Histoire des bibliothèques]]> Histoire de l'université]]>
Dans son souci d'informer les étudiants et le public, les Facultés d'Aix et de Marseille ont continué à afficher les programmes des cours de l'année par voie d'affiches placardées sur les murs, comme elles l'ont fait au cours du 18e siècle, en témoignent les archives de la Faculté de Droit d'Aix.

Dans son étude, Marie Arab Banckaert interroge ce support supposé être éphémère mais que l'on retrouve parfois et paradoxalement dans des fonds d'archives et de bibliothèques : on peut comprendre que cet objet sans équivalent ait pu poser quelques soucis de conservation, de classement et de description aux professionnels de la documentation qui amènera parfois à les laisser de côté, en attendant...

Travailler sur près d'un siècle et demi apporte suffisamment de matériaux pour observer et analyser l'évolution graphique, intellectuelle et matérielle de ces affiches : évolution qui peut paraître pour le moins décevante puisque la richesse du graphisme avec ses imposantes armoiries se réduit progressivement au minimum pour ne plus laisser place qu'à une l'information textuelle de plus en plus formatée, quasi matricielle, sèche et dense.


Si on ne peut que regretter le faible nombre d'affiches sauvegardées sur une si longue durée, il faut mentionner le début du 20e siècle comme une période exceptionnelle de collecte pour les quatre facultés, collecte due au volontarisme d'un bibliothécaire, G. Fleury, documentaliste par profession mais archiviste par passion. Collecte d'autant plus remarquable quelle concerne une époque où les supports n'ont jamais été autant fragilisés par leur composition chimique et parfois pas toujours conservés dans les règles de l'art...]]>
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Dans ce mémoire, C. Mienville fait le point sur la définition même de ce singulier objet qu'est une affiche, ce document éphémère que l'on placarde sur les murs pour avertir un public, large ou restreint, public ou privé, de l'imminence d'un évènement, et interroge cette volonté, en apparence contradictoire, de préserver ces traces "occasionnelles". Quel statut documentaire, quelle valeur archivistique, quelle qualification bibliothéconomique, quel poids historique accorder à ces objets longtemps restés inclassables, baptisés placards, aveu d'une identité assez floue ?

Une annonce de soutenance de thèse de 1781
une affiche sur papier chiffon que d'aucuns apparenteraient à une relique

Ces documents très fragiles, en général de grand format, souvent abîmés, où support, texte et image ne font qu'un, ont parfois été conservés sur l'initiative de personnels de l'université, en dehors de toute consigne particulière et sans nécessairement s'inscrire dans un projet scientifique de conservation précis. Mais le plus souvent, ils ont été récupérés par de simples particuliers, ce qui explique aujourd'hui leur rareté et l'origine de quelques dons inespérés faits à l'université au début du 20e siècle.

Depuis plusieurs années, une nouvelle sensibilité s'est emparée de la question patrimoniale : l'image que l'institution universitaire a pu donner d'elle-même à travers ce support de communication publicitaire organisée autour d'évènements importants, sans être toutefois exceptionnels (soutenance de thèses, ouverture des cours, postes de professeurs vacants) fait à l'évidence partie intégrante de son histoire.]]>
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12 documents précieux (expo AMU, 2021)

Parce que très protégés et rarement montrés, ils sont peu connus du public alors qu'ils sont indissociables de l’histoire de l’université : pour en faire profiter le plus grand nombre, douze de ces documents ont été présentés dans une exposition qui en retrace leur histoire, leur contexte et leur intérêt historique.

Les 4 affiches de l'exposition Trésors des BU (AMU 2021)

La visite de cette exposition qui s'est tenue à Aix-en-Provence et à Marseille en novembre et décembre 2021 se prolonge virtuellement sur un site internet qui documente et enrichit la présentation de ces douze documents. Aujourd'hui, ce site restitue l'essentiel de l'exposition.
Revivez cette exposition
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L'intérêt d'un tel registre, d'une remarquable continuité, est de condenser toute l'histoire d'une bibliothèque médicale du début du 20e siècle à la veille de mai 68. Si les questions débattues et les décisions prises relèvent du fonctionnement trivial de cette bibliothèque académique, elles l'ont souvent été par des personnalités qui ont marqué l'histoire de l'université comme les médecins Charles Livon, Henri Alezais, Constantin Oddo...

Professeur Charles Livon (1850-1917)

Les grands évènements du 20e siècle ont parfois bousculé la monotonie de cette longue histoire : la réunion suivante à celle du 11 nov. 1914 (ça ne s'invente pas !), dirigée par Ch. Livon, son dernier conseil avant son décès, n'aura lieu que le 25 mai 1918 et la séance du 9 décembre 1927 est l'occasion pour le Dr Léon Imbert d'annoncer qu'il a demandé au Ministre de l'Instruction publique que les 11 périodiques allemands reçus par l'Ecole avant la Guerre et interrompus faute de crédits, soient complétés au titre des réparations allemandes. Ou encore, ce professeur qui s'excuse de son absence à une réunion de juin 1942 parce qu'en jury d'examen à Vichy... (contrairement aux années 1914-1918, la commission continuera à se réunir pendant la Seconde Guerre mondiale, sauf en 1944).

Plus anecdotique, un personnel de la Faculté recoit un blâme en 1932 pour avoir soudoyé un employé afin d'emprunter plus de documents que stipulés par le règlement et pour en avoir emporté un sans aucune autorisation. Plus intéressant et signe d'une certaine modernité, en 1946, la bibliothèque demande l'acquisition d'un appareil de lecture de microfilms (l'utilisation des microfiches se répandra dans les bibiothèques françaises au cours des années 1970).

Après une interruption des séances (ou de la consignation de leurs comptes rendus ?) de 1948 à 1966, le document s'achève sur le compte rendu d'une unique séance de mars 1966 suivie d'une page arrachée et d'un index des matières à onglets alphabétiques.]]>
1907-1966]]> fre]]> Marseille. 19..]]>
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Le premier inventaire qui figure après le règlement établit qu'en janvier 1898 la bibliothèque détient déjà plus de 12 000 volumes (ouvrages, périodiques et thèses confondus), vraisemblablement déménagés de l'Hôtel-Dieu. Les inventaires suivants (plutôt appelés récolements de nos jours) sont organisés en fin d'année scolaire, ici en juillet, et montrent un accroissement régulier des collections, malgré les difficultés budgétaires, pour atteindre près de 40 000 volumes en 1930.

La Faculté de médecine de Marseille inaugurée en 1930

On notera l'absence totale de l'état des fonds entre les années scolaires 1912-1913 et 1919-1920, période du premier conflit mondial. Après l'inventaire de 1929-1930, consigné le 31 juillet, le manuscrit s'achève brutalement sur les traces de pages volontairement arrachées : la nouvelle Faculté de Médecine Générale et Coloniale et de Pharmacie de Marseille, tout juste créée par un décret du 18 avril 1930, fonctionne officiellement depuis le 1er mai, mettant fin à l'existence administrative de l'École de plein exercice de médecine et de pharmacie.

A ce document, est joint un second manuscrit "Divers. [Registre répertoire de la bibliothèque universitaire, 1908-1927]" qui apporte quelques informations complémentaires relatives aux acquisitions, au travaux de reliure, à la gestion des collections et au budget de la bibliothèque.]]>
1894-1930]]> ]]> fre]]> Marseille. 18..]]> Marseille. 19..]]>
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Aix-en-Provence - Cours Mirabeau - Fontaine des Neuf-Canons (1914)

L'ouverture et l'activité de la bibliothèque universitaire ne seront jamais interrompues par la Première Guerre mondiale malgré l'absence de deux de ses personnels mobilisés sur le front.

Pour l'anecdote, information confortée par d'autres documents relatifs à la bibliothèque de l'université, notamment les PV de ses Conseils, G. Fleury évoque la fondation d'un musée dans son rapport de 1922-1923 : "L'année dernière, nous nous félicitons de la création d'un petit musée annexé à la bibliothèque de l'Université d'Aix. Celui-ci a commencé à recevoir quelques objets tels que gravures, médaillons et photographies, pour lesquels nous exprimons notre  plus vive reconnaissance à leurs généreux donateurs, M. M. Honorat, Bry, Beuf et Pontier [anciens bibliothécaires, doyens et conservateurs, note de la transcription]". Dans son rapport de l'année suivante, Fleury précise que le musée a reçu des dons importants, comme des médaillons offerts par les historiens Mignet et Thiers, cinq statuettes et deux vases de Sèvre donnés par Pontier (directeur du Musée des Beaux-arts) et 75 documents concernant l'ancienne Université d'Aix remis par l'ancien bâtonnier, Me Bagarry. Si ces documents ont retenu toute l'attention du bibliothécaire (probablement ceux-là mêmes présentés dans Odyssée), les autres objets n'ont apparemment pas échappés depuis à la convoitise et à la vénalité.

Georges Fleury - Brouillon rapport annuel de 1925-1926

La série de ces rapports s'achève sur l'ultime brouillon rédigé par G. Fleury en 1926 et dans lequel, pour la dernière fois, il se félicite de la fréquentation en hausse de la bibliothèque mais regrette, une fois de plus, le manque chronique de personnel et l'étroitesse des locaux. Son appel finira par être entendu, 30 ans plus tard...]]>
1907-1924]]> 1925-1926]]> fre]]> Aix-en-Provence. 19..]]>
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La bibliothèque de l'université d'Aix-Marseille (19e sièle)

A première vue, on pourrait croire que les bibliothèques (universitaires) sont incapables de résoudre leurs propres problèmes : durant des dizaines d’années, les mêmes personnes se posent les mêmes questions formulées en termes identiques : le montant des crédits, la quête de subventions, l'acquisition des ouvrages, le renouvellement des abonnements, le comblement des lacunes, l'augmentation des heures d'ouverture, en particulier le soir et le samedi, le règlement intérieur, les droits d'inscription, le manque régulier de personnel qualifié, l'appel au bénévolat étudiant, l'étroitesse et l'inadaptation chronique des locaux, sans oublier leur entretien et leur nettoyage….

En réalité, toutes ces questions récurrentes ne sont pas un aveu d'impuissance mais, bien au contraire, constituent la vie même de ces institutions : la réponse qu'elles peuvent y apporter configurent leur physionomie et leur fonctionnement. Pour y parvenir, la plupart d'entre-elles ont adopté un régime de réunions régulières, souvent dénommé Commission ou Conseil de la bibliothèque (Conseil documentaire aujourd'hui) où tous les grands arbitrages sont adoptés collégialement et consignés dans des procès-verbaux selon un ordre du jour longtemps resté très ritualisé.

Il n'est guère possible de résumer fidèlement les 500 p. de PV qui jalonnent la vie de la bilbiothèque de l'université, quasiment depuis sa naissance (instructions ministérielles publiées en 1878 et 1879  de J. Ferry) jusqu'à sa renaissance (nouvelles constructions de la fin des années 1950) : on peut seulement mentionner quelques faits marquants, parfois hors du champ bibliothéconomique stricto sensu, qui illustrent l'histoire de cette institution, comme cette brutale interruption de 5 ans imposée par la Guerre 14-18 ou ce projet, ô combien prémonitoire, de créer un Musée de l'Université qui recueillerait tous les documents qui concernent l'histoire de l'université, comme tente de le faire, un siècle plus tard, la bibliothèque numérique que vous consultez à présent : 

  • lettre [probablement de Capdenat, bibliothécaire] adressée au Maire [d'Aix ?] le 17 mars 1883 sur l'état de la bibliothèque Méjanes (constat très sévère)
  • demande d'installation d'une porte tambour pour protéger la salle de lecture du froid durant l'hiver
  • question des attributions réelles de la BU par rapport à la bibliothèque de la Faculté de Droit
  • séance du 16 nov. 1909 : rivalité avec le Service des Beaux-Arts qui réclame pour le Musée de l'Art Chrétien le Salon Jaune de l'archevêché alors qu'il est déjà convoité par la BU pour en faire une nouvelle salle de lecture idéale
  • 1ère Guerre mondiale : les participants à la séance du 26 mai 1914 ignorent alors qu'ils ne se reverront que 5 ans plus tard, lors de la séance du 18 mars 1919
  • années 1920 : projet de création d'un Musée de l'Université, une première en France, qui accueillerait tous les documents qui concernent l'histoire de l'université. Appel aux savants collectionneurs pour faire don de tout objet en relation avec "la vieille université provençale"
  • séance du 11 juil. 1927 : le recteur signale que de plus en plus d'industriels et de commerçants consultent et empruntent des documents et propose d'exiger le versement de droits d'inscription
  • 1927 - discussion de l'achat d'une reproduction d'un manuscrit de René, duc d'Anjou
  • 30 mai 1945 : profitant de la Libération, demande de bénéficier d'un grand nombre de périodiques et d'ouvrages allemands abandonnés par l'occupant (notamment à Paris)
  • 10 déc. 1945 : envoi par solidarité de livres aux étudiants de Nice qui ne disposent d'aucun ouvrage pour étudier
  • séance du 10 déc. 1945 : demande en faveur des étudiants pour qu'ils puissent travailler à la bibliothèque parce qu'il n'y a pas de chauffage dans leurs chambres
  • 1951 : invitation de Fernand Pouillon, architecte officiel, pour une présentation de ses projets de construction de bibliothèques universitaires (3 seront contruites à la fin des années 1950, voir liens)
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Composition de la Commission au cours des années 1881-1959

Liste abr. : (D)roit, (L)ettres, (S)ciences, (B)ibliothécaire
Le nom des membres présents aux réunions consécutives n'est pas sytématiquement rappelé, sauf pour le bibliothécaire qui est obligatoirement présent.
Quand un membre est nommé, on précise le nom du membre qui est remplacé, quand l'information est disponible

Recteur Belin (1881-1907). Particularité : préside toutes les séances, à l'exception de la période du 8 mars 1900 au 13 février 1901

  • 1881-1884           Laurin (D), Joret (L), Figuières (théologie), Capdenat (B)
  • 1885-1887           Jourdan (D), Guibal (L), Charve (S), Capdenat (B)
  • 1888-1891           Depéret (S) rempl. Charve (S), Capdenat (B)
  • 1892-1893           Joyau (L) rempl. Guibal (L), Capdenat (B)
  • 1894-1895           Clerc ( ?),  Capdenat (B)
  • 1896-1897           Brenous (L), Capdenat (B)
  • 1898-1901           Jourdan (D), Brenous (L), Fabry (S), Fleury (B) rempl. Capdenat (B)
  • 1902-1904           Moreau (D) Bonafous (L) rempl. Brenous (L), Fabry (S), Fleury (B)
  • 1906-1907           Moreau (D), préside, Bonafous (L), Fabry (S), Fleury (B)

Recteur Payot (1908-1923). Particularité : signe tous les PV

  • 1908-1914           Fabry peu assidu à partir de 1910. A partir de 1912, son absence est de moins en moins souvent mentionnée, la Fac. des sciences n'est donc plus représentée
  • 1914-1919           Moreau (D), Bonafous (L), Bourget (S) rempl. Fabry (S). La Commission ne se réunit plus durant tout le conflit
  • 1919-1921           Perroud (D), Fleury (B)  
  • 1921-1922           Sauvaire-Jourdan (D) rempl. Moreau (D), Fleury (B). La signature du recteur disparaît progressivement, la Fac des sciences, à nouveau absente, disparaît totalement des réunions
  • 1922-1926           Sauvaire-Jourdan (D), Toussaint (L), Fleury (B)

Recteur Padé (1923-1934) Particularité : délègue parfois la présidence au doyen ou à un Pr.

  • 1927-1928           Mme Kuhlmann (B) rempl. Fleury (B)
  • 1928-1934           Dumas (D), Tournade (B) rempl. Mme Kuhlmann (B)
  • 1934-1935           Dumas (D), Toussaint (L), Tournadre (B)
  • 1934-1935           Boursilly ? (doyen L) préside la Commission, Tournadre (B)

Recteur Sorre (1935-1937). Particularité : à partir de 1936, le recteur se fait systématiquement excuser de ne pouvoir assurer la présidence de la séance et de fait, ses successeurs semblent ne plus jamais y avoir assisté.

  • 1936-1937           Dumas (D), Audinet (D), Tournade (B)
  • 1937-1939           Dumas (D), Lapradelle (D), Toussaint (L), Seygond (L), Tournadre (B)

Recteur Jan (1938-1942) Particularité : délègue parfois la présidence au doyen ou à un autre Pr.

  • 1939-1940           Dumas (D), Obret (D), Tournadre (B)
  • 1940-1941           Boursilly (doyen L), Tournadre (B)
 Recteur Martino (1941-1946)
  • 1941-1942           Brun (L), Clavel (L), Tournadre (B)
  • 1942-1948           Michel (L) rempl. parfois Clavel (L), Tournadre (B)

Recteur Blache (1949-1959). Particularité : se fait systématiquement excuser

  • 1949- 1950          Durand (D) préside la Commission, Tournadre (B)
  • 1952-1953           Durand (D), Kayser (D,) Rostaing (L), Tournadre (B)
  • 1954-1959           Duby (L), Tournadre (B)
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1881-1959]]> ]]> fre]]> Aix-en-Provence. 18..]]> Aix-en-Provence. 19..]]> Marseille. 18..]]> Marseille. 19..]]>
Histoire des bibliothèques]]> Histoire de l'université]]> BU St Charles
La BU Saint Charles à la fin des années 1950

Créée en 1880 mais dotée de peu de moyens, bombardée en 1944, la bibliothèque des sciences occupera des locaux provisoires jusqu'en 1958, année où elle intègrera ses locaux actuels, dessinés en 1951 par l'architecte de l'université, Fernand Pouillon.]]>
1960 (ca)]]> fre]]> Marseille. 19..]]>
Histoire des bibliothèques]]> Histoire de l'université]]> BU Schuman
La BU Droit-Lettres à la fin des années 1950

Dans les années 1950, l'université d'Aix-Marseille, première de province, est dotée de 3 nouvelles bibliothèques : deux à Marseille et la troisième à Aix, la section Droit-Lettres qui n'ouvrira ses portes qu'en 1956 après plusieurs années de retard par rapport aux projets initiaux.]]>
1960 (ca)]]> fre]]> Aix-en-Provence. 19..]]>
Histoire de la Provence]]> Histoire des bibliothèques]]> 1875]]> fre]]> Marseille. 18..]]> Histoire des bibliothèques]]> Histoire de l'université]]>
Son développement a été excessivement rapide, et nous espérons fermement qu'il ne se ralentira pas dans l'avenir, grâce à la sollicitude, toujours en éveil jusqu'ici à SOI1 égard, du Conseil de l'Université d'Aix-Marseille.

Nous avons donc pensé qu'il serait utile aux lecteurs qui la fréquentent, professeurs et étudiants, ainsi qu'aux personnes autorisées par M. le Recteur, de connaître son fonctionnement et d'avoir un aperçu sur les ressources bibliographiques qu'elle peut mettre à leur disposition.

Bibliothèque de l'université à Aix (salle des professeurs)

Tel est l'objet de cette modeste notice, que nous remercions vivement M. Moreau, doyen de la Faculté de Droit, et M. Raynaud, professeur de la même Faculté et directeur des Annales de celle-ci, d'avoir bien voulu accueillir dans ce recueil.

Nous tenons enfin à adresser l'expression de toute notre gratitude à notre excellent ami et collaborateur, M. Godefroy, qui a bien voulu revoir et compléter la partie de notre notice, qui concerne la bibliothèque de la Section des Sciences de Marseille, dirigée par lui depuis vingt et un ans avec tant de zèle et de compétence.

Avant-propos de G. Fleury]]>
1919]]> fre]]> France. 19..]]>