interviendra
qu'a près l a co urse, sur décision · préfecto r ale.
Arl. 6. -
AHRETE PORTANT DEOLARATION D'UTILITE PUBDQUE DU PROJET
D'ACQUISITION D'UNE PROPRIETE PAR L'HOPITAL-HOSPICE
D'ALLAUCH
Vu
la 10' du 2 1- 12- 194 1 sur les Hôpitaux et Hospices
;
VL\ l a dél'Ibér ation en d'ate du 29 jan,v ier 195) par laquelLe
&a Commission Administ rative de I~ H Ô!pi tafl-Ho S'p'ice ~J'AlJ'a ll c h
déolde U'a,equisitioli de la propriété désignée sous le nom Pre
q; Maison AudemartI », sise aux côtés de (i' hôpital, louée actuellement a l'étrublissement, et lu i servant de garage à usage des
servîtes hospit.a litrrs, ,pour la somm'e de 1.500.000 fra ncs ;
V'u les avis de M . ie Directeu r Départementa; de l'Administration des Domaines, de Mc le Directeu r Depa rtemental d.e
la Population et de M. le Oh"f d'u Service D épa rtemental de
rU"bani.sme ot de l'Habitatio~ ;
Vu l'avis .tavo.ralYle, en date d~ 16 juin 1953, de la Comm ission D épartement a\le du contr ôPe des opérations immobilières ;
Vu l'article 22 de l a loi du 30 décemb re 1928 ;
Pllib ~i{:s
l'a!Illiable et ~ titre onéreux 'pa r les établissements publics
dépar tementaux ou commu naux, lo rsqU"elies sont destinées à
l'assistance OH à l'hygiène sociale;
Su r la 'proposilion de M . le Secretaire Gèneral de la
Prétecture,
A~RETE
ARTICLE PRE.MIER. - Est <l.éola rée d'umité pILbiique, en vue
de l'exonération des dr oits de mutation et d'enregistrement,
l 'acquisition pa r l ' Hôpita!I-Hosprce d'Allauch de la proprietè
dite < .Maison Aucemard' >., destinée à servi r d'annexe pour les
services gén~r.aux de l'hôpital.
ART. 2. - M. le IMaire, Préside"t <te la Commission AdmilIistrative de l'Hôpital-Hospice d' Allauch est cha rge de l'exécution du présent arrêté qui, sera affiché à la po r te de la Mairie
d'Mlauch et publié au Recueil des A<:tes Administ ratifs de la
Préfecture.
Fait à Marsei'lIe, le 22 juin 1!t53.
VII 'l'articl e 6 d'u' décret n° 53-395 du 5 mai 10953, modifiant
l 'article ! OO3 0," Code Général des Impôts et dispensant de
tùute perception, au proht du Trésor ~es acquisitions faites à
Pour le Prefet et par délégation,
L e Secrétaire Général
Maxime M IONON.
Le présent arrêté entre i mm édi atement en appli-
cation .
D2 83 - AG 2
Arl. 7. - MM. les Sous-Préfets, M. le Directeu r Départemental des Ser vices de Poli ce, M. le Commandant de Ge ndarmerie des Bouches-d u-Rhône, M. l' Ingénieur en Chef des Pont:,
ct Oha ussées, M. le Trésorie r-Pa yeu r Général des Bouches-du"
Rhô ne, tvl~. les Maires des Comm unes du Département, .sort
chargés, chacun en ce qu i le co nce rn e, de l'exécution du present
. rr dé dont ampliation sera notifiée à :
M. le Président d u Comité Régional de la Fédération Française de Cyclisme,
M . le Président du Comité Régiona l de la Fédération Sport ive ct Gymniq ue du Travai l.
Marseille, le 22 juin 1953.
POLIr le Préfel,
Le Secrélaire Général Délégué
Sign é: M axime MIGNON.
OROITS A PENSION DES AGENTS DES COLLECTIVITES PUBUQUES
J'ai l'honneur d'attirer l'attention de M~\. les M aires du
Départem ent sur le texte de la circulaire de M. le MUlIstre de
l'Intér ieur N° 220 du 20 mai 1953 (j.O. du 23 juin 1953) rela,l ive aux droits il pension tIes fonctionaires et agents des col.lectivités publiqu es ayant effectué des services dans certaines
Communes ou établissements publics communaux rdevant de ;la
loi du 28 avril 1952 portant statut général du personnel
communal.
Pour l e Préfet,
Le Sous-Pretel, Directeur dll Cabillel .Signé: P.LETTNBH,
Circulaire ~DCiPiER n " 220 du 20 mai 1953 relative aux droits
à pension des fonctionnal~s et agents des collectivités publiques ayant effectué des services dans certaines comm~lnes ou
étabUssemeots publics communaux relevant de l a lat du 28
avtri\ 1952 portant statut général du personnel communal.
(Ou ve rt ure des delais de validation de servi ces QU d'acquisition de nouveaux tIroits il pension).
Le ministre de lïnferiellr ci Messieurs les ministres
el secrélaires d'Elal el à Messiellrs tes préfels.
T ITRE 1er
DISPOSITIONS GENERALES
1. -
Immatriculation de nOlll'elles collectiVites locales à la
caisse flafionak de retraites des c!gents des collectil'itës
lo cales.
La loi n° 52-432 du 28 a\'11 1 1952 portant statut général
du personnel des communes dispose, dans SOn article 87 que les
a-gents soumis ace statut ", sont obli gatoi rement affilies il la
caisse nationale de retraites dt.:s agents des colledi\'ités locales
créées par l'ordonnance du 17 mal 1945 ».
Cette a~fi li ation preod effet à compter de la date d'applicatio n de l a loi, c'est~-dire à compter du 1er mai 1952.
Par ailkurs, le décret n" 53- 108 du 18 février 1953 Uournal
14;;
�Officiel du 19 lé"rier , p. 1655) pré~ise dans son art icle 1er les
conditions d'application de cette disposItion leglSlahve en modifiant 1('$ termes de l'article 1er du déc ret du 19 septem b r ~
19-17 portant organisation générale de la caisse nationale de
retraites des agents des collectivités la ales>.
. . .
Il résulte de cette modification que -toute collectiVite corn ·
munale ou intercommunale (commune ou établissement pltbli:
ne présentant pas le caractère indust~iel. ou c,om mercia,i) se ra
o bli aatoirement immat ricul ée à la cal se natio nale, des lors
qU'eile compte ra au moins un ~l1lplo i perrt;l a ~en.t à temps com.plet dont le titul aire est soumis au st atut gener al du 28 aVril
1952.
Lorsque cet emploi existait llors de l'i~ter vc nti o n du
J'immatriculation prend eHet du 1er ma l 1952. Dans
contraire elle prend ra effet à compte r de la créatio n
emploi (d ernier alinéa de J' arti cle 1er du decret du 18
1953).
Deux points sont à souligner par ticulièrement :
)0
statut,
le cas
de cet
tévrier
L'i mm a tric ul a tio n de la collecti vité entraîne l'affiliatio n
obli O"atoi re de tous les agents remplissant les conditi ons req.u1o
... es ~a r le règlemen t de la caisse nati o nale, ~lëme ~ i ce~~lJ1s
de ces aaents ne sont pas soumis à "intégralite des dispOSIti ons
du statut général (cas des agents ti t~ll~ires employ~s à tem.ps
incomplet, mai s effectuant la durée ~1lI",mum de service requise
par le règlement de la cai sse, c'est- a-dlr e t rente-sI x heures par
sem ai ne) ;
. ..
.
.
?~ L'imm at ricul a ti on de la collect ivite dOi t et re operee dè s
lors ~u'elle co mpte a u moins un emploi releva nt du statut gé né-
rai et ce même dans l' hypothèse où aucun des agents de . la
coUecti,.;té ne s.era affilié à la caisse nati onale. Cette hypobhese
en effet, peut se r enco ntr er dans le ca s prév u au dellxl en~e
alinéa de l'article S7 de l a l oi~ aux termes duquel les agen ls
bénéfici ant au 1er mai 1952 d' un r égime de retrait es plus ava nta cre
ux que celui de l a caisse nati onale peu ve nt être exceptés
t3
de 1' affiliation obli gatoire. Cette exception vise Jes age nts d{'
certai nes co ll ectivités co mmunales des départements du H autRhin du Bas-Rhin et de l a M osell e, possédant des r égimes part icuders de retraites qui n'o nt pas été i ntégrées dans la cai sse
nationale.
T ous l es age nts ti tul ar isés postéri eurement au 1er mai 1952
seront affiliés à cet or ganisme, mais il peut s'écouler une certaine péri ode durant l aq uelle aucune titul ari sa ti on n'ayant ét~
(,pérée et tous les agents en foncti ons à ce tte date aya nt o p~ e
pour le régime ancien, l a collectivi té ser a cependant immatricul ée à la ca isse nationale.
JI. ---- R épercussions de ces immatriculations sur les droits il
pension dits fonctionnaires et agen ts des collECtivités publiques.
Ces dispositions général es ont po ur effet l' immatri culation
de nombreuses collectivités nouve ll es à la caisse nat io nale de
re traites et ce avec effet du 1er mai 1952.
Cette immatr iculation a des répercussio ns import antes sur
les droi ts à pension de to us les fo nctionnaires et agents ayant
effec tué des ser vices da ns ces collec tivités et tri butaires, soit du
régime de l a caisse national e, soi t d' un des régi mes unis par un
système d'interpénétration avec celui de la ca isse nationale.
Ces régimes sont l es sui van ts :
Régime des pensions civi l es et mil it ai res de l'Etat (ar t. .tJ
de la loi du 20 septembre 1948 ; art . 72 du code des pensi on'
ci viles et mil it aires) ;
Régime de retraites des ouvri ers des établissem ents industri el s de l' Eta t (art. fi de la loi du 2 ao ut 1949) ;
Régime de la cai sse de retraite de la France d 'o utre-m~r
(anciennement caisse intercol onial e de r etraites) (art. 7 du décret du 21 avril ( 950) ;
Régime de la caisse gé néra l e de r etraites de l'Al gé rie (a rt .
24 de la décision n' 49-043 de l'assemblée algérienne homolog uée p ar décret du 30 avril 1949) ;
146
Re gime des pensio ns civi l es chérifiennes (caisse locale d
retraites du Maroc) (art. 27 du (l ahir du 12 mai 1950) ;
e
En ce qui concerne la caisse nationale de r etraites des
agents des co ll ectivités locales, l'interprénétration avec ces
différents régimes a été prévue pa r les ar ticles Il et 46 du
décret du 5 octob re 1949, comp létés par les ar ticles 1er et ,
du décret n' 52 -673 du I l juin 1952 UOllrnal Officiei
du 17 juin) ( 1).
Tous les agents trib utaires de ces différents régi mes, Cil
acti vitê à la date du 1er mai 1952 et qui ont accomp li des
services clans des co ll ectivités co mmun ales immatriculées il
compter cie cette date à la caisse nati ona le, en app lication Ù(l
no uveau statut du pe rsonn el commu nal, peuve nt déso rm ais en
demander l a va lidaiion.
Les moda l ités de cette validatio n sont exposées au titre 2
ci-apr ès.
D'autre part, les acrents qui ont été tributaires de l'un des
ré gimes de retraites susvisés et .q ui ont repris du ser vice dans
ulie collectivité communal e immatricu lée à la ca isse nationale
à compter du 1er mai 1952 peuvent acq uérir de nouvea ux droi ts
à pensi on dans les conditions prév ues au titre 3 ci-après.
Ill. -
Inslilu/ion d'un nouveau régime de retraite pour les
agents tributaires du régime des pensions ci pi/es et militaires de l'EloI el de regim es particuliers de retraites
communales.
À comp ter du 1er mai 1952 est ent ré en application l'ar.
ticle 65 de l a loi du 28 av r il 1952 por tant stat ut ge néral du
perso nnel comm unal.
.cet article dispose :
« A dater de l a prom ul gation de l a pr ésente loi, to ut
agent soumi s au présent statut et tout fon ctionn ai re ayant ef.
fectu é une ca rri ère mi xte, d'une part, au ser vice des co mmunes
et des établissements publics comm unau x et in te r communaux,
d'autre part, au servi ce de l'Etat, sera en droi t de sollicite r la
l iq uidatio n d' une re traite tenant compte de l a totalité de cette
carr ière ».
Ce nouvea u régime s'app l ique natur ell emen t aux seuls cas
qui ne sont pas vi sés par l es systèmes d' in terp énétrat ion que
nous ve nons d'exami ner nu Il ci-dessus.
Il s' aryit des agents des co mmunes ou de l'Etat aya nt effectu é un e parti e de l eur carrière ou term i nant cette carrière au
service d' une co ll ec ti vité communa le dotée d'un rég"ime pa rticulier de retraites. Les coll ecti vités ainsi \risées sont ce ll es des
départements du Hau t-Rhin, du Bas-R,hin et de la Mosel le (cf.
sup ra l, in fin e).
La situati on de ces agents sera examinée au titre 4 ci-a près.
T ITRE Il
VALIDATION DES SERVI CES ACCOMPLIS DANS UNe
COLLECTIVITE COMMUN ALE IMM ATRICULEE A LA
CAISSE N ATION ALE DE RETRAITES DES AGEN 1 ~
DES COLLECTI VI TES LOCALES EN APPLICATION DU
STATUT GENERAL DU PERSO NNEL COMMUNAL.
L es différents r égimes de retrai tes énumér és ci-dessus (titre 1er, Il) admettent l a pr ise en compte pou r la liquidatio n d,
l a pension des ser vices rendus à une co ll ectivité qui se trouve
immatricu lée à l a cai sse natio nale de retraites des agents des
collectivités locales avant la mise à la retr aite de l'intéressé et
(J) Ce décret prévoit égal ement (m ais sous rése rve de
récipr ocité) l'interpénét ration avec le régi me des pensions des
fo nctionnaires et employés tunisiens. Or, ce régime da n~ so'
état actuel (décret beylical du 19 novembre 1949) ne préVOit pas
la pri se en co mpte des ser vi ces accompl is par ses tributaires
dans les co ll ectivités locales de la métropole.
qui ont don né l ieu a.u versement des retenues pr évues par 1('
r/)glemen t de cette C.,sse.
To us l.es agents tributai res de ces ré gimes et en activite
au I.er . mal 1952 . p e u ve~t donc demander, mtme s'i ls on t été
él.dm ~ s a l a re tr~ltc apres cette date, la prise Cn compte des
ser Vic es accomplis dans ies co llectivités communa les soumi ses
au nOuveau s.tat ut depuis -cette date (cf. titre 1er, 1).
. Cette pri se ~n compte s'opère par le moyen de l a va lidat IO n de ces serv ices au rega rd du régime de la caisse nationale.
1. - Services Ilalidables
0
1 S erl'ices de litulaire. - Sont valida bl es les services tle
titu lai re accomplis dans la co ll ecti vité désormais imma tri cules
au cOll.rs de la pér! ode durant laquelle celle-ci ne possédait pas
de régime de retr.,te (art. 44 du décret d" 5 octobre 1949).
En consequence, ne sont pas validables au titre de la caisse
nationale les ser vices de titulaire accompli s dans une coll ec tivité possédant un tel régime avant le 1er mai 1952 : c'est le cas
des coll ec ti vités commu nales des départements du Haut-Rh i n
du Bas-Rhin et de la M osell e dont il a été question plus haut
(titre 1er, 1 et 1Il). La prise en compte des ser vices qui y ont
été accompl is sera ex amin ée au titre 4 ci- après.
0
2 Sen /ices au xiliaires, temporaires Olt contractuels. _ Les'
ser vices de ce tte nature sont touj ours va lidables au ti tre de la
caisse nationale dès lors que la co llectivité communale est immat ricul ée à ce t organi sme a\/ant la mise à la ret rai te d~
l 'agent. Il n' y a donc pas li eu de se référer à la disti ncti on i'ndiquée au 1 ci-clessus.
{>
Il. -
Pro cedure de valida tion
L a procédure de validation (q ui do nne lie u au versement
de retenues et co ntdbu ti ons rétroactives de la part de l'agen t
ct de la co lJec t i\ ité) es t fixée par les art icles 43 (services auxiliaires) et 44 (ser vic es titulaires) du décret cl u 5 octobre 1949.
Ces dispositions, en ce qui co nce rn e les fo nct ionnai res et agents
de l' Etat 'o nt été commen tée s par la ci rculai re 792 8/ 6 du
10 octobr e 1950 d u mi nistre du budget.
T oute demande de va lidat ion doit être adressée à l'ad ministrati on qui empl oie en q uali té de titulaire le demandeur (ou
l 'emplo yait à la date du 1er mai 1952 s'i l a été admis à :a
r etraite depuis lors) .
L'admin istratio n com pétente t ransmettr a la dema nde au
direc teu r gé néral de l a caisse des dépô ts et consignations ( lOt
division, 3· burea u), établ issement public qui assure la gestion
de la ca isse nationale de retraites des age nts des co llectivités
l oca les.
Pour les fo rm alités à remplir, voi r au titre V ci-ap rès.
Ill . -
Délai de préselltalion des demalldes
Au x term es du règlement de la caisse nat,io nale, ces demandes doive nt être présentées dans le délai d'un an suiva nt
soit la titulari sation de l'agent, soit l'immat riculation de la collecti vité à la caisse nationa le.
Le r ecensement de toutes les collectivités communales immatri cul ées ob ligatoi rement à la caisse nationale, à compter du
1er mai 1952 pa r application du statut du personnel communa l
n'est pas actuell ement terminé.
D'a utre part, afin d'éviter des d~marches inutiles aux
agents su sceptibles de bénéficier de ces mesures, il leur est
r ecomm andé de demander préal ablement à l a collectivité communal e qui a uti l isé leurs ser vices, si celle-ci est soumise OL! non
au nOu veau statut.
Pour C\ S deux raisons, il a été décidé en acco rd avec l e
mi nistre ciu budget et le directeur général de la caisse des
dépôts et co nsignations que le délai d'u n ~J1 sus~isé se~alt
cal cul é à part i r de la date d'insertion de la presente InstructIOn
au IOl/rnal Of/iriel.
T ITRE III
ACQUISITION DE NOUVEAUX DROITS A PENSI ON AU TITRE DE L'NTERPRETATION DES REGI MES PAR DES
AGENTS AYANT REPRIS DU SERVICE DANS UNI!.
COLLECTI VITE I MMATRICULEE A LA CAISSE NATIONALE EN APPLICATION DU STATUT DU PERSONNEL COMMUNAL A COMPTER DU 1er MAI 1952.
1. -
Champ d'applicalion
Des age nts qui ont été tributaires de l'un des différents
régimes de pensions énumerés ci-dessus (titre 1er, Il) peu vent
avoir repris du service dans une coll ecti \'ité communale 4U1
n'étai t pas â l' époq ue immatricu lée à l a caisse nationale et l'est
désormais à co mpter du 1er mai 1952 en appl icati on du nouveau statut.
Sont donc visées ici aussi bien les collecti vités qui n' a\'aient
aUCun régime de re traites que ce ll es qui possédaient un régime
par ti culier (cas des co ll ec t ivités des départements du HautRhin, du Bas-R'hin et de l a Moselle; cf. supra, tit re 1er, 1).
Mais il est 'bien évident q ue dans ce derni er cas, seuls peuvent
demander l'acquisition de nouveaux droits à. pension au titre de
la caisse nati onale les agents qui ne sont pas déjà a ffil i~ s à ce
régime particulier ou qui demanderont leur affiliation à IJ.
caisse natio nale à co mpter du 1er mai 19!)2 (cf. infra, t itre 4).
Il fa ut bien entendu en outre que l'agent qui présente ulle
telle demande remplisse les co nditions eX lgées po ur son affiliatio n à la caisse national e.
II. -
Cas dans lesquels est possible la prise en co mpte ti e services antérieurs non remunérés dans une pension ou l'acquisi/ion de nouveaux droits à pension.
L a prise en compte de ser vices anté r ieurs rémunérés ou no n
par une pe nsion en vue de l a co nstitution d' une pensio n unique
basée sur l'ensemble des sen'ices accompl is sous les différents
régi mes peut être envisagée dans deux hypo thèses:
10 L'agent n'a pas obtenu de pension. - Si l'agent a
quitt é l'administ rati on où il étai t trib utai re du régime de la
caisse natio nale ou d'un des régimes interpénétrant avec celui
de la caisse nationale, sa ns avoi r obtenu une pension ou une
rente viagère d' inva lidité, il peut béneficier, dans l a pension qui
lu i se ra allouée par la ca isse nationale, de l'ensemble des services qu'i l a accomplis sous l 'empire de ces différents régimes,
à co ndition que, sur demande exp resse fo rmulée par lui da ns un
déla i de trois mois à compter de sa remise en ac tivité (ou dl!
!' immat riculatio n de la co llectivité à la caisse natio nale), il rL'verse, aux orga nismes de retr aites des régimes dont i l a été t r ibutai re, les reten ues qui l ui auraient été éventuellement rembou rsées ;
2" L'agent a obtenu une pension. - Les fonc tionnai r es I:t
agents civi l, donl la mise à ta relraile n'a pas étë prononcée
par limile cl'âge, ont la possibilité, lorsqu' i ls ont été nommés il
un nOllvel emploi où ils sont tributaires de la laisse national e,
de renonce r à la faculté de cumuler leur pension avec lehr traitement d'acti \·jté, en vue d'acq uérir de nouvea ux droits à pension
~u titre de leur nouvel emploi.
La renonciation doit être expresse et formulée dans les
trois mois dt! la re mise en activité (Oll ùe l'immatr iculation de
la collectivité à la caisse nationale).
II I. -
Délai de présentation des demandes
Ainsi qu'il vient d'être indiqué aux 10 et 2 ci-dessus, le5
demandes d'acquisition de nouvea ux droits à pension doivent
no rmalement être présentées da ns un dél ai de trois mois à
compter de la remise en activité de l'agent ou de l'immat riculatio n de la collectivité à la caisse national e.
Or , tOlites les collectivités com mll nales relevant du nou\'ea ~
147
�statut du 2S a\'ril 1952 von t être immatricul ées à la caisse nationaJe à compter du 1er mai 1952.
Il a donc été dècidé, en accord avec le ministre du budget
et le directeu r gènéral de la caisse des dépôts et consignations,
que le délai de trois mois
s~rait
calculé à partir de la date
d~
l'insertion de la p résente instruction au Journal Officiel.
Les fo rm ali tés à remplir par les intéresses seront inctiquées
au titre 5 ci -dessous.
0
TITRE IV
Regime applicable aux carn-ères mixtes accomplies au sert/ice
de rElut el Oll serl'ice de (.ollectivités communales dotées
d'un regimt particulier de retraite avalll te 1er mai 1952.
(Cas des collectivites communales des départements du Hau tRhin, du Bas- Rhin et de ,la Moselle).
Dans le titre 1er, III, il a été indiqué le nou\'eau régime
d'interpenetration créé pa r i'article 65 de la loi du 28 av ril 1952.
Situation des agents communaux en fonctions le 1cr mai
1. -
1952.
Les agents titulaires en fonctions dans ces collecti\,ités, lt!
1er mai 1952 resten t en principe tributaires du régime particulier de retraites, ainsi que cela a été prévu par le deuxième alinéa de l'article 87 du statuL
S'ils sont passés Ou passent au service de l'Etat postérieurement à .cette date, ils bénéficieront d' une pension unique dans
les conditions prevues à l'article 65 du statut.
Cepe nd ant, étant donné que le deuxième ali néa de l'article 87 du statut a pour but le maintien à titr e personnel!1 Cn
fa\'eur des agents d' un régime de retraites plus avantageux il
Cer tains égards, il y a lieu de considérer que les a.gents qui ne
dési rent pas s'en prévaloir pourront demander leu.r affiliation à
la caisse nationale à compter du 1er mai 1952.
Cette affiliation devra être demandee exp ressement dans
le délai de Sl.X mois à compter de l'inserti on de la pr ésente circulai re au Journal Officiel.
Si des agents ayant prèsenté cette demande passent ulte rieurement au sen'ice de l' Etat, ils bénéficieront d'une pension
unique rémunérant l'ensemble de leur ca rr ière par l' interpé nétration des trois régimes : régime particulier de retraites (j usqu'au Jer mai 1952), régime de la caisse nationale (du 1er m a;
jusqu'à la date de passage au service de l'Etat) et régime de
l'Etat.
Il. -
Situation des agents communaux passés au service de
l'Etat avant le 1er mai 1952.
Les agents communaux titularisés passés au servl~~ de
l'Etat avant le 1er mai 1952 ne peu""nt naturellement pas demander leu r aHiliation à la caisse national e.
M ais l'article 65 du statut permet à ceux dont l a mise à
la retraite est posterieure au leI mai 1952 de bénéficier d'une
pension unique en vertu de l ' interpénétration entre le . régime
particulier de retraites et le régime de J'Etat.
Ill. -
Situation des anciens agents de l'Elal passés au service
d'lIne collectivité communale dotée d'un régim e particulier
de retraites.
10 Les agents passés au seHice de la collectivité posté rieu Tement au 1e r mai 1952 ne peuvent être affiliés, le cas échéa n~
<]u'à la caisse nationale. Leu r situation en ce qui Concerne l'acquisition de nouveaux droits à pension est donc celle examinée
(lU titre 3 ci-dessus j
2 " Les agents qui sont passés au service de la collectivité
antérieu rement au 1er mai 1952 peuvent se trouver dans une
des situations suivantes:
S'ils n'ont pas été affiliés au régime particulier de retraites avant le 1er mai 1952, Jeur situation doit être réglée, le cas
èchéant, comme celle des agents visés au 1" ci-dessus.
148
S'ils o nt été affiliés il :e régime, iI.s pourront bé néficie r
désormais d'une pension unique en applicatio n de l'a rticle 65
du statut.
,Ils aur on t à so uscrire une demande tendant à l'acquisition
de nouveaux droits il pension dans les condHio ns prévues par
le r ègl emen t particulier et selon les règles .génér ales indiq uées
au titre 3, Il, 1° et 2°.
En l'absence de dispositions spéciales dans le rèO"lement
pa rti cll,lier, l a r enoncia tion à la facu l té de cumill er l a pe;sioll et
le traitement doit bien entendu être exigée, ca r ellc est la condit ion même de l'acquisition de droits à pension dans l e nouvel
emploi.
Les questions financi èr es posées par la mise en Œuv re de
J'interpénél ratio n de ces différents régi mes se ron t régJées dans
le cad re d u décret et des instructions pré vues pour J' a pplication des a rticles 30,31 el 34 de la :Ioi n" 5 t-598 du 24 mai 195 1
relatifs au rachat des parts contributives de pension pou r les
agents à carr ière mi xte.
TITRE V
FORMALITES A REMPLIR
1. -
VaUdalions de services IJisées au titre Il
-(Demandes à présenter dans le dé lai d'u n an à compter de la
publication de la présente ci rculai re) (c f. ci rculaire' d u mini st re du bud get 7928/ 6 du l a octobre 1950).
1er cas. -
Demande formulée pa r un age nt act uellem ent t riblltai re de ~' a caisse nation ale de retraites.
L'agent devra toüt d'abord dema nder à l a coll ectivité auprès de l aquell e les ser vices ont été accomplis une attestation
iournissant les rensei gnements suivants :
P é riode d'emploi ;
Nature des servi ces accomplis (auxiliaire s, temporaires,
cont ractuels ou de titulaire) ;
T r aitement successifs perçus par l'intéressé au cours de la
période d'emploi.
Si les services à valide r ont été rendus à plusi eurs collectivités, une attestation sera demandée à chac une de ces collectivités.
L'agent établira ensuite, en double exempla ire, soit une
demande du modèle F de la caisse nationale s'j\I s'agit de services auxil iaires, temporai res ou contractuels, soit une demande
du modèl e 0 1 s'il s'a'gi t de ser vi ces de titul aire, soit une demande de chaque modèle si les ser vices à va lid er comprenn ent à la
fo is des se rvices auxiliaires, temporaires ou contr actuels et des
ser vices de titulaire (tles imprimés nécessaires seront fournis
par la collectivité employeuse).
Il remettra sa demande, accompagnée de l'attestatio n ou
des attestations s"s visées, à la coll ectivité qui l'emploie (ou
l'employait à la date du 1er mai J952 s'il a été admis à la retraite depuis celte date). Celle-ci t rans me tt ra aussitôt le dos··
sier au directeur génér al de la caisse des dépôts et consignations ( 100 division, 3e bureau) sans avoi r à compléter l a page 2:
des formules F oU G.
Deuxième cas. -
Demande formu l ée par un fonctionnaire aCtuellement tri butaire de l'un des rég imes de retraites énumér és au titre 1er, 3e a,Hnéa, de l a présente circulaire.
Après avoir obt"nu l'attestation Ou les atteslations, demandées comme dans le premier cas, le fo nctionnaire établira Suf
~a~ie r .Hbre, en doubl e exempl aire, une ëlemande comportant le:;
indIcatIons ci-après :
No m et prénoms;
Date de naissance
Etat civil ;
Administ ration actuellement employeuse ;
Pénodes de services à valider (avec. pour chaque péri~dc,
l e nom de lIa collectivité à laq uell e les services ont été renlills,
ainsi que la nature de ces se rvi ces) ;
Modalitès selon lesquelles le demandeur désire acquitter les
retenues rétroactives (versement unique ou versements mensuels
échelonnés, au maximum, su r auta nt de sem est res que le temps
de service à valide r comprend d' ann ées entiè res).
L'i ntéressé remettra sa demande, accompagnée de l'attestatio n 011 des attes tatio ns susvisées, à 'I ad ministratio n qui l'emploie (ou l'e mpl oyait à la date du 1er ma i 1952 s'i l a ét é
admis à la ret raite depuis lors). CeUle-ci t ransmett ra aussitôt
le dossier au directeur gé néral de la caisse des dépôts et co nsig natio ns ( la' di vis io n, 3' bureau).
Une copie de cette demande devra en outre êt re envoyée"
titre d-'information, au directeur -général de la caisse des dépôts
et co nsi g nations ( 10' division, ;, bureau).
Il convient en outre de préciser que pour Ics agents qui ont
quittè le service ap rès el 28 janvier 1950 et qui n'o nt obtenu le
remb oursement que d'une fraction de leurs retenues, l'autre
fraction éta nt t r ansfér ée au r égime génér al de sécu r ité sociale
en vue (le deu r affili atio n rétroactive audit régi me, les services
compétents du ministère du travai l devr ont êtr e invités à r égul é:i ri ser leur sit uatio n en conformi té des dispositions de l'a rt icle 4 du décret du 20 janvie r 1950 (Cf. let tre comm un e n" 875
DP/ 92 DV du 3 décembre t 950).
.2"
II. -
Acquisitiofl de /louveaux droits à pensiJn (titre Ill)
(Demandes à présenter da ns le délai de t rois mois à compter
de la publicatio n de la ci rculaire)
1" Demande de reve rsement des retenues rembou.rsées.
1.a demande te ndant au r eve rsem ent de retenues antéri eurement rem'boursées doit 1 comporter les indications suivan tes :
Nom et prénoms j
Date de naissance ;
Etat civil ;
Coll ec t ivité Iloca le employeuse
N uméro d'immatricu lation du demandeur à l a caisse nationale de retraites des agen ts des collecti\'ités local es;
Montant des retenues remboursées;
Périodes de se rvices au titre: desquelles les retenues remboursées avaient été exercé.es ;
D ésignation de l'administration, établissement ou coWecti\'ité ayant reçu les se r vices en ca use.
La demand e sera ad r essée à l'administration ou à l'organisme de retra1 tes qui a ordonnancé au profi t de l'intéressé le
montant des retenues remboursées et à laquelle incombe le soin
d'établir l'ordre de reversement des retenues (après a\'oir pris,
le cas échéa nt, s'i~ s'agit d'anciens agents de l'Etat, J'attache
des ser vices du ministère des finances, direction de la Dette
publique. service de la Dette viagère).
DDS - fS 6
de renonciation à l a facult é. de cumu l de la
pension et du t raitement
Les fo rm a li lès à remplir ont été précisées dans La circu.lai.re de l a caisse natio naie de retraites des agents des collectivités loca les en date du 12 mars 195 1 (chap. III) dont toutes
les collectivités affiliées à Ladite cajsse sont en possession.
Demande
III. -
Renonciation aa régime parlicutéer de re/raites.
(Demande à prèsenter dans le délai de six mois à compter
de la publication de la circulaire)
Les agents visés au titre IV, 1er, 3e et 4e alinéa de la présente ci rcu laire, devront souscrire en double exemplaire et
remettre à l a collectivité qui les emploie une dtclaration dans
laquelle ils indiqueront expressément:
a) Qu'i ls renoncent au bénéfice du r égime particulier
dont ils étaient att ributai res avant le 1er mai 1952 ;
b) Qu'ils demandent à êt re affiliés à compter de cet'c
date à la caisse nationale de retraites des agents des collectivités locales.
La collectivité Conser ve ra ,J' un des exemplaires de l a déclaration en cause et joindra l'autre à la proposition d'affiliation
du modèle E établie au nom de chaque intér essé et transmise à
la caisse des dépôts et consignations (I(} division, 3" bureau).
Fait à Paris, le 2{) mai 1953.
Charles BRU NE _
INTERDICTION DU TRANSPORT ET DE LA VENTE DES COQUiLLAGES
MARINS DANS TOUTES LES COMMUNES DU DEPARTEMENT
ARRETE
Le Prélet des BOllcflcs-(/II-f?h6ne,
Officier de la Légio n d'Honfleur,
Vu la loi municipale du 15 avril I SS-l et notamment l'a rtÎ-
cie 99 ;
Vu la loi du 15 février 1902 sur la Protec tion de la Santé
Publique ;
Vu l'avis favorabl e de M. l'Inspecteur Principal de l'Office
scientifique et technique des Pêches Maritimes :
Vu Il'avis 1avora ble de M. le Directeur Dépa r :emental de
la Sa nté ;
Sur la p roposition de Al. le Secrétaire Genér a l,
ARRETE:
Article premier.
Ali cours ue la période comprise entre
les 1er jui llet et 1er septembre 1953 l'introduction, le transport
et la vente des coquillages marins d'espèces comestibles SO ll t
interdits da ns toutes les communes du département à l'e\ccp-
tion de celle de Marseille pour laquelle doit inten'enir une décision municipale spéciale.
Art. 2, - Les coql1illages ent rés, transportes ou "endus f.l
fraude seront' saisis sans préjudice des sanctions pénales ct
autres qui pourront être appliquées.
Art. 3. -
M. le Secretaire Général ue la Préfecture, .\L\l.
les Sous-Préfets d'Ai" et d'Arles, ,\IAI. les ,\l ai r<s du département. J\'t J'Inspecteur Principal de l'Office Scientifique technique des Pèches Alaritimes, Al. le Directeur Départementa l de la
Santé, M. le Directeur des Services Vétérinaires Départementaux, M. le Directeur Départemental des Services de Police et
M. Ile Chef d'Escadron Comma nuant la Genda rm erie des Bouches-ùu-Rhône, sont chargés l chacun en ce qui le concerne, d:
l'exécutio n du present arrèté.
Marseille, le 26 juin 1953.
Pour le Préfet,
Le Secretaire Général Dé/éguë
Signe: Maxime MIGNON.
l·kl
�•
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
RÉPUBLIQ OE
AVIS DE CONCOURS
Les epreuves éc rites d'un concou rs ouve rt po ur le rec rutement de 6 éd ucatri ces stagiaires et de 19 éducateurs stagiaires
des services extérieurs de l ' Administration Péni tentiaire auront
lieu le 22 octobre 1953. Un cent r e d'ép reuves sera or ganisé à
.Marseille. Ce concours est accessible aux candidats ti t ulaires
du baccal auréat, du bre\'et supéri eu r ou d' un diplôme équiva-
lent ai nsi qu'aux candid ats aya nt subi avec succès les épreuves
Numéro!_U
FRAN ÇAISE
16 et ,23 JuÎllet 1953 '
l et 1949 et 19 février 1950 et âgés de 2 1 à 45 ans au 1er janvier 1953. Pour l a région de M arsei lle les inscr iptio ns sont
reçues jusqu'au 1er sep tembre 1953, à lia Direction de la Circo nscription Péniten t iai re 80, ru e Brochi er, à M arsei ll e, Tous
renseignements co mpl éme nt a ires peuvent ~tre dema ndés à la
Préfecture des Bouches-d u-Rhône, Sec r étari at Gé néral Service
des Examens et Co nco urs.
1
des exa mens p rofessionnels ouver ts pa r les arrêtés du 22 j uil-
DES
RECRUTEMENT D'UN COMMIS DE COMPTABILITE (Mairie de Marignane)
Un conCours pou r le recrutement d'ull commis d'~ rd re et de
comptabilité aura lieu à la mairie l e 18 août 1953 à 8 heures 30.
Etre de nationalité française J âge limi te 30 a ns, plus services militai res. Affiliat ion à la Caisse Nationale des Ret raites.
Programme et tous r ensei'gnements au Sec rétariat Général
de la Mairie de Mari g nane.
Inscripti ons ava nt le 1er août 1953.
ACTES ADMINISTRATIFS
ET BULLETIN DES MAIRIES
I\tEDECIN AUTORISE A PRATIQUER LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA OELIVRANCE DES CERTIFICATS PR,E NUPTIAUX
ET PRENATAUX
Par arrêté en date du 22 juin 1953, Madame · le Docteur
NAAR, demeurant à J\'l a rseille, 106. Bd de la Bla nca rd e, est
a utor isée à pra tiquer les examens rad iosco piques e n vue de la
déliv ra nce des ce rtifi cats prénup t iau x et prénat a ux.
TABLE DES MATIÈRES
AUTORISATION D'EXPLOITER UN DEPOT PERMANENT D'EXPLOSIFS
Par arrêté en date du 5 juin 1953, Monsieur MlNELLI
Gino, demeurant 20, rue Kruger à Gardanne, est a utorisé à établir et exploiter un dépôt permanent d'explosifs de l a 3e caiégorie sur le territoire de la commune de MEYREU IL, lieu dit:
c Bachasson ».
La quantité d'explosifs contenue dans le dépôt ne devra
j amais excéder l e maximum de 50 kgs de la cl asse 5.
0".
Par arrêté en date du 16 juin 1953 la Société d'Exploitati on des Carr ières de l a Garde est autorisée à établir et il
exploiter un dépôt permanent de Ua 3e catégorie sur le territoire de la commune de La Ciota t, au li eu dit: « Fontaj ne de
la Ville • .
La quantité d'explosifs contenue dans le dépôt ne devra
jamais excéde r le maxi mum de :
50 kgs de l a cl asse
ou 100 » de l a c lasse 2
ou 50 > de l a classe 3
ou 500 » de Ua classe 4
ou 100 » de la classe 5
DEMANDE D'EMPLOI
Madame Yolande Le TUHAUT, Secrétai r e de Mairie à
Saint-Phili bert (Morbihan) (études seco nd aires - diplômes de
secrétaire sténo-dactylographe), âgée de 31 ans et aya nt 3 en-
UNION DES MAIRES - CONGE ANNUEL
Le Secrétariat de l'Union des Maires communique:
Il est porté à la connaissance de Messieurs les Mai res que
Secr éta r iat de l'Union ser a fermé du 15 juillet au 16 aoû t
i (1clus.
l~
TEXTES D'INTERET GENERAL
AG 6. -
Revi~_i on de la liste. ëlect~r~le en vue des éle~ti.ons des rep résentants des organismes mu-
A 1. -
tuali,tes au Conseil Supeneur de la Mutualite cles membres du Comité Dépar'tementa l de
CoordlllatlOn de la ,Mutualite des B.-du-R h
Co n,dition d'activité professionnelle ouvrant d ~~i't' i'~tl'rib~ti~~ 'd~ ~;e'stati'~~s 'f~~ i1i~I ~~
ag n coles ........... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Taxes d'a rrosage et d'assèchement ... ~ .... . ........................... ..
A 1. AIG 13. P 3. P 3. -
P 3. -
fants à charge, soll icite un poste de sec rétaire de Mairie da ns
l e département.
.
M . les Maires intér essés par cette candidature sont priés
de se mettre directement en rappo rt avec (' in térl.:ssée.
Durant cette période, l e Secr étai r e Général se tiendra au
Bureau de l'Union les ma rdis et ve ndr edis matin pour y traîtcr
les affai res urge nt es.
à
Evalu'a tion des domma ges de 'g uerre aux éléments d'explo itati~n~ '~~n '~~~ic~'I ~~
Ouverture de l a chasse. Campagne 1953- 1954 .
. . .., ........ .
Arr êté spécia l d'ouve r ture de la chasse pour la campagne 1953-- 1954
Chasse des oiseaux de passage .... .... .... .... . ...
152
155
156
156
157
158
158
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
AO 2. AG 5. SC 7. -
P 5. -
Assurance collective en cas de décès en faveur du personnel des collecth'ités loca les
Légalisation des expéditions des actes de l'Etat Civi l et des actes notariés
.. . .
Participati~ n de l'Etat aux dépeuses d'équipemen~ des sen'ices publics d'i~~~nd·i· · (.... ~
res de deco ncentratlOn .... ....
e mesu
Jeux d'argent sur la voie publique .. ..
159
162
163
163
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
Le Secrétaire Général de l'Union:
Signé : AUDIBERT.
Po ur le Préfet et pa r üei éga non,
Le Secrélaire General :
Maxime MIGNON.
150 ------------------------------~
l.=,~.~,.=,~"=E-,~K=ou~v~EL~L~.-O~.~M-A'-S-"-L-LE-,~1~20~.-,-u-.~S~a-in-,,---------------------------------
et 29
Avis de CO nCO urs . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . ................
M.é~e~ ins a utor:isés il pratiquer tes examens radiosco plques en vue de la
déli"rance des
certIfIcats nupt'iau'x et préna taux
Dons et Legs
Demande d'emploi . . .. .... . .............. .
16-1
16-1
16-1
16-1
ABH~\· l ATJO:\'S. - A. P. : Arn: té prêfectoral. - C. ~ Circulaire - L i t
0
..
indiqu ent le Service ou Bureau d'origin e. - D . S. T . . Di rectio n des Se·r" ,·ce eST e ltr~s
et B SU 1\·t~S d'un chiffre
Dép artementa 1e d
' . . Départementale de la
s Population.
ee Inlques. - DOS
.
e iaSante.' - D . D . P. : DlrectlOu
. . . .. D'.rceuou
�TEXTES D'INTËRËT GËNËRAL
04 B3 - AG 6
Vu les cir cul aires de Monsieur le .N\inistre du Tra va i~~ et
de la Sécurité Social e n· 234 et 137 des 3O- ï-4S et 5-7-1 950 ;
Vu l'a vis conforme du Comité Départ emental de Coo rdin ati on de l a M utualité des BO llches-du-Rhône en date du 29 j uin
1953 ;
Sur la proposition de Monsieur le Secrétaire Génér al,
ARRETE:
Article premier.
La liste él ectora':. po ur l es élections
d~s re présen tan
des orga ni s mes . mut ua listes au Co nseil Supén eu r de l a Mutualité et des membres du Comité D éparteme ntal
de Coord inati on de la Mutualité des Bouches-du-R hône est
établie po ur l'année 1953 conform ement à l'a nnexe jointe a u
présent arrété.
.
L a deuxième partie de la dite liste ne s'a pplique pas aux
electl ons des membres du Comité Oépa r ieme nta l de Coordination et des rep résentants terr itor ia ux au Grand Co nseil de l a
M utualité, pour lesq uell es les Unions et Fédér ati ons Mu t ualistes ne pa rticipent pas a ux opéra ti o ns électora les.
Art. 2. T oute Société, Sec"o n de Société U nion ou
f édération aya nt son siège da ns le département d~ Bouchesdu-Rh ône pourra fo rm er un recours, so it en vue de son inscriptio n Sur ia. liste électo rale, soi t en vue de la ra d ia tio n d' un
a utre groupement.
Le recours formé pa r éc rit doit être présenté da ns les
15 jours q ui suivent la publicatio n du prése nt a rrêté. 11 dev ra
Hre ad r essé à M onsieur le Préle t des Bouches-du- Rhône 4mo
Divisio n, .3me Burea u, Sen 'ice de la Mu tua lité.
'
Art. 3. - eL présent arrëté se ra publié au bulleti n administrati f des M ai r ies du Département des Bouches-d u-Rhône.
A rt. 4. -
M onsieur l e Secrétai re Gé néral des Bouches-duRh ône est ch a rgé de l'exéc utio n d u présent a rrêt é.
Fait à M arsei lle 'le 1er juillet 1953.
Pour le Prélet et pa r délégati on,
Le S ous-Préfet
Directeur du Cabinet :
Signé: PLETTNER.
152
387
A nciens Sous-Officiers et So ldats de Salon ..
388
Institu t de Sauvetage de la M6diterran ée
389
L'U nion l'ait la Force ....... .
4 14
Frate rn elle des Officiers en Retraite . .. . ... .
4
4 17
Confra tern ité Médicale ... . . .. .. .
424
La Frat ern ell e . .. ... . . . ... .. . _ . . - . . . - - ..
225
227
Saint...Pierre .... . . . .
Saint-Roch . . .. . . . . . __ . .. .
9
6
6
6
6
430
ILa Ru c-he ........ . . • .....
2
23 1
Sant-Valent n . . . .. . _.
6
232
Saint-j oseph .. . .. _..
4
438
439
442
236
Saint-Honoré ...... _.
3
453
237
Saint-Louis ....... .
3
439
238
Sai nt-Pierr e ..... . .. ... . ... . .• . . . . . . • . . •
1
466
9
239
Saint-Antoine . ... . . . .. . . . .. . .
. ... . . . . . .
3
La Roqu e- d' An th eron
.. . . - . _. . - ..
Les Prévoya nts du Gla num ... . .. ... ... ... .
L' U nion Iber ica . ... .. . .... . . . .. . ...... .
Asso ciation Mutuelle des Vo yageurs et Repr ésentants de Com merce . . .. .. .. . . . .. .. .
Société Scolaire de Ma ussane . . . . . . . . . .. . . .
Les Sapeu rs- Pompier s d'Ist res ...... ... . .. . .
Assoc iati on M utualiste et de Prévoyance
Sociale des Sourds -M uets du Sud- Est .
6
9
9
6
3
6
6
6
9
9
6
6
240
241
244
L es F révoyants de la Penne-sur-Hu vea une . .
Gérard' T anque ...... . . .. . ..... . . . .. . . .
246
Saint-j ean-Baptiste ..... .. . . . _.... _ ..... .
6
6
3
6
253
Saint-Ro ch .. . .... .
259
Notr e-D ame ·de Bo n Seco urs
262
263
Saint.Anth elm e .. . ..
La Mutu elle A uba gnaise
217
La Labori euse . . . . . . . .
21 9
Saint-j oseph .... . . _.
221
Saint-Michel . ... . . . .
REV IS ION DIE LA LISTE ELECT ORALE
222
SOCIETES MUTUALISTES ADMISES A FI GUREN
S UR LA LISTE ELEC TORALE PO UR L' A NN EE 1953
(1r e Partie)
4
7
8
Il
21
26
36
39
41
44
53
57
60
63
75
81
82
86
93
96
105
108
11 0
117
11 9
123
124
125
128
129
133
142
15 1
155
156
158
160
163
168
177
179
183
184
185
192
195
Saint.JP ierr e Saint-Paul .... . . .. ... .... .. .. .
Sain-Louis Roi « Les Coiffeurs ) .• .. ......
M\ ltualité Provençale .. . .... . .. .... ... .. . . .
L' Ascension . ....... .. . .... .. . . ... ..... .
La Parfa ite Union
. .. . . . . . . .. . . .
Sai nt-Bi envenu e . . ..... . . ... . . . . . .. . .
Saint-Au gustin . . . . . . . . . . .. . •..... . . . . . .
Saint-H ippoly te .. . . .... . _. . . ... . . __ . .... .
La Fra nce . . .
. _. . . . .. . . . . .... . . . .. .
Saint-Claude .... . ..... .. . . _'. . . _. .. . . . .
Saint-Barfthélem v
. .. . .. . ......... .
Sai n t,p i err e-Sai ~t- Pa ul .... ..... _
La Laborieuse . . .. .. . . . ..... . .
La Prove nça le . .
. . . .. _.. . ... . .... .
Les Enfa nts Pr évoy ants .... . . ........... .
Sainte·4'Jhilomène .. ... . . . . . ... .. . . ...... .
Les Frères Solidaires . . . . ... . . .... .
Sain te-Mar ie Sai nt-Raphaël . ....... .
Sai nte-Cécile N· 1 .. .. .. .. . . .. . .. .
ai nt-B onavent ure ... .. .. . . ......•
La Ruche ..
La Gaul oise
. . . . . .... .
Union .Mutualiste de Sa int- A nt oin e .. .
Sai nt..lM 'artia l . . ......... . ... ............ .
Les Glaneuses et Sai nt-Martin -Réunis ... .
Sai nt-j ean-Baptiste .. . . .. .... . .......... .
La Paix et la Gaule . .
. ............ .
Soc. Philanthropique des Commis et Emp loyés
Sai nte-Marie ....... . . ....... . .......... .
Saint-H enr i ..... .
La Jeune As censio n . . .. . . . ... . .....•.. . ..
Sainte-M arguer ite .. ... . . . ........ . .... .
L'Ecole . .... .
Saint- Fra nçais-Xavier . ...... . .. . . . . .. ... .
France Nouvelle Florissant e ............. .
Union Phocéenne .. ' • • • • • . " t . • • • • • • • • • • •
Sa int-Pierre ès Liens
. . . . .. . .... .
Saint- Cloud .... .
. . . ... .. _. . . .. - .... .
Les B o u~ h e'r s Prévoyants .. ...... _. - . - .. .
Les Employés Unis
. ' . . . . ....... . .... .
MllItualiste quart ier Sai nte- An ne . . '
Sai nt-Laur ent .Mar ty r
....... , ... .
Saint-}ean-Baptiste . .. . ....
. ....... .
Saint-j oachim . . . ..
. . . ...... .
Sociét é Sa int-Louis Roi ... • ... . . .. - . . • ...
Sainte-Cécile. . . . . . .. .....
. ........ .
3
6
6
Ou vri ers de to us Cor ps d'Etat ... ... .
21 3
Dési gnation
l a liste
DésignatIOn
366
Ass istan ce M utu elle de la Ville d' Aix ...
Nil de
la liste
Nombre
de voix
N" de
9
2
9
205
210
ANNEE 1953
Vu l'oroonnance du 19 o"'obre 19-15, portant sta tu t de l a
Mutualité, notamment so n artic le 69 ;
Vu Ile decr et n· 50-730 du 24 j uin 1950 fixa nt les co nditions d'élection des rep résentants des orga nismes mut ua listes
au Conseil Supér ieur de la Mutualité;
Vu l e decr et n· 48-423 du 9 mars 1 9~8 lixant les co nditions d' élection des membres des Comités Dépa rteme nta ux de
Coordi natio n de la Mutua li té et notam me nt l'a rti cle 4 ;
Désignation
la liste
REVISION DE LA LISTE éLECTORALE EN VUE DES éLECTIONS
DES REPRESENTANTS DES ORGANISMES MUTUALISTES AU
CONSElL SUPERIEUR DE LA MUTUALITE ET DES< MEMBRES
DU COMITE DEPARTEMENTAL DE COORDINATION DE LA
MUTUALITE DES BOUCHES-DU-RHONE-
Le Préfet des Bouches-du-HMne,
Officier d e la Légion d' Honneur,
Nombre
de voi x
N" de
Nombre
d e voix
2
12
3
6
9
9
12
3
3
3
6
6
9
6
6
12
3
6
9
6
6
6
Sai nt-Fons ....... . .. . . . . . . .... . .
Saint-Hu ber t ... .. . . . . . . . . - .. _.
264
Sai nte-F r ançoise .... _. . . . . _. . _. _..
265
Saint-An dré . . . . . . .. . _. . . . .
212
La Savoisie nne
. ...... .
6
9
6
6
6
3
3
275
An ciens Sous-Offi ciers, Caporaux et Bri gadiers
276
Saint-H ilarion . . ..... . .. . . .... . ... . .... .
278
L a Fratern elle des Agr iculteurs ...... . ..•..
280
L ' Es p~ra n ce
. . . . . . .. . .... . ... .. . . . .. . . . .
3
9
6
6
283
Les .o roits de l' Homme ... . . .. . . . . .. .... .
6
299
Caisse de Retraite des Ou vriers de tous Corps
d' Etat . . . . .... . .. . ... .
12
9
9
30
6
9
6
9
1
6
3
6
3
6
Sapeurs-Pompiers . ....
1
.304
Sainte-Céci le Humanitaire
306
Union Fratern elle
9
2
307
L'Un io n ....... .
9
315
320
U A rl ésienne ...... .
na mes et Demoiselles Réu nies
32 1
Saint-.Pierr e-lcs-Martigues ... . .... .
6
3
3
335
ILa Prévoyance .............. - .
6
336
Les E n fan ts des A lpes ............ _.... - ' .
338
A ncie ns Co mpagnons Réunis
6
2
343
Union des Agen ts des T rains . . ' . • .. . ..... .
347
La Bas Alpin e .............. . . . . . ...... .
349
35 1
L a Ciotaden ne .... . - . .
Sainte-Hono rine ........ . . .... . . . .....•.
354
La Prove nce Nouvell e .... .. .. : .......... .
357
Société Philant hropique des Employés de Chemins de Fer . .. ... ·· .. . ..... . ........ .
9
3
12
6
472
499
515
535
541
12
M éca ni ciens et Chau ffeu rs .. . . . ... .... .
Sainte-Vi ctoir e ......... . .. .. . . .. ... _. . . .
La Fr atern ell e à Mouriès
Les Décorés et M~ da ill é s Fra nçais ....... .
L es Amis Indepel1.a.ants ... . . . . . . ... .. .. . .
556
Caisse du Perso nnel de la Société Générale
d' Assainissemen t et de Distri butio n . .. ... . .
56 1
L e Rouet ........ . ... . ... ........ . - . - ..
La .M ari gnanaise . . . ..... . ,...... . ~ .. .. . .
Prévo yance M édicale ......... . ... . .. ..
La Pré voyante .. . ..... .. . • .. .• ..
567
568
571
57~
.586
590
59 ~
600
606
61 3
L a IRuche .... .. . .
Adultes d'Or gon ........ . ........ . ... . . . .
L'Humanité . ................... . ....... . .. .
La Pateto .. .. ... .. . . _. . . . . _. __ . _. _. - .. .
La Prévo yance .. . .. . .. . . . _. _.' .. _. _. _.
La Fratern ell e ..... . .. . . . .. _. _ . _. _. . . . . .
614
L' Unio n Fratern elle . . .. . . . . . . . . .. .... . . . .
La Pisav is ...... . . ........... .. ... .. .
6 19
Union Praternc lle des Voyageurs de Commerce
620
La Pelissa nnaise ................... . . . . .
La Frate rn elle de Rassuen ....... _ .. ..... _
625
634
6-12
643
6~6
653
662
667
671
6S8
684
683
706
709
Sauveteurs Prove nçaux ...... . .
La Prévoya nte ........ .. . ..... . .. . .
Les A mis l~é l1n is .. ...... ........ . . ...... .
La Frater nelle .......... . ... . . . . ....•. _.
La j oliette .... . ... . . . ... . ~ . . ..... ' . .. .
Union Fr atern elle Otaise ........ . ........ .
Ouv riers et Employés des Trolleybus AixMarseille ....... . ..... . .. ...... . .. . .. .
La Fraternelle A ubagnaise ....... . .. . . . ... .
lvl utuelle At eliers Victor Coq ...... _. . . __..
. ... .. -
Les Héros du D evoir ....... . . . .
.. .
La Cacho Majo ........ ... . .. . . . ...... .
Un ion des Agents S.N.C.F................ .
Société Philant hropique des A "'ents des Chemins de Fer . . . . . . .. .......
:::. .
3
6
3
3
6
6
3
6
6
6
9
9
6
2
6
3
6
2
3
2
6
9
3
9
6
3
9
9
3
6
2
6
6
6
2
2
12
153
�.
Nombre
N" <1e
la liste
715
716
717
718
720
721
730
73 1
737
739
748
753
756
754
755
764
768
772
ïï7
780
781
782
791
795
798
800
802
817
Désignation
de voix
Association Préoparateurs en Pharmacie
2
La Jeune France ........ ........ . ...... .
Sécurité Primaire . ................. .
Association P rotestante de Prevoyance
1
Les Pré\'oyants de la Joliette ... . . .
La Cabannaise . ....... .. ... . .. . ....... - .
Les I.\\ édaîlles Militaires 89" Région ....... .
La Prê\'oyance Fraternelle ........ . ...... .
Union Indépendante .. ........ ........• ..
La Mutuelle Féminine d'Orgon . ....•.. . ...
La Prévoya nce ........ .,...... . .. .
Les Pro\'ençales ...... . . .. . .... . . ...... .
.t\lutuelle Prévoyance des Familles ......... .
Le Wagon ...... .. . .......... , ....... .
Agents des Contributions Indirectes ....... .
Les Prévoyants de la Chambre de Commerce.
Mutuelle Saint-Joseph .. . ....... . ........ .
Les Prévoyants de la S.P.e.N. . ....... . .. .
Ateliers Lubin Druge et Brun ...... . . ..... .
La Fra ternelle A'\oulesienne .........•......
Saint-Andr é Apotre ....... . ..... . . . . .. .
Douanier Mutualiste ........ . _.. . . . . . .. .
La Prévoyante de J'Alumine ... . .... . .... .
Les Enfants de l'A riège . . ............... .
9
3
3
9
6
9
6
6
2
4
4
6
3
9
3
12
3
2
6
6
4
3
U.N.e. Pro\' ence ............... .
9
Allian ce Professionnelle ........ . . ....... .
Récréative Espagnole .... . . .. . ..... •. . .. .
3
6
4
6
Personnel Cie Fil de Lin ........ . ........ .
81
820
c~\utuelle
824
,"uruelle F.A.O........ .
Franco ·ltalienne ........ ........
Retraités Anciens
. ...... .
Combaltants et
Victimes de Guerr e .... . ..... . ...... .. .
826
Cercle des Avey ronnais ....... _ ....... . . _
32
"\Iutu elle de J'A utomobile
....... .
Mutuelle des Em,ployés Municipau x ....... .
839
Union Espagnole ...... _. .. . ..... .. _.... .
6
84 1
842
S-I6
1
892
Svndicat de la Presse Spo rtive et Touristique.
S.M. de Charleval ........ . ...... .
Personnel Sorieté Moteur s Baudoin ....... .
1
6
In terp;-ofessionnelle du Bassin de Séon .. '
6
895
901
906
908
909
910
9 19
921
923
928
939
9tH
975
981
9
S..\I. :ie la Société d'Explosifs et Produits Cb imiques ........ ....
. ...... .
2
Chantiers. 'a\'als de La Ciotat ........... .
12
Personnel Etablissemen ts Kuhlm ann ....... .
Person nel Usine Pechiney ..
. ...... .
Personnel Cie Salinit:re de la Camargue
Industrie Textile de Marseille ....... .
Personnel I3si nes Vieille Montagne .... . .. .
Person nel Cie Française de ·.I\\étaux
Pers onnel Chantiers A teliers de Provence ..
Union Nationale des Combattant
6
9
9
2
S..\\. des Commerçants, Industr iels, Artisans,
OUI'r ;ers de la Ville d'Arles .......... .
Personnel Huilerie Nouvette ........
. .... .
Perso nnel Usine Solvay .... . .. .
La Fraternelle ........ ........ . ........ .
Fraternelle Algérienne .Mu tu aliste ........ .
6
12
3
6
9
6
985
Aux Combattants des B.-du-Rh ............ .
Caisse de Prévoyance des Cou rtie rs Assermentés ...................... .
3
994
996
Mutuelle du Personnel Services M unicipaux
Salon ............... .
997
Al utuelle Ohirurgicale des H.-du-Rh ....
154
106 1
1063
1064
1065
1074
1077
1078
1080
1082
1088
109 1
1092
3
30
Panhellénique .N\artigues ........ ......... .
Les Eniants des Basses-Alpes Mutualistes ..
Mlftuelle des Peseurs-J",és . . . . . . .. . .... . . .
Personnel du Provença l . .... . ..
. . .. .. . .. .
Solida r idad Espagnola ........ .. , .... • .. ..
Mutuelle du Canal du Ve rdon.. . ....... .
Mutuelle Agric ola ........
. ..
. .. . . .
De Port-Saint-Lou;s-du ''Rilône .'
Anciens Combatta nts et Victimes de la Guerre.
La Prévoya nce Rogne nque .............. . .
Mutuell e de La Bouilladisse
. . . .. . ... . .
Les Garçons de P rove nce ........ . ...• . . .
M utuelle Accidents Eleves ........ • ....•..
l~ati io"E l ect riciens ... .. ... ..... . .. . .... .
La Pr évoya nce Eyguièroise . .............. .
La Pr évoyance Mallemor taise . ...... .
Perso nn ~1 Sté Peintures et Ve rn is ...... . .. .
.t\\utuelle Employés et CadIes Dames de France
Mutuelle du Pe rson nel de la Société D um aine
et Fils. . .
. . . . . . . . . ............ .
Person nel Ets Ro cca T assy et de IRou x ... .
Ouvriers Entrep . .N\arit ime de Ca ront e
Mutuelle Svndicale Aviation ........ . .... .
Amica le Im'prim erie Nouvelle .. .. . .... .. . . ,
L' Entr'Aide céminine ....... . ........... .
Personnel Direction Ré gionale Sécurité Sociale
9
6
6
3
3
6
6
3
3
6
4
3
6
6
3
10
3
9
9
2
6
3
9
2
6
2
9
2
Co mmune aux ·M ilitaires Euro,péens de carri ère
des Troupes Colonia les ........ ..
Travailleurs du Li vre ....... .
30
9
M'utuelle Officiers d'Aca démie et de l'Instruc. .. ..
. ...... .
ti on Publiqu e
6
Basses
Agents de Préecture des
et
Hautes-Al pes,
Var,
. ...... .
12
3
fi
9
9
A micale Savonneri es Roua rd
Person nel Sté Colonia le des Chaux et Ciments
de Portlan d ....... . . . . . . .. ..........
Société Mutual iste de Sai nt-Gobain .....
11 21
Personn el Usi ne Soulet ........ . ..... . .. .
Pe rsonnel Anelec ........ ........ . .... .
Sté Mut ualiste de la S.M.C. 1. .... . ..... .. . .
Personnel Etablissements Coder ........ . .. .
Mutu elle du Por t . . . . . . .. ........ . ...... .
Ouvri ers M éta llurgistes
....
. . ..... .
...... .. . .
DESIGN A l iON
Nombre
de \'oix
La Solidarité Militaire
9
3
12
12
3
9
12
2
de France et des
Co lonies ... .. .
4
608
Société Mutualiste du P ersonnel des Travaux Publics
et des T ransports, Section N (I 30 ........... .
Société ,J\Ilu tua:;~ ste du Perso nnel des Travau x Publi cs
et des T ransports ,Section N° 3 1 ....... .
9
773
9
806
Mutuell e
Mutuelle
Mut uell e
Mutuelle
des Co ntributi ons Directes et du Cadastre
des T abacs et Allum èttes, Section Ma rsei ll e
Générale de l 'Education Natio nale ....... .
Général:e des P.T .T . (Sec,ion des B.-du-Rh .)
9
9
21
15
815
825
Mutuelle G éné rale de l'Enregis tremen t . ...
6
Société Mutualiste du Co ntrôle Economique ....... .
Mutuelle des T abacs et MUlimettes, Sec'iion Aix-en"Pro-
827
3
ve nce ... . .. .. .. . . ...
.. .. .... ... . . .. .
. ...... .
. ........ .
Association Mutualiste pour la Caisse de Réassurance
...... ... . .. ' . .. . . ' . ' .
Conseil Sup érieur de la Mutualité Ai xo ise
Grand Co nseil rl~ ~ a Mutua lité des B.-du-Rh ône
Union ctes Sociétés l\lu ;" ua listes de la Pharmacie
des Bea ux- A rt s " .. ... . . . . . . .
. ... ... .
UnÎ on des Sociétés Mutuailstes du Canton
d' A ubagne .... ... . ... . ... . ... . . - . . ... .
Ph armacie de J'U nion des Sociétés Mutualistes
d'Aix . - ' . .. ' . " .. " .. - .. . _ .. - " . .
Union des Sociétés de S.Al pou r le servie,.
M édical ...... ... . ... . . .. .
.. . . . ...
Mutuali té M ate rn elle .. . . . .. . " .. " . . .. .
U nion I~égiona l e Salonaise des Sociétés Mu·
tu alistes ...... ... . . .. . ... . . ... ... . - ...
Caisse Régionale Mutu al iste du Su d-Est pour
alJlocations décès .... ' ... . - ' . .. . . ' ... ... Mutuelle Générale du Grand Conseil de la
982
6
12
1.05 1
1.1 29
9
3
. . . .. . .. . . . .
3
D4 BI . A 1
Mu tualité ...... " .. .. . .
' . ' . ...
Union D épartementale Mutualiste de l a
. ... .
e. G. T.
La M ut ualité Matern elle de Marseille et du Département des B.-du-R. ....
"
.. ... .
Fédér ation Nie des I\'\utneJ1 les de Fonctionnaires
et Agents de l'Etat. .... " .. ' ..
10
10
15
la
10
10
10
10
10
10
10
10
10
10
CONDITIONS D'ACTIVJ.TE PROfESSIONNELLE OUVRANT DROIT
A L'ATTRIBUTION DES PRESTATIONS fAMILIALES AGRICOLES
Le Préfet des Bouclles-du-Rhône,
Of/icier de la Legion d'Honneur.
Vu la loi n" 46. 1385 du 22 aotif 1946 Ifixant le régime des
prestatio ns fam iliales agrico les;
Vu l'a rtièle 36 modifié du décret n° 46-880 du 10 décemb re
1946 ;
Vu l'a rti cle 2 de la loi n' 48.354 du 2 mars 1943 ;
9
3
6
Caisse Régionale Vieillesse ..... . . .
39 1
546
560
603
La Protection Mut uelle des Age nts des Chemins de Fe r
dustrie et du Com merce. . . .
9
6
12
3
9
4
Mutuelle Mar cha nds Forains des B.- du-RJ1.. .
3
Vu pour être annexé à noi re arrêté en date du 1er
Ju ill et 1953.
4
Personnel E.G .T.M.
. ........ .. .
M<uluelle Co mplémentaire et d' Action Sociale
<ies Industries Electriqu es et Gazièr es C.A.S.
Cent re Ma rseille-~i1(e .. . ..... . ........ .
Perso nnel Etablissemen ts Groignard ... . . . . .
Perso nn el Etablissements Paoli ........ ... .
Perso nnel Enfeleries et Laminoirs de la J'Mdi'
te rra née ... ...
11 27
11 28
11 29
1130
11 3 1
(2me Partie)
Société 'M utua"ste du Person nel du Ministère de l' In-
1098
. - ..... .
Caisse de Secou rs et d'Entr' Aide du personnel
Cie Gle Française Tramways, Autobus et
Trolleybu s de Marseille ........ ...... . .
L es Prévoya nts de l'Auto Tra ction .....
Mlltuelle des A ciéries du Nord .. .. .. ...
La Mutualité Maternelle de Marseille . . . . .
(Ire Partie)
15
9
Personnel Atelie rs Terrin ........
UN IONS ET FEDERATIONS MUTU ALISTES
ADM ISES A FiGURER SUR LA LISTE ELECTORALE
POUR L'ANN EE 1953
Société Mutua liste du Person nel du Ministère du Travail eh de la Séc urité Sociale . ... .. ..... .
12
9
6
11 22
1124
Numbre
de voix
Désignatioll
SECTIONS DE SOCIETES MUTUALISTES
AUTORISEES A FIGURER SUR LA LISTE ELECTORALE
POUR L'ANNEE 1953
6
'Chantiers de la M éditerranée ........ . .. .
12
6
N' de
la liste
REVIS ION DE LA LISTE RECTORALE
Comité de Secou rs IJ\-\ utuels Brasserie J\~la r x .'
de la Guerre ........
...- - - - -.. ,~-·~
REV ISION DE LA lJiSTE ELECTORALE
Mt/tuell e Civi le de la Guerre . . .. ....
Sté Mutua liste des Ets Fournier Ferrier ... .
,\<\utuelle des Déportés du Tra vail et Vi ctimes
11 09
1110
1111
1117
Personnel l:Juilerie Rabata u ........
Société Marseillaise de Correspondance ....
Sté Raffineries de Sucre Sa int-Louis .... . .
Société Aviation Mutualiste ........
Caisse Mutuelle Complément.,re et ct' Actio n
Sociale du
Centre Mixte de Distributio n
'M arseill e- Pr ovence (CAS)
4
6
1096
1097
1099
1100
11 01
1102
1103
11 06
1108
111 2
!11 3
111 5
111 6
111 8
111 9
Nombre
de voix
D ésignati on
15
1094
1093
N" e
la liste
Mutuelle de la Police de la Région de Marseille
Caisse de Seco urs des Dockers de Po rt-deBouc··..... . ......... ......... .
Du Personnel des Sociétés de Trafic M aritim e.
.M utuelle Complémentaire du Perso nn el de la
Ville de Ma rseille ....... .
Caisse Mutuell e de Sol ida rité Tram inots de
Saint-pierre
. . . . . . .. . ........ .
Sté " Iutu aliste <i'Entr eprise des For ges et
6
3
La Prévoyance . .... .. ....... . . ..... .... .
Vau cluse. . . .. . .. ...
1083
1085
---
de voix
Les Sapeurs Pompiers . . . . . . .. . ....... . .. .
Mutuelle Cabries-Calas ................... .
Fonctionnaires et
.. _ _ , ...... , r ......... _ ... "'._.. _ _ _ _ .... . . ......... I
Nombre
Désignation
B.- du-Rh.,
3
988
L'Eguillenne ........ ... . .. . . . .... .
Fratem idad Espagnole ............. .
1058
1
3
9
993
999
100-1
1006
1007
1016
10 18
10 19
1020
1021
1025
1028
1027
1029
1033
1038
1042
104-1
1048
1049
1051
1052
1057
12
6
3
6
3
838
N" de
la liste
. ............... _
Vu 'u'arrété du 30 décembre 1950 de M onsieur le Ministre
de l' Agriculture ;
Vu l'arrété préfector al du 27 fév r ier 1951 ;
Vu la décision du Comité Dépanemental des Prestation ..
Fami liales Ag ri co les prises dans sa séance du 27 mai '953 ;
Après a\'is de M . le Contrdleur
Sociales en Agriculture ;
Divisionnaire des
Lois
Sur la proposition de ,,\. le Secrétaire Géneral,
ARRETE:
Article premier.
Est rendue exécutoire la décision en
date du 27 mai 1953 du Comité Départemental des Prestations
Familia les Aigricoles tendant
l'article
à completer, par l'adjonction de
sui \'ant, les dispositions
de l'arn?té
préfectoral
du
27 fénie r 195 1 relatif aux conditi ons d'activité profes ionnelle
ouvrant droit à l'attribution des prestations familia'ies.
Art. 3 bis. Pour l'ouverture du droit aux prestations
ti.es allocataires se li\~rant aux cul'tures maraîchères, horticolèS
�et arboricoles interisi\-es, le nombre de jours servant de bas'!
au calcul de l'activité théorique des exploitants est le suÏ\'ant :
Contrôleur des Lois Social es en .Agr ic ultu re sont chargés Cha..
cun en ce qui le co ncerne, de l'exécution du présent arrèté,
Cultures sous chassis, jardinage, r.:o ri cultu re. production de
plantes d'ornement : 600 jours,
Arboriculture: 120 jours ".
Art_ 2_ -
Ma rsei lle, le 29 jui n 1953.
Pou r ffe Préfet,
Le Secrétaire Général délégué
Le Secré taire général de la Pr efecture et le
04 B\ - A 1
Signé : Maxime M IGNON.
<les experts agréés désignés par l 'Administration l orsque la
liste des pertes subies (évaluation en va leur ac tuelle inféri eure
il dell~ miflions) ou les rapports établis par des experts ag rec~
(évaluatio n supérieure à de ux millions) n'auront pas été déposés dans ':'e délai imparti par cet arti cle.
Art. VI. - L es Experts qui sero nt désignés par l'Adm inist ration pour procéde r aux éva lu ations d'office seront rémun rés da ns les co nditions du titre III du décret nI' 50- 182 du
3-2-1950 ; la charge en incombe à l'Administration.
Marseill e, l e 25 juin 1953.
R. CALLOUD.
TAXES D'ARROSAGE ET D'ASSECHEMENT
« Arl. 12 - Taxes d'arrosage et d'assèchement, -
ARRETE
Le Préfet des Bouclles-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Hon lieur.
V u l'Ordonnance du 17 octo"ore 1945 rel ative au statut
des Baux Ruraux, modifiée par les lois du 13 avril 1946,
3 \ décembre 1948 et 23 mars 1953
Vu l'arrêté du 12 ao ût 1 9~6 pris pour l'application du
statut des Baux Ruraux ;
Vu le rapport de "Ingénieur en Chef du Génie Rural;
Vu ravis émis le 5 juin 1953 par la Commission Consultative des Baux Ruraux ;
Sur la proposition du Secrétaire géné ral,
Les taxes
« d'arrosage aftfé rentes aux co ncess ions d'eau dont bénéficie la
«
«
«
«
«
«
prop r iété affermée ainsi que les (axes d'assèchement CO ncernant cette pr op ri été seront suppo rtées pour ce qui concerne
les cha r ges foncièr es par les bailleurs, et, pou r ce qui COn.
cerne les charges annuelles d'exp:llQ itation et d'entretien par
les preneurs qui devront aoquitter régu l ièrement ces quoteparts de mani ère à ce que l e bai lleur ne soit pas i nquiété à
« ce sujet ».
Art. 2. -
Le secrétai re généra l de la Préfecture est chargéde l'exécutio n du p résent ar rêté,
Marsei lle, le 7 juilûet 1953.
ARRETE:
Pour le Préfet,
Ar/icle premier. - L'article 12 du co ntrat-type de bail à
ferme annexé à l'arrêté préfectoral du 12 août 1946 est abroge
et rempl acé pa r les dispositions ci -après :
Le Sous-Préfet, Directeur du Cabinet
Signé : PLETTNElt
OUVERTURE D"E LA CHASSE - CAMPAGNE 1953-1954
Le !Winistre de l'Agriculture,
Vu les lois des 3 mai 1844, 1er mai 1924 et 23 février 1926;
Vu la Co n ve~tio n Internationa le du 19 mars 1902 approuvée par l'la loi du 30 juin 1903 ;
Vu J'art icle 7, 1er alinéa de l'Ordonn ance du 9 août 1944,
por'ca nt rétabl issement de la Légalité Républ icaine sur le territoire contine ntal ensemQJe les ordonnances subséquentes mainte nant provisoireme-nt ell application les actes dits lois dcs
28 juin 1941\ et 27 décembre 194 1 relatifs à /lo r ganisation de
l a Chasse;
Vu l'a vis du Conseil Supé ri eur cie la Chasse;
Sur la prop osition du Directeur Général des Eaux et Forêts :
ARRETE
0 5 BI - AG 13
EVALUATON DES DOMMAGES DE GUERRE AUX BLEMENTS
D'EXPLOITATION NON AGRICOLES
DEÇISIO '
de l'Ingénieur en Chef
Délegué Départemental
Vu la loi -1&-2389 du 28-10-~6 sur les Dommages de Guerre
et notamment les articles 3 - 38 - 39 - 40 et ï 1 ;
Vu les dispositions des article 18 - 19 et 20 du déc ret
46-2960 du 31-12-1 946 port an t rè glement d'Administration Pu!>:ique pour l' applicatio n de ladite loi ;
Vu le décret 50-182 du 3-2-1950 e~ notammen', l'a rtic le 13
relatif à 'linterventiolJ des Architectes, Exper ts et Techniciens
dans la re constitution des biens endomma gés par faits de
guerre ;
Vu l'a rrêté du 5 mai 1950 de Monsieur l e Ministre de la
Reconstruction et de l'Urbanisme po rtan t délégation â ses
Délégués Départementaux pour fixe r le point de départ du
de!ai de six mois imparti aux sinistrés pour présent.a les
pièces administratives nécessair es à la justification de deur
demande d'indemnité ai nsi que l es pi' es techniques relati ve;
aux évaluations d'office visées par l'article 13 du décre't ;
Vu ses décisions des 22 septembre 195 1, 8 février 1952,
14 mai 1952, 18 juillet 1952 et 15 févrie r 19.33,
Le Délégué In terdépartemental du Ministre de la Reconstruction et de l'Urba nisme décid(!l pour le département des
Bouches-du-Rhône :
El éments d'exploitation affectés à Ur}
usage industri e: co mmercial, ar'cisanal, profession nel, socIal,
cu lturel, ou à un sen'Î ce public: le point de départ du délai desix mois au cours duquel les sinistrés doivent déposer les
pièces administratives nécessaires à la justification des demandes d'indemnité est au 1er juil/et 1953.
Articte premier. -
Le délai de forclusion reste celui précédemment fixé pour
156
Art. VII. - La présente décision fera l'objet de la plas
gra nde diffusion par insertion dans le Bulletin des Actes Auministratifs du Département et dans la presse départementale,
par affichage dans ':es mairies et avis aux groupements d~
Sinistrés et aux experts.
l es pièces techniques en ce qui co nce rn e les catégories visées
aux cinq J écisio ns antérieures.
Art. Il. - Le point de dépa r t du dé:ai de six mois, en ce
qui concerne l e dépôt des pièces techniques, est fixé à la date
de la mise en vente des ba rèmes homol ogués co rrespo ndants.
pour les catégories suivantes dont les barèmes n'ont pas enco re
fait l'objet d'une homologation:
-
-
Appareils de r égu latio n, de contrôle et cie Laboratoire,
Bâtea ux de pêche,
Cinéma (produ ction de fdms),
Electricité (générateu rs, transformateurs, ha ute et basse
tension),
Engins de levage et demanutention mari 1imes (installa'i:ions
portuaires),
Four~ à coke, sidérurgie, fonder ie,
Hui lerie,
Industrie chimique,
Raffineries de pétrole,
Sports et musique,
Tapis,
Te xti les - Industrie dll lin,
Textiles - Tresses - Lacets - Rubans - Tull es et dentelles.
Art. 1/1. - Les dossiers visés aux articles 1 et 2, pour lesquels les pièces administr a1dves n'a uront pas été déposées dans
le dë:la i imparti, seront considé rés f rappés par l a forclusio n ct
fe ront 'Iobjet d'tIlle décisio n de r ejet.
Art. IV . - L'expiration du délai au 1er janvier 1954 n'est
valab le que pou r les biens dont la recon stitution n'a pas été
déclarée pr ioritaire, les ar rêté fi xant les dél ais de rigueur qui,
le cas éciléa nr, se subst1tuent ail délai ci-dessu s.
Art. V. -
Pour les dossiers relatifs aux dommalres visés
il l'artide premier, les évaluatio ns seront établies d'office par
Article premier. - Sauf dans les résen 'es approllvét!s par
le ministre de J'Ag r iculture où la chasse est interdite en tous
temps et sous réserve des dispositions des art icles ci-après,
1 ouverture gé nérale de I:!a chasse est fi xée:
---< dans la
1re zo ne, le 23 aoû t 1953, à 7 heures ;
- dans la 2e zone, le 6 septembre 1953, à 7 heures.
LA PREMIERE ZONE comprend les départements dc;
Basses-Alp es, des Hautes-Al pes, des Alpes-Maritimes, de l ' Ardèche, de l'Ari ège, de If Aude, des Bouches-du-Rh ône, de l a
Corse, de la Drôme, du Gard, de la Haute-Garon ne, u Gers, d e
de la Girond e, des Landes, du L ot-et-Garonne, des BassesPyrénées, des Hautes-Pyrénées, des Pyréllées-Orien"la les, du
T arn-et-Garonne, du Var et du V aucluse.
LA DEUXIEME ZONE comprend les départements tle l' Ai n,
de l'Aisne, de l'All ier, des Arde nnes, de l'Au be, de l'A veyron .
tlu Territoire de Belfort, du Calvados, du Cantal!, de la Charente, de la Oharente-lv\aritime, du Cher, de la Co rrèze, de 1<1
Côte-d'Or, des Côtes-du-N ord, de l a Creuse, des Deu x-Sèvr es,
de la Dordog ne, ùu Doubs, de i'Eure, de l'Eur~-et-Loi re, du
Finistè re, de l ' Hér ault, de j'lIle-et-Vilaine, de l' Indre, de ~' Indre
et-Loire, de l' Isere, du Jura, de la Loi re, de la L oire- In férie llr~,
de la H aute-Loire, du Loir-et-Cher, du Loi r et, du Lot, de la
Lozère, du ~"\aill e-et- L oi re, de la M anche, de la Marne" de la
Haute-Marne, de la Al ayen ne, de "",, Meuse, de l a Meurthe-etlv\oselle, du N\orbih all, J e la Nièvre, du No rd, de l'Oise, de
l'Orne, du Pas-de-Calais, du Pu y-de- Dôme, du I~hone, de la
Haute-Saône, de la Saône-et-Loire, de la Sarihe, de la Sa\"olc,
de la Haute-Savoie, de la Sein e, de la Seine-Inférieure, de la
Seine-et-Marne, de la Seine-et-Oise, ci e lI·a Somme, du Tarn, de
la Vendée, de la Vienne, de la Haute-V ien ne, des Vosges et d e
l'Yonne.
Arf. 2. ---. L a chasse à tir du cerf et de la biche est ouverte
le 27 septembre 1953.
La chasse aux poules de bruyères (grand et petit t~tras) ,
aux grouses, au x spatul es, aux flamands ibis, aux cygnes sau-
"ages, aux mouettes, aux goëlands l aux goëlettes, aux sternes
Ou hirondelles de mer, aux fous de bassan est prohibée tout.:!
l 'a nnée ainsi que le déterra ge de lia marmotte.
Ar!. 3. - CHASSE AU GIBIER D'EAU. - La chasse au
gibier d'ea u sur les lacs, étailgs, fl euves, rivi ères, Ca nau x [
r ésen 'oirs, ainsi que dans les marais non asséchés est oU\'erte
le 14 juillet 1953.
Art. 4. - CHASSE A COURRE. - La chasse à courre est
ouve rt e à parti r du samedi 26 seplcmbre 1953.
L e cou rre du lièvre ne pourra êt re pratiqué qu'avec un
equipage comprenant au moins six chiens de race homogène,
créan ces, reconnu par l a Sociéte de Vè-nerie et la Fédération
D épartementale des Chasseurs.
Art. 5. - La chasse des colombinés avec filets horizo nta ux dits pantes et avec filets ve rt icaux dits pantières, est autori sée dans Des départements de la Gironde, des l.andes, des
Basses-Pyrénées, du Lot- et-G aronne, du Gers, des H autes. . .Pyren ées, pendant l a périOde du 27 septembre au Il not'embrc
1953 inclus.
Les mailles de filets de nœud à nœud ne devront pas ëtrc
inférieu res à 40 mm. l'emploi des appelants aveugles est interdit.
L 'usage des filets de dimension infér ieure il celle stjpul é~
ci-dessus est interdit, sous to ut prétexte et sans exception. Seules les pantes et pantières existant m'ant 1939 sont tolérées.
Au cune nouve~l e installation de semblables engins ne peut êtrt
autor isée.
Ho rmis l'exception prévue à l'article 5 son1t prohibés même pour la chasse aux oisea ux de passage, les arm t::s
il. feu nOIl susceptibles d'être épa ul ées sans appui, la pose et
l'emploi des pièges cages, filets, lacets, (gluaux et ce lui de tou s
autres moyens qu elconques ayant pOlir objet de faciliter la
captu re ou la destruction en masse d~ oiseaux.
Arf. 6. -
Art. 7. - Les dates d'ou\'ertures pourron't être ret an.lëes
dans tout ou partie d'lin départeme nt.
Ces décisions, ai nsi q ue les dispositions relati\'es à la desi.. la plOtrctiC'n du .-,i bi cf
seront prises par arrt: tes min1steriels speciaux sur la Prop~itio ~
du Préfet, faite apr ès avis du Cons~n'atellr des Eaux-et-Forët;:;
et ùu Président de la Fêlleration D épa rt ementale des Chasseu rs_
'~ r llc~io n des ani maux nuislbl "~ ot
Art. S. -
Les arrêtes d~partementaux réglementaires per-
m~ne,nts su r la c h ~sse sont maintenus en \ igueu r en IOut te
qUI n est pas co ntraIre al! présent ar rêté, ni aux disposrri ns dcs
lois du 28 juin 1 9~1 modifi ée par la l oi du 27 décembre 1 9~ 1
du 2 av ril 19-16 modifiant le paragraphe 9 de ~'a rri"l e 90 de l,;
loi du 5 avr il 1884.
Art. 9. - Le présent arrdé n'est pas applicable aux dépa r
(ements de la /\Ioselle, du H aut-I~hin et
Bas-Rhin où l'ouverture de l a chasse est fixée par la loi locale.
'
uu
157
�Art. 10. - J'lIM . le Préfets, Sous-Préfets, Maires, Conser,"ateurs des Eaux et Fo r~tst Directeurs dés Contributions IndI-
rectes, Commanda nts de Gendarmerie, Commissaires de Police,
Lieutena nts de Lou\'eterie, Préposés des Eaux et Forêts, Gardes
publi é et affiché dans chaque commune, par l' interméd iaire d
l'autorité préfectorale et par les soins des M aires.
'
Fait à Paris, le Il mai 1953.
Pour le Ministre et par délél'Ya ti oll,
des Federations Departemen ta les des Chasseurs, Gardes_Ch am-
P3
Vu les lois des 3 mai 1844, 1er mai 1924 et 23 fevrier 1926;
Vu iI'art icl e ï, 1er alinéa de l'O rdonnance du 9 aoùt 19-1 -1
po rtant rétabliss ement de la légalité r ép ubli ca ine s ur le te rritoi re conti nental, ensemble les ordo nnances subséq uen"ces maintenant pro\"Ïsoi r ement en applicati on les actes dits c Lois des
28 j uin 194' et 27 décembre 19·1,t :t relati fs à l'or ga nisat ion de
la chasse ;
Vu l'articl e ï de J.'a rrêté ministéri el du 1,1 mai 1953 ;
Vu les avis du Co nserva teur tl es Eaux et For êts et du
Président de l a Fédérat ion Departementa le des Chasseurs ;
Sur la proposition de M . le Préfet des B o uch es-du-d~hôn e ,
2 0 La chasse à la g rille à la r epasse est autorisée au poste
stul ement et sans chien à partir du 3 janvier 1954.
Les chasseurs au poste sont autorisés d'un e façon générale
à tr ansporte r et à ut ilise r des appelants.
L'emploi des oisea ux aveugJes comme appelants est interdit.
La chasse ou le rabat des oiseau x de passage, gibier d'eau
compris, en avi on, automobile, hydroglisseu r, canot auto mobi l ~,
pédal boa t, pédalo, so nt interdits.
Ar f. 2. - La chasse aux spatules, fl amants, ibis, cygnes
sau vages, mouettes, goëlands, hirondell es de mer, es t pro hibée
ainsi que celle des autres espèces qu i fi gurent il l 'a rticle 7 de
l'A rrêté réglement aire per manen t.
Arf. 3. - T outes les disposition s de l'a rrêté rég l em e n ta i r ~
qui so nt co ntraires au présent arrêté sont abrogées.
A RRETE :
Article premier . - L'ouve rtu re de la chasse dans les Bouches-du-Rhône est fixée comme suit :
al GIBIER S EDE ITAIRE : :e 23 août 1953, à ï heures.
bl GIBIER D'EA U :
La chasse au gibier d'ea u sur les lacs, étangs, fl euves, r i\;ères, canaux, réservoi rs ainsi que dans l es ma rais et l es
r izièr es no n asséchés est ouver te ne 9 ao ût 1953, à ï heures du
matin. Sur le Rh ône et l a Dur ance l a chasse ne peut être pratiquée en dehors des lots concédés que moyennant l a déli vrance
d'une licence pa r l'Ad ministratio n des ,Eaux et Fo rêts.
r.t'
Art. 4. - ML le Préfet des Bouches-du-R hône, A~\ .
Sous-Préfets, Mair es, les Conser vateurs des Ea ux et Forêts, le
Directeur des Cont ri butions Indirec tes, le Comm and ant de Genda rme rie, les Lieutenants de LOllvèteri e, les Commissai res de
Police, les Chefs de Di stri cts et Agents techn iq ues des Eaux et
Forêts, l es Ga rdes de l a Fédérat ion D épa rt"mentale des Chasseu rs, les Gardes parii culiers asserm entés, les Gardes-Champêtres, sont chargés, chac un en ce qui l e co nce rn e, de l'exécution
du présent arrêté.
A Pari s, !e 23 ju in 1953.
Pou r le Mi nistre et pa r déléga tion,
c) OISEAUX DE PASSAGE:
' " Sau f : l'alouette, l' ortolan, le pr inso n migrat eur, le
moinea u, le prinso n roya l ou gros bec, Ee verdi er
le Q3 août
1953.
P3
Art. 3. - M . l e Préfet" des Bouches-du -Rh ône, MM . les
Sous-Prefets, M aires, les Conser vateurs des Eaux et Forêts, l e
Directeur des Co n'tr ibuti ons Ind irec tes, l e Comm anda nt de Gêndarmeri e, les Li eutenants ci e Lou vèteri e, les Comm issaires de
Police, les Chefs de Di stri cts et Agents techniques des Eaux et
Forêts, les Gardes ct e l a Fédérati on Départ ementa le des Chas-
ARRETE Sf'J::CIAL D' OUVERTURE DE LA CHASSJ::
DANS LE DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
POUR LA CAMPAGNE 1953-1954
L e Ministre de l'A griculture,
Le Ch ef de Cabinel :
Signé : ROUGE.
CHASSE DES OISEAUX -DE PASSAGE
L e Ministre de l'Agriculture,
Vu les lois des 3 mai 1844, 1er mai 1924 et 23 févr ier 1926;
V u Warticle 7, 1er alinéa de l'Ordon nance d u 9 aoflt 194 4
portant rétablissement de la légalite républicaine su r l e terr itoire co ntinental, ensemble l es ordonna nces subséquen'tes maintenant provisoi rement en appl icati on les actes di ts « Lois des
28 j ui n 194 1 et 27 decembre 1941 ~ relati fs il l'or ganisation de
la chasse ;
Vu l'art icl e 7 de l'arrêté ministériel du Il mai 1953 ;
V u les articles 4, 5 et 9 de l'a rr êté mi nistér iel en date du
6 septembre 1949, po rtant règlement permanent sur la poli ce de
la chasse dans le Dépa rtement des Bouches-d u-H hône ;
Sur l a proposition de M. le Préfet des Bouches-du"R hône,
ARRETE :
Art icle prem ier. - Le tir des oisea ux fi g uran! il l'article 4
da ns l'arrêté perma nent sur l a porlice de la Chasse dans le
Dépa rtement des Bouches-du-Rhône et désignés ci -dessous,
pou rra être pratiqué comme suit :
0
1 D u 23 ao ût 1953 il 7 h. au 3 j anvier 1954 al\ soi t :
al A T IR : l'alollet te,
b) A TIR MA IS AU POSTE S EUL EMENT: l'ortola n.
2' Du 1er octo'bre 1953 au 3 j anvier 1954 au SOif :
A TIR AU POS T E S EULEMEN T : les moineaux, le pi nsun
royal ou gros bec, le pinson mi grateur, le verd ier.
Art. 2. -
seurs les Ga rd es par Ncu li er s asserrn entés, les Ga rdes- Champêtres, 'so nt char gés, chacun en ce qui le conce rn e, de l'exéc utio n
du préserrt arrêté.
A Pari s, le 25 ju in 1953.
Le Chef de Cabinet
Si'g né : ROUGE.
pêtres, Ga rdes Pa rti culi ers asserm entés, so nt chargés, chacun
en ce qui le co ncern e, de l ' e ~ec uti o n du present arrêté qui sera
taire perm anent en date du 6 septembre 1949, l'emIt",i des
gluaux es t autori sé du 1er oc tobre au 30 novembr e 1953 pour
l a capture des appelants appartenant auX' espèces d'o isea ux
dont le tir est permi s.
Pa r déroga ti on il l'a rt icle 9 de l'am,té réglemen-
I- TEXTES
D2 8 3 - AG 2
Po ur le Mi nistre et jJa r dél égation1
L é Ch ef d e C a binet :
Signé : ROUGE.
D ' INTÉRËT
COMMUNAL
ASSURANCE COLLECTIVE EN CAS DE DECES EN FAVEUR
DU PERSONNEL DES COLLECTIVITES LOCALES
J'a i l 'honneur de port er ci-dessous à la co nnaissance ùe
MM. les Mai res du Département le tex te de la ci rcul ai re n" 41 B
ctu 4 juill et 1953 pa r laq uell e NI. le Direc teu r Général de Id
Ca isse des Dépôts el! Co nsi gna ti ons pr écise les nouvell es conditi ons de l'assurance off erte par l a Caisse Nat io nale d'Assurances sur l a vie aux collecti vités local es dési reuses d'assu rer leur
perso nnel co nt re le ri sq ue décès.
'Pour le Préfet,
Le SO lls-Préfet, Direct ellr de Cabillet
SigJné : PLETTNER .
Paris, le 4 Juillet 1953.
Le Directeu r Généra l de la Caisse des Depôts
et Co nsi gnations,
à M. le Pré fet ·des Bouc hes- du-Rhô ne, à Ma rs eill e.
Je vo us ai ad ressé, en septe mbre 1952, un e documentation
sur l'assurance coll ecti ve annuell e offerte par la Caisse Nationale
n'Assurances sur la Vie aux collectivités locales dési reuses
d'assurer leu rs agents perm anents contre le risque de décès
soit en app licatio n de l'article 86 (dernier alinéa) de la loi n~
52.432 Id u 28 Av r il 1952 oortant statu t général du person nel
perma nent des Com munes et Etab lissements publics co mmunau x,
soit da ns le cadre du régi me de Sécurité Socia le adopté par ces
collec ti vités, en exécution du décr et du 2 A1'ars 195 1.
J'ai l' honn eur de vous fai re co nnaître que la Caisse Nationale a I(jécidé de réd uire, pour la période du 1er Octobre 1953
au 30 Septe mbre 195.:./, il 0,80 % des capitau x garantis, le taux
annuel de la prime de ce tte assurance qu i avait (te precedem·
ment fixé à 1 %.
,
Ce nouveau taux de prime sera applicable, non seulement
aux co nt rats souscrits à compter du 1er Q.:tobre pro c,hain, mais
égaleme nt aux contrats actuelle ment en cours et 4ui viendront
tous à renouvellement à cette date.
Les co ntrats qui seront souscrits entre le 1er Ju illet et le
30 Septembre 1953 sero nt exceptionnell ement consentis pour
des du rées supérieures à un an et viendront uniformément à
e",pi ratio n le 30 Septembre 1954.
La pri me appli cable 11 ces contrats sera déter minée sur la
ba se d' un taux d'e 1 % pou r la pér iOde comprise entrl! la date
de So uscr iption et le 30 Septembre prochain ~t sur la base
de 0,80 % pou, la période 1er Octoh re 1953, 30 Septembre 195./.
De même que le taux initial, le taux de 0,80 o/c sera g'élrant i
pendant toute la Ilollvell t'période d'assurance et ne sera pas,
susceptible d'être rcvisé re troactÎ\'ement pou- ten ir I.:ompte,
nota mment de l'àge moyen du groupe assuré. Les L'ollecti\'ité~
contrac tantes restent ai nsi en mesure d'app r écier, dès la souscription ou le r enouvellement de leurs contrats, l'étendue exacte
de leurs engagements et, de .ce fait , de telles assurances ne
comportent auCu n aléa pour ell es.
Mes services se pl aisent à penser q ue les collectivités qUI
ont fait appel au concours de :a Ca isse Nationale pour la garantie du risque de décl-s de leurs agents perma nents, apprécier ont
cette réductio n du ta ux de la prim e d'assu rance qui se tradu ira
pour elles, par une di minution sensible de leu rs cha rges.
Po ur vo us permettr e :ie renseigner les collectivités de votre
département qui envisageraie nt à leur tour de souscrire auprès
de la Caisse Nationale un c ontrat de l' espèce, je \'OUS adresse
ci-joi nt quelques exemplaires d'une documentation génér ale
faisant état du nou veau taux de p rime.
Je vo us rappelle, à ce sujet, que les conditions générales
j ointes concernent plus spécialement les assurances souscrites
en vue de J'a pplication des régi mes de écurité Sociale institués
cla ns le ca dre du déc ret du 2 M ars 195 1. M ais le texte oes conditions générales des assu rances sous':: rites pou r J'application
rie l'article 86 de la loi du 28 Avril 1952, n'en diffcre pratiquement qu'en ce qui co ncerne J'enumération des bénéficiaires d u
capital décès (voir è ce sujet la notice § 3" c. caractéristiques
de l'assu ra nce »» ).
Pou r le Directeu r Général,
et par autorisation,
Le SOlls-DirecteuT dlargê de la Division,
Si gnature: Ill isible.
CAJSSE N ATIONALE D'ASSURANCES SUR LA VIE
ASSURANCE COUECTII'E ANNUELLE EN CAS DE DECES DES AGEN'-S
PERMA.l' lE ' TS DES DEPARTE.MENTS, DES CO,\L\lUNES ET DE LEUI~S
ETABLlSSE.\1ENTS PLIBLICS.
§ l ' - Objet. - Cette assu r ance collecti,'e a pour objet de
garantir le paiement d'un capita l en cas de décès des agents
permanents des collecti"ités loca les, soit dans le cadre du regi~e de Sé~urité Sociale adopté par ces collectivites en application d u decret ùu 2 mars 195 1, soit dans le cad re de l'article
S6 de l a loi du 28 avril 19.)2, portant statut génér al du personnel des communes et des etablisseme-nts publics communaux.
§ 2" - Capital garanti. - Le capital ga ranti est celui dont
le pa iement incombe à la collec tivi té, comp te tenu du ré O'imt.:.
applicab le à son personnel.
.:.
a) - Collectil'ités qui. en applicatioll du decrel dll 2 mars
1951 ,. ont adopté pour lellr personnel k régim e mixte (affiliatiOn a la S~unte SOCiale pou r le s~rvice ùes prestations en
lIature et prise en charge par la collecti\'ité du service des
�~restations en espèces)
: le capital garanti est , pour challUC
aaent, au plus egal au capita l décès pré,·u par le régime de
sécurité sociale applicable aux fo nctionnai res de l 'Etat. Ce
capital est Àl.Î-mème egal au montant du ll ernier t raitem~nf
annuel d'acth'iré, augmenté de la totalité des indemnites acce::;soi res (autr
que l'indemnité de résidence et les avantage::;
familiaux), il l'exception de celles qui sont attachées â l'exercice de la fonction ou qui ont le ca ractère de remboursement
de fr ais; il est majo ré de 4O.<XX> Fr. par e n fan~ â char ge.
b) - ,CollectÏ1'ités qui ont affilié leurs agents au régime genéral dQ Sérllrife Sociale pour l'ensemble des risqlles, y compris le risque vieillesse : si ces colledivitês ont acco rdé à '.eur-s
agents, notamment en cas de décès, par application du decrer
du 2 mars 1951, des a,'antages complémentaires de la Sécuri té
sociale, le capital (Ta r anti est au plus égal à la différence e~t~e
le capital dont les modalités de calcul sont Mfinies à l'all11ea
precedent et le capital Jécès pré,·u par le regime géné ral de
la Sécurité Sociale.
c) - Colle'd Jl'ités qui ont affitié tellrs agents à la Caiss e
nat i onal e dt! Retrait e ties Agents d es coll er/il'it f s locales pOllf
le risqut! de \"ieillesse et au régime gén éral de Sécurité Sociale
J:our l es autres rislJues : il resulte de rensei gnements recueillis
auprès du j\'\inistère de J' Intér ieur que ces collectivi tés .n'ont
pas la possibilité, comme les collectivit és visées à. l'alînea b)
ci-dessus, d'accorder à leurs agenTS, dans le cadre du décret d' l
2 mars 1951 un capita l décès complémentair du capital pris
en charge p~r la Sécuri té sociale. 11 ne leur est do nc pas possible de souscrire une assurance à ce titre.
Toutefois, lorsqu' il s'agit de communes ou d'établissements
publics communaux ou intercommunaux, la Caisse nationale
ri' Assurances sur la Vie est en mesure de consentir à ces co!lecti"ités une assurance collective destin ée à garantir le paiement du capital décès prévu à l'article 86 de la loi du 28 and
1952, portant staiut gén éral du perso nnel des Lommunes et de
leurs établissements publics, sous dëduction du capi tal d~cès
\ eTsé pa r la Sécurit é Soci ale. Le capital susceptible d'être garanti est alors cal culé dans les co nditions qui sont indiquées à
l'alinéa b) ci-dessus.
Les rense ignements qui précèdent ne sont donnés qu'a
titre documentaire. Il appartient à chaque collectivité de déter-
miner eUe-même, au moment de fa souscriptIOn du contrat et
sous sa propre r f!Sponsabilite, le montant du capital qui doit
être garanti sur la têtet de chacun de ses agents, en tenant
compte à cet effet des disposition s applicables au personnel en
cause,
Ce capital peut être r évisé, en cours d'assurance, pou r telIi r compte des modifications survenues dans le montant du
traitemerrt et la situation de famille des assurés. Toutefois,
cette ré vision ne peut inten'enir qu'au debut d' un trimestr e
d' assurance. Il en r ésulte que le capi tal g aranti reste invariable
au cours d'un même trimestre.
§ 3
Caractéristiques de l'assurance. - a) L' assurance
r.e doit comprendre que des agents relevant, suivant le cas, son
du régime de sécurité sociale adopté par la co!lectivité en application du décret du 2 mars 195 1 (personnel permanent aCcomplissant au moins 36 heures de servÎce par semaine) soit de
l' art. 86 de la loi du 28 avril 1952 (personnel permanent a
temps complet e!fecluant 45 heures de service par semai ne).
Mais, pour assurer le jeu nor mal de la compensation des risques qui est à la base de l'assura nce, eMe dott comprend re tous
ces agents, même si certains d'entre eu x n'ont pas actuellement
d'ayants-<iroit appelés à bénéficie r du capital en cas de décès.
Cette r ègle ne comporte d'exception qu'en ce qui concerne les
agents âgès de plus de soi xante ans don t les ayants-droit ne
peuvent, conform ément aux règles applicables aux fondionnai·
res de l ' Etal, prétendre qu' au capital décès prévu par le regime
0
160
-
généra~ de Secu r itè Sociale. To utefois, lorsque la colle ctivité
adopt~ le réO'ime mixte, il y a li eu de comprendre les intéres'~
ses dans l'assura nce, pou r un capita l égal à celui qui serait
versé pa r la Sécurité Socia le, éta nt don né que la collechvit é doit
alors su ppor'rer le pa iement de ce cspita!.
b) - La gara ntie de d'assurance s'étend à to us les risques
de décès, sous l es se illes résen"es enumérées dans l es Condi_
tions IYénérales de la poli ce.
c) - Le paieme nt des sommes dues, en cas de décès c1'un
assuré au cours du co ntrat, est effect ué à la collec t ivité co ntrac_
tante, à charge pa r ell e d les reverser aux ayal1ts-droi~ de
l'assuré. Le ca pita l ga r anti n'est payable que si l 'a'gent décéùé
laisse lin Ou plusieurs ayants-d roit pouva nt préte ndre au ve rsement de ce capita l. Ces ayants-dr oit sont les suiva nts:
s'il s'agit d'agents releva nt d'un r égime de sécurité soci ale
adop té en applicatio n du décr et du 2 mars 195 1 ; conj oinl nOn
séparé Lie cor ps ni dh'or cé et descendants, à dé faut ascendant
à charge.
s'il s'agit d'agents relevan t de l'art. 86 de la loi du 28 aVril
1952, veuves et orpheli ns mi neurs. Sont donc exclu s, tians ce
cas, les ascendants ainsi ,que les veufs d'3!gents du sexe féminin.
§ 4" - Formalit es à remplir. - En vue de la souscriptio n
d' une telle assurance, ies coll ecti,'ités doivent produire à la
Caisse des Dépôts et Consignatio ns (sous le timbre : Caisse
I!ationale d'Assura nces sur la Vie - 4me D i vision - 1er Bureau)'
a) la propositio n d' assu rance ci-jointe, dû ment remplie et
signée par le représe n~a,nt qua lifié de la co ll ectivité.
b) une tlriste des agents à assurer, comportant leurs noms.
prénoms et dates de naissance, ainsi que le mo ntant du capital
devan t êt re ga r anti sur l a tète de chac un d'eu x.
c) suiva nt le régime applicable, les justifi ca tions suivantes :
- collectivités ayant opt é po ur le régi me mixte: un e copie du
règlement adopté et de l'arr êté pr éfectoral d'approbation.
- collecti"ités ayant accordé à l eur personn el des avantage!;
complémentaires s'ajoutan t à ceux du régime gé néral de Sécurité socia le : une copie de la déli bération prise à ce t effet et
de l'arrè lé d' app robati on du mi nistre du Tra vail et de la Sécurité sociale, du mi nistre du Budget et du ministr e de l' Intérie ur.
Si l'assurance est souscrite en vue de l 'appl ication de
,l'art. 86 de l a loi du 28 avril 1952, la coll ec\ ivité n'a aucune
j ustification à produire, les disposi t ions de cet arti cl e s'appnquant de plein droit aux agents soumis au sta't ut génér:tJ du
pe rsonnel des com munes et de leurs établissements pu blics.
§ 5 - Taux de la prime. - L'assurance est co nse ntie, dan"
les conditions qui précèdent, moye nnant l e paiemen t d' une pnme calcu lée, pou r la première période d'assurance, su r la base
d' un tau x annueUde 1 % de l' ensemble des capitaux ass urés (J).
Ce taux est un taux ferme qui n'est pas sucep ti ble d'être
modifié ré'troactivement, à la f in de la péri ode d'assurance,
pour tenir compte de l 'âge moyen du g roupe assuré, non pins
que des résultats effectivement constatés. Les collectivi tés
contr actantes sont ainsi en mesure d'apprécier, dës l'or igine,
l'étendue exacte de leurs engagements et la so usc r iptio n d'unt'
telle assurance ne comporte, de ce fa it, au cun aléa pour elles.
Toutefois, lors de chaq ue renouvellemen t ann uel, il ser.a
tenu compte, po ur la déterminatio n du taux de prime à appll:
quer il l'exercice su ivant, du compo rtement ùu groupe assure
pr écédemment, de tell e sorte que la Caisse nat io nale d'Assurances sur la Vie, q ui fonc tio nne com me une vas'te Illut uet;e et 1IC
poursui t la recherche d'aucu n bénéfice, pourra off r ir aux collectivités un taux de prime co rrespo ndant aussi exactement que
possible à la valeur des r isques co ur us.
---'( 1)
Ce tau x sera réduit à 0,80 % peur 1:1 periode d'.\s~;uran('e du
1er oc tobre 1953 au 30 sept embre 1954 .
ASSURANCE CO LLECTI VE ANNUELL E EN CAS DE DECES
DES AGENTS PElOIlANENl S UES DEPARTE;\\ENTS, DES CO""UNES
ET DE LEURS ETABL ISSEsENTS PUBLI CS
COND I TIONS GENERALES
Obje l de l'assurance
Article premier. ~ L'ass urance coll ective annuell e en cas
tie décès a po ur objet de gara ntir, pend ant une an née à compter de lba date de sa sousc ript ion al! de son renouvell ement, l e
versement d' un capita l en cas de décès des age nts du département, de la commun e ou de l'établissement public contrac tant,
auxquels le décret du 2 mars 195 1 es~ applicable, si ce décès
survient au co urs de la pér iode annuell e d'assurance.
L'ass urance comprend tous les agents investis d'u n emploi
perm anent tels qu'i ls so nt définis à til' article 1er du déc ret susvisé, mais le capital assuré n'est dû par la Caisse natio nale que
si l'agent q ui vient à décéder laisse un ou pl usieu rs ayantsdroi t énumérés pa r l e décret n· 47-2043 du 20 oc tobre 1947
(ar ticle 7 - pa raarap he 2) (conjoi nt nOn sépar é de corps ni
divorcé et descenda nts; à défa ut, ascendan ts à cha rge).
Détermination des capitaux garu'Illis
Art. 2. - Le capita l assuré est déte rminé par la collecti vité co ntracta nte au moment de la sousc r ipt ion du contrat, en
tenant compte des dispositions prévues à ce i effet, soit par le
règl ement visé dans l' instr ucti on du 6 ao üt 1951 s'il s'agi t de
l'application d' un rég ime mixte, soit pa r la délibér ation prév ue
par l adi te insvruction s'il s'agit de l'application d' un régime
compl émentai r e du régime général de l a Securité Sociale.
Il est révisé, s'Ilk y a lieu, au dëbu t de Chaque trimestre,
pour tenir compte des modifications du traitement et de la
situation de fam ille des assu rés sur venues au co urs du tpmestr e précédent et Iqui doivent être notifiées à la Ca isse nation ale
da ns les conditions prévues par le 3me alinéa de l'a rti cle 4
ci-apr ès.
Caractère incontestable du con Îrat
Art. 3. - Les décl at ations faites par la collectivi té co ntra<:tante se r vent de base à I)'assurance qui est incontestable, sau f
dans les deux cas sui vants :
1" en cas de !f raude, toute r éti cence ou fausse déclarat ion intentio nnelle de nature à a'l'ténller l' import ance ùu ri sque
ou à t rompe r sur l'id entité d' un assu ré entraîne l'annul atio n ti c
l'assurance de ce derni er et le rembo ursement sans intérêts de3
sommes versées, sous dédu cti on des ca pitau x qui auraie nt été
payés et de la val eur des risqu es cou rus par la Caisse natk· l1 ale.
2" en cas d'err eur sur J' âge d' un ou de plusieu rs aS~ lIrés,
!'assurance donne alors li eu à révision ùans les con d it i o n ~ prévues par l'arti cle 8 1 de l a loi du 13 juillet 1930.
Obliga tion du souscripfeur
Souscription du ron tra t - Mutatio ns
Art. 4 . - La coll ectivité cont racta nte adresse il. la Caisse
nat ionale, en vue de la souscriptio n du co ntr at, une prop0;';'ltiOl~
d'assurance accompag née des j ustificatio ns nécessaires POUl'
fi xe r l es bases de l'assurance.
Les mu tations en co urs d'assu r ance (adjo nctions d radia
tians) doivent être déc larées par l a col1:iectivife contractante,
dans les ci nq jo urs de la mutation.
Les modifications susceptibles d' intervenir chaq ue trirncstr~
dans le montant des capi taux assures en ra iso n tles chalql>
ments surve nus clan s la situatio n cie fami ll e ou le traitement des
assurés doivent être notiriées da ns l es 5 jou rs suiva nt le débul
clu trim es tre d'assurance à compter duquel la Caisse natio nale
aura à en teni r comptc.
Versemenl de la
L'assu rance est sousnite moyennant le verso,!me nt d'u ne pri me an nuelle dont le taux, exp r.imés en. pourcentage des capitaux assurés, est fixé pa r la Caisse natIOna le. Le
taux de cette prime est revisabl e lors de chaque renou' ellernent
an nuel de lVassurance.
.
Le ver sement de la prime est effectué d'avance à la Caisse
national e pa r chèque ou vi r ement bancaire ou postal .à l'o~dre
C l l Caissier général de la Caisse des Dépôts et ConslgnatlO113
(comp te chèq ues postaux Pa ris 9.063-4 1).
Les modifications du monta nt de l a prime r ésu ltant d'adjo nctio ns et de radiatio ns interven ues au cou rs d' un .t r imestr e
d'ass urance fo nt l'objet d' une rég ularisation à la bn de ce
t r imestre. Il en est de mê me en ce qui concerne les modifications rés ul tant du réajustement du montant des capi tau x garant is à lia suite de changeme nts sun'enus da ns ta situation de
famill.e ou le traitement des assu r és.
Art. 5. _
Obligations de 1" Caisse nationale
Risques garant is
Art. 6. -
La garantie de l'assurance s'étend à tous les
risques de décès sous les réserves ci-après :
10 D ~ cès résu ltant d'accidents, blessures ou maladies survenues du ,fait volontaire de l'assuré ou du bénéficiaire. Ces risques sont, en principe, exclus.
T outefois, en cas de suicide, la Caisse nationate paye le
capita l ga ranti si, depuis deux années, l'assuré était compris
dans une assurance coll ective annuelle ou si, le suicide étan t
su r venu au cours des deux pr emiè res annét!s d' assu r ance, l a
preuve est appo rtée qu'il a été inconscient.
2" Décès r ésultant de la guerre :
La couverture du r isque de guerre couru par l 'assuré, soit
au cours d' une guerre natio nale, soit au cours d'opérations
d'une guerre étrangère dont les eHets att eignent le T erri toi re
hançais ou Uun quelconque des T erritoi res de l' Union française, es t' assuré ainsi qu'il suit ;
Est co nsidére comme décè s résultant d' un rait de guerre:
- celu i provoque par ua engi r. d e guerre ou co nsécuti f
à une blessure} ou à une lésion infligee par l'action des belligérants ;
- celui provoqué par des violences exercé es par l' ennemi ;
- celui survenan t pendant qu e l'assuré est prisonnier ou
est l' objet de déport ation ou d'internement <l u fai t de l'enn emi.
Sont assimilés à l'action de l'enn emi, à la défense contre
l'enn emi, au x violences, à la dépo rt ati on, à l'internement 'Par
l'enn emi, les actes de même natur e acco mpl is par ou contr e une
puissance quelconque en belligérance de fai t ou de dr oi t.
Si le décès de ra ssuré résulte d'un fait de guerre, la ga rantie
du co nt rat joue dans les co nditions suiva ntes :
.
A l'ex pi i atio n d'un delai d' un an aprè la date légal e de
<essa tion des .hostilites, la Caisse Nationale p rocède à la r epartition du fo nis spêcial créé pour la co uvertur e du r isque de
guerre entr e tOliS les bénéficiaires de contr ats d'assuance en
cas -de décès dont l'assu re est dt:-cédé du fait de guerre, le
bénéfice de cette repartition ne pou\'ant jouer que dans la limite
d·un ca,pita l maximum de 500.000 francs ]Jou r chaque téle
as urée.
La Caisse Nationale paie alors
a) Si l'im pbrta nce du fo nds le perm et, le capital assure,
limite à 500.000 francs;
b) Si l'impor ta nce du fo nds ne per met pas cette rëpa rtitio n,
un capital r éduit é\'al ue proportionnellement à la valeur du
ca pital prév u, à l'alinéa precédent.
Si les bé néficiaires ne peuvent apporter la preuve que le
d~cès sur venu au cours des hostilités ne r ésu lt e pas d'un fait
de guerre, ce décès se ra co nsidere par la Caisse
comme en resu ltant.
ationale
16 1
�i rassure perd la \'ie du fait de l'un des risques visés au
présent alinéa, en dehors des cas qui y sont prévus, le co ntrat
est résilié en ce ,qui le concerne,
Les dispositions \'isées ci-dessus ne sont applicabl es qu'aux
contrats souscrits antérieurement à la date d'ouverture des
hostilites.
PROPOS ITI ON D'ASSURANCE
Application d'un r egime de Séc urité Sociale institué dans
Le paiement des sommes dues par la Ca iss~
Nationale en cas de décès d'un assuré au cours du contrat> est
effectué sans intérêts, à la collectivité ctmtracta nte, à char ge
par elle de les reverser aux bênéfi ciaires, après réception des
pièces justifîcati\res ci-apres :
10 ICertificat de la collectivité contracta nte attest-ant :
a) Que l"interessé appartenait au groupe assuré lors de son
décès ;
b) Qu'il existe des ayants- droit susceptibles de benéficier
du capital tels qu'ils sont définis à l'article 7, paragraphe 2 du
décret n· ~7-2045 du 20 Octobre 19-17 relatif au régime de
sécurité sociale des fonction naires. Le certifi at doit préciser
les noms, qualités et adresses de ces ayants- droit.
2· Extrait sur papier libre de l'acte de décès.
3· Certilicat médical constatant le genre de maladie ou
d'accident à la suite duquel " assuré a succombé,
Point de départ, durée et renoll1 ellement du contrat
Art. 8, - L'assurance est conclue pour une période d'une
J
année à pa r tir de la date fixée aux conditio ns part iculières.
Le contrat prend effet du lendemain, à zéro heure, soit du
jou r où la Caisse Natio nale r eçoit le chOque bancaire ou la
somme représentant la prime d'assurance, soit du jour où le
compte de chèques-postaux du Caissir général de la .caisse des
Depô ts et Consignations a ét" crédité de la,dite prime.
Application de &la rt icle 86 de la loi du ,28 avr il 1952. ( 1)
j e soussigné (2)
d'ordre
oms
Prénoms
Date de
naissance
(Mesures de
après avoir pris co nn aissance des condi ti ons génér ales et des
J'ai l'honneur d'attifer l'attentio n d. MAI. les Ma ires du
Départem ent, sur la circulaire ministér ielle ci- apr ès relative â
la particÎ1Jation de l' Etat aux dépenses d'éq ui pement <ies services publics d' incendie (mesure de déconcentrat ion).
pr écisio ns co ntenues da ns l a notice j o in~e à l a lettre de la Caisse
National e d'ass urances sur la Vie du
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secrétaire Génér al,
Maxime M IGNON.
propose à l adi t'e Caisse de co ntracte r sur la t~te des membres
du
groupe désigné dans
la liste cl-j oi nte (3)
une aSSurance
collective anlluelte en cas de décès.
Je cer tirfie que le groupe à assurer comp rend tous les agents
titulaires relevant :
du régime de sécurité socia le institué dans le cadre du décret
du 2 mars 1951 ( 1) ;
RElFBRElNOE. - T extes à carac tère permanent - Instruction du 1er juin 1949, compl étée et mise à j our au 1er mars
1952 - Oircu laire n' 443 du 15 Décembre 1952.
Texte à .caractere non permanent :
M<étropole et G uadeloupe: Circu laire n' 446 du II !Décembre 1952 (déco ncentrat ion).
0
de la loi du 28 avril 1952 portant statut genéral du personnel
des communes et des Etablissem enl'S pubt\cs communau x. (1)
Le capital assuré sera payé à la coll ectivité contractante
SI
J'agent qui vie nt à décéder l aisse un ou plusieurs des ayantsdroit prévus pa r le r égime applicab le, il cha rge par elle d'en
remettre l e montant à ces derniers,
Fait à
le
Signature (4)
MODELE DE LISTE DES ASSURES
N·
PARTICIPATION DE L',E TAT AUX DEPENSES D'EQUIPEMeNT
DES SERVICES PUBLICS D'INCENDIE
l e cadre du décr et du 2 mars 19:;1. (I)
Paiement des capitaux
Art, ï , -
D2 B3 . SC 7
Capital
garanti ( 1)
1 Un nouvel abattement -budgétaire intervenu récemment
d'ans le ca dre des mesures d'économies déci dées par le Gouvernement a eu pour effet de ramener en définitive de 836.000.000
il 595.14 1.000 fra ncs (soit un e reduction de pres de 30 %) le
crédit dont je disposais au début de l'an née po ur subventionner
les dépenses d'éq uipement des "er vices publics d'incendie.
I.Les disponibi lités, après cet abattement, so nt dl'autant plus
'( édultes que les versements mensuels de subventions effectues
jusq u'ici avaient tenu compte du orédi t initialement mis à ma dispositio n,
A mon r egret je suis do nc da ns l'obli gation de prendre
des mesures 'Po ur restreindr e le nombr e des opéra ti ons désormais subventionnables et pouvoir ainsi rése rv er mes crédits
là oCelles q ui r eprésentent un caractère plus marqu é d' urgence
Ou de priorité,
2" La première de ces mesures intéresse les Préfets qui,
da ns le cadre de la déconcentration ont reçu le oo uvoir de
subvention ner en man nom certaine~ opérations d'équipement
(departements de la métropole et de la Guadeloupe).
En effet, j'ai décidé de suspendre toute délégation de crédits
globaux de déconce ntratio n, au moins jusqu'au vote du prochain
budget.
0) Ne pas omettre de rayer la menti<>n inutil e.
(2) Nom et q ualit é du représentant de la collcc.tivilé - Nom de cette
dernière.
Les premiers .crédits délégués le 1er avril dernier ne serI/nt
Oonc pas re nouvelés et il conviendra, s'ils ne sont pas encore
utilisés intégra lement, de les consacrer désorm ais en prio rité
aux opérations d'équipement des centres de secours parti culièrement pou'r leurs achats de tuyaux de refoulement:
déconcen traH on)
U ne fois ces cr édits épuisés vous ne devrez prendre aucune
décision qui puisse constituer un engagement pou r l'avenir, Par
contre je vous autorise à me fransmettre, à partir de ce moment
et jusqu'à nouvel ordre, les dem andes de subvention por ta n.t
sur des achats de tu ya ux de refoulement et ,correspo ndant a
l'armement r églementaire minimum des centres de secourS
(800 m. en 70 mm ., 200 m. en 45mm.).
Ce qui précède doit être interprété pa r l es Préfets ne
bénéfic iant pas enCore en la mat ièr e des po uvoirs de décont:enfration ~G u yane, M'artinique et Réunion) com me constituant
la suspension de tout octroi de subvention pou r les opérations
autres que:
les créatons et aménagements de r éserves et points
d'eau d' incendie,
- Les achats des matériels d'incendie déterminés au paragrap he suivant.
3" Quant aux opérations dont la subvention, en métropole
et dans le département de la Guadeloupe, relève de ma com pé tence, ne ser ont retenues dorénavant qL;.e -celles qui ont pour
objet de doter les centres de secours de leur armement réglementaÎïe minimum, composé :
- Du four gon d'i ncendie (ou, le cas échéant, de tout autre
.véh icule de tran ~port d' un autre type) .
- De la motopompe remorqua ole de 60 m3.
- ne la motopompe portative de 30 m3.
Seront considérés également comme pri or ita ires les cr éations
et aménagements de réser ves et points d'eau d'incendie,
Pour les autres maté:-iels dom peu\'ent être équipés les
lentres de secours (véhicule tiansporteur d'eau, échelle> etc ..
ma décision sera liée à l'éta t de mes crédits.
En tout état de cause les subventions ne pourront être
versées avant le vote du budget de l'exer cice 1954.
J'insiste donc pour que vous opériez parmi les demandes
de subvention à me transmettre une sélection extrêmement
sévère, afin d'évite r que mon administration se trouve au début
de l'an prochain deva nt un arriéré qu'il ne serait pas possible
de résorber avant plusieurs mois,
.»
Pou r le Ministre et par -délégation,
l' Inspecteur Général de l'Administration
chargé du Service National .de la Protectio n Civile,
A. ,PELA BON .
(3) Cette liste doit êt re fourni e en double exemplair e et d oit préciser
(1) Le montant de ce capi tal doit etre déterminé par la ccllectivite
contractante, sous sa propre respon sab ilité, en tenant compte
des dispositions applicables .:.. son personnel (,'oi r 'à ce s uj et le
§ 2 0 c Capital garanti» de la notice),
les noms prénoms et dates de nai ssance d'es assurt:s. ainsi que
le montant du capital à assurer,
(4) Faire p récéder la si gnature d es mots
DI BI . P 5
JEUX D'ARGENT SUR LA VOIE PUBLIQUE
« Lu et approuvé •.
Il m'est signalé la pr3tique, ,sur la voie pu bli que, à l'occasio n
D5 B3 . AG 5
des Fètes Votives de village, du jeu dénommé « Le J\10naco »,
LEGALISATION DES EXPEDITIONS DES ACTES DE L'ETAT CIVIL
ET DES ACTES NOTARIES
Marseille, le 19 juillet 1953.
Le Préfet des Bouches-du-J~ône,
il 'MIM'. les Maires du Département.
Par airculaire n" 55 du 14 Fév rier 1953 et n" 213 du 16
juin 1953, M. le Ministre de l'Intérieur m'a signalé que la Chancellerie estime que seule l'Autorité judiciaire est compétente
pou r légaliser les expéditions des aetes de l'Etat Civil ainsi
que les actes· notariés destinés aux autorités étrangères.
Je vous invite donc à diriger soit vers le Président du Tri162
bu nal Civil dont relève votre commune soit vers le Juge de Paix
oe votre canto n - mais seu lement 'lOrsque celui-ci ne siège
pas au chef-li eu du r essor t du Tribunal de I re Instance - ceux
de vos administrés qui aura ient à faire légaliser des pièc es de
cette nature,
Ces agissements seraient tolérés dans certaines commu nes
état de choses, le jeu du < 1,\ \onaco
,sous quelque forme qu'il
se présente, co nstituant un véritable jeu d'argent tombant sous
le coup des articles 475 (5") et 377 du Code Penal.
en raiso n du versement par les soins des organisateurs de
J'ai par ai lleurs invité M. le Commandant de Gendarmerie
sommes d'ar gent au profit du Comité des Fttes ou parfoiS
et J\I\. le Directeur Départemental des S@rvices de Police, à
d'œuvres de bienfaisance locales,
Je VOus deman de ùe vouloir bien mettre un terme il ce t
exe ~cer
un contrôle co nstant et à faire dr esser procès-ver bal à
l'encontre des délinquants.
Pour le Préfet et par délegatioll,
Le Sous-Préfet
Directeu r du Cabinet,
Signe: PLETTN ER.
l ti3
�--------------------------
COMMUNIQUES
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
AVIS - ANNONCES DIVERSES
Numéros 30 et 31
..
RÉPU BLIQUE
AVIS DE CONCOURS
D3 B2
Un cùncours pour un poste de Directeur-Econome sera
Qu,-ert au Pré\"entorium Departemental de
issone, le 3 1 Août
..,
30 juillet et 6 août 1953
FRANÇAISE
Les dossiers doivent être déposës à la Préfecture de J'Aisne
al'ant le 21 Aout 1953.
Pour tous rens eignements, s'ad resser il la Préfecture de
1A.isne, 3"" Dh' Îsio n,
Bureau.
1953.
,"r
D.D.S.
MEDECIN AUTORISE A PRATIQUER LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES CERTIfICATS PRENUPTIAUX
ET PRENATAUX
Par arrête en datE àu 2 JUillet 1953, .:\l\\. les docteur s:
Casalonga Pierre, 26, rue de la République
.\\attei Camille, 6, rue ..\\onte-Ciisro ;
D5 B3
ACTES ADMINISTRAT
la déli,'ra nce d es ce rti ficats prénuptiaux et prénataux.
ET BULLETIN DES MAIRIES
DONS ET LEGS
Par testaments olographes des 1er jam'ier 1S-46 et 1 ma rs
1953, déposés aux minutes de "W" Patrice ~\\or eIJ notaire il Salon-
de-PrO\'ence, feu ~\. Emile REl ON, a fait le legs suivant :
Je lègue mon livret de la Caisse à'Epargne Nationale Franaise, il l'Hôpital <le Salon.
Conformément aux dispo itions du décret du 1er Fév ri er
1896, les héririers connus ou inconnu de ,\\. Emile Reisson,
sont im;tés à prendre connaissance du testament, donner leu r
consentement à
n e...xécutlon ou produ ire leurs moyens d·oppo·
sirion dans un délai de trois mois à dater du jour du prése nt
a\'is.
.\larseiUe, le
Guigou Georges, 1..4, rue Berlioz,
sont autorisés à pratiquer les examens radlscopiques en \'ue de
DES
juillet 1953.
•••
Par testament aurhentique du 22 .\lai 1953, dépose aux
minutes de J\. Patrice .\ \o rel, 'otai re à Salo n, feue ,\\a àemoiselle Felicie-joséphine RAPHEL, a fait le legs ci-a pres :
Je lègue à l' Hôpital de Salon pour en faire un refuge ou
maison de vieilla rds. sans que cette condition puisse s'Împosei
au légataire d'une façon formelle, la nue prop rié té po ur y réunir
rusufruit au décès de ma légataire universelle à laquelle re""
usufru it reviend ra sa vie durant, un immeuble et ses dep~lI
liances à Salon, rue Suffren, n° 2, où fihabite. T outes réparations d'entretien seront à la charge du légataire pa rticulier,
celui-ci supportant tous les impôts.
Confo rm ément aux dispositions du déc ret du 1er Fenier
1 96, les héritiers connus ou inconnus de ~\\Ile Félicie-Joséphine
RAPHEL, sont invités à prendre co nna issance du testa ment,
donner leur consentement à son exécution o u p roduire leurs
moyens d'opposition dans un délai de Hais mois à dater du
jour du prése nt avis.
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
FS 7. - Spécialités agréées à l' usage des coll eetivités publiques ....
TV X O..- Sursis du Permis de Const r uire de la Societe Routière Colas ....
TEXTES 0 INTERET COMMUNAL
,\ l'arseille, le 8 juillet 1953.
PO
D2 B3
-
AG 2. -
DEMANDE D'EMPLOI
.\\. Andre Pont, ecrétaire de .\ Iairie a .\Ioulezan (Ga rd ),
diplômé de rEcole ~ationale d·Adm inistration .\\unicipale,
sollicite un emploi de secretaire dans une commune du departe-
ment comptant entre 2.000 et 10.000 habitants.
,\L\L les .\\aires intéressés par cette canidature sont priés
de se meUre directement en rapport a\'ec l'interesse.
166
166
,FS O. _
TVX 1. SC 7. S.C 7. -
D.éliv rance. au'x je wl es ge ns du certificat de ,position mi l itair~ po ur l'obte ntion d'u n passe.po rt ...
. . .. .... .... ... .. .. .... .... .... .... .... .. .. .. . . . ..
Election des membres du' Co nseil' d 'Admin istration de .la Caisse N"tio na le des RetTaites
des Agents des COillectivitts Locales .. ' ..... . " . . . . . . . . . . . . . . . . . ...... ... .... .
PlaeemeOit d' urgen ce des pe rsonnes atte intes de troubles mentaux ou 'présumées telles
Projet d'aménagement de lia Comm une de Fos-sur-~'v\er .... ". " .. .
Sécurité dans les ,Etablissements de Natat ion .... .... .... .... .... . ...
Attribution d'i ndemnités a ux officiers de sapeurs"'pompiers volontaires .. . ..•
167
167
170
171
171
171
COMMUNIQ'JES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
A"Îs de co ncou rs (Inspecteur Stagiaire des Instrume nts de mesures)
Avis de co ncou rs (Contrôleu r des lois d'assistante) ...... .. .. . .. .
Avis de concou·rs (Econome du Sa.natorium d e ,Pouance) .... . ...... .
Adj udi.cation publique simple - Service des sllb~istan C"es militaires ... .
Adju'-dication rest rei nte - Service des s ubsista nces militaires de Ma rseiNe
Pou r le PréieI
el
171
171
\72
172
172
pa r uelegaIlGn.
Le Secretaire General :
Maxime MIGNO .
ABRKVIAT10NS. - A. P. : Arr~té préfecto ral. - C. : Circulaire. - Les lettres 0 et 8 suivies d'un chiffre
iDdiqueDt le Service ou Bu reau d"origiDe. - D. S: T .. : Direction des Services Techniques. - D. D. S. : Dinction
Départeme ntale de la Sanlé. - D. D. P. : Dlrechon Départementale de la Population.
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TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
1>3 B2 . FS 7
-
SPECIALITES AGREEES A L'USAGE DES COLLECTIVITES PUBLIQUES
TEXTES D'INTÉRËT COMMUNAL
DI BI . P 0
OELIVRANCE AUX JEUNES GENS DU CERTIFICAT DE POSITION
MILITAIRE POUR L'OBTENTION D'UN PASSEPORT
Paris, le 9 Juillet 1953
Le Ministre de la Santé Pu blique et de la Population,
il
~~ l\1 .
les Prefets.
En vous s ignalant par circ ul ai re n° 8 (dassée a u 3" b) d u
12 Juin de rn ier, la publication de l'arr~tè du 23 Mai 1953 fixant
la nou\relle liste des specialités agréëes à l'usage des co llectiv it és
publiques, je vous avais rap pelé que cette liste avait un caractt-re obligatoire, sauf dérogation acco rdée: pa r mes prop res
services.
Or, il m'a été récemment rappo rté que certains fabricants
de produits non agréés n'hésiteraient pas à en provoquer. rachat
par des établissements hospitaliers publi cs en alléguant que ces
05 B2 . TVX
0
derniers ne sera ient tenus par la liste qu e dans la mesu re où
les fonds employés proviennent ,des subventio ns de l'Etat.
Une telle interpr éta tio n est nOI1 seule ment con traire à l'esprit de l 'article 11 2 - l ' du Code de la Pharmacie · mais eg,.
lemen t â sa lettr e.
En conséquen ce, je vous serais obligé .de mettre les pharmaciens hospitaliers en garde co ntre les agissements dont il
s'agit, et je vo us in vi te â me signaler ceux dont vous auriez
con naissance.
Pour le u\'\ inistre ct par dél égatio n,
Le Di recteur d u Cabinet,
Jacques B. HBRZOG.
'- de positio n militaire pour l'obtention d' un passeport me soit
« adr essée.
Le Préfet des Bouches·du·Rhône,
à MM. les u\1 ai res.
j'ai l' honn eur de VO li S communiquer, ci après le te xte de
!a note nO 24.059 du 21 Juillet coura nt du Colo nel Com manda nt
la Di rect ion Regionale du Recrutement et d e la Statistiq ue à
Marseille, relative à la délivrance aux jeunes ge ns du certifi cat
de Positio n Militaire pour l'obtention d'un passeport.
« J' ai l'Iho nneur de VOLIS renouveler les termes de ma note
• n' 11.545/ AI. J. en date d u 7 Avril 1953, par laquelle je vous
C ,d:emandais de lbien vouloir inviter les j eunes gens à fai re
c: léO'aliser leu r signature par le M.ai re ou l e Co mm issai re de
« P; lice de leur domicile avant que leur demande de certificat
« C'est pou rquoÎ, je vous sau rais gr é si vous pou~iez
c rapReler à vos ser vices la nécessité qu'il y a de fai re connaltre
c cette obligation 'aux jeunes gens intéressés. :)
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général .délégué,
Maxime MIGNON.
SURSIS AU PERMIS DE CONSTRUIRE DE LA SOCIETE ROUTIERE COLAS
RRETE
Le Pré fet des Bou ches· du-Rhone,
Officie: de la Légion d· Honneur.
Vu l'ordonnance n° -I5-5..t2 du 2ï Octobre 1945, relat ive au
permis de construire ;
Vu le déCret n' 46 1ï 92 du la Août ·1 946 portant règlement
d'administration pu blique pour l'a pplication de l'o rdonnance
sus visée et notamment l'article 2 du dit decret ;
Vu la loi d'urbanisme du 15 Juin 1943 et notamment les
articles 23 et -12 ;
Vu la demande de permis de construire présentée par la
Société Routi ère Colas, en vue ode l'édifi cation à Marseille, 2,
rue Reni'-d'A njou, d'un bâtiment à usage_de bu reaux ;
Vu l'a vi s émis par la Comm ission extra-muni cijJa le du plan
d'aménagement de la ville àe .\\ ars ei lle au cours de sa réunion
du 9 Juin 1953 ;
Vu le r apport en date ou 16 Juillet 1953 de ~\. le Délégué
:nterdepartemental de la Re const i uctio n et de l'U rbanisme,
Considérant que remp lacement envisagé pOlIT cette Cons·
truction est situé dans une zone d' habitations soumise à servitu de (secteur E - Ville Verte) par le plan d'am énagement de
la viile .{Îe Marseille, actuellement soum is â l' enquête publique;
Sur la rroposition de M. le Secr étair e Géneral de la Pré·
fectu r e,
ARRETE :
ART ICLE PREM IER. - Il est su rsis à statuer sur la demande
de permiS de co nstruire présentée par la Société Houtière Colas,
relative à l'édification ct' un bàtiment il lisa ge de bureaux, à
lv\arseille, 2, rue Rene -d' Anjou.
ART. Z. -- M. le Secrét aire Général ,de la Préfecture des
l'Inspecteur Départem ental de l'Urba·
nisme et de l' Habitation et M. le Maire de lv\ arseill e sont oha rgés,
(" hacu n en ce qui le co ncern e, de l'exécution du présent arrête.
0 2 B3 . AG 2
j'ai 1ï1O,lreu r de po r ter ci- dessous à l a conn aissance de
MU'v\. les Ma ires du Départemen,t le texte de la circul aire de
M. le Directeur Gén éré.: \ de Ja Ca i - e des Dé.pôts et Consignarions en date GU 18 ju il let H~53 par laqu6l.1e il lomtr.unique les
listes des candidats au x sièges des repr esentants des collec1ivités locatles.
Pour le Pré.fet et par -déléga ti on,
Le Se crétaire Génerat .
Bouch es-d u-~h o ne, MI.
Marseille, le 24 Juillet 1953.
Pour le Pré fet,
Le Secrétaire Gé néral,
Maxime MI GNON.
ELECTIONS DES MEMBRES DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE LA
CAISSE NATIONALE OE RETRAITES DES AGENTS
DES COLLECTIVITES LOCALES
Si'gné : Nia , im e hUONON.
Paris, le ',8 jui,I,let 1953,
Le Directeur Général
de la Caisse des D épô ts et Consignations,
li Mon sieur le Préf et des Bouches- dl/·RhÔne
la Caisse Natiol1'a!e de Retraites des Agents des Collecti-
vités Locaies.
Pieces jointes .- 4.
La ciroul " ire n," 137 AQC/ PER dei M. le J\\ inistre de
t~reiur en date du 23 avril 1953 vous a procisé, en son
V l~ l es con:ditio ns dan s lesqueUes 'les cdl,lec t ivités l ocales
liées à la Caisse Natiotl aa e de Ret naites étaient appelées à
ttciope r à l'élection des représent.ants des collectivltês au
du Co nsei l d'Administroti on de ladite Caisse.
vo udrez bten notifier sans délai aux collect ivit es i nt rressées
de \'ohe dépar tement, en leur communiquant les instrl1Ctions
faisant l'objet du t~tre VI <i ~ l a ci rcul aire pr écitee.
Ch ilq ue coll ectiv it é dont le personnel est affi l ié il la
Caisse Nationc:.le relève de l 'une des ca té go ri es déffinies à l'a rt icl e 1er d'of .j'a r rêté inte rminist,ér iel d u 2ï août 1948, publie a u
Jowrnrul Of'fi cie: du 3; septembre (page 8.697).
La 2me cat égo r ie comprend les vi lles de 150.000 habitants
et plus ainsi que les départements de -\50.000 habitants et plus.
Objet: Electio n des membres du Co nseil d' Administ ratio n de
I" lnti tr e
afotii pa rsei n
j'ai l 'honneur dè vouS a:d resser ci-jointes, etablies pa r
catégor ie de collecti VItes, les listes des ca ndidah , que vo us
166
« O' mes services se voient encore dans l'obligation de
faire r~tOll r d' un bo n nombre de ces demandes pour satis« fai re â ce règleme nt ad ministratif et il s'en suit ainsi ~ne
« perte de temps préjudiciable à la bonne marche du service
« et aux intéressés.
4.
La 3me cat égorie comprend les villes de 50.000 il 1-19.999
" abitants et lES d ~r t em e nts de 150.000 à -1-19.999 habitants
(et non 499.999 habi tants comme il a ete indiqé pa r erreur
da ns l e Journ " 1 O ffici d du 3 sept embre 1948).
La -t-m e t<::t'êgor ie comprend les villes de moi ns de 50.<XAJ
/labitan ts et Its départem ents de moi ns de 150.000 h abitam~.
L a 5me .:-~ tégo Ti e comprend les établissements hospital iers,
" l'exception des etabli ssements dépendant de l' Assistance Publia ue de Paris.
Je VO liS ~ap pelle que !e vote de ch aque assemblée devra
por ter sur d ~u x can d lria ts pour l es collectivités appa rten ant à
l a 2me et à l a 3mt Ou à la 4me ca tégo r ie et sur qU'atre candidats po ur les coll ec ti Vités appa r tenant à l a 5me catégorie.
Pour le lI irecteu r Génér al, et par au t or isat iun,
Le Chef de la t ()- Div isio n
Signé : Ill isi blement.
167
�DEMONT Georges : Conseiller Municipal de Calais - Adjoint
au Maire.
FRA. CESCHI 1 Emile : Directeur Géné ral honoraire Oe la
Préfecture de la SEine - A'l ai re adjoint de Neuill·y-s.-Seine.
ELECTIO 'S AU CONSElL D'ADMIN ISTRATION
DE LA CAISSE NATIO ALE DE RETRAITES
DES AGE.!'1TS DES COLLECTI !TES LOCALES
(a rticies 6, 7, ~'" 9 du dcret
· 47-1846 du 19 sep tembre 1947)
Représentation des collecti,ojtés locales dassees dans la
2me catégorie.
(Villes de 150.000 hab;tants et plus ("',oins Paris) et départements de 450.000 ha'bitants et plus (moiIl6 la Seine).
EnuméraLon, par ordre alphabetique, des candidalures
• ID< sièges d~ representants des collecti,'ités de la 2me c"tégorie. Deux siÈges
à poun'oir.
(Les assemblées ,les collectivites susmentionnées doivent
fixer leur choix sur deux noms pris parmi les caf!didats ci dessous).
Jll~l
BER' ARD Charles : Conseiller Géneral du Finistère.
BOURGEOiS Georges : Oeputé, Président du Conseil Général
du Haut-I~hin, Maire de Pulversheim.
DA 'ILO Phil,ppe : Conseiller Général du Rh ône.
LESCuELl6R L. : Conse.iller Généra:! du Rhô ne, Maire de
Saint-Ign)'~e- Veri-
MOYNET R, emond : Conseiller .\Iunic'pal de Bordeaux - Adjoint au t\'taire - lJél-égué pou!" le personnel.
PELLE Y"es . Conseilier Général du Fini tère - Mai re de
Porspoot'r.
ptlNSOLLE Bertrand. Conseille r Muni6pal de Bordeaux - Administrat~ur
sortant.
\\'ALKER .\I all rice : Sénateu r du Nord - Conseiller Municipal
de Line.
ZUSSY .\\odeste : Sénateur - Conseiller Géné ral du Haut-RhinI<"aire de T.hann.
N.B. - Le slLflfrage e:\--primé par les assemblées dêllbérantes ne doit pa, comporter d'o rdre préfé rent iel en "ue de la déSIgnation de tel candivat ,pour le poste de titulaire et de rel
aut re pour celui de supPléant.
ELECTlONS AU CO 'S EIL D'AD.MINISTRAT.ION
DE LA CAISSE NATIONALE DE RETRMTES
DES AGENTS DES OOLLECTIVITES LOCALES
(articles 6, 7, 8 et9 du déc ret N" 47-1 846 du 19 septembre 1947)
Représentation dos collectivités locales classées dans la
3me catégo rie.
illes de 50.000 à 149.999 habi tants
150.000 à 449,999 habitants).
Enumeration,
et
par ord re alphabétique,
dépa rtements
de
illLLES P ie rre : Co ns";lIer Géné ral du ju ra.
HARD IŒ Gaston: Consei·ller Gé néral de la Vienne - Maire de
Saix. .
Chanoine KIR FeIix : D è put~laire de Dijon .
LAB.ElRTE Adolphe : Consei ll er M\lll icupal de Reims - Administrateur so r tant.
teur - Préside"t d" Consell Général de la Mayenne.
-'1AILHE Pierre : Avocat - Député - Conseil'Ier Général
Hautes-P yrénées - Maire de Rabastens-de-Bigorre.
des
MONDON Raym ond : Dép uté"Mai re de Metz,
MONTE.SSU IT Claudi us: Conseiller Généra l de la Haute-Savoie - Anciens Maire - Président de l'Association des Maires de la Haute-Savoie.
PET'RI Louis : Conselller Municipal de Rennes.
PI~A
Geo rges : COl>Seiller Général de
Maire de Thonon -les-Bains.
Consei~er
la:
Haute-Savoie-
des
candidatures
(Les assemblées des collectivites susmentionnées doivent
fixe r leur choix sur ·deux noms pris panni les candidats ci-
dessous).
MM.
Conseiller Municipal de Rennes.
N.B. - i..e s uff rage eXip rimé 'pa r les assembl ée,s délibéranles ne doit pas comporter d'o rdre pr€tférentiel ell vue de b
désignation de te l candidat pour le poste de titulaire et de tel
aut re pour celui de s upp lea"t.
DE LA CA·ISS5 NAT IONAILE DE RETR.AlITES
DES A!OENTS DES COLL5C1WilTES L OCALES
(articles 6, 7, ~et9 du déc ret N" 4;-1 846 du 19septembre
Mo n ~ba rd .
DE VANDBGRE Georges: Maire de Châteaumeillant.
DUIRIIS j ean : Conseiler munici!>3'1 de Tremblay-les·Gonesses.
FA TOME Georges: Maire de TourlaviLle.
F.EI~RUICOI
FlOT Lazare : Conseiller municipal de la Ha ye-Desca rtes.
OJUST'I Fra nço is : Horticulteur - 1er Adjoint au Maire
Sai nbLalil el\t....du- Var. ..
de
GRATIEN Ueorges : 1er adj oü1t au maire de Sa rcelles.
municipaJl de
Lussa I!H-s.-
Loi re.
HE<NR ICH
Nicol~s
HERB'E'rn
Piierre : AdjOint au maire de Saint-Quentin .
1 ~47)
Re,:>re.5ent ation des coll ectivités loca les classées dans. la
: Nlai re de Niederbronn-les-Bains.
les candidats ci-
desso us).
ADA'M Achille: Ingénie ur - Conseiller munic'pal
.. OUILLON Jaoques : Ingénieur des Mines - Conseille r génera! de la Lozère.
1315RENGBR Léon : Maire de St-Laurent-du-V a r - Conseille r
ge néral des AI1pes-Maritimes.
BOD IN Gustave: Co",eiNer municipal de Charentilly.
BOBHlM Emile: Conseille r municipal de Nisderbronn-Ies-Bai ns.
B.RUNET Pi erre : Conseiller mumicipal de Champniers.
re de Putsaux.
BRUT jean,Baoptiste : Mai re de La Bourboule,
CARA.\·UAN P rosper: A<ljoint a u Maire de Sceau x.
CARTIER Gilbert: Maire de Vtlleneuve"le-Roi - Dépu té.
all'tre pour cehLi de sappléant.
ELECTION AU GO
E IL D'A DMINISTRATION
DE LA CAIISSE NAT IONAtLE DE RETRAITES
DES AGENTS DES COLLBCTIVI'T'ES LOCA LES
Etablissements
Conseiller municipa·1 de T ourlaviUe.
'-'AlL'A'NGE j os~p h : Co nseillier mllnieipaJl de La Haye-Desca rtes.
LAU.NA Y Mdfcell : Adjo in l a u mai re de Sainl-Maurice.
Alexandre: 1er adjoint au maire de Portes-Ièsen
droit - Diplômé de l' Ecole
libre des sciences poLitiqL!'es - Conseiller munic wpa l de Jus-
sey.
ConseiUoer nll1nécipaJ d'Allençon,.
l.E OA ILLA-R.D Ren é: Conseil,ler mllnUcipal u'A.u lnay-so us-'llois
Mme MASSON,
" ée CAT Hi\,L!\
Pau-I ette: 2me adjoi nt
au
maire de Châteaumeillant.
MAZlJ1RI'ElR Pa ul : Maire d 'ArnolwilJe-les-Go nesses - Conseile
1er gèneral de Se in~-et-Olse.
i\l€IS11E'R-H AMS Mbert : Maire de Sorgues.
d'Athis·~lons.
S'IMONNET René : Cons.~ler munidpal de >Donzère.
T .AIMA R<ELLE René, Roge r : Maire de Bihorel.
·l'R.5MIIN1' IN P ierre: Maire de PiIouescat _ Député honora ireP résident de l'Association des Maires de France.
JEAN Ma urioe
LEOOMrrE Gaston: ConseiMer municipal ' de M"rcq-en-Barœul.
I..JE<CON'T'E Lowis : Caissier retrai.re de la Banque de Fra nce-
fixer leur choix sur edeux noms pris parmi
SCHWARTZ Ren.é : Greffie r de Paix - ConseiUer municipal
d'Etain.
SILVE RQbert : Comj)table - Conseil~er munie'pal de So rgrués.
Représe ntati on des co llecti,'ités
5me catégo rie .
(V iJies oe mOd1S de 50.000 habitan ts et départements de moins
de 150.000 habita nts).
susmentionnées doivent
SAIUVE Maurice: 2me adjoint au maire de VilleneuVe- le-Hoi .
HaoRVE'JUIN Ren é: Adjoint au mai r,e de BazinCl>urt-s.-Sa ulx.
LBBOUII..JAiNGE-R A1iarcel : Fondé de pouvoir - Conseiller municipal de Marly-le-Roi.
(Les assemblées cies collectivités
ROUSSEA U Pierre Fran çois : Conseiller municipal de Mantesla-joJ ie,
(a rticles 6, 7, S et 9 du décret N" 47-1846 du 19 septemb re 1947)
-lmè ca tégo rie.
En ..: mératJon, par ordre alphabétique, des candidatures
zux sièges de représentants des colle·ctivitoés de la 4me catégo rie. D eux SiegeS à pourvoir.
MUe ROB.ERT Mlarguerite : P,ro fesseur honoraire d'Ecole Normale · Conseiller municipal d'Alençon .
ROUGEAUX Bertrand : Conseiller munici",,1 de Cinq-Mars.
N.B. - Le su>ffrage ex,prirn;; 'par les assemblées d<'libérantes ne doit pas comporter d'ordre l'rl1érentieJ en vue de la
désignation de tel candidat pour le poste de titul.. ire et de tel
An,ge : Adjoint faisant fonction, de maire d'Afa.
L>E<BLOND Charies : DdCteur
BARATGIN Pa .. 1 : Dvcteu r en médecine - Questeur du Conseil
de la République - Sénateu r - Président du Conseil Géné-
1éR
maire de
Valence.
BO~DES jean : .Directeur ho noraire d'EcoJe _ Adjoint au Mai-
BOYER ,\ lax : ConseiHer Général - Président du Conse.il Générai de la Sarthe,
al~
DELANNOY Pa ul : Adjoint au mai re d'Hellemmes_Lille.
LM,~ELO I SE
EiLECTIONS AU OONSElL D'AIDMINISl'RATION
AU.B.ERGER Fernand : Sénateur - Conseiller Géné ral de l'Allie r - .\\aire de BeUerive-s.-Aliier.
ral des H zutes-P yrénées - Maire de Lannemezan.
cie n maire.
OUESTAUILT wcien : Con seille r
Géné ral du jura - Maire de Vin-
M.Il.
aux sièges de rep résentants des collectivités de la 3m e catégorie. Deux sièges à paun'oi r.
CORtf'A Paul . In.génieu r - ConseilJer municipal d'Athis-Mons.
OOUliLLAUX Gaston: cOle adjoint au Maire de Sarcelles.
DANT H IN Georges : Conseilaer , mWlicipal d'ca ubonne _ AnDIEOf'ER Louis : Adjoint
LE BASSER t:rancis : Docte ..:rr en médeci ne - chirurgien - Séna_
RODOT Marius
cel·les.
ROULAIN D j ean
BCART'RY Benjamin: Maire d'A rques.
OESNIE Léon : Co n seille~ municÎi\lal de Mantes-la-jolie.
OO U IN Elie: Employé S,N!C!F. - Conseil'Ier municipal d'AthisMons.
NII5UN:ER Gabri el : Conseil·ler
Gonesse .
mu'nicipal
de
Tremblay -Ies-
MONCElLE'T' Louis: Conseiiller municipal de CharentiLly.
MOREAJU j ules : Congeiller municipal de Lussalut-sur-Loire.
NA~BEY Pierre: Notaire - Conseiller muniei'pal d'Etain.
P5NiDARLES Gaston . Conseil'Ier Oliltnicipal de Capendu,
PlEYREIS Raymond : Maire de Tarb.es,
RiJOQ UIlN Robert : Conseiller Jllunicipwl de Cinq-.Mars.
PR,ATZ RaylTlond : Conseiller municipal de LagJ1y.
IlJE'JNlAUID Paul
Ch<>t
de dist ri ct à la
S.N.C,F. - Conseiller
Illttn'icipa l de Bruyères.
RIV IE I~ Georges: Chef
d' MhiS-'Mons.
de
servica - Conseiller
mWlic~al
l o~a l es
classées dans
la
.
hospitaliers à !'ex;:::cptior: des établissements
dépendanl de l'ASS Is tance Publique de Paris.
Enum érati on, par ordre alphabétique, des candidatures aux
s:eges de représen l'ants des collectidtés de la 5me catégorie.
Quatre sièges à pocrvoir.
(Les assemblées ces collectivitl:s susmentionnées doivent
Pxer leu r cho;x sur qualrl! n om~ pris parmi les candidats c.i-
dessous).
MM.
J30URDEAU Yves : Vice- Pré ident des Hôpitaux de Nantes.
Administrateur sortant.
CAI~ I~<ERE Geonges : Docte ur en médecine, ,;ce- président d e
la Commission administrative de l' H ôpital mi xte de T a r-
bes,
Président <le la Commission
méd ica le
consul1atjvc.
Président de l'O rdre départ ementa l des l\lédecins.
CONVERS Louis : 'Membre de la Co mmission admi nistrative
et Ordo nnateur adjoint du centre hospitalier régional d:
Besançon. membre de la Commission administrative de
l' Hôpital de Baume-les-Dames, membre de la Commissio.l
de sunrei l!Jr.ce du Sanatorium départemental des Tireroyes, membre de la Commission de surveillance du sallatorium départemental des Geney riers à Villers-le-Lac
membre du Conseil d'Administration des Prévento riums de
l'Office d'hygiène sociare du Doub .
de LUZE I~oge r : Président de l'Union hospitalière du ' lIdO.uest, vice-p réside nt des
nIstrateur sortant.
Hôpi taux de Bordeaux,
admi-
DURBET Marius : Député de la Nièvre, membre de la CommlSSI?n de surveillance du sanatorium de Pignelin. co ns eiller genéral.
FAUCON, Emmanuel: Secrétaire ,général de la Fédération hospltallere de France, Administrateur des Hôpita ux de Lyon,
Admmlstral'eur sortant.
riE Arsène ; Docteu r, rPrésidcnt de la Commission de sun'cillance du sanatorium lPignelin, conseiller "éné ra l de 1.
Nièvre.
0
100
�FLOCH Michel : Membre de la Commission de Surveillance de
l'Hôpital pSl'chiâtrique de Quimper.
THOUV IGNON j ea n : Vice- président des hOpita ux de Tour_
coing, vice-préside nt de ,'U Ilio n hospitalière du Nord-Est.
GERARD jean Robert : Mem bre de la Comm;ssion de Surveillance du Sanatorium de Pi gnelin, conseiller gênéral.
1 RIA IRE Charles: Membr e de la Commission de surveillance
MERESSE Rene: Ordonnateur, membre de la
administrative des Hospices ci\'ils de Guise.
Commission
D5
B2 -
T VX )
PROJET D'AMENAGEMENT DE LA COMMUNE D~ fO S-SUR-MER
ARRE'T'E
du sanatorium de Po nteils, vice-président de la Caisse de
Séc urité Socia le d u Gard.
Vu le projet d'aménagement de la Commune de Fos-surMer,
Le P réfe~des Souches-du-Rhône,
A~RETE :
Officier de la Légion d'Honneur .
PAD Henri: Notaire, membre <Je la Commissio n de sun ci llance de l'hôpi tal psythiâtriquc de Saint-Venant, Adm inistrateur provisohe aux biens du dir hôpital, Mai re de Béthune.
NB. - Le su,ffr age eXIPrimé par les assemblées délibé rantes ne d"i t pas compor ter d'o rdre pràfér entieJ en vue de la
désignation do te l ca n.d idat pou r l e 'Post,e ode t i~Ldai r e et de tel
autre Jlour celu i de slIppl'éa n!.
Vu la l oi d' Urba nisme provisoirement applica ble du
j uin 1943 ;
15
Vu l'anrêté du 22 Avri l 1945 classant la Comm une de Fossur-Wter dans la 'ca tégorie des Com munes sinistrées ;
Vu la Joi va liod:ée du Il Octobre 1940, 12 j uillet 1941 rel ative à la reco nstr uctio n des immeubles ,d',habitation pa rtiellement
ou totalement détruits par suite d'ac tes de guerre ;
03 B2 -
FS
0
PLAC6MENT D'URGENCE DES PERSONNES ATllEINTES DE TROUBLES
MENTAUX OU PRESUMEES T ELLES
Marseille, le
27
juillet
1953.
le P.ré'et des Bouches-du- Rhône,
à MM. les Maires du Departement (pour exécution);
à AU\. les Sous-Préfets d'Aix et d' Arles ;
d M. le M édecin D irecteu r de l' Hôpi tal Psychi âtrique d'Aix-en-Proven ce
à M . le Directeu r de l'Hôpital-H ospice de La
Timone ;
(S/'C rie M. le Directeur Général de l'A.A ..f>!M .).
Il m'a eté donné de consta ter que cer taines J\o\airies du
Département avaient perdu de vue les instructions antérieureconcernant le placement dans les Hôpitaux Psychiâtriques de
malades atteints de troubles mentaux, et qu' elles hésitaient su'~
la co ndui te à tenir en présence ct'u n aliéné ou presume tel,
présentant un certain danger.
Le ma lade est alors conduit à cet 'hôpital par les soins des
Services M un icipa ux, le dossier d'admIssion comprenant une
ampliation de I"arrêté de placement, pr is en vertu de l'article 19
de la loi du 30 juin \838 précité, un exemplaire d\l procèsver ba l d' enq uête et le certificat médical.
.
Je crois devoir , à ce suj et, trappe 1er ma circu laire du li:
Août 1950 parue au Bulleti n des Mairies n" 34 du 24 Août 1950,
appelant l'attention sur l'i ntérêt qui s·attache à fou r nir toutes
in'dications utiles Sur le comportement ldu malade dans le milieu
social, ces ,renseig nements étant d'une gra n<ie utilité po ur le
Médecin-Ohef traita nt, lors <Je la rédactio n du certifi cat immédiat
prévu pa r la loi .
li .dbit être rendu co mpte des placements de cette sorte
au Préfet, sous le timbr.e : 3me Division, 2me ,Bureau, dans les
24 Iheures en lui adressant un doubl e dossie r d'admission (arrêté
de placement, proc es-verbal d't.'nquête, certifi cat médical).
rai donc l'honneur de rappeler que l'article 19 de la loi du
30 Juin 1838 stipule : c qu'en cas de dange:- imminent attesté
c par le certificat d'un médecin ou par la notori été p ubliqu e,
c les Commissaires de Polic~ à Paris, et les J\1aires dans les
c: autres comm unes, ord onneront à l'éga rd des peisonnes atte;n_
c: tes d'aliénatio n mentale, tOlites mesures provisoires nécesc saires, à la oha rge d'en référe; dans les 24 heures, a u Préfet
< qui statuera sans délai ».
En appelant l'attention de W1(M. les M'aires ,<tu Département
sur le fait que les 1Jlacements pa r voie d'autorité en cause ne
co nstituent, en l'o ccurr ence, qu~ des mesur es pro visoires, la décision de l' internement d'oftfice i ncomba nt, en tout état de cause,
à l'Administration Préfectorale qui confirme ou non les dites
mesures, je leu r demancfe1 instamment] de ne pas hésiter à
r ecourir oà cette procédure de placement d'urgence oha que fois
que Ja nécessité en allIa été reconnue.
Les mesures provisoires visées par ce texte, consistent dans
les Bouches-du-Rhône à faire admettre IXov isoirement et <t'ur '
gence Ii?S intéressés dans le quartier des malades mentaux de
l' Hôpital-Hospice de l a T imone à <Marseille pour les administr es
dépendant <le l'arrondissement de M arsei lle et à l'Hôpital Psychiâtrique d'Aix-en-Provence, pour ceux dépendant des arrondissements d'Aix et d' A,rles.
III est inutile d' insister qu'il convient, dans ce doma ine,
d'agbr avec la plus gra nde di li gence en -vue Ide la sauvegarde
de l' or<1r e public et de la sûreté des personn es.
Pour ce faire, apres l'enquête, et, généralement, la viste
médica'" qui suit établissant J'état <J:'aliénation mentale du
malade, et le danger qu'il peut présenter, un arrêté est aussitôt
pris pa r le M éi re, pre~ c r ivant le placement provisoi re et d'urgence de l'intéressé à " Hôpital Psychiâtrique duquel dépend la
commune.
)%
Je vous serais donc obligé de vo uloir bien prendre toutes
dispositions utiles en vue de la stricte applicat ion des instructions qui précèdent, dont l'inobserva tion risqu erait d'entraîner
des in cide nts .graves.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secrétaire Général
Maxime MIGNON .
Vu l'ordonnance n" 45-2062 du 8 Septembre 1945, relative
à la constru ction des -bâtiments et des services publics ;
Vu l e décret ,du 21 j uin 1945, re latif aux projets de ,econstruction et d'aménageme nt des Communes sinistrées, modifie:
le 23 Mars 1946 ;
Vu le décret-loi du 30 Octobre 1935, relatif à l' ex'Pr01lria~on
et à j'occupation temporaire des p ropriétés nécessaÏlres aux
travaux militaires ;
Vu l'avis de la Section Permanente de la Reconstruction
le 27 Novembr e 1945 ;
Vu le p rocès-verbal de l'enquéte à laquelle il a été (JI'océdé
le 20 Ao ût 1949 ;
Vu la délibération du Conseil M unicipal du
Vu en date du 31 D écembr e
Conférence entre ser vices ;
1952,
ARTICLE P~ I ER, - Est approuvé tel qu'il est annexe
au présent arr êté, le projet d'a ménagement de la Comm~ne Cle
Fos-sur.JMer dans les formes où il a été soumis à j'enquete.
ART,
4. Les plans dlalignement et de nivell ement, le.
ser vitu.des à préciser sero nt détermin ées ultérieurement, conformément à la législation en vigueur.
ART, 3. - L 'eXJlropriation pour ,cause de pius-value prévue
it l'articl e 68 du décret-loi du 8 Août 1935, sera ajl1Jlicable à
l'ouverture des voies nouvelles prévues au plan, pour une zone
comprenant les propriétés intéressées par l'emprise des voies
nouvell es et celles comprises de pa.rt et d'autre de cette emprise
dans une bande de terrain large de 50 m. au max.imum de
chaq ue côté des dites voies.
MT. 4. Le pr ésent a·rrêté sera publié au Recueil des
Actes Administratifs du Département des Bouches-du-Rhône.
ART. 5. - L ' In génieur en Chef, Délégué Interdépartemental
du Mj nistere de la Reconstr uctio n et de l' Urbanisme, est charge
de l'exécution du présent arrèté.
.Marseille, le 2~ juilJet 1953.
9 Octobre 1952 ;
Pour le Préfet
le procès-verbal de la
le Secr étaire Général,
Vu l'av is favorable de la Commission Dépalftementale d'Urbanisme dans sa séance <fu 1er Juin 1953 ;
02 -83 .
SC
7
Maxime MWNON.
SECURITE DANS LES ETABLISSEMENTS DE NATATION
J'ai l' honneu r d'attirer tout particulièr ement l'a ttention d e
MINi. les ,M a ires du Département sur le text e ·de la circulaire
ministérielle n" 264 du 27 j uillet 1953 ci-après co nce rn ant la sécurité dans les établissements' de natation.
Pour le Préfet et Ipar I<!élégatio n
Le SecrétaIre Général.
Maxime MlGNON.
Paris, le
27
juillet
1953.
le Aunistre de l'lnterieu.r,
à IMIM. les Préfets (Métropole et Outre-Mer).
Selon les termes de l'article 4 de la loi n" 51-661 du 24
ai 1951, toute personne assurant la surveillance d' une baignade
(j'accès payant ou do nnant ùt's leçons à titre onéreux doit, à
compter ,du 24 Mai 1953, posséder obligatoi rement le diçllê>me
de maItre-nageur sauv eteur institué .par l'arrêté interministériel
au 31 Juillet 1951.
Je orois dev oir appeler spécialement votre attention sur
cette obligation1 de nature à renforcer la sécurité dans les
établissements de natation,
Je vous signale que toutes l es demandes d'équivalence
so umises à l'appréciation de la Commission nationale ont été
exa minées et que les cartcL'idats non encore en possession de
leur diplô me ont reç u une attestation pro\'iso~re délivrée par les
services du Secrétariat d'Etat à l'Enseignement Technique, if
la jeunesse et aux Sports.
Ce même dé-partement ministériel m'a informé qu'il a donné
aux ,recteurs, pour ce qui les concerne, toutes instru ctions utiles
au sujet de l'ap,plication de la loi .
Pour le Ministre et par délégation,
L'Inspecteur Général de l'A.dministration
cha rgé du Ser vice National de la Protection Civile
André PELAlBON.
'.
171
�02 B3 . SC 7
ATTRIBUTION D'INDEMNITES AUX OFFICIERS DE SAPEURS POMPIERS
VOLONTAIRES
Jai l'honneur d'attirer l'attention de .vl!.\\. les \\ taires .. li
Département sur le texte de la circu laire min isteri elle ci-après
toncer nant l'attribution d'indemnités aux officiers <ie sapeurs
pompiers volo ntaires.
Pour le P réfet et par délégation,
Le Secrétaire Général,
Maxime MIGNON .
Paris, le 30 Juill et 1953.
L e l\\inistre de l'Intérie ur,
.à
,,~.
le
Préfets (.\Ié tropole et Out re-.\1 er).
A J'occasion de la verification des co mptes d' un Perc epteur
Hecel'eu r communal, la Cou r des Comptes a rappelé qu'en
application des articles 1 et 2 de I"o r<ionnance du 17 Mai 19-15,
les Conseils .\\unicipaux ne peuvent allouer à leurs pompierr
permanents ou p rofessionnels que des indemnités prévues par
des arrêtés interministéri els et que ces indemnités ont été fixées
pa r l'arrèté du 20 Juin 1946 et les textes modificatifs po ur les
pompiers permanent le 23 Mai 195 1, pour les pom piers p rofessionnels.
Seuls sont soumis aux dispositions r estrictives de l'ordo _
lIance du 17 ~~\ai ,194:5, les sapeu r s-p ompi ers professio nn els ~u
per manents, l: esf--.1- d l re tous les agents du ser vice d'incend'
qui ont ~é m unérés à plei.n tem~s sur le budget co mmunal, so\~
au seul tlHe de cc servIce , SOIt co n~m e emp l oyés d' ull autre
service co mm unal exer ça nt accessoIrement les fonctions de
sapeur-pompi er.
titulaires et auxiliaires du cad r e natio nal des Préfectures po urv us
du baccalauréat ou du brevet supéri eu r et justifiant de traie;
ann ées de se rvices effec ti fs ,d ans une Préfe cture, ainsi que ce ux
du cad re dépa rt emental de Sei ne-et-Oise, dans les mêmes co nditions.
L'échelle des traite ments des co ntrôleurs des Lois rd' Assistan ce est fi xée co mm e sui t:
,Bohelon
L a situatio n es t toute différ ente en ce qui Concern e les
sapeurs-pompiers vo lontair es.
Indi ce
3 15
295
275
L' Inspec teu r Général de l' Administratio n chargé du Service
Cette obser vatio n de la haute ju ridiction précise de façon
très exacte la portée des réglem entations en vigueur en ce qui
concerne les rémunérati ons à allouer aux sapeurs-pompiers.
complémentaires pou rront être obten us.
Pour le Préfet
Le Secréta ire Généra l,
~ II. COO
Ma xime MIGNON.
472.000
AVIS DE CONCOURS
Je vo us prie de vou loir bien faire par t d e ces précisions
aux maires de votre département
Pour le Ministre et par délégation.
Les ca ndidatu r es devront êtr e adressées avant le 3 1 Août
1953 à la P réfec tu re de Seine-et-Oise, Direction du P erson nel
700.000
650.000
600.000
55 1.000
340
3'' 11
de m ~me nature que celles prévues pour la -rémunération des
fonction nai res de J'Etat.
et des Affaires Oénêrates, 2me Bur eau, où to us r enseignements
Traitement annu el
390
365
La . emunérati on des intér essés peut co mporter non seule.
ment les vacations d'i nterventions ou Id'exercices, mais encore
les indemnités q ue le Conseil Municipal juge opportunes SOl
réser ve, bien entendu, du contrô le norm al pa r l'autorité de
tutelle, notammen t sur les rncidences bud gétai res de telles
décisions.
A ces traitements s'ajoutent les indemloités et allocations
•
(E cono me du Sanatorium de Pouance)
Un co nco urs sur épreuves est ouvert à la Préfecture de
Ma in e-et-Loir e les 30 Septembre et 1er Octobre 1953, pour le
recru teme nt de l'éco nome du Sa natorium de Pouan ce.
Nationale de la P rotection Civil e.
Les dossiers ,dies célndidats dev ront pa r ve ni ~ à ,~\. le Préfet
~e
M'aine-et- Loir e, Ange rs, 2me Di vision, 3me Bureau, ava nt
le 3 1 Août 1953, date de clô ture des insc riptio ns.
Pour tOIlS r enseignements complémentaires, s'ad,resser à
la P rélecture de "'Iaine-et- Loire.
Signé: A. PELA BON .
M1N1STERE DE LA GUE.RRE -
(9"" Hégiol1 Mi litai re)
SERVICE DE.S SUBS ISTANCES MIL IT AIRES
COMMUNIQUES
02 B3 . SC 7
PLACE DE MAHSEI LLE
AVIS - ANNONCES DIVERSES
AVIS DE CONCOURS
(Inspecteur stagiaire des instruments de mesures)
f\ VIS DE CONCOURS
Un co ncours aura lieu les mercredi of et jeudi 5 Novembre
1953, en vue ,de pourvoir 10 postes d' Inspecteur stagiaire des
Instruments de Mesure.
Un centre d'épreuves écrites est prévu à .I\\ arseille ; les
épreuves orales se dérouleront à Paris.
L a liste d'i nscr iptio n des ca ndidats au concours sera close
le 8 Octob re 1953.
L es demandes de re nseignements et ,dradmission au conco llTS
doi ve nt êt re adr essées à M,. le Directeur de l'Admin istration
Générale du M'i nistère de l' Industrie et Id'u Commerce, 11 8, rue
<i e Grenelle, Paris VlI' .
Le concours est ouvert aux ca ndidats du sexe masculin,
âgés de 22 ans au moins et de 30 ans au plus dans l'année
du concours) sous réser ve Ides reculs de limite d'âge (services
civils et militaires, admissibilité à un précédent concours).
ADJUDICATION PUBLIQUE SIMPLE
Une Adjudication publique simple allra lieu le ve ndredi
Il se ptembre 1953 il 9 heures, il l' In te nda nce des Subsistances,
caserne Audé oud, Promenade de la Corni che, à J\\arseille, po ur
la fournit ure aux Corps de Troupe, Etablissemen ts et Services
dl:: la ge Hégio n Militai re, pour la pér iode du 1er octobre 1953
au 3 1 mars 1954, de :
1.212 Tonnes enviro n
Coke cie ,gaz
3.804»
»
Bou lets (o voïdes) ....
Une adjudication r estreinte au ra lieu à l 'Intendance A\ilttaire Ides Subsista nces de l\\arseille, caserne Audéoud, Bâtiment
« H », Promenade de la Corniche, le 9 Septembre 1953, à
heures, po ur la fo urni ture du pain de troupe à la ration, distribution de vivres , matériels et combustib les.
o
(Contrôleur des lois d'assistance)
Un concours pour le r ecrutement de deux contrôleurs des
Lois d' Assistance est ouvert à la Préfectu re de Sei ne- et-Oise à
la date dl! 27 Octobre 1953.
Pourront prendre pa rt à ce concours les candidats des deux
sexes âgés de 25 ans au moins et de 30 ans au plus au 1er jan-
172
•
ADJUDICATION RESTREINTE
Le Secrétai re Général,
AVIS DE CONCO URS
•
SBRVWE DES SUBSISTANCES MILITAiRES DE .\IARSE!LL E
Po ur le P réfet
Maxime MIGNON.
»
»
3.005
Lignite
»
»
A nthracite.
33
»
»
Houil le 1/ 2 gr asse
.. , . . , ... .
240
»
Char bo n de forge ...
" ..... .
30
»
-12
Houille anthraci te use , .. ,., . . . .
>
»
Grains d'anthracite supër ieurs ..
120
Tous les documents se rappo rtant à l'adjudi cation pourrol"[
l·t re co nsul rés il 1 ~lnte nd a n ce sus-visée.
Les places mises en adjudication sont le suivante~
-
Sa lo n-de-Provence (Bouches·duoRhô ne).
- Avignon (Vaucluse).
PERIODE. : Du 1er Octobre 1953 au 30 Septembre 195-1.
La 'Œate extrême de dépôt de l'intention de soumissionner,
des pièces et du mémoire sur j'organisation de l'entreprise, es
fixee au 20 Août 1953, avant 18 heures.
Tous les documents se rapportant à l'adjudi'Cation sont à
consu lter à r1ntendance stls-visée ou dans les bureaux des
suppléances de l' Intendance des Places d'A "ignon et Salon.
vier 1 ~53. Ce tt e li mite d'âge peu t êtr e reculée pour services
antrie urs civi ls et militaires et char ges de fam ill e.
L es can<iIidats doivent être de nationali té française et pourvus de licence en droit.
Peuvent égaleme nt prendr e part à ce concours les agents
(NI'RUl&RII NIlU\' J:ua na M ARSIILL5, 120.
rut: Sainte'
173
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
RÉPUBLIQUE
Numéro. 32-33-34
FRANÇAISE
13-20 et 27 Aoilt 1953
...
....
IL
DES
ACTES ADMINISTRAT
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
•
TABLE DES MATIÈRES
,1
1
TEXTES D'INTERET GENERAL
FS
FS
FS
A
7.
7.
7.
O.
-
1
176
17ô
177
177
Si tu ation Fisca le des membres du Corps M edical Hospital ier
Hospice de L a Fare. Prix de j ournée .. " ",. " , ' ""
Hôpital'-Hospice d'A ubagne. Pri x de jo urm!e ............... .
Attr ibu ti on de pr imes aux chevaux des Sociétés H ippiques U rbai nes ..
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
AG
AG
AG
AG
SC
2,
2,
2.
6.
7,
-
Medaill e d' Hon neur D epar tementale et Cornm una le
""
""
,,"
Caisse Natio nale de Rei r aites des Agents des co llectivites locales
""
"., ,.
Pe nsions des Agents des co ll ec tivités l o~a l es. Recou rs en Conseil cte Pr éfecture ........
Dessèchement des quartiers bas de la cummune d' E yga l iè res.. ....
M édaille d' Honneur des Sapeurs-Pompier> , .. ' "., ""
"" " , ' ""
",.
179
180
1~ 1
1~L
1~2
COMMUNIQUES - AVIS - ANN ONCES DIVERSES
Agrément ù' un médecin
Dons et legs ...
Demand e d'emploi ....
Auto ri sation d'entreposer
AllREVLATlONS. -
183
183
184
I S4
des explosifs
A. P. ; Arrèté préfecto ral. -
C. . Circulai re . -
Le s lettres 0 et B suivi~s d'
,
'
S 'l'' . : D Ir.echon
'
, d es S erVi. ces Tech niques. in diquent le Ser vice
ou B ureau d" onglne.
-:- U . >-:
Dépa r teme nt ale
de
la
Sa nté. -
D. D. 1. :
ch'lf
1 re
D. D. S. : un
Direction
Direction D epa r tementale de la Population.
~======~=-=-==============================d
�TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
03 B2 - FS 7
SITUATION FISCALE DES MEMBRES DU CORPS MEDfCAL HOSPITALIER
Le Minislre de la Sanl é Publiqlle el de ln Popula.J.ion,
à Messieurs tes Préfels.
J'ai l'honneur d'appeler vo tre attention sur la décision prise
par le Ministre du Budget tendant à admettre que les sommes
perçues par les Membres du Corps M edical des Hôpita ux or
publics, au titre des répa rtitions de la c masse ~ d'honorai res,
prévue par l'article 133 du Hèglement d'Admi nistration Pub lique du 17 3\'ril 19-13, pourraient donner lieu au ve rsement
fo rfaitaire de 5 o/G.J par prèlè.vement sur les fond de ladite
masse, et que ces sommes seraient, en contre--partie, exonérées
de la taxe proportionnelle de J'impôt sur le revenu des personnes physiques entre les mains des bénéficiaires.
Les conditions dans lesquelles les praticiens hospitaliers
peuvent obtenir le benéfice de cette mesure ont fait l'objet
d'une note adressée le 5 juin 1952 pa r la Direction Généra le
des hnpô15 - ContFibuiions Directes et Cadastre - à ses ser-
Il a, en effet, été décidé que cette déclaration se rait dorena vant assurée da ns tous les cas par le Receveur de l' Hôpital.
Seul e, la dëclaration des r-émunérations ou ind emnités versées aux médecins, chir urogJens, spécialistes, etc ... au titre du
budget de l' établissement incombera à l'Ordonn ate ur.
Par ailleurs, il a été admis que Je paiement du versement
forfaitaire de 5 % ser ait fa it désor mais par l'i ntermédiai re du
Ilecel'eur de I·H ôpital.
A oet effet" la persQnne désignée par le Corps médica l
comme responsabl~ de l'exécution de ce tte opération dev ra
remettre au Receveur, dans les quinze premie rs jours du mois
5ui\'a nt celui de l a répa rtition de la masse, un bo rdereau
Ji n 1095 qu'elle aura dûment remp li et signé.
Au vu de ce document, le Receveur effect uera directement
le versement de l'impôt au Trésor par prélèvement sur les f onds
de la masse restant disponible.
...
\'ires extérieurs.
Certaines dispositions de ladite note ayant soulevé des difficultés dans quelques départements, de légè res modifications
ont été appor tées, dans un souci de simplification pour la pro·.
cédure à suivre à ce suje t par le Corps Médical.
Cette procédure est désormais la suivante :
Le Corps mMical d'un hôpital ne peut se placer sous l é
r égime du versem ent forfaita ire qu'en produisant une demande
à cet effet, comportant l'engagement exp ress de prendre les
mesures nécessaires pour assurer l'accomplissement rég ulier d~
toures les obligations qu'entraîne le régime du versemen t forfai taire. Cette demande présentée au nom et pour le compt.
de l'ensemble des mem bres du Corps médical de l'établisse-
ment inté ressé. comporte la désignation d'une personne respO Ilsable de J'exécution du paiement du versement forfaitai re de
e %.
Il serait souhaitab~ que le responsable ainsi désigné soit
choisi parmi les pra'ticiens intéressés, plutôt que parmi des perSonnes étrangères au Co r ps médical, certaines désignati'ons
effectuées sans l e consentement de " intéressé ayant soulevé des
difficultés, au cours de l'année 1952.
Quoiqu'il en soit, ce responsable n'aura plus à rédiger et
à' adresser au Service des Contri bu tions D~rectcs, dans les
conditions prévues par l'article 87 du Code Général des Impôts, la déclaration du montant, par bénéficiaire, des r épar t itions individuelles faites au titre de la masse.
02 83 - SC 7
Je vous serais obligé de vou loir bien porter le contenu dela présen te circulaire à l a connaissa nce des Co mm issions Administr a1ives hospitalières. ainsi q u'aux membres des corps
médicau x hospitaliers, afin que ceux-ci soient informés desnouve lles mesures intervenues en la mati ère.
En outre, je vOus demande de saisir l'occasion qui vous
sera aÎnsi offerte, pour r appel er à l'ensem ble des Administrations Hospitalières, les obligations qui leur in combent en
matière de déclaratio n de salai res et autres rémunér ations.
Je dois ,'ous signaler, en effet, que la Cou r des Compte~
s'est plai nte de ce que. dans certains hôpitaux et hospices, de~
t'm issions ont été co nstatées sur ce point.
Il cOO\'Îe nt donc que vous appeliez l'attention des Commissions Administ ratives sur le fait que, selon 'la r églementation
en vigueur, les ord onnateurs .doivent effectuer, dans le cou rant
du mois de janvier de chaque année, la déclaration individ uelle
au Directeu r départemental des Cont ributions directes :
l " d u montant des traitements, salai r es et indemnités
pa yées sur les fo nd s de l'h ôpital, quel qu'en soit le montant.
2" des honoraÎ res, vac ations, etc... versés il des ti ers
(avocats, architectes, etc ... ) su r ces mêmes fonds, chaq ue fois
que l e montan't des sommes pa yées dépasse 5.000 frs par an
pour un mêm e bénéficiaire.
Pour le Ministre et par délégation,
Le Directeur du Cabin el :
Jacques B. HE HZOG .
3me catégorie et assurés sociaux
2me catégorre ...................... . . . _..
1ré catégorie ......... ... ........ .
03B2-FS7
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur,
Vu l'ordonnance du 18 Décembre 1944 déterminant, à titr e
transitoire, les règl es de fixation des prix die journée dans les
Hôpitaux et Hospiees publics ;
Vu la circula;"e d'application d'u 29 Decembre 1944 ;
Vu l'article 26 de la loi du 21 Décembre 194 1 et l'article
34 du déc ret du Jl7 Avril 1943 sur les règles de fIXation des
170
ARTICLE PREMIER. Les pri x de journée des vieillards
admis à titre payant à l' Hogpice de Ln Fare sont fi xés com me
su it il parti; dlu 1er Septembre 1953 :
fait à Marseille, le 12 Août 1953.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secrétaire Général,
Signé : Maxime J'A,IGNON.
PRIX DE JOURNEE DE L'HOPITAL-MOSPlCE D'AUBAGNE
POUR LE 2"" SEMESTRE 1953
Af{HETE
PRIX
DIE
JOUIRNEE I NDIGENTS
Le Préfel des Bouciles-du-RIlône,
Officier de ln Légion d'Honnellr,
)iajo-
DHicit r atÎoDde
pour
l'ex erfonds
cice
de roul e1951 à
ment à
a jou te. dédui.e
Vu la loi du 15 juillet 1893 su r l' Assistance Medicale Graiuite ;
Vu l a loi du 14 juillet 1909 sur l'Assistance aux Vi ei ll ards
Jnfirmes et Incurabl es;
}
Vu la circu laire mjnistérielle du 29- 12- 1944 prise pour
l'application de l'o rdo nnance précitée;
Vu l'a rticl e 26 de la l oi du 21 décemb re 194 1 et l es articles 22 et 34 du décret du 17 al'ril 1943 sur les rèf,~es de
fixation des pri x de journée des malades et pension naires
payants, modifiés par le décret n" 5 1-1Z1 8 du 19 octob re 195'1 ;
Gén~.al
1
Hospi ce ...
Médecine
Chirurgie
Vu les propositions de la Commissio n Administrative de
l' Hôpital-Hospice d' A ubagne en date du 5-3- 1953 ;
Vu le rapp ort de M,. le Directeur Dépa r fe mental
Populatio n en date du 7-S-1953 ;
de la
Su r la proposition de Monsieu r l e Secrétaire Génêral de
'la Préfecture,
AR,HETB:
ARTICLE PREM IER. -- Les prix de journée prévisionnel s
applicabl es à l'H ôpi tal- Hospice d'Aubagne, qui avaient été
fi xés par arrêté pré fectora l du 4-2-1953 sont révisés comme
suit à dater du 1er juillet 1953.
:Médical
2
582
1.626
1.768
T otal
2)
(1
9
12
+
59 1
1.638
1.79 1
23
Prix
de
journée
Prévisionnels
69
142
158
6
25
58
654
1.755
1.89 1
PRIX DE JO URNEES PAYANTS
Vu l a rirculaire d'application de /11. le Ministre de la Santé
Publique ~t de la Popul ation, en date du i24 octob re 195 1 ;
Vu la circu laire ministéri elle N" 172 du 2S-1 1-1 9-;2 relative à la fixat ion des prix de jo urnée 1953 ;
P ri x de r e\'Îent
p. h is i() nncl s
Sen' ices
Vu l'ordonnance du 18 décembre 1944 déterminant à titre
transitoire, ·!.es règles de fixation des prix de journée dans les
Hôp itaux et Hospi ces Publics;
06 BI . A 0
prix de journée des malades pa yants, modifié par le déoret
n° 5 1- 12 18 du 19 Octobre 1951 ;
Vu les propositions d'e la Commission Administrative de
l' Hospice d'e La ,fare en date d u 18 Juillet 1953 ;
Sur la proposition de M. le Secrétaire Général de la Préfecture ;
A.RHET,E:
Gënéra l sont chargés, chacun en ce qui Je concerne, de l'exécutio n du présent arrêté.
ART. 2..- M. le Secrétaire Généra l <le la Préfecture M. le
.Sous-Préfet d'A ix, MI. le Maire, Président de la Co m~issiOI1
Administrative de J'Hospice de La Fare, M. le Trésorier'Payeur
HOSPICE DE LA FARE - PRIX DE JOURNEE
AHRETE
44 1 fIS
507 frs
5501 frs
Sen'ices
Hospices
i\\édecine
Chirurgie
:Jme catégorie et
Assurés
sociaux
654
1.755
1. S91
1\1ajoration sur
p ri." de
2me
catégo ri e
785
1.930
2.080
Bme
Calég.
20 %
10%
10 %
l'e
catégorie
8 17
2. 193
2.364
Majoration
SUT prix
de 3me
catégo.ic
25%
25 %
25%
"'1.
ART. 2. - M. le Secrétai r e Général de l a Préfec ture,
le
Mai re, Président de l a Commission Administra~ ve de l' HôpitalHospice d'Aubagne, lM. le Tréso r ier-Payeu r Général sont
chargés, chacun en ce qui l e concerne, cie Pexécutio n du prése nt arrêté.
Marseille, le 24 août 1953.
Pour le Préfet et par dêlegation,
Le Secrétaire Général :
Signé : Maxime M IGNON.
A TTRIBUTION DE PRIMES AUX CHEVAUX
DES SOCIETES HIPPIQUES URBAiNES
Le P,réfet des Boucrhes- du-Hhôn e,
Officier de la Légio n d' Honneur.
Vu les instructions du Ministre de 'JllAgricu iture en date :
- 25 Juill et 1934, cr éant des Sociétés Hippiq ues nllrales et
ïnstituant des concours pour les ohevaux appartenant il leurs
membres'
- du' I l Avril 1935, précisa nt la manière d'organiser les
dits co ncours sous forme de concours d'Etat ;
- Du 4 Ju in 1937, alltorisant le fonctionnement des Sociétés
Hoppiques Urbaines, parallelement à celui des Sociétés Hippiques Rurales ;
_ du 24 Mai 1938 prescrivant les fo rmali tés à rempli r pou,r
rt!:tYu lariser la constitut io n des dites Sociétés ;
• _ Du 20 Août 1945, pla ça nt les Sociétés Hippiques UTbaines sous l'autorité de la Férilêration Française des Sports éque&tres et imposant leur a~iliation à cet or ganisme ;
_ Du 12 Juin 1950, 'Précisant les conditions da ns lesquelles
les Sodétés Hippiques Urbaines demeu rent toutefors sous le
�contrôle de r Administration dt!S Haras, de primes aux chevaux
des dites Sociétés ;
Vu les propositions du Directeur des Haras de la circonscription de Tar mes ;
Sur la proposition du Secrétaire Général,
ARRETE:
ARTICLE PREM IER. Des concours pour cheva ux présentes
montes par les membr es des Sociétés Hippiques Urbai nes suivantes, régulièrement affiliées à la Fédération Fra nçais e des
ports Equestres, savoir :
) 0
Club Hippique cl' Aix-en-ProJlcllce, Petite IRoute des
Milles.
2' Club Hippique d'A ix-Beau l'alloJ1, Chemin de la 13laque.
3 0 Club Hippiq ue « L a CrmJ~[lle » , 201, Bd Michelet, il
Marseille.
Allront lieu respectivement à :
l ' AIX -E -PROVENCE, le samedi 10 Octobre il 14 h. 30
sur l'hippodrome, pour les 2 S.H.U, de la ville;
2' M\ARSEILLE, le dimanche Il Octobr e, au Terrain Club
Hippique « La Cravache > pou r cette dernière S.H.U.
ART. 2. Les 2 concou rs sont ouverts aux cheva ux de 3
ans et au-dessus <le toutes races et sexes dotés de leur fiche
1églementaire, visée par l e Service des Haras et qui so nt :
1v Soit inscrits, depuis 3 mois, au moins, sur les contrôles.
d'une des Sociétés sus-mentio nnées et lui apparenant en pr opre;
2 Soit, mis par contrat, penda nt 8 mois au moins de l'année
à la dlisposition d'une des Sociétés qui doit en assurer pal
ailleurs le complet entretien.
0
ART, 3. - Sont donc exclus les chevaux utilisés uniquement
par leurs propriétaires et, parmi ceux rent r ant dans les condit ions de l'article précédent :
1u ,Les chevaux à l'entra.nement ;
2 0 Ceux ayant gagné, sous quelque forme que ce soit, en
course ou concours, réservés ou non aux S.H.R. et S.H .U. une
somme de 50.000 francs au cours de l'année précédente.
ART. 4. - Les chevaux seront présentés dans chacun e des
réunions respectives, montés par les membres de la S. H.U . correspondante et qualifiée 'Pour la compéti ti on.
Ces mem bres .devro nt posséder une fiohe individ uelle de
cavalier adhérent visée par le Servi"Ce des Haras.
10 Perso nnel des Haras ;
2 Militaires en acüvité de service ;
3 u Maîtres .d' Ecole d'équitation, de manège ou de dressag e
4 0 Entraîneurs j
5" Piqueurs, lads et garçons d'écurie ;
6" Jockeys titulaires d'une lice n-ce.
0
Les animaux seront exa minés montés aux 3
allures, dans des mouvements simples et groupés par peleto ns
constitués pa.r quelques chevaux et cavaliers appart ena nt à la
même Société.
Ils seront ensuite présentés à l'épreuve de sagesse au montoir (par l'étrier) et enfin en main.
ART. 6. -
ART. 7. - Le code des concou rs de cheva ux de selle ne
ser a 'Pas appliqué.
ART, 8. - Les animaux seront notés, puis rappelés pa.r
Sociétés, mais les primes ser ont attribuées dans un classement
général aux concurrents des troi s Sociétés, suivant leur mérite
respectif.
ART, 9. - Il sera tenu compte, pour le classement, de la
qualité individuelle des chevaux, de leur modèle de leur état
de leurs allures et de leur olressage.
'
,
Mais il sera tenu co mpte également de l'activité de 1
Société, du nombre et de la q ualité des cavaliers prése ntés. <t
ART. 10. - Chaque Société, il l'issue de la pr ésentatio
prév ue 'à l'article 6, aura la faculté, po ur mettre en valeur 1:
degré de formation équest,re -die ses membres, de présenter
ceux-ci soit da ns un tra~ai l ~ 'e ~s.e m b l e (reprise, ou jeux éques_
tres) soit da ns cies exer cices in diVid uels (sauts d'obstacles, etc ... )
Les pr êsentations corr esponda ntes dio nt la du rée ne dewa pas
excéder 20 minutes ne com porte pas d' attribution .de primes.
ART. II. ~ Le jury, dont les décisions sont définitives fixera
le nombr e et la qualité des primes et disposera po ur cela par
décision, dru n crédit calçulé à r aison de :
1u D'une attribution de base de 2.000 francs pa r cheval
présenté.
2 D'une su rpri me de 1.000 fra ncs pou r tout animal primé
et muni d' un certificat d~ori gi ne attestant sa qualité de clleval
français, de d emi-sa ng ou anglo- ar abe.
3" D'une surprime .ete 3.000 üa ncs pou r tout animal primé
et appartena nt en propre à un e des S.H.U. concurrentes, ou
mis à son en tière disposition par so n .p ropriétaire et consacré
uniq uement au ser vice de la selle, à l'exc lusio n de toute autre
utilisation même accessoi,re (attelage, serum, etc ... ).
A RT. 18. La genda rm erie sera req uise pa r l'autorité
administrative compétente et SO LI S sa responsabilité pou r assu rer
J'ord're de la réu nion.
AR"r. 1'9. -
Les autontés administratives, le Directeur des
Haras de 1.. circonscr,iptio n de Tarbes et les Présidents des
Sociétés Hi ppiques concurre ntes so nt chargés, chacu n en ce
qUI le co ncerne, de l' exécution des claus es du présent arrêté
qui sera publié da ns le Départe ment et inséré au Recueil des
Actes Ad ministratifs.
Marseille, le 5 Août 1953.
Pour l e Préfet,
Le Secré taire Général délégué,
Signé : Maxime M IGNON.
TEXTES D'INTËRËT COMMUNAL
~---------------------------------------------------~
D2 B3 .
2
MEDAILLE D'HONNEUR DEPARTEMENTALE ET COMMUNALE
AG
U
ART. 12. - Chaque Société pouva nt disposer, à so n profi
de la to tali té des prim es décernées aux cheva ux présentés !par
ell e, les procès-ver ba ux des conco urs, nonobstant le classement
général, commu n, seront établis en mai ntenant les co ncurrents
groupés par Sociétés, da ns l'or d/re des inscriptions" les primes
individuelles obtenu es seront mentionnées en r ega r d de .chaqueaya nt-d roi t et total isées par organisme 'bénéficiai r e avec, en
clôture, une récapitul ation générale.
A~T. 13. La somme global e, ainsi attr ibuée 'à chaqueSociéé lui sera mandatée par nos soins Sur le vu des procêsverbaux et après déléga tion dies fo nds 'Par le Ministère de l'Agriculture.
ART. 14. - Le Se rvice des Haras sera en droit de dema;'1der
touts justification ultéri eure d'e J' emploi des fonds reçus par les
Sociétés, fondS d'encour agement qui sont à va loir pour l'ent retien des cheva ux destinés au service de la sell e.
ART. 15. - 'Les engagements devront êtr e adr essés avant
le samedi 3 Oc tobre, all 'Di recteur <les Hara s die T arbes.
Ils seront faits pa r chaque Sociéte po ur ses candi d'ats.
Ils dev ront mention ner, pour chaque cheval, le nom, l'année
de naissan ce, l'origine éventuell e, la taill e et la robe, ainsi que
les nom, prénoms et ad'r esse du propriétai re et du cavalier
correspond~lnts et enfi n conteni1', sous la r esponsabilité qJer.onnell e du Président <l'e la Société et sous réserve de contrôle
éventuel, la déclaratio n pour tous les cheNaux de leur utilisation
respective précise et pour ceux n'appartenant pas en propre à
la Société, la déclaration des conditions exa.ctes de jouissance
de l'animal par le G roupement.
ART. 16. - Le j ury, dont l a présidence d'ho nn eur nouS.
allpartient, sera composé :
1" De l' Inspecteur Général des Haras du 4m e arrondisse·
ment ou cfe son délégué, Prési dent effectif avec voix prépondéra nte ;
2" Du Directeur des Ser vices Vétéri naires du Départe ment i
3 Du représentant régional die la F.IF.S.E. ou d'un de ses
délégués ap.oartenant à ce même Organisme i
4" IDu Président de la Fédération Régiona le des S. H.R et
S. H.U. nOI1 concurrente.
Q
ART, 17. - La Direction et la police du concours appartiennent au fonctio nnaire des Har as.
Promotion du t" janvier 1954
J'ai l' honneur de porter ci-dessous à la connaissance de
~\aircs du département le texte de la circulai re ministeriell e n' 294 PEI~ I AG du 12 août 1953 relative à la consti·
t ution des dossiers pour J'attribution de la Médaille d' Hon neur
Depar teme ntale et Communale.
Pour permettre l'en vo i des Jossiers à la date prévue, M1\l
les N\aires sont priés de vouloi r bien les faire parvenir avant
le 15 septembre 1953 (d élai de ri,gueur) à l a Préfecture sous le
timb re 2111e Division - 3me Bureau.
Pour le Préfet et par délégation,
S;gné : Maxime M IGNON.
MM. les
Le Secrétaire Général :
Le ,M inistre de l' Intérieur,
à l"h le Gouvern eur Général de l'Al gérie;
M. le Prefe t de la Seine (Direction du Personn el
et Uirection d'es Affaires Départementale) j
'M M. les Préfets - Cabinet - (Métropole, Algérie,
Outre-Mer).
J'ai l'honneur de vous prier de bien vouloir m'a(:l'resser sous
ie présent timbre, avant le 1er Octob re 1953, délai de rigueur,
vos propositions en vue de la promotion de la Jv\édai lle d'Honneur Départementale et Communale du 1er Janvier 1954.
Les dIossiers qui me parviendront après cette date ne
pourront être examinés qu'à l'occasion de la promotion du
1cr M'ai 1954.
Vou s vo udrez bien vous co nfo rm er stri ctement aux instru ctions détaillées qui vous ont été fourmes au sujet de la pré~e nt ation des <iossiers.
Je crois devoir dl'autre part appeler votre attention sur les
points suivants :
1" Prise en compte des services militaires et assimiles.
l'e vous rappelle qu'en vertu de J'article 6 du décret du
7 juin 1945, les services militaires doivent être pris en compte
da ns le ~alcl1l d:e l'ancienneté des interrssés dans la Iimik de :
_ La du rée légale du temps ,de paIx.
- La d urée des services de guerre.
Doit è tr~ lpris en considération le temps passé durallt la
guerr e 1939- 1945 :
a) aux arm ées, en captivité et d'ans l es F,F. L. ;
b) da ns la Résistance, en qualité ,d'agent Plou P2
c) dans les F.P.!. ;
d) en déportation ou en internement au titre de la r~~i stall.ce;
c) da ns les chantiers de jeunesse pour le stage obligatOire
Il con vient en outre d'accord'cr atlx déportés et internés de
la Résistance les majorations prévues par la loi du 24 juin 1950,
cO T\.form ément aux instructions contenues dans ma circulaire
Il·' 25 du 26 janvier 195 1.
D'autre pa rt, J'a rticle 1er de la loi du 26 septembre 195 1
dmspose que les fonctionnaires et agents de l'Etat, ,des Départements, dlfs Communes et des Etablissements public dépar tementaux et communaux qui ont participé à la Résistance doivent
hénéficier d'une majoration d'a ncie nn eté de service égale à la
moitié ,d u temps passé dans la I~ésistance, augmentée de six
mois. Le même te xte précise que ces bo nifications comptero nt
da ns tous les cas pour l'attributio n de décoratio ns.
Les modalités d'application de cette loi aux agents des
uépartements et des communes ont été fi xées par le décret
n" 55- 59.. d u 25 jin 1953 (J. O. dlll 29).
En vertu de ce décret, les ser vices acco mplis dans la Résistance par les agents des collectivités locales devront être recon·
IIUS par une Commission Centrale
iégeant aupr ès de l'Office
Natio nal des Anciens Combattants.
L'extrait individuel d'u procès-verbal de cette Commission
doit être notifié à chaque intéressé, et, par vo t re intermédiair e,
à l'autorité invesie du pouvoir de nomination.
Il appa rtiendra donc à cette autorité .de fournir une copie
d'udit extrait à l'appui des candidatures à la Médaille d'Honneur
Départementa le et Com munale prêsentées en faveur de personIles qui sollicite nt la prise en co mpte des bonifications dont il
s'agi t, dans te cal cu l de leu r ancienneté.
2' Médaille de Venneil,
J' ai pu constater que les propositions formul ées par certains
d'entre vous en vlle de l'att,ribution de la j\'\édaille de Vermeil
excédaient largement le pource ntage de 10 % des Médailles
d' Argent, fixé par l'article 3 du décret précité.
Je vous serais obligé, en conséquence, de bien vouloir
,"eiller tout particulièrement à ct:' que vos propositions soient
desormais établies dans la limite de ce contingent.
Elles devront être adressées sous un bordereau récapitulatif
lmique pour l'ensemble des candirlats (qu'il s'agisse d'es titulaires
de mandats électifs ou d'agents des collectivités locales), sur
lequel vous mentionnerez votre ordre de préférence.
Vous voudrez bien indiquer sur ce bordereau si ces candi dats sont déjà titulaires de la Médaille d'Argent.
3" Médaille d'Or
La J\l édaille d'Or Départementale et Communale, instituée
par le d'ècre! du 16 février 1952, peut être décernée après"5 ans
de services aux agents dts ,collectivités locales et aux perrsonnes
investies d'un mandat électif départemental Oll communal, qui
auront fait preu\'e de mérites exception nels au cours de leur
carrière.
179
�En vertu du décr et précité, cette distinction ne pourra être
accordée que dans la limite du dixième des M édailles de Vermeil
décern';es, ce qui revie nt à di re qu e le no mb re des "\ \ëda illes
d'Or sera au plus égal au centième des Médai lles d'Argent
accordées, soi t au maxim um -40 médailles par p romotio n.
Je tiens tou tefois à préciser que ce pourcentage sera ca lculê
s ur le pla n national. En conseq uence, vo us pouvez m e fai re
parvenir pour votre départ ement des proposi tions pour la M~
daille àlOr excedant la proport ion de 10 % des ,\\l'dailles de
Vermeil, sous r éserve, bien entend u, de ne m'adresser qu 'un
petit nombr e de propositions.
r ajoute que les dispositions relati ves il r octroi de la M'édaille d' Honneur Departementale et Communale à titr e post,hume
s'appliquent à la ,\\ édaille d'Or.
Pourront do nc être proposes pour cette dis tinctio n les agents
D2 B3 - AG 2
des collecti vités locales et l es p erso nn es i nves ti es d'un mandat
él tif dépar tementa'l et communal, décédés depuis moins de 5
ans par suite de l'exercice de l eufs fonctions et totalisant au
moins 35 années de services au moment de leur décès.
Vos proposi tio ns pour la Médai ll e d'Or devro nt nl'èlre
adressées sous un bordereau r écapitulatif unique pour l'ensemble
des candidats, qu'il s'agisse de titu laIr e de mandats électifs Ou
d'agents d'es co llec tivités loca les, et sur lequel vo us lllel1 tioll_
lI eTez votre ordr e de préféren ce.
Je vo us serais obli gé de bien vo uloir diffuser la présente
instru ct io n aux servi ces intéressés.
P our le Minist re de l'l lltérieur
et pa r d.é léga ti o n,
Le
So us~ Dire ct e l1r
du Pe rso nn el,
M . FAVtRE.
CAISSE NATIONALE DE RETRAITES DES AGENTS
DES COLLECTIVITES LOCALES
Elections des membres du Conseil d'Administration
Représentation des tributaires
J'ai l'hon neur de po rte r ci-dessous à la co nn a issa nce de
Messieu rs l es Sous-Pr éfets et de Messieurs les Mai res du Dépa rtement le texte de la ci rcula ire de M. le M tnistre de l' lntéfieu r relative aux modalités ùes électio ns des représenta nts des
tributai res à l a Caisse Natio nale de Ret raites des agen ts des
cull ~ cti\fités locales.
Le Secrél aire Général délégué
Pour le Préfet,
Signé: ,Maxime M I GNO .
Paris, le 30 Juillet 1953
Le ,~\ inistr e de lïntérieur
à NL\\. le Préfets de la Atétropol e
et des Départements d'Outr e-Mer.
R5FER. : 1I1a circulaire n" 137 ADC/ PER ,d u 23 avril 1953.
Par circulaire citée en référence, je vous a i indiqué les condItions générales da ns lesquelles aura lieu le renouvelle ment dlu
Conseil <l'Admi nistration de la Caisse Nationale de Retraites
dont le manùat des membres expire le 30 septembre 1953.
Un arrêté du 10 mai 1953 (J . O. du 14 mail, ai nsi que je
vo us l'avais èréjâ signalé, a fi xé au 15 octobre 1953 la date
oe l'élections des rep r ésentants -des tributaires en activité et en
retraite.
'e vous rappelle
1 Que ces deux catégories <ie personnel, qui seront avisées
au plus tard le 25 aoùt 1953 de leur inscrij}tion sur les listes
étectorales, devront, conforméme nt à l'a rti cle 7 de l'a rrêté du
27 août 1'948, formuler leurs réclamations à l'autorité qua lifiée
avant le quarantième jour précédant la date fixée pou r le sc ruti n,
c'est-à-di re avant le 4 septembr e 1953.
(0
Les agents qui recevront, p our leu r ad mission à la retraite,
un av is favorab le de la Caisse Nationale, postérieur ement à cette
date, n e pourront do nc pas être compr is sur la ~iste des r etraités,
ni pa rticiper au vote en ta nt que r etraités. Par contr e ils demeu_
rer ont valableme nt inscrits su r la liste des agents en activifé.
2° Un exemplaire dûment rectifié, le ,cas échéa nt, de chaque
liste électorale devra vo us être adressé par l'autorité chargée
oe l'établir, le 30 septembre au plus tara.
ISO
Il me r este il vo us donn er certain es précisio ns co ncernant
les opérations de vo te et le dépo ui llement des bull etins.
1. -
VOT E - D ElPOU'ILLEMtENT
VOli S recevrez en temps utile, par les soi ns de la Cai se
des Dépôts et Consignations, les listes des ca ndidats ; il vous
apj}a rtiendr a <le les notifier aussitôt à toutes ies collectivilés
intéressées de votre dépar tement.
Confo rm ément aux dispositions de . l' ar ticle 12 de J'arrête
mterministériel du 17 ao ût 1948 fixa nt les conditions cI'élection
des membr es d u Conseil d'Ad ministratio n de la Caisse Nationale
(représentatio n des tr ibutaires), les électeurs ne peuvent l'oter
que pour une liste co mplète sa ns r adiation ni adjonction de
noms et sans modifier l'ordre de 1J r ésent.a~ion des cand idats.
T out ,bu ll eti n ne' r emplissant pas ces conditions sera nul.
Po ur le perso nnel en activité, l e vote se fera en principe
sur le lieu de t ravail.
.
To utefois et co nformé ment aux dispositio ns de l'article 10
de l 'arrêté inte rm inistér iel d u 27 aoCtt 1941>, tOlll e l atitude esl
donnée à L'autori té chargée d'é tablir les listes électorales pO III
désigner les [ieux de vote, compte tenll du nombre ef de la
lt'ispersion des agents appelés à pnrt ic;p er aux scrutins,
Je laisse ,1 votre initiative l e soin de donner les instructions
utiles pou r la co nstit ution tdes bureaux de vote, le dépouillement
des bu lleti ns et d' une façon générale pou r censurer les irrégu '
larités et assur er la Sincérité <ies opération s Clcctorales.
Je tiens ctpendant à vo us Iprécise r qu'en principe, chaque
burealll de vote devra comprend r e un p résident, membre de
J'administration de la collectivité, 2 assesseurs choisis pa rn~i . I~S
membr es du per sonnel et un secré taire pour les co llectl\'ltes
ayant pl us de qui nze électeurs.
a) DépollillemerÙ du vofe des actif s
Il sera j}rocédé au dépouillement immédiatement après la
clôtur e des scru ti ns et da ns la sa ll e même du scruti n.
T outefois, le sO llei d'entourer le secret du vote de toutes
gara nties désirables m'a con duit à prévoir les disposit ions sui·
va ntes qui seront applicables aux collectivités et aux services
isolés co mptant moi ns de quinze électeurs :
- L'électeur remettra SOn bu ll eti n de vote ail bureau,
Après s'être assuré de l' identité du votant et al'oir
pointé Son nom sur la liste électorale, le presid ent ou un membre
du bu reau p l a ce ~a le pl i dans une se conde en velopp e qu'il
cachétera en presence de l'électeur et invitera ce dern ier à
inscri re sur l'enveloppe ses noms, prénoms, ai nsi qu e l' indi cati on de la collect ivité qui l'emploie.
- L es plis ainsi établis, accompagnés d'un procès-verbal
certi fiant que la procédure ci- dessus a ·bi en été respec t ée et
mentionna nt le nombr e des vo tants, sont transmis à la Préfecture. T ous les 'bullet ins re çus dans ces co nditions seront dépouil lés par les soi ns d' une com mission spéCiale qu'il vo us
appa rti ent de désigner à ce t effet.
- Vo us vo udr ez bien en -fi xer la composi ti on un moi s avant
le jour du scru tin, c'est-a-dire au ]Jlus tardt le 15 septembr e 1953.
- Cette co mm ission placée sous vo tre présidence ou ceHe
d'un de vo s délégués co mp re ndra des électeurs représenta nt les
différ entes list es en présence. Ce tte Assemblée, après avo ir
collati onné les noms figurant sur les enve loppes extér ieures avec
la liste élec torale, procèdera à l'ouverture de ces enveloppes
ex térieures.
- 1\ ne devra êtr e procé dé à J'ouvertur e des enve loppes
intérieures qu 'ap rès destru ctio n par inci nération des enve loppes
ex téri eures.
- La co m missio n établira un procès- verba l des operations
de dépou illem ent.
dès lors que les électeurs inscr its sa ns exception auront eff ect ivement par ticipé au vo te.
Les autorités char gées de l'établissement des listes auront
à p re ndre l es disposi tio ns nécessai res afin que, par tous les
moyens appropri és (affic hages, av is da ns la pr esse, etc.... ) l es
indication s concernant les date, heures et lieux de vote soi ent
portes à la co nnaissance des électeurs.
II. -
CbN TRALiSAT ION DES PROCES-V5 RB AiUX D ES OPERA T IONS EL ECT ORA LES ET T OTALISAT ION D ES
RElSUILTL4.TS.
Confor mément aux disposi ti ons de l'art icle 13 <le l'arr êté
du 2; ao ût 1948, les j}rocès- verba ux des opérations électorales
qui auront lieu dans votr e dépa rtement seront ce ntralisés à la
Préfec tu re et il vo us appar tiendra de fa ire pro cé der pour chaq ue
ca tégo ri e (tri butai res en activité et t r ibutai r es en r et rai te à la
totalisa ti on des résultats, en prése nce d'un délégué de chaque
liste.
Lln bord ereau gén éral en ser a dressé et, accompagné de
tous les procès--ve r ba ux, devra être tr ansmis immédiatement il
M. le Dir ecteur général de la Ca;;se des Dépôts et Consignations, I Ome Division, 6me Bureau, 56, ru e de L ille, Paris Vile,
III. -
b) D épouill emen l tlu VOie des re l ru i tés
FOURNITURES D ES BULLET INS DE VOTE, DES
NOTI CES ET DElS JoEUX D'ENVELOPP ES
En ce qui concern e les retraités don t le vote pourra êtr e
exer cé par corr esponda nce, le dépouill ement aura li eu da ns les
mêmes conditions que pour le perso nnel en activi té, c'est-a-dire
pa r les soi ns d u bureau <le vo te si le nombr e des électeurs de
la catégori e co nsidérée est éga l ou supérieu r à 15 et, s'i l est
i nférieur il ce dern ier ,chiffre, là la Préfectu re par les soi ns d'u ne
commission analogue à ce lle prévue ci-avant pour les agen ts
en ac ti vité.
L es provisio ns de bulletins '!ie vote, de notices aux r etraités
et de jeux d'enve loppes vous seront adressées, en t emps util e,
par les soi ns de MI. le D i recte ur général .de la Caisse des Dépôts
et Consignatio ns, qui vo us précisera en même temps les modalités d'emploi de ces diverses fo urnitures.
Je vous prie de veiller perso nnellement à la ponctuelle
appli catio n des instru ctions qui p récèdent.
Le scrutin sera ouve r t sans i nterr uption de 8 heures à 18
·heures. Vous pourrez, par arrHé, si vous le jugez. nécessai re,
prolonger les heures d'o uverture du scru tin,
Il est évident que le scrutin po urra être clos ava nt 18 heures
Pour le Ministr e et par delégation,
Le Pré fet, Di recteur de l'Administration Départementale
et Commu nal e,
P. DAMELON.
D2 .83 - AG 2
PENSIONS DES AGENTS DES COLLECTIVIl1ES LOCALES
Recours:
en
Conseil de Préfecture
J'ai l' honneur d'attirer l'atten t ion de MN\. 'les Maires du
D épar temen t sur le texte de la ci rcu lai re n° 274 - AD/ 3 de
M . le l\'\i nistre de l'Il ntérieu r, relative aux recours en Conseil
de Préfect ure i nt roduits à l'occasion de liquidatio ns de pensio n
de retrai tés.
Ci-d essous le texte de l a ci rcu laire.
Pour le Préfet et pa r délégat ion,
Le Se crétaire Général :
Signé: Maxim e M IGNON.
Le Minislr e d e l'fnt ériell r
à M essieurs l es Préfels de la M élropole
et des Dépademenls d'Ouire-Mer
ù ce sujet devant les Consei ls de préfectu re et parfois condamnées en la person ne de leu rs mai r es pris ès-qualité.
Or, je vous rappe ll e que la l égislation en vigueur a
confie au Directeur Général de la Caisse des D épô ts et Consignations la concession des pensi ons qui incombait aupar avant
aux maires.
Dans ces conditions, il conviendrait de rappeler aux
municipalités, au cas où des instances seraient engagées contreelles dans ce domai ne, que:
1° s'il s'agit d'un reco urs contre une délibération d' une
assembl ée municipale, conformément .aux articles 63 et 55 de
la loi du 5 avc'I 188.\, il doit être tout d'abord porté devant
,'ous pour annulation et, en aucune fa ço n être soumis au
Conseil de Préfecture ;
L'a rtic le 58 cl u décret du 5 octob re 1949 portant règlement général de l a Caisse Natio nale de Retra ités des agents
des co ll ecti vités loca les pr évoit que « tout pourvoi contre le
rej et d'une demande de pension ou de rente d'invalidité Olt
co nt re l eur liqu idation » doi t être formé devant « l e Co nseil de
Préfec ture clans l e ressort duquel est situé le département, l a
(ommune ou l'établissemen't publi c dont relevait l'agent intér essé au rn oment de sa mise à l a retraite ».
2" si l' insta nce est 'basée sur l'article 58 du décret du
5 oc tob re 1949, elle est bien du ressort du tribuna l administratif de 1re instance, mais Iles maires ne peuvent, en aucun cas,
être mis en ca use aux lieu et place du Directeu r Général de l a
Caisse des D épô ts et Consignations qui a, maintenant, l a
charge de la l iquida'tion et de la concession des pensions des
agents des collectivités locales.
Il est arrivé que des communes aient été mises en cause
Les municipalités devront donc faire valoir ces principes
lSI
�dans les observations que le Conseil de Prélecture peut ètre
appel~ à leur demander, De plus ,il leur appa rtiend ra, ainsi
Qu'à vous-même, de saisir le Directeur Général de la Caisse
de ces obser\'ation~ il, convien drait que les m un icipalités Ile
manquent pas de fa ire appel deva nt le Co nseil d'Etat des dksions rendues, dans les délais impaltis par la loi.
1
b) Les sOlls-offf iciers, caporaux et sa.peurrs peuvent être
proposés lo rsqu'ils sont âgés de moins de 70 ans;
1(:) ,Les cJl1didats devront, quel que soit leu r grade. avoir
cesse leurs fonctions dépuis moins de 5 ans.
:.
des Dép6ts et Consignfltions de tout pOllTl'oi mettant en callse
cfirectemenf ou indirectement /a Caisse Na/ionale de retrait"e~
des agents des collectivités locales.
Enfin, si tes Conseils de Prefecture ne tenaient pas compte
Pou r l e mi nistre et par délégation
Le Dire:cleur du Cabinet .-
'
SOUM.
DESSECHEMENT DES QUARTIERS BAS DE LA COMMUNE
D'EYGALIERES
D5 BI . Ml 6
Le Prefet dl!s Bouches-4U-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur,
1927 ;
Vu le 1iossier d'enquête à laquelle a été soumis le projet
relatif à la constitution de c.ette associatio n ;
Vu l'avis du Commissaire-enquêteu r ;
Vu le procès-verbal de l' Assemblée Générale constitutive
du 31 mai 1953 ;
Considérant qu~ les cond itions de majorité ex;g.;es par la
loi ont êté remplies ;
ARRETE:
ARTICLE PRE.MIER. Est autor isée la constitution de J' Association Syndicale pour le dessèchement des quartiers bas de
la comm une d'Eygalières.
J'ai l'honneur d'attirel' l'attention J~ Messieurs les Maires
lu dèpan ement sur la cir cul aire ministériel le ci-ap rès relati\'e
l la Médaille d'Honneur des sapeurs-pompiers.
Promotion du 4 décembre 1953.
Pour le Prélet et par dél égation,
ART. 3. - M. le Secrétai re Génér al de la Préfecture, M.
l' Ingé nieur en Chel du Génie Rural, M. le "'I ai re d' Eygalières,
so nt chargés, chacun en ce qui le co ncerne, de l'exécution du
pr esent arret e.
Ma rseiLl e, le 3 1 j uill et 1953.
Le Secrétaire Gèn-éral Délégué
Pou r le P'réfet,
Signé: Maxime M IGNON.
-
L e Ministre d i? l'Intérieur
Cabinet -
j' ai l 'honneu r de ','ous 'Pr ier de m'ad r esser, SOu le présent
Imbre.• van~ le 15 septembre 1953, délai de rigueur, l'OS propositions en vue de l a promotion de la Médaille d' Honneur des
Sa.peurs-Pompiers, prévue pour le 4 décembre 1953.
Les dossiers qui me pard endront aprè s cette date ne
l 'occasion de la
promotion
nouveau stat;Jt des sapeurs-pompiers commun aux à modifier
les règles de forclusi on en matiè r e de Iprésentation des dossiers de candidature à la Médaille pr écitée.
Je vous r appell e qu'en vertu des articles 55 et 64 de ~e
staNllI. l es limites d'âge applicables aux Officiers, Sous- Officiers, Caporaux et Sapeu rs, sont desormais les sui vantes :
-
Le Secrétaire Général .Signé: M ax ime M I GNON .
pourr.ont etre examin és qu'à
14 juillet 1954.
cendii.
...
Je VOLIS serais Gbli~ de bien vouloir veiller à l'application
de la présente instruction .
- creation ou rcorginisation du Corps, modernisation d u
matéri el, co ncou,r:;; à des Œu vres de mutual ité ou à des groupements corpo rahfs de aé1ense contre l'i nce.n die, conférences eu
du
je ,'ous ser ais obligé de bi en vouloir vous confor mer
str ictement au x instructions très 'P récises que j e vous ai fou,ruies au sujet de la prÉsentation des dossiers et du c a'lcul de
l'ancien.neté des candidats. Je crois devoir vou s con~i rmer, à cet
égard, les jp c ications contenues dans mon rnstruction du
26 mars dernitr., relat!\'es à la prise en com pte des services
ln ili taires.
...
D'autre part, et ainsi que je ,'ous l'ai indiqué dans la circuLlire précitée, j'ai éte amené, par suite de l'intervention du
COMMUNIQUES
ART. (2. - Le pr ésent arrêté sera i nsér é au Bulletin Admi nistratif des Maires et afficbé dans la comnlUne d'Eygalières.
MEDAILLE D'HONNEUR DES SAPEURS-POMPIERS
Messieurs les Préfets -
lappelle ct'autre part que la Médai ll e d'Argent
allec Rosett e Ipe ut être attribuée sans conditio n d'ancienneté
aux sapeurs-po mpiers qui ont rend'li d.es services €xct!'plimmels
da ns l'exe rcice ordi naire de leu rs fonctions tels que :
Pour le M'nistre de l'Intérieur et par délégation
Le Som-Directeur du Personnel
M. FAVRE.
Sur 1" proposition de .M. le Sec rétaire G-énér al de la Prc-
Vu le projet dressé en vue de la constitution d'une Assotion Syndicale autorisée pour I-e dessèchement des terrains bas
de la commune d'iEygalières ;
Vu les rapports de .M. l' Ingénieur en Chef du Genie Rural
d~ 26 fé\Tiers - 2 mars 1953 d 17 - 27 juin 1953 ;
Vu la loi des 21 jU41 1865 - 22 décembre 1888 modifiée par
le d~crd du 21 décembre 1926 ;
Vu le règlement d'administration publique du t,8 décembre
02 B3 SC 7
Je vo us
êcrits en vue de l'utilisation pratique du matér iel et de son
perfectio nnement, amélioration de l'instruction, etc ...
Toute \Jroposition pour cette distinction doit être .ppwyé
d' un rapport détaiUe ~ur les services du candidat et être sou·
mise ci l' OIlis de l'Inspe cteur Départemental lMS Services t:'ln-
65 ans 'pour les officiers,
60 a:1S po ur le:; sO lls-oflfiders, caporaux et sapeurs,
Aux tennes des i!lstr uctions en vigueur, J.~ candid atures
à la Médaille d' Honneur des Sapeu rs-.Pompiers .peuvent être
pr-ésentées dans un délai de 5 ans suivant la date de cessation de fonctions des intér essés.
L'appli cation combinée de ces dispositions et du nouveau
statut des s3'peurs-pompiers conduit à frapper de forclusion
les candidatu.res à l a disti nction susvisée con cernant:
a) les oHiciers âgés de plus de 70 ans allI er j anvier ~e
l'année en cours pour la \lromotion du 14 juillet et au 1er juillet p our la promotion oe la Sainte- Barbe ;
b) les sous-oJficiers, capo r aux et sapeurs âgés de plus de
fi5 ans au 1er ja nvier de ·l'a,nnée en cours pour la pr omoti on du
14 j uillet et au 1er j ui llet pour la pr omotion de la Sain te-Ba rb e.
T outefois, et pour teni r comp te du deu xième al i néa de
l'article 55 du décret préc ité, les dispositions ci-dess us n'entr ewnt en appl ication q ue pou~ l a promotio n du 4 décem bre
1954, et les prom oti on; suhrantes.
En con·séquence, à ti tr e tra'fls itoi re, et pour les seules pro·
motions des 4 ([écembre 1953 et 14 juillet 1954, vo us pou rrez
m'adresser vos propositions suiva nt les r ègles ac tu ellement en
vigueu r , en vertu desq uelles :
a) Les officiers l}frUvent être propos és quel qu e so it leur
AVIS - ANNONCES DIVERSES
AGREMENT D'UN MEDECIN
ARRETE .
ARRETE:
Le Prélet des Bouches-du-Rhône,
Offi ci er de la Légion di Honneur,
Vu Il'or donna nce n" 45-2720 du 2 Novembre 1945 sur la
Protectio n M 'aternelle et Infanti le ;
Vu l'arrête du 15 Avril 194<3 de M. le MInist re de la Santé
Publique et ,de la Popu lation, et les rectifi ca tion s parues au
Journal Officiel des 10 Mil i et 15 Septembre 1946 lixant le
modèle de certificat df exam en méd ical ava nt le mariage ;
Vu l'a vis du Conseil IDépartemen tal de l'O rdre des Al édeCÎns ;
Sur la proposition d. M. le Direc teur D épartem ental de la
Santé,
ART ICLE f-I~EM I ER . - M. le Dr CASO Antoine, demeurant à
l" 'arseille, 88, rue Camille-Pelletan, est agréé pour pratiquer
les examens ra dioscopiques, en vue de la délivrance des certificats prénuptiaux et pr énatau x.
ART. 2. - .M. ,le Serétaire Génér al de la Préfeture,
M. le M aire de ""larseille et M . l e D ir ecte ur D é'[J artem ental de
la Sante sont chargés, chacun en ce qui ,le conce rn e, de l'exéc ut ion du présent arr~t é.
M arseille, le 27 Juill et 1953.
Pour le Préfet,
L e Secré taire Général délégué,
S igné : Maxime J\IIG 'ON.
DONS ET LEGS
,Par testa ment olographe du 7 août 1'95 2, dépose aux minu '
tes de M' Jacques LAC HAMP, notaire à Marseille. feue IMme
veuve BONTOUX Vir ginie, a .fait le legs ci-apr ès :
Je dési gne à titre légata ire un iversel de ma success ion
l'Office D epartemental des Aveugles.
Confo rméme nt au x disp OSitions du décret du 1er Fevrier
1896. les Ihéritiers connus ou in connus de Mme veu ve BUNTOU A
Virginie, sont invités à 'prendr e co nnaissa nce du testa ment,
donner leur cons e nt~m e n t à so n exécutio n ou prod uire leurs
mo yens d'opposition dalls un délai de t rois mois à date r du
JOli[ du présent avis.
Marseille, le 4 aoû t 1953.
.'.
.par testament ol ographe du 5 févr ier 1953, àéposé aux
minutes de u\'V' .Paul DEVUI18I<, notaire a M.a rsei lle, 62, ru e
Montgra nd, MI. ILéon OD E a légué aux Petites-Sœurs des Pauvres de Sainte-iAnne à lv\ arsei ll e, la nue propr iété des va leurs
mobilièr es en dépôts chez différe ntes banq ues de Marseille et
de Paris et ce ux qui so nt en dépôt ou non li vrés chez les
Socictés. L a nue-propriété des immeubles 25, co urs L ieutaud,
ce qui r estera invendu ru e de Crimée 122 et 124 et la maison
14, rue Fargès.
50,000 francs à chac une des commu nes de Vacqueras et
<lu Barrou~ (Vaudll se) .
Con formemen t aux disposi tions du décret du 1er f évrier
1896, les h ~ ri t i e rs connu s ou i nconnus de M , L éon ODE, so nt
in vites à pr endre conn ai ssance du testament, donner leur Consentemen t il son exéc uti on ou pro duire leurs moy en s d'opp osition da ns un délai de trois mois à dater du jo ur du présent
avis.
Marseill e, le 6 .Août 1953.
...
Par testament olographe du ï no\'embr e 19-16, déposé aux
minutes de Me Régis DUGAS, notai re à .M arseille, Mm e Bla nche
L JlIRGOT, veuve RUNTIS, decedee à M arseille le 6 M.ai 1953,
a laissé les dispositions suiva ntes : Je lègue la nue propr iété
de m es immeu'bles sis à M arsei lle, 42, r ue Breteuil et 1 A, rue
Uelanglade, par égale part ent re eux, 1" à l'Infirmerie Protestante, l , ru e <1u Platane à M arsei lle ; 2" l'Etab lissement des
Vieillards la Ri ve. avenue Ca mille-D elpiano ; 3" à l' Orpheli nat
protestant ru e Sainte- Cécile, ,\I arseille.
Confo rm ément aux dispositio ns du décret du 1er F~vr ier
1896, les héritiers co nnus ou inco nnus de M me Blanche LARGOT ve uve PUNTIS, so nt im'i tcs à prendre conn aissanc e du
testa ment, donner leur co nsentement à son exé cu tion ou pro{luire leurs moyens d'opposition dans un délai de trois mois à
dater du jour du présent avis .
M arseille, le 6 Août 1953.
â ge;
1113
�DEMANDE D'EMPLOI
M. Marcel CONSTc'\NS, Secrétaire de Mairie à T réves
(Gard) recherche un emploi similaire dans t.n1e commune du
Departement des Bouches- du-Rhône.
1.
Par arrêté en date <lu 20 Juillet 1953, M. l~ossi Josep h,
entrepreneur à Châteaurenard, est autorisé à établi r et exploite r
un dépôt perma nent de la 3 me catégorie sur le territoire de la
dite co mmune a u lieu dit Sain t-Elo i.
Numéros
R É PU BL I QUE
'I I.
'III.
(Cet a r rêté ann ul e celui du 19-4-40).
'-rf.
La q ua ntité d'explos ifs co ntenu e da ns le depô t sera de
50 kilos de la classe 3 o u 100 kilos de la classe 5.
:.
Pa r arrèté e n date du 27
J uill et, M. Canera François
d~meura n t 18, avenue Paul-:Cézan ne d' Aix, est autor isé à éta~
bilr et à exploiter un dépôt perma nent de 3 me ca tégorie sur
le terntOlre de la commune de Meyreuil au lieu .dit Baohasson.
La qua ntité d'ex plosifs conten ue dans le dépô t ne devra à
aucu n moment 50 kilos de la classe 3.
DES
ACTES ADMINISTRA
ET BULLETIN DES MAIRIES
.
•
TABLE DES MATIÈRES
:\
"
TEXTES D'INTERET GENERAL
F O. _
Mandatement de
réllppels d'émoluments au rrofi t des age nts mutés ............... .. .
186
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
F 3. _ Téixe locale sur l es ventes au détai l ..........
AG O. _ Etats génér aux des communes t1'Europe . .....
~
Le Secrétaire Général
0
."
.'
. . . . .. ...... ..... . . .... . . .
...... ' ..... .
AJlIlli cation a li X agen ts des collectivités locales de la lOI du 26 septembre 195 1 ..... .
TV X O. _ Approbation du projet d'assainissement de la, comm."n~ . des Stes~Manes-~e-Ia~Mer .: ..
AC 3. _ Att ribution de facilités de préparation a ux ca nDid ats a 1 Ecole Nalionale d Aldmllllstralion
~e~nrou~ . . . . ' · · · · · · · · · · · · · · · · ·
? _ Election des membres dUt Conseil d'Administration de la Caisse Nationale de Retraites
AG , .
des aO"ents des collectivités locaJes ............ ...... ...... ...... ...... . ...... .
H ..
Pour le P réfet et par D élé-.tion,
",6
2. _
186
187
187
\89
189
190
o
Maxime MIGNON .
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
corbillard hippomobile et draperies fU:1éraires, vi lle de Ste-Maxime-sur~Mer 190
............
_ Vente d' un
. ·06 1 ....... .
_ Avis de concours ........... .
190
. ........ .. . .. .......... . . . . . . .
_ Demande d'emploi .... , . . . . . . . . ". . .. . ... .
I~--------------~~~~~~~~----------------------, .... u ... u :
NOW'Yu.I.,z • •
K4.ua ILLa, UO, nie Sai_ te
•
35 - 36
3 et 10 Sept. 1953
F RAN ÇAISE
AUTORISATION D'ENTREPOSER DES EXPLOSIFS
P ar arrèt. en date du Il juillet 1953, M. Gou l'ernet F.,
avenue Sta lingrad, en A rl es, est autorisé à établir et exploiler
un dépôt permanent de 3me categorie sur le territoire de la
commune d' Arles.
La quantité d'explosifs contenue <la ns ce dépôt ne devra
jamais excéder le maximum <ie 100 kilos de la classe V.
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
MM. les Maires inté ressés par cette ca ndidatu re vo udr t
On
·
d'
b len se mettre Irectement en rapport avec M ~ Constans.
l' •
• T10NS. _
A. P. : Arrêté: préfecto ral. - C . . Ci rculair e. -:- Les lettr~s D et B su ivi~ d'un. chif!re
. . ABn~V lA ..t:
Bureau d'origine. _ D. S. T. : Direction des Services Technlq~es. - D. D. S. : D!reehon
lOdlquent le Servd>ce lou 5 t ' _ D. D. P . : Direction Dépa rtemental e de la Population.
Départementale
e a
a.n e.
�02 B3 - AG 0
Paris, IEj 22 Aoùt 1953.
TEXTES D'INTËRËT GËNËRAL
1
MANDATEMENTS DE RAPPELS D'EMOLUMENTS
02 BI - F 0
AU PROfIT D'AGENTS MUTES
Paris, le 27 Juil let 1953.
Le Ministre de's Finances et des Affaires Economiques,
li MAI. tes Ministres et Secr etaires d'Etat.
Par lettre n° 5638 G Li e 2499 du 6 août 195 1, un de mes
constatant que les administrations procédaient
de façon différente au mandatement des rappels d'émoluments
dus aux agents mutes. a invité tous les D epartements mlllistérie1 s. dans un but d'unirfication. à oharger l'ordonnateur
secondaire qui assure If> mandatement du traitement de l'agent
àans sa nouvelle résidence. de mandater les rappe ls d'émoluments a tfl:.rent"s à la période antérieure à la muta tion, toutes
les fois que !a mutation n'a pas entr aîné wn changement du
chapitre budgétaire où est imputée l a rémunérati on pr in.cilpale
prédéc~-.seurs,
de J' agent.
1\ est apparu que cette règle, aisément a.ppl icabl e ,lorsqu'i l
s'agit du mandatement de rappels à des agents mutés à. l 'intêrieur de la métropol e, soulevait des difficultés l orsque les
rapj)els étaient dus, pGur des services effectués en Afriqu.:! du
:\ord , dans 1C!5 départements et !es territoires d'OJrtre-N{er ou
les Etats associes, à ne!' age:1ts mutés dans la M ét r opole.
En effet, les ord onnateurs se condaires qui , en applicatIOn
des dispositioris oe la lettre précitee, assurent le mandatement
des rappel d'émoluments afférents à la période antérieure à
la mutation sont, ainsi que les comptables as ignata:res,
appelés à \'~ Iifier des pièces justificatives COncernant des ~e r
\ ices re.ndus nors de b: métropo!e. Or, les textes qui régissent
les persolinels en fo nttion hors de 'la Métropole sont SOL; ve nt
ma: connus d('s fonctionnaires et compta bles métropolitains,
ce qui r end ditficile un contrôle efficace.
ETATS GENERAUX DES COMMUNES D'EUROPE
si té des régimes en vigueur da ns les départements et les terri toi res d'Outre-Mer , En outre, 'l e t r ansfert des cotisations de
Sécurité SOLIale de la Mét ropole aux caisses ou organismes
créancier~ de l'Afri que du Nord, des départements et territoires d'Outre~e r, donne lieu à des écritures comptables qu'il
cst so uhaitab le d'éviter.
Le Ministre de l'Intérieur,
li MM. tes Préfels,
Je v(}tlS avais donné, ,par ma circu lai re n" 153 du 26 avr i'i
' 95 1, des i ndira tions su r le mOllvemell't des Com munes d'E urope et je VOLIS ,:wais demandé d'informer les élus de vo tre
dépa rt ement, par ma circu laire n" 253 dlu 13 juin 1952, de
rorga nisation ou Co ngrès annuel de ce groupement.
L'or,dre éu jour de la r éunion comp rendra notamm ent
l'ad,)pt ion d'~lne Charte Européenne des Libertés Communnles.,
la création ;Jans la furt" ure or ganisation européenlle d'une Assemblée représentative des collectivilés locales, l 'examen de la
politiq ue géné l ale d u Co nsei l des Commltnes d'Europe.
Une réuni ôn l 11 te rllationa1le va dre cette ann ée o rganisee
" Paris et il Versai ll e3 les 16 , 17 et 18 octob re 1953 par cette
A~~ocia ti o J1 , ~Ous ~e t;tre d'Etats Générau x des Communes
d'Europ e.
Bien QUi' il s'agisse d'une initiatÎ\'e purement pr ivée, il y a
i nté rêt, étant don né les buts poursuivis par ce gr oupement,
d'informer de la tenu e de ces rcunions les élus municipaux et
les conseillers gén éraux de vot re dt,jpa rtement pou r leur permettre de pa rt iciper largement à ces assises ou de s'y faire
représenter.
L'ouve rt ure du Cùngrès aura lieu le 16 octobre 1953 à
l'Hôtei de VillL de Paris. l ous les élus des communes et des
En co nséqllrence, lorsqu' un agent exerça nt ses fonctions
en Afrique du Nord, dans un dépa rtement ou territoir e d'OutreMer ou un E,tat associe, est muté dans la métr opole, le mandatement des r alppels d'émolume nts au profit de cet agent
devra être déso rmais assu r é, dans la mesure où ces rappels
se r 31ppo rtellt à la pér iode antéri eu r e à l a mutation, par l'ordo nn ateur secondaire qui procoo'ai t au m and ate ment du trai...
tement de l'agent dan~ son ancienn e résidence, même si la
r ému nératio n IA incipale. de IJagent co nt,i n,ue à être imputée au
même chapitre budlg étai r e.
'La même r ègle se r a appl.iquée àans le cas où un agent en
lonction dan; la métropole est muté en AJfrique du Nord, daJls
un dépa rtement d'Outre-Mer, un territoire d'Outre-Mer ou un
Etat associé.
Je vous prie de bien vouloir porter ces nouvelles dispositio ns à la connaissan c~ des services r,e1evant de votre autori té.
tant dans la metropole qu'en AJfrique d,u' Nord, dans les dépar.
tements et les te rr itoi r es d'O utre..~\e r et les Etats associés,
02 B3 - AG 2
Le Préfet des Bouc/!es-<111-Rflô/le,
ci MM. les SOlls-Préfe ts
el MM, l es M aires du D éparlellJel,! ,
Un décret n'; 52-657 d,u 6 juin 1952, portant règle 111 enl
d'admi nistration p e,t>lique' (journa'i Officiel du 8 juin 1952) et
une In str uction du Ministre des Ancie ns Comba ttants . pDc tant
la même date avai ent déjà fixé 'les co ndii tions d' applicati on
aux magistr ats, fon cti onnaires, ouvri ers et agents civils de
l'Etat et des Etablis.em ents Publics de l',Etal de la loi
n" 5 1-11 24 du 26 septembre 195 1 qui a institu é des bonificati ons d'ancienneté pour les 'personnes ayant pnis une part
active et co ntinue à. la Résista nce et prévu des düogatio ns
temporaires (lUX règles de rec rut emen t et d'avan cement dans
les emplois publics.
Un Mcrel n' 53-594 dlt 25 juin 1953 qui a dé 'p _b lié au
«: Journa l Oftidel » des 29 et 30 juin ~uivant a déterm iné des
mêmes conditions d'ap plica ti on aux foncti onn aires et agents
ties dépa rt emellts, des communes et des Etahlissements publics
departementaux et communaux.
Pour le Nti nistre ~t par déJ éga ti on,
L e Directeur de la Comptabilité Publique
G, DE VAUX .
TEXTES D'INTËRËT COMMUNA Ll
-~.-
'
T AXE LOCALE SUR LES VENTES AU DETAIL
s u~wi sée.
Afin de fac iUter vo tre tâche j'ai cru cependant opportun
de résume r ci-l'I près les dispositions essentielles de cette Instru ::tioll en les adaptant au person nel des l'ollectivités 10ca1es
pOlir lequel certains trxtes nouveaux onrt~ en la mati~ r e, des
IIlcide nces qu'il convi ent de prëciser et de commenter.
1. la r ge co nsommation, "Etat prendra à sa cha r ge ces diminu-
à MM. les Maires,
t io ns et en rrmbou rsera le montant au x
M . le Mi"istre de l 'I ntérieu r m'i nfo rme télégraphi quement
que, Su r sa d~mande "!t pour pallier les moi ns-vruues de recettes dont serollt affectés les budgets communaux au titre ŒU
des modalités
con naissance,
qu i
se ront
commun es, suivant
pro chai,nement
portées à
vo tre
l, l arseille, le 6 septembre 1953,
rende.ment de l a taxe lOcale su r les ventes au détail, consécuti "ement
a
l'appl icatior:
aménagement du
186
des dispositions du décret
régime financier de
certains
Le P réfet,
portant
proou~ ts
de
Léon MARTmAUD-D6PLAT.
APPLICATION AUX AGENTS DES COLLECTIVITES LOCALES
DE LA LOI DU 2() SEPTEMBRE 1951
Les disposi ti ons qu i y sont conten ues éta nt ident iques il
celtes du décn~ t du 6 JUÎlI 1S62, \'01.:.6 pou rrez utilement vous
réfé r er il ce de rn ier t ~x te ainsi qu'à l'Instruction mi nistér ielle
Le Préfet des Bouches-d'u-Rh ône,
L' Assem~lêe générale du Consei l des Commu nes d'Europe
se tiendra co njointement <à la réunion de ces Etats généraux.
P,bu r ces motifs, i l a paru opportun d'admetfr e une dérogation à la règle posée par l a lettre d'u 6 août 1951.
La mëmt' difficulté se pose pour les retenues de Séc:lTité
Social e en raison notamment des t3/;.I·X variables et cie la dive r-
02 B3 . F 3
collectivités l!lcales sero nt invités à assister à ce Congrès QUI
ré~l n i ra des magistrats municipaux de pl usieur
pays.
Signé
André PELA'BON,
Bén éficiaires.
L'orticle 2 de la 10 ; du 26 septembre 195 1 stipule: « Pendant ,urne d urée <ie six Illois il compter de la proillul ga tion de
la présente loi les pe rsonnes visées à l 'a r ticle 1er 11011 bénéficiaires des Llfsposi ti olis de la loi n(' 5O. -l00 du :~ anil 1 ~~50
portant autori satio n dt· t r ansformatIOn d'emplois et reforme
de l'a uxil iariat 'en fonction il l a date de publication de ln p r~
sente loi et ~ompt a nt à cette date trois annëes d'exerdœs
de fonLiiO:ts ~Ii qualité d' age nt tr:mpora i re ou contractuel, pourront être titularisées sous r és~ r \'e de l'examen de leur::; capacités profession nelles :P.
Or , ai nsi que le rappellent le Ministre de l' In térieur et le
Ministr e des Ancie ns Combattants et Vi ctimes de la Guerre
dans une ci rculaire du 22-7- 1953, la loi n" 50-400 du 3 avril
1950 n'intér~ss e q!we !es administrations, offices, ser vice~ et
Ltablissements perm.anEnts de l'E tat. L 'a rticle 93 de l a loi du
28 avri l 1952 po rtant statut (Tênér al du ,perso nnel des commu nes et des ét ablis'Semer.ts publics comm unaux a bie n pr ëyu la
poss ibilité d'une meS:Jre de titul arisatio n par déroga tion aux
règles statutai res de lec rute ment mais ces djspositions, dont
l'application est d'a illeurs limitée dans le temps, ne sont n li-~
lement par aIJëies à. cell es de la loi du 3 avril 1950.
D'autre p ... rt, s'i l est possible de faire pour l'Etat une
distinctioll ndte Pil tre les agents tempo rai res, cont ractuels et
auxi li ai res, ;'11 1 ce r tain nom br e de textes règlementai r es et de
régi mes d'emploi diffêrents ayant consacré cette distinct ion,
cdle-ci appar<.dt de fétçO n bt:aucoup moins précise pou r les
person nels des commu nes.
En outre, 11 serait injuste d'écarter du bênN ice de la loi
les agents alL\iliai res ces hôpita ux et hospices. En effet, en
ve r tu des art;cles 65 et 66 dll décret du 17 a\ril 1943, les
stcno-dactylogra phes, cactylographes, employés aux (critl! res
et ~en' a nt s qllL occ upent dans les hôpita ux et hospices publi cs
des emplois pe rm anents ::.Ol1t nonn alement assimi lés aux employés aux ili aires des administrations de l'Etat. Or, bien que
les intére és ne pui 't:nt êtr e considérés comme des agents
tempor aiTes, 10 loi dil 26 septembre 195 1 doit pe rm ettre la
tItula r isation de ces "gents s'ils remplissent pa r ailleu rs les
conditio ns requises pa r ce texte.
En JéJinitive, precise l a circulaire interministêrielle sus\ isée du 22-7- 1953., tous les agents" non titulaires ~ rem plissant par ailleurs les conditions requises par l 'article 17 du
lIccret du 25 jui n 1953 peuvent ~olli ci ter le bénéfice d' une mes, re de titukl r Îsatioll.
II. -
Délais a~ préselltatiall des tlemandes.
Les déla is prévu5 pour le dépôt es
suivants ;
demande.s sont les
- Pour :es demandes de bonification : trois mois à dater
ùe la publicatIon du déc ret ou trois mois à dater de relltree
en fonctio ns si celle- ci est postérieure;
18ï
�_ 'Pour les deman<.oes de titularisation : trois mois à dater
de la publication du dccret.
rences au JouIll a! Officiel et éventuell ement, copie certifiée
contorm e du h:xte de 1:\ citation.
Je rappel;e que ce décret a paru au J. O. des 29 et 30 juin
1953 et que le d él ai de trois mois expire donc le 30 septembre 1953.
2" D ossie r reiatif à une mesure de titularisati on.
L~ dossier ?~v r ~ comporter, outr e les. pièces rp r évues POur
,
1 oc troI des bonIfI ca tiOns, le r apport susvisé (§ V) r elaHf au
capac ités professionnelles et à ~a manière de ser vi r l' intcress~~
Ill. -
Présenlalion des demandes.
Obligation est faite aux postula nts d' Ultiliser l' un des deu x
form ulai res spèociaux cunformes aux modèles annexés à l' In struction du 6 juin 1952. Ces fo rm ul ai res devront ~t re récl am~s à la Préfocture.
IV. -
Services qualifits pour recel/oir l es dema ndes.
Les demandes doivent être deposées au bur-M u du personnel dans chaque admi nistration qui vérifie ra les rensei gnements rela ti fs à l a sItuatio n ad mi nistrative pr évue et transmettra les dossiers à l a Préfectl!re sous le present timbre,
Pour les candidats à la titula r isation vous vou-d rez bien
joind re un ra çport dor.nant tou s rensei gnements sur les capalités professionnelles et la mat iè re de ser vir de l' intéressé.
V. -
Composition de,; dossiers.
Je vo us pr ie de bien vouloir veiller tout particuliè rement
à ce que les dossi ers des req uér ants co ntienne nt les do'C'uments
ci- après :
1° Dossier co ncer nant t'octroi de boni ficat ions :
a) Dema .,de éta.blie sulr formulaire spécia l susvisé
b) Pièces justificatives : ces pièces va r ient sui,va nt la
natu re des services accomplis dans l a Résistance,
a) Pièces nécessaires :
Pcur les postulants ayant appartenu :
- Aux rorces françaises co mb2 ttantes (agents AI et P2),
aux For.ces Françaises de l' Interi eu r , aux mouvements de la
Résista nce i11t~rieure française (pour les seuls membres VIses
pa r le docret n' 47-1 958 du 9 septembre 1947) : oopie certifiée
conforme de l'attestation ou du cert ificat d 'appa rten ance délivre par l'A uto rité mil itaire ;
- Aux Fortees françaises libres: cert ilficat déliv r é par le
Comité Nation"1 Français de Londres Oul de pr';fér.enee, l'attestation de ser vices délivrés sur demande des intéressés par
l'or ga lle central des Forces Fra nça ises Libres, 2, avenue {je
Saxe, Paris (7') ;
- Aux mOUNements de l a Résista nce mtérieu r e f rançaise
(pour l es membrcs qui ne so nt pas vises par le décr et susdit
Ou 9 septembre 1947) 0 \1 pou r les agents, résistants isolés :
Un rapport circonstancié, relatant l'ensemble de l'activité
résista nte, certifi é su r l'honneu r et sign~, soit à la fois par un
chef de r éseau et par l'officier liquidateu r de celui -ci, soit à la
fois par un chef national de mOlWement rég ul iè rement homologué et pa r son liquidateur, soit pa r l'auto r ité mi l.itair e f r ançaise ou alliée.
b) Pièces facultatives :
Pou r les dépo rtés ou internés: copie certifié co nfo r me de
la ca r te de déporté, interné, résistant.
Pour les pensionnés: copie certifiée confo rm e de la notificat ion mi nistéri elle ou du brevet de pension.
Pour les titulaires de la ca rte du combatta nt volontai re
~e ta r ésistance ,a u titre. de l a r esistarlice intérieure fr ançaise :
eventuellement 1attestatlon de ser vice qui a été délivrée par
l'Off ice National.
Pou'r les titulaires de r écompenses décernées au titre de la
Résistance : i nd ication des décorations avec mention des r éfé-
D5 B 2 · TVX 0
DE LA COMMUNE DES SAINTES-MARIES-DE-LA-MER
Le Préfe l des BoucheS-du-Rh ôn e,
Officier de la LégiOn d'Honneur
T,aTlsmissioll de~ dossiers il la .Commission Centrale.
VI. -
Les dossiers co nstituês co nform ement aux directives c'dessus seront transmis par I11tS soi ns à la Commission Cent ral\~
siégeant à l'O ffice National <Ïes Anlciens Combattants et ViC'times de la Guerre qui est ha~b iJité à établi r la liste des bénéficiaires des ava ntages prévus par la loi du 26 se ~t e m b re 195 1.
T outsfois, ce tte Comm ission aya nt consta té que des dossiers lui parvenaient qui ne -pouvaie nt que taire l 'ob~et de
décisions de r ej et <. à priori ~ (p ar ce que non recevables., 1~
Ministre de l' Intérieur et ie .Ministre des An ciens Combattant,
tt Victimes âe la Gue rre m'ont dema ndé, par la cinclllaire
cO lllmune dejl.1 citée, Ge veiller à ne fai re parvenir à l'Office
National aucun dossier presenté par des agents se trouvant
dans l'une des situations suivantes :
a) Postulants au bénéfice de l'article 2 de la l oi - Ti tula ri sation.
1° Agents ent rés dans l'Administrati on après le 26 septembre 1948 ;
2° Fonctlo Otnaires titulaires, même détachés, à la date du
26 septemb r e 195 1 ;
3° Ouvr iers payés selon les sa laires nor·maux et co urants
de la profession.
h) Post ul ants " u bénéfIce des art icles 1 o u 2 de la loi,
l " Nlilitai r es de tCê rri ère ou engagés volontaires avan t le
8 novemb re 1942 station nés en Alfr iq ue du No rd et aya nt suivi
le sor t de leur unité ;
u
2 Demandeu rs dont les attestations ne sont pas CO li fo rm es
à celles vi sées aux articles 5, 6 et 7 du rè glement d'administration publique;
3.0 Demandeurs dont les services da ns la Résistance sont
post éri eurs au 6 décembre 1943 (eJOCeption faite pou r les d,tenteurs de b ca rte de déporté ou inter né de la I~ésista nce, les
pe nsio nnés pour blessures reçues au service de la Résistance
et autres béneficiaires de !'arti ole 4, 2me al inéa) ;
4' Les r éfra ctaires du S.T.O. et à l a W ehrmacht (à moins
qll'jl~ ~e puis~enlt prouver leur a'pparten ance à Uil groupement
de r cs lstance homologué) ;
5 u Les 'pr isonniers de guerr e n'ayant accomp li habih:e.llemen t aucun acte de r ésis tance ;
6' L es r.op lés oc mobilisés en M r iqu e du No rd apr,ès
le 8 novembre 1942 et en Co rs e après le 5 octobre 1943.
Vous voud r ez bien appeler l'attention des postu'lanlos
é,.e n~u els sur ce point et leur 'pr éc iser éga lement que la CommISSion Ce nt r ale s'éta nt montr ée jusqu 'ici extrt:mement strict~
Sur l'applica tion des t itres de résistance, ils ne doivent présente r une (h::mande que si leu rs titres de résistanoe SOllt
abso l ument indiscutables.
j' ajo ute que dès que la Commission se se ra prononcée su r
les demandes qui au ront été soumises
l'Office National
1l1'aor~sera l'avis de c ette Commissio n 'que je VOliS ferais
parvelll r en vue de ;a réun ion des organ-ismes chargés de
l'exame n d-es tab iea ux d'avancement ainsi qu'aux postu lants.
Je vous prie de bien voulo ir <iol1>l1 er toute la publicité
désirable awpl ès des tonction nai r es et aaents susceptibles de
bénéficier des d,ispositions ,de l a l oi du 26 septembre 1951.
POlir le Préfet des B ouches-du-Rhone,
Le Secrélaire Général
Maxime M IGNON.
APPROBATION DU PROJET D'AMENAGEMENT
Vu la loi d'u rbanisme .provisoirement aplicable du 15 jui n
1943;
Vu l'arrêté du 22 avril 1945, classa nt la Commune des
Saintes-Manes-cte-la-lMer, dans la catégori e des commune sinistrées;
Vu la loi va lidée du I l octobre 1940 - 12 juillel 194 1, re~ ativ e à la reco nstru ctio n des i mmeLiJbl es fpa rtiellement ou to talement détruits par suit ~ d'actes de guerre;
Vu l'ordonnance 45-2062, du 8 septemb re 1945, relative à
la reconstructio n des bâtiments et des Ser vices Publ ics;
V u le décr et du 2 1 jui n 1945, relatif aux projets de re co nstruction et d'a ménagements des curnm un es sinistrees, modifié
le 23 mar s 1946;
Vu l'a rrété du 20 octob re 1945, relahf aux périmètres de
reconstr uction;
Vu le décret-loi du 30 octob re 1 93~, re lat if à l 'exprop r iatio n et à l'O-oc upa ti on temporaire des propriétés nécessa ires aux
travau x militaires;
Vu le proj et d'a ménagement de l.a COmmune des Sai ntesMaries-,de.,la ....Mer;
Vu l 'avis de la Sect ion Permanente de (l a Reconstruction
en date du 15 f év r ier 1946;
Vu 'le Procès-Ver ba l de l 'enquête à laq uelle il a etc' pro cédé le 26 "ptembre 1949;
Vu la dél ibération du Conseil Municipal des Saintes-Maries-d e-l a.,Mer, en date du 10 novembre 1949;
Vtt en date du 3 1-1 2- 1952, le Procès-Verba l de la Confé rence en tr e Se rvices;
Vu J'avis favorab le de la Commission Départementa,le
d'Uroanisme dans Sd searuce du 1-6- 1953;
D5 B3 . AC 3
Vu en date du 16- 11-1 949, la déc ision du Ministre de la
Reco nstructi Jn et de l'Urbanisme, fixant le pér imètre de Reconstru.-ction;
Vu le r app rt en date du 6 juill et 1953, de M. l'In génieur
en chef, Délégué D ~partem ental du M i nistère de la Reconstruc tion et jl1 L ogement ;
Sur la proposition de M. le Secr ét aire Général.
ARRETE :
ARTI CLE PREM IE'l. - Est approuvé tel qu'il est ann exé
au prése nt é::r rêté le projet d'am énageme,lt de la commune
des Sai ntes~.Ma ri es~e- la-Mer, dans les Iformes où il a été soumis à l'enquête.
ART. 2. - (L es plans d'alignement et de ni\'ellement, les
ser vitudes il préci5e r seront déter minées ultérieurement
co nformément à la législ atio n en vigueur.
ART. 3. L'eXlprop ri aton pou r cause de plus-val ue à
l' aticle 68 dl! décret- loi du 8 aoû t 1935, sera appl icable à l'ouvert ...,re des voies nouvelles 'IJTé,rues au plan pou r un e zo ne
comp renant les 'propriétés intéressées par l'emprise des voies
nouvelles et celles comp rises de part et d'a ut re de cette em'pr ise -da n..s une ba nd ~ de terrain large de 50 m., au maxim um
de chaque cô té desdiles voies.
ART. 4. - Le présent arrêté sera pub l ié au r ecueil des
actes administr atifs du Dépa rtement des Bouches-du-Rhône.
ART. 5. - M. le Secrétaire Génér al de la Préfecture, M.
le Mai r e de la Commune des Saintes-Ma r ies-de-la-MAer, l' Ingénieur en chef, Délégué Interdépartemental du l\-linistere de
la Reconstr!.lction et du Logement. ont cha r gés chacu n en ce
qui l e conceïOe de l'exécution du présent arrêté.
,\1arseill e, le 19 août 1953.
Pour le: Préfe t,
Le Secrétaire General Délégué,
Signé: Maxime AIiGNON.
ATTRIBUTION DE FACILll1ES DE PREPARATION AUX CANDIDATS
A L'ECOLE NATIONALE D'ADMINISTRATION (2me Concours)
Le Préfet des Bouchcsdu-Rhôn e
à N'essieurs les Maires du Département
J'ai l'hon neu r d'appder votre attention sur deux arrêtés de
M. le Sec réta ire d'Etal à la Presidence du Conseil en date du
22 juillet 1953 (J .O. dn 23) fixant les co nditions d:ns lesq uelles
les condidats au secon<i Concours d'entrée à l'Ecole Nationale
d'Administration peuvent bénéficier de facilités en vue de se
prépa rer aux ép reurves dudit ('o ncou rs.
1
Ces a rr èt~s co ncel nent les fonctionnaires et agents de
1Etat; toute.fois, il s sont également valables pou r les agents
des Commun es et des Etablissements Pu.blics en relevant lorsque les dispositiolls d~ décret du 2Ci octobre 1950 leur Ollt " lé
~endlles applicables pur un e délibération ou une décision de
l orgalle qualifié de ces collectivités.
, ~a fl s ce C;:;8, les intéressés rempJissa nt les conditions d'âge,
d anCJ~nneté et d'aptitude physique prevues par les arrétés du
25 aout 1952 et d u 22 juillet 1953, peuvent êt re admis à parti-
ciper aU!x epreuves d·u., examen spéciaJ qui au ra lieu le 27 févrie r 1954. Un Centre d'examen ser a organise à Marseille.
tLes candidats a'timis seront mi à même pa r leur Administration de se consacrfr e.xclusivement pendant une durée de
quatre mois à leur préparation au Concours 'Entrée à rE ~ole
Nationale d' Administration.
'Les demandes d'inscription à rexamen spê0ia l du 27 fév ri er
1954 doivent 0t r e ad re~ées. par pli recommandé au Directeur
(: l'Ecole Nationale d'Adm in istration, 56, rue d~s Saint-Pères
Piaris (7me) riu 1er a" 3 1 décembre 1953. Ces demandes doi~
,"ent etre aoc'Jmpagnees des pièces énumér ées -par l'arrêté du
22 juillet 1 95~.
. ~es rensei~llemel1ts co n1:plémentaires pewvent être demandes a mes ServIces (5me Division - 3me Bureau - Examens et
Concours).
Pour le Préfet et par dél""ation
"
Le Secrétaire Géneral :
,
M axi me MIGNON.
189
�D2 B3 - AG 2
Rectificatif à la li~te des ca nriidats aux sièges des rep résentants des col!ecti\'iti!s de la 4 111" catégo rie, inscré-e au Recue il
des Ades Adm inistr atifs N" 30-3 1 des 30 jui ll et et 6 aoOt 1953,
COMMUNIQUES
02 B3
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
ELECTIONS DES MEMBRES DU CONSEIL D'ADMINISTRATION
DE LA CAISSE NATIONALE DE RETRAITES
DES AGENTS DES COLLECTIVITES LOCALES
FRAN ÇA I S],;
page 167 :
_ all leiu de M. PEYRES Ra ymo nd, Maire de T a rbes, lire
M. PEYHBS Ra ymo nd , Co nseille , All1n icipal de Ta rbes.
- AVIS - ANNONCES
."
DIVERSES
c.
DES
MessieulTS les .r\'tai res i ntér esses pa r cett e candidat ure VOu-
FR ,~ISSE,
papeterie, r ll e C ha nzy, à SALO N.
r~
'
du-Rhône.
Contentieux (Pe rsonnel). de la P rofect ure de P o lice, à Paris.
Les ca ndIdats doivent êtr e titulaires :
Le r egistre d'in ri ption des can di dats ser a clos le lund i
28 septembr e 1953, à l'heure règlementai re de l a fe r meture des
bu reaUX!.
Le conditions d' ad missio n et le progr amme des matiè res
du concou rs sont tenus à la disposition des candidats à la Directi o n Générale du P,eroonnel, du Bud get, d'lI Maté riel et d u
___ soit du diplôme d'une Ecole Natio nale d'Agricultu re ou
du diplôme d,'fEtldes agrico les du 2 111" degr é d'une Ecole Régionale d' Agr iculture.
.:.t..
w
.
TABLE DES MATIÈRES
l'
d
TEXTES D'INTERET GENERAL
D5 B3 - AG 0
AVIS DE CONCOURS
Un a rrête de M. le Secrétai re d'Etat il la P résidence du
Co nseil, en date du 21 juillet 1953, a auturise l'ouvertu r e d'u n
Concours, en vue du rè'crutemen t de 70 Secr etai res d'A.dmin istration stagiaires, dont 64 Rédacteu rs et 6 Coml' ta bles.
Les epr e. lves éc r ites du Co ncou rs se dé roulero nt les 12 et
13 octob re 1953. U" Centre d 'ép re uves éc rites est p rév u, il
Marseille.
ILes ép reu ves orale!5, dont l a date sera fixée ultérieureme nt,
auront lieu à Paris.
Le concou rs est oure rt aux candidats des deux sexes, âgés
de 18 il 26 ans au 1e r jam'i er 1953 et tit ul ai res du Bacca la uréat de l'Enseignement Secondaire ou d'un diplôme êquivalent,
et aulX fonctionnai res, luxiliaires, age nts contractuels ou tem-
po rai res de l'Etat, âgés de 38 ans au plus au 1er ja nvier 1953,
et aya nt aoco\np~1i au moins 5 an nées de ser vices effectifs dans
une Adm inist rat ion ou un Etablissement de l' Etat. La durée de
ser vice exigée est r éduite à deux an nées po ur les agen ts de
l' Admi nistration) titula ires de l' un des dipl ômes ou certifi cats
exiges des candidats Gl U premi er oo nco urs d'E ntrée à l'Ecole
Na t io nale d'Admin istr ation.
T ous reJ1se i g nem ~ nts complémentaires co ncernant les
co nditions à remplir par les ca ndidats et le programme des
ép rewves pou rr ont êt r ~ do nnés aux intéressés par la pré'fecture - Service des Concours _ Po rt e 306, au 311l~ éta ge.
P.ou r le Préfet,
Le Secrétaire Général,
AC
AC
F
3.
~. -
O.
3. _
EN
A rr etes
_. por tant dél égatio n de signature.
. ...... .
R~mbou rsem e nt des frais engagés par les personnels c.ivils de l'Etat
à'
i'~~~~si~~ ' cÎ~ leurs
dep lateme nts ...... ...... . . .... .. . . .... ...... ...... . ..
Aoqu isitions. immobilières de l' Etat, des départements, des com;'-;~ n ~~ '~t 'd~~ 'ét'a'b li's~~~
me nts pubhcs "','" ...... . . .... .. . . .... ...... ...... . .. ,.. ...... ...... ..
Mocilficatlon de 1adresse de l'In spection Principale de l' Enseignement technique.
..
192
194
201
203
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
AG
2.
AG
SC
2.
7. -
AG 14. -
Ma xi me M IGNON.
AG
7. -
Statut grnéral du Person nel commun al. Modi~ication
à J'arrèté préiectoral des
16 janvier 1953 et 10 ma rs 1953 . .. . . . . ... .............. .
Situation ~~s agents des collectivités loca 'es victimes d'accidents'
t r'a'v'a'il . : : ~ :: .: : : :
R,esponsabllrté des commUnes en matiè re de protectio n contre l' Incendie. Contrats
d a urances ,..... ...... .... .... . .... . . ............. .
Com~fsiti o n des Conseils Municipaux. - Rectificatif au RA.A.
·~U~,~;~· ~p~~i~i
dE lUI let 1953 .......... . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Sociétés sportives agréees au titre du Service de l'Ent rainem~~t p~ép~ ~ at'o'i~~' ~t des
~~
d'l! .
204
et ·B.A.:\·\;
206
................................... .
............
2<»
209
2 10
VENTE D'UN CORBILLARD HIPPOMOBILE ET DRAPERIES FUNERAIRES
La viIJe de Saink-Maxime-sur-,Me r (Va r) met il la vente
un co r bill a rd hi ppo mob ile et draperies fun érai res en bo n état
il bas pr:x. S'adresser au Maire,
1
P our le Préfet et par D élégatior.
Le Secrétaire Général :
Maxi me M IGNON .
' Wl'lI11UIlU
NOUY~ 11 J D"
v..... ..:ILLI.
1 ao,
rue Sainte
,
,t"
~~~.J ~..~~.
_ soit du Bacca lauréa t de l' En se i gnement Seco ndaire, du
I3revet Supé ri p.ur ou dr: la C3Ipacité en Droit ;
N.-B. - Les ép r euve~ ayant lieu à Paris, l es frais de voyage
et de séjour sont â l a charge des ca lldi'Ciats.
.)
MAIRIES~~
ET BULLETIN DES
AVIS DE CONCOURS
Un CO n Cûl1 TS pour l'admission à la empl ois d' lnS'pecteur
de Police stagiai re dèS Services VétérinaÎ res Sanitaires de
Paris et du Département de l a Sei ne, s'o uvr ira à la Prê-Îecture
oe Police, le mercred i 28 octob re 1953.
{J'
l
ACTES AD MIN 1ST RA -r-l 'F;§/·/
dront llien se mettre G.l rectement en rappo rt avec I\\. Gab riel
chez Mme
37
17 Sept. 1953
DEMANDE D'EMPLOI
Comptable retraité. instruction seco nd ai r e, dactylographe,
au cou rant 101'5 sociales et pa rt ie administ rative, r ec herche emploi de sec rétaire de mairie dans petite -co mmune des BOll ches-
D5 B3
Numéro
RÉPOBL[QUIlJ
COMMUNIQUES - A VIS
ANNONCES DIVERSES
Union des A>\.1i res. - Statut ......... .
Dons et legs
Pl1blication par l' In stitut gëographique national
2 10
212
2 12
p, : Arrèté pr éfectoral. - C . . Circulaire. - Les lettres 0 et B
. . ' d'
.
A8R!;VIATIONS· -B A.
'
d' "
D S 'r
D'
.
SUI\ I~S
un chiffre
. : - ' . : Ir.ec tlOu des Services Te chn iq ues . - D. D. S. : Direetio
indique nt le Service ou ur ~u onglne.
Q
Dépa rtementale de la Sante. - D. D. ~. : Dtrechon DeparleJtltntalt de la Population.
�TEXTES
sa -
AC3
D'INTËRËT
GÉNÉRAL
ARRETES PORTANT DELEGATION DE SIGNATURE.
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du ,R.hô ne,
Officier de la Légion d' Honneur,
Vu la loi du 28 plu\/iôse, an VIII, concernant la division
du territoire français et "Administration ;
Vu le decret du 29 décembre 185 .. concernant les Secrétaires Généraux de Préfeètllres ;
Vu le décret du 10 septembre 1926 relatif à l'organisation
àe l'Administration Préfectorale ;
Vu le àécret n" 50-722 du 2.. Juin 1950 relatif à la délégation des pouvoirs propres aux Préfets, Sous-Préfets et Secré-
taires Géneraux de P réfecture ;
"u le décret du 29 mai 1952 portant nomination
e M.
Maxime ~ ~IG"'ON en qualité de Secrétaire Général -à la Préfecture des Bouches- du-Rhône,
ARRETE
ARTICLE PRE.MIER. - Délégation permanente de signature
est donnée à M. Maxime -"\!lGNON, Secrétaire Général <le la
Préfeeture des Bouc~es- du-Rh ô ne. en ce qui concerne:
Les légalisations de signature ;
Les mémoires introductifs d'instance et mémoires en défense de\'3nt les tribunaux adm inistratifs et judiciaires
Les déclinatoires de compétence et arrêtés de conflits ;
Les arrêtés portant autorisation ou refus d'acceptation dt!
legs ;
Les arrêtés portant dési gnation des journaux admis à publier les annonces ju.diciaires et légales
Les passeports ;
Les arr~tés de mise à la retra ite du personnel du Cadre
partemental ;
Les arrêtés portant reclassement du perso nnel départe.
mental ;
Les a:rè tés et notes de service a~conda nt des con ges de
maladIe. congés annuels et exceptionnels au personn el d
n
Cadre de l'Etat et du Cadre Départemental ;
personnel du Cadre Départemental ;
Les ar rêtés relatifs aIt Conseil de Discipline et sanctions
infligées au personnel du Cac.tre ..Départemental;
Les arrêtes et notes de servi ce relati fs à la Commission
Administrative Paritai re Départemenlale et
Teohnique Paritaire (Etat et Département) ;
Les arrêtés con cern ant les Administrateurs et le pe rsonnel
Les arrêtés concernant les Administrateurs et le personn ~ 1
des Etablissements hospitaliers ;
Les arr étés d e fix ation des pri x de journée <le l' Assistan ce
Publi que de Marseille et d es Etablissements hospitaliers ;
Les arrétés concern ant l'Assistance Médicale Gratuite et les
lois d'assistance ;
Les arrêtés d·autorisation de dépôts
·explosifs;
L es arr êtés d'expulsion d'étrangers ;
Les ond:res de r efoul ements j
Les contrats, mar chés. adjudica. ti ons
au Comité
Correspondan ces relati ves au personnel du Cadre des Fonc-
département ;
Les arrê tés d'autorisati on et récépissés de déclaration de.:;
Etablissements classés ;
Les contrav entions de gran de voirie;
Les récépissés d e déclarations d'associations (Loi de 1901);
Les ordres d'attribution d'office de logements et les arrêtés
portant annulation "et main-levée de ré quisiti ons ;
Les arrêtés portant nom ination. titularisati on, promotion de
grade et avancem ent de classe du personnel départemental
en not re nom les mandats -d e paiement, ordr es de paiement,
chèqus, bo ~derea llx d'é missio n, titres ,de recettes, ordres de re-
ART. 2. - L'arrêté ,du 16 mars 1953 relatif à la délégation
de signature de M. LANGLADE, Secrétaire Gé néra l de Préfectu re cha rgé ·du Centre Administrat if et Te<:lhnique In terd épartemental de ,Ma rseille, est ra pporté.
ART. 3. - M. le Secrétaire Genéral de Préfecture, chargé
du Centre Mministratif et Technique Interd'épartemental de
\'arsei ll e, est chargé de l'exécution du Ilrésent arrêté qui sera
-notifié à M. le Trésorier-Payeur Général des Bouches ·du-Rhône
et inséré au Recueil <les A ctes Administratifs du D~ part ement
des BOllohes -<Ô u-Rhône .
Fait à Marseille, le 7 septembre 1953.
Le Préfet :
.'.
André PELA BON .
Le Prdet des B euches-du-Rhone
Officier de la L égion d' Honneur,
ARREllE
L' l ns~ecteur Général de l'A dministration
en mission extraordin aire
pour la lX" Région \M ilitaire
Officier de la Lé gion d'Honn eur,
Vu
Vu
Vu
Vu
Vu
Vu
1951 ;
Vil
Vu
le décret du 10 septem bre 1926 ;
les décrets 19-1149 et 19-1150 du 2 août 1949 ;
la Cir cul aire Ministériell e ,d u 13 jan vier 1950 ;
le décret du 24 juin 1950 ;
le <lecret du 26 jan vier 195 1 ;
l' Instruction Ministérielle f\ER/ CPj 2 n" 43 du 3 février
le décret du .. fevrier 1952 ;
l e décret <lu 14 février 1953 nomm ant M . LANG LADE
M. Henri LANGLADE, Secrétaire Généra l de Préfecture, charge
Vu
Vu
Vu
Vu
Vu
le décret du 24 juin 1950 ;
le dü rtt du 26 janvier 1% 1 ;
l' In struction Ministérielle PER/OP/2 du 3 février 1951 ;
le décret du 4 févri er 1953 ;
,
le décr et du 14 février 1953 nomm ant M. LANGLADE:
Henri, Secrétaire Général d e Préfectur e, ch ar gé du C~n t"e Administratif et Technique Interdépartemental de ~\arseille :
Vu les néc essités du Service,
ARRETE
Le Préfet des Bo"qhes-du-Rhône,
Offi<:ier de la Légion d'Honneur.
Vu la loi du 28 pluviôse, ,dl VIII, concernant
territoire français et l'Administration ;
V u les nécessités du Service,
Vu le <lècr et du 29 décembre 1854 concernant les Sené-
ta ires G énéraux de P réfectures
de )' Administration Préfectorale ;
Vu le décret n" 50-722 du 24 juin 1950 relatif à la délégation d es pouvoirs propres aux Préfets, Sous-Préfets et Secrétai-
Général du Centre Ald mini sl ratif et T ech ni que Interdépartl:mental de Mlarseille est ra ppo rté.
M . ~e Secrétaire Général de Préfecture. chargé
Admini stra tif et Technique
d'utilité pu blique ;
L'a pprobation des délibérations d es Conseils MuniCipaux
et des
Commissions Administra tives
des Etab li ssem ents
Hospitaliers ;
L es arr êt és co ncern ant les adm inis trateurs et le p erso nnel
de l'Assistance
délibérations
Publique de ,M arseill e, rappro bat ion
d u Conseil d·' Administration de
des
l'Assistance
Publique de ~\ars ei lJe ;
L es arrêtés de fixatio n des prix de journée de l' Assista nce
Délégatio n permanente est don née ;l
A,RT. 2. - L'arrê té du 16 mars 1953 rel,lif à la délégation
permanente de si gnature donnée à NI , L ANG L ADE, Secr élair e
AllT. 3. -
Les ampliations d' arrêtés, les cop ies conformes de documents, les états justifcaHfs des a vances consenties aux Régisseurs des secours d.' extreme urgence ;
Les légalisations de sig natu re;
Les p asseports, les cartes d'ét ran gers ;
L'approbation des budgets et comptes des commlln es, des
établi ssements hospitaliers et des associ ations r econnues
L es arrêtes co ncernélnt les a dminis trate urs et le personnel
du Centre A dmini strati f et T ech nique ln te rdéparti..dl ental du
Ministère !{j e l'fntérieur à M arseine, rom signer dans la li mi te
des att ri butions conférées à l'I nspecteur Gé ntra l de l'Admi nistration en J\'\i ssi on Ex traordinaire pour la 'J me Rég ion I\ülitaire,
10us actes, arr êt es ou dëcisions relatifs à la gestio n des perso nnels {f'e la S(ir eté Na tionale, des Tra nsmissions et du J\1atériel (du Mjnistère de rI ntérieur ainsi qu'à la réunio n, la mise en
œuvre et la gestion des moyens matériels mis il la dispositio n
de ces personnels.
Ou Centre
j
Vu le décret du 10 septembre 1926 relatif il l'organisation
des Etablissem ents Hospitaliers ;
ARRETE
ART I CLE PREMI ER, -
la division du
ARTICLE PRE,III ER. - Délégation permanente de signature
est donnée à M. PLETTNBR Jules, Sous-Préfet, Directeur du
Cabi net, en ce qui co ncerne :
et Techn iqu es Interdépa rtementaux du lvlin is tère de l'I nté rieur;
Vu la circ ulai re ministérielle de M. le V ice-Président du
nistration pu blique relatif au statut parti culier du Cor~_\s Préfecto ral 1
.'.
André PELABON.
ARRETE
Henri, Se cretaire Général de Préfecture, char gé du Centr e Administratif et Technique Interd e.partement al de l\o\.r arsei lle
1950. rela th·' e à l'orga nisation des Ce n t ~ es Administratifs et
Te chniques Interdépartementaux et aux pouvoirs des Sccrét:tÎre~ G énérau x, Chefs des Centres Administratifs et Te:.: hmques
Interdépa rtemen t:'\ux ;
Le Préfet :
,',
Vu la loi du 28 pluviôse, An VII I, ensemble les tex tes qui
ront complétée ou modifiée ;
Vu le déc ret <lu 29 décembre 1854 con cern ..nt les Secrêtaires Gén éraux d e Préfecture ;
Vu les décrets n" 49-1149 et 4 11 50 du 2 août 1950 relatifs à la création et à l'organisation des Cen tres AdmlllistratlÎs
Conseil, Ministre de 1'1 ntérieur n" I/ PER.'CP/ 2 du 13 jan vier
Fait à Marseille, le 7 septembre 1953.
Sur la proposition de M . le Secrétaire Général des Bouchesàu-Rhône,
André PELABON.
rale en ce qui concerne l'Administ ratio n du D épartement·
Les ca rtes d'immatriculation des vé hi cul es autom obiles' 1
Les per mis de conduire ;
,
Les permis ode conduire internationaux;
Les arrêtés de suspension. de retrait, d'annulati on des permis de conduire,
Fait à Marseille, le 26 août 1953.
Service et inséré au Recueil des Actes Administratifs du Dépar-
tement des Bouches-du-Rhône.
res Générau x de Préfectures ;
Vu les nécessités d.l I service ;
Le Préfet :
temental ;
ART. 3. - M . le Secrétaire Général de la Préfec ture esl
chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes A dministratils du Départem ent.
Préfets des Départements de la 9me Région Militaire, à M. le
Trésorier Payeur Général des Bouches-du·Hhône, aux Chets Ile
versement et pièces co mptables de tous ordres concern ant la
gestion du person nel de la Police et la mise en œurre <les
mo ye ns matériels et! financiers de la Sûreté Nationale et du
.Service des T ransmissions.
Notation du person nel (Etat et Département) ,
Tous actes, arrêtés ou décisions et la correspondance géné_
Vu le McrL! du 19 jUill 1950 portant rè glement d·adml pour le cQmp t e du
M. LANGLADE Henri, Secrétaire Genéral de Préfecture, cha rgé du Ce ntre Administratif et Technique In terdépartemental de Marseille, est délégué pour signer
ART ICLE PREMIER. -
tionaires de l' Etat et des Fonctionnai res du Cadre Dépar-
d'utilité publique ;
L 'approbation des délibérati ons des Conseils Municipaux et
des Commissions Administrati ves des Etablissements H ospr·
de l'Assistance Publique de Marseille, l'approbation des
déli bérations du Conseil d'Administration <le l'Assitanc ê
Publique de Marseille ;
Il
Les arrêtés portant détachement et mise en disponibilité du
Les cartes d'étrangers ;
L' ~P!lrobation des budge.ts et co mptes des communes, d es
établissements hospitaliers et od es asso ciations reconnues
ta l~ers ;
J-
ARRETE:
Inter départemental
du
Ministère de l'Intéri eur a Mal sei lle, assurera r exécution du présent arrêté qui aura effe t immédiat et ser a notifié il MM.. les
Publique de Mars eille et des Etablissements Hospitaliers ;
L es arrêtés concern ant l' assistance méd.ka~e gratuite et les
lois d'assistan ce ;
Les ar rêtés d'autorisations de depôt d'explosifs
L es arrêtés d'expulsion d'étrangers j
L es ordres .de refoulement ;
L es cont rats , marc hés, adjuj~catio n s pour le co mpte du
D épartement;
Les arrêtés à' acceptation de legs;
Les arrêtés ,d 'autorisa ti on et rêcépissés de déclaration ùes
établi sse.ments classés;
L es co ntrave ntions de grande voi rie;
Les récépissés de èécla ration d'association (l oi de 10(1) ;
L es ordres d'attrib utio n d'office de logements et les arrêtés por tant annulations et mai n-Ievle de réquisi tions (o rd onnance ,du Il oc10br e 1945 et t extes qui l'ont m odifi~e et
co mpletée) ;
Les ar rêtés
portant nominatio n, titularisation,
promotions
de gratte et ava ncements de c1as. e du personnel départemental :
192
193
�Les arrêtés de mises à la retrai te du personnel du Ca.ct re
Departemental ;
Les aITêtés po rtant reclassement du personn el départemental;
Les arrêtés et notes de gervice accordant des congés de
maladie, congés annu els et exceptionnels au personnel .d u
Cadre de l'Etat et du Cadre Départemental;
Les arrêtés por tant détachement et mises en disponi bilité
du pe. onnel du Cadre Départemental ;
Les arTtêtês relatifs au Co nseil de Discipline et sanctio ns
infligées au perso nnel du Cadre Départemental ;
Les arrêtés et notes de service rela tifs à la Commissio n
A.dministrative Paritaire Départemntale et au Co mité Teohnique Paritaire (Etat et Dépa rte ment) :
Notation du personnel (Eta t et Departem ent) ;
T ous actes, arrêtés ou décisions et la co rr espo ndance é é
raie en ce qu.i co ncerne l'administration du Uépartem g ART, 2. - M. le Secrétaire gé néral {f,es B Oll Ch es ' du_~~ :
est chargé d:assurer J'exécution ou pr ésen t ar,rête qui se one
l,lié au Recueil des Actes Ad m;nistratifs du népart ement.'a pu-
t
Marseille, le 26 ao ût 1953.
Le Préfel :
And ré PEL A'BON.
REMBOURSEMENT DES FRAIS ENGAGES
PAR LES PERSONNELS CIVILS DE L'ETAT
A L'OCCASION DE LEURS DEPLACEMENTS
0282· AC 2
Paris, le 17 Août 1953.
LI.. Secrétaire el'Etat au Budget
et le Secrétaire d'Etat à la Prêsidell ce du Conseil,
à MM. les Minislres el SerrélGlres a"Etal. ·
Le décret n° 53-5 11 du 2 \ mai 1953 a fixé l es nouvelles
modal îtëg de rt.m boursement des f rais engagés par les pe rsonr.els civils de l'Etat. à. l'occasion de leurs déplacements, ct le
Président du Conseil des Ministr es, a mis l'accent, par ci rculaire n" SO 3559 du 30 mai 1953, sur l'impérieuse nécessite qltÎ
s'i mpose plus que jamais dans les ci r constances présentes
c d'é\'iter tOUl abus d~ns ce domaine et de veiller à une O'estion rigoureuse des crédits budO'etai r es co rrespondants, do;t il
n'est pas possible actuellement d'em'isager l 'augmentation JI.
La presente circulaire a pou r objet d'apporter les precisions nécessair es sur fe rt aing des points réglés pa r le decret
d~ 21 mai 19::3 précité, les obser vations étant présentées pâ r
ref':rence aux différents articles du décret en cause.
TITRE 1
DISPOSITIONS GENERALES
A RT ICLE PRE.\\iER. T ou t déplacement doit être autoris é.
pr ealablement par le Mini tre dont dépend l 'a~en t intér essé
ou par le fonctionnaire ayant ré r1 ulièrement re~u déleO'ation
à cet effet.
b
b
Dan la pratique. il importe que l'autorisatl'on en cah::.~
soit concretisee :
1" Dans Je caS d un déplacement au tre qu'une mutation
compor tallt c~angement de r ésidence, par la r emise à l'agent,
avant son deplacement, d'un c ordre de mission '» (modèle
a~nexe nU 1) si gné par l'autorité responsable qUo
i ordonne le
d~placement. et \~i~é, soit par le Ministre intéressé, soit par un
DIrecteur d aomlOlstrahon cent rale ou un Directeur dépa rtemental ayant reçu déléga tion à cet effet.
.. Ces hauts !onctionraires auront toutefois la possibilité d~
deleguer. ~ux,.mem.es. Icurs pouvoirs en cette matière â. un de
leurs adJolnt5, maIs Ils devront, dans cette hypothèse s'assurer
S?US I~ur responsabilit.j que cette délégation n'es t ;usc~ptible
d entralller aucun exc~s, ni aucu n abus.
, S'il s'~~it d'~n déplacement effectué pa r un age nt r elevant
dune admlO1stratlon centr ale, l'o rdre de mission doit. en outre
être visé par le Contrôleu r des Dépenses Engagées.
'
L 'ord re de mission sera ensuite produit par l'age nt à
l 'appui de sa demande de remboursement.
ID4
~or re~po lld a n c~ relative au pe rs,on nel du Cadre des F
tlonn alres de 1Etat et des foncti onnaires du Cad,:-e O·one.
temental ;
epar_
Par exceptio n aux dispositions commentées ci -de.l;sus la
déli\' ra]\:(:e et la p roduc ti on d' un ordre de mission ne son t pas
('xigées lor squ'il s'agit de per sonnel s dont l es fonctions (lnsi1cction, co ntrôle, t ravaux sur l e te rr ai nl, ek ... ) impliquent normal ement des d ~p l ace ments f r équents, r ema rque étant faite
q.ue cette facilité ne va ut, bien entendu, qu'à l'oL'Casion des
oéplacements effectués par les interessés dans les limites de
leur ci rco nscription et de leurs attri bu t io ns normal es.
Les chefs de se r vices régionau x ou dépa rtementaux pourront Se deplace r da ns les limites de l eu r circonscr iption sans
ql,'il soit nece ai r e pour eux de j oind re à leu r demande de
renllbou r sement un oro re <ie mission é-manant de l'autorité
supérieure. D:lns Ce cas, tou tefois, les intéressés devront fournir, pour senir de pièces j ustifi catives à l'appui de la comptabilité du payeur. une note signée indiquant succi nctement les
iaisons du d~placement.
2" Dans le cas d'u ne mutation compo r tant cha ngement de
residence pa r la produc tion à l'appui de l a demande de rem~ol1 rsem ent àe lirais d'L:n « ordr e de mutation » (modèle annexe nU 2), signé par l'autorité qui pr ononce le changement
de résiden ce tt visé pa r le chef de se rvice de l'i ntcressé a sa
nouvelle résidence; qui cer tifiera l a date d'installation de
l'agent.
ART. 3. - Le classement dans l es groupes doit être effectué
pa r refé r ence il l'ind ict de l'agent (ou à sa r ém unération s'il
n'est pas titulaire), sans qu' il soit tenu compte des indemnités
compensatrices dont celui -ci est éventuellement bénéficiai re.
Par personnels ouvrier s, il convient d'entendre les ouvriers
de l'Etat rémuné r és par un salaire 'hor aire.
Afin d'él'iter, dano l a mesure du possible, que l'effecti!
des agents d'l1n même (J'rade plllsse se trouver repa rti, pour
l'attr ibution des indemnités po ur frais de déplacement dans
pl~S Gle deux gro upes -différents, ou encore que des agents
SOIent amenés à vOy3ger da ns les moyens de transport èr.
commun dans un e classe in;léri eure à celle qu e leurs SU bord~nn és ,se,raie:1t autorisés il emprunter, des dérogations à. la
regle generale de classement dans les groupes pou rront etre
apporkes pa r des textes particu liers.
~es dé rogations, qui auro nt pour effet de classer certain~
fOllc.tlO~nai re8 dans un gr oupe soit supérieur, soit infé rieur il
celUI re sultan t de leu r classement hiérarchique , ne pourront,
cependa nt, êtr e accordtes que da ns la mesure Ol! l'i ndice e~r#
r espondant, suiva nt le cas soit au premier soi t au denller
échelon du grade eor.sidéré n'est pas éc~rtc de plus d'
30 pomts de l 'i ndice limite de la r églementation général e. Le
Departement du Budget (Direction du Bud brret - 4me Bureau)
prendra en co nsidér atio n les propositions qui lui seront adressées dans cet objet , à la conditio n, bien entendu, que les surclassements envisagés en faveulr de certains perso nnels soient
sensi blement compe:: nsés par des déclassements equi valents
aff ectant d'élu tres catégo ri es d'agents.
Il co nv;cnt de retenir, comme date d'application
d ' un ~ mesure d'avancement pro noncé avec eHet rétroac tif et
entraînant 111odi~ication du classement d'u n agent da ns les gro upes pr évus à : ar ti cle 3. la date de signatur e du deor et, de l 'a r_
rêté OU de l a décisio n d'avanceme nt, sans qu'il puisse ttre tentl
compte de la LIate d'effet.
ART. 4. -
T ITRE Il
FRAIS DE TNA NS PORT DES PERSONNES
ARr . 5. - Pa r dérogation à la règle qui \eut que la voie de
.de J'air ne pL:isse ttre lltilisée, sauf le cas des traversées maritimes excl!dallt 48 heu,res, que lorsqu 'e1le est plus éco nomique,
j'ai dtcidé, p:u mesure d'assouplissement, que le remboursement du voyag~ pa r v.:>ie de l'air peut ètr e accepté lorsque son
coût ne dépac;se pas 110 % du coût total du transport par voie
fe rrée et mariti me maj ure, le cas échéa nt, des indemnltes journalières allouées pendant la durée du ùeplacement.
ART. 6. - A) Voyage par voie ferrée : Le remboursement
du supplément de pri x demandé lpou r l'accès à certains trains
Ou autorails rap ides n(! pe ut êt re accepté que lo rsque l'utilisation du train ou de J'autorail considéré fa Cilite J'ex (>cu ti on de
la nl1ssion. Il ne saurai t êt re accordé, par exemple, dans le cas
d' un tra in quittan t la rc'sidence de l'agent à 13 heures pour arrive r au lieu de la mission, il 2 1 heures 30, lorsq ue le but de
1a missio n ne compo r te pas expresst:!ment une opérat io n pendan t
1a nuit de l'arrivée.
Le classement en fo nction des groupes prévu par le décret
doit ~tre con si déré comme une limite â. l'intérieur de laquelle
les administrations conser vent la possibilité d'organiser le service su r des bases différentes correspondant à leu rs nécessités
propres. Dans ces cas, lin texte pa rt iculier devra ré gler les
conditions de fonctionnement.
Le re mbourseme nt des frai:; de locatio n de places n'est pas
.a utorisé.
Le décret prévoit ia possibilité pour les agents dassé:s dans
j 'un des gro upes 1 ou Il d'utiliser un \vagon-lit de 2me classe en
voyageant en ~;eco n de classe et d'obtenir alors le remboursement de leurs 1rais de tran spo rt sur la base du pri x d .l' \'oyage
en 1re classe.
Cette dispositio n, qui a pour but de facilite r aux agents
l'a ccès des w agons-lits de 2me classe, ri stIuerait d'Hre equitable pour les i!gcllls h"!IH~ t ici3nt J 'une des r eductions de tarifs
prévues à J'artIcle 8 UII decret ou qui disposent ù ' une C ~.\TtL' tk
ci rculation gr at ui te. J'ai donc dccid':, pa r ml.'sure de biéllye; llance, q •. e, dans ce th: h) puthbe, J'agent appartenant a l'un
des groupes 1 oU III, qui fe r a usa ge d'un w3gon-llt de 2'111e
cl asse, pourr:l, sous r~seT\'c de prûdùire le reçu d~ la Compagnie Gèné:ral!! de,; W agons-lits. reLevoir, dans la limite du cO llt
du supplement tie ,wagon-lit, out r e, le cas Lchéant, le prix de
son billet en :':'L .. ollde Classe il tarIf réduit, la t1ifi~ren ce cntr e
les prix deg billets à plein tarif en 1rt' l'l asse et en seconde classe pou r le p.lrcours considérê.
B) VOyage p(lr l'oie maritime: Le tnb:eal1 ci-npr~5 ind ique
le classement des agents en fonction de kur inùice IOl~ql1e la
l.re classe est di visée t'Il 2, 3 ou ... Lakgor:es. Un travail ic.kntique devra ~tre fait P ;\f les se r\'iœs :ntcrèssés SI le nom " re l.k~
,raté go ries est sUjxric111 il quatre.
Première classe divisée en .2
Categories
1ère categorie
2ème catégo rie
3ème ,catégorie
4ème catégo rie
clIlégories
3
catégories 4 catégories
Agent::; Jitula ires des inâices
607 à 699
576 à 699
515 à 699
33il à 5 14
453 à 575
330 à 452
5 15 à 606
422 à 5 14
330 à 42 1
ILe rembo ursement des pou r boi res ou suppléments à bora
Il 'es t pas autorisé.
e) Voya~e par voie aérienne: Il est rappelé aux administrations qu e :.... minist~ re de l' Interieu r a passé une conve ntion
avec la Compag nie Air-fram:e pour Jes relations effectuêes en tre Ja l~étrùpo l e et les dcpa r teOlents d·outre-mer. Il impo rt e,
en consequen.:e~ pour Les déplacements, qu'elles se mettent eil
rapport avec le servic;;! intéressé QUI ministère d l'Intérieur afin
de pou voir bénéficÎer ri es ava ntages résultant ri e la convention.
ART •. 8. -
Les dispositions de cet arti d e ne sont pas appliqui acquieït à titre
onereux et pour des 1<tisons personnelles une carte d' abonnement comportant r éduction de tarif.
ca~les, bIen entendu, dans le cas- d Ull agent
ART. 9 c.t :0. ~ ndépendamment des dérogations prévues
pa: ~es artIcles et qUI sont d~stine cs à faire tace aux sujétions
sp Cla ies propres. aux :tgtnts de cer tains service s, j'ai décidé,
par mesure de blenvè:J1ance, d'admettr e le r emboursement des
fra 's engagés ~ar les agents des groupes III et IV appelés à
efi.fectue r o CC3s l onnell ~ment, pour des raisons des ser\'lce d~
deplacements a l'in térie ..: r de leur ville de r ésidence admi nistrJ.
tie, sous résen 'e que ceUe-ci compte au moi ns 100.000 habitants
et que le remboursement soit effectue sur la base du tarif le
moi ns o n c reu~ du moyen de transpo rt le plus économiq ue.
TITRE III
MISSIO ,YS , TOURNEES , IN TERIMS
.
ART. II.. --: Le décret pré\'oit, en fait, ulle nouvelle ddiaihOn de la ITI1S.:510n et je l a tournée t: n fonction du lieu uu s'effectue 1: dLplacement. Il s'agit la, bien entendu, du cas ac ner ai, m ~ls les administ rations con serv\!nt l a facu.Jté d'op~aon iser
le s~r~'lce sur des bases différentes co rre spo ndant à le~rs n~
cessltes . propres. ~ ~11~ cette hypothe~e, le texte pa rticulier à
Inte rVell1 r de \ ra deflnl" très clairement les zontS au-de l ' l ' .
ale'
qu'"el1 es l
es'I!1d.emOltes
CIe mission n'Ormaies sont attribuees.
,En tout . _cta t de cau se, les textes particuliers ne peuvent
~\'01~ pour .e~ret de r est ~eindr r le cad re territorial d'attribution
Ge~ Indemll1t~s de . ~ournees en d~ça des limites du dépa r tement.
Un mo~ele d etat de remboursement de frais ùe missions
et de tournces est ci-joi nt (annexe n" 3).
AR~. ~3. 1\ est 'prevu que la mission ou la tournée com mence a 1 he-.re du depa rt de la r~s i dence ct finit il J'he
d'
' "
t
•
ure
arrl\:ee ~ cet e meme re:sidence. Il s ' ~git. bien enrenùlI, L'omme
pour 1art lcl n, de la T1.' sidence (. administratî\'e ,. de ragent.
Pour tentt-. ~ompte à l'agent -du délai nécessai re pour se
r:l1dre de sa r es l J~nCe à , I~ gare de départ, et inversement, au
re~our" de la ga r ~ a S.l resldenLe, un délni forfaitaire d'u ne dem:-.heure se r a pTlS .en compte dans ln durêe du déplacement.
t1\ ant 1 heLlre de dl'pa rt et ap rès J'heure d'arrivée du moven
Je t r an port cn commun utilisc.
~
, Rar derogCl~ion aux dispositions du dermer alinea de 1 artIcle. con~e_Tl~ant le temps passé il bo r d des navires ou avio11s,
li est precise ql1e les Tègles ù'attribution des Indemnités norn~Jles en tau '"'1 de ?as~ redeviennent applicables lorsqu'excep·
tlvnnellemcnt .e priX IJ.U pa~sage par avion ou par batea u ne
comprend pas la fourniture des re pas.
(
�cas
ART. 15. - L'intervention d'lm texte particulier dans le
de Mplacements d'agents envoyés en stage dans des camps
ou dans des écoles est nécessaire même lorsqu'il s'agit de stages professionnels se déroulant dans le cours de la carriere des
agentsART. 16. - Pour rapplication de cet article, il conviendra,
bien entendu, de tenir compte des conditions particulières dans
lesquelles seMeetuent lES intérims.
C'est ainsi que lorsque l'intérim est effectué à femps incomp:et, dans une rési<'ence proche de la residence administrative normale Oe l'agel,t, le paiement des indemnites d 'i ntérim
pourra ètre eftectué sur la base d'une Ou deux indem nités de
base par jour, sans attribution d' indemnité de découcher.
TITRE IV
CHANGEMENT DE RESIDENCE
ART. 18. - Comme ]Jour les articles précédents, le terme
c residence » doit s'entendre de la « r ésidence administrath"e »
de l 'agent.
D ans les cas de mutarion avec avancement,. l 'abatten;Ient de
20 % prévu par l'arrêt é du 21 mai 1953 sapplique il l'ensemble
des remboursements de frais et attributions d~indemnités prévus
au titre IV .
Par contr~, si l 'a\'ancement pro\'oque une modHication du
classement de l'agent dans les groupes prévus à 1'<lTticle 3 du
décret les droits de l'intére'sé, tels qu'ils sont prévus au titre
IV, seron t ouverts en fonction du nouveau groupe dans lequel
il se trouve classé.
Le remboursement des frais de changement de r ésidence
n'est effectué que lorsque la mutation de l'agent est prononcée
dans l 'intérêt du servico. Il est r appelé qu'en application de cette règle, aucun remboursement ne sau r ait être accordé, outre le
cas évident des mutat:ons pour convenances personnelles, en
cas de départ de l"administration pour mise en disponibilité ou
en service détaché, nO:l plus d'ailleurs qu'en cas de retour et
de reprise de service, même si l'administration assigne à l 'agent
une résidence autre que celle qu'il a"ait à son départ.
Il en est de même dans les cas de déplacement d'office
prononcé conformément à la procedure disciplinaire et .de départ
lie l'administratio n pour quelque ca use que 'ce soit.
Un modèle d'état de rembou rsement de frais de changement de résklence est ci -j oint (annexe n" 4).
ART. 19. - Il est prévu que la voie aérienne ne peut êt:re
autorisée. Il y aura cependant lieu <ie considérer qu 'elle pourra
Hre empruntée, dans les conditions prévues à l'article 5, si
l'agent n'a pas de mobilier il transporter ou n'effectue pas i mmédiatement son déménagement. Cette dérogation n'est pas
valable pour la famille de l'agent, sauf si la voie de l'air ~(
plus économique.
Au troisième ali néa de cet article, les termes « les ascendants des conjoints. .. ,. n'excluent pas le I:as du ou des ascendants de ragent célibataire.
ART. 20. - Afin de permettre aux ordonnateurs et aux
payeurs de s'assurer que l'agent a fait toute diligence pour
utiliser le mode de transport le plus ë-co nomique, lïntetl'sse
devra fournir, à J'appui de sa demande de remboursement. au
_'lI1lmUm trois devis émanant. d'entreprise de demenagem~nt
différentes, dont un au moins concernera un déménagem l,;!n t
eHectué par voie ferrée.
Il est rappelé, il cette occasio n, que la S.N.C.F. accorde un e
réduction de 50 % sur le prix -du transpo:i des personni'~ d"os
le cas d'un déménagement d'une certaine im portance (a .. tuellement 2 tonnes) effectué par voie ferrée, et qu'il y a lieu de
tenir compte de cette réduction pour appréci er le mode cie
transport le plus économique.
Le {lélai {le deux ans prévu à l'alinéa 1er doit être rumpté
à partir de la date d'installation de l'agent il sa nOuvelle rési_
dence administrative, !o.rsque celle-ci ne concorde pas avec la
date li laquelle la mutation proprel"ent dite est prononcée ; il
peut, le cas échéant, être accru d'une durée égale à celle de la
période pendant laquelle l'agent a été admis au bénéfice ae
l'indemnité de mutation.
11 devra être tenu compte jour par jour de toute modification de la situation .de famille ou administrative de l'agent; il
est rappelé, toutefOIS, que la modification du classement .dta ns
les groupes ne peut avoir en la matière (i.'effet rétroactiI ; les
commentaiTes ci -dessus co ncernant l'article 4 sont donc valables également POUf l'indemnité de mutation.
Les pOllrboires so nt consioorés comme obligatoires sï~s
figurent sur la facture de l'entreprise de déménagemel't Ou ~
l'agent en produit un reçu. Le rem bouI:-sement ne peu t toute-fois excéder 10 % des f.rais de main-d' œuvre facturés.
Le délai maximum d'une année pendant laquelle l'in.dle.mnité peut être allouée doit être compté il pa'r tir de la <late
d'i nstallation de l'agent à sa nouvene résidence lorsque ceTIe-ci
ne conoorde !pas avec la ·d'ate à laquelle la mutation proprement
·di!e est pT0non cée.
Il est r appelé que les taux .de frais speciaux d'entrej):--ises
sont les suivants:
0,65 % pour les transports par camion automobile,
L es dispositions ci-après devront être appliqu ées da ns le
cas lies agents ql!.i, aû 31 mai 1~53, étaient en Qroit de prétendre au bénéfice de l'ancienne ~ndlemnité de mutation prév ue paf
le décret (lu 4 octobre 1945 :
1,30 % pour les transports par voie ferrée (2 entreprises)
1,30 % pour les transports pa r voie feniée et maritime.
L'a surance maritime ne <levra ètre rembowi sée que dans
la même limite d'estima bon forfaitaire du mobilier que celle
prévue pou r les frais spéciaux d' entreprise.
ART. 22. - rPar mesure de bienveillan ce, les dispositions
transitoires prévues par cet 3!rticle sont applicables pendant un
délai .d~ {leu x ans il compter de la date d'effet du present décret et non pas il compler de la date de la mu tation comme le
prévoit l'article 20.
ART. 24. - L e décr et prévoit que les agents ayant un mobilier à transporter ne sont pas r embou rsés de leurs frais de
transport de bagages.
Pa.r mesure de b ienveillance, il a été décidé que les agents
qui n'effectuent pas immëd\atemnt le transp ort de leur mobilier peuvent, toutefois, être remboursés des f raIS de transport
de leurs bagages par voie ferrée, dans la limite., pour chaque
person ne ouvrant droit au rembou rsement des fraiS de tra n ~ port
de personnel, du coût de l'en re gistrement ,des bagages ad miS en
franchise par la S.N.C.F .. augmenté des frais du transport de
30 kgs d'excédent au maximum.
Le poids maximum de 250 kgs autorisé 'Pour les. agentsn'ayant pas .cre mobilier à tran sporter comprend le pOids de
baO'aO'e
admis en fran chise par les compagl1les de transport en
b
b
commun.
ART. 25. - Il est prévu que, lo rsque le tran sport du mobilier a lieu par voie automobile, le re mboursement des. fraiS
ct'hôtel et de restaurant est eHectue sur la base d'une <luree de
transport forfaitaire de trois journées.
Cette att ri bution est, bien enten.d~I, exclusi ve de J'aug~en
tation d'une journ ée au départ et à l'arrivée 'Prévue au 1t:r alméa
de l'article.
L e paiement des indemnités de frais d'hôtel et de 'restaurant ne peut être eHectue que pendant la dllrée .0\1 tralls~o~ t du
mobilÎe r et il y a donc lieu de considérer comme ~brogce la
mesure de bienvaillance anmise sous l'empÏlie de la reglementa . t pas de
tion antérieure en faveur des agents qUI. ne trO\lvalen
logement au lieu <ie leur nouvelle résiden ce.
ART, 26. - Les chefs de service chargés de liquider l"in:
demnité ,de mutation doivent sous leur Iresponsabilité, s'ass l1~e~
,
et certififier que les a~ents demandant
le bénéfice de l" ln ct enlnlte
o
.
d e c irco nstane n cause n'ont pu trouver
die logement en raison
ces in<lépendantes de leur volonté et ont épuisé toutes les p~s
sibilités d!'installer leur foyer à lewr nouvelle resideule: Ils ~
vront en pa rticu lier exiaer la production d' une attestation déll.
.t
a Inexée
"rée , par l'hôtelier , que0 devlTa obilgatOirem
ent e Te < r , .
. . .
even,
àhaque mois j, l'appui .dlu mandat de paiement et I~re ciser,
tuellemellt, que l'agent est accompagné de sa fal11ll1e.
1") l'agent ne remp1it p1L1S, au ( 'et juin 1953, les conditio ns
prévues ~aT le nouveau texte en matière de sihlation de famille:
il perd tout dI:--oit au bé néfice âe l'in.d'em nité de mutation ;
2(» da ns le cas co ntraire, l'agent 'Perçoit l'ind emnité de
mutation au nouveau taux pendant la période qui reste à courir
Jusqu'à expiration du délai .dr un an compté à partir de la date
de son installation à la nouvelle !résidence.
Les disoositions bienveillantes prevues par les circillaires
n° 120 B/ 5 'd.u 12 novembre 1945 et 72 'B/ 5 du 15 juin 194ô en
faveur des agents nouvellement recrutés sont abrogées.
Un modèle d'état concernant les frais dIe mutation est ci joint (ann exe 5).
Tl'ffiE V
INDEMN ITES POUR USAGE DE VEHICULES
PERSONNELS
ART. 28 et 29. - Les autorisations prévues sont, en prin.cipe, réservées aux person nels des services extérieurs. Elles ne
pourront être accordées qu'exceptionnellement à des agenls des
.adminsitrations cenf!:-ales, lorsqu e ceux-ci ont à faire face à des
déplacements importants et fréquents.
Pour parvenir à la révision des autorisations en cours et,
ulterieurement pOUir toute autorisation nouvelle) les admi nistrations et servi ces devront adresser leu rs prO'Positions à la Dire<>
tian du Budget (4me Bureau) au Min istère ch",rgé du Blldget.
Les ren seignements qui devront être joi nts aux pro jets
<t'arrêtes {j'autorisation sont les suivants:
1°) Pour chaque catégorie d'agents, effectif 'réel et effectif
pour lequel l'autorisation est de mandée.
2°) Répartition de l'effectif auto risé entre les groupes A
et B..
3°) Consistance du par c de véh icu les de service de l'administration intéressée, en comprenant, le cas échéant, 16 véhicu·
les mis à la dûsposition du service par les collectivités locales.
4°) Ventilati on des crédits ouve rts au titre d'ts frais de
déplacement du budget de 1953 en tre :
- a) les frai s -de t,ra nsport en commun,
- b) les indemnitês journalières de déplacement,
- c) les ind'emn ités kilométriques.
Les décisions individu elles qu i seront ensu it e prises par le~
admi nistrations ou services centraux devront ohligatoirement
fotre soumises au visa du Contrôleur des D épenses En gagt!t:::., Il'
Tréso ri er J>ayeur Général éta nt informé, sous couvert de chel
<lu ser vice dépa rtem entnl, par lettre visée du Contq)leur de~
Dépenses En gagées, de la liste nominati,'e des. agents. ~o nt ce
chef de service sera ap,Jelé il ordo nn anrcr les JI1 demOites kil ométriques.
Les administrations centrales auront cependant la possibilité
de d'éléguer les !pouvoirs cie décisions individuelles aux ohefs œ:
ser,vices régionaux ou dcpart ementaux, dans la limite d' un nombre maximum de bénéficiaires. Ces délégations devront être
revêtues du visa du Contrôleur <les Dépenses Engagées et une
ampliation en sera adressée, sous couvert du chef êle service
régional ou départemental, aux T réso ri ers Payeurs Généraux
intéressés, à qui la liste nominative des bénéficia res devra, en
outre, être communiquée par les chefs .d,oe services régionau x ou
départementaux.
La régu larisation éventuelle d.es indemnités kilométriques,
qui seront mandatées, il compter du 1er juillet 1953, pour tous
les bé néficiaI res des autorisations antérieures sur la base ,d'es
tau x prévus pour le Groupe B, poul'1ra intervenir dès que l es
nou velles décisions individ"elles prévues à l'article 2S auront été
notifiées..
Am. 30. - Les indemnites kilométriques sont allouées pour
chaque kilomètre parcouru, étant entendu que les trajetseffectués à l'intérieur de la localité où l'agent est en voyé en déplacement ne donnent pas lieu à indemnisation.
Dans le cas où le dom icile personnel de l'agent et sa résidence. administrative ne sont pas dans la même localité, il y a
lieu de prendre la résidence administrative comme point de
dépa1rt du nombre des kilomètres parcourus.
ARif. 35. - L'automobile personnelle ne doit être utilisée,
en principe, que lorsque ce mode de transport est 1llus économique: il en r ésulte que le remboursement des frais de déplacement en voiture automobile !l l'intérieur de la résiden:çe administrative n'est pas autorisé, s-auf dans les cas dérogatoires
prévus par décret en Conseil des Mi nistres, conformément à
t'arti cle 9 (lu déoret.
Par mesure de bienveillance, nous avons décidé, par ailleurs, qu'il n'y a pas li eu d'opposer jusqu'à nou\'el ordre, le
prin cipe rappelé ci-desus, qui veut que l'utilisatio n de l'automobile personl1elle ne puisse être autorisée que lorsqu'il en résulte une économie sur l'ensemble des frais occasionnés pour
l..haque mission ou tournée, sous la triple condition suivante :
) 0) que If S agents soient classés dans le groupe A;
2") qu 'i l ,'agisse des déplacements eHectues par les intéressês dans la limite de leurs attributions normales et de la circonscription Visée par la décision d'a utor isation, la mesure de
bienvei llance ne s'étenàant pas cependant à la partie de la circonscri plion qui eJ<cède, le cas échéant le departement de résidence adminis tr ative.
3") que les agents intéressés ne bénéficient pas d' une carte
de circulation su r les moyens de transports en commun délivrée
é:UX frais de l 'administration.
ART. 36. Jilsqu'n nouvel ordre, les administrations so nt
l ibres d'autori se r les agents à utiliser, pour les besoins du serrice, leur motocyclette, \'élomoteur ou ·bicyclette à moteur auxiliaire. dans la limite déS crédits dont elles disposent à cet eHe!.
Les autor:sations en ca llse devront, en principe, être limitées aux agents exe rçant des fonctions actives.
Le montant mensuel minimum des indemnités kilomêtriques
prévu à l'article 6 è e l'arrètê du 21 mai 1953, pris en ap,:",lication
dll décret, ne devra être accordé que lorsque le montant total
d-es i ndem nités kilométriques allouées au cours de J'année ci\'île
(ou une périod e i nférieure si l'agent a été Olt a ~essé d'être
autorisé à faire usage de so n véhicule personnel en cours d'an·
née) fait resso rt ir ulle moyen ne mensuelle inrérieure à 350 francs.
Pou r l'année 1953, la moyenne devr a, bie n entendu, être
l'tablie en consklératior. de la periode d'utilisation comprise entre le 1er juin et le 3 1 décembre.
ART. 39. - Le autorisations d'usage de bic}"clette personnelle sont déliv r ées pat les administrations dans la limite des
créd its dont elles disposen!.
196
197
�.~RT . .\3. - Les modèles d·';tat de remboursement des différ~nts frais ce d~plalt::ment sont ci- joints ; ils de" ront êt re
de format 2t x 2ï.
Les aJmlnistrations au-ront la possibilité, compte tenu de
leur OT;,!3 nisa tion propre., d'aménager ou de compléter ces modèles. Toutefois, les modifications qui atfecteraient de manière
Les dispositions prév ues pa r les circu lai res du Départe_
ment des Finances ou du Bu<iget én umérées ci-après demeurent
valables dans le cautre de la nouvelle réglementation :
2") n' 35/9/B/ 5
ou
3 t mars t 9.\7, concernant le rembou r_
sement des frais de transports engagés par les age nts d'élégués.
aux assemblees et co ngrés synd ica ux;
ART. 44. - Les demandes d'avances devront obl igatoirement ~tre accompagnées d'un certifi cat du c.hef de service de
l'agent attest ant la délivram:e d'un ord re de mission et precisant le moyen de transport utilisê, l'itineraire prévu et la durée
de dé.plAcement des agents traduits devant les consei ls de discipline;
3") n' t 23/ 25/ B/ 5 du 7 octobr e 1948, concern an t les frais
Par m-esure de bien\'eillance, est repor tée du
4") n" 53/ 14/ B/ 5 du 27 juillet 1950: concernant l es ta ux
des indemnités journalières de déplacement ct des Indem ni tes
kilomètriques à la RéUnion;
ter juillet au ter octob re 1953 la date au-<1e1à de laquelle ne
pourront plus faire l 'ooj et d e remboursement les f rais de dépla-
5") 9O/ t4/ B/ 4 dU! 22 décembre 1952, concernant les frais
de dëpl acement des membres des Cabinets ministériels.
ART. 45. -
cement de toute nature, co uvert s jusqu'à ce jour par des indemn ités for bi tai res ou par un régime particu4ier institués par
des textes qui n'auroat pas encore eté confinnés ou modi1iés
pour être mis en ha rmonie a\'ec les dispositio n commentées
dans la prése nte circulaire.
Les Adm i ni strations peU\'ent, en conséquen ce, continue r,
jusqu'à cette date limi te, à mandater sans changement les indemnités prcnles par les textes part icu liers en cause,
1·
Groupe . ...... ' . .
. .. . .. .... , .... . .
Tran sports public. : Je déclare bénéficier d'une r éduction
.. . . % sur les ta'rifs de
.... et de .. .. . .. .. .
. ..... . .. à titre de ... .... . .. . . .. (1)
sur les tarifs de
Je déclare ne bénéficier d'aucun avantage personnel, à
quelqu e titre que ce soit, sur les moyens de transpo rts pu -
Le Directellr du Cabin et,
Si gné: VAlULE,REY RADOT
ANNEXE N· 2
par
V isa du Ntinistre c..u, à J~faut , du D irec teur
ayant
reçu
dél égation (5).
Véliicules personnels : 1· ) Automobi le
kms à
I ndemnités joumalières.
In demnités de base à . . . . =
1ndemnités de base à . . .. =
avant 31 me jour :
Puissan ce fisca le serva nt de base à la détermination des
Total ........ . .. .. . . . . .
lement ........ . .. .
Nombre de kilomètres déjà parcourus <kp uis le début de
Total génér al f rais de transports
+ Indemnités journalières ... ... . . . . ...... . .
l'année . ..... , . , .. .
....... .
..
Je soussigné, auteur du présent état, en certifie l' exactitu<l e
Service
à tous égi>rds et demande l e règlement à mon profit de l a
somme de
( 1)
Fait .. . . . ... ... .. . . . le . . . . . . ..... . .. 19 · ·.
Vérifié et reconnu exact par l e .. .. .. .. .. .. . .. ' ...... (2)
Vu, le Direc teur ou Ohef de Service Départemental ....... .
l'année . . . .. ... .
(1) En lettres
(2) Chef direct de l'inté res sé.
(1) Rayer la menti on im:.tile.
-
ou rémun ération de base . ... . .... _
Véhicules pe rso nnels
kilomètres parco urus
f rais réels de transp ort
Est muté: d'office dans l' intérêt du service sans avan cement (I)
d'offic e dans l' intérêt du service ave c ava ncement ( 1)
1 He ur,
Il in éMoye nl
Dat e
(d é.
de
raire
(dé- pa rt el
transt Che.
des
(iodiquer pa rt el
remin
port
déplace- les pointl
re·
tour)
de
(3)
mect. (1)
tour)
d'arrêt
(2)
fe r
6
5
4
2
3
1
Motifs
-
de la rési dence administrative de
A u to~
ca r
-
--- - - -
7
Ba-
V ~ i-
teau
ou
avion
(!)
8
tute
de
l"luagt
(4)
9
Auto
--- - -
10
Moto
Vélc·
moleu r
- 11
12
Nombre d'ind emnit.
de base (6)
MissioD
lli c:yde tte à
Tou rt
ma·
.~ u
teur
13
AV:ln' Après
31
31
jours jours
15
16
14
-----
~
-
Observa tio ns
(L)
17
à cell e de .....
Fai t à
19
le
1
Par (2)
Vi sa du Ministre ou, à défaut,
du Directeur ayant reç u délgation
Date à laq uelle M . ... .. .. . . .. .
se fonctions
,1
1
a l'ris effectivement
à sa nouvell e résidence.
Le Chef .d'e Ser vice,
(4.) Au<o rté qt.:i ordonne le déJ}laceOlen t.
(t ) Rayer la ment io n inutile.
(5 ) Ind i"u" . •,·cntuelt ement. la qual ité d u fonct ionna i,. à qui le
D irecteu r a lui-mt:me dé~égué ses l'ou\'o irs.
(2) Autorit é qui prononce le changement de rés idence.
( 6) S'il s 'agi t d'un agen t "l'pa rtella n t à uu e adm ini strat ion ce ntrale.
....
taux . . ' .. .... . .
Nombre de km s que l' agent es t autorisé à parcoufrir annuel_
2· ) Motocyclette, vélomoteur, bicyclette à moteur :
lDate de la décision d'autorisation ........ ...... . . . .. .
Nombre de kil omètres dejà pasco urus depuis le début de
(1) EllUmtrer les localités où le déplacf:meDt doit êt re effect ué.
(3) a) En cas de transport par \'oie ferrée, indiquer si l'age m bénéfi cie d' une ca n e d(" circulat ion.
b) ln diquer, s'i l y 1. lieu, Que l'agent est auto risé except ionn ellement à utilise r sa vO:lu re personnel' e da ns les -conditio n'!
prévues il l'a rticle 3! du dl.>cret Il '' 53-.H l , du 2 1 m <s.l 1953.
bi cyclette à moteur
Ir. -
Groupe A ou B (1)
Directio n
V isa du Cont rôleur des Oé-pens\$ E ngagées (6)
(2) Si la durt!e réclle cxu~e la duré..: prhue, une attestation comv1éuH;maire autorisant la pro.ongalion de\ïa êt re pro(l!.ite à
l'appui de l·Etat de rcmbot:r~cm~nt de frais.
vélomoteur . . . .. .... . .. kms à
4·
Total
Si les dispositions tra nsitoires prévues à l'article 32 du
décret dIu 2 t mars 1953 sont applicables, date de la précédente décision .. . ... . ..
. . . . .. . .. .
d'office confe>rm ément à la procéd ure discipl inaire (1)
' cr sa d'emande (1)
le
3·
blics (1)
Date d'acq uisition du vé hicule ..................... . . .
I nd~ce
motocyclette . . . . . . . . . . kms à
avant 30me jour:
Signé: Henri ULVER.
Grade .... .
Em ploi
2·
die
Nombre ({' habitants de la résidence administrative ..... . . .
Puissance fiscale réelle .de la voiture ...... .. .. . ........ .
M .......... .. ..
se rend r e il ( 1) .....
.. .................. .. .. .. .
Motif du dëplacement
Du ree prevue (2)
Al uyen de transport l'tilÎs~ (3) . . . . . . . . . . . ..
Automob il e :
10.000 pr emiers k ms . . . . kms à
apr ès 10.000 kms . . . . . . . . kms à
Par décision en .date du .... .
Résidence adminis trative .......... .
198
Indice ou rémun ératio n de base . . , ... ' .
Résidence administrative . . . . . . . .
B) In demnités ki lométri ques
1· ) Tou,,"ees : .. . . .... Indemnités de base à
ORDRE DE MUTATION
Emploi .... _ ..... . .
Fait à . . ........ .
Voiture de louage . ..... _ ........ . . .
Etat des frais de dëplacement engagés par
M . ... . . ' . . .. ...... . . . au co urs du mois <le .. . .... . ..... .
urade ... . . ... .. ........ Emploi
....... .. ......... .
2·) Mission :
et par dél égation
Grade
Indke ou rel11u.nératiûn de base
•
Circonscription territo riale visée llar la décision : arr ondis-
Ministere
M . . .. . .. . .. . ... . ... .. .. .
•
sement, département, plus étendue que le dépa'rtemen t (1)
Directi on
Ordr e ae Aiis$ion
•
à la P'irésidence du Consei l
REPUBLIQUE F-RANÇAISE
Service
o
Pour l e Secrét aire d' Etat
ANNEXE N · 1
,\\in istère
RElPUBLIQUE FRANÇA ISE
Date de la d'écision d' autorisation
Le Secrétaire d'Etat ail Budg et,
REPUBLIQUE FRANÇA ISE
RBCAP ITULATION
1. - Frais de transport .
A) Transports publics: Chemin de fer ......... ....•.. ....• .
Autocar .. ' . . . . .... . . •. . .•
Bateau ou avion .. . ... .. . . ..... .. .
J\ltinistère . ..... . .'
. .. . . ... . . . . ... . .. .
Direction . .... . ........ .. . . . . . . . .... ..
Ser vice .. .... . . . . . . .. . .. . .. .... . .. . ... . .. . ,
1") n" 33/8/ B/ 5 du 26 mars 1947, concer nant tes missions
exécutées en déplaçant une voi tu re automobi le de l'Admi ni stration , avec son chauffeur;
importante la presentation ou les énonciat:ons de ces etats de,"ront être soumise pour ace rd au ministère des Finances, Direction de la Compta"ilite Publique (Bureau C. 3) .
probable du diplacement.
ANNEXE 3
(3) Indiquer, é\e nta:.elleme nt, la quali té du fonct ion naire à CJui le
D irecte ur a lui -même délégué ses pouvo irs.
1
1
( 1) La prod uption d'un t,rdre de mission est obligatoire, sali.f s'il s'agit de personnels de services actifs (inspection contrôle, travaux sur
le te rr ain , ctc ... ) apl}clés à se déplacer normalement en ra ison de leurs fonct ions.
(2) v compris II:' délai forfaitai re d'une demi-heure prévu pour tf trajet résidence - ga re.
(3) Indiquer éventucllement s'il s'agit d'une bicyclette, d'une voiturC' administrative Ot.:. si l'agent béné-ficie d'ulle ca rte de circulation.
(4) Ces fra is doive nt être :lppuyés de pièces justifiCc'ltives.
(5) Dans le cas d'une au torisation exceptionnelle (article 34 du décret du 21-J-53) indiquer colonne 6, le prix dOl binet de chemin de
fer corrcslJo ndant au kilométrage parcouru s'il est inférieur au montant des indemnités kilométriqu-cs du groupe B.
(6) En règol e générale tc,urnée
déplacement dans le départeme nt.
mission
déplacement hors du d~partement,
U n taux de base est attribué pour chact.:.ne des pl.!riodes (1 h. - 5, li h., 14 h" l S, 21 h.
(7) Dan s le cas d'utilisation d'un wagon-lit (art. Ii du dé cret du 2 1 mai 1953) étahlir, éveutueUement, le décompte du remboursement
des {rai s de trallsport. Justifier, hentuellemcnt, b nêcessile; d'utiliser une voiture personnelle (absence de transport en commc.u,
=
=
matériel à transporte r, etc... )
�VOITURE AUTOMOBILE PERSONNELLE (3)
ANNEXE N" 4
RECAPITULATION
Ministère
Direction
Serrice .. . . . . . . . ... .. .. .. . ... .. ...... . . . .. .
Etat des f rais de changement de r'sidecne (1) dont le remboursement es! demandé par M . .. . . .... ... ....... . ........ .
1Il) L'agent est autorisé à faire usage de Sa voiture pe rsonnelle.
Date de la décision ............... . Groupe A Ou B (1)
Puissance- fiscale de la voitu re ...... . ... .. .... ... . . .
Nombre de kilomètres pa rcourus depuis le 1er janvier ..
Emploi . ....... . . . .•.•.....
Distance pntre l'ancienne et la nouvelle résidence ....... .
Indem ni te kilométrique ...... km s à ... . = . ..... IfS
Indice ou rémunération de base ...... . . . ...... , . .. .... .. .
(2' ) L'agent n'est pas norm alement autorisé à faire usage de
Grade .... . . ..............
Groupe .. ................. . ......... . ..... .... .
déplace d'oMice dans l' intérêt du service - par avancement (2)
par dêc.ret - arrête - décision (2) du . . . . . . .
. . ... . 19 . .. .
Ancienne résidence ........ .. . . . . . ..• .•.. .. . . . .... .
sa voiture personnel'Ie
Puissance f isca le de la vo iture
"'.
Distance entre J'ancienne et la nouvelle résidence
1ndemnitt! kilométrique . . ... , . . km s à . . .. -
A)
Fra is de ! ransport des perso nnes
Transport du mobil ier
décret - arrêt é - décision (2) du . ....... . . . . 19 ... .
C)
Transport des bagages
Ancienne résidence ..... .. .
D)
llld em nités de f ra is d'Mtel
No mbre d'haÎJitants de l a nouvelle résidence :
Tot al ... . .. . . . . . .
' "
... .. ..... ......
Reste dû ............ . .. .
Situation de famille : céli bataire, marié, veuf, divorcé (2).
(3) Indi4uer il la rubrique tra nsports publics, le prix du ou du
bill ets de chemi n d ~ fe r co rrespondant au k ilomét rage parCOuru
s'il est inféri eur .u.:. montant d es ind emnit és kil ométriques (art. 10
~me al in éa du d é.cret du 21 mai 1953).
D)
FRAIS DE TRANSPORT DES PERSONNES
(1) Je déclare bénéficier d' une réduction de ......... . .. . . %
sur les tal ifs de . ... . .... . .. .. .. il titre de ..... . ... .. .
{I) Je déctare avoir bénéficié d'une réduclion .............. %
sur le prix du transport pa r vo ie ferrée, mon dém énagement aya fi t été effectu é par le mém'e mode de transport.
TRANSPORTS PUBLICS. -
Réduction
sur tarif
norm al
en %
Agent
Chemin
de Fer
Je soussigné, auteur d u présent état, en certifie l'ex ac titude il tous éga rds et dema nde le règlement à mon profit -de
la somme de (1) . .. . .. .... . . . . . . .. . ...... . . . . .
Alontant de l'indemnité
Le
. . .. . . . . . ... jours à .. ... . ...... frs
(1) En ld tres .
ANNEXE N" 5
agent . ..... . ... ,. .. .... . .. _.. .
I~EPUHLlQUE fRANÇA ISE
conjoint ...... ., .. . , . . .. . . . . . . . .
enfants ou ascendants . .. .. . . . . .. . . .. . .. . .
Total . . .. . . . . . . . . . .. .... .. .
Bafeau
Mi nistère
Mois de ....... . .... 19 . .. .
frs
avion
(2)
- - - - -- - -
_.. . . . . . • . . .. .
Conjoin t .. .. . ..... . .
C)
Pp ids transporté ..
D)
Enfants ou a~cend a n ts
TRANSPORTS DES BAGAGES (4)
Montant des frais (5) . . .
= ........ .,.. frs
Agent . . . . . .
jOl! rs à ... . . ,
frs
== .. .... . , ... .
frs
= . ... . ... ....
frs
t:nfa nts ou ascendants : nombre ....... .
mu lt iplié pa r 1/ 2 de l' indemnité de l' agent
T otal
Dema nde de pai ement de J'Indemnité de Mutatio n ( 1) présentée
Graae
Indi ce ou rémldl ér ation d e base . ..
frs
02 B3 . F 0
(1 ) Il est rappelé q.u'au moi ns trc»s d evis éma na nt d'entrepri ses
dlrférentes ion t un concern aut un d éménagem ent pa r voie ferré(',
do iven t f:t re pr é se Dt ê~.
r
(:l) Haye r la mt n tiou in utile.
(2 ) Rayer la mention ine.tile.
(3) J oindre un cert ificat de résidence à l'ancie n domicile de l'ai ent
e l un certi fica t de Don impositioD.
(1 ) Raye r la ment io n inut ile.
(2 ) A ju s tiCier.
200
Le Dire<:tecr ou le Chef de Servi ce dépar temental,
( 1) Les Il otes d 'hôtel d O:"ent être j oint es.
(2) En lett res.
ACQUISITIONS IMMOBILIERES DE L'ETAT, DES DEPARTBMENTS,
DES COMMUNES ET DES ETABLISSEMENTS PUBLICS
Application de l'Art. 11 de la loi du 15 avril 1953
Pari s, le 22 août 1953
Le
~~in is t re
de J'Intér ieur
à M essie",s les Préfe ts
ce cas, ment ionn er la réfé rence au précédent étaL
Fai t à . ... . ....... , l e ............ 19 . . . .
JOLlrs
Nature de l'indemnité . llouée : tourn ée - mission (2)
Conjoint 2/ 3 de l'illdemnité de l 'agent
(1 ) Ind iquer, s'il y a lieu, qu'il s'agit d'un t:t at complémentai re. Dans
Je sOllSsigné, auteur du présent état, en atteste l'exactitude,
certifie n'avoir pu trouver de logement en raison de circo nstan ces indépendantes oe ma volonté ( 1) et demande le règl ement il mOIl pro fit de la somme de (2) .. . .. . . ... . . ...... .
I NDEMNITES POUR FRAIS D'HOTEL
Durée de trall sport des mobiliers (6) ....... .
T otal .... . .... . ... .
frs.
Vu et certifié exact en particulier en ce qu i conce rne l 'impossi bilité où se trouve J'agent d'i nstaller son fove r à la nouvell e résiden : e.
•
Ser vice
par l'II . ................ .
. .. frs
== ... . .. . .. ...
Le .. .. ... . . ...... .
Poids ou cubaae réellement t r ansporté ... . ...... ... . . .. .
Montant des l!'ais (3) . .. .. . ....... . .. . . ...........
0_
(2) Raye r la menti on in utile.
(3) Nom, prénom, da te de naissance.
rés id ence à l'a ncien d omi cile de l'ég ent et un ce rtificat d e non
imposition.
Direction
Autocar
(i ) U ne ampliati on de l'ordre d e mutation devra être j ointe à l'ap pui
du premier état de pai ement de J'indemnit é d e mutation.
(t) Nom e t prf nom, j oindre à la pre mi ère d ema nde c,n certifi cat d e
Poids ou cubage maxim.um autorisé
Frais réels.
Ascendants à charge d v iva nt ord inai rement sous le toit de
l'agent (4).
Fait à .. . .. •.. .... le .. . .... . . . . . 19 ... .
TRA:VSPORT DU MOBIUER ( 1)
Le t r ansport a été effectué pa r :
voies ferrees - camio n automobile
voie ferrée et mar itime (2).
(1) Je déclare ne bénéfiçier d'aucun avantage personnel, à quelque t itre que ce soit, sur les moyens de transports publics
Situ'atio n de itamill e : célibataire;, marié, veuf, divor cé.
Enfants à char ge (3).
.... fr,i
(1) Raye r la mention inutile.
A)
Nouvelle r ésidence
Dale d'installatIon à la nouvell e résidence ......... . 19
S'il s'agit d' une mutation avec avancement, abattement de
20 % sur Ile total ·ci-dessus.
Date d'installation à la nouvelle résidence . .. . . . . ........ .
Norn J prénom et date de naissance des enfants à charge :
Groupe .... ... .... .
service - 'par avanceme nt (2), par
B)
Nouvelle résidence ................ . . . ...... . ...... . . .. . .
Nom et prénom des ascendants à charge, vivant ordinairement sous le toit de l'agent : (3)
Emploi .. .. ........
déplacé dans l'intérêt du
(~) A j ust ifi e r, la (acturl;:, de m êm e q ue les d evis, d ev ant obligatoiremen t êü e d étai ll ée d e façon à fair e ressortir au mi nimum le
moula nt de cha.cun de s fr ais énwn érés à l 'art. 20 du· décret du
2 l ma i 195J.
(4) Pour les ag( nts qui n'ont pas d e mob ili er à. tra nspor1c r,
(5) A justifier.
(0) A Justifie r 5auf dan s le cas d'un tra nspo rt par camion automobile
(forfait de ~ jours).
(Métropole - Outremer)
J'ai l' honneur ,d~ vous adresser, ci-apr ès, pour exécution,
le texte d'une lettre de M. le Ministre des Finances et des
Affaires 'Econmiqu es re lative à l'a ffai r e dont l'objet est ci-<lessus
exposé.
Je vous précise, toutefois, que depuis ma circulaire N " 28
du 22 juin 1953 et l'exllédi tio n .d'e la lettre do nt il s'agi t, l'art. 13
de la loi n' 53-{;83 du 6 ao ût 1953 (J .O. du 1 août) a expressément étendu les dispositions .de l'article Il de l a loi -du 15 j uin
1953 aux acquisitions effectuées par exprop riation.
Des inst ructions vous seront ultéri eurement adressées au
sujet d e l'ex tensio n dont il s'agi t.
P. le Mi nistre et par délégatio n :
Le Pr~fe t, Directeur de l' Administration
Départementa le et Communale
P. DAMELON.
�Paris, le 8 juillet 1953
Le Ministre des Finances et des Affaires Economiques
à .\I.M. les J\\\nistres et Seoréta ir es d' Etat,
Par lettre n° 6 1903 LI C 290-1 du 13 mai 1953, mon prédecesseur a appelé votre attention sur l'article 1\ de. la loi
Il" 53-318 du 15 a" ril 1953 Uournal Officiel du 16 avnl) faclhtant la cons~ruction de logements économiques, qui a modifié
les conditions de paiements des acquisitio ns immobilières de
l' Etat, des dépar tements, d'es communes et <les étal>lissements
publics qui en dépendent, dans le but d'accélérer ce paiement.
La lettre susvisée avait !pour objet de préciser les condi tions d'application du 3me alinéa de l'article Il qui permet de
payer, sans accomplissement .des _f.o.rmalités de p ur~e ~es, pnvilèges et hypothèques, les a-eqUlslttûns dont le pnx n excède
pas 500.000 francs.
j'ai rhonneur de vouS {aire connaître ci -apr~ les ~odalité~
d'application .d'es ~ux premiers alinéas
du meme article
qUi
concernent le règlement des acquisitions réalisées par . actes
notariés ou par actes administratifs rédigés par le service des
Domaines.
10
1\ est nécessaire oe préciser tout d'abord le champ d'appli-
cation d e ces d'spositions.
De même que le broisième alinéa,
les deux premiers alinéas de l'article' 1\ son! applicables a\lx
acquisitions immobili~res de l' Etat" des . depa r:ements, ~es
communes et des établissements pu bites qUI en dependent, realIsées non pas seulement pour la constru-ction ,d'e log~e n ts
économiques, mais pour la satisfaction de ,tous aut res ,bes,oms :
ceci résulte indiscutablement des tennes genéraux de 1arhcle II.
En revanche, pour les raisons qui ont été exposées .dans
ma lettre du 13 mai 1953, les trois alinéas de l'article ne dOivent
être appliqués qu'aux acquisitions amiables pour lesquelles la
purge des hypothèques est a<complie selor: les règles du d'rOlt
commun à l'exclusion ,des acqUlSlttons operées dans le cadre
d'une pr~cédure d'expropriation pour cause d'utilité publique.
Du point de vue territorial, le champ d'application ~e l'article Il est défini par l'article 12 de la 101 du 15 avnl 19~3 : en
dehors du territoire métropolitain et des départements d'Out reMer, l'article li n'est applicable qu'en Algérie.
Le premier alinéa de l'article fi autorise les .comptables
publics à procéder au paiement du prix des acquIsitIOns 1m010biliêres sur l'acquit du notaire rédadeur de l' acte, et, dans ce
cas c har tre cet officier m inistérie l de procéder, sous sa r espo nsab'ilité à Ota purge des hypothèques légales et des privilèges.
Cette disposition ne peut re cevoi r application .que dans les
tas où le ven.deur le désire et où le notaire en prend la respon sabilité. L'acte de vente doit donc prévoir en se r éférant à l'article 1\ de la loi du 15 a\'fil 1953, la mO<1a tité particulière de
paiement. Toutefois, si l'acte n'a r~en prév~ ~ ce.t ~~a.rd, le
\' endeur pourra exceptionnellement etre admiS a be~efl cler .d.'e
eette disposition, sur demande écrite adressée au, ser~lce ac~tte
reur se réfé"nt à l'article \1 de la loi du 15 aVril 1953 et ,osée
par ie notaire r édacteur de l'acte ; mais il ne pourra ête dbnné
&uite à une telle demande que si la procédure de :purge des
hypothèques légales n'es! pas encore engagée à la diligence de
l' adrninistratio n.
La mesure pcurra également être appliquée aux acquisitions r éalisées avant réception des présentes inst ructions et
même avant la promulgation de la loi, pcur lesquelles l'acte
notarié n' aurait pu prévoir la modalité de paiement. Dans ce cas
le versement des fon<is entre les mains du notaire !pourra tou jours être effectué si le vendeur le demande ,par une requêt~
écrite fo r mulée dans les mêmes conditIOns qu au cas prévu a
l'alinéa précédent. II serait cependant inopportun d'accepter
l'application de la mesure à des aCQuisitions pour lesquelles une
procédure de purge, déjà engagée, aurait don né lieu à engage_
ment de fr ais par l'adrministration.
Le texte ne !prévoit l'interventio n du notaire et n'engage sa
respo nsabilité que pour la pu rge des c hypot hèques légales et
des pr ivilèges ». Les r ègles de comptabilité publique, selon lesquelles le prix d'un e acquisition imm ohi lièr e ne peut ~t re versé
qu'après accomplissement, par l'admi nistratio n, de la pur ge des
hypotl, l(~ques et privilèges, ne se trouva nt do nc être modHiées
qu'en ce qui co ncern e la purge .des hypothèqu es légales et des
privihtges et c'est toujo urs à l'Ad ministration qu'il incombe de
s'assurer qu'il n'existe pas d' hypot,hèqu es co nventio nnelles, en
levant un etat sur transcritio n à la Co nservation des hypothèques.
Si cet état ne révèle auc une inscription, ou si main-levée
des inscriptions a été obtenue, le pri x de vente peut être versé
po ur sa total ité au notaire, sur l'acquit de cet officier ministériel.
Si au contraire l'état délivré par le Conservateur r évèle de~
inscriptio ns, le comptable ne pourra que eonsigner à la Caisse
-des Dépôts et Consignations les sommes corr espon d'antes. 1\ ne
sera alors versé au notaire que la différence entre le pri x de
vente et le mo ntant de la consignatio n. Des sommes consignées
seront déconsignées au vu d'un cer tificat du notaire attesta nt
sous sa responsabilié que les créanciers titulai res des inscriptions existant au moment de la transcription peuvent ~tre désintéressés salis léser les d'roits des bénéficiaires d'hypothèques
légales ou des privilèges non inscrits.à ce moment.
Qu'il existe ou non des hypothèques inscrit es, le prix de
\ ente doit faire l'objet pour sa tota lité d' un mandat IInique émis
au nom <lu ou des vendeurs, apr ès transcription de l'a cte .de
vente et sur productio n de l'état des inscriptions délivré à ce
moment par le Conservateur des hypothèques. Si cet état fai t
apparaître des inscr iptions le comptable consignera la partie du
prix correspondant aux Înscfiptio-ns au vu d'une décision de
consignation prise .par l'administration acheteuse, à moins qu'il
lui soit produit des cer tificats de rariiia tion des dites inscriptro ns ou des quittances notariées porta nt mainlevée.
Lo rsque, ulérieur ement, il s'avèrerait qu' un notaire s'est
desaisi du prix de vente à lu i versé par l e comptable chargé du
oaiement sans tenir compte de l'existence d"u n titulaire d'hy~othèqu; légale ou d'un privilège, le comptab le serait déchar,gé
de to ute respo nsabilité, ma is .rien n'empêc herait le créa nCier
cvi ncé de fai re valoir ses droits à re ncontre de la collectivité
ac,heteuse. Cette dernière pourrait être amenée à désintéresser
le créancier mais disposerait, bien entendtu, d'un e voie de recoll~s
contre le notaire, et, en cas de défai llance de celui-ci, pourrait
faire appel aux caisses de garantie instituées par rarticle 1cr de
la loi du 25 jan vier 1934 garantissant le rem boursement des
dépôts effectués Gans les études notarial es.
000
Le second alinéa de l'article Il autorise le paiement d'un
acompte au vend!eur lorsque ra cte de vente a été rédige par le
Service des .Domaines et que le Directeur départ emental de ce
se rvice autorise ce paiement.
L'acompte ne peu! excéder SO % de la d iffére nce entre le
prix st i? ul.é à. l'ac ~ e d~ vente et le montan t des inscri ptions
hypot hecalres ~nsc fl tes a la date de la transcri ption. Ce t aco mpte
ne peut donc ct r e payée que sur la pr ocluction de l'état délivré
par le Co nser va teur des hypothèques apr s la transoription.
L'a utori sa tion du Di recteur
fixa nt le monta nt <ie l'acompte
délivré par ec fonctio nnaire, qui
mandatement de l'acompte avec
teur des hypot hèqu es.
.dlépart emental des Domai nes
est co nstaté par un ce rt ificat
doi t être ,produit il l'appui du
,l'état ilélivré pa r le Conserva-
10
j'ai l' honn eu r d'appeler votre atte ntion sur les écono mies
qu i doivent nor malemen t résul ter de l'applicatio n des divers es
dispositions de l'article Il de la loi ,d"1 15 av-ril 1953.
La possibi lité do nnée à l' Etat, aux départements, aux
comm unes et aux établissements publics qui en dépendent de
se dessaisi r du prix de vente sans attend re l'acco m plisse~lent
des fo rm alités de purge, lorsque l'acq uisition est réalisée pa r
acte notarié de même que al possiblité pOlir les Ad ministrations
d' Etat qui acqu ièrent par acte admi nistratif passé par le service
des Doma in es, de verser avant lJ>urge un acompte inipo r tant
sur le pri x :d'e vente, doivent permettre de trait er sur des bases
plus ava ntageuses avec les vendeurs -d'im meubles, Ceux-ci nL
pourront Iplu s, en effet, dans les cas visés ci- dessus, j ustifier des
l'xigences particulières en matièr e de prix, en invoquant le fait
que les co ll ec tivités publique règle nt ,leu rs acquisitions immobilières dans des délais plus longs que ceux pratiqués ,dan les
rapports privés.
L a ~~sjJe n se de pu rge des privilèges et hypo t hèques pou r
toutes les acquisitio ns dont le prix n'excède pas 5OO.{X)() fran cs
agi ra dans le même Sens en permettant de mandater au profit
du vendeur, dès la tra nscription de l'acte, le prix des acquisi·
tio ns imm obi lières .d'e faible montant. Cette disposition permet·
tra en outre d'éviter les frais de la procéd ure de purge, proportion nellement très élevée pour les acquisitions de faible montant.
JI est anormal que certaines ad ministrations r ecourent systématiquement aux notaires, alors qu'elles peuvent éviter la char ge
des honorair es à 'Payer à ces officiers ministériels, en rédigeant
àes actes administ ratifs.
Pou r les admin istrations de l' Etat, qui, en vertu de l'ar ticle 23 du décret du 28 août 1949, sont tenues d'a,voir r ecours au
ser vice des Domai nes pou r la passation de leurs actes d'acquisition immobilière, le reco urs à ('acte notar ié doit demeurer
excep tionnel. Désorm ais, les or do nnateurs de ces ad ministrati ons auront à mettre à l' appui du ma ndat du règlement des honorai res au notair e lIll certifica t administratif, visé par le Directeur ,d!épartemental du ser vice des Domaines, justifian t le
recours à l' officier ministériel. Le Serv:ce des Domaines, seul
compétent dans ce cas po ur stipuler au nom de l'Etat, s'efforcera d'obtenir des vendeurs la mise â l eur .charge des honorai res du notaire lorsque ces vendeurs exigent que l'acte d e
\ ente soit passé par un notaire.
En cc qui co ncerne les acquisitions faites par les Aèministratio ns de la Reconstr uction et de l' Intér ieur dans le cas 'Permis par l'article 23 du décret du 28 août 1949 et par les départements, communes, établissements publics, ces services et
collectivités ne disposent pas de (' Administration d'es Domaines
et il est concevabl e que certains d'entre eux éprouvent des difficu ltés pratiques pour r édiger des actes de vente immobilière.
Cependant toutes mesures .doivent être prises pour recou r ir
aux actes administratifs aussi fréquemment que possible et
toutes les fois que l' administ ration acheteuse dispose de fo nctionnaires qualifiés pour r édiger d~ tels actes ou pour recourir
aux offices d' un service préfectoral équipé à cet effet.
,00
Je vous serais obligé de vouloir bien porter les dispositions
de la présente letire à la connaissance des services, collectivités locales et établissements publics relevant de votre autorité
ou placés sous votre contrôle.
Pour le MJnistre et par délégation,
j'appell e aussi votre attention sur l'écono mie que peuve nt
réa liser aisément les collectivités publiq ues en réalisa nt leurs
acquisitio ns immobilières par la procédure de l'acte admi nistratif.
IPET . EN 3
Le Direcfeur de la Comptabilité Publique
O. DEVAUX.
MODIFICATION DE L'ADRESSE DE L'INSPECTION PRINCIPALE
DE L'ENSEIGNEMENT TECHNIQUE
Marseille, le 24 aoüt 1:153
INSPECTION PR I NC I P,\L E DE L ' E.~S EIONE.'\ENT TECHNIQUE
7, Avenue du Général-Leclerc, 7
Le Recteur de l'A cadémi e d'Ai x
à M. le Préfet des BOli ches-d u"Rhône
f ai 1" J10I1neur de vous faire connaî tre qu'à la sui te d ' lIn ~
rédsion ,partielle du Plan de Voirie de la Ville de M arseill e,
I"adresse de J' Inspection Principale .de l' Enseig nement T ech nique de l'Acad émie d' Aix se t ro uve €>tre modifiee com me suit :
.\1 ~RSE ILL E (3")
Je
-demand e, en c ons ~ quen c e , de vouloir bien adresser
le courrier destine à mes ser nces à l'adresse sus-indiquée, dès
réception de la présente d rculaire.
VO LIS
L'Inspec teur Principal
de l'Ensei gnement T echniq ue
Signé: PALLISSE.
Cette <lisposi!ion ne vise pas tous les actes de vente passés
dans la fo rme administrafi,ve mais se ulement .ceux qui sont
lédigés par le Service des Domaines, c' est-à-dire, .(lians l'état
actuel de la régleme ntation (article 23 d u décr et N" 49-1209 du
28 août 1949), les acquisitions amiables de l'Etat, sauf celles
opérées par le 'M jnistèr e de la Reconstru ction et de l'Urballls m<
ent et
Pour les besoins de la Reconstruction et du Remembrem
· . 1 de
celles opérées avant le 4 septembre 195 par l e M1I11S re
l' Intérieu.r pou r les besoins des ser vices de police.
~UJ
202
�TEXTES
D2 B3 - AG 2
D'INTËRËT
COMMUNALl
STATUT GENERAL DU PERSONNEL COMMUNAL.
MODIFICATION DES ARRETES PREFECTORAUX
DES 16 JANVIER 1953 ET 10 MARS 1953
2" arrondissement d'A I X
Le Préfet des Bo u c h es-du-~hô n e,
....................
Officier de la Légion d'Ho nn eur,
Vu l'article 13 de la loi du 28 avril 1952 portant Statut Géneral <lu personnel des communes et des établissements publics
commun aux et intercommunaux ;
Vu le Mcret <lu 6 septemb re 1952 fixant les co nditions de
constitution et de fonctionnement des syndicats de communes ;
Vu la circulaire ministérielle n' 382 du 17 octobre 1952 ;
Vu les arrêtés préfectoraux des 16 Janvier 1953 et 10 mars
1953,
ARTICLE PREMIER. modifié ainsi qu'il sujt :
ARRETE
L'article 1er de l'a rrêté
La co mmu ne de ,M'ARTIGUiBS est radiée d u sy ndicat de
com munes du Département des Bouches-du-Rhône.
ART. 2. -
M. le Secrétai re Général <le la Préfectu re esl
Le Secrétaire Général :
Signé : Maxime M'IGNON.
SITUATION DES AGENTS DES COLLECTIVITES LOCALES
VICTIMES D'ACCIDENTS SURVENUS DANS L'EXERCICE
OU A L'OCCASION DE L'EXERCICE DE LEURS FONCTIONS
Paris, le 18 Août 1953.
Le Ministre de l'Intériew,
[a Métropole
et des Départements d'Outre-Mer.
à MM. les Préfets de
Il résulte d'un avis du Conseil d' Etat du 19 octob re 1943
que la situation des agents des collectivités locales au regard
de la législation sur les accidents du travail est la suivante :
1. _
AGENTS DES COLLECTIVITES LOCALE,s AUXQUELS S' APPLIQUE LA LOI DU 30 OCTOBRE 1946
ReLATIVE A LA PREVENTION ET A LA REPARATION DES CCIDENTS DU TRAVA IL.
Il s'agit :
l ' Des agents des collectivités locales n'ayant pas la quahté de titulail e : agerts auxiliaires, employés à titre tempo-
raire, contractuels ;
2 Des agents des services exploités en régie,
0
a fferm(.~
ou concédés, qui n'ont pas la qualité d' agents tit ulaires des
coUectivités locales ;
3' Des agents titulaires non affiliés à la Caisse Nationa le
des Retraites des agents des collectivités locales ;
4' Des agents tiblai res affiliés à la Caisse Natio nale de
Ret raite des agents des oollectivités locales, mais qui sont
rémuné rés à j' heure ou à la journée.
Tous ces agents bénéficient de l'application de la loi du
30 octobre 19-16 et sont ga ra nt is co ntre les risques d'accidents
ou travail, soit par les Caisses de Sécurité Sociale, soit par
l'organisation particulière en vigueur ava nt le 1er janvier 1947,
conformément à l'article 137 du Règlement d'A<1minist ration
Fjublique du 3 1 décembre 1946. La situation de ces pe rson nels
en cas d'accident du Iravail fe ra l'objet d' une instruclio n
pa rt iculi ère.
II. -
AGENTS EXCLUS DU CHAMP D' APPLI CAT ION DE
LA l;() 1 DU 30 OCTOBRE 1946.
Les personnels visés sont les agents titul ai res des collectivi tés locales affiliés a la Caisse Nationale de Retr a iles des
agents des oolieCtivi tés loca les et qui ne sont pas rémuné r~s
à l' heure ou à la journée.
La prése11le circulaire a pour objet de précise r les conditi ons dans lesquell es ces agents sont cou verts contre le risque
c accide nt du travail
Jo.
Rappelons tout d'abord le pfl ncipe gé néra l a ux termes
d uquel les co llectivités publiques sont toujours prés um ées responsables des acciden:s survenus à leu'Ts agen ts et par consé~uent tenues d'en assure r la réparation, les intéressés n'ayant
eventuellement qu 'à étab lir la preuve de l'imputabilité de l'ac-
cide nt au service.
Par ci rc ulai res n' 44 A1D/3 du 19 fév rier f949 el
n·. 261 AD/ 3 du 9 juillet 1949, toutes préc is io ns vous av .. en.t
CIe données ~ur le r égi me alors élpplicables, en l a matIère, a
soit deme urer att eint d'une invalidité permanente entr ainant la r éforme ;
d~meurer éltteint d'une in validité permanente partielle n'ent raînant pas la réforme.
Nous examine rons donc :
a) la période d'il1 c apac it ~ temp or aire
b) le cas des ager.ts atte In ts d' un e invalidité perm anente
ent raîna nt l a I Morme ;
-
susvisé est
Circulaire N" 275 AD/3
-
'Marseille, le 3 septembre 1953.
P o ur le Préfet et par délégation,
J'ai l'honneur d'attirer tout particulièrement l'attention de
MM les Maires du Département sur la circulaire n' 275 AD/ 3
du 18 août 1953 par laquelle lM. le Ministre <le l' Intérieu r précise
les conditions <l'application aux age nls communaux des différents textes relatifs aux accidents du travai l.
Pour le Préfet et par délégation,
Le Secrétaire Géné ral :
Signé: Mpxime I\<UONON.
11 est donc indispt nsable de commenter .ces disposit ions
législatives et. d'en défini r la po rt ée au re gard du régime qui
demeure appli cab le (' I :X autres personnels des collectivit05
locales, en mat iè re d';]ccidents du tr ava il.
En tout éta t de ca Lse, et quel que soit le degré de CTravi té
de l'accident ou de la mal adie, l'agent qui en fait l'objet est
aussitôt frappé d'une incapacit é d'une durée pl us ou moi ns
longue.
A la suite de cetk période, l'int éressé peut:
- soit reprendre ses fonctions sans que l'accident Ou la
ma fa l,l e aient eu des conséquen ces durables sur sa
personne ;
chargé .de f'eX'écution du présent arr êté.
........... . . . ..... .... ......... . ...... .
D2 B3 - AG 2
l'ensemble des agents des coll ectivites locales. Ur la loi du
28 a,'ril 1952, po rtant ~tatut général du personnel des co mmul...
r es et des établissements publics communaux, a acco rdé aux
personnc;s qui . rentrent dans son C'hamp d,'application, des
dvant.agl.!s senslblcmem analogues à ceux dont bén éficient en
matière « cI':accide nt du travail », les fonctionnaires de l'État.
sail
c) celui des agents atteints d'une invalid ité pe rm anente
partielle n'el1tïa În ant \Ias la réfo rm e.
A. a)
B. - I N VALlD[TE PERMANENTE
ENTRMNANT LA REFORME
Cette invalidité doi t être définiti ve, c'est-à- dire qu'elle
rend l'agent absolumenr incapable d'exe rcer ses fonctions' penda nt un tem ps indétermin é.
Dans ce cas, Il n'y a pas lieu de faire la distinction e ntr~
I~s agents soumis au stat ~ t du perso nnel des commu nes et
ceux qui en sont exclus.
Ainsi que \'a préc isé le Conseil d' Etat, dans son avis du
19 octobre 1948, l'agent est co uvert par le rég ime des pensions. C'est c onc le règlement d'administration publique du
5 octo bre 1 9~9 qui est applicable. (Titre V, section Il - 100'a lidite résultant de l'ext: r clce des fonctIons). Aux termes d,!
l'articl e 27 dud it règlement d'administration publique, c l'agent
qUI a ét é mis dans l'impossibilité définitive et
absolue de
contilluer ses tonctions pa r sùite d'infirmité r ésultant de blessu re ou de ma ladie cont r actees ou aggravées en service, a
droit a la pensio!1 d'anciennet é ou à pension proportionnelle,
cette der l11è re etant a tquis~ sans conditi on d'âge ni de durée
de service ». Il ,bénéficie, en outre, d' une rente viagère d' invalidité accordéz: dans le,; condit ions fixées aux articles 28 et 30
dudit règl ement d'adm inistr atio n publique.
C. -
INCAPACITE TEMPORAIRE
Ag ents ("es collectil'ités l ocal es nOn soumis au statut gémi·
r ai au pel sonn el co mmufln t.
Lè
ré gime anté rieur commenté pa r mes instructions
n' 44 AD/ 3 du 19 févrie r 19-19 et n' 26 1 du 9 juillet 1 ~149
demeure en vigueu r. Or , comm e le pr écisaient ces instruct ions,
le Con eil d'Etat, da ns so n avis du 19 octobr e 19-+8, a soulig l~é
que les a gents affili és il la Caisse Nationale de Retra ites et
non ré m u n é r ('~ il l'heu re ou à la journ êe risquent de n'avoi r
aucune r épa r ati on ell cas d'infirmité tempo rai re. La Hau te
Assem blee a estimé qu'i l co n\'t nait ci e recommand er aux co l~
l ectivités locales de c'})n o1er cette lacune pa r j'intro duction
dans les rè gl em ents statutai res de dispositions analogues à
cell es prévues Cil fav eur des fonctionnai res de l'Etat par l'a rticle 92 de la loi du 19 oc tob re 19-16. Ces recommandatio ns
ont fait l'objd de mes instructions précitées.
En con séquen ce, t0ute délibé ration qui a pu êt re pri se à
cet effet, par L1ne collec ti vité locale, demeure applicahle da ns
la mesure oÎl elle int ~ resse, ell tou t o u en pa rt ie, des age nts
INVA LIDI TE PERMANENTE
N' ENTRAINA N T PAS LA REFORME
Agents soumis au slatut gé néral du personnel com mllnal.
Cette que , t ion fait l'objet des a linéa s l , 2 et 3 de l' a rt. 50
ue la loi du 28 av r il 1902.
L'alinéa 1er accorde au x intéressés le bénéfice de leur
tI aitemen t integral jusfJu'à ce qu 'ils soient en éta t de rep rendre
leuJ' service ou j usqu'à l a mi'se à la ret ra ite.
L'alinéa 2 leur donne droit au rembo ursemen t des honora ires Illcdi ca ux et des f rais direc tement entraîn és par la
maladie ou l'acci dent, la loi d u 28 anil 1952 rep renant, da ns
les mêmes term es, les disposi tions de ,'artid e 92 de la loi du
19 octobre H/-lô portant sta tu t général des fonc tionnai res.
Pour l' a p ,~ l ica tio ll de ces deux alinêas, il convient de se
référer aux te xtes pr is en applica tion de (Ctte derniè re loi et
notamm ent e" ce qu i co ncerne le rel1lbourse.ment des frais
occasi onn és pa r la I!!a ladie ou l 'accident, aux instructi or,s
Il'' 4 bis d u 6 a n il 195Q et -1 te r du 25 ortob re 1952 (pub li ées
respecti vement au J.O . des 8 avril 1950 et 2 novembre \ 952) .
b)
non soumis au statut généra l du personnel communal (agents
dêpartemcntailx, agent~ communaux titulai res, employés a
temps non complet l11é!is affiliés il la Caisse Nationale de Retraites, ,parcl! que consacrant à leu r activité commu nale entre
36 et 45 heures par :;~maine, etc ... ).
(invalidité permanente parti ell e)
Règl ement atl or. génerale applicable à J' enscmbtc a'es agents
des coLlecltvif és lo cales ll flili és à l a Caisse N ationale des
RetrGl tes et non renllln érés à l'!l eure ou à lm journ ée.
Au x term es de la législati on sur les acci dents du: t r ava il,
les victi mes j'z.ccldents du t rava il ou àe maladies prof,ssioi, .
nelles ont droit au paiement d' une r ente, lor sq ue l 'acrident ou
la mal adie ent raine un .! incapal:J tê per ma nente de tra"ai l to tale
ou par tielle.
Le mon tant de la 1 ente est, bien ente ndu, fonctiu n du t aux
d' incapacité.
Or, l e rëgi me applicable aux l onl t io nnai res de l'Etat et
pa r voie de ::onséquenl:c aux pt:: rso nrlel s des co ll ectivit~s l oca les
4 ui <!c happe nt a u domaine d 'appl ication de la loi d ~ 30 octobre 19-1-6 relative aux acciden ts du tr avail, presente ce ca ractère pa rticul ier qu'i! repose uniquement sur la question de
savo ir si l 'ager,t intére:;sé peut ou non pou rsuiv re l'exe rcice de
ses fo nctions.
Il s'en 5ui t que l'i1cddent ou la maladie peut frappe r la
victime d'invalidité. l\\ais si cette in\'alidite n'en traîne p~s.
pour l'i n téress~, l' impo:;sibilité absol ... e Je continuer ses fonct ions, celui -CI ne iJeut rl'damer le re rsement d'une rente. Le
Conseil d'Etat J'a souligné dans son ayis du 19 octob re 1941:) :
« S'agissant des agent5 des ~ollecti\'it~s loca les non rémtlné n!s
il l' heure Olt à la jo urn ée et tr ib utai res de la Caisse Natio nale
de Retr ai tes :» , il a iJr écisé que ces person nels SOnt co uverts
en ce qui co ncern e l' lnvali dité per ma nente par l e régime des
pensions.
ù r, celu i-Cl (a l tiele 27 dll Mc ret préc ité dll 5 octob re 19+5)
pr éc ise, certes. que l'agent, qu i a N e mis dans l' impossibili té
déf initive et absol ue de co ntinue r ses fO llctions par suite d'accident survenu en service, est adm is à la retrai te et que dans
ce cas seutement, les agen ts' non r êmunérés à l'heure ou à la
journée ,peuvent bé néficier d' une rente vtagère d' invalidité
cumulable avec la pe nsi on de retraite.
a)
204
205
�Mais lorsque l'accident ou la maladie ne leur interdit pas
l'e.xerCÎce des fonctions, ledit dec ret ne prevoit pas en leur
fayeur le bénèfice du lumul d' une rente pour invalidite pemlJ.neme partielle avec le traitement perçu par l'inté ressé en r émunération des ionctions qu'il continue néanmoi ns d'exeJlcer.
Le r~gime de ret ra: tes applicable à ces agents étant muet
sur ce point, aucune Tente ne peut être constituée en faveu r
d'un agent atteint d'une invalidité pe rma nen te partielle à la
suite d'un accident ou d'une maladie su r venus à l'occasion du
service. Cette précision annule les prescriptions qui \'OUS ont
été adressèes sur ce point par les circulaires précitées des
19 février et [' juillet 1!»9.
En conséquence, les statuts particuliers qui ont pu acco rder de semblables a,-ar.tages à leu rs personnels devront être
révisés, Dans le même ordre d'idée, lorsque les collectivités
mtéressee sOL;scrh-ent GU ont souscrit lJin cont rat d'assurances,
pour ga rantir leurs personnels contre le risque c accident d u
tra\'ail :t, toute dause relative aux rentes d'incapacité permanente partielJe doi t ètr ~ exclue dudit contrat, en raison de son
caractere illégal.
En tout etat de cause, les rentes pour incapacité permanente partielle déjà accordées resteront néanmoins acquises, la
plupart d'entre elles ,ésultant de l'appli<:ation de décisions de
justice ayant ~cq u-is force de chose jugée.
Les .ndications qui précèdent visent egalement les rentes
qui auraient été accordées à des agents titulaires affiliés par
erreur à une caisse de Sécurité Sociale,
b) A l'Ontage particulier accordé par la loi du 28 avril 1952
eTl matière d'invalidité permanente partielle aux
soumis au statul génüal.
agent~
Par contre, l'article 56 de la loi du 28 avril 1952 int roduit
une dispositio:l nou,'elle. Tout agent soumis au statut atteint
à la suite d'un accident survenu dans l'exercice ou à l,'occasio~
de l'exerCice de ses fonctions, d'une invalidité partielle permanente, pourra être poun'u d' un autre emploi correspondant à
ses aptitudes physiques lorsque l'accidenl lui interdit d'exe rcer son emploi.
Dans ce cas, li'ntéressé conserve le bénéfice de son arade
et de son échelon. Il ne peut contiffilef à bénéficier de l'~van
cement dans son ancien grade.
,
D2 B3 - SC 7
Le Préfet,
Directeur de l' Administration Départem entale
et Communale "
P . DiMtE'LON.
RESPONSABILITE DES COMMUNES EN MATIERE DE PROTECTION
CONTRE L 'INCENDIE - CONTRATS D'ASSURANCES
Pa ris, le 3 septembre 1953
Le Ministre de l' Intérieur
à Messieurs les Préfets
De nombreuses décisions du Conseil d'Etat et des c.;nseils
de Préfec ture, dont plusieurs récentes, ont condamné des
co~mun~ à verser de très fortes indemnités pour faute lourde
ou insuffisance de leur servi-Ce d'incendje, ce qui tend à prouver
qu~ les maires ignorent trop. souvent les gra ves responsabilités
~u Ils e?cour~nt en ce domaine et ne 'Prennent pas les dispositions neCE!SsalJes.
On constate de plus en plus que les compagnies d'assurance contre l'incendje et les sinistrés eux-mêmes s'e fforcent
de recherc her .ces responsabilités po ur faire mettre à la charge
des collect.v.tes locales les dommages qu'ils estime nt imputables au service d'incendie,
Ces actions en responsabilité sont particulièrem ent gra ves
quand eUes sont dirigées contre les centres de secours à l'occasion <ie sinistres survenus da ns les communes qui leur sont
rattachées.
Auc.une . assura~<:e de ces risqu es n'avait pu jusqu 'alors
être envlsagee en ra,son du caractère particulier de la ga rantie
à accorder, la respo nsabilité n'étant pas consécutive à un
206
En dernier lieu, certains Prefets m'o nt demandé de leur
preciser la portée d' un~ disposition de la circul aire n· 26 1 AD j 3
ou 9 juillet I r49 ainsi rédlgée :
c En ce qlii concetn e les personnels des communes et des
ftaWissements publics comlllunaux, l es co ntr ats sousc rits de\ ront conteni r une clapse perm ettant la résiliatio n dans l'a nn ée
qui suivra la peblicat ion de la loi portant statut du 'pe rsonnel
communa l .... .
j e vous rappelle q "'en 1949, il al'a it été décidé de mettre
au point un r C:gime tr ansitoire, en attendaJlt que le Parlement
ait déli bér é su r le régime définitif à adopter en matièr e d'acC'idents sur venus aux agents COmmunaux dans J'exercice de
leurs fonc ti ons. Le législateur pouvait, en effet, adopter Il'11
mode particulie r de couverture des risques d'accidents.
O r, I.:s dispositions de la loi du 28 av ril 1952 n'o nl pas
modifié sur c~ point I~ système anté rieu r. Il ne sau rait donc
être question d'innover en l a matière, les collecti vités Înt éressees pa r cette loi demeurant libres, soit d'assurer elles-·mèmes
la charge de ce risque, soit de s' adresser à l a compagn ie d'assurances de leur choix.
En conséquence, si les contra ts d'assurances en COurs
comportent ur.e clause permettant leur r ésiliation dans l'année
qui a suivi la pub licahOn de la loi du 28 avri l 1952, ils ne
doivent pas êt re considérés de ce fait comme fr appés automatiquement de caducité, mais comrile r econduits automatiquement
dès l'i nsta nt qu' une des parties n'a pas invoqu é la cla use de
r ésiliation .
Dans J'h)~pothèse inverse, les no U/vea ux co ntrats devront
être ètablis à nouvea u àans les co nditions fi xées par l'instruction du 9 juillet 1949 et celle du 23 janvie r 195Q, en ce qui
c.."O ncerne notammenf les 'principes à retenir pour fa -détermination du taux de cotisation.
En tout état de cause, il conviendra d'exclu r e des nouveaux contrats, la cJause de versement d' une r ente en cas d'incapacité perma"ente partielle.
PO'ur le Ministre et par délégation ,
acci~nt matériel, se ul ass urable e n p rincipe, ma is
une faute de
service.
Sur ma p roposition, l'Association Gé nérale des Sociétés
d'Assurances contre les accidents a bien voulu étudier les
co nditions dans lesquelles cette respo ns abi lité pourrai t ","Ceptionnellement, être couver te par des contrats d'assuran~e.
L'e nqu ête à laquelle j'ai fait procéder 'Par ma circulaire
n.· 102 du 25 mars 1953 a fait ressortir que les mod alité,
ct assurance des sapeurs-pompiers eux-mê.mes contre les risques
d'accidents en services présentaient des variatio ns impor tantes
Q'un département à l'autre, certaines primes paraissa nt trop
él.e~ées alors que les tarifs très bas pratiq ués dans d' autres
reg'lons semblent résulter ,d'une garantie insuffisante.
La présente instruction a pou r but :
1· de rappeler les p, incipaux cas de responsabilité des commurJO
nes sel~n Jeur Tôl e jouè da ns l'organisation départemen tale,
~
de préCiser en conséquence les garanties à prévoir dans les
co ntrats d'assurance
31> de fourn ir à titre i~dicatif, une tarification 'de ces risques
te,"e qu'elle est proposée à l'ensemb le des compagnies
d assurance contre les ac-cidents
0
de préciser les con ditions op;ima de souscription des
4
contrats.
1. -
RESPONSABILITES POUVANT ETRE MISES EN JEU
a) Selon la jurisprudence consta nte d u Co nse.l d'Etat, la
respo nsa.blt~lté d~~ sen: l ~es d'Incendie ne peut être rnrse en jeu
par la VIC I,:,e . un sJOlstre ou SOn aSSureur que si une faute
lourde est etabile (C.E. 13 février 1935, époux DULOUT, Ret.
Lebon p. 18 7 ; C.E. 12 fév ner 1947, ~linvie ll e, Rec. p. 60).
JLa commune ne ,peut en outre être recherchée que pour
l'aggravation des dl>mm ages résultant de cette faute lourde Il
ne saur ait Hie qll estio n de mettre à la charge de la co ll e~ti
vité la tota lit é des do mma ges co nsécutifs à l'incendie celui-ci
causant un préj udice llar le seul fa it qu'il a éclaté en dehors de
toute faut e da ns l'i ntervent io n .des sapcurs ...pompiers.
b) La r e~ponsabilité sera engagée, même sans qu'il y ait
<i.e fa ute établie, par le seul fait qu'un dommage est Survenu :
aux sapeurs-pompiers en service) l'Etat allouant une pen '
sion pour incapacité permanente et la commune versan t
les indemnités pour incapacité temporair e, les .frais médicaux et .pharmaceutiques sont partagés par moitié entre
l'Etat et la commune;
aux personnes requises (C.E. 5 mars 1943, Chavat, Rec.
p. 61) ou invitées à prêter ieur Concours aux sauveteurs
(C.E. 15 févr ier 1946, Ville de Senlis, Pee. p. 50) ;
La r espon abilité de la commune est également engagée
à l'égard des ti ers qui ont I)ubi :des dommages dans l'intérêt commun,
menaces par le
les sauveteurs
3 ma rs 1880 Walther, re c. p.
c'est-à-dire, dont tes biens n'étaient pas
sin istre mais qUI ont été endommagés par
au cours de leurs opérations (cass. ci v.
Ville du Hav re, d. C.E. 24 Déc. 1926,
1 14û) ;
.à l'égard de l'Etat pour les dommages subis par les militaires .ct,' un detaahement intervenu, pour prêter main forte
aux sapeurs-pompie rs (Cass. req. 18 No v. 1929, Béziers,
jurisp. Mun.icip. 1930-3-5).
c) La responsabilité résultera d' une présomp tion de faute
pour les accidents causés 'Par les vêh.ic.ulrs automobiles des
services d'i ncendie, Tout efois il con vient de rappeler que ces
vé hicules allant au feu et actionnant leu r avertisseur spéci al
à deux toi,S bénéficient de 'prio rité d'ap rès le Code de la Route.
La faute <i e la vi ctime pourra sou\'ent être invoquée pour rejeter ou attén,uer la res po nsabili té de la collectivité (cf. C.E. 14 déc.
1932 _ 'Cie des T ramw ays de Lille - Hec_ p. 1083).
II. -
COLLEC111VITE I<E&PONSABLE
La collecti vi té r espo nsable sera, suivant la nature de la
fa ute, celle sur l e terr itoire <ii! laquelle a eu lit!u le sinistre ou
cell e do nt relève le corps de sapeurs po mpiels.
lOe l'exam en de la jurisprudence et de l'~tllde logique .des
situations il r ésulte qu'on peut répartir comme suit les principaux risques :
1) La commune du lieu du sinish'e est responsab le notamment:
de l ' insu ~fisa n ce des points <l'eau ou du réseau d'adduction
d'eau par rapport aux 'habitations (C.E, 7 NO\. \952, Ville
d' Oloron-Ste-Maric) ;
de rappel tardif du centre de secours, d'une mau\'aisc
t ransmission de l'a'''rte (C.E. 19 D~c. 1952, \'ille de ,\10"-
lins) ;
des dommages subis par les requis et l'lene\'oles arpelés
par le maire pOlif aider les sauveteurs :
des d o mm a~cs subis par les tiers dans l'intérêt commu,n.
2) La com'Olune dont relève le corps de sapeurs-pom",ets
des accidents causés aux tiers par des sapeurs-pompiers
(accidents de voiture jl<lr exemple: C.E. 3 Déc. 1948 Cne
de IBerre-I' Etang, Rec. p. 467) ;
des fautes Ide manœuvre commises pa r les sapeur s-pompiers (C.E. 30 sept. 1942, Cne de Coudray-St-Germer,
,Rec. p. 269) ;
<le l' insuffisance d'engins ou de matériel indispensable
(échelle aérie nne par exemple: C.E. 19 Déc. 1952, Ville de
Mou~ins, visé ci- dessus) j
de l'arri vée tardive des sapeurs pompiers, qu'eUe provienne d'une t ransmissio n défectueuse de l'alerte (C.E.
Ville de Mouli ns précitée) ou de loute autre cause (C.E.
12 Févr. 1947, Minvieille, Rec. p. (0) ;
d' un manque d'instruction tecl.nique du personnel (C,E.
16 Ma rs 1945, Dauriac, Rec. p. 53).
Bien entendu si les sapeurs-pompiers sont ceux de la com~
mune sinistrée les deux catégories de responsabilités incombent
à cette commune.
Mais les centres de secours, en raison de leurs nombreuses
interventions hors de la commune, sont plus que les autres
appel~s à voir leur responsabilité mise en jeu. Il importe donc
de prévoir une garantie effieace de leur responsabilité, le service départemental prenant en charge au moins une parti e des
pri mes d'assurances versées à ce titre.
L'arr êt du CODseil d'Etat du 12 juin 1953 dégageant la
responsabilité de la Ville de T o ulouse malgré les fa utes com mises par son corps de sapeurs-pompiers lors d' une intervention
dans une c:omumne voisine ne saurait être considéré comme modifiant cette juri!\prudence.
La Ha ute Assemblée s'est, en effet, bornée à décla rer
qu'une commune centre de secours ne pouvait être considérée
comme responsable des fautes commises lors de ses interventions, à l'occacsion des sinistres étrangers à son territoire, seule
la com mune du lieu du sinist re pouvant être f1:Ùse en cause par
la victime <ie l'aggravation des dommages.
Il n'en demeu re pas moins qu'après indemnisation de la
victime la co mmune du lieu du sinistre peut exercer un re cours
co ntre 1 le centre de secours si une f aute de ce dernier peut
~tre établie ; la responsabilité, bien qu'au deu xième degré ,subsiste donc, les deux actioTTS poU\'ant d'aiIJeurs être cO'ftCOmltantes.
III. -
.MODAUTES DE GARANTIE.
DES DIVEHSES RESPONSAB lLITES
En raison du caractcre diH~rent des TÎSyues in~o.mbant aux
comnmnes en marrère de protection coutre l'incendie. il est
nécessaire de pré\'oir leur ga rantit! par <les contrats différents,
ou tout au moins ,par des avenants ou des clauses particulières
à.e contrats plus gé.néraux,
a) les dommages causés au tiers pa:-les sapeurs-pompiers,
les requis civils ou leur matériel non automobile, dès lors qu'ils
resultent u'un accident, sont cOll\'t~rts par la police conforme au
contrat-type joint à ma circulaire AGLeg du 3 juin 1950. Il
s'agit en' effet d'un accident e~us~ par le fo nctionnement d'un
service communal ;
b) une police spéciale doit prevoir la garantie contractuelle des sapeurs-,pompie.rs pour les accidents qu'ils pourraient
6ubir en service ; cette polict? a pour objet de ~aranti r le paie·
ment à la place de la t:ommune, L.~ la moitit:" des fra;s médicaux,
phar~a celltiques et ~utres, d-ans les conditions fix~es par j'article -+ de la loi du 22 mai 19-14, ainsi que te paiement des
\'a~ations horair es pour incapacité temporaire.
En outre, bien que J'Etat assur e lui-mi!me le règlement des
pensions en cas de ùécès 011, dïucapadté pe.rmanente, rien ne
est respons able notamment :
207
�s'oppose à ce que le con t rat prévoit le versement d'un capital
ou d'une r ente aux sapeurs-pompiers volontaires victimes d)un
accident entraînant incapacité permanente.
L'exclusion de garantie pou. les dommages consécuti fs
aux troubles, émeutes et mou\ ements poulaires, habituellement
inséree dans les polices àoit être, comme tout exclusion, interprêtée strictement.
Elle doit être pa r suite limitée aux cas où les accidents
survenant aux sapeu;s-pompiers so nt causés soit par les émeutiers, soit par le fa.it de J'émeute proprement di te (engi ns explosifs ou déto nnants ... ).
Ln garantie est par contre acco rdée pour les dommages
prO\'enant d'un incendie, ou autre sinistr e provenant d~ une
émeute d' lors que, par leur nature, ils ne se rattache nt pas
directement au fait des émeutiers,
Elle est également accordée pour un accident su rvenu en
allant (ombattre ce sinistre, ou en revenant des lieux du sinistre, dan la mesure où le dommage n'est pas imputable au fait
àirect des émeutiers.
L 'insertion <ie la clause ci-après a Lté recommandée aux
compagnies d'assurances par l'Associa tio n générale des Sociétés d'assurances contie les accidents:
" En ce qui concerne les dommages corporels subis pat
les sapeurs-pompiers ,'olontair es dans l 'exercice de leur service commande, l'exclusion de garantie prévue à J'article des
4. conditions générales en cas d'emeutes, de mouvements populaires ou d'attroupements, s'entend seulement pour les dom·
< mages qui sont le fait .des emeutiers ou se trou ve nt en relac tion directe avec rémeutet la manifestation populaire ou
<. l'attroupement ~ .
c) La garantie des dommages causés par les véhicu les
d'incendie peut être prévue dans la police relative aux véhicules
automobiles de la commune, établie en conformité du contrattype joint à ma circulaire preci tée du 3 juin 1950.
~
Une mention de ces véhicules aux conditions particulières
du contrat est toutefois indispensable.
d) Les responsabilités incombant aux communes, classées
ou non centres de secours, en raison des dommages non consécutifs a un accident mais qui r ésulte nt de fautes commises dans
l'organisation et la mise en œuvre des services de secourS
contre l'incendie (insuffisance du réseau d'add uctio n d'eau,
fautes de manœuvre des sapeurs-pompiers, retards, etc .. .)
qu'elles résultent d'un recou rs du sinistré ou <le l'action r ecur~oire d'une autre commune, peuvent désormais faire l'objet
d'une gara ntie, l'Association générale des Sociétés d'assurances
contre les acciden ts ayant bien \'oulu admettre, à titre exceptionnel, de gara ntir un risque ne rés ultant pas d)un accident
matériel.
Un avenant ou une clau e pa rticulière comportant un complement de prime est necessai re pour rassurance de ce risque,
aux conditions précisées ci- après.
la co mm une t: 1I dehors des limites de cell e-ci, lorsque le Co r p~
inter vient comm e centre de seco urs,
B. -
Co nformément à l'article 2 (du contrat conforme à la
police t }~pe d 'ass uranct! des respo nsabili tés génér ale) 1.1 0a ran_
tie du présent co nt ra t es t ' tend ue au fo nct io nn ement de~ !)oervices de secours co nt r\! l'ince ndie et à leu r mater ie l.
Elle s'appliquera l orsq.u ~ l a respo nsabi l itc est engagée à
raIson des dommages maten els et co rporels causés aux tiers
1I0ll co.ns ~ u tHs il un <:ccident, mais qui r ésultent de négl igen _
ce, om lSSlO 1l Cl! faute lo urde dans l 'or ga nisat ion et la mIse en
œuvr e du se r vi ce de seco urs co nt re l'i ncend ie, y comp n s les cas
ci' insuff isa nce ou d'entl d ien défec tu eux des poi nts d'eau ou du
rcseau d'adduction li'ea u.
IV. -
Il pourrait sembler â pr ior i que la so uscription par le se rvice départemental d' un seul contra t d'assu r ance pour l'ensemble des cor ps de sapeurs-pompiers du' département serait le procedé le plus eco nomique.
En fait, ce système présente divers l ll conveOlents :
a) tout d 'n bo rd les communes non ce ntres de secours doi\'ent suppo r ter seules la charge des pr imes d'assu ran ces soi t
q u'elles n'aient ,pas, de co r ps de sapeurs-pompiers, soit q u'ell es
ne disposent que ct un corps de première IIlterventlo n,
c) la souscription d'u n seul co ntr at d'assu r ances par département pou r la responsab ilite il. l'éga rd des tiers permet d'obtenir, à l a souscription, <les conditio ns avantageuses 1 m3is rien ne
~ermet d'aflÎrmer qu'C'lIes seront môintenues dans les années
a venir.
Il semble opportun de rappe ler les avantages de la libre
concu~1 cI?ce entre les compagnies, qui 'perm citent l ors de la
sou~ nptlOn ,de contrat g mul t ip!es de mieux adapter la prime
au nsque eXistant.
C'est pou'rquoi la solution optim um consiste il. traiter avec
après appel
d offres; chaque cent re de secours pouvant pour l'ensemble de
ses cont rats traite r avec une m'::me compagnie,
p~usieurs compa gnies eans chaque dcpa rtement,
R}en ne 5 oppose :l'a utre pa r t à ce que le mon tant des primes d ~S6u ra~ ct!s rel :ttlves aux centres de secours soit rêglé pa r
le S~~VICt departemental d' incendie, en vue d'assure r une répa rt lt l?' plus équitable des cha r ges qui ne sauraient normalement Ir.comber aux communes classées centres de secours,
.'
j' -!tti r.e ~artic~lièremcnt votre attention sur l'i ntérët qui
s.~tt~che a IlllsertlOn dans chaque contrat d'une clause de réSIliatIOn, nota mment dans le cas d'une maj oratIOn dd ernJlllée
r e la pr ime,
Les garanties prê\'ues aux r ubriques d) et e) ci-de sus peu\ ent êt r e acco rd ées par des clauses ai nsi rédi gées:
obten,ue~ p.ar le jeu de la co ncurren ce) les tar ifs ci · après étant
donnes a I tfre purement indicaN/.
La Compagnie ga rantit. dans la limite de 50 millio ns
soit encore en application des principes du Droit Administratif,
a l'occasion d'interventions dtl corps de sapeurs-pompiers de
208
Groupemelli T echnique de la branche
COM~ I UNES
Des conditions pl us avantageuses seront en fait toujo urs
, , Vou,s voud rez . bielJ Ill e saisi r so Us le présent timbre des
dlfflcultes r enc0nt rees dans la 'Co nclusion de ces divers cont rats,
Ppur le Secréta ire d'Etat à l'Interieur,
L e Directeur du Cabin el,
Mort _ l ncapacité \
permanente
Par 1.000 baDCS
d e capital assuré
A'cc idents et ri sq ues divers
42, rue de Clichy -
T ARIF D' ASSU RANCE D ES RESP ONSA B ILI T ES
1. - ALC ID ENTS CORPORELS ET MATERIELS CA USES AUX TIE RS pa r les sapeu rs-pompiers et leur maté r iel (non
automobi l e) ai l.si que Ipa r les requis civils.
A ccidents corporels
'Par 1.000 hab itants (en ce qui concern e les Centres de secours, il s'agit de l a population totale du secte ur secouru) :
1 mi ll ion
450 FI. pou r
2 mi ll ions de ga rantie,
550 I~ r. pou r
5 mill io ns de ga rantie.
::1
..1
A titre d\:xemple, pou r une commune de mOlfls de 2.000 habitants dési ran t o'bte nir une pension de 1.000.000 de francs en
cas de décès et une allocation de I ,(X)().OOO de f r ancs en cas
d'i ncapacité perm anente, une indemnité quotidienne de 160 fr.
à chaque sapeur, la prime sera de :
fr. 30 X 1.000.000 + 0 Ir, 30 X 1.000.000
o
1.000
+ 0,60
X 160
+
558
=
1.000
154 Ir.
III. _ RESPONSAB ILITE CIVILE NON EXECUTI VE A
UN ACCIDENT MAIS RESULTANT D'UNE FAUTE LOURDE IMPUTABLE A LA COMMUNE,
AcciQe1l1s ma t éri els,
M aj orati on de 50 % des primes ci ....dessus pour des ga ran-
ties équivalentes.
ACCIDENTS SURVENUS AUX SAPEURS-POM-
PIERS VOLONTA IRES e/l service, Oll à lellrs ayanls-droil.
Pour l'application de la loi du 22 mai 1944, les garanties
accor dées en matière de f rais médica ux, pharmaceutiques et
fu néraires sont les suiva ntes:
a) Ac cidents survenus en service commandé : rembou rse ment des fr ais médicaux ct pharmceutiques sur la base de la
moit ié des tar i>fs en vigueur alu 15 févrie r 195 1 pou r les assurances sociales, ~a ll S lim itvtio n de somme,
lb) ma l adiC's contrac tées en service commandé: rembou rsement des h ais médicaux et 'pharmaceutiques sur la base de la
moit ié des tarifs en \'igueur au 15 fév r ier 195{ pou r les assuranres socia les, avec maximum de 60,000 fr . par maladie .
c) D écès : rembouscment des frais funérai res à concurrence de 6.000 francs.
CP . A G 14
58
0,30
0.30
Moi ns de 2.000 habi t,
67
0.35
0,35
»
2.00 1 à 10.000
83
0,40
0,40
»
10.00 1 à 25.000
96
0.50
0,50
»
25.00 1 à 50.000
120
0.60
0,60
»
Plus de 50,000
NOTA, _ Le montant de la garantie d'in capac ité temporaire De doit
pas dépasse- 1 /2.000~ du total d es capitaux assurés pou r les cas
mort et d';nfirmité perma nente,
'de ga rantie,
580 Fr. po ur 10 mi ll ions de gar antie,
Il . -
sap··pomp.
officier
compris
0,60
0,70
0,80
1
1,20
.1
COMMUNALES
360 F r. pour
In Capac. j Fra is roM
tempo r.
b
par iraDC V annac.
d'allocat,
et
quotidien, funéra.i r.
p,.
P AJRIS (9' )
Paris., le
b) la gara ntie contractuell e des sape urs-pompiers eux-mêmes peut êt re obtenue à de mei!Jeures conditio ns aupres des
compagnies spécialisées da ns cette br anche,
Vous t rouverez ci-joint, en annexe, la t ar ification etablie
par l'Association des compagnies d'assur ances (branche acci·
dents) telle qu'elle a é!é dififusêe à tou l es les compagn ies,
A. -
POPULATION D ES
CONDITIONS DE SOUSCRIPTIONS DES POLICES
e) Les diverses responsabilité::, ci-dessus peuvent être garanties pour les interventions des centres de secou rs en dehors
de leur territ3ire moyennant une surprime calculée en fon ctio n
de la population du secte"r délendu.
de francs, la responsabi lité de, la commune si elle est mise en
cause soit en application de articles 1382 et suivants du Code
Cil'il, soit en zpp licatio n de l'a rticle 95 de l'Ordonnance du 19
octobre J 945 ou de l','rticle 68 de la loi du 30 octobre 1946,
ASSOCIA TION GENERALE DES SOCIETES
D'ASSU RA NCES CONTRE LES ACCIDEN TS
La tarifi;::ation ci-après est établ ie pour une ga rantie dê
50 millions de 'francs :
1") - Communes ne disposant pas de corps des sapeurspompiers (garantie des fautes du ser vice des eaux, appel tard;r
des sapeurs-pompiers) :
_ 1.500 Ir. par 1.000 habitants ou fraction de 1.000 habita nts
ave,c minimum de 1.500 fr.
2") - Communes disposant d'un corps de sapeurs-pompiers de 1ère intervention et non classées cent res de secours
(garantie des fautes ;::i-dessus et des fautes commises par ItS
sapeurs-'pompiers) :
_ 2.500 fr. par I.()()() habitaots ou fractio n de 1.000 habitants.
3" ) - Communes classées centre de secours :
_ 2,500 fr. ~o.r 1.000 habitants de l a commune elle-même
1.500 fr. par 1.000 'habitants de.s commu nes rattachees aurli t
centre,
Par exemple si le cent re de secours a 3.900 habitants et défend un secteur de 15 COmmunes d'une population de 12.<X>O habitants (non c,)mp ris la commune centre), la prime est en pri ncipe de :
4 X 2.5()1 + J 2 X 1.500 = 28.000 francs par an.
+
COMPOSITION DES CONSEILS MUNICIPAUX
Rectificatif du RA.A. et BAM. numéro spécial de juillet 1953
p, 16 -
P. 6 - Co m mun e d'BOU ILLES
Lire: 2me adjoint supplementaire
Co mmun e de SA INT-RE.\ IY
Lire : Liste de Délense Republicaine (Centre gauche) :
GAUT IER
Antonin;
1MBERT tJ\I\arceau ayant le gme rang en tant que Conseil ler
2098 voix, 23 elus.
Liste d'Union Ouvrière et Paysanne Laïque et Républi-
M unicipal.
caine (P.C.F.) 1.220 voix.
Pie rre MAESTRACCi .
209
�Dl B2 - AG 7
:
élus au scr ut i n de list e, par vote secret. à l a maj orité absolue
au premie r tou r et à la maj ori té relati\'e, au second tour, s' il
y a li eu.
SOCIETES SPORTIVES AGREES AU TITRE DU SERVICE
DE L'ENTRAINEMENT PREPARATOIRE
ET DES RESERVES
BUREAU
pr ovisoire de fonctionn ement ?ro.n o nc~ à ré~ard de l'A ssociation
dite « Stade Olympi que Cassldru n • a Ca ssIs.
M arseille, le septembre 1953
L e Pr éfet des B<l uches-du-Rhône,
à _\11.\1. les Maires du Dépar tement,
Le t er j uin 1953J j'ai eu l'l honneu r de vo us tra ~sm e tt r e . ~a
liste mise à jou r des Etablissements et Sociétés Sporti ves a gr~es
En co nséque nce, ce gr oupe me nt n'est ,plus habi lite à .dé livrer des certificats .d'inscri pti on à la Préparation M~ lita i re Elémentaire aux jeunes gens désire ux d'ob tenir des sursis <i'incorp oratio n présentés en applicatio n de la loi du 3 1-3- 1928 Su r
le r ecr utement de l'Armée, mod ifiée p ar celle du 30- 11 - 1950.
p ar N\.. le Général, Comma nda nt ,la 9me. Ré~o n ,Militai r~, a u titr e
du service de l'Entraî nement P reparatOir e et des resen es.
J'ai été, depuis
POlIT le Préfet :
Signé : M axim e M IGNON.
cette date, avisé du ret rait d'a utorisation
- -- - -- -
- -- - - - -- - -
- AVIS - ANNONCES
COMMUNIQUES
UNION DES MAIRES -
UM _ AG 0
STATUTS
DEMISSIONS - RADI ATIONS.
STATUTS
BU T.
ARTICLE FlREMIER.
L'Association dite « UN I ON des
MAIRES ';1> Département des B.-<lu-Rh. » a pour objet :
1°)
L'étude au point de vue administratif, économique, .linancie r et social de toutes les questIons 111tér essa nt 1 adml·
nistra tion des communes et l eu rs rapports avec l es po uvoi r s
publics.
2°) La création de liens de solida r ité entr e les mai res d u D épartement des B.-du- Rh.
Toute discusion poli tique, religieuse ou phi losophique est
interdite au sei n de 1' Association.
DUREE - SIEGE.
ART. 2. - La durée de l'Association est illirru tée. El le a son
siège social, à Marseille.
ACTION.
ART_ 3. - Les moyens d'action de l'Associatio n co nsistant
dans l'organis.?..tion d'ur. Conseil d'A<tministr ation Iperm anent et
d'Assemblées Générales pour l' etude des questions municipales;
dans la publication de toutes les communications ayant trait à
ces études ; aux décisions des Assem blées Générales et des inten-ention s du Conseil d·Administr ation chargé des cons ultations juridiques, administrati\"es et techniques.
COMPOSITION DE L' ASSOCIATION
ART. 4. - L'Associ ation se compose de membr es adhérents,
de membres honoraires et de membres d'honneur .
Sont membres adhérents, les .Maires des
DIVERSES
communes
des
B.-du-Rh., qui après a"oi r adhéré aux présents statuts, en auront rempli les conditiors, notamment par le paiement des cotisations fixées ci -apr ès.
Tout ancien mai r e, ayant été memb re de l'Association, peut,
â titre personnel, fair., partie de l'Associa tion en qualité de
membr e honoïai r e, mais n'aura pas voix délibér ative.
Le titre de membre d' honneur peut être décerné, pa r décision de l'Assemblée Générale, aux personnes qui, appar tenant
ou n'appartenant plus à. une Municipalité, rendent ou ont r end u
des services signalés â l'Association. Ce titre confère, aux personnes qui l'ullt obtenu. le droit de faire partie de l'Association.
A RT. 5. - La quali té de membre de l'Assoc iation se pe rd
par l a dcmission de l'intér esés.
2") pa r la r adiation prononcée, pou r non paiement de l a cotisation ou po ur moti fs graves, p'ar l'Assemb lée Générale deva nt l aq uelle l' i ntér essé au ra, préal ablement, êtr e appelé à
fo urni r ses explications.
1°)
CO TISA TIONS
ART. 6. - T ou t memb re ad hérent dev ra payer une cotisation an nuelle dont le montant sera fixé par l' Assemblée Généra le.
CONSEIL D'A DMINI ST RATION.
ART. 7. - L'Associa ti on est administr ée pa r un Conseil de
16 memb res en 'Pl us de SOn Président d' honneur, chargé de
l'examen des propositio ns, vœux et o rd res du j ou r à soumettre
aux Assemblées Ge nérales et de to utes démarches., consultations
et i nterventions intéressa nt les quest io ns mun icipales .
Ses memb res so nt élus pou r un an ; i ls so nt r eéligibles.
L e Co nsei l d'Administr ati on sera co mposé, en plus de son
President d' honneur et de SO n Président, à r aiso n de 5 membres pour chacun des t rois arr ondissements du D épartement.
Dans le mois qui pr écède \' Assemb lée Générale, au r a lieu,
dans chaque ar rondis sement, une réunion des Maires au cours
de laquelle seront designés l es 5 ca ndidats il proposer pou r repr ésenter le:.!r arrondisseme nt au vote de l'Assembl ée Génerale.
Les propositions de candidatu r es devront parveni r au
Conseil d' Adm in istr ation, au moins 15 jours avant J'Assemblée
Générale ayant à renouveler les membr es du Conseil, afin de
permettre à cel ui-ci de f aire étab lir la liste des candidats et
les b ull eti ns rte l'ote.
Si) en dehors des ran d kl ats présentés pa r les réuni ons des
Mai res de chaque arrondisseme nt d es ca ndidatu r e individuelles
se manifestaie l'It, ell es devraient ~arveni r au Co nseil d'Administratio n au moins 15 j ours avan t l'Assemblée Générale.
Le P résident est élu par l'Assembl ée Générale au scruti n
uninomin.a l, par vote secr et, à l a majo rité absolue, au p'remier
TOur et à la majo rité re:lative, aU second tour, s'il y a lieu.
ART, 8. - L e Bureau de l 'U nion des .M aires du D épartcment des B.<I.u-R h. com prend :
1 P res ide nt d' Honneur.
1 Pr ésident
3 Vi ce-P r es~c nts ( 1 par Arrondissement) .
Sec rétaire Général
Secrétai re Général Adj oint.
T résori er Genéral
Tréso ri er Général Ad j oi nt
L e Conseil L1 'Ad ministration élit son b urea~, sau,f le Président d'ho nneu r et le i-'réside nt, qui sont élus par l'Assembléé:
Génerale. Les membres du Bureau, comme les membr es d t:
Co nseil d'Adm in ist ration, sont élus pour un an; il sont réé li gibies.
En cas dt! vacances, en co urs d'a nnée, l e Conseil pourvoit,
provisoi r eme nt, s'il y a lieu, au remplacement de ces membr es
j,"squ'il la prochaine Assemb lée Générale.
ART. 9. - Le Firesident dirige les discussions et les dél ibérati ons; il veill e à I!exécution des décisions prises pa r le
Co nseil 1.1'Admi nistrati{)11 et les Assemb lées Générales. En cas
d' absence ou d'empèch~ m cnt, il est remplacé par un Vice-P rési dent.
Le Secr eta ir e Généra l est char gé de' la cor respo ndance et
de la r édact ion des procès-ver,ba ux. Il est aidé par le Secretai r e
Adjoi nt.
Le Tr éso r ie r Génera l est oharge de la comptabilité; il as~ u r e le r eCO~lv r e lll ent des cotisations et des reSSOu rces de tou;e nature de l' Association. Sur l'avis du Président, il acq uitte
les dépenses. Chaque an née, il rend compte de sa gestion de
l'a nnée précédente, à l 'Assembl ée Générale. Il est aidé dans sa
tâche par le Trésorier Adjoint. Toutes les dépenses dOIvent
ttre ordonn ancées par le Président.
T rois Commissaires aux comptes sont élus, chaque année,
par l 'Assemblée Générale, parmi ses membres, pour examiner
les comptes di.! T r éso rier et fai re toutes propositions d'approbatio n ou de redressement de ceux-ci, s'il y a lieu.
REUNIONS DU CONSEI L D'ADMINISTRATION
ART. 10. - Le Conseil se réunit de droit tous les mois et
chaque fois qu 'i l est convoqué pa r son Président ou à la demande fo r mulée pa r le quart de ses membres,
.
La présence de la moitié au moins des membres du Conseil
Est nécessa i re pou r la ,-alidité de ses déliberations.
Il est tenu pr otes- ve rbal des séances, signé par le Président et le Secretaire; i: est consigne su r lun registre spécial à
ce destiné.
ART I l - Les membre~ de l'Association ne reçoivent auCun tr ai ; eme'nt en rai;:;or. des fonctions qUI leur sont conférées.
Seules des indemnités pour frais de représentation peuv~nt leur
être allouées.
ASSEMBLEES GENEf?ALES
A RT. 12. _ L 'Assemblée Gonérale comprend tous les membres de l' Assot:ia tioll.
Ell e se r éunit, obligatOIrement, deux fois. par an.à ~ a ,.date
et au Heu ri xés par le Conseil et sur convocation d~ c,elUl.~~I,. au
moi ns 10 jorûrs à l'avance, à tous les membres LIe 1AssoL.:lat~on.
D 'a utres Assemblées Gt!I1~rales peuvent être convoquees,
s'il y a lieu, par le COl1s~il ou. S~ll' la demande dLI quart au
moins des mem br e$ de l'ASSOCiation.
L'ordre du jOllr est ctabli par le Consei l et envoyé allx
adhé rents avec la co n'.'ocatioil.
L 'Assembl ee Génér al e entend l es r apports sur la gestion
du Co nseil . la situ atio n fin ancièr e et morale de l'ASSOCiatIOn,
approuve l~ comptes de l'exerc ice clos ; dél ibèr e su r les questions mises à l'ordre du jour; pO urvOi t aU re n o uvell em e~~ du
Consei l et d'une manière général e, prend to utes les doctsmns
qu 'ell e 'j ug'e co nforme aU but et à l'i ntéra de l'Association.
Chaque orateur i nsc.ri t pour pr end re la paro~e ~u r une questi on vena nt en discussion devant l'Assemblée Generale, ne ~eu t
prolonge r son i nterve ntion au-delà de cinq mi nut-es, à l' expirat ion desquell es le Présidenl l'av ise ra que so n temps ,de parole
est term i né et donn er a la parole à l'oratell'r InSC rits a la sUite.
Il est tenu procès- ve rbal des Assemblées Gén ér ales, SIgné
par l e President et l e Sec rétaire, consigné sur un r egistr e a oe
uesti né.
Un rapport annuel et les comptes de la gestion fin anciè re
sont ad ressés, chaque année, avec le compte rendu de la pr emière Assem blée Génér ale de l'année, à tous les memb res de
l'Association.
L ' Assemblée Générale procède à la constitution de toutes
Commissions qu'elle juge utiles pour l'examen des questIOns
et propositions qui lu.i sont so umises.
Ces commission so nt co nvoquées, en réunion, par le
Conseil d' Administration.
Elles élisent leur Préside nt et leu r Secrétaire et le rapporteur chargé de présenter les concl usions de la Commission deva nt l'Assemblée Général e.
ART. 13. - L' Association est r ep rése~tée en justice et dans
to us les actes de l a vie admi nist r ative et civile par le Pr ésident
qui do it joui r de la plénitude de ses droits civils et civ iques.
MOD IFI CATIONS AUX STATUTS
ART. 14. _ Les statuts de l'Association de l'UN I O des
MAIRES du Département des B.-du-Rh. ne peuvent être modifiés que sur la proposition du Conseil d~ Adm inistration ou à la
demande du quart des membres de l'Associatioll, soumise ~u
Conseil d'Administration un mois au moins avant l'Assemblee
Générale.
L'Assemblée Générale doit se composer de la moitié plus
un au mOins des membres adhérents pou r se prononcer sur les
modifications il apporter aux statuts. Si cette proportion n'étai t
pas atteinte, l'Assemblée Gi:nérale serait con:'oquee de nou.\·ea u,
il 15 j ou rs d'inten'alle au moins, et, cette fOIS, elle pourrait valablement délibérer, quel que soit le nombre des presents.
Dans tOU5 les cas, les stafiùs ne peuvent ~t re modifiés qu'a
la majorité des deux tiers des membres présents.
DISSOLUTION
ART. 15. - L·Assemblée Générale appelée à se prononcer
su r la dissolution de l'Union des Maires du Département des
U.-du-Rh., et convoquel' sp\.;cialeme!lt à cet effet, doit comprendr~ au mOins l a mOltë plus un des membres adhé rents.
Si ce quorum n'était pas atteint, l'Assemblée Génerale selait cOl1\'oquée de noun.au, cl 15 jours dïnten aile au moin , et,
cette fois, elle pourrait valablement déliberer, quel que salt le
nombr~ lies membres rrésems.
Dans tous les cas, la di~olution nt peut être \'oh~e et prononcêe qu'à la majoriti: des deux ti(:rs des membres présents.
ART. 16. En cas de L1is:solution l'Assemblée Generale
dt-siane une Commission de 6 memb res, pris dans son sein,
I.:har:és de la l iquidation de I·Association. Elle attribue l'actif
net à::' un ou plusieurs établiss~men lS analogues, publics ou ù'utirte pu blique, 0U, il déofrut, au:\ (('unes communales de bienfai sa nce.
ART. 17. - Les présents statuts serollt deposés conformément à la loi.
Le Secretaire Général de l'Union,
Signe : AUDIBERT.
Les 15 autres memb res du Co nsei l d'AdministratIO n so nt
211
210
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES·DU·RHONE
DONS ET LEGS
.. 1
depo· s aU~ miPar testament ologra ph e d U - JUIR ~
.
de \ l'rancis LAC GIER, DOtaire à .\\arsellle, leue .-\lme
~'~~ECX Lullis née Jeanne GR.~ '0, a légué au ~\usee de
., ulbos (Allier) di\'ers ta le3u.~ de .\\ai"es compris dans sa
sth."C'eSSion.
Conlormément aux dis positions du dé<:ret du 1er levrier
18% les héritiers roc nus ou inconnu de .\lme \'EILLEUX
Loui~ née Jeanne GRA. "O. soot Îm;tés à prendre co~nal.ssance
es ament donner leur consentement a s~n. execU~lOn o.u
produ.ire leur5 moyens .d·oppos~tion dans un delat de t rOis mOlS
ft da er du jour du p! ent ans.
<hi
P
testament olographe du 20 octobre 1950 déposé aux
. t ar de M' SEGU IN, notai re à Aubagne, leu M. Ernest
nllnu
. 'l'é
BRUNes n son \'i \fa nt domlCl
1 a. Aub agne , 15• r ue P eypagan
é '. ~ totalité de ses biens (quotité dispon ible) à l' H ôpital~
a 1 gue ~'Aul>agne à cha rge par cet établissement d'exécuter
flosplce a
.'
certains legs parhcullers.
..
.
Conformément aux dispOSItIons du detret du 1er février
1896. les heritiers connus ou anconnus de M . Ernest BRUN
. , tAs' prendre connaIssance du •testament, donne r leur
son t In\t t:" ...
. tement à son exécution ou prodUI re leurs moyens d'opeOll,en
.
.. d t d'
d
é
position dans un délai de troIS m Ol S a
avis.
a er
U Jour
FRAN ÇAISE
24 Sept. et 1" Octobre 1953
'III.
'III.
1
~larseille, le 4 septembre 1953.
,
"
PAR L'iNSTIT UT GEOGRAPHIQUE NATIONAL
Pou r le Préfet,
.rr.. 'ormal et Oro- Hydro).
Arles.
"-~~
(,1
J... ",
"
ET BULLETIN DES MAIRIES
.
•
•
= == == = = 1
rI :
' =====
TABLE DES MATIÈRES
,1
1\
1
T EXTES D'INTERET COMMUNAL
Tra va ux CQmmuaaux d'alimentation en eau potable Sy ndicats comprenant â. la fois des
TVX O. -
communes urbaines et des communes rurales.... .... ...
. . .. . ... .. . .
2 14
F O. -
Comptabil ité des opératio ns de dom mages de gue rre des coll ectivites ~oca lcs . . .
2 15
A 2. -
Statu t des baux ruraux ....
218
A 3. -
Fixa tion des cours des denrées deva n.t se rvir de base au calcul des fe r mages . . . . .. . .
220
TVX O. _
RéglementJtio n de l'installa ,ion de distriblcteu rs automatiques de car burant sur la voie
publique . ..
A û. _
Attribution
. .. . . . . . .. .
ue
. ... ....
. . . . .. .. . .
primes aux chevaux des Societes Hi ppiq ues Urbaines . . .
221
221
COMMUNIQUES· AVIS · AN NONCES DIVERSES
Avis de conCo urs - Infirm ière diplômée d'Etat Maison Départeme-ntale de Reynier
??"
AvÎs de conCou rs - Employé de burea u Mairie
223
de
Port-d e-Bouc
-- ~
,Médeci ns autorisés à pratiquer \cs examens radioscopiques en \l ue de la délivrance des
certifi cats prénuptiaux et prénataux ....... . .. . .... ....... . .
223
A. P. : A r r~t é pr éfeC I? rnl. - ~ . . ~i rculaire. -:- Les lettr~s 0 et B su ivit~ d'un. chi,!re
B e
d'origin e. _ U. s. T. : Dlrc ctton des Servlces TecbD1ques. - O. V . S. : Dlreenou
indiqu ent le Service 10\1 S ur ~u _ D. O. .... : Direc tio n DépartementaJe de la Population.
Départemental e de a
ant .
,"
' lQr\:-\ . _
ABIU~\i 1'\'1 .
============~========-
212--------------------------~--~Uu::.u:xn::;".~N:o:~:;,~~-n=-:v~.:.-:'~~~~l~••~,-N-.~S-~-.-te------------------------ -------
•
4.
\
1
i{~;; )
ACTES ADM 1N ISTRA T ff.~y
Le Secrétaire Général DéJegué
r.laxime "UG.!';ON.
Pour le Préfet et par Délégation,
Le Secrétaire Général
Maxime MIGNON .
A../.
'\.
.""". ) ', ,
.[
DES
Le public est ioformé de la yu icalion, par l'Institut
Geo'!1'aphique .·a 'ooal, de la feuille uivante :
Franc", 50.000 - Coul .
Numéro. 38 et 39
u pr sent
.\larseille. le 4 septembre 1g53.
P BUCATIO
RÉPU BL IQ U E
�TEXTES
0283· TVX'
D'INTÉRËT
COMMUNAL
--
]
D2 B2 ' F 0
Paris, le 12 Septembre 1%3.
'tRAVALiX COMMUNAUX D'AUMENTATION EN EAU POTABLE
SYNDICATS COMPRENANT A LA FOlS DES COMMUNES URBAINES
ET DES COMMUNES RURALES
2° A cet effet, on distinguera :
.I\1l'iISTÈRE DE L'Il'iTERIEUR
Direction de L\dministration
Départementale et Communale
-
Paris, le 2
Juillet ,g53
Le .\Iinistre de rlntérieur,
Le .\linistre de r Agriculture,
a ,\l\1. les Préfets (.\Iétropole).
Aux terme; du décret du 6 .\lai 1939, modifié par le décret
n " ·n.12ro du 7 Juillet 19·n, la répartinon des compétences entre
le ;\linistere de rAgriculture et le ,\linistère de t'Intérieur pO Ul
l'attribution des subventions rie l'Etat aux projets 'Communaux
d'alimentation en eau potable, est basée
SUT
la \alea;'" du cen-
time de la commune.
SOnt considérées comme communes ru rales au point de vue
des adductions d' eau et J par suite. subventionnables par le
,\ünistère de l' Agriculture, les communes dont le centime reprt-
les dépenses afférentes aux ouv r ages u til isés en co mmun
par les communes ur~ines et les com mun es r urales,
- les dépenses afférentes aux ouvrages propres aux communes urbaines. Ces ouvrages pourront êtr e soit communs j
plusieurs communees urbaines, soit propres à J'u ne ou l'autre
des communes ur baines,
les dépenses afférentes aux oU\-Tages ex-clusivement
uules aux communes rurales. Ces ouvrages pourront être, soit
communs à plusieurs communes :rurales. soit propres à l'une ou
l'autre des communes rurales.
3° La répartition des dépenses co mm u nes se fe ra au pro-
rata des débits maxima demaodés par les collectivités, ou calculés suivant les nor mes en usage 'Pour chaque catégorie de
communes.
COMPTABILITE DES OPERATIONS DE DOMMAGES DE GUERRE
DES COLLECTIVITES LOCALES
Le Min ist re de l' Intéri eur,
à MM . les Pre rets (Met rOPOle).
Je
vous adresse, ci-joint,
un e instruction Sur le description
<:ompt abJe des opérati ons r elatives a ux dommarlcs de guerr e
des collec ti vités locales.
•
La p remière partie est consa~rée plus spécialement à la
descr ipti on comptable Ides
. opérations rl atives aux dom maO'es
,
de guerr e survenus au x Imm eubles J.,')par tena nt aux collectivités
locales.
L a seconde part ie est relative aux acq uisitions de do mmages ode guer re.
L a troisième partie traite du na ntissemen t des titres de la
Caisse Au to nome de la Reconstruction à l'appui de la realisatio n
d'u n empr unt.
V ous voudrez bie n oo ti fie r les dispositions de cette inst ruction aux m ai ~ es des communes i ntéressées I::fe \'otre départe-
nI ent.
Vous appell er ez spécialemen t leur attentio n sur les an nexes
q ui indiq uent :
-
La nomenclature des articles budgétai res et des co mptes
la moyenne
4 t1 Le montant des dépenses con stituant la partie urbaine
des quatre derniers e.xercices financiers. Lorsque cette valeur
d'après la moyenne des quatre derniers exercices, dépasse 1.000
{fe l'opération sera la somme des dépenses r elatives aux ouvrages utilisés en commun par une ou plusieurs communes urbai nes
et une ou plusieurs communes rurales. L e r eliquat des dépenses
constituera la partie r urale de l'opération.
1ion5.
50 Chaque .J\ünistère calculera séparément" suivant les règles
qui lui sont propres, le taux et le montant tie la subvention
qu'il attribuera aux communes qu'il est habilité à su b\l entionner.
Ces annexes résu ment ainsi les dispositions ess en tielles de
l'instructio n.
sente une
\~aleur
n'excédant pas t.(XX> francs, d'apr '
fracs, la commune est considérée comme urbaine au sens <lu
décret du 6 .\Iai 1939, et c'est au .\linistère de nntérieur qu'il
appanient d"attribuer une sub\"eotioD.
Le décret du 6 .\Iai 1~39 n'a pas eD\'Îsagé le cas des syndiars de communes auxquels s'a;lpliqueront désormais les règles
suÎ\'antes :
1. -
Si toutes les communes comP<lsant le syndicat d'ali-
mentation en eau potable sont rurales au sens du déc:et du 6
,Mai 1939, le .\\inistere de l'Agriculture subventionne seul les
trayaux.
6" Chaque .\\ inistère fera connaitre à l'autre, dès que possible, la date à laquelle il subventionnera d' une façon ferme la
partie de l'opération qu'il lui incombe de subventionner. E\ entueUement, des J)récisions seront données dans la mesure o u
IL - Si toutes les communes du syndicat sont urbaines, ie
.\\inistère de flntérieur subremionne seule les rra\?aux.
possible, sur l'echelonnement des subventions.
DI. - , . Lo rsqu ' un syodicat d'alim entation en eau potable
groupant à la fois des communes urbaines et des commOnes
rurales, constitué, pour ces derni~ res communes, sUÎ\'ant les
à l'accord intervenu, les subventions qu'il a accordées.
o Les sub ventions accoroées sur les cr édits du .\1inistère
dispositions de la circulaire du 10 .-\.oût 1943 du .\linistere de
l'Agriculture, demandera pour rexécution des tra\'aux une sub\'enrion, soit au .\tinistère de r Agriculture soit au .\\inist ère de
l'Intérieur, le Ministère sa' i (1) fera connaître à l'autre Département .\'linîstériel les caractéristiques du projet envisagé, ainsi
que ses p ropositions pour le financement.
(1) Pour l'inscription au Plan d'Equipement National, les
Préfets sont compétents, en aN'lication de la circulaire n° 461
au 12 Décembre 1952 du .\\inistëre de l' Intérieu r, pour agréer
la partie urbaine des tTa\'aux lorsque celle-ci est in~érieure a
50 millions de francs. C'est le montant de la partie urbaine, et
non elle de la totalité du projet, qui détermine le pa rtage de
compétence entre les P,éfers et l'Administranon Centrale du
.\\inistê:re de l'Intérieur. En conséquence, pour tout ce qui est
dit aux paragraphes III n° 1) à
%, le Prefet est substitué au
.\\inistère de rlntérieur lorsque la partie urbaine est inférieure à
50 millions de francs. Dans ce cas, copies .des commun:cations
seront faites par le Prèlet au minist~re de l'Agriculture en application de la }résente ,c irculaire, de\Tont être adressées a titre
de compte rendu au mimst"re de l'Interieur.
Ihor s budgets à ouvri r dans la comptabilit e co mmu nale.
L a liste des écritures il passer pour les dive rses opéra·
- La liste des pièces j ustificatives qu'il convient (j'adresser
aux receveurs nlunicipaux.
Vo us leur fer ez egalement remarq uer que les communes
qui détiennent des titres de la Caisse Autonome de la Reconstr uction sont mai ntena nt autorisées à procéder à leur natissem ent ce qui leu r pe rmett ra d'obtenir plus faci lement du crédi t
auprès des or ga nismes prêteurs.
Pour le Mi nist re de l'Inté rieur,
Le Préfet
7 0 Chaque Département ministériel notifiera, en se 7éférant
Directeur de l'Administration
départementale et communfl le,
oOAMELON
De la mise en œuvre de la p rocédure ci -dessus, cans le
cas des syndicats groupant à la fois des communes rurales et
des commu nes urbaines, doit résulter une coordination efficace
des décisions émanant des deux Départements ministénels.
j'attire \Iotre attention sur le fait que pour atteindre cr
résultat, il est indispeosaille que l'instruction de la <le ma~de
cie sub\'ention du J\linistère de l'Agricultu :-e et celle de la
demande de subvention d u 1\-\inistère de l' Intérieur, so;ent, pour
un projet donné d'un s~' ndicat de communes, simultanément
poursuivies des l'origine.
Des instructions seront ultérieurement donnees au sujet du
ontrôle d'emploi des subventions.
Le .\\inistre de l'lntérieur,
.\\AR1lNAUD DEPLAl',
Le .\1inistre de l'Ag riculture,
HOVDET .
3,1 Souscripti on de l'emprun t et remise des t it res.
3,2 Co mptab il ité des trava ux,
3,3 I~èg l ern e n t odes opératio ns.
V. ANNEXES.
5, 1 No rn enclahl re des com ptes po ur les opéra tio ns de dommages de guerr e.
5,2 L iste <les écritu res relatives aux operat io ns de dommages de guerre.
5,3 Pièces justificatives à prod uire par le Maire au Receveu r
pour les opérations de dommages de guerre.
Les collectivités locales et les établissements qui en dépen d~n t qu i ont été victimes de sinist res causés par des fa its de
guerre ou qu i ont fait l'acquisition de dommages bénéficient,
en appli cation de la législatio n su r la répa ration des dommages
de guerre et la reconstructio n, d'i ndemnités qui leur so nt
allouées par l'Etat et qui ôoive nt être employés da ns les concitions pr écisées pa r cette législation.
La présen te ci rc ulaire a plus spécialement pour objet de
préciser les mesures à prendr e par les ord'on nateurs pour la
desciption budgétaire et comptable des opérations r elatives aux
dommages de guerr e.
Ces prescriptio ns doivent être étend ues par vo ie d'analogie
c:. ux opératio ns de même nature effectuées par les Idépartements
et les établissements publics locaux.
Elles ne sont pas appli cables aux Associations Syndieales
de Reconst ruction, aux Offices Publics d' Habitation à Loyer
Û\10déré, aux établissements hospitaliers, ni aux Crédits Municipaux, ces divers établissements étant soumis à une réglementation particulière.
1. DOMl'V\IAGES IM,'V\OB ILIERS.
1, 1 Comptabilité des biens sinistrés,
Pour permettre aux comptables J'ublics la descriptio n à
l'Et at de l' Actif P 608 <les constructions sinistrées par faits
de guerre, les maires doivent délivrer aux receveu rs muni ci paux
pou~ chaque co nstru ction détruite :
-
de l'Agriculture ne seront payées qu'au mGment où awront été
réellement exécutés les t ravaux corespondants intéressant les
communes rurales quelle que soit la nature dts ouvrages. Le
subventions accordées sur les crédits du !\'\ in istère de l' lntérieUi
seront payées dans les mêmes conditions pour les commu nes
urbaines.
III. SOUSCRIPTION D ' E:,,~PRUN T S GARANTIS P AR LA
NATION EN NAN TJSSEM.ENT DES TITRES DE LA
CAISSE AUTONOME DE LA r~ECONSTR UCTI ON.
INSORIP1110N SUR LA DES ORIPTION COMPTABLE
D ES O P ElRA;rWNS RELAT IVES AUX DOM'M'AGES DE
DE OUERRE DES COLLECT IVITES LOCALES
SOMMAIRE
1. DOMM'AGES
IM"'~OB I LIERS.
1,1
1,2
1,3
14
Comptabilité des biens sinistrés.
Comptabilité .des indemnités.
Co mptabilité des travaux.
Rattaœl emcnt à !(I ~onwtabilitê des communes des opération~ faites pour leur compte par. d~s ~roupements tie sinistrés.
1 4 1 Comptab ilité des biens si nistres.
1:42 Comptabilite des indemn ités.
1,43 Règlement des operatIons.
1,5 Dispositions t ra nsitoires.
Il DO,'V\'M!AGES ACQUIS .
2, 1 Acq uisit;on des droits.
2,2 Comptabilité des indemnités el des travaux.
2,3 Comptabilité des titres de la Caisse Autonome de la
Reconstru ctio n.
Un certificat administratif indiquant la date du dépôt <l u
dossier à la délégation départementale du .Mjnistère de la
Reconstru ction et de j'Urbanisme.
- Copie ce rtifi ée conforme de la décision AI portant évaluation du bien il re co nst~uire .
_ Copies certifiées conformes des decisions B portant
fixation provisoire de l'indemnité.
1,2 Comptabilité des indemnités,
Le montant des indemnités perçues par la commune est
porté en r ecettes à un compte à ouvri r parmi les sen'ices hors
hu{jget intitulé :
INDE.\1NHES DE DOM,\'1AGES DE GUERRE A E,\\PLOYER
Le monta nt d'es indemnités employées est porté en recettes
à un article ouvert à la sectio n
~xtrnordinai ,e
du budget,
Intitulé :
INDEt'ANlTES DE DO,\L'vIAGES DE GUERRE EJIIPLOYEES.
L'ordonnateur adresse au comptable publ1c, après les avoir
\'isées les réquisitions de paiement qui va lent ainsi tit~es llie
recett~s et pièces justificatÎ\'es des inscriptions po rtees en
recettes au compte c Indemnités de dommages de guerre a.
emplo yer • .
�Periodiquement et au plus tard al'a nt la date de clôtur e
.de J'exercice, le maire ad resse au comptabl e municipa l un certifica t adm inistratif co mpo rtant l'énu mé ra t io n pa r natu re et
montant des dépenses effectuées da ns le cadr e du progra mme
de reconst ruetio n régulièrement appr ou,vé.
Le maire por te dans sa comptabi lité admi nistrative à J'article bU'dgétaire de recett es « In demnités de do mm ages de gu erre
emp loyées ::. le monta nt total figurant s ur ce certificat a dm inistratif.
Le rece,-eu r municipal s ur le VlI de ce tt e piè-ce fait dé pe nse
riu montant au co mpte hors budget c In demn ités de do mmages
cie guerr e à employer , et recdte en cO ll tre-'Pa r tie pO Ui le
même mo ntant au compte budgêtaire « In.de llln ités de do mma'
ges de guerre employées
l'achèvement des travaux, la créan ce de la commun e sur le
groupt'ment auquel elle a ad héré.
Ct$ i ndemn ites son t portées annu ell em ent en recettes
compt~ 4: Iru:1emnités d e ,domma~es de .guerr e à employer :t
:~
en dt\penses au compte a co uv n r parmi les comptes d'avances
des co mmun es et établissements ,publics
AVA NCES A l' A.S.R. (o u S.C.R.) .
Cette opération est pa s~ée. a,u V ll ~ d ' un ex tra it du co mpte
i ndividuel de la co mmu ne déll.vre a la fm de chaque exercic e par
le préside"t du group ement Intér ess é.
L e maire n'a aucune écritur e .à po rt er dans Sa CO mptabi_
lité adm inistrative,
:t.
Le solee du compte hors budget « Indemnités de dommages
de guerre à employer ~ indiq ue :
- s'il est posi tif, le monta ntàes fonds qui doivent ètr e
tmployès ,pour la r econstruction.
- s'il est négatif, que la commune a pr océdé à la r econstitution des biens sinistrés â l'aide de ses propres fonds a\'ant
r éception des indemnités correspo nda ntes et qu'elle a fait
ravance rles fonds pour le mo ntant du solde.
1,3 Comptabilité des travaux.
Les mandats de paiement émis en règlement des trava ux
de r econstr uction couver ts par des indemn ités inscrite3 ait
compte hors budget « Indemnités de dommages de guerr e à
employer ,. sont port és en dëp ense à l' art icle bud gétaire à ouvri.
à la section extraor dinajre.
TRAVAUX DE RECON TRUCTION
Il peut être prévu des artic les disti ncts par programme
sous les intitu lés tels que:
TRAVAUX DE RECONSTRUCT ION
Programme A.
Programme B
Programme C
Les marchés relatifs aux travaux .{ie reconstruction sont
passés et il en est justifié dans les co nditions habituell es.
Le maire délivre au receveur mu nicipal copie des pièces
fo urnies au Ministère de la Reconstr uctio n et de l' Urba nisme
pour justifier l' emploi des indemnités perç ues par la Comm un e.
Ces copies comportant une mentio n indiquant la date <i e r em ise
des or iginaux aux services d'u M.R.U,
1,+ RATTACH5MENT A LA CO,\'JPTABtUITE. DES COMIMUNES DES OPE.RAIf ION6 FAITES POUR L 5UR COMIPTE
PAR DES GROUPB\ENTS DE. SINISTRES.
Certaines communes, en application des artic les 2 et 32 de
la loi du 16 Juin 1948, ont pu adhérer soit une association
syndicale de reconstruction (A.S.R.) soit à une Société Coopérative de reconst ruction (S.C.R.) pour faire procéder aux opécotions de reconstitution de leurs biens sinistrés.
1,41 CO.\1PTABILITE DES B IENS SINISTRES.
Pour pe]"f11ettre aux conwtab les publics la d.escription à
rétat de ractif P 608 des constructions sinistrées pa r faits de
guerre. les maires doivent délivrer aux receve urs muniCipaux,
pour chaque construction détruite :
- une notification d'a-dhésio n à la date du - - - - à un
groupement oe sinistrés expressément dén ommé.
1,42 CO.\IPTAB ILITE. DES INDE.<MiNITES.
La commune intègre seu lement da ns ses écritures le mOntant des indemnités effectivement encaissées en Son nom par
l'Association syndicale de reco nstruction ou par la Société
coopérative de la reconstruction , Ce montant constitue, jusqu 'à
1,+3 Règl ement des opér ations.
A la fi n nes trava ux et <les remises des imm eubles reco nstruits. le montan t des dépenses de t ravaux de reconst ruetion
suppo r té Jlar l'association sy ndicale ou la société coopérati ve est
porté en dépenses au co mpte « Indemn ités d'e do mmages de
guerre à employer » et en rece ttes au co mpte « Ava nces à
l' A.S.R . • . qui se tro uve soldé.
Le mai re n'a auc une écr iture à 'Port er dans sa comptabilité
ad minist r.:t tive. Il adresse seu lement au r eCeveur municipal les
pièces justificati ves suivantes :
- D8RN lE.R EXTRA IT DU COiMIPTE INID IVlhDU EL de la
com mune déli vr e par l e président du grolltpement intér essé.
Procès- verbal de r éc eption définiti,ve par la commune
des imm eubles reco nstitu és.
- Copie des pièces r emises par le .gro up ement pour former titre et établir les droits de la .commu ne,
Les a)J'Ports que pourrai ent fair e les co mmun es aux groupements de si nistrés auxquels elles ont adhéré ,pour effec tuer
des travaux en co mplément de ceu x qu i sont fi nancés par les
indem nités de dommages de guer re sont imputés à des arti cl es
budgétai res à ouvrir à la section ex traordin ai r e au chapitre
TRA,VAUX NEUFS E.T GROSS ffi REPARATIONS
Ces apports so nt opérés en vertu de décisions des conseils
municipaux prises comm e en matière de t ravaux neufs.
1,5 Dispositions transitoires.
Les co mptables proOuiront à l'appui des comptes de l'exercice 1952, po ur to utes les opérat ion s non encor e term inées, le
cad r e intitulé CONSTRUCllI ONS SIN ISTRE.E.S Ide l'éta t de
ractif et de l'état des trava ux P 6 19.
Ils établiro nt dans leurs écr itur es la situat ion du co mptehors budget « Indemnités de -dom mages de guerr e à employer ;ltelle qu'elle se présenta it à l'ouver t ur e ide l'exercice 1953. Le
compte budgétaire sera éventuellement réduit à due concurre nce des recettes t ransférées à ce compte.
Le maire pratiquera dans sa comptab il ité adm inistrative,
s'il y a lieu, une réd uction po ur un monta nt identique.
II. DOMJ\ \ AGES ACQUI S.
Lorsqu'une co mmune es t auto risée par décision générale
ou parti culière à acquérir des .d roits à in demnités de dommages
de guerr e, sa comptabilité doit ret racer les 01)ératio ns co rres·
po ndantes dans les co nd it io ns in diq uées ci-après,
2, 1 Acquisition des droit s.
La dépense 'd'acquisition des droits est portée il li n arlicle
spécial à ouv rir à la section ex traor di naire d.u bud get au chapitre:
ACQUil6 1T IONS IIN\IMOB ILI BRES
Le mair e délivre au r eceveu r m unicipal, à titre de pièces
justificatives, l'acte d'acquisition des dr.oits appuyé des pièces
ci -après :
a) Ac qu isitions immobilières,
- ampliation .cle la déli bération app.
.
. .
rOllvee ou exécutOi re
·1
.d u Co n ~el . ~llIn ~0Ipa l r ela ti ve él l'acquIsition.
- Justifi cation de l'accomplissement des f
ré
h'ypoth écair e, s' il y a lieH,
orm a It s de purge
--:- . copi ~. de l'a~is émis par le serv ice départementa l des
Domai nes, s Il y a 'heu.
. copie de l'avis Aém is par la Co mmission ce ntra le ou
departementale de co ntro le ides Operations
Immob·I··
'· 1
•
1 Jeres, s 1 y a
1leu.
h) Mutations de biens si nistrés.
~ Co~ i e de la dé.cision du u\l\ inistre de la Reconstructio n e l
de, 1 u rba ",s~n e a ut o ~l saén té I ~ mutation ou ce ' tificat attesta nt
qu a u cu~ e r ~o n se n a t four nie au ven deu r da ns le délai
de 4 mOIs (10 1 du 28 décembre 1948) ; loi n' 5 1-650 du 24 mai
195 1, arti cles 36 et 38).
Copie de la décision de ce Mij nistre autorisant la co rn .
mune, so.it ~ reconstr ui re le .bien si nistré à un autre emplacement, SO it a aménager ce bien ou un autre bien non sinistré
lui appar tena nt, soit créer un bien nouveau.
- Copie de la décisio n de ce Mi nistre autorisant soit la
cession du droit à indem nité indépendamment du bien sinistré
soit la cess ion ractio nnée de ce droit ou certificat attestan ;
qu'aucun e réponse n'a été fournie au vendeur dans le délai de
4 mois.
c) Cession des ,d roits à indem nités.
- Copie de l'exploit de signification de l'ac te de cessio'1
au Crédit National et, le cas écthéant, aux Associatio ns Sy ndi.
ca les et Sociét és Coopératives intér essées et aux locataires.
- Cer t ifi cat du Cr &iit Natio nal attestant qu'il n'existe pas
de cession ou d'opposition antérieure.
L 'acquisition du bien sinistré (ter rain et vestige de constru ction) doit toujou rs, da ns les budgets et dans les comptes,
apparaî tr e à un article distinct de celui ouvert pour l'acquisition des .droits à indemnités.
2,2 Comptabilité des indemnités et des travaux.
L 'enca issement des indemnités acquises et les dépenses de
trava ux correspo ndants sont décrites <fans la comptabilité de
la comm une dans les conditions fixées au titre 1,2 et 1,3 de la
présente circulaire.
2,3 Comptabilité des tit res de la Caisse Autonome de l a
Recon stJlJction.
L es acquéreurs de ICIroits à indemnités Ide dommages IJe
guerre ne bénéficia nt d'aucune priorité reçoi vent en rè glement
<le ces indemnités et conformément à l'article 4 1 de la loi
n" 50- 135 du 3 1 janvie r 1950 des titres émis par la Cais.;e
Auto nome de la Reconstruction (CAREC).
Lors .de la remise des titres ode l'e~pèce, le receveur municipal les portera en dépenses pour leur montant en va leur
nomi nale à un compte à ouvrir parmi les co mpt e~ d'avances
sous l'intitulé :
T ITRES nE. LA CAISSE. AUTONOME DE LA
RECON6TRU,CTION
Cette opération sera compensée par une rec ette d'égal
monta nt à por ter au compte « Indemnités de dommages de
guerre à em,ployer • .
,L e maire ne .passe au cune ecritu . e dans s~ comptabi l itê
.admi nistrative pour la remise des tit r~s .de la CaIsse Autonome
<le la Reco nstruction.
Les i ntérêts perçus son t portés en re cettes au b tl d~et d~ la
Co mm un e à l'article « Rev enu des titres et \'alcurs 3 (Chapitre
Revenus or dinaires du patrimoine).
Le montant du capital encaissé est porté au co mpte Titres
de la Caisse Autonome (ie l a Reco nstruction ».
L e maire ne passe aucune écri t ure dans sa co mptabilit é
ad min istrative en ce qui Co ncern e cet ancaissement.
III. SOUSCRIPTION D'E.MlPRUNTS
GARANTIS PAR L'\
NAT ION EN NANTISSEMENT DE. T ITRES DE LA
CAISSE. AIUTONOME DE LA RE.CONSTRUCTION.
Pour facili ter le fi nancement des trava ux que l es communes
do.ivent entreprendre, il a été admis que ces co ll ec tiv ités pourra ient être autori sées là co nt racter des emprun ts auprès d'organismes tels que Comp agnies d'assura nces (1 ) et garantissant
l'opération par l'affectatio n en nantissement de ti t res de la
Caisse Autono me ire la Reconstru ction qui leur appartien nent.
Il est précisé à cet eff et :
- que d u poin t de vu e comptab le, l es travaux so nt consi dérés comm e éta nt fi nancés par les indemnités de domm ages de
guerr e à employer et qu'il co nvient, à ce sujet, d'éIJ)pliquer les
di'\)lositio ns pr év ues au t itre 1,2 et 1,3 <1e la présente instr uct ion.
- que par voie de conséquence, les emprunts sont des
opérations tde trésorerie destinés à procurer des ressources en
attendant que les titres de la Caisse Autono me de la Reconstruction vien nent à échéance.
- que le prêteur, conformément au mandat qui lui est
co nné dans l'ac te d'emprunt, intervient comme mandatai r e de
la co mmune pOlllr :
- requéri r auprès du Crédit National et de la Caisse Autonome de la Reconstructio n so it la mobilisation, soit le remboursement des ti tr es.
- recevoir, SUir ses seules quittances, tant le pri nc,pal que
les intérêts des titres.
- affecter le monta nt de ces sommes au remboursement
du prêt et au paiement des intérêts.
Le tout à charge de re ndre compte au Maire et de remettre le reliquat éventuel (d es sommes perçues sans délai au
Receveur Municipal.
Le contrat ne prévoyan t aucun transfert de propriété, il
5'en suit que les opérations effectuées par le bailleur de fonds,
en qualité de mandatair e, doivent être décrites en détail et dans
l eur intégralité dans l es comptes <les communes. Le prêteur
nanti peut d'ailleurs, en considérant sa qualité de mandataire
Ide la commu ne, être assimilé du point de vue comptable à un
régisseu r de rec ettes et de dépenses ou à un administrateur
de biens légués.
Compte tenu de ces indi'Ca tions, les communes deVTont
pour décri re ces operations dans leur compte, se conformer aux
prescriptions suivantes:
3, 1 Souscription <le l'emprunt et remise des titres.
Les elTlJlrunts gagés par des titres de la CAREC sont Con tatés, en vertu de décisions de conseils municipaux approuvées
dans les mêmes formes que les autres emprunts.
Le Recevew de la commune remet les titres au .porteur nanti
co ntre reçu. La copie de l'acte de nantissement et le reçu remplacent les titr es dans le portefeuille du comptable.
Le montant de l'emprunt est porté en r ecettes à un article
à ouvrirr à la Section extraondinaire du Budget sous l'intitulé :
Produits des emprunts gagés sur litres CAREC.
Le Receveur muni cipaf constate la remise des titres en
portant la valeur no minale de ceux-ci en recettes au compt.e
1« Tinres de la CA REC 1> et en .depenses à un compte à ouvrir
parmi les comptes d'avances sous l'i ntitulé :
(1) _ Cf. Arrêté 10 mars 1953 (J. O. Il mars - page 2925).
211
�PRETEURS NANTI S
TITRES DEPOSF.S EN NANTISSEMENT
Ce co mpte comporte une subdivision par prêteu'r.
3,2 Comptabilité des travaux,
Les travaux sont imputés à la section extraordinair e du
budget comme il est dit aux titres 1,2 et 1,3 de la présente
A l'éohéance du contrat le receveur constate
écritures les opérations cr-après:
circulaire.
Le montant en ,capital des titres nantis est porté en
recette, au compte « titres remis en nant issement :) et en dépense, au co mpte « Prêteurs nantis ».
Lors de r emploi des indemnitës de dommages de guerre,
. . .
'
le Maire constate dans ses écritures:
_
une recette à la section extraOtrdm 31 r e du bu~get a
l'article : < nndemnites de dommages de guerr e employees .,
3,3 Règlement des Opérations.
Lorsque le contrat .d'emprunt est parvenu à échéance, le
prêteur nanti doit rendr e c(}l:npte de l'exécution de so n mandat
à la commune.
~' .
Le M'aire, au vu des renseignements reçus dumen.t contrôle~
à l'aide du contrat, soit en cas de négligence d ~ preteur nanti
au YU du seul co ntrat, délivré au receveur mumclpa~ :
_ un mandat de paiement à imputer su'!" les crédIts ouverts
au budget aux articles suivants
Intérêts des emprunts.
Frais de gage.
Section extraord inaire.
Remboursements d'emprunts.
pour le montant des sommes dues p3!r la commune au titre
du contrat.
_ un titre de recette à imputer au budget à l'article.
En section ordinaire :
Revenus des titres et valeurs
.
pour le montant des intérêts des. ~tres CARE~ remis en nantissement qui ont dû être encalses, a leur echéance, par le
prêteur nanti.
. , .
Pour suivre les opérations !de liqUidahon, le re ceveur ouvre
dans ses écritures parmi les comptes d'avances un compte nouveau sous l'intitule :
dans ses
- L e montant du manda t de paiement émis par le m ai r~
en r ègl ement ide l'emprunt: rembolt'rsement du capita l, paiement
des intérêts et autres frais pr évus au contrat, est porté, en
re cette au compte « P.rète urs nantis » et en depense aux co mptes budgétaires intéressés.
- IL e montant du ti t re de recetti! émis par le Maire pour
intégrer dans les comptes de la commune les intérêts ,des titres
nantis, est porté, en r ecette, à la section ord inai re du budget
et en dépenses, au compte « pr êteurs nant is ».
Le compte < prêteurs nantis > do it être p'Tésenté, en solde
un excédent de dépense corr espo ndant au montant d'e la soulte
{fue à la commune par l e prêteur nanti.
L ors du vers ement de cette soulte, le montant en est porté,
en 'recettes, au compte « Prêteu rs nantis » qui se trouve ai nsi
soldé.
L e maire n'a aucune écri ture à passer dans sa comptabilité
2.dmlnistratiive au sujet de cette so ulte.
moyen d.'éc ~éance Ji échéa nce, pour les denrées à cours vada.
ble. L a ftxatlon du cours moyen est faite par arrêté préfectoral,
apres aNIS de la commission consultative.
« PO.llr .Ies baux spé~ifiés tout ou partie en lait Ou en beurre.
la c~mmlSS I O l1 co n ~ ultahve départementale 'pourra décider que
le pn x r:n oyen du lai t e.t du beurre sera calculé en tenant compte
au maXimum pour troIs quarts du 'Prix moyen pratiqué penda nt
la,pé riode du I ~r Avril au 30 Sep tembre et pour un quart du
pTiX moyen pratiqu é pendant la ,péri ode d'u 1er Octobre au 3 1
Mars.
« L e pr enel1~r ou le baill eu r qui, lors de la conclusion du
bail} a accepté tin pri x supérieur ou i nférieur d'a u moins un
dixième à la va leur loca tive norma le du bien 'Parti cu lier don né
à bail peut, au co urs de la troisiè me année de jouissance, et
une seule fois, sa isir le trib unal paritaire. Celui -ci fi xera, pOlir
la ,périod'e du bail restant à courir à partir d. la demande, le
pri x normal du fer mage suivant les modalités ci-dessus.
« La même faculte est accordée et une seule fois pour le
même motif aux bailleurs et .preneurs liés par un bai l en cours
conciu entre le 1er Juillet 1948 et le 31 Décembre 1952, auquel
cas la révision devra être demandée dans leS six mois à dater
de l'arrêté préfectoral prevu à l'alinéa 2 ci-odessus.
« Les dispositions des deux alinéas précédents ne sont pas
applicables aux baux ayant déjà fait l'objet d'un e révision .
« Les dispositio ns du jJr'ésent article ne sont ,pas applicables
au cas où le prix du bail résulte d'u ne adjudication ren oue
obligatoire par la loi.
A~RETE
V. ANNEXES.
L es annexes ci-joi ntes indiquent la nomenclatu r e odes comptes, la liste des écr itures relatives aux opér atio ns de td orn mages
de ~"uerre décrites dans la présente cir cu laire et la liste de&
pièces justilicatives à adr esser au re ceveur muni c~p al.
Vu l'article 22 de la dite ordonnance, modifiée par la loi
du 3 1 Décembre 1942 et la loi du 23 Mars 1953 ;
Vu la circulaire en date du 16 Ma i t953 de ,M. le Mjnistre
de l' Agriculture ;
Vu l'av is de la Commission Départementale Consultative
des Bau x Ruraux en date du 28 Juillet 1953
Su r la proposition <lu Secrétaire Général.
ARRETE :
ARTICLE PREM IER. -
sont les suiva ntes
IPREFlBCTORAL FIXANT L A VAl;ElUR
DES BlEN& LOUES
L e Pré fet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la L égion d' Honneur.
Vu l'ordonnance du 17 Octobre 1945 relali ve au statut
du Fe'rmage, modifiée par la loi du 13 Avnil 1946 ;
Les denrées qu i servent exclusivement
d e base au calcul des fermages dans les Bouches-du-Rhône,
-
Blé,
-
Pommes de terre (consommation courante et primeu rs).
,Foin (ordina ire et de Crau).
Riz Paddy.
Lait.
Vin.
-
Fruits (pêohes, poires, prun es et abricots).
Raisin& de table.
Huile d'olive.
Lai ne.
Bœuf.
ART, 2. - Les quantités de denrées représentant ,par nature
de cul tures et par hectare selon leur classe, la valeur locative
normale des biens loués so nt les suivantes pou r dhaque région
agricole d u territoire du Département des Bouches-du-Rhône.
TERRES
STATUT DES BAUX RURAUX
04 BI . A 2
TERRES
SŒ\l\IAIRE
l ' Article 22 de l'or.aonnance du 17 Octobre 1945 modifiée
par les lois du 3 1-12-1 948 et 23 Mars 1953.
2' Arrête préfectoral du Il Septembre 1953 fixant la liste
des denrées et la valeur locative normale des biens loués,
Article 22, de l 'ordonnance du 17 Octobre 1945 modiRé par
les lois du 31 Décembre 1948 et du 23 Mars 1953.
• Pour les baux à ferme le Prefet demande à la CommissÎ{)n
consultative de dresser, po ur les diverses régions de !département et s'il y a lieu par type d'exploitation, la liste des deorees
de la production locale ou régionale qui serviront exclusivement
de base au calcul du prix des baux, et les quantités maxima' et
minima de t'es denrées rep résent ant, par nature de cultu re et
suivant leur classe, la valeur locative normale des biens loués.
• Dés la réception de l'avis de la commission et, en cas
de ,carence de cette dernière, deux mois au plus tard après sa
demande d'avis, le Préfet fixe par ar rêté la liste et les quantités
de denrées dont il est parlé ci-dessus.
< Ces quantités ne pourront être sl\périeures aux quantité.
r eprésentant en 1939 le prix normal des baux dans la région
<orrsidérée. Toutefois, la fixation cte quantités supérieures ou
inférieures à celles oe 1939 pourra êt re admise à condition d'être
expressément motivée.
c Dans les 'fégions où, en raison du petit nombre .d'exploitations louées par bail à ferme antérieurement à l'année 1939,
la commission consultative jugera -cette référence i nsuffisante,
la valeur lo:ative norm ale po urra être fixée pa r comparaison
avec les exploitations similaires de rég ions voisin es.
« Le ,prix de chaq ue fermage évalué sur ces bases en une
quantité détermin ée de ,de nrées, sous Téselwe éventuellement des
impenses du bailleur ayant apporté des amélioratio ns au fonds
.depuis 1939 dev ra obligatoirement s' inscrire dans le cad re tCl.es
quantités maxima et mini ma fi xé par la Commission Consu~~
tative ; ce plTix est r églable soit en natur e soit en espèces, SOit
partie en nature et partie en espèces. L es parties optent, pour
l e mode de payement à la co nclusion Idl! bail.
« Le fermage ne peut comprendre, en sus du prix calcu lé
comme il est indjqué aux alinéas précédents, aucune red eva nce,
prestatio n ou service de quelque nature que ce soit. Cette disposition est appli cable à tous les baux antérieurs à la présente
loi et prendra effet dès sa promulgation. Si la supp-ression des
redevan ces, ,prestations ou services ren d! indispensable le raJustement du prix du bai l, il y sera p<océdé, à défa ut d'acwnd
entre les parties, pa r le tribunal paritaire.
L orsque le bailleur au'ra effectué, en accor.ct' ~~e c. le pr~neu r~
des investissements dépassa nt le c3Idre de ses obligatiOns leg.ale
le prix d u bail en cours sera augmenté d' une rente en esp~ces.
éaa le à l'in térêt des sommes ainsi investies, au tau x pratIqué
p:r la caisse régionale de cflédit agricole pour les prêts à. moyen
.
,
bl'c
term e.
« Les dispositions des ali néas CI-dessus sont Id ordre pu 1 .
C Sauf convention contraire entre les parties, le paiement
.
d e l'échéandes espèces SI effectuera au eou rs en vigueur au Jour
f'
.
an
.
t
ce pour les denrées dont le pnx es Ixe pour un
, et au ~o urs
:-;ATURF.
1)/;:
OF-,,"I':É I~S UF. RËFtRENC ES
CANTONS
MA,RSE ILLE
AUBAGNE ... ,'
l.A CIOT AT
ROQUEVAIRE
SUD
AI X NORD
BEiRRE ... .. . ...
'"
G~RDANNE
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ISTRES . . . . . .
L AMBESC
MARTIGUES
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ORGON . . . . . . ....
PORT-SA INT-LOU IS
SA INTES-MARIES
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CULTURES
CULTURES
.o\RROSABLES
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219
218
�PATURAGES
NUTURE DE CULTURE
RAISINS DE
DEXR ÉES RÉFÉREYCES
CANTONS
RAISINS DE
TABLE •
CUVE
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Ma.x.
Min.
Ma.x.
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200
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MARSEILLE ..... .. . . . . . ... . . .... . ..
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AUBAGNE . .. .
2
l.A CIOTAT ......
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ROQUEV AIRE
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AIX NORD" SUD .. .. ....
2
BERRE
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3
GARDA ' NE . . . .. . ... .
2
3,
... . ... .
ISTRES
LAlIIBESC .. . . . .. . . .. .
3
,\\ARTIGUES .. .. . . ... .
3
PEYROLLE
2
SALON .. ... . . . . .
2
TRETS
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ARLES E. " O. . . . .
CH ATEA URENARD
3
EYGUIERES ..... .
3
ORGO . . .. . . .. . .
3
PORT-SAINT-LOUIS .
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SAINTES-MARIES .. ' . .... ... .
8
SAINT-RU!Y ......
. ... ... . . .. . 5
TARASCO N ......
. .. . ... . ... .
8
.
ART. 3. -
l'R AIRI ES
VIGNES
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200
200
200
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200
300
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400
400
200
400
400
400
400
400
Ces valeurs s'entendent pour les exploitations
comportant les bâtiments normaux d' exploitation. ,pour les loca-
tions de parcelles ne comportant pas de bâtiments les valeurs
ci-dessus sont réduites <le 15 % .
ART. 6. - Les terres labourables au sec <comprennent les
cultures d'amandiers.
ART. 5. - Terres labourables arrosages ne seront calculées
sur la base des valeurs normales des terres labourables arrosa-
NATURELLES
&.
COUSSOUL.S
FOIN
HUILE
{lU,\1- LI EU
l'lin .
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10
ART. 2. - ~ou~ le ri z paddy, le pri x est celui en vigueur
au moment ,de I I.\Cheance tel qu'il résulte de l'arrêté ministériel
J'ai l' honn eur de port er à la co nnaissa nce de 'MIMI. les Mlaires
l'Ar,rêté en d'a te du 20 Août 1953, en les pria nC de vo uloir b ien
Ces indi ca tions ne seront toute fois tolérées que sur la surface
méme des appar eils distributeurs ou sur des pa ncartes accro-
en aSSUier la publication et l' atflchage en la form e ré glemenw
chées à ces appa reils et ne dépassa nt pas sensiblement leur
gabarit.
la laTgeur des trottoirs le permettra, de pan neaux portatifs
Le Préfet du Départ ement des Bouohes-du-Rhône,
,plaCés à proximité immédiate .d'es distributeurs, sous réserve que
ces panneaux soient établis de faço n à ne pas gêner la circu-
Vu J'arrêté du 20 Août 195 1 portant réglementatio n de
l'i nsta llation des distributeu rs automatiques .de varburant sur
la voie pub lique,
A~~ETE
vm. -
Ec héa n~e
Officier de la LégIon d' Honneur.
ARTICLE PREMIER. -
Les cours ,des denrées devant servir
de base au calcul des fermages sont fixés ainsi qu'il suit dans
le Département des Bouches-du-Rhône:
220
vei ll er à l'exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil
des A'ctes Administratifs de ia Préfe<lu re et sera pu blié dans
toutes les Communes du Département.
Fait à Marseille, le 20 Août 1953.
Le Préfet,
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général délégué,
Si g né : Ma xime MIGNON.
ATTRIBUTION DE PRLMES AUX CHEVAUX DES SOCIETES
HIPPIQUES URBAINES
Blé, le quintal
........ . .. .
P. de terre primeurs, le qui nta l ..
du 29 Septembre 1953
Foin de Cra u, le quintal .. . .. .
Foin de
prairie
éc héance
se mestr ielle
3.415 ( 1)
3.000
3.4 15 ( 1)
3.000
1.350
1.485
1.200
1700
_ Du 4 jll in 1937, autorisa nt le fonctio nnem ent des SO:iétés HiWiques Urh aines, parallèlement à celui des SOCIete,
1.275
270
116,25
312,50
337,50
3.750
3.500
1.500
276
106,50
3 12,50
380
3.500
3.500
Hippiq ues Rur ales ;
_ Du 24 M,a i 1938 prescri va nt les fo rm alités à remplir pour
r éO'ulariser la co nsti t uti on des dites Sociétés ;
.
Laine, le kilo .. .. .. . ..... . .. .
fruits, le quintal" .... ..... ..
Raisins de table, le quintal ... .
_ d u 25 j uillet 1934, créa nt des Sociétés Hippiques Rurales
ct instituant des co ncours pour les ch evau x appartenant a leurs
membr es
j
_ nu II Avril 1935, précisant la manière d'orga niser les
dits conco urs SOLIS form e de concours d'Etat ;
ordinai re, le
qu intal . . ... ...... . . . .. ... .
Vin, le d O hecto . . .. . .. ... . .
Bœ uf poids vif 2' qu alité, le kg.
Huile d'olive, le kilo .... . .... .
Vu les instructions du M inistre ,d e l'Ag ricultu,re en date :
échéance
annu ell e
P. de terre ,de
consommation
courante, le quintal .... .. ... .
ARRETE:
Le Préfet des Bouches-du-R hône,
.
Lait (34 gr. de matières gr asse),
ARRETE:
ART. 2. - MlM.l. les Sous .. Préfets, Maires, Ingénieurs d'es
Ponts et Chaussées, Commissaires '~e Police, Officiers de Gendarmerie et tous Officiers de Police judiciaire sont chargés de
poser ou de laisser appose r sur le distributeur aucun panneau
emblème ou mentio n quelconque de publicité.
Sont exceptées de cette interclictio n, les indications relatives
JI la mar que, à la qualité ou au pri x du car burant mis en vente.
Offi cier cie la Légion d'Honneur.
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Sur la proposition de M. le Secrétaire Général,
lation et qu 'ils comportent seulement le nom des produits.
Le Préfet,
Signé: André PELA BON.
ARRETE
Vu l'avis émis par la Commission Consultative des Baux
Ruraux du 14 Septembre 1953 ;
graissage, etc .. ) est formellement interdite. Sur les Ro utes Nationales, une telle indication peut ,cependant faire l'objet, lorsque
Il est intendit au bé nefi<:iaire de l'autorisation d'a,p-
FIXATION DES COURS DES DENREES DEVANT SERVIR DE BASE
AU CACUL DES FERMAGES
Vu l'arrêté préfectoral du Il Septem bre 1953 fixant dans
les Bouches-du-Rilône la liste des denrées servant de base au
calcul des fermages ;
:
ART ICLE PREM IER. - Le "arag rapl,e A, VII de l' a'r ticle 1er
de l' Arrêté réglementaire s usvisé du 20 Août 195 1 est ab rogé
04 BI - A 0
Vu l'article 22 de l'ordonnan ce ou 17 Octo bre 1945 relative
au statut d u fermage, modifiée par les lois du 31-12-1 848 et
23 Mars 1953 ;
Lli ndication, sur lesciîts appareils de la mise en vente de
tout autre produit (pièces détachées, pneumatiques, ,huiles de
AlRRETE PREFECTORAL MOO IFIAN T L'A~TE DU 20
AOurr 195 1 PORTANT RBGLEMlENT Al'lON nE L' INSTA!lJLAllI0N DE DISTRIBUl'EURS Au:TOMIATIQUES DE
OARSURANT SUR LA VOlE PUBLIQUE.
et remplacé par le texte suiva nt :
bles, que les fermages correspondant aux surfaces qui p euvent
effectivement porter, simultanément des cultures irriguées,
compte t enu des ressources en eau d'arrosage portées au bail.
04 BI _ A 3
REGLEMENTATION DE L'INSTALLATION DES DISTRIBUTEURS
AUTOMITIQUES DE CARBURANT SUR LA VOIE PUBLIQUE
Of.ficier d e la Légion ct' Honneur.
Marseille, le Il Septembre 1953.
Le Secrétaire Gènéral délég ué,
Signé : Maxime M~GNON.
ART. 3>. ~ M. le Secrétaire Général de la Préfecture est
chargé 'de l'exécution du p résent arrêté.
t ai re dans leurs Co mmunes.
ART. 7. - Le Secrétaire Général de la Préfecture est chargé
de l'exéc utio n <lu présent ar rêté, qui sera insé ré au Pec ueil des
Actes Administratifs.
Pour le Préfet,
le fi xa nt pou r la ca n,pagne 1953.
05 BI - TVX 0
ART. 6. - Les dispositions contraires à celles du présent
arrêté sont abrogées, notam ment cell es ide l' arr êté d u 22 Avril
1929.
Ma rseille, le 25 Septembre 1953.
le litre .. . ... . .. ..... .. . .. .
30,93
28,86
(1) Sous réserve des incidences de réfaction motivées pa r
le dé cret n" 53.688 du 3 1-7-53 fi xant les prix et modalités de
p ayement <le stockage et de rétrocessio n des céréales pour la
campagne 1953-1954.
-.
_ D u 20 Août 1945, plaça nt les Sociétés Hip piques Urba,-
nes sous l'auto ri té de la Fédérat ion Française des Sports Equ estres et imposant leur aff-ili ati on à ce t Organisme;
- IDu 12 Juin 1950, préc isêl nt les conditions dans. lesquell es
les Sociétés Hip piql1 es Urbaines demeu'rent tou tefOIS sous le
contrôle de l'Admin istr atio n des Haras, de J)rimes aux chevaux
des dites Sociétés ;
Vu les proposi tio ns du Directeur des Haras de la Circons-
cription ide Tarbes;
Sur la proposit ion du St 'crétaire Général,
A,RT ICL E PREMIER . Des con cou rs pour cheva ux présentés
montés par les membr es des Socî etés Hippiques Urbaines suivantes, r égulièrement affiliées à la Fédérati on Fran çaise des
Sports Equestr es, savoir :
l ' CLUB HIPPIQUE O·AIX-EN-PROVE..NCE, Petite Rout e
des Mill es.
2" OLJUB HIPPIQUE D'A IX-BEAUVALLON, chemin de la
Blaque.
3' CLUB HIPPIQ UE « LA CRAVAC HE >, 201 , bo uleva rd
Mi chelet à Marseille.
" liront lieu respectivement à :
10 Aix-en.P:-,ovence, le samedi 10 Octobre il l~ heures 3D,
sur J'H ip,podrome, po ur les 2 S.J-I. U. de la ville.
.
2" Marseille, le dimanche Il Octobr e à 10 heu r es, au terr am
Clu b Hippiq ue « La Cravache » po ur cette dern ière S.H.U.
A RT. 2. - Les 2 co nco urs so nt ouverts aux ,chevaux de 3
ans et au-d essus de toutes races et sexes dotés de leur fi che
~égl e m elltai r e, visée par l ~ Ser vic~ ,des H ar~s et qui sont ~
1" Soit inscrits, deplils 3 mOIS, au mOi nS, sur les controles
d' une des Sociétés sus-mentio nnées et lui appartiennent en
propre ;
.
.
2" Soit, mis par contrat, pendant 8 mOIS au moms d e
l'a nn ée à la dispositio n d'une des Soc iétés qui doi t assurer p ar
ailleurs le complet en tretien.
?21
�ART. 3. -
Sont donc exclus les c.hevaux utilisés uniquement
par leurs propriétaires et, pa rmi ceux rentrant da ns les conditions
de l'articie précédeDt : .
10 Les olle\'aux à l'entrainement.
2° Ceux; ayant gagne. sous quelque forme que ce soit,
en course ou concours, reserres ou no n aux S.H.R. et S.H.U.
une somme de 50.000 francs ail cours Ide J'année precedente.
ART, 4. - Les c-beva ux seront pr ésentés dans l'hacune des
réunions respectives, montés par l es membres de la S. H.U.
correspondante et qualifiée pour la co m'pétition.
Ces membres devront posséder une fiche i ndiv iduelle de
cavalier adhérent visée par le Service des Ha ras.
1· Person nel des Haras.
2"
3°
4"
5·
J\\.ilitaires en activité de service.
Maît res d'Ecole d'équitation, de ma nège ou de dr essage.
Entraîneurs.
Piqueurs, lads et garçons d'écurie.
6· Jockeys titulaires d'une licence.
ART. 6. -
Les animaux seront examinés montés aux 3 allures, da ns d~ moU\re ments simples et groupés par pelotons
c.onstilllés par quelques ch,,'aux ef cavalier.; appartena nt à la
même Société.
Ils seront ensuite présentés à l 'épreuve de sagesse au monloir (par l'étrier) et enfin en main.
AI{T, 7. pas <tJlPliqué.
Le code des concou r s de oheva ux de selle ne sera
ART, 8. ~ Les animaux seront notés, puis rap pelés par
Sociétés, mais les primes sero nt attribuées dans un classem ent
général aux concurrents des trois Sociétés, suirv ant leur mé r ite
respectif.
ART, 9. - Il sera tenu compte, pour le ciassement, de la
qualité individuelle des chevaux, de leur modèle, de l eur état,
de leur allure et de leur dressage.
.'1ais il sera tenu compte également de l'activité de la
Société, du nombre et de la qualité des cavaliers présentés.
ART, 10. - CIlaque Soci<'té, à l'issue de la présentation
prévue â " article 6, aura la faculté, pour mettre en valeur le
(jegré de formation équestre de ses membres, de présenter
ceux-ci soit dans un travail d'ensemble (repr ise, ou jeux équestres) soit dans des exercices individuels (sauts d'obstacies, etc)
Les présentations correspondantes dont la durée ne dev ra pas
excéder 20 minutes ne comporte pas d'attribution de primes.
ART, Il . - Le jury, dont les décisions sont définitives ,fixera
le nombre et la qualité des primes et disposera pour ce la par
~écision, d'un crédit calculé à raison de :
l' D 'une attribution de base de 2.000 francs par cheval
présenté.
2° D'une surprime de 1.000 francs pour tout animal primé
ef muni d'un certiMat d'",igine attestant sa qualité de cheval
français, de demi-sang ou anglo-arabe.
3· D'une surprime de 3.000 francs pour tout animal pri mé
et appartenant en pr~e â une des S.H.U. co ncurrentes, ou mis
à son entière rusposition 'Par son propriétaire et consacré uniquement au service de la selle, à l'exécution de toute autre
utlisation même accessoire (attelage, serum, etc ...).
ART, 12. - Chaque Société pouvant disposer, à SOn profit
de la totalité des primes décernées aux cheva ux pr ésentes par
elle. les procès- ve rbaux des conco urs, nonobstant l e classement
genéral, co mm un, seront établis en maintenant les conc urrents
groupés par Sociétés, dans l'ord r e des inscript ions, les primes
indiv iduelles obtenues seront mentio nnées en rega r d de chaq ue
ayant droit et totalisées pa r orga nisme bénéficiaire avec, en
clôture, un e récapitulation ge nérale.
ART ~ 1-3. La so mme globale ai nsi attrib uée à chaq ue
Sociét é lui ser.. mandatée par nos soi ns sur l e vu des procèsver baux et ap rès ·délégatio n des fo nds Ipar le Ministère de l'Agricultu re.
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
AVIS DE CONCOURS
Infirmière diplômée d'Etat, Maison Départementale de Reynier
Un co nCo urs Sur titres est ouvert pou r le recrutement d'un e
Infirmi ère dipl ômée d'Etat, Service de Gé r iatrie _ à la Maiso n
D épa rtem enta le ode Ret raites de Reignier.
ART, 14. - Le Ser vke des Haras sera en droit de de mander
toute j ustification ultérieure ,de l'em ploi des fo nds reç us par les
Sociétés, fo nds d'encour agement qu i sont à rvaloir pour fentretie n des cheva ux desti nés au serv ice de la selle.
ART. 15. - L es engagements deVlo nt ètre adr essê.s avant
le SMIflDI 3 Octobre au Directeur des Haras de Tarbes.
Ils se ront faits par chaq ue Société pour ses candÎ!dats.
Ils devront mention ner, pour chaque cheva l, le no m, J'année
de naissance, l'ori gine éventuelle, la taille et la "robe, ai nsi qu~
les nom, prénoms et adresse du propriétaire et du cavalier
corresponda nts et enfin .contenir, sous la responsabi lité perso nnell e du Président de la Société et sous r éserve de contrôl~
éventue l, la déclaratio n pour to us les oheva ux de ·leur utilisa lion
r espective précise et pou r ce ux n'appartenant pas en propre à
la Société, la déclaratio n des concLi ti ons exactes de jou issance
-de l'anim al pa r le Grol\Pemenl.
A.Rfr. 16. Le- J.ur y, dont la présidence d',hon neur nous
appartient, sera co mposé :
1· De l'inspec.teur Génér al des Haras du 4me arrondissement ou de so n clélégué, Préside nt offe<:ti f avec voix prépondérante.
2· Du Dir ecteu r des Services Vétérinaires du Dérartement .
3· Du Représentan t Régional de la F ..f.S.E. ou d'u", de
ses dél égués appartenant à ce même Or ganisme.
4' .ou Président de la ,Fédération Régionale des S.H.R. et
S.H.U. ou d'un de ses délégués, appartenant à une S. H.R. ou
S. H.U. non concurr ente.
L es demandes d'ad missio n au concours dev ront être adr essées avant le 30 Septembre 1953, à la Pr éfectu re de la HauteSavoie (Cabinet du Préfet) à ANNECY, où tOllS re nseignements
complémentaires peuvent être de mandés.
AVIS DE CONCOURS
Employé de bureau Mairie de Port-de-B:ouc
La !Mairie de Port-de-Bou c doit ouvr ir le jeudi 5 Novembre
1953, un co ncours pour le recrutement Q' un employé de bureau
(in dices 11 0- 160).
Les candidats qui devront être âgés de 2 1 ans au moins
et de 30 ang au plus pourront s'adresser au Secrétariat de la
Mairie pour tous renseigneme nts complémentaires.
MEDECINS AUTORISES A PRATIQUER LES EXAMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANCE DES CERTIFICAT S PRENUPT IAUX
ET PRENATAUX
Pa r arr êté en date du 4 Septembre 1953, M'. le Docteur
L AJNAT A Jean, demeurant l OS, r ue de la République, à Marseille, est agréé pou r pratiquer les examens radios copiques en
vue de la délivrance <ies certificats prénuptiau x et prénataux.
Par arrêté préfectoral en date du 24 Septembre 1953, M,
le Docteur J",wRCOfŒ.LLES Jean, demeurant il Marseille, 23,
rue Ides 3-Frères -Barthélem y, est autonsé à pratiquer les e,.xamens radioscopiques en vue de la délivrance des certitcats
prénuptiaux et prénataux.
ART, 17. - La Direction et la police du co ncou rs appartien nent au Fonctionnaire des Haras.
A,RT. 18. - La gendarm erie sera requise par l'autorité administr ative compétente et so us sa r es'jJonsabilité pour aSSl1rer
l'ordre de la réu nio n.
ART, 19. - Les autorités administr atives, le Directeur des
Haras de la circonsc r iption de Tarbes et les présidents des
Sociétés Hippiques .conc urrentes sont chargés, chacun en ce
qui le concerne, de l' exécution des clauses (du présent arreté
qui sera publié dans le Départeme nt et inséré au Recueil des
Actes Administratifs.
Marseille, le 5 Août 1953.
Po ur le Préfet,
Le Secrétai r e Général délégué,
Signé : Maxime M IGNON .
Pour le Préfet et par D éléga tior.
Le Secrétaire Général
Maxime MIGNON .
223
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
R ÉPU B LIQ O E
Numéros 40 et 41
FRAN ÇAISE
8 et 15 Octobre 1953
••
••
DES
ACTES ADMINISTRA
ET BULLETIN DES MAIRIES
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GEN ERAL
AC 3.
A 3.
P 4.
Indem nité spéciale dégressive en fave ur de certa ines catégo ri es de perso nnels de ,' Etat
Rectificatif à l'a rrêté Pr efector alll du Il sept. 1953 fixant le cou rs des den rées servant
226
cie base a u ca lcu l des fe rm ages
226
Police des Hôtels et Meublés. ..
226
TEXTES D'INTERET COM MUNAL
TV X 1. T VX 5. TV X 1. p O. SC 7. _
Acquisitio n de maté riel scol aire par les communes...
. .............. .
Ma rc hés des Collectivi tés locales. 'l\\e-ntio ns sur les pièces justificati ves de la dat e de mise
227
en exécu t ion
.......... .
227
A"iénation des immeubles apparte nant aux
établ issements
Départements, co mm unes et
pu blics .,'
...... .
Campagne en faveu r de la viei ll esse ...... .... ....
. ...... .
Régiment de Sapeurs-Pompiers d e Paris. Recr utement d u perso nllel ... .
P 8. - Mariage des Etran ~ rs en France
.. .... ..
. .......... .
p O. _ Journ ée Départementale au profit des œuvres socia les des \' Association
« Les Fi ls de Tu és » .... ....
. . .. ".
. .. .... . ...
228
2i28
228
230
Nationale
230
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
Avis de conCou rs. - Emp loi de commis d u Sanatorium Départemental du Petit-J\ rhois
. .......... .
Av is de concOurs. - Mairie d'Aix-en-Provence .... ..
Avis de concou rs pou r l e poste de D irecteur Econome du Preve nto ri um Dépa rlementa l
de S i sson n ~
. . .. . . . . . ........... ....... .
M édeci ns auto r ises à prati qu er les exa mens r ad îosco p iques en vue de Ga d élivrance des
ce rti ficats pr~n llp tial1x et prénataux. . . .
. . , ............................ .
230
230
23 1
231
_ A. P. : Arrê té préfectoral - C. . Ci rculaire . --:- Les lettr~s 0 e:t B suivÎt...s d'un. ch i~re
AB1Œ\' I AT IOI' :'· Rureau d 'origine. - O. ::0:. '1'. : Direction des Ser\! l CeS Techntq~es. - D. D. S. : Dlrectlou
indi quent le Service ou Sa nté . _ U. O. 1.). : Direction Dé partemental e de la PopulatIon .
D épa rt ementale de
la
I~~======================--
�ll-_T_E_X_T_E_S_D_'I_N_T_É
__
RË_T_G_É_N._É_R_A_L__I
ru
1
B3 - AC li
INDEMNITE SPECIALE DEGRESSIVE EN FAVEUR DE
CERT AINES CATEGORIES DE PERSONNELS DE L'ETAT
Le Président du Conseil des Ministres,
Sur le rapport du Ministre des Finances et des Affai res
Economiques, du Secretai re d'Etat au Budget et du Secrétai re
d'Etat il la Presidence du Conseil.
VU les ordonna nces n' -15-1-1 du 5 janvier 1945 porta nt refo rme des traitements des fonctionnaires de l'Etat et n' 45-1 280
du 25 juiru 19.J5, portant réfo rme genérale du r égime de solde
des militaires des armées de terre, de mer et de l'air ;
VU le décret n' 51-1129 du 25 septembre 195 1 portant
majoration d.es traitements et soldes des personnels civils et
militaires de l'Etat ;
Le Conseil des lIIinistres entendu,
DECRETE:
ART ICLE rRE.\IIER. - Il est a[loue a\lX fonctionnai res, magistrats, militaires à ~olde mensuelle, ouvriers, contractuels,
temporaires et a uxil iaire:; de l'Etat (autres quec eux dont la
rémuneratioD est fixe. d'après les salaires pratiqués dans le
commerce et !'i ndustrie) en service s ur le territ-oi re de la Fra nce métropolitaine, une indemnité spéciale dégressive no n sou ...
mise aux retenues pour pension. dont le taux annuel va ri e sltivant les indices hiérarch iques et les ZOnes de salaire conformement au bar ème ci-annexé :
INDICES
ZONES
sans
abattement
100 à 127 inclus
Par point d'indice
supplémentaire
36.000 fr,
34.200 fr.
Réduction
de 950 f,
Reduction
de 1.000 f.
02 83 - TVX 1
ART, 2. - Les person nels de l'Etat ré mun é rés d'après les
salaires pratiq ués. dans le commer ce et l'industriel dont la rémuné ration tota le actuelle est égale il cell e des age nts vises à
l'a rti cle Ir, bénéficieront d' un com.plémcnt de r ém unération
équ ivalent, dans des conditions qui seron t fixées par un ar rêté
du ministre intér essé d du ministre des fi nances et des affaires
éco nomiques,
ART. 3. - Les personnels des entr eprises et organismes en . trant dans le c hamp d'applicatio n du déc ret n' 53-707 du 9 août
1953, dont la rémun éra tion totale actuelle est egaie à celle des
agents visés à l 'article 1er, bénéficieront d'un cOI11.plément de rému nération équiva lent qui se ra att ribué dans chaque établissement suivant la procédure prévue aud it décret.
ART. 4. - Le Minist re des Fi nances et des Affaires éco nomiques, le Secretai re d' Etat aU Budget et le Secrétaire d' Etat
à la Présidence du Conseil sont chargés chaoun en ce q ui CMce rn e de l'ex·éc ution du present décret, qu i prendra effet il
compter du 1er septemb re 1953 et sera pub lié a u Jou rn al Officiel de la Rép ubliq ue française,
Fait il l'laris, le 17 septemb re 1953.
Joseph L AJNI'EL.
Par le President du Conseil des Ministres
ZON€S
ZONES
de 3,75 p. 100 de 9 p. 100
à 7,5 p. 100 à 13,5 p. 100
d'abattement d'abattemen t
rincl uses
incluses
T EXTES
Le Ministre des Fin ances
et des Affaires Econo/lliques,
Conditions de cession par les Magasins d'Académie
Pa ris, le 25 Septemb re 1953,
Le Mi nist re de l' Intérieur
il .\'IM. les Préfets, ~Métropol e),
La question m'a été posee de savoir dans quelles co nd itions
rlevaient intervenir les cessions de matériel scolaire cédc aux
commu nes par les Magasins d' Académie relevant du Serv ice
d'Ach at et de Cessio n du matériel des étaMissernents du ministbr e de l'Education Nationale.
Les M agasi ns d' Académie ne peuv~nt être considérés com me des fournisseurs ~rdinaires pu isque leu,r intervent ion en l a
matière ne répond pas â. un but comme rcial.
D'autr e part, bien que les cessions dont il s'agit soient
consenties à des communes par des Services d' Etat, le matériel
fourni n' en est pas- moins destiné à assurer lUl service public
natio.na l d'enseignement auquel les communes sont légalement
tenues de participer par l a mise à Ja disposition des prof essell!l'6 et des él èves des locauX! nécessa ires et du matér iel co rrespo ndant,
j'estime donc,. en accord avec M. le Ministre des Finances
et des Affaires Economiques et M. le lItinistre de l'Education
Nationale, qu' il est possible de considérer ces opérations cu.mme procédant d'une simpLe répnrtition ettectuée par L'Elat ent re les Communes sur le plan national.
Le Secrétaire d'Etat au Budget,
Henri UILVER
Le Secrétaire d'Etat
Echéa nce an nuelle
3.4 15
3.418
3.418
POLICE DES HOTELS ET MEUBLES
INTBRIEUIR DIRBCTION G.BNBRAILE CABINET
SERVICE SPSCIAlJlSE DE SBCUIIU'ffi PUBLIQUE.
A MM LES PlRBffiTS (Métropole)
CABINET (sauf Seine et Police)
SN/ SPIN'. 1.77&: - En raison intérêt présenté sur plans
adminIStratIfs, J,,<hclalfe, fiscal et statistique contrôler passage
226
Echéa nce semestrielle
3.415
PARIS 386/ 5571 5 108 17 1730
a
En detinitive, les cessions de m atériel scolai re devront dônc
fai re SImplement l'o bj ~ ~ d' un procès-verbal de cession adminis..trative qui seca t<>utefois soumis à l'approbation de l'autorité de
tutelle aant exécution de la comma nde par le ,Magasin d'Académie.
D'autre pa r t, lors de la livraison du matérieL.. une mention
de prise en charge devra être apposée par J'ordonnateur SUT le
prOCès-ver bal afin que le compta ble puisse s'assurer de la réalité du ser vice fait et soif en mesure d'inscrire le matériel livré
pour sa valeur de fach!ration à l'état d'actil de l a commune.
Le Ministre de l'Intérieur,
MART INAUD,DEPLAT.
MARCHES DES COLLECTIVITE LOCALES
02 B3 . l'VX 5
Mentions sur les pièces justificatives de la date de mise en exécution
à 12 Présidence du Conseil
RECTIFICATIF A L'ARRETE PREFECTORAL DU 11 SEPTEMBRE 1953
FIXANT LE COURS DES DENREES SERVANT DE BASE AU CALCUL
P.fi-S FERMAGES.
01 BI - P 4
En co nséquence, le~ communes\ peuvent êt re dispensées de
recou rir aux f{lrmalités de passation des marchés teUes qu'elles
sont pr évues par J'o rdonnance du 2 novembr e 1945 pour leurs
commandes de matériel scolaire auprès des Magasrns d' Acagémie et quel CJue soit je montant de cette comma nde.
Par ailleurs, en raison du fait que le maté riel cédé aux
communes a èejâ été frappé des drotts d ~e nregistremtnt lors
de son acquisition par le Service Cent ral d'Achats, M. le Ministre des Finances et des Affai res Economiques a bien voul u,
compte tenu du but d'intérêt national poursuivi, admettre que
ces cessions soient disJ,.'ensées de l'assujettissement éventuel a,:u
timbre ai nsi qu'aux droits et la fOrmalité de l'en registrement
Edgar FAURE
32.400 fr.
Réd uction
de 900 f:
AU L1ElU de :
Blé
le quintal
LIRE:
Blé
le quinta l
COMMUNAL
ACQUISISITION DE MATERIEL SCOLAIRE PAR LES COMMUNES
Pierre JUlLY,
04 BI _ A 3
D'INTÉRËT
voyageur s dans hôtels et garnis vous prie rappel er il hôteliers,
loge urs obli gaNo n laite !par a rti cle 475/2 C.PI. et décret 20 ma rs
1939, inscrire sur regist re et éta bl i~ fi che tout voyage ur queUe
q ue soi t durée séjour établissement - Stop - vous demande
donner toutes instr uctio ns ,uhles à services pol ice et gendarmeri e pour veiller à stricte application des d ispositions ci-dessus
et réprimer évent uelleme nt toute infractio n constatée.
Paris, le 30 Septembre 1953
Le Ministre de l' Intérie ur
il MlM.
1es P~éfets
(Métropole et Outre·Mer)
Les marchés des co'lIectivités lo'Cales doivent, comme tous
les maroh es publics, compo rter des clauses fixant les d élais
<l'exécution des travaux ou de livraison des fournitures ainsi
que l es pénalités de retard à la charge des entrepreneurs ou
fo urnissaursl ces clauses permettant seules â la collectivité
con tractante- de se gar antir contre des retards injustifiés.
Afin de faciliter le contrôle de la juridiction financière
sur les marchés dé,partementaux et communaux, il conviendrait
q ue la date de mise en exécution de chaque mar che, c'est-â-
dire celle du premier ordre de servic~ soit dorêna,,-ant portée
su r les procès-verbaux de réception provisoires et définitifs.
L'apposition de cotte mention s ur les procés-verbaux de
réception' est, en eflet, indispensable pour permettre à la Cou r
aes Comptes de vérifier s'i! a été fait une exacte application
des clauses rt:'latives 2.UX délais d'exécution et aux pénalités
po UI reta rd .
VOliS voudrez bien porter ces instructions à la connaissance des municipalités en appelant leur attention sur la
nécessité de s' y confùrmer désormais.
Pour le Ministre de l' Intérieur et par délégation,
Le préfet,
Directellr de l'Administration
départemelltale et conrmunale
P. DANIJEJLON.
�APPLICATION DE L'ARRETE INTERMINISTERIEL DU 5 OCTOBRE 1951
RELATif A L'ALIENATION DES IMMEUBLES APPARTENANT AUX
DEPARTEMENTS, CMMUNES ET ET ABLISSEMENT S PUBLICS
DEPARTEMENTAUX ET COMMUNAUXo
t
0 2 B3 TV X
Pa ris o le 29 septembre 19:'3.
Le Ministre de l' Intérieur,
à MAI. les Prefets
(Md rop()le et Outre-Mer).
REFER. : Circulaire N " :>2 AG/ URBo du 29 fe"rier 1952.
L·a rt icle 4 de !"arrête intermimsté riel d u 5 octob re 1951
dispose que l'Administration des Domaines est obligatoirement
appelée à fo rmuJe.r son avis sUr let. montant de l a mise à .prix
des immellbles et droits Înul1obilie-rs aliénés par les départements. commur.es et établissements publics depa rtementaux et
communaux, lorsque la valeur de ceux-ci est supérieure à
500.000 francs (cf. ci rculaire citée en référence chapit re III ).
Toutefois. l'a r ticle 8 spécifiant que les aliénations amiables pré\'ues il l'article 7 ne peuvent en 3l!C Un cas être consen-
ties à
Wl
pr ix inférieur à la valeu r rée lle des biens établis par
lorsque la valeur des biens cédés à l'amiab le es t inférieu r e à 500.000 fra ncs.
M. le Seuéta lfe d'E ta t au Budget et moi-mê me so mmes
d' avis que cette interp re tati on n'est pas co nfo rme aux intent io ns des a uteu rs d e l'a rrê té d u 5 octob re 195 1. En e ffet, l'objet
essentiel de Ct. t ex te a étè d'assowplir et 110n d'accent uer le
co nt rùle insti t.ue pa r ,les a rrêt és des 2 1 ao ût 1943 et 10 m a rs
1949. Or, l'a rl icle 7 de ce de rn ie r te xte précisait qu 'e n cas
d'alicnation amiable l 'avis de l' Administrat ion des Domaines
nOétait obligatoi re q ue si le pri x était su,pé rie ur il 500.000 frs.
Vou s voudrez hien, en conséqaence, po r ter à la co nnaissance des cùllecti,·ités publiq ues de vot re dépa rteme nt, q ue la
consultation des Ser vices des Domaines n'est j amais obl igatoire
~our les aiiél:aticns d'immeub les et dr0its imillobil iers d' llOC!
\ aleu r intér ieu r e ou éga le à 500.00ü f rancs.
Pour le Mi nistre de l' I Lltérieul',
PO il r le D irecteur de ['Administration
Départementale et Comm unale,
Le So us-D irect eur
L Af ÜlREST.
CAMPAGNE EN fAVEUR DE LA VIEILLESSE
CP - P 0
Le Prefet tles BOllclles-<l'u-Rhône,
Inspecteur Genéral pOur la 9'" RegiOn Militaire,
à MM . les Maires des Communes
du Departement des Bouches-du-Rhône,
Pour la ~ixième fois dar.s ce Dêpartement des Bouchesdu-Rhône, a\'t~C plus d'éclat encore puisque cette initiative s'est
étendue depuis 195 1 sur le plan
ationa l, doit avoi r lieu la
campagne en faveu r de la Vieillesse.
Le magnifiq ue su'Ccès rempo rté chaque an née pa r ce mou\'ement de solidarité. el la joie qui en r esulte pou r les bénéficiaires, m'incitent à renouveler aupr ès de vous un appel deventl
traditionnel.
La Campagne de ia Vieillesse, toujours organisée pa r les
C'est le dimanche 25 octob re q ue do it avoi r lieu la journée
national e de quête demandée pa r le Ministère.
Par ailleurs, la jo ur née départementale de la Vieillesse est
fixée au ~amedi 9 ja nvier 1954.
Je suis sûr qne vous au r ez à cœur de faire participer votrt}
commune à cet élan de gé nérosi té, en organisant à cette occasion toute.:.; manifestations pou r lesq1uelles lia plus large initiative
vous est laissee.
L'EnlrAidc des Bouches-d u- Rhône se tiend ra il vot re disposition pour tout cO llcou rs qui .pourrai t vo us être utile. Vous.
recevrez d'ailleurs en temps vo uJu et directement une circulai re
de cet o r ~ani.5me . Je \OU$ exp rime mes remercieme nts pour l e
concours que \ ous voudrez bien appo r ter à cette gr ande œuvre
sociale.
soin~ de l'Ent r' Aide t'es Bouches-du-Rhône, a été fixee PQiur
Le préfet :
cette année, du 15 octob re a u 14 novembre 1953.
02 B3 - SC 7
Le Ministre de t'lll térieur,
à MM. les ?refets
(Métropole, Algérie et Ollt,,~~k r).
l'honneur. de \'Ous adresse r , ci-joint,
copie de mOn
arrt'te du Jer aout 1953 rel atif au recrutement des sapeurspompiers du Regiment de Plaris,
. ~1. le. Secréta,,, e dO Etat il la Guerre ayant décidé q ue l'au~~ ~lte . ~Il!talre a\ralt pas à interveni r dans ce r ecr utement,
?
J al deClde pa r 1arrêté prêcité de plocéde r moi-même aux ren~ag~ments en ,'ert.u des pouvoirs qui me sont confé rés par
1 a r t ,cle 2 de la 101 du 5 avril 1943.
L'avis de rec r utement ql~e vo us trouverez ci -joint précise
jes conditions de servine et les avantages acco rdés au Régiment.
228
André PiELABON .
RECRUTEMENT DU REGIMENT DE SAPEURS-POMPIERS DE PARIS
Paris, :e 30 septemb re 1953.
Le Secretaire d'Etat à /"Int érieur :
Il1~l1le
expertise <le l'Administration des Domaine
cer taines collectivit és estimant que ces dispositions rende nt obligato ire la
consultation du service des Domaines su r les prix envisagés
. J:ai
j' attire spécialemen t vo t re attention sur l'i ntérêt national
que présente k maintien de l'effectif cl~ Régi ment de Sapeursp om piers et j l: vous ser ais obligé, en conséquence, de vo ulo ir
bien susciter oIt~ plus grand nombre possIble de candidature de
jeunes gens aptes à se rvir dans ce Cor ps d'élite.
VOliS voud rez bien assurer la plus large diffusion à cet
avis, par la pïesse lo:::a le notamment} et fai re procéder à l'insertion a u Rc< ueil de, Actes Administra tifs de votre département du lexte de l'a rrélé et de l'avis de rec r utement.
Au dossier des candidats de vot re d épa rteme nt n'ayant
jamais servi 2.LL Hégilne nt de Sapeurs-Pompiers qu'il VO U$appartient de rassemble r en app lica t io n de l'arti cle 4 de l'arrêté susvisé, il conviend r a de jo ind,re une note de renseignements sur la mo r alité de 'l'intér essé, te deg ré de confiance qui
pent lui être al'Cordé po ur un emploi au service de l'Etat et
vot re avis sur ,la suite à rése r ver it sa candidatu r e.
Aussitôt con stitués, les dossiers doiven t m'être t r ansmis à
l'ad resse ci-après:
Se!'v ice Natio nal de la ,Protectio n Civile
Burea u de la P rotection co nt re l' Ince ndie
60, Bd Gouvio n St-Cyr, Paris (XVI I' )
Edo ua rd TfUBAUL T .
P a ris, le 1er aoOt 1953.
ARJRETE
Le Mini stre de l' Intéri eur,
Vu l'a r ticle 2 de la loi du 5 avri l 1943 portant réo rga nisati on du Cor ps de Sapeurs-Pompiers de Pari s;
Sur la propo3itio !1 du Chef àu Se rvice National de l a
Pro tec tio n Civi le,
ARTI CLE r"'REMIER. - P~ u ve n t être auto rises à servir au
Régiment de Sa.pel\rs~.Pom p i ers de Paris :
a) Par voie de ref1ga-gements de trois ans, les candidats
ayant satisfaits à leurs obligationS militai r es;
b) Par voie de rengagements successLfs de 6 mois, 1 an,
18 m o j s~ 2 a!1S ou 3 Ens, les person nels en activité au Régi~
me nt <1 e Sapeu rs-Pompie rs.
A RT. 2. Les conditions à remp lir pour cont racte r un
ren.gagement ~. u titre du Régi ment de Sapeu rs-Pompiers de
Par is sont les suivantes :
Et re ci toye-n fr ançais ;
Ne pas avo ir attei nt :
l 'âge àt 28 ans, pou r les candidats n'ayant jamais servi
dans l e Régiment de Sapeurs-Pompiers de paris ;
_ J'âge cie 28 ans augmenté du temps passé au Régiment
de Sapeurs-Pplllpiers de P2ris au. delà de deux ans,
pou r les candidats ayant déjà servi dans cette formatio n.
_ P résente r l'aptitude physique requ ise ;
_ Avoir une instlllction générale du niveau du certificat
d'étu des pr imaires;
_ N'avoi r subi aucune condamnation, même avec sursis.
ART. 3. - L'apt ibuùe au se rvice dans le Régiment de Sapeu rs-Pompiers de Paris co mporte :
- Une taille de 1 m. 60 il 1 ffi.. 85 ;
_ Une constitllltilJn trè s robuste et une aptitude particulière aux manœuvres de force et aux exercices gymnastiques;
_ L 'intégrité absolue des organes de la respirati on et de
l a ci r cul ation ;
,
_ L 'abst! nce d'aibullline, de suc re, de va ri cocèle, d'hydro.cèle, de hernie, de tendance aux va ri ces et à 'la dilation des
anneaux IIlguinaux ;
_ Une vision binoculaire normale et une acuité visuelle
monoculaire l10nmaJe d' un côté. et égale au moins à 1/ 2 de
l 'a!utre côté, ~a ns co rrectior. par les ve rres;
..
_ L'absence ci e toute lésion ch roniq ue des paupleres des
voies lac r ymales, de la conjonc ti ve et de la cornée;
_ lL 'GlIbsenoe de toute lésion inflammatoire ou ~lIppurante
aigUe ou chronique d~ l'oreil le moyenne ou interne;
U ne dentu r e en Ibon état i
- U II ébt pë..Tfait d'équilibration.
j
ART. 4. _ Les candida ts n'ayant jamais servi dan~ le Rê ..
giment de Sapeurs-Pompirrs de Paris doivent constituer et
adresser
iCoUi
dossier:
- A M. le Préfet de Poilee (Service de la Pr otection
Civi le) pou r 'e départeme nt de la Seine ;
- A MM. les P ré iets po ur les aut res départeme nts mé tre>politains, les d,;part~me n ts d'Algerie et les départeme nts
d'O ut re-'Mer ,
- A l\<l/J\o\. les GQLuvern eurs po ur les autres terr itoires dt:
la Rép ubli que f ra nça ise.
Ce dossier do it comporte r :
- Une demande, sur papier libre, dans l aquelle les candidats indiq uent l a date et le lieu de leur naissa nce, l eur fi liation,
leur situatio n de fami lle, leurs ad resses actuell es et antér ieures.
leurs ti t res universi tai res, service et grade dans l'a rmée, s' il
y a lieu, etc ... ;
- Un extrai t de leur acte de naissance sur t imb re;
- Un cer tiiicat de moralité récent, sur timbre, d~)jvré
par le mai re (JU le co..'TImissaire de police de l eur résidence ;
- Un certificat médical délivr é pa r un médecin assermenté attestant que les candidats remplissant les conditions
d'aptitude physique prévues il l'a rticle 3 ;
- Une c.::ol)ie certifiée coniorme des diplômes, cer tificats,
attestations d'études qui au raient pu leur être délivrés j
- Un certioficat oe nationalité fr ançaise délivré par un
Juge de Paix ;
Et, éventuellement :
- Un état signalétique et des services mil itai res dél ivré
par le Bu r eau de Recru tement ou le Cen.tre mobilisateur
co mpélent ;
- Un état dét ail·lé réce nt des services civils admissibles
QIU, non pour la retrait\! délivr é par les administrations competen tes elles-mêmes.
ART. 5. - Le rengagement de trois ans souscrit pa r les
candidats n'ayant jamais servi au Régiment de SapeursPompiers de Paris est eX'écuté de la façon suivante:
10 Pendarlt une période de trois mois, le rengagé reço it
une formation théorique et pratique sanctionnée pa r un examen;
2° Les rengagés reçus à l'examen continuent à servir au
Régi ment de Sapeurs- Pompiers de P a ris pour la du rée de leur
contrat ; l'échec à l'examen comporte résili atio n du r engagement et renvoi.
ART. 6. - Les candidats ayant déjà servi au Régiment de
Sapeu.rs-Ppmpiers de P" r is ad ressent directement leur demande
de ren gagement de tro;s ans éi U Co lonel commandant le cûrps.
Si cette demande est retenue, les intéressés sont convoq ués au
Régiment pour subir l a visite médicale reglemen taire eft, €.ve.ntuelleme nt, sousc rire leur contrat devant le chef de corps Ou
son représentant, agissant par délégation du Ministre de l' Intér ieur.
ART. 1. - Les pers onntls en activité au Régiment de
Sapeurs-Pompiers de Paris peuvent souscrire, devant le chef
de corps ou s:o n repr~senta. nt, agissant par délégation du Ministre de l'Interieur, des ren gagements successifs de 6 mois,
1 an, 18 mois, 2 ans et 3 ans, leur pe rm ettant de servir jusqu'à
la limite d'âg~ ou de (':u rée des sen'Îces règlementaires.
ARTo 8. - Le Chef du Service National de la Protection
Civ ile est char gé de l'exécution du présent arrêté qui sera
publié a u Journal Officiel de la Rèpublique Française.
Fait à Par is, le 1er aoüt 1953.
Le Secretaire d'Etat à l'Intérieur:
Edouard TH IBAULT.
Pour ampliation}
L'Administrateur Civil.
Chef du B,,,eau de la proteclion
contre l'In cendie
M. fRETIN.
·1
�MARIAGE DES ETRANGERS EN l'RANCE
DI B3 - P 8
AVIS DE CONCOURS
Le Prefel des Bouches-du-Rhône,
à _lIiI!. les Maires ml Départemenl,
(en CQ!11lllunication à MM. les Sous-Prêfets
d'Aix et d'Arles).
AIin d'éviter dans J'avenir toutes e rr eu rs e n la m41'ière
(notamment Itt~ ce qlli concerne l e mariage des Esp..~gl101s}, je
tiens à rappele r une f is de pIuS' à M1M.. les M agi~t r ats Muni_
cipaux l'importance de. ces- instroctio ns et ,l'i nté rêt po ur e ux de
co nsulter lltiltmeD't. clwQue fois qu'u ne di ff icult é s ur git (nota mment dans le. ~as. (llt un étranger ne peut fournir (a preuve de
J' ai l'hoon..,, r de rappeler à MM. les Mai res du Dépa rtement les te rmes de l'insertio n pa r ue au B ulleti n des Mai ries
(n' 49 et 50, page 225) d" mois de décem bre 1949, sous la
rooriql.!e c; Cc:.pacité mat rimonia'ie de; ét ranger s ell F ~anc€'_ .~l
relatant en son entie r et su r ce sujeG, le texte de la clfw laa",
du 15- lM!! de ~\. le Garde des Sceaux, Minis t re de la Justice.
l'inexistence d' un mariage anté r ieur), M . le Procureur de la
04 BI - A 0
Républi.q u e co mpéte nt « rati o ne loc i •.
Vu la ci rculai re ministérieDe n' 308 du 9 septembre 1950
relative aux appels à la générosité publique ;
Vu l'a rrêté préfectoral du 24 jan vier 195 1 po rtant interdiction des quêtes et ,"entes d'i nsignes non autorisés s ur la
,oie publique et à domicile ;
Vu la ci rculai re ministérielle n' 16 du 24 janvie r 1953
relati,'e aux appels à 1& générosité publique en 1953 ;
Vu la demande formulée par la fédération Départementale
c Les fils des Tués >, sise à MarseiUe, 3, rue Venture, à l'effet
d'or ganiser une journée départementale au pro1it de ses œuvr es
Les chefs de bu rea ux et rédacteurs d'Ltab lisseme nts hos pi-
P,réfec~
tal iers ne remplissant pi:!S les co nditions prévues a U pa r agr aphe
précédent, mais comptant au moins sept ans de fo nctions
peuvent également êt r~ adm is à co nco urir.
ture de l'Aisne, le 26 1I0vembre 1953. La Iliste des inscri ptions
de ca ndidatu res se ra close le 16 novemb re 1953.
Ce concou rs es t ouvert aux ca ndidats des deux sexes de
nationalité franç~ise, ~gés à la date du concours de plus de
Les postula nts dev ront déposer leur dossier de ca ndida t ure
a u Secrétariat du Pré\'ento rium de Sissonne où tous renseignements complémentai r es concernant le COnCours pourront
leur être do nnés.
MEDECINS AUTORISES A PRATIQUER LES EX AMENS RADIOSCOPIQUES
EN VUE DE LA DELIVRANOE DES CERTIFICAT S PREN UPTIAUX
ET PRENATAUX
rec ueill is sont ex<clusi"f::ment affectés aux œuvr es locales d.u
groupement intéressé ;
Le Prefel des Bouches-<iu-Rhône,
Officier de la Légion tF H"nneur,
Un concours po ur le poste de Direcfeur Econome du Pré-
ventorium Dêparlemental de Sissonne sera ouvert à la
25 a ns et de molOS de 30 a ns et titltlai res du d iplôme du baccalaur éat de l'enseignement seco ndai re, du br eve t supér ieur,
du di plôme de so r tie des 'Ecol es Supérieu res d e comm er ce d~
di plôme de capac ité e n Droit ou d'u n di plôme équ ivalent. '
Pour le Préfet e t pa r Déléga ti on,
Le Se crélaire Général
Maxime MI ONON.
JOURNEE DEPARTEMENTALE AU PROFIT DES ŒUVRES SOCIALES
DE L'ASSOCll\TlON NATIONALE « LES FILS DE T UES »
ARRETE
Poste de Directeur-Econome du Préventorium Départemental de Sissonne
ARR ET E :
Pa r a rrêté en date dll 29 septemb re 1953, M. le Docteur
OLI VE Louis, deme ura nt à La Pen ne-sur-Huveau ne, est habilité
JlOu r pr atiquer les examens radioscopiques en vue de la déli-
ARTICLE PRE.>\JER. A titre exceptionnel, la fédé ration
Dépa rtementa le de l'Associatio n Nat iD.nale « Les fi ls des
Tués ., est auto risée à organise r, le dimanc he 18 octob re 1953,
une jou.rnée départementale da ns les Bouches-dIL-R.hène au
profit cl..e ses œu.vres socia11es.
vrar.ce des ce l tifkats prénuptia ux et prénata ux,
Par a rrêté en dat< d u 29 septembre 1953, Mme le Docteur
P IOLLE Mathilde, deme ur ant à Marseille, 2, avenue Couper in,
Ste-Ma r guerite, est habilitée pour pratiquer les examens
radioscopiques en \lllt! de la
nuptiaux et pr énataux .
délivrance des
certificats pr é-
'
ART. 2. - M1M. les Sous-Préfets ct' Aix et Arles, MM. les
Maires du Dépa rtement so nt cha rgés, chac un en ce qu i le
concerne, de lexécution d u présent a rrêté dont am,pliation sera
adIessée pour informatio n à M_ le D irecteur Dépa rtemental des
Services de Police et t M. le Commandant de Genda rmerie et
inséré au Recuei l Ad ministrat if et Bulletin des Mair ies.
fait à Marseille, le 28 septemb re 1953.
sociales ;
Consid érant que. cet appel à la générosité publique est
limité au Département des Bouches-du-Rhône et que les fo nds
COMMUNIQUES
Le préfel
André P,f;LABON.
AVIS - ANNONCES DIVERSES
A\lfS DE CONCOURS
Emploi de commis de Sanatorium Dépa.rtementaI du petit,Arbois
Un cortCours pour un emploi de corrunis 3lUa lieu: les
5 et 6 novembre 1953 au Sanatorium Départemental du P,etitAroois.
Pour tous r enseignements, s'adresser à M.. le ,MédecinDirecteur du Sanatorium du Petit-Arbois Les Milles Aix-enProvence.
"
AVIS DE CONCOURS
Pour le Préfet et par Délégation,
Le Secrétaire Général
Maxime MIGNON.
Mairie d'Aix-en-Provence
La Mairie d'Aix-en-Pro\'ence organise un conco urs pour le
recrutem ent de deux commis,
Limites d'âge : 21 ans au moins et 30 ans au plus au
1er janvier 1953 (prolongée d'un a n par enfa nt à charae et des
servkes militaires obligatoires).
b
Capacite e n Droi t ; dip lôme de fi n d'é' t udes secondaires' diplôme de Gra<l'~é de l' Ecol e Nati"",ale d'Ad ministration Municipaile de l'Univers ité de P a ris.
Diplômes exigés, - L'un des diplômes ci-après :
Brevet élémentai re de l'enseignement primaire; diplôme de
et le programme de ces mncours, s'adresser en Mairie dlAixen ... Provence, Ser vice du IP ers onn el.
230
Dépôl des demandes .- Le 24 octob re 1953, der nier délai.
Pou r to us renseignemen ts sur la consti tution des dossiers
23 1
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
R ÉPUBLIQUE
Num é ro 4 2
FRAN Ç AIS E
22 Odobre 1953
••
DES
ACTES ADMINISTRAT
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
TABLE DES MATIÈRES
r
TEXTES D'INTERET GENERAL
A 2. -
Ar rtté fixa nt les conditions d'att ribution d'une
petite prop riété
prime
dépa rteme nta le
d'accession à la
234
. .. . . .. . . .. . ...
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
F 3. _
AG O. _
P 8.
Assujettissement des établissements i nd ustrjels de l 'Etat à certains impôts départementa ux et commu naux
... .... . . - .
Détachemen't de fonctionna ires de l'Etat dans les services rn unictpa ux .. .... .... .. ....
Cha ngement de département des étrallgers titu laires d' une carte de t ravai l à validité te rri-
toriale limitée . .... .
. . . ... ... . 1• • • • • •
• •••••• •
• •• • • • ••
23~
237
238
• • •••••••••••• • •
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
Avis de concourS. N\ai rie LI ' Ai x-en-Provcnce . .......... ,
Do ns
et
l''>,,os
Pllb~ication :par l' Institut Géograp hique Nat ional
Déchéance de la nation al hé française
Décret de na tura lisatio n rapporté . . ,
238
238
239
239
239
, .
\... _ A. P. : Arreté préfect or<ll. - C. ~ Circulaire. ---:- Les lettr~s 0 et B suivie:s d'un. chi~re
ABREV JAT~ON~. Bur eau d'origine. _ D. S. T. : Direc tion des Se rvices TecbDlQ~es. - D, D. S. : Dm:ctlon
indiquent le Servi ce ou S '
D 0 P . Direction Départementale de la PopWatlOn.
Départemcntale de la
ante. , . . .
�TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉ R AL-:-i
~--------------------------------------------I
D5 82 - A 2
ARRETE I-IXANT LES CONDITIONS D'ATTRIBUTION D'UNE PRIME
une copie de deux avis rendus par le Con ~eilb d'Etat le
9 décembre 1952.
DEPAHTEMENTALE D'ACCESSION A LA PETITE PROPRIETE
Le Préfd des BOllches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Hunneur,
Vu le Dêli bératio n du Conseil Général des Bouches-duRhône en date du 22 mai 1953, relati,·e à l'Aide il la Construc-
1ion pour accessio-n à ta petite prop riéte,
Sur la proposition de M . le Secrétaire Général de la Pré-
bitations présontant le ca ractère de logements économiques et
familiaux, pourra bêné ficier
l'aohat du terrai n de la priml
pré,Yue à kt A rticle ) er, sur sa demande, et après production
en sus tIes p ièces énumertes aux alinéas 1er et 2me de l'ar ti~
cie precédant, des doouments sUÎ vants :
des
l"
Copie certifiée conforme du permis de co nstruire s'i l a ét~
ùé~ivre, ou, a défa ut, engagement -sur Il ' honneur que la
construction sera entreprise dans un délai de 2 ans à dater
de l'achat du terrain ;
2°
Attestati on du r\'\ai r e, en ce qui conce rne les lotissements
communaux, q ue les constructions projetées seront effer~
tivement du type c Courant >.
fecture,
ARRETE:
ARTICLE PRE.'IIER. des Bouches-du-Rhône,
Il est
i nstitué dans le D épartement
aHn de lacili'er l'achat des rerrains
nécessai res, une p rime payable e n capital, dont ~e mo ntant
sera ,'ersé il tout ch el de lamille, dont le pIojet de constru ction
répondra aux normes fixées, par la légiS'.ation en viguellir, pour
la construct ion de logements éco nomiques et familiaux dits
• type Courant • .
ART. 2. - Le mo ntant de la prime visée à l'ar ticle 1e r est
fixi t clnquante mille f rancs (50.000 fI.) . Il sera payable en
une seule fois, à compter du 1er jui n 1953, dans l es cond itions
fixées aux articles 3 et -1 ci -après.
ART. 3. -
Lorsq ue le p rojet de construction r evêtira un
caractère indh.oiduel. la prime p ré\' ue à J'article 1er sera versée
dés l'intervention de la décision provisoire d'attribution de la
prime d'Etat, co ncernant les logements du type e Courant ~
(p rime il 1.000 fr. le m2) et sur demande du particulier-constructeur. A cette demande seront joints :
1·
une copie certiliée conlorme du Li,' ret de Fami lle du pétitionnai re ;
2°une copie certifiée conform e de l'acte de vente du terrain sur
lequtf s'édifi era la construction ou, à défaut, un certificat
délivré par le Notaire attestant que cet acte de vente a été
effecti,·ement passé.
ART. 4. - Lorsque l e projet de co nstruction entrera dans
le cad re d'u n lotissement entrepris pa r une collectivité l ocale,
l 'acquéreur d' un lot de te.Hain destiné il la construction d'ha-
1
Pour le Prélet et par Délégati on,
Le Secrétaire Général :
Signé : Maxime MIGNON.
Pour le Ministre et par dél égati on,
Le S1! cretaire Général du Ministère de l'Inférieur
René PAL RA .
ANNEXE 1
CONSE IL D'ETAT
ART. 7. - La dépense r ésulta nt du pa yement de la prim e
instituée par le présent arrêté sera imputa l:le sur les crédits
inscrits il cet eHet au Budget du D éparl ement des Bouches-duRhône.
AVIS
ART. 8. Le pr ésent arrêté sera publié au Recueil de,
Actes Administratifs du D épartement des Bouches-du-Rhône.
ART. 9. - M. le Secrétaire Général de la Préfect ure et
M. le Tréso rier-Paye"r Général des Bou ches- Rh ône so nt ohargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté.
Fait à Marseille, le 26 septembre 1953.
Le Préfet:
Si gné: André PELA BON.
Paris, le 28 septembre 1953.
Le Ministre de l' Intérieur
à Messieurs les PréfelS
-?
Le Co nsei l d' Etat a, dans sa séa nce du 9 décembre 1g, .
rendu deux avis concern ant l'assujettissement des établi?se.
men'ts industri e'!s de l' Etat à la contri bution des patentes, a 13
contribution fonciè re, aux taxes ann~..'(es à ces contributio ns et
Enfi n il la taxe l ocale addition nell e au x taxes sur le chiffre d'affaires.
pOSitio~s nouve lles et formelles qui prévoient ainsi spécialemen t 1 ImpOSItion des a.rsenaux a la co ntribution foncière on'
la, même vale ur juridiq ue que ce lles co ntenues dans le pr~mier
decret .du Y décembre 194q por tant réfo rm e liscale ; qu'elles
uOlvenl etr e r egard ées comme aya nt acquis vaileur lé2'islatil'e en vertu de l'article 15 de la loi 48- 1978 du 3 1 dé;embre
1948 prescri vant la substitution d u Code ainsi refondu aux
C.Odes alors en vigueur ; que, conformément à la nore adoptee par l e Co nseil d' Etat le 9 mars 1950 au cours de la disC,ussion .du décret qui a promulgue le 6 avril 1950 le nouveau
Code ~e~~ ra l ~es Imp of:s, fa disposition dont i l s'agit a é té,
en déflnlbve, ,"sérée SOus j'art icle 1383-1 " 9me alinéa dans
ce COde gèneral ; qu'il r és"lte de ce qui précède que la dispoSItIO n con tenue dans cet article 1383-1 " a force de loi ;
Considérant que l e princi pe de l'impositi on des arsenaux
de I·Eta~. à . la .contribution foncière qu'îI éd icte ne comporte
pas d~ dlStlllctions ; que cette disposition ne co ncerne donc
pas seu lement ~es arsenaux de la M ari ne proprement dits mais
«lIssi les autres établissements analogues de la Guerre ' et d 3
l' Ai r, ainsi que les étab lissements de la Ma rine hors des ports;
Considé rant toutefois d'une part que l 'imposition à ia
co ntri bution foncière ne saurait être étendue aux installation~
exc lusivement militai res co mprises dans l'enceinte des arsenaux de f.a Marine) et d'autre pa r t, que, en ra ison de l'existenc~
de ces dernières, le M inistre, Secrétaire d'E tat à l' Eco nomie
Nationale et aux Finances s'est eng<lJgé par lettre du 28 J écembre 19412 à n'imposer les arsenaux pou r le surplus qu'à l a
suite d'une procédure simpli fiée;
En ce qui concerne la contribution d(!s patentes :
EXTRA IT DU REGISTRE DES DELIBER ATI ONS
A CERTAINS IMPOTS DEPARTEMENTAUX ET COMMUNAUX
nistér iell e N" 322 AD / 2 du 2R septembre 1953 conce r nant l'assujettissement à certains impôts départementaux et co mmu.naux, des établissements induslriels de l'Etat.
EnNn, je vous signale quc le Directeur Général-des Imp(,ts
(Contri butions Direct.es) a ad ressé aux services financie rs une
circulai re importante ra'oa tive à l'assujettissement à la co n tri·
bution fo ncière et à l a contri'bution des pa tentes des service';
i ndustri els de l'Etat. La co llectio n de cette circu laire n° 2.285
du Il juin 1953 es t épu isée mais un exemplai re vous a été
nd ressé directement par la D irectio n des Lmpôts.
ART. 6. - La prime visée à l'A rti cle 1er ne se cumulerl
pas a,'ec la prime complémentaire de 100 k pa r m2 i nstitufc
par dél ibérati on du Consei l Général en datedu 22 mai 1953.
~------------------------------------~---------02 B3 - F 3
ASSUJETTISSEMENT DES ETABLISSEMENTS INDUSTRIELS DE L'ETAT
J'ai l' honneur de po rter ci-dessous à la connaissance de
un e copie des circulair
du Directeur Génér al des impôts
n" 96 clu 10 j anvier 1953 et Il'' 97 B 2 / 2 du 20 avril 1953
co ntributions indirectes) relative à l a taxe loca le addition.
nell e aux taxes su r le chiffre d'a ff ai res.
ART. 5. Les bénéficiaires de primes qu i n'",uront pa,
justifié dans un délai de deux ans de l 'exécution des obli gations
:-esultant des engagement et attestation prévus au x al!.in éas 1er
et ~me de l'A rticle précédent devront reverser le montant de la
r,ri me i ndû ment per Que.
TEXTES D'INT É RËT COM M UNAL
1I1M. les Maires du Département, Ile tex te de la ci rcu l ai re mi-
D' autre part, !"arti cle 63 de la loi 53-79 du 7 février 1953
a prevu que les arsenaux et usines mécaniques de l'Et t
t
. th· . 1
t ·
a son
a9S.uJ.e, s a a pa en I~ et à la taxe locale pour toutes rieurs
actl\'ltes de reconversion et que cette dernière taxe doit être
&oquittée dans la commune où ces établissements sont situés.
Afin de VO LI S permettre de régler sur le pl an local l es
difficultés que ces quest ions sont susceptib les de soulever, je
VOLIS ad resse CI-JOInt pou r vot re IIlformation :
Séance d" 9 décembre 1952
Le Conseil d',Etat (Seotion des Finances) saisi pa r le
ministre du BlId ~et de la questi on de savoir si, eu égard aux
nouveUes disp ositions conten ues ?ans l'a rticle 13S:>-.1° du Cod:
qénéral des Impôts, il ne com'Ient pas de conSIderer co mm:
~aducs les avis de la Section des Fi nances en date du 30 ,mal
19 44 et du 18 octob re 1949 et d'assujetti r les arsenaux a l a
contribution foncière (impositions départ ementales et com mu:
nales), à la contributio n des pa'tentes et aux tax~ an n ex~ ~
ces co ntri butions, à r aison de l'ensemble de leurs IIlsta!1atlOp::.,
·-quelle qu'en soit \l'affectalion,
Vu la demande d'avis;
Vu l a l ett re du Ministre de l' Intérieur en date du 7 mars
1952 ;
Vu l a Io.i d u 28 juin 1941, article 4 ;
Vu l a l oi du 17 août 1945, article 5 ;
Vu l a loi n' 4S-1 974 du 3 1 décembre 1948, article 15 ;
Vu l e décret du 9 décembre 1948 portant refonle du COtde
.
" t de Code fiscal des valeurs mo)\géné ral des impots dl rec s
'If" d' ft 'res du Code des
liè res du Code des ta xes sur le ChI re. a al.
t et du
con trtbu tio ns indirectes, du Code de l'e.n regls remen
t
Code du timbre
V u l e Code génér a: des Impôts ;
des Finance,,) en
·
Vu les aViS du Conseil d'Etat (S ec t Ion
cate du 20 moi 1944 et du 18 octobre 1949,
En ce qui concerne la contribution foncIère"
,
, f 1 ~{ I " du deuxième Vl'c ret
'Consid ér ant que, d'après 1 ar IC e ,"
des fiscau:-..,
du 9 décemb re 1948 portant refonte des di\ers c~
·b t'
les maO"aslns casern es
sont exemptés de la dite co ntn li IOn, «
"b
,
.. .
. l'exception des arsen aux»,
et autres établ issemenTs mIlitaIres: a ·
. t
e réformc
.
t d operer su r ae pain un
que ce decre:t ayant en en u
7 · t 194~ ces <l isdans le cadre de Ifa r ticle 5 Je la loi du 1 aou
',
1
"
Considérant que, contrai rement à l'a rticle 3_ 10 précité du
deuxième décr et du 9 déœmbre 1948, en ce qui Concerne la
contribution fo nciè re, aUCune disposirion de ce décret ni d'ailleurs aUCu ne de ceœ:es des Codes antérieurs ne prescrivent
txprt$Sément l'imposi ti on des arsenaux à la contribution des
pate ntes; que, pa r application de l'article 4 de la l oi du
28 juin 1941, l'article 1452, 2me alinéa du Code géneral des
impôts se born e à .poser le princfpe que les dro iŒ de patente
sont applicabl!es
aux établissements pubUcs ayant un cara~
tère i ndustr ie1 ou commercia l ainsi qu'aux organismes de
l'Etat, des départements ou de-s commu nes ayant le même caractère.
Consi dérant qu'au.x term es de ce't article 4 de la loi du
28 juin 194 1, « ,.. les exp loitations indust rielles Ot: commerciales de l'Etat.., doil'ent acquitter dans les co nditions du droit
com mun, les impots et taxes de toute nature auxque':s ser aient
asslljeftis des en trepr ises privées effectuant les mêmes opératlons que ce texte, \'ise tous l es organismes de PEtat se livrant
a une exploi tation ind ustrielle ou commerciale même slils ne
bénéficient pas de l'auto nomie financière;
Considérant que les arsenaux tra"\'aillent généralement
pou r le compte de 1:"Etat sans se li"rer il aucun acte de co~
merce que, en conséquence, ils n~ co nsti tue nt pas des .e e~p l ol
tations industrielles ou commerCiales
au sens de 1artJc1e 4
de la loi sus\'isé1! du 28 juin 1941 et que ,par suite, ils ne sor:t
pas en principe imp~sables il I ~ co?~rihl1tion des paten tes~
conformèment ft )'a\'ls du ConseIl d Etat en date du 30 m3,1
19-14 :
Considérant toutefois qu'il en est au trem~nt rorsque, à
titre exceptionnel, ils sont utilisés à d~ .opé ratlons de. recon\'ersion et ex:ercent à ce titre une aC~I\'lh~ semhlable a. celle
d'une entrepri se pri vée; que, en rarell cas et confo r ~leme~t
. l'al.i, du Consei l d'Etat en date uu I R oc tohre 1~49, ils do.~ent être assujettis à la contri bution de~ p~tentes et .aux ~~xes
annexes à ce tte contribution, par appltca,tlOn des .dISPoslt~ons
précitées de la 10Î du 29 juin 194 1, à r a l~on des lIlsta~ l~hons
indispensables aux opé.rations ùe reconversIOn auxq uelles Ils se
livrent ;
235
�EST D ' AVIS
EST D'AV IS
l'
2"
que touS les a rsenau:... et aut res établisse~lentS analo-?ue3
de l'Etat (Guer re, Marine et Air) sont Imposabl es a b
contribution foncière (impositions dépa rtementales et
communales) eot aux taxes annexes à cette contribution, :1
"exception ct
insta!:Jations exc!usÎ\'ement milita.i res COl:~
pr ises dans les enceintes des arsenaux de la Manne; qu ,Ji
y a lieu de procéder à cette imposition selon une p roC~
durt! implifiée.
que ces arsenaux et étahl issel~eTlts ne so nt imposa,b les à
la L'OTlt rihutio n des patentes, 111 aux taxes a n lie~es a. ce!te
contribution qu'en ce qui concerne les install ations indispensables aux opérations tle reco nve rsion, lorsq u'i ls SO l1 t
uti~isês
L ou;s L ORIOT, Présidenl,
Ph . SUiRUIN, Rapportellr,
Ch. OH RET I EN, Secrétaire.
ANN EXE III
à des opérations de cette nat ure.
D I,I~ElCT I ON G5N 5 RAlLE ,DoElS IAIPOTS
Louis LOR IOT , President,
Ph. SU RU
Contributions Indirectes
, Rapporteur,
2~'
Ch. CH RETIEN, Secrétaire.
OBJET
ANNEXE Il
Séan .. e dll 9 decembre 1952
AVIS
Le Conse:1 d'Etat (Section des Fi nances), saisi pa r le M i nistre du Budget de la questio n de ~avoi r quelle inte r prétatio n
i l co nvient de donner à l'article 1573 du Code génér al des
Impôts relatif à l'assujetissement des affaires r éa lisées pa r les
établ issements industriels de l'Etat il la taxe locale additionnelle, aux taxes sur le: chiffres d'affai res.
Vu la demande d'avis ;
Vu la lett re du !llmistre de IÏnterieur en date du 12 mars
1952 ;
Vu le Code général des Impôts;
Considérant que l' article 43 de la loi n" 48-1 922 du 3 1 decembre 1948 qui est lepr is il l'article 1573 du Code Géneral
des Impôts. soumets ci la taxe locale additionnelle aux taxes
su r le chiffre d'affai res: c: les affai res réalisées pa r les établissements industr iels de l' Etat avec d'autr es clie nts que l es se rvices de la Défense Nationale. même si le dits étaljlissemenfs
ne so nt pas do tes ·de l'auto no mie fi nanciè re ) ;
Division - 2<' Bu reau
Tax2 locale. Affaires realisees par les etablissemenls
int.illstriels
CONSE IL D'ETAT
EXTRAIT DU REGISTRE DES DElLIBERATIONS
EST D 'AV IS
(lue sont impClsables il l a taxe locale additio nne lle aux taxes
s'u r le chiffre d'affai res, toutes les affai res réalisées pa r les
::tablissements i ndust r iels de l '~t~t~ ,même pour le Compte
d'aut res ser vices de !'Etat n ~ bene1lclalflt pas de l'a utonomie
financière, ft. la seule exception des atfaires t raitêes avec les
sen'ices de l a Dèfense Nati ona le.
~Je
J'Eta l,
NOl1E
Paris, le 10 janvier 1953.
N" 98
L'article 43 de la loi 4>8-1 992 d u 3 t décembre 1948 (J. O.
du 2 ja,nv,. r 1949) re~r is il l' arti cl e 1573 du Code Général des
Im pôts soumet à la taxe local e add ition nelle aux taxes sur le
chi ff re d'affall'es « les û i ai r es r éal isées par l es étab lissements
in dustriels de l'Etat, arec d'a utres cl ients que les services de
la D éfense Nfltionale ; m ême si les di ts établissements ne sont
pas dotés de l'autonomie fin anciè r e :t .
Depuis l'cr. trée en vig ueur de la ,loi Ipr ecitée, les établissements industriels de l' Etat n'ont pas été recherchés en paiement de la taxe locale q ue s' ils traitent:
- soit avtc des l'art iculi ers, des commerçants ou des inci ust r iels pr ivéti ;
soit avec d'aut res etabl issements de l'Etat bénéficiant
de l'au tonomie financiè re, à l 'exception, b ien entend u, des services de la Defense Nati"",a le. (In st ru ctio n n' 13 B 2/ 2 du
24 ja nl'ier 1949).
-
Or, le Conseil d'Etat, co nsulté sur l' i nterp r étation de l'artic le 1573 sU:5visé, vient de fo rn1L:ler, à. la date du 9 'décembre
1952, l'avis ci -ap rès:
«
Consid~ra n t
Considér3nt que cette dispositio n législative n'exige pas
Ilautonomie financiè re des établissements indust riels de l 'Etat
et q u'elle appelle c clients . les services de la Defense Nationale quand ils traitent avec ces établissements, qu1jJ n'y a 'pas
lieu de donner au mot c affaires .) son sens habituellement
rest reint aux opér ations réalisées ent re commerçalflts ayant
chacun une pe.rsonnalité distincte ; qu'une telle inter prétation
rendrait d'ailleurs inutile la mention de l'exception qui a été
prevue en faveur des services de la Dé-fense Nationale;
que cett e dispositi on l égislative n'exige pas
l'autonomie fifia nc:ère des établissem ents i ndustriels de l' Eta t
e( qu'elle al>Pel le « clients'" les services de l a Défense Nationale quand il5 t rai tent avec ces éta'blissements, q u'il n'y a pas
lieu de donner au mot 4: affaires » son sens habitue llement
rest reint aux opé rations réa lisées ent re comme rçants ayant
chacun une pe rson nai itê dist incte ; qu'u ne telle interprétatio~
rend rait (j'ail!eu rs in utile l a me ntion de l' exception qui a étc
pré\' ue en favt!u r des services de la .Défense Natio nale ;
Considérant que le seul cas d'exemption prévue par la loi
est donc celui des opérations réa lisées pa r les établissements
;ndustriels de PEtat pou r satisfaire. dans le cadre de leur
activité nonnale, les besoins de la Défense Nationale;
<s: Considérant qUê l e seul cas d'exemption prévue pa r la
loi est donc celu i des opérations réalisées pa r les étab lissements
industriel., de l'Etat pou r satisfai re, da ns l e cadre de leur
activité norma le, les besoi ns de la D éfense Natio nale;
Considérant que les autr es opé ratio ns des établissements
;ndustr iels de l'Etat sor.t au contrai re soumises .à ,l a taxe locale
additionnelle, telles que celles effectuées pa r les arsenaux au
tit re de l a reco nversion, notamme nt au profit du !\'1inistè re de
la Marine Marohande po ur l a reconstitution de la fl otte de
commerce pr ivée, et qui, d'ailleu rs, ont été pour la contri bution
des patentes assimilées par le Conseil d'Etat dans ses avis en
date du 18 octobre 1949 et de ce jour, il celles des entrepr ises
privées
« Considérant que les aut res opératio ns de établissements
Industr iels de l'Etat sO'nt, au co nt raire, soumises à la ta xe
locale add it ionnelle, te lles qu e cell es eff ec tu ées .par tes arsen au X
au titre ùe la reconve rsion, notamm ent au profit du tM inistère
cte la Ma ri ne Marchande pour la r eco nstitutio n de la flotte de
cCl:nmt rce pr ivee, et qui, d'ailleurs, ont été: pou r la co nt ribution
des pafentes assi milées 'par le Conseil d'Etat dalls ses avis en
date
. du 18 octob re 1949 et de ce J'o ur il cell es des entreprises
privées ;
,
que so r't imposahles à la taxe locale addi tionnelle aux taxes
sur le ch iffr~ û'affa.ires toutes les affaires réalisées pa r les établissements !l1(llIstnels de l'Etat, même pour le compte d'autres
services de l'Etat ne bénéficiant pas de l'autonomie financiè re
à la seule exceptio n des affai res traitées avec les services de I ~
D éfense National e • .
En co nsequence, les dispositions restrictives fig ura nt à
l'instru ction 15 B 2/ 2 ( u 24 janvie r 1949 pour la défini ti on des
aff aires imposables doi\'ent êtr e aba ndonnées (alin éa 7 à Il ).
L es se rvIces loca ux vou dront ,bien inte rvenir sans retard
auprès des établissements industr iels de l' Etat aya nt traité des
aff aires avec d'autres services non autonomes _ ce ux de la
D éfense Nati onale exce ptés - en vue de procéder au rappel
des dr oits exigi bles.
-4:
L e montant des rappe ls ser a déterminé en te nant compte
de l a prescn ptJOn tne '1 nale et s'i l y a lieu, des dispositions de
l'art icl e 46 de l a loi 32-401 du 14 avri l 1952 rela tif il l'amnistie
fiscale.
. B i ~ n entcJ:d u, les vé r if icateu rs ne devront pas ma nquer de
determm er t res exactement par r éfé rence à l'établissement
ayant réa lisé les affall (::s imposables, le lieu d'exigibil ité de la
taxe, le taux appl icablE: et le montant de la créance revenant
à chaque co mmu ne.
L'Administrateur: G. D UPRE.
ANNEXE IV
Inslnlclion n' 97 B 2/ 2 du 20 avril 1953
T AXES LOCALES
SUR LE CHI FFRE D'AFFA IRES
A RSENAUX ET US INES MECAN IQUES DE L'ETAT
L 'article 63 de la loi de Finances pou r l'exe rcice 1953 (J.O,
du S févr ier 1953) prévoit que les a'rsena ux et usi nes mécaniques de l 'Etat sont assujettis il la patente et il la taxe localo
addi tio nnell e pour toutes leurs activités de reconve rsio n et que
D2 B3 . AG 0
cett e derni ère taxe doit être acquittée dans la com mune où ces
étab lissements sont si t ués.
Le premier a1li néa de l'artic le 63 reprend les dispositions
de l'a rticle 3 de la loi n" 49-1034 du 3 1 j ui llet 1949 pr écisan t
qne c l a taxe loca le est appl icable aux opérations de constructions et de r épar ations nava les Jo . Inst. n° 3.907 du 5 août
t949). Com pte tenus de l'avis exp ri mé pa r le Conseil d'Et at,
It:: 9 décembre 1952, et reprodui t daos q'i nstru ctio n n° 98 du
10 janvier 1953, cet ali néa co nfi rm e l'i mposition des arscr::a ux et usines mécan iques de 1',Etat, en part icu li er des ateli cr3
de la M ari ne Natio nale où s'effectuent des co nstr uctions et de"
répar ations de navi res pour le comp te d'autres services qu'!
ceux de l a D éfense Nati onale.
Les autres établissements industriels de l'Etat : po udr . ries, atel iers de f ab rications d'a rmement, ateliers i ndustr ie1s
de l'Aéronautique, ma nufactures d'armes, de po rcelai nes et tapis, etc ... sont exclus de l'appl ication des dispositions de l'article 63 susvisé ; cepe ndant, comme les arsenaux, ces établissements restent redevables de l a taxe locale dans l es conditions f ixées par IVar ticie 43 de la loi n" 48- 1992 du 3 t décembre 1948, rep r ises il l'article 1.573 (5e alinéa) du Code Général
des Impôts (Cf. B.O.C.1. 1949, p. 63, et 1953, i-I O).
Par dérogation aux dispositions générales contenues dans
l'a r ticle 1.576 du Code selon l esquel les l a taxe loca le additionnelle est perçue dans ~ somme ou le redevabl e possède l'établissement qui réalise les affai res taxables, le second alinél
de l'a rtic le 63 précité précise q ue cette taxe ser a perçue daro s
la commu ne su r le te r ritoi re de l aq uelle son't situés l es arsenauX" et usines mécani ques de t'E tat.
Comme celles du premier alinéa ces dispositions ont un
ca r actè re interprétatif et el les prennent effet à part i r de l'entr ée
en vigueu r de la loi du 3 t j uillet 1949 (J.O. - Débats A.N. du
7 fév ri er t953, p. 1.04 1). Toutefois dans l'hypothèse où la taxe
aurait déjà été perçue en pa rtie ou en totalité au profit d'une
commune autre que cell e où l''a rsenal est situé, le M.i nistre a
admis pa r décision du 3 avril 1953, qu'i l n'y allrait pas lieu
d'oblige r cette commune à reverser l es sommes déjà encaissées.
B.O.C. 1. n" li du 20 avri l 1953.
DETACHEMENT DE FONCTIONNAIRES DE L'ETAT
DANS LES SERVICES MUNICIPAUX
J' ai l' hon neu r de po rter à la con naissance de MM. les Mair es du D ép ar tement le tex'te de la ci rcul aire nO 36 1 du 30 sept em'br e 1953 par la.quelle M . le Minist re de l' Intérie ur rappell e
les princi pes qui doivent être suivis en matiè re de détac heme.lt
de fonctio n'naires de l'Etat dans les se rvices mun icipaux,
Le Préfet :
Signé: And ré PELABON.
Le Ministre de l'Intérieur,
li Messieurs les Préfets.
Par ci rculai re N " 137 du 17 avr il 1951, j'ai appelé votre
.ctrte ntio n sur l a pr océdu re à suivre pour obteni r le, déta~hemel , t
dans les ser vices des collectivités locaqes de fonctiOnnai res appart enant à de.s administati ons de l'Eta t.
. .
~
O r, j'ai été saisi d' un ce rtain nombre de diffICultés entra lnées par l'application de cette JHOCéd.u re . ,
'
.,
E n premier lieu, des fonctionnaires de 1 Etat s~nt parfo15
dét achés à la demande de maires dans des empI01~. co mm l~
naux, alors même qu':ls ne r~mp l issent pas ~es conditIO ns eXIgées pour l'accès à ces emplOIS pa r le statut local.
.
j' ai l' honneur de VOLIS inviter à instruire a\'ec attentIOn 1 ~5
èemandes de détaohement qui vous sero nt ad re~sées par . I e~
,
d f
' biter que les nominations qlll seront al llSI
maIres, e açon a I t f
locaqe ct
in'tervenues soient contraires à la règlemen a Ion
. rt
soient, p ar conséquent, susceptibles de recou rs de la pa .
è'agents municipaux écartés i r réguliè rement des postes qui
au raie nt été confiés â des fonctionnaires de l'Etat.
D'autre part, il m'a été s~g n a l é que ce rtai nes municipalités
rémunéraient des fonctionnai res de l'Etat détachés dans les
communes en leur conservant le bénéfice du traitement et des
indemnités annexes qui leur étaient attribuées dans ~eur administratio n d'origine.
j'insiste sur le fait que cette manière d'agi r est i rrégul ière
la règle étant en l'espèce qu'un agent détaché suit le sort des
fonctionnaires de l'administ ration de détachement. Il est donc
soumis de ce fait à la règlementation applicable aux fonction naires de la coHectivité ft. laquelle il appartient temporairement.
Ce principe doit notamment s'appliquer au cas de services
dont la gestion aurait échappé à l'Etat pour revenir aux collectivités locales : secrétariats de conseils généraux, corps de
police rem unicipalisés.
Je vous prie d'appeler tout. p~rticulière~~nt l '~ttention des
maires, p résiden ts de comml~ons admlOls.tratlves ou de
conseii;s d administ ration d'établissements publics, su r l es termes de la présente instructio n.
Le Directeur de l'Administration
Départementale el Communale
P. DAME.LON.
237
�Dl83-P8
CHANGEMENT DE DEPARTEMENT DES ETRANGERS TITULAIRES
D'UNE CARTE DE TRAVAIL A V ALlOUE TERRITORIALE UMITEE
Il l' a lieu ù'observer, en effet, que si l e décret du 3 1 décem_
bre 19~7 soumet les étrangers qUI changent de résiden ce à un~
autorisation. préalabilc. mais à une. sir;tple déClaration, par
contre la reglem entatlOn de la malO-d œuvre qui doit tenir
compte du marché de l'emploi, astreint les intéressés à obtenir
l'autorisation d'exercer leur profession dans le dé.partement o~
ils désirent se rend œ.
Le Préfel des Bouches-dJL-Rhônc
à Ml!$sieurs les Maires el Commissaires
de PDlice du Département
t!:1l
commurûcation à
Ares~ieurs
/es Sous-Préfets d'Aix el d'Arles
J'ai l'honneur d'appeler l 'altention de MN\. les Maires du
département sur la circUlaire n· 359 de M. le Miris!re de l'rn térieur - dont copie in-extenso est reproduite ci-dessous traitant du cbangement de département des étrangers titulaires
d'une carte de travail à yalidité territoriale limitée.
Pour le Préfet
Le Sous-Préfel, Direcreur du Cabinel
Signé : PLETTNER.
Paris, le 30 septembre 1953.
Le Ministre de /'Inl érieur,
à Messieurs les Préfets
et
.\Ion atlention a été appelée par M. le Ministre du Travail
de (a Sécurité Sociale sur les difficultés qui résultent, notam-
Il résulte de cette procédure que "es Hr.angleI'S en règle au
poin t de vile du séjou r risquent de se trouver en infraction en
matière de r ègl emenklti on àu travail.
Pour paJlier ces inconvénients, je vous prie tle donner à
Mu\1. les Maires et Commissaires de Police toutes instn,c't.ions
utiles pour attüer l'attention des étrangers qui souscrivent une
déclaration de changement de département, sur la nécessité de
solliciter auprès des senyees- dépar.tementaux du travail tes
auto ris atio ns en mati ère de ca rte de travail.
j'ajoute, cependant, qlle ces dispositions ne sont nuqement
restfict1ves en ce qui concerne- le droit de C'irculation des étran·
gers et que, par conséquen t, les aLctorités chargees de recevoir
1<'5 déclarations de changement de dépa rtement ne doivent en
auCu n cas subo rdonner la délivrance des récépissés à une auto·
risation prea lable des services départementaux du tra vail.
DIVERSES
Limites d'âge: 21 ars
au moins et
30 ans au plus
au
de la publication, par
feuilles suivantes :
Norma'l, & Oro-Hydro).
7, 8.
l' institn!
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Général Délégué
Si gné
Maxime MIGNON .
DI 82
DECHEANCE DE LA NATIONALITE fRANÇAISE
'1
AVIS DE CONCOURS
pour le recru tement d'un DESSINATEUR.
Marsei lle, le 12 octobre 1953.
M arseille, le 12 octobre 1953.
Le nom mé NARS ISYAN Ago p, né le :>-S- 1925 à Beyrouth,
précédemment domici lié à Marseille, 29, Bd Parùigon, actuellement à Valence, 68, avenue de Romans, devenu Français par
l'eflet de la natu raiisation de so n pè re (décret dû 11-5-34) est
déchu de la nati onalité française par décret du 26 août publié
au journal Officiel du 2-9-53.
~-----------------------------
La Mairie d'AIX-BN.J>ROVENCE or ganise un conCours
flHSON sont invités à prenùre connaissance du testament, donner leur consentement à son exécution ou produire leurs
moyens d'opposition dans un délai de trois mois à dater du
jour dll présent avis.
PUBLICATION PAR L'INSTITUT GEOGRAPHIQUE NATIONAL
Le Public est informé
Géographique National, des
Fran ce 20.000 Coul. (T.
Le Grau-du-Roi - N" 4,
Si,gné : VERD IEII.
- AVIS - ANNONCES
le recru tement d'un dessinateu.r.
05 BI
L e DireclC/lr de la Règlcmenta,liOIl
taux de la M.O.E. l'autorisation de ohanger de département.
La .M airie d'Aix-en ...Provence onganise un conCDurs p our
COllform ~~lent aux dispositio ns du décr et du 1er févric i
1896, l es héritiers connus ou inconnus de MAu"
.
.
o us t·ln M anus
P. le Ministre et Olar délégation,
ment dans les grands centres urbains, de l'arrjvée de travailleurs étrangers, titulaires d'une carte de travail à \ralidité territori ale limitée, qui n'ont pas obtenu des services départemen-
COMMUNIQUES
DONS ET LEGS
Par tes tament olographe du 5 novembre !947 dé
é
. t
d M' G
C
pos aux
nllnu es•.! ..
Fel~r "es AILLOL, notaire à Marseille, M. Augustin
lV anus
dSON a Institué pour 1·egat·
.
•
"
.
aire universel
1 Assoc,atiOn Hospi talière du Prado (Hôpital St-j ose,ph), il
N\arseil'!e.
1er jafll·ier 1953 (proLongé d' un an par enfant à charge et des
senoices militai res obli gatoires).
DI 82
DECRET DE NATURALISATION RAPPORTE
Marseille, leS octobre 1953.
Le décre l du 8 août 1952 qui avait accord é l a nati onalité
française au nomm é PAN ITTER I Francesco ayant demeuré à
Marseille, 5, Bd Aristide S'arthe, a été rapporté par décret du
6-S-53, publié au journal Officieb du 2.1-S-53.
Dépôt des demandes: 3 1 octobre 1953 dernier délai.
Pour tous rensei gnemen ts sur la constitution des dossiers
et le pro gramme de ces co ncou rs, s'adresser en Mairie d'Aixen-Provence, Service du P ersonnel .
DONS ET LEGS
Par testament Olographe du 15 mars 1953 déposé aux
minutes de "', H. C. BAUDOIN, notaire aux Mées (BassesAlpes), Feue Mlle joséphine Charlotte j ULiBN, dite PIGNOL,
a légué à Il ' Association des Œuvres Sociales et Régionalistes
de Château-Gombert, la nue propriété de tous les immeubles
qui dépendront de sa succession au jour de son décés.
Conformément aux dispositions du décret ctu 1er février
1896, les héritiers connus ou inconnus de Mlle j oséphi ne jULIEN, dite P IGNOL, sont invités à prendre connaissa nce du
testament, donner l eur consentement à son exécution ou produi re leurs moyens d'opposition dans un délai de trois mois à
dater du jour du présent avis.
Marseille. le 19 octobre 1953.
Par test"ment authen\ique du 22 février 1951 deposé aux
œinlltes de M' j. DUHAND, notai re à Marseil'~e, M. IŒBOU',
Jean , t..Iomici!ié âMarseill e, 3, rue Brochier, y décédé le 30 mai
1g5~ a fait le lccrs ci - après :
j e lègue à l' Etabl issement Hospitalier de l'Asile de Saintjean-de-Dieu, l'universalité de mes biens et droits mobiliers ct
immobi'~ers qui composeront ma succession, sans aucune excep·
tian ni réserve ».
,Conforméme nt aux dispositions du décr et du 1er février
1896, les hér itiers connus ou inconnus de M . j ean REBOUL
sont in vi ti-s à prendre con naissance du testament, donner leur
consentement à son ex-écution ou produire l eurs moyens d'opposition da ns un dél ai de tr ois mois à d",ter du jour du présent
avis.
Marseille, l e 10 octobre 1953.
Pour le Préfet et par Délégation,
Le Secrétaire Général :
Maxime MIGNON.
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES.DU.RHONE
RÉPUBLIQUE
Numéro
FRANÇAISE
43
29 Octobre 1953
...,
....
IL
DES
ACTES ADMINISTRAT
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
.
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
AC O. -
Concours d'admission à l'Ecole Nationale ct ' Administration 1954
242
FS 7. -
Additif au Règlement de ,' Internat {aïq ue Départemental
242
Arrêté de clôture de la ohasse pour la campagne 1953 · 1954
242
P 3. -
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
F O. _
Application de la déchéance quadriennale aux dettes des colt:ectivités loca les
244
F 3. _
Suspension provisoire de l a perceptio n de la taxe locale frappant ce rtains produits
alimentai res .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... . ... ....
248
Autor isation de pénétrer dans les propr iétés puhliques ou privés, closes ou non closes ..
249
TV X O. _
COMMUNIQUES· AVIS· ANNONCES DIVERSES
Session d'exame ns d'apti~lIde à l'emploi de sapeul1S-pompiers professionnels
250
A8R~VIATI0NS . _ A. P. : Arrêté vréfectoral. - C? . ~irculairc. -:- Les lettr~s 0 et B suivies d'un. ch if!re
. d'
t 1 S r ice ou Bureau d'origine. D. S. T. : Direction des Services TechOlques. - D . D. S. : Direction
'Dné lqu en e 1e v
1'" Santé _ D D. l'. . Direction Départementale de la Population.
partcmenta e de ...
.
.
.
~~==========================---
�---- - - - -- ---- -
,- - - -- - - - - - - - ------
TEXTES
D'INTÉRËT
GÉNÉRAL~
•
CONCOURS D' ADMISSION A L'ECOLE NATIONALE
0 5 B3 _ AC 0
D'ADMINISTRATION 1954
Un arrêté du 25 Août 1952 (J. O. du 27 Août) modifié par
un arrêté du 22 j uillet 1953 (j. O. <111 23 juillet) fixe les co.odilions dans lesquelles les candidats au second co ncours d'entrée
à l'Ecole Nationale d'Administration qui sera ouvert entre l e 15
Septembre et le 15 Octobr~ 1954, peuvent bénéficier de facilités
de préparation en vue ùe se prepa r er audit concours (concou rs
ionctionnaires).
Les épreuves prévues se dérouleront le 27 Février 1954,
à Marseille.
Les conditions à remplir par les ca ndidats) la nature des
03 B2 . fS 7
AD DITIF AU REGLEMENT DE L'INTERNAT LAIQUE DEPARTEMENT AL
ARRETE
Le Préfet des Bou ches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur.
Vu la loi du 10 Août 1871 ;
Vu tes >délibérations du Conseil Général, en date lCi u 21-51948 et de la Commission Départementale, en date du 10-9- 1948
relatives à la création et au fonctionnement de ,' Internat Laïque
des Bouohes-du-Rhône ;
Vu l'arrêté préfectoral du 1er Octobre 1948, approuvant Je
règlement cfe l'Etablissement susvisé, d'o nt le texte est an ne xé
audit arrêté et. notamment) son article 2, comp lété par l'articte
:2 bis, relatif aux conditions d'âge d'admission et de maintien
il rEtablissement ;
VII le procés-ver bal, en date du 24 j uin 1953, de la Commission de Surveillance <lu Foyer des Pl\pilles et de l'lnternat
Laïque Oépartemental, formulant le souhait que l'âge limite du
maintien des enfants à rlnternat, qui est actuellement de 14 ans
soit majoré et porté à 17 ans pour les élèves pouvant suivre
un appr entissage) et au delà, soit jusqu'à 20 ans, pour ceux
continuant leurs études
VII les avis favorables il cette proposition émis par M. le
Directeur Départemental de la Population et de l'Bntr'Aide So'
cia le d' une part, Par Ml rlnsp ecteur ,l'Académie d"autre part ;
04 BI - P 3
Vu la délibération du 2 Octobre 1952 du Conseil Généraf
adoptant cette modification ;
Sur la proposition de M,. !e Secréta ire Gèn eral
ARRETE:
ARTICLE PREM IER. - Il est ajouté au règlement de l'Internat
Laïque Départemental annexé à l'arrêté préfectoral du 1-10-48,
un, article 2 ter ainsi libellé: « Ar t. 2 ter. - La limite d'âge
maximum ,de 14 ans pour le maintien à l'Etablissement pourra
H re portée à 17 ans en ,faveur des enfants titulaires du C.A.P.,
susceptibles de suivre un cours d'apprentissage et il 20 ans
pour les enfants p lacés il l' fnternat, reconnus aptes à poursuivre
leurs études scolaires. :b
Dans ohaq ue cas particulier, cette prorogation résultera
d'une décision de la Commission Dépar tementale prise après
avis de la Commission d'e Surveilla nce de l'Btab lissement et qui
restera valable tant que les enfants suivront un COllrs d'apprentissage po ursuivront leu rs études d,ans un établ issement public.
AIN_ 2. - M,. le Seorétaire Général de la Préfectu re, lM. le
Prési,dent de la Commissio n de Surveillance, M . le Directeur
dit! Fo yer .d'es P upilles so nt IÛhargês, chacun. en, ce qui le con cerne, de l'exécution du present arrêté, qui sera inséré au
BuUetin Administratif des Mairi es.
Fait à Marseilre, le 19 Octobre 1953.
Pour le Préfet,
Le Sous-Préfet Directeu r du Cabinet,
Signé : PLETTNER.
ARRETE DE CLOTURE DE LA CHASSE POUR LA CAMPAGNE 1953-1 954
Le Ministre de l' Agnculture,
Vu les lois des 3 Mai 1844, 1er Mai 1924 et 23 Fé vrier 1926,
Vu la Convention Internationale ~u 19 Mars f902 approuvée
par la loi du 30 juin 1903 ;
Vu l'article 7, 1er alinéa de l'Ordonnance du 9 Août 1944,
portant rétablissement Kle la légalité républicaine Sur le territoire
continental, ensemble I~ ordonnances subséquentes maintenant
provisoirem~nt en application les actes dits lois des 28 j uin
1941 et 27 Décembre 1941 rel atifs à l'organisation de la Chasse;
Vu l'avis du Conseil Supérieur >de la Chasse;
Sur la proposition du Directeur Général des Eaux et forêts,
242
épreuves, ~ es pièces à fo urnir sont déterm i nées par l'arrêté du
25 Août 1952 précité.
Les inscriptions so nt prises du 1er Décembre au 3 1 Décem_
bre 1953 i nclus.
Les dema nd'es dl'admissÎo n à ces épreuves do ivent dans le
delai ci-dessus indiqué, soit êtr e adressées par pli reco mmandé
" M . le Directeur de l'Ecole Nationale (\' Adm inistration, 56, rue
des Sainls-<Pcres, Par is (7'), soit être déposées un jour ouvrable
entre 8 h. 30 et 12 ,heures, au Sec rétariat de l'Ecole qui en
délivre reçu .
ARRETE:
ARTICLE PREMIER, - Sous réser ve des dispositions des arlicles ,ci-aprèll 'la chasse est fermée le 3 j 'anvier 1954 au soir.
ART. 2. - La chasse au petit tétr as (tétras tétrix), à la
gélinotte, au lagopède, à la Ibartavell e, à la marm otte, au rlièvre
blanc, sera fermée le 1er Novembre 1953 au soir.
La clVlsse ail chamois sera fermée le 4 Octobre 1953 aU
soir, sauf dans les départements <le l'Ai n ,dl.! Doubs et d·u jura
où elle sera fermée le 7 Septembre 1953, '
La chasse à l 'ours, à Il'isard, au gra nd tétras (tét ras urorral~
Jus) sera fer mé"l le 27 Septembre 1953 au soir.
La ahasse à tir du bouqueti n, du mouflon du chamois et
d e )l isar<1' d~ l' a nn é.e, ,du fao n, d u hère, du ch~vrillard sc:ra 'fermée le lendemain au scir de SOn ouverture.
En ce qui concerne la Corse la chasse à tir du mouflon sera
fer mée le seJJtièm e 'j our au soir après son ouver ture.
ART. J. - Chasse au gibier d'eau. - La chasse au ajhier
'd!ea u, s ur les élCS, éta ngs,_fle uves, rivières, ca naux et réser~oi rs
a~s i que ,dt~ n s les marais non asséchés, sera fe rmée le 31 Ma r;
L54. au SOI r, sa ll.f ~our le cana rd « col vert )l dont la clôture
est fi xée au
J5
rcvner 1954
<HI
soir.
ART. 4. - Oiseau:\ de passage. - ILa chasse aux oiseaux
d.e pas~age sera fermée à la date de la clôtllTe générale, ex cep1iOn faite pour la bécasse qui <la ns les bois de plus de trois
hectar es, pourra être ohassée sous boi s au chien ,d~arrêt et à la
cro ule pen d'a nt la demi-heure qui suit le coucner du soleil, jus ·
qu'au 3 1 Ma rs 1954.
En ce qui Concerne la chasse à la grive , en période de clôture, chasse dite à la rej)asse, elle ne pourra étre autorisée que
dans les conditions 'Prévues à l'article 6, alinéa 2, ci -après.
Arrêté spécial de clôture de fa chasse dans le département J('S
Bouches-du·Rh ône pour l a campagne 1953-1954
Le Mütistre .de l'Argicu lture,
Vu les lois des 3 Mai 1844, 1er 'Mai fY24 et 23 Février 1926;
Vu l'a rticle 7, alinéa 1er, de l'Ordonnance du 9 Août 1944,
portant rétablisseme-nt !de la lêgalité répub licaine sur le territoire
co ntinental, ensemble l es Ordonnances subséquentes maintena nt prov isoirement en application les actes dits: « Lois des 28
juin 1:14 1 et 27 Décem bre 194 1, relatifs à l'organisation de la
chasse ') ;
Vu l'arlicle 6 de rarrété ministériel du 13 Mai 1953 ;
Vu les avis du Conservateur des Eaux et Forêts et d'u
Prési dent ,de la Fédératio n Départementale des Chasseurs;
Sur la proposition de M. le Préfet des Bouches-du-Rhône,
ARRETE:
,ARTICLE PREMIER. - Sous réserve des dispositions des articles ci-après) la chasse est fermée le 3 Jan vier 1954 au soir.
ART. 5. Chasse à cou rre. - La ahasse à cou rre sera
fer mée l e 30 Avri l 1954 au soir.
La ahasse à courre du lièvre et ,d u chevreuil sera fermée
Je 3 1 Mars 1954 au soir.
ART. 2. - Gibier d'eau. - La oh asse au gibier d~e au sur
les lacs, étangs, fleuves, rivières, canaux et réser vo irs ainsi que
,da ns les marais et r izières non asséchés, sera fermée le 31
ART. 6. - Les d1ates ode clôture pourront être avan cé es,
dans tout ou partie d"un département.
Ces décisions, ai nsi que les dispositions r elatives il la .destruction des animaux nuisibles et à la 'Protection du gibier seront
prises par arrktés ministéri els spécia ux, sur la proposi tion du
Préfet faite a.vrès avis du Conservateur jes Eaux et Forêts et
du Prési<lent de la Fédération Départementale des Chasseurs.
ART, 3. Oiseaux de passage. a) La <,hasse au x
oiseaux de passage définie à r a"ticle 1er de l'arrêté d·ouverture sera fermée le 3 Janvier 1954 au sOir .
M,a rs 1954 al! soir, sauf pour qe canard « col-vert » dont la
fermeture est fixée au 15 Février 1954 au soir.
La chasse à la bécasse sera égalem ent ferm ée à cette date
quels que soient le lieu et l'h eure où ell e pourrait êtr e pra-
ART. 7. - L es arr êtés départementaux réglementai res permanents sur le (!]lasse sont maintenus en vigueur en tout ce "lUi
n'est pas contrai re au présent arrêté, ni aux dispositio ns dfs
Jais du 28 ju in 1941, mod'ifiée par la loi du 27 Décembre 194 1,
du 2 Av ril 1946 mo difiant le paragraphe 9 de l'article 30 de la
loi du 5 Avril 1884.
tiquée.
b) L a chasse à la grive à la repasse sera ferm ée le 14
Mars 195-1 au soir.
ART, 8. - Le prése nt arrêté n'est pas applicable aux dé·,artements de la Moselle, Idu Haut-Rhi n et du Bas-Rl;,i n où kt
,,("lôture dIe la chasse est fixée par la loi locale.
ART. 5. - M . le Préfet des Bouc hes-nu-Rhône, l\LM'. les
Sous-Préfets, les Maires, 1(:: Conservateur des Eaux et Forêts,
le Directeur -ti es Contri butions In directes, le Commandant de
Gendarmerie, les Lieutenants ,de Louveteri e, les Commissaires
ART. 9. - MM . les Préfets, Sous.Préfets, Maires, Conservateurs des Eau x et Forêts, Di rec tems des Contributions Inuirectes, Commandants de Gendarmerie, Commissaires de Polic~,
Lieutenants de Louveterie, Préposés 'd es Eaux et Forêts, Gardes
«Jes Fédérations Départemental es des Chasseurs, Gardes-Champêtres, (Gardes Particu li ers assermentés, so nt char gés, chacuf!
en ce qui le concer ne, de rex écution du présent arrêté qUI seia
publié et affiché, da ns chaque com mun e, par l'i ntermédiaire cc
J'autorit é pr éfe cto ra le et par les soi ns des I\\aires.
Fait à Paris, le 13 Mai 1953.
Pour le Ministre et pa r délegatkl1,
Le Chef de Cabinet,
Sig né ; ROUGE.
AR'T. 4. - Toutes les dispositions de l'ar rê té réglementaire
perm anent qui sont contraires au présen t arr êté sont abrogées.
oe Poli ce, les Chefs de Dis trict et A genls Techniques Préposés
ées Eaux et f orêls, les Gardes de la Fédération Départementale
des Chasseurs, les Gardes partiCu liers assermentés, les GaNresChampêtres so nt chargés, chacun en ce qui le concerne. d'e
l'exécution du présent ar rêté.
1\ Pais, le 25 j uin 1953.
Le .\Iinis!re :
POlir Je .\\ inishe et par Délégation
l.e Chef de Cabi net,
Signé Illisihiement.
�TEXTES
D2 B3 . f
0
D'INTËRËT
COMMUNAL
]
APPLICAT ION DE LA DECHEANCE QUADRIENNALE AUX DETTES
DES COLLECTIVITES LOCALES
J'ai l'honneu r de porter ci- dessous à la connaissance de
Messieurs les Maires du département le te xte de la cir culaire
minist érielle 11 ° 329 du 2 t S e;:> temhre 1953 relati\e à l'a pplica·
tian de la déchéance quadrie nnale aux ~ttes des collectivites
locales.
Po ur le Préfet,
Le Sous-Préfet, Directeur du Cauinet,
Signé : PLETTNER.
.\\1:'<1 TERE DE L'INTERLBUR
Direction de J'Administration
Dêpartementale et Communale
ARI'ICLE 10 de la loi 'o u 29 Jan vier 183 1 modifi ée
4"'· Bureau
Référence il rappele r: 2813 O.G.
Circulaire n° 329
Paris, le 2t Septembre 1953
Le i\'1inistr e <i.e l'Interieu r
il MM. les Prerets
(Métropole· Out remer) .
.\\on attention a été appelée s ur le fai t q ue les " ispositions
relati ves à la déchéance quadlfiennale étaient souvent çer dues
de vue par les collectivités locales.
En raison d e la complex ité des règles applicables en ,'espèce il m'a paru uti1e de vous préciser, à la lum iè re des décisions de jurisprudence intervenues en ia matière, les princi pes
essentiels qui régissent la déchéan ce quadriennale ainsi que leg
modalités suh"ant lesquelles elle doit ~tr e opposée aux créanciers
ùes collectivités locales.
Il impo rte, en effet, que des dettes déjà éteintes par l'effet
de cette déchéa nce ne soient ]Jas acq uittées par ces collectfvit és.
1. -
Définition et textes applica bles
La deché3nce quadr iennale est une prescription spéciales de
qua tre ans qui éteint les créances de toute natur e co ntre l'Etat,
les Départements, les Communes et les Etablissement pu bli cs.
Elle tire son ori gine de la toi du 29 Janvier 183 1 qui avait
posé le principe de la déChéance des créa nces contr e l'Etat
non acquittées ti ans un délai de ci nq ans.
Ce texte q ui établissait la déchéa nce quinquenn a le au profi t
exclusif de l' Etat a été modifié
- par le déc ret·loi du 25 Ju in 193~ do nt l' art. 19 réd ui t
d' un an les délais ;
- ]Jar un décret-loi d u 30 Octobre 1935 qui e n a éteno u
" application aux dettes des départements et des comm unes nées
après le 1er janvier 1936 et a modifié l'enoncé des causes d' interrupti on j
- pa r l'article 1~ de la 101 ,de Finan ces du 3 1 Déce mbre
1945 qui en a étendu le bé néfice aux établisse rll ents publics de
l'Etat, des dépa rtements et des co mmunes.
Compte tenu de ces diverses modificatio ns, la déchéance
quadriennale est actu ellement régie par les textes suiva nts
ARTICLE 9 de la loi du 29 Janv ier 183 1 modifiée:
c Sont prescrites et définitivement éteintes au profit de
l'Etat, des départements, des co mmun es et des étabEsseme nts
publics, sans préjud ice ,des déchéances prononcées. par des loj~
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antcrieures ou consentie ' pa r des l!1anchés et CO ll ventions, toutes
créa nces qui, n'ayanti flas été acquittées avant la clôture de
l'exerci-ce auquel elles appartiennent, n'auraient pu être Iiquidees, ordo nnan cées d pa yées dans un d.élai de quatre années
à partir de l'ouverture de l' exercice pour les créanciers -domiciliées en Europe, et de cinq années pO lir les créa nciers domici.
liés hors du ter ritoire européen ».
En ce qi co ncerne les établissements pu bli cs, « les présentes
dispositions sero nt applicables aux créances nées au cours des
exer cices antérieurs : la déchéance sera opposab le à la même
date que pour les créances nées le 1er jan vier 1946 »,
e Les digpositions de l'a rti cle précédent ne seront pas
aplplicables aux créances !{j ont J'ord onnancement et le paiement
n'auraient pu être effectués dans les délais déterminés par le
fait de l'aà,ministratio n ou pa r suite de recours devant une
juridiction,
« En ce qui co nce r ne les établisse m ents publics les présentes
dispositions sero nt applicables aux créan.ces nées aprês le 31
Décembre 1945. Pour les créances nées au co urs ri es exercices _
antérieurs, la . ohéance sera opposable à la même date que
pour les créa nces nées le 1er Janvier 1946 ».
11. -
Créances aux quelles s'applique la déché ance qu adriennale,
La déchéance quadriennale est une r ègle I(j(' ordre général
q ui s'a ppliqu e à toutes les créa nces quelle qu'en soit la nature;
peu importe que les dettes de la coll ectivité soient d'origine COntract uelle, quasi cont ractue ll e, déli ctuell e ou quasi dé lictllelle (1).
C'est ainsi que la déc héance s 'a pplique aussi bie n aux dettes
nées de l'exéc ution d ' un co ntrat (ma rc hé d e trava ux ou de
fournitures par exemple) qu 'a ux dettes aya nt pour origine la
respo nsabilité d' une collectiv ité pll blique (do mma ges de travaux
publics, prejudice r ésu'ltant d'une fa ute cie service, respo nsabilité
des commun es en cas Ki'émeute, et,c... (2).
Seules éC happent il la déchéa nce les actio ns re latives il des
d roits réels tfoll es que cell es po rtan t su r la revendication d'un
bie n immobi lier (3) ou les demandes en restituti on d' un dépôt
ou d'un cautio nnement (4) puisqu'aussi bien dans ces dIvers
cas, il ne s'agit pas de créances au sens juri.<fique du terme,
O'au tre pa rt, la déchéa nce est e nco uru e quelle que soit la
qualité des créanciers. Elle s'applique notamm ent au x créances
( 1) N'échappent il la déchéance quadri e nnale que les créa n.
ces soumises par des textes spéciaux à d,'autres déchéances,
tell es q ue les arrérages de rentes (loi d u 24 Ao ût 1793) ou
les a rréra ges de pensions (loi du 9 Ju in 1853).
(2) C.E. 4 Fé v. 1938, Leb. p 129, C.E. 29 Oct. 1948, Leb.
597, C.E. 3 Nov. 1932, Leb. p . 905.
r
(3) c.E. 29 Déc. 19 11 casa nova, rec. p. 1263, l'administraI.
ne peut opposer la déC héance à une dem and e de restitu tioll
ci' un terrai n indûment occupé par elle ,depuis pl us de 4 ans:
cf C.E. 26 juil. 1844, Pelleg rini, Leb. p. 452, C.E. 12 Fév. 1857'
Dela ma re Leb. p 139.
(4) C. E. 4 Mai 1854, Leb. p. 380, c. e. 9 Mars 1854, Leb.
p. 175.
détenu es par un étranger, par un incapable, par une personne
morale pri vée et même pa r une collectivi té publi que.
III. -
,Point de départ du ctélai
Le délai <ie 4 ans ne court pas du jour ,d'e la naissance de
la créa nce mais du 1er janvier de l'exercice au cours d uquel
lelte créa nce est née. (5).
Le dél a~ ne se .co mpte donc pas par jour mais par année.
IJ en résulte qu e plus la date de la créa nce s'éloigne .dltl 1er
ja nvier de l'a nn ée en <:o urs, IYlus le délai. de la <léchéa nce est
réduit : (e x. un o créa nce née le 15 Ju in 1952 sera frappée de
déchéa nce no n pas le 15 juin 1956 mais le 3 1 O écembre 1955) .
D'au tre part, lorsq ue la créa nce est assortie d'un e cond.itio n o u d' ,", ter me, le proi nt de <lépa rt de la déchéa nce est
l' exercice au cours duquel la condition a été remplie ou
l' échéa nce réa lisée.
11 es t .parfois délica t de déte rm iner avec précision à q uel
exer cice apparti ent la -créa nce, nota mment en matière de r espo nsab il it é.
En .règle générale, le ;délai court d e l 'exercice au co urs
duq ue l est inter venu le fait do mm ageable.
'" peut, toutefois, en être autrement lorsque les conséquences
de ce fai t ne so nt apparu es qu'ultérieurement. Le cas se produit
Ilota mm ent en matière de dom mages de travaux publi<:s : les
conséq uences dommageables peuvent n'apparaître que plusieurs
mois ou plusieurs an nées après l' exécution des travau x. lOans
cett e 'hypothèse, le délai ne co urt que d'e la date de l'apparitio n
des dommages ( 1).
De même, en matière d'accident corp orel, le ~oint de d é~)ar t
du délai peut aussi être repo rté à une date ultén eure en raison
de la nécessité ,d'atte ndre la consolidatio n de >l'état de la vic·
time pour jlo uvoir apprécier de fa ço n certaine l'étendue du
do mm age subi (2) .
De to utes ma nières, le point de départ de la déchéa nce
est indépe ndant de la date où intervient la décision de justice
lorsque la créance a fait ,l'obj et d' une ! n sta n ~e co ntentleus.e. ~J1
effet, les ju gements ayant urt effet dec\ara~lf et . non attnbuh.f,
la créance ne I!ait pas du jour du prononce du Jugement" m~ls
à 'l a d'at e où ~e fait générateur est interve~u ou tout au mOi nS
à la da te o ù ses co nséq uences se sont mamfestées (3).
IV. -
Causes d'i nte rruption de lIélai
Le délai de 4 anS ne 'Peut êt re interrompu q~e ~a r J'Ul1 è
des de ux ca uses prévues il l'a rt. lüde la loi du 29 Janvier, 1811,
modifié c'es t-à - dire le recours en Jl1stlce ou le fait de 1administration.
1. -
Actio n en justice.
Le "délai peut donc être interrompu par une actio n en
jus ti ce introduite par le créa ncier.
L'action e n justice doit présenter certains caractè res. Elle
doi t nota mme nt :
--< être formée dans le déla i d e 4 ans ;
.
_ constitu er une actio n co ntentieuse ; une action en c~ n
ciliat io n q ui ne serait pas s ui vie ,dans le délai légal d' une achon
(5) Ju ris cons. C.E. 12 ja n. 1894, héri t. Dufourcq. Leb:
p 2 1 . CE 20 Déce mbre 1889, Bellanger, Leb. jl. 1 \90. Le dé;a~
d~ 4 ~ n; ~st dJorté à 5 ans lorsque le créa ncier est domi ci le
hors du teliritoire eu ropéen.
C.E. 24 Mai
(1) CB. 18 Juil. 1936, Beyra nct, Le b. p. 864 .
.
L b
??2
1938. Leb. p. 464.
( 2) CE 2 1 A,vri l 1950 ville de Perpig na n, e. p. -- .
. . 13 Janvier 1888,
'b
Le . p. 28 . CE
. ' 7 Fév . 1896 ,
(3) C.E.
Leb . .p'. 120,
en do mm ages intérêts serai t insuffisan te pour int errom pre le
déla i (1) ;
- tendre ex-pr essément au paiement de la créance contestée (2).
Toute a'Ction répondant à ces co nditions interrompt le délaI
de la déchéa nce même da ns l' hypothèse où elle aurait été
engagée dJevant une juridictio n incompétente (3).
2' Le fait de l'administration.
La déchéa nce es t éga lemen t interro mpue lorsque le ret ard
da n ~ le règlement de la créa nce est imp utab le à un fa it de
l'ad'minist rat ion.
La loi n'apporta nt aucune précision à ce t égard, il ap-part ient aux tri bunaux en cas de contestation, d'apprécier, dan6
chaq ue cas d"espèc~, si le retard es t imputable au céancier ou
à l ' Administration.
Ont été considérés co mm e ca uses de retard imputables à
l'admi nistration :
- le fait par l'administration de n'avoir pas do nné suite
à une demande de paiement régu lièr ement -formée par Je créancier ( 1).
La. deman de en paiement doit répo ndr e à certaines co nditions qui ont été <ié terminêes flar la jurispru dence : elle doit :
- être introd uite da ns le délai de 4 a ns ;
- être for mée par l'intéresse ou ses ayents- droits ou en
leur no m (2).
.
,.......... être fo rme'lIe . de simples réserves dans un proces-verbal
ou dans un acte si g~ifi é à l'autori té competente seraient insuffisa ntes pour interrompre le dé la i (3) ;
- être ac-compagnée de toutes pièces justificatives permettant de liq uider, o rdo nn a nœr et payer la créance (4) .
- être adressée à l'autorité co mpéte nte (5) .
- les (jétais mis par celle-ci à effec tuer le mandatement
de la créa nce lo rsque cette créa nce a dé jà été liquidée (6).
- ou le fait par une coHectivité, à l'occasion d'un marché
de trava ux, de n'avoir pas effectué la vérification du compte
définitif des t ravaux (7).
li ressort de ce tte jurisprudence que « le fait de l'adm i·
nistration » ne peut, en tout état de c~ use. être c~ns~it u é .q~e
par des retards, négligences ou fautes Imputables a. 1adminiStration et susceptibles de porter préjudice au créa nCier.
En co nséquence, l'Jccomplissement par l'A'dministratio ll
des opérations de liquid'ation, d 'ordonn a nc e m e~ t Ol~ ~e m ~ nd a
tement ne saurait être assi mil é au f: fait 'de 1ad minist rati on»
prév u ci-.-dessus et être co nsidéré comme des causes d' interrupt io n du délai'.
Cette rèO'le vient d'ëtre rappelée da ns llIl arrêt récent par
lequel le Con~eil d' Etat a précisé que « la délivrance d' un ma ndat
de paiement par l'admin istratio n n'a pas pour :ffet d.e faire
~our ir à nou veau le dé lai de la d échéance quad ri e nn a le ( 1).
(1) C.E. 1er, Ju illet 193 1, Leb. p. 709,
(2) C.B. 19 Mars 1932, Leb. ]J. 134.
(3) CJE. 10 No vemb re 1950, rec. p. 550.
(1) C.E. 20 ,juillet 1938, Leb. p. 692.
(2) C.E. 12 janvier 1894, Leb. p. 23 ; C.E. 19 Mars 1948,
L. P . 134.
(3) o.E. 13 mars 1852, Leb. p. 13-1 - CE. 27 décembre 1889,
Leb , p. 1220.
.
.
(4) C.E. 17 juin 1929, Leb. p. 680 . C E. 8 la nvler 1930.
Leb. p. 1 \.
(5) C.E. 12 janv. 1894 précité CE. 16 Oct. 1029, Leb. p. S9R
(6) C El. 4 mars 1904, Leb. p. 19 \.
(7) C.E. 9 déce mbre 1004, Leb. p. 804.
(1) C.E. 27 juillet 195 1, Leb. p. 435.
�\". _
Effet de l'interruption du délai
La question se pose de savoir dans quelles con-ditions la
ctéchéance recommence à courir après l'intervention d u fait
Interruptif.
Une distinction semble devoiT être faite à cet ~gard.
Lorsque l'interruption provient d'une demande en paiement
rrgulièrement présentée, le délai recommence à courir à compter
du 1er janvier de l'année en cours de laquelle l'administration
a fait connaitr e sa réponse (2).
De même lorsqu'il s'agi t d'une instance contentieuse le délai
cou r ra à nouveau à compter du début de l'exercice au cours
chJquel est intervenue la signature de la décision ôèfiniti ve (3).
Si l'interruption provient du fait de l'administration, n otam~
ment de retard3 apportés pa, la collectivité à 'l iquider la dette
ou à l'ordonnancer, après une demande en paiement r égulièrement formée, le délai est interrompu ails i longtemps que n'inten'ient aucune décision de l'administration ( 1).
n y a lieu, enfin, de préciser que lorsqu e la déchéance
recommence ft courir après l'intervention d'un fait inter ruptif, le:
créancier dispose d'u n nouveau délai de 4- anS pour obtenir
le paiement de la créance (2).
VI. -
Suspension des délais.
.4.ux causes d'interruption indiquées ci·df;SSUS il co nvient
d'ajouter les mesures gënérales de suspension du àélai de la
decheance Qua'ririennale édictée en raiso n d.es évcnements de
guerre par d,vers texies.
- le délal a été suspendu il l'egard de tous les mobilisés
rendant la durée de leur mobilisatio n, par le décret-loi 'l' 1er
Septembre 1939 ;
- en outre, le délai a été suspendu de façon génér ale, du
10 M<i 1940 au 30 Septem bre 1940 (par les lois des 16 j uillet
et 20 Août 1940) et du 6 juin 1 9~.\ au 3 1 Décembre f94.\ (dispositions combinées de l'ordonnance du 22 Août 1944 et de
1ordonnance du 30 Décembre 19+1 (J).
Par co ntre, ne -constitue pas de causes de suspension àu
cours du délai, le fait que le créancier soit tncapable - mineur
ou interdit (4) ou qu'il ait ignoré complètement l'existence
de sa créance (5).
V Il. -
Autorités qualifiées pour opposer la déChéance
La jur isprudence du Conseil d'Etat en la matière est tr ès
st.icte : seuJ l'ordonnateur peut opposer la déchéance.
En conséquence, pour les deites du département, l'exception de déc.héance ne peut ktre opposée que par le préfet ou
un fonctionnaire ayant reçu régu lièrement délégation à cet effet
(1) : Pourra de même opposer la déchéance le fonctionnaire
Isecrétaire général de la Prélecture) habilité à remplacer le
prefet en cas ti'empêchement ou d'absence de celui-ci (décret
du 23 juin 1950).
Pour la commune, c'est au maire qu'il appartient de l'opposer (2) ou, en cas d'empêchement, à l'adjoint (ou à un co nseiller
municipal) réguli èrement habilité il rempla cer le maire dans
(2) C.E. 14 juin 1933, Leb. p. 628.
(3) C.E. 26 juin 1935, Leb. p. 71 8.
(1) C.E. 10 .'Mrs 1937, Leb. ]l. 292 - C.E. 20 ju illet 1938,
Leb. p. 692.
(2) C.E. 12 Janv. 1894, Leb. p. 21 cond. Cre Gouvernt
I ~o meu - C. E. 17 Mars 1937, Leb. p. 344.
(3) C.E. 18 .\1 ai 195 1, ,Leb. p. 272.
(4) C.E. 13 janvier 1888, Leb. p. 28.
(5J C.E. 17 Mai 1895, Leb. p. 418.
(1) C.E. 24 juin 1949, Leb. p. 309.
(2) C.E. 24 j uin 1949 précité.
la plénitude de ses fonctio ns en apPl icat i o~ de l'art. 84 de la
loi du 5 A'VI il 1.884. Un adj Oint pou~ra,t egalement l'opposer
s'i l avait reçu speCialemen t delégahon a cet effet, conforméme t
il l'art. 821 de la loi du 5 Avril 1884.
n
U impo rte, à cet éga r d,. de noter que la .co llectivité Publique
ne saurait, au cours d' une IIlstance contentieuse, confier il SO li
avoué ou à son avocat le soi n d'opposer la déChéance (3).
En effet, si au cune fo rme particuli ère ne semble requise
pour invoquer la déchéance celle- ci do it, dans tous les cas, être
opposee par déc ision écrite et spéciale signee par l'ordon nateur.
V III. -
Contentieux de la déchéance,
ILe créa ncier ,de .la coUec ti vité peut être amené il contester
le bien fondé de la décision par laquelle l'adminislration lu:
(..lppose la 'déchéance quadriennale.
La question se pose alors de savoir devant quelle juridic.
tion il devra sel pourvoir contre cette décisio n,
L'acte pa r lequel l'administration oppose la déchéance pr~
sentant essentiellement le caractère d'un acte administratif, c'est
il la jurididion aàministrative et non aux tri bunaux judiciaires
qu'l I appartient d'en connaître, même si le co ntentieux de la
créance en cause r elève de la competence des tribunaux judi.
Claires (1).
D 'autre part, et à l'intérieur de la juridiction administrative,
c'est au Consei l de préfecture qu'i l appatient cle statuer en p"e '
mier ressort sur les questions de déchéance soudevées à l'occa·
sion des dettes des collectivités locales (2) so us rése rve d'appel
devant le Conseil d'Etat.
Les (ègles de compétence ci- dessus indiquées ne prêtent
pas à controverse lorsque l'action est dirigée à titre principal
co ntre la décisio n opposa nt la déc héa nce quad.riennale.
Des hésitations se sont pa r contre récemment manifestées
,lorsque la déchéa nce est opposée par l 'administrat io n à l'occasion d'une insta nce déjà en cours.
Dans ce cas le pri ncipe de la separatio n des autorités
administra tives et judiciaires semble également faire obstacle à
ce que les tribunaux civils puissent statuer, même à titre à'ex·
ceptio n sur la validité d'une décision administrative opposanl
la déchéa nce.
Cependant ,des décisions récentes intervenues à l'occasion
d'une pr écription analog ue à la déc'héa nce qu ad rienn ale prévue
en matiere de r équisition par la loi d u 23 D écembre 1946 ont
reconnu compétence aux t r ibunaux judiciai r es pour connaître à
titr~ d'eXICeption de cette prescr iption (3).
Certaill s commentateurs ont Cf U pou vo ir en déduire qUI!
ces ,décisions co nstituaient un revirement Ide la ju risprudence et
qu'à l'avenir la même solution serait admise en matière de
tiécy,éance quadriennale (1).
j'estime 'Po ur ma p art, qu 'e n l'absence de décisions en c~
sens, portant expressément sur la déchéance quadriennale, Il
(3) C.E. 22 Novembre 18R9, re. p. 1056 _ C.E. 24 JUin
1949 préc.
( 1) 'C.E. 23 Mai 1952, Vve Merlin.
(2) C.E. 16 Mai 1950, Lebourgeois et Zimmerman n. C.E. 23 Mai 1952, Vve Merli n p réc. Ces 'décisions conshtuent
un revirement de juri5:pr uden ce car 'jusque là le Conseil d' ~tat
se reconnaissait seul compêtent pour connaître des q u est~ong
relatives il la déchéance quadrie nnale. Il y a li eu d/ailleurs d observer que le recours ,clol1t il s'agit est un re cours de plel,"
co ntentieu x et non un r ecOurs pour excès de pouvoir. En CO,J1:e·
quence, il n'es t pas ,dispensé devant le Conseil d Etat du mlll lS "
tère d'u n avocat (ClE. 26 Mai 1937, Leb . p. 524).
(3) Confi. 7 décembre 1950, S 195 1 3. 16 _ C.E \1 j allvier
1952, Saint-Chamas.
(1) Note sous ConH. 7 décembre 1950 préci té.
convient de se référer à la jurispru dence ,' nte
.'
"
.
d " '1 é 1
venue Jusqu a ce
Jour , ou 1 r su te
que
les
tribunaux
J'udic',a',res
sa
t
.
.
.
•
(
Il I1lcompet e~ts, pOlur ~?nt~laltre, de la déohéance quadriennale tant à tit re
prl nc,pa QU a ,tre d excepti"n (2),
Un rôcent det important arrêt du Conseil d'Etat relatif il la
dé c1leance qua n Cli nale parait d'ai lleu rs .co n'·
. tt e Juns. .
,,rnle r ce
pru d ence (3) ,
En conséq uence, lorsq u'une collectiv ité locale esl
'0"
.
'b
l ' d' . .
asslbnee
deva.n t un t fi t~na JII IClalre - (par exemple en application de
la lm du 16 avn l 19 14) - et Qu'elle se trouve amenée il opposer
I~ dechéa nce quadnenna le, Il h11 appartient, si l'exception de
uéC'h éal~ce est c~l1testée par SOn adversaire, de déposer des
conclUSIOns aux fins de sursis à statuer jusqu'à ce Que la q e _
.
t
1•
, \1 S
hon SO I tranc lee pa r le tribunal ad'ministrati f compétent (4).
IX. -
Caract ère d'ordre public de la déchéance
II ressort de l'ensemble des décisions de jurisprudence intervenues en la matière que la déChéa nce quadriennale doit être
l'onsidérée comme une règle d'ordre 'Public.
De ce caractère d'ordre public il résu lte que la déchéa'lce
peut êtr e invoq uée à tout moment et qu'elle présente lin
caractère obligatoire.
1° La déchéance peut être invoquée à tout moment.
L'a1d ministration peut invoquer la decheance quadriennale
en tout état de cause,
En conséquence, la déohéa nce peut être opposée dès la
demande de paiement présentée- par le créa ncier et jusqu'à ce
qu e la ,dette ait été total ement payée.
Elle peut notamment êtr e opposée
- après l' ordonnancement de la dépense (1).
- après le man da tement (2).
- après le paiement partiel de la créance pour la part ie
no n réglée (3).
Il co nvient, à cet égard, de préciser que l'administration
peut opposer la déchéance après cha cune de c:es Ol)eratio ns
sojt qu'elle ait négligé de le faire antérieurement bien que la
déchéance ait été déjà encourue, .soit que le délai de la
déchéance ne soit venu à expiratio n que postérieurement il l'inter vention de l 'une de ces opérations (4).
IDe même la ,déc héa nce peut êtr e opposee au cours d' un
pro cès 11011 seulem ent en première instance mais aussi et pour
la première fois en appel (5).
Enfi n, même après la décision .définitive intervenu e sur le
fo nd de l'a ffai r e, l 'administration a en core la possibili té de se
.(2) C.E. 7 Fév. 1896, Leb. p. 120 - C.E. 22 Déc. 19 16, Leb .
p. 554 - CE. 1er juill et 193 1, Leb . p. ï09.
(3) O.E. 23 ""'ai 1952, Vve Merlin précité.
(4) C.E. 1er Juillet 193 1 précité.
( 1) C.E. 12 Aoûl 1879, Leb.p. 656 - C.E. 14 Mai 1933, Leb.
p. 620.
(2) C.E. 21 juin 1944. Mosken _ C.E. 27 j uillet 1951, Leb.
p. 435.
(3) C.E. 5 Août 1925, Leb, p. 8 12.
(4) C.E. 27 juillet 195 1 précité.
(5) C.E. 24 Mai 1938, Leb. p. 150 _ C.E. 22 Déceml,," 19:16,
Leb. p. 114 1,
prévaloir de la dé(,lhéance si elle ne l'a pas fait au cours du
proc.s (6).
Toutefois la collectivité locale aura soin de ne pas attendre
qu'une condamnation au fond soit intervenue pour opposer la
déc héan ce car elle aurait alois il supporter inutilement les frais
de l'instance. De même, elle devra faire valoir le moyen de la
déchéa nce en première instance et non en appel afin d'éviter
que les dépenses de première instance ( 1) et meme al>pel (2)
ne soient mis à sa charge à titre de frais frustratoj r es.
19 19, Leh. p. 876 - C.E. 1er Mars 1944, Leb. p. 7 \.
En effet, ma lgré le caractère d'ordr e public de la déchéa nce
quadrie nnale, et en raison du fait que seu le l'a utorité chargée
de l'ordo nnan cement des dépe 1lses peut J'opposer, les tribu nau x
ne peuven t invoquer d'oHire la déchéance.
2" La déChéance présente un caractère obligatoire.
En raison ,d u caractere d'ordre public de la déchéance le~
collectivités locales ne sallaient renon cer à l'opposer,
En conséquence, lorsque la déchéance se trouve enco urue,
c'est-à 'dire lorsque un délai dl! 4 ans s'est écoulé depuis le fait
gé nérateur de la créance et qu 'aucune cause d'interruption ou
de suspension ne peut être valablement invoquée par le créa ncier, l'administration est tenue de faire va loir la déchéan ce à
,'encontre de ce créa ncier
En effet, la créance se trouvant légalement étei nte, le fait
par l'ordo nnateur de procéder au rét.tlement de la dite créan ce,
equivaudrait à un e libéralité effec tu ée au détriment de la collectivité.
Aussi le comptable pou rrait il su rseoi r au paiement du
mandat émis en réglement d' une créance lui paraissant attei nte
par la déchéance q uadrienn ale dans les conditions prév ues par
!'arlicle 1003 de "Instruction Générale au 20 juin 1859 en renvoya nt le créancier devant J'autorité mieux informée. Si l'ordonnateur maintient sa décisio n le comptable ne pourrait que s'incliner mais la Cour des Comptes ne manquerait pas alors de
rappeler que la déchéance étant d'ordre public, les ordonnateurs
locaux ne peuvent y renoncer.
j'ajoute, que si une assemblée locale décidait de voter une
ùurerture de crédit destinée au .réglement -d'une créance frappée
de déchéance quad riennale, cette déliberation ser ait susceptible
d'être considrée co mm e nulle de dr oit et ne dev,rait pas être
approuvée.
.'.
Vous voudrez bien vei ll er à l 'app licatio n des règles CÎdessus rappeléese et les port er à la connaissance des municipali tés en appelant leur attentio n sur J'im.portance que revêt
l'application de la déchéa nce quadri ennale, tant en matière de
responsabilité, qu'en matière contra.ctuelle.
Pour le ,\\inistre de I"lntérieur et par délégation,
Le Préfet,
Directeur de J'Administration
dépa rtem entale et com munale,
P. DAMELON.
(6) CE. 22 No l'. 1899, Leb. p. 1066 - C.E. 28 Nov. 19 19, Leb,
p. 8ï5 - C.E. 1er Mars 1 9~4 , Leb. p. 7\.
( 1) C. E. 16 Décem bre IYOO, Leb. p. 875.
(2) C.E. 29 Décembre 1948, Barthélemy Cayrot.
247
246
�D2B3-f3
SUSPENSION PROVISOIRE DE LA PERCEPTION DE LA TAXE LOCALE
FRAPPANT CERTAINS PRODUITS ALIMENTAIRES
j'ai J'honneur <ie porter ci-dessous il la connaissance des
Maires Idu département, à titre.de prerni~re information, le texte
de la circulaire ministérielle n" 362 du 28 Septembre 1953 con cernant la suspension provisoire de la perception de la taxe
locale, frappant certains 'Produits alimentaires.
Pour le Préfet,
Le Secrétaire Généra l,
Signé: Ma"ime MIGNON.
Paris, le 28 Septem bre 1953.
Le Ministre de lïntërieur,
à J\L~1. les Préfets (~tétropole, Algérie
et départements d'Outre-Mer.
Un décret du 5 Seplembre 1953 pri en exécution <le l'article
7 de la loi n° 53-611 du II Juillel 1953 portanl redressement
économique et financier suspend, jusqu'au 3 1 Décembre 19 53,
la peN.'eption de la taxe sur les transactions et de la taxe .ocale
afférentes aux operations de vente concernant un certain nombre
oe produits de consommation courante.
Vous trOm"erel sous ce pli, un extrait de la ci rculaire
n° 3,738 du ï Septembre que l~\. le Min' t .. e des Finances et
des A tfaire Economiques (Direclion Générale des Impôts, Contributions Indirectes) a adressé aux ,Directeurs dépa rtementaux des
Contrihutions Indirectes en vue de préciser les cond itions génér"les d'application du décret du 5 Septemb re 1953,
La liquidation des sommes que l'Etat devra ve rser aux
Colleet:v ités locales pour tenir compte de la perte de recettes
résultanl pour elles de la suspension d ces taxes, fera l'objet
des mesures suivantes :
1 Les redevables seront invités à porter -dans leu ur s déclarat ions de chiffre d'affaire le montant des transactions exonérées par l'ap;>lication des dispositions qui précède nl.
2" Les bases ainsi dégagées serviront à déterminer les
sommes que l"Etat dena re\'erse r aux ùépa rtements l communes
ou au Fon ds National de Péréquation ; le décompte en sera
fait commune -par commune et chaque mois pour les communes
dépassant le minimum garanti et en une seu le fois en fin d'année pour les autres communes.
(1
•
Les dispositions pratiques relalives il la liquidation et il
l'ordonnancement des indemnités compensatri ces fero nt l'ob j et
d'i nstructions ultérieures que je vous comm uniquerai dès qu'elles
auront été définitivement arrêtées.
L. MARTINAUD-D6PLAT.
....... , , ., ...... , ......., ... , , : , .....
Un "écre t n" 53-812 du 5 Septembre 1953 publié au J. O.
du 6 eptembre 1~53 pris en exécution 1e 1article 7 de la loi
n° 53-611 du Il Juillet 1953 porlant redre sement économiqlle
et financier suspend jusqu'au 3 1 Décembre 1953, en ce q"i
concerne un ce rtain nom bre àe pro èu its énumérés à l'article 1er
audit décret la perception de la taxe sur les transactions et de
la taxe locale afférentes aux opérations de \'ente réalisées par Ils
personnes autres que les producteurs ainsi qu'aux opérations de
commiss ion et de courtage.
La présente instructio n précise les conditions générales
d'application de ce texte.
1. -
OBJET Df. LA M6SURE
La mesure consiste non dans une exonération mais da ns
la suspension pendant une période dClerminée de la percep tion
de la taxe su r les transactions (1 % ou 1,80 %) et de la ta xe
locale (taux ordinaires ou taux majorés) qui seraient normalement exigibles au titre ries opérations commerciales visées.
La taxe spéciale Gf 2 % prévue à l'arlicle 16 1d du C.G.1.
demeure donc en toute hypot hèse exigible co nformément aux
dispositions en vigueur.
II. -
de la taxe sur ~es transactions et de la taxe locale des encais'
sements effectu.es au cours de la pério'de d'application hénéficient
de .Ia ~uspe n slO n sa~s Co nsidérat ion de la date effective de
réalisation des operations.
Portée de la mesure
D5 BI - TVX 0
a) Personnes, - So nt exclus du bénéfi ce de la mesure les
im por tateu rs et les producteurs.
La taxe sur les transactions co nti nue à être perç ue par la
douane au t itre <les imfJortatio ns -des pr oduits en ,ca use.
La perce p~on de la taxe sur les transactions et de la taxe
locale se trouve suspe ndue en ce qui Concern e les r eventes en
l'état faites par les impor tateurs à destination de com merça nts
non prod ucteurs ou ùe simples particuliers.
Ces importateurs simples négociants qui précédemment
bénéficiaient odes dispositions de l'art, 93 de l'A,nnexe III du
Code Géneral des Impôts n'ont plus complément d'impôt à
acquitter sur la diffé-rence ent re la va l eur taxée il: l'importation
et le montant du prix de vente des produits im portés. tMais,
toie n entend u la taxe ,d e 1 % payée en douane demeure acquise
au trésor et ne peut fai re l 'objet d'au.cune imputation Sur la
taxe due au titre des ventes d'autres marcf,landises.
En ce qui concern e les produ cteu.rs et les négocian ts
producteurs, qu' ils soient ou non importateurs, ils continue r.t
à so um ettre à la taxe sur l es transactions leu rs ve ntes de
'produits fab riqu és et leurs reventes en l'état de prod ui ts d'achat
i\ des prod ucteurs. Les producteurs ve nda nt au détail demeurent
egalement passibles de la taxe sur les transactio ns, mais ils
n'ont p lus à acquitter la taxe locale.
En définitive, exception faite des importateurs et des proc ucteurs, tous Jes commerçants, g,rossistes ou détaillants, ainsi
que les groupements d'achats en commun co nstitués entre
commerçants ou entre particu li ers n'ont à acquitter ni la taxe
su.r les transactions ni la taxe locale au titr e de leurs ventes
portant sur les produi ts vises,
111. -
Obligation des redevables.
Conformément a ux dispositions gé néral es en vigueur et
notamment à l'arti cle 297 du c.G. I., les opérations visées par
le présent décret seront suivies séparément dans la co mptabi lilé
des redevabl es et toutes les justifications utiles devront être
fournies aux services de vé rification touch ant\ la nature exacte,
la qua ntité et la valeu r des produits vend us,
Enfin, dans leur rdéclaration mensu el le de chiffr e d'a ffai res,
les redevables intéressés dev ront i n'CIiquer le montant des affaires
pour lesquelles la perception de la taxe SUit" les transa ctions et
de la taxe locale es t suspendue. Cette indicat ion sera porl ée
de la façon suivante, à la suite ,de la ligne « montant des
affaires à (l'exportation ), figu rant sur les imprimés CA 3 ou CA 4
c Produits alimentair es et de ménage :» visés par le décret
du - - - Les bases ainsi dégagées seront prises en com pte à une
li gne d'ordre et serviront à déterminer les sommes que l'Etat
devra re verser aux communes, aux départements ou au fo nds
National de Péréquation pour assurer la compensation des pertes
de re cettes subies par les collectivités locales.
Le décompte en sera fait co mmun e par commune et chaque
mois pour les comm unes dépassa nt le minimum garanti, en une
seul e fois, en fi n d'an née pour les autres communes.
, IV. -
En l'absence de dispositions transitoires, les marchandises
détenues aux différents stades de la commercialisation à la date
d'entrée en vig ueur du décret n'ouvrent droit à aucune restitution ou imputation d'impôt.
AUTORISATION DE PENETRER DANS LES PROPRIETES PUBLIQUES
OU PRIVEES, CLOSES OU NON CLOSES
ARRETE
ies autorisatio ns antérieurement do nnées pour le territoire des
A LIMENTATION DES BOU.OHES-DU-RHONE PA I~ LES
com munes traversées par le projet i nitial.
E.AUX ,oU VEiRDON
ARRETE:
Projet d'extension du canal du Verdon (2" et 3" tranches)
ARTICLE PREM IER, -
Sont confirmees les dispositions de
l'Arrêté Préfectoral du 12 Novembre 195 1, relatif aux éludes
Etudes et implantations >des ouvrages
et implantations des ouvrages ·du projet d'extension du canal
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
du Verdon, qui autorisent les Ingénieurs, agents et ouvriers
Officier de la Lé gio n d' Honneur,
chargés de ces études et implantations à pénétrer da ns les
Vu la loi du 29 Décembre 1892 sur les dommages à la
propr iété p rivée par l'exécutio n des travaux publics i
propriétés privées Ou publiques, closes ou non closes sur le
territoire des communes de Fuveau, Mimet, Gréasque, Belcodène, Sain~-Savollrnin, Cadolive, Peypin, La Bouilladisse, La
Vu l'arrêté pr éfectoral du 12 Novem)}re 195 1, relalif aux
Destrousse, Auriol, Roquevaire, Aubag ne, Oémenos, \Cuges, La
études et implantation s 'd'o uvrages et à Il au tori sation de pénétrer
Penne-su-Huveaune, Allauch, ,plan-de~Cuques, Marseille, Roque-
da ns les propriétés, don née aux In génieurs, agents et ouvri ers
fo rt-la-'Bé<1oule, Cassis, La Ciotat, Ceyreste.
chargés des études et implantations des ouvrages du projet
d~ex tension
du canal du Verdon ;
Vu la délibération du Conseil Général des Bouches-duRhône du 20 Décembre 1952, relative à une deuxième tra nche
Oe travaux d' extension du cana l du Ver don i
ART. 2. -
Ladite autorisation est étendue aux co mmunes
de Puyloubier, Rousset,
Châteauneuf-le-Rouge,
Saint-Antonin-sur-Bayon,
Saint-!\o\arc· Jaumegarde,
Beaurecueil l
Vauvenar-
gues" Le Thotonet.
ART, 3. ~ Le présent arrêlé sera publié et affiché dans
Vu le rapport du 8 Octobre 1953 de M.. l' Ingénieur en Chef
du Génie Hural, ohargé du Service spécial de la Durance ;
Co nsidérant ,q u'il co nvient de prendre toutes mesures pour
toutes les Communes intéressées et inséré, en outrel au RecueIl
des Actes Administratifs et dans un journal du Département.
ART, 4. -
M. le Sous"Préfel d'Aix-en-Provence, MM. les
. que les Ilngénieurs, agents et ouvriers qui concou,rent aux études
Maires des Communes intéressées aux tra va uxl ~\I\. l' Ingénieu r
et implantations Ides ouvrages du projet d'alimentation des
en Chef du Génie Rural, ch3rgé du Service Spécial du Bassin de
BOllches-du-lfhô ne pa r les ea ux du Verdon (2 et 3 tranc'hes du
la Durance sont char gés, chacun en ce qui le co ncerne, de
projet d?extensio n du cana l du Verdon) n'ép rouve nt au cun empê_
l'exécution du prése nt arrêté.
t
e
cheme nt de lia part des pro.priétaires et locatai res des terrains
sur lesquelS ces opéra tions doivent avoir lieu ;
Considérant qu'il y a lieu d'étendre au territoire des co mmunes intéressées par les nouveaux tracés des canaux du projet
Marseille, le 12 Octobre 1953,
Pour le Préfet,
Le Sous-Préfet, délégué,
Directeur du Cabinet,
Signé : PLETTNEl~ ,
Date d'entrée en vigueur et période <l'application
Le décret est entré en vigueur dans les délais normaux de
promul gatio n. Il est applicable jusqu'au 3 1 Décembre 1953
dans la Métropole et da ns l es départem ents d'O utre-Mer (~ar
tnique, Guadeloupe, Réunion). çompte tenu du fait générateur
l49
248
�COMMUNIQUES
------
AVIS - ANNONCES DIVERSES
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
.
5. 12
••
••
A lpes-Marit imes, Serv ice Départemental
de la Prote ct·Ion C··
·
IVlle
1eur ct ema ll d e, acco l11'pagnee d' uil cert ificat méd lc 1 ct'
. '
. b'
a
aptitude
·
p 1l)'slque cta Il pa r un praticie-n assermenté de mnde'"
'.
'. 1
.
t 1 d"
. ,
'- dne O'e ne_
1(; e s~lva,~ :Sté' ISpOSltlOllS co nte nues dans les articles I ~ 2 3
e 4 e arre \ en date du 16 ju ill et 1953 dll I",r . t '
l' Interieur.
llll S re de
POlir le Préfet
Le Sous..iPréfet, Directeur du 'Cabinet
Signé: M . CEUVRARD.
.
~UtJ~" ér~
.
• 5
,
.
RÉPUBLIQUE
SESSION D'EXAMEN D'APTITUDE A L'EMPLOI
DE SAPEURS-POMPIERS PROfESSIONNELS
En conséquence, les candi dats à cet examen doivent avant
le 10 Novembre 1953, adresser à M. l' Inspecteur Départ~menta l
oes Semees dïncendie et de Secours, Cabinet du Préfet des
~I
_.0
:;-\
FRAN ÇAISE
j'ai l'honneur de vous faire conna ît re qu'une session des
examens <i'aptit.u~e à l'emploi de Sapeu rs-Pompiers Professionnels est orgamsee dans la deuxième quinzaine du mois de
No\'e~bre il Nice, conformément aux presciptions de J'article 99
<!~ decret d~ ï :Mars 1?53 et de larr"té du 18 juillet 1953 d u
hl1lstre de 1 Inteneur determinant les conditions de recrutemen t
des Sapeurs-Pomp iers Professionnels.
Ir:? !
/'
DES
ACTES ADM 1N ISTRATI FS
ET BULLETIN DES MAIRIES
•
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
FS 7. F 4. -
Hôpitaux e! hospices publics - Réforme de la Comptabilité
252
Prêts du Crédit AJgrico le aux collectivités publiques rurales
253
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
•
Pou r le Préfet et par D élé aation
Le Secrétaire Général ~
,
AG 4. _
Composition des Consei ls Municipaux - Rectificatif au B.A.M. spécial de jui·\(et 1953 ..
253
AG 5. -
Ci rculaire du 3 \ octobre 1953 relative à (' al>plication du décret n' 53-9 14 du 26 septembr e 1953 portant simp l if;cat ion de form aliMs administratives et de l'arrêté: du 26 octobre 1953 prévu à l'? rti cle 3 dudit décret. .... .... .... .... .... . ... .... .... ... .
254
AG 2. _
Remboursement des !frais de déplacement engagés par les agents des collectivités locales
256
TV X 5. -
Marchés des collectivités loca les. . .. . . . . .... .... .... .... .... .. .. .... .... ....
257
F 2. __ Frais de fonctionnement des justices de Pai x et des Tnbunaux de Simple Police. . . . . .
257
TVX O. __ Curage de la rivière < Toul oubre > - Arrête du 28 octobre 1953 autorisant l'occllpatian temporaire du terrain ......... ,.. .... . .. . .... .... .... .... ... . .. .. ,...
258
Maxime M IGNON.
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
_
Il
Dons et Legs .... .... . ... .... . .. . ... . .... .... . . .. . ...
Examens radioscopiques - Agrément d'un Médecin ... . . .
Avis de conco urs : l ' - Préfecture de Police
2° - Mairie d'Aix-en-Provence ....
Demande d'emploi . .,...... ... . . ... .. . . . .. - .... ... . . ... ... . ....
Communiqué de JrUnion des Maires sur l'adhésion des Mûries à un service de Médecine
du Travail . . . . .. ... . .. . ... .... ... . .... .... .... .... .... . . .. ....
259
259
259
260
200
260
ABR~VIATIONS. _ A. P. : Arrêté préfectora l. - C. . Circulaire. - Les lettres 0 et B suivits d'UD chiffre
indiquent le Service ou Bur eau d'origine. -;- D. S: T . . : Dir.ec tion des Services TecbniQ~es. - D. D. S. : Direction
Départementale de la Sauté. - D. D. 1. : Direction Depa rtementale de la Population.
250
------------------------------~I:~~P.~,:;.>œ.~'.~N~.O~~~.~,~,~~~~;:
.-~~~=_--~~------------------------- --------DB -.-nILU:, 120, ru~ S.iQt~
�TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
D3 82 . FS7
Le Ministè re de la Sante Publique
et de la Population
à M:\l les Préfets,
Aù't les Di recteurs Dépa r teme nta ux
de la Population et de l 'Entr ' Aide
Sociale.
A'oul'elles mesures d'application du Plan Comptable .
Pour diverses raisons d'ordre technique et de bon ne administration, i! ne parait pas possible de pre\'oir pour le 1er
janvier 195-+ une nouvelle etape générale pour l'extension du
plan comptable dans l es Hôpitaux et Hospices publics.
Toutefois, il me parait nécessaire de mettre e n place, da ns
chaque r égion sanitai r e, de nouveaux établisseme nts pilo tes
selon les modo lités suivantes :
etaiJJ!ssement de 200 à 500 lits,
- 1 établissement de 100 à 200 lits,
- 1 étaolissement de moins de 100 lits.
La désignation de ces établissements se ra faite pa r le
P~efet du Département siège, su r proposition du Directeur
Departemental de la Popul ation et de l'EntrAide Sociale qu i
~e sera, au préalable, assuré la collaboration de l'Administr ation Hospit alière intéressée et aura pris l'attache du T r éso r ierPayeur gen"ra!.
Il appartiend ra à l' Inspecteur Divjsio nnaire de la Population et de l' Entr' Aide Sociale d'examiner les propositions fai ·
tes par les Directeu rs Dépa rtementaux et d'indiquer les établissements qU! devront être. r etenus -en définitive.
Il y aura, bien entendu, j ntérêt à teni r compte lo rs desdites dësignations, de la nature même de l'Etablisseme nt., des
possibilités qu' il offre, notamment en matière de perso nnel.
j'attache lE plus grand prix à ce que les établissements in téressés soient designés de toute urgence et que la liste m'en
adressée dans ~s meilleurs délais. IL€S instr uctions nécessai res
à l'application de la nouvelle comptabilité leu r seront immédiatement envoyées pa r mes services, ainsi qu'aux autor itês
locales de tutelle et de contrôle.
Par ailleu rs, vous voud r ez bien m'indiq,que r les admi nistIations ho plt"lières qui, de leur propre gré, tiennent à mettre
en œuvre la nouvelle comptabilité afin qu'il me soit possible
de leur adres3t'T également toutes instr uctions utiles.
Amortissements.
Un certain nombre d'établissements de plus de 500 lits
n'ont pas malique de manifester quelque inquiétude du fait
qu'aucune instruction ne leur était pan'enue pou r la mise en
application des amortissements dans leu r comptabi lité. Il s'agit
:à d'un problème qui présente encore un certain nombr e de
difficu:Jtés et Qui fait 'l'objet à l'heu re actuelle d'u ne étude approfondie de ! ~ part des se rvices mi nistér iels intéressés.
Quoiqu'il en soit, il apparaît que la mise en Œuvre des
amo rtissemenr, telle qu'elle est prévue par le Plan Comptable
Général , ne pourra devenir effective pour le janvier 1954. Des
dél ais assez long sont en effet à pr évoi r pou r abouti r à une
évaluation du patr imoine hospitalier à partir du moment où
les instructions nécessaires auront pu être données,
252
l-
HOPITAUX ET HOSPICES PUBLICS
Réforme de la Comptabilité - Nouvelles mesures d'application
Amortissements - Présentation des factures par les fOurnisseurs
P.ar is. le 2i Octob re 1953
02 83 . F 4
PRETS DU CREDIT AGRICOLE AUX COLLECTIVITES PUBLIQUES
RURALES
Application du décret n' 53- 98 1 du 30 Septembre 1953
Par is, tle 17 octobre 1953
Le Mi nistre de Il' Agr icultu re
à Messieurs les Préfets
En conséql;ence, les établ issements app l iq ll ~ n t dep uis le 1er
ja nvier 1953 la nOlLveli e compt ab il ité Ipr ocèdero nt au budget de
1954 de la même m aniè re qu'au budget 1953 pou r cette caté_
gorie de d~pe!1ses.
Prt!senfa tioTl des factures par les Fournisseurs,
Pa r ailleurs. mon attention a été appel ée 'par des fou rn isseur s des hôpitaux flublics sur le fait que cer tai ns de ces éta.
blissements qui appliquent act uellement Ua nouvell:e compta_
bilite hospitalièr e, auraient avisé leurs fo urnisse urs qu'ils devraient désol'1mais fact urer l es marchari dises en incor porant
da ns le pr ix il l'u nité, les f rais de po rt et d'emballage, ai nsi
que les taxes décomptées j usq u'à pr ésent à pa r t.
Je pense que cette ex igence des établissements bo&pitalie rs trouve sa sou rce da ns des r aisons de commodité comptable, mais il co nvient de remarq uer que la facturation ainsi
ctab lie il une incidence sur l es 'pr ix r é-C'lamés aux hôpita ux.
En effet, si l es f r ais de por t et .d 'emball age so nt incl us
da ns le pri x de base, les taxes devront être calc ulées non ,plus
sur la se ule vâ leur de la mar chandise, mais sur cette valeur
ma j orée du ~oùt du t r anspo rt et de l'emball age, d'où augmentation du pr ix unita ire.
E!1 outre, ces diver ses inco r porations entraîneront une
maj oration des comm i:-.sio ns payees pa r les négociants aux
représentants. puisque ces commissions so nt calcu lées su r le
pr ix facturé.
Il en résulte donc que l e pr ix uni ta ire de base resta nt par
ail1leurs constant, le pr ix fact uré aux hôpita ux se ra -e n hausse.
Je ne crois pas avoi r ,b'tsoi n de so uligner davantage les
co nséque nces d' un tel état de choses qui or ée une cha rge s~p
piémentaire pou r l es hôpita ux, dharg,e qui se répercuterait néce ai r ement t'u r les pr ix de journ ée, C'est pou rquo i je vo us
se rai obli gé de vo uloi r Ibien appeler l'at tent ion de ceux <l es.
établissemenrs de vo tre dépar tement qui appl ique nt la nouveUe
comp tab ilité ,u r le fa it qu'il co nvient d'abando nner de tels
errements da ns le cas où i~1g les auraient suivis.
rDans ces cond it io ns, l es établi ssements intéressés devront
demander à I,;?:u rs fo urn isseur s de r tveni r à la facturatio n ancienne en d issocia nt le pr ix des ma r c'handises, les frais de
po rt·, les f r ai5 d'emba ll age, ainsi que les taxes. Il appa rtiendra aux administrations hos,p italiè r es elles-mêmes de procéder à une venti lation des cfiéd its i nsc r its à leur budge t aux
comptes 600, GOl, G02, 603 (. A!limentation - Matières premières - Matiè res et Four'n itu res consommables - Produits phar,
maceutiques » en les r épart issa nt ent re :
- d 'u ne part, l ~s di t s COITIiplreS 600-60 1-602-603,
- d'autr e pa r t, le cnmpte 643 « Frêt et transpo rt sur
achats JI "
- enf i n, l e co m pt~ 607 (à ouv r ir éventuellement au budget) « Ac'hats et consignatio ns d'emballa ge ».
Vous voud rez bien po r ter d' urgence les présentes instructions à la co nnaissance des établi ssements hospitaliers intfressés et me teni r au co urant, évent uel'lement, des difficultés
que po urrait r encontrer leur applica ti on,
PDur le Ministre,
Le Chef de Cabinet,
BERARD,
j' ai l' hcnneu r de vous infor:mer que le déc ret n<> 53-98 1 du
30 sep t emb r e 1953 (J.O. du 1er octobre 1953) r elatif au Crédit
agri cole mutuel, tend il 1:1 simplif!ication et à l' unif ication des
méthodes d'attrib ution et de réa lisatio n des prêts.
En pa rt iculier, les prêts à long terme aux collectivités publiques rur aleg pour l'eXléc ution de tous travaux d'équipement
qui l eur incombelltt dans le cad re du Plan de modernisation et
d'éq uipement ~e ront déso rmais soumis aux mêmes règles défini€S il l'articl e 149 du texte annexé au décr et du 29 avril 1940
portant codification de:; dispositions législatives régissa nt le crédit mutuel et la coopération agr icoles, modifié par l'article 6
du décret n° 53-98 1.
D 'a ut re part, les dépa r temen ts se trouvent autorisés, au
même titre que les com munes et les syndicats de communes, il
fai re appel au co ncou rs du Cr édit agr icole.
Ces collectivités n'auront plus il limiter l e montant de lieurs
demandes d'empru,n t aux plafonds antérie:uement prév'us ,pa r
la législ at ion, ces dis.posi ti ons aya nt ,été ab rogées par le no uvea u texte.
*
**
les prêts co nsenti:; en vue de l'établissement ou de J'exp l oitation des résea ux d'électricité au titre de la loi du 2 août
1923 r elèvent de ces nouvelles prescriptions.
L'a rtiole 7 du déc ret n" 53-98 1 en abroge en effet les art icles 171 à 176 du Cod. du Crédit agricole reproduisant les articles 2, deuxième alinéa, 3, 5, 8 et 9 de la loi du 2 aoÏlt 19Q3.
De ce fait, le décret n" 51-556 du 10 mai 195 1, portant rè·
glement d'administrati on publique pour " exécution de ladite loi
es t également abrogé de même qu e l'arrêté du 6 décembre 1950.
L a procédur e d'attri but ion des prêts d' électnfication se
trouve ainsi modifié: les demandes qui, en application de l'a rt iole Il du rè glement d'adm inistr ation publique, devaient pa rvenir il l a Caisse natiollale, de crédit agr icole par l'intermediai-
1
re du Préfet, accompagnée de son a",is, et être soumise,s à l a
Commissio n cOllsultativf' ,prévue par l' artiol e 3 de la 101. du 2
aoùt 1923, se ront do rênavant présentées à la Ca isse natIO nale
de crédit agr ico le so us la responsabil ité des caisses régionales
de crédi t agricol e muÏllel.
Les sommes .corre<;pondant aux prêt s acco rdés se ront versés aux collect ivités emprunteuses pa r la Caisse de Crédit Agri co:e qui se ra fgal~rnent chargée d'en pou rsuiv re ensuite le reco uvrement.
.Les moda lités nou\'elles du décret du 30 septembre 1953
sur lesquelle;; j'appelle tout par ticuliè rement votre attention
entrent lIli médlatement en vigueur,
Les demandes de prêts en instance à voire Préfecture doi
l'en t en conséquence êlle transmises à la Caisse régionale de
crédit agricole mutuel du département. Cette institution a reçu
toutes instructions utiles en \'ue de procéder à l'examen desdites
demandes.
r
A compte r du 1er janvier 1954, Ile recouvrement des prêts,
quelle que 50:! la date de leur attr i.bution, sera assu ré par les
ca isses de crêdit agr icole mutuel.
A cet éga rd, permettez-'moÎ d'a!ppele.r votre attention sur
l' intéret que présente le r èglement par an t icipat ion par les collectivités emprunteuses du SOlide des prêts, lorsque le capital
restant dû ne représente qu'un faible montant.
Ainsi que VOliS le soutlignait mon Départem ent, par dépêche
du 18 juin 195 1, l'amortissement antic\pé des prêts accordés
Su r lesquels les rembou rsements r estant à opérer ne représentent plus que quelques bemestrialit ' s, permet de r édui re notablement le nombre des règlements à effectuer, sans inconvénient
pour les collectivités intéress~es, eu éga rd aux sommes en cause,
Vous voudrez bien porter à la connaissance des collectivités de 1'0 Ire departement qui entreprennent des travaux d'établissement Oll d'exploitation de réseaux rural!X d'électricité les
nouvelles mesures que je viens de vous exposer afin que cellesci, prises dans le but d'accélérer la mise en œuvre du concours
du Crédit Agricole et de le rendre par là-même plus efficace,
puissent, sans retard, entrer en application,
Roger HOU,DET.
TE XTES D'INTÉRËT COMMUNA L
cp· AG 4
RECTIFICATIFS AU RECUEIL DES ACTES ADMINISTI~ATIFS
S~ECIAL DE JUILLET 1953
P.5 - Commune d ' AURONS.
Lire : Maire ME1~ENDOL Louis.
1er adjoint : MARRONY Léonce.
M. Guillou Mancel désigne, par erreur, comme 2e adjoint,
a l e 2me rang en tant que Conseiller Municipal.
1er adjoint: BARET Alfred .
t\\.. Farnaud Léonce désigné, par erreur, comme 2me adjoint,
a le 6me: rang en tant que Conseiller Municipal.
P. 9 - Commune des PENNES-MIRABEAU.
Lire : ""laire ODDE Auguste.
P.6 - Commune de COUDOUX.
1er adjoint : REYNAUD Marius.
Lire: Maire LAPIERRE Jean.
2me adjoint : ROUX Emile.
253
�3me adjoint : ROUX Emile-Daniel.
4me adjoint : ~Ule GABI3R'T Claire.
adjoint spécial : CADENEL Louis.
P. 12 - Comm une de V,ITROLL ES.
Lire : Mai re LOUBET Hen ri.
1er adjoint : MAlRTiIN Vic tor.
P. Il - Commune de SA INT-M ITRE-LES,REJ\WAIRTS.
2me adjoin t suppl. BAB lNOT ,Ceorges.
Lire : ,\Iaire NIEOH Antonin.
::Ime adjoi nt suppl. GINOUX Fern and.
1er adjoint : BOUZOM Antoine.
!Al. FOURNIER Marius, désigne par
erreur, comme 1er
adjoint a le 1er 'rang en tant que Conseiller ~"'u n icipal.
Mt DAVID IRoger désigné par er,reur co mm e 3me adjoint
supplémentaire a le 13me rang en ta nt que Co nseiller M unicipal.
« a) Aura établi sciemment une attestation ou un certificat
faisant état de faits matériellement inexacts;
« bl A ura falsifié ou modifié d'une façon quelconque une
attestation ou un certLfirat originairement sincère ;
« c) A~l ra fait sciemment usage d'une attestation ou d·un
cert ificat inexact ou falsifié ».
la remise d'un extrait d'acte d'état civil ou d' un
famille.
Je vous précise enfin que, ta nt que ne sera pas intervenu
le r èglement d'administration 'Publique prévu par l'a'rticle 9 du
aécre t du 26 septembre 1953, les circulaires du ministre de
J'in térieur des 30 septembre 1950 et 24 ju illet 195 1 relatives
au li vret de famllle conservent toute leur valeur.
Soit, s'ils ne disposent pas d'un formu laire spécialement
établi ni de fiches du modèle type, enregistrer les renseignements d'état civil dont ils onV besoin, sur papier libre, sa ns
autre formalité.
,l U. -
SIMPLIfiCATION OE FORMALITES ADMINISTRAtiVES
0 2 B3 - AG 5
Le Vice-président du Conseil, le Garde des Sceaux,
ministre de la Justice, le ministre de l'Jntérieu.r
à Messieurs les Préfets.
Le dé ret n" 53-914 du 26 septembre 1953 portant simplifications de formalltes administratives vient .de modifier les con ditions dans lesquelles les administrés sont tenus de fourni r aux
administrations, services, établissements publics, ai nsi qu'aux
entreprises, organ ismes et caisses contrôles par l' Etat la preuve
àe leur état civil.
1. -
Chan;p d'applicatiM.
L'article 1er prévoit que: < Dans les procérures et instr uctions de requëtes administratives conduites par les administrations, services et établissements publics ou par les entrepr ises,
les organismes et les caisses contrôlés par J'Etat, la présentation
du livret de famille régulièrement tenu à jour vaut remise,
selon le cas :
c De l'extrait de l'acte de mariage des parents ou du bulletin de leur mariage ;
c De l'extrait de "acte de naissa nce des parents ou des
enfants ou du bulletin de leur naissance ;
« De l'extrait de J'acte de décès des parents ou des
enfants morts dans leur minorité ou du bulletin <ie leur décès >.
Ces dispositions s'appiquent aussi bien aux administrations, services et établissements publics de département et des
communes qu'aux administrations, services et établissements
publics de l' Etat. Elles s'appliquent tgaleme nt aux entreprises,
organismes et caisses contrôlés par rEtat. A titre d'exemple,
une liste, non limitative, des principaux organisme!) visés a été
donnée en annexe à la circula,re du 29 octobre 1953 relative
aux légalisations de signature qui vous a été adressée sous
le timbre vice-présidence du conseil et ministèée de l'intérieur.
Il Y a lieu de préciser , en outre, que les dispositio ns des
ar,tidies 1er, 2, 3 et 4 du décr et n'ont pas pou r effet de déroger
aux règles de pr euves applic"bles en matière d'état civi l devant
les instances judicia ires.
En ce qui co ncerne plus par tioulièrement le mariage, l'article 5 du décret a expressément réservé les dispositions de J'article 70 du code dvil. Cet article p rescrit la Ifemise par ohacun
des fut urs épo ux à J'officier d'état civil qui .doit célébrer leur
mar iage d·u ne expéd ition de leur acte de naissa nce, confdrme
au dernier ali néa de l'art icle 57 du code civi l, délivré depuis
moins de trois mois, s'il a été délivr é en France, et depuis
m o~ns de six mois, s'il a été délivré dans une colonie ou un
co nsula t.
'Par contre, la procédur e instituée 'par le décret co nstitue,
POU'T les ad.min istrés, une simple fac ul té qui l eur est offerte, de.
ma nière à l eur faci liter la preuve de l eur état civil. Il reste bien
entendu que les procédé~ institués par les ar ticles 1er, 2 et 3
du'décret ne sauraient se substituer systématiquem ent il des
procédés plus commodes pour les administrés, tels, par exem]lIe, que la présentation d' une ca rte d' i dentité ou de telle autre
pièce qui serait jugée suffisante.
II. Exceptions.
Ces dispositions ne sont, toutefois pas applicables, en vertu
re J'artide 5 du décret, lorsq u'il s'agit de certaines procédures
énumérées limitativement dans cet article :
Naturalisation ;
Délivrance de passeport
Délivrance de certificat de nationalité ;
Inscription au ·registre du commerce ;
Procédu re tendant au recrutement des fonctionnaires et
agents des administrations, services, établissements, organismes
ou caisses visés à l'article 1er <lu décret.
Liquidation des droits à pension de ces fonctionnaires ou
agents.
254
Utilisation de l'a cte de naissance .
L'article 2 du décret prévoit que: « IDans les procéd ures et
instructio ns de requ êtes visées à l'article 1er, la filiation, les
nom et prénoms, la date et le lieu de paissance sont, à défaut
de livret de famille enregistrés, s'il y a lieu, au vu de l'extrait
de l'acte de naissance de l'intéressé, 'quelle que soit la date
de délivrance de cet extrait • .
,L a princjpale conséqu ence des dispositions de cet article
est de rendre utilisables les extraits d'actes de naissances
même lorsqu'ils sont établis depuis plus de t rois mois. Toutes
c.isposi tions contraires doivent être consi dérëes comme abrogées,
sauf, bien entendu, celles qui sont visées à l'article 5 du décret,
dans les conditions qui ont été précisées au paragraphe 1 de
la pr ésente circulaire.
I V. .-
Il convi ent également d'observer que l'application du décret
ne aurait 1aire obstacle aux vérifications auxquelles l es acfministrations, ser vices, établissements, entreprises, organismes ou
caisses pourraient procéder auprès des dépositaires des regist res, dans le cas où il apparaitrait ,q ue l'état civil mentionné
'ur la fiche p révue à l'article 3 du décret ne correspond pas
à l'état civil véritable de l'intér essé.
En dehors d es cas prévus par l'articl e 5 du déc ret et cidessus énumér és, les collectivites, entr eprises, organismes ou
caisses visés à l'artiole 1er du d&ret ne peuvent exiger des.
intéressés d'autres pr euves de leur état rCÎvil que celles prévues.
par les ar ticles 1er, 2, 3 et 4: de ce décret.
Utilisation dll livret de famille.
I! co nvient de souligner que peuvent être utilisés, dès le
15 novem!>re 1953, date <l'application du décret, et pour l'applica tion des article 1er, 2 et 3 de ce texte, les livrets de famil le
actuellement en usage, quelle que soit la date de leur délivran'Ce.
Le demandeur qui, en vertu dOl l'aoticle 3, doit, dans tous
les cas, certifier, su'r l'\hon neur, la véracité des indications fou rnies, est passib le, en cas d' inexacNtude de ces indications, des
peines pré vues par l'article 161 <lu code pénal complété par la
loi dll 27 août 1948. Je vous rappelle que cet articl e dis]lose
que: « Sera pun i d'un empriso nnement de six mois à deux ans
et d'une amende de 40.000 à 400.000 If'rancs ou de l'une de
ces deu x peines seulement, sans préjudice de l'application, le
cas échéant, des peines plus fortes prévues par le présent code
et les lois spéciales, quiconque :
En ce cas, des admjnistrations ou organismes devront se
procurer ces fiches à leurs frais" et les tenir gratuitement à la
disposition de l'intéressé. lis ne pourront se prévaloir d'un défaut
d'approvisionnement de ces fi ches, pour exiger de l'intéressé
La fiche d'état civil
,pour l'appli cation <le l'article 3, il convient de préciser que
l'ali néa 1er de ce texte a hai~ au cas où l'administré, demeurant à proximité de l'organisme, établissement ou caisse devant
lequel il doit justifi er de son état civil, se présente, en personne,
soit avec son livret de famille, soit avec son extrait d·acte de
1laissance.
L'alinéa 2, au contrai re, a trait au cas où l'administré, trop
éloiO'né ({e l'établissement, de l' organisme ou de la caisse intéressé a avantalYe à adresser par la poste, à cette caisse, à cet
Grga~sme ou à~cet établissement, la fi che établie corl!formément
au deuxième alinéa de l'article 3 du décret.
Da ns tous les cas, le choix entre l'un ou l'autre de ces
procédés appartient exclusivement à l'intéressé, J~s administ rations, services, établissements, organismes ou caISses I~e ~,ou
va nt interven ir ranS ce choix. VOLIS veillerez tout parhculterement au r espect de ces prescripti ons.
Le modèle de la liclle prévu à J'article 3 a éte fixé par
rarrêté <lu 26 octobre 1953, paru au « Journal Officiel » du 30
octobre 1953. Un stock de chaque sorte de fiches, fiches IO d,viduelles et fic hes familiales, sera constitué dans ohaqll~ mal,ne,
pour être tenu à l a digposition des administrés pour 1applIcation de J'article 2 de J'alinéa 3.
Lorsqu e l'administ ré se présentera, en pe.rsonne, au . guichet de l'un des services, établissements, o;g.anlsn:es ou calssle~
yisés à l'article 1er, ces organismes ou admlllistratlons pourrol t.
Soit rem plir une formulaire établi par eu~, qui pourr~ contenir éventuellemen t, d'une pa rt, les re nselgn?m ent~ .d o rd~e
adm/nistratif, d'autre part, des re~S,eignem entsf ~ et~~ ~I.V~, d~~I~ll:
seuls, les rensei gnements d'état :~v ll. dev;0I.1t aire 0 Je
certification sur l' honneur, de 1mteresse ,
Soit re~'Plir une des fiches cio nt le modèle a été fixé par
li vret de
Jt3!joute qu·en auCun cas, ni les mairies ni les admi nistrations ou services vises à l'article 1er du décret du 26 septembre
1953, ne pourront 'Percevoir de taxes ou droits afférents il la
r édaction des fiches prévues par l'article 3 du décret.
En ce qui concerne la rédactio n des fiches en mairie, vous
voudrez bien appeler tout spécialement rattention des maires
de votre département sur l'importance d'une r édactio n immédiate de ces fiches.
Il convient, en effet, que l'administré n'ait pas â se présenter
deux fois à la mairie de sa résidence, mais puisse retirer Immédiatement la fiche qu'il sollicite.
Je précise il ce sujet que l'agent de la mairie doit être
spécialement habilité par le mai re pour établir les fiches prévues
au deuxième alinéa de J'article 3.
Il Y a intérêt, toutefois, fi ce que ce magistrat municipal
désigne" à cet effet, un age nt déjà habit ué aux questions d'état
ci vil.
Vous voudrez bien veiller également à ce que administratio ns, services, établissements, organismes et caisses visés il
rarticle t er respectent strictement ItS prescriptio ns du present
paragraphe. Ils devro nt notamment, comme lM .". les maires,
laire en sorte que l'administr~ n'ait pas à se presenter deux
fois à leu r' guic het.
V, -
Le casier judiciaire
L'article 4 du <lécret, qui p ré\70it que, « lorque parmi les
pieces constituant le dossier figure un bull etin nI) 2 Ou n" J
du casier judiciai re, les intéressés sont dispensés de la présentatio n de l'extrait de l'acte de naissan ce " n'a'Ppelie pas d'observation pa rti cu lière. Il vous appartiendra de \'eiller il son 3Jpplication pa r les organismes, établissemen ts ou caisses intéressas de votre département.
VI. -
Les certificats
L'article 6 du décret p révoit que : « Dans les procé~l1feS
et instructions de req uêtes visées à l'article 1er, l es cerrric ats
de vie, de célibat, de non-remari age, de non-divorce, sont remplac~s par la fiche établie rans les conditions prévues à l'articl e
3. Les certificats de non-separation de corps, de domicile ou ,je
réside nce sont r emplacés par une attestation sur l'honneur souscrite par l'intéressé .) .
Les dispositions de cet article s'appliquent, evidemmen t
aux mêmes établissements, organismes ou caisses que cux vi$E:s
à l'arbcle t er et l'inexactiture des renseignements portés sur
les fiches ou les attestations sur l'honneur, souscrites par l'intéressé, en application de cet article, l 'expose aux mêmes sanctIons que celles énumér~es au para graphe 2 ci-dessus.
l'arr êté du 26 octobre 1953.
255
�Il Y a lieu de souligner que les dérogat ions prévues à l'a rticle 5 du derret ne sont pas app licailles aux dispositions de cet
article Ces dernières, par conséquent, doivent jouer dans tous
les cas. Toutefois, il convient de préciser que les crtificats de
lion-sé para tion de corps, de domicile ou de résidencf! ne sont
remplacés par une attestation sur l'honneur souscrite par l'i ntéressé, que dans les procédures et instr uctions de requêtes visées
il rarticle 1er du <iécre!.
certificats de vie, de céliba t, de non-div or<e, d e no n-remariage
et de no n-sépa ratio n de corps récla mes au cours de procé_
dures et i n str u ~tio n s de :equêtes adm.inistratives conduites par
les ad ministra tIons, services, et établissements publi cs Ou par
les entreprises, orga nismes, ou ca isses contr ôlées par J'Etat.
Je précise, enfin, en ce qui concerne les certificats de vie,
de célibat, de non-rema riage et d non -divorce. q.ue l'ali néa 3
de la circulaire du ministre de l'i ntérieur n" 375 du 8 oc tob re
1952 est abrogé. La circulaire du ministre de l'intérieur nO 194
ou -l juin 19-19 est également abrogée, en ce q ui concern e les
Le Garde Ides Scea ux, min istr e de la justi ce,
.02 B3 - AG 2
Le Vi ce-Préside nt du Co nseil,
Pierre-He nr i TE.lTGEN.
Pa ul RIB EYHE.
Le m inist re de l'Inté ri eur,
Léo n MiAJRTlNAJU.o-O EPLAT.
« Art. 5 ter. -
Groupe B. - Agell is pour 1~;Yl u els l'exécution du service
csl simplemenl facilitée par l'u lilisal ion de leur voilure.
Vu J'ord onnance du lï mai 1945 rclative aux services publi des départements et communes et de ,leurs établissements
publics, et notamment SOn article 1er ;
Vu l'arrét'; du 19 no"embre 19-1S relatif au classement indicaire des fonctionnaÎles et agents communaux, modifié pa r
l'arrété du 7 mars 1950, et notamment l'alinéa 2 de son article 3;
Vu l'arrèté du 16 mars 1949 concernant le classeme nt indicaire des fonctionnaires et agents départementaux, modifié par
l'arrêté du Il mai 1950, et notamment l'a linéa 2 de son a rticle 3;
Vu l'arrêté d u 23 mai 195 1 concernant l'att rib ution de ce rtaines indemniflés aux fonctionnai res des collectivités locales, et
notamment se:; artides 2, 3, 4 et 5;
Vu l'avis au Conseil National des Services publics départementaux et communaux,
Arrêtent:
Arl. 1er. - A compte r du 1er juin 1953, l'arrêté susvisé
du 23 mai 195 1 est modifié comme suit:
Arl. 2. - Les dispositions des titres 1e r, Il, II I et IV et de
l'article 43 du dé<:ret n° 53-511 du 21 mai 1953, relatif aux modalités de remboursement des frajs engagés pa r des personnels
civils de l'Eta t à i'occasion de leu rs d éplacements, sont appli cables aux agents ayant accompli des missions en deho rs des
limites de la commune de résidence fonctionnelle.
Arl. 3. - Les chels de service municipaux ou dépa rtementaux pourront être autorisés par les assemblées compétentes à
faire usage, pour les besoi ns du service de le ur voiture aut omobile personnelle et bénéficier~ à ce tit~e, d' indemnit-é ki,iométriques calculées conformément aux dispositio ns du tabl eau
suivant:
Art. 4. - Lo rsque des agenis a uro nt été a utorisés à fa ire
usage d ' une motocyclette, d'u n vé lomote ur ou d' une bicyclette
à moteu.r aux il iai re pe rsonnel en vue .de faciliter j 'exerci ce de
leurs fonct ion:;, il pou fT a l-eur être a~Jo ué une indemnité ki lométrique dont ,le ta ux maxim um es t fi.Xlé dans les conditio ns
ci-ap rès :
-
Agenls pour lesquels l'exéculion du service
l ' ) Motocydette (oyli nd rée supé rie ure à 125 cm3) : 6,50 fr.;
Groupe A. -
exige l'utilisation de leur voiture.
·Départemenl
de la Seine
Puissance fisca/e
1
2
Mo ins de 4 cv ..
4 e t 5 cv ......
6, 7 et 8 cv ....
9 cv et au-dessus
Francs
7
8,40
Il ,60
13
Villes
de pl us
de 40.000
habilanls
3
,Francs
6,70
8,20
111,20
13
de 40.000
habitants
4
Départemenl
Puissance fiscale
de moins
de 40.000
habilanls
jusqu'à Après jusqu'à Ap rés jusqu'à Après
10.000 10.000 10.000 10.000 10.000 10.000
km .
km.
km.
l<m.
km.
km
2
3
4
5
6
7
Francs Fa ncs
Moins de 4 cv . . 13,50
7
4et5cv ...... 17
8,40
6,7et8cv .... 23
Il ,60
9 cv et au-dessus 23,50
13
256
Francs Francs Francs Francs
12,20
6,70
Il ,40
6,50
15,50
18,20
14,50
8
21,20 Il ,20
20,20
Il
22,40
12,50 2 1,10
12
0 2 B3 . TVX 5
Art. 2. - Le di recteur de 'l'administration d épartementale
et communale et le di recteur du budget sont chargés. ohacun
en ce qui l e concern e, de l'exécution du présent ar rêté.
Fait à ,paris, le 30 Septembre 1953.
Pou r le Ministre de l' Intérieur
et pa r délégation :
Le di r ecteu r de l 'admin istr ation départementale
et Communale :
Pierre OMIEll.ON.
Pou r le secrétai re d'E.tat au Budget et par
délégation
Le di recteur du Budget:
Roger GOETZE.
MARCHES DES COLLECTIVITES LOCALES
Application de la convention franco-sarroise
Le iM.inistre de l' Intérieur
Fr ancs
6,50
8
Il
12
à ,MM. les Préfets.
tOans les zones montagneuses, Iles ta·ux ci~essus sont majorés ùe J fr. pa r ki'lomètre po ur les agents exe rça nt da ns les
dépa rtements classés el: catégor ie A et de 2 fr. par kilomètre
pou r l es agents exerçan t dans l eS cantons montagneu x des dépa rteme nts classés en catégorie B et C.
Arl. 3 bis. - Les klisposit ions des artidles 3 1, 32, 33, 34, 35
d u déc ret précité du 2 1 mai 1953 so nt a'pplicables aux agents
visés pa r le prése nt a rrê té.
Q
Villes
Les agents utilisant pou r l'exéc lltion de
leur service un des véhicules personnels Ivisés aux articles 3.
4 et 5 ne pou rront, en aucun cas, prétendre au rem bourse-
ment ,par leur admin ist ration, des impôts et taxes qu'ils auraient acquittés à l'occasion de l'utilisation de ces véhicules. ~
Villes
de 'moins
2') Vélomoteur (cl'lindrée de 50 à 125 0013) : 4 fr.;
Villes
de plus
de 40.000
habitanls
Les agepts qui ne juger ont pas à .propos de contracter ..;.e,
assurances IComplémentai res devront officiell ement reconnaître
quï ls sont leu r pr opr e assureu r po ur tous les ri sques non IHévus dans l'assurance obligatoi re, notamment le vol, a'incendie:.
les .dégâ ts de toutes sor tes suhis ,pa r le véhicule et la pr ivation
de j ouissa nce co nsécu tive à ces dégâ ts.
« En t oute occurrtnce, les intrressés n'auro nt droit à a u~
cun e indemnité à la charg.e de l'a,ùmi nistration dont ils relèvent pour dommages subis par leur vf!h ioul e.
REMBOURSEMENT DES FRAIS DE DEPLACEMENT
ENGAGES PAR LES AGENTS DES COlLECTIVITES LOCALES
Le Ministre de l'lnt",ieur et le Secr';taire d'Etat a u Budget,
a rt ioles 1382, 1383, 1384 du code ci,vil ai nsi, évent uellement,
que la responsab,lité de la collectivité locale y coml)ri s le cas
où celle-ci est engagée vis à vis de perso nnes tra nsportées. Les
polices devro nt, en outre, comprend re l'assurance contentieuse.
Les intéressés seront 'libres de choisi r leur assureu r SOU\)
le con trôle de le ur administ rati on.
3 'Bicyclette à moteur auxilia ire (oyl indrée infér ieure il
50 cm3}, 2,50 fr. ;
?pu r 1es catégories 2° et 3°, le montant mensuel des indemnités kilom étriques pou rra, en tout état de cause, être éga l à
350 fra ncs.
Arl. 5. Les age nts auto risés à utiliser leur bicyclette
personnelle po ur les besojns du servcie pourront percevoir unI!
i n demni~é de pem iè re mi se a u m axi mum égale à 10.000 fr. et
une indem nité mensuelle d' entr et ien de 350 fran cs.
w\:. le Minist re d.es AHai res Etrangères a appelé mon attention sur les di fficu ltés que r encontrent Ifréquemment des firmes
sarroises dési reuses de participer à des soumissions de marchés
de travaux pour le compte 'des administrations françaises.
Il lui a été signalé en particulier qu 'en dépit de l'article 2 1
de la Co nvention Franco-Sarroise du 3 mars 1950 ce rtaines
municipalités n'ont pas cru devoir donner suite aux soumissions
déposées par l es entreprises sarroises en se fondant sur ce que
eelles- ci ne posséda ient pas la nationalité jra nçaise.
lOr, je vous rappelle que l'art. 2 1 l'récité dispose expressément « q ue des personnes physiques ou morales de l'U Il des
.D2 83 . F 2
deux pays pou rro nt soumissionner dans l'autre pou r toutes les
adjudicatio ns de marchés publics au même titr e que des entreprises nationales et devront jouir du même traitement sans
aucu ne riscrimination en raiso n de ,la nationalité. »
Vous voudrez donc bien signaler aux municipalités que les
entreprises sarroises doivent être admises au même titre que
les entr eprises fra nçaises aux adjudications de mar chés communau x.
Pour le Ministre de l' Intérieur
et par délégation,
Le Préfet,
Directeur de l'administration dévart ementale et comm unale,
P.
1DA!1'~6LO N.
FRAIS DE fONCTIONNEMENT DES JUSTICES DE PAIX
ET DES TRIBUNAUX DE SIMPLE POLICE
Pa r ci(.cu la ire parue au Bulletin A,dministratif des Mairies
numéros 18 et 19 des 1er et 8 juin 1952, j'avais rappe lé il MM.
les Mai res du dé partement que les dépenses du ,Ministère public
près les tribunaux de simple police ne doivent pas incomber
aux communes.
Or, l'examen des comptabi lités commu nales rév èle encore
la 'pratique de certaines irrégularités. De nombreuses ~om~ll
nes ass um ent ell effet des frais de fonctionnement de justLces
ne paix et de tri bunaux de si mple police do nt la charg.e do!!
être supportée par le Département, en application des (hsposl~
tions d'e l'artic le 6~ de la loi du 10 aolt! 1871.
Les crédits nécessaires sont d'ailleu rs inscrit s, chaque
année, au budget départemental.
En ce qui concerne les indemnités allouées aux juges de
paix, l'arrêté interministériel du 12 mai 1947 a autorisé, seulement, l'attribution aux intéressés d'une indemnité pour la tenue
de~ audiences foraines.
Je demande donc à WlM. les J\'\aires de vouloir bien tenir
compte de ces prescriptions et je leur rappe lle que les délibé'
rations prises, contrairement à ces instructions, ne pourront être
approuvées.
Le Préfet,
André P6LABON.
Signé
Les articles 40, 4 1 et 42 du décre t p réci!é du 2 1 ma i 1953
sont applicables à Il'i ndem nité visée à l'alinéa précédent.
Arl. 5 bis. - Les age nts uti lisa nt pour l'exécution de
servIce Uof1 des véhic uler. perso nnels visés aux articles 3, 4
devront souscri re une pOlice d'assurance O'a ranti ssant d'une
nière illimitée, leu r respo nsabilii'é perso~nel1e au x termes
leu'
et 5
made!>
217
�CURAGE DE LA RIVIERE « TOULOUBRE »
D5 B I . TVX 0
Arrêté du 28 Octobre
1953
Le Préfel des Bouches-dl/-Rhôl/e.
Officier de ln Légiofl d'Honneur.
VU le rapport n" 5060/10 A du 13 octobre 1953, de AI. l' Ingënieur en Chef du en'iee Spécia1 des Bases Aér iennes, tendant à obtenir l'auto risation d'occuper temporairement diverses
parcelles de terrain en rue de l'exécution des travaux de fa ucardeme.nt.• de déboisement et de curage de la rivière ~ Touloubre • dans la partie situee à l'Ouest de la Base Aérienne de
)")
Empl:lcemcuts
affecl~s
11 23
d"
1 ha 00 a
Terr e
d'
d'
. Considéra nt que l eu.r occupat ion est nécessa ire à l'exécution des tra\'aux et sp~clalement au fa ucardement, déboisement
et curage du lit et des berges de la« Touloubre » i
SUR la proposition de M. le Secrétai re Oené ra l ;
20
~I . REYNAUD
Joseph-Séraphi n
d'
o
11 25
d'
o l,a
Terre
d'
d'
Au Cadastre
Sect.
OCCUPATIONS'
Conteu.
Lieux dit)
Le~
15
1
ha 60 a
o
12-14
Entrages
M. CRESPO Jules
Rte de Cornillon, Salon
o
1220
d'
3 ha 60 a'
3
.\1. OUVIER J. - Ferdinand Peypin-d ' Aigues (vaucluse)1
G
12 19
d"
4 ha 40
4
.\\. OLIVIER J.-Ferdinand
o
o
1218
dO
4 ha 40 a
d'
7 ha 20 a
o
o
11 97
d'
11 95
d'
Nature
Objet
Palustre
et terre
Travau x de
faucardemt
et curage
3 mois
Pr airie
d'
d'
Vigne
d'
Durée
1
5
,\1. VINAI Jean
Les Broquettiers, Salon
6
M. V IN A.I Jean
d'
7
Ali FANTINO Luigi
M. ALLIO OiO'.'anni
Rue Très-Castel, Salon
Quartier Curebourse, Salon
M. VINAI Jean
Les Broquettiers, Salon
8
9
10
M. EOEA François-Félix 58, rue Thomas, Ma rseille
ou son père, rue Félix-Pyat
il Salon
,~I.
.
11
12
EOBA François-Félix
d"
lIl. FRANC Victor
51, bd RépuIJlique, Salon
M. FRANC Victor
M. FERRA TO Etienne
o
ll67
0
11 65
d'
d'
al
P ré
4 ha 40 a
Terre
d"
ct"
10haBO,
Terre
d'
d"
4 ,ha 00 a
27 ha 60 a
o
5 ila 20 a
I l4 1
d'
d'
o
1140
d"
4 ha 70 a
1
Cgne Michelotti, Orans
o
1139
d'
5 Ila 20 a
4 ha 30
Bd Denfert Salon
G
1138 ~I
d'
14
M. MORETTI Sébastien
Qu. du Pat y, Ist res
o
11 37
d"
3 ha 00
15
M. FRANC Victor
5 1, bd République, Salon
o
1127
d'
8 ha 80 a
M, EOEA François-Félix 58, rue Thomas, Marseille
M. DEMA Auguste
Quart. des Crosses, Salon
o
1126
d'
5 il a 20 a
18
Ml. REYNAUD
Joseph-Séraphin
19
M. REYNAUD
Marius-Pierre
258
Terre
d'
cl"
d"
1
ARTICLE ~. ~ L'occupation des terr ai ns ci-dessus désignés
ne po ~rra vOI r rl le~1 q u'a'près l'accomplissement des fo rm alités
rres~ n tes par la lOI du 29 décemb re 1892 dont ex ta it est im])l'imé a la s Uite d u prése nt a rrêté.
2') au Maire de la Commune de Salon-de-Provenoe, q ui le
fera pub lier et afficher, en la forme Ihabituell e, et le not if ier a
aux propr iétaires intéressés ou à leurs représentants.
ART ICLE 3. - Faute d'a.voi r été uti lisée da ns le déla i de
six mois, l'aut orisation ser a nulle et non avenue.
M. le Maire do Salon, M. l' Ingénieur en Chef des Bases Aér iennes. sortt chargés chacun en ce qui le concerne, de l' exécuti on
du présent ar rèté.
ARTICLE 4. ~ Le présent arrêté se ra inséré au Bulletin des
Actes Ad ministr atifs. Ampliation du présent arrêté ser a adressée :
A.RT ICLE 5. -
Marseille, le 28 ootob re 1953.
Pour le P réfet,
l ' ) à M. l' In gé nieur en Chef du Service SpéCial des Bases
Aér iennes cha r gé d'en communiquer une copi e certifiée à l'Entrep reneur char gé des travaux et d'en assurer l 'exécution',
COMMUNIQUES
M. le Secrétaire Oéné ral de la Piréfectu re,
Le Secrélaire Général Délégué
Signé: Maxime MIGNON
AVIS - ANNONCES DIVERSES
DO NS ET LEGS
Pa r testament olographe, du 14 décemb re 1943, déposé aux
minutes.de M'André RE YNAJI~D, notaire à Oémenos.
Feu Ma r ius RAlMIN a institu é pou r léga taire universel et
génér al de tous les bien, meubles et immeubles, valeurs de toutes so rtes q u' q pourrait posséde r le jour de son décès, l'Œuvre
de l'Enfa nce Délaissée, fondée par M. le chanoine FOUQUE.
1896, les héritiers connus ou inconnus de M. Marius RMvUN,
sont invités à prendre con naissance du testament. donner leur
co nsentement à son exécution ou produire leurs moyens d'opposition dans un délai de trois mois, dater du jour du présent avis.
Marsell!e, le 28 octobre 1953.
Confo rm ément aux dispositions du décret du 1er fév rier
d"
Ter re
d"
d'
1
,M. BREJ.\\ü ' 0 Ro ge r
M. REYNAUD
Joseph-Séraphin
Terre
d'
40 a
EXAMENS RADiOSCOPIQUES - AGREMENT D'UN MEDECIN
13
17
d'
d'
1
16
=
~'----
Quartier de Lurian, Salon
d'
d'accès
o
M. BELLOT Elie
2
voie
Les B roqueHie rs, Salon
temporaire
à
la
M. REYNAUD
Joseph-Sé rap hin
DESIGN.\T10N DES PARCELLES A OCCUPER
Domiciles
à
18
ARTICLE rRE,\\lER. - ,Le Se rvice Spécial, des Bases Aériel_
Il.es est aU,torisé, à occuper tem porai rem~n t, pour les ca us:s
cl ~dessus enoncees, les paroelles .de terr ain situées su r te terr itOire de ta Comm une de Salon-de-P.rovence, et qui sont indi.
quées au plaJl et au ta!>lea u ci,ctessous :
VU la loi du 29 décembre 1892 et en particulier son a rti cle 3;
des ,.,
Ille
Considér:tr.t qu'aucu n des terrai ns ne se t rouve dans le c
exceptionnel ~rcvu à l'a liicle 2 de ladite loi ;
as
AiRIREllE :
Salon, faisant Emite de ter rains appartenant à l'Etat ;
VU le plan indicatif de ces parcelles ;
\0 dJOésignation des propriétaiPlan res à la matrice des rôles
Eml)!aCem-,
..... ,
autorisant l'occupation temporaire du terrain
Terre
d'
d'
Ter re
d'
d"
Terre
d'
d"
Te rre
d'
d'
Te rr e
d'
d'
Terre
d'
d'
J
o
11 24
d'
12 ha 10a
Terre
d'
d'
d'
o
1123
d'
1 ha
BO a
Ter re
d'
d'
d'
o
l l22
d'
4 ha 60 a
Terre
d'
d'
Les Broquettiers, Salon 1
Pa r arrêté Préfecto"a l en date du 28- 10-53;
,M. le [Jo!:teu r GhR'AJLDI Albert, demeurant à Oémellos ; et
M. le Docteu r S I,MONON R., demellrant à Marseille, 17, cours
Lieu taud, ont été agréés pour pratiquer les examens radiosco-
piques en vue de la délivra nce des certificats prénuptiaux et
prénataux.
AVIS DE CONCOURS
l ' Préfecture de Police.
Il est ouvert il la Préfecture de Police un conco urs pour
l'ad missi on de 24 emplois d'adjo int administr atif, stagiaire
dont 12 r éser vés aux fonctIOnnaires appartendnt déjà à la
Préfectu re de Po lice.
Les êpreuves écrites auront lieu à Paris au cours du 4e
trimestre 1953 à une date qui se ra fixée ultérieurement.
'Le r égistre d'inscription des candidatur es est ouvert dès
à présent à la D ir ectio n Gén érale du Personnel, du Budget,
d u Matériel et du Co ntentieux (so us-direction du Personnel)
où tous renseignements complémentai res seront fourOis aux
ca ndidats.
II sera définitivement clos le lundi 23 novem bre 1953, à
l' heu re règlementaire de la fermeture des bureaux.
Les calldidats n'appartenant pas à la Préfecture de f1olice, à la Préfec ture de la Seine, l'Administ ration Oénérale de
l'Assistance Publique" Paris et il la Caisse de Credit munic' pal de Paris doivent .
_ être titulaires du brevet du 1er Cycle de second degré
ou d' un diplôme au moins équivalent :
Etre âgés de plus de l 8 ans et de moins de 30 a ns au
1er janvier 1953.
Cette limi te d'âge peut êt re prorogée dans les conditio ns
règlementaires.
Toutefoi s ces diverses bonificatrions ne pourront permettre de dépasse r l'âge de 40 anS a u ler janvier 1953.
259
�DEMANDE D'EMPLOI
Secretaire de mairie, titulaire, 20 ans de sen'ire. recher-
DÉPARTEMENT DES BOUCHES·DU·RHONE
MIl'l. les ma ires interessés pa r cette candidature voudro nt
che poste dans commur.e de plus de 1.000 habitants, du Dé-
bien se mettr~ directement en rap port avec
partement des Bouches-du-Rhône.
sier.. secrétaire de mai rie à Jouques.
M . Elie Trous_
RÉPUBLIQUE
Numéro 46·47
FRAN ÇAISE
19-26 Novembre 1953
UNION DES MAIRES DES BOUCHt:S-DU-RHONE
Adhésion des Mairies à un service de médecine du travail
A la suite de demandes de rensei gnements émanant de
plusieurs maires, au sujet de l'obligation que la loi du Il OCto bre 19-W fa it à tout employeur d'adhérer il un Service ,,\éditai du Travail. des demarc hes ont été faites pa r le Secrétaire Gène ral au près des différents sendces illte ressés par la
questio n.
Le Secrétariat de rUnion vient de recevoir de M. le
Preret la réponse que vo us trouverez ci-après donnant toutes
precisions au.-: mairies, au sujet des obligations nou\'eUes qui
leur sont imposées en la matière.
En effet, cette lo i qui jusqu'à ce jour était en sommeil,
va maintenant pouvoi r être appliquee.
« Marseil le, le 29 octobre 1953
c Comme suite à votre demande de renseignements concernan t l'adhésion eventuelle de ce rta;nes municipalités du Département au « GROUPE,,.,lENT MBDICO-SOCIAL INTERPROFESSIONNEL D'AV IG NON », j"ai l'honneur de vous
fai re connaitre que la loi du Il octob re 1946 rel a tiwo à l'o rganisation de la Médecine du Travail fait effectivement obligation à tout employeur d'adhére r à un Service Médica l du Travail agréé par le Ministère du Trav.ail.
J(~CU~IL
« Ces Services Médica ux sont d otés de la perso nn alité
m'Orale et pos$èdent une autonomie 1ina ncière. Leur compétence te rritoria le doit être approu vée pa r le o u les Inspecteurs
divisionnai res du Travail.
« Confo rmément a ces dispositions, ont été créés des Services Médicaux à M1ARSE IL LE, AUBAlONE, AALES, AIX et
SALON. Toutefois, en raison .cte l' éloignement de certaines
commu nes du Département de ces Centres, et dans un but de
commodite pou r les srt lariés, la compétence territoriale du
Groupement Médico-Socia l d'Avignon a étc étendue pa r l' Inspectio n du T r aV3tl aux Bouches-du-Rhône.
DES
ACTES
ET BULLETIN DES MAIRIES
« Il est à noter, cependant, que l'ad hésio n des mai ri es à
ce Groupement a un caract ère facultatif, t ou te lat,itude étant
laissée à )' employellr J . adh erer à un Service Medical de san
choix. Est obli gatoi re seulement pour tout employeur, et sous
peine de sanc ti on, j' adh ésio n à lin Ser vice d e Médecine du
Travail.
.
•
TABLE DES MATIÈRES
« j'a jo ute qu 'ap rè s avoi r ad héré à un Serv ice Médioal,
!'employeu r est tenu ct'envoyer SOrl personn el aux visites médicales imposees et de le rém un ere r pendant le temps des
examens. »
P o ur le Préfet,
c MlIt les maires du Dépa rtement sont tenus à cette même obligatl{)n en ce qu i concerne le personnel sala r ié employé par eu x.
,
Le Ohef de Division
TEXTES D'INTE{ET GENERAL
SAUVAiIRE
AG 7. _
TVX O. -
F O. TVX O. _
Recensement et Revisi on dans l a Métropole et en Afrique du Nord des jeunes gens nés
ent re le 1er jan vier 1935 ct le 3 1 déce m bre 1935 .... .
2fi:!
Organisation de la Voiri e tia ns res qua r tiers d' habitation ....
263
Caisse
265
Nationale d'assuran ces su r
la Vie - At tribution de dots ..
Programm e D épartemental de Pri orité de Recon stru ct ion des Bi ens sinist rés pour 1953
260
TEXTES D 'INTERET COMMUNAL
AG 7. _
1
FS 10. _
Co nve ntion d u 19 j uin 195 1 . Stat ut des Fo rces Armées des Etats Pa rties au Traité cte
l'orga nisation d e l'Atlantiq ue Nord ... . .... ....
. ................ .
266
Etablissemen t des lisies ê1:1nuelles des méaeci ns, chirurgiens, den'tistes et sages-femmes
266
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
Pour le Préfet et par Déléga tion,
Le Secrélaire Général
Ma xime MIGNON.
Il
267
Demande d'empl oi
Examens radi oscopiques - Agrément de médecins .....
267
Avis de co nco urs: Ad mi n istrntio n
267
dl!S
Eaux et Forêts
, .
~ _ A. P. : Arrèté préfectoral. - c. . Circulai re. --:- Les l ettT~s D et B s uivies d'un. chi~re
ABR I!;' lATION:S·
..
- D. D. S. : DutC'tIQn
.
Burea u d'onglne.
- D. S. T ' .' DI· rectl·on des Services Tecbmques.
.
indique.nt le Ser vice ou 5
é
D 0 P . Direct ion Départem entale de la Populanoo..
D épar temen ta le d e la
aut::.=='=::
' = '='==========================='
�DEMANDE D'EMPLOI
Secretaire de mairie, titulaire, 20 ans de sen'ire. recher-
DÉPARTEMENT DES BOUCHES·DU·RHONE
MIl'l. les ma ires interessés pa r cette candidature voudro nt
che poste dans commur.e de plus de 1.000 habitants, du Dé-
bien se mettr~ directement en rap port avec
partement des Bouches-du-Rhône.
sier.. secrétaire de mai rie à Jouques.
M . Elie Trous_
RÉPUBLIQUE
Numéro 46·47
FRAN ÇAISE
19-26 Novembre 1953
UNION DES MAIRES DES BOUCHt:S-DU-RHONE
Adhésion des Mairies à un service de médecine du travail
A la suite de demandes de rensei gnements émanant de
plusieurs maires, au sujet de l'obligation que la loi du Il OCto bre 19-W fa it à tout employeur d'adhérer il un Service ,,\éditai du Travail. des demarc hes ont été faites pa r le Secrétaire Gène ral au près des différents sendces illte ressés par la
questio n.
Le Secrétariat de rUnion vient de recevoir de M. le
Preret la réponse que vo us trouverez ci-après donnant toutes
precisions au.-: mairies, au sujet des obligations nou\'eUes qui
leur sont imposées en la matière.
En effet, cette lo i qui jusqu'à ce jour était en sommeil,
va maintenant pouvoi r être appliquee.
« Marseil le, le 29 octobre 1953
c Comme suite à votre demande de renseignements concernan t l'adhésion eventuelle de ce rta;nes municipalités du Département au « GROUPE,,.,lENT MBDICO-SOCIAL INTERPROFESSIONNEL D'AV IG NON », j"ai l'honneur de vous
fai re connaitre que la loi du Il octob re 1946 rel a tiwo à l'o rganisation de la Médecine du Travail fait effectivement obligation à tout employeur d'adhére r à un Service Médica l du Travail agréé par le Ministère du Trav.ail.
J(~CU~IL
« Ces Services Médica ux sont d otés de la perso nn alité
m'Orale et pos$èdent une autonomie 1ina ncière. Leur compétence te rritoria le doit être approu vée pa r le o u les Inspecteurs
divisionnai res du Travail.
« Confo rmément a ces dispositions, ont été créés des Services Médicaux à M1ARSE IL LE, AUBAlONE, AALES, AIX et
SALON. Toutefois, en raison .cte l' éloignement de certaines
commu nes du Département de ces Centres, et dans un but de
commodite pou r les srt lariés, la compétence territoriale du
Groupement Médico-Socia l d'Avignon a étc étendue pa r l' Inspectio n du T r aV3tl aux Bouches-du-Rhône.
DES
ACTES
ET BULLETIN DES MAIRIES
« Il est à noter, cependant, que l'ad hésio n des mai ri es à
ce Groupement a un caract ère facultatif, t ou te lat,itude étant
laissée à )' employellr J . adh erer à un Service Medical de san
choix. Est obli gatoi re seulement pour tout employeur, et sous
peine de sanc ti on, j' adh ésio n à lin Ser vice d e Médecine du
Travail.
.
•
TABLE DES MATIÈRES
« j'a jo ute qu 'ap rè s avoi r ad héré à un Serv ice Médioal,
!'employeu r est tenu ct'envoyer SOrl personn el aux visites médicales imposees et de le rém un ere r pendant le temps des
examens. »
P o ur le Préfet,
c MlIt les maires du Dépa rtement sont tenus à cette même obligatl{)n en ce qu i concerne le personnel sala r ié employé par eu x.
,
Le Ohef de Division
TEXTES D'INTE{ET GENERAL
SAUVAiIRE
AG 7. _
TVX O. -
F O. TVX O. _
Recensement et Revisi on dans l a Métropole et en Afrique du Nord des jeunes gens nés
ent re le 1er jan vier 1935 ct le 3 1 déce m bre 1935 .... .
2fi:!
Organisation de la Voiri e tia ns res qua r tiers d' habitation ....
263
Caisse
265
Nationale d'assuran ces su r
la Vie - At tribution de dots ..
Programm e D épartemental de Pri orité de Recon stru ct ion des Bi ens sinist rés pour 1953
260
TEXTES D 'INTERET COMMUNAL
AG 7. _
1
FS 10. _
Co nve ntion d u 19 j uin 195 1 . Stat ut des Fo rces Armées des Etats Pa rties au Traité cte
l'orga nisation d e l'Atlantiq ue Nord ... . .... ....
. ................ .
266
Etablissemen t des lisies ê1:1nuelles des méaeci ns, chirurgiens, den'tistes et sages-femmes
266
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
Pour le Préfet et par Déléga tion,
Le Secrélaire Général
Ma xime MIGNON.
Il
267
Demande d'empl oi
Examens radi oscopiques - Agrément de médecins .....
267
Avis de co nco urs: Ad mi n istrntio n
267
dl!S
Eaux et Forêts
, .
~ _ A. P. : Arrèté préfectoral. - c. . Circulai re. --:- Les l ettT~s D et B s uivies d'un. chi~re
ABR I!;' lATION:S·
..
- D. D. S. : DutC'tIQn
.
Burea u d'onglne.
- D. S. T ' .' DI· rectl·on des Services Tecbmques.
.
indique.nt le Ser vice ou 5
é
D 0 P . Direct ion Départem entale de la Populanoo..
D épar temen ta le d e la
aut::.=='=::
' = '='==========================='
�TEXTES D'INTËRËT GËNËRAL
1
RECENSEMENT ET REVISION, DANS LA METROPOLE ET EN AFRIQUi.
DU NORD, DES JEUNES GENS NES ENTRE LE 1" JANVIER 1935
DI B3 - AG 7
ET LE 31 DECEMBRE 1935.
L e .\finistre de la D efense N ational e
e/ des Forces Armées
m~e
V u la loi du 31 mars ! {L
:
\ 'u la loi N
5O. I·n
J
relath"e au reeru tement de )'ar-
du 30 nO"embre 1950 ponan t à dix-
huit mois la du rée du sen ;ce miJitaire actif et modifiant certaines dis positions de la loi du 3 1 maTS 1928 relafh'e au recrutement de
r Armée
;
Yu le décret 1\ 53.1<»9 du 2; octobre 1953 r el atif à l a
fomlation de la classe 1955.
RECENSEMEN T
Article premier. - Les maires, administrateu rs, contrôleurs ou fonctionnai res ci"i1- p rocederont au recensement des
jeunes "ens nés entre le 1er janl"ier 1935 et le 31 décembre
193..."). nés ou domicilies dans leu r communes ou ci rconscriptio n.
Art. 2. - Les opérations de re<:ensement commenceront
le 9 nO\-embre 1953. Elles se termineront le 31 décembre 1953.
Art. 3. -
Seront inscrits
SUT
les tableaux
B. -
REVISI ON
Art. 5. - La session ordinaire du co nseil de révision s'ou\"fira l e 6 seplembre 195/1, tant dans l a mét ro pole qu'en Af rique du Nord.
La séance de clôture de cette cession aura l i~ u ~e 16 décembre 1954.
ARRETE
A. -
Préfe t par les sen 'ices mu nici p aux pour le 2 août 1954 au plus
t ard .
Les maI res de\'ron't s'assu rer que la noti ficatio n des décès
des jeu nes gens ori gi nai r es d' une autre comm une et nés en
1935 a été effectu ée à la mairie d u l ieu de na issa nce des décédés.
d~
recensement:
Les jeunes gens nés en:re le 1er jander 1935 et le
31 décembre 1935 incl ,y compris:
a) ceux ,isés à ranicle 3 de la loi du 31 mars 19?
bl ceux "isès il rarticle 12. parag-ra;>he 2 de l a loi du 31 mars
192 qui demanderom leur inscription sur les tableaux de
recensement de leur classe d'àge ;
2
Les jeunes gens \-isés à J'article 12, paragraphe 1er
Ile la loi du 31 mars 192 , nés antérieurement au 1er jaO\ier
1953, quj n'ont pas etê inscri ts sur les tableaux de recensement
lies classes précédentes_ Les jeunes gens nés postérieu rement
au 31 décembre 1932 et visés audit article ne de\'Tont pas faire
:'objet d'une inscription d'o1fice :
3· Les jeunes gens \isés a l'article 13 de la loi du
31 mars 192 qui sont de\'enus ou deviendront Fr ançais pa r
voie de naturalisation, de réintégration ou de dèc!aration entr e
le 12 juillet 19·'3 et le 31 dt' embre 1953. ces date. incluses :
1
4'
Les homm
,-isès il l'article 16 de la loi du 31 ma rs
1~·, omis des ~sses précëdentes, dont l'omission aura été
si !.!nalée ou decou,·erte_
An. 4_ - Les tableaux de recensement seront établis
d'après les règles fixées par l'instruction du 4 c1ecembre 1935,
relatives au recensement et à la ré\'ision du contingent. Les
maires. admirristrateurs. contrôleurs ou fonctionnaires ci\-ils se
confonneront aux prescr iptions de )'article 4 de l'instruction
\'Ïsée ci-dessus. Ils inscr i ront d'o ffice su r les tab.'eaux de recensement les jeunes gens nés dans leur commune ou circonscription entre le 1er jam'ier 1935 et le 31 décembre 1935 (à
J"exceptiop. de ceux visés à l'article 3, paragr aphe 2 CÎ-dessu )
et pour lesquels ils n'auront pas reçu d'avis d'inscription dans
une autre commune.
Les demandes et dossiers des jeunes gens ayant déclaré
ou faÎt déclarer être atteints d'infinnité ou maladie pouvant !es
rend re impropres au ser vice militai r e, de\~ront être t ransmis au
Ent re les deux dates indiq uées ci- dessus, les préfets el
réside nts généraux fixe ront l' i ti nér aire du conseil de révision
et l es ùa'tes des séance s en tenant compt e de l a :::ituati on climatologique de leur département ou d e cer tai ns cantons de
leur dépa r tement.
Les itinérai r es seront arrêtés e n acco rd avec les géné raux
commanda nt les régions militai res o u Jes Igénéraux co mmandants supér ieurs de telle sorte q ue l e conseil de révisio n siège
successivement et non simultanément dans les dépa r tements
les moins peuples de l a région.
Les dir ecteu rs du service de santé r égional geront co nsultés à cet effet.
Art. 6. - Seront co nvoqués devant les conseils de révision de la classe 1955, les jeunes gens inscr its su:" les tab leaux
de recensement de la classe 1955, vi sée à l'article 3 du présent
arrêté.
En raison du cour t laps de lemps sépar ant les opérations
dE ré,'ision des classes 1954 et 1955 les jeu nes gens des cl asses
1953 et 1954 aj ou rn és par les conseils de réVisio n de la classe
1954 ne seront pas co nvoqués dev ant l es Co nsei ls de Révision
de la c l ass~ 1955.
Art. 7. - Un dossier médical devr a et.re établi pour chaque rec r ue. La du rée des séances ser a f ixée de teUe manière
r.u~ les exam€'ns dont les r ésultats doivent figurer au dossier
pUissent êt r e pratiqués avec soi n.
La moye!lne horai re des jeunes gens examll1és ne derra
pas dépasser quarante ~t la moyenne j ournalière .teux cent cinquante.
Il n, de" ra pas .tre procédé à l'examen de plus de doux
cantons dans la même jou rnée.
Pour la comoositioil des comm issions médicaies, le-s gén~·
"·lUx cOI!lmanctalit les rêgions mil itai r es fer ont appel aux méde·
cins des armées de ter-~, de mer et de !l'a ir.
Art. 8. - Vexamen des j eunes ge ns qui ne r ésident pa~
~"ns le d~parteme n t où ils sont recensés et qui demandent'
etre _r~\1 es ail lieu de leur résid ence, sera effectué dans les
cond,hons fixées ' pa r l'a rticl e 53 de l' instruct ion du 4 décembre
1935. Cas jeunes gens sero nt exam i nés au cours d'une séance
fixée uniformément pour to us l es départements au 4 novembre 1954.
.
De ~ette façon, toutes l es propositions d'aptitude physique
etabhes a l 'égard des individ us autor isés à être dsités au lieu
<ie 1 ~ ~lr rés i d e ~ ~ e pourront être soumises à la dé · ·
1· .éclSlon des
conseiLS de réVISion en séa nce de clô ture d
de r ec ensement.
ans es a p artements
Des disposit ions analoO'ues devr ont ·,
.
1
ct F
tlo
elre pnses dans l es
consu ats
e
r ance, en ce qui Concern e l'
ct ·
gens en résidence à l'étran ger.
examen es Jeunes
Arl. 9. - Des su rsis d'inco rporatio n (première attri bution)
-serodnt aC("fo r~ és aux j eu nes gens de la classe 1055 dans les
co n 'lIO ns . lX"es par les arti cles 22 et 23 de lia loi du 3 1 mars
1928. L e.s j eun es gens dé!::d reux de bénéfi cie r d' lin sursis d' incorp or atton seront in vi~és à se confonn er au x · d' t'
't 1 é
' ]n Ica Ions qUI.
leur seron (O nn
es
à
ce
t
egard
dans
les
mai
r
ies . Af'1n d'é't
·
VI er
10u t e co n t es t a t Ion ultérieure, les demandes de sursis d'i ncor-
D2 B3 . TVX 0
pora tioll devront H re soigneusement
rem ettro nt aux intéressés un accuse
dem ande.
datées et les mai res
de r écepti on dt! l eur
Ar l . 10. - La date de la session extr ao rdinai re du conseil
de r évision de la cl asse 1955 ser a fi xée ultér ieurement .
Ar t . i )' Le Gouverneur génér al de l' k~gé ri e, les r ésidents généraux de France en T unisie et au Ma roc et l es préfets sont chfl r gés, chacu n en ce qui l e co ncer ne, de l'exéc ution
(lu présent orrêté, qui sera publ ié au Journal Offici el de l a
I ~ ép u b l i q u e Française.
Fa;t à Paris, le 27 octobre 1953.
R. PLEVEN.
ORGANISATION DE LA VOIRIE DANS LES QUARTIERS D'HAHITATION
L e M inistre de l'Intérieur,
Le M in ist re de la .Rec onstruction et du Logement,
à MiM. les P>ré fe ts.
L 'aménagemen t des quar tiers d' habitation néc essit"e presque
t ouj ours ,d~ im p or ta nts trava ux de voirie et d'installations de
Tésea ux pour la dessert e des im meu bles et leu r hygiè ne.
. Or, dans bien des cas, l'im por tance de ces travau x et par
"SUIte le montant des dépenses élevées qui en résultent pourraien t
êt.rt~ rédu its sa ns que le service rendu en soi t ·dn mi nué, ce qui
perm ettrai t de reporter les djsponibilités financières sur la co nstru ction d' un plus grand nombre de logements nouvea ux.
Mais, en la mat ière, la r ec herche de l'économie se heurte
.souve nt à des pratiques ou à des règ lements anciens qui impo sent des car actéristiqu es ex,cessi ves ou des modes d'exécution
t rop onéreux, soi t pour l'éta,blissement des voi es de ci rculation
..génér ale, soi t pou r le classemen t dans la vo i rie publique des
voies de dessert e de lotissements.
Sans dou te, r insu ffisa nce .de l'aménagement de la plupar t
<ies lo tissements établis après la pr emière guerre mondiale
expliq ue en part ie ces tendances. Aussi bien ne sau rai t- il lêtre
question de r enouveler les erreurs com mises en laissant réaliser
ou en cl assa nt dans la vo ir ie ,pub liqu e une voiri e insuffisa nte
ou de mauva ise qualité. Il s'agit seulement de limiter le déveIO'Ppem ent des voies il ce q uil est uti le et d'a dapter chaque voie
à sa fon cti on en suppri mant tou t ouvrage hors ct·éc helle et
t o ute dép ense so mp tu aire.
La note ci-joi n te a pOlir obj et de vo us si gnaler l'oppori unité de donner en ce sens aux mu nicipalités des i nformatio ns
su'r Il intérêt de co nceptions plus soupl es qui tiennent co mpte
des e"'Périen ces fa it es et des progres de; la technique. Ell e ne
saurait prétendre à i mposer des règles précises ; notamment
en mati èr e o'e classement odes vo ies de lotissement, c'est-à -di :-e,
en un e matière qui se présente- so us des aspects divers ; elle
"Se born e à évoq uer des pr incipes et à suggérer quelques
solutio ns en vue de co nci lier le poi nt de vlI e fi"nancieï avec
le so uci d' un e sai ne gestion dlt ser vice pub lic.
Pour le Mi nistr e et par d'élégatioll,
L e D irec teur Général
de l' A ménageme nt du Territoi·ie,
A . f>RO' rHIN.
Pour le Min istre de J' Interieur
et par délégation)
L e Prefet
Directeur de J'Administ ~atio n
Départementale et Communale,
DAMELON.
NOTE
sur l'organisa ti on de la voirie da ns les quatiers d' ha bi tation
La tranq uilli té et l'agr ément de la vie quotidienne dans les
quar tiers d' hab itati on dépendent pour une g rande part de
l'orga nisation de l a voi ri e et de la circ ul ation.
Un tracé insl1lffisamment étudié peut être la cause de pert urba tio ns bru ya ntes ; un e voirie sur·a bondante peu t ent'i ainei
pour la co nstruct ion des suj étions inutiles ; en bien des cas,
elle nui t à la co nser va tion ou à la créa tion de jardins ou de
parcs pub li cs ou privés et se trouve ainsi à l'origine du divorce
entre la nat ure et la cité,
Sur le plan fi nancier, le co ût de la voi ri e et des r ésea ux
des quart iers d' habitation vari e énormément pour des programmes co mparables, suiva nt la co nception <les projets. Alors
qu'en général une viab ilité sa tisfa isante est r éalisable pou r une
dépense qui représente 10 à 15 % de la va leul1 des bâtiments
à desservir, ce lpour centagc se trouve largement dépassé dans
la prati qu e co urante.
La r ec her.che de l'économie se heurte, d'ailleurs, fréqu em ment à des règlements loca ux qui i mposent aux voies des
caractér istiq ues excessives pour leur classeme nt dans la voirie
publique.
Sa ns doute ne peut-il être question de renou.vel er les erreurs
co mm ises dans tes lotissements défectueux en réalisant une
\oirie i nsuffisa nte ou de mauvaise qualité. 11 s'agi t seulement
de li miter so n <l.éveloppement il ce qui est vrai ment uti le et
d'adapter exac tem ent chaque voie à sa fonctio n en supprimant
tout ouvrage hors d'échelle et toute ·dépense somptuaire.
1. -
DIRBCT IVES GENBRALES :
Un tel objectif ne peut êlre atteint qu'en lia nt étroitement
I"êtu.de de la voi rie et des réseaux a celle du programme d'utihsation des terrai ns, afi n d'aboutir à une co nceptio.n d'ensemble
cohe rente et équilibrée.
Faute de cette liaison, le risque se prod uit d'abo uti r à une
,densité de co nstructio n trop faible et à une dispersio n désordo nnée des bâtiments .dans -des ilots mal conformés ou trop
petits, ce qui co nduit il créer une lo ngueu r de voies dispropoft]onn ce avec l'i mportance des immeubles à desservir et à sacrifjer inutilement des espaces libres qui auraiefit pu s'agrémenter
de pla ntations.
II c01l viendra do nc que les uTiba nistes chargés de la conCei)tio n de l'aménagement des quartiers d·,habitation et les
architectes il qui inco mbe le travai l de co mposition et de co nstru ction des immeubles prennent d~s le début de leurs études
un co nta ct étroit avec les municipalités. Celles- ci devront aussi
263
�charger leurs serdces techniques -de \'ome de participer à
l'étude des tracés et d'assurer la coordination nécessaie entre
les services de distribution intéressés (eau, gaz, électri cité.
Les conditions les plus favorab les se trouvent réunies dans
le cas de réalisation coordonnée de tous les éléments d' un quartier d'habitation, grâce à rintervention de ro llectiv ités publiques, d'offices d'H.L.M., d'associations sy ndicales ou de cooperatives, de sociétés immobilîères, etc ... Le Iprogramme est alors
exactement défini,
Cependant, même dans le cas de realisation pr ogressive
par l' initiative p r ivée, des lTl~sultats appréciables peuv ent être
obtenus par l'étude attentive de l'utilisation probable des t erlalnS, la recherche d'une bon ne or ganisatio n du trafic et de la
vis urbaine et la rédaction appropri ée des ca hiers des dnarges
de lotissements Au surplus, si la nécessité d'assurer certaines
liaisons peut justifier l'execution immédiate de voies, même
secondaires, affe-etées à. la circu lation générale il )' a, en re " anche, intérêt à ne réaliser les voies e desserte que progressivement, au fur et à mesure que se précise le progra mme d' utilisation des terrains
Dans le mëme ordre d'idees, il y a sOllvent intérêt à établir,
dès le dëbut, la fondation des voies de circulation de manière
à en permettre une utilisation provisoire pour l 'appro visio nn~
ment en matériaux de construction, la finition de ces voies étant
reportée après l'achèvement du gros œuvre
Il. -
DIST INCfION ENTRE DIFFERBNTES NATURES DE
VOIES - CARACTER ISTIQUES DES VO IES.
1" Natult.e des voie,
I! convient d'ailleurs de signaler ici la distin ctio n très nette
il faire entre les voies de circulation générale et les vo ies de
desserte.
Les premières comprennent des artères d'importance très
diverses Qui doivent ménager dans leurs intervalles des espaces,
aussi étendus et paisibles que possible, réservés à l'habitation,
11 convient donc de choisir leur tracé avec soin et d'en limiter le dé\'eloppement.
Les secondes, véritables accessoires ,des habitations, peu\'ent ëtre traitées plus simplement, en fonctio n du site et de
la circulation réduite Qu'elles ont à assurer. lei, la tranquillité,
l'agrément et la santé des habitants doivent l'emporter SUI' les
facilités accordées ail tralic automobile. Sans aller jusqu'à
multiplier les voies en impasse, qui ne sont pas sans présente,'
certains inconvénients, on adoptera un tracé et des caractéristiQUes qui
n'appellent Jo pas la circu lation générale, On évitera,
par exemple, d'ouvrir ces voies dans le prolongement de celles
affecté($ à la cir culation, ou suivant un tracé qui pourrait
constituer un raccourci tentant pour l'automobiliste. En re,'anche, elles devront .permettre l'accès aux habitations mêmes des
véhicules
utilitaires tels que : ben nes des ordures ménaO'ères
•
b
,
\'oltures des pompiers, camions de li,'raison, "oitures de déménagements.
2 0 Canactéristiques des voies :
,
A. - ,D~ r e(lherche~ pourSUiVies tant en France qu1t
1étranger, Il resulte que SI le type classique de voi~ urbaine à
profil en traver constant et symétrique - chaussée à multiples
~les de Circulation et de station nement, trottoirs avec bord ures
Imme~bles implantés à l'alignement - ne doit pas toujour s êtr~
€carte, notamment pour les voi es de circulation secondaire
bordées de magasins, il ne fournit pas néanmoins de solution
satisfaisante poUl l'aménagement de la majorité des voies des
quartiers d'habitation.
C'est ainsi que, pour les art~res à grande circulation la
nécessité de concilier les exigences du trafic des véhicu le; et
264
des cyclistes, d u stationnement
et de la circulation des p·él
.
I ons
conduit à des. profils en . travers
co. mplexes, souvent var'la bles
d
suivant les diverses parties es VOies, ,pouva nt comporter des
pistes cyclables, d!s 'banquettes de sta~ , onnement, des trottoirs_
promenades et me me, pour les VOIes d Importance majeure t1
contre-a llées desser vantt les imm eubles ri verains.
' es
Quant aux voies de desserte~ leur destination même perm t
de les traiter plus modestement que les voies de circulatioen
générale Elles peuvent comporter des chaussées à deux voie
plus étroites, des chaussées à une seule voie éveù tuelieInen~
pour vues de quelques garages pour le croisement.
On notera qu'il y a intérêt, t out en r éduisa nt la lar<reu
des chaussées, à maintenir des la'rg-eurs d'empri ses sllffisa~lt/
pour le passa "e d es reseau x et l'établissement des
et même à prévoir des surlargeurs en certains poi nts pOur r
planter des massifs .(j'arbr es. En parti culi er, les carr efours, les
1 accordemen ts, les poi nts d'inflexion ou d'i nterêt, donneront lieu
à des Iprofils et à des aménagements appropriés destinés à
taciliter la visib ilité, à permettre le développement des plantafions et à affirmer le caractère propre des voies,
Plantalion~
Le maintien d'emprises assez larges n'exc lut d'ailleurs pas
l'adoptio n de zones non red ifi ca ndi sur les parcelles riveraines
afin que les co nstructi ons soient implantees en retrait de \'ali~
gnement, conformément à un usage de plus en plus répandu qui
a l'avantage de favoriser aussi d'agreables plantations,
Quant aux voies d'accès des immeu bles qui seraient
empruntéeS' exclusivement paIr l es piéto ns, il faut les construire
é!ssez solidement et de tell e manière qu' un bon écoulement des
eaux plu viales soit assuré afin qu'ell es ne risquent pas de se
raviner.
Les résea ux de ca nali sation seront posés autant que 'possible hors des chaussées, mais de préférence sous les trottoirs et
da ns les emprises de la voie publiqtle, ou exceptionnellement
dans des terrains communs non clos et grevés des ser vitude.,
nécessaires,
Leur coût de premit>r établissement qui se révèle du même
ordre de grandeur que les dépenses de constru ction de la voie
proprement dite est propor tionnel à la lon gueur des canalisa·
tions ; il Y a donc intérêt à rechercher les Itracés les 'Plus courts
possibles et en ligne -d roite, tOlite sinuosité corr espon dant à
des dépenses supplémentaires importantes et il des sujétion.
à'exploitatior.
E!lfin, une bonne desserte des habitations exige aussi que
soit résOlu le problème, chaque jour plus aigU, du stationnement. Compte ten u des vo itures utiJisées par les habitants,
par leur visi teurs et par les commerçants, il ne llarait pas
exagéré de r ése rver pour l'aveni r sur l es terrains publics, communs ou 'Pri vés, les emplacements corr espondant à une vo iture
par logement de mo yenne, quitte à ne les aménager qu'au fur
et à mesure des besoins,
Dans
les cas <ie
grands immeubles
collectifs ou d'un
ens~mble de constru ct ions groupées, on prévoira des aires de
stattonnement ombragées à leurs abords immédiats.
B, - Si l 'économie sur la voi ri e doit résulter d'abord d'une
conceptio n d'ensemble qui ( n limite la lon O'lIeur puis l'adoption
de caractéristiques répo ndant stri ctement ~ux besoi ns, le moàc
de réalisation des ouvrages y a aussi sa part, C'est ainsi que
le choix ju dicieux de l'épaisseur et de la natur e des revêtement:>
des chaussées et trottoirs l' emploi de bordures préfabriquées
en béton vibré, ou de bor dures en pierr e simplement dégrOSSie
et. doC largeur ~éd~ite, au lie~ de lar ges ,bordures en ,plcrr:
(aillee, la substitutio n de ca niveaux en beton aux ca mveau..
pavés, peuvent procurer de notables économies sans nuire a
la solidité des ouvrages.
III. -
AiCTION ,oBS COLLEoCTIVITES LOCAlLES ET ACTION
AlDM INISTRi\1"'lVE EN GENERAL.
Les prin~ipes généraux de comj:Osit ion exposés plus haut
sont ceux sUiva nt lesquels sont établis aujourd ".hui les pro jets
<i>'a ~l é na gement des villes et des groupements
d' urbanisme,
mais t?utes les c? l1l munes n'en so nt Ipas pourvues; ces projefs
eu~~m e mes ne fi xent que les di spositions essentielles de la
,'.olne ; une g:ande liberté subsiste pour l'exécution des opérah?n!; secondai res, qu' il s'agisse de tr ava ux publics ou 1)ri vés.
D autre pa.rt} ci e ,llo,mbreux projets anciens ne tiennent pas
com pte de ces prin cipes et doivent être rév isés,
~l1ssi co n vie~lt,-il de diff user largement la pr ësente note
aup ~~s des C?lIeChvltés locales et de v~iI1er à SOIl application lors
ne IlIlstru ctlon des projets d'amenagement de lotissement
de groupes d'habitation.
ou
Par aill eurs, les municipalités qui sont souven t sollicitées
pour participer au fi nancement de la voirie et des réseaux dans
les conditions prev ues à l'art icle 13 de la circula ire comm une
Intéri eur-Reconstruction et Urbanisme du 2 Février 1953 auront
le plus grand intérêt à veiller â l'application de ces piÎncipes
puisqu'aussi bien, elles seront amenées à classer, après rcception
définiti ve, l es voies de circu lation da ns leur voi rie urbaine et
à en assumer I·entretien.
POlir les voies de desser,te} la question d~ leur classement
02 B3 - F 0
da ns la voir ie publiq ue se pose Sll r le plan purement teC hnique
dans des termes assez comparables.
De ce seul point de vue, rien ne -devrait s'opposer au
classement dans la voirie publique des voies de desserte de
bonne qualité aux caractéri stiques vari ées et économ iques dès
lors que leur fonction de vo i., pu blique est établie. Les co nditi ons cou ramment imposées par les r èglements locaux: largeurs
d'entreprises de 12 mètres, dhaussées à plusieurs voies de circulation et ,de stationneme nt, trottoirs symé tri ques avec bordures,
levêtemcnt onéreux, peuvent souvent apparaîtr e com me trop
ri gides parfois su,perHu es ou mal fondées lorsqu'elles constituent
le seul cr itèr e observé pour ce cl assement. Il est donc indiqué
de susciter la révision des arrêtés ré glementair es dont les dispositio ns irai ent à l'encontre de cct assouplissement de l'action
admi nistrative et, en attendant leur réforme, d'accorder des
dérogations qui seraient nécessaires,
J\\ ais il est évident que d'autres considérations que celles
purement techniques devront intervenir. C'est ainsi qu'on tiendra
co mpte de la qualité de la personne responsable du lotissement,
ùes engagements pris et des conditions imposées par les cahiers
<les charges afin d'équilibrer l'intérêt social que présente l'opération et l'effo rt des co llectivltt~s
En toute hy,pothi:se, les incidences financii:res directes et
indirectes de classement et la situation et la structll r e générales
de la voi ri e publique ou prh'ee ne peuvent être perdues de vue,
CAISSE NATIONALE D'ASSURANCES SUR LA VIE
(Attribution de Dots)
Paris, le 17 novell:b re 1953
Le Directeur Oeneral de la Caisse
des Depots et Consignations
à Messiellrs les Préfels,
La Commission Sl~périeure de l,a Caisse Nationale d'AssuranCes Sllr la Vie a déci dé, dans le but d'encourager l a pré,oyance et de récompense r les efforts des person nes assurées
près de c~tte Institution, de procéder à l'attribution de dots de
15,000 fr. à un certa in nombre de jeunes filles choisies parm i
les enfa nts de titulaires de livrets ou de co ntrats de ladite
Caisse, ayant él evé une famille nombreuse,
Pour concourir à l'att ri bution de ces dots, Iles candidates
et leurs parents doivent réunir les conditions suivantes :
1") Le père (011 la mère) doit avoi r effectue à la Caisse
Natio nale d'Assurances su r la Vie ou à l' une des deux Caisses
Nationales (Caisse Nalionale des Retraites pour la Vieillesse
et Caisse Nationale d'Assurance en cas de décès) dont cette
Institution a pris la suite à l'exclusion de tOllt autre organisme
d'assurance, des versements sur une assurance Je rente ou de
capital en cas de vie ou en ca s de décès souscrite â son nom
ou au nom de ses enfants (assurances vie entière, mixte, temporair~, dotalc, terme fixe, capital différé, rente de survie,
rente différee, rente imm édiate).
2 0) Ces ve rsem ents doivent avoi r été opérés de plein gré
du pe re (ou de la mère), en dehors de l'applical ion des législations sur les r etrai't~s ouvriè res et pay~annes, les assu rances
sQcia les et les accidents clu travail et indépendamment de toute
affir!liatio n il un système coll ectif de prévoyance,
31}) Le père (Oll la 111è re) ne doit pas être assujetti à l a
su rt axe progr essive sur le revenu des personnes physiques au
titre de l 'an née 1953 (reve"us de 1952).
4' ) La jeune Iifle il doter doil appa rtenir il une famill e
d' au moins trois enfants vh'ants, être àgée de mPlns de qUinze
ans, et n'avoi r pas bénéficié de l'une des dotations acco rd ées
au cou rs des années précédentes.
Dans le cas où plusieurs sœurs se trouveraient dans les
conditions r equises, la dote serait attribuée à la plus jeune,
Mais ta sœur cadette d'une jeune fille déjà bénéficiaire d'une
précédente Jotation peut, dès sa naissance, être admise à
loncourir, dès lors qu'elle remplit les conditions exigées.
A défaut de nouvelle naissance, si la famille comprend au
moins cinq enfants vivants, la plus jeune sœur ai née d'une
jeune fille dotée depuis au moins trois ans peut être admise à
co ncourir dans l es mêmes conditions si, depuis lors, le père
(ou la mère) a poursuivi ses efforts de prévoyance.
La Caisse Nationale verse sur les livrets de capital différé
l a, somme nécessaire pour constituer, au profit de chaque
~nfant admis à la répartition, l a dotation payable quand renfa nt attei ndra 25 ans,
Les demandes des postulants seront examinées par la
Caisse des Dépôts et Consignations et les dots seront attribuées
dans la l'i mite des disponibilités en tenant compte :
1. - du nombre d'en{an'ts,
2. - de l'effo rt de prho) ance des parents.
Les personnes désirant co nco urir pour l'att ribution des
uots dont il s'agir, devront en informer, a\'ant le 1er janvier
1954, le Directeur Général de la Caisse des Dépô ts et Consignations (56, rue de Lille, à Paris 7"), qUÎ leur fera parvenir la
formule â remplir et leur indiquera Jes justifications à produire.
Je sous serais obligé de vouloir bien faire insérer la présente leNre clans le Recueil des Actes Administratifs de votre
département et prendre tou tes autres mesu res que ,'ous jugerez utiles pour que les dispositions ci-dessus soient portées le
plus tôt possible à la connaissance des intéressés par J'entremise des mai res,
J'ajoute qu'il y aurait également intért:t il ce que ceux des
jOllrnanx locaux qui insèrent habituellement sans frais les
communicatio ns ad ministratives f ussent saisis, par vos soins,
de ces rensei gnements qui peuvent intéresser certains de leurs
lecteurs,
Fr. BLOCH-LAINE.
265
�0 5 BI _ TVX
0
PROGRAMME OEPARTEMENTAL OE PRIORITE OE RECONSTRUCTION
DES BIENS SINISTRES POUR 1953
_\Iarseille, le 6 nO\'e m bre 1953.
Par a rr"té en date du 12 octob re 1953, pris sur propositions dr Monsieur le D6't!\.g-;lé ln'terdt\p a rtem enta l d u Ministè re
àe
la Reconstruction et du
Logement et
a prt:~
av is de
la
Commissi on Départemental e de l a Reconstruction, un certain
nombre de priorités a nté ri eu res co nce rn an t des éléments
d'exploitatio n com merciaux, industriels et 3zricoles on'e été
tions so nt affichées à la po rte princi pale des mairies- intéressees et peuve nt être co nsultees à la P réfectu re des B.-d u-Rh
(5e ùi"isiOl.1 - 1e r bureau) ou dans les bur ea ux de M. le D é!lIé~
gue Interd epart ementa l du .N \lnlstère de la Reco nstruction et du
Logement, 7, ave nue Généra l-Lecle rc, Marécha l de Fra nce
Marseille.
'
Po ur le P réfet,
Le Secrétaire Général
reconduites pour l'exerrke ' 953.
~
Les lisœs des sinistrés admis au bénéfice de ces disposi-
TEXTES
Signé : Maxime M IGNON .
D'INTÉRËT
COMMUNIQUES - AVIS .- ANNONCES DIVERSES
DEMANDE D'EMPLOI
Set.:r ~ta i re de Mai r ie
33 ans - 6 ans de pr3t ique - dacty-
lographe, di pl ô mé cle l' E. H,E.M. clierche poste dans commune
de 2.000 à 10 .000 habitants ou emploi de chef de bu rea u dans
commune pl Lls i mpo rtante.
EXAMENS RADIOSCOPIQUES - AGREMENT DE MEDECINS
COMMUNAL
ARRETiE
Le Pré/et des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'Honneur,
0 1 B3 - AG 7
ENTREE EN VIGUEUR UE LA CONVENTION DU 19 JUIN 1951 SUR LE
STATUT DES, fORCES ARMEES DES ETATS PARTIES AU T RAlTt.
DE L'ORGANISATION DE L'ATLANTIQUE NORO.
Le Préfel des l:iouches-<lll -Rhône
tOTale prévue pa r " article 13 cie l"Ordonnance du 2 no ve mbre
à Messieurs les Maires du Département
(en communication à M esslturs
les SOlls-Pré/els d'AIx et d' Arles)
1945 puisqu'ils ne sont pas te n us de posséde r de tit re de séjo ur
prev u pa r ce texte.
J'ai J'hon neur de \'ous informer que 'Ja Convention menionnée ci-dessus es t entrée en vigueur sur le territoire français
~ 23 août 1 ~53. Le texte se t rouvan t inséré au J.O. n 252, des
LÜ et 21 octobre 1952, j e ne puis que vous prier de vous y
référer e n tant q ue de besoi n.
Pour toute autr e {omla lité ou à !lfoccasion de faits notables (arrestatio n, dom m"1:es) résu lta nt de l' app lica tion de la
Convention du 19 j ui n 195 1, i l Y aura lieu de saisir éve ntuellement pou r les communes de l 'arr ondissement d' Ai x et d'Arles
l a Sou~-Pré f ec tllr e compétente, et mes senrices, sous le tim bre
rappe)e en mar ge, pour l'arr ond issement de Ma rsei ll e.
P<lur le P réfet e~ par Délé boati o n,
.
Je vous demanderai, toutefois, de noter que les mem bres
oes c Fo rces :) peuvent cont racte r ma riaae deva nt " Officier
d'Etat Ciril Français sans avoir sollicité
Je S ecrétaire Géni:ral :
l'~utorisa\ion préfec-
Vu l' Ordonnance N " 45-2720 d u 2 novembre 1945 sur la
Protection Ma'terne ll e et Inf anti le ;
Vu l'arrêté du 15 av ril 1946 de M. le Ministre de la Santé
Publique et cie la Populatio n, et les recti fications parues au
Journal Officiel des 10 mai et 15 septembre 1946 fixant le
modèle du certificat d'examen m éclica!~ avant l e mari3l::,o-e ;
Vu l'avis du Conseil Dépa rte mental de l'O rdre des Méde~ in s :
Sur la prol'osiiton de M. le Directeur Départemental de la
Santé,
ARRETE:
M. le Dr Jea n MARl'IN, demeurant il
Marseille, 174, avenue des Chartreux
à
Mes~ieurs
les Alaires du Département
. .................. . ...... . ................
est agréé pour pr atiquer les examens r adioscopiques, en vue
de l a dehivrance des cer tificats prénuptiaux et prénatau x.
04 BI
Po ur l es femmes mariées, il y aura lieu de mentio nner L'eS
no ms d'é po use e t de je une fi ll e de cha cune d'ell es.
J'attire \'o tre attention sur le soin et J'exactitude qu'i l y a
lI~u d'apporter dans l'éta blissement de ces documents, mes serV1Ces r elevant, chaque année, au cours de leur vé rif ication, de
très nombreuses err eurs.
.
En conformité des dispositions contenues dans l'Ordon~a~~e d~ 24 eprembr~ 19-t5, mon Administration doit procéder
a ~ etab.hssement des Itstes annuelles des docteurs en médeci ne
chlrurglens-dentistes, s~es-femmes établis dans le départ~
ment des Bouches-<lu-Rhone au 1e r ja nvie r 1944.
?:.
.Afin
me perm~ttr~ d'effectuer cette opér at ion, je vo us
seraIS obhc.e de \'ouIOl~ bie n me fai re parvenir, pour [e 20 d éumbre 1953, sou~ k II mbre < D irection Dépa rtementa le de la
Santé - P olice. Medicale - 66 A, rue Saint-Séb astien il Marseille », le rel eve des médecinS, chi r ur gie ns-de ntistes et sa gesfemmes exerçant dans votre commune.
'
Chacune de c~ listes, qui devront être distinctes mentionnera les. ~ oms, ,prenoms, résidence pro fess ionnelle, ~ a tio n a'JHé
des praticiens ; polir les personn es insta ll ées depu is le 1er janv~er . 1953. la date ,d'obte.ntion de leu r diplôme, Sît pro venan ce,
ainSI 'l.ue la date d enreglstremenl il la Préfecture des Bo uchesd u-Rhone.
M arseille, '~ e -1- nov embre 1953.
Pour le Préfet,
Le Seenitaire Général Délégué
Signé : Maxime M IG NON.
.'.
,Pal arrêté Préfectoral en date du 6 novembre 1953, M. le
[iocte ur RlSTORl J., demeu rant à Marseille, 44, rue Bernard,
est agréé pour pratiquer les examens r adioscopiques en vue
de la délivrance des certificats prénuptiaux et prénataux.
:.
Article premier. -
P a r a rrêté e n da te du 17 novembre 1953, M. le Docteur
OARRASON , demeur an t il Is t res, Il , rue de C ra p o nn e, est
agr éé pour prati quer les examens radioscopiques en vue de
ia c.leIh'rance des certif icats prénuptiaux et prénl taux.
AVIS DE CONCOURS
Administration des Eaux et Forêts
CHIRURGIENS-DENTISTES ET SAGES-fEMMES
Le Pre/el des Bouches-du-/?hône,
Art. 2. _ 1\1. le Sec rétai re Général de la Préfecture, M. le
Maire de Marse ille et Mo nsieur le Direcieur Départemental de
la Santé sont chargés, chacun en ce qui le con cerne, de l'exécuti on du présent arrêté.
S ig né: Maxime M IGNON.
ETABLISSEMENT DES LISTES ANNUBLLES DES MEDECINS ,
DOS · fS 10
MN\. les J"' aires interessés par cette ca ndidature voudront
bien se mett re d irectement en rappo rt avec M. TRICOT Charles, route de Valbon ne, il Mougins (Alpes-Maritimes).
L.es communes ne possédant aucu n des pr aticiens mentionI1~S CI -dessus sont tenues,
obligaloirement, comme les autres,
d ad r esser l'éta t demand é, en
menti on « Néant ,. .
faisant fi g urer, sur
Des co nCours pour le rec rutement de 60 agents tech niques
stagia ires des Eau x et Forêts et de 10 ga rdes foresti ers adjoi nts stagiaires en Al géri e, seron't ouverts à ,partir du 15 décem bre 1953 à un e da te ct dans les centres d'examen qui
seront ultér'ieurement fi xés par un arr êté du Gouvernemen t
Géné ra l.
Les candidats devron t ad resser leurs dossiers de candidature a,'ant le 15 décembre 1953, a u C hef d u Sen 'ice de s
Forêts (Palais du Gouvern ement Général de l'Al géri e à Al ger)
qui fournira, sur demande, une notice spéc iale détai~llée sur les
conditions de conCours et sur les pièces à fournir à l'appui du
dossier de candidature.
Cette notice pour ra, en outre, êt re consultée dans le Burea u de l' Office Ad ministrati f ùe l'Al géri e, à Paris, 16, rue
des PyramiLl es, ainsi q u~ dans l es Burea ux des Officiers des
Ea ux et Fo rêts de la Fra nce Co nt inentale, de l' Al géri e et de la
Co rse.
celui-ci, l a
Je compte sur vo t re diligence pour m'envoyer ce renseignements dans les dél ais f ixés, sa ns qu'il soit besoin de vous
ad resse r un r appel.
,MM. les Maires des arro ndissem e nts d'Ai x et cl' Ar les me
fe r ont par ve nir ces r ~ l evés p ar l'in term édiaire de M . l e SousPréfet de leur Arr o ndisseme nt.
Pour le P réfet et par Déléga tio n,
Le Sec ré/aire Général
Ma xime MIGNON .
P o ur le Préfet et par Déllégation,
Le Secrétaire Gén éral .- '
Signé: Maxime M IGNON.
I .. P RI~ " Il I"
267
Nou\' E.! ' C 01': MUS.IUC,
120. rue Sa.Îate
�DÉPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHONE
RÉPUBLIQUE
Numéro 48
..,
..,
FRAN ÇA ISE
3 Décembre 1953
DES
ACTES ADMINISTRATI
ET BULLETIN DES MAIRIES
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
AC O. FS O. -
Versement des rete nues rétroactives pour la validatio n des services pris en compte dans
une pension ..... .
270
Personnel des Etablissements publics d'hospita lisation de soin ou de cU're - Limite d'âge
273
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
F 3. -
Simplification de fo rmalités admi nistrati ves. App lication clu décret n' 53-914 du 26 septembre 19.13 et de l'arrêté du 26 octobre 1953 .... ....
... .... . ... .... . ...
274
Ass ujettissement des Départements et des Commu nes et de l eurs ragies de services publics
à l'impôt sur les Sociétés et aux taxes sur le chi ff re d'affaires.... ....
276
Avis aux famil les des pe rsonnes décédées d'Outre-Mer .... ... .
2~O
TVX O. _
Route Nationale 113 - Reclification entre Les Pennes-Mirabeau et le Baou ..... . . .....
281
F 2. _
Recettes accidentelles et variatiles .. . ... ...... ...... ...... ...... ...... .. . .. .
281
F. 3. _
AG O. -
COMMUNIQUES· AVIS· ANNONCES DIVERSES
Il
Dons et legs ...... . .. .
282
Permutation d'emploi . .. ,
282
ABREVIATIONS. _ A. P. : Ar;èt é pr éfectoral. - ~. : ~i rculaire. ~ Les lettr~s D et B suivi~..s d'un, chi~re
.'
S r ,iee OU Bureau d'origine. - D . S. T. : Dlreclton des ServlCes TecbD1q~es. - D. D. S. : Direction
Indiquent le 1e 'd 1 Santé _ D. D . P. : Direction Départementale de la Population.
Départ ementa e
e a
.
~~======================--
�l . -TEXTES
- - _ D'INTÉRËT
_ _GÉNÉRAL
__ _1
02 BI - AC 0
VERSEMENT DES RETENUES RETROACTIVES POUR LA VALIUATIUN
DES SERVICES PRIS EN COMPTE DANS UNE PENSION
(Application du décret N° 53-351 du 21 Avril 1953)
Annulation des cotisations de Sécurité Sociale
t
Pari s_ le 10
OI'emb re 1953
Le Garde ues Sceaux. ministre de la
Justice,
à MM, les Chefs des Cou,," d'Al'1pel
et à
les PJ'ëfets des Dépar-
""'M,
tements.
r
j'ai I"honllellT de 'DuS prier de "ouloi r !b ien trOU\'eI cidessous r eproduits les tennes d'une ci r culai re de M, ,le Ministre des Finances et des Affaires économiq ues _ Direetion ~
la Comptabilité Puolique - Bu reau 'C 4 - 4670 C 4 - LI C
2980 du 27 üct<lbre 1953, relatil'e à l'iII,llplicatio n du décret
53,351 du 2 1 ,wril 1953,
« Le décret N' 53.35 1 portant règlement d'administration
publique du 2 1 avr il 1953 rPub1Jié au « Jou rn al Officiel » du
24 al'ril 1953 page 378 1, a abrogé le sixième alinéa de l'article 17 du d';"ret du 2 sep~embre 1924 modi,fié par le décret
d u 3 mai 1939 relatif au I-ersement des retenues rét roactives
pour la validation des services pr is en compte dans les penSIonS fo nciees sur la du rée des -ser vices, et l'a remplacé pa r
des dispositions nouvelles.
c J'ai l'honneur d~ porte r à votre con naissance oi-après
qes .conditions dans lesquelles doit être fait aJl)llication des dispOSltions du cléc ret du 21 ,,,,ril 1953.
Direction de la Con~pt abi l ité Pu !)liqu ", N ' 5 126 LI C 4269 du
20 {.évr ier 1937, le reco UN'Temen.t des ret enu es de s1age Ou de
sunnuméral'lha t donne obligato irement lieu à émissio n d'un titr e de perceptio n.
« Les d i~posit ions d.u décret du 2 1 Av r i l 1953 ne sont
pas no n plu s ePI>licélIules aux régularisa t ions de versements de
retenues ,po ur pension, effectu ées paIr suite de l'i nten 1ention
tardive d'a rrètés de titul arisatio n ou d'a rrètés mettan t fi n à
des det~chemer.ts) pa r exemple. Ces ré gularisati-ons doi vent de
p lus sOll\'en t être faites à l'occasion de ceNes relatives au
traitement, et su.r le ra ï>'Pe 1 éventuellement dû à ce titr e.
II. -
L 'arti ole 1er du décret du 2 1 Avril 1953 pr évoit 'l es Con-
ditions dans 'lesquelles le versemen t des reten.ues retroactives
pe ut êtr e echrJo nn é : ces di spositio ns se substituent à ceilles
du si xième ali néa de l'a rticl e 17 du déc ret portant règlement
d' administration Ipu,l>l ique du 2 s"lptembr e 192'4. Le déb iteur
de r etenues rt-froactives 'peUlt à tOUfte éaJoque, se li bé rer par
antic~pa ti on, !~a r lin versement unique ou pa r plusieu rs versements di rec ts. Ces ve rsements sont efJfe~tllés, à l a dili gence
du fo nction nai re à l a caisse d u CQnl.GJ!table assignatai're du tit r e de percep ti on .
A. -
1. -
Champ J'applicalion du décrel N ' 53.351
du 2 1 Avril 1953
« Les dispositions du décret N ' 53.35 1 du 2 1 Av r il 1953
sont a'PP~icables au ve rsement des reten ues rét roactives d ues
p.a~ les f~~c~ionnaires, titulaires, admis à valider les services
cIvils auxIlJa.l r.es, tem po ra~ r~ d"aide 01J de co ntract uels, qu'i ls
ont accompll~ dans les dlffer~nts établissements ou adimi n'st rallons de t Etat a partir de l'âge de 18 ans, confo rmément
au prem~er alinéa de l'artic le 10 de la loi du 14 av ri~' 1924
(ar~. 8. .ln du Code de...;; Pensions civiles et militai res de retraite).
·
« Le décret du 21 avril 1953 ne modifie pas les disposi-
tions applica~les a.u versement des retenues rétm act i\'es dues
par les fOTtctJ~ nna.lres titula risés a,près une pé r iode de stage
?U de su~n.um{>ranat .pour vaHd.er les services c()rrespondants
a cette pen~e. U. ?Olt continuer à être fait ap;>l icatio n dans
ce cas des diSpOSition, de l'a rt icle 85 de la loi du 8 avlril
1910, en vertn desquei1es les intéressés doivent verSer leiJ r5
retenue~ dans ~ délai d'un ait. Le versemen t des r etenues
r étroactives ~OIt alors être effectué en douze termes le pre~Ier "en~n.t 2. ec~ éa.nce à l'eXlpiration du premier ~ois sui'ant la tltuJarl~atl on. I! est admis que, si la pér iode de stage
ou. de surn umeranat a duré plusieurs années. Je versement
~ l ie u .en. a~tant de foi~ douze te rmes qu'il j f a d'années ent ières a vaiJder, l a f raction d'année en eX'Cédent e'ta t é l '
·
f
. .
n /1 g 1~ee IPOUT Ixer ce dela.l. Il est r.,ppelé qu 'en applica,tion de
1 ar!icle 1er du décret du 24 juin 1934 portant
odT t.
et s·
IT t·
d
.
m 1 Ica Ions
· Imp 1 Ica IOns e diverses rè gles de la Comptabi lité Put1I lque et de la lettre collectil'e du D ~partement des Fi nanc.,.;,
2ïO
Détermination dl! montant des versements
Fo nctionnai r es en activitré.
c Confo l',n-ément au décret du 21 av'ril 1953 le m"",tant
des retenues rétroactives mises à la char ge des fonctionna i res
en activité doit fa ire 1o'bjet de ,r etenues mensuelJes à raison
de 5 pOll,r cent du tn,i,tement budgétaire net ord onnan.cé au
,p rofit des intére ès.
« Par t raitement budgétaire, il, fa ut entend re le t raiteIment afférent à l'emjpl oi ou au gr ade, soumis à retenues pO LIr
'j}tnsi on, à 1'exclusion <.l es in.cJemnités et emohlments non sou mis à reten ues qui 'y ajoutent. notamment de l'i ndemnité de
r ési dence, du 5ul~plém('in t familial cie t r attement, de la pr ime
de t ra'ns.po rt, de l' indemnité de fon~ tion., des rmnun érat ions
Ipou r travaux supplémentai res, des ava nta ges à caractère familial.
c Le t r aiteme nt ainsi déterminé Sur leq uel doit être ca l-
culée la retenue est le traitement net, c'est- à-d ire ap rès dêduction de 6 o/Q I)Our pensio n, à Ib'exolusion de tout autre d-éduotian. notamm ent pou r cotisation de sécurité sociale.
e L e montant de l a reten ue mensu'e'lI e est déte rm iné en
lIJ!fena nt les 5 centièmes du tr aitement net mensuel , ce mOTItallt étant arrondi aru f ranc i nfé rieur . L e dernie r versement
comlPr end l e eold e de 18 dette totale.
« L a rete-nue l11 ensuei'l e doi t être mod ifi ée, oh'aque fo is
q ue le traitement bud~,êiaire net va r ie par sui te d"avance ment ou de modif ica ti on du mo ntant d u tr aitement de manière que ~a retenue soi t tO lllj Q\lJJrs ég3Jle à 5 % du tr ai tement
effectivement perçu .
« Ce rtai ns fonction.nai res peulVent se tro uve r daJls une
pORition ne leur ouvr ant pas droit à l a perception d'un traitement effectivrment perçu.
« CertailJs fon,cti onnai res Ipel)"cnt se trouver dans une
posit ion ne 1C:L.:r ouvrant Ipas droi t à ~a .perception d" \L11 t raite,ment (Ipositioll de con~é sa ns t rai te-ment, de disponibilité, par
exemple), ou ;t l 'int6gr aJ,ité de leu r traitement, (congé de mal adie à demi- t raitement) . Il y a lieu d'exi ger du fonction nai re
\placé dans un e tell e ituation. des ve rsements mensuels ég'allx
aux 5 centièmes du tr aitement net budlgétai re qu'il percev r aLt
s'il ét ait en ~ctivi té, cl,.mpte tenu du grade ou de J'emplo.i
qt1' ~1 au rait dans cette posi ti on. Ces vensements sont cff tl!-é:s
directement '1 la dili gence du fo ncti onnaire quand il ne pe rçoit pas de trai tem ent.
Cas par ticldiers.
« Algents de l'Etat en ervice clétaoh'é.
« L e décret du 2 \ avr,H 1953 n'a aUCune r épercu ssion en
ce qui conccjtr.e l e recoulvrement des r etenues pou r pension
dties par les agents de l' Ebt en service détach é, mais il peut
se tr ouve r que des agents de l'Etat en service détaché soient
ad mi s a vaqide r des services pour l esq uels des retenues r étroacti ves sont mises à leur char ge. L'administration cha rgée de l a
validation des servi ces doit, dans ce cas, fixer l es versements
,nensuels aux 5 centièmes du t rai tement net que le fonctionn ai r e percevrait dans son Adminis1lration d'ori gine. Le
versement est alo rs eHectu·é à l a di Ligence du fo nctionnai re,
le titre de p~rcep t ion émis deva nt être assigné sur la caisse
du comlptable sl_pé r iellf' auprès de laquel le l'ordonnateu r de
l'Admi nistrat ion char gée de la validatio n des se rvices est acc rédité,
« Foncti onn ai res a~l)el és S'o US les dra,peaulX.
« Cer tains fonctio lln aires po uvant avoi r été titul ar isés et
admi s à v3Jl id er des SCI"Vi.ces d'auxiliai res aivant d'effectuer
leu r service l!li litai r e. Par 'mesure de bienveillance, le r ecou vrement des r eten ues l étroactives doit ètre suspendu pendant
la pér iode d ' Jpp~1 so us les drapeaux.
B. -
Fonctionnai res retr ai tés.
« Le d écr et du 2 1 Avr il 1953 n'app()rte aucu ne modific.1io /1 en ce qui co ncern e le versement des retenues r ét roactives
par les fon cti on nai res ret raités. L es sommes dont ils r estent
redevables à ce titre, au moment de lia concession de leUrr
pension, sont p r él en~e5 à r aisen d u cinquième des arrerages
de la pension. En cas de décès <i u pensionnê, elles sont prélevées sur le pror ata ~I'a rr é rages de pension dû jusqu 'au jou r
du décès. Le reliqu at des sommes restant dues, le cas échéant!,
après ce p r~l èvem ent est à la charge des ayants-ca use &U,Scepti bles de bénéficie r d'une pension de reversio n, et à défaut
des h" r i.!iers.
Ill. A. -
M odalités !([?exercicé de la retenue
Sur le traitPlment des fonctionnaires en activité,
« E'n applic.tion des disposiNons du déc ret du 21 Avril
1953, qui r<!prend su r ce poi,nt celles de l'article 17 du dec,et
du 2 S ~ptem!) r e 1924, si ('intéressé ne s'est pas lihéré en un
versement uniqu e, la première retenue est Ûlperée sur le trai·
tement du troisième mois qui suit celui au cours duquel a
été pr ésente la demande de vaLidation des se rvices.
« Les dispositions à ,prendre par tes ordonnatei.lifs et les
-compt ables en vuc de l'exe rcice de la r etenue su r les traitements Ides fonction naires e.n activité sont cell es prévues pa r
la lettre colll~ctil'e N' 15.71 5 ad r essée le 3 juillet 1925 pa r le
Ministre des Finances à I$es cO!llègues, modjfiée .par la dernière ,partie de la l ettr e co ll ec ti ve N' 38.725 Lie 4 177 d'I
10 décembre 1936.
« Alin si au'il est prescrit pa r la llet.tre collective du 10
Décemb re 1936, et contrai rement il ce qui était prévu par
ce ll e du 3 Ju illet 1925, les retenues exercées sur les traitements en vue du r ecouvrement de retenues 'r étroacfÎ.\'es doivent
ètre oJjligatoir~ment justifiée par l'ém ission 'df.un titre de per-
~ptioo ,
Ces t:tres sont érnis pour le mont ant intégr al des sommes dues, sa qs qu'i l y ait lieu de recheroher si l 'e ncaissement
est rea lisé ell un ou plusieu rs term es. I!s doivent être assig nés
sur ! ~a caisse du compt abJe supé rieur qui assure le pa iement
oÙu traitoment et comporter, en' pJus des in.dications relatives à
l'état civil et â la quaJité de l'agent, la durée des services à
valider , le d6conlipte détwiHé des re~enues rét roactives cor respond at!ltes, a in~i que l e mo ntant du traitement sur lequel elles
on t ét l! ca J c~~es. Ce t r?itement est. sa llif di pOS itions pa rt k utlière:;, 'Ic tr aiteoment initia'l effec tivement touc hé pa r le fonctionnaire lorsqu'il a été tih~l a r i sé. Le titre de pe rœption~ d'Oit 6gaJement fai re apparaitre le montant 'des co t isations versées aux
Assuran ces Sociales au titre du risque C' vieilJesse » annulées,
qui viennent 'e ll déduction des reten ues Irétroactives à verser .
e Quand les titres sont émis par les admi nistrations cen tr ales,
ils sont t r ansmis, conform ément â Il'a réglementation en vig ueu r,
par Ii'nterméd ia ire du Ministè re des Finances - Directi on de La
Comptabi li té ~'ulilique - Bureau E2, annexe Sai nt-H onoré, 3,
1 ue Croix-des- Petits-Ch.mp,;, Paris 1er. Quand i ls sont émis à
l'échelo n local, ils sont transmis di rectement 'Par le service
émetteur au com.ptable -supérieu r du Trésor assignatai re du
traitement.
c Etant do nné que ~e nombre de termes auq uel doit donner
Heu le versement des retenu es d~end déso rmais du montant
du tr aitement, et des 'VariatiOlrtS qu' i l peut subir, le titre ne doit
compo rter , en 'ce qui conce r ne le r ecol1!vreme nt, que la me ntion
su iva'Tlte :
• Recouvr ement à operer c"",fo rmément au déc ret n' 53.35 1
du 2 1 avril 1953 •.
« Mabgré l'i nter vention tle la lettre coll ective du 10 décembre 1936, certaines admin istrations ont souvent établi simultanément des tibres de perception et des bulletins du modèle
n' 1 annexé il la lettre collective du 3 jui llet '1925. Ces bulletins
font double emploi avec les titres de perception qui doivent
com;po r ter des ind. i cations identiques. Ces bull etinS n'ont pas
à être étalJlis.
e Dans le cas où le fonctionnai re vient â ehanger d' Ad minisf>rati Cln, l' ancien Administration 'doit indiquer au nou\'el
ordonnateur le momta nt des sommes restant à Ipréoompter po ur
I\ui pef'lmettre de fai re pro-ci."<ier 'au précompte sur le no uveau
traitement Iperç.u pa r lïntéressé. En même temps j'Administration qui a ém is 1e titre de perc ep ti on doit indiquer au Cc mpta,ble su,pér ieur du Tr ésor assignatai r e du titre, ~e n()uvel ordonnateu r d'u traitement. Dans le cas où se noovel or donnateur est
dans un autr" dépa rtement, l e C"",,ptable su,]l'é rieur du Trésor
assig'na"flai re lransmet au nouveau comptabde payeu r du traitement un extr ait du titre de perception en vu-e du recouvremen t
~>our son COml}te, à l'appui d'une note fai~1nt connaît re l e nOuvel ordonnateur du traitement. ainsi que le montant des sommes
restant à reverser. Cette p rocoedure atpplicable au.x t i tres de
Ipe rception a pou'r effet. de supprimH les dispositions relatives
à l'emplo i du blr~letin modèle 2 que certaines Administrations
ont pu continuer à utiliser.
« Les C.J.mptables sU!p~ r ieulr ~ du Tr ' r assignataire des
titres de per~eption a\'isent des recom r eme nrs les Admi nistrations qui ont émis les titres, confonmement aux Înstructions en
vi'gueur,
« Remarque: Agents des collectivités locales et des AdmiJlistrations algérienne, tunisienne et mar ocaine.
« Les (l'grnts des coNectivités locales peuvent OJbteni r la
valid'ation de ser vices ~luxHiai r es qu'ils ont acconllplis à l'Etat.
Ces services peuvent êt re pris en compte po ur da liqu.idation
d'une pension â pa rt~ cont ributives. La lettre col1ective N°
79/2 Bi s du 10 ()ctobre 1950 • fixé les rèogles à suil"e dans
cette hl"pot hèsc. L. pr ésente lettre colleetile n'apporte au.cune
modification; ces règJcs; les disposi tions du décret du 21 avril
1
271
�1953 n'o'nl pas à être appliquée- p uisque les rerenues retrGacti,'es corr.",pondent à d es services ,'alidés en vue de leur remu-
lJération danS un regime de retrait d'Ulle collectivité autre que
J'Etat et qu'enes ne do"nent pas lieu à précompte sur un traitement
« Ce qui p récède ,'aul également pour les agents des administrations algérienne, tunisierme et marocaine.
B. -
FonctioMaires retraités.
En ce qui concerne les fonctionnaires ayant cessé leurs
fonctions par suite de mise à la retr ait", le décret du 21 a\'Ti l
1953 n'apporte pas de 'Changement aux modalités de recO uvrement des retenues rrnoactü"es, ceBes~i devant ètre recou\7ées
par \'Oie de retenues du cinqwème des arrérages de la pension.
Ce recoU\'Tement continue à être effectué, ainsi que le p rescrit
la lettre rollecti,'e du 3 juiUel 19"..5, en ,'enu d'un titre de pe rception, établi et transmis dans les conditions raJ'Pelées à la
subdi,'ision B ci-<lessu, Les dis positions de la lett re collective
N" 5126 L 'C 416 A.G.R, du 20 février 1937 demeurent appli cables.
c Dans le cas où ie recoU\Tement des retenues rétroactives
a été entrepr;s alo rs que le fonctionnaire était enco re en acti\ité les dispositions qt: ; suivent doivent être appliquées.
c Le titre de pe r~eptio n émis pour recouv rer les retenues
rétro actives sur te t raitement ne doit pas nécessairement être
annulé, ainsi quïl a été 'gënéralement p ratiqué jusqu'à maintenant. Le recouv rement en vertu du tit re de perception est
poursuivi sur le t raitement jusqu'à la cessation du paiement de
celuj-ci; le ecouvrement est alors eHectue sur les arré.rages de
la pension., à cOlI1Pte r <'.e sa date de jou issance initiale. Ce dernier recOU\-Tement est, le cas éohéant, commence à titre conservatoire sur les arrer ages des avances proYisoi r es Sllf pensi()n
éventuellement allouêes dans les conditions prévues par les lettres colleeti,·es n° 5637 G L I C 200, litre Il , 3°, c) du 22 décembre 1943 d 5858 C' LlC 503, Il. 7°, du 16 décem bre 1944.
Une copje du titre de perception -précédemment émis est jointe
au dossier de liquiooticn de la pension sownÎS au contrôle 'de
la Direction de la Dette Putdique, avec une décla ration de versement des retenues effectuées sur le traitement jusqu'à la cessation 'du paiement de celui",i. Cette déclaration est deman<lée
au cOIl1Ptabie assignatai re du tit re de perception.
c: Dans !e cas ou la pension doit êt re assignée su r un
eomptable supérieur différent de celui qui a pris en charge le
titre de perception, c'.st-à-<li re celui qui payait le traitement
~rs que Je fo~ctionnaire était encore en activité, hypothèse
frequente en raIson de la régionalisation des services de pensions, il 'doit être procédé au moment de la mise en paiement
de la pension à un transfert du reste à recouvrer. A cet effet
J'Administration qw a émis le titre de perce;J>tion émet simulta~
nément un titre d'a nnUlatio n et un titre de perception pour le
montant des sonunes res ant à r ecou\'rer, le nOuveau titre de
tperception étant assigné sur le comptable supérieur assionalaire de 1<'. pension. Le titre d'annulation et le tit re de pe r~ep-
tlon sont Jotnls au dossier de liquidatio n de la pe ns ion dans
les conditions prévues par la lett re collective N° 5 126 LlC 4269
du 20 f",'rie r 1937 . A,près contrôle par les sen'ices de la Direction de la Dette Publique. le titre d'annulation et le tilre
de pe rcep~ion sont -pris en charge et en registr és; en outr e, le
n~uveau .tltr e est r evêtu de li 'nd ication du comptable assignai~ l re. P;n IS I.es deux tit res sont t ransmis au Dépa rtement des
Finances , DlTectlon de la Comptabilité P lJblique, Bureau E2,
'" nexe Saint-Honoré, 3, rue C roix-<les-Peti ts-C hamps P aris 1er,
qui les fait t)arveni r aux comptables sttpérieurs inté'ressés.
« Dans ~e cas où te titre de r ecette initiale a été émis pa r
un service local, l'Administration centrale doit toujours émet1re le nOl/Veau titre de perception afférent au reliquat des retenues à précompte r Sllr les arrérages de la pension. Il lui ap-
272
!partient à cet eHet de prescrire au service local d'annu ler le titre de r ecette initial. Une copie du nouveau titre est transmis
à I ·o rdonnat~t.' r secondaire qui la joint au titre d'annulation
lpo ur le justiiier. L'ordonnateu r secondaire rend compte fi "Administation c~nt rale in.tér essêe en lui transmettéLnt une copie
du titre d'annulation que celle-ci an ne xe au dossier de liquidation de la pension.
j'atti re tout ~pé-c i al ement vot re att ent io n su r la da te d'enirée en vig l1 ~ur des nour'l'eiJes modalités de recouvrement des
retenues rétro actives sur les t raitements des fonoti onnaires fi.xé.e aU t er janvier 1954 et vous prie de vou4oi r bien porter' les
termes de lia présente circulaire à la connaiss3!nce des services
c Dans l' une ou !'autre des hypothèses envisagées ci-dessus, les titres de Ipaiement de la pension compo rt ent une ment io n indiquant que ta pension doit être payée sauf dédu.ctio n
de la somme restant à recou vrer au tit1lie des r etenues rétroactives. Cette ment ion a )pour but d'attirer Il''attention du compta_
b le sur l'existence d'un titre de pe rc~pti on qui est, soit le tit re
émis pou r le recouvrement des reten ues r étr oacti-yes Sur le trai tement dont il étai t assÎanataire, soit le titre limité au mOntant des sommes à r ecouv r er a.u. moment de la cessation du
1>aiement d u t ra itemeot, q uil reçoit de l' AJgence cC>mjltable cen tra le duT résor.
IV. -
ReClJuv~ement des titres de perceptions 'émis
avant la r éception de la présente lettre
« L'artiole 2 d u Mc ret n° 53.35 1 du 21 avril 1953 avait
.prévu que les nouveU~ modalités de r ecouvr ement des rete,l ues r étroactives sur les traitements des fonctionnaires
seraient mises en vigueur pou r l es retenues rét r oactives en
COU J1S de r ecouvr l3ment, qu'à pa rt ir du troisième mois sui vant
la p"bli cation du décret.
« P a r suite de l'envoi larmf de la p résente lettre, certe
date n'a pu H re respectée. Les ordonnateurs df\' ront prendre
toutes m esures utiles pou r que l' a,ru>lication des 1l0lLvelIes dispositio ns soit effective li pati r du 1e r jaJOvier 195-1. A partir de
cette date les Comp tallles sl\lJ'é ri eu rs du Trésor refuse ront leur
visa pour Oes t r aitements soumis à pr~comp te pour le recouvrement de r etenues rétr 3actives au..x.quels il n'aur ait pas été fait
application des dispositions du décret N° 53.35 1 du 21 av ril
1953 et de la prése nte lettre collective.
.
« .l .es o rdo~ n ate urs des t raitements n'.au ro nt d'ailleurs pas
a mochfler les titr e de pe rception en cou rs de r ecollwement ou
à ",,,ise r les comptables du Tréso r des mod ifications apportées
au.."( modall tec; de recounement. Ils au ront seuJement à détenni!1e r le noU/veaü monta'lt de I.a r etemre à effectuer su r le traite-..
ment d' a,prés le mo ntant net de celui-ci et à tenir compte de
ce Inou\'eau montant dans l'étaljJjssement des documents permetta nt le paiement du t r ai tement.
...
Annul at io n des cot isations de Sécurite Sociale versées pou r
le compte d'agents titularisés et admis à fai re ,'alider le1>TS
sen'ices d'a:uxiliai res rendus à l " Etat :
c Les Administ rations et les Caisses régionales d'Assurances-Vieillesse ont fréquemment rencontré des difficultés pour
se m::ttr e dr a~o rd ur If' montant des sommes qui devaient êt re
versees au Tr or. à la suite de l'annUlation des cotisations de
Sécu r ité Sociale versée-.;: lpou r le ~pte d'a aents titul arisés et
autorisés à fai r e valider leurs se rvices d'a~'dliai res rtndus à
l'Etat.
c Il a éte admis eil acco rd a"ec le J\I~inistè re du Travai l et
de la Sécurité ,S?ci3Jle qu'en p rincipe les Caisses régionales
d' Assu ra<lces- V tel II esse accepte rai en t les i ndi ca tions " Itiff rées
q:ui leur so nt four-nies pal( les Adm inistr ations à l'a pp ui de la
demande d~ a n nu1ation_ Dans le cas où l'A.danirtist r at ion ne serait
'pas en mesure de pr ésenter u-n rel evé des cotisation s ouvriè res
et des ootisatio ns patroncvles à annuJer les Caisses déte rm ineraient elles.,mêmes ces cotisations com~e tenu du salai re de 1~1
catégo rie ,profESSion nelle au COu rs de la pé ri ode pour laquelle
l' annuJahon des cotisations est demandée >.
D3 B2 - FS 0
com,p1ables re:evant de vo tre autorité, et les in,viter à en aSSUrer la st ricte 3iIJ1llication.
Par autorisation,
Pour ampliation,
Le Directeur du Personnel
Le Ghef de la Com,ptabili'';
et de la Com.pta bi lité
Signé: IVLl S.lBLE
J.-<L. COSTA
PERSONNEL DES ETABLISSEMENTS PUBLICS D'HOSPITALISATION,
DE SOINS OU DE CURE
Limites d'âge
Pa ris, le 14 novembre 1953.
Le Min istre de la Santé P ublique
et de la POI>uda tion,
, Messieurs les Préfets.
Le déc ret n ° 53-71 1 du 9 Août 1953 co mmen té par la circuJair e de MI. le Secrétai re d' Etat a u Budget n° 6 1-1 66/ 6 du 23
Septembe 1953 (publiée a u Jou rn al Officiel du 6 Octob re pacre
8.778), a relevé de deux ans les lim ites d'âge des fonctio~nair~s
civils de l'Etat, tell es qu 'elles avaie nt été fixées va-r l'article 10
de la lo i du 15 Février 1946.
L'article 3 <l u d it décre t a stipulé d'a utre ' pa rt, que les
limites d'âge des fo ncti on naires et agents des coll ecti vités
local es ne pourraie nt être inféri eures à celles des fonctionnaires
civils de l'Eta t.
Compte tenu de ces dispositions et afi.n <l' uniformiser les
lim ites d'âge des agents titulai res des Etablissements publics
œhospitatisation, <ie so ins ou de cu re, il me parait nécessaire
que les limites d'âge applicabl es à ces personn els corespon dent
désormais dans chaque Etablissement aux limites d'âge minima
telles qu'elle rés ult ent de l'art. 3 préci!'e du décret du 9 Août
1953.
En conséquence, j'ai l 'honneur de vous prier de vou loir bien
inviter les Assemblées gestionnaires {les Etablissements pub li cs
d' hospitalsation, de soins ou de cure de vo tre Département
1° En application de l'art . 10 de la loi du 15 Fel'rier 1946
.et de l'art. 1er du décret du 9 Août 1953, à fixe r les limites
d'âge appli cables au person nel titu laire de ces Etablissements:
-
à 65 ans pou r les agents occupant un emploi classé dans
la caté gorie A,
- A ,60 ans pour les agents occupant un emploi classé dans
la
c a t~go r ie
B,
2° Compte tenu d'une part des dispositions de l'a rt. 4 de
la loi du 18 Août 1936 et d'a utre pa rt, des disposit ions de l'article 1S de la loi du 27 Février 1948, il p rév oir un recul des
limi tes <l'âge (65 et 60 a ns) :
a) D' une année par enfa nt il charge, d,a ns la limite de trois
a ns·
'b) D'une an née pOlir tout fonctionnaire ou agent qui, au
moment où il attei gnait sa cinqua ntième année, étai t père d'au
moins t rois enfants vivants, il la condition que l'intéresse SOIt
en éta t de co ntinu er à exercer ses fonctions et sanS que cet
.avantage puisse se cU J11 uler avec celu i prévu au paragraphe a)
ci-dessus ;
c) D' une année pour chaque enfa nt mort pour la Fran ce
et n' entrant pas en li gne de compte pour l'application des dis '
positions d'u 'Paragrap lle b) ci-dessus,
30 A Iprévoi r" pour les agents oCCllpan~ /lIl emplui cla~'sé
abns la ca t éfForie 8 la possibilité de sdlliclter leur "'Gmi /en
en activité rp~ndant 'deux ailS au-delà. de !~ 'limite . d'à,g: telr.e
~ u '~l1e r ésulte pour chaque agent des dI S~OSI!IOnS qUI pr~ct' dent~
suiva n t les mod alités déterminées pa r 1a rt icle 2 du deeret n
48-1907 du 18 Décembre
du 2 Août 1949,
1 ~48
modifié par le dé oret n° 4'J-1117
Je ra ppelle que cette prolongation d'activité est s usceptible
œêtre rprise en compte dans le calcul de la pension, mais seulement da ns la limite des 25 ans <ie services exigés pour l'ouvert ure du dr oit à pension ci'ancien neté et sous réserve que ladite
prolon gation n'a it pas été interrompue à la demande <le l'intéres é pour un motif autr e que l'incapacité physique ou intelIectilelle.
Les mes ures c-dessus feront l'objet dans chaque Etablisse,
ment, dJ"une délibéra tion de l' Assemblée compétente prenant
effet au 1er septembre 1953, et modifia nt les statuts particuliers
actuellement en vigueur. Ces délibérations vous seront soumises
pour approbation et seront ensuite adressées par les soins de
Chaque Administration hospitalière à NI. le Directeur Général
de la Caisse des Dépôts et Co ns ignations ( IOme Division - 4me
Bureau).
S'agissant des agents en instance d'ad mission à la retraite
il convi endra <i ·appliquer les directives contenues dans la circu lai re en date du 8 Septembre 1953 de M. le Secrétaire d 'Etat
au Bud get (paragraphe L,() .
En notifiant les pr ésentes instructio ns aux A<iministations
hospitalières de votre Département, vous voudrez bien -appel er
l'attention de ces Administrations sur le fait qu'il n'est apporté
aucune modification aux âges d'ouvert ure du droit à pension
te ls qu'ils so nt fixés par l'article 6 du déoret du 5 Octobre 1949.
Il s'en suit que les agents des Etablissements publics d'hospita lisation, de soins ou de cure conservent la faculté <ie solliciter leur adm ission à la r etraite :
- à 60 ans s'ils comptent au moins 30 ans de serv ices;
- à 55 ans s"ils com ptent au moins 25 ans de services dont
15 ans au moins dans un emploi de la catégorie B,
Je vous demanderais en outre, de rappeler aux Admnistrations susvisées -;
l o Que les agents non atteints par Ja limite d'âge ne peuvent être admis à la retraite d'office si ce n'es t :
-
POUf
invalidité,
- A la suite d'une pro cédure disciplinaire et, dans ce cas,
sous reserve que les intéressés rem plissent les conditions d'e
durée de services prevues pour J'ouverture du droi t à pension
d'ancienneté.
_ Pour insuffisance professionnelle et, dans ce cas, so us
réserve que les intéresses remplissent à la fois les cond ifions
d'â ge et les conditions de dUlrée de serv ices prévues pour l'ouvertu re du droit il pension d'a ncienneté.
2" Qu'en ce qui co ncerne les agents atteints par la limite
d',ige ou (s'il s'agit d'agents occupant un emploi classé da ns la
catégorie B) ayant épuisé les prolongat ions d'activité qui ont
pu leur être accordées en applicatio n d'e l'a rticle 2 du décret
du 18 Décembre 1048, l'ad mission il la ret raite des intéressés
ne peut en aucun cas être différée.
213
�Vous voudrez bien me saisir sous le présent timbre des
<lifficultés auxquelles pourrait donner lieu l'application de la
présente circulaire qui ann ul e la cir.culaire antérieure n° 2 1 du
Il Février 1950 et qui s'applique à l'ensemble des personnels
titulaires des Etablissements publics d'hospitalisatio n, de soins
ou de CU!re. à l'exception toutefois des médecins fOflctioflna ires
TEXTES
D2 B3 - F 3
des Hôpitaux Psychiâfriques. Sanatoriums, Préventoriums t
Aériullls publics dont les lim ites d'âge sont fixees pa r décret. e
Pour le Mi nistre et par délégation,
Le Chef de Cab inet,
j . B6RARD
D'INTÉRËT
COMMUNAL
APPLICATION DU DECRET N° 53-914 DU 26 SEPTEMBRE 1953 PUNTANT
SIMPLIFICATION DE FORMALITES ADMINISTRATIVES ET DE
L'ARRETE DU 26 OCTOBRE 1953 PREVU A L'ARTICLE 3 DUOIT
DECRET.
ni~ttratio ns, se~vices, établissements, entreprises, or ganismes ou
caisses opoUl1ralent p~o ~éder auprès des dépositaires des r egistres, da:ns le cas ou li apparaîtrait que l'état-ciVIl mentio nné
~~ l~ fiche prév ue à l'articl e 3 du décret ne corresond pas il
1etat"clvrl véntable <ie l'in.téressé.
é
. En dehors <les cas prévus par l'articie 5 du décret et
cl-~essus .én u~ ér~s, ~es cOllec tivi~és, entreprises, orga ni sm~ ou
~al sses VIS~ a l article 1er du décret ne 'Peuvent exiger des
lllt ~essés <l aut.res preuves de leur état-civil que ceUes prévues
par les arti cles Jer, 2, 3 et 4 de ce décret.
Par co ntre, la prOCédure instit uée par le décret co nsNtue
pour les administrés, un e si mple facu lté qui leur est offer te d~
manière à leur fali citer la preuve de leur état-civil. U r este bieu
entendu que les procédés i nstitués par l es articl es 1 2 et 3
(j u déc ret ne sau'raien t se substituer systé m atiq u e m e~t à des
procédés plus commodes pou·r les a<iministrés, tels, par exempl e,
que la présentation d'une carte d' identité ou d'e telle autre
p ièce qui serait jugée suffisante
Il. -
Paris, le 3 1 Octobre 1353
Le Vice-Président du Conseil,
Le Garde des Sceaux, Ministre de la justice,
Le Ministre de l' Intéri eur,
à AfM. le Préfets .
Le décret n' 53-9 14 du 26 Septembre 1953 porta nt simplifi cations de formalités administratives vient de modifier les
çonditions dans lesjquelles les administrés sont ten us de fou r mr
aux administrations, services, établisseme nts publi cs, ainsi
qu'aux entreprises, organismes et caisses contrôlées par l'Etat
la preuve de leur état-civil.
Vous voudrez bien :
0
1 Faire exécuter les prescriptio ns de la présente circulaire
par votre administration ;
2° Notifier ces prescriptions pour exécution aux services
et établissements publics départementaux placés sous votlre
tutelle ;
1
0
3 Porter cette circulaire à la connaissance de MM. les
Maires de votre département, pour exécution (article 92 de la
loi du 5 Awil 1884) ;
0
4 La notifier po ur exécution aux chefs des ser vi ces et
établissements publics de l' Etat fonction nant dans vo tre département ;
. 5.:> La notifier également aux entreprises, or ganismes et
<alsses contrôlés par l'Etat fo nctionnant dans votre Départ ement, ce, en vertuu de l'article 1er <hl décret du 26 Septembre
1953 sur la déconcentraton admnistrative et les pouvoirs des
Préfets.
. je vous indique que M. le Ministre du Travail et de la
SéCUrité SOCIale a notifié la présente circulair e aux oraanismes
et caisses dépendant de Son autorité ou placés sous s~ tutelle
et que M. le lItinistre des Travaux Publics, des Th-ansports et d~
Tounsme l'a notifié pou exécution à la D irection Générale d'e
la S.N.C.F.
Pour ce. ~ui concer~e les or ganismes et caisses dépendant
de Mi. le Ministre du 1 ra vail et de la Sécurité Sociale, et la
S.N.C.F., vous pourrez, en conséquence, vous borner co ntrôler
J'exécution, pa r ces services, des dispositions de la présente
clrculalre.
a
1. -
CHAMP D'APPUCA11ION
L'article 1er prévoit que : « Dans les procédu res et in sc tructons de 'requêtes administratives Conduites par les admic mstrahons, services et établissements publics ou par les
« entrepnses, les organismes et les caisses contrôlés par l'Etat,
274
« la p résentation du li 'Nd à.e fami ll e réguli èr ement tenu à jour
« vaut remise, selon le cas :
« De J' extraLt de l' acte de mariage des parents ou du
c Ibulletin de leur mariage ;
« De l'extrait de l'acte de naissa nce d'es par ents ou des
« en·fa nts ou du bulletin de leur naissance;
« De j'extrait <le l'acte de décès d'es parents ou des en fants
« morts dans leur minor ité ou du bu ll eti n d e leur ,décès ».
Ces dispositio ns s'appliquent aussi bien aux adm inisrratio ns
ser vices et établissements publics des départements et d";
communes qu'aux admin istratio ns, ser vices et établissements
publics de l' Etat. Elles s'appliquent également aux e n ~reprises ,
organismes et ca isses oontrôlés par l'Etat. A titre d'exemple,
une liste, non limitative, des principa ux organ ismes visés â. été
donnée en annexe à l a circulaire n' 417 du 29 octobre 1953,
telative aux légalisatio ns de signature, q ui vous a été adressée
sous Je timbre Vic e'"Prési dence du Conseil et Ministère de l' Intérieur.
EXCEPT,IONS
Ces dispositions ne sont, toutefois, pas applicables en vertu
de l'articl e 5 du décr et, lorsqu' il s'agit de certaines procéd'ures
énumér ées limitative ment dans cet a1rti cle :
- Natma lsat ion ;
- Délivra nce de passeport
- Uéli vrance de cer tifi ca t de natio nal ité ;
Insoription au registre du co mm erce ;
- Plrocédure tend'a nt au recrutement des fo nctionnaires
et agents des ad ministrations, ser vices, établissements, organism es ou caisses visés
l'article l er du d'éoret ;
- Liquidation des droits à pension de ces fon ctionnaires
ou agents.
a
Il y a Ji eu de préciser, en outre, que les dispositions des
articles l , 2, 3, 4 du décret n' ont pas pour effet cte déroger
?ux règ'res de prcu"es app licables en matière d'état-civil devant
les instances judiciaires,
En ce qui concerne plus 'Particuli èr ement le ma1riage, l'a rticle 5 du décret a expressément réser vé les dispositions de
l'article 70 du ,code Civi l. Ce t article prescrit la r emise par
chacun des futurs époux à l'offici er de l'état- civil qui doit
célébr er leur mariage d\ln e expédition de leur act ed'e naissa nce,.
co n.forme au dernier alinéa de l'article 57 du Code Civil, délivré
depuis moins de 3 mois, s'il a éte déliv ré en IFrance, et depuis.
moins d'e 6 mois ,s' il a été déli,vré dans un e colonie ou da ns
un co nsu lat.
Il convient également d'observer que l'applicatio n du décret
ne sau rai t fa ire obstacle aux vérifications auxquelles l es admi-
UTILISATION .oU LI YRET IDE FlAMtlLLE
Il convient de souJigner que peuvent être utilisés, dès le
15 Novembre 1953, date d'appli cation du <lécret, et pour l'applicationj des articl es 1, 2 et 3 de ce texte, les livrets de famille
actuellement en usage, quelle que soit la ,date de leur déli'vran ce.
Le demanclewn qui, el1 vertu de l'article 3, doit, dans to~s
les cas, certifi er, sur l' honn eur, la véra cité <les indications fou'fnies, est passible, en cas d'inexachtude <le ces indications, des
pein es pr év ues .par l'ar ticle 161 ·du Code Pénal, complété par
la loi du 27 Août 1948. )e vous ra ppelle que cet a,rticl e dispose
que : « Sera [pun i d'u n emprisonnement de 6 mois â. 2 anS
« et d' une amende de 40.000 à 400.000 j ran cs, a ude l' une de
«.ces deux peines seulement, sans préjudice de l'a'PPUcation,
« le cas éC'héant, des peines plus fortes prévues par le présent
« Code et les l ois spéciales, quico nque :
< a) aura établi sciemment une attestation ou un certificat
« faisant état de faitsi matériellemen inexacs ;
« b) auta fâlsifié ou modiiié d'une façon quelconque une
« attestatio n ou un cer tificat originai rement sincère;
« re) aura fait sciemment usage d'une attestation ou d'un
" certificat inexect ou falsifié.
Je vous précise enfin que, tant que ne sera pas interven1l
le rèal ement d'administration publique prév u par l'article 9 d'u
décr ei du 26 Septembre 1953, les ci rculai,res du Ministre de
l'Intérie ur des 30 Septembre 1950 et 24 j uillet 195 1 relatives
au livr et .de famille con servent toute leur valewL
NI. _
LITILlSAT'ION DE L' ACTE DE NM6SANCE
L'article 2 d~ déoret prévoit que : « Dans les procédures
« et instructions d e 'requêtes visées à l'article l, er, la fihatioo,'
« l es noms et prénoms, la date et I~ li~u d~, nalssa~ce sont, a
« défaut du livret de fa mille, enregIstres, s Il y a heu ,au vu
< de l'extra it de l'acte de naissance de. J'intéresse, quelle que
« soit la date de déliv,ance de cet extrait • .
La principale conséquence des dispositions de cet ar:iCle
est de rendre utilisables les e.xtraits d'act~s de nalssa~ ce, ~~me
lorsqu'ils sont établ is depuis plus de 3 mOIS. Tout,;, diSPOSitions
co ntraires doivent être considérées comme abrog~es, sauf, bIen
• A
5 du d"oret, dans
entendu celles qUI• sont vlSdS
a• l' ar t·cle
r
• l es
,
.
é'
é
nara
"
raphe
1
de
la
presente
,condition s q ui ont éte pr CIS es au J-'
0
circulaire.
IV. - LA FICHE ,o·ETAT·ClV,IL
de préciser que
P our 1,app1·Ica t',o n de l'articl e 3' il convient
.,
.' té l
_
l'alinéa 1er de ce te xte a trait au cas ou 1 Admlnts ,r , (demeUt
,
'
' t brssement ou caIsse eV3 n
rant à proximité de lorga lllsme, e ~ "
l equel il doit justifier de son étai-CIV il, se présente, en personne,
soit avec son livret de famille, soit avec son ex !!rait d'acte de
naissance..
L'ali néa 2, au contraire, a ~rait au cas où l'adminjstré, trop
eloigné <i'e l'établissement, de l'organisme ou de la (:aisse
IIltéressé, a avantage à adresser, par la poste, à cette caisse,
à cet or ga nisme ou à cet établissement, la fiche établie conformément au 2me alinéa de l'ar tic le 3 du décret.
Dans tous l es cas, le IChoix en tre l'un ou l' autre de ces
procédés apP3!rtient exclusivement à l'intéressé, les admi nistrdti ons, ser,vices, étatblissements, or ga nismes ou œisses ne 'Pouva nt
i'ntervenir dans rCe ohoix. Vous veillerez to ut palrticulièrement au
respect de ces prescriptions
Le modèle de fiche prév u à l 'arti cle 3 a été fi xé par l'arreté
du 26 Octobre 1953, paru au j ournal Officiel du 30 Octorne
1953 ; un stock d'e Chaque sorte de fic hes, fiches individuelles
ou fi ches familiales, sera constitué dans ohaque mairie, pour
être tenu à la disposition des admi nistrés, pour l'a)lplication de
l 'article 2 de l'alinéa 3.
Lorsque l'admjnistr é se présentera, en 'Personne, au guichet
de J'un des services, établissements, organismes ou -caisses visés
à l'article 1er, ces organismes ou administrations pourront:
- Soit remplir un formulaire établi pas eux, qui pOlu"a
contenir, éventuellement, df une part, les r enseignements d'orm-e
administrati f, d'autre par t, les renseignements d'état-civil,
mais seul~, les rensei gnements d'état-civil dE.vront fai re RJobjet
d'une ce rtificatio n, su r l' honneur, de l' intéressé.
- Soit "emplir une des fiches do nt le modèle a été fixé
par l'arrêté du 26 Octobre 1953.
En ce cas, les adminisllrations ou organismes devront se
procurer ces fiches à lem frais, et les ten.ir gratu~tement à la
(Usposition de l'intéressé. lis ne pourro nt se prévaloir or un défaut
d'approvisionnement de ces fiches, pour exiger de l'intéressé
la remise ,d'un extrait d'acte d'état-civil, ou d' un livret de
fami lle.
- Soit, s',ils ne disposent pas d·un form ulaire spécialemen t établi, ni de fiches d u modèle t ype, enregistrer les renseignements d'état-civil dont ils ont besoin, sur papier libre,
sans autre formalité.
j'ajoute qu'en aUCun cas, ni les mairies ni les administrations ou services vises à l'article 1er du décret cIu 26 Septembre
1953, ne pourr ont 'Percevoir de taxes ou lClli"oits afférents à la
rédaction des fiches prévues par l' article 3 du décret.
En ce qui concerne la rédacti on des fi ches en mai.rie, vous
voudrez bien appeler tout spécialement l'attention des maires
d e votre département sur l'importance d'une rédaction immédiate <ie ces fi.ches.
II cOJ1ivient, en effet, que l'a dministré n'ait pas à se présenter deux fois à la mairie de sa résidence, mais puisse retirer
immédia tement la fiche qu' il sollicite.
j e précise à <:e sujet que l'agent de la mairie doit être
spécialement habilité par le maire pout établir les fiches prévues au 2me alinéa de l'article 3
LI Y a intérêt, toutefois, à ce que le magistrat municipal
dtsigne, à cet effet, un agent déjà habitué aux questions d'étatcivil.
Vous voudrez ben veiller également â. ce que les administ rations, services, établissements, organismes et caisses visés
à l'article 1er respectent strictement l es prescriptions du présent
paragraphe. Ils devront, notamment, comme ,MtvL le Maires,
faire en sorte que l'administré n'ait pas à se présenter deux fois
à lellr gtuÏlCihet.
V. -
LE CASIER JUDICIAIRE
L'article 4 du décret, qui prévoit que : « lorsque, parmi le!!'
pièces co nstituant le (i'ossier figure un bulletin n° 2 ou n° 3
<l u casier judiciaire, les intéressés sont dispensés de la présen275
,.
�talion de l'extrait de l'acte de naissance >, n'appelle pas dlO'bservations par ticulièr es. II vous appartiendra de veiller à son
application par les or ganismes, établissements ou caisses intéressés de votre département.
VI. -
LES CERTlFlCATS
L 'article 6 du décret, prévoit que : c Dans les procédures
c et instructions de requêtes visées à l'article 1er, les certificats
« de vie, de célibat, de non-remariage, de non-divorce, sont
c r emplacés par la fiche établie dans les conw.tio ns prévues
c à l'article 3. Les certificats de non-sépana tion de corps, de
e domicile ou de résidence sont remp lacés par llne attestation
0( sur l'hon neur souscrite par l'intéressé >.
.Les dispositions de cet article s'appliquent, évidemment,
aux mêmes établissements, organismes ou caisses que ceux
visés à l'article 1er. et l'inexactitucte d'es renseignements portés
sur les fiches ou les altestations sur l'honneur, souscrites par
1'inh!ressé, en application de cet article, l'ex-pose aux mêmes
sanctions que celles énumérées au paragrephe li ci- dessus.
li y a lieu de souligner que les dérogations prévues à
l'article 5 du décret ne sont pas applicables aux dispositio ns
de cet article 6. Ces dernières, par conséquent, do~vent jouer
0 2 B3 - f
dans tous les cas. T outefois, il convient cie préciser que les
certificat!> de non-séparation de cor ps, de domicile ou de résidence ne sont pas remplacés par une attestation sur l' honneu<
souscr ite par l'intéressé, que dans les procédures et i nstru ctions
de reqllêtes visées à l'artic le 1elr d u décret.
~ précise, efln., en ce qui concerne les certi fi cats lCfe vie
de célibat, de non-rema r iage et de non-divorce, q ue l'alin~
3 de la cir clùaire d u M inistre de l' Intéri eur n ° 375 du 8 Oetob r~ 1952 est abroge. La circulaire du M'nistre <le l' Intérieur n"
194 du 4 Juin 1949 est également abrogée; en ce q ui co ncerne
les certificats die vie, de cé l ùba t, de ·non-divorse, de non-remaria,ge et de iJ1on-sépar tio n de co r ps réclamés au cours des
procédures et instructio ns de r equêt es ad!ministra!ives conduites
pa!!" les ad ministrations, ser vices et établisse ments publics ou
par les entreprises, organismes ou ca isses contrôlés pa'r l'Etat.
Le Vice-Présdent du Conseil des Mi nistres,
Pierre-H enri TElTGBN.
Le Gar de des Sceaux, Mi nistre de l a Justice,
Paul RIBEYRE.
Le Mjnistre de l' lntéri'eu r,
Léo n MART l NAU,D-D ERL AT .
ASSUJETTISSEMENT DES DEPARTEMENTS ET DES COMMUNES ET
DE LEURS REGIES DE SERVIOES PUBLICS A UIMPOT SUR LES
SOCIET ES ET AUXI TAXES SUR LE CHIFFRE D'AFFAIRES.
3
j' ai l'honneur de porter ci-dessous à la cO OTIaissance de
.\IJ\\. les .\l air
du d~pa rtement le texte de l a ci rmlaire min isterielk N" ~23 AD/ 2 en date du 13 novembre 1953 concern ant
l'assujetissement des dépa r tements et des C0l01il11 unes et de leurs
régies de services publics à l 'iIT1jpôt sur l es sociétés et aU'~x
taxes sur le olti~ re d'affaires.
Pour le Préfet et par Délégation"
Le Secréldire G"néral,
Signé : Maxime M IGNON
Le Min i tre de l ' Intéri eur.
à Messieurs les Préfet;;
(Mêtrqpole et Départements d'Outr e..,Mer)
La .présente ci rcul ai re a ,pou r oDjetde préciser les co nditions dans lesquelles les departements. et l es commun es ainsi
que leu rs régies ex:pl oitant des se.nvices publics doivent êt r e
assujettis â l'impôt sur tes sociétés et aux. taxes su r le chiffr e
d'affai res ou exonérés de ces il11positions.
1-
Impôt sur les societés
Sous le régime issu de l'article 10 de l a loi n° 5 1-598 du
24 mai 195 1 (ct. Code génér al des l mpôL<, art. 206 § 5, 218.
219 bis et 220), les dé~a rteme nts et les commU11es - ainsi que,
le cas échéant. les syn<iioats de communes - étaient passibles
de l'impôt su r les sociét és dans les conditio ns suivantes :
a) d' une 'Pa rt, en vertu du pa r agr aphe 5 de l'article 206 et
de l'ar tiole 2 19 bis du Code géné r"l des Impôts, ces collec!ivilés
étaient r edevables de cet impôt, aux taux de la taxe pro,po rtionnelte, à r aison de leurs revenus ionciers, agri coles et forestiers et de leu rs r evenus mdbiliers lonsque ceux~i ne sont pas
assujettis au p recompte de l a taxe propo rtionn elle ou. exonér és
de cette taxe, saUf en ce qui conce rn e ceux desdit8 r evenus se
rattachant â une ~p.oitation comme r c-iale, industrielle ou non
comme rciale au sens fiscal du terme ;
b) d' aut r~ ,part , en a~11lica t i o n du pa r<tgri\phe 1 de l'a r licle
206 et des articles 219 et 219 bis du même code, ell es Ctaient
rede~l:l1es de l'impôt sur les sociétès, da ns Il es conditions et
r edevablles dè l'impôt sur les sociétés, dlans les conditions et
au t aux de droit comm un, pour les ,prÛ'hts ,provenant d'Iulne acbivté commerciale, industrielle ou Iprése ntant le ca ractè re d'une
proiession non commerc iale, y compr is, le cas échéa nt., les reven us fonciers et mobil iers et les bénéfices agri oolles se ratta·
chant à cette ac tivit é.
C'est à ce titre qu'ont été illTllpOsês notamment les hénéfices
r eaJisés par Its régies municilpales, i nter.co.mmunaJ es et d ~pa r
tementa!les 6X1ploitamt dies ser vices à caractère industriel ou
oorrun erc i aJl.
L'arti cle 44 de la ,loi n" 53-79 du 7 fév r ie r 1953 a modifié
profondément ce régi nll'.
D ésor,mais, les dépa rtem ents, Iles oommunes ct les syn,dicats
de oommu nes son t tota l ement exonérés de 'l'il11jpôt su r les sociétés dont il étéiient pa::;si1tl1es.-, en \r.ert u dUilParagr&phe 5 de J'a r·
tiele 206 du Code génëral . à r aison de leurs r evenus fonciers
agri coles et i or estiers et de oe r tains de lieurs revenus mobilie~
(voir ci-dessus § a).
Quant aux fiégies à ca r actère industriel ou commercial, e'\les sont également exonér és de l ' itT1pôt sur l es soci étés auquel
el les étaient J.ssujetties en ve rtu du pa r agr,phe 1 dudit artidle
(voi r ci-<less"-S § b) e'l tant qlne ces ré~ i es e"ipl oitent des se ....
vices pulblics.
~
Par cont r e, les organismes des d àpa rtements et tles co m.munes se li vran t à ume eXlplloit ation. o u à des Oipérations de caractère lucratif au se ns du ,paragraphe 1 d'e l'article 206 du Code génér al des impôts con tinuent, en ,pr in cid)e. d'ê tre redeva,tiles
de l'impôt su r les sociétés dans les co nditio ns et au x taux de
droit commun.
D'autre pa rt, un décret du 6 mai 1953, d ans le but d'encounllger la constru ction, pr écise qu e les dé!partements, co mmu~
nes et établissements p ubl ics qui procèdent au lotissement et à
la vente de terrains leur 3(Jlpar tenan t so nt eXOné r l"5 à ce titre
.de l' impô t Su r les sociétés comme d'aill
ohiffre d'afifai res (J .O d 9 '
eurs des taxes sur le
.
..
. u mal 1953, pages 4199 et suivants) .
IL es diSposItio ns nouvelles do'
t'
.
,
l'
Iven etre conSidérées comme
s a~p Iq uant l.. UX revc lll!S .perçus en 1952
.
I~Â'
oU en ce qUI CO ncer ne
1es r e'bCT'iCS, a ux U\.:néfLces
des exerc'ce
1 à
oold l" ,e 1952.
1 S a .os
cornpler dilL 1er
Tourtefois,
ai nsi .que le Dépa rtemen t d es F'mances a bien
.
, d
vo u1li l a mett re, les II11jpositions qui se . t d
nées aln~é r ie ur es pa r les récries mun ic ' p~,all en. t Ues ,po ur les and é rt
, 0 ] ' Cl es, l n ercommun 3Jles et
.pa ementah: exoncr,ées lpar le nOuveau texte
mises e'n recouvreme nt.
' ne se ront pas
Il -
Taxes sllr le chiffre d'atf.ai,,"
1) Prin cipe de l'imposition.
L es sections réu nies de 'l' Intérieur et des F'
Conseil d'Et t 1
l"
ln al((eS du
a , (an.s . aVIs don.t vous trou1verez ci -jOint le texte, a~,met~e n t le p nl1 Cl~e de l'iIT1lJX>.Sition allbx taxes sur l e chiffre d aftfaores des aHa ores réa~sees pa r les régies dQpartemen.t ~~ ~t comr:- unal es de se rvices 'pLdbl!ics et rele\'ant d'une ac!Jvlté lOdustneIJ e et commerciale.
,
Ce p ri n.cil~e .est va la1ble s ans qu' il y ait lieu de se référ er
a ,la fon~le Jundl(:l'ue SOus laqu eille cette activité indust r ielle ou
comm erc~~le ts't , e.xercée : si n1!ples eXJPloitations industrieUles et
comm~ rc l ales, regles po urvues de j'-autonomi e fina ncière qu'el_
les SOient ou , non soumi ses ~u régi ~e ,prévlLL (par le d&.ret du
28 décemb_r e , 926 SUir les régies mu nICipales, sen/ices industriel'S
des d ~part~n~~nt:s et des OOlTlJl11uneS, qu 'ils soien t ou non soumis
a~x d.laposlbo" l" d u décret d,li 30 juilllet !937. Il suffi t, il cet
ee. ard , ql~e.1 E'X!plo ltatlOll SOi t réal! see « en regie directe » pa r
l a oClmeotlvlté loca le intéressée.
. Enfin , Il 'i.m,p~sition est r econ nue fondée quelle qu e soit lIa
~éfl ~e conS,ld'er ee;, q!t'i l s'agisse de la .pé riode postérieu re à
1ent r ee .en vigueur du dléc ret du 9 décemb're 1948 po rtant ré!orme fiscale ( 1er jam'ier 1949) Ou de la période antérieu re
a ·cette date.
. Sur ce derni er point, c~penda n t l'Administratio n avait ad miS que .po lir la pér iode atlant du i er janvier ! 946 au 31 dé~em be . J 948, les r égie:; exonérées de l impôt sur les bénéfices
tn d_us tnels et comme rci alLx. en ve rt u de larti ale 37 de la loi de
finan ces du 31 décembr e 1945 échrl;p!paie nt pratiquement aux
taxes sur le c..hiftf re daffa.jres. A:'.1 su npl US, les opérations rééll~i
sées à .·l 'époque sont, d'ans l a mesure où elles n'avai ent pas été
~a ra n t l es par u'n titre de perception, cOUJve rtes p.:tr ha pr escr~p
.h on de t rois ans imposée à l'action de l' Admini str ation des
Contoil)uti ons l,ndi r ectes Ipar <j"article 1968 du Code General
des lmlPôts.
D ès I·drs , les dispositions qui vont su ivre ne concern ent
,pratiquemen t que l'a _période postérieure au 1er janvi er 1949,
da,ns l a mesure olt, bien entendu, l,a p r es-cr~pt i o n susvisée n'est
pas op,posab1 e à PAdmi nistrati'on des Contrib utions indirectes.
Il -
Porl ée de l'avis
ILe principe de l'imposition admis. le ConseiJ d'Etat entend
néan moi ns soustraire à !imposition aux taxes su r le chiffre
d'affaires :
- l es régies orga nisées erollu5Îlvement dans un but d'11ygiène ou d"assistance et ne comportant nor_malement que des recettes en atténwation de déJpenses (régies que le décret du 28
décembre 1926, dans so n ar tiole 1er, pa ragr é\Jphe 3, ne considèr e pas comm e v:erit atJlement in dll>St rieBles ou commercia les, et
qu'i l e J<lQl u~ du chall1JP d'ai>plioa(ion de ses dispositions).
_ Les o.pé rations des régies doot les recettes sont constitues par des impôts prévus _p ar lia légiSfiation fiscale.
Dès lors, l'a question se pose de s3lvoir s'il convient de
substituer cette nOll>vellc disti nction à celle que retenait, antér ieu r ement à l'avis, 1'Administratioo des Contr ibutions in-
directes. entre. les sen'ices publics obligatoires q-ui' nétaient
pas taxés, et les services ,publics facullalifs, taxés selon l e
droit comnwn.
La nouve1l1.e distinction ne recouvre pas en effet entiè rement la précédente : c'est ainsi que l a distribuJion 'des eaux
con:sid'érée comm e serJlce public obli ga toire et qui répond au
mo.ll1S en g~a'l1de partie à une préoccupa tion d' hygiè ne, n'est
pas néC1ess aorement déficitai r e. EI·le ne peui, dès lors être
toujo urs co n ~i d érée comme une régie orga nisée dan s ~n but
d' hyg iène et ne comportant q.ue des recettes en atténul3tioo
de d61)enses. Exon-é r ée selon l'a ncienne distinctio,", elde serait
tax·ée selon 13. nouvell (',
. O r, l a di sti n~t i on susvisée entr e servkes publics obl igatOires et fa culitaliis r~ultt d, une ju risprudence constante du
Consell ,,'Btat (notamment Vill e de M ez t 28 ocrobre 1935
Ville de Bo rdeau ~, 16 mars 10(6). '
,
D ans ces conditior.s, et jusqu'à l'inte rvention de nouvea ux arrêts, Il'avis du Conseil d' Etat d'Oit ê1 re consi.déré
comme complHan t et 'pr écisant l a doctrine administrative antér ieure.
M , l e Ministre des Finances a œail4eurs accepté, sur ma
demande, de maintenir l es exonéréllt Îons admises jusqu'ici.
3) Opérations non laxables.
Compte tenu de ces prébsions, sont exonérés des taxes
sur le chiffre dla ffai r es les se rvices e"",lo ités 'Pa r les collectiVités locales dans les cOOld itions suiva ntes :
a) En tant que benéficiant d'exonéra/i ons
pr év ues par des texles speciaux .
formelleme1l't
Elablissements de speclacles.
Le~ ~peotacles or g.a nisés pa r des c",l~ectivités locales . ont
e~onércs de: taxes. ur le ahjffre d'a ffaireS lorsqu'ils bénéfi-
cient du tanf. ~étiU\lt de lia taxe mUll1icipaie su r les spectaoies
da ns les cond ItI ons prévues pa r l' ar tidle 1562 du Code Général des Impôts.
Lotissements.
Le décret du 6 mai 1953 ,prévoit que les départements,
communes et ét.a!bilssements publics qui Iprocèdent au lot isse':'lent ~t à la vente de ter r ains leur appartenant sont exo nérés
a ce tItre des taxes sur l e Clhi ff r e d'31ffaires.
tb) En tant que services nOn susceptibles d'être gérés par
des entreprises pril'ées.
On peut cite r à ce titre :
- La veTite des maté'riall x Iprovenant des tombes aban~
données, élément d'lI service admi nistratif obligatoi r e des cimetières.
.Les t-tablissements d'enseignement, institués en e..xé~ u tJO n .du servi~e public obligatoire de l 'instruction publique :
Il s'.aglt ~ssentleIJement d'établisse.ments., soit départementaux,
ou Interd epartemen taux, soit communaux ou inte rcommu;naux, d'enseignement technique, industriel, comm ercial ou agrico le. On exonèr era également comme se r attachant au même
~e,rvic~ iplfbl i::, le~ locations de livres consenties pa r les bi Dloolheques munic'pales (arrêté C.E. ViNe de Lille, 19 janvier
1948) et les droit; perçus à l' entrée des musées dont l'i ntérêt
est d'ordre excl usivement sci entifique ou historique_
c) En fant que services dhygiène O~ cfassisfance ne COm portant que des recettes en atténuation de dépenses.
Du fait des co nd itions financiè res de leur eXjpl1oitation ces
$ervices doivent être considé rés, non comme des eXlploitations
ind ustri ell es ou commerc i ales, mais comme le p ro1ongement
des services publics ohligatoires d'hygiène et d'assistance_
l \) Ser vices d'hygiène :
- ·Bains-doltches. y compris les bains et douches or ganisés dans des régies therma l es.
277
276
�_
2°
_
_
gents,
4) 'Opéra/ions taxables.
Baignades publiques, piscints.
Lavoirs.
Etablis5ements de d:ës.infection
Laboratoi res d'hygiène.
Senrice6 d'assistance :
Ouvroirs.
Fou rneaux économiques.
Restaurants populaires (ouverts
et.:. .. )
aux
chômeurs, indi-
Bouchées de pain.
- Bureaux de placement.
30 Servicts r elevant à la fo is de hygiène et de l'assistance :
_ Colonies de vacances.
- CaJ1 tines scolai r es.
_ Garderies d'enfants, crè<lhes, g<l'llttes de lait.
_ Hôpitaux., matern ités, dispensaires, hospices.
- Service, d'amoulances.
d) EII tan! qu'opérations r éalisées en contrepartie d'impOts pré!'l/s par la l égislation tiscale .
Certains services publiC5 sont alimentes en recettes pa r
des ressOu rces de natur e fiscale :
_ Taxe sur les cpér.ations de dl!si nfectio n.
_ Taxe su r l~enlèvement des ord ures ménagères.
_ Taxe des prestations, taxe pe rçue en nature o u en
drgent, pour SltOvenir aux besoins de la \ro irie vicin ale, et que
les Conseils municipaux ont la faculté de rempl"cer par une
c taxe vicinale ,. perçue en argent.
_ Taxe sur le déversement à l'égoût.
_ T "xe d'abatage. de visite et de co ntrôl e sa nita ire des
viandes.
_ T :1xe de bal ayage ,pou r les communes assu rant le balayage des rues à la pace des r ive.r ains.
_ Droits per çus pou r la délivrance (j 'ex,péditions d'actes
administratifs ou d'éta.t-civil.
_ Droits de légalisation de toltte pièce pa r le mai r e.
_ Droits de pesage, mesurage et jaugeage pou.r l es communes qui pœsèdent un bu reau de poids public.
En outre, et plus génér alement, on exonèrera l es r ecettes
de caractère administra ti f, de nature p lus fiscale que commerd ale, telles que :
Taxes d'i nh umation et d:'e~humati on dans les cimet ièr es.
Taxe> pour les coocessi,,"s dans les cim etiè r es.
. Droits de place, droits de station ne."en t (pa rk ing autoo-.oblle).
- P erm issions de voirie .
- Vente d' imprimés servant à établi r l es cartes d'identité (arrêt C.E. V;Ue de LiUe. 19 janvier 1948) .
e) En tant que services publics considérés com me obl igatoires par la jurispruden ce actl/elle (1).
- L.a distr ibution des eaux su r l e terr itoi re même de la
commune y compr is !€$ qpérat ions accessoires telles que locations de compteurs, d'a,J~pareils, t r avaux de branchem en t
etc...
'
- L'eoqp1oitation des abattoi rs.
- Le tra itement industriel des ordu res ménagè res et des
résidus urbains.
- La Msi nfection des appa rtements.
- La r bgie des pGT11lPes fun èb res et les fou rnitu r es dites
obligatoi r es, comprises pa r l a loi ,l u 28 décembre 1904 d;,ns
le monopole des oommtmes.
( 1) Dans la mesure où ces services ne sont pas déjà exonérés
au titre des ser vices vises aux para.gr~hes préoédents.
27R
Les exploi tations des dépa rtements et des commun es qui
ne sont Sl1s c:~,p tibles d'être comp r ises dans aUCune des caté·
go r ies énumérées aux paragr aphes pr écédents devr ont acquitter les taxes su r ~e ohiMre d'a-Mai res dans les conditions
du droit oomm un .
Ce ser a not amment le œs de centains services r endus
accessoirement à un service public obligatoire. ,nais qui ne
revêtent pas ce caractère, ai nsi :
_ La distrib ut ion de l'cau (et pr esta~ io ll S ann exes) par
une commun e S'ur le ter ritoi re d' une aut r e CQinllIllllin c.
_ L'enl · vement des ondur es mélna.gèTes dla l1s une com mune voisi ne moyen l1ant une r émwn ér atiOin indépendante 'des
taxes d'e nlèvement que ce tte de rn ièr e commune perçoit des
ufagers ainsi que l a \ ente des ordures rec ueilli es à cette occasion, recettes qui cor.:stîtuent un su~p:lém ent de rénllLné raration de Iulite entr""rise (arrêt C.E. Vi.!l e de Bord eaux. 16
mMS 1936).
_ L'enlèvement, cn ver t u de cont r ats spécia ux, de résidus indlu~triers .pa r le selwice de nettoiement de l a comm une
(service f acul tatif).
_ Les fournitu r es fa culltati ves du service des pompes
funèbres.
_ Les ventes d'eau chaude, de g,!race et autr es prestations facultat ives fournies aux usagers des abattoi rs (,nota mmen t location alvec ,l e maté r iel -nécessai re à la pr é;paration des
ol>je!5 de t r \perie et boyaUid eries varrôt C.E. vill e de Lille. 19
jam'ier 1948).
_ Les services rend,us, d1ans des co nditions an alogues à
celJes pr atiqu ées pa r rtes labor atoires p ri'vés, notamment au
point de vue deS tarlfs pratiqLles, par un l a,bo r atoire dlépa rtementa l d'hygiène ~odah~ (analyses, etc ... ) accesso,iremen,t à
n
ac t ivité nonmale de service pl1lJ1i: d'h ygiène (Lons-le·Saunier,
Do n. n" 211 2/ 1 du 14 jan vier 1952).
Sont égal ement im41osaJ:jles les diverses ent rep r ises de nature industr ie:hle ou commerciale des collecti vi tés locales ;
a) Ventes :
-
Service du gaz et de l'électricilé.
EXjpl'Oitatio ns de ca r r iè res, en ce qui conce rne l es ventes à des t iers. 'Par contre, l'eJ<tracli on des maté ri aux destiné<;
aux besoins de l a coll ectivité e"ploitante (cQmmu,ne ou syndicat de commun es) n'ouvr e pas droits à exigibilité des taxes
sur l e ohi flf r e d'effaires, a.u titre des livraiso ns à soi-même,
les dépenses ~jr e X!p l oi t at i{m éta nrt COlwertes, en r ègl e gén-éréale,
par des r ecettes de nature fisoale (ta",e des prestati ons, tax e
vicin ale citées pllus haut).
de certains
.- V ent~s d'effets d'halbill'emen,t aux aaents
~
servIces ou à des tiers, l orsqu e ces vêteme nts ne sont pas
journis oblligatoi rement pa r les services OIffLciels.
- V entes de produi ts de diverses natu r es que les collectivités ont f ab r iqUlés ou achetes pou r être r evendus, dans le
but d'.a~gme'1ter l es ressou r ces municijpal es ou d'assurer une
répa rhtloo plus régulière de Ces pnod,uit's et à des conditions
mOins onéreuses pour l es consommateurs (ventes de bois, offices municipaux de ravi ta~l'I ement, etc ... )
b) Prestmions de services :
- Tr ansports de toute nature à l' exolusiün <Lu r amassage scolaire.
- Entreprises de Sipectacles, sa uf ceUes réponda nt à un
b~t d"édlucation po pulaire OUI cul~ur eJ pa r analogie avec les
dlS!tJOSlhons de la loi l; U 24 maL 1951 ou celles qui bénéficienlt
du t anf rédu!! de la l axe munici pa l e su r l es ~pectacles (art.
1562 du Code général des Impô!5).
Eoqpol'o itation de parcs d'attractio n à entrée ifJayante.
-:- Locat;ons de fond\; de CO!11me"Ce, kiosques, buvettes,
établissements t'hermaux, casinos, théâtr es, safi es de r éunions.
mun .ies1 de tleu r ~matériel et arrellcement
te rralns
.
de camping
.
0
•
sp éc la emen am~ n ages à cet effet.
- LocaEo ns de chaises sur les promenades publiques et
de ,pa r aso.!s oux oocu.pants de I)\a~e sur les mar hés (1
de 'è
'
f
c
orsque
ces
~n l res .oca Ions sont consenties à un prix indépendant
d", drOi t de pl ace).
. , - E"I~l oitatiQn de chalets de nécessité, étant précisé que
1 explo~t , a~lon ~ n est cOiIl11 ée à un tiers, ~a redevance versée
pa r Ice de:I1IU n est pas il11lposalbl.le, car elle ne représente nil
I ~ l oyer ct l~n . to nds de. comme rce, nr Ile 'pr,od'uit d' un e qpénat lOn com m~rclélll ~ ~m ê:1le s~lution Il>our B'a redeva nce exigée
du conceSStOnnal;e (Lu service de l ocation des chaises sur l es
promenades iJ1,bl 'ques - arrêt ville de Bordeaux xprécité) .
51
5) Mesllr es d'a.pplica tion :
On r ema rqu era tout d'abo rd que l es listes de services
exonérés ou t,axalb! es. ci ~és aux pa ragra.phes precédents n'ont
pa.s un ca racter e Ilmltaltl, 'mais indicatif.
, L e n)~ime chl esSl,lS eXiposé Iprend effet à compter de l'entree en vllgueu r du decr et du 9 décem'bre 1948, po rtant réf or me fis ca le, soi t à pa rtir du 1er janvker 1949. Dans la meSlllr·e où H cOflllporte su r cert ai ns points ul1 assouplissements
de l!a doctr ine .pr écédemment ell vigu'eu r, il doi t entraîner des
r estitutions de droits. H se ra fait droit aux demandes présentées dans ce , ans, C"ml)te tanu de l' arti cle 198 1 dlu Code O'énéral des Impôts rel ati~ à la prescr ipt ion de Il'action des r edevallJll es.
,D ans tous les cas où il confirme la doctrine ancien ne,
sera évidemment procédé 'aU r ecouvrement des droits exigib'les, dans IJhYlPobhèse où celui-ci aurait été suspend lf dams
l'attente de l'avis du Conseil d'Etat.
~I
V ous voud rez bien me saisir, le cas échéant, des difficultes que pou rr ait compo rter Il'8j~pl ication de la nouvelle r ègl ementation.
Pour le Ministre de l ' I nté ri et~r
et lPar délégatio1"\,
Le Préfet.
Directeur de l 'Adm inistration
Dépa rt ementale et Communale,
P. D AMiELON.
.**
CONSEIL D'ETAT
ëxtrait du r egistre des délibérations
Séa nce du 16 décem'br e 1952
AVIS
Le Conseil d'Etat (Sections d"" Finances et de l' Intérieur
r éuni es) , saisi Ipar le Mini st re de l' Intér ieur et pa r le Ministre
des Finances de la question ae savoir si les régies dépa rtementales et :::ommunales de services publics sont depuis le 1er
jan vier 1949 ÎIT\posables à l'impôt su r les sociétés et aux taxes
sur l e ohiof,fre d'affaires.
VU l'a' rti cl e 4 de la loi du 28 juin 194 1,
VU l'arti cle 37 d" la loi <lu 3 1 d·écembr e 1945,
VU 'l'article 5 de l a l'ai du 17 ao ût 1948,
VU le décret n" 4~-1 986 dlll 9 décembre 1948 ,portant réfanme fisca le,
VU l' artiole '15 de l a loi n° 43-1 974 du 31 décanjbre 194R
VU l es déc rets du 28 décembre 1926 et du 17 févri er 1930
su r 1 r ocries muni cipél!les, ainsi que celui du 30 juillet 1937 r~a!ii a ux services i nd ustriels des dépa rt ements et des c.ommunes,
VU le code général des il1\pôts,
Considérant qu'aux termes de l'a rliole 4 de la loi du 28
juin 194 1, c Iles ét ablissements Ipublics, les exploÏlta.tions industrielles ou commerciales de ~I Etat 0" des coUectivités locales, les entr€!prises concessionllaires ou subventionnées ....
~oiv.ent acquitter, dams les conditions du dr oit coman u.n, les
tITWots et taxes de toute nat ure auxquel!S se raient assujetties
des entreprises privées effectuant les mêmes o.pérations :. ;
En ce qui concern e l'impôt sUr les sociétés :
Considérant que, p"r dérog31!ion à cette d'sposition lêgisIMive, l a loi du '3 1 dtlcemlb r e 1945 en son arti cle 37 a exonéré
de !'iIlTIjpôt Sur les Ibén&.ices indust rie.ls et commerciau'X les régies d ~pa rtementales et 'co mmun al es 10'l'S!JJu'eUes s'a~pl iquent
à des services pl/blios ;
Co nsidérant que, le décret D" 48-1986 du 9 décembre 1948
.po rt~nt refo rme fiscale et Qui a été ,pris en vert u de l'a rti cle 5,
2 0 de li a 'loi du 17 août 1948 a, d'une part en son arti cle t er
sl~Plp r i m é l'i mpôt su r les bénéfices industriels et co'J11J11erciaux
à partir du 1Er janvier 1949, 'd'autre part institué en son article 92 on impôt sur l'ensemble des bénMices ou r evenus
réa1lisés par les sociétb. et pa r les autres personnes mor ales;
qu'a ux termes de son art icl e 93 qu'il s'agi t d'i ntenpr-éter :
< sont passibles de l ' impôt sur les sociétés. quel que soi1 leur
objet, les sociétés anonymes .. ., les sociétés coopératives ainsi
que les or ga nismes de l'Etat jouissant de l'autonomie fi nanlcière, l es or ganismes des détpa rtements et des communes et
toutes autres 'personn es morales se 'livr3ln t à une ex.ploitation
.lU à des qpérations de ca ractère. lucratM ~ ;
Considér an t qu'il ressort t ant du' te ~te que des travaux
prépa r atoires de la loi n" 48- 1974 du 3 1 décemb re 1948 et
notamment des débruts aUXlQuels cette loi a donné lieu devant
l'Assemlblée Nationale: que l'arlidle 15 de ladite loi a confèré
va leur législ ative à l'ensembl e des d i ~positions du décr et susindiqué ; que le Conseil d~ Etat statuant au Contentieux en a
ainsi jugé pa r sa décision du 9 mars 195 1 ; que la légalité
des dispositions dudit d,écr et, et notamment d'e ses articles 92
et 93 qui ont été repris aux arti cles 205 et 206 du Code génér ai des impôts, ne sa urait donrc plus êt re discutée et qu'il
y a lieu seulement d'en rechercher Il'iIl>tellprétation ;
Considérant que si les co l1ect ~vités locales ne po ursuiven.t
gén ér aleme nt pas la réaiiisationi de bénéfices mais la sati9factian des besoins du pul>lic quand elles e"pl'o itent d.i reotemen~
cfIes ser vices J)lJ!bli
ou d' intérêt plnb.lic, no t~mment dans le
cadlre d.es r égies mlUni cipa'les p r évu dans les décrets du 28
d,écemb r e 1926 et dUI 17 fév rie r 1930 ou dans celui des se rvices industri els des dépar tements et des communes p révu
al! décr et dlu 30 jui llet 1937, cette c ircons~a n ce ne saurait;. à
elle seule. avoi r Iponr eHet d'exoncrer ces or g·anismes de l'impôt sur les' sociétés à raison des bénéfices provenant de cette
activité ; que le « caractère lucratif » de l'ex.ploitation ou
des opér ations do nt il s'agit doit être élIPpréci é en lui-même
et non pas en considération du t\lt Ipoursuivi Ol~ de l'affectation finalement d'onnée aux profits qu'elles engendrent ;
que d'aiUeurs !l'artiole 93 précité ainsi que l'article 10 de la
loi n° 5 1-598 du 24 mai 195 1 assujettissent aussi à l'impôt su r
les sociétés les re\'e nus des c associations sans but fUlCratif )0 i
Considérant que d0ivent être rega rd ées comme ayant un
ca r actè re lucratif les o.pérations réalisées par les d~parte
ments, les syndicats de communes et les commun.es dan,s l es
eXlploitations visees att 2e ali néa de l'arti ole 1er du décret
préci té du 21) clêcemh r e 1926, c'est-à~ire dans les eXiploitations pouvant Hre gérées par des ent reprises pri vées, soit
pa r 3jppl icatiol1 de la loi des 2- 17 mars 179 \ ; soit en ce qui
eoncerne l'e)..'PI-aitation des services publi cs, en, vertu des traités de concessio.n ou dlalffermage, sa'ns qu'i11 y ait li eu de distinguer en tra les simples eXiploitaticms ind'u t ri etles et CQlOlmer.c iales des ca:llectivitéls locales et l es régies pourvues dO
e
J'autonom ie fina'ncière, que ces dernières soient d'aîLIeurs
279
�soumises ou lion au regune prévu au dicret du 28 décenu,1 re
1926 ci-desSiJS mentionné SUiT ie.s régies municipales ;
Considérant que, par contre, ne sont pas passibr.es d e
l'Impôt sur les societes les opérations des regies des senrices
publics ne comportant normalement que des recettes en atténuation de dépen e telles que les régies d'hygiène ou d'assistance ou encore les operations qui sont la con tre-partie d'im-
étaient exe mptées des taxes sur le chiffre d'affaires en vertu
des dispositions combinées desdits articles 1e r et 35 du Code
des taxes sur le chiff re d'affaires et de la loi du 3'1 décembre
1945 qui, e n son artic le 37 précité ava it e:,o néré lesdites régies
de l'imposition de leu rs benéflces mdustnels et commerciaux ;
Et, dans le cas de l' affirmative, si cette exonération s'est
tro uvée
maintenue sous le
r égim e r ésultant
du décret
du
ROUTE NATIONALE N° 113
RECTIFICATION ENTRE LES PENNES-MIRABEAU ET LE BAOU
Autorisation de pénétrer dans les propriétés publiques et privées
closes ou 110111 closes
Le Préfet des BOllches-'du-Rhône ,
Officier de la Légion d' Honneur
pôts 'prévus par la législation fiscale ; que les bénéfices réa·
9 décembre 194
tlises par les autres régies de ser\'Ïces publ ics ne sau r aient
être soustraite à l'impôt sur l es sociétes, à moins qu' une dis-
Considérant que les exem ptio ns fiscales sont de droit
étroit et qu'aucune loi n'a expressém en~ prononcé tlne telle
position spéciale de la loi n'en ait autrement décidé;
Considérant que les exemptions étant d~ droi t ét roit en
matière fiscale, l'exonération pré,'ue à l'article 37 de la loi du
31 décembre 1 9~5 e n ce qui concerne l' imposition aux bénéfi·
ces industriel et commerciaux des régies dont il s'agit, n'a
pas été rendue app:icable il l'impôt su r les sociétés institué
par l'article 92 du décret du 9 décembre HI·IS, et don~ le champ
d'applicat ion est sensiblement plus large, puisqu'i l porte sur
exemptio n en faveur des régies i
Co nsidéra nt que, po"r l'app lication des textes relatifs aux
l'avant-projet de rectification de la Route Nationale n(} 11 3 entre
taxes sur ,l'e chiffre d'affaires et particulièrem ent pour celle
les Pennes et le Baou et ]Jrescriva nt l'étu de du projet définitif .
des a rticles 1er et 35 de l'anc ien Code des textes Su r le chiffre
d'affaires, les taxes sont déterminées par la nature des actes
Vu le rapport de M, l"lngénieur en C hef du DéPartemen;
exposant la nécessité ,6'e pénétrer da ns les propn'ét es
' pnvees
"
l'ensemble des bénéfices ou re\'enus de toute nature réalisés
par les personnes morales i que lesdites régies ne figurent pas
au nombre des cas d'exonération prevues
l'article 94 de ce
a
décret;
Consid érant enfin qu'il résulte des termes mêmes du rapport de ce décret, tel qu'il figu re dans les annexes au projet
de loi fixant l'é''aluation des voies et moyens du budget géné-
rai de l'exercice 1949, que les auteurs du décret du 9 décembre
1948 ont entendu supp r imer en ne la r ep renant pas, l'exemption antér ieurement prévue en faveur des régies départementales et communales exploitant des services publics;
s us rappelé ;
05 BI . TVX 0
qui doivent N re envisagés en eux- mëmes, abstraction faite de
la qualité de la personne qui les a accomp lis, et, par suite, des
ca uses de l'exemption de l' impàt sur les bénéfices industriels et
comme rciaux à laque~ l e celles-ci pouvaient, le cas échéant, prétendre ; que, si elles bé n ~ficiaie nt personnel!em ent d'un~
exemption de l'impôt cédulaire p récité en vertu de l'article 37
de la loi du 31 décembre 1945, les régies qui exploitaient des
services pouva nt être gérés par des entreprises privées, n'en
accomplissaient pas moins des actes relevant de diverses pro-
fessions assujetties à 'l'impôt sur les bénéfices industriels et
commerciaux, a u sens desdits articles 1er et 35 ;
Considéra nt que les affaires r éalisées par les r égies et
relevant d'une activ ité industr ielle et commerciale étaient donc
En ce qui conCern e les taxes sur le chiffre d'ai/aires:
r
Considérant que, d'après les articles 1er et 35 de l'ancien
Code des taxes sur le chiffre d/affai res, étaient soumises à ces
passi bles
taxes c les affaires faites e'"n France par les personnes qui."
~cco mplissent des actes rele,"a nt des professions assujefties à
l'impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux :. ;
chapitre III relatif aux « su.ppresslOn ou aménagement des
privilèges ou avantages fiscaux :) ,n'ont évidemment pas étendu
le champ des exemptions fiscales dont il s'agit, ni, par suite,
exonérë l es affaires r éalisées par les régies i que leurs affa i,
res étaient et demeurent donc. en principe, soumises aux taxes
sur le chiffre d'affai r es sous les mêmes r éserves présentées que
Considérant que ces dispositions ont été modifiées par
les arti oles 233 et 235 du décret du 9 rtécembre 1.9 48 portant
réfo rme fiscale et insérées dans le Code gé néral des impôts
sous les articles 256 et 2 6 ; que ces nouvelles dispositions ont
défini directement les affai res imposables à la taxe à la production et à la taxe sur les transactions comme éta nt cel'Ies
faites en France par l es personnes qui." accomplisse nt des
actes relevant d' une activité industrielle ou commerciale » '
Considérant que la plupart des régies exercent bien ~ne
telle activité comme l'a d'ail'I eurs précisé le décret précité du
28 décembre 1926 ; qu'elles se livrent en effet à des actes de
commerce moye nnant des tarifs ou des prix ;
Mais considérant que la question posée par le Ministre de
l'Intérie ur est celle de savoir si les affaires par elles réa'lisées
02 B3 AG 0
des taxes sur le
chiffre ,d'affaires
sous le régime
Le Ministre de l'Intérieur,
à '\\c\L les Préfets de la Métropole,
pour l'impôt sur les sociétés;
EST D'AV IS
Qu'il y a lieu de répo ndre à la question posée dans le sene
des obse rvations q ui précèdent.
Sigr.é: Louis LORIOT, Président,
Ch. CHRETIEN, Secretaire.
Ph . SU IWN, Rapporteur, et
Ch. CHRETIEN,
sen: en .la circonstance. notamment lorsqu 'il s'agit d'une notificahon a la veuve, la famill e des personnes cl éc ed~ es da ns los
territoires d'Outrre·Mer.
De telles notificalions sont d'ailleurs fort ra res et ne so nt
Mer, de leurs parents.
Vous vo udr ez bien appe ler l'attenti on des maires de votre
~épartement Sur ce prolJlème dont l'aspect humain ne saurai!
echapper.
notamment lorsque la famille résident en France n'a aUCun
parent sur place.
Bien qu'aucu n texte ne les y obltge, il m'apparaît souhai·
table que ces magistrats mun.icipaux, ou leur représentant
infonnent, de vÎ\re \'oîx, avec tous les ménagements qui s' impo~
280
A ~T ,
2. -
Il est interdit ,d iappo rter au versonnel c hargé
des études aucun troub le ou empêchement, ni dIe déranger les
dffér ents piquets, signaux ou repères qu'i l étab lira,
En cas de <lifficultés ou
résista n~es
nieurs Ou le personnel sous leurs ordres, pourront faire appel
Vu les lois des 29 Décembre 1892 et 6 Juillet 1943 ;
Vu l'a rticle 438 du Code Pénal,
aux Agents de la Force Publique,
Considérant qu'il conv ient de pren-dre toutes mesures pour
le terrain, les
que les In génieu rs, Géomètres, Agents et Ouvriers qui doivent
quelconques, les lngé-
ART. 3, -
Dans le cas où, par suite des opérations sur
propri éta~res
auraient à supporter des dommages.
Iïndemnité serait réglée, autant que possible, à l'amiable et
concourk à J'étude dont il s'agit, n'éprouvent auCun empêche-
si "accord ne pouvait avoir lieu, par le Tribunal Mmi nisuratif
ment de la part des propriétaires des terrains sur lesquels cette
étu.dre doit av oi lieu ;
de Marseille, conform ément aux -dispositions du décret du 30
S U" la propositio n de M. le Secrétaire Général,
A~R-ETE
ARTICLE PREMIER. -
Septembre 1953 portant réforme du co ncentieu x adminÎstrati1:.
ART, 4. -
de présent Arrêté sera publié et affiché dlans
les Communes intéressées et inséré, en outre, dans run des jour-
:
naux ,du département et au Recueil des Actes Administratifs,
MtMl. les Ingénieurs chargés de l 'étud~
ART. 5, -
M,. le Secrétaire Général de la Prefecture, MM.
de la rectifi catio n de la ROute Nationale 113, les Géomètres,
les Maires des Communes des Pennes-Mirabeau et de Vitrolles,
Agents et Ouv i'iers placés SOllS leurs oro(res sont autorisés ft
M, le Co'mmandant de Gendarmerie, sont chargés, chacun en
procéder, sur le territoj.re des communes des Pennes-!lvl irabeau
ce qui le concerne, de l'exécution du présent Arrête.
et Vüro ll es, aux levers de rpla ns. piquetage de t racés, nivellements et autres ope-l13tions qu 'exige cette étude, et, à cet effet,
Fait à Marseille, le 10 Novembre 1953,
Le ,PREiFET.
Pour le Préfe t,
Le Secrétaire Général délégué,
Signé ; Maxi me M!lGNON.
à pénétrer ,dans les propriétés par ticul ières, commu nales, 0: 1
domaniales, closes ou non closes, à y planter des balises, jalons,
piqu ets bo rn es-repères, à franchir les murs et autres clôtures
Le Secrétaire de la Seclion
pas ~usceptib les, à mon sens, à,;' accroître de manière sensible
les taches aclmi nistlatives des servi-ces municipau x,
Il arri,'e, en effet, que les chefs des territoires d"Outre-Mer
de Ihaies, de clôtures et, en règle gé nérale, tous les travaux
n6ccssaires à l'accomplissement de leur mission,
POU.R EXTRAIT CO NFORME
J\\. le "\tinistre de la France d'Outre-Mer a avpelé ma n
attention sur les con<litions da ns lesquelles les municipalités
pouvaient H re appelées il aviser los familles du décos, Outre-
soient amenës à s'ad resse: aux maires en cette ci rconstance,
po ur procéde r a ux études définiti ves et opérations de piquetage
et bonnage <le la dite rectification ,'
"ntérieur a u 1er janvie r 1949, et que les a rti cles 233 et 235
précités du décret du 9 décembre 1948 qui fi gurent dans son
AVIS AUX FAMILLES DES PERSONNES DECEDEES OUTRE-MEW
Pa ris, le 9 Novembre 1953
Vu la décision ministérielle du 6 U"n al. IA53
~
a-ppr oulVant
ou obstacles qui pourraient entraver les opérations; à pratique"
dans ces propriétés des sondages, élagages et abatages d'arbres,
Pour le Minislre de l'Intérieur et par dél égation,
Le Prélet,
Directeur de l'Administration Département ale
et Commu nale,
Signé: DAMELON.
TG . F 2
RECETTES ACCIDENTELLES ET VARIABLES
A l'occasio n d'Assemb lées d'A rromi'issements de l'Union
municipaux, et aussi pour maintenir les harmonieuses relation s.
des Maires du Département d'e s Bouches·du-Rhône le Buredu
qui doivent exister entre eux et les Receveurs municipaux, vous
d'e l'Union a signalé que des A\agistrats 1\\unicipallx recevaient
prier, en tant que de besoin, de bien vou loir tenir les J\1aires
avec un certai n retard le compte r e nd~1 des rentrées budgétaires
régulièrement informes des diverses rentrées accidentelles et
ou dies recettes a(cidentelles et variables,
"ariables qui modifient la situation financière de leur co mmune'.
Sans doute, n'esf
ce pas là un reta rd généralisé mais je
cr ois devoir, néa nmoins, pour fa ci liter la tàchc des magistrats
Le Trésorier·Payeur Général,
J,·M, CON CHOU.
�COMMUNIQUES - AVIS
- ANNONCES DIVERSES
Par testament olograp he <l:u 5 Janvier 1953, d éposé aux
Co n.ormément a ux dispositio ns du d éc ret d'li 1er Février
mnutes de At' CACHIA Vincent, Notaire à Marseille, 29, rue
1896, les 'héri ti ers connus ou inco nnus de M. LA>U G ltiR, so nt
Francis-Davso, Monsieur Joseph- Robert-Emma nuel LAUGLER, a
invités à prendre con naissance .du testament, donn er leur CO n-
légué à chacune des Œuvres ci-après nom mées, un e somme
se ntement à so n exécution ou pro duire leurs moyen s dopposition
de 30.000 francs (trente mille
d ans un délai .de trois mois à dater du' jo ur du prése nt avis
nette de tous frais et droits
de succession : l ' Société des Œuvres de Trans ; 2' Société
RÉPUBLIQUE
Numéros 49-50
..,
FRAN ÇA ISE
DONS ET LEGS
frs»
DÉPARTEMENT DES BOUCHES-OU-RHONE
10 et 17 Décembre 1953
'U'
L
Maf\Seille, le 25 Novembre 1953.
DES
du Bon-Pasteu r, à Dra.,"Uignan.
ACTES ADMINISTRATIFS
PERMUTATION D'EMPLOI
Che.! de bureau, ville de p lus de 100.000 habita nts, titulaire
paux sollicite pou r ,aisons de santé de sa fa mille un em;ploi
MM. les Maires intéressés par cette candidature vo udront
bien adresser leurs propositions au servke d..u perso nn el à la
similaire dans une commune importante du département des
PrMecture.
du baccalauréat, âgé de 44 ans -
17 ans de services munici-
ET BULLETIN DES MAIRIES
Bouches-du-Rlhône.
TABLE DES MATIÈRES
TEXTES D'INTERET GENERAL
AC 3. TV X 5. TVX 5. R 4. R 4. A 3. -
TVX O. FS 7. -
Rembourseme nt des indemnités de déplacement et de changeme nt de résidence ........
Marchés de charbon ...... ...... . ..... ...... ...... . ..... ...... ...... ......
Interdiction de la réperc ussion da ns les prix des marchés de la pa r ~cipatio n à la construction imposée aux employeu rs par le décret n' 53-701 d u l9 août \ 953 ... ... ... ...
Prix de ve nte des la its de consomm ation ........ ...... ......
Pri x de vente au détail des viandes fr aîch es de bo ucherie ......
Cou rs des denrées devant ser vi r de base au calle ul des fe rmages
Prim e Départementale co mplémentai re à la Reconstru ction
Maison Départementale de retraite de Montoli vet......
284
284
286
287
288
2S9
289
290
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
Pour le Préfet et par Délégatio n,
Le Secrétairt Général :
Maxime MIGNON.
TVX O. A 2. _
AG 3. -
Ca lcu l des honoraires d'architectes ....
... ....
.... .... .... .. . . ....
Projet de Reco nstructi on et d'aménagement de la vi lle de La Ciotat... . .. ...... ......
T ransfo rm atio n en association syndicale autor isé
du
syndicat
li bre
des
arrosants
290
290
de
Charleva l .... .... ... . . . .. . . . . .... .. . . .... .... .... ... . .... .... .... ....
29\
COMMUNIQUES - AVIS - ANNON CES DIVERSES
Dons et legs .... .... . . . .
. d'
AnRI!:'· lAT~ON:S. - A. P, ,: !,-~iêté préfectora l. ~~. ': ~irculni r e. --:- Les lettr~s 0 et B !.uivits d'u n, chi~re
e t le Servlce ou Bur eau d onglue. - O. S. T. . Direction des Services TechntQue.!. - D. D. S . : Dlreeuon
~~~~t enmeotale de la
2~------------------~==~~~~~~~--~~~~~~----------he..... , .. ,; • ..,. ..-.. DE llü-.LLIr:. 110, ne SMMe
292
Santé. -
O. D. P. : Direction Dépa nenlental e de la Population.
�TEXTES D'INTÉRËT GÉNÉRAL
-
L es caill evi ns fl amba nts secs.
Les cokes métalliques calibrés 20/ 40 mm .
,Et les briquettes de lignite.
pO int d'importation) j usq u'à la gar e S.N.C.F. d'esseTVant la
localité où se trouve situé le chantier du négoci ant, ces frais
ét ant calculés su r la base des tari fs d/expédition par wagon de
20 tonn es ou, pour tes relations sur lesquelles ce mode d'expédition est r éalisable, sur la base d'es tar ifs d'ex pédition par
rame;
Pour ces catégories de Char bons leurs prix maxima résultant de taddition des éléments suovants :
D2 BI - AC 3
REMBOURSEMENT DES INDEMNITES DE DEPLACEMENT
ET DE CHANGEMENT DE RESIDENCE
Paris, le 26 NovemiJre 1953
Le M inistre de rlntéri eur
il MM- les Inspect eurs Génér aux
extraordinai re ;
il MIM. les Préfets.
en
mission
REFERENCE: Déc:et n" 53x-511 du 21 "\ai 1953.
.circulaire !Ministère des Finances - Di rection d u Budget n° 46-4
B i ol et Secrétaire d 'Etat il la présidence du Conseil - Dir ectio n
de la Fonction Publique F.P. n' 263 en date du 17 Août 1953.
La ci rculai re citée e n référence a précisé ce rtai ns points
d u décret n' 53-5 11 du 2 1 Mai 1953, et notamment les modalités de emboursemen t des frais engagés par l es personnels
civils de l'Etat à I~occas.ion de déplacements ou de C'hangern ents
de réside nce.
j'attire tout par ticulièrement vo t re att ent ion sur les <lispositions de j'article 20 <lu décr et du 2 1 M ai 1953, comm enté par
la circulair e citée en référence et re latif au rra nsport du mobilier. Celui- ci doit être effectué da ns les co nd'itio ns les moins
onéreuses.
Il est rappelé à cette occasio n que la S.N. C.F. accorde une
'iéduction de 50 % sur le 'Prix du transport des lpersonnes da ns
le cas d'un déménagement effectué par voie ferrée. Je vous
-demande donc de bien vouloir lors Ide la déterm ination du mode
de t ransport le plus économique, tenir compte de la réd uctio n
..qui peut être ainsi accordée au fonction nair e faisa nt l'objet d' une
D2 B3 TVX 5
Le Secrétaire d'Etat aux Affaires Economiques,
à MM. les Ministres et Secr étaires d'Etat.
Le décret n' 53-409 dll Il Ma i 1953 concernant la coordination économique des marchés publics a chargé le Secrétari'a t
d'Etat aux Affaires Economiques d'organiser entre les Services
acheteurs les échanges dl information d'or1ire éco nomique susceptibles Q'améliorer les conditions <le placement des comma ndes
des Administrations et Collectivités Publiques, Etablissements
Publics et Entreprises Nationales portant sur des fournitu r es,
travaux ou prestations o'usage courant.
Dans cet esprit, il m'est apparu opportun de préciser le
r égime actuel des prix des combustibles minéraux solides et
d'appeler l'attention sur l'intérêt des dispositions que ,certains
services aoheteurs insèrent dans leurs appels ,à la concurrence
et qui leur permettent d;, situer plus exactement le niveau <tes
.prix proposés par les sou mission naires.
Tel est lobjet de la présente circu lai"e.
REGI,WE DE PR IX DES OH ARBONS
Depuis le 16 ,M ars 1953, date de la prise effective de ses
pouvoirs de fixation de prix par la Haute Autorité de la Communauté Européenne de Charbons et de l'A cier, les 'Pri x d'es
charbons natIOnaux (mines nationalisées et autres) sont fixés
284
Pour le Ntinishe de l' Intér ieur et par délégation,
Le Dir ecteu r du Perso nnel et des Affaire Poli tiques,
CH. LOBUT.
MARCHES DE CHARBONS
Pa ris, 10 Octob re 1953.
1. -
mutation po ur so n fr ansport personnel et celui des rri embres
de sa fa mill e et ell inform er vos collaborateurs.
E.R effet, il la suite de la mise en appli ca tion du décrel
d u 21 M ai 1953, les co mptables du l'résor ont reçu des instruc_
ti ons Ipr cises leur enj oignant de rej eter tout mandatement <les
f r ais de cette nature dont la l iqu idation n' aurai t pas été opérée
en appli cation de cette nouvelle réglem entati on.
n e plus, pour "'vi ter il l'avenir toute dilffi culté de règlement
aupr ès du ,Cont rôleur cres Depenses En gagées et lies Co mptables
du Trésor, je vous prie de bie n voul oir uti liser l es états dont Urt
m"dèle éta it annexé à la cir cul"re du 17 A,o ût 1953 en y joignant toutes les pièces ,j ustificatives nécessai res.
To ujours en application de cette circulaire, il est demandé
de fournir à l'ap;plli de la demande de remboursement, trois
devis émanan t d'ent reprises de tra nsport di fférentes do nt une au
moins concer nera un déménagement eff ec tu é par voie ferrée.
Je vous signale q ue j e suis inter venu auprès du M inistère des
Finances pour demand:er l'aI:J.rogatio n (Î'e ce tte inn ovation, dont
le caractère m'est apparu vex atoire autant qu'ineffica.ce.
Je ne manqu erai pas de vous av iser qua n1d' ces (Jjspositions
seront co mm e j e l'espèr e 'rapportées mais qu'il vo us faut appliquer pour évi ter les difficultés qui se so nt d'éjà produ ites à
J'occasion des dema ndes d'e rembo ursement de frai"S de ' rné·
nagement.
par les Houillères, dans le cadre des déc isions de la Haute
Au torité.
Les barè mes de ces pri x peuvent être réClamés odlirec tement
aux Houillères.
En ce qui co ncern e les cha" bons importés, lont l'objet ~e
barèmes déposés dans les eondit ions prév ues à l'a rrêté n" 224430
du 30 IM.a rs 1953 (publ ié au Journal Officiel duJ 1er Avrit 1953
et au Bulleti n Officiel des Ser vices des ,p'rix n" 9 ,o.u 4 Avril
1953).
1" Les oha rbons importés de pay s autres que <eux faisant
partie à:u Pool Charbo n-Acier .
2" Certaines catégories en ' pr ovenance de ce pool, notamment les ant h'racites qui fo nt l'objet dJ un e 'Péréquation interne.
Les autres charbons en provenance des pays sou mis il la
Haute Autorité sont importés â. leur prix de re vient et ne sont
compris da ns aucu n barè me.
A,ux termes <le l'arrêté n" 22.430 du 30 Ma rs 1953 susvisé,
les pri x de vente aux co nsommateu rs des combustibles mi né'
raux soli.cJ'es sonot libre ment déba ttus entre acheteur et ven<l,eur
(arL 6) sauf pour certai nes ca tégories (arL 3) qui demeurent
taxees dans les conditio ns fixées il cet arti cle. Les catégOri eS
demeurant taxées, po ur les combust ibles impo rtés ou en provenance des Houillères des bassins français :
- Les boulets ordi naires,
- ILes noi x 1/ 4 grasses ou mal gr cs.
- Les noi x 1/ 2 grasses.
a) IPris de vente prati qué â. la prod uction (mines ou r evendeurs de com'b ustibles importés) ;
d~ M.,ge <l:e détail du Négoce Char bonn ier :
Les mar ges lim it es de détai l pour livraisons à domicile (1)
en sacs de 50 ikiJos sont fi xées co mm e suit, taxe sur les transactio ns et taxe locale add itionnelle non compr ises
b) ma rge de gros du négoce charbo nnier.
Cette marge ne peut excéder, ta xes non co mprises le tota l
des éléments suivants:
- Co mmission fi gurant aux ba rt: mes de prix autorisés pour
les prod!ucteurs, ou 2 % du prix autorisé po ur les r evendeurs
de combustibles importés par les zo nes maritimes ou le port
de Strasbourg ;
- Sur ven te de gros, do nt le monta nt maximum est fixé
à 160 fra ncs par tonn e.
-
REGI ON PA RISIENNE :
Boulets ordi.naires ..... .
Autres co mbustibl es ........... .
-
c) Frais de transport depuis le point d'expédition (mi ne ou
2.650 f r. par tonne.
2.800 ~ r. par tonn e.
PROVINCE : (enfrancs par tonn e) :
( 1) La r enlréc en cave n'est pas comprise.
Zones <l'abattement de salair es (en %
0
Boul ets . ..... . .... ..
Autres combustibles ....
2340
2470
0,75
3,75
5,25
2340
2470
2320
2440
2300
2420
Les suppl éments suscepti bles d'et re appliqués aux mar ges
fixées pou r la Province ne po urront pas excéder les ma xim a
fi xt':s ci -après :
Autres
char bo ns
Bo ul ets
L yon et Ma rseille ... . .... . ... . .. .
V ill es de plus de 100.000 habitants ... .
Vi ll es de 50.000 et 100.000 habitants ..
290
170
80
3 10
180
90
Les diminutions à ap,po r ter aux marges limites fixées ci·
dessus en fonc tion de l'impo rtan ce des Clv ra iso ns, pour li vraiso ns en vrac ou pour en lèvements du cha ntier sont li brement
débattues entre acheteurs et vendeurs.
e) Droits et taxes non compris dans l es éléments ci-desSu s.
Les barèm es relatifs à ces caté go ries de charbon sont
déposés dans les Préfe ct ures.
II. -
REMA,RQUoES EN MA l lEIŒ DE MARC HES PUBLICS
Les besoins des services pouvan t porter su r des catégories
de charbon dont la comme rcia lisation est entièrement li bre, ct,
en tout état de ca use, l es marges pour quantités et pour li vraisons en vrac, étant laissées à la li bre discll.isio n des achete urs
ct vendeurs, .:-es ser vices acheteurs peuvents se trouver gê né~
pour apprécier le niveau des prix qui ressort de l eu rs appels
à la concur rence.
Pour obvier à cet incon vélllent, il est indispensable que les
cahiers des char ges et, plus particulièr emen t, les cahie rs des
"prescriptions spéciales r égissa nt les mar chés de charbons
soient trè s précis ; au surplus, toute incer titude dans les stipulatio ns des docum ents régissan t Iles appels à la concu rrence,
peut incite r les so umi ssio nn ai res à majorer les prix qu'ils offrent et entraîn er des diffi cul tés préjudiciab les aux services,
of n co urs d'exécution des marchés.
On signalera spécialement les points suivants:
:a) caractéristiques et origine :
Il convient d'indiquer de fa çon précise les spécifications
<les char bo ns dont l'achat est envisagé en uti lisant les car actér istiq ues figurant sur les barêmes des producteurs (Houi,llè-
6
2290
24 10
7,50
9
9,75
Il ,25
12,75
13,50
2270
2390
2260
2380
2250
2370
2240
2360
2220
2340
2.2 10
2.330
res du Bassin ou importateurs) à l'exclusion de tout autre désignation.
Pour l'origine, on préc iser a les bassi ns (char bo ns français) ou les points d'importation (charbons étrangers) . Si
l'o r ~ ine est laissée au choix du soumissionnaire, il doit l ui
è:tre fait obligation de l'indiquer où il soumission ne.
b) Conditions de Iii/raison:
li est importa nt de mentionner dans d'appel à la concurrence les conditions dans l esq uelles l e service entend que l es
cha r bons soient mis à la disposition des utilisateurs.
On indiquera en par ticulier:
- Si les charbon s doivent êtr e enlevés par le ser vice ou
ch an tier du so um issio nnai re retenu ou s'ils doivent être livr és
par ce dernier dans Ifes caves ou lieux de stockage du ou des
se rvices utilisateurs ;
- Si les livr aisons doivent être opérées en vra c ou en sac;
- Autant que possible, l'importa nce et la cadence moyenne des livr aisons à effectuer par le soumissionnaire retenu, au
cas où la quanti té globa le qui lui est commandée doit être
livrée par fractions.
c) Prix:
Les concu rrents doivent êt re invités à décomposer, dans
leur soumission, le pr ix qu'ills proposen t dans ses éléments
essentiels, c'est-à-di re:
- Pri x de vente pratiqué à ta production (départ mine)
ou à l' im.portati on :
- Frais de transpor t à partir du point d'expéditio n et
j usqu'à la ga re Ou le port desse rva nt la l ocali té où se trouve
situé le chantier du soumissio nnaire. cette indication étant
compl étée pa r la mention du mode de transport utilisé (eau,
r ame complète, wagon de 20 tonnes ou dans certai nes circonsta nces roca les, camions) :
- N\arge de distribution ,:
- Droits et taxes non compris dans les éléments ci-desstl~
et éventuell ement les droits d'enreaÎstrement du marché,
Il ne saurait être question de fi xer , a priori, un e valeur
norm ale des mar ges de distributions qui pourro nt êt re dema,ldées par les fournisseurs, l es propositio ns formul ées par ceuxci s'inspirant évidemment de ci r constances de fait : importance des commandes, sujetions de livraison, étendue de la
concurrence ...
�Pour fixer les idées, il <\pparait toutefois uti,:e de rappeler
Pour
la marge de distrib ution
ellie-même,
il semble
L!ue dans le régime précédent de taxation des p.rix des cb.arbons, lps marges maxima fixées dans les barèmes visés à )'ar-
gé néral préférable de stipu ler qu'elle !,e sera pas révisable. lJ~~
utilisés dans les mar<lhés de trava ux ni figurer par mi les élé-
cla use de réVISion pourra cependa nt etre IOser e si les march ',
rété
° 21.630 du 3 1 mars 195 1, s'établissaient pour la Région
sont
ments de « Ciharges sur salaires :. retenus pour la révision: du
prix ou par l e calcu l d u coelficient représentatif <le <:es cl.arges.
Parisienne (zone la plus onéreuse) et pour les li vraisons éga-
tlon.
Ies ou supérieures à 2 tonnes à 2.1 30 fr. la tonne pour les boulfets et à ViOO fr. pour les autres catégories de charbon. Une
réduction minimum de 480 fr. la tonne devait en outre être
consentie
sur ces marges lorsque
les livraisons étaient effec-
tuées en vrac.
.
très impo rtants et compo rt ent un e longue d ur ée d'exéc~~
Diverses formules o nt été déjà adoptées pa r les gros ser-
\~ I.ces achet~u!s. Sans Imposer .a ~x ser~lces .une clause parti cu-
lIere de réVISi on dans Ire cas ou Il s estimeraie nt nécessa ire d'e
introdui re une, on peut toutef"ois recommande r la fo rm U'I"
•
sUivante
:
M
Dans l'état actuel du marché cha:bonnier, il serait anormal que les marges maxima pr écédemme nt fixées par vO ie
réglementaire fussent dépassées : bien au contrai re, des rabais
parfois trés importants sont susceptibles d'être proposés si l'on
en juge par des résu ltats récents d'appels à la concurrence.
d) Clauses de llariation de prix :
Les propositions de prix faites par les soumissionnaires s'entendent comptt= tenu des conditions économiques existant à une
date déterminée, Afin de renseigner très exacteme nt les concurrents sur la portée de leurs engagements au cas où le marché
leur serait attribué et afin d'éviter toute difficu lté dans l'hypo·
thèse où les conditions économiques viendraient à changer
pend an t l'exécution du marché, il est indispensable de préciser
dès l'appel à la concurrence, les modalités selon lesquelles les
prix soumissionnés par l'attributaire du marché, seront éve!ituellement réajusté5 en hausse ou en baisse.
On admettra que les prix de base portés dans la soumission soient aff ectés en valeur absolue des variations cons1atées
en hausse ou en baisse sur les prix départ mines ou importa-
= Mo (0, 15
+ 0,65
E
+ 0,60
Eo
Il en est, lbien entendu, de même pour la cotisation :dl(! 2 %
du montant des salaires, que l'artic le 3 du décret précité impose
aux employeur s qui, da ns le délai d' un an â co mp ter de la
S)
D4B2·R4
PRIX DE VENTE DES LAITS DE CONSOMMATION
Le Préfet des ,souahes-d u"Rhône,
La marge .lim ite de la PRODUCTION (pour du la it Cru a
34 .gr. de mati ères grasses) à la CONSOMMATION (pour le lait
IOfficier de la Légio n d'H onneur,
E le prix de vente au co nsommateur de l'hectolitre d'essence ordina ire, en vrac, à la pompe, dans la zo ne de ratta che_
ment d~ la Uocalité où se trouve situé le chantier du SOumis"'!
sionnai re retenu , prix à la date de la livraison,
Eo le prix cor respo nd ant, à la date initiale,
S le sa lai re horai re minimum interprofessionnel ga ranti,
dans la loca lité où se t rouve situé le chan lier du soumissionnaire retenu. à la date de ~a livraison ,
50 le sa laire co rrespondant, à la date initiale,
Il l'a de soi que si les commandes portent s ur les catégories de cha rbons qui restent faxées (voi r supra 1), la révisioll
éventuelle de la marge du soumissionnai re ne peu t avoi r pour
effet de porter ll'a dite marge à une va leu r supérie ure à cell e de
l é~ ma rge limite fi xée à l' époq ue de la révision dans le cadre de
la règlementatio n des pri x.
Bernard LAFA Y.
INTERDICTION DE LA REPERCUSSION DANS LES PRIX DES MARCHES
DE LA PARTICIPATION A LA CONSTRUCTION IMPOSEE AUX
EMPLOYEURS PAR LE DECRET N° 53-701 DU 9 AOUT 1953 .
Paris, le 10
octo~re
1953,
1° 1\ ne comporte pas un Cha mp d'application absol um ent
général, puisq u'i l ne vise que les entreprises qui oocupent au
Le Secrétaire J'Etat aux Alldaires Economiques
a Me&5ieurs les Ministres et Secrétai res d' Etat
et Messieurs les Présidents de Entreprises
Nationales
Le dêcret n° 53-701 du 9 a~ût 1953 relatif a la participation
des employeurs a l'otfort de construction a p rescrit qu'a compter du 1er septembre 1953, les elTlplo)'eurs exerçant une
p"._
fession industrieJJe ou commuciale et oocupant au moins dix
salariés, devaient im'estir annuellement dans la construction è?
1ogements, des SOmIT"Les repré,'ien tant 1 % au moins du montant
-GfS salaires payés par eux au cours de l'exercice écoulé.
j'ai l' honneur d'appeler votre attention sur le fait que cette
VU l'o"do nna nce N° 45- 1483 du 30 ,juin 1945, relative aux
pri x;
VLI l'Ordonnance N° 45-1 484 du 30 Juin 1945, relative il
la constatation, la pou'rsuite et la répression des infractions à
la législation écono miq ue ;
VU l'amêté interministériel N° 21-899 ·clu 17 Octobre 1:J5 1,
portant délégation de oCo mpéten ce a ux Préfets, po ur Iixer 'Ies
2° Aux termes d u seco nd alinéa de l'article 1er dll décret
nO 53-702, les investissements en fave ur de la construction
effectués pa r les employeurs postérieurement à l'exercice 1948
pourront, <flans certaines conditions, ve ni-r en déd uction <tes
Som mes que les intéressés auraient dû verser en application du
3
0
Enfin et surtout, l'investissement prévu ne constitue pas,
de par sa
assujettis.
s'acquitter
la plupart
nature, une charge défini tivement supportée par les
L'article 2 du d~c ret laisse en effet à ceux-ci, pou r
des versements, le choix entre diverses modalités dont
représentent en fait des placements de capitaux sus-
de toute natttre passés par vos ServICes.
sous forme de loyers des habitations construites, soit sous
celle d'intérêts de prêts, subventions ou de va leu·rs mobilières
D'autre part, et en dehors de toute réglementation des p,ix,
les caractères particuliers que revêt l'investissement dont il
s'agit ne permettent pas de le considérer comme une nouvelle
< charge sur salaires
;J,
pour les motifs suivant:s
2° Lait entier cru tles nourrisseurs provenant d'étables non
contrôlées :
Les prix de vente au litre ne doivent pas dêpasser les
valeurs suivantes :
pou r 'la vente à l'étable ........... .
po ur la vente au dêpôt de détail ... .
prix des laits de ,consom mation ;
,VU l'a!rrê té interministériel N° 22.58 1 du 28 Septembre
1953 relatif aux pri x du lait;
VU les instructions télégra phiques de M. le Ministre de
l'Agrietil~ure et de M. le Secrétaire d'Etat aux Affaires Economiq ues, en ·date du 28 Noveml>re 1953 ;
VLll'avrs ~u Comité Départe ment.:1 des Prix dans sa séance
du 30 Noven.br e 1953 ;
SUiR la I,,(}position de M, le Secrétaire Général,
le litre
le litre
42 frs
44 Frs
3° Lait entier ·erUi provenant d'étables contrôlées :
Auoune 'règlern en,tation n'est appli quée au IpriX de ce lait.
L a liste des étab les contrôlées est publiée a u Bull etin
Administratif dies Bouches-du-Rhône.
ART. 2. - Toute infraction constatée fera l'objet d'un procès
verbal transmis a M. le Directeur Dêpartemental d~ Enquêtes
Eco nomiques,
A!RT ICLE PREMIER - .Dans le Dêpartement des Bouches-<lu~ hô n e, les prix LI'MlITES de vente au détail des laits de consommation sont fixés com me suit, toutes taxes comprises :
1° Lait standaJ!d pasteurisé à 30 gr. de matières grasses:
en vrac .... . ... . . . . . ... . . .. ...... le litr.e 50 Frs
en 'bo uteilles, certifi é conforme a'u déc ret du 26 Avril 1939,
le litre 56 Frs
le 1/2 litre 30 F'rs
ART. 3. - M. le SeC'rétaire Général de la Préfecture, MM.
les Sous-Préfets, MM. les Maires, M. le .Directeur des Enquêtes
Eco nomi ques, M. le Commandant de Gendarmerie, M..1\>l les
Com mjssaires Centrau x et la .poli ce sont charges, chacun en
ce qui le concerne, de l' exécution du présent arrêté.
Marseille, le 1er Décembre 1953.
Le Préfet,
Andté PELA BON.
L1S11E DES ETABLES CONTROLEES A IMARSElILLE
(laitiers ayant -rempli toutes les co nditions pour la production d~ lait con,rôlé, conformément a l'arrêté préfectoral
d u 16 Juin 195 1)
premier alinéa de cet article ;
ceptibles de procurer aux employeurs une rémunération, soit
aux fournisseurs et entrepreneurs par le décret susvisé.
standard pasteurisé à 30 g>r. de matières grasses) et fixée a
15 F rs ·par lit re.
moins <ldx salariés ;
mesure ne doit avoir aucune wcidence sur les prix des marchés
D'une part, en effet, les dispositions des arrétés n° 22.253
et 22.255 du Il Septembre 1952, qui limitent au ni vea u atteint
le 31 Août 1952 les prix de tous les produits et Services, sont
toujours en vigueur et interoisent, en l'espèce, tout dépassement
des prix atteints le 31 Août 1952 au titre du versement imposé
des prescriptions contenues dans la p rése nte circulaire.
Bernard LAlF AY.
Sa
NRRtiTE :
D2 B3 TVX 5
~t ri cte, de la part des services plads sous votre haute autorité,
•
èa ns laquelle
M rep résente la ma rge révi sée,
Mo la marge initialJ1e,
tion, les frais de transport et les taxes.
clôture de chaq ue exercice, n'auront pas procédé à l'i nvestisseme nt pré"" pa'r l'article 1er.
Je vous serais obligé de bien 'Vou loir veiller a l'application
souscrites, les capitaux cux ..mêmes pouvant être rembOllrsés,
dans certai ns cas, à l'ex-piratio n cI' un délai de 10 ans.
En conséq uence, cet iniVestissement ne saurait en allcun
cas, être pris en co nsidératio n dans le prix des marchés, qu'il
s'agisse des 'Prix initiaux des nOuvea ux marohés, de l'app4ication des clauses de rév isio n insérées .dans les marchés en cours
(j'exéoutio n ou de la détermination des prix de réglem ent des
prestations exécutées en régie ou rém unérées s ur la base dl>&
dépenses contrôlées. En particulier, il ne pourra affecter la
valeur des prix élémentaires des séries ou dies b<>rdereau~
Noms
ALLIETTA Hugues ....... ···· ·· ·· ···
DIDIER .César ....... ... . ......... .. ... .
GORLIER Victor ...... ........ . . . ...... .
BrA,NCOTTO Laurent ... . ' .... . ...... . .. .
BOVE~O Ange ....... ........ . . ........ .
T'ROPiiNI Julien ....... ..... . . . ..•.. . ... .
GU ILLAUME Antoine ............ ' .... .. .
flNURE Jea n ................. . ......... .
MARTINO Al,fre<! .......... ... ...... .. .
PASER,O Domi,nique .... . . , ........ . ' ..
DESMERO Mallne ............ . .... .... .
DE SA'RIO François
... . ........... . . .
BELLJIGNI Richard ... ...... . .... ....... .
GIORDkNO Esprit
. . . ............. .
TOLOZANO Jean ........ .. . ...... ... .
MlER LIN Marguerite ..................... .
PE!~ETT I Geoffroy .. ..... . ....... .. . . . . .
Adresse de l'étable
Campagne La Gandolle, Les Caillols
Cgne Salony - Four-de-Buze, Ste-Ma·rthe.
Campagne Flotte, Château-Gombert.
Traverse de la Valbarelle, Saint-Loup.
Campag ne. Le Mas, Les Caillols.
Traverse de la Palud, Saint-Just.
Campagne Si na, La Valentine.
A<hresse du dépôt
54, rue Vallon.JMontebello.
224, Boulevard National.
4, T raverse de la Charité .
8, rue Fontan ge.
362, " hemin de Saint-Julien.
72, rue Al phonse-Daudet.
20, rue de la Guadeloupe.
Vallon de Toulouse, ,egne la Justin e, St-Tronc 159, ru e Breteu il.
Cgne Air-Bel, 63, av. J ....LombalXi, La Pomme Cité Saint·Loup, avenue Flori an.
Campagne Le Cai llolet, La Valentine.
61, bou levard de Beaumont.
Pas de dépôt.
Impasse du Pin, Estaque-Gare.
Traverse de la Pomme, Les Caillo ls.
6, Avenue de la Rosière.
Chemin des BourreUy, N.-D.- Limite.
Pas <1e dépôt.
Pas <1e dépôt.
Boulevard du Cabot.
Pas de dépôt.
10, rue Montaigne, .saint-Barnabé.
110, chemin du Littoral.
4, chemin du Merlan.
Pas de dépôt.
Avenue d'Haïti, La Blan<:arde.
287
�Bo.ule:v~r<l, S;Jdi1<;arn ot.
T raverse du Colonel., Sai nt,Bart hélemy.
Campagne La Can<lolle, Les Caillols.
T raverse des Campagnes, Les Olives.
Campagne F,é n'y, Le Cabot.
Rue du Dr-0!uvin, Saint"Barnabé.
Campagne La Bou<linière, M:alpassé.
Campagne la To u·relle, Le Merl a n.
Boulevard de la B la ncard e.
3, chemin des Caillols, Sa int"Barnabé.
Cgne La BarOJ>ne, ChàteaiL-Go mbe rt.
26, boulevard Figuière.
ICampagne Petit Séminai re, Sa int-J oseph.
271, boul evarod de Saint-Mar cel. Le Tu bet.
S, rue Ohâieau d u Mu rier.
Campag ne Les Platanes.
Traverse du Maroc, Sai nt-j ulien.
BEL TRAoNDO Pierre . ...... . ..•..... .. .. 36, boulevard Bouge, Malpassé.
MERLIN Dominique ......... . .. . . . . ...... 276, rue Raoelais, Saint-Henri.
MAESTRO Louis . . . . .................... 57, bo~.va"d des Arènes.
ELLEON L ouis ........... . . . . . . • . . . . . . . .
BERNARDI Pasca l .. . .............•.. .. .
VERA Laurent ............• . ...•........
BRUN~ F$prit ..........•.. . .• .. .. . .... .
,\ l AIRO 'E Jos eph. . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . ..
MATTEODO Simon ... .... ............ ..
PERNEL Georges .. ..... ... ........ . .... .
ALLIO Catherine ........ . .. .... ... ......
VERA Jacques .............. • ...........
MA~NO Ma rcel ......... ...... .... , . . . . ..
MASSOLO Jean... . . . . . . . . . . .. . . . . .. .•...
NICOLINO Chiaffredo .......... ... .. . ....
GOITRE Lucien ............. . . . . . ' .... . ..
BOVERO Anna ................. . ·· .. ·· ..
"~ZON Balthazar. . . . . . . . . . . • . . . . . . . . ..
AGNESE Jean .............. .. ..•.. . . ...
~~-----_
04 B2 - 'R 4
PRIX DE VENTE AU
D.ET~IL
.. .
Pas <le dépôt.
Pas de dépôt.
Pl a~e EI,gè ne.Bertra nd. Saint-Julien.
Pas d e dépôt.
.
Boulevard du 'Redo n.
Pas d e dépôt.
Pas <le dépôt.
~éance
Vu l'artidle 22 de l'ordo nnance du 17 octob re 1945 relative
au Sta tu t de s
Ba ux Ruraux, modifiée
pa r les lois
du
Vu l'ar rê té p réfe ctoral d u I l septembre 1953 fixant da ns
les Bouches-d u-R hô ne la liste des denrées servant de base au
Huil e d'Olive, le Kg. ...... ..... . ...... ....
3 12,50
calcul des fe rm ages ;
V u J'avis émis par la Commission Consultat ive des Bau x
Hura ux le 24 nOI'embre 1953 ;
Su r la proposition d u Secrétaire Générall,
Les cou rs des denrées devant se rvi r de
Art. 3. - To ute infractio n co ns ta tée fera l'objet d'u n pro,
cès-ve rbal transmis à M. le Directeur Dépar temental des Eu·
quêtes Eco nomiq ues.
Le préfet des Bouches-du-Rh,,,o,
250
260
270
Prix de vente au détail :
Filet ...... .. . ... .. .... ...... ... ... . .. . ..... .. .
arrêté, une décision pr ovisoire d'attribution de la prime d' Etat,
a
par tem ent d' une prime dépn rt ementale complémentaire
la
const ru cti on;
IConsidéra nt qu'il i",port ~ de fi xe r les rè glles suivant Icsqueltl es ser a a ttribuée en pratique l'adite Iprimej
Sur la ,proposition de M. Ir. Secr étai re G énérall ;
AI(RET.E ,
Un ~ p rim e a nnu e~le à la constr uctiun
pa r le decret et l'arrêté du , aoOt 1950, relatifs à la pr;me
soo
320
S40
entre le 1er juin 1953 et le 3 1 mai 1956.
tournedos . . . . .. .... .... .... . . .. .... .. . . . .. .
650
730'
750
770
6ôO
ART I CLE 3. _ L a s l1 nfac~ ~ primée l> sera déte rminét: su r
les mêmes bases que celles retenues pou r le calcu l de la pri m e
6SO
700
720
790
740
810
600
690
640
7 10
Pi èce noire, pièce ronde ........ ...... ...... . ... . .
670
620
760
430
450
460
d'Etat.
ARTI CLE 4. _
4'70
490
500
520
530
540
350
230
150
360
.240
160
370
240
1,60
3SO
390
260
160
400
270
4 10
270
420
280
la prime dépar te mentak deVf<1 ad resse r au P réfet des BOllchesdll-~hôn e (5me Division - 2nlC Bureau) une demande éta blie
SUlr le modèle anneX'é au Ipréseni r églement.
Sur le VlI de la décision provisoi re d'attribution de la pr i"
me d~Etat, dont une copie serr. jointe à l·a demande visée i
I SO
180
180
entrame,
Entrecô te, paleron, faux- fi let d'épaule, fl anc d'épaule, pièce
~a~
....................... . ", . . .... . . .
Mo rceaux à braiser : gîte, mil ieu de galinette pied de
dinde, collier g ros bout . . .. . ... ., .. .......... . .
Pôt-au-feu sans os ..... .
P-ô t-au-feu avec os
.. _
288
Pourront bé néficie r de cette prime toutes
7SO
fauses
:O . : :
340
220
150
250
160
Les ve rsements de b .p rime départementale
d'Etat à la construction
ART ICLE :!. _
760
entrame,
ARTICLE 7. -
seront effect ués ,pa r vi rement ft un compte courant banca ir~ ou
postal ouve rt ob1igatoireme,1{ au nom des bénéfici ai res .
,personn es physiques ou Imorare~, qu i au ront obten u une décisioll
provisoire d'att r ibution de b. ;prime d'Etat à la construction,
740
aloYpll,
Les aut r es IP' imes se r ont \"e rsées am.I( dates a nnive rsai re.,
de ceLle du pre mi er ve rsement.
au dessus
710
rumsteak,
ART ICLE 6. L e premic" ve rsement de la prime annuelle
sera ordonna n.cé pa r le Préf c.t, da.ns un dé~ai de deux mois à
compte r de la décisio n défi ni tn'e dJagrément pr ise pa r le Service compétent d/u Ministère dt: la Reco nstruction et du Logemen.t en ce qui conce rn e l'octroi de la prime d'Etat.
ches-<tl.l-R hône. auX co nditions indiquées aiu..X articles ci-ap res.
690
ou
me départementale pour ces mêmes constructions et pourront
bénéficier des dispositions ci-dessous.
280
el
670
Cœur
A titre transi toi r e, les constru cteu rs aya nt
sont recevables à déposer une dem ande d'attribution de la pri-
ra êt re accordée pendant 20 ons par le Département des Bou-
240
ART I CLE 5. -
VU la délibératIOn du Conseil Géne ral des Bouc.les-duHhone, en date du 22 mai 1953, déc ida nt l'attril>ution pa r le Dé-
tions neuves, dont le LOlit ne dl~passe ra 'pas 3.500.000 fr .. puur-
230
Art. 3 - Le Secrétai re Généralll de la Préfecture est chargé
de l'exécut io n du présent a r rêté.
Marsei ll e, le 26 nOVl',nbr e 1953.
L e Préfet:
Signé : André PELA BON
obtenu le 1er juin 1953 et la date de J)u1blication dru présent
de 100 f rancs par m2 de s u· face habitable, po"r les conslruc220
Raisin de table, le quinta l ...... ......
3.500 »
Lai t (3~ g rs de matiè res grasses) le litre
3 1, 50
Arl. 2. _ Po ur le Ri z Paddy, le prix est celui en vigueu ~
Officier de la Légion d'ho n n(.ur~
ART I CLE PREMI ER. -
210
110 frs
342 ~
3.750 >
PRIME DEPARTEMENTALE COMPLEMENTAIRE
A LA RECONSTRUCTION
D5 B 2 · TVX 0
demeurent en vigueur.
200
Lai ne, le Kg. ...... ...
. . . . .. ...... ....
Fruits, le qui n tal~ , . . . . . .. ...... .... . .
Jo
( 1) (,ous rése rve des incidences de réfection moti vées pa r le D écret
n" 53.0S8 du 31 juillet 195:j fixant les prix et mooalités de
palcment de stockage et de rétrocession des céréales pour la
campagne 1953- 1054..
Articte premier.
Le barême des prix d e la viand e d,
bœuf do nn é en an nexe à l'a r rêté N' 7 1J T ,P. du 5 octobre
1953 (a rt. 1er), est remplacé 'pa r le ba rême do nn é en a noexe au
p résen t a rrêté.
PR IX MOYEN ô 'AOHAT
Bœu f, poidS vif, 2c quaI., le I< g ....... ,. .•....
1.300
au jo ur de l'échéance.
le d épa rtem ent des Bouches-du-R hône.
Art. 4. - M. ~'e Secr étai re Général de la P réfecture, MM.
les So us-P réfets, MM. les Mai res, M. le Directeu r des Enquêlès
Eco nomiques, M. le Comma nda nt de Genda rm erie, MM. les
Commissai res Cent ra ux et de Police so nt cha rgés, chacun en
ce q UI le co nce rne, d e l' exéc ution d u p rése nt a rrêté.
Ma rse~rJe, le 2 déce mbre 1953.
Le Préfel
André PELA BON.
, 1.525 »
Foi n de Crau, le qu in ta l .... "..
269 »
bas..:! au ca lcu l des fermages sont fi xés ainsi qu'i l suit dans
Arl. 2. - T outes a utres dispositi ons des a r rêtés N' 7'11
T. P . du 5 ,octobre 1953 et N ' 71 2 T .P. d u 9 novembre 195,
3.000;)
1.325 :.
Vin, le d" HI. . . ...... . .... ,.. . ..... ......
Article prem ier. -
Vu l'O rdonnance N' 45- 1483 d u 30 j uin 1945 relative a ux
prix ;
Vu l'O rdonnance N' 45- 1484 du 30 jui n 1945 ,elative à ia
constatation, la poursuite et la rép ression des infracti.olls â :a
législation économique ;
Vu les Arrê tés Ministé riels N" 21.890 du 19 septembre
195 1 et 21.945 du 24 octobre 195 1 donna nt dé légatio n de
compétence aux Préfets pou r fi xe r les prix limites de ve nte au
détai l des via ndes de bo ucherie et de charcute rie ;
Vu l'Arrêté Ministériel N' 22.600 du ,n octob re 1953 relatif aux prix de ve nte des viaad es de boucherie;
Vu les inst ructions de M. le Sec rétai re d' Etat au x Affai res
Eco nomiques, e/1 dalt du 23 octobre 1953 ;
Vu ~'A rrêté Préfectoral N' 71 1 T .P. du 5 octob re 1953
lelatif aux ,prix de ven te au détai l des via ndes Iraic hes de bo ucherie, complété par l'Arrêté P rélecto r,al N' 712 T ,P. du 9 nQo
1 embre 1953 ;
Vu l'avis d u Comité p~paTt~/)1entill d~§ P rix;
Su r la proposition de M. le Secrétai re Généra l,
3.41 9 frs (1)
Foin ordi nai re, le quintal ...... ...... ......
ARRET E:
ARRETE:
Blé, le qu inta l ......... , ., ...... . . ....
Pommes cie terr e primeurs, le qui ntal . .. . ..... .
Pomm es de te rre de co nsoOlmat. cou r ant e, le QI.
3 1 décemb re 1945 et d u 23 ma rs 1953 ;
-
DES VIANDES FRAlCHt::S DE BOUCijJ;:RIE
Le Préfet des Bouches-du-R hône,
Officier de la Légion d' Honneur,
annuelle
du 1er Nov. 1953
Le Préfet des Bouches-du-Rh6ne,
Officier de la Légion d'Honneur,
54, ru e Fra.nçois-Barbin i.
Pa s <le dépôt.
SO, chemin de M o ntolivet.
. 'Rue <l'es EnfaJJlts-A'ba m:lonnés.
,pas de <lépôt.
Pas de <lé pôt.
S, rue <lu Hl.-Ao ût, Satl\t. «larœl.
,pas de dé pôt.
Pas de dépôt.
P as de dépôt.
Pas d e <lé pot.
Pas de dépôt.
139, rue Jea n-M'er,moz, Satnt-Gi niez.
COURS DES DENREES DEVANT SERVIR DE BASE AU <':ALl:UL
DES FERMAGES
D4Bl - A3
T out co ". tructeur qui d,ési re bénéfi6er de
ART I CLE S. La prime r.epartementa le sera retirée ou
pou rra fai r e l'objet d'une c~ssio n dans les conditions pr évues
ARTICLE 9. -
Le
Secr~taire
Génér"'l de !J P réfect ure. le
D élégué Int erdépartementa l du Ministère de la Reconstruction
et du Logemen1, les N' aires de~ Communes intéressées, le Trésorie r-Payellr Géné r al des Gouoh es-du-~h ône, so nt chargés,
ahac un en ce qui le conce rn e de l'exécu tion du pl ésent arrêté
qui se ra publi é au Rec ueil ct" Actes A<iJm'nist ratifs de la P réfectllre des Bouches-dn-Rh ône.
Ntarsei lle. le 24 l1 o\'emb ri! 1953.
l'aiIinéa 'Précédent, le Préfet prGnoncera la décision d'attrib ution
Pour le Préfet
de 1...1 prime départemeniale, scus rése rve de la décision défi nitive à i nterve nir en ce qui concerne l'octroi de la prime d'Etat.
Le Secrétaire Général Délégué.
S;gné : Ma xime MIGNON
2SQ
�03 B 2 - fS 7
MAISON DEPARTEMENTALE DE RETRAITE DE MONTOLIVET
Le Préiet des Bouches-du-Rhône,
Oifioicr de l a Légion d'holtneu r
VU 1" loi du 10 août 1871 ;
V U l a l oi du 21 décembre 1941 sur l es hôpitaux et hospices
publics ;
VU le d ret du 17 avril 1943 porta nt r ègl ement d'administration publique ;
VU la circul aire du 1-2-Hl4-j port ant ilJpplication des tex te~
suS\isês ;
VU le decret n' 5 1.121 8 du 19-10- 195 1 modifia nt le j écref
du 17 avril 1943 ;
VU J'arrêté préfectoral du Il juin 1953 portant fi xation
ùu nombre de lits maximum de malllJdes payants dans les établi ements hospitalie rs p ubl:cs du D~partement ;
SU R la pro position de M . le Secrétaire Général de la Préfectu re ;
ARRETE:
ARTICLE PREMIER. - Est " nnulee dans L'arrêté du Il juin
1953 qui fi xe, en vertu des d:spositi()ns ŒU décret du 17 avt"1
1943 la répartition du 110mb re de lits maximum de payants dans
les hôpitaux et ho&pices publ ics du dépa rtem ent, l a dis;position
qui \l'révoil le nombre ma ximl'nJ de Jits de payants à la..'vIaison
Dépa rtemen t ale de Retraite d e~ VieiNards de Momtolivet.
ARTICLE 2. - .M. le Secrétaire GéT éml de l a Préfecture,
J\1M. les Directeurs D ~pa rteme"taux de la Santé et de l a Popu_
lation,
le D irecteur de l a MaisoTl D épa rtementale de Retraite
des Vi eiIJards de Mo ntQlivet sont oh a r gés, chaclLII en ce qui
concerne, de l'ex,écH ti on du fJrl'Sent a rrêtJé.
lV.
Fait à Marseille, le 10 ~écemJbre 1953.
CO 'SIDERANT que la loi du 21-12-194 1 et le décret d u
17-4-1 9-13 ne s'ilJPpliquent pas il l'Hospi<:e départementa l de
Mont()livet ;
VU l'Arr!'té de prise en considération pris par M . le :Ministre
ode la Reconstruction et de l'Urbanisme le 18 J,uin 1946 ;
VU l e rd pport présenté par M. l'In géni eu r en Chef, Délégué
In terdépa r tementil' du Ministè re de la Reco nstruction et de l'Urbanisme, r elatif au projet d'amenagement et de Recons'ruction
de la Commune de.La Ciotal ;
Considérant qu'i l y a lieu de sou mettre le 'Projet oi-dessus
él UX fo nmalités d'enqu ête,
SU'R la proposition de M . le Secrétaire Général de la Préfecture,
AJ!WETE'
ARTICL E PREM rfR. -- Il sera procédé à une enqutte administrative dans les formes prescrites par le décret du 2 Ma i 1938,
moclifi é par le décret du 20 Août 1938, et le décr et 43 1370
û.~u 2 1 Ju in 1945, sur le proj et œe reco nstructio n et d'a ménagement de la Commu ne de La Ciotat uBouc hes-du-R.hô ne.)
ART_ 2. - Ladite enquête sera ouverte l e 4 Janvi er 1954,
à la tMairi e de La Ciotat.
Pour le Préfe t et par délégat ioll
Le Secrélaire Général,
Signé : Maxime MIGNON
ART. 3. - En application des dispositions <le l'article 7 du
décret sus-'Visé le dossier d'enquête sera {j.eposé en Maime penda nt 20 jours.
ART. 4. - M. Gras Elysée, Re ceveur de l'Enregistrement
en r etraite, est dlélégué en qu alité de Commissai re-Enq uêteur,
TEXTES
D'INTÉRËT
COMMUNAL
~------------------------------------------------~
02 B 3 - TVX 0
CALCUL DES HONORAIRES D'ARCHITt:Cn::s
Le Ministre de l' Intérieur
à MIM. les Préfets.
REF. : Ma circulaire n' 26 du 28 Janvier 1953.
Par cir culaire citée en référenc e, je vous ai demandé de
"eiller à ce que la taxe locale qui est ajoutée, par une mention
distincte, au montant des décomptes des trava ux, ne soit pas
prise en considération pour le calcul des honoraires dûs aux
areltitectes qui exécutent des travaux pou r le compte des coll octivités locales.
Je crois devoir vous préciser à cet égard que ces instructions
ne s'appliquent que dans l' I>ypothèse où il s'agit <le l'exécution
de travaux à forfait. · Pour les travaux àla série, Ja taxe locale
ne fait pas en effet, d'u ne façon générale, l'objet d'une men tion
spéciale.
C'est ainsi en particulier oue les coefficients publiés par le
_\\inistère de la Reconstruction et du Logement comprennent la
taxe Jocale jusqu'à mncurrence de l ,50 % et que seu l le supplément de taxe locale 0,25 % fait l'objet d'une mention distincte
dans les devis et mémoires.
Il n'y a pas lieu dans ce cas d'opére r une ventilation pour
05 B2 - A 2
Seul J'excédent de cette taxe, e.1l cas de nmntion distincte
èans les séries de pri x peut être déduit, pour l e calcul des honoraires du montant de la dépense.
De même il ne saurait être question de dédu ire du montant
dees t rava ux les taxes et impôts divers qui y sont norm alement
incl us et qui sont incontestablement compr is cla ns « la dépense
effecués > qui ser t de base au calcul <>es hon or aires d'architectes,
conform ément aux articles 3 et 4 du décret du 7 fév r ier 1949.
Je vous précise enfin qlle mes instruction s du 28 janvier
1953 n'o nt pas UI1 caractèr e rétroactit Il n'y a donc pas liell
pour les co mpta bles d'adresser all x hommes de l'art intér essés
des ordres de r ever seme nts à titr e de « t r o,p perçu » pour la
période antérie ure à J'envoi des instructions précitées,
Pour le Ministre de l' Intérieu r
t:t par délégation,
Le J'réfet,
Directeur de l ' Adm inistration
Départementale et Communale,
P. DAMELON .
ARRETE PORTANT OUVERTURE DE L'ENQUETE RELATIVE AU PROJET
DE RECONSTRUCTION ET D'AMENAGEMENT DE LA VILLE
DE LA CIOTAT
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d' Honneur.
VU la loi d'Urbanisme provisoirement applicable du 15 Juin
1943 et notamment ses articles 18 et 39 ;
VU le décret du 2 Mai 1936, modifié par le- déc ret du 20
Août 1938
290
«éterminer la part que représente la taxe loca le da ns le mon tant
des travaux.
vu le décret 45- 1370 du 21 Juin 1945, relahf à l'instru ction
des projets de reconstru ction et d' am énagement ;
ART, 5, - En co nséq uence le dossier dl\ prQ!jet sera déposé
à la Mairi e de La Ciotat .pendant 20 jours du 4 au 24 )a nvier
1954 in clusivement. T oute perso:nll C po urra en 'Pr endre connaissa nce sur place, chaque j our (diman che, jours féri és et samedi
après-!11j di excep tés) cie 9 à 12 heures et de 14 à 17 heures.
ART. 6. A l'expiration de ce .délai, le Co mmissaireEnqu êteu r recevra à la Mairie de La Ciotat pendant 3 jours
pleins et consécutHs d'u 25 au 28 Janvier 1954 incl usivement,
les déclarations d:es habi tants et des ;ntéressés Sur le projet
soumis à l'enquête,
Les intéressés pou rront consigner directe men t leurs obser\'atio ns sur le registre « ad hoc » ou les adresser par écrit au
05 BI - AG
~
Co mmissaire Enquêteur qui les visera et les annexera audit
registre.
ART. 7. Lorsque les délais précités sero nt expICes, le
Comm issai re-Enquêteu r 'Pro cèdera à la clôtu re du registre d'enquête sous sa signatur,e et transmettra toutes les pièces à M .
le Maire de La Ciotat, avec son avis motivé,
ART. 8. - Dés la clôture de l'e nquête, le Co nseil Municipal
de la ville de La Ciotat · convoque, le cas échéant, en session
spécia le, sera mis par ~1. le Maire de La Ciotat en possession
des résultats de lenquête.
ART. 9. - Le présent A'rrêté sera ava nt le 4 Janv i er 1954,
cate fi xée pour l'()uverture de l'enquête, publié par les soins
de M. le Mai re de la Com mune de l<l Ciotat da ns la Co mmune,
par ,voies d'affiches et tous autres pr océdés en usage.
Il sera en outre, ava nt la même date inséré dans J'un d'es
journ eaux pub liés dlans l'arron dissement.
Il sera justifié de l'accomplissement de ces formalités par
un certifi cat de 'M . le Maire de la Ville de La Ciotat et par
un exemplaire du j ou rnal contenant l'i nsertion, Ces pièces seront
Jointes au dossier d e l'enquête.
ART. 10. - T outes les pièces du dossier d'enquête ser ont
fi nalement a1ressées à la Préfecture des Bouches-dJu-Rhôn e,
sous le timbr e: 5"'" Division, 2'"'' Bureau,
ART. II. - Ampliatio n du présent ar rêté sera adressé:
l ' A ,M . le Maire de l a Commune de La Ciotat, pour exécution ;
2" A M . le Délégué lnterM partemental du M .R.U. pour
information ;
3" A :Mi. Gras Elysée, Commissail e-Enquêteur, pour exécution.
Fait à Marseille, le 2 Décembre 1953.
Pour l e Préfet,
Le Secrétaire Général délégué,
Signé : Maxime MIGNON.
TRANSFORMATION EN ASSOCIATION SYNDICALE AUTUHISt.t.
DU SYNDICAT LIBR'E DES ARROSANTS DE CHARLEVAL
Le Préfet des Bouches-du-Rh one,
OMi ' ie r de la Légion d'hon neu r,
V U b loi des 21-6- 1865,22-12-1 888, modifiée pa r le déc ret
du 2 1-1 2-1 926,
VU le décret dn l B déc~mb re 1927,
VU le règlement du Syndicat li br e des Arrosants de Char
l evaJ;
VU la délibération de l'A€senlblée Gén ér al des Ar rosa nts
de OharJeval en date du 18 j anvie r 1953, demandant la transf onmatioll du SyJ1dicat li bre ~n Associatio n syndicale auto r Îs(-ej
VU l'"v is fa.vorab~e de ;\-1 l' In génieu r en Chef du Gc n;e
Rural en date d1u 2 1 septembre 1953;
VU l'avis favorable de ;\-',, le Tréso r ier-Payeui Généra l en
date d'u 19 novembre 1953'
SUR l a pro,posi tion de M. le Secrétaire Géné ral de 'a
Préfec ture ;
ARRETE;
ARTICLE PREM IER. - L~ Syndicat li bre des Arrosants d,
Charl e\'al est transform é en J\ssociation syndicale autorisée à.
compter du 1er janvier 1 95~.
ARTICLE 2. - M. le Secrétaire Général de la Préfecture, ,\1.
le maire de Charl e\'al, M. l'Ir.génieur en Chef du Génie Rur al,
M. le Tnésorier-Payeur Gé n ü~tI, sont cha rgés chacun en ce qui
le concerne de J'exécution du présent arrêté qui sera inséré al..
Recueil des Actes Administratifs.
Marseille, le 30 novemb, e 1953.
Pour le Préfet
Le S('crétaire Général Délégué
Signé: Maxime AII GNON
VU les avis du Co nseil Mun icipal de La Ci ota~ en date
des 30-10-45 et 17-10-51 ;
VU l'avis favorable de la Commission ,Départementale
d' Ul'banisme dans sa séance du 27-11-1945 ;
291
�- - - - - - _._-==
COMMUNIQUES
- AVIS - ANNONCES
DIVERSES
DÉPARTEMENT DES BOUCHES.DU.RHONE
RÉPUBLIQUE
.FRAN ÇAISE
DONS ET LEGS
Par testament olc>grap he du 29 se.ptemb re 1953, dépose a ux
minutes de Mo M!ALI:-iYAUD, notai re à AIX-EIN-PROYENCf.,
15, rue dn 4-Septembre,
Mademoisel le MAURICE Rose, Henr iette, domiciliee il
AIX-EN-PjROY ENCE, <, r ue frédéri c.Mistra l a légue au x PETITES SŒURS DES PAUVRES d' AIX, 'la S()lHme de CIK·
QUANTE MILLE francs, à charge pa r elles d'entretenir sor.
Numéros 51.52
...
.,
Co nformément aux di"p',sitio ns du décret d,u 1er fé vri er
24 et 31 Décembre 1953
1896, les hé riti ers con,n us o u inco nnus de Mlle MAUlRI OE Ro,e.,
Henriette son,t invités à prendre conn aissa nce du
testament,
donne r l eu r consentement à sn n exécution, ou produire leu's
mo yens d' Opp0si ti on dans un oél ai de trois mois à dater !u
jour du présent av is.
DES
Ma roc;'lIe, le 10 Déœml>re 1953
caveau de famille.
ACTES ADMINISTRATIFS
ET BULLETIN DES MAIRIES
.
------================================~
TABLE DES MATIÈRES
/'."---'
(
F O. -
Maintien de l' Indem nité de M utation aux agents charges de fami ll e nouvell ement recruté's
A O. -
Auto risation de liv raiso n d'explosifs ag ri coles ... . ............. . .. ... . . . ........ .
TEXTES D'INTERET COMMUNAL
Pou r le Préfet et par Dêlégation ,
Lt Secrétaire Général
Ma xi me MIGNON.
Prêts aux coll ectivités loca'ies . . ... ,..... . ... "
.. ,... .....
. ...... . . , ....... .. .
Taxe locale additionnell e a ux taxes s ur le chiffre d'affa ires ......
. .... . ... . . .
Facili tés de credit aux communes sinistrées à Ja suite des plui es torrentiell es surven ues du
22 au 28 se ptembre 1953 .............. .. .............. .. ........ ........ .. ..
FS O. -
Contingent communal des dépenses d'assistance pou r 1952 ............... . ... .. ...
FS O. -
Fichie r Central d'Assista nce .
, .
294
295
296
296
297
COMMUNIQUES • AVIS • ANNONCES DIVERSES
Do ns et legs ........................ .. . ,
Ecole Nat io nale d'Ad minist rat ion
Avis de Co ncou rs
,II
.... ,. , ..
Inspecteurs-Adjoi nts Stagiai res de la Di rectio n des Fin ances du Maroc
Secretaire Stagiai re des Ser vices Civil s de J'A l gérie . , ... ,
Réd é!fteur à la Ma irie d ' Ai x -e n~rove nce
29,
297
298
29g
Autonsation d'o uverhllJ'e de co1olll1b ie-rs ... "
2-98
298
Examelis rad iosco piques : Ag r ément ci e médeci n " " . , ...... ...... ... . . . ......
Mise en dispo nibilite d' un ouvr ie r pro fe<;:i ion nel du Foyer des Pupilles ...... . .
29K
29~
ABREVIATIONS· - A. P . : Arrêté pré fecto ral. - C. . Circulai re. - Les lettres 0 et B su ivits d'un ch iffre
indiquent le Service ou Bureau d'origin e. - D. S. T. : Directi on des Services Techniques. - D. D~ S. : Direction
Département ale de la Sauté. - D. O. P. : Directio n Dépa rlementale de la Populatio D.
292
\
\
TEXTES D'INTERET GENERAL
F 4. F 3. A O. -
j,
�TEXTES D'INTËRËT GËNËRAL
D2 BI - F 0
l
MAINTIEN DE L'INDEMNITE DE MUTATION AUX AGBNTS CHARGES
DE FAMILLE NOUVELLEMENT RECRUTES
Ces deux derniers textes vous ont été notifiés par les lettres communes des 7 décembre 1945 et 5 juillet 1946 respectivement insér ées au Bulletin des Services du Trésor n' 63 G et
29 G,
D4B3-AO
ADM ISSIO N DES DEMA NDES DE PRETS
Bien que l'émission actuell e soit plus importante que les
précédentes, ell e ne perm et pas de modi fi e-r les instru ctions
anté r ieures co ncern ant les règles à obser ver pour l'admission
des demand es.
PRETS SUR LE FON DS DE MODERN ISATION
ET V 'EQUIPEMEN T
Mesure transitoire
La circulaire du 7 août 1953 aux Ministres et Se<>rétaires
d' Etat pour l' application du décret n' 53-511 du 21 mai 1953
fixant, à compt er du 1er juin 1953, le nouveau régime de r emboursement des frais de déplacement des personnels civils de
l'Etat (textes insérés au B.S.T. n' 64 G.) a abrogé (voir article
26) les dispositions bienveillantes prevues par les circulaires de
l a D irecti on du Budget n' 120 ,B/ 5 du 12 novembre 1945 et
72 B/ 5 du 15 juin 1946, rel atives à l'attribution de l'indemnité
de mutat ion, au x agents nOU\'ellement recrut és ayant la qualité
de chef de fa mille,
mais les prêts d' un montant inférieure ou égal à un million de
francs doivent être amort is dans un dél ai aussi court que possibl e et qui ne saurait, en prin cipe, excéder 8 ans.
Aucun changement n'est apporté. La durée de ces prêts
eSI de 30 ans.
J'ai [' hon neur de vous faire co nnaître que, à t itre t ransitoire, l a Di rection du Budget a décidé de maintenir le bénéfice
de l' indemnité de mutatio n ap rès l e 1er juin 1953 et jusqu'à
,'ex piration du dél ai prévu par l 'ancienne réglementation en
fa veur des agents chefs de famille nouvellement r ecrutés, qui
3 \ aien t comm encé à percevoir ladite indem nité avant l'entrée
en vigueur des dispositions du décret du 21 mai 1953, sous
réser ve toutefois que cette indemnité continue à être payés
dans les conditions et su r la base des taux en vigueur avant le1er juin 1953.
Pour le Directeur de l a Comptabilité Publique,
Le Directeur-Adjoi/lt
R, ARNOULD.
AUTORISATION DE LIVRAISON D'EXPLOSIFS AGRICULES
PRETS POUR LA CREATION DE LOGEMENTS
Des prêts pourront être consentis soi t pour acquérir des
terrains pour leu r mise en état de vi abHi té, soit de construire
des l oge ments.
Si les terr ai ns ou les co nstru ctions doivent être cédés
ensui te à des pa rti culiers désireux d'accéder à la propri été, l a
durée d'amor tissement des emprun ts ne devra pas dépasser
9 années.
A ce suj et la base d' une ann uité au taux de 6 % pour
9 ans resso rt à 14.7022235 %.
D'autre part, les Coll ecti vités ayant manifesté l e désir de
remb ourser l'es emprunts par an tici pation au fu r et à mesure
de la re ve nte des terrai ns ou des logements, le Crédit Foncier
de France ti ent essen tiellem ent à 'l~ inserti on dans ces contrats
cie prêts aux Co llecti vités Pu bliq ues, d'une clause d' irr emboursa bil ité temporaire, cla use qui a déj à été l ar gement atténuée en
laissant au x emprun teurs la faculté d'eff ectuer des rembourse:nent anti cipés à toute époque et sa ns indemni té au moyen des
• La (Commune, Vill e) s'in te rdit d'effectu er aucun r eme boursement an ti ci pé penda nt toute la durée du prêt à l'aide
~ d'a ut res r esso urces que ceUes énum ér ées ci-après :
« 11» Sub\'entio ns allouées à l'occasion des dépenses qui
« mot ivent le présent emprunt et économies r éalisées sur lesdi« tes dépenses ;
« 2°) Produit de la r evente des terrains acq uis ou des
~ co nst ructi ons éd i fiées à l' aid e de l'emprunt, sous réserve que
« le montant de chaque r embou rsement ne so it ·pas inférieur au
« tiers de l a somme emprunt ée.
« Au cas où, pour un mot if qu elconqu e, le prêt ser ait
« néanmoins rembo ursé par anticipation en tout ou en partie à
« l'aide ~' autr es resso urces que celles précitées, ~ a Commu ne
« ou l a V ill e pai erait une indemni té égal e à six mois d'intérêts
« du capital li béré avant t erm e.
ARRETE
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier de la Légion d'HonneUr,
Vu le Décre t N ' 53.896 du 26 septembre 1953 sur l a déconcentration administrative et notamment l' article 3 autorisant
les Préfets à déléguer leurs [tluvoirs à certains foncti onnaires
de leur Département ;
Vu les articles 4 et 6 du Décret du 12 mai 1939 portan t
r églementati on des explosi fs agricol es ;
Sur la proposition du Secrétaire Général de l a Préfecture,
Article premier. - M . l' Ingénieur en Chef, Directeur des
Ser vices A.g rico les r eçoit délégation pour délivre r les autorisat ions de livraison d'explosifs agricoles dans !es condi tions prévues aux articles 4 et 6 du Décr et du 12 mai 1,939 susvi sé.
D2 B3 - f
3
TAXE LOCALE ADDITIONNELLE AUX TAXES SUR LE CHIFFRE
D'AFFAIRES
Suspension provisoire de la perception pour certaines affaires
Article 2. -
M . le Secrétaire Général de ,la Préfecture est
chargé de l'exécuti on du présent arrêté,
Fait à Ma rsei lle, le 16 décembre 1953.
Le Préfet :
André PEJLABON.
TEXTES D'I -NTËRËT COMMUNAL
Par ci rcu l ai re pa r ue au Bull eti n Ad min istratif des Ma iries
NQ 43 du 29 octob re 1953, j'ai por té à la connaissa nce de
MM, les Maires une instruction co ncern ant la suspensio n provi soire de l a perception de la taxe 'locale frappant cer tai ns
produits alimentaires.
Je leur co mmun ique ci-après le tex.te de la ci rcul ai re ministéri ell e N' 454 AD/ 2 du 19 novemb re 1953 qui a pour obj et
de les in fo rm er des conditions dans lesquell es les comm unes
ont été et ser ont indem nisées.
Les versements afférents aux pertes de recettes des 1110is
d'octobre et de novembre ont été affectés confo rmémenl aux
inst ru cti ons ministér ielles.
Pou r le Préfet,
Le Secrétaire Général
PRETS AUX COLLECTIVITES LUCALES
D2B3-F4
subventions allouées à l'occasion des dépenses qui motivent
l'emprunt et de l'économie réal isée sur ces dépenses.
,
T outefo is, désir eux d'encourage r les effo rts entrepris par
les Coll ectivités pour la constru cti on de logements, le Crédit
f onl..'ier de France a décidé d'étend re la faculté de rembourser
par anticipati on, da ns les mt:mes conditions, lorsque l e remboursement doi t être eff ec tu é à l 'a id e du produit de la revente
des terr ai ns et des co nstructio ns q ui ont moti vé l e recours à
,l'empr un t. Ce tte possib il i té sera cependan t subordonnée à l a
conditi on que chaque r emboursem ent anticipé ne soit pas inféri eur au tiers de l a somm e emp ru ntée.
En con séquence, chaque fois q u' il s'agira d' un emprunt
co ntracté pour f ai re fa ce à de tell e dépenses, l a clause insér ée
da ns les contrats relativement à la suspension tempor aire du
droi t de rem bo ursement, sera rédi gée ainSI qu'il sui t dans l es
délibérations :
J'ai l' honneur de porter ci-dessous, à l a connaissance de
MM. les M ai res du Départemen t l e t exte d' une circulaire du
Crédi t Foncier de France re lati ve aux prêts au x collectivités
publiques.
CREDIT FONCIER DE FR ANCE
PRETS AUX COLLECTIVITES PUBLIQUES
TA UX O' I NTERETS
Les caractéristi ques de la nouvelle émission étaut semblables à celles des deux précédentes, aUCun chan gement n'est apporté aux conditions de r éalisations de nos prêts ordinaires.
Le taux est de 6 % pour les prêts consen tis aux Départe-
ment, commun es, sy ndi ca ts de communes, établissements publics
scienti fiqu es d'ensei gnement, d'assistance et de bie nfaisance,
Lorsqu' il s'agit de prêts aux départements, commun es, sy n~
d;cats de communes pour le fo nctionnem ent de r égies à ca r~c
tère industri el et commercial, et aux ét abl issements publics
,,'sés il -l' arrêté du Ministr,e des Finances du 3 1 j anvier 1942, l e
taux a été ma in tenu à 6.55 % .
Ce t aux de 6.55 % n'est pas applicable au x em prunts des
Offices Publics d' Habitat ions à loyer modéré, l o rsq ~e ces emprunts so nt exonérés d' impôts en ver tu de l'articl e 4 du décret
N' 50.1135 du I·g septemb re 1950, é'est-à-dire lorsq u'ils, sont
asso rtis des primes à ia construction prévues par la 10' du
21 juillet 1950,
L a durée des prêts ,reste fi xé e il 15 ans au p1axi mum ;
Signé:
M . M IGNON.
Pari s, le 19 novembre 1953.
MI N ISTERE DE L' IKTER IEUR
DI RECT I ON DE L'ADM INISTRAT I ON
DEPARTEMENTA LE &: CO.\ \MUNALE
2' BUREAU
Circul aire N' 454 ADj.2
Le Ministre de l' lntériellr
à Messiellrs les Préfe ts
Le déc ret ,, " 53-8 12 du 5 septembre 1953 (J .O. du 6 septembre), pr is en app lication de l'article 7 de la loi n' 53-6 11
du Il ju ill et 1953 po rtant red ressemenl éco nomique et fina n-
cie r, a auto r isé At le Mi ni stre des Fina nces et des Affaires
Econo miques à suspendre provisoirement la perception de l a
taxe sur les t ransactions et de la taxe locale addition nelle aux
taxes su r le chiffre d'affai res, lorsque ces taxes sont aff érentes
<l UX opé ratio ns de vente, de commissio n et de co urtaCJe portant
sur certai ns produits de l arge co nsomm at ion.
0
Usa nt de ces pouvoi rs, M. le lv\i nistre des Finances et des
Affai res Economiq ues a, pa r décision du 5 sep temb re, publi ée
au J.O. du 6, suspendu la perception de ces taxes po ur certa ins produits, du 9 septemb r e au 31 décembr e 1953.
Cette suspensio n s'applique non seu lement à la percepti on
de la taxe l ocale, mais encore à la majoration que l es conseils
municipa ux peuvent institue r en applicatio n de l'article 1574 du
Code Génér al des Impôts,
Ainsi que je VOLlS en ai informé par télégr amme du 5 septembre, le Gou\'ernement a, à ma demande, prévu que les di mit;utions de recettes ainsi imposées aux collectivités local es seront prises en cha rge par l' Etat.
La présente circulaire a pour objet de vous in fo rm er des
conditio ns dans lesquell es l es collectivités locales seront indemnisées.
Les redevab-les doivent me ntionne r su r l eur déclaration
l11e nsuelle de chiffre d'affa ires, celles qui bénéficient de l a suspension de l a ta xe l ocale.
Au vu de ces déclarations les ser vices des cont ributio ns
indi rectes arrêteront le montant des affaires :ton soumises à l a
taxe locale par C?n.lI11Une et par mois pour les communes pour
lesquelles ,le prodUIt de la taxe locale est individ ua!isé, al obalement et en une seul e fois, le 25 janvier 1954, pour les ~ u t res
293
294
�colleetivités et la taxe locale étant inférieu re à 500 ft. par habitant et par an, n'est plus individualisée.
Ces différents décomptes serviront au versement a ux dif- .
férentes collecti\'ités des indemnités compensatrices.
Les communes où le produit de la taxe:ocale est individualisé ainsi que le département et le fonds national de péréquation, pour la part q u'il leur revient sur ce produit, re(,.evront
mensuellement ces indemnités compe.nsatrices.
La part re,'enant au département et au Fonds National de
péréquation sur le produit de la taxe locale perçu dans les
communes où ce produit n'est pas individualisé, sera versé en
une seu :e fois.
La part qui de\'rait reve nir à ces communes sera versee au
Fonds National de péréquation, Il a paru, en effet, sans intérêt
,flOdividualiser les pertes de recettes pour ces collec,ivites qui
..,oi,ent du fonds de péréquation des attributions complementai res destinées à leur assu rer une recette minimum par habitant et par an, dont le montant est en to ut état de cause, bien
superieur à celui des pertes de recettes résultant de la suspension des perceptions pou r certains produits.
Les différentes liquidations des indemnités compensatrices
doivent intervenir:
04 BI . A 0
- le 10 noo)embre 1953, a u titre des affai res réalisées e
septem bre dans les communes de la 1 re categorie, et pou r
que.les la taxe locale a urait normalement été recouvrée en
octobre;
- le 5 dec"mbre 19.13, au titre des affaires réalisées en
octobre dans les communes de la 1Te catégorie, et pOur les~
quelles la taxe locale aurait normalement été reco uvrée en
!lovemb re ;
- le 5 janvier 1954, au tit re des affaires réalisées en no"embre dans les communes de la 1re catégorie, et pour lesquelles ,la taxe locale aurait normalement ètê r ecouverte en décembre (celle date devallt être specialement respect ée afin de nq
pas retllrder la IlqUidatiOfl des attnbutwlls à verser par le Fonds
Nation"t de péréquation).
- le 5 février 1954, au titre des affai res réa lisees en décembre dans les communes de la 1re categorie, ainsi que des
affaires r éalisées de septembre à décembre inclus dans les
comm unes de la 2e catégo rie.
1':
.
P. le Ministre de 1' 1ntérie ur et .par délégation
'
Le Prefe/,
Dirccteur de tAdministra:/io/l
Departementale et Communale
DAMELON.
fACILITES DE CREDIT AUX COMMUNES SINISTREES A LA SUIT!:: D ES
PLUIES TORRENTIELLES SURVENUES DU 22 AU 28 SEPTEMBIŒ 1953
ARRETE
Le Préfet des Bouchcs-du-Rhône,
Officier de la Legion d'Honneur,
Vu la loi N" 48-1516 du 26 septem bre 1948 modifiée par la
IQi N' 50-960 du 8 aDlit 1950 et no tamment ses a rt icles 63
et 54,
Vu l'arrêté en date du 30 no,'em bre 1953 de M. le Ministre
\le l'Interieur ;
Vu l'avis de M, l'Ingénieur en Chef, Directeur des Services
Agricoles;
Sur la proposition de M. le Secrétaire Général,
ARRETE:
Arficie premier. - Les industriels commerçants agricultf-urs et propriétaires rurau x sinistres à la suite des pluies
to rrentielles et de la tempête survenues du 22 au 28 septembre
1Y53 dans l es. communes énumérées ci-après pourront bénéfiticr des facilites de crédits prév ues par les a rticl es 63 et 64
de la loi du 26 septembre 1948 d'une part, pour la reconstitution des matériels et stocks, d' au tre part pour la répa rat ion des
d égâ ts causés a ux bâtiments ag ri coles et rurau x, recoltes et
cheptel :
' i
Commu nes d'Arles, de Fonhrieille, de lV\.aussal.ne, du Paradou, de Mo nriès, de Barbentane, de Châteaurenard, d'Eyra"' ues, de Graveson, de Noves, de Rognonas;
Article 2. - M. le Secrétaire Géneral de la Préfecture cst
c ha rgé de l'exéc uti on du pr~sel1t arrête.
0 3 BI . FS 0
FICHIER
CENTRAL
Le Préfet des Bouches-du-Rhône
Officier de la Légion d' Honneur,
à Messieurs les Maires du Département
et M. le Directeur Géneral de l'Adm inistration de
l'A ssistaiflce Publique de Marseille (po ur exéc ution),
à MeSSie/ifS les Sou s-Préfe/s ;
à M. te Directeur Départemenlal de la Sa nlé .
à M. le Directeur Départemental de la PopulaÎion
à M. le Dlfecteur d e la Sécurité So ciale;
à MM. les j uges d e Paix, Présidents des Com missions Cantonales (pou r info rmation).
A plusieu rs rep rises, les êles du département se sont émus
de l 'accroissement des dépenses d'assistance dû dans une certaine mesure, à des abus, dou bles emplois 'et ~ullluis in terdits
que le c1o.isonnement des services ne per mettait pas de déceler.
.l e SUIS heureux de témoigner à M. les Maires combien
mon admi nistration r ejoin t leur souci d'une gestion scr upu leuse
des denier s publics et d'une limitation des frais d'assistance aux
se uls req uérants pouvant ·légaleme nt y prétendre.
Seul e, une noU\'ell e organisation et la r ationnalisation des
méth odes de travail ,pouvaient pe rmett re un te l rés ul tat et
~lItrain er, de plus, un e sim plification de l a procédure et' une
H'lstru chon plus r apide. ,Pa rmi les moyens à mettre en œuvre est
a ppa ru la nécessi té de réunir les diffé rentes de mandes déposées
pa r un même individu.
Cette Oil,é r" ti on a cond.uit " l'étab.lissement du Fichier CenIrai, objet de la prése nte com munication.
En raison du nom bre considérab le des bénéficia ires (46.000
dQssiers centraux ont été obtenus en regroupant 7a .OOO dossiers d'assistances différentes), le classement alphabétique simple s'est révélé insuffisant et il a fallu procéder à l'immatriculation des assistés, pa r l'attribution, à chacun d'eux, d' un numé ro à 6 c hiff res compris entre ()()()()() l et 999999.
D'ASSISTANCE
Toutefois, en laison des fréquentes homonymies qui
s'ctendent jusqu'au 1er prénom, on ne peut procéder à l 'immatriculation d'un assisté qu'à la condition d'être en possession
des indications suivantes: 110111 corr ectement orthogr aphié, prénoms, nom de jeu ne fi ll e po ur tes femmes mariées et les veuves,
date de naissance. Vous êtes, dès maintenant, appelés à répondre à des questionna ires ron éo typés, où il vous est demandé
de fourni r ces renseignements po ur les assistés de votre commune et je ne sau rais trop vous prescr ire d'inviter vos services à
y r épondre avec le plus grand soi n.
L'intérêt de ce numéro d'assistan ce, donné à titre définitif
à un individu dont il permet l'identification parfaite ne vous
échappera pas. En effet, toutes les demandes déposées par
celui-ci, au cou rs de sa vie d'assisté, devront po r ter le même
numéro, ai nsi que toutes les pièces qui s'y rapportent.
Vous recev rez, dorénavant, des dossiers, demandes d'enquêtes, cartes (d'économiquement faible, d'invalidité, de ceci té)
su r l esquels fi gurera 'Ie numt:ro d'assistance. Il importe qu'à
votre tour, vous le rappeliez en 'référence chaque fois que vous
en aurez connaissance.
tL'obser<ation de cette prescription vo us sera facili tée par
le fic hi er gé néral des assistés de votre commune que le décret
n° 53-11 86 du 29 novem bre 1953 (paru au J.O. du 3 décembre)
vo us fait une obligation de tenir.
Je n' ignore pas le s upplément de travail que teprése ntera
~our vos ser vices, pendant la pér iode de démarra ge, l'application de ces mesures. Ce n'est qu'au prix d'un effort séri eux que
le Fichier CentlGl d'Assistance, dont l'utilité n'est pas niab le,
pourra trou ver sa complète réalisation ,
Afin de fa ci liter votre tàche, des circulaires te chniques
vo us seront ad r essées chaque fois que de nouvelles précisions
se révèleront indispensables.
Le Préfet :
Signé : André PELA BON.
'- - - - -- -- - -- -
COMMUNIQUES - AVIS - ANNONCES DIVERSES
Marseille, le 23 decembre 1953.
Le Préfe/ :
Signé : Andr é PELABON.
DONS ET LEGS
02B3·fSO
CONTINGENT COMMUNAL DES DEPENSES D'ASSISTANCE POUR 1952
ARRETE
Le Préfet des Bouches-du-Rhône,
Officier d e la Légion d'Honneur,
Vu les décrets des 30-10- 1935 et Ig-I2-1936 sur la répartitior. lies charges d'assistance entre les collectivités publiques i
Vu la loi du 1 avril 1937 déterminant les conditions de
répartiti on entre les communes du contingent communal d'assistance ;
Vu l'article 35 de la loi du 15 juillet 1893 ;
Considérant que la commune de Salon bénéficie du régime
spécial de l'art icle 35 pour l'onnée 1952 ;
Vu la
b re 1!l53
l:ontingent
de l'année
296
délibération d" Co nseil Géné ral en date du 2 décemstatuant sur la répa rtition entre ~es communes du
des dépenses d'assistance mis à leur charge au titre
1952,
ARRETE:
Ar/icle premier.
Le co ntingent communal des dépenses
d'assistance pou r l'a nn ée 1952 sera répa rti entre les communes du département, proportionnellement à la valeur du centime communai pour la même année.
Ar/icle 2. - Sont exclues de ce régime les dépenses d'assistance se rapportant à l'A.M.G. à la charge de {a commune
de Salon, pour toute l' année 1952, cette com mun e bé néficia nt
de l'o rga nisatio n spéciale r és ultant de l'article 35 de la loi d u
15 juillet 1893.
Article 3. - M. le Secrétaire Général de la Préfecture et
M. le Trésorier Pa yeur Géné ra'l d u Département sont chargés,
Lh~cun ell ce .qui le concerne, de l 'exécution du présent arrêté
qUI sera publié ail Recueil des Actes Administratifs.
Fait à Marseille, le 2 1 décembre 1953.
Pour le Préfd,
Le Secretaire Général
Signé : Maxime MIGNON.
Par testament olographe du 28 septembre 1953 déposé aux
Confo rm émen t aux dispositio lis du décret du 1er février
mi nutes de M" MALINVAUD, notai re à Aix-en-Provence, 15,
pl ace du 4-Septembre, Mademoiselle ,\IAURICE Rose, He nrie!!e,
domicili ee à Ai x-en-Pro\'cn ce, 2, ru c Frédéric-Mistral, a léglll!
se, Henriette, sont im'i tés a prendre connaissance du testament,
aux Perites Sœurs des Pauvres d'Aix, la .'omme de cinquante
mille francs, à charge par ctles d'enlretenir son caveall de.
famille,
1::;9~,
les herit ie rs con nus o u inconnus de Mlle MAURICE Ro-
dOTlner
leur consen tem nt à son exécution
moyens d'opposition dans un
d ~ l ai
ou produire leurs
de trois mois à dater du
jou r du présent aris.
Marseille, le 2 1 décembre 1953.
ECOLE NATIONALE D'ADMINISTRATION
L'at t ri bution des facil ités de pr~ parati o n cux ca ndidats du
second concours d'entrée à l' Ecole Nationa'le d' Administr atio n
a fait l'objet d~ la ci rculai re ministéri elle n° 300 du 2 1 août
1953.
Pour le Préfet,
Le Secrélaire Général d él égué
Signé: Maxime MIGNON .
207
�AVIS DE CONCOURS
0\ BI
bOOflfs-Du.RHONE
Inspecteurs adjoint$ stagiaires de la Direction des finances au Maroc
Secrétaires stagiaires des Services Civils de l'Algérie
_8.C.:te'c5::~ min ist rat ifs
Rédacteur à la Mairie d'Aix-en-Provence
Un concours pour le recrutement de 60 inspecteurs ad j oi nts
stagiaires des cadres extérieurs de la Direction des Fi nances d u
Maroc aura lieu les 8 et 9 mars 1954 à Rabat, Paris, et, s i le
nombre des candidats le justifie, dans d'aut res ce ntres de la
Mitropole.
Le registre des inscriptions ouvert à la Direction des Finances (Bureau du Personnel), à Rabat, où les candidats pourront
s'adresser pour obtenir tous
clos le 25 jaO\oer 1954.
renseignements utiles sera
.".
Un concours pour 14 places de Secrétaires Stagiaires des
Services Civils de l'Algérie aura lieu:
10 _ pour les épreuves écrites, le lundi 5 avril \954, da ns
les Centres suivants : Alger, Oran, Constantine, Paris, Marseille, Lyon, Bo rdeaux, Nancy, Rennes, Lille, Toulouse, Ajaccio,
Rabat, Tunis.
20 _ pour les épreuves orales, aux Cent res qui seront dési gnés ultérieurement.
La date de clôture des lfisc ri ptions est fixée au 5 mars
1954.
30 _ P o ur tous rensei,gnements complémentai res, s'ad resse r
~HI Gouvernement û~néïa l , Direction d e" la Législat ion et de la
Fonction Publique, Personnel des Se rvices Civils, à Al ger.
:.
La mairie d'Aix-en-Provence organisera, les 21 et 22 jan~
vier 1954, un concours pou r l e r ecr utement d' un r édacteur.
Les conditions d'admission son t l es suivantes:
Limites d'âge - 21 ans au moins et 30 ans au p'lus, au
1er janvier 1954. Cette dernie re limite d'âge est prolongée d'un
an par enfant à charge et des ser vices militaires obli gatoires.
Diplôm es exigés - L'un des d Iplômes ci-ap rès :
Bacca lauréat de l'enseignement seco ndai r e
Brevet supérieur de l'enseignement primaire
Diplôme de l'Ecole Nationale d'Administration Mu nicipale
de l'U nive rsité . de Paris.
Dép6t des demandes - 16 janvier 1954, dernier délai.
Pour tous renseig nements sur l a co nsti tu t ion des dossiers
et le programme de ce conco urs, s'adr esser en mairie d'Aix,
ser vice du Personnel.
TABLE DES MATIÈR ES
AUTORISATION D'OUVERTURE DE COLOMBIERS
Par Arrêté Préfectoral en date du 15 décembre 1953, ont
été autorisés à ouvrir un colombier de pigeons voyageurs dans
leur domicile, MM. :
_
GUIDONE Joseph, 121 , chemin de St-Julien, Marseille;
SERRALIER Ro ge r, 15, Bd du Pont-de-Vivaux, Marseille;
LAFONT Hector, 3 1, rue de la Boétie, SHlarnabé ;
LE MARCHAND Pie rre, 3, Allées des Ifs, Bois-Luzy,
Marseille.
EXAMENS RADIOSCOPIQUES - AGREMeNT D' UN MBVECIN
Par Arrêt~ Préfectoral en date du 21 décembre 1953,
M. Guy LARTIGUE, médecin, demeurant 295, Bd Chave, a été
agrèé pour pratiquer l es examens r adioscopiq ues en vue de ia
délivrance des certifica ts pr énut iaux et pr énataux.
MISE EN DISPONIBILITE
Par Arrêté PrHeclo ra'l en date du 18 décembre 1953,
Mme BERTHE Louise, ouvrière professionnelle de 1re catégorie affectée au Foyer des Pupilles, a été mise, sur sa demande,
en disponibilité san solde, pf)ur une période d'un an, à comp-
ter du 2 1 novembre 1953.
Pou r le P réfe t et par Délégatio n.
Le Secrétaire Général
Maxi me MI GNON.
298
'1rIII".I~.II:
parue s
NOD.,..s,' .. .... M.Utal LLI:, lolO, rur SalOle
au
oours
de
l année
1953
o la.ssées
par
rubr1"ques
où
le s
et
textes
dan s
o nt
l' or d r e
été
0
h ralla 1ogique
publiés
�
Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
Title
A name given to the resource
Publication en série imprimée
Description
An account of the resource
Périodiques imprimés édités au cours des 18e-20e siècles et conservés dans les bibliothèques de l'université et d'autres partenaires du projet (bibliothèques municipales, archives et chambre de commerce)
Dublin Core
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Title
A name given to the resource
Recueil des actes administratifs et Bulletin des maires
Subject
The topic of the resource
Département des Bouches-du-Rhône
Droit administratif
Description
An account of the resource
Bulletins chronologiques des actes (arrêtés) pris par le département
Creator
An entity primarily responsible for making the resource
Bouches-du-Rhône. Préfecture
Source
A related resource from which the described resource is derived
Bibliothèque droit Schuman (Aix-en-Provence), cote JP 118 Réserve
Publisher
An entity responsible for making the resource available
Préfecture des Bouches-du-Rhône (Marseille)
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1949-1986
Rights
Information about rights held in and over the resource
soumis à copyright
restricted use
Relation
A related resource
Notice du catalogue : http://www.sudoc.fr/253805325
Vignette : https://odyssee.univ-amu.fr/files/vignette/RES_JP_118_RAA-BDR_1950-1953_vignette.jpg
Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
application/pdf
4 vol.
p.
21 cm
Language
A language of the resource
fre
Type
The nature or genre of the resource
text
publication en série imprimée
printed serial
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
https://odyssee.univ-amu.fr/items/show/274
Coverage
The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
Provence. 19..
Alternative Title
An alternative name for the resource. The distinction between titles and alternative titles is application-specific.
Recueil des actes administratifs et bulletin des maires - Bouches-du-Rhône
Bulletin administratif des mairies, Coordination et diffusion des instructions préfectorales - Bouches-du-Rhône (Suite de)
Abstract
A summary of the resource.
Actes par ordre chronologique de la Préfecture du département des Bouches-du-Rhône
Provenance
A statement of any changes in ownership and custody of the resource since its creation that are significant for its authenticity, integrity, and interpretation. The statement may include a description of any changes successive custodians made to the resource.
Bibliothèque droit Schuman (Aix-en-Provence)
Droit administratif -- Bouches-du-Rhône -- 19e et 20e siècles
Droit et politique
Provence (France)