Commentaire des livres 10, 11 et 12 (surnommés aussi «tres libri ») du Code de Justinien (6e siècle) par Balde, (grand postglossateur du 14e siècle, disciple de Bartole), dans une édition lyonnaise de 1541, avec le commentaire du frère de Balde,…
Commentaire des livres 7, 8 et 9 du Code de Justinien (6e siècle) par Balde, (grand postglossateur du 14e siècle, disciple de Bartole), dans une édition lyonnaise de 1547, avec des annotations des 15e et 16e siècles.
Commentaire des livres 4 et 5 du Code de Justinien (6e siècle) par Balde, (grand postglossateur du 14e siècle, disciple de Bartole), dans une édition lyonnaise de 1546, avec des annotations des 15e et 16e siècles.
Commentaire des 3 premiers livres du Code de Justinien (6e siècle) par Balde, (grand postglossateur du 14e siècle, disciple de Bartole), dans une édition lyonnaise de 1546, avec des annotations des 15e et 16e siècles.
Les commentaires de droit féodal d’Andrea de Isernia (1220?-1316?), grand feudiste italien, constituent son œuvre principale qui fera autorité jusqu’à la fin de l’Ancien régime. Il s'agit ici d'une édition lyonnaise de 1541.
Les livres des fiefs (Libri feudorum) sont une compilation de droit féodal lombard du XIIe siècle : en voici un commentaire de Balde (célèbre postglossateur, disciple de Bartole) datant de 1393, lui même annoté au XVe siècle puis imprimé ici à Lyon…
Au cours de la première de moitié du 19e siècle, le botaniste marseillais Louis Castagne parcourt le Détroit du Bosphore et Bysance, alors capitale de la Thrace orientale de l'Empire ottoman, et en revient avec une flore très détaillée.
Baldus de Ubaldis n'est pas un juriste ordinaire du 14e siècle : professeur de droit dans six universités italiennes, spécialiste de droit romain et de droit féodal, commentateur encyclopédique, homme de terrain, juge, puis vicaire et enfin avocat...
Que pouvait manger un citoyen aisé habitant Rome au 1er siècle de notre ère ? Tout ou presque. Rédigé il y a deux millénaires, ce recueil de recettes nous livre l'éventail d'une gastronomie variée, souvent familière, parfois surprenante.
Quand un astronome observe un objet quelconque, la première question qu'il se pose est de savoir s'il le reverra et quand. Pour les planètes proches du Soleil, ça paraît simple. Tellement qu'il faudra des siècles de travail pour y parvenir !
La vie au 16e et au 17e siècles plus simple qu'aujourd'hui ? Pas sûr : les querelles touchant aux questions financières et patrimoniales finissaient déjà devant les tribunaux. Une précieuse jurisprudence collectée par un célèbre avocat.
Le 17e siècle paraît très lointain mais l'Université d'Aix-Marseille a déjà deux siècles et demi lorsqu'elle se dote de nouveaux statuts : une occasion de rassembler les textes fondateurs les plus anciens et toujours en vigueur et les plus récents.
Ecrire à un mort paraît plutôt paradoxal : si on est bien sûr d'une chose, c'est que l'intéressé ne lira jamais l'épitaphe qui lui est adressée, et pour cause ! Un usage que l'on retrouve pourtant dans de nombreux de rituels funéraires.
N'allez pas confondre le droit de rêver, fièrement revendiqué, et le droit de rêve, aigrement contesté. De nouveaux impôts, des pourceaux et des saucisses surtaxées, un boucher qui vend à perte : une bien curieuse histoire de cochon.
En plein milieu du 17e siècle, des affaires assez quotidiennes de procédure civile, majoritairement patrimoniales, où les parties règlent leurs querelles de successions, d'héritages ou de donations devant les tribunaux.
Biographie détaillée et élogieuse d'un étudiant brillant, à la fois illustre et méconnu, qui devient docteur en droit à 22 ans (1602), puis professeur d'université en 1609, et enfin enseignant à la Faculté de Droit en 1651 pour en devenir le doyen
L'avocat Jacques Viany a une passion : rassembler les mémoires des affaires juridiques. Compilés plus tard dans d'épais volumes, nous pouvons, grâce à lui, découvrir des centaines de procès qui ont eu lieu au cours des 16e et 17e siècles.
Un État moderne a besoin de rentrées fiscales permanentes : les Français découvrent en 1749 un nouvel impôt direct et universel de 5 % sur tous les biens et revenus. Un prélèvement qui soulève l'hostilité des Parlements, des privilégiés et du Clergé.
Une cinquantaine de cas de successions, héritages, diffamations, conspirations, enfants naturels, peines de mort, accouchements : un pot-pourri d'affaires politiques, financières, criminelles et de moeurs du 17e siècle
Après la vente d'Avignon au pape Benoît XIII en 1348, la Provence n'a plus d'université. Mais Louis II d’Anjou, qui dirige le comtat, n'a pas le pouvoir d'en créer une nouvelle. A moins de reconnaître un autre pape, compréhensif...
Les affiches annonçant les soutenances de licence de droit à partir de 1808 ne sont plus imprimées par l'École de Droit d'Aix et pour cause : l'Université impériale créée cette année là remplace toutes les anciennes institutions
Comment savoir quels cours vont être donnés pendant l'année universitaire à Aix-en Provence ? Rien de plus facile, le programme complet des enseignements, avec le nom du professeur et de sa matière, est affiché publiquement
Au 18e siècle, il faut soutenir une thèse devant le public pour devenir bachelier ou licencié : trois siècles plus tard, le principe de la publicité des soutenances et des débats est toujours garant de la sincérité et de la validité du diplôme
Sans recours aux petites annonces, comment faire savoir qu'un poste est vacant à l'université ? Simplement en placardant des avis sur les murs, comme ces affiches du 18e siècle que des mains anonymes ont pris grand soin de récupérer et de conserver
En 1887, un jeune professeur d'épigraphie est envoyé en Tunisie pour faire une inspection des découvertes archéologiques faites par les fonctionnaires français (explorateurs, officiers et topographes) entre 1881 et 1886.