Titre
Faculté (La) de médecine de l’Université d’Aix au dix-huitième siècle - Rupture de son union avec la Communauté des Maîtres-Chirurgiens de la ville d’Aix
Description
Après l'édit de Louis XIV de mars 1707 qui portait règlement pour l'étude et l'exercice de la médecine, G. Fleury analyse les conséquences de l'arrêt du Conseil d'Etat du Roi du 21 mars 1712, fixant le nouveau règlement de l'université d’Aix
Créateur
Fleury, Georges (1862-1929)
Source
BU médecine-ondotologie (Marseille), cote TP40024
Éditeur
Marseille médical (Marseille)
Date
Droits
domaine public
public domain
Relation
Notice du catalogue : http://www.sudoc.fr/202454029
Vignette : https://odyssee.univ-amu.fr/files/vignette/TP-40029_Marseille-medical_1928_Fleury_vignette.jpg
Format
application/pdf
48 p.
25 cm
Langue
Type
text
monographie imprimée
printed monograph
Identifiant
https://odyssee.univ-amu.fr/items/show/300
Couverture
Résumé
Après l'édit de Louis XIV de mars 1707 qui portait règlement de l’étude et l'exercice de la médecine, Fleury analyse les conséquences de l'arrêt du Conseil d'État du Roi du 21 mars 1712, fixant le nouveau règlement de l'université d’Aix.
Malgré une réelle pratique hospitalière, l'enseignement de la médecine, s'appuie toujours sur Hippocrate et Galien : elle ignore l'avancée des autres sciences et reste assez rétrograde.
Par un arrêt du Conseil d'État du 12 décembre 1741, la communauté des maîtres chirurgiens, plus importante que celle des maîtres apothicaires, réussira à déposséder l'université de son privilège de délivrer des lettres de maitrise en chirurgie valables dans toute la Provence.
Au cours de cette période, des écoles de chirurgie sont fondées à Paris, à Montpellier, et dans tout le royaume. Ces écoles développent rapidement une activité scientifique très féconde : les chirurgiens d’Aix, craignant de demeurer en reste, obtiennent alors la fondation d’une École de chirurgie, établie par lettres patentes du 9 mai 1767.
Mais la faiblesse scientifique des facultés de médecine persista et fut dénoncée par certains cahiers de doléances de 1789 qui obtiendront leur suppression, à l’exception des facultés de Paris et de Montpellier.
L'article de G. Fleury a été publié dans la revue "Marseille médical", 1928, Tome 1 (1er semestre), N° 1,
Malgré une réelle pratique hospitalière, l'enseignement de la médecine, s'appuie toujours sur Hippocrate et Galien : elle ignore l'avancée des autres sciences et reste assez rétrograde.
Par un arrêt du Conseil d'État du 12 décembre 1741, la communauté des maîtres chirurgiens, plus importante que celle des maîtres apothicaires, réussira à déposséder l'université de son privilège de délivrer des lettres de maitrise en chirurgie valables dans toute la Provence.
Au cours de cette période, des écoles de chirurgie sont fondées à Paris, à Montpellier, et dans tout le royaume. Ces écoles développent rapidement une activité scientifique très féconde : les chirurgiens d’Aix, craignant de demeurer en reste, obtiennent alors la fondation d’une École de chirurgie, établie par lettres patentes du 9 mai 1767.
Mais la faiblesse scientifique des facultés de médecine persista et fut dénoncée par certains cahiers de doléances de 1789 qui obtiendront leur suppression, à l’exception des facultés de Paris et de Montpellier.
L'article de G. Fleury a été publié dans la revue "Marseille médical", 1928, Tome 1 (1er semestre), N° 1,
Provenance
BU médecine-odontologie (Marseille)
Collection
Citer ce document
Fleury, Georges (1862-1929), “Faculté (La) de médecine de l’Université d’Aix au dix-huitième siècle - Rupture de son union avec la Communauté des Maîtres-Chirurgiens de la ville d’Aix,” Bibliothèque numérique patrimoniale, consulté le 20 septembre 2024, https://odyssee.univ-amu.fr/items/show/300.
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