Titre
Traité sur l'administration du comté de Provence, par Mr. l'Abbé de Coriolis, conseiller du Roi en la Cour des comptes, aides & finances de Provence
Description
Ex-libris imprimé sur une étiquette collée sur le contre-plat supérieur des 3 volumes : "L. de Clappiers".
Créateur
Coriolis, Gaspard-Honoré (1735-1824)
Source
Bibliothèque droit Schuman (Aix-en-Provence), cote RES 5750/1-3
Éditeur
René Adibert (Aix-en-Provence)
Date
Droits
domaine public
public domain
Relation
Notice du catalogue : http://www.sudoc.fr/201687720
Vignette : https://odyssee.univ-amu.fr/files/vignette/RES_5750_Traite-administration-vignette.jpg
Format
application/pdf
3 vol.
xvi-548, xxiv-717, viii-610 p.
In-4
Langue
Type
text
monographie imprimée
printed monograph
Identifiant
https://odyssee.univ-amu.fr/items/show/130
Couverture
Résumé
Issu d’une famille de juristes, Gaspard-Honoré de Coriolis (1735-1824) entra dans l’ordre des jésuites à la fin de ses études, ce qui l’amena à le défendre lors de sa (voir les documents sur l’expulsion des jésuites). Conseiller à la Cour des comptes de Provence, il fut membre des États de Provence en 1787 et 1789, ce qui l’amena à rédiger ce Traité sur l’administration de Provence. La publication de l’ouvrage, originellement prévue en quatre volumes, fut néanmoins interrompue par les évènements révolutionnaires. Le quatrième volume ne fut édité qu’en 1867, sous le titre de Dissertation sur les États de Provence (disponible en ligne).
Coriolis y défend, entre autres, la représentation du corps national par le biais des États de Provence et de l’assemblée générale des communautés, considérant que « le coup le plus mortel porté à notre administration intérieure fut la suspension de nos États et le refus constant qui nous est fait depuis 1640 de nous permettre de les convoquer ».
Michaud, dans sa biographie universelle, évoque cet « ouvrage estimé et le plus complet qui existe sur cette matière ». Selon Roux-Alphéran, le Traité sur l’administration de Provence était encore « très recherché [à son époque], malgré les changements survenus en la matière depuis 1789 ».
Sources :
Encyclopédie des Bouches-du-Rhône, dir. Paul Masson, 1913, t. 9, p. 141.
Roux Alphéran, Les rues d’Aix,1846, vol.2, p. 277-279.
Louis-Gabriel Michaud, Bibliographie universelle, 1855, vol.9, p. 210.
(Morgane Derenty-Camenen)
Coriolis y défend, entre autres, la représentation du corps national par le biais des États de Provence et de l’assemblée générale des communautés, considérant que « le coup le plus mortel porté à notre administration intérieure fut la suspension de nos États et le refus constant qui nous est fait depuis 1640 de nous permettre de les convoquer ».
Michaud, dans sa biographie universelle, évoque cet « ouvrage estimé et le plus complet qui existe sur cette matière ». Selon Roux-Alphéran, le Traité sur l’administration de Provence était encore « très recherché [à son époque], malgré les changements survenus en la matière depuis 1789 ».
Sources :
Encyclopédie des Bouches-du-Rhône, dir. Paul Masson, 1913, t. 9, p. 141.
Roux Alphéran, Les rues d’Aix,1846, vol.2, p. 277-279.
Louis-Gabriel Michaud, Bibliographie universelle, 1855, vol.9, p. 210.
(Morgane Derenty-Camenen)
Provenance
Bibliothèque droit Schuman (Aix-en-Provence)
Collection
Citer ce document
Coriolis, Gaspard-Honoré (1735-1824), “Traité sur l'administration du comté de Provence, par Mr. l'Abbé de Coriolis, conseiller du Roi en la Cour des comptes, aides & finances de Provence,” Bibliothèque numérique patrimoniale, consulté le 18 septembre 2024, https://odyssee.univ-amu.fr/items/show/130.
Relations entre contenus
Item: Dissertation sur les États de Provence | Relation | Ce contenu |
Item: Délibération du 14 mai 1714 de la Cour des comptes, aides et finances de Provence | Relation | Ce contenu |
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