Histoire de l'université]]> Économie politique]]> Professeur des écoles françaises de droit à l'étranger (2), Henry Babled est nommé en 1901 à la Faculté de droit de l'Université d'Aix-Marseille où il enseignera l'économie politique de 1905 à 1909.

Henry Babled, juriste et économiste (1862-1909)
Professeur à l'École française de droit du Caire

Titulaire de la chaire d'économie, il établit un trait d'union entre la Faculté de Droit d'Aix et la Faculté des Sciences de Marseille en donnant des cours de législation et d'économie coloniales au Musée Colonial de Marseille. Pour mémoire, après le succès de l'Exposition coloniale internationale de 1906, l'Institut colonial avait été doté d'un Musée colonial à vocation scientifique et assurait des Cours coloniaux assurés par les professeurs de l'Université d'Aix-Marseille, cours en partie subventionnés par la Chambre de Commerce, à l'attention de tous les acteurs économiques du commerce colonial (importateurs, armateurs, investisseurs, etc.). Mort prématurément, il n'y enseignera que quelques années.

Réfs.
1. L'École khédiviale de droit du Caire
2. Bernard-Maugiron, Nathalie. - Ce que le droit égyptien doit à la France (2008) - Collection IRD - Plein textes - Qantara, (69), 35-38. ISSN 1148-2648]]>
1909]]> fre]]> Aix-en-Provence. 19..]]> Le Caire (Égypte). 18..]]>
Économie politique]]> Histoire de l'université]]> Enseignement supérieur]]> Biographie]]>
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Offert à la bibliothèque universitaire. Signé Edouard Jourdan". E. Jourdan est le fils de l'auteur.

Quatorze : c'est le nombre de titres, de fonctions, de responsabilités, d'appartenances à des sociétés savantes et de distinctions associés au nom d'Alfred Jourdan. Aujourd'hui, un tel palmarès lui vaudrait l'épithète de cumulard si ce n'est qu'il s'agit bien de domaines de compétence attestés et pas des décorations de pacotille.

Alfred Jourdan (1823-1891)

Rien de surprenant si la majorité des laudateurs de cet économiste libéral sont des juristes : pas seulement parce qu'il a été le doyen de leur Faculté, mais, parce qu'à cette époque, l'économie n'est enseignée que dans les Facultés de Droit. Un hommage on ne peut plus consensuel : Président de la Cour d'Appel, Recteur d'Académie, Doyen des Lettres, Président de l'Académie, Professeurs, Docteurs, ...

Parce que précurseur, il était trop juriste pour les économistes et trop économiste pour les juristes. Son nom restera associé à son rôle dans la fondation de l'enseignement de l'économie politique et aussi à la "Revue d'économie politique" qu'il avait cofondée en janvier 1887. La notice biographique plus développée du document "Éloge de M. Alfred Jourdan, président de l'Académie d'Aix, correspondant de l'Institut, doyen de la Faculté de droit d'Aix, prononcé dans la séance du 17 janvier 1893", pourra être utilement consultée.

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  1. Extrait du Journal Le Var de Draguignan. (Numéro du 20 août 1891)
  2. Discsours prononcé par M. Rolland, président honoraire à la Cour d'Appel d'Aix
  3. Discours proncé par M . Auguste Laurin, professeur de Droit Commercial et de Droit Maritime aux Facultés d'Aix et de Marseille, Assesseur du Doyen de la Faculté de Droit
  4. Discours de F. Belin, Recteur de l'Académie d'Aix
  5. Revue d'Economie politique - Numéro de Septembre-Octobre 1891
  6. - Article de Charles Gide, professeur à la Faculté de Droit de Montpellier
  7. Séance solennelle de Rentrée du 23 novembre 1891 - Rapport présenté au nom du Conseil Général des Facultés par M. Guibal, Doyen à la Faculté des Lettres
  8. Leçon de M. Moreau, Professeur (19 décembre 1891)
  9. Notice lue par M. Aucoca à la séance du 30 Janvier 1892
  10. Discours du Docteur Paul David
  11. Discours de Pierre Lanéry d'Arc
  12. Discours de M. Soubrat
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1893]]> fre]]> Aix-en-Provence. 18..]]>
Histoire de l'université]]> Économie politique]]> Enseignement supérieur]]>
Les circonstances de la vie ont offert à Alfred Jourdan l'opportunité de croiser des destins exceptionnels lors de ses vacances en Corse : l'écrivain historien et archéologue Prosper Mérimée, le romancier Gustave Flaubert, autant inspiré par le psychologique que le naturalisme et François Guizot, homme politique plutôt austère et chantre d'un libéralisme au service de la prospérité mais peu ouvert aux questions sociales. Parti étudier le droit à Paris, il sera reçu par Blanqui, directeur de l'École de commerce, où il rencontrera des économistes en vue.

Alfred Jourdan (1823-1891)

En 1863, après avoir été attaché puis agrégé, il est nommé professeur de droit romain à la Faculté de droit d'Aix. Son parcours universitaire bascule lorsqu'il inaugure en 1875, à la Faculté des Sciences de Marseille* (cela ne doit rien au hasard), et en 1877, à la Faculté de Droit d'Aix, l'enseignement de l'économie politique. Ce qui lui vaudra une certaine animosité des économistes de métier, lui reprochant sa culture purement juridique, ce que l'économiste J.-Y. Naudet résumera avec la formule "Le paradoxe français : le divorce entre la science économique et son enseignement universitaire" (1). On peut rappeler ici qu'il faudra attendre la réforme des universités d'Edgard Faure en 1968 pour que les facultés d'économie voient le jour (à Aix, la Faculté d'Économie Appliquée ne sera créée qu'en 1973). Cette faiblesse, il en faisait un atout : au lieu de retrancher, il enrichissait son enseignement de toutes ses compétences : le droit, l'économie, et, héritage de sa spécialité romaniste (sa thèse soutenue en 1851 : État et capacité des femmes d'après le droit romain), l'histoire de la science sociale qui s'imposera dans les dix dernières années dans ses cours donnés à Marseille.

Alfred Jourdan n'était pas engagé dans une démarche dogmatique : pour lui, le travail de l'économiste était d'abord de faire "la théorie des faits et des pratiques, et ensuite de rechercher ce que les théories économiques ont produit dans les faits et quelles pratiques elles ont engendrées; autrement dit, étudier les théories d'abord comme causes des faits et ensuite comme résultats des pratiques". Le but de toutes ces études était d'élaborer le "tableau historique des opinions que les hommes des divers temps et des divers pays se sont faites sur les richesses, leur production, leur répartition, leur consommation". Tâche d'autant plus difficile que l'économie ne se résume pas à exhumer ce qui est formellement consigné dans les textes mais à comprendre l'organisation réelle de la production et du commerce et les pratiques sociales qui y sont attachées.

Salle de travail d'économie politique (1919-1920)

Au delà de ses écrits académiques, l'héritage d'Alfred Jourdan est sans nul doute d'avoir ouvert une tradition de l'enseignement de l'économie politique à la Faculté de Droit d'Aix, tradition poursuivie par Barthélemy Raynaud, et une école de pensée où l'analyse de l'économie n'est jamais dissociée de ses dimensions juridique et sociale et reste attentive aux conditions réelles des acteurs économiques, loin d'un hypothétique sujet d'étude idéalisé, l'homo œconomicus. Ce qui conduira à de remarquables analyses et synthèses de la société française pour la première moitié du 20e siècle qui valent bien de nombreux livres d'histoire consacrés à la Provence et à la Méditerranée (3).

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* Jean-Yves Naudet précise qu'en réalité le cours d'économie à la Faculté des sciences de Marseille existait avant lui : il était assuré par Cabantous de 1867 à 1872. Jourdan en a pris effectivement la suite après la mort de Cabantous, à partir de 1873.
1. Naudet, Jean-Yves. - Une brève histoire des économistes aixois : (à l'Université et à l'Académie d'Aix). Aix-en-Provence : Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2022  - Disponibilité https://catalogue.univ-amu.fr/cgi-bin/koha/opac-detail.pl?biblionumber=1202063
2. Naudet, Jean-Yves. - L'économie politique à la Faculté de droit d'Aix. - Aix-en-Provence : Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2009 - Extrait de "Six siècles de droit à Aix, 1409-1609, mémorial de la Faculté de droit et de science politique d'Aix-Marseille à l'occasion du sixième centenaire de sa fondation, PUAM, 2009, p. 85-90) - https://odyssee.univ-amu.fr/items/show/265
3. Annales de la Faculté de droit d'Aix. Série Essai d'enquête économique - https://odyssee.univ-amu.fr/items/show/109]]>
1893]]> fre]]> Aix-en-Provence. 18..]]>
Histoire de l'université]]> Economie politique]]> F 100227605 ]]> 2009]]> ]]> fre]]> Provence. 19..]]> Economie politique]]> (Luc Bouchinet]]> 1943]]> fre]]> France. 19..]]> Economie politique]]> (Luc Bouchinet)]]> 1946]]> fre]]> Economie politique]]> (Luc Bouchinet)]]> 1936]]> fre]]> Economie politique]]> (Luc Bouchinet)]]> 1938]]> ]]> fre]]> Economie politique]]> (Luc Bouchinet)]]> 1945]]> fre]]> Économie politique]]> Enseignement supérieur]]> Histoire de l'université]]>
Un hommage est toujours un savant dosage entre les souvenirs (toujours émouvants), la biographie (évidemment exemplaire) et le respect (forcément élogieux). Pour C. de Ribbe impossible d'échapper au genre puisque c'est une tradition, chose qu'il chérit par-dessus tout. On n'est pas toujours mieux servi que par soi-même, preuve en est lorsqu'il évoque le voyage de son ami en Suisse : "Claudio Jannet** y puisa ce que la science ne saurait donner par elle-même, l'esprit de tradition. C'est dans un des derniers centres, non encore tout à fait détruits, où cet esprit de tradition continue à être respecté, qu'à la formation de l'homme intellectuel s'ajouta la formation par laquelle l'homme moral sait d'où il vient, où il va, et quel est le but de la vie".

Claudio Jannet (1857-1894)

Au cours de ce voyage, C. Jannet lui écrit : "On y souffre des mêmes maux que nous : bureaucratie, centralisation, désordre dans les communes rurales, grande instabilité dans les lois ...". Et de conclure sur l'issue fatale qui menace la société établie : "La catastrophe ne nous sera pas épargnée; car les classes riches se montrent de plus en plus indignes de la haute action directrice qu'elles devraient exercer. À Paris surtout (1), le luxe et la débauche débordent, tandis que les pauvres, dont le nombre grandit chaque jour, se montrent de plus en plus corrompus et envieux". Mêmes causes, mêmes effets et mêmes diagnostics sur les responsabilités (perte de l'exemplarité, oubli de la morale, abandon de la tradition) et les risques sociaux et politiques (oisiveté, corruption, désordre, péril socialiste).

Dans cette pensée idéologique et le contexte de la toute jeune Troisième République (elle fête ses 25 ans), C. Jannet est au yeux de C. Ribbe un gage pour l'avenir parce qu'il s'engage dans la transmission de certaines valeurs à la jeunesse : "J'ai hâte d'arriver au moment décisif où Claudio Jannet fut appelé à occuper la chaire d'économie politique dans l'Université (aujourd'hui l'Institut) catholique de Paris". Après la création des Universités catholiques de Paris, Angers, Lille, Lyon et Toulouse en 1875, rebaptisées Instituts catholiques en 1880, les "vieilles cathos" (2), l'Université catholique de Paris lui propose un poste de professeur-adjoint pour enseigner l'économie politique (la discipline n'est enseignée dans les douze Facultés de droit que depuis 1877 (3). Titulaire deux années plus tard, il occupera ce poste jusqu'à son décès prématuré en 1894, enseignant une économie d'inspiration libérale où l'épanouissement humain se fait dans la cellule familiale et dans la morale, les deux piliers de la société pour C. de Ribbe. Opposé aux doctrines étatistes et collectivistes qui agitent la fin du 19e siècle, il ne prônait pas pour autant un libéralisme "décomplexé" qui a d'autres priorités que l'homme et la morale.

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* On notera la surprenante erreur sur la date de naissance de C. Jannet, non pas né en 1857 comme l'indique le sous-titre du livre mais en 1844. C. de Ribbe, auteur en général très rigoureux, évoque la bonne date en p. 7 : alors, coquille de l'éditeur, oubli de relecture, remords du manuscrit ?
** de son vrai nom Claude Marie Jacques Jannet
1. La capitale dépeinte comme ville de l'oisiveté, de la tentation et de la corruption des jeunes comme des travailleurs est un lieu commun partagé alors par certains provinciaux - cf Jullienne, Édouard de. - Des modifications à introduire dans l'enseignement du droit - Odyssée
2. Naudet, Jean-Yves. - Une brève histoire des économistes aixois : (à l'Université et à l'Académie d'Aix). - Chapitre 2 : Claudio Jannet (1844-894), académicien aixois, économistes à la Catho de Paris et membre de l'École d'Angers. Aix-en-Provence : Presses universitaires d'Aix-Marseille, 2022 - Disponibilité https://catalogue.univ-amu.fr/cgi-bin/koha/opac-detail.pl?biblionumber=1202063
3. Lanéry d'Arc, Pierre. - Éloge de M. Alfred Jourdan, président de l'Académie d'Aix, correspondant de l'Institut, doyen de la Faculté de droit d'Aix, prononcé dans la séance du 17 janvier 1893 - Odyssée

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1895]]> fre]]> Aix-en-Provence. 18...]]>
Économie]]> Colonies françaises]]> Économie coloniale]]> Économie politique]]>
Ce bulletin économique et financier est un hebdomadaire créé en 1920 dont le directeur est Paul Barlatier et les rédacteurs en chef sont César et Emmanuel Ancey.
C’est un supplément au Sémaphore de Marseille (feuille commerciale, maritime, industrielle, d'annonces judiciaires et avis divers). Ce dernier a été créé par Adolphe Barlatier en 1827. Paul Barlatier (1876-1944), juriste de formation et journaliste dirige le journal Le Sémaphore à la suite de ses père et grand-père. Passionné de théâtre, par la Grèce antique et la poésie, il fonde également le Théâtre Athéna Nikè de Marseille afin de concurrencer le théâtre antique d’Orange (1908). En 1907, il publie un Essai sur la réglementation des conflits du travail.
Etant l’un des fondateurs de L’institut colonial, il en sera secrétaire et publiera, à ses frais, les treize volumes de l’exposition coloniale de 1906. Il est élu membre de l’Académie des sciences, lettres et beaux-arts de Marseille en 1911, où il présidera la ligue antiallemande en 1914.
C’est sous la direction de Paul Barlatier que le Bulletin économique et financier du Sémaphore est créé en 1920 afin de compléter l’édition quotidienne avec une édition hebdomadaire. Celui-ci ne parait que le dimanche et a pour objectif de fournir à ses lecteurs un complément orienté sur les progrès économiques des ports.
Ses lignes directrices sont définies pour adapter le bulletin au nouveau contexte économique qui se dessine : celui de l’internationalisation. A cette fin, le journal se dote d’un service de traduction afin de fournir un comparatif avec la presse étrangère. Dans ce bulletin figure des revues sur les Bourses de Paris et de Marseille dans chaque numéro, ainsi que des études sur les grandes valeurs locales ou régionales, la publication de leurs bilans et le compte-rendu de leur assemblée générale. Figurent aussi dans ce bulletin les circulaires et avis des agents de change, concernant les augmentations de capital et les émissions des sociétés en question.

Résumé Mélissa Legros
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Note sur la ligne éditoriale :
  • De 1920 à 1934, l'hebdomadaire porte comme sous-titre : Revue d'expansion française par la Méditerranée
  • A partir de mars 1934 (un mois après la mort en fév. d'Emmanuel Ancey, un des fondateurs du Sémaphore), jusque début 1941, année où il change de titre, l'hebdomadaire prend comme sous-titre : "Revue des intérêts méditerranéens"
  • Les tables trimestrielles des auteurs et des matières ne sont plus publiées à partir de 1940
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1920-1941]]> fre]]> France. 19..]]> Colonies françaises. 19..]]>
Économie]]> Colonies françaises]]> Économie coloniale]]> Économie politique]]> Bulletin économique et financier réoriente la ligne éditoriale qu'il avait adoptée dès sa création et conservée pendant plus de 20 ans : à la fin des années 1930, les éditoriaux très politiques n'interppellent plus le pouvoir de manière critique, débordent rarement en pages intérieures et s'effacent progressivement au profit des questions centrées sur la finance, la monnaie, la bourse, la circulation des capitaux, le commerce intérieur et la vie des entreprises. Le journal est ramené à sa vocation initiale à être un simple supplément économique comme l'atteste le subtil changement de titre de mars 1941 : le Bulletin économique et financier du Sémaphore de Marseille (1920-1941) devient le Bulletin économique et financier : supplément hebdomadaire du "Sémaphore" (1941-1944), renforçant l'image d'une certaine autonomie et neutralité comme le rappelle l'évolution de ses compléments de titre : de mai 1921 à févr. 1934, le Bulletin prend comme sous-titre : "revue d'expansion française par la Méditerranée", puis, un mois après la mort en fév. 1934 d'Emmanuel Ancey, un des fondateurs du Sémaphore, il adopte comme sous-titre : "revue des intérêts méditerranéens", pour afficher plus sobrement à partir de janv. 1936 "revue hebdomadaire". L'aspect colonial, à l'allure plutôt expansioniste et potentionnellement dérangeant pour les autres empires coloniaux, est estompé au profit de préoccupations plus modestes et davantage locales.

Au cours du conflit, si les références à l'Allemagne et au Maréchal Pétain sont incontournables, la dimension internationale de la vie économique et politique reste cependant très présente à travers les articles consacrés au poids grandissant de certains pays (États-Unis et Japon) et au problème récurrent de l'approvisionnement de la France en matières premières stratégiques venant de l'étranger par transport maritime (carburants et métaux, par ex.) ou de son empire colonial (caoutchouc).

La guerre, pourtant reconnue comme étant la première à être "totale", contrairement à celle de 1914-1918 qui n’avait pas modifié structurellement l’économie et l'outil de production, pose la question en apparence triviale, presqu'ordinaire, de son mode de financement (par l'emprunt - bons du Trésor - ou par l'impôt ?) et de ses conséquences économiques (faut-il taxer ou limiter les bénéfices de l'industrie de l'armement et les dividendes versés aux actionnaires ?), question qui agite dans les mêmes termes l'Allemagne et l'Italie. Dans une sorte de fatalisme patriote, le journal tire le constat qu'il faut bien continuer à vivre, donc à consommer et à produire, et dès octobre 1943, il évoque de plus en plus fréquemment les modalités d'un "après-guerre" qui arrivera tout naturellement et un retour à la normale de l’économie selon des options à définir…

Sort commun à d'autres titres de la presse écrite de cette époque, la publication du Bulletin économique et financier sera suspendue dès la libération de Marseille en août 1944 (le n° 33 annoncé par le n° 32 du 12 août pour le samedi 26 août en raison des fêtes de l'Assomption n’est pas sorti en kiosque) et le journal ne reparaîtra plus jamais par la suite.]]>
1941-1944]]> fre]]> France. 19..]]> Colonies françaises. 19..]]>
Économie]]> Économie politique]]> 1896; 1898-1899; 1906-1909; 1922-1923]]> fre]]> France. 18..]]> France. 19..]]> Marseille. 18..]]> Marseille. 19..]]>