Quand il analysait les incendies de forêts qui ravageaient le Var, C. de Ribbe devait sûrement penser : "La Provence brûle et nous regardons ailleurs*". Affirmer qu'ils sont dus à la culture sur brûlis, c'est déjà proposer une solution.
Témoin des crues de 1856, C. de Ribbe ne s'exclame pas "que d'eau, que d'eau", il fait mieux : il tente de comprendre l'origine de ces inondations destructrices et propose la solution : entretenir les forêts privées et reboiser les montagnes.