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UN "MO·T
Sur les trois Adresses au R or ,
en()oyées par la Faculté d'Aix.
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ltS' ~. '"~~~
./'!1·~\~ ,\\) ~·:
A
toutes
v~ i:l.it~§?'
s l'horrible attentat du 1 3 févri;;:
les villes, tous les corps organisés du.
royaume se font un devoir doulourens. de déposer aux pieds du trône de nobles et-énergiques
adresses. Il n'en est aucun e qni, à l'expression
des regrets, n'ajoute d 'éloquentes p ro testations
contre ces doctrines pernideuses qui menacent
d'un bou/epersement total notre ex istence sociale.
Partout mêmes idées, et souvent mêmes eKpress10ns.
P RÈ
"
Dans une de ces facultés que des écrivains,
cnlomniateurs de la jeunesse fran çaise , sont parvenus à . faire considére~· comme imbues des
idées libérales tlu plutôt révolutionnaires, quelques jeunes gens que les principes puisés dans
le sein de leur famille, et les inspirations de
leur propre cœur , ont fait bons fran çais çt bons
royalistes, 'conçoivent l'idée de faire entendre
aussi le cri de leur douleur. L'adresse est rédigée et couverte de plus de signatures qu'ou
n'osait l'espérer. On vit alors qu'à Aix, comme
ailleurs, les libéraux en .froposaieot .sur lenr
�/
/
0
. ( 2 )
-
nouibre et sur leur force. Belle de sentimens
l'imposante majoritê
,JJf d'éloquence' fière
-----~ de ses signatures, cette adresse pattit pour la
CapiLale:
.--
ae
D'un a~ltre èôté, cette minorité· qui s'honore
du titre de libérale, et qui avait refusé de
s'unir à l'expression de la douleur générale par
le seul motif, ingénuement avoué, qu'on attaquait les doctrines qui condui:imnt au régicide;
cette minorité, dis-je, croit devoir envoyer
une seconde adresse également au nom de la
faculté d'Aix. Je ne rn.'arrêterai point sur ce ·
nouvel ouvrage, Oll l'on chercherait en vain ce
respect et cette convenance dont l'oubli laisse
supposer, je ne Jirai pas , une insolence républicaine, mais tout siruplement une mauvaise
éducation. Un seul mot la caractérise; antif,.rançaise par les sentimens et par le style, elle
est de plus revêtue de signatures illégitimes.
Voilà donc deux adresses envoyées à SA
an nom de · la faculté d'Aix. Cela
semble déjà passablement · ridicule. Mais en
voici bien d'une autre. Une troi!;ième adresse a
vu la lumière, et par une mystification inattendne, on exige des étudians de nouvelles signatures. Dans quel cerveau cette idée bizarre a-t-elle
pris naissance? Comme.nt, et par qui a-t..:.elle
été mise en exécution? Voilà ce qu'il nous reste
à détailler. Si, dans notre récit , quelque chose
pouvait blesser les illustres à qui nous devons
tant d~ respect , qu'ils daignent nous le par-
MAJESTÉ
( 3 )
donner. Une seule considération conduit notre
plume, c'est l'amour de la vérité.
Le tout-puissant Decazes, l'homme-ministère,
·venait de tomlrer, et la France osait à peine
s'en croire délivrée. Au milieu de la joie universelle, il est aisé de concevoir l'embarras de
ces hommes justement appelés troupeat1 ministériel. Quel parti Lprendre entre les opinions
prononcées qui divisent la France ? Comment
sera composé le nouveau ministère ? Telles
étaierit les graves réflex-ions· qui occupaient , au
milieu de la nuit, M. · le doyen de la Faculté
de droit d'Aix, et ne lui permettaient pas de
se livrer aux douceurs du repos. En vain pour
chercher des regles de èonduite ' il parcourt
le~ pages du. Courrier , de ceLle .f~uille qui
fa1sa1t ~es délices dans ces . jours tranquilles où
pulle agitation importune ne venait troubler et
s~s repas et son, sommeil. Maintenan.t , ô pro~1ge ! .dans le desordre de ses esprits, ce style
s1 clair , nourri de pensées aussi justes que
profondes , ne lui paraît plus qu'un fatras indigeste, inintelligible, qu'il_relirait vingt fois ,
sans l'entendre une seule. Désolé , il jette loin
de lui · le malheureux et innocent Courrier et
laisse tomber sa tête Sur SOll chevet, Oll 'U D
profond sommeil, inévitable effet de sa lecture,
termine pour un moment sa peine et son
incertit~de.
0 bi~nfait d'un sommeil réparatem ! à son réveil, son sang est rafraîchi , son cerveau recouvre
�( .4 ,)
'
sa justesse ordinaire. Ilientôt., . après une courte
méditation, un heureux expédient s'offre à son
esprit qui s'en empare avec ardeur. Deux adresses
ont été envoyées au nom de la factilté, représentant les deux opinions dominantes, mais si aucune d'elles ne triomphe, si Decazes revient au
ministère' ou si ' par la nomination de ses amis
et de ses créatures, le même système est suivi ,
comment se justifier d'avoir laissé partir deux
adresses qui déplaisent au ministère. Vite, pour
parer à tous les événemens, vite une troisièn,.e
adresse aussi insignifiante que possible , où l'on
tienne le milieu entre les deux autres, où l'on se
borne à quelques phrases banales d'une douleur
froide et contrainte, une adresse, en un mot,
. bien ministérielle. 0 idée t~ois fois heureuse ,
J.lare et sublime effort d'une imaginative
Qui ne le cède en rien à personne qui vive !
Mais ce n'est pas le tout de concevoir, il faut
exécuter, il faut procéçler au pénible enfantem~nt
de l'œuvre qni doit faire tant d'honneur à la tête
qui l'a conçue et aux étudians qui l'auront signée.
Modeste comme tons les hommes de génie , le
'doyen se défie de ses propres lumières, 'et le plus
jeune des professeurs est appelé.
Qui n'a rencontré sur son passage un jeune.
homme revêtu du grave habit noir, se balançant
lourdement dans sa marche , cachant sous un large
bolivar et son œil égaré et sa longue chevelure
dont la v~e rappelle ce vers :
Souvent un ~eau désordre est un effet de l'art.
( 5 )
I
C'est lui, c'est ee flambeau de la Faculté que
le doyen. choisi\ et fait appeler pour mettre en
QOmmun leur éloqueùce. respective.
· Suivez bien le tableau, je vous prié. D'un côté,
le "bouillant D .••••••• , donnant l'essor à sa verbeuse fécondité, rédige en un instant vingt adr.esses
pour une. Mais cette stérile abondance ne peut
aller jusqu'à varier ses pensées , et le mot de
souperaineté d1, peuple , de liberté , de massacres
de I8 I 5, reviennent continuellement se placer
sous sa plume. De l'autre côté, le froid et tranquille doyen, branlant sa tête, que la longue expérience et les vastes pensées ont appesantie ,
élabore avec patience la tournure de · ses. phrases
lentement combinées. Chaque mot est pour lni
l'objet d'une méditation que facilite un livre ouvert à son côté , ouvrage d'u.n des plus grands
saints du calendrier ministédel , les synonymes
de GuizQ\. Appellera-t-il l'assassinat du Prince
un üénemenl, ou bien , cédant à l'exagfaation
des idées du pays , osera-t-il lui donner Je nom
d'accident? Après avoir long-temps balancé le pour
et le contre , îl rompt le sileuœ par ces paroles:
Eh! bé, oui, jé suù forcé dé convénir qué c'est
ua assident. Et le voilà en contemplation devant
1
sa prodtlction ~nfiu terminée,
Reste à comparer les deux essais des collaborateurs. Chacun d'eux se flatte en secret qu'à la
première lecture de son ouvrage , l'autre ne- trouvera plus de voix que pour adffiirer, èt renoncera
spontanément à l'idée d'une concurrence insoutena2
'
�( 7 )
( 6 )
ble. Mais comment accorder le feu et la glace ?
L'un, digue adepte de la Renommée , ne laisse
que trop comprendre sa furibonde éloquence;
l'autre, animé de l'esprit des Cousin, des Guizot,
des Villemain , se dérobe par l'imperceptible
ténuité de ses pensées, pat· le triple en tortillage
de ses phrases , à l'intelligence des lecteurs
"Vulgaires. Vive discussion entre les autenrs,
même chaleur de part et d'autre. 0 sublime
projet de M. le doyen ! tu serais en danger
d'avorter par l'entêtement de <leux esprits intraitables qui ne savent point céder , si un
adroit conciliateur ne venait à ton secours.
Un troisième s'est rencontré; homme qui se
forma dès sa jeunesse un système de patelinage
mêlé à l'affectation d'une sévérité scrnpnleuse
dans l'exercice de ses fonctions ; mielleux ,
affectueux: , prodigue de paroles doucereuses ;
du reste , ne laissant pas sortir de sa bouche
une expression qui ne soit calculée ; et ayant
su usurper une réputation d'homme d'esprit ,
sans avoir jamais rien dit ni rien fait qui lui
appartienne, et peut-être pour l'unique talent
de lire avec goùt les productions des autres;
c'est ce personnage , dont une apparente modération ne peut cacher les opinions violentes,
à qui était réservé l'honneur de donner l'existence à la précieuse adresse.
Voyez-le s'approcher des deux rivaux avec cet
air ilattetir et earessan t, devenu naturel à sa physionomie. · La violence de D ••••••••• l'effraie:
Imprudent jeune homme, lui dit-il , .ne sau- '
~ez-vons donc jamais plier anx ci.tconstanc,es ce
>)
caractère? Loin de moi l'idée de blâfougueux
))
>> mer la chaleur de votre âme généreuse , vons
» savez si je partage vos sentimens, vous savez si
>) les noms sacrés de patrie et de liberté viennent
>) réchauffer mon sang dans mes veines glacées;
mais croyez-en ma vieille expérience, laissez>)
» vous guider par la main d'un ·ami, d'un protec~
>> teur, d'un père. Le tems n'est pas encore venn
» où doit briller pour la France l'aurore d'une
» liberté moins restreinte et moins illusoire qu'une
» prétendue liberté monarchique. En attendant,
>) gardez-v:,ous de nuire par vos transports à l.a
» cause que vous voulez servir , et laissez tem>> pérer l'explosion de votre foudroyante éloquence
>> par le bon sens , la raison , l'éminente sagesse
_>'> de notre respectable doyen. " ( Ces derniers
mots furent dits en se tournant du côté de la personne à qui ils s'adressaient). ,, Mais aussi, con>) tinua le souple professeur ' s'il m'est permis
d'élever un doute , oserais-je demander à notre
>)
» révérendissime supé!'ienr, s'il ne croit pas, dans
» l'expression de ses sentimens , avoir laissé se
» glisser un peu trop de réserve et ~e cette cir" conspection qui court le risque d'être appelée
» froideur par le commun des hommes. En un
,, mot, pour dire toute ma pensée, je pencherais
» à croire qu~ l'excès d'une vertu d'autant pl us
» belle qu'elle est bien rare de nos jours , la mo·•
>> dération , a pu vous foire oublier que les con» venances et la tyrannie de l'usage exigeaient
«
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( 3- )un çertain degré de chaleur , daÔs une· parèille
allocution à SA MAJE~Tt. J~en appeUe à votre
propre jugement' pemmdé qne ra supé.riorité
de votre raison vous fera avouer sans peine une
f~ute que son moti~ rend préférable , pour ainsi
dire , à la perfection même.
Ces paroles insinuantes laissent les osateuis sans
réplique , et leur amour-propre, défü:ieusemenl
chatouillé , ne balance plus. à faire le sacrifice
des plus élégantes périodes. Le tra\;aiL recommence sur nouveaux frais ,. de nouveaux essais
sont offert. au jugement du censeur, qui ttTujours
sévère, fatigue les au.leu(s de sa continuelle improbation, jusqu'à ce qu'enfin également rebutés
de cette importm1e censure ,. et le jeune homme
et le doyen apostrqphent à la fois en e.es mols
leur rigide critique : Eh bien! puisque rien n'a
Je bonheur de vous plaire , pi;enez vous-même
cette plume et composei. A cet.te attaque viv~
et pressante, le professeur , après un moment
de uouble et de réflexion, opposa, dit-on,, cette
réponse remarquable :
". Mes bons amis , pourquoi accueillir avec
aigreur mes remarques désintéres.sées. Ah ! dé
>~ grâce , déposons ,, pour l'avantage commun ,
» les frivoles intérêts de l'amour-propre. Ma
.,, franchise va vous en donner' l'exemple. La na)) ture ~ qui , selon le régent dt1 Parnasse ,
»
Sut
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en~e
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»
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'))
n
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»
»
»
. ( 9 )
idée , et de la développer par des expressions
heureusement ' combinées ; la composition ' en
un mot , m'est inconnue. M;ais, en campensation dè . cette facult~ qui lui est refusée:
mon e~pnt a reçu une aptitudtl assez distinguée à · choisir, à emprunter des di~ers au'teurs ce qu•ils ont de ·ph,1s parfait., et à former
de leurs traits réunis par une adroite soudure,
un ensemble agréable et nou'(eau pour.les yeux:
du vulgaire. Travaillez doqç, heureux compositeî.lrs, et de vos ou~rages fond~1s èU:semble
je samai tirer une product,on digne d'être
app~.lée le modèle dù geQ.re. Il ajouta eq
saunant,
Et semblable_à l'abeille en nos jardins éclose i.
De diffirentes fleurs j'amasse et je eom.pose
"
Le miel que je produis.
C'est par ces dis.cours et autres également adroits,
que l'in?inuarit persoqnage parvint à se rendre
maître de l'esprit des deux auteurs , .et à les
diriger à son gré. Enfin, de Iëurs-efforts réunis ,
les deux premiers compo~ant, fabricant ~ écrivaillant sans cesse , t~ troisième adaptant, amalgamant, cousant, s.ortit le chef:-d' œuvre· qui vient'
d'être livré à l'admiration dès étudians et de la..
ville , et qui- le sera sans doute à celle de 'là
France entière.
Aussitôt, sur la motion de M. -le doyen , les
trois auteurs ravis, et s'enivrant de leurs éloges
mutuels , vont , dans un repas organisé avec
les auteurs partager lei talt:Ds ,
ne m'a pas accordé le don de féoonder une
f
j
�.
(
IO )
toute la délicatesse et la recherche d'un Tentru ,
-se repoS'er de leu~ fatiguant travail,
Tant dut coltter d11 peine
Ce long enfantement de l'œuvre Balzacienne!
Quittons la plaisanterie. Trois adresses · parties
~'n.ne mêm~ Faculté, n'est-ce pas l~ comble dt1
ridicule? N est-ce pas décrier cette Faculté dans
tout~ la France , si cette pitoyable aventure
acfJmert qnelqu~ publicité par la voie des journaux? Que trois adresses eussent été composées,
et après une mfü·e délibération, l'une d'elles choisie et adoptée par les docteurs de la Faculté rien
de plus simple. et de plus naturel. Mais qu;après
l'en~oi d'une belle et bonne adresse, approuvée
et signée par la grande mal· orité des étudians
au moment ou' une seconde adresse est prête à'
~uiv~e l~ première' que l'on ait encore la brillante
ms.plfat1on d'en dépêcher une troisième , c'est ce
qtu passe toute croyance.
Quel ~ ~one pu ,êtr~ votre bt~t , M. le doyen ?
De concilier les etudians : voilà ce qu'on me
répond de toutes parts. Si j'avais l'honneur d'être
étudiant, je vous· remercierii.is d'abord de vos soins
offic~et~x .' et. ensuite « détrompez - vous , vous
>> d1~a1-Je, s1 vous croyez que la discorde se soit
» ghssée entre les étudians. Ce n'est pas à notre
âge que l'âme connaît le fiel de ces haines perl)
» so~nelles ?e parti,, .qui sont le partage de ceux
» ~ut ont fait l expenence des excès et des réac>> tions. Pour nous , jamais l'estime, jamais
( J1 )
l'amitié que nous nous portons n'a été diminuée
,, par la diversité des opinions , parce que nous
)) savons bien que ceux d'.entre nous qui se trom)) pent , s'appuyent sur des motifs honorables ,
,, que la bonne foi règne au fond de leur cœur,
n et qne}'intérêt personnel en est banni • .Si quel» que jour les passions des hommes , faisant
n tomber le masque des principes, laissaient à
)) découvert des intentions criminelles, s' il fallait
>l que notre belle France éprouvât une de ces
>l cJises où chaque citcyen doit agir avec énergie
» pour le salut de la société entière, je crois,
" j'espère que tous , royalistes et libéraux , nqus
» nous verrions confontlus sous les mêmes étenn dards. Ce que nous repoussons avant tout,
>l comme inconciliable avec nos idées, c'est cette
)) pusillanimité de pensées , décorée du beau
» nom <le modération, qui n'indique rien autre
)) chose qu'une âme incapable d'embrasser le
n bien. »
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Dublin Core
The Dublin Core metadata element set is common to all Omeka records, including items, files, and collections. For more information see, http://dublincore.org/documents/dces/.
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A name given to the resource
Monographie imprimée
Description
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Ouvrages imprimés édités au cours des 16e-20e siècles et conservés dans les bibliothèques de l'université et d'autres partenaires du projet (bibliothèques municipales, archives et chambre de commerce)
Dublin Core
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A name given to the resource
Mot (Un) sur les trois adresses au Roi envoyées par la Faculté d'Aix
Description
An account of the resource
Après l'assassinat du duc de Berry le 13 février 1820, le doyen de la Faculté de Droit d'Aix envoie 3 adresses au Roi Louis XVIII, signées par la majorité des étudiants. Ces écrits successifs, d'inspiration libérale, lui valent ce billet critique
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Faculté de droit d'Aix
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A related resource from which the described resource is derived
BU des Fenouillères - Arts, lettres et sciences humaines (Aix-en-Provence), cote BULA 34716
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A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1820
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Format
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1 vol
11 p.
in 8°
Language
A language of the resource
fre
Type
The nature or genre of the resource
text
monographie imprimée
printed monograph
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
https://odyssee.univ-amu.fr/items/show/427
Coverage
The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
France. 19..
Provenance
A statement of any changes in ownership and custody of the resource since its creation that are significant for its authenticity, integrity, and interpretation. The statement may include a description of any changes successive custodians made to the resource.
BU des Fenouillères - Arts, lettres et sciences humaines (Aix-en-Provence)
Subject
The topic of the resource
Histoire de l'université
Berry, Charles Ferdinand de Bourbon (1778-1820, duc de) -- Attentats Opéra de Paris
Facultés de droit -- France -- Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) -- Histoire
Universités -- France -- Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) -- Histoire