Titre
Traité pratique des maladies des pays chauds. Tome troisième et dernier, Maladies des systèmes lymphatique et cutané. Parasites, animaux nuisibles
Description
Pour un médecin colonial, les pays chauds sont le réservoir naturel de toutes sortes de maladies peu ou mal connues et de parasites tropicaux tout aussi inquiétants et qui n'épargnent ni les voyageurs ni les autochtones
Créateur
Roux, Fernand (18..-19.. ; médecin colonial). Auteur
Source
BU médecine-ondotologie (Marseille), cote BUT 1196
Éditeur
G. Steinheil (Paris)
Date
Droits
domaine public
public domain
Relation
Notice du catalogue : http://www.sudoc.fr/253181232
Vignette : https://odyssee.univ-amu.fr/files/vignette/BUT-1196_Roux_Traite-maladie-pays-chauds_vignette.jpg
Format
application/pdf
1 vol.
380 p.: ill.
21 cm
Langue
Type
text
monographie imprimée
printed monograph
Identifiant
https://odyssee.univ-amu.fr/items/show/734
Couverture
Résumé
Troisème et dernier tome d'un ensemble publié en 3 Volumes.
Les pays européens qui bâtissent ou étendent leurs empires coloniaux au cours des 19e et 20e siècles (Allemagne, Belgique, France, Grande Bretagne, Italie,...) sont tous confrontés au même défi : lutter contre les redoutables maladies tropicales et les nombreux parasites qui menacent en permanence la santé des êtres humains et des animaux.
Après les missionaires qui, par vocation, ont très souvent construit des dispensaires de soins, les médecins militaires, d'abord appelés à soigner les corps expéditionnaires, finissent par s'occuper des populations autochtones, jusque là cantonnées à la médecine traditionnelle. Si les motivations de ces médecins sont multiples (respect d'un serment universel, intérêt professionnel, idéal humaniste ou encore simple curiosité), ils concourent à la constitution d'un vaste corpus de données scientifiques et d'observations cliniques et thérapeutiques.
Au cours des années 1930, la pratique, l'enseignement médical et la recherche hospitalière à Marseille prennent un caractère résolument colonial : les 2/3 des crédits nationaux affectés à la santé publique des colonies sont attribués à son École d'application (Service de santé colonial), à son Institut de médecine coloniale et à la création d'un Hôpital colonial (1931).
Les pays européens qui bâtissent ou étendent leurs empires coloniaux au cours des 19e et 20e siècles (Allemagne, Belgique, France, Grande Bretagne, Italie,...) sont tous confrontés au même défi : lutter contre les redoutables maladies tropicales et les nombreux parasites qui menacent en permanence la santé des êtres humains et des animaux.
Une nouvelle figure de la santé publique : le médecin-colonial
Après les missionaires qui, par vocation, ont très souvent construit des dispensaires de soins, les médecins militaires, d'abord appelés à soigner les corps expéditionnaires, finissent par s'occuper des populations autochtones, jusque là cantonnées à la médecine traditionnelle. Si les motivations de ces médecins sont multiples (respect d'un serment universel, intérêt professionnel, idéal humaniste ou encore simple curiosité), ils concourent à la constitution d'un vaste corpus de données scientifiques et d'observations cliniques et thérapeutiques.
Au cours des années 1930, la pratique, l'enseignement médical et la recherche hospitalière à Marseille prennent un caractère résolument colonial : les 2/3 des crédits nationaux affectés à la santé publique des colonies sont attribués à son École d'application (Service de santé colonial), à son Institut de médecine coloniale et à la création d'un Hôpital colonial (1931).
Provenance
BU médecine-odontologie (Marseille)
Collection
Citer ce document
Roux, Fernand (18..-19.. ; médecin colonial). Auteur, “Traité pratique des maladies des pays chauds. Tome troisième et dernier, Maladies des systèmes lymphatique et cutané. Parasites, animaux nuisibles,” Bibliothèque numérique patrimoniale, consulté le 13 septembre 2024, https://odyssee.univ-amu.fr/items/show/734.
Relations entre contenus
Position : 651 (993 vues)
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