Médecine tropicale et coloniale]]> Histoire de la colonisation]]>
Pour le colonial, la priorité est de se protéger (tente à double toit)

Si la tente, qu'il convient si possible d'éloigner des autochtones (!), protège des agressions extérieures les plus évidentes (animaux, intempéries, chaleur), ce sont les insectes, volant ou rampants, qui transforment toutes les expéditions en véritable enfer.
Le lit Picot avec sa moustiquaire garantit un isolement total

Associée à un bon lit colonial (large et aéré), la moustiquaire, inspirée des voiles traditionnels orientaux, est l'équipement de base indispensable à tous les voyageurs et le plus répandu sous les tropiques. Ne pas oublier d'avoir toujours sur soi un voile d'apiculteur en tulle.

La faune sauvage, c'est le gibier local (ici, un hippopotame) : pas toujours digeste, il ne faut pas en abuser...

Les animaux qui représentent un réel danger ne sont pas ceux réputés les plus féroces mais ceux qui sont vecteurs réguliers de certains microbes, et, plus sournois encore, les parasites, souvent difficilement détectables.

La glossina palpalis, dite "Tsé-tsé", vecteur du Trypanosoma Gambiense, agent de la maladie du sommeil

Mais les agents pathogènes les plus redoutables restent bien sûr les microorganismes, totalement invisibles. Si les recommandations hygiéniques n'ont pas pu éviter une infection, la médecine européenne dispose de quelques remèdes dans la lutte contre les pathologies exotiques : il est toujours utile de connaître ces quelques conseils pratiques et ces premiers gestes de petite chirurgie...

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1920]]> fre]]> Congo Belge (1908-1960)]]> Colonies belges. 19..]]> - Feuille Loulouabourg ; 40 ; 1895 ; Service géographique de l'Armée.
Mention : "12095" En couleurs
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