Droit romain]]> Rédigé en latin et constitué de six livres, subdivisés en titres et chapitres, il propose un commentaire des Institutes de Justinien.
Selon son petit-neveu, l’ouvrage a été bien considéré par la profession, si bien que magistrats et avocats de Provence en possédaient une copie.
Droit romain – sources et interprétation]]>
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Droit romain]]> Oeuvres des juristes provençaux avant 1789]]> Un flou demeure sur la question de l’auteur des Institutes de Théophile, quant à savoir s’il s’agissait d’un juriste contemporain de Justinien ayant contribué à l’élaboration de la codification de l’empereur ou bien d’un juriste postérieur. Rédigées en grec – alors que les Institutes de Justinien l’étaient en latin – les Institutes de Théophile constituaient une savante paraphrase de cette oeuvre.
Fabrot se chargea, quant à lui, d’en faire une traduction en latin, qu’il dédia au chancelier Séguier dont il était proche, accompagnée de notes. Les deux langues figurent dans l’ouvrage. Une réédition suivra en 1657. L’étude de la correspondance de Peiresc permet de savoir qu’en 1629, Fabrot avait déjà élaboré ce travail, mais les circonstances – particulièrement la peste – différèrent sa publication. Il envoya également son manuscrit à Genève, mais le repris, espérant en tirer meilleur parti à Paris.
Sources : Dictionnaire historique des juristes français, XII-XX siècle, PUF, 2007, notice de P. Bonin, p. 319-320;
Notice sur la vie de C.A. Fabrot, de Charles Giraud, Aix, Aubin, 1833.]]>
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